TVLibertés
sam., 16 jan. 2021 20:05 UTC
Alexandra Henrion-Caude
En juillet dernier, la généticienne Alexandra Henrion-Caude a accordé une interview à TVLibertés particulièrement remarquée. En ce début d'année 2021, l'heure est à la mise à jour. Un an après le début de la crise du Covid, où en sommes-nous réellement ?
Alors que les médias multiplient les controverses avec des médecins en situation de conflit d'intérêts, le vrai débat scientifique a lieu loin des caméras. Alexandra Henrion-Caude revient pour TVLibertés sur les données dont on dispose à ce jour, sur les grands sujets qui occupent - et inquiètent souvent - les Français.
à 10:38 "Le sommet de l'iceberg au 2/3 immergé" !!! (un glacier n'émerge que du 1/10ème et 9/10ème sous l'eau)
- voir clip d'1 h sur:
Covid-19, gestion sanitaire, tests PCR, vaccins ARN, stress — Interview avec Alexandra Henrion-Caude
La généticienne Alexandra Caude-Henrion explique les problèmes engendrés par le port du masque
https://fr.sott.net/article/36475-Covid-vaccin-la-geneticienne-Alexandra-Henrion-Caude-nous-dit-tout
Vaccin Arn & société techno-sanitariste : l'analyse du Dr Louis Fouché, le fondateur de Réinfo Covid
RépondreSupprimerNexus
dim., 03 jan. 2021 20:13 UTC
Louis Fouché
(interview du 30 décembre) Médecin-anesthésiste et réanimateur à Marseille, on connaît le Dr Louis Fouché comme porte-parole du collectif Reinfocovid. Ses propos sont largement relayés depuis plusieurs mois sur les réseaux sociaux, sur les radios et sur les plateaux tv. Il milite pour la diffusion d'une information libre et remet en perspective la réalité des chiffres et des traitements qui fonctionnent pour soigner les malades du Covid-19. Il nous explique aussi les dangers du vaccin Arn.
- voir clip sur site -
https://fr.sott.net/article/36476-Vaccin-Arn-societe-techno-sanitariste-l-analyse-du-Dr-Louis-Fouche-le-fondateur-de-Reinfo-Covid
COVID-19 - Le vaccin inachevé...
RépondreSupprimerJean-Loup Izambert et Claude Janvier
Mondialisation.ca
sam., 16 jan. 2021 18:28 UTC
Impossible d'ignorer que Pfizer et Moderna ont créé en moins d'une année un vaccin ARN messager décrit et salué par des médecins, des politiciens et la presse main stream comme révolutionnaire et efficace contre le Coronavirus.
Une vraie prouesse ! Et une vaste fumisterie qui cache les objectifs réels de ces producteurs de « vaccins miracle ». Avec la complicité du gouvernement français.
Tout est bon pour inciter les citoyens à se faire injecter le précieux liquide. Du chef de l'Etat, en passant par les ministres, les parlementaires, les médias et une certaine caste de médecins, la propagande bat son plein. Comme si cela ne suffisait pas, un collectif d'artistes s'est formé afin de marteler le message tout en louant les vertus de ce vaccin (1).
Du reste que connaissent-ils ces artistes du processus de la mise au point d'un vaccin ? Rien ! Strictement rien ! Leur démarche est guidée par le bla-bla des lobbyistes des laboratoires et des toubibs médiatiques comme Karine Lacombe, récemment promue pour recevoir la Légion d'honneur en récompense de... Et bien, bonne question, on ne sait pas. Certainement pour son nombre d'interviews record. Elle va bientôt figurer en pôle position dans le Guinness. Pendant ce temps-là, d'autres docteurs et infirmières travaillant en milieu hospitalier nuit et jour ne bénéficieront pas de la même reconnaissance officielle. Pour ces derniers, le pouvoir réserve matraques, gazages, arrestations et amendes s'ils viennent à protester contre sa politique de liquidation du système de santé publique.
Quant aux artistes engagés pour la vaccination, on retrouve entre autre Berléand (2) qui avait dévoilé son mépris pour le peuple et les Gilets Jaunes, et le décevant Grand Corps Malade. En effet, avec sa chanson « Pas essentiel », on s'attendait à plus de réflexion (3). Ce qui est dommage c'est que tout ce beau monde est fermement persuadé que, grâce à cette vaccination, la vie va reprendre comme avant. Retour à la normale, jouée en partition uniquement pour pipeau et violon !
Cette légion d'honneur, distribuée à tout-va comme des confettis à des enfants, ne signifie plus grand chose à part récompenser certains malfaisants. Jacques Servier, feu le grand patron des laboratoires du même nom, s'était vu remettre la décoration prestigieuse en plein scandale du Médiator. Rappelons que pendant trente ans, de 1976 à 2009, ce produit dangereux à été prescrit à plus de 5 millions de patients. Jugement final en 2021. Un record de « rapidité » dû à l'état de délabrement avancé du système judiciaire français que mettent en évidence depuis plusieurs années les enquêtes de la Commission européenne pour l'efficacité de la justice (CEPEJ). Entre 220 et 300 décès à court terme et entre 1300 et 1800 à long terme (4). Ce qui n'a pas empêché Nicolas Sarkozy, alors chef de l'Etat à l'époque, de remettre à Servier, le 7 juillet 2009, la plaque et le cordon de grand-croix - la plus haute distinction - de la Légion d'honneur (5), alors que la célèbre pneumologue Irène Frachon, dans son livre - Médiator 150 mg, combien de morts ? - publié deux ans plus tôt dénonçait les méfaits du médicament « miracle ».
Mais revenons à ce vaccin miraculeux fabriqué en moins d'un an. Les chercheurs ont bossé nuit et jour. Quand il y a des bénéfices à faire, pas d'hésitation...
RépondreSupprimerEffets indésirables graves : la question est loin d'être résolue
Le professeur Raoult que l'on ne présente pas déclare le 8 janvier 2021 que ce vaccin n'est pas la baguette magique qui va arrêter l'épidémie. Extrait de l'article:
« ... Je pense que la plupart d'entre eux (les vaccins) ne présentent pas de risques à court terme. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir sur des formes nouvelles (...) on a évalué les effets secondaires qui ne sont ni plus ni moins que ceux des autres vaccins : il ne s'est pas passé de choses extraordinaires. À moyen-long terme, personne ne peut le savoir sur des formes nouvelles (...) on a évalué les effets secondaires qui ne sont ni plus ni moins que ceux des autres vaccins : Je ne le crois pas non plus. » (6)
Côté Pfizer, le vaccin Covid-19 assurerait une efficacité globale de 80,2 % après la première injection, atteignant 94,1 % 14 jours après la seconde injection (7).
Côté Vidal, la bible des médecins, au 10 décembre 2020, dans son article « Vaccin Pfizer/Biontech contre la Covid-19 : Enfin des données à analyser ! » : « un taux de protection de 52,4 % dès la première injection » mais surtout : « Les questions relatives à l'efficacité qui demeurent en suspens », « Des effets indésirables post-injection plus sévères chez les moins de 56 ans », « Les questions relatives à la toxicité qui demeurent en suspens »... Puis plus loin : « La possibilité d'effets indésirables graves, rares ou décalés dans le temps » (8) ; « La toxicité chez les moins de 16 ans, les femmes enceintes et allaitantes et les personnes immunodéprimées ». Le Vidal souligne en conclusion : « la question d'une éventuelle toxicité à long terme se pose toujours, ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. » En cas d'effets indésirables graves possibles, qui ne semblent nullement gêner ceux qui vaccinent avec ces vaccins inachevés, rendez-vous à l'hôpital s'il reste des lits hospitaliers ou au... cimetière.
Le prix de l'incompétence
Comment ignorer que le développement et la mise au point d'un vaccin prend en moyenne une dizaine d'années en respectant le principe de précaution qui permet de s'assurer qu'il soit sans danger pour l'homme avant sa mise sur le marché ?
« Des prototypes de candidats-vaccins sont mis au point en laboratoire à partir de germes, puis on lance la production pharmaceutique et on réalise les premiers tests sur des animaux. Il faut ensuite obtenir des autorisations réglementaires pour mener des essais cliniques, plus vastes sur l'Homme. » (9)
Admettons quand même que ce vaccin soit efficace à 94,1 %. Si tel était le cas, et s'il protégeait réellement les vaccinés, pourquoi obliger ceux qui n'ont pas envie d'être vacciné à l'être ? Pourquoi vouloir établir un « passeport de santé/vaccination » qui serait exigible avant de prendre un avion, de monter dans un train, ou d'aller au spectacle ?
La vérité semble ailleurs...
RépondreSupprimerNos braves artistes partant en guerre pour que tout le monde se fasse vacciner, feraient bien de revoir leurs copies. Car, s'ils s'imaginent que les salles de spectacles, les théâtres, les cinémas, et les restaurants (pour manger un petit bout en fin de soirée), vont rouvrir très vite, ils se fourrent le doigt dans l'œil jusqu'au coude.
Comment voulez-vous que le Conseil scientifique donne son feu vert à la liberté, vu que Jean-François Delfraissy, le président du Conseil scientifique du pouvoir, a déclaré le 18 décembre 2020 que 2021 ressemblera à 2020 (10). Tout comme il avait déjà déclaré en 2009 qu'il allait falloir vacciner deux fois les Français contre le virus de la grippe H1N1, alors présentée comme une terrible pandémie. Terrible au point qu'elle disparut en une année presque aussi vite qu'elle avait surgi ... Coût pour l'État de ces prévisions aussi alarmistes qu'infondées et fumeuses : plus de 500 millions d'euros pour la seule opération vaccin dont des millions de doses seront annulées après dédommagements financiers de ses producteurs et 15 millions d'autres détruites ! Banco.
Comme le reconnut lui-même le professeur Delfraissy une fois que l'orage fût passé, il « n'était pas un spécialiste des virus de la grippe », pas plus qu'il ne l'est d'ailleurs aujourd'hui de ce coronavirus. Voilà qui « rassure » et laisse déjà entrevoir que la nouvelle ardoise laissée par ce régime et ses conseillers - des milliards d'euros avec un nouveau surendettement du pays - pourrait bien tomber plus vite que prévu comme des tuiles sur la place publique.
Un vaccin est normalement sensé vous immuniser contre une maladie. Si vous êtes vacciné contre le tétanos, vous êtes protégé à 100 %. Extrait du Vidal : « La vaccination contre le tétanos est efficace à 100 % et cette maladie a quasiment disparu dans les pays, dont la France, où une politique vaccinale complète est appliquée et réalisée. De 2005 à 2017, 112 cas de tétanos ont été déclarés en France - sois moins de 10 par an. » Si le vaccin contre la Covid-19 ne peut être efficace à 100 % en 2021, aucun de ses fabricants ne peut garantir sa sûreté. Ceux-ci ne s'étendent pas sur ses possibles effets secondaires. Comme on les comprend.
Si le vaccin vous rend malades, on y est pour rien...
Une réunion du comité consultatif de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis intitulée « Vaccins et produits biologiques connexes », qui s'est tenue le 22 octobre 2020, n'a-t-elle pas listé 22 conséquences négatives possibles, y compris la mort, avec ces vaccins alors en cours d'élaboration ? (11) Cette liste, projet de travail sur les événements indésirables très graves pouvant survenir, n'incluait pas tous les effets négatifs mineurs et non étudiés sur la santé qui résulteront de ces injections pour une raison simple : ceux-ci ne peuvent apparaître qu'au bout de plusieurs années.
RépondreSupprimerVoilà qui explique pourquoi les dirigeants de ces transnationales de la pharmacie ont été jusqu'à solliciter très fortement la Commission « européenne » afin qu'elle les décharge de leurs responsabilités sur les effets secondaires. Extrait de l'article LCI du 22 septembre 2020 :
« Le 27 août, la Commission européenne a confirmé être en discussion avec les laboratoires » sur ce sujet. Ces clauses sont ainsi en discussion afin de « compenser les risques élevés pris par les laboratoires ». Risques élevés ? Risques de pertes de profits faramineux par la vente de vaccins qui ne peuvent qu'être inachevés dans leur conception au moment de leur mise sur le marché ? Non, risques financier pour des effets secondaires liés à « une éventuelle toxicité à long terme (qui) se pose toujours » en début d'année 2021 « ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir ». Et c'est justement pourquoi « les contrats d'achat anticipé prévoient que les états membres de l'UE indemnisent les fabricants pour les responsabilités encourues dans certaines conditions. » (12)
Cerise sur le gâteau, ces vaccins ne garantiraient qu'une immunité de quelques mois, variable selon les fabricants. Ensuite rebelote pour une injection et jackpot pour Pfizer, Moderna et les autres.
On imagine mal que des producteurs de vaccins assurés de l'efficacité et de la sûreté de leurs produits aillent quémander l'aide d'un État qu'ils ne cessent de stipendier au nom de la « libéralisation des entreprises » et auquel ils reprochent un prétendu « interventionnisme » pour qu'il prenne à sa charge les déboires qui pourraient survenir après l'injection de leur « vaccin révolutionnaire »...
Aussi, nul besoin d'être un grand devin pour deviner que le délire confinatoire avec port du masque et couvre feu va continuer alors que le mardi 12 mars 2020, l'inénarrable Directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, déclarait que « 98 % des gens guérissent » de la Covid-19. Et attention, en matière de coronavirus le haut fonctionnaire Jérôme sait de quoi il parle : c'est lui qui annonça le 3 février 2020 qu' « il n'y a pas d'épidémie en France, même pas de chaîne de transmission dans notre pays et aucune circulation du virus sur le territoire ». Le jour même, la France comptait ses six premiers cas confirmés porteurs du virus SRAS-CoV-2, 57 le 29 du même mois et 191 avec le premier décès le 3 mars !
Notre enquête
RépondreSupprimerSe soigner ? Du repos chez soi, et pour aider, du zinc, de la vitamine D, de la vitamine C, de l'aspirine ou du Doliprane (13), (14). Mais alors que devient l'Hydroxychloroquine, interdite par la « sinistre » de la Santé Buzyn aux médecins généralistes bien que ceux-ci parviennent à soigner des malades à l'hôpital s'ils sont traités dès les premiers symptômes ?
Difficile de s'y retrouver dans les affirmations les plus contradictoires qui agitent la communauté scientifique auxquelles s'ajoutent les fausses nouvelles diffusées par le Premier ministre et certaines administrations. Rien d'étonnant pourtant puisque ce coronavirus est nouveau pour les chercheurs, du moins pour ceux qui ne travaillent pas à la mise au point d'armes biologiques offensives dans l'un de ces laboratoires de l'armée des États-Unis échappant à tout contrôle international. Mais ceci est une autre histoire, celle de guerres biologiques et chimiques qui ne commencent ni en République populaire de Chine, ni en France mais au cœur de la Maison Blanche...
Nous sommes journalistes et non scientifiques et notre rôle est de rapporter avec rigueur à la population les informations et les idées qui circulent dans la société. Nous n'avons pas la prétention d'affirmer ce qu'il faut faire ou ne pas faire au plan médical ainsi que s'y ridiculisent des éditocrates parisiens et autres médecins imaginaires autoproclamés qui se répandent dans des médias dont les transnationales de Big Pharma sont l'un des principaux annonceurs. Par contre nous avons la détermination inébranlable de dénoncer les fausses informations, d'où qu'elles viennent, en nous appuyant sur des sources fiables - Insee, CNRS, Inserm, etc. -, en vérifiant et croisant leurs données et en analysant les faits avec le nécessaire recul.
La pratique rigoureuse de l'enquête journalistique implique de suivre la « règle des trois principes » : bannir toute idée reçue, ne faire confiance à personne, vérifier les informations par recoupements.
C'est pourquoi nous pouvons affirmer que ce gouvernement ment à l'opinion publique lorsqu'il prend prétexte d'une prétendue virulence du virus pour imposer de nouvelles mesures qui détruisent le contrat social français.
Parvenu à ce stade de mensonge d'État, ce gouvernement n'a plus d'autre choix que d'entretenir la peur pour endiguer la révolte qui menace et permettre aux sociétés transnationales de la pharmacie d'écouler leurs millions de doses de vaccins autant inutiles qu'inachevés.
RépondreSupprimerVous doutez ?
Fausses informations gouvernementales
Un nouvel exemple de l'esbroufe gouvernementale appert en début d'année 2021 : le nombre de personnes contaminées par la Covid-19 annoncé en décembre 2020 par le gouvernement, son ministre de la santé et son administration, et relayé par la plupart des médias, est de 1068 cas confirmés par semaine par million d'habitants. Cette statistique est diffusée par la plateforme ouverte des données publiques françaises (www.data.gouv.fr, https://LaFibre.info/Covid19, Comparatif du nombre de cas Covid-19 par semaine entre pays rapporté par million d'habitants, mise à jour du 06 décembre 2020 à 17h).
Or, si l'on examine de près les chiffres du réseau Sentinelles de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) composé de 1 200 cabinets médicaux sur tout le territoire, ce rapport s'avère bien différent : 14 cas pour 100 000 personnes soit environ 140 cas pour un million d'habitants. Huit fois moins ! Rappelons que le taux de Sentinelles correspond aux vrais malades symptomatiques rencontrés dans les cabinets médicaux et testés. Ainsi que l'indique le réseau Sentinelles dans son bulletin sur la situation observée pour la semaine 53 - du 28 décembre 2020 au 03 janvier 2021-,
« à partir des données cliniques et virologiques concernant les cas d'IRA (NdA : Infections respiratoires aiguës) vus en consultation de médecine générale, il est possible d'estimer la part de ces cas dus au COVID-19. »
En semaine 53 à cheval entre décembre 2020 et janvier 2021,
« aucun prélèvement n'a été testé positif au SARS-CoV-2 (COVID-19) parmi les prélèvements analysés. Ceci permet d'estimer que le taux d'incidence des cas d'IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en médecine générale serait inférieur à 14 cas pour 100 000 habitants, représentant moins de 9 097 nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste. »
Précision de l'Inserm :
« Cette estimation est stable par rapport aux semaines précédentes. » Quel média vous a rapporté ces faits et cette « stabilité par rapport aux semaines précédentes » ?...
Le seuil épidémique étant de 150 à 200 cas pour 100 000 personnes, il est permis d'affirmer que le virus est en voie de disparition.
Aussi, la troisième vague, le reconfinement, le couvre-feu et autres mesures annoncées par le gouvernement à grand renfort de médias semblent n'avoir qu'une raison d'être : entretenir la peur pour écouler le stock de millions de doses de vaccins !
Olivier Veran, ministre des Solidarités et de la Santé, ne tient visiblement pas à jouer « Bachelot 2 le retour » sur les traces de la « sinistre » de la Santé du gouvernement Fillon. Rappelez-vous : en 2010 celle-ci, suivant à la lettre les conseils du même Jean-François Delfraissy et de son équipe pour contrer la grippe H1N1, s'était retrouvée avec des dizaines de millions de doses de vaccins inutiles...
Les « profiteurs pandémiques »
RépondreSupprimerCeux qui depuis le début de l'année 2020 n'arrêtent pas de diffuser des annonces gouvernementales et d'administrations sans les vérifier puisque émises par des sources officielles - donc a priori crédibles - se retrouvent, devant les arguments que nous présentons aux lecteurs, seuls et démunis avec le sentiment d'avoir été trompés par le pouvoir et ses représentants pour les plus honnêtes et professionnels d'entre eux. Si, si, il en existe encore... Si des erreurs peuvent survenir dans la création et la diffusion d'informations, celles-ci répétées dans le temps sur un même sujet façonnent ce qui s'appelle un mensonge d'État.
Ceux qui en font les frais ?
Les professionnels de la santé et, d'une manière générale, les salariés des entreprises, les transporteurs, commerçants, artisans, hôteliers-restaurateurs, patrons de boîtes nuits, autocaristes, TPE et PME-PMI, les professions du spectacle et de l'événementiel, les salles de sports...Bref, tous les entrepreneurs et indépendants, qui grâce à leur travail et à leur dur labeur font vivre leurs familles et donnent de la convivialité à notre nation sont en train de disparaître.
En revanche, comme nous le montrons dans Le virus et le président, les « profiteurs pandémiques » se portent plutôt très bien. Parmi eux, les sociétés transnationales du CAC 40 - dont celles de la pharmacie - qui, tout en réalisant les plus importants chiffres d'affaires reçoivent, bon an mal an, plus de 200 milliards d'euros de subventions publiques et d'exonérations fiscales de l'État et de l'Union dite « européenne » et continuent de coter à la hausse en Bourse tout en tuant des milliers et des milliers d'emplois en France. C'est un peu aussi pourquoi nous disons que lorsque le président Macron qui a consacré son temps, depuis qu'il s'est assis en 2012 près de l'ancien président François Hollande, a privatiser l'économie, créer du chômage, réduire encore le système de santé publique, endetter le pays, déclare vouloir « reconstruire une économie forte et souveraine » c'est un peu comme si une dinde fêtait Noël.
Le livre qui dérange
RépondreSupprimerLe virus et le président n'oublie pas ces fauteurs de crise tant sanitaire qu'économique et financière. Vous y lirez comment les privilégiés du système se gavent des richesses de notre beau pays avec le concours de parlementaires qui, pour la plupart, ne sont plus que des sortes de greffiers de la Commission « européenne » qui confinent le budget de la Santé publique dans l'une des dernières places du budget de l'État. Pendant que la France du travail et de la création perd sa santé jusqu'à l'agonie sur l'une des toutes premières marches du podium du taux de suicide d'Europe occidentale, des profiteurs sans scrupules la pillent en flux tendu 24 heures sur 24. La fable du « vaccin miracle » inachevé contre la Covid-19 ne raconte pas une autre histoire que celle des manigances de ces accapareurs à la recherche de profit maximum immédiat quelles qu'en soient les conséquences pour le peuple.
Ce vol noir de corbeaux sur le pays qu'ils enchaînent à coups d'ordonnances de l'Union « européenne » et de lois liberticides et anti-sociales est le tableau « idyllique » annoncé par Klaus Schwab, le fondateur de Davos et de son Forum Économique Mondial, ainsi qu'il l'explique dans son livre, Covid-19 : la grande réinitialisation. C'est écrit noir sur blanc et ce n'est pas complotiste. C'est une réalité qui est en train de s'étendre, comme une gangrène malfaisante à toute la planète (15). Aussi, le temps de la perdition, de la désespérance et du silence est révolu. Place à la réflexion, au débat et à l'action !
Notre livre Le virus et le président, (IS Edition, www.is-edition.com), qui vient de sortir souhaite y contribuer, peut vous éclairer, vous permettre de comprendre comment et pourquoi le pouvoir vous trompe, favoriser le débat, inciter à rechercher et à écrire les propositions qui permettront de changer de cap. Enquêtes minutieuses, faits, chiffres, zestes d'humour (16)...
Le vaccin inachevé ? Comme pour ses promoteurs et propagandistes, au vu de ce qui précède, vous aurez deviné notre position.
Notes :
RépondreSupprimer1. https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/appel-de-200-artistes-pour-la-vaccination-c-est-le-seul-moyen-de-sortir-de-ce-bordel/ar-BB1cyLhj?ocid=msedgdhp et https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/covid-19-l-appel-de-200-personnalites-de-la-culture-qui-veulent-se-faire-vacciner-06-01-2021-8417619.php
2. https://www.lefigaro.fr/cinema/ils-me-font-ch-francois-berleand-s-explique-devant-des-gilets-jaunes-20191209
3. https://www.youtube.com/watch?v=NencPkx7qgY
4. https://www.lepoint.fr/justice/proces-mediator-dernier-round-07-07-2020-2383304_2386.
5. https://www.nouvelobs.com/societe/20111010.OBS2124/nicolas-sarkozy-et-la-legion-d-honneur-le-revers-de-la-medaille.html
6. https://www.lindependant.fr/2021/01/08/covid-19-pour-didier-raoult-le-vaccin-nest-pas-la-baguette-magique-qui-va-arreter-lepidemie-9299989.php
7. https://www.vidal.fr/actualites/26337-vaccin-pfizer-biontech-contre-la-covid-19-enfin-des-donnees-a-analyser.html
8. https://www.vidal.fr/actualites/26105-vaccins-contre-la-covid-19-doit-on-s-inquieter-du-risque-de-maladie-aggravee-chez-les-personnes-vaccinees.html
9. https://www.santemagazine.fr/traitement/medicaments/vaccins/vaccins-contre-le-coronavirus-quelles-differences-pour-qui-quand-873097
10. https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-jean-francois-delfraissy-2021-ressemblera-a-2020-7091792
11. FDA U.S., Food & Drug Administration, Steve Anderson, VRBPAC, meeting October 22, 2020. Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee (VRBPAC), October 22, 2020. Meeting Announcement. La FDA révèle une longue liste de problèmes de santé graves pouvant résulter de la vaccination contre le covid-19, y compris la mort, par Lance D.Jolmage, Natural News, mercredi 09 décembre 2020.
12. https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
13. https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/collectif-medecins-preconise-utilisation-vitamine-du-zinc-prevenir-formes-graves-covid-1908356.html
14. https://www.bfmtv.com/sante/en-combien-de-temps-guerit-on-du-coronavirus_AN-202003120174.html
15. https://blogs.mediapart.fr/semcheddine/blog/011220/covid-19-grande-reinitialisation-ou-insurrection-des-consciences et https://lecourrierdesstrateges.fr/2020/12/29/le-great-reset-annonce-t-il-la-fin-du-travail-independant/
16. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/
Aucune pandémie de «virus» n’existe: la fraude Covid n’est rien de plus qu’une couverture pour de nombreux autres maux
RépondreSupprimerPar Gary D. Barnett
18 janvier 2021
«Pourtant, au lieu de faire confiance à ce que leur propre esprit leur dit, les hommes ont en règle générale une faiblesse pour faire confiance aux autres qui prétendent à des sources surnaturelles de connaissances.
~ Arthur Schopenhauer (1851). «La religion, un dialogue»
L'État est maintenant Dieu, et la religion a été largement reléguée au culte de l'État. Cela a toujours été l'objectif.
Ce pays est devenu totalitaire presque du jour au lendemain, et chaque prétendue menace mortelle, faussement propagée par l'État qui a été défiée intellectuellement, a été réfutée puis étayée par des preuves ou des faits solides. Invariablement, la vérité est ignorée et qualifiée de «théorie du complot». Ce n'est pas un argument valable bien sûr, mais lorsque les puissantes "élites '', leurs politiciens "possédés '' et les médias traditionnels n'ont qu'à convaincre les masses insensées, il suffit dans la plupart des cas de simplement dénigrer et marginaliser les diseurs de vérité avec langage péjoratif. Pour mémoire, de nombreux membres du troupeau de la société ont également pris à cœur ce terme péjoratif créé par la CIA, et c'est normalement la première chose qui sort de la bouche de ces citoyens ordinaires lorsqu'une explication légitime de la corruption est prélevée. Ils le font parce qu'ils ont été formés pour le faire et n'ont pas la capacité de discuter intellectuellement de questions d'importance vitale. Mais avec cette coopération utile des masses, les quelques-uns d'entre nous prêts à défier cette tyrannie sont constamment barrés et censurés non seulement par les contrôleurs de l'État, mais aussi par le grand public. Cette ligature des dirigeants et des esclaves contre les diseurs de vérité tend à diminuer les critiques honnêtes en faveur du récit d'État préféré, et lorsque cela se produit, la tyrannie en est le résultat.
C'est comme si les dirigeants de l'État avaient mis en place un piège géant pour piéger le troupeau. Ensuite, la panique a été déclenchée par l'instauration d'une grande peur d'un mystère «virus monstre», et tous ont commencé à courir vers le gouvernement pour trouver la sécurité. Le piège était appâté avec des cadeaux d'État, des masques, de l'argent, des tests PCR, des vaccins et de la propagande, et il a été rapidement déclenché, et le public américain a été pris et enfermé à l'intérieur. Cette simple astuce était tout ce qui était nécessaire pour garantir la soumission des esprits et des corps d'une population aussi faible et pathétique. Gullible ne commence même pas à expliquer la réaction du peuple face à cette arnaque «Covid-19», et la facilité avec laquelle la plupart d’entre eux ont été capturés par les mensonges et la tromperie, alors que leurs libertés leur ont été enlevées sans résistance.
Mais «Covid-19» n’existe pas; il n'a jamais été isolé, séparé ou identifié comme un nouveau virus. Il n’ya jamais eu aucune tentative de satisfaire les postulats de Koch pour affirmer qu’un nouveau virus était présent. En d'autres termes, il n'a jamais été prouvé qu'il s'agissait d'un virus, et le CDC lui-même a vérifié ce fait. Le test PCR pour ce mystère "tueur'' n'est pas adapté ou capable d'identifier ou de diagnostiquer la présence d'un virus, encore moins de ce faux, et n'est pas en mesure de déterminer ou non si quelqu'un est malade ou va même l'être, en particulier car aucun soi-disant virus «Covid-19» n'a jamais été trouvé. L'inventeur de la PCR était Kary Mullis, et il a remporté le prix Nobel de chimie pour ce travail. Sa propre analyse vérifie ces affirmations. De plus, il n'y a aucune preuve réelle que ce virus revendiqué soit contagieux du tout, encore moins mortel contagieux. Si c'était le cas, ce serait beaucoup plus répandu, et tous ceux qui sont en contact avec des personnes séropositives tomberaient certainement malades, mais cela n'a jamais été le cas.
RépondreSupprimerLa liste des symptômes du gouvernement et de l’organisation «santé» a considérablement changé au fil du temps pour inclure plus de 170 symptômes différents. Et cette liste ridicule, qui a été compilée en octobre dernier, augmentera certainement encore plus. Chaque personne peut facilement avoir un ou plusieurs de ces symptômes à un moment donné, ce qui indique un désordre alambiqué de mensonges. Ce qui a commencé par des symptômes pseudo-grippaux et des troubles respiratoires s'est propagé à des pages sur des pages de symptômes, tous destinés à amener tout le monde à croire qu'ils peuvent avoir `` Covid ''. Cela aurait-il pu être un moyen d'amener beaucoup plus de personnes à tester PCR inutile afin de gonfler à tort et à dessein le nombre de cas? Cela semble logique pour le moins.
Les gens tombent malades et manifestent des symptômes qui s'apparentent beaucoup plus à une intoxication par radiation qu'à n'importe quel virus. Ils succombent également aux effets horribles de l'isolement et du stress, au fait que notre système immunitaire en raison des politiques et des mandats gouvernementaux est compromis de manière irréparable et à de nombreux autres facteurs extérieurs. Mais la plupart de ces symptômes ne sont pas des symptômes indiquant la présence d'un virus, est-ce par nature ? À mon avis, cela a été planifié et joué il y a longtemps, et de nombreuses preuves étayent cette affirmation. Il est utilisé strictement comme l'impulsion de la «grande réinitialisation» de l'humanité. Alors que des maladies, certaines horribles et uniques par nature, se produisent, le nombre total de décès est toujours le même ou inférieur à celui des dernières années. Ce fait à lui seul contredit tout le récit de «Covid», et montre certainement qu’aucune pandémie n’est présente et n’a jamais été présente.
C'est une guerre psychologique et physique contre le peuple, mais c'est plus que cela. Certains secteurs de notre population sont ciblés, et cela comprend les personnes âgées et infirmes, tous ceux qui ont des problèmes de santé chroniques, y compris des handicaps mentaux, quel que soit leur âge, et ceux dont le système immunitaire est fortement affaibli. Cela devrait être évident pour tous en raison du fait que l'État a choisi cette partie hautement compromise de la société pour être le premier à recevoir l'injection d'un vaccin non prouvé, non testé, à ARNm, altérant le gène et toxique et toxique. Les agendas recherchés sont le mal dans l'intention et le mal dans la livraison. Le nombre de décès faussement qualifiés de «Covid» pourrait certainement augmenter avec ce programme de vaccination des plus faibles d’entre nous. Ces décès supplémentaires auront-ils été envisagés et planifiés à l'avance ? Ce complot inclut-il la possibilité d'éliminer la partie de la société qui dépend le plus du gouvernement, et qui est le plus gros drain pour l'économie de dette créée par le gouvernement ? Le contrôle de la population est-il bien vivant en Amérique et dans le monde ? Je ne pense pas que cela puisse être discuté, et en fait, de nombreux membres de nos populations plus âgées ont déjà été victimes de meurtres d'État.
RépondreSupprimerLes agendas recherchés par ceux qui sont au pouvoir sont de nature sinistre. Cela doit être dû au fait que l'agenda principal de l'État est toujours basé sur l'obtention d'argent, de pouvoir et de contrôle sur l'humanité. Avec cet objectif connu à l’esprit, chaque étape du processus sera progressivement poursuivie et sera toujours préjudiciable à la population dans son ensemble. Cela continuera jusqu'à ce que les gens soient si faibles qu'ils acceptent même le plus flagrant des mensonges, et deviennent prêts à accepter les ordres, les lois et les mandats les plus ridicules, nuisibles et déshumanisants exigés par les tyrans de l'État. Une fois ce stade atteint, la poussée finale peut être tentée et probablement réalisée. Nous entrons aujourd'hui dans la phase finale dans ce pays, et 2021 sera l'année où les Américains décideront d'être libres ou d'être esclaves de ce système de gouvernement corrompu et odieux.
«Le mal du monde n'est rendu possible que par la sanction que vous lui donnez.»
Ayn Rand (2005). “Atlas Shrugged”, p.1006, Penguin
https://www.minnpost.com/health/2020/12/how-the-government-decides-who-should-get-vaccinated-first/
https://www.lewrockwell.com/2020/12/gary-d-barnett/fake-pandemic-fake-casedemic-then-fake-pandemic-and-the-fraud-continues/
https://davidicke.com/2021/01/15/nhs-whistleblower-louise-hampton-talks-to-former-radiographer-ann-devlin-about-covid/
https://off-guardian.org/2020/12/18/who-finally-admits-pcr-tests-create-false-positives/
https://davidicke.com/2021/01/14/this-is-not-a-vaccine-it-is-an-mrna-packaged-in-a-fat-envelope-that-is-delivered-to-a-cell-a-medical-device-designed-to-stimulate-the-human-cell-into-becoming-a-pathogen-creator/
https://themarshallreport.wordpress.com/2020/04/23/covid-19-and-radiation-sickness-have-same-deadly-symptoms-coincidence/
https://www.thesun.co.uk/news/12806187/full-list-170-long-covid-symptoms-hair-loss-incontinence/
https://www.lewrockwell.com/2021/01/gary-d-barnett/no-virus-pandemic-exists-the-covid-fraud-is-nothing-more-than-a-cover-for-many-other-evils/
Google n'est pas ce qu'il semble
RépondreSupprimerpar Julian Assange
Le président de Google, Eric Schmidt, partage une blague avec Hillary Clinton lors d'une "discussion au coin du feu" spéciale avec le personnel de Google. La conférence a eu lieu le 21 juillet 2014 au siège de Google à Mountain View, en Californie.
Dans cet extrait de son nouveau livre When Google Met Wikileaks, l'éditeur de WikiLeaks Julian Assange décrit la relation particulière entre Google, Hillary Clinton et le département d'État - et ce que cela signifie pour l'avenir d'Internet. Les lecteurs de WikiLeaks peuvent obtenir une réduction de 20 pour cent sur le prix de vente lors de la commande sur le site OR Books en utilisant le code de coupon "WIKILEAKS".
* * *
Eric Schmidt est une figure influente, même parmi le défilé de personnages puissants avec lesquels j'ai dû croiser le chemin depuis que j'ai fondé WikiLeaks. À la mi-mai 2011, j'étais assigné à résidence dans la campagne de Norfolk, à environ trois heures de route au nord-est de Londres. La répression contre notre travail battait son plein et chaque moment perdu semblait être une éternité. C'était difficile d'attirer mon attention. Mais quand mon collègue Joseph Farrell m'a dit que le président exécutif de Google voulait prendre rendez-vous avec moi, j'écoutais.
À certains égards, les échelons supérieurs de Google me semblaient plus distants et plus obscurs que les couloirs de Washington. À ce moment-là, nous avions serré les cornes avec de hauts responsables américains pendant des années. La mystique s'était dissipée. Mais les centres de pouvoir grandissant dans la Silicon Valley étaient encore opaques et j'ai soudainement pris conscience d'une opportunité de comprendre et d'influencer ce qui devenait l'entreprise la plus influente au monde. Schmidt avait pris la direction de Google en 2001 et l'avait construit dans un empire.1
J'étais intrigué que la montagne vienne à Muhammad. Mais ce n'est que bien après le départ de Schmidt et de ses compagnons que j'ai compris qui m'avait vraiment rendu visite.
* * *
La raison invoquée de la visite était un livre. Schmidt rédigeait un traité avec Jared Cohen, le directeur de Google Ideas, une équipe qui se décrit comme le "think / do tank" de Google. Je ne savais pas grand-chose d'autre sur Cohen à l'époque. En fait, Cohen avait quitté le département d'État américain pour Google en 2010. Il avait été un homme d'idées de la «génération Y» qui parlait rapidement sous deux administrations américaines, un courtisan du monde des think tanks et instituts politiques, braconné dans sa vingtaine d'années. Il est devenu conseiller principal des secrétaires d'État Rice et Clinton. À State, au sein de l'équipe de planification des politiques, Cohen a rapidement été baptisé «le parti-starter de Condi», canalisant les mots à la mode de la Silicon Valley dans les cercles politiques américains et produisant de délicieuses concoctions rhétoriques telles que «Public Diplomacy 2.0». page du personnel, il a énuméré son expertise comme «terrorisme; radicalisation; impact des technologies de connexion sur les règles de l'art du 21e siècle; Iran. »3
C'est Cohen qui, alors qu'il était encore au département d'État, aurait envoyé un e-mail au PDG de Twitter, Jack Dorsey, pour retarder la maintenance prévue afin d'aider le soulèvement avorté de 2009 en Iran.4 Son histoire d'amour documentée avec Google a commencé la même année. , quand il s'est lié d'amitié avec Eric Schmidt alors qu'ils inspectaient ensemble l'épave post-occupation de Bagdad. Quelques mois plus tard, Schmidt a recréé l'habitat naturel de Cohen au sein même de Google en créant un «think / do tank» basé à New York et en nommant Cohen à sa tête. Google Ideas est né.
RépondreSupprimerPlus tard dans l'année, ils ont co-écrit un article de politique pour la revue Foreign Affairs du Council on Foreign Relations, faisant l'éloge du potentiel réformateur des technologies de la Silicon Valley en tant qu'instrument de la politique étrangère américaine.5 Décrivant ce qu'ils ont appelé les «coalitions des connectés», 6 Schmidt et Cohen ont affirmé que
Les États démocratiques qui ont construit des coalitions de leurs armées ont la capacité de faire de même avec leurs technologies de connexion. . . . Ils offrent une nouvelle façon d'exercer le devoir de protéger les citoyens du monde entier [italiques ajoutés] .7
Dans le même article, ils ont fait valoir que «cette technologie est largement fournie par le secteur privé». Peu de temps après, la Tunisie. puis l'Egypte, puis le reste du Moyen-Orient, ont éclaté en révolution. Les échos de ces événements sur les réseaux sociaux en ligne sont devenus un spectacle pour les internautes occidentaux. Le commentariat professionnel, soucieux de rationaliser les soulèvements contre les dictatures soutenues par les États-Unis, les a qualifiées de «révolutions Twitter». Tout à coup, tout le monde voulait être à l'intersection entre la puissance mondiale américaine et les médias sociaux, et Schmidt et Cohen avaient déjà jalonné le territoire. Avec le titre de travail «L'Empire de l'esprit», ils ont commencé à étendre leur article à la longueur de leur livre et ont cherché des publics avec les grands noms de la technologie mondiale et de la puissance mondiale dans le cadre de leurs recherches.
Ils ont dit qu'ils voulaient m'interroger. J'ai été d'accord. Une date a été fixée pour juin.
Au moment où juin est arrivé, il y avait déjà beaucoup à dire. Cet été-là, WikiLeaks était encore en train de grincer des dents à travers la publication de câbles diplomatiques américains, en publiant des milliers chaque semaine. Lorsque, sept mois plus tôt, nous avions commencé à publier les câbles, Hillary Clinton avait dénoncé la publication comme «une attaque contre la communauté internationale» qui «déchirait le tissu» du gouvernement.
C'est dans cette effervescence que Google s'est projeté en juin, atterrissant dans un aéroport de Londres et effectuant le long trajet jusqu'à East Anglia jusqu'à Norfolk et Beccles. Schmidt est arrivé le premier, accompagné de sa partenaire d'alors, Lisa Shields. Lorsqu'il l'a présentée comme vice-présidente du Council on Foreign Relations - un groupe de réflexion américain sur la politique étrangère ayant des liens étroits avec le département d'État - je n'y ai guère pensé plus. Shields elle-même était tout droit sortie de Camelot, après avoir été repérée par l'équipe de John Kennedy Jr. au début des années 1990. Ils se sont assis avec moi et nous avons échangé des plaisanteries. Ils ont dit qu'ils avaient oublié leur dictaphone, alors nous avons utilisé le mien. Nous avons convenu que je leur transmettrais l'enregistrement et en échange, ils me transmettraient la transcription, à corriger pour plus d'exactitude et de clarté. Nous avons commencé. Schmidt s'est plongé dans les profondeurs, me questionnant tout de suite sur les fondements organisationnels et technologiques de WikiLeaks.
RépondreSupprimerQuelque temps plus tard, Jared Cohen est arrivé. Il était accompagné de Scott Malcomson, présenté comme l’éditeur du livre. Trois mois après la réunion, Malcomson entrerait au département d'État en tant que rédacteur principal et conseiller principal de Susan Rice (alors ambassadrice des États-Unis aux Nations Unies, maintenant conseillère à la sécurité nationale). Il avait auparavant été conseiller principal aux Nations Unies et est membre de longue date du Council on Foreign Relations. Au moment de la rédaction de cet article, il est directeur des communications à l'International Crisis Group.8
À ce stade, la délégation était une partie de Google, trois parties de l'establishment de la politique étrangère américaine, mais je n'étais toujours pas plus sage. Poignées de main à l'écart, nous nous sommes mis au travail.
Schmidt était un bon fleuret. Quelque chose de la fin de la cinquantaine, plissant les yeux derrière des lunettes de hibou, habillé de manière managériale - l’apparence austère de Schmidt cachait une analyticité de machinerie. Ses questions sautaient souvent au cœur du problème, trahissant une puissante intelligence structurelle non verbale. C'était le même intellect qui avait résumé les principes de l'ingénierie logicielle pour faire de Google une mégacorp, garantissant que l'infrastructure de l'entreprise atteignait toujours le taux de croissance. C'était une personne qui savait comment construire et maintenir des systèmes: des systèmes d'information et des systèmes de personnes. Mon monde était nouveau pour lui, mais c'était aussi un monde de processus humains, d'échelle et de flux d'informations.
Pour un homme d’intelligence systématique, la politique de Schmidt - comme je l’ai entendu dans notre discussion - était étonnamment conventionnelle, voire banale. Il a rapidement saisi les relations structurelles, mais a eu du mal à en verbaliser bon nombre, souvent chaussant des subtilités géopolitiques dans la Silicon Valley marketese ou le microlangage ossifié du Département d'État de ses compagnons.9 Il était à son meilleur lorsqu'il parlait (peut-être sans s'en rendre compte) ingénieur, décomposant les complexités en leurs composantes orthogonales.
RépondreSupprimerJ'ai trouvé Cohen un bon auditeur, mais un penseur moins intéressant, possédant cette convivialité implacable qui afflige régulièrement les généralistes de carrière et les universitaires de Rhodes. Comme vous pouvez vous y attendre d'après ses antécédents en matière de politique étrangère, Cohen avait une connaissance des points chauds et des conflits internationaux et s'est rapidement déplacé entre eux, détaillant différents scénarios pour tester mes affirmations. Mais il avait parfois l'impression de riffer les orthodoxies d'une manière conçue pour impressionner ses anciens collègues du Washington officiel. Malcomson, plus âgé, était plus pensif, sa contribution réfléchie et généreuse. Shields resta silencieuse pendant une grande partie de la conversation, prenant des notes, humant les plus gros ego autour de la table pendant qu'elle continuait le vrai travail.
En tant que personne interrogée, je devais faire la majeure partie de la conversation. J'ai cherché à les guider dans ma vision du monde. À leur honneur, je considère que l'entretien est peut-être le meilleur que j'ai donné. J'étais hors de ma zone de confort et j'ai bien aimé. Nous avons mangé puis nous nous sommes promenés dans le parc, tout le temps sur le disque. J'ai demandé à Eric Schmidt de divulguer les demandes d'informations du gouvernement américain à WikiLeaks, et il a refusé, soudainement nerveux, invoquant l'illégalité de divulguer les demandes du Patriot Act. Et alors que la soirée arrivait, c'était fini et ils étaient partis, de retour dans les halls irréels et éloignés de l'empire de l'information, et il me restait à retourner à mon travail. C'était la fin, du moins c'est ce que je pensais.
* * *
Deux mois plus tard, la publication par WikiLeaks des câbles du Département d’État touchait à une fin brutale. Pendant trois quarts d'un an, nous avons minutieusement géré la publication, attirant plus d'une centaine de partenaires médias mondiaux, distribuant des documents dans leurs régions d'influence et supervisant un système de publication et de rédaction systématique et mondial, luttant pour un impact maximal pour nos sources.
RépondreSupprimerMais dans un acte de négligence grave, le journal Guardian - notre ancien partenaire - avait publié le mot de passe de décryptage confidentiel des 251 000 câbles dans un titre de chapitre de son livre, sorti précipitamment en février 2011.10 À la mi-août, nous avons découvert qu'un ancien employé allemand - que j'avais suspendu en 2010 - entretenait des relations commerciales avec une variété d'organisations et d'individus en faisant des recherches autour de l'emplacement du fichier crypté, associé à la localisation du mot de passe dans le livre. Au rythme de la diffusion des informations, nous avons estimé que d'ici deux semaines, la plupart des agences de renseignement, des entrepreneurs et des intermédiaires auraient tous les câbles, mais pas le public.
J'ai décidé qu'il était nécessaire d'avancer notre calendrier de publication de quatre mois et de contacter le Département d'État pour qu'il soit consigné que nous leur avions donné un préavis. La situation serait alors plus difficile à transformer en une autre agression juridique ou politique. Incapables d'élever Louis Susman, alors ambassadeur américain au Royaume-Uni, nous avons tenté la porte d'entrée. La rédactrice en chef des enquêtes de WikiLeaks, Sarah Harrison, a appelé la réception du département d'État et a informé l'opérateur que «Julian Assange» voulait avoir une conversation avec Hillary Clinton. Comme on pouvait s'y attendre, cette déclaration a d'abord été accueillie avec incrédulité bureaucratique. Nous nous sommes rapidement retrouvés dans une reconstitution de cette scène dans Dr. Strangelove, où Peter Sellers appelle à froid la Maison Blanche pour l'avertir d'une guerre nucléaire imminente et est immédiatement mis en attente. Comme dans le film, nous avons gravi les échelons de la hiérarchie, parlant à des fonctionnaires de plus en plus supérieurs jusqu'à ce que nous atteignions le conseiller juridique principal de Clinton. Il nous a dit qu'il nous rappellerait. Nous avons raccroché et attendu.
Lorsque le téléphone a sonné une demi-heure plus tard, ce n'était pas le département d'État à l'autre bout de la ligne. Au lieu de cela, c'était Joseph Farrell, le membre du personnel de WikiLeaks qui avait organisé la réunion avec Google. Il venait de recevoir un courriel de Lisa Shields cherchant à confirmer qu'il s'agissait bien de WikiLeaks d'appeler le département d'État.
C'est à ce moment que j'ai réalisé qu'Eric Schmidt n'était peut-être pas un émissaire de Google seul. Que ce soit officiellement ou non, il avait gardé une compagnie qui le plaçait très près de Washington, DC, y compris une relation bien documentée avec le président Obama. Non seulement les gens d’Hillary Clinton savaient que le partenaire d’Eric Schmidt m’avait rendu visite, mais ils avaient également choisi de l’utiliser comme canal secondaire. Alors que WikiLeaks avait été profondément impliqué dans la publication des archives internes du département d'État américain, le département d'État américain s'était en fait glissé dans le centre de commande de WikiLeaks et m'avait contacté pour un déjeuner gratuit. Deux ans plus tard, à la suite de ses visites au début de 2013 en Chine, en Corée du Nord et en Birmanie, il serait apprécié que le président de Google mène, d'une manière ou d'une autre, une «diplomatie de retour» pour Washington. . Mais à l'époque, c'était une pensée nouvelle.11
RépondreSupprimerL'instagram d'Eric Schmidt d'Hillary Clinton et David Rubinstein, pris lors du gala du Holbrooke Forum, le 5 décembre 2013. Richard Holbrooke (décédé en 2010) était un diplomate américain de haut niveau, directeur général de Lehman Brothers, membre du conseil d'administration de NED, CFR , la Commission trilatérale, le groupe de pilotage Bilderberg et un conseiller d'Hillary Clinton et de John Kerry. Schmidt a fait un don de plus de 100 000 $ au Forum Holbrooke
Je l'ai mis de côté jusqu'en février 2012, lorsque WikiLeaks - avec plus de trente de nos partenaires médias internationaux - a commencé à publier les Global Intelligence Files: le spool d'e-mails interne de la société de renseignement privé basée au Texas Stratfor.12 L'un de nos meilleurs partenaires d'investigation— le journal Al Akhbar, basé à Beyrouth, a parcouru les courriels à la recherche de renseignements sur Jared Cohen.13 Les gens de Stratfor, qui aimaient se considérer comme une sorte de CIA d'entreprise, étaient parfaitement conscients des autres entreprises qu'ils percevaient comme faisant des incursions dans leur secteur. Google était apparu sur leur radar. Dans une série de courriels colorés, ils ont discuté d'un modèle d'activité menée par Cohen sous l'égide de Google Ideas, suggérant ce que signifie réellement «faire» dans «think / do tank».
La direction de Cohen semble passer du travail de relations publiques et de «responsabilité d’entreprise» à une intervention active des entreprises dans les affaires étrangères à un niveau normalement réservé aux États. Jared Cohen pourrait être nommé ironiquement "directeur du changement de régime" de Google. Selon les courriels, il essayait de planter ses empreintes digitales sur certains des événements historiques majeurs du Moyen-Orient contemporain. Il pourrait être placé en Égypte pendant la révolution, rencontrant Wael Ghonim, l'employé de Google dont l'arrestation et l'emprisonnement quelques heures plus tard feraient de lui un symbole du soulèvement favorable aux relations publiques dans la presse occidentale. Des réunions avaient été planifiées en Palestine et en Turquie, qui, selon les e-mails de Stratfor, ont été tuées par les hauts dirigeants de Google comme étant trop risquées. Quelques mois seulement avant de me rencontrer, Cohen prévoyait un voyage aux confins de l’Iran en Azerbaïdjan pour «impliquer les communautés iraniennes plus près de la frontière», dans le cadre du projet de Google Ideas sur les «sociétés répressives». Dans des courriels internes, le vice-président du renseignement de Stratfor, Fred Burton (lui-même ancien responsable de la sécurité du département d'État), a écrit:
RépondreSupprimerGoogle bénéficie du soutien et de la couverture aérienne du WH [White House] et du State Dept. En réalité, ils font des choses que la CIA ne peut pas faire. . . [Cohen] va se faire kidnapper ou tuer. C'est peut-être la meilleure chose à faire pour exposer le rôle secret de Google dans les augmentations moussantes, pour être franc. Le gouvernement américain ne peut alors désavouer la connaissance et Google se retrouve avec le sac à merde.14
Dans une autre communication interne, Burton a déclaré que ses sources sur les activités de Cohen étaient Marty Lev - le directeur de la sécurité et de la sûreté de Google - et Eric Schmidt lui-même.15 À la recherche de quelque chose de plus concret, j'ai commencé à chercher dans les archives de WikiLeaks des informations sur Cohen. Les câbles du Département d'État publiés dans le cadre de Cablegate révèlent que Cohen s'était rendu en Afghanistan en 2009, essayant de convaincre les quatre principales sociétés de téléphonie mobile afghanes de déplacer leurs antennes sur des bases militaires américaines.16 Au Liban, il a tranquillement travaillé pour établir un rival intellectuel et religieux. au Hezbollah, la «Higher Shia League» .17 Et à Londres, il a offert aux dirigeants de films de Bollywood des fonds pour insérer du contenu anti-extrémiste dans leurs films, et a promis de les connecter à des réseaux connexes à Hollywood.18
Trois jours après sa visite à Ellingham Hall, Jared Cohen s'est envolé pour l'Irlande pour diriger le «Save Summit», un événement coparrainé par Google Ideas et le Council on Foreign Relations. Rassemblant en un même lieu d'anciens membres de gangs du centre-ville, des militants de droite, des nationalistes violents et des «extrémistes religieux» du monde entier, l'événement visait à proposer des solutions technologiques au problème de «l'extrémisme violent» 19. se tromper ?
RépondreSupprimerLe monde de Cohen semble être un événement comme celui-ci après l’autre: des soirées interminables pour la fertilisation croisée de l’influence entre les élites et leurs vassaux, sous la pieuse rubrique de «société civile». La sagesse reçue dans les sociétés capitalistes avancées est qu'il existe encore un «secteur de la société civile» organique dans lequel les institutions se forment de manière autonome et se réunissent pour manifester les intérêts et la volonté des citoyens. La fable raconte que les limites de ce secteur sont respectées par les acteurs du gouvernement et du «secteur privé», laissant un espace sûr pour les ONG et les organisations à but non lucratif pour défendre des choses comme les droits de l'homme, la liberté d'expression et un gouvernement responsable.
Cela semble être une excellente idée. Mais si cela a jamais été vrai, ce n'est pas le cas depuis des décennies. Depuis au moins les années 1970, des acteurs authentiques comme les syndicats et les églises se sont repliés sous l’assaut soutenu de l’étatisme du marché libre, transformant la «société civile» en un marché d’acheteur pour les factions politiques et les intérêts des entreprises cherchant à exercer une influence sans lien de dépendance. Les quarante dernières années ont vu une énorme prolifération de groupes de réflexion et d'ONG politiques dont le but, malgré tout le verbiage, est d'exécuter des agendas politiques par procuration.
Il ne s'agit pas seulement de groupes de façade néo-conservateurs évidents comme l'Initiative de politique étrangère20. maintenir fermement les abus locaux dans leurs angles morts. Le circuit des conférences de la société civile - qui fait voyager des militants des pays en développement à travers le monde des centaines de fois par an pour bénir l'union impie entre «le gouvernement et les acteurs privés» lors d'événements géopolitisés comme le «Stockholm Internet Forum» - ne pourrait tout simplement pas exister s'il l'était. pas explosé avec des millions de dollars en financement politique chaque année.
Parcourez les adhésions des plus grands groupes de réflexion et instituts américains et les mêmes noms continuent d'apparaître. Le Save Summit de Cohen a ensuite lancé AVE, ou AgainstViolentExtremism.org, un projet à long terme dont le principal bailleur de fonds en plus de Google Ideas est la Gen Next Foundation. Le site Web de cette fondation indique qu'il s'agit d'une «organisation d'adhésion exclusive et d'une plate-forme pour les individus qui réussissent» qui vise à apporter un «changement social» motivé par le financement de capital-risque.21 «Le soutien du secteur privé et des fondations à but non lucratif de Gen Next évite une partie du potentiel conflits d'intérêts auxquels font face les initiatives financées par les gouvernements. »22 Jared Cohen est membre exécutif.
RépondreSupprimerGen Next soutient également une ONG, lancée par Cohen vers la fin de son mandat au Département d'État, pour avoir intégré des «militants pro-démocratie» mondiaux basés sur Internet dans le réseau de favoritisme des relations extérieures des États-Unis.23 Le groupe est né sous le nom de «Alliance of Youth Movements». »Avec un sommet inaugural à New York en 2008 financé par le Département d'État et incrusté des logos des entreprises commanditaires24. Le sommet a accueilli des militants des médias sociaux soigneusement sélectionnés de« zones à problèmes »comme le Venezuela et Cuba pour regarder les discours d'Obama l'équipe des nouveaux médias de la campagne et James Glassman du département d'État, et de réseauter avec des consultants en relations publiques, des «philanthropes» et des personnalités des médias américains.25 Le groupe a organisé deux autres sommets sur invitation seulement à Londres et à Mexico, où les délégués ont été directement adressés via lien vidéo par Hillary Clinton: 26
Vous êtes l'avant-garde d'une génération montante de militants citoyens. . . . Et cela fait de vous le genre de leaders dont nous avons besoin.27
En 2011, l'Alliance des mouvements de jeunesse a été rebaptisée «Movements.org». En 2012, Movements.org est devenu une division de «Advancing Human Rights», une nouvelle ONG créée par Robert L. Bernstein après avoir démissionné de Human Rights Watch (qu'il avait initialement fondé) parce qu'il estimait qu'elle ne devrait pas couvrir les droits 28. Advancing Human Rights vise à redresser le tort de Human Rights Watch en se concentrant exclusivement sur les «dictatures» .29 Cohen a déclaré que la fusion de sa société Movements.org avec Advancing Human Rights était «irrésistible», soulignant le «réseau phénoménal de ce dernier». Il a ensuite rejoint le conseil d'Advancing Human Rights, qui comprend également Richard Kemp, l'ancien commandant des forces britanniques en Afghanistan occupé31. Sous sa forme actuelle, Movements.org continue de recevoir un financement de Gen Next, ainsi que de Google, MSNBC et du géant des relations publiques Edelman, qui représente entre autres General Electric, Boeing et Shell32.
Google Ideas est plus grand, mais il suit le même plan de match. Jetez un coup d'œil aux listes des orateurs de ses réunions annuelles sur invitation uniquement, telles que «Crisis in a Connected World» en octobre 2013. Les théoriciens et militants des réseaux sociaux donnent à l'événement un vernis d'authenticité, mais en vérité, il possède une piñata toxique de participants: des responsables américains, des magnats des télécommunications, des consultants en sécurité, des capitalistes financiers et des amateurs de technologie en politique étrangère comme Alec Ross (le jumeau de Cohen au département d'État) .33 Au cœur du noyau dur se trouvent les entrepreneurs en armements et les militaires de carrière: chefs actifs du Cyber Command américain , et même l'amiral responsable de toutes les opérations militaires américaines en Amérique latine de 2006 à 2009. Jared Cohen et le président de Google, Eric Schmidt.34
RépondreSupprimerJ'ai commencé à penser à Schmidt comme un milliardaire technologique californien brillant mais politiquement malheureux qui avait été exploité par les types de politique étrangère américaine qu'il avait rassemblés pour agir en tant que traducteurs entre lui et Washington officiel - une illustration de la côte ouest-côte est du principal. -dilemme d'agent.35
J'avais tort.
* * *
Eric Schmidt est né à Washington, DC, où son père avait travaillé comme professeur et économiste pour le Nixon Treasury. Il a fréquenté le lycée à Arlington, en Virginie, avant d'obtenir un diplôme en génie de Princeton. En 1979, Schmidt s'est rendu dans l'Ouest à Berkeley, où il a obtenu son doctorat avant de rejoindre Sun Microsystems spin-off de Stanford / Berkley en 1983. Au moment où il a quitté Sun, seize ans plus tard, il était devenu une partie de sa direction exécutive.
Sun avait des contrats importants avec le gouvernement américain, mais ce n’est qu’à son arrivée dans l’Utah en tant que PDG de Novell que les archives montrent que Schmidt a engagé stratégiquement la classe politique ouverte de Washington. Les archives du financement de la campagne fédérale montrent que le 6 janvier 1999, Schmidt a fait don de deux lots de 1 000 $ au sénateur républicain de l'Utah, Orrin Hatch. Le même jour, la femme de Schmidt, Wendy, est également inscrite sur la liste, donnant deux lots de 1 000 $ au sénateur Hatch. Au début de 2001, plus d'une douzaine d'autres politiciens et PAC, dont Al Gore, George W. Bush, Dianne Feinstein et Hillary Clinton, étaient sur la liste de paie des Schmidts, dans un cas pour 100 000 dollars.36 En 2013, Eric Schmidt - qui était devenu sur-associé publiquement à la Maison Blanche d'Obama - était plus politique. Huit républicains et huit démocrates ont été financés directement, de même que deux PAC. En avril, 32 300 $ sont allés au Comité sénatorial national républicain. Un mois plus tard, le même montant, 32 300 dollars, est allé au Comité de campagne sénatoriale démocrate. Pourquoi Schmidt donnait exactement le même montant d'argent aux deux parties est une question de 64600 $ .37
C'est également en 1999 que Schmidt a rejoint le conseil d'administration d'un groupe basé à Washington, DC: la New America Foundation, une fusion de forces centristes bien connectées (en termes de DC). La fondation et ses 100 employés font office de moulin à influence, utilisant son réseau d'experts agréés en matière de sécurité nationale, de politique étrangère et de technologie pour publier des centaines d'articles et d'opinions par an. En 2008, Schmidt était devenu président de son conseil d'administration. Depuis 2013, les principaux bailleurs de fonds de la New America Foundation (chacun contribuant plus d'un million de dollars) sont répertoriés comme Eric et Wendy Schmidt, le département d'État américain
RépondreSupprimeret la Fondation Bill & Melinda Gates. Les bailleurs de fonds secondaires incluent Google, USAID et Radio Free Asia.38
L'implication de Schmidt dans la New America Foundation le place fermement dans le lien entre l'establishment de Washington. Parmi les autres membres du conseil d’administration de la fondation, dont sept s’identifient également comme membres du Conseil des relations étrangères, figurent Francis Fukuyama, l’un des pères intellectuels du mouvement néoconservateur; Rita Hauser, qui a siégé au Conseil consultatif du président sur le renseignement sous Bush et Obama; Jonathan Soros, le fils de George Soros; Walter Russell Mead, stratège américain en matière de sécurité et rédacteur en chef de American Interest; Helene Gayle, qui siège aux conseils d'administration de Coca-Cola, de Colgate-Palmolive, de la Fondation Rockefeller, de l'Unité de la politique des affaires étrangères du Département d'État, du Council on Foreign Relations, du Center for Strategic and International Studies, du programme des Fellows de la Maison Blanche, et Campagne ONE de Bono; et Daniel Yergin, géostratège pétrolier, ancien président du groupe de travail sur la recherche stratégique sur l'énergie du Département américain de l'énergie et auteur de The Prize: The Epic Quest for Oil, Money and Power39.
Le président de Google, Eric Schmidt, présente Hillary Clinton en tant que conférencier principal à la conférence du 16 mai 2014 "Big Ideas for a New America" pour la New America Foundation, dont Schmidt est le président du conseil d'administration et le plus grand bailleur de fonds.
La directrice générale de la fondation, nommée en 2013, est l'ancienne patronne de Jared Cohen au sein du département de planification politique du département d'État, Anne-Marie Slaughter, une loi de Princeton et des relations internationales qui aime les portes tournantes.40 Elle est partout à la fois. d'écrire, lançant des appels à Obama pour qu'il réponde à la crise ukrainienne non seulement en déployant des forces américaines secrètes dans le pays, mais aussi en larguant des bombes sur la Syrie - sur la base que cela enverra un message à la Russie et à la Chine41. Avec Schmidt, elle participe à la conférence Bilderberg en 2013 et siège au Conseil de politique des affaires étrangères du département d'État.42
Il n'y avait rien de politiquement malheureux chez Eric Schmidt. J'avais été trop impatient de voir un ingénieur politiquement peu ambitieux de la Silicon Valley, vestige du bon vieux temps de la culture des diplômés en informatique sur la côte ouest. Mais ce n'est pas le genre de personne qui assiste à la conférence Bilderberg quatre ans de suite, qui rend régulièrement visite à la Maison Blanche, ou qui anime des «causeries au coin du feu» au Forum économique mondial de Davos43. L'émergence de Schmidt en tant que «ministre des Affaires étrangères» de Google - effectuer des visites d'État de faste et de cérémonie à travers les failles géopolitiques - n'était pas venu de nulle part; elle avait été présumée par des années d'assimilation au sein des réseaux de réputation et d'influence des établissements américains.
RépondreSupprimerSur le plan personnel, Schmidt et Cohen sont des personnes parfaitement sympathiques. Mais le président de Google est un acteur classique «chef de file de l'industrie», avec tout le bagage idéologique qui accompagne ce rôle.44 Schmidt se situe exactement là où il est: le point où les tendances centriste, libérale et impérialiste se rencontrent dans la vie politique américaine. De toute évidence, les patrons de Google croient sincèrement au pouvoir civilisateur des multinationales éclairées, et ils voient cette mission comme continue avec la formation du monde selon le meilleur jugement de la «superpuissance bienveillante». Ils vous diront que l'ouverture d'esprit est une vertu, mais toutes les perspectives qui remettent en question la dynamique exceptionnelle au cœur de la politique étrangère américaine leur resteront invisibles. Telle est la banalité impénétrable de «ne soyez pas méchant». Ils croient qu'ils font du bien. Et c'est un problème.
* * *
Google est "différent". Google est "visionnaire". Google est "le futur". Google est "plus qu'une simple entreprise". Google "redonne à la communauté". Google est "une force pour le bien".
Même lorsque Google exprime publiquement son ambivalence d'entreprise, il ne fait pas grand-chose pour déloger ces éléments de foi.45 La réputation de l'entreprise est apparemment inattaquable. Le logo coloré et ludique de Google est imprimé sur les rétines humaines un peu moins de six milliards de fois par jour, 2,1 billions de fois par an - une opportunité pour le conditionnement des répondants dont aucune autre société dans l'histoire ne jouit.46 Pris en flagrant délit l'an dernier, rendant des pétaoctets de données personnelles disponibles à la communauté du renseignement américain à travers le programme PRISM, Google continue néanmoins de s'aligner sur la bonne volonté générée par son double langage «ne soyez pas mal». Quelques lettres ouvertes symboliques à la Maison Blanche plus tard et il semble que tout est pardonné. Même les militants anti-surveillance ne peuvent pas s'aider eux-mêmes, condamnant à la fois l'espionnage gouvernemental mais essayant de modifier les pratiques de surveillance invasive de Google en utilisant des stratégies d'apaisement.47
RépondreSupprimerPersonne ne veut reconnaître que Google est devenu grand et mauvais. Mais c'est le cas. Le mandat de Schmidt en tant que PDG a permis à Google de s'intégrer à la plus sombre des structures de pouvoir américaines alors qu'elle se développait pour devenir une mégacorporation géographiquement envahissante. Mais Google a toujours été à l'aise avec cette proximité. Bien avant que les fondateurs de la société, Larry Page et Sergey Brin, embauchent Schmidt en 2001, leurs recherches initiales sur lesquelles Google était basé avaient été en partie financées par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) .48 Et même si Google de Schmidt développait une image de trop amical géant de la technologie mondiale, il établissait une relation étroite avec la communauté du renseignement.
En 2003, la National Security Agency (NSA) des États-Unis avait déjà commencé à violer systématiquement le Foreign Intelligence Surveillance Act (FISA) sous la direction de son directeur général Michael Hayden.49 C'était l'époque du programme «Total Information Awareness ».50 Avant que le PRISM ne soit jamais rêvé de, sous les ordres de la Maison Blanche de Bush, la NSA visait déjà à «tout rassembler, tout flairer, tout savoir, tout savoir, tout traiter, tout exploiter.» 51 Au cours de la même période, Google - dont la mission d'entreprise déclarée publiquement est de collecter et «d'organiser les informations du monde et de les rendre universellement accessibles et utiles» 52 — acceptait de l'argent de la NSA à hauteur de 2 millions de dollars pour fournir à l'agence des outils de recherche pour son trésor de connaissances volées qui s'accroît rapidement.53
En 2004, après avoir repris Keyhole, une start-up de technologie de cartographie cofinancée par la National Geospatial-Intelligence Agency (NGA) et la CIA, Google a développé la technologie dans Google Maps, une version entreprise dont il a depuis fait ses achats au Pentagone et au gouvernement fédéral associé. et les agences d'État sur des contrats de plusieurs millions de dollars.54 En 2008, Google a aidé à lancer un satellite espion NGA, le GeoEye-1, dans l'espace. Google partage les photographies du satellite avec les communautés militaires et de renseignement américaines.55 En 2010, NGA a attribué à Google un contrat de 27 millions de dollars pour des «services de visualisation géospatiale» 56.
RépondreSupprimerEn 2010, après que le gouvernement chinois a été accusé d'avoir piraté Google, la société a conclu une relation de «partage d'informations formelle» avec la NSA, qui permettrait aux analystes de la NSA «d'évaluer les vulnérabilités» du matériel et des logiciels de Google.57 Les contours exacts de l'accord n'ont jamais été révélés, la NSA a fait appel à d'autres agences gouvernementales pour l'aider, y compris le FBI et le Department of Homeland Security.
À peu près à la même époque, Google s'impliquait dans un programme connu sous le nom de «Enduring Security Framework» 58 (ESF), qui impliquait le partage d'informations entre les entreprises technologiques de la Silicon Valley et les agences affiliées au Pentagone «à la vitesse du réseau». 59 Emails obtenus en 2014, sous les demandes d'accès à l'information, Schmidt et son collègue Googler Sergey Brin correspondent en termes de prénom avec le chef de la NSA, le général Keith Alexander, à propos de l'ESF.60 Reportage sur les courriels axé sur la familiarité dans la correspondance: «Général Keith. . . si heureux de vous voir. . . ! » Schmidt a écrit. Mais la plupart des rapports ont négligé un détail crucial. «Vos idées en tant que membre clé de la base industrielle de la défense», écrit Alexander à Brin, «sont précieuses pour garantir que les efforts de l'ESF ont un impact mesurable.»
Le Department of Homeland Security définit la base industrielle de la défense comme «le complexe industriel mondial qui permet la recherche et le développement, ainsi que la conception, la production, la livraison et la maintenance de systèmes d'armes militaires, de sous-systèmes et de composants ou pièces, pour répondre aux exigences militaires américaines. [italiques ajoutés]. »61
RépondreSupprimerVidéo Instagram du président de Google Eric Schmidt du 2 mai 2014, montrant un drone expérimental de soutien des troupes militaires américaines, le LS3, ou «Cujo», conçu par Boston Dynamics, récemment acquis par Google
La base industrielle de la défense fournit «des produits et services essentiels pour mobiliser, déployer et soutenir les opérations militaires». Comprend-il les services commerciaux réguliers achetés par l'armée américaine? Non. La définition exclut spécifiquement l'achat de services commerciaux réguliers. Ce qui fait de Google un «membre clé de la base industrielle de la défense», ce ne sont pas des campagnes de recrutement poussées via Google AdWords ou des soldats qui vérifient leur Gmail.
En 2012, Google est arrivé sur la liste des lobbyistes les plus dépensiers à Washington, DC - une liste généralement traquée exclusivement par la Chambre de commerce américaine, les entrepreneurs militaires et les léviathans du pétrole.62 Google est entré dans le classement au-dessus du géant de l'aérospatiale militaire Lockheed Martin, avec un total de 18,2 millions de dollars dépensés en 2012 aux 15,3 millions de dollars de Lockheed. Boeing, l'entrepreneur militaire qui a absorbé McDonnell Douglas en 1997, est également passé en dessous de Google, à 15,6 millions de dollars dépensés, tout comme Northrop Grumman à 17,5 millions de dollars.
À l'automne 2013, l'administration Obama tentait de susciter un soutien aux frappes aériennes américaines contre la Syrie. Malgré des revers, l'administration a continué à faire pression pour une action militaire jusqu'en septembre avec des discours et des annonces publiques du président Obama et du secrétaire d'État John Kerry.63 Le 10 septembre, Google a prêté sa première page - la plus populaire sur Internet - au effort de guerre, en insérant une ligne sous le champ de recherche «Live! Le secrétaire Kerry répond aux questions sur la Syrie. Aujourd'hui via Hangout à 14 h HE. »64
RépondreSupprimerComme l'écrivait Tom Friedman, chroniqueur du New York Times 65, autoproclamé «centriste radical», en 1999, il ne suffit parfois pas de laisser la domination mondiale des entreprises technologiques américaines à quelque chose d'aussi mercuriel que «le marché libre»:
La main cachée du marché ne fonctionnera jamais sans un poing caché. McDonald's ne peut pas prospérer sans McDonnell Douglas, le concepteur du F-15. Et le poing caché qui protège le monde pour que les technologies de la Silicon Valley se développent s'appelle l'armée américaine, l'armée de l'air, la marine et le corps des marines.
Si quelque chose a changé depuis que ces mots ont été écrits, c'est que la Silicon Valley est devenue agitée avec ce rôle passif, aspirant plutôt à orner le "poing caché" comme un gant de velours. Écrivant en 2013, Schmidt et Cohen ont déclaré:
Ce que Lockheed Martin était au vingt et unième siècle, les entreprises de technologie et de cybersécurité le seront au vingt et unième.67
C'était l'une des nombreuses affirmations audacieuses faites par Schmidt et Cohen dans leur livre, qui a finalement été publié en avril 2013. Le titre provisoire, «The Empire of the Mind», a été remplacé par «The New Digital Age: Reshaping the Future of Les gens, les nations et les entreprises ". Au moment où il est sorti, j'avais officiellement demandé et reçu l'asile politique du gouvernement de l'Équateur, et je me suis réfugié dans son ambassade à Londres. À ce moment-là, j'avais déjà passé près d'un an à l'ambassade sous la surveillance de la police, empêché de quitter le Royaume-Uni en toute sécurité. En ligne, j'ai remarqué que la presse fredonnait avec enthousiasme à propos du livre de Schmidt et Cohen, ignorant avec étourdissement l'impérialisme numérique explicite du titre et la série de recommandations de pré-publication de célèbres bellicistes comme Tony Blair, Henry Kissinger, Bill Hayden et Madeleine Albright au dos.
Le président de Google, Eric Schmidt, et Henry Kissinger, secrétaire d'État et chef du Conseil de sécurité nationale sous le président Richard Nixon, lors d'une "conversation au coin du feu" avec le personnel de Google au siège de la société à Mountain View, Californie, le 30 septembre 2013. Dans la conférence, Kissinger Le lanceur d'alerte de l'Agence nationale de sécurité, Edward Snowden, est «méprisable».
RépondreSupprimerPrésenté comme une prévision visionnaire du changement technologique mondial, le livre n'a pas abouti - n'a même pas imaginé un avenir, bon ou mauvais, sensiblement différent du présent. Le livre était une fusion simpliste de l'idéologie de la «fin de l'histoire» de Fukuyama - hors de vogue depuis les années 1990 - et des téléphones portables plus rapides. Il a été rembourré avec des shibboleths de DC, des orthodoxies du département d'État et des grappes de Henry Kissinger. La bourse était médiocre, voire dégénérée. Cela ne semblait pas correspondre au profil de Schmidt, cet homme vif et silencieux dans mon salon. Mais en lisant, j'ai commencé à voir que le livre n'était pas une tentative sérieuse pour l'histoire future. C'était une chanson d'amour de Google à Washington officiel. Google, un super-État numérique en plein essor, se proposait d’être le visionnaire géopolitique de Washington.
Une façon de voir les choses est que ce n’est qu’une entreprise. Pour qu'un monopole américain des services Internet assure la domination du marché mondial, il ne peut pas simplement continuer à faire ce qu'il fait et laisser la politique prendre soin d'elle-même. L'hégémonie stratégique et économique américaine devient un pilier essentiel de sa domination du marché. Qu'est-ce qu'une mégacorp à faire? S'il veut chevaucher le monde, il doit faire partie de l'empire d'origine «ne soyez pas le mal».
Mais une partie de l'image résiliente de Google comme «plus qu'une simple entreprise» vient de la perception qu'elle n'agit pas comme une grande, mauvaise entreprise. Son penchant pour attirer les gens dans son piège de services avec des gigaoctets de «stockage gratuit» donne l'impression que Google le donne gratuitement, agissant directement à l'encontre du but lucratif de l'entreprise. Google est perçu comme une entreprise essentiellement philanthropique - un moteur magique présidé par des visionnaires d'un autre monde - pour créer un avenir utopique68. "- illustré par Google Ideas. Mais comme le montre Google Ideas, les efforts «philanthropiques» de la société la rapprochent mal du côté impérial de l'influence américaine. Si Blackwater / Xe Services / Academi exécutait un programme comme Google Ideas, cela attirerait un examen critique intense.69 Mais d'une manière ou d'une autre, Google obtient un laissez-passer gratuit.
Qu'il s'agisse d'être simplement une entreprise ou «plus qu'une simple entreprise», les aspirations géopolitiques de Google sont fermement ancrées dans le programme de politique étrangère de la plus grande superpuissance du monde. Alors que le monopole de la recherche et des services Internet de Google se développe et qu'il élargit son cône de surveillance industrielle pour couvrir la majorité de la population mondiale, dominant rapidement le marché de la téléphonie mobile et se précipitant pour étendre l'accès Internet dans le sud du monde, Google devient progressivement Internet pour son influence sur les choix et le comportement de la totalité des êtres humains se traduit par un réel pouvoir d'influencer le cours de l'histoire.
RépondreSupprimerSi l’avenir d’Internet est Google, cela devrait préoccuper gravement les gens du monde entier - en Amérique latine, en Asie de l’Est et du Sud-Est, dans le sous-continent indien, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne, dans l’ancienne Union soviétique , et même en Europe - pour qui Internet incarne la promesse d'une alternative à l'hégémonie culturelle, économique et stratégique américaine71.
Un empire «ne soyez pas mauvais» est toujours un empire.
Il s'agit d'un extrait du nouveau livre de Julian Assange, When Google Met Wikileaks, disponible sur OR Books. Les lecteurs de WikiLeaks peuvent obtenir une réduction de 20 pour cent sur le prix de vente lors de la commande sur le site OR Books en utilisant le code de coupon "WIKILEAKS". Pour les demandes de renseignements sur les droits de réimpression, contactez rights [at] orbooks.com
Notes
1 L'entreprise est désormais évaluée à 400 milliards de dollars et emploie 49 829 personnes. L'évaluation à la fin de 2011 était de 200 milliards de dollars avec 33 077 employés. Voir «Investor Relations: 2012 Financial Tables», Google, archive.today/Iux4M. Pour le premier trimestre de 2014, voir «Investor Relations: 2014 Financial Tables», Google, archive.today/35IeZ.
2 Pour un essai fort sur le livre de Schmidt et Cohen qui traite de thèmes similaires et qui a provoqué certaines des recherches pour ce livre, voir Joseph L Flatley, «Être cynique: Julian Assange, Eric Schmidt, et le livre le plus étrange de l'année», Verge, 7 juin 2013, archive.today/gfLEr.
3 Profil de Jared Cohen sur le site Web du Council on Foreign Relations, archive.today/pkgQN.
RépondreSupprimer4 Shawn Donnan, «Think again», Financial Times, 8 juillet 2011, archive.today/ndbmj. Voir aussi Rick Schmitt, «Diplomacy 2.0», Stanford Alumni, mai / juin 2011, archive.today/Kidpc.
5 Eric Schmidt et Jared Cohen, «The Digital Disruption: Connectivity and the Diffusion of Power», Affaires étrangères, novembre / décembre 2010, archive.today/R13l2.
6 «Coalitions des connectés» est une expression apparemment conçue pour résonner avec la «coalition des volontaires», qui a été utilisée pour désigner l'alliance d'États dirigés par les États-Unis en 2003 se préparant à envahir l'Irak sans l'approbation du Conseil de sécurité de l'ONU.
7 L'expression «devoir de protéger» évoque «responsabilité de protéger» ou, dans sa forme abrégée, «R2P». La R2P est une «norme émergente» très controversée en droit international. La R2P s'appuie sur le discours sur les droits de l'homme pour exiger une «intervention humanitaire» de la «communauté internationale» dans les pays où la population civile est considérée comme à risque. Pour les libéraux américains qui évitent l'impérialisme nu de Paul Wolfowitz (sur lequel voir Patrick E. Tyler, «le plan stratégique américain appelle à assurer qu'aucun rival ne se développe», New York Times, 8 mars 1992, archive.today/Rin1g), R2P est le justification du choix d'une action militaire occidentale au Moyen-Orient et ailleurs, comme en témoigne son omniprésence dans la poussée d'envahir la Libye en 2011 et la Syrie en 2013. L'ancienne supérieure de Jared Cohen au département d'État américain, Anne-Marie Slaughter, l'a appelée «Le changement le plus important dans notre conception de la souveraineté depuis le Traité de Westphalie en 1648.» Voir ses éloges pour le livre Responsibility to Protect: The Global Moral Compact for the 21st Century, édité par Richard H. Cooper et Juliette Voïnov Kohler, sur le site de l'éditeur Palgrave Macmillan, archive.today/0dmMq.
Pour un essai critique sur la R2P, voir la déclaration de Noam Chomsky sur la doctrine à l'Assemblée générale des Nations Unies. Noam Chomsky, «Déclaration du Professeur Noam Chomsky au Dialogue thématique de l'Assemblée générale des Nations Unies sur la responsabilité de protéger», Nations Unies, New York, 23 juillet 2009, is.gd/bLx3uU.
Voir aussi «Responsabilité de protéger: une idée dont le temps est venu - et est parti?» Economist, 23 juillet 2009, archive.today/K2WZJ.
8 L'International Crisis Group se présente comme une «organisation non gouvernementale indépendante, à but non lucratif» qui travaille «par le biais d'une analyse sur le terrain et d'un plaidoyer de haut niveau pour prévenir et résoudre des conflits meurtriers». Il a également été décrit comme un «groupe de réflexion de haut niveau. . . [conçu] principalement pour fournir des orientations politiques aux gouvernements impliqués dans la refonte des Balkans menée par l'OTAN. » Voir Michael Barker, «Imperial Crusaders For Global Governance», Swans Commentary, 20 avril 2009, archive.today/b8G3o.
Le profil du personnel de Malcomson International Crisis Group est disponible sur www.crisisgroup.org, archive.today/ETYXp.
9 On pourrait soutenir que c'est la preuve vivante de la faible hypothèse de Sapir-Whorf. Voir «Relativité linguistique», Wikipedia, archive.today/QXJPx.
RépondreSupprimer10 Glenn Greenwald, «Faits et mythes dans la saga WikiLeaks / Guardian», Salon, 2 septembre 2011, archive.today/5KLJH.
Voir aussi Matt Giuca, «FAQ sur les fuites de mots de passe WikiLeaks», Comportement non spécifié, 3 septembre 2011, archive.today/ylPUp.
Voir aussi «WikiLeaks: pourquoi le Guardian a tort et n’aurait pas dû publier le mot de passe», Tumblr de Matt, 1er septembre 2011, archive.today/aWjj4.
11 Andrew Jacobs, «Visit by Google Chairman May Benefit North Korea», New York Times, 10 janvier 2013, archive.today/bXrQ2.
12 Jeremy Hammond, un jeune révolutionnaire numérique courageux et de principe, a ensuite été accusé par le gouvernement américain de fouiller ces documents et de les donner à WikiLeaks. Il est maintenant prisonnier politique aux États-Unis, condamné à dix ans après avoir parlé à un informateur du FBI.
13 Yazan al-Saadi, «StratforLeaks: Google Ideas Director Implolved in 'Regime Change'», Al Akhbar, 14 mars 2012, archive.today/gHMzq.
«Re: GOOGLE & Iran ** usage interne uniquement - les pls ne transfèrent pas **», email ID 1121800 (27 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/sjxuG.
Pour plus de discussions internes à Stratfor sur Jared Cohen et Google, consultez:
«Égypte - Google ** Je vous suggère de lire», e-mail ID 1122191 (9 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/DCzlA.
«Re: More on Cohen», courriel ID 1629270 (9 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/opQ3a.
«Re: Google Shitstorm Moving to Gaza (usage interne uniquement)», courriel ID 1111729 (10 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/vpK3F.
«Re: Google’s Cohen Activist Role», email ID 1123044 (10 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 11 mars 2013, archive.today/nvFP6.
«Cohen, fondateur de Re: moves.org», email ID 1113596 (11 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 6 mars 2012, archive.today/ToYjC.
«Re: discussion: who is next?», Email ID 1113965 (11 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/ofBMr.
«GOOGLE Loose Canon Bound for Turkey & UAE (SENSITIVE - DO NOT FORWARD)», e-mail ID 1164190 (10 mars 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/Jpy4F.
«Re: [alpha] GOOGLE - Cohen & Hosting of Terrorists», e-mail ID 1133861 (22 mars 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/OCR78.
«[Alpha] Jared Cohen (GOOGLE)», e-mail ID 1160182 (30 mars 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/FYQYe.
Pour ces e-mails et plus, consultez la collection de sources sur when.google.met.wikileaks.org.
15 «Re: GOOGLE’s Jared Cohen update», e-mail ID 398679 (14 février 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 14 mars 2012, archive.today/IoFw4.
RépondreSupprimerCet e-mail est inclus dans la collection de sources sur when.google.met.wikileaks.org.
16 «Utilisation des technologies de connexion pour promouvoir les intérêts stratégiques américains en Afghanistan: services bancaires mobiles, assurance des télécommunications et co-implantation de tours de téléphonie cellulaire», ID canonique: 09KABUL2020_a, Bibliothèque publique de la diplomatie américaine, WikiLeaks, archive.today/loAlC.
Ce câble est inclus dans la collection de sources sur when.google.met.wikileaks.org.
En mai 2014, WikiLeaks a révélé que la NSA avait eu accès à tous les appels téléphoniques afghans et les enregistrait tous pour une récupération ultérieure. Voir «Déclaration de WikiLeaks sur l'enregistrement de masse des appels téléphoniques afghans par la NSA», WikiLeaks, 23 mai 2014, archive.today/lp6Pl.
17 De la Bibliothèque publique de la diplomatie américaine, WikiLeaks, voir les câbles avec les ID canoniques: 07BEIRUT1944_a, 08BEIRUT910_a, 08BEIRUT912_a, 08BEIRUT918_a, 08BEIRUT919_a, 08BEIRUT1389_a et 09BEIRUT234_a. Collection disponible sur: archive.today/34MyI.
Consultez également la collection de sources sur when.google.met.wikileaks.org.
18 «Visite du conseiller principal EUR Pandith et du conseiller s / p Cohen au Royaume-Uni, 9-14 octobre 2007», ID canonique: 07LONDON4045_a, Public Library of US Diplomacy, WikiLeaks, archive.today/mxXGQ.
Pour plus d'informations sur Jared Cohen à partir des archives de WikiLeaks, consultez archive.today/5fVm2.
Consultez également la collection de sources sur when.google.met.wikileaks.org.
19 Voir «Sommet contre l'extrémisme violent (SAVE)» sur le site Web du Conseil des relations étrangères, archive.today/rA1tA.
20 Pour un aperçu de l'Initiative de politique étrangère, voir Max Blumenthal, Rania Khalek, «How Cold War – Hungry Neocons Stage Managed RT Anchor Liz Wahl’s Resignation», Truthdig, 19 mars 2014, archive.today/JSUHq.
21 «À propos de GNF», site Web de la Gen Next Foundation, archive.today/p91bd.
22 «AgainstViolentExtremism.org», site Web de la Gen Next Foundation, archive.today/Rhdtf.
23 «Movements.org», site Web de la Gen Next Foundation, archive.today/oVlqH.
Notez cet extrait d'un rapport confidentiel d'une réunion de mars 2011 entre Stratfor et le «principal organisateur» de Movements.org: «Comment Movements.org a démarré: [Cette partie n'est pas pour publication] en 2008, il est devenu évident pour l'USG que ils avaient besoin de faire de la diplomatie publique sur Internet. Jared Cohen était donc au DoS et a joué un rôle majeur dans le démarrage de l'organisation. L'objectif principal était simplement de faire passer la bonne nouvelle sur les États-Unis. » «[Alpha] INSIGHT- US / MENA- Movements.org», email ID 1356429 (29 mars 2011), Global Intelligence Files, WikiLeaks, 4 mars 2013, archive.today/PgQji.
Consultez également la collection de sources sur when.google.met.wikileaks.org.
24 Pour en savoir plus sur cet événement, voir Joseph L Flatley, «Être cynique: Julian Assange, Eric Schmidt et le livre le plus étrange de l'année», Verge, 7 juin 2013, archive.today/gfLEr.
RépondreSupprimerVoir aussi «Le Sommet: New York, Le Sommet inaugural de l'Alliance des mouvements de jeunesse en 2008», site Web de Movements.org, archive.today/H2Ox1#2008.
Voir les logos des entreprises sponsors sur «À propos de mouvements.org», site Web de Movements.org, archive.today/DQo19.
25 «Biographies des participants, 3-5 décembre 2008, New York», Alliance of Youth Movements, is.gd/bLOVxT.
Voir aussi «Sommet 09, Biographies des participants, 14-16 octobre 2009, Mexico», Alliance of Youth Movements, is.gd/MddXp7.
Voir aussi «Biographies des participants, 9-11 mars 2010, Londres», Movements.org, is.gd/dHTVit.
26 «Le Sommet: Londres, Sommet 2010 de l'Alliance pour les mouvements de jeunesse», site Internet de Movements.org, archive.today/H2Ox1#2010.
Et «Le Sommet: Mexico, le Sommet 2009 de l'Alliance des mouvements de jeunesse», site Web de Movements.org, archive.today/H2Ox1#2009.
27 Hillary Rodham Clinton, «Message vidéo de la secrétaire Clinton pour le sommet de l’Alliance des mouvements de jeunesse», Département d’État des États-Unis, 16 octobre 2009, archive.today/I2x6U.
Voir aussi Hillary Rodham Clinton, «Remarks At TecMilenio University», Département d'État américain, 26 mars 2009, archive.today/49ACj.
28 Scott Shane, «Groupes pour aider les militants en ligne dans les pays autoritaires», New York Times, 11 juin 2012, archive.today/jqq9U.
29 «Mission Statement», site Web Advancing Human Rights, archive.today/kBzYe.
Scott Shane, «Groupes pour aider les militants en ligne dans les pays autoritaires», New York Times, 11 juin 2012, archive.today/jqq9U.
30 Ibid.
31 «People», site Web Advancing Human Rights, archive.today/pXmPk.
32 Edelman est célèbre pour une série de campagnes d'astroturf pour Big Tobacco et Walmart. La page Sourcewatch.org sur Edelman, qui vaut la peine d'être lue dans son intégralité, contient une section sur la stratégie d'Edelman pour la cooptation du secteur non gouvernemental: «Edelman PR dit aux clients que les militants gagnent parce qu '« ils jouent à l'offense tout le temps; ils transmettent leur message au consommateur; ils sont ingénieux pour former des coalitions; ils ont toujours un programme clair; ils se déplacent à la vitesse d'Internet; ils parlent sur le ton des médias. »La solution, selon lui, réside dans les partenariats entre les ONG et les entreprises. «Notre expérience à ce jour est positive», disent-ils, citant des exemples tels que «Chiquita-Rainforest Alliance» et «Home Depot-Forest Stewardship Council». »Voir« Daniel J. Edelman, Inc. », site Web SourceWatch, archive.today / APbOf.
Pour les sponsors de Movements.org, voir «À propos de mouvements.org», site Web de Movements.org, archive.today/NMkOy.
33 Pour un exemple de l'écriture d'Alec Ross, voir Alec Ross, Ben Scott, «Social media: power to the people?» Revue de l'OTAN, 2011, archive.today/L6sb3.
RépondreSupprimer34 «Speakers», site Web Conflict in a Connected World, archive.today/Ed8rA.
35 Le «problème principal-agent» ou «dilemme de l'agence» est le cas où la partie initiatrice, le mandant, charge une partie acceptante, l'agent, d'agir en son nom, mais où les intérêts des deux parties ne sont pas suffisamment alignés et l'agent utilise sa position pour exploiter le mandant. Un avocat qui prend des décisions qui sont dans l’intérêt de l’avocat, mais non dans celui du client, est un exemple classique.
36 «PAC» signifie «Comité d'action politique», un pool de financement de campagne souvent utilisé pour masquer le soutien à des politiciens particuliers, pour contourner les règlements de financement de campagne ou pour faire campagne sur un problème particulier.
37 Tous les chiffres des dons politiques proviennent d'OpenSecrets.org (opensecrets.org/indivs) et de la Federal Election Commission des États-Unis (fec.gov/finance/disclosure/norindsea.shtml). Voir les résultats énumérés pour Eric Schmidt sur le site Web de la Commission électorale fédérale, archive.today/yjXoi.
Voir également une capture d'écran des résultats répertoriés pour Eric et Wendy Schmidt sur le site Web d'Open Secrets, archive.today/o6hiB.
38 «Our Funding», site Web de la New America Foundation, archive.today/3FnFm.
39 Profil de Francis Fukuyama sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/6ZKk5.
Profil de Rita E. Hauser sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/oAvJf.
Profil de Jonathan Soros sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/lTJy9.
Profil de Walter Russell Mead sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/APejM.
Profil de Helene D. Gayle sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/72plM.
Profil de Daniel Yergin sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/kQ4ys.
Voir le conseil d'administration complet sur le site Web de la New America Foundation: archive.today/iBvgl.
40 Profil d'Anne-Marie Slaughter sur le site de la New America Foundation: archive.today/yIoLP.
41 «La solution à la crise en Ukraine réside en partie en Syrie. Il est temps que le président américain Barack Obama démontre qu'il peut ordonner le recours à la force offensive dans des circonstances autres que des attaques secrètes de drones ou des opérations secrètes. Le résultat changera le calcul stratégique non seulement à Damas, mais aussi à Moscou, sans parler de Pékin et de Tokyo. Anne-Marie Slaughter, «Stopping Russia Starts in Syria», Project Syndicate, 23 avril 2014, archive.today/GiLng.
RépondreSupprimerJared Cohen a retweeté l'approbation de Slaughter sur la question. Par exemple, il a partagé un tweet de soutien le 26 avril 2014 qui affirmait que l'argument de l'article cité ci-dessus était «parfait». archive.today/qLyxo.
42 Sur la conférence Bilderberg, voir Matthew Holehouse, «Bilderberg Group 2013: guest list and agenda», Telegraph, 6 juin 2013, archive.today/PeJGc.
Sur le Conseil de politique des affaires étrangères du Département d’État, voir la liste des membres actuels du conseil sur le site Web du Département d’État des États-Unis: archive.today/Why8v.
43 Les listes des participants aux conférences Bilderberg depuis 2010 sont disponibles sur le site Internet de Bilderberg: www.bilderbergmeetings.org. Eric Schmidt a été photographié au Bilderberg 2014 à Copenhague, rencontrant Viviane Reding, la commissaire européenne à la justice, et Alex Karp, PDG de Palantir Technologies, une société d'exploration de données de renseignement qui vend des services de recherche et d'intégration de données à des clients en droit américain la communauté de la police et du renseignement, et qui a été lancée grâce au financement du fonds de capital-risque de la CIA, In-Q-Tel. Voir Charlie Skelton, «Conférence Bilderberg 2014: manger nos politiciens pour le petit déjeuner», Guardian, 30 mai 2014, archive.today/pUY5b.
En 2011, Palantir a été impliqué dans le scandale HBGary, après avoir été dénoncé dans le cadre d'un groupe d'entrepreneurs proposant de supprimer WikiLeaks. Pour plus d'informations à ce sujet, reportez-vous à «Contexte des États-Unis contre WikiLeaks» dans When Google Met WikiLeaks. Voir aussi Andy Greenberg, Ryan Mac, «How A‘ Deviant ’Philosopher Built Palantir, A CIA-Funded Data-Mining Juggernaut,” Forbes, 2 septembre 2013, archive.today/ozAZ8.
Les registres des visiteurs de la Maison Blanche sont disponibles sur son site Web, archive.today/QFQx0.
Pour la couverture de Schmidt au Forum économique mondial, voir Emily Young, «Davos 2014: Google’s Schmidt warning on jobs», BBC, 23 janvier 2014, archive.today/jGl7B.
Voir aussi Larry Elliott, «Davos débat de l'inégalité des revenus mais invite toujours les évitateurs fiscaux», Guardian, 19 janvier 2014, archive.today/IR767.
44 Adrianne Jeffries, «Eric Schmidt de Google:« célébrons le capitalisme »», Verge, 7 mars 2014, archive.today/gZepE.
45 Pour un exemple de l'ambivalence d'entreprise de Google sur la question de la confidentialité, voir Richard Esguerra, «Google CEO Eric Schmidt Dismisses the Importance of Privacy», Electronic Frontier Foundation, 10 décembre 2009, archive.today/rwyQ7.
46 Chiffres corrects en 2013. Voir «Google Annual Search Statistics», Statistic Brain (Statistic Brain Research Institute), 1er janvier 2014, archive.today/W7DgX.
47 Il existe une volonté inconfortable parmi les militants de la protection de la vie privée de discriminer la surveillance de masse menée par l'État à l'exclusion d'une surveillance similaire menée à des fins lucratives par de grandes entreprises. Il s'agit en partie d'une éthique résiduelle des origines libertaires californiennes de la campagne en ligne en faveur de la vie privée. C'est en partie un symptôme des relations publiques supérieures dont jouissent les sociétés technologiques de la Silicon Valley et du fait que ces sociétés fournissent également l'essentiel du financement privé des groupes phares de défense de la vie privée numérique, ce qui entraîne un conflit d'intérêts.
RépondreSupprimerAu niveau individuel, bon nombre des militants de la protection de la vie privée, même les plus engagés, ont une dépendance non reconnue à des équipements faciles à utiliser et détruisant la confidentialité comme les produits Gmail, Facebook et Apple. En conséquence, les militants de la protection de la vie privée négligent souvent les abus de surveillance des entreprises. Lorsqu'ils s'attaquent aux abus d'entreprises comme Google, les militants ont tendance à faire appel à la logique du marché, exhortant les entreprises à faire de petites concessions à la confidentialité des utilisateurs afin de réparer leurs cotes d'approbation. Il y a la fausse hypothèse selon laquelle les forces du marché garantissent que la Silicon Valley est un antagoniste naturel du gouvernement et qu'elle veut être du côté du public - que les multinationales à but lucratif participent davantage à l'esprit de la démocratie que les agences gouvernementales.
De nombreux défenseurs de la protection de la vie privée justifient une focalisation prédominante sur les abus de l'État au motif que l'État jouit d'un monopole sur la force coercitive. Par exemple, Edward Snowden aurait déclaré que les entreprises de technologie ne «mettent pas d'ogives sur le front». Voir Barton Gellman, «Edward Snowden, après des mois de révélations de la NSA, dit que sa mission est accomplie», Washington Post, 23 décembre 2013, archive.today/d6P8q.
Ce point de vue minimise le fait que les entreprises puissantes font partie du lien de pouvoir autour de l'État et qu'elles bénéficient de la capacité de déployer son pouvoir coercitif, tout comme l'État exerce souvent son influence par l'intermédiaire de puissantes entreprises. Le mouvement pour abolir la vie privée est à deux cornes. Les défenseurs de la vie privée qui se concentrent exclusivement sur l'une de ces cornes se retrouveront encornés sur l'autre.
48 Voir la section 7, Remerciements, dans The Anatomy of a Large-Scale Hypertextual Web Search Engine, Sergey Brin, Lawrence Page (Computer Science Department, Stanford University, 1998): «La recherche décrite ici a été menée dans le cadre du Stanford Integrated Digital Projet de bibliothèque, soutenu par la National Science Foundation dans le cadre de l'accord de coopération IRI-9411306. Le financement de cet accord de coopération est également assuré par la DARPA et la NASA, ainsi que par Interval Research et les partenaires industriels du Stanford Digital Libraries Project », archive.today/tb5VL.
RépondreSupprimer49 Michael Hayden fait maintenant partie du groupe Chertoff, un cabinet de conseil qui se décrit comme un «cabinet de conseil de premier plan en matière de sécurité et de gestion des risques». Il a été fondé et est présidé par Michael Chertoff, qui était l'ancien secrétaire du Département de la sécurité intérieure sous le président George W. Bush. Voir Marcus Baram, «La peur paie: Chertoff, d'anciens responsables de la sécurité critiqués pour avoir tiré profit de l'expérience gouvernementale», Huffington Post, 23 novembre 2010, mis à jour le 25 mai 2011, archive.today/iaM1b.
50 «Total Information Awareness» était un programme de renseignement américain radical post-11 septembre sous l'égide de la Defense Advanced Research Projects Agency pour surveiller et recueillir des informations détaillées sur les individus afin d'anticiper leur comportement. Le programme a été officiellement interrompu en 2003 après un tollé général, mais son héritage peut sans doute être vu dans les récentes révélations sur l'espionnage en masse par l'Agence de sécurité nationale. Voir Shane Harris, «Giving In to the Surveillance State», New York Times, 22 août 2012, archive.today/v4zNm.
51 «The Munk Debate on State Surveillance: Edward Snowden Video» (vidéo), Munk Debates, archive.today/zOj0t.
Voir aussi Jane Mayer, «The Secret Sharer: Is Thomas Drake an ennemi of the state?» New Yorker, 23 mai 2011, archive.today/pXoy9.
52 «Présentation de l'entreprise», site Web de l'entreprise Google, archive.today/JavDC.
53 Lost in the Cloud: Google et le gouvernement américain (rapport), Consumer Watchdog’s Inside Google, janvier 2011, bit.ly/1qNoHQ9.
Voir aussi Verne Kopytoff, «Google a beaucoup à voir avec l'intelligence», San Francisco Chronicle, 30 mars 2008, archive.today/VNEJi.
Voir aussi Yasha Levine, «Les e-mails d'Oakland donnent un autre aperçu du complexe de surveillance militaire de Google», Pando Daily, 7 mars 2014, archive.today/W35WU.
Voir aussi Yasha Levine, «Les e-mails montrant la proximité de Google avec le directeur de la NSA ne sont pas vraiment surprenants», Pando Daily, 13 mai 2014, archive.today/GRT18.
Yasha Levine a écrit un certain nombre d'articles d'enquête sur les liens de Google avec l'industrie militaire et du renseignement, que vous pouvez consulter à l'adresse: pando.com/author/ylevine.
54 Yasha Levine, «Les e-mails d'Oakland donnent un autre aperçu du complexe Google-Military-Surveillance», Pando Daily, 7 mars 2014, archive.today/W35WU.
RépondreSupprimerPour en savoir plus sur les liens de Google avec la CIA, voir Noah Shachtman, "Exclusive: Google, CIA Invest in" Future "of Web Monitoring", Wired, 28 juillet 2010, archive.today/e0LNL.
55 Yasha Levine, «Les e-mails d'Oakland donnent un autre aperçu du complexe Google-Military-Surveillance», Pando Daily, 7 mars 2014, archive.today/W35WU.
56 Ibid.
57 Ellen Nakashima, «Google pour enrôler la NSA pour l'aider à éviter les cyberattaques», Washington Post, 4 février 2010, archive.today/hVTVl.
58 Le nom officiel de l'occupation militaire américaine de l'Afghanistan est similaire: «Opération Enduring Freedom». Voir «Infinite Justice, out — Enduring Freedom, in», BBC, 25 septembre 2001, archive.today/f0fp7.
59 Jason Leopold, «Exclusif: les e-mails révèlent une relation étroite de Google avec la NSA», Al Jazeera America, 6 mai 2014, archive.today/V0fdG
60 Ibid.
61 «Defence Industrial Base Sector», sur le site Web de la sécurité intérieure des États-Unis: archive.today/Y7Z23.
62 Voir «Top Spenders» sous «Influence and Lobbying» sur le site Web OpenSecrets.org: archive.today/xQyui.
Voir aussi Tom Hamburger, «Google, autrefois dédaigneux du lobbying, maintenant maître de l'influence de Washington», Washington Post, 13 avril 2014, archive.today/oil7k.
63 Sy Hersh a écrit deux articles sur le cas malheureux de l'administration Obama pour une «intervention» en Syrie. Voir Seymour M. Hersh, «Whose Sarin?» London Review of Books, 19 décembre 2013, archive.today/THPGh.
Voir aussi Seymour M. Hersh, «The Red Line and the Rat Line», London Review of Books, 17 avril 2014, archive.today/qp5jB.
64 Un instantané d'archive de la page peut être trouvé à archive.today/Q6uq8. Google se targue explicitement de garder sa page d'accueil exempte de toute interférence. Sa pureté et son caractère sacré sont intégrés au manifeste d'entreprise de Google: «L'interface de notre page d'accueil est claire et simple, et les pages se chargent instantanément. Le placement dans les résultats de recherche n'est jamais vendu à personne et la publicité n'est pas seulement clairement indiquée comme telle, elle offre un contenu pertinent et ne distrait pas. " Consultez "Dix choses que nous savons être vraies", site Web de la société Google, archive.today/s7v9B.
Dans les rares occasions, Google ajoute une seule ligne à la page de recherche pour brancher ses propres projets, comme le navigateur Chrome, ce choix lui-même devient une nouvelle. Voir Cade Metz, «Google frottis Chrome sur la page d'accueil« sacrée »», Register, 9 septembre 2008, archive.today/kfneV.
Voir aussi Hayley Tsukayama, «Google annonce le Nexus 7 sur la page d'accueil», Washington Post, 28 août 2012, archive.today/QYfBV.
65 Thomas Friedman a publié plusieurs articles vantant les vertus de son «centrisme radical», comme «Make Way for the Radical Center», New York Times, 23 juillet 2011, archive.today/IZzhb.
RépondreSupprimer66 Thomas Friedman, «Un manifeste pour le monde rapide», New York Times, 28 mars 1999, archive.today/aQHvy.
67 Eric Schmidt et Jared Cohen, The New Digital Age, édition anglaise de poche (John Murray, 2013), p. 98.
Google s'engage dans cette ambition. Depuis début 2013, Google a racheté neuf sociétés expérimentales de robotique et d'intelligence artificielle et les a mises au service d'un objectif non déclaré sous Andy Rubin, l'ancien chef de la division Android de Google. Voir John Markoff, «Google Puts Money on Robots, Using the Man Behind Android», New York Times, 4 décembre 2013, archive.today/Izr7B.
Voir également Adam Clark Estes, "Meet Google’s Robot Army. It’s Growing », Gizmodo, 27 janvier 2014, archive.today/mN2GF.
Deux des acquisitions de Google sont des concurrents de premier plan dans le DARPA Robotics Challenge, un concours organisé par la Defense Advanced Research Projects Agency, avec un soutien financier somptueux du Pentagone pour les concurrents. Schaft Inc, une société japonaise, devrait triompher du concours DARPA avec son entrée - un robot bipède, semblable à un humain, capable de monter des escaliers, d'ouvrir des portes, de traverser des décombres et d'être insensible aux radiations. L'autre société, Boston Dynamics, se spécialise dans la production de robots militaires pour courir, marcher et ramper pour le ministère de la Défense. Le plus connu des robots de Boston Dynamics est «BigDog» - un transporteur de soutien de troupes de la taille d'un cheval, qu'il faut voir (sur YouTube: is.gd/xOYFdY) pour le croire. Voir Breezy Smoak, «Le robot Schaft de Google remporte le défi de sauvetage DARPA», Electronic Products, 23 décembre 2013, archive.today/M7L6a.
Voir aussi John Markoff, «Google Adds to Its Menagerie of Robots», New York Times, 14 décembre 2013, archive.today/cqBX4.
Le véritable pouvoir de Google en tant qu'entreprise de drones est sa collection inégalée de données de navigation. Cela comprend toutes les informations associées à Google Maps et les emplacements d'environ un milliard de personnes. Une fois collectées, il ne faut pas supposer que ces données seront toujours utilisées à des fins bénignes. Les données cartographiques collectées par le projet Google Street View, qui a envoyé des voitures dans les rues du monde entier, pourraient un jour être utiles pour la navigation de robots militaires ou de police dans ces mêmes rues
68 Un utopisme parfois à la limite de la mégalomanie. Le PDG de Google, Larry Page, par exemple, a publiquement évoqué l'image des micro-états de Google de type Jurassic Park, où Google est exempté des lois nationales et peut poursuivre ses progrès sans entrave. "Les lois . . . ne peut pas avoir raison si elle a 50 ans; c’est avant Internet. . . . Peut-être que nous pourrions mettre à part un morceau du monde. . . . Un environnement où les gens peuvent essayer de nouvelles choses. Je pense qu'en tant que technologues, nous devrions avoir des endroits sûrs où nous pouvons essayer de nouvelles choses et comprendre l'effet sur la société - quel est l'effet sur les gens? - sans avoir à le déployer dans le monde entier. " Voir Sean Gallagher, «Larry Page veut que vous arrêtiez de vous inquiéter et laissez-le réparer le monde», Ars Technica, 20 mai 2013, archive.today/kHYcB.
RépondreSupprimer69 La société de sécurité mercenaire notoire Blackwater, mieux connue pour avoir tué des civils irakiens, a été renommée Xe Services en 2009, puis Academi en 2011. Voir Jeremy Scahill, Blackwater: The Rise of the World’s Most Powerful Mercenary Army, (Nation Books, 2007).
70 Historiquement, le succès de Google reposait sur la surveillance commerciale des civils par le biais de «services»: recherche sur le Web, e-mails, réseaux sociaux, et cetera. Mais le développement de Google au cours des dernières années lui a permis d'étendre son activité de surveillance en contrôlant les téléphones mobiles et les tablettes. Le succès du système d'exploitation mobile de Google, Android, lancé en 2008, a donné à Google une part de 80% du marché des smartphones. Google affirme que plus d'un milliard d'appareils Android se sont enregistrés, à un rythme maintenant de plus d'un million de nouveaux appareils par jour. Voir «Résultats du premier trimestre de 2014 sur Smartphone OS: Android domine les marchés en développement à forte croissance», ABIresearch, 6 mai 2014, archive.today/cTeRY.
Consultez également "Android, la plate-forme mobile la plus populaire au monde" sur le site Web des développeurs Android: archive.today/5y8oe.
Grâce à Android, Google contrôle les appareils que les gens utilisent pour leur vie quotidienne et se connectent à Internet. Chaque appareil renvoie les statistiques d'utilisation, la localisation et d'autres données à Google. Cela donne à l'entreprise un pouvoir sans précédent de surveiller et d'influencer les activités de sa base d'utilisateurs, à la fois sur le réseau et au cours de leur vie. D'autres projets Google tels que "Project Glass" et "Project Tango" visent à tirer parti de l'omniprésence d'Android, en étendant les capacités de surveillance de Google plus loin dans l'espace autour de leurs utilisateurs. Voir Jay Yarow, "Ce graphique montre l'incroyable domination de Google sur les plates-formes informatiques mondiales", Business Insider, 28 mars 2014, archive.today/BTDJJ.
Voir aussi Yasha Levine, «Surveillance Valley a mis un milliard de bogues dans un milliard de poches», Pando Daily, 7 février 2014, archive.today/TA7sq.
RépondreSupprimerVoir aussi Jacob Kastrenakes, «Google annonce Project Tango, un smartphone capable de cartographier le monde qui l'entoure», Verge, 20 février 2014, archive.today/XLLvc.
Voir aussi Edward Champion, «Thirty-Five Arguments Against Google Glass», Reluctant Habits, 14 mars 2013, archive.today/UUJ4n.
Google vise également à devenir un fournisseur d'accès Internet. Le "Project Loon" de Google vise à fournir un accès Internet aux populations du sud du globe en utilisant des points d'accès sans fil montés sur des flottes de ballons à haute altitude et de drones aériens, après avoir acquis les sociétés de drones Titan Aerospace et Makani Power. Facebook, qui a soumissionné contre Google pour Titan Aerospace, a des aspirations similaires, ayant acquis la société britannique de drones aériens Ascenta. Voir Adi Robertson, «Google X‘ moonshots lab ’achète la société d’éoliennes volantes Makani Power», Verge, 22 mai 2013, archive.today/gsnio.
Voir également le site Web de Project Loon: archive.today/4ok7L.
Voir aussi Sean Hollister, «La société de drones Google nabs que Facebook aurait voulu acheter», Verge, 14 avril 2014, archive.today/hc0kr.
71 Pour un exemple de préoccupation européenne, voir Mathias Döpfner, «Pourquoi nous craignons Google», Frankfurter Allgemeine, 17 avril 2014, archive.today/LTL6l.
https://wikileaks.org/google-is-not-what-it-seems/
MSM appelle à une «nouvelle définition de la liberté d'expression»
RépondreSupprimerJan 16, 2021
Les nouveaux mots à la mode dans la bulle des médias grand public sèment le trouble pour ceux qui ne le font pas
Kit Knightly
Une partie du devoir principal d'OffGuardian est de troller à travers les masses de production médiatique et d'essayer de capturer des modèles. Parfois, les motifs sont subtils, une légère insistance derrière les paragraphes. Parfois, ils ressemblent plus à une masse sur le visage.
Cela a été la semaine du marteau. En fait, c’est une année sans précédent.
De «aplatir la courbe» à «la nouvelle normalité» en passant par «la grande réinitialisation», il n’a pas été difficile de repérer les messages en cours depuis le début de la «pandémie». Et ce manque distinct de déguisement s'est également répercuté sur d'autres sujets.
Nous avons souligné, il y a quelques jours, la surutilisation soudaine de l'expression «terrorisme intérieur» nous préparant à ce qui sera, presque certainement, une nouvelle législation vraiment horrible une fois que Biden sera en fonction.
Eh bien, la phrase à la mode qui fait le tour à la suite de l'interdiction de Donald Trump sur Internet est «la nouvelle définition de la liberté d'expression»… et des variations sur ce thème.
Premièrement, et les journaux des deux côtés de l'Atlantique veulent être très clairs à ce sujet, l'interdiction simultanée de Donald Trump de tous les grands réseaux sociaux n'entrave en aucune façon sa liberté d'expression.
En effet, aucune des dizaines de milliers de personnes bannies de Twitter et al. ont vu leur liberté d'expression violée non plus. Aucun des propriétaires - ni des utilisateurs - de l'application Parler que les géants de la technologie ont intimidée.
La liberté d'expression est totalement intacte, quel que soit le nombre de personnes interdites ou déplatformées, les médias sont tous d'accord sur ce point (même les groupes de réflexion prétendument favorables à la liberté d'expression).
Ils conviennent également que peut-être… cela ne devrait pas être. Peut-être que la «liberté d'expression» est trop dangereuse à notre époque moderne et qu'elle a besoin d'une «nouvelle définition».
C’est ce que pense Ian Dunt dans Politics.co.uk, affirmant qu’il est temps d’avoir un «débat d’adultes» sur la liberté d’expression.
Le Financial Times est d'accord, s'interrogeant sur les «limites de la liberté d'expression à l'ère d'Internet».
Thomas Edsall, dans le New York Times, se demande à haute voix si les «mensonges» de Trump ont fait de la liberté d'expression une «menace pour la démocratie».
The Conversation, une revue basée au Royaume-Uni souvent à la pointe des idées vraiment terrifiantes, a trois articles différents sur la redéfinition ou la limitation de la liberté d'expression, tous publiés à moins de 4 jours d'intervalle.
Il y a la liberté d'expression n'est pas garantie si elle fait du mal aux autres, une morne apologie malhonnête qui soutient que Trump n'a pas été réduit au silence, car il pourrait faire un discours que les médias couvriraient ... sans mentionner également que les médias ont, en masse, littéralement refusé pour diffuser plusieurs discours de Trump au cours des deux derniers mois.
RépondreSupprimerLa conclusion aurait pu être rédigée par un algorithme analysant le fil Twitter de The Guardian:
la suggestion que Trump a été censuré est tout simplement fausse. Cela induit le public en erreur en lui faisant croire que toutes les revendications de «liberté d'expression» ont le même mérite. Ils ne. Nous devons veiller à ce que les discours préjudiciables soient réglementés afin d'assurer une large participation au discours public qui est essentiel à nos vies - et à notre démocratie.
Ensuite, il y a la liberté d'expression en Amérique: l'approche américaine est-elle adaptée à son objectif à l'ère des médias sociaux?, Une copie carbone virtuelle de la première, qui déclare:
L'attaque du Capitole a révélé, en termes cruels, les dangers de la désinformation à l'ère numérique. Il donne l’occasion de réfléchir à la mesure dans laquelle certains éléments de la tradition de la liberté d’expression américaine peuvent ne plus être adaptés à leur objectif.
Et enfin, mon préféré personnel, Pourquoi la «liberté d'expression» a besoin d'une nouvelle définition à l'ère d'Internet et des tweets de Trump dans lesquels l'auteur Peter Ives met en garde contre la «militarisation de la liberté d'expression» et conclut:
La foule en colère de Trump n'a pas seulement été incitée par son seul discours du 6 janvier, mais fomentait depuis longtemps en ligne. La foi en la raison de Mill et Kant reposait sur l'imprimerie; la liberté d'expression devrait être réexaminée dans le contexte d'Internet et des médias sociaux.
Ives pense clairement qu’il est éclairé, libéral et éduqué, après tout il abandonne les références à Kant AND Mills (c’est vrai DEUX philosophes célèbres), mais ce n’est vraiment pas le cas. Il est juste un élitiste affirmant que les gens de la classe ouvrière sont trop stupides pour être autorisés à parler, ou même à entendre des idées qui pourraient les énerver tous et les distraire de leur travail servile.
Pour assaisonner ces idées périmées avec une pincée de peur-porn, NBC News rapporte que le FBI n'a pas signalé ses «inquiétudes» concernant une possible violence au Capitole, parce qu'il s'inquiétait de la liberté d'expression. (Vous voyez, si le FBI n’avait pas protégé la liberté d’expression des gens, cette émeute n’aurait peut-être pas eu lieu!)
Et en plus de tout cela, il y a l'angle de la manipulation émotionnelle, où les auteurs font semblant d'être tristes ou exaspérés ou l'une des émotions qu'ils avaient autrefois.
Dans l'Irish Independent, Emma Kelly dit que la «liberté d'expression» n'inclut pas le «discours de haine» (elle ne sait jamais exactement quelle partie de «rentrer chez elle dans l'amour de la paix» était un discours de haine).
RépondreSupprimerDans The Hill, Joe Ferullo est presque en larmes que le premier amendement a été ruiné par la presse de droite continuellement «criant le feu dans un théâtre bondé», citant la célèbre citation d'Oliver Wendell Holmes, que beaucoup utilisent pour «qualifier» le idée de la liberté d'expression, sans s'en rendre compte, donne le pouvoir de la détruire complètement.
Jusqu'à ce que vous puissiez me montrer les définitions juridiques difficiles et rapides de «crier», «feu», «surpeuplé» et «théâtre», cette qualification ouverte n'est rien d'autre qu'une toile vierge, libre d'être interprétée comme vaguement - ou de manière stricte - comme tout législateur ou pouvoir judiciaire le juge nécessaire.
Par exemple:
Twitter est certainement plus grand et plus peuplé qu'un théâtre, et répandre des informations anti-vaccination / anti-guerre / pro-Russie / «refus de Covid» [supprimer si nécessaire] va certainement provoquer plus de panique qu'un seul bâtiment en feu. N'est-ce pas?
C’est cet abus potentiel de terminologies incroyablement vagues qui seront utilisées pour «redéfinir» la liberté d’expression.
«Offensive», «désinformation», «discours de haine» et autres seront répétés. Beaucoup.
Des expressions qui n'ont pas de définition solide en vertu de la loi, et dont on montre déjà qu'elles ne signifient rien aux têtes parlantes des médias qui les répètent ad nauseum.
Si «rentrer chez soi dans la paix et dans l'amour» peut devenir «inciter à la violence», tout peut être fait pour signifier absolument n'importe quoi.
Plus ils «redéfinissent» les mots, plus nous avançons dans un monde orwellien où tout sens est entièrement perdu.
Et que signifierait vraiment notre nouvelle «liberté d'expression» dans un tel monde ?
https://off-guardian.org/2021/01/16/a-new-definition-of-free-speech/
Premièrement, il eut été utile de préciser (Hahahaha !) que l''Amérique' (USA) n'est PAS une Démocratie mais son contraire une république ! Et donc la définition de 'liberté de parole' passe à la trappe ! (URSS=SS ! URSS= SS ! Hahaha !).
SupprimerLa raie publique n'a pas fini de chier !
La France du « tout gratuit », quoi qu’il en coûte
RépondreSupprimerLes pouvoirs publics auraient trouvé la solution pour dégager un consensus en France : tout offrir, ne plus rien faire payer, subventionner tous les secteurs, quoi qu’il en coûte en attendant que la reprise fasse le travail et rembourse.
17 JANVIER 2021
Par Didier Cozin.
Toujours en quête de gadgets sociaux, souhaitant baisser les charges tout en maintenant les coûts, les pouvoirs publics auraient trouvé la solution pour dégager un consensus en France : tout offrir, ne plus rien faire payer, subventionner tous les secteurs, toutes les entreprises, toutes les activités, quoi qu’il en coûte, en attendant de se refaire, que la reprise fasse le travail et rembourse.
Payer pour des services devient en France incongru, grotesque souvent inaudible. La décence voudrait que tout devienne gratuit (le logement, la nourriture, les soins, l’éducation, les transports, les loisirs…)
Les citoyens pourraient ainsi épargner leurs revenus quand ils en ont, et les tensions sociales disparaîtraient par enchantement ; pourquoi je travaillerais alors que l’autre ne fiche rien ?
LA RENTE DEVIENT LA NORME EN FRANCE
Tout fier de son capital historique, architectural, culturel, économique, financier accumulé au fil des siècles, le pays a décidé de vivre de ses rentes, de consommer progressivement et définitivement son capital et ses richesses passés.
L’ÉCONOMIE DU GRATUIT
Au-delà de ce mirage d’une gratuité généralisée et donc de l’absence de nécessité de travailler pour financer son existence ou celle de ses proches, cette absence de contrepartie économique présente de nombreux inconvénients que nous n’avons pas fini de payer.
« Quand c’est gratuit c’est vous le produit » : rien n’est jamais offert sans contrepartie.
La gratuité n’est jamais réelle et totale. Notre ancien président a eu beau déclarer « c’est gratuit, c’est l’État qui paie » la gratuité n’existe pas, comme le démontrent quotidiennement les services prétendument gratuits des géants américains du numérique.
La gratuité entretient l’illusion que le travail se ferait seul, sans le concours de chacun. Les transports en commun que certains veulent rendre gratuits pourraient fonctionner sans coûts, ni investissements, ni consommation d’énergie…
La gratuité dévalorise et dévalue les services soi disant offerts. On le constate depuis 50 ans avec l’école gratuite de 3 à 25 ou 30 ans, qui est largement devenue une planque pour la jeunesse, un asile ou une couverture.
La gratuité entretient la défiance du citoyen. Sous le prétexte souvent vérifié qu’il faut bien un retour aux cadeaux reçus (on rend une invitation) sous une forme ou une autre (des impôts et taxes élevés, des contraintes règlementaires, des injonctions sanitaires…) les citoyens se méfient à la fois des institutions, de leur administration ou de la gratuité du vaccin contre la Covid-19 car si c’est gratuit c’est pour nous injecter du poison ou une puce pour nous contrôler.
La gratuité serait la première marche du revenu universel ou d’une dotation à la naissance (entre 30 et 100 000 euros pour chaque nouveau-né) qui serait la contrepartie à la disparition du travail (en fait des emplois salariés), un antidote à la pauvreté ou une substitution à la lourde et inefficace redistribution, laquelle depuis 50 ans ne crée plus ni richesses ni équité.
UNE ILLUSTRATION DES MÉFAITS DE LA GRATUITÉ : LA FORMATION DES ADULTES
RépondreSupprimerAlors qu’un adulte doit apprendre tout au long de sa vie, qu’à la différence d’un enfant il dispose en principe des revenus de son travail, l’État et les partenaires sociaux ont décrété dès 1971 que les travailleurs, salariés notamment, ne paieraient jamais pour leur formation.
Non seulement l’employeur devait financer la formation mais tous les frais annexes seraient à sa charge : le transport du stagiaire, sa restauration, son éventuel hébergement et surtout le temps de la formation, accordé forcément sur le temps travaillé alors que les 35 heures n’ont jamais été envisagées pour libérer du temps pour apprendre.
L’absence de résultats de la formation gratuite est une évidence dans le monde du travail.
Seule une minorité de travailleurs se forme ou est formée, soit entre 5 et 10 % des salariés les plus qualifiés.
Le système qui se veut assurantiel (on cotise tous et on attend pour bénéficier d’une formation) vise à monter d’un seul niveau de qualification tout au long d’une vie professionnelle (une seule formation sur plus de quarante années).
Le système paritaire a conçu vers 2014 un second leurre social en plus de la mutualisation : le compte formation (CPF), calibré pour ne former qu’un million de bénéficiaires chaque année. Il organise donc la rareté sur une sorte de livret de caisse d’épargne où chacun pourrait puiser une seule fois (deux au maximum pour des formations longues) dans sa vie professionnelle.
L’école laïque, gratuite et obligatoire jusqu’à 14 ans, puis 16 ans, et désormais quasiment 18 ans, a constitué une avancée sociale et a permis d’industrialiser le pays au prix de l’abandon des campagnes.
Mais aujourd’hui la formation gratuite et prétendument universelle joue à contre-emploi et retient/empêche les Français d’apprendre, de changer, de s’adapter à un travail qui évolue plus vite qu’eux bien souvent.
NOS RENTES SOCIALES, OU ACQUIS SOCIAUX
Selon le dictionnaire Larousse, la rente se définit comme étant « l’assurance de percevoir un revenu régulier sans travail ». Elle s’oppose par là-même au travail qui est à la fois :
un risque (de perdre son travail, son entreprise, son activité)
un effort (se lever le matin, prendre des responsabilités, diriger ou être dirigé)
une mobilisation des ressources internes et externes pour produire des richesses
une collaboration et une interaction avec les autres (on perçoit individuellement dans son coin sa rente ou ses allocations alors qu’on travaille toujours avec et pour les autres).
CETTE RENTE QUI ENTRE EN CONFLIT AVEC LE TRAVAIL EST INSTALLÉE PARTOUT EN FRANCE
Les retraités sont évidemment les premiers et les plus nombreux des rentiers. On peut estimer qu’ils perçoivent ce que l’assurance vieillesse leur assure en échange de leur travail passé.
Mais c’est oublier que le travail salarié a tendance à disparaître au XXIe siècle car trop peu flexible, trop cher, trop compliqué et trop conflictuel.
Confrontées à l’automatisation et à la concurrence mondialisée les entreprises sont très nombreuses à réduire leur masse salariale et donc leurs cotisations sociales. La méthode la plus simple étant les départs naturels et les pré-retraites.
De nombreux jeunes n’ont ni l’envie ni souvent l’opportunité de travailler régulièrement et durablement, ce qui permettrait alors d’entretenir aujourd’hui 12 millions de retraités.
Les salaires des jeunes sont souvent bien inférieurs aux pensions des retraités. Il sera bientôt impossible d’avoir autant de retraités que de salariés ou d’actifs. Après-guerre il y avait cinq actifs pour un retraité !
Les retraites de la fonction publique pourraient nous ruiner car elles représentent un engagement financier supérieur au montant de la dette française. Elles ne sont pas provisionnées par l’État qui est son propre assureur. À part en baisser le niveau ou payer en monnaie de singe on ne voit pas comment elles pourront être maintenues à leur niveau élevé actuel, soit 75 % du dernier traitement.
LE SOCIAL REPRÉSENTE UNE ACTIVITÉ QUASI INDUSTRIELLE EN FRANCE
RépondreSupprimer15 % des dépenses sociales mondiales sont reversées aux Français qui représentent moins de 1 % de cette population mondiale. En 2020, la part des dépenses de protection sociale représentait 33 % du PIB, près de 700 milliards…
Elles sont à la fois le principal poste de dépenses publiques en France (source vie publique) et le record du monde de la redistribution malgré les dénégations de ceux qui voient des ultra-libéraux à chaque coin de rue.
LA RENTE EST UNE BULLE
La rente, dont nous avons fait une industrie, enferme les Français dans une bulle qui ne protègera que peu de temps encore nos concitoyens sur cette planète Terre qui comptera bientôt dix milliards d’habitants en compétition pour des ressources rares : travail, alimentation, eau potable, énergies fossiles…
LA RENTE EST PARTOUT EN FRANCE, À GAUCHE COMME À DROITE
Nous avons vu qu’une rente est un revenu régulier obtenu sans travail. Elle n’est évidemment pas l’apanage de la gauche car à droite aussi on a ses rentes.
L’immobilier
Il permet de gagner virtuellement de l’argent en ne faisant rien car il suffit de s’endetter en achetant un bien dans une ville comme Paris. La conséquence de la hausse de l’immobilier dans les grandes villes est la paupérisation des jeunes, les loyers étant exorbitants, le sentiment factice d’enrichissement de tous ou presque, puisqu’il est possible de s’enrichir en dormant (pas d’impôts, de taxes ni même de CSG sur la revente de la résidence principale).
Le commerce et l’activité économique en général
En luttant contre la concurrence « libre et non faussée », droite et gauche se rejoignent pour empêcher l’arrivée de nouveaux compétiteurs, protéger pour les uns leurs marchés et pour les autres leurs acquis sociaux.
L’exploitation du pays
La plupart des héritiers ne savent pas faire fructifier le patrimoine ou le capital dont ils héritent. Nous pourrions ainsi rapidement dilapider le capital financier, culturel, environnemental accumulé par nos ancêtres au cours des siècles.
Depuis la fin des Trente glorieuses nous vivons au-dessus de nos moyens grâce à des rentes et à notre endettement croissant.
CES VÉRITÉS QUE LES CITOYENS PRÉFÈRENT NE PAS ENTENDRE
Tout l’art de chaque gouvernement a consisté depuis des décennies à cacher certains faits douloureux car remettant en cause les fondements de nos XIX et XXème siècles sociaux.
La productivité de l’Occident s’affaisse depuis la première crise de l’énergie de 1973. Ce que nous produisons encore l’est grâce à des artifices financiers, comptables, monétaires (l’inflation jadis, puis les délocalisations et enfin l’endettement généralisé).
Sans travail, aucun développement économique ni social ne nous sera plus permis dans un avenir proche. Mais le travail devenant trop cher, trop complexe, trop conflictuel nous l’avons laissé en grande partie quitter nos pays, l’activité est presque partout subventionnée, sinon devenue non rentable en France.
Sans apprentissage, sans efforts éducatifs importants, sans formation tout au long de la vie, la France et l’Occident sont condamnés à régresser et à s’effondrer un jour comme la défunte URSS.
LA FRANCE NE DOIT PAS DEVENIR UN PAYS DE RENTIERS
RépondreSupprimerLa gratuité partout, pour tous, les subventions et l’endettement généralisés n’éduquent ni ne forment personne. Pour apprendre il faut travailler, s’adapter, comprendre.
Comme l’a récemment déclaré notre ministre du Travail « la France n’a pas un problème de demande mais d’offre ». C’est bien en augmentant la qualité et la quantité de travail que nous pourrons nous redresser, pas en augmentant sans fin le nombre d’ayants-droit du pays.
https://www.contrepoints.org/2021/01/17/389047-la-france-du-tout-gratuit-quoi-quil-en-coute
La question que se pose Didier Cozin est tout-à-fait cocasse, car elle demande "peut-on vivre d'argent gratuit ?" comme le font tous les milliardaires rentiers ou les fonctionnaires inutiles qui ne savent ni calculer, ni dessiner leur projet, ni réfléchir, ni expliquer dans quelle merde ils sont ! Et pourtant et pourtant je ne doute pas un instant que la réalité des choses lui ait échappé ! Depuis TOUJOURS se fabriquent des images de Mickeys distribuées aux DAB ou montre des têtes coupées de dictateurs et dictatrices sur des pièces de monnaies. Elle ne sont offertes qu'à celles et ceux qui travaillent ou qui ont imaginé dans quelle cage peut-on foutre les esclaves.
SupprimerCar, bien sûr comme le Peuple instruit par lui-même a inventé des systèmes, des machines, des ordinateurs, etc, il devrait donc aujourd'hui être multi-millionnaire ! Mais loin s'en faut ! Dès qu'il gagne quatre sous l'Etat lui en vole 5 ! Il appelle çà 'la dette' !!
Or, la dette n'a JAMAIS existé ! Car, les banques prêteuses n'ont point ces milliards qu'elles prêtent ! Elles ont juste l'imagination qu'un jour quelqu'un pourra rembourser ses 'dettes' ! HAHAHAHA !
C'est de l'escroquerie, c'est vrai, c'est officiel, c'est légal puisqu'il s'agit d'une dictature !
Économie française : la grande glaciation
RépondreSupprimerIl est urgent de rectifier le tir en faisant quelque chose que nos administrations détestent faire par-dessus tout : évaluer l’efficacité des dispositifs qu’elles ont imposés à tous.
18 JANVIER 2021
Par Pierre Robert.
Il n’y a pas que les doses de vaccin que l’on stocke dans des congélateurs. On y a aussi mis notre économie qui s’y engourdit dangereusement et, en France plus qu’ailleurs, risque d’avoir bien du mal à en sortir.
Le 14 janvier 2021, les annonces de Jean Castex ont encore fait descendre la température de quelques degrés.
Il n’y a pas que les personnes en surpoids qui sont affectées par la Covid. Elle frappe aussi nos administrations obèses en révélant une fois de plus leur prodigieuse inefficience. La crise a agi comme un scanner montrant que des pans entiers de l’action publique sont défaillants, minés par un excès de bureaucratie, « ce mécanisme par lequel une personne est confortablement coupée des conséquences de ces actes » selon la définition de Nassim Nicholas Taieb (Jouer sa peau, éd. Les Belles Lettres, 2017).
Ce qui est désormais en jeu, c’est la survie même de notre économie qu’un empilement de décisions administratives prises sur la base d’une erreur initiale d’appréciation a plongé dans un état de plus en plus préoccupant.
UN ÉTRANGE MIMÉTISME
À la fin de l’hiver dernier, une époque qui parait déjà si lointaine, le surgissement de l’épidémie a fait entrer le monde dans une période de radicale incertitude. L’avenir proche est devenu subitement illisible pour ceux qui doivent prendre des décisions. La théorie économique montre que dans ce cas le plus sûr est d’observer ce que font les autres et de les copier.
Conformément à ce schéma la plupart des gouvernements ont adopté une stratégie de confinement, poussés par les conclusions alarmistes d’une étude menée au sein de l’Imperial College de Londres par l’équipe du professeur Neil Ferguson estimant que le virus pourrait infecter 80 % de la population et tuer entre 2 et 3 % des personnes contaminées
À cela s’ajoute le fait qu’en France plus encore qu’ailleurs sévit le principe de précaution dont les retombées judiciaires poussent les décideurs à privilégier le scénario le plus pessimiste. C’est ce que s’est empressé de faire le Conseil scientifique mis en place par notre gouvernement pour éclairer ses décisions. Il craignait que le virus ne provoque une hécatombe hexagonale faisant en quelques mois de 300 000 à 500 000 morts
UNE STRATÉGIE MORTIFÈRE
RépondreSupprimerToute la stratégie adoptée découle de cette analyse initiale. Elle n’est dictée que par un seul objectif, éviter l’engorgement de notre fragile système de soins, elle ne se réfère en dernier ressort qu’à un seul indicateur, le nombre de décès directement dus au virus.
Tout a donc été subordonné aux impératifs sanitaires sans prendre en compte les dommages collatéraux engendrés. Or ceux-ci sont énormes, en France plus qu’ailleurs pour des raisons spécifiques à notre pays et tenant à l’inefficience de ses administrations et à la spécialisation de son économie dans des secteurs très vulnérables à la propagation du virus (tourisme, automobile, aéronautique).
Ce qui rend la situation plus tragique encore est qu’on a réagi à l’excès sur la base de données erronées et qu’en dépit des dégâts provoqués par cette stratégie, la logique que suit le gouvernement le conduit à ne pas la remettre en question.
LE MAÎTRE DU DÉSASTRE
C’est ainsi que certains de ses collègues épidémiologistes ont surnommé le professeur Neil Ferguson.
En 2002, son modèle annonçait qu’au Royaume- Uni 150 000 personnes pourraient mourir de la maladie de la vache folle ; il y en a eu 177.
En 2005, il prévoyait que la grippe aviaire pourrait faire jusqu’à 150 millions de morts dans le monde ; il y en a eu 282.
Selon les spécialistes le modèle dont sont issues ses prévisions de 2020 est basé sur un code non divulgué de sorte que d’autres scientifiques n’ont pu à l’époque en vérifier les résultats.
Pour la Suède il envisageait qu’en juin 2020 100 000 personnes seraient mortes du SARS-CoV-2 ; à ce jour on y a enregistré 9834 décès.
Les limites manifestes de cette modélisation sont qu’elle se fonde sur des hypothèses exagérément alarmantes. Avant d’atteindre l’immunité collective qui limitera la transmission, ce sont entre 20 et 40 % de la population, et non 80 %, qui devraient être contaminés avec un taux moyen de mortalité par infection d’environ 0,25 %, dix fois inférieur à ce qui était annoncé.
Dans une atmosphère de panique générale, cette étude n’en a pas moins eu un impact considérable sur les décisions prises. De fait, elle était en phase avec les angoisses et les peurs du moment et par effet de rétroaction les a puissamment catalysées. Au printemps dernier, c’est le scénario le plus pessimiste qui a paru le plus crédible et qui l’a emporté en provoquant d’énormes dommages collatéraux.
DES DOMMAGES COLLATÉRAUX TRÈS IMPORTANTS
RépondreSupprimerPar décisions administratives, nous ne pouvons plus depuis des mois aller ni au restaurant, ni au café, ni au cinéma, ni au théâtre, ni au concert, ni au musée, ni dans les salles de sports ; les voyages prévus ont dû être annulés, les mariages ont dû être reportés, les enterrements se font à la sauvette.
Les fontaines à gel hydro alcoolique sont partout, les files d’attente s’allongent devant les magasins quand ils sont ouverts et nous ne croisons plus dans l’espace public que des personnes masquées. Dans cet environnement anxiogène on ne peut plus faire de projets, ce qui est un handicap majeur pour les chefs d’entreprise quand ils peuvent encore exercer leur activité.
Outre le coût social très lourd qu’elle engendre la situation a un impact de plus en plus violent sur notre économie. Privée d’oxygène, elle fonctionne au ralenti avec des performances encore plus mauvaises en France qu’ailleurs.
En 2020 le PIB est en recul de 4,2 % dans le monde, de 7,5 % dans la zone euro mais de plus de 9% en France selon l’OCDE. En 2021 des emplois y seront détruits en grand nombre, l’avenir des secteurs les plus touchés par les mesures de confinement et de couvre-feu paraitra de plus en plus incertain et les nuages s’accumuleront sur les étudiants en formation dont l’employabilité ne peut que se dégrader s’ils restent trop longtemps éloignés du marché du travail.
En revanche, la victoire de l’économie de plateforme (celle que régissent Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft ou encore Zoom et autres Netflix,) est écrasante alors que les acteurs européens et singulièrement français en sont dramatiquement absents. De cette économie digitale dont les maîtres deviennent plus influents que les États nous ne détenons pas les clés.
Nous devrons donc en subir la domination, faute d’avoir investi à temps dans les secteurs d’avenir. Reste seulement à espérer ne pas rater la prochaine révolution technologique, celle qui avec la 5G et les objets connectés devrait s’ordonner autour de la santé, de l’éducation, de la culture et de l’environnement. Mais pour y parvenir notre pays cumule des handicaps aggravés par la crise sanitaire.
Quand on en verra la fin, son économie en sortira écrasée par la dette publique, une dette qui depuis 40 ans finance non des investissements porteurs d’avenir mais les dépenses courantes. En 2020 elle a servi à compenser les pertes de revenus des agents empêchés d’exercer par décision administrative. Elle a donc financé la chute du niveau de vie et l’appauvrissement du pays. Une fois l’épidémie jugulée, pour le malade le risque est désormais de mourir guéri.
RÉÉVALUER LE DISPOSITIF
RépondreSupprimerCe qui se passe depuis le printemps dernier est entièrement subordonné à des mécanismes politiques. La viabilité des firmes est directement conditionnée par des mesures administratives les autorisant ou non à fonctionner normalement. Leur multiplication a plongé notre économie dans une sorte de coma.
Il est urgent de rectifier le tir en faisant quelque chose que nos administrations détestent faire par-dessus tout : évaluer l’efficacité des dispositifs qu’elles ont imposés à tous. Le bon sens voudrait pourtant que soit dressé le plus vite possible un bilan de leurs coûts et de leurs avantages. D’ores et déjà on peut en prédire la seule conclusion raisonnable : les dégâts de toute nature provoqués par cette stratégie de verrouillage sont infiniment supérieurs à ses avantages.
Il ne s’agit pas pour autant de ne rien faire mais de cibler les mesures de protection, qui par définition ont un aspect coercitif, sur les 10 à 12 millions de personnes vulnérables face au virus en raison de leur âge, de leur poids ou de certaines pathologies. Cela permettrait de délivrer les 55 millions d’autres du carcan qui les étouffe sans pour autant les exposer à un risque significatif.
Quant à la couverture vaccinale, il faut l’établir de la manière la plus large et la plus rapide que possible, ce que la France a les moyens de faire si on parvient à neutraliser les excès de sa bureaucratie.
REMONTER LA PENTE ?
Selon Robert Boyer se référant aux enseignements de l’histoire il faut beaucoup de temps pour effacer les traces d’une grande pandémie (Les capitalismes à l’épreuve de la pandémie, Ed. La Découverte, 2020). Mais ce délai varie selon les pays en fonction du degré plus ou moins élevé de réactivité de leur appareil industriel. À cet égard on retrouve le vieux clivage entre le nord et le sud de l’Europe. En passant du sixième au 26ème rang pour ce qui est du revenu par habitant, notre pays a depuis 40 ans dangereusement tendance à basculer du mauvais côté.
La crise sanitaire peut être l’occasion de corriger le tir en rectifiant ce qui ne fonctionne pas ou mal.
Cela veut dire réduire les dépenses publiques qui financent des administrations qui ont fait une fois de plus la preuve de leur inefficience. La France consacre à ses dépenses publiques l’équivalent de 56 % de son PIB, douze points de plus que l’Allemagne dont la population est pourtant plutôt mieux administrée, mieux soignée et mieux éduquée. Rien ne justifie un tel écart.
Cela veut dire aussi stimuler l’investissement productif privé par des mesures fiscales d’allègement et non en les subordonnant aux oukases d’une superposition de comités Théodule qui tels le canard sans tête n’ont ni boussole ni direction.
Le mieux que puisse faire aujourd’hui l’État c’est de favoriser et d’accélérer le plus tôt possible le retour du marché. Le danger fatal serait qu’il prétende réparer lui-même ce qu’il a détruit. Ce sont au contraire les forces du marché qu’il faut réactiver après qu’elles ont été trop longtemps étouffées.
Pierre Robert est l’auteur de Fâché comme un Français avec l’économie, ed. Larousse, 2019.
https://www.contrepoints.org/2021/01/18/389067-economie-francaise-la-grande-glaciation
C'est la crème des chiottes, le faux-filet tant qu'il est encore temps ou le 't'en fais pas c'est moi qui gère' ! Houlala !
SupprimerDu gel hydro alcoolique est employé pour... pour tuer des poussière radioactives !
Cà c'est du bon gros canular de l'oncle Picsou ! Eh oui, un virus n'est pas un microbe vivant ou bactérie vivante ! C'est du mort de chez mort puisqu'il s'agit de poussière. "Ecoutez les grains de sable respirer !"
Vous pouvez plonger votre poussière 'corona' dans 150 litres d'alcool à 90°, le plonger dans de l'eau bouillante ou de la javel, la poussière demeurera toujours poussière et le grain de sable toujours grain de sable !
Mais comment faire alors ? Le vaccin sert à encapsuler la poussière, c'est-à-dire qu'elle sera éloignée des cellules mais sera toujours radioactive.
D'où vient cette radioactivité ? Probablement d'éruptions volcaniques voire extraterrestres (il en tombe des tonnes sur Terre chaque jour); oui mais, cette fois-ci, la corona se distingue par sa vitesse à changer de vêtements comme Arturo Braquetti. Une artiste fabriquée aux labos !
Comme nous l'expliquait Li-Meng Yan, virologue chinoise (MD, PhD) le jeudi 8 octobre 2020
https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/le-covid-19-est-une-arme-biologique.html
"Le COVID-19 est une 'arme biologique sans restriction' !" c'est une fraude scientifique organisée à grande échelle ! D'où la particularité que, comme tous virus a une durée de vie de 3 semaines, il ne doit plus être présent au bout d'un mois ! Eh bêh non ! Il est encore là ! Oui mais sous un autre numéro ! (il a 3300 pseudonymes !) et, comme AUCUN vaccin ne peut être fabriqué en mois de 3 semaines... il suffit juste de larguer par drone quelques fioles de virus N°5 ou N°6 ou N°7 etc par ci par là et hop ! çà repart pour 3 semaines !
Klaus Schwab et sa prise d'otages de masse 2.0
RépondreSupprimerWinter Oak
Mondialisation.ca
sam., 16 jan. 2021 18:32 UTC
- Commentaire : Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020. -
« Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres ! »
Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre « Covid19 : la grande réinitialisation » se veut le bréviaire et la feuille de route d'une prise d'otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid 19 pour mettre en oeuvre la grande réinitialisation du capitalisme.
Qui est Klaus Schwab ? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l'élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l'image d'autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockfeller.
«L'existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Elites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu'elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» (1)
Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos.
«Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l'argent soit créé à partir de dettes et d'intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d'esclavage financier qui porte en lui les germes de l'autodestruction, puisqu'une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de gaz carbonique toujours plus grandes.» (2)
Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu'à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu'ils s'appliquent à mettre en œuvre aujourd'hui avec le Covid.
De même que ce sont les Etats, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd'hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d'un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l'économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu'ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l'image de ce qui se fait déjà en Chine.
RépondreSupprimerCette prise d'otage des peuples s'inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés:
- Tout d'abord l'intrusion de la fraude dans l'élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5 %, inédite depuis longtemps aux Etats-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l'économie américaine s'est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d'un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l'expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5 %, au plus bas depuis 50 ans jusqu'à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C'était sans compter sur la volonté d'en finir des mondialistes avec l'administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd'hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l'avocate Sidney Powell étant accablantes.
- Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d'une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d'un virus à l'échelle planétaire: le Covid 19.
Ce virus à la létalité de 0,05 % dont ont doit rappeler qu'il n'est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.
Malgré tout, ce que l'on appelle dorénavant « la grande pandémie du Covid 19 » n'est rien d'autre qu'un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre (3), pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l'économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l'objet d'une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l'on peut trouver en ligne sur la chaîne Youtube du FEM sous le titre « We ran a massive viral pandemic simulation. Here's what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette video de 3 minutes pour voir que personne n'est dupe : il ne s'agit ni plus, ni moins qu'une manipulation de grande envergure. (4)
Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L'Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l'humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu'elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d'un altruisme (!) pour jeter les bases d'un véritable gouvernement mondial».
RépondreSupprimerPublié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid 19 : la grande réinitialisation» n'est rien d'autre qu'un programme économique et politique totalitaire qui se propose d'avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l'une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l'occasion unique d'un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d'événements allant de la peste noire du Moyen-Age au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi
«La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l'ordre et l'économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»
Il ajoute qu'il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l'ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d'être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C'est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations». « Beaucoup d'entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais ! »
Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s'en tenir désormais.
Le ton est donné : « Des changements radicaux d'une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et « après le coronavirus » .
Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset.
Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d'entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d'une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.
RépondreSupprimerSchwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame :
« Le fait qu'il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l'avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ».
Une section entière de ce livre est consacrée au thème « Modifier l'être humain », ravalant les dystopies « 1984 » et « Le meilleur des mondes » à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». Il écrit :
« Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l'esprit, d'améliorer nos capacités physiques et même d'avoir un impact durable sur la vie elle- même ». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages intelligents », de « calcul biologique » et « d'organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs » (!)
Il est ravi d'annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », que « les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales ».
La « biologie synthétique » est à l'horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l'ADN ». C'est sur quoi certains labos s'ingénient à travailler dès à présent avec les « vaccins » ARN. L'idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d'asservissement des peuples, car l'urgence immédiate qu'il présente permet de précipiter l'ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : « Notre peur persistante et durable d'être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l'automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place ». Il ajoute : « L'impératif actuel est de propulser, quoi qu'il arrive, "l'économie sans contact" et la volonté ultérieure des régulateurs de l'accélérer signifie que l'on est sans tabou ». (!)
« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d'adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l'appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ».
RépondreSupprimer« Le mouvement de l'entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ».
Des mesures coercitives d'un type ou d'un autre sont également susceptibles d'être utilisées pour forcer les gens à prendre les « vaccins Covid » en cours de préparation, car derrière les « vaccins » se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s'étonne donc pas qu'il insiste sur le fait qu' « un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu'un « vaccin » ne soit disponible ». Il ajoute : « Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers ». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».
Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l'aube de sa nouvelle ère technocratique ?
La question est effrayante, mais nous devons également garder à l'esprit l'exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d'Hitler était censée durer mille ans, elle s'est effondrée 988 ans avant son objectif.
Ce n'est pas parce qu'Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu'il en a été ainsi.
Ce n'est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu'il en est ainsi.
Nous n'avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n'avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d'autre qu'une thérapie génique. Nous n'avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n'avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l'attente de l'abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n'est rien d'autre qu'un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n'est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l'élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l'apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n'ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu'ils essaient de nous imposer.
RépondreSupprimerTout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu'ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu'il existait d'autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu'ils ont systématiquement rejetées et balayées.
C'est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous bâillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d'urgence par la peur, nous n'allions jamais accepter leur plan monstrueux.
Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu'ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu'il n'ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d'Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d'État italien vient d'autoriser à nouveau l'hydroxychloroquine comme traitement du Covid 19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.
Aujourd'hui, il appartient à chacune et à chacun d'entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d'entrer si l'on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu'on ne savait pas. Car comme pour « Mein Kampf », tout était déjà écrit.
Comme l'a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l'effondrement du néolibéralisme.
Ce n'est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d'une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l'économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.
RépondreSupprimerNous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l'avenir de nos enfants !
Nous sommes le peuple, nous sommes les 99 %, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.
Source : Winter Oak, Klaus Schwab & His Great Fascist Reset, off-guardian, le 12 octobre 2020.
Résumé et adaptation par Jean-Michel Grau, Concepteur-rédacteur en communication
(1) le groupe Bilderberg, «l'élite» du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga (2) les esclaves de l'anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel
(3) Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing
(4) https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY
(5) lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.htm
https://fr.sott.net/article/36478-Klaus-Schwab-et-sa-prise-d-otages-de-masse-2-0
Aussi con que de se poser la question "comment monter un cadran solaire quand on ne connait pas l'heure ?" Bêh, il suffit d'avoir une boussole ! Ainsi dans la question du pourquoi cette épidémie et pourquoi cette continuité ? l réponse évidente au premier chef a été de dire que c'est pour vendre du vaccin. Oui mais comme les gros cons qui font des vaccins le proposent loin après les 3 semaines pendant que la poussière irradie, le dit remède ne sert donc plus à rien ! Et, comme bientôt il vont en sortir un nouveau [virus] tous les jours...
SupprimerMême que les 'laboratoires' !! proposent un vaccin alors que le virus n'a... même pas été isolé !!! C'EST-A-DIRE QU'IL N'EXISTE PAS !!!
Mais, comme la Kommandantur l'exige, des nano-particules transhumanistes doivent être injectées ! Le cobaye crève ou il se robotise !
Ils sont partis qu'un jour un crapau se transforma en prince charmant (d'où l'origine des dictateurs).
Qu'est-ce que le fascisme ? C'est le système sous lequel nous vivons depuis des décennies.
RépondreSupprimerPar Llewellyn H. Rockwell, Jr.
Mises.org
18 janvier 2021
[Note de la rédaction: en 2011, Lew Rockwell a écrit cette explication approfondie de ce qu'est vraiment le fascisme et de ce qu'il faut faire pour le combattre. Le fascisme, contrairement à ce que le récit médiatique dominant affirme, n'a pratiquement rien à voir avec des personnes exprimant des opinions politiquement incorrectes, ou des personnes refusant de porter des masques, ou un groupe d'émeutiers désorganisés brisant des fenêtres dans le Capitole américain. Le fascisme, au contraire, est une idéologie de contrôle étatique, qui a connu un immense succès au cours des soixante-dix dernières années aux États-Unis. Comme Rockwell l'explique ci-dessous, les «huit marques du fascisme» sont toutes des tendances claires et puissantes au sein du régime américain aujourd'hui.]
Le fascisme est le système de gouvernement qui cartélise le secteur privé, planifie au niveau central l'économie pour subventionner les producteurs, exalte l'État policier comme source de l'ordre, refuse les droits et libertés fondamentaux aux individus et fait de l'État exécutif le maître illimité de la société.
Cela décrit la politique dominante en Amérique aujourd'hui. Et pas seulement en Amérique. C’est vrai aussi en Europe. Cela fait tellement partie du courant dominant qu'il est à peine remarqué.
Si le fascisme nous est invisible, c'est vraiment le tueur silencieux. Il attache sur le marché libre un État énorme, violent et forestier qui draine son capital et sa productivité comme un parasite mortel sur un hôte. C'est pourquoi l'État fasciste a été appelé l'économie des vampires. Il aspire la vie économique d'une nation et entraîne la mort lente d'une économie autrefois florissante.
…
Le discours à Washington sur la réforme, que ce soit de la part des démocrates ou des républicains, est comme une mauvaise blague. Ils parlent de petits changements, de petites coupures, de commissions qu'ils établiront, de freins qu'ils feront dans dix ans. Tout est bruit blanc. Rien de tout cela ne résoudra le problème. Pas même proche.
Le problème est plus fondamental. C'est la qualité de l'argent. C'est l'existence même de 10 000 agences de régulation. C'est toute l'hypothèse que vous devez payer l'État pour que le privilège fonctionne. C'est la présomption que le gouvernement doit gérer tous les aspects de l'ordre économique capitaliste. En bref, c'est l'état total qui est le problème, et la souffrance et le déclin continueront tant que l'état total existera.
Les origines du fascisme
RépondreSupprimerCertes, la dernière fois que les gens se sont inquiétés du fascisme, c'était pendant la Seconde Guerre mondiale. Il ne peut être question de ses origines. Il est lié à l'histoire de la politique italienne de l'après-Première Guerre mondiale. En 1922, Benito Mussolini remporta une élection démocratique et fit du fascisme sa philosophie. Mussolini avait été membre du Parti socialiste italien.
Tous les acteurs les plus importants et les plus importants du mouvement fasciste venaient des socialistes. C'était une menace pour les socialistes parce que c'était le véhicule politique le plus attrayant pour l'application dans le monde réel de l'impulsion socialiste. Les socialistes sont passés pour rejoindre les fascistes en masse.
C'est aussi pourquoi Mussolini lui-même a bénéficié d'une si bonne presse pendant plus de dix ans après le début de son règne. Il a été célébré par le New York Times article après article. Il a été annoncé dans les collections savantes comme un exemple du type de leader dont nous avions besoin à l'ère de la société planifiée. Les bouffées sur ce blowhard étaient très courantes dans le journalisme américain tout au long de la fin des années 1920 et du milieu des années 1930.
En Italie, la gauche s'est rendu compte que son programme anticapitaliste pouvait être mieux réalisé dans le cadre d'un État autoritaire et planificateur. Bien sûr, notre ami John Maynard Keynes a joué un rôle essentiel en fournissant une justification pseudoscientifique pour joindre l'opposition au laissez-faire du vieux monde à une nouvelle appréciation de la société planifiée. Rappelons que Keynes n'était pas un socialiste de la vieille école. Comme il l'a dit lui-même dans son introduction à l'édition nazie de sa théorie générale, le national-socialisme était beaucoup plus hospitalier à ses idées qu'une économie de marché.
Flynn dit la vérité
L'étude la plus définitive sur le fascisme écrite au cours de ces années était As We Go Marching de John T. Flynn. Flynn était un journaliste et un universitaire d'esprit libéral qui avait écrit un certain nombre de livres à succès dans les années 1920. C'est le New Deal qui l'a changé. Ses collègues ont tous suivi FDR dans le fascisme, tandis que Flynn lui-même a gardé la vieille foi. Cela signifiait qu'il combattait FDR à chaque étape du chemin, et pas seulement ses projets domestiques. Flynn était un chef de file du mouvement America First qui voyait la conduite de FDR à la guerre comme rien d’autre qu’une extension du New Deal, ce qu’il était certainement.
As We Go Marching est sorti en 1944, juste à la fin de la guerre, et en plein milieu des contrôles économiques en temps de guerre dans le monde entier. C'est étonnant qu'il ait jamais dépassé les censeurs. Il s'agit d'une étude à grande échelle de la théorie et de la pratique fascistes, et Flynn a vu précisément où le fascisme se termine: dans le militarisme et la guerre comme l'accomplissement du programme de dépenses de relance. Lorsque vous êtes à court de tout le reste pour dépenser de l'argent, vous pouvez toujours compter sur la ferveur nationaliste pour financer davantage de dépenses militaires.
Les huit marques de la politique fasciste
RépondreSupprimerFlynn, comme d'autres membres de l'ancienne droite, était dégoûté par l'ironie que ce qu'il voyait, presque tout le monde choisissait d'ignorer. Après avoir passé en revue cette longue histoire, Flynn se résume à une liste de huit points qu'il considère comme les principales marques de l'État fasciste.
Au fur et à mesure que je les présenterai, je ferai également des commentaires sur l'État central américain moderne.
Point 1. Le gouvernement est totalitaire parce qu'il ne reconnaît aucune restriction sur ses pouvoirs.
Si vous devenez directement pris au piège du réseau de l’État, vous découvrirez rapidement qu’il n’ya en effet aucune limite à ce que l’État peut faire. Cela peut se produire en prenant un vol, en conduisant dans votre ville natale ou en faisant en sorte que votre entreprise soit dirigée contre une agence gouvernementale. En fin de compte, vous devez obéir ou être mis en cage comme un animal ou tué. De cette manière, peu importe à quel point vous croyez être libre, nous ne sommes tous aujourd'hui qu'à un pas de Guantanamo.
Aucun aspect de la vie n’est épargné par l’intervention du gouvernement, et elle prend souvent des formes que nous ne voyons pas facilement. Tous les soins de santé sont réglementés, mais il en va de même pour tous nos aliments, nos transports, nos vêtements, nos produits ménagers et même nos relations privées. Mussolini lui-même a formulé son principe de cette façon: «Tout à l'intérieur de l'État, rien en dehors de l'État, rien contre l'État.» Je vous soumets que c'est l'idéologie dominante aux États-Unis aujourd'hui. Cette nation, conçue dans la liberté, a été kidnappée par l'État fasciste.
Point 2. Le gouvernement est une dictature de facto basée sur le principe du leadership.
Je ne dirais pas que nous avons vraiment une dictature d’un seul homme dans ce pays, mais nous avons une forme de dictature d’un secteur du gouvernement dans tout le pays. Le pouvoir exécutif s'est tellement répandu au cours du siècle dernier qu'il est devenu une blague de parler de freins et contrepoids.
L’État exécutif est l’État tel que nous le connaissons, qui jaillit de la Maison Blanche. Le rôle des tribunaux est de faire respecter la volonté de l'exécutif. Le rôle du législatif est de ratifier la politique de l'exécutif. Cet exécutif ne concerne pas vraiment la personne qui semble être responsable. Le président n'est que le placage, et les élections ne sont que les rituels tribaux que nous subissons pour conférer une certaine légitimité à l'institution. En réalité, l'État-nation vit et prospère en dehors de tout «mandat démocratique». Nous trouvons ici le pouvoir de réglementer tous les aspects de la vie et le pouvoir pervers de créer l'argent nécessaire pour financer cette règle exécutive.
Point 3. Le gouvernement administre un système capitaliste avec une immense bureaucratie.
RépondreSupprimerLa réalité de l’administration bureaucratique nous accompagne au moins depuis le New Deal, qui a été calqué sur la bureaucratie de planification qui a vécu pendant la Première Guerre mondiale. L’économie planifiée - que ce soit à l’époque de Mussolini ou au nôtre - nécessite de la bureaucratie. La bureaucratie est le cœur, les poumons et les veines de l'état de planification. Et pourtant, réglementer une économie aussi minutieusement que celle-ci l'est aujourd'hui, c'est tuer la prospérité avec un milliard de coupes minuscules.
Alors, où est notre croissance ? Où est le dividende de la paix qui était censé venir après la fin de la guerre froide? Où sont les fruits des incroyables gains d'efficacité que la technologie a procurés? Il a été dévoré par la bureaucratie qui gère chacun de nos mouvements sur cette terre. Le monstre vorace et insatiable ici s'appelle le Code fédéral qui appelle des milliers d'agences à exercer le pouvoir de police pour nous empêcher de vivre une vie libre.
C'est comme le disait Bastiat: le coût réel de l'État, c'est la prospérité que nous ne voyons pas, les emplois qui n'existent pas, les technologies auxquelles nous n'avons pas accès, les entreprises qui ne voient pas le jour, et les brillants futur qui nous est volé. L'État nous a pillés aussi sûrement qu'un voleur qui entre chez nous la nuit et vole tout ce que nous aimons.
Point 4. Les producteurs sont organisés en cartels à la manière du syndicalisme.
Le syndicaliste n'est généralement pas ce que nous pensons de notre structure économique actuelle. Mais rappelez-vous que le syndicalisme signifie le contrôle économique par les producteurs. Le capitalisme est différent. Il place, en vertu des structures de marché, tout contrôle entre les mains des consommateurs. La seule question pour les syndicalistes est donc de savoir quels producteurs bénéficieront du privilège politique. Il peut s'agir des travailleurs, mais aussi des plus grandes entreprises.
Dans le cas des États-Unis, au cours des trois dernières années, nous avons vu des banques géantes, des firmes pharmaceutiques, des assureurs, des constructeurs automobiles, des banques et maisons de courtage de Wall Street et des sociétés hypothécaires quasi privées bénéficier de vastes privilèges à nos dépens. Ils se sont tous associés à l'État pour vivre une existence parasitaire à nos dépens.
Point 5. La planification économique est basée sur le principe de l'autarcie.
RépondreSupprimerL'autarcie est le nom donné à l'idée d'autosuffisance économique. Il s'agit principalement de l'autodétermination économique de l'État-nation. L'État-nation doit être géographiquement énorme afin de soutenir une croissance économique rapide pour une population nombreuse et croissante.
Regardez les guerres en Irak, en Afghanistan et en Libye. Nous serions extrêmement naïfs de croire que ces guerres n'étaient pas motivées en partie par les intérêts des producteurs de l'industrie pétrolière. C'est vrai de l'empire américain en général, qui soutient l'hégémonie du dollar. C'est la raison de l'Union nord-américaine.
Point 6. Le gouvernement soutient la vie économique grâce aux dépenses et aux emprunts.
Ce point ne nécessite aucune élaboration car il n'est plus caché. Dans le dernier tour, et avec un discours aux heures de grande écoute, Obama s'est demandé comment se fait-il que les gens soient au chômage à un moment où les écoles, les ponts et les infrastructures doivent être réparés. Il a ordonné que l'offre et la demande se réunissent pour faire correspondre le travail nécessaire avec les emplois.
Bonjour ? Les écoles, les ponts et les infrastructures auxquels Obama fait référence sont tous construits et entretenus par l'État. C’est pourquoi ils s’effondrent. Et la raison pour laquelle les gens n’ont pas d’emploi est que l’État a rendu trop coûteux leur embauche. C'est pas compliqué. S'asseoir et rêver d'autres scénarios n'est pas différent de souhaiter que l'eau coule vers le haut ou que les roches flottent dans les airs. Cela équivaut à un déni de la réalité.
Quant au reste de ce discours, Obama a promis une autre longue liste de projets de dépenses. Mais aucun gouvernement dans l'histoire du monde n'a dépensé autant, emprunté autant et créé autant de fausse monnaie que les États-Unis, tout cela grâce au pouvoir de la Fed de créer de l'argent à volonté. Si les États-Unis ne sont pas qualifiés d’État fasciste dans ce sens, aucun gouvernement ne l’a jamais fait.
Point 7. Le militarisme est un pilier des dépenses publiques.
Avez-vous déjà remarqué que le budget militaire n'est jamais sérieusement discuté dans les débats politiques ? Les États-Unis dépensent plus que la plupart des autres pays du monde réunis. Et pourtant, pour entendre nos dirigeants parler, les États-Unis ne sont qu'une petite république commerciale qui veut la paix mais qui est constamment menacée par le monde. Où est le débat sur cette politique ? Où est la discussion ? Cela ne continue pas. Les deux parties supposent simplement qu'il est essentiel pour le mode de vie américain que les États-Unis soient le pays le plus meurtrier de la planète, menaçant tout le monde d'extinction nucléaire à moins qu'ils n'obéissent.
Point 8. Les dépenses militaires ont des objectifs impérialistes.
RépondreSupprimerNous avons eu une guerre après l’autre, des guerres menées par les États-Unis contre des pays non conformes et la création d’encore plus d’États clients et de colonies. La force militaire américaine n'a pas conduit à la paix mais au contraire. Elle a amené la plupart des gens dans le monde à considérer les États-Unis comme une menace, et elle a conduit à des guerres déraisonnables dans de nombreux pays. Les guerres d'agression ont été définies à Nuremberg comme des crimes contre l'humanité.
Obama était censé mettre fin à cela. Il n'a jamais promis de le faire, mais ses partisans croyaient tous qu'il le ferait. Au lieu de cela, il a fait le contraire. Il a augmenté les niveaux de troupes, enraciné les guerres et en a commencé de nouvelles. En réalité, il a présidé un État de guerre aussi vicieux que n'importe quel autre dans l'histoire. La différence cette fois est que la gauche ne critique plus le rôle des États-Unis dans le monde. En ce sens, Obama est la meilleure chose qui soit jamais arrivée aux bellicistes et au complexe militaro-industriel.
The Future
Je ne peux pas penser à une plus grande priorité aujourd'hui qu'une alliance antifasciste sérieuse et efficace. À bien des égards, on se forme déjà. Ce n'est pas une alliance formelle. Il est composé de ceux qui protestent contre la Fed, de ceux qui refusent de se rallier à la politique fasciste dominante, de ceux qui recherchent la décentralisation, de ceux qui demandent une baisse des impôts et du libre-échange, ceux qui recherchent le droit de s'associer avec qui ils veulent et d'acheter et vendent aux conditions de leur choix, ceux qui insistent pour qu'ils puissent éduquer seuls leurs enfants, les investisseurs et épargnants qui rendent possible la croissance économique, ceux qui ne veulent pas se faire sentir dans les aéroports et ceux qui sont devenus expatriés.
Il s'agit également des millions d'entrepreneurs indépendants qui découvrent que la principale menace à leur capacité de servir les autres par le biais du marché commercial est l'institution qui prétend être notre plus grand bienfaiteur: le gouvernement.
Combien de personnes entrent dans cette catégorie ? C'est plus que ce que nous savons. Le mouvement est intellectuel. C'est politique. C'est culturel. C'est technologique. Ils viennent de toutes les classes, races, pays et professions. Ce n'est plus un mouvement national. C'est vraiment mondial.
Et que veut ce mouvement ? Rien de plus ni de moins qu'une douce liberté. Il ne demande pas que la liberté soit accordée ou donnée. Il ne demande que la liberté qui est promise par la vie elle-même et qui existerait autrement s'il n'y avait pas l'état Léviathan qui nous vole, nous harcèle, nous emprisonne, nous tue.
Ce mouvement ne part pas. Nous sommes quotidiennement entourés de preuves que cela est juste et vrai. Chaque jour, il est de plus en plus évident que l'État ne contribue absolument rien à notre bien-être; il en soustrait massivement.
RépondreSupprimerDans les années 30, voire jusque dans les années 80, les partisans de l'État débordaient d'idées. Ce n'est plus vrai. Le fascisme n'a pas d'idées nouvelles, pas de grands projets - et même ses partisans ne croient pas vraiment qu'il peut accomplir ce qu'il se propose de faire. Le monde créé par le secteur privé est tellement plus utile et beau que tout ce que l'État a fait que les fascistes sont eux-mêmes démoralisés et conscients que leur agenda n'a pas de véritable fondement intellectuel.
Il est de plus en plus largement connu que l’étatisme ne fonctionne pas et ne peut pas fonctionner. L'étatisme est le grand mensonge. L'étatisme nous donne l'exact opposé de sa promesse. Il promettait la sécurité, la prospérité et la paix; il nous a donné la peur, la pauvreté, la guerre et la mort. Si nous voulons un avenir, c'est celui que nous devons nous construire. L'Etat fasciste ne nous le donnera pas. Au contraire, cela fait obstacle.
En fin de compte, c'est le choix auquel nous sommes confrontés: l'état total ou la liberté totale. Lequel allons-nous choisir ? Si nous choisissons l'État, nous continuerons de sombrer de plus en plus et finirons par perdre tout ce que nous chérissons en tant que civilisation. Si nous choisissons la liberté, nous pouvons exploiter ce remarquable pouvoir de coopération humaine qui nous permettra de continuer à créer un monde meilleur.
Dans la lutte contre le fascisme, il n'y a aucune raison de désespérer. Nous devons continuer à lutter avec la plus grande confiance que l’avenir nous appartient et non à eux.
Leur monde s'effondre. Le nôtre est juste en cours de construction. Leur monde est basé sur des idéologies en faillite. La nôtre est enracinée dans la vérité sur la liberté et la réalité. Leur monde ne peut que revenir aux jours de gloire. Le nôtre attend avec impatience l'avenir que nous construisons pour nous-mêmes.
Leur monde est enraciné dans le cadavre de l'État-nation. Notre monde s'appuie sur les énergies et la créativité de tous les peuples du monde, unis dans le grand et noble projet de créer une civilisation prospère grâce à une coopération humaine pacifique. Nous possédons la seule arme vraiment immortelle: la bonne idée. C'est cela qui mènera à la victoire.
This article is adapted from a longer version published in 2011.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/lew-rockwell/what-is-fascism-its-the-system-weve-been-living-under-for-decades/
L'établissement a préparé un autre assaut contre Trump America
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
18 janvier 2021
Aujourd'hui, Stephen Lendman décrit la militarisation et la fortification de Washington avant l’inauguration de mercredi. (Stephen Lendman n'est pas un Trumper. Il est un intellectuel juif et membre de l'ancienne gauche qui a défendu la classe ouvrière. La vieille gauche est en train de mourir, et ceux qui restent ne sont pas les bienvenus sur les sites de la nouvelle fausse gauche qui méprise la classe ouvrière comme «déplorables de Trump» et sert l'establishment contre rémunération.)
Qu'est-ce qui se passe ici ? À tout le moins, l'objectif de la militarisation de la capitale est de faire comprendre davantage aux Américains et à l'étranger que les Américains de Trump sont des «ennemis de la démocratie» contre lesquels la nouvelle présidence doit être protégée. Après avoir présenté avec succès le rassemblement de Trump comme une insurrection, il est facile pour l'establishment de suggérer que «les ennemis de la démocratie» frapperont à nouveau. Le message est que tant que les Américains de Trump auront le droit de se réunir et de protester du premier amendement, la démocratie américaine sera dangereuse. Cela prépare le terrain pour réduire les manifestations contre les politiques du régime Biden et fermer les explications alternatives aux explications contrôlées de l’Establishment.
Il y a peut-être plus à faire que cela. Posez-vous la question, une telle fermeture perturbatrice et coûteuse de la capitale du pays ne serait-elle entreprise que pour que rien ne se passe et que la réaction excessive de l’establishment à sa propre rhétorique soulève des questions sur la réaction excessive au rassemblement de Trump ? Les «ennemis de la démocratie», une fois convoqués, ne peuvent plus disparaître. Je me demande quelles sont les chances des bookmakers sur une attaque sous faux drapeau lors de l'inauguration.
Une attaque sous fausse bannière peut être évidente, mais les putes médiatiques de l’Establishment la vendront à l'infini comme elles ont vendu tous les autres mensonges de l’Establishment. Alors que les médias mondiaux, suivant les presstituts américains, ont passé toute l'administration Trump à construire une fausse image du président Trump, les dérapages sont graissés pour la mise en place des Trump américains comme des personnes dangereuses contre lesquelles des mesures doivent être prises. Peut-être que l'establishment a tellement sur-fortifié le district de Columbia et sur-rempli de troupes, que la perspective d'une insurrection est trop sombre pour être convaincue. Nous le saurons dans quelques jours.
Si le 20 janvier apporte une attaque sous faux drapeau, attendez-vous à ce qu’Antifa et BLM s’assurent que les villes noires des États-Unis se multiplient à nouveau dans les émeutes et les pillages et que dans les juridictions contrôlées par les démocrates, la police recevra l’ordre, comme auparavant, de se retirer. Tous les pillages et destructions seront alors imputés aux Américains de Trump mis en place par l'événement sous faux drapeau comme tentant de bloquer l'inauguration de Biden.
RépondreSupprimerÀ ce stade, les Américains de Trump seront aussi vulnérables que les juifs de l'Allemagne nazie et les Koulaks sous Staline. En effet, les avocats, les juges et les politiciens qui défendent les Trumpers accusés à tort seront confondus avec les Juifs et les Koulaks. Les gens disent qu'il ne peut pas y avoir de guerre civile, mais si cela se produit, le seul moyen qu'il n'y ait pas de guerre civile est que les Trumpers menacés, comme les Juifs de l'Allemagne nazie, ne résistent pas.
Pour compléter cet exercice mental, rejetez maintenant cette chronique comme un fantasme extrémiste. Pourtant, nous nous retrouvons avec une division de la population en deux groupes à peu près égaux, mais un groupe assis sur le haut du cheval moral contrôlant toutes les positions de pouvoir et l'argent et l'autre diabolisé et largement sans communication. Les Américains qui s'opposent à l'ouverture des frontières par l'establishment et inondent l'Amérique d'étrangers, établissant ainsi un régime de parti unique plus facile à contrôler pour l'establishment, seront non seulement rejetés comme racistes et suprémacistes blancs, mais également poursuivis comme racistes, blancs suprématistes et ennemis de la démocratie. D'une manière générale, ceux qui ont le pouvoir l'utilisent.
Ce que l’establishment américain n’a pas encore réalisé, c’est qu’une fois que ce processus a commencé, il ne s’arrête pas avec les Trumpers mais procède à l’élimination de l’establishment blanc lui-même. Tous ceux qui veulent voir leur propre avenir et celui de la civilisation occidentale doivent lire Le Camp des Saints. Le processus se déroule sous nos yeux.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/paul-craig-roberts/the-establishment-has-prepared-another-assault-on-trump-america/
(...) les Américains de Trump seront aussi vulnérables que les juifs de l'Allemagne nazi (...)
SupprimerPrécisons, précisons ! les juifs étaient des 2 côtés puisque adolph hitler était lui-même juif et s'est assemblé à d'autres juifs (SS/Wermarcht, etc) pour éliminer l'excision empêchant tout être humain de jouir (voir Mein Kampf) car la jouissance est interdite par la religion. Donc disais-je, dans les wagons et camps étaient parqués avec des juifs des non juifs en plus grand nombre qui auraient ou supposés être des !
Il est encore temps pour Trump de faire la bonne chose
RépondreSupprimerPar Jacob G. Hornberger
La Fondation Future of Freedom
18 janvier 2021
Il est étonnant pour moi que le président Trump ait pardonné à certaines personnes qu'il considérait comme héroïques tout en continuant de laisser Julian Assange et Edward Snowden, deux véritables héros, dans l'embarras. Assange, bien sûr, obtient le pire, étant donné les conditions brutales dans lesquelles les autorités américaines et britanniques l'ont incarcéré en Angleterre. Mais cela ne peut toujours pas être un paquet de joie pour Snowden de vivre en Russie, compte tenu de l'environnement sociétal semblable à une prison qui accompagne la vie sous le régime russe.
Prenons les pardons de Trump à deux anciens agents de la patrouille frontalière, Ignacio Ramos et Jose Campean. Ils poursuivaient un immigrant sans papiers qui s'enfuyait au Mexique. Le meilleur récit de ce qui s'est passé a été détaillé dans un article du Texas Monthly intitulé «Badges of Dishonor».
Lorsque l'immigrant, Osvaldo Aldrete-Davila, leva les mains et tenta de se rendre, Campean lui lança la crosse de son arme. Aldrete-Davila s'est alors enfui et les deux agents ont commencé à lui tirer dessus. Une balle l'a touché à la fesse mais il a pu rentrer au Mexique.
Les deux agents ont alors fait de leur mieux pour dissimuler leurs actes. Ils ont récupéré leurs enveloppes d'obus et les ont jetées dans un fossé. Lors d’une enquête ultérieure, ils ont déclaré qu’ils avaient vu un objet brillant dans la main de la victime et pensaient qu’il s’agissait d’une arme à feu. Dans leur poursuite pénale ultérieure pour voies de fait, un jury fédéral a conclu qu'ils mentaient et les a condamnés.
L'une des premières choses que j'ai apprises quand j'étais enfant en regardant des westerns à la télévision, c'est qu'on ne tire jamais sur quelqu'un dans le dos. Faire cela est à peu près aussi lâche et honteux que possible.
Mais pas selon Trump ainsi qu'une coterie de ses cohortes conservatrices, ils considèrent Ramos et Campean comme de vrais héros pour «défendre notre frontière». Ils soulignent que le véhicule d’Aldrete-Davila contenait 700 livres de marijuana, comme si fournir du pot aux Américains qui souhaitent le fumer est une sorte d’offense horrible. Peu importe, aussi, qu’au moment où ils tiraient sur le dos d’Aldrete Davila, ils ne connaissaient pas le pot.
Trump a également gracié un autre ancien agent de la patrouille frontalière, un homme du nom de Gary Brugman. Il a été condamné pour avoir brutalement agressé des immigrants sans papiers alors qu'ils étaient déjà en captivité et se comportaient pacifiquement.
Trump a également gracié Joe Arpaio, l'ancien shérif de l'Arizona en croisade anti-immigrés qui a été reconnu coupable d'outrage pour avoir refusé de se conformer à une ordonnance du tribunal de cesser le profilage racial.
Il a également gracié le personnel de Blackwater qui avait été reconnu coupable d'avoir tué des Irakiens innocents.
Maintenant, comparez ces personnes à Assange et Snowden, deux hommes qui ont risqué leur vie, leur liberté et leur bien-être pour révéler la vérité sur les actions perverses et immorales de l'establishment américain de la sécurité nationale. C’est pourquoi le Pentagone, la CIA et la NSA les poursuivent avec vengeance - parce qu’ils ont dit la vérité sur le gouvernement américain.
RépondreSupprimerTrump pardonnera-t-il à ces deux véritables héros ? Il me surprendra peut-être encore, mais j'en doute car nous pouvons voir des personnes qu'il a déjà pardonnées que ses valeurs sont déformées et perverties. Mais il a encore deux semaines pour faire une bonne chose avant de quitter la Maison Blanche.
Reprinted with permission from The Future of Freedom Foundation.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/jacob-hornberger/there-is-still-time-for-trump-to-do-the-right-thing/
Illusion de liberté
RépondreSupprimerPar Jim Quinn
La plate-forme brûlante
18 janvier 2021
«L’illusion de la liberté continuera tant qu’il sera profitable de continuer l’illusion. Au point où l'illusion devient trop chère à entretenir, ils vont simplement abattre le paysage, ils tireront les rideaux, ils déplaceront les tables et les chaises à l'écart et vous verrez le mur de briques à l'arrière du théâtre." - Frank Zappa
«Le choix de l'humanité se situe entre la liberté et le bonheur et pour la grande majorité de l'humanité, le bonheur est meilleur.» - George Orwell, 1984
La citation de Frank Zappa s'est vraiment concrétisée au cours des deux premières semaines de 2021. Nous vivons dans un État de surveillance depuis l'introduction du Patriot Act en 2001 (Biden s'est vanté d'avoir rédigé le projet de loi des années auparavant). Jusqu'à ce que Snowden et Assange révèlent la profondeur et la dépravation de cette intrusion non constitutionnelle dans nos vies, seule la cabale de l'État profond savait la vérité.
La plupart des Américains ont ignoré ces révélations, car ils continuaient d'être distraits et divertis par leurs iGadgets et les nouvelles plateformes de médias sociaux comme Facebook, Twitter, Instagram, Youtube et autres. Ces sociétés de médias sociaux ont transformé le besoin narcissique d'affirmation, de likes et de followers des gens en conglomérats de plusieurs milliards de dollars avec un contrôle quasi monopolistique sur la distribution des informations, des opinions et de la communication en ligne des masses.
Ils ont collecté des données personnelles sur des centaines de millions de personnes, utilisé ces données pour créer une dépendance à leurs plates-formes, créé des algorithmes pour maximiser leur monétisation de vous et se sont entendus avec les agences de surveillance gouvernementales pour vous espionner. L'illusion de la liberté d'expression offerte par ces milliardaires de la Silicon Valley était extrêmement rentable au cours des deux dernières décennies, alors maintenant avec un contrôle pratiquement total de la communication Internet, ces oligarques de gauche ont conspiré avec les traîtres de l'État profond, le parti démocrate et le Davos. foule pour tirer le rideau et révéler le mur de briques à l'arrière du théâtre.
Ils ont commencé à déplacer les tables et les chaises avec la pandémie mondiale fabriquée pour le virus chinois des laboratoires d'armes biologiques en mars. Les psychopathes, qui exercent le vrai pouvoir, n'ont aucun souci pour l'humanité. Ils ont profité de cette «crise» pour mettre en œuvre un plan visant à éliminer Trump en utilisant Covid comme excuse pour déployer un système de vote par correspondance (complété par le trucage de la machine à voter du Dominion) afin de commettre juste assez de votes frauduleux pour lancer l'élection au sous-sol Biden, un clown maladroit sénile qui a attiré des dizaines de dizaines à ses rassemblements massifs.
Les autocrates des médias sociaux ont donné les premières idées de l'extinction de l'illusion de la liberté car ils devaient augmenter la peur et la panique d'une grippe avec un taux de survie de 99,7%, ils ont donc commencé à censurer les médecins et autres dissidents qui ont osé remettre en question le récit approuvé de une pandémie mortelle nécessitant des verrouillages massifs, des fermetures de petites entreprises (pas Wal-Mart ou Target) et un masquage obligatoire.
Lorsque l'efficacité de l'hydroxychloquine + zinc + zpack et de l'ivermectine a été méprisée, ridiculisée et censurée par les titans des médias sociaux, vous saviez qu'ils étaient de mèche avec Gates, Fauci et Big Pharma pour générer des milliards de bénéfices plutôt que de sauver des vies. Malgré des verrouillages sans équivoque et les masques ne font rien pour arrêter la propagation d'une grippe qui a un impact négligeable sur les personnes de moins de 70 ans, les médias grand public et les entreprises de médias sociaux ont promu des mensonges et censuré la vérité.
RépondreSupprimerIls devaient détruire l'économie pour éliminer Trump. Le décor a été détruit lorsque les conglomérats médiatiques se sont entendus pour enterrer complètement l'histoire de l'ordinateur portable Hunter Biden et la preuve du trafic d'influence de la famille criminelle Biden avec la Chine, l'Ukraine et la Russie, et le Big guy - effrayant et endormi Joe prenant sa réduction de 10% . Toute personne présentant les faits de ces activités criminelles a été immédiatement interdite, y compris le NY Post et des dizaines d'autres vrais journalistes.
Le rideau a été légèrement replié la nuit des élections et dans les semaines qui ont suivi, lorsque leur plan directeur de votes par correspondance frauduleux a échoué et qu'ils ont dû arrêter le décompte dans tous les États swing pour fabriquer plus de votes pour mettre le gamin sénile groper. sur le dessus. La police autoritaire de censure de la Silicon Valley est allée à la dérive, supprimant les preuves documentées de fraude de masse, cachant des preuves vidéo et des centaines d'affidavits écrits documentant la fraude, interdisant aux dissidents de leurs plates-formes, promouvant le faux récit de l'élection la plus juste jamais vue, l'ombre interdisant les points de vue opposés mettre des avertissements sur les comptes de quiconque a présenté des faits sur la fraude électorale et supprimer les tweets et les publications Facebook du président.
Biden aurait dû retourner dans son sous-sol, où le DOCTEUR Jill Biden pourrait lui donner du gruau et essuyer la bave de son menton, en attendant que la démence dévore enfin l'un des politiciens les plus corrompus de l'histoire de ce pays. Mais au lieu de cela, le 20 janvier, il sera soutenu sur scène pour être assermenté en tant que président, jusqu'à ce que ses gestionnaires décident d'utiliser le 25e amendement et d'installer le nouveau BJ en chef - Kamala. Le cheval de Troie a franchi les portes.
Le rideau a été déchiré et les tables et les chaises jetées de côté la semaine dernière, alors que les tyrans des médias sociaux ont montré leurs vraies couleurs et que la cavalcade de collusion de quatre ans a atteint son apogée illusoire, avec un mur de briques solide bloquant les sorties.
RépondreSupprimerLes ennemis du peuple (alias oligarques milliardaires, conspirateurs de la Silicon Valley, faux médias d'entreprise, fantômes traîtres de l'État profond et politiciens corrompus) ont profité de l'incapacité de Trump à comprendre le risque d'attirer à Washington quelques centaines de milliers de ses fidèles les plus enflammés. le même jour, le Congrès se réunissait pour confirmer le décompte des votes du collège électoral, en infiltrant le rassemblement avec des agents de l'ANTIFA. Leur intention était de dépeindre les partisans de Trump comme de dangereux terroristes nationaux, et le récit a été propagé sans cesse par la gauche.
Trump a prononcé le discours standard qu'il a prononcé à plusieurs reprises pendant la campagne et a spécifiquement dit à ses partisans de manifester «pacifiquement» dans la capitale pour faire savoir à nos représentants ce qu'ils pensaient du vol électoral frauduleux qui a eu lieu le 4 novembre. Il n'y a absolument rien qu'il dit ou fait pendant ce discours qui peut éventuellement être interprété comme un appel à la violence populaire. Il a exhorté la foule à faire entendre sa voix par la réunion des politiciens corrompus achetés par les entreprises pour confirmer l'élection volée.
Sur la base des centaines de vidéos documentant la prétendue foule d'attaques «insurrectionnelles», il est clair que la plupart des idiots ont été laissés dans la capitale par la police, il y avait de nombreux voyous ANTIFA qui faisaient des ravages, aucun des insurgés n'avait d'arme à feu, prenant des selfies, et poser dans les bureaux du Congrès pour des publications sur Facebook a été la principale réalisation, et une femme non armée a été abattue par un policier après avoir été exhortée à passer par une fenêtre par le chef du BLM, John Sullivan.
Il y avait quelques centaines de milliers de partisans de Trump lors du rassemblement et peut-être quelques centaines qui ont serpenté dans le bâtiment de la capitale, cassé quelques fenêtres, pris des selfies avec des policiers et environ cinq cents politiciens corrompus pissant leur pantalon parce que leurs électeurs sont en colère contre verrouillages stupides et voler une élection par fraude flagrante.
Rien n’a été brûlé, il y a eu 99% de violence en moins que toute «manifestation pacifique» du BLM au cours de l’été, et les seules choses pillées étaient le podium de Pelosi et son ordinateur portable. Elle est probablement en colère parce qu'elle avait des selfies nus, qu'elle a envoyés à Fartman Swalwell et Cryin Chuck. C'était une configuration parfaite de la part de ceux qui détenaient le vrai pouvoir dans ce pays pour détruire Trump et marquer ses 75 millions d'abonnés avec un Scarlet T. Ils ne laissent jamais une opportunité comme celle-ci se perdre. AOC et le reste de son équipe se sont tournés vers les médias sociaux pour décrire la terreur de presque mourir dans cette insurrection armée sans armes. Peut-être pensaient-ils qu'ils pourraient être encornés à mort par cet acteur payant.
RépondreSupprimerChaque instant depuis le 6 janvier a été utilisé par l'oligarchie Big Tech / Big Gov / Big Corp pour promouvoir la fausse nouvelle «insurrection» contre un gouvernement qui s'enfuit avec votre argent sous la menace d'une arme, utilise la Constitution américaine comme du papier toilette, dépense les générations futures dans la servitude de la dette impayable, a autant de vision que Ray Charles et la moralité d'une pute à 2 $. Je m'excuse auprès de toutes les putes à 2 $, qui fournissent au moins un service. Les porte-parole des médias dociles ont reçu le script pour propager les termes «insurrection», «sédition», «coup» et «rébellion armée» pendant les deux dernières semaines, le battant à mort comme un sceau matraqué.
La méthode Big Lie est utilisée par les acolytes Goebbels / Bernays de CNN, MSNBC et même Fox, car ils perpétuent le mensonge d'une rébellion armée, quand absolument personne n'a utilisé d'armes à feu alors qu'ils étaient introduits dans la capitale par la police. Ils ont libéré les chiens enragés dans une mission flagrante de recherche et de destruction visant à décapiter Trump et à forcer ses partisans à se soumettre par la menace de perte d'emploi, le statut social de paria et l'incapacité de s'associer librement avec d'autres personnes partageant les mêmes idées sur les plateformes sociales.
Alors que cette deuxième farce de destitution se déroule et que la nation est absorbée et divertie par des crétins enflammés déguisés en représentants élus, crachant du charabia de suprématie blanche, confirmant la croyance de Mencken que ceux que nous élisons prouvent que les électeurs sont aussi stupides que les imbéciles qu'ils élisent, l'économie réelle reste une dépression mandatée par le gouvernement, les banques alimentaires sont débordées, les petites entreprises continuent d'être volontairement détruites par les gouverneurs des despotes, tandis que Big Corp et Big Tech prospèrent, prospèrent et aspirent plus de richesse.
Nancy Pelosi et son équipe de divers crachats de marais de respiration buccale ont maintenant destitué Trump pour un appel téléphonique au sujet de l'accusation véridique selon laquelle Joe Biden a utilisé une influence indue pour qu'un procureur ukrainien enquête sur le trafic flagrant de l'influence de Biden par Hunter Biden pour des millions, et maintenant pour l'incitation. d'une insurrection en prononçant un discours dans lequel il a dit à une foule de protester pacifiquement contre une élection déchirée par des systèmes de commutation de vote par ordinateur en ligne et par la fraude par correspondance.
RépondreSupprimerDans les deux cas, il n'y avait aucune chance que Trump soit condamné et dans le cas présent, ces troglodytes irréprochables ont passé quelques heures à faire des courses vides avant de voter pour la destitution et devraient mener un procès au Sénat après le retour de Trump en Floride. Ce n'est rien d'autre que de la pure politique putride dans une tentative de faire ramper et reculer les politiciens républicains, tout en essayant de faire honte aux électeurs de Trump dans l'isolement.
Les lâches RINO ont montré leurs vraies couleurs en votant avec l'équipe de Pelosi, dirigée par la belliciste de l'establishment néo-conservateur Liz Cheney. En une semaine, le FBI aurait déterminé que la «prise d'assaut» (c'est-à-dire le fait d'être laissé entrer par la police) de la capitale était coordonnée et planifiée des semaines avant d'utiliser les groupes Facebook et d'autres médias sociaux. Cela pose la question, comment le discours de Trump pourrait-il inciter à une insurrection déjà planifiée et exécutée alors qu'il parlait encore? Facebook est-il fermé pour le bien du pays ?
Pendant plus d'une semaine, les oligarques de la Big Tech / Big Media / Big Gov ont jeté les conneries d'insurrection dans nos gorges avec leur pontification et leur peinture de tous les partisans de Trump en tant que suprémacistes blancs menant un soulèvement armé contre nos «nobles» créatures des marais du gouvernement glissant dans les couloirs de congrès. Le FBI a fait sa part en hyperventilant les manifestations armées «potentielles» dans chaque capitale de l'État le 20 janvier. Le FBI, avec la CIA, le DOJ et l'armée, ont participé au complot visant à renverser Trump avant qu'il ne prenne ses fonctions, et ils continuent de faire leur part dans le coup d'État sans fin pour le discréditer et s'assurer qu'il ne pourra plus se présenter en 2024.
Ce n'est rien d'autre que de la peur pour discréditer davantage les partisans de Trump et les forcer à s'annuler sous la menace d'être annulés par la foule réveillée de gauche. Les seules attaques armées contre les capitales des États seraient planifiées, financées et équipées par le FBI après avoir convaincu certains dupes de suivre leur plan, créant leur faux drapeau nécessaire pour la confiscation des armes à feu ou agissant comme s'ils avaient déjoué leur propre plan à la dernière seconde pour les éloges des médias de gauche.
RépondreSupprimerCNN et le reste des faux médias d'information, ainsi que les mini-despotes Dorsey, Zuckerberg et Bezos, font leur putain de censure totalitaire pour enterrer les vidéos de John Sullivan (terroriste BLM) et ANTIFA prouvant qu'ils ont provoqué, initié et participé. dans la violence dans la capitale. CNN a même interviewé ce salaud de lowlife à l'antenne après le coup de foudre dans la capitale comme s'il était un journaliste, plutôt qu'un criminel de gauche radical.
Le premier amendement est si gênant pour ces tyrans et leurs cohortes communistes - AOC et son escouade de maoïstes. Quiconque n'est pas d'accord avec leur récit psychopathique déformé doit être envoyé dans des camps de rééducation, et si cela échoue, au goulag. Tel est l'état d'esprit de ceux qui contrôlent maintenant tous les leviers de notre gouvernement. Ensuite, nous serons segmentés en districts et soumis à l'assujettissement et à la tyrannie des Hunger Games. Ils ne se contentent pas de battre Trump et ses 75 millions d'adeptes, ils doivent les rééduquer et les changer pour obtenir une victoire éternelle.
«Nous ne détruisons pas simplement nos ennemis; nous les changeons. » - George Orwell, 1984
Le degré incompréhensiblement cosmique d'hypocrisie duplicite de Pelosi, Schumer, leurs frères extrémistes radicaux et leurs chiens de poche dans les faux médias d'information ne connaît pas de limites. Alors que les termes «insurrection» et «révolte armée» sont éjectés de leurs trous comme la diarrhée après avoir mangé des sushis de station-service, ces belettes myopes et trompeuses souffrent d'un manque de conscience de soi ou d'une amnésie volontairement ignorante face aux événements de l'été dernier. CNN, MSNBC et le reste du complexe médiatique d'extrême gauche ont applaudi les émeutes, les passages à tabac de passants innocents, le pillage, l'incendie des bâtiments gouvernementaux et des véhicules de police, les agressions contre la police, la destruction de petites entreprises et la flambée des taux de meurtres nom de la justice sociale, car un couple de criminels et de toxicomanes sont morts en résistant à leur arrestation.
Le double standard smarmy appliqué lors du reportage de véritables soulèvements violents des terroristes BLM et ANTIFA par rapport à un rassemblement Trump où 99% étaient pacifiques et 1% étaient des acteurs payés pour inciter à la violence, révèle la duplicité de ces faux journalistes. Trump les avait toujours parfaitement rattachés à son surnom de «Fake News», et cette représentation précise les a rendus fous de rage pour le détruire.
RépondreSupprimerLes ministres de la propagande et de la censure de la Silicon Valley ont non seulement permis que ces émeutes planifiées soient coordonnées sur leurs plateformes sociales, mais ont ouvertement soutenu et encouragé la violence et le chaos. Les quartiers du centre-ville en feu, la police assiégée, le meurtre et l'anarchie ont saisi des dizaines de villes dirigées par les démocrates pendant des mois, mais ils ont été signalés comme des manifestations enflammées mais surtout pacifiques par les médias irresponsables. Les élites de Kamala et d'Hollywood ont renfloué des tueurs et des anarchistes. Pas un coup d'œil de Pelosi, Schumer ou du sous-sol Biden sur l'insurrection, les foules armées ou la révolte violente.
Ainsi, Twitter et Facebook ont permis à des criminels violents de coordonner et de mener des centaines de soulèvements et d'attaques violentes de la foule tentant de renverser les autorités dans des dizaines de villes sans conséquence ni indignation morale. Amazon a-t-il fermé ses serveurs? Les citoyens normaux de ce pays, respectueux des lois, ont eu un aperçu d'un avenir contrôlé par Big Tech / Big Media / Big Democrat Gov et auraient dû résister à cette vague d'anarchie de gauche. Au lieu de cela, ils se sont assis et l'ont regardé sur leurs seins tout en acceptant passivement les verrouillages imposés par leurs gouverneurs. Maintenant, il est trop tard.
J'ai réalisé que l'oligarchie ne feignait même plus de croire en l'état de droit ou à la liberté d'expression avec l'épisode coordonné du film à priser de Get Parler. Il s'agissait d'un retrait coordonné d'un site Web qui dérangeait l'oligarchie Big Tech de Twitter, Facebook, Google, Apple et Amazon. Si jamais un exemple plus clair de collusion antitrust était présenté, c'était bien celui-ci. Mais ces tyrans amoraux savent qu'ils ont Joe endormi dans leur poche parce qu'ils ont tout mis sur la suppression de l'histoire de l'ordinateur portable Hunter Biden et que le visage pâle Zuckerberg a «fait don» de 400 millions de dollars pour aider les responsables électoraux de l'État du swing à commettre une fraude afin de garantir la victoire de Biden.
L'interdiction de Trump par Twitter et Facebook et la purge de ceux qui ne voulaient pas suivre leur récit idéologique marxiste ont poussé des centaines de milliers de personnes à se diriger vers Parler & Gab, où la liberté d'expression existait toujours. La liberté d'expression n'est plus autorisée sur Facebook, Twitter ou Youtube.
RépondreSupprimerAlors que les conservateurs affluaient vers Parler, les oligarques de la Big Tech ont tiré le rideau pour révéler le mur de briques. Ils ont tous commencé simultanément à colporter le récit prouvé faux: le terrible «assaut contre la liberté», sans armes, dans la capitale était uniquement coordonné et planifié sur Parler. Il est absolument prouvable et factuel que toute planification a été effectuée à l'aide de groupes privés Facebook.
Parler et Twitter sont l'endroit où les guerriers du clavier se battent jusqu'à la mort, portant des pantalons de survêtement et se grattant le cul dans leur sous-sol. C'est une bataille pour les likes et les followers. Aucune insurrection n'est planifiée sur ces plateformes. Parler était sur le point de voler des millions d'anciens utilisateurs de Twitter après avoir donné le coffre à Trump. L'application Parler était la première application téléchargée dans l'Apple Store et le Google Store. Alors, ils l'ont enlevé. Mais les gens pouvaient simplement y accéder à partir de leur site Web. Ainsi, Amazon a fermé ses serveurs. Les utilisateurs de Parler regardent maintenant un mur de briques.
Je me souviens de la scène théâtrale du film Tarantino Inglorious Bastards. Les partisans de Trump sont désormais tous classés comme nazis suprémacistes blancs, donc non seulement les sorties sont bloquées par un mur de briques, mais Dorsey, Zuck, Bezos, Gates, Soros, Pelosi, AOC et Schumer veulent mettre le feu au théâtre et mitrailleuse. la foule. La peinture incessante de tous les électeurs de Trump comme des racistes de trash blancs vise à les déshumaniser en vue du châtiment des fascistes autoritaires de gauche. Ils utiliseront tous les moyens nécessaires pour détruire ceux qui ne plient pas le genou. Vos droits, libertés et libertés sont sans importance pour ces psychopathes.
L'illusion de liberté s'est dissipée plus rapidement qu'une pensée convaincante de Biden, car Jack Dorsey a été secrètement enregistré en déclarant que le silence de Trump n'était que le début, avec l'annulation de quiconque ayant un point de vue dissident à suivre. Ils ne prétendent même plus être neutres ou accepter des points de vue ou des opinions différents. Ils se sentent maintenant déchaînés et peuvent attaquer leurs ennemis comme des rottweilers enragés alors que leur président fantoche flexible doit sa prise de pouvoir illégitime à leurs stratagèmes de propagande et de censure.
Contrôler la présidence, la maison, le sénat, la plupart des plus grands États, les médias traditionnels, les médias sociaux, le FBI, la CIA, le DOJ et la plupart des grandes villes, a encouragé ces marxistes totalitaires à s'emparer de ce pays par la gorge et à les forcer agenda perfide sur un public passif, docile et volontairement ignorant. Vous ne le savez peut-être pas, mais vous êtes en guerre et vous perdez.
RépondreSupprimerTout comme ils ont utilisé le 11 septembre comme excuse pour mettre en œuvre le Patriot Act pré-écrit de 300 pages (écrit par Biden) pour combattre la guerre contre le terrorisme, ils utiliseront cette fausse insurrection comme excuse pour mettre en œuvre un pays déjà pré-écrit de 20000 pages. la loi sur le terrorisme à utiliser contre les millions de partisans de la «suprématie blanche» de Trump. Quelques semaines après l'attaque du 11 septembre, le Patriot Act a inauguré l'État de surveillance, déchaînant des conspirateurs non responsables comme Brennan et Clapper pour mettre en œuvre des mesures orwelliennes non constitutionnelles, enregistrant chaque communication électronique de chaque Américain.
Jusqu'à ce que Snowden et Assange révèlent les actions illégales et trompeuses de ces traîtres, tout cela s'est fait en secret. Les dénonciateurs patriotiques sont désormais traités comme des criminels. Leur bannissement en tant que traîtres vous dit à quel point ce pays a dégénéré en une dystopie totalitaire. Le monde est devenu fou, mais nous avons besoin de millions de personnes pour se lever avec le courage de dire la vérité. Cela commence par vous-même.
«Etre minoritaire, même minoritaire, ne vous a pas rendu fou. Il y avait la vérité et il y avait le mensonge, et si vous vous accrochez à la vérité même contre le monde entier, vous n'êtes pas fou. - George Orwell, 1984
Maintenant que le Parti a accédé au pouvoir par des moyens illicites, il n’a pas l’intention de renoncer à ce pouvoir. Ils consolideront leur contrôle en renversant l'obstruction au Sénat, en faisant des États de Washington DC et de Porto Rico, en remplissant la Cour suprême de juges de gauche, en promulguant le MMT, en centralisant le contrôle entre les mains des oligarques et en installant de façon permanente leur système de fraude électorale dans les conditions nécessaires. États. Big Tech continuera à réprimer et démanteler les ennemis de l'État (alias conservateurs et libertaires), tout en fournissant volontiers les informations personnelles de leurs clients aux agences de surveillance de l'État, et en promouvant le récit du Parti ou en censurant la vérité - pour le bien Fête.
Ils continueront à utiliser la grippe chinoise comme moyen de contrôler les masses. On rapportera que les souches super mutantes maintiennent les moutons dociles et effrayés. Les masques deviendront un élément permanent pour vous déshumaniser et vous faire croire que chaque étranger est un parasite qui propage une maladie. Ils auront besoin d'un passeport de vaccination pour voyager, assister à des événements sportifs, manger au restaurant et travailler. Le nouvel accord vert sera coincé dans la gorge à la pointe d'un pistolet. Vos armes seront interdites et / ou deviendront prohibitives à l'achat ou à la possession.
RépondreSupprimerCes marxistes totalitaires n'ont aucun intérêt dans l'amélioration de l'humanité, le caractère sacré de la famille nucléaire, la décence, le respect commun, les normes communautaires ou le bien-être des générations futures. Notre chambre 101 moderne n’a pas de rats prêts à vous ronger le visage, elle a Covid-19 prêt à attaquer vos poumons et à vous étouffer. Orwell serait impressionné par nos Big Brothers actuels (Gates, Zuckerberg, Bezos, Dorsey), car leurs moyens de contrôle et de peur sont tellement plus efficaces. Leur révolution concerne l'acquisition du pouvoir pour le pouvoir. Ils n'ont aucun scrupule à être la botte qui vous piétine le visage pour toujours. Connaissez votre ennemi et commencez à vous battre de manière subvertie maintenant, sinon votre destin sera scellé au cours de la prochaine décennie.
«Maintenant, je vais vous dire la réponse à ma question. C'est ça. Le Parti recherche le pouvoir uniquement pour lui-même. Nous ne sommes pas intéressés par le bien des autres; nous nous intéressons uniquement au pouvoir, au pouvoir pur. Ce que signifie le pouvoir pur, vous le comprendrez maintenant. Nous sommes différents des oligarchies du passé en ce que nous savons ce que nous faisons. Tous les autres, même ceux qui nous ressemblaient, étaient des lâches et des hypocrites. Les nazis allemands et les communistes russes sont venus très près de nous dans leurs méthodes, mais ils n'ont jamais eu le courage de reconnaître leurs propres motivations.
Ils ont prétendu, peut-être même cru, qu'ils s'étaient emparés du pouvoir à leur gré et pour un temps limité, et qu'au coin de la rue se trouvait un paradis où les êtres humains seraient libres et égaux. Nous ne sommes pas comme ça. Nous savons que personne ne s'empare du pouvoir avec l'intention d'y renoncer. Le pouvoir n'est pas un moyen; c'est une fin. On n'établit pas une dictature pour sauvegarder une révolution; on fait la révolution pour établir la dictature. Le but de la persécution est la persécution. L'objet de la torture est la torture. L'objet du pouvoir est le pouvoir. Maintenant, vous commencez à me comprendre. - George Orwell, 1984
Reprinted with permission from The Burning Platform.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/jim-quinn/illusion-of-freedom/
Bioéthique, SARS-CoV-2 : les principes fondamentaux de la bioéthique sont-ils sur le point d’être ignorés ?
RépondreSupprimerle 18 janvier 2021
L’illustration de l’éditorial du numéro de janvier du Journal of Ethics de l’American Medical Association (AMA) provient des « procès des médecins » à Nuremberg en 1947. Une jeune femme maussade portant des écouteurs se tient entre deux soldats casqués dans le box des accusés. C’est le Dr Herta Oberhauser, la seule femme qui ait comparu au cours des procès, et elle a été condamnée à 20 ans d’emprisonnement (dont cinq seulement) pour crimes contre l’humanité. Elle a effectué des expérimentations sur des femmes au camp de concentration de Ravensbruck – créant délibérément des blessures gangreneuses pour tester l’efficacité des sulfamides. Elle a également administré des injections mortelles à plusieurs de ses patients. Oberhauser était un petit poisson parmi les médecins et infirmières nazis qui ont commis des atrocités médicales avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Le numéro spécial du Journal of Ethics (lien en fin de billet) vise à aider les médecins à ne pas oublier ce qui peut arriver si les travailleurs de la santé abusent de leurs compétences et de leur statut particulier.
Étonnamment, les éditeurs disent que de nombreux médecins américains ignorent que la bioéthique est née de l’expérience des procès de Nuremberg.
L’impact historique de l’Holocauste en bioéthique a généralement été d’une faible intensité aux États-Unis. Cette histoire douloureuse a été largement ignorée dans l’enseignement médical américain, peut-être parce que pour l’examiner de près, il faut d’abord perturber la vision confortable de la nation et de la profession en tant qu’acteurs héroïques de la Seconde Guerre mondiale. Les éditeurs de ce journal soutiennent que l’année 2020, avec la pandémie de Covid et les manifestations Black Lives Matter, a montré aux médecins américains qu’ils doivent également être conscients des recoins sombres de la médecine dans leur propre pays. il est devenu largement reconnu comme problématique – et pas seulement aux États-Unis – de considérer les professionnels de la santé comme des guérisseurs purement altruistes et indifférents aux origines ethniques, irréprochables dans la création et le maintien de systèmes de santé qui génèrent de manière prévisible et constante des disparités raciales et ethniques en matière de santé. L’histoire médicale de l’Holocauste reste pertinente – et essentielle – dans une solide formation médicale.
Peut-être que l’année 2021 deviendra l’année au cours de laquelle chaque programme de formation des professionnels de la santé prendra en compte le fait que les étudiants (et les praticiens) en sciences de la santé doivent apprendre et réfléchir aux rôles historiques des professionnels de la santé dans la création des deux atrocités raciales et ethniques de la seconde guerre mondiale et de l’injustice raciale dont nous sommes témoins aujourd’hui. Après tout, ces héritages sont profondément liés. L’implication de la profession médicale ne peut être dissociée de l’histoire du racisme scientifique durant cette période et de son influence continue, puissante et omniprésente sur le monde d’aujourd’hui. Ce numéro fascinant de la revue contient plusieurs articles sur des aspects de l’Holocauste et de l’éducation médicale. Cela vaut la peine d’être lu.
https://journalofethics.ama-assn.org/issue/legacies-holocaust-health-care
RépondreSupprimerJe conseille à mes lecteurs anglophones de lire l’article : https://journalofethics.ama-assn.org/article/ama-code-medical-ethics-opinions-related-legacies-holocaust-health-care/2021-01 en regard de la précipitation douteuse de la mise sur le marché des vaccins anti-SARS-CoV-2 développés à partir d’ARNs messagers alors que cette technologie n’a jamais été appliquée chez l’homme auparavant en dehors de quelques essais sur des patients souffrant de cancers incurables. Le cas de ce vaccin d’un type nouveau consiste dans le fait qu’il s’agit d’un ARN messager synthétique (fabriqué par des robots) codant pour la protéine S1 du SARS-CoV-2, la protéine d’ « accrochage » du virus à la cellule épithéliale des muqueuses respiratoires. Or cette protéine S1 présente de fortes similitudes structurales (conformation tridimensionnelle) avec la syncitine-1, une protéine présente naturellement dans l’organisme pour également faciliter des fusions entre cellules. La syncitine-1 intervient en particulier dans la mise en place du placenta dans l’utérus, une sorte de fusion des cellules foetales avec celles de la paroi interne de l’utérus. Cette syncitine-1 joue également un rôle non négligeable dans le processus de la fécondation de l’ovule par le spermatozoïde, un autre genre de fusion entre cellules, pour faire bref. Les laboratoires pharmaceutiques ont-ils testé scrupuleusement quelle était la spécificité des anticorps apparaissant dans l’organisme d’une personne ayant accepté de se faire administrer ce vaccin lors des essais cliniques ? Ces anticorps « croisent-ils » avec la syncitine-1 ? J’émets quelques doutes, n’étant nullement spécialiste dans ce domaine que je connais pourtant (voir note en fin de billet)) mais dans l’affirmative il apparaît alors une autre fonction de cette vaccination, tout simplement de « stériliser » des populations entières. En effet une neutralisation de l’activité de la syncitine-1 conduirait à une fertilisation et une implantation du placenta difficiles voire impossibles. C’est assez terrifiant et à l’évidence on se trouve aujourd’hui à l’extrême limite du domaine de la bioéthique … tout en rejoignant les visées malthusiennes du « club de Davos ». À l’époque de l’Allemagne nazie les médecins qui ont comparu devant la cour lors du procès de Nuremberg n’auraient pas pu faire mieux dans le domaine de l’eugénisme !
Note. Lors de ma carrière de scientifique j’ai été confronté à un problème considérable. Il s’agissait de montrer la présence du précurseur de l’ACTH, adrénocorticotropine, dans le placenta humain. L’outil de laboratoire, en d’autres termes la technique utilisée, était un anticorps dirigé contre ce précurseur dont la spécificité n’avait jamais été mise en doute et provenant de béliers immunisés contre le polypeptide d’origine humaine. Il s’avéra que la petite protéine que je finis par isoler après d’immenses difficultés se trouvait être un fragment d’immunoglobuline G qui présentait une analogie dans sa structure primaire tout à fait surprenante mais suffisante pour qu’il soit reconnu par cet anticorps. La technique très sensible était ce que l’on appelle un radio-immuno-essai utilisant de l’iode radioactif. Ces résultats, négatifs pourtant, firent l’objet d’une publication dans la revue Science car elle jetait un énorme pavé dans la mare des certitudes liées à l’utilisation d’anticorps hautement spécifiques. Mon article fit l’objet de vives critiques de la part de John Maddox alors éditeur en chef de la revue Nature. Cette anecdote personnelle met en évidence le fait que la protéine S1 du SARS-CoV-2 codée par l’ARN-messager servant de vaccin pour tenter de juguler à l’aide des anticorps apparaissant après synthèse de cette protéine dans notre propre organisme est considérée comme l’antigène « primaire » mais les anticorps apparaissant peuvent « croiser » avec d’autres protéines humaines, cette fois, dont la syncitine-1 …
RépondreSupprimerhttps://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/18/bioethique-sars-cov-2-les-principes-fondamentaux-de-la-bioethique-sont-ils-sur-le-point-detre-ignores/