Dr. Astrid Stuckelberger est scientifique, chercheuse et enseignante à la Faculté de médecine de l'Université de Genève et de Lausanne. Experte internationale dans différents domaines liés à la santé et à la santé publique, ses principaux axes de travail concernent les questions relatives au vieillissement de la population et aux individus, l’égalité des sexes, l’équité et les déterminants sociaux de la santé, l’innovation de rupture et les technologies de la santé, les droits de l’homme et l’éthique ainsi que les réglementations et politiques internationales. Elle est reconnue comme une pionnière de l’analyse synthétique de la science impliquée dans de nouveaux modèles de médecine préventive épigénétique et de réversibilité de la maladie. Elle a publié 10 livres actuellement traduits et plus de 170 articles scientifiques, rapports politiques, rapports gouvernementaux, de la Commission européenne ou de l'ONU.
Nouvelles du SARS-CoV-2 : l’exemple de la Suède
RépondreSupprimerle 3 janvier 2021
La Suède a, selon les gouvernements de l’Europe occidentale, tout fait à l’envers pour gérer la maladie du SARS-CoV-2. Alors que des pays comme la France, l’Espagne et la Belgique s’enfoncent dans une gestion sanitaire qui ressemble de plus en plus à la mise en place par petits décrets et petites lois sans aucune consultation des élus du peuple à un totalitarisme digne de l’Allemagne de l’est du temps de Walter Ulbricht et de sa tant redoutée STASI, la Suède, une vraie démocratie au sens strict du terme, a choisi de respecter les droits fondamentaux des citoyens tout en laissant le virus, pourtant inconnu, faire son chemin. La gestion de cette pseudo-grippe a donc été en tous points identique à celle des autres grippes saisonnières qu’a connu ce pays dans le passé.
- voir graphique sur site -
La remarquable précision des données démographiques de ce pays existant depuis le milieu du XIXe siècle a permis de mettre en évidence l’aspect tout à fait bénin de cette épidémie coronavirale dont la « dangerosité » fait toujours la une des médias d’Europe occidentale et préoccupe quotidiennement les gouvernements. Ces derniers ne cessent de littéralement martyriser les citoyens qui depuis des mois n’ont plus droit à la parole comme encore moins les parlementaires. La Suède, le mauvais élève qui a refusé les injonctions de l’OMS, montrée du doigt au printemps dernier, accusée de livrer à une mort certaine des millions de personnes, s’en en très bien sortie, merci !
Le très faible taux de surmortalité rapporté au million d’habitants, moins de 600, n’est pas suffisant pour qualifier cette pseudo-grippe d’épidémie. En effet selon des sources sûres (source CIA) sur l’ensemble de l’année 2020 le nombre excédentaire de morts par rapport à l’année précédente n’a été que de 5975 pour une population de 10,4 millions de personnes.
Aujourd’hui, avec une population comptant plus de 600000 personnes déclarées officiellement avoir été en contact avec le coronavirus et guéries, il y dans le pays l’apparition d’une deuxième « vague » essentiellement provoquée par les conditions hivernales rudes que connaît la Suède chaque année. Rien d’alarmant pour un pays dont les infrastructures hospitalières sont considérées comme parmi les meilleures du monde avec des habitants dont le revenu annuel moyen calculé sur la base du pouvoir d’achat est de 51000 dollars (source CIA, 2019). La fameuse immunité de groupe dont la définition n’est pas très claire n’a pas été atteinte, certes, mais si le virus circule toujours librement comme pour toute autre maladie virale il finira par disparaître. La Suède commence donc l’année avec optimisme contrairement aux autres pays de l’Union européenne qui ont choisi des mesures ressemblant étrangement à celles du régime communiste de l’Allemagne de l’Est des années 1960 …
Source partielle et illustration : site de Paul Craig Roberts, statistiques : CIA
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/03/nouvelles-du-sars-cov-2-lexemple-de-la-suede/
Covid-19 (bientôt Covid-21) — Mise au point sur les statistiques suite à une lettre ouverte aux journalistes qui a fait du bruit
RépondreSupprimerFrédéric Vidal — FranceSoir
Sott.net
dim., 03 jan. 2021 08:53 UTC
La lettre ouverte aux journalistes de France et d'ailleurs semble avoir attisé les réseaux sociaux et quelques journalistes.
Note : Sott.net a publié cette lettre ouverte le 26 décembre dernier : Lettre ouverte à tous les journalistes de France et d'ailleurs : « N'attendez pas de n'avoir plus rien à perdre, ça sera trop tard »
Si 99 % des réactions ont été très positives et je remercie leurs auteurs pour ce soutien massif, parmi les 1 % restants, certains ont soulevé plus ou moins poliment la question des statistiques sur laquelle, pour être franc, je les attendais un peu. Une petite mise au point s'impose donc.
Car c'est bien sur les chiffres de l'INSEE que je m'appuie pour dire que le COVID-19 est à ce jour un non-événement statistique. Entendez par-là qu'il n'y a pas de surmortalité significative en 2020 en France par rapport aux décennies précédentes. Ceux qui m'ont parfois brutalement contredit n'ont à l'évidence rien vérifié d'eux-mêmes, ils ont gobé la propagande telle quelle et en ont fait la leur.
Ce point est capital, parce que lorsqu'on élimine ce sur quoi s'appuie la politique de la peur, plus rien de cette politique ne devrait avoir le moindre sens sous l'angle de vue strictement sanitaire.
Il convient donc d'être factuel. Lorsqu'on observe la courbe ci-dessous, on place d'un coup d'œil l'année 2020 et son pic de mars/avril dans son ensemble par rapport aux 70 dernières années. Vous retrouverez les concordances de cette courbe dans les tableaux visibles un peu plus bas. N'oublions pas que depuis 10 ans la mortalité annuelle augmente avec plus de 600 000 morts en France, en raison d'un vieillissement graduel de la population et l'arrivée de la génération des premiers baby-boomers à l'âge moyen de la mortalité, comme le montre la seconde courbe ci-dessous.
- voir graphique sur site -
Graphique décès mensuels en France métro
© INSEE
Données décès et taux mortalité 1982-2019
© INSEE
Source : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2383440
Ce qui est particulièrement significatif et édifiant, c'est de regarder la situation statistique officielle (INSEE) qui a conduit au premier confinement. Il est donc pertinent d'éplucher le premier trimestre 2020 et pourquoi pas même les 4 premiers mois.
Cela demande une certaine persévérance pour dénicher dans les méandres du site de l'INSEE ce qui nous intéresse là et ne pas se contenter des interprétations orientées du dossier COVID proposé à l'accueil.
RépondreSupprimerÉtant d'un esprit prudent par les temps qui courent, j'ai sauvegardé le contenu des pages édifiantes, dont voici quelques copies d'écran (valeur pour mille habitants). Source
Le 17 mars 2020 on a donc confiné la France entière pour la première fois de son histoire, sous prétexte d'une pandémie terrifiante qui surchargeait les hôpitaux et allait décimer la population. Si le gouvernement « laissait circuler le virus », c'est au moins 400 000 morts supplémentaires à déplorer », assénait E. Macron, quelques mois après que l'Imperial College à Londres ait informé en Mars le conseil scientifique français d'une fourchette de 300 à 500 000 morts...
Logiquement, la situation des semaines qui précédent le 17 mars ont conduit à cette décision historique. Examinons donc les statistiques de l'INSEE de janvier, février et mars qui ont pu justifier le début de cette dictature sanitaire.
Ne reste qu'à sortir la calculette, additionner les nombres, faire la moyenne sur ces 3 mois et ramener en pourcentage le nombre de décès du premier trimestre. Calcul élémentaire que n'importe qui peut vérifier.
Pourcentage des décès du premier trimestre sur la population :
2020 = 1,04 %
2019 = 1,06 %
2018 = 1,06 %
2017 = 1,05 %
Si l'on inclut avril en plus, où déjà l'on ratissait très large sur l'étiquetage COVID des décès liés à d'autres causes, dont tous ceux de la grippe saisonnière, on obtient ceci :
2020 = 1,09 %
2019 = 1 %
2018 = 1,03%
2017 = 1 %
- voir graphique sur site -
Statistisques décès INSEE
© INSEE
En remontant un peu plus loin dans le temps, de manière non exhaustive, la situation devient « catastrophique » selon les critères actuels :
1985 = 1,11 %
1978 = 1,13 %
- voir graphique sur site -
Statistiques décès INSEE
© INSEE
La planète s'est-elle arrêtée de tourner en 1978 et 1985 ? S'est-elle arrêtée aussi en 2017, 2018 et 2019 ? Ne faut-il pas chercher ailleurs les causes de cette mise en confinement qui a ruiné l'économie, la santé et les libertés fondamentales ?
RépondreSupprimerLes chiffres parlent d'eux-mêmes et les faits, même complotistes, sont têtus. « Fake News » chantent en chœur les journalistes et les trolls du web qui n'ont apparemment rien vérifié par eux-mêmes ou l'on fait et se sont tus. Ne nous y trompons pas, ce syndrome de la pensée unique est plus qu'un syndrome. C'est une pathologie pour certains, une doctrine pour d'autres.
Autre vérification pertinente, si l'on compare les pics hivernaux sur janvier/février/mars de chaque année, on voit qu'entre 1975 et 2020 il y a 8 années très comparables à 2020 dont 5 égales ou pires (en rouge). Ramené là aussi en pourcentage, le pic de mars/avril 2020 est de 0,103 % de mortalité. Je vous laisse comparer :
- 2020 : 0,103 %
- 2017 : 0,102 %
- 1997 : 0,100 %
- 1985 : 0,103 %
- 1984 : 0,102 % (pic sur 2 mois consécutifs ! Soit plus de morts)
- 1980 : 0,101 %
- 1978 : 0,107 %
- 1976 : 0,103 % (pic sur 2 mois consécutifs ! Soit plus de morts)
- 1975 : 0,104 %
Quelqu'un se souvient-il qu'on ait arrêté le monde ces années-là, instaurant une dictature politico-sanitaire, ruinant les économies, la santé des gens et sabotant leurs libertés les plus essentielles ? Les faits sont décidément têtus.
À ce constat s'ajoute le fait statistique aggravant que l'âge médian de la population a toujours reculé pour atteindre 41 ans en 2020. Pour le dire autrement, on mourait davantage avant avec une population plus jeune, qu'en 2020 avec une population plus âgée. Et ne parlons pas du fait que ceux qui ont déclenché la maladie survivent à plus de 99 %.
- voir tableau sur site -
Chiffres survivants au Covid
Voilà pour les stats. Pour finir sur ce point, rappelons que les preuves s'accumulent que les chiffres COVID sont gonflés de toutes sortes de décès relevant d'autres causes, dont tous ceux de la grippe qui ont statistiquement disparu cette année. Ce qui signifie que tous les chiffres que vous venez de voir sont officiels, mais à l'évidence bidonnés.
La seconde arme de la peur sur laquelle s'articule la dictature sanitaire est le test de dépistage PCR.
Là, ça ira vite. Pour faire court, selon un grand nombre de professionnels de la santé à travers le monde et selon son inventeur lui-même, qui n'ont pas de conflits d'intérêts contrairement à ceux qui hantent quotidiennement les plateaux TV, ce test n'a aucune validité. Et la question se pose du pourquoi avoir choisi ce test et pas un autre ?
RépondreSupprimerSon inventeur, Karry Mullis, l'expliquait déjà en 1997, n'en déplaise au journal Le Monde à qui ça semble avoir échappé lorsqu'il a affirmé que cette information était un fake, mais qui a tout de même fini par publier dans une tribune le 7 Novembre 2020 que ce test était « un non-sens épidémiologique ». Karry Mullis est mort en août 2019, juste avant le début de l'apparition du COVID.
- voir clip sur site -
Les faux-positifs sont d'autant plus nombreux qu'au-delà de 30 cycles le test est déjà très douteux et qu'au-delà de 35 cycles il révèle à peu près n'importe quoi, y compris des résidus de virus mort qui sont autant de faux positifs. En France on pratique entre 40 et 45 cycles selon le conseil scientifique ! Ce qui a été dénoncé par plusieurs spécialistes et journalistes comme un test qui fournit jusqu'à 90 % de faux positifs (New York Times du 02/09)... Pour rappel, un cycle est une amplification d'une partie du génome x fois, un peu comme un microscope grossit x fois. On attend toujours des arguments de la part des détracteurs.
Pour en finir, une dernière petite courbe édifiante des pandémies de 1857 à 2020, du genre de celles qu'on ne voit pas à la télé :
- voir graphique sur site -
Morts pandémies en millions - janv 1851-juil 2020
© statistikdatabasen.scb.se
Le matraquage médiatique quotidien des chiffres de la peur basés sur une réalité imaginaire, est aujourd'hui le bras armé d'une politique terroriste. Et je pèse mes mots.
Toute cette politique de la terreur s'appuie sur des statistiques manipulées et un test inadapté, offrant une manipulation aisée sur laquelle on peut jouer à la baisse ou à la hausse en fonction des besoins du moment. Cette politique que veulent pérenniser les pouvoirs, ne fructifie à ce jour que grâce à la complicité des médias de masse qui l'alimentent sans répit, tout en dissimulant les décrets passés, la nature des projets de loi en discussion et tout en essayant de contrer leurs contradicteurs sans arguments sérieux et souvent sans argument du tout. Le projet de loi que vient de retirer provisoirement le gouvernement est le sceau d'une dictature. En voici un extrait, ne perdez pas de vue que ce n'est plus un décret mais une loi :
Art. L. 3131‑9 : « 6° Le Premier ministre peut, le cas échéant dans le cadre des mesures prévues aux 1° à 5°, subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l'exercice de certaines activités à la présentation des résultats d'un test de dépistage établissant que la personne n'est pas affectée ou contaminée, au suivi d'un traitement préventif, y compris à l'administration d'un vaccin, ou d'un traitement curatif. Le décret mentionné au deuxième alinéa du présent article précise l'étendue de cette obligation ainsi que ses modalités d'application s'agissant notamment des catégories de personnes concernées. »
RépondreSupprimerCette guerre mondiale contre les peuples, là aussi je pèse mes mots, est avant tout une guerre de l'information. Et ceux qu'ils redoutent le plus sont ceux qu'ils nomment « complotistes », qui de plus en plus nombreux, délaissant leur vie privée et leur travail, se relaient partout pour faire circuler la vérité en lieu et place des journalistes.
À ce jour le seul virus massivement dangereux est celui de la propagande. Ce qui ne veut pas dire qu'il faut baisser la garde sur le plan sanitaire, surtout au moment où l'une des plus grandes usines de fabrication d'hydroxychloroquine vient de brûler...
Le COVID-21 pointe en effet déjà son nez et il n'est pas exclu que la nature et la qualification du danger changent. D'autant qu'au moment où j'écris ces lignes, il semble se passer quelque chose de significatif en Chine. Scénarisation ou réalité, l'avenir nous le dira.
Le point positif, c'est que de plus en plus de gens en perte de liberté vont finir par se demander d'où sortent soudainement tous ces virus et leurs mutations, qui servent si bien l'avènement précipité du Nouvel Ordre Mondial annoncé depuis des années, calqué sur le modèle de crédit social et de surveillance numérique du parti communiste chinois.
Chaque nation fait face comme elle peut aux techniques de manipulation des masses à l'œuvre. Mon opinion du moment est que la France n'a pas encore touché le fond, mais que ça ne saurait tarder et que ce sera là l'opportunité de se relever pacifiquement et de commencer à assécher le marais.
Pour terminer, quelques critiques parfois violentes, mais toujours sans arguments, ont été formulées quant à mon allusion à la pédocriminalité institutionnalisée. Il est toujours désolant de constater une telle ignorance du sujet quand tant sont morts à travers le monde d'avoir essayé de la révéler. A leur décharge, je conçois bien toutefois que des esprits sains ne peuvent imaginer pareille ignominie.
Je n'y répondrai pas aujourd'hui. Cela nécessite un article à part entière et même plusieurs, tant le sujet est vaste et nécessite de la rigueur. Le temps est venu de le faire. Croyez-moi ou pas, ça ne fait que commencer.
RépondreSupprimerSource de l'article publié le 1er janvier 2021 : FranceSoir
Note : L'usine Sci Pharmtech Inc, situé à Taïwan, est en effet partie en fumée après avoir explosé le 21 décembre dernier dans le gigantesque incendie qui a fait deux morts. Cette usine pharmaceutique fabriquait l'ingrédient principal de l'hydroxychloroquine, le sulfate d'hydroxychloroquine :
Incendie usine hydroxy Taïwan
- voir photo sur site -
Voir aussi nos articles :
Covid-19 (bientôt Covid-21) — Pourquoi un telle campagne de terreur ?
Covid-19 — Le bilan 2020 en France par le Professeur Raoult
Covid 19 — Une pandémie plus médiatique et politique que meurtrière ? Bilan mondial chiffré pour 2020
https://fr.sott.net/article/36449-Covid-19-bientot-Covid-21-Mise-au-point-sur-les-statistiques-suite-a-une-lettre-ouverte-aux-journalistes-qui-a-fait-du-bruit
FDA : le « vaccin » anti-Covid-19 peut déclencher 22 problèmes de santé graves, voire la mort !
RépondreSupprimerLe media en 442
Mondialisation.ca
sam., 02 jan. 2021 21:30 UTC
La Food and Drug Administration états-unienne (FDA, Agence des produits alimentaires et médicaments) a discuté à huis clos d'une longue liste de problèmes de santé graves qu'occasionneront les « vaccins » contre le Covid-19. Ces « effets indésirables » ne sont pas rendus publics car les fabricants de vaccins et leurs cohortes de médias ont besoin que tout le monde croie que les vaccins sont « sûrs et efficaces ».
Mais la liste des effets secondaires est désormais publique. Une liste de 22 effets indésirables (dont la mort) a été discutée le 22 octobre 2020 lors de la réunion du comité consultatif de la FDA intitulée « Vaccins et produits biologiques connexes ». Cette liste est tirée d'une présentation du Dr Steve Anderson, titulaire d'un master en politique publique, directeur du bureau de biostatistiques et d'épidémiologie du Centre pour l'évaluation et la recherche en biologie. Il s'agit d'une liste préliminaire des effets secondaires très graves, qui n'inclut pas tous les effets secondaires mineurs et non documentés qui résulteront de ces injections.
La FDA signale 22 problèmes de santé graves causés par les « vaccins » contre le Covid-19
Parmi ces problèmes de santé, on trouve la myélite transverse, un syndrome neurologique grave. Le « vaccin » peut amener le système immunitaire à attaquer ses propres cellules, ce qui a pour effet d'interrompre les signaux que la moelle épinière envoie dans tout l'organisme. Ces symptômes sont similaires à ceux de la polio et incluent des douleurs, de la faiblesse musculaire, une paralysie, des problèmes sensoriels, un dysfonctionnement de la vessie et des intestins. Cette maladie nécessite une rééducation importante et certaines personnes en gardent des handicaps majeurs. Dans cette liste figurent d'autres maladies auto-immunes, ainsi que l'arthrite et les douleurs articulaires. L'une des maladies auto-immunes les plus inquiétantes qui pourrait survenir est l'encéphalomyélite aiguë disséminée, une maladie caractérisée par une inflammation soudaine et généralisée du cerveau et de la moelle épinière.
La FDA met également en garde contre les effets tératogènes sur la grossesse et la naissance. Le « vaccin »est conçu pour neutraliser les protéines « Spike » du coronavirus grâce à l'ARN messager du vaccin, mais ces protéines « Spike » contiennent de la syncytine 1, une protéine synthétisée par les rétrovirus endogènes lors du développement du placenta chez les humains. Après la vaccination contre le Covid-19, les cellules immunitaires d'un individu seront entraînées à attaquer la syncytine 1, ce qui pourrait entraîner des fausses couches, des malformations congénitales et la stérilité.
RépondreSupprimerLe syndrome de Guillain-Barré est une réaction commune à la plupart des types de « vaccins », qui concerne également celui contre le Covid-19 ; il se caractérise par le déclenchement soudain d'une faiblesse musculaire. Le « vaccin » engendre une détérioration du système nerveux périphérique du receveur, ce qui entraîne des arythmies cardiaques et des problèmes de pression artérielle.
Dans cette liste, on trouve également la thrombocytopénie, une maladie faisant fortement baisser le nombre de plaquettes sanguines. Sans plaquettes, le sang ne peut pas coaguler, ce qui peut entraîner des hémorragies internes. À l'autre extrémité du spectre, la liste cite également la thrombose veineuse, une maladie caractérisée par la formation de caillots sanguins dans les veines. La liste comprend aussi les infarctus du myocarde et les accidents vasculaires cérébraux, ainsi que les convulsions et les crises d'épilepsie !
Les CDC (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) s'apprêtent à inscrire les maladies causées par les « vaccins » sur la liste des complications liées au Covid-19
La liste mentionne le syndrome inflammatoire multisystémique chez l'enfant, qui implique une inflammation du cœur, des poumons, des reins, du cerveau, de la peau, des yeux et du système digestif. La liste comprend également la maladie de Kawasaki, une complication vaccinale commune chez les enfants de moins de cinq ans. Cet effet secondaire regroupe un ensemble de symptômes comme la fièvre, les éruptions cutanées, le gonflement des mains et des pieds, l'irritation et la rougeur de la sclère, le gonflement des glandes lymphatiques du cou, ainsi que l'irritation et l'inflammation de la bouche, des lèvres et de la gorge.