https://www.youtube.com/watch?v=NWdvIsttP8A
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Martine Wonner, députée du Bas-Rhin : « L’État a réussi à terroriser la population »
https://www.youtube.com/watch?v=0Qlfu9VHKLo
Com:
- La légion d'honneur de Karine Lacombe est un véritable scandale. Mais, ça confirme malheureusement ce que beaucoup ont compris...
- L’ordre des médecins devrait être dissous pour incompétence
- Macron a reconnu qu'on était en dictature.Ce gouvernement veut nous tuer, nous ruiner, c'est une horreur.
- le vaccin n'empêche pas la contagiosité
- (2 582 commentaires de félicitations !).
Si «Facebook est privé», pourquoi transmettent-ils les messages privés des utilisateurs directement au FBI ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JAN 2021 - 22:30
Rédigé par Matt Agorist via TheFreeThoughtProject.com,
Bien qu'elle ait décrié la censure quand cela leur arrivait l'année dernière, lorsque Donald Trump a été banni de Twitter et Facebook au début du mois, la gauche a salué la décision des grandes technologies. «Facebook est une entreprise privée et peut faire ce qu'elle veut», a scandé ad nauseum la foule hypocrite pro-censure à travers l'éther numérique après que le mauvais homme orange ait été réduit au silence. Mais comme nous l'avons dit à maintes reprises, le fait que Facebook soit privé n'est tout simplement pas vrai.
Maintenant, cependant, Facebook a conclu un marché faustien sans scrupules avec le gouvernement fédéral qui devrait éliminer tout doute une fois pour toutes. Ils transmettent maintenant volontairement des messages privés des partisans de Trump qui ont parlé des événements de la capitale le 6 janvier.
Google, Apple et Amazon ont tous décidé d'effacer le réseau de médias sociaux pro-Trump Parler d'Internet au début du mois en raison de ce que les utilisateurs de la plate-forme ont discuté. Il a été allégué que la poignée de dolts qui ont pris d'assaut la capitale le 6 janvier avaient uniquement utilisé Parler pour planifier leur tentative risible, non armée, idiote, infructueuse et pitoyable de garder Trump à la Maison Blanche.
Malgré le groupe hétéroclite de Trumpiens posant pour des selfies, des séances de photos et suspendus à des rampes, la seule chose qu'ils ont accomplie a été de transformer D.C. en une scène semblable à la Corée du Nord pour l'inauguration de Biden. La plupart des experts honnêtes des médias ont reconnu que même si quelques membres de la foule pensaient faire partie d'un coup d'État historique visant à maintenir leur chef au pouvoir, l'idée qu'ils avaient une chance réelle d'une insurrection était au mieux trompeuse et de pure propagande utilisée. au pire, faire progresser la police et la surveillance nationales.
Reportant toute responsabilité dans la planification du raid sur la capitale, la directrice des opérations de Facebook, Sheryl Sandberg, avait déclaré peu de temps après l'incident que les manifestations étaient en grande partie organisées hors de Facebook. Cependant, elle ne disait pas la vérité et savait probablement que de grandes parties des manifestations pro-Trump étaient discutées et organisées sur Facebook. Mais Facebook a-t-il été effacé d'Internet comme Parler? Non, ce n'était pas le cas. Voici pourquoi.
RépondreSupprimerCette semaine, Facebook a commencé à fournir au Federal Bureau of Investigation des données sur les partisans de Trump qui ont discuté des événements de la capitale sur leur plate-forme - jusqu'à et y compris leurs messages privés. Grâce à cette action, le géant des médias sociaux agit comme une branche de facto de collecte de renseignements du gouvernement américain.
En revanche, lorsque Syed Farook, également connu sous le nom de tireur de masse de San Bernardino, ne déverrouillait pas son iPhone pour le gouvernement fédéral, Apple a refusé de créer une porte dérobée leur permettant d'y accéder en tant que véritable entreprise privée soutenant les droits à la vie privée de ses clients. . Mais Facebook est plus que disposé à ouvrir ses services d'exploration de données à ses amis du gouvernement fédéral - car, comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, Facebook n'est pas privé.
Comme TFTP l'a rapporté en 2018, Facebook a annoncé son partenariat avec le bras du Conseil de l'Atlantique financé par le gouvernement, connu sous le nom de Digital Forensic Research Lab, qui a été mis sur pied pour aider le géant des médias sociaux avec «des informations en temps réel et des mises à jour sur les menaces émergentes. et des campagnes de désinformation dans le monde entier. »
Le Conseil atlantique est le groupe que l'OTAN utilise pour blanchir les guerres et favoriser la haine envers la Russie, ce qui leur permet à son tour de continuer à se justifier. Il est financé par des fabricants d’armes comme Raytheon, Lockheed Martin et Boeing. Il est également financé par des oligarques milliardaires comme l’Ukraine Victor Pinchuk et le milliardaire saoudien Bahaa Hariri.
La liste continue. Le groupe HSBC, très contraire à l'éthique, qui a été surpris à plusieurs reprises en train de blanchir de l'argent pour des cartels et des terroristes, figure parmi ses principaux donateurs. Ils sont également financés par l'industrie pharmaceutique, Google, Goldman Sachs et d'autres. Cependant, le financement provenant des États-Unis, de l'armée américaine et de l'armée de l'air nie directement l'aspect «privé» du partenariat.
RépondreSupprimerLe «groupe de réflexion» auquel Facebook s'est associé pour prendre des décisions sur les personnes qu'ils censurent est directement financé par plusieurs acteurs étatiques - y compris les États-Unis - ce qui annule toute affirmation selon laquelle Facebook est un «acteur entièrement privé».
Le Conseil de l'Atlantique exerce également une influence massive sur les médias grand public, c'est pourquoi, lorsque ce partenariat a été annoncé, personne dans la presse grand public ne l'a souligné comme l'idée orwellienne qu'il était. Au lieu de cela, des titres tels que «le petit laboratoire du groupe de réflexion américain aide Facebook à lutter contre les faux réseaux sociaux (Reuters)» et «les partenaires de Facebook avec le Conseil de l'Atlantique pour améliorer la sécurité électorale (The Hill)» ont été diffusés pour faire croire qu'un bras de propagande de l'OTAN est censure maintenant les informations que les Américains voient sur Facebook.
Mais ce partenariat avec le «think tank» financé par l'État n'est pas la seule raison pour laquelle Facebook n'est pas privé.
Des armes de censure financées par le gouvernement à la porte tournante des bureaucrates de haut niveau qui occupent les rangs des oligopoles, le concept Facebook de «société privée» s'effondre lorsqu'on y regarde de plus près. Les entreprises du secteur privé n'ont pas besoin d'être explicitement nationalisées pour promouvoir les intérêts de l'établissement; il suffit d’installer leurs anciens élèves dans les meilleurs postes de réglementation. Grâce à ces méthodes, Facebook peut mettre en avant la privatisation tout en agissant en fait en tant que députés de l'État, mais en allégeant tout contrôle constitutionnel dans le processus.
Pendant tout ce temps, chaque fois que la censure agit à leur avantage, la moitié des masses l'encourage et la défend, en maintenant la résistance au minimum.
RépondreSupprimerDe plus, alors que le gouvernement fait passer la menace de litige antitrust au-dessus de leurs têtes, il peut forcer ces entreprises à agir à leur avantage même sans partenariats explicites comme celui du Conseil de l’Atlantique. En fait, avant que l'État ne s'implique dans les discussions sur la réglementation des grandes technologies, les informations circulaient relativement librement, Facebook ne supprimant que les contenus racistes et violents. Maintenant, cependant, alors qu'ils se plient à la volonté de leurs partenaires du gouvernement fédéral, des gens comme moi se retrouvent dans une période d'interdiction de 30 jours pour avoir dit que «la censure mène à la tyrannie».
C'est pourquoi la réponse au léviathan de la censure des grandes technologies du gouvernement ne réside pas dans la réglementation mais dans le boycott. Le moment est venu de quitter ces plateformes qui vous espionnent, vous interdisent, vous vendent au plus offrant et qui déchirent la société. Les plates-formes sans censure existent et sont beaucoup plus conviviales et vous traitent comme le client réel au lieu des moutons qu'ils mènent à l'abattage. Vous pouvez les consulter ici.
https://www.zerohedge.com/technology/if-facebook-private-why-are-they-feeding-users-private-messages-directly-fbi
Touchez pas c'est collector !
Supprimerjeudi 4 juillet 2013
Donc, d'un côté est représenté le méchant espion qui lit les courriers et surveille les fréquentations de sites des internautes et, que cette impolitesse atteindrait 100 % ! et, de l'autre, 1,5 million de personnes sont (d'après Les Échos) hackées chaque jour. Ajoutez à cela quelques milliers de virus et... et le compte n'est pas bon ! Pas bon car, la 'NSA' (qui serait soi-disant à la recherche de terroristes ! Hahahaha !), ne semble même pas détecter les virus !!! (ce qui serait un comble pour des 'informaticiens' très OHQ+ !) ou, ou en fabriquerait elle-même.
Donc, qu'un livreur de pizza ou UPS livre les commandes, merci, cela va de soi, le transporteur n'est pas forcément censé savoir ce que le paquet contient. Par contre, que la NSA ouvre les colis, découvre les bombes (ou en ajoute dans le paquet) et les envoie: cela s'appelle bien du terrorisme.
Donc, il ne faut pas prendre les gens pour des cons en les accusant d'avoir ou non commandé des bombes, de vérifier si elles sont bien en état de marche et, de les envoyer à l'adresse promise ! Dès lors que l'intermédiaire connaît parfaitement le contenu de ce qui transite entre ses mains, et qu'il se dit pompeusement 'Agent de sécurité' (de mes deux !), il est 100 % responsable complice et condamnable pour avoir détruit volontairement des milliers d'ordinateurs et d'avoir aussi vidé les comptes de certains.
Car, si la catégorie virus ne serait pas traitée au nom de je-ne-sais-quel-problème, les 'terroristes' désignés comme étant existants auraient tôt fait de se transformer en virus afin de n'être fouillé au 'TSA' ! D'où, la prochaine astuce pour éviter d'être scanné ou 'palpé', de marquer sur son tee-shirt ou le paquet que l'on transporte (dans une cocotte-minute Collector par exemple) "Attention, ce colis renferme une bombe. Ne pas toucher !"
D'où, effectivement, par les temps qui courent, la suspicion non exagérée envers celles et ceux qui ne transportent rien et qui n'auraient rien à se reprocher et ajouteraient même qu'ils n'ont jamais eu de fonctionnaire dans leur famille et ont même refusé de serrer la main à quelqu'un qui serait apparenté avec ces terroristes officiels au-dessous de tout soupçon !
https://huemaurice5.blogspot.com/2013/07/statue-de-la-liberte-50-faits-fascinants.html
Les Américains fuient les confinements, quand ils peuvent se le permettre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JAN 2021 - 9:20
Rédigé par Jeffrey Tucker via l'American Institute for Economic Research,
Depuis près d'un an, les gouvernements demandent aux gens de rester sur place. Ne quittez pas votre domicile sauf si vous y êtes obligé. Oubliez l'organisation ou la participation à des événements. Les mariages et les funérailles sont un trop grand risque de propagation de maladies. Et ainsi de suite.
Mais ce n'est pas partout le cas. De nombreux États sont ouverts, certains sont toujours fermés et de nombreux autres se situent quelque part entre les deux. Dans certains endroits aux États-Unis, la vie semble presque normale.
Pouvons-nous prédire un déplacement de la population des états de verrouillage vers les états ouverts? Selon North American Moving Services, les Américains sont toujours en mouvement à des taux élevés qui se comparent à 2019, malgré ou peut-être à cause de tous les décrets.
Considérez les cinq principales villes que les gens quittent: New York, New York; Anaheim, Californie; San Diego, Californie; Chicago, Illinois; et Riverside, Californie. Ces cinq villes restent, même à ce jour, dans des verrouillages stricts. Les repas en salle en Californie ne sont pas autorisés et ne seront autorisés à Chicago qu'à partir de la semaine prochaine. New York est toujours fermée, malgré l’appel d’Andrew Cuomo à la réouverture de la ville.
Et où vont les gens? Les cinq principales destinations sont: Phoenix, Arizona; Houston, Texas; Dallas, Texas; Atlanta, Géorgie; et Denver, Colorado. La Géorgie a été le premier État à rouvrir à la suite des verrouillages paniqués de mars 2020. L'Arizona et le Texas ont ouvert en juillet.
Le point est encore plus clair si l'on considère que les États gagnent et perdent des résidents. L'Illinois, New York et le New Jersey - tous soumis à des contraintes extrêmes - perdent des résidents plus rapidement que tout autre État. Les États du Nord-Est représentent quatre des sept États, la Californie étant désormais quatrième sur la liste. Ils déménagent dans l'Idaho, l'Arizona, le Tennessee, la Caroline du Sud et la Caroline du Nord.
Voici à quoi ressemble la carte à venir / à venir.
- voir carte sur site -
Ces déplacements de population ont contribué à une hausse spectaculaire de la construction de maisons unifamiliales.
En outre, une enquête Gallup rapporte que «près de la moitié de tous les adultes américains ont déclaré qu'ils préféreraient vivre dans une petite ville ou une zone rurale en 2020. Cela représente une augmentation de neuf points de pourcentage par rapport à 2018, alors que 39% seulement des personnes interrogées même." C’est-à-dire que nous n’avons peut-être commencé à voir que ces changements, car les gens perdent confiance dans les maires et les gouverneurs qui pensaient si peu à la vie et aux libertés de leur peuple au point de les traiter comme des acteurs non-révolutionnaires dans un modèle basé sur des agents.
Certes, les personnes qui sont en mesure de prendre leur ordinateur portable et de partir ont les moyens financiers de déménager, et le genre de travail qui peut être effectué à distance. Bien pour eux. Mais tout le monde n'est pas dans une telle situation. Certaines personnes sont coincées là où elles sont, même si leur propre gouvernement ferme leur lieu de travail.
RépondreSupprimerLes verrouillages ont en fait massivement redistribué à la fois la richesse et le bonheur de la classe moyenne et des pauvres aux plus riches et aux plus privilégiés, exactement comme beaucoup d'entre nous l'avaient prédit depuis mars 2020. J'ai appelé le lockdownisme le nouveau féodalisme.
Une enquête menée par MorningConsult révèle un bouleversement étonnant qui est massivement biaisé par l'éducation et les revenus. Le seul groupe signalant systématiquement un manque de misère en 2020 était celui dont le revenu était supérieur à 100000 dollars et également celui qui avait des diplômes de troisième cycle. Ceux des banlieues et des zones rurales sans collège, gagnant moins de 50 000 dollars, et en particulier les femmes en général, rapportent une détérioration dramatique de leur santé mentale, physique, financière et professionnelle.
- voir carte sur site -
Parlez d'inégalité. Les verrouillages l'ont suralimenté.
Il n'y a rien de surprenant dans aucune de ces données. Ils ont été prédits dès le début. Les effets destructeurs des verrouillages (y compris les quarantaines massives, les fermetures d'entreprises et la fin des événements publics) sont connus depuis 100 ans depuis qu'ils ont échoué si lamentablement en 1918 lorsqu'ils ont été tentés même à une échelle limitée. C'est précisément pourquoi la santé publique a rejeté toutes ces «interventions non pharmaceutiques» pendant un siècle complet, jusqu'à ce que certaines personnes les oublient et les tentent de toute façon, avec des résultats gravement calamiteux.
Aujourd'hui, nous assistons à des changements démographiques spectaculaires, avec des gens qui peuvent le faire fuyant les villes verrouillées pour n'importe où qui permet un minimum de liberté.
Mis à part tous ces effets démographiques, l'une des pires caractéristiques de l'année écoulée est la façon dont elle a encouragé les gouvernements à croire qu'ils peuvent violer les droits et libertés de leurs citoyens, donnant ainsi naissance à une nouvelle forme d'autoritarisme, comme cela est bien documenté dans ce document. rapport, qui conclut: «Une réponse autoritaire à une pandémie biomédicale n'est pas, et ne sera jamais, une solution humanitaire.»
https://www.zerohedge.com/political/americans-are-fleeing-lockdowns-when-they-can-afford-it
Pouvez-vous croire cela ? Une véritable percée médicale à l'ère des fausses nouvelles !
RépondreSupprimerPar Bill Sardi
25 janvier 2021
Plus de tubes forcés dans la gorge (intubation). Fini les tubes d'alimentation liquides. Plus de dommages aux poumons dus aux ventilateurs à pression positive. Les patients sont capables de communiquer librement, de boire avec une paille et de manger des aliments solides avec assistance (alimentation à la cuillère). Je l’ai dit à plusieurs reprises, nous devrions revenir au poumon de fer si nous voulons nous retrouver avec des poumons cicatrisés par des ventilateurs à pression positive.
Une fois que le système nerveux autonome tombe en panne et que les patients doivent respirer consciemment, ils ne peuvent pas s'endormir (inconscients) et continuer à respirer en même temps. Cet essoufflement est ce qui entraîne la mort attribuée à tort au COVID-19. Cet appareil EXOVENT chronomètre la respiration du patient.
D'autres infections à coronavirus ne provoquent pas les mêmes symptômes, seulement le COVID-19, ce qui suggère que ce n'est pas le COVID-19 qui entraîne ces décès respiratoires. Dans la pneumonie, les poumons se remplissent de liquide et l'oxygène ne peut pas être échangé dans les sacs d'alvéoles dans les poumons vers la circulation sanguine. Mais dans COVID-19, les poumons ne se remplissent pas de liquide et il n'y a pas de tempête de cytokines (inflammatoire), preuve que ce n'est peut-être pas le virus qui cause ce phénomène.
La vitamine B1 contrôle le système nerveux autonome (respiration, rythme cardiaque, digestion). Une carence en vitamine B1 (thiamine), induite par la consommation d'alcool, de café, de thé (les deux derniers susceptibles d'être fournis pendant l'hospitalisation) altère l'absorption, le transport ou l'utilisation de B1, peut provoquer l'essoufflement observé dans les cas de COVID-19. Les diurétiques, les antiacides, les pilules antidiabétiques de metformine, induisent également un déficit en B1 et sont couramment utilisés dans les unités de soins intensifs. Il n'est pas étonnant que les patients atteints de COVID-19 s'aggravent à l'hôpital.
Une étude des cas graves de COVID-19 a révélé que 15,6% des patients étaient déficients en B1. En fait, les décès non liés au COVID-19 se sont avérés comprendre les décès en excès observés au cours des premiers mois de la pandémie du COVID-19. Près d'un tiers des participants au COVID-19 dans une enquête ont consommé plus d'alcool pendant la pandémie de COVID-19 afin de faire face à leur peur et leur anxiété. Les ventes de boissons alcoolisées ont augmenté de 500% depuis l'annonce de la pandémie COVID-10.
RépondreSupprimerCe n'est que lorsque la médecine moderne admet qu'il ne s'agit pas d'une infection à coronavirus COVID-19, mais plutôt de pratiques malsaines qui induisent une carence en vitamine clé qui contrôle la respiration, que cette pandémie s'arrêtera. La vaccination continuera de décevoir. Une carence en vitamine B1 provoque un dysfonctionnement du système nerveux dans l'hypothalamus cérébral, ce qui entraîne de la fièvre, de la diarrhée, des vomissements, de l'essoufflement et des symptômes qui font croire à tort au médecin et au patient qu'une infection virale est en jeu. Les nombreux tests sur écouvillon nasal et anticorps faussement positifs conduisent à la conclusion erronée que le virus est responsable de la maladie maintenant classée comme COVID-19. L'existence d'un virus + symptômes ne signifie pas nécessairement que le virus est à l'origine des symptômes. En attendant, quand tout le reste échoue, le poumon EXOVENT sauvera sûrement des vies.
Le nouveau ventilateur «poumon de fer du 21e siècle» conçu par des experts britanniques pourrait révolutionner le traitement Covid en sortant les patients des services de soins intensifs.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/no_author/can-you-believe-this-a-real-medical-breakthrough-in-an-era-of-fake-news/
Quand les voleurs cherchent à verrouiller le pouvoir: la loi sur la fraude électorale démocrate
RépondreSupprimerPar Vasko Kohlmayer
25 janvier 2021
«Les élections ont des conséquences», dit-on souvent… et à juste titre. Une mise à jour de cette sage maxime s'impose cependant: «Les élections volées ont des conséquences désastreuses.»
Il suffit de demander au peuple vénézuélien, à Cuba et à tous ceux qui ont vécu sous des régimes totalitaires dont les dirigeants prétendent encore organiser régulièrement des scrutins.
Désormais, le peuple américain est lui-même victime d'un vol électoral in-your-face (voir, par exemple, ici et ici et ici et ici).
En regardant les preuves de plus en plus nombreuses, voici ce que Newt Gingrich a déclaré à la fin du mois de novembre dernier:
«Plus il y a de données sur les anomalies de vote qui ne sont manifestement pas légitimes, plus il semble que 2020 pourrait être le plus grand vol présidentiel depuis qu'Adams et Clay ont volé Andrew Jackson en 1824.»
Qui aurait jamais pensé qu’une telle chose se produirait dans l’Amérique d’aujourd’hui ? N'étions-nous pas censés être le bastion de la démocratie ?
Après avoir réussi leur grande volée, les démocrates cherchent maintenant à mettre en œuvre des mesures qui garantiraient qu'ils ne seront plus jamais délogés du pouvoir par des élections justes et transparentes.
Ils n'ont pas perdu de temps avant de commencer à mettre en place des garanties. Parmi les assauts d’initiatives qu’ils ont lancés dans les premiers jours du régime Biden, leur objectif principal est de garantir un verrouillage perpétuel du processus électoral du pays.
Leur effort comporte trois volets:
Codifier et consacrer dans la loi les mécanismes qui ont été utilisés pour réaliser le Grand Vol de 2020.
Désignez officiellement l'opposition comme des «ennemis du peuple», qui, dans le contexte américain, portent des noms tels que terroristes nationaux, racistes et suprémacistes blancs.
Importez un nombre insurmontable d'électeurs potentiels en accordant l'amnistie à des millions d'étrangers illégaux (les estimations vont de onze à vingt-cinq millions).
En ce qui concerne le premier point, les démocrates se sont empressés de réintroduire H.R.1, le soi-disant For the People Act de 2021.
Le projet de loi a échoué en 2019 lorsqu'il s'est heurté à l'opposition au Sénat sous contrôle républicain. Le chef de l'époque, Mitch McConnell, a bien vu et refusé de le soulever pour un vote. Il a déclaré à juste titre que le projet de loi était une «prise de pouvoir unilatérale» par le Parti démocrate. Il a suggéré que cela aurait dû être appelé «Loi sur la protection des politiciens démocrates».
RépondreSupprimerL’instinct de McConnell était correct, mais le nom qu’il suggérait ne rendait pas justice à la parodie.
H.R.1 devrait plutôt être appelé le Democrat Election Fraud Act.
En raison de la résistance républicaine, les démocrates n'ont pas été en mesure de faire avancer le projet de loi lors de leur première tentative. Lors des dernières élections, cependant, ils ont toujours pu utiliser la plupart des mécanismes de fraude qu'ils cherchaient à légitimer sous l'excuse du COVID-19.
Maintenant, ils veulent s'assurer qu'aucune excuse COVID n'est nécessaire pour rendre l'escroquerie facilement et en permanence disponible. D'où leur nouvel élan législatif.
Voici quelques-unes des dispositions incluses dans H.R.1 telles que détaillées par le New York Intelligencer:
Affranchissement prépayé sur les bulletins de vote par correspondance
Permettre aux électeurs de remettre leur bulletin de vote par correspondance en personne s'ils le souhaitent
Inscription automatique des électeurs dans un éventail d'organismes publics
Inscription des électeurs le jour même
Inscription des électeurs en ligne
Permettre aux jeunes de 16 et 17 ans de se préinscrire pour qu'ils soient sur la bonne voie à l'âge de 18 ans
Permettre aux collèges et universités d'État de servir d'agences d'enregistrement
Interdire aux États de purger l'inscription des électeurs éligibles simplement pour un vote peu fréquent
Deux semaines de vote anticipé en personne, y compris la disponibilité le dimanche et en dehors des heures normales de bureau
Mettre fin à la privation du droit de vote pour les personnes en liberté conditionnelle, en probation ou après la condamnation, et exiger que ces citoyens reçoivent des formulaires d'inscription et soient informés que leur droit de vote a été rétabli
Notez que ces mesures ont été utilisées avec succès dans le cadre de la Grande Volée de 2020. Des dizaines de millions de bulletins de vote par correspondance, le vote des mineurs et des mineurs, l'inscription le jour même, des listes électorales sales et c'est ainsi que les démocrates ont réussi à générer un nombre record des voix pour un candidat cinglant qui n'a pas pu attirer une foule de deux cents personnes.
L’objectif principal des démocrates est de faire du vote par correspondance généralisé une caractéristique régulière de notre processus électoral, car c’est là que la fraude massive est la plus facile à commettre.
RépondreSupprimerEn 2005, la Commission bipartite sur la réforme électorale fédérale, présidée par l'ancien président Jimmy Carter et l'ancien secrétaire d'État James Baker, est parvenue à la conclusion suivante: «Les bulletins de vote par correspondance restent la principale source de fraude électorale potentielle.»
Fraudeurs qu'ils sont, c'est précisément pourquoi les démocrates sont si amoureux du vote par correspondance. Ils les aiment tellement qu'ils enverront des millions d'enveloppes prépayées même si les gens ne les demandent pas.
Et si vous ne recevez pas de bulletin de vote, pas de problème. En vertu des dispositions de H.R.1, vous pourrez effectivement faire votre propre vote dans l'intimité de votre domicile. Selon Phil Kline, l'ancien procureur général du Kansas:
«HR 1 permettrait la récolte de bulletins de vote sur les stéroïdes. Les électeurs auraient - pour la première fois - la possibilité d'imprimer leurs bulletins de vote chez eux, créant une faille de sécurité béante qui pourrait facilement être exploitée par des intérêts nationaux ou étrangers. La législation permet également à des tiers de collecter les bulletins d'un nombre illimité d'électeurs absents et de les soumettre par le biais des urnes, augmentant considérablement le risque que des Américains vulnérables soient victimes d'intimidation, de pots-de-vin ou de chantage pour leurs votes sans la protection des travailleurs électoraux.
Enhardis et impitoyables, les démocrates sont déterminés à faire en sorte que le vote des absents et d'autres outils de fraude leur soient désormais facilement accessibles à chaque élection. C'est vraiment ce que représente H.R.1.
Maintenant qu'ils contrôlent à la fois la branche législative et exécutive du gouvernement américain, la perspective que tout cela soit inscrit dans la loi s'est sensiblement améliorée. Tout ce qui leur fait obstacle, c'est l'obstruction systématique du Sénat, dont ils ont actuellement les votes à éliminer. Cette option est quelque chose qu'ils envisagent sérieusement alors même que nous parlons.
Leur seule crainte est que les républicains utiliseraient l'absence d'obstruction contre eux à l'avenir si le GOP reprenait jamais le pouvoir. Cependant, si l'élimination de l'obstruction systématique devrait permettre l'adoption de H.R.1, une telle possibilité ne se matérialisera probablement jamais. Cette perspective doit immensément séduire les démocrates.
Tout électeur honnête de ce pays, méfiez-vous: H.R.1, le Democrat Election Fraud Act de 2021, est le premier projet de loi présenté au 117e Congrès des États-Unis.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/vasko-kohlmayer/when-thieves-seek-a-lock-on-power-the-democrat-election-fraud-act/
(...) N'étions-nous pas censés être le bastion de la démocratie ? (...)
SupprimerHAHAHA ! Les USA est une république et donc ne peut être son contraire une Démocratie (comme en Suisse).
Les médias ont détruit l'Amérique
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
25 janvier 2021
Il n'a pas fallu longtemps à Lie Machine, alias les médias américains, pour créer la fausse nouvelle et le faux récit de «l'assaut du Capitole américain» le 6 janvier par une «insurrection suprémaciste blanche». Voici un exemple de Bloomberg Weekend Reading le 23 janvier 2021:
"Les scènes du premier jour de la présidence de Joe Biden se sont déroulées dans le contexte d'une économie américaine dévastée, des retombées continues d'une insurrection suprémaciste blanche et d'un nombre de morts de coronavirus dépassant les 400000.''
Le faux récit est accepté partout. C'est endémique dans la presse mondiale. Même des sources d'information telles que RT et Sputnik qui s'efforcent de nous donner de vraies nouvelles au lieu de prétendre mensonges ont répété l'histoire de l'insurrection.
Le président Trump a été destitué par la Chambre sur la seule base de cette fausse nouvelle, et doit maintenant être jugé au Sénat pour les mêmes fausses nouvelles.
Sur la base de la même fausse nouvelle, deux banques de Floride dans lesquelles Trump avait des dépôts de plusieurs millions de dollars ont fermé les comptes de Trump.
Signature Bank à New York a également fermé le compte de Trump.
Tout comme la Deutsche Bank d’Allemagne.
Le maire de New York, Bill de Blasio, qui a permis à Antifa et BLM de piller et de brûler Manhattan, a mis fin aux contrats de la ville avec les entreprises Trump qui gèrent des patinoires et un carrousel à Central Park et un terrain de golf dans le Bronx.
La PGA of America a voté pour retirer le championnat de la PGA du terrain de golf de Trump dans le New Jersey.
Regarde ça.
D'autres sources rapportent que les conventions évitent ses hôtels et que les créanciers ne renouvelleront pas leurs prêts.
Ces fausses nouvelles peuvent avoir de telles conséquences dans le monde réel devraient effrayer tous les Américains à mort.
Remarquez également comment la fausse nouvelle empire à chaque répétition. Le 6 janvier, l'insurrection présumée était le fait de «partisans de Trump». Le 23 janvier, les partisans de Trump s'étaient transformés en «insurgés suprémacistes blancs».
Le monde entier croit maintenant en quelque chose qui n'existe pas.
Ceci est un exemple de ce que signifie vivre dans The Matrix. Tout le monde vit dans un faux monde créé par des mensonges répétés à l'infini par des pressions.
Les mensonges de décision sont des mensonges qui permettent les agendas de l'establishment en se débarrassant des explications non-établies et en fermant les dirigeants non-établis. Trump a dû partir parce qu'il faisait obstacle aux agendas de l'establishment. Un exemple est fait de Trump comme une leçon pour d'autres qui accordent plus d'importance au service aux gens qu'au service à l'établissement.
Il ne fait aucun doute que Trump a été réélu. Les preuves accumulées de fraude électorale sont accablantes. Pourtant, la machine à mensonge a pu empêcher la présentation et l'examen des preuves. Tout ce que les presstituts ont dit, c'est qu '«il n'y a aucune preuve de fraude», suivi de «tous ceux qui soutiennent l'examen des preuves sont des ennemis de la démocratie».
RépondreSupprimerEn d'autres termes, la démocratie est une élection volée. Si vous protestez contre le vol, vous êtes un ennemi de la démocratie.
Le 29 décembre 2020, près de deux mois après l'élection présidentielle de novembre et après près de deux mois de diabolisation de Trump pour avoir déclaré que l'élection avait été volée, le sondage Gallup a rapporté que son enquête avait révélé que Donald Trump avait remplacé Obama comme l'homme le plus admiré par Les Américains.
Pourtant, l'homme le plus admiré a perdu l'élection.
Le fait qu'une élection présidentielle puisse être volée à la vue de tous, attestée par de nombreux experts et un millier d'affidavits signés, pourrait ne pas être examinée par les médias, les procureurs généraux des États et fédéraux, les tribunaux et le Congrès, montre le pouvoir de l'establishment et de la l'impuissance des médias qui, loin d'être libres, sont au service total de l'établissement. Le public n'a jamais entendu parler des preuves de la télévision, des journaux ou de NPR.
De toute évidence, en Amérique, il n’existe pas de démocratie. Une élection a été volée et rien n'a été fait. L'Establishment a pu éliminer un président qui n'a pas atteint ses objectifs et rien n'a été fait à ce sujet.
Les gens ont appris que leur vote ne veut rien dire et qu'il n'y a donc pas de démocratie. Un gouvernement contrôlé par l'establishment n'a pas de comptes à rendre au peuple.
Il y a peut-être une lueur d'espoir. Cela fait longtemps que la politique gouvernementale n'a pas servi le public. Le public a accepté la situation, car la plupart des gens pensaient que c'était en quelque sorte un résultat démocratique. Maintenant, ils savent que la «démocratie américaine» n'était rien d'autre qu'un masque pour les intérêts personnels de l'establishment. Peut-être que l'élection volée servira de rappel pour sortir la population de son insouciance. Il y a des signes que l'establishment craint de le faire, d'où le nouveau projet de loi sur le terrorisme intérieur qui sera utilisé pour criminaliser la dissidence en tant que terrorisme.
Pour ceux qui sont endoctrinés par la répétition des médias selon laquelle «il n’ya aucune preuve de fraude électorale», supposons que ce mensonge soit exact. Le fait demeure que le système a laissé tomber les gens. Que l'élection ait été volée ou non, 74 millions d'Américains selon le décompte officiel des voix et 94 millions d'Américains selon les estimations d'experts du véritable décompte des voix de Trump pensent que l'élection a été volée. Pourtant, les préoccupations de ces millions d'Américains ont été écartées d'emblée comme des allégations frauduleuses. Les presstituts ont affirmé à plusieurs reprises que la seule fraude était l'allégation de fraude.
RépondreSupprimerLes démocrates, les médias et les institutions mises en place pour garantir une société libre ont totalement failli à leur responsabilité de répondre aux préoccupations sincères de la moitié ou plus de la population électorale. C'est en soi un échec de la démocratie, un échec de l'establishment.
Ceux qui ont exprimé leurs inquiétudes ont été non seulement rejetés, mais aussi diabolisés, menacés et punis comme des «ennemis de la démocratie».
La leçon ne peut être plus claire: un ennemi de la démocratie est tous ceux qui contestent l'explication contrôlée.
Les États-Unis entrent dans l'année 2021 en tant que pays qui est passé de la liste des démocraties à la liste des gouvernements autoritaires et est en train de devenir rapidement un pays totalitaire dans lequel la liberté d'expression, la liberté d'association et une procédure régulière sont des protections constitutionnelles lettre morte. La Gestapo frappe à la porte, le NKVD frappe à la porte est venu en Amérique.
Notez qu'il s'agit d'une phrase deux pour une. Bloomberg a eu la fausse nouvelle de 400 000 décès de Covid aux États-Unis. Ce chiffre provient du comptage de tous ceux qui meurent, peu importe s'ils sont de Covid, comme une mort de Covid. Le test Covid produit un taux très élevé de faux positifs, exagérant ainsi considérablement le nombre d'infections. De nombreux experts l'ont souligné, tout comme l'inventeur du test PCR, mais les presstituts ont gardé un œil sur l'actualité. Maintenant, l'Organisation mondiale de la santé a finalement admis que le test Covid-19 PCR avait un problème.
https://www.lewrockwell.com/2021/01/paul-craig-roberts/the-media-destroyed-america/
(...) Même des sources d'information telles que RT et Sputnik qui s'efforcent de nous donner de vraies nouvelles au lieu de prétendre mensonges ont répété l'histoire de l'insurrection. (...)
SupprimerIl y a belle lurette que les stations étrangères ont dû se conformer au cadre de la dictature !
Pareillement que les stations de radios RTL qui n'émet pas depuis le Luxembourg mais de Paris comme pour RMC qui n'émet plus depuis le bd Princesse Charlotte à Monté-Carlo ! Hahahaha !
Non-non, désolé les radio-pirates avant 81 ont été brouillées puis détruites pour faire place à la dictature nazional socialiste implantant en France les 'radios libres' !!! (qui ne devaient ne diffuser que des programmes nazional socialiste), et qui s'appelaient le 'FM' !!
LE GRAND RESET VU PAR LE MAGAZINE TIME !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
18/01/2021
Le FMI prévoit que la crise économique supprimera 12.000 milliards de dollars de richesse mondiale en 2020.
La pandémie de la COVID-19 a fourni une occasion unique de réfléchir au type d’avenir que nous souhaitons. Le TIME s’est associé au Forum économique mondial pour demander à des penseurs de premier plan de partager leurs idées sur la manière de transformer notre mode de vie et de travail.
… C’est l’occasion de traduire pour vous ce document en anglais de plus de 30 pages.
L’attente est grande de comprendre ce que le grand reset signifie dans l’esprit des grands mamamouchis de Davos, qui dirigent cette planète.
Vous ne serez pas déçu par ce document.
Pourquoi le Grand Reset fait peur ?
Je pense qu’il est très important de lire ce dossier, car vous y voyez quoi ?
L’avenir que certains psychopathes rêvent pour notre planète, qui se dessine, mais qui n’est pas plus figé qu’écrit.
Cet avenir sombre est à mi-chemin entre la dictature sanitaire, la dictature écologique et la dictature technologique.
La lutte contre la pandémie justifie toutes les mesures liberticides.
La dictature écologique au nom du sauvetage de la planète justifie toutes les rapines fiscales.
La dictature technologique permet d’assoir tout cela avec du contrôle social et le crédit social à la chinoise afin de rendre tout ce petit monde bien obéissant.
Voilà pourquoi le « grand Reset » fait peur à ceux qui regardent généralement sans complaisance le monde et son évolution.
Rien n’est figé, rien n’est définitivement écrit, et la résistance intellectuelle ne doit jamais cesser.
A tous les abonnés, le dossier est disponible dans vos espaces lecteurs en téléchargement. A tous ceux qui veulent aller plus loin vous pouvez vous abonner à la lettre Stratégies en cliquant ici.
Pour tout le monde, je vous souhaite un bon JT de l’éco avec la vidéo ci-dessous.
- voir sur site :
http://www.economiematin.fr/news-grand-reset-2021-effondrement-analyse-explication-time-sannat
Covid-19 et Sras-Cov-2 — Les preuves d'une fraude globale ?
RépondreSupprimerM.K. Scarlett
Sott.net
dim., 24 jan. 2021 16:22 UTC
S'interroger sur le fait de savoir si le Sras-CoV-2 a été ou pas vraiment « isolé » peut sembler pertinent, d'autant que la généticienne Alexandra Henrion-Caude se pose la même question.
Covid-19 - Les preuves d'une fraude globale
L'article qui suit et les informations qu'il contient rend compte de certains faits qui posent question et qui sont par ailleurs peu débattus. Ces éléments ne suffiront sans doute pas à trancher la question, mais ils offrent, considérés dans leur ensemble, des éléments de réponses possibles, qui ouvrent eux-mêmes sur d'autres questionnements. Le tout étant par ailleurs parfois un peu technique, des explications supplémentaires portant sur des détails particuliers seront apportées au lecteur.
Toutefois, et pour mettre les choses en perspective dans le contexte qui est le nôtre aujourd'hui, à savoir que nous avons affaire à des psychopathes — et à des suiveurs autoritaristes souvent corrompus, au rang desquels se trouvent des scientifiques — qui usent de sophisme pour nous raconter une histoire (celle de leur pseudo-réalité), voici un extrait de l'ouvrage de Josef Pieper, Abus de langage, Abus de pouvoir :
« [les sophistes sont des] maîtres dans l'art de déformer les mots, grassement payés et acclamés par les foules [...] capables de faire l'éloge d'une chose mauvaise en la faisant apparaître comme bonne et qui [savent] avec maestria transformer le blanc en noir. [la sophistique est] un danger et une menace qui frappent la vie de l'esprit et celle de la société à toutes les époques. [...] les sophistes, doués d'une énorme sensibilité pour les nuances du langage et d'une dose extrême d'intelligence formelle, cultivent le mot, érigent et parfaissent l'usage du mot en art — et [...] ce faisant, ils corrompent en même temps le sens et la dignité du mot. [Il est essentiel] de reconnaître que quelque chose peut être magnifiquement fait, représenté, mis en scène, filmé brillamment et cependant être en même temps fondamentalement et essentiellement faux, et pas seulement faux, mais aussi mauvais, inférieur, lamentable, honteux, funeste, vil — et pourtant magnifiquement réalisé ! [...] la difficulté à reconnaître les sophistes fait partie du succès de ces derniers. »
On retrouve cet abus de langage au sein d'une mauvaise science devenue religieusement universelle dans laquelle il existe
« un phénomène de « corruption systémique », une entreprise de manipulation généralisée permettant de ne pas avoir besoin de soudoyer un grand nombre de personnes. La manipulation globale permet que des foules d'acteurs de bonne foi y participent en toute ignorance de cause. »
Voici donc la traduction de l'article écrit par Iain Davis sur son site Web In This Together.
* * * * *
Le Covid-19, et les réponses gouvernementales qui ont suivi, semblent faire partie d'une conspiration internationale visant à commettre des fraudes. Il semble qu'aucune preuve n'existe pour démontrer qu'un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Parfois, il faut suivre son instinct. Je ne suis pas un expert en génétique et, comme toujours, je suis prêt à être corrigé. Cependant, mon attention a été attirée par certaines recherches publiées par la revue médicale espagnole D-Salud-Discovery. Leur comité consultatif composé de médecins et de scientifiques éminemment qualifiés confère une crédibilité supplémentaire à leurs recherches. Leur affirmation est stupéfiante.
RépondreSupprimerLes sondes et les amorces génétiques utilisées dans les tests RT-PCR pour identifier le Sras-CoV-2 ne ciblent rien de spécifique. J'ai suivi les techniques de recherche décrites dans cette traduction anglaise de leur rapport et je peux corroborer l'exactitude de leurs affirmations concernant les séquences de nucléotides énumérées dans les protocoles de l'Organisation mondiale de la santé. Vous pouvez faire de même.
D-Salud-Discovery indique qu'il n'existe aucun test capable d'identifier le Sras-CoV-2. Par conséquent, toutes les allégations concernant l'impact présumé du Covid-19 sur la santé de la population sont sans fondement.
L'ensemble du récit officiel du Covid-19 est une supercherie. De toute évidence, il n'existe aucun fondement scientifique dans aucune des parties de ce récit.
Si ces affirmations sont exactes, nous pouvons déclarer qu'il n'existe pas de preuve de pandémie, mais seulement l'illusion d'une pandémie. Nous avons subi des pertes incalculables sans raison évidente, si ce n'est celles des ambitions de despotes sans scrupules qui souhaitent transformer l'économie mondiale et notre société en fonction de leurs objectifs.
Ce faisant, cette « classe de parasites » a potentiellement commis d'innombrables crimes. Ces crimes peuvent et doivent faire l'objet d'une enquête et de poursuites devant un tribunal.
-- Note de MKS : Puisque l'auteur parle de parasites, voici quatre articles qui pourraient permettre au lecteur de creuser un peu plus :
Fiction ou réalité ? « Les parasites de l'esprit » ou la description du wétiko dans le classique de science-fiction de Colin Wilson
Le virus du wétiko - La plus terrible des pandémies connue de l'humanité
L'insatiable cupidité d'une économie tentaculaire - Une étude de cas du virus du wétiko
Les Maîtres de l'Illusion --
The Great Reset
Qu'ont-ils identifié exactement ?
RépondreSupprimerL'Organisation mondiale de la santé (OMS) a classifié la maladie Covid-19 (COronaVIrus Disease 2019). Elle a déclaré une pandémie mondiale de Covid- 19 le 11 mars 2020.
Le guide de l'OMS sur les essais en laboratoire stipule ce qui suit :
« L'agent étiologique [causalité de la maladie] responsable du groupe de cas de pneumonie à Wuhan a été identifié comme un nouveau betacoronavirus (de la même famille que le Sras-CoV et le Mers-CoV) par un séquençage de nouvelle génération à partir de virus cultivés ou directement à partir d'échantillons reçus de plusieurs patients atteints de pneumonie. »
L'OMS affirme que le virus du Sras-CoV-2 est à l'origine du Covid-19. Ils affirment également que ce virus a été clairement identifié par des chercheurs de Wuhan.
Dans le rapport de l'OMS intitulé « Nouveau coronavirus 2019-nCov — Rapport de situation n° 1 », ils déclarent que :
« Les autorités chinoises ont identifié un nouveau type de coronavirus, qui a été isolé le 7 janvier 2020 [...] Le 12 janvier 2020, la Chine a partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus pour que les pays puissent l'utiliser dans le développement de kits de diagnostic spécifiques. »
Ces deux déclarations de l'OMS suggèrent clairement que le virus Sras-CoV-2 a été isolé (c'est-à-dire purifié pour être étudié) et que des séquences génétiques ont ensuite été identifiées à partir de l'échantillon isolé. À partir de là, des kits de diagnostic ont été mis au point et distribués dans le monde entier pour tester le virus dans les villes et les villages aux quatre coins du globe. Selon l'OMS et les chercheurs chinois, ces tests permettront de trouver le virus qui cause le Covid-19.
Pourtant, l'OMS affirme également :
« Travaillant directement à partir des informations sur les séquences, l'équipe a mis au point une série de tests d'amplification génétique (PCR) utilisés par les laboratoires. »
Les scientifiques de Wuhan ont développé leurs tests d'amplification génétique à partir d'« informations sur les séquences » parce qu'il n'y avait pas d'échantillon isolé et purifié du virus dit Sras-CoV-2. Ils ont également montré des images au microscope électronique des virions nouvellement découverts (la boule de protéines en épi [ou protéine Spike - NdT] contenant l'ARN viral).
Toutefois, ces structures protéiques ne sont pas uniques. Elles ressemblent à d'autres vésicules rondes, telles que les vésicules endocytiques et les exosomes.
Des virologues affirment qu'il n'est pas possible d'« isoler » un virus parce qu'il ne se réplique qu'à l'intérieur des cellules hôtes [et donc in vivo, et non in vitro dans lequel il est sorti de son environnement et ne peut par conséquent pas se comporter de la même manière - NdT]. Ils ajoutent que les postulats de Koch ne s'appliquent pas parce qu'ils concernent les bactéries — qui sont des organismes vivants. Par contre, ce que les virologues observent dans des cultures cellulaires, ce sont les effets cytopathogènes du virus qui provoquent la mutation et la dégradation des cellules.
RépondreSupprimerLorsque les chercheurs chinois ont au départ séquencé le génome complet du Sras-CoV-2, ils ont observé un effet cytopathogène dans les cellules Vero E6 et Huh7. Les Vero E6 sont une lignée cellulaire simienne immortalisée et les Huh7 sont des cellules cancéreuses (tumorigènes) immortalisées. Cela signifie qu'elles ont été maintenues in vitro (dans des cultures en boîte de Pétri) pendant de nombreuses années.
-- Note de MKS : Une lignée cellulaire immortalisée est une lignée qui a échappé à la senescence cellulaire (par un procédé chimique) et qui peut donc se diviser indéfiniment in vitro. Les cellules Vero sont une lignée cellulaire utilisée pour les cultures cellulaires. Les cellules Vero E6 sont un clone de la souche 76, elle-même découverte en 1968. La lignée de cellules Vero a été isolée et établie à partir de rein de singe vert adulte d'Afrique (Certopithecus aethiops) en mars 1962 par Y. Yasumura et Y. Kawakita à l'université de Chiba au Japon. --
Au cœur de l'histoire officielle du Sras-CoV-2 se trouve l'idée qu'il s'agit d'un virus zoonotique, [qui serait - NdT] capable de combler le fossé entre les espèces, des animaux aux humains. Lorsque des scientifiques du CDC aux États-Unis ont « infecté » diverses cellules avec le nouveau virus, ils ont constaté ce qui suit :
« Nous avons examiné la capacité du Sras-CoV-2 à infecter et à se répliquer dans plusieurs lignées cellulaires communes de primates et d'humains, y compris les cellules d'adénocarcinome humain (A549) [celles des poumons], les cellules de foie humain (HUH7. 0), et des cellules rénales embryonnaires humaines (HEK-293T), en plus des cellules Vero E6 et Vero CCL81 [cellules simiennes]... Aucun effet cytopathogène n'a été observé dans aucune des lignées cellulaires, sauf dans les cellules Vero [cellules simiennes] ... Les cellules HUH7.0 et 293T n'ont montré qu'une réplication virale modeste et les cellules A549 [cellules de tissu pulmonaire humain] étaient incompatibles avec l'infection par le Sras-CoV-2. »
Le CDC n'a observé aucun effet cytopathogène dans les cellules humaines. Ils n'ont trouvé aucune preuve que ce prétendu virus ait causé une quelconque maladie humaine. Ce supposé virus humain n'a pas non plus montré de réplication notable dans les cellules humaines, ce qui suggère qu'une infection d'homme à homme serait impossible.
RépondreSupprimerQue le Sras-CoV-2 soit un virus humain capable de provoquer une maladie généralisée est loin d'être évident. Il se peut même qu'il n'existe pas physiquement. Ne serait-ce alors rien d'autre qu'un concept basé sur des séquences génétiques prédictives ?
Structure imagée du Sras-Cov-2
-- Note de MKS : Notez que le Sras-CoV-2 imagé ci-dessus posséderait une protéine de surface (Spike) présentant une différence notable par rapport à d'autres coronavirus génétiquement proches. Ou plus exactement, le site de clivage de la protéine Spike du Sras-CoV-2 posséderait un insert (un fragment de peptide en plus) de quatre acides aminées, absent des protéines Spike de Sras-CoV. Source
À propos de l'origine soi-disant zoonotique, Judy Mikovits a déclaré ce qui suit : [...] Il n'a pas pu apparaître de façon naturelle. Le virus n'a pas pu passer directement à l'homme depuis une chauve-souris achetée au marché par un individu. Ça ne fonctionne pas ainsi. Il s'agit d'une évolution virale accélérée. S'il s'agissait d'un phénomène naturel, il faudrait jusqu'à 800 ans pour que le virus évolue de cette manière.
Rappelons aussi que le Dr Pekova suggérait dès avril dernier que le séquençage du Sras-CoV-2 « semble plutôt anormal, et qu'une restructuration aussi importante a peu de chances de se produire dans la nature, sans intervention humaine ». --
Voyage de découverte
Le Centre de contrôle et de prévention des maladies de Wuhan et le Centre clinique de santé publique de Shanghai ont publié le premier génome complet du Sras-CoV-2 (MN908947.1). Ce séquençage a été mis à jour à de nombreuses reprises. Toutefois, MN908947.1 fut le premier à avoir décrit le prétendu agent étiologique du Sras-Cov-2, à savoir le Covid-19.
Toutes les revendications, les tests, les traitements, les statistiques, le développement de vaccins et les politiques qui en découlent sont basés sur ce séquençage. Si les tests de ce nouveau virus n'identifient rien qui puisse causer une maladie chez les êtres humains, tout le récit du Covid-19 n'est qu'une mascarade.
Les chercheurs de Wuhan ont déclaré qu'ils avaient efficacement reconstitué la séquence génétique du Sras-CoV-2 en faisant correspondre des fragments trouvés dans les échantillons avec d'autres séquences génétiques découvertes précédemment. À partir du matériel recueilli, ils ont trouvé une correspondance de 87,1 % avec les coronavirus Sras (Sras-Cov). Ils ont utilisé l'assemblage de novo et la PCR ciblée, et ont trouvé 29 891 paires de bases qui partageaient une séquence correspondant à 79,6 % au Sras-CoV.
RépondreSupprimerIls ont dû utiliser un assemblage de novo parce qu'ils n'avaient aucune connaissance préalable de la séquence ou de l'ordre corrects de ces fragments. En clair, la déclaration de l'OMS selon laquelle les chercheurs chinois ont isolé le virus le 7 janvier est fausse.
-- Note de MKS : L'assemblage de novo est une technique de séquençage d'un génome inconnu. Il nécessite l'assemblage d'un très grand nombre de petites séquences de ce même génome. Il nécessite aussi un génome de référence (s'il en existe un) afin de positionner (par comparaison) les séquences obtenues. L'assemblage de novo nécessite pour reconstituer un génome complet des programmes bioinformatiques de pointe. Source
Avant de poursuivre, il est nécessaire de comprendre le principe du test PCR et l'usage qui en est fait dans le cadre de la « crise-Covid-19 ».
Il s'agit en tout premier lieu d'un procédé d'amplification moléculaire qui mime le processus naturel de synthèse de l'ADN.
La PCR ciblée est une technique de réplication ciblée in vitro — ou encore ACP pour « amplification en chaîne par polymérase ». Le principe consiste à obtenir, à partir d'un échantillon complexe et peu abondant, d'importantes quantités d'un fragment d'ADN spécifique et de longueur définie, dont l'ordre de grandeur à retenir est celui du million de copies en quelques heures, ce qui est généralement suffisant pour une utilisation ultérieure. Source
Pour Kary Mullis, l'inventeur de la technique PCR qui lui a permis de gagner le prix Nobel de chimie en 1993, cet examen était avant tout qualitatif et destiné à répondre à la question : l'élément est là, oui ou non, mais il n'était pas du tout destiné à le quantifier, et donc, certainement pas conçu pour poser un diagnostic :
« C'est un procédé qui est utilisé pour faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Ça ne dit pas si vous êtes malade. Ça ne dit pas que la chose que vous avez contractée va réellement vous nuire... »
Voir aussi l'avis d'Alexandra-Henrion Caude sur le sujet : « Covid-19, gestion sanitaire, tests PCR, vaccins ARN, stress — Interview avec Alexandra Henrion-Caude ».
Ces cycles d'amplification successifs, peuvent aller, voire dépassent 40. Plus on augmente le nombre de cycles, plus on sera certain de trouver plus de quelque chose, et même une très faible charge virale donnera un résultat positif — à quelque chose qui ressemble à un coronavirus, puisque ces tests détectent des particules virales, des séquences génétiques, mais PAS le virus en entier. Selon Bernard La Scola dans une étude publiée dans la revue European Journal of Clinical Microbiology & Infectious Diseases, « il n'est plus possible de cultiver du virus in vitro lorsque le cycle d'amplification dépasse 34 ». Multiplier ces cycles nécessitent en outre de nombreuses étapes complexes et sujettes à des erreurs, des fautes de stérilité et des contaminations.
RépondreSupprimerUn article pré-publié sur le site medRxiv en juillet 2020 en fait la synthèse :
« Aucune culture virale n'a été obtenue à partir d'échantillons [...] avec des cycles d'amplification supérieurs à 24 ou 34, indiquent les chercheurs. La possibilité de cultiver du virus décroit lorsque les cycles d'amplification augmentent. »
Par ailleurs, et histoire de rajouter à la confusion, le nombre de cycles n'est pas le même d'un pays l'autre, voire d'un laboratoire à l'autre au sein d'un même pays... --
L'équipe de Wuhan a utilisé 40 cycles d'amplification RT-qPCR pour faire correspondre des fragments d'ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d'ARN échantillonnés) avec le génome déjà connu et publié du coronavirus du Sras (Sras-CoV). Malheureusement, la précision du génome original du coronavirus du Sras n'est pas claire non plus.
En 2003, une équipe de chercheurs de Hong Kong a étudié cinquante patients atteints du syndrome respiratoire aigu sévère (Sras). Ils ont prélevé des échantillons sur deux de ces patients et ont développé une culture dans des cellules de foie de singe fœtal.
À partir du matériel génétique trouvé, ils ont créé trente clones. Tandis qu'ils n'ont pu trouver aucune preuve d'un autre virus connu, ils ont toutefois trouvé dans un seul de ces échantillons clonés des séquences génétiques d'« origine inconnue ».
E Gene target sequence
En examinant ces séquences d'ARN inconnues, ils ont trouvé 57 % de correspondance avec le coronavirus bovin et le virus de l'hépatite murine et en ont déduit qu'il était de la famille des Coronaviridae. Considérant que ces séquences suggéraient la découverte d'un nouveau virus du Sras-CoV (toute nouvelle découverte étant par ailleurs considérée par les scientifiques comme une ambroisie), ils ont conçu des amorces RT-PCR pour tester ce nouveau virus. Les chercheurs ont déclaré :
« Les amorces pour détecter le nouveau virus ont été conçues pour la détection par RT-PCR du génome de ce coronavirus associé à la pneumonie humaine dans des échantillons cliniques. Sur les 44 échantillons nasopharyngés disponibles provenant des 50 patients atteints du Sras, 22 présentaient des traces d'ARN de coronavirus humain associé à la pneumonie. »
RépondreSupprimer-- Note de MKS : Bien que l'auteur l'aborde partiellement plus loin, il est utile d'expliquer rapidement ce qu'est une « amorce » (et une sonde) dans le langage de la recherche génétique, voyons les quatre étapes du test PCR (après le prélèvement).
La première étape est celle de la dénaturation réalisée à une température de 95°C, l'ADN double-brin est séparé en ses deux brins d'ADN constitutifs ;
La deuxième étape est celle de l'hybridation lors de laquelle un oligonucléotide (la sonde) s'apparie à la séquence d'ADN qui lui est complémentaire ;
La troisième étape est celle de la polymérisation dans laquelle un deuxième oligonucléotide, l'amorce, s'hybride en amont, à quelques paires de bases de distance de la sonde ;
La quatrième étape est celle de l'émission de fluorescence qui permet d'éventuellement détecter et quantifier un signal fluorescent à même de prouver la présence de ce qui est recherché.
Pour plus de détails, consultez cet article assez simplifié d'où j'ai tiré ce qui précède, ou celui-ci, bien plus fourni. Selon eurofins, les étapes 1 à 4 sont répétées de 35 à 50 fois. Un must ! --
La moitié des patients testés, qui présentaient tous les mêmes symptômes, se sont révélés positifs à ce nouveau virus présumé. Personne ne sait pourquoi l'autre moitié a été testée négative pour ce nouveau virus Sras-CoV. La question n'a pas été posée.
Ce supposé virus ne présentait qu'une correspondance de séquence de 57 % avec un coronavirus prétendument connu. Les 43 % restants étaient juste « là ». Les données séquencées ont été produites et enregistrées en tant que nouveau génome auprès de la GenBank sous le numéro d'accès AY274119.
Les chercheurs de Wuhan ont ensuite trouvé une séquence correspondant à 79,6 % à AY274119 et l'ont donc qualifiée de nouvelle souche de Sras-CoV (2019-nCoV — finalement rebaptisée Sras-CoV-2). Personne n'avait, à aucun moment de ce processus, produit d'échantillon isolé et purifié d'un quelconque virus. Tout ce qu'ils avaient, c'était des pourcentages de concordance de séquences avec d'autres pourcentages de concordance de séquences.
Ils n'ont rien isolé
Les scientifiques sont très agacés parce qu'ils n'arrêtent pas de dire que le virus a été isolé mais que personne ne les croit. La raison en est que, jusqu'à présent, personne n'a fourni un seul échantillon purifié du virus Sras-CoV-2. Ce dont nous disposons, en revanche, c'est d'un génome complet et, comme nous sommes sur le point de le découvrir, celui-ci n'est pas particulièrement convaincant.
Les journalistes d'investigation Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter ont demandé à certains des scientifiques qui ont déclaré avoir des images des virions du Sras-CoV-2 de confirmer qu'il s'agissait bien d'images d'un virus isolé et purifié. Aucun d'entre eux n'a pu le faire.
RépondreSupprimerNote de MKS : En préambule des réponses retranscrites ci-dessous, les auteurs de l'article stipule ce qui suit :
« Et comme les tests PCR sont calibrés pour les séquences de gènes (dans ce cas-ci les séquences d'ARN car on pense que le Sras-CoV-2 est un virus à ARN), nous devons savoir que ces extraits de gènes font partie du virus recherché. Et pour le savoir, il faut procéder à une isolation et une purification correctes du virus présumé.
C'est pourquoi nous avons demandé aux équipes scientifiques [auteurs] des documents pertinents auxquels il est fait référence dans le contexte du Sras-CoV-2 de prouver si les clichés au microscope électronique présentés dans leurs expériences in vitro montrent des virus purifiés. »
Voici les réponses de ces scientifiques :
Study 1: Leo L. M. Poon; Malik Peiris. "Emergence of a novel human coronavirus threatening human health" Nature Medicine, March 2020
Replying Author: Malik Peiris
Date: May 12, 2020
Answer: "The image is the virus budding from an infected cell. It is not purified virus." [L'image est le virus bourgeonnant d'une cellule infectée. Ce n'est pas un virus purifié.]
Study 2: Myung-Guk Han et al. "Identification of Coronavirus Isolated from a Patient in Korea with COVID-19", Osong Public Health and Research Perspectives, February 2020
Replying Author: Myung-Guk Han
Date: May 6, 2020
Answer: "We could not estimate the degree of purification because we do not purify and concentrate the virus cultured in cells." [Nous n'avons pas pu estimer le degré de purification car nous ne purifions pas et ne concentrons pas le virus cultivé dans les cellules.]
Study 3: Wan Beom Park et al. "Virus Isolation from the First Patient with SARS-CoV-2 in Korea", Journal of Korean Medical Science, February 24, 2020
Replying Author: Wan Beom Park
Date: March 19, 2020
Answer: "We did not obtain an electron micrograph showing the degree of purification." [Nous n'avons pas obtenu de micrographie électronique montrant le degré de purification.]
Study 4: Na Zhu et al., "A Novel Coronavirus from Patients with Pneumonia in China", 2019, New England Journal of Medicine, February 20, 2020
Replying Author: Wenjie Tan
Date: March 18, 2020
Answer: "[We show] an image of sedimented virus particles, not purified ones." [[Nous montrons] une image de particules de virus sédimentées, et non pas purifiées.] --
En Australie, des scientifiques de l'Institut Doherty ont annoncé qu'ils avaient isolé le virus Sras-CoV-2. Lorsqu'on leur a demandé de préciser, les scientifiques ont déclaré [le 29 janvier 2020]:
« Nous avons de courtes séquences (ARN) provenant du test de diagnostic qui peuvent être utilisées dans les tests de diagnostic. »
RépondreSupprimerCeci explique pourquoi le gouvernement australien a déclaré [le 4 décembre 2020] :
« La fiabilité des tests Covid-19 est incertaine en raison de la base de preuves limitée... Il existe peu de preuves disponibles pour évaluer la précision et l'utilité clinique des tests Covid-19 disponibles. »
Au Royaume-Uni, en juillet, un groupe d'universitaires inquiets a écrit une lettre au Premier ministre britannique Boris Johnson dans laquelle ils lui demandent de :
« Produire des preuves scientifiques indépendantes, examinées par des pairs, prouvant que le virus Covid-19 a été isolé. »
Ils n'ont, à ce jour, pas reçu de réponse.
De même, le chercheur britannique Andrew Johnson a présenté aux autorités nationales en charge de la santé publique en Angleterre [PHE en anglais - NdT] une requête en vertu de la loi sur la liberté de l'information. Il leur a demandé de lui fournir leurs dossiers décrivant la façon dont le virus du Sras-COV-2 avait été isolé. Ce à quoi ils ont répondu :
« PHE peut confirmer qu'il ne détient pas d'informations de la manière suggérée par votre demande. »
La chercheuse canadienne Christine Massey a fait une demande d'accès à l'information similaire, demandant la même chose au gouvernement canadien. Ce à quoi le gouvernement canadien a répondu :
« Après avoir effectué une recherche approfondie, nous avons le regret de vous informer que nous n'avons pu trouver aucun document répondant à votre demande. »
Aux États-Unis, le Panel de diagnostic RT-PCR du Centre de contrôle des maladies (CDC) indique ce qui suit :
« [...] Aucun isolat quantifié du virus 2019-nCoV n'est actuellement disponible [...] La détection de l'ARN viral pourrait ne pas indiquer la présence d'un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l'agent responsable des symptômes cliniques. »
Dans leur dernière mise à jour du 13 juillet 2020, les CDC n'ont pas encore obtenu d'échantillon viral pur d'un patient dit atteint de la maladie de Covid-19. Ils admettent ouvertement que leurs tests ne montrent pas nécessairement si le Sras-CoV-2 est présent ou cause le Covid-19.
On nous dit que rien de tout cela n'a d'importance. Que nous sommes ignorants et que nous ne comprenons tout simplement pas la virologie. Par conséquent, nous devons nous contenter d'images de choses dont nous savons qu'elles pourraient être autre chose et de séquences génétiques (qui pourraient être n'importe quoi d'autre) comme autant de preuves concluantes que ce virus, et la maladie qu'il est censé causer, sont réels.
Tester en vain
RépondreSupprimerL'OMS, ainsi que tous les gouvernements, les think-thank, les comités directeurs, les conseillers scientifiques gouvernementaux, les institutions supranationales et autres qui font la promotion de l'exposé officiel du Covid-19, affirment que le Sras-CoV-2 provoque le Covid-19. Alors que personne n'a jamais produit d'échantillon de ce supposé virus, le prétendu génome du Sras-CoV-2 a été publié. Il relève du domaine public.
Au sein du génome du Sras-CoV-2, des séquences génétiques clés auraient des fonctions spécifiques. Ce sont les protéines cibles que les scientifiques testent pour identifier la présence du « virus ». Il s'agit notamment des quatre suivantes :
Le gène de l'ARN polymérase ARN-dépendante (Rd-Rp) — Il permet à l'ARN du Sras-CoV-2 de se répliquer à l'intérieur du cytoplasme des cellules épithéliales malades du Covid-19 ;
Le gène S (ORF2) — Cette glycoprotéine forme le pic [Spike - NdT] à la surface du virion du Sras-CoV-2 qui est censé faciliter la liaison du Sras-CoV-2 aux récepteurs ACE2 des cellules, permettant à l'ARN à l'intérieur de l'enveloppe protéique du virion (capside) de passer dans la cellule désormais infectée ;
Le gène E (ORF1ab) — C'est une petite protéine membranaire utilisée dans l'assemblage du virus ;
Le gène N (ORF9a) — Il s'agit du gène de la nucléocapside qui se lie à l'ARN lors de la formation de la capside.
L'OMS tient un registre accessible au public des amorces et des sondes RT-PCR utilisées pour tester le Sras-CoV-2. Les amorces sont des séquences de nucléotides spécifiques qui se lient (s'annulent) aux brins anti-sens et sensoriels de l'ADNc synthétisé (appelées respectivement amorces avant et arrière).
Les brins d'ADNc (ADN complémentaire construit à partir de fragments d'ARN échantillonnés) se séparent lorsqu'ils sont chauffés et se reforment lorsqu'ils sont refroidis. Avant le refroidissement, des séquences de nucléotides appelées sondes sont introduites pour s'hybrider à des régions cibles spécifiques du génome viral présumé. Au cours de l'amplification, alors que les régions entre les amorces s'allongent, lorsqu'une amorce frappe une sonde, celle-ci se désintègre en libérant un fluorescent ou un colorant qui peut alors être lu par les chercheurs.
C'est de l'identification de ces marqueurs que les scientifiques prétendent prouver la présence du Sras-CoV-2 dans un échantillon.
Un autre outil accessible au public est le Basic Local Alignment Search Tool (BLAST) [il s'agit d'une méthode de recherche heuristique utilisée en bioinformatique. Le BLAST permet de trouver les régions similaires entre deux ou plusieurs séquences de nucléotides ou d'acides aminés, et de réaliser un alignement de ces régions homologues - NdT]. Il permet à quiconque de comparer les séquences de nucléotides publiées avec toutes celles stockées par la base de données génétiques des National Institutes of Health (NIH) américains appelée GenBank. Nous pouvons donc « BLASTER » [rechercher] les amorces, les sondes et les séquences de gènes cibles qui ont été déclarées dans la recherche du Sras-CoV-2.
BLAST - Basic Local Alignment Search Tool Sras Cov2
RépondreSupprimerLes amorces et les protocoles de sonde de l'OMS pour le génome viral présumé du Sras-CoV-2 sont basés sur les profils des gènes Rd-Rp, ORF1, N et E. N'importe qui peut les soumettre à l'analyse de BLAST et découvrir les résultats.
La séquence nucléotidique vitale Rd-RP, utilisée comme amorce avant, est — ATGAGCTTAGTCCTGTTG. Si nous lançons une recherche nucléotidique sur BLAST, celle-ci est enregistrée comme correspondant à l'isolation complète du Sras-CoV-2 avec une identité de séquence identique à 100 %. De même, la séquence d'amorce du gène E inverse — ATATTGCAGCAGTACGCACACA — révèle la présence de la séquence ORF1ab qui identifie également le Sras-CoV-2.
Cependant, BLAST nous permet également de rechercher les séquences de nucléotides des génomes microbiens et humains. Si nous recherchons la séquence Rd-Rp du Sras-CoV-2, elle révèle 99 chromosomes humains avec une identité de séquence de 100 %. La recherche sur le ORF1ab (gène E) en trouve 90 avec une identité de séquence de 100 % avec les chromosomes humains.
En faisant de même pour ces séquences avec une recherche microbienne, on trouve 92 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène du Sras-CoV-2 E, et 100 microbes dont la séquence correspond à 100 % au gène vital Rd-Rp du Sras-CoV-2 .
Chaque fois que nous vérifions les soi-disant marqueurs génétiques uniques au Sras-CoV-2 qui sont enregistrés dans les protocoles de l'OMS, nous trouvons des correspondances complètes ou à pourcentage élevé avec divers fragments du génome humain. Cela suggère que les séquences génétiques, qui sont censées identifier le Sras-CoV-2, ne sont pas uniques. Elles pourraient être n'importe quoi, depuis des séquences microbiennes jusqu'à des fragments de chromosomes humains.
Les soi-disant vérificateurs-de-faits (fact-checkers), comme le projet Health Feedback de Reuters, se sont empressés de rejeter les revendications de ceux qui ont remarqué le manque apparent de spécificité du supposé génome du Sras-CoV-2. Ils utilisent une ribambelle d'arguments bidons comme « cette affirmation suggère que chaque test devrait être positif » (ce qui n'est pas le cas), ce qui fait que leur tentative de démystification aboutit à quelque chose comme ça :
« Les amorces sont conçues pour se lier à des séquences de nucléotides spécifiques qui sont uniques au virus. L'amorce avant peut se lier à un chromosome particulier, mais l'amorce arrière ne se lie pas au même chromosome et le chromosome n'est donc pas présent dans le virus Sras-CoV-2. De plus, comme les amorces avant et arrière enveloppent la séquence à amplifier, la séquence d'ADNc entre les amorces est unique au virus. »
RépondreSupprimerCette façon de faire semble déformer de manière délibérée la portée des observations émises en amont en avançant un argument que personne, à part les vérificateurs-de-faits eux-mêmes, ne fait valoir. Les recherches effectuées sur BLAST montrent que ces séquences cibles ne sont pas uniques au Sras-CoV-2. Pas plus qu'il n'est nécessaire de trouver toutes les cibles pour qu'un résultat soit jugé positif.
Fact-Checkers
Des chercheurs marocains ont enquêté sur l'épidémiologie des cas marocains présumés du Sras-CoV-2. Neuf pour cent étaient positifs pour trois gènes, dix-huit pour cent étaient positifs pour deux gènes et soixante-treize pour cent pour un seul. Comme nous venons de l'évoquer, beaucoup d'entre eux n'étaient peut-être positifs à aucun.
Ceci est tout à fait conforme aux directives de l'OMS en matière de tests. Elles stipulent que
« Un diagnostic optimal consiste en un test d'amplification de l'acide nucléique (TAAN) avec au moins deux cibles indépendantes du génome du Sras-CoV-2 ; cependant, dans les zones où la transmission est répandue, un simple algorithme à cible unique peut être utilisé [...] Un ou plusieurs résultats négatifs n'excluent pas nécessairement une infection par le Sras-CoV-2. »
Indépendamment des arguments fallacieux des vérificateurs-de-faits grassement rémunérés, si les amorces avant et arrière identifient des débris, l'une identifiant peut-être le fragment d'un chromosome et l'autre une séquence microbienne, alors la région amplifiée située entre elles est probablement aussi un débris.
L'argument selon lequel la RT-PCR ne trouve que de l'ARN est spécieux. La transcription naturelle (la séparation des brins d'ADN) se produit pendant l'expression des gènes. Personne ne dit que dans le prétendu génome du Sras-CoV-2 l'entièreté des chromosomes ou des microbes sont séquencés. Même s'il est possible que ce soit effectivement le cas, pour ce que l'on en sait. Ce qui est avancé [par ceux qui interroge les méthodes de dépistage - NdT], c'est que les prétendus marqueurs utilisés pour tester ce supposé virus ne sont pas adaptés à l'objectif.
Les tests RT-PCR ne séquencent pas l'intégralité du génome. Ils recherchent des occurrences de fluorescence de sondes spécifiques pour indiquer la présence de séquences supposées exister. Ces séquences sont définies par MN908947.1 et les mises à jour ultérieures. Ces amorces et ces sondes ne peuvent révéler que des correspondances d'ARN extraites d'ADN non codant, parfois appelé « poubelle » (ADNc).
RépondreSupprimer-- Note de MKS : À propos de l'ADN « poubelle », voir cet article du Dr Gaby : « L'ADN « poubelle » viral, le régime cétogène qui améliore l'ADN et les effets cométaires ».--
Par exemple, le gène S du Sras-CoV-2 est censé être hautement spécifique au génome du virus du Sras-CoV-2. La séquence cible est — TTGGCAAAATTCAAGACTCACTTTC. Une recherche microbienne BLAST renvoie 97 correspondances microbiennes avec une correspondance de séquence d'identité de 100 %. Le pourcentage de concordance le plus faible, parmi les 100 premiers, est de 95 %. Une recherche BLAST sur le génome humain trouve également une correspondance de séquence de 100 % avec 86 fragments de chromosomes humains.
Quel que soit l'endroit où l'on regarde dans le supposé génome du Sras-CoV-2, rien dans les protocoles de test de l'OMS ne permet d'identifier clairement de quoi il s'agit. L'ensemble du génome pourrait être faux. Les tests ne prouvent pas l'existence du Sras-CoV-2. Tout ce qu'ils révèlent, c'est une soupe de matériel génétique non spécifié.
Si tel est le cas — et puisqu'il n'y a pas d'isolats ou d'échantillons purifiés du virus — aucune preuve de l'existence du Sras-CoV-2 sans test viable ne peut exister. Par conséquent, il n'existe pas non plus de preuve de l'existence d'une maladie appelée Covid-19.
Cela signifie qu'il n'y a pas de base scientifique pour toute affirmation concernant le nombre de cas de Covid-19, les admissions à l'hôpital ou les chiffres de mortalité. Toutes les mesures prises pour lutter contre ce virus mortel ne sont probablement fondées sur rien.
-- Note de MKS : Sur rien de « scientifique », mais sur une nécessité psychopathique servie par une certaine science, sans aucun doute. --
Fraude et conspiration
La fraude est un acte criminel. La définition légale de la fraude est la suivante :
« Une pratique trompeuse ou une manœuvre délibérée, à laquelle on a recours dans l'intention de priver un tiers de son droit, ou de lui causer un préjudice d'une manière ou d'une autre. »
La définition juridique d'une conspiration est la suivante
« Une combinaison ou une confédération entre deux ou plusieurs personnes formée dans le but de commettre, par leurs efforts conjoints, un acte illégal ou criminel. »
Il semblerait que ceux qui prétendent que nous sommes confrontés à une pandémie n'aient fourni aucune preuve montrant qu'un virus appelé Sras-CoV-2 provoque une maladie appelée Covid-19. Toutes les informations suggérant fortement qu'une telle probabilité existe sont facilement accessibles dans le domaine public. Tout le monde peut les lire.
Pour qu'il y ait fraude, la tromperie doit être délibérée. L'intention doit être de priver délibérément d'autres personnes de leurs droits ou de leur porter préjudice d'une manière ou d'une autre. S'il existe des preuves de collusion entre des individus et/ou des organisations à des fins frauduleuses, il s'agit alors d'une conspiration (dans les pays qui appliquent la Common law) ou d'une entreprise criminelle commune en vertu du Droit international.
RépondreSupprimer-- Note de MKS : La Common law est système juridique anglo-saxon dont les règles sont principalement édictées par les tribunaux au fur et à mesure des décisions individuelles, et non sur le Droit civil comme en France qui s'appuie sur le Droit codifié — encore que la France fait de plus en plus souvent fi du Droit codifié pour le remplacer par la Common law, dont la jurisprudence a toujours été l'élément fondamental. Généralement, les pays sous la Common law sont les anciennes colonies ou les anciens protectorats britanniques y compris les Etats-Unis (à la seule exception de la Louisiane où s'applique un droit codifié.) --
Il semble que le Covid-19 ait été délibérément utilisé comme casus belli pour mener une guerre contre l'humanité. Nous avons été emprisonnés dans nos propres maisons, notre liberté de flâner a été restreinte, la liberté de parole et d'expression a été érodée, les droits de manifester ont été réduits, nous avons été séparés de nos proches, et nos sociétés ont été détruites, soumises à des assauts psychologiques, muselées et terrorisées.
Le Prince Charles nous demande d'accueillir la Grande réinitialisation à bras ouverts
Pire encore, alors qu'il n'existe pas de preuve d'une mortalité sans précédent toutes causes confondues, on a enregistré des pics de mortalité anormaux. Ces pics correspondent précisément aux mesures de « confinement » qui ont entraîné une interruption des soins de santé primaires et une réorientation des services de santé publique financés par nos impôts pour traiter à l'exclusion de toutes les autres une prétendue maladie.
En outre, ceux qui ont présenté et fait circuler le récit Covid-19 proposent que cette prétendue maladie justifie la restructuration complète de l'économie mondiale, de nos systèmes politiques, de nos sociétés, de nos cultures et de l'humanité elle-même.
Pour être autorisés à participer à leur soi-disant « nouvelle normalité » [ou nouvelle réalité, soit leur pseudo-réalité - NdT], à savoir la transformation complète sans notre consentement de toute notre société, ils exigent que nous nous soumettions à leurs conditions.
Ces mesures comprennent, sans s'y limiter, une surveillance biométrique de chacun, un contrôle et un suivi centralisés de toutes nos transactions, des restrictions commerciales et sociales oppressives, jusqu'à celle qui exige clairement que nous renoncions à toute forme de souveraineté sur nos propres corps. Toutes ces mesures constituent les conditions qui prévalent dans l'esclavage.
Il ne fait aucun doute que nos droits ont été bafoués et que nous en avons été dépouillés. Dans les pays qui exercent la Common law, l'innocence est présumée, mais il n'empêche que les preuves d'un préjudice délibérément causé par une conspiration internationale sont accablantes. Les politiques destructrices, adoptées par les gouvernements du monde entier, émanent clairement de think tanks mondialistes et d'institutions supranationales, et ont été élaborées bien avant l'émergence de cette soi-disant pandémie.
RépondreSupprimerDans les pays soumis au Code Napoléon, la culpabilité est présumée. Pour que les conspirateurs accusés puissent prouver leur innocence, ils faudrait qu'ils puissent prouver que, en dépit de leurs ressources incommensurables, ils ont été collectivement incapables d'accéder ou de comprendre l'une des preuves librement disponibles suggérant que le Covid-19 est un mythe.
Note de MKS : Le Code Napoléon est aussi appelé Code civil, et la présomption d'innocence est le principe selon lequel toute personne, qui se voit reprocher une infraction, est réputée innocente tant que sa culpabilité n'a pas été légalement démontrée. La plupart des pays d'Europe reconnaissent et utilisent le principe de la présomption d'innocence selon l'article 6 de la Convention européenne des droits de l'homme. Toutefois, il est des cas, tout du moins en France, où la présomption de culpabilité existe en vertu des exceptions au droit à la présomption d'innocence. Ces exceptions sont légales et la charge de la preuve de la non-culpabilité repose alors sur le prévenu. --
Les responsables du crime de conspiration en vue de commettre une fraude mondiale doivent être jugés. S'ils sont reconnus coupables, ils devraient être emprisonnés pendant que le reste d'entre nous s'efforce de réparer les dommages qu'ils ont déjà causés.
Source de l'article initialement publié en anglais le 16 novembre 2020 : In This Together
Traduction : Sott.net
* * * * *
Alors, fraude totale ou partielle ?
Si l'on part du principe, comme postulé ici, que le Sras-Cov-2 est d'origine humaine, et qu'il est donc « réel », faut-il donc en déduire que le séquençage qui en a été fait est faux, bidouillé, falsifié, suffisamment pour en cacher certains éléments, parmi ceux qui pourraient servir les psychopathes au pouvoir, mais pas assez pour en révéler certains aspects ? Encore que les éléments de preuve développés dans « Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2 » proposent justement d'y répondre :
« Nous avons tout au long de cet article examiné les preuves suggérant que le Sras-Cov-2 a été fabriqué à Fort Detrick et qu'il a été incorporé dans un vaccin dans le but explicite de se propager à grande échelle et d'affecter les fonctions neurologiques associées à l'obéissance.
Il semble que ce projet ait toutefois échoué, d'abord parce que le « virus de l'obéissance » a muté en un « virus de la désobéissance », ce qui a contraint les pouvoirs publics à prendre — à tout prix — des mesures hâtives en vue de limiter la propagation du mutant bénéfique.
RépondreSupprimerLe confinement général fut une tentative désespérée de minimiser la propagation des effets potentiellement bénéfiques de la mutation du Sras-Cov-2. »
Au départ, il y a une fabrication. Puis s'en est suivi une mutation. Le séquençage « officiel » du Sras-Cov-2 correspond-il au virus initial ou à sa mutation ? Ou à un autre « état » intermédiaire ?
Quoiqu'il en soit, c'est une question à laquelle il est pour le moment difficile de répondre, et il est possible que nous n'en saurons jamais rien. Nous avons plus que certainement des lacunes tant techniques que factuelles pour comprendre les tenants (mais pas les aboutissants) de tout ceci. Tout ce que nous savons, à ce stade, c'est que ce virus est utilisé pour tenter d'imposer aux populations terrorisées un monde dystopique — par le biais notamment d'un programme économique et politique totalitaire qui se propose d'avancer des conjectures et des théories malsaines sur ce à quoi le monde post-soi-disant-pandémique devrait ressembler.
« Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! » « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d'immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée.
Pour conclure, qu'est-ce que la « science » ? Selon Nissim Amzallag :
« La science ne distille pas forcément le vrai, cela nous le savons depuis le début du XXe siècle. Et pourtant, une aura d'objectivité continue de protéger la science de toute critique non seulement sur ses fondements, mais encore sur la manière dont elle s'impose pour façonner la société. »
L'auteur dans son ouvrage La réforme du vrai — Enquête sur les sources de la modernité, publié en 2010 aux Éditions Charles Léopold Mayer, « explore les fondements sur lesquels s'est appuyée la révolution scientifique et les métamorphoses qu'elle a induites dans la société. » Nissim Amzallag plonge dans des considérations historiques pour essayer de comprendre si la science naissante, dite moderne depuis la pomme de Newton (mythe fondateur, s'il en est), « fut réellement motivée par un désir sincère d'intelligence du réel ». C'est loin d'être le cas :
« les innovations les plus importantes, conceptuelles comme pratiques, dérivent de parti pris étrangers à toute exigence du réel ».
Son livre s'adresse à tous ceux qui souhaitent s'émanciper « de l'autorité d'une idéologie maquillée en savoir » en prenant conscience de l'existence d'une réforme du vrai. Ou devrait-on l'appeler « réforme du réel » ? En effet, il est difficile, quand on les connaît toutes les deux, de ne pas faire le lien entre l'existence des pseudo-réalités psychopathiques et la réforme du vrai de l'auteur, une réforme qui permet justement la mise en place de la dite pseudo-réalité. Dans son ouvrage, il en aborde en 2010 toutes les étapes sauf celle, finale, mais vouée à l'échec de par sa nature utopique, que nous expérimentons aujourd'hui.
RépondreSupprimerhttps://fr.sott.net/article/36502-Covid-19-et-Sras-Cov-2-Les-preuves-d-une-fraude-globale
Le Venezuela entrera-t-il en guerre pour le pétrole ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 25 JAN 2021 - 17h00
Rédigé par Viktor Katona via OilPrice.com,
Janvier 2021 est encore loin d'être terminé, mais les pages de Oilprice comptent déjà 6 articles sur le fait que la Guyana (Pays indépendant à ne pas confondre avec la Guyane Département français d'outre-mer) est le site de forage le plus chaud au monde. Cela n'est guère surprenant, compte tenu de la séquence chaude qu'ExxonMobil a connue au cours des 5 dernières années, avec l'arrivée de nouvelles entreprises et l'intensification du jeu de forage.
L'intérêt globalement attribué à la Guyana a aggravé les griefs de longue date du Venezuela à propos de la province contestée d'Essequibo - avant 2015, l'impasse pétrolière Venezuela vs Guyana s'apparentait à une histoire de David contre Goliath, mais maintenant, la Guyana augmentant ses réserves de pétrole et continuant d'attirer de nouveaux investisseurs, l'équilibre est devenu beaucoup plus nuancé. Au milieu de tout cela, le président vénézuélien Nicolás Maduro s'est engagé à reconquérir Essequibo. À première vue, la proposition selon laquelle le Venezuela devrait entrer en guerre sur un territoire contesté, sans parler de la Guyana, semble assez douteuse. Le Venezuela possède les plus grandes réserves de pétrole prouvées du monde, totalisant environ 304 Bbbls (voir graphique 1), soit plus que toute l’Amérique du Nord combinée, plus que l’Irak et l’Iran réunis. Les réserves de la Guyana ne représentent qu'une fraction de cela, atteignant à peine 3% avec ses 9-10 Bbbls. Cependant, derrière la façade sèche des données et des statistiques, se cache tout un univers d'émotions humaines, souvent égarées en raison de leur nature subjective et dans ce domaine particulier, Caracas est celle qui est frustrée et concernée. La Guyana ajoute une découverte majeure après l'autre (malgré l'échec récent de Hassa-1), tandis que la compagnie pétrolière nationale vénézuélienne PDVSA continue de lutter pour joindre les deux bouts.
- voir sur site -
Graphique 1. Réserves pétrolières prouvées du Venezuela 1980-2019 (milliards de barils).
Source: Enquête statistique BP 2020.
Le différend sur Guayana Esequiba (également surnommé la région d'Essequibo) est l'un des plus complexes qui subsistent, mêlant héritages coloniaux et griefs modernes. Tout a commencé en 1840 lorsque l'Empire britannique a délimité la frontière jusqu'alors incontestée et instable entre la Guyana britannique et le Venezuela, par le biais de la «ligne Schomburgk». À la surprise de personne, le Venezuela a rejeté la revendication britannique, cependant, ne voulant pas s’embourber dans un conflit prolongé, les deux parties ont accepté de ne pas être d’accord en 1850 et ont juré de ne pas coloniser la région alors en grande partie inhabitée. Malgré les arbitrages et les négociations, la question de savoir qui devrait contrôler la région d'Essequibo n'était toujours pas résolue au moment où la Guyana s'est déclarée indépendante en 1966. Caracas a reconnu la Guyane indépendante, mais seulement ses territoires situés à l'est de la rivière Essequibo, affirmant que tous les territoires à l'ouest font partie du Venezuela.
L'un des conflits territoriaux les plus prolongés au monde, la découverte de pétrole au large de la Guyana aurait pu être le facteur manquant pour faire avancer le problème. ExxonMobil, l'opérateur du bloc offshore de Stabroek en Guyana, a été victime de harcèlement maritime de la part de la marine vénézuélienne et a fait arrêter l'un de ses navires d'arpentage en 2013. Cependant, quand Exxon a découvert le champ de Liza en 2015, plus près de la frontière guyanaise-surinamaise et donc étaient au-delà de la revendication maritime vénézuélienne, les enjeux sont devenus très importants. Le Guyana avait la preuve officielle que son offshore n'était pas sous-commercial comme on le pensait auparavant (initialement les entreprises ont évalué les eaux peu profondes du Guyana et n'ont trouvé aucun gisement commercial) et avec l'aide d'un major américain pouvait désormais compter sur un soutien de haut niveau pour sa frontière Cas.
RépondreSupprimerÀ chaque nouvelle découverte sur le bloc Stabroek, l’opposition du Venezuela à ce que la Guyana prenne la rive gauche du fleuve Essequibo devenait de plus en plus intenable. Parallèlement, les relations de bon voisinage de l'ère Chavez, lorsque la Guyane était membre du mouvement continental Petrocaribe et participait même à des accords de troc pour satisfaire ses besoins bruts, se sont dégradées assez rapidement.
Pourtant, il y a un autre facteur qui a très certainement contribué à ce que Caracas ait maintenant un ton aussi belliqueux: les sanctions américaines contre le Venezuela. Non seulement le resserrement des vis sur les alliés politiques et les proches du président Maduro a émoussé les perspectives politiques de Juan Guaido, mais il a également conduit à l'entrée de l'armée vénézuélienne (qui est restée fidèle à Maduro au milieu des pires souffrances humanitaires) dans l'industrie pétrolière du pays d'Amérique latine. .
Toute future administration américaine cherchera très probablement à protéger les actifs d'ExxonMobil au Guyana. Un premier signe de cela - dans les premiers jours de 2021, le commandant du US Southern Command est arrivé en Guyane pour une visite de 3 jours, pour célébrer le lancement d'exercices côtiers conjoints américano-guyanais. Selon des hauts fonctionnaires de l'armée guyanaise, Georgetown a l'intention de renforcer ses liens militaires avec les États-Unis, y compris, mais sans s'y limiter, les achats d'armes. Parallèlement, le Venezuela a formé un nouveau parlement qui ne sera plus contrôlé par l'opposition à la Guiado -
https://www.zerohedge.com/energy/will-venezuela-go-war-over-oil
Brève. France, crise totale qui s’aggrave jour après jour …
RépondreSupprimerle 25 janvier 2021
Au compteur la France a déjà dépensé 4 milliards d’euros pour les tests RT-PCR au sujet desquels il faut déborder d’optimisme pour les considérer comme fiables Ce ne sont que des outils de propagande et non de diagnostic. Il y a 4 jours, c’est donc une donnée déjà obsolète, la France a dépensé 4,3 milliards d’euros pour l’achat de vaccins. Il faut prendre une longue-vue ou un microscope, c’est selon, pour trouver ces vaccins en France. Pourquoi ? Les Pfizer et autres Moderna livrent d’abord les pays qui paient cash et tout de suite. La France gratte ses fonds de tiroir pour payer ses fournisseurs au mieux à 60 jours, fin de mois, c’est-à-dire trois mois après réception de la marchandise. C’est la raison pour laquelle la France s’est vue délestée d’une cargaison de masques au printemps dernier sur le tarmac de je ne sais plus quel aéroport chinois puisqu’un autre client payait cash. Le fournisseur a préféré recevoir ses sous tout de suite, n’importe qui peut le comprendre. C’est caricatural, ridicule !
Mais il y a bien pire, jeudi dernier, lors de la dernière adjudication de l’Agence France-Trésor la France a obtenu sur les marchés la somme de 8 milliards d’euros de la part d’investisseurs essentiellement non-résidents juste pour payer les derniers frais engagés pour maîtriser la crise coronovirale. Le plus renversant dans cette adjudication de l’AFT est que les bons du trésor émis, comprenez les obligations d’Etat à un taux certainement supérieur à zéro si mes souvenirs sont exacts pour attirer les investisseurs, arriveront à échéance en 2072 : ce seront nos arrière-petits-enfants qui paieront ou leurs enfants, mon petit fils le plus âgé a en effet 26 ans et dans 50 ans il sera plus âgé que moi ! Cinquante ans c’est dans longtemps et cette dette coûtera au final une fortune … La France est donc bien entrée, peut-être définitivement, dans une spirale destructrice qui conduira le pays à une tiers-mondialisation irréversible et cette spirale s’est accélérée depuis que ce pays est dirigé par une bande d’incompétents qui accumulent les erreurs, les errances pourrait-on écrire, dans une gestion catastrophique de cette maladie coronavirale finalement peu létale, ces incompétents à la tête de l’Etat ont perdu la confiance des citoyens et il leur sera pratiquement impossible de restaurer cette confiance qui a disparu à tous les niveaux, y compris au niveau des chefs d’entreprises, petites ou grandes. Il suffira de quelques autres erreurs de gestion et alors les investisseurs perdront toute leur confiance en la maison France. Mauvais temps pour les rentiers, entendez les retraités, et les épargnants, dans une perspective de réduction de leur retraite ou de confiscation de leur épargne qui pourrait être effective dans quelques mois … Restez connecté à mon blog, chers lecteurs, 700000 vues en 2020 et je vous en remercie, vous y trouverez des informations parfois indigestes mais l’objet de ce billet est tout à fait compréhensible.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/25/breve-france-crise-totale-qui-saggrave-jour-apres-jour/
De la 'dette' (Hahaha !) n'en parlons pas car les crédits apportés par les banques N'EXISTENT PAS mais ne sont remboursables qu'en billets de banques bien existants !! D'où la proposition d'escroquerie supplémentaire visant à ne servir que d'argent électrique et donc: la facilité de vider les comptes en banques de n'importe qui (les banques sont PROPRIÉTAIRES des dépôts !!), suite à des 'faillites' de banques vides qui prêtent du vent !!
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