Interdire la location des « passoires thermiques », une fausse bonne idée
Cette décision semble pétrie de bon sentiments et conforme à la pensée « écologiquement correcte » du moment, mais, comme toute politique restrictive, elle n’ira pas sans effets pervers.
Par Vincent Benard. 16 JANVIER 2021
Le gouvernement vient d’annoncer qu’à partir de 2023, les propriétaires ne seraient plus autorisés à louer des appartements ou maisons considérés comme des passoires énergétiques, soit la catégorie G des diagnostics de performance énergétique.
Cette décision semble pétrie de bons sentiments et conforme à la pensée écologiquement correcte du moment, mais comme toute politique restrictive, elle n’ira pas sans effets pervers.
DES BONNES INTENTIONS AFFICHÉES AUX EFFETS PERVERS PRÉVISIBLES
70 000 logements privés et 20 000 logements publics seraient donc, à ce jour, concernés par cette décision, ce chiffre apparaissant faible, puisque 6 % des logements français, soit 1,8 million, sont concernés par ce classement en catégorie G, et plus de 20 % sont loués dans le parc privé (source).
Le raisonnement du gouvernement est simple : ces logements généralement anciens et vétustes sont loués à des familles modestes, qui sont précisément celles n’ayant pas les moyens de payer leur surconsommation énergétique.
De plus, qui dit consommation d’énergie dit au moins en partie émissions de gaz à effets de serre, et le gouvernement s’est fixé des objectifs ambitieux, voire irréalistes, de réduction de ces émissions.
Le gouvernement en déduit donc qu’il faut soit contraindre les propriétaires à entreprendre des travaux de rénovation, soit leur interdire de louer ces logements. Ce simplisme interpelle.
Tout d’abord, selon le CEREN (cf tableau ci-dessous, source), malgré une augmentation notable de la population métropolitaine (+14 %), la consommation énergétique des Français pour leur chauffage a chuté de 23 % en 30 ans, preuve que le cadre législatif actuel, pour imparfait qu’il soit, permet déjà une amélioration de nos consommations énergétiques à un rythme soutenu.
Il n’y a donc pas de « situation de crise de la consommation d’énergie résidentielle » qui justifierait cette soudaine agitation gouvernementale.
En revanche, on ne peut que s’interroger sur les risques d’effets secondaires pervers d’une telle décision.
Avant d’introduire une discussion économique, notons parallèlement que depuis 2012, soit l’arrivée au pouvoir de deux présidents (Hollande puis Macron) qui ont augmenté les interventions étatiques et les contraintes sur les bailleurs (Loi ALUR, renforcement du blocage des loyers dans certaines villes, etc.), le nombre de SDF a été multiplié par deux, selon la fondation Abbé Pierre, passant de 160 000 personnes à plus de 300 000.
Bien que corrélation ne soit pas causalité, à l’évidence, les interventions de l’État ne s’accompagnent pas d’une amélioration de la situation du logement des ménages, en tout cas des plus modestes d’entre eux, en France. Il est donc permis de s’interroger sur la pertinence d’en ajouter de nouvelles.
Et, comme le souligne un éminent influenceur sur Twitter, « la rue n’est pas mieux isolée que ces logements ». Ces logements sont peut-être très imparfaits, mais 70 000 logements de moins (grand minimum), sur le marché locatif risquent de manquer cruellement aux plus précaires des ménages, alors qu’ils auraient pu constituer un parc social de secours utile, à défaut d’être économe en énergie.
Certes, ces logements cumulent souvent d’autres problèmes de vétusté : plomberie, humidité, etc., et certains particulièrement insalubres devraient disparaître du marché. La question que le gouvernement devrait se poser est : « pourquoi ne disparaissent-ils pas » ?
D’une part, les travaux de rénovation énergétique sont chers, et leur rentabilité n’est pas assurée. Selon des sources officielles (DREAL grand est), le coût moyen de ces travaux, permettant de gagner 2 à 3 rangs sur l’échelle de classification des logements, sont élevés, de 180 à 300 euros par m2, et des sources de presse indiquent des coûts plus élevés encore pour les logements classés G, la pire catégorie.
Dans les villes où les loyers sont faibles, les propriétaires auront du mal à répercuter ces investissements sur les loyers. Dans celles où ils sont élevés, une augmentation de 1 euro/m2 des loyers mensuels est envisageable (300 euros à 4 % annuels bruts), mais un nombre croissant de grandes métropoles envisage de plafonner arbitrairement les loyers -Paris et Lille l’ont déjà fait-, ce qui n’encouragera guère les propriétaires concernés à se lancer dans des travaux lourds.
Ce manque d’appétit pour l’investissement de rénovation est renforcé par le risque de rencontrer un mauvais payeur, risque d’autant plus important que la clientèle de ces logements se trouve généralement chez les familles modestes.
D’autre part, une construction neuve suffisante permettrait d’offrir à des loyers raisonnables des logements récents, les ménages les plus aisés abandonnant des logements de qualité moyenne mais suffisante à des ménages plus modestes, permettant d’assainir progressivement le marché des offres les plus scabreuses.
Hélas, notre politique foncière malthusienne rend le terrain hors de prix et limite la construction neuve qui est insuffisante dans les métropoles dynamiques pour faire face à la fois à l’accroissement du nombre de ménages, aux migrations intérieures et extérieures, et à la nécessité de renouveler la part la plus vétuste du parc de logements.
De surcroît, un foncier cher conduit les promoteurs à privilégier une offre luxueuse, et la loi SRU les oblige à vendre à perte 25 à 30 % de leur production à des bailleurs sociaux, ce qui augmente encore le prix de vente des logements neufs construits pour le secteur privé. Le résultat est que l’offre destinée aux familles modestes, mais pas suffisamment pour accéder prioritairement au logement social, est insuffisante. Ces ménages se rabattent donc sur le locatif privé d’entrée de gamme, où figurent entre autres la plupart des passoires thermiques.
Restreindre la possibilité de louer ces logements sans par ailleurs libéraliser la possibilité d’en construire des neufs, ou sans donner aux propriétaires l’assurance législative qu’ils pourront rentrer dans leurs frais de rénovation, conduira à restreindre encore un peu plus l’offre locative, ce qui au final plongera encore plus de ménages dans l’extrême précarité.
Malheureusement, ce gouvernement, pas plus que les précédents, ne semble se rendre compte de l’impasse vers laquelle il dirige les ménages français. En effet, la ministre E. Wargon a annoncé que d’ici 2028, tous les logements classés F et G, soit 4,8 millions (dont 30 % actuellement loués, soit près d’un million et demi) seront concernés par l’interdiction, si le projet de loi préparé en ce sens venait à être adopté.
Dans le même temps, le président de la République a déclaré vouloir renforcer la politique de malthusianisme foncier en promouvant des concepts à la mode, et scientifiquement très discutables, tels que le zéro artificialisation nette, au nom de la sauvegarde de la biodiversité.
Si l’on ajoute à cela l’engouement de nombreux maires pour le blocage des loyers, et l’absence de réponse satisfaisante des pouvoirs publics au problème des locataires mauvais payeurs, alors il est à craindre qu’un effondrement sans précédent de l’offre locative ne se produise dans les dix prochaines années.
Laisser ces logements sur le marché, en informant correctement les candidats loueurs de leur condition énergétique moyenne, permettrait à ces derniers de négocier de fortes baisses de loyer, si par ailleurs une offre suffisante de renouvellement du parc de logement pouvait voir le jour.
En matière de logement comme ailleurs, laisser l’offre et la demande jouer pleinement leur rôle serait bien plus bénéfique aux ménages que l’accumulation de réglementations incohérentes dont les effets cumulés promettent un véritable désastre économique et social à moyen terme.
Aussi idiot que cela puisse paraître, même avec 50 vitres aux fenêtres la chaleur ne restera pas dans la pièce ! Çà alors ! Hahahaha !
C'est-à-dire que les propriétaires se voient nouvellement devant une énième escroquerie qui va devoir faire augmenter les prix des loyers afin d'empêcher quiconque de se loger !
Faut dire aussi que ces gros cons d'idiots qui s’appelaient 'rois' ou 'empereurs' ou 'présidents' ont, durant des siècles (jusqu'au 20ème) habité dans des putains de châteaux en pierres tant ils n'avaient l'instruction que la pierre (comme le fer) n'isole pas ! En hiver il fait froid dehors: il fait froid dedans ! En été il fait chaud dehors: il fait froid dedans !
Il a fallut que le Peuple (plus intelligent que les dictateurs) invente la brique creuse en terre cuite puis, le parpaing alvéolé en ciment. Et là est arrivé l'isolation. Pareillement que bien plus tard sont arrivées les serres plastiques doublées afin d'avoir des tomates en hiver.
10 000 manifestants à Vienne mars contre les restrictions relatives aux coronavirus
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 JAN 2021-10: 45
Au moins 10 000 personnes ont défilé samedi dans les rues de la capitale autrichienne pour protester contre les restrictions aux coronavirus, appelant le gouvernement du chancelier Sebastian Kurz à démissionner alors que son administration parlait récemment de prolonger les mesures.
Les manifestants à Vienne, dont beaucoup n'avaient pas de masque, tenaient des pancartes disant "Kurz Must Go" et "Make Influenza Great Again".
- voir clip sur site -
Un utilisateur de médias sociaux a publié une vidéo de la manifestation à Vienne. L'utilisateur a déclaré: "Manifestation massive à Vienne maintenant. Personne ne porte de masque !"
Selon RT News, "deux rassemblements ont eu lieu dans différentes parties de la ville, qui ont rarement vu de grandes actions de protestation, avant de s'unir en une seule marche d'environ 10 000 personnes. La plupart des membres de la foule ont ignoré les appels de la police pour respecter les règles de distanciation sociale et porter masques faciaux. Au contraire, les gens se sont salués par des baisers, se sont étreints et ont dansé. "
- voir clip sur site -
Au moins 500 contre-manifestants étaient présents, dénonçant les «fous anti-masques».
RT a publié une vidéo de la manifestation massive qui semblait ordonnée.
- voir clip sur site -
Depuis mars dernier, l'Autriche est entrée dans son troisième verrouillage, une initiative du gouvernement visant à atténuer la propagation du COVID-19. Près de 390 000 infections ont été enregistrées depuis le début de la pandémie et 7 000 décès dus au virus.
L'annonce officielle de Kurz de plus de restrictions sur les coronavirus pourrait intervenir dès dimanche.
Les verrouillages et les restrictions dans l'économie de la zone euro dus à la résurgence de la pandémie pourraient entraîner une récession à double creux.
Bloomberg a noté que les bureaux de recherche de JPMorgan Chase & Co. et d'UBS Group AG ont revu à la baisse leurs prévisions économiques pour la zone euro en raison des verrouillages.
Les indicateurs à haute fréquence de l'économie de la zone euro trébuchent depuis la fin de l'été.
- voir graphique sur site - Source: Bloomberg
Les analystes de Goldman Sachs ont souligné que des problèmes de "confiance" pourraient se développer, ou "un problème de demande", comme il a été dit, pas assez de personnes se feront vacciner volontairement.
Avec 55 Américains et 29 Norvégiens morts peu de temps après avoir pris les vaccins COVID-19 à base d'ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer - toute la reprise basée sur l'espoir d'un vaccin et des paquets monétaires / fiscaux pourrait faire dérailler la reprise économique en Occident.
Pour résumer, les gens sont de plus en plus en colère contre des verrouillages supplémentaires, car les décès dus aux vaccins provoquent l'inimaginable: une augmentation de la méfiance à l'égard des vaccins.
Le PDG d'Airbnb avertit que les voyages "ne reviendront jamais à la normale ''
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 JAN 2021 - 9:55
Le directeur général d'Airbnb, Brian Chesky, a déclaré jeudi à Reuters que les tendances des voyages intérieurs ne reviendraient jamais à ce qu'elles étaient avant la pandémie de virus.
Chesky s'est entretenu avec Jonathan Weber, rédacteur en chef de la technologie mondiale de Reuters, via Zoom, qui a déclaré que les voyages d'affaires se déplaçaient vers les voyages d'agrément parce que des technologies comme Zoom peuvent rendre la téléconférence possible.
Il découvre la prochaine grande tendance en matière de voyages, qui pourrait d'ailleurs commencer cet été - indiquant que les gens ne vont pas voyager dans les 50 plus grandes villes du monde et rester dans des hôtels bondés - ce qu'ils vont faire "Beaucoup de gens voyageront en voiture - certains voyageront en avion - et ils se rendront dans des milliers de petites collectivités. Et bon nombre de ces collectivités seront de plus petites villes et même des régions rurales."
Chesky a déclaré: «les séjours à la ferme sont énormes en ce moment». Il a dit que la plupart des Américains n'ont jamais visité les parcs nationaux, avec une autre suggestion que ces parcs seront énormes parmi les voyageurs dans les mois à venir.
Selon une enquête interne menée par Airbnb, 54 % des Américains prévoient de voyager en 2021 ou planifient actuellement leurs projets de voyage pour les mois d'été. Chesky, citant l'enquête, a déclaré que les voyageurs «aspirent à ce qui leur a été enlevé». Il a dit: "Ils n'ont pas envie de voir Times Square. Ce qu'ils aspirent à faire, c'est de voir leurs amis et leurs familles qu'ils n'ont pas vus depuis longtemps".
Voici l'interview complète (pour les commentaires de Chesky sur les voyages, rendez-vous à 28 minutes):
- voir sur site -
Après que la startup a mis ses projets d'introduction en bourse sur la glace en mars en raison de la pandémie et de l'effondrement des voyages et du tourisme. En avril, les réservations de chambres avaient chuté de 72 %. Airbnb a mis en place une politique de remboursement global et a versé plus d'un milliard de dollars de frais d'annulation.
Airbnb a finalement lancé son introduction en bourse en décembre.
- voir graphique sur site -
Les Américains abandonnant des hôtels pour des séjours Airbnb dans les communautés rurales cet été pourraient être extrêmement bénéfiques pour la startup écrasée par la pandémie au début de 2020. Mais voici le kicker ...
Si Chesky a raison sur l'important changement de voyage, l'industrie hôtelière pourrait être appelée à une vague massive de faillites et / ou de consolidation à un degré jamais vu auparavant.
Visualiser les militaires les plus puissants du monde
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 JAN 2021 - 8:45
En ce qui concerne les effectifs, aucune armée au monde ne se rapproche de celle de la Chine. Selon les estimations de Global Firepower, la République populaire compte 2,19 millions de militaires actifs.
- voir sur site - Infographie: Les plus grands militaires du monde | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Les États-Unis, en comparaison, en ont beaucoup moins - 1,4 million - mais, comme le note Martin Armstrong de Statista, lors de l'évaluation de la puissance globale des forces militaires mondiales, les États-Unis arrivent en tête, devant la Russie et la Chine respectivement en deuxième et troisième. .
- voir sur site - Infographie: Les militaires les plus puissants du monde | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
L'indice «utilise plus de 50 facteurs individuels pour déterminer le score PowerIndex d'une nation donnée avec des catégories allant de la puissance militaire et des finances à la capacité logistique et à la géographie».
Alors qu'une note de 0,000 représenterait le score parfait, elle est considérée comme irréaliste.
Une grande caravane de migrants se dirige vers les États-Unis et exhorte l'administration de Biden à "honorer ses engagements"
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 JAN 2021-12: 50 Rédigé par Ben Wildon via SaraACarter.com,
Une nouvelle caravane de migrants se forme en Amérique centrale dans l'espoir d'atteindre les États-Unis dans une administration Biden accueillante.
Pas moins de 9 000 immigrants semblent être dans des processions se dirigeant vers l'Amérique - avec au moins 1 000 entrant illégalement au Guatemala vendredi, selon l'AP.
Le groupe de défense des droits des migrants Pueblo Sin Fronteras a publié une déclaration sur la caravane, appelant l'équipe de Biden à accueillir chaleureusement les migrants.
«Nous reconnaissons qu’il est important que le nouveau gouvernement des États-Unis ait fait preuve d’un engagement ferme envers les migrants et les demandeurs d’asile, ce qui offre aux gouvernements du Mexique et d’Amérique centrale l’occasion d’élaborer des politiques et une gestion des migrations qui respectent et promeuvent les droits de l’homme. de la population en mobilité », indique le communiqué.
Le groupe a également déclaré: «Nous préconiserons que le gouvernement Biden honore ses engagements», comme l'a rapporté Fox News.
Le groupe a en outre préconisé une réforme de l'immigration, y compris l'abolition des lois qui obligent les migrants à rester au Mexique en attendant les audiences.
Un nouveau gouvernement des États-Unis est l’occasion de travailler avec le Gouvernement mexicain pour élaborer un plan de coopération avec l’Amérique centrale pour lutter contre les causes de la migration, en collaboration avec les organisations de la société civile, ainsi que l’occasion de renforcer la coopération régionale concernant les personnes dans le besoin. de protection, et de démanteler les programmes illégaux et inhumains tels que Remain in Mexico, les accords de coopération en matière d'asile des États-Unis avec le Salvador, le Guatemala et le Honduras, ainsi que les expulsions au titre du titre 42 par les autorités américaines », a déclaré le groupe.
Biden a promis d'œuvrer pour la citoyenneté des immigrants illégaux et de renverser de nombreuses politiques de l'administration Trump - y compris un moratoire sur les expulsions de l'ICE, comme le rapporte Fox News.
Fox a également signalé que les responsables de Biden n'étaient peut-être pas aussi accueillants envers le groupe illégal, car la nouvelle conseillère en politique Susan Rice a déclaré que la frontière «ne sera pas» complètement ouverte le premier jour.
«La capacité de traitement à la frontière n'est pas comme une lumière que vous pouvez simplement allumer et éteindre», a déclaré Rice au site d'information espagnol EFE.
«Les migrants et les demandeurs d'asile ne devraient absolument pas croire ceux de la région qui colportent l'idée que la frontière sera soudainement complètement ouverte pour traiter tout le monde le premier jour. Ce ne sera pas le cas.»
En tant que groupe croissant de migrants près de la frontière américaine, l'administration entrante de Biden devra faire face à un véritable test de sa politique d'immigration dans les tout premiers jours de son mandat.
Comme ils l'ont fait en Europe en vidant l'Afrique-Asie de plus de 50 millions de 'réfugiés climatique' et offrant couverts & logis + allocs électrique pondues aux claviers, l'Amérique s'apprête à perdre toute confiance avec autant de futures victimes de guerre. Notons qu'ils y a déjà plus de 90 % de la population du globe qui vit dans l'hémisphère Nord !
Et 2021 pue la merde et le souffre ! L'après '20 Janvier'... Devinez où seront les dictateurs (les 'monsieur Global' comme dit Catherine Austin Fitts) après cette date !
Un Humvee blindé volé à une base militaire avant les manifestations armées prévues dans les capitoles d'État
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 17 JAN 2021-12: 25
Vendredi matin, quelqu'un a volé un Humvee militaire blindé dans une installation de la Garde nationale à Los Angeles, en Californie.
La porte-parole du FBI, Laura Eimiller, a déclaré que le Humvee était un véhicule de combat doté d'un blindage avancé.
Le bureau offre une récompense de 10 000 dollars pour les informations menant à la récupération du Humvee, a tweeté le FBI samedi.
Quelques photos du Humvee disparu étaient également jointes au tweet. Le véhicule est paré de «camouflage vert» et une armure pare-balles est clairement visible sur les fenêtres.
Le bureau a déclaré: «Les identifiants comprennent le pare-chocs # 40BSBHQ6; Admin # WV57TO-HQ06 / M1165A1; Reg # NZ311R & Battalion 40TH BSB» sont visibles sur le véhicule.
Le vol du véhicule de combat intervient quelques jours avant que le FBI n'ait mis en garde contre des "manifestations armées" dans les 50 capitales d'État et au Capitole américain à Washington, DC, avant l'investiture du président élu Joe Biden le 20 janvier.
"Des manifestations armées sont prévues dans les 50 capitales d'État du 16 janvier au 20 janvier au moins, et au Capitole américain du 17 janvier au 20 janvier", a déclaré le FBI.
Ainsi, le vol du véhicule de combat vous amène à vous demander si quelqu'un ou un groupe utilisera le véhicule lors de manifestations armées attendues dans les prochains jours ... ou est-ce encore un autre événement permettant de créer des faux drapeaux conçu pour inspirer une répression contre le "terrorisme intérieur" "et l'adoption du Patriot Act II.
Les Isochrysidales contredisent la théorie du réchauffement du climat !
le 17 janvier 2021
J’ai choisi ce titre un peu ésotérique pour attirer l’attention sur une superbe étude réalisée au sein de la Brown University à Providence, Rhode Island, qui sème un sérieux doute sur l’affirmation faisant maintenant « consensus » mondial que le climat se réchauffe et continuera à se réchauffer quoiqu’il arrive. J’ai mentionné dans un précédent billet la lente diminution de l’amplitude de la circulation des courants marins dans l’Atlantique nord en précisant que cette étude était un instantané de la situation et qu’elle ne reflétait pas nécessairement une tendance générale liée à un changement du climat global, changement qui affecte les zones de la planète situées en dehors de l’espace intertropical. L’étude de l’évolution du climat est d’une complexité telle que les climatologues de pacotille de l’IPCC se sont contentés de publier des modèles simplistes qui ne rendent pas compte de la réalité. En effet, l’évolution du climat n’est pas un processus de court terme et affirmer que les prédiction de l’IPCC à 50 ou 100 ans sont exactes et qu’il faut donc en tenir compte est une erreur grossière. Les géophysiciens de la Brown University ont utilisé le marqueur le plus fiable qui puisse exister pour reconstituer les températures passées et cette étude concerne justement l’Atlantique nord.
- voir photo sur site -
Il s’agit d’étudier et de quantifier la présence d’une forme particulière de lipides à très longue chaine produits par une espèce d’algues microscopiques qui affectionne les eaux froides, les isochrysidales de la famille des Haptophytes (illustration, Wikipedia). Ces algues arrivent à proliférer dans les eaux arctiques à une température de quelques degrés au dessus de zéro en mettant à profit l’ensoleillement de 24 heures durant l’été. Ces lipides appelés alkénones, il faudrait plutôt dire des hydrocarbures comprenant jusqu’à 42 atomes de carbone, présentent un taux d’insaturation (des doubles liaisons carbone-carbone) étroitement dépendant de la température de l’eau dans laquelle ces algues unicellulaires prolifèrent durant l’été circumpolaire : plus la température est élevée plus l’indice de saturation de ces alkénones est élevé. Il existait cependant une incertitude majeure pour reconstituer les températures de surface passées sur la base de l’analyse de ces alkénones dans les squelettes des isochrysidales retrouvées dans les sédiments marins car le taux d’insaturation dépend également de la salinité de l’eau.
C’est en identifiant des isochrysidales particulières présentes seulement dans la région du Svalbard, sur la glace, dans la colonne d’eau sous-jacente et dans les sédiments, et en analysant finement leur structure chimique, c’est-à-dire les taux d’insaturation de ces alkénones, après séparation de tous les constituants de haut poids moléculaires qu’une reconstitution fiable de la température de l’eau océanique dans cette région particulière de l’Océan arctique a pu être réalisée. La souche d’isochrysidales Emiliana huxleyi a été particulièrement étudiée après identification à l’aide de l’ARN ribosomique 18S et cultures en laboratoire à des températures et des salinités variées. Retrouvée dans les sédiments des archipels du grand nord canadien et du Svalbard cette souche présente l’avantage rare de posséder des alkénones ayant un taux d’insaturation élevé, jusqu’à 4 doubles liaisons, qui a permis une reconstitution non ambigüe de la température de surface des eaux arctiques au cours des 15000 dernières années.
Comme cela a été montré par d’autres travaux et par des approches expérimentales totalement différentes la température moyenne de surface était supérieure d’environ 2,5 degrés à celle d’aujourd’hui entre 10000 et 4000 ans avant aujourd’hui. Il s’agit du maximum climatique de l’Holocène qui a été largement étudié avec, par exemple, le retrait des glaciers alpins. Depuis 4000 ans la température moyenne de surface de l’Océan arctique ne cesse de décroître et elle suit le cycle d’environ 20000 ans décrivant l’insolation exprimée en W/m2 à 65° de latitude nord. Cette diminution a parfaitement été identifiée à l’aide de la concentration en alkénones dans les sédiments recueillis autour de l’archipel du Svalbard jusqu’à ce jour. La conclusion de ce billet un peu technique est une confirmation supplémentaire de la tendance vers un refroidissement de l’évolution du climat.
Source : https://doi.org/10.1038/s41467-020-20187-z en accès libre. Les curieux retrouveront la figure 5 de cet article qui illustre le propos de ce billet.
Aussi étrange que cela puisse paraître, la neige peut tomber même au Sahara, les récentes photos spectaculaires des dunes recouvertes d'une nappe blanche postées par de nombreux internautes en sont la preuve.
L’hiver reprend ses droits même au Sahara ! Récemment, la neige a réjoui les yeux des résidents de l'Algérie, à en juger par les récentes photos postées par des internautes sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’un phénomène météorologique rare pour cette zone géographique.
«Le gel peint de beaux tableaux dans les dunes d'Aïn Sefra en Algérie», indique la légende. La ville d'Aïn Sefra, également surnommée la porte du Sahara, est située à côté des montagnes de l'Atlas, les températures basses ne sont donc pas étrangères à cette zone. Pourtant, la neige ne tombe pas chaque année.
Les températures en Algérie ont commencé à baisser rapidement le 10 janvier et, mercredi 13 janvier, elles sont tombées en dessous de zéro.
«Le désert du Sahara. Ici également on a de la neige.»
Éolien : le vent n’est pas et ne sera jamais rentable
Un secteur maintenu artificiellement à coups de réglementation.
18 JANVIER 2021 Par Michel Negynas.
Au départ, il y a plus de vingt ans, est née une fausse bonne idée : le vent est gratuit, et l’exploiter est le moyen le plus vertueux de produire de l’énergie.
Cela fait partie des rêves écologistes, sympathiques au départ, avec un brin de poésie… mais qui tournent au vinaigre en face des réalités. C’est une situation assez courante, et la réponse de l’écologisme politique est en général de se perdre dans la dissonance cognitive, c’est-à-dire de compenser par une fuite en avant idéologique ce que lui révèlent les données factuelles.
Les subventions et les avantages initiaux donnés à la filière ne sont pas, en eux-mêmes, choquants. En effet, pour atteindre des coûts et des performances pérennes, toute activité a besoin d’expérience et d’effet d’échelle… Mais jusqu’à un certain point.
Ainsi, en France, mais c’est vrai pour les autres pays occidentaux, dans un marché qu’on voudrait libéralisé, l’éolien bénéficie encore des avantages suivants :
L’obligation d’achat
C’est l’avantage le plus décisif et le plus étranger à un marché qui se voudrait libéral. Quel que soit le besoin, dès que les éoliennes produisent, le réseau doit acheter cette électricité. Cela oblige les autres producteurs à freiner leurs livraisons, et donc augmente leurs coûts au kWh, puisque leurs frais fixes sont moins couverts. Ceci est particulièrement défavorable au nucléaire, dont les frais fixes sont prépondérants par rapport aux coûts variables du combustible.
Pire, dans certains contrats, si on oblige les opérateurs à arrêter leurs éoliennes (par exemple si, en été, le vent donne plus que les besoins), les opérateurs reçoivent une contrepartie égale à ce qu’ils produiraient à puissance maximale au prix qui leur est garanti. Ces opérateurs gagnent ainsi plus d’argent à ne pas produire qu’à produire.
Les surcoûts
Engendrés par l’intermittence et les caractéristiques technologiques ils sont supportés par le réseau. Comme montré dans un précédent article, ces coûts sont énormes. Par exemple, pour l’offshore, le raccordement peut représenter 25 % de l’investissement total.
Les prix d’achat
Ils ont été longtemps fixés indépendamment de toute référence de marché. Ils sont maintenant soumis au marché, mais avec une compensation entre un prix garanti et le prix spot. Cela aurait pu paraître plus raisonnable, sauf que plus les prix spots sont bas, plus cela coûte à la collectivité. Et on verra que les prix spots seront de plus en plus souvent très bas.
Les régulateurs
Sous la pression des opérateurs, ils relâchent les règles sanitaires, sociales et environnementales d’autorisation des installations. Il est en théorie plus simple d’ériger cinq éoliennes de 250 m de haut que de construire un hangar de stockage d’électroménager. Seules les actions juridiques des opposants freinent l’hystérie des autorités et les actions marketing des opérateurs, lesquels sont souvent à la limite de l’éthiquement correct.
LA RÉALITÉ CRÈVE LES YEUX
Mais une activité qui a encore besoin d’être soutenue artificiellement après plus de vingt ans, et alors que les coûts sont arrivés à maturité, cela pose évidemment des questions embarassantes. D’autant plus que l’Allemagne nous fournit gracieusement une expérience en vraie grandeur de ce que nous prévoyons, nous aussi, de réaliser. Elle a construit 72 GW d’éolien. Voilà ce que cela donne sur la semaine du 11 au 17 janvier. Tout est en ligne sur le site Energy charts de Fraunhofer :
- voir graphique sur site -
L’apport du vent a varié en quelques jours de 40 GW à 4 GW ! Et où est le stockage, maintes fois promis, pour compenser l’intermittence ? Il n’existe pas, et ne sera jamais, et de loin, à hauteur des enjeux.
Alors, qu’est ce que ça donne sur les prix de marchés (en bourse, pas les prix subventionnés). Eh bien le site de Fraunhofer publie une courbe pour l’année 2020 absolument parlante qu’il convient d’analyser.
- voir graphique sur site -
Sur cette courbe, on constate plusieurs éléments factuels :
Le réseau de points est bien plus dense entre 0 et 20GW, cela reflète bien que même quand elles tournent, les éoliennes sont généralement loin de leur puissance nominale. Des écarts énormes de prix, de plus 200 euros à moins de 75 euros. Même si ces évènements sont rares, ils dénotent quand même un marché qui dysfonctionne. Une remarquable anticorrélation linéaire entre prix de marché et puissance délivrée par l’éolien ; sans vent on est à 40 euros, un prix probablement très influencé par les prix de cession (imposés) du nucléaire. À environ 60 GW de vent, on est à zéro. Cette courbe reflète un raisonnement tellement bête que nos gouvernements successifs ne semblent pas l’avoir compris ; l’ENA prépare à de puissantes circonvolutions sémantiques, pas à des constatations factuelles.
En effet, à partir d’une certaine pénétration de l’éolien dans le mix, soit il n’y a pas de vent, le prix de marché est élevé car la denrée produite est rare. Mais les éoliennes n’ont rien à vendre. Soit il y a pléthore, et la valeur du produit chute drastiquement car tous veulent vendre. Cela est du à une caractéristique essentielle et constamment occultée de l’électricité : à chaque seconde, la production doit égaler la consommation en tous points du réseau. Or, contrairement au discours des opérateurs d’ENR, généralement, la situation venteuse est la même sur une grande partie de l’Europe, y compris en mer. Il y a très souvent pénurie, ou, a contrario, surproduction. Et plus d’interconnexion ne changera rien.
CONCLUSION
Par nature l’éolien ne peut être rentable dans un marché vraiment libéralisé. Il ne le sera jamais. Il ne produit que lorsque les prix sont inférieurs à ses seuils de rentabilité. Et cela ira de pire en pire : actuellement, l’Allemagne a encore la possibilité d’exporter ses surplus sur ses voisins. Qu’en sera-t-il lorsque ceux-ci en seront au même point qu’elle ?
De tout temps les moulins à vent ont tourné, ils pompaient l'eau d'un puits ou d'une rivière vers un bassin parfois débordant mais que foutre, l'eau retournait d'où elle était venue, ils actionnaient une grosse meule de pierre qui écrasait les céréales ou, tournaient en rond dans le vide, peu importe s'il n'y a plus de grains. Puis, sont arrivés les idiots sortis d'écoles du même nom qui, avec leurs dessins et leurs calculs arithméticiens proposaient des 'moulins' à 3 pales ! Pourquoi 3 pales ? Pour laisser au vent une chance de s'échapper ! Plus con que çà y a pas. Bref, mais, au lieu d'essayer leurs gribouillis sur un modèle ils en commandèrent des milliers ! (c'est l'argent du Peuple ! Hahaha !). Les pales de 60 tonnes chacune se mirent difficilement à tourner mais, l'on appris bien vite que le rotor risquait de gripper s'il n'y avait pas assez de vent ! Et, qu'il fallait donc... importer du courant pour que çà tourne !! Et, comme pour faire tourner un moulin de 180 tonnes faut pas un moteur de Moulinex ou de Mobylette...
L'éolienne coûtait plus cher qu'elle ne pouvait rapporter ! Même après des mois, des années, des décennies le constat était le même, l'éolienne qui massacre tous les jours des milliards d'oiseaux et d'abeilles ne rapportent rien ! Çà alors !
Oui mais çà c'était un essai. On s'excuse quoi ! Z'allez pas faire un drame pour quelques milliers de milliards non ?
Le FMI prévoit que la crise économique supprimera 12.000 milliards de dollars de richesse mondiale en 2020.
La pandémie de la COVID-19 a fourni une occasion unique de réfléchir au type d’avenir que nous souhaitons. Le TIME s’est associé au Forum économique mondial pour demander à des penseurs de premier plan de partager leurs idées sur la manière de transformer notre mode de vie et de travail. … C’est l’occasion de traduire pour vous ce document en anglais de plus de 30 pages.
L’attente est grande de comprendre ce que le grand reset signifie dans l’esprit des grands mamamouchis de Davos, qui dirigent cette planète.
Vous ne serez pas déçu par ce document.
Pourquoi le Grand Reset fait peur ? Je pense qu’il est très important de lire ce dossier, car vous y voyez quoi ?
L’avenir que certains psychopathes rêvent pour notre planète, qui se dessine, mais qui n’est pas plus figé qu’écrit.
Cet avenir sombre est à mi-chemin entre la dictature sanitaire, la dictature écologique et la dictature technologique.
La lutte contre la pandémie justifie toutes les mesures liberticides.
La dictature écologique au nom du sauvetage de la planète justifie toutes les rapines fiscales.
La dictature technologique permet d’assoir tout cela avec du contrôle social et le crédit social à la chinoise afin de rendre tout ce petit monde bien obéissant.
Voilà pourquoi le « grand Reset » fait peur à ceux qui regardent généralement sans complaisance le monde et son évolution. Rien n’est figé, rien n’est définitivement écrit, et la résistance intellectuelle ne doit jamais cesser.
A tous les abonnés, le dossier est disponible dans vos espaces lecteurs en téléchargement. A tous ceux qui veulent aller plus loin vous pouvez vous abonner à la lettre Stratégies en cliquant ici.
Pour tout le monde, je vous souhaite un bon JT de l’éco avec la vidéo ci-dessous.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
CARBURANTS : ATTENTION À CE NOUVEL AFFICHAGE TROMPEUR SUR LES POMPES
par PAOLO GAROSCIO 18/01/2021
Les consommateurs sont taxés sur les carburants à hauteur de 40 milliards d'euros par an
C’est une évolution qui pourrait, ou ne pourrait pas, avoir lieu sur les pompes de France et d’Europe : un nouvel affichage du prix du carburant. Complémentaire, et surtout non obligatoire, il pourrait induire le consommateur en erreur car… il ne correspondra pas à la réalité. Mais comme le relève 20 Minutes le 14 janvier 2021, il est autorisé depuis début décembre 2020 : le prix du carburant aux 100 kilomètres.
Accompagner la transition énergétique vers les motorisations électriques
Les gouvernements européens, tout comme les constructeurs, affichent une volonté claire d’électrification du parc automobile : outre de nouveaux modèles annoncés par les constructeurs, des aides, des mesures, des interdictions sont prises régulièrement pour que les automobilistes cessent, à terme, d’acheter des voitures essence et diesel neuves. En France, d’ailleurs, la vente de voitures à motorisation thermique neuves sera interdite en 2040.
Or, l’un des arguments préférés pour mettre en avant l’électrique est le prix du carburant… et l’Union européenne autorise donc, depuis le 7 décembre 2020, comme le souligne 20 Minutes, un nouvel affichage qui facilitera la comparaison : le prix du carburant aux 100 kilomètres, sur les pompes. En effet, on estime que le prix du « plein » d’électricité est deux à trois fois inférieur au prix du « plein » d’essence, de gasoil ou d’hydrogène.
Carburants : un prix affiché qui ne correspond à rien d’autre qu’une moyenne arbitraire
Ainsi, selon 20 Minutes, il sera donc possible qu’un nouvel affichage apparaisse dans les semaines et mois à venir chez les pompistes français… bien que le prix au litre reste obligatoire. Objectif ? Vous montrer que rouler 100 kilomètres en électrique ne coûte que 2,90 euros, contre 7 à 9 euros pour une motorisation classique.
Sauf que le prix affiché sera… trompeur : il est calculé en fonction des trois voitures les plus vendues de l’année et leur consommation, et en fonction du prix moyen du plein durant les trois mois précédents.
Or, la consommation réelle d’une voiture change énormément : outre le modèle et la puissance, la conduite de l’utilisateur ou encore le type de route la font augmenter ou diminuer. Une personne ayant une conduite très nerveuse roulant beaucoup sur autoroute consommera plus qu’une personne à la conduite douce ne prenant que des routes de campagne… et ce pour le même exact modèle de véhicule.
Le nouvel affichage n’est donc pas à prendre en compte pour calculer son budget carburant, par exemple : il n’y a que très peu de chances qu’il corresponde à votre réalité.
Interdire la location des « passoires thermiques », une fausse bonne idée
RépondreSupprimerCette décision semble pétrie de bon sentiments et conforme à la pensée « écologiquement correcte » du moment, mais, comme toute politique restrictive, elle n’ira pas sans effets pervers.
Par Vincent Benard.
16 JANVIER 2021
Le gouvernement vient d’annoncer qu’à partir de 2023, les propriétaires ne seraient plus autorisés à louer des appartements ou maisons considérés comme des passoires énergétiques, soit la catégorie G des diagnostics de performance énergétique.
Cette décision semble pétrie de bons sentiments et conforme à la pensée écologiquement correcte du moment, mais comme toute politique restrictive, elle n’ira pas sans effets pervers.
DES BONNES INTENTIONS AFFICHÉES AUX EFFETS PERVERS PRÉVISIBLES
70 000 logements privés et 20 000 logements publics seraient donc, à ce jour, concernés par cette décision, ce chiffre apparaissant faible, puisque 6 % des logements français, soit 1,8 million, sont concernés par ce classement en catégorie G, et plus de 20 % sont loués dans le parc privé (source).
Le raisonnement du gouvernement est simple : ces logements généralement anciens et vétustes sont loués à des familles modestes, qui sont précisément celles n’ayant pas les moyens de payer leur surconsommation énergétique.
De plus, qui dit consommation d’énergie dit au moins en partie émissions de gaz à effets de serre, et le gouvernement s’est fixé des objectifs ambitieux, voire irréalistes, de réduction de ces émissions.
Le gouvernement en déduit donc qu’il faut soit contraindre les propriétaires à entreprendre des travaux de rénovation, soit leur interdire de louer ces logements. Ce simplisme interpelle.
Tout d’abord, selon le CEREN (cf tableau ci-dessous, source), malgré une augmentation notable de la population métropolitaine (+14 %), la consommation énergétique des Français pour leur chauffage a chuté de 23 % en 30 ans, preuve que le cadre législatif actuel, pour imparfait qu’il soit, permet déjà une amélioration de nos consommations énergétiques à un rythme soutenu.
Il n’y a donc pas de « situation de crise de la consommation d’énergie résidentielle » qui justifierait cette soudaine agitation gouvernementale.
En revanche, on ne peut que s’interroger sur les risques d’effets secondaires pervers d’une telle décision.
Avant d’introduire une discussion économique, notons parallèlement que depuis 2012, soit l’arrivée au pouvoir de deux présidents (Hollande puis Macron) qui ont augmenté les interventions étatiques et les contraintes sur les bailleurs (Loi ALUR, renforcement du blocage des loyers dans certaines villes, etc.), le nombre de SDF a été multiplié par deux, selon la fondation Abbé Pierre, passant de 160 000 personnes à plus de 300 000.
Bien que corrélation ne soit pas causalité, à l’évidence, les interventions de l’État ne s’accompagnent pas d’une amélioration de la situation du logement des ménages, en tout cas des plus modestes d’entre eux, en France. Il est donc permis de s’interroger sur la pertinence d’en ajouter de nouvelles.
Et, comme le souligne un éminent influenceur sur Twitter, « la rue n’est pas mieux isolée que ces logements ». Ces logements sont peut-être très imparfaits, mais 70 000 logements de moins (grand minimum), sur le marché locatif risquent de manquer cruellement aux plus précaires des ménages, alors qu’ils auraient pu constituer un parc social de secours utile, à défaut d’être économe en énergie.
POURQUOI RESTE-T-IL DES PASSOIRES THERMIQUES ?
RépondreSupprimerCertes, ces logements cumulent souvent d’autres problèmes de vétusté : plomberie, humidité, etc., et certains particulièrement insalubres devraient disparaître du marché. La question que le gouvernement devrait se poser est : « pourquoi ne disparaissent-ils pas » ?
D’une part, les travaux de rénovation énergétique sont chers, et leur rentabilité n’est pas assurée. Selon des sources officielles (DREAL grand est), le coût moyen de ces travaux, permettant de gagner 2 à 3 rangs sur l’échelle de classification des logements, sont élevés, de 180 à 300 euros par m2, et des sources de presse indiquent des coûts plus élevés encore pour les logements classés G, la pire catégorie.
Dans les villes où les loyers sont faibles, les propriétaires auront du mal à répercuter ces investissements sur les loyers. Dans celles où ils sont élevés, une augmentation de 1 euro/m2 des loyers mensuels est envisageable (300 euros à 4 % annuels bruts), mais un nombre croissant de grandes métropoles envisage de plafonner arbitrairement les loyers -Paris et Lille l’ont déjà fait-, ce qui n’encouragera guère les propriétaires concernés à se lancer dans des travaux lourds.
Ce manque d’appétit pour l’investissement de rénovation est renforcé par le risque de rencontrer un mauvais payeur, risque d’autant plus important que la clientèle de ces logements se trouve généralement chez les familles modestes.
D’autre part, une construction neuve suffisante permettrait d’offrir à des loyers raisonnables des logements récents, les ménages les plus aisés abandonnant des logements de qualité moyenne mais suffisante à des ménages plus modestes, permettant d’assainir progressivement le marché des offres les plus scabreuses.
Hélas, notre politique foncière malthusienne rend le terrain hors de prix et limite la construction neuve qui est insuffisante dans les métropoles dynamiques pour faire face à la fois à l’accroissement du nombre de ménages, aux migrations intérieures et extérieures, et à la nécessité de renouveler la part la plus vétuste du parc de logements.
De surcroît, un foncier cher conduit les promoteurs à privilégier une offre luxueuse, et la loi SRU les oblige à vendre à perte 25 à 30 % de leur production à des bailleurs sociaux, ce qui augmente encore le prix de vente des logements neufs construits pour le secteur privé. Le résultat est que l’offre destinée aux familles modestes, mais pas suffisamment pour accéder prioritairement au logement social, est insuffisante. Ces ménages se rabattent donc sur le locatif privé d’entrée de gamme, où figurent entre autres la plupart des passoires thermiques.
LOGEMENT : DÉBUT D’UN DÉSASTRE ANNONCÉ ?
RépondreSupprimerRestreindre la possibilité de louer ces logements sans par ailleurs libéraliser la possibilité d’en construire des neufs, ou sans donner aux propriétaires l’assurance législative qu’ils pourront rentrer dans leurs frais de rénovation, conduira à restreindre encore un peu plus l’offre locative, ce qui au final plongera encore plus de ménages dans l’extrême précarité.
Malheureusement, ce gouvernement, pas plus que les précédents, ne semble se rendre compte de l’impasse vers laquelle il dirige les ménages français. En effet, la ministre E. Wargon a annoncé que d’ici 2028, tous les logements classés F et G, soit 4,8 millions (dont 30 % actuellement loués, soit près d’un million et demi) seront concernés par l’interdiction, si le projet de loi préparé en ce sens venait à être adopté.
Dans le même temps, le président de la République a déclaré vouloir renforcer la politique de malthusianisme foncier en promouvant des concepts à la mode, et scientifiquement très discutables, tels que le zéro artificialisation nette, au nom de la sauvegarde de la biodiversité.
Si l’on ajoute à cela l’engouement de nombreux maires pour le blocage des loyers, et l’absence de réponse satisfaisante des pouvoirs publics au problème des locataires mauvais payeurs, alors il est à craindre qu’un effondrement sans précédent de l’offre locative ne se produise dans les dix prochaines années.
Laisser ces logements sur le marché, en informant correctement les candidats loueurs de leur condition énergétique moyenne, permettrait à ces derniers de négocier de fortes baisses de loyer, si par ailleurs une offre suffisante de renouvellement du parc de logement pouvait voir le jour.
En matière de logement comme ailleurs, laisser l’offre et la demande jouer pleinement leur rôle serait bien plus bénéfique aux ménages que l’accumulation de réglementations incohérentes dont les effets cumulés promettent un véritable désastre économique et social à moyen terme.
https://www.contrepoints.org/2021/01/16/388984-interdire-la-location-des-passoires-thermiques-une-fausse-bonne-idee
Aussi idiot que cela puisse paraître, même avec 50 vitres aux fenêtres la chaleur ne restera pas dans la pièce ! Çà alors ! Hahahaha !
SupprimerC'est-à-dire que les propriétaires se voient nouvellement devant une énième escroquerie qui va devoir faire augmenter les prix des loyers afin d'empêcher quiconque de se loger !
Faut dire aussi que ces gros cons d'idiots qui s’appelaient 'rois' ou 'empereurs' ou 'présidents' ont, durant des siècles (jusqu'au 20ème) habité dans des putains de châteaux en pierres tant ils n'avaient l'instruction que la pierre (comme le fer) n'isole pas !
En hiver il fait froid dehors: il fait froid dedans !
En été il fait chaud dehors: il fait froid dedans !
Il a fallut que le Peuple (plus intelligent que les dictateurs) invente la brique creuse en terre cuite puis, le parpaing alvéolé en ciment. Et là est arrivé l'isolation.
Pareillement que bien plus tard sont arrivées les serres plastiques doublées afin d'avoir des tomates en hiver.
10 000 manifestants à Vienne mars contre les restrictions relatives aux coronavirus
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JAN 2021-10: 45
Au moins 10 000 personnes ont défilé samedi dans les rues de la capitale autrichienne pour protester contre les restrictions aux coronavirus, appelant le gouvernement du chancelier Sebastian Kurz à démissionner alors que son administration parlait récemment de prolonger les mesures.
Les manifestants à Vienne, dont beaucoup n'avaient pas de masque, tenaient des pancartes disant "Kurz Must Go" et "Make Influenza Great Again".
- voir clip sur site -
Un utilisateur de médias sociaux a publié une vidéo de la manifestation à Vienne. L'utilisateur a déclaré: "Manifestation massive à Vienne maintenant. Personne ne porte de masque !"
#protestwien #wien #NoMasks # COVID19 #coronavirus @metropole_vie @orfbrk @ORF @CNNBrasil @GloboNews @cissamalan @AndreiaSadi pic.twitter.com/HKi932nmIj
- Karoline de Oliveira (@karolineoliro) 16 janvier 2021
Selon RT News, "deux rassemblements ont eu lieu dans différentes parties de la ville, qui ont rarement vu de grandes actions de protestation, avant de s'unir en une seule marche d'environ 10 000 personnes. La plupart des membres de la foule ont ignoré les appels de la police pour respecter les règles de distanciation sociale et porter masques faciaux. Au contraire, les gens se sont salués par des baisers, se sont étreints et ont dansé. "
- voir clip sur site -
Au moins 500 contre-manifestants étaient présents, dénonçant les «fous anti-masques».
RT a publié une vidéo de la manifestation massive qui semblait ordonnée.
- voir clip sur site -
Depuis mars dernier, l'Autriche est entrée dans son troisième verrouillage, une initiative du gouvernement visant à atténuer la propagation du COVID-19. Près de 390 000 infections ont été enregistrées depuis le début de la pandémie et 7 000 décès dus au virus.
L'annonce officielle de Kurz de plus de restrictions sur les coronavirus pourrait intervenir dès dimanche.
Les verrouillages et les restrictions dans l'économie de la zone euro dus à la résurgence de la pandémie pourraient entraîner une récession à double creux.
Bloomberg a noté que les bureaux de recherche de JPMorgan Chase & Co. et d'UBS Group AG ont revu à la baisse leurs prévisions économiques pour la zone euro en raison des verrouillages.
Les indicateurs à haute fréquence de l'économie de la zone euro trébuchent depuis la fin de l'été.
- voir graphique sur site -
Source: Bloomberg
Les analystes de Goldman Sachs ont souligné que des problèmes de "confiance" pourraient se développer, ou "un problème de demande", comme il a été dit, pas assez de personnes se feront vacciner volontairement.
Avec 55 Américains et 29 Norvégiens morts peu de temps après avoir pris les vaccins COVID-19 à base d'ARNm produits par des sociétés telles que Pfizer - toute la reprise basée sur l'espoir d'un vaccin et des paquets monétaires / fiscaux pourrait faire dérailler la reprise économique en Occident.
Pour résumer, les gens sont de plus en plus en colère contre des verrouillages supplémentaires, car les décès dus aux vaccins provoquent l'inimaginable: une augmentation de la méfiance à l'égard des vaccins.
https://www.zerohedge.com/political/10000-protesters-vienna-march-against-coronavirus-restrictions
Presque un an que l'escroquerie corona dure !
SupprimerLe PDG d'Airbnb avertit que les voyages "ne reviendront jamais à la normale ''
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JAN 2021 - 9:55
Le directeur général d'Airbnb, Brian Chesky, a déclaré jeudi à Reuters que les tendances des voyages intérieurs ne reviendraient jamais à ce qu'elles étaient avant la pandémie de virus.
Chesky s'est entretenu avec Jonathan Weber, rédacteur en chef de la technologie mondiale de Reuters, via Zoom, qui a déclaré que les voyages d'affaires se déplaçaient vers les voyages d'agrément parce que des technologies comme Zoom peuvent rendre la téléconférence possible.
Il découvre la prochaine grande tendance en matière de voyages, qui pourrait d'ailleurs commencer cet été - indiquant que les gens ne vont pas voyager dans les 50 plus grandes villes du monde et rester dans des hôtels bondés - ce qu'ils vont faire "Beaucoup de gens voyageront en voiture - certains voyageront en avion - et ils se rendront dans des milliers de petites collectivités. Et bon nombre de ces collectivités seront de plus petites villes et même des régions rurales."
Chesky a déclaré: «les séjours à la ferme sont énormes en ce moment». Il a dit que la plupart des Américains n'ont jamais visité les parcs nationaux, avec une autre suggestion que ces parcs seront énormes parmi les voyageurs dans les mois à venir.
Selon une enquête interne menée par Airbnb, 54 % des Américains prévoient de voyager en 2021 ou planifient actuellement leurs projets de voyage pour les mois d'été. Chesky, citant l'enquête, a déclaré que les voyageurs «aspirent à ce qui leur a été enlevé». Il a dit: "Ils n'ont pas envie de voir Times Square. Ce qu'ils aspirent à faire, c'est de voir leurs amis et leurs familles qu'ils n'ont pas vus depuis longtemps".
Voici l'interview complète (pour les commentaires de Chesky sur les voyages, rendez-vous à 28 minutes):
- voir sur site -
Après que la startup a mis ses projets d'introduction en bourse sur la glace en mars en raison de la pandémie et de l'effondrement des voyages et du tourisme. En avril, les réservations de chambres avaient chuté de 72 %. Airbnb a mis en place une politique de remboursement global et a versé plus d'un milliard de dollars de frais d'annulation.
Airbnb a finalement lancé son introduction en bourse en décembre.
- voir graphique sur site -
Les Américains abandonnant des hôtels pour des séjours Airbnb dans les communautés rurales cet été pourraient être extrêmement bénéfiques pour la startup écrasée par la pandémie au début de 2020. Mais voici le kicker ...
Si Chesky a raison sur l'important changement de voyage, l'industrie hôtelière pourrait être appelée à une vague massive de faillites et / ou de consolidation à un degré jamais vu auparavant.
https://www.zerohedge.com/markets/airbnb-ceo-warns-tectonic-shift-travel-says-people-will-ditch-cities-rural-communities
Visualiser les militaires les plus puissants du monde
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JAN 2021 - 8:45
En ce qui concerne les effectifs, aucune armée au monde ne se rapproche de celle de la Chine. Selon les estimations de Global Firepower, la République populaire compte 2,19 millions de militaires actifs.
- voir sur site -
Infographie: Les plus grands militaires du monde | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Les États-Unis, en comparaison, en ont beaucoup moins - 1,4 million - mais, comme le note Martin Armstrong de Statista, lors de l'évaluation de la puissance globale des forces militaires mondiales, les États-Unis arrivent en tête, devant la Russie et la Chine respectivement en deuxième et troisième. .
- voir sur site -
Infographie: Les militaires les plus puissants du monde | Statista
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
L'indice «utilise plus de 50 facteurs individuels pour déterminer le score PowerIndex d'une nation donnée avec des catégories allant de la puissance militaire et des finances à la capacité logistique et à la géographie».
Alors qu'une note de 0,000 représenterait le score parfait, elle est considérée comme irréaliste.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-worlds-most-powerful-militaries
'Petite' erreur... la Chine est mieux armée que tout autre.
SupprimerUne grande caravane de migrants se dirige vers les États-Unis et exhorte l'administration de Biden à "honorer ses engagements"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JAN 2021-12: 50
Rédigé par Ben Wildon via SaraACarter.com,
Une nouvelle caravane de migrants se forme en Amérique centrale dans l'espoir d'atteindre les États-Unis dans une administration Biden accueillante.
Pas moins de 9 000 immigrants semblent être dans des processions se dirigeant vers l'Amérique - avec au moins 1 000 entrant illégalement au Guatemala vendredi, selon l'AP.
Le groupe de défense des droits des migrants Pueblo Sin Fronteras a publié une déclaration sur la caravane, appelant l'équipe de Biden à accueillir chaleureusement les migrants.
«Nous reconnaissons qu’il est important que le nouveau gouvernement des États-Unis ait fait preuve d’un engagement ferme envers les migrants et les demandeurs d’asile, ce qui offre aux gouvernements du Mexique et d’Amérique centrale l’occasion d’élaborer des politiques et une gestion des migrations qui respectent et promeuvent les droits de l’homme. de la population en mobilité », indique le communiqué.
Le groupe a également déclaré: «Nous préconiserons que le gouvernement Biden honore ses engagements», comme l'a rapporté Fox News.
Le groupe a en outre préconisé une réforme de l'immigration, y compris l'abolition des lois qui obligent les migrants à rester au Mexique en attendant les audiences.
Un nouveau gouvernement des États-Unis est l’occasion de travailler avec le Gouvernement mexicain pour élaborer un plan de coopération avec l’Amérique centrale pour lutter contre les causes de la migration, en collaboration avec les organisations de la société civile, ainsi que l’occasion de renforcer la coopération régionale concernant les personnes dans le besoin. de protection, et de démanteler les programmes illégaux et inhumains tels que Remain in Mexico, les accords de coopération en matière d'asile des États-Unis avec le Salvador, le Guatemala et le Honduras, ainsi que les expulsions au titre du titre 42 par les autorités américaines », a déclaré le groupe.
Biden a promis d'œuvrer pour la citoyenneté des immigrants illégaux et de renverser de nombreuses politiques de l'administration Trump - y compris un moratoire sur les expulsions de l'ICE, comme le rapporte Fox News.
Fox a également signalé que les responsables de Biden n'étaient peut-être pas aussi accueillants envers le groupe illégal, car la nouvelle conseillère en politique Susan Rice a déclaré que la frontière «ne sera pas» complètement ouverte le premier jour.
«La capacité de traitement à la frontière n'est pas comme une lumière que vous pouvez simplement allumer et éteindre», a déclaré Rice au site d'information espagnol EFE.
«Les migrants et les demandeurs d'asile ne devraient absolument pas croire ceux de la région qui colportent l'idée que la frontière sera soudainement complètement ouverte pour traiter tout le monde le premier jour. Ce ne sera pas le cas.»
En tant que groupe croissant de migrants près de la frontière américaine, l'administration entrante de Biden devra faire face à un véritable test de sa politique d'immigration dans les tout premiers jours de son mandat.
https://www.zerohedge.com/political/large-migrant-caravan-heading-us-urges-biden-admin-honor-its-commitments
Comme ils l'ont fait en Europe en vidant l'Afrique-Asie de plus de 50 millions de 'réfugiés climatique' et offrant couverts & logis + allocs électrique pondues aux claviers, l'Amérique s'apprête à perdre toute confiance avec autant de futures victimes de guerre.
SupprimerNotons qu'ils y a déjà plus de 90 % de la population du globe qui vit dans l'hémisphère Nord !
Et 2021 pue la merde et le souffre ! L'après '20 Janvier'...
Devinez où seront les dictateurs (les 'monsieur Global' comme dit Catherine Austin Fitts) après cette date !
Un Humvee blindé volé à une base militaire avant les manifestations armées prévues dans les capitoles d'État
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 17 JAN 2021-12: 25
Vendredi matin, quelqu'un a volé un Humvee militaire blindé dans une installation de la Garde nationale à Los Angeles, en Californie.
La porte-parole du FBI, Laura Eimiller, a déclaré que le Humvee était un véhicule de combat doté d'un blindage avancé.
Le bureau offre une récompense de 10 000 dollars pour les informations menant à la récupération du Humvee, a tweeté le FBI samedi.
Quelques photos du Humvee disparu étaient également jointes au tweet. Le véhicule est paré de «camouflage vert» et une armure pare-balles est clairement visible sur les fenêtres.
Le bureau a déclaré: «Les identifiants comprennent le pare-chocs # 40BSBHQ6; Admin # WV57TO-HQ06 / M1165A1; Reg # NZ311R & Battalion 40TH BSB» sont visibles sur le véhicule.
Le vol du véhicule de combat intervient quelques jours avant que le FBI n'ait mis en garde contre des "manifestations armées" dans les 50 capitales d'État et au Capitole américain à Washington, DC, avant l'investiture du président élu Joe Biden le 20 janvier.
"Des manifestations armées sont prévues dans les 50 capitales d'État du 16 janvier au 20 janvier au moins, et au Capitole américain du 17 janvier au 20 janvier", a déclaré le FBI.
Ainsi, le vol du véhicule de combat vous amène à vous demander si quelqu'un ou un groupe utilisera le véhicule lors de manifestations armées attendues dans les prochains jours ... ou est-ce encore un autre événement permettant de créer des faux drapeaux conçu pour inspirer une répression contre le "terrorisme intérieur" "et l'adoption du Patriot Act II.
https://www.zerohedge.com/political/armored-humvee-stolen-military-base-ahead-armed-protests-state-capitols
Les Isochrysidales contredisent la théorie du réchauffement du climat !
RépondreSupprimerle 17 janvier 2021
J’ai choisi ce titre un peu ésotérique pour attirer l’attention sur une superbe étude réalisée au sein de la Brown University à Providence, Rhode Island, qui sème un sérieux doute sur l’affirmation faisant maintenant « consensus » mondial que le climat se réchauffe et continuera à se réchauffer quoiqu’il arrive. J’ai mentionné dans un précédent billet la lente diminution de l’amplitude de la circulation des courants marins dans l’Atlantique nord en précisant que cette étude était un instantané de la situation et qu’elle ne reflétait pas nécessairement une tendance générale liée à un changement du climat global, changement qui affecte les zones de la planète situées en dehors de l’espace intertropical. L’étude de l’évolution du climat est d’une complexité telle que les climatologues de pacotille de l’IPCC se sont contentés de publier des modèles simplistes qui ne rendent pas compte de la réalité. En effet, l’évolution du climat n’est pas un processus de court terme et affirmer que les prédiction de l’IPCC à 50 ou 100 ans sont exactes et qu’il faut donc en tenir compte est une erreur grossière. Les géophysiciens de la Brown University ont utilisé le marqueur le plus fiable qui puisse exister pour reconstituer les températures passées et cette étude concerne justement l’Atlantique nord.
- voir photo sur site -
Il s’agit d’étudier et de quantifier la présence d’une forme particulière de lipides à très longue chaine produits par une espèce d’algues microscopiques qui affectionne les eaux froides, les isochrysidales de la famille des Haptophytes (illustration, Wikipedia). Ces algues arrivent à proliférer dans les eaux arctiques à une température de quelques degrés au dessus de zéro en mettant à profit l’ensoleillement de 24 heures durant l’été. Ces lipides appelés alkénones, il faudrait plutôt dire des hydrocarbures comprenant jusqu’à 42 atomes de carbone, présentent un taux d’insaturation (des doubles liaisons carbone-carbone) étroitement dépendant de la température de l’eau dans laquelle ces algues unicellulaires prolifèrent durant l’été circumpolaire : plus la température est élevée plus l’indice de saturation de ces alkénones est élevé. Il existait cependant une incertitude majeure pour reconstituer les températures de surface passées sur la base de l’analyse de ces alkénones dans les squelettes des isochrysidales retrouvées dans les sédiments marins car le taux d’insaturation dépend également de la salinité de l’eau.
C’est en identifiant des isochrysidales particulières présentes seulement dans la région du Svalbard, sur la glace, dans la colonne d’eau sous-jacente et dans les sédiments, et en analysant finement leur structure chimique, c’est-à-dire les taux d’insaturation de ces alkénones, après séparation de tous les constituants de haut poids moléculaires qu’une reconstitution fiable de la température de l’eau océanique dans cette région particulière de l’Océan arctique a pu être réalisée. La souche d’isochrysidales Emiliana huxleyi a été particulièrement étudiée après identification à l’aide de l’ARN ribosomique 18S et cultures en laboratoire à des températures et des salinités variées. Retrouvée dans les sédiments des archipels du grand nord canadien et du Svalbard cette souche présente l’avantage rare de posséder des alkénones ayant un taux d’insaturation élevé, jusqu’à 4 doubles liaisons, qui a permis une reconstitution non ambigüe de la température de surface des eaux arctiques au cours des 15000 dernières années.
Comme cela a été montré par d’autres travaux et par des approches expérimentales totalement différentes la température moyenne de surface était supérieure d’environ 2,5 degrés à celle d’aujourd’hui entre 10000 et 4000 ans avant aujourd’hui. Il s’agit du maximum climatique de l’Holocène qui a été largement étudié avec, par exemple, le retrait des glaciers alpins. Depuis 4000 ans la température moyenne de surface de l’Océan arctique ne cesse de décroître et elle suit le cycle d’environ 20000 ans décrivant l’insolation exprimée en W/m2 à 65° de latitude nord. Cette diminution a parfaitement été identifiée à l’aide de la concentration en alkénones dans les sédiments recueillis autour de l’archipel du Svalbard jusqu’à ce jour. La conclusion de ce billet un peu technique est une confirmation supplémentaire de la tendance vers un refroidissement de l’évolution du climat.
RépondreSupprimerSource : https://doi.org/10.1038/s41467-020-20187-z en accès libre. Les curieux retrouveront la figure 5 de cet article qui illustre le propos de ce billet.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2021/01/17/les-isochrysidales-contredisent-la-theorie-du-rechauffement-du-climat/
À couper le souffle: le Sahara recouvert de neige
RépondreSupprimer21:51 17.01.2021
Aussi étrange que cela puisse paraître, la neige peut tomber même au Sahara, les récentes photos spectaculaires des dunes recouvertes d'une nappe blanche postées par de nombreux internautes en sont la preuve.
L’hiver reprend ses droits même au Sahara ! Récemment, la neige a réjoui les yeux des résidents de l'Algérie, à en juger par les récentes photos postées par des internautes sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’un phénomène météorologique rare pour cette zone géographique.
«Le gel peint de beaux tableaux dans les dunes d'Aïn Sefra en Algérie», indique la légende.
La ville d'Aïn Sefra, également surnommée la porte du Sahara, est située à côté des montagnes de l'Atlas, les températures basses ne sont donc pas étrangères à cette zone. Pourtant, la neige ne tombe pas chaque année.
Les températures en Algérie ont commencé à baisser rapidement le 10 janvier et, mercredi 13 janvier, elles sont tombées en dessous de zéro.
«Le désert du Sahara. Ici également on a de la neige.»
Éolien : le vent n’est pas et ne sera jamais rentable
RépondreSupprimerUn secteur maintenu artificiellement à coups de réglementation.
18 JANVIER 2021
Par Michel Negynas.
Au départ, il y a plus de vingt ans, est née une fausse bonne idée : le vent est gratuit, et l’exploiter est le moyen le plus vertueux de produire de l’énergie.
Cela fait partie des rêves écologistes, sympathiques au départ, avec un brin de poésie… mais qui tournent au vinaigre en face des réalités. C’est une situation assez courante, et la réponse de l’écologisme politique est en général de se perdre dans la dissonance cognitive, c’est-à-dire de compenser par une fuite en avant idéologique ce que lui révèlent les données factuelles.
Les subventions et les avantages initiaux donnés à la filière ne sont pas, en eux-mêmes, choquants. En effet, pour atteindre des coûts et des performances pérennes, toute activité a besoin d’expérience et d’effet d’échelle… Mais jusqu’à un certain point.
Ainsi, en France, mais c’est vrai pour les autres pays occidentaux, dans un marché qu’on voudrait libéralisé, l’éolien bénéficie encore des avantages suivants :
L’obligation d’achat
C’est l’avantage le plus décisif et le plus étranger à un marché qui se voudrait libéral. Quel que soit le besoin, dès que les éoliennes produisent, le réseau doit acheter cette électricité. Cela oblige les autres producteurs à freiner leurs livraisons, et donc augmente leurs coûts au kWh, puisque leurs frais fixes sont moins couverts. Ceci est particulièrement défavorable au nucléaire, dont les frais fixes sont prépondérants par rapport aux coûts variables du combustible.
Pire, dans certains contrats, si on oblige les opérateurs à arrêter leurs éoliennes (par exemple si, en été, le vent donne plus que les besoins), les opérateurs reçoivent une contrepartie égale à ce qu’ils produiraient à puissance maximale au prix qui leur est garanti. Ces opérateurs gagnent ainsi plus d’argent à ne pas produire qu’à produire.
Les surcoûts
Engendrés par l’intermittence et les caractéristiques technologiques ils sont supportés par le réseau. Comme montré dans un précédent article, ces coûts sont énormes. Par exemple, pour l’offshore, le raccordement peut représenter 25 % de l’investissement total.
Les prix d’achat
Ils ont été longtemps fixés indépendamment de toute référence de marché. Ils sont maintenant soumis au marché, mais avec une compensation entre un prix garanti et le prix spot. Cela aurait pu paraître plus raisonnable, sauf que plus les prix spots sont bas, plus cela coûte à la collectivité. Et on verra que les prix spots seront de plus en plus souvent très bas.
Les régulateurs
Sous la pression des opérateurs, ils relâchent les règles sanitaires, sociales et environnementales d’autorisation des installations. Il est en théorie plus simple d’ériger cinq éoliennes de 250 m de haut que de construire un hangar de stockage d’électroménager. Seules les actions juridiques des opposants freinent l’hystérie des autorités et les actions marketing des opérateurs, lesquels sont souvent à la limite de l’éthiquement correct.
LA RÉALITÉ CRÈVE LES YEUX
Mais une activité qui a encore besoin d’être soutenue artificiellement après plus de vingt ans, et alors que les coûts sont arrivés à maturité, cela pose évidemment des questions embarassantes. D’autant plus que l’Allemagne nous fournit gracieusement une expérience en vraie grandeur de ce que nous prévoyons, nous aussi, de réaliser. Elle a construit 72 GW d’éolien. Voilà ce que cela donne sur la semaine du 11 au 17 janvier. Tout est en ligne sur le site Energy charts de Fraunhofer :
- voir graphique sur site -
L’apport du vent a varié en quelques jours de 40 GW à 4 GW ! Et où est le stockage, maintes fois promis, pour compenser l’intermittence ? Il n’existe pas, et ne sera jamais, et de loin, à hauteur des enjeux.
Alors, qu’est ce que ça donne sur les prix de marchés (en bourse, pas les prix subventionnés). Eh bien le site de Fraunhofer publie une courbe pour l’année 2020 absolument parlante qu’il convient d’analyser.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
Sur cette courbe, on constate plusieurs éléments factuels :
Le réseau de points est bien plus dense entre 0 et 20GW, cela reflète bien que même quand elles tournent, les éoliennes sont généralement loin de leur puissance nominale.
Des écarts énormes de prix, de plus 200 euros à moins de 75 euros. Même si ces évènements sont rares, ils dénotent quand même un marché qui dysfonctionne.
Une remarquable anticorrélation linéaire entre prix de marché et puissance délivrée par l’éolien ; sans vent on est à 40 euros, un prix probablement très influencé par les prix de cession (imposés) du nucléaire. À environ 60 GW de vent, on est à zéro.
Cette courbe reflète un raisonnement tellement bête que nos gouvernements successifs ne semblent pas l’avoir compris ; l’ENA prépare à de puissantes circonvolutions sémantiques, pas à des constatations factuelles.
En effet, à partir d’une certaine pénétration de l’éolien dans le mix, soit il n’y a pas de vent, le prix de marché est élevé car la denrée produite est rare. Mais les éoliennes n’ont rien à vendre. Soit il y a pléthore, et la valeur du produit chute drastiquement car tous veulent vendre. Cela est du à une caractéristique essentielle et constamment occultée de l’électricité : à chaque seconde, la production doit égaler la consommation en tous points du réseau. Or, contrairement au discours des opérateurs d’ENR, généralement, la situation venteuse est la même sur une grande partie de l’Europe, y compris en mer. Il y a très souvent pénurie, ou, a contrario, surproduction. Et plus d’interconnexion ne changera rien.
CONCLUSION
Par nature l’éolien ne peut être rentable dans un marché vraiment libéralisé. Il ne le sera jamais. Il ne produit que lorsque les prix sont inférieurs à ses seuils de rentabilité. Et cela ira de pire en pire : actuellement, l’Allemagne a encore la possibilité d’exporter ses surplus sur ses voisins. Qu’en sera-t-il lorsque ceux-ci en seront au même point qu’elle ?
https://www.contrepoints.org/2021/01/18/389080-eolien-le-vent-nest-pas-et-ne-sera-jamais-rentable
De tout temps les moulins à vent ont tourné, ils pompaient l'eau d'un puits ou d'une rivière vers un bassin parfois débordant mais que foutre, l'eau retournait d'où elle était venue, ils actionnaient une grosse meule de pierre qui écrasait les céréales ou, tournaient en rond dans le vide, peu importe s'il n'y a plus de grains.
SupprimerPuis, sont arrivés les idiots sortis d'écoles du même nom qui, avec leurs dessins et leurs calculs arithméticiens proposaient des 'moulins' à 3 pales ! Pourquoi 3 pales ? Pour laisser au vent une chance de s'échapper ! Plus con que çà y a pas. Bref, mais, au lieu d'essayer leurs gribouillis sur un modèle ils en commandèrent des milliers ! (c'est l'argent du Peuple ! Hahaha !). Les pales de 60 tonnes chacune se mirent difficilement à tourner mais, l'on appris bien vite que le rotor risquait de gripper s'il n'y avait pas assez de vent ! Et, qu'il fallait donc... importer du courant pour que çà tourne !! Et, comme pour faire tourner un moulin de 180 tonnes faut pas un moteur de Moulinex ou de Mobylette...
L'éolienne coûtait plus cher qu'elle ne pouvait rapporter ! Même après des mois, des années, des décennies le constat était le même, l'éolienne qui massacre tous les jours des milliards d'oiseaux et d'abeilles ne rapportent rien ! Çà alors !
Oui mais çà c'était un essai. On s'excuse quoi ! Z'allez pas faire un drame pour quelques milliers de milliards non ?
LE GRAND RESET VU PAR LE MAGAZINE TIME !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
18/01/2021
Le FMI prévoit que la crise économique supprimera 12.000 milliards de dollars de richesse mondiale en 2020.
La pandémie de la COVID-19 a fourni une occasion unique de réfléchir au type d’avenir que nous souhaitons. Le TIME s’est associé au Forum économique mondial pour demander à des penseurs de premier plan de partager leurs idées sur la manière de transformer notre mode de vie et de travail.
… C’est l’occasion de traduire pour vous ce document en anglais de plus de 30 pages.
L’attente est grande de comprendre ce que le grand reset signifie dans l’esprit des grands mamamouchis de Davos, qui dirigent cette planète.
Vous ne serez pas déçu par ce document.
Pourquoi le Grand Reset fait peur ?
Je pense qu’il est très important de lire ce dossier, car vous y voyez quoi ?
L’avenir que certains psychopathes rêvent pour notre planète, qui se dessine, mais qui n’est pas plus figé qu’écrit.
Cet avenir sombre est à mi-chemin entre la dictature sanitaire, la dictature écologique et la dictature technologique.
La lutte contre la pandémie justifie toutes les mesures liberticides.
La dictature écologique au nom du sauvetage de la planète justifie toutes les rapines fiscales.
La dictature technologique permet d’assoir tout cela avec du contrôle social et le crédit social à la chinoise afin de rendre tout ce petit monde bien obéissant.
Voilà pourquoi le « grand Reset » fait peur à ceux qui regardent généralement sans complaisance le monde et son évolution.
Rien n’est figé, rien n’est définitivement écrit, et la résistance intellectuelle ne doit jamais cesser.
A tous les abonnés, le dossier est disponible dans vos espaces lecteurs en téléchargement. A tous ceux qui veulent aller plus loin vous pouvez vous abonner à la lettre Stratégies en cliquant ici.
Pour tout le monde, je vous souhaite un bon JT de l’éco avec la vidéo ci-dessous.
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
- voir clip sur site :
http://www.economiematin.fr/news-grand-reset-2021-effondrement-analyse-explication-time-sannat
CARBURANTS : ATTENTION À CE NOUVEL AFFICHAGE TROMPEUR SUR LES POMPES
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
18/01/2021
Les consommateurs sont taxés sur les carburants à hauteur de 40 milliards d'euros par an
C’est une évolution qui pourrait, ou ne pourrait pas, avoir lieu sur les pompes de France et d’Europe : un nouvel affichage du prix du carburant. Complémentaire, et surtout non obligatoire, il pourrait induire le consommateur en erreur car… il ne correspondra pas à la réalité. Mais comme le relève 20 Minutes le 14 janvier 2021, il est autorisé depuis début décembre 2020 : le prix du carburant aux 100 kilomètres.
Accompagner la transition énergétique vers les motorisations électriques
Les gouvernements européens, tout comme les constructeurs, affichent une volonté claire d’électrification du parc automobile : outre de nouveaux modèles annoncés par les constructeurs, des aides, des mesures, des interdictions sont prises régulièrement pour que les automobilistes cessent, à terme, d’acheter des voitures essence et diesel neuves. En France, d’ailleurs, la vente de voitures à motorisation thermique neuves sera interdite en 2040.
Or, l’un des arguments préférés pour mettre en avant l’électrique est le prix du carburant… et l’Union européenne autorise donc, depuis le 7 décembre 2020, comme le souligne 20 Minutes, un nouvel affichage qui facilitera la comparaison : le prix du carburant aux 100 kilomètres, sur les pompes. En effet, on estime que le prix du « plein » d’électricité est deux à trois fois inférieur au prix du « plein » d’essence, de gasoil ou d’hydrogène.
Carburants : un prix affiché qui ne correspond à rien d’autre qu’une moyenne arbitraire
Ainsi, selon 20 Minutes, il sera donc possible qu’un nouvel affichage apparaisse dans les semaines et mois à venir chez les pompistes français… bien que le prix au litre reste obligatoire. Objectif ? Vous montrer que rouler 100 kilomètres en électrique ne coûte que 2,90 euros, contre 7 à 9 euros pour une motorisation classique.
Sauf que le prix affiché sera… trompeur : il est calculé en fonction des trois voitures les plus vendues de l’année et leur consommation, et en fonction du prix moyen du plein durant les trois mois précédents.
Or, la consommation réelle d’une voiture change énormément : outre le modèle et la puissance, la conduite de l’utilisateur ou encore le type de route la font augmenter ou diminuer. Une personne ayant une conduite très nerveuse roulant beaucoup sur autoroute consommera plus qu’une personne à la conduite douce ne prenant que des routes de campagne… et ce pour le même exact modèle de véhicule.
Le nouvel affichage n’est donc pas à prendre en compte pour calculer son budget carburant, par exemple : il n’y a que très peu de chances qu’il corresponde à votre réalité.
http://www.economiematin.fr/news-carburant-affichage-tromperie-consommation-pompe-argent