6 juillet 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Dans l'affaire Missouri c. Biden contrecarre maintenant une décision d'un juge fédéral américain sur la censure numérique. Le juge fédéral Terry Doughty a écrit dans son injonction : "Si les allégations des plaignants sont vraies, la présente affaire constitue sans doute l'attaque la plus massive contre la liberté d'expression de l'histoire des États-Unis."
Le juge fédéral a émis une injonction interdisant aux agences et responsables clés de l'administration Biden de communiquer avec les entreprises technologiques sur des questions liées à la suppression de l'expression protégée. L'injonction fait suite à une action en justice intentée par les procureurs généraux républicains de la Louisiane et du Missouri.
Le procureur général du Missouri, Andrew Bailey, a publié le verdict sur Twitter :
L'ordonnance interdit à plusieurs agences fédérales et hauts fonctionnaires de l'administration Biden de "demander, encourager, contraindre ou inciter les entreprises de médias sociaux à supprimer, supprimer ou supprimer le contenu qui viole la liberté d'expression protégée sur les réseaux sociaux", y compris les plateformes de médias.
Dans un long fil Twitter, Baily met en évidence les points clés de l'ordonnance d'interdiction. L'injonction interdit également à ces agents de :
pour signaler ce contenu sur les plateformes de médias sociaux
Exiger, encourager, faire pression ou amener les entreprises de médias sociaux à modifier leurs politiques de modération de contenu
avec le Virality Project (une coalition d'organismes de recherche faisant pression pour la censure), le Election Integrity Partnership (l'ancien nom du Virality Project), le Stanford Internet Observatory (un centre qui dit étudier les "abus" d'Internet, financés et impliqués par le gouvernement dans les pressions de censure sur les plateformes de médias sociaux) ou des groupes similaires à travailler ensemble pour pousser, encourager, faire pression ou inciter les entreprises de médias sociaux à censurer le contenu qui protège la libre expression d'opinion
Le procès aurait montré que les responsables gouvernementaux ont repoussé les limites en exhortant les plateformes de médias sociaux à prendre des mesures contre les messages qui appellent à la suspension des vaccins ou pourraient influencer les élections pendant la pandémie de COVID-19.
L'injonction pourrait avoir des implications considérables pour le premier amendement américain , car elle menace la manière dont les gouvernements travaillent avec les entreprises de médias sociaux pour censurer ce que disent les Américains.
L'ordonnance du juge Doughty impose des restrictions à plusieurs organismes d'application de la loi, notamment le ministère de la Justice, le département d'État, le ministère de la Santé et des Services sociaux et les Centers for Disease Control and Prevention.
En outre, plus d'une douzaine de responsables individuels sont nommés dans l'ordonnance, dont Alejandro Mayorkas, secrétaire du Département de la sécurité intérieure, et Jen Easterly, chef de la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency.
Bien que la décision finale soit toujours en suspens, l'injonction du juge Doughty indique qu'il croit que les arguments des plaignants sont fondés . Il a fait remarquer que les éléments de preuve présentés montrent un effort considérable de la part des accusés pour réprimer les expressions d'opinion en raison de leur contenu.
" Pendant la pandémie de COVID-19, une période peut-être mieux caractérisée par un doute et une incertitude généralisés, le gouvernement des États-Unis semble avoir assumé un rôle semblable à un" ministère de la vérité "orwellien", a écrit Doughty dans sa déclaration, ajoutant qu'il était pas convaincu par les arguments des défendeurs.
« Si les allégations des plaignants sont vraies, cette affaire représente sans doute l'attaque la plus massive contre la liberté d'expression de l'histoire des États-Unis », indique le communiqué. « Dans leurs tentatives de réprimer les allégations de désinformation, le gouvernement fédéral, et en particulier les accusés nommés ici, auraient de manière flagrante ignoré le droit à la liberté d'expression inscrit dans le premier amendement.
Si Doughty savait ce que l'UE mijote ou si le chef de la direction autrichienne de la sécurité de l'État et du renseignement voulait criminaliser la liberté d'expression si le contenu ne convenait pas à l'État, il mettrait probablement cette déclaration en perspective.
L'administration Biden, bien sûr, avait nié les allégations selon lesquelles elle aurait aidé à censurer les Américains.
Le procès vise spécifiquement le rôle du gouvernement fédéral dans la censure du contenu sur les médias sociaux, contrairement aux procès précédents qui se concentraient sur les entreprises technologiques elles-mêmes.
En plus de restreindre les communications entre le gouvernement et les entreprises technologiques, l'injonction du juge Doughty empêche également la collaboration entre les agences gouvernementales et les groupes universitaires qui étudient les médias sociaux, y compris le Election Integrity Partnership
2023 sera une année importante pour la liberté d'expression dans le monde . Aux États-Unis, d Cour suprême a rendu plusieurs décisions affectant la liberté d'expression, telles que Par exemple, la décision de la semaine dernière fixant une barre plus élevée pour les sanctions pour les discours de "menace réelle". Il faut espérer qu'il y aura également des tribunaux dans l'UE qui protégeront et défendront les droits fondamentaux et humains convenus dans diverses chartes.
https://tkp.at/2023/07/06/us-gericht-verbietet-staatlichen-behoerden-internet-zensur/
Des vaccinés produisent encore de la protéine spike après 2 ans
RépondreSupprimerContrairement à ce qu’avaient affirmé les autorités, les vaccins Covid peuvent modifier l’ADN. Des effets graves et à long terme ont été mis au jour.
Par Covid Hub
Mondialisation.ca,
05 juillet 2023
De nouvelles recherches montrent que les vaccins Covid contiennent des proportions considérables de résidus d’ADN capables de s’intégrer en permanence dans le génome humain, causant maladies chroniques et cancers. Ceci pourrait aussi expliquer les excès de mortalité observés depuis le début des campagnes de vaccination.
Acte 1 : des analyses sanguines troublantes
L’enquête que nous vous présentons a débuté par une intrigante publication de l’ancien banquier suisse Pascal Najadi. L’auteur d’une plainte pénale pour abus de pouvoir contre le président de la Confédération Alain Berset est triplement vacciné et autant de fois remonté contre les autorités sanitaires depuis qu’une analyse de son sang lui a révélé que son corps continue de produire de la protéine spike vaccinale plus de 18 mois après sa dernière injection Pfizer/BioNTech.
Contacté, l’intéressé nous a fourni les résultats du laboratoire ainsi qu’une lettre du Prof. Sucharid Bhakdi confirmant que « les résultats des tests indiquent clairement que M. Najadi souffre d’effets irréparables à long terme provoqués par le produit ARNm injecté fabriqué par PfizerBiontech » (voir les ressources en fin d’article).
Une protéine toxique
Les analyses sanguines du banquier révèlent la présence de protéine de pointe mais pas de capsules nanolipidiques que l’on trouve dans les injections. Pour le scientifique, ceci indique qu’il ne s’agit pas de protéine de pointe résultant de l’administration d’un « vaccin » mais qu’elle a été produite récemment par le corps du vacciné.
Quelques recherches plus tard, nous trouvons un avocat allemand, Me Tobias Ulbrich, représentant plusieurs clients qui ont également fait analyser leur sang pour arriver aux mêmes conclusions que Pascal Najadi : leur corps produit en permanence de la protéine de pointe, une substance toxique, et personne ne peut leur dire si et quand ça s’arrêtera.
RépondreSupprimerAutorités sanitaires incapables d’expliquer
L’ex-banquier avait sollicité l’Office fédéral de la santé publique en Suisse à ce sujet. Ce dernier a été incapable de lui donner des réponses, arguant qu’il ne pouvait pas se prononcer sur un cas individuel. Pascal Najadi en avait déduit que l’office ne maîtrisait en fait rien concernant ces nouvelles technologies vaccinales.
La persistance de la présence de protéine de pointe détectée chez Najadi et d’autres injectés reste officiellement inexpliquée et se situe bien au-delà des 14 jours communiqués lors du lancement des campagnes de vaccination Covid.
Acte 2 : le rôle de l’ARN
Tout le monde connaît l’ADN, représenté par une double hélice et contenant notre code génétique. L’ARN lui n’est constitué que d’un seul brin. La cellule en fabrique au besoin en lisant une partie de l’ADN qui lui servira ensuite de cahier des charges pour produire une protéine.
Une dose de « vaccin » Covid à ARN messager contient des milliards de brins d’ARN messager, qui vont déclencher la production d’autant de protéines de pointe du virus SARS-CoV-2 dans les cellules où ils parviennent. Ces protéines de pointe vont activer une réponse du système immunitaire.
En théorie et officiellement – toutes les autorités sanitaires ont bien insisté là-dessus pour rassurer les futurs vaccinés – les « vaccins » Covid ne contiennent pas d’ADN et il n’y a pas d’altération permanente de nos cellules.
Comme on va le voir, de sérieux doutes écornent malheureusement les affirmations officielles.
La protéine de pointe a de plus été présentée comme une substance inoffensive lors des campagnes de vaccination alors que l’on sait qu’elle est toxique pour le corps humain et cause la plupart des complications du Covid, dont les réactions inflammatoires et allergiques.
Acte 3 : comment sont fabriqués les brins d’ARN messager que l’on retrouve dans les « vaccins » Covid ?
RépondreSupprimerPour communiquer, les bactéries s’échangent des ‘messages’ génétiques importants à l’aide de ce qu’on appelle des plasmides. Par exemple si une bactérie trouve un nouveau mécanisme qui augmente sa résistance face à des antibiotiques, elle va encapsuler cette information dans des plasmides, qui vont être produits et ‘diffusés’ aux autres bactéries.
Le processus de fabrication des brins d’ARN des vaccins Covid requiert justement de passer par la manipulation génétique de bactéries en utilisant des plasmides, dans lesquels on aura préalablement introduit la séquence d’ADN correspondant à la protéine de pointe du SARS-CoV-2.
Le plasmide est multiplié dans des bactéries et utilisé comme modèle pour produire en masse de l’ARN messager qui sera capable de déclencher la production de protéine de pointe dans les cellules des vaccinés. L’ADN doit ensuite être éliminé et l’ARN messager est alors mélangé à des lipides pour produire des nanoparticules capables de faire entrer l’ARNm dans nos cellules. Nous allons voir que ce n’est pas le cas.
Acte 4 : le bug dans la matrice
Il faut savoir que les autorités sanitaires ne contrôlent pas elles-mêmes les différents lots pour s’assurer de la qualité des vaccins. Seuls les fabricants sont responsables de l’assurance qualité des produits qu’ils commercialisent.
Dans le cadre de l’autorisation de mise sur le marché du vaccin de Pfizer, l’Agence européenne des médicaments (AEM) a ainsi dû se contenter de consulter les données fournies par le fabricant. L’AEM s’est étonnée auprès du fabricant que le produit final n’avait pas été séquencé génétiquement pour s’assurer que l’on y retrouvait bien que de l’ARN messager et pas d’ADN ou d’autres résidus, nous apprend le scientifique allemand Florian Schilling dans une présentation (voir les ressources).
Pfizer a répondu qu’il avait volontairement renoncé au séquençage en avouant que ce n’était certes pas optimal, mais que cela se justifiait pour réduire les coûts. Les autres fabricants ont également renoncé à ce séquençage génétique dans le cadre de leur assurance-qualité.
Parmi les techniques alternatives d’évaluation du produit utilisées par Pfizer figure l’électrophorèse, qui permet de décompter les éléments présents dans une solution en fonction de leur taille.
Dans les documents fournis par Pfizer à l’AEM, dont nous reproduisons un schéma ci-dessous, l’ARN messager de la protéine de pointe vaccinale est représenté par un pic central élevé. L’anomalie, ce sont les « pentes » des deux côtés du pic, qui représentent de mystérieux ‘objets’ génétiques dont la taille ne correspond pas à celle de l’ARN messager et qui ne devraient pas être présents dans une solution purifiée.
RépondreSupprimerL’AEM avait d’ailleurs voulu en savoir plus et avait demandé les données brutes à Pfizer. Le fabricant s’était engagé à les fournir mais jusqu’à ce jour, elles n’ont toujours pas été livrées.
Acte 5 : des chercheurs indépendants entrent en jeu
Un groupe de chercheurs, inquiets notamment des conséquences des injections Covid chez les jeunes, a décidé début 2023 de prendre les choses en main et de séquencer des lots de « vaccins » de Pfizer et de Moderna. Toute leur démarche est expliquée en détails dans un premier article et son complément rédigés par Kevin McKernan, biologiste moléculaire, spécialiste des manipulations génétiques et du séquençage, qui a participé à l’analyse.
Leurs découvertes sont de nature inquiétante:
Quantité d’ADN anormalement élevée – La présence de plasmides contenant de l’ADN de protéine de pointe a été confirmée dans des proportions considérables pour les « vaccins » de Pfizer et Moderna : entre 20 et 35%, soit bien au-delà des limites de contamination fixées par l’AEM (0.033%). Une seule dose contient donc plusieurs milliards de ces plasmides qui ont servi à produire l’ARN messager et auraient dû ensuite être éliminés. Cette information est déjà une preuve de la non-conformité de ces produits par rapport à la réglementation en vigueur.
Accélération de l’antiobiorésistance – Fait inquiétant, l’ADN de ces plasmides contient des gènes qui les rendent résistants à deux antibiotiques : le néomycine et le kanamycine. L’introduction de milliards de gènes de résistance aux antibiotiques dans des plasmides à forte capacité de réplication, en permettant une sélection de bactéries résistantes à ces traitements dans le microbiome, devrait susciter des inquiétudes quant à l’accélération de la résistance aux antibiotiques à l’échelle mondiale. Certains experts estimaient déjà avant la crise du Covid qu’à l’horizon 2050 nous n’aurions plus d’antibiotiques efficaces.
Haut facteur d’erreur de copie – Les scientifiques affirment que la présence d’un nucléotide appelé pseudouridine est très inquiétante car il est réputé pour avoir un taux d’erreur de copie d’un nucléotide sur 4000. Ce qui représente entre 5 et 8.5 millions d’erreurs de copie possibles par dose de vaccin. Et personne ne peut dire à quoi ces erreurs correspondent vu qu’elles sont imprévisibles.
Intégration permanente et transgénérationnelle – Les plasmides vaccinaux peuvent atteindre une bactérie ou une cellule humaine. Ce dernier cas est considéré comme problématique car il est possible que le brin d’ADN contenu dans le plasmide soit intégré au code génétique de la cellule humaine de manière permanente, lui permettant à tout moment de produire de la protéine de pointe vaccinale de manière autonome, toute sa vie. Selon toute vraisemblance, c’est ce qui arrive à Pascal Najadi et aux clients de Me Ulbrich en Allemagne. Le Prof. Bhakdi a rappelé à ce propos que chaque division de cellule est l’occasion pour cet ADN importé de modifier le génome de l’hôte. Si cette intégration se passe dans une cellule souche, un ovule ou un spermatozoïde, la modification génétique sera transmise aux générations suivantes. C’est grave car aujourd’hui la science ne propose pas d’outil pour enlever un gène.
Plus incompréhensible, l’ADN du plasmide utilisé par Pfizer contient une séquence (SV 40) qui lui permet d’être transféré dans le noyau même lorsque la cellule ne se divise pas et affecter ainsi des cellules. Sa présence est pourtant inutile pour la production d’ARN messager dans les bactéries. Cette séquence est absente des plasmides utilisés par Moderna.
Le vaccin Covid de Johnson&Johnson pose lui un risque d’intégration encore plus grand car il base sur un virus à ADN et utilise un promoteur beaucoup plus puissant que SV 40, appelé CMV. Ceci débouche sur un risque d’oncogénèse et de production continue de protéine de pointe bien plus élevés qu’avec les ARN messagers, affirme Marc Wathelet, un biologiste moléculaire et spécialiste des coronavirus que nous avons consulté (voir entretien en fin d’article).
RépondreSupprimerComme l’ADN de la protéine de pointe du plasmide vise les cellules de mammifères, il y a très peu de chance que l’intégration se fasse de manière permanente dans le génome d’une bactérie intestinale. À défaut de devenir des usines à protéine de pointe, ces bactéries – qui ne sont pas des cellules humaines – pourraient par contre multiplier les plasmides vaccinaux et ainsi contribuer à augmenter le risque de contamination à des cellules humaines, appelée « bactofection » ou « transfection ».
Acte 6 : les conséquences – risques de cancers
Marc Wathelet confirme que si « le risque de contamination des bactéries du microbiome reste faible, ce sont les risques d’inflammation et surtout de cancers liés à la contamination des cellules du corps des vaccinés par de l’ADN qui sont plus inquiétants ». L’expert souligne qu’il est « impossible de quantifier ce risque ». Il constate « une augmentation de certains cancers, mais on ne sait pas si c’est dû à l’ADN, à l’ARNm, au système immunitaire qui s’affaiblit, aux lipides présents dans les nanoparticules, ou à une combinaison de ces facteurs ».
L’intégration d’ADN de protéine de pointe peut expliquer que les effets ne soient pas immédiats après la vaccination mais se développent au fil du temps. Certains scientifiques lient ainsi l’excès de mortalité observé en 2022 dans tous les pays vaccinés avec une production permanente de protéine de pointe. Une analyse de Jarle Aarstad va dans ce sens et démontre une corrélation inquiétante : pour chaque pourcent de taux de vaccination, on observe +0.1% de mortalité en excès l’année suivante.
Acte 7 : et que faire maintenant ?
Si on avait avertit les futurs vaccinés qu’on allait leur injecter du matériel génétique qui allait probablement s’intégrer à leur propre génome, combien auraient encore accepté la piqûre ?
Il faudrait que les autorités sanitaires prennent conscience du problème et qu’elles fassent des analyses génétiques chez des vaccinés pour voir dans quelle mesure cet ADN vaccinal est intégré dans les cellules humaines et dans quels types de cellules.
Le Prof. Sucharit Bhakdi a récemment affirmé que les vaccins à ARN messager sont en fait des thérapies géniques qui devraient être retirées du marché. Ceci est d’autant plus important que, boostée par des bénéfices énormes, l’industrie vaccinale investit actuellement dans le développement de centaines de nouveaux vaccins à ARN messager.
On est toujours au stade expérimental
RépondreSupprimerQuoi qu’en disent les médias grand public et les autorités, la science continue d’affirmer que ces thérapies géniques n’en sont toujours qu’au stade expérimental, comme en atteste cet extrait paru dans Nature en juillet 2022 :
« Bien qu’elles présentent plusieurs avantages par rapport aux approches conventionnelles basées sur les protéines, les thérapies basées sur l’ARNm en sont encore aux premiers stades de développement. L’instabilité des ARNm synthétiques et les réponses immunitaires générées contre ces molécules synthétiques ont été les principaux obstacles à l’adaptation de cette technologie. » Nature, Scientific Reports, juillet 2022
Pour les personnes concernées par cette production permanente de protéine de pointe, comme Pascal Najadi, elles sont contraintes pour l’instant à prendre à vie des traitements pour diminuer sa concentration. Leur système immunitaire est constamment occupé à éliminer leurs propres cellules qui produisent de la protéine de pointe, mais celles-ci continuent de se multiplier avec la modification génétique, rendant ce combat permanent et épuisant pour le corps.
Prouvé pour les cellules cancéreuses de foie humain
Une étude, Alden et al., a démontré que des cellules cancéreuses de foie humain pouvaient intégrer de manière permanente le matériel génétique des vaccins de Pfizer. Les critiques ont affirmé qu’on ne pouvait pas tirer de conclusions pour les cellules saines. Ces résultats auraient par contre dû remettre en question le fait d’injecter ces produits à des patients atteints de cancer.
Comparaison avec les tests PCR
Le silence sur la contamination des injections Covid par de l’ADN est d’autant plus frappant lorsque l’on se rappelle qu’à l’époque des tests PCR, il suffisait de détecter dans notre nez quelques débris viraux incapables de se reproduire, avec un nombre de cycles de travail (CT, amplification) proche de 40, pour être déclaré positif et mis en quarantaine.
La contamination par l’ADN dont nous parlons ici dans les vaccins se détecte déjà à un CT de 20. Il s’agit d’une concentration un million de fois plus élevée que ce qui était considéré comme critique pour le SARS-CoV-2 et cet ADN capable d’intégration est injecté au-delà des défenses de nos muqueuses.
Si les tests PCR avaient aussi été réalisés avec un CT de 20, le nombre de cas Covid positifs aurait été quasi nul et il n’y aurait pas eu autant de panique autour de cette pandémie.
RépondreSupprimerRessources
Résultats sanguins de Pascal Najadi
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Via le site : https://www.kairospresse.be/des-vaccines-produisent-encore-de-la-proteine-spike-apres-deux-ans/
https://www.mondialisation.ca/des-vaccines-produisent-encore-de-la-proteine-spike-apres-2-ans/5679187?doing_wp_cron=1688620569.4461979866027832031250
Dès lors que le poison injecté est dans le sang il y reste. Il y a 3 ans (3 ANS !) les scientifiques Carrie Madej et Astrid Stuckelberger ont analysé le contenu des flacons injectables et, ces docteures y ont trouvé... entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !! + des spikes !! + des hydres !! + diverses maladies animales et une quarantaine de venons de serpents différents !!
SupprimerTout çà dans une seringue !!
L'UE et l'ONU coordonnent la censure sur les plateformes numériques
RépondreSupprimer4 juillet 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Depuis un certain temps déjà, l'UE poursuit l'objectif de pouvoir exclure les contenus indésirables des médias sociaux sous divers prétextes. Des États belligérants et/ou autoritaires ou fascistes l'ont fait par le passé. Si vous travaillez contre les intérêts de votre propre population, vous ne pouvez pas utiliser la critique. La Commission européenne est désormais entièrement contrôlée de l'extérieur et entre les mains des groupes de pression à Bruxelles.
L'UE a déjà réussi à transmettre son certificat Covid à plus de 80 pays, et maintenant aussi à l'OMS pour une utilisation mondiale. Apparemment, l'ONU trouve maintenant la machinerie de censure de l'UE si sophistiquée qu'elle est en train d'en faire la norme. La sous-secrétaire générale des Nations unies aux communications mondiales, Melissa Fleming, s'attend à ce que la loi sur les services numériques de l'UE crée "de facto une nouvelle référence réglementaire mondiale".
Les plateformes numériques sont accusées à plusieurs reprises de diffuser de la "désinformation" et des "discours de haine" et présentées comme des opposants à la science, à la démocratie et aux droits de l'homme. Le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, a récemment appelé à plus de censure , comme indiqué , car la désinformation est « un grave danger pour l'humanité ».
Les Nations Unies travaillent activement sur un code de conduite, basé sur un document d'orientation soulignant la nécessité d'une action internationale contre la désinformation. Il définit un cadre ambitieux et complet impliquant les gouvernements, les entreprises technologiques, les annonceurs et d'autres parties prenantes. Si vous suivez la pratique précédente, alors les entreprises numériques établissent les règles, ou la Commission européenne le fait au nom du complexe numérique-financier, dans lequel le contrôle des données est combiné avec le contrôle de l'argent.
Alors que les mots de Melissa Fleming donnent l'impression qu'elle s'est engagée à protéger les droits de l'homme et l'accès à l'information, les expressions qu'elle utilise - « basées sur les droits de l'homme », « multipartites » et « multidimensionnelles » - soulignent l'impact de cette crise numérique . -le complexe financier, c'est-à-dire l'industrie numérique avec les grands gestionnaires d'actifs qui détiennent les actions de la plupart des grandes entreprises, y compris les grandes banques, dans une mesure décisive.
Des organisations mondiales telles que l'UE et l'ONU travaillent sous couvert d' empêcher la « désinformation » et le « discours de haine » pour porter atteinte aux droits fondamentaux de la liberté d'expression et de la liberté de la presse
https://tkp.at/2023/07/04/eu-und-uno-koordinieren-zensur-auf-digitalen-plattformen/
Lorsque je publie qu'un virus est une poussière (et en apporte les preuves scientifiques comme quoi une poussière n'a JAMAIS été reconnue comme étant vivante), là, je suis censuré ! L'article retiré !
SupprimerPourquoi ?
Parce que je dis LA vérité (il n'y a pas de mal à çà).
Une poussière n'est pas un microbe ! Un microbe - lui, il est VIVANT ! - il apporte des maladies (lorsqu'il n'en apporte pas il est appelé bactérie).
Toutes les poussières sont inoffensives sauf: les poussières radioactives. Ce qui n'est ici pas le cas.
De plus, malgré des milliers de laboratoires dans le monde qui chaque jour analysent la qualité de l'air, ils n'ont JAMAIS découvert de 'Cocovide19' ou de 'Delta-Omicron' etc !!
Çà alors !!!
Mais alors... si la poussière (appelée virus) n'est pas dans l'air... où est-elle ? Devinez !
Le livre le plus dangereux du monde
RépondreSupprimer5 juillet 2023
du Dr. médical Gérard Reuther
Que se passerait-il si le pétrole brut et le gaz naturel n'étaient pas du tout d'origine fossile et étaient donc aussi des réserves énergétiques inépuisables ? La bulle de « l'énergie verte » et du « green deal » éclaterait à vue d'œil pour le dernier universitaire. Il y a plus d'un quart de siècle, l'astrophysicien austro-américain Thomas Gold a présenté des preuves plausibles qui font de la classification en vecteurs d'énergie « renouvelables » et « fossiles » une perception erronée. i En réalité, le pétrole, le gaz naturel et le charbon sont des substances auto-renouvelables provenant d'une biosphère chaude à l'intérieur de notre planète. Le seul résidu fossile est l'oxygène.
Thomas Gold (1920-2004) n'a pas toujours eu raison. Mais la plupart de ses théories non conformistes, qu'il a développées à partir d'expériences sophistiquées, étaient correctes. Des décennies plus tard, le monde scientifique s'est tourné vers. En 1946, il découvre que l'analyse fréquentielle de notre audition n'a pas lieu dans le cerveau mais dans l'oreille interne. La mesure des émissions otoacoustiques a confirmé son analyse à la fin des années 1970. En 1955, il a reconnu l'instabilité de l'axe de rotation de notre terre, qui a probablement rendu possible l'émergence de tous les êtres vivants supérieurs au Cambrien (période géologique il y a environ 500 millions d'années). La même année, il a également correctement prédit la consistance de la surface lunaire. En 1968, il fut le premier physicien à soupçonner des étoiles à neutrons en rotation derrière des pulsars. Il a pris calmement le rejet d'abord outragé de ses thèses. Gold n'avait pas peur de se tromper.
Cinq ans avant sa mort, Thomas Gold a de nouveau choqué le monde professionnel. Le pétrole et le gaz naturel seraient produits en continu comme une sorte de sirop primitif à partir des hydrocarbures présents à l'intérieur de la terre à l'aide de microbes résistants à la chaleur et seraient donc quasiment inépuisables. Le fait que de nouveaux gisements aient été constamment développés dans le monde au cours des dernières décennies est une autre indication que l'explication de sa formation par l'or est probablement correcte. La sagesse conventionnelle selon laquelle ces vecteurs énergétiques ont émergé de la décomposition de substances organiques sous haute pression dans les premiers jours de la terre ("fossile") est hautement spéculative et pleine de contradictions. La taille et la localisation des dépôts ne pourraient pas avoir été formées par des plantes et des animaux morts.
Si l'on applique désormais la loi de la conservation de l'énergie qui est toujours valable aujourd'hui, alors le calcul laitier des énergies « renouvelables » s'effondre également. Dans les systèmes fermés, l'énergie peut être convertie en d'autres formes, mais la quantité d'énergie reste la même. L'énergie éolienne qui entraîne une éolienne manque ailleurs; le rayonnement solaire qui frappe un panneau solaire et est converti en énergie électrique ne chauffe plus la surface sous-jacente de la terre ou d'un bâtiment. La nature n'envoie pas de facture, mais nous payons quand même notre prix. Et comment un vecteur énergétique comme l'hydrogène peut-il avoir un bilan écologique plus favorable que le pétrole ou le gaz s'il doit non seulement être transporté de la même manière, mais doit également être produit avec beaucoup d'énergie ?
Thomas Gold a reconnu plus tôt que d'autres que la science experte d'aujourd'hui, avec des niches de connaissances toujours plus étroites, est une erreur. En raison du champ de vision très restreint et du parti pris des experts, il s'est opposé au système d'évaluation par les pairs dans lequel les nouveautés sont évaluées par des collègues spécialistes. Au lieu de cela, il a proposé un "tribunal des sciences" composé de scientifiques de différentes disciplines comme autorité décisionnelle. Un demi-siècle plus tôt, après sa nomination en tant que professeur, qui avait été retardée pendant des années, Albert Einstein avait déclaré qu'il était maintenant arrivé parmi les "putes".
RépondreSupprimerLes découvertes de Thomas Gold, qui ont déjà provoqué l'effondrement de nombreux moulins à vent de la science contrôlée, conviennent également pour mettre fin au mauvais chemin des moulins à vent. La seule question est de savoir si cela arrivera à temps.
i Gold T : La biosphère brûlante : Le mythe des huiles fossiles. sauteur; NYC 1999
https://tkp.at/2023/07/05/das-gefaehrlichste-buch-der-welt/
Le pétrole est abiotique. TOUS les scientifiques le savent, pas lui ! Il ne sait l'expliquer !
SupprimerIl ne sait pas que TOUT se recycle comme le font TOUS les gaz de notre atmosphère (sans quoi la vie sur Terre ne serait même pas apparue !).
Des millions d'enfants sont enlevés et victimes de la traite chaque année. Film "Le son de la liberté"
RépondreSupprimerPar Dan Fournier
Recherche mondiale,
04 juillet 2023
Introduction
Récemment, beaucoup de choses ont été écrites et dites sur le sujet de la traite des êtres humains et de l'esclavage moderne , notamment en raison de la sortie prochaine du film très attendu The Sound of Freedom qui devrait sortir officiellement le 4 juillet, Jour de l'Indépendance.
Cet article examine le sujet, le film et tous les détails sombres qui entourent ses fondements, ses revendications et ses inquiétudes.
C'est sans doute le sujet le plus important qui nous concerne, les humains, car il a à voir avec ce que nous avons de plus précieux, nos enfants .
Cet article est structuré comme suit:
Qu'est-ce que la traite des êtres humains et des enfants ?
La traite des êtres humains et le travail forcé est une entreprise de plusieurs milliards de dollars
Trafic sexuel d'enfants
Des enfants victimes de la traite en masse à la frontière américaine ; 85 000 enfants disparaissent
Le film The Sound of Freedom, officiellement sorti le 4 juillet 2023, Jour de l'Indépendance
Les coins les plus sombres d'Hollywood
L'attaque des grands médias contre les allégations portées contre Hollywood, les pédophiles et l'adrénochrome
Les fuites de CYM Corporation
L'opération Underground Railroad de Tim Ballard
Ne faites pas partie du problème, mais plutôt de la solution
1. Qu'est-ce que la traite des êtres humains et des enfants ?
À une échelle mondiale plus large, Human Trafficking Search (HTS) note :
"La traite des êtres humains, la traite des personnes et l'esclavage moderne sont des termes génériques - souvent utilisés de manière interchangeable - qui font référence à l'exploitation d'individus par la menace ou l'usage de la force, la coercition, l'enlèvement, la fraude et/ou la tromperie".
HTS répertorie 6 principaux types de traite des êtres humains :
TRAFIC SEXUEL ET TRAFIC SEXUEL D'ENFANTS
TRAVAIL FORCÉ
SERVITUDE POUR DETTES
TRAVAIL FORCÉ DES ENFANTS
SERVITUDE DOMESTIQUE INVOLONTAIRE
RECRUTEMENT ET UTILISATION ILLÉGAUX D'ENFANTS SOLDATS
L' Organisation internationale du travail estime qu'il y a 40,3 millions de victimes de la traite des êtres humains dans le monde (49,6 millions de personnes vivaient dans l'esclavage moderne en 2021, dont 27,6 millions dans le travail forcé et 22 millions dans le mariage forcé).
RépondreSupprimerSelon le Rapport mondial 2020 de l'ONUDC sur la traite des personnes , qui est compilé à partir des chiffres officiels de plus de 148 pays , une victime sur trois détectée est un enfant . Les filles sont principalement victimes de la traite à des fins d'exploitation sexuelle, tandis que les garçons sont utilisés pour le travail forcé [ source ].
Selon la National Human Trafficking Hotline basée aux États-Unis,
La traite des êtres humains se produit lorsqu'un trafiquant utilise la force, la fraude ou la coercition pour contrôler une autre personne dans le but de se livrer à des actes sexuels commerciaux ou de solliciter du travail ou des services contre sa volonté .
Il existe de nombreux mythes sur la traite des êtres humains, qui impliquent exclusivement le transport des victimes à travers les frontières étatiques / provinciales ou nationales - ce qui est en réalité du trafic d'êtres humains .
En réalité, le crime de traite des êtres humains ne nécessite pas nécessairement de déplacement. Les victimes peuvent être recrutées et trafiquées dans leur propre ville natale, voire chez elles.
Les enfants sont victimes de la traite pour diverses raisons.
Selon Save the Children basée dans le Connecticut, la traite des enfants fait référence à l'exploitation des filles et des garçons, principalement à des fins de travail forcé et d'exploitation sexuelle.
Les enfants représentent 27 % de toutes les victimes de la traite des êtres humains dans le monde et deux enfants victimes sur trois sont des filles.
Les enfants sont souvent victimes de la traite à des fins d'exploitation sexuelle commerciale ou de travail, comme la servitude domestique, le travail agricole, le travail en usine et dans les mines, ou ils sont forcés de se battre dans des conflits .
Les enfants les plus vulnérables, en particulier les réfugiés et les migrants, sont souvent la proie de leurs espoirs d'éducation, d'un meilleur emploi ou d'une vie meilleure dans un nouveau pays. [ source ]
Save the Children fournit de nombreuses informations précieuses sur la traite des enfants , y compris Mythes vs Réalités .
Outre l'exploitation sexuelle, les enfants victimes de la traite sont souvent utilisés pour des mariages forcés et pour le travail forcé (esclavage moderne), l' Inde et la région Asie-Pacifique dans son ensemble étant des lieux privilégiés.
RépondreSupprimerLes zones de guerre telles que l' Ukraine , les zones de conflit et les zones de catastrophes naturelles représentent également des endroits où les enfants sont particulièrement vulnérables aux enlèvements, aux abus sexuels et à la traite.
Les enfants sont également souvent attirés et trompés en ligne via les principales plateformes de réseaux sociaux telles que Facebook ou TikTok, ou via des applications de jeu qui contiennent des plateformes de chat [ source ].
2. La traite des êtres humains et le travail forcé sont des affaires de plusieurs milliards de dollars
D'après des recherches du Département américain de la santé et des services sociaux (HHS), la traite des êtres humains est répertoriée comme l' industrie criminelle à la croissance la plus rapide dans le monde aujourd'hui , dépassant en valeur l'industrie illégale des armes et juste derrière le trafic de drogue [ source ].
L'Organisation internationale du travail (OIT) estime les bénéfices du travail forcé à 150 milliards de dollars américains (par an) selon les derniers chiffres de 2021 .
- voir graph sur site -
Le tourisme sexuel , une activité illicite mondiale qui prévaut en Asie du Sud-Est, représente environ 35 milliards de dollars par an.
Et comme l' a récemment noté le journaliste Clayton Morris de Redacted , le trafic sexuel d'enfants rapporte 34 milliards de dollars par an en revenus . Morris a souligné que comme cadre de référence, pour 2023, l'ensemble de l'industrie du transport aérien est sur le point de générer 22 milliards de dollars de revenus mondiaux.
3. Trafic sexuel d'enfants
RépondreSupprimer« Le trafic sexuel, c'est lorsqu'un individu se livre à un acte sexuel commercial en raison de la force, de la fraude ou de la coercition. Si l'individu a moins de dix-huit ans, tout acte sexuel à des fins commerciales est considéré comme de la traite, même s'il n'y a pas de force, de fraude ou de coercition. L'exploitation sexuelle se produit dans divers contextes, y compris (mais sans s'y limiter) les bordels, les clubs de strip-tease, les salons de massage, dans la rue (parfois appelé «piste») ou dans des maisons privées. Les individus peuvent être victimes de la traite à l'intérieur du pays et au-delà des frontières internationales. ” – Recherche de traite des êtres humains (HTS)
Selon l' OIT , 6,3 millions d'individus sont exploités à des fins sexuelles .
HTS note également que plus de la moitié de tous les enfants soumis au travail forcé sont victimes d'exploitation sexuelle à des fins commerciales .
Les femmes et les enfants sont les victimes les plus courantes de la traite à des fins sexuelles, mais les hommes et les garçons sont également victimes de la traite à des fins sexuelles. Les personnes s'identifiant aux LGBT, en particulier les personnes transgenres, se sont révélées de plus en plus souvent victimes d'exploitation sexuelle .
4. Des enfants victimes de la traite en masse à la frontière américaine ; 85 000 enfants disparaissent
Le 26 avril 2023, Tara Lee Rodas , lanceuse d'alerte du Département américain de la santé et des services sociaux ( HHS ), a déclaré au Comité judiciaire du Congrès (regarder de 01:26:13 environ à 01:32:00) que le gouvernement fédéral des États-Unis était devenu l'"intermédiaire" dans une opération de traite des êtres humains de plusieurs milliards de dollars ciblant les mineurs non accompagnés à la frontière sud.
- voir photo sur site -
Tara Lee Rodas témoignant devant le Comité judiciaire de la Chambre du Congrès le 26 avril 2023. Source photo : The Main Wire .
Le témoignage accablant de Rodas qui s'était porté volontaire pour aider à l'opération Artemis , un plan de l'administration Biden pour contrôler la catastrophe humanitaire à la frontière américano-mexicaine en 2021, a fourni des déclarations préjudiciables sur les résultats pour les enfants dans le désordre de la crise frontalière. .
Regardez le clip de cinq minutes et 45 secondes de son témoignage ici (lien vidéo alternatif ici ).
- voir photo sur site -
Des enfants migrants d'Amérique centrale se réfugient de la pluie à l'arrière d'un véhicule de la US Border Patrol à Penitas, Texas, le 14 mars 2021, alors qu'ils attendent d'être transportés après avoir traversé le fleuve Rio Grande aux États-Unis. Source photo CNS photo/Adrees Latif, Reuters via CatholicPhilly.com .
Selon un article de ZeroHedge, « Modern-Day Slave Traders » : Hawley Demands Probe Into 85 000 « Lost » Migrant Children d'avril dernier, Mme Rodas a déclaré qu'elle avait été déployée pour aider le Bureau de réinstallation des réfugiés (ORR) du HHS à réunir les enfants non accompagnés . (UAC) avec des parrains adultes aux États-Unis, indiquant :
RépondreSupprimer« Je pensais que j'allais aider à placer les enfants dans des foyers aimants. Au lieu de cela, j'ai découvert que les enfants sont victimes de la traite via un réseau sophistiqué qui commence par le recrutement dans le pays d'origine, la contrebande jusqu'à la frontière américaine et se termine lorsque l'ORR livre un enfant à un parrain. Certains parrains sont des criminels, des trafiquants et des membres d'organisations criminelles transnationales. , certains parrains considèrent les enfants comme des marchandises et des actifs à utiliser pour gagner un revenu.
L'article note également que selon les données des douanes et de la protection des frontières américaines , environ 345 000 mineurs sont entrés aux États-Unis non accompagnés depuis l'entrée en fonction du président Joe Biden , tandis qu'un rapport du NY Times suggère que le ministère de la Santé et des Services sociaux a perdu contact avec 85 000 de ces mineurs . Hawley a exposé [ nous soulignons ] :
« L'administration Biden est moralement responsable de leur sort. Le président a levé les restrictions du titre 42 sur les enfants non accompagnés au début de 2021 », a écrit Hawley dans une lettre de vendredi au directeur du FBI, Christopher Wray. «Les rapports révèlent que le HHS a assoupli les processus de vérification des sponsors et a exercé des représailles contre les lanceurs d'alerte qui ont soulevé ces préoccupations. En conséquence, des milliers d'enfants ont été remis aux marchands d'esclaves des temps modernes.
L'article a en outre noté que dans certains cas, Rodas dit avoir vu des parrains adultes autorisés à accueillir "10, 20, 30 et 40 enfants" sans aucune inquiétude de la part du HHS.
5. Le film Sound of Freedom, officiellement sorti le 4 juillet 2023, Jour de l'Indépendance
The Sound of Freedom est un film basé sur l' incroyable histoire vraie d'un ancien agent du gouvernement, Tim Ballard , qui se lance dans une dangereuse mission pour sauver des centaines d'enfants des trafiquants sexuels.
Il met en vedette Jim Caviezel , célèbre pour son interprétation de Jésus-Christ dans le film de 2004 de Mel Gibson, La Passion du Christ . Le film a été réalisé par Alejandro Monteverde .
RépondreSupprimerThe Sound of Freedom est prévu pour sa sortie officielle le 4 juillet de cette année, le très approprié Jour de l'Indépendance .
La bande-annonce du film peut être visionnée ci-dessous :
- voir clip sur site -
"Pas assez de gens savent que ce problème existe." -Jim Caviezel
- voir photo sur site -
L'acteur Jim Caviezel (à gauche) qui incarne Tim Ballard (à droite) dans The Sound of Freedom s'exprimant lors d'une interview à Washington le 21 juin 2023. Source de l'image : Madalina Vasiliu/The Epoch Times via ZeroHedge .
Bien que le film The Sound of Freedom ait été achevé il y a près de quatre ans en 2019, il ne sort que maintenant, probablement en raison de la nature sombre et omniprésente de la maltraitance des enfants dans l'industrie cinématographique hollywoodienne.
Disney , qui a acheté et possède 20 th Century Fox, a mis le film de côté pendant deux ans, et Netflix et Amazon ont cessé de le distribuer. Le film est maintenant distribué par Angel Studios .
Depuis le tournage de Sound of Freedom, Jim Caviezel est devenu très franc et très impliqué dans la cause de faire la lumière sur les ténèbres du trafic sexuel d'enfants .
https://www.globalresearch.ca/millions-children-abducted-trafficked-each-year-sound-freedom-movie-exposes-epidemic/5824523
Shannon Seban : « Une partie de la classe politique incite au désordre »
RépondreSupprimerL’épisode de violence déclenché par la mort de Nahel semble toucher à sa fin. Conseillère municipale de Rosny-Sous-Bois et présidente Renaissance en Seine-Saint-Denis, Shannon Seban tire un premier bilan des émeutes qui ont affecté son département.
le 6 juillet 2023
Contrepoints : Bonjour Shannon Seban. Tout d’abord, quelle est la situation en Seine-Saint-Denis après ces quelques jours d’émeutes ?
Shannon Seban : En Seine-Saint-Denis, le bilan est très lourd. A Rosny-sous-Bois, ville dans laquelle je suis élue, le centre commercial Rosny 2 a été la cible de pillages et le commissariat de police a été dégradé. A Aubervilliers, 12 bus de la RATP ont été brûlés. A Saint-Denis, le centre administratif de la commune a été ravagé. A Clichy-sous-Bois, la mairie a été incendiée. Et la liste est longue… Nous sommes tous profondément affectés par le décès de Nahel et j’apporte tout mon soutien à sa famille. Mais je le dis et je le redis : rien, absolument rien, ne peut justifier de tels saccages. J’ai une pensée pour l’ensemble des élus locaux violentés, pour nos policiers, nos gendarmes, nos sapeurs-pompiers mobilisés jour et nuit, nos concitoyens, commerçants et entrepreneurs qui ont pour certains perdu le fruit de toute une vie.
Qu’ont réussi les professionnels du saccage ? A rendre justice à Nahel ? Sûrement pas. La Justice suit son cours. A détruire leur propre cadre de vie ? Assurément. Des bus permettant le transport en commun ont été détruits ; des commerces profitant à tous anéantis ; des lieux publics ravagés. C’est lamentable. Le dialogue, oui ; la sédition, non.
Les violences des derniers jours ont mis en lumière la sécession d’une partie de la population française, qui, en refusant de jouer le jeu des institutions démocratiques et en passant par la violence témoignent d’un profond mépris à l’égard de la République et de ses valeurs. Comment expliquez-vous que l’on en soit arrivé à ce niveau de fracture sociale et civique, et êtes-vous inquiète ?
Oui, je suis inquiète : comment pourrait-il en être autrement ? Nous avons vécu ces derniers jours des scènes d’une extrême violence partout en France : en ville comme à la campagne. Des élus locaux ont été lâchement attaqués : nous pensons tous à Vincent Jeanbrun, maire de L’Haÿ-les-Roses, dont le domicile a été lâchement attaqué dans le but d’attenter à sa vie et à la vie de sa famille. Ils sont en tout près de 300 à avoir été victimes de violences : c’est intolérable. En tant qu’élue locale et responsable politique, je suis évidemment confrontée, comme d’autres élus locaux, à des insultes qui sont devenus quasi-quotidiennes, voire banales. Je ne veux pas qu’on s’habitue à ce genre de violences, qu’elles soient physiques ou verbales. Nous ne devons rien céder à la bêtise, à la lâcheté et à la violence.
Si un cap a aujourd’hui été franchi dans la violence, c’est aussi parce qu’une partie de la classe politique comme La France Insoumise ou plutôt « La France Incendière » refuse de condamner les violences, affirme de façon systématique que « la police tue », et incite ainsi au désordre, au chaos, à l’anarchie. Je n’aurai de cesse de dénoncer ces propos de façon très claire, sans aucune ambiguïté.
Quand Jean-Luc Mélenchon dit qu’il ne faut pas s’attaquer aux écoles et aux bibliothèques, mais qu’il ne mentionne, à aucun moment, nos mairies ou encore nos services publics, lui et ses partisans ont un comportement profondément dangereux pour la République et ses valeurs. On le sait désormais de façon très claire : à l’Assemblée nationale comme dans la rue, ils ne manquent pas une occasion d’appeler au désordre. Leur marque de fabrique en somme… C’est irresponsable mais surtout très grave. Au sein de la NUPES, heureusement, tous n’ont pas ce comportement abject : Fabien Roussel est un des seuls à avoir tenu des propos dignes.
RépondreSupprimerEnsuite, il y a bien entendu des sujets de fond à adresser et qui expliquent les émeutes de ces derniers jours. Il ne faudrait pas les occulter. Nos quartiers se sentent encore trop discriminés, trop oubliés. A nous, en tant que responsables politiques, de redoubler d’efforts pour renouer la confiance et « refaire nation ». Et pour cela, il faut savoir dépasser les clivages politiques. J’ai d’ailleurs lancé, dans Le Figaro, avec un peu plus de 150 élus locaux de toute la France, un appel transpartisan à une désescalade de la violence pour rétablir les conditions d’un débat nous permettant de réfléchir aux problèmes de fond.
Concernant le sujet polémique de la cagnotte pour le policier mis en examen, dont le montant ce mardi 4 juillet était de plus de 1,3 million d’euros avec près de 70 000 dons : plus qu’une question de moralité, est-ce que l’intensité du soutien ne témoigne pas d’un consensus dans la population pour condamner les violences et d’une exaspération face aux émeutes ?
Il n’appartient pas au Gouvernement de décider si une cagnotte de soutien doit être fermée ou non. C’est à la Justice de notre pays d’arbitrer. Je considère en revanche que cette cagnotte de soutien au policier mis en examen ne contribue pas au retour de la quiétude dont notre pays a tant besoin. La Justice, elle, oui. L’enquête, en lien avec l’GIPN, est encore en cours : laissons la Justice faire son travail.
Si nous prenons un peu de recul, je suis convaincue que nous pouvons à la fois soutenir nos forces de l’ordre et condamner fermement les erreurs individuelles. Les comportements de ceux qui ne respectent pas les ordres et la déontologie sont intolérables et doivent être sanctionnés. Depuis sa prise de fonction en 2020, Gérald Darmanin a d’ailleurs sanctionné plusieurs dizaines de policiers et gendarmes. Mais tout cela ne doit pas jeter l’opprobre sur l’ensemble des 250 000 policiers qui risquent, au quotidien, leur vie pour protéger la nôtre. J’invite celles et ceux qui osent dire que « la police tue », qu’elle est raciste ou qu’elle fait mal son travail, à se déplacer dans des commissariats pour échanger avec des policiers. Nous devrions tous faire du maintien de l’ordre républicain une priorité.
Peut-on toutefois totalement évacuer la question de la doctrine française du maintien de l’ordre ?
RépondreSupprimer« Sans tabou ». Ce sont les mots utilisés par le président de la République Emmanuel Macron pour évoquer la possibilité d’adapter le dispositif de maintien de l’ordre dans notre pays.
Je ne suis ni policière ni spécialiste de la question du maintien de l’ordre. En revanche, quand j’échange avec des policiers du commissariat de Rosny-sous-Bois, certains me disent qu’il faudrait davantage de formation au tir par armes à feu pour renforcer, sur le terrain, la capacité à rester lucide dans l’utilisation de son arme. Cela pourrait être une piste parmi d’autres.
Je reste aussi persuadée que la question du maintien de l’ordre est bien plus large et que l’importance du dialogue ne doit pas être négligée. La médiation est une des solutions. Écouter, comprendre, expliquer : forces de l’ordre et jeunes, chacun doit faire un pas vers l’autre pour renouer la confiance. Les policiers doivent être familiers des territoires dans lesquels ils interviennent, et faire comprendre que ce ne sont pas les forces de l’ordre contre les jeunes de quartiers. Ce sont les forces de l’ordre avec et pour les jeunes de quartiers.
Et puis, nous en avons beaucoup parlé ces derniers jours et à juste titre : les parents ont eux aussi leur rôle à jouer pour éduquer leurs enfants et leur apprendre à respecter les règles de la République.
La jeunesse que l’on a vu dans les émeutes semble avoir perdu tout repères : il y a une quête nihiliste de la violence pour la violence. Dans certains quartiers, l’école et les institutions de la République ne jouent plus leur rôle, et ont été remplacées par une sorte de « culture du grand-frère ». Comment réintégrer les institutions dans ce que certains appellent les « territoires perdus de la République » ?
Je ne suis pas à l’aise avec cette idée fataliste de « territoires perdus de la République ». Cette expression stigmatise, enferme, condamne. Prenons l’exemple de la Seine-Saint-Denis, département dans lequel je suis élue et qui est souvent pointé du doigt pour ses problèmes d’insécurité, de précarité et de chômage. Aujourd’hui, on ne connaît ce département qu’à travers les pages des faits divers alors même qu’il regorge de jeunes talents, d’ambitions et d’espoirs.
Depuis fin 2019, grâce à l’action du président de la République, des services publics reviennent là où ils avaient disparu, des écoles sont rénovées, des transports sont développés, des commissariats vont rouvrir et la Justice y retrouve les moyens d’agir. A travers cette politique du concret, la République est bel et bien là : je le mesure au quotidien. Il faut désormais promouvoir et faire savoir ces efforts qui sont bien souvent, et de façon unanime, salués par les associations et habitants.
Le président de la République a évoqué la responsabilité des parents. Mais est-ce que la politique du gouvernement, qui reste enfermée dans un paradigme d’extrême centralisation du pouvoir, n’entre pas en contradiction avec ce diagnostic ? En effet, la centralisation du pouvoir et le recours à un État social fort tend à maintenir l’individu dans une relation de dépendance à l’égard de cet État providence, et participe donc à le déresponsabiliser, puisque toutes les décisions qui le concernent, lui, sa famille, son quartier, sa ville, sont prises à des échelons trop éloignés du citoyen.
RépondreSupprimerUn moyen de responsabiliser ne serait-il pas de décentraliser en donnant davantage d’autonomie fiscale et budgétaire aux échelons locaux ?
Vous mentionnez d’abord dans votre question la compatibilité entre l’exercice de l’autorité parentale et celle de l’État. Ce sont deux choses différentes et les saccages auxquels nous avons assisté ces derniers jours le prouvent : l’État ne peut se substituer à l’éducation qui est donnée au sein du foyer aux émeutiers mineurs.
Ensuite, vous évoquez une « extrême-centralisation » du pouvoir en France. Je ne crois pas que ce soit le cas et je trouve que ce postulat est assez caricatural. La preuve par l’exemple : beaucoup de parisiens, de franciliens se plaignent de l’état de la Ville de Paris : est-ce la responsabilité de l’État ? Non. C’est la responsabilité de la Maire de Paris. En France, l’État est décentralisé et fort à la fois et c’est une bonne chose. L’État n’a pas à gérer la propreté d’une ville ; les collèges d’un département ; les lycées ou les transports d’une région. Décentraliser sur certains sujets, c’est faire le choix de l’efficacité et de la responsabilité.
Mais est-ce possible de responsabiliser les acteurs locaux s’ils ne contrôlent pas la fiscalité ? Sur la question des réparations, par exemple : Valérie Pécresse a déclaré débloquer un budget « exceptionnel » de 20 millions d’euros pour l’Île-de-France. Or, une part significative des ressources des collectivités viennent de l’État, ce qui signifie que tous les contribuables vont payer ces réparations.
La solidarité dans le moment que nous traversons est indispensable. Vous citez la région Ile-de-France mais il y a également la Région PACA qui a mis en place un fond ; ces initiatives sont à saluer. Elles ne coûteront pas aux Français. Nous ne rétablirons pas l’ordre par le désordre des finances publiques. Les ministres Bruno Le Maire et Olivia Grégoire ont par ailleurs demandé aux assurances d’agir vite et aux banques de faire des efforts pour soutenir les acteurs impactés. Cela me semble être la bonne solution. Les commerçants et entreprises ont pu compter sur le soutien du Gouvernement hier, elles peuvent compter sur son soutien aujourd’hui.
RépondreSupprimerEst-il juste de contraindre tous les citoyens à payer pour des dégats causés par une minorité ? Est-ce qu’ici il ne serait pas plus juste, grâce à une véritable décentralisation, de responsabiliser les citoyens et élus au niveau local ?
Soyons basiques : les Français n’ont pas à payer les dégâts causés par des irresponsables. Nous avons tous vu et entendu ces derniers jours, des témoignages de maires anéantis et de restaurateurs ou de commerçants dont le gagne-pain est parti en fumée. Tout cela est profondément injuste et l’Etat joue et jouera son rôle pour accompagner, au mieux, les entreprises en difficulté suite aux émeutes.
Concernant la décentralisation, elle est déjà importante en France mais nous pouvons faire davantage : c’est tout l’objet du chantier lancé par le Président de la République autour de la réforme des institutions il y a quelques mois. Ensuite, la question de la responsabilisation des élus mais aussi des citoyens se pose. Les émeutes de ces derniers jours ont prouvé que si les parents avaient joué leur rôle en encadrant leurs enfants mineurs qui ont participé aux saccages, le bilan n’aurait pas été si lourd. Il y avait bel et bien 10 000 irresponsables dans les rues mais 67 millions de Français responsables. Plus que la décentralisation ou la responsabilisation, le rôle du Gouvernement reste de pouvoir accompagner, au mieux.
https://www.contrepoints.org/2023/07/06/459397-shannon-seban-une-partie-de-la-classe-politique-incite-au-desordre
Demandez donc aux personnes âgées, il y a 49 ou même 50 et plus, la police était respectée. Et, la police respectait le citoyen. Puis l'invasion massive de mercenaires étrangers (non touristes) payés pour qu'ils partent de chez eux et aillent semer le désordre à l'étranger.
SupprimerVols, viols, meurtres au quotidiens et ras-le bol des policiers qui voient les agresseurs défendus par des pédales psychopathes. Alors: çà pète ! Çà pète et çà pétera encore et encore. Ils ont des Glocks ? en face c'est Kalachnikovs !
Cagnotte pour le policier : des dons… pour l’État essentiellement
RépondreSupprimerL’affaire de la cagnotte pour le policier accusé d’avoir tué le jeune Nahel lors d’un contrôle routier risque de prendre une toute nouvelle tournure. Alors qu’une partie des Français s’est largement mobilisée pour soutenir la famille du policier, ils se sont en réalité mobilisés pour donner de l’argent à l’État français. La raison ? Les règles fiscales qui régissent les dons.
Par Paolo Garoscio
le 6 juillet 2023 à 7h20
Les premières estimations concernant les dégâts des émeutes parlent de 1 milliard d'euros.
1,6 million d’euros collectés pour la famille du policier
Lancée par Jean Messiha, né Hossam Botros Messiha, figure de l’extrême-droite, ancien membre du Front National puis du Rassemblement National et enfin de Reconquête qu’il quittera après l’échec d’Eric Zemmour à la Présidentielle de 2022, la cagnotte n’a pas manqué de faire scandale. En particulier car les dons ont explosé et ont été largement supérieurs à ceux en faveur de la famille du jeune Nahel.
Fermée le 4 juillet 2023, la cagnotte aura atteint la somme record de 1,636 million d’euros. Une somme que les donateurs pensaient sans doute verser à la famille du policier… en intégralité. Or, ce n’est pas le cas. Si la cagnotte n’est pas annulée par la justice, ce qui reste une possibilité, la grande majorité de cette somme finira en réalité dans les caisses de l’État.
Les cagnottes sont soumise à l’impôt sur les dons
La loi française sur la fiscalité des dons est claire, rappelle Challenges. Les sommes données à des tiers « au-delà du 4e degré de parenté ou entre personnes non parentes » sont soumis à une imposition de 60 % du total. Pour faire simple, 60 % de la somme va être reversée… à l’État français. Sur un don de 100 euros, par exemple, ce sont donc 60 euros que le donateur verse donc à l’État, et 40 euros au bénéficiaire réel.
Ce n'est pas le cas pour les dons aux associations, par exemple, qui bénéficient d'un statut à part. Et qui, de plus, permettent de défiscaliser une partie des sommes, sous réserve de justificatifs.
Dans le cadre de la cagnotte du policier, cela représente la coquette somme de 938.037 euros. Et la plateforme GoFundMe, sur laquelle la cagnotte a été mise en place, récupérera 68.000 euros de frais, puisque les cagnottes ne sont pas gratuites.
Finalement, la famille du policier ne recevra que 625.000 euros environ, après avoir payé près d’un million d’euros d’impôt. Une somme à payer rapidement : la loi ne prévoit qu’un délai maximum de 30 jours après réception des sommes pour s’acquitter de l’impôt.
https://www.economiematin.fr/cagnotte-policier-nahel-don-fiscalite-impot-etat
Impôt sur les remerciements !!! 60 % de volés par la dictature !!
SupprimerPays riches, pays pauvres. Pourquoi ces différences ?
RépondreSupprimerL’accusation souvent portée contre les pays riches, affirmant qu’ils perpétuent la pauvreté des pays en développement, est infondée. Lippton Mathews met en évidence les véritables facteurs qui favorisent la richesse et la pauvreté, de la productivité à la qualité des institutions…
le 5 juillet 2023
Par Lipton Matthews.
Mises Institute
Le fléau de la pauvreté qui frappe les citoyens des pays en développement a suscité de nombreuses discussions dans les pays riches. De manière tout à fait déraisonnable, ces derniers ont été accusés de de favoriser la pauvreté des premiers. Malheureusement, l’hypothèse selon laquelle la prospérité découle de l’exploitation est encore largement répandue dans les milieux universitaires et politiques.
Pourtant, l’histoire jette un sérieux doute sur cet argument.
L’impérialisme était la norme dans le monde antique, mais aucune puissance impérialiste n’a atteint une croissance schumpétérienne. Par exemple, les périodes de progrès économique de la Rome et de la Grèce antiques se sont éteintes malgré les efforts impériaux. En effet, le trésor national s’accroît lorsque les empires prélèvent des tributs sur les États conquis, mais cela ne se traduit pas par un niveau de vie supérieur pour les citoyens ordinaires. La richesse de l’État n’est pas un indicateur de la prospérité individuelle.
L’histoire montre clairement que la poursuite de l’extraction économique ne conduit pas à la prospérité à long terme. En règle générale, les pays qui ont l’habitude d’exploiter les autres sont plus pauvres que leurs homologues.
En Afrique, le Bénin est un nain économique malgré son histoire rapace, alors que des pays moins agressifs comme l’île Maurice et le Botswana sont des étoiles économiques. De même, la Côte d’Ivoire a connu certaines de ses meilleures années lorsque le pays a investi dans des politiques de marché.
Du côté européen, l’empire s’est révélé très coûteux pour la Suède. Après l’effondrement de son empire, la Suède a fait l’envie du monde entier. En outre, le succès économique qui a coïncidé avec l’impérialisme suédois était le résultat de réformes économiques et de gouvernance plutôt que de l’édification d’un empire.
Le Japon a connu la gloire de l’empire tardivement dans son histoire et, comme dans d’autres exemples, les faits montrent qu’il s’agissait d’un fardeau.
Utiliser son influence politique pour exploiter d’autres pays n’est pas une stratégie de réussite.
RépondreSupprimerEn effet, l’histoire révèle que de nombreux pays pauvres ont accédé à la richesse en facilitant le commerce plutôt qu’en chassant les colonies.
La Finlande était un pays européen pauvre au début du XXe siècle et n’avait pas de colonies comme la Suisse. Pourtant, ces deux pays figurent parmi les plus prospères du monde.
La principale différence entre les pays riches et les pays pauvres est la productivité.
Le fait d’être productif libère des possibilités d’innovation et de création de richesses. La pauvreté est la condition naturelle de l’humanité, et les pays s’enrichissent en augmentant le stock de capital mondial. Taïwan, la Corée du Sud et Singapour sont des pays pauvres en ressources par rapport aux pays d’Afrique et d’Amérique latine, mais grâce à leurs niveaux élevés de productivité et d’innovation, ils ont rejoint les rangs des élites.
Une autre caractéristique des pays prospères est la grande qualité de leurs institutions.
Lorsque celles-ci sont conçues pour faciliter l’esprit d’entreprise et la formation de capital, les gens sont plus motivés pour produire, car leurs efforts ne sont pas pénalisés. Selon une étude de référence, les différences de productivité entre les pays sont une conséquence de la qualité des institutions. De même, la qualité institutionnelle détermine également la capacité d’un pays à attirer les investisseurs.
Les capitaux prospèrent là où ils sont récompensés, et fuient les endroits où ils sont harcelés.
Par exemple, au cours de la dernière phase du colonialisme, on a assisté à une évolution vers des politiques étatistes. Cependant, après l’indépendance, au lieu de promouvoir les marchés libres, les ex-colonies ont soutenu les institutions étatistes mises en place par la puissance coloniale. Dans des pays comme le Ghana et la Tanzanie, on s’est appuyé sur des réglementations pour extraire les ressources de l’industrie et limiter les importations.
Il est intéressant de noter que la Tanzanie ne s’est pas enrichie bien qu’elle ait été l’un des principaux bénéficiaires de l’aide étrangère de l’Europe. L’argent doit être utilisé efficacement pour être rentabilisé. Il est vain de distribuer des fonds aux pays pauvres s’ils hésitent à se réformer. Comme la Tanzanie, la Jamaïque a été l’un des principaux bénéficiaires de l’aide étrangère de l’Union européenne et des États-Unis, mais son économie n’a commencé à s’améliorer légèrement qu’après la mise en œuvre d’un programme de réforme économique parrainé par le Fonds monétaire international.
RépondreSupprimerLa réussite des pays riches tient également au fait qu’ils utilisent efficacement le capital et la technologie, puisqu’ils sont plus productifs.
Les pays riches sont capables de commercialiser des produits et d’améliorer les technologies existantes. Un pays pauvre produira dix mille tonnes de sucre, alors qu’un pays riche ne disposant pas d’un avantage comparatif dans la production de sucre produira vingt mille tonnes de sucre de manière plus efficace. En outre, en raison de la qualité du capital humain, les pays riches sont en mesure d’exporter des produits plus performants, alors que les pays pauvres se concentrent sur des produits de moindre valeur.
Par conséquent, si les pays pauvres ne se réforment pas et n’augmentent pas leurs niveaux de capital humain, ils resteront appauvris. Accuser les pays riches d’être à l’origine de leur pauvreté ne fera que les exonérer de toute responsabilité et les enfermer dans la pauvreté.
https://www.contrepoints.org/2023/07/05/459156-pays-riches-pays-pauvres-pourquoi-ces-differences
Ne tournons pas 110 ans autour du pot ! que des pays soient dits 'riches' ou 'pauvres' ce sont (à part la Suisse qui est la seule Démocratie) des dictatures. Dictatures impériales, républicaines ou monarchiques. L'abandon des 'colonies' n'a été qu'un passage de flambeau d'un dictateur à un autre. Les habitants sont cons de naissance, puis arrive l'instruction, mais la qualité de l'instruction dépend lui-même du niveau du QI du psychopathe qui dirige !
SupprimerC'est pourquoi des pays avec des ressources minières et pétrolières devraient avoir une population enrichie... ce qui n'est pas le cas ! Où qu'elle soit la religion n'a fait qu'affaiblir l'être humain et faire de lui un assassin. Ce qui n'est pas pour déplaire aux dictateurs pédophiles.
Dans presque tous les pays l'être humain est un animal en cage. Libre ! Libre d'aller d'un mur à l'autre !
Chauffage au bois et qualité de l’air : stop aux fake news !
RépondreSupprimerRéaction de Jules Nyssen Président du Syndicat des Énergies renouvelables, à l’article paru dans Le Point jeudi 29 juin 2023.
Par Jules Nyssen
le 5 juillet 2023 à 5h00
La précarité énergétique frappe 40% des ménages en France.
La contribution du chauffage au bois à la pollution de l’air est un sujet récurrent. Il déchaîne les passions et génère des positions tranchées, binaires entre lesquelles on nous enjoint de choisir un camp, celui des « pour » ou celui des « contre », sans aucune nuance ni argument étayé !
Afin d’y voir clair, et pour que chacun puisse se faire son opinion, je tiens ici à rappeler quelques éléments factuels.
1/ Le chauffage au bois émet-il des polluants ?
La combustion parfaite du bois n’existe pas. La chimie est exigeante. Un excès ou un déficit d’oxygène aura, par exemple, des conséquences sur la production de particules fines.
Mais la majorité des émissions de polluants est le fait, soit d’équipements mal régulés comme les foyers ouverts ou les appareils les plus anciens, soit d’un bois insuffisamment séché.
2/ Le chauffage au bois contribue-t-il à la dégradation de la qualité de l’air ?
L’association indépendante CITEPA (www.citepa.org), qui évalue l’impact des activités humaines sur le climat et la pollution atmosphérique, rappelle que « les émissions nationales de particules continuent de diminuer, de façon significative, et ce depuis plusieurs années » et ajoute que « les émissions nationales liées au chauffage au bois diminuent également » alors même que le parc est en croissance continue. Toujours selon le CITEPA, le parc d’appareils de chauffage au bois émet 2,5 fois moins de particules, en masse, en 2021 qu’il n’en émettait en 1990.
Le renouvellement progressif des appareils anciens et des foyers ouverts par des technologies toujours plus modernes permet donc bien de réduire les émissions alors que le nombre de ménages équipés augmente de façon continue.
3/ Le chauffage au bois avec des appareils performants ne produit-il pas néanmoins des particules plus fines mais plus dangereuses ?
Autrement dit, la réduction de la « masse » totale des particules émises n’est-elle pas un leurre ? La question est légitime. Le très sérieux journal scientifique Journal of cleaner production a publié fin 2021 un article intitulé «Toward a cleaner domestic wood heating by the optimization of firewood stoves? »1 qui constate que les émissions de particules baissent spectaculairement entre un appareil de génération 2000 et un appareil de génération 2012, y compris les particules les plus fines. Dans les émissions, ces dernières sont plus importantes en proportion, mais la réduction du nombre de particules est tellement élevée que la baisse de l’émission des particules fines est spectaculaire.
Les appareils de dernière génération émettent donc moins de particules en masse et en nombre, et ne présentent donc aucun danger nouveau !
RépondreSupprimerA l’aune de ces quelques éléments factuels aisément vérifiables, il nous semble donc que la filière du chauffage au bois qui est sur une voie d’amélioration permanente, fournit un accès sûr et durable à la chaleur domestique qui justifie pleinement le soutien actif que lui accorde l’État.
Les efforts d’investissements engagés par la filière ont permis de produire de meilleurs équipements dont la performance est garantie par les critères et les contrôles du label Flamme Verte. Associés à la généralisation des procédés de séchage qui optimisent la qualité des combustibles ainsi qu’à des installations dimensionnées et entretenues par des professionnels qualifiés, ils ont permis au parc d’appareils de chauffage au bois de réduire drastiquement les émissions de particules en 20 ans tout en chauffant plus de logements avec une consommation de bois constante.
La pression sur la ressource forestière n’est donc pas une question car la dynamique de progrès en cours permet de poursuivre le développement de l’équipement des ménages sans augmenter les prélèvements. Enfin, notons bien que la production de bûches et de granulés est soit un sous-produit de la production du bois d’œuvre (utilisé pour la construction ou l’ameublement) soit alimentée par d’autres sources, comme le bois issu de l’entretien des haies, les bois des espaces verts, ou les bois en fin de vie.
Enfin, il est important de rappeler que le chauffage individuel au bois, lorsqu’il se substitue au fioul ou au gaz, contribue non seulement à la réduction de nos émissions de gaz carbonique, mais qu’il permet à la France de réduire sa dépendance aux énergies fossiles importées et qu’il génère plus de 50 000 emplois non délocalisables. Il est important de rappeler que le chauffage au bois en complément de chauffages électriques (radiateurs ou pompes à chaleur) concourt à soulager la pointe de puissance appelée l’hiver et sécurise, en conséquence, notre système électrique sous tension. Et il est important de rappeler enfin que le chauffage au bois renvoie à des traditions bien ancrées dans nos territoires, et qu’il constitue une source d’énergie accessible en termes de pouvoir d’achat notamment lors des crises énergétiques qui risquent, malheureusement, de se répéter.
Nous respirons TOUTES & TOUS 200 000 nano-particules ou poussières (appelées 'virus') et microbes PAR MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance !! et... nous ne sommes pas morts !! Çà alors !!
RépondreSupprimerNous ne sommes que... poussières ! Notre corps n'est composé que d'eau et... de poussières !
Ces nano-particules proviennent de l'alimentation, les plantes, les arbres, comme les animaux qui les mangent en sont composés. Nous ne sommes que Terre, nous consommons de la Terre et retournerons en Terre sans qu'il n'y ait aucune pollution (sauf pour les bureaucrates du bas de l'échelon qui respectent la dictature).
Les démasqués
RépondreSupprimerQui dirige réellement le monde ?
Par Claude Janvier
Mondialisation.ca,
04 juillet 2023
Présentation du livre de Claude Janvier
Notre planète est-elle dirigée par un groupuscule de financiers nomades et apatrides œuvrant pour l’établissement d’un gouvernement mondial ? Est-elle sous l’empire des propriétaires de Vanguard, qui n’aiment pas être sous les feux de la rampe, à savoir les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, les Goldman Sachs, les Soros, avec leur Open Society, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller et leurs satellites ?
Ces familles, adeptes des clubs très fermés et de l’ostracisme social, sont parfaitement identifiées dans la chronologie élaborée par l’auteur. Leurs sociétés tentaculaires, secrètes et discrètes, ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts.
Que ce soit dans le secteur financier, économique, écologique, alimentaire, ou dans celui des Big Pharma, des médias mainstream, des fonds de pensions et d’investissements, notamment de BlackRock et de Vanguard, cette hyperclasse, appuyée par des sociétés-écrans, des fondations suspectes, dont celle de Bill et Melinda Gates, des ONG ambivalentes, ainsi que par des mouvements sociaux des minorités (Genre, LGBétisme, Wokisme, Black Lives Matter, etc.), agit pour mettre en esclavage le plus grand nombre de citoyens du monde et rendre leur quotidien infesté par des pandémies, des crises de tout genre, des guerres et des lendemains qui déchantent !
Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, les voix de plusieurs complotistes sont parvenues à le freiner, voire à le paralyser, dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…
En parcourant ce livre, chacun se forgera sa propre opinion sur l’implication, ou non, de cette caste méprisable qui continue de susciter la polémique en France et ailleurs. Cependant, il est indéniable que des preuves de sa culpabilité existent. Il était nécessaire de les rassembler et de les révéler. Les voici…
L’intérêt de l’ouvrage et la cible : pour public averti.
Dès le début, Claude Janvier nous plonge dans les intrications de la finance et de l’oligarchie, soulignant, à juste titre, que leurs méfaits ne sont pas récents. Leur emprise sur des secteurs clés et les médias grand public, qui diffusent de fausses informations et promeuvent la société du spectacle, a fini par engourdir de nombreux citoyens, les privant de tout esprit critique. Le pire, c’est que toute voix qui, tel un grain de sable, tente de gripper, ne serait-ce qu’un peu, la machinerie infernale, mais bien huilée de l’élite mondialiste, déterminée à mener à bien son agenda préétabli, se voit bannie des plateaux de télévision, condamnée au mépris public et vilipendée.
À force de bombardements médiatiques et de dérives politiques, élaborés dans les salons feutrés et hermétiques des riches « clubs » qui pullulent à travers le monde, des membres d’une même famille s’affrontent aujourd’hui sur des questions sociétales, dans le but de pulvériser toute tentative d’union sacrée…
RépondreSupprimer* * * * *
Claude Janvier est un écrivain-essayiste qui se présente comme disciple de Pierre Desproges, célèbre humoriste connu pour son humour noir et caustique, son non-conformisme et son talent littéraire. Il a écrit trois livres à succès, dont deux en collaboration avec Jean-Loup Izambert. Depuis vingt ans, il se consacre à l’analyse approfondie de l’actualité, remettant en question les idées généralement acceptées et se rendant sur les lieux de conflits tels que la Syrie pour déterrer et diffuser les véritables informations clés. Il intervient régulièrement dans de nombreux médias pour partager ses découvertes.
Claude Janvier anime également l’émission hebdomadaire « Libres Paroles » sur TV ADP, une chaîne dédiée aux esprits libres, où il occupe le poste de chroniqueur permanent. Dans les années 1970, il a adhéré au courant de contre-culture et a développé une certaine méfiance envers l’État-providence et la société de consommation. Quelle que soit la situation, il reste fidèle à son style d’écriture alerte et à sa devise rebelle : « Je râle donc je suis ! »
https://www.mondialisation.ca/les-demasques/5679156?doing_wp_cron=1688535920.9539170265197753906250
Petit résumé de l'histoire du monde
Supprimerlundi 1 octobre 2012
Ce qui est arrivé un jour à notre planète est qu'un peuple (mieux armé que d'autres) a réussi à asservir les vaincus. Ces vaincus devinrent des esclaves. Mais, qui dit esclave ou vaincu, ne veut pas dire idiot. Et donc, pour les vainqueurs de se maintenir éternellement sur leurs gardes, car, une rébellion était toujours possible. Et, comme l'on attrape pas des mouches avec du vinaigre il fallait penser à autre chose, changer de politique, réfléchir en commun, s'adapter au monde qui évolue, choisir la paix pour gagner la guerre.
Ceux qui ne s'appelaient pas encore 'les hommes de l'ombre' mais dictateurs sanguinaires, surent imaginer une fausse révolution ! où les perdants seraient eux et les vainqueurs le peuple ! 'Projet fou' ? Pas tant que çà. Il fallait tout de même faire quelques sacrifices: allons pour Louis XVI et Marie-Antoinette. Çà, c'était pas du Ravaillac mais du 14 Juillet 1789.
Soit. La monarchie est enterrée, disparue, oubliée, pensons à l'avenir !
Pour le peuple (désormais 'Républicain') fallait se remettre au travail, mais, comme tout travail mérite salaire... C'est là qu'intervinrent les nobles qui avaient - pour un temps - changé de nom et s'habillaient presque comme des gueux, avec de l'argent plein les poches ! Tiens-tiens ! Ainsi pris forme cette nouvelle société où d'un côté se plaçaient ceux qui travaillent et demandent de l'argent et, de l'autre, ceux qui exploitent et payent les gueux.
Et puis, après tout, tous ces beaux châteaux, on va pas les détruire, parce qu'ils sont beaux et, de plus, ils vont bien avec ceux qu'il y a dedans ! D'où, désormais, le respect de la monarchie ! La royauté est de retour ! Aimons-la ! Copions-la ! et, 'vive les reines de beauté' ! 'les rois de l'accordéon' ! et tous les petits mitrons ! Envions-les ! Évitons de qualifier dans les livres d'histoires cette monarchie d'époque de dictature ! Faisons comme si l'on pardonnait et, pire, les féliciter pour avoir volé/égorgé/brûlé nos arrières-arrières-grands-parents !
Mais, ces 'hommes de l'ombre' (cachés derrière d'épais rideaux) ne s'en tinrent à ces faits qu'il fallait des ouvriers d'un côté et des employeurs de l'autre sous la haute gouvernance d'un chef d'État, mais observèrent la situation présente et à venir: "Un jour, tous ces cons seront intelligents ! Et, ce jour, l'on aura plus qu'à se cacher ! Rendez-vous compte qu'ils sont déjà beaucoup plus nombreux que nous, autant ou plus intelligents que nous et... qu'il ne leur manque que les armes !!" (Aujourd'hui, an 2000, il y a plus de 4 % de surdoués dans le monde ! Plus de 280 millions de personnes intelligentes !!). C'est pourquoi vinrent les guerres avec des justificatifs imaginés, et, des frais de guerres, et puis... et puis (tiens, c'est pas bête çà:) des ennemis ! Des ennemis de partout ! Des 'terroristes' ! Des sauvages qui en veulent à notre argent, notre confort, notre intelligence, bref, des gens pas fréquentables qu'il faut aller éliminer ! Et puis, nous avons besoin de modernisme, d'investissements ! Çà y est ! Le mot est lâché ! 'Investissements' ! Oui mais, avec quel argent ? L'argent ?... viendra des banques ! Les banques ont de l'argent ? Non, mais vont en fabriquer ! Des trucs dorés ! Des papiers-machins 'bon pour', bref, laissez-nous faire !
Les conséquences économiques dévastatrices du courant océanique El Niño
RépondreSupprimerL’impact du courant océanique El Niño sur l’économie mondiale est de plus en plus préoccupant. Ce phénomène climatique, caractérisé par une hausse anormale de la température des eaux du Pacifique, a des répercussions économiques majeures sur de nombreux secteurs. Les conséquences sont multiples, allant de la diminution de la production agricole à l’effondrement des marchés financiers. Dans cet article, nous explorerons les conséquences économiques d’El Niño et mettrons en évidence les risques importants que ce courant représente pour l’économie mondiale.
Par Nicolas Egon
le 5 juillet 2023 à 14h30
L'impact économique d'El Niño pour le XXI siècle pourrait être de 84 Milliards $
La production agricole en péril
Le courant El Niño a un impact dévastateur sur la production agricole dans de nombreuses régions du monde. L'une des conséquences les plus importantes est la modification des schémas de précipitations, ce qui entraîne des sécheresses prolongées dans certaines zones et des inondations dans d'autres. Par exemple, les pays d'Amérique du Sud, tels que le Pérou et l'Équateur, connaissent souvent des pluies torrentielles pendant les épisodes El Niño. Tout cela peut entraîner des glissements de terrain et des destructions massives de cultures.
Ces conditions climatiques extrêmes ont un impact direct sur la production alimentaire, ce qui se traduit par une baisse de la production et une augmentation des prix des denrées alimentaires. Les récoltes de cultures de base telles que le riz, le maïs et le blé sont particulièrement impactées par le courant El Niño. Les agriculteurs subissent des pertes financières considérables, ce qui peut entraîner des difficultés économiques pour les communautés agricoles locales et une augmentation de l'insécurité alimentaire dans les pays touchés.
Courant El Niño : les marchés financiers en chute libre
Les conséquences économiques d'El Niño ne se limitent pas à l'agriculture. Les marchés financiers mondiaux sont également vulnérables aux perturbations. L'incertitude climatique et les risques accrus de phénomènes météorologiques peuvent entraîner une volatilité des prix des matières premières.
Les secteurs de l'énergie, de l'assurance et de la construction sont particulièrement touchés par le courant El Niño. Les prix du pétrole et du gaz peuvent augmenter en raison des perturbations dans les régions productrices. Cela entraîne des coûts de production plus élevés pour les entreprises et une hausse des prix pour les consommateurs. De plus, les compagnies d'assurance sont confrontées à des coûts plus élevés en raison de la multiplication des sinistres liés aux catastrophes naturelles causées par le courant El Niño.
Les effets économiques négatifs du courant El Niño peuvent également se propager à l'échelle mondiale. Les pays les plus touchés par ce phénomène climatique voient leur croissance économique ralentir. Ceci peut avoir des répercussions sur les marchés internationaux. La diminution de la demande de biens et services en raison de difficultés économiques dans certaines régions peut entraîner une baisse des exportations d'autres pays.
RépondreSupprimerhttps://www.economiematin.fr/consequences-economiques-devastatrices-courant-cceanique-el-nino
'El Niño' est un courant chaud. Pluies diluviennes et sécheresses.
Supprimer'La Niña' est un courant froid.
La société post-américaine et la guerre contre la sensibilité humaine. "La militarisation de l'éducation"
RépondreSupprimerVoyages au pays du manacle forgé par l'esprit
Par David Penner
Recherche mondiale,
04 juillet 2023
"Le but de l'éducation totalitaire n'a jamais été d'instiller des convictions mais de détruire la capacité d'en former." - Hannah Arendt (1966), Les origines du totalitarisme
Tout le monde a eu des rencontres avec des Américains qui ont des diplômes supérieurs et qui ont pourtant une compréhension de la politique et du monde dans lequel nous vivons.
Comment est-ce arrivé ? Comment les États-Unis sont-ils devenus un tel désert de stupidité, d'irrationalité et de faillite intellectuelle ?
La réponse réside dans la compréhension du rôle joué par quatre piliers fondamentaux qui font partie intégrante de la société post-américaine du XXIe siècle :
les médias de masse et leurs chambres d'écho,
la militarisation de l'éducation,
le culte du carriérisme ; et
une désorientation culturelle, politique et morale inextricablement liée à la société multiculturelle.
Comme les lecteurs des médias indépendants de gauche et des médias indépendants conservateurs le savent bien, les médias hérités sont un énorme problème, et avec le limogeage de Tucker Carlson par Fox , une seule voix sensible a été supprimée des médias de masse dont les sbires marchent de plus en plus au même rythme virtuellement. chaque problème majeur.
Les médias de masse existent pour raconter de faux récits et terrifier les Américains avec des croque-mitaines tout en les distrayant des choses qui devraient vraiment les préoccuper.
Ainsi, au lieu de s'inquiéter de la menace de la monnaie numérique programmable de la banque centrale (CBDC) qui mettrait irrévocablement fin à la démocratie, à la dette de prêt étudiant et aux faillites médicales, des guerres d'agression de plus en plus psychopathes et potentiellement omnicides, la destruction de la classe moyenne, l'érosion de la règle de la loi, le démantèlement de l'éthique du consentement éclairé et l'effondrement de l'éducation publique, nous devrions nous préoccuper des Russes, des nazis (des nazis imaginaires, c'est-à-dire pas des vrais nazis auxquels Washington donne des milliards de dollars à Kiev), les anti-vaxxers (personnes qui croient au consentement éclairé), les théoriciens du complot (dissidents qui exercent leurs droits au premier amendement), le sexisme et le « patriarcat » (les hommes qui s'inquiètent de la féminisis et de la menace qu'elle fait peser sur la présomption d'innocence et procédure régulière) et le racisme dans l'éducation (les Américains qui s'opposent à l'incinération des lettres américaines et des classiques de la civilisation occidentale).
Les médias de l'establishment néoconservateur et néolibéral cherchent à perpétuer l'illusion qu'il existe des différences significatives entre eux, alors qu'en réalité tous deux insistent sur le fait que la FDA, le CDC et l'OMS doivent être obéis sans poser de questions ; tous deux sont sous l'emprise du complexe militaro-industriel, de la CIA et des compagnies pharmaceutiques ; et les deux institutions sont également amoureuses du capitalisme sans entraves. (Pour les lecteurs étrangers qui sont sceptiques quant à l'ampleur de l'inégalité aux États-Unis, vous devriez visiter la chaîne YouTube Hoods N Hollers ).
RépondreSupprimerCertes, les arguments avancés pour justifier ces politiques diffèrent parfois : alors que les médias néolibéraux plaideront en faveur d'une immigration incontrôlée pour cultiver la « diversité », les médias néoconservateurs soutiendront la même politique pour faire baisser les salaires et encourager le pillage des biens de l'État par des entreprises rapaces. entités. Les néocons favorisent les oppresseurs blancs tandis que les néolibéraux préfèrent les oppresseurs de couleur. De cette façon, le nationalisme blanc et le djihad anti-blanc sont perpétuellement opposés dans une danse macabre d'anarchie, de peur et de violence incessante.
Les affirmations douteuses régulièrement vantées par les médias hérités (et en particulier leur aile néolibérale) sont répétées jusqu'à la nausée par les prestitutes eux-mêmes, mais aussi par les médias sociaux, le milieu universitaire, les revues littéraires et l'édition de fictions contemporaines et de mémoires très médiatisées. Cela piège les esprits malléables dans un labyrinthe pervers de mèmes et de shibboleth trompeurs tout en donnant à des millions d'Américains un sens dangereusement déformé de la réalité. Naturellement, l'un des devoirs les plus importants des médias de masse est de répéter sans cesse les arguments de l'intervention humanitaire afin de vendre le dernier bain de sang aux bellicistes de Washington.
La croyance que l'héritage des zombies médiatiques a dans l'inerrance des médias de masse est étroitement liée au mythe de la méritocratie. En effet, si l'on est ensorcelé par ce sortilège cela ne peut qu'aboutir à suivre aveuglément les omniscients du Wall Street Journal , du New York Times, du New Yorker Magazine , du Guardian , de la BBC, etc.
Le mythe de la méritocratie a également joué un rôle énorme dans la montée des Branch Covidians, qui croient de toutes les fibres de leur âme souillée que les médias hérités, les agences à trois lettres et les revues médicales d'élite sont irréprochables et libres de l'ingérence des entreprises. .
RépondreSupprimerLa militarisation de l'éducation a également joué un rôle critique dans l'essor de l'humain non sensible, car l'éducation américaine existe actuellement pour générer des dettes d'études, inciter autant que possible au sectarisme et au tribalisme, refuser aux pauvres et à la classe ouvrière une éducation en sciences humaines, soutenir le dictature sanitaire en plein essor, utilisent des étudiants internationaux pour cultiver l'automatisation biochimique, fomenter la surspécialisation et la servilité, et faciliter le démantèlement de l'État de droit en abandonnant l'histoire civique et constitutionnelle.
Les Américains les plus endoctrinés ne sont pas ceux qui défendent la dernière débâcle de la politique étrangère américaine ou la dernière atrocité biofasciste parce que c'est ce que leur ont dit les têtes parlantes à la télévision ou lu dans le Washington Post ou sur Facebook . Les cultistes des médias hérités les plus délirants, intransigeants, hubris et fanatiques sont ceux qui insistent sur le fait que le ministère de la Vérité a raison parce que leurs professeurs l'ont dit.
En fin de compte, la raison d'être de l'université est de générer des Adolf Eichmann qui ont perdu la capacité de faire la distinction entre la fantaisie et la réalité, et plus l'université est prestigieuse, plus la laisse idéologique du corps professoral sera courte. Considérez tous les médecins qui défendent encore les confinements, les mandats de masques, les mandats de vaccins à ARNm, la diabolisation des non vaccinés et la diabolisation de l'hydroxychloroquine et de l'ivermectine.
Que ces politiques aient violé de manière flagrante les principes fondamentaux de l'éthique médicale, aient été terriblement meurtrières et destructrices, ne soient pas fondées sur la science et soient totalement dépourvues de toute analyse rationnelle des risques et des avantages ne déclenche même pas la moindre trace de scepticisme parmi la grande majorité des Américains. médecins et chercheurs biomédicaux.
Comme l'académie militaire, les écoles de médecine exigent une soumission absolue et sont conçues pour former leurs soldats à confondre la légalité avec la moralité et à exécuter aveuglément les sombres machinations du complexe industriel médical.
Dans ce qui peut être décrit comme un syndrome intellectuel de la femme battue, même les données du VAERS , le rapport de pharmacovigilance du Conseil mondial de la santé , les 750 articles scientifiques compilés par Doctors for Covid Ethics qui mettent en garde contre les dangers des injections d'ARNm, et les organisations qui représentent le Les vaccins Covid blessés tels que React 19 et Real Not Rare échouent invariablement à inculquer à la majorité des médecins et universitaires biomédicaux américains des doutes concernant les mensonges dont ils ont été nourris par «les experts». Comme Orwell l'a écrit avec prévoyance en 1984 , « Le parti vous a dit de rejeter les preuves de vos yeux et de vos oreilles. C'était leur dernier commandement, le plus essentiel.
Si un étudiant en pré-médecine écrivait une déclaration personnelle en conjonction avec sa candidature à la faculté de médecine dénonçant la corporatisation de la médecine, l'Église de la vaccinologie, le culte de la psychiatrie, la branche Covidians ou le culte trans, sa candidature serait rejetée instantanément. (En réalité, ces cultes biofascistes sont des interventions humanitaires nationales. Au lieu d'imposer la démocratie et la liberté sous la menace d'une arme, la santé et « la science » sont imposées sous la menace d'une arme). Pour obtenir les emplois convoités qui suivent ces diplômes, il faut encore plus d'obéissance aveugle ; et de conserver ces emplois, plus encore. En effet, plus le carriériste impitoyable affichera de la soumission, plus il sera subsumé par un linceul de manque de scrupules et de destruction spirituelle.
RépondreSupprimerJe ne dis pas que tout le monde avec un doctorat d'élite, un diplôme en droit ou un diplôme en médecine est un automate irréfléchi. Je dis simplement que le système est spécifiquement conçu pour séparer le bon grain de l'ivraie et pour se débarrasser des jeunes Américains dotés d'un esprit critique et d'un sens aigu de la moralité. Comme les chiens de Pavlov, les étudiants américains sont de plus en plus élevés dans un monde à choix multiples. Cela ouvre la voie aux avares et aux impitoyables pour atteindre le sommet.
Contredire le récit officiel de l'Ukraine et déclarer que l'armée ukrainienne subit des pertes catastrophiques en hommes et en matériel (voir ici , ici , ici et ici ) alors qu'elle est employée comme officier dans l'armée ou comme agent dans les services de renseignement entraînera la arrêt immédiat de sa carrière. Remettre en question publiquement le putsch de Branch Covidian en tant que médecin mettra en danger la licence du contrevenant ; et de le faire en tant qu'universitaire, à condition que le professeur ne soit pas titulaire, entraîne le licenciement de l'universitaire pour « promotion de théories du complot » et « diffusion de désinformation ».
La surspécialisation, l'état déplorable des sciences humaines, la concurrence acharnée pour des emplois de plus en plus rares offrant de bons salaires et avantages, et la société multiculturelle qui avilit la conscience nationale et la mémoire collective contribuent tous à fomenter le tribalisme vocationnel et le culte du carriérisme.
Les hyper carriéristes se soucient rarement de ce qui se passe en dehors de leur domaine, ce qui conduit inévitablement à une désintégration de sa boussole morale.
Par exemple, un musicien classique, un astronome ou un basketteur américain aura souvent l'impression d'avoir plus en commun avec des étrangers qui partagent sa profession qu'avec ses compatriotes américains. Pour ceux qui ont des emplois prestigieux, tout cela peut sembler beau, mais quelles sont les ramifications socio-économiques quand ce qui reste de la classe moyenne est un troupeau d'automates technocratiques qui résident dans les limites de leur spécialité et sont largement indifférents à ce que se passe-t-il en dehors de leur domaine ? À bien des égards, leur profession est devenue leur pays, et passer d'un orchestre à Stockholm à un orchestre à Copenhague à un orchestre à Tel Aviv à un orchestre à Hong Kong peut donner l'impression de se déplacer d'une ville à l'autre dans le même pays.
RépondreSupprimerComme cela s'est produit dans la Rome antique, le multiculturalisme a engendré une épidémie de déraison, provoquant le divorce d'une vaste partie de la population de la réalité et l'enveloppe d'un voile d'amoralité. En plus d'effacer la classe moyenne, après la fin de la guerre froide, tout ce que l'establishment dirigeant américain a fait au niveau national a été orienté vers la création de la population la plus ignorante, ghettoïsée, atomisée et déshumanisée ; une population non seulement terriblement mal informée, mais de plus en plus dépourvue même d'identité nationale.
Il n'y a rien de mal à être fier d'avoir grandi à Bedford–Stuyvesant, dans le centre-sud de Los Angeles, dans le comté de Harlan ou dans la réserve indienne de Pine Ridge. Et pourtant, cela ne peut être que de mauvais augure lorsque les enfants qui grandissent dans ces quartiers ont un lien de plus en plus ténu avec l'identité nationale au sens large et un lien encore plus faible avec la civilisation occidentale elle-même.
La base fondamentale de l'éducation est les sciences humaines, et l'effacement des lettres américaines et de la littérature britannique de la plupart des programmes scolaires publics a laissé un vide qui est comblé par une formation professionnelle spécialisée et l'endoctrinement éveillé incarné par le programme multiculturel et les études d'identité. Si ce programme anti-humanités persiste pendant de nombreuses années et s'accompagne d'une immigration incontrôlée, le tissu culturel de la société commencera inévitablement à se désagréger. (Le multiculturalisme américain ne doit pas être confondu avec le multiculturalisme russe où les personnes issues de religions, de langues et d'ethnies différentes restent liées par la langue russe et par une histoire russe commune et un héritage soviétique).
Un système éducatif qui tente d'enseigner aux enfants à s'alphabétiser et à s'exprimer dans des dizaines de langues différentes afin de devenir des « citoyens du monde » est voué à l'échec, à la décadence et à la décrépitude. Aucun système éducatif de ce type n'a jamais existé, et aucun système éducatif de ce type n'existera jamais. Si les Américains de couleur et les jeunes immigrés se voient refuser une formation adéquate en sciences humaines – une politique promue avec zèle par ceux qui aiment dénoncer le «racisme» – cela ne peut qu'ouvrir la voie à davantage d'analphabétisme, de fragmentation et d'autoritarisme.
RépondreSupprimerLes Américains ne peuvent pas défendre leurs droits s'ils ne savent même pas quels sont ces droits, et de plus en plus la jeune génération n'apprend rien des avertissements et des idéaux de la littérature américaine et britannique, du rôle joué par la diplomatie dans la résolution pacifique de la crise des missiles cubains, de la sacrifice fait par des centaines de milliers de soldats blancs de l'Union qui ont donné leur vie pour vaincre le pouvoir des esclaves, le New Deal, le mouvement des droits civiques (antithétique à la politique identitaire, car il promouvait la solidarité plutôt que la ségrégation), la Grande Dépression, le Nuremberg Code, et les militants anti-guerre des années 60 qui se sont battus pour une politique étrangère juste et humaine. Comme le dit Beatty, le graveur de livres en chef de Fahrenheit 451 , "Si vous ne voulez pas qu'une maison soit construite, cachez les clous et le bois."
Sans relâche réprimandés, déracinés et délibérément éduqués de manière atroce, les Américains ne savent de plus en plus rien de leur propre passé. Par conséquent, ils ne possèdent pas les outils intellectuels nécessaires pour comprendre l'agenda de la biosécurité, la guerre en Ukraine (ainsi que la menace croissante d'un affrontement direct OTAN-Russie ) ; et les dangers de vivre dans un chaos néronien dépourvu de freins et contrepoids. Une jeune génération qui ne parvient pas à replacer l'actualité dans son contexte historique et dont l'endoctrinement (appelé par euphémisme « éducation ») s'articule autour d'un mépris pathologique de l'autonomie corporelle et de tout ce qui est occidental et américain est vouée à tomber dans un bourbier nihiliste et profond dégradation morale.
Les démons qui nous entourent sont à la fois multiples et redoutables. Et pourtant, les plus grands obstacles sont l'ignorance, une dissolution de la pensée rationnelle et même un langage commun avec lequel discuter de ces choses. Réfléchissons aux premières strophes de l'immortel "London :" de Blake.
"J'erre dans chaque rue à charte,
RépondreSupprimerPrès de l'endroit où coule la Tamise à charte.
Et marque sur chaque visage que je rencontre
Marques de faiblesse, marques de malheur.
Dans chaque cri de chaque homme,
Dans chaque cri de peur des bébés,
Dans chaque voix : dans chaque interdiction,
Les menottes forgées par l'esprit que j'entends »
Briser les monopoles des médias de masse, interdire à l'exécutif d'utiliser les entreprises technologiques pour censurer le discours américain, restaurer le canon américain et une bonne éducation publique pour tous les enfants américains, mettre fin à la corruption institutionnalisée et à la capture réglementaire, et mettre en œuvre des politiques conçues pour favoriser l'intégration tous contribuent grandement à restaurer la raison, la compassion et la société américaine elle-même. L'alternative est de rester les bras croisés et d'attendre, soit une troisième guerre mondiale, soit que les choses dégénèrent au point où toute dissidence est criminalisée.
https://www.globalresearch.ca/journeys-land-mind-forgd-manacle-post-american-society-war-human-sentience/5824528
Le génie génétique n'est pas aussi trivial et simple que les militants contre les cultures génétiquement modifiées tentent de le dépeindre
RépondreSupprimer5 Juillet 2023
Victor Oria, Alliance pour la Science
Ce n'est pas le texte le plus enthousiasmant, mais il a le mérite d'illustrer une tentative de pédagogie.
Le génie génétique désigne la manipulation intentionnelle et directe de l'ADN afin d'améliorer ou de modifier les caractéristiques d'un organisme, par exemple en augmentant le goût sucré d'un fruit ou en changeant la couleur d'une fleur.
L'ADN désigne les molécules qui portent l'information génétique nécessaire au développement et au fonctionnement d'un organisme.
Contrairement à l'alphabet français qui compte 26 lettres, l'ADN ne comprend que quatre lettres (A, C, T et G).
En tant que domaine, le génie génétique suit des lois et des principes spécifiques similaires à ceux des autres disciplines d'ingénierie.
Tout comme les lettres de l'alphabet peuvent être combinées pour former un mot (et donc un sens), les quatre lettres de l'ADN peuvent être arrangées en des millions de combinaisons uniques pour produire une caractéristique spécifique.
Ces quatre lettres sont organisées collectivement par paires pour former une structure d'ADN semblable à une chaîne qui stocke l'information.
Le génie génétique [la transgenèse] consiste à utiliser des technologies de biologie moléculaire établies pour modifier la composition génétique des organismes en combinant l'ADN de deux sources afin de produire des organismes nouveaux ou améliorés.
Des déclarations populistes fondées sur des émotions
En tant que domaine, le génie génétique suit des lois et des principes spécifiques similaires à ceux des autres disciplines d'ingénierie.
Au début du processus de génie génétique, l'objectif est de produire une nouvelle caractéristique souhaitée (par exemple, une saveur sucrée) ou d'améliorer une caractéristique particulière d'un organisme (par exemple, la couleur d'une fleur).
La plupart de ces controverses sont fondées sur des rapports non vérifiés, sur la rhétorique politique et sur des déclarations populistes basées sur des émotions plutôt que sur des faits.
Le génie génétique est largement utilisé dans l'agriculture, l'industrie et la médecine.
En médecine, par exemple, il sert à produire de l'insuline, des vaccins et des antibiotiques.
Toutefois, c'est dans l'agriculture que l'application du génie génétique à la production d'aliments génétiquement modifiés (GM) a suscité des controverses.
La plupart de ces controverses sont fondées sur des rapports non vérifiés, sur la rhétorique politique et sur des déclarations populistes fondées sur des émotions plutôt que sur des faits.
RépondreSupprimerL'une des principales controverses concerne le lien entre les aliments génétiquement modifiés et le développement du cancer, qui s'accompagne toujours de photos incendiaires présentant de manière erronée la manière dont les cultures génétiquement modifiées sont produites. (Figure 1 ci-dessous).
- voir cadre sur site -
[Dr Victor Oria et Peter Kalanzi pour l'AfS]
La photo d'une seringue contenant des composants inconnus injectée dans une tomate ou un maïs n'inspire pas confiance au public.
Au contraire, ces images constituent un terrain fertile pour la désinformation, comme le mensonge selon lequel les aliments génétiquement modifiés sont nocifs pour la santé humaine, le mensonge selon lequel la consommation d'aliments génétiquement modifiés peut modifier l'ADN d'une personne ou l'idée fausse selon laquelle les cultures génétiquement modifiées détruisent toujours la biodiversité de l'environnement.
Il s'agit de fabrications pures et simples, car aucune preuve scientifique ne vient étayer ces allégations.
L'utilisation excessive de pesticides a de nombreux effets secondaires, notamment l'augmentation de la toxicité du sol qui peut à terme réduire les rendements.
Deuxièmement, la création d'une seule culture génétiquement modifiée prend environ 13 à 15 ans et des millions de dollars.
Pourquoi une entreprise et ses chercheurs dépenseraient-ils autant de ressources pour fabriquer des produits nocifs ? En outre, pourquoi les organismes de réglementation approuveraient-ils sciemment des produits dangereux pour la consommation humaine ou animale ?
Ce sont des questions auxquelles les militants anti-OGM ont du mal à répondre.
Les pesticides ont de nombreux effets secondaires
Un exemple pratique de la manière dont le génie génétique peut résoudre un problème est résumé dans la figure 2 ci-dessus.
Supposons que des producteurs de poivrons au Kenya produisent des poivrons rouges et jaunes.
RépondreSupprimerContrairement aux poivrons rouges, les poivrons jaunes sont gravement affectés par un parasite spécifique qui réduit leur rendement.
Les agriculteurs utilisent des pesticides qui sont devenus moins efficaces avec le temps pour lutter contre ce ravageur.
L'utilisation excessive de pesticides a de nombreux effets secondaires, notamment l'augmentation de la toxicité du sol, qui peut à terme réduire les rendements des poivrons rouges et jaunes.
Le génie génétique n'est pas réalisé dans un environnement fermé, compte tenu des conséquences d'une éventuelle mauvaise utilisation.
Les agriculteurs ne comprennent pas pourquoi ce ravageur ne s'attaque qu'aux poivrons jaunes et non aux poivrons rouges.
Après des recherches approfondies, les scientifiques ont découvert que les poivrons rouges produisent une odeur légèrement épicée qui repousse ce ravageur.
Au contraire, les poivrons jaunes ne produisent pas cette odeur, ce qui les rend sensibles à ce ravageur.
Une solution pratique consiste à faire en sorte que les poivrons jaunes dégagent la même odeur qui repousse ce ravageur.
La figure 2 décrit les nombreuses étapes complexes nécessaires au développement d'une culture génétiquement modifiée.
Le génie génétique est un processus complexe, axé sur les résultats et hautement réglementé.
Comme le montre la figure 2, nous pouvons utiliser le génie génétique pour résoudre le problème de ce ravageur.
Un message important à retenir est que le génie génétique n'est pas réalisé dans un environnement fermé, compte tenu des conséquences d'une éventuelle mauvaise utilisation.
Un process très réglementé
Au Kenya, par exemple, plusieurs organismes de réglementation régissent ce processus depuis le début.
Il s'agit de l'Autorité Nationale de Biosécurité (NBA), de l'Autorité Nationale de Gestion de l'Environnement (NEMA), du Bureau des Normes du Kenya (KEBS), du Service d'Inspection Phytosanitaire du Kenya (KEPHIS) et du Conseil des Produits Antiparasitaires (PCPB).
Leur mandat principal est de protéger l'intérêt public en veillant à ce que les produits génétiquement modifiés soient sûrs et résolvent efficacement le problème visé.
RépondreSupprimerLe génie génétique n'est pas aussi trivial et direct que les activistes anti-OGM tentent de le dépeindre.
Il s'agit d'un processus complexe, axé sur les résultats et hautement réglementé, auquel on peut donc faire confiance.
_____________
* Le Dr Oria (PhD) est biologiste spécialiste du cancer au Centre de Recherche et d'Innovation Biotechnologique de Copenhague, au Danemark.
Source : Genetic engineering is not as trivial and straightforward as activists against GM crops try to portray it - Alliance for Science
https://seppi.over-blog.com/2023/07/le-genie-genetique-n-est-pas-aussi-trivial-et-simple-que-les-militants-contre-les-cultures-genetiquement-modifiees-tentent-de-le-depeindre.html
Un jour (il y a longtemps) quelqu'un a essayé de vendre de l'eau 'bio' !!
SupprimerDemain il vendront de l'air 'bio' !!
Il y a tellement de cons sur Terre qu'il y a clientèle !
La classification des substances cancérogènes repose-t-elle sur une approche de type « case à cocher » ?
RépondreSupprimer5 Juillet 2023
Susan Goldhaber, ACSH*
Quelles sont les substances chimiques qui présentent un danger en tant que cancérogènes potentiels pour l'homme ? Pour répondre à cette question, deux approches concurrentes, qui utilisent des données scientifiques pour évaluer les substances chimiques en fonction de ce danger, s'opposent. Pouvons-nous déterminer laquelle de ces deux approches est la « meilleure » ?
Les tests de cancérogénicité des substances chimiques sur les animaux sont opportuns, coûteux et, pour certains, moralement répréhensibles. Les données non traditionnelles consistent principalement en des tests rapides et peu coûteux sur des cellules que de nombreux scientifiques et organismes de réglementation considèrent comme un substitut éventuel pour des expériences traditionnelles sur les animaux utilisées pour identifier les substances cancérogènes. L'EPA a beaucoup investi dans le développement de ces données, appelées « données in vitro à haut débit et à haut contenu », en mettant les résultats à la disposition du public dans sa base de données ToxCast/Tox21. Ces données non traditionnelles peuvent-elles améliorer l'évaluation et la classification de la cancérogénicité des substances chimiques ?
Le cadre de pertinence humaine du mode d'action du Programme International sur la Sécurité Chimique (PISC) a été élaboré en 2001 et a fait l'objet de nombreuses itérations. Les caractéristiques clés des substances cancérogènes (KCC – Key Characteristics of Carcinogens) ont été élaborées en 2012 et sont utilisées par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) dans ses évaluations.
Les caractéristiques clés des substances cancérogènes (KCC)
En 2012, le CIRC a organisé deux ateliers au cours desquels des experts scientifiques ont examiné les preuves qui ont permis de classer les substances chimiques comme cancérogènes pour l'homme (groupe 1). Les experts ont conclu qu'au niveau cellulaire, ces substances chimiques présentent généralement une ou plusieurs des dix caractéristiques clés des substances cancérogènes (KCC) :
Elles se lient facilement aux substances présentes dans les cellules ;
Elles endommagent l'ADN (génotoxiques) ;
Elles endommagent les protéines impliquées dans la réparation de l'ADN après qu'il a été endommagé ;
Elles modifient les substances présentes dans les cellules qui n'altèrent pas la séquence de l'ADN mais en modifient l'expression (épigénétique) ;
Elles augmentent le stress oxydatif, en formant des radicaux libres dans les cellules ;
RépondreSupprimerElles provoquent une réaction inflammatoire prolongée du système immunitaire ;
Elles provoquent la suppression du système immunitaire de l'organisme ;
Elles se lient à des récepteurs dans les cellules, ce qui endommage la fonction cellulaire ;
Elles permettent aux cellules de se répliquer indéfiniment ;
Elles provoquent la mort des cellules par différents processus.
Les KCC sont mesurés à l'aide de tests rapides et peu coûteux, dont beaucoup ont été mis au point dans les années 1970 et 1980. Par exemple, le test d'Ames utilise des bactéries pour déterminer si une substance chimique est génotoxique, c'est-à-dire si elle provoque des mutations dans l'ADN. D'autres tests utilisent des bactéries, des cellules de mammifères et de non-mammifères, y compris des nématodes, des poissons zèbres et des insectes – tous fournissent une réponse positive ou négative pour chacune des dix caractéristiques
Comment le CIRC utilise les KCC
Le CIRC classe les substances chimiques dans les cinq groupes suivants sur la base d'études humaines (épidémiologiques) et d'études sur des animaux de laboratoire :
Cancérogène pour l'homme (groupe 1) – preuves suffisantes de cancérogénicité pour l'homme ;
Probablement cancérogène pour l'homme (groupe 2A) – preuves limitées de cancérogénicité pour l'homme et preuves suffisantes de cancérogénicité pour les animaux de laboratoire ;
Possiblement cancérogène pour l'homme (groupe 2B) – preuves limitées de cancérogénicité chez l'homme et preuves insuffisantes de cancérogénicité chez les animaux de laboratoire OU preuves insuffisantes de cancérogénicité chez l'homme mais preuves suffisantes chez les animaux de laboratoire ;
Non classifiable quant à sa cancérogénicité pour l'homme (groupe 3) – preuves insuffisantes de cancérogénicité chez l'homme et preuves insuffisantes ou limitées chez les animaux de laboratoire ;
Probablement non cancérogène pour l'homme (groupe 4) – preuves suggérant l'absence de cancérogénicité chez l'homme et les animaux de laboratoire.
Le CIRC utilise les données non traditionnelles des KCC pour faire monter ou baisser la classification des cancers, en attribuant un descripteur « fort », « modéré » ou « faible » aux preuves.
RépondreSupprimerLe glyphosate
J'ai déjà écrit sur la classification erronée du glyphosate par le CIRC comme « probablement cancérogène pour l'homme » ici et ici. Cette classification était basée sur des études animales qui montraient des « tendances positives » dans la formation de tumeurs. Le CIRC a classé deux KCC : les dommages à l'ADN (effet génotoxique) et le stress oxydatif (formation de radicaux libres). Les preuves pour les autres KCC étaient faibles ou insuffisantes [1]. Ces preuves étaient suffisantes pour faire passer la classification du cancer à « probablement cancérogène pour l'homme ».
Les preuves de génotoxicité sont mitigées, avec des études positives et négatives. Des études positives ont été menées sur l'induction d'un stress oxydatif ; toutefois, ce KCC n'est pas spécifique aux agents cancérigènes. Le stress oxydatif est une réponse cellulaire courante à une grande variété de substances chimiques, y compris celles qui ne causent pas de cancer. Il n'est pas surprenant qu'il y ait souvent des preuves solides de l'existence de ce KCC, car presque toutes les substances chimiques provoquent cette réaction lorsqu'elles sont testées à des doses élevées.
Cet exemple montre comment les KCC peuvent faire monter la classification cancérogène d'un substance chimique pour laquelle les données humaines ou animales sont très peu probantes.
Les lacunes des KCC
Lorsque le CIRC a élaboré les KCC, il a négligé d'inclure un groupe de contrôle, c'est-à-dire les substances chimiques non cancérogènes pour l'homme. Supposons qu'il ait examiné les caractéristiques des substances chimiques cancérogènes et non cancérogènes. Dans ce cas, ils auraient pu déterminer quels facteurs étaient spécifiques aux substances chimiques cancérogènes pour servir de base raisonnable à la caractérisation des cancérogènes. Il n'y a aucun moyen de savoir si les caractéristiques sont vraiment propres aux substances cancérogènes en n'incluant que les substances cancérogènes. Une étude portant sur l'approche KCC a montré que la capacité à prédire le risque de cancer pour chaque caractéristique clé ou combinaison n'était pas meilleure que le hasard seul – c'est-à-dire que leur pouvoir prédictif était le même que celui d'une pièce de monnaie tirée à pile ou face.
L'utilisation des KCC par le CIRC est en outre entravée par des mesures inadéquates de l'exposition et des organes cibles. Les études utilisent souvent des doses plusieurs fois supérieures à celles auxquelles les gens sont exposés et comme des expositions uniques, de sorte qu'aucun effet cumulatif ne peut être identifié. Les études portent souvent sur des espèces, par exemple des bactéries et des poissons, qui ne sont pas directement pertinentes pour la santé humaine, et l'organe à risque pour le développement de tumeurs n'est pas identifié.
Programme International sur la Sécurité Chimique (PISC) – Une meilleure approche
RépondreSupprimerLe cadre de pertinence humaine du mode d'action du PISC a été élaboré en 2001 par un vaste groupe interdisciplinaire de scientifiques de l'EPA, de l'Agence Européenne des Produits Chimiques, de l'Organisation Mondiale de la Santé et d'universités des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de l'Europe. Le cadre évalue s'il y a suffisamment de données pour établir un événement déclencheur qui doit se produire, au niveau cellulaire ou moléculaire, pour qu'une substance chimique provoque un cancer.
Ces événements déclencheurs peuvent être fondés sur des données animales et non traditionnelles et prennent en compte plusieurs facteurs :
La force de l'association – existe-t-il plusieurs études montrant le même effet ?
La cohérence de l'association – existe-t-il des études portant sur des espèces, des souches et des organes différents ?
La spécificité de l'association – existe-t-il des études portant sur une gamme de durées et de niveaux de dose ?
La concordance dose-réponse – les études montrent-elles que des doses plus élevées entraînent des effets plus importants que des doses plus faibles ?
La relation temporelle – les événements se produisent-ils dans une séquence temporelle logique ?
La plausibilité biologique – les événements sont-ils cohérents avec ce que l'on sait du développement biologique du cancer et avec les modes d'action d'autres substances chimiques ?
Le mode d'action le plus plausible est sélectionné, puis évalué pour déterminer s'il peut également se produire chez l'homme.
Sulfoxaflor
Le sulfoxaflor est un insecticide qui provoque des tumeurs du foie à la suite de l'administration de doses élevées dans des études sur les rats et les souris.
Dans une étude de cas utilisant le IPCS Mode of Action Human Relevance Framework (cadre de pertinence humaine du mode d'action du PISC), cinq modes d'action alternatifs ont été évalués, et l'un d'entre eux, le Constitutive Androstane Receptor (CAR – récepteur constitutif des androstanes), une protéine active dans la détoxification des médicaments et d'autres substances, a été sélectionné car il répondait aux six critères d'un événement déclencheur.
Sur la base d'études menées sur des cellules humaines et des souris génétiquement modifiées, ce mode d'action déclencheur n'a pas été jugé pertinent pour l'homme, car l'activation du CAR chez l'homme n'augmente pas la prolifération des cellules hépatiques et la formation subséquente de tumeurs. Le sulfoxaflor n'a pas été considéré comme cancérogène pour l'homme.
RépondreSupprimerPourquoi c'est important
L'approche des KCC est fondamentalement erronée car ses caractéristiques ne sont pas spécifiques aux substances cancérogènes. Elle tend à augmenter le nombre de « faux positifs » parce que les caractéristiques sont larges et non spécifiques. D'autres agences et organisations que le CIRC adoptent l'approche KCC. Il est facile d'en comprendre l'intérêt ; elle semble présenter une manière simple et organisée d'utiliser des données non traditionnelles pour classer les substances chimiques en fonction de leur cancérogénicité. Toutefois, en y regardant de plus près, on s'aperçoit qu'il s'agit d'une approche fondée sur une liste de contrôle qui ne tient pas compte de nombreuses questions importantes concernant le développement du cancer.
Il en résulte que la plupart des substances chimiques seront reclassées dans un niveau de cancérogénicité plus élevé, généralement « probablement cancérogène », même en l'absence de preuves solides chez l'homme ou l'animal, étant donné qu'il existe presque toujours des preuves positives pour un ou plusieurs des critères de classification clés.
L'approche du PISC constitue une alternative beaucoup plus solide sur le plan scientifique et devrait être adoptée par toutes les agences scientifiques. Bien qu'elle prenne du temps et ne soit pas facile à mettre en œuvre, cette approche nous rapprochera du résultat que nous devrions tous souhaiter, à savoir une représentation précise du risque de cancer lié aux substances chimiques.
_______________
[1]
Se lie facilement aux substances présentes dans les cellules – aucune preuve
Endommage l'ADN (génotoxique) – preuves solides
Cause des dommages aux protéines impliquées dans la réparation de l'ADN après qu'il a été endommagé – preuves insuffisantes
Modifie les substances à l'intérieur des cellules qui ne causent pas d'altérations dans la séquence de l'ADN mais modifient leur expression (épigénétique) – preuves insuffisantes
Augmente le stress oxydatif, en formant des radicaux libres dans les cellules – preuves solides
Provoque une réaction inflammatoire prolongée du système immunitaire – preuves insuffisantes
Entraîne la suppression du système immunitaire de l'organisme – preuves insuffisantes
Se lie à des récepteurs dans les cellules qui endommagent la fonction de la cellule – preuves faibles
Provoque la réplication indéfinie des cellules – preuves insuffisantes
Provoque la mort des cellules par différents processus – preuves faibles
Sources : IARC use of oxidative stress as key mode of action characteristic for facilitating cancer classification: Glyphosate case example illustrating a lack of robustness in interpretative implementation (l'utilisation par le CIRC du stress oxydatif comme principale caractéristique du mode d'action pour faciliter la classification des cancers : le glyphosate comme exemple de cas illustrant un manque de robustesse dans la mise en œuvre interprétative) Toxicology and Pharmacology DOI : 10.1016/j.yrtph.2017.03.004.
Improving the International Agency for Research on Cancer's consideration of mechanistic evidence (améliorer la prise en compte par le Centre International de Recherche sur le Cancer des preuves mécanistes) Toxicology and Applied Pharmacology DOI : 10.1016/j.taap.2017.01.020.
RépondreSupprimerCategorizing the characteristics of human carcinogens: a need for specificity (catégorisation des caractéristiques des substances cancérogènes pour l'homme : un besoin de spécificité) Archives of Toxicology DOI : 10.1007/s00204-021-03109-w
* Susan Goldhaber, M.P.H., est une écotoxicologue qui a plus de 40 ans d'expérience dans des agences fédérales et d'État ainsi que dans le secteur privé. Elle s'intéresse particulièrement aux substances chimiques présentes dans l'eau potable, l'air et les déchets dangereux. Elle se concentre actuellement sur la traduction des données scientifiques en informations utilisables par le public.
Source : Is a Check-the-Box Approach Right for Classifying Carcinogens? | American Council on Science and Health (acsh.org)
https://seppi.over-blog.com/2023/07/la-classification-des-substances-cancerogenes-repose-t-elle-sur-une-approche-de-type-case-a-cocher.html
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