Le programme d'euthanasie du Canada : des soins de santé ?
05.07.2023 www.kla.tv/26472
Tu es pauvre, dépressif, handicapé, voire socialement inadapté, alors choisis plutôt une „belle mort“. Quand on entend une telle phrase, on croit avoir mal entendu ! Pourtant c’est cela ou quelque chose de similaire qui pourrait bientôt être le slogan publicitaire du programme d'euthanasie « Medical Assistance in Dying » [en français: Aide médicale à mourir] du gouvernement canadien.
Dans le secteur canadien de l'euthanasie, des plans ont été développés, pour promouvoir de façon ciblée le suicide. Cette pratique, qui existe depuis quelques années déjà, est approuvée et organisée par le gouvernement, elle prend des formes de plus en plus difficile à comprendre.
On ne peut nier qu’il y a ici une certaine ressemblance avec le film de science-fiction "Soleil vert", dans lequel on va volontiers mourir pour le bien commun au lieu d’être un fardeau pour la société. Le Canada a décidé de définir le suicide assisté par injection létale comme un soin de santé. Non seulement on réclame que cette possibilité soit offerte dès l'âge de 12 ans, mais aujourd'hui, deux philosophes de l'Université de Toronto plaident même pour que l'euthanasie des pauvres soit acceptée par la société.
Kayla Wiebe, doctorante en philosophie, et Amy Mullin, bioéthicienne et pro-fesseure de philosophie, publient un article dans le Journal of Medical Ethics. « Il est inacceptable que des personnes qui souffrent déjà de conditions sociales injustes soient contraintes d'attendre que ces conditions s'améliorent (...). La solution recommandée (...) doit être reconnue comme une approche visant à limiter les dégâts et être considérée comme la « moins pire » de deux options plus ou moins idéales. »
En clair, les deux femmes affirment qu'il n'y a que deux options : une vie misérable sans espoir d'aide ou d'amélioration, ou un "beau suicide". Ce que Wiebe et Mullin qualifient de "pire des cas" revient cependant à dire que ces personnes défavorisées auraient le droit de décider elles-mêmes de leur vie. D’après elles, chacun devrait avoir le droit de décider si sa vie vaut la peine d'être vécue et ce choix devrait être respecté. Bien que cette solution soit tragique, ce serait néanmoins selon elles la meilleure "stratégie de limitation des risques". La question se pose inévitablement de savoir pour qui ces solutions méprisables limitent le plus les risques. Pour étayer leur suicide "éthiquement acceptable", les deux femmes se servent d'histoires effrayantes de citoyens canadiens qui, faute d'aide sociale, doivent recourir à l'euthanasie.
Compte tenu de l'évolution rapide de la réglementation canadienne sur le suicide et de la détermination du gouvernement Trudeau à continuer à la développer, des propositions comme celle-ci devraient être traitées avec le plud grand sérieux !!! Au lieu que les dirigeants politiques s'engagent de toutes leurs forces à remédier à cette situation et à rendre la vie de ces personnes plus agréable à tout prix, le "suicide'' est non seulement encouragé, mais proposé comme la solution la plus acceptable.
Celui qui propose la mort plutôt que la vie aux citoyens de son peuple, commet un crime. Et celui qui ne se bat pas pour protéger à tout prix la vie de ses concitoyens et qui ne contribue pas à l’améliorer ne peut pas se dire représentant du peuple ni agir en tant que tel.
de tt/avr Sources / Liens : Sources : https://uncutnews.ch/soylent-green-ist-nicht-mehr-weit-kanadische-wissenschaftler-plaedieren-in-einem-papier-fuer-sterbehilfe-fuer-arme-menschen/
ARTICLE D'UNIVERSITAIRES CANADIENS EN FAVEUR DE L'EUTHANASIE POUR LES PAUVRES
Les personnes autistes et handicapées mentales sont maintenant euthanasiées aux Pays-Bas
07/05/2023 Cassie B.
Une nouvelle étude alarmante montre que des personnes atteintes d'autisme et d'autres types de déficiences intellectuelles sont euthanasiées aux Pays-Bas, et les experts craignent que ces personnes ne soient pas capables de comprendre les répercussions de leur décision. Selon des chercheurs de l'Université de Kingston, des dizaines de personnes par ailleurs en bonne santé atteintes de handicaps intellectuels ou d'autisme sont décédées par suicide médicalement assisté entre 2012 et 2021. facteur dans leur décision de mettre fin à leurs jours.
Au cours de la période étudiée, environ 60 000 personnes ont choisi de mettre fin à leurs jours par euthanasie aux Pays-Bas. Le comité d'examen de l'euthanasie du pays a mis à disposition des documents pour 900 de ces cas dans le cadre de mesures de transparence. Beaucoup de personnes impliquées étaient plus âgées et souffraient de maladies graves telles que le cancer, la SLA ou la maladie de Parkinson. Cependant, parmi ces cas, 39 souffraient d'autisme ou de déficience intellectuelle, et 18 d'entre eux avaient moins de 50 ans.
Certains d'entre eux ont cité des problèmes tels qu'une solitude insupportable comme étant à l'origine de leur désir de mettre fin à leurs jours. Pour huit personnes, la seule cause de leur désir de mourir était liée à une déficience intellectuelle, comme un manque de stratégies d'adaptation, une incapacité à s'adapter au changement ou l'isolement social.
Un jeune homme dans la vingtaine, par exemple, a déclaré se sentir malheureux depuis son enfance et souffrir d'intimidation régulière et d'une incapacité à se connecter avec les autres. Il a choisi de mettre fin à ses jours parce qu'il estimait que continuer à vivre était "une abomination".
Cette tendance bouleversante a conduit les experts à se demander si la loi du pays autorisant les médecins à aider les patients suicidaires à mourir en leur fournissant des injections létales correspondait toujours à ses intentions lors de sa première promulgation en 2002.
Des éthiciens et des psychiatres s'inquiètent de l'euthanasie de patients souffrant de troubles mentaux Selon l'éthicien Kasper Raus de l'Université de Gand en Belgique, où cette pratique est également légale, le type de patient demandant un suicide médicalement assisté a considérablement évolué au cours des 20 dernières années.
Il souligne que les Pays-Bas ont d'abord légalisé l'euthanasie humaine avec l'idée d'aider les personnes atteintes de cancer. Les conditions requises pour être admissible à la pratique incluent le fait de souffrir d'une maladie incurable qui provoque une quantité «insupportable» d'angoisse physique ou mentale, bien que la décision soit finalement laissée aux médecins. Cela signifie que de nombreux patients peuvent être en mesure de réduire les exigences s'ils trouvent un médecin qui est prêt à les aider à mourir.
Un psychiatre néerlandais, le Dr Bram Sizzo, a pesé sur cette tendance inquiétante, déplorant le fait que certaines de ces personnes semblaient excitées par l'idée de mourir et pensaient que cela mettrait fin à leurs problèmes ainsi qu'à ceux de leur famille.
Le directeur du Centre de recherche sur l'autisme de l'Université de Cambridge, Simon Baron-Cohen, s'est dit préoccupé par le fait que les personnes ayant une déficience intellectuelle pourraient ne pas comprendre pleinement la décision de mettre fin à leurs jours, affirmant qu'il était « odieux » que ces personnes ne reçoivent pas un plus grand soutien au lieu d'être euthanasiées.
Irene Tuffrey-Wijne, spécialiste des soins palliatifs à l'Université de Kingston, a déclaré: «Il ne fait aucun doute dans mon esprit que ces personnes souffraient. Mais est-ce que la société est vraiment d'accord pour envoyer ce message, qu'il n'y a pas d'autre moyen de les aider et qu'il vaut mieux être mort ?"
Il est difficile d'imaginer que quelqu'un qui pense que la mort est la solution à des problèmes comme la solitude ou l'isolement social puisse être considéré comme suffisamment sain d'esprit pour prendre une décision aussi importante et irréversible. Certains experts craignent à juste titre que le fait de permettre aux personnes atteintes de maladie mentale de choisir de mourir alors qu'elles ne comprennent pas pleinement la complexité de la situation vire dangereusement en territoire eugéniste.
Bill Gates investit 400 millions de dollars dans des essais de vaccins sur des Africains
6 juillet 2023 du Dr. Peter F. Mayer
Le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, a investi la somme colossale de 400 millions de dollars dans un projet visant à tester des vaccins sur des milliers de citoyens du tiers monde. L'argent, financé par la Fondation Bill & Melinda Gates du milliardaire, devrait financer un essai clinique de phase 3 pour un vaccin contre la tuberculose.
Les essais de vaccination doivent être menés sur 26 000 personnes dans 50 sites en Afrique et en Asie du Sud-Est au cours des quatre à six prochaines années . Gates a promis 400 millions de dollars pour l'étude et la Wellcome Foundation a promis 150 millions de dollars supplémentaires. Wellcome est le plus grand bailleur de fonds de la recherche médicale au Royaume-Uni et l'un des plus importants au monde.
Les essais testeront le vaccin M72/AS01 précédemment financé par la Fondation Gates. Le vaccin a été développé par le géant pharmaceutique GSK (anciennement GlaxoSmithKline) avec un financement partiel de la Fondation Gates.
Pendant ce temps, les médias d'entreprise ont célébré l'annonce de la Fondation Gates. Des experts ont déclaré au Washington Post que la nouvelle était "énorme". Le Guardian a qualifié l'annonce de "révolutionnaire" tandis que STAT l' a qualifiée de "prometteuse" .
Cependant, Brian Hooker , Ph.D., PE, directeur principal de la science et de la recherche à l'organisation à but non lucratif Children's Health Defence de Robert F. Kennedy Jr., a déclaré à The Defender que les essais prévus du vaccin contre la tuberculose sont l'occasion de soulever préoccupations.
" Je crains qu'ils ne prévoient de mener les essais dans des pays sous-développés ", a déclaré Hooker. « Il semble presque prototypique que les pays sous-développés servent de cobayes pour le reste du monde. Cinquante pour cent est une efficacité incroyablement faible pour une intervention aussi « importante ».
GSK a développé le vaccin et mené de plus petites études de preuve de concept de phase 2b en 2018. Au cours des études, GSK a rapporté un taux d'efficacité de 54 %. Cependant, le fabricant du vaccin n'a pas mené les essais de phase III à grande échelle requis pour une licence.
Au lieu de cela, la licence a été accordée au Gates Medical Research Institute (GMRI) .
GMRI est une spin-off biotechnologique à but non lucratif de la Fondation Gates dédiée au développement de «nouvelles interventions biomédicales» pour résoudre les problèmes de santé mondiaux.
Le vaccin existant contre la tuberculose, le vaccin BCG (Bacille Calmette-Guérin), date de 1921. Le vaccin est efficace pour arrêter l'infection tuberculeuse chez les enfants mais a une efficacité limitée chez les adultes.
Recommandations de livres TKP :
Umberto Eco : L'éternel fascisme Des gens courageux d'Andrea Drescher Avant la "vaccination", ils étaient en bonne santé par Andrea Drescher Livres de Promedia Verlag La peur et la pandémie de mensonge par le professeur Dr. médical Andreas Sonnichsen Livres du Prof. DDr. Christian Schubert Tortues jusqu'au fond : la science et le mythe de la vaccination Mensonges, mensonges, mensonges : Terreur, tyrannie et conflagration mondiale comme nouvelle normalité des mondialistes Selon des estimations récentes , jusqu'à 25 % de la population mondiale est porteuse d'une infection tuberculeuse latente (asymptomatique), qui peut ensuite devenir active chez 5 à 15 % des porteurs latents. La tuberculose tue 1,6 million de personnes chaque année , principalement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Il est traitable et curable avec des antibiotiques. Des souches résistantes aux médicaments sont apparues, mais même celles-ci peuvent être traitées et guéries avec des médicaments de deuxième intention.
L'étude financée vise à tester si le vaccin expérimental peut empêcher les adolescents et les adultes atteints de tuberculose latente de développer des symptômes.
Dans l'étude précédente, 67% des personnes du groupe recevant le médicament ont signalé des effets indésirables non sollicités dans les 30 jours suivant l'injection, contre 45% dans le groupe placebo.
Les défenseurs du vaccin contre la tuberculose admettent que le déploiement mondial « nécessitera beaucoup de ressources » et exhortent les gouvernements à « augmenter considérablement les investissements dans le pipeline du vaccin contre la tuberculose ».
Le Wellcome Trust et la Gates Foundation espèrent trouver un partenaire commercial pour leur nouveau vaccin d'ici 12 mois, rapporte The Economist.
Début avril 2020, le port du masque est devenu obligatoire. Il était déjà clair à l'époque qu'ils ne protégeaient pas contre les virus et que les porter pendant de longues périodes était nocif pour la santé. Sinon, il n'y aurait pas eu de limitation de la durée de port dans les réglementations sur la santé et la sécurité au travail. Malgré cela, des médecins ont été condamnés pour avoir délivré des dispenses de masque comme ici ou ici. Les jugements sont factuellement incorrects et donc juridiquement indéfendables. Mais le mal des masques va plus loin.
L'un des dommages les plus graves causés par les masques est la perte d'apprentissage chez les étudiants, entraînant une réduction du QI. C'est ce que montre l'étude publiée en mars 2023 intitulée "Résultats des tests d'intelligence des élèves après six et seize mois de scolarité irrégulière due à la pandémie de COVID-19 ". Ça lit:
« Des recherches antérieures ont démontré l'importance de la scolarisation dans le développement des habiletés cognitives. Nous avons donc les performances aux tests d'intelligence de 424 élèves allemands du secondaire de la 7e à la 9e année (42 % de filles) testés après les six premiers mois de la pandémie de COVID-19 (c'est-à-dire l'échantillon de 2020), avec les résultats de deux élèves très comparables les échantillons des années 2002 (n = 1506) et 2012 (n = 197) ont été comparés.
Les résultats ont montré que les résultats des tests d'intelligence de l'échantillon de 2020 étaient significativement et significativement inférieurs à ceux des échantillons de 2002 et 2012. Nous avons retesté l'échantillon de 2020 en 2021 après une autre année scolaire complète dans l'école affectée par le COVID-19. Nous avons trouvé des changements de niveau intermédiaire d'une ampleur typique, sans aucune preuve de rattrapage par rapport aux cohortes précédentes ou de nouvelles baisses des performances cognitives.
Nous avons donc affaire aux étudiants avec des dommages continus dus aux mesures Corona, à savoir l'obligation de porter un masque. Le saviez-vous ? Bien sûr, car il y avait déjà des données à ce sujet.
L'exposition chronique au gaz carbonique entraîne une perte d'apprentissage chez les souris en croissance, même à 0,3 % de gaz carbonique. On sait également que les enfants portant des masques ont un taux de respiration supérieur à 1 %. Plus d'informations à ce sujet peuvent être trouvées ici dans cet article, entre autres.
Ainsi, le risque que le gaz carbonique entraîne une perte de QI à travers les masques est très élevé.
De temps en temps, il y a aussi des choses utiles de la Commission européenne, comme ce document sur l'évaluation des risques pour la santé. Il est démontré que même de faibles concentrations de plomb dans l'eau potable entraînent une perte de QI :
" L'utilisation des fonctions dose-réponse dans l'évaluation des risques et l'analyse socio-économique : le cas de l'exposition au plomb et les effets sur le QI . "
L'exposition au plomb est connue depuis longtemps pour causer des dommages biologiques et neurologiques importants associés à des troubles cognitifs et comportementaux. Par exemple, des relations dose-réponse ont été établies qui décrivent la relation entre la performance des enfants aux tests de QI et les mesures des concentrations de plomb dans le sang pendant la petite enfance. Ces relations dose-réponse sont utilisées dans l'évaluation des risques et l'analyse socio-économique pour déterminer un niveau acceptable de protection en termes de charge de morbidité individuelle et de la population. Les différentes tâches d'évaluation des risques et d'analyse socio-économique conduisent à des différences dans la manière dont ces relations dose-réponse sont utilisées dans chaque cas.
Les niveaux de gaz carbonique et de plomb sont comparables. Ici, l'influence du plomb dans l'eau potable est évaluée avec le test d'apprentissage Water Maze sur des souris et dans cette étude celle du gaz carbonique également dans le test Water Maze.
La perte d'apprentissage du plomb et du gaz carbonique est identique.
Ainsi, le gaz carbonique sous les masques est tout aussi dangereux pour les adolescents que le plomb dans l'eau potable.
Donc, si vous aviez fait une évaluation correcte des risques, vous auriez reconnu que les masques et le gaz carbonique entraînent une perte de QI. Le risque est très élevé et comparable à la perte de QI due au plomb dans l'eau potable.
Si même les organes de l'UE savent comment procéder à une telle évaluation des risques sur la base de données animales, pourquoi n'a-t-elle pas été réalisée ? Pourquoi juge-t-on des médecins qui , sur la base d' un savoir ou d'un ressenti, ont tout fait correctement ?
En tout état de cause, l'obligation de porter des masques a causé des dommages durables, précisément dans les tranches d'âge où il existe un risque de permanence.
L'actrice Katarina Pavelek opte pour le SUICIDE assisté suite à des blessures par balle de rappel COVID
07/04/2023 Ethan Huff
La mannequin et actrice slovaque Katarina Pavelek, connue pour son travail sur Fox Sports Live (2013), The Mindy Project (2012) et Marry Me (2014), est décédée après avoir choisi de mettre fin à ses jours par suicide assisté.
Pavelek, dont les derniers jours ont été passés à Liestal, en Suisse, venait de recevoir une injection de "rappel" du coronavirus de Wuhan (COVID-19), dont on lui avait dit qu'elle aiderait à renforcer son système immunitaire. Au lieu de cela, la santé de Pavelek après l'injection s'est considérablement détériorée, selon Evie Magazine.
"Comme la plupart des gens, Pavelek pensait que la piqûre améliorerait son système immunitaire - au lieu de cela, il a fait le contraire, et elle en a beaucoup souffert", a rapporté le magazine.
"Pavelek a été diagnostiqué avec une maladie neurologique chronique incurable connue sous le nom d'encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique (EM/SFC), une maladie de longue durée avec un large éventail de symptômes qui affecte les activités quotidiennes. Parfois, cette condition peut confiner les gens à leur L'EM/SFC peut s'aggraver si les personnes atteintes de cette maladie se surmenent. Le modèle a également été soupçonné d'avoir une SLA respiratoire, une maladie neurodégénérative qui affaiblit les muscles impliqués dans la respiration et la déglutition.
(En relation: Plus tôt cette année, une recherche publiée dans la base de données épidémiologique médicale de la Défense [DMED] a révélé que les injections de rappel COVID sont liées à des problèmes cardiaques, à des cancers et à une "diminution étonnante" de la durée de vie moyenne.)
Développer l'EM/SFC à partir de piqûres COVID signifie généralement que la vie d'une personne se TERMINE, même si elle n'opte pas pour le suicide assisté Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis classent l'encéphalomyélite myalgique et le syndrome de fatigue chronique (EM / CFS) comme une maladie complexe et débilitante, tout comme Evie Magazine l'a rapporté en termes de souffrance pré-suicide de Pavelek.
Le CDC admet pleinement que les personnes qui développent l'EM / SFC sont généralement incapables de faire leurs activités habituelles et sont souvent confinées dans leur lit dans la misère. Les personnes souffrant d'EM/SFC développent également une fatigue accablante qui ne semble jamais s'améliorer, même avec des périodes de repos prolongées.
"L'EM/SFC peut s'aggraver après toute activité, qu'elle soit physique ou mentale", expliquent les rapports, ajoutant que les personnes atteintes d'EM/SFC ne semblent parfois même pas malades, même lorsqu'elles souffrent énormément.
Les personnes souffrant d'EM/SFC perdent essentiellement leur capacité à effectuer des tâches quotidiennes normales telles que préparer un repas ou même simplement prendre une douche. Ils sont généralement empêchés de garder un emploi, d'aller à l'école et de participer à la vie familiale et sociale comme les gens normaux.
Malheureusement pour ceux qui le développent, l'EM/SFC peut mettre plusieurs années à disparaître et entraîne souvent de graves handicaps. Au moins 25 % des patients atteints d'EM/SFC finissent par être alités ou du moins confinés à la maison pendant toute la durée de leur maladie.
Le 1er juin 2023, Pavelek a fait savoir à ses abonnés Instagram qu'elle avait pris la décision difficile d'opter pour le suicide assisté afin d'atténuer la douleur et la souffrance sans fin qu'elle a développées à la suite d'avoir été "renforcée" pour la grippe Fauci.
"Salut les gars, au cours des 10 derniers jours, je suis de nouveau tombé gravement malade à la maison, incapable de faire grand-chose", a écrit Pavelek dans le post. "Mon corps est trop faible pour lutter contre cette maladie et je n'ai plus de force alors j'ai pris la décision de mettre fin à mes jours à l'association Pegasos en Suisse. On m'a diagnostiqué une maladie neurologique chronique incurable."
"EM/SFC causé par une piqûre de rappel en plus d'avoir suspecté une SLA respiratoire. Cette maladie m'a rendu handicapé, incapable de travailler ou d'avoir une vie sociale et incapable de profiter de la vie tous ensemble. La respiration est devenue de plus en plus difficile et douloureuse pour moi et mon la fonction pulmonaire a diminué. Merci pour toute votre amitié et votre soutien au cours de l'année dernière.
Les dernières nouvelles sur le nombre croissant de blessures et de décès dus aux "vaccins" COVID peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
La pandémie de peur et de mensonge - examen des travaux de base d'Andreas Sönnichsen sur la crise corona
6 juillet 2023 du Dr. médical Dietmar Kabelka
Avec le début de la crise de Corona au début de 2020, la science est devenue une idéologie et l'information est devenue la propagande des gouvernements, des médias de service public et de la plupart des institutions scientifiques et médicales. Ce livre tente un examen scientifique honnête des données et des preuves d'études officiellement disponibles sur la pandémie de SRAS-CoV-2, sur les mesures de confinement et sur la "vaccination" COVID, combinées à l'histoire personnelle d'un critique inébranlable du récit corona.
Après son manuel « Science Competence in Medicine », qui a été publié en 2022 (en tant que co-auteur), Andreas Sönnichsen présente maintenant un travail de base pour le traitement factuel de la crise corona. Le fait qu'Andreas Sönnichsen soit appelé à entreprendre ce travail complet est prouvé par ses décennies d'expérience dans la conception d'études médico-scientifiques.
Le nouveau livre est une réévaluation des données officiellement disponibles et des preuves d'études sur la pandémie de Sars-CoV-2. Ce livre rend la théorie de la science claire et facile à comprendre.
Tous ceux qui veulent apporter une contribution honnête à l'analyse professionnelle de cette période de pandémie doivent maintenant se mesurer à ce chef-d'œuvre du résumé des preuves. Sönnichsen prouve sans équivoque que nous avons été témoins de ce qui est probablement le plus grand scandale de l'histoire de la médecine.
Il présente également une correspondance bizarre qui montre à quel point nos anciennes élites académiques sont devenues renfermées et aveuglées et comment le discours scientifique conduit soudainement à la diffamation et au discrédit.
L'analyse des données factuelles clairement structurées est assaisonnée des expériences personnelles de l'auteur, qui sont insérées à plusieurs reprises, ce qui donne lieu à un parcours de lecture fascinant couvrant toute la période de cet état d'urgence historique. Toutes les informations sont collectées et fournies avec un fil rouge. Un fichier source complet de 440 références est téléchargeable gratuitement.
Des débuts de l'identification virale très suspecte et du développement des tests PCR aux nombreux effets secondaires des "vaccinations" Covid, aucun aspect n'est laissé de côté.
Des NPI démesurés (interventions non pharmaceutiques telles que les masques et les confinements) à la dissection des données de l'étude "vaccins", la pratique de la mauvaise interprétation est montrée sobrement.
Ce livre permet une large base de connaissances pour le processus d'acceptation de notre société divisée. Pour une réconciliation, cependant, de nombreux problèmes de communication doivent encore être résolus. Ici aussi, Sönnichsen indique clairement que la peur alimentée par la propagande moderne a eu une forte influence sur le comportement de nos semblables. Nous devons tous faire face à ce travail d'éducation nécessaire et faire de notre mieux pour y contribuer.
"La pandémie de la peur et du mensonge" de Sönnichsen sera avec nous pendant longtemps, et un rafraîchissement régulier des données est garanti à chaque nouvelle édition.
Les pompiers meurent subitement. Un autre groupe mandaté par le vaccin ARNm COVID-19 souffrant de blessures et de décès
16 décès subits de pompiers au cours des 6 derniers mois examinés
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 6 juillet 2023
21 juin 2023 - Bayville, NJ - Le pompier de 34 ans Brian Letrent est décédé subitement d'une crise cardiaque. La veille, il a participé à une formation/exercice obligatoire à grande échelle. Il s'est effondré le lendemain en rentrant du travail avec une urgence cardiaque et est décédé au Bayshore Medical Center.
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15 juin 2023 - St. Paul, MN - Le pompier de 48 ans Chris Parsons est décédé subitement le 15 juin 2023. Il est décédé 6 jours après s'être effondré en rentrant chez lui après avoir couru une course de 5 km à Minneapolis. C'était un "mec qui courait deux fois par jour, qui courait des marathons".
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10 juin 2023 - Vermilion, OH - Le pompier de 50 ans William John McCale est décédé subitement d'une crise cardiaque apparente. Il avait subi des tests d'effort 4 jours plus tôt.
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10 juin 2023 – Bayfield, ON – Le pompier volontaire de 46 ans John Vanderhaar est décédé subitement le 10 juin 2023.
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5 juin 2023 - Dublin, GA - Le pompier de 26 ans Shaun Luke Daniel s'est effondré en marchant sur un pare-feu, la RCR a été pratiquée mais il est décédé à l'hôpital d'une crise cardiaque apparente.
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4 mai 2023 – London, ON – Le pompier de 56 ans Jan Paul Henry Joosten est décédé subitement le 4 mai 2023.
20 avril 2023 - Knoxville, TN - Le pompier de 44 ans Erik Nelson Collier est décédé subitement d'un arrêt cardiaque le 20 avril 2023. Il laisse derrière lui deux enfants.
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10 avril 2023 – Burnaby, C.-B. – Ray Sawada, 38 ans, ancien joueur de la LNH et pompier de la ville de Burnaby, est décédé subitement alors qu'il jouait au hockey.
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11 février 2023 – Edmonton, AB – Le pompier de 41 ans Chris Kinsella est décédé subitement, alors qu'il n'était pas en service à la suite d'un « événement médical ». Il a été quadruple vacciné (double rappel) et est décédé subitement d'un arrêt cardiaque alors qu'il participait à une course de ski de fond.
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3 février 2023 - Oregon - Brandon Norbury, ancien Navy Seal et pompier de 41 ans, a fait un arrêt cardiaque juste après l'entraînement et est décédé ( cliquez ici )( cliquez ici ).
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22 janvier 2023 - Vernon, C.-B. - Le pompier de 50 ans David Hentschel est décédé subitement et de façon inattendue.
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12 janvier 2023 - Sequim, WA - Le capitaine Charles "Chad" Cate, pompier de 46 ans, est décédé dans son sommeil le 12 janvier 2023. Il a été retrouvé mort dans sa couchette par son équipage à 7 heures du matin.
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14 décembre 2022 – Lakewood, WA – John Martin Garner, pompier et vétéran de l'armée américaine âgé de 45 ans, est décédé subitement le 14 décembre 2022. Il est décédé de «problèmes cardiaques après une formation intensive en sauvetage aquatique. "
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9 décembre 2022 - Quinn Grooms, 20 ans, a été retrouvé mort à la maison, ses parents pensent que "le coup de COVID-19 l'a tué".
Deux ambulanciers pompiers de Floride se sont suicidés. Trip Wooten le 9 janvier 2023 et Allen Singleton le 28 janvier 2023 ( cliquez ici )
Ma prise… L'ancien gestionnaire de Blackrock Hedge Fund, Ed Dowd, a examiné les données d'assurance américaines et a fait les conclusions suivantes : ( cliquez ici à partir de 8h25 )
Depuis janvier 2021, le taux d'invalidité de ceux qui sont restés sur le marché du travail pendant les mandats de vaccination contre la COVID-19 par rapport à ceux qui ont abandonné la population active (et n'ont pas reçu de vaccins contre la COVID-19) est 550 % plus élevé dans le groupe vacciné . La surmortalité est en hausse de 40% chez les 25-64 ans qui sont restés sur le marché du travail en 2021 et qui ont pris des vaccins COVID-19. ( cliquez ici à partir de 3:33 ) Quels étaient les métiers les plus vaccinés ?
Médecins, infirmières, pilotes, policiers, pompiers, militaires, travailleurs municipaux (chauffeurs de bus, etc.), enseignants. Ce sont les groupes qui voient le plus de morts subites en ce moment.
En raison de l'accumulation de protéines de pointe dans le cerveau, le risque de suicide est également accru chez les vaccinés contre le COVID-19.
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Le Dr William Makis est un médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursier de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.
Ben M. sur Twitter "Ces pics se produisent dans des points chauds très spécifiques, mais de manière synchrone dans le monde [..] ce qui, d'un point de vue épidémiologique, est strictement impossible, car le délai entre l'ensemencement d'une infection et l'augmentation soudaine de la mortalité est complètement incertain."
- voir graph sur site -
Ben M. sur Twitter "Le virus a absolument refusé de franchir ces frontières, bien sûr, c'est absurde, on croit qu'une maladie respiratoire virale se propage, et elle n'a pas besoin de passeport, et elle ne respecte pas les frontières, donc c'est encore une preuve, que c'est pas une pandémie respiratoire virale.
- voir carte sur site -
Ben M. sur Twitter "Vous voyez, à la suite du déploiement du vaccin, il y a un régime de mortalité plus élevé."
"Même chose pour chacun des États d'Australie."
"Le grand pic [dans le sud des États-Unis] coïncide avec [le] programme d'équité en matière de vaccins."
- voir graph sur site -
Ben M. sur Twitter "Vous injectez des personnes qui courent un risque élevé de mourir lorsque vous injectez des personnes âgées"
«Les jeunes adultes sont au-dessus du [risque] exponentiel. Il y a un plateau de risque de mourir pour les jeunes adultes.
- voir graph sur site -
Ben M. sur Twitter Le Dr Rancourt a conclu son témoignage en déclarant que d'après ses études détaillées sur la mortalité toutes causes confondues pendant la période covid, en combinaison avec des données socio-économiques et de déploiement de vaccins :
S'il n'y avait pas eu de propagande ou de coercition pandémique, et si les gouvernements et l'establishment médical avaient simplement continué comme si de rien n'était, il n'y aurait pas eu de surmortalité. Il n'y a pas eu de pandémie entraînant une surmortalité. Les mesures ont entraîné une surmortalité. La vaccination contre le Covid a provoqué une surmortalité.
La semaine dernière, le Dr Rancourt a publié un essai intitulé " Il n'y avait pas de pandémie " qui est basé sur son témoignage pour le NCI (voir la vidéo ci-dessous), son livre de 894 pages d'expositions à l'appui de ce témoignage et ses recherches continues. Dans son essai, il écrit :
En ce qui concerne les vaccins, nous avons quantifié de nombreux cas dans lesquels un déploiement rapide d'une dose dans le calendrier de vaccination imposé était synchrone avec un pic par ailleurs inattendu de la mortalité toutes causes confondues, parfois dans le cycle saisonnier et d'une ampleur jamais vue auparavant dans le record historique de mortalité.
Nous avons ainsi montré que la campagne de vaccination en Inde a causé la mort de 3,7 millions d'habitants fragiles. Dans les pays occidentaux, nous avons quantifié le taux moyen de décès tous âges confondus à 1 décès pour 2 000 injections, pour augmenter de manière exponentielle avec l'âge… Nous avons estimé que les vaccins avaient tué 13 millions de personnes dans le monde.
Il n'y avait pas de pandémie , Denis G. Rancourt, PhD, 22 juin 2023
Caillots sanguins : problème majeur avec les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19. Certains ont de la chance de survivre comme Deion Sanders, membre du Temple de la renommée de la NFL Images graphiques - 13 cas
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 6 juillet 2023
Les caillots sanguins ont été un problème majeur avec tous les vaccins COVID-19, y compris Pfizer et Moderna.
J'ai écrit plusieurs articles de sous-pile sur ceux qui sont morts de caillots :
30 avril 202 3 – Caillots sanguins – embolie pulmonaire chez la jeune femme – 14 cas 11 avril 2023 – Les AVC montent en flèche chez les jeunes 6 mars 2023 – Caillots sanguins – jeunes amputés Ceux qui ont survécu à des caillots sanguins après les vaccins COVID-19 ont de la chance d'être en vie, mais la plupart ont eu un parcours très difficile.
23 juin 2023 - Deion Sanders, 55 ans, membre du Temple de la renommée de la NFL et entraîneur-chef des Colorado Buffaloes, a lutté contre des caillots sanguins dans les jambes qui ont entraîné l'amputation de 2 orteils. Il a récemment subi une intervention chirurgicale pour enlever les caillots et éviter une nouvelle amputation ( cliquez ici )
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1er juillet 2023 – L'acteur de 45 ans Tyler Labine se remet d'un mal de ventre qui « s'avère être un caillot de sang potentiellement mortel dans vos intestins et votre foie et vous devez passer les 3 prochains jours à l'hôpital en essayant de ne pas mourir » ( il était entièrement vacciné contre le COVID-19)
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6 juin 2023 - Elizabethton, Tennessee - Larry Bowers (travaille au James H. Quillen VA Medical Center) s'est fait retirer des caillots de la jambe. Il est entièrement vacciné contre le COVID-19 et pense qu'ils ont été causés par le COVID-19, et non par les vaccins.
25 mai 2023 – Hartford, CT – Kristen Ann Mallinson, une grande entreprise, avait des vaccins Pfizer COVID-19 ARNm avec 3 rappels. Elle a été hospitalisée 11 jours avec des caillots sanguins dans les poumons et le cœur, avec un caillot sanguin de 6 pouces dans le cœur (photo ci-dessous). Elle regrette de s'être fait vacciner ( cliquez ici )
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21 mai 2022 - Brisbane, Australie - Dani Duchatel, 26 ans, est décédée subitement devant sa famille alors qu'elle jouait aux cartes après le dîner. Les médecins pensent qu'un caillot de sang provenant d'une opération récente sur sa jambe s'est rendu dans ses poumons, provoquant une embolie pulmonaire. Absurdité. ( cliquez ici )
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1er février 2023 - Willington, Royaume-Uni - Le footballeur de 20 ans Levi Dewey est allé à l'hôpital avec des symptômes de grippe, puis a souffert d'une septicémie sévère et a dû être amputé des deux jambes après avoir souffert d'une défaillance de plusieurs organes ( cliquez ici )
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1er janvier 2023 - La professeure de piano britannique Julianna Bransden a subi des blessures catastrophiques après les vaccins COVID-19 ( cliquez ici )
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Julianna a été entièrement vaccinée contre le COVID-19 . Le 23 décembre 2022, elle a développé des symptômes pseudo-grippaux et le 1er janvier 2023, elle a eu deux arrêts cardiaques, a fait un choc septique, une défaillance systémique de plusieurs organes, nécessitant une assistance respiratoire complète .
On lui a diagnostiqué une septicémie résultant d'une forme agressive de pneumonie. Après des semaines de combats, elle a dû subir une intervention chirurgicale pour amputer ses deux jambes sous le genou et perdra la plupart de ses doigts.
24 octobre 2022 - Krystina Pacheco, 29 ans, a souffert du syndrome de choc toxique après avoir donné naissance à sa fille le 24 octobre 2022, entraînant l'amputation de ses mains et de ses pieds quelques jours plus tard.
Décembre 2021 – Un utilisateur de Twitter âgé de 40 ans regrette d'avoir reçu des vaccins contre le COVID-19 ( cliquez ici )
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Novembre 2021 - Bryant, AR - Brandy Byrd-Brazeale, une enseignante de 5e année, a pris deux vaccins à ARNm Pfizer avec hésitation et 2 mois plus tard, elle a développé une TVP dans sa jambe droite, ce qui a finalement conduit à une embolie pulmonaire dans son poumon droit ( cliquez ici )
Avril 2021 - Sherri Whiting est un agent immobilier agréé. Une de ses amies s'est fait vacciner avec Moderna et 2 semaines plus tard, ils pensaient qu'elle faisait un AVC. C'était un caillot de sang qui est passé de son coude à son épaule ( cliquez ici )
Ma prise… Tous les vaccins COVID-19 sont thrombogènes (provoquent des caillots sanguins) : Pfizer, Moderna, AstraZeneca, J&J. Ces deux derniers ont été retirés du marché pour avoir causé des caillots sanguins.
La base de données VigiAccess de l'OMS répertorie 5,1 millions d'effets indésirables des vaccins COVID-19, dont : 29751 embolie pulmonaire, 20251 thrombose, 20017 TVP, 18077 accident vasculaire cérébral, 9695 IM, 5308 AVC ischémique, 4807 infarctus cérébral, 3255 SVT, 2495 thrombose du sinus veineux cérébral , 2204 thrombose veineuse membre
Cela représente plus de 100 000 événements de caillots sanguins signalés dans un seul système de déclaration d'événements indésirables. Appliquez un facteur de sous-déclaration de 10x ou 100x et cela signifie qu'il y a entre 1 million et 10 millions de personnes vaccinées contre le COVID-19 avec des caillots sanguins.
CV-19 Décès liés à l'exclusion des antibiotiques du protocole Fauci
De Wayne Lusvardi 6 juillet 2023
CECI EST DES INFORMATIONS, PAS DES CONSEILS MÉDICAUX
Des chercheurs indépendants à Pittsburgh, Los Angeles et Ottawa signalent séparément l'exclusion d'Anthony Fauci des antibiotiques dans le cadre du protocole de traitement COVID-19 comme la cause plausible de l'excès de décès dus à la pneumonie virale et aux dommages causés par la myocardite chez les vaccinés de 2020 à 2022. De nombreux décès en excès (plus de décès que la normale) n'étaient pas dus à une épidémie de virus ou à des blessures causées par le vaccin, mais à l'exclusion des antibiotiques de la norme de soins du traitement COVID-19. Mais la qualité des données n'est pas suffisante pour estimer l'ampleur de ces décès. Et cette compréhension suggère que ce qu'on a appelé un virus est bactérien, et non viral, et nécessite donc un traitement antibiotique qui a été exclu en vertu du protocole Fauci.
Pour gonfler le nombre de cas de COVID et de décès de 2020 à 2022, le CDC n'a pas compté la grippe et la pneumonie dans les statistiques sur les maladies pendant l'urgence COVID-19 et les a plutôt comptés comme des décès par COVID. Il y avait un incitatif financier de 35 000 $ par patient pour que les hôpitaux le fassent. Trois chercheurs indépendants ont commencé à dénoncer le refus d'antibiotiques.
J.J. Couey, PhD, biologiste, Gigaohm Biological, à Pittsburgh, Pennsylvanie, dans une interview en ligne a déclaré :
« Là où ils (CDC) disaient, encore et encore, les antibiotiques ne fonctionnent pas pour la pneumonie virale…. Donc, c'est un phénomène qui s'explique si on pense au fait qu'on a arrêté d'utiliser des antibiotiques pour une pneumonie virale déclarée sur la base d'un test PCR. Et cela a été fait dans le monde entier ».
De même, Denis Rancourt, PhD, physicien à Ottawa, au Canada, rapporte que cinquante pour cent des décès dus au COVID-19 étaient des pneumonies bactériennes nécessitant des antibiotiques qui seraient exclus en vertu du protocole Fauci. Rancourt affirme qu'il faut reconnaître que l'institutionnalisation d'un nouveau protocole de diagnostic et de traitement (remplacement des antibiotiques par des vaccins) était au cœur du protocole Fauci pour le COVID-19.
De même, le Dr Joseph Lee, MD, à Los Angeles, a écrit une lettre de 73 pages (non en ligne) au Dr Fauci qui est particulièrement informative (voir la vidéo ici - sauter le début).
L'intention déclarée des vaccins à ARN COVID-19 est d'injecter des protéines de pointe dans le sang qui incitent le corps à produire des anticorps à délivrer dans les poumons pour arrêter les infections respiratoires. Mais le Dr Lee affirme que les vaccinations contre le COVID-19 sont de la «science-fiction» car la molécule de protéine de pointe d'ARN est trop grosse (145 000 daltons) pour pénétrer dans les poumons pour arrêter une infection respiratoire (le maximum pour l'entrée pulmonaire est de 18 daltons).
Avantages inattendus – vaccins auto-désactivants
Selon le Dr Lee, la grâce salvatrice involontaire des vaccins à ARN C-19 est qu'ils induisent également la production de molécules de signalisation appelées chimiokines. Ces chimiokines peuvent provoquer une inflammation nocive, mais entraînent également la production d'enzymes d'interféron et de ribonucléase qui interfèrent avec et arrêtent tout anticorps nocif produit par les vaccins à ARN COVID-19. En d'autres termes, Lee raconte comment les responsables de la santé publique imposent apparemment sans le savoir des vaccins à ARN qui s'auto-désactivent, mais néanmoins leurs effets secondaires sont efficaces de manière inattendue.
En raison de la non-livrabilité du vaccin postulé par Lee dans les poumons et de la désactivation par la ribonucléase, le vaccin n'interfère pas avec la réponse immunitaire innée du corps pour éliminer une infection pulmonaire en 3 jours, mais seulement si les malades ne mangent pas de nourriture lors de l'infection (prouvant que les soins infirmiers bromure "nourrir un rhume, affamer une fièvre"). Lee souligne que 95% à 99% des non vaccinés "guérissent" d'une infection virale en trois jours sans vaccin ni antibiotique (à l'exclusion de l'angine streptococcique). Cette réponse innée comprend la génération interne d'enzymes ribonucléases et d'interféron ainsi que la non-ingestion de protéines ou d'acides aminés qui favorisent la croissance de l'infection.
Le Dr Lee dit que l'interrupteur de nos corps électrochimiques fluides est l'enzyme ribonucléase. Il affirme que les avantages non reconnus de l'enzyme ribonucléase (qui est partout) sont qu'elle se répand à travers la peau en tant que désactivateur de virus et qu'elle est des millions de fois plus puissante que la molécule d'anticorps du vaccin à ARN. Ainsi, l'excrétion de ribonucléase (et non de particules virales) à travers la peau est peut-être bénéfique, mais d'une manière différente de celle qui est mal comprise par les médecins de médecine conventionnelle et alternative comme une simple contamination ou contagion.
De plus, Lee soutient que puisque le vaccin à ARN est inefficace, ce n'est pas un vaccin mais un médicament et, en tant que tel, ne peut être imposé.
Lee souligne également que la bactérie saisonnière Streptococcus (angine streptococcique) peut provoquer une réaction auto-immune (anticorps) qui peut détruire la valve cardiaque appelée cardiopathie rhumatismale. L'amoxicilline (et la pénicilline, l'azithromycine) est l'antidote de l'angine streptococcique. Mais encore une fois, les antibiotiques ont été exclus du protocole C-19. La myocardite est l'une des conditions médicales les plus mal diagnostiquées avant la pandémie de COVID-19, car ses symptômes ne sont pas spécifiques. Le test le plus précis pour la myocardite est une IRM cardiaque.
Une étude rapporte que la myocardite est sept fois plus probable chez les non vaccinés que chez les vaccinés une fois que le malade a contracté le COVID-19. Cependant, il s'agissait d'une simple étude de revue de la littérature
et n'a pas de sens car il n'indique pas non plus si les patients ont reçu ou non des antibiotiques ; ou si le malade a jeûné ou n'a pas jeûné dans une fenêtre de deux jours après être tombé malade. Le bon sens aurait tendance à supposer que les non vaccinés sont également réticents à prendre des antibiotiques ou n'ont pas les ressources pour le faire. Cette étude est donc d'une corrélation superficielle, non de cause à effet, et reflète probablement des différences de classe sociale et non l'incidence de la myocardite. Cette étude indique comment même une étude par échantillon aléatoire avec un groupe témoin peut présenter de sérieux écueils en omettant les facteurs de confusion.
J'ai contacté une famille qui avait déjà eu le COVID et je lui ai demandé comment ils l'avaient léché sans aller à l'hôpital. Ils ont signalé qu'ils avaient mal à la gorge et ont contacté un médecin de conciergerie en ligne qui leur a prescrit l'antibiotique Azithromycine (appelé Z-Pack), le métoprolol pour réduire l'hypertension artérielle et l'ivermectine.
Précautions
Cet article est une information limitée et non un avis médical. Le Dr Lee avertit que les diabétiques ne doivent pas jeûner pendant deux jours après avoir contracté une infection respiratoire ou un mal de gorge, car leur glycémie tomberait à zéro, ce qui pourrait être fatal. La même précaution s'applique à toute personne ayant des conditions médicales préalables pour lesquelles elle devrait consulter un médecin en cas de maladie.
Le point de cet article est qu'il ne faut pas toujours éviter les antibiotiques prescrits pour les maux de gorge ou les infections ; ou à l'inverse tenter un autodiagnostic et un traitement par des infusions d'Ivermectine ou de Vitamine C sans consultation médicale. Les antibiotiques peuvent également avoir des effets secondaires négatifs.
De plus, si le Dr Lee a raison, à l'exception de la myocardite, les vaccins peuvent être inoffensifs parce qu'ils sont dysfonctionnels, mais leurs effets secondaires (produisant l'enzyme ribonucléase et l'interféron) peuvent être potentiellement bénéfiques pour des raisons mal comprises. De plus, la médecine traditionnelle et les soins infirmiers (« nourrir une soupe froide au poulet, affamer une fièvre ») ont une base scientifique mais ne doivent pas remplacer un avis médical judicieux.
Le nombre de sans-abri dans le comté de Los Angeles passe à plus de 75 000
5 Juillet 2023 Laura Harris
Le comté de Los Angeles compte désormais plus de 75 000 sans-abri dans ses rues, ce qui représente une augmentation de 10 % pour la ville et de 9 % pour le comté.
Selon un décompte massif effectué par des milliers de bénévoles au cours d'une période de trois jours en janvier, environ 75 518 personnes vivaient dans des tentes d'hébergement temporaire, des véhicules, des camping-cars ou d'autres types d'abris de fortune, contre 69 144 personnes ayant des conditions de vie similaires enregistrées dans l'année dernière.
Les chiffres démontrent une augmentation de 70 % du nombre de sans-abrisme dans le comté et une augmentation de 80 % dans la ville depuis 2015.
La plupart de ces augmentations se sont produites dans les quartiers Westside et Harbour de Los Angeles, chacun connaissant un afflux de plus de 2 000 personnes, soit une augmentation d'environ 45 % par rapport à l'année précédente.
South L.A., qui compte le deuxième plus grand nombre de sans-abri du comté derrière le centre de Los Angeles, a résisté à la tendance avec une baisse de 10%, ce qui représente environ 1 600 sans-abri de moins. Le nombre de sans-abri dans le reste du comté est resté relativement stable.
La mairesse de Los Angeles, Karen Bass, qui a pris ses fonctions à la fin de l'année dernière, a fait de la réduction du sans-abrisme sa priorité absolue. Elle s'est fixé un objectif ambitieux de faire sortir 17 000 personnes de la rue au cours de sa première année, prévoyant de les loger dans des motels locaux.
Cependant, cette stratégie s'est heurtée à des limites car de nombreux sans-abri semblent préférer la liberté relative de la vie dans la rue. De plus, la plupart des sans-abri luttent contre la toxicomanie et la maladie mentale, ce qui complique encore les efforts pour fournir une assistance efficace.
L'itinérance augmente malgré la présence de plusieurs programmes de logement Malgré l'allocation de fonds pour les abris, les logements permanents et la sensibilisation, le décompte annuel ponctuel publié par la Los Angeles Homeless Services Authority (LAHSA) révèle une croissance continue des campements de rue.
Va Lecia Adams Kellum, la nouvelle PDG de LAHSA, a décrit les résultats comme décevants mais pas surprenants.
"Nous pensions avec les chiffres de l'année dernière que nous aplatissions la courbe", a-t-elle déclaré. "Cependant, ce que nous voyons dans cette trajectoire, c'est que les gens restent dans une situation de vulnérabilité où ils tombent dans l'itinérance plus rapidement que nous ne pouvons les loger. Il en faut beaucoup plus pour redresser le navire."
L'augmentation du nombre de sans-abrisme était principalement due à une augmentation du nombre de personnes sans abri, par opposition à celles dans les refuges. La population non protégée a augmenté de 14 % dans tout le comté, dépassant les 55 000 personnes, tandis que le nombre de personnes protégées a légèrement diminué pour atteindre un peu plus de 20 000.
Le décompte annuel a également révélé une augmentation de 18 % du nombre de sans-abrisme, en particulier parmi les personnes vivant dans la rue. Plus de 27 000 personnes en situation d'itinérance depuis plus d'un an et souffrant de problèmes de santé mentale et de toxicomanie ont été recensées. 5 000 sans-abri supplémentaires ont été identifiés dans les refuges, ce qui représente une augmentation de 7 %.
La répartition démographique a montré une surreprésentation des Noirs, dont 31% de la population sans abri, plus de quatre fois leur part de la population totale du comté. La proportion d'Américains d'origine hispanique est restée stable à près de 43 %, tandis que le nombre d'Américains d'origine asiatique sans abri a plus que doublé, mais représentait toujours moins de 2 % de la population totale de sans-abri.
Une enquête ultérieure après le décompte a indiqué que 25% des sans-abri ont déclaré avoir une maladie mentale grave et 30% ont signalé des troubles liés à la consommation de substances.
Bass a exprimé sa frustration face aux derniers chiffres. Elle a fait part de ses inquiétudes quant au fait que la tendance à la hausse se poursuivrait à mesure que de plus en plus de personnes tomberaient dans l'itinérance après l'expiration des protections liées à la pandémie.
Bass a souligné l'urgence de la situation en déclarant: "Le défi qui nous attend est vaste, mais nous continuerons à travailler de toute urgence pour faire entrer Angelenos. Nous devons maintenir notre élan en serrant les bras avec les dirigeants à tous les niveaux de gouvernement alors que nous affrontons cette crise comme l'urgence qu'elle est. Des vies en dépendent.
En savoir plus sur la détérioration de l'état de la Californie et de ses villes sur CaliforniaCollapse.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" de l'année dernière dans lequel Mike Adams, le Health Ranger, prédit correctement comment les campements géants de sans-abri vont exploser à travers les États-Unis.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
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Homeless encampments are exploding in size all over America as rents soar and evictions surge.
Thousands living in “kingdom” of HOMELESSNESS near Disney World in Florida.
Les hauts gradés de l'armée donnent l'ULTIMATUM à Macron pour mettre fin aux émeutes en France
07/05/2023 Belle Carter
Un ancien haut commandant militaire français et plusieurs autres officiers supérieurs auraient adressé un ultimatum le 2 juillet au président français Emmanuel Marcon pour rétablir l'ordre dans le pays dans les 48 heures ou ils le feront eux-mêmes, avec l'armée.
Une lettre des 20 officiers supérieurs, qui contenait la menace, aurait circulé en Grande-Bretagne et en France. L'avertissement constituerait non seulement une "prise de position" des officiers en action contre l'État et le gouvernement légitime, mais il entraînerait également des sanctions très graves pour ceux qui y ont participé.
La fusillade mortelle de Nahel M., 17 ans, à Paris par la police française le 27 juin lors d'un contrôle routier a déclenché les troubles massifs qui ont poussé les forces de l'ordre de la ville et de sa banlieue environnante à maintenir l'ordre public pendant plusieurs jours. maintenant.
L'ancien candidat parlementaire du Brexit Party Barnsley Jim Ferguson a posté sur Twitter que ledit avertissement émanerait de l'ancien chef des Forces armées françaises, le général Pierre de Villiers, très respecté et décoré, qui s'est brouillé avec Macron au sujet de sa politique mondialiste et qui qu'il avait publiquement humilié lors d'une dispute sur les réductions des dépenses de défense.
Selon Ferguson, les De Villiers et les hauts responsables militaires en service ont lancé l'alerte qu'ils interviendraient la semaine prochaine si les émeutes n'étaient pas réprimées.
Il ne serait pas surprenant que le général dirige l'équipe qui a émis l'avertissement car De Villiers a publiquement critiqué le conflit en cours et la politique européenne à l'égard de l'Ukraine. Il souligne que la guerre russo-ukrainienne n'est "pas dans l'intérêt" des États-nations européens et que sa poursuite ne sert que les intérêts acquis du gouvernement américain. Le Figaro, basé à Paris, a rapporté que l'ancien chef des Forces armées a fait valoir que les pays européens devraient travailler à la désescalade de la guerre en Ukraine au lieu de suivre les "politiques d'escalade à haut risque" des États-Unis.
Des rapports, quant à eux, affirment que le général a souligné que "les émeutiers en France se sont armés d'armes automatiques, selon d'autres rapports dans une autre tournure des événements profondément troublante et troublante alors que Macron continue de perdre le contrôle de la situation".
Il n'y a pas d'autres mises à jour disponibles pour le moment. Rien ne confirme encore si l'ultimatum est réel ou de propagande.
La France sous Macron est constamment aux prises avec des crises En ce moment, la France continue d'exploser dans la violence alors que ses citoyens sont terrorisés et que leurs villes brûlent. De nombreux citoyens français et "gilets jaunes" se joignent à nouveau aux manifestations et demandent à Macron de démissionner ou d'être destitué. Et ce n'est pas la première fois qu'il est confronté à des situations difficiles comme les récentes turbulences dues à sa politique.
En mars, des émeutes ont également éclaté en raison d'une crise politique profonde lorsqu'il a relevé l'âge de la retraite de 62 à 64 ans en demandant à la Première ministre française Elisabeth Borne d'invoquer l'article 49.3 de la Constitution française, qui donne à l'exécutif le pouvoir de passer outre à une décision législative. vote. (En relation: Macron relève l'âge de la retraite de 62 à 64 ans, déclenchant des émeutes dans toute la France.)
Il a déclaré qu'il était nécessaire de maintenir la compétitivité de l'économie française et d'éviter que le programme de retraite ne soit déficitaire. Le président a déclaré aux ministres que "les risques financiers étaient trop grands" si les membres de l'Assemblée nationale avaient rejeté la proposition.
De plus, même pendant son premier mandat, son chemin a été semé d'embûches, car il a dû faire face aux manifestations des Gilets jaunes, à la pandémie de coronavirus COVID-19 de Wuhan et à la menace omniprésente du terrorisme en France. « C'est comme si la France était une cocotte-minute, chaque crise révèle des tensions, un conflit de société, des tensions sur le respect dû à nos institutions… Notre pays invoque sans cesse les valeurs républicaines, mais il semble que des pans entiers de la population ne les ressentent pas. comptent pour eux », a déclaré Bruno Cautres, chercheur en politique à l'institut de Sciences Po.
Selon Jordan Bardella, successeur de l'ex-présidente du Rassemblement national Marine Le Pen, les récents troubles ont révélé des fragilités susceptibles d'encourager un discours populiste. "Notre réponse politique doit être une réponse raisonnable, qui tienne compte de la réalité et du quotidien des Français", a-t-il ajouté.
Son prédécesseur, Le Pen, qui est arrivé deuxième derrière Macron aux élections de 2022, s'est retenu d'alimenter une réaction violente contre les émeutiers, s'en tenant à sa stratégie d'embrasser la politique dominante.
Suivez Rioting.news pour lire plus de mises à jour sur le soulèvement et le chaos en cours en France.
VIOLENCE DES MIGRANTS : Des émeutiers en France DÉTRUISENT l'une des plus anciennes bibliothèques publiques du monde
07/05/2023 Ethan Huff
L'une des bibliothèques publiques les plus anciennes et les plus historiques du monde, la bibliothèque de l'Alcazar à Marseille, n'est plus après que des migrants illégaux ont pris d'assaut l'installation et l'ont incendiée cette semaine.
Au cas où vous l'auriez manqué, des émeutes ont éclaté parmi les "migrants" français après qu'un adolescent nord-africain qui a menacé un policier a été abattu alors qu'il tentait de fuir les lieux dans sa voiture. Après cela, les « migrants » de la nation et leurs partisans blancs de gauche ont commencé à brûler et à détruire tout ce qui se trouvait en vue.
(En relation: Découvrez notre couverture précédente sur la façon dont la version française de l'opération psychologique de George Floyd a entraîné une émeute à grande échelle sous fausse bannière qui détruit la nation.)
"Incendies, cambriolages, même pillages de véhicules de police – tout ce qui se passe habituellement se déroule selon le scénario", explique un rapport, qualifiant tout le chaos de "vague" George Floyd "de feu de l'enfer et de damnation".
"De plus, les manifestants, dont beaucoup prétendent qu'ils sont des migrants et des Antifa de gauche, ciblent des banques, bloquent des routes et mettent même le feu à des voitures. Les autorités affirment avoir arrêté 667 émeutiers en une seule nuit."
Chaque fois qu'un criminel noir meurt aux mains de la police, les villes brûlent (merci aux mondialistes) Certains des dommages peuvent être réparés, mais pas nécessairement pour des installations historiques prisées comme la bibliothèque de l'Alcazar, dont la vidéo suivante montre qu'elle a été complètement détruite :
Comme vous pouvez le voir, la plus grande bibliothèque publique de Marseille a disparu, et les femmes blanches capturées dans l'image ci-dessous ne pourraient pas être plus heureuses :
La femme principale sur la photo est en fait la "mère" du garçon qui a été abattu. Elle célèbre le fait que la France brûle après son fils, qui s'est livré à un comportement criminel, a refusé la justice et mis d'autres personnes en danger, ce qui lui a finalement valu d'être abattu par les forces de l'ordre.
Il y a eu une autre "explosion" dans le Vieux-Port de Marseille, pour citer BFMTV, affilié de gauche de CNN. Parce qu'"aucune victime n'a été signalée", BFMTV a laissé entendre, tout comme nos propres médias l'ont fait après George Floyd, qu'il s'agit "pour la plupart de manifestations pacifiques".
"Peut-être qu'"aucune victime n'a été signalée" est le nouveau "manifestations principalement pacifiques"", a rapporté Revolver à propos de l'étrange choix de mots utilisé dans le reportage de BFMTV. "Vous savez que les choses vont mal quand même CNN le rapporte."
Quant à l'incendie de la bibliothèque de l'Alcazar, BFMTV a simplement écrit que le trésor historique "avait été vandalisé pendant la nuit", omettant, intentionnellement, de rendre compte de toute l'étendue de ce qui s'est réellement passé comme le montre la séquence vidéo ci-dessus.
"C'est bien plus que de simples 'dommages matériels' dont nous parlons", a ajouté Revolver. "C'était le cœur et l'âme culturels de la ville qu'ils ont détruits."
"Mais honnêtement, est-ce que ces émeutiers du lumpenprolétariat s'en soucient ? Ils ont poursuivi leur plan écœurant sans réfléchir à la perte culturelle massive qu'ils causaient. Mais pourquoi s'en soucieraient-ils ? Ils n'apprécient pas la culture française et préféreraient probablement une société mondiale de toute façon."
Les autres institutions françaises ciblées par les "migrants" violents et en colère comprennent les écoles, les mairies et les commissariats de police, ces derniers étant protégés par des policiers utilisant des gaz lacrymogènes, des canons à eau et des grenades à dispersion contre les émeutiers.
C'est pourquoi le président hongrois Viktor Orban s'oppose farouchement à l'ouverture des frontières de son pays à ces soi-disant "migrants", qui ne sont que des criminels violents à l'affût d'un catalyseur sous fausse bannière pour pouvoir incendier les pays blancs.
Les dernières nouvelles sur l'effondrement de la France et de l'Europe de l'Ouest aux mains des "migrants" illégaux - et des courtiers du pouvoir mondialistes qui les inaugurent tous - peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Macron déploie 45 000 policiers français pour lutter contre l'incendie d'infrastructures, de véhicules et d'espaces publics lors des émeutes nationales en cours
07/05/2023 Belle Carter
Le président français Emmanuel Marcon a déployé quelque 45 000 policiers le dimanche 2 juillet, un jour après l'inhumation de Nahel Merzouk dans la banlieue parisienne de Nanterre, pour faire face aux émeutes nationales en cours. Merzouk, 17 ans, a été abattu par la police lors d'un contrôle routier le 27 juin.
Sur le nombre total, 7 000 étaient stationnés dans la capitale française et sa banlieue, y compris dans les rues des principales destinations touristiques telles que les Champs-Élysées dans le centre de Paris alors que la police surveillait les appels sur les réseaux sociaux pour amener les émeutes au cœur de "La Ville Lumière". ."
Le même numéro a également été positionné la nuit précédente et des renforts ont été dépêchés sur les points chauds des jours précédents, notamment Lyon, Grenoble et Marseille. Les rapports indiquent que plus de 700 personnes ont été arrêtées après les funérailles de samedi alors que la police a tiré des gaz lacrymogènes et mené des batailles de rue avec des manifestants tard dans la nuit à Marseille, un point chaud du soulèvement. Ils ont arrêté environ 1 300 personnes la nuit précédente. (Connexe: des émeutes éclatent à travers la France alors que l'UE tombe sous l'invasion des migrants.)
Breitbart a en outre rapporté que quelque 45 policiers ou gendarmes ont été blessés, 577 véhicules ont été incendiés, 74 bâtiments ont été incendiés et 871 ont été incendiés dans les rues et autres espaces publics. Plus de 20 commissariats ou casernes de gendarmerie ont également été attaqués, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
De hauts responsables gouvernementaux ont dénoncé les attaques. Vincent Jeanbrun, dont la maison a été incendiée avec sa femme et ses enfants à l'intérieur, a déploré la façon dont le chaos a amené l'horreur et la honte à un nouveau niveau. La Première ministre Elisabeth Borne a qualifié l'attaque "d'intolérable", tandis que les procureurs ont déclaré qu'ils la traitaient comme une tentative de meurtre. Le maire Vincent Jeanbrun n'était pas chez lui lors dudit incident.
Pendant ce temps, certains jeunes manifestants ont profité des émeutes à Marseille. Ils ont affronté des groupes de dispersion de la police samedi soir à la Canebière, la principale avenue qui traverse le centre-ville, comme le rapportent des journalistes de l'agence de presse mondiale AFP.
"Ils sont venus spécifiquement pour faire des dégâts, piller et partir", a déclaré Youcef Bettahar, commerçant du centre commercial Merlan à Marseille. "Nous sommes vraiment dégoûtés par ce qui se passe."
Dans cette optique, Macron a exhorté les parents à assumer la responsabilité des émeutiers mineurs, dont un tiers étaient "jeunes ou très jeunes". Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, l'a confirmé ce week-end, déclarant que 30 % des personnes arrêtées étaient des mineurs, tandis que le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a affirmé que l'âge moyen des personnes arrêtées n'était que de 17 ans.
Le président a également tenu la deuxième réunion de crise en deux jours avec de hauts ministres au sujet de la fusillade vendredi matin. Son administration s'est jusqu'à présent abstenue de déclarer l'état d'urgence, une mesure prise pour réprimer des semaines d'émeutes dans tout le pays à la suite de la "mort accidentelle" de deux garçons fuyant la police en 2005.
Pour limiter davantage la violence en cours, les bus et les tramways ont également cessé de circuler après 21h00. Darmanin a également ordonné l'interdiction de la vente et du port de puissants feux d'artifice, que les émeutiers ont lancés sur les policiers et les bâtiments, ainsi que sur la vente de bidons d'essence, d'acides et d'autres produits chimiques et liquides inflammables, a indiqué le ministère.
A Marseille, tous les transports urbains ont été arrêtés à partir de 18h00. tandis qu'un certain nombre de villes ont déclaré des couvre-feux nocturnes. Des concerts au stade national et d'autres événements mineurs à travers le pays ont également été annulés en raison des circonstances actuelles. Parmi les événements annulés figuraient des concerts au Stade de France de l'auteure-compositrice-interprète Mylène Farmer, prévus vendredi et samedi soir.
Un haut responsable militaire avertit Macron : Rétablissez l'ordre dans le pays dans les 48 heures ou ils le feront eux-mêmes Un ancien haut commandant militaire français et plusieurs autres officiers supérieurs auraient adressé un ultimatum à Marcon pour qu'il arrête immédiatement les émeutes dans tout le pays dans les 48 heures ou ils le feront eux-mêmes.
Vingt responsables auraient écrit une lettre détaillant la "menace", qui a déjà circulé en Grande-Bretagne et en France. Il a déclaré que l'avertissement constituerait non seulement une «position» des officiers en action contre l'État et le gouvernement légitime, mais entraînerait également des sanctions très graves pour ceux qui y auraient participé.
L'ancien candidat parlementaire du Brexit Party Barnsley Jim Ferguson a posté sur Twitter, révélant l'ultimatum qui aurait été lancé par l'ancien chef des Forces armées françaises, le général Pierre de Villiers, que Macron avait précédemment humilié publiquement lors d'une dispute sur les réductions des dépenses de défense.
Si les émeutes ne sont pas réprimées, De Villiers et les hauts responsables militaires en service interviendront la semaine prochaine, a en outre révélé Ferguson.
Des rapports affirment que le général a souligné que "les émeutiers en France se sont armés d'armes automatiques, selon d'autres rapports dans une autre tournure des événements alarmante et troublante alors que Macron continue de perdre le contrôle de la situation".
Alors que la situation continue de se dérouler, il n'y a pas encore de confirmation si l'ultimatum est réel ou non.
Consultez Rioting.news pour des mises à jour sur le chaos continu en France déclenché par la violence policière contre un mineur.
Soit dit en passant, le C40 est un réseau mondial de maires qui représentent collectivement environ 25 % de l'économie mondiale. Le maire Adams de New York est probablement l'un de ces maires qui s'est prononcé assez ouvertement ces derniers temps en faveur de l'imposition de restrictions climatiques drastiques.
Gardez à l'esprit que la centaine de villes officielles du C40 ne sont pas les seuls endroits où les mesures anti-viande, anti-vol et anti-nouveaux vêtements sont poussées. Il y a plus de 1 000 villes à travers le monde qui ont indiqué leur engagement envers le programme, qui a mis moins de sept ans pour se concrétiser pleinement pour des raisons qui, selon certains, ont une signification prophétique.
Le réseau mondial d'"experts" Arup se vante souvent de "façonner les villes de mille façons". Arup compte 17 000 membres et des bureaux dans 46 des 97 villes qui composent officiellement le réseau mondial C40.
"C40 et Arup travaillent ensemble depuis 2009 et ont collaboré à des publications dystopiques telles que Deadline 2020, Green and Thriving Neighborhoods et un guide pour créer des quartiers net-zéro", explique un article de presse. "Mais ces collaborations ne se sont pas faites sans que l'argent change de mains."
En 2015, Arup s'est engagé à investir 1 million de dollars sur trois ans dans un partenariat de recherche avec le C40. Plus tard en 2019, Arup a engagé 3 millions de dollars supplémentaires dans le C40 sur une période de trois ans.
"En 2023, Arup a poursuivi son investissement dans le C40 avec jusqu'à 300 000 USD par an pour aider le C40 à stimuler la résilience et la décarbonisation dans les villes du monde entier", explique le même rapport susmentionné sur la manière dont ces deux groupes travaillent en étroite collaboration pour transformer la planète en un nouveau monde vert.
« Sans surprise, en mars 2023, C40 Cities a remis en lumière le rapport sur les émissions basées sur la consommation C40 / Arup 2019 dans un article intitulé « Un coup de projecteur sur les émissions basées sur la consommation ». »
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La Russie déclare que les États-Unis ont conçu des moustiques OGM pour lancer une attaque de guerre biologique contre Moscou
07/05/2023 Ethan Huff
Les médias occidentaux rechignent à la Russie face aux inquiétudes que la nation orientale a exprimées au sujet des États-Unis qui se préparent à libérer des moustiques transgéniques dans le cadre d'une attaque imminente aux armes biologiques contre Moscou.
Le Sun (Royaume-Uni) s'est moqué du Kremlin, comme de nombreux médias contrôlés par les grandes entreprises appellent encore la Russie, pour avoir même suggéré que les États-Unis et d'autres puissances occidentales oseraient jamais faire une telle chose - même si nous savons pertinemment que les puissances occidentales développent et libèrent des moustiques modifiés par la biotechnologie depuis plusieurs années maintenant.
(Connexe : l'automne dernier, nous avons signalé que l'industrie pharmaceutique avait commencé à libérer des moustiques génétiquement modifiés [OGM] dans la nature pour « vacciner » les gens avec des produits chimiques inconnus sans leur consentement.)
Le Sun affirme que les politiciens russes sont "paranoïaques" à propos d'une attaque de moustiques OGM, la suggestion étant que les États-Unis ne feraient jamais une telle chose. Pendant ce temps, il existe des dizaines d'usines d'armes biologiques gérées par les États-Unis en Ukraine dont nous savons qu'elles existent et que nous savons fabriquer ce type d'armes biologiques à utiliser contre les ennemis de l'État profond.
L'arrogance occidentale et la haine de la Russie deviendront sa chute
Selon des députés russes, des scientifiques occidentaux développent des moyens d'infecter les insectes transgéniques avec des virus tueurs qui finiront par être diffusés à Moscou, infectant potentiellement des millions de personnes.
"Je ne nommerai qu'un seul projet du Pentagone, appelé Allied Insects", a déclaré la députée Irina Yarovaya, chef de la commission parlementaire pour la sécurité, lors d'une audition avec d'autres responsables gouvernementaux.
« Comment évaluez-vous ces risques et ces menaces ? » Yarovaya a demandé de la chambre. « Comment sommes-nous préparés ? Nous attendons des propositions pour assurer notre sécurité économique.
Après que les images de la série de questions de Yarovaya soient devenues virales en ligne, les têtes parlantes occidentales ont déclenché un torrent de moqueries contre la Russie. L'une, se croyant intelligente, a écrit que "Deux choses sont infinies - l'univers et l'idiotie russe".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, quant à lui, se vante que le "compte à rebours a commencé" pour la Russie après que le président Vladimir Poutine a fait face à une prétendue "humiliation" lors de la rébellion du groupe Wagner.
« Quiconque choisit la voie du mal se détruit lui-même », a ironiquement écrit Zelensky dans un message sur Twitter, ne réalisant pas que lui et ses amis sont l'incarnation du mal dans ce monde.
"Pendant longtemps, la Russie a utilisé la propagande pour masquer sa faiblesse et la stupidité de son gouvernement. Et maintenant, il y a tellement de chaos qu'aucun mensonge ne peut le cacher."
Avec l'aide du faux président américain Joe Biden, Zelensky et ses acolytes ont acheminé des milliards de dollars des contribuables américains dans leurs propres poches sous le couvert de "l'aide de guerre". Une grande partie de cet argent est totalement introuvable et certains membres du Congrès exigent des réponses.
Selon l'Ukraine et ses alliés occidentaux, la Russie a récemment lancé son propre projet spécial qui consisterait à entraîner des dauphins pour attaquer la marine ukrainienne. Cette accusation est jusqu'à présent non fondée, mais elle est normale lorsqu'il s'agit de diffuser de la propagande anti-russe.
"Rappelez-vous : la raison pour laquelle nous envoyons des centaines de milliards de dollars à 'l'Ukraine' (ou partout où elle va) est de 'sauver la démocratie'", a écrit un commentateur à propos des crimes et délits graves qui se produisent sous nos yeux. , jour après jour, tout au long de la saga de la provocation russe.
"Si vous remettez en question le mensonge, vous êtes un 'raciste' et un 'nazi' et un 'laquais de Poutine'... ou quelque chose comme ça."
Cette même personne a poursuivi en disant que malgré les affirmations de longue date selon lesquelles la Seconde Guerre mondiale était la "bonne guerre", le fait est que "la propagande de guerre alliée à l'époque était aussi pleine de mensonges que la propagande ukrainienne l'est aujourd'hui".
Les émeutiers français ont brûlé 5 600 véhicules et 1 000 bâtiments en seulement 1 semaine
07/05/2023 Cassie B
L'ampleur des dégâts causés par la première semaine d'émeutes nocturnes en France est quantifiée par des chiffres époustouflants récemment publiés, avec plus de 5 600 véhicules incendiés et plus de 3 300 arrestations à ce jour.
Les chiffres proviennent du ministère de l'Intérieur, qui a comptabilisé les dommages causés aux personnes et aux biens en six nuits d'émeutes. La violence a éclaté après qu'un policier a abattu un adolescent français d'origine algérienne dans la banlieue parisienne lors d'un contrôle routier.
Parmi les près de 6 000 véhicules incendiés figurent des voitures personnelles, des bus, des camions et des tramways. Lors d'un incident, des vandales ont volé un gros camion et l'ont utilisé pour enfoncer les portes d'un centre commercial afin que les pillards puissent mettre la main sur la marchandise à l'intérieur.
La seule nuit de jeudi a vu plus de 1 900 incendies de véhicules à Paris. Les émeutiers ont également érigé des barricades, saccagé des entreprises et lancé des feux d'artifice sur la police.
Cependant, ce ne sont pas seulement les voitures et les autobus qui sont endommagés. Au moins 1 000 bâtiments ont également été endommagés et plus de 250 postes de police ont été attaqués. Les bureaux de poste, les magasins, les mairies et les écoles ont tous été la cible d'émeutiers.
Le déploiement de la police est passé de 7 000 policiers par nuit lorsque la violence a éclaté pour la première fois à 45 000 par nuit, et 2 354 personnes ont été arrêtées jusqu'à présent. L'écrasante majorité des personnes arrêtées sont jeunes, avec une moyenne d'âge de 17 ans, et 60 % n'ont aucun casier judiciaire.
Un pompier de 24 ans est décédé ce week-end alors qu'il tentait d'éteindre un incendie de voiture, et 722 policiers ont été blessés lors d'émeutes, bien que la plupart d'entre eux ne soient pas graves. Les six jours d'émeutes ont causé environ 20 millions d'euros de dégâts aux transports régionaux parisiens, selon son opérateur.
La grand-mère d'un garçon tué par la police supplie les émeutiers d'arrêter Les violences ont commencé après qu'un jeune de 17 ans a été abattu à bout portant par un policier dans la banlieue parisienne ouvrière de Nanterre. Alors que la police a initialement déclaré qu'il conduisait sa voiture vers la police, des séquences vidéo partagées sur les réseaux sociaux et vérifiées par la suite montraient deux policiers debout à côté d'une voiture arrêtée. L'un d'eux a pointé une arme sur le chauffeur tandis qu'une voix se faisait entendre lui disant : "Tu vas recevoir une balle dans la tête". L'officier tire alors alors que la voiture commence à s'éloigner avant de s'arrêter.
La grand-mère du garçon a supplié les émeutiers d'arrêter, en disant : « Arrêtez et ne vous émeutez pas… Je dis ceci aux gens qui émeutes : ne brisez pas les vitres, n'attaquez pas les écoles ou les bus. Arrêt! Ce sont les mamans qui prennent le bus, ce sont les mamans qui marchent dehors.
Elle a dit que même si elle était en colère contre le policier qui a tué son petit-fils, elle n'est pas en colère contre la police en général et a confiance dans le système judiciaire français.
Dimanche, une voiture en feu a percuté le domicile du maire de la banlieue parisienne L'Hay-les-Roses, blessant sa femme et son enfant alors qu'ils dormaient. Une enquête préliminaire a révélé que la voiture était probablement destinée à percuter la maison et à y mettre le feu; une bouteille d'accélérateur de flamme a été retrouvée à l'intérieur de la voiture.
L'officier responsable de la mort de l'adolescent a déjà été inculpé d'homicide volontaire, mais beaucoup en France réclament une plus grande responsabilité. L'année dernière, 13 personnes ont été tuées par balle par la police pour ne pas avoir respecté les contrôles routiers, et trois ont été tuées jusqu'à présent cette année.
La violence ne semble pas ralentir de sitôt, le gouvernement français annulant les événements à grande échelle dans tout le pays et instaurant des couvre-feux dans plusieurs villes. La ville souffre également car de nombreux touristes reconsidèrent leurs plans pour se diriger vers la destination populaire. Jusqu'à présent, entre 20 et 25 % des voyages prévus à Paris par des touristes étrangers ont déjà été annulés.
Un groupe de réflexion américain de premier plan : la Russie ne manquera jamais de missiles
6 juillet 2023 depuis Dr. Peter F. Mayer
Depuis environ un an et demi , les grands médias clament que la Russie est à court de munitions en raison de sa prétendue « incapacité » à produire des armes de pointe, en particulier des missiles à longue portée et d'autres types de munitions à guidage de précision (PGM ) .Le Centre d'études stratégiques et internationales contredit cela dans un article récent.
Selon la propagande traditionnelle, Moscou serait "tellement désespérée" qu'elle a dû "armer" ses soldats de pelles et recourir à l'expropriation de machines à laver, de smartphones, d'ordinateurs portables et d'autres appareils à puce pour maintenir la production. De telles affirmations sont un élément clé de la guerre d'information qui fait rage visant à dépeindre le géant eurasien comme prétendument "technologiquement arriéré".
Mais après que les forces aériennes tactiques à longue portée de Moscou, les unités navales et terrestres ont lancé des frappes de haute précision tout au long de l'opération militaire spéciale (SMO) en utilisant des armes technologiquement avancées que personne d'autre (y compris les États-Unis) n'a à leur disposition, les médias grand public a été contraint d'admettre que quelque chose n'allait pas dans son évaluation des capacités technologiques et industrielles de la Russie. Ce dernier aurait dû être détruit par les sanctions occidentales il y a près d'un an et demi.
La réponse à la question de savoir pourquoi il en est ainsi a été récemment fournie par le CSIS (Center for Strategic and International Studies) , un groupe de réflexion basé à Washington DC qui est parmi les plus connus aux États-Unis. Selon leur estimation, Moscou est extrêmement peu susceptible de manquer de PGM (missiles guidés de précision) et d'autres armes de haute précision à longue portée, que ce soit pour lui-même ou pour ses nombreux clients à l'exportation. Étonnamment, Ian Williams, membre du programme de sécurité internationale et directeur adjoint du projet de défense antimissile au SCRS, a clairement indiqué, sans tourner autour du pot ni euphémisme, qu'il « serait irréaliste de s'attendre à ce que la Russie soit un jour à court de missiles ."
Cependant , la poursuite de la campagne d'attaques de la Russie en 2023 a rendu une chose très claire : il est irréaliste de s'attendre à ce que la Russie "manque" un jour de missiles. Malgré les sanctions et les contrôles à l'exportation, il est probable que la Russie sera en mesure de produire ou d'acquérir des missiles à longue portée pour causer des dommages importants au peuple, à l'économie et à l'armée ukrainiens.
L'auteur note en outre que Moscou pourra continuer à construire des missiles à longue portée, ce qui lui permettra de maintenir une capacité de frappe à longue portée constante "malgré les sanctions et les restrictions à l'exportation". Il note en outre que de nombreux experts en armement ont trouvé des preuves concluantes de missiles de croisière et d'autres armes russes récemment fabriqués.
Pourtant, le groupe de réflexion américain ne voulait clairement pas manquer une autre occasion de combattre l'infowar, affirmant que c'est "une indication que l'arsenal russe est tellement épuisé que les armes sont utilisées dans le conflit quelques mois seulement après leur fabrication". Et tandis que la plupart des hauts responsables aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux ont insisté sur le fait que "la reconstruction des avoirs de la Russie sera beaucoup plus difficile à cause des sanctions", en particulier en ce qui concerne les acquisitions de micropuces, le dernier rapport du SCRS réfute ces affirmations. L'auteur se plaint que les restrictions à l'exportation n'ont pas eu l'effet escompté sur la production russe de missiles.
« Il n'y a pas de solution unique à ce problème. Au mieux, les sanctions et les contrôles à l'exportation peuvent limiter la quantité et la qualité des armes que la Russie peut acquérir », concède le rapport. L'auteur effectue alors une gymnastique mentale, tentant de concilier le récit de propagande avec la situation réelle sur le champ de bataille, affirmant qu'"il est probable que la Russie utilisera la portion de missiles à longue portée qu'elle avait initialement prévue pour le SMO". , s'est vite épuisée ». Cependant, il concède que « la Russie a continué à tirer des missiles contre l'Ukraine, peut-être en retirant des munitions d'autres théâtres d'opérations », sans dire desquels.
Le rapport reconnaît que la Russie a continué à produire des missiles depuis février 2022 et que les preuves suggèrent que la plupart (sinon la totalité) des missiles de croisière de son arsenal actuel ont été fabriqués après cela . Pourtant, l'auteur insiste à nouveau sur le fait que le prétendu "épuisement" des stocks pré-SMO " a changé la composition des salves d'attaque russes modernes " et que " les attaques de missiles russes sont passées de systèmes de missiles de grande valeur tels que les missiles de croisière à des systèmes moins efficaces, moins efficaces". des systèmes simples et coûteux comme les drones kamikazes 'Shahed-136/Geranium 2' ».
Cependant, l'auteur ignore le fait que ces systèmes sont tout simplement beaucoup moins chers, c'est pourquoi ils sont utilisés en premier lieu. Le rapport reconnaît que la Russie continue de fabriquer des missiles avancés à longue portée et des munitions à guidage de précision , malgré les restrictions à l'exportation, en particulier pour les composants microélectroniques clés . Pourtant, l'auteur insiste sur le fait que cela est dû au fait que la Russie acquiert ces composants fabriqués en Occident "par l'intermédiaire de tiers amis".
Ce qui est également complètement ignoré, c'est la supériorité de l'armement dans les missiles hypersoniques , que l'Occident ne possède pas du tout, ainsi que dans les avions de combat et dans les systèmes de défense aérienne. Le fait que les missiles hypersoniques soient contrôlés avec des puces retirées des machines à laver est probablement hautement improbable, comme c'est le cas des missiles intercepteurs, qui peuvent attaquer des objets s'approchant jusqu'à Mach 14 (4,8 km par seconde).
La Russie a aussi l'avantage d'avoir une production domestique assez bien intégrée. Cela signifie que les ingénieurs de développement sont bien informés des spécificités de la production et des problèmes potentiels. Les groupes d'électronique japonais ont décidé très tôt de ramener leur production dans le pays , la proximité avec le développement s'étant avérée avantageuse. Au milieu de la dernière décennie, certaines entreprises américaines ont également commencé à ramener la production dans leur propre pays.
Les États soumis depuis un certain temps aux sanctions occidentales ont désormais une longueur d'avance considérable, car ils ont été largement contraints à l'internalisation. L'Iran, par exemple, a développé indépendamment une technologie de drone très avancée, qui est également très peu coûteuse. Et l'Iran est donc le troisième pays après la Russie et la Chine à développer et produire des missiles hypersoniques. Les sanctions ont aussi des avantages.
La grande technologie intensifie la censure du débat sur les «solutions» pour le climat
Par W.Aaron Vandiver Recherche mondiale, 6 juillet 2023
En mai, LinkedIn a suspendu le compte du candidat républicain à la présidence Vivek Ramaswamy après avoir publié plusieurs messages de campagne liés au climat.
Dans un message, Ramaswamy a affirmé que « les combustibles fossiles sont une exigence pour la prospérité humaine », et dans un autre, il a écrit que si les adeptes de la « religion du climat » se souciaient vraiment du climat « ils s'inquiéteraient, par exemple, du déplacement du pétrole production vers des endroits comme les États-Unis et la Chine.
" L'ingérence électorale des Big Tech a commencé", a déclaré Ramaswamy .
LinkedIn (propriété de Microsoft) a fait marche arrière sous la pression et a rétabli son compte. Mais l'épisode a mis en évidence la manière dont les entreprises de médias sociaux étendent leur « modération de contenu » de «désinformation climatique» – avec des conséquences potentiellement considérables sur l'ensemble du spectre politique.
Dans une autre incursion dans la course à la présidentielle, YouTube a joint une note « contextuelle » à une interview du 5 juin du candidat démocrate à la présidentielle Robert F. Kennedy Jr. dans laquelle il a discuté de son point de vue sur le changement climatique avec le psychologue canadien Jordan Peterson .
La note « Contexte » de YouTube comprenait une définition du changement climatique de l'Organisation des Nations Unies (ONU) et un lien vers une page du site Web de l'ONU . La vidéo n'est plus disponible et conduit maintenant à un avertissement "Community Guidelines".
En avril, TikTok annonçait :
"Nous allons commencer à accélérer l'application d'une nouvelle politique de désinformation sur le changement climatique qui supprime la désinformation sur le changement climatique qui sape un consensus scientifique bien établi, comme le contenu niant l'existence du changement climatique ou les facteurs qui y contribuent."
La politique de TikTok est similaire à celle de Facebook, qui au cours des dernières années a censuré les opposants climatiques de premier plan (souvent appelés péjorativement «négationnistes») Michael Shellenberger et Bjorn Lomborg.
Comme Ramaswamy, Shellenberger et Lomborg ont contesté certains aspects du « consensus scientifique » sur le changement climatique et ont plaidé pour la poursuite de l'utilisation des combustibles fossiles et l'expansion de l'énergie nucléaire.
Lomborg a fait valoir que "la" vérification des faits "partisane pousse les récits climatiques alarmistes". Pourtant, il existe des contre-exemples de personnes censurées sur les réseaux sociaux parce qu'elles sonnent l'alarme sur le changement climatique et la dégradation de l'environnement plus fort que les représentants du « consensus scientifique ».
Les entreprises de médias sociaux, sous la pression des autorités gouvernementales, ont appliqué leurs politiques de désinformation sur le climat non seulement contre les personnes qui expriment des doutes sur le changement climatique lui-même, mais aussi contre un large éventail de personnes qui remettent en question les « solutions » climatiques promues par le gouvernement et ses puissants bailleurs de fonds corporatifs.
Cela inclut de nombreuses personnes qui ne tombent pas du tout dans le camp des « négateurs ».
Les grandes entreprises, les entités gouvernementales et les intérêts politiques qui ont revendiqué le pouvoir de censurer les médias sociaux utilisent ce pouvoir pour manipuler le débat climatique vers leurs « solutions » préférées et pour dénigrer les perspectives et approches alternatives.
De la censure du « déni » à la censure du débat sur les « solutions »
"Maintenant, il ne s'agit pas tant de nier le problème", a déclaré la première conseillère nationale pour le climat du président Biden , Gina McCarthy, dans une interview l'année dernière avec Axios pour son événement virtuel, "The Infodemic Age". «Ce qu'ils [diffuseurs de fausses informations présumées] visent vraiment, c'est notre incapacité à accélérer les réponses au climat. Les technologies dont nous avons besoin pour aller de l'avant. C'est tout aussi dangereux de nier parce que nous devons aller vite.
"Nous avons des réponses, nous avons des solutions", a déclaré McCarthy, se référant principalement à l'énergie solaire et à l'énergie éolienne. « La question est de savoir à quelle vitesse nous pouvons les accélérer. L'énergie propre est la solution.
"Nous devons être plus stricts" avec l'application de la politique de désinformation sur le climat contre les personnes qui mettent en doute ces technologies et ces "solutions", a-t-elle déclaré. "Nous avons besoin que les entreprises technologiques interviennent vraiment."
Pour «se resserrer», le gouvernement a travaillé avec des entreprises et des organisations technologiques du « complexe industriel de la censure » qui agissent en tant que «vérificateurs de faits» tiers pour les médias sociaux – TikTok les appelle « partenaires de sécurité ».
Ensemble, ils ont déplacé leur attention de la censure du «déni» climatique pur et simple à la censure du débat et de la discussion sur les technologies d'énergie propre et d'autres «solutions» climatiques, comme l'a décrit McCarthy.
La page Web de l'ONU sur le climat que YouTube a jointe à l'interview de Peterson-Kennedy dans sa note « Communauté », par exemple, indique : « Nous sommes confrontés à un énorme défi, mais nous connaissons déjà de nombreuses solutions ».
Le fait est, cependant, que de nombreuses personnes de divers points de vue ont des problèmes avec le «consensus» dominant sur l'énergie propre et d'autres «solutions» climatiques vantées. Il existe une grande controverse quant à savoir si ces «solutions» fonctionnent réellement - et qui en bénéficie et qui en supporte les coûts.
Bien que Big Oil ait sans aucun doute utilisé ses bénéfices pour façonner le débat sur le climat , ce ne sont pas seulement les entreprises de combustibles fossiles et les bénéficiaires de leur «argent noir» qui critiquent les «solutions» climatiques traditionnelles, comme le prétendent McCarthy et d'autres partisans de la censure.
Censurer un large éventail de critiques, y compris les écologistes Un large éventail de personnes sont désormais prises dans le filet numérique de la censure de la « désinformation climatique », y compris certains écologistes.
Les groupes suivants font partie de ceux qui subissent la censure des médias sociaux en raison de leurs critiques des « solutions » climatiques officiellement approuvées et en raison de leur plaidoyer en faveur d'approches alternatives aux problèmes climatiques et environnementaux.
Citoyens locaux, défenseurs de l'environnement et militants écologistes opposés aux projets d'énergie «propre». La poussée massive de 3 billions de dollars pour l'énergie solaire et éolienne à travers les États-Unis provoque un contrecoup dans certaines communautés où les citoyens locaux sont mécontents des impacts environnementaux immédiats.
La réaction contre l'énergie propre augmente également chez certains qui disent que ces projets de développement industriel géants sont construits au détriment de la biodiversité , de l'habitat faunique et des écosystèmes sains.
En décembre 2022, YouTube supprime "définitivement" - sans avertissement ni préavis de suspension - la chaîne du groupe Protect Thacker Pass , qui s'oppose au développement d'une importante mine de lithium dans le Nevada. Trois jours plus tard, YouTube a restauré la chaîne, sans explication.
De petits groupes de conservation comme Basin & Range Watch , une organisation à but non lucratif qui cherche à protéger les déserts du Nevada et de la Californie du développement industriel, y compris éolien et solaire, ont rapporté qu'ils étaient accusés d'être des diffuseurs de "désinformation" par les promoteurs de ces projets énergétiques.
Les citoyens et les militants écologistes locaux qui s'opposent au développement de l'énergie éolienne offshore dans la région de New York et du New Jersey en raison des impacts potentiels sur les baleines et l'environnement océanique ont été soumis à la censure en ligne par Facebook et Instagram.
Cette censure a été coordonnée par le tiers "fact-checker" PolitiFact , exploité par The Poynter Institute - l'un des "Top 50" membres du Censorship-Industrial Complex.
Les articles des médias ont utilisé un large pinceau pour salir les groupes de défense préoccupés par les effets du développement de l'éolien offshore sur les baleines et l'environnement marin, les accusant d'être des agents de l'"argent noir" des combustibles fossiles.
Bien que certaines organisations locales semblent avoir accepté le financement de l'industrie des combustibles fossiles, le vaste mouvement populaire visant à protéger l'environnement côtier du développement industriel ne peut être décrit avec précision comme un produit de l'"argent noir" du pétrole et du gaz.
Le PDG d'une société éolienne offshore, Atlantic Shores, a écrit un éditorial accusant des groupes opposés à ses projets de diffuser de la "désinformation" sur "la solution la plus viable que nous ayons" pour le changement climatique. Il s'est abstenu d'accuser ses adversaires d'être financés par «l'argent noir» des combustibles fossiles. Atlantic Shores est détenue à 50% par le géant pétrolier Shell .
Les « Doomers » et les écologistes qui plaident pour un changement systémique. Un sous-ensemble d'activistes du climat estime qu'aucune « solution » officiellement sanctionnée n'est capable d'arrêter le changement climatique ou de mettre fin à la dégradation de l'environnement. Ces personnes sont appelées péjorativement « Doomers » (certains d'entre eux préfèrent l'étiquette ironique, « Doomsters »).
Ces dernières années, la presse, les climatologues et les principaux militants du climat se sont mis à dénigrer les "Doomers" avec la même rafale qu'ils attaquent les "Deniers". Un titre typique du Washington Post se lit comme suit : « Pourquoi les « pessimistes » du climat remplacent les « négationnistes » du climat. ”
En 2020, le groupe Facebook « Positive Deep Adaptation » a reçu un avertissement concernant un article qu'il a partagé, écrit par le romancier primé Jonathan Franzen dans le New Yorker : « Et si nous arrêtions de faire semblant ? L'apocalypse climatique approche. Pour nous y préparer, nous devons admettre que nous ne pouvons pas l'empêcher.
L'avertissement de Facebook s'appuyait sur un « fact-checking » par le site, Climate Feedback .
Et en avril de cette année, Facebook a censuré un post de Jem Bendell , professeur de développement durable à l'Université de Cumbria à Carlisle, en Angleterre, qui avait tenté de partager une interview que le britannique GQ avait menée avec lui.
Dans l'interview, Bendell a expliqué son point de vue selon lequel les politiques climatiques traditionnelles ne fonctionnent tout simplement pas et sa conviction que des perturbations catastrophiques des sociétés de consommation industrielles se produiront en raison du changement climatique combiné à d'autres facteurs environnementaux, économiques et sociaux.
Facebook a caché la publication, avec un message disant : « Personne ne peut voir votre publication. Nous avons ces normes parce que nous voulons que tout le monde se sente en sécurité.
De même, en mai, TikTok a retiré une vidéo de la journaliste sur la "corruption climatique" Rachel Donald , la qualifiant de "désinformation". Dans la vidéo, Donald, qui écrit la newsletter sur le climat Planet Critical , a déclaré : « C'est l'économie. C'est l'économie qui est à l'origine de la crise climatique. C'est ainsi que nous nous sommes organisés. C'est de l'exploitation et de l'extractivisme et tout ce genre de choses.
TikTok n'a pas donné de raison spécifique pour qualifier la vidéo de "désinformation". Mais le message de la vidéo - "C'est l'économie qui conduit la crise climatique" - entre en conflit avec les récits du gouvernement américain sur la croissance "verte".
Les «solutions climatiques» de Biden, a déclaré McCarthy dans son interview avec Axios, ne sont «pas seulement pour sauver la planète, mais pour renforcer notre économie. … Faire croître notre économie aujourd'hui … c'est sur quoi se concentre notre action climatique nationale.
Les agriculteurs.
En ce qui concerne l'alimentation et l'agriculture, le mouvement climatique est dominé par les « écomodernistes » qui croient que les plantes génétiquement modifiées, les aliments fabriqués en usine, les viandes synthétiques et d'autres technologies alimentaires industrielles sont des « solutions » au changement climatique.
Un plus petit contingent d'écologistes pense que nous avons besoin de petites exploitations agricoles utilisant des méthodes régénératives et agroécologiques , au lieu de technologies alimentaires plus industrielles . Ce contingent, et le mouvement populiste des petits agriculteurs avec lequel ils sont alignés, sont passés au crible des censeurs de la « désinformation climatique ».
Les protestations des agriculteurs néerlandais ont galvanisé l'opposition mondiale à des politiques environnementales onéreuses qui pourraient aboutir à l'expropriation de milliers de terres agricoles. Les agriculteurs néerlandais ont reçu le soutien de certains militants écologistes de premier plan, comme le Dr Vandana Shiva , qui croient en l'approche des petites exploitations.
Pourtant, les médias populaires, des écologistes célèbres comme George Monbiot et des organisations de «vérification des faits» décrivent les protestations des agriculteurs néerlandais comme un mouvement « d'extrême droite » qui propage des théories du complot et de la désinformation .
Les petits agriculteurs du monde entier qui contestent l'idée que leur bétail élevé en pâturage et nourri à l'herbe sont une cause importante du changement climatique ont été censurés par Facebook.
Dans un exemple, les agriculteurs ont publié des mèmes déclarant que "les vaches ne sont pas le problème" par rapport aux modes de vie des jets privés des élites milliardaires comme Bill Gates. Facebook a joint une "vérification des faits" à ces mèmes : " Démystifié : oui, les vaches sont un "problème" lorsqu'il s'agit de réduire les émissions de gaz à effet de serre."
Cet exemple illustre comment le processus de «vérification des faits» d'un débat politique subjectif - les vaches ou les jets privés sont-ils «le problème»? — profite aux élites qui financent les organismes de « fact-checking ».
Les «vérificateurs de faits» donnent du crédit aux «solutions» écomodernistes poussées par des milliardaires comme Gates, qui finance plusieurs des plus grandes organisations du complexe censure-industriel. Le remplacement du bétail par du bœuf synthétique et des aliments «à base de plantes» produits industriellement – les secteurs d'activité dans lesquels Gates investit – sont traités comme des «solutions» prometteuses.
Les contre-propositions populistes – éliminer les jets privés ou donner aux petits agriculteurs des ressources pour passer à des méthodes plus respectueuses de l'environnement – ne sont pas prises au sérieux par les « fact-checkers ».
Il en est ainsi, même si l'on peut avancer un argument convaincant selon lequel les petits agriculteurs sont mieux à même que les grands producteurs industriels de nourrir le monde en utilisant des méthodes agroécologiques régénératives.
Les « fact-checkers » ne font aucune distinction entre les bovins élevés industriellement et ceux élevés par de petits agriculteurs utilisant des méthodes de pâturage plus holistiques. Tous sont regroupés, même si cela n'a guère de sens écologique.
"Afin d'effacer les derniers petits agriculteurs restants, les récits parrainés par les entreprises font maintenant pression pour… des récits dualistes autour de la plante contre l'animal, au lieu de s'attaquer à la crise plus large de la façon dont les pratiques industrielles actuelles détruisent les écosystèmes de la Terre."
La censure du débat empêche l'émergence d'approches alternatives Le pouvoir de censure, initialement justifié comme étant nécessaire pour faire taire ceux qui « niaient » l'existence du changement climatique, est de plus en plus utilisé pour faire taire ceux qui ne sont pas d'accord avec les « solutions » climatiques officielles.
Tant que le désaccord est qualifié de « désinformation », le débat démocratique est impossible.
Les débats politiques sont intrinsèquement subjectifs dans une certaine mesure. Devrions-nous tenter de remplacer le pétrole et le gaz par une énergie propre dans l'ensemble de l'économie ? La « croissance verte » est-elle possible ? Comment s'assurer que les politiques climatiques respectent les libertés civiles ? L'avenir de l'alimentation se trouve-t-il dans les grandes exploitations industrielles ou les petites exploitations familiales ? Quel est le problème le plus prioritaire : les vaches nourries à l'herbe ou les jets privés ?
Ces questions impliquent de peser le pour et le contre, de hiérarchiser les valeurs et de décider qui supportera les coûts et les charges. Ce ne sont pas simplement des questions de sciences ou de mathématiques.
Pourtant, les «vérificateurs des faits» des médias sociaux interviennent dans ces débats subjectifs sous prétexte d'objectivité, pour orienter la conversation vers les «solutions» préférées par les grandes entreprises et les milliardaires qui les financent.
Pour chaque « solution » climatique brûlante, le complexe Censorship-Industrial produit des « vérifications des faits » qui sont biaisées en faveur de leurs bailleurs de fonds. Des affirmations biaisées peuvent également être trouvées de l'autre côté de ces débats.
La seule façon de donner un sens à ces revendications concurrentes passe par un processus démocratique ouvert.
La bataille de la censure n'est pas une question de « négationnistes » contre « la science », comme beaucoup semblent le croire. Le conflit porte principalement sur qui décide des « solutions » : les citoyens engagés dans une discussion libre et ouverte, ou les forces politiques et économiques qui ont revendiqué le pouvoir de censure.
Dans les sociétés démocratiques, les « solutions » sont censées faire l'objet d'un débat – de plus en plus, elles ne le sont pas.
L'agence de sécurité de l'État veut une loi contre les "influenceurs du complot"
5 juillet 2023 par Thomas Oysmuller
La protection de l'État autrichien réclame une nouvelle loi contre la "désinformation" pour pouvoir agir contre les "influenceurs" opposants. Une attaque majeure contre la liberté de la presse est-elle imminente ?
« Complotistes », « conspirationnistes » : désormais il y a les « conspirationnistes » et le chef de la Direction de la sécurité de l'État et du renseignement (DSN, successeur de l'Office de protection de la Constitution) veut des lois plus strictes à leur encontre.
Acte de "fake news"
Parce que ce ne sont pas seulement les acteurs étrangers (bien sûr les Russes - qui d'autre ?) qui causeraient des dégâts massifs dans la république avec des "fausses nouvelles" et de la "désinformation", mais les "individus basés en Autriche" qui sont le plus gros problème.
Le médecin légiste du département de recherche sur les dangers, qui analyse les "mythes du complot" en Autriche, a déclaré mercredi à "Profile":
"Bien sûr, nous ne fermons pas les usines de trolls russes avec un paragraphe, mais nous pouvons prendre des mesures actives contre les individus basés en Autriche, qui, en cas de doute, ont une influence beaucoup plus directe par leur désinformation."
Qui pourrait tomber sous ça ? Jakob Winter, qui a autrefois travaillé dans la "Jeunesse socialiste" et dirige maintenant le "Fact Check" dans "Profile" et a écrit l'article, probablement pas. Mais peut-être Andreas Sönnichsen, l'ancien professeur de MedUni Vienna, qui a avec véhémence attiré l'attention sur les mesures nocives de Covid et les dangers de la vaccination.
Ou la chaîne « Neue Normalität », qui compte des dizaines de milliers de téléspectateurs sur YouTube et commente de manière critique et ironique ce qui se passe dans les médias politiques en Autriche ? Ou l'entrepreneur Gerald Markel, qui écrit sur sa chaîne Telegram contre les récits habituels de la politique dominante. Ou l'ancienne ministre des Affaires étrangères Karin Kneissl, à cause de sa position sur la Russie ? Mais elle a déjà quitté le pays. Ou peut-être les auteurs de TKP et d'autres médias alternatifs ?
Ou des comptes de médias sociaux (souvent anonymes) qui n'ont pas un très grand nombre d'abonnés mais partagent des informations que la DSN considère comme de la "désinformation" ? Une loi telle qu'elle y est envisagée pourrait en fait être largement utilisée. La sûreté de l'État argumente comme suit :« La désinformation est un 'outil' commun pour exercer une influence, et du fait qu'elle n'est pas punissable, il n'y a pas de levier pour des contre-mesures. Un paragraphe pourrait avoir de forts succès préventifs primaires ici, puisque la diffusion de ces récits peut être empêchée et donc aussi une influence sur la population. Ainsi, les acteurs peuvent être tenus responsables de leur désinformation et surtout des conséquences qui en découlent. Il est important que le paragraphe indique également clairement que les conséquences résultant de la désinformation peuvent être particulièrement dangereuses.
Couronne et guerre
Le journaliste Jakob Winter laisse cet appel ouvert à la censure, qui pourrait porter massivement atteinte à la liberté de la presse, sans presque aucun bilan critique. Il écrit simplement :
« L'exigence est délicate. Un paragraphe de fausses nouvelles serait un outil puissant pour les autorités d'enquête et, dans des cas extrêmes, pourrait restreindre la liberté d'expression. La DSN construit la critique du paragraphe. » Pour citer ensuite la DSN avec la citation en tête. L'autorité veut « pré-construire » la critique des plans.
L'article normalise même les plans autoritaires. Parce que quelque chose comme ça s'est déjà produit. L'article 276 du Code pénal punit la "propagation de rumeurs fausses et inquiétantes" d'une peine pouvant aller jusqu'à cinq ans de prison. Le paragraphe a été supprimé en 2015. Mais le "profil" conclut : "C'était avant Corona - et la guerre d'Ukraine." Un appel pas si subtil - ou du moins une légitimation prudente - pour ce qui s'en vient.
Une dernière question, bien sûr, demeure : les politiciens et certains médias se dénonceront-ils ? Par exemple, lorsqu'il s'agit de répandre la rumeur d'une "vaccination sûre et efficace".
Le programme d'euthanasie du Canada : des soins de santé ?
RépondreSupprimer05.07.2023
www.kla.tv/26472
Tu es pauvre, dépressif, handicapé, voire socialement inadapté, alors choisis plutôt une „belle mort“.
Quand on entend une telle phrase, on croit avoir mal entendu ! Pourtant c’est cela ou quelque chose de similaire qui pourrait bientôt être le slogan publicitaire du programme d'euthanasie « Medical Assistance in Dying » [en français: Aide médicale à mourir] du gouvernement canadien.
Dans le secteur canadien de l'euthanasie, des plans ont été développés, pour promouvoir de façon ciblée le suicide.
Cette pratique, qui existe depuis quelques années déjà, est approuvée et organisée par le gouvernement, elle prend des formes de plus en plus difficile à comprendre.
On ne peut nier qu’il y a ici une certaine ressemblance avec le film de science-fiction "Soleil vert", dans lequel on va volontiers mourir pour le bien commun au lieu d’être un fardeau pour la société.
Le Canada a décidé de définir le suicide assisté par injection létale comme un soin de santé.
Non seulement on réclame que cette possibilité soit offerte dès l'âge de 12 ans, mais aujourd'hui, deux philosophes de l'Université de Toronto plaident même pour que l'euthanasie des pauvres soit acceptée par la société.
Kayla Wiebe, doctorante en philosophie, et Amy Mullin, bioéthicienne et pro-fesseure de philosophie, publient un article dans le Journal of Medical Ethics.
« Il est inacceptable que des personnes qui souffrent déjà de conditions sociales injustes soient contraintes d'attendre que ces conditions s'améliorent (...). La solution recommandée (...) doit être reconnue comme une approche visant à limiter les dégâts et être considérée comme la « moins pire » de deux options plus ou moins idéales. »
En clair, les deux femmes affirment qu'il n'y a que deux options : une vie misérable sans espoir d'aide ou d'amélioration, ou un "beau suicide". Ce que Wiebe et Mullin qualifient de "pire des cas" revient cependant à dire que ces personnes défavorisées auraient le droit de décider elles-mêmes de leur vie. D’après elles, chacun devrait avoir le droit de décider si sa vie vaut la peine d'être vécue et ce choix devrait être respecté.
Bien que cette solution soit tragique, ce serait néanmoins selon elles la meilleure "stratégie de limitation des risques". La question se pose inévitablement de savoir pour qui ces solutions méprisables limitent le plus les risques. Pour étayer leur suicide "éthiquement acceptable", les deux femmes se servent d'histoires effrayantes de citoyens canadiens qui, faute d'aide sociale, doivent recourir à l'euthanasie.
Compte tenu de l'évolution rapide de la réglementation canadienne sur le suicide et de la détermination du gouvernement Trudeau à continuer à la développer, des propositions comme celle-ci devraient être traitées avec le plud grand sérieux !!!
RépondreSupprimerAu lieu que les dirigeants politiques s'engagent de toutes leurs forces à remédier à cette situation et à rendre la vie de ces personnes plus agréable à tout prix, le "suicide'' est non seulement encouragé, mais proposé comme la solution la plus acceptable.
Celui qui propose la mort plutôt que la vie aux citoyens de son peuple, commet un crime. Et celui qui ne se bat pas pour protéger à tout prix la vie de ses concitoyens et qui ne contribue pas à l’améliorer ne peut pas se dire représentant du peuple ni agir en tant que tel.
de tt/avr
Sources / Liens :
Sources :
https://uncutnews.ch/soylent-green-ist-nicht-mehr-weit-kanadische-wissenschaftler-plaedieren-in-einem-papier-fuer-sterbehilfe-fuer-arme-menschen/
ARTICLE D'UNIVERSITAIRES CANADIENS EN FAVEUR DE L'EUTHANASIE POUR LES PAUVRES
https://www.kla.tv/fr
Les personnes autistes et handicapées mentales sont maintenant euthanasiées aux Pays-Bas
RépondreSupprimer07/05/2023
Cassie B.
Une nouvelle étude alarmante montre que des personnes atteintes d'autisme et d'autres types de déficiences intellectuelles sont euthanasiées aux Pays-Bas, et les experts craignent que ces personnes ne soient pas capables de comprendre les répercussions de leur décision.
Selon des chercheurs de l'Université de Kingston, des dizaines de personnes par ailleurs en bonne santé atteintes de handicaps intellectuels ou d'autisme sont décédées par suicide médicalement assisté entre 2012 et 2021. facteur dans leur décision de mettre fin à leurs jours.
Au cours de la période étudiée, environ 60 000 personnes ont choisi de mettre fin à leurs jours par euthanasie aux Pays-Bas. Le comité d'examen de l'euthanasie du pays a mis à disposition des documents pour 900 de ces cas dans le cadre de mesures de transparence. Beaucoup de personnes impliquées étaient plus âgées et souffraient de maladies graves telles que le cancer, la SLA ou la maladie de Parkinson. Cependant, parmi ces cas, 39 souffraient d'autisme ou de déficience intellectuelle, et 18 d'entre eux avaient moins de 50 ans.
Certains d'entre eux ont cité des problèmes tels qu'une solitude insupportable comme étant à l'origine de leur désir de mettre fin à leurs jours. Pour huit personnes, la seule cause de leur désir de mourir était liée à une déficience intellectuelle, comme un manque de stratégies d'adaptation, une incapacité à s'adapter au changement ou l'isolement social.
Un jeune homme dans la vingtaine, par exemple, a déclaré se sentir malheureux depuis son enfance et souffrir d'intimidation régulière et d'une incapacité à se connecter avec les autres. Il a choisi de mettre fin à ses jours parce qu'il estimait que continuer à vivre était "une abomination".
Cette tendance bouleversante a conduit les experts à se demander si la loi du pays autorisant les médecins à aider les patients suicidaires à mourir en leur fournissant des injections létales correspondait toujours à ses intentions lors de sa première promulgation en 2002.
Des éthiciens et des psychiatres s'inquiètent de l'euthanasie de patients souffrant de troubles mentaux
RépondreSupprimerSelon l'éthicien Kasper Raus de l'Université de Gand en Belgique, où cette pratique est également légale, le type de patient demandant un suicide médicalement assisté a considérablement évolué au cours des 20 dernières années.
Il souligne que les Pays-Bas ont d'abord légalisé l'euthanasie humaine avec l'idée d'aider les personnes atteintes de cancer. Les conditions requises pour être admissible à la pratique incluent le fait de souffrir d'une maladie incurable qui provoque une quantité «insupportable» d'angoisse physique ou mentale, bien que la décision soit finalement laissée aux médecins. Cela signifie que de nombreux patients peuvent être en mesure de réduire les exigences s'ils trouvent un médecin qui est prêt à les aider à mourir.
Un psychiatre néerlandais, le Dr Bram Sizzo, a pesé sur cette tendance inquiétante, déplorant le fait que certaines de ces personnes semblaient excitées par l'idée de mourir et pensaient que cela mettrait fin à leurs problèmes ainsi qu'à ceux de leur famille.
Le directeur du Centre de recherche sur l'autisme de l'Université de Cambridge, Simon Baron-Cohen, s'est dit préoccupé par le fait que les personnes ayant une déficience intellectuelle pourraient ne pas comprendre pleinement la décision de mettre fin à leurs jours, affirmant qu'il était « odieux » que ces personnes ne reçoivent pas un plus grand soutien au lieu d'être euthanasiées.
Irene Tuffrey-Wijne, spécialiste des soins palliatifs à l'Université de Kingston, a déclaré: «Il ne fait aucun doute dans mon esprit que ces personnes souffraient. Mais est-ce que la société est vraiment d'accord pour envoyer ce message, qu'il n'y a pas d'autre moyen de les aider et qu'il vaut mieux être mort ?"
Il est difficile d'imaginer que quelqu'un qui pense que la mort est la solution à des problèmes comme la solitude ou l'isolement social puisse être considéré comme suffisamment sain d'esprit pour prendre une décision aussi importante et irréversible. Certains experts craignent à juste titre que le fait de permettre aux personnes atteintes de maladie mentale de choisir de mourir alors qu'elles ne comprennent pas pleinement la complexité de la situation vire dangereusement en territoire eugéniste.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
FoxNews.com
NYPost.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-autistic-intellectually-handicapped-euthanized-in-netherlands.html
Bill Gates investit 400 millions de dollars dans des essais de vaccins sur des Africains
RépondreSupprimer6 juillet 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Le co-fondateur de Microsoft, Bill Gates, a investi la somme colossale de 400 millions de dollars dans un projet visant à tester des vaccins sur des milliers de citoyens du tiers monde. L'argent, financé par la Fondation Bill & Melinda Gates du milliardaire, devrait financer un essai clinique de phase 3 pour un vaccin contre la tuberculose.
Les essais de vaccination doivent être menés sur 26 000 personnes dans 50 sites en Afrique et en Asie du Sud-Est au cours des quatre à six prochaines années . Gates a promis 400 millions de dollars pour l'étude et la Wellcome Foundation a promis 150 millions de dollars supplémentaires. Wellcome est le plus grand bailleur de fonds de la recherche médicale au Royaume-Uni et l'un des plus importants au monde.
Les essais testeront le vaccin M72/AS01 précédemment financé par la Fondation Gates. Le vaccin a été développé par le géant pharmaceutique GSK (anciennement GlaxoSmithKline) avec un financement partiel de la Fondation Gates.
Pendant ce temps, les médias d'entreprise ont célébré l'annonce de la Fondation Gates. Des experts ont déclaré au Washington Post que la nouvelle était "énorme". Le Guardian a qualifié l'annonce de "révolutionnaire" tandis que STAT l' a qualifiée de "prometteuse" .
Cependant, Brian Hooker , Ph.D., PE, directeur principal de la science et de la recherche à l'organisation à but non lucratif Children's Health Defence de Robert F. Kennedy Jr., a déclaré à The Defender que les essais prévus du vaccin contre la tuberculose sont l'occasion de soulever préoccupations.
" Je crains qu'ils ne prévoient de mener les essais dans des pays sous-développés ", a déclaré Hooker. « Il semble presque prototypique que les pays sous-développés servent de cobayes pour le reste du monde. Cinquante pour cent est une efficacité incroyablement faible pour une intervention aussi « importante ».
GSK a développé le vaccin et mené de plus petites études de preuve de concept de phase 2b en 2018. Au cours des études, GSK a rapporté un taux d'efficacité de 54 %. Cependant, le fabricant du vaccin n'a pas mené les essais de phase III à grande échelle requis pour une licence.
RépondreSupprimerAu lieu de cela, la licence a été accordée au Gates Medical Research Institute (GMRI) .
GMRI est une spin-off biotechnologique à but non lucratif de la Fondation Gates dédiée au développement de «nouvelles interventions biomédicales» pour résoudre les problèmes de santé mondiaux.
Le vaccin existant contre la tuberculose, le vaccin BCG (Bacille Calmette-Guérin), date de 1921. Le vaccin est efficace pour arrêter l'infection tuberculeuse chez les enfants mais a une efficacité limitée chez les adultes.
Recommandations de livres TKP :
Umberto Eco : L'éternel fascisme
Des gens courageux d'Andrea Drescher
Avant la "vaccination", ils étaient en bonne santé par Andrea Drescher
Livres de Promedia Verlag
La peur et la pandémie de mensonge par le professeur Dr. médical Andreas Sonnichsen
Livres du Prof. DDr. Christian Schubert
Tortues jusqu'au fond : la science et le mythe de la vaccination
Mensonges, mensonges, mensonges : Terreur, tyrannie et conflagration mondiale comme nouvelle normalité des mondialistes
Selon des estimations récentes , jusqu'à 25 % de la population mondiale est porteuse d'une infection tuberculeuse latente (asymptomatique), qui peut ensuite devenir active chez 5 à 15 % des porteurs latents. La tuberculose tue 1,6 million de personnes chaque année , principalement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire.
Il est traitable et curable avec des antibiotiques. Des souches résistantes aux médicaments sont apparues, mais même celles-ci peuvent être traitées et guéries avec des médicaments de deuxième intention.
L'étude financée vise à tester si le vaccin expérimental peut empêcher les adolescents et les adultes atteints de tuberculose latente de développer des symptômes.
Dans l'étude précédente, 67% des personnes du groupe recevant le médicament ont signalé des effets indésirables non sollicités dans les 30 jours suivant l'injection, contre 45% dans le groupe placebo.
Les défenseurs du vaccin contre la tuberculose admettent que le déploiement mondial « nécessitera beaucoup de ressources » et exhortent les gouvernements à « augmenter considérablement les investissements dans le pipeline du vaccin contre la tuberculose ».
RépondreSupprimerLe Wellcome Trust et la Gates Foundation espèrent trouver un partenaire commercial pour leur nouveau vaccin d'ici 12 mois, rapporte The Economist.
https://tkp.at/2023/07/06/bill-gates-investiert-400-millionen-dollar-in-impfstoffexperimente-an-afrikanern/
Le port d'un masque réduit le QI
RépondreSupprimer6 juillet 2023
du Dr. Peter F. Mayer
Début avril 2020, le port du masque est devenu obligatoire. Il était déjà clair à l'époque qu'ils ne protégeaient pas contre les virus et que les porter pendant de longues périodes était nocif pour la santé. Sinon, il n'y aurait pas eu de limitation de la durée de port dans les réglementations sur la santé et la sécurité au travail. Malgré cela, des médecins ont été condamnés pour avoir délivré des dispenses de masque comme ici ou ici. Les jugements sont factuellement incorrects et donc juridiquement indéfendables. Mais le mal des masques va plus loin.
L'un des dommages les plus graves causés par les masques est la perte d'apprentissage chez les étudiants, entraînant une réduction du QI. C'est ce que montre l'étude publiée en mars 2023 intitulée "Résultats des tests d'intelligence des élèves après six et seize mois de scolarité irrégulière due à la pandémie de COVID-19 ". Ça lit:
« Des recherches antérieures ont démontré l'importance de la scolarisation dans le développement des habiletés cognitives. Nous avons donc les performances aux tests d'intelligence de 424 élèves allemands du secondaire de la 7e à la 9e année (42 % de filles) testés après les six premiers mois de la pandémie de COVID-19 (c'est-à-dire l'échantillon de 2020), avec les résultats de deux élèves très comparables les échantillons des années 2002 (n = 1506) et 2012 (n = 197) ont été comparés.
Les résultats ont montré que les résultats des tests d'intelligence de l'échantillon de 2020 étaient significativement et significativement inférieurs à ceux des échantillons de 2002 et 2012. Nous avons retesté l'échantillon de 2020 en 2021 après une autre année scolaire complète dans l'école affectée par le COVID-19. Nous avons trouvé des changements de niveau intermédiaire d'une ampleur typique, sans aucune preuve de rattrapage par rapport aux cohortes précédentes ou de nouvelles baisses des performances cognitives.
Nous avons donc affaire aux étudiants avec des dommages continus dus aux mesures Corona, à savoir l'obligation de porter un masque. Le saviez-vous ? Bien sûr, car il y avait déjà des données à ce sujet.
L'exposition chronique au gaz carbonique entraîne une perte d'apprentissage chez les souris en croissance, même à 0,3 % de gaz carbonique. On sait également que les enfants portant des masques ont un taux de respiration supérieur à 1 %. Plus d'informations à ce sujet peuvent être trouvées ici dans cet article, entre autres.
Ainsi, le risque que le gaz carbonique entraîne une perte de QI à travers les masques est très élevé.
De temps en temps, il y a aussi des choses utiles de la Commission européenne, comme ce document sur l'évaluation des risques pour la santé. Il est démontré que même de faibles concentrations de plomb dans l'eau potable entraînent une perte de QI :
" L'utilisation des fonctions dose-réponse dans l'évaluation des risques et l'analyse socio-économique : le cas de l'exposition au plomb et les effets sur le QI . "
L'exposition au plomb est connue depuis longtemps pour causer des dommages biologiques et neurologiques importants associés à des troubles cognitifs et comportementaux. Par exemple, des relations dose-réponse ont été établies qui décrivent la relation entre la performance des enfants aux tests de QI et les mesures des concentrations de plomb dans le sang pendant la petite enfance. Ces relations dose-réponse sont utilisées dans l'évaluation des risques et l'analyse socio-économique pour déterminer un niveau acceptable de protection en termes de charge de morbidité individuelle et de la population. Les différentes tâches d'évaluation des risques et d'analyse socio-économique conduisent à des différences dans la manière dont ces relations dose-réponse sont utilisées dans chaque cas.
RépondreSupprimerLes niveaux de gaz carbonique et de plomb sont comparables. Ici, l'influence du plomb dans l'eau potable est évaluée avec le test d'apprentissage Water Maze sur des souris et dans cette étude celle du gaz carbonique également dans le test Water Maze.
La perte d'apprentissage du plomb et du gaz carbonique est identique.
Ainsi, le gaz carbonique sous les masques est tout aussi dangereux pour les adolescents que le plomb dans l'eau potable.
Donc, si vous aviez fait une évaluation correcte des risques, vous auriez reconnu que les masques et le gaz carbonique entraînent une perte de QI. Le risque est très élevé et comparable à la perte de QI due au plomb dans l'eau potable.
Si même les organes de l'UE savent comment procéder à une telle évaluation des risques sur la base de données animales, pourquoi n'a-t-elle pas été réalisée ? Pourquoi juge-t-on des médecins qui , sur la base d' un savoir ou d'un ressenti, ont tout fait correctement ?
En tout état de cause, l'obligation de porter des masques a causé des dommages durables, précisément dans les tranches d'âge où il existe un risque de permanence.
https://tkp.at/2023/07/06/maske-tragen-reduziert-den-iq/
Chez les cons c'est carnaval toute l'année !
SupprimerLe bal masqué ôhé-ôhé !
L'actrice Katarina Pavelek opte pour le SUICIDE assisté suite à des blessures par balle de rappel COVID
RépondreSupprimer07/04/2023
Ethan Huff
La mannequin et actrice slovaque Katarina Pavelek, connue pour son travail sur Fox Sports Live (2013), The Mindy Project (2012) et Marry Me (2014), est décédée après avoir choisi de mettre fin à ses jours par suicide assisté.
Pavelek, dont les derniers jours ont été passés à Liestal, en Suisse, venait de recevoir une injection de "rappel" du coronavirus de Wuhan (COVID-19), dont on lui avait dit qu'elle aiderait à renforcer son système immunitaire. Au lieu de cela, la santé de Pavelek après l'injection s'est considérablement détériorée, selon Evie Magazine.
"Comme la plupart des gens, Pavelek pensait que la piqûre améliorerait son système immunitaire - au lieu de cela, il a fait le contraire, et elle en a beaucoup souffert", a rapporté le magazine.
"Pavelek a été diagnostiqué avec une maladie neurologique chronique incurable connue sous le nom d'encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique (EM/SFC), une maladie de longue durée avec un large éventail de symptômes qui affecte les activités quotidiennes. Parfois, cette condition peut confiner les gens à leur L'EM/SFC peut s'aggraver si les personnes atteintes de cette maladie se surmenent. Le modèle a également été soupçonné d'avoir une SLA respiratoire, une maladie neurodégénérative qui affaiblit les muscles impliqués dans la respiration et la déglutition.
(En relation: Plus tôt cette année, une recherche publiée dans la base de données épidémiologique médicale de la Défense [DMED] a révélé que les injections de rappel COVID sont liées à des problèmes cardiaques, à des cancers et à une "diminution étonnante" de la durée de vie moyenne.)
Développer l'EM/SFC à partir de piqûres COVID signifie généralement que la vie d'une personne se TERMINE, même si elle n'opte pas pour le suicide assisté
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis classent l'encéphalomyélite myalgique et le syndrome de fatigue chronique (EM / CFS) comme une maladie complexe et débilitante, tout comme Evie Magazine l'a rapporté en termes de souffrance pré-suicide de Pavelek.
Le CDC admet pleinement que les personnes qui développent l'EM / SFC sont généralement incapables de faire leurs activités habituelles et sont souvent confinées dans leur lit dans la misère. Les personnes souffrant d'EM/SFC développent également une fatigue accablante qui ne semble jamais s'améliorer, même avec des périodes de repos prolongées.
"L'EM/SFC peut s'aggraver après toute activité, qu'elle soit physique ou mentale", expliquent les rapports, ajoutant que les personnes atteintes d'EM/SFC ne semblent parfois même pas malades, même lorsqu'elles souffrent énormément.
RépondreSupprimerLes personnes souffrant d'EM/SFC perdent essentiellement leur capacité à effectuer des tâches quotidiennes normales telles que préparer un repas ou même simplement prendre une douche. Ils sont généralement empêchés de garder un emploi, d'aller à l'école et de participer à la vie familiale et sociale comme les gens normaux.
Malheureusement pour ceux qui le développent, l'EM/SFC peut mettre plusieurs années à disparaître et entraîne souvent de graves handicaps. Au moins 25 % des patients atteints d'EM/SFC finissent par être alités ou du moins confinés à la maison pendant toute la durée de leur maladie.
Le 1er juin 2023, Pavelek a fait savoir à ses abonnés Instagram qu'elle avait pris la décision difficile d'opter pour le suicide assisté afin d'atténuer la douleur et la souffrance sans fin qu'elle a développées à la suite d'avoir été "renforcée" pour la grippe Fauci.
"Salut les gars, au cours des 10 derniers jours, je suis de nouveau tombé gravement malade à la maison, incapable de faire grand-chose", a écrit Pavelek dans le post. "Mon corps est trop faible pour lutter contre cette maladie et je n'ai plus de force alors j'ai pris la décision de mettre fin à mes jours à l'association Pegasos en Suisse. On m'a diagnostiqué une maladie neurologique chronique incurable."
"EM/SFC causé par une piqûre de rappel en plus d'avoir suspecté une SLA respiratoire. Cette maladie m'a rendu handicapé, incapable de travailler ou d'avoir une vie sociale et incapable de profiter de la vie tous ensemble. La respiration est devenue de plus en plus difficile et douloureuse pour moi et mon la fonction pulmonaire a diminué. Merci pour toute votre amitié et votre soutien au cours de l'année dernière.
Les dernières nouvelles sur le nombre croissant de blessures et de décès dus aux "vaccins" COVID peuvent être trouvées sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
RépondreSupprimerTheGatewayPundit.com
Newstarget.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-04-actress-katarina-pavelek-suicide-covid-booster-shots.html
La pandémie de peur et de mensonge - examen des travaux de base d'Andreas Sönnichsen sur la crise corona
RépondreSupprimer6 juillet 2023
du Dr. médical Dietmar Kabelka
Avec le début de la crise de Corona au début de 2020, la science est devenue une idéologie et l'information est devenue la propagande des gouvernements, des médias de service public et de la plupart des institutions scientifiques et médicales. Ce livre tente un examen scientifique honnête des données et des preuves d'études officiellement disponibles sur la pandémie de SRAS-CoV-2, sur les mesures de confinement et sur la "vaccination" COVID, combinées à l'histoire personnelle d'un critique inébranlable du récit corona.
Après son manuel « Science Competence in Medicine », qui a été publié en 2022 (en tant que co-auteur), Andreas Sönnichsen présente maintenant un travail de base pour le traitement factuel de la crise corona. Le fait qu'Andreas Sönnichsen soit appelé à entreprendre ce travail complet est prouvé par ses décennies d'expérience dans la conception d'études médico-scientifiques.
Le nouveau livre est une réévaluation des données officiellement disponibles et des preuves d'études sur la pandémie de Sars-CoV-2. Ce livre rend la théorie de la science claire et facile à comprendre.
Tous ceux qui veulent apporter une contribution honnête à l'analyse professionnelle de cette période de pandémie doivent maintenant se mesurer à ce chef-d'œuvre du résumé des preuves. Sönnichsen prouve sans équivoque que nous avons été témoins de ce qui est probablement le plus grand scandale de l'histoire de la médecine.
Il présente également une correspondance bizarre qui montre à quel point nos anciennes élites académiques sont devenues renfermées et aveuglées et comment le discours scientifique conduit soudainement à la diffamation et au discrédit.
L'analyse des données factuelles clairement structurées est assaisonnée des expériences personnelles de l'auteur, qui sont insérées à plusieurs reprises, ce qui donne lieu à un parcours de lecture fascinant couvrant toute la période de cet état d'urgence historique. Toutes les informations sont collectées et fournies avec un fil rouge. Un fichier source complet de 440 références est téléchargeable gratuitement.
Des débuts de l'identification virale très suspecte et du développement des tests PCR aux nombreux effets secondaires des "vaccinations" Covid, aucun aspect n'est laissé de côté.
Des NPI démesurés (interventions non pharmaceutiques telles que les masques et les confinements) à la dissection des données de l'étude "vaccins", la pratique de la mauvaise interprétation est montrée sobrement.
Ce livre permet une large base de connaissances pour le processus d'acceptation de notre société divisée. Pour une réconciliation, cependant, de nombreux problèmes de communication doivent encore être résolus. Ici aussi, Sönnichsen indique clairement que la peur alimentée par la propagande moderne a eu une forte influence sur le comportement de nos semblables. Nous devons tous faire face à ce travail d'éducation nécessaire et faire de notre mieux pour y contribuer.
RépondreSupprimer"La pandémie de la peur et du mensonge" de Sönnichsen sera avec nous pendant longtemps, et un rafraîchissement régulier des données est garanti à chaque nouvelle édition.
Personne ne peut ignorer ce livre.
https://tkp.at/2023/07/06/die-angst-und-luegenpandemie-rezension-von-andreas-soennichsens-grundlagenwerk-zur-coronakrise/
Les pompiers meurent subitement. Un autre groupe mandaté par le vaccin ARNm COVID-19 souffrant de blessures et de décès
RépondreSupprimer16 décès subits de pompiers au cours des 6 derniers mois examinés
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
6 juillet 2023
21 juin 2023 - Bayville, NJ - Le pompier de 34 ans Brian Letrent est décédé subitement d'une crise cardiaque. La veille, il a participé à une formation/exercice obligatoire à grande échelle. Il s'est effondré le lendemain en rentrant du travail avec une urgence cardiaque et est décédé au Bayshore Medical Center.
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15 juin 2023 - St. Paul, MN - Le pompier de 48 ans Chris Parsons est décédé subitement le 15 juin 2023. Il est décédé 6 jours après s'être effondré en rentrant chez lui après avoir couru une course de 5 km à Minneapolis. C'était un "mec qui courait deux fois par jour, qui courait des marathons".
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10 juin 2023 - Vermilion, OH - Le pompier de 50 ans William John McCale est décédé subitement d'une crise cardiaque apparente. Il avait subi des tests d'effort 4 jours plus tôt.
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10 juin 2023 – Bayfield, ON – Le pompier volontaire de 46 ans John Vanderhaar est décédé subitement le 10 juin 2023.
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5 juin 2023 - Dublin, GA - Le pompier de 26 ans Shaun Luke Daniel s'est effondré en marchant sur un pare-feu, la RCR a été pratiquée mais il est décédé à l'hôpital d'une crise cardiaque apparente.
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4 mai 2023 – London, ON – Le pompier de 56 ans Jan Paul Henry Joosten est décédé subitement le 4 mai 2023.
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20 avril 2023 - Knoxville, TN - Le pompier de 44 ans Erik Nelson Collier est décédé subitement d'un arrêt cardiaque le 20 avril 2023. Il laisse derrière lui deux enfants.
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10 avril 2023 – Burnaby, C.-B. – Ray Sawada, 38 ans, ancien joueur de la LNH et pompier de la ville de Burnaby, est décédé subitement alors qu'il jouait au hockey.
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11 février 2023 – Edmonton, AB – Le pompier de 41 ans Chris Kinsella est décédé subitement, alors qu'il n'était pas en service à la suite d'un « événement médical ». Il a été quadruple vacciné (double rappel) et est décédé subitement d'un arrêt cardiaque alors qu'il participait à une course de ski de fond.
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3 février 2023 - Oregon - Brandon Norbury, ancien Navy Seal et pompier de 41 ans, a fait un arrêt cardiaque juste après l'entraînement et est décédé ( cliquez ici )( cliquez ici ).
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22 janvier 2023 - Vernon, C.-B. - Le pompier de 50 ans David Hentschel est décédé subitement et de façon inattendue.
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12 janvier 2023 - Sequim, WA - Le capitaine Charles "Chad" Cate, pompier de 46 ans, est décédé dans son sommeil le 12 janvier 2023. Il a été retrouvé mort dans sa couchette par son équipage à 7 heures du matin.
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14 décembre 2022 – Lakewood, WA – John Martin Garner, pompier et vétéran de l'armée américaine âgé de 45 ans, est décédé subitement le 14 décembre 2022. Il est décédé de «problèmes cardiaques après une formation intensive en sauvetage aquatique. "
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9 décembre 2022 - Quinn Grooms, 20 ans, a été retrouvé mort à la maison, ses parents pensent que "le coup de COVID-19 l'a tué".
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Deux ambulanciers pompiers de Floride se sont suicidés. Trip Wooten le 9 janvier 2023 et Allen Singleton le 28 janvier 2023 ( cliquez ici )
RépondreSupprimerMa prise…
L'ancien gestionnaire de Blackrock Hedge Fund, Ed Dowd, a examiné les données d'assurance américaines et a fait les conclusions suivantes : ( cliquez ici à partir de 8h25 )
Depuis janvier 2021, le taux d'invalidité de ceux qui sont restés sur le marché du travail pendant les mandats de vaccination contre la COVID-19 par rapport à ceux qui ont abandonné la population active (et n'ont pas reçu de vaccins contre la COVID-19) est 550 % plus élevé dans le groupe vacciné .
La surmortalité est en hausse de 40% chez les 25-64 ans qui sont restés sur le marché du travail en 2021 et qui ont pris des vaccins COVID-19. ( cliquez ici à partir de 3:33 )
Quels étaient les métiers les plus vaccinés ?
Médecins, infirmières, pilotes, policiers, pompiers, militaires, travailleurs municipaux (chauffeurs de bus, etc.), enseignants.
Ce sont les groupes qui voient le plus de morts subites en ce moment.
En raison de l'accumulation de protéines de pointe dans le cerveau, le risque de suicide est également accru chez les vaccinés contre le COVID-19.
*
Le Dr William Makis est un médecin canadien spécialisé en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursier de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.
https://www.globalresearch.ca/firefighters-dying-suddenly-another-covid-19-mrna-vaccine-mandated-group-suffering-from-injuries-deaths/5824881
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RépondreSupprimerBen M. sur Twitter
"Ces pics se produisent dans des points chauds très spécifiques, mais de manière synchrone dans le monde [..] ce qui, d'un point de vue épidémiologique, est strictement impossible, car le délai entre l'ensemencement d'une infection et l'augmentation soudaine de la mortalité est complètement incertain."
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Ben M. sur Twitter
"Le virus a absolument refusé de franchir ces frontières, bien sûr, c'est absurde, on croit qu'une maladie respiratoire virale se propage, et elle n'a pas besoin de passeport, et elle ne respecte pas les frontières, donc c'est encore une preuve, que c'est pas une pandémie respiratoire virale.
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Ben M. sur Twitter
"Vous voyez, à la suite du déploiement du vaccin, il y a un régime de mortalité plus élevé."
"Même chose pour chacun des États d'Australie."
"Le grand pic [dans le sud des États-Unis] coïncide avec [le] programme d'équité en matière de vaccins."
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Ben M. sur Twitter
"Vous injectez des personnes qui courent un risque élevé de mourir lorsque vous injectez des personnes âgées"
«Les jeunes adultes sont au-dessus du [risque] exponentiel. Il y a un plateau de risque de mourir pour les jeunes adultes.
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Ben M. sur Twitter
Le Dr Rancourt a conclu son témoignage en déclarant que d'après ses études détaillées sur la mortalité toutes causes confondues pendant la période covid, en combinaison avec des données socio-économiques et de déploiement de vaccins :
S'il n'y avait pas eu de propagande ou de coercition pandémique, et si les gouvernements et l'establishment médical avaient simplement continué comme si de rien n'était, il n'y aurait pas eu de surmortalité.
RépondreSupprimerIl n'y a pas eu de pandémie entraînant une surmortalité.
Les mesures ont entraîné une surmortalité.
La vaccination contre le Covid a provoqué une surmortalité.
La semaine dernière, le Dr Rancourt a publié un essai intitulé " Il n'y avait pas de pandémie " qui est basé sur son témoignage pour le NCI (voir la vidéo ci-dessous), son livre de 894 pages d'expositions à l'appui de ce témoignage et ses recherches continues. Dans son essai, il écrit :
En ce qui concerne les vaccins, nous avons quantifié de nombreux cas dans lesquels un déploiement rapide d'une dose dans le calendrier de vaccination imposé était synchrone avec un pic par ailleurs inattendu de la mortalité toutes causes confondues, parfois dans le cycle saisonnier et d'une ampleur jamais vue auparavant dans le record historique de mortalité.
Nous avons ainsi montré que la campagne de vaccination en Inde a causé la mort de 3,7 millions d'habitants fragiles. Dans les pays occidentaux, nous avons quantifié le taux moyen de décès tous âges confondus à 1 décès pour 2 000 injections, pour augmenter de manière exponentielle avec l'âge… Nous avons estimé que les vaccins avaient tué 13 millions de personnes dans le monde.
Il n'y avait pas de pandémie , Denis G. Rancourt, PhD, 22 juin 2023
https://www.globalresearch.ca/dr-denis-rancourt-covid-injections-have-killed-13-million-people-worldwide/5824868
Caillots sanguins : problème majeur avec les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna COVID-19. Certains ont de la chance de survivre comme Deion Sanders, membre du Temple de la renommée de la NFL
RépondreSupprimerImages graphiques - 13 cas
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
6 juillet 2023
Les caillots sanguins ont été un problème majeur avec tous les vaccins COVID-19, y compris Pfizer et Moderna.
J'ai écrit plusieurs articles de sous-pile sur ceux qui sont morts de caillots :
30 avril 202 3 – Caillots sanguins – embolie pulmonaire chez la jeune femme – 14 cas
11 avril 2023 – Les AVC montent en flèche chez les jeunes
6 mars 2023 – Caillots sanguins – jeunes amputés
Ceux qui ont survécu à des caillots sanguins après les vaccins COVID-19 ont de la chance d'être en vie, mais la plupart ont eu un parcours très difficile.
23 juin 2023 - Deion Sanders, 55 ans, membre du Temple de la renommée de la NFL et entraîneur-chef des Colorado Buffaloes, a lutté contre des caillots sanguins dans les jambes qui ont entraîné l'amputation de 2 orteils. Il a récemment subi une intervention chirurgicale pour enlever les caillots et éviter une nouvelle amputation ( cliquez ici )
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1er juillet 2023 – L'acteur de 45 ans Tyler Labine se remet d'un mal de ventre qui « s'avère être un caillot de sang potentiellement mortel dans vos intestins et votre foie et vous devez passer les 3 prochains jours à l'hôpital en essayant de ne pas mourir » ( il était entièrement vacciné contre le COVID-19)
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6 juin 2023 - Elizabethton, Tennessee - Larry Bowers (travaille au James H. Quillen VA Medical Center) s'est fait retirer des caillots de la jambe. Il est entièrement vacciné contre le COVID-19 et pense qu'ils ont été causés par le COVID-19, et non par les vaccins.
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25 mai 2023 – Hartford, CT – Kristen Ann Mallinson, une grande entreprise, avait des vaccins Pfizer COVID-19 ARNm avec 3 rappels. Elle a été hospitalisée 11 jours avec des caillots sanguins dans les poumons et le cœur, avec un caillot sanguin de 6 pouces dans le cœur (photo ci-dessous). Elle regrette de s'être fait vacciner ( cliquez ici )
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21 mai 2022 - Brisbane, Australie - Dani Duchatel, 26 ans, est décédée subitement devant sa famille alors qu'elle jouait aux cartes après le dîner. Les médecins pensent qu'un caillot de sang provenant d'une opération récente sur sa jambe s'est rendu dans ses poumons, provoquant une embolie pulmonaire. Absurdité. ( cliquez ici )
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1er février 2023 - Willington, Royaume-Uni - Le footballeur de 20 ans Levi Dewey est allé à l'hôpital avec des symptômes de grippe, puis a souffert d'une septicémie sévère et a dû être amputé des deux jambes après avoir souffert d'une défaillance de plusieurs organes ( cliquez ici )
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1er janvier 2023 - La professeure de piano britannique Julianna Bransden a subi des blessures catastrophiques après les vaccins COVID-19 ( cliquez ici )
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Julianna a été entièrement vaccinée contre le COVID-19 . Le 23 décembre 2022, elle a développé des symptômes pseudo-grippaux et le 1er janvier 2023, elle a eu deux arrêts cardiaques, a fait un choc septique, une défaillance systémique de plusieurs organes, nécessitant une assistance respiratoire complète .
On lui a diagnostiqué une septicémie résultant d'une forme agressive de pneumonie. Après des semaines de combats, elle a dû subir une intervention chirurgicale pour amputer ses deux jambes sous le genou et perdra la plupart de ses doigts.
24 octobre 2022 - Krystina Pacheco, 29 ans, a souffert du syndrome de choc toxique après avoir donné naissance à sa fille le 24 octobre 2022, entraînant l'amputation de ses mains et de ses pieds quelques jours plus tard.
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Décembre 2021 – Un utilisateur de Twitter âgé de 40 ans regrette d'avoir reçu des vaccins contre le COVID-19 ( cliquez ici )
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Novembre 2021 - Bryant, AR - Brandy Byrd-Brazeale, une enseignante de 5e année, a pris deux vaccins à ARNm Pfizer avec hésitation et 2 mois plus tard, elle a développé une TVP dans sa jambe droite, ce qui a finalement conduit à une embolie pulmonaire dans son poumon droit ( cliquez ici )
Avril 2021 - Sherri Whiting est un agent immobilier agréé. Une de ses amies s'est fait vacciner avec Moderna et 2 semaines plus tard, ils pensaient qu'elle faisait un AVC. C'était un caillot de sang qui est passé de son coude à son épaule ( cliquez ici )
Ma prise…
Tous les vaccins COVID-19 sont thrombogènes (provoquent des caillots sanguins) : Pfizer, Moderna, AstraZeneca, J&J. Ces deux derniers ont été retirés du marché pour avoir causé des caillots sanguins.
La base de données VigiAccess de l'OMS répertorie 5,1 millions d'effets indésirables des vaccins COVID-19, dont : 29751 embolie pulmonaire, 20251 thrombose, 20017 TVP, 18077 accident vasculaire cérébral, 9695 IM, 5308 AVC ischémique, 4807 infarctus cérébral, 3255 SVT, 2495 thrombose du sinus veineux cérébral , 2204 thrombose veineuse membre
Cela représente plus de 100 000 événements de caillots sanguins signalés dans un seul système de déclaration d'événements indésirables. Appliquez un facteur de sous-déclaration de 10x ou 100x et cela signifie qu'il y a entre 1 million et 10 millions de personnes vaccinées contre le COVID-19 avec des caillots sanguins.
Certains d'entre eux mortels.
https://www.globalresearch.ca/blood-clots-major-problem-pfizer-moderna-covid-19-mrna-vaccines-some-lucky-survive-like-nfl-hall-famer-deion-sanders/5824790
CV-19 Décès liés à l'exclusion des antibiotiques du protocole Fauci
RépondreSupprimerDe Wayne Lusvardi
6 juillet 2023
CECI EST DES INFORMATIONS, PAS DES CONSEILS MÉDICAUX
Des chercheurs indépendants à Pittsburgh, Los Angeles et Ottawa signalent séparément l'exclusion d'Anthony Fauci des antibiotiques dans le cadre du protocole de traitement COVID-19 comme la cause plausible de l'excès de décès dus à la pneumonie virale et aux dommages causés par la myocardite chez les vaccinés de 2020 à 2022. De nombreux décès en excès (plus de décès que la normale) n'étaient pas dus à une épidémie de virus ou à des blessures causées par le vaccin, mais à l'exclusion des antibiotiques de la norme de soins du traitement COVID-19. Mais la qualité des données n'est pas suffisante pour estimer l'ampleur de ces décès. Et cette compréhension suggère que ce qu'on a appelé un virus est bactérien, et non viral, et nécessite donc un traitement antibiotique qui a été exclu en vertu du protocole Fauci.
Pour gonfler le nombre de cas de COVID et de décès de 2020 à 2022, le CDC n'a pas compté la grippe et la pneumonie dans les statistiques sur les maladies pendant l'urgence COVID-19 et les a plutôt comptés comme des décès par COVID. Il y avait un incitatif financier de 35 000 $ par patient pour que les hôpitaux le fassent. Trois chercheurs indépendants ont commencé à dénoncer le refus d'antibiotiques.
J.J. Couey, PhD, biologiste, Gigaohm Biological, à Pittsburgh, Pennsylvanie, dans une interview en ligne a déclaré :
« Là où ils (CDC) disaient, encore et encore, les antibiotiques ne fonctionnent pas pour la pneumonie virale…. Donc, c'est un phénomène qui s'explique si on pense au fait qu'on a arrêté d'utiliser des antibiotiques pour une pneumonie virale déclarée sur la base d'un test PCR. Et cela a été fait dans le monde entier ».
De même, Denis Rancourt, PhD, physicien à Ottawa, au Canada, rapporte que cinquante pour cent des décès dus au COVID-19 étaient des pneumonies bactériennes nécessitant des antibiotiques qui seraient exclus en vertu du protocole Fauci. Rancourt affirme qu'il faut reconnaître que l'institutionnalisation d'un nouveau protocole de diagnostic et de traitement (remplacement des antibiotiques par des vaccins) était au cœur du protocole Fauci pour le COVID-19.
De même, le Dr Joseph Lee, MD, à Los Angeles, a écrit une lettre de 73 pages (non en ligne) au Dr Fauci qui est particulièrement informative (voir la vidéo ici - sauter le début).
L'intention déclarée des vaccins à ARN COVID-19 est d'injecter des protéines de pointe dans le sang qui incitent le corps à produire des anticorps à délivrer dans les poumons pour arrêter les infections respiratoires. Mais le Dr Lee affirme que les vaccinations contre le COVID-19 sont de la «science-fiction» car la molécule de protéine de pointe d'ARN est trop grosse (145 000 daltons) pour pénétrer dans les poumons pour arrêter une infection respiratoire (le maximum pour l'entrée pulmonaire est de 18 daltons).
RépondreSupprimerAvantages inattendus – vaccins auto-désactivants
Selon le Dr Lee, la grâce salvatrice involontaire des vaccins à ARN C-19 est qu'ils induisent également la production de molécules de signalisation appelées chimiokines. Ces chimiokines peuvent provoquer une inflammation nocive, mais entraînent également la production d'enzymes d'interféron et de ribonucléase qui interfèrent avec et arrêtent tout anticorps nocif produit par les vaccins à ARN COVID-19. En d'autres termes, Lee raconte comment les responsables de la santé publique imposent apparemment sans le savoir des vaccins à ARN qui s'auto-désactivent, mais néanmoins leurs effets secondaires sont efficaces de manière inattendue.
En raison de la non-livrabilité du vaccin postulé par Lee dans les poumons et de la désactivation par la ribonucléase, le vaccin n'interfère pas avec la réponse immunitaire innée du corps pour éliminer une infection pulmonaire en 3 jours, mais seulement si les malades ne mangent pas de nourriture lors de l'infection (prouvant que les soins infirmiers bromure "nourrir un rhume, affamer une fièvre"). Lee souligne que 95% à 99% des non vaccinés "guérissent" d'une infection virale en trois jours sans vaccin ni antibiotique (à l'exclusion de l'angine streptococcique). Cette réponse innée comprend la génération interne d'enzymes ribonucléases et d'interféron ainsi que la non-ingestion de protéines ou d'acides aminés qui favorisent la croissance de l'infection.
Le Dr Lee dit que l'interrupteur de nos corps électrochimiques fluides est l'enzyme ribonucléase. Il affirme que les avantages non reconnus de l'enzyme ribonucléase (qui est partout) sont qu'elle se répand à travers la peau en tant que désactivateur de virus et qu'elle est des millions de fois plus puissante que la molécule d'anticorps du vaccin à ARN. Ainsi, l'excrétion de ribonucléase (et non de particules virales) à travers la peau est peut-être bénéfique, mais d'une manière différente de celle qui est mal comprise par les médecins de médecine conventionnelle et alternative comme une simple contamination ou contagion.
De plus, Lee soutient que puisque le vaccin à ARN est inefficace, ce n'est pas un vaccin mais un médicament et, en tant que tel, ne peut être imposé.
Myocardite
RépondreSupprimerLee souligne également que la bactérie saisonnière Streptococcus (angine streptococcique) peut provoquer une réaction auto-immune (anticorps) qui peut détruire la valve cardiaque appelée cardiopathie rhumatismale. L'amoxicilline (et la pénicilline, l'azithromycine) est l'antidote de l'angine streptococcique. Mais encore une fois, les antibiotiques ont été exclus du protocole C-19. La myocardite est l'une des conditions médicales les plus mal diagnostiquées avant la pandémie de COVID-19, car ses symptômes ne sont pas spécifiques. Le test le plus précis pour la myocardite est une IRM cardiaque.
Une étude rapporte que la myocardite est sept fois plus probable chez les non vaccinés que chez les vaccinés une fois que le malade a contracté le COVID-19. Cependant, il s'agissait d'une simple étude de revue de la littérature
et n'a pas de sens car il n'indique pas non plus si les patients ont reçu ou non des antibiotiques ; ou si le malade a jeûné ou n'a pas jeûné dans une fenêtre de deux jours après être tombé malade. Le bon sens aurait tendance à supposer que les non vaccinés sont également réticents à prendre des antibiotiques ou n'ont pas les ressources pour le faire. Cette étude est donc d'une corrélation superficielle, non de cause à effet, et reflète probablement des différences de classe sociale et non l'incidence de la myocardite. Cette étude indique comment même une étude par échantillon aléatoire avec un groupe témoin peut présenter de sérieux écueils en omettant les facteurs de confusion.
J'ai contacté une famille qui avait déjà eu le COVID et je lui ai demandé comment ils l'avaient léché sans aller à l'hôpital. Ils ont signalé qu'ils avaient mal à la gorge et ont contacté un médecin de conciergerie en ligne qui leur a prescrit l'antibiotique Azithromycine (appelé Z-Pack), le métoprolol pour réduire l'hypertension artérielle et l'ivermectine.
Précautions
Cet article est une information limitée et non un avis médical. Le Dr Lee avertit que les diabétiques ne doivent pas jeûner pendant deux jours après avoir contracté une infection respiratoire ou un mal de gorge, car leur glycémie tomberait à zéro, ce qui pourrait être fatal. La même précaution s'applique à toute personne ayant des conditions médicales préalables pour lesquelles elle devrait consulter un médecin en cas de maladie.
Le point de cet article est qu'il ne faut pas toujours éviter les antibiotiques prescrits pour les maux de gorge ou les infections ; ou à l'inverse tenter un autodiagnostic et un traitement par des infusions d'Ivermectine ou de Vitamine C sans consultation médicale. Les antibiotiques peuvent également avoir des effets secondaires négatifs.
RépondreSupprimerDe plus, si le Dr Lee a raison, à l'exception de la myocardite, les vaccins peuvent être inoffensifs parce qu'ils sont dysfonctionnels, mais leurs effets secondaires (produisant l'enzyme ribonucléase et l'interféron) peuvent être potentiellement bénéfiques pour des raisons mal comprises. De plus, la médecine traditionnelle et les soins infirmiers (« nourrir une soupe froide au poulet, affamer une fièvre ») ont une base scientifique mais ne doivent pas remplacer un avis médical judicieux.
https://www.lewrockwell.com/2023/07/wayne-lusvardi/cv-19-deaths-linked-to-fauci-protocol-exclusion-of-antibiotics/
Le nombre de sans-abri dans le comté de Los Angeles passe à plus de 75 000
RépondreSupprimer5 Juillet 2023
Laura Harris
Le comté de Los Angeles compte désormais plus de 75 000 sans-abri dans ses rues, ce qui représente une augmentation de 10 % pour la ville et de 9 % pour le comté.
Selon un décompte massif effectué par des milliers de bénévoles au cours d'une période de trois jours en janvier, environ 75 518 personnes vivaient dans des tentes d'hébergement temporaire, des véhicules, des camping-cars ou d'autres types d'abris de fortune, contre 69 144 personnes ayant des conditions de vie similaires enregistrées dans l'année dernière.
Les chiffres démontrent une augmentation de 70 % du nombre de sans-abrisme dans le comté et une augmentation de 80 % dans la ville depuis 2015.
La plupart de ces augmentations se sont produites dans les quartiers Westside et Harbour de Los Angeles, chacun connaissant un afflux de plus de 2 000 personnes, soit une augmentation d'environ 45 % par rapport à l'année précédente.
South L.A., qui compte le deuxième plus grand nombre de sans-abri du comté derrière le centre de Los Angeles, a résisté à la tendance avec une baisse de 10%, ce qui représente environ 1 600 sans-abri de moins. Le nombre de sans-abri dans le reste du comté est resté relativement stable.
La mairesse de Los Angeles, Karen Bass, qui a pris ses fonctions à la fin de l'année dernière, a fait de la réduction du sans-abrisme sa priorité absolue. Elle s'est fixé un objectif ambitieux de faire sortir 17 000 personnes de la rue au cours de sa première année, prévoyant de les loger dans des motels locaux.
Cependant, cette stratégie s'est heurtée à des limites car de nombreux sans-abri semblent préférer la liberté relative de la vie dans la rue. De plus, la plupart des sans-abri luttent contre la toxicomanie et la maladie mentale, ce qui complique encore les efforts pour fournir une assistance efficace.
L'itinérance augmente malgré la présence de plusieurs programmes de logement
Malgré l'allocation de fonds pour les abris, les logements permanents et la sensibilisation, le décompte annuel ponctuel publié par la Los Angeles Homeless Services Authority (LAHSA) révèle une croissance continue des campements de rue.
Va Lecia Adams Kellum, la nouvelle PDG de LAHSA, a décrit les résultats comme décevants mais pas surprenants.
RépondreSupprimer"Nous pensions avec les chiffres de l'année dernière que nous aplatissions la courbe", a-t-elle déclaré. "Cependant, ce que nous voyons dans cette trajectoire, c'est que les gens restent dans une situation de vulnérabilité où ils tombent dans l'itinérance plus rapidement que nous ne pouvons les loger. Il en faut beaucoup plus pour redresser le navire."
L'augmentation du nombre de sans-abrisme était principalement due à une augmentation du nombre de personnes sans abri, par opposition à celles dans les refuges. La population non protégée a augmenté de 14 % dans tout le comté, dépassant les 55 000 personnes, tandis que le nombre de personnes protégées a légèrement diminué pour atteindre un peu plus de 20 000.
Le décompte annuel a également révélé une augmentation de 18 % du nombre de sans-abrisme, en particulier parmi les personnes vivant dans la rue. Plus de 27 000 personnes en situation d'itinérance depuis plus d'un an et souffrant de problèmes de santé mentale et de toxicomanie ont été recensées. 5 000 sans-abri supplémentaires ont été identifiés dans les refuges, ce qui représente une augmentation de 7 %.
La répartition démographique a montré une surreprésentation des Noirs, dont 31% de la population sans abri, plus de quatre fois leur part de la population totale du comté. La proportion d'Américains d'origine hispanique est restée stable à près de 43 %, tandis que le nombre d'Américains d'origine asiatique sans abri a plus que doublé, mais représentait toujours moins de 2 % de la population totale de sans-abri.
Une enquête ultérieure après le décompte a indiqué que 25% des sans-abri ont déclaré avoir une maladie mentale grave et 30% ont signalé des troubles liés à la consommation de substances.
Bass a exprimé sa frustration face aux derniers chiffres. Elle a fait part de ses inquiétudes quant au fait que la tendance à la hausse se poursuivrait à mesure que de plus en plus de personnes tomberaient dans l'itinérance après l'expiration des protections liées à la pandémie.
Bass a souligné l'urgence de la situation en déclarant: "Le défi qui nous attend est vaste, mais nous continuerons à travailler de toute urgence pour faire entrer Angelenos. Nous devons maintenir notre élan en serrant les bras avec les dirigeants à tous les niveaux de gouvernement alors que nous affrontons cette crise comme l'urgence qu'elle est. Des vies en dépendent.
RépondreSupprimerEn savoir plus sur la détérioration de l'état de la Californie et de ses villes sur CaliforniaCollapse.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" de l'année dernière dans lequel Mike Adams, le Health Ranger, prédit correctement comment les campements géants de sans-abri vont exploser à travers les États-Unis.
This video is from the Health Ranger Report channel on Brighteon.com.
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California's homeless construct two-mile-long vehicle encampment in San Francisco's North Bay region.
Homeless encampments are exploding in size all over America as rents soar and evictions surge.
Thousands living in “kingdom” of HOMELESSNESS near Disney World in Florida.
Sources include:
Breitbart.com
LosAngelesTimes.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-homeless-los-angeles-county-surges-75000.html
Les hauts gradés de l'armée donnent l'ULTIMATUM à Macron pour mettre fin aux émeutes en France
RépondreSupprimer07/05/2023
Belle Carter
Un ancien haut commandant militaire français et plusieurs autres officiers supérieurs auraient adressé un ultimatum le 2 juillet au président français Emmanuel Marcon pour rétablir l'ordre dans le pays dans les 48 heures ou ils le feront eux-mêmes, avec l'armée.
Une lettre des 20 officiers supérieurs, qui contenait la menace, aurait circulé en Grande-Bretagne et en France. L'avertissement constituerait non seulement une "prise de position" des officiers en action contre l'État et le gouvernement légitime, mais il entraînerait également des sanctions très graves pour ceux qui y ont participé.
La fusillade mortelle de Nahel M., 17 ans, à Paris par la police française le 27 juin lors d'un contrôle routier a déclenché les troubles massifs qui ont poussé les forces de l'ordre de la ville et de sa banlieue environnante à maintenir l'ordre public pendant plusieurs jours. maintenant.
L'ancien candidat parlementaire du Brexit Party Barnsley Jim Ferguson a posté sur Twitter que ledit avertissement émanerait de l'ancien chef des Forces armées françaises, le général Pierre de Villiers, très respecté et décoré, qui s'est brouillé avec Macron au sujet de sa politique mondialiste et qui qu'il avait publiquement humilié lors d'une dispute sur les réductions des dépenses de défense.
Selon Ferguson, les De Villiers et les hauts responsables militaires en service ont lancé l'alerte qu'ils interviendraient la semaine prochaine si les émeutes n'étaient pas réprimées.
Il ne serait pas surprenant que le général dirige l'équipe qui a émis l'avertissement car De Villiers a publiquement critiqué le conflit en cours et la politique européenne à l'égard de l'Ukraine. Il souligne que la guerre russo-ukrainienne n'est "pas dans l'intérêt" des États-nations européens et que sa poursuite ne sert que les intérêts acquis du gouvernement américain. Le Figaro, basé à Paris, a rapporté que l'ancien chef des Forces armées a fait valoir que les pays européens devraient travailler à la désescalade de la guerre en Ukraine au lieu de suivre les "politiques d'escalade à haut risque" des États-Unis.
RépondreSupprimerDes rapports, quant à eux, affirment que le général a souligné que "les émeutiers en France se sont armés d'armes automatiques, selon d'autres rapports dans une autre tournure des événements profondément troublante et troublante alors que Macron continue de perdre le contrôle de la situation".
Il n'y a pas d'autres mises à jour disponibles pour le moment. Rien ne confirme encore si l'ultimatum est réel ou de propagande.
La France sous Macron est constamment aux prises avec des crises
En ce moment, la France continue d'exploser dans la violence alors que ses citoyens sont terrorisés et que leurs villes brûlent. De nombreux citoyens français et "gilets jaunes" se joignent à nouveau aux manifestations et demandent à Macron de démissionner ou d'être destitué. Et ce n'est pas la première fois qu'il est confronté à des situations difficiles comme les récentes turbulences dues à sa politique.
En mars, des émeutes ont également éclaté en raison d'une crise politique profonde lorsqu'il a relevé l'âge de la retraite de 62 à 64 ans en demandant à la Première ministre française Elisabeth Borne d'invoquer l'article 49.3 de la Constitution française, qui donne à l'exécutif le pouvoir de passer outre à une décision législative. vote. (En relation: Macron relève l'âge de la retraite de 62 à 64 ans, déclenchant des émeutes dans toute la France.)
Il a déclaré qu'il était nécessaire de maintenir la compétitivité de l'économie française et d'éviter que le programme de retraite ne soit déficitaire. Le président a déclaré aux ministres que "les risques financiers étaient trop grands" si les membres de l'Assemblée nationale avaient rejeté la proposition.
De plus, même pendant son premier mandat, son chemin a été semé d'embûches, car il a dû faire face aux manifestations des Gilets jaunes, à la pandémie de coronavirus COVID-19 de Wuhan et à la menace omniprésente du terrorisme en France. « C'est comme si la France était une cocotte-minute, chaque crise révèle des tensions, un conflit de société, des tensions sur le respect dû à nos institutions… Notre pays invoque sans cesse les valeurs républicaines, mais il semble que des pans entiers de la population ne les ressentent pas. comptent pour eux », a déclaré Bruno Cautres, chercheur en politique à l'institut de Sciences Po.
Selon Jordan Bardella, successeur de l'ex-présidente du Rassemblement national Marine Le Pen, les récents troubles ont révélé des fragilités susceptibles d'encourager un discours populiste. "Notre réponse politique doit être une réponse raisonnable, qui tienne compte de la réalité et du quotidien des Français", a-t-il ajouté.
RépondreSupprimerSon prédécesseur, Le Pen, qui est arrivé deuxième derrière Macron aux élections de 2022, s'est retenu d'alimenter une réaction violente contre les émeutiers, s'en tenant à sa stratégie d'embrasser la politique dominante.
Suivez Rioting.news pour lire plus de mises à jour sur le soulèvement et le chaos en cours en France.
Sources for this article include:
CitizenWatchReport.com
UnityNewsNetwork.co.uk
Politico.eu
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-top-brass-military-officers-give-macron-ultimatum-end-riots-in-france.html
VIOLENCE DES MIGRANTS : Des émeutiers en France DÉTRUISENT l'une des plus anciennes bibliothèques publiques du monde
RépondreSupprimer07/05/2023
Ethan Huff
L'une des bibliothèques publiques les plus anciennes et les plus historiques du monde, la bibliothèque de l'Alcazar à Marseille, n'est plus après que des migrants illégaux ont pris d'assaut l'installation et l'ont incendiée cette semaine.
Au cas où vous l'auriez manqué, des émeutes ont éclaté parmi les "migrants" français après qu'un adolescent nord-africain qui a menacé un policier a été abattu alors qu'il tentait de fuir les lieux dans sa voiture. Après cela, les « migrants » de la nation et leurs partisans blancs de gauche ont commencé à brûler et à détruire tout ce qui se trouvait en vue.
(En relation: Découvrez notre couverture précédente sur la façon dont la version française de l'opération psychologique de George Floyd a entraîné une émeute à grande échelle sous fausse bannière qui détruit la nation.)
"Incendies, cambriolages, même pillages de véhicules de police – tout ce qui se passe habituellement se déroule selon le scénario", explique un rapport, qualifiant tout le chaos de "vague" George Floyd "de feu de l'enfer et de damnation".
"De plus, les manifestants, dont beaucoup prétendent qu'ils sont des migrants et des Antifa de gauche, ciblent des banques, bloquent des routes et mettent même le feu à des voitures. Les autorités affirment avoir arrêté 667 émeutiers en une seule nuit."
Chaque fois qu'un criminel noir meurt aux mains de la police, les villes brûlent (merci aux mondialistes)
Certains des dommages peuvent être réparés, mais pas nécessairement pour des installations historiques prisées comme la bibliothèque de l'Alcazar, dont la vidéo suivante montre qu'elle a été complètement détruite :
Comme vous pouvez le voir, la plus grande bibliothèque publique de Marseille a disparu, et les femmes blanches capturées dans l'image ci-dessous ne pourraient pas être plus heureuses :
La femme principale sur la photo est en fait la "mère" du garçon qui a été abattu. Elle célèbre le fait que la France brûle après son fils, qui s'est livré à un comportement criminel, a refusé la justice et mis d'autres personnes en danger, ce qui lui a finalement valu d'être abattu par les forces de l'ordre.
Il y a eu une autre "explosion" dans le Vieux-Port de Marseille, pour citer BFMTV, affilié de gauche de CNN. Parce qu'"aucune victime n'a été signalée", BFMTV a laissé entendre, tout comme nos propres médias l'ont fait après George Floyd, qu'il s'agit "pour la plupart de manifestations pacifiques".
"Peut-être qu'"aucune victime n'a été signalée" est le nouveau "manifestations principalement pacifiques"", a rapporté Revolver à propos de l'étrange choix de mots utilisé dans le reportage de BFMTV. "Vous savez que les choses vont mal quand même CNN le rapporte."
RépondreSupprimerQuant à l'incendie de la bibliothèque de l'Alcazar, BFMTV a simplement écrit que le trésor historique "avait été vandalisé pendant la nuit", omettant, intentionnellement, de rendre compte de toute l'étendue de ce qui s'est réellement passé comme le montre la séquence vidéo ci-dessus.
"C'est bien plus que de simples 'dommages matériels' dont nous parlons", a ajouté Revolver. "C'était le cœur et l'âme culturels de la ville qu'ils ont détruits."
"Mais honnêtement, est-ce que ces émeutiers du lumpenprolétariat s'en soucient ? Ils ont poursuivi leur plan écœurant sans réfléchir à la perte culturelle massive qu'ils causaient. Mais pourquoi s'en soucieraient-ils ? Ils n'apprécient pas la culture française et préféreraient probablement une société mondiale de toute façon."
Les autres institutions françaises ciblées par les "migrants" violents et en colère comprennent les écoles, les mairies et les commissariats de police, ces derniers étant protégés par des policiers utilisant des gaz lacrymogènes, des canons à eau et des grenades à dispersion contre les émeutiers.
C'est pourquoi le président hongrois Viktor Orban s'oppose farouchement à l'ouverture des frontières de son pays à ces soi-disant "migrants", qui ne sont que des criminels violents à l'affût d'un catalyseur sous fausse bannière pour pouvoir incendier les pays blancs.
Les dernières nouvelles sur l'effondrement de la France et de l'Europe de l'Ouest aux mains des "migrants" illégaux - et des courtiers du pouvoir mondialistes qui les inaugurent tous - peuvent être trouvées sur Collapse.news.
Les sources de cet article incluent :
Revolver.news
Newstarget.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-migrant-rioters-destroy-oldest-library-france-alcazar.html
Macron déploie 45 000 policiers français pour lutter contre l'incendie d'infrastructures, de véhicules et d'espaces publics lors des émeutes nationales en cours
RépondreSupprimer07/05/2023
Belle Carter
Le président français Emmanuel Marcon a déployé quelque 45 000 policiers le dimanche 2 juillet, un jour après l'inhumation de Nahel Merzouk dans la banlieue parisienne de Nanterre, pour faire face aux émeutes nationales en cours. Merzouk, 17 ans, a été abattu par la police lors d'un contrôle routier le 27 juin.
Sur le nombre total, 7 000 étaient stationnés dans la capitale française et sa banlieue, y compris dans les rues des principales destinations touristiques telles que les Champs-Élysées dans le centre de Paris alors que la police surveillait les appels sur les réseaux sociaux pour amener les émeutes au cœur de "La Ville Lumière". ."
Le même numéro a également été positionné la nuit précédente et des renforts ont été dépêchés sur les points chauds des jours précédents, notamment Lyon, Grenoble et Marseille. Les rapports indiquent que plus de 700 personnes ont été arrêtées après les funérailles de samedi alors que la police a tiré des gaz lacrymogènes et mené des batailles de rue avec des manifestants tard dans la nuit à Marseille, un point chaud du soulèvement. Ils ont arrêté environ 1 300 personnes la nuit précédente. (Connexe: des émeutes éclatent à travers la France alors que l'UE tombe sous l'invasion des migrants.)
Breitbart a en outre rapporté que quelque 45 policiers ou gendarmes ont été blessés, 577 véhicules ont été incendiés, 74 bâtiments ont été incendiés et 871 ont été incendiés dans les rues et autres espaces publics. Plus de 20 commissariats ou casernes de gendarmerie ont également été attaqués, a indiqué le ministère de l'Intérieur.
De hauts responsables gouvernementaux ont dénoncé les attaques. Vincent Jeanbrun, dont la maison a été incendiée avec sa femme et ses enfants à l'intérieur, a déploré la façon dont le chaos a amené l'horreur et la honte à un nouveau niveau. La Première ministre Elisabeth Borne a qualifié l'attaque "d'intolérable", tandis que les procureurs ont déclaré qu'ils la traitaient comme une tentative de meurtre. Le maire Vincent Jeanbrun n'était pas chez lui lors dudit incident.
Pendant ce temps, certains jeunes manifestants ont profité des émeutes à Marseille. Ils ont affronté des groupes de dispersion de la police samedi soir à la Canebière, la principale avenue qui traverse le centre-ville, comme le rapportent des journalistes de l'agence de presse mondiale AFP.
"Ils sont venus spécifiquement pour faire des dégâts, piller et partir", a déclaré Youcef Bettahar, commerçant du centre commercial Merlan à Marseille. "Nous sommes vraiment dégoûtés par ce qui se passe."
Dans cette optique, Macron a exhorté les parents à assumer la responsabilité des émeutiers mineurs, dont un tiers étaient "jeunes ou très jeunes". Le ministre de la Justice, Eric Dupond-Moretti, l'a confirmé ce week-end, déclarant que 30 % des personnes arrêtées étaient des mineurs, tandis que le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a affirmé que l'âge moyen des personnes arrêtées n'était que de 17 ans.
RépondreSupprimerLe président a également tenu la deuxième réunion de crise en deux jours avec de hauts ministres au sujet de la fusillade vendredi matin. Son administration s'est jusqu'à présent abstenue de déclarer l'état d'urgence, une mesure prise pour réprimer des semaines d'émeutes dans tout le pays à la suite de la "mort accidentelle" de deux garçons fuyant la police en 2005.
Pour limiter davantage la violence en cours, les bus et les tramways ont également cessé de circuler après 21h00. Darmanin a également ordonné l'interdiction de la vente et du port de puissants feux d'artifice, que les émeutiers ont lancés sur les policiers et les bâtiments, ainsi que sur la vente de bidons d'essence, d'acides et d'autres produits chimiques et liquides inflammables, a indiqué le ministère.
A Marseille, tous les transports urbains ont été arrêtés à partir de 18h00. tandis qu'un certain nombre de villes ont déclaré des couvre-feux nocturnes. Des concerts au stade national et d'autres événements mineurs à travers le pays ont également été annulés en raison des circonstances actuelles. Parmi les événements annulés figuraient des concerts au Stade de France de l'auteure-compositrice-interprète Mylène Farmer, prévus vendredi et samedi soir.
Un haut responsable militaire avertit Macron : Rétablissez l'ordre dans le pays dans les 48 heures ou ils le feront eux-mêmes
Un ancien haut commandant militaire français et plusieurs autres officiers supérieurs auraient adressé un ultimatum à Marcon pour qu'il arrête immédiatement les émeutes dans tout le pays dans les 48 heures ou ils le feront eux-mêmes.
Vingt responsables auraient écrit une lettre détaillant la "menace", qui a déjà circulé en Grande-Bretagne et en France. Il a déclaré que l'avertissement constituerait non seulement une «position» des officiers en action contre l'État et le gouvernement légitime, mais entraînerait également des sanctions très graves pour ceux qui y auraient participé.
RépondreSupprimerL'ancien candidat parlementaire du Brexit Party Barnsley Jim Ferguson a posté sur Twitter, révélant l'ultimatum qui aurait été lancé par l'ancien chef des Forces armées françaises, le général Pierre de Villiers, que Macron avait précédemment humilié publiquement lors d'une dispute sur les réductions des dépenses de défense.
Si les émeutes ne sont pas réprimées, De Villiers et les hauts responsables militaires en service interviendront la semaine prochaine, a en outre révélé Ferguson.
Des rapports affirment que le général a souligné que "les émeutiers en France se sont armés d'armes automatiques, selon d'autres rapports dans une autre tournure des événements alarmante et troublante alors que Macron continue de perdre le contrôle de la situation".
Alors que la situation continue de se dérouler, il n'y a pas encore de confirmation si l'ultimatum est réel ou non.
Consultez Rioting.news pour des mises à jour sur le chaos continu en France déclenché par la violence policière contre un mineur.
Sources for this article include:
Breitbart.com
Independent.co.uk
CitizenWatchReport.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-macron-deploys-45000-french-police-to-tackle-riots.html
Soit dit en passant, le C40 est un réseau mondial de maires qui représentent collectivement environ 25 % de l'économie mondiale. Le maire Adams de New York est probablement l'un de ces maires qui s'est prononcé assez ouvertement ces derniers temps en faveur de l'imposition de restrictions climatiques drastiques.
RépondreSupprimerGardez à l'esprit que la centaine de villes officielles du C40 ne sont pas les seuls endroits où les mesures anti-viande, anti-vol et anti-nouveaux vêtements sont poussées. Il y a plus de 1 000 villes à travers le monde qui ont indiqué leur engagement envers le programme, qui a mis moins de sept ans pour se concrétiser pleinement pour des raisons qui, selon certains, ont une signification prophétique.
Le réseau mondial d'"experts" Arup se vante souvent de "façonner les villes de mille façons". Arup compte 17 000 membres et des bureaux dans 46 des 97 villes qui composent officiellement le réseau mondial C40.
"C40 et Arup travaillent ensemble depuis 2009 et ont collaboré à des publications dystopiques telles que Deadline 2020, Green and Thriving Neighborhoods et un guide pour créer des quartiers net-zéro", explique un article de presse. "Mais ces collaborations ne se sont pas faites sans que l'argent change de mains."
En 2015, Arup s'est engagé à investir 1 million de dollars sur trois ans dans un partenariat de recherche avec le C40. Plus tard en 2019, Arup a engagé 3 millions de dollars supplémentaires dans le C40 sur une période de trois ans.
"En 2023, Arup a poursuivi son investissement dans le C40 avec jusqu'à 300 000 USD par an pour aider le C40 à stimuler la résilience et la décarbonisation dans les villes du monde entier", explique le même rapport susmentionné sur la manière dont ces deux groupes travaillent en étroite collaboration pour transformer la planète en un nouveau monde vert.
« Sans surprise, en mars 2023, C40 Cities a remis en lumière le rapport sur les émissions basées sur la consommation C40 / Arup 2019 dans un article intitulé « Un coup de projecteur sur les émissions basées sur la consommation ». »
Vous voulez vous tenir au courant des dernières nouvelles sur ce que les globalistes ont prévu pour leur Green New World ? Visitez GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
Expose-News.com
Newstarget.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-2030-three-clothing-items-annually-no-meat.html
La Russie déclare que les États-Unis ont conçu des moustiques OGM pour lancer une attaque de guerre biologique contre Moscou
RépondreSupprimer07/05/2023
Ethan Huff
Les médias occidentaux rechignent à la Russie face aux inquiétudes que la nation orientale a exprimées au sujet des États-Unis qui se préparent à libérer des moustiques transgéniques dans le cadre d'une attaque imminente aux armes biologiques contre Moscou.
Le Sun (Royaume-Uni) s'est moqué du Kremlin, comme de nombreux médias contrôlés par les grandes entreprises appellent encore la Russie, pour avoir même suggéré que les États-Unis et d'autres puissances occidentales oseraient jamais faire une telle chose - même si nous savons pertinemment que les puissances occidentales développent et libèrent des moustiques modifiés par la biotechnologie depuis plusieurs années maintenant.
(Connexe : l'automne dernier, nous avons signalé que l'industrie pharmaceutique avait commencé à libérer des moustiques génétiquement modifiés [OGM] dans la nature pour « vacciner » les gens avec des produits chimiques inconnus sans leur consentement.)
Le Sun affirme que les politiciens russes sont "paranoïaques" à propos d'une attaque de moustiques OGM, la suggestion étant que les États-Unis ne feraient jamais une telle chose. Pendant ce temps, il existe des dizaines d'usines d'armes biologiques gérées par les États-Unis en Ukraine dont nous savons qu'elles existent et que nous savons fabriquer ce type d'armes biologiques à utiliser contre les ennemis de l'État profond.
L'arrogance occidentale et la haine de la Russie deviendront sa chute
Selon des députés russes, des scientifiques occidentaux développent des moyens d'infecter les insectes transgéniques avec des virus tueurs qui finiront par être diffusés à Moscou, infectant potentiellement des millions de personnes.
"Je ne nommerai qu'un seul projet du Pentagone, appelé Allied Insects", a déclaré la députée Irina Yarovaya, chef de la commission parlementaire pour la sécurité, lors d'une audition avec d'autres responsables gouvernementaux.
« Comment évaluez-vous ces risques et ces menaces ? » Yarovaya a demandé de la chambre. « Comment sommes-nous préparés ? Nous attendons des propositions pour assurer notre sécurité économique.
Après que les images de la série de questions de Yarovaya soient devenues virales en ligne, les têtes parlantes occidentales ont déclenché un torrent de moqueries contre la Russie. L'une, se croyant intelligente, a écrit que "Deux choses sont infinies - l'univers et l'idiotie russe".
RépondreSupprimerLe président ukrainien Volodymyr Zelensky, quant à lui, se vante que le "compte à rebours a commencé" pour la Russie après que le président Vladimir Poutine a fait face à une prétendue "humiliation" lors de la rébellion du groupe Wagner.
« Quiconque choisit la voie du mal se détruit lui-même », a ironiquement écrit Zelensky dans un message sur Twitter, ne réalisant pas que lui et ses amis sont l'incarnation du mal dans ce monde.
"Pendant longtemps, la Russie a utilisé la propagande pour masquer sa faiblesse et la stupidité de son gouvernement. Et maintenant, il y a tellement de chaos qu'aucun mensonge ne peut le cacher."
Avec l'aide du faux président américain Joe Biden, Zelensky et ses acolytes ont acheminé des milliards de dollars des contribuables américains dans leurs propres poches sous le couvert de "l'aide de guerre". Une grande partie de cet argent est totalement introuvable et certains membres du Congrès exigent des réponses.
Selon l'Ukraine et ses alliés occidentaux, la Russie a récemment lancé son propre projet spécial qui consisterait à entraîner des dauphins pour attaquer la marine ukrainienne. Cette accusation est jusqu'à présent non fondée, mais elle est normale lorsqu'il s'agit de diffuser de la propagande anti-russe.
"Rappelez-vous : la raison pour laquelle nous envoyons des centaines de milliards de dollars à 'l'Ukraine' (ou partout où elle va) est de 'sauver la démocratie'", a écrit un commentateur à propos des crimes et délits graves qui se produisent sous nos yeux. , jour après jour, tout au long de la saga de la provocation russe.
"Si vous remettez en question le mensonge, vous êtes un 'raciste' et un 'nazi' et un 'laquais de Poutine'... ou quelque chose comme ça."
Cette même personne a poursuivi en disant que malgré les affirmations de longue date selon lesquelles la Seconde Guerre mondiale était la "bonne guerre", le fait est que "la propagande de guerre alliée à l'époque était aussi pleine de mensonges que la propagande ukrainienne l'est aujourd'hui".
"En temps de guerre, toutes les parties disent que 'nous' sommes bons et 'eux' sont mauvais."
RépondreSupprimerVous trouverez plus d'informations sur le conflit en cours entre la Russie et l'Occident sur WWIII.news.
Les sources de cet article incluent :
Le-Soleil.com
Newstarget.com
RadarOnline.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-russia-says-us-training-gmo-mosquitoes-moscow.html
Les émeutiers français ont brûlé 5 600 véhicules et 1 000 bâtiments en seulement 1 semaine
RépondreSupprimer07/05/2023
Cassie B
L'ampleur des dégâts causés par la première semaine d'émeutes nocturnes en France est quantifiée par des chiffres époustouflants récemment publiés, avec plus de 5 600 véhicules incendiés et plus de 3 300 arrestations à ce jour.
Les chiffres proviennent du ministère de l'Intérieur, qui a comptabilisé les dommages causés aux personnes et aux biens en six nuits d'émeutes. La violence a éclaté après qu'un policier a abattu un adolescent français d'origine algérienne dans la banlieue parisienne lors d'un contrôle routier.
Parmi les près de 6 000 véhicules incendiés figurent des voitures personnelles, des bus, des camions et des tramways. Lors d'un incident, des vandales ont volé un gros camion et l'ont utilisé pour enfoncer les portes d'un centre commercial afin que les pillards puissent mettre la main sur la marchandise à l'intérieur.
La seule nuit de jeudi a vu plus de 1 900 incendies de véhicules à Paris. Les émeutiers ont également érigé des barricades, saccagé des entreprises et lancé des feux d'artifice sur la police.
Cependant, ce ne sont pas seulement les voitures et les autobus qui sont endommagés. Au moins 1 000 bâtiments ont également été endommagés et plus de 250 postes de police ont été attaqués. Les bureaux de poste, les magasins, les mairies et les écoles ont tous été la cible d'émeutiers.
Le déploiement de la police est passé de 7 000 policiers par nuit lorsque la violence a éclaté pour la première fois à 45 000 par nuit, et 2 354 personnes ont été arrêtées jusqu'à présent. L'écrasante majorité des personnes arrêtées sont jeunes, avec une moyenne d'âge de 17 ans, et 60 % n'ont aucun casier judiciaire.
Un pompier de 24 ans est décédé ce week-end alors qu'il tentait d'éteindre un incendie de voiture, et 722 policiers ont été blessés lors d'émeutes, bien que la plupart d'entre eux ne soient pas graves. Les six jours d'émeutes ont causé environ 20 millions d'euros de dégâts aux transports régionaux parisiens, selon son opérateur.
La grand-mère d'un garçon tué par la police supplie les émeutiers d'arrêter
Les violences ont commencé après qu'un jeune de 17 ans a été abattu à bout portant par un policier dans la banlieue parisienne ouvrière de Nanterre. Alors que la police a initialement déclaré qu'il conduisait sa voiture vers la police, des séquences vidéo partagées sur les réseaux sociaux et vérifiées par la suite montraient deux policiers debout à côté d'une voiture arrêtée. L'un d'eux a pointé une arme sur le chauffeur tandis qu'une voix se faisait entendre lui disant : "Tu vas recevoir une balle dans la tête". L'officier tire alors alors que la voiture commence à s'éloigner avant de s'arrêter.
La grand-mère du garçon a supplié les émeutiers d'arrêter, en disant : « Arrêtez et ne vous émeutez pas… Je dis ceci aux gens qui émeutes : ne brisez pas les vitres, n'attaquez pas les écoles ou les bus. Arrêt! Ce sont les mamans qui prennent le bus, ce sont les mamans qui marchent dehors.
RépondreSupprimerElle a dit que même si elle était en colère contre le policier qui a tué son petit-fils, elle n'est pas en colère contre la police en général et a confiance dans le système judiciaire français.
Dimanche, une voiture en feu a percuté le domicile du maire de la banlieue parisienne L'Hay-les-Roses, blessant sa femme et son enfant alors qu'ils dormaient. Une enquête préliminaire a révélé que la voiture était probablement destinée à percuter la maison et à y mettre le feu; une bouteille d'accélérateur de flamme a été retrouvée à l'intérieur de la voiture.
L'officier responsable de la mort de l'adolescent a déjà été inculpé d'homicide volontaire, mais beaucoup en France réclament une plus grande responsabilité. L'année dernière, 13 personnes ont été tuées par balle par la police pour ne pas avoir respecté les contrôles routiers, et trois ont été tuées jusqu'à présent cette année.
La violence ne semble pas ralentir de sitôt, le gouvernement français annulant les événements à grande échelle dans tout le pays et instaurant des couvre-feux dans plusieurs villes. La ville souffre également car de nombreux touristes reconsidèrent leurs plans pour se diriger vers la destination populaire. Jusqu'à présent, entre 20 et 25 % des voyages prévus à Paris par des touristes étrangers ont déjà été annulés.
Les sources de cet article incluent :
Breitbart.com
APNews.com
France24.com
CNN.com
https://www.naturalnews.com/2023-07-05-french-rioters-burn-vehicles-buildings-one-week.html
Un groupe de réflexion américain de premier plan : la Russie ne manquera jamais de missiles
RépondreSupprimer6 juillet 2023
depuis Dr. Peter F. Mayer
Depuis environ un an et demi , les grands médias clament que la Russie est à court de munitions en raison de sa prétendue « incapacité » à produire des armes de pointe, en particulier des missiles à longue portée et d'autres types de munitions à guidage de précision (PGM ) .Le Centre d'études stratégiques et internationales contredit cela dans un article récent.
Selon la propagande traditionnelle, Moscou serait "tellement désespérée" qu'elle a dû "armer" ses soldats de pelles et recourir à l'expropriation de machines à laver, de smartphones, d'ordinateurs portables et d'autres appareils à puce pour maintenir la production. De telles affirmations sont un élément clé de la guerre d'information qui fait rage visant à dépeindre le géant eurasien comme prétendument "technologiquement arriéré".
Mais après que les forces aériennes tactiques à longue portée de Moscou, les unités navales et terrestres ont lancé des frappes de haute précision tout au long de l'opération militaire spéciale (SMO) en utilisant des armes technologiquement avancées que personne d'autre (y compris les États-Unis) n'a à leur disposition, les médias grand public a été contraint d'admettre que quelque chose n'allait pas dans son évaluation des capacités technologiques et industrielles de la Russie. Ce dernier aurait dû être détruit par les sanctions occidentales il y a près d'un an et demi.
La réponse à la question de savoir pourquoi il en est ainsi a été récemment fournie par le CSIS (Center for Strategic and International Studies) , un groupe de réflexion basé à Washington DC qui est parmi les plus connus aux États-Unis. Selon leur estimation, Moscou est extrêmement peu susceptible de manquer de PGM (missiles guidés de précision) et d'autres armes de haute précision à longue portée, que ce soit pour lui-même ou pour ses nombreux clients à l'exportation. Étonnamment, Ian Williams, membre du programme de sécurité internationale et directeur adjoint du projet de défense antimissile au SCRS, a clairement indiqué, sans tourner autour du pot ni euphémisme, qu'il « serait irréaliste de s'attendre à ce que la Russie soit un jour à court de missiles ."
Cependant , la poursuite de la campagne d'attaques de la Russie en 2023 a rendu une chose très claire : il est irréaliste de s'attendre à ce que la Russie "manque" un jour de missiles. Malgré les sanctions et les contrôles à l'exportation, il est probable que la Russie sera en mesure de produire ou d'acquérir des missiles à longue portée pour causer des dommages importants au peuple, à l'économie et à l'armée ukrainiens.
RépondreSupprimerL'auteur note en outre que Moscou pourra continuer à construire des missiles à longue portée, ce qui lui permettra de maintenir une capacité de frappe à longue portée constante "malgré les sanctions et les restrictions à l'exportation". Il note en outre que de nombreux experts en armement ont trouvé des preuves concluantes de missiles de croisière et d'autres armes russes récemment fabriqués.
Pourtant, le groupe de réflexion américain ne voulait clairement pas manquer une autre occasion de combattre l'infowar, affirmant que c'est "une indication que l'arsenal russe est tellement épuisé que les armes sont utilisées dans le conflit quelques mois seulement après leur fabrication". Et tandis que la plupart des hauts responsables aux États-Unis et dans d'autres pays occidentaux ont insisté sur le fait que "la reconstruction des avoirs de la Russie sera beaucoup plus difficile à cause des sanctions", en particulier en ce qui concerne les acquisitions de micropuces, le dernier rapport du SCRS réfute ces affirmations. L'auteur se plaint que les restrictions à l'exportation n'ont pas eu l'effet escompté sur la production russe de missiles.
« Il n'y a pas de solution unique à ce problème. Au mieux, les sanctions et les contrôles à l'exportation peuvent limiter la quantité et la qualité des armes que la Russie peut acquérir », concède le rapport. L'auteur effectue alors une gymnastique mentale, tentant de concilier le récit de propagande avec la situation réelle sur le champ de bataille, affirmant qu'"il est probable que la Russie utilisera la portion de missiles à longue portée qu'elle avait initialement prévue pour le SMO". , s'est vite épuisée ». Cependant, il concède que « la Russie a continué à tirer des missiles contre l'Ukraine, peut-être en retirant des munitions d'autres théâtres d'opérations », sans dire desquels.
Le rapport reconnaît que la Russie a continué à produire des missiles depuis février 2022 et que les preuves suggèrent que la plupart (sinon la totalité) des missiles de croisière de son arsenal actuel ont été fabriqués après cela . Pourtant, l'auteur insiste à nouveau sur le fait que le prétendu "épuisement" des stocks pré-SMO " a changé la composition des salves d'attaque russes modernes " et que " les attaques de missiles russes sont passées de systèmes de missiles de grande valeur tels que les missiles de croisière à des systèmes moins efficaces, moins efficaces". des systèmes simples et coûteux comme les drones kamikazes 'Shahed-136/Geranium 2' ».
Cependant, l'auteur ignore le fait que ces systèmes sont tout simplement beaucoup moins chers, c'est pourquoi ils sont utilisés en premier lieu. Le rapport reconnaît que la Russie continue de fabriquer des missiles avancés à longue portée et des munitions à guidage de précision , malgré les restrictions à l'exportation, en particulier pour les composants microélectroniques clés . Pourtant, l'auteur insiste sur le fait que cela est dû au fait que la Russie acquiert ces composants fabriqués en Occident "par l'intermédiaire de tiers amis".
RépondreSupprimerCe qui est également complètement ignoré, c'est la supériorité de l'armement dans les missiles hypersoniques , que l'Occident ne possède pas du tout, ainsi que dans les avions de combat et dans les systèmes de défense aérienne. Le fait que les missiles hypersoniques soient contrôlés avec des puces retirées des machines à laver est probablement hautement improbable, comme c'est le cas des missiles intercepteurs, qui peuvent attaquer des objets s'approchant jusqu'à Mach 14 (4,8 km par seconde).
La Russie a aussi l'avantage d'avoir une production domestique assez bien intégrée. Cela signifie que les ingénieurs de développement sont bien informés des spécificités de la production et des problèmes potentiels. Les groupes d'électronique japonais ont décidé très tôt de ramener leur production dans le pays , la proximité avec le développement s'étant avérée avantageuse. Au milieu de la dernière décennie, certaines entreprises américaines ont également commencé à ramener la production dans leur propre pays.
Les États soumis depuis un certain temps aux sanctions occidentales ont désormais une longueur d'avance considérable, car ils ont été largement contraints à l'internalisation. L'Iran, par exemple, a développé indépendamment une technologie de drone très avancée, qui est également très peu coûteuse. Et l'Iran est donc le troisième pays après la Russie et la Chine à développer et produire des missiles hypersoniques. Les sanctions ont aussi des avantages.
https://tkp.at/2023/07/06/fuehrende-us-denkfabrik-russland-werden-nie-die-raketen-ausgehen/
RépondreSupprimerLa grande technologie intensifie la censure du débat sur les «solutions» pour le climat
Par W.Aaron Vandiver
Recherche mondiale,
6 juillet 2023
En mai, LinkedIn a suspendu le compte du candidat républicain à la présidence Vivek Ramaswamy après avoir publié plusieurs messages de campagne liés au climat.
Dans un message, Ramaswamy a affirmé que « les combustibles fossiles sont une exigence pour la prospérité humaine », et dans un autre, il a écrit que si les adeptes de la « religion du climat » se souciaient vraiment du climat « ils s'inquiéteraient, par exemple, du déplacement du pétrole production vers des endroits comme les États-Unis et la Chine.
" L'ingérence électorale des Big Tech a commencé", a déclaré Ramaswamy .
LinkedIn (propriété de Microsoft) a fait marche arrière sous la pression et a rétabli son compte. Mais l'épisode a mis en évidence la manière dont les entreprises de médias sociaux étendent leur « modération de contenu » de «désinformation climatique» – avec des conséquences potentiellement considérables sur l'ensemble du spectre politique.
Dans une autre incursion dans la course à la présidentielle, YouTube a joint une note « contextuelle » à une interview du 5 juin du candidat démocrate à la présidentielle Robert F. Kennedy Jr. dans laquelle il a discuté de son point de vue sur le changement climatique avec le psychologue canadien Jordan Peterson .
La note « Contexte » de YouTube comprenait une définition du changement climatique de l'Organisation des Nations Unies (ONU) et un lien vers une page du site Web de l'ONU . La vidéo n'est plus disponible et conduit maintenant à un avertissement "Community Guidelines".
En avril, TikTok annonçait :
"Nous allons commencer à accélérer l'application d'une nouvelle politique de désinformation sur le changement climatique qui supprime la désinformation sur le changement climatique qui sape un consensus scientifique bien établi, comme le contenu niant l'existence du changement climatique ou les facteurs qui y contribuent."
La politique de TikTok est similaire à celle de Facebook, qui au cours des dernières années a censuré les opposants climatiques de premier plan (souvent appelés péjorativement «négationnistes») Michael Shellenberger et Bjorn Lomborg.
Comme Ramaswamy, Shellenberger et Lomborg ont contesté certains aspects du « consensus scientifique » sur le changement climatique et ont plaidé pour la poursuite de l'utilisation des combustibles fossiles et l'expansion de l'énergie nucléaire.
Lomborg a fait valoir que "la" vérification des faits "partisane pousse les récits climatiques alarmistes". Pourtant, il existe des contre-exemples de personnes censurées sur les réseaux sociaux parce qu'elles sonnent l'alarme sur le changement climatique et la dégradation de l'environnement plus fort que les représentants du « consensus scientifique ».
Les entreprises de médias sociaux, sous la pression des autorités gouvernementales, ont appliqué leurs politiques de désinformation sur le climat non seulement contre les personnes qui expriment des doutes sur le changement climatique lui-même, mais aussi contre un large éventail de personnes qui remettent en question les « solutions » climatiques promues par le gouvernement et ses puissants bailleurs de fonds corporatifs.
Cela inclut de nombreuses personnes qui ne tombent pas du tout dans le camp des « négateurs ».
RépondreSupprimerLes grandes entreprises, les entités gouvernementales et les intérêts politiques qui ont revendiqué le pouvoir de censurer les médias sociaux utilisent ce pouvoir pour manipuler le débat climatique vers leurs « solutions » préférées et pour dénigrer les perspectives et approches alternatives.
De la censure du « déni » à la censure du débat sur les « solutions »
"Maintenant, il ne s'agit pas tant de nier le problème", a déclaré la première conseillère nationale pour le climat du président Biden , Gina McCarthy, dans une interview l'année dernière avec Axios pour son événement virtuel, "The Infodemic Age". «Ce qu'ils [diffuseurs de fausses informations présumées] visent vraiment, c'est notre incapacité à accélérer les réponses au climat. Les technologies dont nous avons besoin pour aller de l'avant. C'est tout aussi dangereux de nier parce que nous devons aller vite.
"Nous avons des réponses, nous avons des solutions", a déclaré McCarthy, se référant principalement à l'énergie solaire et à l'énergie éolienne. « La question est de savoir à quelle vitesse nous pouvons les accélérer. L'énergie propre est la solution.
"Nous devons être plus stricts" avec l'application de la politique de désinformation sur le climat contre les personnes qui mettent en doute ces technologies et ces "solutions", a-t-elle déclaré. "Nous avons besoin que les entreprises technologiques interviennent vraiment."
Pour «se resserrer», le gouvernement a travaillé avec des entreprises et des organisations technologiques du « complexe industriel de la censure » qui agissent en tant que «vérificateurs de faits» tiers pour les médias sociaux – TikTok les appelle « partenaires de sécurité ».
Ensemble, ils ont déplacé leur attention de la censure du «déni» climatique pur et simple à la censure du débat et de la discussion sur les technologies d'énergie propre et d'autres «solutions» climatiques, comme l'a décrit McCarthy.
La page Web de l'ONU sur le climat que YouTube a jointe à l'interview de Peterson-Kennedy dans sa note « Communauté », par exemple, indique : « Nous sommes confrontés à un énorme défi, mais nous connaissons déjà de nombreuses solutions ».
Le fait est, cependant, que de nombreuses personnes de divers points de vue ont des problèmes avec le «consensus» dominant sur l'énergie propre et d'autres «solutions» climatiques vantées. Il existe une grande controverse quant à savoir si ces «solutions» fonctionnent réellement - et qui en bénéficie et qui en supporte les coûts.
RépondreSupprimerBien que Big Oil ait sans aucun doute utilisé ses bénéfices pour façonner le débat sur le climat , ce ne sont pas seulement les entreprises de combustibles fossiles et les bénéficiaires de leur «argent noir» qui critiquent les «solutions» climatiques traditionnelles, comme le prétendent McCarthy et d'autres partisans de la censure.
Censurer un large éventail de critiques, y compris les écologistes
Un large éventail de personnes sont désormais prises dans le filet numérique de la censure de la « désinformation climatique », y compris certains écologistes.
Les groupes suivants font partie de ceux qui subissent la censure des médias sociaux en raison de leurs critiques des « solutions » climatiques officiellement approuvées et en raison de leur plaidoyer en faveur d'approches alternatives aux problèmes climatiques et environnementaux.
Citoyens locaux, défenseurs de l'environnement et militants écologistes opposés aux projets d'énergie «propre».
La poussée massive de 3 billions de dollars pour l'énergie solaire et éolienne à travers les États-Unis provoque un contrecoup dans certaines communautés où les citoyens locaux sont mécontents des impacts environnementaux immédiats.
La réaction contre l'énergie propre augmente également chez certains qui disent que ces projets de développement industriel géants sont construits au détriment de la biodiversité , de l'habitat faunique et des écosystèmes sains.
En décembre 2022, YouTube supprime "définitivement" - sans avertissement ni préavis de suspension - la chaîne du groupe Protect Thacker Pass , qui s'oppose au développement d'une importante mine de lithium dans le Nevada. Trois jours plus tard, YouTube a restauré la chaîne, sans explication.
De petits groupes de conservation comme Basin & Range Watch , une organisation à but non lucratif qui cherche à protéger les déserts du Nevada et de la Californie du développement industriel, y compris éolien et solaire, ont rapporté qu'ils étaient accusés d'être des diffuseurs de "désinformation" par les promoteurs de ces projets énergétiques.
RépondreSupprimerLes citoyens et les militants écologistes locaux qui s'opposent au développement de l'énergie éolienne offshore dans la région de New York et du New Jersey en raison des impacts potentiels sur les baleines et l'environnement océanique ont été soumis à la censure en ligne par Facebook et Instagram.
Cette censure a été coordonnée par le tiers "fact-checker" PolitiFact , exploité par The Poynter Institute - l'un des "Top 50" membres du Censorship-Industrial Complex.
Les articles des médias ont utilisé un large pinceau pour salir les groupes de défense préoccupés par les effets du développement de l'éolien offshore sur les baleines et l'environnement marin, les accusant d'être des agents de l'"argent noir" des combustibles fossiles.
Bien que certaines organisations locales semblent avoir accepté le financement de l'industrie des combustibles fossiles, le vaste mouvement populaire visant à protéger l'environnement côtier du développement industriel ne peut être décrit avec précision comme un produit de l'"argent noir" du pétrole et du gaz.
Le PDG d'une société éolienne offshore, Atlantic Shores, a écrit un éditorial accusant des groupes opposés à ses projets de diffuser de la "désinformation" sur "la solution la plus viable que nous ayons" pour le changement climatique. Il s'est abstenu d'accuser ses adversaires d'être financés par «l'argent noir» des combustibles fossiles. Atlantic Shores est détenue à 50% par le géant pétrolier Shell .
Les « Doomers » et les écologistes qui plaident pour un changement systémique.
Un sous-ensemble d'activistes du climat estime qu'aucune « solution » officiellement sanctionnée n'est capable d'arrêter le changement climatique ou de mettre fin à la dégradation de l'environnement. Ces personnes sont appelées péjorativement « Doomers » (certains d'entre eux préfèrent l'étiquette ironique, « Doomsters »).
Ces dernières années, la presse, les climatologues et les principaux militants du climat se sont mis à dénigrer les "Doomers" avec la même rafale qu'ils attaquent les "Deniers". Un titre typique du Washington Post se lit comme suit : « Pourquoi les « pessimistes » du climat remplacent les « négationnistes » du climat. ”
En 2020, le groupe Facebook « Positive Deep Adaptation » a reçu un avertissement concernant un article qu'il a partagé, écrit par le romancier primé Jonathan Franzen dans le New Yorker : « Et si nous arrêtions de faire semblant ? L'apocalypse climatique approche. Pour nous y préparer, nous devons admettre que nous ne pouvons pas l'empêcher.
L'avertissement de Facebook s'appuyait sur un « fact-checking » par le site, Climate Feedback .
Et en avril de cette année, Facebook a censuré un post de Jem Bendell , professeur de développement durable à l'Université de Cumbria à Carlisle, en Angleterre, qui avait tenté de partager une interview que le britannique GQ avait menée avec lui.
Dans l'interview, Bendell a expliqué son point de vue selon lequel les politiques climatiques traditionnelles ne fonctionnent tout simplement pas et sa conviction que des perturbations catastrophiques des sociétés de consommation industrielles se produiront en raison du changement climatique combiné à d'autres facteurs environnementaux, économiques et sociaux.
RépondreSupprimerFacebook a caché la publication, avec un message disant : « Personne ne peut voir votre publication. Nous avons ces normes parce que nous voulons que tout le monde se sente en sécurité.
De même, en mai, TikTok a retiré une vidéo de la journaliste sur la "corruption climatique" Rachel Donald , la qualifiant de "désinformation". Dans la vidéo, Donald, qui écrit la newsletter sur le climat Planet Critical , a déclaré : « C'est l'économie. C'est l'économie qui est à l'origine de la crise climatique. C'est ainsi que nous nous sommes organisés. C'est de l'exploitation et de l'extractivisme et tout ce genre de choses.
TikTok n'a pas donné de raison spécifique pour qualifier la vidéo de "désinformation". Mais le message de la vidéo - "C'est l'économie qui conduit la crise climatique" - entre en conflit avec les récits du gouvernement américain sur la croissance "verte".
Les «solutions climatiques» de Biden, a déclaré McCarthy dans son interview avec Axios, ne sont «pas seulement pour sauver la planète, mais pour renforcer notre économie. … Faire croître notre économie aujourd'hui … c'est sur quoi se concentre notre action climatique nationale.
Les agriculteurs.
En ce qui concerne l'alimentation et l'agriculture, le mouvement climatique est dominé par les « écomodernistes » qui croient que les plantes génétiquement modifiées, les aliments fabriqués en usine, les viandes synthétiques et d'autres technologies alimentaires industrielles sont des « solutions » au changement climatique.
Un plus petit contingent d'écologistes pense que nous avons besoin de petites exploitations agricoles utilisant des méthodes régénératives et agroécologiques , au lieu de technologies alimentaires plus industrielles . Ce contingent, et le mouvement populiste des petits agriculteurs avec lequel ils sont alignés, sont passés au crible des censeurs de la « désinformation climatique ».
Les protestations des agriculteurs néerlandais ont galvanisé l'opposition mondiale à des politiques environnementales onéreuses qui pourraient aboutir à l'expropriation de milliers de terres agricoles. Les agriculteurs néerlandais ont reçu le soutien de certains militants écologistes de premier plan, comme le Dr Vandana Shiva , qui croient en l'approche des petites exploitations.
Pourtant, les médias populaires, des écologistes célèbres comme George Monbiot et des organisations de «vérification des faits» décrivent les protestations des agriculteurs néerlandais comme un mouvement « d'extrême droite » qui propage des théories du complot et de la désinformation .
RépondreSupprimerLes petits agriculteurs du monde entier qui contestent l'idée que leur bétail élevé en pâturage et nourri à l'herbe sont une cause importante du changement climatique ont été censurés par Facebook.
Dans un exemple, les agriculteurs ont publié des mèmes déclarant que "les vaches ne sont pas le problème" par rapport aux modes de vie des jets privés des élites milliardaires comme Bill Gates. Facebook a joint une "vérification des faits" à ces mèmes : " Démystifié : oui, les vaches sont un "problème" lorsqu'il s'agit de réduire les émissions de gaz à effet de serre."
Cet exemple illustre comment le processus de «vérification des faits» d'un débat politique subjectif - les vaches ou les jets privés sont-ils «le problème»? — profite aux élites qui financent les organismes de « fact-checking ».
Les «vérificateurs de faits» donnent du crédit aux «solutions» écomodernistes poussées par des milliardaires comme Gates, qui finance plusieurs des plus grandes organisations du complexe censure-industriel. Le remplacement du bétail par du bœuf synthétique et des aliments «à base de plantes» produits industriellement – les secteurs d'activité dans lesquels Gates investit – sont traités comme des «solutions» prometteuses.
Les contre-propositions populistes – éliminer les jets privés ou donner aux petits agriculteurs des ressources pour passer à des méthodes plus respectueuses de l'environnement – ne sont pas prises au sérieux par les « fact-checkers ».
Il en est ainsi, même si l'on peut avancer un argument convaincant selon lequel les petits agriculteurs sont mieux à même que les grands producteurs industriels de nourrir le monde en utilisant des méthodes agroécologiques régénératives.
Les « fact-checkers » ne font aucune distinction entre les bovins élevés industriellement et ceux élevés par de petits agriculteurs utilisant des méthodes de pâturage plus holistiques. Tous sont regroupés, même si cela n'a guère de sens écologique.
Comme l'a observé Shiva :
RépondreSupprimer"Afin d'effacer les derniers petits agriculteurs restants, les récits parrainés par les entreprises font maintenant pression pour… des récits dualistes autour de la plante contre l'animal, au lieu de s'attaquer à la crise plus large de la façon dont les pratiques industrielles actuelles détruisent les écosystèmes de la Terre."
La censure du débat empêche l'émergence d'approches alternatives
Le pouvoir de censure, initialement justifié comme étant nécessaire pour faire taire ceux qui « niaient » l'existence du changement climatique, est de plus en plus utilisé pour faire taire ceux qui ne sont pas d'accord avec les « solutions » climatiques officielles.
Tant que le désaccord est qualifié de « désinformation », le débat démocratique est impossible.
Les débats politiques sont intrinsèquement subjectifs dans une certaine mesure. Devrions-nous tenter de remplacer le pétrole et le gaz par une énergie propre dans l'ensemble de l'économie ? La « croissance verte » est-elle possible ? Comment s'assurer que les politiques climatiques respectent les libertés civiles ? L'avenir de l'alimentation se trouve-t-il dans les grandes exploitations industrielles ou les petites exploitations familiales ? Quel est le problème le plus prioritaire : les vaches nourries à l'herbe ou les jets privés ?
Ces questions impliquent de peser le pour et le contre, de hiérarchiser les valeurs et de décider qui supportera les coûts et les charges. Ce ne sont pas simplement des questions de sciences ou de mathématiques.
Pourtant, les «vérificateurs des faits» des médias sociaux interviennent dans ces débats subjectifs sous prétexte d'objectivité, pour orienter la conversation vers les «solutions» préférées par les grandes entreprises et les milliardaires qui les financent.
Pour chaque « solution » climatique brûlante, le complexe Censorship-Industrial produit des « vérifications des faits » qui sont biaisées en faveur de leurs bailleurs de fonds. Des affirmations biaisées peuvent également être trouvées de l'autre côté de ces débats.
La seule façon de donner un sens à ces revendications concurrentes passe par un processus démocratique ouvert.
La bataille de la censure n'est pas une question de « négationnistes » contre « la science », comme beaucoup semblent le croire. Le conflit porte principalement sur qui décide des « solutions » : les citoyens engagés dans une discussion libre et ouverte, ou les forces politiques et économiques qui ont revendiqué le pouvoir de censure.
Dans les sociétés démocratiques, les « solutions » sont censées faire l'objet d'un débat – de plus en plus, elles ne le sont pas.
https://www.globalresearch.ca/big-tech-ramping-up-censorship-climate-solutions-debate/5824912
L'agence de sécurité de l'État veut une loi contre les "influenceurs du complot"
RépondreSupprimer5 juillet 2023
par Thomas Oysmuller
La protection de l'État autrichien réclame une nouvelle loi contre la "désinformation" pour pouvoir agir contre les "influenceurs" opposants. Une attaque majeure contre la liberté de la presse est-elle imminente ?
« Complotistes », « conspirationnistes » : désormais il y a les « conspirationnistes » et le chef de la Direction de la sécurité de l'État et du renseignement (DSN, successeur de l'Office de protection de la Constitution) veut des lois plus strictes à leur encontre.
Acte de "fake news"
Parce que ce ne sont pas seulement les acteurs étrangers (bien sûr les Russes - qui d'autre ?) qui causeraient des dégâts massifs dans la république avec des "fausses nouvelles" et de la "désinformation", mais les "individus basés en Autriche" qui sont le plus gros problème.
Le médecin légiste du département de recherche sur les dangers, qui analyse les "mythes du complot" en Autriche, a déclaré mercredi à "Profile":
"Bien sûr, nous ne fermons pas les usines de trolls russes avec un paragraphe, mais nous pouvons prendre des mesures actives contre les individus basés en Autriche, qui, en cas de doute, ont une influence beaucoup plus directe par leur désinformation."
Qui pourrait tomber sous ça ? Jakob Winter, qui a autrefois travaillé dans la "Jeunesse socialiste" et dirige maintenant le "Fact Check" dans "Profile" et a écrit l'article, probablement pas. Mais peut-être Andreas Sönnichsen, l'ancien professeur de MedUni Vienna, qui a avec véhémence attiré l'attention sur les mesures nocives de Covid et les dangers de la vaccination.
Ou la chaîne « Neue Normalität », qui compte des dizaines de milliers de téléspectateurs sur YouTube et commente de manière critique et ironique ce qui se passe dans les médias politiques en Autriche ? Ou l'entrepreneur Gerald Markel, qui écrit sur sa chaîne Telegram contre les récits habituels de la politique dominante. Ou l'ancienne ministre des Affaires étrangères Karin Kneissl, à cause de sa position sur la Russie ? Mais elle a déjà quitté le pays. Ou peut-être les auteurs de TKP et d'autres médias alternatifs ?
RépondreSupprimerOu des comptes de médias sociaux (souvent anonymes) qui n'ont pas un très grand nombre d'abonnés mais partagent des informations que la DSN considère comme de la "désinformation" ? Une loi telle qu'elle y est envisagée pourrait en fait être largement utilisée. La sûreté de l'État argumente comme suit :« La désinformation est un 'outil' commun pour exercer une influence, et du fait qu'elle n'est pas punissable, il n'y a pas de levier pour des contre-mesures. Un paragraphe pourrait avoir de forts succès préventifs primaires ici, puisque la diffusion de ces récits peut être empêchée et donc aussi une influence sur la population. Ainsi, les acteurs peuvent être tenus responsables de leur désinformation et surtout des conséquences qui en découlent. Il est important que le paragraphe indique également clairement que les conséquences résultant de la désinformation peuvent être particulièrement dangereuses.
Couronne et guerre
Le journaliste Jakob Winter laisse cet appel ouvert à la censure, qui pourrait porter massivement atteinte à la liberté de la presse, sans presque aucun bilan critique. Il écrit simplement :
« L'exigence est délicate. Un paragraphe de fausses nouvelles serait un outil puissant pour les autorités d'enquête et, dans des cas extrêmes, pourrait restreindre la liberté d'expression. La DSN construit la critique du paragraphe. » Pour citer ensuite la DSN avec la citation en tête. L'autorité veut « pré-construire » la critique des plans.
L'article normalise même les plans autoritaires. Parce que quelque chose comme ça s'est déjà produit. L'article 276 du Code pénal punit la "propagation de rumeurs fausses et inquiétantes" d'une peine pouvant aller jusqu'à cinq ans de prison. Le paragraphe a été supprimé en 2015. Mais le "profil" conclut : "C'était avant Corona - et la guerre d'Ukraine." Un appel pas si subtil - ou du moins une légitimation prudente - pour ce qui s'en vient.
RépondreSupprimerUne dernière question, bien sûr, demeure : les politiciens et certains médias se dénonceront-ils ? Par exemple, lorsqu'il s'agit de répandre la rumeur d'une "vaccination sûre et efficace".
https://tkp.at/2023/07/05/staatsschutz-behoerde-will-gesetz-gegen-verschwoerungs-influencer/
ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)
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