Les effets du verrouillage pourraient désormais tuer plus de personnes que COVID ; Signaler
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 19:30 Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Un nouveau rapport basé sur des chiffres officiels de l'Office for National Statistics (ONS) du Royaume-Uni affirme que les effets du confinement pourraient désormais tuer plus de personnes que le COVID-19.
Les statistiques montrent que les décès excessifs non liés au COVID continuent de dépasser les décès liés au COVID, avec 1 000 personnes mourant chaque semaine de conditions autres que le virus.
"Le Telegraph comprend que le ministère de la Santé a ordonné une enquête sur les chiffres, craignant que les décès ne soient liés à des retards et à un report de traitement pour des affections telles que le cancer, le diabète et les maladies cardiaques", rapporte le journal.
Malgré certains appels à la réintroduction des restrictions COVID telles que les masques faciaux en hiver, "le pays est confronté à une nouvelle crise sanitaire silencieuse liée à la réponse à la pandémie plutôt qu'au virus lui-même", indique le rapport.
"Des centaines et des centaines de personnes meurent chaque semaine - que se passe-t-il?" a demandé le Dr Charles Levinson, directeur général de Doctorcall, un service privé de médecin généraliste.
"Les retards dans la recherche et la réception des soins de santé sont sans aucun doute la force motrice, à mon avis", a-t-il ajouté.
"Les statistiques quotidiennes de Covid ont exigé l'attention de la nation, mais ces chiffres terrifiants sont à peine aperçus. Une enquête gouvernementale complète et urgente est requise immédiatement."
Les cas de cancers non détectés, de problèmes cardiaques et de graves problèmes de santé mentale augmentent, avec un excès de décès supérieur de 14,4 % à la moyenne quinquennale.
La British Heart Foundation s'est dite "profondément préoccupée" par la situation.
Mais les médias sont largement désintéressés, bien qu'ils aient effrayé le public pendant des années avec des chiffres inquiétants sur le nombre de morts de COVID.
Les experts ont depuis longtemps averti que les effets du verrouillage finiraient par tuer plus de personnes que COVID, bien qu'ils aient été diabolisés et censurés à l'époque par l'establishment.
Des universitaires de Duke, Harvard et Johns Hopkins ont conclu qu'il pourrait y avoir environ un million de décès supplémentaires au cours des deux prochaines décennies en raison des fermetures.
Une étude menée par le National Bureau of Economic Research (NBER) a révélé qu'il y avait de manière conservatrice plus de 170 000 décès supplémentaires non liés au Covid aux États-Unis jusqu'en 2020 et 2021, un nombre exacerbé par les confinements.
Une autre étude menée par l'Université Johns Hopkins et publiée en février a conclu que les blocages mondiaux ont eu un impact beaucoup plus néfaste sur la société qu'ils n'ont produit d'avantages, les chercheurs affirmant qu'ils "sont mal fondés et devraient être rejetés en tant qu'instrument de politique pandémique". .”
Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l'Université de Stanford, a déclaré que dans les années à venir, les blocages seront considérés comme la politique la plus catastrophiquement nuisible de "toute l'histoire".
Expérience réussie ! Hourra ! Si l'on enferme 4 ou 5 personnes ensemble et que une ou une a la grippe... c'est tout le monde qui l'attrape !! Çà alors !! Les gros cons de médecins et politichiens n'en reviennent pas ! Âh bêh merde alors !!
Par contre, s'il s'agit d'un virus (poussière injectée), seul l'acte sexuel le transmet. C-à-d si le père se tape sa femme et ses gosses !
Les essais de 'vaccins' Covid ont entraîné des malformations congénitales et des grossesses interrompues, selon les demandes de la FOIA
Vendredi 19 août 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Une autre série de demandes en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOIA) a été remplie, cette fois pour le "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) de Moderna, révélant que les piqûres d'ARNm (ARN messager) provoque des malformations congénitales et des avortements spontanés dans femmes enceintes.
Vers la fin de la publication du document de 699 pages dans la section toxicologie, il est indiqué que l'ARNm-1273, comme l'entreprise appelle le médicament, entraîne "une augmentation significative du nombre de rats F1 avec 1 ou plusieurs côtes ondulées et 1 ou plus de nodules de côtes.
« Des côtes ondulées sont apparues chez 6 fœtus et 4 portées avec une prévalence fœtale de 4,03 % et une prévalence de portée de 18,2 % », poursuit la section. "Des nodules costaux sont apparus chez 5 de ces 6 fœtus." (Connexe: l'injection covid de Pfizer est également liée à des malformations congénitales et à l'infertilité.)
Bien que Moderna reconnaisse le lien entre ces changements et son médicament, la société affirme que les changements structurels observés dans la structure osseuse des rats testés "n'ont pas d'impact sur le développement ou la fonction d'un embryon en développement".
"Une toxicité maternelle sous forme d'observations cliniques a été observée pendant 5 jours après la dernière dose ([jour de gestation] 13), en corrélation avec la période la plus sensible pour le développement des côtes chez le rat (GD 14 à 17)", indique la société.
Tout cela contredit directement la Food and Drug Administration (FDA), qui dans son autorisation pour "Spikevax", un autre nom du vaccin Moderna, a affirmé qu'il n'y avait "aucune malformation ou variation fœtale liée au vaccin et aucun effet indésirable sur le développement postnatal".
Sasha Latypova, un ancien cadre pharmaceutique avec 25 ans d'expérience dans les essais cliniques et les approbations réglementaires, a examiné les documents et a découvert la disparité entre ce que les essais cliniques de Moderna montrent réellement et ce que la FDA prétend à propos du médicament.
Plus de la moitié de tous les essais cliniques financés par le gouvernement fédéral ne sont pas conformes aux directives gouvernementales Il s'avère que les résultats de nombreux essais cliniques sont manifestement mal interprétés par les régulateurs gouvernementaux - même s'ils sont même soumis au gouvernement pour examen en premier lieu.
Le bureau de l'inspecteur général (OIG) du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) affirme que les National Institutes of Health (NIH) ne font pas leur travail en veillant à ce que les sociétés de médicaments et de vaccins satisfassent aux exigences nécessaires pour les essais financés par le gouvernement fédéral.
Plus de la moitié des 72 essais qui devaient être soumis et publiés sur ClinicalTrials.gov au cours des années civiles 2019 et 2020 n'ont jamais été soumis (25) ou ont été soumis tardivement (12).
De plus, la moitié ont été menées en interne tandis que l'autre moitié a été menée en externe - les externes ayant un taux de conformité pire que les scientifiques des NIH.
Plutôt que de traiter de manière appropriée tout cela, le NIH "a pris des mesures d'application limitées en cas de non-conformité", nous dit-on. Dans le même temps, le NIH a continué à financer "de nouvelles recherches sur les parties responsables qui n'avaient pas soumis les résultats de leurs essais cliniques terminés".
Cela signifie que les informations pertinentes sur les événements indésirables ne transitent pas par les canaux appropriés, ce qui amène la FDA et d'autres agences à publier de fausses informations sur les médicaments et les vaccins douteux qui sont "sûrs et efficaces".
Selon Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l'Université de Stanford et co-auteur de la déclaration de Great Barrington, les résultats négatifs des essais ne sont jamais publiés dans les revues à cause de cela.
"Ainsi, lorsque le NIH ne suit pas la règle, il brosse essentiellement un tableau incomplet et biaisé" de la façon dont l'argent des contribuables est dépensé et de ce qu'il soutient, soutient Bhattacharya.
Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont également complices du racket, ayant récemment supprimé des informations de son site Web affirmant à tort que les protéines de pointe d'ARNm quittent le corps après seulement quelques jours. Il s'avère qu'ils persistent longtemps à l'intérieur du corps.
Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des piqûres covid ? Visitez VaccineInjuryNews.com.
Depuis bientôt 3 ans C'EST le monde de l'horreur ! Des gens qui tombent chez eux quelques heures, jours, semaines ou mois après s'être fait inoculer le poison mortel ! Alors diagnostics: suicide ou accident de la route ?
Votre gouvernement est-il prêt pour une autre pandémie ?
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 04:00
La poliomyélite étant désormais confirmée dans les eaux usées de New York et la variole du singe s'étant propagée dans le monde entier - bien que les taux de mortalité restent faibles - il semble que les épidémies se produisent plus rapidement et plus fréquemment qu'auparavant.
Bien qu'une plus grande attention médiatique ait certainement accru la prise de conscience, nous constatons également les effets d'entraînement d'un certain nombre de facteurs, notamment la croissance démographique, ce qui signifie que davantage de personnes vivent à proximité d'animaux potentiellement infectés, le changement climatique, qui aggrave les maladies, et même la baisse de la couverture vaccinale pour d'autres maladies au cours des dernières années, comme l'a rapporté l'OCHA. Sans parler du fait que l'augmentation des échanges et des voyages ainsi que l'urbanisation rapide - où les niveaux de contact entre les personnes sont élevés et les conditions de vie peuvent être insalubres - facilitent également la transmission.
Mais dans quelle mesure les gouvernements du monde sont-ils prêts à une nouvelle crise sanitaire, malheureusement assez inévitable ?
Comme Anna Fleck de Statista le détaille ci-dessous, une enquête menée par l'OCDE en 2021 a révélé que les perceptions de l'état de préparation des gouvernements varient considérablement dans le monde, avec une répartition assez égale des opinions, favorisant un peu plus positif. Les personnes vivant au Luxembourg et en Irlande, par exemple, ont une meilleure opinion des stratégies de santé de leur gouvernement, avec 69% et 60%, respectivement, affirmant qu'elles pensaient que leurs dirigeants seraient prêts. Un peu plus de la moitié des Britanniques ont ressenti la même chose.
En Autriche, cependant, la confiance sur le sujet était assez faible, 29 % des personnes déclarant qu'elles pensaient que leur gouvernement serait prêt. Le Japon est arrivé avec 32 % de personnes se sentant confiantes dans le gouvernement, bien qu'une plus grande proportion que tout autre se sente ambivalente sur la question - répondant qu'elles se sentaient soit "neutres" soit "ne savaient pas".
- voir sur site la liste des pays du plus au moins hégémoniste sur site -
Infographie : Votre gouvernement est-il prêt pour une autre pandémie ? | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon le rapport, la confiance du public dans le gouvernement augmente et diminue tout au long de la pandémie, avec une démonstration de soutien aux gouvernements au début, par rapport plus tard lorsque le nombre de décès a commencé à augmenter. Les auteurs notent que les résultats de l’enquête correspondent vraisemblablement à l’intensité de la pandémie à l’époque, en novembre 2021. Ils ajoutent :
"Il convient également de noter que - malgré les nombreux défis auxquels les gouvernements ont été confrontés pour répondre efficacement aux exigences économiques et sanitaires de la pandémie - cette découverte suggère que les gens considèrent que les gouvernements ont appris des informations acquises au cours de cette expérience".
Les pays étudiés étaient l'Australie, l'Autriche, la Belgique, le Canada, la Colombie, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la France, l'Islande, l'Irlande, le Japon, la Corée, la Lettonie, le Luxembourg, le Mexique, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, le Portugal, la Suède, les États-Unis et Royaume-Uni.
Rappelons qu'il ne s'agit PAS d'un microbe (maladie) mais d'une POUSSIÈRE (appelée virus) qui n'EST PAS dans l'air mais UNIQUEMENT en seringues. Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
Quelque chose se profile géopolitiquement, et nous ferions mieux de commencer à le prendre au sérieux
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 05:40 Écrit par 'Sundance' via le blog The Last Refuge,
À la suite de l'action collective des gouvernements occidentaux sous les auspices d'un programme de « changement climatique », nous sommes sur le point de voir quelque chose se produire avec des ramifications que personne n'a jamais vues auparavant.
Les gouvernements occidentaux, en particulier l'Europe occidentale, l'Amérique du Nord (États-Unis-Canada) et l'Australie/Nouvelle-Zélande, tentent intentionnellement de réduire l'activité économique pour faire face à la baisse intentionnelle de la production d'énergie.
C'est la principale conséquence de l'agenda Build Back Better tel que promu par le Forum économique mondial.
Quiconque dit qu'il existe un point de référence pour déterminer les conséquences à court et à long terme ment. Il n'y a pas de précédent pour que les nations essaient collectivement et intentionnellement de réduire l'activité économique.
Se cachant derrière la fausse justification selon laquelle l'inflation actuelle est motivée par une trop forte demande, les banques centrales d'Europe, la Banque d'Angleterre, la Banque du Canada et la Réserve fédérale américaine augmentent les taux d'intérêt. Le résultat que nous ressentons actuellement est une contraction économique intentionnelle et une récession mondiale.
La politique monétaire Build Back Better réduit avec succès l'activité économique de l'Ouest; cependant, les pays touchés qui produisent des biens pour les marchés d'Amérique du Nord et d'Europe, en particulier l'Asie du Sud-Est, le Japon et la Chine, n'augmentent pas les taux d'intérêt pour tenter de compenser la baisse de la demande. La Chine a annoncé qu'elle abaissait les taux de sa banque centrale dans un effort désespéré pour réduire les coûts et maintenir le fonctionnement de son économie dépendante des exportations.
Sous tout cela, il y a une baisse de la production d'énergie dans les mêmes pays qui tentent de réduire l'activité économique. Les décideurs politiques tentent de gérer ce processus sans informer les citoyens de l'objectif tacite. Les pénuries de pétrole, de charbon et de gaz naturel sont des problèmes auto-infligés, qui font tous partie de l'agenda BBB.
Au-delà des augmentations massives des coûts de l'énergie, qui sont la véritable source d'inflation et un résultat direct/intentionnel de l'effort BBB, l'Europe est maintenant confrontée à un hiver imminent sans ressources énergétiques pour chauffer les maisons et subvenir aux besoins des personnes. Les choses vont être très inconfortables en Europe cet hiver car des baisses de tension d'itinérance sont maintenant prévues.
Alors que le collectif occidental tente, selon ses propres termes, de « gérer la transition », il ne dispose pas de mécanismes pour contrôler un résultat de cette ampleur. C'est tout simplement une situation trop importante à gérer. Là où le caoutchouc rencontre la route, les groupes de réflexion et les grands idéologues du changement climatique n'ont pas la capacité de gérer une transition tout en répondant aux besoins des gens. Au-delà de la pensée ésotérique, il y a des conséquences réelles de ces actions.
De nombreuses personnes ont discuté du potentiel de pénuries alimentaires à plus long terme et, récemment, du chauffage hivernal à plus court terme. Cependant, au-delà de cela, les conséquences géopolitiques en aval sont apparemment ignorées. Au lieu de cela, ce que nous voyons est un effort pour continuer à prétendre que la fin du changement climatique justifiera les moyens (perturbation de la production d'énergie).
Dans ce monde connecté, lorsque les nations occidentales cessent d'acheter des choses, nous nous retrouvons avec des difficultés économiques au niveau national. Les entreprises échouent, le chômage augmente, les tensions financières se répercutent sur l'ensemble de l'économie, la dépendance à l'égard des subventions gouvernementales augmente et une réelle douleur se fait sentir. Cependant, au-delà des problèmes nationaux, les pays fournisseurs rencontrent des problèmes encore plus importants.
Le chômage en Malaisie, au Vietnam, en Corée du Sud, au Japon, à Taïwan et même en Chine crée un ensemble entièrement différent de problèmes de stabilité régionale au niveau géopolitique.
Il n'y a pas de précédent à cela. Jamais auparavant dans l'histoire des nations industrialisées un gouvernement n'avait intentionnellement tenté de réduire son activité économique. Cela n'a jamais été fait avec intention auparavant, car au sein de la contraction, les nations deviennent plus pauvres, les gens souffrent.
Non seulement aucune nation n'a jamais essayé de réduire intentionnellement sa richesse, mais il n'y a aucun précédent pour qu'une alliance de nations se réunisse dans le même but. Bien que cela puisse sembler être un exercice de modélisation économique académique, il est malheureusement bien réel. Ce que je décris se passe en ce moment, et nous ferions mieux de commencer à en parler avant que les conséquences imprévues ne se transforment en crise.
En Amérique du Nord (États-Unis-Canada), en Europe et en Australie, les prix des denrées alimentaires continueront d'augmenter massivement en raison de l'effondrement de la production d'énergie. Au-delà des nations occidentales, il y aura des pénuries alimentaires en raison de la baisse des rendements des récoltes et de la baisse de la production alimentaire industrielle. Ce n'est pas controversé.
Il n'est pas non plus controversé que les régions aux climats hivernaux rigoureux paieront beaucoup plus pour des ressources de chauffage rares.
Cela étant accepté, que se passe-t-il géopolitiquement, voire militairement, lorsque l'ensemble de l'économie mondiale commence à ressentir les impacts de la nation occidentale
Cela étant accepté, que se passe-t-il géopolitiquement, voire militairement, lorsque l'ensemble de l'économie mondiale commence à ressentir les impacts de la contraction économique des nations occidentales à une échelle - créée par l'action collective - qui n'a jamais été vue auparavant.
Je n'ai aucune idée de ce à quoi ressemble cette conséquence globale, mais quoi que ce soit, cela se produira en même temps que les gens partout dans le monde seront plus désespérés en raison de leur situation économique. Je n'ai pas les réponses, mais je suis sûr que l'enfer peut voir le problème venir.
Les dirigeants politiques des pays occidentaux susmentionnés semblent, peut-être intentionnellement, distraire les gens avec des choses brillantes nationales pour occuper le temps. Cependant, quelqu'un doit commencer à parler et à remettre sérieusement en question les conséquences globales de cet avenir Reconstruire en mieux, avant qu'il ne soit trop tard.
De Walter E. Block L'Institut Libertiran 20 août 2022
Cet essai est dédié à la mémoire de Witold Kwaśnicki, un libertaire polonais récemment décédé à l'âge de soixante-dix ans. Il est décédé d'un cancer du pancréas. Il n'a pas expiré quelques années après le diagnostic, ni même des mois. Au contraire, il a succombé en quelques semaines seulement. Quelle horrible maladie c'est.
J'ai maintenant 80 ans. Je me rends bien compte que personne ne s'en sort vivant; que mon espérance de vie n'est plus ce qu'elle était il y a dix, vingt ou trente ans. Comment puis-je faire face aux perspectives de ma disparition pas trop lointaine ? Comment garder mon menton levé?
Je le fais de deux manières. Tout d'abord, je prends la résolution de faire en sorte que chaque jour, heure, minute (même seconde si je le peux) compte. J'essaie de m'amuser toute la journée (dans une large mesure en écrivant et en parlant au nom de la liberté). Oui, bien sûr, tout le monde a des corvées. Aucune vie n'est un bol plein de cerises. Mais je fais de mon mieux pour apprécier le temps qu'il me reste autant que possible. Je fais ça depuis des décennies.
La deuxième façon dont j'essaie d'atteindre le bonheur face à une mort inévitable est d'essayer de comprendre sa cause, comme le cancer. Pourquoi, alors, souffrons-nous maintenant de cette terrible maladie ? Assurément, dans 500 ans, cette maladie prendra la place de la variole, de la poliomyélite, du tétanos, de l'hépatite B, de l'hépatite A, de la rubéole, de l'hib, de la rougeole, de la coqueluche (coqueluche), de la pneumococcie, du rotavirus, des oreillons, de la varicelle, de la diphtérie et autres. nous les avons soit entièrement éradiqués, soit presque entièrement détruits, de sorte qu'ils ne constituent plus des condamnations à mort. Pourquoi sommes-nous toujours en proie au cancer et à d'autres tueurs de ce genre ?
La seule réponse qui me satisfasse, c'est que c'est la faute du gouvernement.
Comment? Tout d'abord, ils absorbent environ 50 % des biens et services que nous produisons tous. Cela nous appauvrit. Nous sommes maintenant deux fois moins riches que nous le serions sans cette institution malveillante qui s'empare de nos biens durement gagnés. Murray Rothbard, M. Libertarian, soutient qu'un calcul plus précis du PIB soustrairait la "contribution" du gouvernement, et non l'ajouterait à ce qui émane du secteur privé. Mais les choses sont encore pires.1
Car que font les étatistes de « leur » part de nos revenus ? Avec leurs réglementations, leurs interdictions et leurs contraintes, ils réduisent davantage notre pouvoir économique. En gros, nous sommes maintenant à 33 % de ce que nous serions autrement, sans cet arrangement institutionnel pernicieux. Considérons un seul règlement qui empiète directement sur la recherche de traitements médicaux. Quand et si une percée se produit, le gouvernement limitera les profits ; cela réprimera les « profiteurs » et les « escroqueries » sur les prix. Il insistera sur la baisse des prix des médicaments. C'est en raison de cette menace que les entreprises de cette industrie seront moins incitées à effectuer les recherches nécessaires qu'elles ne le seraient autrement.
Qu'est-ce que cela a à voir avec la mort par cancer, les crises cardiaques, les maladies rénales et d'autres affaiblissements similaires ? Selon ce vieil adage, « Plus on est riche, plus on est en bonne santé », plus nous sommes riches, toutes choses égales par ailleurs, plus nous serons capables de nous débarrasser de ces fléaux médicaux.
Nous devons bien sûr reconnaître que le gouvernement dépense de l'argent non seulement pour des tentatives directes de trouver des remèdes à ces horribles maladies, mais aussi indirectement, par le biais de la recherche pure. Nous devons donner au Diable son dû. Mais l'État insiste sur son propre programme ; il « annule » les chercheurs qui adoptent des plans alternatifs ; il menace les licences médicales des médecins qui recherchent et recommandent des médicaments non planifiés au niveau central, comme dans le cas du COVID-19. Il s'engage dans une action positive à la fois dans le secteur privé et dans le secteur dit public, ce qui se traduit par des personnes moins qualifiées qui occupent leurs laboratoires en premier lieu.
Nous ne pouvons pas prétendre que si la population était trois fois plus aisée qu'elle ne l'est actuellement, en l'absence d'un gouvernement intrusif, tout cela irait dans la recherche fondamentale ou médicale. Mais il y en aurait probablement plus. Et nous serions plus près de réprimer ces maladies qui affligent l'humanité.
Si le gouvernement se dégageait du cou de l'économie, nous ne pouvons pas être sûrs qu'en vertu de la libre entreprise, le cancer serait vaincu. Peut-être, à la place, il pourrait s'agir de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de maladies pulmonaires, de diabète, d'Alzheimer, de tuberculose, de cirrhose.
Un aphorisme éprouvé et vrai est que "Savoir, c'est pardonner". J'inverse un peu la situation. Ce qui me fait avancer, c'est plutôt : « Savoir, c'est éviter la douleur qui survient lorsque nous envisageons des décès inutiles et prématurés à la suite de tragédies telles que le cancer du pancréas. » Comprendre la véritable cause de telles abominations - le gouvernement - la fait paraître moins menaçante, moins terrible.
Cela a paru à l'origine sur The Libertiran Institute et a été réimprimé avec la permission de l'auteur.
Non le monde n'est pas en voie d’éradiquer le cancer puisque des laboratoires nazis fabriques des nano-particules d'oxyde de graphène. Demain elles pourront être dans la farine du pain, dans l'eau en bouteille ou tout autre consommation. Comme aujourd'hui des millions de personnes tomberont par terre foudroyées par les messages ondes basses fréquences reçues. Devrons-nous chacun examiner au microscope à balayage les nano-particules grossies 1500 fois qui se trouve dans notre assiette ?
Malheureusement, ce ne sont pas tous les scientifiques qui disent la vérité à 100 % alors qu'il la connaissent à 100 % !
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 14:10 Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,
"Dites-leur que le Nord se souvient. Dites-leur que l'hiver arrive."
Les perspectives pour le Royaume-Uni semblent de plus en plus sombres. Il y a peu de raisons d'espérer qu'un nouveau gouvernement pourra inverser les craintes croissantes des consommateurs, la stagflation et le sentiment croissant de déclin.
Hier il faisait froid, humide et gris. La fin soudaine de l'été glorieux montre à quel point l'ambiance au Royaume-Uni est devenue sombre et morose. La confiance des consommateurs britanniques s'est effondrée à des niveaux jamais vus depuis les années 1970. Londres s'est arrêtée avec des grèves dans les métros et les chemins de fer. Ce n'est pas seulement la crise du coût de la vie - qui, pour être franc, ne fait que commencer et s'aggravera beaucoup, beaucoup plus à mesure que l'hiver s'approfondit - mais les gens perdent confiance dans la mécanique brisée de l'économie, l'absence de leadership et une croissance sentir que les choses ne s'amélioreront pas.
Le pays a l'impression de sombrer dans une mélasse de découragement étouffant et énergivore. Tout en Grande-Bretagne semble brisé: le NHS est trop encombré pour traiter les patients, les taux de mortalité excessifs montrent des cancers non traités, les maladies cardiaques et les attises du verrouillage dépassent désormais de loin le nombre de décès de Covid, la police est tellement surchargée qu'elle a même cessé de prendre la peine d'enquêter sur le crime, tandis que les aéroports sont bloqués, les trains ne fonctionnent pas, et cela n'a vraiment pas d'importance car vous ne pouvez pas renouveler votre passeport ou votre permis de conduire. Alors que les pluies tombent, nous sommes sous la menace d'une punition autoritaire sévère si nous osons utiliser un tuyau d'arrosage - bien que pour être juste, qui va vous arrêter ?
Dieu merci, nous sommes sur le point d'avoir un nouveau Premier ministre - SARCASM ALERT.
Vous attendez-vous vraiment à ce qu'un soleil brillant d'espoir économique se lève soudainement le 5 septembre ? Si oui, allez voir un psy – si vous pouvez obtenir un rendez-vous.
Liz Truss – clouée comme gagnante et prochaine Premier ministre – prendra ses fonctions au début du mois prochain, et les attentes ne pourraient pas être plus basses. Elle est au mieux dépeinte comme terne – et je crains que ce soit une grave surestimation, mais s'il vous plaît, surprenez-moi! Je n'ai toujours aucune idée de ce qu'elle représente – mais les gens qui la soutiennent et qui définissent son récit pourraient le faire. Je n'ai aucune idée de sa sauce secrète pour réanimer le Royaume-Uni. Jusqu'à présent, tout le bruit a été de jouer aux 160 000 riches hommes conservateurs blancs âgés qui ont le droit de vote dans la course à la direction, plutôt qu'aux 60 millions de Britanniques qu'elle représentera théoriquement.
Ses politiques annoncées, comme la fusion du régulateur bancaire, la PRA, avec la FCA, sont au mieux des bricolages inutiles. Mais cela marque un point - sa préoccupation primordiale au pouvoir sera de s'assurer que d'autres portent le poids de la crise, donc le premier contre le mur sera probablement Andrew Bailey, gouverneur de la Banque d'Angleterre, et l'indépendance théorique de la Banque.
Si ce dont nous nous souvenons de la grande récession de 2022-2025 est que c'était la faute de Bailey, alors les livres d'histoire devront être réécrits.
Ce dont la nation a besoin alors que nous sombrons dans la récession la plus profonde de mémoire d'homme, c'est d'un gouvernement de talents - pas d'un groupe de hacks politiques médiocres, ou d'un quatrième Premier ministre quelque peu inutile d'affilée.
Peut-être que Liz Truss nous surprendra - mais cela semble peu probable. Pourtant, nous vivons dans l'espoir. La politique britannique restera sous l'emprise du Brexit (le chancre sombre et malin qui s'est propagé au cœur du Royaume-Uni), qui continuera de dominer l'agenda et de ronger la position commerciale et d'exportation du pays - pour s'engager avec l'Europe afin de trouver un compromis mutuellement bénéfique est tout à fait inacceptable pour les talibans du TRG. Attendez-vous à beaucoup de dénigrement des syndicats pour leur témérité demandant des augmentations de salaire alors que l'inflation reste obstinément forte. Peu sera fait pour réinventer, innover et reconstruire les institutions brisées de l'État.
Les principaux objectifs du nouveau gouvernement seront la survie à court terme et une apparence un peu meilleure que le parti travailliste de l'opposition, car tout ce qui compte, c'est de gagner les prochaines élections dans quelques années seulement.
Les deux prochaines années ne seront pas une période d'innovation économique. En Allemagne, le gouvernement a récemment réduit le prix des voyages en train, et cela a eu un effet positif énorme en termes de voyages longue distance avec des effets multiplicateurs du tourisme intérieur et du travail. En Allemagne, un pass ferroviaire mensuel coûte n'importe où 9 euros. Au Royaume-Uni, cela me coûte près de 100 £ chaque fois que je vais à Londres.
Hier, un gestionnaire de fonds m'a demandé mon avis sur les obligations britanniques – ma réponse était relativement moins mauvaise que les perspectives des actions britanniques. Au moins avec les gilts, vous êtes susceptible de récupérer votre argent – même si la livre sterling sera probablement beaucoup, beaucoup plus basse. Quant aux ETI et PME britanniques, qui sont en fuite, il est probable que la récession à venir les verra souffrir. Il est temps d'être défensif dans les actions britanniques. La Virtuous Sovereign Trinity du Royaume-Uni peut être testée - le mécanisme par lequel la stabilité politique et l'efficacité d'une nation, son marché obligataire et sa monnaie forment un trépied solide. Si une jambe se casse, cela signifie un problème profond et profond.
Mais, pas pour moi la misère de la politique britannique… hier soir, je me suis faufilé à Salcombe, le joyau de la Riviera du Devon où j'ai failli déclencher une guerre civile par inadvertance. La plus grande fracture dans la société britannique est le Cream Tea. Est-ce que la confiture va sur le dessus ou la Clotted Cream, ou l'inverse ? Les Cornouailles et le Devon sont en état de guerre froide à cause de cette distinction critique depuis des décennies. J'ai fait le truc de Cornouailles - Crème sur le Jam. C'est parfaitement logique. Les gens du Devon étaient horrifiés. Jam va au-dessus de la crème dans le Devon. J'ai dû payer un forfait considérable, donc ce matin je suis aux prises avec un déséquilibre électrolytique H2O/C2H5OH. Aie. Si jamais quelqu'un vous offre Devon Rum – courez.
Cependant, je me suis retrouvé assis avec des gens très intéressants. Dîner avec un économiste pourrait être considéré comme un malheur. S'asseoir avec deux semble carrément négligent, mais s'asseoir avec trois - eh bien, c'est demander de la confusion.
3 économistes - et au moins 5 points de vue contradictoires sur l'évolution probable de l'économie britannique, moi-même jetant quelques distractions aléatoires.
Étonnamment, le membre le plus enclin à droite de notre brain trust informel était d'avis que la bonne politique britannique n'est plus du tout de hausse des taux d'intérêt - c'est la mauvaise réponse aux mauvais signaux - mais une relance économique massive pour éviter une catastrophe dévastatrice. et profonde récession. "Rompez l'inflation, car vous ne pouvez pas la contrôler", a-t-il déclaré. L'inflation a été déclenchée par un choc énergétique exogène, mais essayer de refroidir l'économie en infligeant des difficultés monétaires pour endiguer la demande ne fera qu'exacerber l'inflation réelle sous la forme de revendications salariales et de pénuries perçues faisant grimper les prix - il a également noté avec sagesse comment les grands supermarchés ont discrètement retiré leurs marques économiques les moins chères, profitant de l'inflation pour augmenter leurs marges.
Le deuxième économiste a adopté un point de vue très différent : la rapidité est essentielle, la BOE a agi trop lentement, les erreurs politiques aggravent les choses, et maintenant nous avons besoin d'austérité immédiate, de neutralité fiscale et de hausses d'intérêts pour rééquilibrer rapidement l'économie et imposer contrôler. L'inflation doit être réduite rapidement, sinon elle s'enracinera et aura des conséquences massives à long terme. Les salaires doivent être limités - franchement, la meilleure façon de calmer l'inflation est d'effrayer les travailleurs à l'ancienne pour leur faire perdre le sentiment de sécurité d'emploi afin de saper les revendications salariales. Elle a équilibré ses mesures draconiennes par de sérieuses hausses d'impôts sur les plus riches, proposant de nouvelles taxes foncières à toute personne possédant une résidence secondaire ou quittant le pays pour échapper à une fiscalité punitive.
Le troisième économiste examinait la baisse à long terme de la productivité britannique et se demandait quelles politiques étaient possibles maintenant pour remettre le Royaume-Uni sur la bonne voie pour un avenir économique prospère – mais a conclu que nous resterions en mode combat/fuite avec un feu à court terme. lutter contre la récession, l'inflation des salaires, la crise des consommateurs et les cycles électoraux, signifie qu'il s'agira de politiques satisfaisantes et à court terme avec des conséquences néfastes à long terme.
Bien sûr là vous allez vous dire que les riches ne peuvent pas attraper le 'machin-virus19', bêh VOUS AVEZ RAISON ! La poussière 'Dépopulation21' c'est POUR les pauvres ! Seuls les pauvres se font enfiler (inoculer profond en langage médical). Because que la particularité des riches (sauf le con qui vient de gagner au loto) est qu'ils sont... intelligents (personnes dotées de cervelles) et que: ils passent au travers des poussières-télés ! Whôaw ! Çà faut l'faire ! Les virus c'est pour les ordis et les microbes pour les maladies. Or là, on parle de VIRUS ! C'est-à-dire POUSSIÈRES (voir dictionnaire si vous avez !). Chez 'poussières' existent celles de la terre, sable, ciment, talc, ou, éventuellement 'poussières radioactives' mais à part çà dans l'air: IL N'Y A PAS LE 'VIRUS MACHIN-CHOSE19' ! Çà alors !! D'ailleurs, AUCUN scientifique au monde ne l'a vu !! Pas isolé depuis bientôt 3 ans !! Il n'y a RIEN sous le microscope mais, à la télé, ils l'ont vu ! Whoâw ! Çà c'est trop fort ! Comment s'appelle l'émission ? Elle s'appelle "Qui veut gagner des millions" !
Toutes les quatre minutes, environ 1 000 bébés naissent dans le monde. Mais de quels pays ces bébés sont-ils statistiquement les plus susceptibles de provenir ?
En utilisant les données du CIA World Factbook, Carmen Ang de Visual Capitalist montre ce graphique de Pratap Vardhan (Stats of India) qui brosse un tableau de la démographie mondiale, montrant quels pays sont les plus susceptibles d'accueillir les 1 000 prochains bébés en fonction de la population et de la naissance. taux à partir des estimations de 2022.
- voir carte sur site -
Les 1 000 prochains bébés, par pays
Considérant que l'Inde a une population de près de 1,4 milliard d'habitants, il n'est pas surprenant qu'elle se classe au premier rang sur la liste. Sur 1 000 bébés nés, le pays d'Asie du Sud en compte environ 172.
- voir liste sur site -
Il convient de noter que, alors que l'Inde occupe le premier rang sur la liste, le taux de natalité du pays (qui est son nombre total de naissances en un an pour 1 000 personnes) est en fait légèrement inférieur à la moyenne mondiale, à 16,8 contre 17,7 respectivement.
La Chine, qui arrive en deuxième position sur la liste, est similaire à l'Inde, avec une population élevée mais également un taux de natalité relativement faible. D'autre part, le Nigeria, qui se classe troisième sur la liste, a un taux de natalité qui est presque le double de la moyenne mondiale, à 34,2.
Pourquoi le taux de natalité au Nigeria est-il si élevé ?
Il existe divers facteurs entremêlés en jeu, mais l'une des principales raisons est le fait que l'économie nigériane est toujours en développement et se classe au 131e rang mondial en termes de PIB par habitant. En outre, l'accès des femmes à l'éducation n'est toujours pas aussi répandu qu'il pourrait l'être, et les recherches montrent que cela est fortement corrélé à des taux de natalité plus élevés.
Le taux de croissance de la population mondiale diminue Bien que des centaines de milliers de bébés naissent chaque jour dans le monde, il convient de mentionner que le taux de croissance global de la population mondiale est en fait en baisse depuis les années 1960.
Cela se produit pour un certain nombre de raisons, notamment :
Augmentation de la richesse dans le monde, que la recherche a corrélée avec moins de naissances
Diverses politiques gouvernementales décourageant les familles nombreuses
Le passage mondial de la vie rurale à la vie urbaine
D'ici 2100, la croissance démographique mondiale devrait chuter à 0,1 %, ce qui signifie que nous atteindrons essentiellement une croissance démographique nette nulle.
Cela augmenterait encore plus notre âge médian mondial, ce qui pose un certain nombre de risques économiques si les pays ne se préparent pas correctement à ce changement démographique.
Les investisseurs ont maintenant dépensé 5 milliards de dollars pour poursuivre le "Saint Graal de l'énergie"
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 23:30 Par Alex Kimani de Oilprice.com
Qu'est-ce que The Dark Knight Rises, Retour vers le futur, Oblivion et Interstellar ont en commun ? Ce sont des superproductions de science-fiction qui présentent une technologie que les scientifiques considèrent comme le Saint Graal de l'énergie : la fusion nucléaire. Théoriquement, deux réacteurs nucléaires isolés fonctionnant avec de petites pastilles pourraient alimenter la planète entière, en toute sécurité et proprement. C'est la promesse de la fusion nucléaire. Alors, pourquoi dépendons-nous toujours des combustibles fossiles ? Qu'est-ce qui nous empêche de construire ces réacteurs partout ?
Après tout, les scientifiques travaillent sur la technologie de la fusion nucléaire depuis les années 1950 et ont toujours été optimistes quant au fait que la percée finale n'est pas loin. Pourtant, les jalons sont tombés à maintes reprises et maintenant la plaisanterie courante est qu'une centrale à fusion nucléaire pratique pourrait encore être dans des décennies.
Eh bien, ces dernières années ont vu une résurgence dans le domaine avec une poignée de startups s'installant pour faire de la fusion nucléaire une réalité quotidienne. Fait intéressant, la grande majorité du financement du secteur provient du secteur privé plutôt que des investissements publics.
Selon le deuxième rapport mondial sur l'industrie de la fusion publié par la Fusion Industry Association (FIA), les investissements privés dans la technologie de fusion ont atteint 4,7 milliards de dollars au total, éclipsant les 117 millions de dollars d'investissements publics. De plus, l'année en cours s'avère être un moment décisif pour la technologie de fusion, le montant du financement en 2022 faisant plus que doubler l'investissement historique total de l'industrie à hauteur de 2,83 milliards de dollars.
À ce jour, Commonwealth Fusion Systems a obtenu le plus gros financement pour une startup de fusion. En décembre, la startup de fusion basée au Massachusetts a décroché plus de 1,8 milliard de dollars dans le plus gros investissement privé pour la fusion nucléaire à ce jour auprès d'une pléthore d'investisseurs de renom, dont le cofondateur de Microsoft Bill Gates, George Soros via son Soros Fund Management LLC, et capital-risque John Doerr.
Commonwealth Fusion System est en bonne compagnie.
Le 5 novembre, Helion Energy a annoncé qu'elle avait levé 500 millions de dollars lors de sa dernière levée de fonds, ce qui en fait la deuxième plus grande levée de fonds jamais réalisée pour une entreprise privée de fusion. Helion a une chance de surpasser Commonwealth Fusion System puisque son dernier cycle de financement comprend 1,7 milliard de dollars supplémentaires liés à certains jalons de performance. Pendant ce temps, General Fusion du Canada a clôturé une ronde de financement de 130 millions de dollars qui a été sursouscrite. General Fusion prévoit de lancer prochainement une campagne de financement encore plus importante.
Google et Chevron ont participé à une levée de fonds de 250 millions de dollars pour TAE Technologies, une startup de fusion nucléaire avec une stratégie non conventionnelle, en juin. Depuis lors, TAE a levé un total de 1,2 milliard de dollars.
"C'est un signe que l'industrie grandit", a déclaré le directeur général de General Fusion, Christofer Mowry, au Wall Street Journal.
Diverses sociétés de fusion poursuivent différentes conceptions de réacteurs à fusion, bien que la majorité s'appuient sur la fusion qui a lieu dans le plasma. Commonwealth Fusion a testé avec succès l'aimant de fusion le plus puissant de son genre sur Terre qui retiendrait et comprimerait le plasma.
Commonwealth Fusion Systems collabore avec le MIT pour construire son réacteur à fusion. L'équipe a prévu une expérience de fusion baptisée Sparc, qui représente environ 1/65e du volume du réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER). Le réacteur expérimental générera environ 100 MW d'énergie thermique par impulsions d'environ 10 secondes - des rafales suffisamment importantes pour alimenter une petite ville. L'équipe prévoit que la production sera plus du double de la puissance utilisée pour chauffer le plasma, surmontant ainsi le plus grand obstacle technique dans le domaine : l'énergie nette positive de la fusion. L'équipe Sparc s'est fixé un objectif ambitieux de faire fonctionner le réacteur d'ici 15 ans environ.
Mais pourquoi les scientifiques ont-ils jusqu'à présent échoué à reproduire un processus naturel qui alimente les étoiles de notre univers ?
Défi extrême
Il s'avère que les conditions nécessaires à la fusion nucléaire présentent un défi extrême pour nous, les terriens.
La fusion fonctionne sur le concept de base consistant à forger des éléments plus légers en éléments plus lourds. Lorsque deux atomes d'hydrogène sont écrasés assez fort, ils fusionnent pour former de l'hélium. Le nouvel atome est moins massif que la somme de ses parties, le solde étant converti en énergie dans l'équivalence masse-énergie E=MC2.
Ok, c'est un peu simpliste puisque les atomes d'hydrogène ne fusionnent pas directement mais plutôt dans une réaction en plusieurs étapes. Quoi qu'il en soit, pour résumer, la fusion nucléaire ne produit de l'énergie nette qu'à des températures extrêmes - de l'ordre de centaines de millions de degrés Celsius. C'est plus chaud que le noyau du soleil et bien trop chaud pour qu'un matériau connu sur terre puisse le supporter.
Pour contourner ce bourbier, les scientifiques utilisent de puissants champs magnétiques pour contenir le plasma chaud et l'empêcher d'entrer en contact avec les parois du réacteur nucléaire. Cela consomme des quantités folles d'énergie.
Les étoiles ont la tâche facile à cet égard grâce à leurs masses immenses et à leurs puissants champs gravitationnels qui maintiennent tout ensemble. Par exemple, le soleil fait 333 000 fois la masse de la Terre avec une gravité ~ 27,9 fois celle de la Terre.
Malheureusement, chaque expérience de fusion jusqu'à présent a été négative en énergie, absorbant plus d'énergie qu'elle n'en génère, la rendant ainsi inutile comme forme de production d'électricité.
Obtenir la réaction de fusion initiale n'est pas un problème - la maintenir l'est, sans compter que la construction de réacteurs nucléaires nécessite des prouesses d'ingénierie extrêmement sophistiquées.
Mégaprojet international
Mais maintenant, les scientifiques sont convaincus qu'ils sont sur le point de construire un réacteur nucléaire qui produira plus d'énergie qu'il n'en consomme.
Le futur réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER) basé à Saint-Paul-les-Durance, en France, est la plus grande installation de réaction de fusion au monde qui vise à développer des réacteurs de fusion commercialement viables.
Financé par six pays, dont les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon, la Corée du Sud et l'Inde, ITER prévoit de construire le plus grand dispositif de fusion tokamak au monde, une cage en forme de beignet qui produira 500 ME d'énergie de fusion thermique.
L'appareil coûtera environ 24 milliards de dollars avec une date de livraison fixée à 2035. La machine géante - la plus grande machine à fusion jamais construite - pèsera 23 000 tonnes et sera logée dans un bâtiment de 60 mètres de haut.
Alors, qu'est-ce qui est différent cette fois-ci ?
Les scientifiques ont développé avec succès un nouveau matériau supraconducteur - essentiellement une bande d'acier recouverte d'oxyde d'yttrium-baryum-cuivre, ou YBCO, qui leur permet de construire des aimants plus petits et plus puissants. Cela réduit l'énergie nécessaire pour faire décoller la réaction de fusion.
Selon Fusion for Energy - l'entreprise commune de l'UE pour ITER - 18 aimants supraconducteurs en niobium-étain, également appelés bobines de champ toroïdal, seront utilisés pour contenir le plasma à 150 millions de degrés Celsius. Les puissants aimants généreront un puissant champ magnétique égal à 11,8 tesla, soit un million de fois plus fort que le champ magnétique terrestre. L'Europe fabriquera 10 des bobines de champ toroïdal et le Japon en fabriquera neuf.
Cependant, il faudra encore dix ans avant qu'une centrale électrique de démonstration à grande échelle ne soit construite en utilisant les leçons tirées d'ITER. Les centrales industrielles à fusion seront ensuite connectées au réseau.
La construction du site ITER est achevée à près de 80 %.
Cela dit… il semble que la fusion nucléaire reste (mais espérons-le pas pour toujours) dans plus d'une décennie.
Quand je dois prendre un avion je sais que je ne peux pas dormir. Je suis donc sorti dans la rue pour m’adonner à mon vice de fumeur et j’ai rencontré une charmante Balinaise habitant Milan arrivée hier d’Italie et ne pouvant pas dormir en raison du décalage horaire. Nous avons discuté en fumant tous les deux, c’est la raison pour laquelle elle se trouvait également à l’extérieur du gite pour back-packers en plein centre de Papeete. Nous avons bavardé de toutes sortes de choses et il y avait de quoi continuer pendant des jours puisqu’elle a visité 89 pays dans le cadre de son activité au sein du ClubMed.
Une heure plus tard deux Néo-Zélandaises sont sorties de l’hostel pour attendre un taxi supposé les convoyer à l’aéroport car elles embarquaient pour Auckland vers trois heures du matin. Pas de taxi ! Complètement désemparées j’ai demandé au gardien qui dort dans sa voiture dans la rue devant l’établissement de faire quelque chose. Il n’avait que des numéros de téléphones de taxis périmés. Le stress des deux jeunes femmes commençait à déborder, d’autant plus qu’elles ne parlent pas le français. Bref elles sont parties à une station de taxi un peu plus loin sur la grande rue qui longe le port, rue dont j’ai oublié le nom, et ont disparu. Un chauffeur de mini-bus est alors arrivé et nous lui avons raconté l’aventure de ces deux « kiwis ».
Il se trouve que leur vol était annulé et elles sont parties tout de même à l’aéroport pour être raccompagnées plus tard ici à l’hostel. Heureusement qu’elles n’ont pas oublié le code qui ouvre la porte d’accès et elle retourneront se coucher, dépitées et enragées. Je les reverrai peut-être dans une demi-heure puisqu’il est maintenant 2 h 00 heure locale toujours ce vendredi 19 août. Il ressort de cette petite anecdote que le taxi aurait du venir prévenir ses clientes mais il aurait gaspillé de l’essence pour rien ou bien, ici à Papeete ce n’est pas la manière de se conduire. Je disais que le stress de ces deux jeunes femmes débordait, alors j’espère que cette aventure ne m’arrivera pas dans deux heures maintenant …
La deuxième plus grande chaîne de cinéma au monde se prépare à la faillite
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 14:45
Aujourd'hui, dans "les dommages collatéraux continus de la pandémie, aidés par la récession actuelle" nouvelles...
Le deuxième plus grand opérateur de cinéma au monde, Cineworld, a plongé dans les échanges vendredi après qu'il a été annoncé que la société s'apprêtait à déposer son bilan. Négociant à Londres, son action a chuté de plus de 60 % vers l'heure du déjeuner lors de la négociation du vendredi.
Cineworld, qui possède également Regal Cinemas, a déjà embauché des conseillers pour commencer à mettre en place le processus de mise en faillite, a rapporté WSJ pour la première fois à la fin de la semaine dernière. Il est prévu que la société déposera le chapitre 11 aux États-Unis et une procédure d'insolvabilité au Royaume-Uni.
Cineworld exploite 9 000 cinémas dans 10 pays, a rapporté CNBC vendredi. Il a imputé ses difficultés financières non seulement à la pandémie, mais à un "manque de superproductions" qui nuit aux admissions maintenant que les gens sont autorisés à retourner dans les salles.
"Malgré une reprise progressive de la demande depuis la réouverture en avril 2021, les niveaux d'admission récents ont été inférieurs aux attentes", a déclaré la société.
Les ventes au box-office sont en baisse de 30 % par rapport à la pré-pandémie, note le rapport. Dans le même temps, il y a eu un double coup dur pour les salles de cinéma, car 30 % de films en moins sont sortis directement dans les salles, car les plateformes de streaming ont gagné en popularité.
Il avait une dette nette de 8,9 milliards de dollars à la fin de 2021, contre des revenus de 1,8 milliard de dollars. La société a fait appel à deux conseillers en faillite populaires, Kirkland & Ellis LLP et des consultants d'AlixPartners, pour aider à donner des conseils sur les procédures.
L'annonce a entraîné vendredi les cinémas américains AMC et CNK dans le commerce.
LES 3 DÉPARTEMENTS LES PLUS PRISÉS POUR UNE RÉSIDENCE SECONDAIRE À LA CAMPAGNE
par SÉVERINE AMATE 21/08/2022
Dans les secteurs ruraux, les prix immobiliers ont progressé, en moyenne, de 8,9% en 1 an.
La France abrite 3,6 millions de résidences secondaires. Or, bon nombre d’entre elles se trouvent à la campagne. Une étude SeLoger apporte un éclairage sur les départements qui concentrent le plus de recherches de la part des acquéreurs en quête d’une résidence secondaire à la campagne. Il est d’ailleurs à noter que la ville de provenance des candidats à l’achat joue un rôle considérable dans le choix du secteur recherché pour leur projet immobilier.
La Dordogne est le département le plus recherché
Département néo-aquitain couvrant en grande partie le territoire du Périgord, la Dordogne profite d’un emplacement stratégique car quasiment central, arbore des paysages idylliques et profite d'un climat particulièrement agréable. Si Périgueux et Bergerac demeurent les communes les plus emblématiques de la Dordogne, d’autres localités recueillent néanmoins un volume important de recherches en termes de résidences secondaires.
Sur le site Se Loger, parmi les recherches portant sur des villes de campagne affichant plus de 20 % de résidences secondaires, 7,1% ciblent le département de la Dordogne. Cela place ce département en pole position, juste devant l’Yonne avec 6,7 % des recherches et le Var qui en totalise 6,3 %.
En termes de prix immobiliers, ces trois départements présentent des disparités importantes, puisqu’il faut compter 1 488 €/m² en Dordogne, ce qui permet de s'offrir une résidence secondaire à la campagne pour un budget accessible. L’Yonne offre toutefois des opportunités encore moins coûteuses, puisque l’on y relève 1 306 €/m², en moyenne. En revanche, la moyenne des prix immobiliers dans le Var est notamment portée par les prix du littoral lesquels sont particulièrement élevés. Dans ce département, comptez, en moyenne, 4 234 €/m².
Saint-Cyprien, Saint-Fargeau et La Garde Freinet dans le top 3
L’étude SeLoger montre également que dans les départements les plus attractifs, certaines communes concentrent une bonne partie des recherches des porteurs d’un projet d'achat d'une résidence secondaire.
En Dordogne, il s’agit de la commune de Saint-Cyprien, qui recueille 7,5 % des recherches effectuées dans le département. Ce petit village situé à quelques kilomètres de Bugue, en Périgord Noir, est notamment connu pour son église datée des 12e et 14e siècles. Saint-Cyprien se montre particulièrement animée en été, notamment lors des marchés gourmands. Cette commune est implantée dans un secteur propice aux belles promenades et aux visites en tout genre. De plus, les prix immobiliers moyens y sont particulièrement abordables, se limitant à 1 640 €/m².
Dans l’Yonne, c’est Saint-Fargeau qui prend la tête du classement, avec 9,7 % des recherches. Située à quelques kilomètres de Saint-Sauveur-en-Puisaye, Saint-Fargeau abrite un riche patrimoine culturel tel que son château du 10e siècle, une église du 13e siècle - classée monument historique -, ainsi qu’un beffroi. Un village icaunais de caractère et authentique où les prix immobiliers moyens sont particulièrement accessibles avec 987 €/m².
Enfin, dans le Var, c’est le village de La Garde-Freinet qui tire son épingle du jeu, avec 10,4 % des recherches dans ce département. A 20 kilomètres de Luc-en-Provence et de Saint-Tropez, ce village forestier et touristique se situe en plein cœur du Massif des Maures, dans un site exceptionnel qui côtoie une nature aussi sauvage qu'éblouissante. Il offre encore aujourd’hui, un caractère original, avec des maisons en pierre, des noms de rues à l’ancienne et une place pleine de charme bordée de restaurants. Selon le site SeLoger, parmi les villages de campagne les plus recherchés dans le département du Var, La Garde-Freinet compte parmi les plus chers à l'achat, avec un prix moyen de 4 343 €/m².
Des préférences qui varient selon la provenance des acquéreurs Enfin, l’étude SeLoger démontre, sans surprise, que les secteurs de recherche diffèrent selon la provenance des acquéreurs. Cela paraît toutefois logique. En effet, pour profiter au maximum de sa résidence secondaire, convenez qu’il est préférable qu’elle ne se situe pas à l’autre extrémité du pays. La proximité entre résidence principale et résidence secondaire est donc primordiale. Cela explique notamment que l’Yonne concentre la majorité des recherches des Parisiens (10,5 %), mais également des Strasbourgeois (14,9 %). En effet, il est possible de relier Paris à Saint-Fargeau en à peine plus de 2 heures, tandis qu’il faut prévoir environ 4h entre Strasbourg et Vézelay.
Les Marseillais, les Lyonnais et les Niçois, qui résident dans le Sud du pays, plébiscitent quant à eux le Var, pour respectivement 22 %, 11,7 % et 38,5 % d’entre eux. En revanche, les communes recherchées diffèrent, puisque les Marseillais recherchent davantage à Saint-Julien (13,2 %), tandis que les Lyonnais sont 11 % à s’orienter vers Saint-Paul-en-Forêt, alors que les Niçois plébiscitent La Garde-Freinet pour 14,9 % d’entre eux.
À Toulouse, on se tourne de préférence vers le Lot (11,7 %), et en particulier Puy-l’Évêque, qui se situe à moins de 2 heures. Suivent la Dordogne et le Tarn-et-Garonne.
Les Bordelais recherchent principalement en Dordogne pour 21,6 % d'entre eux, car le département est tout proche de chez eux. La commune la plus recherchée est Saint-Cyprien, laquelle concentre 6,4 %. Le Lot et les Landes sont également sur le podium.
Sans surprise, les Montpelliérains privilégient des recherches dans l’Hérault (19,4 %), avec en deuxième position le Gard et en troisième position le Var.
Les Nantais se tournent d’abord vers la Vendée avec 20,8 % des recherches, devant le Morbihan et le Finistère. Rappelons que Nantes se situe à proximité de la Bretagne.
Dans le même ordre d’idée, les Lillois orientent principalement leurs recherches vers le Nord-Pas-de-Calais avec 13,3 %, mais également vers la Picardie et l'Aquitaine.
« Certaines zones péri-urbaines sont devenues très attractives après les différents confinements, notamment grâce à la mise en place du télétravail plusieurs jours par semaine. Situées à 1 ou 2 heures en train des grandes métropoles, elles permettent à des foyers de bénéficier d’un mode de vie plus agréable avec plus de surface et de beaux extérieurs tout en ayant un temps de trajet acceptable lorsqu’il est effectué une ou deux fois par semaine. Cela a étendu la zone d’attractivité autour des grandes villes pour les achats de résidences mi-secondaires et mi-principales » analyse William Pillons, Directeur Réseaux de Mercure Forbes Global Properties.
Par contre, St Pierre & Miquelon et les Terres Australes et Antarctiques Françaises sont HORS CONCOURS !
PS: Les Terres Australes et Antarctiques Françaises ou TAAF sont un ensemble de territoires Français composé de 5 groupes distincts: la Terre Adélie en Antarctique, les îles Crozet, les îles Kerguelen, les îles St Paul et Amsterdam dans l'Océan Indien, et les îles Eparses proches de Madagascar. Les habitants de ces îles sont les manchots et quelques scientifiques et militaires qui se relaient. Au niveau économique, l'intérêt de ces territoires est surtout pour la pêche et la recherche scientifique. De nombreux explorateurs-scientifiques ont ainsi pû faire découvrir au monde la richesse de la faune de ces zones au climat plutôt rude.
Les villes de tentes envahissent de vastes étendues de nos grandes villes (et cela ne fera qu'empirer)
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 02:20 Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Si des jours meilleurs sont à venir pour l'économie américaine, pourquoi tant de villes de tentes surgissent-elles dans tout le pays ? À ce stade, les choses vont si mal que même le New York Times admet que « le problème des sans-abrisme aux États-Unis ressemble à une crise aiguë ». Cet article poursuit en expliquant que notre population de sans-abri ne cesse d'augmenter. Ce soir, des centaines de milliers de nos concitoyens américains dormiront dans des tentes, sous des ponts, dans des abris surpeuplés ou dans leurs véhicules. Bien sûr, il y en a beaucoup qui sont tellement dépendants de la drogue ou de l'alcool qu'ils dorment là où ils finissent par s'évanouir. Il s'agit d'une tragédie qui s'aggrave de jour en jour et qui ne fera qu'empirer dans les mois à venir à mesure que l'économie américaine ralentira encore plus.
Plus tôt dans la journée, j'ai été vraiment stupéfait par un article de Fox News sur ce qui se passe à Portland en ce moment. Les villes de tentes envahissent littéralement des quartiers entiers, et de nombreux habitants "ont recours à la vente de leurs maisons" en conséquence...
Les résidents d'un quartier de Portland, dans l'Oregon, ont recours à la vente de leur maison et au déménagement en raison des campements de sans-abri juste devant leur porte d'entrée.
"C'est un peu effrayant parce que je sais qu'il y a une maladie mentale et cela me préoccupe", a déclaré Maria Inocencio, une résidente du nord de Portland, à KGW8.
Les habitants de North Portland ont déclaré qu'au moins trois familles d'une rue étaient parties ces derniers jours en raison des camps de sans-abri, et KGW8 a déclaré avoir vu des panneaux de vente dans les rues.
Portland était autrefois un si bel endroit, mais maintenant il a été littéralement transformé en un enfer.
Inutile de dire que Portland est loin d'être la seule. De Seattle jusqu'à San Diego, les communautés tout le long de la côte ouest sont en proie à des campements en croissance incessante. Dans de nombreux cas, ces campements attirent les toxicomanes et autres exclus de la société.
Mais ce n'est pas seulement un problème de la côte ouest.
Permettez-moi de vous donner quelques exemples. Ces dernières semaines, des villes de tentes ont surgi partout à Pittsburgh…
« Nous voulons une action immédiate. Nous voulons voir des gens dans les maisons. Il existe une façon humaine de traiter l'itinérance », a déclaré la présidente du conseil municipal de Pittsburgh, Theresa Kail-Smith.
Des camps de sans-abri surgissent partout dans le Northside.
Vous les verrez sur le Riverfront Trail jusqu'à Millvale.
Une autre ville de tentes de fortune a surgi sous le pont Andy Warhol.
Et à Fayetteville, en Caroline du Nord, un camp de sans-abri en plein essor a récemment fait la une des journaux car il compte un certain nombre de délinquants sexuels enregistrés…
Il y a 843 délinquants sexuels enregistrés vivant dans le comté de Cumberland. Pour des dizaines à Fayetteville, leur maison est une tente le long de la route.
Les adjoints de l'Unité d'application de la loi sur l'enregistrement des délinquants sexuels (SOREU) du bureau du shérif ont appris que le groupe de délinquants est sans abri et séjourne dans une communauté de tentes le long de l'autoroute très fréquentée Martin Luther King Jr. (autoroute 87) qui traverse la rue Gillespie. Certains vivent sous le viaduc tandis que d'autres vivent dans un champ voisin à côté de la rue Gillespie.
D'un océan à l'autre, cela devient un énorme problème.
Et la vérité est que cela ne fera que s'intensifier au fil des mois.
En 2008 et 2009, des millions d'Américains ont perdu leur emploi alors que l'économie plongeait dans un ralentissement majeur.
Une fois que ces personnes ont perdu leur emploi, beaucoup d'entre elles n'ont plus pu payer leur logement et se sont rapidement retrouvées à la rue.
Je souhaite que nous n'ayons plus jamais à revoir quelque chose comme ça. Ce fut vraiment un chapitre très sombre de notre histoire, et d'innombrables personnes ont vu leur vie complètement bouleversée.
Malheureusement, cela recommence.
Comme je l'ai détaillé plus tôt ce mois-ci, les grandes entreprises commencent à licencier des travailleurs en nombre substantiel.
Cela inclut même Facebook. Cette semaine, nous avons appris que Facebook a récemment utilisé une méthode tout à fait unique pour licencier un groupe de travailleurs…
Un groupe d'environ 60 entrepreneurs qui travaillent avec Facebook ont appris qu'ils avaient été licenciés cette semaine après avoir été choisis "au hasard" par un algorithme.
Les licenciements sont le dernier exemple en date de la limitation des dépenses et des embauches par Big Tech, car il y a quelques jours à peine, Apple a lâché environ 100 recruteurs.
Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a également récemment déclaré qu'il éliminerait les employés sous-performants avec des "évaluations de performances agressives" alors que l'entreprise se prépare à un profond ralentissement économique.
Je suppose que c'est une façon d'éviter la responsabilité personnelle de congédier quelqu'un.
"Ne me blâmez pas - c'était l'algorithme".
Si une grande entreprise qui nage dans l'argent comme Facebook se sent déjà obligée de « diminuer le troupeau », je pense que c'est un très mauvais signe pour le marché de l'emploi dans son ensemble.
Dans les mois à venir, je pense qu'il y aura beaucoup plus de licenciements partout au pays.
Et cela arrive à un moment où le marché du logement commence à s'effondrer.
Les ventes de maisons existantes aux États-Unis ont maintenant chuté pendant six mois d'affilée, et les chiffres du mois de juillet étaient carrément déprimants…
Les ventes de maisons d'occasion ont chuté de près de 6 % en juillet par rapport à juin, selon un rapport mensuel de la National Association of Realtors.
Le nombre de ventes a diminué à un taux annualisé désaisonnalisé de 4,81 millions d'unités, a ajouté le groupe. Il s'agit du rythme de vente le plus lent depuis novembre 2015, à l'exception d'un bref plongeon au début de la pandémie de Covid.
Les ventes ont chuté d'environ 20 % par rapport au même mois il y a un an.
Je prévoyais que les ventes de maisons seraient inférieures à celles de juillet dernier, mais une baisse de 20 % est assez catastrophique.
Et comme la Réserve fédérale continue d'augmenter les taux d'intérêt, il est probablement inévitable que les chiffres s'aggravent encore.
Un système privé de financement des périodes de non-travail conduirait un peu à une redistribution des ressources, comme cela est le cas pour le système public.
le 21 août 2022 Pascal Salin
Comme cela a d’ailleurs été le cas assez souvent dans le passé, on se préoccupe souvent actuellement, et en particulier les politiciens, des changements éventuels à décider pour les allocations chômage et pour les retraites.
Il s’agit dans les deux cas des périodes durant lesquelles des personnes cessent de travailler pendant un certain temps (chômage) ou définitivement (retraites). Les revenus qui sont gagnés au cours des périodes de travail cessent évidemment de l’être et il est donc normal que les travailleurs puissent disposer de ressources au cours de ces périodes.
Dans un pays comme la France c’est l’État qui a organisé des systèmes de financement. Ceux qui ne travaillent pas bénéficient des ressources que les travailleurs sont obligés de payer pour financer ces systèmes de chômage et de retraite. Et bien entendu on doit considérer comme arbitraires les décisions concernant les taux de prélèvement de ces financements, les montants accordés à ceux qui ne travaillent pas et par exemple l’âge auquel on prend sa retraite.
Pour bien évaluer ces systèmes il est utile d’analyser ce qui pourrait se passer si ces procédures étatiques n’existaient pas. De ce point de vue on peut envisager le rôle joué par ce qu’on appelle le revenu permanent. C’est en particulier le célèbre économiste Milton Friedman qui a développé la théorie du revenu permanent.
Elle consiste à dire que les dépenses effectuées par un individu (en particulier les dépenses de consommation) au cours d’une période ne dépendent pas uniquement des revenus obtenus au cours de la même période, contrairement à ce qui est souvent considéré (par exemple dans des études économétriques qui consistent à calculer le rapport entre dépenses de consommation et revenu).
Cela est à juste titre opposé à la théorie keynésienne qui considère que la consommation d’une période (ou plus généralement la demande globale) détermine le niveau de la production et qu’il existe une relation entre la consommation d’une période et le revenu de cette même période.
Le revenu permanent
Le revenu permanent constitue en quelque sorte le revenu obtenu en moyenne au cours de toutes les périodes de la vie (par exemple chaque année). Pour bien envisager ce problème du revenu permanent faisons tout d’abord une hypothèse extrême : supposons qu’un individu ait une connaissance totalement parfaite de tous les revenus qu’il va gagner au cours de sa vie, mais aussi de l’âge auquel il prendra sa retraite et de l’âge auquel il va mourir. Il peut donc essayer de calculer son revenu permanent.
Mais le revenu permanent n’est pas très simple à calculer, d’autant plus qu’il convient de tenir compte des taux d’intérêt que l’on doit payer lorsqu’on emprunte de l’argent et des taux d’intérêt dont on bénéficie lorsqu’on épargne. En effet si un individu a cette année un revenu plus faible que son revenu permanent – par exemple parce qu’il a une période de chômage – et s’il veut faire des achats de consommation correspondant à son revenu permanent il doit emprunter des ressources et donc payer un taux d’intérêt. Par ailleurs s’il considère à juste titre qu’au cours de sa retraite il ne disposera pas des revenus nécessaires pour ses consommations il est incité à accumuler du capital, ce qui lui permettra de faire des achats soit en utilisant les rendements de son capital, soit en dépensant peu à peu ce dernier.
Si cet individu a une connaissance parfaite de ses ressources et de ses dépenses futures, il saura exactement quand il devra emprunter de l’argent et quand il devra épargner. Et en outre son calcul dépendra évidemment de ce qu’il souhaite éventuellement léguer, par exemple, à ses enfants.
Certes il est évident que personne ne peut avoir des informations aussi précises sur toutes les années futures de sa vie en ce qui concerne les périodes au cours desquelles il travaille et gagne des revenus et les autres périodes au cours desquelles il emprunte ou utilise son capital pour financer ses dépenses. On doit donc considérer que le revenu permanent ne peut pas correspondre parfaitement aux hypothèses ci-dessus et qu’il s’agit d’un montant calculé de manière un peu arbitraire.
Mais il n’en reste pas moins vrai que les décisions de revenu et de dépenses au cours d’une année dépendent en grande partie des idées que l’on peut avoir au sujet des dépenses et des revenus du futur. Ainsi certains individus vont considérer qu’en cas de chômage ils pourront emprunter pour financer leurs dépenses, alors que d’autres considèrent qu’ils pourront dépenser dans ce cas une partie de leur capital ou les rendements de leur capital. En ce qui concerne la retraite le financement des dépenses ne peut évidemment pas dépendre des emprunts car l’absence de revenus du travail rend cela impossible.
Ce financement est donc nécessairement rendu possible pour un individu en utilisant les rendements de son capital ou même en vendant des parties de son capital. Dans ce dernier cas il existe une incertitude importante. En effet on peut calculer le montant de son capital que l’on peut utiliser chaque année dans la mesure où l’on connait la durée de sa retraite. Mais évidemment on ne peut pas avoir une connaissance parfaite de l’âge de son décès et donc de la durée de sa retraite.
Il y a de ce point de vue un risque important. Mais il est vrai aussi par ailleurs qu’il existe une incertitude au sujet de l’existence éventuelle de périodes et de durée de chômage.
Le problème du service public
Comme on le sait, dans le système public tel qu’il existe en France tous les individus bénéficient de ressources lorsqu’ils ne travaillent pas, en fonction de conditions précises pour éviter qu’ils ne soient continuellement incités à ne pas travailler du tout et de bénéficier malgré tout de ressources de consommation.
Ces ressources proviennent évidemment de ceux qui travaillent. Ainsi un individu contribue au financement des ressources pour les chômages et les retraites d’autrui lorsqu’il travaille et il bénéficie de ressources lorsqu’il ne travaille pas. Le montant obtenu en cas de non-travail dépend essentiellement du revenu obtenu lors des périodes de travail.
Si au cours de sa vie il a connu de très longues périodes de chômage et de retraite, le montant de ses cotisations lors des périodes de travail n’en a pas été augmenté, contrairement à ce qui se passe dans le système de financement individuel du non-travail que nous avons précédemment évoqué.
Il y a uniquement une augmentation de la redistribution entre autrui et lui. Et inversement, bien entendu, si un individu aura eu une très courte durée du non-travail au cours de sa vie, il aura beaucoup contribué à l’allocation de ressources pour le non-travail d’autrui. Dans le système d’origine étatique – tel qu’il existe en France – le financement des périodes de non-travail constitue donc un système de redistribution des ressources de tous les citoyens. Or ceci peut être considéré à juste titre comme contestable puisque le fait de travailler oblige à fournir des ressources à autrui.
La redistribution des ressources entre individus ne constitue pas une caractéristique inhumaine, mais il existe une grande différence entre la redistribution volontaire décidée par ceux qui la financent et qui font des dons à autrui et par ailleurs la redistribution obligatoire de la politique publique.
Le financement des périodes de non-travail
Envisageons alors ce qui pourrait se passer logiquement en l’absence des systèmes publics de financement du chômage et de la retraite, ce qui correspond à une réforme importante qui pourrait être décidée. Contrairement à ce qui se fait dans les politiques publiques, on doit considérer que le chômage et la retraite ne sont pas deux situations indépendantes l’une de l’autre. Ce qui compte c’est le rapport entre les périodes de travail et les périodes de non-travail.
On peut considérer que les dépenses de consommation et les décisions d’épargne dépendent du revenu permanent. Mais évidemment, contrairement à l’hypothèse extrême que nous avons faite ci-dessus, les individus ne peuvent pas avoir une connaissance parfaite de leurs périodes de travail et de non-travail. Mais pour les politiques publiques on ne peut pas non plus prévoir la répartition future des périodes de travail et de non-travail de l’ensemble de la population.
Il y a donc un risque de décisions imparfaites, de telle sorte que les politiques devraient normalement être modifiées bien souvent (pour accroître les cotisations ou diminuer les dons ou, par exemple, pour modifier l’âge de la retraite ou le montant des paiements accordés en cas de chômage).
Si au lieu de politiques publiques pour le financement des périodes de non-travail, on laissait à chacun le soin d’agir en fonction de ses revenus permanents on peut se demander ce qui se passerait probablement. Comme nous l’avons vu il serait incité à épargner et à emprunter. Mais dans la mesure où les individus ne peuvent pas avoir une connaissance parfaite de leurs périodes de travail et de non-travail dans le futur, on doit considérer qu’ils subissent des risques.
Par conséquent dans un système de nature privée – que l’on pourrait à juste titre envisager en remplacement du système étatique – les individus seraient certainement incités à faire partie d’un système de couverture des risques. Il y aurait par exemple des organisations chargées de financer des périodes de non-travail plus importantes que prévu. Ainsi on considérerait comme normal qu’un individu accumule du capital en fonction de ce que l’on considère comme la durée moyenne de la retraite pour tous les individus, mais par ailleurs il paierait les cotisations d’une organisation qui garantirait un paiement dans le cas où la durée de sa retraite serait supérieure à ce qui était prévu.
De ce point de vue le système privé de financement des périodes de non-travail conduirait un peu à une redistribution des ressources, comme cela est le cas pour le système public.
En principe, dans le monde, quand il y a quelque chose qui marche on copie. Mais, ce qui est quotidien chez les gens intelligents appelés 'le Peuple', ne l'est pas, même pas du tout dans la fonction publique ! Les chefs d’États sont des cons et personne (dans le Peuple) ne dira le contraire ! Regardez simplement la Suisse, SEUL pays au monde à être en Démocratie (le contraire étant la dictature). Personne n'en parle (dans les merdias) et pour cause ! c'est le Peuple suisse qui dirige !! C'est LUI qui propose SES lois et vote SES lois !! Vous vous rendez compte ? Là-bas pas de grève ni de manif. Le ou la chef d’État... qui en connaît le nom ? Plus de 56 % des suisses ignore son nom !! Faut dire qu'ils en change chaque année (du 1er Janvier au 31 Décembre). Çà être bonne politique. Mais elle n'est pas copiée par les dictatures autour !
INDEMNISATION CHÔMAGE DES DÉMISSIONNAIRES : 25.000 BÉNÉFICIAIRES DEPUIS SA MISE EN PLACE
par PAUL LAURENT 19/08/2022
Le dispositif a coûté 150 millions d'euros à l'Unedic en deux ans et demi.
Fin 2019 a été mise en place cette promesse d’élection d’Emmanuel Macron qui permet aux salariés ayant démissionné de bénéficier d’allocations chômage dans le cadre de leur reconversion.
25.000 personnes concernées
Recevoir une indemnisation chômage dans le cadre d’une démission pour se reconvertir, c’est possible, mais il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir travaillé pendant cinq ans en continu avant de mettre fin à son contrat de travail. Ensuite, il faut définir un projet de reconversion avec l’aide d’un opérateur de conseil en évolution professionnelle. Enfin, il faut que le projet soit validé par une commission paritaire régionale Transition pro pour son caractère « réel et sérieux ». Si tout se passe bien, le demandeur peut ensuite s’inscrire à Pôle Emploi et recevoir cette indemnisation chômage.
Depuis sa mise en place fin 2019, ce sont près de 25.000 personnes qui ont pu en bénéficier après de démissions. Selon Les Echos, le total des allocations versées à ces personnes cumule environ 150 millions d’euros entre sa mise en place et août 2022, c’est-à-dire deux ans et demi. Chaque année, un budget de 40 milliards d’euros est mis à disposition pour tous les chômeurs. Ainsi, cette mesure qui avait fait craindre par l’opposition une explosion des dépenses de l’Unédic, démontre le contraire.
Une progression du nombre de demandes
En 2022, le nombre de bénéficiaires a été d’environ 3.800 personnes supplémentaires par mois. En 2020, peu de demandes ont été faites. En effet, la mesure était mal connue et l’émergence de l’épidémie de Covid19 en France a freiné ceux qui auraient pu être intéressés. En 2021, le nombre de nouveaux entrants dans cette allocation a été significatif, soit 12.000 indemnisés. L’étude de l’impact du projet de loi estimé que chaque année, le nombre de bénéficiaires se situerait entre 17.000 et 30.000 personnes. Une fourchette qui va être atteinte en 2022.
« Le dispositif décolle, c'est très encourageant », explique Antoine Foucher qui a été directeur de cabinet de Muriel Pénicaud qui a porté ce projet lorsqu’elle était ministre du Travail. Pour Stéphane Giboudaud, le directeur général de Transition pro pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, « il y a clairement une accélération du nombre de dossiers déposés ». Les personnes qui font appel à cette allocation se lancent le plus souvent dans les services, le commerce ou l’artisanat.
(...) Recevoir une indemnisation chômage dans le cadre d’une démission pour se reconvertir, c’est possible, mais il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir travaillé pendant cinq ans en continu avant de mettre fin à son contrat de travail. (...)
Par exemple: être inscrit depuis au moins 5 ans à l'ANPE.
Le service postal américain se lance maintenant à plein temps dans le secteur de la fraude électorale avec une nouvelle division qui « gérera » tous les bulletins de vote par correspondance
vendredi 19 août 2022 par : JD Heyes
(Natural News) Si vous pensiez que l'élection volée du président Donald Trump en 2020 n'était qu'une élection ponctuelle, vous vous trompez gravement, car il semble que le service postal américain sous Joe Biden se politise également.
Selon The Federalist, l'USPS tente de "résoudre" le problème de l'augmentation du vote par correspondance en créant une toute nouvelle division appelée Division des services électoraux et gouvernementaux. Le premier directeur de la division est Adrienne E. Marshall, un vétéran du service postal.
Mais c'est là que cela devient suspect : "Marc Elias, le plus grand professionnel de la loi démocrate et partisan de longue date des élections par courrier, [a tweeté] son approbation", a poursuivi The Federalist.
Le Fédéraliste poursuit :
La raison d'être de cette nouvelle division est que l'utilisation croissante des bulletins de vote par correspondance nécessite une attention supplémentaire pour garantir que le plus grand volume de bulletins de vote par correspondance puisse être traité par un USPS de plus en plus surchargé.
L'USPS a indiqué avoir livré plus de 135 millions de bulletins de vote en 2020, dont 40 millions jusqu'à présent cette année lors des primaires.
Elias et d'autres puissants démocrates de gauche recherchent depuis longtemps le vote par correspondance universel parce qu'ils savent à quel point il est facile de tricher (et ils l'ont fait lors des élections de 2020, comme en témoigne le documentaire "2000 Mules", produit par Dinesh D' Souza). Ils savent, par exemple, que les listes locales d'inscription des électeurs sont notoirement obsolètes et qu'en envoyant des bulletins de vote à "tout le monde sur la liste", il y a des millions de votes qui peuvent être volés dans tout le pays.
C'est ce qui est arrivé à Trump : il a obtenu plus de votes légitimes la dernière fois qu'en 2016, et pourtant, d'une manière ou d'une autre, un homme qui a fait campagne (en quelque sorte) depuis son sous-sol ; qui ne pouvait pas attirer une fraction des foules que Trump attirait lorsqu'il faisait des apparitions en direct ; qui n'a jamais vu un défilé spontané de bateaux ou de voitures lancé pour le soutenir ; et qui a perdu tous les comtés phares à l'exception d'un… "battre" Trump avec plus de 81 millions de voix ?
Il n'y a aucun moyen que cela se produise sans beaucoup d'"aide" sournoise.
«Les élections organisées par courrier sont un objectif de longue date d'Elias et d'autres depuis bien avant les craintes de santé publique concernant le vote en personne pendant la pandémie de Covid-19. Il est instructif de noter que la plupart des pays européens ont trouvé que les bulletins de vote par correspondance étaient susceptibles d'être frauduleux et ont limité leur utilisation », a rapporté The Federalist.
Les Américains devraient-ils s'inquiéter de cette nouvelle division USPS ? Le Fédéraliste propose :
Le service d'inspection postale des États-Unis est la plus ancienne branche fédérale d'application de la loi. En ce qui concerne le courrier lié aux élections, à la fois le matériel de campagne et les bulletins de vote, le service d'inspection postale indique qu'il surveille "le courrier politique et électoral pendant qu'il circule sur le réseau postal pour prévenir, identifier et résoudre tout problème susceptible d'interférer avec sa livraison sécurisée et rapide". Tout cela semble bien en théorie, mais que se passe-t-il si le courrier ne passe pas ? Ou s'il ne passe pas sélectivement ? Enquêter après coup ne changera pas les résultats des élections.
Quant à la preuve de la fraude électorale, la plus grande excuse des sceptiques a toujours été : "Il n'y a aucune preuve que l'élection a été truquée et donc volée." Jusqu'à présent, bien sûr.
Un nouveau film documentaire de Dinesh D'Souza mettant en vedette des analystes électoraux très expérimentés qui utilisent à la fois des données et des vidéos prouve au-delà de tout doute raisonnable que les démocrates ont conspiré pour réaliser le plus grand vol électoral de l'histoire de notre pays. Pire encore, à moins que les assemblées législatives républicaines des principaux États du champ de bataille ne fassent plus pour garantir la tenue d'élections, cela se reproduira encore et encore jusqu'à ce que nos élections perdent tout leur sens.
Dans une interview avec le fondateur de Turning Point USA, Charlie Kirk, avant la sortie du film, les chercheurs électoraux Catherine Engelbrecht et Gregg Philips ont décrit ce qu'ils ont trouvé lorsqu'ils ont obtenu plusieurs téraoctets de données de suivi de vidéo et de téléphone portable. Le rapport est concis, facile à suivre et rempli de documentation vidéo.
L'élection de 2020 a été volée. L'USPS de Biden semble tenter d'institutionnaliser le vol d'élections.
S'ils faisaient aux États-Unis un vote 'Pour ou contre la Démocratie' les bulletins de vote arrivant seraient tous marqués 'Vive la dictature mort à la Démocratie' !
QUELS SONT LES ENGINS LES PLUS COURANTS EN AGRICULTURE ET EN BTP ?
par PARTENAIRE 19/08/2022
Si vous souhaitez devenir un professionnel du BTP ou du domaine agricole, il est fondamental que vous ayez une bonne connaissance des engins utilisés. En effet, ces deux domaines d’activité sont axés sur de lourds travaux dont l’exécution nécessite l’usage d’engins spécifiques.
Si en BTP, il faut soulever de lourdes charges, le domaine agricole quant à lui requiert de l’endurance pour cultiver de vastes surfaces de terre. Découvrez ici quelques engins utiles pour effectuer des travaux agricoles ou de construction.
Les chargeuses
Une chargeuse est un engin de travaux BTP, qui a pour rôle de favoriser le terrassement du sol. Elle possède un godet vers l’avant qui lui permet de transporter de lourdes charges sur le chantier. Équipée d’un système mécanique, la benne a la capacité de tourner dans tous les sens.
Vous n’avez donc plus à vous inquiéter pour le transport des matériaux tels que le gravier, les déchets, la terre, etc. Facile à trouver sur le marché, vous pourriez vous procurer votre chargeuse chez Ritchie Bros. Auction.
La pelleteuse
Très appréciée pour sa grande polyvalence, la pelleteuse est pratique pour exécuter de nombreuses tâches sur un chantier. De façon concrète, l’engin aide à creuser le sol, à déplacer et extraire des matériaux, puis à niveler les terrains. Par son efficacité, la pelleteuse peut aussi jouer le rôle de compacteur.
Cet engin se reconnaît à travers des éléments clés tels que : la flèche, le godet, le balancier et la tourelle pivotante de 360 °. Toutefois, il est possible de trouver des modèles montés soit sur un châssis à pneumatique, soit sur des chenilles.
La (le) tractopelle
Parce qu’elle combine à la fois les fonctions de la chargeuse et de la pelleteuse, la tractopelle se fait aussi appeler chargeuse-pelleteuse. Elle possède une benne à l’avant et une pelle à l’arrière qui font d’elle un engin très variable.
Bien qu’elle soit souvent présente sur les petits chantiers, vous pourriez toutefois vous en servir sur de grands chantiers. Dans ce cas, il faudra choisir votre engin en tenant compte des dimensions et du volume de la pelle. Elle s’emploie pour des excavations, des opérations de remblayage, de réalisation de tranchée, etc.
Le tombereau et la bétonnière
Semblable à un camion, le tombereau est l’engin de transport de charge par excellence sur un chantier. Si les modèles standards portent en moyenne 10 tonnes de charges, les modèles haut de gamme peuvent prendre jusqu’à 350 tonnes. Vous pouvez l’exploiter sur une carrière, pour la construction d’un tunnel, d’une canalisation, d’une route, etc.
Comme son nom l’indique, une bétonnière aide à la réalisation du béton pour une construction. Plutôt délicat comme engin, sa manipulation nécessite une grande attention, afin d’éviter les accidents de travail ou défaut de construction.
Quelques engins utilisés dans le domaine agricole
Dans un premier temps, on pourrait citer les tracteurs, qui sont perçus comme des incontournables du domaine agricole. Multifonctionnel, le tracteur vous sera d’une grande aide sur les grands terrains agricoles. Avec cet engin, vous pourrez labourer, cultiver et éliminer les parasites présents dans la terre.
Vous avez ensuite la moissonneuse-batteuse qui grâce à sa précision et sa rapidité s’avère très pratique pour la récolte. C’est donc un impératif pour effectuer la moisson sur les vastes étendues de terre. Disponible en des modèles variés, vous pourrez en choisir selon vos convenances.
Tracteurs ou engins de chantier de 20 000 à 450 000 € (voire plus pour lourdes charges). + conso mazout. Par contre, pour une motobineuse, démarrage à 500 €
Tout le contenu de l'univers, dans un seul graphique
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 05:00
Les scientifiques s'accordent à dire que l'univers se compose de trois parties distinctes : la matière visible (ou mesurable) de tous les jours et deux composants théoriques appelés matière noire et énergie noire.
Comme Mark Belan de Visual Capitalists l'explique ci-dessous, ces deux derniers sont théoriques car ils n'ont pas encore été directement mesurés - mais même sans une compréhension complète de ces mystérieuses pièces du puzzle, les scientifiques peuvent en déduire que la composition de l'univers peut être décomposée comme suit :
- voir cadre sur site -
Examinons chaque composant plus en détail.
Énergie noire
L'énergie noire est la substance théorique qui contrecarre la gravité et provoque l'expansion rapide de l'univers. C'est la plus grande partie de la composition de l'univers, imprégnant tous les coins du cosmos et dictant comment il se comporte et comment il finira par se terminer.
Matière noire
La matière noire, en revanche, a une force restrictive qui travaille en étroite collaboration avec la gravité. C'est une sorte de "ciment cosmique" responsable de la cohésion de l'univers. Bien qu'il évite les mesures directes et reste un mystère, les scientifiques pensent qu'il constitue le deuxième plus grand composant de l'univers.
Hydrogène et hélium libres
L'hydrogène et l'hélium libres sont des éléments qui flottent librement dans l'espace. Bien qu'ils soient les éléments les plus légers et les plus abondants de l'univers, ils représentent environ 4 % de sa composition totale.
Étoiles, neutrinos et éléments lourds
Toutes les autres particules d'hydrogène et d'hélium qui ne flottent pas librement dans l'espace existent dans les étoiles.
Les étoiles sont l'une des choses les plus peuplées que nous puissions voir lorsque nous regardons le ciel nocturne, mais elles représentent moins de 1 % (environ 0,5 %) du cosmos.
Les neutrinos sont des particules subatomiques similaires aux électrons, mais ils sont presque sans poids et ne portent aucune charge électrique. Bien qu'ils émergent de chaque réaction chimique, ils représentent environ 0,3 % de l'univers.
Les éléments lourds sont tous les autres éléments à l'exception de l'hydrogène et de l'hélium.
Les éléments se forment dans un processus appelé nucléosynthèse, qui se déroule dans les étoiles tout au long de leur vie et lors de leur mort explosive. Presque tout ce que nous voyons dans notre univers matériel est composé de ces éléments lourds, mais ils constituent la plus petite partie de l'univers : un maigre 0,03 %.
En 2009, l'Agence spatiale européenne (ESA) a lancé un observatoire spatial appelé Planck pour étudier les propriétés de l'univers dans son ensemble.
Sa tâche principale était de mesurer la rémanence du Big Bang explosif qui a donné naissance à l'univers il y a 13,8 milliards d'années. Cette rémanence est un type spécial de rayonnement appelé rayonnement de fond diffus cosmologique (CMBR).
La température peut en dire long aux scientifiques sur ce qui existe dans l'espace. Lorsqu'ils étudient le « ciel micro-ondes », les chercheurs recherchent des fluctuations (appelées anisotropie) de la température du CMBR. Des instruments comme Planck aident à révéler l'étendue des irrégularités de la température du CMBR et nous informent sur les différents composants qui composent l'univers.
Vous pouvez voir ci-dessous comment la clarté du CMBR change au fil du temps avec plusieurs missions spatiales et une instrumentation plus sophistiquée.
- voir sur site -
Quoi d'autre est là-bas ?
Les scientifiques travaillent toujours à comprendre les propriétés qui composent l'énergie noire et la matière noire.
La NASA prévoit actuellement le lancement en 2027 du télescope spatial romain Nancy Grace, un télescope infrarouge qui, espérons-le, nous aidera à mesurer pour la première fois les effets de l'énergie noire et de la matière noire.
Quant à ce qui est au-delà de l'univers ? Les scientifiques ne sont pas sûrs.
Il y a des hypothèses selon lesquelles il pourrait y avoir un « super univers » plus grand qui nous contient, ou nous pourrions faire partie d'un univers « insulaire » séparé des autres multivers insulaires. Malheureusement, nous ne sommes pas encore en mesure de mesurer quoi que ce soit d'aussi loin. Démêler les mystères du cosmos profond, du moins pour l'instant, reste une entreprise locale.
La nuit on voit au ciel des étoiles pas des planètes, car les planètes sont des étoiles éteintes comme l'était la notre y a qq milliards d'années avant de recevoir SA boule de glace en pleine gueule. Plaouf !
Quant aux 'extraterrestres', là, vaut mieux pas y penser. Ils sont aussi loin de nous qu'eux de notre planète, mais le rêve de station spatiale qui mettrait x milliers d'années pour y aller cherche encore ses kamikazes.
Par Manlio Dinucci Mondialisation.ca, 21 août 2022
De plus en plus évident est le fait que la guerre en cours n’est pas seulement entre la Russie et l’Ukraine, mais entre la Russie et l’OTAN. Ce que confirme la nouvelle donnée par le New York Times que des milliers de soldats ukrainiens sont entraînés sur le sol britannique. États-unis, Grande-Bretagne, Canada, Danemark, Pologne et d’autres pays ont entraîné et armé depuis 2015 des dizaines de milliers de soldats ukrainiens, utilisés contre la Russie, de fait sous commandement USA-OTAN.
Parallèlement est menée une campagne croissante pour diffuser la haine contre la Russie. Dans le Central Park de New York a été installée, dans un parc de jeux, une statue de Poutine de couleur rouge sang, assis sur un char d’assaut contre lequel les enfants tirent avec leurs pistolets factices. Ainsi diffuse-t-on en Occident le type d’”éducation” opéré depuis des années en Ukraine dans les camps-école du bataillon Azov où enfants et adolescents reçoivent une formation fondée sur les idées de suprématisme blanc et le néo-nazisme. Pendant que le gouvernement ukrainien annonce qu’il enverra au bûcher 100 millions de livres russes (y compris tous les classiques de la littérature) considérés comme “source du Mal”, l’Italie contribue à ce type d’”éducation” en allouant 200 millions d’euros, soustraits à l’École Publique, pour le paiement des salaires des enseignants des écoles ukrainiennes.
Le croissant engagement militaire italien sur le front oriental et dans d’autres scénarios de guerre comporte une dépense militaire croissante. Mario Draghi, de la dissolution des Chambres (21 juillet) jusqu’à ce jour, a transmis aux Chambres 7 décrets pour des programmes d’armement dont le coût dépasse les 7 milliards d’euros. Ainsi continue à augmenter la dépense militaire italienne, qui a grimpé à 29 milliards d’euros annuels, équivalents à 80 millions d’euros par jour, soustraits aux dépense sociales fondamentales.
Manlio Dinucci
Pour voir la vidéo en italien, cliquez sur ce lien :
Le scandale Biden délibérément étouffé dans la campagne électo-rale
À la fin de la campagne électorale américaine de 2020, Anna Makanju experte en réglementation chez Facebook a été chargée de qualifier de fake news toutes les informations négatives concernant Joe Biden sur Facebook. Anna Makanju était cependant loin d'être une personne neutre et était elle-même impliquée dans les scandales de Biden. [lire la suite]
Le scandale Biden délibérément étouffé dans la campagne électo-rale
- voir clip sur site -
20.08.2022 www.kla.tv/23398
La manière dont les politiques influencent la couverture médiatique, en particulier sur les médias sociaux, peut être illustrée par l’exemple suivant. À la fin de la campagne électorale américaine de 2020, Anna Makanju, l'experte de Facebook en politique publique et en droit, a été chargée de qualifier de fake news toutes les informations négatives concernant Joe Biden sur Facebook et de bloquer toute personne qui créait des liens vers les sources originales. Le contenu des informations était explosif ; il concernait principalement des paiements clandestins de plusieurs dizaines de millions de dollars depuis l’Ukraine à une société new-yorkaise. Joe Biden et son fils Hunter Biden, avocat et lobbyiste économique américain, étaient impliqués dans ces affaires. A l'époque, Biden était encore responsable de l'Ukraine en tant que vice-président américain. Il est intéressant de noter qu’Anna Makanju était alors la responsable de l’Ukraine sous Biden, ainsi que membre non résident du réseau transatlantique « Atlantic Council ». Il s’agit d’un groupe de réflexion dont la mission est de promouvoir le leadership américain dans le monde et d’influencer les affaires internationales. Anna Makanju était donc loin d’être neutre ! Pourtant, dans la phase finale de la campagne électorale, elle a été autorisée à effacer sur Facebook tout ce qui était connu au sujet des scandales de Biden en Ukraine.
de urb./sak. Sources / Liens : Buch: „Inside Corona“ von Thomas Röper, erschienen beim J.K.Fischer Verlag, S. 280
Les producteurs de bétail de l'Oklahoma préviennent que les conditions de sécheresse pourraient faire grimper les prix du bœuf à 50 $ la livre
Dimanche 21 août 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Alors que la sécheresse continue de faire des ravages dans une grande partie de l'Oklahoma, les éleveurs de bétail de l'État préviennent que si les conditions ne s'améliorent pas, les prix du bœuf pourraient grimper à 50 dollars la livre.
Il y a environ une décennie, lors de la dernière sécheresse profonde de l'Oklahoma, les conditions sèches étaient principalement limitées à certaines parties de l'État. Cela a toujours été le cas pour l'Oklahoma, certaines régions souffrant de conditions sèches et étant soutenues par d'autres régions avec de meilleures conditions météorologiques.
Mais maintenant, les informations météorologiques fédérales montrent que tout l'État est actuellement classé comme étant en état de sécheresse. Certaines zones sont considérées comme "anormalement sèches", tandis que d'autres sont répertoriées comme connaissant des conditions de sécheresse plus "extrêmes".
Les conditions de sécheresse ne se limitent pas à l'Oklahoma. De nombreuses régions d'autres États environnants, en particulier le Texas, connaissent également de graves niveaux de sécheresse, ce qui rend difficile pour les éleveurs de bétail de trouver de l'aide à proximité.
Certains programmes fédéraux peuvent apporter une aide, notamment le Livestock Forage Disaster Program, qui fournit une aide financière aux producteurs éligibles qui subissent une sécheresse pendant la saison de pâturage habituelle, entraînant la perte de bétail.
Le programme d'aide d'urgence pour le bétail, les abeilles et les poissons d'élevage fournit également une aide financière pour certaines pertes d'aliments associées à des coûts accrus pour transporter l'eau au bétail, transporter les aliments pour le bétail ou transporter le bétail vers les zones de pâturage.
Cependant, ces deux programmes ne peuvent payer qu'une partie des dommages causés par la canicule actuelle. Le montant des paiements est déterminé par les coûts locaux et les niveaux de sécheresse du U.S. Drought Monitor.
L'élevage de bétail devient beaucoup trop cher pour maintenir les prix du bœuf bas La chaleur brutale pèse lourdement sur la production de foin et assèche de nombreux pâturages sur lesquels le bétail paît pendant cette période de l'année. La faiblesse des approvisionnements en aliments pour animaux fait grimper les prix, ce qui pousse les éleveurs de bétail à prendre des décisions difficiles avec leurs troupeaux, notamment en augmentant les prix. (Connexe : De plus en plus de bovins producteurs de veaux sont vendus pour l'abattage, décimant les troupeaux de bovins et faisant grimper les prix du bœuf.)
"L'herbe de mon pâturage est probablement la moitié de ce qu'elle est normalement", a déclaré Jordan Cook, un producteur de bétail de race. "Cela signifie que nous avons commencé à donner du foin en juillet, et normalement nous ne commençons pas à donner du foin avant octobre ou novembre, selon l'année."
"Une charge d'aliments peut coûter, probablement, 8 000 à 9 000 dollars", a déclaré Cook. "Vous ne pouvez pas avoir ce coût supplémentaire chaque mois."
Cook a ajouté qu'elle et de nombreux autres éleveurs de bétail sont obligés de "littéralement transporter de l'eau parce que les étangs sont à sec... Le diesel et l'essence nécessaires pour transporter l'eau sont probablement notre plus grand défi".
"S'il en coûte 200 $ pour nourrir et élever une vache en 2021 à une valeur marchande de 600 $, imaginez quelle sera la valeur lorsque les troupeaux de 2022 atteindront le même marché à la recherche de la même marge bénéficiaire", a écrit Kelso pour Z94.
Il a ajouté que les restrictions économiques de 2020, associées aux problèmes de chaîne d'approvisionnement de 2021 et à l'inflation rapide de cette année, les producteurs de bœuf du sud-ouest de l'Oklahoma ont calculé que le bœuf haché bon marché pourrait éventuellement coûter aux consommateurs 50 $ la livre.
« Pire encore, alors que le bœuf est le sujet parce que l'Oklahoma est un État producteur de bœuf, la même tendance se produit également pour d'autres protéines élevées en ce moment », a écrit Kelso. "La réponse ne sera pas" Nous allons simplement passer au poulet ". Ces prix augmentent également régulièrement, et ne déprimons pas ensemble en pensant au bacon et à la longe de porc. "
En savoir plus sur la hausse des prix alimentaires sur FoodInflation.news.
Regardez ce clip de WION expliquant comment plus de 10 000 bovins sont morts au Kansas à cause de la sécheresse.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne WGON sur Brighteon.com.
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ÉTHIOPIE: Les pilotes s’endorment et oublient d’atterrir
L’avion qui devait se poser à Addis Abeba a survolé l’aéroport, déclenchant une alarme qui a réveillé l’équipage. Tout s’est bien terminé.
19 août 2022, 14:10 par Michel Pralong
C’est un Boeing 737 d’Ethiopian Airlines qui a connu cette mésaventure, heureusement sans conséquence.
Le 15 août, un Boeing 737 d’Ethiopian Airways reliait Khartoum, au Soudan, à Addis Abeba en Éthiopie. À l’approche de sa destination, le vol ET-343 n’est pas descendu. La tour de contrôle a tenté à plusieurs reprises de contacter l’équipage, mais sans réponse.
Le pilote et le copilote s’étaient endormis, laissant l’avion sur pilotage automatique, comme l’explique «The Aviation Herald». L’appareil a donc survolé la piste sur laquelle il devait se poser. Sa destination étant dépassée, le pilotage automatique s’est désactivé, déclenchant une alarme qui a réveillé l’équipage.
Après avoir repris ses esprits, le pilote a posé l’appareil sans souci, avec 25 minutes de retard sur l’horaire prévu.
Les effets du verrouillage pourraient désormais tuer plus de personnes que COVID ; Signaler
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 19:30
Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,
Un nouveau rapport basé sur des chiffres officiels de l'Office for National Statistics (ONS) du Royaume-Uni affirme que les effets du confinement pourraient désormais tuer plus de personnes que le COVID-19.
Les statistiques montrent que les décès excessifs non liés au COVID continuent de dépasser les décès liés au COVID, avec 1 000 personnes mourant chaque semaine de conditions autres que le virus.
"Le Telegraph comprend que le ministère de la Santé a ordonné une enquête sur les chiffres, craignant que les décès ne soient liés à des retards et à un report de traitement pour des affections telles que le cancer, le diabète et les maladies cardiaques", rapporte le journal.
Malgré certains appels à la réintroduction des restrictions COVID telles que les masques faciaux en hiver, "le pays est confronté à une nouvelle crise sanitaire silencieuse liée à la réponse à la pandémie plutôt qu'au virus lui-même", indique le rapport.
"Des centaines et des centaines de personnes meurent chaque semaine - que se passe-t-il?" a demandé le Dr Charles Levinson, directeur général de Doctorcall, un service privé de médecin généraliste.
"Les retards dans la recherche et la réception des soins de santé sont sans aucun doute la force motrice, à mon avis", a-t-il ajouté.
"Les statistiques quotidiennes de Covid ont exigé l'attention de la nation, mais ces chiffres terrifiants sont à peine aperçus. Une enquête gouvernementale complète et urgente est requise immédiatement."
Les cas de cancers non détectés, de problèmes cardiaques et de graves problèmes de santé mentale augmentent, avec un excès de décès supérieur de 14,4 % à la moyenne quinquennale.
La British Heart Foundation s'est dite "profondément préoccupée" par la situation.
Mais les médias sont largement désintéressés, bien qu'ils aient effrayé le public pendant des années avec des chiffres inquiétants sur le nombre de morts de COVID.
Les experts ont depuis longtemps averti que les effets du verrouillage finiraient par tuer plus de personnes que COVID, bien qu'ils aient été diabolisés et censurés à l'époque par l'establishment.
Des universitaires de Duke, Harvard et Johns Hopkins ont conclu qu'il pourrait y avoir environ un million de décès supplémentaires au cours des deux prochaines décennies en raison des fermetures.
RépondreSupprimerUne étude menée par le National Bureau of Economic Research (NBER) a révélé qu'il y avait de manière conservatrice plus de 170 000 décès supplémentaires non liés au Covid aux États-Unis jusqu'en 2020 et 2021, un nombre exacerbé par les confinements.
Une autre étude menée par l'Université Johns Hopkins et publiée en février a conclu que les blocages mondiaux ont eu un impact beaucoup plus néfaste sur la société qu'ils n'ont produit d'avantages, les chercheurs affirmant qu'ils "sont mal fondés et devraient être rejetés en tant qu'instrument de politique pandémique". .”
Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l'Université de Stanford, a déclaré que dans les années à venir, les blocages seront considérés comme la politique la plus catastrophiquement nuisible de "toute l'histoire".
https://www.zerohedge.com/covid-19/lockdown-effects-could-now-be-killing-more-people-covid-report
Expérience réussie ! Hourra !
SupprimerSi l'on enferme 4 ou 5 personnes ensemble et que une ou une a la grippe... c'est tout le monde qui l'attrape !! Çà alors !! Les gros cons de médecins et politichiens n'en reviennent pas ! Âh bêh merde alors !!
Par contre, s'il s'agit d'un virus (poussière injectée), seul l'acte sexuel le transmet. C-à-d si le père se tape sa femme et ses gosses !
Les essais de 'vaccins' Covid ont entraîné des malformations congénitales et des grossesses interrompues, selon les demandes de la FOIA
RépondreSupprimerVendredi 19 août 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Une autre série de demandes en vertu de la loi sur la liberté d'information (FOIA) a été remplie, cette fois pour le "vaccin" contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) de Moderna, révélant que les piqûres d'ARNm (ARN messager) provoque des malformations congénitales et des avortements spontanés dans femmes enceintes.
Vers la fin de la publication du document de 699 pages dans la section toxicologie, il est indiqué que l'ARNm-1273, comme l'entreprise appelle le médicament, entraîne "une augmentation significative du nombre de rats F1 avec 1 ou plusieurs côtes ondulées et 1 ou plus de nodules de côtes.
« Des côtes ondulées sont apparues chez 6 fœtus et 4 portées avec une prévalence fœtale de 4,03 % et une prévalence de portée de 18,2 % », poursuit la section. "Des nodules costaux sont apparus chez 5 de ces 6 fœtus." (Connexe: l'injection covid de Pfizer est également liée à des malformations congénitales et à l'infertilité.)
Bien que Moderna reconnaisse le lien entre ces changements et son médicament, la société affirme que les changements structurels observés dans la structure osseuse des rats testés "n'ont pas d'impact sur le développement ou la fonction d'un embryon en développement".
"Une toxicité maternelle sous forme d'observations cliniques a été observée pendant 5 jours après la dernière dose ([jour de gestation] 13), en corrélation avec la période la plus sensible pour le développement des côtes chez le rat (GD 14 à 17)", indique la société.
Tout cela contredit directement la Food and Drug Administration (FDA), qui dans son autorisation pour "Spikevax", un autre nom du vaccin Moderna, a affirmé qu'il n'y avait "aucune malformation ou variation fœtale liée au vaccin et aucun effet indésirable sur le développement postnatal".
Sasha Latypova, un ancien cadre pharmaceutique avec 25 ans d'expérience dans les essais cliniques et les approbations réglementaires, a examiné les documents et a découvert la disparité entre ce que les essais cliniques de Moderna montrent réellement et ce que la FDA prétend à propos du médicament.
RépondreSupprimerPlus de la moitié de tous les essais cliniques financés par le gouvernement fédéral ne sont pas conformes aux directives gouvernementales
Il s'avère que les résultats de nombreux essais cliniques sont manifestement mal interprétés par les régulateurs gouvernementaux - même s'ils sont même soumis au gouvernement pour examen en premier lieu.
Le bureau de l'inspecteur général (OIG) du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) affirme que les National Institutes of Health (NIH) ne font pas leur travail en veillant à ce que les sociétés de médicaments et de vaccins satisfassent aux exigences nécessaires pour les essais financés par le gouvernement fédéral.
Plus de la moitié des 72 essais qui devaient être soumis et publiés sur ClinicalTrials.gov au cours des années civiles 2019 et 2020 n'ont jamais été soumis (25) ou ont été soumis tardivement (12).
De plus, la moitié ont été menées en interne tandis que l'autre moitié a été menée en externe - les externes ayant un taux de conformité pire que les scientifiques des NIH.
Plutôt que de traiter de manière appropriée tout cela, le NIH "a pris des mesures d'application limitées en cas de non-conformité", nous dit-on. Dans le même temps, le NIH a continué à financer "de nouvelles recherches sur les parties responsables qui n'avaient pas soumis les résultats de leurs essais cliniques terminés".
Cela signifie que les informations pertinentes sur les événements indésirables ne transitent pas par les canaux appropriés, ce qui amène la FDA et d'autres agences à publier de fausses informations sur les médicaments et les vaccins douteux qui sont "sûrs et efficaces".
Selon Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l'Université de Stanford et co-auteur de la déclaration de Great Barrington, les résultats négatifs des essais ne sont jamais publiés dans les revues à cause de cela.
"Ainsi, lorsque le NIH ne suit pas la règle, il brosse essentiellement un tableau incomplet et biaisé" de la façon dont l'argent des contribuables est dépensé et de ce qu'il soutient, soutient Bhattacharya.
RépondreSupprimerLes Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont également complices du racket, ayant récemment supprimé des informations de son site Web affirmant à tort que les protéines de pointe d'ARNm quittent le corps après seulement quelques jours. Il s'avère qu'ils persistent longtemps à l'intérieur du corps.
Vous voulez en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des piqûres covid ? Visitez VaccineInjuryNews.com.
Les sources de cet article incluent :
JustTheNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-19-covid-vaccine-trials-birth-defects-lost-pregnancies.html
Depuis bientôt 3 ans C'EST le monde de l'horreur ! Des gens qui tombent chez eux quelques heures, jours, semaines ou mois après s'être fait inoculer le poison mortel ! Alors diagnostics: suicide ou accident de la route ?
SupprimerVotre gouvernement est-il prêt pour une autre pandémie ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 04:00
La poliomyélite étant désormais confirmée dans les eaux usées de New York et la variole du singe s'étant propagée dans le monde entier - bien que les taux de mortalité restent faibles - il semble que les épidémies se produisent plus rapidement et plus fréquemment qu'auparavant.
Bien qu'une plus grande attention médiatique ait certainement accru la prise de conscience, nous constatons également les effets d'entraînement d'un certain nombre de facteurs, notamment la croissance démographique, ce qui signifie que davantage de personnes vivent à proximité d'animaux potentiellement infectés, le changement climatique, qui aggrave les maladies, et même la baisse de la couverture vaccinale pour d'autres maladies au cours des dernières années, comme l'a rapporté l'OCHA. Sans parler du fait que l'augmentation des échanges et des voyages ainsi que l'urbanisation rapide - où les niveaux de contact entre les personnes sont élevés et les conditions de vie peuvent être insalubres - facilitent également la transmission.
Mais dans quelle mesure les gouvernements du monde sont-ils prêts à une nouvelle crise sanitaire, malheureusement assez inévitable ?
Comme Anna Fleck de Statista le détaille ci-dessous, une enquête menée par l'OCDE en 2021 a révélé que les perceptions de l'état de préparation des gouvernements varient considérablement dans le monde, avec une répartition assez égale des opinions, favorisant un peu plus positif. Les personnes vivant au Luxembourg et en Irlande, par exemple, ont une meilleure opinion des stratégies de santé de leur gouvernement, avec 69% et 60%, respectivement, affirmant qu'elles pensaient que leurs dirigeants seraient prêts. Un peu plus de la moitié des Britanniques ont ressenti la même chose.
En Autriche, cependant, la confiance sur le sujet était assez faible, 29 % des personnes déclarant qu'elles pensaient que leur gouvernement serait prêt. Le Japon est arrivé avec 32 % de personnes se sentant confiantes dans le gouvernement, bien qu'une plus grande proportion que tout autre se sente ambivalente sur la question - répondant qu'elles se sentaient soit "neutres" soit "ne savaient pas".
- voir sur site la liste des pays du plus au moins hégémoniste sur site -
RépondreSupprimerInfographie : Votre gouvernement est-il prêt pour une autre pandémie ? | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Selon le rapport, la confiance du public dans le gouvernement augmente et diminue tout au long de la pandémie, avec une démonstration de soutien aux gouvernements au début, par rapport plus tard lorsque le nombre de décès a commencé à augmenter. Les auteurs notent que les résultats de l’enquête correspondent vraisemblablement à l’intensité de la pandémie à l’époque, en novembre 2021. Ils ajoutent :
"Il convient également de noter que - malgré les nombreux défis auxquels les gouvernements ont été confrontés pour répondre efficacement aux exigences économiques et sanitaires de la pandémie - cette découverte suggère que les gens considèrent que les gouvernements ont appris des informations acquises au cours de cette expérience".
Les pays étudiés étaient l'Australie, l'Autriche, la Belgique, le Canada, la Colombie, le Danemark, l'Estonie, la Finlande, la France, l'Islande, l'Irlande, le Japon, la Corée, la Lettonie, le Luxembourg, le Mexique, les Pays-Bas, la Nouvelle-Zélande, la Norvège, le Portugal, la Suède, les États-Unis et Royaume-Uni.
https://www.zerohedge.com/medical/your-government-ready-another-pandemic
Rappelons qu'il ne s'agit PAS d'un microbe (maladie) mais d'une POUSSIÈRE (appelée virus) qui n'EST PAS dans l'air mais UNIQUEMENT en seringues. Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort.
SupprimerQuelque chose se profile géopolitiquement, et nous ferions mieux de commencer à le prendre au sérieux
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 05:40
Écrit par 'Sundance' via le blog The Last Refuge,
À la suite de l'action collective des gouvernements occidentaux sous les auspices d'un programme de « changement climatique », nous sommes sur le point de voir quelque chose se produire avec des ramifications que personne n'a jamais vues auparavant.
Les gouvernements occidentaux, en particulier l'Europe occidentale, l'Amérique du Nord (États-Unis-Canada) et l'Australie/Nouvelle-Zélande, tentent intentionnellement de réduire l'activité économique pour faire face à la baisse intentionnelle de la production d'énergie.
C'est la principale conséquence de l'agenda Build Back Better tel que promu par le Forum économique mondial.
Quiconque dit qu'il existe un point de référence pour déterminer les conséquences à court et à long terme ment. Il n'y a pas de précédent pour que les nations essaient collectivement et intentionnellement de réduire l'activité économique.
Se cachant derrière la fausse justification selon laquelle l'inflation actuelle est motivée par une trop forte demande, les banques centrales d'Europe, la Banque d'Angleterre, la Banque du Canada et la Réserve fédérale américaine augmentent les taux d'intérêt. Le résultat que nous ressentons actuellement est une contraction économique intentionnelle et une récession mondiale.
La politique monétaire Build Back Better réduit avec succès l'activité économique de l'Ouest; cependant, les pays touchés qui produisent des biens pour les marchés d'Amérique du Nord et d'Europe, en particulier l'Asie du Sud-Est, le Japon et la Chine, n'augmentent pas les taux d'intérêt pour tenter de compenser la baisse de la demande. La Chine a annoncé qu'elle abaissait les taux de sa banque centrale dans un effort désespéré pour réduire les coûts et maintenir le fonctionnement de son économie dépendante des exportations.
Sous tout cela, il y a une baisse de la production d'énergie dans les mêmes pays qui tentent de réduire l'activité économique. Les décideurs politiques tentent de gérer ce processus sans informer les citoyens de l'objectif tacite. Les pénuries de pétrole, de charbon et de gaz naturel sont des problèmes auto-infligés, qui font tous partie de l'agenda BBB.
Au-delà des augmentations massives des coûts de l'énergie, qui sont la véritable source d'inflation et un résultat direct/intentionnel de l'effort BBB, l'Europe est maintenant confrontée à un hiver imminent sans ressources énergétiques pour chauffer les maisons et subvenir aux besoins des personnes. Les choses vont être très inconfortables en Europe cet hiver car des baisses de tension d'itinérance sont maintenant prévues.
RépondreSupprimerAlors que le collectif occidental tente, selon ses propres termes, de « gérer la transition », il ne dispose pas de mécanismes pour contrôler un résultat de cette ampleur. C'est tout simplement une situation trop importante à gérer. Là où le caoutchouc rencontre la route, les groupes de réflexion et les grands idéologues du changement climatique n'ont pas la capacité de gérer une transition tout en répondant aux besoins des gens. Au-delà de la pensée ésotérique, il y a des conséquences réelles de ces actions.
De nombreuses personnes ont discuté du potentiel de pénuries alimentaires à plus long terme et, récemment, du chauffage hivernal à plus court terme. Cependant, au-delà de cela, les conséquences géopolitiques en aval sont apparemment ignorées. Au lieu de cela, ce que nous voyons est un effort pour continuer à prétendre que la fin du changement climatique justifiera les moyens (perturbation de la production d'énergie).
Dans ce monde connecté, lorsque les nations occidentales cessent d'acheter des choses, nous nous retrouvons avec des difficultés économiques au niveau national. Les entreprises échouent, le chômage augmente, les tensions financières se répercutent sur l'ensemble de l'économie, la dépendance à l'égard des subventions gouvernementales augmente et une réelle douleur se fait sentir. Cependant, au-delà des problèmes nationaux, les pays fournisseurs rencontrent des problèmes encore plus importants.
Le chômage en Malaisie, au Vietnam, en Corée du Sud, au Japon, à Taïwan et même en Chine crée un ensemble entièrement différent de problèmes de stabilité régionale au niveau géopolitique.
Il n'y a pas de précédent à cela. Jamais auparavant dans l'histoire des nations industrialisées un gouvernement n'avait intentionnellement tenté de réduire son activité économique. Cela n'a jamais été fait avec intention auparavant, car au sein de la contraction, les nations deviennent plus pauvres, les gens souffrent.
Non seulement aucune nation n'a jamais essayé de réduire intentionnellement sa richesse, mais il n'y a aucun précédent pour qu'une alliance de nations se réunisse dans le même but. Bien que cela puisse sembler être un exercice de modélisation économique académique, il est malheureusement bien réel. Ce que je décris se passe en ce moment, et nous ferions mieux de commencer à en parler avant que les conséquences imprévues ne se transforment en crise.
RépondreSupprimerEn Amérique du Nord (États-Unis-Canada), en Europe et en Australie, les prix des denrées alimentaires continueront d'augmenter massivement en raison de l'effondrement de la production d'énergie. Au-delà des nations occidentales, il y aura des pénuries alimentaires en raison de la baisse des rendements des récoltes et de la baisse de la production alimentaire industrielle. Ce n'est pas controversé.
Il n'est pas non plus controversé que les régions aux climats hivernaux rigoureux paieront beaucoup plus pour des ressources de chauffage rares.
Cela étant accepté, que se passe-t-il géopolitiquement, voire militairement, lorsque l'ensemble de l'économie mondiale commence à ressentir les impacts de la nation occidentale
Cela étant accepté, que se passe-t-il géopolitiquement, voire militairement, lorsque l'ensemble de l'économie mondiale commence à ressentir les impacts de la contraction économique des nations occidentales à une échelle - créée par l'action collective - qui n'a jamais été vue auparavant.
Je n'ai aucune idée de ce à quoi ressemble cette conséquence globale, mais quoi que ce soit, cela se produira en même temps que les gens partout dans le monde seront plus désespérés en raison de leur situation économique. Je n'ai pas les réponses, mais je suis sûr que l'enfer peut voir le problème venir.
Les dirigeants politiques des pays occidentaux susmentionnés semblent, peut-être intentionnellement, distraire les gens avec des choses brillantes nationales pour occuper le temps. Cependant, quelqu'un doit commencer à parler et à remettre sérieusement en question les conséquences globales de cet avenir Reconstruire en mieux, avant qu'il ne soit trop tard.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/something-looming-geopolitically-and-we-better-start-taking-it-seriously
Comment le gouvernement exacerbe le cancer
RépondreSupprimerDe Walter E. Block
L'Institut Libertiran
20 août 2022
Cet essai est dédié à la mémoire de Witold Kwaśnicki, un libertaire polonais récemment décédé à l'âge de soixante-dix ans. Il est décédé d'un cancer du pancréas. Il n'a pas expiré quelques années après le diagnostic, ni même des mois. Au contraire, il a succombé en quelques semaines seulement. Quelle horrible maladie c'est.
J'ai maintenant 80 ans. Je me rends bien compte que personne ne s'en sort vivant; que mon espérance de vie n'est plus ce qu'elle était il y a dix, vingt ou trente ans. Comment puis-je faire face aux perspectives de ma disparition pas trop lointaine ? Comment garder mon menton levé?
Je le fais de deux manières. Tout d'abord, je prends la résolution de faire en sorte que chaque jour, heure, minute (même seconde si je le peux) compte. J'essaie de m'amuser toute la journée (dans une large mesure en écrivant et en parlant au nom de la liberté). Oui, bien sûr, tout le monde a des corvées. Aucune vie n'est un bol plein de cerises. Mais je fais de mon mieux pour apprécier le temps qu'il me reste autant que possible. Je fais ça depuis des décennies.
La deuxième façon dont j'essaie d'atteindre le bonheur face à une mort inévitable est d'essayer de comprendre sa cause, comme le cancer. Pourquoi, alors, souffrons-nous maintenant de cette terrible maladie ? Assurément, dans 500 ans, cette maladie prendra la place de la variole, de la poliomyélite, du tétanos, de l'hépatite B, de l'hépatite A, de la rubéole, de l'hib, de la rougeole, de la coqueluche (coqueluche), de la pneumococcie, du rotavirus, des oreillons, de la varicelle, de la diphtérie et autres. nous les avons soit entièrement éradiqués, soit presque entièrement détruits, de sorte qu'ils ne constituent plus des condamnations à mort. Pourquoi sommes-nous toujours en proie au cancer et à d'autres tueurs de ce genre ?
La seule réponse qui me satisfasse, c'est que c'est la faute du gouvernement.
RépondreSupprimerComment? Tout d'abord, ils absorbent environ 50 % des biens et services que nous produisons tous. Cela nous appauvrit. Nous sommes maintenant deux fois moins riches que nous le serions sans cette institution malveillante qui s'empare de nos biens durement gagnés. Murray Rothbard, M. Libertarian, soutient qu'un calcul plus précis du PIB soustrairait la "contribution" du gouvernement, et non l'ajouterait à ce qui émane du secteur privé. Mais les choses sont encore pires.1
Car que font les étatistes de « leur » part de nos revenus ? Avec leurs réglementations, leurs interdictions et leurs contraintes, ils réduisent davantage notre pouvoir économique. En gros, nous sommes maintenant à 33 % de ce que nous serions autrement, sans cet arrangement institutionnel pernicieux. Considérons un seul règlement qui empiète directement sur la recherche de traitements médicaux. Quand et si une percée se produit, le gouvernement limitera les profits ; cela réprimera les « profiteurs » et les « escroqueries » sur les prix. Il insistera sur la baisse des prix des médicaments. C'est en raison de cette menace que les entreprises de cette industrie seront moins incitées à effectuer les recherches nécessaires qu'elles ne le seraient autrement.
Qu'est-ce que cela a à voir avec la mort par cancer, les crises cardiaques, les maladies rénales et d'autres affaiblissements similaires ? Selon ce vieil adage, « Plus on est riche, plus on est en bonne santé », plus nous sommes riches, toutes choses égales par ailleurs, plus nous serons capables de nous débarrasser de ces fléaux médicaux.
Nous devons bien sûr reconnaître que le gouvernement dépense de l'argent non seulement pour des tentatives directes de trouver des remèdes à ces horribles maladies, mais aussi indirectement, par le biais de la recherche pure. Nous devons donner au Diable son dû. Mais l'État insiste sur son propre programme ; il « annule » les chercheurs qui adoptent des plans alternatifs ; il menace les licences médicales des médecins qui recherchent et recommandent des médicaments non planifiés au niveau central, comme dans le cas du COVID-19. Il s'engage dans une action positive à la fois dans le secteur privé et dans le secteur dit public, ce qui se traduit par des personnes moins qualifiées qui occupent leurs laboratoires en premier lieu.
Nous ne pouvons pas prétendre que si la population était trois fois plus aisée qu'elle ne l'est actuellement, en l'absence d'un gouvernement intrusif, tout cela irait dans la recherche fondamentale ou médicale. Mais il y en aurait probablement plus. Et nous serions plus près de réprimer ces maladies qui affligent l'humanité.
Si le gouvernement se dégageait du cou de l'économie, nous ne pouvons pas être sûrs qu'en vertu de la libre entreprise, le cancer serait vaincu. Peut-être, à la place, il pourrait s'agir de maladies cardiaques, d'accidents vasculaires cérébraux, de maladies pulmonaires, de diabète, d'Alzheimer, de tuberculose, de cirrhose.
Un aphorisme éprouvé et vrai est que "Savoir, c'est pardonner". J'inverse un peu la situation. Ce qui me fait avancer, c'est plutôt : « Savoir, c'est éviter la douleur qui survient lorsque nous envisageons des décès inutiles et prématurés à la suite de tragédies telles que le cancer du pancréas. » Comprendre la véritable cause de telles abominations - le gouvernement - la fait paraître moins menaçante, moins terrible.
RépondreSupprimerCela a paru à l'origine sur The Libertiran Institute et a été réimprimé avec la permission de l'auteur.
https://www.lewrockwell.com/2022/08/walter-e-block/how-the-government-exacerbates-cancer/
Non le monde n'est pas en voie d’éradiquer le cancer puisque des laboratoires nazis fabriques des nano-particules d'oxyde de graphène. Demain elles pourront être dans la farine du pain, dans l'eau en bouteille ou tout autre consommation. Comme aujourd'hui des millions de personnes tomberont par terre foudroyées par les messages ondes basses fréquences reçues.
SupprimerDevrons-nous chacun examiner au microscope à balayage les nano-particules grossies 1500 fois qui se trouve dans notre assiette ?
Malheureusement, ce ne sont pas tous les scientifiques qui disent la vérité à 100 % alors qu'il la connaissent à 100 % !
L'hiver arrive pour le Royaume-Uni
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 14:10
Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,
"Dites-leur que le Nord se souvient. Dites-leur que l'hiver arrive."
Les perspectives pour le Royaume-Uni semblent de plus en plus sombres. Il y a peu de raisons d'espérer qu'un nouveau gouvernement pourra inverser les craintes croissantes des consommateurs, la stagflation et le sentiment croissant de déclin.
Hier il faisait froid, humide et gris. La fin soudaine de l'été glorieux montre à quel point l'ambiance au Royaume-Uni est devenue sombre et morose. La confiance des consommateurs britanniques s'est effondrée à des niveaux jamais vus depuis les années 1970. Londres s'est arrêtée avec des grèves dans les métros et les chemins de fer. Ce n'est pas seulement la crise du coût de la vie - qui, pour être franc, ne fait que commencer et s'aggravera beaucoup, beaucoup plus à mesure que l'hiver s'approfondit - mais les gens perdent confiance dans la mécanique brisée de l'économie, l'absence de leadership et une croissance sentir que les choses ne s'amélioreront pas.
Le pays a l'impression de sombrer dans une mélasse de découragement étouffant et énergivore. Tout en Grande-Bretagne semble brisé: le NHS est trop encombré pour traiter les patients, les taux de mortalité excessifs montrent des cancers non traités, les maladies cardiaques et les attises du verrouillage dépassent désormais de loin le nombre de décès de Covid, la police est tellement surchargée qu'elle a même cessé de prendre la peine d'enquêter sur le crime, tandis que les aéroports sont bloqués, les trains ne fonctionnent pas, et cela n'a vraiment pas d'importance car vous ne pouvez pas renouveler votre passeport ou votre permis de conduire. Alors que les pluies tombent, nous sommes sous la menace d'une punition autoritaire sévère si nous osons utiliser un tuyau d'arrosage - bien que pour être juste, qui va vous arrêter ?
Dieu merci, nous sommes sur le point d'avoir un nouveau Premier ministre - SARCASM ALERT.
Vous attendez-vous vraiment à ce qu'un soleil brillant d'espoir économique se lève soudainement le 5 septembre ? Si oui, allez voir un psy – si vous pouvez obtenir un rendez-vous.
Liz Truss – clouée comme gagnante et prochaine Premier ministre – prendra ses fonctions au début du mois prochain, et les attentes ne pourraient pas être plus basses. Elle est au mieux dépeinte comme terne – et je crains que ce soit une grave surestimation, mais s'il vous plaît, surprenez-moi! Je n'ai toujours aucune idée de ce qu'elle représente – mais les gens qui la soutiennent et qui définissent son récit pourraient le faire. Je n'ai aucune idée de sa sauce secrète pour réanimer le Royaume-Uni. Jusqu'à présent, tout le bruit a été de jouer aux 160 000 riches hommes conservateurs blancs âgés qui ont le droit de vote dans la course à la direction, plutôt qu'aux 60 millions de Britanniques qu'elle représentera théoriquement.
Ses politiques annoncées, comme la fusion du régulateur bancaire, la PRA, avec la FCA, sont au mieux des bricolages inutiles. Mais cela marque un point - sa préoccupation primordiale au pouvoir sera de s'assurer que d'autres portent le poids de la crise, donc le premier contre le mur sera probablement Andrew Bailey, gouverneur de la Banque d'Angleterre, et l'indépendance théorique de la Banque.
RépondreSupprimerSi ce dont nous nous souvenons de la grande récession de 2022-2025 est que c'était la faute de Bailey, alors les livres d'histoire devront être réécrits.
Ce dont la nation a besoin alors que nous sombrons dans la récession la plus profonde de mémoire d'homme, c'est d'un gouvernement de talents - pas d'un groupe de hacks politiques médiocres, ou d'un quatrième Premier ministre quelque peu inutile d'affilée.
Peut-être que Liz Truss nous surprendra - mais cela semble peu probable. Pourtant, nous vivons dans l'espoir. La politique britannique restera sous l'emprise du Brexit (le chancre sombre et malin qui s'est propagé au cœur du Royaume-Uni), qui continuera de dominer l'agenda et de ronger la position commerciale et d'exportation du pays - pour s'engager avec l'Europe afin de trouver un compromis mutuellement bénéfique est tout à fait inacceptable pour les talibans du TRG. Attendez-vous à beaucoup de dénigrement des syndicats pour leur témérité demandant des augmentations de salaire alors que l'inflation reste obstinément forte. Peu sera fait pour réinventer, innover et reconstruire les institutions brisées de l'État.
Les principaux objectifs du nouveau gouvernement seront la survie à court terme et une apparence un peu meilleure que le parti travailliste de l'opposition, car tout ce qui compte, c'est de gagner les prochaines élections dans quelques années seulement.
Les deux prochaines années ne seront pas une période d'innovation économique. En Allemagne, le gouvernement a récemment réduit le prix des voyages en train, et cela a eu un effet positif énorme en termes de voyages longue distance avec des effets multiplicateurs du tourisme intérieur et du travail. En Allemagne, un pass ferroviaire mensuel coûte n'importe où 9 euros. Au Royaume-Uni, cela me coûte près de 100 £ chaque fois que je vais à Londres.
J'ai dit que c'était sombre.
RépondreSupprimerHier, un gestionnaire de fonds m'a demandé mon avis sur les obligations britanniques – ma réponse était relativement moins mauvaise que les perspectives des actions britanniques. Au moins avec les gilts, vous êtes susceptible de récupérer votre argent – même si la livre sterling sera probablement beaucoup, beaucoup plus basse. Quant aux ETI et PME britanniques, qui sont en fuite, il est probable que la récession à venir les verra souffrir. Il est temps d'être défensif dans les actions britanniques. La Virtuous Sovereign Trinity du Royaume-Uni peut être testée - le mécanisme par lequel la stabilité politique et l'efficacité d'une nation, son marché obligataire et sa monnaie forment un trépied solide. Si une jambe se casse, cela signifie un problème profond et profond.
Mais, pas pour moi la misère de la politique britannique… hier soir, je me suis faufilé à Salcombe, le joyau de la Riviera du Devon où j'ai failli déclencher une guerre civile par inadvertance. La plus grande fracture dans la société britannique est le Cream Tea. Est-ce que la confiture va sur le dessus ou la Clotted Cream, ou l'inverse ? Les Cornouailles et le Devon sont en état de guerre froide à cause de cette distinction critique depuis des décennies. J'ai fait le truc de Cornouailles - Crème sur le Jam. C'est parfaitement logique. Les gens du Devon étaient horrifiés. Jam va au-dessus de la crème dans le Devon. J'ai dû payer un forfait considérable, donc ce matin je suis aux prises avec un déséquilibre électrolytique H2O/C2H5OH. Aie. Si jamais quelqu'un vous offre Devon Rum – courez.
Cependant, je me suis retrouvé assis avec des gens très intéressants. Dîner avec un économiste pourrait être considéré comme un malheur. S'asseoir avec deux semble carrément négligent, mais s'asseoir avec trois - eh bien, c'est demander de la confusion.
3 économistes - et au moins 5 points de vue contradictoires sur l'évolution probable de l'économie britannique, moi-même jetant quelques distractions aléatoires.
Étonnamment, le membre le plus enclin à droite de notre brain trust informel était d'avis que la bonne politique britannique n'est plus du tout de hausse des taux d'intérêt - c'est la mauvaise réponse aux mauvais signaux - mais une relance économique massive pour éviter une catastrophe dévastatrice. et profonde récession. "Rompez l'inflation, car vous ne pouvez pas la contrôler", a-t-il déclaré. L'inflation a été déclenchée par un choc énergétique exogène, mais essayer de refroidir l'économie en infligeant des difficultés monétaires pour endiguer la demande ne fera qu'exacerber l'inflation réelle sous la forme de revendications salariales et de pénuries perçues faisant grimper les prix - il a également noté avec sagesse comment les grands supermarchés ont discrètement retiré leurs marques économiques les moins chères, profitant de l'inflation pour augmenter leurs marges.
Le deuxième économiste a adopté un point de vue très différent : la rapidité est essentielle, la BOE a agi trop lentement, les erreurs politiques aggravent les choses, et maintenant nous avons besoin d'austérité immédiate, de neutralité fiscale et de hausses d'intérêts pour rééquilibrer rapidement l'économie et imposer contrôler. L'inflation doit être réduite rapidement, sinon elle s'enracinera et aura des conséquences massives à long terme. Les salaires doivent être limités - franchement, la meilleure façon de calmer l'inflation est d'effrayer les travailleurs à l'ancienne pour leur faire perdre le sentiment de sécurité d'emploi afin de saper les revendications salariales. Elle a équilibré ses mesures draconiennes par de sérieuses hausses d'impôts sur les plus riches, proposant de nouvelles taxes foncières à toute personne possédant une résidence secondaire ou quittant le pays pour échapper à une fiscalité punitive.
RépondreSupprimerLe troisième économiste examinait la baisse à long terme de la productivité britannique et se demandait quelles politiques étaient possibles maintenant pour remettre le Royaume-Uni sur la bonne voie pour un avenir économique prospère – mais a conclu que nous resterions en mode combat/fuite avec un feu à court terme. lutter contre la récession, l'inflation des salaires, la crise des consommateurs et les cycles électoraux, signifie qu'il s'agira de politiques satisfaisantes et à court terme avec des conséquences néfastes à long terme.
Bref.. c'est le bordel là-bas..
Hors du temps, et bon week-end..
https://www.zerohedge.com/markets/winter-coming-uk
Bien sûr là vous allez vous dire que les riches ne peuvent pas attraper le 'machin-virus19', bêh VOUS AVEZ RAISON ! La poussière 'Dépopulation21' c'est POUR les pauvres ! Seuls les pauvres se font enfiler (inoculer profond en langage médical). Because que la particularité des riches (sauf le con qui vient de gagner au loto) est qu'ils sont... intelligents (personnes dotées de cervelles) et que: ils passent au travers des poussières-télés ! Whôaw ! Çà faut l'faire !
SupprimerLes virus c'est pour les ordis et les microbes pour les maladies. Or là, on parle de VIRUS ! C'est-à-dire POUSSIÈRES (voir dictionnaire si vous avez !). Chez 'poussières' existent celles de la terre, sable, ciment, talc, ou, éventuellement 'poussières radioactives' mais à part çà dans l'air: IL N'Y A PAS LE 'VIRUS MACHIN-CHOSE19' ! Çà alors !!
D'ailleurs, AUCUN scientifique au monde ne l'a vu !! Pas isolé depuis bientôt 3 ans !!
Il n'y a RIEN sous le microscope mais, à la télé, ils l'ont vu ! Whoâw ! Çà c'est trop fort !
Comment s'appelle l'émission ?
Elle s'appelle "Qui veut gagner des millions" !
Où naîtront les 1 000 prochains bébés du monde ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 02:00
Toutes les quatre minutes, environ 1 000 bébés naissent dans le monde. Mais de quels pays ces bébés sont-ils statistiquement les plus susceptibles de provenir ?
En utilisant les données du CIA World Factbook, Carmen Ang de Visual Capitalist montre ce graphique de Pratap Vardhan (Stats of India) qui brosse un tableau de la démographie mondiale, montrant quels pays sont les plus susceptibles d'accueillir les 1 000 prochains bébés en fonction de la population et de la naissance. taux à partir des estimations de 2022.
- voir carte sur site -
Les 1 000 prochains bébés, par pays
Considérant que l'Inde a une population de près de 1,4 milliard d'habitants, il n'est pas surprenant qu'elle se classe au premier rang sur la liste. Sur 1 000 bébés nés, le pays d'Asie du Sud en compte environ 172.
- voir liste sur site -
Il convient de noter que, alors que l'Inde occupe le premier rang sur la liste, le taux de natalité du pays (qui est son nombre total de naissances en un an pour 1 000 personnes) est en fait légèrement inférieur à la moyenne mondiale, à 16,8 contre 17,7 respectivement.
La Chine, qui arrive en deuxième position sur la liste, est similaire à l'Inde, avec une population élevée mais également un taux de natalité relativement faible. D'autre part, le Nigeria, qui se classe troisième sur la liste, a un taux de natalité qui est presque le double de la moyenne mondiale, à 34,2.
Pourquoi le taux de natalité au Nigeria est-il si élevé ?
Il existe divers facteurs entremêlés en jeu, mais l'une des principales raisons est le fait que l'économie nigériane est toujours en développement et se classe au 131e rang mondial en termes de PIB par habitant. En outre, l'accès des femmes à l'éducation n'est toujours pas aussi répandu qu'il pourrait l'être, et les recherches montrent que cela est fortement corrélé à des taux de natalité plus élevés.
Le taux de croissance de la population mondiale diminue
Bien que des centaines de milliers de bébés naissent chaque jour dans le monde, il convient de mentionner que le taux de croissance global de la population mondiale est en fait en baisse depuis les années 1960.
Cela se produit pour un certain nombre de raisons, notamment :
Augmentation de la richesse dans le monde, que la recherche a corrélée avec moins de naissances
Diverses politiques gouvernementales décourageant les familles nombreuses
Le passage mondial de la vie rurale à la vie urbaine
D'ici 2100, la croissance démographique mondiale devrait chuter à 0,1 %, ce qui signifie que nous atteindrons essentiellement une croissance démographique nette nulle.
Cela augmenterait encore plus notre âge médian mondial, ce qui pose un certain nombre de risques économiques si les pays ne se préparent pas correctement à ce changement démographique.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/where-will-worlds-next-1000-babies-be-born
(...) Le passage mondial de la vie rurale à la vie urbaine (...)
SupprimerSuffit de voir sur des forums de jardinage le nombre de cons qui ont un jardin pourri, ne savent rien faire mais... donnent conseils !!
Les investisseurs ont maintenant dépensé 5 milliards de dollars pour poursuivre le "Saint Graal de l'énergie"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 23:30
Par Alex Kimani de Oilprice.com
Qu'est-ce que The Dark Knight Rises, Retour vers le futur, Oblivion et Interstellar ont en commun ? Ce sont des superproductions de science-fiction qui présentent une technologie que les scientifiques considèrent comme le Saint Graal de l'énergie : la fusion nucléaire. Théoriquement, deux réacteurs nucléaires isolés fonctionnant avec de petites pastilles pourraient alimenter la planète entière, en toute sécurité et proprement. C'est la promesse de la fusion nucléaire. Alors, pourquoi dépendons-nous toujours des combustibles fossiles ? Qu'est-ce qui nous empêche de construire ces réacteurs partout ?
Après tout, les scientifiques travaillent sur la technologie de la fusion nucléaire depuis les années 1950 et ont toujours été optimistes quant au fait que la percée finale n'est pas loin. Pourtant, les jalons sont tombés à maintes reprises et maintenant la plaisanterie courante est qu'une centrale à fusion nucléaire pratique pourrait encore être dans des décennies.
Eh bien, ces dernières années ont vu une résurgence dans le domaine avec une poignée de startups s'installant pour faire de la fusion nucléaire une réalité quotidienne. Fait intéressant, la grande majorité du financement du secteur provient du secteur privé plutôt que des investissements publics.
Selon le deuxième rapport mondial sur l'industrie de la fusion publié par la Fusion Industry Association (FIA), les investissements privés dans la technologie de fusion ont atteint 4,7 milliards de dollars au total, éclipsant les 117 millions de dollars d'investissements publics. De plus, l'année en cours s'avère être un moment décisif pour la technologie de fusion, le montant du financement en 2022 faisant plus que doubler l'investissement historique total de l'industrie à hauteur de 2,83 milliards de dollars.
Startups fusionnées
RépondreSupprimerÀ ce jour, Commonwealth Fusion Systems a obtenu le plus gros financement pour une startup de fusion. En décembre, la startup de fusion basée au Massachusetts a décroché plus de 1,8 milliard de dollars dans le plus gros investissement privé pour la fusion nucléaire à ce jour auprès d'une pléthore d'investisseurs de renom, dont le cofondateur de Microsoft Bill Gates, George Soros via son Soros Fund Management LLC, et capital-risque John Doerr.
Commonwealth Fusion System est en bonne compagnie.
Le 5 novembre, Helion Energy a annoncé qu'elle avait levé 500 millions de dollars lors de sa dernière levée de fonds, ce qui en fait la deuxième plus grande levée de fonds jamais réalisée pour une entreprise privée de fusion. Helion a une chance de surpasser Commonwealth Fusion System puisque son dernier cycle de financement comprend 1,7 milliard de dollars supplémentaires liés à certains jalons de performance. Pendant ce temps, General Fusion du Canada a clôturé une ronde de financement de 130 millions de dollars qui a été sursouscrite. General Fusion prévoit de lancer prochainement une campagne de financement encore plus importante.
Google et Chevron ont participé à une levée de fonds de 250 millions de dollars pour TAE Technologies, une startup de fusion nucléaire avec une stratégie non conventionnelle, en juin. Depuis lors, TAE a levé un total de 1,2 milliard de dollars.
"C'est un signe que l'industrie grandit", a déclaré le directeur général de General Fusion, Christofer Mowry, au Wall Street Journal.
Diverses sociétés de fusion poursuivent différentes conceptions de réacteurs à fusion, bien que la majorité s'appuient sur la fusion qui a lieu dans le plasma. Commonwealth Fusion a testé avec succès l'aimant de fusion le plus puissant de son genre sur Terre qui retiendrait et comprimerait le plasma.
Commonwealth Fusion Systems collabore avec le MIT pour construire son réacteur à fusion. L'équipe a prévu une expérience de fusion baptisée Sparc, qui représente environ 1/65e du volume du réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER). Le réacteur expérimental générera environ 100 MW d'énergie thermique par impulsions d'environ 10 secondes - des rafales suffisamment importantes pour alimenter une petite ville. L'équipe prévoit que la production sera plus du double de la puissance utilisée pour chauffer le plasma, surmontant ainsi le plus grand obstacle technique dans le domaine : l'énergie nette positive de la fusion. L'équipe Sparc s'est fixé un objectif ambitieux de faire fonctionner le réacteur d'ici 15 ans environ.
Mais pourquoi les scientifiques ont-ils jusqu'à présent échoué à reproduire un processus naturel qui alimente les étoiles de notre univers ?
RépondreSupprimerDéfi extrême
Il s'avère que les conditions nécessaires à la fusion nucléaire présentent un défi extrême pour nous, les terriens.
La fusion fonctionne sur le concept de base consistant à forger des éléments plus légers en éléments plus lourds. Lorsque deux atomes d'hydrogène sont écrasés assez fort, ils fusionnent pour former de l'hélium. Le nouvel atome est moins massif que la somme de ses parties, le solde étant converti en énergie dans l'équivalence masse-énergie E=MC2.
Ok, c'est un peu simpliste puisque les atomes d'hydrogène ne fusionnent pas directement mais plutôt dans une réaction en plusieurs étapes. Quoi qu'il en soit, pour résumer, la fusion nucléaire ne produit de l'énergie nette qu'à des températures extrêmes - de l'ordre de centaines de millions de degrés Celsius. C'est plus chaud que le noyau du soleil et bien trop chaud pour qu'un matériau connu sur terre puisse le supporter.
Pour contourner ce bourbier, les scientifiques utilisent de puissants champs magnétiques pour contenir le plasma chaud et l'empêcher d'entrer en contact avec les parois du réacteur nucléaire. Cela consomme des quantités folles d'énergie.
Les étoiles ont la tâche facile à cet égard grâce à leurs masses immenses et à leurs puissants champs gravitationnels qui maintiennent tout ensemble. Par exemple, le soleil fait 333 000 fois la masse de la Terre avec une gravité ~ 27,9 fois celle de la Terre.
Malheureusement, chaque expérience de fusion jusqu'à présent a été négative en énergie, absorbant plus d'énergie qu'elle n'en génère, la rendant ainsi inutile comme forme de production d'électricité.
Obtenir la réaction de fusion initiale n'est pas un problème - la maintenir l'est, sans compter que la construction de réacteurs nucléaires nécessite des prouesses d'ingénierie extrêmement sophistiquées.
Mégaprojet international
Mais maintenant, les scientifiques sont convaincus qu'ils sont sur le point de construire un réacteur nucléaire qui produira plus d'énergie qu'il n'en consomme.
Le futur réacteur thermonucléaire expérimental international (ITER) basé à Saint-Paul-les-Durance, en France, est la plus grande installation de réaction de fusion au monde qui vise à développer des réacteurs de fusion commercialement viables.
Financé par six pays, dont les États-Unis, la Russie, la Chine, le Japon, la Corée du Sud et l'Inde, ITER prévoit de construire le plus grand dispositif de fusion tokamak au monde, une cage en forme de beignet qui produira 500 ME d'énergie de fusion thermique.
RépondreSupprimerL'appareil coûtera environ 24 milliards de dollars avec une date de livraison fixée à 2035. La machine géante - la plus grande machine à fusion jamais construite - pèsera 23 000 tonnes et sera logée dans un bâtiment de 60 mètres de haut.
Alors, qu'est-ce qui est différent cette fois-ci ?
Les scientifiques ont développé avec succès un nouveau matériau supraconducteur - essentiellement une bande d'acier recouverte d'oxyde d'yttrium-baryum-cuivre, ou YBCO, qui leur permet de construire des aimants plus petits et plus puissants. Cela réduit l'énergie nécessaire pour faire décoller la réaction de fusion.
Selon Fusion for Energy - l'entreprise commune de l'UE pour ITER - 18 aimants supraconducteurs en niobium-étain, également appelés bobines de champ toroïdal, seront utilisés pour contenir le plasma à 150 millions de degrés Celsius. Les puissants aimants généreront un puissant champ magnétique égal à 11,8 tesla, soit un million de fois plus fort que le champ magnétique terrestre. L'Europe fabriquera 10 des bobines de champ toroïdal et le Japon en fabriquera neuf.
Cependant, il faudra encore dix ans avant qu'une centrale électrique de démonstration à grande échelle ne soit construite en utilisant les leçons tirées d'ITER. Les centrales industrielles à fusion seront ensuite connectées au réseau.
La construction du site ITER est achevée à près de 80 %.
Cela dit… il semble que la fusion nucléaire reste (mais espérons-le pas pour toujours) dans plus d'une décennie.
https://www.zerohedge.com/energy/investors-have-now-spent-5-billion-pursuing-holy-grail-energy
Petites anecdotes nocturnes sur le vif
RépondreSupprimerle 19 août 2022
Quand je dois prendre un avion je sais que je ne peux pas dormir. Je suis donc sorti dans la rue pour m’adonner à mon vice de fumeur et j’ai rencontré une charmante Balinaise habitant Milan arrivée hier d’Italie et ne pouvant pas dormir en raison du décalage horaire. Nous avons discuté en fumant tous les deux, c’est la raison pour laquelle elle se trouvait également à l’extérieur du gite pour back-packers en plein centre de Papeete. Nous avons bavardé de toutes sortes de choses et il y avait de quoi continuer pendant des jours puisqu’elle a visité 89 pays dans le cadre de son activité au sein du ClubMed.
Une heure plus tard deux Néo-Zélandaises sont sorties de l’hostel pour attendre un taxi supposé les convoyer à l’aéroport car elles embarquaient pour Auckland vers trois heures du matin. Pas de taxi ! Complètement désemparées j’ai demandé au gardien qui dort dans sa voiture dans la rue devant l’établissement de faire quelque chose. Il n’avait que des numéros de téléphones de taxis périmés. Le stress des deux jeunes femmes commençait à déborder, d’autant plus qu’elles ne parlent pas le français. Bref elles sont parties à une station de taxi un peu plus loin sur la grande rue qui longe le port, rue dont j’ai oublié le nom, et ont disparu. Un chauffeur de mini-bus est alors arrivé et nous lui avons raconté l’aventure de ces deux « kiwis ».
Il se trouve que leur vol était annulé et elles sont parties tout de même à l’aéroport pour être raccompagnées plus tard ici à l’hostel. Heureusement qu’elles n’ont pas oublié le code qui ouvre la porte d’accès et elle retourneront se coucher, dépitées et enragées. Je les reverrai peut-être dans une demi-heure puisqu’il est maintenant 2 h 00 heure locale toujours ce vendredi 19 août. Il ressort de cette petite anecdote que le taxi aurait du venir prévenir ses clientes mais il aurait gaspillé de l’essence pour rien ou bien, ici à Papeete ce n’est pas la manière de se conduire. Je disais que le stress de ces deux jeunes femmes débordait, alors j’espère que cette aventure ne m’arrivera pas dans deux heures maintenant …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/08/19/petites-anecdotes-nocturnes-sur-le-vif/
La deuxième plus grande chaîne de cinéma au monde se prépare à la faillite
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 14:45
Aujourd'hui, dans "les dommages collatéraux continus de la pandémie, aidés par la récession actuelle" nouvelles...
Le deuxième plus grand opérateur de cinéma au monde, Cineworld, a plongé dans les échanges vendredi après qu'il a été annoncé que la société s'apprêtait à déposer son bilan. Négociant à Londres, son action a chuté de plus de 60 % vers l'heure du déjeuner lors de la négociation du vendredi.
Cineworld, qui possède également Regal Cinemas, a déjà embauché des conseillers pour commencer à mettre en place le processus de mise en faillite, a rapporté WSJ pour la première fois à la fin de la semaine dernière. Il est prévu que la société déposera le chapitre 11 aux États-Unis et une procédure d'insolvabilité au Royaume-Uni.
Cineworld exploite 9 000 cinémas dans 10 pays, a rapporté CNBC vendredi. Il a imputé ses difficultés financières non seulement à la pandémie, mais à un "manque de superproductions" qui nuit aux admissions maintenant que les gens sont autorisés à retourner dans les salles.
"Malgré une reprise progressive de la demande depuis la réouverture en avril 2021, les niveaux d'admission récents ont été inférieurs aux attentes", a déclaré la société.
Les ventes au box-office sont en baisse de 30 % par rapport à la pré-pandémie, note le rapport. Dans le même temps, il y a eu un double coup dur pour les salles de cinéma, car 30 % de films en moins sont sortis directement dans les salles, car les plateformes de streaming ont gagné en popularité.
Il avait une dette nette de 8,9 milliards de dollars à la fin de 2021, contre des revenus de 1,8 milliard de dollars. La société a fait appel à deux conseillers en faillite populaires, Kirkland & Ellis LLP et des consultants d'AlixPartners, pour aider à donner des conseils sur les procédures.
L'annonce a entraîné vendredi les cinémas américains AMC et CNK dans le commerce.
Les "singes" sont-ils encore attentifs ?
https://www.zerohedge.com/markets/worlds-second-largest-cinema-chain-preparing-bankruptcy
LES 3 DÉPARTEMENTS LES PLUS PRISÉS POUR UNE RÉSIDENCE SECONDAIRE À LA CAMPAGNE
RépondreSupprimerpar SÉVERINE AMATE
21/08/2022
Dans les secteurs ruraux, les prix immobiliers ont progressé, en moyenne, de 8,9% en 1 an.
La France abrite 3,6 millions de résidences secondaires. Or, bon nombre d’entre elles se trouvent à la campagne. Une étude SeLoger apporte un éclairage sur les départements qui concentrent le plus de recherches de la part des acquéreurs en quête d’une résidence secondaire à la campagne. Il est d’ailleurs à noter que la ville de provenance des candidats à l’achat joue un rôle considérable dans le choix du secteur recherché pour leur projet immobilier.
La Dordogne est le département le plus recherché
Département néo-aquitain couvrant en grande partie le territoire du Périgord, la Dordogne profite d’un emplacement stratégique car quasiment central, arbore des paysages idylliques et profite d'un climat particulièrement agréable. Si Périgueux et Bergerac demeurent les communes les plus emblématiques de la Dordogne, d’autres localités recueillent néanmoins un volume important de recherches en termes de résidences secondaires.
Sur le site Se Loger, parmi les recherches portant sur des villes de campagne affichant plus de 20 % de résidences secondaires, 7,1% ciblent le département de la Dordogne. Cela place ce département en pole position, juste devant l’Yonne avec 6,7 % des recherches et le Var qui en totalise 6,3 %.
En termes de prix immobiliers, ces trois départements présentent des disparités importantes, puisqu’il faut compter 1 488 €/m² en Dordogne, ce qui permet de s'offrir une résidence secondaire à la campagne pour un budget accessible. L’Yonne offre toutefois des opportunités encore moins coûteuses, puisque l’on y relève 1 306 €/m², en moyenne. En revanche, la moyenne des prix immobiliers dans le Var est notamment portée par les prix du littoral lesquels sont particulièrement élevés. Dans ce département, comptez, en moyenne, 4 234 €/m².
Saint-Cyprien, Saint-Fargeau et La Garde Freinet dans le top 3
L’étude SeLoger montre également que dans les départements les plus attractifs, certaines communes concentrent une bonne partie des recherches des porteurs d’un projet d'achat d'une résidence secondaire.
En Dordogne, il s’agit de la commune de Saint-Cyprien, qui recueille 7,5 % des recherches effectuées dans le département. Ce petit village situé à quelques kilomètres de Bugue, en Périgord Noir, est notamment connu pour son église datée des 12e et 14e siècles. Saint-Cyprien se montre particulièrement animée en été, notamment lors des marchés gourmands. Cette commune est implantée dans un secteur propice aux belles promenades et aux visites en tout genre. De plus, les prix immobiliers moyens y sont particulièrement abordables, se limitant à 1 640 €/m².
Dans l’Yonne, c’est Saint-Fargeau qui prend la tête du classement, avec 9,7 % des recherches. Située à quelques kilomètres de Saint-Sauveur-en-Puisaye, Saint-Fargeau abrite un riche patrimoine culturel tel que son château du 10e siècle, une église du 13e siècle - classée monument historique -, ainsi qu’un beffroi. Un village icaunais de caractère et authentique où les prix immobiliers moyens sont particulièrement accessibles avec 987 €/m².
RépondreSupprimerEnfin, dans le Var, c’est le village de La Garde-Freinet qui tire son épingle du jeu, avec 10,4 % des recherches dans ce département. A 20 kilomètres de Luc-en-Provence et de Saint-Tropez, ce village forestier et touristique se situe en plein cœur du Massif des Maures, dans un site exceptionnel qui côtoie une nature aussi sauvage qu'éblouissante. Il offre encore aujourd’hui, un caractère original, avec des maisons en pierre, des noms de rues à l’ancienne et une place pleine de charme bordée de restaurants. Selon le site SeLoger, parmi les villages de campagne les plus recherchés dans le département du Var, La Garde-Freinet compte parmi les plus chers à l'achat, avec un prix moyen de 4 343 €/m².
Des préférences qui varient selon la provenance des acquéreurs
Enfin, l’étude SeLoger démontre, sans surprise, que les secteurs de recherche diffèrent selon la provenance des acquéreurs. Cela paraît toutefois logique. En effet, pour profiter au maximum de sa résidence secondaire, convenez qu’il est préférable qu’elle ne se situe pas à l’autre extrémité du pays. La proximité entre résidence principale et résidence secondaire est donc primordiale. Cela explique notamment que l’Yonne concentre la majorité des recherches des Parisiens (10,5 %), mais également des Strasbourgeois (14,9 %). En effet, il est possible de relier Paris à Saint-Fargeau en à peine plus de 2 heures, tandis qu’il faut prévoir environ 4h entre Strasbourg et Vézelay.
Les Marseillais, les Lyonnais et les Niçois, qui résident dans le Sud du pays, plébiscitent quant à eux le Var, pour respectivement 22 %, 11,7 % et 38,5 % d’entre eux. En revanche, les communes recherchées diffèrent, puisque les Marseillais recherchent davantage à Saint-Julien (13,2 %), tandis que les Lyonnais sont 11 % à s’orienter vers Saint-Paul-en-Forêt, alors que les Niçois plébiscitent La Garde-Freinet pour 14,9 % d’entre eux.
À Toulouse, on se tourne de préférence vers le Lot (11,7 %), et en particulier Puy-l’Évêque, qui se situe à moins de 2 heures. Suivent la Dordogne et le Tarn-et-Garonne.
Les Bordelais recherchent principalement en Dordogne pour 21,6 % d'entre eux, car le département est tout proche de chez eux. La commune la plus recherchée est Saint-Cyprien, laquelle concentre 6,4 %. Le Lot et les Landes sont également sur le podium.
Sans surprise, les Montpelliérains privilégient des recherches dans l’Hérault (19,4 %), avec en deuxième position le Gard et en troisième position le Var.
RépondreSupprimerLes Nantais se tournent d’abord vers la Vendée avec 20,8 % des recherches, devant le Morbihan et le Finistère. Rappelons que Nantes se situe à proximité de la Bretagne.
Dans le même ordre d’idée, les Lillois orientent principalement leurs recherches vers le Nord-Pas-de-Calais avec 13,3 %, mais également vers la Picardie et l'Aquitaine.
« Certaines zones péri-urbaines sont devenues très attractives après les différents confinements, notamment grâce à la mise en place du télétravail plusieurs jours par semaine. Situées à 1 ou 2 heures en train des grandes métropoles, elles permettent à des foyers de bénéficier d’un mode de vie plus agréable avec plus de surface et de beaux extérieurs tout en ayant un temps de trajet acceptable lorsqu’il est effectué une ou deux fois par semaine. Cela a étendu la zone d’attractivité autour des grandes villes pour les achats de résidences mi-secondaires et mi-principales » analyse William Pillons, Directeur Réseaux de Mercure Forbes Global Properties.
https://economiematin.fr/news-residence-secondaire-marche-immobilier-france
Par contre, St Pierre & Miquelon et les Terres Australes et Antarctiques Françaises sont HORS CONCOURS !
SupprimerPS: Les Terres Australes et Antarctiques Françaises ou TAAF sont un ensemble de territoires Français composé de 5 groupes distincts: la Terre Adélie en Antarctique, les îles Crozet, les îles Kerguelen, les îles St Paul et Amsterdam dans l'Océan Indien, et les îles Eparses proches de Madagascar.
Les habitants de ces îles sont les manchots et quelques scientifiques et militaires qui se relaient.
Au niveau économique, l'intérêt de ces territoires est surtout pour la pêche et la recherche scientifique.
De nombreux explorateurs-scientifiques ont ainsi pû faire découvrir au monde la richesse de la faune de ces zones au climat plutôt rude.
Les villes de tentes envahissent de vastes étendues de nos grandes villes (et cela ne fera qu'empirer)
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 20 AOÛT 2022 - 02:20
Écrit par Michael Snyder via le blog The Economic Collapse,
Si des jours meilleurs sont à venir pour l'économie américaine, pourquoi tant de villes de tentes surgissent-elles dans tout le pays ? À ce stade, les choses vont si mal que même le New York Times admet que « le problème des sans-abrisme aux États-Unis ressemble à une crise aiguë ». Cet article poursuit en expliquant que notre population de sans-abri ne cesse d'augmenter. Ce soir, des centaines de milliers de nos concitoyens américains dormiront dans des tentes, sous des ponts, dans des abris surpeuplés ou dans leurs véhicules. Bien sûr, il y en a beaucoup qui sont tellement dépendants de la drogue ou de l'alcool qu'ils dorment là où ils finissent par s'évanouir. Il s'agit d'une tragédie qui s'aggrave de jour en jour et qui ne fera qu'empirer dans les mois à venir à mesure que l'économie américaine ralentira encore plus.
Plus tôt dans la journée, j'ai été vraiment stupéfait par un article de Fox News sur ce qui se passe à Portland en ce moment. Les villes de tentes envahissent littéralement des quartiers entiers, et de nombreux habitants "ont recours à la vente de leurs maisons" en conséquence...
Les résidents d'un quartier de Portland, dans l'Oregon, ont recours à la vente de leur maison et au déménagement en raison des campements de sans-abri juste devant leur porte d'entrée.
"C'est un peu effrayant parce que je sais qu'il y a une maladie mentale et cela me préoccupe", a déclaré Maria Inocencio, une résidente du nord de Portland, à KGW8.
Les habitants de North Portland ont déclaré qu'au moins trois familles d'une rue étaient parties ces derniers jours en raison des camps de sans-abri, et KGW8 a déclaré avoir vu des panneaux de vente dans les rues.
Portland était autrefois un si bel endroit, mais maintenant il a été littéralement transformé en un enfer.
Inutile de dire que Portland est loin d'être la seule. De Seattle jusqu'à San Diego, les communautés tout le long de la côte ouest sont en proie à des campements en croissance incessante. Dans de nombreux cas, ces campements attirent les toxicomanes et autres exclus de la société.
Mais ce n'est pas seulement un problème de la côte ouest.
Permettez-moi de vous donner quelques exemples. Ces dernières semaines, des villes de tentes ont surgi partout à Pittsburgh…
« Nous voulons une action immédiate. Nous voulons voir des gens dans les maisons. Il existe une façon humaine de traiter l'itinérance », a déclaré la présidente du conseil municipal de Pittsburgh, Theresa Kail-Smith.
RépondreSupprimerDes camps de sans-abri surgissent partout dans le Northside.
Vous les verrez sur le Riverfront Trail jusqu'à Millvale.
Une autre ville de tentes de fortune a surgi sous le pont Andy Warhol.
Et à Fayetteville, en Caroline du Nord, un camp de sans-abri en plein essor a récemment fait la une des journaux car il compte un certain nombre de délinquants sexuels enregistrés…
Il y a 843 délinquants sexuels enregistrés vivant dans le comté de Cumberland. Pour des dizaines à Fayetteville, leur maison est une tente le long de la route.
Les adjoints de l'Unité d'application de la loi sur l'enregistrement des délinquants sexuels (SOREU) du bureau du shérif ont appris que le groupe de délinquants est sans abri et séjourne dans une communauté de tentes le long de l'autoroute très fréquentée Martin Luther King Jr. (autoroute 87) qui traverse la rue Gillespie. Certains vivent sous le viaduc tandis que d'autres vivent dans un champ voisin à côté de la rue Gillespie.
D'un océan à l'autre, cela devient un énorme problème.
Et la vérité est que cela ne fera que s'intensifier au fil des mois.
En 2008 et 2009, des millions d'Américains ont perdu leur emploi alors que l'économie plongeait dans un ralentissement majeur.
Une fois que ces personnes ont perdu leur emploi, beaucoup d'entre elles n'ont plus pu payer leur logement et se sont rapidement retrouvées à la rue.
Je souhaite que nous n'ayons plus jamais à revoir quelque chose comme ça. Ce fut vraiment un chapitre très sombre de notre histoire, et d'innombrables personnes ont vu leur vie complètement bouleversée.
Malheureusement, cela recommence.
Comme je l'ai détaillé plus tôt ce mois-ci, les grandes entreprises commencent à licencier des travailleurs en nombre substantiel.
Cela inclut même Facebook. Cette semaine, nous avons appris que Facebook a récemment utilisé une méthode tout à fait unique pour licencier un groupe de travailleurs…
RépondreSupprimerUn groupe d'environ 60 entrepreneurs qui travaillent avec Facebook ont appris qu'ils avaient été licenciés cette semaine après avoir été choisis "au hasard" par un algorithme.
Les licenciements sont le dernier exemple en date de la limitation des dépenses et des embauches par Big Tech, car il y a quelques jours à peine, Apple a lâché environ 100 recruteurs.
Le PDG de Meta, Mark Zuckerberg, a également récemment déclaré qu'il éliminerait les employés sous-performants avec des "évaluations de performances agressives" alors que l'entreprise se prépare à un profond ralentissement économique.
Je suppose que c'est une façon d'éviter la responsabilité personnelle de congédier quelqu'un.
"Ne me blâmez pas - c'était l'algorithme".
Si une grande entreprise qui nage dans l'argent comme Facebook se sent déjà obligée de « diminuer le troupeau », je pense que c'est un très mauvais signe pour le marché de l'emploi dans son ensemble.
Dans les mois à venir, je pense qu'il y aura beaucoup plus de licenciements partout au pays.
Et cela arrive à un moment où le marché du logement commence à s'effondrer.
Les ventes de maisons existantes aux États-Unis ont maintenant chuté pendant six mois d'affilée, et les chiffres du mois de juillet étaient carrément déprimants…
Les ventes de maisons d'occasion ont chuté de près de 6 % en juillet par rapport à juin, selon un rapport mensuel de la National Association of Realtors.
Le nombre de ventes a diminué à un taux annualisé désaisonnalisé de 4,81 millions d'unités, a ajouté le groupe. Il s'agit du rythme de vente le plus lent depuis novembre 2015, à l'exception d'un bref plongeon au début de la pandémie de Covid.
Les ventes ont chuté d'environ 20 % par rapport au même mois il y a un an.
Je prévoyais que les ventes de maisons seraient inférieures à celles de juillet dernier, mais une baisse de 20 % est assez catastrophique.
Et comme la Réserve fédérale continue d'augmenter les taux d'intérêt, il est probablement inévitable que les chiffres s'aggravent encore.
Le décor est en train d'être préparé pour un effondrement économique historique, et je vous encourage à faire ce que vous pouvez pour vous y préparer.
RépondreSupprimer2008 et 2009 ont été extrêmement amères.
Ce qui s'en vient sera probablement encore pire.
Et à mesure que l'économie se détériore, les villes de tentes continueront de s'emparer de plus de quartiers partout en Amérique.
Mais ne méprisez pas ceux qui vivent dans des tentes.
Avec une série de malchance, vous pourriez aussi être l'un d'entre eux.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/tent-cities-are-taking-over-vast-stretches-our-major-cities-and-its-only-going-get
Les périodes de non-travail dans la vie
RépondreSupprimerUn système privé de financement des périodes de non-travail conduirait un peu à une redistribution des ressources, comme cela est le cas pour le système public.
le 21 août 2022
Pascal Salin
Comme cela a d’ailleurs été le cas assez souvent dans le passé, on se préoccupe souvent actuellement, et en particulier les politiciens, des changements éventuels à décider pour les allocations chômage et pour les retraites.
Il s’agit dans les deux cas des périodes durant lesquelles des personnes cessent de travailler pendant un certain temps (chômage) ou définitivement (retraites). Les revenus qui sont gagnés au cours des périodes de travail cessent évidemment de l’être et il est donc normal que les travailleurs puissent disposer de ressources au cours de ces périodes.
Dans un pays comme la France c’est l’État qui a organisé des systèmes de financement. Ceux qui ne travaillent pas bénéficient des ressources que les travailleurs sont obligés de payer pour financer ces systèmes de chômage et de retraite. Et bien entendu on doit considérer comme arbitraires les décisions concernant les taux de prélèvement de ces financements, les montants accordés à ceux qui ne travaillent pas et par exemple l’âge auquel on prend sa retraite.
Pour bien évaluer ces systèmes il est utile d’analyser ce qui pourrait se passer si ces procédures étatiques n’existaient pas. De ce point de vue on peut envisager le rôle joué par ce qu’on appelle le revenu permanent. C’est en particulier le célèbre économiste Milton Friedman qui a développé la théorie du revenu permanent.
Elle consiste à dire que les dépenses effectuées par un individu (en particulier les dépenses de consommation) au cours d’une période ne dépendent pas uniquement des revenus obtenus au cours de la même période, contrairement à ce qui est souvent considéré (par exemple dans des études économétriques qui consistent à calculer le rapport entre dépenses de consommation et revenu).
Cela est à juste titre opposé à la théorie keynésienne qui considère que la consommation d’une période (ou plus généralement la demande globale) détermine le niveau de la production et qu’il existe une relation entre la consommation d’une période et le revenu de cette même période.
Le revenu permanent
Le revenu permanent constitue en quelque sorte le revenu obtenu en moyenne au cours de toutes les périodes de la vie (par exemple chaque année). Pour bien envisager ce problème du revenu permanent faisons tout d’abord une hypothèse extrême : supposons qu’un individu ait une connaissance totalement parfaite de tous les revenus qu’il va gagner au cours de sa vie, mais aussi de l’âge auquel il prendra sa retraite et de l’âge auquel il va mourir. Il peut donc essayer de calculer son revenu permanent.
Mais le revenu permanent n’est pas très simple à calculer, d’autant plus qu’il convient de tenir compte des taux d’intérêt que l’on doit payer lorsqu’on emprunte de l’argent et des taux d’intérêt dont on bénéficie lorsqu’on épargne. En effet si un individu a cette année un revenu plus faible que son revenu permanent – par exemple parce qu’il a une période de chômage – et s’il veut faire des achats de consommation correspondant à son revenu permanent il doit emprunter des ressources et donc payer un taux d’intérêt. Par ailleurs s’il considère à juste titre qu’au cours de sa retraite il ne disposera pas des revenus nécessaires pour ses consommations il est incité à accumuler du capital, ce qui lui permettra de faire des achats soit en utilisant les rendements de son capital, soit en dépensant peu à peu ce dernier.
Si cet individu a une connaissance parfaite de ses ressources et de ses dépenses futures, il saura exactement quand il devra emprunter de l’argent et quand il devra épargner. Et en outre son calcul dépendra évidemment de ce qu’il souhaite éventuellement léguer, par exemple, à ses enfants.
Certes il est évident que personne ne peut avoir des informations aussi précises sur toutes les années futures de sa vie en ce qui concerne les périodes au cours desquelles il travaille et gagne des revenus et les autres périodes au cours desquelles il emprunte ou utilise son capital pour financer ses dépenses. On doit donc considérer que le revenu permanent ne peut pas correspondre parfaitement aux hypothèses ci-dessus et qu’il s’agit d’un montant calculé de manière un peu arbitraire.
RépondreSupprimerMais il n’en reste pas moins vrai que les décisions de revenu et de dépenses au cours d’une année dépendent en grande partie des idées que l’on peut avoir au sujet des dépenses et des revenus du futur. Ainsi certains individus vont considérer qu’en cas de chômage ils pourront emprunter pour financer leurs dépenses, alors que d’autres considèrent qu’ils pourront dépenser dans ce cas une partie de leur capital ou les rendements de leur capital. En ce qui concerne la retraite le financement des dépenses ne peut évidemment pas dépendre des emprunts car l’absence de revenus du travail rend cela impossible.
Ce financement est donc nécessairement rendu possible pour un individu en utilisant les rendements de son capital ou même en vendant des parties de son capital. Dans ce dernier cas il existe une incertitude importante. En effet on peut calculer le montant de son capital que l’on peut utiliser chaque année dans la mesure où l’on connait la durée de sa retraite. Mais évidemment on ne peut pas avoir une connaissance parfaite de l’âge de son décès et donc de la durée de sa retraite.
Il y a de ce point de vue un risque important. Mais il est vrai aussi par ailleurs qu’il existe une incertitude au sujet de l’existence éventuelle de périodes et de durée de chômage.
Le problème du service public
Comme on le sait, dans le système public tel qu’il existe en France tous les individus bénéficient de ressources lorsqu’ils ne travaillent pas, en fonction de conditions précises pour éviter qu’ils ne soient continuellement incités à ne pas travailler du tout et de bénéficier malgré tout de ressources de consommation.
Ces ressources proviennent évidemment de ceux qui travaillent. Ainsi un individu contribue au financement des ressources pour les chômages et les retraites d’autrui lorsqu’il travaille et il bénéficie de ressources lorsqu’il ne travaille pas. Le montant obtenu en cas de non-travail dépend essentiellement du revenu obtenu lors des périodes de travail.
RépondreSupprimerSi au cours de sa vie il a connu de très longues périodes de chômage et de retraite, le montant de ses cotisations lors des périodes de travail n’en a pas été augmenté, contrairement à ce qui se passe dans le système de financement individuel du non-travail que nous avons précédemment évoqué.
Il y a uniquement une augmentation de la redistribution entre autrui et lui. Et inversement, bien entendu, si un individu aura eu une très courte durée du non-travail au cours de sa vie, il aura beaucoup contribué à l’allocation de ressources pour le non-travail d’autrui. Dans le système d’origine étatique – tel qu’il existe en France – le financement des périodes de non-travail constitue donc un système de redistribution des ressources de tous les citoyens. Or ceci peut être considéré à juste titre comme contestable puisque le fait de travailler oblige à fournir des ressources à autrui.
La redistribution des ressources entre individus ne constitue pas une caractéristique inhumaine, mais il existe une grande différence entre la redistribution volontaire décidée par ceux qui la financent et qui font des dons à autrui et par ailleurs la redistribution obligatoire de la politique publique.
Le financement des périodes de non-travail
Envisageons alors ce qui pourrait se passer logiquement en l’absence des systèmes publics de financement du chômage et de la retraite, ce qui correspond à une réforme importante qui pourrait être décidée. Contrairement à ce qui se fait dans les politiques publiques, on doit considérer que le chômage et la retraite ne sont pas deux situations indépendantes l’une de l’autre. Ce qui compte c’est le rapport entre les périodes de travail et les périodes de non-travail.
On peut considérer que les dépenses de consommation et les décisions d’épargne dépendent du revenu permanent. Mais évidemment, contrairement à l’hypothèse extrême que nous avons faite ci-dessus, les individus ne peuvent pas avoir une connaissance parfaite de leurs périodes de travail et de non-travail. Mais pour les politiques publiques on ne peut pas non plus prévoir la répartition future des périodes de travail et de non-travail de l’ensemble de la population.
Il y a donc un risque de décisions imparfaites, de telle sorte que les politiques devraient normalement être modifiées bien souvent (pour accroître les cotisations ou diminuer les dons ou, par exemple, pour modifier l’âge de la retraite ou le montant des paiements accordés en cas de chômage).
RépondreSupprimerSi au lieu de politiques publiques pour le financement des périodes de non-travail, on laissait à chacun le soin d’agir en fonction de ses revenus permanents on peut se demander ce qui se passerait probablement. Comme nous l’avons vu il serait incité à épargner et à emprunter. Mais dans la mesure où les individus ne peuvent pas avoir une connaissance parfaite de leurs périodes de travail et de non-travail dans le futur, on doit considérer qu’ils subissent des risques.
Par conséquent dans un système de nature privée – que l’on pourrait à juste titre envisager en remplacement du système étatique – les individus seraient certainement incités à faire partie d’un système de couverture des risques. Il y aurait par exemple des organisations chargées de financer des périodes de non-travail plus importantes que prévu. Ainsi on considérerait comme normal qu’un individu accumule du capital en fonction de ce que l’on considère comme la durée moyenne de la retraite pour tous les individus, mais par ailleurs il paierait les cotisations d’une organisation qui garantirait un paiement dans le cas où la durée de sa retraite serait supérieure à ce qui était prévu.
De ce point de vue le système privé de financement des périodes de non-travail conduirait un peu à une redistribution des ressources, comme cela est le cas pour le système public.
Article initialement publié le 13 janvier 2022
https://www.contrepoints.org/2022/08/21/418997-les-periodes-de-non-travail-dans-la-vie
En principe, dans le monde, quand il y a quelque chose qui marche on copie. Mais, ce qui est quotidien chez les gens intelligents appelés 'le Peuple', ne l'est pas, même pas du tout dans la fonction publique ! Les chefs d’États sont des cons et personne (dans le Peuple) ne dira le contraire !
SupprimerRegardez simplement la Suisse, SEUL pays au monde à être en Démocratie (le contraire étant la dictature). Personne n'en parle (dans les merdias) et pour cause ! c'est le Peuple suisse qui dirige !! C'est LUI qui propose SES lois et vote SES lois !! Vous vous rendez compte ? Là-bas pas de grève ni de manif. Le ou la chef d’État... qui en connaît le nom ? Plus de 56 % des suisses ignore son nom !! Faut dire qu'ils en change chaque année (du 1er Janvier au 31 Décembre).
Çà être bonne politique.
Mais elle n'est pas copiée par les dictatures autour !
INDEMNISATION CHÔMAGE DES DÉMISSIONNAIRES : 25.000 BÉNÉFICIAIRES DEPUIS SA MISE EN PLACE
RépondreSupprimerpar PAUL LAURENT
19/08/2022
Le dispositif a coûté 150 millions d'euros à l'Unedic en deux ans et demi.
Fin 2019 a été mise en place cette promesse d’élection d’Emmanuel Macron qui permet aux salariés ayant démissionné de bénéficier d’allocations chômage dans le cadre de leur reconversion.
25.000 personnes concernées
Recevoir une indemnisation chômage dans le cadre d’une démission pour se reconvertir, c’est possible, mais il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir travaillé pendant cinq ans en continu avant de mettre fin à son contrat de travail. Ensuite, il faut définir un projet de reconversion avec l’aide d’un opérateur de conseil en évolution professionnelle. Enfin, il faut que le projet soit validé par une commission paritaire régionale Transition pro pour son caractère « réel et sérieux ». Si tout se passe bien, le demandeur peut ensuite s’inscrire à Pôle Emploi et recevoir cette indemnisation chômage.
Depuis sa mise en place fin 2019, ce sont près de 25.000 personnes qui ont pu en bénéficier après de démissions. Selon Les Echos, le total des allocations versées à ces personnes cumule environ 150 millions d’euros entre sa mise en place et août 2022, c’est-à-dire deux ans et demi. Chaque année, un budget de 40 milliards d’euros est mis à disposition pour tous les chômeurs. Ainsi, cette mesure qui avait fait craindre par l’opposition une explosion des dépenses de l’Unédic, démontre le contraire.
Une progression du nombre de demandes
En 2022, le nombre de bénéficiaires a été d’environ 3.800 personnes supplémentaires par mois. En 2020, peu de demandes ont été faites. En effet, la mesure était mal connue et l’émergence de l’épidémie de Covid19 en France a freiné ceux qui auraient pu être intéressés. En 2021, le nombre de nouveaux entrants dans cette allocation a été significatif, soit 12.000 indemnisés. L’étude de l’impact du projet de loi estimé que chaque année, le nombre de bénéficiaires se situerait entre 17.000 et 30.000 personnes. Une fourchette qui va être atteinte en 2022.
« Le dispositif décolle, c'est très encourageant », explique Antoine Foucher qui a été directeur de cabinet de Muriel Pénicaud qui a porté ce projet lorsqu’elle était ministre du Travail. Pour Stéphane Giboudaud, le directeur général de Transition pro pour la région Auvergne-Rhône-Alpes, « il y a clairement une accélération du nombre de dossiers déposés ». Les personnes qui font appel à cette allocation se lancent le plus souvent dans les services, le commerce ou l’artisanat.
https://economiematin.fr/news-indemnisation-chomage-demissionnaires-25000-beneficiaires-depuis-mise-place
(...) Recevoir une indemnisation chômage dans le cadre d’une démission pour se reconvertir, c’est possible, mais il faut remplir certaines conditions. La première est d’avoir travaillé pendant cinq ans en continu avant de mettre fin à son contrat de travail. (...)
SupprimerPar exemple: être inscrit depuis au moins 5 ans à l'ANPE.
Le service postal américain se lance maintenant à plein temps dans le secteur de la fraude électorale avec une nouvelle division qui « gérera » tous les bulletins de vote par correspondance
RépondreSupprimervendredi 19 août 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Si vous pensiez que l'élection volée du président Donald Trump en 2020 n'était qu'une élection ponctuelle, vous vous trompez gravement, car il semble que le service postal américain sous Joe Biden se politise également.
Selon The Federalist, l'USPS tente de "résoudre" le problème de l'augmentation du vote par correspondance en créant une toute nouvelle division appelée Division des services électoraux et gouvernementaux. Le premier directeur de la division est Adrienne E. Marshall, un vétéran du service postal.
Mais c'est là que cela devient suspect : "Marc Elias, le plus grand professionnel de la loi démocrate et partisan de longue date des élections par courrier, [a tweeté] son approbation", a poursuivi The Federalist.
Le Fédéraliste poursuit :
La raison d'être de cette nouvelle division est que l'utilisation croissante des bulletins de vote par correspondance nécessite une attention supplémentaire pour garantir que le plus grand volume de bulletins de vote par correspondance puisse être traité par un USPS de plus en plus surchargé.
L'USPS a indiqué avoir livré plus de 135 millions de bulletins de vote en 2020, dont 40 millions jusqu'à présent cette année lors des primaires.
Elias et d'autres puissants démocrates de gauche recherchent depuis longtemps le vote par correspondance universel parce qu'ils savent à quel point il est facile de tricher (et ils l'ont fait lors des élections de 2020, comme en témoigne le documentaire "2000 Mules", produit par Dinesh D' Souza). Ils savent, par exemple, que les listes locales d'inscription des électeurs sont notoirement obsolètes et qu'en envoyant des bulletins de vote à "tout le monde sur la liste", il y a des millions de votes qui peuvent être volés dans tout le pays.
C'est ce qui est arrivé à Trump : il a obtenu plus de votes légitimes la dernière fois qu'en 2016, et pourtant, d'une manière ou d'une autre, un homme qui a fait campagne (en quelque sorte) depuis son sous-sol ; qui ne pouvait pas attirer une fraction des foules que Trump attirait lorsqu'il faisait des apparitions en direct ; qui n'a jamais vu un défilé spontané de bateaux ou de voitures lancé pour le soutenir ; et qui a perdu tous les comtés phares à l'exception d'un… "battre" Trump avec plus de 81 millions de voix ?
Il n'y a aucun moyen que cela se produise sans beaucoup d'"aide" sournoise.
«Les élections organisées par courrier sont un objectif de longue date d'Elias et d'autres depuis bien avant les craintes de santé publique concernant le vote en personne pendant la pandémie de Covid-19. Il est instructif de noter que la plupart des pays européens ont trouvé que les bulletins de vote par correspondance étaient susceptibles d'être frauduleux et ont limité leur utilisation », a rapporté The Federalist.
Les Américains devraient-ils s'inquiéter de cette nouvelle division USPS ? Le Fédéraliste propose :
RépondreSupprimerLe service d'inspection postale des États-Unis est la plus ancienne branche fédérale d'application de la loi. En ce qui concerne le courrier lié aux élections, à la fois le matériel de campagne et les bulletins de vote, le service d'inspection postale indique qu'il surveille "le courrier politique et électoral pendant qu'il circule sur le réseau postal pour prévenir, identifier et résoudre tout problème susceptible d'interférer avec sa livraison sécurisée et rapide". Tout cela semble bien en théorie, mais que se passe-t-il si le courrier ne passe pas ? Ou s'il ne passe pas sélectivement ? Enquêter après coup ne changera pas les résultats des élections.
Quant à la preuve de la fraude électorale, la plus grande excuse des sceptiques a toujours été : "Il n'y a aucune preuve que l'élection a été truquée et donc volée." Jusqu'à présent, bien sûr.
Un nouveau film documentaire de Dinesh D'Souza mettant en vedette des analystes électoraux très expérimentés qui utilisent à la fois des données et des vidéos prouve au-delà de tout doute raisonnable que les démocrates ont conspiré pour réaliser le plus grand vol électoral de l'histoire de notre pays. Pire encore, à moins que les assemblées législatives républicaines des principaux États du champ de bataille ne fassent plus pour garantir la tenue d'élections, cela se reproduira encore et encore jusqu'à ce que nos élections perdent tout leur sens.
Dans une interview avec le fondateur de Turning Point USA, Charlie Kirk, avant la sortie du film, les chercheurs électoraux Catherine Engelbrecht et Gregg Philips ont décrit ce qu'ils ont trouvé lorsqu'ils ont obtenu plusieurs téraoctets de données de suivi de vidéo et de téléphone portable. Le rapport est concis, facile à suivre et rempli de documentation vidéo.
L'élection de 2020 a été volée. L'USPS de Biden semble tenter d'institutionnaliser le vol d'élections.
Les sources comprennent :
NaturalNews.com
LeFédéraliste.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-19-u-s-postal-service-going-into-election-fraud-business-full-time.html
S'ils faisaient aux États-Unis un vote 'Pour ou contre la Démocratie' les bulletins de vote arrivant seraient tous marqués 'Vive la dictature mort à la Démocratie' !
SupprimerQUELS SONT LES ENGINS LES PLUS COURANTS EN AGRICULTURE ET EN BTP ?
RépondreSupprimerpar PARTENAIRE
19/08/2022
Si vous souhaitez devenir un professionnel du BTP ou du domaine agricole, il est fondamental que vous ayez une bonne connaissance des engins utilisés. En effet, ces deux domaines d’activité sont axés sur de lourds travaux dont l’exécution nécessite l’usage d’engins spécifiques.
Si en BTP, il faut soulever de lourdes charges, le domaine agricole quant à lui requiert de l’endurance pour cultiver de vastes surfaces de terre. Découvrez ici quelques engins utiles pour effectuer des travaux agricoles ou de construction.
Les chargeuses
Une chargeuse est un engin de travaux BTP, qui a pour rôle de favoriser le terrassement du sol. Elle possède un godet vers l’avant qui lui permet de transporter de lourdes charges sur le chantier. Équipée d’un système mécanique, la benne a la capacité de tourner dans tous les sens.
Vous n’avez donc plus à vous inquiéter pour le transport des matériaux tels que le gravier, les déchets, la terre, etc. Facile à trouver sur le marché, vous pourriez vous procurer votre chargeuse chez Ritchie Bros. Auction.
La pelleteuse
Très appréciée pour sa grande polyvalence, la pelleteuse est pratique pour exécuter de nombreuses tâches sur un chantier. De façon concrète, l’engin aide à creuser le sol, à déplacer et extraire des matériaux, puis à niveler les terrains. Par son efficacité, la pelleteuse peut aussi jouer le rôle de compacteur.
Cet engin se reconnaît à travers des éléments clés tels que : la flèche, le godet, le balancier et la tourelle pivotante de 360 °. Toutefois, il est possible de trouver des modèles montés soit sur un châssis à pneumatique, soit sur des chenilles.
La (le) tractopelle
Parce qu’elle combine à la fois les fonctions de la chargeuse et de la pelleteuse, la tractopelle se fait aussi appeler chargeuse-pelleteuse. Elle possède une benne à l’avant et une pelle à l’arrière qui font d’elle un engin très variable.
Bien qu’elle soit souvent présente sur les petits chantiers, vous pourriez toutefois vous en servir sur de grands chantiers. Dans ce cas, il faudra choisir votre engin en tenant compte des dimensions et du volume de la pelle. Elle s’emploie pour des excavations, des opérations de remblayage, de réalisation de tranchée, etc.
Le tombereau et la bétonnière
Semblable à un camion, le tombereau est l’engin de transport de charge par excellence sur un chantier. Si les modèles standards portent en moyenne 10 tonnes de charges, les modèles haut de gamme peuvent prendre jusqu’à 350 tonnes. Vous pouvez l’exploiter sur une carrière, pour la construction d’un tunnel, d’une canalisation, d’une route, etc.
Comme son nom l’indique, une bétonnière aide à la réalisation du béton pour une construction. Plutôt délicat comme engin, sa manipulation nécessite une grande attention, afin d’éviter les accidents de travail ou défaut de construction.
RépondreSupprimerQuelques engins utilisés dans le domaine agricole
Dans un premier temps, on pourrait citer les tracteurs, qui sont perçus comme des incontournables du domaine agricole. Multifonctionnel, le tracteur vous sera d’une grande aide sur les grands terrains agricoles. Avec cet engin, vous pourrez labourer, cultiver et éliminer les parasites présents dans la terre.
Vous avez ensuite la moissonneuse-batteuse qui grâce à sa précision et sa rapidité s’avère très pratique pour la récolte. C’est donc un impératif pour effectuer la moisson sur les vastes étendues de terre. Disponible en des modèles variés, vous pourrez en choisir selon vos convenances.
https://economiematin.fr/news-quels-sont-engins-plus-courants-agriculture-btp
Tracteurs ou engins de chantier de 20 000 à 450 000 € (voire plus pour lourdes charges).
Supprimer+ conso mazout. Par contre, pour une motobineuse, démarrage à 500 €
Tout le contenu de l'univers, dans un seul graphique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 21 AOÛT 2022 - 05:00
Les scientifiques s'accordent à dire que l'univers se compose de trois parties distinctes : la matière visible (ou mesurable) de tous les jours et deux composants théoriques appelés matière noire et énergie noire.
Comme Mark Belan de Visual Capitalists l'explique ci-dessous, ces deux derniers sont théoriques car ils n'ont pas encore été directement mesurés - mais même sans une compréhension complète de ces mystérieuses pièces du puzzle, les scientifiques peuvent en déduire que la composition de l'univers peut être décomposée comme suit :
- voir cadre sur site -
Examinons chaque composant plus en détail.
Énergie noire
L'énergie noire est la substance théorique qui contrecarre la gravité et provoque l'expansion rapide de l'univers. C'est la plus grande partie de la composition de l'univers, imprégnant tous les coins du cosmos et dictant comment il se comporte et comment il finira par se terminer.
Matière noire
La matière noire, en revanche, a une force restrictive qui travaille en étroite collaboration avec la gravité. C'est une sorte de "ciment cosmique" responsable de la cohésion de l'univers. Bien qu'il évite les mesures directes et reste un mystère, les scientifiques pensent qu'il constitue le deuxième plus grand composant de l'univers.
Hydrogène et hélium libres
L'hydrogène et l'hélium libres sont des éléments qui flottent librement dans l'espace. Bien qu'ils soient les éléments les plus légers et les plus abondants de l'univers, ils représentent environ 4 % de sa composition totale.
Étoiles, neutrinos et éléments lourds
Toutes les autres particules d'hydrogène et d'hélium qui ne flottent pas librement dans l'espace existent dans les étoiles.
Les étoiles sont l'une des choses les plus peuplées que nous puissions voir lorsque nous regardons le ciel nocturne, mais elles représentent moins de 1 % (environ 0,5 %) du cosmos.
Les neutrinos sont des particules subatomiques similaires aux électrons, mais ils sont presque sans poids et ne portent aucune charge électrique. Bien qu'ils émergent de chaque réaction chimique, ils représentent environ 0,3 % de l'univers.
Les éléments lourds sont tous les autres éléments à l'exception de l'hydrogène et de l'hélium.
Les éléments se forment dans un processus appelé nucléosynthèse, qui se déroule dans les étoiles tout au long de leur vie et lors de leur mort explosive. Presque tout ce que nous voyons dans notre univers matériel est composé de ces éléments lourds, mais ils constituent la plus petite partie de l'univers : un maigre 0,03 %.
Comment mesure-t-on l'univers ?
RépondreSupprimerEn 2009, l'Agence spatiale européenne (ESA) a lancé un observatoire spatial appelé Planck pour étudier les propriétés de l'univers dans son ensemble.
Sa tâche principale était de mesurer la rémanence du Big Bang explosif qui a donné naissance à l'univers il y a 13,8 milliards d'années. Cette rémanence est un type spécial de rayonnement appelé rayonnement de fond diffus cosmologique (CMBR).
La température peut en dire long aux scientifiques sur ce qui existe dans l'espace. Lorsqu'ils étudient le « ciel micro-ondes », les chercheurs recherchent des fluctuations (appelées anisotropie) de la température du CMBR. Des instruments comme Planck aident à révéler l'étendue des irrégularités de la température du CMBR et nous informent sur les différents composants qui composent l'univers.
Vous pouvez voir ci-dessous comment la clarté du CMBR change au fil du temps avec plusieurs missions spatiales et une instrumentation plus sophistiquée.
- voir sur site -
Quoi d'autre est là-bas ?
Les scientifiques travaillent toujours à comprendre les propriétés qui composent l'énergie noire et la matière noire.
La NASA prévoit actuellement le lancement en 2027 du télescope spatial romain Nancy Grace, un télescope infrarouge qui, espérons-le, nous aidera à mesurer pour la première fois les effets de l'énergie noire et de la matière noire.
Quant à ce qui est au-delà de l'univers ? Les scientifiques ne sont pas sûrs.
Il y a des hypothèses selon lesquelles il pourrait y avoir un « super univers » plus grand qui nous contient, ou nous pourrions faire partie d'un univers « insulaire » séparé des autres multivers insulaires. Malheureusement, nous ne sommes pas encore en mesure de mesurer quoi que ce soit d'aussi loin. Démêler les mystères du cosmos profond, du moins pour l'instant, reste une entreprise locale.
https://www.zerohedge.com/technology/all-contents-universe-one-graphic
La nuit on voit au ciel des étoiles pas des planètes, car les planètes sont des étoiles éteintes comme l'était la notre y a qq milliards d'années avant de recevoir SA boule de glace en pleine gueule. Plaouf !
SupprimerQuant aux 'extraterrestres', là, vaut mieux pas y penser. Ils sont aussi loin de nous qu'eux de notre planète, mais le rêve de station spatiale qui mettrait x milliers d'années pour y aller cherche encore ses kamikazes.
Hors de la guerre, l’Italie !
RépondreSupprimerPar Manlio Dinucci
Mondialisation.ca,
21 août 2022
De plus en plus évident est le fait que la guerre en cours n’est pas seulement entre la Russie et l’Ukraine, mais entre la Russie et l’OTAN. Ce que confirme la nouvelle donnée par le New York Times que des milliers de soldats ukrainiens sont entraînés sur le sol britannique. États-unis, Grande-Bretagne, Canada, Danemark, Pologne et d’autres pays ont entraîné et armé depuis 2015 des dizaines de milliers de soldats ukrainiens, utilisés contre la Russie, de fait sous commandement USA-OTAN.
Parallèlement est menée une campagne croissante pour diffuser la haine contre la Russie. Dans le Central Park de New York a été installée, dans un parc de jeux, une statue de Poutine de couleur rouge sang, assis sur un char d’assaut contre lequel les enfants tirent avec leurs pistolets factices. Ainsi diffuse-t-on en Occident le type d’”éducation” opéré depuis des années en Ukraine dans les camps-école du bataillon Azov où enfants et adolescents reçoivent une formation fondée sur les idées de suprématisme blanc et le néo-nazisme. Pendant que le gouvernement ukrainien annonce qu’il enverra au bûcher 100 millions de livres russes (y compris tous les classiques de la littérature) considérés comme “source du Mal”, l’Italie contribue à ce type d’”éducation” en allouant 200 millions d’euros, soustraits à l’École Publique, pour le paiement des salaires des enseignants des écoles ukrainiennes.
Le croissant engagement militaire italien sur le front oriental et dans d’autres scénarios de guerre comporte une dépense militaire croissante. Mario Draghi, de la dissolution des Chambres (21 juillet) jusqu’à ce jour, a transmis aux Chambres 7 décrets pour des programmes d’armement dont le coût dépasse les 7 milliards d’euros. Ainsi continue à augmenter la dépense militaire italienne, qui a grimpé à 29 milliards d’euros annuels, équivalents à 80 millions d’euros par jour, soustraits aux dépense sociales fondamentales.
Manlio Dinucci
Pour voir la vidéo en italien, cliquez sur ce lien :
https://www.byoblu.com/2022/08/19/fuori-litalia-dalla-guerra-grandangolo-pangea/
- voir sur site -
Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo de vendredi 19 août 2022 à 20h30 sur la chaîne italienne Byoblu
https://www.byoblu.com/2022/08/19/fuori-litalia-dalla-guerra-grandangolo-pangea/
Reçu de l’auteur et traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio
https://www.mondialisation.ca/hors-de-la-guerre-litalie/5670643
Le scandale Biden délibérément étouffé dans la campagne électo-rale
RépondreSupprimerÀ la fin de la campagne électorale américaine de 2020, Anna Makanju experte en réglementation chez Facebook a été chargée de qualifier de fake news toutes les informations négatives concernant Joe Biden sur Facebook. Anna Makanju était cependant loin d'être une personne neutre et était elle-même impliquée dans les scandales de Biden. [lire la suite]
Le scandale Biden délibérément étouffé dans la campagne électo-rale
- voir clip sur site -
20.08.2022
www.kla.tv/23398
La manière dont les politiques influencent la couverture médiatique, en particulier sur les médias sociaux, peut être illustrée par l’exemple suivant. À la fin de la campagne électorale américaine de 2020, Anna Makanju, l'experte de Facebook en politique publique et en droit, a été chargée de qualifier de fake news toutes les informations négatives concernant Joe Biden sur Facebook et de bloquer toute personne qui créait des liens vers les sources originales. Le contenu des informations était explosif ; il concernait principalement des paiements clandestins de plusieurs dizaines de millions de dollars depuis l’Ukraine à une société new-yorkaise. Joe Biden et son fils Hunter Biden, avocat et lobbyiste économique américain, étaient impliqués dans ces affaires. A l'époque, Biden était encore responsable de l'Ukraine en tant que vice-président américain. Il est intéressant de noter qu’Anna Makanju était alors la responsable de l’Ukraine sous Biden, ainsi que membre non résident du réseau transatlantique « Atlantic Council ». Il s’agit d’un groupe de réflexion dont la mission est de promouvoir le leadership américain dans le monde et d’influencer les affaires internationales. Anna Makanju était donc loin d’être neutre ! Pourtant, dans la phase finale de la campagne électorale, elle a été autorisée à effacer sur Facebook tout ce qui était connu au sujet des scandales de Biden en Ukraine.
de urb./sak.
Sources / Liens :
Buch: „Inside Corona“ von Thomas Röper, erschienen beim J.K.Fischer Verlag, S. 280
https://www.atlanticcouncil.org/expert/anna-makanju/
https://www.washingtonpost.com/politics/2019/12/04/gop-tries-connect-dots-biden-ukraine-comes-up-short/
https://www.kla.tv/fr
Les producteurs de bétail de l'Oklahoma préviennent que les conditions de sécheresse pourraient faire grimper les prix du bœuf à 50 $ la livre
RépondreSupprimerDimanche 21 août 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Alors que la sécheresse continue de faire des ravages dans une grande partie de l'Oklahoma, les éleveurs de bétail de l'État préviennent que si les conditions ne s'améliorent pas, les prix du bœuf pourraient grimper à 50 dollars la livre.
Il y a environ une décennie, lors de la dernière sécheresse profonde de l'Oklahoma, les conditions sèches étaient principalement limitées à certaines parties de l'État. Cela a toujours été le cas pour l'Oklahoma, certaines régions souffrant de conditions sèches et étant soutenues par d'autres régions avec de meilleures conditions météorologiques.
Mais maintenant, les informations météorologiques fédérales montrent que tout l'État est actuellement classé comme étant en état de sécheresse. Certaines zones sont considérées comme "anormalement sèches", tandis que d'autres sont répertoriées comme connaissant des conditions de sécheresse plus "extrêmes".
Les conditions de sécheresse ne se limitent pas à l'Oklahoma. De nombreuses régions d'autres États environnants, en particulier le Texas, connaissent également de graves niveaux de sécheresse, ce qui rend difficile pour les éleveurs de bétail de trouver de l'aide à proximité.
Certains programmes fédéraux peuvent apporter une aide, notamment le Livestock Forage Disaster Program, qui fournit une aide financière aux producteurs éligibles qui subissent une sécheresse pendant la saison de pâturage habituelle, entraînant la perte de bétail.
Le programme d'aide d'urgence pour le bétail, les abeilles et les poissons d'élevage fournit également une aide financière pour certaines pertes d'aliments associées à des coûts accrus pour transporter l'eau au bétail, transporter les aliments pour le bétail ou transporter le bétail vers les zones de pâturage.
Cependant, ces deux programmes ne peuvent payer qu'une partie des dommages causés par la canicule actuelle. Le montant des paiements est déterminé par les coûts locaux et les niveaux de sécheresse du U.S. Drought Monitor.
L'élevage de bétail devient beaucoup trop cher pour maintenir les prix du bœuf bas
La chaleur brutale pèse lourdement sur la production de foin et assèche de nombreux pâturages sur lesquels le bétail paît pendant cette période de l'année. La faiblesse des approvisionnements en aliments pour animaux fait grimper les prix, ce qui pousse les éleveurs de bétail à prendre des décisions difficiles avec leurs troupeaux, notamment en augmentant les prix. (Connexe : De plus en plus de bovins producteurs de veaux sont vendus pour l'abattage, décimant les troupeaux de bovins et faisant grimper les prix du bœuf.)
"L'herbe de mon pâturage est probablement la moitié de ce qu'elle est normalement", a déclaré Jordan Cook, un producteur de bétail de race. "Cela signifie que nous avons commencé à donner du foin en juillet, et normalement nous ne commençons pas à donner du foin avant octobre ou novembre, selon l'année."
RépondreSupprimer"Une charge d'aliments peut coûter, probablement, 8 000 à 9 000 dollars", a déclaré Cook. "Vous ne pouvez pas avoir ce coût supplémentaire chaque mois."
Cook a ajouté qu'elle et de nombreux autres éleveurs de bétail sont obligés de "littéralement transporter de l'eau parce que les étangs sont à sec... Le diesel et l'essence nécessaires pour transporter l'eau sont probablement notre plus grand défi".
"S'il en coûte 200 $ pour nourrir et élever une vache en 2021 à une valeur marchande de 600 $, imaginez quelle sera la valeur lorsque les troupeaux de 2022 atteindront le même marché à la recherche de la même marge bénéficiaire", a écrit Kelso pour Z94.
Il a ajouté que les restrictions économiques de 2020, associées aux problèmes de chaîne d'approvisionnement de 2021 et à l'inflation rapide de cette année, les producteurs de bœuf du sud-ouest de l'Oklahoma ont calculé que le bœuf haché bon marché pourrait éventuellement coûter aux consommateurs 50 $ la livre.
« Pire encore, alors que le bœuf est le sujet parce que l'Oklahoma est un État producteur de bœuf, la même tendance se produit également pour d'autres protéines élevées en ce moment », a écrit Kelso. "La réponse ne sera pas" Nous allons simplement passer au poulet ". Ces prix augmentent également régulièrement, et ne déprimons pas ensemble en pensant au bacon et à la longe de porc. "
En savoir plus sur la hausse des prix alimentaires sur FoodInflation.news.
Regardez ce clip de WION expliquant comment plus de 10 000 bovins sont morts au Kansas à cause de la sécheresse.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne WGON sur Brighteon.com.
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Les sources comprennent :
Z94.com
KOSU.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-21-oklahoma-cattle-producers-drought-conditions-push-beef-prices.html
ÉTHIOPIE: Les pilotes s’endorment et oublient d’atterrir
RépondreSupprimerL’avion qui devait se poser à Addis Abeba a survolé l’aéroport, déclenchant une alarme qui a réveillé l’équipage. Tout s’est bien terminé.
19 août 2022, 14:10
par Michel Pralong
C’est un Boeing 737 d’Ethiopian Airlines qui a connu cette mésaventure, heureusement sans conséquence.
Le 15 août, un Boeing 737 d’Ethiopian Airways reliait Khartoum, au Soudan, à Addis Abeba en Éthiopie. À l’approche de sa destination, le vol ET-343 n’est pas descendu. La tour de contrôle a tenté à plusieurs reprises de contacter l’équipage, mais sans réponse.
Le pilote et le copilote s’étaient endormis, laissant l’avion sur pilotage automatique, comme l’explique «The Aviation Herald». L’appareil a donc survolé la piste sur laquelle il devait se poser. Sa destination étant dépassée, le pilotage automatique s’est désactivé, déclenchant une alarme qui a réveillé l’équipage.
Après avoir repris ses esprits, le pilote a posé l’appareil sans souci, avec 25 minutes de retard sur l’horaire prévu.
https://www.lematin.ch/story/les-pilotes-sendorment-et-oublient-datterrir-534960106565
Encore une chance que le pilote automatique ce soit réveillé !
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