- ENTREE de SECOURS -



mercredi 31 août 2022

Le Vaccin est une peine de Mort !!?

 


à 29;43 l'intervenant parle de 'virus lâché dans la nature' ! Ou cette poussière N'EST PAS DANS L'AIR mais UNIQUEMENT en seringues !

Clip daté du January 24, 2022, donc: les intervenants savaient ce que contenaient les flacons injectables (découverte de Juillet 2021 de Dr Carrie Madej et Astrid Stückelberger qui en plus découvre l'hydre).

En Septembre 2020, la virologue chinoise Li Meng-Yan a découvert et publié son rapport sur le 'nouveau virus fabriqué. Oui mais... comment est-il parvenu aux laboratoires Moderna, J&J, Pfizer, AstraZeneca ?

AUCUNE posologie n'accompagne les expérimentations géniques d'essais (frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins') !

De plus, les laboratoires sont exemptés de responsabilité !!
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Alexandra Henrion-Caude sur launetv : On ne sait pas s'ils (les vaccinés) pourrons avoir des enfants



Pensez à l'anormalité des enfants qui naissent aujourd'hui de parents inoculés !

A 3 mois un enfant se retourne seul !
A 6 mois l'enfant marche au lieu d'attendre 9 mois !

(ils ont de grands yeux noirs !). 

Leur destin ?...

60 commentaires:

  1. Vaccins anti-Covid: une étude allemande rapporte des effets inquiétants sur le sang


    le 30 août 2022 - 14:30


    « Les programmes de vaccination Covid-19 doivent cesser sur-le-champ ». C’est ainsi que s'achève un rapport allemand sur les effets néfastes des vaccins anti-Covid, rendu public le 6 juillet dernier sans qu’aucun média mainstream n’en fasse état.

    Le document est disponible en français (mis en ligne par le site Profession Gendarme) et en allemand.

    De quoi s'agit-il ?

    Le résumé se compose de 70 pages (une dizaine de pages destinées au public général et 60 pages de documentation technique avec clichés, graphiques etc.) et constitue la version préliminaire d’une présentation « en évolution continue » où figurent les recherches et conclusions concernant les vaccins, leur impact sur le corps humain, et surtout, sur le sang. Le rapport est publié sous la responsabilité du physicien et astronome Dr Klaus Retzlaff, à Hecklingen, qui a accès à des laboratoires dotés d’équipements de pointe. Le Dr Retzlaff collabore avec les auteurs du rapport, groupe interdisciplinaire d’environ 60 spécialistes, réunis autour de l’association de type 1901 Aerzte fuer Aufklaerung (ÄfA, Médecins pour l’élucidation).

    Le groupe est composé de médecins, chimistes, microbiologistes, pharmacologistes, conseillés par des avocats et mathématiciens. Cependant, à l’exception du Dr Retzlaff et des responsables de ÄfA, les auteurs ont choisi l’anonymat pour se protéger contre les représailles. En 2021, le Dr Stefan Hockertz, l’un des vaccinologues les plus réputés d’Europe et l’un des premiers à alerter le public au sujet des effets secondaires de la vaccination, a été obligé de se réfugier en Suisse après des perquisitions de police chez lui, et le gel de tous ses avoirs en Allemagne.

    Lire aussi : Vaccins: "8 vaccinés sur 1 000 souffrent d'effets secondaires graves", selon une étude allemande

    Les analyses dont fait état le rapport portent sur le sang de 48 personnes vaccinées, et d’un groupe équivalent de non-vaccinés, ainsi que sur le contenu même des fioles d’injections des fabricants suivants : AstraZeneca, BioNTech/Pfizer, Moderna, J&J, Lubecavax, Influspit Tera (ce dernier, pour comparaison avec des vaccins antigrippaux). Différentes techniques en laboratoire ont été appliquées au contenu : la microscopie électronique à balayage, la spectroscopie de rayons X à dispersion d'énergie, la spectroscopie de masse, l’analyse de plasma à couplage inductif, la microscopie à fond lumineux et à fond noir, le diagnostic sur images d’une goutte de sang de personne vivante, ainsi que l’analyse des images par intelligence artificielle (IA).

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  2. Des éléments métalliques indésirables
    À la surprise des scientifiques, la présence des éléments métalliques suivants (dimension des particules : de 1 µm à 100 µm) a été détectée dans les doses d’AstraZeneca, de BioNTech/Pfizer et de Moderna :

    - métaux alkalins : caesium (Cs), potassium (K),
    - métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), barium (Ba),
    - métaux de transition : cobalt (Co), iron (Fe), chromium (Cr), titanium (Ti),
    - métaux de terres rares : cerium (Ce), gadolinium (Gd),
    - Groupe boron : aluminium (Al),
    - Groupe carbone : silicon (Si) (en partie matériel du support /transparent),
    - Groupe oxygène : sulphur (S)

    Dans les fioles et dans le sang des vaccinés, les scientifiques ont observé des objets de « dimensions inadmissibles selon les bonnes pratiques industrielles » (good manufacturing practice ou GMP), c'est-à-dire au-delà de 0.22 μm.

    Des effets secondaires sur le long terme

    Le groupe indique avoir pris la précaution de comparer ses conclusions à celles de plusieurs groupes à l’international effectuant les mêmes recherches ; tous les résultats étant concordants, le groupe allemand considère ses propres résultats comme valides. Ainsi, les scientifiques déplorent l’inaction du Paul Ehrlich Institute, agence chargée par le ministère de la Santé allemand de contrôler les vaccins.

    Lire aussi : Effets secondaires des vaccins: un assureur allemand pulvérise les rapports officiels

    En trois points, les chercheurs présentent leurs conclusions :

    1. Dans tous les échantillons des doses de vaccins, sans exception, il a été trouvé des composants qui :

    « - sont toxiques selon les recommandations médicales, dans les quantités présentes,
    « - n’avaient pas été déclarées par les fabricants,
    « - sont en leur majorité métalliques,
    « - sont visibles en microscopie à fond noir comme étant des structures complexes et distinctives [...]
    « - ne sont qu’en partie explicables comme issus de la cristallisation ou de la décomposition,
    « - ne peuvent être expliquées comme une contamination issue du processus de fabrication. »

    2. Lorsque des échantillons de sang des deux groupes (vaccinés/non-vaccinés) sont observés sous microscope à fond noir, des changements remarquables apparaissent dans le sang des vaccinés, sans exception, et même en l’absence de symptôme ou réaction négative. Des structures complexes qui ressemblent à celles trouvées dans les fioles de vaccins ont été observées dans le sang des vaccinés. Les analyses de l’intelligence artificielle confirment les observations des scientifiques, et ces différences entre le sang des deux groupes « indique que ces vaccins peuvent provoquer des modifications à long terme dans la composition du sang des vaccinés, sans que ceux-ci soient conscients des modifications. »

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  3. 3. Plus stable est l’enveloppe des particules nanolipidiques, plus importante est la quantité d’ARNm à pénétrer dans les cellules, là où la protéine Spike sera produite. En conséquence, plus fréquents sont les effets secondaires. Ces résultats correspondent à ceux des autopsies effectuées par des médecins légistes.

    Lire aussi : L’innocuité des vaccins à ARNm remise en cause

    Le groupe a observé des formations cristallines dans le sang de tous les vaccinés observés ; dans tous les cas examinés, les erythrocytes (globules rouges) présentaient la formation dite « en rouleaux ». Par ailleurs, la désintégration de différents types de cellules était plus rapide chez les vaccinés que dans le groupe de contrôle, soulevant l’hypothèse d’une éventuelle artériosclérose, de maladies auto-immunes et/ou inflammatoires.

    "Il faut généraliser la compréhension des dangers des vaccins anti-Covid"
    En conclusion, les auteurs allemands livrent les raisons pour lesquelles ils se sont engagés dans ces recherches :

    « Nous nous sommes regroupés avec toutes nos compétences et expertise technique, pour aider à élucider ce que nous considérons comme la plus grande expérimentation pharmacologique jamais conduite sur la race humaine. Jamais, dans toute l’histoire scientifique ou médicale, nous n'avions osé soumettre une population entière à une expérimentation médicale – et génétique. Si quelqu’un s’était proposé de le faire sur toute autre espèce, la proposition aurait sans doute été rejetée pour le motif que cela violait le principe de conservation de l’espèce. [...] Le fait de poursuivre l’expérimentation sans le moindre indice que l’on veuille l’arrêter, le fait que le nombre d’effets secondaires et d’accidents provoqués par ces soi-disant vaccins soit sans précédent, le fait que les statistiques nationales de par le monde révèlent une nette surmortalité suite aux programmes vaccinaux respectifs, le fait qu’aucun procureur public ne soit intervenu, en dépit des évidentes conséquences mortifères des programmes, le fait que tous ceux qui ont critiqué le programme de vaccination ont été calomniés publiquement, ostracisés et ruinés financièrement, nous remplit d’horreur... Raison pour laquelle, contrairement aux pratiques habituelles en matière scientifique, nous avons décidé de nous protéger sous l’anonymat. »

    Ils assurent que leurs résultats devraient être connus de tous :

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  4. « S’il reste beaucoup à découvrir, ce que nous avons déjà observé est d’une telle importance que le public, et la communauté scientifique en particulier, doit en avoir connaissance. Il faut généraliser la compréhension des dangers des vaccins COVID-19 et conduire des recherches pour tenter de prévenir, ou au minimum de mitiger, les conséquences les plus dangereuses pour la santé humaine. [...] En réalité, à la lumière des risques déjà connus, les programmes de vaccination auraient dû cesser il y a longtemps. Pour atteindre ce but, nos conclusions doivent trouver un écho très large dans les médias de masse ».

    https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccins-anti-covid-une-etude-allemande-rapporte-des-effets-inquietants-sur-le-sang

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    Réponses
    1. C'est presque la composition des chemtrails !!

      (...) « - sont toxiques selon les recommandations médicales, dans les quantités présentes,
      « - n’avaient pas été déclarées par les fabricants,
      « - sont en leur majorité métalliques,
      « - sont visibles en microscopie à fond noir comme étant des structures complexes et distinctives [...]
      « - ne sont qu’en partie explicables comme issus de la cristallisation ou de la décomposition,
      « - ne peuvent être expliquées comme une contamination issue du processus de fabrication. » (...)

      Toxiques dans les quantités présentes et majoritairement métalliques ! Nano-particules d'oxyde de graphène (40 000 milliards par flacon injectable !), cela représente de 95 à 99 % du flacon !!

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  5. Le gouvernement britannique confirme que 9 décès sur 10 par COVID au cours de l'année dernière ont été parmi les personnes entièrement / triplement vaccinées


    mardi 30 août 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Les chiffres officiels publiés par le gouvernement britannique révèlent que la population entièrement/triplement vaccinée a représenté plus de 9 décès sur 10 par Covid-19 en Angleterre au cours de l'année écoulée, 91 % de tous les décès par Covid-19 depuis le début de 2022 , et 94% de tous les décès de Covid-19 depuis début avril 2022.

    (Article republié de Expose-News.com)

    Le 6 juillet, une agence gouvernementale britannique, connue sous le nom d'Office for National Statistics (ONS), a publié des données sur les décès par statut vaccinal en Angleterre jusqu'au 31 mai 2022.

    - voir graph sur site -

    Le dernier ensemble de données de l'ONS est intitulé "Décès par statut de vaccination, Angleterre, 1er janvier 2021 au 31 mai 2022", et il peut être consulté sur le site de l'ONS ici et téléchargé ici.

    - voir tableau sur site -

    La source

    Le tableau 1 du dernier ensemble de données contient des chiffres sur les taux de mortalité par statut vaccinal pour les décès toutes causes confondues, les décès impliquant Covid-19 et les décès n'impliquant pas Covid-19. Et c'est ici que nous pouvons connaître le statut vaccinal de toutes les personnes décédées du Covid-19 depuis le début de l'année 2022.

    Voici comment l'ONS présente les chiffres du mois de janvier 2022 -

    - voir tableau sur site -

    Nous avons pris les chiffres fournis par l'ONS pour une année entière et avons produit le graphique suivant montrant les décès de Covid-19 par mois par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er juin 2021 et le 31 mai 2022 -

    - voir graph sur site -

    Janvier 2022 a enregistré le plus de décès parmi la population vaccinée et la population non vaccinée avec 3 914 décès parmi les vaccinés et seulement 693 décès parmi les non vaccinés. Alors que juin 2021 a connu le plus faible nombre de décès parmi la population vaccinée avec 224 décès.

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  6. Cependant, le plus faible nombre de décès parmi la population non vaccinée est survenu en mai 2022, avec 82 décès. Pour le contexte, la population vaccinée a enregistré 1 282 décès au cours du même mois. Cela signifie que les vaccinés représentaient 94 % de tous les décès de Covid-19 au cours du mois le plus récent.

    - voir graph sur site -

    Au total, il y a eu 29 915 décès de Covid-19 en Angleterre entre le 1er juin 2021 et le 31 mai 2022, et 25 280 de ces décès concernaient la population vaccinée, tandis que seulement 4 635 décès concernaient la population non vaccinée. Cela signifie que la population entièrement vaccinée a représenté 85 % / 9 sur 10 décès de Covid-19 au cours des douze derniers mois.

    - voir graph sur site -

    Malheureusement, la campagne de rappel massive de l'hiver 2022 n'a absolument rien fait pour atténuer le nombre considérable de décès parmi la population vaccinée. En toute honnêteté, les données suggèrent que la campagne de rappel a en fait aggravé les choses.

    Le graphique suivant montre les décès de Covid-19 par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er janvier et le 31 mai 2022 –

    - voir graph sur site -

    Dans l'ensemble, il y avait 15 113 décès de Covid-19 au 31 mai 2022, et un nombre choquant de 13 666 de ces décès concernaient la population vaccinée. Mais ce qui est encore plus choquant, c'est que 12 442 de ces décès concernaient la population triple/quadruple vaccinée.

    Cela signifie que la population triple/quadruple vaccinée a représenté un effrayant 91% de tous les décès de Covid-19 parmi les vaccinés depuis le début de 2022.

    - voir graph sur site -

    Malheureusement, la quatrième dose qui a été discrètement déployée depuis le printemps ne montre aucun signe d'amélioration de la terrible situation non plus.

    Le graphique suivant montre les décès de Covid-19 par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er avril et le 31 mai 2022 –

    - voir graph sur site -

    Au total, selon l'ONS, il y a eu 4 935 décès de Covid-19 au cours de ces deux mois, et la population vaccinée a représenté un nombre choquant de 4 647 de ces décès. Mais ce qui est encore plus choquant, c'est que les triples vaccinés représentaient 4 216 de ces décès, avec seulement 288 décès enregistrés parmi la population non vaccinée.

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  7. Le graphique suivant montre le pourcentage de décès de Covid-19 par statut vaccinal en Angleterre entre le 1er avril et le 31 mai 2022, selon le dernier ensemble de données de l'ONS publié quelques heures avant la démission de Boris Johnson -

    - voir graph sur site -

    Les chiffres publiés discrètement révèlent que la population vaccinée dans son ensemble représentait 94 % de tous les décès de Covid-19 en avril et mai 2022, les non vaccinés ne représentant que 6 % de tous les décès de Covid-19. Mais la statistique la plus horrible ici est que 90 % des décès parmi les vaccinés concernaient des personnes qui avaient reçu au moins trois doses d'une injection de Covid-19.

    Ce n'est pas le genre de chiffres que vous vous attendez à voir si les injections de Covid-19 sont vraiment efficaces jusqu'à 95 % pour prévenir la mort, n'est-ce pas ?

    Avec des nouvelles comme celle-ci balayées sous le tapis par les médias grand public, vous vous demandez ce qu'on ne vous dit pas d'autre…

    Read more at: Expose-News.com

    https://www.naturalnews.com/2022-08-30-9-in-10-covid-deaths-past-year-vaccinated.html

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  8. La théorie des fuites de laboratoire et ce que nous savons de la dissimulation


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 00:45
    Écrit par Thomas Fazi via UnHerd.com,


    Pendant plus d'un an après le début de la pandémie, parler de la possibilité que le virus ait pu être conçu en laboratoire était tabou. Puis, alors que les preuves continuaient de s'accumuler, il est soudainement devenu acceptable d'en parler dans des cercles « respectables ». Aujourd'hui, cependant, nous semblons avoir bouclé la boucle : un effort déterminé est à nouveau en cours pour rejeter définitivement la théorie des fuites de laboratoire - même si aucune nouvelle preuve n'est apparue pour la réfuter.

    Compte tenu des manières infinies dont la pandémie et notre réponse à celle-ci ont changé la vie de chaque être humain sur la planète, il est étonnant de constater à quel point on sait peu de choses sur les origines du virus. Deux ans et demi plus tard, nous ne savons toujours pas quand, comment et même où le SRAS-CoV-2 a fait son apparition pour la première fois.

    Ce n'est pas parce que nos efforts pour aller au fond du mystère se sont avérés vains, mais plutôt parce que ces efforts ont été systématiquement contrecarrés par les deux gouvernements les plus puissants du monde : l'Amérique et la Chine. C'est la mère de toutes les théories du complot Covid - mais c'est aussi vrai.

    L'un des principaux "théoriciens du complot" n'est autre que Jeffrey Sachs, directeur du Center for Sustainable Development de l'Université de Columbia, président du UN Sustainable Development Solutions Network et président de la Lancet Covid-19 Commission. Il n'est pas votre manivelle Internet typique portant un chapeau en papier d'aluminium. Sachs a récemment co-écrit un article dans les Actes de l'Académie nationale des sciences appelant à une enquête indépendante sur les origines du virus. Il pense qu'il existe des preuves claires que les National Institutes of Health (NIH), la principale agence de santé publique américaine, et de nombreux membres de la communauté scientifique ont entravé une enquête sérieuse sur les origines de Covid-19 afin de dissimuler les preuves que La recherche financée par les États-Unis à Wuhan pourrait avoir joué un rôle dans la création du virus SARS-CoV-2.

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  9. Beaucoup sont convaincus que le débat est réglé, en grande partie parce que presque immédiatement un récit public entourant l'origine du virus a émergé. Celle-ci soutenait que le virus était de nature zoonotique, ce qui signifie qu'il avait sauté d'un ou plusieurs animaux (probablement, selon certains, des chauves-souris) à un ou plusieurs êtres humains, peut-être par l'intermédiaire d'un ou plusieurs hôtes intermédiaires animaux non identifiés, et très probablement au Marché aux fruits de mer de Huanan - même s'il n'y avait aucune preuve concluante de tout cela.

    Au début de la pandémie, une théorie alternative a émergé, suggérant que l'Institut de virologie de Wuhan (WIV) – connu, entre toutes, pour ses recherches sur les coronavirus liés au SRAS, et à seulement huit miles du marché des fruits de mer de Huanan – aurait pu avoir quelque chose à voir avec une épidémie accidentelle. D'un point de vue purement circonstanciel, et compte tenu de la longue histoire d'infractions à la sécurité précédemment enregistrées dans diverses installations en Chine et dans le monde, on aurait pu être justifié de la considérer, à tout le moins, comme une piste à suivre.

    Comme le note Sir Jeremy Farrar, directeur du Wellcome Trust, le plus grand organisme de financement de la recherche philanthropique d'Europe, dans son livre à succès Spike : « C'était étrange qu'un événement de débordement, des animaux aux humains, décolle chez les gens de manière aussi immédiate et spectaculaire dans un ville avec un biolab … qui abrite une collection presque inégalée de virus de chauve-souris »- en particulier avec un nouveau virus qui « semblait presque conçu pour infecter les cellules humaines ». S'il s'agissait d'une coïncidence, ajoute-t-il, ce serait une "énorme".

    Pourtant, dès le début, l'idée même que le virus pourrait avoir une origine en laboratoire a été étouffée. Les démentis brûlants sont venus non seulement des autorités chinoises et de l'Institut de virologie de Wuhan lui-même, mais aussi de l'OMS et des principaux scientifiques, institutions et médias occidentaux. Pendant environ un an et demi, l'hypothèse de la «fuite de laboratoire» a été ridiculisée et rejetée comme une théorie du complot marginale et quiconque l'a soulevée a été considéré comme un cinglé – et même soumis à la censure sur Twitter et Facebook.

    L'ambiance a semblé changer lorsque, à partir de la mi-2021, plusieurs scientifiques, responsables du renseignement et politiciens occidentaux de haut niveau – dont le président Joe Biden – ont commencé à reconnaître la plausibilité d'un accident de laboratoire. Presque du jour au lendemain, le scénario de fuite de laboratoire est passé d'une «théorie folle» à une hypothèse crédible et légitime. Le même jour, Biden a annoncé que son administration enquêterait sur les origines de Covid-19, "y compris s'il est issu d'un contact humain avec un animal infecté ou d'un accident de laboratoire", Facebook a déclaré qu'il "ne supprimerait plus l'affirmation selon laquelle Covid-19 est créé ou fabriqué par l'homme » à partir de ses applications.

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  10. Plus d'un an plus tard, il n'y a tout simplement aucune preuve concluante que le virus soit de nature zoonotique ou artificielle - même si le récit public continue d'être fortement biaisé en faveur de la théorie de l'origine naturelle. Ce que nous savons, cependant, c'est qu'une dissimulation massive a été orchestrée dès les premiers jours de la pandémie par des membres éminents de l'establishment scientifique et des autorités chinoises.

    Cette histoire incroyable met en lumière plusieurs aspects clés de toute la gestion de la pandémie, ce que Toby Green et moi-même approfondissons dans notre prochain livre : l'étouffement de l'opinion critique, le manque de transparence des institutions publiques, la manière profondément non scientifique dont le « consensus scientifique » sur de nombreux aspects de la pandémie est apparu, et comment certains des principaux acteurs de la tragédie de la pandémie – l'OMS, Anthony Fauci, le NIH, des revues scientifiques de premier plan – s'engageaient déjà dans la publication d'articles qui traduisaient le méthode scientifique dès les premiers jours de la pandémie.

    Voici un bref récapitulatif de ce que nous savons sur la dissimulation – dont nous sommes au courant en grande partie grâce à une série de demandes de la Freedom of Information Act (FoIA).

    Une grande partie des travaux sur les CoV de type SRAS effectués à Wuhan faisait partie d'un programme de recherche scientifique américano-chinois actif et hautement collaboratif financé par le gouvernement américain – principalement par l'intermédiaire de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), dirigé par Anthony Fauci , qui fait partie du NIH - et coordonné par l'organisation non gouvernementale américaine EcoHealth Alliance (EHA). Les travaux de recherche du groupe sont allés au-delà de la simple analyse des coronavirus existants et ont en fait impliqué l’ingénierie de coronavirus de chauve-souris « chimériques », dont certains se sont révélés potentiellement plus infectieux pour l’homme – une technique très risquée connue sous le nom de gain de fonction.

    En 2018, EcoHealth et le WIV (en collaboration avec d'autres institutions) ont envoyé une proposition de subvention à la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), qui comprenait un plan pour insérer des sites de clivage de la furine dans les coronavirus de chauve-souris existants - des taches dans la protéine de surface d'un virus qui peut stimuler son entrée dans les cellules humaines. La proposition de la DARPA a été rejetée – et pourtant la présence d'un site de clivage de la furine est précisément ce qui distingue le SRAS-CoV-2 de tous les coronavirus connus de type SRAS. Les chercheurs ont-ils quand même mené la recherche, éventuellement en utilisant d'autres sources de financement ? Le virologue lauréat du prix Nobel David Baltimore a déclaré qu'il considérait cela comme "le pistolet irréfutable de l'origine du virus".

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  11. À la lumière de tout cela, il n'est pas surprenant qu'au début de la pandémie, aux plus hauts niveaux de l'establishment américain, la question de savoir si le virus aurait pu être conçu au WIV, peut-être grâce à des recherches financées en partie par les États-Unis gouvernement, a été pris très au sérieux. À la suite d'une demande FoIA, nous savons que le 1er février 2020, Anthony Fauci a convoqué une conférence téléphonique «totalement confidentielle» avec au moins une douzaine d'experts de haut niveau du monde entier, dont beaucoup ont admis en privé qu'il y avait un très forte probabilité que le virus ait été créé artificiellement et se soit ensuite « échappé » du laboratoire de Wuhan.

    Pourtant, non seulement le NIH n'a pas divulgué cela au public ou au Congrès, mais les courriels publiés dans le cadre de la FoIA suggèrent qu'il a joué un rôle précoce et actif dans la promotion de «l'hypothèse zoonotique» et le rejet de l'hypothèse associée au laboratoire. En effet, quelques jours après l'appel du 1er février, un groupe de virologues, dont certains qui y participaient et avaient approuvé la théorie de «l'origine artificielle», a préparé la première ébauche d'un article extrêmement influent sur L'origine proximale du SRAS-CoV-2 – publié par la suite dans Nature – qui soutenait exactement le contraire.

    De plus, le NIH a résisté à la publication de preuves importantes, telles que les propositions de subventions et les rapports de projet de l'EHA, et a continué à expurger les documents publiés sous FoIA, y compris une remarquable rédaction de 290 pages dans une version récente. Plus incroyable encore, à un moment donné après mars 2020, un certain nombre de séquences génomiques précoces du SRAS-CoV-2 ont été supprimées des propres archives du NIH à la demande de chercheurs de Wuhan.

    L'étrangeté ne s'arrête pas là. En février 2020, une lettre influente signée par 27 experts mondiaux a été publiée dans The Lancet, condamnant fermement « les théories du complot suggérant que le Covid-19 n'a pas d'origine naturelle ». La lettre s'est avérée cruciale, aux côtés de l'article de Nature susmentionné, pour étouffer dans l'œuf l'hypothèse d'une fuite de laboratoire et donner l'illusion d'un consensus scientifique. Fin 2020, cependant, des courriels publiés à la suite d'une demande FoIA ont montré que la déclaration du Lancet avait été orchestrée par l'un des 27 co-auteurs - nul autre que Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance. Il a également été révélé que tous les 26 autres scientifiques sauf un étaient liés au laboratoire de Wuhan, à leurs collègues ou à leurs bailleurs de fonds.

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  12. Daszak a été nommé pour la première fois fin 2020 à la tête du groupe de travail créé par la Commission Lancet Covid-19 dans le but d'établir rien d'autre que « les origines de Covid-19 » ; et peu de temps après, en tant que seul représentant américain à une mission d'enquête de l'OMS en Chine chargée du même objectif. Sans surprise, les deux groupes de travail ont constaté que le virus était très probablement d'origine zoonotique (c'est-à-dire naturelle) et que la transmission par un incident de laboratoire était extrêmement improbable.

    Le rapport de l'OMS, en particulier, a fait l'objet de vives critiques, conduisant à la création d'un groupe de travail spécifique chargé de déterminer les origines du SARS-CoV-2, le Scientific Advisory Group on the Origins of Novel Pathogens, qui a publié son premier rapport préliminaire en juin 2022. Les résultats n'étaient pas concluants, en grande partie parce que des «éléments de données clés» de la Chine manquaient, ce qui a conduit l'OMS à recommander dans ses termes les plus forts qu'une enquête plus approfondie soit nécessaire pour déterminer si un accident de laboratoire peut être à blâmer. Comme nous l'avons vu, cependant, ce n'est pas seulement le gouvernement chinois qui dissimule ses traces sur sa possible implication dans l'ingénierie du SRAS-CoV-2 - mais aussi le gouvernement américain.

    Une nouvelle campagne est maintenant en cours pour mettre fin une fois pour toutes à la théorie des fuites de laboratoire. La publication récente de deux nouvelles études fournissant plus de preuves que le SRAS-CoV-2 est apparu chez l'homme via le commerce d'animaux vivants sur le marché des fruits de mer de Huanan a conduit plusieurs points de vente à affirmer avec insistance que "la théorie de la fuite du laboratoire Covid est morte", une fois de plus trompeuse citoyens en leur faisant croire que le débat est maintenant vraiment tranché.

    Mais les études ne fournissent aucune preuve que le virus ne s'est pas échappé du laboratoire de Wuhan – elles soutiennent simplement que ce n'est pas un scénario plausible, également basé sur le fait qu'il n'y a aucune preuve que le virus était présent au WIV avant le pandémie a commencé. Mais bien sûr, l'absence de preuve n'est pas une preuve d'absence. Comme le note Sachs, "cette [affirmation] n'est valable que si les données limitées sur lesquelles elle repose, et la vérification de cette affirmation dépend de l'accès à toute autre séquence virale non publiée qui est déposée dans les bases de données américaines et chinoises pertinentes".

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  13. Pourtant, non seulement le NIH n'a pas divulgué cela au public ou au Congrès, mais les courriels publiés dans le cadre de la FoIA suggèrent qu'il a joué un rôle précoce et actif dans la promotion de «l'hypothèse zoonotique» et le rejet de l'hypothèse associée au laboratoire. En effet, quelques jours après l'appel du 1er février, un groupe de virologues, dont certains qui y participaient et avaient approuvé la théorie de «l'origine artificielle», a préparé la première ébauche d'un article extrêmement influent sur L'origine proximale du SRAS-CoV-2 – publié par la suite dans Nature – qui soutenait exactement le contraire.

    De plus, le NIH a résisté à la publication de preuves importantes, telles que les propositions de subventions et les rapports de projet de l'EHA, et a continué à expurger les documents publiés sous FoIA, y compris une remarquable rédaction de 290 pages dans une version récente. Plus incroyable encore, à un moment donné après mars 2020, un certain nombre de séquences génomiques précoces du SRAS-CoV-2 ont été supprimées des propres archives du NIH à la demande de chercheurs de Wuhan.

    L'étrangeté ne s'arrête pas là. En février 2020, une lettre influente signée par 27 experts mondiaux a été publiée dans The Lancet, condamnant fermement « les théories du complot suggérant que le Covid-19 n'a pas d'origine naturelle ». La lettre s'est avérée cruciale, aux côtés de l'article de Nature susmentionné, pour étouffer dans l'œuf l'hypothèse d'une fuite de laboratoire et donner l'illusion d'un consensus scientifique. Fin 2020, cependant, des courriels publiés à la suite d'une demande FoIA ont montré que la déclaration du Lancet avait été orchestrée par l'un des 27 co-auteurs - nul autre que Peter Daszak, président d'EcoHealth Alliance. Il a également été révélé que tous les 26 autres scientifiques sauf un étaient liés au laboratoire de Wuhan, à leurs collègues ou à leurs bailleurs de fonds.

    Daszak a été nommé pour la première fois fin 2020 à la tête du groupe de travail créé par la Commission Lancet Covid-19 dans le but d'établir rien d'autre que « les origines de Covid-19 » ; et peu de temps après, en tant que seul représentant américain à une mission d'enquête de l'OMS en Chine chargée du même objectif. Sans surprise, les deux groupes de travail ont constaté que le virus était très probablement d'origine zoonotique (c'est-à-dire naturelle) et que la transmission par un incident de laboratoire était extrêmement improbable.

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  14. Le rapport de l'OMS, en particulier, a fait l'objet de vives critiques, conduisant à la création d'un groupe de travail spécifique chargé de déterminer les origines du SARS-CoV-2, le Scientific Advisory Group on the Origins of Novel Pathogens, qui a publié son premier rapport préliminaire en juin 2022. Les résultats n'étaient pas concluants, en grande partie parce que des «éléments de données clés» de la Chine manquaient, ce qui a conduit l'OMS à recommander dans ses termes les plus forts qu'une enquête plus approfondie soit nécessaire pour déterminer si un accident de laboratoire peut être à blâmer. Comme nous l'avons vu, cependant, ce n'est pas seulement le gouvernement chinois qui dissimule ses traces sur sa possible implication dans l'ingénierie du SRAS-CoV-2 - mais aussi le gouvernement américain.

    Une nouvelle campagne est maintenant en cours pour mettre fin une fois pour toutes à la théorie des fuites de laboratoire. La publication récente de deux nouvelles études fournissant plus de preuves que le SRAS-CoV-2 est apparu chez l'homme via le commerce d'animaux vivants sur le marché des fruits de mer de Huanan a conduit plusieurs points de vente à affirmer avec insistance que "la théorie de la fuite du laboratoire Covid est morte", une fois de plus trompeuse citoyens en leur faisant croire que le débat est maintenant vraiment tranché.

    Mais les études ne fournissent aucune preuve que le virus ne s'est pas échappé du laboratoire de Wuhan – elles soutiennent simplement que ce n'est pas un scénario plausible, également basé sur le fait qu'il n'y a aucune preuve que le virus était présent au WIV avant le pandémie a commencé. Mais bien sûr, l'absence de preuve n'est pas une preuve d'absence. Comme le note Sachs, "cette [affirmation] n'est valable que si les données limitées sur lesquelles elle repose, et la vérification de cette affirmation dépend de l'accès à toute autre séquence virale non publiée qui est déposée dans les bases de données américaines et chinoises pertinentes".

    En fin de compte, il peut en effet être prouvé de manière concluante que le virus est d'origine naturelle. Mais pour cela, comme le souligne Sachs, une véritable enquête scientifique indépendante est nécessaire. Le public mérite de recevoir la preuve irréfutable que le laboratoire de Wuhan n'a rien à voir avec tout cela - mais cela signifie que les gouvernements américain et chinois doivent ouvrir leurs dossiers de laboratoire au lieu de faire tout leur possible pour empêcher une véritable enquête. Au milieu d'une période de tensions géopolitiques accrues et d'effritement de la foi dans le leadership politique à travers l'Occident, la transparence est plus que jamais nécessaire.

    Si nous ne pouvons pas réussir celui-ci, comment pouvons-nous nous attendre à ce que nous placions à nouveau notre confiance dans les autorités ?

    https://www.zerohedge.com/covid-19/lab-leak-theory-and-what-we-know-about-cover

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    1. (...) Deux ans et demi plus tard, nous ne savons toujours pas quand, comment et même où le SRAS-CoV-2 a fait son apparition pour la première fois. (...)

      Si la virologue chinoise Li Meng-Yan n'avait pas fait sa découverte et ses révélations nous n'en saurions rien sur l'origine. Mais le pourquoi demeure quant aux laboratoires extérieurs 'Moderna, AstraZeneca, J&J et Pfizer à l'avoir !

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  15. 10 faits que les défenseurs des véhicules électriques ne veulent pas que vous sachiez


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 30 AOÛT 2022 - 21:00
    Écrit par Mark Tapscott via PJMedia.com,


    Il y a une foule de raisons pour lesquelles la gauche est absolument déterminée à forcer les Américains à quitter leurs voitures et camions à essence privés et à se tourner vers des transports en commun peu fiables et des véhicules électriques (VE) coûteux, dont aucun n'a à voir avec "sauver le monde" de l'environnement."

    La principale raison pour laquelle la gauche aime les véhicules électriques est que le processus consistant à forcer les Américains à se convertir au transport électrique détruira à jamais l'incroyable liberté et prospérité associées aux véhicules à essence privés.

    L'avenir sera plutôt contrôlé de manière centralisée par de riches élitistes et leurs politiciens corrompus, des bureaucrates avides de pouvoir et des «experts» motivés par une idéologie.

    Lorsque Ransom Olds en 1901 et Henry Ford en 1908 ont vendu les premières automobiles produites en série aux États-Unis (les Curved Dash Olds et le Model T, respectivement), ils ont lancé l'Amérique vers la première société de route ouverte au monde.

    Cela a pris quelques décennies, mais dans les années 1930, la possession d'une voiture était pratiquement un élément de base de la classe moyenne et cela signifiait, pour des millions d'Américains, la liberté d'aller où ils voulaient aller quand ils le voulaient, sans obtenir l'autorisation préalable de gouvernement.

    Il n'est pas exagéré de dire que l'un des principaux facteurs de la sortie de la dépression de l'Amérique a été la capacité de millions d'Américains à acheter des voitures et des camions neufs et d'occasion. La Réserve fédérale de Saint-Louis l'a dit ainsi en septembre 1935 au milieu de la Grande Dépression :

    « Au cours des 6 premiers mois de 1935, des entreprises et des particuliers ont acheté à des marchands d'automobiles 1 461 940 voitures de tourisme neuves et 254 063 camions, payant pour ces véhicules une somme estimée à environ 1 460 000 000 $. Les inscriptions au premier semestre étaient de 44 % supérieures en 1935 à celles de la période correspondante de l'année dernière, tandis que l'augmentation au cours des mêmes 6 mois de 1933 était de 121 %.

    L'essor de l'automobile privée à essence a également généré des industries en plein essor qui, à ce jour, fournissent des millions de bons emplois, une stabilité financière et une croissance des revenus personnels qui sont à la base de l'économie américaine.

    Pensez à tous les concessionnaires, ateliers de réparation, magasins de pièces, construction de routes, production d'énergie, distribution et vente au détail, assurances et emplois d'application de la loi qui existent parce qu'il y a des centaines de millions de voitures et de camions dans ce pays.

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  16. Mais ces bonnes choses seront perdues si le projet de la Californie d'interdire la vente de tous les véhicules à essence d'ici 2035 devient une politique nationale. Il y a tellement de choses incroyablement malavisées, sinon carrément malhonnêtes ou stupides, avec la volonté de forcer les Américains à utiliser des véhicules électriques.

    Par exemple, comme le soulignent les experts de powerthefuture.com, voici 10 faits sur les véhicules électriques que la gauche ne veut pas que les Américains sachent :

    1. Les véhicules électriques sont alimentés par des combustibles fossiles. Selon l’Energy Information Administration (EIA) des États-Unis, les centrales électriques à combustibles fossiles – charbon, pétrole ou gaz naturel – créent environ 60 % du réseau électrique national, tandis que l’énergie nucléaire représente près de 20 %.

    2. Les batteries des véhicules électriques reposent sur le cobalt. On estime que 70 % de l'approvisionnement mondial en cobalt émane de la République démocratique du Congo, un pays où les conditions de travail sont déplorables, en particulier pour les enfants.

    3. Une étude publiée plus tôt cette année par un groupe environnemental a montré que près d'un tiers des bornes de recharge électriques de San Francisco ne fonctionnaient pas. La population de San Francisco représente environ deux pour cent de la Californie.

    4. Les partisans de la loi californienne admettent qu'il y aura une augmentation de 40 % de la demande d'électricité, ce qui ajoutera une pression supplémentaire sur le réseau et nécessitera une augmentation des coûts d'électricité et d'infrastructure.

    5. Selon un chercheur, la contrainte d'ajouter un VE est similaire à l'ajout de "1 ou 2 climatiseurs" à votre maison, sauf qu'un VE nécessite de l'énergie toute l'année.

    6. Aujourd'hui, 20 millions de familles américaines, soit une sur six, ont pris du retard sur leurs factures d'électricité, le montant le plus élevé jamais enregistré.

    7. Les entreprises de services publics devront ajouter 5 800 $ en mises à niveau pour chaque nouveau VE au cours des huit prochaines années afin de compenser la demande d'électricité. Tous les clients assumeront ce coût.

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  17. 8. Le prix moyen d'un véhicule électrique est actuellement de 66 000 $, en hausse de plus de 13 % au cours de la dernière année seulement, coûtant en moyenne 18 000 $ de plus que le moteur à combustion moyen. Pendant ce temps, le revenu médian des ménages est de 67 521 $. Pour les familles afro-américaines, la moyenne est de 45 870 $ et pour les ménages hispaniques, de 55 321 $.

    9. Une étude de 2022 a révélé que la majorité des recharges de VE se font à domicile, laissant ceux qui vivent dans des logements multifamiliaux (appartements) dans une situation de réel désavantage pour la recharge.

    10. La même étude a également noté que de nombreux conducteurs rechargent leurs véhicules électriques pendant la nuit lorsque l'énergie solaire est moins disponible sur le réseau.

    Il y a beaucoup plus de faits sur les véhicules électriques que vous n'entendrez jamais parler par la politique de gauche, notamment le président Joe Biden, le chef de la majorité au Sénat Chuck Schumer (D-N.Y.) et la présidente de la Chambre Nancy Pelosi (D-Calif.), Et le national et la direction de l'État du Parti démocrate.

    Vous n'entendrez pas non plus aucun de ces faits - sauf lorsqu'ils sont déformés et déformés par des «vérificateurs des faits» autoproclamés - dans les salles de classe des collèges, les médias grand public et même les représentants des «trois grands» constructeurs automobiles, qui craignent de monter le mauvais côté du gouvernement.

    Oh, et au fait, devinez qui se moque de leurs keisters alors que l'Amérique se dirige vers l'avenir des véhicules électriques de la gauche, sachant qu'elle contrôle une grande partie de l'équipement, des matériaux et de la technologie nécessaires aux batteries, leur donnant ainsi une emprise sur l'économie des États-Unis ?

    Pouvez-vous épeler C-H-I-N-A ?

    https://www.zerohedge.com/technology/10-facts-electric-vehicle-advocates-dont-want-you-know

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  18. Énergie : une nouvelle loi d’exception inacceptable

    Loin d’être d’intérêt général, la loi d’exception pour l’énergie permettrait d’aller encore plus loin dans l’absurde.


    Michel Negynas
    le 31 août 2022


    D’après le journal Le Figaro et le JDD, la Première ministre aurait adressé un projet de loi « aux industriels du secteur » pour « accélérer le développement des énergies renouvelables ».

    Ce projet serait porté par « une loi d’exception » pour « simplifier à grands traits les démarches administratives en faveur des développeurs de renouvelables. Des mesures visent également à réduire les capacités de recours contre ces projets qui suscitent de fortes oppositions locales. »

    On est d’abord surpris de savoir que pour l’instant, seuls les professionnels du secteur connaissent le texte, ce qui leur permet, avant tout processus démocratique, de proposer des « améliorations ». S’il est normal qu’ils soient consultés, comme les autres parties prenantes, leur situation de professions vivant largement de subventions devrait inciter le gouvernement à maintenir une certaine distance vis-à-vis d’eux.

    Et il s’agit d’une loi d’exception. C’est-à-dire qu’au nom d’un intérêt supérieur, elle va diminuer les règles démocratiques en vigueur. Il s’agit donc bien, avant toute chose, d’évaluer cet intérêt supérieur. Pour mémoire, des mesures d’exception ont été prises pour le terrorisme et pour l’épidémie de covid. En sommes-nous là au sujet de l’énergie ?

    Pourquoi en sommes-nous là ?

    Tout d’abord, à lire les informations, on comprend que l’exception concerne surtout l’énergie éolienne et solaire, c’est-à-dire la production électrique. Or, quels sont les éléments nouveaux sur le sujet qui expliqueraient la crise ? Tout le monde (du moins ceux qui comprennent quelque chose au domaine de l’énergie) sait depuis longtemps que la stratégie française est insensée, tout comme la stratégie allemande, de laquelle elle s’inspire.

    Tous les experts, toutes les institutions savantes, et même France Stratégie, dépendante du Premier ministre, ont depuis 2013 tiré la sonnette d’alarme. Il suffit de lire les commentaires de la consultation publique sur la Programmation pluriannuelle de l’énergie, en 2018, pour le constater. D’abord, à quelques pour cents, la presque totalité des sommes allouées à la transition énergétique est destinée à la production (le solaire et l’éolien) : c’est la Cour des comptes qui l’affirme.

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  19. On sait à quoi ça mène : l’Allemagne a installé plus de 120 GW de solaire et d’éolien, pour des centaines de milliards, (alors que sa consommation maximale est de l’ordre de 80 GW) qui n’ont produit que 28 % de son électricité en 2021, et encore, pas forcément quand elle en avait besoin. (ses 4GW de nucléaire ont fait 11 %). Pas folle, elle a gardé quand même 94 GW de centrales classiques (biomasse, nucléaire, hydraulique, charbon, lignite, fuel et gaz). Elle a un peu de marge pour les nuits d’hiver sans vent.

    La France est dans la gêne

    Nous avons fait pire en installant 12 GW de solaire et 18 GW d’éolien. Il ne reste plus que 97 GW de mobilisable en centrales classiques ; or notre pointe historique est à 100 GW et le parc nucléaire français est vieillissant. Si le pays est moins dépendant du gaz, par contre, il est dans une situation plus précaire que l’Allemagne pour l’électricité.

    On se réveille maintenant, soi-disant à cause de la guerre en Ukraine. Celle-ci a bon dos. Le gaz n’est qu’un paramètre dans la production d’électricité. Même en Allemagne, il ne représente que 10 %. Non vraiment, depuis des décennies notre problème dépend de l’ignorance, ou du cynisme ou du mépris envers les vrais experts de la part des décideurs.

    Inlassablement, à la question : « Pourquoi baisser le nucléaire et augmenter les énergies renouvelables ? » l’administration française a toujours répondu : « Pour avoir une deuxième filière en cas de risque systémique sur le nucléaire ».

    Faut-il en rire ou en pleurer ? une filière aléatoire en secours…

    En réalité, si nous en sommes là, c’est que nous avons négligé le maintien de la sécurité de notre réseau, et au lieu de consacrer nos ressources à des mirages, nous aurions dû conforter notre compétence dans la production classique. Alors, maintenant, oui c’est trop tard. Et que fait-on pour réagir ? On veut intensifier le renouvelable, alors que ce n’est pas la solution, c’est le problème !

    - voir graph sur site -

    Ci-dessus le diagramme des puissances du réseau français en janvier 2022. (Site eCO2 mix de RTE). La pointe est à 85 GW, ce qui est faible pour un hiver. L’éolien est bleu clair, le soleil en jaune foncé. On voit bien que multiplier ça par 5 ne change quasiment rien au sujet !

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  20. Conclusion

    Loin d’être d’intérêt général, la loi d’exception permettrait d’aller encore plus loin dans l’absurde.

    Une loi d’exception pour contourner l’opposition des citoyens, des projets de mesures contraignantes de sobriété, des compteurs linky préparant une gestion centralisée de la demande (ils ont un moyen de coupure intégré, peu de personnes le savent…). Il est aussi question de planification écologique. Et le ministre de l’Intérieur de prévoir une « police de l’environnement ! » Évidemment, il pensait aux pyromanes, mais d’autres pourraient bien les utiliser sur d’autres sujets.

    La dérive est inquiétante, et dépasse même le cadre de l’énergie. Elle n’est pas étonnante. Les philosophes de l’écologie, comme Hans Jonas, ont amplement théorisé sur l’impossibilité de conduire une transition écologique dans un cadre démocratique.

    https://www.contrepoints.org/2022/08/31/437892-energie-une-nouvelle-loi-dexception-inacceptable

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  21. « Comment au nom de Dieu » : les Européens choqués affichent des factures d'énergie astronomiques à l'approche d'un « hiver terrifiant »


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 12:55


    Au cours de la semaine dernière, des Européens choqués - principalement au Royaume-Uni et en Irlande - ont publié des photos virales de factures d'énergie scandaleusement élevées au milieu de la crise énergétique en cours (et qui s'aggrave).

    Plusieurs des messages provenaient de propriétaires de petites entreprises qui sont absolument écrasés en ce moment et ne pourront pas rester opérationnels plus longtemps.

    L'une de ces propriétaires est Geraldine Dolan, qui possède le café Poppyfields à Athlone, en Irlande - et a été facturée près de 10 000 € (10 021 USD) pour un peu plus de deux mois de consommation d'énergie.

    Comme le rapporte l'Irish Times, "Le coût de l'électricité pour le café Poppyfields pendant 73 jours, de début juin à fin août, s'est élevé à 9 024,70 €, soit une augmentation de 250 % en seulement 12 mois. Il n'inclut pas les 812,22 €. de TVA, ce qui porte sa facture totale à 9 836,92 €."

    "Comment au nom de Dieu est-ce possible", a tweeté Dolan.

    Les retraités britanniques sont également confrontés à un hiver "terrifiant", alors que les Britanniques âgés sont sur le point d'être touchés par une augmentation de 80% de leurs factures d'énergie en octobre.

    Les Britanniques âgés devraient accueillir une augmentation d'environ 1 000 £ de leurs paiements de pension d'État l'année prochaine grâce au retour du triple verrouillage, mais la crise du coût de la vie les laissera encore beaucoup plus pauvres.

    Cependant, le plafond des prix des factures d'énergie augmentera de 80% pour atteindre 3 549 £ en octobre, et il devrait augmenter de plus de 6 600 £ l'année prochaine selon Cornwall Insight.

    Des factures d'énergie plus élevées nuisent souvent beaucoup plus aux retraités qu'au reste de la population, car ils dépensent une plus grande partie de leurs revenus pour chauffer leur maison. -Courrier quotidien

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  22. Selon Caroline Abrahams, directrice caritative d'Age UK, "" C'est une perspective vraiment effrayante et une perspective à laquelle la plupart n'auraient pas pu se préparer et ne s'attendaient jamais à être confrontée à ce stade de leur vie ", ajoutant" Je pense que beaucoup de personnes âgées seront complètement déconcertés d'en arriver là et se sentiront également très déçus, et je ne peux pas dire que je les blâme."

    Mais ce n'est que la pointe de l'iceberg. Le chercheur de Twitter 'Crab Man' (@crabcrawler1), qui compile des plongées profondes sur une grande variété de sujets (et vaut absolument la peine d'être suivi), a rassemblé un long fil de cas similaires - et l'a placé dans le contexte de l'actuel Européen toile de fond énergétique. La situation est désastreuse, c'est le moins qu'on puisse dire.

    - voir messages & photo sur site :

    https://www.zerohedge.com/energy/how-name-god-shocked-europeans-post-astronomical-energy-bills-terrifying-winter-approaches

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  23. La Chine revend agressivement du gaz russe à l'Europe


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 11:14


    Il y a un mois, nous avons été surpris de lire comment, malgré un appétit réprimé pour l'énergie au milieu de son krach immobilier et de son ralentissement économique (pour lequel le "zéro covid" est devenu un bouc émissaire pratique pour l'empereur Xi), la Chine s'est imprégnée de plus de ressources naturelles russes de gaz jusqu'à présent cette année, tandis que les importations de la plupart des autres sources ont diminué.

    En juillet, le SCMP a rapporté que selon les données des douanes chinoises, au cours des six premiers mois de l'année, la Chine a acheté un total de 2,35 millions de tonnes de gaz naturel liquéfié (GNL) - d'une valeur de 2,16 milliards de dollars américains. Le volume des importations a augmenté de 28,7 % en glissement annuel, la valeur ayant bondi de 182 %. Cela signifie que la Russie a dépassé l'Indonésie et les États-Unis pour devenir le quatrième fournisseur de GNL de la Chine jusqu'à présent cette année !

    Ceci, bien sûr, ne doit pas être confondu avec le gazoduc, où le producteur russe Gazprom a récemment annoncé que ses livraisons quotidiennes à la Chine via le gazoduc Power of Siberia avaient atteint un nouveau record (la Russie est le deuxième gazoduc de Chine en termes de gaz naturel fournisseur après le Turkménistan), et a révélé plus tôt que l'approvisionnement en gaz de gazoduc russe vers la Chine avait augmenté de 63,4 % au premier semestre 2022.

    Qu'est-ce qui se cache derrière cette augmentation bizarre des importations russes de GNL, ont spéculé les analystes ? Après tout, alors que la Chine importe plus de la moitié du gaz naturel qu'elle consomme, dont environ les deux tiers sous forme de GNL, la demande a fortement chuté cette année dans un contexte de vents contraires économiques et de fermetures généralisées. En d'autres termes, pourquoi la montée en flèche du GNL russe alors que i) la demande intérieure n'est tout simplement pas là et ii) aux dépens de tous les autres ?

    "L'augmentation du GNL russe pourrait être un déplacement des cargaisons vers le Japon ou la Corée du Sud en raison des sanctions, ou d'une demande plus faible là-bas", a déclaré Michal Meidan, directeur du programme énergétique chinois à l'Oxford Institute for Energy Studies.

    Une chose était claire : la Chine voulait garder ses relations gazières indépendantes avec la Russie aussi peu claires que possible, c'est pourquoi l'Administration générale des douanes de Chine a cessé de publier la répartition du volume des échanges de gaz naturel par pipeline depuis le début de l'année, le porte-parole Li Kuiwen confirmant que cette décision visait à "protéger les droits et intérêts commerciaux légitimes des importateurs et exportateurs concernés".

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  24. Eh bien, nous connaissons maintenant la réponse : la Chine revend discrètement ce GNL russe maléfique et contaminé au seul endroit qui en a désespérément besoin plus que tout. L'Europe... et bien sûr, elle facture un rein de marges bénéficiaires dans le processus.

    Comme l'a récemment rapporté le FT, "les craintes de l'Europe concernant les pénuries de gaz à l'approche de l'hiver ont peut-être été contournées, grâce à un chevalier blanc inattendu : la Chine". Les publications appartenant à Nikkei notent en outre que "le plus grand acheteur mondial de gaz naturel liquéfié revend une partie de ses cargaisons de GNL excédentaires en raison de la faible demande d'énergie intérieure. Cela a fourni au marché au comptant un approvisionnement abondant que l'Europe a exploité, malgré le des prix plus élevés."

    Ce que le FT ignore, peut-être intentionnellement, c'est qu'il ne s'agit pas d'un "excédent" - après tout, si c'était le cas, les importations chinoises de GNL russe s'effondreraient. Non - le mot correct pour décrire le GNL que la Chine vend à l'Europe est russe.

    Pour en revenir à l'histoire, les détails sont intuitifs : avec le gazoduc russe vers l'Europe effectivement fermé...

    - voir graph sur site -

    ... Les importations européennes de GNL ont grimpé de 60 % en glissement annuel au cours des six premiers mois de 2022, selon le cabinet d'études Kpler.

    Quelques détails supplémentaires :

    Le groupe chinois JOVO, un grand négociant en GNL, a récemment révélé qu'il avait revendu une cargaison de GNL à un acheteur européen.

    Un négociant en contrats à terme à Shanghai a déclaré à Nikkei que le profit tiré d'une telle transaction pourrait atteindre des dizaines de millions de dollars ou même atteindre 100 millions de dollars.

    Le plus grand raffineur de pétrole de Chine, le groupe Sinopec, a également reconnu lors d'un appel aux résultats en avril qu'il avait acheminé l'excédent de GNL vers le marché international.

    Les médias locaux ont déclaré que Sinopec à elle seule a vendu 45 cargaisons de GNL, soit environ 3,15 millions de tonnes. La quantité totale de GNL chinois qui a été revendue est probablement supérieure à 4 millions de tonnes, ce qui équivaut à 7 % des importations de gaz de l'Europe au cours du semestre jusqu'à la fin juin.

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  25. Qu'on ne s'y trompe pas : tout ce GNL « excédentaire » a été corrodé en partie ou en totalité en Russie, mais depuis qu'il a été « péage » en Chine, il n'est plus russe. Il s'agit plutôt - roulement de tambour - de GNL chinois.

    La bonne nouvelle est que les 53 millions de tonnes achetées par le bloc dépassent les importations de la Chine et du Japon et ont porté le taux d'occupation du stockage de gaz en Europe à 77 %. Si cela continue, l'Europe atteindra probablement son objectif déclaré de remplir 80 % du ses installations de stockage de gaz d'ici novembre (à ce moment-là, il commencera à vider les réserves à un rythme effréné pour se réchauffer pendant l'hiver). Mais si la crise économique de la Chine a apporté un soulagement bien nécessaire à l'Europe, elle s'accompagne d'une note de bas de page majeure. Dès que l'activité économique rebondira en Chine, la situation s'inversera rapidement et Pékin ne réexportera plus le GNL russe pour maintenir l'Europe au chaud.

    De manière hilarante, cela signifie également qu'au lieu d'être dépendante de la Russie pour le gaz, l'Europe devient désormais dépendante de Pékin pour son énergie - qui est toujours du gaz russe, mais cette fois importé de Chine - ce qui se moque des ambitions géopolitiques américaines de défendre un ordre international libéral avec ses propres exportations d'énergie.

    Pire encore, alors que l'Europe pourrait acheter du GNL russe au prix X, elle doit plutôt payer 2X, 3X ou plus, juste pour signaler au monde qu'elle ne financera pas le régime de Poutine, alors qu'en réalité, elle paie un supplément à la fois à Xi et à Xi. à Poutine, qui perçoit un prix élevé grâce à la rareté globale du marché.

    De manière amusante, sans le dire expressément, le FT sous-entend que l'Europe achète du GNL russe via la Chine :

    Si la Russie finit par exporter plus de gaz vers la Chine pour punir l'Europe, la Chine aura plus de capacité à revendre son excédent de gaz sur le marché au comptant, ce qui aidera indirectement l'Europe.

    Pourquoi ne pas simplement admettre l'évidence - que la Chine aide la Russie à contourner les sanctions alors que les deux pays deviennent très riches dans le processus ? Parce qu'alors le propre jugement du FT - après tout, le journal est un vecteur de la pensée néolibérale qui a exigé un embargo complet sur l'énergie russe, un embargo que même le WSJ admet maintenant (voir "La Russie confond l'Occident en reprenant ses richesses pétrolières") s'est retourné contre lui de façon spectaculaire - serait remis en question.

    Mis à part les défauts de FT, le journal a raison de dire que plus ce genre de contournement détourné des sanctions russes par une Europe hypocrite (qui signale si fort sa vertu quand l'adversaire est la Russie mais n'ose pas dire piaulement quand c'est la Chine) continue, plus grand L'influence de la Chine sur l'Europe sera :

    Plus l'Europe devient désespérée quant à son approvisionnement énergétique, plus les décisions politiques de la Chine auront le pouvoir d'affecter le bloc. Alors que l'Europe tente de sortir de sa dépendance énergétique vis-à-vis de la Russie, l'ironie est qu'elle devient de plus en plus dépendante de la Chine.

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  26. Au final, tout ce que l'Europe a fait, c'est remplacer un maître de l'énergie (comme l'a prévenu Trump en 2018) par un autre, même si les deux sont joints à la hanche et se moquent de la bêtise de Bruxelles qui, sous les sages conseils d'un adolescent scandinave pétulant, a rendu tout cela possible juste à temps pour que la Chine - qui, avec Poutine, détermine désormais l'apport énergétique quotidien de l'Europe - envahisse Taïwan sans un coup d'œil des signaleurs vertueux de l'Europe.

    https://www.zerohedge.com/markets/china-aggressively-reselling-russian-gas-europe

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  27. L'énergie nucléaire effectue un retour remarquable


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 11:00
    Rédigé par Tsvetana Paraskova via OilPrice.com,


    Alors que les gouvernements du monde entier sont aux prises avec une crise énergétique apparemment insurmontable, les décideurs politiques reconsidèrent l'énergie nucléaire comme une solution possible.

    Les prix du gaz naturel continuent de battre des records, rendant la nature propre et fiable de l'énergie nucléaire de plus en plus intéressante pour les gouvernements.

    Alors que l'AIE a souligné l'importance de l'énergie nucléaire dans la lutte contre le changement climatique, l'augmentation des phénomènes météorologiques extrêmes pourrait en fait saper l'énergie nucléaire.

    Confrontés à une crise énergétique sans précédent, les gouvernements occidentaux repensent leurs positions de longue date sur le rôle de la production d'énergie nucléaire, ouvrant la voie à ce qui pourrait être la plus grande histoire de « retour » des sources d'énergie de ces derniers temps.

    Le soutien au nucléaire a augmenté ces derniers mois, les décideurs politiques considérant l'énergie nucléaire comme une alternative au gaz le plus cher que les pays aient jamais payé pour importer, et comme une source d'électricité à zéro émission qui aiderait à maintenir les ambitions et les objectifs climatiques en vie.

    Même le Japon et l'Allemagne, qui s'étaient engagés à réduire ou éliminer progressivement l'énergie nucléaire comme source d'électricité à la suite de la catastrophe de Fukushima en 2011, envisagent maintenant d'utiliser l'énergie nucléaire plus longtemps.

    Aux États-Unis, la loi sur la réduction de l'inflation récemment adoptée étend les crédits d'impôt et le financement aux centrales nucléaires, tandis que la Californie cherche à maintenir ouverte sa dernière centrale nucléaire en activité au-delà de la date limite de fermeture prévue pour 2025.

    Maintenir les anciennes centrales nucléaires opérationnelles au-delà de leur date d'expiration initiale n'est pas toujours facile en raison des problèmes de sécurité liés à l'allongement de la durée de vie des installations. Pourtant, face à de nouveaux défis et à des alternatives peu attrayantes, les gouvernements sont de plus en plus disposés à faire des compromis lorsqu'il s'agit de résoudre les pénuries d'énergie.

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  28. Les perspectives changent dans un contexte de pénurie mondiale d'énergie et de prix exorbitants du gaz naturel, en particulier en Europe et en Asie, qui se bousculent pour l'approvisionnement en gaz non russe après l'invasion de l'Ukraine par la Russie et la militarisation par Poutine des livraisons de gazoducs vers l'Europe.

    AIE : L'énergie nucléaire est prête pour son retour

    "Le paysage politique change, ouvrant des opportunités pour un retour du nucléaire", a déclaré l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un rapport de juin 2022.

    Selon l'AIE, le nucléaire est bien placé pour aider à décarboner l'approvisionnement en électricité. Sans l'énergie nucléaire, le zéro net d'ici 2050 sera beaucoup plus difficile à atteindre, a déclaré l'agence.

    En outre, "prolonger la durée de vie des centrales nucléaires est un élément indispensable d'une voie rentable vers le zéro net d'ici 2050", déclare l'AIE, ajoutant que de telles extensions nécessitent des investissements substantiels, mais qu'elles génèrent généralement un coût de l'électricité compétitif par rapport à l'énergie éolienne et énergétique. solaire dans la plupart des régions.

    De plus, selon l'AIE, une dynamique se développe derrière les petits réacteurs modulaires qui présentent des coûts et des risques inférieurs à ceux des centrales nucléaires traditionnelles.

    Pourtant, l'énergie nucléaire aura besoin d'un soutien politique et incitatif fort de la part des gouvernements pour assurer l'exploitation sûre et durable des centrales nucléaires et pour mobiliser les investissements nécessaires, y compris dans les nouvelles technologies, a noté l'agence.

    L'Allemagne et le Japon reconsidèrent le rôle du nucléaire dans l'approvisionnement en électricité
    Certains alliés occidentaux des États-Unis, dont le Japon et l'Allemagne, ont signalé qu'ils pourraient reconsidérer le rôle de l'énergie nucléaire pour assurer plus d'électricité et potentiellement compenser la baisse de l'approvisionnement en gaz au milieu des coupes russes dans le cas de l'Allemagne et des prix élevés du GNL dans le cas du Japon.

    L'Allemagne débat de l'opportunité de mettre fin à la production d'électricité nucléaire à la fin de 2022, comme prévu, à la lumière de la crise du gaz. L'Allemagne a trois centrales nucléaires restantes, et elles devraient être fermées d'ici la fin de cette année dans le cadre d'un plan adopté par le pays pour arrêter l'utilisation de l'énergie nucléaire à la suite de la catastrophe de Fukushima. Début août, le chancelier allemand Olaf Scholz a signalé que « cela pourrait avoir du sens » de maintenir les centrales nucléaires en activité. Cependant, une telle décision pourrait être difficile car de nombreux partis, y compris les Verts qui font partie du gouvernement de coalition, s'opposent fermement à l'extension de la production d'énergie nucléaire au-delà de 2022.

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  29. Au Japon, dans un revirement majeur la semaine dernière, le gouvernement veut maintenant redémarrer davantage de centrales nucléaires qui ont été inactives après Fukushima et s'intéresse au développement de la technologie des petits réacteurs nucléaires, au milieu d'une crise énergétique qui a conduit à appeler les consommateurs à économiser l'énergie cet été.

    Les États-Unis soutiennent le nucléaire avec la loi sur la réduction de l'inflation
    Aux États-Unis, la loi sur la réduction de l'inflation - la principale législation de l'administration Biden pour lutter contre le changement climatique - reconnaît le rôle clé que jouera le nucléaire pour atteindre des émissions nettes nulles. La loi autorise de nouveaux crédits d'impôt à la production (CIP) pour les centrales nucléaires existantes, ainsi que des « crédits neutres sur le plan technologique » pour l'énergie propre, y compris pour la production d'hydrogène propre à partir d'électricité d'origine nucléaire.

    L'année dernière, le nucléaire représentait 19 % de la production d'électricité aux États-Unis et était la principale source d'alimentation électrique à zéro émission, devant la production d'énergie éolienne avec 9,2 %, selon les données de l'EIA.

    "Le soutien de l'IRA aux générateurs nucléaires existants, aux projets d'énergie nucléaire avancés et au développement de combustible nucléaire avancé permettra à l'énergie nucléaire de contribuer de manière significative aux objectifs climatiques américains et, ce faisant, établira des capacités qui peuvent être exportées pour renforcer les efforts climatiques dans le monde entier, » Stephen S. Greene, chercheur principal non résident à l'Atlantic Council Global Energy Center, a écrit plus tôt ce mois-ci.

    Ce mois-ci également, le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a proposé de prolonger la durée de vie de la seule centrale nucléaire opérationnelle de l'État, Diablo Canyon, jusqu'en 2035, soit dix ans après la date de fermeture prévue de 2025. La centrale électrique fournit actuellement environ 17 % de la production zéro carbone de la Californie. l'approvisionnement en électricité et 8,6% de l'approvisionnement total en électricité de la Californie, indique le projet de proposition. Sans énergie nucléaire, la Californie pourrait avoir du mal à garder les lumières allumées pendant les vagues de chaleur estivales après 2025.

    Le changement climatique pourrait remettre en cause la prolongation de la durée de vie des centrales nucléaires
    À mesure que les vagues de chaleur et autres phénomènes météorologiques extrêmes deviennent plus fréquents, la chaleur intense et les sécheresses pourraient remettre en question la prolongation de la durée de vie des anciennes centrales nucléaires. Exemple concret : en France, où la production d'électricité nucléaire représente environ 70 % du mix électrique, EDF a averti au début de l'été que la production d'électricité nucléaire en France serait réduite car les températures élevées des fleuves Rhône et Garonne les rendent trop chauds pour refroidir les réacteurs.

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  30. En Floride, la Nuclear Regulatory Commission (NRC) des États-Unis a annulé en février de cette année une licence de 2019 accordée à Florida Power & Light pour prolonger de 30 ans la durée de vie de deux réacteurs vieux de 50 ans, ordonnant un nouvel examen environnemental, y compris les risques potentiels que le changement climatique pourrait poser.

    https://www.zerohedge.com/energy/nuclear-power-staging-remarkable-comeback

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    1. (...) Exemple concret : en France, où la production d'électricité nucléaire représente environ 70 % du mix électrique, EDF a averti au début de l'été que la production d'électricité nucléaire en France serait réduite car les températures élevées des fleuves Rhône et Garonne les rendent trop chauds pour refroidir les réacteurs. (...)

      HOULALA !

      L'eau pompée dans la rivière, la mer ou l'océan passe immédiatement par un purificateur où sont éliminés toutes les impuretés problématiques dans un réacteur nucléaire. C'est donc de l'eau propre qui est transférée. Le but d'une centrale électrique (à gaz, charbon, pétrole ou nucléaire) est: de CHAUFFER l'eau afin que la vapeur qui monte fasse tourner un rotor horizontal comme une roue de bicyclette munie d'une dynamo.
      Donc: il n'y a PAS de 'refroidissement nécessaire' des réacteurs puisque c'est de l'eau chaude, brûlante qui est déversée dans.

      Simplement qu'avec les boues retirée des eaux pompées il y a de l'eau chaude brûlante et, cette eau est... déversée d'où elle vient. Mais comme les poissons n'aiment pas l'eau chaude (sauf en bouillabaisse)...

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  31. La capitale administrative des Pays-Bas est la première ville à demander une "exemption temporaire" des sanctions de l'UE contre la Russie


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 10:15


    Vous souvenez-vous quand l'Europe a montré à Poutine qui était le patron lorsqu'elle a fait preuve d'une solidarité fracassante avec l'Ukraine en commettant un suicide économique et en imposant des sanctions sur la plupart des exportations énergétiques russes ?

    Eh bien, un peu plus de six mois plus tard, l'Europe est confrontée à une catastrophe économique et sociale historique grâce à l'hyperinflation énergétique qui s'est déclenchée au moment où la BCE s'apprête à relever les taux dans une récession hivernale glaciale. Pire encore, non seulement les sanctions occidentales ont été un désastre absolu, mais la douleur a été aggravée par le fait que la Russie connaît un nouvel âge d'or pour ses exportations de pétrole (comme le décrit le WSJ dans "Russia Confounds the West by Recapturing Its Oil Riches" ).

    Ainsi, ayant réalisé à quel point les sanctions étaient dénuées de sens et futiles, la "solidarité bouleversante" de l'Europe commence à se briser, et un par un, les participants à l'alliance incassable espèrent tranquillement s'éloigner du Titanic européen avant qu'il ne perde tout pouvoir.

    Prenez la ville néerlandaise de La Haye - la capitale administrative et royale du pays - qui a déclaré jeudi dernier qu'elle demanderait une exemption "temporaire" des sanctions de l'UE contre la Russie, alors qu'elle peine à trouver un remplaçant pour son contrat avec le fournisseur de gaz russe Gazprom en temps, selon Reuters.

    La Haye, qui a perdu son accès existant au gaz russe après l'invasion de l'Ukraine, doit trouver un nouveau fournisseur de gaz pour remplacer son accord existant avec Gazprom. La ville a déclaré qu'elle avait organisé un appel d'offres à l'échelle de l'UE en juin et juillet, mais qu'elle n'avait réussi à attirer aucune offre de fournisseurs potentiels. Alerte spoiler : il trouvera des fournisseurs... il devra juste payer beaucoup plus, ce que personne en Europe ne s'était apparemment rendu compte en février lorsque tout le monde s'est jeté du haut de la falaise des sanctions.

    Des entretiens individuels avec des fournisseurs étaient certains de mener à un accord, a écrit l'échevin Saskia Bruines dans une lettre au conseil municipal, mais pas avant la date limite du 10 octobre.

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  32. "Nous demanderons une dérogation pour notre accord actuel jusqu'au 1er janvier 2023 afin de garantir la sécurité de l'approvisionnement et de faciliter les négociations", a-t-elle déclaré, ajoutant qu'elle était convaincue que le délai serait accordé, car La Haye avait rempli la condition de la tenue d'un appel d'offres en temps opportun sans résultat positif.

    Cependant, elle a ajouté que tout nouveau contrat devant entrer en vigueur le 1er janvier serait nettement plus coûteux que l'accord actuel de la ville avec Gazprom. En d'autres termes, malgré un retour à la case départ, la métropole néerlandaise devra désormais dépenser beaucoup plus.

    La Haye est l'une des nombreuses municipalités néerlandaises qui ont un contrat énergétique avec Gazprom, mais est la première à indiquer qu'elle demandera une exemption aux sanctions. S'il obtient ce qu'il recherche, attendez-vous à ce que toutes les autres municipalités européennes suivent son exemple.

    https://www.zerohedge.com/energy/netherlands-admin-capital-first-city-seek-temporary-exemption-eu-sanctions-against-russia

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  33. Des politiciens suisses demandent au pays de conserver l'énergie nucléaire


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 08:45


    La Suisse est le dernier pays à embarquer dans la tendance "l'énergie nucléaire avant les pannes d'électricité à l'échelle nationale", suivant les traces récentes de pays comme l'Allemagne. En fait, un groupe de politiciens suisses a lancé une pétition dans le but de réviser la politique énergétique du pays pour maintenir le nucléaire dans le mix, afin de garantir une puissance suffisante à l'avenir.

    Le pays avait prévu de fermer ses 5 réacteurs nucléaires après une décision post-Fukushima en 2017. Il a déjà arrêté un réacteur.

    Maintenant, les politiciens tentent de rassembler les 100 000 signatures nécessaires à un référendum pour changer la constitution du pays et empêcher l'exclusion du nucléaire. Les résultats peuvent prendre des années à être mis en œuvre après la collecte des signatures, a écrit Reuters cette semaine.

    Le groupe politique, appelé "Stop Blackouts", a déclaré cette semaine : "Jusqu'à récemment, la Suisse disposait d'une production d'électricité sûre et pratiquement sans gaz carbonique : la combinaison écologique et climatique de l'énergie hydraulique et nucléaire doit être abandonnée sans aucune raison. "

    La présidente du comité, Vanessa Meury, a déclaré : « Nous ne pouvons pas nous passer des centrales nucléaires.

    Comme l'Allemagne, la Suisse est également confrontée à des pénuries potentielles d'énergie à la suite de la guerre russe en Ukraine. Il a déjà réfléchi à l'idée de pannes régionales de quatre heures en cas de pénurie.

    Comme nous l'avons noté il y a quelques jours dans un article de Felicity Bradstock sur OilPrice.com, une peur injustifiée de l'énergie nucléaire empêche l'industrie d'aller de l'avant.

    Il a souligné que malgré le manque de compréhension du public sur la technologie nucléaire, ce qui signifie qu'elle peut parfois être confondue avec les armes nucléaires, il y avait un optimisme général autour de l'énergie nucléaire lorsqu'elle est apparue pour la première fois il y a plusieurs décennies. Il semble que la perception publique négative actuelle de l'énergie nucléaire découle principalement des catastrophes nucléaires qui ont été observées dans le monde entier en temps réel.

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  34. Bien que relativement peu de personnes soient décédées au cours de ces incidents par rapport aux décès dans le monde résultant d'autres opérations énergétiques, les incidents ont été largement télévisés et la peur de l'inconnu s'est rapidement propagée.

    L'article postule également que la seule façon d'améliorer la perception publique de l'énergie nucléaire est peut-être par une rééducation qui met en évidence la sécurité relative de la technologie par rapport à d'autres opérations énergétiques.

    En outre, alors que le public et les organisations internationales font pression sur les gouvernements des États pour qu'ils passent au vert, une meilleure commercialisation de l'énergie nucléaire pourrait aider à modifier la perception du public, car les gens commencent à considérer la source d'énergie sans carbone comme nécessaire pour un avenir vert. Cependant, pour l'instant, les gouvernements ressentent une pression croissante pour « bien faire les choses », avec la possibilité que tout incident s'ajoute à la diabolisation à long terme de l'énergie nucléaire.

    https://www.zerohedge.com/markets/swiss-politicians-petition-country-keep-nuclear-power

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  35. Le gaz russe ne circule plus vers la France – rationnement énergétique pour le reste de l'Europe bientôt en route


    mardi 30 août 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) À compter de maintenant, la société gazière russe Gazprom réduit massivement les flux de gaz naturel vers la France, une décision qui, selon la Première ministre française Élisabeth Borne, conduira probablement à un rationnement du carburant cet hiver.

    Le géant français de l'énergie Engie, qui gère les livraisons de gaz depuis Gazprom, a publié une annonce urgente sur la façon dont l'arrêt du flux dépend d'un "désaccord entre les parties sur l'application des contrats". (En relation: l'Allemagne est également condamnée cet hiver sans gaz russe.)

    Selon les autorités françaises, réduire la consommation pourrait ne pas suffire à maintenir le courant cet hiver. Il pourrait arriver, et il arrivera probablement, un moment où le gouvernement devra intervenir et rationner les fournitures rares.

    "Engie avait déjà sécurisé les volumes nécessaires pour assurer l'approvisionnement de ses clients et pour ses propres besoins, et mis en place une série de mesures pour réduire significativement les impacts financiers et physiques directs qui pourraient résulter d'une interruption des livraisons de gaz par Gazprom", a indiqué l'entreprise. réclamations.

    Les dirigeants français avertissent le pays que son statut de premier monde touche à sa fin
    Si cela est vrai, alors pourquoi les autorités françaises paniquent-elles quant à ce que l'avenir réserve aux réserves énergétiques de la France ? Le président Emmanuel Macron, par exemple, a fait une déclaration inquiétante selon laquelle la « fin de l'abondance » est arrivée pour la France.

    Le peuple français, a ajouté Macron, devra "accepter de payer le prix" de ce qu'il a appelé "notre liberté et nos valeurs" en diminuant son niveau de vie pour le coller à la Russie.

    Borne a dit des choses similaires aux chefs d'entreprise français, qu'elle a suppliés lors d'une récente conférence de faire tout leur possible pour réduire la consommation d'énergie de leurs entreprises afin d'éviter une éventuelle situation de rationnement.

    « Si nous agissons collectivement, nous pouvons surmonter le risque de pénurie », a-t-elle proclamé en utilisant la rhétorique communiste. "Mais si chacun de nous ne fait pas sa part, ou si toutes les perspectives négatives se concrétisent en même temps, nous devrons imposer une baisse de la consommation."

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  36. "Si nous finissons par rationner, les entreprises seront les premières touchées et malheureusement nous devons nous y préparer", a poursuivi Borne, demandant en outre aux entreprises françaises d'engager un "ambassadeur de la sobriété énergétique" pour faciliter la transition vers une norme beaucoup plus basse. de vie.

    Ce que Macron et Borne disent essentiellement, c'est que la France est sur le point de descendre de quelques crans du statut de Premier Monde à celui de Tiers Monde, et que les habitants doivent se préparer à ce qui va bientôt arriver et déjà en mouvement.

    Comme d'habitude, ils citent le « changement climatique » et la guerre russe en Ukraine comme excuse pour couper une énergie bon marché et abondante, affirmant qu'il n'y a pas d'autre moyen d'être « libre » et de défendre les « valeurs » françaises.

    Les États-Unis ne sont pas loin derrière, juste pour être clair. Bien que nous ayons l'impression d'être en répit face à toute la folie énergétique - c'est-à-dire la baisse récente et soudaine des prix de l'essence, qui n'est que temporaire - ne vous y trompez pas : le statut de premier monde de l'Amérique est également menacé.

    « Les États-Unis finiront comme le Sri Lanka est maintenant : fauchés, sans ressources de base comme l'électricité, le gaz naturel, l'essence, la nourriture, l'eau et aussi des émeutes dans les rues, et la crise économique va bientôt commencer », a écrit un commentateur à Breitbart News. .

    "Le Sri Lanka et l'UE nous ont montré ce qui se passe réellement lorsque le gouvernement impose une" solution verte "."

    Un autre a souligné que des idées telles qu'un "ambassadeur de la sobriété énergétique" sont risibles, illustrant l'idiocrasie qui a pratiquement envahi l'Occident.

    "Il faut se moquer de ces acolytes" verts "qui préfèrent voir leur population geler en hiver, plutôt que d'abandonner leur religion du" changement climatique "qui profite aux élites et à leurs semblables", a écrit cette personne.

    "Leurs morts seront sur leur tête pour cette position ridicule sur la consommation d'énergie."

    Alors que les guerres énergétiques s'intensifient, vous pouvez vous tenir au courant des dernières nouvelles sur FuelRationing.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Breitbart.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-08-30-russian-gas-not-flowing-france-energy-rationing.html

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  37. Comprendre l'esprit tyrannique et son fonctionnement


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 06:05
    Écrit par Brandon Smith via Alt-Market.us


    Toutes les personnes cherchent à contrôler leur environnement dans une certaine mesure. Ils veulent un niveau de gestion fiable sur leur monde et lever tous les doutes qu'ils pourraient avoir sur leur survie à l'avenir. S'ils le peuvent, les gens prendront des mesures pour éliminer toute douleur ou lutte potentielle et établir une vie de confort perpétuel. La route facile est le rêve de la plupart, et pour l'obtenir, les êtres humains voient le pouvoir comme un outil formidable.

    J'explore cette condition commune parce que je veux qu'il soit clair que presque TOUTES LES PERSONNES désirent le pouvoir dans une certaine mesure. Parfois, cela signifie même contrôler les actions des autres pour les empêcher de perturber l'oasis de confort que nous construisons autour de nous. Parfois, il y a des gens destructeurs que nous nous sentons obligés d'inhiber et de mettre en cage en état de légitime défense. Et d'autres fois encore, nous essayons de contrôler ceux qui nous entourent par peur irrationnelle.

    L'état d'esprit tyrannique n'est pas exclusif aux Staline, Maos et Hitler de l'histoire, c'est une ombre profondément enracinée qui se cache parfois dans la majorité d'entre nous. C'est cette condition que les tyrans politiques essaient d'exploiter à leur avantage, car aucun gouvernement autoritaire ne peut jamais réussir sans l'aide de millions de petits tyrans qui les soutiennent. Ils trouvent un moyen de nourrir notre désir de contrôle et de prévisibilité tout en nous asservissant simultanément.

    Le fait est que les tyrans ont besoin de nous. Nous avons tous un peu de tyrannie dans nos âmes ; nous sommes liés, mais nous sommes différents.

    Cela ne veut pas dire que l'ordre en soi est mauvais ou que les structures sociales sont intrinsèquement oppressives. Les gens ont besoin de limites parce que tout le monde n'est pas bon ou sain d'esprit. certains sont vicieux, certains sont paresseux, certains sont fous, certains sont incompétents et certains sont malhonnêtes et ils nous entraînent tous vers le bas. L'anarchie n'est pas la solution, mais le totalitarisme non plus. Tout dépend de qui fixe les limites et comment.

    C'est là que nous découvrons un élément humain spécifique qui est obsessionnellement attiré par le contrôle, non pas parce qu'il a peur, ni parce qu'il veut du confort, mais parce qu'il apprécie le sentiment de pouvoir. Ils en sont dépendants. Je parle spécifiquement des narcissiques, des sociopathes et des psychopathes ; ils sont membres de notre espèce, mais il leur manque les traits psychologiques clés qui font de nous des êtres humains, tels que l'empathie, la conscience, l'imagination, l'amour et la honte. Dans presque tous les cas où le gouvernement a mal tourné, c'est parce que ces types de personnes ont pu se glisser dans des postes d'autorité et en profiter.

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  38. Malgré les représentations exagérées dans les films et la télévision, votre psychopathe moyen n'est pas si complexe ou intéressant - Le fait de leur existence est intéressant, mais en tant que personnes, ils ont tendance à être ennuyeux. L'idée d'eux est fascinante parce qu'il s'agit d'une anomalie biologique, d'une erreur évolutive ou peut-être d'une difformité spirituelle. Environ 1% d'une population donnée est sujette à la psychopathie et un pourcentage encore plus faible sont des psychopathes de haut niveau capables de cacher leur nature monstrueuse.

    La plupart des psychopathes moyens finissent par se retrouver en prison ou impliqués dans une succession sans fin d'échecs de la vie. Ils ne peuvent pas se ressaisir, entretenir des relations et construire une vie normale parce qu'ils sont trop obsédés par eux-mêmes et dangereux et que les gens autour d'eux finissent par le remarquer. Ces types de personnes sont ce que j'appellerais les "petits tyrans". Ils semblent remonter à la surface de la société lorsque les temps sont désespérés ; quand les gens sont distraits par la crise, c'est quand les psychopathes sentent qu'il est sûr de montrer leur vraie nature.

    Par exemple, pendant les fermetures de la pandémie de covid et les tentatives du gouvernement d'introduire des mandats draconiens de vax, les petits tyrans étaient partout. Ils sont juste apparus hors de l'éther et ont tourbillonné autour du vortex autoritaire comme s'il s'agissait d'une frénésie alimentaire. Ils ont profité de l'occasion pour commander aux autres des masques et des vaccins et la «distanciation sociale», même si aucune de ces mesures n'a fait AUCUNE différence dans la propagation du covid ou le taux de mortalité par infection médian plutôt mineur de 0,23%.

    On leur jetait des miettes de la table du pouvoir et ils en savouraient chaque minute. La vraie science n'était pas de leur côté, mais ils s'en fichaient; les médias et le gouvernement étaient de leur côté et c'est tout ce qui comptait. Ils étaient heureux d'être utilisés comme armes contre d'autres citoyens qui voulaient juste être libres.

    Au-delà de la relation symbiotique (ou peut-être parasitaire) entre les grands tyrans et les petits tyrans, il existe un ensemble de normes qui doivent être respectées pour que la tyrannie réussisse :

    Destruction du choix

    Au cœur de la tyrannie se trouve la suppression du choix. La centralisation consiste à éliminer les options pour le public tout en leur disant que leur vie sera rationalisée, plus facile et plus sûre. Si les gens ont des options en dehors du système ou de l'idéologie de l'establishment, ils pourraient alors remettre en question la validité de la structure du pouvoir. Ils pourraient se demander "Et s'il y avait un meilleur moyen que celui-ci ?"

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  39. Et, puisqu'il y a toujours un meilleur moyen que la peur et l'esclavage, les tyrans doivent s'engager dans une guerre constante avec toutes les idées et principes alternatifs. La seule façon dont ils peuvent être sûrs que les gens ne se rebelleront pas un jour est d'effacer l'existence du choix. Non seulement cela, mais ils doivent convaincre les masses que même suggérer un autre choix est sacrilège et dangereux. Le système doit devenir absolu en toutes choses et dans tous les domaines de la vie quotidienne.

    Créer un faux paradoxe moral

    La liberté est l'esclavage - L'ignorance est la force. C'est le vieux paradoxe orwellien qui pervertit le sens des mots et des actes pour justifier la tyrannie. Une extension de cette façon de penser tordue est la religion du « plus grand bien » ; l'idée que tous les maux sont justifiés tant que le « plus grand bien » est accompli. Mais quel est le plus grand bien ? C'est tout ce que les tyrans disent que c'est; généralement tout ce qui les aide à gagner plus de pouvoir. On pourrait penser qu'un «bien» qui est «plus grand» impliquerait plus de liberté et moins de peur, pas moins de liberté et plus de peur.

    Dans le cadre de la tactique de suppression du choix, les tyrans créent souvent une fausse énigme morale dans laquelle on dit aux gens que leur liberté est en fait préjudiciable aux autres, donc leurs libertés doivent être supprimées « pour le plus grand bien ». Encore une fois, l'expérience de tyrannie médicale covid a été entièrement construite autour de cet argument. Et si votre choix de ne pas porter de masque, de ne pas rester enfermé chez vous et de ne pas prendre un vaccin douteux nuisait à des centaines ou des milliers d'autres ? Cela ne justifie-t-il pas de vous retirer vos choix ? Ces affirmations sont bien sûr fantaisistes, mais dans le feu de la panique nationale, les gens peuvent être amenés à croire que le faux paradoxe est réel.

    Expansion obsessionnelle compulsive

    Comme indiqué, les tyrans sont généralement des personnalités psychopathes, et une partie de cet état d'esprit est la compulsion à se développer et à dévorer. Comme une amibe en pleine croissance, ou cette créature du film "The Blob". Leur soif de contrôle n'est jamais assouvie, ils en voudront toujours plus.

    On dira aux gens qu'ils ne perdent qu'une liberté, ou deux libertés, ou que leurs libertés seront restreintes "pour une courte période". C'est toujours un mensonge. Une fois que les tyrans auront acquis un nouveau pouvoir, ils le conserveront de manière obsessionnelle comme s'il s'agissait d'oxygène et sans lui, ils pourraient mourir. Et, ensuite, ils chercheront plus de pouvoirs parce que ce qu'ils ont n'est jamais assez. Un de mes amis l'a un jour décrit ainsi :

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  40. Un festin aux proportions royales est empilé devant le tyran, comme un festin du jour de Thanksgiving coulant sur sa table. Vous êtes assis tranquillement sans accès à la table, mais vous tenez entre vos mains une petite croûte de pain. C'est tout ce que vous avez et vous le bercez avec précaution car il doit être fait pour durer. Et même si le ventre du tyran est plein et qu'il a plus qu'il ne pourrait jamais manger dans sa vie, tout ce à quoi il peut penser est VOTRE petite croûte.

    Tout ce qu'il se demande à propos du jour et de la nuit, c'est pourquoi vous avez cette croûte alors qu'elle devrait être la sienne. Il grince des dents en écumant de désespoir pour votre maigre repas. Puis un jour, il décide qu'il ne s'arrêtera pas tant que votre croûte de pain ne sera pas entre ses mains pendant que vous mourrez de faim. C'est maintenant sa mission dans la vie - Prendre votre croûte et vos miettes et vous laisser sans rien. Tout autre résultat serait inimaginable.

    Il veut non seulement voler votre croûte, mais il veut voir votre désespoir quand il le fait. Il veut que vous sachiez qu'il a pris votre dernier repas et il veut voir la douleur sur votre visage quand il l'enlèvera. Ensuite, il veut que vous agissiez comme si vous l'aimiez pour cela.

    C'est ainsi que fonctionne l'esprit d'un psychopathe. Pourquoi leur cerveau fonctionne-t-il ainsi ? Il existe de nombreuses théories mais personne ne sait vraiment avec certitude. La majorité des preuves suggèrent qu'ils sont réellement nés comme ils sont; sans conscience et sans contrepoids à la folie.

    L'histoire de la croûte de pain est une métaphore, mais elle illustre comment les autoritaires psychopathes voient diverses libertés - Ce sont des morceaux de vie que les tyrans ne peuvent pas tolérer que vous ayez en votre possession. Cela les rend fous de savoir que vous avez cette petite étincelle de lumière et de joie dans vos mains et qu'ils planifient et complotent et crient et gémissent et griffent jusqu'à ce qu'ils puissent vous l'enlever.

    La tyrannie ne peut être vaincue que si elle est comprise

    Il y aura des gens là-bas qui feront l'argument ignorant commun que tout cela est un exercice futile parce qu'il ne "traite pas de solutions". Il existe de nombreuses solutions aux systèmes autoritaires, j'écris à leur sujet depuis plus de 16 ans maintenant. Nous pouvons parler toute la journée de décentralisation, de localisme, d'organisation et de révolution, mais rien de tout cela n'a d'importance tant que nous ne comprenons pas comment nos ennemis pensent et les tactiques qu'ils utilisent. Si nous ne les connaissons pas, nous ne pouvons pas les vaincre.

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  41. Ils ne sont pas complexes et ils ne sont pas forcément ingénieux mais ils sont implacables et leurs méthodes simples peuvent parfois être très efficaces. Sous-estimer leur obsession du contrôle serait désastreux. Cela dit, la seule chose qu'ils apprécient plus que le pouvoir est leur propre vie, et (si nous allons aborder des solutions) tant que ces personnes ne comprendront pas que leur vie pourrait être le prix de leurs compulsions, elles ne s'arrêteront jamais. Il n'y a aucun raisonnement avec eux. Il n'y a ni diplomatie ni compromis. Il n'y a pas de juste milieu. Ils continueront à prendre jusqu'à ce que les pertes qu'ils subissent l'emportent sur les gains de la trahison. Connaître leur état d'esprit nous rapproche de plusieurs étapes pour les arrêter.

    https://www.zerohedge.com/political/understanding-tyrannical-mind-and-how-it-operates

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  42. La kleptocratie américaine : un gouvernement de menteurs, de voleurs et de hors-la-loi


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 05:25
    Rédigé par John & Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,


    « L'homme le plus dangereux pour tout gouvernement est celui qui est capable de penser les choses par lui-même, sans tenir compte des superstitions et des tabous en vigueur. Presque inévitablement, il en vient à la conclusion que le gouvernement sous lequel il vit est malhonnête, insensé et intolérable.
    - H. L. Mencken

    La kleptocratie américaine (un gouvernement dirigé par des voleurs) continue d'aspirer le peuple américain dans un terrier de lapin dans un univers parallèle dans lequel la Constitution n'a aucun sens, le gouvernement est tout-puissant et les citoyens sont impuissants à se défendre contre les agents du gouvernement qui voler, espionner, mentir, piller, tuer, abuser et généralement infliger le chaos et semer la folie sur tout le monde et tout dans leur sphère.

    Pensez-y.

    Presque toutes les tyrannies perpétrées par le gouvernement américain contre les citoyens - soi-disant pour assurer notre sécurité et la sécurité de la nation - sont le résultat d'une menace fabriquée d'une manière ou d'une autre par notre propre gouvernement.

    Cyber ​​guerre. Terrorisme. Attaques biochimiques. La course aux armements nucléaires. Surveillance. Les guerres de la drogue. L'extrémisme domestique. La pandémie de COVID-19.

    Dans presque tous les cas, le gouvernement américain (souvent dirigé par le FBI) ​​a, à sa manière typiquement machiavélique, semé les graines de la terreur au niveau national et international afin d'étendre ses propres pouvoirs totalitaires.

    Qui est le plus gros acheteur et stockeur d'armes cybernétiques sur le marché noir (des logiciels malveillants armés qui peuvent être utilisés pour pirater des systèmes informatiques, espionner des citoyens et déstabiliser de vastes réseaux informatiques) ? Le gouvernement américain.

    Qui est le plus grand fabricant et exportateur d'armes au monde, au point d'armer littéralement le monde ? Le gouvernement américain.

    Quel pays a l'habitude de tester secrètement des armes et des technologies dangereuses sur ses propres citoyens ? Le gouvernement américain.

    Quel pays a mené des expériences secrètes sur une population sans méfiance - citoyens et non-citoyens - rendant malades des personnes en bonne santé en les aspergeant de produits chimiques, en leur injectant des maladies infectieuses et en les exposant à des toxines en suspension dans l'air ? Le gouvernement américain.

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  43. Quel pays a un modèle et une pratique de piégeage qui consiste à cibler des individus vulnérables, à les alimenter avec la propagande, le savoir-faire et les armes destinés à les transformer en terroristes, puis à les arrêter dans le cadre d'une piqûre antiterroriste minutieusement orchestrée ? Le gouvernement américain.

    Avez-vous encore la photo ?

    Le gouvernement américain ne nous protège pas du terrorisme.

    Le gouvernement américain crée la terreur. C'est, en fait, la source de la terreur.

    Considérez que ce même gouvernement a pris chaque élément technologique qui nous est vendu comme étant dans notre meilleur intérêt - appareils GPS, surveillance, armes non létales, etc. - et l'a utilisé contre nous, pour nous suivre, nous contrôler et nous piéger.

    Alors pourquoi le gouvernement fait-il cela? Argent, pouvoir et domination totale.

    Nous n'avons pas affaire à un gouvernement qui existe pour servir son peuple, protéger ses libertés et assurer son bonheur. Ce sont plutôt les machinations diaboliques d'un programme de bricolage mené à une échelle épique dont le seul but est de garder les pouvoirs en place en permanence (et avec profit) employés.

    Exemple : le FBI.

    Les hommes de main du gouvernement sont devenus l'incarnation de la façon dont le pouvoir, une fois acquis, peut être si facilement corrompu et abusé. En effet, loin d'être durs avec le crime, les agents du FBI sont également parmi les contrevenants les plus notoires du pays.

    Si le FBI implante des agents d'infiltration dans les églises, les synagogues et les mosquées ; émettre de fausses lettres d'urgence pour accéder aux relevés téléphoniques des Américains ; en utilisant des tactiques d'intimidation pour faire taire les Américains qui critiquent le gouvernement, ou en persuadant des individus impressionnables de comploter des actes de terreur puis de les piéger, l'impression générale de la police secrète du pays est celle d'un voyou bien habillé, fléchissant ses muscles et faisant le sale boulot du patron.

    C'est un complot diabolique aux conséquences profondes pour chaque segment de la population, quelles que soient ses tendances politiques.

    Comme l'écrit Rozina Ali pour le New York Times Magazine, "l'approche du gouvernement en matière de lutte contre le terrorisme érode les protections constitutionnelles pour tout le monde, en brouillant les frontières entre la parole et l'action et en élargissant la portée de qui est classé comme une menace".

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  44. Ce n'est pas une agence qui semble comprendre, et encore moins respecter, les limites de la Constitution.

    Par exemple, le FBI a secrètement mis en place un stratagème de piégeage dans lequel il a utilisé une société écran, ANOM, pour vendre des téléphones prétendument à l'épreuve du piratage à des syndicats du crime organisé, puis a utilisé ces téléphones pour les espionner alors qu'ils planifiaient des expéditions de drogues illégales, ont comploté des vols et passé des contrats pour des meurtres en utilisant ces téléphones piégés.

    Au total, le FBI a intercepté 27 millions de messages en 18 mois.

    Cela signifie que le FBI espionnait également illégalement des personnes utilisant ces téléphones cryptés qui n'étaient peut-être pas impliquées dans une quelconque activité criminelle.

    La simple lecture d'un article de journal suffit désormais à vous faire signaler par le FBI pour surveillance. L'agence a signifié une assignation à USA Today / Gannett pour fournir les adresses Internet et les informations sur les téléphones portables à tous ceux qui lisent un reportage en ligne un jour et une heure particuliers sur la fusillade mortelle d'agents du FBI.

    C'est le danger de permettre au gouvernement de mener des opérations de surveillance, d'arnaque et de piégeage à grande échelle en utilisant des tactiques douteuses qui contournent l'État de droit : « nous, le peuple » devenons des suspects et des criminels potentiels, tandis que les agents du gouvernement, habilités à lutter contre la criminalité par tous les moyens à leur disposition, deviennent indiscernables des forces corrompues qu'ils cherchent à vaincre.

    Pour poursuivre les terroristes, ils deviennent des terroristes. Pour poursuivre les trafiquants de drogue, ils deviennent des trafiquants de drogue. Pour aller après les voleurs, ils deviennent des voleurs.

    Il est difficile de dire si nous avons affaire à une kleptocratie (un gouvernement gouverné par des voleurs), à une kakistocratie (un gouvernement dirigé par des politiciens de carrière sans scrupules, des entreprises et des voleurs qui flatte les pires vices de notre nature et se soucie peu des droits des citoyens américains), ou si nous sommes allés directement à une idiotie.

    Ce n'est certainement pas une république constitutionnelle, cependant.

    Certains jours, on a l'impression que le gouvernement dirige son propre syndicat du crime avec la règle de la foule et la justice de style mafieux.

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  45. En plus de créer certains crimes afin de les "résoudre" ensuite, le FBI - l'agence gouvernementale chargée de l'application de la loi - autorise également certains informateurs à enfreindre la loi, "y compris tout ce qui va de l'achat et de la vente de drogues illégales à la corruption de fonctionnaires et au complot de vols". », en échange de leur coopération sur d'autres fronts.

    USA Today estime que des agents du gouvernement ont autorisé des criminels à commettre jusqu'à 15 crimes par jour (5600 crimes par an). Certains de ces informateurs reçoivent des sommes astronomiques : un type particulièrement peu recommandable, arrêté plus tard pour avoir tenté d'écraser un policier, a en fait été payé 85 000 $ pour son aide à tendre le piège d'un plan de piégeage.

    En plus des fautes procédurales, des intrusions, des activités criminelles et des dommages à la propriété privée, la longue liste de crimes du FBI contre le peuple américain comprend la surveillance, la désinformation, le chantage, le piégeage, les tactiques d'intimidation et le harcèlement.

    Par exemple, l'Associated Press a déposé une plainte auprès du ministère de la Justice après avoir appris que des agents du FBI avaient créé un faux reportage AP et l'avaient envoyé par e-mail, accompagné d'un lien cliquable, à un suspect d'alerte à la bombe afin d'implanter une technologie de suivi sur son ordinateur. et identifier son emplacement. Réprimandant l'agence, l'avocate de l'AP, Karen Kaiser, a déclaré: «Le FBI a peut-être voulu que cette fausse histoire soit un piège pour une seule personne. Cependant, l'individu aurait facilement pu republier cette histoire sur les réseaux sociaux, en distribuant à des milliers de personnes, sous notre nom, ce qui était essentiellement une désinformation gouvernementale.

    Là encore, pour ceux qui connaissent COINTELPRO, un programme du FBI créé pour « perturber, détourner, discréditer et neutraliser » des groupes et des individus que le gouvernement considère comme politiquement répréhensibles, il ne faut pas s'étonner que l'agence maîtrise l'art de la désinformation gouvernementale.

    Le FBI a été particulièrement critiqué à la suite des attentats terroristes du 11 septembre pour avoir ciblé des individus vulnérables et non seulement les avoir attirés dans de faux complots terroristes, mais aussi les avoir dotés de l'organisation, de l'argent, des armes et de la motivation nécessaires pour mener à bien les complots - le piégeage - puis les emprisonner pour leur soi-disant complot terroriste. C'est ce que le FBI qualifie de « poursuites préventives orientées vers l'avant ».

    Autre retombée du 11 septembre, les National Security Letters, l'un des nombreux pouvoirs illicites autorisés par le USA Patriot Act, permettent au FBI d'exiger secrètement que les banques, les compagnies de téléphone et d'autres entreprises leur fournissent des informations sur les clients et ne divulguent pas les demandes. Un audit interne de l'agence a révélé que la pratique du FBI consistant à émettre des dizaines de milliers de NSL chaque année pour des informations sensibles telles que les dossiers téléphoniques et financiers, souvent dans des cas non urgents, est criblée de violations généralisées.

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  46. Les capacités de surveillance du FBI, à égalité avec l'Agence de sécurité nationale, disposent d'une méchante collection d'outils d'espionnage allant des appareils Stingray qui peuvent suivre l'emplacement des téléphones portables aux appareils Triggerfish qui permettent aux agents d'écouter les appels téléphoniques.

    Dans un cas, le FBI a en fait réussi à reprogrammer à distance la carte Internet sans fil d'un "suspect" afin qu'il envoie "des données de localisation de site cellulaire en temps réel à Verizon, qui a transmis les données au FBI".

    Le FBI a également cherché à plusieurs reprises à étendre ses pouvoirs de piratage invasif pour permettre aux agents de pirater n'importe quel ordinateur, n'importe où dans le monde.

    En effet, depuis des années maintenant, le gouvernement américain a créé ce qu'un initié du renseignement a qualifié de cyber-armée capable d'attaques offensives. Dans le cadre de ces programmes de cyberarmes, des agences gouvernementales telles que la NSA ont stocké toutes sortes de logiciels malveillants, de virus et d'outils de piratage malveillants qui peuvent "voler les mots de passe des comptes financiers, transformer un iPhone en appareil d'écoute ou, dans le cas de Stuxnet, saboter une installation nucléaire.

    En fait, la NSA était responsable de la menace posée par le ver malveillant « WannaCry » ou « Wanna Decryptor » qui, à la suite de l'accès de pirates informatiques à l'arsenal du gouvernement, a piraté plus de 57 000 ordinateurs et paralysé les soins de santé, les infrastructures de communication, la logistique, et des entités gouvernementales dans plus de 70 pays.

    Remarquez que le gouvernement a été averti à plusieurs reprises des dangers d'utiliser des tactiques criminelles pour mener ses propres cyberguerres. Il a été averti des conséquences d'un retour de flamme si ses cyber-armes tombaient entre de mauvaises mains.

    Le gouvernement a choisi d'ignorer les avertissements.

    C'est exactement ainsi que se sont déroulés les attentats du 11 septembre.

    Tout d'abord, le gouvernement a contribué à créer la menace qu'était Al-Qaida, puis, lorsque Ben Laden a laissé la nation sous le choc (malgré d'innombrables avertissements qui sont tombés dans des oreilles sourdes), il a exigé - et a reçu - d'immenses nouveaux pouvoirs. sous la forme du USA Patriot Act afin de lutter contre le danger même qu'il avait créé.

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  47. C'est devenu le modus operandi du gouvernement fantôme, quel que soit le parti qui contrôle la Maison Blanche : le gouvernement crée une menace - en sachant très bien les ramifications qu'un tel danger pourrait poser au public - sans jamais reconnaître le rôle qu'il a joué dans le déclenchement de cette menace. menace particulière sur une population sans méfiance, elle exige des pouvoirs supplémentaires afin de protéger « nous, le peuple » de la menace.

    Pourtant, les pouvoirs en place ne veulent pas vraiment que nous nous sentions en sécurité.

    Ils veulent que nous nous recroquevillions et que nous ayons peur et que nous soyons prêts à renoncer à chacune de nos libertés en échange de leurs promesses fantômes de sécurité.

    En conséquence, c'est le peuple américain qui paie le prix de la cupidité insatiable du gouvernement et de sa quête de pouvoir.

    Qu'il suffise de dire que quand et si jamais une véritable histoire des États-Unis est écrite, elle suivra non seulement la montée de l'État policier américain, mais elle retracera également le déclin de la liberté en Amérique : comment une nation qui a autrefois respecté l'état de droit et tenu le gouvernement responsable de ses actes s'est progressivement transformé en un État policier où la justice est unilatérale, une élite d'entreprise dirige le spectacle, le gouvernement représentatif est une moquerie, la police est une extension de l'armée, la surveillance est endémique, la vie privée a disparu et la loi n'est guère plus qu'un outil permettant au gouvernement d'intimider les gens pour qu'ils se conforment.

    Quelque part au cours des 240 dernières années et plus, la démocratie a cédé la place à la kleptocratie, et le gouvernement représentatif a été rejeté en faveur du pouvoir par des politiciens de carrière, des entreprises et des voleurs - des individus et des entités peu soucieux des droits des citoyens américains.

    Cette dissolution de cette alliance sacrée entre les citoyens et le gouvernement - établissant "nous le peuple" comme maîtres et le gouvernement comme serviteur - ne s'est pas produite du jour au lendemain. Cela ne s'est pas produit à cause d'un incident particulier ou d'un président particulier. C'est un processus qui a commencé il y a longtemps et qui se poursuit de nos jours, aidé et encouragé par des politiciens qui ont maîtrisé l'art polarisant de « diviser pour mieux régner ».

    Comme je le souligne dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, nos libertés sont devenues les victimes d'une guerre totale contre le peuple américain.

    https://www.zerohedge.com/political/american-kleptocracy-government-liars-thieves-lawbreakers

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  48. Deuxième bombe à retardement : l’industrie française en perte de vitesse

    L’industrialisation d’un pays ne se décrète pas, mais s’obtient uniquement grâce à un environnement fiscal et normatif lui permettant de s’imposer dans le monde.


    le 31 août 2022
    Claude Goudron


    L’industrialisation d’un pays ne se fait pas avec des incantations comme le fait notre ministre de l’Économie.

    Elle ne se décrète pas, mais s’obtient uniquement grâce à un environnement fiscal et normatif lui permettant de s’imposer dans le monde, ou tout au moins en Europe en ce qui nous concerne.

    La France a tout faux depuis la fin du XXe siècle

    En 1982 François Mitterrand a abaissé démagogiquement l’âge de la retraite à 60 ans alors que la majorité des autres pays la maintenaient à 65 ans. À ce jour il a été ramené à 62 ans tandis qu’en Allemagne, premier concurrent industriel, il est à 65 ans + 10 mois en attendant 67 ans d’ici 2030.

    Au premier janvier 2000 pour les entreprises de plus de 20 salariés et 2002 pour les autres, la mise en place des 35 heures qui a sonné le glas de l’industrie française.

    Ajoutons une inflation de normes et décrets atteignant à ce jour le chiffre de 400 000 et dont une majorité est contraignante pour l’industrie, alors que nos voisins les ont limité à 80 000 ; sans oublier que la transposition de celles-ci en droit français se fait presque systématiquement en y ajoutant des contraintes, ce qui n’est pas le cas en Allemagne.

    L’évolution des charges sur les entreprises est réalisée sous plusieurs formes, la première étant les charges dites sociales dont la France détient depuis des décennies le record du monde. Mais il faut également prendre en compte les impôts de production, soit environ 100 milliards d’euros en France contre 14 milliards chez nos voisins.

    Le Code du travail enfle pour atteindre pratiquement 4000 pages que chaque entrepreneur est sensé connaître dans les détails, ce qui naturellement ne peut pas être le cas, ouvrant alors un nombre considérable de conflits avec les salariés et l’administration.

    Le tournant des années 2000

    À cette période, le pays était presque sur un pied d’égalité avec l’Allemagne, que l’on disait pourtant être l’homme malade de l’Europe. L’industrie des deux côtés de la frontière représentait environ 24 % du PIB.

    Consciente de sa fragilité au niveau mondial, l’Allemagne, avec le chancelier Schroeder à sa tête, a mis en place un certain nombre de mesures drastiques, dites lois Hartz 1 à 10, lesquelles ont permis le redressement spectaculaire de l’économie allemande, principalement son industrie.

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  49. Pendant la même période, l’immense erreur de Jacques Chirac a été de dissoudre l’Assemblée nationale, ce qui a donné des ailes au gouvernement de Lionel Jospin qui a réalisé une promesse totalement démagogique avec les 35 heures.

    C’est à ce moment que la France a décroché par rapport à l’Allemagne, qui a même augmenté la part de l’industrie dans son PIB, alors que le pays est passé en dessous de 10 % de PIB, qui a de plus évolué moins vite.

    Sac à dos

    C’est une allégorie entendue de plus en plus et dont je revendique la paternité par un article paru dans les 4 Vérités le 3 novembre 2018.

    Il s’agit de comparer la performance de nos chefs d’entreprise à la prouesse d’un athlète de haut niveau qui devrait courir avec un sac à dos chargé de 50 kg.

    Le sac à dos de notre entrepreneur serait chargé de taxes, d’impôts et de contraintes en tout genre dans la gestion de son entreprise. Il est évident qu’il ne pourra pas suivre la concurrence européenne et mondiale quand celle-ci dispose d’un environnement beaucoup moins contraignant.

    Notre sac à dos est chargé de prélèvements obligatoires sans commune mesure par rapport à la concurrence. Dans son dernier livre Agnès Verdier-Molinié les estime à 150 milliards d’euros auxquels il faut ajouter les contraintes imposées par un Code du travail démentiel qui fait le délice de notre administration avide de moyens mis à sa disposition pour entraver les entreprises.

    Un autre handicap rarement évoqué concerne les hauts salaires des cadres. En effet, à 4000 euros brut par mois les charges sociales, non plafonnées en France, sont deux fois plus importantes qu’en Allemagne et trois fois plus pour un salaire de 8000 euros. Le marché du travail ne connaissant plus de frontières en Europe, si un chef d’entreprise français veut garder ses cadres il doit sensiblement augmenter leur salaire brut afin qu’ils disposent d’un revenu net équivalent à celui des voisins !

    L’État semble enfin en prendre conscience et cherche à y remédier mais seulement en réduisant la charge du sac à dos. Mais ce n’est pas en passant de 50 à 40 kg que le chef d’entreprise pourra concurrencer son équivalent allemand, il faut impérativement le supprimer rapidement.

    Ceci d’autant plus que les entreprises françaises surimposées ne sont pas en capacité de générer une marge suffisante pour des investissements indispensables. Elles doivent faire appel à l’endettement alors que leurs voisins qui peuvent se leur permettre disposeront d’un bilan beaucoup plus présentable.

    Sur les vingt dernières années c’est une perte de rentabilité colossale pour les entreprises françaises qui se concrétise par une perte régulière et catastrophique du potentiel industriel du pays.

    La descente aux enfers va continue
    Qui aura le courage de mener à bien cette réforme ?

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  50. Je doute fort que ce soit ce gouvernement et ses mesures homéopathiques sans aucun impact sur l’avenir économique du pays. Vingt années de déni de la réalité obligeront une véritable révolution industrielle. Si les réformes ne sont pas réalisées immédiatement, ce seront le FMI, la BCE et l’UE qui les imposeront car ce laxisme va mettre en danger l’existence même de l’Europe qui devra rapidement imposer des règles économiques identiques chez tous les membre de sa communauté.

    Il est évident que jamais nos partenaires ne se caleront sur nous qui avons démontré l’inefficacité de notre système, d’autant plus qu’une simple réflexion pourrait nous convaincre. En effet la surtaxation a fait disparaître plus de la moitié de l’industrie française. Diminuer de 50 % les charges fera remonter à un minimum de 20 % sa part dans le PIB. Donc, mathématiquement, les rentrées fiscales à terme seront identiques à celles d’aujourd’hui.

    Conclusion

    Imposons tout de suite cette réforme par une loi cadre qui sera ainsi gravée dans le marbre. Elle garantira aux entreprises industrielles sa pérennité et sera la seule façon de faire revenir celles qui ont été contraintes de délocaliser depuis une vingtaine d’années.

    Notre PIB fera alors un grand bond en avant et nous pourrons alors talonner, voire dépasser nos collègues allemands. Sans cela, une nouvelle bombe à retardement nous attend !

    https://www.contrepoints.org/2022/08/31/437806-deuxieme-bombe-a-retardement-l-industrie-francaise-en-perte-de-vitesse

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  51. Régulation des jets privés : nouvelle réglementation du climat

    Laissons donc les Elon Musk, Bill Gates et autres Peter Thiel de ce monde se déplacer à pied, à cheval ou en voiture, en jets privés, en yacht ou en Ferrari, c’est leur affaire.


    Yves Ronsse
    le 31 août 2022


    Pour le porte-parole de l’Élysée Olivier Véran :

    « Il faut réguler les jets privés […] les symboles sont importants… »

    Je deviens très pessimiste quand j’entends ces propositions démagogiques venant de responsables politiques. Je me dis que la gauche (au sens large, car en France comme en Belgique, même la droite et le centre sont contaminés par les idées de gauche) n’a toujours pas compris la dynamique du monde, pas seulement économique, mais tout simplement celle qui régit l’évolution de tous les systèmes qui constituent notre univers.

    L’un des points aveugles de la gauche, communiste comme écologiste, est de considérer l’économie comme un gâteau à se partager, sans jamais comprendre les conditions qui le font grossir, ce qui, in fine, bénéficierait à tout le monde même si le partage est inégal.

    Avec le gouvernement de l’époque covid, Olivier Véran a inutilement pénalisé l’économie française. Rappelons-nous les distinctions spécieuses entre l’essentiel et le non essentiel. En fait il n’est toujours pas sorti de ce schéma mental et voudrait réguler (euphémisme pour limiter, voire interdire) jets privés, yachts et autres symboles de luxe ; et aussi les piscines tant qu’on y est, comme les écologistes le demandent. Ils pénaliseront ces biens non essentiels à leurs yeux d’autant plus facilement qu’ils pensent ainsi se rendre populaires.

    Une partie de la population pense en effet que de telles mesures ne l’impacteront pas et se réjouit plutôt de satisfaire sa pulsion d’envie, l’un des sentiments les plus répandus et destructeurs : « si je ne peux pas l’avoir, au moins ces salauds de riches ne le pourront pas non plus. »

    Or, la croyance en l’absence de conséquences pour la majorité de la population est une grave erreur :

    « C’est le non essentiel qui nourrit l’essentiel », écrit Philippe Charlez :

    « Si on détruit le superflu, on détruit à terme le nécessaire. Sans tourisme, sans luxe et sans restaurants, il ne serait pas possible de financer la santé, l’éducation ou encore la préservation de l’environnement. »

    Sandrine Rousseau veut, quant à elle, carrément détruire par la taxation des branches entières d’activité économique :

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  52. On ne doit pas s’étonner de ce type de raisonnement fallacieux dans la bouche d’une extrémiste soi-disant verte et économiste, mais surtout anti-capitaliste radicale et haineuse envers tout ce qui pourrait être un signe d’excellence.

    Malheureusement, comme nous l’avons vu plus haut, ce discours trouve un certain écho dans la population chez les partisans du nivellement par le bas.

    Philippe Charlez démontre par l’absurde l’inanité totale de cet égalitarisme forcené.

    Il fait le calcul suivant : supposons qu’on veuille redistribuer la totalité du PIB mondial à tous les habitants de la Terre via une allocation universelle unique. Quoi de plus égalitariste ? Chacun reçoit la même chose.

    « Partagé de façon égalitaire, le PIB mondial actuel (87 000 milliards de dollars en 2019) concéderait à chacun des 7,5 milliards de Terriens une allocation d’environ 11 500 dollars par an.

    Ce pactole, encore éloigné du seuil de développement (20 000 dollars), donnerait aux plus pauvres accès à un minimum vital (nourriture, logement, santé, éducation) dont ils ne peuvent jouir aujourd’hui. Mais ce seuil critique ne leur permettrait pas pour autant d’accéder aux biens de consommation usuels (voitures, loisirs, vacances, électroménager, électronique et réseaux sociaux, télécoms).

    Inversement, les plus riches verraient leurs revenus s’effondrer et eux aussi n’auraient plus accès aux biens de consommation usuels.

    Tous les pans de l’économie correspondant à la fabrication et à la distribution des biens de consommation auxquels personne n’aurait plus accès disparaitraient, entraînant dans un premier temps une réduction massive du PIB mondial et dans un deuxième temps une détérioration mécanique des indicateurs de développement de l’ensemble de la population mondiale, le revenu moyen étant repassé sous le seuil critique. »

    Nous en arrivons donc à la même conclusion : « Le non-essentiel supportant l’essentiel, sans non-essentiel, il ne peut y avoir d’essentiel. »

    Régulation des jets privés ou confusion égalité/équité

    Entendons-nous bien, il ne s’agit pas ici de soutenir des super riches qui auraient légitimement acquis ces symboles de luxe grâce à leur travail ou leur inventivité : ils n’ont nul besoin d’un tel soutien, qu’ils ne demandent d’ailleurs pas, et c’est leur affaire.

    On pourrait dénoncer ceux dont la richesse est illégitimement obtenue par la corruption et des activités mafieuses illégales, mais c’est une affaire de police et de respect des lois.

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  53. Ce que la gauche et le monde politique en général ne voient pas, ou refusent de voir, c’est ce fait incontournable : une société ne peut croître et prospérer sans des différences et des inégalités. Ce n’est pas en affaiblissant les riches qu’on renforce les pauvres.

    Il faut se garder de confondre l’équité ou l’égalité en droit, et égalité.

    L’équité est le but premier de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen : tous les individus, quelle que soit leur condition naissent et demeurent égaux en droits.

    Ainsi ont-ils tous un et un seul droit de vote. Quelle que soit sa naissance, son appartenance sociale, raciale ou religieuse, personne n’est juridiquement supérieur. L’équité est la raison première de l’État de droit, qui, entre autres, oblige les gouvernants à une égalité totale des droits avec les gouvernés, autrement dit ne pouvoir jamais se prévaloir de passe-droits en leur qualité de gouvernant. De plus, l’État de droit établit la responsabilité des gouvernants devant les gouvernés.

    « Mais tout équitable qu’elle soit, l’égalité des droits, ne supprime pas les inégalités de situation : elle les renforce même en laissant les individus développer et utiliser leurs capacités naturelles, à leur profit et au profit de la société, ces capacités étant forcément distribuées inégalement entre les individus. L’équité des règles démocratiques n’apporte donc aucune satisfaction aux individus qui ont soif d’égalitarisme. Elles deviennent d’autant plus frustrantes qu’elles sont perçues comme justes. » Philippe Charlez – Utopie de la croissance verte

    Forcer une égalité des situations comme étant conforme aux valeurs de gauche, comme en rêvent le marxisme et l’écologisme, est non seulement contraire à l’essence même de la démocratie, destructeur des libertés et mène au totalitarisme, mais aboutit à une société inefficace qui ne peut que s’appauvrir et finir par disparaître.

    La nature elle-même enseignerait aux écologistes, qui prétendent l’aimer mais ne la regardent pas, que tout y est inégal : plantez deux plantes et gérez-les de la même manière, les résultats seront toujours différents.

    La thermodynamique sociale

    Si vous voulez améliorer le sort du plus grand nombre, et particulièrement des plus pauvres, il faut accepter l’existence des riches. C’est une des leçons de la thermodynamique sociale.

    Cette théorie est exposée dans le livre de Philippe Charlez. Il s’agit de l’application des lois de la thermodynamique issues de la physique des machines thermiques à tous les systèmes naturels, inertes ou vivants, et jusqu’aux sociétés humaines.

    Ce n’est pas ici l’endroit d’entrer dans les détails de cette théorie, il suffit de dire qu’elle montre que tous les systèmes qui survivent et se pérennisent sont des systèmes ouverts qui se maintiennent hors équilibre en échangeant de l’énergie, de la matière et/ou de l’information avec leur environnement.

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  54. Ordonnées et ouvertes, ces structures dites dissipatives se nourrissent d’inégalités : inégalités de paramètres physiques dans le cas des structures naturelles, qu’elles soient minérales ou vivantes, inégalités de paramètres sociaux dans le cas des structures sociales, que nous nommerons « sociétés de croissance ».

    Les caractéristiques d’une société de croissance, c’est-à-dire la seule à même de se maintenir hors équilibre et de se pérenniser comme structure dissipative (ouverture, ordre, inégalités, consommation de ressources, émission de déchets) sont antinomiques avec les valeurs de gauche, aussi bien du communisme que de l’écologisme.

    La nature des structures thermodynamiques associées au communisme et à l’écologisme les différencie fondamentalement de la société de croissance :

    En promettant l’enrichissement absolu à travers une redistribution égalitaire, le marxisme conduit à une situation absurde : il finit par partager des richesses nulles, comme on l’a vu avec l’effondrement du soviétisme.
    À l’égalitarisme communiste, l’écologisme ajoute la notion de décroissance. Là où le marxisme promettait un enrichissement illusoire, l’écologisme promet un appauvrissement volontaire, mais heureux.

    Alors que la pensée rationnelle considère le développement comme la seule solution efficace et humaine aux problèmes de l’humanité (notamment à la surpopulation), les écologistes décroissantistes, désireux avant toute chose de promouvoir une réduction de la population et de son bien-être, voient au contraire dans le développement un ennemi et à ce titre peuvent être à bon droit qualifiés d’ennemis du genre humain. C’est pourquoi ils s’opposent par exemple à l’énergie nucléaire qui, parce qu’elle est infinie, permettrait à davantage de gens de vivre sur la Terre, un démenti à leur idéologie malthusienne, qu’ils ne supportent pas.

    Réguler les jets privés n’est qu’une grande excuse

    Les hommes politiques ont toujours été à la recherche de prétextes pour justifier leur existence et leurs actions. C’est d’ailleurs ainsi que les États ont grossi de plus en plus à l’ère moderne pour devenir les États obèses que nous connaissons.

    Ces dernières années, ils ont eu de la chance, si l’on peut dire, car ils n’ont pas vraiment eu besoin d’inventer des crises.

    Le covid est venu à point nommé pour justifier l’accroissement du pouvoir de l’État et pour imposer des mesures tatillonnes et liberticides. Néanmoins, si les gouvernants n’ont pas inventé cette crise, ils ne l’ont pas non plus prévue. Or, gouverner c’est prévoir. Ils ont donc failli à leur devoir de protéger la population, eux qui brandissent le principe de précaution à toute occasion.

    Par ailleurs, sous couvert de crise climatique, l’opinion est conditionnée à l’idée que le monde court à la catastrophe par la faute de l’utilisation des énergies fossiles, lesquelles sont responsables des émissions anthropiques de GES (spécialement le gaz carbonique). Les gens sont culpabilisés avec des objectifs aussi délirants que la décarbonation de toutes les activités alors que le carbone est la matière première du vivant. « Si vous contrôlez le carbone, vous contrôlez la vie », a écrit le professeur de physique de l’atmosphère du prestigieux MIT, Richard Lindzen.

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  55. Le léger réchauffement récent de la planète est un fait dont les causes sont controversées, car difficiles à mesurer, dans un domaine dont la connaissance scientifique est très loin d’avoir compris tous les éléments, et n’y parviendra peut-être jamais tant le sujet est complexe. Sans aucune étude sérieuse, les pouvoirs politiques de l’UE ont répandu l’idée que pour lutter contre ce phénomène sans doute largement naturel, il allait falloir accepter une régression sociale et économique, et abandonner nos libertés, pour les aider eux à nous protéger. De plus en plus de voix s’élèvent en ce sens, ce qui devient très dangereux pour les libertés.

    Olivier Véran et Sandrine Rousseau vont bien entendu justifier leurs propositions en prétextant le climat. Par exemple, les jets privés représentent une goutte d’eau dans l’océan quand on sait que la part globale du transport aérien dans la demande mondiale de fuel en 2017 n’était que de 5,8 %.

    Laissons donc les Elon Musk, Bill Gates et autres Peter Thiel de ce monde se déplacer à pied, à cheval ou en voiture, en jets privés, en yacht ou en Ferrari, c’est leur affaire.

    Vive la liberté !

    https://www.contrepoints.org/2022/08/31/437809-regulation-des-jets-prives-nouvelle-reglementation-du-climat

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    1. Premièrement, l'égalité n'existe pas et ne peut exister. Les enfants naissent cons ou intelligents. Puis y a le milieu familial (con ou intelligent ?) et le niveau scolaire (con), d'où l'arrivée de cons et d'intelligents sur le marché. Bon là, pas besoin de mentir, on a tous vu le nombre de cons masqués, de cons qui se distançaient, de cons qui se douchaient au gel hydroalcoolique et puis les cons (la chape de plomb est tombé:) qui sont allé se faire enfiler ! inoculés, inoculés et qui en redemandent !
      Là... y a le paquet !

      C'est là qu'on se retrouve nommés Directeur d'un hôpital psychiatrique à l'extérieur !
      Bon, faut pas compter sur eux pour inventer la poudre ou le fil à couper le beurre. Tout juste gardent-ils en souvenirs que les hommes préhistoriques (avant l''histoire' !!) se fumaient de l'herbe avec des silex ! (Je ne sais pas si vous avez essayé d'allumer du feu avec deux silex ! Ééééventuellement avec un bidon d'essence, et encore ! mais d'essence, point en ces temps là ! Donc, ils ne conservaient que les tisons de branches qui avaient reçu la foudre en évitant qu'ils ne s'éteignent).

      Donc là je ne vous parlerais pas de la hausse du niveau de la mer qui ne veut pas venir ! (mais que fait la police ?) malgré que tous les jours des millions de m³ d'eau des fleuves et des rivières se déversent dans les mers et les océans ! car tous les cons ne se sont JAMAIS posé la question !

      C'est pourquoi le monde aura toujours besoin des riches pour construire, développer le monde et aussi des cons pour travailler et tout casser !

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  56. Le ministre allemand des Verts demande une taxe sur la viande


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 31 AOÛT 2022 - 09:30
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Alors même que le peuple allemand est aux prises avec une grave crise du coût de la vie, un ministre du Parti vert lui dit qu'il devrait y avoir une nouvelle taxe sur la viande.

    Oui vraiment.

    Alors que les Allemands sont déjà confrontés à une inflation alimentaire et à des factures énergétiques en flèche en raison des pénuries de gaz causées par la guerre en Ukraine, la dernière chose dont ils ont besoin est une autre taxe à payer.

    Mais cela ne concerne apparemment pas le ministre fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture Cem Özdemir (Verts), qui s'est plaint que les gens mangeaient la mauvaise nourriture.

    "Nous devrions manger moins de viande dans l'ensemble et nous assurer qu'elle provient d'animaux élevés de manière appropriée à l'espèce", a déclaré Özdemir, ajoutant que le pays devrait "adapter la consommation de viande aux limites planétaires et pour le bien de notre santé".

    "C'est plus sain, bon pour le climat et ça aide la situation alimentaire mondiale car on libère des zones dont nous avions besoin auparavant pour cultiver des aliments pour animaux", a affirmé le ministre.

    Özdemir a déclaré que trop de viande bon marché était produite, s'engageant à résoudre ce problème apparent avec une nouvelle taxe sur les produits carnés.

    Le programme visant à prélever une nouvelle taxe sur la viande au nom de la lutte contre le changement climatique est depuis longtemps un désir des technocrates mondialistes.

    En mars, Bloomberg News a reçu un contrecoup massif pour avoir offert des «conseils» aux Américains qui pourraient avoir du mal avec la hausse du coût de la vie, notamment laisser mourir leurs animaux de compagnie et manger des lentilles au lieu de viande.

    Comme nous l'avons signalé plus tôt cette année, un groupe d'économistes environnementaux en Allemagne a exigé que d'énormes taxes soient imposées sur les produits carnés pour lutter contre le changement climatique, avec des appels pour que le bœuf soit 56 % plus cher.

    Comme nous l'avons souligné précédemment, le Forum économique mondial a publié deux articles sur son site Web qui exploraient comment les gens pourraient être conditionnés à s'habituer à l'idée de manger des mauvaises herbes, des insectes et de boire des eaux usées afin de réduire les émissions de gaz carbonique.

    Bien qu'ils aient insisté pour que tous les autres réduisent leur niveau de vie et rationnent leur consommation de viande pour sauver la planète, lors du sommet Cop 26 de l'année dernière, les participants ont apprécié un menu complet de plats à base d'animaux qui représentaient au moins le double de l'empreinte carbone du repas moyen au Royaume-Uni.

    Un autre responsable du Parti vert a récemment suscité la controverse en suggérant aux Allemands d'utiliser des débarbouillettes au lieu de prendre des douches, ainsi que d'acheter des systèmes de chauffage écologique coûteux qui sont inabordables pour la personne moyenne.

    https://www.zerohedge.com/political/german-green-party-minister-calls-tax-meat

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