Chaleur, sécheresse, incendies de longues durées. Les causes semblent claires. Mais ce sont justement les médias dominants des années passées qui révèlent des liens étonnants, à peine connus. La question se pose : Est-ce qu'on joue à rendre la météo folle ? [lire la suite]
La chaleur accablante et la sécheresse donnent actuellement du fil à retordre à l'agriculture. Des incendies de longue durée mobilisent les pompiers en de nombreux endroits. La cause semble évidente : ce serait le changement climatique provoqué par l'homme, c'est-à-dire les émissions élevées de gaz carbonique, qui serait à blâmer. On évoque de plus en plus souvent comme solution possible ce qu’on appelle la géo-ingénierie solaire.
Il s'agit de réfléchir les rayons du soleil en pulvérisant des substances afin de refroidir la terre.
La radio MDR reprend ainsi la question d'un auditeur qui voudrait savoir s'il existe déjà des vols au cours desquels des avions pulvérisent des substances adaptées. Ulrike Niemeier, de l'Institut Max Planck à Hambourg, confirme que c'est technologiquement faisable :
« Bien sûr, cela a des effets secondaires : Les effets négatifs sont que nous réduirions également les précipitations moyennes sur la terre. Nous n'aurions plus un ciel d'un bleu vraiment profond, mais il aurait un aspect légèrement laiteux... » et que « ... cela pourrait certainement avoir des effets psychologiques ».
Elle nie toutefois l'utilisation de tels vols. Elle et d'autres personnes interviewées demandent que la géo-ingénierie fasse l'objet de recherches plus approfondies. Si on examine de plus près les déclarations d’Ulrike Niemeier, la pulvérisation de substances aurait pour conséquence une diminution des précipitations et un ciel laiteux. Ces deux phénomènes ont été observés de plus en plus fréquemment ces dernières années. On peut donc se demander s'il s'agit vraiment, comme on le prétend, d'une technologie entièrement nouvelle sur laquelle les recherches ne font que commencer.
Dans ce qui suit, Kla.tv reprend des indications des médias dominants selon lesquelles la recherche et l'utilisation d'armes climatiques ont manifestement déjà une longue histoire.
Regardez ci-après le contenu principal de l'émission www.kla.tv/16595 en français : « Le débat sur le gaz carbonique comme moyen de détourner l'attention de la manipulation de la météo par les militaires ». Commençons notre recherche d’indices :
1. Le 14 mars 2019, la ministre suisse de l'environnement, Simonetta Sommaruga, a déclaré ce qui suit dans une interview en marge de la 4e Assemblée des Nations Unies pour l'environnement. Simonetta Sommaruga : « Oui, la Suisse a essayé d’aborder le sujet de la géo-ingénierie, c'est-à-dire la pulvérisation de particules dans l'atmosphère, elle a essayé d’en faire un sujet de débat afin de collecter des informations, et qu’on puisse regarder les avantages et les risques. ... Ce sont des essais que l’on fait sans même en connaître les conséquences. Le sujet est trop important et peut-être même trop problématique pour qu’on puisse simplement passer outre. »
Mme Sommaruga parle ici d’essais de pulvérisation de particules dans l'atmosphère. Mais ces expériences sont-elles nouvelles et en sont-elles encore à leurs débuts, à petite échelle ?
2. Le 14 janvier 2009, le météorologue Gunther Tiersch a fait quelques remarques troublantes lors du bulletin météo sur la chaîne de télévision allemande ZDF : Gunther Tiersch explique la météo sur la carte météorologique, avec ces termes :
"Et puis nous avons ici quelque chose que nous ne pouvons pas identifier comme de la neige ou de la pluie, ici à l'ouest ces lignes sinueuses, c'est probablement ce que quelques avions, des avions militaires, ont émis dans l'après-midi au-dessus de la mer du Nord, à environ 5-6 kilomètres d'altitude. Rien à voir avec la météo...".
Peu de temps après, ZDF interroge Karsten Brandt, un expert du service météo, en raison des nombreuses questions des téléspectateurs sur ce bulletin météo. Voici la version fortement raccourcie de la formulation originale : « Un phénomène que Karsten Brandt, du service météorologique « Donnerwetter », connaît bien. Les météorologues ont remarqué ces étranges nuages fantômes pour la première fois en 2005. Les navires de guerre se camouflent également avec de tels nuages artificiels. Les paillettes (nuages artificiels, qui perturbent par exemple les radars) ont déjà été développées pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu'à l'époque, ils étaient constitués de bandes d’étain, aujourd'hui, ce sont des fibres de verre vaporisées avec de l'aluminium, d'une longueur de 15 à 25 mm et d'un diamètre d'environ 100 microns. Si les filaments ont la moitié de la longueur d'onde du radar, des échos parasites se produisent. Quand on voit les énormes nuages fantômes provenant de la direction de la côte néerlandaise, on peut penser que des tonnes de cette substance descendent sans cesse sur la République fédérale. » Le météorologue Karsten Brandt : « Nous mettons en place des zones de respect de l’environnement et d’autres, et apparemment la zone de respect de l’environnement ne s'applique pas à une hauteur de quatre ou cinq mille mètres au-dessus de la mer du Nord et ne s'applique pas au-dessus de l'Allemagne. Ce qui est répandu là ne joue aucun rôle. Je trouve cela incroyable ! »...
« Même si ces nuages ne proviennent pas des forces armées allemandes, que personne ne se sent responsable des substances qui tombent régulièrement sur l'Allemagne et qui sont en fait interdites, les météorologues considèrent tout cela comme tout simplement absurde. »
« Absurde c’est un mot bien gentil, il s’agit là d’une tromperie de la population. »
3. Le physicien et présentateur de télévision allemand Jochen Bublath a fait des déclarations très détaillées sur le sujet de la manipulation de la météo par les militaires dans un documentaire pour la chaine allemande ZDF. Jusqu'en 2008, Bublath était le concepteur de l’émission télévisée scientifique de ZDF « Abenteuer-Forschung » (« La recherche : une aventure »). Dans un épisode, il parle de la manipulation du temps par les militaires au moyen d'énormes systèmes d'antennes et de la production de nuages artificiels. Voici également un extrait dans la formulation originale :
Jochen Bublath : « On soupçonne que les puissants émetteurs et les grands systèmes d'antennes de HAARP sont également utilisés pour ces essais militaires. Gakona en Alaska : Loin de toute civilisation, l'armée américaine exploite ici une installation pour manipuler l'ionosphère. Le nom de ce mystérieux projet est HAARP. Une immense forêt d'antennes peut émettre des ondes radio dans l'ionosphère... Avec les ondes radio, on essaie de changer l'ionosphère. Les ondes radio pompent l'énergie dans cette couche de particules chargées électriquement. L'ionosphère est chargée, se dilate en ces points et présente des perturbations. Une possibilité de causer des difficultés à l'adversaire militaire. Mais officiellement, HAARP est uniquement destiné à être utilisé pour la recherche sur l'ionosphère. » Bublath fait également état d'une installation similaire près de Tromsø en Norvège. Suit alors un extrait de la BBC sur la production de nuages artificiels par la NASA. Pour résumer brièvement jusqu’ici : Il y a plus de 10 ans, ZDF a fait état d'approches du secteur militaire visant à influencer la météo à des fins militaires en émettant des particules et en utilisant d'énormes systèmes d'antennes. Mais écoutez une contre voix qui rend compte de façon très détaillée de la nature et des objectifs de la manipulation du temps :
4. La chaîne de télévision espagnole « La 8 Zamora TV » a interviewé Josefina Fraile de l’association « Terra SOS-Tenible » le 19 octobre 2017 ; l’interview est intitulée « Géo-ingénierie - Pacte de silence ». Vous pouvez en écouter ici quelques extraits. Au début, il est question d'une interdiction des armes dites climatiques.
Josefina Fraile fait référence à la Convention ENMOD (« Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles »). Il s'agit d'un traité international qui a été adopté dès 1976 par les Nations unies (ONU) sous la résolution 31/72. Il mentionne explicitement les interventions qui ont les effets suivants : - Tremblements de terre ou changements dans la croûte terrestre - Tsunamis - Phénomènes météorologiques tels que cyclones, tornades, formation de nuages, précipitations/pluies - Perturbation de l'équilibre écologique d'une région - Influence sur les courants maritimes, etc.
Josefina Fraile : Un accord a été conclu selon lequel l'arme climatique ne peut être utilisée dans les conflits armés. Mais en fait, elle est toujours utilisée. Que peut-on et que fait-on avec cette arme ? Avec cette arme, on peut créer des pluies, des tempêtes, des nuages, des éclairs, des orages partout dans le monde. Ou le contraire : on peut dissoudre les fronts de pluie, arrêter la grêle et les chutes de neige et, bien sûr aussi créer une sécheresse. Que se passe-t-il ? Cette arme de contrôle du climat, quiconque la possède a un contrôle absolu sur les ressources de la planète, en particulier sur les ressources alimentaires. Donc, en clair : si un pays dispose de cette technologie, il contrôle le robinet d’eau du monde entier. Soit tu fais ce qu'on te dit et tu reçois de l'eau, soit tu es contre et ton pays est sous-alimenté en eau. Rompre, briser, détruire les ressources en eau. Cela provoque des périodes prolongées de sécheresse et conduit à l'incapacité de nourrir la population de ce pays. Le résultat est une famine. C'est réel ! Certains pays disposent de cette technologie et aux États-Unis, cette technologie fait déjà partie de la politique étrangère. Un rapport des Forces aériennes d’Amérique du nord s'intitule – « Posséder le climat d'ici 2025 ». Ce titre, qui s'explique de lui-même, nous laisse sans mots, le souffle coupé. Le fait que l'on puisse être présomptueux au point de vouloir contrôler le robinet d'eau du monde, cela nous dépasse, tous. Ce rapport indique également que la modification climatique fera partie de la politique étrangère américaine. Que le monde le veuille ou non. Et cette politique est appliquée par le biais d'accords bilatéraux, par des organisations comme l'OTAN (elles sont responsables de nous) ou par l'intermédiaire des Nations Unies. En fait, lors de la dernière Assemblée générale des Nations Unies, dans la section D du 5e rapport sur le changement climatique, le GIEC était plus ou moins légitimé pour ce qu'on appelle la GÉO-ENGINIERIE. Il est clair que celui qui dispose de cette technique peut faire pression sur qui il veut, quand il veut. Dès que cette méthode de guerre a été interdite par les Nations Unies, nous nous sommes logiquement posé la question : Un pays qui peut contrôler le climat et qui a donc le pouvoir sur les ressources du monde entier, ce pays abandonnera-t-il cette règle simplement parce qu'il a – avec beaucoup de retard – signé un accord des Nations Unies ? Plutôt pas. La seule chose qui reste à ce pays, c'est de donner à ce chien un nouveau collier. En d'autres termes, créer un problème mondial et proposer ensuite la solution mondiale. Le problème mondial était la création d'une nouvelle religion : « Changement climatique et réchauffement de la planète ».
Y a-t-il donc des tentatives de la part du mainstream pour rendre acceptables les interventions sur les régimes climatiques naturels sous prétexte de mesures de protection du climat ? Il est clair que oui. En 2015 déjà, la radio suisse SRF 4, par exemple, a présenté une sorte de protection solaire pour la Terre dans les hauteurs de l'atmosphère. Selon Thomas Peter, chimiste de l'atmosphère à l'École polytechnique fédérale de Zurich, cela peut se faire, par exemple, avec d'innombrables petites particules qui volent dans l'atmosphère comme de minuscules miroirs. Ceux-ci renverraient immédiatement la lumière du soleil dans l'espace. ... De nombreux experts et organisations environnementales sont très sceptiques à l'égard de la géoingénierie. Mais le réchauffement climatique serait de plus en plus dramatique. Et ainsi il y a de plus en plus de chercheurs, tels que l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) et l'Académie nationale des sciences des États-Unis, qui se sont récemment prononcés en faveur d'une étude sérieuse de la protection solaire de la Terre. Le sujet devient ainsi socialement acceptable, déclare Ken Caldeira, de l'université de Stanford en Californie.
Résumons : 1. A cette occasion, en 2019 la ministre suisse de l'environnement a appelé à un débat sur la pulvérisation de particules dans l'atmosphère.
2. Il y a plus de 10 ans des experts en météorologie et des journalistes spécialisés parlaient déjà dans les médias officiels de pratiques illégales de manipulation de la météo, par exemple en pulvérisant des particules ou en intervenant dans l'ionosphère par des ondes radio extrêmement fortes.
3. Josefina Fraile a dévoilé les intérêts militaires qui se cachent derrière l'utilisation des armes prétendues climatiques, interdites en 1977 pour la raison déjà évoquée. Elle voit la tentative de rendre acceptables les « armes climatiques » interdites en les renommant « programme de protection du climat ». Dans ce contexte de forts intérêts de puissance militaire, on peut comprendre que les médias officiels attisent désormais tous ensemble la peur du CO2 et ne disent plus un mot sur des causes complètement différentes de sécheresses, d'inondations et de catastrophes météorologiques de toutes sortes.
Se pourrait-il que, compte tenu de tous les faits mentionnés dans cette émission, la panique autour du gaz carbonique représente plutôt une gigantesque distraction et une tromperie de la population, qui est en fait contrôlée et affaiblie par des substances nocives pour la santé pour des raisons peu convaincantes ? Une protection efficace de l'environnement commence par la recherche des causes graves de la destruction de l'environnement et la sensibilisation du public à ces questions. Kla.tv reste à votre service... nous acceptons volontiers les dépositions et des informations de témoins...
En cette période où la sécheresse – calamiteuse – est un sujet de conversation de prédilection, d'aucuns s'interrogent sur l'irrigation des maïs en pleine journée. Dilapide-t-on une eau devenue précieuse ?
Les choses ne sont jamais simples.
Voici le résumé de « Quantifying irrigation cooling benefits to maize yield in the US Midwest » de Yan Li et al. (quantification des avantages du refroidissement par irrigation pour le rendement du maïs dans le Midwest américain) – découpé pour faciliter la lecture :
« L'irrigation est une stratégie d'adaptation importante pour améliorer la résilience des cultures au changement climatique mondial.
L'irrigation joue un rôle essentiel dans le maintien de la production agricole dans les régions où l'eau est limitée, car l'eau d'irrigation ne profite pas seulement aux cultures en répondant à leur demande en eau, mais crée également un refroidissement par évaporation qui atténue le stress thermique des cultures.
Nous utilisons ici des données de télédétection par satellite et de rendement du maïs dans l'État du Nebraska, aux États-Unis, combinées à des modèles statistiques, pour quantifier la contribution du refroidissement et de l'approvisionnement en eau aux bénéfices en termes de rendement dus à l'irrigation.
Les résultats montrent que l'irrigation entraîne un refroidissement considérable de la température diurne à la surface du sol (-1,63°C en juillet), une augmentation de l'indice de végétation amélioré (+0,10 en juillet), et des rendements de maïs 81 % plus élevés par rapport au maïs pluvial.
Ces effets de l'irrigation varient le long des gradients spatiaux et temporels des précipitations et de la température, avec un effet plus important dans des conditions sèches et chaudes, et un déclin vers des conditions humides et fraîches.
Nous constatons que 16 % de l'augmentation du rendement de l'irrigation est due au refroidissement par l'irrigation, tandis que le reste (84 %) est dû à l'approvisionnement en eau et à d'autres facteurs.
L'effet du refroidissement par irrigation est également observé sur la température de l'air (-0,38 à -0,53°C) sur des sites de flux appariés dans le Nebraska.
Cette étude met en évidence la contribution non négligeable du refroidissement par l'irrigation aux avantages de l'irrigation en termes de rendement, et cet effet pourrait devenir plus important à l'avenir avec le réchauffement continu et les sécheresses plus fréquentes. »
La reproduction de ce résumé n'a pas pour objet de justifier des arrosages en journée, peut-être interdits par les pouvoirs publics, mais – encore une fois – de montrer la complexité des sujets agricoles.
Au demeurant, qui peut croire que les agriculteurs dilapideraient une ressource qui leur coûte de l'argent ?
La Nouvelle République a publié en août 2019 un passionnant entretien avec M. Jean-Louis Durand, directeur de recherche à l'INRAE, « Vienne : pourquoi peut-on arroser ses champs en plein soleil ? ». Extrait :
« Comme les chiffres, les idées reçues sont têtues. Seule la science peut démontrer et affirmer une vérité. Le directeur de recherche à l’Inra, Jean-Louis Durand, assure que l’eau répandue pendant les heures chaudes sur un champ cultivé bénéficie à 97 % à la plante, le reste s’évapore : "Le seul problème, c’est à la sortie du canon à eau, recadre le chercheur. Ce sont ces 2 à 3 % qui s’évaporent du jet d’eau." Cette quantité d’eau, qui n’atteint ni le sol ni le feuillage de la plante, s’évapore. "Quand l’eau atteint le feuillage, c’est gagné", rappelle Jean-Louis Durand. Et pour le sol aussi puisque l’eau y pénètre et, plus tard, reviendra à la plante.
[…]
Le directeur à l’INRA soulève la question de l’intérêt d’arroser en plein jour plutôt que la nuit. Car, estime-t-il, "il est important que les agriculteurs travaillent à la vue de tout le monde, la nuit reste un problème d’organisation et les risques ne sont pas neutres notamment en raison des fuites non repérées et du vent qui peut se lever sans que personne ne s’en aperçoive." »
Il y a aussi, hélas, le problème du vandalisme.
Et si on veut en savoir beaucoup plus sur le sujet de l'irrigation par aspersion, il y a « Évaluation des pertes par évaporation lors des irrigations par aspersion en condition de fort déficit hydrique » de P. Ruelle, J.C. Mailhol, B. Itier.
Il y a aussi, de Pierre Ruelle, « Évaluation des pertes par évaporation lors des irrigations par aspersion en condition de fort déficit hydrique ». En résumé :
« Le présent article propose une évaluation des pertes par évaporation lors des irrigations par aspersion durant la journée, en présence d`une demande climatique élevée. Cette évaluation s`appuie sur des résultats issus de la littérature, analysés et critiqués, ainsi que sur deux méthodes simplifiées. La première met en exergue les échanges de masses d'air par advection (effet d'oasis), la deuxième met en jeu l'évaporation additionnelle par saturation de l'air. Les deux méthodes, en accord avec les informations de la littérature qui méritent d'être retenues, proposent comme majorant des pertes par évaporation en condition de demande climatique extrême une valeur de l'ordre de 15 %. Dans ces conditions et dans un souci d`économie d'eau, il est recommandé d'éviter d'irriguer durant la plage horaire 11-15 h, et de manière générale lorsque la vitesse du vent atteint et dépasse le seuil admis pour le système d`irrigation utilisé. En conditions normales, ces pertes s'avèrent être largement inférieures à 10 % durant les irrigations où des doses d`une trentaine de mm sont généralement apportées. »
Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans (sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !!).
La totalité de l'eau utilisée retourne à la Terre. Il n'y a PAS une goutte de plus ou de moins sur notre planète depuis des milliards d'années. L'eau des bassins maritimes & océaniques s'infiltre continuellement aux planchers de ces réserves d'eau vers le magma. Là, les galeries souterraines sont chauffées/brûlées et s'échappent vers d'autres conduites des vapeurs qui s'en vont (à 22 %) ressortir sous terre aux sources et nappes phréatiques. C'est pourquoi cette eau est propre, sans couleur, ni odeur, ni bactérie. Elle ressort aussi (à 78 %) sous les bassins et là, elle est emportée par les lames de fonds. Ces courants marins ressortent aux côtes (bretonnes ou azuréennes, etc) et réchauffent donc l'atmosphère.
Les plantes, les arbres, boivent par les feuilles (pourquoi quand il pleut vous réfugiez-vous sous un arbre ?), car l'eau n'est pas toujours sous terre. Regardez l'exemple du bananier: longueur des racines 50 cm ! Le bananier a besoin des pluies pour grandir et faire sa fleur qui - au milieu des feuilles en tuyau - attend l'eau qui pourra lui donner un régime de bananes. (C'est le cas en Nord-Martinique où il pleut tous les jours et toutes les nuits). Les plantes tropicales et arbres de ces régions ont une forme de feuilles pointue. Idem pour les cactus qui capte l'humidité grâce à ses aiguilles.
Rod Dreher, The American Conservative, prête une attention particulière à un avertissement de Viktor Orban
August 13th, 2022 |
Orban souligne comment la crise de l'énergie divise l'Europe.
La décision de démanteler les dernières centrales nucléaires en Allemagne pendant une crise n'a aucun sens et on s'attend à ce que le reste de l'Europe rattrape cette folie, ainsi que l'obsession du changement climatique qui a mis l'UE dans cette crise en premier lieu :
Le grand gel à venir en Europe Rod Dreher
Les dirigeants du continent se préparent au rationnement hivernal, à l'arrêt des industries. Viktor Orban les a prévenus
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban prévient depuis des mois que le soutien sans réserve de l'Europe à l'Ukraine est insoutenable... Dans son discours controversé en Transylvanie, l'Occident était bêtement obsédé par ses propos "métis" imprudents, mais ces observations sur la guerre et l'hiver à venir étaient parfaits, et bien plus importants :
En passant, je dirai quelques mots sur les valeurs européennes. Voici, par exemple, la dernière proposition de la Commission européenne, qui dit que chacun doit réduire sa consommation de gaz naturel de 15 %. Je ne vois pas comment cela sera appliqué – bien que, si je comprends bien, le passé nous montre le savoir-faire allemand en la matière. De plus, si cela ne produit pas l'effet escompté et que quelqu'un n'a pas assez de gaz, il sera retiré à ceux qui en ont. Ainsi, ce que fait la Commission européenne, ce n'est pas demander aux Allemands d'annuler la fermeture de leurs deux ou trois dernières centrales nucléaires encore en activité, qui leur permettent de produire de l'énergie bon marché : c'est les laisser fermer ces centrales. Et s'ils manquent d'énergie, d'une certaine manière ils nous prendront du gaz à nous qui en avons, parce que nous l'avons stocké. –Viktor Orban
C'est exactement ce que les experts David Wallace-Wells [du NYT] disent qu'il pourrait arriver : les membres de l'UE se retournent les uns contre les autres. Cet hiver pourrait voir l'éclatement de l'UE à cause de cette crise.
Ce contre quoi Orban met en garde dans les dernières lignes que j'ai citées, c'est la perspective d'une instabilité politique de masse, voire de troubles civils, si les Européens subissent des coupures de courant cet hiver et ne peuvent pas se réchauffer - cela, et si leurs économies s'effondrent parce que les gouvernements doivent rationner l'énergie, fermant les industries pour empêcher les civils de geler. Ce n'est pas une préoccupation abstraite !
L'autre jour, je parlais à quelqu'un qui m'a dit que beaucoup d'Européens n'allaient pas avoir pitié des Allemands, compte tenu de la dureté avec laquelle les Allemands les ont traités lors de la crise de la dette de 2008. Personne n'a poussé l'Allemagne à fermer ses centrales nucléaires et à devenir dépendante du gaz russe. C'était l'accord de Merkel.
Et d'une autre histoire. Regardez l'agitation et les efforts nécessaires pour faire face aux prix actuels du gaz. Il s'agit d'une entreprise vieille de 200 ans qui lutte pour travailler 3 semaines sur 4, passant à des horaires roulants de 24 heures dans une tentative désespérée d'extraire plus d'efficacité du système.
Une fonderie d'aluminium lutte pour sa survie dans la crise du gaz en Europe (Reuters) …Gerd Roeders se prépare à contrecœur à l'arrêt temporaire de sa fonderie d'aluminium allemande pour survivre à la pénurie croissante de gaz en Europe. Roeders espère qu'en transférant l'usine vieille de 200 ans à trois semaines d'équipes de 24 heures suivies d'un arrêt d'une semaine, il pourra maintenir la production tout en réduisant sa consommation de gaz. Sa facture a déjà plus que doublé cette année depuis l'année dernière, a-t-il déclaré, craignant qu'elle ne triple, voire quadruple en 2023. Le plan permettra d'économiser le coût du gaz nécessaire pour allumer les fours chaque matin, calcule Roeders, même si cela signifie payer personnel de l'entreprise familiale G.A. Roeders plus à travailler de nuit. Survie pour G.A. Roeders GmbH et les 600 autres fonderies allemandes, dont la plupart sont des petites et moyennes entreprises de moins de 250 employés, impliqueront des réductions de coûts et des discussions difficiles avec les clients. "Nous exposons nos prix aux clients et leur disons qu'ils doivent payer plus", a déclaré Roeders, 59 ans, à Reuters alors que les travailleurs préparaient l'usine pour la première semaine de repos. "Nous ne pouvons pas livrer de pièces si nous investissons et ne gagnons rien en retour."
Maintenant, ils nous disent que la pluie qui tombe du ciel est extrêmement dangereuse et peut causer le cancer
11 août 2022 par Michel Snyder
La pluie qui tombe du ciel est-elle sans danger ? Quand je grandissais, je me serais moqué de toi si tu m'avais dit que je pouvais avoir un cancer en buvant la pluie qui vient du ciel. Et je suis sûr que cela sonnera comme une idée absolument ridicule pour beaucoup de gens qui liront cet article. Malheureusement, c'est vrai. Partout sur la planète entière, l'eau de pluie est désormais remplie de produits chimiques extrêmement dangereux qui causent le cancer. Et comme vous le verrez ci-dessous, il n'y a nulle part dans le monde où vous pouvez aller pour échapper à cela. C'est encore un autre exemple qui montre que nous commettons littéralement un suicide sociétal et que le temps presse pour l'humanité.
Si toute notre eau de pluie est maintenant trop dangereuse pour être bue en raison des niveaux élevés de produits chimiques extrêmement dangereux qu'elle contient, cela signifie également que tous nos lacs, rivières, ruisseaux, étangs et océans sont également complètement souillés.
Nous sommes littéralement en train de ruiner notre planète, et cela devrait vous mettre très en colère. Ce qui suit provient à l'origine de Popular Mechanics…
Vous souvenez-vous quand vous étiez enfant et que c'était amusant de pencher la tête en arrière pendant un orage et d'ouvrir la bouche pour boire les gouttes ? Tu ne devrais plus faire ça. C'est parce que vous allez ingérer trop de particules de substances perfluoroalkyles et polyfluoroalkyles (PFAS), les produits chimiques dangereux qui s'échappent des plastiques ultra-durables que nous avons créés au cours des 120 dernières années environ.
Une nouvelle étude choquante vient d'être publiée qui a examiné cette crise en détail, et elle a révélé que les niveaux de produits chimiques PFAS dans notre eau de pluie "dépasse souvent largement" ce que notre gouvernement considère comme sûr...
Il existe des milliers de substances PFAS différentes qui circulent. L'étude a comparé les niveaux de quatre formes courantes (PFOS, PFOA, PFHxS et PFNA) dans diverses sources : l'eau de pluie, les sols et les eaux de surface telles que les ruisseaux, les lacs et les océans. Ils ont constaté que les niveaux d'au moins deux formes de PFAS dans l'eau de pluie, le PFOA et le PFOS, "dépassent souvent largement" les niveaux de sécurité dans l'eau potable, comme le conseille l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA).
Nous ne parlons pas de substances qui affecteront un peu votre santé.
Ce dont nous parlons, ce sont des substances qui peuvent vous donner le cancer et vous tuer…
Les produits chimiques PFAS, qui se sont retrouvés dans l'eau potable dans les villes des États-Unis, ont été liés au lymphome non hodgkinien et aux cancers du rein, des testicules, de la prostate, du sein, du foie et des ovaires. Une nouvelle étude va encore plus loin pour essayer d'expliquer comment certains de ces composés PFAS, une famille de milliers de produits chimiques synthétiques qui ont été utilisés pendant des décennies dans tout, des emballages alimentaires aux ustensiles de cuisine antiadhésifs, pourraient causer le cancer au niveau moléculaire. Ce groupe de produits chimiques est également répandu dans la mousse anti-incendie (classe B) et les EPI des pompiers (tenues de feu); et les pompiers ont montré une incidence plus élevée que la normale des cancers associés.
Commencez-vous à comprendre la gravité de ce à quoi nous sommes confrontés ?
Ces produits chimiques se trouvent dans des milliers et des milliers de produits que nous utilisons régulièrement, ce qui signifie qu'ils sont littéralement partout…
Vous pouvez trouver des produits chimiques PFAS aux propriétés antiadhésives et antitaches. En tant que tels, on les trouve dans de nombreux emballages alimentaires ménagers, appareils électroniques et même cosmétiques et ustensiles de cuisine. Cependant, il semble que ces produits chimiques se mélangent maintenant à notre eau de pluie. En conséquence, cela a rendu l'eau de pluie impropre à la consommation.
Les microplastiques sont l'un des principaux moyens par lesquels les produits chimiques PFAS pénètrent dans notre environnement.
Comme je l'ai mentionné précédemment, l'humanité produit environ 400 millions de tonnes de plastique par an, et une grande partie de ce plastique finit par être jetée.
Une fois jeté, il ne disparaît pas.
Au lieu de cela, il se décompose en morceaux de plus en plus petits. Finalement, ces morceaux se décomposent en morceaux de plastique extrêmement petits appelés « microplastiques »…
Les microplastiques - le résultat final de tous les produits en plastique et déchets industriels que nous jetons - sont une source de PFAS, et ils se retrouvent souvent dans les océans et autres voies navigables, affectant la faune. Alors que les déchets dans les décharges mettent des milliers d'années à se dégrader complètement, ils forment de minuscules morceaux de plastique qui mesurent moins de 5 millimètres de long. Leur taille signifie qu'ils se retrouvent partout, même dans notre sang, où leur taille varie entre 700 nanomètres et 5 000 nanomètres. (Un cheveu humain mesure environ 17 000 nanomètres).
Aujourd'hui, il y a des milliards et des milliards de ces microplastiques sur toute la planète, et ils sont balayés et déversés sur nous par les tempêtes qui apportent notre pluie.
Les chercheurs qui ont mené l'étude à laquelle j'ai fait référence ci-dessus disent qu'à ce stade, il n'y a "nulle part sur Terre où la pluie serait potable"...
"Il n'y a aucun endroit sur Terre où la pluie serait potable, d'après les mesures que nous avons prises", a déclaré à l'AFP Ian Cousins, professeur à l'université et auteur principal de l'étude publiée dans Environmental Science and Technology.
Une compilation des données depuis 2010 que son équipe a étudiées a montré que "même en Antarctique ou sur le plateau tibétain, les niveaux dans l'eau de pluie sont au-dessus des recommandations pour l'eau potable proposées par l'US EPA (Environmental Protection Agency)", a-t-il déclaré.
Veuillez relire cela.
Toute la pluie qui tombe sur notre planète est maintenant dangereuse car elle contient des niveaux si élevés de produits chimiques cancérigènes, et nous n'avons aucun moyen de résoudre ce problème.
Même si nous arrêtions immédiatement d'utiliser tous les produits chimiques dangereux, les dommages que nous avons déjà causés seraient toujours avec nous indéfiniment.
Malheureusement, la plupart des gens ne comprennent tout simplement pas.
Nous nous tuons littéralement systématiquement et nous tuons tout le reste sur cette planète.
Si nous restons sur le chemin que nous suivons actuellement, il n'y a pas d'avenir pour l'humanité.
Nous avons désespérément besoin de changer nos habitudes, et nous avons désespérément besoin d'aide.
Malheureusement, la plupart des gens sont trop fiers pour admettre l'une ou l'autre de ces choses en ce moment.
Mais à mesure que les conditions continuent de se détériorer, j'espère que davantage de personnes se réveilleront.
Car le temps presse pour l'humanité, et nous ne pouvons pas nous sauver.
(...) Alors que les déchets dans les décharges mettent des milliers d'années à se dégrader complètement, ils forment de minuscules morceaux de plastique qui mesurent moins de 5 millimètres de long. Leur taille signifie qu'ils se retrouvent partout, même dans notre sang, où leur taille varie entre 700 nanomètres et 5 000 nanomètres. (Un cheveu humain mesure environ 17 000 nanomètres). (...)
HOULALA ! N’affolons pas les lecteurs de telles inepties ! Si les plastiques mettaient des milliards d'années pour disparaître... HAHAHAHA ! Y a une erreur quelque part !
Ces nano-particules ne sont ni de partout ni cancérigènes. A ne pas confondre avec les nano-particules disséminées par les chemtrails ! Ces mêmes particules peuvent aussi être expulsées par les éruptions volcaniques sous formes de composants non encore associés.
Nous respirons toutes & tous (avec ou sans masque) 200 000 virus (poussières) ou microbes vivants par MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES milliards de montagnes depuis notre naissance. Et nous ne sommes pas morts ! Çà alors !!
Des dirigeants africains s'expriment en faveur des OGM
13 Août 2022 Joseph Maina*
Alors que les gouvernements africains réfléchissent au sort des organismes génétiquement modifiés (OGM), d'éminents dirigeants du continent ont ouvertement exprimé leur soutien à cette technologie.
De l'Éthiopie à l'Afrique du Sud, en passant par d'autres pays, un échantillon représentatif de dirigeants – en exercice ou non – s'est accordé à dire que les OGM méritaient une occasion de stimuler la fortune agricole du continent et d'améliorer les moyens de subsistance des populations rurales.
Voici quelques-unes des voix éminentes de l'espace politique africain qui ont contribué à la clameur en faveur des OGM et approuvé explicitement cette technologie.
Le président Uhuru Kenyatta a exprimé à diverses occasions son soutien aux OGM, malgré une législation étouffante qui limite l'importation d'OGM dans ce pays d'Afrique de l'Est.
C'est au cours du second mandat de M. Kenyatta que le Kenya a approuvé la culture commerciale du cotonnier Bt, annonçant ainsi la renaissance d'une industrie cotonnière qui avait sombré dans le marasme dans les années 1990.
M. Kenyatta a déclaré que le cotonnier Bt présentait un potentiel avéré de meilleurs rendements par rapport aux variétés conventionnelles et a promis que le gouvernement continuerait à améliorer les conditions politiques afin que le pays tire le maximum de bénéfices de ce type de variétés.
Le Vice-président William Ruto, est un tout aussi fervent défenseur de la biotechnologie ; il a déjà exprimé son soutien à la levée de l'interdiction des OGM mise en place en 2012. Dans ce qui est peut-être son expression la plus lucide de soutien à la technologie GM, M. Ruto, en marge de la 10e Conférence des Parties à la Convention sur la Diversité Biologique au Japon, a qualifié les OGM de « technologie révolutionnaire qui va permettre à davantage de personnes, en particulier au milliard de personnes environ dans le monde [...] qui sont confrontées à la faim, la majorité d'entre elles en Afrique, d'avoir une chance d'avoir un repas dans leur assiette ».
Le deuxième président du Kenya, feu Daniel Arap Moi, a également cherché à soutenir les efforts du pays pour adopter cette technologie. En mai 2000, M. Moi a écrit au président américain Bill Clinton pour demander le soutien des États-Unis afin de combler le fossé biotechnologique, déclarant que les méthodes agricoles actuelles s'avéraient incapables de répondre aux exigences du pays en matière de sécurité alimentaire et de croissance économique.
Les ministres des sciences et des technologies du Ghana
En 2017, le professeur Kwabena Frimpong-Boateng, alors ministre ghanéen de l'environnement, de la science, de la technologie et de l'innovation, a explicitement indiqué que les OGM faisaient partie intégrante de l'époque contemporaine et qu'il était impensable pour le Ghana d'éviter les OGM.
« ...que nous le voulions ou non, les organismes et les aliments GM sont parmi nous », a déclaré M. Boateng devant une commission parlementaire, tout en affirmant le soutien du gouvernement à une utilisation responsable de la technologie.
Médecin et chirurgien cardiothoracique de profession, M. Boateng a affirmé que « la biotechnologie est si importante que nous ne pouvons pas nous développer sans elle ».
Malgré les tempêtes d'opposition menées par les groupements anti-OGM dans le pays, le Ghana est en passe d'adopter les cultures génétiquement modifiées comme moyen d'augmenter sa production alimentaire. Parmi les développements récents, citons une demande d'autorisation auprès de l'Autorité Nationale de Biosécurité (NBA) pour la dissémination du niébé Bt, la première culture génétiquement modifiée du pays, qui possède une résistance intégrée aux attaques du ravageur Maruca vitrata.
Comme son prédécesseur, le Dr Kwaku Afriyie a adopté une position similaire, affirmant que les OGM sont des innovations scientifiques et qu'aucun pays ne peut se développer durablement sans science, technologie et innovation.
Le défunt Premier Ministre éthiopien a été décrit un jour comme un « orchestrateur d'idées influentes, d'un sens pratique du plus haut niveau, et une source de visions à long terme pendant son mandat ».
À un certain moment de son leadership, alors que de nombreux pays africains hésitaient à adopter la technologie GM, l'ancien premier ministre éthiopien était tout à fait résolu, affirmant que l'Afrique ne devait pas hésiter à adopter les cultures GM comme moyen de lutter contre sa faim massive.
« Devrions-nous exclure les cultures génétiquement modifiées ou la biotechnologie comme une arme dans notre arsenal ? Non. Pourquoi devrions-nous exclure une technologie ? La technologie GM est comme toutes les autres technologies. Elle peut être bien utilisée ou mal utilisée. La question est de savoir comment bien l'utiliser. Je pense qu'elle peut être bien utilisée si elle est utilisée en toute sécurité », a déclaré M. Zenawi lors d'un sommet international sur la faim tenu en 2004.
Et l'Éthiopie a certainement bien utilisé les OGM. En 2018, le pays a approuvé la culture commerciale du cotonnier GM et la recherche sur le terrain pour le maïs GM, dans le cadre des efforts visant à améliorer la productivité agricole.
L'Afrique du Sud reconnaît le rôle important que la biotechnologie contribue à ses impératifs nationaux tels que la garantie de la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté, la création d'emplois et le développement socio-économique.
Le pays a toujours obtenu des rendements impressionnants grâce aux OGM, mais certains de ses voisins de la région ont été lents à adopter cette technologie, ce qui, selon le gouvernement, est lié à la perception des OGM.
Par exemple, en 2002, alors que plusieurs pays d'Afrique australe luttaient pour nourrir leurs populations à la suite d'une famine généralisée, le président Mbeki a proposé de faire moudre un lot de maïs GM de secours pour le compte des pays touchés.
M. Mbeki était même considéré comme la voix sobre qui contribuerait à tempérer la perplexité et l'appréhension de certains dirigeants des pays voisins qui avaient hésité à recevoir l'aide alimentaire, ce qui a alimenté une controverse émaillée de faussetés et d'une ignorance généralisée sur les OGM.
Un certain nombre de responsables gouvernementaux en Zambie n'ont pas hésité à approuver les OGM et ont cherché à dissiper les perceptions négatives de cette technologie, dont les graines ont été semées au début des années 2000 par le président Levy Mwanawasa.
« La perception qui prévaut est que les OGM ont été interdits par feu le président Levy Mwanawasa et qu'il n'y a pas d'OGM en Zambie. J'ai du mal à comprendre ce raisonnement car aujourd'hui, il n'y a rien qui ne soit pas modifié d'une manière ou d'une autre. [...] Nous vivons dans un monde d'ingénieurs où les technologies progressent chaque jour, nous ne pouvons donc pas ignorer ce qui se passe. C'est l'époque dans laquelle nous vivons », a affirmé avec force le Dr Brian Mushimba, Ministre de l'Enseignement Supérieur sous le régime du président Edgar Lungu.
Son homologue du ministère de la santé, le Dr Chitalu Chilufya, a assuré au Parlement zambien que les produits alimentaires à base d'OGM étaient propres à la consommation, tout en expliquant le contexte de l'interdiction d'importation d'OGM dans le pays.
À l'époque de l'interdiction, la Zambie ne disposait pas des infrastructures et des ressources humaines nécessaires pour gérer les OGM, mais ces obstacles ont été surmontés par la promulgation d'une législation appropriée et la création de l'Autorité Nationale de Biosécurité (NBA).
La Zambie s'est récemment montrée réceptive aux produits génétiquement modifiés, ce qui est loin de la position intransigeante adoptée par le régime de Mwanawasa.
Le président sénégalais Macky Sall, ingénieur géologue et géophysicien de formation, a été vu comme « fortement favorable » à l'adoption de la biotechnologie dans son pays.
Le 14 juin 2022, le président Sall a signé une nouvelle loi sur la biosécurité qui a effectivement abrogé la loi de 2009 sur la biosécurité, permettant ainsi au Sénégal de tirer le maximum de bénéfices de la biotechnologie moderne.
Le président Sall a toujours défendu la science et la technologie comme des outils importants pour améliorer le bien-être du peuple sénégalais.
« Il est indéniable que les OGM peuvent aider à relever les défis actuels, tels que l'insécurité alimentaire, les problèmes de santé publique, la conservation des ressources naturelles et le changement climatique », a-t-il déclaré lors de la session annuelle 2017 de l'Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal (ANSTS).
L'ancienne présidente du Malawi, le Dr Joyce Banda
Le Dr Joyce Banda a soutenu sans ambages les biotechnologies dès le début de sa présidence, lorsque le Malawi a jeté les bases de la recherche sur les nouvelles cultures génétiquement modifiées (haricots, manioc, niébé et maïs).
Dans son discours inaugural devant le Parlement du pays en mai 2012, Mme Banda a promis que son gouvernement encouragerait l'adaptation de la technologie et de l'innovation en promouvant et soutenant la modification génétique en agriculture.
« Grâce à la biotechnologie moderne, les agriculteurs n'auront plus à désherber leurs jardins, ils ne devront plus acheter de pesticides et la modification génétique permettra d'améliorer la teneur en carbone et en humidité des sols », a-t-elle déclaré.
Depuis lors, le Malawi a fait des progrès notables dans sa quête d'intégration des cultures génétiquement modifiées dans son agriculture. Le Malawi est actuellement l'un des sept pays africains qui ont approuvé la production commerciale de cultures GM. _____________
* Source : African leaders voice support for GMOs - Alliance for Science (cornell.edu)
LOS ANGELES: L’actrice américaine Anne Heche déclarée morte
L’actrice américaine se trouvait dans un état désespéré après un accident de voiture la semaine dernière à Los Angeles.
12 août 2022, 20:34
L’actrice américaine Anne Heche a été déclarée morte après avoir été gravement blessée dans un accident de voiture à Los Angeles la semaine dernière, a déclaré vendredi une porte-parole. Âgée de 53 ans, la comédienne était dans le coma à l’hôpital depuis une violente collision survenue le 5 août.
Selon un communiqué d’un représentant de l’actrice publié jeudi, l’accident de voiture dont a été victime Anne Heche avait provoqué de «graves blessures» cérébrales. Ayant perdu toutes ses fonctions cérébrales, Anne Heche «est légalement décédée selon la loi californienne» mais son cœur bat toujours afin de faciliter le don d’organe, a déclaré sa porte-parole Holly Baird à l’AFP.
«Aujourd’hui, nous perdons une lumière radieuse, une âme douce et si joyeuse, une mère aimante et une amie loyale», a déclaré la famille dans un communiqué commun. «Anne sera profondément regrettée, mais ses merveilleux fils, son immense œuvre et ses combats passionnés lui survivront», ajoute-t-elle.
Accident violent Anne Heche a joué dans un grand nombre de films dans les années 1990, dont «Six Jours, Sept Nuits» ou «Donnie Brasco». Elle est également connue pour son rôle dans le feuilleton «Another World» qui lui a valu un Daytime Emmy Award en 1991. Dans les années 1990, elle a eu une relation très médiatisée avec la présentatrice Ellen DeGeneres.
L’actrice était dans le coma depuis son accident le 5 août lorsque sa voiture a percuté une maison de deux étages dans le quartier de Mar Vista, «provoquant des dégâts structurels ainsi qu’un lourd incendie», selon les pompiers de Los Angeles. L’incendie a pris 65 minutes à 59 pompiers à éteindre, selon la même source.
Tests positifs La police de Los Angeles a indiqué dans un communiqué jeudi qu’elle conduirait des tests sanguins sur Anne Heche et que les enquêteurs allaient «présenter l’affaire à l’autorité judiciaire adéquate». La police n’a toutefois pas donné de précision sur d’éventuelles suites judiciaires. Des médias locaux ont rapporté, jeudi, que des tests préliminaires s’étaient avérés positifs à des narcotiques. Mais d’autres tests doivent être conduits pour s’assurer que le résultat positif n’est pas lié à un traitement médical.
Selon TMZ, publication spécialisée dans la couverture des célébrités, qui cite des sources policières anonymes, Anne Heche a été testée positive à la cocaïne et au fentanyl, un opiacé de synthèse ultra-puissant et addictif utilisé dans certains traitements.
«Mon frère Atlas et moi avons perdu notre maman», a déclaré son fils Homer Laffoon dans un communiqué séparé. «J’espère que ma mère ne souffre plus», a-t-il ajouté.
Anne Heche: son dernier film sortira comme prévu La chaîne Lifetime a confirmé que «Girl in Room 13» avec l’actrice actuellement dans le coma sera diffusé en septembre.
Dans «Girl in Room 13», Anne Heche joue une mère dont la fille a été enlevée, la plongeant dans l’industrie de la traite des humains. Dans «Girl in Room 13», Anne Heche joue une mère dont la fille a été enlevée, la plongeant dans l’industrie de la traite des humains.
Lifetime a confirmé que «Girl in Room 13» sortira toujours comme prévu en septembre, malgré l’accident de voiture de son actrice principale, Anne Heche, le 5 août. Cette dernière y joue une mère dont la fille a été enlevée, la plongeant dans l’industrie de la traite des humains.
Jeudi lors d’un panel de la Television Critics Association, Amy Winter, la vice-présidente et responsable de la programmation originale de Lifetime, a assuré: «Ce projet est important pour Anne, ainsi que pour chacun d’entre nous. Nous avons tous cherché à faire un film qui attirerait l’attention sur cet effroyable problème de trafic sexuel humain.»
«Elle a donné tout ce qu’elle avait» La réalisatrice du film, Elisabeth Rohm, a déclaré qu’elle était «anéantie» par la nouvelle de l’accident d’Anne Heche et qu’elle «priait pour» l’actrice.
«Je sais qu’Anne était vraiment passionnée par ce film. Elle a donné tout ce qu’elle avait, elle a apporté une interprétation et une force phénoménales à ce projet et elle était vraiment déterminée à mettre fin à la violence contre les femmes, a-t-elle déclaré. Nous souhaiterions qu’elle soit ici avec nous. »
Stupéfiants Anne Heche fait l’objet d’une enquête pour conduite avec facultés affaiblies, ses analyses de sang ayant révélé la présence de stupéfiants dans son système, selon Deadline.
Vaccinolâtres et ukrainolâtres, la même technique de désinformation totalitaire
Pierre-Antoine Pontoizeau, pour FranceSoir le 12 août 2022 - 19:55
"Le « vaccin » comme l’Ukraine sont présentés comme la seule solution, pas d’alternative médicale dans le premier cas, pas d’alternative diplomatique dans le second."
TRIBUNE - La désinformation a été au centre de la propagande en faveur de la « vaccination » Pfizer. Les faits resteront très têtus, mais le rapport remis à la FDA en date du 17 septembre 2021 démontrait à lui seul que ce produit avait une durée de protection limitée à quelques semaines. À la même époque, la situation en Israël apportait des preuves indubitables que la protection était éphémère. Or, beaucoup ont été manipulés par une désinformation qui a fonctionné selon deux principes très simples : affirmer sans preuve, mais affirmer toujours, et insulter tous les auteurs d’une information concrète exposant des faits contraires à la doxa.
Le scénario de la désinformation : le bon, le méchant et la solution
Il en est de même aujourd’hui concernant le soutien à l’Ukraine. Dans le rôle de la maladie, on y retrouve les méchants Russes qui agressent et dans le rôle du vaccin, on retrouve l’Ukraine bienfaitrice et courageuse qui va se sauver et sauver l’Occident du mal russe, comme on prétendait nous sauver du mal chinois. Tout le monde aura noté que le récit est le même. Le méchant virus ou le méchant russe le sont pour l’éternité et il faut les éradiquer ; mais nous parlons maintenant d’un peuple dont chaque membre est à punir. Le glissement commence à être passablement dangereux. Le « vaccin » comme l’Ukraine sont présentés comme la seule solution, pas d’alternative médicale dans le premier cas, pas d’alternative diplomatique dans le second. Là où les choses sont encore plus étonnantes, c’est l’application du second principe : insulter ou disqualifier les auteurs d’un exposé des faits.
Par exemple, le droit d’inventaire a été interdit. Que Pfizer ait été condamné plus de trente fois en quinze ans pour plusieurs milliards de dollars par des juridictions américaines pour corruption, crimes, tromperies, etc. ou que l’Ukraine actuelle soit un des États les plus corrompus de la planète et dirigé par des oligarques mafieux est oublié ; alors que toutes ces informations sont sourcées, connues et incontestées, partagées par des chercheurs et des juristes dans le monde entier. Surprenante manière de congédier les faits.
Partageons l’examen de l’évolution des lois de l’État ukrainien concernant l’usage des langues sur son territoire. Elle explique tout. Rappelons-nous pour commencer que le nationalisme se caractérise par la contestation des langues locales au profit d’une seule langue commune. L’Allemand moderne en est à lui seul une preuve sous Bismarck. La nation allemande se crée en éliminant les dialectes germaniques au profit d’une seule langue. L’Ukraine contemporaine impose de même une vue nationaliste contre une société où se parle le russe, l’ukrainien, mais aussi le roumain, le hongrois et le tatar.
Elle reprend la tradition léniniste sur les langues. En effet, en 1923, les Soviets favorisent l’ukrainisation par la promotion de la presse, l’édition, l’enseignement supérieur. Des dictionnaires sont publiés, l’orthographe est normalisée par une commission travaillant sur les variantes locales. Staline mettra un terme à cette période et ouvre le temps du génocide linguistique contre l’ukrainien. À partir des années 1980, l’ukrainisation est de nouveau d’actualité. De nombreux dictionnaires bilingues sont publiés et la critique de l’époque de Staline à Brejnev est autorisée pour revenir à la position léniniste. Les autorités favorisent le bilinguisme.
La loi du 28 octobre 1989 n°8312-11 de la République Socialiste Soviétique d’Ukraine est libérale et pragmatique. Elle prolonge la stratégie de Lénine d’un État multiethnique et d’un droit autorisant l’usage des langues locales à l’école et dans les administrations locales. L’ukrainien est la langue officielle de la république et le russe la langue officielle de l’Union, protégeant les nombreux russophones en Ukraine. Même les minorités ont leurs quartiers, leurs écoles, voire leurs théâtres : Juifs, Grecs, Polonais, Hongrois, etc. Quelques exemples suffisent.
L’article 6 précise l’obligation des fonctionnaires de connaître les langues des activités des corps et organismes. Les fonctionnaires de l'État, du Parti, des organismes publics, établissements et organisations doivent maîtriser l'ukrainien et le russe et, si nécessaire, une autre langue nationale, conformément aux exigences prévues dans l'exercice de leur fonction.
L’article 10 décrit l’usage en matière d’actes des autorités de l'État et des organismes administratifs. Il y est affirmé que les documents des plus hautes autorités de l'État et des organismes administratifs de la RSS d'Ukraine doivent être adoptés en ukrainien et publiés en ukrainien et en russe.
L’article 17 insiste bien sur le fait que l'ukrainien ou une autre langue acceptée par les parties est employé dans tous les domaines des services aux citoyens.
L’article 18 concernant les procédures judiciaires précise en 18.2 qu’une langue nationale parlée par la majorité de la population d'un district donné ou qu’une langue acceptée par la population dudit district peut être la langue de la procédure judiciaire.
En 18.3. que toute personne qui ne connaît pas la langue de la procédure a le droit de se familiariser avec les éléments du procès, de participer à la procédure avec l'aide d'interprète et de s'adresser à la cour dans sa langue maternelle.
L’article 27 permet une éducation dans les langues locales indiquant que dans les zones géographiques d'implantation substantielle des minorités nationales, des écoles publiques peuvent être créées, alors que les activités éducatives et pédagogiques peuvent être menées dans leur langue nationale ou en une autre langue et en 27.4 que dans les écoles publiques, des classes séparées peuvent être prévues, alors que les activités éducatives et pédagogiques peuvent être menées en ukrainien ou dans la langue de la population d'une autre nationalité.
À l’échelle d’un village, d’une ville ou d’un oblast, d’autres langues ont droit de cité. Dans la foulée, la Constitution de la république autonome de Crimée pose en 1992 deux langues d’État : l’ukrainien et le tatar (langue héritée de la présence ottomane). De même dans les textes de 1994, les Parlements de Donetsk, Kharjiv, Mykolaïv, Horlivka et Kharcyz’k introduisent le russe comme une autre langue officielle et deuxième langue. Cette loi sera abolie en février 2014 par la Cour constitutionnelle.
Le maintien du libéralisme linguistique sous Ianoukovytch
La promotion de l’ukrainien est soutenue par le président Iouchtchenko (2005–2010) avec des quotas de diffusion dans la loi sur la radiodiffusion et la télévision. Le Parlement ukrainien adopte le 3 juillet 2012 une loi qui permet l’usage d’une langue régionale dans les régions où les minorités ethniques dépassent les 10 % de la population. Dans la foulée, 13 des 27 régions ukrainiennes deviennent bilingues, toutes avec le russe comme langue régionale. Le bilinguisme est admis dans les débats télévisés. Les autres minorités sont déjà oubliées. La loi de 2012 respecte la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Elle est équilibrée. Son article 2 – Objectif de la politique linguistique de l’État entérinant la cohabitation des langues : la politique linguistique de l'État en Ukraine a pour objectif de réglementer les communications publiques dans le développement global et l'emploi de l'ukrainien comme langue officielle, ainsi que les langues régionales ou minoritaires et les autres langues utilisées par la population de l'État, dans la vie économique, politique et sociale, dans les communications interpersonnelles et internationales, dans la protection des droits constitutionnels des citoyens dans ce domaine et en favorisant une attitude respectueuse de la dignité nationale des personnes, de leur langue et de leur culture, et en renforçant l'unité de la société ukrainienne.
La dérive nationaliste liberticide et violente
Mais l’ukrainisation est défendue par les nationalistes qui veulent aller plus loin et promouvoir un État ethnique et linguistique homogène au risque d’exclure toutes les autres minorités. L’argument serait que l’Ukraine en cours de création de son identité nationale a besoin de défendre sa langue nationale.
Les nationalistes vont d’abord abolir la loi de 2012 le 23 février 2014, quelques jours après le début de la révolution commencée le 18 février. Mis à l’ordre du jour par un député de l’Union Panukrainienne Vyacheslav Kyrylenko, un vote sans débat abroge la loi de 2012. La Cour constitutionnelle déclare inconstitutionnelle la vieille loi de 1989. Table rase est faîte de la tradition libérale. Les séparatistes russophones réagiront immédiatement à l’Est. Les faits leur donnent raison. La nouvelle loi du 25 avril 2019 est adoptée par un parlement nationaliste. Elle impose l’ukrainien. Elle pénalise les fonctionnaires de 400 € d’amende en cas de pratique d’une autre langue, elle envisage l’emprisonnement pour introduction ou pratique du multilinguisme.
L’article 1 affirme que la seule langue officielle en Ukraine est la langue ukrainienne. Le paragraphe 7 crée l’outrage à la langue ukrainienne. Le paragraphe 10 oblige à l’usage de l’ukrainien dans les relations interethniques, contrevenant à la Charte européenne.
L’article 6 contraint les populations et les minorités en posant l’obligation du citoyen ukrainien de parler la langue ukrainienne.
L’article 7 précise que toute personne ayant l'intention d'acquérir la citoyenneté ukrainienne est tenue de certifier le niveau approprié de maîtrise de la langue officielle
L’intrusion dans la vie courante est manifeste dans l’article 20 qui affirme que la langue des relations de travail en Ukraine est la langue officielle. Nul n'est tenu d'employer une autre langue que l'ukrainien au travail et d'exécuter des obligations en vertu d'un contrat de travail, sauf dans le cas du service à la clientèle et autres clients étrangers ou apatrides.
La loi revient à obliger les minorités dont les russophones à abandonner leur langue, sauf dans un usage familial, en apprenant l’ukrainien. Le nationalisme fait fi de la Charte européenne et de la tradition léniniste pragmatique sur ces questions.
Un projet d’essence néo-nazi car ethnique et linguistique
En conclusion, cette loi viole sans contestation possible, les droits de l’homme et la Charte européenne. Le projet nationaliste est donc plus qu’un projet d’unité linguistique ; c’est un projet intentionnellement ethnique parce que le nationalisme ukrainien a posé le principe d’une nation, d’une ethnie et d’une langue en excluant toutes les autres populations « impures ». Le projet d’une nation ethnique est bien au centre de la loi de 2019 qui exclut les russophones et les minorités hongroises, roumaines ou tatars. Les réactions des minorités russophones, majoritaires dans plusieurs oblasts sont comparables à la réactivité des Wallons et Flamands ou des Québécois. Le mouvement de sécession des séparatistes russophones sur l’ensemble des régions de Lougansk et Donetsk trouve son origine dans cette situation. Le déclencheur : l’abolition de la loi de 2012 le 23 février 2014.
Comment l’Occident peut-il condamner des populations défendant leur droit à pratiquer leur langue maternelle, au seul motif qu’il s’agit du russe ? Si ce n’est à considérer que le russe fait exception. Il sera intéressant de voir comment nous réagirons lorsque des réfugiés demanderont de revenir chez eux dans les oblasts russophones. Validerons-nous la déportation des populations entreprises par le régime de Kiev en interdisant à ces populations de revenir chez elle et d’adopter la nationalité qui s’ensuit ?
Le lecteur aura noté que la désinformation continue. Comme pour les effets indésirables des « vaccins », les effets indésirables des politiques de sanction contre le méchant russe sont éludés. Et comme pour les privations de liberté des politiques sanitaires, il faudra accepter les privations d’autres libertés au nom d’une politique anti-russe. Et le plus grave, nous avons balayé les piliers de nos sociétés libres : la dignité de la personne humaine et le droit imprescriptible de refuser des thérapeutiques. Nous balayons aujourd’hui d’autres piliers, ceux des libertés fondamentales en matière de langues et de cultures. Le plus étonnant, l’ensemble de ces piliers furent piétinés par les nazis et nous recommençons. Nos gouvernants sont très inquiétants.
Les gouvernements du monde se préparent à un événement de niveau d'extinction (ELE); Le CDC s'inverse sur chaque pilier du théâtre COVID
vendredi 12 août 2022 par : Mike Adams
(Natural News) Nous avons deux histoires explosives à vous présenter dans l'article d'aujourd'hui et le podcast Situation Update (illustré ci-dessous).
La première histoire concerne de nouvelles informations provenant de fournisseurs commerciaux, indiquant que les gouvernements du monde stockent des fournitures comme jamais auparavant, apparemment en prévision d'un événement de niveau d'extinction (ELE) qui menace d'anéantir la grande majorité des êtres humains vivant aujourd'hui.
La deuxième histoire concerne le CDC qui s'inverse soudainement sur tous les piliers clés du théâtre COVID : Masques, quarantaines, distanciation sociale, vaccins, test des patients asymptomatiques et plus encore. Soudain, le CDC a essentiellement admis que tout était du théâtre depuis le tout début et n'a jamais été soutenu par la «science» réelle en premier lieu.
Vous pouvez lire mon commentaire complet sur ces deux histoires de rupture dans le podcast Situation Update présenté ici, avec des explications éditoriales supplémentaires ci-dessous :
Les gouvernements se préparent à un événement de niveau d'extinction (ELE) À l'heure actuelle, partout en Amérique, les agences gouvernementales achètent une longue liste d'équipements de survie et de préparation, épuisant l'approvisionnement qui reste disponible pour les civils. Les achats gouvernementaux à grande échelle comprennent actuellement :
Aliments stockables, EMR et approvisionnements alimentaires d'urgence. Munitions et armes à feu. Appareils de vision nocturne. Composants du système CVC à haut rendement. Pilules d'iodure de potassium (pour protéger la thyroïde des dommages causés par les radiations). Graines de jardin et engrais. Carburant diesel, huile pour moteur diesel et autres composants liés au transport.
Ces fournitures sont transportées par millions de palettes dans des grottes souterraines, des bunkers et même des villes gérées par les gouvernements du monde. Par exemple, ce n'est plus un secret que même la nation de Taïwan gère une base aérienne souterraine massive, avec ses propres hangars d'avions construits à l'intérieur de grottes, ainsi que des voies de circulation d'avions et des voies de transport, toutes souterraines. Depuis TheDrive.com :
L'armée de l'air taïwanaise, également connue sous le nom d'armée de l'air de la République de Chine, ou ROCAF, a publié de manière inhabituelle des photos d'opérations de chargement d'armes qui ont été menées dans le complexe souterrain hautement fortifié en forme de grotte relié à la base aérienne de Chiashan. Les photos offrent un regard très rare à l'intérieur du réseau de tunnels souterrains qui abrite certains des avions de combat les plus performants du ROCAF…
Et ce sont des informations basées sur ce qui est rendu public. Ce qui existe réellement et qui est classifié est beaucoup plus étendu. Aux États-Unis, le gouvernement américain a construit d'immenses villes souterraines et des bunkers avec des tunnels les reliant à travers des milliers de kilomètres de tunnels de transport souterrains, dont certains sont bien sûr utilisés pour la traite des êtres humains.
Le point ici est que le gouvernement américain se prépare à la fin du monde tout en disant aux civils que tout va bien. On ne dira jamais aux gens de se préparer à quoi que ce soit. Les gens sont nourris aux loups et laissés pour morts pendant que le gouvernement triple ses propres plans d'urgence COG (continuité du gouvernement) et tente de provoquer la troisième guerre mondiale avec la Chine et la Russie, tout cela pendant que le régime intérieur mène une guerre de la tyrannie et de la violence contre le peuple américain via le FBI, l'IRS, le DOJ, l'ATF, l'EPA, etc.
Le CDC se renverse, admettant que toute la mascarade du « théâtre covid » était un mensonge géant L'étonnante inversion des directives covid par le CDC, qui a passé les 2,5 dernières années à répandre des mensonges scientifiques et de la propagande dans le monde, entraînant la mort inutile de millions de personnes dans le monde, est également couverte aujourd'hui.
Soudain, le CDC dit que leurs directives précédentes ne s'appliquent plus. Ils ont abandonné leurs exigences en matière de masques, de personnes vaccinées contre non vaccinées, de distanciation sociale, de quarantaines obligatoires, de maintien des enfants exposés hors de l'école et même d'exécution de tests covid sur des personnes asymptomatiques (c'est-à-dire tester ceux qui ne sont même pas malades).
Il s'agit d'un renversement choquant et général de la plupart des mensonges que le CDC pousse depuis des années, et cela soulève la question suivante : tous les employés qui ont été licenciés pour avoir remis en question les « directives » précédentes du CDC retrouveront-ils maintenant leur emploi ? Récupéreront-ils leur salaire ?
Big Tech renversera-t-il toute la censure et le dénigrement des personnes qui ont remis en question les mensonges du CDC ?
Y aura-t-il des excuses de la part des médias complices qui ont colporté la propagande du CDC au cours des deux dernières années ?
Et que fera-t-on pour indemniser tous les enfants et les familles de la douleur et de la souffrance des fermetures inutiles, des politiques de masques obligatoires, de l'isolement cruel des enfants, des politiques de masques sur les compagnies aériennes et de tous les autres exemples de folie médicale qui ont gouverné l'Amérique depuis le début de 2020 ? N'y a-t-il pas une sorte d'excuse nationale qui nous est due ?
Qu'en est-il de toutes les petites entreprises qui ont été détruites ? Les vies détruites ? Les mariages qui ont été effacés ? Les homicides à l'hôpital commis au nom de la conformité aux CDC ?
Il est temps d'inculper pénalement tous les principaux dirigeants du CDC, de la FDA, du NIH, du NIAID et de tous les autres impliqués dans cette arnaque mondiale massive qui a détruit des millions de vies tout en générant des dizaines de milliards de dollars de profits pour les géants pharmaceutiques corrompus.
Ce renversement du CDC admet seulement que nous avions raison depuis le début. Toute la production théâtrale de covid était un stratagème scientifique charlatan dès le premier jour, et les personnes qui ont refusé d'obéir aux «conseils» absurdes du CDC sont maintenant complètement justifiées.
Apprenez-en plus dans le podcast Mise à jour de la situation d'aujourd'hui (ci-dessus).
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Ivermectine : Pourquoi l'État administratif est-il prêt à vous tuer ?
Fin de partie du libéralisme, despotisme de la santé publique, scientisme, Big Tech
Robert W Malone MD, MS 11 août 2022
Le cinéaste hérétique Mikki Willis a compilé une vidéo de treize minutes qui documente sans détour et explicitement la parabole moderne profondément troublante de la collusion entre les élites américaines de la santé et des services sociaux, les médias d'entreprise, le complexe industriel médico-pharmaceutique et les grandes technologies pour bloquer l'utilisation de l'ivermectine. aux États-Unis et dans les pays occidentaux développés pour le traitement de la maladie COVID-19. Bien qu'actuellement sous embargo pour la distribution générale, étant donné que divers clips contenant mes propres commentaires au fil du temps sont inclus dans le montage, j'ai reçu une copie tôt ce matin avec une demande que je ne fais pas circuler mais que je révise rapidement pour l'exactitude technique.
Mikki et son équipe sont parmi les leaders des médias et les contributeurs les plus importants de la «résistance» mondiale à la tyrannie du COVID, et lorsqu'il demande quelque chose, j'essaie de faire tout ce que je peux pour m'adapter. J'ai donc pris le temps de regarder, d'examiner et d'approuver tout en emballant frénétiquement pour quitter Dublin après avoir voyagé pour participer à la conférence sur la santé "Making Sense", Irlande 2022 au cours des deux derniers jours. Comme cela s'est produit lorsque j'ai revu pour la première fois le livre de Robert F. Kennedy Juniors "The Real Anthony Fauci", j'ai été (et je suis toujours) profondément affecté par la vidéo.
J'ai vécu la propagande de l'ivermectine et le blocage actif des options de traitement précoce du COVID au cours des deux dernières années, j'ai voyagé et témoigné avec les Drs. Peter (McCullough), Paul (Marik) et Pierre (Kory) lors de tant de réunions, ont vu de première main et ont personnellement expérimenté la suppression des manuscrits, des données et des méta-analyses sur l'ivermectine qui ont été si bien documentés par Pierre et le Dr Tess Laurie . J'ai vécu les efforts (réussis) de la FDA / CDER pour bloquer la capacité de l'équipe DTRA / Département de la Défense avec laquelle j'ai travaillé en étroite collaboration pour faire avancer les tests comparatifs de famotidine versus famotidine + célécoxib versus traitement famotidine + célécoxib + ivermectine d'inclure tout traitement bras qui impliquait l'ivermectine dans les essais cliniques randomisés en hospitalisation et en ambulatoire pour lesquels nous avons demandé l'autorisation de la FDA de poursuivre. Mon long COVID chronique (exacerbé par deux doses du produit Moderna ARNm COVID) a été traité avec succès avec l'ivermectine par le Dr Meryl Nass, qui a par la suite perdu sa licence pour pratiquer la médecine pour le péché de traiter efficacement les patients ambulatoires COVID avec l'ivermectine. Je sais que l'ivermectine fonctionne pour traiter cette maladie, et si (dans une réalité alternative) elle aurait pu être déployée aux États-Unis et dans les pays occidentaux, je suis complètement convaincu que le gaspillage inutile de centaines de milliers de vies aurait pu être évité. Parents, collègues, parents (frères, sœurs, oncles, tantes, cousins), et même certains enfants, tous disparus à jamais dans des circonstances horribles et abruptes. Je sais, tant sur le plan personnel qu'intellectuel/professionnel, que le fardeau du carnage évitable et de l'invalidité persistante est profond.
Mais quelque chose à propos de voir l'histoire choquante de cette histoire sordide de meurtre par l'État administratif de centaines de milliers de citoyens américains, tous enroulés dans un montage vidéo de treize minutes, m'a frappé comme une autre "brique à la tête", avec à peu près le même vitesse et impact en lisant/éditant le livre incroyable de Bobby. Si j'ai appris quelque chose de mon réveil intellectuel depuis cet appel fatidique du Dr Michael Callahan le 04 janvier 2020, c'est le pouvoir de la vidéo et des médias alternatifs. En admettant que le stylo (sous-pile) est plus puissant que l'épée, et qu'une image (mème Internet) vaut mille mots, un montage vidéo bien monté vaut dix mille et peut fendre le crâne comme un samouraï. Si le tristement célèbre podcast Rogan / Malone de trois heures est un poignard de vérité lent qui peut pénétrer l'esprit gardé, Mikki et son équipe tirent des limaces d'uranium appauvri enveloppées dans des vestes entièrement métalliques.
La réception de ces limaces de plus de treize minutes via les yeux et les oreilles m'a laissé un peu abasourdi, alors que Jill et moi nous sommes précipités pour faire nos bagages et nous frayer un chemin à travers l'enchevêtrement byzantin des contrôles de sécurité requis pour les voyages internationaux. Qu'il suffise de dire que j'ai peut-être pensé que les voyages internationaux via les aéroports portugais et italiens étaient inefficaces, mais l'Irlande, en étroite coopération avec le service américain de protection des frontières, a développé l'inefficacité du contrôle des aéroports internationaux à un niveau auquel le Portugal et l'Italie ne peuvent qu'aspirer.
Quelque peu traumatisé par l'expérience, j'ai embarqué dans un état d'anxiété modérément avancé et j'ai commencé à parcourir quatre des essais les plus perspicaces concernant la crise du COVID que j'ai lus à ce jour. Composées au cours des deux dernières années et publiées en ligne sur "UnHerd", ces monographies fournissent des aperçus philosophiques, psychologiques et politiques approfondis ainsi que des accusations contre l'échec croissant du libéralisme moderne, la corruption au cœur de l'État administratif, l'impact des grands technologie, le rôle chroniquement corrosif de la politique raciale et la dévolution de la science au scientisme. Chacun mérite une lecture et une considération attentives. Lus ensemble, ils complètent et étendent les idées de "Bases psychologiques du totalitarisme" de Mattias Desmet, "COVID-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie" de Peter et Ginger Breggin, "Victims of Groupthink" d'Irving Janus et Klaus Schwab et "COVID-19 : La grande réinitialisation" de Thierry Malleret pour donner une image de plus en plus granulaire des phénomènes émergents complexes que j'appelle la crise du COVID, qui a entraîné des millions de décès évitables, des dommages aux enfants qui peuvent nécessiter des générations pour se remettre de , et l'échec en cascade en cours des gouvernements et des économies occidentales.
Beaucoup spéculent que les suzerains banquiers/investisseurs/mondialistes qui infestent le Forum économique mondial, possèdent les banques centrales de la plupart des pays (y compris la «réserve fédérale» américaine) et contrôlent fonctionnellement les principaux fonds d'investissement (Blackrock, State Street, Vanguard et leurs affiliés) poursuivent activement un programme de dépeuplement. La théorie veut que ces élites soutiennent divers idéaux, buts et objectifs eugénistes et malthusiens du XXe siècle, et croient en leur autorité, leur capacité et leur responsabilité de faire avancer des solutions mondialistes centralisées par des moyens autoritaires pour donner un commandement mondial utilitaire (le plus grand bien pour le plus grand nombre). idéal économique sous leur direction unilatérale. Une fusion Union européenne-comme WEF/Nations Unies dirigée par des banquiers technocrates et des économistes qui agissent au nom d'un très petit nombre de familles propriétaires hyper-riches. Une aristocratie héréditaire. Bénéficiaires d'une « richesse multigénérationnelle » s'étendant sur plusieurs siècles. Les phrases « tu ne posséderas rien et tu seras heureux », « les personnes âgées sont des mangeurs inutiles », « le travail en excès », « qui contrôle l'approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l'argent peut contrôler le monde », « Nous sommes au bord d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est de la bonne crise majeure et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial » et beaucoup d'autres sont souvent cités pour expliquer ce qui semble être un ensemble bizarre de politiques de santé publique qui semblent avoir entraîné un excès de décès et d'invalidité pendant la crise du COVID . La plupart d'entre nous qui s'accrochent à l'idée que les concepts fondamentaux de moralité et d'éthique devraient guider les politiques publiques sont instinctivement repoussés par la possibilité que les élites financières et politiques puissent penser de cette façon. Mais il est de plus en plus difficile d'expliquer autrement les observations fournies par nos yeux et nos oreilles menteurs. Les « théoriciens du complot » qui avancent une explication mondialiste du culte de la mort peuvent ou non l'emporter à la fin, mais ils agrandissent certainement la fenêtre d'Overton, et les écrits et les murmures de Klaus Schwab et Bill Gates en fournissent les reçus. Tout comme la voiture effrayante / clown d'urgence de santé publique «Monkeypox / Moneypox».
La profonde tragédie de la parabole de l'Ivermectine n'est qu'un exemple illustrant les conséquences d'une pourriture profonde qui a envahi la "démocratie" occidentale, et les auteurs de "UnHerd" font un excellent travail en documentant les causes.
En considérant les essais énumérés ci-dessous tels qu'ils s'appliquent aux États-Unis, veuillez garder à l'esprit que les États-Unis ne sont pas du tout une démocratie, mais plutôt une république ("si vous pouvez la garder") spécialement conçue pour éviter les nombreux pièges de la "démocratie". » prévu par ceux qui ont conçu la Constitution américaine (lequel document ne fait intentionnellement aucune mention de la « démocratie »). La «démocratie» est encore un autre terme et concept qui a été déformé, transformé en arme et exploité dans l'effort de longue date pour contrôler l'information et la pensée.
Le nouveau despotisme de la santé publique Les règles draconiennes suppriment notre humanité
La menace des Big Tech pour la démocratie Le gouvernement américain peut-il tolérer l'existence d'un rival sur son territoire ?
Comment la politique raciale a libéré les élites Si la société est considérée comme intrinsèquement oppressive, la notion de bien commun disparaît
Covid était la fin de partie du libéralisme L'individualisme libéral a une tendance innée à l'autoritarisme
L'auteur de ce groupe de bombes de vérité est Matthew B Crawford, chercheur principal à l'Institute for Advanced Studies in Culture de l'Université de Virginie. Au début de son essai sur « Le nouveau despotisme de la santé publique », Matthew nous ouvre une fenêtre sur son contexte personnel, son style d'écriture, ainsi que sa vision du monde politique et sociale.
« Je devrais dire d'où je viens. Je vis dans la Bay Area, la région bleue la plus profonde du pays. Je peux réagir à des faits sociaux différents de ceux que les lecteurs observent là où ils vivent. En ce moment, au printemps 2022, j'estimerais qu'un quart des personnes qui se promènent dans Berkeley sont masquées à l'extérieur. J'aimerais comprendre cela. Quoi qu'ils fassent, ce n'est pas « suivre la science ».
«Je vis dans la Bay Area, dans un comté où le taux de vaccination se situe au milieu des années 80. Fin juillet, je déposais ma fille cadette à un camp de jour de soccer chaque matin. C'était 10 enfants qui couraient dans un champ ouvert. Ils portaient des masques pendant six heures chaque jour, et il faisait environ 85° cette semaine-là. En disant à ma fille complètement vaccinée de mettre ce truc, je me suis senti compromis pour avoir participé à la mascarade. La vieille belligérance irlandaise écossaise a commencé à jaillir.
Les règles sont censées codifier une partie de la vérité rationnelle et la rendre efficace. Ces jours-ci, nous nous retrouvons dans des situations où faire la chose véritablement rationnelle peut nécessiter d'enfreindre les règles d'une institution. Mais le faire, c'est inviter à la confrontation. Vous pouvez traverser une lutte interne, décider du degré de résistance à opposer. Insister sur les raisons, c'est être désagréable, et vous voulez être sociable. Vous vous dites qu'il ne sert à rien d'affronter le personnel du YMCA qui ne fait qu'exécuter les ordres. Il n'y a personne de visible à qui vous pouvez adresser vos raisons, personne à qui vous pouvez demander des comptes.
Au bout d'un an et demi, l'accepter commence à devenir une habitude. Si vous défiez l'ordre du masque et êtes mis au défi par quelqu'un qui fait son travail comme indiqué, il y a de fortes chances que vous reculiez et que vous vous conformiez, ce qui est pire que si vous vous étiez conformé au départ. Même si vous soupçonnez fortement que la peur du virus a été attisée de manière disproportionnée pour servir les intérêts bureaucratiques et politiques, ou comme un artefact du modèle commercial alarmiste des médias, vous pouvez subtilement ajuster votre vision de la réalité de Covid pour la mettre davantage en évidence. correspond à votre comportement réel. Vous pouvez réduire la dissonance de cette façon. L'alternative est d'être confronté chaque jour à de nouveaux exemples de votre propre servilité.
Ce qui suit est destiné à fournir une brève introduction et un aperçu du plus récent de ces essais, car la logique et les exemples complexes entrelacés (et parfois redondants) exigent que chaque essai, comme un bon vin, ait le temps d'être consommé, examiné , et mature dans l'esprit de chaque lecteur.
Covid était la fin de partie du libéralisme L'individualisme libéral a une tendance innée à l'autoritarisme
Au cœur de chacun des essais de Crawford se trouve la tension classique entre les réponses alternatives à la question philosophique de la nature de l'homme et de la manière d'organiser la société, et en particulier la tension entre la vision de Hobbes du besoin de gouvernance de l'homme par le Léviathan (souvent appelé en tant qu'État administratif) contre Locke et sa vision de l'homme comme une créature rationnelle et autonome. Dans cet examen du despotisme de la santé publique, il utilise cette dialectique pour cadrer son analyse.
« Notre régime est fondé sur deux images rivales du sujet humain. Le Lockeen nous considère comme des créatures rationnelles et autonomes. Il situe la raison dans une dotation humaine commune - le bon sens, plus ou moins - et sous-tend une forme de politique fondamentalement démocratique ou majoritaire. Il n'y a pas de secrets pour gouverner. La deuxième image rivale insiste sur le fait que nous sommes irrationnellement fiers et avons besoin d'être gouvernés. Cette image hobbesienne est plus encourageante que la première ; il faut que nous nous considérions comme vulnérables, afin que l'État puisse jouer le rôle de nous sauver. Il sous-tend une forme de politique technocratique et progressiste.
L'hypothèse lockéenne a été tranquillement mise au lit au cours des 30 dernières années, et nous avons pleinement adopté l'alternative hobbesienne.
Les paragraphes d'introduction de Crawford fournissent le cadre de l'analyse :
« Tout au long de l'histoire, il y a eu des crises qui ne pouvaient être résolues qu'en suspendant l'état de droit normal et les principes constitutionnels. Un "état d'exception" est déclaré jusqu'à ce que l'urgence passe - il peut s'agir d'une invasion étrangère, d'un tremblement de terre ou d'une peste. Au cours de cette période, la fonction législative est généralement transférée d'un organe parlementaire à l'exécutif, suspendant la charte fondamentale du gouvernement, et en particulier la séparation des pouvoirs.
Le théoricien politique italien Giorgio Agamben souligne qu'en fait « l'état d'exception » est presque devenu la règle plutôt que l'exception dans les démocraties libérales occidentales au cours du siècle dernier. Le langage de la guerre est invoqué pour poursuivre la politique intérieure ordinaire. Au cours des 60 dernières années aux États-Unis, nous avons eu la guerre contre la pauvreté, la guerre contre la drogue, la guerre contre le terrorisme, la guerre contre Covid, la guerre contre la désinformation et la guerre contre l'extrémisme domestique.
Une variation sur ce thème est l'utilité des paniques morales - la guerre spirituelle - pour poursuivre des projets descendants de transformation sociale, généralement par décret administratif. Le principe d'égalité devant la loi, qui paraîtrait indispensable à une société libérale, doit faire place à un système de privilèges pour les classes protégées, correspondant à une typologie morale des citoyens selon l'axe de la victime et de l'oppresseur. Les drames victimaires constituent une urgence morale permanente, justifiant une pénétration toujours plus profonde de la société par l'autorité bureaucratique dans les secteurs public et privé.
Une fois que ce modèle de gouvernement par l'urgence se met en place, on expérimente un changement de Gestalt. L'image de soi de l'Occident libéral – basée sur l'état de droit et le gouvernement représentatif – a besoin d'être révisée. La réponse de notre société au Covid a porté cet anachronisme à la conscience de masse.
La pandémie a mis en évidence les contradictions plus profondes du libéralisme. D'une part, il a accéléré ce qui avait été auparavant une lente désertion des principes libéraux de gouvernement. D'autre part, la culture Covid a fait remonter à la surface le noyau habituellement souterrain du projet libéral, qui n'est pas seulement politique mais anthropologique : refaire l'homme. Ce projet ne peut se concrétiser, semble-t-il, qu'avec une forme de gouvernement hautement illibérale, assez paradoxalement. Si nous pouvons comprendre cela, cela pourrait expliquer pourquoi notre adhésion à la politique illibérale a rencontré si peu de résistance. Il semble que le projet anthropologique soit un engagement plus puissant pour nous que l'allégeance aux formes et aux procédures du gouvernement libéral.
Sans y faire spécifiquement référence, Crawford semble anticiper le chœur croissant des élites dirigeantes, du WEF et des militaires qui soutiennent la logique d'une quatrième révolution industrielle basée sur l'idée qu'il est nécessaire et capable de concevoir des hybrides homme-machine pour avancer et accélérer. évolution humaine – la logique du transhumanisme. Une logique pour laquelle ces groupes affirment que le consensus du XXe siècle sur la bioéthique est un anachronisme. Il poursuit et plonge dans les tendances sous-jacentes qui nous ont conduits à la situation médicale actuelle.
« Les années 90 ont vu la montée de nouveaux courants dans les sciences sociales qui mettent l'accent sur l'incompétence cognitive des êtres humains, déposant le modèle de comportement humain de « l'acteur rationnel ». Cela nous a donné la théorie du nudge, un moyen de modifier le comportement des gens sans avoir à les persuader de quoi que ce soit. Il serait difficile d'exagérer le degré d'institutionnalisation de cette approche, des deux côtés de l'Atlantique. L'innovation réalisée ici réside dans la façon dont le gouvernement conçoit ses sujets : non pas comme des citoyens dont le consentement réfléchi doit être obtenu, mais comme des particules à guider à travers une science de la gestion du comportement qui s'appuie sur nos biais cognitifs pré-réflexifs.
Il s'agit d'un front dans un développement plus large : une méfiance croissante à l'égard du jugement humain lorsqu'il opère dans la nature, sans surveillance. Parfois, cela prend la forme purement bureaucratique d'insister sur des paramètres de performance et d'imposer des procédures uniformes aux professionnels. La « médecine factuelle » circonscrit le pouvoir discrétionnaire des médecins ; les tests et les programmes standardisés font de même pour les enseignants. À d'autres moments, cette même impulsion prend une forme technologique, les algorithmes se substituant au jugement individuel au motif que la rationalité humaine est le maillon faible du système. Par exemple, il est stipulé que les êtres humains sont de terribles conducteurs et doivent être remplacés dans un nouveau régime de véhicules autonomes. L'effet, systématiquement, est de retirer l'agence des praticiens qualifiés pour des raisons d'incompétence, et de déléguer le pouvoir vers le haut vers une couche distincte de gestionnaires de l'information qui devient de plus en plus épaisse. Elle déresponsabilise également les êtres humains identifiables qui peuvent être tenus responsables de leurs décisions. Une telle mystification isole diverses formes de pouvoir, à la fois gouvernemental et commercial, des pressions populaires.
Inutile de dire que cela cadre mal avec l'idée des Lumières selon laquelle l'autorité gouvernementale est fondée sur notre rationalité partagée, accessible en principe à chaque citoyen et capable d'articulation. Le progressisme technocratique exige en effet la disqualification de l'expérience et du bon sens comme guides de la réalité et installe à leur place une forme d'autorité sacerdotale, plus proche de la caricature de la société médiévale des Lumières que de sa propre image.
Il faut aussi un certain type humain qui, à juste titre, ressemble à une caricature de la personnalité médiévale : une personne crédule et craintive. Cela nous amène au programme anthropologique hobbesien.
Comment comprendre les réponses radicalement différentes de notre société à la grippe espagnole d'il y a un siècle et au Covid aujourd'hui ? Il existe une relation inverse entre la sévérité de ces pandémies et la sévérité des mesures de contrôle. En clair, le Covid a puisé une partie de son énergie de secours dans la crise politique ambiante datant de 2016, qui a mis l'establishment sur un pied de guerre. Mais cela s'inscrivait également bien dans la politique plus générale de l'urgence qui est le noyau non reconnu du progressisme technocratique et qui est plus avancée aujourd'hui qu'elle ne l'était en 1918. »
« En 2020, un public craintif a accepté une extension extraordinaire de la compétence des experts sur tous les domaines de la vie, et un transfert correspondant de souveraineté des organes représentatifs vers des agences non élues situées dans la branche exécutive du gouvernement. Notoirement, les sondages ont indiqué que la perception des risques de Covid dépassait la réalité d’un à deux ordres de grandeur, mais avec une démarcation nette : la distorsion au centuple concernait les démocrates libéraux auto-identifiés, c’est-à-dire ceux dont les pancartes nous exhortaient à « croire en la science ».
Dans un régime technocratique, celui qui contrôle ce que dit la science contrôle l'État. What Science Says est alors sujet à contestation politique, et sujet à captation par celui qui le finance. Ce qui s'avère être l'État lui-même. Voici un cornet de glace auto-léchant épistémique qui se hérisse des interférences extérieures. De nombreuses ambiguïtés factuelles et hypothèses rivales sur la pandémie, typiques du processus scientifique, ont été résolues non par un débat rationnel mais par l'intimidation, avec une utilisation intensive du terme «désinformation» et l'application concomitante par les sociétés de médias sociaux agissant en tant que franchisés de l'État. En cela, il semble y avoir eu un biais constant envers les interprétations scientifiques qui ont induit la peur, même au prix de l'omission du contexte pertinent.
Si tout cela vous semble antilibéral, il le devrait. Pourtant, dans un autre sens, le rôle central de la peur en politique a un pedigree libéral impeccable dans la pensée de Thomas Hobbes. Cela nous amène au projet anthropologique plus profond du libéralisme.
Premièrement, en quel sens Hobbes est-il un libéral ? Il n'est certainement pas partisan d'un gouvernement limité, et le régime qu'il imagine est fondamentalement monarchique. Elle est libérale en ce sens qu'elle est fondée sur le consentement. Mais il s'avère que ce consentement dépend d'un programme de rééducation qui va assez loin et n'est jamais terminé.
Considérer la science comme autorité
« La pandémie a mis en relief une dissonance entre notre image idéalisée de la science, d'une part, et le travail que la « science » est appelée à faire dans notre société, d'autre part. Je pense que la dissonance peut être attribuée à ce décalage entre la science en tant qu'activité de l'esprit solitaire et sa réalité institutionnelle. La grande science est fondamentalement sociale dans sa pratique, et cela s'accompagne de certaines implications.
En pratique, la « science politisée » est la seule qui existe (ou plutôt la seule dont vous entendrez probablement parler). Mais c'est précisément l'image apolitique de la science, comme arbitre désintéressé de la réalité, qui en fait un instrument si puissant de la politique. Cette contradiction est maintenant au grand jour. Les tendances « anti-science » du populisme sont dans une large mesure une réponse au fossé qui s'est creusé entre la pratique de la science et l'idéal qui fonde son autorité. En tant que moyen de générer des connaissances, c'est la fierté de la science d'être falsifiable (contrairement à la religion).
Pourtant, quelle sorte d'autorité serait-ce qui insiste sur le fait que sa propre compréhension de la réalité n'est que provisoire ? Vraisemblablement, tout l'intérêt de l'autorité est d'expliquer la réalité et d'apporter une certitude dans un monde incertain, au nom de la coordination sociale, même au prix de la simplification. Pour remplir le rôle qui lui est assigné, la science doit devenir quelque chose qui ressemble plus à la religion.
Le chœur des plaintes au sujet d'une « foi en la science » en déclin pose le problème presque trop franchement. Les plus réprouvés d'entre nous sont les climato-sceptiques, à moins que ce ne soient les négationnistes du Covid, qui sont accusés de ne pas obéir à la science. Si tout cela a un son médiéval, cela devrait nous faire réfléchir.
Nous vivons dans un régime mixte, un hybride instable de formes démocratiques et technocratiques d'autorité. La science et l'opinion populaire doivent être amenées à parler d'une seule voix dans la mesure du possible, sinon il y a conflit. Selon l'histoire officielle, nous essayons d'harmoniser les connaissances scientifiques et l'opinion par l'éducation. Mais en réalité, la science est difficile, et il y en a beaucoup. Nous devons le prendre principalement sur la foi. Cela vaut pour la plupart des journalistes et des professeurs, ainsi que pour les plombiers. Le travail de réconciliation de la science et de l'opinion publique s'effectue, non par l'éducation, mais par une sorte de démagogie distribuée, ou scientisme. Nous apprenons que ce n'est pas une solution stable à l'éternel problème d'autorité que toute société doit résoudre.
L'expression « suivre la science » sonne faux. C'est parce que la science ne mène nulle part. Elle peut éclairer différentes pistes d'action, en quantifiant les risques et en précisant les arbitrages. Mais il ne peut pas faire les choix nécessaires pour nous. En prétendant le contraire, les décideurs peuvent éviter d'assumer la responsabilité des choix qu'ils font en notre nom.
De plus en plus, la science est mise au service de l'autorité. Il est invoqué pour légitimer le transfert de souveraineté des organes démocratiques aux organes technocratiques, et comme moyen d'isoler de tels mouvements du domaine de la compétition politique.
Au cours de l'année écoulée, un public craintif a accepté une extension extraordinaire de la compétence des experts dans tous les domaines de la vie. Un modèle de « gouvernement d'urgence » est devenu prédominant, dans lequel la résistance à de telles incursions est qualifiée d'« anti-science ».
Mais la question de la légitimité politique qui pèse sur le pouvoir des experts ne risque pas de disparaître. Au contraire, elle sera plus férocement combattue dans les années à venir alors que les dirigeants des organes directeurs invoquent une urgence climatique qui exigerait une transformation globale de la société.
« Dans La révolte du public, l'ancien analyste du renseignement Martin Gurri retrace les racines d'une « politique de négation » qui a englouti les sociétés occidentales, liée à un effondrement total de l'autorité dans tous les domaines – politique, journalisme, finance, religion, science. Il blâme Internet. L'autorité s'est toujours située dans des structures hiérarchisées d'expertise, encadrées par l'accréditation et un long apprentissage, dont les membres développent une « dégoût réflexive de l'amateur intrus ».
Pour que l'autorité soit réellement autoritaire, elle doit revendiquer un monopole épistémique quelconque, qu'il s'agisse du savoir sacerdotal ou scientifique. Au XXe siècle, en particulier après les succès spectaculaires du projet Manhattan et de l'alunissage d'Apollo, s'est développée une spirale dans laquelle le public en est venu à s'attendre à des miracles d'expertise technique (les voitures volantes et les colonies lunaires étaient considérées comme imminentes). Réciproquement, l'alimentation des attentes d'utilité sociale se normalise dans les processus de recherche de subventions et de compétition institutionnelle désormais indissociables de la pratique scientifique.
Le système était viable, bien que difficilement, tant que les échecs inévitables pouvaient être tenus à l'écart. Cela nécessitait un contrôle rigoureux, de sorte que l'évaluation des performances institutionnelles était une affaire intra-élite (la commission du ruban bleu ; examen par les pairs), permettant le développement de « pactes informels de protection mutuelle », comme le dit Gurri. Internet et les médias sociaux qui diffusent avec délectation les cas d'échec ont rendu ce contrôle impossible. C'est le cœur de l'argument très parcimonieux et éclairant par lequel Gurri explique la révolte du public.
« Désormais, la science est principalement organisée autour de « monopoles du savoir » qui excluent les opinions dissidentes. Ils le font non pas comme une question d'échecs fragmentaires d'ouverture d'esprit par des individus jaloux de leur territoire, mais de manière systémique.
Le processus très important de l'examen par les pairs dépend du désintéressement, ainsi que de la compétence. « Depuis le milieu du XXe siècle environ, cependant, les coûts de la recherche et le besoin d'équipes de spécialistes coopérants ont rendu de plus en plus difficile de trouver des examinateurs qui soient à la fois directement informés et également désintéressés ; les personnes vraiment informées sont effectivement soit des collègues, soit des concurrents.
Bauer écrit que « les pairs examinateurs compagnons ont tendance à étouffer plutôt qu'à encourager la créativité et l'innovation authentique. Le financement centralisé et la prise de décision centralisée rendent la science plus bureaucratique et moins une activité de chercheurs de vérité indépendants et motivés. Dans les universités, "la mesure de la réussite scientifique devient la quantité de 'soutien à la recherche' apporté, et non la production de connaissances utiles". (Les administrations universitaires prélèvent une norme de 50 % sur toute subvention pour couvrir les « coûts indirects » du soutien à la recherche.)
Compte tenu des ressources nécessaires pour mener une grande science, elle doit servir un maître institutionnel, qu'il soit commercial ou gouvernemental. Au cours des 12 derniers mois, nous avons vu l'industrie pharmaceutique et sa capacité sous-jacente de réalisation scientifique à son meilleur. Le développement de vaccins à ARNm représente une percée d'une réelle conséquence. Cela s'est produit dans des laboratoires commerciaux qui ont été temporairement soulagés de la nécessité d'impressionner les marchés financiers ou d'alimenter la demande des consommateurs par d'importantes injections de soutien gouvernemental. Cela devrait donner un coup d'arrêt au réflexe politique de diabolisation des entreprises pharmaceutiques qui prévaut tant à gauche qu'à droite.
Mais on ne peut présumer que « la ligne de fond » exerce une fonction de discipline sur la recherche scientifique qui l'aligne automatiquement sur le motif de vérité. Il est notoire que les sociétés pharmaceutiques ont, à grande échelle, payé des médecins pour louer, recommander et prescrire leurs produits, et recruté des chercheurs pour apposer leur nom sur des articles rédigés par des fantômes par les entreprises, qui sont ensuite publiés dans des revues scientifiques et professionnelles. Pire encore, les essais cliniques dont les résultats sont utilisés par les agences fédérales pour décider d'approuver ou non des médicaments comme sûrs et efficaces sont généralement menés ou commandés par les sociétés pharmaceutiques elles-mêmes.
L'ampleur de la grande science - à la fois la forme corporative de l'activité et son besoin de ressources importantes générées autrement que par la science elle-même - place donc carrément la science dans le monde des préoccupations extra-scientifiques. Y compris les préoccupations reprises par les lobbies politiques. Si la préoccupation est très médiatisée, toute dissidence par rapport au consensus officiel peut être dangereuse pour la carrière d'un enquêteur.
Les sondages d'opinion publique indiquent généralement que ce que « tout le monde sait » sur une question scientifique, et son incidence sur les intérêts publics, sera identique à la vision bien institutionnalisée. Cela n'est pas surprenant, étant donné le rôle que jouent les médias dans la création d'un consensus. Les journalistes, rarement compétents pour évaluer de manière critique les déclarations scientifiques, coopèrent pour propager les déclarations des « cartels de la recherche » auto-protecteurs en tant que science.
Le concept de Bauer d'un cartel de recherche est devenu connu du public dans un épisode qui s'est produit cinq ans après la parution de son article. En 2009, quelqu'un a piraté les e-mails de l'unité de recherche sur le climat de l'Université d'East Anglia en Grande-Bretagne et les a publiés, déclenchant le scandale du « climategate » dans lequel les scientifiques qui siégeaient au sommet de la bureaucratie climatique se sont révélés faire obstacle aux demandes de données. des étrangers. C'était à une époque où de nombreux domaines, en réponse à leurs propres crises de réplication, adoptaient le partage de données comme norme dans leurs communautés de recherche, ainsi que d'autres pratiques telles que le signalement des résultats nuls et le pré-enregistrement des hypothèses dans les forums partagés.
Le cartel de la recherche sur le climat a fondé son autorité sur le processus d'examen par les pairs des revues jugées légitimes, que les challengers ingérants n'avaient pas subi. Mais, comme le note Gurri dans son traitement du climategate, « étant donné que le groupe contrôlait en grande partie l'examen par les pairs de son domaine, et qu'un sujet dévorant des e-mails était de savoir comment empêcher les voix dissidentes d'entrer dans les revues et les médias, la revendication reposait sur une circulaire. logique".
On peut être pleinement convaincu de la réalité et des conséquences désastreuses du changement climatique tout en se permettant une certaine curiosité quant aux pressions politiques qui pèsent sur la science, j'espère. Essayez d'imaginer le cadre plus large lorsque la CIPV se réunit. Des organisations puissantes sont dotées de personnel, avec des résolutions préparées, des stratégies de communication en place, des «partenaires mondiaux» d'entreprise sécurisés, des groupes de travail interinstitutions en attente et des canaux diplomatiques ouverts, attendant de recevoir la bonne parole d'un groupe constitué de scientifiques travaillant en comité.
Ce n'est pas un cadre propice aux réserves, aux réserves ou aux doutes. La fonction du corps est de produire un produit : la légitimité politique.
"Il semble y avoir un modèle, non limité à la science-politique du climat, dans lequel l'énergie de masse galvanisée par des célébrités (qui parlent toujours avec certitude) renforce la main des militants pour organiser des campagnes dans lesquelles toute institution de recherche qui ne parvient pas à discipliner un dissident l'enquêteur servirait de canal de "désinformation". L'institution est placée sous une sorte de séquestre moral, qui est levé lorsque les responsables de l'institution dénoncent l'enquêteur fautif et prennent leurs distances avec ses conclusions. Ils cherchent alors à réparer les dégâts en affirmant les fins des militants dans des termes qui dépassent les affirmations des institutions rivales.
Comme cela itère à travers différents domaines de la pensée de l'establishment, en particulier ceux qui touchent aux tabous idéologiques, il suit une logique d'escalade qui restreint les types d'enquête acceptables pour la recherche soutenue par les institutions et les déplace dans la direction dictée par les lobbies politiques.
Inutile de dire que tout cela se passe loin du champ de l'argumentation scientifique, mais le drame est présenté comme celui de la restauration de l'intégrité scientifique. À l'ère d'Internet où les flux d'informations sont relativement ouverts, un cartel d'expertise ne peut être maintenu que s'il fait partie d'un ensemble plus large d'opinions et d'intérêts organisés qui, ensemble, sont capables de mener une sorte de racket de protection morale et épistémique. Réciproquement, les lobbies politiques dépendent d'organismes scientifiques prêts à jouer leur rôle.
Cela pourrait être considéré comme faisant partie d'un changement plus large au sein des institutions d'une culture de persuasion à une culture dans laquelle des décrets moraux coercitifs émanent d'en haut, difficiles à localiser avec précision, mais véhiculés dans le style éthique des RH. Affaiblies par la diffusion incontrôlée de l'information et la fracture de l'autorité qui en découle, les institutions qui ratifient des images particulières de ce qui se passe dans le monde ne doivent pas simplement affirmer un monopole du savoir, mais imposer un moratoire sur le fait de poser des questions et de remarquer des modèles.
Les cartels de la recherche mobilisent les énergies dénonciatrices des militants politiques pour faire de l'ingérence et, réciproquement, les priorités des ONG et fondations militantes dosent les flux de financement et de soutien politique aux organismes de recherche, dans un cercle d'entraide.
L'une des caractéristiques les plus frappantes du présent, pour quiconque s'intéresse à la politique, est que nous sommes de plus en plus gouvernés par le dispositif de paniques qui donnent toutes les apparences d'être conçues pour susciter l'acquiescement d'un public devenu sceptique à l'égard d'institutions fondées sur des revendications de compétence. Et cela se produit dans de nombreux domaines. Les défis politiques des étrangers présentés à travers des faits et des arguments, offrant une image de ce qui se passe dans le monde qui est rival de celui qui prévaut, ne reçoivent pas de réponse en nature, mais se heurtent plutôt à une dénonciation. De cette manière, les menaces épistémiques à l'autorité institutionnelle se résolvent en conflits moraux entre les bonnes et les mauvaises personnes.
La montée en puissance du contenu moral des déclarations qui sont ostensiblement expertes et techniques doit être expliquée. J'ai suggéré qu'il existe deux sources rivales de légitimité politique, la science et l'opinion populaire, qui sont imparfaitement réconciliées par une sorte de démagogie distribuée, que nous pouvons appeler le scientisme. Cette démagogie est distribuée dans le sens où des centres de pouvoir imbriqués s'appuient sur elle pour se soutenir mutuellement.
Mais alors que cet arrangement a commencé à chanceler, l'opinion populaire se détachant de l'autorité experte et s'affirmant de nouveau contre elle, une troisième jambe a été ajoutée à la structure dans un effort pour la stabiliser : la splendeur morale de la Victime. Se tenir aux côtés de la victime, comme toutes les grandes institutions semblent désormais le faire, c'est arrêter la critique. Tel est l'espoir, en tout cas.
Au cours de l'inoubliable été 2020, l'énergie morale de l'antiracisme a été mise au service de l'autorité scientifique de la santé publique, et vice versa. Ainsi, la «suprématie blanche» était une urgence de santé publique – une urgence suffisamment urgente pour dicter la suspension des mandats de distanciation sociale au nom des manifestations. Alors, comment la description de l'Amérique en tant que suprémaciste blanc s'est-elle convertie en une affirmation à consonance scientifique ?
Michael Lind a fait valoir que Covid a mis à nu une guerre de classe, non pas entre le travail et le capital, mais entre deux groupes qui pourraient tous deux être appelés «élites»: d'un côté, les propriétaires de petites entreprises qui s'opposent aux verrouillages et, de l'autre, les professionnels qui ont apprécié une plus grande sécurité d'emploi, ont pu travailler à domicile et ont généralement adopté une position maximaliste sur la politique d'hygiène. On peut ajouter que, étant dans « l'économie du savoir », les professionnels montrent naturellement plus de déférence envers les experts, puisque la monnaie de base de l'économie du savoir est le prestige épistémique.
«Le succès spectaculaire de la« santé publique »pour générer un acquiescement effrayant de la population pendant la pandémie a créé une précipitation pour prendre tout projet technocratique-progressiste qui aurait de faibles chances s'il était poursuivi démocratiquement et le présenter comme une réponse à une menace existentielle. Au cours de la première semaine de l'administration Biden, le chef de la majorité au Sénat a exhorté le président à déclarer une "urgence climatique" et à assumer des pouvoirs qui l'autoriseraient à contourner le Congrès et à gouverner par décret exécutif. De manière inquiétante, nous nous préparons à des « verrouillages climatiques ». »
A propos de "La Sagesse de l'Orient"
«Les nations occidentales ont depuis longtemps des plans d'urgence pour faire face aux pandémies, dans lesquels les mesures de quarantaine étaient délimitées par des principes libéraux – respectant l'autonomie individuelle et évitant autant que possible la coercition. Ainsi, ce sont les personnes déjà infectées et particulièrement vulnérables qui devraient être isolées, au lieu d'enfermer les personnes en bonne santé chez elles. La Chine, en revanche, est un régime autoritaire qui résout les problèmes collectifs par un contrôle rigoureux de sa population et une surveillance omniprésente. En conséquence, lorsque la pandémie de COVID a commencé pour de bon, la Chine a verrouillé toutes les activités à Wuhan et dans les autres zones touchées. En Occident, on supposait simplement qu'une telle ligne de conduite n'était pas une option disponible.
Comme l'a dit l'épidémiologiste britannique Neil Ferguson au Times en décembre dernier : « C'est un État communiste à parti unique, avons-nous dit. Nous ne pouvions pas nous en sortir avec [lockdowns] en Europe, nous pensions… et puis l'Italie l'a fait. Et nous avons réalisé que nous le pouvions. Il a ajouté que "ces jours-ci, le verrouillage semble inévitable".
Ainsi, ce qui semblait impossible en raison des principes fondamentaux de la société occidentale semble désormais non seulement possible mais inévitable. Et cette inversion complète s'est produite en quelques mois.
L'acceptation d'un tel marché semble dépendre entièrement de la gravité de la menace. Il existe sûrement un certain degré d'aléa au-delà duquel les principes libéraux deviennent un luxe inabordable. Le Covid est en effet une maladie très grave, avec un taux de mortalité par infection environ dix fois supérieur à celui de la grippe : environ un pour cent de tous ceux qui sont infectés meurent. Cependant, contrairement à la grippe, ce taux de mortalité est tellement faussé par l'âge et d'autres facteurs de risque, variant de plus de mille fois du très jeune au très vieux, que le chiffre global de 1% peut être trompeur.
« L'opinion publique compte beaucoup plus en Occident qu'en Chine. Ce n'est que si les gens ont suffisamment peur qu'ils renonceront aux libertés fondamentales pour des raisons de sécurité - c'est la formule de base du Léviathan de Hobbes. Attiser la peur est depuis longtemps un élément essentiel du modèle économique des médias de masse, et cela semble être sur une trajectoire d'intégration avec les fonctions de l'État en Occident, dans une symbiose de plus en plus étroite. Alors que le gouvernement chinois recourt à la coercition externe, en Occident la coercition doit venir de l'intérieur ; d'un état mental chez l'individu. L'État est théoriquement entre les mains de personnes élues pour servir de représentants du peuple, il ne peut donc pas être un objet de peur. Quelque chose d'autre doit être la source de la peur, donc l'État peut jouer le rôle de nous sauver. Mais jouer ce rôle exige que le pouvoir de l'État soit dirigé par des experts.
Au début de 2020, l'opinion publique a accepté la nécessité d'une suspension à court terme des libertés fondamentales en supposant qu'une fois l'urgence passée, nous pourrions redevenir non-Chine. Mais c'est supposer une robustesse de la culture politique libérale qui n'est peut-être pas justifiée. Lord Sumption, juriste et membre à la retraite de la Cour suprême du Royaume-Uni, plaide pour considérer les verrouillages dans l'Ouest comme le franchissement d'une ligne qui ne risque pas de se décroiser. Dans une interview avec Freddie Sayers à UnHerd, il souligne que, selon la loi, le gouvernement dispose de larges pouvoirs pour agir en cas d'urgence. « Il y a beaucoup de choses que les gouvernements peuvent faire, ce qu'il est généralement admis qu'ils ne devraient pas faire. Et l'une d'entre elles, jusqu'en mars dernier, consistait à enfermer les personnes en bonne santé chez elles.
Il fait l'observation burkéenne que notre statut de société libre repose, non sur des lois, mais sur des conventions, un «instinct collectif» sur ce que nous devons faire, enraciné dans des habitudes de pensée et de sentiment qui se développent lentement au fil des décennies et des siècles. Ceux-ci sont fragiles. Il est beaucoup plus facile de détruire une convention que d'en établir une. Cela suggère que redevenir non-Chine peut être assez difficile.
Comme le dit Lord Sumption, « Lorsque vous dépendez pour vos libertés fondamentales de la convention plutôt que de la loi, une fois la convention rompue, le charme est rompu. Une fois que vous arrivez à une position où il est impensable d'enfermer des gens, à l'échelle nationale, sauf quand quelqu'un pense que c'est une bonne idée, alors franchement, il n'y a plus du tout de barrière. Nous avons franchi ce seuil. Et les gouvernements n'oublient pas ces choses. Je pense que c'est un modèle qui finira par être accepté, si nous ne sommes pas très prudents, comme une façon de traiter toutes sortes de problèmes collectifs. Aux États-Unis comme au Royaume-Uni, le gouvernement dispose d'immenses pouvoirs. "La seule chose qui nous protège de l'utilisation despotique de ce pouvoir est une convention que nous avons décidé de rejeter."
De toute évidence, une admiration pour la gouvernance à la chinoise s'est épanouie dans ce que nous appelons l'opinion centriste, en grande partie en réponse aux bouleversements populistes de l'ère Trump et du Brexit. Il est également clair que la « science » (par opposition à la science réelle) joue un rôle important à cet égard. Comme d'autres formes de démagogie, le scientisme présente des faits stylisés et une image organisée de la réalité. Ce faisant, cela peut générer des craintes suffisamment fortes pour rendre les principes démocratiques inutiles.
« Nous acceptons toutes sortes de risques au cours de la vie, sans y penser. En choisir un et en faire un objet de concentration intense, c'est adopter une perspective déformée qui a des coûts réels, payés quelque part au-delà du bord de sa vision tunnel. Pour nous en sortir – pour replacer les risques dans leur contexte –, il faut affirmer la vie, se recentrer sur toutes ces activités valables qui élèvent l'existence au-delà du simple végétatif.
En conclusion…
"Peut-être que la pandémie n'a fait qu'accélérer et justifier officiellement notre long glissement vers l'atomisation. Par la nudité de nos visages, nous nous rencontrons en tant qu'individus et, ce faisant, nous vivons des moments éphémères de grâce et de confiance. Cacher nos visages derrière des masques, c'est retirer cette invitation. Cela doit être politiquement significatif.
C'est peut-être à travers ces moments microscopiques que nous prenons conscience de nous-mêmes en tant que peuple, lié à un destin commun. C'est ça la solidarité. La solidarité, à son tour, est le meilleur rempart contre le despotisme, comme l'a noté Hannah Arendt dans Aux origines du totalitarisme. Le retrait d'une telle rencontre porte désormais le sceau du civisme, c'est-à-dire d'une bonne hygiène. Mais de quelle sorte de régime devons-nous être citoyens ?
« Suivre la science » pour minimiser certains risques tout en ignorant les autres nous absout d'exercer notre propre jugement, ancré dans un certain sens de ce qui rend la vie utile. Cela nous soulage également du défi existentiel de nous jeter dans un monde incertain avec espoir et confiance. Une société incapable d'affirmer la vie et d'accepter la mort sera peuplée de morts-vivants, adeptes d'un culte de la demi-vie qui réclament toujours plus de conseils d'experts.
Il a été dit qu'un peuple a le gouvernement qu'il mérite.
L'éolien et le solaire fiables ne sont pas bon marché
Par David Wojick 11 août 2022
Vous entendez souvent dire que l'énergie éolienne et solaire est moins chère que la combustion du charbon ou du gaz naturel, nous allons donc économiser de l'argent en changeant. Mais comme le dit la chanson, ce n'est pas nécessairement le cas. En fait, il n'en est presque jamais ainsi. Que l'éolien et le solaire soient moins chers est au mieux une demi-vérité, plutôt une huitième vérité.
Voici la réalité dont vous n'avez jamais entendu parler.
Que l'éolien et le solaire soient moins chers est vrai dans un sens, mais c'est dans une moindre mesure. C'est aussi une voie technique, avec le grand nom de « coût actualisé de l'électricité » ou LCOE. Maintenant, "nivelé" n'est pas un mot que vous entendez tous les jours, c'est le moins qu'on puisse dire. Cela pourrait vous avertir que quelque chose se passe.
En fait, LCOE, comme on l'appelle toujours, est une idée simple. Elle est généralement calculée (ou estimée) pour un seul générateur d'énergie électrique. Il peut s'agir d'une centrale électrique au charbon ou au gaz, d'un parc éolien ou d'un panneau solaire. Vous prenez d'abord le coût total sur toute la durée de vie du générateur. Cela comprend la construction, l'exploitation et la mise hors service ou l'élimination. Vous divisez ensuite ce coût par tout le jus qu'il génère au cours de cette durée de vie. La réponse est le LCOE pour ce générateur.
Le LCOE est donc le coût de fabrication du jus. Ce qui signifie nivelé, c'est que les hauts et les bas au fil du temps n'en font pas partie. Ils sont tous écrasés en un seul numéro.
Pour les générateurs à grande échelle, le coût est généralement en dollars et le jus en mégawattheures ou MWh. Une maison moyenne consomme environ un MWh par mois. L'Amérique dans son ensemble consomme environ 4 milliards de MWh par an. C'est beaucoup de jus.
Les coûts des générateurs individuels peuvent varier d'un cas à l'autre, ce qui fait du LCOE une estimation grossière. Vous trouverez ci-dessous une version récente d'une évaluation internationale, utilisant les chiffres les plus bas.
Notez qu'il existe deux types différents de génératrices à gaz. Ce qu'on appelle un cycle simple n'est en fait qu'un moteur à réaction faisant tourner un générateur. Ceux-ci sont généralement assez petits. Ensuite, il y a la centrale électrique "à cycle combiné" où l'échappement du jet chaud produit de la vapeur qui entraîne un autre générateur. La majeure partie de notre production au gaz est à cycle combiné. Le cycle simple est utilisé lorsqu'une augmentation de puissance est nécessaire pendant une courte période.
De même, il existe deux types d'éoliennes, selon l'endroit où elles se trouvent. Les tours éoliennes offshore sont dans l'océan, ce qui les rend chères. L'éolien terrestre est le complexe éolien multi-tours bien connu sur la terre ferme. Alors que l'Europe a beaucoup d'éolien offshore, l'Amérique n'en a presque pas à ce stade. Plusieurs gros projets sont en préparation. Nous ne parlons ici que de l'éolien terrestre, qui est relativement bon marché.
LCOE moyen estimé pour différents types de centrales électriques en $/MWh.
Charbon = 60 $
Gaz à cycle simple = 152 $
Gaz à cycle combiné = 41 $
Solaire = 36 $
Éolien terrestre = 29 $
Vous pouvez voir que le solaire et l'éolien (onshore) sont tous deux moins chers que le gaz et le charbon. C'est ce que l'on veut dire quand les gens disent que l'éolien et le solaire sont moins chers. Leur LCOE est plus faible.
Cependant, lorsqu'ils sont utilisés dans le réseau pour alimenter l'Amérique, l'éolien et le solaire sont loin d'être moins chers. C'est le fait que les partisans de l'éolien et du solaire aiment ignorer, ou dans de nombreux cas ne le savent même pas.
En plus du LCOE, il y a le coût élevé de la fiabilité de l'éolien et du solaire.
Le fait fondamental est que le charbon et le gaz sont fiables, contrairement à l'éolien et au solaire. Cela signifie qu'avec le charbon et le gaz, nous pouvons produire de l'électricité quand nous en avons besoin. On peut s'y fier. Le vent et le soleil ne se génèrent que lorsque le vent souffle fort et que le soleil brille. Comme nous ne pouvons pas compter sur l'éolien et le solaire, nous devons avoir des générateurs de gaz ou de charbon prêts à fonctionner lorsque l'éolien ou le solaire ne le font pas.
Avoir des centrales électriques au gaz ou au charbon en attente représente un coût important qui n'est pas inclus dans le LCOE. Ces générateurs pourraient fournir de l'énergie au lieu de l'éolien et du solaire, qui les paieraient, mais ils ne le sont pas. Ils sont assis là en attendant de courir, ce qui coûte encore beaucoup d'argent. Le gros coût de ces centrales inutilisées fait partie du coût de l'éolien et du solaire. C'est le prix de la fiabilité.
Ces centrales au gaz et au charbon inutilisées ne fonctionnent pas uniquement pour faire de la place à l'énergie provenant des générateurs éoliens et solaires. Le coût de cette oisiveté délibérée a un nom dans l'industrie. C'est ce qu'on appelle le « coût de capacité », car la quantité d'électricité qu'une centrale peut produire s'appelle sa capacité. Puisque vous payez pour la quantité de production nécessaire pour sauvegarder l'éolien et le solaire, c'est le coût de capacité de la sauvegarde.
Le coût de la capacité est la raison pour laquelle l'ajout de la production éolienne ou solaire (qui doit être utilisée) fait grimper le prix de l'électricité. C'est pourquoi les États (et les pays) les plus éoliens et solaires ont tendance à avoir une électricité très chère. Plus vous avez d'énergie éolienne et solaire dans le mix de production, plus le coût de capacité est élevé. Notez que l'utilisation de batteries n'est pas une option réaliste, car le coût des batteries de secours est bien supérieur au coût de la capacité.
En bref, l'éolien et le solaire ne sont moins chers que si vous ignorez le coût de leur fiabilité. Il y en a beaucoup qui circulent. Ne soyez pas dupe.
Reprinted with added stuff from RANGE magazine, Fall 2022 issue. For more information see http://www.rangemagazine.com or call 1-800-RANGE-4-U. The cowboy spirit in all of us!
(...) C'est pourquoi les États (et les pays) les plus éoliens et solaires ont tendance à avoir une électricité très chère. Plus vous avez d'énergie éolienne et solaire dans le mix de production, plus le coût de capacité est élevé. (...)
Ne pas oublier aussi que les énergies de substitution (centrales à charbon, gaz ou pétrole) ne se mettent pas en marche d'un clic comme un interrupteur électrique ! C'est-à-dire qu'elles doivent tourner au ralenti 24/24 h ! Hahahaha !
Pensez que quand on met une 'marmite' (réacteur) sur le feu, et que cette marmite mesure.... 30 m de diamètre et 30 m de haut... HOULALA ! Pensez au temps qu'il faut et à l'énergie déployée en-dessous avant que l'eau soit tiède, puis chaude, puis bouille ! C'est pourquoi en cas de chute des vents et interruption solaire... l'Allemagne court vite-vite à acheter de l'énergie nucléaire française disponible 24/24 h !
Jetons maintenant un œil sur les capacités calorifiques des combustibles:
😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg Feu de bois.......................16 Mj/kg Gaz naturel......................39 MJ/kg Pétrole brut......................45-46 MJ/kg Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg
Les émissions de dioxyde de soufre ont nettement diminué depuis 1970, ce qui a grandement amélioré la qualité de l'air.
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Cela signifie que nous jetons moins de déchets en l'air. Oui S02 est une poubelle. Cela conduit à plus de smog pour un et assombrit un peu le soleil, les humains n'exhalent pas 100 fois plus de SO2 qu'ils n'en absorbent, et les plantes ne l'utilisent pas non plus pour devenir plus fortes et remettre de l'oxygène dans l'air, donc si c'était de la pêche, So2 est un poisson poubelle. C'est une mauvaise herbe dans le jardin de l'air pur.
Nous avons vu la gauche s'en prendre à l'augmentation du gaz carbonique et des températures. Passons en revue. Le gaz carbonique augmente dans l'atmosphère. Les températures ont augmenté, mais pas autant que les modèles ont dit qu'elles étaient
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Le fait que le modèle qui a frappé ce réchauffement là-bas n'incorporait pas le forçage du gaz carbonique n'est qu'un détail mineur à gauche. D'ailleurs si je comprends bien, c'était un modèle russe donc on ne veut plus de collusion. (Sarc)
de plus, quel était ce qu'était un optimum climatique dans les archives géologiques
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est maintenant une urgence climatique ?
Puisque nous savons qu'il existe une corrélation directe entre la vapeur d'eau et les températures, c'est pourquoi les météorologues utilisent des ratios de mélange de saturation, des ratios de mélange de saturation et leur quantification globale précise est essentielle à toute étude du climat. Voici le tableau pour que vous puissiez voir comment de petites quantités font une si grande différence là où les plus froids et les plus secs
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Nous savons que la vapeur d'eau y est pour beaucoup. Encore une fois, le gaz carbonique augmente. Les températures ont augmenté, plus là où il fait froid et sec. Examinons, par exemple, les anomalies de température mondiale de 1948 à 1978. Il faisait beaucoup plus froid dans l'Arctique et l'Antarctique à cette époque, ce qui signifie que la part du lion du réchauffement se situe dans les zones les plus froides. Donc, s'il faisait le plus froid là-bas, cela signifie qu'il devait s'être réchauffé par rapport aux moyennes de 1991-2020 que nous utilisons ici.
Veuillez noter que le réchauffement là où vivent la plupart des gens est à peine assez fort pour que l'humain moyen puisse le détecter au cours de cette période. La manière dont AOC prétend que les migrants d'Amérique centrale peuvent le faire devrait être étudiée, car cela signifierait qu'ils ont une prédisposition génétique à pouvoir mesurer la température. Dans le monde des AOC, cela peut effectivement être possible.
Regardons les HIVERS arctiques et les étés antarctiques
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Le réchauffement est plus important. et qu'avons-nous ici ? refroidissement pendant les étés antarctiques, maintenant comment le gaz carbonique fait-il cela ? S'il y a une légère augmentation, la vapeur d'eau apparaîtrait dans les zones les plus froides et les plus sèches, mais aurait beaucoup moins d'effet là où il fait plus chaud. Passons maintenant aux hivers antarctiques
On voit qu'ils se sont réchauffés. (encore une fois parce qu'il faisait tellement plus froid à l'époque, cela signifie qu'il fait plus chaud maintenant)
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et le réchauffement est bien moindre dans l'Arctique. En fait, si nous examinons les données réelles depuis 1958
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les étés avec la ligne rouge ne se réchauffent certainement pas, tout le réchauffement a lieu quand il fait le plus froid. Par exemple, regardez cette année, elle a été principalement inférieure aux moyennes des 4 derniers mois
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N'avez-vous jamais entendu parler de la disparition de la calotte glaciaire ? Non. Pour une bonne raison, depuis l'hystérie Gore/Kerry, et al. La glace du Nord a augmenté, à tel point qu'elle est maintenant au-dessus de la moyenne sur 10 ans et bien au-dessus des niveaux d'hystérie
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Mais revenons au gaz poubelle, so2. (La Chine, l'Inde et la Russie sont en tête du monde en termes de rejets de so2). En attendant le guerrier climatique ultime John Kerry, pour arrêter d'intimider son propre peuple et tenir tête aux vrais pollueurs) La raison pour laquelle j'ai montré tout cela est au moins pour vous donner une chance de contempler le fait que la corrélation n'est pas la même chose que la causalité, Les niveaux de gaz carbonique ne peuvent pas provoquer un tel réchauffement des régions arctiques en hiver, mais pas en été. Nous n'avons pas de corrélations gaz carbonique/température en météorologie. Nous avons une belle théorie qui a une validité discutable en ce qui concerne l'attribution, mais si les choses changeaient si vite, comment se fait-il que les lois que nous utilisons en météorologie ne soient pas mises à jour ? Parce que les pilotes de base ne le sont pas. Malgré les cris et les cris à propos du piégeage de la chaleur du gaz carbonique et de la modification de la densité de la couverture de GES, cela doit toujours être négligeable. Le soi-disant «rayonnement arrière» doit être enfermé par les plus gros conducteurs et la question est de savoir où l'enfermement se produit, car il y a de fortes chances que, d'après ce que nous voyons, il atteigne sa limite, à savoir l'augmentation que nous avons constatée au cours des 100 dernières années. (et surtout dans les zones les plus froides et les plus sèches pendant leurs saisons les plus froides et les plus sèches) QUI EST LIÉ À LA VAPEUR D'EAU. Son réchauffement déformé et le manque de quantification des rapports de mélange de saturation globale font de la température une métrique climatique trois fois plus éloignée (les bulbes humides sont meilleurs et les rapports de mélange de saturation susmentionnés sont les meilleurs)
Mais supposons que je veuille jouer au même jeu que l'équipe CAGW avec SO2. Vous avez vu comment nous l'avons nettoyé, n'est-ce pas ? Cela signifie qu'il y a un soleil plus brillant. Cela signifie que la terre peut absorber plus de lumière solaire. Où cela affecterait-il le plus ? Les étés occidentaux, n'est-ce pas ? Après tout, il y a encore des polluants, des vrais, crachés dans l'air (faites un tour sur l'autoroute à péage de Jersey parfois). Ou regardez la Chine
Qu'est-il arrivé aux températures estivales en Chine depuis 1948-1978
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le bleu était là où il faisait plus frais. Mais au cœur du pays, il faisait plus chaud. L'augmentation du SO2 peut aider à le refroidir puisqu'ils le rejettent dans l'air avec l'Inde. La partie orientale de la Chine est plus fraîche ici, mais les températures SST du Pacifique étaient plus fraîches à l'époque et l'explosion économique de la Chine dans ces régions pourrait jouer un rôle. Donc, rappelez-vous qu'il fait plus frais par rapport aux moyennes des 30 dernières années, ce qui signifie qu'il fait plus chaud maintenant.
Regardons les temps américains en dernier. 30 ans. vs 1951-2000 signifie
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regarde les max quotidiens
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Le chauffage à l'ouest où l'air est plus sec est évident qu'il pleut plus à l'est et cela limite les températures maximales estivales
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mais à l'ouest un air plus clair dû à moins de so2 pourrait contribuer au réchauffement,
Regardons les creux nocturnes
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ben c'est pas spécial ? Réchauffement partout. Mais dans l'ouest, la zone la plus sèche, le réchauffement est à peu près le même matin midi et soir. Allons-nous blâmer cela sur la réduction du SO2 ? Plus à l'est, que se passe-t-il lorsque les températures élevées n'augmentent pas et que les températures basses augmentent ? Eh bien, la moyenne augmente, mais la fourchette diminue. Cela signifie également qu'une fois au-dessus de la couche limite, le réchauffement n'est pas assez fort pour compenser l'augmentation de WV et il pleut donc plus. Le doigt est pointé vers WV, mais la pluie signifie qu'il y a une résistance. Le fait est que le sud-ouest reçoit toujours autant de pluie que vous pouvez en voir dans la moyenne sur 30 ans. mais la population et l'utilisation des terres ont monté en flèche. Avec une baisse du So2, les journées peuvent devenir plus chaudes grâce à la lumière directe du soleil et bien que les nuits puissent se refroidir autant qu'elles l'ont fait, elles partent d'un point plus élevé provoqué par un air plus pur et un soleil plus brillant . Mais pour une grande partie du pays, le soi-disant réchauffement incontrôlé n'est pas cela du tout, car les journées ne deviennent pas plus chaudes. Ou en d'autres termes, pas que quelqu'un sur une période de 30 ans puisse dire à moins qu'il ne soit acclimaté à l'hystérie médiatique et au fait que nous ayons la climatisation
La sensation réelle est telle ou telle, soulignant à quel point vous êtes misérable et à quel point vous êtes victime d'un réchauffement incontrôlable. Même s'il n'y a rien de tel.
Mais devrais-je jouer le jeu de la gauche et commencer à crier que le SO2 réduit provoque le réchauffement de l'ouest et que nous devons l'arrêter ? Je peux corréler le prix des timbres aux températures. (J'ai volé ça au Dr Willie Soon)
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Fermez la poste, ils causent le réchauffement.
Cela signifie que lorsque vous regardez sous la surface ce que vous voyez et entendez d'un média de désinformation météorologique, les paroles immortelles d'Homer Simpson vous viennent à l'esprit :
(...) les humains n'exhalent pas 100 fois plus de SO2 qu'ils n'en absorbent, (...)
Cela me fait penser à la bourre continuelle du rejet de gaz carbonique par les êtres humains et les animaux. A savoir (une bonne fois pour toutes) que l'air aspiré ne contient PAS QUE de l'oxygène ! Nous respirons toutes & tous TOUS LES GAZ QUI NOUS ENTOURENT ! (ÔH PUTAING !) C'est-à-dire de l'azote, de l'hélium, du gaz carbonique, du méthane (etc) et aussi de l'oxygène. Ce sont nos poumons qui trient, qui filtrent tout çà. Et donc: nous rejetons du gaz carbonique inspiré quelques secondes avant !
A savoir aussi que le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir calorifique ni de pouvoir d''effets de serre' !
Des robots remplacent les stockeurs d'étagères dans une chaîne de magasins de proximité japonaise
vendredi 12 août 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) Les robots sont sur le point de remplacer les travailleurs humains en tant que stockeurs d'étagères dans une chaîne de dépanneurs japonaise.
La société de dépanneurs FamilyMart a collaboré avec Telexistence, basée à Tokyo, pour déployer ces robots appelés TX Selective Compliance Assembly Robot Arm (TX SCARA) dans 300 emplacements à travers le pays. Les bras robotisés conçus pour réapprovisionner les boissons dans les réfrigérateurs sont désormais en production de masse, selon la firme technologique.
"TX SCARA a été créé pour effectuer la tâche spécifique de réapprovisionner les étagères réfrigérées avec des bouteilles et des canettes - un travail répétitif et fastidieux généralement effectué par des employés dans des environnements souvent inconfortables", a déclaré Telexistence dans un communiqué du 10 août.
« TX SCARA fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, réapprovisionnant les étagères pour supprimer complètement la tâche du personnel du magasin. L'introduction de robots et de son système d'IA créera un surplus de temps sans ajouter d'employés, et le temps pourra être réaffecté au service client et à l'amélioration de l'atelier, ce qui conduira à un environnement de travail et à des opérations en magasin de meilleure qualité.
Les robots peuvent fonctionner sans assistance humaine 98% du temps, avec une option de pilotage à distance disponible en cas de défaillance de l'intelligence artificielle ou de rencontre d'éléments déplacés. Chaque unité TX SCARA peut remplacer une à trois heures de travail quotidien par l'homme dans chaque magasin où elle est déployée. Telexistence a déclaré que le déploiement des robots avait un double objectif : aider à soulager les employés des magasins et combler un vide laissé par la diminution de la main-d'œuvre japonaise.
"Le déclin de la population active au Japon est l'un des principaux problèmes de gestion pour FamilyMart afin de maintenir la stabilité des opérations des magasins", a déclaré le directeur général de l'entreprise, Tomohiro Kano. Il a ajouté que le temps nouvellement créé à la suite de l'adoption de TX SCARA "peut être réaffecté au service client et à l'amélioration de l'atelier".
FamilyMart, qui compte 16 000 dépanneurs dans son pays d'origine, paiera à Telexistence des frais mensuels pour la main-d'œuvre et la maintenance du stockeur de robots. Les frais comprendront également le soutien des travailleurs à distance qui pourront piloter l'unité TX SCARA à l'aide d'un casque de réalité virtuelle en cas de besoin.
Les robots remplacent également les cuisiniers humains dans les chaînes de restauration rapide La tendance des robots à remplacer les travailleurs humains ne se limite pas au Japon. En fait, les restaurants aux États-Unis ont suivi la pratique. Les licenciements provoqués par la pandémie et l'incapacité à pourvoir ces postes vacants ont incité plusieurs entreprises à se tourner plutôt vers les robots. (Connexe : les restaurants se tournent vers les ROBOTS pour combler les ouvertures en cas de pénurie de main-d'œuvre.)
La chaîne de restauration rapide White Castle faisait partie des entreprises qui ont pris le train en marche, avec son cuisinier robotique nommé Flippy. Le bras robotisé – qui gère la station de friture dans la succursale n ° 42 du joint à Merrillville, Indiana – travaillait 23 heures par jour, avec une heure réservée au nettoyage et à la maintenance. Les tâches principales de Flippy consistent à manipuler des frites, des bâtonnets de fromage, des rondelles d'oignon et d'autres accompagnements.
Selon Jamie Richardson, vice-président des relations avec les entreprises de White Castle, Flippy n'était pas seulement un gadget pour attirer plus de convives. Ses tâches dédiées ont donné à ses collègues humains plus de temps pour se concentrer sur les clients.
"Si vous savez que la friteuse est couverte, cela vous libère d'avoir la bonne personne pour prendre les commandes dans la salle à manger ou au service au volant", a-t-il déclaré.
La chaîne de restauration rapide mexicaine Del Taco a emboîté le pas avec une machine qui remplit les commandes de boissons des clients. Selon le vice-président de Del Taco pour l'innovation des opérations, Kevin Pope, la machine cherche à préparer automatiquement la boisson choisie par le client, ce qui réduit de quelques secondes le temps nécessaire pour exécuter chaque commande.
La machine prend une tasse, la remplit de glace et verse ensuite la boisson appropriée. Il recouvre ensuite le gobelet d'un couvercle et délivre la boisson finie au bout d'un tapis roulant. Les membres d'équipage humains n'auraient qu'à saisir la boisson au lieu de la préparer eux-mêmes.
Robots.news a plus d'histoires sur les robots remplaçant les travailleurs humains.
Regardez cette vidéo sur un restaurant au Japon tenu par des robots.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Vigilent Citizen sur Brighteon.com.
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Votre barista est remplacé par un robot, déjà utilisé au Japon.
Ce n'est pas nouveau mais ça demande réflexion. Depuis l'invention de la roue (qui a permis de remplacer 2 brancardiers qui portaient 100 kg par un seul derrière une brouette), l'être humain a utilisé son intelligence. Passant de l'esclave humain à l'animal puis au moteur, nous voici dans la robotique. Quoi de plus bénéfique que de faire faire le 'sale' boulot par un autre ? Donc: on tire profit de la machine à laver, cafetière électrique, etc Oui mais... si tout est robotisé on ne travaille plus ! YOUPIE ! Mais: ON DOIT EN TIRER PROFIT. C'est là qu'est la question. Siiiii on nous demande de payer pour les produits achetés en magasins... faut avoir des sous. Et si le commerçant n'a plus de clients... D'où la réflexion sur le mode de marché.
Ralph Nader déclare que le pilote automatique de Tesla "un dysfonctionnement toutes les huit minutes", demande à la NHTSA de "supprimer" et de "rappeler" la fonction
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 13 AOÛT 2022 - 18:00
Oh, l'ironie du défenseur de l'énergie "verte" et ancien espoir présidentiel Ralph Nader intervenant dans le débat Tesla Full Self-Driving et se moquant absolument de la "technologie" d'Elon Musk...
Mais c'est exactement ce qui s'est passé. Nader, qui a publiquement critiqué Tesla dans le passé, a publié cette semaine une déclaration accablante, remettant en question la sécurité de la fonctionnalité phare de Tesla sur ses véhicules.
La déclaration de Nader s'ajoute à un chœur de critiques sur le pilote automatique de Tesla au moment même où la NHTSA mène une enquête sur la fonctionnalité.
Mercredi de cette semaine, Nader a publié une déclaration qui disait : "Le déploiement majeur par Tesla de la technologie dite de conduite autonome complète (FSD) est l'une des actions les plus dangereuses et irresponsables d'un constructeur automobile depuis des décennies."
"Tesla n'aurait jamais dû mettre cette technologie dans ses véhicules. Aujourd'hui, plus de 100 000 propriétaires de Tesla utilisent actuellement une technologie dont les recherches montrent des dysfonctionnements toutes les huit minutes", a-t-il poursuivi.
À partir de là, Nader a appelé à davantage de mesures réglementaires concernant Tesla : "J'appelle les régulateurs fédéraux à agir immédiatement pour empêcher le nombre croissant de décès et de blessures dus aux accidents d'homicide involontaire coupable de Tesla avec cette technologie. La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a le pouvoir de agir rapidement pour prévenir de telles catastrophes. La NHTSA enquête sur Tesla et sa technologie d'auto-conduite complète depuis plusieurs années. La NHTSA doit utiliser son autorité de rappel de sécurité pour ordonner que la technologie FSD soit supprimée dans chaque Tesla.
Il a conclu: "Cette nation ne devrait pas autoriser ce logiciel défectueux qui, selon Tesla lui-même, pourrait faire la" mauvaise chose au pire moment "dans les mêmes rues où les enfants vont à l'école. Ensemble, nous devons envoyer un message urgent aux blessés. Les régulateurs que les Américains ne doivent pas être des mannequins de test pour une société puissante et très en vue et son PDG célèbre. Personne n'est au-dessus des lois sur l'homicide involontaire."
Entre cette publication et la récente vente d'Elon Musk de près de 7 milliards de dollars malgré une lutte pour l'achat de Twitter qui se déroule au Delaware Chancery Court, il semble que la seconde moitié de 2022 pourrait s'avérer tumultueuse pour le PDG de Tesla.
Rappelez-vous, le contributeur de Zero Hedge, Quoth the Raven, a demandé il y a quelques jours si nous avions finalement atteint ou non le "Peak Tesla". Ralph Nader semble bien l'espérer...
Le danger est que ces véhicules sont... silencieux ! On ne les entend pas venir. Puis y a 'le pilote automatique' ! (HAHAHA !) Aaaaaalors là ! le nombre de 'conducteurs' endormis au volant et... BOUM ! la voiture prend feu ! Impossible de défaire la ceinture de sécurité (électrique) ni d'ouvrir les portières ! (électriques) et le pilote meurt carbonisé.
Est-ce qu'on joue à rendre la météo folle ?
RépondreSupprimer11.08.2022
Chaleur, sécheresse, incendies de longues durées. Les causes semblent claires. Mais ce sont justement les médias dominants des années passées qui révèlent des liens étonnants, à peine connus. La question se pose : Est-ce qu'on joue à rendre la météo folle ? [lire la suite]
La chaleur accablante et la sécheresse donnent actuellement du fil à retordre à l'agriculture. Des incendies de longue durée mobilisent les pompiers en de nombreux endroits. La cause semble évidente : ce serait le changement climatique provoqué par l'homme, c'est-à-dire les émissions élevées de gaz carbonique, qui serait à blâmer.
On évoque de plus en plus souvent comme solution possible ce qu’on appelle la géo-ingénierie solaire.
Il s'agit de réfléchir les rayons du soleil en pulvérisant des substances afin de refroidir la terre.
La radio MDR reprend ainsi la question d'un auditeur qui voudrait savoir s'il existe déjà des vols au cours desquels des avions pulvérisent des substances adaptées. Ulrike Niemeier, de l'Institut Max Planck à Hambourg, confirme que c'est technologiquement faisable :
« Bien sûr, cela a des effets secondaires : Les effets négatifs sont que nous réduirions également les précipitations moyennes sur la terre. Nous n'aurions plus un ciel d'un bleu vraiment profond, mais il aurait un aspect légèrement laiteux... » et que « ... cela pourrait certainement avoir des effets psychologiques ».
Elle nie toutefois l'utilisation de tels vols. Elle et d'autres personnes interviewées demandent que la géo-ingénierie fasse l'objet de recherches plus approfondies.
Si on examine de plus près les déclarations d’Ulrike Niemeier, la pulvérisation de substances aurait pour conséquence une diminution des précipitations et un ciel laiteux. Ces deux phénomènes ont été observés de plus en plus fréquemment ces dernières années.
On peut donc se demander s'il s'agit vraiment, comme on le prétend, d'une technologie entièrement nouvelle sur laquelle les recherches ne font que commencer.
Dans ce qui suit, Kla.tv reprend des indications des médias dominants selon lesquelles la recherche et l'utilisation d'armes climatiques ont manifestement déjà une longue histoire.
Regardez ci-après le contenu principal de l'émission www.kla.tv/16595 en français : « Le débat sur le gaz carbonique comme moyen de détourner l'attention de la manipulation de la météo par les militaires ».
RépondreSupprimerCommençons notre recherche d’indices :
1. Le 14 mars 2019, la ministre suisse de l'environnement, Simonetta Sommaruga, a déclaré ce qui suit dans une interview en marge de la 4e Assemblée des Nations Unies pour l'environnement. Simonetta Sommaruga :
« Oui, la Suisse a essayé d’aborder le sujet de la géo-ingénierie, c'est-à-dire la pulvérisation de particules dans l'atmosphère, elle a essayé d’en faire un sujet de débat afin de collecter des informations, et qu’on puisse regarder les avantages et les risques. ... Ce sont des essais que l’on fait sans même en connaître les conséquences. Le sujet est trop important et peut-être même trop problématique pour qu’on puisse simplement passer outre. »
Mme Sommaruga parle ici d’essais de pulvérisation de particules dans l'atmosphère. Mais ces expériences sont-elles nouvelles et en sont-elles encore à leurs débuts, à petite échelle ?
2. Le 14 janvier 2009, le météorologue Gunther Tiersch a fait quelques remarques troublantes lors du bulletin météo sur la chaîne de télévision allemande ZDF : Gunther Tiersch explique la météo sur la carte météorologique, avec ces termes :
"Et puis nous avons ici quelque chose que nous ne pouvons pas identifier comme de la neige ou de la pluie, ici à l'ouest ces lignes sinueuses, c'est probablement ce que quelques avions, des avions militaires, ont émis dans l'après-midi au-dessus de la mer du Nord, à environ 5-6 kilomètres d'altitude. Rien à voir avec la météo...".
Peu de temps après, ZDF interroge Karsten Brandt, un expert du service météo, en raison des nombreuses questions des téléspectateurs sur ce bulletin météo. Voici la version fortement raccourcie de la formulation originale :
« Un phénomène que Karsten Brandt, du service météorologique « Donnerwetter », connaît bien. Les météorologues ont remarqué ces étranges nuages fantômes pour la première fois en 2005. Les navires de guerre se camouflent également avec de tels nuages artificiels. Les paillettes (nuages artificiels, qui perturbent par exemple les radars) ont déjà été développées pendant la Seconde Guerre mondiale. Alors qu'à l'époque, ils étaient constitués de bandes d’étain, aujourd'hui, ce sont des fibres de verre vaporisées avec de l'aluminium, d'une longueur de 15 à 25 mm et d'un diamètre d'environ 100 microns. Si les filaments ont la moitié de la longueur d'onde du radar, des échos parasites se produisent. Quand on voit les énormes nuages fantômes provenant de la direction de la côte néerlandaise, on peut penser que des tonnes de cette substance descendent sans cesse sur la République fédérale. »
Le météorologue Karsten Brandt : « Nous mettons en place des zones de respect de l’environnement et d’autres, et apparemment la zone de respect de l’environnement ne s'applique pas à une hauteur de quatre ou cinq mille mètres au-dessus de la mer du Nord et ne s'applique pas au-dessus de l'Allemagne. Ce qui est répandu là ne joue aucun rôle. Je trouve cela incroyable ! »...
« Même si ces nuages ne proviennent pas des forces armées allemandes, que personne ne se sent responsable des substances qui tombent régulièrement sur l'Allemagne et qui sont en fait interdites, les météorologues considèrent tout cela comme tout simplement absurde. »
RépondreSupprimer« Absurde c’est un mot bien gentil, il s’agit là d’une tromperie de la population. »
3. Le physicien et présentateur de télévision allemand Jochen Bublath a fait des déclarations très détaillées sur le sujet de la manipulation de la météo par les militaires dans un documentaire pour la chaine allemande ZDF. Jusqu'en 2008, Bublath était le concepteur de l’émission télévisée scientifique de ZDF « Abenteuer-Forschung » (« La recherche : une aventure »). Dans un épisode, il parle de la manipulation du temps par les militaires au moyen d'énormes systèmes d'antennes et de la production de nuages artificiels. Voici également un extrait dans la formulation originale :
Jochen Bublath : « On soupçonne que les puissants émetteurs et les grands systèmes d'antennes de HAARP sont également utilisés pour ces essais militaires. Gakona en Alaska : Loin de toute civilisation, l'armée américaine exploite ici une installation pour manipuler l'ionosphère. Le nom de ce mystérieux projet est HAARP. Une immense forêt d'antennes peut émettre des ondes radio dans l'ionosphère... Avec les ondes radio, on essaie de changer l'ionosphère. Les ondes radio pompent l'énergie dans cette couche de particules chargées électriquement. L'ionosphère est chargée, se dilate en ces points et présente des perturbations. Une possibilité de causer des difficultés à l'adversaire militaire. Mais officiellement, HAARP est uniquement destiné à être utilisé pour la recherche sur l'ionosphère. »
Bublath fait également état d'une installation similaire près de Tromsø en Norvège. Suit alors un extrait de la BBC sur la production de nuages artificiels par la NASA. Pour résumer brièvement jusqu’ici : Il y a plus de 10 ans, ZDF a fait état d'approches du secteur militaire visant à influencer la météo à des fins militaires en émettant des particules et en utilisant d'énormes systèmes d'antennes. Mais écoutez une contre voix qui rend compte de façon très détaillée de la nature et des objectifs de la manipulation du temps :
4. La chaîne de télévision espagnole « La 8 Zamora TV » a interviewé Josefina Fraile de l’association « Terra SOS-Tenible » le 19 octobre 2017 ; l’interview est intitulée « Géo-ingénierie - Pacte de silence ». Vous pouvez en écouter ici quelques extraits. Au début, il est question d'une interdiction des armes dites climatiques.
Josefina Fraile fait référence à la Convention ENMOD (« Convention sur l'interdiction d'utiliser des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles »).
Il s'agit d'un traité international qui a été adopté dès 1976 par les Nations unies (ONU) sous la résolution 31/72. Il mentionne explicitement les interventions qui ont les effets suivants : - Tremblements de terre ou changements dans la croûte terrestre - Tsunamis - Phénomènes météorologiques tels que cyclones, tornades, formation de nuages, précipitations/pluies - Perturbation de l'équilibre écologique d'une région - Influence sur les courants maritimes, etc.
Josefina Fraile : Un accord a été conclu selon lequel l'arme climatique ne peut être utilisée dans les conflits armés. Mais en fait, elle est toujours utilisée. Que peut-on et que fait-on avec cette arme ? Avec cette arme, on peut créer des pluies, des tempêtes, des nuages, des éclairs, des orages partout dans le monde. Ou le contraire : on peut dissoudre les fronts de pluie, arrêter la grêle et les chutes de neige et, bien sûr aussi créer une sécheresse. Que se passe-t-il ? Cette arme de contrôle du climat, quiconque la possède a un contrôle absolu sur les ressources de la planète, en particulier sur les ressources alimentaires. Donc, en clair : si un pays dispose de cette technologie, il contrôle le robinet d’eau du monde entier. Soit tu fais ce qu'on te dit et tu reçois de l'eau, soit tu es contre et ton pays est sous-alimenté en eau. Rompre, briser, détruire les ressources en eau. Cela provoque des périodes prolongées de sécheresse et conduit à l'incapacité de nourrir la population de ce pays. Le résultat est une famine. C'est réel ! Certains pays disposent de cette technologie et aux États-Unis, cette technologie fait déjà partie de la politique étrangère. Un rapport des Forces aériennes d’Amérique du nord s'intitule – « Posséder le climat d'ici 2025 ». Ce titre, qui s'explique de lui-même, nous laisse sans mots, le souffle coupé. Le fait que l'on puisse être présomptueux au point de vouloir contrôler le robinet d'eau du monde, cela nous dépasse, tous. Ce rapport indique également que la modification climatique fera partie de la politique étrangère américaine. Que le monde le veuille ou non. Et cette politique est appliquée par le biais d'accords bilatéraux, par des organisations comme l'OTAN (elles sont responsables de nous) ou par l'intermédiaire des Nations Unies. En fait, lors de la dernière Assemblée générale des Nations Unies, dans la section D du 5e rapport sur le changement climatique, le GIEC était plus ou moins légitimé pour ce qu'on appelle la GÉO-ENGINIERIE. Il est clair que celui qui dispose de cette technique peut faire pression sur qui il veut, quand il veut. Dès que cette méthode de guerre a été interdite par les Nations Unies, nous nous sommes logiquement posé la question : Un pays qui peut contrôler le climat et qui a donc le pouvoir sur les ressources du monde entier, ce pays abandonnera-t-il cette règle simplement parce qu'il a – avec beaucoup de retard – signé un accord des Nations Unies ? Plutôt pas. La seule chose qui reste à ce pays, c'est de donner à ce chien un nouveau collier. En d'autres termes, créer un problème mondial et proposer ensuite la solution mondiale. Le problème mondial était la création d'une nouvelle religion : « Changement climatique et réchauffement de la planète ».
RépondreSupprimerY a-t-il donc des tentatives de la part du mainstream pour rendre acceptables les interventions sur les régimes climatiques naturels sous prétexte de mesures de protection du climat ? Il est clair que oui. En 2015 déjà, la radio suisse SRF 4, par exemple, a présenté une sorte de protection solaire pour la Terre dans les hauteurs de l'atmosphère. Selon Thomas Peter, chimiste de l'atmosphère à l'École polytechnique fédérale de Zurich, cela peut se faire, par exemple, avec d'innombrables petites particules qui volent dans l'atmosphère comme de minuscules miroirs. Ceux-ci renverraient immédiatement la lumière du soleil dans l'espace. ... De nombreux experts et organisations environnementales sont très sceptiques à l'égard de la géoingénierie. Mais le réchauffement climatique serait de plus en plus dramatique. Et ainsi il y a de plus en plus de chercheurs, tels que l'IPCC (Intergovernmental Panel on Climate Change) et l'Académie nationale des sciences des États-Unis, qui se sont récemment prononcés en faveur d'une étude sérieuse de la protection solaire de la Terre. Le sujet devient ainsi socialement acceptable, déclare Ken Caldeira, de l'université de Stanford en Californie.
Résumons :
RépondreSupprimer1. A cette occasion, en 2019 la ministre suisse de l'environnement a appelé à un débat sur la pulvérisation de particules dans l'atmosphère.
2. Il y a plus de 10 ans des experts en météorologie et des journalistes spécialisés parlaient déjà dans les médias officiels de pratiques illégales de manipulation de la météo, par exemple en pulvérisant des particules ou en intervenant dans l'ionosphère par des ondes radio extrêmement fortes.
3. Josefina Fraile a dévoilé les intérêts militaires qui se cachent derrière l'utilisation des armes prétendues climatiques, interdites en 1977 pour la raison déjà évoquée. Elle voit la tentative de rendre acceptables les « armes climatiques » interdites en les renommant « programme de protection du climat ». Dans ce contexte de forts intérêts de puissance militaire, on peut comprendre que les médias officiels attisent désormais tous ensemble la peur du CO2 et ne disent plus un mot sur des causes complètement différentes de sécheresses, d'inondations et de catastrophes météorologiques de toutes sortes.
Se pourrait-il que, compte tenu de tous les faits mentionnés dans cette émission, la panique autour du gaz carbonique représente plutôt une gigantesque distraction et une tromperie de la population, qui est en fait contrôlée et affaiblie par des substances nocives pour la santé pour des raisons peu convaincantes ? Une protection efficace de l'environnement commence par la recherche des causes graves de la destruction de l'environnement et la sensibilisation du public à ces questions. Kla.tv reste à votre service... nous acceptons volontiers les dépositions et des informations de témoins...
Sources / Liens :
1.Hörer machen Programm:
https://www.mdr.de/nachrichten/deutschland/panorama/geo-engineering-klimawandel-flugzeuge-100.html
2. Schweizer Umweltministerin:
https://youtu.be/9rDmEY3tF3U
3. Schweizer Radio (SRF 4 vom 20.2.2015): https://www.srf.ch/play/radio/popupaudioplayer?id=70c16bcd-e3a8-4ac1-9255-7c2db5a38780
https://www.youtube.com/watch?v=h6E4yHYN0I4
4. Wetterbericht ZDF:
https://www.youtube.com/watch?v=Xot1EI4s6j0
5. Karsten Brandt (ab Minute 2:30):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
6. ARD-Tagesschau und ZDF-Sendung-Zusammenschnitt: Zu Wettermanipulationen (HAARP und Chemtrails):
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
https://www.youtube.com/watch?v=EMfTXgJH2Fc
7. Interview mit Josefina Fraile:
https://www.youtube.com/watch?v=1pMMS9crybw
(Spanisch) http://hastaloshuevos.es/geoingenieria-pacto-de-silencio-entrevista-josefina-fraile-terra-sostenible
https://www.youtube.com/watch?v=zbwE4icBlF0
(Deutsch, ab 8:16 Min.)
8. ENMOD-Konvention (Verbot von „Klimawaffen“) :
https://www.radio-utopie.de/2011/03/11/kennen-sie-eigentlich-die-enmod-konvention-gegen-wetterwaffen-aus-dem-jahre-1976/
9. Militär beherrscht das Wetter bis 2025 (englische Quelle):
https://archive.org/details/WeatherAsAForceMultiplier
10. Informationsplattform zu Geo-Engineering (englische Quelle):
https://www.geoengineeringwatch.org/
https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=23327&date=2022-08-11
Arroser du maïs en plein cagnard ?
RépondreSupprimer13 Août 2022
En cette période où la sécheresse – calamiteuse – est un sujet de conversation de prédilection, d'aucuns s'interrogent sur l'irrigation des maïs en pleine journée. Dilapide-t-on une eau devenue précieuse ?
Les choses ne sont jamais simples.
Voici le résumé de « Quantifying irrigation cooling benefits to maize yield in the US Midwest » de Yan Li et al. (quantification des avantages du refroidissement par irrigation pour le rendement du maïs dans le Midwest américain) – découpé pour faciliter la lecture :
« L'irrigation est une stratégie d'adaptation importante pour améliorer la résilience des cultures au changement climatique mondial.
L'irrigation joue un rôle essentiel dans le maintien de la production agricole dans les régions où l'eau est limitée, car l'eau d'irrigation ne profite pas seulement aux cultures en répondant à leur demande en eau, mais crée également un refroidissement par évaporation qui atténue le stress thermique des cultures.
Nous utilisons ici des données de télédétection par satellite et de rendement du maïs dans l'État du Nebraska, aux États-Unis, combinées à des modèles statistiques, pour quantifier la contribution du refroidissement et de l'approvisionnement en eau aux bénéfices en termes de rendement dus à l'irrigation.
Les résultats montrent que l'irrigation entraîne un refroidissement considérable de la température diurne à la surface du sol (-1,63°C en juillet), une augmentation de l'indice de végétation amélioré (+0,10 en juillet), et des rendements de maïs 81 % plus élevés par rapport au maïs pluvial.
Ces effets de l'irrigation varient le long des gradients spatiaux et temporels des précipitations et de la température, avec un effet plus important dans des conditions sèches et chaudes, et un déclin vers des conditions humides et fraîches.
Nous constatons que 16 % de l'augmentation du rendement de l'irrigation est due au refroidissement par l'irrigation, tandis que le reste (84 %) est dû à l'approvisionnement en eau et à d'autres facteurs.
L'effet du refroidissement par irrigation est également observé sur la température de l'air (-0,38 à -0,53°C) sur des sites de flux appariés dans le Nebraska.
Cette étude met en évidence la contribution non négligeable du refroidissement par l'irrigation aux avantages de l'irrigation en termes de rendement, et cet effet pourrait devenir plus important à l'avenir avec le réchauffement continu et les sécheresses plus fréquentes. »
RépondreSupprimerLa reproduction de ce résumé n'a pas pour objet de justifier des arrosages en journée, peut-être interdits par les pouvoirs publics, mais – encore une fois – de montrer la complexité des sujets agricoles.
Au demeurant, qui peut croire que les agriculteurs dilapideraient une ressource qui leur coûte de l'argent ?
La Nouvelle République a publié en août 2019 un passionnant entretien avec M. Jean-Louis Durand, directeur de recherche à l'INRAE, « Vienne : pourquoi peut-on arroser ses champs en plein soleil ? ». Extrait :
« Comme les chiffres, les idées reçues sont têtues. Seule la science peut démontrer et affirmer une vérité. Le directeur de recherche à l’Inra, Jean-Louis Durand, assure que l’eau répandue pendant les heures chaudes sur un champ cultivé bénéficie à 97 % à la plante, le reste s’évapore : "Le seul problème, c’est à la sortie du canon à eau, recadre le chercheur. Ce sont ces 2 à 3 % qui s’évaporent du jet d’eau." Cette quantité d’eau, qui n’atteint ni le sol ni le feuillage de la plante, s’évapore. "Quand l’eau atteint le feuillage, c’est gagné", rappelle Jean-Louis Durand. Et pour le sol aussi puisque l’eau y pénètre et, plus tard, reviendra à la plante.
[…]
Le directeur à l’INRA soulève la question de l’intérêt d’arroser en plein jour plutôt que la nuit. Car, estime-t-il, "il est important que les agriculteurs travaillent à la vue de tout le monde, la nuit reste un problème d’organisation et les risques ne sont pas neutres notamment en raison des fuites non repérées et du vent qui peut se lever sans que personne ne s’en aperçoive." »
Il y a aussi, hélas, le problème du vandalisme.
Et si on veut en savoir beaucoup plus sur le sujet de l'irrigation par aspersion, il y a « Évaluation des pertes par évaporation lors des irrigations par aspersion en condition de fort déficit hydrique » de P. Ruelle, J.C. Mailhol, B. Itier.
Il y a aussi, de Pierre Ruelle, « Évaluation des pertes par évaporation lors des irrigations par aspersion en condition de fort déficit hydrique ». En résumé :
« Le présent article propose une évaluation des pertes par évaporation lors des irrigations par aspersion durant la journée, en présence d`une demande climatique élevée. Cette évaluation s`appuie sur des résultats issus de la littérature, analysés et critiqués, ainsi que sur deux méthodes simplifiées. La première met en exergue les échanges de masses d'air par advection (effet d'oasis), la deuxième met en jeu l'évaporation additionnelle par saturation de l'air. Les deux méthodes, en accord avec les informations de la littérature qui méritent d'être retenues, proposent comme majorant des pertes par évaporation en condition de demande climatique extrême une valeur de l'ordre de 15 %. Dans ces conditions et dans un souci d`économie d'eau, il est recommandé d'éviter d'irriguer durant la plage horaire 11-15 h, et de manière générale lorsque la vitesse du vent atteint et dépasse le seuil admis pour le système d`irrigation utilisé. En conditions normales, ces pertes s'avèrent être largement inférieures à 10 % durant les irrigations où des doses d`une trentaine de mm sont généralement apportées. »
Les choses ne sont pas simples !
https://seppi.over-blog.com/2022/08/arroser-du-mais-en-plein-cagnard.html
Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km³ d'eaux (venues des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans (sans qu'elles ou ils ne montent !! Çà alors !!).
SupprimerLa totalité de l'eau utilisée retourne à la Terre. Il n'y a PAS une goutte de plus ou de moins sur notre planète depuis des milliards d'années.
L'eau des bassins maritimes & océaniques s'infiltre continuellement aux planchers de ces réserves d'eau vers le magma. Là, les galeries souterraines sont chauffées/brûlées et s'échappent vers d'autres conduites des vapeurs qui s'en vont (à 22 %) ressortir sous terre aux sources et nappes phréatiques. C'est pourquoi cette eau est propre, sans couleur, ni odeur, ni bactérie.
Elle ressort aussi (à 78 %) sous les bassins et là, elle est emportée par les lames de fonds. Ces courants marins ressortent aux côtes (bretonnes ou azuréennes, etc) et réchauffent donc l'atmosphère.
Les plantes, les arbres, boivent par les feuilles (pourquoi quand il pleut vous réfugiez-vous sous un arbre ?), car l'eau n'est pas toujours sous terre. Regardez l'exemple du bananier: longueur des racines 50 cm ! Le bananier a besoin des pluies pour grandir et faire sa fleur qui - au milieu des feuilles en tuyau - attend l'eau qui pourra lui donner un régime de bananes. (C'est le cas en Nord-Martinique où il pleut tous les jours et toutes les nuits).
Les plantes tropicales et arbres de ces régions ont une forme de feuilles pointue. Idem pour les cactus qui capte l'humidité grâce à ses aiguilles.
La crise de l'énergie divise l'Europe
RépondreSupprimerRod Dreher, The American Conservative, prête une attention particulière à un avertissement de Viktor Orban
August 13th, 2022 |
Orban souligne comment la crise de l'énergie divise l'Europe.
La décision de démanteler les dernières centrales nucléaires en Allemagne pendant une crise n'a aucun sens et on s'attend à ce que le reste de l'Europe rattrape cette folie, ainsi que l'obsession du changement climatique qui a mis l'UE dans cette crise en premier lieu :
Le grand gel à venir en Europe
Rod Dreher
Les dirigeants du continent se préparent au rationnement hivernal, à l'arrêt des industries. Viktor Orban les a prévenus
Le Premier ministre hongrois Viktor Orban prévient depuis des mois que le soutien sans réserve de l'Europe à l'Ukraine est insoutenable... Dans son discours controversé en Transylvanie, l'Occident était bêtement obsédé par ses propos "métis" imprudents, mais ces observations sur la guerre et l'hiver à venir étaient parfaits, et bien plus importants :
En passant, je dirai quelques mots sur les valeurs européennes. Voici, par exemple, la dernière proposition de la Commission européenne, qui dit que chacun doit réduire sa consommation de gaz naturel de 15 %. Je ne vois pas comment cela sera appliqué – bien que, si je comprends bien, le passé nous montre le savoir-faire allemand en la matière. De plus, si cela ne produit pas l'effet escompté et que quelqu'un n'a pas assez de gaz, il sera retiré à ceux qui en ont. Ainsi, ce que fait la Commission européenne, ce n'est pas demander aux Allemands d'annuler la fermeture de leurs deux ou trois dernières centrales nucléaires encore en activité, qui leur permettent de produire de l'énergie bon marché : c'est les laisser fermer ces centrales. Et s'ils manquent d'énergie, d'une certaine manière ils nous prendront du gaz à nous qui en avons, parce que nous l'avons stocké.
–Viktor Orban
C'est exactement ce que les experts David Wallace-Wells [du NYT] disent qu'il pourrait arriver : les membres de l'UE se retournent les uns contre les autres. Cet hiver pourrait voir l'éclatement de l'UE à cause de cette crise.
Ce contre quoi Orban met en garde dans les dernières lignes que j'ai citées, c'est la perspective d'une instabilité politique de masse, voire de troubles civils, si les Européens subissent des coupures de courant cet hiver et ne peuvent pas se réchauffer - cela, et si leurs économies s'effondrent parce que les gouvernements doivent rationner l'énergie, fermant les industries pour empêcher les civils de geler. Ce n'est pas une préoccupation abstraite !
L'autre jour, je parlais à quelqu'un qui m'a dit que beaucoup d'Européens n'allaient pas avoir pitié des Allemands, compte tenu de la dureté avec laquelle les Allemands les ont traités lors de la crise de la dette de 2008. Personne n'a poussé l'Allemagne à fermer ses centrales nucléaires et à devenir dépendante du gaz russe. C'était l'accord de Merkel.
Et d'une autre histoire. Regardez l'agitation et les efforts nécessaires pour faire face aux prix actuels du gaz. Il s'agit d'une entreprise vieille de 200 ans qui lutte pour travailler 3 semaines sur 4, passant à des horaires roulants de 24 heures dans une tentative désespérée d'extraire plus d'efficacité du système.
Une fonderie d'aluminium lutte pour sa survie dans la crise du gaz en Europe (Reuters)
RépondreSupprimer…Gerd Roeders se prépare à contrecœur à l'arrêt temporaire de sa fonderie d'aluminium allemande pour survivre à la pénurie croissante de gaz en Europe. Roeders espère qu'en transférant l'usine vieille de 200 ans à trois semaines d'équipes de 24 heures suivies d'un arrêt d'une semaine, il pourra maintenir la production tout en réduisant sa consommation de gaz. Sa facture a déjà plus que doublé cette année depuis l'année dernière, a-t-il déclaré, craignant qu'elle ne triple, voire quadruple en 2023. Le plan permettra d'économiser le coût du gaz nécessaire pour allumer les fours chaque matin, calcule Roeders, même si cela signifie payer personnel de l'entreprise familiale G.A. Roeders plus à travailler de nuit. Survie pour G.A. Roeders GmbH et les 600 autres fonderies allemandes, dont la plupart sont des petites et moyennes entreprises de moins de 250 employés, impliqueront des réductions de coûts et des discussions difficiles avec les clients. "Nous exposons nos prix aux clients et leur disons qu'ils doivent payer plus", a déclaré Roeders, 59 ans, à Reuters alors que les travailleurs préparaient l'usine pour la première semaine de repos. "Nous ne pouvons pas livrer de pièces si nous investissons et ne gagnons rien en retour."
h/t Stephen et Scott ami de DA.
https://joannenova.com.au/2022/08/the-energy-crisis-is-pulling-europe-apart/
Maintenant, ils nous disent que la pluie qui tombe du ciel est extrêmement dangereuse et peut causer le cancer
RépondreSupprimer11 août 2022
par Michel Snyder
La pluie qui tombe du ciel est-elle sans danger ? Quand je grandissais, je me serais moqué de toi si tu m'avais dit que je pouvais avoir un cancer en buvant la pluie qui vient du ciel. Et je suis sûr que cela sonnera comme une idée absolument ridicule pour beaucoup de gens qui liront cet article. Malheureusement, c'est vrai. Partout sur la planète entière, l'eau de pluie est désormais remplie de produits chimiques extrêmement dangereux qui causent le cancer. Et comme vous le verrez ci-dessous, il n'y a nulle part dans le monde où vous pouvez aller pour échapper à cela. C'est encore un autre exemple qui montre que nous commettons littéralement un suicide sociétal et que le temps presse pour l'humanité.
Si toute notre eau de pluie est maintenant trop dangereuse pour être bue en raison des niveaux élevés de produits chimiques extrêmement dangereux qu'elle contient, cela signifie également que tous nos lacs, rivières, ruisseaux, étangs et océans sont également complètement souillés.
Nous sommes littéralement en train de ruiner notre planète, et cela devrait vous mettre très en colère. Ce qui suit provient à l'origine de Popular Mechanics…
Vous souvenez-vous quand vous étiez enfant et que c'était amusant de pencher la tête en arrière pendant un orage et d'ouvrir la bouche pour boire les gouttes ? Tu ne devrais plus faire ça. C'est parce que vous allez ingérer trop de particules de substances perfluoroalkyles et polyfluoroalkyles (PFAS), les produits chimiques dangereux qui s'échappent des plastiques ultra-durables que nous avons créés au cours des 120 dernières années environ.
Une nouvelle étude choquante vient d'être publiée qui a examiné cette crise en détail, et elle a révélé que les niveaux de produits chimiques PFAS dans notre eau de pluie "dépasse souvent largement" ce que notre gouvernement considère comme sûr...
Il existe des milliers de substances PFAS différentes qui circulent. L'étude a comparé les niveaux de quatre formes courantes (PFOS, PFOA, PFHxS et PFNA) dans diverses sources : l'eau de pluie, les sols et les eaux de surface telles que les ruisseaux, les lacs et les océans. Ils ont constaté que les niveaux d'au moins deux formes de PFAS dans l'eau de pluie, le PFOA et le PFOS, "dépassent souvent largement" les niveaux de sécurité dans l'eau potable, comme le conseille l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA).
Nous ne parlons pas de substances qui affecteront un peu votre santé.
Ce dont nous parlons, ce sont des substances qui peuvent vous donner le cancer et vous tuer…
Les produits chimiques PFAS, qui se sont retrouvés dans l'eau potable dans les villes des États-Unis, ont été liés au lymphome non hodgkinien et aux cancers du rein, des testicules, de la prostate, du sein, du foie et des ovaires. Une nouvelle étude va encore plus loin pour essayer d'expliquer comment certains de ces composés PFAS, une famille de milliers de produits chimiques synthétiques qui ont été utilisés pendant des décennies dans tout, des emballages alimentaires aux ustensiles de cuisine antiadhésifs, pourraient causer le cancer au niveau moléculaire. Ce groupe de produits chimiques est également répandu dans la mousse anti-incendie (classe B) et les EPI des pompiers (tenues de feu); et les pompiers ont montré une incidence plus élevée que la normale des cancers associés.
RépondreSupprimerCommencez-vous à comprendre la gravité de ce à quoi nous sommes confrontés ?
Ces produits chimiques se trouvent dans des milliers et des milliers de produits que nous utilisons régulièrement, ce qui signifie qu'ils sont littéralement partout…
Vous pouvez trouver des produits chimiques PFAS aux propriétés antiadhésives et antitaches. En tant que tels, on les trouve dans de nombreux emballages alimentaires ménagers, appareils électroniques et même cosmétiques et ustensiles de cuisine. Cependant, il semble que ces produits chimiques se mélangent maintenant à notre eau de pluie. En conséquence, cela a rendu l'eau de pluie impropre à la consommation.
Les microplastiques sont l'un des principaux moyens par lesquels les produits chimiques PFAS pénètrent dans notre environnement.
Comme je l'ai mentionné précédemment, l'humanité produit environ 400 millions de tonnes de plastique par an, et une grande partie de ce plastique finit par être jetée.
Une fois jeté, il ne disparaît pas.
Au lieu de cela, il se décompose en morceaux de plus en plus petits. Finalement, ces morceaux se décomposent en morceaux de plastique extrêmement petits appelés « microplastiques »…
Les microplastiques - le résultat final de tous les produits en plastique et déchets industriels que nous jetons - sont une source de PFAS, et ils se retrouvent souvent dans les océans et autres voies navigables, affectant la faune. Alors que les déchets dans les décharges mettent des milliers d'années à se dégrader complètement, ils forment de minuscules morceaux de plastique qui mesurent moins de 5 millimètres de long. Leur taille signifie qu'ils se retrouvent partout, même dans notre sang, où leur taille varie entre 700 nanomètres et 5 000 nanomètres. (Un cheveu humain mesure environ 17 000 nanomètres).
Aujourd'hui, il y a des milliards et des milliards de ces microplastiques sur toute la planète, et ils sont balayés et déversés sur nous par les tempêtes qui apportent notre pluie.
Les chercheurs qui ont mené l'étude à laquelle j'ai fait référence ci-dessus disent qu'à ce stade, il n'y a "nulle part sur Terre où la pluie serait potable"...
"Il n'y a aucun endroit sur Terre où la pluie serait potable, d'après les mesures que nous avons prises", a déclaré à l'AFP Ian Cousins, professeur à l'université et auteur principal de l'étude publiée dans Environmental Science and Technology.
RépondreSupprimerUne compilation des données depuis 2010 que son équipe a étudiées a montré que "même en Antarctique ou sur le plateau tibétain, les niveaux dans l'eau de pluie sont au-dessus des recommandations pour l'eau potable proposées par l'US EPA (Environmental Protection Agency)", a-t-il déclaré.
Veuillez relire cela.
Toute la pluie qui tombe sur notre planète est maintenant dangereuse car elle contient des niveaux si élevés de produits chimiques cancérigènes, et nous n'avons aucun moyen de résoudre ce problème.
Même si nous arrêtions immédiatement d'utiliser tous les produits chimiques dangereux, les dommages que nous avons déjà causés seraient toujours avec nous indéfiniment.
Malheureusement, la plupart des gens ne comprennent tout simplement pas.
Nous nous tuons littéralement systématiquement et nous tuons tout le reste sur cette planète.
Si nous restons sur le chemin que nous suivons actuellement, il n'y a pas d'avenir pour l'humanité.
Nous avons désespérément besoin de changer nos habitudes, et nous avons désespérément besoin d'aide.
Malheureusement, la plupart des gens sont trop fiers pour admettre l'une ou l'autre de ces choses en ce moment.
Mais à mesure que les conditions continuent de se détériorer, j'espère que davantage de personnes se réveilleront.
Car le temps presse pour l'humanité, et nous ne pouvons pas nous sauver.
http://endoftheamericandream.com/now-they-are-telling-us-that-the-rain-that-falls-from-the-sky-is-extremely-dangerous-and-can-cause-cancer/
(...) Alors que les déchets dans les décharges mettent des milliers d'années à se dégrader complètement, ils forment de minuscules morceaux de plastique qui mesurent moins de 5 millimètres de long. Leur taille signifie qu'ils se retrouvent partout, même dans notre sang, où leur taille varie entre 700 nanomètres et 5 000 nanomètres. (Un cheveu humain mesure environ 17 000 nanomètres). (...)
SupprimerHOULALA ! N’affolons pas les lecteurs de telles inepties ! Si les plastiques mettaient des milliards d'années pour disparaître... HAHAHAHA ! Y a une erreur quelque part !
Ces nano-particules ne sont ni de partout ni cancérigènes. A ne pas confondre avec les nano-particules disséminées par les chemtrails !
Ces mêmes particules peuvent aussi être expulsées par les éruptions volcaniques sous formes de composants non encore associés.
Nous respirons toutes & tous (avec ou sans masque) 200 000 virus (poussières) ou microbes vivants par MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES milliards de montagnes depuis notre naissance. Et nous ne sommes pas morts ! Çà alors !!
Des dirigeants africains s'expriment en faveur des OGM
RépondreSupprimer13 Août 2022
Joseph Maina*
Alors que les gouvernements africains réfléchissent au sort des organismes génétiquement modifiés (OGM), d'éminents dirigeants du continent ont ouvertement exprimé leur soutien à cette technologie.
De l'Éthiopie à l'Afrique du Sud, en passant par d'autres pays, un échantillon représentatif de dirigeants – en exercice ou non – s'est accordé à dire que les OGM méritaient une occasion de stimuler la fortune agricole du continent et d'améliorer les moyens de subsistance des populations rurales.
Voici quelques-unes des voix éminentes de l'espace politique africain qui ont contribué à la clameur en faveur des OGM et approuvé explicitement cette technologie.
Le président Uhuru Kenyatta a exprimé à diverses occasions son soutien aux OGM, malgré une législation étouffante qui limite l'importation d'OGM dans ce pays d'Afrique de l'Est.
C'est au cours du second mandat de M. Kenyatta que le Kenya a approuvé la culture commerciale du cotonnier Bt, annonçant ainsi la renaissance d'une industrie cotonnière qui avait sombré dans le marasme dans les années 1990.
M. Kenyatta a déclaré que le cotonnier Bt présentait un potentiel avéré de meilleurs rendements par rapport aux variétés conventionnelles et a promis que le gouvernement continuerait à améliorer les conditions politiques afin que le pays tire le maximum de bénéfices de ce type de variétés.
Le Vice-président William Ruto, est un tout aussi fervent défenseur de la biotechnologie ; il a déjà exprimé son soutien à la levée de l'interdiction des OGM mise en place en 2012. Dans ce qui est peut-être son expression la plus lucide de soutien à la technologie GM, M. Ruto, en marge de la 10e Conférence des Parties à la Convention sur la Diversité Biologique au Japon, a qualifié les OGM de « technologie révolutionnaire qui va permettre à davantage de personnes, en particulier au milliard de personnes environ dans le monde [...] qui sont confrontées à la faim, la majorité d'entre elles en Afrique, d'avoir une chance d'avoir un repas dans leur assiette ».
Le deuxième président du Kenya, feu Daniel Arap Moi, a également cherché à soutenir les efforts du pays pour adopter cette technologie. En mai 2000, M. Moi a écrit au président américain Bill Clinton pour demander le soutien des États-Unis afin de combler le fossé biotechnologique, déclarant que les méthodes agricoles actuelles s'avéraient incapables de répondre aux exigences du pays en matière de sécurité alimentaire et de croissance économique.
Les ministres des sciences et des technologies du Ghana
RépondreSupprimerEn 2017, le professeur Kwabena Frimpong-Boateng, alors ministre ghanéen de l'environnement, de la science, de la technologie et de l'innovation, a explicitement indiqué que les OGM faisaient partie intégrante de l'époque contemporaine et qu'il était impensable pour le Ghana d'éviter les OGM.
« ...que nous le voulions ou non, les organismes et les aliments GM sont parmi nous », a déclaré M. Boateng devant une commission parlementaire, tout en affirmant le soutien du gouvernement à une utilisation responsable de la technologie.
Médecin et chirurgien cardiothoracique de profession, M. Boateng a affirmé que « la biotechnologie est si importante que nous ne pouvons pas nous développer sans elle ».
Malgré les tempêtes d'opposition menées par les groupements anti-OGM dans le pays, le Ghana est en passe d'adopter les cultures génétiquement modifiées comme moyen d'augmenter sa production alimentaire. Parmi les développements récents, citons une demande d'autorisation auprès de l'Autorité Nationale de Biosécurité (NBA) pour la dissémination du niébé Bt, la première culture génétiquement modifiée du pays, qui possède une résistance intégrée aux attaques du ravageur Maruca vitrata.
Comme son prédécesseur, le Dr Kwaku Afriyie a adopté une position similaire, affirmant que les OGM sont des innovations scientifiques et qu'aucun pays ne peut se développer durablement sans science, technologie et innovation.
Le défunt Premier Ministre éthiopien a été décrit un jour comme un « orchestrateur d'idées influentes, d'un sens pratique du plus haut niveau, et une source de visions à long terme pendant son mandat ».
À un certain moment de son leadership, alors que de nombreux pays africains hésitaient à adopter la technologie GM, l'ancien premier ministre éthiopien était tout à fait résolu, affirmant que l'Afrique ne devait pas hésiter à adopter les cultures GM comme moyen de lutter contre sa faim massive.
« Devrions-nous exclure les cultures génétiquement modifiées ou la biotechnologie comme une arme dans notre arsenal ? Non. Pourquoi devrions-nous exclure une technologie ? La technologie GM est comme toutes les autres technologies. Elle peut être bien utilisée ou mal utilisée. La question est de savoir comment bien l'utiliser. Je pense qu'elle peut être bien utilisée si elle est utilisée en toute sécurité », a déclaré M. Zenawi lors d'un sommet international sur la faim tenu en 2004.
Et l'Éthiopie a certainement bien utilisé les OGM. En 2018, le pays a approuvé la culture commerciale du cotonnier GM et la recherche sur le terrain pour le maïs GM, dans le cadre des efforts visant à améliorer la productivité agricole.
RépondreSupprimerL'Afrique du Sud reconnaît le rôle important que la biotechnologie contribue à ses impératifs nationaux tels que la garantie de la sécurité alimentaire, la réduction de la pauvreté, la création d'emplois et le développement socio-économique.
Le pays a toujours obtenu des rendements impressionnants grâce aux OGM, mais certains de ses voisins de la région ont été lents à adopter cette technologie, ce qui, selon le gouvernement, est lié à la perception des OGM.
Par exemple, en 2002, alors que plusieurs pays d'Afrique australe luttaient pour nourrir leurs populations à la suite d'une famine généralisée, le président Mbeki a proposé de faire moudre un lot de maïs GM de secours pour le compte des pays touchés.
M. Mbeki était même considéré comme la voix sobre qui contribuerait à tempérer la perplexité et l'appréhension de certains dirigeants des pays voisins qui avaient hésité à recevoir l'aide alimentaire, ce qui a alimenté une controverse émaillée de faussetés et d'une ignorance généralisée sur les OGM.
Un certain nombre de responsables gouvernementaux en Zambie n'ont pas hésité à approuver les OGM et ont cherché à dissiper les perceptions négatives de cette technologie, dont les graines ont été semées au début des années 2000 par le président Levy Mwanawasa.
« La perception qui prévaut est que les OGM ont été interdits par feu le président Levy Mwanawasa et qu'il n'y a pas d'OGM en Zambie. J'ai du mal à comprendre ce raisonnement car aujourd'hui, il n'y a rien qui ne soit pas modifié d'une manière ou d'une autre. [...] Nous vivons dans un monde d'ingénieurs où les technologies progressent chaque jour, nous ne pouvons donc pas ignorer ce qui se passe. C'est l'époque dans laquelle nous vivons », a affirmé avec force le Dr Brian Mushimba, Ministre de l'Enseignement Supérieur sous le régime du président Edgar Lungu.
Son homologue du ministère de la santé, le Dr Chitalu Chilufya, a assuré au Parlement zambien que les produits alimentaires à base d'OGM étaient propres à la consommation, tout en expliquant le contexte de l'interdiction d'importation d'OGM dans le pays.
À l'époque de l'interdiction, la Zambie ne disposait pas des infrastructures et des ressources humaines nécessaires pour gérer les OGM, mais ces obstacles ont été surmontés par la promulgation d'une législation appropriée et la création de l'Autorité Nationale de Biosécurité (NBA).
La Zambie s'est récemment montrée réceptive aux produits génétiquement modifiés, ce qui est loin de la position intransigeante adoptée par le régime de Mwanawasa.
Le président sénégalais Macky Sall, ingénieur géologue et géophysicien de formation, a été vu comme « fortement favorable » à l'adoption de la biotechnologie dans son pays.
Le 14 juin 2022, le président Sall a signé une nouvelle loi sur la biosécurité qui a effectivement abrogé la loi de 2009 sur la biosécurité, permettant ainsi au Sénégal de tirer le maximum de bénéfices de la biotechnologie moderne.
Le président Sall a toujours défendu la science et la technologie comme des outils importants pour améliorer le bien-être du peuple sénégalais.
RépondreSupprimer« Il est indéniable que les OGM peuvent aider à relever les défis actuels, tels que l'insécurité alimentaire, les problèmes de santé publique, la conservation des ressources naturelles et le changement climatique », a-t-il déclaré lors de la session annuelle 2017 de l'Académie Nationale des Sciences et Techniques du Sénégal (ANSTS).
L'ancienne présidente du Malawi, le Dr Joyce Banda
Le Dr Joyce Banda a soutenu sans ambages les biotechnologies dès le début de sa présidence, lorsque le Malawi a jeté les bases de la recherche sur les nouvelles cultures génétiquement modifiées (haricots, manioc, niébé et maïs).
Dans son discours inaugural devant le Parlement du pays en mai 2012, Mme Banda a promis que son gouvernement encouragerait l'adaptation de la technologie et de l'innovation en promouvant et soutenant la modification génétique en agriculture.
« Grâce à la biotechnologie moderne, les agriculteurs n'auront plus à désherber leurs jardins, ils ne devront plus acheter de pesticides et la modification génétique permettra d'améliorer la teneur en carbone et en humidité des sols », a-t-elle déclaré.
Depuis lors, le Malawi a fait des progrès notables dans sa quête d'intégration des cultures génétiquement modifiées dans son agriculture. Le Malawi est actuellement l'un des sept pays africains qui ont approuvé la production commerciale de cultures GM.
_____________
* Source : African leaders voice support for GMOs - Alliance for Science (cornell.edu)
https://seppi.over-blog.com/2022/08/des-dirigeants-africains-s-expriment-en-faveur-des-ogm.html
LOS ANGELES: L’actrice américaine Anne Heche déclarée morte
RépondreSupprimerL’actrice américaine se trouvait dans un état désespéré après un accident de voiture la semaine dernière à Los Angeles.
12 août 2022, 20:34
L’actrice américaine Anne Heche a été déclarée morte après avoir été gravement blessée dans un accident de voiture à Los Angeles la semaine dernière, a déclaré vendredi une porte-parole. Âgée de 53 ans, la comédienne était dans le coma à l’hôpital depuis une violente collision survenue le 5 août.
Selon un communiqué d’un représentant de l’actrice publié jeudi, l’accident de voiture dont a été victime Anne Heche avait provoqué de «graves blessures» cérébrales. Ayant perdu toutes ses fonctions cérébrales, Anne Heche «est légalement décédée selon la loi californienne» mais son cœur bat toujours afin de faciliter le don d’organe, a déclaré sa porte-parole Holly Baird à l’AFP.
«Aujourd’hui, nous perdons une lumière radieuse, une âme douce et si joyeuse, une mère aimante et une amie loyale», a déclaré la famille dans un communiqué commun. «Anne sera profondément regrettée, mais ses merveilleux fils, son immense œuvre et ses combats passionnés lui survivront», ajoute-t-elle.
Accident violent
Anne Heche a joué dans un grand nombre de films dans les années 1990, dont «Six Jours, Sept Nuits» ou «Donnie Brasco». Elle est également connue pour son rôle dans le feuilleton «Another World» qui lui a valu un Daytime Emmy Award en 1991. Dans les années 1990, elle a eu une relation très médiatisée avec la présentatrice Ellen DeGeneres.
L’actrice était dans le coma depuis son accident le 5 août lorsque sa voiture a percuté une maison de deux étages dans le quartier de Mar Vista, «provoquant des dégâts structurels ainsi qu’un lourd incendie», selon les pompiers de Los Angeles. L’incendie a pris 65 minutes à 59 pompiers à éteindre, selon la même source.
Tests positifs
RépondreSupprimerLa police de Los Angeles a indiqué dans un communiqué jeudi qu’elle conduirait des tests sanguins sur Anne Heche et que les enquêteurs allaient «présenter l’affaire à l’autorité judiciaire adéquate». La police n’a toutefois pas donné de précision sur d’éventuelles suites judiciaires. Des médias locaux ont rapporté, jeudi, que des tests préliminaires s’étaient avérés positifs à des narcotiques. Mais d’autres tests doivent être conduits pour s’assurer que le résultat positif n’est pas lié à un traitement médical.
Selon TMZ, publication spécialisée dans la couverture des célébrités, qui cite des sources policières anonymes, Anne Heche a été testée positive à la cocaïne et au fentanyl, un opiacé de synthèse ultra-puissant et addictif utilisé dans certains traitements.
«Mon frère Atlas et moi avons perdu notre maman», a déclaré son fils Homer Laffoon dans un communiqué séparé. «J’espère que ma mère ne souffre plus», a-t-il ajouté.
Anne Heche: son dernier film sortira comme prévu
La chaîne Lifetime a confirmé que «Girl in Room 13» avec l’actrice actuellement dans le coma sera diffusé en septembre.
Dans «Girl in Room 13», Anne Heche joue une mère dont la fille a été enlevée, la plongeant dans l’industrie de la traite des humains.
Dans «Girl in Room 13», Anne Heche joue une mère dont la fille a été enlevée, la plongeant dans l’industrie de la traite des humains.
Lifetime a confirmé que «Girl in Room 13» sortira toujours comme prévu en septembre, malgré l’accident de voiture de son actrice principale, Anne Heche, le 5 août. Cette dernière y joue une mère dont la fille a été enlevée, la plongeant dans l’industrie de la traite des humains.
Jeudi lors d’un panel de la Television Critics Association, Amy Winter, la vice-présidente et responsable de la programmation originale de Lifetime, a assuré: «Ce projet est important pour Anne, ainsi que pour chacun d’entre nous. Nous avons tous cherché à faire un film qui attirerait l’attention sur cet effroyable problème de trafic sexuel humain.»
«Elle a donné tout ce qu’elle avait»
La réalisatrice du film, Elisabeth Rohm, a déclaré qu’elle était «anéantie» par la nouvelle de l’accident d’Anne Heche et qu’elle «priait pour» l’actrice.
«Je sais qu’Anne était vraiment passionnée par ce film. Elle a donné tout ce qu’elle avait, elle a apporté une interprétation et une force phénoménales à ce projet et elle était vraiment déterminée à mettre fin à la violence contre les femmes, a-t-elle déclaré. Nous souhaiterions qu’elle soit ici avec nous. »
Stupéfiants
Anne Heche fait l’objet d’une enquête pour conduite avec facultés affaiblies, ses analyses de sang ayant révélé la présence de stupéfiants dans son système, selon Deadline.
https://www.lematin.ch/story/lactrice-anne-heche-est-decedee-a-53-ans-830786259548
L’opéra de Sydney illuminé en hommage à Olivia Newton-John
RépondreSupprimer12 août 2022, 17:46
Le bâtiment s’est paré de rose pour honorer l’actrice et chanteuse décédée le 8 août d'un cancer du sein.
https://www.lematin.ch/video/lopera-de-sydney-illumine-en-hommage-a-olivia-newton-john-405361802765
Vaccinolâtres et ukrainolâtres, la même technique de désinformation totalitaire
RépondreSupprimerPierre-Antoine Pontoizeau,
pour FranceSoir
le 12 août 2022 - 19:55
"Le « vaccin » comme l’Ukraine sont présentés comme la seule solution, pas d’alternative médicale dans le premier cas, pas d’alternative diplomatique dans le second."
TRIBUNE - La désinformation a été au centre de la propagande en faveur de la « vaccination » Pfizer. Les faits resteront très têtus, mais le rapport remis à la FDA en date du 17 septembre 2021 démontrait à lui seul que ce produit avait une durée de protection limitée à quelques semaines. À la même époque, la situation en Israël apportait des preuves indubitables que la protection était éphémère. Or, beaucoup ont été manipulés par une désinformation qui a fonctionné selon deux principes très simples : affirmer sans preuve, mais affirmer toujours, et insulter tous les auteurs d’une information concrète exposant des faits contraires à la doxa.
Le scénario de la désinformation : le bon, le méchant et la solution
Il en est de même aujourd’hui concernant le soutien à l’Ukraine. Dans le rôle de la maladie, on y retrouve les méchants Russes qui agressent et dans le rôle du vaccin, on retrouve l’Ukraine bienfaitrice et courageuse qui va se sauver et sauver l’Occident du mal russe, comme on prétendait nous sauver du mal chinois. Tout le monde aura noté que le récit est le même. Le méchant virus ou le méchant russe le sont pour l’éternité et il faut les éradiquer ; mais nous parlons maintenant d’un peuple dont chaque membre est à punir. Le glissement commence à être passablement dangereux. Le « vaccin » comme l’Ukraine sont présentés comme la seule solution, pas d’alternative médicale dans le premier cas, pas d’alternative diplomatique dans le second. Là où les choses sont encore plus étonnantes, c’est l’application du second principe : insulter ou disqualifier les auteurs d’un exposé des faits.
Par exemple, le droit d’inventaire a été interdit. Que Pfizer ait été condamné plus de trente fois en quinze ans pour plusieurs milliards de dollars par des juridictions américaines pour corruption, crimes, tromperies, etc. ou que l’Ukraine actuelle soit un des États les plus corrompus de la planète et dirigé par des oligarques mafieux est oublié ; alors que toutes ces informations sont sourcées, connues et incontestées, partagées par des chercheurs et des juristes dans le monde entier. Surprenante manière de congédier les faits.
Partageons l’examen de l’évolution des lois de l’État ukrainien concernant l’usage des langues sur son territoire. Elle explique tout. Rappelons-nous pour commencer que le nationalisme se caractérise par la contestation des langues locales au profit d’une seule langue commune. L’Allemand moderne en est à lui seul une preuve sous Bismarck. La nation allemande se crée en éliminant les dialectes germaniques au profit d’une seule langue. L’Ukraine contemporaine impose de même une vue nationaliste contre une société où se parle le russe, l’ukrainien, mais aussi le roumain, le hongrois et le tatar.
La loi libérale de 1989 sous Gorbatchev
RépondreSupprimerElle reprend la tradition léniniste sur les langues. En effet, en 1923, les Soviets favorisent l’ukrainisation par la promotion de la presse, l’édition, l’enseignement supérieur. Des dictionnaires sont publiés, l’orthographe est normalisée par une commission travaillant sur les variantes locales. Staline mettra un terme à cette période et ouvre le temps du génocide linguistique contre l’ukrainien. À partir des années 1980, l’ukrainisation est de nouveau d’actualité. De nombreux dictionnaires bilingues sont publiés et la critique de l’époque de Staline à Brejnev est autorisée pour revenir à la position léniniste. Les autorités favorisent le bilinguisme.
La loi du 28 octobre 1989 n°8312-11 de la République Socialiste Soviétique d’Ukraine est libérale et pragmatique. Elle prolonge la stratégie de Lénine d’un État multiethnique et d’un droit autorisant l’usage des langues locales à l’école et dans les administrations locales. L’ukrainien est la langue officielle de la république et le russe la langue officielle de l’Union, protégeant les nombreux russophones en Ukraine. Même les minorités ont leurs quartiers, leurs écoles, voire leurs théâtres : Juifs, Grecs, Polonais, Hongrois, etc. Quelques exemples suffisent.
L’article 6 précise l’obligation des fonctionnaires de connaître les langues des activités des corps et organismes. Les fonctionnaires de l'État, du Parti, des organismes publics, établissements et organisations doivent maîtriser l'ukrainien et le russe et, si nécessaire, une autre langue nationale, conformément aux exigences prévues dans l'exercice de leur fonction.
L’article 10 décrit l’usage en matière d’actes des autorités de l'État et des organismes administratifs. Il y est affirmé que les documents des plus hautes autorités de l'État et des organismes administratifs de la RSS d'Ukraine doivent être adoptés en ukrainien et publiés en ukrainien et en russe.
L’article 17 insiste bien sur le fait que l'ukrainien ou une autre langue acceptée par les parties est employé dans tous les domaines des services aux citoyens.
L’article 18 concernant les procédures judiciaires précise en 18.2 qu’une langue nationale parlée par la majorité de la population d'un district donné ou qu’une langue acceptée par la population dudit district peut être la langue de la procédure judiciaire.
En 18.3. que toute personne qui ne connaît pas la langue de la procédure a le droit de se familiariser avec les éléments du procès, de participer à la procédure avec l'aide d'interprète et de s'adresser à la cour dans sa langue maternelle.
L’article 27 permet une éducation dans les langues locales indiquant que dans les zones géographiques d'implantation substantielle des minorités nationales, des écoles publiques peuvent être créées, alors que les activités éducatives et pédagogiques peuvent être menées dans leur langue nationale ou en une autre langue et en 27.4 que dans les écoles publiques, des classes séparées peuvent être prévues, alors que les activités éducatives et pédagogiques peuvent être menées en ukrainien ou dans la langue de la population d'une autre nationalité.
À l’échelle d’un village, d’une ville ou d’un oblast, d’autres langues ont droit de cité. Dans la foulée, la Constitution de la république autonome de Crimée pose en 1992 deux langues d’État : l’ukrainien et le tatar (langue héritée de la présence ottomane). De même dans les textes de 1994, les Parlements de Donetsk, Kharjiv, Mykolaïv, Horlivka et Kharcyz’k introduisent le russe comme une autre langue officielle et deuxième langue. Cette loi sera abolie en février 2014 par la Cour constitutionnelle.
RépondreSupprimerLe maintien du libéralisme linguistique sous Ianoukovytch
La promotion de l’ukrainien est soutenue par le président Iouchtchenko (2005–2010) avec des quotas de diffusion dans la loi sur la radiodiffusion et la télévision. Le Parlement ukrainien adopte le 3 juillet 2012 une loi qui permet l’usage d’une langue régionale dans les régions où les minorités ethniques dépassent les 10 % de la population. Dans la foulée, 13 des 27 régions ukrainiennes deviennent bilingues, toutes avec le russe comme langue régionale. Le bilinguisme est admis dans les débats télévisés. Les autres minorités sont déjà oubliées. La loi de 2012 respecte la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Elle est équilibrée. Son article 2 – Objectif de la politique linguistique de l’État entérinant la cohabitation des langues : la politique linguistique de l'État en Ukraine a pour objectif de réglementer les communications publiques dans le développement global et l'emploi de l'ukrainien comme langue officielle, ainsi que les langues régionales ou minoritaires et les autres langues utilisées par la population de l'État, dans la vie économique, politique et sociale, dans les communications interpersonnelles et internationales, dans la protection des droits constitutionnels des citoyens dans ce domaine et en favorisant une attitude respectueuse de la dignité nationale des personnes, de leur langue et de leur culture, et en renforçant l'unité de la société ukrainienne.
La dérive nationaliste liberticide et violente
Mais l’ukrainisation est défendue par les nationalistes qui veulent aller plus loin et promouvoir un État ethnique et linguistique homogène au risque d’exclure toutes les autres minorités. L’argument serait que l’Ukraine en cours de création de son identité nationale a besoin de défendre sa langue nationale.
Les nationalistes vont d’abord abolir la loi de 2012 le 23 février 2014, quelques jours après le début de la révolution commencée le 18 février. Mis à l’ordre du jour par un député de l’Union Panukrainienne Vyacheslav Kyrylenko, un vote sans débat abroge la loi de 2012. La Cour constitutionnelle déclare inconstitutionnelle la vieille loi de 1989. Table rase est faîte de la tradition libérale. Les séparatistes russophones réagiront immédiatement à l’Est. Les faits leur donnent raison. La nouvelle loi du 25 avril 2019 est adoptée par un parlement nationaliste. Elle impose l’ukrainien. Elle pénalise les fonctionnaires de 400 € d’amende en cas de pratique d’une autre langue, elle envisage l’emprisonnement pour introduction ou pratique du multilinguisme.
L’article 1 affirme que la seule langue officielle en Ukraine est la langue ukrainienne. Le paragraphe 7 crée l’outrage à la langue ukrainienne. Le paragraphe 10 oblige à l’usage de l’ukrainien dans les relations interethniques, contrevenant à la Charte européenne.
RépondreSupprimerL’article 6 contraint les populations et les minorités en posant l’obligation du citoyen ukrainien de parler la langue ukrainienne.
L’article 7 précise que toute personne ayant l'intention d'acquérir la citoyenneté ukrainienne est tenue de certifier le niveau approprié de maîtrise de la langue officielle
L’intrusion dans la vie courante est manifeste dans l’article 20 qui affirme que la langue des relations de travail en Ukraine est la langue officielle. Nul n'est tenu d'employer une autre langue que l'ukrainien au travail et d'exécuter des obligations en vertu d'un contrat de travail, sauf dans le cas du service à la clientèle et autres clients étrangers ou apatrides.
La loi revient à obliger les minorités dont les russophones à abandonner leur langue, sauf dans un usage familial, en apprenant l’ukrainien. Le nationalisme fait fi de la Charte européenne et de la tradition léniniste pragmatique sur ces questions.
Un projet d’essence néo-nazi car ethnique et linguistique
En conclusion, cette loi viole sans contestation possible, les droits de l’homme et la Charte européenne. Le projet nationaliste est donc plus qu’un projet d’unité linguistique ; c’est un projet intentionnellement ethnique parce que le nationalisme ukrainien a posé le principe d’une nation, d’une ethnie et d’une langue en excluant toutes les autres populations « impures ». Le projet d’une nation ethnique est bien au centre de la loi de 2019 qui exclut les russophones et les minorités hongroises, roumaines ou tatars. Les réactions des minorités russophones, majoritaires dans plusieurs oblasts sont comparables à la réactivité des Wallons et Flamands ou des Québécois. Le mouvement de sécession des séparatistes russophones sur l’ensemble des régions de Lougansk et Donetsk trouve son origine dans cette situation. Le déclencheur : l’abolition de la loi de 2012 le 23 février 2014.
Comment l’Occident peut-il condamner des populations défendant leur droit à pratiquer leur langue maternelle, au seul motif qu’il s’agit du russe ? Si ce n’est à considérer que le russe fait exception. Il sera intéressant de voir comment nous réagirons lorsque des réfugiés demanderont de revenir chez eux dans les oblasts russophones. Validerons-nous la déportation des populations entreprises par le régime de Kiev en interdisant à ces populations de revenir chez elle et d’adopter la nationalité qui s’ensuit ?
Le lecteur aura noté que la désinformation continue. Comme pour les effets indésirables des « vaccins », les effets indésirables des politiques de sanction contre le méchant russe sont éludés. Et comme pour les privations de liberté des politiques sanitaires, il faudra accepter les privations d’autres libertés au nom d’une politique anti-russe. Et le plus grave, nous avons balayé les piliers de nos sociétés libres : la dignité de la personne humaine et le droit imprescriptible de refuser des thérapeutiques. Nous balayons aujourd’hui d’autres piliers, ceux des libertés fondamentales en matière de langues et de cultures. Le plus étonnant, l’ensemble de ces piliers furent piétinés par les nazis et nous recommençons. Nos gouvernants sont très inquiétants.
RépondreSupprimerhttps://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccinolatres-et-ukrainolatres-la-meme-technique-de-desinformation-totalitaire
Les gouvernements du monde se préparent à un événement de niveau d'extinction (ELE); Le CDC s'inverse sur chaque pilier du théâtre COVID
RépondreSupprimervendredi 12 août 2022
par : Mike Adams
(Natural News) Nous avons deux histoires explosives à vous présenter dans l'article d'aujourd'hui et le podcast Situation Update (illustré ci-dessous).
La première histoire concerne de nouvelles informations provenant de fournisseurs commerciaux, indiquant que les gouvernements du monde stockent des fournitures comme jamais auparavant, apparemment en prévision d'un événement de niveau d'extinction (ELE) qui menace d'anéantir la grande majorité des êtres humains vivant aujourd'hui.
La deuxième histoire concerne le CDC qui s'inverse soudainement sur tous les piliers clés du théâtre COVID : Masques, quarantaines, distanciation sociale, vaccins, test des patients asymptomatiques et plus encore. Soudain, le CDC a essentiellement admis que tout était du théâtre depuis le tout début et n'a jamais été soutenu par la «science» réelle en premier lieu.
Vous pouvez lire mon commentaire complet sur ces deux histoires de rupture dans le podcast Situation Update présenté ici, avec des explications éditoriales supplémentaires ci-dessous :
Les gouvernements se préparent à un événement de niveau d'extinction (ELE)
À l'heure actuelle, partout en Amérique, les agences gouvernementales achètent une longue liste d'équipements de survie et de préparation, épuisant l'approvisionnement qui reste disponible pour les civils. Les achats gouvernementaux à grande échelle comprennent actuellement :
Aliments stockables, EMR et approvisionnements alimentaires d'urgence.
Munitions et armes à feu.
Appareils de vision nocturne.
Composants du système CVC à haut rendement.
Pilules d'iodure de potassium (pour protéger la thyroïde des dommages causés par les radiations).
Graines de jardin et engrais.
Carburant diesel, huile pour moteur diesel et autres composants liés au transport.
Ces fournitures sont transportées par millions de palettes dans des grottes souterraines, des bunkers et même des villes gérées par les gouvernements du monde. Par exemple, ce n'est plus un secret que même la nation de Taïwan gère une base aérienne souterraine massive, avec ses propres hangars d'avions construits à l'intérieur de grottes, ainsi que des voies de circulation d'avions et des voies de transport, toutes souterraines. Depuis TheDrive.com :
RépondreSupprimerL'armée de l'air taïwanaise, également connue sous le nom d'armée de l'air de la République de Chine, ou ROCAF, a publié de manière inhabituelle des photos d'opérations de chargement d'armes qui ont été menées dans le complexe souterrain hautement fortifié en forme de grotte relié à la base aérienne de Chiashan. Les photos offrent un regard très rare à l'intérieur du réseau de tunnels souterrains qui abrite certains des avions de combat les plus performants du ROCAF…
Et ce sont des informations basées sur ce qui est rendu public. Ce qui existe réellement et qui est classifié est beaucoup plus étendu. Aux États-Unis, le gouvernement américain a construit d'immenses villes souterraines et des bunkers avec des tunnels les reliant à travers des milliers de kilomètres de tunnels de transport souterrains, dont certains sont bien sûr utilisés pour la traite des êtres humains.
Le point ici est que le gouvernement américain se prépare à la fin du monde tout en disant aux civils que tout va bien. On ne dira jamais aux gens de se préparer à quoi que ce soit. Les gens sont nourris aux loups et laissés pour morts pendant que le gouvernement triple ses propres plans d'urgence COG (continuité du gouvernement) et tente de provoquer la troisième guerre mondiale avec la Chine et la Russie, tout cela pendant que le régime intérieur mène une guerre de la tyrannie et de la violence contre le peuple américain via le FBI, l'IRS, le DOJ, l'ATF, l'EPA, etc.
Le CDC se renverse, admettant que toute la mascarade du « théâtre covid » était un mensonge géant
L'étonnante inversion des directives covid par le CDC, qui a passé les 2,5 dernières années à répandre des mensonges scientifiques et de la propagande dans le monde, entraînant la mort inutile de millions de personnes dans le monde, est également couverte aujourd'hui.
Soudain, le CDC dit que leurs directives précédentes ne s'appliquent plus. Ils ont abandonné leurs exigences en matière de masques, de personnes vaccinées contre non vaccinées, de distanciation sociale, de quarantaines obligatoires, de maintien des enfants exposés hors de l'école et même d'exécution de tests covid sur des personnes asymptomatiques (c'est-à-dire tester ceux qui ne sont même pas malades).
Il s'agit d'un renversement choquant et général de la plupart des mensonges que le CDC pousse depuis des années, et cela soulève la question suivante : tous les employés qui ont été licenciés pour avoir remis en question les « directives » précédentes du CDC retrouveront-ils maintenant leur emploi ? Récupéreront-ils leur salaire ?
RépondreSupprimerBig Tech renversera-t-il toute la censure et le dénigrement des personnes qui ont remis en question les mensonges du CDC ?
Y aura-t-il des excuses de la part des médias complices qui ont colporté la propagande du CDC au cours des deux dernières années ?
Et que fera-t-on pour indemniser tous les enfants et les familles de la douleur et de la souffrance des fermetures inutiles, des politiques de masques obligatoires, de l'isolement cruel des enfants, des politiques de masques sur les compagnies aériennes et de tous les autres exemples de folie médicale qui ont gouverné l'Amérique depuis le début de 2020 ? N'y a-t-il pas une sorte d'excuse nationale qui nous est due ?
Qu'en est-il de toutes les petites entreprises qui ont été détruites ? Les vies détruites ? Les mariages qui ont été effacés ? Les homicides à l'hôpital commis au nom de la conformité aux CDC ?
Il est temps d'inculper pénalement tous les principaux dirigeants du CDC, de la FDA, du NIH, du NIAID et de tous les autres impliqués dans cette arnaque mondiale massive qui a détruit des millions de vies tout en générant des dizaines de milliards de dollars de profits pour les géants pharmaceutiques corrompus.
Ce renversement du CDC admet seulement que nous avions raison depuis le début. Toute la production théâtrale de covid était un stratagème scientifique charlatan dès le premier jour, et les personnes qui ont refusé d'obéir aux «conseils» absurdes du CDC sont maintenant complètement justifiées.
Apprenez-en plus dans le podcast Mise à jour de la situation d'aujourd'hui (ci-dessus).
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Ivermectine : Pourquoi l'État administratif est-il prêt à vous tuer ?
RépondreSupprimerFin de partie du libéralisme, despotisme de la santé publique, scientisme, Big Tech
Robert W Malone MD, MS
11 août 2022
Le cinéaste hérétique Mikki Willis a compilé une vidéo de treize minutes qui documente sans détour et explicitement la parabole moderne profondément troublante de la collusion entre les élites américaines de la santé et des services sociaux, les médias d'entreprise, le complexe industriel médico-pharmaceutique et les grandes technologies pour bloquer l'utilisation de l'ivermectine. aux États-Unis et dans les pays occidentaux développés pour le traitement de la maladie COVID-19. Bien qu'actuellement sous embargo pour la distribution générale, étant donné que divers clips contenant mes propres commentaires au fil du temps sont inclus dans le montage, j'ai reçu une copie tôt ce matin avec une demande que je ne fais pas circuler mais que je révise rapidement pour l'exactitude technique.
Mikki et son équipe sont parmi les leaders des médias et les contributeurs les plus importants de la «résistance» mondiale à la tyrannie du COVID, et lorsqu'il demande quelque chose, j'essaie de faire tout ce que je peux pour m'adapter. J'ai donc pris le temps de regarder, d'examiner et d'approuver tout en emballant frénétiquement pour quitter Dublin après avoir voyagé pour participer à la conférence sur la santé "Making Sense", Irlande 2022 au cours des deux derniers jours. Comme cela s'est produit lorsque j'ai revu pour la première fois le livre de Robert F. Kennedy Juniors "The Real Anthony Fauci", j'ai été (et je suis toujours) profondément affecté par la vidéo.
J'ai vécu la propagande de l'ivermectine et le blocage actif des options de traitement précoce du COVID au cours des deux dernières années, j'ai voyagé et témoigné avec les Drs. Peter (McCullough), Paul (Marik) et Pierre (Kory) lors de tant de réunions, ont vu de première main et ont personnellement expérimenté la suppression des manuscrits, des données et des méta-analyses sur l'ivermectine qui ont été si bien documentés par Pierre et le Dr Tess Laurie . J'ai vécu les efforts (réussis) de la FDA / CDER pour bloquer la capacité de l'équipe DTRA / Département de la Défense avec laquelle j'ai travaillé en étroite collaboration pour faire avancer les tests comparatifs de famotidine versus famotidine + célécoxib versus traitement famotidine + célécoxib + ivermectine d'inclure tout traitement bras qui impliquait l'ivermectine dans les essais cliniques randomisés en hospitalisation et en ambulatoire pour lesquels nous avons demandé l'autorisation de la FDA de poursuivre. Mon long COVID chronique (exacerbé par deux doses du produit Moderna ARNm COVID) a été traité avec succès avec l'ivermectine par le Dr Meryl Nass, qui a par la suite perdu sa licence pour pratiquer la médecine pour le péché de traiter efficacement les patients ambulatoires COVID avec l'ivermectine. Je sais que l'ivermectine fonctionne pour traiter cette maladie, et si (dans une réalité alternative) elle aurait pu être déployée aux États-Unis et dans les pays occidentaux, je suis complètement convaincu que le gaspillage inutile de centaines de milliers de vies aurait pu être évité. Parents, collègues, parents (frères, sœurs, oncles, tantes, cousins), et même certains enfants, tous disparus à jamais dans des circonstances horribles et abruptes. Je sais, tant sur le plan personnel qu'intellectuel/professionnel, que le fardeau du carnage évitable et de l'invalidité persistante est profond.
Mais quelque chose à propos de voir l'histoire choquante de cette histoire sordide de meurtre par l'État administratif de centaines de milliers de citoyens américains, tous enroulés dans un montage vidéo de treize minutes, m'a frappé comme une autre "brique à la tête", avec à peu près le même vitesse et impact en lisant/éditant le livre incroyable de Bobby. Si j'ai appris quelque chose de mon réveil intellectuel depuis cet appel fatidique du Dr Michael Callahan le 04 janvier 2020, c'est le pouvoir de la vidéo et des médias alternatifs. En admettant que le stylo (sous-pile) est plus puissant que l'épée, et qu'une image (mème Internet) vaut mille mots, un montage vidéo bien monté vaut dix mille et peut fendre le crâne comme un samouraï. Si le tristement célèbre podcast Rogan / Malone de trois heures est un poignard de vérité lent qui peut pénétrer l'esprit gardé, Mikki et son équipe tirent des limaces d'uranium appauvri enveloppées dans des vestes entièrement métalliques.
RépondreSupprimerLa réception de ces limaces de plus de treize minutes via les yeux et les oreilles m'a laissé un peu abasourdi, alors que Jill et moi nous sommes précipités pour faire nos bagages et nous frayer un chemin à travers l'enchevêtrement byzantin des contrôles de sécurité requis pour les voyages internationaux. Qu'il suffise de dire que j'ai peut-être pensé que les voyages internationaux via les aéroports portugais et italiens étaient inefficaces, mais l'Irlande, en étroite coopération avec le service américain de protection des frontières, a développé l'inefficacité du contrôle des aéroports internationaux à un niveau auquel le Portugal et l'Italie ne peuvent qu'aspirer.
Quelque peu traumatisé par l'expérience, j'ai embarqué dans un état d'anxiété modérément avancé et j'ai commencé à parcourir quatre des essais les plus perspicaces concernant la crise du COVID que j'ai lus à ce jour. Composées au cours des deux dernières années et publiées en ligne sur "UnHerd", ces monographies fournissent des aperçus philosophiques, psychologiques et politiques approfondis ainsi que des accusations contre l'échec croissant du libéralisme moderne, la corruption au cœur de l'État administratif, l'impact des grands technologie, le rôle chroniquement corrosif de la politique raciale et la dévolution de la science au scientisme. Chacun mérite une lecture et une considération attentives. Lus ensemble, ils complètent et étendent les idées de "Bases psychologiques du totalitarisme" de Mattias Desmet, "COVID-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie" de Peter et Ginger Breggin, "Victims of Groupthink" d'Irving Janus et Klaus Schwab et "COVID-19 : La grande réinitialisation" de Thierry Malleret pour donner une image de plus en plus granulaire des phénomènes émergents complexes que j'appelle la crise du COVID, qui a entraîné des millions de décès évitables, des dommages aux enfants qui peuvent nécessiter des générations pour se remettre de , et l'échec en cascade en cours des gouvernements et des économies occidentales.
Beaucoup spéculent que les suzerains banquiers/investisseurs/mondialistes qui infestent le Forum économique mondial, possèdent les banques centrales de la plupart des pays (y compris la «réserve fédérale» américaine) et contrôlent fonctionnellement les principaux fonds d'investissement (Blackrock, State Street, Vanguard et leurs affiliés) poursuivent activement un programme de dépeuplement. La théorie veut que ces élites soutiennent divers idéaux, buts et objectifs eugénistes et malthusiens du XXe siècle, et croient en leur autorité, leur capacité et leur responsabilité de faire avancer des solutions mondialistes centralisées par des moyens autoritaires pour donner un commandement mondial utilitaire (le plus grand bien pour le plus grand nombre). idéal économique sous leur direction unilatérale. Une fusion Union européenne-comme WEF/Nations Unies dirigée par des banquiers technocrates et des économistes qui agissent au nom d'un très petit nombre de familles propriétaires hyper-riches. Une aristocratie héréditaire. Bénéficiaires d'une « richesse multigénérationnelle » s'étendant sur plusieurs siècles. Les phrases « tu ne posséderas rien et tu seras heureux », « les personnes âgées sont des mangeurs inutiles », « le travail en excès », « qui contrôle l'approvisionnement alimentaire contrôle les gens ; qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents entiers ; qui contrôle l'argent peut contrôler le monde », « Nous sommes au bord d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c'est de la bonne crise majeure et les nations accepteront le Nouvel Ordre Mondial » et beaucoup d'autres sont souvent cités pour expliquer ce qui semble être un ensemble bizarre de politiques de santé publique qui semblent avoir entraîné un excès de décès et d'invalidité pendant la crise du COVID . La plupart d'entre nous qui s'accrochent à l'idée que les concepts fondamentaux de moralité et d'éthique devraient guider les politiques publiques sont instinctivement repoussés par la possibilité que les élites financières et politiques puissent penser de cette façon. Mais il est de plus en plus difficile d'expliquer autrement les observations fournies par nos yeux et nos oreilles menteurs. Les « théoriciens du complot » qui avancent une explication mondialiste du culte de la mort peuvent ou non l'emporter à la fin, mais ils agrandissent certainement la fenêtre d'Overton, et les écrits et les murmures de Klaus Schwab et Bill Gates en fournissent les reçus. Tout comme la voiture effrayante / clown d'urgence de santé publique «Monkeypox / Moneypox».
RépondreSupprimerLa profonde tragédie de la parabole de l'Ivermectine n'est qu'un exemple illustrant les conséquences d'une pourriture profonde qui a envahi la "démocratie" occidentale, et les auteurs de "UnHerd" font un excellent travail en documentant les causes.
En considérant les essais énumérés ci-dessous tels qu'ils s'appliquent aux États-Unis, veuillez garder à l'esprit que les États-Unis ne sont pas du tout une démocratie, mais plutôt une république ("si vous pouvez la garder") spécialement conçue pour éviter les nombreux pièges de la "démocratie". » prévu par ceux qui ont conçu la Constitution américaine (lequel document ne fait intentionnellement aucune mention de la « démocratie »). La «démocratie» est encore un autre terme et concept qui a été déformé, transformé en arme et exploité dans l'effort de longue date pour contrôler l'information et la pensée.
Le nouveau despotisme de la santé publique
RépondreSupprimerLes règles draconiennes suppriment notre humanité
La menace des Big Tech pour la démocratie
Le gouvernement américain peut-il tolérer l'existence d'un rival sur son territoire ?
Comment la politique raciale a libéré les élites
Si la société est considérée comme intrinsèquement oppressive, la notion de bien commun disparaît
Covid était la fin de partie du libéralisme
L'individualisme libéral a une tendance innée à l'autoritarisme
L'auteur de ce groupe de bombes de vérité est Matthew B Crawford, chercheur principal à l'Institute for Advanced Studies in Culture de l'Université de Virginie. Au début de son essai sur « Le nouveau despotisme de la santé publique », Matthew nous ouvre une fenêtre sur son contexte personnel, son style d'écriture, ainsi que sa vision du monde politique et sociale.
« Je devrais dire d'où je viens. Je vis dans la Bay Area, la région bleue la plus profonde du pays. Je peux réagir à des faits sociaux différents de ceux que les lecteurs observent là où ils vivent. En ce moment, au printemps 2022, j'estimerais qu'un quart des personnes qui se promènent dans Berkeley sont masquées à l'extérieur. J'aimerais comprendre cela. Quoi qu'ils fassent, ce n'est pas « suivre la science ».
«Je vis dans la Bay Area, dans un comté où le taux de vaccination se situe au milieu des années 80. Fin juillet, je déposais ma fille cadette à un camp de jour de soccer chaque matin. C'était 10 enfants qui couraient dans un champ ouvert. Ils portaient des masques pendant six heures chaque jour, et il faisait environ 85° cette semaine-là. En disant à ma fille complètement vaccinée de mettre ce truc, je me suis senti compromis pour avoir participé à la mascarade. La vieille belligérance irlandaise écossaise a commencé à jaillir.
Les règles sont censées codifier une partie de la vérité rationnelle et la rendre efficace. Ces jours-ci, nous nous retrouvons dans des situations où faire la chose véritablement rationnelle peut nécessiter d'enfreindre les règles d'une institution. Mais le faire, c'est inviter à la confrontation. Vous pouvez traverser une lutte interne, décider du degré de résistance à opposer. Insister sur les raisons, c'est être désagréable, et vous voulez être sociable. Vous vous dites qu'il ne sert à rien d'affronter le personnel du YMCA qui ne fait qu'exécuter les ordres. Il n'y a personne de visible à qui vous pouvez adresser vos raisons, personne à qui vous pouvez demander des comptes.
Au bout d'un an et demi, l'accepter commence à devenir une habitude. Si vous défiez l'ordre du masque et êtes mis au défi par quelqu'un qui fait son travail comme indiqué, il y a de fortes chances que vous reculiez et que vous vous conformiez, ce qui est pire que si vous vous étiez conformé au départ. Même si vous soupçonnez fortement que la peur du virus a été attisée de manière disproportionnée pour servir les intérêts bureaucratiques et politiques, ou comme un artefact du modèle commercial alarmiste des médias, vous pouvez subtilement ajuster votre vision de la réalité de Covid pour la mettre davantage en évidence. correspond à votre comportement réel. Vous pouvez réduire la dissonance de cette façon. L'alternative est d'être confronté chaque jour à de nouveaux exemples de votre propre servilité.
Ce qui suit est destiné à fournir une brève introduction et un aperçu du plus récent de ces essais, car la logique et les exemples complexes entrelacés (et parfois redondants) exigent que chaque essai, comme un bon vin, ait le temps d'être consommé, examiné , et mature dans l'esprit de chaque lecteur.
RépondreSupprimerCovid était la fin de partie du libéralisme
L'individualisme libéral a une tendance innée à l'autoritarisme
Au cœur de chacun des essais de Crawford se trouve la tension classique entre les réponses alternatives à la question philosophique de la nature de l'homme et de la manière d'organiser la société, et en particulier la tension entre la vision de Hobbes du besoin de gouvernance de l'homme par le Léviathan (souvent appelé en tant qu'État administratif) contre Locke et sa vision de l'homme comme une créature rationnelle et autonome. Dans cet examen du despotisme de la santé publique, il utilise cette dialectique pour cadrer son analyse.
« Notre régime est fondé sur deux images rivales du sujet humain. Le Lockeen nous considère comme des créatures rationnelles et autonomes. Il situe la raison dans une dotation humaine commune - le bon sens, plus ou moins - et sous-tend une forme de politique fondamentalement démocratique ou majoritaire. Il n'y a pas de secrets pour gouverner. La deuxième image rivale insiste sur le fait que nous sommes irrationnellement fiers et avons besoin d'être gouvernés. Cette image hobbesienne est plus encourageante que la première ; il faut que nous nous considérions comme vulnérables, afin que l'État puisse jouer le rôle de nous sauver. Il sous-tend une forme de politique technocratique et progressiste.
L'hypothèse lockéenne a été tranquillement mise au lit au cours des 30 dernières années, et nous avons pleinement adopté l'alternative hobbesienne.
Les paragraphes d'introduction de Crawford fournissent le cadre de l'analyse :
« Tout au long de l'histoire, il y a eu des crises qui ne pouvaient être résolues qu'en suspendant l'état de droit normal et les principes constitutionnels. Un "état d'exception" est déclaré jusqu'à ce que l'urgence passe - il peut s'agir d'une invasion étrangère, d'un tremblement de terre ou d'une peste. Au cours de cette période, la fonction législative est généralement transférée d'un organe parlementaire à l'exécutif, suspendant la charte fondamentale du gouvernement, et en particulier la séparation des pouvoirs.
Le théoricien politique italien Giorgio Agamben souligne qu'en fait « l'état d'exception » est presque devenu la règle plutôt que l'exception dans les démocraties libérales occidentales au cours du siècle dernier. Le langage de la guerre est invoqué pour poursuivre la politique intérieure ordinaire. Au cours des 60 dernières années aux États-Unis, nous avons eu la guerre contre la pauvreté, la guerre contre la drogue, la guerre contre le terrorisme, la guerre contre Covid, la guerre contre la désinformation et la guerre contre l'extrémisme domestique.
Une variation sur ce thème est l'utilité des paniques morales - la guerre spirituelle - pour poursuivre des projets descendants de transformation sociale, généralement par décret administratif. Le principe d'égalité devant la loi, qui paraîtrait indispensable à une société libérale, doit faire place à un système de privilèges pour les classes protégées, correspondant à une typologie morale des citoyens selon l'axe de la victime et de l'oppresseur. Les drames victimaires constituent une urgence morale permanente, justifiant une pénétration toujours plus profonde de la société par l'autorité bureaucratique dans les secteurs public et privé.
RépondreSupprimerUne fois que ce modèle de gouvernement par l'urgence se met en place, on expérimente un changement de Gestalt. L'image de soi de l'Occident libéral – basée sur l'état de droit et le gouvernement représentatif – a besoin d'être révisée. La réponse de notre société au Covid a porté cet anachronisme à la conscience de masse.
La pandémie a mis en évidence les contradictions plus profondes du libéralisme. D'une part, il a accéléré ce qui avait été auparavant une lente désertion des principes libéraux de gouvernement. D'autre part, la culture Covid a fait remonter à la surface le noyau habituellement souterrain du projet libéral, qui n'est pas seulement politique mais anthropologique : refaire l'homme. Ce projet ne peut se concrétiser, semble-t-il, qu'avec une forme de gouvernement hautement illibérale, assez paradoxalement. Si nous pouvons comprendre cela, cela pourrait expliquer pourquoi notre adhésion à la politique illibérale a rencontré si peu de résistance. Il semble que le projet anthropologique soit un engagement plus puissant pour nous que l'allégeance aux formes et aux procédures du gouvernement libéral.
Sans y faire spécifiquement référence, Crawford semble anticiper le chœur croissant des élites dirigeantes, du WEF et des militaires qui soutiennent la logique d'une quatrième révolution industrielle basée sur l'idée qu'il est nécessaire et capable de concevoir des hybrides homme-machine pour avancer et accélérer. évolution humaine – la logique du transhumanisme. Une logique pour laquelle ces groupes affirment que le consensus du XXe siècle sur la bioéthique est un anachronisme. Il poursuit et plonge dans les tendances sous-jacentes qui nous ont conduits à la situation médicale actuelle.
« Les années 90 ont vu la montée de nouveaux courants dans les sciences sociales qui mettent l'accent sur l'incompétence cognitive des êtres humains, déposant le modèle de comportement humain de « l'acteur rationnel ». Cela nous a donné la théorie du nudge, un moyen de modifier le comportement des gens sans avoir à les persuader de quoi que ce soit. Il serait difficile d'exagérer le degré d'institutionnalisation de cette approche, des deux côtés de l'Atlantique. L'innovation réalisée ici réside dans la façon dont le gouvernement conçoit ses sujets : non pas comme des citoyens dont le consentement réfléchi doit être obtenu, mais comme des particules à guider à travers une science de la gestion du comportement qui s'appuie sur nos biais cognitifs pré-réflexifs.
Il s'agit d'un front dans un développement plus large : une méfiance croissante à l'égard du jugement humain lorsqu'il opère dans la nature, sans surveillance. Parfois, cela prend la forme purement bureaucratique d'insister sur des paramètres de performance et d'imposer des procédures uniformes aux professionnels. La « médecine factuelle » circonscrit le pouvoir discrétionnaire des médecins ; les tests et les programmes standardisés font de même pour les enseignants. À d'autres moments, cette même impulsion prend une forme technologique, les algorithmes se substituant au jugement individuel au motif que la rationalité humaine est le maillon faible du système. Par exemple, il est stipulé que les êtres humains sont de terribles conducteurs et doivent être remplacés dans un nouveau régime de véhicules autonomes. L'effet, systématiquement, est de retirer l'agence des praticiens qualifiés pour des raisons d'incompétence, et de déléguer le pouvoir vers le haut vers une couche distincte de gestionnaires de l'information qui devient de plus en plus épaisse. Elle déresponsabilise également les êtres humains identifiables qui peuvent être tenus responsables de leurs décisions. Une telle mystification isole diverses formes de pouvoir, à la fois gouvernemental et commercial, des pressions populaires.
RépondreSupprimerInutile de dire que cela cadre mal avec l'idée des Lumières selon laquelle l'autorité gouvernementale est fondée sur notre rationalité partagée, accessible en principe à chaque citoyen et capable d'articulation. Le progressisme technocratique exige en effet la disqualification de l'expérience et du bon sens comme guides de la réalité et installe à leur place une forme d'autorité sacerdotale, plus proche de la caricature de la société médiévale des Lumières que de sa propre image.
Il faut aussi un certain type humain qui, à juste titre, ressemble à une caricature de la personnalité médiévale : une personne crédule et craintive. Cela nous amène au programme anthropologique hobbesien.
Comment comprendre les réponses radicalement différentes de notre société à la grippe espagnole d'il y a un siècle et au Covid aujourd'hui ? Il existe une relation inverse entre la sévérité de ces pandémies et la sévérité des mesures de contrôle. En clair, le Covid a puisé une partie de son énergie de secours dans la crise politique ambiante datant de 2016, qui a mis l'establishment sur un pied de guerre. Mais cela s'inscrivait également bien dans la politique plus générale de l'urgence qui est le noyau non reconnu du progressisme technocratique et qui est plus avancée aujourd'hui qu'elle ne l'était en 1918. »
« En 2020, un public craintif a accepté une extension extraordinaire de la compétence des experts sur tous les domaines de la vie, et un transfert correspondant de souveraineté des organes représentatifs vers des agences non élues situées dans la branche exécutive du gouvernement. Notoirement, les sondages ont indiqué que la perception des risques de Covid dépassait la réalité d’un à deux ordres de grandeur, mais avec une démarcation nette : la distorsion au centuple concernait les démocrates libéraux auto-identifiés, c’est-à-dire ceux dont les pancartes nous exhortaient à « croire en la science ».
Dans un régime technocratique, celui qui contrôle ce que dit la science contrôle l'État. What Science Says est alors sujet à contestation politique, et sujet à captation par celui qui le finance. Ce qui s'avère être l'État lui-même. Voici un cornet de glace auto-léchant épistémique qui se hérisse des interférences extérieures. De nombreuses ambiguïtés factuelles et hypothèses rivales sur la pandémie, typiques du processus scientifique, ont été résolues non par un débat rationnel mais par l'intimidation, avec une utilisation intensive du terme «désinformation» et l'application concomitante par les sociétés de médias sociaux agissant en tant que franchisés de l'État. En cela, il semble y avoir eu un biais constant envers les interprétations scientifiques qui ont induit la peur, même au prix de l'omission du contexte pertinent.
Si tout cela vous semble antilibéral, il le devrait. Pourtant, dans un autre sens, le rôle central de la peur en politique a un pedigree libéral impeccable dans la pensée de Thomas Hobbes. Cela nous amène au projet anthropologique plus profond du libéralisme.
RépondreSupprimerPremièrement, en quel sens Hobbes est-il un libéral ? Il n'est certainement pas partisan d'un gouvernement limité, et le régime qu'il imagine est fondamentalement monarchique. Elle est libérale en ce sens qu'elle est fondée sur le consentement. Mais il s'avère que ce consentement dépend d'un programme de rééducation qui va assez loin et n'est jamais terminé.
Considérer la science comme autorité
« La pandémie a mis en relief une dissonance entre notre image idéalisée de la science, d'une part, et le travail que la « science » est appelée à faire dans notre société, d'autre part. Je pense que la dissonance peut être attribuée à ce décalage entre la science en tant qu'activité de l'esprit solitaire et sa réalité institutionnelle. La grande science est fondamentalement sociale dans sa pratique, et cela s'accompagne de certaines implications.
En pratique, la « science politisée » est la seule qui existe (ou plutôt la seule dont vous entendrez probablement parler). Mais c'est précisément l'image apolitique de la science, comme arbitre désintéressé de la réalité, qui en fait un instrument si puissant de la politique. Cette contradiction est maintenant au grand jour. Les tendances « anti-science » du populisme sont dans une large mesure une réponse au fossé qui s'est creusé entre la pratique de la science et l'idéal qui fonde son autorité. En tant que moyen de générer des connaissances, c'est la fierté de la science d'être falsifiable (contrairement à la religion).
Pourtant, quelle sorte d'autorité serait-ce qui insiste sur le fait que sa propre compréhension de la réalité n'est que provisoire ? Vraisemblablement, tout l'intérêt de l'autorité est d'expliquer la réalité et d'apporter une certitude dans un monde incertain, au nom de la coordination sociale, même au prix de la simplification. Pour remplir le rôle qui lui est assigné, la science doit devenir quelque chose qui ressemble plus à la religion.
Le chœur des plaintes au sujet d'une « foi en la science » en déclin pose le problème presque trop franchement. Les plus réprouvés d'entre nous sont les climato-sceptiques, à moins que ce ne soient les négationnistes du Covid, qui sont accusés de ne pas obéir à la science. Si tout cela a un son médiéval, cela devrait nous faire réfléchir.
Nous vivons dans un régime mixte, un hybride instable de formes démocratiques et technocratiques d'autorité. La science et l'opinion populaire doivent être amenées à parler d'une seule voix dans la mesure du possible, sinon il y a conflit. Selon l'histoire officielle, nous essayons d'harmoniser les connaissances scientifiques et l'opinion par l'éducation. Mais en réalité, la science est difficile, et il y en a beaucoup. Nous devons le prendre principalement sur la foi. Cela vaut pour la plupart des journalistes et des professeurs, ainsi que pour les plombiers. Le travail de réconciliation de la science et de l'opinion publique s'effectue, non par l'éducation, mais par une sorte de démagogie distribuée, ou scientisme. Nous apprenons que ce n'est pas une solution stable à l'éternel problème d'autorité que toute société doit résoudre.
RépondreSupprimerL'expression « suivre la science » sonne faux. C'est parce que la science ne mène nulle part. Elle peut éclairer différentes pistes d'action, en quantifiant les risques et en précisant les arbitrages. Mais il ne peut pas faire les choix nécessaires pour nous. En prétendant le contraire, les décideurs peuvent éviter d'assumer la responsabilité des choix qu'ils font en notre nom.
De plus en plus, la science est mise au service de l'autorité. Il est invoqué pour légitimer le transfert de souveraineté des organes démocratiques aux organes technocratiques, et comme moyen d'isoler de tels mouvements du domaine de la compétition politique.
Au cours de l'année écoulée, un public craintif a accepté une extension extraordinaire de la compétence des experts dans tous les domaines de la vie. Un modèle de « gouvernement d'urgence » est devenu prédominant, dans lequel la résistance à de telles incursions est qualifiée d'« anti-science ».
Mais la question de la légitimité politique qui pèse sur le pouvoir des experts ne risque pas de disparaître. Au contraire, elle sera plus férocement combattue dans les années à venir alors que les dirigeants des organes directeurs invoquent une urgence climatique qui exigerait une transformation globale de la société.
« Dans La révolte du public, l'ancien analyste du renseignement Martin Gurri retrace les racines d'une « politique de négation » qui a englouti les sociétés occidentales, liée à un effondrement total de l'autorité dans tous les domaines – politique, journalisme, finance, religion, science. Il blâme Internet. L'autorité s'est toujours située dans des structures hiérarchisées d'expertise, encadrées par l'accréditation et un long apprentissage, dont les membres développent une « dégoût réflexive de l'amateur intrus ».
Pour que l'autorité soit réellement autoritaire, elle doit revendiquer un monopole épistémique quelconque, qu'il s'agisse du savoir sacerdotal ou scientifique. Au XXe siècle, en particulier après les succès spectaculaires du projet Manhattan et de l'alunissage d'Apollo, s'est développée une spirale dans laquelle le public en est venu à s'attendre à des miracles d'expertise technique (les voitures volantes et les colonies lunaires étaient considérées comme imminentes). Réciproquement, l'alimentation des attentes d'utilité sociale se normalise dans les processus de recherche de subventions et de compétition institutionnelle désormais indissociables de la pratique scientifique.
Le système était viable, bien que difficilement, tant que les échecs inévitables pouvaient être tenus à l'écart. Cela nécessitait un contrôle rigoureux, de sorte que l'évaluation des performances institutionnelles était une affaire intra-élite (la commission du ruban bleu ; examen par les pairs), permettant le développement de « pactes informels de protection mutuelle », comme le dit Gurri. Internet et les médias sociaux qui diffusent avec délectation les cas d'échec ont rendu ce contrôle impossible. C'est le cœur de l'argument très parcimonieux et éclairant par lequel Gurri explique la révolte du public.
RépondreSupprimer« Désormais, la science est principalement organisée autour de « monopoles du savoir » qui excluent les opinions dissidentes. Ils le font non pas comme une question d'échecs fragmentaires d'ouverture d'esprit par des individus jaloux de leur territoire, mais de manière systémique.
Le processus très important de l'examen par les pairs dépend du désintéressement, ainsi que de la compétence. « Depuis le milieu du XXe siècle environ, cependant, les coûts de la recherche et le besoin d'équipes de spécialistes coopérants ont rendu de plus en plus difficile de trouver des examinateurs qui soient à la fois directement informés et également désintéressés ; les personnes vraiment informées sont effectivement soit des collègues, soit des concurrents.
Bauer écrit que « les pairs examinateurs compagnons ont tendance à étouffer plutôt qu'à encourager la créativité et l'innovation authentique. Le financement centralisé et la prise de décision centralisée rendent la science plus bureaucratique et moins une activité de chercheurs de vérité indépendants et motivés. Dans les universités, "la mesure de la réussite scientifique devient la quantité de 'soutien à la recherche' apporté, et non la production de connaissances utiles". (Les administrations universitaires prélèvent une norme de 50 % sur toute subvention pour couvrir les « coûts indirects » du soutien à la recherche.)
Compte tenu des ressources nécessaires pour mener une grande science, elle doit servir un maître institutionnel, qu'il soit commercial ou gouvernemental. Au cours des 12 derniers mois, nous avons vu l'industrie pharmaceutique et sa capacité sous-jacente de réalisation scientifique à son meilleur. Le développement de vaccins à ARNm représente une percée d'une réelle conséquence. Cela s'est produit dans des laboratoires commerciaux qui ont été temporairement soulagés de la nécessité d'impressionner les marchés financiers ou d'alimenter la demande des consommateurs par d'importantes injections de soutien gouvernemental. Cela devrait donner un coup d'arrêt au réflexe politique de diabolisation des entreprises pharmaceutiques qui prévaut tant à gauche qu'à droite.
Mais on ne peut présumer que « la ligne de fond » exerce une fonction de discipline sur la recherche scientifique qui l'aligne automatiquement sur le motif de vérité. Il est notoire que les sociétés pharmaceutiques ont, à grande échelle, payé des médecins pour louer, recommander et prescrire leurs produits, et recruté des chercheurs pour apposer leur nom sur des articles rédigés par des fantômes par les entreprises, qui sont ensuite publiés dans des revues scientifiques et professionnelles. Pire encore, les essais cliniques dont les résultats sont utilisés par les agences fédérales pour décider d'approuver ou non des médicaments comme sûrs et efficaces sont généralement menés ou commandés par les sociétés pharmaceutiques elles-mêmes.
RépondreSupprimerL'ampleur de la grande science - à la fois la forme corporative de l'activité et son besoin de ressources importantes générées autrement que par la science elle-même - place donc carrément la science dans le monde des préoccupations extra-scientifiques. Y compris les préoccupations reprises par les lobbies politiques. Si la préoccupation est très médiatisée, toute dissidence par rapport au consensus officiel peut être dangereuse pour la carrière d'un enquêteur.
Les sondages d'opinion publique indiquent généralement que ce que « tout le monde sait » sur une question scientifique, et son incidence sur les intérêts publics, sera identique à la vision bien institutionnalisée. Cela n'est pas surprenant, étant donné le rôle que jouent les médias dans la création d'un consensus. Les journalistes, rarement compétents pour évaluer de manière critique les déclarations scientifiques, coopèrent pour propager les déclarations des « cartels de la recherche » auto-protecteurs en tant que science.
Le concept de Bauer d'un cartel de recherche est devenu connu du public dans un épisode qui s'est produit cinq ans après la parution de son article. En 2009, quelqu'un a piraté les e-mails de l'unité de recherche sur le climat de l'Université d'East Anglia en Grande-Bretagne et les a publiés, déclenchant le scandale du « climategate » dans lequel les scientifiques qui siégeaient au sommet de la bureaucratie climatique se sont révélés faire obstacle aux demandes de données. des étrangers. C'était à une époque où de nombreux domaines, en réponse à leurs propres crises de réplication, adoptaient le partage de données comme norme dans leurs communautés de recherche, ainsi que d'autres pratiques telles que le signalement des résultats nuls et le pré-enregistrement des hypothèses dans les forums partagés.
Le cartel de la recherche sur le climat a fondé son autorité sur le processus d'examen par les pairs des revues jugées légitimes, que les challengers ingérants n'avaient pas subi. Mais, comme le note Gurri dans son traitement du climategate, « étant donné que le groupe contrôlait en grande partie l'examen par les pairs de son domaine, et qu'un sujet dévorant des e-mails était de savoir comment empêcher les voix dissidentes d'entrer dans les revues et les médias, la revendication reposait sur une circulaire. logique".
On peut être pleinement convaincu de la réalité et des conséquences désastreuses du changement climatique tout en se permettant une certaine curiosité quant aux pressions politiques qui pèsent sur la science, j'espère. Essayez d'imaginer le cadre plus large lorsque la CIPV se réunit. Des organisations puissantes sont dotées de personnel, avec des résolutions préparées, des stratégies de communication en place, des «partenaires mondiaux» d'entreprise sécurisés, des groupes de travail interinstitutions en attente et des canaux diplomatiques ouverts, attendant de recevoir la bonne parole d'un groupe constitué de scientifiques travaillant en comité.
RépondreSupprimerCe n'est pas un cadre propice aux réserves, aux réserves ou aux doutes. La fonction du corps est de produire un produit : la légitimité politique.
"Il semble y avoir un modèle, non limité à la science-politique du climat, dans lequel l'énergie de masse galvanisée par des célébrités (qui parlent toujours avec certitude) renforce la main des militants pour organiser des campagnes dans lesquelles toute institution de recherche qui ne parvient pas à discipliner un dissident l'enquêteur servirait de canal de "désinformation". L'institution est placée sous une sorte de séquestre moral, qui est levé lorsque les responsables de l'institution dénoncent l'enquêteur fautif et prennent leurs distances avec ses conclusions. Ils cherchent alors à réparer les dégâts en affirmant les fins des militants dans des termes qui dépassent les affirmations des institutions rivales.
Comme cela itère à travers différents domaines de la pensée de l'establishment, en particulier ceux qui touchent aux tabous idéologiques, il suit une logique d'escalade qui restreint les types d'enquête acceptables pour la recherche soutenue par les institutions et les déplace dans la direction dictée par les lobbies politiques.
Inutile de dire que tout cela se passe loin du champ de l'argumentation scientifique, mais le drame est présenté comme celui de la restauration de l'intégrité scientifique. À l'ère d'Internet où les flux d'informations sont relativement ouverts, un cartel d'expertise ne peut être maintenu que s'il fait partie d'un ensemble plus large d'opinions et d'intérêts organisés qui, ensemble, sont capables de mener une sorte de racket de protection morale et épistémique. Réciproquement, les lobbies politiques dépendent d'organismes scientifiques prêts à jouer leur rôle.
Cela pourrait être considéré comme faisant partie d'un changement plus large au sein des institutions d'une culture de persuasion à une culture dans laquelle des décrets moraux coercitifs émanent d'en haut, difficiles à localiser avec précision, mais véhiculés dans le style éthique des RH. Affaiblies par la diffusion incontrôlée de l'information et la fracture de l'autorité qui en découle, les institutions qui ratifient des images particulières de ce qui se passe dans le monde ne doivent pas simplement affirmer un monopole du savoir, mais imposer un moratoire sur le fait de poser des questions et de remarquer des modèles.
RépondreSupprimerLes cartels de la recherche mobilisent les énergies dénonciatrices des militants politiques pour faire de l'ingérence et, réciproquement, les priorités des ONG et fondations militantes dosent les flux de financement et de soutien politique aux organismes de recherche, dans un cercle d'entraide.
L'une des caractéristiques les plus frappantes du présent, pour quiconque s'intéresse à la politique, est que nous sommes de plus en plus gouvernés par le dispositif de paniques qui donnent toutes les apparences d'être conçues pour susciter l'acquiescement d'un public devenu sceptique à l'égard d'institutions fondées sur des revendications de compétence. Et cela se produit dans de nombreux domaines. Les défis politiques des étrangers présentés à travers des faits et des arguments, offrant une image de ce qui se passe dans le monde qui est rival de celui qui prévaut, ne reçoivent pas de réponse en nature, mais se heurtent plutôt à une dénonciation. De cette manière, les menaces épistémiques à l'autorité institutionnelle se résolvent en conflits moraux entre les bonnes et les mauvaises personnes.
La montée en puissance du contenu moral des déclarations qui sont ostensiblement expertes et techniques doit être expliquée. J'ai suggéré qu'il existe deux sources rivales de légitimité politique, la science et l'opinion populaire, qui sont imparfaitement réconciliées par une sorte de démagogie distribuée, que nous pouvons appeler le scientisme. Cette démagogie est distribuée dans le sens où des centres de pouvoir imbriqués s'appuient sur elle pour se soutenir mutuellement.
Mais alors que cet arrangement a commencé à chanceler, l'opinion populaire se détachant de l'autorité experte et s'affirmant de nouveau contre elle, une troisième jambe a été ajoutée à la structure dans un effort pour la stabiliser : la splendeur morale de la Victime. Se tenir aux côtés de la victime, comme toutes les grandes institutions semblent désormais le faire, c'est arrêter la critique. Tel est l'espoir, en tout cas.
Au cours de l'inoubliable été 2020, l'énergie morale de l'antiracisme a été mise au service de l'autorité scientifique de la santé publique, et vice versa. Ainsi, la «suprématie blanche» était une urgence de santé publique – une urgence suffisamment urgente pour dicter la suspension des mandats de distanciation sociale au nom des manifestations. Alors, comment la description de l'Amérique en tant que suprémaciste blanc s'est-elle convertie en une affirmation à consonance scientifique ?
Michael Lind a fait valoir que Covid a mis à nu une guerre de classe, non pas entre le travail et le capital, mais entre deux groupes qui pourraient tous deux être appelés «élites»: d'un côté, les propriétaires de petites entreprises qui s'opposent aux verrouillages et, de l'autre, les professionnels qui ont apprécié une plus grande sécurité d'emploi, ont pu travailler à domicile et ont généralement adopté une position maximaliste sur la politique d'hygiène. On peut ajouter que, étant dans « l'économie du savoir », les professionnels montrent naturellement plus de déférence envers les experts, puisque la monnaie de base de l'économie du savoir est le prestige épistémique.
RépondreSupprimer«Le succès spectaculaire de la« santé publique »pour générer un acquiescement effrayant de la population pendant la pandémie a créé une précipitation pour prendre tout projet technocratique-progressiste qui aurait de faibles chances s'il était poursuivi démocratiquement et le présenter comme une réponse à une menace existentielle. Au cours de la première semaine de l'administration Biden, le chef de la majorité au Sénat a exhorté le président à déclarer une "urgence climatique" et à assumer des pouvoirs qui l'autoriseraient à contourner le Congrès et à gouverner par décret exécutif. De manière inquiétante, nous nous préparons à des « verrouillages climatiques ». »
A propos de "La Sagesse de l'Orient"
«Les nations occidentales ont depuis longtemps des plans d'urgence pour faire face aux pandémies, dans lesquels les mesures de quarantaine étaient délimitées par des principes libéraux – respectant l'autonomie individuelle et évitant autant que possible la coercition. Ainsi, ce sont les personnes déjà infectées et particulièrement vulnérables qui devraient être isolées, au lieu d'enfermer les personnes en bonne santé chez elles. La Chine, en revanche, est un régime autoritaire qui résout les problèmes collectifs par un contrôle rigoureux de sa population et une surveillance omniprésente. En conséquence, lorsque la pandémie de COVID a commencé pour de bon, la Chine a verrouillé toutes les activités à Wuhan et dans les autres zones touchées. En Occident, on supposait simplement qu'une telle ligne de conduite n'était pas une option disponible.
Comme l'a dit l'épidémiologiste britannique Neil Ferguson au Times en décembre dernier : « C'est un État communiste à parti unique, avons-nous dit. Nous ne pouvions pas nous en sortir avec [lockdowns] en Europe, nous pensions… et puis l'Italie l'a fait. Et nous avons réalisé que nous le pouvions. Il a ajouté que "ces jours-ci, le verrouillage semble inévitable".
Ainsi, ce qui semblait impossible en raison des principes fondamentaux de la société occidentale semble désormais non seulement possible mais inévitable. Et cette inversion complète s'est produite en quelques mois.
L'acceptation d'un tel marché semble dépendre entièrement de la gravité de la menace. Il existe sûrement un certain degré d'aléa au-delà duquel les principes libéraux deviennent un luxe inabordable. Le Covid est en effet une maladie très grave, avec un taux de mortalité par infection environ dix fois supérieur à celui de la grippe : environ un pour cent de tous ceux qui sont infectés meurent. Cependant, contrairement à la grippe, ce taux de mortalité est tellement faussé par l'âge et d'autres facteurs de risque, variant de plus de mille fois du très jeune au très vieux, que le chiffre global de 1% peut être trompeur.
« L'opinion publique compte beaucoup plus en Occident qu'en Chine. Ce n'est que si les gens ont suffisamment peur qu'ils renonceront aux libertés fondamentales pour des raisons de sécurité - c'est la formule de base du Léviathan de Hobbes. Attiser la peur est depuis longtemps un élément essentiel du modèle économique des médias de masse, et cela semble être sur une trajectoire d'intégration avec les fonctions de l'État en Occident, dans une symbiose de plus en plus étroite. Alors que le gouvernement chinois recourt à la coercition externe, en Occident la coercition doit venir de l'intérieur ; d'un état mental chez l'individu. L'État est théoriquement entre les mains de personnes élues pour servir de représentants du peuple, il ne peut donc pas être un objet de peur. Quelque chose d'autre doit être la source de la peur, donc l'État peut jouer le rôle de nous sauver. Mais jouer ce rôle exige que le pouvoir de l'État soit dirigé par des experts.
RépondreSupprimerAu début de 2020, l'opinion publique a accepté la nécessité d'une suspension à court terme des libertés fondamentales en supposant qu'une fois l'urgence passée, nous pourrions redevenir non-Chine. Mais c'est supposer une robustesse de la culture politique libérale qui n'est peut-être pas justifiée. Lord Sumption, juriste et membre à la retraite de la Cour suprême du Royaume-Uni, plaide pour considérer les verrouillages dans l'Ouest comme le franchissement d'une ligne qui ne risque pas de se décroiser. Dans une interview avec Freddie Sayers à UnHerd, il souligne que, selon la loi, le gouvernement dispose de larges pouvoirs pour agir en cas d'urgence. « Il y a beaucoup de choses que les gouvernements peuvent faire, ce qu'il est généralement admis qu'ils ne devraient pas faire. Et l'une d'entre elles, jusqu'en mars dernier, consistait à enfermer les personnes en bonne santé chez elles.
Il fait l'observation burkéenne que notre statut de société libre repose, non sur des lois, mais sur des conventions, un «instinct collectif» sur ce que nous devons faire, enraciné dans des habitudes de pensée et de sentiment qui se développent lentement au fil des décennies et des siècles. Ceux-ci sont fragiles. Il est beaucoup plus facile de détruire une convention que d'en établir une. Cela suggère que redevenir non-Chine peut être assez difficile.
Comme le dit Lord Sumption, « Lorsque vous dépendez pour vos libertés fondamentales de la convention plutôt que de la loi, une fois la convention rompue, le charme est rompu. Une fois que vous arrivez à une position où il est impensable d'enfermer des gens, à l'échelle nationale, sauf quand quelqu'un pense que c'est une bonne idée, alors franchement, il n'y a plus du tout de barrière. Nous avons franchi ce seuil. Et les gouvernements n'oublient pas ces choses. Je pense que c'est un modèle qui finira par être accepté, si nous ne sommes pas très prudents, comme une façon de traiter toutes sortes de problèmes collectifs. Aux États-Unis comme au Royaume-Uni, le gouvernement dispose d'immenses pouvoirs. "La seule chose qui nous protège de l'utilisation despotique de ce pouvoir est une convention que nous avons décidé de rejeter."
De toute évidence, une admiration pour la gouvernance à la chinoise s'est épanouie dans ce que nous appelons l'opinion centriste, en grande partie en réponse aux bouleversements populistes de l'ère Trump et du Brexit. Il est également clair que la « science » (par opposition à la science réelle) joue un rôle important à cet égard. Comme d'autres formes de démagogie, le scientisme présente des faits stylisés et une image organisée de la réalité. Ce faisant, cela peut générer des craintes suffisamment fortes pour rendre les principes démocratiques inutiles.
RépondreSupprimer« Nous acceptons toutes sortes de risques au cours de la vie, sans y penser. En choisir un et en faire un objet de concentration intense, c'est adopter une perspective déformée qui a des coûts réels, payés quelque part au-delà du bord de sa vision tunnel. Pour nous en sortir – pour replacer les risques dans leur contexte –, il faut affirmer la vie, se recentrer sur toutes ces activités valables qui élèvent l'existence au-delà du simple végétatif.
En conclusion…
"Peut-être que la pandémie n'a fait qu'accélérer et justifier officiellement notre long glissement vers l'atomisation. Par la nudité de nos visages, nous nous rencontrons en tant qu'individus et, ce faisant, nous vivons des moments éphémères de grâce et de confiance. Cacher nos visages derrière des masques, c'est retirer cette invitation. Cela doit être politiquement significatif.
C'est peut-être à travers ces moments microscopiques que nous prenons conscience de nous-mêmes en tant que peuple, lié à un destin commun. C'est ça la solidarité. La solidarité, à son tour, est le meilleur rempart contre le despotisme, comme l'a noté Hannah Arendt dans Aux origines du totalitarisme. Le retrait d'une telle rencontre porte désormais le sceau du civisme, c'est-à-dire d'une bonne hygiène. Mais de quelle sorte de régime devons-nous être citoyens ?
« Suivre la science » pour minimiser certains risques tout en ignorant les autres nous absout d'exercer notre propre jugement, ancré dans un certain sens de ce qui rend la vie utile. Cela nous soulage également du défi existentiel de nous jeter dans un monde incertain avec espoir et confiance. Une société incapable d'affirmer la vie et d'accepter la mort sera peuplée de morts-vivants, adeptes d'un culte de la demi-vie qui réclament toujours plus de conseils d'experts.
Il a été dit qu'un peuple a le gouvernement qu'il mérite.
https://rwmalonemd.substack.com/p/ivermectin-why-is-the-administrative
L'éolien et le solaire fiables ne sont pas bon marché
RépondreSupprimerPar David Wojick
11 août 2022
Vous entendez souvent dire que l'énergie éolienne et solaire est moins chère que la combustion du charbon ou du gaz naturel, nous allons donc économiser de l'argent en changeant. Mais comme le dit la chanson, ce n'est pas nécessairement le cas. En fait, il n'en est presque jamais ainsi. Que l'éolien et le solaire soient moins chers est au mieux une demi-vérité, plutôt une huitième vérité.
Voici la réalité dont vous n'avez jamais entendu parler.
Que l'éolien et le solaire soient moins chers est vrai dans un sens, mais c'est dans une moindre mesure. C'est aussi une voie technique, avec le grand nom de « coût actualisé de l'électricité » ou LCOE. Maintenant, "nivelé" n'est pas un mot que vous entendez tous les jours, c'est le moins qu'on puisse dire. Cela pourrait vous avertir que quelque chose se passe.
En fait, LCOE, comme on l'appelle toujours, est une idée simple. Elle est généralement calculée (ou estimée) pour un seul générateur d'énergie électrique. Il peut s'agir d'une centrale électrique au charbon ou au gaz, d'un parc éolien ou d'un panneau solaire. Vous prenez d'abord le coût total sur toute la durée de vie du générateur. Cela comprend la construction, l'exploitation et la mise hors service ou l'élimination. Vous divisez ensuite ce coût par tout le jus qu'il génère au cours de cette durée de vie. La réponse est le LCOE pour ce générateur.
Le LCOE est donc le coût de fabrication du jus. Ce qui signifie nivelé, c'est que les hauts et les bas au fil du temps n'en font pas partie. Ils sont tous écrasés en un seul numéro.
Pour les générateurs à grande échelle, le coût est généralement en dollars et le jus en mégawattheures ou MWh. Une maison moyenne consomme environ un MWh par mois. L'Amérique dans son ensemble consomme environ 4 milliards de MWh par an. C'est beaucoup de jus.
Les coûts des générateurs individuels peuvent varier d'un cas à l'autre, ce qui fait du LCOE une estimation grossière. Vous trouverez ci-dessous une version récente d'une évaluation internationale, utilisant les chiffres les plus bas.
Notez qu'il existe deux types différents de génératrices à gaz. Ce qu'on appelle un cycle simple n'est en fait qu'un moteur à réaction faisant tourner un générateur. Ceux-ci sont généralement assez petits. Ensuite, il y a la centrale électrique "à cycle combiné" où l'échappement du jet chaud produit de la vapeur qui entraîne un autre générateur. La majeure partie de notre production au gaz est à cycle combiné. Le cycle simple est utilisé lorsqu'une augmentation de puissance est nécessaire pendant une courte période.
De même, il existe deux types d'éoliennes, selon l'endroit où elles se trouvent. Les tours éoliennes offshore sont dans l'océan, ce qui les rend chères. L'éolien terrestre est le complexe éolien multi-tours bien connu sur la terre ferme. Alors que l'Europe a beaucoup d'éolien offshore, l'Amérique n'en a presque pas à ce stade. Plusieurs gros projets sont en préparation. Nous ne parlons ici que de l'éolien terrestre, qui est relativement bon marché.
RépondreSupprimerLCOE moyen estimé pour différents types de centrales électriques en $/MWh.
Charbon = 60 $
Gaz à cycle simple = 152 $
Gaz à cycle combiné = 41 $
Solaire = 36 $
Éolien terrestre = 29 $
Vous pouvez voir que le solaire et l'éolien (onshore) sont tous deux moins chers que le gaz et le charbon. C'est ce que l'on veut dire quand les gens disent que l'éolien et le solaire sont moins chers. Leur LCOE est plus faible.
Cependant, lorsqu'ils sont utilisés dans le réseau pour alimenter l'Amérique, l'éolien et le solaire sont loin d'être moins chers. C'est le fait que les partisans de l'éolien et du solaire aiment ignorer, ou dans de nombreux cas ne le savent même pas.
En plus du LCOE, il y a le coût élevé de la fiabilité de l'éolien et du solaire.
Le fait fondamental est que le charbon et le gaz sont fiables, contrairement à l'éolien et au solaire. Cela signifie qu'avec le charbon et le gaz, nous pouvons produire de l'électricité quand nous en avons besoin. On peut s'y fier. Le vent et le soleil ne se génèrent que lorsque le vent souffle fort et que le soleil brille. Comme nous ne pouvons pas compter sur l'éolien et le solaire, nous devons avoir des générateurs de gaz ou de charbon prêts à fonctionner lorsque l'éolien ou le solaire ne le font pas.
Avoir des centrales électriques au gaz ou au charbon en attente représente un coût important qui n'est pas inclus dans le LCOE. Ces générateurs pourraient fournir de l'énergie au lieu de l'éolien et du solaire, qui les paieraient, mais ils ne le sont pas. Ils sont assis là en attendant de courir, ce qui coûte encore beaucoup d'argent. Le gros coût de ces centrales inutilisées fait partie du coût de l'éolien et du solaire. C'est le prix de la fiabilité.
Ces centrales au gaz et au charbon inutilisées ne fonctionnent pas uniquement pour faire de la place à l'énergie provenant des générateurs éoliens et solaires. Le coût de cette oisiveté délibérée a un nom dans l'industrie. C'est ce qu'on appelle le « coût de capacité », car la quantité d'électricité qu'une centrale peut produire s'appelle sa capacité. Puisque vous payez pour la quantité de production nécessaire pour sauvegarder l'éolien et le solaire, c'est le coût de capacité de la sauvegarde.
Le coût de la capacité est la raison pour laquelle l'ajout de la production éolienne ou solaire (qui doit être utilisée) fait grimper le prix de l'électricité. C'est pourquoi les États (et les pays) les plus éoliens et solaires ont tendance à avoir une électricité très chère. Plus vous avez d'énergie éolienne et solaire dans le mix de production, plus le coût de capacité est élevé. Notez que l'utilisation de batteries n'est pas une option réaliste, car le coût des batteries de secours est bien supérieur au coût de la capacité.
RépondreSupprimerEn bref, l'éolien et le solaire ne sont moins chers que si vous ignorez le coût de leur fiabilité. Il y en a beaucoup qui circulent. Ne soyez pas dupe.
Reprinted with added stuff from RANGE magazine, Fall 2022 issue. For more information see http://www.rangemagazine.com or call 1-800-RANGE-4-U. The cowboy spirit in all of us!
https://www.cfact.org/2022/08/11/reliable-wind-and-solar-are-not-cheap/
A quoi il faut ajouter l'hydraulique. La force générée par des barrages sur les fleuves, elle, elle est gratuite et fonctionne 24/24 h !
Supprimervoir:
A propos d'énergie gratuite
mardi 28 octobre 2014
https://huemaurice5.blogspot.com/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
(...) C'est pourquoi les États (et les pays) les plus éoliens et solaires ont tendance à avoir une électricité très chère. Plus vous avez d'énergie éolienne et solaire dans le mix de production, plus le coût de capacité est élevé. (...)
Ne pas oublier aussi que les énergies de substitution (centrales à charbon, gaz ou pétrole) ne se mettent pas en marche d'un clic comme un interrupteur électrique !
C'est-à-dire qu'elles doivent tourner au ralenti 24/24 h !
Hahahaha !
Pensez que quand on met une 'marmite' (réacteur) sur le feu, et que cette marmite mesure.... 30 m de diamètre et 30 m de haut... HOULALA ! Pensez au temps qu'il faut et à l'énergie déployée en-dessous avant que l'eau soit tiède, puis chaude, puis bouille !
C'est pourquoi en cas de chute des vents et interruption solaire... l'Allemagne court vite-vite à acheter de l'énergie nucléaire française disponible 24/24 h !
Jetons maintenant un œil sur les capacités calorifiques des combustibles:
😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg
Feu de bois.......................16 Mj/kg
Gaz naturel......................39 MJ/kg
Pétrole brut......................45-46 MJ/kg
Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg
Jouons au jeu des corrélations
RépondreSupprimerPar Joe Bastardi
10 août 2022
Les émissions de dioxyde de soufre ont nettement diminué depuis 1970, ce qui a grandement amélioré la qualité de l'air.
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Cela signifie que nous jetons moins de déchets en l'air. Oui S02 est une poubelle. Cela conduit à plus de smog pour un et assombrit un peu le soleil, les humains n'exhalent pas 100 fois plus de SO2 qu'ils n'en absorbent, et les plantes ne l'utilisent pas non plus pour devenir plus fortes et remettre de l'oxygène dans l'air, donc si c'était de la pêche, So2 est un poisson poubelle. C'est une mauvaise herbe dans le jardin de l'air pur.
Nous avons vu la gauche s'en prendre à l'augmentation du gaz carbonique et des températures. Passons en revue. Le gaz carbonique augmente dans l'atmosphère. Les températures ont augmenté, mais pas autant que les modèles ont dit qu'elles étaient
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Le fait que le modèle qui a frappé ce réchauffement là-bas n'incorporait pas le forçage du gaz carbonique n'est qu'un détail mineur à gauche. D'ailleurs si je comprends bien, c'était un modèle russe donc on ne veut plus de collusion. (Sarc)
de plus, quel était ce qu'était un optimum climatique dans les archives géologiques
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est maintenant une urgence climatique ?
Puisque nous savons qu'il existe une corrélation directe entre la vapeur d'eau et les températures, c'est pourquoi les météorologues utilisent des ratios de mélange de saturation, des ratios de mélange de saturation et leur quantification globale précise est essentielle à toute étude du climat. Voici le tableau pour que vous puissiez voir comment de petites quantités font une si grande différence là où les plus froids et les plus secs
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Nous savons que la vapeur d'eau y est pour beaucoup. Encore une fois, le gaz carbonique augmente. Les températures ont augmenté, plus là où il fait froid et sec. Examinons, par exemple, les anomalies de température mondiale de 1948 à 1978. Il faisait beaucoup plus froid dans l'Arctique et l'Antarctique à cette époque, ce qui signifie que la part du lion du réchauffement se situe dans les zones les plus froides. Donc, s'il faisait le plus froid là-bas, cela signifie qu'il devait s'être réchauffé par rapport aux moyennes de 1991-2020 que nous utilisons ici.
Veuillez noter que le réchauffement là où vivent la plupart des gens est à peine assez fort pour que l'humain moyen puisse le détecter au cours de cette période. La manière dont AOC prétend que les migrants d'Amérique centrale peuvent le faire devrait être étudiée, car cela signifierait qu'ils ont une prédisposition génétique à pouvoir mesurer la température. Dans le monde des AOC, cela peut effectivement être possible.
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RépondreSupprimermais attendez, il y a plus
Regardons les HIVERS arctiques et les étés antarctiques
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Le réchauffement est plus important. et qu'avons-nous ici ? refroidissement pendant les étés antarctiques, maintenant comment le gaz carbonique fait-il cela ? S'il y a une légère augmentation, la vapeur d'eau apparaîtrait dans les zones les plus froides et les plus sèches, mais aurait beaucoup moins d'effet là où il fait plus chaud. Passons maintenant aux hivers antarctiques
On voit qu'ils se sont réchauffés. (encore une fois parce qu'il faisait tellement plus froid à l'époque, cela signifie qu'il fait plus chaud maintenant)
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et le réchauffement est bien moindre dans l'Arctique. En fait, si nous examinons les données réelles depuis 1958
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les étés avec la ligne rouge ne se réchauffent certainement pas, tout le réchauffement a lieu quand il fait le plus froid. Par exemple, regardez cette année, elle a été principalement inférieure aux moyennes des 4 derniers mois
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N'avez-vous jamais entendu parler de la disparition de la calotte glaciaire ? Non. Pour une bonne raison, depuis l'hystérie Gore/Kerry, et al. La glace du Nord a augmenté, à tel point qu'elle est maintenant au-dessus de la moyenne sur 10 ans et bien au-dessus des niveaux d'hystérie
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Mais revenons au gaz poubelle, so2. (La Chine, l'Inde et la Russie sont en tête du monde en termes de rejets de so2). En attendant le guerrier climatique ultime John Kerry, pour arrêter d'intimider son propre peuple et tenir tête aux vrais pollueurs) La raison pour laquelle j'ai montré tout cela est au moins pour vous donner une chance de contempler le fait que la corrélation n'est pas la même chose que la causalité, Les niveaux de gaz carbonique ne peuvent pas provoquer un tel réchauffement des régions arctiques en hiver, mais pas en été. Nous n'avons pas de corrélations gaz carbonique/température en météorologie. Nous avons une belle théorie qui a une validité discutable en ce qui concerne l'attribution, mais si les choses changeaient si vite, comment se fait-il que les lois que nous utilisons en météorologie ne soient pas mises à jour ? Parce que les pilotes de base ne le sont pas. Malgré les cris et les cris à propos du piégeage de la chaleur du gaz carbonique et de la modification de la densité de la couverture de GES, cela doit toujours être négligeable. Le soi-disant «rayonnement arrière» doit être enfermé par les plus gros conducteurs et la question est de savoir où l'enfermement se produit, car il y a de fortes chances que, d'après ce que nous voyons, il atteigne sa limite, à savoir l'augmentation que nous avons constatée au cours des 100 dernières années. (et surtout dans les zones les plus froides et les plus sèches pendant leurs saisons les plus froides et les plus sèches) QUI EST LIÉ À LA VAPEUR D'EAU. Son réchauffement déformé et le manque de quantification des rapports de mélange de saturation globale font de la température une métrique climatique trois fois plus éloignée (les bulbes humides sont meilleurs et les rapports de mélange de saturation susmentionnés sont les meilleurs)
Mais supposons que je veuille jouer au même jeu que l'équipe CAGW avec SO2. Vous avez vu comment nous l'avons nettoyé, n'est-ce pas ? Cela signifie qu'il y a un soleil plus brillant. Cela signifie que la terre peut absorber plus de lumière solaire. Où cela affecterait-il le plus ? Les étés occidentaux, n'est-ce pas ? Après tout, il y a encore des polluants, des vrais, crachés dans l'air (faites un tour sur l'autoroute à péage de Jersey parfois). Ou regardez la Chine
RépondreSupprimerQu'est-il arrivé aux températures estivales en Chine depuis 1948-1978
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le bleu était là où il faisait plus frais. Mais au cœur du pays, il faisait plus chaud. L'augmentation du SO2 peut aider à le refroidir puisqu'ils le rejettent dans l'air avec l'Inde. La partie orientale de la Chine est plus fraîche ici, mais les températures SST du Pacifique étaient plus fraîches à l'époque et l'explosion économique de la Chine dans ces régions pourrait jouer un rôle. Donc, rappelez-vous qu'il fait plus frais par rapport aux moyennes des 30 dernières années, ce qui signifie qu'il fait plus chaud maintenant.
Regardons les temps américains en dernier. 30 ans. vs 1951-2000 signifie
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regarde les max quotidiens
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Le chauffage à l'ouest où l'air est plus sec est évident qu'il pleut plus à l'est et cela limite les températures maximales estivales
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mais à l'ouest un air plus clair dû à moins de so2 pourrait contribuer au réchauffement,
Regardons les creux nocturnes
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ben c'est pas spécial ? Réchauffement partout. Mais dans l'ouest, la zone la plus sèche, le réchauffement est à peu près le même matin midi et soir. Allons-nous blâmer cela sur la réduction du SO2 ? Plus à l'est, que se passe-t-il lorsque les températures élevées n'augmentent pas et que les températures basses augmentent ? Eh bien, la moyenne augmente, mais la fourchette diminue. Cela signifie également qu'une fois au-dessus de la couche limite, le réchauffement n'est pas assez fort pour compenser l'augmentation de WV et il pleut donc plus. Le doigt est pointé vers WV, mais la pluie signifie qu'il y a une résistance. Le fait est que le sud-ouest reçoit toujours autant de pluie que vous pouvez en voir dans la moyenne sur 30 ans. mais la population et l'utilisation des terres ont monté en flèche. Avec une baisse du So2, les journées peuvent devenir plus chaudes grâce à la lumière directe du soleil et bien que les nuits puissent se refroidir autant qu'elles l'ont fait, elles partent d'un point plus élevé provoqué par un air plus pur et un soleil plus brillant . Mais pour une grande partie du pays, le soi-disant réchauffement incontrôlé n'est pas cela du tout, car les journées ne deviennent pas plus chaudes. Ou en d'autres termes, pas que quelqu'un sur une période de 30 ans puisse dire à moins qu'il ne soit acclimaté à l'hystérie médiatique et au fait que nous ayons la climatisation
La sensation réelle est telle ou telle, soulignant à quel point vous êtes misérable et à quel point vous êtes victime d'un réchauffement incontrôlable. Même s'il n'y a rien de tel.
Mais devrais-je jouer le jeu de la gauche et commencer à crier que le SO2 réduit provoque le réchauffement de l'ouest et que nous devons l'arrêter ? Je peux corréler le prix des timbres aux températures. (J'ai volé ça au Dr Willie Soon)
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Fermez la poste, ils causent le réchauffement.
Cela signifie que lorsque vous regardez sous la surface ce que vous voyez et entendez d'un média de désinformation météorologique, les paroles immortelles d'Homer Simpson vous viennent à l'esprit :
https://www.cfact.org/2022/08/10/lets-play-the-correlation-game/
(...) les humains n'exhalent pas 100 fois plus de SO2 qu'ils n'en absorbent, (...)
SupprimerCela me fait penser à la bourre continuelle du rejet de gaz carbonique par les êtres humains et les animaux. A savoir (une bonne fois pour toutes) que l'air aspiré ne contient PAS QUE de l'oxygène !
Nous respirons toutes & tous TOUS LES GAZ QUI NOUS ENTOURENT ! (ÔH PUTAING !) C'est-à-dire de l'azote, de l'hélium, du gaz carbonique, du méthane (etc) et aussi de l'oxygène. Ce sont nos poumons qui trient, qui filtrent tout çà. Et donc: nous rejetons du gaz carbonique inspiré quelques secondes avant !
A savoir aussi que le gaz carbonique n'a AUCUN pouvoir calorifique ni de pouvoir d''effets de serre' !
🏡 L'air pèse: 1,2 gr/litre
Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
Gaz carbonique: 1,8 gr/l.
CO², Gaz carbonique, Dioxyde de carbone, Anhydride carbonique.
Le gaz carbonique se situe au niveau du sol ('effet de serre' ? HAHAHAHA !).
Des robots remplacent les stockeurs d'étagères dans une chaîne de magasins de proximité japonaise
RépondreSupprimervendredi 12 août 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Les robots sont sur le point de remplacer les travailleurs humains en tant que stockeurs d'étagères dans une chaîne de dépanneurs japonaise.
La société de dépanneurs FamilyMart a collaboré avec Telexistence, basée à Tokyo, pour déployer ces robots appelés TX Selective Compliance Assembly Robot Arm (TX SCARA) dans 300 emplacements à travers le pays. Les bras robotisés conçus pour réapprovisionner les boissons dans les réfrigérateurs sont désormais en production de masse, selon la firme technologique.
"TX SCARA a été créé pour effectuer la tâche spécifique de réapprovisionner les étagères réfrigérées avec des bouteilles et des canettes - un travail répétitif et fastidieux généralement effectué par des employés dans des environnements souvent inconfortables", a déclaré Telexistence dans un communiqué du 10 août.
« TX SCARA fonctionne 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, réapprovisionnant les étagères pour supprimer complètement la tâche du personnel du magasin. L'introduction de robots et de son système d'IA créera un surplus de temps sans ajouter d'employés, et le temps pourra être réaffecté au service client et à l'amélioration de l'atelier, ce qui conduira à un environnement de travail et à des opérations en magasin de meilleure qualité.
Les robots peuvent fonctionner sans assistance humaine 98% du temps, avec une option de pilotage à distance disponible en cas de défaillance de l'intelligence artificielle ou de rencontre d'éléments déplacés. Chaque unité TX SCARA peut remplacer une à trois heures de travail quotidien par l'homme dans chaque magasin où elle est déployée. Telexistence a déclaré que le déploiement des robots avait un double objectif : aider à soulager les employés des magasins et combler un vide laissé par la diminution de la main-d'œuvre japonaise.
"Le déclin de la population active au Japon est l'un des principaux problèmes de gestion pour FamilyMart afin de maintenir la stabilité des opérations des magasins", a déclaré le directeur général de l'entreprise, Tomohiro Kano. Il a ajouté que le temps nouvellement créé à la suite de l'adoption de TX SCARA "peut être réaffecté au service client et à l'amélioration de l'atelier".
FamilyMart, qui compte 16 000 dépanneurs dans son pays d'origine, paiera à Telexistence des frais mensuels pour la main-d'œuvre et la maintenance du stockeur de robots. Les frais comprendront également le soutien des travailleurs à distance qui pourront piloter l'unité TX SCARA à l'aide d'un casque de réalité virtuelle en cas de besoin.
RépondreSupprimerLes robots remplacent également les cuisiniers humains dans les chaînes de restauration rapide
La tendance des robots à remplacer les travailleurs humains ne se limite pas au Japon. En fait, les restaurants aux États-Unis ont suivi la pratique. Les licenciements provoqués par la pandémie et l'incapacité à pourvoir ces postes vacants ont incité plusieurs entreprises à se tourner plutôt vers les robots. (Connexe : les restaurants se tournent vers les ROBOTS pour combler les ouvertures en cas de pénurie de main-d'œuvre.)
La chaîne de restauration rapide White Castle faisait partie des entreprises qui ont pris le train en marche, avec son cuisinier robotique nommé Flippy. Le bras robotisé – qui gère la station de friture dans la succursale n ° 42 du joint à Merrillville, Indiana – travaillait 23 heures par jour, avec une heure réservée au nettoyage et à la maintenance. Les tâches principales de Flippy consistent à manipuler des frites, des bâtonnets de fromage, des rondelles d'oignon et d'autres accompagnements.
Selon Jamie Richardson, vice-président des relations avec les entreprises de White Castle, Flippy n'était pas seulement un gadget pour attirer plus de convives. Ses tâches dédiées ont donné à ses collègues humains plus de temps pour se concentrer sur les clients.
"Si vous savez que la friteuse est couverte, cela vous libère d'avoir la bonne personne pour prendre les commandes dans la salle à manger ou au service au volant", a-t-il déclaré.
La chaîne de restauration rapide mexicaine Del Taco a emboîté le pas avec une machine qui remplit les commandes de boissons des clients. Selon le vice-président de Del Taco pour l'innovation des opérations, Kevin Pope, la machine cherche à préparer automatiquement la boisson choisie par le client, ce qui réduit de quelques secondes le temps nécessaire pour exécuter chaque commande.
La machine prend une tasse, la remplit de glace et verse ensuite la boisson appropriée. Il recouvre ensuite le gobelet d'un couvercle et délivre la boisson finie au bout d'un tapis roulant. Les membres d'équipage humains n'auraient qu'à saisir la boisson au lieu de la préparer eux-mêmes.
Robots.news a plus d'histoires sur les robots remplaçant les travailleurs humains.
Regardez cette vidéo sur un restaurant au Japon tenu par des robots.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Vigilent Citizen sur Brighteon.com.
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Des chercheurs japonais développent un prototype de robot humanoïde destiné à remplacer à terme les travailleurs humains.
GÉRÉ PAR LE SILICIUM : les aéroports se tournent vers les ROBOTS pour appliquer les protocoles COVID à mesure que les voyages en avion se normalisent.
Des robots automatisent désormais la récolte des concombres en Allemagne.
Votre barista est remplacé par un robot, déjà utilisé au Japon.
Les sources comprennent :
Finance.Yahoo.com
TX-Inc.com
WSJ.com
Brillant
https://www.naturalnews.com/2022-08-12-robots-replacing-shelf-stockers-japanese-convenience-store.html
Ce n'est pas nouveau mais ça demande réflexion.
SupprimerDepuis l'invention de la roue (qui a permis de remplacer 2 brancardiers qui portaient 100 kg par un seul derrière une brouette), l'être humain a utilisé son intelligence. Passant de l'esclave humain à l'animal puis au moteur, nous voici dans la robotique.
Quoi de plus bénéfique que de faire faire le 'sale' boulot par un autre ?
Donc: on tire profit de la machine à laver, cafetière électrique, etc
Oui mais... si tout est robotisé on ne travaille plus ! YOUPIE !
Mais: ON DOIT EN TIRER PROFIT.
C'est là qu'est la question.
Siiiii on nous demande de payer pour les produits achetés en magasins... faut avoir des sous.
Et si le commerçant n'a plus de clients...
D'où la réflexion sur le mode de marché.
Ralph Nader déclare que le pilote automatique de Tesla "un dysfonctionnement toutes les huit minutes", demande à la NHTSA de "supprimer" et de "rappeler" la fonction
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 13 AOÛT 2022 - 18:00
Oh, l'ironie du défenseur de l'énergie "verte" et ancien espoir présidentiel Ralph Nader intervenant dans le débat Tesla Full Self-Driving et se moquant absolument de la "technologie" d'Elon Musk...
Mais c'est exactement ce qui s'est passé. Nader, qui a publiquement critiqué Tesla dans le passé, a publié cette semaine une déclaration accablante, remettant en question la sécurité de la fonctionnalité phare de Tesla sur ses véhicules.
La déclaration de Nader s'ajoute à un chœur de critiques sur le pilote automatique de Tesla au moment même où la NHTSA mène une enquête sur la fonctionnalité.
Mercredi de cette semaine, Nader a publié une déclaration qui disait : "Le déploiement majeur par Tesla de la technologie dite de conduite autonome complète (FSD) est l'une des actions les plus dangereuses et irresponsables d'un constructeur automobile depuis des décennies."
"Tesla n'aurait jamais dû mettre cette technologie dans ses véhicules. Aujourd'hui, plus de 100 000 propriétaires de Tesla utilisent actuellement une technologie dont les recherches montrent des dysfonctionnements toutes les huit minutes", a-t-il poursuivi.
À partir de là, Nader a appelé à davantage de mesures réglementaires concernant Tesla : "J'appelle les régulateurs fédéraux à agir immédiatement pour empêcher le nombre croissant de décès et de blessures dus aux accidents d'homicide involontaire coupable de Tesla avec cette technologie. La National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA) a le pouvoir de agir rapidement pour prévenir de telles catastrophes. La NHTSA enquête sur Tesla et sa technologie d'auto-conduite complète depuis plusieurs années. La NHTSA doit utiliser son autorité de rappel de sécurité pour ordonner que la technologie FSD soit supprimée dans chaque Tesla.
Il a conclu: "Cette nation ne devrait pas autoriser ce logiciel défectueux qui, selon Tesla lui-même, pourrait faire la" mauvaise chose au pire moment "dans les mêmes rues où les enfants vont à l'école. Ensemble, nous devons envoyer un message urgent aux blessés. Les régulateurs que les Américains ne doivent pas être des mannequins de test pour une société puissante et très en vue et son PDG célèbre. Personne n'est au-dessus des lois sur l'homicide involontaire."
RépondreSupprimerEntre cette publication et la récente vente d'Elon Musk de près de 7 milliards de dollars malgré une lutte pour l'achat de Twitter qui se déroule au Delaware Chancery Court, il semble que la seconde moitié de 2022 pourrait s'avérer tumultueuse pour le PDG de Tesla.
Rappelez-vous, le contributeur de Zero Hedge, Quoth the Raven, a demandé il y a quelques jours si nous avions finalement atteint ou non le "Peak Tesla". Ralph Nader semble bien l'espérer...
https://www.zerohedge.com/markets/ralph-nader-says-teslas-autopilot-malfunctions-every-eight-minutes-calls-nhtsa-remove-and
Le danger est que ces véhicules sont... silencieux ! On ne les entend pas venir.
SupprimerPuis y a 'le pilote automatique' ! (HAHAHA !)
Aaaaaalors là ! le nombre de 'conducteurs' endormis au volant et... BOUM ! la voiture prend feu ! Impossible de défaire la ceinture de sécurité (électrique) ni d'ouvrir les portières ! (électriques) et le pilote meurt carbonisé.