Effondrement du maïs : seulement 57 % de la récolte de maïs aux États-Unis est en bon ou en excellent état
mercredi 17 août 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Moins de 60 % de la récolte de maïs américaine est en bon ou excellent état, selon le dernier rapport Crop Progress du Département de l'agriculture des États-Unis (USDA).
Au 15 août, seulement 12 % de la récolte de maïs américaine était en excellent état ; 45 % en bon état ; 27 pour cent dans la juste condition; 10 % en mauvais état ; et 6 % en très mauvais état.
Dans le rapport Crop Progress de l'USDA publié le 17 juillet, 13 % de la récolte a été jugée excellente, 48 % bonne, 25 % passable, 8 % mauvaise et 3 % très mauvaise.
Le 19 juin, seulement 13 % de la récolte étaient jugés excellents, mais 57 % de la récolte étaient jugés en bon état. 24 % de la récolte était dans un état passable. 5 % de la récolte de maïs ont été jugés médiocres et seulement 1 % de la récolte a été en très mauvais état.
"Nous savons que la récolte de maïs est en retard sur la maturité moyenne après les retards de semis", a déclaré Brian Grete, rédacteur en chef de Pro Farmer, un site Web d'actualités agricoles appartenant au magazine Farm Journal. Le journal est sur le point de faire une tournée des cultures pour recueillir des rapports de scouts sur plus de 2 000 champs de maïs dans sept États du Midwest.
"Il est discutable de savoir à quel point les évaluations de l'état des cultures correspondent au rendement final, mais la récolte de cette année était juste un peu inférieure à la moyenne lorsque la pollinisation a commencé", a déclaré Grete. "Une clé pour cela est de trouver suffisamment de boisseaux [de maïs] dans les bonnes zones pour compenser les zones les plus pauvres."
Selon le service national des statistiques agricoles de l'USDA, la production nationale de maïs aux États-Unis devrait chuter de 5 % par rapport à l'année dernière. Le rendement moyen du maïs est prévu à 175,4 boisseaux par acre, en baisse de 1,6 boisseaux par acre par rapport aux prévisions de l'an dernier au cours de la même période. Le nombre d'acres plantés en maïs est de 89,8 millions, en baisse de 4 % par rapport à 2021.
L'état des cultures se détériore dans tout le pays
L'examen des données de l'USDA montre que les conditions des cultures se détériorent dans tout le pays. (Connexe : récolte du Nebraska, les rendements de maïs chutent alors que la chaleur extrême affecte la ceinture de maïs américaine.)
Dans l'Iowa, seulement 66 % du maïs de l'État était en bon ou en excellent état, selon le dernier rapport de l'USDA, contre 73 % de la récolte dans des conditions similaires la semaine précédente.
Le climatologue de l'État Justin Glisan a noté que les précipitations hebdomadaires pour la semaine se terminant le 13 août "allaient de l'absence d'accumulation dans plusieurs stations de l'ouest et du sud de l'Iowa à 3,67 pouces [de précipitations] à Anamosa" dans le comté de Jones, dans l'est de l'Iowa.
Au Kansas, Kellan Heavican de Brownfield Ag News a noté qu'avec peu de pluie, les conditions des cultures dans l'État continuent également de se détériorer.
"L'USDA dit que 29 % du maïs est classé bon à excellent avec 25 % cabossé", a écrit Heavican. "De nombreuses cultures au Kansas ont dépassé le stade de la récupération après une chaleur et une sécheresse extrêmes."
Le Kansas et le Texas ont les pires conditions de récolte de maïs dans le dernier rapport de l'USDA. Dans le premier cas, 24 pour cent de la récolte de maïs ont été jugés mauvais et 20 pour cent ont été jugés très mauvais. Au Texas, 26 % du maïs a été jugé médiocre et 20 % ont été jugés très médiocres. De plus, seulement 19 % de la récolte de maïs au Texas était en bon ou en excellent état.
Les États avec les pires conditions de récolte de maïs connaissent une chaleur extrême. Au 9 août, le U.S. Drought Monitor a signalé qu'environ 66% du pays connaissait une sécheresse ou une sécheresse anormale. Dans les régions du nord et de l'est de la ceinture de maïs, les conditions de sécheresse se sont légèrement améliorées depuis le dernier rapport du Drought Monitor, alors qu'elles se sont aggravées dans les États de l'ouest et du sud.
En savoir plus sur l'état des cultures américaines dans Crops.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, explique comment les mauvaises récoltes dans le monde sont maintenant à des niveaux de crise.
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Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
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Les prix de la sauce à spaghetti vont augmenter en raison de la réduction des rendements de tomates dans le contexte de la crise de l'eau en Californie
mercredi 17 août 2022 par : Belle Carter
(Natural News) Les producteurs de tomates de Californie sont maintenant aux prises avec une pénurie d'eau provoquée par la pire sécheresse en 1 200 ans. Ce dilemme qui affecte la production de tomates de transformation, la variété qui est mise en conserve et utilisée dans les cuisines commerciales pour fabriquer certains des aliments les plus populaires, pourrait éventuellement entraîner la flambée imminente des prix des sauces à base de tomates sur le marché.
"Nous avons désespérément besoin de pluie", a déclaré Mike Montna, chef de la California Tomato Growers Association, dans une interview. "Nous arrivons à un point où nous n'avons plus d'inventaire pour continuer à répondre à la demande du marché."
Cette région des États-Unis est responsable d'un quart de la production mondiale de tomates. Cependant, avec les prévisions de « changement climatique » appelant à des conditions plus chaudes et plus sèches, les perspectives pour les agriculteurs sont incertaines.
« Il est vraiment difficile de faire pousser une culture de tomates en ce moment. D'un côté, vous avez la sécheresse qui a un impact sur les coûts parce que vous n'avez pas assez d'eau pour cultiver tous vos acres, et puis vous avez le côté inflation agricole avec des coûts de carburant et d'engrais qui augmentent », a ajouté Montna.
Selon Rick Blankenship, vice-président des opérations agricoles de Woolf Farming, un producteur et transformateur basé dans le comté de Fresno, les restrictions californiennes limitant l'utilisation des eaux souterraines et la flambée des coûts de main-d'œuvre, de carburant et d'engrais ont causé des maux de tête aux producteurs.
"Il en coûte environ 4 800 dollars l'acre pour cultiver et récolter une culture de tomates ces jours-ci, contre 2 800 dollars il y a dix ans", a déclaré Blankenship dans une interview. « La plupart des augmentations ont eu lieu au cours des deux dernières années. La prime de cette saison coûte plus cher et offre moins.
Il a souligné que les rendements sont très faibles cette année, associés à la sécheresse et aux températures élevées, ce qui en soi crée un problème où les tomates sont si chaudes qu'elles ne taillent tout simplement pas correctement.
"On pourrait penser que c'était un coup de circuit pour les producteurs, mais en réalité, les coûts des intrants ont tellement augmenté que le profit potentiel a été entièrement englouti", a déclaré Blankenship.
La récolte californienne a été inférieure au récent pic de production de 14,4 millions de tonnes en 2015 au cours des six dernières années, et 2022 s'annonce pour poursuivre la tendance, selon les données du Département de l'agriculture des États-Unis (USDA). L'industrie s'attend à ce que la récolte de cette année tombe en dessous de l'estimation de 11,7 millions de tonnes de l'USDA.
"Malgré une faible offre et une augmentation substantielle des prix, la production sous contrat a considérablement chuté par rapport au début de 2022", indique le rapport de mai de l'USDA.
Une étude prédit une baisse des rendements de tomates en raison de l'augmentation de la température de l'air Une étude publiée dans Nature a prédit une baisse de 6 % des rendements de tomates dans les principales régions productrices telles que l'Italie et la Californie d'ici 2050.
L'étude indique qu'une augmentation de la température de l'air dans les grandes régions productrices de tomates entraînera une diminution du rendement. De plus, les restrictions d'eau et la sécheresse sont des facteurs qui empêcheront probablement l'Italie et la Californie de maintenir leur production actuelle de tomates de transformation. (Connexe: Une horrible sécheresse provoque des mauvaises récoltes généralisées aux États-Unis et en Europe.)
Dirigée par des chercheurs de l'Université d'Aarhus au Danemark, l'étude comprend un modèle mathématique qui, lorsqu'il est étendu sur une plus longue période, prédirait que le rendement des tomates de transformation pourrait être réduit de moitié entre 2050 et 2100.
R. Greg Pruett, directeur des ventes et de l'énergie pour Ingomar Packing Co., l'un des plus grands transformateurs de tomates au monde, a déclaré qu'il n'y avait tout simplement pas assez d'acres de tomates de transformation plantées cette année pour garantir que tout le monde obtienne son approvisionnement complet. Il a ajouté que l'eau est soit trop chère, soit simplement indisponible à tout prix.
"Si vous recherchez une quantité importante de pâte de tomate et que vous ne l'avez pas déjà contractée, vous ne l'obtiendrez pas, quel que soit le prix", a déclaré Pruett lors d'un entretien téléphonique.
Selon Bloomberg, étant donné que les produits à base de tomates sont difficiles à remplacer, la demande n'est pas particulièrement sensible aux variations de prix. Le prix de la sauce tomate au cours des quatre semaines se terminant le 10 juillet a augmenté de 17 % par rapport à il y a un an, tandis que le ketchup a augmenté de 23 %, selon le cabinet d'études de marché IRI.
Les analystes disent que cela pourrait faire partie du récit du «changement climatique» des alarmistes ciblant l'approvisionnement alimentaire pour un effondrement mondial total.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle de ce qui se passe réellement avec la sécheresse, le gouvernement californien corrompu et les mondialistes qu'ils servent.
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Cette vidéo provient de la chaîne TruthSeeker sur Brighteon.com.
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La pénurie de tomates émerge dans la Californie frappée par la sécheresse alors que les prix du ketchup montent en flèche
PAR TYLER DURDEN JEUDI 18 AOÛT 2022 - 01:20
Il y a quelques jours, nous avons dit que le prochain problème d'insécurité alimentaire qui pourrait avoir un impact sur les habitudes alimentaires des Américains pourrait être une pénurie émergente de pommes de terre. Maintenant, il semble y avoir un autre problème : les tomates sont pressées et les risques d'une pénurie de ketchup augmentent alors qu'une grave sécheresse frappe les terres agricoles de la Californie.
La Californie représente un quart de la production mondiale de tomates. La pire sécheresse en 1 200 ans a contraint les agriculteurs à abandonner les champs alors que les cultures se transforment en poussière au milieu d'une crise de l'eau.
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"Nous avons désespérément besoin de pluie … et arrivons à un point où nous n'avons plus de stock pour continuer à répondre à la demande du marché", a déclaré Mike Montna, directeur de la California Tomato Growers Association, à Bloomberg.
"Il est vraiment difficile de cultiver une culture de tomates en ce moment", a poursuivi Montna, ajoutant, "d'un côté, vous avez la sécheresse qui a un impact sur les coûts parce que vous n'avez pas assez d'eau pour cultiver tous vos acres, et puis vous avez le côté inflation agricole avec des coûts de carburant et d'engrais qui montent en flèche."
Le manque d'eau et la flambée des coûts de l'agriculture semblent être une «tempête parfaite» en préparation qui pourrait entraîner une pénurie de toutes sortes de produits à base de tomates, y compris le ketchup, la salsa et la sauce à spaghetti.
Rick Blankenship, président du conseil d'administration du California Tomato Research Institute, a averti que les rendements des cultures sont "loin cette année … et couplés à la sécheresse, nous avons eu des températures élevées et cela en soi crée un problème où les tomates sont si chaudes que elles ne sont tout simplement pas de la bonne taille. Vous avez donc beaucoup de tomates sur un plant, mais elles sont plus petites. »
Bloomberg a déclaré que la valeur d'une tonne de tomates a atteint un niveau record cette année de 105 dollars en raison de la hausse des prix des intrants, tels que le diesel et les engrais, aggravée par la sécheresse.
"On pourrait penser que c'était un coup de circuit pour les producteurs, mais en réalité, les coûts des intrants ont tellement augmenté que le profit potentiel a été entièrement englouti", a déclaré Blankenship.
R. Greg Pruett, directeur des ventes et de l'énergie pour Ingomar Packing Co., l'un des plus grands transformateurs de tomates au monde, a déclaré que tous les clients n'obtiendront pas leurs produits transformés. L'entreprise vend à certaines des plus grandes marques alimentaires. Il a déclaré que les stocks plongeaient à des niveaux extrêmement bas.
"Si vous recherchez une quantité importante de pâte de tomate et que vous ne l'avez pas déjà contractée, vous ne l'obtiendrez pas, quel que soit le prix", a déclaré Pruett, ajoutant: "Ce n'est tout simplement pas là."
La société d'études de marché IRI montre que le prix de la sauce tomate au cours des quatre dernières semaines se terminant le 10 juillet a bondi de 17 % par rapport à il y a un an, tandis que le ketchup a bondi de 23 %.
Outre les tomates, les frites pourraient manquer car la récolte de pommes de terre a souffert d'une vague de chaleur. Et pire encore, la plupart des importations américaines de bière proviennent du nord du Mexique, où la région manque d'eau.
Le ketchup, les frites et la bière pourraient bientôt manquer ou connaître des hausses de prix en raison du resserrement de l'offre.
Les Cheddar Cheese Puffs à base de farine de grillon sont déjà là (au Canada en tout cas).
August 16th, 2022
La société qui vend les Cricket Puffs s'appelle ActualFoods, peut-être parce que BugFoods, ou Pests-for-dinner, pourrait ne pas être un gagnant.
Farine de grillon, En fait de la nourriture, Feuilletés au fromage cheddar. @ShaunbakerMD
À noter : « Les personnes allergiques aux crustacés peuvent être allergiques aux grillons ».
Ce sont des professionnels du marketing. Mettre d'abord la farine de grillon dans la catégorie de la malbouffe est un moyen de l'introduire discrètement et de la normaliser. Les gens qui achètent de la malbouffe au supermarché ne lisent probablement pas la liste des ingrédients de trop près, et les gens qui mangent des bouffées lors de fêtes ne le font certainement pas.
Rappelez-vous que manger des grillons changera les courants-jets Ou du moins vous faire sentir saint :
DURABLE
Nous accordons autant d'importance à la planète qu'à notre santé. Nos superaliments produisent moins d'émissions et de déchets que les aliments diététiques traditionnels, ils constituent donc un choix facile pour les consommateurs respectueux de l'environnement.
C'est de la nourriture avec tous les mots à la mode :
Propulsés par des grillons biologiques cultivés de manière durable, nos soufflés sont riches en protéines, riches en vitamines telles que B12 et une source naturelle de prébiotiques.
Je note que ces grillons ne sont pas en liberté.
À 5,99 $ le sac, ils s'adresseront aux riches Verts en quête d'auto-publicité ou de pénitence. Mais pas nécessairement les végétaliens. Les végétaliens stricts auront un dilemme puisque les insectes font techniquement partie du règne animal. La Vegan Society avertit que le miel n'est pas végétalien car il exploite les abeilles. Donc, on peut supposer que l'abattage de millions de grillons innocents ne fera pas l'affaire non plus.
La foule Keto ne sera pas non plus contente car les bouffées contiennent environ 50 % de glucides. Qui sera content ?
Le gouvernement fédéral coupe les livraisons d'eau en Arizona et au Nevada, ce qui pourrait avoir un impact sur la production alimentaire
PAR TYLER DURDEN JEUDI 18 AOÛT 2022 - 04:40
L'Arizona et le Nevada sont confrontés à des réductions plus importantes de la quantité d'eau qu'ils peuvent puiser dans le fleuve Colorado frappé par la sécheresse, a déclaré mardi le Bureau of Reclamation du ministère de l'Intérieur.
L'agence responsable de la gestion de l'eau et de l'électricité dans l'ouest des États-Unis a déclaré qu'une "action urgente" était nécessaire alors que les niveaux d'eau dans les deux plus grands réservoirs du fleuve Colorado, le lac Mead et le lac Powell, continuent de baisser. Dans le cadre des nouveaux efforts de conservation, 21% de l'allocation annuelle d'eau de l'Arizona provenant du système fluvial sera réduite en 2023.
Le Nevada verra 8% des livraisons d'eau réduites et la part du Mexique sera réduite de 7%. La Californie sera épargnée par les nouvelles mesures qui débuteront l'année prochaine.
Les réductions pourraient être le début d'une crise de l'eau pour les 40 millions d'Américains dans sept États (Colorado, Nouveau-Mexique, Utah, Wyoming, Arizona, Californie et Nevada) qui dépendent fortement de la rivière pour l'eau douce et l'électricité.
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Cette décision intervient alors que l'ouest des États-Unis est confronté à la pire méga-sécheresse en 1 200 ans qui a fait baisser les niveaux du lac Mead, le plus grand réservoir des États-Unis, à des niveaux jamais vus depuis huit décennies.
Le lac Powell, quant à lui, pourrait faire face à des perturbations de la production hydroélectrique dès l'année prochaine, a déclaré The Guardian.
"Chaque secteur dans chaque État a la responsabilité de s'assurer que l'eau est utilisée avec une efficacité maximale. Pour éviter un effondrement catastrophique du système fluvial du Colorado et un avenir d'incertitude et de conflit, l'utilisation de l'eau dans le bassin doit être réduite", a déclaré Tanya Trujillo. , sous-secrétaire du ministère de l'intérieur pour l'eau et la science.
En Arizona, les coupes auront un impact sur le débit d'eau vers les terres agricoles responsables de 90% de la production de laitue aux États-Unis.
Les agriculteurs de l'Arizona, qui fournissent plus de 90 % des légumes-feuilles des États-Unis de novembre à mars, ont déjà supporté le poids des coupes antérieures, ainsi que ceux qui vivent de l'industrie agricole de 23,3 milliards de dollars de l'État. Le comté de Pinal, entre Phoenix et Tucson, risque d'être particulièrement touché puisque la région connue pour le coton et le bétail a déjà vu environ la moitié de ses terres agricoles devenir inactives en raison de réductions d'eau antérieures. -Bloomberg
Le commissaire du Bureau of Reclamation, Camille Calimlim Touton, a résumé la situation le long du fleuve Colorado :
"Le système approche d'un point de basculement et sans action, nous ne pouvons pas protéger le système et les millions d'Américains qui dépendent de cette ressource essentielle."
Les lecteurs se souviendront peut-être que nous avons remarqué que les robinets du nord du Mexique se sont asséchés pendant plusieurs mois alors qu'une crise de l'eau se profile.
Il n'y a pas de crise climatique : l'histoire nous montre que la Terre a connu bien pire
PAR TYLER DURDEN JEUDI 18 AOÛT 2022 - 03:00
La science du climat a été tellement étouffée par le fanatisme idéologique qu'il devient difficile de trouver une analyse objective normale de nos jours. Toute donnée qui contredit le récit d'origine humaine sur le changement climatique est entourée d'une machine à spin qui rejette l'information ou l'obscurcit dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant le lecteur bien avant qu'il n'ait la chance de digérer les nouvelles qui peut-être le changement climatique n'est pas tout ce qu'il est censé être.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, les nouvelles sont hypergonflées dans les théories sauvages de l'apocalypse climatique par les médias, mais l'histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée. En fait, tout événement météorologique chaud que vous pouvez repérer ces dernières années est probablement éclipsé par un événement bien pire des décennies ou des siècles avant que la «pollution par le carbone d'origine humaine» n'existe.
Par exemple, les médias sont affolés par la sécheresse actuelle et les "températures record" en Europe cet été, avertissant qu'elle pourrait devenir la "pire sécheresse" depuis 500 ans. Bien sûr, cette affirmation ouvre la porte à une question à laquelle les climatologues et les propagandistes ne veulent pas répondre : que s'est-il passé il y a 500 ans ?
Un niveau similaire d'hystérie du réchauffement climatique était présent lors d'une vague de chaleur en Europe en 2003, ainsi qu'en 2018. Les quelques scientifiques du climat qui ne sont toujours pas achetés et payés par les gouvernements et l'ONU ont dû souligner que ces sécheresses ne sont rien comparées à l'enfer vivant qu'était la sécheresse de 1540. Cet événement est souvent qualifié de « méga-sécheresse » parce que la région a subi des températures historiquement chaudes tout en ne recevant presque aucune pluie pendant un an.
Les températures cette année-là étaient en moyenne de 5°C à 7°C au-dessus des températures moyennes en Europe au XXe siècle. Aux États-Unis, cela signifie des températures estivales quotidiennes d'environ 104 ° F. Des centaines de récits historiques écrits à l'époque décrivent environ un demi-million de morts, ainsi que de vastes incendies de forêt et un hiver en Italie qui "ressemblait à juillet". Gardez à l'esprit que les niveaux de carbone en Europe en 1540 étaient 30 % inférieurs à ce qu'ils sont aujourd'hui, mais la région a peut-être subi le pire événement de réchauffement de son histoire enregistrée.
Les données climatiques d'aujourd'hui sont basées sur des enregistrements détenus par la NOAA et d'autres institutions, et ces enregistrements ne remontent qu'à 1880. Ainsi, chaque fois que vous entendez les médias grand public parler de températures record, ils utilisent une petite partie de l'histoire météorologique mondiale remontant à un peu plus d'un siècle. Tout scientifique honnête dans ce domaine vous dira que le bilan climatique de la Terre est vaste par rapport aux données limitées utilisées par les idéologues du réchauffement climatique, et la majorité des crises météorologiques destructrices se sont produites bien avant les émissions de carbone d'origine humaine.
Ce n'est certainement pas la pollution par le carbone des voitures, de l'agriculture et de l'industrie qui a provoqué la crise de 1540.
Essayez de faire des recherches sur l'événement 1540 et vous serez enterré dans une pile d'articles grand public qui reconnaissent la catastrophe, mais essayez ensuite de l'utiliser comme exemple de la raison pour laquelle nous devons nous conformer aux restrictions de carbone et à l'autoritarisme climatique en 2022. Ils disent "Regardez à ce qui est arrivé à l'Europe en 1540. Vous ne voulez pas que cela se reproduise, n'est-ce pas ?
Bien sûr, l'humanité n'avait pas son mot à dire ni son contrôle sur le temps en 1540, tout comme nous n'avons ni son mot à dire ni son contrôle sur le temps qu'il fait aujourd'hui. Il n'y avait pas de réchauffement climatique basé sur le carbone à l'époque, et il n'y a pas de réchauffement climatique basé sur le carbone maintenant.
Les scientifiques n'ont toujours aucune idée de ce qui a causé de nombreux événements de réchauffement du passé, y compris la crise de 1540, alors pourquoi devrions-nous avoir une foi aveugle dans leurs affirmations selon lesquelles le carbone est la cause du réchauffement de ces dernières années ? En fait, la NOAA et d'autres institutions de recherche sur le climat n'offrent toujours aucune preuve concrète d'une relation entre les émissions de carbone et la hausse des températures. Leur argument est qu'ils ont exclu toutes les autres causes possibles, ne laissant que le carbone comme reste. Ce n'est pas de la science, ce sont des suppositions aléatoires.
S'il y a bien un domaine qui défie la logique, la raison et l'analyse communément associées à la méthode scientifique, c'est bien la science du climat.
Mettez de côté le fait que des milliards de dollars de financement sont versés aux climatologues chaque année, mais uniquement aux scientifiques qui partent de l'hypothèse que le changement climatique est causé par les êtres humains. C'est-à-dire qu'il existe de nombreuses incitations pour les scientifiques à ignorer d'autres causes du réchauffement climatique. Ce ne sont pas des scientifiques, ce sont des militants politiques rémunérés. Heureusement, les températures ne sont pas si élevées. Les propres données de la NOAA montrent que la température moyenne de la Terre a augmenté de moins de 1°C au cours du siècle dernier. Ce n'est rien, alors pourquoi toute cette panique ?
Disons simplement que les contrôles du carbone sont un outil puissant pour microgérer la population et justifier l'autoritarisme au nom du « plus grand bien ». Si le public est convaincu d'accepter de faux récits sur le changement climatique, alors le gouvernement aurait la capacité de contrôler tous les aspects de la vie quotidienne, de la quantité d'électricité que nous utilisons, à la nourriture que nous mangeons, aux entreprises que nous pouvons gérer, au niveau de la production et la taille de la population. Ce n'est pas de la fiction, c'est la réalité, et cela se produit beaucoup plus rapidement que beaucoup de gens ne le pensent, tout cela au nom de sauver la planète d'une menace qui n'existe pas.
Qu'elle que soit la personne, la bête ou la plante qui respire, aucune comme aucun ensemble ne peut modifier d'un cent milliardième la nature du climat !
Notre planète est conçue d'un magma. Cette masse ferrique incandescente fait CE QU'ELLE VEUT ! et nul ne peut en changer sa nature. Elle est productrice des chaleurs qui s'échappent des sources chaudes sous-marines et sous-océaniques, donc, des vents et des courants et, de plus, c'est elle qui fabrique tous les gaz qui sont dans notre atmosphère et qui s'y recyclent continuellement.
C'est grâce au magma que l'eau de mer contient 86 % d'oxygène et donc les poissons peuvent y vivre. Et que nous aussi nous en profitons car, les plantes, les arbres ne rejettent pas assez d'oxygène pour faire vivre les humains et les animaux. Leur respiration est si lente qu'il faudrait toute une forêt pour faire vivre un humain (1 !).
La crise énergétique en Europe aidera à sortir le pétrole de son creux
PAR TYLER DURDEN JEUDI 18 AOÛT 2022 - 11:00 Par Rob Verdonck, journaliste et analyste Bloomberg Markets Live
Le pétrole brut se redressera probablement jusqu'à la fin de l'année, la crise énergétique en Europe l'emportant sur les nouvelles concernant l'approvisionnement.
Les prix du pétrole ont chuté sur les signes d'un ralentissement mondial qui s'aggrave alors que l'augmentation de l'offre en provenance de Libye et, potentiellement, de l'Iran atténue l'étanchéité fondamentale du marché - mais les commerçants peuvent encore sous-estimer toutes les ramifications de la crise énergétique en Europe.
J'ai été stupéfait par l'augmentation incessante du gaz naturel européen, un marché que je suis de près depuis près de deux décennies, et je ne peux pas imaginer que la flambée des prix là-bas à près de 375 dollars le baril d'équivalent pétrole n'aura pas d'effet d'entraînement effets.
- voir graph sur site -
Il est difficile d'évaluer toutes les ramifications sur le pétrole, mais le rallye qui a vu le gaz européen augmenter de 160 % au cours des deux derniers mois, dans ce qui est généralement une période calme de faible demande, ne semble pas se terminer de sitôt et pourrait voir un dernier hourra pour les centrales au mazout vieillissantes de la région.
Ajoutez cette demande supplémentaire au début de l'embargo européen sur le brut russe plus tard cette année et la crise énergétique est presque certaine de réchauffer le commerce du brut à l'approche de l'hiver.
L'hiver arrive pour l'Europe alors que la stagflation et les crises énergétiques sont sur le point de mordre
PAR TYLER DURDEN JEUDI 18 AOÛT 2022 - 13:20 Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,
"Le Long Hot Summer vient de me dépasser…."
L'hiver approche alors que la flambée des prix du gaz devrait se faire sentir dans toute l'Europe. La stratégie d'insécurité énergétique de Poutine a prouvé son succès majeur et pourrait encore lui faire gagner la guerre d'Ukraine. La stagflation est clouée sur l'Europe.
Il y a bien un soupçon d'automne ce matin; une forte rosée, de la brume sur la rivière, un frisson dans l'air même si nous savons qu'il atteindra 30 degrés plus tard, et un sentiment croissant que l'année a tourné. Alors que les températures baissent, il est temps de penser à l'alimentation en hiver.
Mais avant, un petit aparté pour commencer la semaine : Les Guêpes (Vespula Vulgaris)
Les guêpes me fascinent et me terrifient à la fois. Ils sont personnifiés par le mal, mais parfaitement conçus et aussi importants pour notre écologie que les abeilles. Ce sont des pollinisateurs essentiels et offrent un excellent contrôle des ravageurs du jardin. Ils sont impossibles à domestiquer. Les guêpes et les humains interagissent mieux en restant à l'écart les uns des autres.
Au cours de l'année de la guêpe, les ouvrières collectent de la viande pour nourrir leur larve qui, en retour, dégage une friandise sucrée dont les guêpes adultes ont soif. (Les guêpes adultes sont végétariennes.) À la fin de l'été, les nids de guêpes déclinent - les nouvelles reines s'accouplent et s'envolent, les vieilles reines usées meurent, plus aucun œuf n'est pondu et la dernière génération de guêpes ouvrières devient sauvage à la recherche de des trucs sucrés, devenant un ravageur lors des pique-niques. Certaines années, ils deviennent un vrai problème lorsqu'ils se régalent de fruits en fermentation pourris - se saoulant efficacement et donc plus agressifs. À la fin de l'automne, le nid sera complètement mort. C'est un cycle de vie quelque peu dystopique - mais l'année prochaine, les nouvelles reines sortiront de leurs cachettes hivernales et recommenceront.
L'été a été formidable pour les Wasps, de leur point de vue. Cette année, je remarque qu'ils sont toujours en train de chercher de la viande - nous les avons vus dépouiller du poulet jusqu'à l'os hier soir - ce qui suggère que les nids restent sains et prospères, ce qui signifie qu'un plus grand nombre d'entre eux survivront jusqu'à la fin de l'été. . La solution – des pièges appâtés avec du cidre et de la confiture.
Qu'est-ce que les guêpes ont à voir avec les marchés ?
Comme toutes choses, les guêpes sont une histoire d'équilibre - lorsque les conditions sont bonnes... elles prospèrent, entraînant des conséquences - plus de piqûres. Dans le sud de l'Angleterre, l'été le plus chaud jamais enregistré signifie plus de guêpes que d'habitude. Dans le nord de l'Écosse, il fait froid et humide, et personne n'en voit. L'hiver venu, les guêpes sont un problème largement oublié.
Qu'en est-il des marchés ? Combien sont-ils en équilibre? Cet hiver va être un choc économique.
Comme dit précédemment, les marchés sont un jeu d'entrées multiples. Les États-Unis sont sur une voie de reprise complètement différente de celle de l'Europe, mais les économies occidentales restent étroitement liées.
La grande question : les actions ont organisé un marché baissier jusqu'au premier semestre 2022, mais la tendance s'est ensuite inversée. 4 semaines de gains inégalés depuis la mi-juillet laisse le S&P 500 en hausse de 17 %. Est-ce la première étape d'un nouveau marché haussier ou un piège baissier ? Les optimistes boursiers disent que l'inflation américaine a atteint un sommet - le premier signe étant le ralentissement de la semaine dernière dans le pack des prix à la consommation, que les emplois américains restent fortement en demande et que la baisse des prix du pétrole montre que la crise énergétique est en train de passer. (Les marchés obligataires - et dans les obligations il y a de la vérité - continuent d'augmenter en terme de rendement..)
Les prix du pétrole aux États-Unis pourraient être en baisse.
Les prix du gaz ne le sont pas. Le gaz fournit près d'un quart de l'énergie européenne, dont plus de 40 % provient de Russie. Les prix du gaz en Europe montent toujours en flèche, une crise massive pour l'activité économique où les prix du gaz sont en hausse incroyable de 600 % sur l'année, sans aucun signe qu'ils vont s'atténuer. C'est la plus grande menace économique pour l'Europe depuis 1939. Nous sommes tous conscients que c'est le résultat d'erreurs de calcul massives en matière de sécurité énergétique à travers le continent :
L'Allemagne supposait que le gaz russe serait toujours bon marché, disponible et abondant.
Les Pays-Bas et l'Italie ont supposé que le gaz passerait toujours par l'Allemagne et que des réserves hivernales pourraient être constituées pendant les mois d'été calmes et bon marché.
Le Royaume-Uni a négligé le stockage de l'énergie et le développement du gaz domestique comme carburant de transition, et a supposé que les approvisionnements en gaz seraient toujours disponibles sur le marché libre, sans prévoir la possibilité d'événements de perturbation massive.
La France est aux prises avec l'énergie nucléaire - la moitié de la "flotte" de réacteurs français est actuellement inactive.
Partout en Europe, le nucléaire a été dépeint comme mauvais et non écologique, le développement de nouvelles énergies nucléaires a généralement stagné ou est devenu trop cher.
Les consommateurs subissent déjà des chocs massifs en termes de factures d'électricité mensuelles, mais la réalité brutale est que le Long Hot Summer signifie que nous avons à peine connu les conséquences réelles de la flambée des prix du gaz. Les coûts font déjà mal, mais les dommages économiques pourraient être paralysants. Cela deviendra incontournable. La crise approche… et bientôt. L'hiver arrive…
Vladimir Poutine n'aurait pas pu mieux planifier ou exécuter sa frappe énergétique paralysante sur l'Europe.
Alors que nous nous promettons que les sanctions occidentales doivent avoir un impact sur la Russie, la réalité est que les problèmes de l'Europe sont sur le point de s'aggraver à l'approche de l'hiver. Quelles incitations possibles la Russie a-t-elle pour augmenter les approvisionnements de Nord Stream 1 par rapport à sa capacité actuelle de 20 % ? Ils peuvent fournir à l'Europe 1/6 de l'énergie qu'ils ont livrée en janvier de cette année, et gagner toujours autant - en vendant le reste aux très nombreuses nations qui n'ont pas condamné l'assaut contre l'Ukraine. Ils peuvent décider de couper complètement les approvisionnements même si la maintenance planifiée de l'infrastructure gazière norvégienne coupe les approvisionnements.
Un hiver européen lugubre approche et les politiciens européens feront tout pour l'éviter. Cela inclura l'apaisement - faire pression sur l'Ukraine pour qu'elle parvienne à un accord avec la Russie qui permette à Poutine de mettre fin à la guerre en semblant avoir réalisé quelque chose. Ce serait un coup dur à long terme pour l'Europe - sachant que nous avions dû conclure un accord avec le diable et que cela ne résoudrait pas immédiatement la dépendance de l'Occident à la puissance russe. (Cela pourrait prendre 3 ans avant que l'Europe puisse éliminer sa dépendance au gaz russe avec une nouvelle infrastructure de distribution de gaz - mais cela peut être fait !)
Les coupures de courant, les fermetures d'usines, la crise des affaires semblent déjà clouées. Il est difficile d'imaginer que les travailleurs allemands accueillent favorablement les pertes d'emplois et la stagflation, plus l'attente qu'ils paient les coûts de l'Europe du Sud pour faire face à la guerre de l'énergie - mais c'est effectivement la stratégie de la BCE : équilibrer la crédibilité du marché de la dette européenne avec l'argent allemand pour soutenir la faiblesse de la dette italienne.
Bien qu'il puisse y avoir de nombreuses bonnes raisons et indications d'accepter que l'économie américaine a déjà dépassé le point culminant des difficultés économiques pour cette année, l'instabilité engendrée par la hausse des prix de l'énergie en Europe, la menace de pannes de courant en automne et en hiver, combinée à la montée des conflits industriels à travers L'Europe, alors que l'inflation et le pouvoir déclenchent des revendications salariales croissantes… signifie que toute l'économie occidentale va se débattre. Il est difficile d'imaginer que le marché américain prospère alors que l'Europe subit un hiver potentiellement paralysant de stagflation et de conflits économiques.
À la base, la force d'une économie se résume à la quantité de consommation qui se produit. Les consommateurs dépensent-ils – ont-ils de l'argent à dépenser ? Les entreprises investissent-elles ? Le gouvernement stimule-t-il l'activité économique par le biais de la politique budgétaire ?
Les consommateurs sont sous le choc après que le choc des prix de l'énergie et la hausse des taux d'intérêt aient suspendu les modes de vie dépendants du crédit. Les gouvernements tentent de freiner leurs dépenses, craignant que le lourd endettement et la menace imminente d'inflation ne déstabilisent leur économie : le crédit souverain vertueux de i) la stabilité politique, ii) la stabilité du marché obligataire, iii) et la stabilité de la monnaie sont de plus en plus menacés, tandis que les entreprises regardent la consommation et secouent la tête sur de nouveaux investissements. Comment le gouvernement réagit-il ? Avec plus d'austérité ! Nous sommes condamnés…
L'Europe ressemble beaucoup à un nid de guêpes à la fin de l'été - les choses peuvent devenir beaucoup plus douloureuses.
L'image ci-dessus est celle d'un char Panzer allemand de la Seconde Guerre mondiale. Alors, qu'est-ce que cela a à voir avec les paradis fiscaux ? J'y reviendrai bientôt.
Mais d'abord, regardons l'île de Jersey, l'une des îles de la Manche. La plupart des gens le considèrent comme un paradis fiscal britannique, mais ce n'est pas, à proprement parler, une partie du Royaume-Uni et pas un membre de l'UE. C'est une démocratie parlementaire autonome sous une monarchie constitutionnelle et possède ses propres systèmes juridiques, judiciaires et, surtout, financiers. Pendant des décennies, c'est un endroit de choix pour ceux qui cherchent à éviter l'impôt.
L'impôt sur le revenu a d'abord été créé en Angleterre pour payer les guerres napoléoniennes (maximum : 10 %) et a été augmenté pendant la Seconde Guerre mondiale jusqu'à un maximum de 99,25 %, encore une fois pour payer la guerre. Il a été réduit après la guerre, mais a de nouveau augmenté (sur les revenus d'investissement supérieurs à 20 000 £) pour atteindre un maximum de 98% en 1974.
Jersey est ainsi devenu un paradis fiscal. Comme Jersey n'était pas obligé de payer des impôts au Royaume-Uni, les Britanniques y déposaient de plus en plus leur fortune.
Il est important de mentionner à ce stade que la plupart des paradis fiscaux dans le monde ont d'abord vu le jour à la suite de situations similaires - une offre créée en réponse à un besoin clair. La plupart des gens supporteront une fiscalité faible à modérée, mais chaque fois que les gouvernements sont devenus vraiment rapaces en taxant leur peuple, ces personnes ont cherché à échapper à l'esclavage de leurs propres gouvernements. Parfois, cela a signifié quitter physiquement le pays (comme tant de Britanniques l'ont fait dans les années 70) et, parfois, cela a signifié déplacer son argent vers une juridiction qui a peu ou pas d'imposition directe.
Les paradis fiscaux ont une longue histoire et, depuis les années 70, alors que la fiscalité dans une grande partie du monde a augmenté, les paradis fiscaux ont prospéré sans surprise.
Il n'est donc pas surprenant que le retour de bâton des gouvernements les plus rapaces se soit intensifié. L'Organisation de coopération et de développement économiques (un euphémisme s'il en est un), ou OCDE, a mené la charge, financée principalement par les États-Unis mais basée à Paris et largement utilisée par l'UE ainsi que par les États-Unis.
L'OCDE prétend avoir comme objectif principal l'élimination du blanchiment d'argent dans le monde. Il a réussi à convaincre la majeure partie du monde que le blanchiment d'argent (la pratique consistant à empêcher les gouvernements parasites de voler votre richesse) est une activité criminelle et doit être stoppée.
Cependant, les véritables objectifs de l'OCDE sont les suivants :
Éliminer le droit individuel à la vie privée en matière de richesse. Pour imposer des niveaux d'imposition minimaux à toutes les nations souveraines, afin qu'elles ne puissent offrir à personne la liberté d'une taxation excessive. Mais, de peur que nous ne soyons tentés de sympathiser avec l'OCDE, il est important de mentionner qu'elle accepte également pleinement le fait que ses pays membres ont leurs propres paradis fiscaux qui ne respectent pas les normes minimales de l'OCDE. Vue sous cet angle, l'OCDE est exposée davantage comme une organisation de remaniement que comme une « force du bien ».
Pourtant, l'OCDE est puissante et elle a fait des ravages dans les paradis fiscaux. Tous les deux ou trois ans, il met la pression sur une sélection de paradis fiscaux dans le monde, exigeant des normes minimales nouvelles ou révisées. Il les place sur une liste noire ou une liste grise jusqu'à ce qu'ils cèdent aux nouvelles normes. Puis, deux ou trois ans plus tard, il s'attaque à une autre sélection de paradis, réduisant ainsi progressivement la liberté économique dans le monde.
L'un de leurs plus grands succès a été l'île de Jersey. En forçant la péréquation fiscale à Jersey, Jersey a dû décider s'il fallait augmenter la fiscalité pour les déposants offshore ou diminuer les impôts pour les locaux. Il a choisi ce dernier et, par conséquent, a connu un manque à gagner dans la cagnotte du gouvernement, entraînant des licenciements pour les travailleurs de la fonction publique, des coupes dans le financement de la réparation des routes, des services d'égouts, de l'éducation, etc. Jersey semble être sur les cordes en tant que résultat.
La grande question est donc : « L'OCDE atteindra-t-elle ses objectifs ? Dans cinq ou dix ans, les seuls paradis fiscaux seront-ils dans des endroits comme le Delaware, où le paradis fiscal sanctionné par le gouvernement suit les "mauvaises pratiques" que l'OCDE a qualifiées de "criminelles" ?
À l'heure actuelle, personne n'a la réponse à cette question, mais ce que nous pouvons dire, c'est que nous assistons à la grande course. Les économies de tous les pays membres de l'OCDE sont en difficulté. Ayant détruit leur propre économie à cause d'un endettement massif, ils s'emparent de chaque dollar d'impôt sur lequel ils peuvent mettre la main pour empêcher le château de cartes de s'effondrer. L'effondrement inévitable se rapproche de plus en plus, donc l'espoir est de ramasser autant de richesses par tous les moyens possibles avant la chute. Ceci est essentiel car, après la chute, le crédit s'évaporera. Les gouvernements ne seront plus en mesure de financer les agences coûteuses nécessaires pour traquer et confisquer la richesse de leurs citoyens.
Il s'agit donc d'une course contre la montre, ce qui nous ramène au Panzer de la photo.
Le char Panzer était essentiel à l'avance allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1940, si vous en entendiez un venir, vous couriez comme un diable. Mais ils roulaient à l'essence. Le commandement nazi a reconnu au début de la guerre que, à moins qu'il ne capture les champs pétrolifères de la Roumanie sous contrôle russe, la machine de guerre allemande serait littéralement "à court d'essence".
Aussi risqué soit-il, il était indispensable d'attaquer la Russie. L'attaque devenait de plus en plus désespérée, puisque les Allemands comprenaient parfaitement que leur fin était à l'horizon s'ils ne réussissaient pas (Peut-on voir une similitude entre cela et un gouvernement près de chez nous ?).
Les Allemands n'ont pas réussi à conquérir la Roumanie. Puis, en 1945, lors de la Bataille des Ardennes, l'avancée des chars Panzer s'arrête. S'ils avaient atteint les lignes de front, ils auraient gagné la journée pour l'Allemagne. Mais, au lieu de cela, ils ont manqué de carburant à mi-parcours.
Aussi décisif que cet événement ait été, à mon avis, il existe un événement connexe qui est plus important pour nous aujourd'hui. Lorsque les réservoirs ont manqué d'essence, les équipages ont quitté les réservoirs et ont simplement commencé à marcher vers l'Allemagne. La plupart ont ensuite été rassemblés par les Alliés et ils ont continué pacifiquement.
La grande importance de cet événement est que, quelle que soit l'ampleur des fanfaronnades d'un leadership politique ou militaire, et quelle que soit la docilité avec laquelle les soldats répondent à une telle posture, une fois qu'il est clair que le jeu est terminé, la prétention parmi les soldats s'évapore. Si une armée apprend à l'avance qu'une fin est inévitable et a eu le temps nécessaire pour réfléchir à la situation à l'avance, elle attend simplement le point de basculement. Lorsque cela se produit, ils sont moins susceptibles de faire un dernier combat paniqué et futile. La prescience les informe de se préparer à l'avance à simplement s'éloigner.
Donc, pour revenir à la grande course par de nombreux gouvernements aujourd'hui, ce à quoi nous assistons est un effort ultime pour extraire autant de richesses que possible de leurs citoyens avant que ces gouvernements ne soient à court d'essence ou, dans ce cas, à court de crédit. .
À un moment donné dans un avenir pas si lointain, les créanciers reverront des bons du Trésor sur les marchés de l'UE et des États-Unis. Les marchés boursiers et obligataires vont s'effondrer. Les devises vont s'effondrer. Des défauts de paiement auront lieu. Les banques apparemment trop grandes pour faire faillite feront faillite et il n'y aura pas de fonds pour les renflouer.
Ce à quoi nous pouvons nous attendre sera une tentative de plus en plus désespérée de voler aux gens leur richesse personnelle. La situation va monter à un niveau draconien. Puis, tout à coup, la crise sera sur nous. Les réservoirs redoutés seront à court de carburant - les gouvernements perdront le pouvoir économique de poursuivre leur avancée contre la liberté économique.
Le but pour chaque individu qui tient à sa liberté pourrait alors être d'éviter d'être le fruit à portée de main jusqu'à ce jour, afin qu'il puisse sortir intact de l'autre côté.
Cessons de blaguer pour ne rien dire ! Les 'paradis fiscaux' (petite île aux 3 palmiers) ne rapportent RIEN ! Même pas une noix de coco ! C'est pourquoi, à l'inverse de ces milliardaires qui se vantent de l'être et livre de compte à l'appui, existent des millions de milliardaires qui planquent leur fortune dedans leur jardin ! "Tu fais un trou dans la terre (de préférence avec une toile de tente dressée au-dessus) et t'y mets ton pognon ! C'est tout". Après, t'enlèves ta toile de tente et tu tonds ton gazon comme si rien n'était.
La Chine présente son robot humanoïde, le CyberOne de Xiaomi, décevant
le 18 août 2022 - 15:25
Le CyberOne pèse 52 kg, mesure 177 cm de haut, et peut marcher à une vitesse de 3,6 km/h.
La Chine n’arrête pas d’innover, et de tenter de concurrencer les géants américains comme Tesla : après les annonces de voitures autonomes, avec le taxi autonome développé par Baidu, c’est maintenant au tour de la firme Xiaomi de présenter son robot humanoïde qui pourrait concurrencer le robot Optimus annoncé par Tesla, malgré des performances décevantes.
À quoi ressemble le robot humanoïde de Xiaomi ?
Selon les spécifications officielles annoncées par Xiaomi, détaillées par le média en ligne The Verge, le CyberOne pèse 52 kg et mesure 177 cm de haut. Il peut marcher à une vitesse de 3,6 km/h, soit juste en dessous du rythme de marche moyen d’un humain. Ses mains ont la forme d’une paire de mitaines qui peuvent s'ouvrir et se fermer, mais leurs mouvements sont encore maladroits. Selon les plus critiques, ce robot ne serait pas vraiment capable de se déplacer aisément. Une vidéo montre même le CyberOne tomber régulièrement, sans pouvoir se relever seul. Sa capacité de mobilité semble donc être bien en dessous des capacités de mobilité des robots “chien” de Boston Dynamics par exemple.
Un robot capable de reconnaître les sentiments de son interlocuteur grâce à la reconnaissance faciale Pour pouvoir “regarder”, l'humanoïde dispose d'un système de vision artificielle qui peut détecter des distances allant jusqu'à huit mètres. En ce qui concerne sa capacité d’interaction avec l’homme, Xiaomi affirme que le robot est capable de "percevoir" l'émotion humaine grâce à un logiciel de reconnaissance faciale, capable de décoder et d’analyser les expressions faciales humaines.
Des performances bien inférieures à celles de l’Optimus de Tesla
Comme Xiaomi, le fondateur de Tesla, Elon Musk, a annoncé son projet de production d’un “robot majordome”, appelé Optimus. Lors du forum économique du Qatar, Elon Musk a déclaré vouloir apporter sa contribution au développement d’un humanoïde, avec l’annonce de son robot Optimus. Ce premier robot de Tesla combine des fonctions “supernaturelles” inspirées des animaux, tout en présentant une forme humaine. Ce robot qui mesure 1,73 mètre pour un poids de 56,7 kg peut se déplacer à une vitesse de 8 km/h, soulever 68 kilos et transporter 20 kilos. Musk a déclaré que ce robot serait capable de suivre des commandes humaines complexes telles que "veuillez vous rendre dans un magasin et apportez-moi les produits d'épicerie suivants". Il a depuis répété ces affirmations, décrivant récemment le Tesla Optimus comme un "robot humanoïde à usage général" qui "remplacera les gens dans des tâches répétitives, ennuyeuses et dangereuses".
Pour le géant chinois Xiaomi, le Cyberone représente un "symbole du dévouement de Xiaomi à incuber un écosystème technologique" donnant naissance à davantage de scénarios d'application dans d'autres domaines. Pour certains spécialistes des nouvelles technologies, on ne peut pas espérer des utilisations immédiates de cette version chinoise d’un humanoïde. Il s’agirait surtout d’une plate-forme pour des efforts de R&D plus larges et d’un outil de marketing à l’approche du Tesla AI Day, prévu pour le 30 septembre 2022, qui devrait voir la présentation officielle du robot Optimus.
Des ingénieurs chinois (en première année ?) ont encore construit... un bipède ! D'où les difficultés de mouvance de la machine à se tenir debout ! C'est tout-de-même plus simple de construire un minotaure ! C'est-à-dire 4 pattes au sol + deux bras à l'avant surmontés d'un cou et d'une tête. Le torse (cou-tête et bras) peut pivoter à 180 °, saisir un colis et le poser sur son dos ou dans des sacoches de chaque côté du corps de pattes. Il peut facilement grimper des escaliers et courir très vite.
LA CHINE A MOBILISÉ 932 MILLIARDS AU SEIN DE L’INITIATIVE LA CEINTURE ET LA ROUTE
par Chine Magazine Août 17, 2022
- voir carte sur site -
Annoncé en 2013, l’Initiative La Ceinture et la Route vise à améliorer les liaisons commerciales entre l’Asie, l’Europe, l’Afrique et au-delà via la construction de ports, de voies ferrées, d’aéroports ou de parcs industriels.
Les engagements cumulés de la Chine dans le cadre de ces nouvelles routes de la soie (Belt and Road Initiative/BRI) ont atteint 932 milliards de dollars (839 mds €) depuis le lancement en 2013 de cet ambitieux projet visant à relier l’empire du Milieu à l’Afrique et à l’Europe, selon un rapport du think tank Green Finance & Development Center.
Intitulée «Rapport sur les investissements dans le cadre de l’initiative chinoise des nouvelles routes de la soie au premier semestre 2022» (China Belt and Road Initiative (BRI) Investment Report H1 2022), cette étude précise que sur l’ensemble des engagements de la Chine dans le cadre de la BRI, 561 milliards de dollars se présentent sous forme de contrats de construction d’infrastructures financés en partie par des prêts chinois, et 371 milliards de dollars sous forme d’investissements.
Le financement et les investissements de la Chine sont stables à des niveaux bas au premier semestre 2022 à 28,4 milliards de dollars, contre 29,6 milliards de dollars au premier semestre 2021), 42% via des investissements au cours de la même période de 2021.
Sur ce montant, environ 11,8 milliards de dollars ont été investis et 16,5 milliards de dollars ont été consacrés à des contrats de construction d’infrastructures. En moyenne, la des opérations d’investissement de la Chine a augmenté, passant d’environ 394 millions de dollars durant les six premiers mois de 2021 à 456 millions de dollars au premier semestre 2022.
De même la taille moyenne des transactions pour les projets de construction a considérablement baissé pour s’établir à 325 millions de dollars au cours du premier semestre 2022 contre 558 millions de dollars durant la même période de 2021.
Selon le rapport de Green Finance & Development Center, 42 pays ont accueilli des projets liés à l’initiative nouvelles routes de la soie, entre le 1er janvier et le 30 juin 2022. Concernant les contrats de construction, les pays ayant reçu les volumes les plus importants étaient les Philippines (3,3 milliards de dollars), la Serbie (1,9 milliard de dollars) et l’Irak (1,5 milliard de dollars).
Les investissements de la Chine en Arabie saoudite ont été d’environ 5,5 milliards de dollars, devant la République démocratique du Congo (600 millions de dollars) et l’Indonésie (560 millions de dollars).
« L’ÉCONOMIE CHINOISE DEVIENT LE MOTEUR DE L’ÉCONOMIE MONDIALE »
par Chine Magazine Août 14, 2022
Communiqué – Environ 78,34 % des personnes interrogées dans 22 pays pensent que l’économie chinoise est devenue le moteur de l’économie mondiale, selon une enquête conjointe menée par le Think Tank CGTN et l’Institut chinois d’opinion publique de l’Université Renmin de Chine.
L’enquête a interrogé des personnes âgées de 38,64 ans en moyenne, issues de pays développés tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et le Japon, ainsi que de pays en développement tels que le Brésil, l’Inde, les Émirats arabes unis et l’Afrique du Sud.
Plus de la moitié des personnes interrogées ont fait des études supérieures, 54,71 % d’entre elles étant titulaires d’une licence ou d’un diplôme supérieur, dont 15,22 % de masters et de doctorats.
- voir graph sur site -
LE MOTEUR ÉCONOMIQUE DU MONDE
L’enquête a montré que 91,46 % des personnes interrogées en Afrique ont une haute opinion des réalisations économiques de la Chine, estimant que la Chine est devenue le moteur économique du monde. Les personnes interrogées en Europe suivent de près avec une part de 81,6%, tandis que les personnes interrogées en Amérique du Nord se classent en troisième position avec 78,09%.
L’enquête a également montré que 84,13 % des personnes interrogées dans les pays de la «Belt and Road Initiative» ont une opinion favorable des réalisations économiques de la Chine. Parallèlement, 84,02% des personnes interrogées dans les pays en développement ont confiance dans l’économie chinoise.
En termes d’attentes futures, 76,23% des personnes interrogées pensent que la Chine jouera un rôle crucial dans la promotion du développement économique mondial.
LE FUTUR ORDRE MONDIAL
Seuls 6,31 % des personnes interrogées pensent que le monde sera unipolaire à l’avenir et dominé par les États-Unis, tandis que 34,55 %, le groupe le plus important, pensent qu’un monde multipolaire est la perspective la plus probable.
Quelque 56 % des personnes interrogées, issues des économies développées et émergentes, affirment que la véritable raison pour laquelle les politiciens occidentaux font la promotion de la «menace chinoise» est due à leur «stress et à leur anxiété» face à la montée en puissance de la Chine.
Le concept chinois de «communauté avec un avenir partagé», qui met l’accent sur l’humanité dans son ensemble et cherche une nouvelle voie pour éviter la confrontation, est soutenu par 61,29% des personnes interrogées.
En ce qui concerne le développement technologique rapide de la Chine, les personnes interrogées sont les plus impressionnées par le développement de la 5G, l’intelligence artificielle et le train à grande vitesse.
En Afrique, 73,87 % des personnes interrogées sont les plus impressionnées par la 5G de la Chine, et 55,28 % des personnes interrogées font l’éloge du train à grande vitesse du pays. En Europe, 52,77 % des personnes interrogées sont impressionnées par les progrès du pays en matière d’intelligence artificielle.
AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ DE VIE DES CHINOIS
Le produit intérieur brut par habitant de la Chine est passé de 6 100 dollars à plus de 12 000 dollars au cours des dix dernières années, ce que 76,65% des personnes interrogées jugent remarquable. Dans l’enquête, plus de 70% des personnes interrogées sur les cinq continents pensent que la Chine s’enrichit.
Près de 100 millions de ruraux pauvres en Chine sont sortis de la pauvreté au cours de la dernière décennie, et la grande majorité des personnes interrogées pensent que les deux principales raisons sont que l’économie chinoise maintient une croissance rapide et que les dirigeants chinois sont déterminés et marchent fermement vers leurs objectifs.
Lire aussi : La Chine déclare sa « victoire totale » sur la pauvreté absolue
Selon l’enquête, une majorité approuve l’approche de la Chine en matière de droits humains, et 57,36 % des personnes interrogées sont d’accord avec l’affirmation «La Chine traite toujours les droits humains de manière réaliste et pratique».
LES GÉANTS CHINOIS DE LA TECH CONTRAINT DE DÉVOILER LEURS ALGORITHMES
par Chine Magazine Août 17, 2022
Des géants chinois du numérique, dont Tencent, Alibaba et ByteDance, ont remis aux autorités des détails sur leurs algorithmes. Il s’agit d’une démarche sans précédent dans un contexte de remaniement du secteur par Pékin, a fait savoir le régulateur.
Les algorithmes servent de cerveau à de nombreux services et applications sur internet et sont généralement un secret bien gardé des géants du numérique. Ces outils permettent d’analyser des quantités d’informations récoltées sur un utilisateur et de lui faire des recommandations automatiques en fonction de ses habitudes ou préférences.
Le travail de réglementation du secteur numérique engagé depuis 2021 s’étend. Après la protection des données des utilisateurs, avec la loi PIPL, des réglementations antitrust, des mesures pour limiter les introductions en Bourse à l’étranger, Pékin se concentre désormais sur les algorithmes.
Consciente de l’opacité des géants du numérique vis-à-vis de la récolte des données, les autorités cherchent à davantage encadrer les algorithmes. En vertu d’une réglementation publiée en mars, les entreprises doivent s’assurer auprès du régulateur de la conformité de leurs algorithmes et de fournir des détails techniques.
Le 12 août, l’Administration chinoise du cyberespace a publié pour la première fois une liste décrivant la façon dont les géants de la tech utilisent les algorithmes. Ainsi, il a été montré comment le n°1 de l’e-commerce Alibaba recommande par exemple de nouveaux produits en fonction de l’historique de navigation et de recherche de ses utilisateurs.
L’application de vidéos courtes Douyin (version chinoise de TikTok) fait des suggestions de contenu en fonction du temps passé par ses utilisateurs sur de précédents contenus.
« A ce stade, les autorités n’ont pas demandé explicitement aux entreprises de modifier leurs algorithmes », a indiqué à l’AFP Angela Zhang, spécialiste du droit chinois à l’Université de Hong Kong. Selon elle, « les régulateurs en sont plutôt au stade de la collecte d’informations ».
La réglementation vise ainsi à limiter le pouvoir des recommandations algorithmiques. Les entreprises ne pourront pas favoriser des contenus violant les lois chinoises, devront être transparents sur leurs principes de base et leurs objectifs, favoriser la protection des publics vulnérables face aux fraudes.
Pour les algorithmes d’actualités, des licences seront nécessaires et auront l’interdiction de promouvoir de fausses informations, ou, en tout état de cause, celles qui déplairont à Pékin.
Les autorités chinoises se montrent depuis près de deux ans particulièrement intransigeantes contre le secteur de la tech, pour des pratiques jusque-là tolérées mais qui se sont largement répandues.
La loi souhaite ainsi redonner le contrôle aux utilisateurs sur ce qu’ils verront s’afficher dans le fil de leurs réseaux sociaux, agrégateurs de contenu ou site d’e-commerce favori. Ils pourront sélectionner et supprimer les balises utilisées pour proposer des suggestions ou refuser purement et simplement de recevoir des recommandations algorithmiques.
Ziyang Fan a expliqué à CNBC, qu‘ »étant donné que ces règles sont assez étendues et techniques dans certains domaines, il s’agira d’un processus d’apprentissage à la fois pour les organismes d’application et pour les entreprises, qui auront la responsabilité principale de se conformer à ces règles ».
Plusieurs mastodontes du secteur ont ainsi été épinglés en matière, notamment, de données personnelles, de concurrence et de droits des utilisateurs. Le mois dernier, Didi, leader en Chine de la réservation avec chauffeur (VTC) a reçu une amende de quelque 1,2 milliard d’euros pour des infractions en matière de données personnelles.
"Global Intelligence Collecting AI" du WEF pour effacer les idées d'Internet
Mercredi 17 août 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Le Forum économique mondial devient un peu inquiet. Les opinions non approuvées sont de plus en plus populaires et les censeurs en ligne ne peuvent pas suivre le rythme des millions de personnes qui deviennent plus conscientes et plus vocales. Les moteurs de censure employés par les plateformes Internet se sont avérés assez stupides et incapables. On ose même se plaindre du Forum économique mondial, ce qui est évidemment totalement inacceptable.
(Article d'Igor Chudov republié de IgorChudov.Substack.com)
Ainsi, l'auteur du WEF, Inbal Goldberger, a proposé une solution : elle propose de collecter des informations hors plate-forme auprès de "millions de sources" pour espionner les gens et les nouvelles idées, puis de fusionner ces informations pour les "décisions de suppression de contenu" envoyées à " plateformes Internet ».
Pour surmonter les obstacles des méthodologies de détection traditionnelles, nous proposons un nouveau cadre : plutôt que de compter sur l'IA pour détecter à grande échelle et sur les humains pour examiner les cas marginaux, une approche basée sur l'intelligence est cruciale.
En intégrant une intelligence humaine, multilingue et hors plate-forme dans les ensembles d'apprentissage, l'IA sera alors en mesure de détecter de nouveaux abus nuancés à grande échelle, avant qu'ils n'atteignent les plates-formes grand public. Compléter cette détection automatisée plus intelligente avec une expertise humaine pour examiner les cas marginaux et identifier les faux positifs et négatifs, puis réintégrer ces résultats dans des ensembles de formation nous permettra de créer une IA avec une intelligence humaine intégrée. Cette IA plus intelligente devient plus sophistiquée à chaque décision de modération , permettant éventuellement une détection quasi parfaite, à grande échelle.
Ça parle de quoi ? Quoi de neuf ?
La façon dont la censure se fait de nos jours est que chaque plate-forme Internet, comme Twitter, a sa propre équipe de modération et un moteur de prise de décision. Twitter ne regarderait que les tweets d'un utilisateur spécifique de Twitter, au moment de décider de supprimer des tweets ou de suspendre leurs auteurs. Les modérateurs de Twitter ne regardent PAS Gettr ou d'autres sites Web externes.
Ainsi, par exemple, l'utilisateur @JohnSmith12345 peut avoir un compte Twitter et respecter strictement les règles de Twitter, mais en même temps avoir un compte Gettr où il publierait des messages anti-vaccins. Twitter ne serait pas en mesure de suspendre le compte de @JohnSmith12345. Ce n'est plus acceptable pour le WEF car ils veulent faire taire les gens et les idées, pas les messages ou les comptes individuels.
Cela explique pourquoi le WEF doit aller au-delà des grandes plateformes Internet, afin de collecter des informations sur les personnes et les idées partout ailleurs. Une telle approche leur permettrait de mieux savoir quelle personne ou quelle idée censurer – sur toutes les principales plateformes à la fois.
Ils veulent collecter des renseignements auprès de "millions de sources" et former leurs "systèmes d'IA" pour détecter les pensées qu'ils n'aiment pas, pour prendre des décisions de suppression de contenu transmises à Twitter, Facebook, etc. Il s'agit d'un changement majeur par rapport au statu quo de chaque plate-forme décidant quoi faire en fonction des messages publiés sur cette plate-forme spécifique uniquement.
Par exemple, en plus de regarder mon profil Twitter, l'IA proposée par le WEF examinerait également mon profil Gettr, puis elle prendrait une "décision intelligente" pour me retirer d'Internet immédiatement. C'est un peu une simplification car ils veulent aussi chercher des idées et pas seulement des individus mais, néanmoins, la recherche de la pensée erronée se mondialise.
Cela ressemble à une théorie du complot insensée de l'enfer : le WEF collecte des informations sur tout le monde partout, puis indique à toutes les plates-formes les messages à supprimer, sur la base d'un moteur d'IA décisionnel mondial qui voit tout et peut identifier des personnes et des idées individuelles au-delà d'une plate-forme donnée. .
Si jamais quelqu'un me disait que ce serait envisagé, je penserais probablement que cette personne est folle. Cela ressemble à un fantasme technologique malade ou à une théorie du complot farfelue. Malheureusement, ce truc fou est réel, se trouve dans une proposition d'ordre du jour du WEF qui est officiellement publiée dans la section « Agenda du WEF » de leur site Web. Et le WEF ne plaisante pas.
Un anniversaire de mauvais augure : Nixon ferme la fenêtre dorée
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 17 AOÛT 2022 - 22:25 Écrit par Michael Maharrey via SchiffGold.com,
Il y a cinquante et un ans cette semaine, le président Richard Nixon a claqué la « fenêtre d'or » et éliminé le dernier vestige de l'étalon-or.
Nixon a ordonné au secrétaire au Trésor John Connally de dissocier l'or de son prix fixe de 35 $ et a suspendu la capacité des banques étrangères à échanger directement des dollars contre de l'or. Lors d'un discours à la télévision nationale, le 15 août 1971, Nixon a promis que l'action serait temporaire afin de «défendre le dollar contre les spéculateurs», mais cela s'est avéré être un mensonge.
La décision du président a définitivement et complètement séparé le dollar de l'or et l'a transformé en une monnaie fiduciaire pure.
Les premiers pas vers Fiat
L'ordre de Nixon a été la fin d'un chemin hors de l'étalon-or qui a commencé sous l'administration du président Franklin D. Roosevelt. Le 5 juin 1933 a marqué le début d'une mort lente du dollar lorsque le Congrès a adopté une résolution commune supprimant le droit des créanciers aux États-Unis d'exiger le paiement en or. Cette décision était l'aboutissement d'autres mesures prises par Roosevelt cette année-là.
En mars 1933, le président interdit aux banques de payer ou d'exporter de l'or, et en avril de la même année, Roosevelt signa le décret 6102. Il était présenté comme une mesure pour arrêter la thésaurisation, mais il s'agissait en réalité d'un plan de confiscation massif. L'ordonnance obligeait les citoyens privés, les partenariats, les associations et les sociétés à remettre toutes les quantités d'or, sauf de petites quantités, à la Réserve fédérale à un taux de change de 20,67 $ l'once. En 1934, le prix fixé par le gouvernement pour l'or a été augmenté à 35 $ l'once. Cela a effectivement augmenté la valeur de l'or dans le bilan de la Réserve fédérale de 69 %.
La raison derrière le décret exécutif de Roosevelt et la résolution conjointe du Congrès était de supprimer les contraintes sur l'inflation de la masse monétaire. La loi sur la Réserve fédérale exigeait que tous les billets de la Réserve fédérale soient adossés à 40 % d'or. Mais la Fed était à court d'or et à la limite. En augmentant ses réserves d'or par la confiscation des avoirs en or privés et en déclarant un taux de change plus élevé, la Fed pourrait faire circuler plus de billets.
Le dernier coup de Nixon
Alors qu'il était légalement interdit aux citoyens américains d'échanger des dollars contre de l'or, les gouvernements étrangers ont maintenu ce privilège. Dans les années 1960, la Réserve fédérale a lancé une politique monétaire inflationniste pour aider à monétiser les dépenses massives du gouvernement pour la guerre du Vietnam et Pres. La « grande société » de Lyndon Johnson. Le dollar perdant de la valeur en raison de ces politiques inflationnistes, les gouvernements étrangers ont commencé à échanger des dollars contre de l'or.
C'est exactement ainsi qu'un étalon-or est censé fonctionner. Cela limite la croissance de la masse monétaire et limite la capacité du gouvernement à dépenser. Si le gouvernement « imprime » trop d'argent, d'autres pays commenceront à échanger la monnaie dévaluée contre de l'or. C'est ce qui se passait dans les années 1960. Alors que l'or sortait du Trésor américain, on craignait que les avoirs en or du pays ne soient complètement épuisés.
Au lieu d'insister sur la discipline budgétaire et monétaire, Nixon a simplement coupé le dollar de ses derniers liens avec l'or, permettant à la banque centrale de gonfler la masse monétaire sans retenue.
Conséquences Lorsqu'il a annoncé la fermeture de la fenêtre de l'or, Nixon a déclaré : "Laissez-moi mettre fin au bugaboo de ce qu'on appelle la dévaluation", et a promis : "Votre dollar vaudra autant qu'il vaut aujourd'hui".
C'était aussi un mensonge.
Le dollar a perdu plus de 85% de sa valeur depuis la décision fatidique de Nixon, basée sur le calculateur de l'IPC. Le pouvoir d'achat d'un dollar de 1971 est égal à moins de 14 cents aujourd'hui.
Pendant ce temps, la valeur en dollars de l'or est passée de 35 $ l'once à un peu moins de 1 800 $ l'once aujourd'hui. En pourcentage, cela représente une augmentation de 4 970 %.
L'analyste en investissement Nick Giambruno a déclaré qu'il s'agissait d'une conséquence tout à fait prévisible de l'abandon par les États-Unis d'une monnaie saine.
À tous égards, y compris la stagnation des salaires et la hausse des coûts, les choses se sont détériorées pour la classe moyenne américaine depuis le début des années 1970. Le 15 août 1971, pour être exact. C'est la date à laquelle le président Nixon a tué les derniers vestiges de l'étalon-or. Depuis lors, le dollar est une pure monnaie fiduciaire. Cela permet à la Fed d'imprimer autant de dollars qu'elle le souhaite. Et - sans la discipline imposée par une certaine forme d'étalon-or - c'est précisément ce qu'il fait. La masse monétaire américaine a explosé de 2 106 % depuis 1971. Le rejet de la monnaie saine est la principale raison pour laquelle l'inflation a englouti la croissance des salaires depuis le début des années 1970 et la principale raison pour laquelle le coût de la vie a explosé.
Une autre conséquence a été une énorme dette nationale qui continue de croître à un rythme effarant. La plupart des gens ne s'en rendent pas compte, mais c'est un résultat direct et intentionnel du système actuel de monnaie fiduciaire.
La dévaluation du dollar est considérée comme un compromis acceptable car une monnaie flottante est exactement ce dont le gouvernement avait besoin. Il serait impossible de financer l'État providence et guerrier américain avec une monnaie contrainte par l'or. Avec le dollar détaché de toute norme fixe, l'Oncle Sam pouvait créer autant de dollars qu'il le souhaitait afin de financer tous ses programmes sociaux et militaires massifs. Avec une monnaie fiduciaire flottant librement, le gouvernement américain peut emprunter autant d'argent qu'il en a besoin, sachant que la banque centrale sera toujours là pour monétiser la dette et stocker les dépenses.
Comme l'a dit Frank Holmes dans un article publié par Forbes, "il y a eu un manque de discipline important et croissant en matière de dépenses publiques", depuis l'acte fatidique de Nixon.
Avant 1971, il y avait une limite naturelle à la quantité d'argent pouvant être imprimée. Les nouvelles émissions dépendaient de la quantité d'or qui se trouvait dans les coffres de la nation. Aujourd'hui, avec le dollar soutenu non pas par un actif durable mais par la "pleine foi et le crédit" du gouvernement américain, la dette fédérale se rapproche d'un montant astronomique de 28 000 milliards de dollars, soit plus de 130 % de la taille de l'économie américaine. .”
Pour mettre cela en perspective, en 1960, la dette nationale était juste un peu plus de la moitié de la taille de l'économie américaine.
C'est exactement ce que voulaient des politiciens comme Nixon, Ford, Carter, Reagan, Bush I, Clinton, Bush II, Obama, Trump et Biden - la capacité de dépenser sans retenue et de faire croître le gouvernement sans limites. Le résultat : une dette nationale massive et une monnaie dévaluée qui achète de moins en moins la personne moyenne chaque année.
Comme Ryan McMaken l'a résumé dans un article sur le Mises Wire :
Nixon aspirait à être libéré de cette contrainte afin de pouvoir dépenser les dollars plus librement et de ne pas avoir à se soucier de leur valeur en or. La décision de Nixon était, en bref, la politisation finale et totale de l'argent lui-même.
Pour la plupart des gens, cet anniversaire passera inaperçu. Mais ce devrait être un jour qui vit dans l'infamie.
Peter Schiff a produit l'année dernière une vidéo pour le 50e anniversaire de Nixon fermant la fenêtre d'or qui détaille davantage les mensonges et les conséquences.
Après ce '15 Août 1971' est arrivé le '7 Janvier 1973' en France où le ministre de l’Économie et des Finances (Valery Giscard d'Estaing) sous la présidence de Georges Pompidou a VENDU LA BANQUE DE FRANCE à des banques privées !! Et, comme toutes républiques sont des dictatures, cette décision a été prise SANS L'ACCORD DU PEUPLE.
Depuis ce jour, la totalité des recettes de l’État (ruiné) va aux banques privées qui gèrent et prêtent de l'argent aux gouvernements afin qu'ils établissent un budget !
La Colombie n’est plus entre les mains des colombiens
PAR EDUARDO MACKENZIE LE 16 AOÛT 2022
En ce moment, la Colombie est hors de contrôle.
Le Sénat et la Chambre des représentants, les partis politiques, les entreprises et les hommes d’affaires, les directeurs des médias, sont tombés en état de mort cérébrale. La souveraineté populaire a péri. Les organes de contrôle prévus par la Constitution /sont des /ne sont plus que des /phrases sur un papier. La séparation des pouvoirs et l’existence de freins et contrepoids destinés à limiter les excès des trois pouvoirs ne sont plus praticables.
La Colombie est désormais entre les mains d’un groupe a-national, qui exécute des directives non explicites dans lesquelles les intérêts de la Colombie, de ses habitants, de son territoire, ne sont pas pris en compte. La construction de la Colombie a cessé. Nous entrons dans la phase du démantèlement de la Colombie et du transfert de la richesse nationale vers des pays tiers.
L’État colombien est guidé par une clique aux pouvoirs absolus, mais de fait, qui suit des directives opaques, extra-colombiennes, qui n’ont jamais fait l’objet d’une délibération citoyenne, ni avant ni pendant la campagne électorale.
Voyons juste deux exemples de la façon dont cette situation terrifiante se cristallise dans les événements récents.
La Colombie cessera d’explorer et de commercialiser le gaz de son propre sous-sol et lorsque le gaz des réserves colombiennes sera épuisé, la Colombie importera cette ressource du Venezuela. L’annonce de cette mesure irrationnelle a été faite avant-hier par la nouvelle ministre des Mines et de l’Énergie, Irene Vélez Torres, sans que cela ait généré une explosion de mécontentement dans le pays.
Cette opération est, sans l’ombre d’un doute, la première annonce d’un transfert massif de richesses colombiennes vers le Venezuela. C’est le premier versement d’un pays devenu otage d’un autre lequel exige ce transfert de valeur et de richesse nationale.
Pour endormir le public, Irene Vélez n’a pas précisé le montant de ce que la Colombie devra payer pour ces importations et a prévenu qu’elles débuteront dans « sept ou huit ans » et qu’entre-temps la Colombie pourrait construire « la liaison de transport de gaz avec le Venezuela » .
Elle parle donc d’un vaste plan stratégique, pensé dans tous ses détails. L’ordre du jour est aussi de créer les infrastructures indispensables pour épuiser au plus vite les richesses gazières de la Colombie et pourquoi pas ses richesses en pétrole et en charbon, au profit d’un autre pays ou d’une puissance extra continentale.
Rappelons que le gaz est utilisé quotidiennement par plus de 10 millions de familles colombiennes.
Il y a quelques jours, ce 10 août, Ecopetrol (1) avait annoncé la découverte d’un immense champ gazier en eaux profondes, à 70 kilomètres au large de La Guajira, nommé Gorgon-2, grâce à une excavation marine, avec un navire de pointe, à 2 400 mètres de fond et d’une profondeur totale de plus de 4 000 mètres, la plus grande réalisée en Colombie » (2).
Felipe Bayón, président d’Ecopetrol, a expliqué que ce gisement « permettra d’augmenter les réserves de gaz de la Colombie et de répondre à la demande croissante de cette source d’énergie fondamentale pour la transition énergétique qu’Ecopetrol et le pays ont engagée ». Cependant, Gustavo Petro ne veut rien savoir à ce sujet. « Le gaz est sale », dit-il. Il préfère que le Venezuela de Maduro empoche la meilleure part de l’abandon de la richesse gazière de la Colombie.
Les Colombiens croyaient que Petro allait occuper la Casa de Nariño pendant quatre ans. La clique gouvernementale le dit sans détour : ici, nous serons au service du Venezuela et des autres États pendant au moins huit ans.
Il y aura également, dans quelque mois, des transferts supplémentaires de richesse colombienne, sous de faux prétextes, de maquillages et d’arguments écologistes, au profit de Cuba, une dictature qui doit déjà être en train d’envoyer sa facture à la Casa de Nariño.
Quels contre-pouvoirs entreront en jeu à Bogotá, et dans les régions touchées, pour enrayer une telle barbarie antinationale et placer les agents de la ruine de la Colombie hors des leviers de l’État ? Le pouvoir législatif, la justice, la presse, l’université et le reste de l’immense appareil administratif sortiront-ils de leur état catatonique ?
Pour l’instant le panorama est le suivant : il n’y a pas de contre-pouvoirs, il n’y a pas de Constitution, ni de lois. La clique écrasera tout et utilisera la violence contre les fils de la Colombie pour imposer les diktats du Groupe de Puebla et du Forum de Sao Paulo, et des puissances qui travaillent à saper la démocratie et les libertés en Occident.
Deuxième exemple. La première chose que Gustavo Petro a faite en tant que président a été de rétablir des relations diplomatiques avec une entité que très peu connaissent en Colombie : la République sahraouie. Qu’est-ce que cela apporte à la Colombie ? Rien. Au contraire, cet acte porte un coup à la Colombie. Les excellentes relations avec l’Espagne et le Maroc seront entachées. Notre pays, en 2001, sous la présidence d’Andrés Pastrana, avait gelé les relations avec le Front Polisario, établis par la présidence de Belisario Betancur en 1985.
Pour reprendre la relation bilatérale avec le Maroc et freiner l’immigration sauvage, le gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sanchez a adressé au roi Mohamed VI une lettre reconnaissant l’intégrité territoriale du Maroc, y compris le Sahara occidental, que le Front Polisario revendique comme « République sahraouie ». Le Front Polisario a immédiatement annoncé qu’il rompait ses relations avec l’Espagne. Un porte-parole de ce groupe a expliqué que, par contre, le parti communiste Podemos reconnaît la République sahraouie.
Il est évident que Gustavo Petro, en prenant cette mesure insolite, répondait à l’agenda de Podemos et d’exécrables dictatures, se moquant des intérêts de la Colombie.
Comme le dit la presse, la République sahraouie est une administration de facto (mais pas de jure), c’est une entité « avec une reconnaissance limitée au niveau mondial ». En effet, aucun État européen, ni les États-Unis, ni le Japon, ni l’Australie, ne reconnaît cette « république ». Seuls 54 pays le font, tous du tiers monde, y compris la Corée du Nord et Cuba. Et maintenant la Colombie. Qu’y a-t-il derrière cette mesure ? Un agenda politique qui n’a rien à voir avec la Colombie.
Un autre acte qui ruine la relation bilatérale avec l’Espagne est celui de l’épée de Bolívar, le 7 août. Opération très habile. Avec cette farce préméditée, Petro a rendu un autre service à Podemos et à ceux qui cherchent à briser la monarchie espagnole. L’image du Libertador a également souffert: maintenant des groupes d’exaltés veulent déboulonner les statues de Bolívar en Espagne et ouvrir une nouvelle campagne de haine contre l’histoire de la Colombie.
L’œuvre destructrice avance à la vitesse grand V. Mais en Colombie, la classe politique s’endort ou se console avec la phrase habituelle : « Il ne se passe rien ici ».
(1).- Ecopetrol est une société anonyme d’économie mixte et d’ordre national, rattachée au Ministère des Mines et de l’Énergie. Elle intervient à tous les maillons de la chaîne des hydrocarbures : exploration, production, transport, raffinage et commercialisation. Elle possède la plupart des oléoducs et polyducs en Colombie. Elle participe également à l’activité des biocarburants au Brésil, au Mexique et aux États-Unis (Golfe du Mexique et Permian Texas). La République de Colombie est l’actionnaire majoritaire d’Ecopetrol avec une participation de 88,49 %.
L’armée américaine aux prises avec une vague de suicides
Par Alexandre Lemoine Mondialisation.ca, 16 août 2022
L’université Brown a publié un rapport stipulant que 30.177 militaires et vétérans américains s’étaient suicidés ces 20 dernières années. À titre de comparaison: 7.052 soldats ont été tués dans les opérations américaines depuis le 11 septembre 2001.
L’armée américaine fait face à une véritable épidémie de suicides. 176 soldats se sont suicidés en 2021. Un record depuis 1938. Selon le Pentagone, le taux de suicide grandit dans toutes les armes depuis 2015.
Ce problème préoccupe sérieusement le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin, qui a évoqué ce sujet lors de sa visite à la base d’Eielson en Alaska l’an dernier. C’est dans cette base que les militaires américains mettent le plus souvent fin à leurs jours.
D’après le quotidien USA Today, au premier semestre 2021, parmi les 11.500 militaires stationnés en Alaska, 6 suicides ont eu lieu. Le même nombre que pour toute l’année 2020. Ce chiffre reflète le tableau d’ensemble. En 2018, 326 suicides ont été recensés dans toutes les forces armées américaines, contre 350 en 2019 et 385 en 2020. En comparaison avec environ 160 suicides par an en 2009-2010, cette double hausse de pertes hors combat en dix ans témoigne d’une profonde crise morale au sein des forces américaines.
Tracy Latz, psychiatre avec 35 ans d’expérience, estime que l’une des principales raisons est le « sentiment d’absence de but ». « Les vétérans rapportaient qu’ils sentaient que l’État utilisait leurs camarades comme des pions et ne voyaient aucun sens à leurs actes. »
Les forces spéciales ont été également affectées par les suicides. Le New York Times a publié une étude sur les suicides au sein des forces spéciales organisée à la demande du Commandement des opérations spéciales (SOCOM) par l’Association américaine de suicidologie.
117 suicides ont été recensés entre 2007 et 2015 dans les forces des opérations spéciales, mais ce nombre a considérablement augmenté ces dernières années. Le général Joseph Votel, qui commandait le SOCOM d’août 2014 à mars 2016, a noté dans une interview au NYT que les cas de suicide parmi ses soldats pouvaient être liés à « la pression sociale et la pression du commandement ». Mais le quotidien n’est pas de cet avis et écrit que la raison pourrait être l’accent sur l’intensité élevée des opérations au détriment d’un « commandement compétent, de la discipline et de la subordination ».
La jeunesse américaine ne veut pas s’engager dans l’armée. Le 20 juillet, le chef adjoint d’état-major de l’armée de terre, le général Joseph Martin, a stupéfait les congressistes américains en annonçant qu’en l’absence de suffisamment de recrues l’armée américaine devrait être réduite à son minimum depuis 1940.
Le Pentagone comptait initialement augmenter le nombre des forces terrestres jusqu’à 485.000 hommes d’ici 2023, mais il est clair à présent que l’armée devra être réduite à 445.000 militaires. Selon le général, l’armée manquera d’au moins 7.000 soldats pour mener les opérations actuelles.
Seulement 23 % des jeunes américains sont aptes au service militaire. Les autres sont inaptes à cause de l’obésité, de maladies, de la toxicomanie ou d’un casier judiciaire. Parmi ceux qui sont aptes, seulement 9% souhaitent s’enrôler. 57 % des jeunes américains ont tout simplement peur de servir. Ils sont convaincus qu’après le service ils auront forcément des problèmes psychologiques et physiques. D’où la hausse du nombre de suicides, car il est difficile de rompre le contrat et il est insoutenable de servir.
Au vu d’un manque de personnel, le Pentagone a réduit les exigences envers les recrues et ne complète ses unités qu’à 90 %. Il est désormais possible de s’engager même sans un brevet des collèges. Des camps spéciaux sont créés pour les recrues où des personnes obèses et mentalement déficientes seront préparées au service militaire.
L’une des raisons de la hausse du nombre de suicides est la mutilation psychologique par l’introduction de ce qu’on appelle des théories progressistes. Le sénateur républicain Josh Hawley s’indigne que les soldats américains accordent davantage d’attention à l’étude de la « théorie raciale critique » qu’à la formation militaire. Le sénateur a exigé du chef d’état-major des armées Mark Milley de « cesser d’utiliser les forces armées comme une géante expérience sociale ».
Pendant ce temps, le mécontentement grandit dans les rangs de l’armée. Sur les messageries secrètes des unités d’élite, les combattants d’active et à la retraite des forces spéciales s’expriment de manière négative au sujet des autorités américaines. Le chef du contrespionnage militaire américain Harry Reid a déclaré que ces messageries secrètes feraient l’objet d’une sérieuse enquête.
L’armée française face aux défis d’une guerre de «haute intensité»
Par Olivier Renault Mondialisation.ca, 16 août 2022
Les politiques et les experts militaires français se posent des questions sur les capacités militaires de la France. Le conflit en Ukraine et les menaces terroristes tout comme l’incapacité de l’armée française à pacifier la zone du Sahel obligent ces personnalités à revoir la stratégie militaire de la France sur sa capacité en armes et munitions mais aussi sur sa coopération avec des Etats ayant pourtant été réputés comme des partenaires fiables allant même à former comme avec l’Allemagne, le fameux couple franco-allemand. «Les moyens du dispositif militaire français sont-ils proportionnés pour mener de front notre action antiterroriste au Sahel et la défense du flanc est de l’Europe ?», se demandent-ils.
Le couple franco-allemand ne marche pas et menace la défense française. Joël Barre, Délégué général pour l’armement a fait l’état des lieux lors d’une audition à la commission de la défense de l’Assemblée nationale en juillet dernier. Le compte rendu a été publié ce 10 août sur Twitter. Tout d’abord, Joël Barre confirme ce qu’Observateur Continental avait déjà analysé dans ses articles sur les projets SCAF et MGCS. Titrant, «Le nouveau char franco-allemand sous la direction politique de l’Allemagne», Observateur Continental annonçait déjà la faillite de ce projet.
Même si Joël Barre signale que «nous butons toujours sur l’arrivée de Rheinmetall dans le programme, en particulier, sur le canon du char du combat du futur», et que «nous n’avons pas encore trouvé, entre Rheinmetall et Nexter», il reste optimiste sur le programme MGCS car, selon lui, «il n’est toutefois pas arrêté» car «nous sommes en phase d’étude d’architecture système jusqu’au printemps 2023». Laurent Jacobelli, membre de la commission de la défense nationale et des forces armées et porte-parole du RN, a lancé: «La vision gaullienne de l’Europe des projets, pays par pays, montre ses limites dans notre collaboration avec l’Allemagne»; «Le MGCS prend du retard et force est de constater que nos partenaires allemands travaillent aussi sur leur propre projet de char, privilégiant leur intérêt national».
Il précise aussi, comme Observateur Continental l’avait aussi analysé: «Selon le PDG de Dassault Aviation lui-même, le projet de SCAF connaît aussi quelques problèmes».
Capacité de la France pour une guerre de «haute intensité»? «Le modèle capacitaire que nous développions n’était pas suffisamment orienté vers une crise de «haute intensité» rapide. Il faut accélérer l’effort pour la haute intensité», a informé Joël Barre qui fait savoir qu’«on est maintenant bien plus préoccupé par le retour des puissances» même «si le terrorisme était la priorité de la LPM 2019-2025».
Pour lui, «les points faibles» sont «les stocks de munitions, même si 7 milliards d’euros sont prévus dans la LPM pour compléter et développer de nouveaux missiles ou de nouvelles munitions». Il annonce que «la poursuite de l’effort fera l’objet de la prochaine LPM annoncée par le Président français.
A contrario, le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu réfute «les annonces alarmistes, parues dans la presse, sur les capacités de défense de la France en cas d’attaque, et notamment ce qui a été prétendument extrait du rapport Thiériot-Mirallès, sur un stock de munitions qui ne permettrait pas de tenir plus de deux semaines».
Pourtant, le chef d’état-major des armées, Thierry Burkhard, qui a été l’un des premiers à évoquer la possibilité du retour aux combats de «haute intensité» et la nécessité pour les armées de s’y préparer en durcissant les entraînements et en pensant la guerre probable, évoque «une logique faible stock» qui «a prévalu, considérant qu’on pouvait faire beaucoup à flux tendus», mais qu’on s’aperçoit que c’est plus difficile avec les munitions». Il accuse «l’absence de moyens financiers pour maintenir les flux» ce qui «a créé des dépendances».
A la question si «l’armée française peut à la fois gérer des opérations en Afrique et un conflit majeur de «haute intensité»?», Thierry Burkhard répond qu’il n’y a plus aucun pays capable d’agir seul: «Dans la «haute intensité», on privilégie la défense collective»; «C’est la raison d’être d’alliance comme l’Union européenne ou l’Otan».
Le retour de la guerre de «haute intensité». Le rapport Thiériot-Mirallès évoque «le retour de »l’attrition »» en raison de la «nouvelle donne stratégique et tactique»: «Par ce terme technique, les armées désignent avec pudeur la perte de pilotes, les tués et les blessés au combat, les disparus en mer, les destructions d’appareils, l’épuisement des stocks et des ressources, des données quasiment absentes de la planification depuis trente ans». Le même rapport liste pour 2021, 222 chars de bataille, 254 avions de combat, 19 grands bâtiments de surface dans l’armée française et constate que «l’armée de Terre qui comptait quinze divisions à la fin de la Guerre froide, soit environ 300 000 militaires, n’a plus que l’équivalent de deux divisions» A titre d’exemple, «dans le Haut-Karabakh, les Arméniens ont perdu 220 chars dans le conflit, soit rigoureusement notre parc de Leclerc», que «170 lance-roquettes ont été détruits», que «nous en avons 13». Il prévient, également, qu’«avec 117 Rafale et un taux de disponibilité qui peut difficilement dépasser 0,7, l’armée de l’Air et de l’espace n’a en réalité que 80 avions de chasse »bons de guerre »».
Ainsi, «dans le cas d’un conflit de «haute intensité», seule une trentaine d’avions de combat environ seraient véritablement disponibles pour mener le combat conventionnel au début». Le rapport Thiériot-Mirallès pointe le doigt sur «la nécessité de reconstituer les stocks de munitions pour faire face à un conflit de «haute intensité», rejoignant l’expertise de Thierry Burkhard et de Joël Barre.
Ainsi, la France doit préparer sa population à accepter dans l’avenir plus de pertes en matériel militaire et humaines dans ses armées. Mais, elle n’est pas encore prête à affronter une guerre de «haute intensité» ce qui est pourtant, de nouveau, la norme dans une guerre du 21è siècle.
En juillet, l'inflation dépasse la barre des 10% au Royaume-Uni.
La hausse des prix ne semble pas s’arrêter outre-Manche. Pire, elle accélère encore et dépasse désormais la barre des 10% sur un an. Une situation qui plombe le porte-monnaie des Britanniques.
Les prix de l’alimentation flambent au Royaume-Uni
L’économie britannique est mal en point. Elle subit de plein fouet l’inflation. Cette dernière dépasse la barre symbolique des 10 % en juillet. C’est la première fois qu’elle atteint un niveau à deux chiffres depuis plus de 40 ans. L’un des postes de dépense qui augmente le plus : l’alimentation. Les produits de la boulangerie, la viande ou les légumes continuent d’être toujours plus chers. Selon les économistes britanniques, les plats préparés voient leur prix grimper en flèche.
Autre source d’inquiétudes : l’énergie. Les prix sont amenés à exploser à partir du 1er octobre avec l’application de différentes hausses pour permettre aux distributeurs de passer le cap. Problème, la Banque d’Angleterre prévoit une inflation à 13 % au début de l’automne. La situation risque d’être difficilement supportable pour une majorité d’habitants.
Chute des salaires et du PIB
Dans ce contexte-là, les salaires sont en chute libre au pays de la Reine. Le pouvoir d’achat des Britanniques fond comme neige au soleil. Ils ont perdu 3 % à la fin du mois de juin, le chiffre tenant compte de l’inflation. Plusieurs voies s’élèvent pour inciter le gouvernement à mettre en place d’urgence davantage de mesures d’aide à destination des foyers les plus modestes. Dans le même temps, l’économie britannique ralentit.
Le produit intérieur brut (PIB) est à 0.1 % au second trimestre. Selon les économistes, il devrait passer en négatif avant la fin de l’année. Le Royaume-Uni entrera alors en récession. Alors que Boris Johnson doit bientôt laisser sa place à un nouveau Premier Ministre, son successeur devra gérer une crise économique pour éviter de devoir affronter une crise sociale.
L'INFLATION DE LA ZONE EURO ATTEINT 8,9 % SUR UN AN EN JUILLET 2022
par PAUL LAURENT 18/08/2022
Les services comptent pour 41,6% de la consommation des habitants de la zone euro.
Jeudi 17 août 2022, Eurostat, l’administration européenne des statistiques, a publié les chiffres de la hausse des prix à la consommation au sein de la zone Euro.
La plus forte inflation depuis la création de l’Euro
En juillet 2022, l’inflation a atteint 8,9 % sur un an au sein de la zone euro selon Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne. Depuis l’invention de l’Euro, en 1999, jamais la hausse des prix à la consommation n’avait été aussi forte. Selon Eurostat, l’inflation a même progressé de 0,1 % sur un mois.
Sur l’ensemble de l’Union européenne, l’inflation a, quant à elle, atteint 9,8 % sur un an en juillet 2022 après avoir été de 9,6 % en juin 2022. Sans les produits énergétiques, l’alimentation, l’alcool ou encore le tabac, c’est-à-dire l’inflation sous-jacente, la hausse des prix à la consommation atteint 4 % au sein des 19 pays utilisant l'Euro comme monnaie unique. En juin 2022, ce taux d’inflation avait atteint 3,7 %.
Forte hausse de l’énergie
Dans le détail, c’est encore l’énergie qui tire l’inflation à la hausse. En un an, les prix sur les produits énergétiques ont grimpé de 39,6 % en juillet 2022, contre 42 % en juin 2022. L’énergie compte pour 10,9 % de la consommation des habitants de la zone euro en juillet 2022. Représentant 41,6 % de la consommation en juillet 2022, les services ont augmenté de 3,7 % sur un an, contre 3,4 % au mois précédent.
Comptant pour 20,8 % de la consommation des ménages, les produits alimentaires comprenant l’alcool et le tabac, ont augmenté de 9,8 % en glissement annuel en juillet 2022, contre une augmentation de 8,9 % un mois auparavant. Les produits industriels non-énergétiques ont, quant à eux, augmenté de 4,5 % en juillet 2022 (4,3 % un juin) sur un an. Cette catégorie compte pour 26,5 % dans la consommation totale des habitants de la zone euro.
L'inflation a atteint 6,8 % sur un an en juillet 2022 en France et le thermomètre 43°C, le 18 juin, à Arcachon
Un point d’étape en plein été…ça sert vraiment ?
A cette date-là de l’année il est si facile de ressortir l’inénarrable marronnier de la qualité de l’huile d’olive vendue sur les marchés de plein vent de Provence, et pour faire plus professionnel de parler de la chute du cours de pétrole depuis plus d’un mois. Il serait même très tendance de se poser la question de la taxe des supers profits ou de la baisse du prix du carburant à la pompe ou des deux ?
A ce propos il est tout de même fou de se dire qu’aujourd’hui, on paie l’essence ou le gazole plus cher à la pompe de l’autre côté des Pyrénées, alors même que le coût de la vie y est moins cher et le salaire minimum comparé en France et en Espagne donne ces chiffres en montant brut mensuel : 1645 contre 1166 euros. Bref la taxe sur les super profits en Espagne a bien été votée…et ce sont donc les espagnols qui la paient à la pompe.
Ce qui est certain pour revenir à notre hexagone, c’est qu’il n’y aura pas eu de trêve estivale côté économie non plus. Les données publiées vendredi 12 août 2022 par l'Insee en atteste : cette hausse de l’inflation qui provient de l’accélération des prix de l'alimentation (+6,8 % après +5,8 %), et dans une moindre mesure des produits manufacturés (+2,7 % après +2,5 %), voit sa hausse presque atténuée suite à la flambée des prix de l'énergie, hausse qui se pose un tantinet passant à +28,5 % après +33,1 %, et ce notamment grâce à la baisse des prix des carburants à la pompe.
Alors oui le phénomène n’est pas franco-français (cf. carte), et il est impressionnant de constater combien d’une part la relative sortie de la pandémie Covid et d’autre part la guerre en Europe, contre l’Ukraine, entraînent comme bouleversements économiques.
Et même pour les tenants d’une sortie de l’Europe, la perfide Albion ressent très fort ces secousses de contraction économique. Il est intéressant de noter qu’outre-Manche le repli économique constaté est en partie compensé par…le tourisme qui a repris ses droits après cette période si terne due au virus et ses variants, grâce à la levée des restrictions sanitaires.
Évidemment, inventer un bouclier par-ci, un chèque par-là, ne va pas constituer l’épine dorsale d’une politique économique pérenne. Après le « quoi qu’il en coûte » de ces deux dernières années, la poussée de fièvre économique à laquelle le monde se trouve confronté pour ce second semestre aussi, et plus si affinités, ne va pas être propice à un climat sain pour les investisseurs, tant on a l’impression de se voir confronté à l’émergence d’une nouvelle-donne mondiale. Là où les équilibres précaires certes avaient pourtant l’air de tenir, on assiste à un nouveau maillage économique mondial. Cela va-t-il tenir ? Les chinois grands argentiers du monde : de l’Afrique à la Grèce jusqu’aux Etats-Unis vont-ils réussir à surmonter les effets que produisent leur politique de « zéro Covid » qui est la leur et qui les handicapent ?
L’été sera chaud (1979) : quel devin cet Eric Charden
Sans oublier la seule la vraie canicule estivale avec ses effets en cascade : sécheresse, feux de forêts, suivie des contre-effets de type pluies intenses n’ont pas fini non plus de redistribuer les cartes même en matière économique : les besoins en énergies vont croître de façon exponentielle. Imaginez : 2022 est une année record, étant donné le nombre de jours de canicule : 30 minimum !
Certains ou certaines ont beau faire leur beurre électoral sur le non-besoin de voler ou de se permettre du tourisme à volonté, malgré les voyages des uns en avion première classe ou en voilier pour d’autres, force est de constater que ce n’est pas pour demain l’ère du collectivisme en France.
la France qui s’enorgueillit de voir passer pas loin de 90 millions de touristes par an sur son sol, pour le principal durant les deux mois d’été, ne peut et ne pourra jamais se passer de cette manne économico-financière qu’est la branche du tourisme : 2 millions de salariés directs et indirects, dont 1,4 million d'emplois directs. Les secteurs qui y sont directement liés représentent environ 6% du PIB.
Enfin, oui : un plus grand besoin d’éducation, de sagesse collective pour « faire sens ensemble » se font bien sentir.
Pour ceux qui ont connu la deuxième moitié des années 70, après les deux chocs pétroliers de 1973 et 1979, la France s’était déjà lancée dans une grande campagne « antigaspi » énergétique de carburant avec le slogan « chassons le gaspi ! ». Mais les temps ont changé…plus individualistes, plus hédonistes voire pour les optimistes plus épicuriens (au sens élargi du terme), et donc il va falloir espérer que chacun pourra encaisser ces poussées de thermomètre et ces reculs de pouvoirs d’achat, sans quoi malgré tous les pansements votés à l’assemblée, l’ensemble de notre pays tout comme nos voisins vont avoir bien du mal à boucler la ceinture d’approvisionnement énergétique et contenir les conséquences économiques : moral des ménages donc vitesse de flux des capitaux en berne et recul du PIB, mais aussi à terme, politiques : puisque ce sont alors des périodes propices au populisme triomphant !
Allemagne : suspendre la jachère et la rotation des cultures – perdre les subventions
18 Août 2022 Simon Michel-Berger, rédacteur en chef d'AGRARHEUTE*
Le Ministre Fédéral de l'Agriculture Cem Özdemir (photo d'archives) s'est résolu à laisser aux agriculteurs allemands le choix de respecter ou non l'obligation de mettre en jachère 4 % de leurs terres arables et de respecter certaines règles de rotation des cultures en 2023. Mais ceux qui font usage de ces possibilités sont exclus de la promotion de certaines règles écologiques.
Le ministre allemand de l'agriculture, Cem Özdemir, veut utiliser l'option de la Commission européenne de suspendre en 2023 les règles relatives à la jachère obligatoire et à la rotation des cultures. Les agriculteurs doivent pouvoir décider individuellement s'ils veulent le faire ou non. Mais ceux qui profitent de ces possibilités perdent des aides ailleurs. (Article du 6 août, mis à jour le 9.)
Pendant longtemps, le Ministre Fédéral de l'Agriculture Cem Özdemir s'est fermement opposé à ce que les règles relatives à la jachère obligatoire dans le cadre de la politique agricole commune soient suspendues en 2023. Vendredi dernier, il a abandonné cette position et a proposé aux Länder que l'Allemagne utilise également l'option offerte par la Commission Européenne de suspendre l'obligation de mise en jachère l'année prochaine. Auparavant, M. Özdemir avait déjà annoncé que les règles de rotation des cultures dans le cadre de la politique agricole commune seraient également suspendues une fois en 2023 – les agriculteurs allemands devraient désormais pouvoir faire de même s'ils le souhaitent.
Pourquoi M. Cem Özdemir veut-il suspendre l'obligation de mise en jachère et les règles de rotation des cultures ?
Dans un communiqué de presse du ministère fédéral de l'agriculture du samedi 6 août, M. Özdemir a déclaré : « Poutine joue avec la faim et il le fait au détriment des plus pauvres dans le monde. En même temps, la faim est déjà la plus grande là où la crise climatique a déjà frappé de plein fouet. Pour moi, toute mesure visant à résoudre une crise doit donc être examinée pour s'assurer qu'elle n'en aggrave pas une autre. » Il a ajouté : « Nos agriculteurs et agricultrices ont besoin de planifier avec certitude ce qu'ils pourront semer dans quelques semaines. C'est pourquoi j'ai décidé d'accepter l'offre [de la Commission Européenne, réd.] tout en évitant une détérioration de la protection des espèces, de la protection du climat »
Que propose le ministère fédéral de l'agriculture pour suspendre la jachère obligatoire ?
Selon le ministère fédéral de l'agriculture, la mise en jachère obligatoire de 4 % des terres arables de chaque exploitation devrait être suspendue l'année prochaine. Toutefois, seules les céréales (maïs exclu), le tournesol et les légumineuses (soja exclu) peuvent être cultivées sur ces surfaces. Sont donc également interdites, entre autres, les cultures dites à courte rotation destinées à une utilisation énergétique. Les surfaces qui étaient déjà déclarées comme terres arables en 2021 et 2022 et qui sont couvertes d'éléments paysagers tels que des haies ne pourront toujours pas être utilisées pour les cultures.
Que propose le ministère fédéral de l'agriculture pour suspendre les règles de rotation des cultures ?
Comme l'a annoncé le ministère fédéral de l'agriculture, les règles de rotation des cultures seront suspendues une fois en 2023. Les agriculteurs et agricultrices allemands pourront ainsi cultiver du blé après du blé, par exemple.
Nouvelle bureaucratie liée à l'identification des surfaces en jachère
La proposition du ministère fédéral de l'agriculture entraînera inévitablement une augmentation des charges pour les agriculteurs lorsqu'ils déposeront leur demande de soutien agricole auprès des Länder. Les agriculteurs qui ne mettent pas de terres en jachère devront probablement indiquer, lors de leur demande, les 4 % de leurs terres qui auraient autrement été mises en jachère. Il n'est en effet pas possible de contrôler autrement si les agriculteurs cultivent sur ces surfaces des cultures « interdites » comme le maïs ou le soja.
Question en suspens : que se passe-t-il si le blé cultivé sur des terres en jachère n'a qu'une qualité fourragère ?
La question de savoir ce qui se passerait si les agriculteurs cultivaient du blé E ou A sur des surfaces en jachère suspendue, mais que celui-ci ne devait avoir qu'une qualité fourragère, n'est actuellement pas clarifiée. M. Özdemir déclare en effet textuellement à ce sujet : « Je prends tout le monde au mot : je conclus ce compromis pour l'assiette, pas pour que les céréales finissent dans le réservoir ou l'auge. » Un porte-parole du ministère fédéral de l'agriculture a déclaré à ce sujet à AGRARHEUTE : « Cette question fait l'objet de la mise en œuvre technique de la dérogation aux BCAE 8, qui est encore en cours de clarification. »
Ceux qui cultivent des jachères obligatoires ne peuvent pas bénéficier des règles écologiques correspondantes
Les agriculteurs qui n'auront pas de jachères obligatoires en 2023 ne pourront pas non plus participer au régime écologique (Eco-Scheme) pour la poursuite volontaire de la mise en jachère. C'est ce qu'explique le ministère fédéral de l'agriculture à AGRARHEUTE. Ce régime écologique doit être subventionné à hauteur de 1.300 à 300 €/ha (selon la part de surface de un à dix points de pourcentage). Les agriculteurs qui utilisent l'ancien gel obligatoire de 4 % de leurs terres pour cultiver des cultures arables risquent donc de perdre une grande partie des aides.
Ceux qui ne respectent pas la rotation des cultures perdent le soutien à la rotation des cultures sous le régime de l'agriculture biologique
Les agriculteurs qui utiliseront en 2023 la possibilité de suspendre les règles de rotation des cultures ne pourront vraisemblablement pas bénéficier cette année, pour les surfaces correspondantes, du régime écologique relatif à la rotation diversifiée des cultures. C'est ce qu'a déclaré le ministère fédéral de l'agriculture à AGRARHEUTE. Actuellement, la culture volontaire de cultures diversifiées dans les grandes cultures avec au moins cinq espèces principales et une proportion d'au moins 10 % de légumineuses doit être subventionnée à hauteur de 45 €/ha. En outre, dans certains Länder, comme la Bavière, il est possible d'obtenir un soutien supplémentaire pour les assolements complémentaires dans le cadre du développement rural. Mais là aussi, il pourrait y avoir un changement. Un porte-parole du ministère fédéral de l'agriculture a déclaré à AGRARHEUTE que l'impact du report de la rotation des cultures (BCAE 7) sur l'utilisation du régime écologique 2 en 2023 serait « réexaminé ».
Que pense AGRARHEUTE de la démarche de M. Cem Özdemir ?
La proposition de suspension de l'obligation de mise en jachère et des règles de rotation des cultures en 2023 est maintenant là et on se demande pourquoi la Commission Européenne a mis si longtemps à se décider. Ce n'est pas une décision facile à prendre pour les agriculteurs, qu'ils cultivent ou non des jachères obligatoires – car ils perdent alors des aides. Les choses se compliquent également en ce qui concerne la rotation des cultures, car dans certains Länder, les aides du deuxième pilier sont fortement basées sur les règles de l'agriculture biologique. Les agriculteurs doivent maintenant vérifier leurs calculs avec une plume acérée et ont peut-être déjà commandé des semences, des engrais et d'autres intrants sur la base d'un calcul précédent. Compte tenu des prix élevés des céréales, de nombreux agriculteurs devraient en outre se demander si une demande de subvention en 2023 a un sens pour eux.
Comment comptez-vous profiter de l'assouplissement des directives de la politique agricole en 2023 ?
Je mettrai moins de terres en jachère que je ne le devrais : 16 % (343 votes)
Je ne respecterai pas les prescriptions en matière d'assolement : 6 % (136 votes)
Je mettrai moins de terres en jachère et je ne respecterai pas les exigences en matière d'assolement : 17 % (381 votes)
Je mettrai des terres en jachère et je respecterai l'assolement, comme si les exceptions n'existaient pas : 12 % (253 votes)
Je n'introduirai probablement pas de demande de subvention en 2023 : 25% (544 votes)
Je ne sais pas encore ce que je vais faire : 24 % (523 votes)
La mise en jachères (friches !) est une absurdité gouvernementale car, la terre renferme des nutriments. Et, cette nourriture va profiter à qui ? ... à l'herbe ! Aux ronces, aux épineux et à toutes sortes de mauvaises herbes qui vont pousser, faire des graines et se répandre ! Çà alors !
Le Nigeria approuve l'importation du blé HB4 de Bioceres
18 Août 2022 Food Safety Africa*
Après avoir récemment adopté une réglementation sur l'édition de gènes, le Nigeria est une fois de plus en première ligne pour adopter la biotechnologie sur le continent africain en donnant son feu vert à l'importation de la variété [du type] de blé HB4 tolérante à la sécheresse de la société argentine Bioceres Crop Solutions.
Le permis délivré par l'Agence Nationale de Gestion de la Biosécurité (NBMA – National Biosafety Management Agency) du Nigeria autorise « l'importation de blé génétiquement modifié : IND-00412-7 pour l'alimentation humaine, l'alimentation animale et la meunerie » et est valable jusqu'en juillet 2025.
Cette déclaration intervient quelques semaines à peine après que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a terminé son évaluation du HB4, déterminant qu'elle n'avait plus de questions concernant la sécurité du blé génétiquement modifié.
Bioceres a aussi annoncé récemment qu'elle allait de l'avant dans ses efforts pour obtenir l'autorisation de semer et de produire son blé génétiquement modifié résistant à la sécheresse en Australie, avec l'objectif de recevoir les autorisations de semer en 2023.
Selon Bioceres, il a été démontré que la technologie de tolérance à la sécheresse HB4 augmente les rendements du blé de 20 % en moyenne dans des conditions de limitation de l'eau, une adaptation clé qui favorise les systèmes de double culture, où la gestion de l'eau est de plus en plus critique.
Dans le cadre de pratiques de semis direct, les rotations soja-blé HB4 permettent de fixer environ 1.650 kilogrammes de carbone dans le sol par hectare et par an, par rapport aux émissions positives de la monoculture de soja conventionnelle, a déclaré la société.
Le Département Américain de l'Agriculture a prévu que les importations de blé du Nigeria s'élèveraient à 6,5 millions de tonnes pour la campagne 2022-23.
Le Nigeria rejoint le Brésil, la Colombie, l'Australie et la Nouvelle-Zélande qui ont également approuvé l'utilisation du blé dans l'alimentation humaine et animale.
Le blé HB4 est commercialement autorisé pour la production et la consommation en Argentine, où cinq variétés ont été autorisées à être enregistrées pour la campagne agricole actuelle. L'Argentine a accordé cette approbation en octobre 2020, ce qui en fait le premier pays à le faire.
Le blé HB4 tolérant à la sécheresse est une technologie de semences brevetée développée par Trigall Genetics, la coentreprise de Bioceres avec Florimond Desprez, un leader mondial de la génétique du blé.
Depuis 2009, des essais sur le terrain du blé HB4 sont en cours, et depuis 2013, Bioceres et Florimond Desprez ont investi de manière agressive dans la sélection et les activités réglementaires de phase II.
La commercialisation du blé HB4 en Argentine était toutefois soumise à l'approbation du Brésil, ce dernier étant le principal marché d'exportation de la production argentine de blé.
Des bébés de rats de laboratoire vaccinés contre le covid souffrent de malformations des côtes
Mercredi 17 août 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Judicial Watch a obtenu plus de documents via une demande de loi sur la liberté d'information (FOIA), cette fois de Moderna, qui montrent que les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) détruisent la santé non seulement de ceux qui se font injecter mais aussi leur progéniture.
Les rats de test soumis au tir expérimental d'ARNm (ARN messager) de Moderna ont porté des enfants avec de graves malformations des côtes, selon les nouveaux documents. Cela n'a jamais été rendu public, mais la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis était au courant avant l'autorisation d'urgence des piqûres.
L'ancienne cadre pharmaceutique Alexandra Latypova a analysé et examiné les documents, qui contiennent des résultats de tests montrant une forte prévalence de malformations squelettiques chez la progéniture de rats qui ont reçu des injections d'ARNm-1273 (ARNm de Spikevax) de Moderna.
"Les variations liées à l'ARNm-1273 dans l'examen du squelette comprenaient des augmentations statistiquement significatives du nombre de rats F1 avec 1 ou plusieurs côtes ondulées et 1 ou plusieurs nodules de côtes", indiquent les documents - F1 se référant à la progéniture de rat.
« Des côtes ondulées sont apparues chez 6 fœtus et 4 portées avec une prévalence fœtale de 4,03 % et une prévalence de portée de 18,2 % », ajoutent-ils – la portée faisant référence à une naissance en groupe de rats. "Des nodules costaux sont apparus chez 5 de ces 6 fœtus."
Pendant cinq jours après la dernière dose – jour de gestation 13 – une toxicité maternelle a été observée chez les rats, poursuivent les documents. Il s'agit de la période la plus sensible pour le développement des côtes chez les rats, qui se produit pendant les jours de gestation 14 et 17.
Moderna n'a effectué qu'un seul test de toxicité pour la reproduction pour ses injections de covid, et c'était tout Les côtes ondulées sont des côtes qui se forment de manière incorrecte, juste pour être clair. Les essais de Moderna ont vu six bébés rats sur environ 149 en souffrir, ainsi que cinq qui ont développé des nodules sur les côtes.
Seules les rats femelles ont reçu le vaccin Moderna, nous le savons aussi maintenant. Pour une raison quelconque, Moderna a évité de tester ses injections sur des rats mâles, peut-être parce que les injections sont connues pour dévaster le nombre de spermatozoïdes.
Des rats femelles ont reçu une dose humaine de 100 microgrammes (mcg) d'ARNm de Spikevax 28 et 14 jours avant l'accouplement et les jours de gestation un à 13.
"1/2 rats euthanasiés avant l'accouchement pour examiner les fœtus, le reste suivi jusqu'à 21 jours après l'accouchement", explique Latypova. "Aucun chiffre n'est fourni pour la taille de l'étude."
Il s'avère que c'est le seul test de toxicité pour la reproduction que Moderna ait jamais effectué sur son injection d'ARNm – et le résultat a été un spectacle d'horreur. La manière dont la FDA a utilisé cette étude comme preuve pour prouver la « sécurité » et « l'efficacité » du vaccin Moderna reste inconnue.
"Ni Moderna ni Pfizer n'ont fourni de calculs de dose ou d'informations de justification pour la sélection de dose dans les études sur les animaux", a ajouté Latypova dans une déclaration sur la façon dont Pfizer est tout aussi coupable de jeu déloyal dans ses essais sur les animaux.
«Les doses de médicaments, ou en particulier de produits biologiques, n'ont pas nécessairement de relations linéaires avec la toxicité ou l'efficacité. C'est probablement une relation beaucoup plus complexe et malheureusement pas connue du tout.
La FDA exige des tests de toxicité pour la reproduction pour tous les nouveaux médicaments qui pourraient être pris par des femmes en âge de procréer. Latypova le sait car elle a travaillé dans plus de 60 sociétés pharmaceutiques et s'est principalement concentrée sur l'examen des essais associés qui ont été soumis à la FDA pour approbation.
Étonnamment, la FDA a examiné les résultats de cet essai Moderna et a déclaré via une déclaration du 30 janvier qu'il n'y avait aucun effet indésirable sur les développements postnatals.
"Aucune malformation ou variation fœtale liée au vaccin et aucun effet indésirable sur le développement postnatal n'ont été observés dans l'étude", lit-on dans une déclaration de la FDA sur l'étiquette de Moderna Spikevax.
Il s'avère que le vaccin Pfizer produit le même effet de malformation des côtes chez le rat, ce qui est logique puisqu'il s'agit d'une formule d'ARNm similaire.
La dernière couverture médiatique sur les injections de virus chinois peut être trouvée sur ChemicalViolence.com.
Les verrouillages de Covid ont tué 20 fois plus de personnes qu'ils n'auraient jamais pu en sauver
Mercredi 17 août 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Une nouvelle étude publiée dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health suggère que des millions de personnes seraient encore en vie sans les blocages du gouvernement contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Vingt fois plus de personnes sont mortes plutôt qu'elles n'ont vécu à cause des confinements, révèle l'étude. Le comportement sédentaire, l'isolement et les traitements médicaux retardés sont parmi les nombreuses raisons pour lesquelles les confinements ont causé bien plus de mal que de bien.
"Dans ce travail, nous avons effectué une revue narrative des travaux étudiant l'efficacité ci-dessus, ainsi que l'expérience historique des pandémies précédentes et une analyse risques-avantages basée sur le lien entre la santé et la richesse", ont déclaré les auteurs des travaux du Collège de technologie de Jérusalem.
"L'analyse comparative de différents pays a montré que l'hypothèse de l'efficacité des confinements ne peut être étayée par des preuves - ni en ce qui concerne la pandémie actuelle de COVID-19, ni en ce qui concerne la grippe espagnole de 1918-1920 et d'autres pandémies moins graves dans le passé."
Intitulé « Les confinements sont-ils efficaces pour gérer les pandémies ? le document contient des données claires estimant le nombre de vies perdues en raison des restrictions de verrouillage, qui ont été poussées par des personnalités comme Tony Fauci, Deborah Birx et même Mike Pence. Il s'avère que les gens auraient mieux fait de vivre leur vie normalement.
"Il convient de mentionner que les mêmes conclusions - aucun avantage clair des verrouillages en cas de pandémie - ont été faites par des organismes nationaux et internationaux avant l'émergence de COVID-19", explique en outre le document.
"À savoir, plusieurs gouvernements ont préparé des plans détaillés de réponse aux pandémies de type grippal il y a des années - voir les programmes de l'Administration américaine de la sécurité et de la santé au travail (2007) et du ministère israélien de la Santé (2007)."
En 2019, l'OMS a mis en garde contre les verrouillages pour les pandémies en disant qu'ils ne sont "pas recommandés en aucune circonstance" Même l'Organisation mondiale de la santé (OMS) était contre les blocages avant que ce ne soit soudainement pour eux au début de la pandémie de grippe Fauci. Voici ce que dit un plan de préparation complet de 91 pages publié par l'OMS en octobre 2019 :
Les mesures de distanciation sociale « peuvent être très perturbatrices » et doivent être soigneusement pondérées ; Les mesures liées aux voyages ont "peu de chances de réussir" ; "les fermetures de frontières ne peuvent être envisagées que par les petites nations insulaires en cas de pandémie grave" ; La recherche des contacts et la mise en quarantaine des personnes exposées ne sont en aucun cas recommandées. En d'autres termes, à peu près tout ce qui a fini par être imposé aux masses pour lutter contre le covid était quelque chose que l'OMS avait averti au moins un an auparavant n'était pas utile pour garder les gens en bonne santé et en sécurité.
Ce n'est pas seulement que les confinements étaient inefficaces : ils étaient explicitement nuisibles, selon l'article. Ils semblent avoir été utilisés comme un moyen d'abattre la population, et non de sauver des vies. (Connexe: la Chine communiste fait TOUJOURS des verrouillages.)
"Les politiques de confinement ont eu pour effet secondaire direct d'augmenter la mortalité", explique le document. "Les hôpitaux d'Europe et des États-Unis étaient prêts à gérer de très petits groupes de patients hautement contagieux, alors qu'ils n'étaient pas préparés à un défi beaucoup plus probable - une contagion à grande échelle."
"En conséquence, les établissements de santé publics et les maisons de retraite sont souvent eux-mêmes devenus des vecteurs de contamination - en grande partie à cause de la mise en œuvre d'une politique d'urgence basée sur le confinement."
Toutes les autres fois que des mesures de verrouillage ont été essayées au cours de l'histoire, les effets ont été négatifs. À aucun moment, ils n'ont entraîné moins de maladies et de décès, et pourtant, les confinements ont été la première chose que les responsables gouvernementaux, ici et à l'étranger, ont suggérée comme moyen d'empêcher la propagation des germes chinois.
« Bien que notre compréhension des mécanismes de transmission virale conduise à l'hypothèse que les confinements peuvent être un outil efficace de gestion de la pandémie, cette hypothèse ne peut être étayée par l'analyse factuelle de la pandémie actuelle de COVID-19, ainsi que de la grippe H1N1 de 1918-1920. pandémie de grippe de type A (la grippe espagnole) et de nombreuses pandémies moins graves dans le passé », conclut le document.
Les dernières nouvelles liées à la pandémie sont disponibles sur Pandemic.news.
Effondrement du maïs : seulement 57 % de la récolte de maïs aux États-Unis est en bon ou en excellent état
RépondreSupprimermercredi 17 août 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Moins de 60 % de la récolte de maïs américaine est en bon ou excellent état, selon le dernier rapport Crop Progress du Département de l'agriculture des États-Unis (USDA).
Au 15 août, seulement 12 % de la récolte de maïs américaine était en excellent état ; 45 % en bon état ; 27 pour cent dans la juste condition; 10 % en mauvais état ; et 6 % en très mauvais état.
Dans le rapport Crop Progress de l'USDA publié le 17 juillet, 13 % de la récolte a été jugée excellente, 48 % bonne, 25 % passable, 8 % mauvaise et 3 % très mauvaise.
Le 19 juin, seulement 13 % de la récolte étaient jugés excellents, mais 57 % de la récolte étaient jugés en bon état. 24 % de la récolte était dans un état passable. 5 % de la récolte de maïs ont été jugés médiocres et seulement 1 % de la récolte a été en très mauvais état.
"Nous savons que la récolte de maïs est en retard sur la maturité moyenne après les retards de semis", a déclaré Brian Grete, rédacteur en chef de Pro Farmer, un site Web d'actualités agricoles appartenant au magazine Farm Journal. Le journal est sur le point de faire une tournée des cultures pour recueillir des rapports de scouts sur plus de 2 000 champs de maïs dans sept États du Midwest.
"Il est discutable de savoir à quel point les évaluations de l'état des cultures correspondent au rendement final, mais la récolte de cette année était juste un peu inférieure à la moyenne lorsque la pollinisation a commencé", a déclaré Grete. "Une clé pour cela est de trouver suffisamment de boisseaux [de maïs] dans les bonnes zones pour compenser les zones les plus pauvres."
Selon le service national des statistiques agricoles de l'USDA, la production nationale de maïs aux États-Unis devrait chuter de 5 % par rapport à l'année dernière. Le rendement moyen du maïs est prévu à 175,4 boisseaux par acre, en baisse de 1,6 boisseaux par acre par rapport aux prévisions de l'an dernier au cours de la même période. Le nombre d'acres plantés en maïs est de 89,8 millions, en baisse de 4 % par rapport à 2021.
L'état des cultures se détériore dans tout le pays
L'examen des données de l'USDA montre que les conditions des cultures se détériorent dans tout le pays. (Connexe : récolte du Nebraska, les rendements de maïs chutent alors que la chaleur extrême affecte la ceinture de maïs américaine.)
Dans l'Iowa, seulement 66 % du maïs de l'État était en bon ou en excellent état, selon le dernier rapport de l'USDA, contre 73 % de la récolte dans des conditions similaires la semaine précédente.
Le climatologue de l'État Justin Glisan a noté que les précipitations hebdomadaires pour la semaine se terminant le 13 août "allaient de l'absence d'accumulation dans plusieurs stations de l'ouest et du sud de l'Iowa à 3,67 pouces [de précipitations] à Anamosa" dans le comté de Jones, dans l'est de l'Iowa.
Au Kansas, Kellan Heavican de Brownfield Ag News a noté qu'avec peu de pluie, les conditions des cultures dans l'État continuent également de se détériorer.
"L'USDA dit que 29 % du maïs est classé bon à excellent avec 25 % cabossé", a écrit Heavican. "De nombreuses cultures au Kansas ont dépassé le stade de la récupération après une chaleur et une sécheresse extrêmes."
Le Kansas et le Texas ont les pires conditions de récolte de maïs dans le dernier rapport de l'USDA. Dans le premier cas, 24 pour cent de la récolte de maïs ont été jugés mauvais et 20 pour cent ont été jugés très mauvais. Au Texas, 26 % du maïs a été jugé médiocre et 20 % ont été jugés très médiocres. De plus, seulement 19 % de la récolte de maïs au Texas était en bon ou en excellent état.
RépondreSupprimerLes États avec les pires conditions de récolte de maïs connaissent une chaleur extrême. Au 9 août, le U.S. Drought Monitor a signalé qu'environ 66% du pays connaissait une sécheresse ou une sécheresse anormale. Dans les régions du nord et de l'est de la ceinture de maïs, les conditions de sécheresse se sont légèrement améliorées depuis le dernier rapport du Drought Monitor, alors qu'elles se sont aggravées dans les États de l'ouest et du sud.
En savoir plus sur l'état des cultures américaines dans Crops.news.
Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, explique comment les mauvaises récoltes dans le monde sont maintenant à des niveaux de crise.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.
Articles plus connexes :
La National Black Farmers Association met en garde : la pénurie alimentaire est inévitable à moins que le gouvernement n'intervienne.
Les agriculteurs du sud de la Floride se retirent en raison de l'INFLATION, de l'augmentation des coûts des intrants agricoles comme le carburant diesel.
Cultures américaines, troupeaux de bovins menacés en raison de "chaleur intense et conditions sèches".
Les agriculteurs de Pennsylvanie ne peuvent pas récolter leurs récoltes en raison de la pénurie de diesel.
Les semis de maïs, de soja, de blé et d'avoine aux États-Unis sont désormais loin derrière leurs moyennes quinquennales.
Sources include:
AgWeb.com
WisFarmer.com
Agriculture.com
BrownfieldAgNews.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-17-just-57percent-corn-in-good-excellent-condition.html
Les prix de la sauce à spaghetti vont augmenter en raison de la réduction des rendements de tomates dans le contexte de la crise de l'eau en Californie
RépondreSupprimermercredi 17 août 2022
par : Belle Carter
(Natural News) Les producteurs de tomates de Californie sont maintenant aux prises avec une pénurie d'eau provoquée par la pire sécheresse en 1 200 ans. Ce dilemme qui affecte la production de tomates de transformation, la variété qui est mise en conserve et utilisée dans les cuisines commerciales pour fabriquer certains des aliments les plus populaires, pourrait éventuellement entraîner la flambée imminente des prix des sauces à base de tomates sur le marché.
"Nous avons désespérément besoin de pluie", a déclaré Mike Montna, chef de la California Tomato Growers Association, dans une interview. "Nous arrivons à un point où nous n'avons plus d'inventaire pour continuer à répondre à la demande du marché."
Cette région des États-Unis est responsable d'un quart de la production mondiale de tomates. Cependant, avec les prévisions de « changement climatique » appelant à des conditions plus chaudes et plus sèches, les perspectives pour les agriculteurs sont incertaines.
« Il est vraiment difficile de faire pousser une culture de tomates en ce moment. D'un côté, vous avez la sécheresse qui a un impact sur les coûts parce que vous n'avez pas assez d'eau pour cultiver tous vos acres, et puis vous avez le côté inflation agricole avec des coûts de carburant et d'engrais qui augmentent », a ajouté Montna.
Selon Rick Blankenship, vice-président des opérations agricoles de Woolf Farming, un producteur et transformateur basé dans le comté de Fresno, les restrictions californiennes limitant l'utilisation des eaux souterraines et la flambée des coûts de main-d'œuvre, de carburant et d'engrais ont causé des maux de tête aux producteurs.
"Il en coûte environ 4 800 dollars l'acre pour cultiver et récolter une culture de tomates ces jours-ci, contre 2 800 dollars il y a dix ans", a déclaré Blankenship dans une interview. « La plupart des augmentations ont eu lieu au cours des deux dernières années. La prime de cette saison coûte plus cher et offre moins.
Il a souligné que les rendements sont très faibles cette année, associés à la sécheresse et aux températures élevées, ce qui en soi crée un problème où les tomates sont si chaudes qu'elles ne taillent tout simplement pas correctement.
RépondreSupprimer"On pourrait penser que c'était un coup de circuit pour les producteurs, mais en réalité, les coûts des intrants ont tellement augmenté que le profit potentiel a été entièrement englouti", a déclaré Blankenship.
La récolte californienne a été inférieure au récent pic de production de 14,4 millions de tonnes en 2015 au cours des six dernières années, et 2022 s'annonce pour poursuivre la tendance, selon les données du Département de l'agriculture des États-Unis (USDA). L'industrie s'attend à ce que la récolte de cette année tombe en dessous de l'estimation de 11,7 millions de tonnes de l'USDA.
"Malgré une faible offre et une augmentation substantielle des prix, la production sous contrat a considérablement chuté par rapport au début de 2022", indique le rapport de mai de l'USDA.
Une étude prédit une baisse des rendements de tomates en raison de l'augmentation de la température de l'air
Une étude publiée dans Nature a prédit une baisse de 6 % des rendements de tomates dans les principales régions productrices telles que l'Italie et la Californie d'ici 2050.
L'étude indique qu'une augmentation de la température de l'air dans les grandes régions productrices de tomates entraînera une diminution du rendement. De plus, les restrictions d'eau et la sécheresse sont des facteurs qui empêcheront probablement l'Italie et la Californie de maintenir leur production actuelle de tomates de transformation. (Connexe: Une horrible sécheresse provoque des mauvaises récoltes généralisées aux États-Unis et en Europe.)
Dirigée par des chercheurs de l'Université d'Aarhus au Danemark, l'étude comprend un modèle mathématique qui, lorsqu'il est étendu sur une plus longue période, prédirait que le rendement des tomates de transformation pourrait être réduit de moitié entre 2050 et 2100.
R. Greg Pruett, directeur des ventes et de l'énergie pour Ingomar Packing Co., l'un des plus grands transformateurs de tomates au monde, a déclaré qu'il n'y avait tout simplement pas assez d'acres de tomates de transformation plantées cette année pour garantir que tout le monde obtienne son approvisionnement complet. Il a ajouté que l'eau est soit trop chère, soit simplement indisponible à tout prix.
"Si vous recherchez une quantité importante de pâte de tomate et que vous ne l'avez pas déjà contractée, vous ne l'obtiendrez pas, quel que soit le prix", a déclaré Pruett lors d'un entretien téléphonique.
Selon Bloomberg, étant donné que les produits à base de tomates sont difficiles à remplacer, la demande n'est pas particulièrement sensible aux variations de prix. Le prix de la sauce tomate au cours des quatre semaines se terminant le 10 juillet a augmenté de 17 % par rapport à il y a un an, tandis que le ketchup a augmenté de 23 %, selon le cabinet d'études de marché IRI.
RépondreSupprimerLes analystes disent que cela pourrait faire partie du récit du «changement climatique» des alarmistes ciblant l'approvisionnement alimentaire pour un effondrement mondial total.
Regardez la vidéo ci-dessous qui parle de ce qui se passe réellement avec la sécheresse, le gouvernement californien corrompu et les mondialistes qu'ils servent.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne TruthSeeker sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
La sécheresse au Texas pourrait éclipser la sécheresse de 2011, la pire jamais enregistrée dans l'État.
Pénurie de matières premières causée par une grave sécheresse entraînant une pénurie de LAIT en France.
Cette seule carte est terrifiante - Si les pénuries alimentaires, les prix de l'essence, l'inflation globale et le CA 'TruckPOCALYPSE' ne suffisent pas aux Américains, une pénurie d'eau est la suivante.
Sources include:
Finance.Yahoo.com
Nature.com
ModernFarmer.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-17-spaghetti-sauce-prices-increase-tomato-yields-plunge.html
La pénurie de tomates émerge dans la Californie frappée par la sécheresse alors que les prix du ketchup montent en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 18 AOÛT 2022 - 01:20
Il y a quelques jours, nous avons dit que le prochain problème d'insécurité alimentaire qui pourrait avoir un impact sur les habitudes alimentaires des Américains pourrait être une pénurie émergente de pommes de terre. Maintenant, il semble y avoir un autre problème : les tomates sont pressées et les risques d'une pénurie de ketchup augmentent alors qu'une grave sécheresse frappe les terres agricoles de la Californie.
La Californie représente un quart de la production mondiale de tomates. La pire sécheresse en 1 200 ans a contraint les agriculteurs à abandonner les champs alors que les cultures se transforment en poussière au milieu d'une crise de l'eau.
- voir carte sur site -
"Nous avons désespérément besoin de pluie … et arrivons à un point où nous n'avons plus de stock pour continuer à répondre à la demande du marché", a déclaré Mike Montna, directeur de la California Tomato Growers Association, à Bloomberg.
"Il est vraiment difficile de cultiver une culture de tomates en ce moment", a poursuivi Montna, ajoutant, "d'un côté, vous avez la sécheresse qui a un impact sur les coûts parce que vous n'avez pas assez d'eau pour cultiver tous vos acres, et puis vous avez le côté inflation agricole avec des coûts de carburant et d'engrais qui montent en flèche."
Le manque d'eau et la flambée des coûts de l'agriculture semblent être une «tempête parfaite» en préparation qui pourrait entraîner une pénurie de toutes sortes de produits à base de tomates, y compris le ketchup, la salsa et la sauce à spaghetti.
Rick Blankenship, président du conseil d'administration du California Tomato Research Institute, a averti que les rendements des cultures sont "loin cette année … et couplés à la sécheresse, nous avons eu des températures élevées et cela en soi crée un problème où les tomates sont si chaudes que elles ne sont tout simplement pas de la bonne taille. Vous avez donc beaucoup de tomates sur un plant, mais elles sont plus petites. »
Bloomberg a déclaré que la valeur d'une tonne de tomates a atteint un niveau record cette année de 105 dollars en raison de la hausse des prix des intrants, tels que le diesel et les engrais, aggravée par la sécheresse.
"On pourrait penser que c'était un coup de circuit pour les producteurs, mais en réalité, les coûts des intrants ont tellement augmenté que le profit potentiel a été entièrement englouti", a déclaré Blankenship.
R. Greg Pruett, directeur des ventes et de l'énergie pour Ingomar Packing Co., l'un des plus grands transformateurs de tomates au monde, a déclaré que tous les clients n'obtiendront pas leurs produits transformés. L'entreprise vend à certaines des plus grandes marques alimentaires. Il a déclaré que les stocks plongeaient à des niveaux extrêmement bas.
RépondreSupprimer"Si vous recherchez une quantité importante de pâte de tomate et que vous ne l'avez pas déjà contractée, vous ne l'obtiendrez pas, quel que soit le prix", a déclaré Pruett, ajoutant: "Ce n'est tout simplement pas là."
La société d'études de marché IRI montre que le prix de la sauce tomate au cours des quatre dernières semaines se terminant le 10 juillet a bondi de 17 % par rapport à il y a un an, tandis que le ketchup a bondi de 23 %.
Outre les tomates, les frites pourraient manquer car la récolte de pommes de terre a souffert d'une vague de chaleur. Et pire encore, la plupart des importations américaines de bière proviennent du nord du Mexique, où la région manque d'eau.
Le ketchup, les frites et la bière pourraient bientôt manquer ou connaître des hausses de prix en raison du resserrement de l'offre.
https://www.zerohedge.com/commodities/tomato-shortage-emerges-ketchup-prices-soar
Mangez des grillons et arrêtez les sécheresses
RépondreSupprimerLes Cheddar Cheese Puffs à base de farine de grillon sont déjà là (au Canada en tout cas).
August 16th, 2022
La société qui vend les Cricket Puffs s'appelle ActualFoods, peut-être parce que BugFoods, ou Pests-for-dinner, pourrait ne pas être un gagnant.
Farine de grillon, En fait de la nourriture, Feuilletés au fromage cheddar.
@ShaunbakerMD
À noter : « Les personnes allergiques aux crustacés peuvent être allergiques aux grillons ».
Ce sont des professionnels du marketing. Mettre d'abord la farine de grillon dans la catégorie de la malbouffe est un moyen de l'introduire discrètement et de la normaliser. Les gens qui achètent de la malbouffe au supermarché ne lisent probablement pas la liste des ingrédients de trop près, et les gens qui mangent des bouffées lors de fêtes ne le font certainement pas.
Rappelez-vous que manger des grillons changera les courants-jets
Ou du moins vous faire sentir saint :
DURABLE
Nous accordons autant d'importance à la planète qu'à notre santé. Nos superaliments produisent moins d'émissions et de déchets que les aliments diététiques traditionnels, ils constituent donc un choix facile pour les consommateurs respectueux de l'environnement.
C'est de la nourriture avec tous les mots à la mode :
Propulsés par des grillons biologiques cultivés de manière durable, nos soufflés sont riches en protéines, riches en vitamines telles que B12 et une source naturelle de prébiotiques.
Je note que ces grillons ne sont pas en liberté.
À 5,99 $ le sac, ils s'adresseront aux riches Verts en quête d'auto-publicité ou de pénitence. Mais pas nécessairement les végétaliens. Les végétaliens stricts auront un dilemme puisque les insectes font techniquement partie du règne animal. La Vegan Society avertit que le miel n'est pas végétalien car il exploite les abeilles. Donc, on peut supposer que l'abattage de millions de grillons innocents ne fera pas l'affaire non plus.
La foule Keto ne sera pas non plus contente car les bouffées contiennent environ 50 % de glucides. Qui sera content ?
h/t David Maddison, John Connor II
https://joannenova.com.au/2022/08/eat-crickets-and-stop-droughts/
(...) À noter : « Les personnes allergiques aux crustacés peuvent être allergiques aux grillons ». (...)
SupprimerC'est de la mer dans poudre.
Le gouvernement fédéral coupe les livraisons d'eau en Arizona et au Nevada, ce qui pourrait avoir un impact sur la production alimentaire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 18 AOÛT 2022 - 04:40
L'Arizona et le Nevada sont confrontés à des réductions plus importantes de la quantité d'eau qu'ils peuvent puiser dans le fleuve Colorado frappé par la sécheresse, a déclaré mardi le Bureau of Reclamation du ministère de l'Intérieur.
L'agence responsable de la gestion de l'eau et de l'électricité dans l'ouest des États-Unis a déclaré qu'une "action urgente" était nécessaire alors que les niveaux d'eau dans les deux plus grands réservoirs du fleuve Colorado, le lac Mead et le lac Powell, continuent de baisser. Dans le cadre des nouveaux efforts de conservation, 21% de l'allocation annuelle d'eau de l'Arizona provenant du système fluvial sera réduite en 2023.
Le Nevada verra 8% des livraisons d'eau réduites et la part du Mexique sera réduite de 7%. La Californie sera épargnée par les nouvelles mesures qui débuteront l'année prochaine.
Les réductions pourraient être le début d'une crise de l'eau pour les 40 millions d'Américains dans sept États (Colorado, Nouveau-Mexique, Utah, Wyoming, Arizona, Californie et Nevada) qui dépendent fortement de la rivière pour l'eau douce et l'électricité.
- voir carte sur site -
Cette décision intervient alors que l'ouest des États-Unis est confronté à la pire méga-sécheresse en 1 200 ans qui a fait baisser les niveaux du lac Mead, le plus grand réservoir des États-Unis, à des niveaux jamais vus depuis huit décennies.
Le lac Powell, quant à lui, pourrait faire face à des perturbations de la production hydroélectrique dès l'année prochaine, a déclaré The Guardian.
"Chaque secteur dans chaque État a la responsabilité de s'assurer que l'eau est utilisée avec une efficacité maximale. Pour éviter un effondrement catastrophique du système fluvial du Colorado et un avenir d'incertitude et de conflit, l'utilisation de l'eau dans le bassin doit être réduite", a déclaré Tanya Trujillo. , sous-secrétaire du ministère de l'intérieur pour l'eau et la science.
En Arizona, les coupes auront un impact sur le débit d'eau vers les terres agricoles responsables de 90% de la production de laitue aux États-Unis.
Les agriculteurs de l'Arizona, qui fournissent plus de 90 % des légumes-feuilles des États-Unis de novembre à mars, ont déjà supporté le poids des coupes antérieures, ainsi que ceux qui vivent de l'industrie agricole de 23,3 milliards de dollars de l'État. Le comté de Pinal, entre Phoenix et Tucson, risque d'être particulièrement touché puisque la région connue pour le coton et le bétail a déjà vu environ la moitié de ses terres agricoles devenir inactives en raison de réductions d'eau antérieures. -Bloomberg
RépondreSupprimerLe commissaire du Bureau of Reclamation, Camille Calimlim Touton, a résumé la situation le long du fleuve Colorado :
"Le système approche d'un point de basculement et sans action, nous ne pouvons pas protéger le système et les millions d'Américains qui dépendent de cette ressource essentielle."
Les lecteurs se souviendront peut-être que nous avons remarqué que les robinets du nord du Mexique se sont asséchés pendant plusieurs mois alors qu'une crise de l'eau se profile.
https://www.zerohedge.com/commodities/feds-cut-water-deliveries-arizona-and-nevada-may-impact-food-production
Remarquez QU'AUCUN BARRAGE N'EST CONSTRUIT POUR EMPÊCHER L'EAU DU COLORADO D'ALLER SE PERDRE EN OCÉAN PACIFIQUE !!
SupprimerC'est le passage de l'horreur à la mort ! Voir de l'eau qui passe et se voir interdire d'y toucher !!
Il n'y a pas de crise climatique : l'histoire nous montre que la Terre a connu bien pire
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 18 AOÛT 2022 - 03:00
La science du climat a été tellement étouffée par le fanatisme idéologique qu'il devient difficile de trouver une analyse objective normale de nos jours. Toute donnée qui contredit le récit d'origine humaine sur le changement climatique est entourée d'une machine à spin qui rejette l'information ou l'obscurcit dans un déluge de propagande sur le réchauffement climatique, inoculant le lecteur bien avant qu'il n'ait la chance de digérer les nouvelles qui peut-être le changement climatique n'est pas tout ce qu'il est censé être.
Chaque fois que des températures élevées sont signalées aux États-Unis ou en Europe, les nouvelles sont hypergonflées dans les théories sauvages de l'apocalypse climatique par les médias, mais l'histoire météorologique suggère que la panique est fabriquée plutôt que justifiée. En fait, tout événement météorologique chaud que vous pouvez repérer ces dernières années est probablement éclipsé par un événement bien pire des décennies ou des siècles avant que la «pollution par le carbone d'origine humaine» n'existe.
Par exemple, les médias sont affolés par la sécheresse actuelle et les "températures record" en Europe cet été, avertissant qu'elle pourrait devenir la "pire sécheresse" depuis 500 ans. Bien sûr, cette affirmation ouvre la porte à une question à laquelle les climatologues et les propagandistes ne veulent pas répondre : que s'est-il passé il y a 500 ans ?
Un niveau similaire d'hystérie du réchauffement climatique était présent lors d'une vague de chaleur en Europe en 2003, ainsi qu'en 2018. Les quelques scientifiques du climat qui ne sont toujours pas achetés et payés par les gouvernements et l'ONU ont dû souligner que ces sécheresses ne sont rien comparées à l'enfer vivant qu'était la sécheresse de 1540. Cet événement est souvent qualifié de « méga-sécheresse » parce que la région a subi des températures historiquement chaudes tout en ne recevant presque aucune pluie pendant un an.
Les températures cette année-là étaient en moyenne de 5°C à 7°C au-dessus des températures moyennes en Europe au XXe siècle. Aux États-Unis, cela signifie des températures estivales quotidiennes d'environ 104 ° F. Des centaines de récits historiques écrits à l'époque décrivent environ un demi-million de morts, ainsi que de vastes incendies de forêt et un hiver en Italie qui "ressemblait à juillet". Gardez à l'esprit que les niveaux de carbone en Europe en 1540 étaient 30 % inférieurs à ce qu'ils sont aujourd'hui, mais la région a peut-être subi le pire événement de réchauffement de son histoire enregistrée.
RépondreSupprimerLes données climatiques d'aujourd'hui sont basées sur des enregistrements détenus par la NOAA et d'autres institutions, et ces enregistrements ne remontent qu'à 1880. Ainsi, chaque fois que vous entendez les médias grand public parler de températures record, ils utilisent une petite partie de l'histoire météorologique mondiale remontant à un peu plus d'un siècle. Tout scientifique honnête dans ce domaine vous dira que le bilan climatique de la Terre est vaste par rapport aux données limitées utilisées par les idéologues du réchauffement climatique, et la majorité des crises météorologiques destructrices se sont produites bien avant les émissions de carbone d'origine humaine.
Ce n'est certainement pas la pollution par le carbone des voitures, de l'agriculture et de l'industrie qui a provoqué la crise de 1540.
Essayez de faire des recherches sur l'événement 1540 et vous serez enterré dans une pile d'articles grand public qui reconnaissent la catastrophe, mais essayez ensuite de l'utiliser comme exemple de la raison pour laquelle nous devons nous conformer aux restrictions de carbone et à l'autoritarisme climatique en 2022. Ils disent "Regardez à ce qui est arrivé à l'Europe en 1540. Vous ne voulez pas que cela se reproduise, n'est-ce pas ?
Bien sûr, l'humanité n'avait pas son mot à dire ni son contrôle sur le temps en 1540, tout comme nous n'avons ni son mot à dire ni son contrôle sur le temps qu'il fait aujourd'hui. Il n'y avait pas de réchauffement climatique basé sur le carbone à l'époque, et il n'y a pas de réchauffement climatique basé sur le carbone maintenant.
Les scientifiques n'ont toujours aucune idée de ce qui a causé de nombreux événements de réchauffement du passé, y compris la crise de 1540, alors pourquoi devrions-nous avoir une foi aveugle dans leurs affirmations selon lesquelles le carbone est la cause du réchauffement de ces dernières années ? En fait, la NOAA et d'autres institutions de recherche sur le climat n'offrent toujours aucune preuve concrète d'une relation entre les émissions de carbone et la hausse des températures. Leur argument est qu'ils ont exclu toutes les autres causes possibles, ne laissant que le carbone comme reste. Ce n'est pas de la science, ce sont des suppositions aléatoires.
S'il y a bien un domaine qui défie la logique, la raison et l'analyse communément associées à la méthode scientifique, c'est bien la science du climat.
RépondreSupprimerMettez de côté le fait que des milliards de dollars de financement sont versés aux climatologues chaque année, mais uniquement aux scientifiques qui partent de l'hypothèse que le changement climatique est causé par les êtres humains. C'est-à-dire qu'il existe de nombreuses incitations pour les scientifiques à ignorer d'autres causes du réchauffement climatique. Ce ne sont pas des scientifiques, ce sont des militants politiques rémunérés. Heureusement, les températures ne sont pas si élevées. Les propres données de la NOAA montrent que la température moyenne de la Terre a augmenté de moins de 1°C au cours du siècle dernier. Ce n'est rien, alors pourquoi toute cette panique ?
Disons simplement que les contrôles du carbone sont un outil puissant pour microgérer la population et justifier l'autoritarisme au nom du « plus grand bien ». Si le public est convaincu d'accepter de faux récits sur le changement climatique, alors le gouvernement aurait la capacité de contrôler tous les aspects de la vie quotidienne, de la quantité d'électricité que nous utilisons, à la nourriture que nous mangeons, aux entreprises que nous pouvons gérer, au niveau de la production et la taille de la population. Ce n'est pas de la fiction, c'est la réalité, et cela se produit beaucoup plus rapidement que beaucoup de gens ne le pensent, tout cela au nom de sauver la planète d'une menace qui n'existe pas.
https://www.zerohedge.com/weather/there-no-climate-crisis-history-shows-us-earth-has-seen-far-worse
Qu'elle que soit la personne, la bête ou la plante qui respire, aucune comme aucun ensemble ne peut modifier d'un cent milliardième la nature du climat !
SupprimerNotre planète est conçue d'un magma. Cette masse ferrique incandescente fait CE QU'ELLE VEUT ! et nul ne peut en changer sa nature. Elle est productrice des chaleurs qui s'échappent des sources chaudes sous-marines et sous-océaniques, donc, des vents et des courants et, de plus, c'est elle qui fabrique tous les gaz qui sont dans notre atmosphère et qui s'y recyclent continuellement.
C'est grâce au magma que l'eau de mer contient 86 % d'oxygène et donc les poissons peuvent y vivre. Et que nous aussi nous en profitons car, les plantes, les arbres ne rejettent pas assez d'oxygène pour faire vivre les humains et les animaux. Leur respiration est si lente qu'il faudrait toute une forêt pour faire vivre un humain (1 !).
La crise énergétique en Europe aidera à sortir le pétrole de son creux
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 18 AOÛT 2022 - 11:00
Par Rob Verdonck, journaliste et analyste Bloomberg Markets Live
Le pétrole brut se redressera probablement jusqu'à la fin de l'année, la crise énergétique en Europe l'emportant sur les nouvelles concernant l'approvisionnement.
Les prix du pétrole ont chuté sur les signes d'un ralentissement mondial qui s'aggrave alors que l'augmentation de l'offre en provenance de Libye et, potentiellement, de l'Iran atténue l'étanchéité fondamentale du marché - mais les commerçants peuvent encore sous-estimer toutes les ramifications de la crise énergétique en Europe.
J'ai été stupéfait par l'augmentation incessante du gaz naturel européen, un marché que je suis de près depuis près de deux décennies, et je ne peux pas imaginer que la flambée des prix là-bas à près de 375 dollars le baril d'équivalent pétrole n'aura pas d'effet d'entraînement effets.
- voir graph sur site -
Il est difficile d'évaluer toutes les ramifications sur le pétrole, mais le rallye qui a vu le gaz européen augmenter de 160 % au cours des deux derniers mois, dans ce qui est généralement une période calme de faible demande, ne semble pas se terminer de sitôt et pourrait voir un dernier hourra pour les centrales au mazout vieillissantes de la région.
Ajoutez cette demande supplémentaire au début de l'embargo européen sur le brut russe plus tard cette année et la crise énergétique est presque certaine de réchauffer le commerce du brut à l'approche de l'hiver.
https://www.zerohedge.com/commodities/europes-energy-crisis-will-help-lift-oil-out-its-dip
L'hiver arrive pour l'Europe alors que la stagflation et les crises énergétiques sont sur le point de mordre
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 18 AOÛT 2022 - 13:20
Rédigé par Bill Blain via MorningPorridge.com,
"Le Long Hot Summer vient de me dépasser…."
L'hiver approche alors que la flambée des prix du gaz devrait se faire sentir dans toute l'Europe. La stratégie d'insécurité énergétique de Poutine a prouvé son succès majeur et pourrait encore lui faire gagner la guerre d'Ukraine. La stagflation est clouée sur l'Europe.
Il y a bien un soupçon d'automne ce matin; une forte rosée, de la brume sur la rivière, un frisson dans l'air même si nous savons qu'il atteindra 30 degrés plus tard, et un sentiment croissant que l'année a tourné. Alors que les températures baissent, il est temps de penser à l'alimentation en hiver.
Mais avant, un petit aparté pour commencer la semaine : Les Guêpes (Vespula Vulgaris)
Les guêpes me fascinent et me terrifient à la fois. Ils sont personnifiés par le mal, mais parfaitement conçus et aussi importants pour notre écologie que les abeilles. Ce sont des pollinisateurs essentiels et offrent un excellent contrôle des ravageurs du jardin. Ils sont impossibles à domestiquer. Les guêpes et les humains interagissent mieux en restant à l'écart les uns des autres.
Au cours de l'année de la guêpe, les ouvrières collectent de la viande pour nourrir leur larve qui, en retour, dégage une friandise sucrée dont les guêpes adultes ont soif. (Les guêpes adultes sont végétariennes.) À la fin de l'été, les nids de guêpes déclinent - les nouvelles reines s'accouplent et s'envolent, les vieilles reines usées meurent, plus aucun œuf n'est pondu et la dernière génération de guêpes ouvrières devient sauvage à la recherche de des trucs sucrés, devenant un ravageur lors des pique-niques. Certaines années, ils deviennent un vrai problème lorsqu'ils se régalent de fruits en fermentation pourris - se saoulant efficacement et donc plus agressifs. À la fin de l'automne, le nid sera complètement mort. C'est un cycle de vie quelque peu dystopique - mais l'année prochaine, les nouvelles reines sortiront de leurs cachettes hivernales et recommenceront.
L'été a été formidable pour les Wasps, de leur point de vue. Cette année, je remarque qu'ils sont toujours en train de chercher de la viande - nous les avons vus dépouiller du poulet jusqu'à l'os hier soir - ce qui suggère que les nids restent sains et prospères, ce qui signifie qu'un plus grand nombre d'entre eux survivront jusqu'à la fin de l'été. . La solution – des pièges appâtés avec du cidre et de la confiture.
RépondreSupprimerQu'est-ce que les guêpes ont à voir avec les marchés ?
Comme toutes choses, les guêpes sont une histoire d'équilibre - lorsque les conditions sont bonnes... elles prospèrent, entraînant des conséquences - plus de piqûres. Dans le sud de l'Angleterre, l'été le plus chaud jamais enregistré signifie plus de guêpes que d'habitude. Dans le nord de l'Écosse, il fait froid et humide, et personne n'en voit. L'hiver venu, les guêpes sont un problème largement oublié.
Qu'en est-il des marchés ? Combien sont-ils en équilibre? Cet hiver va être un choc économique.
Comme dit précédemment, les marchés sont un jeu d'entrées multiples. Les États-Unis sont sur une voie de reprise complètement différente de celle de l'Europe, mais les économies occidentales restent étroitement liées.
La grande question : les actions ont organisé un marché baissier jusqu'au premier semestre 2022, mais la tendance s'est ensuite inversée. 4 semaines de gains inégalés depuis la mi-juillet laisse le S&P 500 en hausse de 17 %. Est-ce la première étape d'un nouveau marché haussier ou un piège baissier ? Les optimistes boursiers disent que l'inflation américaine a atteint un sommet - le premier signe étant le ralentissement de la semaine dernière dans le pack des prix à la consommation, que les emplois américains restent fortement en demande et que la baisse des prix du pétrole montre que la crise énergétique est en train de passer. (Les marchés obligataires - et dans les obligations il y a de la vérité - continuent d'augmenter en terme de rendement..)
Les prix du pétrole aux États-Unis pourraient être en baisse.
Les prix du gaz ne le sont pas. Le gaz fournit près d'un quart de l'énergie européenne, dont plus de 40 % provient de Russie. Les prix du gaz en Europe montent toujours en flèche, une crise massive pour l'activité économique où les prix du gaz sont en hausse incroyable de 600 % sur l'année, sans aucun signe qu'ils vont s'atténuer. C'est la plus grande menace économique pour l'Europe depuis 1939. Nous sommes tous conscients que c'est le résultat d'erreurs de calcul massives en matière de sécurité énergétique à travers le continent :
L'Allemagne supposait que le gaz russe serait toujours bon marché, disponible et abondant.
Les Pays-Bas et l'Italie ont supposé que le gaz passerait toujours par l'Allemagne et que des réserves hivernales pourraient être constituées pendant les mois d'été calmes et bon marché.
RépondreSupprimerLe Royaume-Uni a négligé le stockage de l'énergie et le développement du gaz domestique comme carburant de transition, et a supposé que les approvisionnements en gaz seraient toujours disponibles sur le marché libre, sans prévoir la possibilité d'événements de perturbation massive.
La France est aux prises avec l'énergie nucléaire - la moitié de la "flotte" de réacteurs français est actuellement inactive.
Partout en Europe, le nucléaire a été dépeint comme mauvais et non écologique, le développement de nouvelles énergies nucléaires a généralement stagné ou est devenu trop cher.
Les consommateurs subissent déjà des chocs massifs en termes de factures d'électricité mensuelles, mais la réalité brutale est que le Long Hot Summer signifie que nous avons à peine connu les conséquences réelles de la flambée des prix du gaz. Les coûts font déjà mal, mais les dommages économiques pourraient être paralysants. Cela deviendra incontournable. La crise approche… et bientôt. L'hiver arrive…
Vladimir Poutine n'aurait pas pu mieux planifier ou exécuter sa frappe énergétique paralysante sur l'Europe.
Alors que nous nous promettons que les sanctions occidentales doivent avoir un impact sur la Russie, la réalité est que les problèmes de l'Europe sont sur le point de s'aggraver à l'approche de l'hiver. Quelles incitations possibles la Russie a-t-elle pour augmenter les approvisionnements de Nord Stream 1 par rapport à sa capacité actuelle de 20 % ? Ils peuvent fournir à l'Europe 1/6 de l'énergie qu'ils ont livrée en janvier de cette année, et gagner toujours autant - en vendant le reste aux très nombreuses nations qui n'ont pas condamné l'assaut contre l'Ukraine. Ils peuvent décider de couper complètement les approvisionnements même si la maintenance planifiée de l'infrastructure gazière norvégienne coupe les approvisionnements.
Un hiver européen lugubre approche et les politiciens européens feront tout pour l'éviter. Cela inclura l'apaisement - faire pression sur l'Ukraine pour qu'elle parvienne à un accord avec la Russie qui permette à Poutine de mettre fin à la guerre en semblant avoir réalisé quelque chose. Ce serait un coup dur à long terme pour l'Europe - sachant que nous avions dû conclure un accord avec le diable et que cela ne résoudrait pas immédiatement la dépendance de l'Occident à la puissance russe. (Cela pourrait prendre 3 ans avant que l'Europe puisse éliminer sa dépendance au gaz russe avec une nouvelle infrastructure de distribution de gaz - mais cela peut être fait !)
Les coupures de courant, les fermetures d'usines, la crise des affaires semblent déjà clouées. Il est difficile d'imaginer que les travailleurs allemands accueillent favorablement les pertes d'emplois et la stagflation, plus l'attente qu'ils paient les coûts de l'Europe du Sud pour faire face à la guerre de l'énergie - mais c'est effectivement la stratégie de la BCE : équilibrer la crédibilité du marché de la dette européenne avec l'argent allemand pour soutenir la faiblesse de la dette italienne.
Bien qu'il puisse y avoir de nombreuses bonnes raisons et indications d'accepter que l'économie américaine a déjà dépassé le point culminant des difficultés économiques pour cette année, l'instabilité engendrée par la hausse des prix de l'énergie en Europe, la menace de pannes de courant en automne et en hiver, combinée à la montée des conflits industriels à travers L'Europe, alors que l'inflation et le pouvoir déclenchent des revendications salariales croissantes… signifie que toute l'économie occidentale va se débattre. Il est difficile d'imaginer que le marché américain prospère alors que l'Europe subit un hiver potentiellement paralysant de stagflation et de conflits économiques.
RépondreSupprimerÀ la base, la force d'une économie se résume à la quantité de consommation qui se produit. Les consommateurs dépensent-ils – ont-ils de l'argent à dépenser ? Les entreprises investissent-elles ? Le gouvernement stimule-t-il l'activité économique par le biais de la politique budgétaire ?
Les consommateurs sont sous le choc après que le choc des prix de l'énergie et la hausse des taux d'intérêt aient suspendu les modes de vie dépendants du crédit. Les gouvernements tentent de freiner leurs dépenses, craignant que le lourd endettement et la menace imminente d'inflation ne déstabilisent leur économie : le crédit souverain vertueux de i) la stabilité politique, ii) la stabilité du marché obligataire, iii) et la stabilité de la monnaie sont de plus en plus menacés, tandis que les entreprises regardent la consommation et secouent la tête sur de nouveaux investissements. Comment le gouvernement réagit-il ? Avec plus d'austérité ! Nous sommes condamnés…
L'Europe ressemble beaucoup à un nid de guêpes à la fin de l'été - les choses peuvent devenir beaucoup plus douloureuses.
https://www.zerohedge.com/markets/winter-coming-europe-stagflation-and-energy-crises-are-set-bite
La fin des paradis fiscaux ?
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
Homme international
17 août 2022
L'image ci-dessus est celle d'un char Panzer allemand de la Seconde Guerre mondiale. Alors, qu'est-ce que cela a à voir avec les paradis fiscaux ? J'y reviendrai bientôt.
Mais d'abord, regardons l'île de Jersey, l'une des îles de la Manche. La plupart des gens le considèrent comme un paradis fiscal britannique, mais ce n'est pas, à proprement parler, une partie du Royaume-Uni et pas un membre de l'UE. C'est une démocratie parlementaire autonome sous une monarchie constitutionnelle et possède ses propres systèmes juridiques, judiciaires et, surtout, financiers. Pendant des décennies, c'est un endroit de choix pour ceux qui cherchent à éviter l'impôt.
L'impôt sur le revenu a d'abord été créé en Angleterre pour payer les guerres napoléoniennes (maximum : 10 %) et a été augmenté pendant la Seconde Guerre mondiale jusqu'à un maximum de 99,25 %, encore une fois pour payer la guerre. Il a été réduit après la guerre, mais a de nouveau augmenté (sur les revenus d'investissement supérieurs à 20 000 £) pour atteindre un maximum de 98% en 1974.
Jersey est ainsi devenu un paradis fiscal. Comme Jersey n'était pas obligé de payer des impôts au Royaume-Uni, les Britanniques y déposaient de plus en plus leur fortune.
Il est important de mentionner à ce stade que la plupart des paradis fiscaux dans le monde ont d'abord vu le jour à la suite de situations similaires - une offre créée en réponse à un besoin clair. La plupart des gens supporteront une fiscalité faible à modérée, mais chaque fois que les gouvernements sont devenus vraiment rapaces en taxant leur peuple, ces personnes ont cherché à échapper à l'esclavage de leurs propres gouvernements. Parfois, cela a signifié quitter physiquement le pays (comme tant de Britanniques l'ont fait dans les années 70) et, parfois, cela a signifié déplacer son argent vers une juridiction qui a peu ou pas d'imposition directe.
Les paradis fiscaux ont une longue histoire et, depuis les années 70, alors que la fiscalité dans une grande partie du monde a augmenté, les paradis fiscaux ont prospéré sans surprise.
Il n'est donc pas surprenant que le retour de bâton des gouvernements les plus rapaces se soit intensifié. L'Organisation de coopération et de développement économiques (un euphémisme s'il en est un), ou OCDE, a mené la charge, financée principalement par les États-Unis mais basée à Paris et largement utilisée par l'UE ainsi que par les États-Unis.
L'OCDE prétend avoir comme objectif principal l'élimination du blanchiment d'argent dans le monde. Il a réussi à convaincre la majeure partie du monde que le blanchiment d'argent (la pratique consistant à empêcher les gouvernements parasites de voler votre richesse) est une activité criminelle et doit être stoppée.
Cependant, les véritables objectifs de l'OCDE sont les suivants :
Éliminer le droit individuel à la vie privée en matière de richesse.
RépondreSupprimerPour imposer des niveaux d'imposition minimaux à toutes les nations souveraines, afin qu'elles ne puissent offrir à personne la liberté d'une taxation excessive.
Mais, de peur que nous ne soyons tentés de sympathiser avec l'OCDE, il est important de mentionner qu'elle accepte également pleinement le fait que ses pays membres ont leurs propres paradis fiscaux qui ne respectent pas les normes minimales de l'OCDE. Vue sous cet angle, l'OCDE est exposée davantage comme une organisation de remaniement que comme une « force du bien ».
Pourtant, l'OCDE est puissante et elle a fait des ravages dans les paradis fiscaux. Tous les deux ou trois ans, il met la pression sur une sélection de paradis fiscaux dans le monde, exigeant des normes minimales nouvelles ou révisées. Il les place sur une liste noire ou une liste grise jusqu'à ce qu'ils cèdent aux nouvelles normes. Puis, deux ou trois ans plus tard, il s'attaque à une autre sélection de paradis, réduisant ainsi progressivement la liberté économique dans le monde.
L'un de leurs plus grands succès a été l'île de Jersey. En forçant la péréquation fiscale à Jersey, Jersey a dû décider s'il fallait augmenter la fiscalité pour les déposants offshore ou diminuer les impôts pour les locaux. Il a choisi ce dernier et, par conséquent, a connu un manque à gagner dans la cagnotte du gouvernement, entraînant des licenciements pour les travailleurs de la fonction publique, des coupes dans le financement de la réparation des routes, des services d'égouts, de l'éducation, etc. Jersey semble être sur les cordes en tant que résultat.
La grande question est donc : « L'OCDE atteindra-t-elle ses objectifs ? Dans cinq ou dix ans, les seuls paradis fiscaux seront-ils dans des endroits comme le Delaware, où le paradis fiscal sanctionné par le gouvernement suit les "mauvaises pratiques" que l'OCDE a qualifiées de "criminelles" ?
À l'heure actuelle, personne n'a la réponse à cette question, mais ce que nous pouvons dire, c'est que nous assistons à la grande course. Les économies de tous les pays membres de l'OCDE sont en difficulté. Ayant détruit leur propre économie à cause d'un endettement massif, ils s'emparent de chaque dollar d'impôt sur lequel ils peuvent mettre la main pour empêcher le château de cartes de s'effondrer. L'effondrement inévitable se rapproche de plus en plus, donc l'espoir est de ramasser autant de richesses par tous les moyens possibles avant la chute. Ceci est essentiel car, après la chute, le crédit s'évaporera. Les gouvernements ne seront plus en mesure de financer les agences coûteuses nécessaires pour traquer et confisquer la richesse de leurs citoyens.
Il s'agit donc d'une course contre la montre, ce qui nous ramène au Panzer de la photo.
Le char Panzer était essentiel à l'avance allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Dans les années 1940, si vous en entendiez un venir, vous couriez comme un diable. Mais ils roulaient à l'essence. Le commandement nazi a reconnu au début de la guerre que, à moins qu'il ne capture les champs pétrolifères de la Roumanie sous contrôle russe, la machine de guerre allemande serait littéralement "à court d'essence".
Aussi risqué soit-il, il était indispensable d'attaquer la Russie. L'attaque devenait de plus en plus désespérée, puisque les Allemands comprenaient parfaitement que leur fin était à l'horizon s'ils ne réussissaient pas (Peut-on voir une similitude entre cela et un gouvernement près de chez nous ?).
RépondreSupprimerLes Allemands n'ont pas réussi à conquérir la Roumanie. Puis, en 1945, lors de la Bataille des Ardennes, l'avancée des chars Panzer s'arrête. S'ils avaient atteint les lignes de front, ils auraient gagné la journée pour l'Allemagne. Mais, au lieu de cela, ils ont manqué de carburant à mi-parcours.
Aussi décisif que cet événement ait été, à mon avis, il existe un événement connexe qui est plus important pour nous aujourd'hui. Lorsque les réservoirs ont manqué d'essence, les équipages ont quitté les réservoirs et ont simplement commencé à marcher vers l'Allemagne. La plupart ont ensuite été rassemblés par les Alliés et ils ont continué pacifiquement.
La grande importance de cet événement est que, quelle que soit l'ampleur des fanfaronnades d'un leadership politique ou militaire, et quelle que soit la docilité avec laquelle les soldats répondent à une telle posture, une fois qu'il est clair que le jeu est terminé, la prétention parmi les soldats s'évapore. Si une armée apprend à l'avance qu'une fin est inévitable et a eu le temps nécessaire pour réfléchir à la situation à l'avance, elle attend simplement le point de basculement. Lorsque cela se produit, ils sont moins susceptibles de faire un dernier combat paniqué et futile. La prescience les informe de se préparer à l'avance à simplement s'éloigner.
Donc, pour revenir à la grande course par de nombreux gouvernements aujourd'hui, ce à quoi nous assistons est un effort ultime pour extraire autant de richesses que possible de leurs citoyens avant que ces gouvernements ne soient à court d'essence ou, dans ce cas, à court de crédit. .
À un moment donné dans un avenir pas si lointain, les créanciers reverront des bons du Trésor sur les marchés de l'UE et des États-Unis. Les marchés boursiers et obligataires vont s'effondrer. Les devises vont s'effondrer. Des défauts de paiement auront lieu. Les banques apparemment trop grandes pour faire faillite feront faillite et il n'y aura pas de fonds pour les renflouer.
Ce à quoi nous pouvons nous attendre sera une tentative de plus en plus désespérée de voler aux gens leur richesse personnelle. La situation va monter à un niveau draconien. Puis, tout à coup, la crise sera sur nous. Les réservoirs redoutés seront à court de carburant - les gouvernements perdront le pouvoir économique de poursuivre leur avancée contre la liberté économique.
Le but pour chaque individu qui tient à sa liberté pourrait alors être d'éviter d'être le fruit à portée de main jusqu'à ce jour, afin qu'il puisse sortir intact de l'autre côté.
Reprinted with permission from International Man.
https://www.lewrockwell.com/2022/08/no_author/the-end-of-tax-havens/
Cessons de blaguer pour ne rien dire ! Les 'paradis fiscaux' (petite île aux 3 palmiers) ne rapportent RIEN ! Même pas une noix de coco ! C'est pourquoi, à l'inverse de ces milliardaires qui se vantent de l'être et livre de compte à l'appui, existent des millions de milliardaires qui planquent leur fortune dedans leur jardin !
Supprimer"Tu fais un trou dans la terre (de préférence avec une toile de tente dressée au-dessus) et t'y mets ton pognon ! C'est tout". Après, t'enlèves ta toile de tente et tu tonds ton gazon comme si rien n'était.
La Chine présente son robot humanoïde, le CyberOne de Xiaomi, décevant
RépondreSupprimerle 18 août 2022 - 15:25
Le CyberOne pèse 52 kg, mesure 177 cm de haut, et peut marcher à une vitesse de 3,6 km/h.
La Chine n’arrête pas d’innover, et de tenter de concurrencer les géants américains comme Tesla : après les annonces de voitures autonomes, avec le taxi autonome développé par Baidu, c’est maintenant au tour de la firme Xiaomi de présenter son robot humanoïde qui pourrait concurrencer le robot Optimus annoncé par Tesla, malgré des performances décevantes.
À quoi ressemble le robot humanoïde de Xiaomi ?
Selon les spécifications officielles annoncées par Xiaomi, détaillées par le média en ligne The Verge, le CyberOne pèse 52 kg et mesure 177 cm de haut. Il peut marcher à une vitesse de 3,6 km/h, soit juste en dessous du rythme de marche moyen d’un humain. Ses mains ont la forme d’une paire de mitaines qui peuvent s'ouvrir et se fermer, mais leurs mouvements sont encore maladroits. Selon les plus critiques, ce robot ne serait pas vraiment capable de se déplacer aisément. Une vidéo montre même le CyberOne tomber régulièrement, sans pouvoir se relever seul. Sa capacité de mobilité semble donc être bien en dessous des capacités de mobilité des robots “chien” de Boston Dynamics par exemple.
Un robot capable de reconnaître les sentiments de son interlocuteur grâce à la reconnaissance faciale
Pour pouvoir “regarder”, l'humanoïde dispose d'un système de vision artificielle qui peut détecter des distances allant jusqu'à huit mètres. En ce qui concerne sa capacité d’interaction avec l’homme, Xiaomi affirme que le robot est capable de "percevoir" l'émotion humaine grâce à un logiciel de reconnaissance faciale, capable de décoder et d’analyser les expressions faciales humaines.
Des performances bien inférieures à celles de l’Optimus de Tesla
Comme Xiaomi, le fondateur de Tesla, Elon Musk, a annoncé son projet de production d’un “robot majordome”, appelé Optimus. Lors du forum économique du Qatar, Elon Musk a déclaré vouloir apporter sa contribution au développement d’un humanoïde, avec l’annonce de son robot Optimus. Ce premier robot de Tesla combine des fonctions “supernaturelles” inspirées des animaux, tout en présentant une forme humaine. Ce robot qui mesure 1,73 mètre pour un poids de 56,7 kg peut se déplacer à une vitesse de 8 km/h, soulever 68 kilos et transporter 20 kilos. Musk a déclaré que ce robot serait capable de suivre des commandes humaines complexes telles que "veuillez vous rendre dans un magasin et apportez-moi les produits d'épicerie suivants". Il a depuis répété ces affirmations, décrivant récemment le Tesla Optimus comme un "robot humanoïde à usage général" qui "remplacera les gens dans des tâches répétitives, ennuyeuses et dangereuses".
Des applications qui ne sont pas pour demain
RépondreSupprimerPour le géant chinois Xiaomi, le Cyberone représente un "symbole du dévouement de Xiaomi à incuber un écosystème technologique" donnant naissance à davantage de scénarios d'application dans d'autres domaines. Pour certains spécialistes des nouvelles technologies, on ne peut pas espérer des utilisations immédiates de cette version chinoise d’un humanoïde. Il s’agirait surtout d’une plate-forme pour des efforts de R&D plus larges et d’un outil de marketing à l’approche du Tesla AI Day, prévu pour le 30 septembre 2022, qui devrait voir la présentation officielle du robot Optimus.
https://www.francesoir.fr/science-tech/la-chine-presente-son-robot-humanoide-le-cyberone-de-xiaomi-decevant
Des ingénieurs chinois (en première année ?) ont encore construit... un bipède ! D'où les difficultés de mouvance de la machine à se tenir debout !
SupprimerC'est tout-de-même plus simple de construire un minotaure ! C'est-à-dire 4 pattes au sol + deux bras à l'avant surmontés d'un cou et d'une tête. Le torse (cou-tête et bras) peut pivoter à 180 °, saisir un colis et le poser sur son dos ou dans des sacoches de chaque côté du corps de pattes. Il peut facilement grimper des escaliers et courir très vite.
LA CHINE A MOBILISÉ 932 MILLIARDS AU SEIN DE L’INITIATIVE LA CEINTURE ET LA ROUTE
RépondreSupprimerpar Chine Magazine
Août 17, 2022
- voir carte sur site -
Annoncé en 2013, l’Initiative La Ceinture et la Route vise à améliorer les liaisons commerciales entre l’Asie, l’Europe, l’Afrique et au-delà via la construction de ports, de voies ferrées, d’aéroports ou de parcs industriels.
Les engagements cumulés de la Chine dans le cadre de ces nouvelles routes de la soie (Belt and Road Initiative/BRI) ont atteint 932 milliards de dollars (839 mds €) depuis le lancement en 2013 de cet ambitieux projet visant à relier l’empire du Milieu à l’Afrique et à l’Europe, selon un rapport du think tank Green Finance & Development Center.
Intitulée «Rapport sur les investissements dans le cadre de l’initiative chinoise des nouvelles routes de la soie au premier semestre 2022» (China Belt and Road Initiative (BRI) Investment Report H1 2022), cette étude précise que sur l’ensemble des engagements de la Chine dans le cadre de la BRI, 561 milliards de dollars se présentent sous forme de contrats de construction d’infrastructures financés en partie par des prêts chinois, et 371 milliards de dollars sous forme d’investissements.
Le financement et les investissements de la Chine sont stables à des niveaux bas au premier semestre 2022 à 28,4 milliards de dollars, contre 29,6 milliards de dollars au premier semestre 2021), 42% via des investissements au cours de la même période de 2021.
Sur ce montant, environ 11,8 milliards de dollars ont été investis et 16,5 milliards de dollars ont été consacrés à des contrats de construction d’infrastructures. En moyenne, la des opérations d’investissement de la Chine a augmenté, passant d’environ 394 millions de dollars durant les six premiers mois de 2021 à 456 millions de dollars au premier semestre 2022.
De même la taille moyenne des transactions pour les projets de construction a considérablement baissé pour s’établir à 325 millions de dollars au cours du premier semestre 2022 contre 558 millions de dollars durant la même période de 2021.
Selon le rapport de Green Finance & Development Center, 42 pays ont accueilli des projets liés à l’initiative nouvelles routes de la soie, entre le 1er janvier et le 30 juin 2022. Concernant les contrats de construction, les pays ayant reçu les volumes les plus importants étaient les Philippines (3,3 milliards de dollars), la Serbie (1,9 milliard de dollars) et l’Irak (1,5 milliard de dollars).
Les investissements de la Chine en Arabie saoudite ont été d’environ 5,5 milliards de dollars, devant la République démocratique du Congo (600 millions de dollars) et l’Indonésie (560 millions de dollars).
https://www.chine-magazine.com/la-chine-a-mobilise-932-milliards-au-sein-de-linitiative-la-ceinture-et-la-route/
« L’ÉCONOMIE CHINOISE DEVIENT LE MOTEUR DE L’ÉCONOMIE MONDIALE »
RépondreSupprimerpar Chine Magazine
Août 14, 2022
Communiqué – Environ 78,34 % des personnes interrogées dans 22 pays pensent que l’économie chinoise est devenue le moteur de l’économie mondiale, selon une enquête conjointe menée par le Think Tank CGTN et l’Institut chinois d’opinion publique de l’Université Renmin de Chine.
L’enquête a interrogé des personnes âgées de 38,64 ans en moyenne, issues de pays développés tels que les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Australie et le Japon, ainsi que de pays en développement tels que le Brésil, l’Inde, les Émirats arabes unis et l’Afrique du Sud.
Plus de la moitié des personnes interrogées ont fait des études supérieures, 54,71 % d’entre elles étant titulaires d’une licence ou d’un diplôme supérieur, dont 15,22 % de masters et de doctorats.
- voir graph sur site -
LE MOTEUR ÉCONOMIQUE DU MONDE
L’enquête a montré que 91,46 % des personnes interrogées en Afrique ont une haute opinion des réalisations économiques de la Chine, estimant que la Chine est devenue le moteur économique du monde. Les personnes interrogées en Europe suivent de près avec une part de 81,6%, tandis que les personnes interrogées en Amérique du Nord se classent en troisième position avec 78,09%.
L’enquête a également montré que 84,13 % des personnes interrogées dans les pays de la «Belt and Road Initiative» ont une opinion favorable des réalisations économiques de la Chine. Parallèlement, 84,02% des personnes interrogées dans les pays en développement ont confiance dans l’économie chinoise.
En termes d’attentes futures, 76,23% des personnes interrogées pensent que la Chine jouera un rôle crucial dans la promotion du développement économique mondial.
LE FUTUR ORDRE MONDIAL
Seuls 6,31 % des personnes interrogées pensent que le monde sera unipolaire à l’avenir et dominé par les États-Unis, tandis que 34,55 %, le groupe le plus important, pensent qu’un monde multipolaire est la perspective la plus probable.
Quelque 56 % des personnes interrogées, issues des économies développées et émergentes, affirment que la véritable raison pour laquelle les politiciens occidentaux font la promotion de la «menace chinoise» est due à leur «stress et à leur anxiété» face à la montée en puissance de la Chine.
Le concept chinois de «communauté avec un avenir partagé», qui met l’accent sur l’humanité dans son ensemble et cherche une nouvelle voie pour éviter la confrontation, est soutenu par 61,29% des personnes interrogées.
- voir graph sur site -
LE DÉVELOPPEMENT TECHNOLOGIQUE RAPIDE DE LA CHINE
RépondreSupprimerEn ce qui concerne le développement technologique rapide de la Chine, les personnes interrogées sont les plus impressionnées par le développement de la 5G, l’intelligence artificielle et le train à grande vitesse.
En Afrique, 73,87 % des personnes interrogées sont les plus impressionnées par la 5G de la Chine, et 55,28 % des personnes interrogées font l’éloge du train à grande vitesse du pays. En Europe, 52,77 % des personnes interrogées sont impressionnées par les progrès du pays en matière d’intelligence artificielle.
AMÉLIORATION DE LA QUALITÉ DE VIE DES CHINOIS
Le produit intérieur brut par habitant de la Chine est passé de 6 100 dollars à plus de 12 000 dollars au cours des dix dernières années, ce que 76,65% des personnes interrogées jugent remarquable. Dans l’enquête, plus de 70% des personnes interrogées sur les cinq continents pensent que la Chine s’enrichit.
Près de 100 millions de ruraux pauvres en Chine sont sortis de la pauvreté au cours de la dernière décennie, et la grande majorité des personnes interrogées pensent que les deux principales raisons sont que l’économie chinoise maintient une croissance rapide et que les dirigeants chinois sont déterminés et marchent fermement vers leurs objectifs.
Lire aussi : La Chine déclare sa « victoire totale » sur la pauvreté absolue
Selon l’enquête, une majorité approuve l’approche de la Chine en matière de droits humains, et 57,36 % des personnes interrogées sont d’accord avec l’affirmation «La Chine traite toujours les droits humains de manière réaliste et pratique».
https://www.chine-magazine.com/leconomie-chinoise-devient-le-moteur-de-leconomie-mondiale/
LES GÉANTS CHINOIS DE LA TECH CONTRAINT DE DÉVOILER LEURS ALGORITHMES
RépondreSupprimerpar Chine Magazine
Août 17, 2022
Des géants chinois du numérique, dont Tencent, Alibaba et ByteDance, ont remis aux autorités des détails sur leurs algorithmes. Il s’agit d’une démarche sans précédent dans un contexte de remaniement du secteur par Pékin, a fait savoir le régulateur.
Les algorithmes servent de cerveau à de nombreux services et applications sur internet et sont généralement un secret bien gardé des géants du numérique. Ces outils permettent d’analyser des quantités d’informations récoltées sur un utilisateur et de lui faire des recommandations automatiques en fonction de ses habitudes ou préférences.
Le travail de réglementation du secteur numérique engagé depuis 2021 s’étend. Après la protection des données des utilisateurs, avec la loi PIPL, des réglementations antitrust, des mesures pour limiter les introductions en Bourse à l’étranger, Pékin se concentre désormais sur les algorithmes.
Consciente de l’opacité des géants du numérique vis-à-vis de la récolte des données, les autorités cherchent à davantage encadrer les algorithmes. En vertu d’une réglementation publiée en mars, les entreprises doivent s’assurer auprès du régulateur de la conformité de leurs algorithmes et de fournir des détails techniques.
Le 12 août, l’Administration chinoise du cyberespace a publié pour la première fois une liste décrivant la façon dont les géants de la tech utilisent les algorithmes. Ainsi, il a été montré comment le n°1 de l’e-commerce Alibaba recommande par exemple de nouveaux produits en fonction de l’historique de navigation et de recherche de ses utilisateurs.
L’application de vidéos courtes Douyin (version chinoise de TikTok) fait des suggestions de contenu en fonction du temps passé par ses utilisateurs sur de précédents contenus.
« A ce stade, les autorités n’ont pas demandé explicitement aux entreprises de modifier leurs algorithmes », a indiqué à l’AFP Angela Zhang, spécialiste du droit chinois à l’Université de Hong Kong. Selon elle, « les régulateurs en sont plutôt au stade de la collecte d’informations ».
La réglementation vise ainsi à limiter le pouvoir des recommandations algorithmiques. Les entreprises ne pourront pas favoriser des contenus violant les lois chinoises, devront être transparents sur leurs principes de base et leurs objectifs, favoriser la protection des publics vulnérables face aux fraudes.
Pour les algorithmes d’actualités, des licences seront nécessaires et auront l’interdiction de promouvoir de fausses informations, ou, en tout état de cause, celles qui déplairont à Pékin.
Les autorités chinoises se montrent depuis près de deux ans particulièrement intransigeantes contre le secteur de la tech, pour des pratiques jusque-là tolérées mais qui se sont largement répandues.
RépondreSupprimerLa loi souhaite ainsi redonner le contrôle aux utilisateurs sur ce qu’ils verront s’afficher dans le fil de leurs réseaux sociaux, agrégateurs de contenu ou site d’e-commerce favori. Ils pourront sélectionner et supprimer les balises utilisées pour proposer des suggestions ou refuser purement et simplement de recevoir des recommandations algorithmiques.
Ziyang Fan a expliqué à CNBC, qu‘ »étant donné que ces règles sont assez étendues et techniques dans certains domaines, il s’agira d’un processus d’apprentissage à la fois pour les organismes d’application et pour les entreprises, qui auront la responsabilité principale de se conformer à ces règles ».
Plusieurs mastodontes du secteur ont ainsi été épinglés en matière, notamment, de données personnelles, de concurrence et de droits des utilisateurs. Le mois dernier, Didi, leader en Chine de la réservation avec chauffeur (VTC) a reçu une amende de quelque 1,2 milliard d’euros pour des infractions en matière de données personnelles.
https://www.chine-magazine.com/les-geants-chinois-de-la-tech-contraint-de-devoiler-leurs-algorithmes/
"Global Intelligence Collecting AI" du WEF pour effacer les idées d'Internet
RépondreSupprimerMercredi 17 août 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Le Forum économique mondial devient un peu inquiet. Les opinions non approuvées sont de plus en plus populaires et les censeurs en ligne ne peuvent pas suivre le rythme des millions de personnes qui deviennent plus conscientes et plus vocales. Les moteurs de censure employés par les plateformes Internet se sont avérés assez stupides et incapables. On ose même se plaindre du Forum économique mondial, ce qui est évidemment totalement inacceptable.
(Article d'Igor Chudov republié de IgorChudov.Substack.com)
Ainsi, l'auteur du WEF, Inbal Goldberger, a proposé une solution : elle propose de collecter des informations hors plate-forme auprès de "millions de sources" pour espionner les gens et les nouvelles idées, puis de fusionner ces informations pour les "décisions de suppression de contenu" envoyées à " plateformes Internet ».
Pour surmonter les obstacles des méthodologies de détection traditionnelles, nous proposons un nouveau cadre : plutôt que de compter sur l'IA pour détecter à grande échelle et sur les humains pour examiner les cas marginaux, une approche basée sur l'intelligence est cruciale.
En intégrant une intelligence humaine, multilingue et hors plate-forme dans les ensembles d'apprentissage, l'IA sera alors en mesure de détecter de nouveaux abus nuancés à grande échelle, avant qu'ils n'atteignent les plates-formes grand public. Compléter cette détection automatisée plus intelligente avec une expertise humaine pour examiner les cas marginaux et identifier les faux positifs et négatifs, puis réintégrer ces résultats dans des ensembles de formation nous permettra de créer une IA avec une intelligence humaine intégrée. Cette IA plus intelligente devient plus sophistiquée à chaque décision de modération , permettant éventuellement une détection quasi parfaite, à grande échelle.
Ça parle de quoi ? Quoi de neuf ?
La façon dont la censure se fait de nos jours est que chaque plate-forme Internet, comme Twitter, a sa propre équipe de modération et un moteur de prise de décision. Twitter ne regarderait que les tweets d'un utilisateur spécifique de Twitter, au moment de décider de supprimer des tweets ou de suspendre leurs auteurs. Les modérateurs de Twitter ne regardent PAS Gettr ou d'autres sites Web externes.
Ainsi, par exemple, l'utilisateur @JohnSmith12345 peut avoir un compte Twitter et respecter strictement les règles de Twitter, mais en même temps avoir un compte Gettr où il publierait des messages anti-vaccins. Twitter ne serait pas en mesure de suspendre le compte de @JohnSmith12345. Ce n'est plus acceptable pour le WEF car ils veulent faire taire les gens et les idées, pas les messages ou les comptes individuels.
Cela explique pourquoi le WEF doit aller au-delà des grandes plateformes Internet, afin de collecter des informations sur les personnes et les idées partout ailleurs. Une telle approche leur permettrait de mieux savoir quelle personne ou quelle idée censurer – sur toutes les principales plateformes à la fois.
RépondreSupprimerIls veulent collecter des renseignements auprès de "millions de sources" et former leurs "systèmes d'IA" pour détecter les pensées qu'ils n'aiment pas, pour prendre des décisions de suppression de contenu transmises à Twitter, Facebook, etc. Il s'agit d'un changement majeur par rapport au statu quo de chaque plate-forme décidant quoi faire en fonction des messages publiés sur cette plate-forme spécifique uniquement.
Par exemple, en plus de regarder mon profil Twitter, l'IA proposée par le WEF examinerait également mon profil Gettr, puis elle prendrait une "décision intelligente" pour me retirer d'Internet immédiatement. C'est un peu une simplification car ils veulent aussi chercher des idées et pas seulement des individus mais, néanmoins, la recherche de la pensée erronée se mondialise.
Cela ressemble à une théorie du complot insensée de l'enfer : le WEF collecte des informations sur tout le monde partout, puis indique à toutes les plates-formes les messages à supprimer, sur la base d'un moteur d'IA décisionnel mondial qui voit tout et peut identifier des personnes et des idées individuelles au-delà d'une plate-forme donnée. .
Si jamais quelqu'un me disait que ce serait envisagé, je penserais probablement que cette personne est folle. Cela ressemble à un fantasme technologique malade ou à une théorie du complot farfelue. Malheureusement, ce truc fou est réel, se trouve dans une proposition d'ordre du jour du WEF qui est officiellement publiée dans la section « Agenda du WEF » de leur site Web. Et le WEF ne plaisante pas.
Vous n'aurez pas de voix et vous serez heureux !
En savoir plus sur : IgorChudov.Substack.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-17-wefs-global-intelligence-collecting-ai-erase-ideas.html
Un anniversaire de mauvais augure : Nixon ferme la fenêtre dorée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 17 AOÛT 2022 - 22:25
Écrit par Michael Maharrey via SchiffGold.com,
Il y a cinquante et un ans cette semaine, le président Richard Nixon a claqué la « fenêtre d'or » et éliminé le dernier vestige de l'étalon-or.
Nixon a ordonné au secrétaire au Trésor John Connally de dissocier l'or de son prix fixe de 35 $ et a suspendu la capacité des banques étrangères à échanger directement des dollars contre de l'or. Lors d'un discours à la télévision nationale, le 15 août 1971, Nixon a promis que l'action serait temporaire afin de «défendre le dollar contre les spéculateurs», mais cela s'est avéré être un mensonge.
La décision du président a définitivement et complètement séparé le dollar de l'or et l'a transformé en une monnaie fiduciaire pure.
Les premiers pas vers Fiat
L'ordre de Nixon a été la fin d'un chemin hors de l'étalon-or qui a commencé sous l'administration du président Franklin D. Roosevelt. Le 5 juin 1933 a marqué le début d'une mort lente du dollar lorsque le Congrès a adopté une résolution commune supprimant le droit des créanciers aux États-Unis d'exiger le paiement en or. Cette décision était l'aboutissement d'autres mesures prises par Roosevelt cette année-là.
En mars 1933, le président interdit aux banques de payer ou d'exporter de l'or, et en avril de la même année, Roosevelt signa le décret 6102. Il était présenté comme une mesure pour arrêter la thésaurisation, mais il s'agissait en réalité d'un plan de confiscation massif. L'ordonnance obligeait les citoyens privés, les partenariats, les associations et les sociétés à remettre toutes les quantités d'or, sauf de petites quantités, à la Réserve fédérale à un taux de change de 20,67 $ l'once. En 1934, le prix fixé par le gouvernement pour l'or a été augmenté à 35 $ l'once. Cela a effectivement augmenté la valeur de l'or dans le bilan de la Réserve fédérale de 69 %.
La raison derrière le décret exécutif de Roosevelt et la résolution conjointe du Congrès était de supprimer les contraintes sur l'inflation de la masse monétaire. La loi sur la Réserve fédérale exigeait que tous les billets de la Réserve fédérale soient adossés à 40 % d'or. Mais la Fed était à court d'or et à la limite. En augmentant ses réserves d'or par la confiscation des avoirs en or privés et en déclarant un taux de change plus élevé, la Fed pourrait faire circuler plus de billets.
Le dernier coup de Nixon
Alors qu'il était légalement interdit aux citoyens américains d'échanger des dollars contre de l'or, les gouvernements étrangers ont maintenu ce privilège. Dans les années 1960, la Réserve fédérale a lancé une politique monétaire inflationniste pour aider à monétiser les dépenses massives du gouvernement pour la guerre du Vietnam et Pres. La « grande société » de Lyndon Johnson. Le dollar perdant de la valeur en raison de ces politiques inflationnistes, les gouvernements étrangers ont commencé à échanger des dollars contre de l'or.
C'est exactement ainsi qu'un étalon-or est censé fonctionner. Cela limite la croissance de la masse monétaire et limite la capacité du gouvernement à dépenser. Si le gouvernement « imprime » trop d'argent, d'autres pays commenceront à échanger la monnaie dévaluée contre de l'or. C'est ce qui se passait dans les années 1960. Alors que l'or sortait du Trésor américain, on craignait que les avoirs en or du pays ne soient complètement épuisés.
RépondreSupprimerAu lieu d'insister sur la discipline budgétaire et monétaire, Nixon a simplement coupé le dollar de ses derniers liens avec l'or, permettant à la banque centrale de gonfler la masse monétaire sans retenue.
Conséquences
Lorsqu'il a annoncé la fermeture de la fenêtre de l'or, Nixon a déclaré : "Laissez-moi mettre fin au bugaboo de ce qu'on appelle la dévaluation", et a promis : "Votre dollar vaudra autant qu'il vaut aujourd'hui".
C'était aussi un mensonge.
Le dollar a perdu plus de 85% de sa valeur depuis la décision fatidique de Nixon, basée sur le calculateur de l'IPC. Le pouvoir d'achat d'un dollar de 1971 est égal à moins de 14 cents aujourd'hui.
Pendant ce temps, la valeur en dollars de l'or est passée de 35 $ l'once à un peu moins de 1 800 $ l'once aujourd'hui. En pourcentage, cela représente une augmentation de 4 970 %.
L'analyste en investissement Nick Giambruno a déclaré qu'il s'agissait d'une conséquence tout à fait prévisible de l'abandon par les États-Unis d'une monnaie saine.
À tous égards, y compris la stagnation des salaires et la hausse des coûts, les choses se sont détériorées pour la classe moyenne américaine depuis le début des années 1970. Le 15 août 1971, pour être exact. C'est la date à laquelle le président Nixon a tué les derniers vestiges de l'étalon-or. Depuis lors, le dollar est une pure monnaie fiduciaire. Cela permet à la Fed d'imprimer autant de dollars qu'elle le souhaite. Et - sans la discipline imposée par une certaine forme d'étalon-or - c'est précisément ce qu'il fait. La masse monétaire américaine a explosé de 2 106 % depuis 1971. Le rejet de la monnaie saine est la principale raison pour laquelle l'inflation a englouti la croissance des salaires depuis le début des années 1970 et la principale raison pour laquelle le coût de la vie a explosé.
Une autre conséquence a été une énorme dette nationale qui continue de croître à un rythme effarant. La plupart des gens ne s'en rendent pas compte, mais c'est un résultat direct et intentionnel du système actuel de monnaie fiduciaire.
La dévaluation du dollar est considérée comme un compromis acceptable car une monnaie flottante est exactement ce dont le gouvernement avait besoin. Il serait impossible de financer l'État providence et guerrier américain avec une monnaie contrainte par l'or. Avec le dollar détaché de toute norme fixe, l'Oncle Sam pouvait créer autant de dollars qu'il le souhaitait afin de financer tous ses programmes sociaux et militaires massifs. Avec une monnaie fiduciaire flottant librement, le gouvernement américain peut emprunter autant d'argent qu'il en a besoin, sachant que la banque centrale sera toujours là pour monétiser la dette et stocker les dépenses.
Et c'est exactement ce qui s'est passé.
RépondreSupprimerComme l'a dit Frank Holmes dans un article publié par Forbes, "il y a eu un manque de discipline important et croissant en matière de dépenses publiques", depuis l'acte fatidique de Nixon.
Avant 1971, il y avait une limite naturelle à la quantité d'argent pouvant être imprimée. Les nouvelles émissions dépendaient de la quantité d'or qui se trouvait dans les coffres de la nation. Aujourd'hui, avec le dollar soutenu non pas par un actif durable mais par la "pleine foi et le crédit" du gouvernement américain, la dette fédérale se rapproche d'un montant astronomique de 28 000 milliards de dollars, soit plus de 130 % de la taille de l'économie américaine. .”
Pour mettre cela en perspective, en 1960, la dette nationale était juste un peu plus de la moitié de la taille de l'économie américaine.
C'est exactement ce que voulaient des politiciens comme Nixon, Ford, Carter, Reagan, Bush I, Clinton, Bush II, Obama, Trump et Biden - la capacité de dépenser sans retenue et de faire croître le gouvernement sans limites. Le résultat : une dette nationale massive et une monnaie dévaluée qui achète de moins en moins la personne moyenne chaque année.
Comme Ryan McMaken l'a résumé dans un article sur le Mises Wire :
Nixon aspirait à être libéré de cette contrainte afin de pouvoir dépenser les dollars plus librement et de ne pas avoir à se soucier de leur valeur en or. La décision de Nixon était, en bref, la politisation finale et totale de l'argent lui-même.
Pour la plupart des gens, cet anniversaire passera inaperçu. Mais ce devrait être un jour qui vit dans l'infamie.
Peter Schiff a produit l'année dernière une vidéo pour le 50e anniversaire de Nixon fermant la fenêtre d'or qui détaille davantage les mensonges et les conséquences.
https://www.zerohedge.com/markets/inauspicious-anniversary-nixon-slams-shut-gold-window
Après ce '15 Août 1971' est arrivé le '7 Janvier 1973' en France où le ministre de l’Économie et des Finances (Valery Giscard d'Estaing) sous la présidence de Georges Pompidou a VENDU LA BANQUE DE FRANCE à des banques privées !!
SupprimerEt, comme toutes républiques sont des dictatures, cette décision a été prise SANS L'ACCORD DU PEUPLE.
Depuis ce jour, la totalité des recettes de l’État (ruiné) va aux banques privées qui gèrent et prêtent de l'argent aux gouvernements afin qu'ils établissent un budget !
La Colombie n’est plus entre les mains des colombiens
RépondreSupprimerPAR EDUARDO MACKENZIE
LE 16 AOÛT 2022
En ce moment, la Colombie est hors de contrôle.
Le Sénat et la Chambre des représentants, les partis politiques, les entreprises et les hommes d’affaires, les directeurs des médias, sont tombés en état de mort cérébrale. La souveraineté populaire a péri. Les organes de contrôle prévus par la Constitution /sont des /ne sont plus que des /phrases sur un papier. La séparation des pouvoirs et l’existence de freins et contrepoids destinés à limiter les excès des trois pouvoirs ne sont plus praticables.
La Colombie est désormais entre les mains d’un groupe a-national, qui exécute des directives non explicites dans lesquelles les intérêts de la Colombie, de ses habitants, de son territoire, ne sont pas pris en compte. La construction de la Colombie a cessé. Nous entrons dans la phase du démantèlement de la Colombie et du transfert de la richesse nationale vers des pays tiers.
L’État colombien est guidé par une clique aux pouvoirs absolus, mais de fait, qui suit des directives opaques, extra-colombiennes, qui n’ont jamais fait l’objet d’une délibération citoyenne, ni avant ni pendant la campagne électorale.
Voyons juste deux exemples de la façon dont cette situation terrifiante se cristallise dans les événements récents.
La Colombie cessera d’explorer et de commercialiser le gaz de son propre sous-sol et lorsque le gaz des réserves colombiennes sera épuisé, la Colombie importera cette ressource du Venezuela. L’annonce de cette mesure irrationnelle a été faite avant-hier par la nouvelle ministre des Mines et de l’Énergie, Irene Vélez Torres, sans que cela ait généré une explosion de mécontentement dans le pays.
Cette opération est, sans l’ombre d’un doute, la première annonce d’un transfert massif de richesses colombiennes vers le Venezuela. C’est le premier versement d’un pays devenu otage d’un autre lequel exige ce transfert de valeur et de richesse nationale.
Pour endormir le public, Irene Vélez n’a pas précisé le montant de ce que la Colombie devra payer pour ces importations et a prévenu qu’elles débuteront dans « sept ou huit ans » et qu’entre-temps la Colombie pourrait construire « la liaison de transport de gaz avec le Venezuela » .
Elle parle donc d’un vaste plan stratégique, pensé dans tous ses détails. L’ordre du jour est aussi de créer les infrastructures indispensables pour épuiser au plus vite les richesses gazières de la Colombie et pourquoi pas ses richesses en pétrole et en charbon, au profit d’un autre pays ou d’une puissance extra continentale.
Rappelons que le gaz est utilisé quotidiennement par plus de 10 millions de familles colombiennes.
Il y a quelques jours, ce 10 août, Ecopetrol (1) avait annoncé la découverte d’un immense champ gazier en eaux profondes, à 70 kilomètres au large de La Guajira, nommé Gorgon-2, grâce à une excavation marine, avec un navire de pointe, à 2 400 mètres de fond et d’une profondeur totale de plus de 4 000 mètres, la plus grande réalisée en Colombie » (2).
RépondreSupprimerFelipe Bayón, président d’Ecopetrol, a expliqué que ce gisement « permettra d’augmenter les réserves de gaz de la Colombie et de répondre à la demande croissante de cette source d’énergie fondamentale pour la transition énergétique qu’Ecopetrol et le pays ont engagée ». Cependant, Gustavo Petro ne veut rien savoir à ce sujet. « Le gaz est sale », dit-il. Il préfère que le Venezuela de Maduro empoche la meilleure part de l’abandon de la richesse gazière de la Colombie.
Les Colombiens croyaient que Petro allait occuper la Casa de Nariño pendant quatre ans. La clique gouvernementale le dit sans détour : ici, nous serons au service du Venezuela et des autres États pendant au moins huit ans.
Il y aura également, dans quelque mois, des transferts supplémentaires de richesse colombienne, sous de faux prétextes, de maquillages et d’arguments écologistes, au profit de Cuba, une dictature qui doit déjà être en train d’envoyer sa facture à la Casa de Nariño.
Quels contre-pouvoirs entreront en jeu à Bogotá, et dans les régions touchées, pour enrayer une telle barbarie antinationale et placer les agents de la ruine de la Colombie hors des leviers de l’État ? Le pouvoir législatif, la justice, la presse, l’université et le reste de l’immense appareil administratif sortiront-ils de leur état catatonique ?
Pour l’instant le panorama est le suivant : il n’y a pas de contre-pouvoirs, il n’y a pas de Constitution, ni de lois. La clique écrasera tout et utilisera la violence contre les fils de la Colombie pour imposer les diktats du Groupe de Puebla et du Forum de Sao Paulo, et des puissances qui travaillent à saper la démocratie et les libertés en Occident.
Deuxième exemple. La première chose que Gustavo Petro a faite en tant que président a été de rétablir des relations diplomatiques avec une entité que très peu connaissent en Colombie : la République sahraouie. Qu’est-ce que cela apporte à la Colombie ? Rien. Au contraire, cet acte porte un coup à la Colombie. Les excellentes relations avec l’Espagne et le Maroc seront entachées. Notre pays, en 2001, sous la présidence d’Andrés Pastrana, avait gelé les relations avec le Front Polisario, établis par la présidence de Belisario Betancur en 1985.
Pour reprendre la relation bilatérale avec le Maroc et freiner l’immigration sauvage, le gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sanchez a adressé au roi Mohamed VI une lettre reconnaissant l’intégrité territoriale du Maroc, y compris le Sahara occidental, que le Front Polisario revendique comme « République sahraouie ». Le Front Polisario a immédiatement annoncé qu’il rompait ses relations avec l’Espagne. Un porte-parole de ce groupe a expliqué que, par contre, le parti communiste Podemos reconnaît la République sahraouie.
RépondreSupprimerIl est évident que Gustavo Petro, en prenant cette mesure insolite, répondait à l’agenda de Podemos et d’exécrables dictatures, se moquant des intérêts de la Colombie.
Comme le dit la presse, la République sahraouie est une administration de facto (mais pas de jure), c’est une entité « avec une reconnaissance limitée au niveau mondial ». En effet, aucun État européen, ni les États-Unis, ni le Japon, ni l’Australie, ne reconnaît cette « république ». Seuls 54 pays le font, tous du tiers monde, y compris la Corée du Nord et Cuba. Et maintenant la Colombie. Qu’y a-t-il derrière cette mesure ? Un agenda politique qui n’a rien à voir avec la Colombie.
Un autre acte qui ruine la relation bilatérale avec l’Espagne est celui de l’épée de Bolívar, le 7 août. Opération très habile. Avec cette farce préméditée, Petro a rendu un autre service à Podemos et à ceux qui cherchent à briser la monarchie espagnole. L’image du Libertador a également souffert: maintenant des groupes d’exaltés veulent déboulonner les statues de Bolívar en Espagne et ouvrir une nouvelle campagne de haine contre l’histoire de la Colombie.
L’œuvre destructrice avance à la vitesse grand V. Mais en Colombie, la classe politique s’endort ou se console avec la phrase habituelle : « Il ne se passe rien ici ».
© Eduardo Mackenzie (@eduardomackenz1) pour Dreuz.info. Toute reproduction interdite sans l’autorisation écrite de l’auteur.
(1).- Ecopetrol est une société anonyme d’économie mixte et d’ordre national, rattachée au Ministère des Mines et de l’Énergie. Elle intervient à tous les maillons de la chaîne des hydrocarbures : exploration, production, transport, raffinage et commercialisation. Elle possède la plupart des oléoducs et polyducs en Colombie. Elle participe également à l’activité des biocarburants au Brésil, au Mexique et aux États-Unis (Golfe du Mexique et Permian Texas). La République de Colombie est l’actionnaire majoritaire d’Ecopetrol avec une participation de 88,49 %.
(2).- https://www.ecopetrol.com.co/wps/portal/Home/es/noticias/detalle/gorgon2
https://www.dreuz.info/2022/08/la-colombie-nest-plus-entre-les-mains-des-colombiens-270458.html
L’armée américaine aux prises avec une vague de suicides
RépondreSupprimerPar Alexandre Lemoine
Mondialisation.ca,
16 août 2022
L’université Brown a publié un rapport stipulant que 30.177 militaires et vétérans américains s’étaient suicidés ces 20 dernières années. À titre de comparaison: 7.052 soldats ont été tués dans les opérations américaines depuis le 11 septembre 2001.
L’armée américaine fait face à une véritable épidémie de suicides. 176 soldats se sont suicidés en 2021. Un record depuis 1938. Selon le Pentagone, le taux de suicide grandit dans toutes les armes depuis 2015.
Ce problème préoccupe sérieusement le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin, qui a évoqué ce sujet lors de sa visite à la base d’Eielson en Alaska l’an dernier. C’est dans cette base que les militaires américains mettent le plus souvent fin à leurs jours.
D’après le quotidien USA Today, au premier semestre 2021, parmi les 11.500 militaires stationnés en Alaska, 6 suicides ont eu lieu. Le même nombre que pour toute l’année 2020. Ce chiffre reflète le tableau d’ensemble. En 2018, 326 suicides ont été recensés dans toutes les forces armées américaines, contre 350 en 2019 et 385 en 2020. En comparaison avec environ 160 suicides par an en 2009-2010, cette double hausse de pertes hors combat en dix ans témoigne d’une profonde crise morale au sein des forces américaines.
Tracy Latz, psychiatre avec 35 ans d’expérience, estime que l’une des principales raisons est le « sentiment d’absence de but ». « Les vétérans rapportaient qu’ils sentaient que l’État utilisait leurs camarades comme des pions et ne voyaient aucun sens à leurs actes. »
Les forces spéciales ont été également affectées par les suicides. Le New York Times a publié une étude sur les suicides au sein des forces spéciales organisée à la demande du Commandement des opérations spéciales (SOCOM) par l’Association américaine de suicidologie.
117 suicides ont été recensés entre 2007 et 2015 dans les forces des opérations spéciales, mais ce nombre a considérablement augmenté ces dernières années. Le général Joseph Votel, qui commandait le SOCOM d’août 2014 à mars 2016, a noté dans une interview au NYT que les cas de suicide parmi ses soldats pouvaient être liés à « la pression sociale et la pression du commandement ». Mais le quotidien n’est pas de cet avis et écrit que la raison pourrait être l’accent sur l’intensité élevée des opérations au détriment d’un « commandement compétent, de la discipline et de la subordination ».
La jeunesse américaine ne veut pas s’engager dans l’armée. Le 20 juillet, le chef adjoint d’état-major de l’armée de terre, le général Joseph Martin, a stupéfait les congressistes américains en annonçant qu’en l’absence de suffisamment de recrues l’armée américaine devrait être réduite à son minimum depuis 1940.
Le Pentagone comptait initialement augmenter le nombre des forces terrestres jusqu’à 485.000 hommes d’ici 2023, mais il est clair à présent que l’armée devra être réduite à 445.000 militaires. Selon le général, l’armée manquera d’au moins 7.000 soldats pour mener les opérations actuelles.
RépondreSupprimerSeulement 23 % des jeunes américains sont aptes au service militaire. Les autres sont inaptes à cause de l’obésité, de maladies, de la toxicomanie ou d’un casier judiciaire. Parmi ceux qui sont aptes, seulement 9% souhaitent s’enrôler. 57 % des jeunes américains ont tout simplement peur de servir. Ils sont convaincus qu’après le service ils auront forcément des problèmes psychologiques et physiques. D’où la hausse du nombre de suicides, car il est difficile de rompre le contrat et il est insoutenable de servir.
Au vu d’un manque de personnel, le Pentagone a réduit les exigences envers les recrues et ne complète ses unités qu’à 90 %. Il est désormais possible de s’engager même sans un brevet des collèges. Des camps spéciaux sont créés pour les recrues où des personnes obèses et mentalement déficientes seront préparées au service militaire.
L’une des raisons de la hausse du nombre de suicides est la mutilation psychologique par l’introduction de ce qu’on appelle des théories progressistes. Le sénateur républicain Josh Hawley s’indigne que les soldats américains accordent davantage d’attention à l’étude de la « théorie raciale critique » qu’à la formation militaire. Le sénateur a exigé du chef d’état-major des armées Mark Milley de « cesser d’utiliser les forces armées comme une géante expérience sociale ».
Pendant ce temps, le mécontentement grandit dans les rangs de l’armée. Sur les messageries secrètes des unités d’élite, les combattants d’active et à la retraite des forces spéciales s’expriment de manière négative au sujet des autorités américaines. Le chef du contrespionnage militaire américain Harry Reid a déclaré que ces messageries secrètes feraient l’objet d’une sérieuse enquête.
https://www.mondialisation.ca/larmee-americaine-aux-prises-avec-une-vague-de-suicides/5670567
L’armée française face aux défis d’une guerre de «haute intensité»
RépondreSupprimerPar Olivier Renault
Mondialisation.ca,
16 août 2022
Les politiques et les experts militaires français se posent des questions sur les capacités militaires de la France. Le conflit en Ukraine et les menaces terroristes tout comme l’incapacité de l’armée française à pacifier la zone du Sahel obligent ces personnalités à revoir la stratégie militaire de la France sur sa capacité en armes et munitions mais aussi sur sa coopération avec des Etats ayant pourtant été réputés comme des partenaires fiables allant même à former comme avec l’Allemagne, le fameux couple franco-allemand. «Les moyens du dispositif militaire français sont-ils proportionnés pour mener de front notre action antiterroriste au Sahel et la défense du flanc est de l’Europe ?», se demandent-ils.
Le couple franco-allemand ne marche pas et menace la défense française. Joël Barre, Délégué général pour l’armement a fait l’état des lieux lors d’une audition à la commission de la défense de l’Assemblée nationale en juillet dernier. Le compte rendu a été publié ce 10 août sur Twitter. Tout d’abord, Joël Barre confirme ce qu’Observateur Continental avait déjà analysé dans ses articles sur les projets SCAF et MGCS. Titrant, «Le nouveau char franco-allemand sous la direction politique de l’Allemagne», Observateur Continental annonçait déjà la faillite de ce projet.
Même si Joël Barre signale que «nous butons toujours sur l’arrivée de Rheinmetall dans le programme, en particulier, sur le canon du char du combat du futur», et que «nous n’avons pas encore trouvé, entre Rheinmetall et Nexter», il reste optimiste sur le programme MGCS car, selon lui, «il n’est toutefois pas arrêté» car «nous sommes en phase d’étude d’architecture système jusqu’au printemps 2023». Laurent Jacobelli, membre de la commission de la défense nationale et des forces armées et porte-parole du RN, a lancé: «La vision gaullienne de l’Europe des projets, pays par pays, montre ses limites dans notre collaboration avec l’Allemagne»; «Le MGCS prend du retard et force est de constater que nos partenaires allemands travaillent aussi sur leur propre projet de char, privilégiant leur intérêt national».
Il précise aussi, comme Observateur Continental l’avait aussi analysé: «Selon le PDG de Dassault Aviation lui-même, le projet de SCAF connaît aussi quelques problèmes».
Capacité de la France pour une guerre de «haute intensité»? «Le modèle capacitaire que nous développions n’était pas suffisamment orienté vers une crise de «haute intensité» rapide. Il faut accélérer l’effort pour la haute intensité», a informé Joël Barre qui fait savoir qu’«on est maintenant bien plus préoccupé par le retour des puissances» même «si le terrorisme était la priorité de la LPM 2019-2025».
Pour lui, «les points faibles» sont «les stocks de munitions, même si 7 milliards d’euros sont prévus dans la LPM pour compléter et développer de nouveaux missiles ou de nouvelles munitions». Il annonce que «la poursuite de l’effort fera l’objet de la prochaine LPM annoncée par le Président français.
A contrario, le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu réfute «les annonces alarmistes, parues dans la presse, sur les capacités de défense de la France en cas d’attaque, et notamment ce qui a été prétendument extrait du rapport Thiériot-Mirallès, sur un stock de munitions qui ne permettrait pas de tenir plus de deux semaines».
RépondreSupprimerPourtant, le chef d’état-major des armées, Thierry Burkhard, qui a été l’un des premiers à évoquer la possibilité du retour aux combats de «haute intensité» et la nécessité pour les armées de s’y préparer en durcissant les entraînements et en pensant la guerre probable, évoque «une logique faible stock» qui «a prévalu, considérant qu’on pouvait faire beaucoup à flux tendus», mais qu’on s’aperçoit que c’est plus difficile avec les munitions». Il accuse «l’absence de moyens financiers pour maintenir les flux» ce qui «a créé des dépendances».
A la question si «l’armée française peut à la fois gérer des opérations en Afrique et un conflit majeur de «haute intensité»?», Thierry Burkhard répond qu’il n’y a plus aucun pays capable d’agir seul: «Dans la «haute intensité», on privilégie la défense collective»; «C’est la raison d’être d’alliance comme l’Union européenne ou l’Otan».
Le retour de la guerre de «haute intensité». Le rapport Thiériot-Mirallès évoque «le retour de »l’attrition »» en raison de la «nouvelle donne stratégique et tactique»: «Par ce terme technique, les armées désignent avec pudeur la perte de pilotes, les tués et les blessés au combat, les disparus en mer, les destructions d’appareils, l’épuisement des stocks et des ressources, des données quasiment absentes de la planification depuis trente ans». Le même rapport liste pour 2021, 222 chars de bataille, 254 avions de combat, 19 grands bâtiments de surface dans l’armée française et constate que «l’armée de Terre qui comptait quinze divisions à la fin de la Guerre froide, soit environ 300 000 militaires, n’a plus que l’équivalent de deux divisions» A titre d’exemple, «dans le Haut-Karabakh, les Arméniens ont perdu 220 chars dans le conflit, soit rigoureusement notre parc de Leclerc», que «170 lance-roquettes ont été détruits», que «nous en avons 13». Il prévient, également, qu’«avec 117 Rafale et un taux de disponibilité qui peut difficilement dépasser 0,7, l’armée de l’Air et de l’espace n’a en réalité que 80 avions de chasse »bons de guerre »».
Ainsi, «dans le cas d’un conflit de «haute intensité», seule une trentaine d’avions de combat environ seraient véritablement disponibles pour mener le combat conventionnel au début». Le rapport Thiériot-Mirallès pointe le doigt sur «la nécessité de reconstituer les stocks de munitions pour faire face à un conflit de «haute intensité», rejoignant l’expertise de Thierry Burkhard et de Joël Barre.
Ainsi, la France doit préparer sa population à accepter dans l’avenir plus de pertes en matériel militaire et humaines dans ses armées. Mais, elle n’est pas encore prête à affronter une guerre de «haute intensité» ce qui est pourtant, de nouveau, la norme dans une guerre du 21è siècle.
https://www.mondialisation.ca/larmee-francaise-face-aux-defis-dune-guerre-de-haute-intensite/5670563
L'INFLATION DÉPASSE LES 10 % AU ROYAUME-UNI
RépondreSupprimerpar CÉDRIC BONNEFOY
18/08/2022
En juillet, l'inflation dépasse la barre des 10% au Royaume-Uni.
La hausse des prix ne semble pas s’arrêter outre-Manche. Pire, elle accélère encore et dépasse désormais la barre des 10% sur un an. Une situation qui plombe le porte-monnaie des Britanniques.
Les prix de l’alimentation flambent au Royaume-Uni
L’économie britannique est mal en point. Elle subit de plein fouet l’inflation. Cette dernière dépasse la barre symbolique des 10 % en juillet. C’est la première fois qu’elle atteint un niveau à deux chiffres depuis plus de 40 ans. L’un des postes de dépense qui augmente le plus : l’alimentation. Les produits de la boulangerie, la viande ou les légumes continuent d’être toujours plus chers. Selon les économistes britanniques, les plats préparés voient leur prix grimper en flèche.
Autre source d’inquiétudes : l’énergie. Les prix sont amenés à exploser à partir du 1er octobre avec l’application de différentes hausses pour permettre aux distributeurs de passer le cap. Problème, la Banque d’Angleterre prévoit une inflation à 13 % au début de l’automne. La situation risque d’être difficilement supportable pour une majorité d’habitants.
Chute des salaires et du PIB
Dans ce contexte-là, les salaires sont en chute libre au pays de la Reine. Le pouvoir d’achat des Britanniques fond comme neige au soleil. Ils ont perdu 3 % à la fin du mois de juin, le chiffre tenant compte de l’inflation. Plusieurs voies s’élèvent pour inciter le gouvernement à mettre en place d’urgence davantage de mesures d’aide à destination des foyers les plus modestes. Dans le même temps, l’économie britannique ralentit.
Le produit intérieur brut (PIB) est à 0.1 % au second trimestre. Selon les économistes, il devrait passer en négatif avant la fin de l’année. Le Royaume-Uni entrera alors en récession. Alors que Boris Johnson doit bientôt laisser sa place à un nouveau Premier Ministre, son successeur devra gérer une crise économique pour éviter de devoir affronter une crise sociale.
https://economiematin.fr/news-inflation-royaume-uni-hausse-risque-economie
L'INFLATION DE LA ZONE EURO ATTEINT 8,9 % SUR UN AN EN JUILLET 2022
RépondreSupprimerpar PAUL LAURENT
18/08/2022
Les services comptent pour 41,6% de la consommation des habitants de la zone euro.
Jeudi 17 août 2022, Eurostat, l’administration européenne des statistiques, a publié les chiffres de la hausse des prix à la consommation au sein de la zone Euro.
La plus forte inflation depuis la création de l’Euro
En juillet 2022, l’inflation a atteint 8,9 % sur un an au sein de la zone euro selon Eurostat, l’office statistique de l’Union européenne. Depuis l’invention de l’Euro, en 1999, jamais la hausse des prix à la consommation n’avait été aussi forte. Selon Eurostat, l’inflation a même progressé de 0,1 % sur un mois.
Sur l’ensemble de l’Union européenne, l’inflation a, quant à elle, atteint 9,8 % sur un an en juillet 2022 après avoir été de 9,6 % en juin 2022. Sans les produits énergétiques, l’alimentation, l’alcool ou encore le tabac, c’est-à-dire l’inflation sous-jacente, la hausse des prix à la consommation atteint 4 % au sein des 19 pays utilisant l'Euro comme monnaie unique. En juin 2022, ce taux d’inflation avait atteint 3,7 %.
Forte hausse de l’énergie
Dans le détail, c’est encore l’énergie qui tire l’inflation à la hausse. En un an, les prix sur les produits énergétiques ont grimpé de 39,6 % en juillet 2022, contre 42 % en juin 2022. L’énergie compte pour 10,9 % de la consommation des habitants de la zone euro en juillet 2022. Représentant 41,6 % de la consommation en juillet 2022, les services ont augmenté de 3,7 % sur un an, contre 3,4 % au mois précédent.
Comptant pour 20,8 % de la consommation des ménages, les produits alimentaires comprenant l’alcool et le tabac, ont augmenté de 9,8 % en glissement annuel en juillet 2022, contre une augmentation de 8,9 % un mois auparavant. Les produits industriels non-énergétiques ont, quant à eux, augmenté de 4,5 % en juillet 2022 (4,3 % un juin) sur un an. Cette catégorie compte pour 26,5 % dans la consommation totale des habitants de la zone euro.
https://economiematin.fr/news-inflation-zone-euro-atteint-8-9-pourcents-annuel-juillet-2022
LA CANICULE POUR L'ÉCONOMIE AUSSI CET ÉTÉ 2022
RépondreSupprimerpar PHILIPPE BAPT
18/08/2022
L'inflation a atteint 6,8 % sur un an en juillet 2022 en France et le thermomètre 43°C, le 18 juin, à Arcachon
Un point d’étape en plein été…ça sert vraiment ?
A cette date-là de l’année il est si facile de ressortir l’inénarrable marronnier de la qualité de l’huile d’olive vendue sur les marchés de plein vent de Provence, et pour faire plus professionnel de parler de la chute du cours de pétrole depuis plus d’un mois. Il serait même très tendance de se poser la question de la taxe des supers profits ou de la baisse du prix du carburant à la pompe ou des deux ?
A ce propos il est tout de même fou de se dire qu’aujourd’hui, on paie l’essence ou le gazole plus cher à la pompe de l’autre côté des Pyrénées, alors même que le coût de la vie y est moins cher et le salaire minimum comparé en France et en Espagne donne ces chiffres en montant brut mensuel : 1645 contre 1166 euros. Bref la taxe sur les super profits en Espagne a bien été votée…et ce sont donc les espagnols qui la paient à la pompe.
Ce qui est certain pour revenir à notre hexagone, c’est qu’il n’y aura pas eu de trêve estivale côté économie non plus. Les données publiées vendredi 12 août 2022 par l'Insee en atteste : cette hausse de l’inflation qui provient de l’accélération des prix de l'alimentation (+6,8 % après +5,8 %), et dans une moindre mesure des produits manufacturés (+2,7 % après +2,5 %), voit sa hausse presque atténuée suite à la flambée des prix de l'énergie, hausse qui se pose un tantinet passant à +28,5 % après +33,1 %, et ce notamment grâce à la baisse des prix des carburants à la pompe.
Alors oui le phénomène n’est pas franco-français (cf. carte), et il est impressionnant de constater combien d’une part la relative sortie de la pandémie Covid et d’autre part la guerre en Europe, contre l’Ukraine, entraînent comme bouleversements économiques.
Et même pour les tenants d’une sortie de l’Europe, la perfide Albion ressent très fort ces secousses de contraction économique. Il est intéressant de noter qu’outre-Manche le repli économique constaté est en partie compensé par…le tourisme qui a repris ses droits après cette période si terne due au virus et ses variants, grâce à la levée des restrictions sanitaires.
Évidemment, inventer un bouclier par-ci, un chèque par-là, ne va pas constituer l’épine dorsale d’une politique économique pérenne. Après le « quoi qu’il en coûte » de ces deux dernières années, la poussée de fièvre économique à laquelle le monde se trouve confronté pour ce second semestre aussi, et plus si affinités, ne va pas être propice à un climat sain pour les investisseurs, tant on a l’impression de se voir confronté à l’émergence d’une nouvelle-donne mondiale. Là où les équilibres précaires certes avaient pourtant l’air de tenir, on assiste à un nouveau maillage économique mondial. Cela va-t-il tenir ? Les chinois grands argentiers du monde : de l’Afrique à la Grèce jusqu’aux Etats-Unis vont-ils réussir à surmonter les effets que produisent leur politique de « zéro Covid » qui est la leur et qui les handicapent ?
RépondreSupprimerL’été sera chaud (1979) : quel devin cet Eric Charden
Sans oublier la seule la vraie canicule estivale avec ses effets en cascade : sécheresse, feux de forêts, suivie des contre-effets de type pluies intenses n’ont pas fini non plus de redistribuer les cartes même en matière économique : les besoins en énergies vont croître de façon exponentielle. Imaginez : 2022 est une année record, étant donné le nombre de jours de canicule : 30 minimum !
Certains ou certaines ont beau faire leur beurre électoral sur le non-besoin de voler ou de se permettre du tourisme à volonté, malgré les voyages des uns en avion première classe ou en voilier pour d’autres, force est de constater que ce n’est pas pour demain l’ère du collectivisme en France.
la France qui s’enorgueillit de voir passer pas loin de 90 millions de touristes par an sur son sol, pour le principal durant les deux mois d’été, ne peut et ne pourra jamais se passer de cette manne économico-financière qu’est la branche du tourisme : 2 millions de salariés directs et indirects, dont 1,4 million d'emplois directs. Les secteurs qui y sont directement liés représentent environ 6% du PIB.
Enfin, oui : un plus grand besoin d’éducation, de sagesse collective pour « faire sens ensemble » se font bien sentir.
Pour ceux qui ont connu la deuxième moitié des années 70, après les deux chocs pétroliers de 1973 et 1979, la France s’était déjà lancée dans une grande campagne « antigaspi » énergétique de carburant avec le slogan « chassons le gaspi ! ». Mais les temps ont changé…plus individualistes, plus hédonistes voire pour les optimistes plus épicuriens (au sens élargi du terme), et donc il va falloir espérer que chacun pourra encaisser ces poussées de thermomètre et ces reculs de pouvoirs d’achat, sans quoi malgré tous les pansements votés à l’assemblée, l’ensemble de notre pays tout comme nos voisins vont avoir bien du mal à boucler la ceinture d’approvisionnement énergétique et contenir les conséquences économiques : moral des ménages donc vitesse de flux des capitaux en berne et recul du PIB, mais aussi à terme, politiques : puisque ce sont alors des périodes propices au populisme triomphant !
https://economiematin.fr/news-canicule-ete-economie-france-inflation-analyse-bapt
Allemagne : suspendre la jachère et la rotation des cultures – perdre les subventions
RépondreSupprimer18 Août 2022
Simon Michel-Berger, rédacteur en chef d'AGRARHEUTE*
Le Ministre Fédéral de l'Agriculture Cem Özdemir (photo d'archives) s'est résolu à laisser aux agriculteurs allemands le choix de respecter ou non l'obligation de mettre en jachère 4 % de leurs terres arables et de respecter certaines règles de rotation des cultures en 2023. Mais ceux qui font usage de ces possibilités sont exclus de la promotion de certaines règles écologiques.
Le ministre allemand de l'agriculture, Cem Özdemir, veut utiliser l'option de la Commission européenne de suspendre en 2023 les règles relatives à la jachère obligatoire et à la rotation des cultures. Les agriculteurs doivent pouvoir décider individuellement s'ils veulent le faire ou non. Mais ceux qui profitent de ces possibilités perdent des aides ailleurs. (Article du 6 août, mis à jour le 9.)
Pendant longtemps, le Ministre Fédéral de l'Agriculture Cem Özdemir s'est fermement opposé à ce que les règles relatives à la jachère obligatoire dans le cadre de la politique agricole commune soient suspendues en 2023. Vendredi dernier, il a abandonné cette position et a proposé aux Länder que l'Allemagne utilise également l'option offerte par la Commission Européenne de suspendre l'obligation de mise en jachère l'année prochaine. Auparavant, M. Özdemir avait déjà annoncé que les règles de rotation des cultures dans le cadre de la politique agricole commune seraient également suspendues une fois en 2023 – les agriculteurs allemands devraient désormais pouvoir faire de même s'ils le souhaitent.
Pourquoi M. Cem Özdemir veut-il suspendre l'obligation de mise en jachère et les règles de rotation des cultures ?
Dans un communiqué de presse du ministère fédéral de l'agriculture du samedi 6 août, M. Özdemir a déclaré : « Poutine joue avec la faim et il le fait au détriment des plus pauvres dans le monde. En même temps, la faim est déjà la plus grande là où la crise climatique a déjà frappé de plein fouet. Pour moi, toute mesure visant à résoudre une crise doit donc être examinée pour s'assurer qu'elle n'en aggrave pas une autre. » Il a ajouté : « Nos agriculteurs et agricultrices ont besoin de planifier avec certitude ce qu'ils pourront semer dans quelques semaines. C'est pourquoi j'ai décidé d'accepter l'offre [de la Commission Européenne, réd.] tout en évitant une détérioration de la protection des espèces, de la protection du climat »
Que propose le ministère fédéral de l'agriculture pour suspendre la jachère obligatoire ?
RépondreSupprimerSelon le ministère fédéral de l'agriculture, la mise en jachère obligatoire de 4 % des terres arables de chaque exploitation devrait être suspendue l'année prochaine. Toutefois, seules les céréales (maïs exclu), le tournesol et les légumineuses (soja exclu) peuvent être cultivées sur ces surfaces. Sont donc également interdites, entre autres, les cultures dites à courte rotation destinées à une utilisation énergétique. Les surfaces qui étaient déjà déclarées comme terres arables en 2021 et 2022 et qui sont couvertes d'éléments paysagers tels que des haies ne pourront toujours pas être utilisées pour les cultures.
Que propose le ministère fédéral de l'agriculture pour suspendre les règles de rotation des cultures ?
Comme l'a annoncé le ministère fédéral de l'agriculture, les règles de rotation des cultures seront suspendues une fois en 2023. Les agriculteurs et agricultrices allemands pourront ainsi cultiver du blé après du blé, par exemple.
Nouvelle bureaucratie liée à l'identification des surfaces en jachère
La proposition du ministère fédéral de l'agriculture entraînera inévitablement une augmentation des charges pour les agriculteurs lorsqu'ils déposeront leur demande de soutien agricole auprès des Länder. Les agriculteurs qui ne mettent pas de terres en jachère devront probablement indiquer, lors de leur demande, les 4 % de leurs terres qui auraient autrement été mises en jachère. Il n'est en effet pas possible de contrôler autrement si les agriculteurs cultivent sur ces surfaces des cultures « interdites » comme le maïs ou le soja.
Question en suspens : que se passe-t-il si le blé cultivé sur des terres en jachère n'a qu'une qualité fourragère ?
La question de savoir ce qui se passerait si les agriculteurs cultivaient du blé E ou A sur des surfaces en jachère suspendue, mais que celui-ci ne devait avoir qu'une qualité fourragère, n'est actuellement pas clarifiée. M. Özdemir déclare en effet textuellement à ce sujet : « Je prends tout le monde au mot : je conclus ce compromis pour l'assiette, pas pour que les céréales finissent dans le réservoir ou l'auge. » Un porte-parole du ministère fédéral de l'agriculture a déclaré à ce sujet à AGRARHEUTE : « Cette question fait l'objet de la mise en œuvre technique de la dérogation aux BCAE 8, qui est encore en cours de clarification. »
Ceux qui cultivent des jachères obligatoires ne peuvent pas bénéficier des règles écologiques correspondantes
RépondreSupprimerLes agriculteurs qui n'auront pas de jachères obligatoires en 2023 ne pourront pas non plus participer au régime écologique (Eco-Scheme) pour la poursuite volontaire de la mise en jachère. C'est ce qu'explique le ministère fédéral de l'agriculture à AGRARHEUTE. Ce régime écologique doit être subventionné à hauteur de 1.300 à 300 €/ha (selon la part de surface de un à dix points de pourcentage). Les agriculteurs qui utilisent l'ancien gel obligatoire de 4 % de leurs terres pour cultiver des cultures arables risquent donc de perdre une grande partie des aides.
Ceux qui ne respectent pas la rotation des cultures perdent le soutien à la rotation des cultures sous le régime de l'agriculture biologique
Les agriculteurs qui utiliseront en 2023 la possibilité de suspendre les règles de rotation des cultures ne pourront vraisemblablement pas bénéficier cette année, pour les surfaces correspondantes, du régime écologique relatif à la rotation diversifiée des cultures. C'est ce qu'a déclaré le ministère fédéral de l'agriculture à AGRARHEUTE. Actuellement, la culture volontaire de cultures diversifiées dans les grandes cultures avec au moins cinq espèces principales et une proportion d'au moins 10 % de légumineuses doit être subventionnée à hauteur de 45 €/ha. En outre, dans certains Länder, comme la Bavière, il est possible d'obtenir un soutien supplémentaire pour les assolements complémentaires dans le cadre du développement rural. Mais là aussi, il pourrait y avoir un changement. Un porte-parole du ministère fédéral de l'agriculture a déclaré à AGRARHEUTE que l'impact du report de la rotation des cultures (BCAE 7) sur l'utilisation du régime écologique 2 en 2023 serait « réexaminé ».
Que pense AGRARHEUTE de la démarche de M. Cem Özdemir ?
La proposition de suspension de l'obligation de mise en jachère et des règles de rotation des cultures en 2023 est maintenant là et on se demande pourquoi la Commission Européenne a mis si longtemps à se décider. Ce n'est pas une décision facile à prendre pour les agriculteurs, qu'ils cultivent ou non des jachères obligatoires – car ils perdent alors des aides. Les choses se compliquent également en ce qui concerne la rotation des cultures, car dans certains Länder, les aides du deuxième pilier sont fortement basées sur les règles de l'agriculture biologique. Les agriculteurs doivent maintenant vérifier leurs calculs avec une plume acérée et ont peut-être déjà commandé des semences, des engrais et d'autres intrants sur la base d'un calcul précédent. Compte tenu des prix élevés des céréales, de nombreux agriculteurs devraient en outre se demander si une demande de subvention en 2023 a un sens pour eux.
Comment comptez-vous profiter de l'assouplissement des directives de la politique agricole en 2023 ?
Je mettrai moins de terres en jachère que je ne le devrais : 16 % (343 votes)
Je ne respecterai pas les prescriptions en matière d'assolement : 6 % (136 votes)
Je mettrai moins de terres en jachère et je ne respecterai pas les exigences en matière d'assolement : 17 % (381 votes)
Je mettrai des terres en jachère et je respecterai l'assolement, comme si les exceptions n'existaient pas : 12 % (253 votes)
Je n'introduirai probablement pas de demande de subvention en 2023 : 25% (544 votes)
Je ne sais pas encore ce que je vais faire : 24 % (523 votes)
Total des votes : 2180
* Source : https://www.agrarheute.com/politik/oezdemir-stilllegung-fruchtfolge-aussetzen-fragen-bleiben-596499
https://seppi.over-blog.com/2022/08/allemagne-suspendre-la-jachere-et-la-rotation-des-cultures-perdre-les-subventions.html
La mise en jachères (friches !) est une absurdité gouvernementale car, la terre renferme des nutriments. Et, cette nourriture va profiter à qui ? ... à l'herbe ! Aux ronces, aux épineux et à toutes sortes de mauvaises herbes qui vont pousser, faire des graines et se répandre ! Çà alors !
SupprimerLe Nigeria approuve l'importation du blé HB4 de Bioceres
RépondreSupprimer18 Août 2022
Food Safety Africa*
Après avoir récemment adopté une réglementation sur l'édition de gènes, le Nigeria est une fois de plus en première ligne pour adopter la biotechnologie sur le continent africain en donnant son feu vert à l'importation de la variété [du type] de blé HB4 tolérante à la sécheresse de la société argentine Bioceres Crop Solutions.
Le permis délivré par l'Agence Nationale de Gestion de la Biosécurité (NBMA – National Biosafety Management Agency) du Nigeria autorise « l'importation de blé génétiquement modifié : IND-00412-7 pour l'alimentation humaine, l'alimentation animale et la meunerie » et est valable jusqu'en juillet 2025.
Cette déclaration intervient quelques semaines à peine après que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a terminé son évaluation du HB4, déterminant qu'elle n'avait plus de questions concernant la sécurité du blé génétiquement modifié.
Bioceres a aussi annoncé récemment qu'elle allait de l'avant dans ses efforts pour obtenir l'autorisation de semer et de produire son blé génétiquement modifié résistant à la sécheresse en Australie, avec l'objectif de recevoir les autorisations de semer en 2023.
Selon Bioceres, il a été démontré que la technologie de tolérance à la sécheresse HB4 augmente les rendements du blé de 20 % en moyenne dans des conditions de limitation de l'eau, une adaptation clé qui favorise les systèmes de double culture, où la gestion de l'eau est de plus en plus critique.
Dans le cadre de pratiques de semis direct, les rotations soja-blé HB4 permettent de fixer environ 1.650 kilogrammes de carbone dans le sol par hectare et par an, par rapport aux émissions positives de la monoculture de soja conventionnelle, a déclaré la société.
Le Département Américain de l'Agriculture a prévu que les importations de blé du Nigeria s'élèveraient à 6,5 millions de tonnes pour la campagne 2022-23.
Le Nigeria rejoint le Brésil, la Colombie, l'Australie et la Nouvelle-Zélande qui ont également approuvé l'utilisation du blé dans l'alimentation humaine et animale.
Le blé HB4 est commercialement autorisé pour la production et la consommation en Argentine, où cinq variétés ont été autorisées à être enregistrées pour la campagne agricole actuelle. L'Argentine a accordé cette approbation en octobre 2020, ce qui en fait le premier pays à le faire.
RépondreSupprimerLe blé HB4 tolérant à la sécheresse est une technologie de semences brevetée développée par Trigall Genetics, la coentreprise de Bioceres avec Florimond Desprez, un leader mondial de la génétique du blé.
Depuis 2009, des essais sur le terrain du blé HB4 sont en cours, et depuis 2013, Bioceres et Florimond Desprez ont investi de manière agressive dans la sélection et les activités réglementaires de phase II.
La commercialisation du blé HB4 en Argentine était toutefois soumise à l'approbation du Brésil, ce dernier étant le principal marché d'exportation de la production argentine de blé.
* Source : Nigeria nods importation of Bioceres’ HB4 wheat (foodsafetyafrica.net)
https://seppi.over-blog.com/2022/08/le-nigeria-approuve-l-importation-du-ble-hb4-de-bioceres.html
Des bébés de rats de laboratoire vaccinés contre le covid souffrent de malformations des côtes
RépondreSupprimerMercredi 17 août 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Judicial Watch a obtenu plus de documents via une demande de loi sur la liberté d'information (FOIA), cette fois de Moderna, qui montrent que les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) détruisent la santé non seulement de ceux qui se font injecter mais aussi leur progéniture.
Les rats de test soumis au tir expérimental d'ARNm (ARN messager) de Moderna ont porté des enfants avec de graves malformations des côtes, selon les nouveaux documents. Cela n'a jamais été rendu public, mais la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis était au courant avant l'autorisation d'urgence des piqûres.
L'ancienne cadre pharmaceutique Alexandra Latypova a analysé et examiné les documents, qui contiennent des résultats de tests montrant une forte prévalence de malformations squelettiques chez la progéniture de rats qui ont reçu des injections d'ARNm-1273 (ARNm de Spikevax) de Moderna.
"Les variations liées à l'ARNm-1273 dans l'examen du squelette comprenaient des augmentations statistiquement significatives du nombre de rats F1 avec 1 ou plusieurs côtes ondulées et 1 ou plusieurs nodules de côtes", indiquent les documents - F1 se référant à la progéniture de rat.
« Des côtes ondulées sont apparues chez 6 fœtus et 4 portées avec une prévalence fœtale de 4,03 % et une prévalence de portée de 18,2 % », ajoutent-ils – la portée faisant référence à une naissance en groupe de rats. "Des nodules costaux sont apparus chez 5 de ces 6 fœtus."
Pendant cinq jours après la dernière dose – jour de gestation 13 – une toxicité maternelle a été observée chez les rats, poursuivent les documents. Il s'agit de la période la plus sensible pour le développement des côtes chez les rats, qui se produit pendant les jours de gestation 14 et 17.
Moderna n'a effectué qu'un seul test de toxicité pour la reproduction pour ses injections de covid, et c'était tout
Les côtes ondulées sont des côtes qui se forment de manière incorrecte, juste pour être clair. Les essais de Moderna ont vu six bébés rats sur environ 149 en souffrir, ainsi que cinq qui ont développé des nodules sur les côtes.
Seules les rats femelles ont reçu le vaccin Moderna, nous le savons aussi maintenant. Pour une raison quelconque, Moderna a évité de tester ses injections sur des rats mâles, peut-être parce que les injections sont connues pour dévaster le nombre de spermatozoïdes.
Des rats femelles ont reçu une dose humaine de 100 microgrammes (mcg) d'ARNm de Spikevax 28 et 14 jours avant l'accouplement et les jours de gestation un à 13.
RépondreSupprimer"1/2 rats euthanasiés avant l'accouchement pour examiner les fœtus, le reste suivi jusqu'à 21 jours après l'accouchement", explique Latypova. "Aucun chiffre n'est fourni pour la taille de l'étude."
Il s'avère que c'est le seul test de toxicité pour la reproduction que Moderna ait jamais effectué sur son injection d'ARNm – et le résultat a été un spectacle d'horreur. La manière dont la FDA a utilisé cette étude comme preuve pour prouver la « sécurité » et « l'efficacité » du vaccin Moderna reste inconnue.
"Ni Moderna ni Pfizer n'ont fourni de calculs de dose ou d'informations de justification pour la sélection de dose dans les études sur les animaux", a ajouté Latypova dans une déclaration sur la façon dont Pfizer est tout aussi coupable de jeu déloyal dans ses essais sur les animaux.
«Les doses de médicaments, ou en particulier de produits biologiques, n'ont pas nécessairement de relations linéaires avec la toxicité ou l'efficacité. C'est probablement une relation beaucoup plus complexe et malheureusement pas connue du tout.
La FDA exige des tests de toxicité pour la reproduction pour tous les nouveaux médicaments qui pourraient être pris par des femmes en âge de procréer. Latypova le sait car elle a travaillé dans plus de 60 sociétés pharmaceutiques et s'est principalement concentrée sur l'examen des essais associés qui ont été soumis à la FDA pour approbation.
Étonnamment, la FDA a examiné les résultats de cet essai Moderna et a déclaré via une déclaration du 30 janvier qu'il n'y avait aucun effet indésirable sur les développements postnatals.
"Aucune malformation ou variation fœtale liée au vaccin et aucun effet indésirable sur le développement postnatal n'ont été observés dans l'étude", lit-on dans une déclaration de la FDA sur l'étiquette de Moderna Spikevax.
Il s'avère que le vaccin Pfizer produit le même effet de malformation des côtes chez le rat, ce qui est logique puisqu'il s'agit d'une formule d'ARNm similaire.
La dernière couverture médiatique sur les injections de virus chinois peut être trouvée sur ChemicalViolence.com.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-17-babies-lab-rats-vaccinated-covid-rib-malformations.html
Les verrouillages de Covid ont tué 20 fois plus de personnes qu'ils n'auraient jamais pu en sauver
RépondreSupprimerMercredi 17 août 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Une nouvelle étude publiée dans l'International Journal of Environmental Research and Public Health suggère que des millions de personnes seraient encore en vie sans les blocages du gouvernement contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).
Vingt fois plus de personnes sont mortes plutôt qu'elles n'ont vécu à cause des confinements, révèle l'étude. Le comportement sédentaire, l'isolement et les traitements médicaux retardés sont parmi les nombreuses raisons pour lesquelles les confinements ont causé bien plus de mal que de bien.
"Dans ce travail, nous avons effectué une revue narrative des travaux étudiant l'efficacité ci-dessus, ainsi que l'expérience historique des pandémies précédentes et une analyse risques-avantages basée sur le lien entre la santé et la richesse", ont déclaré les auteurs des travaux du Collège de technologie de Jérusalem.
"L'analyse comparative de différents pays a montré que l'hypothèse de l'efficacité des confinements ne peut être étayée par des preuves - ni en ce qui concerne la pandémie actuelle de COVID-19, ni en ce qui concerne la grippe espagnole de 1918-1920 et d'autres pandémies moins graves dans le passé."
Intitulé « Les confinements sont-ils efficaces pour gérer les pandémies ? le document contient des données claires estimant le nombre de vies perdues en raison des restrictions de verrouillage, qui ont été poussées par des personnalités comme Tony Fauci, Deborah Birx et même Mike Pence. Il s'avère que les gens auraient mieux fait de vivre leur vie normalement.
"Il convient de mentionner que les mêmes conclusions - aucun avantage clair des verrouillages en cas de pandémie - ont été faites par des organismes nationaux et internationaux avant l'émergence de COVID-19", explique en outre le document.
"À savoir, plusieurs gouvernements ont préparé des plans détaillés de réponse aux pandémies de type grippal il y a des années - voir les programmes de l'Administration américaine de la sécurité et de la santé au travail (2007) et du ministère israélien de la Santé (2007)."
En 2019, l'OMS a mis en garde contre les verrouillages pour les pandémies en disant qu'ils ne sont "pas recommandés en aucune circonstance"
Même l'Organisation mondiale de la santé (OMS) était contre les blocages avant que ce ne soit soudainement pour eux au début de la pandémie de grippe Fauci. Voici ce que dit un plan de préparation complet de 91 pages publié par l'OMS en octobre 2019 :
Les mesures de distanciation sociale « peuvent être très perturbatrices » et doivent être soigneusement pondérées ;
RépondreSupprimerLes mesures liées aux voyages ont "peu de chances de réussir" ; "les fermetures de frontières ne peuvent être envisagées que par les petites nations insulaires en cas de pandémie grave" ;
La recherche des contacts et la mise en quarantaine des personnes exposées ne sont en aucun cas recommandées.
En d'autres termes, à peu près tout ce qui a fini par être imposé aux masses pour lutter contre le covid était quelque chose que l'OMS avait averti au moins un an auparavant n'était pas utile pour garder les gens en bonne santé et en sécurité.
Ce n'est pas seulement que les confinements étaient inefficaces : ils étaient explicitement nuisibles, selon l'article. Ils semblent avoir été utilisés comme un moyen d'abattre la population, et non de sauver des vies. (Connexe: la Chine communiste fait TOUJOURS des verrouillages.)
"Les politiques de confinement ont eu pour effet secondaire direct d'augmenter la mortalité", explique le document. "Les hôpitaux d'Europe et des États-Unis étaient prêts à gérer de très petits groupes de patients hautement contagieux, alors qu'ils n'étaient pas préparés à un défi beaucoup plus probable - une contagion à grande échelle."
"En conséquence, les établissements de santé publics et les maisons de retraite sont souvent eux-mêmes devenus des vecteurs de contamination - en grande partie à cause de la mise en œuvre d'une politique d'urgence basée sur le confinement."
Toutes les autres fois que des mesures de verrouillage ont été essayées au cours de l'histoire, les effets ont été négatifs. À aucun moment, ils n'ont entraîné moins de maladies et de décès, et pourtant, les confinements ont été la première chose que les responsables gouvernementaux, ici et à l'étranger, ont suggérée comme moyen d'empêcher la propagation des germes chinois.
« Bien que notre compréhension des mécanismes de transmission virale conduise à l'hypothèse que les confinements peuvent être un outil efficace de gestion de la pandémie, cette hypothèse ne peut être étayée par l'analyse factuelle de la pandémie actuelle de COVID-19, ainsi que de la grippe H1N1 de 1918-1920. pandémie de grippe de type A (la grippe espagnole) et de nombreuses pandémies moins graves dans le passé », conclut le document.
Les dernières nouvelles liées à la pandémie sont disponibles sur Pandemic.news.
Les sources de cet article incluent :
TheNationalPulse.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-08-17-covid-lockdowns-killed-20x-more-people.html