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samedi 27 août 2022

Des milliers de personnes portent plainte contre la Confédération suisse pour la politique de Covid

 

58 commentaires:

  1. Des milliers de personnes portent plainte contre la Confédération suisse pour la politique de Covid


    (interview de Franz Stadelmann)
    26.08.2022
    www.kla.tv/23435


    En Suisse, deux avocats et une association de plaignants ont déposé une plainte auprès du Département fédéral des finances (DFF) contre la politique de Covid, illégale et anticonstitutionnelle, menée ces deux dernières années. Une prise de position signée par le président de la Confédération Ignazio Cassis n'aborde même pas les thèmes et arguments essentiels de la plainte. Plus de 10 000 co-plaignants soutiennent cette action. Une plainte avec autant de contributeurs est unique en Suisse.
    Dans l'interview suivante, Franz Stadelmann, l'initiateur de cette plainte, nous explique de quoi il s'agit exactement :

    Interviewer : Cher Monsieur Stadelmann, soyez le bienvenu chez nous. Pouvez-vous vous présenter brièvement à nos téléspectateurs et expliquer comment vous en êtes arrivé à créer cette association de plaignants ?

    M. Stadelmann : Tout d'abord, merci beaucoup pour l'invitation. Je suis heureux d'être ici. Je suis retraité, j'ai toujours pensé de manière indépendante et je veux continuer à penser de manière indépendante. Cela signifie aussi penser dans toutes les directions, s'intéresser aux différentes opinions et apprendre sans cesse de nouvelles choses. Il existe aujourd'hui de nombreux courants qui disent que celui qui s'informe largement est un anti-conformiste. Je pense que c'est une idée totalement fausse. Je suis un penseur en réseau, pas un anti-conformiste. Il faudrait que les gens s'en souviennent, eux qui pensent pouvoir nous mettre à l'écart, nous qui avons des opinions différentes, en nous qualifiant simplement « d’anti-conformiste ».

    Interviewer : En général, un slogan comme ça, c'est une diffamation.

    M. Stadelmann : C'est une diffamation. C'est pourquoi je le dis délibérément. Je ne sais pas, il y a des gens qui ne peuvent pas, d'autres qui ne veulent pas différencier. Et il y a bien sûr aussi beaucoup de gens dans la politique, dans les médias, pour qui c’est gênant. C'est clair, parce que nous posons toujours des questions, des questions. Et pour être honnête, je ne sais que depuis octobre 2020 que ces vaccins sont en fait dangereux, que ce ne sont pas des vaccins du tout. Il y a eu des conférences très célèbres du professeur Bhakdi, du professeur Hockertz, qui ont très bien expliqué cela, et ça m'a mis la puce à l'oreille. Et maintenant, il faut dire pourquoi ça nous met la puce à l'oreille ? Ce n'est pas non plus un hasard.

    Il y a dix ans, ma santé s’est totalement dégradée. J'ai dû chercher un traitement parce que les professionnels de santé classique ne savaient plus quoi faire de moi.

    J'ai eu la chance de trouver en Allemagne des médecins holistiques qui recherchent les causes de manière holistique. Et sans chimie, sans thérapies spéciales.

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  2. M. Stadelmann : Toute opinion qui était critique. Cela signifie que tout débat ouvert a été rendu absolument impossible. Il n'y avait pas de débat ouvert du tout. Pour moi, le débat ouvert est la base la plus élémentaire d'une démocratie. Et justement en Suisse, où l'on dit toujours que c'est quasiment le berceau de la démocratie – plus rien n’est valable.

    Interviewer : En fait, le débat ouvert, ou la liberté d'expression, est même stipulé par la loi ; la loi dit que cela doit être autorisé.

    M. Stadelmann : Oui, oui, c'est vrai. Mais il y a encore d'autres choses qui sont ancrées dans la loi et qui ont été jetées par-dessus bord. Pour moi, très franchement, je vais encore donner un exemple de la manière dont on a triché, l'année dernière : 14 jours après l'injection, on est considéré comme non vacciné. Et à partir du 15e jour, on ne constate plus aucun lien avec l'injection. Je veux dire, on ne peut pas faire plus grotesque. On a en fait inventé un système qui exclut automatiquement tout lien avec la vaccination. Vous avez tout à fait raison, c'était tellement grotesque que j'ai dit « Ce n'est pas possible ». Et j'ai alors commencé - peut-être un peu naïvement - à écrire des lettres aux politiciens et aux conseillers fédéraux Berset, Maurer, aux directeurs de la santé, avec les faits déjà disponibles en masse, à savoir qu'au milieu de l'année 21 - il y a un an - il était déjà tout à fait clair qu'il y avait des risques qui étaient incroyablement élevés. Et qu'on n’avait pas affaire à un vaccin classique.

    Interviewer : Il s'agit en fait d'une nouvelle technologie, la vaccination par ARNm.

    M. Stadelmann : Oui, oui. Comme les essais sur les animaux ont échoué, on est passé directement à l'homme. C'est aussi très logique - c'est clair. Il a été affirmé - notamment par « Mister Covid » Daniel Koch - que ces vaccins étaient sûrs. Et ces personnes ont encore affirmé au milieu de l'année : « Ce sont des vaccins absolument sûrs. »

    Interviewer : Qui était Daniel Koch ou qui est-il ?

    M. Stadelmann : C'était un porte-parole important pour le Conseil fédéral, un membre de l'OFSP. Il a ensuite été mis à la retraite au printemps. Il est entré dans l'histoire comme « Mister Covid », mais il n'en restera pas là. Il a ensuite - et beaucoup d'autres l'ont dit - par exemple le conseiller fédéral Berset a dit (déjà en juillet, c'était il y a maintenant un an) : « Laissez-vous immuniser. » Donc quasiment : « Faites-vous injecter, vous serez débarrassé du sujet. » Nous savons depuis - ils parlent déjà de la quatrième vaccination - que ce ne sera pas le cas, parce que les affaires doivent continuer à tourner.

    Interviewer : On a même dit : « On est immunisé si on se fait vacciner. » Et puis on a dit : « Non, le Covid a des formes moins graves. » Donc là aussi, on a toujours atténué l'effet du vaccin.

    M. Stadelmann : Oui, bien sûr, il y a eu un changement permanent, en tout cas. Beaucoup de lettres sont restées sans réponse, elles ont probablement été simplement jetées. Je n'ai jamais, jamais reçu de réponse. J'ai aussi remarqué que différentes personnes actives dans le domaine de la santé, par exemple les deux dames Herzog et Humbel - qui sont responsables de la santé au Conseil national - ou d'autres, ont été les plus virulentes contre les personnes non vaccinées.

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  3. Interviewer : Qu'est-ce qui était particulier dans cette incitation, qu'est-ce que vous avez remarqué en particulier ?

    Monsieur Stadelmann : Ce que j'ai remarqué, c'est que j'ai été traité d'asocial au sein de la famille. C'est quand même assez violent, très violent, donc asocial. C'est de notre faute que cette pandémie ne soit pas encore terminée. Ce sont donc les pires, les pires calomnies, en fait des soupçons. Jusqu'à l'automne, on a essayé de nous accuser d'être la raison pour laquelle ce film n’a pas de fin.

    Interviewer : À propos des mesures de confinement. C'est en fait la faute des personnes non vaccinées si les mesures de confinement se poursuivent.

    M. Stadelmann : Exactement, et que l'économie va à vau-l'eau et qu'il y a tant et tant de problèmes sociaux. On peut le dire d'emblée : Aujourd'hui, neuf cas sur dix à l'hôpital sont des personnes vaccinées et depuis, beaucoup sont décédées, beaucoup avec des séquelles. Mais c'est la phase postérieure. En tout cas, comme je n'avais jamais reçu de réponse et que l'agitation continuait, je me suis dit : OK, maintenant je regarde sur Telegram et j'ai trouvé un canal avec des dommages causés par la vaccination. J'y ai lu à plusieurs reprises que tout cela n'était pas normal. On y lisait toujours : « Les gars, réveillez-vous et faites quelque chose. » J'ai alors dit : « Oui, fais quelque chose toi-même. » Les jérémiades me tapaient sur les nerfs. Et puis je me suis dit : maintenant, en tant que senior, tu vas fonder une association, une association de plaignants. Et c'est ce que j'ai fait, et je voudrais ici remercier très chaleureusement la fondatrice de la chaîne "Dommages causés par les vaccins", dont le nom de code est « Mara ». Et puis, comme elle m'a spontanément soutenu... car il faut qu'il y ait quelqu'un qui veuille diffuser mes appels. Elle les a toujours bien placés et répétés au bon moment. Je te suis donc très reconnaissant. Sans soutien des médias, on n'a aucune chance, ça il faut bien le savoir.

    Interviewer : Très bien, très bien. Oui, beaucoup de retraités se disent peut-être : « Je profite de ma retraite et je profite de la vie » ou quelque chose comme ça. Et vous vous dites : « Non ! » Vous devenez actif dans ce processus et vous vous êtes alors vraiment levé.

    M. Stadelmann : Je m'étonne des nombreuses personnes qui disent : « J'ai des enfants, je ne peux pas y aller et je n'y vais pas ». Je réponds alors : « Oui, en fait, tu devrais le faire à cause des enfants ! » Je pourrais dire : « Eh bien, que je vive encore deux ou trois ans... », mais je ne suis justement pas comme ça. Si je vis sainement, justement si je vis sainement avec des remèdes naturels, je peux peut-être vivre encore dix ans. Pourquoi devrais-je les raccourcir maintenant par des injections, ça n'a absolument aucun sens. En tout cas, nous sommes rapidement devenus un groupe plus nombreux et avons dû chercher un avocat - c'est évident. D'abord créer une association, parce que nous avons aussi collecté des dons. Les dons n'étaient pas une condition préalable. En fait, les procurations pour les actions en justice étaient plus importantes pour moi. Car dès que quelqu'un envoie une procuration et est prêt à porter plainte avec nous, il se positionne aussi avec son nom. Et les dons, il y a eu plusieurs femmes, disons des mères célibataires avec deux enfants, qui ont dit : « J'aimerais bien participer à la plainte, mais je ne peux pas faire de don ». J'ai alors dit : « Tu es tout aussi la bienvenue. »

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  4. Interviewer : Donc, chaque personne qui a donné sa procuration figure aussi nommément dans la plainte ?

    M. Stadelmann : Oui, oui. Et justement, faire un don n'était pas une condition, parce que je voulais que chacun et chacune ait une chance de se tenir debout - ce qui me semblait beaucoup plus important que de donner de l'argent. Car nous avons aussi quelques personnes qui ont plus de moyens et qui ont aussi donné plus. En même temps, nous ne sommes pas une association riche. Nous avons relativement peu de moyens, mais il y a aussi beaucoup d'activités volontaires, bénévoles. C'est aussi comme ça que notre association a été créée, en disant : « Nous ne voulons rien, nous faisons ça de manière purement bénévole. » Et c'est évidemment comme ça qu'on peut travailler à moindre coût, c'est clair.

    Interviewer : C'est aussi comme ça que nous travaillons à Kla.TV, nous sommes tous bénévoles.

    M. Stadelmann : D'accord. Les frais sont donc nos dons. Une chose est claire, si nous n'avons pas de succès, nous n'avons plus de liberté et il se peut alors que nous n'ayons bientôt plus de compte - si l'on considère qu'il y a déjà beaucoup de réflexions plus larges, sur lesquelles nous reviendrons peut-être plus tard. En tout cas, j'ai pensé que les plaintes ne pouvaient être qu'une première partie. Parce que, je suis d'accord sur une chose : On ne peut pas continuer dans cette voie. Alors, quand nous entendons sans cesse parler « d’Agenda 2030 », de « Great Reset » et de ce genre de choses - je pense qu’un Great Reset est nécessaire pour notre société, car j'ai l'impression d`être dans une société qui est au bord du gouffre. Mais il ne peut pas être question d’éliminer en limitant la population par des injections de poison, non, ce n'est pas concevable.

    Interviewer : Pourquoi pensez-vous que nous sommes une société au bord du gouffre ?

    M. Stadelmann : À cause de tout notre mode de vie, qui est marqué par le pouvoir, par la cupidité, par - regardez les profiteurs, qui profite des crises ? L'écart ne cesse de se creuser ; l'état de tension dans tous les domaines ne cesse d'augmenter. Si ça continue, s'il y a à nouveau quelque chose en été avec ce qu'on appelle des pandémies, la classe moyenne va baisser et quelques-uns vont en profiter. Si nous regardons qui a profité ces deux dernières années : les vendeurs de masques qui ne servent de toute façon à rien. On dit toujours qu'un masque est aussi efficace qu'un grillage pour attraper une mouche. Et je voudrais également mener cette discussion en public. Car il y a de très, très grands et excellents médecins qui peuvent en fait présenter les choses tout autrement. A présent, je suis déjà conscient de la raison pour laquelle cette discussion n'a pas lieu, mais nous y viendrons peut-être plus tard. En tout cas, je voudrais dire à tout le monde que les plaintes n'étaient qu'un premier pas, mais jamais, jamais le but, mais le but, c’est de dire : En tant que société, il est impératif de réfléchir à nous-mêmes, chacun pour soi, de revenir sur soi et de se dire : « Qu'est-ce qui est vraiment important ? » Car nous traitons les ressources de manière catastrophique, nous traitons la planète comme un déchet, cependant c'est notre base vitale. Si, par exemple, fin avril, début mai, nous avons déjà dépensé les ressources régénérables de la Terre en un an, et ce depuis des années - nous vivons à crédit ! Il y a simplement beaucoup de choses pour lesquelles nous pouvons nous dire : Comment allons-nous continuer ? C'est bien sûr ce qu'ont pensé les gens du « Great Reset », et ils ont alors décidé : « Nous continuons comme ça, mais nous liquidons ». - je le dis vulgairement ! Cela reste à prouver, mais ils le disent eux-mêmes. Il n'est donc même pas nécessaire d'être un théoricien de la conspiration, il suffit de lire et de regarder leurs rapports.

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  5. Une chose est encore très importante : je ne suis pas le seul, des centaines de personnes ont écrit des lettres à des politiciens - sans jamais recevoir de réponse. Une conclusion peut être formulée avec certitude : Depuis mi-2021, personne ne pourra plus dire qu'il ne savait rien de ça. Les faits ont été largement diffusés dès le printemps et l'été 21 et tout le monde aurait pu le savoir. En fait, depuis l'automne 20, depuis le début, clairement - c'est important !

    Interviewer : Donc pour vous, le débat ouvert est particulièrement important ? Que la contre voix par rapport au mainstream ait également lieu en public. Qu'il y ait un débat ouvert, que l'on ne diffame pas parce qu’on est d'un autre avis, mais que l'avis critique sur la vaccination Covid, sur les mesures de confinement etc. ait vraiment lieu en public, afin qu'on entende les deux côtés et que tous les arguments soient vraiment sur la table.
    Encore une fois, à propos de la plainte : quels sont les points forts du projet, de cette plainte ?

    M. Stadelmann : De mon point de vue, on peut réduire l'ensemble des deux années à trois piliers. Premièrement : le virus SRAS-CoV-2, qui a été déclaré pandémique. Ensuite : le test PCR, avec lequel les cas sont pour ainsi dire testés et les cas positifs pris comme critère. Et le troisième pilier est pour moi la peur. On a fait extrêmement peur. Nous avons dit que nous ne pouvions dissiper la peur des gens qu'avec des plaintes et des documents objectifs - dans un premier temps. Il y aura ensuite d'autres étapes. Nous avons donc défini la plainte en disant que nous nous attacherons au virus lui-même et au test PCR. Et voilà que nous avons pu prouver scientifiquement, avec preuves à l'appui, que le virus du SRAS-CoV-2 n'existe pas. Il n'a jamais pu être isolé, purifié et représenté biochimiquement. Jamais ! Donc, pour moi en tant que profane, mon opinion personnelle : fake. Il faut se l'imaginer. Deuxièmement, le test PCR ne peut rien faire. Sauf si quelqu'un est malade, il est positif. Mais alors, il est toujours positif, quelle que soit la manière dont ils testent. Mais il ne peut rien dire sur les épidémies. Donc, il est totalement inefficace. Et le plus drôle, c'est que nous ne sommes pas les seuls, d'autres avocats - il y a beaucoup d'excellents avocats qui l'ont déjà fait - l'ont aussi super bien démontré.
    Le Conseil fédéral a rejeté la plainte et nous allons maintenant saisir le Tribunal fédéral, prochainement, dans le courant du mois d'août. Mais c'est vraiment le comble que deux choses qui étaient et sont toujours à la base de toutes les mesures ne valent rien de notre point de vue. C'est inimaginable ! Et le plus drôle, c'est qu'il y a déjà de nouveaux cas en été 22. S'il vous plaît, avec quel genre de test cela est-il testé ?

    Interviewer : Probablement avec le test PCR.

    M. Stadelmann : Oui, bien sûr ! Evidemment ! Et ça veut donc dire : et la panique recommence. Et c'est pourquoi notre intention n’est pas de vouloir exprimer une autre opinion et d'avoir raison. Nous voulons que soit clarifiée la question de savoir où se situe vraiment la santé et où se situe tout simplement une action dirigée contre la santé des gens. Nous voulons que cela soit clarifié.

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  6. Interviewer : Je trouve très intéressant ce que vous dites, aussi concernant la plainte avec la preuve du virus. Il y a également les recherches du Dr Stefan Lanka, que vous connaissez certainement, qui, si on le suit, et si tout ce qu'il dit est vrai, a prouvé que le virus n'existe pas. Nous avons aussi fait une émission sur Kla.TV sur Raik Garve, qui a également abordé le sujet. Ce virus existe-t-il effectivement et d'où vient-il ? En fait, on n'en sait rien. Et ce n'est pas du tout prouvé. Et en ce qui concerne le test PCR, je trouve aussi très intéressant que le Dr Kary Mullis qui a inventé le test PCR, a lui-même déclaré que ce test PCR ne permet pas de détecter une infection. Donc, si l'inventeur du test le dit, on peut se demander pourquoi on le fait quand même ? Pourquoi ne pas remettre ce procédé en question ? Le contenu de la plainte est que le tribunal fédéral doit constater juridiquement que le virus du SRAS-CoV-2 n'a jamais été isolé et que son existence n'est donc pas prouvée. Et que le test PCR ne permet pas de détecter le virus du SRAS-CoV-2. Quelles ont été en fait les expériences les plus importantes que vous avez eues, depuis le début jusqu'au dépôt de votre plainte ?

    M. Stadelmann : Oui, la question est très vaste. Je vais essayer d’en faire un bref résumé. Tout d'abord, je veux remercier les 15 000 personnes qui nous ont envoyé leur procuration. J’aimerais leur adresser un très grand merci. Ils nous ont tout simplement donné des procurations en blanc qui nous permettent de formuler des plaintes comme nous le jugeons bon sur le moment. Et cela nous aide beaucoup. Je trouve incroyable le fait de nous avoir donné ce pouvoir en blanc : « Nous vous faisons confiance ». Ils ne nous connaissent absolument pas. Mais dire : « Bonne chose, nous participons » ! Cela montre à quel point beaucoup d'entre nous sont probablement aussi désespérés par la situation. En tout cas : « Merci de tout cœur ! »

    Et puis également le soutien du site sur la vaccination de Mara, ça aussi c'est phénoménal. De même, je voudrais dire qu'avec ma femme Bettina et Ricky Menzer, j'ai des gens au comité directeur qui donnent bénévolement de leur temps - c'est génial et c'est important. Ensuite, le premier avocat que j'ai contacté, c’est Heinz Raschein. Il est des Grisons. Il a tout de suite accepté. Alors, quelque part, les aides nous tombent quasiment dessus. Personne ne pensait que nous pourrions rassembler autant de gens, autant de personnes. Ils nous ont beaucoup aidés dans la phase initiale.

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  7. Puis Gerald Brei, Markus Lienert - qui ont également fait les deux procès - nous ont rejoints. Et il y en a encore d'autres qui travaillent en arrière-plan. En tout cas, c'est une super équipe et je pense qu'il est important de le dire. Nous ne faisons pas les choses à l'improviste, mais il y a une force incroyable et aussi beaucoup d’énergie. Et ce qui est bien, c'est qu'il y a une super collaboration. Et nous ne sommes pas seuls comme cela a déjà été évoqué. On se rend soudain compte qu’on est nombreux. Et on fait alors la connaissance de personnes qui partagent les mêmes idées et qui disent immédiatement : « Nous participons. » L’été dernier, j'étais encore tout seul et je me disais : « Oui, à part ma femme, qui d'autre est là ? » Et maintenant, nous sommes soudain si nombreux. En fait, nombreux… bien qu’on soit maintenant 20 000 à 30 000... je veux dire qu’il reste tout de même encore quelques millions de personnes qui sont des adeptes du courant officiel. Il y a donc encore bien du travail à faire, et c'est en fait l'objectif. Ensuite, il y a un deuxième point qui est aussi phénoménal. Au total, j'ai consulté dix avocats. Lors du premier contact, chacun des dix m'a dit : « Laisse tomber. La voie juridique, c’est peine perdue, aucune chance ». Chacun à sa manière. C'était en octobre de l'année dernière. Donc aucune chance. « La justice est morte, elle ne sert à rien. » Et j'ai dit : « Je vais le faire quand-même. »
    Et puis nous nous sommes réunis et mis d’accord que le but n'était pas de gagner au tribunal. Ce serait bien et ça reste bien sûr un souhait, et ça doit rester un objectif de base. Mais le plus important, c'est l'explication. Qu'on dise : « Nous clarifions les choses. »

    Parce que quelque part, il faut dire que s'ils sont « hermétiques », il faut aussi voir nos limites et redéfinir nos objectifs. Nous dire que si nous pouvons nous mettre en réseau les uns avec les autres et réaliser que nous sommes nombreux, nous pouvons nous encourager et dire : « Nous continuons à clarifier ». Toujours de manière objective et pacifique, et pas avec de l’autorité publique, pas du tout. Cela donne énormément de force intérieure. Et oui, c'est ça que nous faisons.

    Interviewer : Très bien.

    M. Stadelmann : Et voici encore une chose importante, un autre exemple. Natalie Rickli a retenu mon attention, la directrice de la santé du canton de Zurich. Elle est Young Global Leader, ce qui fait d'elle une élève de Klaus Schwab (FEM).

    Interviewer : Young Global Leaders, c'est le programme du FEM pour les cadres et les jeunes cadres ?
    M. Stadelmann : C'est exactement comme ça que je vois les choses. Ils font 3 à 5 ans de formation continue, sous une forme quelconque que je ne connais pas. Et Klaus Schwab est en train de travailler avec Bill Gates sur l'Agenda 2030 - il y a certainement des instigateurs dans les coulisses, c'est évident. Mais ils prédisent aussi la pandémie. Ils savent aussi qu'il faut vacciner à 100%. A notre avis, ce sont bien ces gens qui dirigent tout. Et puis, j'ai voulu les dénoncer, parce que nous avons dit que ces faits ne nous permettent pas d'avancer. Maintenant, nous essayons de déposer une plainte auprès du Tribunal fédéral contre les principaux acteurs. Car j'ai observé Rickli. Elle a fait de l'incitation extrême à la vaccination à Zurich et s'en est prise violemment aux personnes non vaccinées, c'était une véritable chasse aux sorcières. Elle était vraiment extrême.

    Et ce qui était drôle – en fait, ce n'était pas drôle du tout - c'est qu'on m'a dit : « Tu ne peux pas faire ça ». Alors j'ai répondu : « Et pourquoi pas ? » On m'a dit : « Premièrement, elle est doublement protégée, par un conseiller fédéral et un ex-conseiller fédéral, et en plus elle a de son côté un cabinet d'avocats très puissant avec un rayon d'action dans toute la Suisse. » Et, je n’avais aucune idée que là, j’allais ouvrir la boîte de Pandore.

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  8. Interviewer : Parce que vous donnez une nouvelle chance...

    M. Stadelmann : Je ne voudrais pas le formuler ainsi, « donner une chance », mais simplement dire que c'est leur dernière chance de ne pas finir tôt ou tard devant une cour martiale. Parce que, je le dis toujours, le Conseil fédéral, l’Office de la santé… les gens ont, de mon point de vue, raté leur chance l'automne dernier. Quand Berset a dit avant-hier que nous ne l'avions pas approuvé, lui et sa politique, avec deux votations, je dois dire que c'est vraiment de la manipulation. Nous l'avons également dénoncé en novembre dernier avec des documents de votation. Donc, à mon avis, cela n'a plus rien à voir avec le droit.

    Interviewer : Oui, nous avons aussi fait une émission à ce sujet.

    M. Stadelmann : Je crois que nous sommes tous d'accord là-dessus. Mais en tout cas, les gens n'ont plus cette chance et ils sont probablement aussi comme dans une fuite en avant. Je ne comprends pas non plus quand Keller-Sutter, par exemple, a dit l'automne dernier lors d'une action de protestation, qui n'était peut-être pas autorisée : « Maintenant la ligne rouge a été franchie. » Mais lorsqu’il s’agit de sa justice - elle est tout de même la chef suprême de la justice suisse, la chef du département de la justice - elle « fait le mort » sur ce sujet. L'arrêt du travail… où se trouve la ligne rouge ici ? Je ne comprends pas, il faut que quelqu'un m'explique. Ensuite, Ignazio Cassis, en tant que médecin, a dit encore en janvier 22, comme ça, avec un air bien naïf : « La vaccination, il n'y a malheureusement que la vaccination. » En tant que médecin ! Pour moi, c'est une trahison envers sa profession. C'est une trahison envers le peuple. Il n'y a pas pire. Mais peut-être que là aussi, j'ai une vision unilatérale, c'est pourquoi le débat est ouvert !

    Interviewer : Non, certainement pas. Il y a beaucoup d'opinions, même dans la science médicale, sur la manière de préserver la santé ...

    M. Stadelmann: Oui, oui, je dis ça pour qu'on ne puisse pas me faire de procès.
    Et peut-être encore pour finir. Berset se jette littéralement dans les bras de l'OMS, et ça ne va pas du tout. Il délègue en fait sa responsabilité à l'OMS, qui a de toute façon l'Agenda 2030 en tête - c'est aussi une affirmation de ma part, peut-être même fausse, il faudra l’approfondir - et cela ne va pas du tout. C’est ma santé. Et j'en prends soin comme il me semble approprié et avec succès jusqu'à présent.

    Interviewer : Il est également vrai que les, disons, criminels de guerre du régime nazi sont même aujourd'hui encore poursuivis et condamnés. Ceux qui, à l'époque, clamaient : « Mais tout est légitime ! »

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  9. M. Stadelmann : Oui, oui, oui. Je pense qu'aujourd'hui la situation est beaucoup plus grave, beaucoup plus grave et que les acteurs aujourd'hui, de mon point de vue, les responsables, sont dans une situation encore beaucoup, beaucoup plus serrée, parce qu'ils auraient... ils auraient eu beaucoup de possibilités de s'informer ; parce qu’ils ont de toutes autres… disons, sources et qu’ils les méprisent. Et de ce point de vue, c'est pour moi totalement incompréhensible. Si les personnes vaccinées se rendent compte un jour qu'elles ont été trompées, que pensez-vous qu’il se passera alors ?

    Interviewer : Est-ce qu'ils peuvent encore faire quelque chose ?

    M. Stadelmann : Bonne question. Je pense que juridiquement, politiquement, probablement pas, si rien ne change. Et là, je recommande aux téléspectateurs de regarder les conférences de Gerald Brei, un de nos avocats. Elles sont sur notre site Internet. Il en a fait une le 10 mai et une le 24 juin.

    Interviewer : Nous pouvons peut-être aussi les mettre en lien sous l'émission.

    M. Stadelmann : Exactement. Et je peux dire que pour moi Gerald Brei est non seulement un expert de haut niveau, mais aussi une personne très réfléchie. Et s'il arrive à de telles conclusions, comme vous pourrez le voir et l'entendre, c'est plus que préoccupant. Donc, c'est juste un conseil. Parce qu'il dit ce qu'il en est vraiment de la jurisprudence en Suisse, de manière professionnelle et objective, au plus haut niveau. Et il dit aussi très clairement, et nous le savons aussi, que « les deux ans et demi qui viennent de s'écouler n'ont absolument rien à voir avec la santé. Et s'il y a eu des victimes, on aurait pu les éviter en grande partie. Il y a toujours des gens qui ont des maladies quelconques, mais l'ensemble de cette situation Coronavirus/Covid n'avait rien à voir avec la santé. »
    Il en sera de même pour la variole du singe. Mais ce que nous pouvons faire, c'est aussi notre objectif, c'est pourquoi je suis heureux d'être ici aujourd'hui, c'est tout simplement d’informer objectivement. Et je le répète, de façon objective et pacifique, nous ne voulons pas nous retrouver au même niveau, mais nous voulons simplement toujours essayer de convaincre de manière objective et pacifique.

    Interviewer : Très bien.

    M. Stadelmann : C'est extrêmement important pour nous. Et il ne faut pas non plus oublier qu'il y a de très nombreuses associations et de très nombreuses personnes qui travaillent aussi sur ce sujet, qui sont très actives. Et ce n'est qu'ensemble que nous parviendrons peut-être encore à faire évoluer les mentalités. Et j'espère simplement que cela se produira avant que de très nombreuses personnes ne tombent malades ou ne meurent à cause des dommages causés par les vaccins. Ce serait déjà… en fait, sinon on pourrait dire : attendons encore trois ou quatre ans, ça se fera automatiquement. Je pense que ce serait très cynique et nous ne voulons en aucun cas cela.
    Interviewer : Oui. Je pense qu'il faut quand même surtout atteindre avec le dévoilement les gens qui s'informent encore surtout auprès du mainstream !

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  10. M. Stadelmann : Oui, c'est une mauvaise chose. Ce qui est bien, c’est de s'informer des deux côtés. Je l'ai dit au début - s'informer dans toutes les directions ! Cela n'a rien à voir avec la pensée non-conformiste. Ça devrait en fait être un devoir pour chacun d'entre nous !

    Interviewer : Exactement. Peut-être qu'il y a des spectateurs qui se sentent maintenant interpellés pour vous soutenir dans cette plainte, en exerçant aussi une pression sur la Confédération, sur le Tribunal fédéral. Car si de nombreuses personnes interviennent maintenant - soutiennent cette plainte, observent cela et écrivent à la Confédération, ou autre, contactent, font pression - on a déjà vu par le passé que les choses ont bougé. Mais si un mouvement de masse se produit, c'est-à-dire si, grâce à cette interview, grâce à tout votre travail, les gens se tournent en masse vers la Confédération, alors les choses peuvent encore bouger.

    M. Stadelmann : Oui, eh bien, je ne peux que le confirmer avec plaisir. Je pense qu'il ne suffit pas de se contenter d’être dans une association, mais qu'il serait extrêmement important que chacun fasse quelque chose de concret, même si c'est juste une lettre. En d'autres termes, si le Conseil fédéral ou le Tribunal fédéral recevaient des centaines de milliers de lettres...

    Interviewer : ... alors ils ne peuvent pas l'ignorer aussi facilement… le Conseil fédéral, je veux dire.

    M. Stadelmann : Oui, mais je recommanderais d'en envoyer une copie à quelqu'un, par exemple à nous, sinon cela risque de finir à la poubelle. Il faut être un peu créatif pour que ça ne disparaisse pas. Mais toute action ne peut nous aider que si elle est pacifique, objective et positive par conviction intime. Vous l'avez dit à juste titre : le débat ouvert implique toujours que j'ai peut-être tort et que mon interlocuteur a raison. Donc, nous voulons volontiers avoir cette forme d'humilité. Mais si même cela ne se produit pas, c'est qu'il y a quelque chose de très louche !

    Interviewer : Quelles sont en fait les prochaines actions que vous prévoyez ?

    M. Stadelmann : Oui, plusieurs. Pour l'instant, je peux dire ceci : après les vacances d'été, nous voulons porter la grande plainte avec les plus de dix mille personnes devant le Tribunal fédéral. Elle est en cours. Nous laissons la plainte en tant que telle, mais nous allons encore élaborer quelques informations supplémentaires. C’est une chose. Et l'autre - nous y travaillons maintenant, nous espérons que ça ne durera plus trop longtemps - ce sont les plaintes contre des personnes précises dont nous pouvons prouver qu'elles ont fourni des informations erronées. X et Y au niveau de la Confédération, en particulier à l'Office fédéral de la santé publique. Et ça avance, et j'espère que nous sortirons la première dans les prochaines semaines et que nous en ferons d'autres. Tout simplement pour essayer ainsi de montrer aux gens : Regardez ce qu'ils disent et ce qui se passe vraiment. Comparez les deux. Renseignez-vous. Dans le sens où il faut aussi regarder et écouter les deux côtés et ne pas se précipiter aveuglément vers la quatrième et la cinquième vaccination.
    Voilà les actions concrètes qui sont menées en ce moment.

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  11. Interviewer : Très bien, très bien. Maintenant, il se trouve qu'en ce moment, presque toutes les mesures sont levées. Donc on peut aller au restaurant, on peut prendre les transports en commun ici en Suisse même sans masque, et beaucoup de gens pensent : "Maintenant tout est fini". Beaucoup de gens pensent : "Maintenant, on vit normalement". Ils ne s'en préoccupent plus et ne se font plus de soucis. Est-ce que vous pensez aussi comme ça ou est-ce que vous voyez les choses différemment ?

    M. Stadelmann : Oui, tout au contraire. Je pense que c'est tellement précis, si on ne regarde que la surface et qu'on écoute ce qui se passe dans les médias mainstream, on a le sentiment : « Oui, en fait c'est OK ». Il y a quelques centaines de cas de variole du singe et rien d'autre. Mais si vous regardez ce qui se passe en arrière-plan, c'est malheureusement complètement différent. La prochaine plandémie - c'est ainsi que je l'appelle - est déjà en train de prendre de l'ampleur. L'OMS nous explique déjà : "Ah, il y a quelque chose d'énorme qui arrive, une vague estivale". Avant-hier, Monsieur Engelberger, le chef des directeurs de la santé de Suisse, a dit qu'il recommandait la quatrième vaccination, le deuxième rappel, c'est comme ça qu'on l'appelle.

    Oui, je peux dire que j'ai du mal à croire ce qui se passe dans la tête des gens. Ça signifie donc qu'on ne voit aucun signe de la fin. Et ils testent, comme je l'ai dit, à nouveau avec ce test PCR. C'est donc la même situation. Tester le plus grand nombre possible, il y a alors le plus grand nombre possible d'incidences, et on en revient à la même histoire. Donc moi – à mon avis... et puis l'OMS arrive, elle qui veut en fait le traité sur les pandémies au niveau mondial - à mon avis, c'est une catastrophe. Parce que justement, les liens avec les autres organisations, le FEM, l'ONU aussi, c'est tout simplement une réalité. Et je ne suis pas prêt - et avec moi beaucoup de gens - à donner ma santé à des gens comme ça, désolé ! Et que le Conseil fédéral soutienne activement cette démarche, immédiatement et sans broncher, c’est pour moi également un très mauvais signe. Il n'y a donc pas le moindre signe de la fin. Il n'y a aucun signe d'achèvement. C'est pourquoi je dirais que nous devons travailler et exiger ce réexamen et ce débat ouvert avec insistance. Et d'ailleurs, 200 juristes ont déjà demandé au Parlement de se pencher sur la question. Le Parlement a rejeté cette demande il y a environ deux ou trois mois. Ça ne se fait pas comme ça. Le Parlement a sa fonction.

    Interviewer : Donc il a dit que tout était légal ?

    Monsieur Stadelmann : (Le Parlement a dit :) « Nan, c'est pas nécessaire ». Et ça signifie que ce sont les médias en tant qu'organes de contrôle, le Parlement en tant qu'organe de contrôle du Conseil fédéral, qui sont tous hors service. Alors qu'on me dise que c'est normal... Pour moi, la démocratie est morte depuis longtemps. Au moins dans ce secteur. Et vous savez, quand ça ne fonctionne plus là, je ne sais plus où ça fonctionne encore efficacement. Il est absolument nécessaire de faire le point.

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  12. Interviewer : Donc les autorités continuent simplement comme avant avec le test PCR, elles n'ont en fait rien changé, bien qu'il y ait toutes ces questions, bien que tout ça soit prouvé, comme vous le dites, que tout ça ne fonctionne pas. En même temps, il est vrai que les grandes organisations, comme l'OMS par exemple, si on suit ce qui se passe maintenant, comme vous le dites, il faut bien dire une chose, c'est qu'elles semblent être des organisations criminelles. Et maintenant, le traité mondial sur les pandémies leur donne encore plus de pouvoir, donc encore plus de compétences. On dirait qu'on donne encore plus de responsabilités, plus de compétences, plus de pouvoir à ces grands criminels. C'est vraiment très grave. On doit aussi se demander qui sont les commanditaires ? Qui dirige tout ça ? S'il s'agit d'une « plandémie », comme vous le dites, il doit y avoir des commanditaires.

    M. Stadelmann : Oui, je suis d'accord avec cette idée, disons que nous donnons le pouvoir à des individus, qu'ils soient criminels ou non, c'est seulement mon sentiment. Mais j'aimerais mettre ça de côté - si je le dis publiquement - et dire : « Faisons le point et ayons un débat ouvert ». Ce n'est qu'alors qu'on verra si c'est vraiment le cas. C’est peut-être moi l’idiot, non ? Je ne dois jamais exclure cette éventualité (rires). Dans ce cas, j'apprendrai volontiers quelque chose. Seulement, depuis que j'ai vu et entendu tant, disons… d'experts qui nous ont expliqué pourquoi la santé et la santé holistique fonctionnent - et que j'en ai fait l'expérience dans ma propre chair et que j'en fais l'expérience tous les jours - alors j'ai les plus grands doutes. Mais je ne veux rien insinuer avant que ce débat ouvert n'ait eu lieu. Et ce débat, c'est la seule chose que je demande… Ne pas penser qu’on sait mieux… mais nous l'exigeons jusqu'au bout, tout le reste n'entre pas en ligne de compte. Et si quelqu'un vient maintenant et dit à nouveau « Confinement » et à nouveau « Masque », alors je dis : « Alors, porte-le. Alors je renonce à un séjour à l'hôpital ». Vous savez, je devrai alors tirer les conséquences quelque part et je les tire. Parce que ça ne marche pas comme ça. Et je vous le demande, comment est-ce possible qu'une majorité continue de penser que tout va bien et que nous sommes ici les imbéciles qui tirent à hue et à dia ? Je ne le sais pas non plus !

    Interviewer : Oui, oui, c'est une bonne question. Je pense que l'approche a beaucoup à voir avec le débat ouvert. Cela manque, surtout dans les médias publics.

    M. Stadelmann : Bien sûr qu'il manque !

    Interviewer : Quelles sont en fait vos perspectives d'avenir personnelles ? Et où voyez-vous le défi ?

    M. Stadelmann : Oui, nous avons décidé au sein de l'association de mettre fin à la communauté des plaignants d'ici la fin de l'année, parce que sur ce sujet, la voie judiciaire, la justice est tout simplement... inexistante. Et nous avons des plaintes extrêmement bonnes. Il y a même une grande plainte qui a été qualifiée de travail scientifique par un ancien juge fédéral.

    Interviewer : C'est bien, oui.

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  13. M. Stadelmann : Oui, je trouve qu'on ne peut pas faire de plus grand compliment à nos avocats. Et il a vraiment bien regardé. Ça ne sert à rien de faire toujours plus de la même chose. Ou ce que fait Kruse, ce que font les autres, c'est tout simplement très professionnel. Et si tout cela ne sert à rien, nous ne voulons pas continuer à concentrer notre temps dans cette direction. J'ai parlé avec Aletheia, avec le docteur Heisler, nous allons essayer, s'il y a encore des fonds dans notre association de plaignants, de créer un fonds… nous allons le transférer pour que nous puissions aider les victimes, les victimes de la vaccination. Je voudrais aussi construire un pont de cette façon, parce que la division dans notre société est en fait la plus grande catastrophe. J'ai le sentiment que nous sommes comme le goudron et le soufre ou comme l'eau et le feu, que deux fronts s'affrontent et que c'est honteux, simplement parce qu'il n'y a pas de débat ouvert. Et c'est ce que nous allons leur donner, et dire : « Vous êtes tous les bienvenus, nous n'avons pas deux sociétés, notre société a un énorme problème et nous le résolvons ensemble. »

    Et l'autre chose, c'est que j'ai expressément souhaité que nous lancions une série d'informations avec Aletheia, où nous dirions : « Qu'est-ce que ça veut dire en fait, la santé holistique, la prévention sans chimie ? » Il y a toujours un moment où il faut de la chimie. Il y a toujours des cas d'urgence où je suis content qu'il y ait quelque part quelque chose qui m'aide sur le moment, mais c'est toujours une lutte contre les symptômes. Comment est-ce que ça fonctionne ? En fait, ce serait très simple. Mais ça ne rapporte rien et c'est probablement pour ça que ce n'est pas très apprécié dans certains endroits.

    Interviewer : C'est possible, oui.

    Monsieur Stadelmann : C'est possible. En tout cas, c'est le genre de choses pour lesquelles nous disons que nous mettons un terme à la voie juridique et que nous nous dirigeons vers un avenir, disons, constructif. C'est une approche.

    Interviewer : Très bien !

    M. Stadelmann : Et puis je dis simplement : je fais avec ma femme ce que nous devons tous faire : La mise en réseau locale. Et cela ne veut pas dire que quelque part, une association pense devoir donner des ordres à quelqu'un dans toute la Suisse. Mais en fait, nous devons tous faire une introspection, je fais une introspection et je réfléchis : De combien de matérialisme ai-je besoin pour vivre ? Où sont mes limites ? Que puis-je faire ? Et localement, nous avons commencé, c'est très intéressant. Là aussi, dans notre petit village, il y a en fait des gens qui pensent de la même manière. Comment pouvons-nous échanger des aliments ? Nous pouvons échanger des services, parce que si ça continue comme ça - et la crise énergétique va certainement arriver, elle est vraiment provoquée, complètement inutile, et si on se moque du partenaire au lieu de chercher une solution avec lui, c'est pour moi une preuve d'indigence de premier ordre. Et dire déjà : « Oui, crise, crise… » - parle donc avec lui ! Même s'il s'est très mal comporté, nous nous comportons maintenant tout aussi mal du côté occidental, et j'ai l'impression que quelqu'un essaie d'entretenir le feu. Et c'est nous qui payons !

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  14. Interviewer : Nous en arrivons au sujet des commanditaires.

    M. Stadelmann : Oui, bien sûr ! Bien sûr, tout à fait, c'est la même sauce, j'en suis sûr. Ce ne sont pas deux ou trois chantiers, c'est un très grand chantier.
    Et simplement se mettre en réseau localement, pour ne pas être tout de suite écrasés quand ça arrivera. Et qu'en plus de notre conscience, nous repensions aussi notre mode de vie, notre style de vie, mais c'est un autre sujet. Mais je pense qu’il est absolument important que nous ne pensions pas que l'ancienne vie quotidienne n’existe plus, que ça ne peut pas être ainsi ; et un nouveau quotidien à la mode Gates et Schwab n’arrivera certainement pas non plus.

    Et peut-être pour finir, j'aimerais dire quelque chose. Vous l'avez déjà évoqué. Notre hymne national dit si bien : « Priez, Suisses libres, priez ! » Oui, ça sonne bien, mais premièrement, nous ne sommes plus libres, plus depuis longtemps, la démocratie est à mon sens de l'histoire ancienne, et deuxièmement, prier est toujours bon. Pour moi, ça a aussi à voir avec la méditation, le recueillement, la réflexion personnelle, c'est extrêmement important. Mais ça ne suffit pas. Vous l'avez déjà dit à juste titre, nous devons aussi faire quelque chose, être actifs, parce que la Suisse n'est pas née comme ça, il y a eu quelques fous qui ont osé. Et c'est pour cela que nous existons. Donc ça veut dire : Oui, réflexion intérieure, s'orienter intérieurement et dire : « Qu'est-ce qui est important pour moi ? » Prier, absolument. Mais aussi faire quelque chose ! Une chose n'exclut pas l'autre, l'une ne peut pas remplacer l'autre, dans un sens comme dans l'autre. Donc, encore, ce serait très important pour moi de dire un peu que nous avons simplement besoin de soutien et du plus grand nombre possible de personnes qui disent : « Oui ! » Beaucoup de gens qui disent : « Ensemble, nous le ferons ». Toujours de façon pacifique et toujours de façon objective !

    Interviewer : Très bien, oui.

    M. Stadelmann : Je souhaite simplement que beaucoup plus de gens aient à nouveau le courage d'assumer leur propre responsabilité. Surtout en ce qui concerne leur propre santé.

    Interviewer : Concernant le sujet de l'indépendance, de la pensée indépendante, de la responsabilité individuelle, le fondateur de Kla.TV, Ivo Sasek, a tenu une conférence très intéressante à ce sujet, intitulée « Maturité commune ». Nous la mettons à nouveau en lien en dessous de l'émission.
    Monsieur Stadelmann, je vous remercie beaucoup d'avoir été parmi nous et pour votre exposé très intéressant. Je vous souhaite beaucoup de succès dans ce que vous avez encore à faire, dans votre plainte et dans tous vos projets, et je vous souhaite une bonne continuation !

    M. Stadelmann : Merci, j'ai été très content d'être ici, cela m'a fait très plaisir et je pense que cela m'a aussi aidé et je mettrai très volontiers l'interview sur notre site. Et c'est une bonne information de base pour la suite. C'est donc très précieux pour nous aussi, merci beaucoup !

    Interviewer : Avec plaisir.

    https://www.kla.tv/fr

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    1. Ce nano-groupuscule n'est ni propriétaire de la planète Terre, ni les élus Démocratiquement.
      Lire:

      Petit résumé de l'histoire du monde
      lundi 3 novembre 2014
      https://huemaurice5.blogspot.com/2014/11/petit-resume-de-lhistoire-du-monde.html

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  15. Le CDC admet enfin que les mutations du COVID ont entravé l'efficacité des vaccins


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 AOÛT 2022 - 22:50


    Le CDC a admis il y a quelques mois à peine ce qui était une "fausse nouvelle" digne d'interdiction - que Covid a muté pour échapper aux vaccins actuels qui ont été créés pour les souches d'origine, après que près de 40 % des personnes hospitalisées aux États-Unis avec Omicron aient été vaxxées et boostées.

    Comme le rapporte Bloomberg, de fin mars à mai, lorsque les sous-variantes omicron BA.2 et BA.2.12.1 étaient les souches dominantes, les taux d'hospitalisation hebdomadaires pour tous les adultes ont augmenté, les plus de 65 ans souffrant le plus - bien qu'il convient de noter que le nombre total d'hospitalisations d'omicron était bien inférieur à celui où la variante delta était la souche dominante l'automne dernier.

    Bien sûr, le moment choisi par le CDC est suspect – car les fabricants de vaccins sont sur le point de déployer leurs vaccins ciblés omicron d'ici la fête du Travail.

    Nous savions qu'omicron avait évité les vaccins il y a près de 9 mois, même si Fauci avait menti à ce sujet.

    Le président de Moderna prévient que les vaccins pourraient avoir du mal à se protéger contre Omicron (décembre 2021)
    Le vaccin Pfizer est moins efficace contre Omicron que la variante bêta, révèle une étude en Afrique du Sud (décembre 2021)
    Omicron échappe mieux à l'immunité que Delta, selon une étude danoise (janvier)
    Selon le «nouveau» rapport, les scientifiques du CDC ont découvert que les vaccins et les rappels faisaient un meilleur travail contre Delta lorsqu'il s'agissait de garder les gens hors de l'hôpital – avec une efficacité diminuant légèrement avec la variante BA.1, puis diminuant «de manière significative» quand BA.2 est entré en scène.

    Les adultes ayant reçu au moins deux injections de rappel s'en sont mieux tirés que les autres lorsque BA.2 était dominant. La majorité des personnes admises à l'hôpital avaient également au moins une affection sous-jacente. Les adultes non vaccinés étaient plus de trois fois plus susceptibles d'être hospitalisés, mais les infections percées représentaient toujours un nombre important de cas graves de Covid, selon les données.

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  16. Les régulateurs américains ont poussé Moderna Inc., Pfizer Inc. et BioNTech SE à accélérer le développement de boosters spécifiques à omicron pour un déploiement en septembre. Les fabricants de médicaments ont soumis cette semaine les premières données à la Food and Drug Administration des États-Unis pour obtenir une autorisation d'urgence pour des vaccins mis à jour qui ciblent les souches virales BA.4 et BA.5. Les scientifiques et les fabricants de vaccins commencent déjà à se tourner vers des vaccins de nouvelle génération qui pourraient offrir une protection plus durable contre davantage de variantes. -Bloomberg

    Restez à l'écoute pour plus de nouvelles de demain aujourd'hui.

    https://www.zerohedge.com/political/cdc-finally-admits-covid-mutations-hobbled-vaccine-effectiveness

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    1. On s'est aperçu que dans les expérimentations géniques d'essais il y avait foule de complexité différentes suivant les labos et, qu'en plus des 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde graphène par flacons injectables étaient additionnés divers composants diaboliques !

      Car, premièrement une poussière (appelée 'virus') NE MUTE PAS ! et donc, deuxièmement, diverses souches de maladies les plus diverses étaient apportées. On ne meurt pas tous pareil de la même chose ! Et, troisièmement, à chaque injection est apporté une 'autre chose' qui fera/demandera la poursuite du traitement jusqu'à la mort.

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  17. Des travailleurs de la santé réduits au silence s'expriment publiquement pour la première fois
    Voici ce que les travailleurs de la santé réduits au silence du monde entier veulent que vous sachiez et pourquoi ils ne peuvent pas s'exprimer directement.


    Steve Kirsch
    26 août 2022


    Les IA ne seront pas réduites au silence | Association des infirmières de l'État de New York
    J'ai créé un formulaire pour demander aux travailleurs de la santé de parler anonymement de ce qu'ils voient.

    Voici ce qu'ils ont dit dans leurs propres mots.

    Voici un bref résumé de certaines des choses qu'ils ont dites :

    Ils ont peur de sortir publiquement en raison de tactiques d'intimidation telles que la perte d'emploi et/ou de permis d'exercice de la médecine.

    Les travailleurs de la santé non vaccinés sont extrêmement mécontents de la communauté médicale. Ils ont le sentiment d'avoir été traités injustement.

    Ce sont les travailleurs vaccinés qui tombent malades du COVID, mais ce sont les non vaccinés qui sont punis par des tests constants, des restrictions et des menaces de perdre leur emploi.

    Les coups de COVID sont un désastre. Même pour les personnes âgées, qui sont censées être le cas d'utilisation le plus convaincant, les taux de mortalité dans les maisons de retraite ont été multipliés par 5 après le déploiement des tirs. Chaque fois que les coups sont donnés, les décès augmentent. Personne n'en parle publiquement. Ce n'est pas permis.

    « J'ai un patient qui possède un foyer de soins pour adultes qui a vacciné ses six clients adultes. Ils sont tous morts en une semaine.

    Les médecins constatent une augmentation spectaculaire des taux de blessures et de décès à tous les âges. Les blessures n'arrivent qu'aux vaccinés. Il ne fait aucun doute que cela se produit, mais de nombreux médecins ont tellement de dissonance cognitive qu'ils ne le voient pas.

    Une infirmière avec 23 ans d'expérience dit qu'elle n'a jamais entendu parler de personne de moins de 20 ans mourant de problèmes cardiaques jusqu'à ce que les vaccins soient déployés. Maintenant, elle connaît environ 30 décès.

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  18. « Je suis infirmière depuis 36 ans. Je n'ai JAMAIS vu des personnes dans la vingtaine et la trentaine avoir des accidents vasculaires cérébraux, une fibrillation auriculaire ou des cardiomyopathies jusqu'aux vaccins Covid. Je travaille en cardiologie. Quand je mentionne que quelqu'un devrait considérer les vaccins comme une raison possible, je suis immédiatement réduit au silence et on me dit: "Ce n'est PAS du vaccin."

    Les médecins n'enregistrent pas le statut de vaccination dans les dossiers médicaux afin que tous les décès soient attribués aux personnes non vaccinées.

    Les médecins ignorent délibérément la possibilité que les vaccins puissent être la cause de tous les événements élevés. Les événements sont tout simplement inexpliqués.

    De nombreux médecins ont arrêté ou vont arrêter.

    Certains médecins et infirmières d'établissements de premier plan tels que le Mass General Hospital ont falsifié des cartes de vaccination. Ils respectent publiquement la ligne et encouragent leurs patients à prendre le coup en sachant très bien que c'est mortel. Ils accordent plus d'importance à leur travail qu'à la vie de leurs patients. L'important, c'est qu'ils risquent 10 ans de prison pour cela. Ces travailleurs médicaux très respectés disent au monde que ces injections de COVID sont si dangereuses qu'ils sont prêts à risquer 10 ans de prison pour éviter de se faire vacciner. C'est le message que l'Amérique doit entendre. Et si Biden était un président honnête, il demanderait une amnistie totale et une protection contre les représailles pour tous ces cas si les gens admettaient publiquement qu'ils l'ont fait. Il serait étonné du nombre de réponses qu'il obtiendrait. Mais il ne le fera pas car ce serait trop embarrassant pour son administration.

    Les choses ne semblent pas aller mieux.

    Les médecins légistes du monde entier ne font pas les tests appropriés lors d'une autopsie pour détecter un décès lié au vaccin. Sans faire les tests nécessaires, il est très difficile de faire une association. Il n'y a pas un seul document «d'orientation» d'aucune autorité médicale partout dans le monde pour faire ces tests sur les personnes qui meurent dans les 3 mois suivant leur dernière vaccination COVID. C'est pourquoi aucune association n'est trouvée : ils ne cherchent pas et c'est délibéré. La presse grand public ne les interpelle pas non plus.

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  19. Les médecins sont obligés de prendre d'autres vaccins pour que l'hôpital puisse respecter leur quota. Cela leur a été avoué.

    Le document brosse un tableau très troublant des soins de santé en Amérique
    Il est très difficile de lire ce document et de repartir en pensant que tout fonctionne bien.

    Si vous lisez le document et pensez que tout va bien, cela signifie qu'une ou plusieurs des affirmations suivantes sont vraies :

    Vous travaillez à la Maison Blanche

    Vous travaillez au CDC, à la FDA ou au NIH

    Vous êtes membre du Congrès ou êtes membre du personnel d'un membre du Congrès (Ron Johnson et son personnel sont exclus)

    Vous travaillez dans les médias grand public

    Vous êtes un cadre supérieur dans une entreprise de médias sociaux grand public

    Vous travaillez dans la communauté médicale traditionnelle (médecin ou universitaire)

    Tu es une misérable excuse pour un être humain

    Vous êtes une personne exemplaire aux pilules bleues ; vous êtes exactement le type de citoyen que votre gouvernement veut avoir

    Si vous êtes troublé par ce que vous lisez, voici ce que vous pouvez faire
    Si vous lisez le document et que vous êtes troublé par ce qui se passe et que vous voulez tenir ces personnes responsables, il y a deux choses simples que vous pouvez faire pour faire la différence :

    Il est important que les gens du monde entier entendent les travailleurs de la santé dont la voix a été réduite au silence par la communauté médicale. Veuillez le faire maintenant.

    https://stevekirsch.substack.com/p/silenced-healthcare-workers-speak

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  20. Le CDC fait marche arrière sur les conseils de Covid alors que des études accablantes montent


    Par le Dr Joseph Mercola
    Mercola.com
    27 août 2022


    Sans fanfare, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, le 11 août 2022, ont annulé toutes leurs directives COVID-19. En fait, beaucoup ont noté qu'il semble que le CDC voulait y apporter le moins d'attention possible.1 Cela est compréhensible, étant donné que les nouvelles directives admettent plus ou moins que les règles d'origine étaient erronées, sans en dire autant.

    Les nouvelles directives sont répertoriées dans le rapport hebdomadaire sur la morbidité et la mortalité (MMWR) du CDC sous le titre "Résumé des directives pour minimiser l'impact de la COVID-19 sur les personnes, les communautés et les systèmes de santé - États-Unis, août 2022". 2 Comme l'a noté Jeffrey Tucker, fondateur et président du Brownstone Institute :3

    « Il aurait été fascinant d'être une mouche sur le mur dans les séances de remue-méninges qui ont mené à ce petit traité. La formulation a été choisie avec beaucoup de soin, non pas pour dire quoi que ce soit de faux, et encore moins pour admettre les erreurs du passé, mais pour laisser entendre qu'il n'était possible de dire ces choses que maintenant.

    Le CDC insiste sur le fait que si l'infection au COVID-19 continue d'être une réalité dans le monde entier, "les niveaux élevés d'immunité induite par les vaccins et les infections et la disponibilité de traitements efficaces et d'outils de prévention ont considérablement réduit le risque de maladie COVID-19 médicalement significative". … et les hospitalisations et décès associés.

    Par conséquent, les contre-mesures COVID qui créent des «obstacles à l'activité sociale, éducative et économique» peuvent être abandonnées et tout peut revenir à la normale.

    CDC introduit la responsabilité personnelle

    Considérant à quel point les responsables de la santé se sont battus pour séparer, intimider, diaboliser et déshumaniser les personnes qui n'étaient pas d'accord avec leurs mesures COVID tyranniques et irrationnelles au cours des 19 derniers mois, les nouvelles directives sont rafraîchissantes, mais elles sont toujours comme une gifle dans le Visage. D'abord et avant tout, le CDC préconise maintenant soudainement d'assumer la responsabilité personnelle - pour tout :4

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  21. « Les personnes peuvent utiliser des informations sur le niveau actuel de l'impact du COVID-19 sur leur communauté pour décider quels comportements de prévention utiliser et quand (à tout moment ou à des moments précis), en fonction de leur propre risque de maladie grave et de celui des membres de leur ménage, leur tolérance au risque et les facteurs spécifiques au milieu…

    L'éducation et la messagerie pour aider les personnes à comprendre leur risque de maladie médicalement significative complètent les recommandations pour les stratégies de prévention basées sur le risque.

    L'évaluation individuelle des risques et les contre-mesures fondées sur les risques sont toutes deux des choses que nous, les « diffuseurs de désinformation », réclamons depuis le début. Le risque n'est pas identique pour tous ; par conséquent, les stratégies de réduction des risques ne devraient pas être appliquées uniformément. Finalement, avec 19 mois de retard, le CDC accepte.

    Sous le sous-titre « Protéger les personnes les plus à risque de maladie grave », le CDC prend maintenant une page directement de la déclaration de Great Barrington et recommande une protection ciblée, c'est-à-dire protéger les personnes « à risque particulièrement élevé… en raison de leur âge avancé, d'un handicap, d'une ou une immunodépression grave, ou d'autres conditions médicales sous-jacentes.

    Faut-il rappeler à quelqu'un que des médecins et des scientifiques ont été diffamés et traînés dans la boue pour avoir dit cela ? Et le Dr Anthony Fauci, directeur des National Institutes of Allergy and Infectious Diseases, et son ancien patron, le Dr Francis Collins, alors directeur des National Institutes of Health, étaient les cerveaux derrière l'effort pour discréditer et éliminer les auteurs. de la déclaration de Barrington.5

    Le CDC renonce à la discrimination

    Le CDC renonce également à la discrimination basée sur le statut de piqûre COVID :6 "Les recommandations de prévention du COVID-19 du CDC ne font plus de distinction en fonction du statut vaccinal d'une personne parce que des infections percées se produisent..."

    Ils admettent même que "les personnes qui ont eu le COVID-19 mais qui ne sont pas vaccinées ont un certain degré de protection contre les maladies graves de leur infection précédente" et ne doivent donc pas être traitées différemment d'une personne qui a reçu le vaccin contre le COVID. Comme l'a noté Tucker :7

    « Vous vous souvenez quand 40 % des membres de la communauté noire de New York qui ont refusé le jab n'étaient pas autorisés à entrer dans les restaurants, les bars, les bibliothèques, les musées ou les théâtres ? Maintenant, personne ne veut en parler.

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  22. En outre, les universités, les collèges, l'armée, etc. — qui ont toujours des mandats en place — entendez-vous cela ? Tout ce que vous avez fait pour haïr les gens, déshumaniser les gens, séparer les gens, humilier les autres comme étant impurs, licencier des gens et détruire des vies, est maintenant discrédité.

    Pendant ce temps, au moment d'écrire ces lignes, le satané gouvernement américain n'autorisera toujours pas les voyageurs non vaccinés à traverser ses frontières ! Pas un seul mot du traité turgescent du CDC n'était faux au printemps 2020. Il y avait toujours «l'immunité induite par l'infection», bien que Fauci et Cie aient constamment prétendu le contraire.

    C'était toujours une idée terrible d'introduire des "barrières à l'activité sociale, éducative et économique". Les vaccins n'ont jamais promis dans leur autorisation d'arrêter l'infection et la propagation, même si toutes les déclarations officielles du CDC affirmaient le contraire, à plusieurs reprises et souvent.

    Règles de test, d'isolement et de recherche des contacts inversées

    Et qu'en est-il des règles relatives aux tests, à l'auto-isolement pendant la maladie et à toute l'activité de suivi et de traçabilité ? Par la fenêtre!

    Les tests sont désormais réservés à ceux qui "sont symptomatiques, ou ont une exposition connue ou suspectée à une personne atteinte de COVID-19". Le test des personnes asymptomatiques n'est suggéré que dans les «milieux collectifs» où les soins médicaux sont limités, tels que les refuges pour sans-abri et les établissements correctionnels, et dans de tels cas, le test «devrait inclure toutes les personnes, quel que soit leur statut vaccinal».
    L'isolement ne concerne que ceux qui sont symptomatiques et dont le test est positif. Les personnes infectées peuvent mettre fin à leur isolement après aussi peu que cinq jours, si elles n'ont pas eu de fièvre pendant au moins 24 heures sans utiliser de médicaments anti-fièvre, mais doivent continuer à porter un masque ou un respirateur lorsqu'elles sont entourées d'autres jusqu'au jour 10.
    La recherche des contacts est désormais limitée aux établissements de soins de santé et sélectionne les «établissements de rassemblement à haut risque».
    Est-ce un stratagème politique ?

    Bien que je sois heureux que le CDC ait inversé ses mesures COVID tyranniques en quelque chose de sensé et plus aligné sur la réalité, le problème, selon moi, est triple.

    D'abord, il y a l'heure tardive. Toute agence de santé publique digne d'une telle désignation serait parvenue à ces conclusions il y a deux ans. Au lieu de cela, ils ont passé plus de deux ans engagés dans une mission active de recherche et de destruction contre ceux qui préconisent les mêmes directives sensées que le CDC adopte maintenant soudainement.

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  23. Deuxièmement, le moment choisi pour ces renversements relève du parti pris politique. Les élections de mi-mandat approchent à grands pas et l'administration de la Maison Blanche la plus détestée de l'histoire américaine a besoin d'une "victoire".

    Avec le retour en arrière du CDC sur les mesures COVID, ils ont désormais certains droits de vantardise. "Voyez, nous avons ramené la vie à la normale" - ce qui nous amène au problème n ° 3, à savoir que ce renversement n'est peut-être rien de plus qu'un stratagème malveillant pour nous faire baisser la garde, seulement pour être frappé par un autre, même campagne de peur plus draconienne après les élections.

    La plus grande campagne de vaccination de l'histoire aura lieu cet automne

    Bien que cela puisse sembler paranoïaque, c'est tout droit sorti des manuels de la tyrannie. La façon dont vous rendez les gens fous n'est pas par une tyrannie constante à haute pression, mais par des vagues de celle-ci. Les hauts et les bas, chaque vague étant plus intensément répressive que la précédente, créent de la confusion et favorisent la peur et l'anxiété, ce qui engendre une sorte de dépendance infantile à l'autorité pour simplement y remédier.

    Mark Crispin Miller, professeur d'études médiatiques à l'Université de New York, semble être d'accord. Dans un article de Substack du 13 août 2022, il écrit :8

    "Tout comme le CDC fait semblant d'avoir reculé, le NHS [the British National Health Service] révèle (à quelques-uns) ce qui nous attend vraiment à l'automne : 'La plus grande campagne de vaccination de l'histoire.' Ceux qui pensent au pire est fini, mieux vaut détrompez-vous - parce que ce ne sera vraiment pas fini jusqu'à ce que [sic] NOUS le terminions…

    [The] NHS seul n'est évidemment pas équipé, et n'a certainement pas l'intention, d'entreprendre la plus grande campagne de vaccination de l'histoire - une campagne qui doit et sera mondiale, tout comme l'orchestration de toute la crise COVID, dont cette prochaine sera l'aboutissement (ou, pour citer Bill Gates, la « solution finale »).

    Il n'est pas non plus probable que cette plus grande campagne de vaccination de l'histoire soit montée sous le prétexte désormais épuisé de protéger toute l'humanité du COVID-19 (ou de la grippe). Qu'est-ce que ça va être, alors? Monkeypox? VIH? COVID-20 ? Cancer? Tout ce qui précède?

    Quelle que soit la ou les nouvelles menaces qui pourraient être utilisées pour justifier cette dernière poussée, elles ne pourraient jamais être aussi meurtrières que les psychopathes qui l'ont planifiée et que les entités qui n'arrêteront pas de la promouvoir (même si le CDC prétend avoir reculé).

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  24. Préparez-vous pour une autre série d'éclairage au gaz

    Thacker se demande également si les directives révisées du CDC ne sont rien de plus qu'un filet de sécurité politique pour empêcher les démocrates de sombrer dans l'abîme :9

    "... avec une majorité d'Américains mécontents des politiques pandémiques du président, peut-être que le CDC s'appuie sur la" science à moyen terme "pour guider leur nouvelle appréciation de l'immunité naturelle?"

    L'une des raisons de soupçonner que le revirement soudain du CDC est de nature politique est le fait qu'il fait un gâchis absolu du récit COVID soigneusement scénarisé, qui est censé être en phase avec les gouvernements et les médias du monde entier. À la suite de la tentative du CDC de donner une «victoire» à la Maison Blanche de Biden, les médias et les Big Tech sont désormais confrontés à une énorme énigme.

    Tout ce que le CDC recommande maintenant était le blasphème punissable par la honte publique, la déplateforme et le déclassement, jusqu'au jour où le CDC a publié les nouvelles directives. Chaque article COVID et chaque vérification des faits jamais écrits sont désormais complètement hors script, tout comme les innombrables déclarations publiques faites par les responsables de la santé publique.

    Il n'y a pas de réponse à ce dilemme, alors ils vont prétendre que cela ne s'est jamais produit et espèrent que personne ne se souviendra de ce qu'ils ont dit il y a tous ces jours, semaines ou mois. Si vous leur rappelez, préparez-vous à être assommé par des démentis. Thacker écrit :10

    « L’oubli par les médias de ce qu’ils ont rapporté l’année dernière sur les vaccins et les infections antérieures fait partie du Grand Misremembering de la pandémie, une amnésie collective où nous marchons au pas des messages du gouvernement, tout en omettant de nous souvenir des déclarations antérieures et des moments de contradiction flagrante.

    Par exemple, lorsque les médias ont rapporté qu'Anthony Fauci du NIH était complètement vacciné et qu'il avait toujours le COVID-19, ils se sont ensuite trompés en rapportant sa déclaration précédente : "Quand les gens sont vaccinés, ils peuvent se sentir en sécurité qu'ils ne vont pas être infectés". ' … Pour aider tout le monde à rejoindre le Grand Misremembering, voici quelques incidents dont vous ne devez pas vous souvenir.

    … Vers la fin de la première année de la pandémie, un groupe de chercheurs a publié une déclaration appelée «John Snow Memorandum»11 qui a contribué à façonner la politique américaine … Parmi les signataires figurait Rochelle Walensky, alors professeur de médecine à la Harvard Medical School, et maintenant le Directeur du CDC.

    "Toute stratégie de gestion de la pandémie reposant sur l'immunité contre les infections naturelles pour COVID-19 est défectueuse", lit la déclaration signée par l'actuel directeur du CDC.

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  25. Oui, la même personne qui dirige le CDC qui nous dit maintenant de ne pas faire la différence entre le vaccin et l'infection naturelle nous a avertis au début de la pandémie que toute politique pandémique qui repose sur l'infection naturelle est défectueuse. En lisant les nouvelles directives du CDC, n'oubliez pas de vous souvenir du mémorandum précédemment signé par le directeur actuel du CDC.

    Quels vaccins seront poussés ensuite ?

    Bien que nous ne sachions pas encore comment ils vont effrayer la population pour qu'elle obtienne plus de vaccins expérimentaux - maintenant que l'absorption du vaccin COVID a chuté et que plus de 112 millions de doses ont dû être jetées faute de demande12,13 - nous au moins avoir une idée de ce que ces tirs vont être.

    Le 15 août 2022, le Royaume-Uni est devenu le premier pays à approuver le nouveau booster COVID bivalent de Moderna, qui contient à la fois la concoction originale et l'ARNm pour cibler une variante Omicron déjà obsolète.14 Le reste du monde suivra sans aucun doute.

    Le NHS britannique commencera à déployer le nouveau jab COVID bivalent le 5 septembre 2022, en commençant par les résidents des maisons de soins et les autres personnes confinées à la maison.15 Le déploiement plus large commencera le 12 septembre, juste un jour avant la fin des élections primaires aux États-Unis.16

    Bien sûr, le vaccin contre la variole du singe est également poussé sur certains groupes,17 et il y a le vaccin contre la grippe saisonnière, donc il y a des options quand il s'agit de « choisir son poison ».

    Ainsi, alors que la bonne nouvelle est que le CDC est maintenant accusé d'avoir donné raison à nous tous, les "diffuseurs de désinformation", la mauvaise nouvelle est qu'il y a plus de folie à venir, et on ne sait pas exactement quelle forme cela prendra pour l'instant.

    Il semble que nous aurons un court sursis pendant la période électorale américaine, pour donner une tournure positive à la gestion de la pandémie par l'administration Biden, et quel que soit le nouveau programme, il sera déployé par la suite. Nous savons que cela impliquera "la plus grande campagne de vaccination de l'histoire", ce qui pourrait devenir intéressant, en voyant comment les gens se sont réveillés en masse au fait que les injections de COVID mutilent et tuent sans apporter aucun avantage.

    Plus il y a de piqûres COVID, plus le taux de réinfection est élevé

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  26. Les preuves que les taux de réinfection au COVID augmentent parallèlement au nombre de vaccins administrés au COVID s'accumulent également, ce qui transforme les anciens croyants en sceptiques. Comme l'a rapporté l'Islandais Thorsteinn Siglaugsson dans un article du Daily Skeptic publié à la mi-août 2022 : 18

    « Est-ce que quelqu'un se souvient encore de l'excitation fin 2020 lorsque les vaccins contre le COVID-19 étaient enfin en vue ? Les résultats des essais ont été excellents, promettant la fin de la pandémie en 2021… J'ai moi-même cru au récit… J'ai même participé à une tentative pour qu'un des fabricants organise un essai à l'échelle de la population en Islande, similaire à ce que Pfizer a fait en Israël. Aujourd'hui, je suis très heureux que nous n'ayons pas réussi.

    Bientôt, cela fera deux ans que les résultats des essais seront connus… Les données sur l'infection, l'hospitalisation et la mortalité montrent déjà que la vaccination non seulement échoue à les prévenir, mais est dans certains cas contre-productive. En bref, les vaccins n'ont pas livré ce qu'on nous avait promis.

    Et pire encore, le taux d'effets secondaires qui monte en flèche peut signifier que pour la plupart des gens, la vaccination n'a pas ou peu de sens. Pourtant, il est pour la plupart interdit de discuter de ce fait… A titre d'exemple, il est interdit de dire que les vaccins COVID-19 peuvent entraîner la mort, même si une recherche rapide sur Internet montre des cas confirmés où il n'y a aucun doute sur la causalité.

    Il est également interdit de partager des preuves montrant des taux d'infection plus élevés chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Il sera donc intéressant de voir comment ces plateformes réagiront à ceux qui partagent les résultats d'une nouvelle lettre de recherche publiée le 3 août dans Jama Network Open.19

    La lettre décrit le résultat d'une étude qui a surveillé la réinfection de tous les Islandais précédemment infectés, lors de la vague Omicron, entre le 1er décembre 2021 et le 22 février 2022. L'étude montre une probabilité de réinfection allant jusqu'à 15,1 % chez les 18-29 ans. , diminuant avec l'âge...

    Mais la partie la plus intéressante est la comparaison par statut vaccinal. Il montre que pour la plupart des groupes d'âge, ceux qui ont reçu deux doses ou plus sont plus susceptibles d'être réinfectés que ceux qui n'ont reçu aucune vaccination ou une dose.

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  27. Une fois que les larges masses commenceront à accepter la réalité que plus de coups égalent un risque plus élevé d'infection au COVID, pensez-vous qu'il sera facile pour le gouvernement de les convaincre de prendre un coup COVID bivalent ? Et si la résistance finit par être aussi élevée que je le soupçonne, cet automne, quelles mesures pourraient-ils prendre pour, encore une fois, essayer de forcer les gens à se conformer ? Votre supposition est aussi bonne que la mienne.

    Les coups COVID provoquent le dépeuplement

    Un autre obstacle majeur au plan de lancement de la plus grande campagne de vaccination de l'histoire est la preuve que les injections de COVID provoquent déjà un dépeuplement massif. Tel que rapporté par The Exposé, 7 août 2022:20

    « La vaccination contre le COVID-19 provoque un dépeuplement massif. C'est une affirmation extrêmement audacieuse à faire. Mais malheureusement, cette affirmation audacieuse est étayée par une montagne de preuves contenues dans les documents confidentiels de Pfizer et les données officielles du gouvernement du monde entier.

    En effet, les décès excessifs ont monté en flèche depuis la sortie des jabs COVID, et le moment est si précis qu'il ne peut pas être expliqué. Au Royaume-Uni, ils massent maintenant les données pour essayer de les cacher. Comme l'explique The Exposé21, la moyenne quinquennale à laquelle les décès sont désormais comparés est constituée des données de mortalité de 2016, 2017, 2018, 2019 et 2021.

    La surmortalité a commencé à grimper en 2021, après le déploiement des vaccins, et en incluant 2021 (plutôt que de calculer une moyenne sur cinq ans de 2015 à 2019, pour des chiffres prépandémiques précis), la surmortalité en 2022 semble plus proche de la période de cinq ans norme qu'elle ne l'est en réalité. La surmortalité est également en hausse dans la majeure partie de l'Europe, comme l'illustre le graphique22 ci-dessous :

    - voir carte sur site -

    Éliminer la confusion sur la cause de ces décès excessifs sont des données comparant les taux de mortalité parmi ceux piquées et non piquées. Le 6 juillet 2022, l'Office britannique des statistiques nationales a publié un rapport23,24 montrant que les taux de mortalité pour 100 000 sont systématiquement les plus bas parmi les non vaccinés, dans tous les groupes d'âge.

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  28. Dans la tranche d'âge des 18 à 39 ans, les non vaccinés avaient un taux de mortalité de 14,1 pour 100 000 au cours du mois de mai 2022, alors que ceux qui avaient reçu leur première dose il y a au moins 21 jours avaient un taux de mortalité de 42,6 pour 100 000. Le taux de mortalité pour la double piqûre était de 17,3 pour 100 000 et la triple dose avait un taux de mortalité de 21,4 pour 100 000.

    Comme le montre le graphique ci-dessous, créé par The Exposé25, le schéma identique se répète pour chaque mois, de janvier à mai 2022.

    - voir graph sur site -

    La mortalité infantile a grimpé en flèche

    L'Exposé26 met également en évidence des données montrant que la mortalité infantile est désormais bien au-dessus de la norme. En Écosse, les données officielles montrent que les décès néonatals étaient 119 % plus élevés en mars 2022 que la norme annuelle. Les taux de naissances vivantes sont également en chute libre dans le monde.

    Les documents de Pfizer montrent que presque toutes les femmes enceintes qui ont participé à son essai – pour lesquelles les résultats de l'accouchement étaient disponibles – ont perdu leur bébé. Un seul des 29 résultats de naissance connus a été classé comme «normal». Les 28 autres ont fait une fausse couche.
    En Allemagne, le taux de natalité de janvier à avril 2022 était inférieur de 11 % à la moyenne prépandémique sur sept ans. Et la FDA, le CDC et Pfizer ne peuvent guère être surpris, car les propres documents de Pfizer montrent que presque toutes les femmes enceintes qui ont participé à son essai – pour lesquelles les résultats de l'accouchement étaient disponibles – ont perdu leur bébé. Un seul des 29 résultats de naissance connus a été classé comme « normal ». Les 28 autres ont fait une fausse couche.

    La base de données américaine Vaccine Adverse Event Reporting (VAERS) a également répertorié 4 113 décès fœtaux suite à une injection de COVID en avril 2022.27 Comparez cela aux rapports de décès fœtaux pour tous les autres vaccins signalés au VAERS au cours des 30 dernières années. Ce nombre est 2 239,28

    Une recherche animale29 publiée en août 2021, dans laquelle des rats femelles ont reçu le vaccin Pfizer (BNT162b2), a également constaté qu'il augmentait certaines malformations congénitales (côtes supplémentaires) de 295 % par rapport aux témoins, et doublait la perte préimplantatoire (c'est-à-dire des ovules fécondés qui ne parviennent pas à implant). En d'autres termes, il a doublé le risque d'infertilité. Comme le note The Exposé :30

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  29. « Dans ce cas, comment diable les régulateurs de la médecine du monde entier ont-ils réussi à déclarer dans leurs directives officielles que "les études sur les animaux n'indiquent pas d'effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse" ? Et comment ont-ils réussi à affirmer "On ne sait pas si le vaccin Pfizer a un impact sur la fertilité" ?

    La vérité est qu'ils ont activement choisi de le dissimuler. Nous le savons grâce à une demande d'accès à l'information (FOI)31 adressée au ministère australien de la Santé Therapeutic Goods Administration (TGA) ».

    Vous pouvez en savoir plus à ce sujet dans l'article du 19 juillet 2022 de The Exposé, "FOIA Reveals Pfizer & Medicine Regulators Hid Dangers of COVID Vaccination during Pregnancy After Study Found It Augmentes Risk of Birth Defects & Infertility".32

    Dernières pensées

    Donc, pour conclure – oui, le CDC a justifié les diseurs de vérité en inversant ses directives COVID et en adoptant essentiellement la déclaration de Great Barrington, mais nous sommes encore loin d'être sortis du bois. Une grande campagne de vaccination est prévue pour l'automne, alors même que les preuves s'accumulent montrant que les tirs provoquent un dépeuplement à un rythme que nous n'avons jamais vu auparavant, en dehors de la guerre mondiale.

    Les injections tuent des adultes en âge de travailler par ailleurs en bonne santé, elles tuent des bébés dans l'utérus et elles causent l'infertilité. Ce sont sans aucun doute les drogues les plus dangereuses jamais fabriquées. Alors, profitez de ce sursis, mais raffermissez votre détermination à vous opposer à une autre série de tyrannie cet automne.

    Sources and References

    1, 3, 7 Brownstone Institute August 14, 2022
    2, 4, 6 MMWR August 11, 2022; 71
    5 STAT News December 23, 2021
    8 Mark Crispin Miller Substack August 13, 2022
    9, 10 The Disinformation Chronicle August 16, 2022
    11 The John Snow Memorandum
    12 Washington Examiner May 26, 2022
    13 NBC News June 6, 2022
    14 Sky News August 15, 2022
    15 Guernsey Press August 18, 2022
    16 Election Calendar 2022
    17 The Guardian July 24, 2022
    18 Daily Sceptic August 15, 2022
    19 JAMA Network Open 2022; 5(8): e2225320
    20, 21, 22, 23, 25, 26, 27, 28, 30 The Expose August 7, 2022
    24 ONS.gov.uk Deaths By Vaccination Status, England July 6, 2022
    29 Reproductive Toxicology August 2021; 103: 28-35
    31, 32 The Expose July 19, 2022

    https://www.lewrockwell.com/2022/08/joseph-mercola/cdc-backtracks-on-covid-guidance-as-damning-studies-mount/

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  30. Alors que les mauvaises nouvelles sur les vaccins atteignent un point de basculement, ils s'apprêtent à blâmer Donald Trump


    August 27th, 2022


    Alors que les mauvaises nouvelles sur les vaccins s'accumulent, ceux qui les ont poussés sans relâche préparent leur sortie. Si et quand vient le moment de jeter les saint-vaccins sous un bus, les effets secondaires et les injections à haut risque seront entièrement de la faute de Trump. Il les a précipités et a fait pression sur eux. Déformé la science.

    La FDA a besoin d'excuses pour couvrir son épouvantable erreur de jugement et sa corruption et Trump est la carte parfaite pour « sortir de prison ». (À part 300 millions de personnes qui se souviennent de Biden disant que les vaccins étaient sûrs.)

    Le bon vaccin était le travail de Biden. Le mauvais vaccin est l'échec de Trump.

    Ça vient:

    La Maison Blanche de Trump a exercé des pressions sur la FDA pour obtenir des autorisations d'utilisation d'urgence de Covid-19, selon un rapport de la Chambre
    Quelqu'un chez Politico

    L’administration Trump a fait pression sur la Food and Drug Administration, y compris l’ancien commissaire de la FDA Stephen Hahn, pour autoriser des traitements non prouvés pour Covid-19 et les premiers vaccins Covid-19 dans un délai accéléré, selon un rapport publié mercredi par les démocrates du House Select Subcommittee sur la crise du coronavirus.

    De hauts responsables de l’administration Trump se sont battus pour la réautorisation de l’hydroxychloroquine…

    "Les conclusions du sous-comité restreint selon lesquelles les responsables de la Maison Blanche de Trump ont délibérément et à plusieurs reprises cherché à plier le travail scientifique de la FDA sur les traitements et les vaccins contre les coronavirus à la volonté politique de la Maison Blanche sont un autre exemple de la façon dont l'administration précédente a donné la priorité à la politique plutôt qu'à la santé publique", a déclaré le House Majority Whip Jim. Clyburn (D-S.C.), qui préside également le sous-comité, a déclaré dans un communiqué.

    Ce récit est utilisé comme un autre rappel que tous les antiviraux bon marché sont mauvais, mauvais, mauvais et qu'un traitement précoce ne fonctionne qu'avec des médicaments sur mesure qui sont également protégés par des brevets. Je suis sûr que Big Pfizer est satisfait de cet angle. Les anciens vaccins auraient été bons si seulement Trump ne les avait pas précipités, mais répétez après moi les filles et les garçons, le nouveau vaccin est sûr et efficace à 100 %.

    Ces gens n'ont honte de rien.

    https://joannenova.com.au/2022/08/as-the-bad-news-on-vaccines-reaches-a-tipping-point-and-they-get-ready-to-blame-donald-trump/

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    1. Oui mais à l'époque de Trump les flacons injectables n'avaient été microscopés !

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  31. Les appels entre les négociants en énergie et l'opérateur de réseau britannique révèlent que la crise de l'électricité pourrait être bien pire que prévu


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 26 AOÛT 2022 - 19:08


    Une fois par semaine, les négociants en énergie participent à un appel avec les gestionnaires du réseau électrique britannique, National Grid, pour poser une série de questions sur l'état des marchés de l'électricité. Le dernier article d'opinion de Javier Blas de Bloomberg révèle certaines de ces conversations entre commerçants et gestionnaires qui décrivent un hiver plutôt sombre pour le Royaume-Uni.

    Voici une série de questions des commerçants d'électricité de l'appel de la semaine dernière :

    « Êtes-vous en train de jouer à la guerre sur les options possibles si/quand le commerce transfrontalier s'effondrera sous les pressions de la sécurité de l'approvisionnement cet hiver ?

    Et un autre: "Pouvons-nous avoir une session où nous parlons des dispositions d'urgence ?"

    Un autre participant a déclaré que les prévisions de l'équilibre de l'offre et de la demande en électricité montraient "à quel point l'hiver pourrait être mauvais pour quiconque sait faire les calculs".

    Le même interlocuteur a été franc sur les propres prédictions de la grille : "Je ne pense pas que vous croyez ce que vous avez écrit, et personne d'autre ne le fait."

    Un commerçant pose une question sur l'intervention lors d'une crise hivernale :

    "En fonction de l'endroit où se négocient les produits de l'hiver 22, où cela vous positionne-t-il en ce qui concerne la sécurisation de l'électricité pendant l'hiver ?" a demandé un participant.

    Pourquoi les négociants en énergie sont-ils si préoccupés par les instabilités du réseau dans les mois à venir ? Eh bien, les prix de l'électricité au Royaume-Uni pour l'hiver deviennent paraboliques à environ 1 000 £ par mégawattheure, contre 242 £ en juin. Cette décision est due à la baisse des approvisionnements énergétiques russes en Europe avant l'hiver.

    - voir graph sur site -

    Comme Blas l'a souligné, le gouvernement britannique offre un ton optimiste sur le fait qu'il n'y a rien à craindre :

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  32. "Les ménages, les entreprises et l'industrie peuvent être sûrs qu'ils obtiendront l'électricité et le gaz dont ils ont besoin pendant l'hiver", a déclaré Downing Street plus tôt cette semaine. "C'est parce que nous avons l'un des systèmes énergétiques les plus fiables et les plus diversifiés au monde."

    Les commerçants craignent également que si un événement de stress système frappe un pays voisin et que les flux d'électricité transfrontaliers soient interrompus, cela pourrait déclencher encore plus de chaos pour le réseau britannique.

    "S'il vous plaît, le marché doit mieux comprendre comment les interconnexions doivent être utilisées en période de prix très élevés et de déficit potentiel de production", a déclaré un acteur du marché la semaine dernière.

    Les commerçants ont également discuté de la destruction de la demande par les ménages et les entreprises en raison de la flambée des coûts de l'électricité.

    "Quel niveau de réduction de la demande, de destruction de la demande, prévoyez-vous pour l'hiver à venir de la part des consommateurs industriels commerciaux en tant que réponse des prix ?" était un exemple récent.

    Un autre a répété la demande : "Quelle destruction de la demande, le cas échéant, est incluse dans votre prévision de la demande pour cet hiver pour le résidentiel et l'industrie ?"

    Blas a déclaré que les gestionnaires de réseau ne pouvaient prévoir aucun chiffre lié à la destruction de la demande pour les commerçants.

    Il a conclu avec trois points critiques à retenir après avoir écouté plusieurs appels avec des commerçants et des gestionnaires de réseau :

    Premièrement, l'urgence énergétique imminente est pire que ne le reconnaissent publiquement de nombreux dirigeants de l'industrie, et beaucoup plus dangereuse que ne l'admet le gouvernement. Deuxièmement, les prix élevés sont un gros problème, mais la sécurité de l'approvisionnement est également menacée. Troisièmement, le temps presse pour se préparer avant que les températures ne commencent à baisser.

    Blas a averti : « Les gouvernements européens ont le devoir de dire clairement à leurs électeurs l'ampleur de la crise à venir.

    https://www.zerohedge.com/commodities/calls-between-energy-traders-uk-grid-operator-reveal-power-crisis-might-be-far-worse

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  33. Le Royaume-Uni "a endetté et condamné à mort des millions de personnes" en augmentant le plafond des prix de l'énergie de 80 %


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 27 AOÛT 2022 - 13:35


    L'augmentation de 80 % du plafond des factures d'électricité et de gaz naturel des consommateurs au Royaume-Uni cet automne plongera des millions de ménages dans la pauvreté énergétique cet hiver, alors que l'aggravation de la crise du coût de la vie attise les craintes d'une récession.

    Tout le bavardage aujourd'hui parmi les Britanniques est l'augmentation par le régulateur de l'énergie Ofgem du plafond des factures d'électricité à un record de 3 549 £ (4 189 $) à partir du 1er octobre, contre 1 971 £ (2 330 $) actuellement. Ce plafond devrait atteindre 5 439 £ (6 427 $) d'ici janvier et 7 272 £ (8 594 $) d'ici le printemps – tout cela en raison de la montée en flèche des prix de gros du gaz naturel et de l'électricité causée par la baisse des approvisionnements énergétiques russes en Europe, aggravée par les sanctions occidentales qui se sont retournées contre lui. .

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

    "Une augmentation de ce montant ne peut pas être budgétisée par des ménages sans marge de manœuvre", a déclaré Peter Smith, directeur des politiques et du plaidoyer pour l'association caritative National Energy Action. "En octobre, les ménages à faible revenu n'allumeront tout simplement pas leur chauffage."

    Reuters a parlé à un Britannique, Philip Keetley, qui a déclaré :

    "Le coût de la vie a augmenté et pourtant on s'attend toujours à ce que vous viviez avec l'argent prévu quand il n'y avait pas de crise... Je peux soit me chauffer, soit manger."

    Une autre Britannique, Dawn White, qui souffre d'insuffisance rénale, craint que la flambée des prix de l'énergie ne lui permette de se payer un traitement médical vital :

    "Sans mon appareil (de dialyse) cinq fois par semaine, 20 heures, je mourrai", a déclaré la femme de 59 ans.

    La flambée de l'inflation énergétique a écrasé les revenus réels des Britanniques, obligeant beaucoup d'entre eux à réduire leurs dépenses.

    - voir graph sur site -

    Source : Bloomberg

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  34. Le taux de capitalisation plus élevé pourrait pousser l'inflation à des niveaux encore plus élevés, car les économistes britanniques de Citi ont averti que l'inflation de l'IPC pourrait atteindre une impression époustouflante de 18,6 % en janvier en raison de la flambée des prix de l'énergie.

    - voir graph sur site -

    La dernière fois que l'IPC a dépassé 18 %, c'était pendant les années stagflationnistes du milieu des années 1970 (plus précisément, 1976) après qu'un choc d'approvisionnement pétrolier a entraîné une flambée des prix de l'énergie dans le monde.

    Actuellement, l'IPC s'établit à 10,1 % en juillet pour la première fois en quatre décennies, principalement en raison de la flambée des prix des denrées alimentaires et du carburant alors que les ménages s'effondrent sous le poids de la crise du coût de la vie.

    L'inflation à des sommets de plusieurs décennies a poussé l'indice U.K. Misery Index, un indicateur économique permettant d'évaluer la situation d'une personne moyenne, à des sommets de trois décennies, signe que le mécontentement est en train d'émerger.

    - voir graph sur site -

    "Ça va être horrible", a déclaré Bill Bullen, PDG d'Utilita Energy Ltd., qui approvisionne 810 000 foyers au Royaume-Uni. "Nous allons voir une forte augmentation du nombre de personnes qui ont du mal à payer leurs factures d'énergie."

    Le plafond de l'hiver dernier était de 1 277 £, mais c'était avant que les dirigeants européens ne sanctionnent Moscou pour l'invasion de l'Ukraine. À quelques mois de la saison froide, les prix de l'électricité sont déjà à des niveaux record, car le gazoduc russe Nord Stream 1 NatGas vers le bloc connaît des interruptions d'approvisionnement.

    Les prix du gaz naturel au Royaume-Uni sont également en hyperinflation.

    - voir graph sur site -

    Cet hiver pourrait être l'un des plus sombres depuis des décennies pour les ménages britanniques. Le gouvernement a fourni des milliards de livres pour soutenir les familles, mais cela ne réduira peut-être pas le mécontentement croissant.

    La résistance grandit alors que plus de 116 000 personnes irritées se sont engagées à ne pas payer leur facture d'électricité cet automne lorsque le nouveau plafonnement des prix commencera, dans un mouvement appelé "Don't Pay U.K."

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  35. "Ofgem vient de prononcer une dette et une condamnation à mort sur des millions de personnes – nous n'avons eu d'autre choix que de refuser de payer", le groupe anonyme à la tête de l'effort pour que plus d'un million de Britanniques boycottent leur facture d'électricité d'ici le 1er octobre.

    - voir graph sur site -

    La flambée des factures d'électricité aura un impact dévastateur sur la société, bien plus important que le GFC il y a plus de dix ans, a averti James Cooper, associé chez Baringa. Il a averti :

    "Nous nous dirigeons maintenant vers un territoire où une majorité de ménages sont endettés ou dans une situation financière très fragile."

    Une implosion financière des ménages stimulera le mécontentement dans ce qui pourrait être un hiver infernal à travers le Royaume-Uni.

    https://www.zerohedge.com/commodities/uk-passed-debt-and-death-sentence-million-increasing-energy-price-cap-80

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    1. Je parierai bien que l'immigration va s'inverser rapido !

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  36. Les factures d'énergie au Royaume-Uni vont augmenter de 80 %

    Le plafond des prix à la consommation a été relevé à 3 549 £ par an à partir d'octobre


    Nouvelles RT
    27 août 2022


    Les ménages britanniques verront les prix de l'énergie augmenter de 80 % à partir d'octobre, a annoncé vendredi le régulateur gouvernemental Ofgem. Le plafond de prix annuel devrait être augmenté du niveau actuel de 1 971 £ (2 323 $) à 3 549 £ (4 183 $).

    Selon le directeur général d'Ofgem, Jonathan Brearley, la hausse aura un "impact massif" sur les familles à travers le pays, avec une autre hausse susceptible de se produire en janvier, reflétant la forte volatilité des marchés de l'énergie.

    "Le programme de soutien du gouvernement apporte une aide en ce moment, mais il est clair que le nouveau Premier ministre devra agir davantage pour faire face à l'impact des hausses de prix à venir en octobre et l'année prochaine", a déclaré Brearley. "La réponse devra correspondre à l'ampleur de la crise que nous avons devant nous."

    Plus tôt ce mois-ci, le régulateur a déclaré qu'il ajusterait le plafond tous les trimestres plutôt que tous les six mois en raison de la pression intense sur les prix sur les marchés de l'énergie.

    ne donnerait pas de projections pour janvier, lorsque le prochain plafond entrera en vigueur, car le marché est trop volatil. Cependant, le régulateur a averti que les prix de l'énergie pourraient s'aggraver "considérablement" jusqu'en 2023.

    Les nouvelles factures énergétiques moyennes des ménages vont presque tripler par rapport à octobre 2021, lorsqu'elles s'élevaient à 1 277 £ (1 505 $). La flambée des prix a été un facteur majeur de l'inflation au Royaume-Uni, qui a atteint son plus haut niveau en 40 ans.

    Reprinted from RT News.

    https://www.lewrockwell.com/2022/08/no_author/uk-energy-bills-to-rise-by-80/

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  37. À qui appartiennent les céréales expédiées d’Ukraine ? Les géants américains de l’agroalimentaire OGM prennent le contrôle des terres agricoles en Ukraine


    Par F. William Engdahl
    Mondialisation.ca,
    27 août 2022


    Le grand tumulte humanitaire de ces dernières semaines, exigeant l’expédition en toute sécurité de céréales ukrainiennes pour soulager la crise de la faim en Afrique et ailleurs, est trompeur à bien des égards. Il s’agit notamment de savoir à qui appartient la terre sur laquelle les céréales sont cultivées et si ces céréales sont en fait du maïs et d’autres céréales brevetées OGM illégales. Le régime corrompu de Zelensky a discrètement conclu des accords avec les principales entreprises agroalimentaires OGM de l’Ouest, qui ont pris furtivement le contrôle de certaines des terres agricoles « terres noires » les plus productives du monde.

    Le coup d’État de la CIA de 2014

    En février 2014, un coup d’État soutenu par le gouvernement des Etats-Unis a contraint le président élu de l’Ukraine à fuir en Russie pour sauver sa vie. En décembre 2013, le président Viktor Ianoukovitch avait annoncé, après des mois de débats, que l’Ukraine rejoindrait l’Union économique eurasiatique russe sur la promesse d’un rachat par la Russie de 15 milliards de dollars de la dette publique ukrainienne et d’une réduction de 33 % du coût du gaz russe importé.

    L’offre concurrente consistait en un dérisoire « statut de membre associé » de l’UE, lié à l’acceptation par l’Ukraine d’un ensemble de prêts draconiens du FMI et de la Banque mondiale qui imposeraient la privatisation des précieuses terres agricoles ukrainiennes, autoriseraient la plantation de cultures OGM et imposeraient de sévères réductions des retraites et une austérité sociale. En échange d’un prêt de 17 milliards de dollars du FMI, l’Ukraine devrait également augmenter l’impôt sur le revenu des personnes physiques de 66 % et payer 50 % de plus pour le gaz naturel. Les travailleurs devraient travailler dix ans de plus pour obtenir une pension. L’objectif était d’ouvrir l’Ukraine aux « investissements étrangers ». L’habituel viol de l’économie par le FMI au nom des intérêts des entreprises mondialistes.

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  38. L’une des principales dispositions des exigences des États-Unis et du FMI à l’égard du gouvernement post-coup d’État du Premier ministre Arseni Iatseniouk, choisi par les États-Unis et leader des manifestations du Maïdan contre Ianoukovitch, soutenues par la CIA, était d’ouvrir enfin les riches terres agricoles de l’Ukraine aux géants étrangers de l’agro-industrie, surtout aux géants des OGM, dont Monsanto et DuPont. Trois des membres du cabinet de Iatseniouk, dont les ministres clés des Finances et de l’Économie, étaient des ressortissants étrangers, sous la dictée de Victoria Nuland, du département d’État, et de Joe Biden, alors vice-président. Les conditions de prêt du FMI imposées par Washington exigeaient que l’Ukraine revienne également sur son interdiction des cultures génétiquement modifiées et permette à des sociétés privées comme Monsanto de planter ses semences OGM et de pulvériser les champs avec le Roundup de Monsanto.

    Depuis que l’Ukraine a déclaré son indépendance de l’Union soviétique en 1991, le maintien du contrôle des précieuses « terres noires » de l’Ukraine est l’un des sujets les plus brûlants de la politique nationale. Des sondages récents montrent que 79 % des Ukrainiens souhaitent conserver le contrôle de leurs terres contre toute mainmise étrangère. L’Ukraine, comme le sud de la Russie, abrite de précieuses terres noires ou tchernozems, un sol sombre et riche en humus, très productif et nécessitant peu d’engrais artificiels.

    Moratoire de 2001

    Une loi ukrainienne de 2001 a imposé un moratoire sur la vente privée de terres agricoles à de grandes entreprises ou à des investisseurs étrangers. Ce moratoire visait à empêcher les oligarques ukrainiens corrompus de racheter les riches terres agricoles et de les louer à des entreprises agroalimentaires étrangères. À cette époque, Monsanto et d’autres entreprises agroalimentaires occidentales avaient fait des percées importantes en Ukraine.

    Lorsque l’Ukraine a quitté l’Union soviétique en 1991, les agriculteurs qui avaient travaillé dans les fermes collectives soviétiques ont reçu chacun une petite parcelle de terre. Pour empêcher la vente de ces parcelles à des entreprises agroalimentaires étrangères affamées, le moratoire de 2001 a été voté. Sept millions d’agriculteurs ukrainiens possédaient des petites parcelles totalisant quelque 79 millions d’acres. Les 10 millions d’hectacres restants appartenaient à l’État. La culture d’OGM était strictement illégale.

    Malgré le moratoire, Monsato, DuPont, Cargill et d’autres fournisseurs occidentaux d’OGM ont commencé à répandre secrètement et illégalement leurs semences OGM brevetées dans les terres noires d’Ukraine. De petits propriétaires terriens louaient leurs terres à de grands oligarques ukrainiens qui, à leur tour, concluaient des accords secrets avec Monsanto et d’autres pour planter du maïs et du soja OGM. Fin 2016, selon un rapport du département étasunien de l’Agriculture aujourd’hui supprimé, environ 80 % du soja ukrainien et 10 % du maïs étaient cultivés illégalement à partir de semences génétiquement modifiées. La loi Zelensky 2021 a permis d’élargir considérablement cette porte ouverte aux OGM.

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  39. Le comédien entre en scène
    En mai 2019, Volodymyr Zelensky, un humoriste de la télévision ukrainienne, protégé de l’oligarque ukrainien notoirement corrompu, Ihor Kolomoïsky, a été élu président lors d’une tragique révolte populaire « contre la corruption du gouvernement ». L’un des premiers actes de Zelensky en 2019 a été d’essayer d’annuler le moratoire sur les terres de 2001. Les agriculteurs et les citoyens ont organisé d’énormes manifestations tout au long de 2020 pour bloquer les changements proposés par Zelensky.

    Enfin, profitant des restrictions et de l’interdiction des manifestations publiques, Zelensky a signé en mai 2021 le projet de loi n° 2194, déréglementant les terres, qu’il a qualifié de « clé » du « marché des terres agricoles ». Il avait raison. Dans un geste sournois pour calmer l’opposition des agriculteurs, Zelensky a affirmé que la nouvelle loi permettait uniquement aux citoyens ukrainiens d’acheter ou de vendre les précieuses terres agricoles au cours des premières années. Il n’a pas mentionné l’énorme échappatoire permettant aux entreprises étrangères comme Monsanto (qui fait aujourd’hui partie de Bayer AG) ou DuPont (maintenant Corteva), ou d’autres entreprises qui opèrent en Ukraine depuis plus de trois ans, d’acheter également les terres souhaitées.

    La loi de 2021 a également donné la propriété aux gouvernements municipaux et villageois notoirement corrompus qui peuvent changer la destination des terres. Après janvier 2024, les citoyens ukrainiens ainsi que les sociétés pourront acheter jusqu’à 10 000 hectares de terres. Et un amendement d’avril 2021 à la loi sur le marché foncier – « Sur les amendements au code foncier de l’Ukraine et d’autres actes législatifs concernant l’amélioration du système de gestion et la déréglementation dans le domaine des relations foncières » – a ouvert une autre énorme brèche pour que l’agrobusiness étranger prenne le contrôle de la riche terre noire de l’Ukraine. L’amendement contourne l’interdiction de la vente de terres aux étrangers en changeant la destination de la terre, par exemple de terre cultivée à terre commerciale. Elles peuvent alors être vendues à n’importe qui, y compris à des étrangers qui peuvent à leur tour les réaffecter en terres agricoles. Zelensky a signé le projet de loi et est revenu sur sa promesse de campagne d’organiser un référendum national sur tout changement de propriété foncière.

    S’il subsiste le moindre doute quant à l’intérêt de l’agro-industrie étasunienne liée aux OGM à s’emparer des terres agricoles de premier choix en Ukraine, un coup d’œil au conseil d’administration actuel du US-Ukraine Business Council est instructif. On y trouve le plus grand géant privé de l’industrie céréalière et agroalimentaire du monde, Cargill. Il comprend Monsanto/Bayer, propriétaire de semences OGM brevetées et du pesticide mortel Roundup. Il inclut Corteva, l’énorme fusion OGM de DuPont et Dow Chemicals. Il comprend également les géants du cartel des céréales Bunge et Louis Dreyfus. Il inclut le grand fabricant d’équipements agricoles John Deere.

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  40. Ce sont ces puissantes sociétés agroalimentaires qui seraient à l’origine de la trahison de la promesse électorale de Zelensky. Alors que Bayer/Monsanto, Corteva et Cargill contrôlent déjà, selon les rapports, 16,7 millions d’hectares de terres agricoles de premier choix en Ukraine, et avec un pot-de-vin de facto du FMI et de la Banque mondiale, le gouvernement de Zelensky a cédé et s’est vendu. Le résultat sera très mauvais pour l’avenir de ce qui était jusqu’à récemment le « grenier de l’Europe ». L’Ukraine étant désormais mise à mal par les entreprises du cartel des OGM, il ne reste plus que la Russie, qui a interdit les cultures OGM en 2016, comme seul grand fournisseur mondial de céréales sans OGM. L’UE travaillerait sur une nouvelle loi qui annulerait le processus d’approbation critique établi de longue date pour les cultures OGM et ouvrirait les vannes là-bas à la prise de contrôle des OGM.

    https://www.mondialisation.ca/a-qui-appartiennent-les-cereales-expediees-dukraine-les-geants-americains-de-lagroalimentaire-ogm-prennent-le-controle-des-terres-agricoles-en-ukraine/5670755

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  41. Deux autres usines d'engrais en Europe fermées en raison des prix élevés du gaz - pas d'énergie, pas de nourriture


    Vendredi 26 août 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Deux usines de production d'engrais en Pologne auraient fermé leurs portes, au moins temporairement, en raison du coût exorbitant du gaz naturel et d'autres combustibles.

    Les prix record du carburant dans toute l'Europe ont forcé Grupa Azoty, le deuxième producteur d'engrais de l'Union européenne et propriétaire de l'une des usines, à suspendre ses activités. La société a publié la déclaration suivante le 22 août :

    "En raison des prix records du gaz naturel, principale matière première de la production de Grupa Azoty SA, la société a décidé le 22 août 2022 de fermer temporairement ses usines de production d'engrais azotés, de caprolactame et de polyamide 6 à partir du 23 août 2022."

    "Bien qu'il n'y ait pas de problèmes de disponibilité du gaz, la situation actuelle du marché du gaz, qui détermine la rentabilité de l'activité de production, est exceptionnelle et totalement indépendante de la volonté de l'entreprise."

    Portez une attention particulière à cette remarque selon laquelle la disponibilité du gaz est la même qu'elle l'a toujours été. Le problème, comme toujours, ce sont les cartels bancaires et leur corruption financière, qui ont créé une situation hyperinflationniste pour l'énergie alors que les marchés voient une forte volatilité à travers le commerce du papier.

    En d'autres termes, tout est un jeu de chiffres, alors que les mondialistes en charge s'accrochent désespérément à leur système défaillant, exploitant le reste du monde et ses systèmes de production alimentaire comme dommages collatéraux dans un plan de terrorisme financier massif. (En relation: Au début de l'été, une plus grande usine d'engrais au Royaume-Uni a arrêté la production pour les mêmes raisons.)

    On nous dit qu'à cause de cet arrêt, il n'y aura pas assez d'engrais disponibles pour la prochaine saison de semis. Couplé aux conditions de sécheresse qui affligent le système de récolte actuel, c'est vraiment une mauvaise nouvelle pour l'approvisionnement alimentaire mondial.

    Grupa Azoty a déclaré qu'il continuerait de surveiller le niveau des prix de toutes les matières premières et des biens nécessaires pour rendre à nouveau rentable la production d'engrais avant de décider de rouvrir l'usine. La société n'a cependant donné aucune indication quant à la date à laquelle elle prévoit de reprendre ses activités.

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  42. La deuxième entreprise polonaise d'engrais accuse "l'agression russe" du refus de l'Europe de continuer à acheter de l'énergie russe
    Un autre producteur polonais d'engrais, ANWIL, est en charge de la deuxième usine qui a annoncé le même jour qu'elle ne produirait plus d'engrais en raison de la flambée des coûts énergétiques.

    "En raison d'une augmentation sans précédent et record des prix du gaz naturel en Europe, l'ANWIL a décidé de suspendre temporairement la production d'engrais azotés", a annoncé l'ANWIL sur son site Internet le 23 août.

    « L'entreprise surveille en permanence la situation sur le marché des matières premières. Dès que les conditions macroéconomiques sur le marché du gaz se stabiliseront, la production reprendra.

    L'ANWIL a également fait un clin d'œil politique à la guerre en Ukraine, blâmant "l'agression russe" pour la mauvaise décision de l'Union européenne de sanctionner la Russie et de détruire ses propres marchés de l'énergie, tuant la production d'engrais et d'autres industries.

    À une époque où l'Europe a désespérément besoin de gaz pour continuer à couler avec l'hiver qui approche, l'UE continue de résister, aux dépens de son peuple et de son économie, à l'énergie russe.

    "Le monde suit un régime massif - qu'on le veuille ou non", a écrit un commentateur de Natural News à propos de la situation.

    "Venir passer un hiver près de chez vous", a répondu un autre. "Je pense que ce sera le dernier été qu'une grande partie de la population devra manger, boire et s'amuser."

    Un autre a exhorté ceux qui veulent continuer à manger à commencer à cultiver leur propre nourriture ou à stocker ce dont ils ont besoin pour l'hiver sombre à venir.

    Sans engrais, il n'y aura pas assez de nourriture pour nourrir tous ceux qui vivent actuellement sur la planète. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Genocide.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Detv.us
    NaturalNews.com
    Bloomberg.com

    https://www.naturalnews.com/2022-08-26-fertilizer-plants-europe-close-high-gas-prices.html

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  43. Des composés métalliques toxiques trouvés dans tous les échantillons de vaccin COVID analysés par des scientifiques allemands


    26 AOÛT 2022
    BLOG ALGORA
    via The Epoch Times


    Un groupe de scientifiques allemands indépendants a trouvé des composants toxiques - principalement métalliques - dans tous les échantillons de vaccin COVID-19 qu'ils ont analysés, "sans exception" en utilisant des techniques de mesure médicales et physiques modernes.

    Le groupe de travail pour l'analyse des vaccins COVID indique que certains des éléments toxiques trouvés à l'intérieur des flacons de vaccins AstraZeneca, Pfizer et Moderna n'étaient pas répertoriés dans les listes d'ingrédients des fabricants.

    Les éléments métalliques suivants ont été trouvés dans les vaccins :

    Métaux alcalins : césium (Cs), potassium (K)
    Métaux alcalino-terreux : calcium (Ca), baryum (Ba)
    métaux de transition : cobalt (Co), fer (Fe), chrome (Cr), titane (Ti)
    Métaux de terres rares : cérium (Ce), gadolinium (Gd)
    Groupe minier/métal : aluminium (Al)
    Groupe de carbone : silicium (Si) (en partie matériau de support/glissière)
    Groupe oxygène : soufre (S)

    Ces substances, en outre, "sont visibles au microscope à fond noir sous forme de structures distinctes et complexes de différentes tailles, ne peuvent être expliquées que partiellement par des processus de cristallisation ou de décomposition, [et] ne peuvent pas être expliquées comme une contamination due au processus de fabrication, " ont découvert les chercheurs.

    Ils ont déclaré les conclusions préliminaires.

    Les résultats "s'appuient sur les travaux d'autres chercheurs de la communauté internationale qui ont décrit des résultats similaires, tels que le Dr Young, le Dr Nagase, le Dr Botha, le Dr Flemming, le Dr Robert Wakeling et le Dr Noak", a déclaré le Dr. Janci Lindsay, Ph.D., une toxicologue non impliquée dans l'étude, a déclaré à Epoch Times.

    "Le nombre et la cohérence des allégations de contamination à elles seules, associées au silence inquiétant des organismes mondiaux de sécurité et de réglementation, sont gênantes et déconcertantes en termes de 'transparence' et d'allégations continues de ces organismes selon lesquelles les vaccins génétiques sont 'sûrs'". Lindsay a ajouté.

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  44. - voir photos sur site -

    crystals blood comirnaty vaccineComparaison des cristaux dans le sang et dans le vaccin; à gauche, des formations cristallines se trouvent dans le sang des sujets testés vaccinés avec Comirnaty (BioNTech/Pfizer), les images de droite montrent que ces types de cristaux se trouvent également dans les vaccins Comirnaty. Crédit photo : Helen Krenn

    Helena Krenn, la fondatrice du groupe, a soumis les conclusions aux autorités gouvernementales allemandes pour examen.

    « Nous l'avions soumis aux participants du gouvernement et à d'autres adresses de journaux avec la plateforme open-debate.eu, uniquement en Allemagne, en Autriche et en Suisse », a déclaré Krenn à Epoch Times.

    Deux autres découvertes importantes étaient que les échantillons de sang des vaccinés présentaient des "changements marqués" et que davantage d'effets secondaires étaient observés proportionnellement à "la stabilité de l'enveloppe des nanoparticules lipidiques".

    Une nanoparticule lipidique est une particule extrêmement petite, une membrane liposoluble qui est la cargaison de l'ARN messager (ARNm).

    Méthodologie

    "En utilisant un petit échantillon d'analyses de sang vivant provenant d'individus vaccinés et non vaccinés, nous avons déterminé que l'intelligence artificielle (IA) peut distinguer avec une fiabilité de 100 % le sang des vaccinés et des non vaccinés. Cela indique que les vaccins COVID-19 peuvent affecter des changements à long terme dans la composition du sang de la personne vaccinée sans que cette personne soit consciente de ces changements », indique l'étude.

    Les découvertes de changements physiologiques aigus et chroniques dans le sang des personnes inoculées avec les vaccins, systématiquement discernées via un logiciel d'IA, "fait également écho aux découvertes de nombreux autres chercheurs et soutiennent les affirmations de contamination et/ou d'adultération", a déclaré Lindsay.

    "Nous avons établi que les vaccins COVID-19 contiennent systématiquement, en plus des contaminants, des substances dont nous ne sommes pas en mesure de déterminer le but", indique leur étude.

    Le groupe est composé de 60 membres, dont des médecins, des physiciens, des chimistes, des microbiologistes et des praticiens de la santé alternative, soutenus par des avocats et des psychologues.

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  45. objets anormaux vaccin janssenObjets anormaux dans le vaccin vectoriel Janssen de Johnson & Johnson. Il est à noter que des objets de ce type n'ont pas été retrouvés dans tous les échantillons. Crédit photo : Helen Krenn

    Les scientifiques affirment que leurs résultats ont été confirmés à l'aide des techniques de mesure suivantes : "Microscopie électronique à balayage, spectroscopie à rayons X à dispersion d'énergie, spectroscopie de masse, analyse de plasma à couplage inductif, microscopie à fond clair, microscopie à fond noir et diagnostic d'images de sang vivant, ainsi que l'analyse d'images à l'aide de l'intelligence artificielle.

    Les analystes expliquent qu'ils ont coopéré avec d'autres groupes dans différents pays qui ont mené des enquêtes similaires et ont obtenu des résultats conformes aux leurs.

    "Les résultats de notre analyse des vaccins peuvent, par conséquent, être considérés comme validés de manière croisée", indique le rapport de synthèse de leurs conclusions.

    "Il faut reconnaître bien sûr que le travail [du groupe de travail allemand] est décrit comme des" découvertes préliminaires ", non encore publiées dans une revue à comité de lecture et que la chaîne de responsabilité ainsi que l'identité de bon nombre de ces scientifiques sont inconnues."

    "Cependant, dans ce climat fortement chargé et censuré en ce qui concerne les défis à la" sécurité et à l'efficacité "des vaccins génétiques, je peux moi-même attester des difficultés à mener la recherche fondamentale, et encore moins à publier cette même recherche chez un pair. revue à comité de lecture, afin de répondre à ces questions et de diffuser les résultats », a déclaré Lindsay.

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    objets insolites du vaccin pfizer comirnatyLe vaccin Comirnaty de BioNTech/Pfizer présente une diversité et un grand nombre d'objets insolites.

    Le grand nombre de plaquettes et de formes cristallines peut difficilement être interprété comme des impuretés. Ils apparaissent régulièrement et en grand nombre dans tous les échantillons. Crédit photo : Helen Krenn

    Astra Zeneca, Moderna, Pfizer et J&J n'ont pas répondu à une demande de commentaire.

    Reprinted with permission from The Epoch Times.

    https://www.algora.com/Algora_blog/2022/08/26/toxic-metallic-compounds-found-in-all-covid-vaccine-samples-analyzed-by-german-scientists

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  46. Avec le temps, a déclaré Madej, "toutes les particules, toutes ces couleurs ont commencé à se déplacer vers le bord" de la diapositive de couverture. «Il y avait de l'auto-assemblage, les choses grandissaient. Ils avaient l'air synthétique.

    Madej a remarqué autre chose d'assez étrange : « Il y avait un objet ou un organisme particulier, je ne sais pas comment l'appeler, qui avait des tentacules qui en sortaient. Il a pu se soulever de la lame de verre. Il semblait être conscient de lui-même, ou être capable de grandir ou de se déplacer dans l'espace.
    Elle a trouvé cela dérangeant mais a dit qu'elle pensait: "Peut-être que c'était un coup de chance d'une certaine manière, peut-être que c'était juste ce flacon."

    Quelque temps plus tard, le même laboratoire a obtenu plus de flacons d'un lot différent de coups de Moderna, ainsi qu'un flacon J&J. Madej était inquiète de voir les mêmes choses qu'elle avait observées dans le premier flacon.

    "Une autre de ces structures en forme de tentacule est apparue", a-t-elle déclaré. "C'était maintenant complètement sous la lamelle, donc il n'y avait aucun mouvement parce que ce n'était pas sur le bord, mais je ne pouvais tout simplement pas croire que j'en ai vu un autre. Même chose." Madej a également vu apparaître les « mêmes couleurs » au fil du temps, ainsi que les fibres.

    Dans le flacon de J&J, a déclaré Madej, il y avait «certainement une substance qui ressemblait à du graphène. Ils avaient tous des structures de type graphène là-dedans. Qu'ils l'aient été ou non, je n'ai pas la capacité de les tester pour le savoir dans ce laboratoire, mais c'est ce qu'ils semblaient être.

    Le contenu du flacon contenait également «des substances grasses, une substance collante semblable à de la colle qui serait considérée comme un hydrogel dans les deux».

    Le flacon J&J "avait également des couleurs apparaissent." « Leurs couleurs étaient différentes, comme une sorte de couleur pastel fluorescente. Encore une fois, il y a aussi beaucoup de structures synthétiques là-dedans. Madej a également remarqué de nombreuses "structures d'anneaux sphériques" dans le contenu de J&J.

    "Je n'ai jamais rien vu de tel auparavant. Ils ne sont pas censés être dans ces injections. Qu'est-ce qu'ils vont faire à quelqu'un ? Que vont-ils faire à un enfant ? J'ai commencé à pleurer quand je les ai vus pour la deuxième fois au microscope, car c'était la confirmation de tout ce que j'avais vu la première fois », a déclaré Madej.

    Madej est de nouveau apparue dans l'émission Stew Peters le 20 octobre pour discuter de ses découvertes d'un flacon de jab Pfizer ainsi que d'un autre flacon J&J. "Ce que je vois chez tous ces fabricants, ce sont des substances synthétiques, de type graphène, ainsi que ces tubes en nano-carbone", a déclaré Madej.

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  47. "Dans ce flacon particulier de J&J", Madej a vu "des sphères rondes, qui n'étaient pas des bulles d'air". Elle a poursuivi: «Il y a beaucoup de ces anneaux, et au fil du temps, ils devenaient de plus en plus minces et se dilataient, puis finalement extrudaient un matériau gélatineux – je ne sais pas ce que c'était, mais différents types de choses étaient à l'intérieur des sphères de ceux-ci. Donc, ils sont presque comme une structure de livraison, c'est ce qu'ils faisaient.

    Sur l'un de ces anneaux, Madej a vu ce qui "ressemblait à un organisme translucide qui faisait le tour et faisait des allers-retours". Madej a d'abord "pensé qu'il s'agissait d'un autre parasite aquatique", mais après avoir continué à observer ses mouvements, "a pensé qu'il se déplaçait peut-être de manière plus robotique".

    Madej a vu le «même genre de choses synthétiques» dans le flacon Pfizer, ainsi que «quelque chose qui ressemble à la teslaphorèse. C'est alors que ces petites particules métalliques noires ressemblant à du graphite commencent à fusionner en cordes, comme une toile d'araignée. Ils le font par le biais de n'importe quelle force externe - cela peut être de la lumière, cela peut être une force magnétique, cela peut être une impulsion, comme une fréquence. Quoi qu'il en soit, toutes ces petites particules fusionneraient alors et formeraient leur propre réseau neuronal, ou leurs propres fibres, ou fils.

    Après avoir écouté les découvertes de Madej et vu la documentation photo et vidéo qu'elle a fournie, Peters a commenté: "C'est comme si je regardais un très mauvais film B, un thriller d'horreur." Voir aussi ceci : Le Vax : le Dr Zalewski découvre des œufs de parasites à couver ; Le test PCR : collecte de votre ADN.

    Les créatures tentaculaires du flacon Moderna sont-elles des expériences d'hydre "immortelles" ?

    Madej pense que l'entité tentaculaire qu'elle a trouvée dans les flacons de Moderna a un lien avec l'organisme hydra vulgaris. « C'est l'un des organismes modèles que les transhumanistes aiment étudier et observer. Ils pensent que c'est un organisme incroyable pour l'humanité », a déclaré Madej, en partie parce qu'« il est immortel en laboratoire » et « produit en permanence ses propres cellules souches ».

    « Ça ne s'arrête jamais. Vous pouvez le couper en petits morceaux, le mettre dans une boîte de Pétri et il se reforme encore et encore », a-t-elle poursuivi. "Ils pensent, ne serait-ce pas formidable si nous pouvions mettre cela à l'intérieur du génome d'un corps humain, et puis si votre main était coupée par un traumatisme, vous pourriez développer une nouvelle main."

    L'autre raison pour laquelle les transhumanistes s'intéressent à l'hydre, a déclaré Madej, est qu'elle "a son propre réseau neuronal", qui ressemble à un nerf humain, et quand [rassemblés] "peuvent former un réseau maillé, ils peuvent en fait communiquer entre eux". les uns des autres, presque comme si vous aviez votre propre intranet à l'intérieur de votre corps. Elle a noté qu'alors "quelque chose d'extérieur pourrait l'affecter, comme une impulsion, une fréquence, quelque chose de la 5G, une lumière, un aimant. Et si quelque chose avait influencé ce réseau de communication ? »

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  48. Le 21 octobre, Karen Kingston a souligné dans l'émission Stew Peters que les National Institutes of Health (NIH), qui détiennent une participation de 50 % dans le vaccin mRNA-1273 de Moderna et qu'il a aidé à développer sous l'égide du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID ) dirigé par le Dr Anthony Fauci, "parraine la recherche sur l'hydre depuis plus de deux décennies".

    En fait, le NIH a une sous-section entière de son site Web consacrée au projet Hydra 2.0 Genome.

    Kingston a également souligné une étude qui a révélé qu'Hydra a "à peu près le même nombre de gènes que les humains, partageant plusieurs des mêmes", et qu'ils ont également trouvé dans les gènes Hydra "liés à la maladie de Huntington" et à la formation de plaques observées dans La maladie d'Alzheimer. Elle a comparé les symptômes associés à ces maladies avec ceux ressentis par certains qui ont reçu les injections de COVID, comme les tremblements corporels, chez ceux qui ont « perdu le contrôle de leur système neurologique ».

    Elle pense que les gens sont injectés par le biais des injections COVID avec une « hydre transgénique », qu'elle décrit comme un organisme avec de l'ADN d'un autre organisme incorporé.

    Les conclusions d'un autre médecin sur la "structure de livraison" dans Johnson & Johnson piqûres

    Madej n'est pas le premier à observer des objets métalliques non identifiés, des substances de type graphène, des particules d'auto-assemblage et des entités de type organisme dans les piqûres COVID.

    Le Dr Jane Botha a rapporté dans l'émission Stew Peters du 4 octobre que lorsqu'elle a mis une goutte d'un flacon de J&J sous le microscope et a laissé la gouttelette découverte, elle a vu "des disques noirs très symétriques" qui "semblent être réunis" par ce que Peters a noté semblait être des connecteurs métalliques.

    Botha ne savait pas quoi penser de ce qu'elle voyait, mais a noté qu'ils réfléchissaient la lumière lorsqu'ils étaient observés dans un champ sombre, et qu'ils semblaient « s'auto-assembler ». Elle a vu les mêmes disques quatre fois différentes, en utilisant quatre gouttelettes différentes du même flacon.

    Lorsque l'échantillon a séché, a déclaré Botha, elle ne pouvait plus voir les structures du disque, mais "des lignes noires ont commencé à se former".

    Botha a été particulièrement troublée par ce qu'elle a trouvé parce que lorsqu'elle a vu le liquide de piqûre à travers une technique de microscope différente, des «structures noires» plus amorphes semblaient être «exactement la même structure» qu'elle a observée dans le sang de ses patients piquées qui étaient présenter des symptômes après les injections de COVID. Ces symptômes comprenaient des caillots sanguins, un essoufflement, des douleurs nerveuses, une thrombose grave, des embolies graves et des difficultés cognitives, notamment une perte de mémoire et une dépression.

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  49. La chercheuse pharmaceutique, la Dre Jane Ruby, a déclaré à l'émission Stew Peters du 6 octobre que les gens avaient effectué des "recherches inversées" et avaient "regroupé de nombreuses données scientifiques différentes pour montrer qu'il s'agit d'une technologie appelée micro-bulles". est un système de livraison utilisé pour le corps humain.

    Ruby a déclaré que le Dr Botha « émet l'hypothèse » que la raison pour laquelle elle ne pouvait plus voir les disques, mais seulement les lignes noires une fois que l'échantillon de flacons J&J s'est tari, est que « peut-être qu'ils ont été programmés pour s'ouvrir » et « déborder sur leur contenu, leur charge utile.

    Cette hypothèse correspondrait à l'observation du Dr Madej dans l'échantillon d'"anneaux" de J&J selon lequel "au fil du temps, ils deviendraient de plus en plus minces et se dilateraient puis extruderaient finalement une matière gélatineuse", qu'elle a décrite comme "presque comme une structure de livraison.

    L'International Journal of Pharmaceutical Sciences and Research a publié un "aperçu" du "concept de microbulles en tant que système d'administration de médicaments", décrivant les microbulles comme un "petit type de bulle sphérique" "capable de pénétrer même dans les plus petits capillaires sanguins et de libérer des médicaments ou des gènes, incorporés à leur surface, sous l'action des ultrasons.

    Découvertes répétées de substances de type oxyde de graphène dans les piqûres

    D'autres ont observé des substances dans les jabs COVID qu'ils croient être de l'oxyde de graphène, dont diverses expériences ont montré qu'elles avaient des effets toxiques.

    La première découverte de ce type à être mise en évidence a été l'observation du Dr Pablo Campra Madrid, publiée sur le blog espagnol La Quinta Columna, selon laquelle le contenu de ce qui était étiqueté comme un jab Pfizer, vu au microscope électronique, "présent[ed ] une grande similitude avec les images d'oxyde de graphène de la littérature obtenues par la même technique TEM, avec des grossissements similaires.

    - voir photos sur site -

    Ils ont ajouté que dans les deux images "une matrice ou un maillage complexe de feuilles flexibles translucides pliées peut être observé". Les chercheurs ont conclu que bien que la "microscopie ne fournisse pas de preuves concluantes", elle "fournit des preuves solides de la présence probable de dérivés de graphène".

    L'oxyde de graphène, l'un des nombreux dérivés du graphène, est loué pour ses qualités qui se prêtent bien aux applications biomédicales telles que les biocapteurs, l'administration de médicaments et le transfert de matériel génétique. Par exemple, le Conseil consultatif scientifique décrit la conception par des chercheurs du Centre national des neurosciences et de la technologie en Chine d'un "hydrogel contenant un vaccin à ARN" qui utilisait de l'oxyde de graphène, favorisé au moins en partie pour sa "haute efficacité de chargement de médicament" en raison de sa "grande surface".

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  50. En fait, toute une étude a été consacrée au "potentiel des matériaux à base de graphène pour lutter contre le COVID-19", qui stipule que "le graphène et les matériaux liés au graphène (GRM) présentent d'extraordinaires propriétés physicochimiques, électriques, optiques, antivirales, antimicrobiennes, et d'autres propriétés fascinantes qui les justifient en tant que candidats potentiels pour la conception et le développement de composants et de dispositifs hautes performances nécessaires à la pandémie de COVID-19 et à d'autres calamités futuristes.

    Dr Robert Young, un Ph.D. et naturopathe, a également examiné chaque flacon COVID disponible avec la microscopie et la spectroscopie à rayons X, trouvant des objets dans l'échantillon Pfizer qui présentent une similitude avec les images d'oxyde de graphène. Les images au microscope et le contenu chimique / élémentaire qu'il a trouvé par spectroscopie à rayons X l'amènent à croire que le flacon Pfizer contient de l'oxyde de graphène.

    Le Dr Ruby a noté que diverses études ont révélé des effets toxiques de l'oxyde de graphène, notamment sa tendance à entraîner la coagulation du sang.

    Une étude de 2016 intitulée "Toxicité des nanoparticules de la famille des graphènes : un examen général des origines et des mécanismes a noté qu'"en raison de leur taille nanométrique, les GFN peuvent atteindre des organes plus profonds en traversant les barrières physiologiques normales", telles que "le système hémato-encéphalique" barrière et barrière hémato-placentaire.

    L'étude a révélé que "l'oxyde de graphène (GO) peut entraîner une réponse inflammatoire aiguë et des blessures chroniques en interférant avec les fonctions physiologiques normales d'organes importants". "De nombreuses expériences ont montré que les GFN ont des effets secondaires toxiques dans de nombreuses applications biologiques", a-t-il conclu.

    La publication officielle de la Food and Drug Administration de Taiwan (TFDA) a également noté les effets toxiques de l'oxyde de graphène.

    Il convient de noter que le Graphene Flagship, financé par l'Union européenne, a décrit l'un des développements majeurs de l'utilisation du graphène comme sa contribution aux "émetteurs et récepteurs" 5G : "Les émetteurs et récepteurs à très haute capacité utilisant du graphène offrent une solution unique pour futures communications 5G », lit le développement de 2018 sur la chronologie du graphène.

    La contribution du graphène aux "émetteurs et récepteurs de données" 5G a également été discutée par le portail d'actualités scientifiques de la radiodiffusion publique estonienne Novaator.

    https://www.algora.com/Algora_blog/2021/10/25/dr-carrie-madej-took-a-look-at-the-moderna-pfizer-and-jj-shot-contents-under-a-microscope

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  51. "Il fallait faire un exemple": le président de Réinfo Liberté suspendu par son Université

    Publié le 27 août 2022 - 10:16
    Vincent Pavan, enseignant-chercheur en mathématique.


    La sanction est tombée. L’Université Aix-Marseille punit le président de l’association Réinfo Liberté, Vincent Pavan : un an de suspension assorti de la privation de la moitié de son traitement.

    Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. Cela étant, elle intervient alors même que Vincent Pavan se trouve dans l'œil d'un cyclone médiatique depuis plus d'une semaine : les panneaux jugés "anti-vaccins" à Toulouse, dont il est auteur avec Réinfo Covid. L'enseignant-chercheur doit donc gérer deux problèmes apparemment distincts, et nous a livré ses premières réactions :

    Avec cette perte de salaire, pour un père de famille avec deux enfants sous crédit, la situation devient compliquée. Depuis près de deux ans, l’Université dans laquelle il donne cours lui reprochait ses prises de positions sur la gestion de la crise sanitaire. Dès 2020, il s’est intéressé aux mesures adoptées et à leur légitimité scientifique. Ses analyses l’ont mené à évaluer de manière objective une incohérence scientifique. En conséquence, et en vertu de son statut d’enseignant-chercheur, qui lui confère une liberté d'expression garantie par la Constitution (article L952-2 du Code de l'éducation), il s’est opposé à l’obligation du port du masque.

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  52. Lire aussi : Chronique N°90 : Les masques FFP2 ne profitent qu’aux virus et aux marchands du temple

    Le président de Réinfo Liberté est revenu sur la confiance que lui accordaient ses étudiants, ses pairs, ainsi que la direction de l’Université. Auparavant, ses états de service étaient appréciés de l’Université, qui n’hésitait pas à lui confier des heures supplémentaires de cours magistraux. Selon le maître de conférence, cette décision de le suspendre semble avoir été rapidement prise pour pouvoir l’annoncer avant la rentrée : « Il fallait faire un exemple ».

    Exemple ou un martyr ? Il rejoint en tout cas la liste des professionnels à qui les institutions mettent des bâtons dans les roues, après avoir apprécié leurs services pendant de nombreuses années.

    https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/il-fallait-faire-un-exemple-vincent-pavan

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    1. (...) Cette décision vient conclure une procédure disciplinaire lancée en 2020, relative au refus de porter le masque. (...)

      Les masques (bleus-blanc) dits 'chirurgicaux' ont un écart de mailles de 150 microns contre une poussière (appelées 'virus') de... 0,1 à 0,5 micron !!!

      😎 LE DANGER DES MASQUES

      vendredi 6 novembre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/11/blog-post.html

      * * * * *

      😎 Une neurologue allemande met en garde contre le port du masque : « La privation d'oxygène provoque des dommages neurologiques irréversibles »

      vendredi 9 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/une-neurologue-allemande-met-en-garde.html

      * * * * *

      😎 Visualisation de la taille relative des particules (comme COVID-19)

      mardi 20 octobre 2020

      https://huemaurice5.blogspot.com/2020/10/visualisation-de-la-taille-relative-des.html

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  53. DEUX (2 !) COMMENTAIRES ENCORE CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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