COVID-19 : PLUS DE 600 MILLIONS DE CAS DANS LE MONDE
par PAOLO GAROSCIO 29/08/2022
Le taux de positivité des test était de 19 % en France le 25 août 2022.
La Covid-19 ne semble plus être un sujet : le nombre de cas en France a baissé rapidement après le pic inattendu du début de l’été 2022, les mesures sanitaires ont été levées, le nombre de tests dans l’Hexagone est en baisse… Pour autant, la pandémie est encore en cours. Et elle a franchi un nouveau seuil symbolique.
Plus de 600 millions de cas confirmés de Covid-19
Si la France ne comptait, le 28 août 2022, que 14.110 nouveaux cas de Covid-19, c’est surtout que le virus est censé être saisonnier. Le pic de l’été a d’ailleurs surpris : poussé par les nouveaux variants, il fait craindre une nouvelle vague de contaminations durant l’automne et l’hiver 2022-2023. Va-t-elle avoir lieu ou pas ? La question se pose…
Ce qui est sûr est que le virus continue de circuler dans le monde. Les données de l’université Johns Hopkins, confirment plusieurs centaines de milliers de nouveaux cas chaque jour durant la troisième semaine d’août 2022, avec néanmoins une amélioration puisque, contrairement à la semaine précédente, le nombre de cas n’a pas dépassé le million en 24 heures.
Cela n’aura pas empêché la pandémie de franchir un nouveau seuil : on compte, au 29 août 2022, plus de 600,9 millions de cas de Covid-19 confirmés depuis l’apparition du virus.
Plusieurs milliers de décès chaque jour à cause du virus Sars-CoV-2
Tous les jours, dans le monde, plusieurs milliers de personnes décèdent des suites de la maladie. Entre le 1er et le 28 août 2022, selon Johns Hopkins, ce sont ainsi plus de 65.500 décès qui ont été enregistrés, un nombre sans doute sous-estimé : l’OMS juge que le nombre de morts du virus serait près de trois fois supérieur à celui rapporté par les autorités, soit à cause d’un manque de données soit par volonté de cacher la réalité de la pandémie.
Depuis l’apparition du virus, en novembre 2019, le nombre de décès officiels est de 6,485 millions au 29 août 2022, mais il serait en réalité plus proche des 15 voire 20 millions.
(...) COVID-19 : PLUS DE 600 MILLIONS DE CAS DANS LE MONDE (...)
Il n'y aurait seulement que 600 millions d'inoculés dans le monde alors qu'on approche les 2 milliards de morts !!
(...) Le taux de positivité des test était de 19 % en France le 25 août 2022 (...)
Faut dire qu'avec les 'Faux tests RT-PCR', là, on bat TOUS les records ! Comme ces tests ne peuvent RIEN valider, on ne fait que des quotas. "Aujourd'hui vous devez trouver 300 faux positifs !" et... ils les trouvent ! Ne peuvent RIEN valider car le virus (appelée aussi la poussière) n'est pas dans l'air ! et donc N'EXISTE PAS !
Ils sont libres de continuer à nous tuer, tant que nous continuons à penser qu'ils ne pourraient pas être ce mal
Dimanche 28 août 2022 Par: éditeurs de nouvelles (Natural News) (Article republié de Markcrispinmiller.Substack.com)
Voici un article du Dr Meryl Nass, qui fait que le point crucial que ceux qui ont l'intention de nous tuer ont été protégés contre la découverte - et la punition - par notre propre incapacité à penser que cela pourrait être vrai.
C'est, comme je l'ai dit, le point crucial; Parce que, une fois que nous nous sommes sortis de cette fantaisie affectueuse de leur bienveillance, et affronterons le fait que, oui, ils sont ce mal, et (pire encore) que toutes les institutions qui nous ont appris à avoir confiance depuis l'enfance - le gouvernement à Presque tous les niveaux, l'établissement médical, «l'enseignement supérieur» et (surtout) «notre presse libre» - ont été corrompus par ce mal et en faisons maintenant partie: une fois que nous, ou suffisamment d'entre nous, arrêtez de penser que Cela ne peut pas être vrai, alors tout changera.
Ce n'est que lorsque nous suffisons que nous acceptons que les faits bouleversants commencent à changer - et rapidement. Aucune preuve contre l'horreur de la «vaccination», aussi solide et (pour nous) de manière convaincante, ne peut pénétrer dans l'esprit qui ne veut tout simplement pas savoir ce que signifie si évidemment, c'est que ces grandes institutions prétendant Respectez «la science» et vouloir nous garder «en sécurité» et nous ramener «à la normale», ont réellement - délibérément et systématiquement »« la science »tout au long; décourageant constamment des schémas et des remèdes efficaces, tout en poussant farouchement les produits connus pour nous tuer ou paralyser; Et autrement, conspiré exploré pour acclimater tous les êtres humains (c'est-à-dire ceux qui sont laissés vivants) à la «vie» dans un monde inhumain.
Confronté à cette probabilité, il est naturel que les gens, dans l'ensemble, ne veulent pas penser que c'est vrai - tout en tant qu'enfant longtemps abusé horriblement à la maison, il l'a souvent «oublié» des années plus tard, et résistera à la compréhension thérapeutique avec colère que la compréhension thérapeutique que c'est arrivé. Alors que, dans un tel cas, le thérapeute est principalement confronté aux propres défenses psychiques du patient, nous qui avons essayé de réveiller tous ces autres à ce qui leur a été fait (et nous) ces dernières années (et encore plus tôt) Contre une force beaucoup plus grande - et beaucoup plus dangereuse - que les œillères internes de toute personne. C'est pour garder ces millions de personnes dans le déni, et ainsi empêcher le calcul mondial de venir, que le gigantesque chœur de propagande du gouvernement et les médias ne cesse de les assurer que, non, ce n'est pas vrai, que toutes nos preuves (de toutes sortes) est la «théorie du complot», tous nos faits «désinformation», toutes ces morts soudaines et prématurées et les handicaps graves entièrement normaux, et pourtant aussi en raison de tout et de tout sauf des «vaccins» qui les ont évidemment causés. Et alors que le chœur de propagande a du mal à empêcher ce jour de calcul en doubler tous ses mensonges océaniques, il aussi de plus en plus et désespérément, les noirs de toutes les conclusions, faits, perceptions et / ou arguments pourraient aider les gens à sortir de leur hypnotique. Trance: Google (par exemple) a rapidement abattu la pièce du Dr Nass, lorsqu'elle l'a publiée (ou a essayé) sur son blog.
D'abord il y a les 'inoculés de la première' qui sont donc contrôlés 100 % ("Roulez à gauche !" et ils roulent à gauche ! "Tuez toutes les personnes près de vous !" et ils tuent toutes les personnes autour d'eux ! "Sautez par la fenêtre !" et ils sautent par la fenêtre !) et incitent, obligent, dénoncent les personnes intelligentes qui refusent de se faire inoculer ! Puis il y a la 2 ème piqûre empoisonnée, puis la 3 ème ! puis la 4 ème ! puis... etc !
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 28 AOÛT 2022 - 23:30 Rédigé par Ian Miller via Brownstone Institute,
La nouvelle que le Dr Anthony Fauci quitte enfin son poste après ce qui semblait être un règne sans fin à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses devrait être un moment de célébration.
Mais ce n'est pas.
Fauci a causé des dégâts si énormes au cours des dernières années qu'il est presque impossible de comprendre.
Dans presque tous les domaines de la vie aux États-Unis, ainsi que dans de nombreuses autres régions du monde, l'influence de Fauci a été un contributeur clé à des quantités massives de souffrances humaines.
Fauci avait inexplicablement une colère particulière pour les enfants.
Longtemps après qu'il soit devenu très clair que la fermeture des écoles n'avait aucun avantage significatif pour la santé, Fauci a continué à soutenir les fermetures et les restrictions à la vie normale pour des millions d'enfants à peu ou pas de risque du virus.
Sa capacité de plaidoyer et d'activisme politiques purs et simples a été époustouflante à voir et a contribué à l'effondrement extrême de la confiance dans les «experts» et les autorités de la santé publique.
Il semble donc utile de revisiter certains des plus grands succès du règne d'incompétence de Fauci.
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Masques
L'un des échecs les plus importants et les plus dramatiques de Fauci concerne peut-être les masques.
Au début, il a déclaré dans 60 Minutes qu'il était convaincu que les masques ne fonctionnaient pas, qu'ils ne bloqueraient peut-être qu'une ou deux gouttelettes, mais qu'ils n'offraient pas la protection que les gens pensaient avoir.
Il a ensuite confirmé les mêmes informations aux personnes demandant en privé des conseils sur l'opportunité de porter des masques lors de leurs déplacements.
Plus tard, il a absurdement affirmé que ses premiers commentaires avaient été faits dans le but de protéger l'approvisionnement des travailleurs de la santé. Sauf, bien sûr, que les travailleurs de la santé ne porteraient jamais les types de masques en tissu que Fauci et ses alliés du CDC recommandaient.
Sans oublier que sa demande est rendue encore plus ridicule par le fait qu'il a dit aux gens en privé de ne pas porter de masques.
S'il avait cru qu'ils travaillaient mais avait voulu protéger des disponibilités limitées, il aurait pu facilement dire à ceux qui demandaient de porter un masque sans compromettre tout approvisionnement à grande échelle pour les travailleurs hospitaliers.
Bien sûr, ce n'est pas ce qu'il a fait.
Son affirmation selon laquelle le masquage réduirait la transmission et démontrerait des résultats clairement bénéfiques par rapport aux zones non masquées s'est avérée fausse à plusieurs reprises :
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Bien après avoir été confirmé, par de grandes quantités de données, que les masques ne fonctionnent pas, Fauci a continué à plaider pour un masquage universel.
Même aujourd'hui, il est resté totalement convaincu que les masques fonctionnent, malgré les preuves concluantes du contraire.
Récemment, après que son port incessant de masque ait été complètement inefficace pour l'empêcher d'être infecté par le virus, Fauci a continué à recommander aux gens de porter des masques tout en mentant sur leur efficacité, affirmant qu'ils «recommandaient aux gens lorsqu'ils se trouvaient dans des lieux de rassemblement intérieurs de porter un masque."
"Ce sont des choses simples et réalisables qui peuvent nous aider à éviter d'avoir encore plus de problèmes que ceux que nous avons actuellement."
Tout comme les mandats de masques durant l'hiver 2021-2022 ont pu empêcher la propagation du virus, non ?
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Verrouillages
La quantité incompréhensible de mensonges que Fauci a commis au cours des dernières années étend les masques passés aux verrouillages, aux fermetures d'entreprises et aux restrictions de capacité.
Fauci affirme maintenant qu'il n'a jamais dit de verrouiller le pays.
Sauf, bien sûr, que c'est exactement ce qu'il a dit sur le disque en 2020 :
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En septembre 2020, Fauci a affirmé que des États comme la Floride qui avaient rouvert "demandaient des ennuis", tout en louant New York pour avoir l'une des "meilleures" réponses.
Presque immédiatement après, des hospitalisations en Californie et à New York ont dépassé la Floride avec des entreprises fermées, des capacités limitées et un masquage universel.
Son manque de conscience déconcertant est déjà assez grave, mais même en 2021, longtemps après que les verrouillages et les fermetures d'entreprises ont été réfutés, il a continué à suggérer que les zones qui ont rouvert se livraient à un comportement extrêmement risqué en allant à l'encontre de ses diktats.
Le titre d'une histoire de Jacksonville en avril 2021 disait: "Fauci: Ouvrir la Floride aux affaires alors que les variantes de COVID-19 font exploser une" proposition risquée "."
Quelques mois seulement avant cette remarque, il avait vivement critiqué la Floride pour sa réouverture, seulement pour voir d'autres États qui avaient suivi ses conseils avoir des résultats bien pires.
On pourrait penser que se tromper créerait de l'humilité, de l'incertitude et de la volonté d'admettre ses erreurs.
Mais ce n'est pas ce que fait le Dr Fauci.
Au lieu de cela, il a doublé et a déclaré que la réouverture de la Floride en avril 2021, des mois après la disponibilité des vaccins, était «risquée».
Sauf que la Californie a signalé des taux de mortalité par COVID ajustés selon l'âge significativement plus élevés que la Floride pour l'ensemble des premier et deuxième trimestres de 2021, avec des mandats de masque et des limites de capacité pour une partie de cette période :
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Il a tiré la même chose au niveau national, affirmant à tort que le pays risquerait une nouvelle poussée en raison de restrictions « assouplies » et de nouvelles variantes :
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Rappelez-vous aussi que Fauci prétend être le représentant singulier de la "science". Si c'est ce qu'est la "science", elle ne mérite clairement pas le respect qu'on lui accorde.
Bien sûr, même cette année, Fauci défend ses recommandations, toutes preuves du contraire, tout en niant que les confinements, qui ont nui de manière permanente à des dizaines de millions de personnes, n'ont irrémédiablement nui à personne :
Enfants
Les recommandations les plus dommageables de Fauci étaient peut-être liées aux écoles.
Jordan Schachtel a compilé peut-être la meilleure chronologie de son plaidoyer pour garder les écoles fermées ou excuser ceux qui voulaient les garder fermées.
En sa qualité de fanatique du masquage, Fauci a également promu le masquage à l'école, affirmant que les enfants de plus de 2 ans devraient être forcés de se masquer à l'école si les autorités locales décidaient que c'était nécessaire.
Peu importe combien de fois le masquage dans les écoles est réfuté, il n'admettra jamais que ces déclarations étaient des absurdités sans fondement.
Entre les fermetures d'écoles et le masquage forcé, les dommages qu'il a causés aux enfants sont littéralement incalculables.
Il y a aussi son palmarès incomparable d'inexactitudes sur ce que feraient les vaccins.
Parmi de nombreux autres problèmes, sa prédiction selon laquelle atteindre certains niveaux de vaccination éliminerait le potentiel de futures poussées a été, comme tout ce qu'il a fait, presque immédiatement prouvée fausse.
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Ses échecs dans ce domaine sont sans fin.
Évidemment, c'est loin d'être une liste complète de la stupidité incompréhensible dont Fauci a fait preuve au cours des dernières années. Une liste complète nécessiterait un livre, ou plusieurs livres à chroniquer.
Son incompétence, son orgueil, son ego impressionnant et son engagement à se tromper dans toutes les circonstances possibles sont littéralement incomparables.
L'énorme quantité de volte-face et de retour en arrière pour défendre son incompétence antérieure est continuellement défendue par Fauci comme «La Science ™» en train de changer.
Sauf que les directives du CDC qu'il a continuellement défendues et promues n'ont jamais été basées sur l'évolution de la science, comme en témoigne le fait qu'ils n'ont jamais mené d'essais contrôlés randomisés de haute qualité pour justifier leur prise de décision.
La « science » ne peut pas changer lorsque l'un de ses principes clés, les recommandations fondées sur des données probantes, n'a jamais été mis à jour.
Mais cela n'avait pas d'importance pour Fauci. Ce qui comptait, ce sont les interminables apparitions dans les médias, les louanges de la gauche et le maintien d'un vernis d'infaillibilité soutenu par une presse flatteuse.
Bien qu'il puisse être tentant de penser que cette retraite signalera un changement radical dans la réflexion sur le COVID au niveau fédéral, cela semble beaucoup trop optimiste.
Comme pour tout ce qui concerne le COVID, l'administration Biden s'est engagée à faire en sorte que quiconque remplace les fonctionnaires sortants soit encore pire. Ashish Jha et Rochelle Walensky en sont de brillants exemples.
À tout le moins, il y a une lueur d'espoir que Fauci sera toujours convoqué devant le Congrès et tenu responsable des dommages qu'il a causés et de son programme flagrant qui modifie le monde.
Premièrement un 'virus' EST UNE POUSSIÈRE ! et non un microbe ! Un microbe apporte des maladies, un poussière non. Même une poussière radioactive n'est PAS contaminante. Or, il s'agit bien d'un virus (qui n'est PAS DANS L'AIR !) proposé en seringues (SI t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort !). Poussière empoisonnée fabrique en laboratoires.
Donc, deuxièmement, s'il s'agit d'un poison (comme morsure de serpent) il n'existe pas de vaccin 'anti-serpents' mais des anti-dotes. Ces anti-dotes ne sont PAS proposées !
Troisièmement, si cette poussière empoisonnée n'est pas dans l'air: INUTILE de porter un masque. D'ailleurs, il n'existe au monde AUCUN masque anti-virus' ou anti-microbes. Les masque proposés sont de type 'blocs opératoires' pour éviter que des gouttelettes aillent sur la plaie ouverte. C'est tout. Si le chirurgien a la peste: l'opéré a la peste (microbe).
Par Alexandra Bruce La télé du savoir interdit 29 août 2022
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TRANSCRIPTION
Selon les essais humains très limités de Pfizer, 87% des femmes enceintes ont perdu leur bébé après avoir reçu le vaccin et pour celles qui ont survécu au tir mortel et sont capables de se reproduire, l'ADN de leur progéniture est maintenant muté à jamais.
Il existe maintenant des preuves irréfutables que les vaccins à ARNm sont une toxine mortelle.
Mis à part la protéine de pointe débilitante implacable qui rend tous ceux qui ont été piquées malades, les vaxxines contiennent des métaux. Les métaux dont on a observé qu'ils s'auto-assemblent à l'extérieur du corps et, plus inquiétant encore, les métaux qui s'assemblent à l'intérieur du corps.
Des études montrent que ces métaux se retrouvent dans le sang de 94 % de ceux qui ont reçu une vaxxine COVID.
Et ces mystérieux conglomérats de métal font leur apparition définitive dans les morts.
Partout dans le monde, les coroners découvrent maintenant que les artères des vaxxinés ont été obstruées par de mystérieuses excroissances. Masses non organiques composées de métaux conducteurs, tels que l'aluminium, le sodium et l'étain.
C'est ce qui cause le plus probablement toutes les défaillances d'organes et les crises cardiaques - entendre les crises chez nos enfants.
Selon les lanceurs d'alerte, les médecins mentent sur les décès dus au vaccin pour gagner quelques milliers de dollars.
Est-ce pour cela que Trump pousse les coups mortels ?
Tuer nos propres enfants pour un misérable million de dollars ?
Maintenant que la vérité sur les vaxxines mortelles COVID commence enfin à se libérer, les médias grand public changent leur récit et blâment tout sur le président Trump et ils ont déjà jeté les bases en 2016, quand on a dit au troupeau de croire que Trump est littéralement Hitler.
Vous pourriez dire que Trump est innocent – mais ce n'est pas le cas.
Il se vante de toutes les vies qu'il a sauvées - et le troupeau croira ce qu'on leur dit de croire...
Les adultes américains « souffrent » à un rythme record
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 04:00
Aux États-Unis, les adultes souffrent dans leur vie à un niveau record. C'est selon le dernier d'une série d'enquêtes de Gallup.
Comme le détaille Martin Armstrong de Statista ci-dessous, la proportion d'adultes évaluant leur vie suffisamment mal pour être considérée comme « souffrante », selon la méthodologie de Gallup, a atteint un nouveau sommet de 5,6 % en juillet.
L'enquête, qui remonte à 2008, demande aux répondants d'évaluer l'état actuel et futur de leur vie sur une échelle de 0 à 10, les réponses allant de 0 à 4 étant classées comme "souffrance, 5 à 6". en difficulté, et 7-10 'en plein essor.
Comme indiqué, le dernier résultat "dépasse le précédent record de 4,8% mesuré en avril et est statistiquement supérieur à toutes les estimations précédentes à l'ère du Covid-19".
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Infographie : les adultes américains « souffrent » à un rythme record | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Gallup suggère que "les conditions économiques sont probablement un facteur majeur contribuant à ces scores qui se détériorent", ajoutant: "En harmonie avec les vents contraires économiques, il y a un mécontentement croissant à l'égard des valeurs morales américaines, qui a atteint un niveau record, avec 50% des Américains signalant l'état de les valeurs morales sont "faibles" et 37% "seulement justes", un sentiment qui pourrait avoir une influence négative sur les cotes de vie en général."
Allemagne : la crise énergétique force le changement de cap
L’Allemagne a déjà fait son propre destin en 2011. Elle doit maintenant en assumer les conséquences.
le 29 août 2022 Par Rosanna Weber. Mises Institute
« Nous sommes les artisans de notre propre destin », a déclaré Christian Lindner (FDP, Parti libéral-démorate), ministre fédéral allemand des Finances, lors d’une interview télévisée il n’y a pas si longtemps. Cette déclaration a été faite alors qu’on lui demandait si Vladimir Poutine avait une emprise sur l’Allemagne, compte tenu de sa situation énergétique plutôt désastreuse, maintenant, mais surtout à l’approche de l’hiver.
Tiraillée entre une dépendance de dix ans au gaz russe bon marché d’une part, et un désespoir soudain d’indépendance énergétique face à la guerre en Ukraine d’autre part, l’Allemagne se trouve aujourd’hui dans la position inconfortable de n’avoir ni l’un ni l’autre. Pour reprendre les mots de Robert Habeck (Parti des Verts), ministre fédéral de l’économie et de l’action climatique, « chaque kilowattheure compte ». L’Allemagne a attendu trop longtemps pour se mettre de côté – le temps est écoulé.
Selon l’Agence fédérale des réseaux, 55 % du gaz importé par l’Allemagne provient de Russie, principalement via le gazoduc Nord Stream 1. Dernièrement, l’Allemagne a constaté une baisse du gaz reçu, qui, selon des sources russes, était la conséquence de « problèmes techniques« . Il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup de doutes pour comprendre comment les circonstances géopolitiques actuelles ont pu jouer un rôle dans cette situation également.
Aujourd’hui, l’Allemagne reçoit environ 40 % des niveaux précédents d’importations de gaz via Nord Stream 1, ce qui réduit considérablement ses réserves. Pendant plus d’une semaine en juillet, elles ont même été réduites à zéro.
Comment l’Allemagne s’est-elle mise dans une situation aussi moralement et stratégiquement douteuse ? Nord Stream 1 était douteux au départ, sans parler de sa suite : Nord Stream 2.
Le projet de dix milliards d’euros a fait l’objet de nombreuses critiques de toutes parts pendant les années de sa construction. Après son achèvement en septembre dernier, le chancelier Olaf Scholz a abandonné le projet en février de cette année en réaction à la guerre en Ukraine.
L’Allemagne a donné son feu vert à la construction de Nord Stream 2 en 2015, quatre ans après avoir commencé à pomper du gaz via Nord Stream 1 en 2011. C’est également l’année où l’Allemagne a pris une autre décision cruciale concernant son approvisionnement énergétique futur : la sortie définitive de l’énergie nucléaire.
À l’époque, cette question avait fait l’objet d’une longue campagne de la part des Verts, avait reçu le soutien d’autres partis, dont le FDP et son secrétaire général de l’époque, Christian Lindner, et avait finalement été inscrite dans la législation par Angela Merkel et la CDU (Union chrétienne-démocrate). D’ici la fin de l’année, les trois dernières centrales nucléaires allemandes encore en activité devraient être mises hors service.
Une enquête a montré qu’à la lumière des récents événements, sept citoyens sur dix préfèrent que ces centrales soient maintenues. Presque ironiquement, même la plupart des électeurs du parti vert y sont favorables, selon le sondage.
Le débat sur l’énergie nucléaire est aujourd’hui aussi divisé qu’il l’était en 2011, mais cette fois les rôles semblent curieusement inversés : le FDP avec Lindner sont pour la continuation. Friedrich Merz (CDU) et Markus Söder (CSU, Union chrétienne-sociale) y sont favorables, même si, en 2011, ils étaient tous trois d’avis que l’abandon de l’énergie nucléaire était finalement la bonne chose à faire.
Les Verts et le SPD, les sociaux-démocrates, s’opposent à l’idée de maintenir les centrales restantes en activité, ce qui n’est pas une surprise. Ce qui est surprenant, en revanche, c’est la proposition de Robert Habeck (Verts) de brûler davantage de charbon au cours des prochaines années, ce qui n’est pas vraiment l’alternative écologique que l’on attendait du ministre fédéral de l’Économie et de l’action climatique.
S’opposer à l’énergie nucléaire en 2011 était à peu près aussi tendance et populaire que les jeans taille basse dans les années 2000 : à l’époque, cela a permis de mettre en place ceux qui veulent maintenant remettre sur la table l’option de relancer les centrales nucléaires. Christian Lindner va même jusqu’à mentionner le mot interdit : fracking. Des opinions qui, autrefois, suscitaient l’indignation ou étaient jugées trop risquées sur le plan politique pour être abordées, sont soudain à nouveau dans le domaine du possible, maintenant que le vent a tourné, de manière assez prévisible.
Si cet épisode démontre quelque chose, c’est bien la préférence pour le temps qui vient avec l’accession à un poste politique. Du gaz bon marché, rapide et facilement disponible, c’est très bien ici et maintenant, et l’idée que la Russie puisse devenir une menace géopolitique pour la souveraineté de la nation est quelque chose dont l’Allemagne future peut se préoccuper.
Certes, après le présage de ce qui était sur le point de se produire lorsque la Russie a envahi la Crimée en 2014, vous avez une recette pour le désastre.
Herr Lindner, l’Allemagne a déjà fait son propre destin en 2011. Elle doit maintenant en assumer les conséquences.
ÉNERGIE : LE GOUVERNEMENT PROMET DES HAUSSES « CONTENUES » EN 2023
par PAOLO GAROSCIO 29/08/2022
La CRE a dévoilé que le prix de l'électricité en septembre 2022 devrait être 106 % plus élevé que l'actuel.
C’est la question que tous les Français se posent : que va-t-il arriver lorsque le bouclier tarifaire, qui a permis aux prix du gaz et de l’électricité de rester stables durant tout l’année 2022, va s’arrêter ? Avec l’augmentation explosive des prix sur les marchés de gros, la crainte est que la facture soit élevée au point de devenir impayable. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a tenté de rassurer…
En Europe, des factures d’électricité et gaz qui s’envolent
Si les Français, particuliers comme professionnels, sont inquiets, c’est que les nouvelles se suivent et se ressemblent sur le front de l’énergie. Sur les marchés de gros, à la suite de la guerre en Ukraine et du chantage au gaz de la Russie, les prix du gaz se sont envolés jusqu’à atteindre des records inédits : plus de 300 euros le MWh sur le marché de référence, contre quelques dizaines d’euros en 2019.
Le prix de l’électricité aussi s’est envolé, cette fois sur fond de production baisse et de reprise économique. L’arrêt de près de la moitié du parc nucléaire français pèse lourd, sur l’équilibre du marché international, mais ce n’est pas le seul problème.
Ainsi, au Royaume-Uni, en Belgique, en Allemagne et dans d’autres pays européens, les factures s’annoncent salées : plusieurs milliers d’euros de plus par an pour les ménages. Certains menacent de ne pas les payer, d’autres craignent de ne pas pouvoir… et dans tout ça, les Français s’en sortent bien : leurs prix sont restés bloqués.
L’augmentation des factures d’énergie aura bien lieu
Si les ménages français n’ont encore pas vu leurs factures exploser, c’est grâce au bouclier tarifaire : le prix du gaz a été gelé en octobre 2021, celui de l’électricité en février 2022. Mais ce dispositif coûte cher à l’État qui compense le manque à gagner des fournisseurs et qui n’avait pas anticipé des augmentations aussi élevées. Le coût du bouclier tarifaire a dépassé les 20 milliards d’euros et pourrait encore grimper. Dans ces conditions, impossible de le maintenir plus longtemps.
Le gouvernement n’a d’ailleurs pas annoncé que le bouclier tarifaire, dont la fin est prévue pour le 31 décembre 2022, sera encore prolongé. Au contraire : on sait qu’il va prendre fin. Mais invité au congrès des cadres de LREM qui se tenait à Metz samedi 27 août 2022, Bruno Le Maire s’est voulu rassurant.
« Les hausses dont a parlé le président de la République et la première ministre seront des hausses contenues », a déclaré le ministre de l’Économie en marge de ce congrès. Il n’a néanmoins pas donné plus de précisions, seulement que ces « hausses contenues » concerneront le prix de l’électricité et celui du gaz.
Pas de rattrapage sur les prix de l'électricité
En somme : les Français doivent bien se préparer à une augmentation de leurs factures. C’est le montant de cette augmentation qui reste inconnu. Mais une bonne nouvelle a été donnée : « il n’y aura pas de rattrapage » sur le plafonnement du prix de l’électricité en vigueur depuis le 1er février 2022. Le prix, selon la CRE, aurait dû doubler pour les clients finaux particuliers depuis cette date...
Que fait le prix dans un produit ? Soit on ne l'achète pas, ce qui est un comble pour se passer de l'électricité, soit on le paye au prix fort. Oui mais comme le budget n'est pas extensible, faudra supprimer des achats. Quels achats ? Vêtements ? Passer du superhypermarché aux Lidl ? Aller à la soupe populaire ?
Mais au fait... pour quelle raison ? La raison est toute simple: Le président Poutine à décidé après 8 années de massacres des ukrainiens de l'Est d'entrer en conflit en osant protéger la population de l'Est contre les troupes nazies gouvernementales soutenues par divers autres pays nazis !
Et çà, ni Bruxelles ni l'ONU n'en veut ! Donc, elles arment les vaillantes troupes nazies hitlériennes pour contrer l'ordure soviétique qui sauve des milliers d'enfants, de femmes et d'hommes de la mort. Et, comme le Superman russe ne traite pas avec la merde, il décide donc de couper (couic !) le gaz aux chiottes !
Des experts allemands mettent en garde contre l'instabilité du réseau... "Des centrales électriques conventionnelles sont nécessaires pour longtemps"
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 12:30 Rédigé par Pierre Gosselin via NoTricksZone.com,
L'expansion massive et subventionnée de la production d'électricité à partir de sources renouvelables en Allemagne a évincé les unités de production conventionnelles du marché. Deux experts mettent en garde contre l'instabilité croissante du réseau.
Quo Vadis, stabilité du réseau ? Article original à Die kalte Sonne
La conclusion des deux est très alarmante. Ici aussi, pas un mot sur «les installations de stockage à gogo. Ici, la réalité se heurte au vœu pieux de certains acteurs de l'énergie verte qui pensent qu'il y a suffisamment de stockage et qu'il suffit de changer les « mentalités », comme le dit Patrick Graichen.
L'expansion continue des sources d'énergie renouvelables très volatiles et le déplacement supplémentaire d'unités de production plus conventionnelles du marché rendent le réseau électrique de plus en plus sensible aux fluctuations liées aux conditions météorologiques. Des phénomènes météorologiques inhabituels tels que le marasme noir posent des défis importants à la sécurité et à la stabilité de l'approvisionnement du réseau électrique. La production largement intermittente des parcs solaires et éoliens n'est pas corrélée aux fluctuations de la demande d'électricité.
L'offre excédentaire d'énergie renouvelable doit être tamponnée pendant les périodes de faible demande d'électricité, et la capacité stockée doit être réinjectée dans le réseau pendant les périodes de forte demande d'électricité lorsque moins de sources renouvelables sont disponibles. Cependant, les grands systèmes de stockage d'énergie par batterie, qui ont été annoncés de manière prometteuse, ne sont toujours pas à l'horizon en raison de leur faible capacité et de leur maturité, ainsi que de leur coût de déploiement exorbitant.
À ce stade, au plus tard, les oreilles de certaines personnes devraient sonner :
Tant que des systèmes de stockage d'énergie économiques ne seront pas mis en place, même les partisans de l'orientation actuelle de la transition énergétique de l'Allemagne devront admettre que des centrales électriques conventionnelles fiables seront nécessaires pendant longtemps.
Cet article est également une recommandation de lecture urgente pour les politiciens et les experts qui aiment être interviewés.
L'importance des centrales nucléaires pour la sécurité d'approvisionnement en fonctionnement de base et leur capacité à faire fonctionner le réseau en parallèle avec les énergies renouvelables renouvelables ont été démontrées. Les centrales nucléaires semblent bien adaptées à l'énergie produite pour atteindre l'objectif futur d'une production d'électricité sans carbone. Cependant, la loi sur l'énergie atomique prévoit un arrêt anticipé de la production d'énergie nucléaire d'ici la fin de 2022. »
Ainsi, sans l'énergie nucléaire en Allemagne, les problèmes de stabilité du réseau sont une certitude future.
Texas Crypto Miners demande à utiliser autant d'énergie que tout l'État de New York
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 11:45
Les responsables du Texas ont exhorté les mineurs de crypto-monnaie à déplacer leurs opérations vers le Lone Star State. La campagne fonctionne si bien que les demandes de branchements électriques s'accumulent à un niveau bien supérieur à ce que les autorités électriques de l'État estimaient il y a à peine quatre mois.
Selon un nouveau rapport de Bloomberg, les mineurs ont demandé à l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT) d'utiliser jusqu'à 33 gigawatts d'électricité au cours de la prochaine décennie, un tirage d'un tiers supérieur à ce que le PDG d'ERCOT a estimé en avril. Pour mettre cela en perspective, 33 gigawatts suffiraient à alimenter tout l'État de New York.
Après avoir subi des pannes de courant désastreuses qui ont fait 246 morts lors d'une tempête de froid glacial en février 2021, les Texans ne pouvaient pas être blâmés de se tordre un peu les mains à la perspective que les mineurs recherchent autant d'énergie.
Une porte-parole d'ERCOT a assuré à Bloomberg que l'organisation s'attend à avoir une production suffisante pour répondre à la demande croissante. Les enjeux sont importants : contrairement à d'autres États qui peuvent s'appuyer sur leurs voisins en période de stress, le Texas exploite son propre réseau électrique indépendant qui fait de la majeure partie de l'État une île électrique en soi.
- voir sur site -
Une carte des réseaux électriques interconnectés américains et canadiens (via NERC)
La campagne du Texas pour courtiser les crypto-mineurs s'est concentrée sur le climat réglementaire plus convivial de l'État, l'électricité bon marché et les sources d'énergie renouvelables substantielles. Par kilowattheure, les clients commerciaux paient environ un tiers de moins que la moyenne nationale.
"Il a également plus d'énergie éolienne que tout autre État, ce qui attire les mineurs qui poussent à paraître plus respectueux de l'environnement", écrit Naureen S Malik de Bloomberg.
Les mineurs affirment qu'ils sont des clients d'électricité idéaux, prêts à dévorer l'excès d'énergie éolienne et solaire lorsqu'elle est abondante, mais aussi suffisamment flexibles pour s'arrêter lorsque le réseau est sous tension.
Cette flexibilité peut être très payante : en juillet, Riot Blockchain a collecté 9,5 millions de dollars de crédits pour la fermeture de ses plates-formes minières au Texas, alors que l'État faisait face à une vague de chaleur historique et que l'énergie était rare.
"En réduisant la consommation d'énergie de 21 % le mois dernier, Riot a fait en sorte qu'ERCOT paie 100 % de sa facture d'électricité. Ainsi, même si la société a créé moins de bitcoins en juillet, la société a gagné environ 7 millions de dollars de plus qu'elle n'en aurait si elle n'avait pas réduit ses opérations », rapporte le Houston Chronicle.
Pas étonnant que les crypto-mineurs se précipitent au Texas.
🇨🇭 Des politiciens suisses forment la coalition "Stop aux pannes d'électricité": "Nous ne pouvons pas nous passer des centrales nucléaires"
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 10:15
Alors que le peuple suisse attend avec impatience le dévoilement gouvernemental mardi de son plan astucieux pour faire face aux pénuries d'énergie potentielles causées par la guerre en Ukraine, qui devrait largement pousser les consommateurs à des réductions volontaires ; Reuters rapporte qu'un groupe de politiciens suisses a formé "Stop The Blackouts", qui lancera une pétition demandant une révision de la politique énergétique du pays afin de garantir un approvisionnement énergétique adéquat et de maintenir le nucléaire dans le mix.
La Suisse produit plus d'électricité qu'elle n'en consomme mais dépend de ses voisins pour ses importations en hiver.
La Suisse prévoit de fermer ses cinq réacteurs nucléaires à la suite d'une décision de 2017 motivée par des problèmes de sécurité après la catastrophe nucléaire de 2011 à Fukushima, au Japon, et a déjà fermé un réacteur.
"Jusqu'à récemment, la Suisse disposait d'une production d'électricité sûre et pratiquement sans gaz carbonique : la combinaison écologique et climatique de l'hydroélectricité et du nucléaire doit être abandonnée sans aucune raison", a déclaré le site Internet de "Stop The Blackouts".
Pour rappel, dans le cadre de la démocratie directe suisse, sa constitution peut être modifiée par référendum si 100 000 signatures sont recueillies dans les 18 mois, bien qu'un résultat réel puisse prendre des années.
"Nous ne pouvons pas nous passer des centrales nucléaires", a déclaré Vanessa Meury, présidente du comité Stop The Blackouts et le seul membre du comité qui n'est pas un homme politique, au journal suisse SonntagsZeitung.
Cinq des six membres du comité du groupe sont des législateurs de partis du centre et de droite.
Le changement de constitution souhaité par le groupe rendrait Berne officiellement responsable de garantir l'approvisionnement énergétique, en utilisant "toute forme de production d'électricité respectueuse du climat".
D'abord le Japon plié, maintenant la Suisse, quand l'Allemagne capitulera-t-elle complètement devant la réalité que les "énergies renouvelables" ne couperont tout simplement pas dans le monde réel... et qu'adviendra-t-il alors de tous les récits "verts" en tant que nucléaire ?
🇺🇸 L'Amérique a importé plus de 6 milliards de dollars de marchandises en provenance de Russie depuis l'invasion de l'Ukraine
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 09:30 Écrit par Kyle Anzalone et Will Porter via The Libertarian Institute,
En réponse à l'attaque de la Russie contre l'Ukraine, le président américain Joe Biden a juré d'isoler et de « paralyser » l'économie russe. Cependant, Moscou a pu maintenir sa puissance économique, en partie en exportant plus d'un milliard de dollars par mois en bois, métaux, nourriture et autres biens vers les États-Unis.
Plus de 3 600 navires en provenance de Russie sont arrivés dans les ports américains depuis le 24 février, selon des statistiques citées par l'Associated Press. Bien que cela représente près de la moitié des expéditions au cours de la même période par rapport à l'année dernière, cela représente tout de même plus de 6 milliards de dollars d'importations.
Le nombre de produits russes entrant dans les ports américains suggère que Biden ne respecte pas sa promesse d'isoler l'économie de Moscou. En raison de périodes dites de « liquidation » qui permettent aux entreprises de conclure des accords antérieurs, certaines marchandises continuent d'entrer dans le pays longtemps après que la Maison Blanche a annoncé des sanctions sur ces produits, y compris le pétrole et le gaz.
Paradoxalement, d'autres importations russes, comme les engrais, sont intervenues à la demande de l'administration Biden, qui a exhorté les entreprises américaines à combler les pénuries.
Et tandis que la Maison Blanche a saisi plusieurs yachts de luxe appartenant à de riches Russes ayant des liens lâches avec le président russe Vladimir Poutine, l'AP a découvert que des entreprises américaines et européennes importaient des millions de dollars de métal d'une société russe qui fabrique des pièces pour les avions de chasse de Moscou, mettant en évidence une autre divergence étrange dans la campagne de sanctions de Biden.
Malgré la pression diplomatique de Washington, d'autres alliés américains renforcent leurs liens économiques avec la Russie. La Turquie, membre de l'OTAN, a doublé ses importations de pétrole russe cette année.
Pendant la présidence de Biden, il a pris plusieurs mesures pour renforcer les liens avec New Delhi, avec les troupes américaines actuellement engagées dans des jeux de guerre avec l'Inde à la frontière chinoise. Mais comme Ankara, le pays a également augmenté de manière significative ses importations d'énergie en provenance de Moscou. La roupie indienne est également devenue une monnaie majeure pour le commerce des diamants, permettant aux acheteurs de contourner les sanctions américaines.
Bien que la guerre économique occidentale visait à nier la puissance militaire de Moscou et à l'amener à la table des négociations, elle n'a jusqu'à présent rencontré que peu de succès. Avec des exportations énergétiques russes dépassant les niveaux d'avant-guerre ces derniers mois et le rouble se ralliant au dollar, l'économie russe semble s'être bien mieux comportée qu'une grande partie de l'Europe depuis que les combats ont éclaté l'hiver dernier.
Quelles seront les conséquences réelles de la crise énergétique à venir en Europe ?
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 08:45
Toute personne sensée aurait pu le voir venir – l'Europe est au bord d'une crise économique et sociale sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale ; et ils l'ont essentiellement fait à eux-mêmes. Depuis l'invasion russe de l'Ukraine et les sanctions de l'OTAN qui ont suivi, les têtes pensantes des médias grand public ont constamment nourri le public d'un récit sans fin sur la façon dont l'UE n'a pas besoin du gaz naturel russe. Nous avons entendu un éventail de théories et de coups de poitrine de la part de journalistes d'entreprise et de politiciens menteurs ; tous semblant si certains que la Russie serait isolée et économiquement détruite en un rien de temps. Cela ne s'est pas produit, et maintenant l'inverse pourrait bientôt être vrai pour l'UE et le Royaume-Uni.
Pour vous donner une idée de la désinformation colportée au public sur cette question, jetez un coup d'œil au "plan de bataille" en 10 points élaboré par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) en mars dernier pour couper les importations énergétiques russes et sauver la planète. L'UE d'une crise :
1) Ne signez pas de nouveaux contrats d'approvisionnement en gaz avec la Russie. (RÉALITÉ : Cela suppose bêtement que la Russie veut signer de nouveaux contrats avec l'Europe.)
2) Remplacer les approvisionnements en gaz russe par des sources alternatives. (RÉALITÉ : il n'existe aucune source alternative qui puisse se rapprocher de la satisfaction des besoins énergétiques de l'Europe et qui puisse être aussi facilement transportée. L'Europe devra puiser dans les matières premières énergétiques du monde entier, occupant une grande part d'un gâteau en baisse et faisant grimper les prix pour la plupart des nations de la planète dans le processus.)
3) Introduire des règles minimales de stockage de gaz. (RÉALITÉ : Cela suppose qu'il y aura du gaz à stocker pour plus tard.)
4) Accélérer le déploiement de nouveaux projets éoliens et solaires. (RÉALITÉ : Pays imaginaire anti-carbone non basé sur la science. Il n'existe aucune énergie verte capable de chauffer les maisons européennes et d'alimenter leur industrie, sauf le nucléaire, et les gouvernements de l'UE ont toujours été hostiles aux projets nucléaires.)
5) Maximiser la puissance du gaz à partir de la bioénergie et du nucléaire. (RÉALITÉ : plus vous développez de bioénergie, moins vous avez de terres agricoles disponibles pour l'alimentation. De plus, les centrales nucléaires mettent des années à se construire et les gouvernements de l'UE continuent de les combattre. Si l'UE avait prélevé une partie des milliards qu'elle utilise chaque année sur des dépenses inutiles technologies vertes et programmes anti-carbone et dépensé cet argent dans des centrales nucléaires il y a 5 ans, ils ne seraient pas dans le pétrin où ils se trouvent aujourd'hui.)
6) Adopter des mesures fiscales à court terme sur les bénéfices exceptionnels de l'énergie – Réduire les factures d'énergie lorsque les prix du gaz sont élevés. (RÉALITÉ : Vous ne pouvez pas décréter des taxes plus élevées sur les producteurs d'énergie et réduire les factures d'énergie simultanément sans contrôle des prix par le gouvernement. Et, les contrôles des prix entraînent de toute façon une diminution de l'offre. Plus vous taxez les producteurs d'énergie, plus les factures d'électricité vont augmenter pour compenser. Il n'y a aucun moyen de contourner cela.)
7) Accélérer le remplacement des chaudières à gaz et des pompes à chaleur. (RÉALITÉ : avant l'hiver ? Pas une chance. Cela aurait dû être fait il y a quelques années. En outre, il convient de noter que l'agenda zéro carbone de l'AIE a appelé à l'élimination des chaudières à gaz d'ici 2025. Plutôt pratique que la crise énergétique accélère leurs objectifs en matière d'énergie verte, vous ne pensez pas ?)
8) Accélérer les améliorations de l'efficacité énergétique dans les bâtiments et l'industrie. (RÉALITÉ : qui va payer pour ça ?)
9) Encourager un abaissement temporaire du thermostat de 1°C par les consommateurs. (RÉALITÉ : Cela ouvre la porte à des « compteurs intelligents » que les compagnies d'électricité ou les gouvernements peuvent contrôler sans votre consentement.)
10) Intensifier les efforts pour diversifier et décarboner les sources de flexibilité du système électrique. (RÉALITÉ : Plus d'énergie verte, qui s'est avérée maintes et maintes fois être un remplacement totalement inefficace des carburants à base de carbone.)
L'AIE est une institution hostile à l'énergie et aux industries à base de carbone et appelle à la fin de toutes les émissions de carbone d'ici 2050. C'est pourquoi aucune de leurs puces de mars qui ont été tentées n'ont fonctionné ; parce qu'ils ne sont pas conçus pour fonctionner, ils ne font que promouvoir d'autres contrôles du carbone tout en nuisant à la production d'électricité mondiale dans le processus.
Il n'existe actuellement aucun substitut pratique au pétrole, au charbon et au gaz naturel; rien. Surtout pas dans un délai raisonnable qui épargnerait aux Européens une catastrophe totale. La seule façon dont la technologie verte serait en mesure de fournir suffisamment d'énergie aux populations mondiales serait si la population humaine était considérablement réduite. La crise énergétique en Europe aide en fait l'agenda de l'AIE, tout comme elle aide les agendas climatiques de l'ONU et du WEF. Mais qu'en est-il de toutes les personnes qui souffriront entre-temps ?
Attendez-vous à un important rationnement énergétique cet hiver dans l'UE. Environ 80 % de tout le gaz naturel de l'UE est importé et les exportations de gaz naturel de la Russie représentent environ 40 % du chauffage et de l'électricité de l'Europe. La Russie réduisant désormais ses exportations à 20 % de leurs niveaux d'origine, il n'y a aucune chance que l'UE soit en mesure de maintenir sa consommation d'énergie normale.
Les pénuries du côté de l'offre entraîneront une explosion des prix à l'approche de l'hiver à mesure que la demande augmentera. Les prix ont le potentiel de doubler (ou plus) d'ici le début de 2023.
Les gouvernements européens donneront probablement la priorité au chauffage des résidences publiques plutôt qu'à l'énergie pour l'industrie ; ils le feront pour empêcher les troubles civils, comme certains responsables gouvernementaux le préviennent déjà. Il est possible que l'industrie de l'UE soit entravée par le réacheminement de l'approvisionnement énergétique vers la consommation publique. Nous avons vu quelque chose de similaire en Chine cette année alors que leurs conditions de sécheresse s'aggravent.
Des troubles civils se produiront probablement de toute façon. Les restrictions climatiques, les règles de l'énergie verte sur les émissions de carbone et d'autres mesures ridicules empêchent les Européens de s'adapter aux événements de crise. Les prix seront élevés et le plafonnement des prix ne résoudra pas les pénuries d'approvisionnement. Lorsque les gens commenceront à se figer, il y aura de la colère et du désespoir.
La seule solution légitime à court terme pour éviter une calamité énergétique historique dans l'UE cet hiver serait de lever les sanctions contre la Russie. Mais l'OTAN a clairement indiqué que cela n'arrivera pas. Ainsi, les Européens sont positionnés pour faire face aux conséquences tout en se faisant dire qu'il n'y aura pas de conséquences. Et, quand la douleur commencera à frapper, on leur dira que c'est pour le "plus grand bien".
Et de plus, en cas de gros froids, il ne suffit pas à une centrale électrique d'appuyer sur l'interrupteur 'Clic-Clac !' pour mettre en marche car, lorsque vous avez une marmite (dite 'familiale') de 30 m de diamètre sur 30 m de haut... aaaaavant que l'eau bouille... t'as le temps de tuer un âne à coups de poings !
Le droit face à la mondialisation (2) : une communication entre les juges
Le dialogue des juges, leurs relations et les citations de plus en plus nombreuses tendent à créer ce qui pourrait s’assimiler à une « communauté interprétative globale ».
le 29 août 2022 Raphaël Roger
La globalisation du droit a eu un fort impact en matière de droits fondamentaux.
Comme le rappellent Allard et Garapon :
« La mondialisation du droit s’est étendue à la vaste galaxie des droits fondamentaux, combinant ainsi vertu opératoire et ambition humaniste, voire universaliste. »
Outre l’extension du droit à tout ce qui est mobile, c’est bien l’extension de la globalisation judiciaire aux droits fondamentaux qui constituent son aspect le plus original. Ainsi, « ce n’est d’ailleurs pas tant le vocabulaire des droits de l’Homme qui est nouveau, que la volonté des juges de lui donner corps dans des décisions concrètes, de créer un embryon d’ordre public mondial minimal ».
Un exemple permet de l’illustrer, celui de l’évolution du Conseil d’État et de sa jurisprudence, devenant lui aussi, alors censé n’être que le juge de l’administration, un véritable juge protecteur des libertés.
Comme le fait très bien remarquer Joël Andriantsimbazovina :
« L’habilitation à protéger les libertés n’est d’ailleurs pas uniquement constitutionnelle. Elle est également européenne. En tant que juge de droit commun de la Convention de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, le juge administratif est en première ligne pour faire respecter cette convention à l’administration. De même, en tant que juge de droit commun du droit de l’Union européenne, dès lors qu’il statue dans le champ d’application du droit de l’Union européenne, le juge administratif est juge des droits fondamentaux de l’Union européenne ».1
En effet, l’influence de la Cour européenne des droits de l’Homme (ci-après CEDH) est grande sur le Conseil d’État, notamment dans l’application de la Convention européenne des droits de l’Homme. Ce développement fut aussi permis par la jurisprudence du Conseil d’État, en particulier l’arrêt Nicolo de 1989.
En remarques préliminaires, citons Jacques Caillosse qui indique très justement :
« L’affaire Nicolo n’a guère de sens par elle-même. Elle prend sa signification une fois inscrite dans la durée, c’est-à-dire dans l’épaisseur de la jurisprudence administrative. L’arrêt du Conseil d’État est indissociable du mouvement profond du droit : porté par des antécédents qui l’ont rendu possible, il crée à son tour les conditions de possibilité d’autres décisions intéressant les rapports entre la loi nationale, la Constitution française et les traités internationaux. »
L’arrêt Debout de 1978, pour illustrer les antécédents, où le commissaire du gouvernement invitait la section du contentieux du Conseil d’État, d’une part, à « éviter toute solution qui serait radicalement incompatible avec la jurisprudence de la Cour » mais aussi, d’autre part, à « éviter aussi toute solution qui sur un point marquerait une rupture avec le droit national antérieur », témoignent de cette volonté du juge administratif d’intégrer la Convention à l’ordre juridique interne de manière graduelle, c’est-à-dire pas à pas.
Donc depuis ces arrêts, la juridiction administrative, comme juridiction nationale participant au système européen de protection des droits de l’Homme, remplit aujourd’hui pleinement son office de juge de droit commun de la Convention. De plus, le juge administratif s’inspire de la Convention pour créer, au-delà des exigences qui découlent de son application même, dans un cadre national, un système de protection renforcée des droits et libertés fondamentaux.
De par son activisme juridique, la CEDH a donc instauré au travers de son interprétation dynamique et constructive de la Convention, une véritable communauté interprétative qui occupe un réseau normatif européen. Fondé sur le critère de la subsidiarité, la pleine efficacité du réseau normatif de la CEDH est le rôle des juridictions nationales, qui sont les juges « primaires » de la Convention. Pour améliorer cette communauté interprétative, qui est formée « des pratiques institutionnelles continuellement transformées par le travail » qu’effectuent les acteurs juridiques, la juridiction administrative tire ainsi les conséquences directes des arrêts de la Cour et tient compte également, de manière importante, de l’interprétation que la Cour donne de la Convention.
Dans la jurisprudence du Conseil d’État, cela se traduit par l’utilisation de qualifications ou de catégories juridiques issues des décisions de la Cour. Cette communauté interprétative s’enrichit notamment au travers du dialogue des juges ou du « roman du droit » (Dworkin), entre les diverses juridictions nationales et entre juridiction nationale et juridiction européenne, qui l’enrichissent par leur fonction narrative et argumentative. Ce dialogue constant nourrit le travail juridique d’apport extérieur nécessaire pour protéger les droits fondamentaux, créant une « communauté de principes » (Dworkin), qui devient alors la source première des jugements.
C’est en conséquence de cela que « le juge administratif s’appuie également sur la Convention pour enrichir des droits et libertés déjà reconnus. Il le fait par exemple en combinant les sources nationales et européennes » ou « en renforçant les garanties qui les entourent ». Allant même plus loin, « le juge administratif repense en profondeur chacun de ses domaines de compétence pour créer, au-delà des seules exigences du texte ou de la jurisprudence de la Cour, un système autonome de protection efficace des droits et libertés, système en harmonie avec son identité culturelle, inspiré par la Convention, mais qui en dépasse les contours. »
L’exemple du contrôle de proportionnalité est éloquent, notamment en matière d’expulsion. Au travers de cet exemple,on voit donc les influences entre les juridictions, notamment dans la protection des droits et libertés fondamentaux.
Le dialogue des juges, leurs relations et les citations de plus en plus nombreuses tendent à créer ce qui pourrait s’assimiler à une « communauté interprétative globale », sans pour autant être un ordre juridique global, du fait de la persistance des systèmes juridiques nationaux, conditionnant en grande partie la globalisation du droit.
C’est en ce sens que le juge, bien qu’ayant pour fonction première de dire le droit, de trancher des litiges voire d’édicter des principes juridiques, voit dans la globalisation, son rôle évolué, devenant en quelque sorte un outil indispensable dans les espaces de tensions politiques.
La protection des libertés, fondement de la compétence du juge administratif ? Publié en avant-première de : X. Bioy, E. Debaets, J. Schmitz (dir.), Répartition des compétences juridictionnelles et protection des libertés, Institut universitaire Varennes, coll. « Colloques et essais», 2020 ↩
Chaque dictateur dans le monde y va de son petit génie pour être exceptionnel et montrer 'le bon exemple', mais tout-de-même, quand o voit la carte HAARP ci-dessous...
là, on voit bien qu'ils sont tous dans le même sac même si 'on pourrait dire' qu'ils seraient différents !
Là, je crois que le public devrait se réveiller au lieu de crier tous les jours "Attention merde à gauche !" ou "Attention merde à droite !", ou "Attention merde au centre !" ou "Attention merde aux extrêmes !" car, quel que soit le parti c'est pareil, la population est prise pour une conne et se laisse tondre jusqu'à l'os et enfiler 50 fois par des poisons en seringues ! ("C'est pour votre bien" !)
« La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps. La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression. Supprimer le mot «mademoiselle» est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien. Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée. Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions. Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.
Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.
L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans 1984 à Ray Bradbury dans Fahrenheit 451 qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots. Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots. Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants: faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.
Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses «défauts», abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté ». Christophe Clavé
Cyber-naufrage (le djihad du néant). Par Slobodan Despot Nous raisonnons, nous analysons, nous «cherchons», mais nous ne pensons plus. Une science du contrôle et de la communication a transformé le réel en un ensemble de séquences narratives dont il est défendu de s’écarter. D’où ce sentiment que nous avons parfois d’être embarqués à bord d’un train fou.
«Nous n’avons jamais été aussi peu préparés à une catastrophe évidente comme une montagne; c’est parce que les gens qui sont aux manettes l’ont fait advenir par des actes combinés de malice et de stupidité.»
James Howard Kunstler Liliane Held-Khawam a récemment eu l’excellente idée de présenter et de republier une réflexion dévastatrice sur la nature de la cybernétique comme science et comme idéologie.
Un essai de Stéphane Zagdanski, paru en novembre 2021, est tiré du Séminaire sur «La Gestion génocidaire du Globe». «La Cybernétique à l’assaut de l’Homme» est une mise en garde d’une extrême violence contre une religion scientifique qui rêve de se substituer à Dieu et qui manifeste une haine absolue de tout ce qui est vivant, «animal», inquantifiable. Zagdanski souligne — comme nous le faisions en 2020 -que «la crise pandémique contemporaine et sa réaction idéologique qu’est le sanitarisme même sont impensables sans la Cybernétique». Comme les autres phénomènes de la société industrielle avancée:
«Définie par son fondateur Norbert Wiener en 1948, dans son essai éponyme, comme: “Contrôle et communication dans l’animal et la machine”, la Cybernétique s’est déployée de manière si hégémonique qu’il n’est plus aujourd’hui un domaine intellectuel, social,politique, économique, scientifique, technologique ou idéologique qui n’y soit asservi.»
Stéphane Zagdanski HAINE DU VIVANT
Je ne vais pas reproduire ici le texte de Zagdanski in extenso, mais il faut le lire. Il n’est pas une phrase, dans cette description d’un «assaut» concerté contre l’être humain, qui ne perturbe les idées reçues et qui ne provoque la réflexion.
«Le mot “cybernétique” est de la même étymologie grecque que “gouvernail“ et “gouverner“ : kubernetikè. La Domination planétaire tire ainsi le plus imparable parti de la Cybernétique, qui n’est pas tant la science des ordinateurs que la modalité moderne, mathématiquement assistée, de ce que Heidegger nomme la Führung, c’est-à-dire la direction impulsée par les «chefs» (les Führers), et de sa doublure d’animosité et d’annihilation à l’encontre de l’animal.»
Stéphane Zagdanski Pourquoi ce désir d’annihilation ?
À cause de la supériorité physique de l’animal sur l’homme, témoignant d’une perfection échappant à tout contrôle et à tout simulacre. Par extension, la part naturelle (ou divine) de l’homme doit elle aussi être annihilée.
«L’irrégulier, l’incertain, le miracle et l’imprévisible sont ses pires ennemis. Et ce que cette science qui se veut exacte vise à son insu, c’est d’emblée ni plus ni moins ce qu’il y a de plus imprévisible au monde: l’inspiration, soit la vraie pensée créatrice qui n’a rien à voir avec l’intelligence, artificielle ou pas.»
Stéphane Zagdanski (…)
Nous retombons sur le diagnostic à l’emporte-pièce du Dr Peterson: nous sommes dérangés et (littéralement) dégénérés.
Mis en demeure de réfléchir pour de bon, l’homme cybernétique produit des raisonnements d’un simplisme infantile, s’immerge dans la dérive émotionnelle et bafoue les lois élémentaires de la logique et de l’argumentation. Il n’est pas programmé pour ça. Sa pensée vivante a été laissée en jachère. Et l’ironie suprême, c’est que les plus estropiés, souvent, sont justement les mieux «instruits», comme le relève Zagdanski:
«Le point aveugle de ces maniaques, c’est leur concept de base, ce qu’ils appellent “l’intelligence”. Car leur conception de l’“intelligence” n’est jamais remise en question par les promoteurs de l’IA, qui proviennent tous toujours du même sérail mathématico-scientifique (le MIT principalement), capable de bien des choses (ils envoient des hommes sur lalune et des drones sur Mars), mais de penser créativement, jamais. (…) C’est de la caboche de ces centaines d’intelligents utiles du MIT qu’est issue l’immonde figure du monde dans lequel nous sommes engeôlés aujourd’hui.»
Stéphane Zagdanski
A BROUTER DU FOIN
Il y a quelques années encore, ou même en 2020 lorsque nous essayions de comprendre l’avalanche de bêtise engendrée par le Covid à la lumière de la révolution technologique, ce texte eût semblé partial et excessif. Mais aujourd’hui, l’«immonde figure du monde» où nous sommes «engeôlés» nous impose sa grimace de quelque côté que nous tournions le regard — et si nous ne la voyons pas à l’heure qu’il est, c’est que nous ne sommes déjà plus du côté des spectateurs, mais du spectacle. Les illustrations abondent ces derniers temps, notamment dans les propositions d’économie d’énergie pour «faire la nique à Poutine» (comme celle consistant à favoriser la transition vers l’automobile électrique par la taxe carbone sans se demander d’où vient le courant!). Mais nous nous contenterons de deux cas exemplaires de cette semaine.
Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach (celui qui ressemble à une autruche hystérique ayant avalé une seringue de travers), déclare en substance que la vaccination protègedu Covid d’autant mieux qu’elle ne marche pas! L’argument est que les personnes piquées développent rapidement des symptômes et restent à la maison, tandis que les personnes non piquées développent des symptômes plus lentement — bref, elles sont plus résistantes. Ensuite, la perle de la semaine, du mois et peut-être du siècle. La désormais légendaire Liz Truss, favorite à la succession de Boris Johnson, était interrogée par un journaliste:
«Confronté à cette tâche (recourir aux armes nucléaires), je me sentirais physiquement malade. Et vous,qu’est-ce que cela vous fait ?» «L’air plutôt impassible», rapporte la presse, Liz Truss répond: «Je crois que c’est une tâche importante du Premier ministre et j’y suis prête.»
Le journaliste, un peu choqué, insistant pour avoir son sentiment, elle répète, mécaniquement: «Je suis prête.» Dans la vidéo de l’entretien, on entend l’audience applaudir… Qu’y a-t-il de commun entre ces deux déclarations, outre leur tonitruante bêtise et leur sidéral déni de réalité? L’insensibilité à la situation concrète en premier lieu. La conclusion logique au sujet des vaccins, qui sauterait aux yeux de n’importe quelle personne dotée de bon sens, est écartée a priori par le «compétent» Lauterbach.
Des esprits suspicieux vous diront que tout cela n’est que comédie, que ces gens savent très bien ce qu’ils font et qu’ils vous prennent pour des bourriques, que de toute façon ils ne sont que des acteurs sans aucun pouvoir chargés d’amuser la galerie. Je ne le pense pas, à l’exception éventuelle de ce dernier point. En effet, ces maniaques du contrôle ne contrôlent rien à l’échelon stratégique qui est le leur, d’où leur obsession, calamiteuse, du micromanagement jusqu’à l’absurde. Pour le reste, hélas, je crains qu’ils ne croient vraiment à leurs calembredaines. Ces gens sont souvent bardés de diplômes presti gieux, ont passé la moitié de leur vie à «étudier», ou plutôt à prouver leur conformité aux canons idéologiques en place, mais ils sont irrémédiablement stupides. Stupides «à brouter du oin», comme l’on dit chez les paysans du Valais.
• Notule. Ayant travaillé dans une période de ma vie dans le milieu politique, j’ai pu m’en assurer de première main. J’y ai croisé des armées d’apparatchiks rusés, habiles, éloquents, capables de machinations balzaciennes, mais des esprits qui pensent, très rarement. Leur trajectoire en politique est généralement météorique et conflictuelle, car elle perturbe gravement le système. De manière générale, il me semble que les derniers politiques capables de penser par leur propre tête ont quitté la scène au tournant des années 2000. Ils avaient reçu une éducation humaniste dans une civilisation précybernétique.
Ceci nous amène au second exemple, le cas Liz Truss. Je suis convaincu que si l’on avait posé la même question à une serveuse de restaurant ou à un mécanicien automobile, ces personnes auraient refusé de répondre ou au moins exigé des précisions: «dans quelle situation ?» De fait, l’usage de l’arme nucléaire est extrêmement codifié et la réponse à la question du journaliste ne peut se résumer à oui-non. Un État doté d’une force de dissuasion doit faire savoir qu’il ripostera immanquablement, si, et seulement si, il fait face à une menace existentielle. Envisager d’agir en «première frappe», en revanche, est un jeu dangereux qui peut très mal se terminer. C’est pourquoi le contexte est essentiel. Il y a quelques mois, les Britanniques avaient été pris d’hystérie lorsqu’une télévision russe a montré l’effet d’un missile «Sarmat» (hypersonique et inarrêtable) sur leur île: en quelques minutes, elle disparaîtrait de la surface de la Terre. Au lieude les faire réfléchir, de telles mises en garde n’ont conduit qu’à… Liz Truss !
Avec sa déclaration, elle a fait savoir au monde que le Royaume-Uni allait probablement être gouverné par une idiote irresponsable. Et le plus préoccupant, avec ce dérapage, est qu’il a été applaudi par l’assemblée !
Ajout LHK
COMME SUR DES RAILS
Ces bouffons à grelots ne sont pas des cas marginaux, ce sont des ministres et des représentants typiques de l’élite dirigeante — et nous n’irons pas égrener le bestiaire étasunien, ce serait une encyclopédie. Que leur pouvoir soit réel ou non, ils occupent le haut du panier, avec voitures et avions de fonction, présence médiatique continue, secrétariats pléthoriques, honneurs et prébendes. Pourtant, leur dogmatisme répétitif et buté fait penser à l’obstination d’une tondeuse robotique confrontée à un obstacle imprévu (encore que certaines tondeuses «savent» le contourner). Par mimétisme social, toute la pyramide descendante règle son comportement sur eux, même si elle n’en pense pas moins: quand le pacha zézaye, le sous-fifre s’invente un défaut de prononciation, on le sait depuis Molière et Gogol. Ces cas spectaculaires ne sont que les symptômes irréfutables d’une société devenant incommensurablement stupide, travaillant contre la raison, contre l’humain et contre elle-même. En l’occurrence, il s’agit d’une stupidité non pas spontanée, mais apprise, donc enseignée. La lecture des maniaques cybernéticiens, ou celle des observateurs aigus comme Roszak ou Zinoviev, nous permet de pointer, parmi bien d’autres facteurs, une colossale erreur système, inscrite dans la «science» même qui organise la société de l’information.
Lorsque Lauterbach invente son justificatif ubuesque pour les vaccins, lorsque Truss balance son «je suis prête !» sans avoir vraiment entendu la question, ces gens réagissent en réalité comme des machines cybernétiques: contrôle et communication! Chacun s’aligne sur un «narratif», autrement dit un scénario mécanique inspiré par le consensus général et mis au point par des équipes de communicants. Ici, le salut sans alternative par les vaccins, là, le scénario imposé par Boris Johnson et ses maîtres néoconservateurs d’une guerre à outrance et sans alternative contre la Russie. A l’intérieur de ce canevas, des adaptations tactiques sont possibles, mais la ligne générale est immuable, quoi qu’il arrive. Ce ne sont plus des êtres pensants, ce sont des bolides lancés sur des rails, sans frein, sans voie de dégagement et sans marche arrière. Là où règne la communication, là où le message crée la réalité, là où les spin doctors sont les ventriloques des élus, la raison n’est plus aux commandes. Elle cède le pas au volontarisme inflexible et aveugle de la cybernétique.
États-Unis: La députée Jackie Walorski travaillait avec Anne Heche pour mettre fin au trafic sexuel d’enfants. Walorski a été tuée dans un accident de voiture la semaine précédant celle Anne Heche (11.08.22) qui s’était récemment exprimée sur « l’épidémie » de trafic sexuel d’enfants à Hollywood.
Les profs, les instits sont formés à l'IUFM qui ne dit pas son nom mais cache une dictature extrême 'venue d'en-haut' ! Et donc, ces robots, ces transhumanisés (faut qu'ils donnent l'exemple) vont dicter des choses, des invraisemblablités, des énormités pédaliques, des grossièretés inadaptables afin de fabriquer des élèves cons, obéissant, cruels, dégénérés qui mettrons eux-mêmes au monde des enfants comme eux !
Billet du jour : Le système libéral est mort, paix à notre âme
lundi 29 août 2022
Macron ne s'est pas correctement exprimé : ce n'est pas la fin de l'abondance, c'est la fin d'un monde. Celui du libéralisme à visage humain. Déjà fortement remis en cause avec la gouvernance globale covidienne, le système libéral vient d'être enterré par Macron, puis par Borrell, après les nombreuses déclarations surréalistes de différents politiciens européens. La page du 20e siècle est tournée. Celle qui s'ouvre est peu ragoûtante ... Et ne pouvant ouvertement assumer ce choix idéologique impopulaire, le conflit en Ukraine est instrumentalisé, la Russie est démonisée.
C'est bien la mort du 20e siècle, avec l'affermissement de la classe moyenne, avec l'idée du développement d'une société pour tous, avec la volonté d'une éducation de masse permettant une amélioration générale des conditions de vie. C'est cela qui est terminé. C'est cela qui n'a plus sa place dans le monde globalisé en guerre pour sa survie. En guerre contre nous. D'ailleurs, nous avons été prévenus par nos dirigeants, qui instrumentalisent la guerre en Ukraine pour achever sur le dos de la Russie le système national.
En Allemagne, Scholtz avait déclaré que rien ne sera plus comme avant, que les circuits économiques sont déstabilisés - par les sanctions adoptées par les Européens eux-mêmes contre la Russie, autant que par la furie globaliste covidienne. Le prix du gaz en Europe est passé au-dessus des 3 500 dollars pour 1000 m3 et le coût s'emballe pour les particuliers et les entreprises. Les économies nationales ne vont pas survivre à une telle politique.
Des mesures absurdes sont prises, comme mettre des amendes aux magasins, qui laissent la porte ouverte avec la climatisation. Des dirigeants politiques vous disent de prendre une douche froide en criant "Tiens, c'est pour toi Poutine", d'autres de réduire votre douche à 5 minutes. L'on voit des pancartes dans les magasins demandant de ne pas acheter plus d'un pot de moutarde en raison de la pénurie. Nos sociétés glissent vers l'absurde, car seul l'absurde peut expliquer les choix politiques faits.
Lors de la réunion du Conseil des ministres de rentrée, Macron a déclaré que c'était la fin de l'abondance et que tel était le prix à payer pour la liberté. Nous pouvons désormais estimer nos libertés, enfin ce qui en reste, en minutes de douche et pots de moutarde.
Pourtant, ne soyons pas si naïfs, nos libertés n'ont rien à faire ici, il ne s'agit que d'idéologie et de pouvoir. Ces gesticulations ont pour but de mettre en place un choc suffisamment important pour changer de monde - le pré-choc covidien ayant mis en place les prémisses, mais n'étant pas suffisant pour permettre l'implosion des sociétés, nationalement ancrées. Ainsi l'on voit apparaître les vieux-nouveaux spectres des "nouveaux mondes" et la fantasmagorique transition énergétique au chant du ceci est une chance, ne la laissons pas passer. Pour faire passer la pilule, les économistes de service nous affirment même que ce processus de rupture économique est inévitable et que nous entrons dans "un régime de rareté". Bref, la rareté est une chance !
La fin de l'abondance signifie que la classe moyenne n'aura plus les moyens de vivre, comme elle en avait l'habitude avant 2019, pour la simple et bonne raison qu'il n'est plus nécessaire de l'entretenir, elle est même contre-productive dans le nouveau système. Tout le business national est dans la même catégorie. Ils sont trop conservateurs, c'est-à-dire trop attachés aux valeurs libérales, qui leur ont donné leur place dans la société. La classe moyenne, les PMI-PME, l'artisanat, constituent le socle social national. S'il ne doit plus y avoir de nation, ils doivent disparaître. Toutes les mesures anti-économiques, qui sont adoptées ces dernières années, y travaillent sûrement.
Dans cette société au rabais, l'enseignement de qualité et de masse, qui était la marque de fabrique du 20e siècle, ayant permis de constituer cette classe moyenne forte, doit également disparaître et il disparaît. Après la réécriture des programmes scolaires, leur transition idéologique, voici les formations expresses de 4-5 jours et vous avez un prof tout neuf. Incompétent à souhait, parfaitement adapté à l'abrutissement de masse, cette masse qui doit savoir ce qu'est le genre, comment trier ses déchets, que maman peut réparer la voiture encore mieux que papa, qu'une fille et un garçon ça n'existe pas, vaguement lire et écrire, qui doit savoir tout cela et non pas ses humanités. L'élite gardera ses écoles privées, la classe la plus basse qui va se reconstituer n'aura pas besoin d'école.
Nous revenons à la situation d'avant le 20e siècle, mais sans les États-Nations, sans cette politique nationale, qui donnait un sens au libéralisme. Et ce système impopulaire, qui se construit contre les populations, ne pourra se maintenir que par la terreur. Le libéralisme politique est mort, en même temps que le libéralisme économique - toute véritable opposition est bannie, elle est démonisée, elle est ennemie. Le signe de ralliement de cette "liberté globaliste" est le drapeau ukrainien, que l'on voit envahir nos pays, qui ne sont pas officiellement en guerre contre la Russie, mais se liquéfient dans un atlantisme incontrôlable.
Rien de tel qu'une bonne guerre politico-médiatique pour faire passer tout cela. La propagande anti-russe tourne sans retenue dans tous les médias. Les dirigeants mettent toutes les difficultés socio-économiques induites par leur politique sur le dos de la Russie. L'opposition politique nationale ne doit plus exister ... sinon l'on est catalogué "pro-russe" et bientôt ennemi du peuple - global et décérébré.
La France, comme pays, comme État, comme Nation, n'a pas sa place dans cette vision du monde, qui se réalise sous nos yeux. Il est urgent de réagir.
Un porte-avions britannique subit une panne embarrassante un jour après une mission de 4 mois
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 18:05
Le plus grand navire de guerre du Royaume-Uni a subi un revers embarrassant, tombant en panne peu de temps après son départ pour une "mission historique" aux États-Unis. Le HMS Prince of Wales a connu un «problème mécanique émergent» – selon un porte-parole du ministère britannique de la Défense – et est maintenant en panne juste au large de la côte sud de la Grande-Bretagne.
Le navire est le deuxième porte-avions de la Royal Navy, devenu pleinement opérationnel l'année dernière, et son coût est estimé à 3 milliards de livres sterling. Il est en outre considéré comme un « fleuron de l'OTAN ». La panne est survenue un jour seulement après son départ de Portsmouth samedi.
"Le HMS Prince of Wales reste dans la zone d'exercice de la côte sud tout en menant des enquêtes sur un problème mécanique émergent", a déclaré un porte-parole de la Royal Navy.
Le déploiement sur la côte américaine devait durer quatre mois, mais après une histoire de problèmes au cours de sa première année seulement sur les mers, toute la mission pourrait maintenant être remise en question, selon The Guardian :
Des plongeurs ont inspecté le transporteur de 930 pieds après que des dommages ont été signalés à un arbre d'hélice, selon le site d'information Navy Lookout.
Le navire – le plus grand navire de guerre britannique et le porte-avions phare de l'OTAN – a connu des problèmes, s'est échoué à Portsmouth fin 2020 après que des inondations dans sa salle des machines ont endommagé l'électricité. Au cours de ses deux premières années de service, le transporteur aurait passé moins de 90 jours en mer après avoir provoqué des fuites deux fois en cinq mois.
La mission conjointe prévue une fois dans les eaux américaines doit se concentrer sur les décollages de chasseurs F-35, ainsi que sur les opérations impliquant des drones avancés. Cela allait impliquer des arrêts à New York, ainsi qu'à Halifax au Canada et dans les Caraïbes.
Un site de défense et de surveillance maritime Navy Lookout avait ceci à dire :
"Si le problème s'avérait sérieux, il va sans dire que c'est extrêmement malheureux et pas beau pour la RN [Royal Navy]."
Les rapports suggèrent en outre fortement qu'il ne s'agit pas d'un problème mineur pour le navire de guerre de 65 000 tonnes, mais qu'un "défaut technique important" a forcé son arrêt.
Il n'a pas fallu longtemps aux experts de l'État chinois pour commencer à troller et à se moquer du sort du transporteur à la pointe de la technologie...
La BBC et d'autres ont en outre cité Navy Lookout pour spéculer sur ce qui suit :
Le site Web indique qu'une photographie du porte-avions quittant Portsmouth ne montre qu'un sillage du côté bâbord suggérant un problème avec l'autre arbre d'hélice.
Il indique que, à moins que le problème ne puisse être résolu en mer permettant au navire de guerre de poursuivre son voyage vers les États-Unis, il pourrait devoir se rendre tôt en cale sèche à Rosyth en Écosse, avant une inspection prévue en 2023.
Cependant, il n'y a pas encore eu de confirmation officielle du ministère britannique de la Défense concernant les dommages à l'hélice, l'étendue des dommages possibles ou le moment où le transporteur pourrait poursuivre son voyage.
La NASA annule le lancement de la Lune après un problème de moteur
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 14:51
Mise à jour (0851ET) : La NASA a été forcée de frotter le lancement du système de lancement spatial avec une capsule Orion sans équipage après qu'une série de problèmes se soit matérialisée autour de T-Minus 40 minutes.
Les ingénieurs ont eu du mal à refroidir l'un des moteurs RS-25 du booster à la bonne température en y faisant passer de l'hydrogène liquide, maintenu à moins 423 degrés Fahrenheit. Les ingénieurs ont essayé une série de correctifs, mais aucun n'a fonctionné. -Wapo
Le lancement de #Artemis I n'a plus lieu aujourd'hui alors que les équipes travaillent sur un problème de purge moteur. Les équipes continueront de collecter des données et nous vous tiendrons au courant du moment de la prochaine tentative de lancement. https://t.co/tQ0lp6Ruhv pic.twitter.com/u6Uiim2mom
– NASA (@NASA) 29 août 2022 Nous avons noté que les dates de lancement reprogrammées antérieures incluent le 2 et le 5 septembre.
* * *
Mise à jour (lundi 08h10 ET) : le système de lancement spatial (SLS) de la NASA devrait être lancé vers 08h33 ET. La fenêtre de décollage peut être repoussée à 1033 ET si des problèmes météorologiques ou techniques surviennent.
La première tentative de lancement du SLS avec une capsule Orion sans équipage en orbite terrestre basse sur une trajectoire vers la lune pourrait être retardée, selon Tom Costello de NBC News. Il a tweeté :
"La NASA dit qu'un lancement à 8h33 est peu probable. Plus ils travaillent longtemps pour comprendre les problèmes avec le moteur 3 et la fissure sur la bride du réservoir central, moins un lancement est possible … surtout compte tenu des conditions météorologiques prévues."
.@NASA dit qu'un lancement à 8h33 est peu probable. Plus ils travaillent longtemps pour comprendre les problèmes avec le moteur n ° 3 et la fissure sur la bride du réservoir interne, moins un lancement est possible ... surtout compte tenu des conditions météorologiques prévues.
– Tom Costello (@tomcostellonbc) 29 août 2022 "Le compte à rebours est suspendu à T-40 minutes", a tweeté la NASA.
Le compte à rebours est en attente à T-40 minutes. L'équipe hydrogène de la fusée @NASA_SLS discute des plans avec le directeur de lancement #Artemis I. Le commentaire opérationnel se poursuit sur https://t.co/z1RgZwQkWS. pic.twitter.com/5J6rHVCe44
– NASA (@NASA) 29 août 2022 En cas de problèmes météorologiques ou techniques, la NASA reportera le lancement aux 2 et 5 septembre.
Voici la diffusion en direct officielle du lancement.
La fusée la plus massive de la NASA, le Space Launch System (SLS), est prévue pour un lancement lundi matin depuis le Kennedy Space Center en Floride qui propulsera une capsule Orion lors d'un voyage d'un mois autour de la lune.
SLS est prévu pour le lancement de 08h33 ET depuis le Pad 39B au Kennedy Space Center, avec une fenêtre de lancement de deux heures. En cas de problèmes météorologiques ou techniques, la NASA reportera le lancement aux 2 et 5 septembre.
"Alors que notre heure zéro approche pour la génération Artemis, nous avons un sentiment d'anticipation accru, et il y a certainement de l'excitation parmi les membres de l'équipe", a déclaré samedi aux journalistes Mike Sarafin, responsable de la mission Artemis 1 de la NASA, cité par Space.com .
"Nous avons remarqué que l'ambiance générale et la concentration au sein de l'équipe sont définitivement positives", a déclaré Sarafin.
« Bouclez votre ceinture, tout le monde. Nous allons sur la Lune », a déclaré Jacob Bleacher, scientifique en chef de l'exploration pour la Direction des missions d'exploration et d'opérations humaines de la NASA.
- voir carte sur site -
La fusée SLS est un monstrueux 322 pieds de haut. Elle a 15 % de poussée en plus que les fusées Saturn V utilisées dans le programme Apollo pour l'exploration humaine de la Lune il y a plus d'un demi-siècle.
"C'est une mission très risquée... beaucoup de choses pourraient mal tourner pendant la mission dans des endroits où nous pourrions rentrer plus tôt, ou nous devrons peut-être avorter pour rentrer à la maison", a déclaré Jim Free, directeur associé de la NASA pour développement de systèmes d'exploration.
La première des missions Artemis fera voler le vaisseau spatial sans équipage autour de la lune au cours d'une mission de 42 jours. À bord se trouvera un ensemble de capteurs pour collecter des données sur ce que les astronautes vivront lors de futurs voyages sur la lune.
Si tout se passe bien, la NASA conduira la mission Artemis 2 en 2024, envoyant quatre astronautes en mission de survol autour de la lune. Puis, d'ici 2025, la mission Artemis 3 permettrait le premier alunissage en équipage sur la Lune.
L'Europe prévoit une "intervention d'urgence" sur le marché de l'électricité alors que l'enfer se déchaîne
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 15:13
Avec même Zoltan Pozsar avertissant que l'Europe fait face à une sorte d'apocalypse maintenant que le divorce eurussien est terminé et que les prix de l'énergie en Europe atteignent chaque jour de nouveaux records quotidiens - pas plus tard qu'aujourd'hui, l'électricité de base allemande à 1 an a dépassé 1000 €, ou 10x là où ils l'étaient il y a un an, avant de baisser après que les prix du gaz naturel européen aient chuté le plus depuis mars après que l'Allemagne a déclaré que ses réserves de gaz se remplissaient plus rapidement que prévu avant l'hiver...
- voir graph sur site -
... il y a quelques instants, l'Union européenne semble avoir enfin réalisé qu'elle fait face à une révolte armée cet hiver, ou pire, lorsque des millions de personnes sont confrontées à un froid glacial sans électricité ni chauffage (voir "C'est au-delà de l'imagination": les propriétaires polonais font la queue pendant des jours Achetez du charbon avant l'hiver"), et a annoncé qu'elle prévoyait des "mesures urgentes" pour faire baisser les prix de l'électricité, a déclaré lundi la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.
"La flambée des prix de l'électricité expose désormais, pour différentes raisons, les limites de la conception actuelle de notre marché de l'électricité", a déclaré von der Leyen dans un discours prononcé au sommet stratégique de Bled en Slovénie, soulignant ce qui était évident depuis des années à ceux qui ont mis en garde. à plusieurs reprises que l'Europe ne devrait probablement pas baser sa politique énergétique sur les divagations idiotes d'un adolescent scandinave égocentrique et irritable : "Elle a été développée dans des circonstances complètement différentes et à des fins complètement différentes."
Ah oui, ce sont les "circonstances et les objectifs" qui sont en cause, pas la poussée "verte" catastrophique de l'Europe au cours de la dernière décennie qui a laissé le continent à la merci de Poutine, tout comme un Donald J Trump avait prévenu qu'il arriverait... et en parlant de Poutine, peut-être que l'Europe peut imposer quelques sanctions autodestructrices supplémentaires sur les exportations russes d'énergie. Mais on s'égare...
Ursula a ensuite ajouté "c'est pourquoi nous travaillons maintenant sur une intervention d'urgence et une réforme structurelle du marché de l'électricité", qui ressemblerait à peu près à ceci.
La flambée sans précédent des prix de l'électricité, qui ont été multipliés par près de 10 au cours de l'année écoulée, a alimenté l'inflation, alourdi le fardeau économique des entreprises et des ménages qui se remettent de la pandémie et contraint la BCE à augmenter agressivement les taux dans l'espoir d'écraser la demande en ce qui est maintenant une récession définitive sinon une dépression. On pourrait dire que Poutine n'aurait pas pu mieux planifier sa revanche sur l'Europe.
Selon Bloomberg, de plus en plus d'États membres appellent à un plafonnement des prix et la République tchèque, qui assure la présidence tournante de l'UE, prévoit de convoquer une réunion extraordinaire des ministres de l'énergie le 9 septembre.
En d'autres termes, alors que la BCE prévoit d'écraser la demande avec des conditions monétaires plus strictes, les gouvernements européens vont assouplir la demande et injecter des mesures de relance budgétaire pour éviter qu'une foule en colère ne descende sur divers parlements locaux.
Bien sûr, étant un "plan" européen farfelu qui n'a aucun sens - comme n'importe quoi d'autre en dehors de l'Europe - les détails exacts d'un plan d'intervention de l'UE sont encore en cours d'élaboration, et les diplomates de l'UE ont déclaré que le bras exécutif de l'UE pourrait offrir un plan détaillé dès cette semaine. Ne retenez pas votre souffle : après tout, en l'absence d'une relance massive financée par la BCE - dont le produit ira immédiatement à Poutine - à moins que l'Europe n'ait trouvé d'une manière ou d'une autre de nouveaux gisements de gaz naturel immédiatement accessibles et ne nécessitant pas des dizaines de des milliards et des années de développement à extraire, ce que fait l'Europe n'est que la dernière en date.
Alors que la Russie réduit ses livraisons de gaz, les pannes de centrales électriques sapent davantage l'approvisionnement, tandis que les sécheresses et le manque de vent se moquent des sources d'énergie "vertes", la pression augmente sur les dirigeants européens pour qu'ils agissent rapidement ou risquent des troubles sociaux et des bouleversements politiques. Le Premier ministre tchèque Petr Fiala cherche à obtenir un soutien pour son plan de plafonnement des prix et prévoit de discuter d'éventuelles limites avec le chancelier allemand Olaf Scholz.
"Les prix élevés de l'énergie sont un problème européen auquel nous devons nous attaquer au niveau européen", a déclaré Fiala sur son compte Twitter. "Avant le Conseil européen de l'énergie, nous voulons trouver un moyen d'aider les personnes et les entreprises sur lequel nous pouvons nous mettre d'accord avec d'autres dirigeants européens."
Les responsables tchèques proposent de plafonner les prix du gaz naturel utilisé pour la production d'électricité, a déclaré lundi le ministre de l'Industrie et du Commerce, Jozef Sikela.
"Nous pouvons ouvrir la question des quotas d'émission, comme certains autres États membres l'ont fait dans le passé, qui représentent également une part importante du prix total", a déclaré Sikela. "Nous pouvons ouvrir la question de la régulation globale du marché, du découplage total des prix", ajoutant que le bloc ne peut pas trop se mêler du marché ou de la spéculation sur les carburants.
Curieusement, les États membres de l'UE ont déjà affecté environ 280 milliards d'euros (soit à peu près la même chose en USD maintenant que nous sommes à parité) à des mesures telles que des réductions d'impôts et des subventions pour atténuer la douleur de la flambée des prix de l'énergie pour les entreprises et les consommateurs, mais l'aide risque d'être éclipsé par l'ampleur de la crise. En d'autres termes, la BCE augmentera ses taux alors même qu'elle doit injecter encore plus de liquidités sur le marché pour permettre la dernière relance monétaire hélicoptère. Les gouvernements ont également commencé à limiter la consommation d'énergie, en interdisant l'éclairage extérieur des bâtiments en Allemagne et en abaissant les températures de chauffage intérieures, afin d'atteindre l'objectif volontaire de l'UE de réduire la demande de gaz de 15 %.
Samedi, le Premier ministre belge Alexander De Croo a averti que l'UE ne pouvait pas continuer à résoudre le problème de la flambée des coûts de l'énergie en réduisant les impôts et a appelé à un plafonnement des prix à la place. Si le bloc ne parvient pas à un accord, la Belgique envisagera des mesures nationales, a-t-il déclaré à la télévision VTM.
La semaine dernière, la France a réagi avec scepticisme à l'idée de fixer des limites aux prix de l'électricité, affirmant que sa situation était différente des autres pays européens grâce aux mesures gouvernementales offrant une protection contre l'inflation.
En réponse instinctive, certains prix des matières premières européennes ont chuté de tous les temps, tandis que le gaz naturel américain a chuté à des creux de session alors que l'"urgence énergétique" de l'Europe pourrait signifier une baisse des exportations américaines de GNL. Nous en doutons et nous nous attendons en fait à ce que la poussée de gaz naturel se poursuive alors que l'Europe redouble d'efforts pour mendier jusqu'à la dernière goutte de GNL américain, canadien et qatari qu'elle peut trouver.
La crise alimentaire est-elle terminée ou ne fait-elle que commencer ?
PAR TYLER DURDEN LUNDI 29 AOÛT 2022 - 13:20 Écrit par Chris Macintosh via InternationalMan.com,
Avez-vous faim ? Bon, selon les planificateurs centraux.
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Les gens de l'ONU ont cessé de détruire le monde pendant quelques minutes pour publier un article (instantané ci-dessous) justifiant leur comportement et expliquant les "avantages" de la famine qu'ils ont provoquée.
Ne pas inventer ça.
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L'article est resté sur le site Web de l'ONU pendant environ un jour avant d'être supprimé après être devenu viral sur les réseaux sociaux, les gens étant horrifiés par ce mal vraiment incroyable. La bonne chose à ce sujet est qu'à mesure qu'ils poursuivent leur programmation prédictive et leur PNL (sérieusement, examinez les deux et cela promet de vous époustoufler), de plus en plus de gens se réveillent de leur transe. Une fois réveillés, ils réalisent l'incroyable danger dans lequel ils se trouvent tous. Et c'est une bonne chose car vous ne pouvez pas combattre un ennemi tant que vous n'en avez pas compris l'existence.
La « grande réinitialisation » nécessite une population redevable au gouvernement et à personne d'autre. Alors que les planificateurs centraux poursuivent leur programme pour y arriver, cela ne manquera pas d'être lourd d'éveil et de beaucoup d'angoisse.
Le grand réveil du Joe moyen Bien que Joe Sixpack ne comprenne pas la plupart d'entre eux, il n'en a pas réellement besoin.
Ce qui importe à Joe, c'est quand il n'a pas les moyens de faire l'épicerie et que sa facture d'électricité efface soudainement tout son revenu annuel disponible.
Et cela suffit à fournir à la fois un recul et une capacité croissante à s'éveiller aux horreurs de ce qui l'attend si ce programme communiste déguisé en plan pour «nous sauver du changement climatique» n'est PAS arrêté dans son élan.
Et avec cette prise de conscience viendront les politiciens – dont beaucoup sont eux-mêmes des parasites mais font ce qui leur vient naturellement : sentir un changement dans les vents et se précipiter pour le devancer, le défendre et gagner du soutien.
Tiens, regarde. Selon France24, Giuseppe Conte, le patron de Five Star, a déclaré :
Je crains fort que septembre ne soit une période où de nombreuses familles seront confrontées au terrible choix de payer leurs factures d'électricité ou d'acheter de la nourriture. Nous sommes absolument disposés à dialoguer, à apporter notre contribution constructive au gouvernement, à Draghi, (mais) nous ne sommes pas disposés à faire un chèque en blanc.
Il n'a pas tort, bien sûr, mais c'est un voyou qui a contribué massivement aux problèmes auxquels notre proverbial "Joe" est maintenant confronté.
Regarde ça.
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Et comme nous le disons sans cesse : l'énergie sous-tend TOUT. C'est pourquoi l'IPC de la zone euro semble être le viagra principal.
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Et cela veut dire quelque chose car, comme vous le savez, la façon dont ils mesurent l'IPC est, bien sûr, de la foutaise complète et environ la moitié du taux réel. Découvrez les Shadowstats de John Williams, où l'inflation aux États-Unis est calculée sur la base de la méthodologie utilisée dans les années 80 (pré-fraude). Il vient d'atteindre 17,3 %. C'est un peu plus que l'impression de 9,1 % avec laquelle ils ont essayé de vous tromper.
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L'autre chose dont « Joe » se soucie, c'est lorsque le gouvernement – sous prétexte de « sauver la planète » – commence le processus de voler jusqu'à 50 % des fermes aux Pays-Bas.
Réduction des émissions d'azote
Sous un récit ridicule de "réduction des omissions d'azote", le gouvernement néerlandais procède à un accaparement flagrant de 30 % des terres agricoles. Il convient de souligner que l'air est composé à 78% d'azote. Ces crétins ont littéralement décidé que l'air est dangereux.
Quoi qu'il en soit, les agriculteurs n'en ont rien et ont bloqué les routes, les aéroports et les centres de distribution. Les pêcheurs se sont joints et ont bloqué les ports.
Sur le plan intérieur, les agriculteurs néerlandais bénéficient d'un soutien massif. Heureusement, les gens semblent comprendre intuitivement que sans eux, il n'y aura pas de nourriture. La propagande n'a plus l'effet escompté sur la population. C'est dommage !
Chaque jour, quelques personnes de plus se réveillent à la réalité, et une fois que vous vous réveillez, vous ne pouvez pas ignorer ce que vous avez vu. La crédibilité des partis politiques existants est gravement atteinte. Je pense depuis quelques années maintenant que s'il doit y avoir un changement, il viendra probablement de tiers. Cela est vrai dans tout le monde occidental, et pas uniquement une chose néerlandaise.
Le mouvement paysan-citoyen aux Pays-Bas prend maintenant de l'ampleur et prend de l'ampleur plus rapidement que tout autre.
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En France, l'agenda marxiste prend de l'ampleur. La France envisage la nationalisation complète d'EDF
La France va nationaliser entièrement EDF (EDF.PA), a déclaré mercredi la Première ministre Elisabeth Borne, dans une démarche qui donnerait au gouvernement plus de contrôle sur une restructuration du groupe endetté tout en faisant face à une crise énergétique européenne.
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C'est à ce stade qu'il convient de revoir un peu l'histoire. Le dernier chef d'un gouvernement européen à être tué et mangé par une foule fut le hollandais Johan de Witt en 1672, qui fut mutilé, pendu et fit rôtir et digérer son foie par des orangistes à La Haye.
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L'homme de Davos mérite au moins autant.
En attendant, les Européens vont avoir froid et faim. L'hiver n'est que quelques mois
La politique agricole commune (de l'UE) est-elle encore commune ?
29 Août 2022 Willi l'agriculteur*
'Il ne fait aucun doute que l'Union Européenne a été une grande réussite. La suppression des contrôles aux frontières et l'introduction de l'euro ne sont pas les seuls éléments qui ont rapproché les Européens'.
Depuis de nombreuses décennies, le secteur agricole en particulier est devenu le domaine le plus « européanisé » de l'économie, dans lequel tous les agriculteurs devraient travailler et agir selon les mêmes règles et les mêmes lois. Bien sûr, cela n'a jamais été le cas, mais on avait au moins la bonne intention de le faire.
Ces dernières années, cette intention a été de plus en plus reléguée au second plan. L'une des raisons était l'élargissement permanent, qui devait rassembler sous un même toit des États aux histoires et aux structures très différentes. Même la petite Allemagne n'y parvient pas, les structures du sud, de l'est ou du nord-ouest de l'Allemagne sont trop différentes.
Certes, des objectifs communs de l'Union Européenne sont élaborés à Bruxelles, mais la mise en œuvre est de plus en plus laissée aux différents États.
C'est précisément là que commence le problème : les règles édictées par les différents États membres pour atteindre les objectifs divergent fortement les unes des autres. Prenons l'exemple du règlement sur les engrais : chaque État a communiqué à Bruxelles un nombre différent de points de mesure par kilomètre carré. Il en résulte – sur le papier – une classification différente des différents États. La manière de procéder en cas de risque éventuel est également laissée à l'appréciation de chaque État. Aux Pays-Bas, cela provoque actuellement des protestations massives, tandis qu'en Roumanie ou en Hongrie, personne ne sait probablement de quoi il s'agit. Et en Italie, on fait preuve de créativité...
Autre exemple : la stratégie « de la ferme à la table », pour laquelle la Commission a dit d'emblée que chaque Etat devait rédiger son propre catalogue de mesures, qui sera ensuite approuvé ou rejeté par Bruxelles.
Le thème de la protection phytosanitaire : l'Allemagne a notifié à Bruxelles toutes les zones protégées, y compris le grand nombre de zones de protection des paysages, qui représentent en gros environ un quart des surfaces agricoles arables. Dans ces zones, l'utilisation de produits phytosanitaires doit être interdite à l'avenir. Si j'interprète bien, cela s'applique également aux agriculteurs bio. Tout le monde devrait comprendre ce que cela signifie si l'Allemagne doit cultiver un quart de ses terres arables pratiquement sans produits phytosanitaires. Nous sommes alors très loin de l'autosuffisance, même pour les aliments de base.
Dans l'élevage également, les mesures sont différentes, c'est-à-dire que les règles sont différentes, y compris pour la commercialisation. Personne ne connaît l'initiative Tierwohl (bien-être animal) en dehors de l'Allemagne. C'est ainsi qu'il a pu arriver que l'élevage de porcs diminue massivement en Allemagne, alors qu'en Espagne, de nouvelles porcheries sont construites à grande échelle. Justement en Espagne, un pays où il fait très chaud et où l'eau est rare.
En ce qui concerne la protection des plantes, la distorsion de concurrence se poursuit. À ma connaissance, seuls trois pays n'ont pas accordé de dérogation pour les néonicotinoïdes. L'Allemagne en fait bien sûr partie. De très nombreux pays soutiennent la culture de certaines plantes, bien que cela ne soit pas autorisé par l'UE. Qui ne le fait pas ? L'Allemagne ! On a l'impression qu'en Allemagne, tout ce qui vient de Bruxelles doit encore être renforcé. La Pologne, en revanche, interprète les règles de manière à ce que ses agriculteurs en profitent, ou du moins qu'ils ne subissent pas de dommages inutiles.
La politique agricole européenne se transforme de plus en plus en une farce. L'idée initiale d'une « politique agricole commune », qui avait commencé de manière louable, a disparu. Les particularismes nationaux se répandent à nouveau, car on craint les confrontations difficiles. Nombreux sont ceux qui ont compris que des États comme la Hongrie n'exploitent l'UE que pour leur profit personnel, au détriment des autres. L'Europe ne fait plus plaisir de cette manière. ______________
* Source : Wie gemeinsam ist die Gemeinsame Agrarpolitik (der EU) noch? - Bauer Willi
Et pourquoi pas demander au garagiste ou plombier de faire du pain ?! On ne compte plus le nombre de trous-de-cul qu'il y a à Bruxelles !
Ils n'ont JAMAIS demandé à un paysan ce qu'il faut faire !! Ils ne sont même pas capables de gérer une épicerie et se mêlent de vouloir gérer une grande surface !!
Dans les siècles passés, il y avait 98 % de paysans au monde et, sans engrais ni remède contre les bestioles et maladies des plantes: c'était LA FAMINE !
C'est ce qui est programmé pour demain par la dictature des pédo-psychopathes !
Une autre grande usine sidérurgique américaine fermera après plus d'un siècle d'activité, épuisant davantage la capacité de fabrication du pays
lundi 29 août 2022 par : JD Heyes
(Natural News) Les États-Unis ont réussi à devenir la première superpuissance mondiale grâce à la force de leur peuple et à leurs capacités de fabrication monumentales, qui ont littéralement remporté deux guerres mondiales.
Mais après quelques décennies de démantèlement systématique par l'État profond marxiste, avec l'aide de politiciens avides et myopes cherchant à tirer profit du déclin de l'Amérique, la capacité de fabrication actuelle n'est plus qu'une coquille de ce qu'elle était dans les années 1940 et 1950.
Et aujourd'hui, ce déclin se poursuit, comme en témoigne la fermeture d'une importante fonderie d'acier à Portland, Oregon.
Comme le rapporte Oregon Live, la fonderie est en activité depuis 121 ans et maintenant elle va fermer, licenciant tous ses travailleurs qualifiés sans qu'une usine de remplacement soit même prévue et encore moins en cours de construction.
Le point de vente a noté:
Columbia Steel Casting Co., une entreprise de moulage de métaux de Portland qui remonte à plus d'un siècle, a déclaré mercredi aux régulateurs de l'État qu'elle prévoyait de fermer les opérations de sa fonderie de North Portland et de licencier la plupart de ses effectifs.
La société a déclaré que 225 employés, dont beaucoup étaient représentés par deux syndicats différents, seraient licenciés à partir d'octobre. Le dossier indiquait que la fermeture serait permanente. Une lettre aux employés indiquait que l'entreprise avait cherché un acheteur pour reprendre la fonderie et maintenir les opérations, mais ces efforts avaient échoué jusqu'à présent.
La PDG Martha Cox a déclaré aux employés que l'entreprise avait dû faire face à une concurrence féroce de la part de concurrents étrangers, dont certains étaient subventionnés par leurs gouvernements. Cox a déclaré que les réglementations environnementales nationales et locales avaient également désavantagé l'entreprise par rapport à ces concurrents.
En d'autres termes, les fous démocrates de gauche qui dirigent cet État ont adopté tellement de règles « environnementales » insensées et restrictives qu'il a rendu économiquement impossible l'exploitation de l'usine. Et maintenant, l'usine va fermer, ce qui aura des conséquences négatives pour tout notre pays, pas seulement pour les malheureux travailleurs qui perdent leur emploi. Espérons que les Oregoniens se souviendront de cet outrage en novembre, bien que sur la base de l'historique des votes de cet État, il est peu probable que cela change de si tôt.
RépondreSupprimerCOVID-19 : PLUS DE 600 MILLIONS DE CAS DANS LE MONDE
par PAOLO GAROSCIO
29/08/2022
Le taux de positivité des test était de 19 % en France le 25 août 2022.
La Covid-19 ne semble plus être un sujet : le nombre de cas en France a baissé rapidement après le pic inattendu du début de l’été 2022, les mesures sanitaires ont été levées, le nombre de tests dans l’Hexagone est en baisse… Pour autant, la pandémie est encore en cours. Et elle a franchi un nouveau seuil symbolique.
Plus de 600 millions de cas confirmés de Covid-19
Si la France ne comptait, le 28 août 2022, que 14.110 nouveaux cas de Covid-19, c’est surtout que le virus est censé être saisonnier. Le pic de l’été a d’ailleurs surpris : poussé par les nouveaux variants, il fait craindre une nouvelle vague de contaminations durant l’automne et l’hiver 2022-2023. Va-t-elle avoir lieu ou pas ? La question se pose…
Ce qui est sûr est que le virus continue de circuler dans le monde. Les données de l’université Johns Hopkins, confirment plusieurs centaines de milliers de nouveaux cas chaque jour durant la troisième semaine d’août 2022, avec néanmoins une amélioration puisque, contrairement à la semaine précédente, le nombre de cas n’a pas dépassé le million en 24 heures.
Cela n’aura pas empêché la pandémie de franchir un nouveau seuil : on compte, au 29 août 2022, plus de 600,9 millions de cas de Covid-19 confirmés depuis l’apparition du virus.
Plusieurs milliers de décès chaque jour à cause du virus Sars-CoV-2
Tous les jours, dans le monde, plusieurs milliers de personnes décèdent des suites de la maladie. Entre le 1er et le 28 août 2022, selon Johns Hopkins, ce sont ainsi plus de 65.500 décès qui ont été enregistrés, un nombre sans doute sous-estimé : l’OMS juge que le nombre de morts du virus serait près de trois fois supérieur à celui rapporté par les autorités, soit à cause d’un manque de données soit par volonté de cacher la réalité de la pandémie.
Depuis l’apparition du virus, en novembre 2019, le nombre de décès officiels est de 6,485 millions au 29 août 2022, mais il serait en réalité plus proche des 15 voire 20 millions.
https://economiematin.fr/news-covid-nombre-cas-monde-aout-2022-chiffres-hausse
Supprimer(...) COVID-19 : PLUS DE 600 MILLIONS DE CAS DANS LE MONDE (...)
Il n'y aurait seulement que 600 millions d'inoculés dans le monde alors qu'on approche les 2 milliards de morts !!
(...) Le taux de positivité des test était de 19 % en France le 25 août 2022 (...)
Faut dire qu'avec les 'Faux tests RT-PCR', là, on bat TOUS les records ! Comme ces tests ne peuvent RIEN valider, on ne fait que des quotas. "Aujourd'hui vous devez trouver 300 faux positifs !" et... ils les trouvent ! Ne peuvent RIEN valider car le virus (appelée aussi la poussière) n'est pas dans l'air ! et donc N'EXISTE PAS !
Ils sont libres de continuer à nous tuer, tant que nous continuons à penser qu'ils ne pourraient pas être ce mal
RépondreSupprimerDimanche 28 août 2022
Par: éditeurs de nouvelles
(Natural News) (Article republié de Markcrispinmiller.Substack.com)
Voici un article du Dr Meryl Nass, qui fait que le point crucial que ceux qui ont l'intention de nous tuer ont été protégés contre la découverte - et la punition - par notre propre incapacité à penser que cela pourrait être vrai.
C'est, comme je l'ai dit, le point crucial; Parce que, une fois que nous nous sommes sortis de cette fantaisie affectueuse de leur bienveillance, et affronterons le fait que, oui, ils sont ce mal, et (pire encore) que toutes les institutions qui nous ont appris à avoir confiance depuis l'enfance - le gouvernement à Presque tous les niveaux, l'établissement médical, «l'enseignement supérieur» et (surtout) «notre presse libre» - ont été corrompus par ce mal et en faisons maintenant partie: une fois que nous, ou suffisamment d'entre nous, arrêtez de penser que Cela ne peut pas être vrai, alors tout changera.
Ce n'est que lorsque nous suffisons que nous acceptons que les faits bouleversants commencent à changer - et rapidement. Aucune preuve contre l'horreur de la «vaccination», aussi solide et (pour nous) de manière convaincante, ne peut pénétrer dans l'esprit qui ne veut tout simplement pas savoir ce que signifie si évidemment, c'est que ces grandes institutions prétendant Respectez «la science» et vouloir nous garder «en sécurité» et nous ramener «à la normale», ont réellement - délibérément et systématiquement »« la science »tout au long; décourageant constamment des schémas et des remèdes efficaces, tout en poussant farouchement les produits connus pour nous tuer ou paralyser; Et autrement, conspiré exploré pour acclimater tous les êtres humains (c'est-à-dire ceux qui sont laissés vivants) à la «vie» dans un monde inhumain.
Confronté à cette probabilité, il est naturel que les gens, dans l'ensemble, ne veulent pas penser que c'est vrai - tout en tant qu'enfant longtemps abusé horriblement à la maison, il l'a souvent «oublié» des années plus tard, et résistera à la compréhension thérapeutique avec colère que la compréhension thérapeutique que c'est arrivé. Alors que, dans un tel cas, le thérapeute est principalement confronté aux propres défenses psychiques du patient, nous qui avons essayé de réveiller tous ces autres à ce qui leur a été fait (et nous) ces dernières années (et encore plus tôt) Contre une force beaucoup plus grande - et beaucoup plus dangereuse - que les œillères internes de toute personne. C'est pour garder ces millions de personnes dans le déni, et ainsi empêcher le calcul mondial de venir, que le gigantesque chœur de propagande du gouvernement et les médias ne cesse de les assurer que, non, ce n'est pas vrai, que toutes nos preuves (de toutes sortes) est la «théorie du complot», tous nos faits «désinformation», toutes ces morts soudaines et prématurées et les handicaps graves entièrement normaux, et pourtant aussi en raison de tout et de tout sauf des «vaccins» qui les ont évidemment causés. Et alors que le chœur de propagande a du mal à empêcher ce jour de calcul en doubler tous ses mensonges océaniques, il aussi de plus en plus et désespérément, les noirs de toutes les conclusions, faits, perceptions et / ou arguments pourraient aider les gens à sortir de leur hypnotique. Trance: Google (par exemple) a rapidement abattu la pièce du Dr Nass, lorsqu'elle l'a publiée (ou a essayé) sur son blog.
D'abord il y a les 'inoculés de la première' qui sont donc contrôlés 100 % ("Roulez à gauche !" et ils roulent à gauche ! "Tuez toutes les personnes près de vous !" et ils tuent toutes les personnes autour d'eux ! "Sautez par la fenêtre !" et ils sautent par la fenêtre !) et incitent, obligent, dénoncent les personnes intelligentes qui refusent de se faire inoculer !
RépondreSupprimerPuis il y a la 2 ème piqûre empoisonnée, puis la 3 ème ! puis la 4 ème ! puis... etc !
La catastrophe COVID de Fauci: un résumé
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 28 AOÛT 2022 - 23:30
Rédigé par Ian Miller via Brownstone Institute,
La nouvelle que le Dr Anthony Fauci quitte enfin son poste après ce qui semblait être un règne sans fin à la tête de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses devrait être un moment de célébration.
Mais ce n'est pas.
Fauci a causé des dégâts si énormes au cours des dernières années qu'il est presque impossible de comprendre.
Dans presque tous les domaines de la vie aux États-Unis, ainsi que dans de nombreuses autres régions du monde, l'influence de Fauci a été un contributeur clé à des quantités massives de souffrances humaines.
Fauci avait inexplicablement une colère particulière pour les enfants.
Longtemps après qu'il soit devenu très clair que la fermeture des écoles n'avait aucun avantage significatif pour la santé, Fauci a continué à soutenir les fermetures et les restrictions à la vie normale pour des millions d'enfants à peu ou pas de risque du virus.
Sa capacité de plaidoyer et d'activisme politiques purs et simples a été époustouflante à voir et a contribué à l'effondrement extrême de la confiance dans les «experts» et les autorités de la santé publique.
Il semble donc utile de revisiter certains des plus grands succès du règne d'incompétence de Fauci.
Unmasked est entièrement pris en charge par le lecteur. Les abonnements payants permettent au travail de se poursuivre dans ce format, et tout lectorat est grandement apprécié.
Masques
L'un des échecs les plus importants et les plus dramatiques de Fauci concerne peut-être les masques.
Au début, il a déclaré dans 60 Minutes qu'il était convaincu que les masques ne fonctionnaient pas, qu'ils ne bloqueraient peut-être qu'une ou deux gouttelettes, mais qu'ils n'offraient pas la protection que les gens pensaient avoir.
Il a ensuite confirmé les mêmes informations aux personnes demandant en privé des conseils sur l'opportunité de porter des masques lors de leurs déplacements.
Plus tard, il a absurdement affirmé que ses premiers commentaires avaient été faits dans le but de protéger l'approvisionnement des travailleurs de la santé. Sauf, bien sûr, que les travailleurs de la santé ne porteraient jamais les types de masques en tissu que Fauci et ses alliés du CDC recommandaient.
Sans oublier que sa demande est rendue encore plus ridicule par le fait qu'il a dit aux gens en privé de ne pas porter de masques.
RépondreSupprimerS'il avait cru qu'ils travaillaient mais avait voulu protéger des disponibilités limitées, il aurait pu facilement dire à ceux qui demandaient de porter un masque sans compromettre tout approvisionnement à grande échelle pour les travailleurs hospitaliers.
Bien sûr, ce n'est pas ce qu'il a fait.
Son affirmation selon laquelle le masquage réduirait la transmission et démontrerait des résultats clairement bénéfiques par rapport aux zones non masquées s'est avérée fausse à plusieurs reprises :
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Bien après avoir été confirmé, par de grandes quantités de données, que les masques ne fonctionnent pas, Fauci a continué à plaider pour un masquage universel.
Même aujourd'hui, il est resté totalement convaincu que les masques fonctionnent, malgré les preuves concluantes du contraire.
Récemment, après que son port incessant de masque ait été complètement inefficace pour l'empêcher d'être infecté par le virus, Fauci a continué à recommander aux gens de porter des masques tout en mentant sur leur efficacité, affirmant qu'ils «recommandaient aux gens lorsqu'ils se trouvaient dans des lieux de rassemblement intérieurs de porter un masque."
"Ce sont des choses simples et réalisables qui peuvent nous aider à éviter d'avoir encore plus de problèmes que ceux que nous avons actuellement."
Tout comme les mandats de masques durant l'hiver 2021-2022 ont pu empêcher la propagation du virus, non ?
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Verrouillages
La quantité incompréhensible de mensonges que Fauci a commis au cours des dernières années étend les masques passés aux verrouillages, aux fermetures d'entreprises et aux restrictions de capacité.
Fauci affirme maintenant qu'il n'a jamais dit de verrouiller le pays.
Sauf, bien sûr, que c'est exactement ce qu'il a dit sur le disque en 2020 :
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En septembre 2020, Fauci a affirmé que des États comme la Floride qui avaient rouvert "demandaient des ennuis", tout en louant New York pour avoir l'une des "meilleures" réponses.
Presque immédiatement après, des hospitalisations en Californie et à New York ont dépassé la Floride avec des entreprises fermées, des capacités limitées et un masquage universel.
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Son manque de conscience déconcertant est déjà assez grave, mais même en 2021, longtemps après que les verrouillages et les fermetures d'entreprises ont été réfutés, il a continué à suggérer que les zones qui ont rouvert se livraient à un comportement extrêmement risqué en allant à l'encontre de ses diktats.
RépondreSupprimerLe titre d'une histoire de Jacksonville en avril 2021 disait: "Fauci: Ouvrir la Floride aux affaires alors que les variantes de COVID-19 font exploser une" proposition risquée "."
Quelques mois seulement avant cette remarque, il avait vivement critiqué la Floride pour sa réouverture, seulement pour voir d'autres États qui avaient suivi ses conseils avoir des résultats bien pires.
On pourrait penser que se tromper créerait de l'humilité, de l'incertitude et de la volonté d'admettre ses erreurs.
Mais ce n'est pas ce que fait le Dr Fauci.
Au lieu de cela, il a doublé et a déclaré que la réouverture de la Floride en avril 2021, des mois après la disponibilité des vaccins, était «risquée».
Sauf que la Californie a signalé des taux de mortalité par COVID ajustés selon l'âge significativement plus élevés que la Floride pour l'ensemble des premier et deuxième trimestres de 2021, avec des mandats de masque et des limites de capacité pour une partie de cette période :
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Il a tiré la même chose au niveau national, affirmant à tort que le pays risquerait une nouvelle poussée en raison de restrictions « assouplies » et de nouvelles variantes :
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Rappelez-vous aussi que Fauci prétend être le représentant singulier de la "science". Si c'est ce qu'est la "science", elle ne mérite clairement pas le respect qu'on lui accorde.
Bien sûr, même cette année, Fauci défend ses recommandations, toutes preuves du contraire, tout en niant que les confinements, qui ont nui de manière permanente à des dizaines de millions de personnes, n'ont irrémédiablement nui à personne :
Enfants
Les recommandations les plus dommageables de Fauci étaient peut-être liées aux écoles.
Jordan Schachtel a compilé peut-être la meilleure chronologie de son plaidoyer pour garder les écoles fermées ou excuser ceux qui voulaient les garder fermées.
En sa qualité de fanatique du masquage, Fauci a également promu le masquage à l'école, affirmant que les enfants de plus de 2 ans devraient être forcés de se masquer à l'école si les autorités locales décidaient que c'était nécessaire.
Peu importe combien de fois le masquage dans les écoles est réfuté, il n'admettra jamais que ces déclarations étaient des absurdités sans fondement.
Entre les fermetures d'écoles et le masquage forcé, les dommages qu'il a causés aux enfants sont littéralement incalculables.
Vaccination
RépondreSupprimerIl y a aussi son palmarès incomparable d'inexactitudes sur ce que feraient les vaccins.
Parmi de nombreux autres problèmes, sa prédiction selon laquelle atteindre certains niveaux de vaccination éliminerait le potentiel de futures poussées a été, comme tout ce qu'il a fait, presque immédiatement prouvée fausse.
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Ses échecs dans ce domaine sont sans fin.
Évidemment, c'est loin d'être une liste complète de la stupidité incompréhensible dont Fauci a fait preuve au cours des dernières années. Une liste complète nécessiterait un livre, ou plusieurs livres à chroniquer.
Son incompétence, son orgueil, son ego impressionnant et son engagement à se tromper dans toutes les circonstances possibles sont littéralement incomparables.
L'énorme quantité de volte-face et de retour en arrière pour défendre son incompétence antérieure est continuellement défendue par Fauci comme «La Science ™» en train de changer.
Sauf que les directives du CDC qu'il a continuellement défendues et promues n'ont jamais été basées sur l'évolution de la science, comme en témoigne le fait qu'ils n'ont jamais mené d'essais contrôlés randomisés de haute qualité pour justifier leur prise de décision.
La « science » ne peut pas changer lorsque l'un de ses principes clés, les recommandations fondées sur des données probantes, n'a jamais été mis à jour.
Mais cela n'avait pas d'importance pour Fauci. Ce qui comptait, ce sont les interminables apparitions dans les médias, les louanges de la gauche et le maintien d'un vernis d'infaillibilité soutenu par une presse flatteuse.
Bien qu'il puisse être tentant de penser que cette retraite signalera un changement radical dans la réflexion sur le COVID au niveau fédéral, cela semble beaucoup trop optimiste.
Comme pour tout ce qui concerne le COVID, l'administration Biden s'est engagée à faire en sorte que quiconque remplace les fonctionnaires sortants soit encore pire. Ashish Jha et Rochelle Walensky en sont de brillants exemples.
À tout le moins, il y a une lueur d'espoir que Fauci sera toujours convoqué devant le Congrès et tenu responsable des dommages qu'il a causés et de son programme flagrant qui modifie le monde.
https://www.zerohedge.com/covid-19/faucis-covid-disaster-summary
Premièrement un 'virus' EST UNE POUSSIÈRE ! et non un microbe !
SupprimerUn microbe apporte des maladies, un poussière non. Même une poussière radioactive n'est PAS contaminante.
Or, il s'agit bien d'un virus (qui n'est PAS DANS L'AIR !) proposé en seringues (SI t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort !). Poussière empoisonnée fabrique en laboratoires.
Donc, deuxièmement, s'il s'agit d'un poison (comme morsure de serpent) il n'existe pas de vaccin 'anti-serpents' mais des anti-dotes. Ces anti-dotes ne sont PAS proposées !
Troisièmement, si cette poussière empoisonnée n'est pas dans l'air: INUTILE de porter un masque.
D'ailleurs, il n'existe au monde AUCUN masque anti-virus' ou anti-microbes. Les masque proposés sont de type 'blocs opératoires' pour éviter que des gouttelettes aillent sur la plaie ouverte. C'est tout. Si le chirurgien a la peste: l'opéré a la peste (microbe).
Le vaccin Trump
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
29 août 2022
- voir clip sur site -
TRANSCRIPTION
Selon les essais humains très limités de Pfizer, 87% des femmes enceintes ont perdu leur bébé après avoir reçu le vaccin et pour celles qui ont survécu au tir mortel et sont capables de se reproduire, l'ADN de leur progéniture est maintenant muté à jamais.
Il existe maintenant des preuves irréfutables que les vaccins à ARNm sont une toxine mortelle.
Mis à part la protéine de pointe débilitante implacable qui rend tous ceux qui ont été piquées malades, les vaxxines contiennent des métaux. Les métaux dont on a observé qu'ils s'auto-assemblent à l'extérieur du corps et, plus inquiétant encore, les métaux qui s'assemblent à l'intérieur du corps.
Des études montrent que ces métaux se retrouvent dans le sang de 94 % de ceux qui ont reçu une vaxxine COVID.
Et ces mystérieux conglomérats de métal font leur apparition définitive dans les morts.
Partout dans le monde, les coroners découvrent maintenant que les artères des vaxxinés ont été obstruées par de mystérieuses excroissances. Masses non organiques composées de métaux conducteurs, tels que l'aluminium, le sodium et l'étain.
C'est ce qui cause le plus probablement toutes les défaillances d'organes et les crises cardiaques - entendre les crises chez nos enfants.
Selon les lanceurs d'alerte, les médecins mentent sur les décès dus au vaccin pour gagner quelques milliers de dollars.
Est-ce pour cela que Trump pousse les coups mortels ?
Tuer nos propres enfants pour un misérable million de dollars ?
Maintenant que la vérité sur les vaxxines mortelles COVID commence enfin à se libérer, les médias grand public changent leur récit et blâment tout sur le président Trump et ils ont déjà jeté les bases en 2016, quand on a dit au troupeau de croire que Trump est littéralement Hitler.
Vous pourriez dire que Trump est innocent – mais ce n'est pas le cas.
Il se vante de toutes les vies qu'il a sauvées - et le troupeau croira ce qu'on leur dit de croire...
Reprinted with the author’s permission.
https://www.lewrockwell.com/2022/08/no_author/the-trump-vaccine/
Les adultes américains « souffrent » à un rythme record
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 04:00
Aux États-Unis, les adultes souffrent dans leur vie à un niveau record. C'est selon le dernier d'une série d'enquêtes de Gallup.
Comme le détaille Martin Armstrong de Statista ci-dessous, la proportion d'adultes évaluant leur vie suffisamment mal pour être considérée comme « souffrante », selon la méthodologie de Gallup, a atteint un nouveau sommet de 5,6 % en juillet.
L'enquête, qui remonte à 2008, demande aux répondants d'évaluer l'état actuel et futur de leur vie sur une échelle de 0 à 10, les réponses allant de 0 à 4 étant classées comme "souffrance, 5 à 6". en difficulté, et 7-10 'en plein essor.
Comme indiqué, le dernier résultat "dépasse le précédent record de 4,8% mesuré en avril et est statistiquement supérieur à toutes les estimations précédentes à l'ère du Covid-19".
- voir graph sur site -
Infographie : les adultes américains « souffrent » à un rythme record | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Gallup suggère que "les conditions économiques sont probablement un facteur majeur contribuant à ces scores qui se détériorent", ajoutant: "En harmonie avec les vents contraires économiques, il y a un mécontentement croissant à l'égard des valeurs morales américaines, qui a atteint un niveau record, avec 50% des Américains signalant l'état de les valeurs morales sont "faibles" et 37% "seulement justes", un sentiment qui pourrait avoir une influence négative sur les cotes de vie en général."
https://www.zerohedge.com/personal-finance/us-adults-are-suffering-record-rates
Allemagne : la crise énergétique force le changement de cap
RépondreSupprimerL’Allemagne a déjà fait son propre destin en 2011. Elle doit maintenant en assumer les conséquences.
le 29 août 2022
Par Rosanna Weber.
Mises Institute
« Nous sommes les artisans de notre propre destin », a déclaré Christian Lindner (FDP, Parti libéral-démorate), ministre fédéral allemand des Finances, lors d’une interview télévisée il n’y a pas si longtemps. Cette déclaration a été faite alors qu’on lui demandait si Vladimir Poutine avait une emprise sur l’Allemagne, compte tenu de sa situation énergétique plutôt désastreuse, maintenant, mais surtout à l’approche de l’hiver.
Tiraillée entre une dépendance de dix ans au gaz russe bon marché d’une part, et un désespoir soudain d’indépendance énergétique face à la guerre en Ukraine d’autre part, l’Allemagne se trouve aujourd’hui dans la position inconfortable de n’avoir ni l’un ni l’autre. Pour reprendre les mots de Robert Habeck (Parti des Verts), ministre fédéral de l’économie et de l’action climatique, « chaque kilowattheure compte ». L’Allemagne a attendu trop longtemps pour se mettre de côté – le temps est écoulé.
Selon l’Agence fédérale des réseaux, 55 % du gaz importé par l’Allemagne provient de Russie, principalement via le gazoduc Nord Stream 1. Dernièrement, l’Allemagne a constaté une baisse du gaz reçu, qui, selon des sources russes, était la conséquence de « problèmes techniques« . Il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup de doutes pour comprendre comment les circonstances géopolitiques actuelles ont pu jouer un rôle dans cette situation également.
Aujourd’hui, l’Allemagne reçoit environ 40 % des niveaux précédents d’importations de gaz via Nord Stream 1, ce qui réduit considérablement ses réserves. Pendant plus d’une semaine en juillet, elles ont même été réduites à zéro.
Comment l’Allemagne s’est-elle mise dans une situation aussi moralement et stratégiquement douteuse ?
Nord Stream 1 était douteux au départ, sans parler de sa suite : Nord Stream 2.
Le projet de dix milliards d’euros a fait l’objet de nombreuses critiques de toutes parts pendant les années de sa construction. Après son achèvement en septembre dernier, le chancelier Olaf Scholz a abandonné le projet en février de cette année en réaction à la guerre en Ukraine.
RépondreSupprimerL’Allemagne a donné son feu vert à la construction de Nord Stream 2 en 2015, quatre ans après avoir commencé à pomper du gaz via Nord Stream 1 en 2011. C’est également l’année où l’Allemagne a pris une autre décision cruciale concernant son approvisionnement énergétique futur : la sortie définitive de l’énergie nucléaire.
À l’époque, cette question avait fait l’objet d’une longue campagne de la part des Verts, avait reçu le soutien d’autres partis, dont le FDP et son secrétaire général de l’époque, Christian Lindner, et avait finalement été inscrite dans la législation par Angela Merkel et la CDU (Union chrétienne-démocrate). D’ici la fin de l’année, les trois dernières centrales nucléaires allemandes encore en activité devraient être mises hors service.
Une enquête a montré qu’à la lumière des récents événements, sept citoyens sur dix préfèrent que ces centrales soient maintenues. Presque ironiquement, même la plupart des électeurs du parti vert y sont favorables, selon le sondage.
Le débat sur l’énergie nucléaire est aujourd’hui aussi divisé qu’il l’était en 2011, mais cette fois les rôles semblent curieusement inversés : le FDP avec Lindner sont pour la continuation. Friedrich Merz (CDU) et Markus Söder (CSU, Union chrétienne-sociale) y sont favorables, même si, en 2011, ils étaient tous trois d’avis que l’abandon de l’énergie nucléaire était finalement la bonne chose à faire.
Les Verts et le SPD, les sociaux-démocrates, s’opposent à l’idée de maintenir les centrales restantes en activité, ce qui n’est pas une surprise. Ce qui est surprenant, en revanche, c’est la proposition de Robert Habeck (Verts) de brûler davantage de charbon au cours des prochaines années, ce qui n’est pas vraiment l’alternative écologique que l’on attendait du ministre fédéral de l’Économie et de l’action climatique.
S’opposer à l’énergie nucléaire en 2011 était à peu près aussi tendance et populaire que les jeans taille basse dans les années 2000 : à l’époque, cela a permis de mettre en place ceux qui veulent maintenant remettre sur la table l’option de relancer les centrales nucléaires. Christian Lindner va même jusqu’à mentionner le mot interdit : fracking. Des opinions qui, autrefois, suscitaient l’indignation ou étaient jugées trop risquées sur le plan politique pour être abordées, sont soudain à nouveau dans le domaine du possible, maintenant que le vent a tourné, de manière assez prévisible.
Si cet épisode démontre quelque chose, c’est bien la préférence pour le temps qui vient avec l’accession à un poste politique. Du gaz bon marché, rapide et facilement disponible, c’est très bien ici et maintenant, et l’idée que la Russie puisse devenir une menace géopolitique pour la souveraineté de la nation est quelque chose dont l’Allemagne future peut se préoccuper.
Certes, après le présage de ce qui était sur le point de se produire lorsque la Russie a envahi la Crimée en 2014, vous avez une recette pour le désastre.
Herr Lindner, l’Allemagne a déjà fait son propre destin en 2011. Elle doit maintenant en assumer les conséquences.
https://www.contrepoints.org/2022/08/29/437609-allemagne-la-crise-energetique-force-le-changement-de-cap
ÉNERGIE : LE GOUVERNEMENT PROMET DES HAUSSES « CONTENUES » EN 2023
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
29/08/2022
La CRE a dévoilé que le prix de l'électricité en septembre 2022 devrait être 106 % plus élevé que l'actuel.
C’est la question que tous les Français se posent : que va-t-il arriver lorsque le bouclier tarifaire, qui a permis aux prix du gaz et de l’électricité de rester stables durant tout l’année 2022, va s’arrêter ? Avec l’augmentation explosive des prix sur les marchés de gros, la crainte est que la facture soit élevée au point de devenir impayable. Bruno Le Maire, ministre de l’Économie, a tenté de rassurer…
En Europe, des factures d’électricité et gaz qui s’envolent
Si les Français, particuliers comme professionnels, sont inquiets, c’est que les nouvelles se suivent et se ressemblent sur le front de l’énergie. Sur les marchés de gros, à la suite de la guerre en Ukraine et du chantage au gaz de la Russie, les prix du gaz se sont envolés jusqu’à atteindre des records inédits : plus de 300 euros le MWh sur le marché de référence, contre quelques dizaines d’euros en 2019.
Le prix de l’électricité aussi s’est envolé, cette fois sur fond de production baisse et de reprise économique. L’arrêt de près de la moitié du parc nucléaire français pèse lourd, sur l’équilibre du marché international, mais ce n’est pas le seul problème.
Ainsi, au Royaume-Uni, en Belgique, en Allemagne et dans d’autres pays européens, les factures s’annoncent salées : plusieurs milliers d’euros de plus par an pour les ménages. Certains menacent de ne pas les payer, d’autres craignent de ne pas pouvoir… et dans tout ça, les Français s’en sortent bien : leurs prix sont restés bloqués.
L’augmentation des factures d’énergie aura bien lieu
RépondreSupprimerSi les ménages français n’ont encore pas vu leurs factures exploser, c’est grâce au bouclier tarifaire : le prix du gaz a été gelé en octobre 2021, celui de l’électricité en février 2022. Mais ce dispositif coûte cher à l’État qui compense le manque à gagner des fournisseurs et qui n’avait pas anticipé des augmentations aussi élevées. Le coût du bouclier tarifaire a dépassé les 20 milliards d’euros et pourrait encore grimper. Dans ces conditions, impossible de le maintenir plus longtemps.
Le gouvernement n’a d’ailleurs pas annoncé que le bouclier tarifaire, dont la fin est prévue pour le 31 décembre 2022, sera encore prolongé. Au contraire : on sait qu’il va prendre fin. Mais invité au congrès des cadres de LREM qui se tenait à Metz samedi 27 août 2022, Bruno Le Maire s’est voulu rassurant.
« Les hausses dont a parlé le président de la République et la première ministre seront des hausses contenues », a déclaré le ministre de l’Économie en marge de ce congrès. Il n’a néanmoins pas donné plus de précisions, seulement que ces « hausses contenues » concerneront le prix de l’électricité et celui du gaz.
Pas de rattrapage sur les prix de l'électricité
En somme : les Français doivent bien se préparer à une augmentation de leurs factures. C’est le montant de cette augmentation qui reste inconnu. Mais une bonne nouvelle a été donnée : « il n’y aura pas de rattrapage » sur le plafonnement du prix de l’électricité en vigueur depuis le 1er février 2022. Le prix, selon la CRE, aurait dû doubler pour les clients finaux particuliers depuis cette date...
https://economiematin.fr/news-energie-gouvernement-hausse-electricite-gaz-2023-lemaire
Que fait le prix dans un produit ? Soit on ne l'achète pas, ce qui est un comble pour se passer de l'électricité, soit on le paye au prix fort. Oui mais comme le budget n'est pas extensible, faudra supprimer des achats. Quels achats ? Vêtements ? Passer du superhypermarché aux Lidl ? Aller à la soupe populaire ?
SupprimerMais au fait... pour quelle raison ? La raison est toute simple: Le président Poutine à décidé après 8 années de massacres des ukrainiens de l'Est d'entrer en conflit en osant protéger la population de l'Est contre les troupes nazies gouvernementales soutenues par divers autres pays nazis !
Et çà, ni Bruxelles ni l'ONU n'en veut ! Donc, elles arment les vaillantes troupes nazies hitlériennes pour contrer l'ordure soviétique qui sauve des milliers d'enfants, de femmes et d'hommes de la mort.
Et, comme le Superman russe ne traite pas avec la merde, il décide donc de couper (couic !) le gaz aux chiottes !
Des experts allemands mettent en garde contre l'instabilité du réseau... "Des centrales électriques conventionnelles sont nécessaires pour longtemps"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 12:30
Rédigé par Pierre Gosselin via NoTricksZone.com,
L'expansion massive et subventionnée de la production d'électricité à partir de sources renouvelables en Allemagne a évincé les unités de production conventionnelles du marché. Deux experts mettent en garde contre l'instabilité croissante du réseau.
Quo Vadis, stabilité du réseau ?
Article original à Die kalte Sonne
La conclusion des deux est très alarmante. Ici aussi, pas un mot sur «les installations de stockage à gogo. Ici, la réalité se heurte au vœu pieux de certains acteurs de l'énergie verte qui pensent qu'il y a suffisamment de stockage et qu'il suffit de changer les « mentalités », comme le dit Patrick Graichen.
L'expansion continue des sources d'énergie renouvelables très volatiles et le déplacement supplémentaire d'unités de production plus conventionnelles du marché rendent le réseau électrique de plus en plus sensible aux fluctuations liées aux conditions météorologiques. Des phénomènes météorologiques inhabituels tels que le marasme noir posent des défis importants à la sécurité et à la stabilité de l'approvisionnement du réseau électrique. La production largement intermittente des parcs solaires et éoliens n'est pas corrélée aux fluctuations de la demande d'électricité.
L'offre excédentaire d'énergie renouvelable doit être tamponnée pendant les périodes de faible demande d'électricité, et la capacité stockée doit être réinjectée dans le réseau pendant les périodes de forte demande d'électricité lorsque moins de sources renouvelables sont disponibles. Cependant, les grands systèmes de stockage d'énergie par batterie, qui ont été annoncés de manière prometteuse, ne sont toujours pas à l'horizon en raison de leur faible capacité et de leur maturité, ainsi que de leur coût de déploiement exorbitant.
À ce stade, au plus tard, les oreilles de certaines personnes devraient sonner :
Tant que des systèmes de stockage d'énergie économiques ne seront pas mis en place, même les partisans de l'orientation actuelle de la transition énergétique de l'Allemagne devront admettre que des centrales électriques conventionnelles fiables seront nécessaires pendant longtemps.
Cet article est également une recommandation de lecture urgente pour les politiciens et les experts qui aiment être interviewés.
Les auteurs concluent également :
RépondreSupprimerL'importance des centrales nucléaires pour la sécurité d'approvisionnement en fonctionnement de base et leur capacité à faire fonctionner le réseau en parallèle avec les énergies renouvelables renouvelables ont été démontrées. Les centrales nucléaires semblent bien adaptées à l'énergie produite pour atteindre l'objectif futur d'une production d'électricité sans carbone. Cependant, la loi sur l'énergie atomique prévoit un arrêt anticipé de la production d'énergie nucléaire d'ici la fin de 2022. »
Ainsi, sans l'énergie nucléaire en Allemagne, les problèmes de stabilité du réseau sont une certitude future.
https://www.zerohedge.com/energy/german-experts-warn-grid-instabilityconventional-power-plants-needed-long-time-come
Texas Crypto Miners demande à utiliser autant d'énergie que tout l'État de New York
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 11:45
Les responsables du Texas ont exhorté les mineurs de crypto-monnaie à déplacer leurs opérations vers le Lone Star State. La campagne fonctionne si bien que les demandes de branchements électriques s'accumulent à un niveau bien supérieur à ce que les autorités électriques de l'État estimaient il y a à peine quatre mois.
Selon un nouveau rapport de Bloomberg, les mineurs ont demandé à l'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT) d'utiliser jusqu'à 33 gigawatts d'électricité au cours de la prochaine décennie, un tirage d'un tiers supérieur à ce que le PDG d'ERCOT a estimé en avril. Pour mettre cela en perspective, 33 gigawatts suffiraient à alimenter tout l'État de New York.
Après avoir subi des pannes de courant désastreuses qui ont fait 246 morts lors d'une tempête de froid glacial en février 2021, les Texans ne pouvaient pas être blâmés de se tordre un peu les mains à la perspective que les mineurs recherchent autant d'énergie.
Une porte-parole d'ERCOT a assuré à Bloomberg que l'organisation s'attend à avoir une production suffisante pour répondre à la demande croissante. Les enjeux sont importants : contrairement à d'autres États qui peuvent s'appuyer sur leurs voisins en période de stress, le Texas exploite son propre réseau électrique indépendant qui fait de la majeure partie de l'État une île électrique en soi.
- voir sur site -
Une carte des réseaux électriques interconnectés américains et canadiens (via NERC)
La campagne du Texas pour courtiser les crypto-mineurs s'est concentrée sur le climat réglementaire plus convivial de l'État, l'électricité bon marché et les sources d'énergie renouvelables substantielles. Par kilowattheure, les clients commerciaux paient environ un tiers de moins que la moyenne nationale.
"Il a également plus d'énergie éolienne que tout autre État, ce qui attire les mineurs qui poussent à paraître plus respectueux de l'environnement", écrit Naureen S Malik de Bloomberg.
Les mineurs affirment qu'ils sont des clients d'électricité idéaux, prêts à dévorer l'excès d'énergie éolienne et solaire lorsqu'elle est abondante, mais aussi suffisamment flexibles pour s'arrêter lorsque le réseau est sous tension.
RépondreSupprimerCette flexibilité peut être très payante : en juillet, Riot Blockchain a collecté 9,5 millions de dollars de crédits pour la fermeture de ses plates-formes minières au Texas, alors que l'État faisait face à une vague de chaleur historique et que l'énergie était rare.
"En réduisant la consommation d'énergie de 21 % le mois dernier, Riot a fait en sorte qu'ERCOT paie 100 % de sa facture d'électricité. Ainsi, même si la société a créé moins de bitcoins en juillet, la société a gagné environ 7 millions de dollars de plus qu'elle n'en aurait si elle n'avait pas réduit ses opérations », rapporte le Houston Chronicle.
Pas étonnant que les crypto-mineurs se précipitent au Texas.
https://www.zerohedge.com/energy/texas-crypto-miners-ask-use-much-power-all-new-york-state
🇨🇭 Des politiciens suisses forment la coalition "Stop aux pannes d'électricité": "Nous ne pouvons pas nous passer des centrales nucléaires"
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 10:15
Alors que le peuple suisse attend avec impatience le dévoilement gouvernemental mardi de son plan astucieux pour faire face aux pénuries d'énergie potentielles causées par la guerre en Ukraine, qui devrait largement pousser les consommateurs à des réductions volontaires ; Reuters rapporte qu'un groupe de politiciens suisses a formé "Stop The Blackouts", qui lancera une pétition demandant une révision de la politique énergétique du pays afin de garantir un approvisionnement énergétique adéquat et de maintenir le nucléaire dans le mix.
La Suisse produit plus d'électricité qu'elle n'en consomme mais dépend de ses voisins pour ses importations en hiver.
La Suisse prévoit de fermer ses cinq réacteurs nucléaires à la suite d'une décision de 2017 motivée par des problèmes de sécurité après la catastrophe nucléaire de 2011 à Fukushima, au Japon, et a déjà fermé un réacteur.
"Jusqu'à récemment, la Suisse disposait d'une production d'électricité sûre et pratiquement sans gaz carbonique : la combinaison écologique et climatique de l'hydroélectricité et du nucléaire doit être abandonnée sans aucune raison", a déclaré le site Internet de "Stop The Blackouts".
Pour rappel, dans le cadre de la démocratie directe suisse, sa constitution peut être modifiée par référendum si 100 000 signatures sont recueillies dans les 18 mois, bien qu'un résultat réel puisse prendre des années.
"Nous ne pouvons pas nous passer des centrales nucléaires", a déclaré Vanessa Meury, présidente du comité Stop The Blackouts et le seul membre du comité qui n'est pas un homme politique, au journal suisse SonntagsZeitung.
Cinq des six membres du comité du groupe sont des législateurs de partis du centre et de droite.
Le changement de constitution souhaité par le groupe rendrait Berne officiellement responsable de garantir l'approvisionnement énergétique, en utilisant "toute forme de production d'électricité respectueuse du climat".
D'abord le Japon plié, maintenant la Suisse, quand l'Allemagne capitulera-t-elle complètement devant la réalité que les "énergies renouvelables" ne couperont tout simplement pas dans le monde réel... et qu'adviendra-t-il alors de tous les récits "verts" en tant que nucléaire ?
https://www.zerohedge.com/energy/swiss-politicians-form-stop-blackouts-coalition-we-cannot-do-without-nuclear-power-plants
🇺🇸 L'Amérique a importé plus de 6 milliards de dollars de marchandises en provenance de Russie depuis l'invasion de l'Ukraine
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 09:30
Écrit par Kyle Anzalone et Will Porter via The Libertarian Institute,
En réponse à l'attaque de la Russie contre l'Ukraine, le président américain Joe Biden a juré d'isoler et de « paralyser » l'économie russe. Cependant, Moscou a pu maintenir sa puissance économique, en partie en exportant plus d'un milliard de dollars par mois en bois, métaux, nourriture et autres biens vers les États-Unis.
Plus de 3 600 navires en provenance de Russie sont arrivés dans les ports américains depuis le 24 février, selon des statistiques citées par l'Associated Press. Bien que cela représente près de la moitié des expéditions au cours de la même période par rapport à l'année dernière, cela représente tout de même plus de 6 milliards de dollars d'importations.
Le nombre de produits russes entrant dans les ports américains suggère que Biden ne respecte pas sa promesse d'isoler l'économie de Moscou. En raison de périodes dites de « liquidation » qui permettent aux entreprises de conclure des accords antérieurs, certaines marchandises continuent d'entrer dans le pays longtemps après que la Maison Blanche a annoncé des sanctions sur ces produits, y compris le pétrole et le gaz.
Paradoxalement, d'autres importations russes, comme les engrais, sont intervenues à la demande de l'administration Biden, qui a exhorté les entreprises américaines à combler les pénuries.
Et tandis que la Maison Blanche a saisi plusieurs yachts de luxe appartenant à de riches Russes ayant des liens lâches avec le président russe Vladimir Poutine, l'AP a découvert que des entreprises américaines et européennes importaient des millions de dollars de métal d'une société russe qui fabrique des pièces pour les avions de chasse de Moscou, mettant en évidence une autre divergence étrange dans la campagne de sanctions de Biden.
Malgré la pression diplomatique de Washington, d'autres alliés américains renforcent leurs liens économiques avec la Russie. La Turquie, membre de l'OTAN, a doublé ses importations de pétrole russe cette année.
RépondreSupprimerPendant la présidence de Biden, il a pris plusieurs mesures pour renforcer les liens avec New Delhi, avec les troupes américaines actuellement engagées dans des jeux de guerre avec l'Inde à la frontière chinoise. Mais comme Ankara, le pays a également augmenté de manière significative ses importations d'énergie en provenance de Moscou. La roupie indienne est également devenue une monnaie majeure pour le commerce des diamants, permettant aux acheteurs de contourner les sanctions américaines.
Bien que la guerre économique occidentale visait à nier la puissance militaire de Moscou et à l'amener à la table des négociations, elle n'a jusqu'à présent rencontré que peu de succès. Avec des exportations énergétiques russes dépassant les niveaux d'avant-guerre ces derniers mois et le rouble se ralliant au dollar, l'économie russe semble s'être bien mieux comportée qu'une grande partie de l'Europe depuis que les combats ont éclaté l'hiver dernier.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/america-imported-over-6-billion-goods-russia-ukraine-invasion
Quelles seront les conséquences réelles de la crise énergétique à venir en Europe ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 08:45
Toute personne sensée aurait pu le voir venir – l'Europe est au bord d'une crise économique et sociale sans précédent depuis la Seconde Guerre mondiale ; et ils l'ont essentiellement fait à eux-mêmes. Depuis l'invasion russe de l'Ukraine et les sanctions de l'OTAN qui ont suivi, les têtes pensantes des médias grand public ont constamment nourri le public d'un récit sans fin sur la façon dont l'UE n'a pas besoin du gaz naturel russe. Nous avons entendu un éventail de théories et de coups de poitrine de la part de journalistes d'entreprise et de politiciens menteurs ; tous semblant si certains que la Russie serait isolée et économiquement détruite en un rien de temps. Cela ne s'est pas produit, et maintenant l'inverse pourrait bientôt être vrai pour l'UE et le Royaume-Uni.
Pour vous donner une idée de la désinformation colportée au public sur cette question, jetez un coup d'œil au "plan de bataille" en 10 points élaboré par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) en mars dernier pour couper les importations énergétiques russes et sauver la planète. L'UE d'une crise :
1) Ne signez pas de nouveaux contrats d'approvisionnement en gaz avec la Russie. (RÉALITÉ : Cela suppose bêtement que la Russie veut signer de nouveaux contrats avec l'Europe.)
2) Remplacer les approvisionnements en gaz russe par des sources alternatives. (RÉALITÉ : il n'existe aucune source alternative qui puisse se rapprocher de la satisfaction des besoins énergétiques de l'Europe et qui puisse être aussi facilement transportée. L'Europe devra puiser dans les matières premières énergétiques du monde entier, occupant une grande part d'un gâteau en baisse et faisant grimper les prix pour la plupart des nations de la planète dans le processus.)
3) Introduire des règles minimales de stockage de gaz. (RÉALITÉ : Cela suppose qu'il y aura du gaz à stocker pour plus tard.)
4) Accélérer le déploiement de nouveaux projets éoliens et solaires. (RÉALITÉ : Pays imaginaire anti-carbone non basé sur la science. Il n'existe aucune énergie verte capable de chauffer les maisons européennes et d'alimenter leur industrie, sauf le nucléaire, et les gouvernements de l'UE ont toujours été hostiles aux projets nucléaires.)
5) Maximiser la puissance du gaz à partir de la bioénergie et du nucléaire. (RÉALITÉ : plus vous développez de bioénergie, moins vous avez de terres agricoles disponibles pour l'alimentation. De plus, les centrales nucléaires mettent des années à se construire et les gouvernements de l'UE continuent de les combattre. Si l'UE avait prélevé une partie des milliards qu'elle utilise chaque année sur des dépenses inutiles technologies vertes et programmes anti-carbone et dépensé cet argent dans des centrales nucléaires il y a 5 ans, ils ne seraient pas dans le pétrin où ils se trouvent aujourd'hui.)
6) Adopter des mesures fiscales à court terme sur les bénéfices exceptionnels de l'énergie – Réduire les factures d'énergie lorsque les prix du gaz sont élevés. (RÉALITÉ : Vous ne pouvez pas décréter des taxes plus élevées sur les producteurs d'énergie et réduire les factures d'énergie simultanément sans contrôle des prix par le gouvernement. Et, les contrôles des prix entraînent de toute façon une diminution de l'offre. Plus vous taxez les producteurs d'énergie, plus les factures d'électricité vont augmenter pour compenser. Il n'y a aucun moyen de contourner cela.)
RépondreSupprimer7) Accélérer le remplacement des chaudières à gaz et des pompes à chaleur. (RÉALITÉ : avant l'hiver ? Pas une chance. Cela aurait dû être fait il y a quelques années. En outre, il convient de noter que l'agenda zéro carbone de l'AIE a appelé à l'élimination des chaudières à gaz d'ici 2025. Plutôt pratique que la crise énergétique accélère leurs objectifs en matière d'énergie verte, vous ne pensez pas ?)
8) Accélérer les améliorations de l'efficacité énergétique dans les bâtiments et l'industrie. (RÉALITÉ : qui va payer pour ça ?)
9) Encourager un abaissement temporaire du thermostat de 1°C par les consommateurs. (RÉALITÉ : Cela ouvre la porte à des « compteurs intelligents » que les compagnies d'électricité ou les gouvernements peuvent contrôler sans votre consentement.)
10) Intensifier les efforts pour diversifier et décarboner les sources de flexibilité du système électrique. (RÉALITÉ : Plus d'énergie verte, qui s'est avérée maintes et maintes fois être un remplacement totalement inefficace des carburants à base de carbone.)
L'AIE est une institution hostile à l'énergie et aux industries à base de carbone et appelle à la fin de toutes les émissions de carbone d'ici 2050. C'est pourquoi aucune de leurs puces de mars qui ont été tentées n'ont fonctionné ; parce qu'ils ne sont pas conçus pour fonctionner, ils ne font que promouvoir d'autres contrôles du carbone tout en nuisant à la production d'électricité mondiale dans le processus.
Il n'existe actuellement aucun substitut pratique au pétrole, au charbon et au gaz naturel; rien. Surtout pas dans un délai raisonnable qui épargnerait aux Européens une catastrophe totale. La seule façon dont la technologie verte serait en mesure de fournir suffisamment d'énergie aux populations mondiales serait si la population humaine était considérablement réduite. La crise énergétique en Europe aide en fait l'agenda de l'AIE, tout comme elle aide les agendas climatiques de l'ONU et du WEF. Mais qu'en est-il de toutes les personnes qui souffriront entre-temps ?
Attendez-vous à un important rationnement énergétique cet hiver dans l'UE. Environ 80 % de tout le gaz naturel de l'UE est importé et les exportations de gaz naturel de la Russie représentent environ 40 % du chauffage et de l'électricité de l'Europe. La Russie réduisant désormais ses exportations à 20 % de leurs niveaux d'origine, il n'y a aucune chance que l'UE soit en mesure de maintenir sa consommation d'énergie normale.
Les pénuries du côté de l'offre entraîneront une explosion des prix à l'approche de l'hiver à mesure que la demande augmentera. Les prix ont le potentiel de doubler (ou plus) d'ici le début de 2023.
RépondreSupprimerLes gouvernements européens donneront probablement la priorité au chauffage des résidences publiques plutôt qu'à l'énergie pour l'industrie ; ils le feront pour empêcher les troubles civils, comme certains responsables gouvernementaux le préviennent déjà. Il est possible que l'industrie de l'UE soit entravée par le réacheminement de l'approvisionnement énergétique vers la consommation publique. Nous avons vu quelque chose de similaire en Chine cette année alors que leurs conditions de sécheresse s'aggravent.
Des troubles civils se produiront probablement de toute façon. Les restrictions climatiques, les règles de l'énergie verte sur les émissions de carbone et d'autres mesures ridicules empêchent les Européens de s'adapter aux événements de crise. Les prix seront élevés et le plafonnement des prix ne résoudra pas les pénuries d'approvisionnement. Lorsque les gens commenceront à se figer, il y aura de la colère et du désespoir.
La seule solution légitime à court terme pour éviter une calamité énergétique historique dans l'UE cet hiver serait de lever les sanctions contre la Russie. Mais l'OTAN a clairement indiqué que cela n'arrivera pas. Ainsi, les Européens sont positionnés pour faire face aux conséquences tout en se faisant dire qu'il n'y aura pas de conséquences. Et, quand la douleur commencera à frapper, on leur dira que c'est pour le "plus grand bien".
https://www.zerohedge.com/energy/what-will-be-real-world-consequences-europes-coming-energy-crisis
Et de plus, en cas de gros froids, il ne suffit pas à une centrale électrique d'appuyer sur l'interrupteur 'Clic-Clac !' pour mettre en marche car, lorsque vous avez une marmite (dite 'familiale') de 30 m de diamètre sur 30 m de haut... aaaaavant que l'eau bouille... t'as le temps de tuer un âne à coups de poings !
SupprimerLe droit face à la mondialisation (2) : une communication entre les juges
RépondreSupprimerLe dialogue des juges, leurs relations et les citations de plus en plus nombreuses tendent à créer ce qui pourrait s’assimiler à une « communauté interprétative globale ».
le 29 août 2022
Raphaël Roger
La globalisation du droit a eu un fort impact en matière de droits fondamentaux.
Comme le rappellent Allard et Garapon :
« La mondialisation du droit s’est étendue à la vaste galaxie des droits fondamentaux, combinant ainsi vertu opératoire et ambition humaniste, voire universaliste. »
Outre l’extension du droit à tout ce qui est mobile, c’est bien l’extension de la globalisation judiciaire aux droits fondamentaux qui constituent son aspect le plus original. Ainsi, « ce n’est d’ailleurs pas tant le vocabulaire des droits de l’Homme qui est nouveau, que la volonté des juges de lui donner corps dans des décisions concrètes, de créer un embryon d’ordre public mondial minimal ».
Un exemple permet de l’illustrer, celui de l’évolution du Conseil d’État et de sa jurisprudence, devenant lui aussi, alors censé n’être que le juge de l’administration, un véritable juge protecteur des libertés.
Comme le fait très bien remarquer Joël Andriantsimbazovina :
« L’habilitation à protéger les libertés n’est d’ailleurs pas uniquement constitutionnelle. Elle est également européenne. En tant que juge de droit commun de la Convention de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales, le juge administratif est en première ligne pour faire respecter cette convention à l’administration. De même, en tant que juge de droit commun du droit de l’Union européenne, dès lors qu’il statue dans le champ d’application du droit de l’Union européenne, le juge administratif est juge des droits fondamentaux de l’Union européenne ».1
En effet, l’influence de la Cour européenne des droits de l’Homme (ci-après CEDH) est grande sur le Conseil d’État, notamment dans l’application de la Convention européenne des droits de l’Homme. Ce développement fut aussi permis par la jurisprudence du Conseil d’État, en particulier l’arrêt Nicolo de 1989.
En remarques préliminaires, citons Jacques Caillosse qui indique très justement :
« L’affaire Nicolo n’a guère de sens par elle-même. Elle prend sa signification une fois inscrite dans la durée, c’est-à-dire dans l’épaisseur de la jurisprudence administrative. L’arrêt du Conseil d’État est indissociable du mouvement profond du droit : porté par des antécédents qui l’ont rendu possible, il crée à son tour les conditions de possibilité d’autres décisions intéressant les rapports entre la loi nationale, la Constitution française et les traités internationaux. »
RépondreSupprimerL’arrêt Debout de 1978, pour illustrer les antécédents, où le commissaire du gouvernement invitait la section du contentieux du Conseil d’État, d’une part, à « éviter toute solution qui serait radicalement incompatible avec la jurisprudence de la Cour » mais aussi, d’autre part, à « éviter aussi toute solution qui sur un point marquerait une rupture avec le droit national antérieur », témoignent de cette volonté du juge administratif d’intégrer la Convention à l’ordre juridique interne de manière graduelle, c’est-à-dire pas à pas.
Donc depuis ces arrêts, la juridiction administrative, comme juridiction nationale participant au système européen de protection des droits de l’Homme, remplit aujourd’hui pleinement son office de juge de droit commun de la Convention. De plus, le juge administratif s’inspire de la Convention pour créer, au-delà des exigences qui découlent de son application même, dans un cadre national, un système de protection renforcée des droits et libertés fondamentaux.
De par son activisme juridique, la CEDH a donc instauré au travers de son interprétation dynamique et constructive de la Convention, une véritable communauté interprétative qui occupe un réseau normatif européen. Fondé sur le critère de la subsidiarité, la pleine efficacité du réseau normatif de la CEDH est le rôle des juridictions nationales, qui sont les juges « primaires » de la Convention. Pour améliorer cette communauté interprétative, qui est formée « des pratiques institutionnelles continuellement transformées par le travail » qu’effectuent les acteurs juridiques, la juridiction administrative tire ainsi les conséquences directes des arrêts de la Cour et tient compte également, de manière importante, de l’interprétation que la Cour donne de la Convention.
Dans la jurisprudence du Conseil d’État, cela se traduit par l’utilisation de qualifications ou de catégories juridiques issues des décisions de la Cour. Cette communauté interprétative s’enrichit notamment au travers du dialogue des juges ou du « roman du droit » (Dworkin), entre les diverses juridictions nationales et entre juridiction nationale et juridiction européenne, qui l’enrichissent par leur fonction narrative et argumentative. Ce dialogue constant nourrit le travail juridique d’apport extérieur nécessaire pour protéger les droits fondamentaux, créant une « communauté de principes » (Dworkin), qui devient alors la source première des jugements.
C’est en conséquence de cela que « le juge administratif s’appuie également sur la Convention pour enrichir des droits et libertés déjà reconnus. Il le fait par exemple en combinant les sources nationales et européennes » ou « en renforçant les garanties qui les entourent ». Allant même plus loin, « le juge administratif repense en profondeur chacun de ses domaines de compétence pour créer, au-delà des seules exigences du texte ou de la jurisprudence de la Cour, un système autonome de protection efficace des droits et libertés, système en harmonie avec son identité culturelle, inspiré par la Convention, mais qui en dépasse les contours. »
RépondreSupprimerL’exemple du contrôle de proportionnalité est éloquent, notamment en matière d’expulsion. Au travers de cet exemple,on voit donc les influences entre les juridictions, notamment dans la protection des droits et libertés fondamentaux.
Le dialogue des juges, leurs relations et les citations de plus en plus nombreuses tendent à créer ce qui pourrait s’assimiler à une « communauté interprétative globale », sans pour autant être un ordre juridique global, du fait de la persistance des systèmes juridiques nationaux, conditionnant en grande partie la globalisation du droit.
C’est en ce sens que le juge, bien qu’ayant pour fonction première de dire le droit, de trancher des litiges voire d’édicter des principes juridiques, voit dans la globalisation, son rôle évolué, devenant en quelque sorte un outil indispensable dans les espaces de tensions politiques.
La protection des libertés, fondement de la compétence du juge administratif ? Publié en avant-première de : X. Bioy, E. Debaets, J. Schmitz (dir.), Répartition des compétences juridictionnelles et protection des libertés, Institut universitaire Varennes, coll. « Colloques et essais», 2020 ↩
https://www.contrepoints.org/2022/08/29/437724-le-droit-face-a-la-mondialisation-2-une-communication-entre-les-juges
Chaque dictateur dans le monde y va de son petit génie pour être exceptionnel et montrer 'le bon exemple', mais tout-de-même, quand o voit la carte HAARP ci-dessous...
Supprimerhttps://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/
là, on voit bien qu'ils sont tous dans le même sac même si 'on pourrait dire' qu'ils seraient différents !
Là, je crois que le public devrait se réveiller au lieu de crier tous les jours "Attention merde à gauche !" ou "Attention merde à droite !", ou "Attention merde au centre !" ou "Attention merde aux extrêmes !" car, quel que soit le parti c'est pareil, la population est prise pour une conne et se laisse tondre jusqu'à l'os et enfiler 50 fois par des poisons en seringues ! ("C'est pour votre bien" !)
Cyber-naufrage (le djihad du néant)
RépondreSupprimerAOÛT 28, 2022
PAR LHK
« La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.
Supprimer le mot «mademoiselle» est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.
Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée.
Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.
Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.
Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.
L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans 1984 à Ray Bradbury dans Fahrenheit 451 qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.
Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.
Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants: faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.
Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses «défauts», abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté ».
Christophe Clavé
Cyber-naufrage (le djihad du néant). Par Slobodan Despot
RépondreSupprimerNous raisonnons, nous analysons, nous «cherchons», mais nous ne pensons plus. Une science du contrôle et de la communication a transformé le réel en un ensemble de séquences narratives dont il est défendu de s’écarter. D’où ce sentiment que nous avons parfois d’être embarqués à bord d’un train fou.
«Nous n’avons jamais été aussi peu préparés à une catastrophe évidente comme une montagne; c’est parce que les gens qui sont aux manettes l’ont fait advenir par des actes combinés de malice et de stupidité.»
James Howard Kunstler
Liliane Held-Khawam a récemment eu l’excellente idée de présenter et de republier une réflexion dévastatrice sur la nature de la cybernétique comme science et comme idéologie.
- voir cadre sur site -
https://lilianeheldkhawam.com/2022/07/31/la-guerre-livree-a-lhumanite-la-cybernetique-article-de-stephane-zagdansk/
Un essai de Stéphane Zagdanski, paru en novembre 2021, est tiré du Séminaire sur «La Gestion génocidaire du Globe». «La Cybernétique à l’assaut de l’Homme» est une mise en garde d’une extrême violence contre une religion scientifique qui rêve de se substituer à Dieu et qui manifeste une haine absolue de tout ce qui est vivant, «animal», inquantifiable. Zagdanski souligne — comme nous le faisions en 2020 -que «la crise pandémique contemporaine et sa réaction idéologique qu’est le sanitarisme même sont impensables sans la Cybernétique».
Comme les autres phénomènes de la société industrielle avancée:
«Définie par son fondateur Norbert Wiener en 1948, dans son essai éponyme, comme: “Contrôle et communication dans l’animal et la machine”, la Cybernétique s’est déployée de manière si hégémonique qu’il n’est plus aujourd’hui un domaine intellectuel, social,politique, économique, scientifique, technologique ou idéologique qui n’y soit asservi.»
Stéphane Zagdanski
HAINE DU VIVANT
Je ne vais pas reproduire ici le texte de Zagdanski in extenso, mais il faut le lire. Il n’est pas une phrase, dans cette description d’un «assaut» concerté contre l’être humain, qui ne perturbe les idées reçues et qui ne provoque la réflexion.
«Le mot “cybernétique” est de la même étymologie grecque que “gouvernail“ et “gouverner“ : kubernetikè. La Domination planétaire tire ainsi le plus imparable parti de la Cybernétique, qui n’est pas tant la science des ordinateurs que la modalité moderne, mathématiquement assistée, de ce que Heidegger nomme la Führung, c’est-à-dire la direction impulsée par les «chefs» (les Führers), et de sa doublure d’animosité et d’annihilation à l’encontre de l’animal.»
Stéphane Zagdanski
Pourquoi ce désir d’annihilation ?
À cause de la supériorité physique de l’animal sur l’homme, témoignant d’une perfection échappant à tout contrôle et à tout simulacre. Par extension, la part naturelle (ou divine) de l’homme doit elle aussi être annihilée.
«L’irrégulier, l’incertain, le miracle et l’imprévisible sont ses pires ennemis. Et ce que cette science qui se veut exacte vise à son insu, c’est d’emblée ni plus ni moins ce qu’il y a de plus imprévisible au monde: l’inspiration, soit la vraie pensée créatrice qui n’a rien à voir avec l’intelligence, artificielle ou pas.»
RépondreSupprimerStéphane Zagdanski
(…)
Nous retombons sur le diagnostic à l’emporte-pièce du Dr Peterson: nous sommes dérangés et (littéralement) dégénérés.
Mis en demeure de réfléchir pour de bon, l’homme cybernétique produit des raisonnements d’un simplisme infantile, s’immerge dans la dérive émotionnelle et bafoue les lois élémentaires de la logique et de l’argumentation. Il n’est pas programmé pour ça. Sa pensée vivante a été laissée en jachère. Et l’ironie suprême, c’est que les plus estropiés, souvent, sont justement les mieux «instruits», comme le relève Zagdanski:
«Le point aveugle de ces maniaques, c’est leur concept de base, ce qu’ils appellent “l’intelligence”. Car leur conception de l’“intelligence” n’est jamais remise en question par les promoteurs de l’IA, qui proviennent tous toujours du même sérail mathématico-scientifique (le MIT principalement), capable de bien des choses (ils envoient des hommes sur lalune et des drones sur Mars), mais de penser créativement, jamais. (…) C’est de la caboche de ces centaines d’intelligents utiles du MIT qu’est issue l’immonde figure du monde dans lequel nous sommes engeôlés aujourd’hui.»
Stéphane Zagdanski
A BROUTER DU FOIN
Il y a quelques années encore, ou même en 2020 lorsque nous essayions de comprendre l’avalanche de bêtise engendrée par le Covid à la lumière de la révolution technologique, ce texte eût semblé partial et excessif. Mais aujourd’hui, l’«immonde figure du monde» où nous sommes «engeôlés» nous impose sa grimace de quelque côté que nous tournions le regard — et si nous ne la voyons pas à l’heure qu’il est, c’est que nous ne sommes déjà plus du côté des spectateurs, mais du spectacle. Les illustrations abondent ces derniers temps, notamment dans les propositions d’économie d’énergie pour «faire la nique à Poutine» (comme celle consistant à favoriser la transition vers l’automobile électrique par la taxe carbone sans se demander d’où vient le courant!). Mais nous nous contenterons de deux cas exemplaires de cette semaine.
Le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach (celui qui ressemble à une autruche hystérique ayant avalé une seringue de travers), déclare en substance que la vaccination protègedu Covid d’autant mieux qu’elle ne marche pas! L’argument est que les personnes piquées développent rapidement des symptômes et restent à la maison, tandis que les personnes non piquées développent des symptômes
RépondreSupprimerplus lentement — bref, elles sont plus résistantes.
Ensuite, la perle de la semaine, du mois et peut-être du siècle. La désormais légendaire Liz Truss, favorite à la succession de Boris Johnson, était interrogée par un journaliste:
«Confronté à cette tâche (recourir aux armes nucléaires), je me sentirais physiquement malade. Et vous,qu’est-ce que cela vous fait ?» «L’air plutôt impassible», rapporte la presse, Liz Truss répond: «Je crois que c’est une tâche importante du Premier ministre et j’y suis prête.»
Le journaliste, un peu choqué, insistant pour avoir son sentiment, elle répète, mécaniquement: «Je suis prête.» Dans la vidéo de l’entretien, on entend l’audience applaudir… Qu’y a-t-il de commun entre ces deux déclarations, outre leur tonitruante bêtise et leur sidéral déni de réalité?
L’insensibilité à la situation concrète en premier lieu. La conclusion logique au sujet des vaccins, qui sauterait aux yeux de n’importe quelle personne dotée de bon sens, est écartée a priori par le «compétent» Lauterbach.
Des esprits suspicieux vous diront que tout cela n’est que comédie, que ces gens savent très bien ce qu’ils font et qu’ils vous prennent pour des bourriques, que de toute façon ils ne sont que des acteurs sans aucun pouvoir chargés d’amuser la galerie. Je ne le pense pas, à l’exception éventuelle de ce dernier point. En effet, ces maniaques du contrôle ne contrôlent rien à l’échelon stratégique qui est le leur, d’où leur obsession, calamiteuse, du micromanagement jusqu’à l’absurde. Pour le reste, hélas, je crains qu’ils ne croient vraiment à leurs calembredaines. Ces gens sont souvent bardés de diplômes presti gieux, ont passé la moitié de leur vie à «étudier», ou plutôt à prouver leur conformité aux canons idéologiques en place, mais ils sont irrémédiablement stupides. Stupides «à brouter du oin», comme l’on dit chez les paysans du Valais.
• Notule. Ayant travaillé dans une période de ma vie dans le milieu politique, j’ai pu m’en assurer de première main. J’y ai croisé des armées d’apparatchiks rusés, habiles, éloquents, capables de machinations balzaciennes, mais des esprits qui pensent, très rarement. Leur trajectoire en politique est généralement météorique et conflictuelle, car elle perturbe gravement le système. De manière générale, il me semble que les derniers politiques capables de penser par leur propre tête ont quitté la scène au tournant des années 2000. Ils avaient reçu une éducation humaniste dans une civilisation précybernétique.
Ceci nous amène au second exemple, le cas Liz Truss. Je suis convaincu que si l’on avait posé la
RépondreSupprimermême question à une serveuse de restaurant ou à un mécanicien automobile, ces personnes auraient refusé de répondre ou au moins exigé des précisions: «dans quelle situation ?»
De fait, l’usage de l’arme nucléaire est extrêmement codifié et la réponse à la question du journaliste ne peut se résumer à oui-non. Un État doté d’une force de dissuasion doit faire savoir qu’il ripostera immanquablement, si, et seulement si, il fait face à une menace existentielle. Envisager d’agir en «première frappe», en revanche, est un jeu dangereux qui peut très mal se terminer. C’est pourquoi le contexte est essentiel. Il y a quelques mois, les Britanniques avaient été pris d’hystérie lorsqu’une télévision russe a montré l’effet d’un missile «Sarmat» (hypersonique et inarrêtable) sur leur île: en quelques minutes, elle disparaîtrait de la surface de la Terre. Au lieude les faire réfléchir, de telles mises en garde n’ont conduit qu’à… Liz Truss !
Avec sa déclaration, elle a fait savoir au monde que le Royaume-Uni allait probablement être gouverné par une idiote irresponsable. Et le plus préoccupant, avec ce dérapage, est qu’il a été applaudi par l’assemblée !
Ajout LHK
COMME SUR DES RAILS
Ces bouffons à grelots ne sont pas des cas marginaux, ce sont des ministres et des représentants typiques de l’élite dirigeante — et nous n’irons pas égrener le bestiaire étasunien, ce serait une encyclopédie. Que leur pouvoir soit réel ou non, ils occupent le haut du panier, avec voitures et avions de fonction, présence médiatique continue, secrétariats pléthoriques, honneurs et prébendes. Pourtant, leur dogmatisme répétitif et buté fait penser à l’obstination d’une tondeuse robotique confrontée à un obstacle imprévu (encore que certaines tondeuses «savent» le contourner). Par mimétisme social, toute la pyramide descendante règle son comportement sur eux, même si elle n’en pense pas moins: quand le pacha zézaye, le sous-fifre s’invente un défaut de prononciation, on le sait depuis Molière et Gogol. Ces cas spectaculaires ne sont que les symptômes irréfutables d’une société devenant incommensurablement stupide, travaillant contre la raison, contre l’humain et contre elle-même. En l’occurrence, il s’agit d’une stupidité non pas spontanée, mais apprise, donc enseignée. La lecture des maniaques cybernéticiens, ou celle des observateurs aigus comme Roszak ou Zinoviev, nous permet de pointer, parmi bien d’autres facteurs, une colossale erreur système, inscrite dans la «science» même qui organise la société de l’information.
Lorsque Lauterbach invente son justificatif ubuesque pour les vaccins, lorsque Truss balance son «je suis prête !» sans avoir vraiment entendu la question, ces gens réagissent en réalité comme des machines cybernétiques: contrôle et communication! Chacun s’aligne sur un «narratif», autrement dit un scénario mécanique inspiré par le consensus général et mis au point par des équipes de communicants. Ici, le salut sans alternative par les vaccins, là, le scénario imposé par Boris Johnson et ses maîtres néoconservateurs d’une guerre à outrance et sans alternative contre la Russie.
A l’intérieur de ce canevas, des adaptations tactiques sont possibles, mais la ligne générale est immuable, quoi qu’il arrive. Ce ne sont plus des êtres pensants, ce sont des bolides lancés sur des rails, sans frein, sans voie de dégagement et sans marche arrière. Là où règne la communication, là où le message crée la réalité, là où les spin doctors sont les ventriloques des élus, la raison n’est plus aux commandes. Elle cède le pas au volontarisme inflexible et aveugle de la cybernétique.
Slobodan Despot, Antipresse
RépondreSupprimerInfos complémentaires // AJOUTS LHK
Comment rester humain ?
États-Unis: La députée Jackie Walorski travaillait avec Anne Heche pour mettre fin au trafic sexuel d’enfants. Walorski a été tuée dans un accident de voiture la semaine précédant celle Anne Heche (11.08.22) qui s’était récemment exprimée sur « l’épidémie » de trafic sexuel d’enfants à Hollywood.
https://lilianeheldkhawam.com/2022/08/28/cyber-naufrage-le-djihad-du-neant/
Les profs, les instits sont formés à l'IUFM qui ne dit pas son nom mais cache une dictature extrême 'venue d'en-haut' ! Et donc, ces robots, ces transhumanisés (faut qu'ils donnent l'exemple) vont dicter des choses, des invraisemblablités, des énormités pédaliques, des grossièretés inadaptables afin de fabriquer des élèves cons, obéissant, cruels, dégénérés qui mettrons eux-mêmes au monde des enfants comme eux !
SupprimerBillet du jour : Le système libéral est mort, paix à notre âme
RépondreSupprimerlundi 29 août 2022
Macron ne s'est pas correctement exprimé : ce n'est pas la fin de l'abondance, c'est la fin d'un monde. Celui du libéralisme à visage humain. Déjà fortement remis en cause avec la gouvernance globale covidienne, le système libéral vient d'être enterré par Macron, puis par Borrell, après les nombreuses déclarations surréalistes de différents politiciens européens. La page du 20e siècle est tournée. Celle qui s'ouvre est peu ragoûtante ... Et ne pouvant ouvertement assumer ce choix idéologique impopulaire, le conflit en Ukraine est instrumentalisé, la Russie est démonisée.
C'est bien la mort du 20e siècle, avec l'affermissement de la classe moyenne, avec l'idée du développement d'une société pour tous, avec la volonté d'une éducation de masse permettant une amélioration générale des conditions de vie. C'est cela qui est terminé. C'est cela qui n'a plus sa place dans le monde globalisé en guerre pour sa survie. En guerre contre nous. D'ailleurs, nous avons été prévenus par nos dirigeants, qui instrumentalisent la guerre en Ukraine pour achever sur le dos de la Russie le système national.
En Allemagne, Scholtz avait déclaré que rien ne sera plus comme avant, que les circuits économiques sont déstabilisés - par les sanctions adoptées par les Européens eux-mêmes contre la Russie, autant que par la furie globaliste covidienne. Le prix du gaz en Europe est passé au-dessus des 3 500 dollars pour 1000 m3 et le coût s'emballe pour les particuliers et les entreprises. Les économies nationales ne vont pas survivre à une telle politique.
Des mesures absurdes sont prises, comme mettre des amendes aux magasins, qui laissent la porte ouverte avec la climatisation. Des dirigeants politiques vous disent de prendre une douche froide en criant "Tiens, c'est pour toi Poutine", d'autres de réduire votre douche à 5 minutes. L'on voit des pancartes dans les magasins demandant de ne pas acheter plus d'un pot de moutarde en raison de la pénurie. Nos sociétés glissent vers l'absurde, car seul l'absurde peut expliquer les choix politiques faits.
Lors de la réunion du Conseil des ministres de rentrée, Macron a déclaré que c'était la fin de l'abondance et que tel était le prix à payer pour la liberté. Nous pouvons désormais estimer nos libertés, enfin ce qui en reste, en minutes de douche et pots de moutarde.
Pourtant, ne soyons pas si naïfs, nos libertés n'ont rien à faire ici, il ne s'agit que d'idéologie et de pouvoir. Ces gesticulations ont pour but de mettre en place un choc suffisamment important pour changer de monde - le pré-choc covidien ayant mis en place les prémisses, mais n'étant pas suffisant pour permettre l'implosion des sociétés, nationalement ancrées. Ainsi l'on voit apparaître les vieux-nouveaux spectres des "nouveaux mondes" et la fantasmagorique transition énergétique au chant du ceci est une chance, ne la laissons pas passer. Pour faire passer la pilule, les économistes de service nous affirment même que ce processus de rupture économique est inévitable et que nous entrons dans "un régime de rareté". Bref, la rareté est une chance !
RépondreSupprimerLa fin de l'abondance signifie que la classe moyenne n'aura plus les moyens de vivre, comme elle en avait l'habitude avant 2019, pour la simple et bonne raison qu'il n'est plus nécessaire de l'entretenir, elle est même contre-productive dans le nouveau système. Tout le business national est dans la même catégorie. Ils sont trop conservateurs, c'est-à-dire trop attachés aux valeurs libérales, qui leur ont donné leur place dans la société. La classe moyenne, les PMI-PME, l'artisanat, constituent le socle social national. S'il ne doit plus y avoir de nation, ils doivent disparaître. Toutes les mesures anti-économiques, qui sont adoptées ces dernières années, y travaillent sûrement.
Dans cette société au rabais, l'enseignement de qualité et de masse, qui était la marque de fabrique du 20e siècle, ayant permis de constituer cette classe moyenne forte, doit également disparaître et il disparaît. Après la réécriture des programmes scolaires, leur transition idéologique, voici les formations expresses de 4-5 jours et vous avez un prof tout neuf. Incompétent à souhait, parfaitement adapté à l'abrutissement de masse, cette masse qui doit savoir ce qu'est le genre, comment trier ses déchets, que maman peut réparer la voiture encore mieux que papa, qu'une fille et un garçon ça n'existe pas, vaguement lire et écrire, qui doit savoir tout cela et non pas ses humanités. L'élite gardera ses écoles privées, la classe la plus basse qui va se reconstituer n'aura pas besoin d'école.
Nous revenons à la situation d'avant le 20e siècle, mais sans les États-Nations, sans cette politique nationale, qui donnait un sens au libéralisme. Et ce système impopulaire, qui se construit contre les populations, ne pourra se maintenir que par la terreur. Le libéralisme politique est mort, en même temps que le libéralisme économique - toute véritable opposition est bannie, elle est démonisée, elle est ennemie. Le signe de ralliement de cette "liberté globaliste" est le drapeau ukrainien, que l'on voit envahir nos pays, qui ne sont pas officiellement en guerre contre la Russie, mais se liquéfient dans un atlantisme incontrôlable.
Rien de tel qu'une bonne guerre politico-médiatique pour faire passer tout cela. La propagande anti-russe tourne sans retenue dans tous les médias. Les dirigeants mettent toutes les difficultés socio-économiques induites par leur politique sur le dos de la Russie. L'opposition politique nationale ne doit plus exister ... sinon l'on est catalogué "pro-russe" et bientôt ennemi du peuple - global et décérébré.
RépondreSupprimerLa France, comme pays, comme État, comme Nation, n'a pas sa place dans cette vision du monde, qui se réalise sous nos yeux. Il est urgent de réagir.
http://russiepolitics.blogspot.com/2022/08/billet-du-jour-le-systeme-liberal-est.html
Un porte-avions britannique subit une panne embarrassante un jour après une mission de 4 mois
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 18:05
Le plus grand navire de guerre du Royaume-Uni a subi un revers embarrassant, tombant en panne peu de temps après son départ pour une "mission historique" aux États-Unis. Le HMS Prince of Wales a connu un «problème mécanique émergent» – selon un porte-parole du ministère britannique de la Défense – et est maintenant en panne juste au large de la côte sud de la Grande-Bretagne.
Le navire est le deuxième porte-avions de la Royal Navy, devenu pleinement opérationnel l'année dernière, et son coût est estimé à 3 milliards de livres sterling. Il est en outre considéré comme un « fleuron de l'OTAN ». La panne est survenue un jour seulement après son départ de Portsmouth samedi.
"Le HMS Prince of Wales reste dans la zone d'exercice de la côte sud tout en menant des enquêtes sur un problème mécanique émergent", a déclaré un porte-parole de la Royal Navy.
Le déploiement sur la côte américaine devait durer quatre mois, mais après une histoire de problèmes au cours de sa première année seulement sur les mers, toute la mission pourrait maintenant être remise en question, selon The Guardian :
Des plongeurs ont inspecté le transporteur de 930 pieds après que des dommages ont été signalés à un arbre d'hélice, selon le site d'information Navy Lookout.
Le navire – le plus grand navire de guerre britannique et le porte-avions phare de l'OTAN – a connu des problèmes, s'est échoué à Portsmouth fin 2020 après que des inondations dans sa salle des machines ont endommagé l'électricité. Au cours de ses deux premières années de service, le transporteur aurait passé moins de 90 jours en mer après avoir provoqué des fuites deux fois en cinq mois.
La mission conjointe prévue une fois dans les eaux américaines doit se concentrer sur les décollages de chasseurs F-35, ainsi que sur les opérations impliquant des drones avancés. Cela allait impliquer des arrêts à New York, ainsi qu'à Halifax au Canada et dans les Caraïbes.
Un site de défense et de surveillance maritime Navy Lookout avait ceci à dire :
"Si le problème s'avérait sérieux, il va sans dire que c'est extrêmement malheureux et pas beau pour la RN [Royal Navy]."
Les rapports suggèrent en outre fortement qu'il ne s'agit pas d'un problème mineur pour le navire de guerre de 65 000 tonnes, mais qu'un "défaut technique important" a forcé son arrêt.
Il n'a pas fallu longtemps aux experts de l'État chinois pour commencer à troller et à se moquer du sort du transporteur à la pointe de la technologie...
La BBC et d'autres ont en outre cité Navy Lookout pour spéculer sur ce qui suit :
Le site Web indique qu'une photographie du porte-avions quittant Portsmouth ne montre qu'un sillage du côté bâbord suggérant un problème avec l'autre arbre d'hélice.
RépondreSupprimerIl indique que, à moins que le problème ne puisse être résolu en mer permettant au navire de guerre de poursuivre son voyage vers les États-Unis, il pourrait devoir se rendre tôt en cale sèche à Rosyth en Écosse, avant une inspection prévue en 2023.
Cependant, il n'y a pas encore eu de confirmation officielle du ministère britannique de la Défense concernant les dommages à l'hélice, l'étendue des dommages possibles ou le moment où le transporteur pourrait poursuivre son voyage.
https://www.zerohedge.com/military/uk-aircraft-carrier-suffers-embarrassing-breakdown-one-day-4-month-mission
HOULALA ! Un 'problem' ? Y a de la technologie scalaire dans l'air ! Âââââh ! ÔH PUTAING !
SupprimerLa NASA annule le lancement de la Lune après un problème de moteur
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 14:51
Mise à jour (0851ET) : La NASA a été forcée de frotter le lancement du système de lancement spatial avec une capsule Orion sans équipage après qu'une série de problèmes se soit matérialisée autour de T-Minus 40 minutes.
Les ingénieurs ont eu du mal à refroidir l'un des moteurs RS-25 du booster à la bonne température en y faisant passer de l'hydrogène liquide, maintenu à moins 423 degrés Fahrenheit. Les ingénieurs ont essayé une série de correctifs, mais aucun n'a fonctionné. -Wapo
Le lancement de #Artemis I n'a plus lieu aujourd'hui alors que les équipes travaillent sur un problème de purge moteur. Les équipes continueront de collecter des données et nous vous tiendrons au courant du moment de la prochaine tentative de lancement. https://t.co/tQ0lp6Ruhv pic.twitter.com/u6Uiim2mom
– NASA (@NASA) 29 août 2022
Nous avons noté que les dates de lancement reprogrammées antérieures incluent le 2 et le 5 septembre.
* * *
Mise à jour (lundi 08h10 ET) : le système de lancement spatial (SLS) de la NASA devrait être lancé vers 08h33 ET. La fenêtre de décollage peut être repoussée à 1033 ET si des problèmes météorologiques ou techniques surviennent.
La première tentative de lancement du SLS avec une capsule Orion sans équipage en orbite terrestre basse sur une trajectoire vers la lune pourrait être retardée, selon Tom Costello de NBC News. Il a tweeté :
"La NASA dit qu'un lancement à 8h33 est peu probable. Plus ils travaillent longtemps pour comprendre les problèmes avec le moteur 3 et la fissure sur la bride du réservoir central, moins un lancement est possible … surtout compte tenu des conditions météorologiques prévues."
.@NASA dit qu'un lancement à 8h33 est peu probable. Plus ils travaillent longtemps pour comprendre les problèmes avec le moteur n ° 3 et la fissure sur la bride du réservoir interne, moins un lancement est possible ... surtout compte tenu des conditions météorologiques prévues.
– Tom Costello (@tomcostellonbc) 29 août 2022
"Le compte à rebours est suspendu à T-40 minutes", a tweeté la NASA.
Le compte à rebours est en attente à T-40 minutes. L'équipe hydrogène de la fusée @NASA_SLS discute des plans avec le directeur de lancement #Artemis I. Le commentaire opérationnel se poursuit sur https://t.co/z1RgZwQkWS. pic.twitter.com/5J6rHVCe44
– NASA (@NASA) 29 août 2022
En cas de problèmes météorologiques ou techniques, la NASA reportera le lancement aux 2 et 5 septembre.
Voici la diffusion en direct officielle du lancement.
- voir clip sur site -
* * *
La fusée la plus massive de la NASA, le Space Launch System (SLS), est prévue pour un lancement lundi matin depuis le Kennedy Space Center en Floride qui propulsera une capsule Orion lors d'un voyage d'un mois autour de la lune.
RépondreSupprimerSLS est prévu pour le lancement de 08h33 ET depuis le Pad 39B au Kennedy Space Center, avec une fenêtre de lancement de deux heures. En cas de problèmes météorologiques ou techniques, la NASA reportera le lancement aux 2 et 5 septembre.
"Alors que notre heure zéro approche pour la génération Artemis, nous avons un sentiment d'anticipation accru, et il y a certainement de l'excitation parmi les membres de l'équipe", a déclaré samedi aux journalistes Mike Sarafin, responsable de la mission Artemis 1 de la NASA, cité par Space.com .
"Nous avons remarqué que l'ambiance générale et la concentration au sein de l'équipe sont définitivement positives", a déclaré Sarafin.
« Bouclez votre ceinture, tout le monde. Nous allons sur la Lune », a déclaré Jacob Bleacher, scientifique en chef de l'exploration pour la Direction des missions d'exploration et d'opérations humaines de la NASA.
- voir carte sur site -
La fusée SLS est un monstrueux 322 pieds de haut. Elle a 15 % de poussée en plus que les fusées Saturn V utilisées dans le programme Apollo pour l'exploration humaine de la Lune il y a plus d'un demi-siècle.
"C'est une mission très risquée... beaucoup de choses pourraient mal tourner pendant la mission dans des endroits où nous pourrions rentrer plus tôt, ou nous devrons peut-être avorter pour rentrer à la maison", a déclaré Jim Free, directeur associé de la NASA pour développement de systèmes d'exploration.
La première des missions Artemis fera voler le vaisseau spatial sans équipage autour de la lune au cours d'une mission de 42 jours. À bord se trouvera un ensemble de capteurs pour collecter des données sur ce que les astronautes vivront lors de futurs voyages sur la lune.
Si tout se passe bien, la NASA conduira la mission Artemis 2 en 2024, envoyant quatre astronautes en mission de survol autour de la lune. Puis, d'ici 2025, la mission Artemis 3 permettrait le premier alunissage en équipage sur la Lune.
https://www.zerohedge.com/technology/zero-hour-approaches-nasa-launch-most-powerful-rocket-moon
"C'est pas moi c'est ma sœur qui a cassé la machine à vapeurs !"
SupprimerL'Europe prévoit une "intervention d'urgence" sur le marché de l'électricité alors que l'enfer se déchaîne
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 15:13
Avec même Zoltan Pozsar avertissant que l'Europe fait face à une sorte d'apocalypse maintenant que le divorce eurussien est terminé et que les prix de l'énergie en Europe atteignent chaque jour de nouveaux records quotidiens - pas plus tard qu'aujourd'hui, l'électricité de base allemande à 1 an a dépassé 1000 €, ou 10x là où ils l'étaient il y a un an, avant de baisser après que les prix du gaz naturel européen aient chuté le plus depuis mars après que l'Allemagne a déclaré que ses réserves de gaz se remplissaient plus rapidement que prévu avant l'hiver...
- voir graph sur site -
... il y a quelques instants, l'Union européenne semble avoir enfin réalisé qu'elle fait face à une révolte armée cet hiver, ou pire, lorsque des millions de personnes sont confrontées à un froid glacial sans électricité ni chauffage (voir "C'est au-delà de l'imagination": les propriétaires polonais font la queue pendant des jours Achetez du charbon avant l'hiver"), et a annoncé qu'elle prévoyait des "mesures urgentes" pour faire baisser les prix de l'électricité, a déclaré lundi la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen.
"La flambée des prix de l'électricité expose désormais, pour différentes raisons, les limites de la conception actuelle de notre marché de l'électricité", a déclaré von der Leyen dans un discours prononcé au sommet stratégique de Bled en Slovénie, soulignant ce qui était évident depuis des années à ceux qui ont mis en garde. à plusieurs reprises que l'Europe ne devrait probablement pas baser sa politique énergétique sur les divagations idiotes d'un adolescent scandinave égocentrique et irritable : "Elle a été développée dans des circonstances complètement différentes et à des fins complètement différentes."
Ah oui, ce sont les "circonstances et les objectifs" qui sont en cause, pas la poussée "verte" catastrophique de l'Europe au cours de la dernière décennie qui a laissé le continent à la merci de Poutine, tout comme un Donald J Trump avait prévenu qu'il arriverait... et en parlant de Poutine, peut-être que l'Europe peut imposer quelques sanctions autodestructrices supplémentaires sur les exportations russes d'énergie. Mais on s'égare...
Ursula a ensuite ajouté "c'est pourquoi nous travaillons maintenant sur une intervention d'urgence et une réforme structurelle du marché de l'électricité", qui ressemblerait à peu près à ceci.
La flambée sans précédent des prix de l'électricité, qui ont été multipliés par près de 10 au cours de l'année écoulée, a alimenté l'inflation, alourdi le fardeau économique des entreprises et des ménages qui se remettent de la pandémie et contraint la BCE à augmenter agressivement les taux dans l'espoir d'écraser la demande en ce qui est maintenant une récession définitive sinon une dépression. On pourrait dire que Poutine n'aurait pas pu mieux planifier sa revanche sur l'Europe.
RépondreSupprimerSelon Bloomberg, de plus en plus d'États membres appellent à un plafonnement des prix et la République tchèque, qui assure la présidence tournante de l'UE, prévoit de convoquer une réunion extraordinaire des ministres de l'énergie le 9 septembre.
En d'autres termes, alors que la BCE prévoit d'écraser la demande avec des conditions monétaires plus strictes, les gouvernements européens vont assouplir la demande et injecter des mesures de relance budgétaire pour éviter qu'une foule en colère ne descende sur divers parlements locaux.
Bien sûr, étant un "plan" européen farfelu qui n'a aucun sens - comme n'importe quoi d'autre en dehors de l'Europe - les détails exacts d'un plan d'intervention de l'UE sont encore en cours d'élaboration, et les diplomates de l'UE ont déclaré que le bras exécutif de l'UE pourrait offrir un plan détaillé dès cette semaine. Ne retenez pas votre souffle : après tout, en l'absence d'une relance massive financée par la BCE - dont le produit ira immédiatement à Poutine - à moins que l'Europe n'ait trouvé d'une manière ou d'une autre de nouveaux gisements de gaz naturel immédiatement accessibles et ne nécessitant pas des dizaines de des milliards et des années de développement à extraire, ce que fait l'Europe n'est que la dernière en date.
Alors que la Russie réduit ses livraisons de gaz, les pannes de centrales électriques sapent davantage l'approvisionnement, tandis que les sécheresses et le manque de vent se moquent des sources d'énergie "vertes", la pression augmente sur les dirigeants européens pour qu'ils agissent rapidement ou risquent des troubles sociaux et des bouleversements politiques. Le Premier ministre tchèque Petr Fiala cherche à obtenir un soutien pour son plan de plafonnement des prix et prévoit de discuter d'éventuelles limites avec le chancelier allemand Olaf Scholz.
"Les prix élevés de l'énergie sont un problème européen auquel nous devons nous attaquer au niveau européen", a déclaré Fiala sur son compte Twitter. "Avant le Conseil européen de l'énergie, nous voulons trouver un moyen d'aider les personnes et les entreprises sur lequel nous pouvons nous mettre d'accord avec d'autres dirigeants européens."
RépondreSupprimerLes responsables tchèques proposent de plafonner les prix du gaz naturel utilisé pour la production d'électricité, a déclaré lundi le ministre de l'Industrie et du Commerce, Jozef Sikela.
"Nous pouvons ouvrir la question des quotas d'émission, comme certains autres États membres l'ont fait dans le passé, qui représentent également une part importante du prix total", a déclaré Sikela. "Nous pouvons ouvrir la question de la régulation globale du marché, du découplage total des prix", ajoutant que le bloc ne peut pas trop se mêler du marché ou de la spéculation sur les carburants.
Curieusement, les États membres de l'UE ont déjà affecté environ 280 milliards d'euros (soit à peu près la même chose en USD maintenant que nous sommes à parité) à des mesures telles que des réductions d'impôts et des subventions pour atténuer la douleur de la flambée des prix de l'énergie pour les entreprises et les consommateurs, mais l'aide risque d'être éclipsé par l'ampleur de la crise. En d'autres termes, la BCE augmentera ses taux alors même qu'elle doit injecter encore plus de liquidités sur le marché pour permettre la dernière relance monétaire hélicoptère. Les gouvernements ont également commencé à limiter la consommation d'énergie, en interdisant l'éclairage extérieur des bâtiments en Allemagne et en abaissant les températures de chauffage intérieures, afin d'atteindre l'objectif volontaire de l'UE de réduire la demande de gaz de 15 %.
Samedi, le Premier ministre belge Alexander De Croo a averti que l'UE ne pouvait pas continuer à résoudre le problème de la flambée des coûts de l'énergie en réduisant les impôts et a appelé à un plafonnement des prix à la place. Si le bloc ne parvient pas à un accord, la Belgique envisagera des mesures nationales, a-t-il déclaré à la télévision VTM.
La semaine dernière, la France a réagi avec scepticisme à l'idée de fixer des limites aux prix de l'électricité, affirmant que sa situation était différente des autres pays européens grâce aux mesures gouvernementales offrant une protection contre l'inflation.
En réponse instinctive, certains prix des matières premières européennes ont chuté de tous les temps, tandis que le gaz naturel américain a chuté à des creux de session alors que l'"urgence énergétique" de l'Europe pourrait signifier une baisse des exportations américaines de GNL. Nous en doutons et nous nous attendons en fait à ce que la poussée de gaz naturel se poursuive alors que l'Europe redouble d'efforts pour mendier jusqu'à la dernière goutte de GNL américain, canadien et qatari qu'elle peut trouver.
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https://www.zerohedge.com/commodities/europe-plans-emergency-intervention-power-market-all-hell-breaks-loose
Pas d'électricité ??! Pas de chaudière à mazout, gaz ou... électrique ! Et PAF !
SupprimerCet hiver y aura beaucoup d'arbres qui vont disparaître dans les 'parcs' ! (The Castors' Révolution).
La crise alimentaire est-elle terminée ou ne fait-elle que commencer ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 29 AOÛT 2022 - 13:20
Écrit par Chris Macintosh via InternationalMan.com,
Avez-vous faim ? Bon, selon les planificateurs centraux.
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Les gens de l'ONU ont cessé de détruire le monde pendant quelques minutes pour publier un article (instantané ci-dessous) justifiant leur comportement et expliquant les "avantages" de la famine qu'ils ont provoquée.
Ne pas inventer ça.
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L'article est resté sur le site Web de l'ONU pendant environ un jour avant d'être supprimé après être devenu viral sur les réseaux sociaux, les gens étant horrifiés par ce mal vraiment incroyable. La bonne chose à ce sujet est qu'à mesure qu'ils poursuivent leur programmation prédictive et leur PNL (sérieusement, examinez les deux et cela promet de vous époustoufler), de plus en plus de gens se réveillent de leur transe. Une fois réveillés, ils réalisent l'incroyable danger dans lequel ils se trouvent tous. Et c'est une bonne chose car vous ne pouvez pas combattre un ennemi tant que vous n'en avez pas compris l'existence.
La « grande réinitialisation » nécessite une population redevable au gouvernement et à personne d'autre. Alors que les planificateurs centraux poursuivent leur programme pour y arriver, cela ne manquera pas d'être lourd d'éveil et de beaucoup d'angoisse.
Le grand réveil du Joe moyen
Bien que Joe Sixpack ne comprenne pas la plupart d'entre eux, il n'en a pas réellement besoin.
Ce qui importe à Joe, c'est quand il n'a pas les moyens de faire l'épicerie et que sa facture d'électricité efface soudainement tout son revenu annuel disponible.
Et cela suffit à fournir à la fois un recul et une capacité croissante à s'éveiller aux horreurs de ce qui l'attend si ce programme communiste déguisé en plan pour «nous sauver du changement climatique» n'est PAS arrêté dans son élan.
Et avec cette prise de conscience viendront les politiciens – dont beaucoup sont eux-mêmes des parasites mais font ce qui leur vient naturellement : sentir un changement dans les vents et se précipiter pour le devancer, le défendre et gagner du soutien.
RépondreSupprimerTiens, regarde. Selon France24, Giuseppe Conte, le patron de Five Star, a déclaré :
Je crains fort que septembre ne soit une période où de nombreuses familles seront confrontées au terrible choix de payer leurs factures d'électricité ou d'acheter de la nourriture. Nous sommes absolument disposés à dialoguer, à apporter notre contribution constructive au gouvernement, à Draghi, (mais) nous ne sommes pas disposés à faire un chèque en blanc.
Il n'a pas tort, bien sûr, mais c'est un voyou qui a contribué massivement aux problèmes auxquels notre proverbial "Joe" est maintenant confronté.
Regarde ça.
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Et comme nous le disons sans cesse : l'énergie sous-tend TOUT. C'est pourquoi l'IPC de la zone euro semble être le viagra principal.
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Et cela veut dire quelque chose car, comme vous le savez, la façon dont ils mesurent l'IPC est, bien sûr, de la foutaise complète et environ la moitié du taux réel. Découvrez les Shadowstats de John Williams, où l'inflation aux États-Unis est calculée sur la base de la méthodologie utilisée dans les années 80 (pré-fraude). Il vient d'atteindre 17,3 %. C'est un peu plus que l'impression de 9,1 % avec laquelle ils ont essayé de vous tromper.
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L'autre chose dont « Joe » se soucie, c'est lorsque le gouvernement – sous prétexte de « sauver la planète » – commence le processus de voler jusqu'à 50 % des fermes aux Pays-Bas.
Réduction des émissions d'azote
Sous un récit ridicule de "réduction des omissions d'azote", le gouvernement néerlandais procède à un accaparement flagrant de 30 % des terres agricoles. Il convient de souligner que l'air est composé à 78% d'azote. Ces crétins ont littéralement décidé que l'air est dangereux.
Quoi qu'il en soit, les agriculteurs n'en ont rien et ont bloqué les routes, les aéroports et les centres de distribution. Les pêcheurs se sont joints et ont bloqué les ports.
RépondreSupprimerSur le plan intérieur, les agriculteurs néerlandais bénéficient d'un soutien massif. Heureusement, les gens semblent comprendre intuitivement que sans eux, il n'y aura pas de nourriture. La propagande n'a plus l'effet escompté sur la population. C'est dommage !
Chaque jour, quelques personnes de plus se réveillent à la réalité, et une fois que vous vous réveillez, vous ne pouvez pas ignorer ce que vous avez vu. La crédibilité des partis politiques existants est gravement atteinte. Je pense depuis quelques années maintenant que s'il doit y avoir un changement, il viendra probablement de tiers. Cela est vrai dans tout le monde occidental, et pas uniquement une chose néerlandaise.
Le mouvement paysan-citoyen aux Pays-Bas prend maintenant de l'ampleur et prend de l'ampleur plus rapidement que tout autre.
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En France, l'agenda marxiste prend de l'ampleur.
La France envisage la nationalisation complète d'EDF
La France va nationaliser entièrement EDF (EDF.PA), a déclaré mercredi la Première ministre Elisabeth Borne, dans une démarche qui donnerait au gouvernement plus de contrôle sur une restructuration du groupe endetté tout en faisant face à une crise énergétique européenne.
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C'est à ce stade qu'il convient de revoir un peu l'histoire.
Le dernier chef d'un gouvernement européen à être tué et mangé par une foule fut le hollandais Johan de Witt en 1672, qui fut mutilé, pendu et fit rôtir et digérer son foie par des orangistes à La Haye.
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L'homme de Davos mérite au moins autant.
En attendant, les Européens vont avoir froid et faim. L'hiver n'est que quelques mois
https://www.zerohedge.com/geopolitical/food-crisis-over-or-just-getting-started
La politique agricole commune (de l'UE) est-elle encore commune ?
RépondreSupprimer29 Août 2022
Willi l'agriculteur*
'Il ne fait aucun doute que l'Union Européenne a été une grande réussite. La suppression des contrôles aux frontières et l'introduction de l'euro ne sont pas les seuls éléments qui ont rapproché les Européens'.
Depuis de nombreuses décennies, le secteur agricole en particulier est devenu le domaine le plus « européanisé » de l'économie, dans lequel tous les agriculteurs devraient travailler et agir selon les mêmes règles et les mêmes lois. Bien sûr, cela n'a jamais été le cas, mais on avait au moins la bonne intention de le faire.
Ces dernières années, cette intention a été de plus en plus reléguée au second plan. L'une des raisons était l'élargissement permanent, qui devait rassembler sous un même toit des États aux histoires et aux structures très différentes. Même la petite Allemagne n'y parvient pas, les structures du sud, de l'est ou du nord-ouest de l'Allemagne sont trop différentes.
Certes, des objectifs communs de l'Union Européenne sont élaborés à Bruxelles, mais la mise en œuvre est de plus en plus laissée aux différents États.
C'est précisément là que commence le problème : les règles édictées par les différents États membres pour atteindre les objectifs divergent fortement les unes des autres. Prenons l'exemple du règlement sur les engrais : chaque État a communiqué à Bruxelles un nombre différent de points de mesure par kilomètre carré. Il en résulte – sur le papier – une classification différente des différents États. La manière de procéder en cas de risque éventuel est également laissée à l'appréciation de chaque État. Aux Pays-Bas, cela provoque actuellement des protestations massives, tandis qu'en Roumanie ou en Hongrie, personne ne sait probablement de quoi il s'agit. Et en Italie, on fait preuve de créativité...
Autre exemple : la stratégie « de la ferme à la table », pour laquelle la Commission a dit d'emblée que chaque Etat devait rédiger son propre catalogue de mesures, qui sera ensuite approuvé ou rejeté par Bruxelles.
Le thème de la protection phytosanitaire : l'Allemagne a notifié à Bruxelles toutes les zones protégées, y compris le grand nombre de zones de protection des paysages, qui représentent en gros environ un quart des surfaces agricoles arables. Dans ces zones, l'utilisation de produits phytosanitaires doit être interdite à l'avenir. Si j'interprète bien, cela s'applique également aux agriculteurs bio. Tout le monde devrait comprendre ce que cela signifie si l'Allemagne doit cultiver un quart de ses terres arables pratiquement sans produits phytosanitaires. Nous sommes alors très loin de l'autosuffisance, même pour les aliments de base.
Dans l'élevage également, les mesures sont différentes, c'est-à-dire que les règles sont différentes, y compris pour la commercialisation. Personne ne connaît l'initiative Tierwohl (bien-être animal) en dehors de l'Allemagne. C'est ainsi qu'il a pu arriver que l'élevage de porcs diminue massivement en Allemagne, alors qu'en Espagne, de nouvelles porcheries sont construites à grande échelle. Justement en Espagne, un pays où il fait très chaud et où l'eau est rare.
En ce qui concerne la protection des plantes, la distorsion de concurrence se poursuit. À ma connaissance, seuls trois pays n'ont pas accordé de dérogation pour les néonicotinoïdes. L'Allemagne en fait bien sûr partie. De très nombreux pays soutiennent la culture de certaines plantes, bien que cela ne soit pas autorisé par l'UE. Qui ne le fait pas ? L'Allemagne ! On a l'impression qu'en Allemagne, tout ce qui vient de Bruxelles doit encore être renforcé. La Pologne, en revanche, interprète les règles de manière à ce que ses agriculteurs en profitent, ou du moins qu'ils ne subissent pas de dommages inutiles.
RépondreSupprimerLa politique agricole européenne se transforme de plus en plus en une farce. L'idée initiale d'une « politique agricole commune », qui avait commencé de manière louable, a disparu. Les particularismes nationaux se répandent à nouveau, car on craint les confrontations difficiles. Nombreux sont ceux qui ont compris que des États comme la Hongrie n'exploitent l'UE que pour leur profit personnel, au détriment des autres. L'Europe ne fait plus plaisir de cette manière.
______________
* Source : Wie gemeinsam ist die Gemeinsame Agrarpolitik (der EU) noch? - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2022/08/la-politique-agricole-commune-de-l-ue-est-elle-encore-commune.html
Et pourquoi pas demander au garagiste ou plombier de faire du pain ?!
SupprimerOn ne compte plus le nombre de trous-de-cul qu'il y a à Bruxelles !
Ils n'ont JAMAIS demandé à un paysan ce qu'il faut faire !! Ils ne sont même pas capables de gérer une épicerie et se mêlent de vouloir gérer une grande surface !!
Dans les siècles passés, il y avait 98 % de paysans au monde et, sans engrais ni remède contre les bestioles et maladies des plantes: c'était LA FAMINE !
C'est ce qui est programmé pour demain par la dictature des pédo-psychopathes !
Une autre grande usine sidérurgique américaine fermera après plus d'un siècle d'activité, épuisant davantage la capacité de fabrication du pays
RépondreSupprimerlundi 29 août 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Les États-Unis ont réussi à devenir la première superpuissance mondiale grâce à la force de leur peuple et à leurs capacités de fabrication monumentales, qui ont littéralement remporté deux guerres mondiales.
Mais après quelques décennies de démantèlement systématique par l'État profond marxiste, avec l'aide de politiciens avides et myopes cherchant à tirer profit du déclin de l'Amérique, la capacité de fabrication actuelle n'est plus qu'une coquille de ce qu'elle était dans les années 1940 et 1950.
Et aujourd'hui, ce déclin se poursuit, comme en témoigne la fermeture d'une importante fonderie d'acier à Portland, Oregon.
Comme le rapporte Oregon Live, la fonderie est en activité depuis 121 ans et maintenant elle va fermer, licenciant tous ses travailleurs qualifiés sans qu'une usine de remplacement soit même prévue et encore moins en cours de construction.
Le point de vente a noté:
Columbia Steel Casting Co., une entreprise de moulage de métaux de Portland qui remonte à plus d'un siècle, a déclaré mercredi aux régulateurs de l'État qu'elle prévoyait de fermer les opérations de sa fonderie de North Portland et de licencier la plupart de ses effectifs.
La société a déclaré que 225 employés, dont beaucoup étaient représentés par deux syndicats différents, seraient licenciés à partir d'octobre. Le dossier indiquait que la fermeture serait permanente. Une lettre aux employés indiquait que l'entreprise avait cherché un acheteur pour reprendre la fonderie et maintenir les opérations, mais ces efforts avaient échoué jusqu'à présent.
La PDG Martha Cox a déclaré aux employés que l'entreprise avait dû faire face à une concurrence féroce de la part de concurrents étrangers, dont certains étaient subventionnés par leurs gouvernements. Cox a déclaré que les réglementations environnementales nationales et locales avaient également désavantagé l'entreprise par rapport à ces concurrents.
En d'autres termes, les fous démocrates de gauche qui dirigent cet État ont adopté tellement de règles « environnementales » insensées et restrictives qu'il a rendu économiquement impossible l'exploitation de l'usine. Et maintenant, l'usine va fermer, ce qui aura des conséquences négatives pour tout notre pays, pas seulement pour les malheureux travailleurs qui perdent leur emploi. Espérons que les Oregoniens se souviendront de cet outrage en novembre, bien que sur la base de l'historique des votes de cet État, il est peu probable que cela change de si tôt.
BLOG ENCORE CENSURÉ (60 - 1 = 59 !)
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