Par Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
2 septembre 2020
Townhall.com, 29 août: «Selon le New York Times, potentiellement 90 pour cent de ceux qui ont été testés positifs pour COVID-19 ont des quantités si insignifiantes du virus présent dans leur corps que ces personnes n'ont pas besoin d'isoler ni candidats à la recherche des contacts. Les principaux experts de la santé publique s'inquiètent désormais du fait que les tests excessifs sont responsables du mauvais diagnostic d'un grand nombre de personnes ayant des quantités inoffensives de virus dans leurs systèmes.
«La plupart de ces personnes ne sont pas susceptibles d’être contagieuses…» prévient le Times. »
Oui, c'est ce que le NY Times avoue (29/08): «Certains des plus grands experts de la santé publique du pays soulèvent une nouvelle préoccupation dans le débat sans fin sur les tests de coronavirus aux États-Unis: les tests standard diagnostiquent un grand nombre de personnes qui peuvent être porteurs de quantités relativement insignifiantes du virus. La plupart de ces personnes ne sont probablement pas contagieuses… »
«Dans trois ensembles de données de test ... compilées par des responsables du Massachusetts, de New York et du Nevada, jusqu'à 90% des personnes testées positives ne portaient pratiquement aucun virus, a révélé une revue du Times.
Permettez-moi de vous expliquer cela, car c’est bien pire que ne l’admet le Times. Le terrier du lapin va beaucoup plus loin - et je rapporte des faits plus profonds depuis des mois.
Le problème semble être la sensibilité au gonflement du test PCR. Il est si sensible qu’il capte des quantités minuscules, minuscules et sans importance de virus qui ne pourraient pas nuire à une puce - et il qualifie ces quantités de «positives».
Par conséquent, des millions de personnes sont étiquetées «positives / infectées» et sont si peu porteuses de virus qu’aucun mal ne leur serait infligé ni à quiconque avec qui elles entreraient en contact.
Ce serait déjà assez mauvais. Mais la vérité est que le test PCR ne peut produire AUCUN chiffre fiable reflétant la quantité de virus qu'une personne est porteuse. Beaucoup, un peu, peu importe.
Le test n'a jamais été validé, dans une étude à grande échelle, pour la capacité de quantifier la quantité de virus qu'une personne est porteuse. J'ai proposé comment cette étude devrait être menée DANS LE MONDE RÉEL, PAS DANS LE LABORATOIRE.
Vous prenez 1000 personnes et en retirez des échantillons de tissus. Un laboratoire soumet ces échantillons à sa PCR et annonce quel virus il a trouvé dans chaque cas et combien de virus il a trouvé dans chaque cas.
Il dit: "Très bien, chez les patients 23, 46, 76, 89, 265, nous avons trouvé une grande quantité de virus."
Cela devrait signifier que ces patients sont visiblement malades. Ils auront des symptômes cliniques évidents. Pourquoi ? Parce que la maladie réelle nécessite des millions de millions de virus qui se répliquent dans le corps.
Alors maintenant, nous annulons l'aveugle de ces patients particuliers avec de grandes quantités de virus, selon la PCR. Sont-ils, en fait, malades ? Ou courent-ils des marathons et nagent-ils huit kilomètres par jour ? Voyons voir. Pour de vrai.
CETTE VALIDATION DE LA PCR N'A JAMAIS ÉTÉ FAITE.
Par conséquent, l'affirmation selon laquelle la PCR peut déterminer la quantité de virus chez un être humain n'est absolument pas prouvée. Période.
Par conséquent, TOUS les tests de PCR effectués sur des personnes du monde entier ne reflètent RIEN de maladie, d'infection, de contagion ou de transmission.
L'arnaque est mur à mur.
Mais il y a plus.
La PCR ne teste même pas un virus particulier en premier lieu. Il utilise un fragment d’ARN supposé faire partie d’un virus. L'hypothèse n'est pas prouvée.
Et enfin, comme je l'écris et je le démontre depuis des mois, il n'y a aucune preuve que les chercheurs ont utilisé une procédure appropriée pour découvrir «un nouveau coronavirus qui provoque une pandémie».
Par conséquent, le test PCR, aussi sans valeur qu'il soit déjà, vise à montrer la présence d'un germe dont l'existence n'a jamais été démontrée.
Mais fermons la planète, détruisons les économies et un nombre incalculable de vies dans le processus.
SOURCES:
Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.
Coronavirus: une organisation minutieuse du massacre ?
RépondreSupprimerJean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca
lun., 31 août 2020 14:00 UTC
On peut tourner dans tous les sens la question de savoir, à qui peut donc profiter cette hystérie collective d'un COVID-19 menaçant nos vies alors que tous les indicateurs commentés par des épidémiologistes de renom nous disent que rien ne justifie ces « mesures » délirantes prises par les « gouvernants » !
A première vue, dans ce jeu stupide que le monde entier est en train de jouer, tout le monde est perdant ! Si tout le monde est perdant, qui donc peut être gagnant, puisque l'hystérie est entretenue à dessein et les « autorités » persistent et signent ! C'est quoi l'objectif au-delà des apparences selon lesquelles tout le monde serait perdant ?
Reprenons un à un les éléments de cette hystérie collective.
1 - La « distanciation sociale »
Le sens de la « distanciation » dite « sociale », n'est explicable que si l'on comprend l'importance pour les prédateurs de l'aristocratie stato-financière - à l'origine de ces mesures qu'ils se permettaient ouvertement de ne pas respecter eux-mêmes sachant parfaitement que cette opération de grande envergure n'avait rien à voir avec un souci sanitaire - de creuser davantage le fossé entre les classes « favorisées » et la masse du peuple des « défavorisés ». Cette « distanciation » toujours en vigueur a pour effet immédiat et efficace, la division, l'opposition, la confrontation et l'ensauvagement qui s'en suit.
« L'autre » se transforme alors en porteur sain mais coupable a priori. « L'autre », c'est celui-là qui ne respecte pas les règles. « L'autre », c'est celui-là qui n'est pas patriote et qui se permet donc de remettre en cause la version officielle de la vérité, puisque le pouvoir est obligatoirement « innocent ». « L'autre » c'est celui qui est moins propre que « moi », le discipliné, le bon citoyen, le « responsable ». « L'autre » c'est celui qui est dans la dissidence, dans la révolte, dans la contestation, dans la rébellion ou la délinquance et qui est incapable de se montrer respectueux des règles, adulte discipliné. « L'autre » c'est celui qui est irresponsable. « L'autre » ne se soucie guère de la bonne santé de tous, c'est un « égocentrique ». « L'autre » est donc un ennemi qu'il faudra dénoncer, chasser, harceler, poursuivre, persécuter et abattre.
« La distanciation sociale » crée un comportement qui oblige chacun à considérer « l'autre » comme son ennemi ! Chacun peut donc devenir le tueur de l'autre. Chacun est placé d'office dans cette posture d'abord « inconsciente », mais qui ne peut que se transformer en folie furieuse dès que le coup de sifflet du maître chanteur aura été donné...
2 - Le masque par précaution sanitaire
Chacun de nous peut se demander, pourquoi dois-je porter un masque quasi en permanence dans la vie réelle de tous les jours, alors que je ne suis pas malade !?
Réponse officielle : parce que, étant discipliné et responsable je me soucie de la santé des autres, tout en me protégeant moi-même.
Mais si chacun se sait non malade, comment peut-il contaminer l'autre sans être d'abord malade et comment tous les autres qui ne sont pas plus malades que moi pourraient-ils me contaminer sans être eux-mêmes malades au préalable ? Je suis donc invité à penser que tous ces gens qui portent le masque sont forcément malades et donc menaçants !
Le masque est clairement une absurdité sur le plan sanitaire, car de plus, il n'est plus à démontrer que le masque, porté dans les conditions quotidiennes qui sont les nôtres, ne protège ni soi-même ni les autres de quoi que ce soit : le motif sanitaire est parfaitement bidon.
RépondreSupprimerNon seulement le masque est inutile sur le plan sanitaire, mais il est même tout le contraire : il est nuisible, il constitue en soi une menace sanitaire pour celui qui le porte.
Puisque les « autorités » l'ont elles-mêmes répété à foison « que le masque ne servait à rien, qu'il était inutile d'en porter, puis qu'il était interdit d'en porter », jusqu'à infliger des amendes et de la prison à ceux qui en portaient, à l'époque où commençait cette hystérie nommée par une étude du ministère de l'Intérieur allemand, « une fausse alerte de pandémie », il faut donc bien comprendre que le but du port du masque obligatoire n'est pas du tout une mesure sanitaire, mais une mesure politique destinée à placer chacun dans la position d'être l'ennemi de l'autre : tout est prêt pour s'entretuer... J'ai moi-même déjà été insulté et menacé dans la rue par des gens ordinaires, « non assermentés » et faisant pourtant le travail de la police, parce que je ne portais pas le masque. La délation est déjà en route et cette mentalité détestable est toujours vivante chez un nombre incroyable de demeurés.
3 - Le « confinement » dit sanitaire
On se souvient, je l'espère, de l'insurrection des Gilets Jaunes et de tous les autres mouvements sociaux engagés partout dans le monde face à une oligarchie aux abois, se sentant menacée par la montée de la rébellion des peuples.
Face à une telle détermination des populations les plus défavorisées, il allait de soi que la répression violente des Etats, (les violences policières et judiciaires, toutes les horreurs des injustices administratives, la perte de toutes les libertés publiques, cet ensemble de violences gratuites que nous avons dénoncées depuis 2018), ne pourrait pas éviter à un moment donné, l'escalade de cette violence, encouragée d'ailleurs par des privilégiés du « camp » des préfet Lallement, des Cohn Bendit, des Luc Ferry, des BHL et d'un certain nombre de journalistes Kapos, jusqu'à la nécessité d'une organisation d'un massacre, parfaitement logique et inévitable pour un pouvoir contesté et menacé à ce point.
Ce moment crucial du « massacre » était venu : il fallait faire quelque chose pour briser cette révolte coûte que coûte.
Les maîtres du monde avaient vu venir ce moment et déjà depuis l'expérience du H1N1, ils en avaient tiré les leçons, sachant désormais ce qu'il fallait faire et ce qu'il ne fallait pas faire.
Dans cette organisation du dressage, l'idée d'une pandémie bien préparée était géniale, machiavélique, car elle pouvait légitimer une « assignation à résidence » appelée « confinement », imposée d'office à toutes les populations du globe. En un quart de tour, toutes les révoltes, manifestations, insurrections ont été bâillonnées ; nous avons tous été considérés comme des criminels placés sous les verrous (cela s'est fortement ressenti davantage pour les citadins sans jardin ni terrasse, comme cela a été le cas de beaucoup d'Espagnols en particulier, l'Espagne ayant été le pays qui a expérimenté le confinement le plus radical) en nous persuadant de nous enfermer nous-mêmes et en culpabilisant tout « irresponsable » qui ne se plierait pas à cette consigne, elle aussi absolument absurde, puisque l'on sait scientifiquement aujourd'hui que ce sont ceux qui ont le moins « confiné » qui ont été les moins affectés par ce délire hystérique sur le coronavirus orchestré par les prédateurs au pouvoir... (Cf., Intervention de la Généticienne Alexandra Henrion-Caude, chercheur à l'INSERM, sur TVL du 31 juillet 2020 ; Cf., l'intervention radiodiffusée (SUD-RADIO) du professeur de médecine J-F Toussaint de l'Université de Paris, qui ose dénoncer l'activité louche de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il a pointé précisément la manipulation occulte des grandes puissances économiques dans l'affaire de l'hystérie populiste pandémique et il y qualifie le confinement « d'arme de destruction massive ».
RépondreSupprimerLe Professeur Jean-François Toussaint récidivait sur le plateau de CNEWS le 18 août 2020 en disant que
« Nous sommes actuellement dans l'instrumentalisation, l'utilisation des indicateurs qui vont influencer les membres du Conseil Scientifique en charge d'adapter les comportements de la société, mais plus en relation avec la réalité, avec le risque réel de pandémie, mais en relation avec une volonté explicite d'imposer aux gens d'autres schémas de pensée ».
Il faut également dire et redire, répéter en insistant sur les chiffres qui sont aujourd'hui à notre disposition, que la courbe de la pandémie a été exactement la même dans les pays qui n'ont pas confiné que dans les pays qui ont confiné. Le confinement a été une arme de destruction massive un point c'est tout, et tous ceux qui persistent à dire que le confinement a limité le nombre de morts, sont parfaitement malhonnêtes ou idiots, puisque nous pouvons consulter les chiffres aujourd'hui à notre disposition, disait encore le Professeur J-F Toussaint qui renvoyait les auditeurs aux publications à travers le site de la Santé Publique Française.
On se demande qui sont ces gens qui mettent si longtemps à ouvrir les yeux et quels sont leurs problèmes personnels pour qu'ils puissent encore croire aveuglément à l'innocence du pouvoir et se fier à sa parole sans aucun esprit critique ! Je pensais ces temps révolus, mais ce n'est pas le cas. Des millions de personnes à travers le monde attendent comme le « messie » le vaccin salvateur qui va les délivrer de ce cauchemar ! Même des docteurs en médecine, universitaires, sont capables d'un tel comportement en étant « sincèrement » persuadés que le système ne peut ni se tromper ni les tromper ! Un troupeau de moutons peut marcher silencieusement vers l'abattoir sans chercher à s'échapper !
La seule explication que je trouve à ce mystère de la défaillance de l'intelligence, c'est la question de la croyance. Lorsque la croyance est en cause, la raison n'a plus rien à dire, même si les gens qui affirment sincèrement leur « croyance » restent persuadés d'être dans une pensée rationnelle ! Toucher à une croyance entraîne aussitôt une intolérance, un jugement, une condamnation prononcée contre l'incroyant et son exécution est aussitôt organisée considérant que la fin justifie tous les moyens : le discrédit, la raillerie, le lynchage, les accusations arbitraires de « délire », de « complotisme » ou de « populisme », le discours moralisateur, donneur de leçons, les menaces de répression, bref, des accusations traditionnelles de l'inquisition qui permettent de ne rien remettre en cause sur sa croyance. La croyance maintient toujours le croyant dans une forme ou l'autre de l'arriération mentale puisque toute croyance exclut d'emblée la place essentielle de la raison critique : c'est la raison pour laquelle on l'appelle « croyance ».
RépondreSupprimer4 - La vaccination but final de la « libération » des peuples maltraités
Concernant la vaccination, c'est la cerise sur le gâteau !
Le Pr Toubiana chercheur à l'INSERM expliquait sur BFMTV le 26 août 2020 qu'il n'y avait pas d'épidémie infectieuse, à sa connaissance il n'avait observé qu'une épidémie d'angoisse généralisée à travers le monde, alimentée et entretenue par l'OMS. Il expliquait qu'une épidémie sans malades ne peut pas exister. Qu'il y ait eu confinement ou pas confinement la courbe épidémique était exactement la même concernant la période qui a vu venir cette nouvelle forme de grippe. La courbe de la Suède qui n'a pas confiné est exactement la même que celle de l'Espagne, de l'Italie ou de la France qui ont confiné.
Il rappelait également que aucun test actuellement existant n'est fiable en ajoutant que le SARS-COV-2, n'a jamais été identifié par aucun test. De plus les morts soi-disant « par coronavirus » n'ont jamais été autopsiés car l'autopsie a été interdite ! Par qui a-t-elle été interdite et pourquoi a-t-elle été réellement interdite ? Les spécialistes comme le Pr Toubiana, le Pr Perronne, le Pr Raoult, le Pr J-F Toussaint, en France ; le Pr Yoram Lass en Israël ; le Dr Luis de Benito de l'Hôpital El Escorial de Madrid dénonce à la télévision la manipulation honteuse qui est faite sur les chiffres des morts par « coronavirus » ; le Dr Nicole Delépine, en France ; le Dr Carrie Madej , aux Etats-Unis ; Le Dr Larry Palevsky à la Commission Européenne lors d'une audition publique, le 19 février 2020, expliquait déjà que le système immunitaire ne faisait plus la différence entre ce qu'il devait éliminer et ce qui lui appartenait, il était donc question d'une immunodéficience; le Dr Roberto Patrella, en Italie ; le physicien David Mendels dans une interview sur Le Média du 9 juin 2020... disent les uns et les autres dans les écrits ou commentaires, interviews sur les télévisions ou sur Youtube, que 90% des personnes testées seront forcément positives puisque c'est la normalité : nous sommes tous porteurs sains de plusieurs formes de coronavirus. Quelqu'un déclaré positif n'est pas automatiquement un malade, dans le cas contraire, nous serions au moins 90% de malades.
Le COVID-19 n'est pas le nom du virus c'est le nom du plan international de contrôle et de réduction des populations. L'objectif est un dépeuplement massif de 80% de la population mondiale.
Henry Kissinger dans une conférence sur l'eugénisme à l'OMS, le 25 février 2009 disait :
« Une fois que le troupeau a accepté la vaccination obligatoire, la partie est gagnée ! Ils vont alors accepter n'importe quoi, 'pour le plus grand bien'. On pourra modifier génétiquement les enfants ou les stériliser - 'pour le plus grand bien'. Contrôler le mental du mouton et vous contrôlez le troupeau. Les fabricants de vaccins peuvent s'attendre à faire des milliards, et plusieurs d'entre vous, êtes dans cette salle des inventeurs. C'est un énorme jeu gagnant-gagnant ! On diminue le troupeau et le troupeau nous paie pour leur fournir des services d'extermination. »
RépondreSupprimerLe 25 août 2020, sur fr.sott.net, le Dr Carrie Madej explique dans le détail le danger de la nanotechnologie utilisée dans le vaccin COVID-19. Chacun peut aller voir cette vidéo instructive, s'il a envie de savoir !
-- Commentaire : Voir :
Le Dr Madej tire la sonnette d'alarme au sujet de la nanotechnologie dans le vaccin COVID-19 --
Pour finir, nous allons regarder ce que contiennent ces fameux vaccins qu'on nous prépare et qu'on voudrait rendre obligatoires !
Le Pr J.B. Fourtillan, le Dr Serge Rader, le Dr C. Tal Schaller se sont penchés sur la question. Dans une vidéo qui est diffusée sur www.verite-covid19.fr, on peut trouver les références de tout ce qui est détaillé dans cette analyse.
On découvre tout d'abord le Brevet W0 2020.060606A1 du 26 mars 2020 déposé par Microsoft dans quasi tous les pays du monde. Ce brevet concerne la « cryptocurrence ».
Ce sont des nanoparticules qui sont ajoutées dans le flacon des vaccins. Les nanoparticules sont donc injectées avec le vaccin et il est impossible de s'en débarrasser : elles habiteront le corps du vacciné jusqu'à sa mort.
N'importe quel téléphone portable pourra communiquer avec ces nanoparticules et chaque vacciné sera sous surveillance permanente grâce à son téléphone ou à n'importe quel téléphone passant à proximité.
On trouve donc dans ce vaccin : 4 fragments du VIH1 : ceux-ci entraînent une immunodéficience et ses conséquences...
On y trouve également des séquences d'ADN du germe de la Malaria ; 157 séquences ADN et des protéines sous le brevet US8,243,718B2 : ni leur présence ni leur rôle ne sont expliqués dans ce vaccin... Enfin, on y trouve donc des nanoparticules qui permettront comme on l'a dit une surveillance permanente des individus.
Un autre vaccin : le ChAdOx1 n-CoV-19 contient lui le covid-19 porté par le vecteur du virus ChAdOx1.
Les nanoparticules décrites dans le brevet Microsoft PCT/US2019/038084, sont présentes dans ce vaccin à partir duquel un contrôle sera possible et permanent grâce à la technologie 5G.
On y trouve également des désinfectants : le Thimerosol ou Formaldehyde et des antibiotiques. La création forcée d'une immunodéficience entrainera l'impossibilité de se défendre naturellement contre toute maladie virale.
5 - Les morts « par coronavirus »
Tous les chiffres sur les morts « par coronavirus » sont faux, partout dans le monde. Une falsification volontaire est réalisée partout dans le monde : un médecin généraliste de Lille, en France, Bruno Vermesse, écrivait au ministère de la santé et au responsable de la santé en demandant l'autorisation de faire les contrôles qui s'imposaient pour en avoir le cœur net sur le soi-disant virus mortel. On lui répondait que les procédures auxquelles il voulait avoir accès étaient interdites ! Pourquoi étaient-elles interdites ? Pas d'explication du ministère de la santé...
« Je demandais de pouvoir faire une sérologie chez tous patients avec PCR positif pour détecter les faux positifs... Pas le droit !!! En clair... les PCR positifs ne sont jamais symptomatiques et les symptomatiques n'ont jamais de PCR positif... Si on teste massivement, évidemment qu'on va trouver des PCR positifs chez les gens guéris...
RépondreSupprimerRappelons que, en revanche, avec tout cela ce sont des avalanches de dépressions, des suicides en masse et des prises en charge catastrophiquement retardées pour des maladies graves...
Cette épidémie a été dix fois moins grave que celle de la grippe de 2017/2018... »
Si une falsification explicite n'est pas faite délibérément, elle est réalisée en faisant une confusion volontaire entre « mort avec le covid-19 » et « mort à cause du covid-19 »...
Le ministre de la santé en Grande-Bretagne a demandé aux services de santé de revoir intégralement leur manière de compter les morts par covid-19, car « de toute évidence, les calculs étaient largement inexacts », disait-il récemment.
Des milliers de kits de test ont été découverts déjà pré-contaminés au covid-19. (Cf., Dr Carrie Madej, sur Youtube du 27 juillet 2020)
Je recommande encore la lecture du dossier « coronavirus » publié par www.mondialisation.ca, car il est très fouillé, très complet et très documenté. Les meilleurs spécialistes s'y expriment et chacun peut se faire une idée précise sur une campagne dans laquelle la confusion a volontairement régné à tout moment pour maintenir les gens dans la pétrification de la peur, ennemi numéro un de la raison.
CONCLUSION
La seule réponse possible à la question « à qui profite cette hystérie collective du covid-19 », c'est un programme de contrôle et de réduction des populations. Les gens de la classe stato-financière, les « élites » du monde qui font la pluie et le beau temps sur la planète vont-elles se faire vacciner avec ces vaccins ? Elles ont déjà déclaré ouvertement qu'il n'en était pas question. C'est le peuple des plus modestes et des plus défavorisés, ceux qui protestent, qui contestent, qui se révoltent, qui ne sont plus « utiles » pour le monde des profiteurs d'en haut. Ce sont eux qu'il faut « éliminer » ou contrôler. C'est pourquoi, cette campagne criminelle du massacre coronavirus est intolérable et il serait bien possible qu'elle puisse entraîner la fin de la vie humaine sur Terre. Nous allons au-devant de grandes violences...
https://fr.sott.net/article/36035-Coronavirus-une-organisation-minutieuse-du-massacre
Bon, rappelons: Un virus N'EST PAS VIVANT ! (ce n'est pas une bactérie, microbe). Il s'agit donc d'une poussière volante comme on en respire des milliards tous les jours. Mais, celle-ci (Corona) est offensive. Aïe-aïe-aïe ! Elle n'est pas radioactive mais possède tout de même un champs de force. Ce champs magnétique la classe donc parmi les poussières intelligentes (car elles peuvent être manipulées par ondes comme de la limaille de fer qui se dresse lors de l'approche d'un aimant). Or, celle-ci a un aimant (qui attire donc d'autre consœurs), ce qui fait dire qu'elle se reproduit ! (Hahahaha !), je voudrais bien croire qu'elle puisse se fragmenter mais de là à faire des petits... (Hahahaha !). Et, le plus fort, c'est que pour lutter contre quelque chose qui n'est PAS vivant est proposé... un vaccin !!!
SupprimerPlus con que çà y a pas ! (Tuer la pierre ! Pan ! T'es mort !)
Mais personne (même les plus 'instruites') ne propose de chélateur ! Çà alors ?! La chélation permet de retirer tous les métaux lourds encombrant vos vaisseaux sanguins. (Notez qu'au contraire ils proposent un vaccin !! additionné de métaux lourds !!/D'où la mort annoncée en cas de prise).
- Notons qu'il a fallut attendre cette grippe pour entendre (en retard !) que le confinement tue plus que les personnes non-emprisonnées ! Et aussi qu'il n'existe pas (et ne peuvent exister) de masque anti-virus because que les plus fins (N95/FFP2) ont des maillages de 3 microns alors qu'un virus ne mesure que 0,7µ ! HAHAHAHA ! (Jetez un seau d'eau sur un grillage et dites-moi combien le grillage a empêché de litres de passer ! Hahahaha !).
SupprimerPS: Parce qu'un masque 'plus fin que fin' l'air ne passe pas !
Actuellement, le plus fin est le sac de votre aspirateur. Mais lui; il a un moteur puissant pour expulser l'air au travers du filtre ! Ne rêvez pas !
Depuis le 11 septembre, la réponse du gouvernement à chaque problème est plus gouvernementale
RépondreSupprimerPar John W. Whitehead
L'Institut Rutherford
2 septembre 2020
«Un gouvernement assez grand pour vous donner tout ce que vous voulez est un gouvernement assez grand pour vous enlever tout ce que vous avez.» - Anonyme
Avez-vous remarqué que la réponse du gouvernement à chaque problème est plus de gouvernement - aux frais des contribuables - et moins de liberté individuelle ?
La Grande Dépression. Les guerres mondiales. Les attentats terroristes du 11 septembre. La pandémie COVID-19.
Chaque crise - fabriquée ou non - depuis les débuts de la nation est devenue une opportunité pour le gouvernement d’étendre sa portée et son pouvoir aux frais des contribuables tout en limitant nos libertés à chaque tournant.
En fait, l'histoire des États-Unis témoigne du vieil adage selon lequel la liberté diminue à mesure que le gouvernement (et la bureaucratie gouvernementale) grandit. Pour le dire autrement, à mesure que le gouvernement se développe, la liberté se contracte.
Pour l'État policier, cette pandémie de COVID-19 a été une énorme aubaine, comme gagner le plus gros jackpot de la loterie. Ce sera certainement une aubaine pour ceux qui profitent des dépenses et des expansions gouvernementales.
Étant donné le rythme auquel le gouvernement a mis au point de nouvelles façons de dépenser notre argent et de s'imposer comme la «solution» à tous nos problèmes du monde, cette crise actuelle finira probablement par inaugurer la plus grande expansion du pouvoir gouvernemental depuis le 9 / 11 attentats terroristes.
C'est ainsi que fonctionne l'état d'urgence, après tout.
Du 11 septembre au COVID-19, «nous le peuple» avons joué le rôle des victimes impuissantes et crédules qui ont désespérément besoin du gouvernement pour nous sauver de tout danger menaçant. À son tour, le gouvernement s'est montré trop accommodant et impatient tout en étendant son pouvoir et son autorité au nom de la soi-disant sécurité nationale.
Comme le demande le correspondant en chef Dan Balz pour le Washington Post, «le gouvernement est partout maintenant. Où va-t-il ensuite ? »
Quand il s'agit des joueurs puissants qui appellent les coups, il n'y a pas de fin à leur appétit vorace pour plus: plus d'argent, plus de pouvoir, plus de contrôle.
Cet élargissement du pouvoir gouvernemental augmente également notre dette fédérale à pas de géant sans précédent. Pourtant, le gouvernement ne se contente pas d’emprunter des sommes faramineuses pour maintenir le pays à flot. Il emprunte également des sommes indécentes pour payer des programmes qu’il n’a pas les moyens de payer.
La principale réponse du gouvernement à cette pandémie de COVID-19 - inondant le marché avec de l'argent emprunté d'un montant de milliers de milliards de dollars pour les paiements de relance, l'expansion de l'assurance chômage et les prêts pour soutenir les petites entreprises et maintenir les grandes entreprises à flot - a poussé le pays encore plus endetté.
Par «le pays», j'entends vraiment les contribuables. Et par «les contribuables», ce sont vraiment les générations futures qui seront enchaînées à des dettes qu’elles ne pourront peut-être jamais rembourser.
RépondreSupprimerC'est ainsi que vous appauvrissez l'avenir.
Les démocrates et les républicains l'ont fait.
Sans faute, chaque président au cours des 50 dernières années a augmenté la dette de la nation. Lorsque le président Trump a pris ses fonctions le 20 janvier 2017, la dette nationale - le montant que le gouvernement fédéral a emprunté au fil des ans et doit rembourser - s'élevait à 19,9 billions de dollars. Malgré la promesse de Trump d'assécher le marais et d'éliminer la dette, la dette fédérale approche maintenant 27 billions de dollars et est en passe de dépasser 78 billions de dollars d'ici 2028.
Depuis de nombreuses années maintenant, les économistes ont averti que l'effondrement économique serait inévitable si la dette nationale dépassait jamais la taille de l'économie américaine. Le gouvernement a dépassé ce point en juin 2020 et n'a pas encore freiné ses dépenses.
En fait, la Réserve fédérale continue d'imprimer plus d'argent afin de soutenir l'économie et de faire flotter la dette.
À un moment donné, quelque chose doit donner.
Dans l'état actuel des choses, les États-Unis sont parmi les pays les plus endettés au monde.
Près d'un tiers de la dette nationale de 27 billions de dollars est dû à des entités étrangères comme le Japon et la Chine.
La plupart de la dette, cependant, est due au public.
Comment est-ce possible ? Il s’agit essentiellement de voler Peter pour payer Paul.
Premièrement, le gouvernement oblige les contribuables à verser une partie de leurs salaires au Fonds fiduciaire de la sécurité sociale. Le gouvernement fait alors demi-tour et emprunte à la Sécurité sociale pour couvrir ses besoins de dépenses. Ensuite, le gouvernement augmente les impôts ou imprime plus d'argent afin de verser ce qui est nécessaire aux retraités.
C’est une forme d’économie alambiquée qui n’a de sens que pour les bureaucrates du gouvernement qui cherchent à faire du profit sur le dos des contribuables.
Selon l’horloge de la dette des États-Unis, la part de chaque contribuable dans la dette nationale est de 214 000 dollars et augmente.
C'est presque cinq fois plus que le revenu médian de ce que les Américains gagnent en un an. C'est aussi près de cinq fois plus que l'Américain moyen en épargne, sur les comptes d'épargne, les comptes chèques, les comptes du marché monétaire, les comptes de dépôt par appel et les cartes prépayées. Près de 60% des Américains sont tellement à court d'argent qu'ils n'ont même pas 500 $ d'économies et rien du tout mis de côté pour la retraite.
Le seul intérêt qui doit être payé sur la dette nationale chaque année est de 338 milliards de dollars et augmente. Selon le Congressional Budget Office, l'élément du budget qui croît le plus rapidement au cours de la prochaine décennie sera l'intérêt sur la dette.
Comme l'a rapporté le Comité pour un budget fédéral responsable en 2019, avant que les dépenses COVID ne poussent le pays au-dessus de la falaise budgétaire, «les paiements d'intérêts passeront de 325 milliards de dollars l'année dernière à 928 milliards de dollars d'ici 2029, soit près de trois fois plus. Si les réductions d'impôts et les augmentations de dépenses sont prolongées, les intérêts dépasseront 1 billion de dollars et établiront un nouveau record en tant que part de l'économie. Le gouvernement fédéral dépensera plus en intérêts qu'en Medicaid ou en enfants d'ici 2020. D'ici 2024, les intérêts correspondront aux dépenses de défense. »
RépondreSupprimerConclusion: le gouvernement américain - et cela inclut l’administration actuelle - dépense de l’argent qu’il n’a pas dans des programmes qu’il n’a pas les moyens de payer, et «nous, les contribuables», sommes ceux qui devrons payer pour cela.
Comme l'explique l'analyste financier Kristin Tate, «lorsque le gouvernement aura sa facture de dette à l'échéance, nous serons tous sur la sellette.»
Malgré le fardeau fiscal que «nous, le peuple», sommes obligés de supporter, nous n'avons pas vraiment notre mot à dire sur la façon dont le gouvernement fonctionne ou sur la façon dont les fonds de nos contribuables sont utilisés, mais nous sommes de toute façon obligés de payer par le nez.
Nous n'avons pas vraiment notre mot à dire, mais cela n'empêche pas le gouvernement de nous voler à chaque tournant et de nous forcer à payer pour des guerres sans fin qui font plus pour financer le complexe militaro-industriel que nous protéger, des projets de barriques de porc qui produisent peu ou rien, et un État policier qui ne sert qu'à nous emprisonner dans ses murs.
Pendant tout ce temps, le gouvernement continue de faire ce qu'il veut - percevoir des impôts, accumuler des dettes, dépenser de manière scandaleuse et irresponsable - sans se soucier du sort de ses citoyens.
Cela m'amène à un point curieux: à quoi ressemblera l'avenir dans dix ans, lorsque la dette fédérale devrait dépasser 78 billions de dollars, un niveau de dette insoutenable qui entraînera des difficultés économiques sans précédent pour quiconque n'appartient pas à la élite riche.
Il est intéressant de noter que cette chronologie coïncide avec la vision du gouvernement de l’avenir telle qu’elle est décrite dans une vidéo de formation du Pentagone créée par l’armée pour le commandement des opérations spéciales des États-Unis.
Selon la vidéo, le gouvernement anticipe des troubles (lire: troubles civils), qui sont un code pour tout ce qui remet en question l'autorité, la richesse et le pouvoir du gouvernement, et prépare ses forces armées (y compris ses agents fédéraux lourdement armés) en conséquence pour résoudre l'avenir problèmes politiques et sociaux internes.
La vidéo de formation, intitulée «Les mégapoles: l'avenir urbain, la complexité émergente», ne dure que cinq minutes, mais elle donne un aperçu effrayant de ce à quoi le gouvernement s'attend à ce que le monde ressemble en 2030, un monde ravagé par des «réseaux criminels». «Infrastructures de mauvaise qualité», «tensions religieuses et ethniques», «appauvrissement, bidonvilles», «décharges ouvertes, égouts surchargés», «masse croissante de chômeurs» et paysage urbain dans lequel l'élite économique prospère doit être protégée contre l'appauvrissement des démunis.
Et puis vient le kicker.
RépondreSupprimerTrois minutes et demie après le début de la vision dystopique du Pentagone d'un «monde de paysages urbains enfers de Robert Kaplan - des supercités brutales et anarchiques remplies de gangs de jeunes devenus sauvages, d'une classe inférieure rétive, de syndicats criminels et de groupes de malfaiteurs. hackers », la voix inquiétante du narrateur évoque la nécessité de« drainer les marais ».
Égouttez les marais.
Sûrement, nous avons déjà entendu cette phrase ?
Ah oui.
Blasonné sur des t-shirts et des pancartes, crié lors de rassemblements et utilisé comme cri de ralliement parmi les partisans de Trump, «drainer le marais» est devenu l’un des slogans de campagne les plus utilisés par Donald Trump.
Loin de vider les marais politiquement corrompus de Washington DC de lobbyistes et de groupes d'intérêts spéciaux, cependant, l'administration Trump nous a encore embourbés dans un tourbillon étouffant de corruption et de tactiques égoïstes.
C'est drôle comme plus les choses changent, plus elles restent les mêmes.
Maintenant, le gouvernement a adopté ses propres plans pour l'assèchement des marais, il veut seulement utiliser l'armée pour drainer les marais des villes urbaines américaines futuristes des «non-combattants et engager les adversaires restants dans des conflits de haute intensité à l'intérieur».
Et qui sont ces non-combattants, terme militaire qui désigne les civils qui ne sont pas engagés dans des combats pendant une guerre ?
Ils sont, selon le Pentagone, des «adversaires».
Ce sont des «menaces».
Ils sont «l'ennemi».
Ce sont des gens qui ne soutiennent pas le gouvernement, des gens qui vivent dans des communautés urbaines à croissance rapide, des gens qui peuvent être moins bien nantis économiquement que le gouvernement et l'élite des entreprises, des gens qui manifestent, des gens qui sont au chômage, des gens qui se livrer à un crime (conformément à la définition trop large et à croissance rapide du gouvernement de ce qui constitue un crime).
En d'autres termes, aux yeux de l'armée américaine, les non-combattants sont des citoyens américains alias les extrémistes nationaux alias les combattants ennemis qui doivent être identifiés, ciblés, détenus, contenus et, si nécessaire, éliminés.
C'est drôle à quel point les faits suivent de près la fiction de nos jours.
Tout récemment, en fait, j'ai revu Escape from LA, le film d'action post-apocalyptique de John Carpenter de 1996 qui imagine un avenir (2013, en fait) dans lequel les États-Unis ont élu un président à vie qui dirige le pays selon son propre loi morale théocratique. Quiconque contrevient aux lois morales du président est déchu de sa citoyenneté et électrocuté ou expulsé vers l’île de Los Angeles, une colonie pénitentiaire où l’anarchie règne en maître.
Comme le raconte le narrateur d’ouverture du film:
RépondreSupprimerÀ la fin du 20e siècle, les forces hostiles aux États-Unis se renforcent. La ville de Los Angeles est ravagée par le crime et l'immoralité. Pour protéger et défendre ses citoyens, la police américaine est formée. Un candidat à la présidentielle prédit qu'un tremblement de terre du millénaire détruira L.A. en châtiment divin. Le tremblement de terre de 9,6 sur l'échelle de Richter frappe à 12 h 59. 23 août de l'an 2000. Après la dévastation, la Constitution est modifiée et le président nouvellement élu accepte un mandat à vie. La capitale du pays est transférée de Washington, D.C., à la ville natale du président de Lynchburg, en Virginie. L'île de Los Angeles est déclarée ne plus faire partie des États-Unis et devient le point de déportation pour toutes les personnes jugées indésirables ou inaptes à vivre dans la nouvelle Amérique morale. La police des États-Unis, comme une armée, est campée sur les rives, ce qui rend toute évasion de L.A. impossible. Des collines du sud-est du comté d'Orange jusqu'à la rive nord-ouest de Malibu, la grande muraille exclut L.A. du continent. Le premier acte du président en tant que commandant en chef permanent est la directive 17: une fois qu’un Américain perd sa citoyenneté, il est expulsé vers cette île de damnés et ne reviendra jamais.
Carpenter est un cinéaste brillant dont les visions dystopiques du futur sont étrangement prescientes, mais ce film est particulièrement troublant: catastrophes environnementales; des virus conçus comme des armes pour contrôler les masses; des émeutes et des pillages qui laissent la population aspirer à la loi et à l'ordre; la religion utilisée comme une arme; loi martiale; une surveillance qui garde chaque citoyen sous l’œil vigilant du gouvernement; et une prise de conscience croissante que le seul chemin vers la liberté qui reste à l'humanité est de fermer le gouvernement et de recommencer.
Nous y sommes presque maintenant.
Comme je le précise dans mon livre Battlefield America: The War on the American People, à moins que nous ne fassions un effort pour rejeter la triste excuse du gouvernement représentatif dont nous avons été aux prises, l'avenir qui nous attend - que ce soit l'avenir envisagé par le Le Pentagone dans sa vidéo de formation ou l'avenir imaginé par Carpenter - sera un cauchemar vivant auquel il n'y a pas d'échappatoire.
https://www.lewrockwell.com/2020/09/john-w-whitehead/since-9-11-the-governments-answer-to-every-problem-has-been-more-government/
Les attentats terroristes du 11 septembre. (...)
SupprimerParler encore aujourd'hui d''attentats' (le 11 Septembre 2001) décrédibilise complètement John W. Whitehead, vu qu'il ne s'agissait que de démolitions contrôlées comme il y en a tous les jours où des artificiers font sauter un bâtiment.
(...) Cet élargissement du pouvoir gouvernemental augmente également notre dette fédérale à pas de géant sans précédent. (...)
IL N'Y A PAS DE DETTE ! Quand un gros con active la planche-à-billets ou appuie sur la touche 0 de son clavier d'ordinateur il ne crée pas de valeur mais juste une suite de zéros !
(...) Les démocrates et les républicains l'ont fait. (...)
Les tuteurs des handicapés de la république (dictature) n'ont même pas de quoi renverser le pouvoir !
Ils sont même incapables de demander la Démocratie car ils ne savent même pas ce que c'est !!
(...) Selon l’horloge de la dette des États-Unis, la part de chaque contribuable dans la dette nationale est de 214 000 dollars et augmente. (...)
HAHAHAHA ! Et quand elle sera à 214 000 000 000 000 000 qu'est-ce que çà changera ? HAHAHAHA !