Suisse : la démocratie plus forte que le virus. Et en France ?
C’est en commençant par prendre part aux décisions les plus locales qu’en 800 ans d’exercice de la démocratie directe la Suisse a développé cette capacité à prendre son destin en main.
23 SEPTEMBRE 2020 Par Jean-Baptiste Vigouroux.
Ce 27 septembre, les Suisses reprennent le chemin de l’isoloir. La pandémie Covid-19 aura réussi à interrompre provisoirement l’exercice de la démocratie participative à la Suisse, mais pas pour longtemps ! Et la démocratie revient en force : pas moins de cinq sujets au niveau fédéral, auxquels s’ajoutent les sujets proposés aux niveaux cantonal et communal.
Cet épisode aura été l’occasion pour les Suisses de nous administrer trois leçons de démocratie.
PREMIÈRE LEÇON DE DÉMOCRATIE : LE PROCESSUS NE S’ARRÊTE PAS
Que s’est-il passé pendant ces deux mois où les Suisses, ce peuple si peu enclin à la panique, ont été forcés par la pandémie à suspendre les votations du 17 mai ?
Le 13 mars, la confédération annonçait des mesures de restriction des libertés – fermeture des écoles, interdiction des rassemblements supérieurs à cent personnes, introduction de contrôles aux frontières – avant de fermer, le 16 mars, les commerces non essentiels. Deux mois après, le 27 mai, le conseil fédéral introduisait des aménagements progressifs et annonçait la fin du lockdown pour le 19 juin.
Pour rappel, les Suisses sont appelés à voter 3 ou 4 fois par an, selon un calendrier réglé en temps ordinaire comme du papier à musique (ou comme une horloge suisse). Les objets sont mis à l’agenda en fonction de leur avancement dans le processus, qui peut aller jusqu’à quatre ans. Le 17 mai, trois objets fédéraux étaient initialement au programme, ainsi que toute une série d’objets cantonaux et communaux.
Dans cet intervalle de mi mars à fin mai, les collectes de signatures pour les référendums et les initiatives populaires ont été suspendues. Dès l’annonce de cette suspension, le 21 mars, la date prévue pour la reprise des collectes de signatures était annoncée pour le 31 mai. Sans surprise, elles ont pu effectivement reprendre dès le 1er juin et ne se sont pas interrompues depuis.
Cette machine bien huilée s’était trouvée grippée pendant deux mois, mais aucun des rouages n’étaient atteint. Elle fonctionne à nouveau à plein régime, comme si rien ne s’était passé. Seules des mesures sanitaires sont venues s’ajouter aux procédures à suivre. Et donc, tout naturellement, les objets arrivés au terme de leur parcours législatif se sont retrouvés à l’agenda de la votation du 27 septembre.
Ce sont donc cinq objets fédéraux sur lesquels les Suisses vont devoir porter un jugement. Dans le canton de Zürich s’y ajoutent deux objets cantonaux, un objet communal dans ma commune de résidence, deux objets de district (subdivision d’un canton), ainsi qu’un objet concernant un groupement de communes. Rien que ca !
Les Suisses sont habitués à ces marathons démocratiques. Le 18 mai 2003 ce ne sont pas moins de neuf objets fédéraux qui ont été soumis à référendum (le précédent record date de 1866). Chacun se forgeant une opinion au fil des ans, faire son choix à chaque échéance devient presque facile. Quand on n’a pas d’opinion, on lit la presse, on se renseigne sur les recommandations des partis, on consulte la recommandation du conseil fédéral ou du parlement, et si on ne trouve vraiment pas l’inspiration, on s’abstient. Environ la moitié des suffrages sont exprimés en moyenne sur chaque objet, mais cela ne signifie pas que 50 % des Suisses s’abstiennent. Vous votez sur les sujets qui vous tiennent à cœur, sans vous sentir obligés de vous prononcer sur tous les sujets.
Cantonnons-nous à l’examen des cinq objets fédéraux du 27 septembre. Leur parcours d’approbation constitue la deuxième leçon de démocratie.
DEUXIÈME LEÇON DE DÉMOCRATIE : LA LOI EST FAITE PAR LE PEUPLE
Les cinq objets couvrent une variété de sujets tels que immigration, impôts, dépenses, droits sociaux, et protection des animaux :
contrôle de l’immigration modification de la loi sur la chasse relèvement des déductions pour enfants et pour garde d’enfants congé paternité acquisition d’avions militaires
Les trois derniers objets touchent à la levée de l’impôt et/ou à l’utilisation qui en est faite. On touche là à l’essence même de la démocratie : le contrôle de l’impôt et de la dépense par le peuple. Dans quel autre pays au monde trouve-t-on un tel mécanisme ?
Trois objets touchent à des enjeux de société : l’équilibre entre droit des éleveurs et protection des animaux ; l’octroi d’un congé paternité ; enfin, la question de savoir si l’État doit aider à supporter la charge des familles avec enfants.
Deux objets touchent au domaine régalien de l’État : la défense nationale et le contrôle de l’immigration, auxquels sont liés des enjeux de diplomatie internationale, en particulier avec l’Union européenne.
Mais plus riche d’enseignement encore, pour nous autres Européens qui ne connaissons pas la démocratie participative, est la manière dont les citoyens sont à l’initiative directe de ces votations.
Prenons l’exemple de l’initiative sur la chasse.
Le parlement, selon son rôle, a pris l’initiative de modifier la loi existante réglementant la chasse. Ces modifications sont monnaie courante : elles participent du toilettage nécessaire de l’arsenal législatif. Mais dans certains cas, comme dans celui-ci, ces modifications sont suffisamment importantes pour ouvrir la voie à un recours. Plusieurs associations de protection des animaux ont saisi l’opportunité, arguant que ces modifications affaiblissent la protection des espèces menacées. Elles ont récolté 50 000 signatures en moins de cent jours et déposé un recours, ce qui a entraîné une procédure nommée référendum facultatif.
Voilà comment la démocratie représentative se trouve contrôlée par la démocratie participative : un groupe de citoyens conteste une loi établie par le parlement, et le sujet est tranché par un vote de l’ensemble de la population.
Un groupe de citoyens récolte 100 000 signatures et dépose une initiative populaire de référendum obligatoire pour octroyer quatre semaines de congé paternité aux heureux nouveaux papas. Le parlement propose un contre-projet de deux semaines. Le comité d’initiative a pris la décision de retirer son projet initial, mais avec une condition, que la loi autorise : si le peuple vote Non au contre-projet, le comité d’initiative pourra proposer à nouveau son projet de quatre semaines de congé à une date ultérieure.
La première de ces deux initiatives a débuté son parcours il y a un an, ce qui est le chemin court. La voie longue, pour aboutir au référendum d’initiative populaire, prend typiquement trois ans, et peut durer plus de quatre ans. Un comité se constitue, écrit un projet d’initiative, collecte les 100 000 signatures requises, les dépose ; le gouvernement fédéral étudie le projet, donne son avis, le transmet au parlement ; celui-ci à son tour étudie le projet, donne son avis, et le renvoie au conseil fédéral, qui le met à l’agenda des votations.
Un troisième exemple pourra nous éclairer sur certains des enjeux de ces votations, dont les sujets peuvent parfois revenir à l’agenda sous des formes diverses.
TROISIÈME EXEMPLE DE DÉMOCRATIE : IL N’Y A PAS DE SUJET TABOU
Après avoir rejeté en 1991 l’adhésion à l’Espace économique européen, considérée alors comme une première étape vers l’Union européenne, les Suisses plébiscitent à 67 % une première série d’accords bilatéraux avec l’Union européenne en 2000, dit Bilatéraux I, qui incluent un accord sur la libre circulation des personnes. Quatre ans plus tard, en 2004, l’Union européenne s’agrandit de dix nouveaux membres. Les Suisses votent alors également Oui en 2005 à l’extension de cet accord aux dix nouveaux pays membres. En 2009, en pleine crise économique, les Suisses votent à nouveau pour la reconduction de l’accord, ainsi que son extension à la Bulgarie et à la Roumanie, qui entretemps avaient rejoint l’Union européenne.
La Suisse signe ensuite une deuxième série d’accords bilatéraux avec l’Union européenne en 2005, les Bilatéraux II, dont un seulement sera remis en cause dans les urnes, pour être confirmé à 55 %. Après avoir résolument tourné le dos à l’Europe, la Suisse s’est donc lancée dans la voie bilatérale avec le soutien de sa population, et avec beaucoup de succès.
Un parti, l’UDC, tente régulièrement de torpiller ces accords bilatéraux, notamment l’accord sur la libre circulation. En février 2014 il parvient à faire accepter une initiative imposant des quotas d’immigration, mais échoue en novembre de la même année à imposer une limitation de la croissance de la population à 0,2 % par an. Il échoue à nouveau en 2018 à imposer la prévalence du droit suisse sur le droit international.
Cette fois-ci, l’initiative de l’UDC attaque directement l’accord de libre circulation, considérant que l’initiative de 2014 n’a pas été correctement mise en œuvre par le gouvernement et le parlement. Si elle était acceptée, elle forcerait le conseil fédéral à renégocier l’accord dans un délai d’un an au maximum. En cas d’échec des négociations, la Suisse devrait dénoncer l’accord dans un délai de 30 jours.
C’est ainsi que les citoyens ont régulièrement la possibilité de se prononcer sur le maintien ou non d’une politique qui touche tout autant à l’immigration qu’aux relations complexes mais essentielles avec l’Union européenne. Faut-il rappeler que la Suisse est complètement encerclée par l’Union ? La nature des relations entre la Suisse et l’Union européenne est un sujet éminemment important qui ne saurait être laissé à la discrétion de l’administration ou même de la représentation nationale. Seul le peuple souverain peut décider !
CONCLUSION
Un tel processus démocratique pourrait-il fonctionner dans un autre pays ? Il est difficile de répondre à cette question. La réponse est peut-être à aller chercher dans la foule des sujets soumis au vote aux niveaux cantonal et communal. C’est en commençant par prendre part aux décisions les plus locales, parfois encore de nos jours à main levée sur la place du village, que les Suisses ont développé en 800 ans d’exercice de la démocratie directe cette capacité à prendre leur destin en main.
Et si on commençait en France par associer les Français aux décisions locales ? Peut-être serions-nous prêts dans 800 ans pour la démocratie participative ?
La Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple. C'est-à-dire que c'est le Peuple qui dirige.
Le mot démocratie est le contraire de dictature. C'est pourquoi il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie !! La Suisse. Les citoyens suisses proposent eux-mêmes LEURS propres lois (récolte de signatures pour être admises à référendum) et votent eux-mêmes LEURS propres lois.
En dictatures ce sont des tuteurs (Députés/Sénateurs qui n'ont pas fait 1 heure de Droit) qui proposent et votent LEURS lois sans demander quoi que ce soit au Peuple !!
(Plus de 50 % des suisses ne connaissent pas le nom de leur chef(fe) d'État ! Il ou elle change tous les ans (1er Janvier/31 Décembre).
Le secrétaire général de l'Onu nomme «les cinq cavaliers de l’Apocalypse» qui menacent l’humanité
17:39 22.09.2020 Par Dmitri Bassenko
Le secrétaire général des Nations unies a qualifié la pandémie de Covid-19 de «cinquième cavalier de l’Apocalypse» qui galope aujourd’hui dans le monde entier.
La pandémie de nouveau coronavirus est le «cinquième cavalier de l’Apocalypse» qui menace le monde aujourd’hui, estime le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres.
Intervenant devant l’Assemblée générale, M.Guterres a rappelé qu’en janvier dernier il avait nommé «les quatre cavaliers de l’Apocalypse» qui mettaient en péril l’avenir de l’humanité, à savoir les tensions géopolitiques, la crise climatique, la méfiance et, enfin, «le côté obscur du monde numérique».
«Pourtant, le cinquième cavalier se cachait alors dans l’ombre. Depuis janvier, le cavalier de la pandémie de Covid galope dans le monde entier. Il a rejoint les quatre autres cavaliers et accru la force destructrice de chacun d’entre eux», a déclaré le chef de l’Onu.
Progrès mis à mal
Selon lui, la pandémie a davantage mis en évidence les «points faibles» du monde contemporain, dont les inégalités croissantes, la corruption et la menace d’une catastrophe climatique.
«La pandémie a aggravé la situation créée par tous ces facteurs d’injustice, porté un coup aux couches sociales les plus vulnérables et torpillé les progrès atteints au cours des précédentes décennies», a souligné M.Guterres.
Le nouveau coronavirus a fait plus de 965.000 morts à travers le monde, selon les dernières données de l’université Johns-Hopkins aux États-Unis. Le nombre total des cas de Covid-19 approche les 32 millions.
Le corps humain du 21ème siècle N'A RIEN À VOIR avec celui des siècles précédents. Notre organisme a appris à se défendre contre les mutations bactériologiques (êtres vivants).
Mais, en ce qui concerne les virus (particules minérales ou métalliques), eux sont dans l'atmosphère depuis des millions d'années sans qu'ils n'aient pu accéder à une quelconque mutation.
Ce sont parfois des particules 'nouvelles' issues du nucléaire - encore que ces dernières aient été expulsées des volcans depuis des millions d'années - et font qu'il 'y en aurait plus qu'avant'. Soit.
Mais, ces particules 'appelées aujourd'hui 'corona' existaient avant et depuis des millions d'années sans que les humains n'en meurent de (encore que la recherche soit récente). Soit.
Mais... au fait... D'où viennent ces particules ? D'éruptions volcaniques ? Que nenni ! Extraterrestres ? Pourquoi pas.
La différence entre êtres vivants (bactéries/microbes) et les poussières (appelées parfois virus) est que les premiers aient une saison pour attaquer l'organisme tandis que les particules appelées virus n'en aient pas. Soit.
Donc, de deux choses l'une: soit elles sont extraterrestres (et arrivées depuis peu), soit elles ont été fabriqués sur Terre (comme celles des chemtrails).
Mais différences avec celles des chemtrails (qui sont absorbées par toute la nature - plantes, humains et animaux - ) les nano-particules appelées 'corona' sont ciblées. Leurs fonctions objectives est d'attaquer certains organismes et pas d'autres (par exemple: l'ethnicité).
Rappelons au passage que les chemtrails (largage de nano-particules par avions) répandent de l'aluminium (et baryum, etc) et que ces nano-particules sont absorbées par tous ce qui vit. D'où l'apparition de maladies comme Alzheimer ou Parkinson. Et nano-particules d'aluminium retrouvées (Laboratoires de Los Angeles) dans le cerveau des abeilles (mortes d'Alzheimer) qui butinaient les pistils où sont rassemblés les nano-particules remontées par les racines. Et d'où la concentration dangereuse de nano-particules dans les miels !
L'expérience de soigner le Covid par l'hydroxychloroquine racontée par un journaliste
07:30 23.09.2020 Par Ekaterina Yanson
Ni partisan ni détracteur de Didier Raoult, un journaliste pour Les Échos a consenti au traitement à l'hydroxychloroquine. S'étant senti au début de la maladie comme «habité» par des «êtres inconnus», il a constaté sur France Bleu n'avoir plus de symptômes à l'issue du traitement.
Testé positif au nouveau coronavirus, le journaliste pour Les Échos à Marseille Paul Molga a décidé d'essayer le médicament défendu par le professeur de l'IHU de Marseille Didier Raoult.
Ses premiers symptômes ont été une «grosse fatigue, mal de tête, violentes courbatures, frissons», ce qui différait d'une grippe commune.
«C'est quelque chose de nouveau dans l'organisme [...] c'est plus violent que ça. On se sent habité, par des êtres, des virus qui sont inconnus du corps», a-t-il fait part à France Bleu.
Il lui a été proposé de se soigner selon le schéma préconisé par le professeur Didier Raoult, il l'a accepté. Dans un post sur Facebook, il a donné des précisions sur son traitement qui prévoyait entre autres la prise d'hydroxychloroquine trois fois par jour.
«Mercredi soir, je prends les premiers médicaments. Jeudi matin, je sens que la charge virale a déjà diminué et la plupart des symptômes se sont atténués», a-t-il raconté, alors que sa «charge virale était exceptionnellement élevée ce jour-là, de quoi mettre KO un cheval», comme il l'avait fait remarquer dans un post sur Facebook.
Le traitement a été prescrit pour 10 jours. Deux jours plus tard, le journaliste a aperçu ne pas ressentir de symptômes.
«Ce qui m'étonne, c'est la violence qu'on fait subir à ce traitement et à l'hydroxychloroquine. On a quand même parlé de poison alors que c'est un médicament dont on connaît les effets depuis 70 ans, il y a plusieurs continents qui en prennent régulièrement. On n'a pas parlé de taux de mortalité associé à la prise de médicament», a estimé Paul Molga, qui n'était «ni anti ni pro Raoult» avant.
Résultat
Près d'une semaine s'est écoulée depuis le début du traitement à cette «potion du druide». La conclusion du journaliste c'est qu'il n'a «plus aucun symptôme».
«C'est ma vérité, ce n'est pas une vérité absolue. Moi j'ai pu le tester, je vois les effets et je vois aussi les gens qui n'ont pas pris de traitement et dont les symptômes traînent des semaines, voire des mois», a-t-il conclu.
Controverse
L'utilisation de l'hydroxychloroquine en tant que traitement anti-Covid suscite une polémique depuis des mois, en France, qui en a banni l'usage le 28 mai, et ailleurs. Le médicament ne montrait pas «d'effet bénéfique» pour les personnes positives au coronavirus, selon les essais cliniques britanniques Recovery réalisés début juin.
L'OMS a annoncé mi-juin avoir décidé de mettre fin aux essais cliniques sur l'hydroxychloroquine vu que cet antipaludéen ne réduisait pas le taux de mortalité lié au Covid-19.
"Aucune justification médicale pour les mesures d'urgence" - Lettre ouverte d'une centaine de médecins, les professionnels de la santé exhortent à mettre fin aux verrouillages
par Tyler Durden Mer, 23/09/2020 - 02:00
L'AIER rapporte que la lettre suivante a eu un impact sur les autorités de santé publique non seulement en Belgique mais dans le monde entier. Le texte pourrait concerner tous les cas dans lesquels les États ont enfermé leurs citoyens plutôt que de laisser la liberté aux gens et permettre aux professionnels de la santé d'assumer la tâche principale d'atténuation des maladies.
Jusqu'à présent, il a été signé par 435 médecins, 1 439 professionnels de la santé formés médicalement et 9 901 citoyens.
* * *
Lettre ouverte des médecins et des professionnels de la santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges.
Nous, médecins et professionnels de santé belges, souhaitons exprimer notre vive inquiétude quant à l'évolution de la situation au cours des derniers mois entourant l'épidémie du virus SRAS-CoV-2. Nous appelons les politiciens à être informés de manière indépendante et critique dans le processus de prise de décision et dans la mise en œuvre obligatoire des mesures corona. Nous demandons un débat ouvert, où tous les experts sont représentés sans aucune forme de censure. Après la panique initiale entourant le covid-19, les faits objectifs montrent maintenant une image complètement différente - il n'y a plus de justification médicale pour une politique d'urgence.
La gestion actuelle des crises est devenue totalement disproportionnée et cause plus de dégâts qu'elle ne fait de bien.
Nous appelons à la fin de toutes les mesures et demandons une restauration immédiate de notre gouvernance démocratique normale et de nos structures juridiques et de toutes nos libertés civiles.
«Un remède ne doit pas être pire que le problème» est une thèse plus pertinente que jamais dans la situation actuelle. Nous notons, cependant, que les dommages collatéraux actuellement causés à la population auront un impact plus important à court et à long terme sur toutes les couches de la population que le nombre de personnes maintenant protégées de la couronne.
À notre avis, les mesures corona actuelles et les sanctions strictes en cas de non-respect de celles-ci sont contraires aux valeurs formulées par le Conseil suprême de la santé belge qui, jusqu'à récemment, en tant qu'autorité sanitaire, a toujours assuré une médecine de qualité dans notre pays: «Science - Expertise - Qualité - Impartialité - Indépendance - Transparence».
Nous pensons que la politique a introduit des mesures obligatoires qui ne sont pas suffisamment fondées scientifiquement, ni dirigées unilatéralement, et qu'il n'y a pas assez d'espace dans les médias pour un débat ouvert dans lequel des points de vue et des opinions différents sont entendus. De plus, chaque commune et province a désormais l'autorisation d'ajouter ses propres mesures, fondées ou non.
De plus, la politique répressive stricte sur la corona contraste fortement avec la politique minimale du gouvernement en matière de prévention des maladies, renforçant notre propre système immunitaire grâce à un mode de vie sain, des soins optimaux avec une attention particulière pour l'individu et un investissement dans le personnel soignant.
Le concept de santé
En 1948, l’OMS définissait la santé comme suit: «La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et pas simplement l’absence de maladie ou d’autres déficiences physiques».
La santé est donc un concept large qui va au-delà du physique et concerne également le bien-être émotionnel et social de l'individu. La Belgique a également le devoir, du point de vue de l'adhésion aux droits fondamentaux de l'homme, d'inclure ces droits de l'homme dans sa prise de décision lorsqu'il s'agit de mesures prises dans le cadre de la santé publique.
Les mesures mondiales actuellement prises pour lutter contre le SRAS-CoV-2 violent dans une large mesure cette conception de la santé et des droits de l'homme. Les mesures comprennent le port obligatoire d'un masque (également en plein air et pendant les activités sportives, et dans certaines municipalités même lorsqu'il n'y a pas d'autres personnes à proximité), l'éloignement physique, l'isolement social, la quarantaine obligatoire pour certains groupes et des mesures d'hygiène.
La pandémie prévue avec des millions de morts
Au début de la pandémie, les mesures étaient compréhensibles et largement soutenues, même s'il y avait des différences de mise en œuvre dans les pays qui nous entourent. L'OMS avait initialement prédit une pandémie qui ferait 3,4% de victimes, soit des millions de morts, et un virus hautement contagieux pour lequel aucun traitement ou vaccin n'était disponible. Cela exercerait une pression sans précédent sur les unités de soins intensifs (USI) de nos hôpitaux.
Cela a conduit à une situation d'alarme mondiale, jamais vue dans l'histoire de l'humanité: «aplatir la courbe» était représenté par un verrouillage qui a fermé toute la société et l'économie et mis en quarantaine les personnes en bonne santé. La distanciation sociale est devenue la nouvelle norme en prévision d'un vaccin de sauvetage.
Les faits sur le covid-19
Peu à peu, la sonnette d'alarme a retenti de nombreuses sources: les faits objectifs ont montré une réalité complètement différente.
Le cours du covid-19 a suivi le cours d'une vague normale d'infection semblable à une saison grippale. Comme chaque année, on voit un mix de virus grippaux suivre la courbe: d'abord les rhinovirus, puis les virus grippaux A et B, suivis des coronavirus. Il n'y a rien de différent de ce que nous voyons normalement.
L'utilisation du test PCR non spécifique, qui produit de nombreux faux positifs, a montré une image exponentielle. Ce test a été précipité avec une procédure d'urgence et n'a jamais été sérieusement autotesté. Le créateur a expressément averti que ce test était destiné à la recherche et non au diagnostic.
Le test PCR fonctionne avec des cycles d'amplification du matériel génétique - un morceau de génome est amplifié à chaque fois. Toute contamination (par exemple, d'autres virus, des débris d'anciens génomes de virus) peut éventuellement entraîner des faux positifs.
Le test ne mesure pas le nombre de virus présents dans l'échantillon. Une véritable infection virale signifie une présence massive de virus, ce qu'on appelle la charge virale. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu'elle est en fait cliniquement infectée, qu'elle est malade ou qu'elle va tomber malade. Le postulat de Koch n’a pas été rempli («L’agent pur trouvé chez un patient souffrant de plaintes peut provoquer les mêmes plaintes chez une personne en bonne santé»).
Dans la mesure où un test PCR positif n'indique pas automatiquement une infection active ou une infectivité, cela ne justifie pas les mesures sociales prises, qui reposent uniquement sur ces tests.
Confinement.
Si l'on compare les vagues d'infection dans les pays à politique stricte de verrouillage à des pays qui n'ont pas imposé de verrouillage (Suède, Islande…), on voit des courbes similaires. Il n'y a donc aucun lien entre le verrouillage imposé et l'évolution de l'infection. Le verrouillage n'a pas conduit à une baisse du taux de mortalité.
Si nous regardons la date d'application des verrouillages imposés, nous voyons que les verrouillages ont été fixés après que le pic était déjà passé et que le nombre de cas diminuait. La baisse n'est donc pas le résultat des mesures prises.
Comme chaque année, il semble que les conditions climatiques (météo, température et humidité) et une immunité croissante sont plus susceptibles de réduire la vague d'infection.
Notre système immunitaire
Depuis des milliers d'années, le corps humain est quotidiennement exposé à l'humidité et aux gouttelettes contenant des microorganismes infectieux (virus, bactéries et champignons).
La pénétration de ces micro-organismes est empêchée par un mécanisme de défense avancé - le système immunitaire. Un système immunitaire fort repose sur une exposition quotidienne normale à ces influences microbiennes. Des mesures trop hygiéniques ont un effet néfaste sur notre immunité. Seules les personnes dont le système immunitaire est faible ou défectueux devraient être protégées par une hygiène poussée ou un éloignement social.
La grippe réapparaîtra à l'automne (en association avec le covid-19) et une possible diminution de la résilience naturelle pourrait entraîner de nouvelles victimes.
Notre système immunitaire se compose de deux parties: un système immunitaire congénital non spécifique et un système immunitaire adaptatif.
Le système immunitaire non spécifique forme une première barrière: peau, salive, suc gastrique, mucus intestinal, cellules ciliées vibratoires, flore commensale,… et empêche la fixation des micro-organismes aux tissus.
S'ils se fixent, les macrophages peuvent provoquer l'encapsulation et la destruction des micro-organismes.
Le système immunitaire adaptatif se compose de l'immunité muqueuse (anticorps IgA, principalement produits par les cellules de l'intestin et de l'épithélium pulmonaire), de l'immunité cellulaire (activation des lymphocytes T), qui peut être générée au contact de substances étrangères ou de microorganismes, et de l'immunité humorale (IgM et les anticorps IgG produits par les cellules B).
Des recherches récentes montrent que les deux systèmes sont très intriqués.
Il semble que la plupart des gens aient déjà une immunité congénitale ou générale contre par ex. grippe et autres virus. Cela est confirmé par les découvertes sur le bateau de croisière Diamond Princess, qui a été mis en quarantaine à cause de quelques passagers décédés de Covid-19. La plupart des passagers étaient âgés et se trouvaient dans une situation idéale de transmission sur le navire. Cependant, 75% ne semblaient pas infectés. Ainsi, même dans ce groupe à haut risque, la majorité est résistante au virus.
Une étude de la revue Cell montre que la plupart des gens neutralisent le coronavirus par l'immunité muqueuse (IgA) et cellulaire (lymphocytes T), tout en ressentant peu ou pas de symptômes.
Les chercheurs ont trouvé jusqu'à 60% de réactivité du SRAS-Cov-2 avec les cellules T CD4 + dans une population non infectée, ce qui suggère une réactivité croisée avec d'autres virus froids (corona).
La plupart des personnes ont donc déjà une immunité congénitale ou croisée car elles étaient déjà en contact avec des variantes du même virus.
La formation d'anticorps (IgM et IgG) par les cellules B n'occupe qu'une partie relativement petite de notre système immunitaire. Cela peut expliquer pourquoi, avec un pourcentage d'anticorps de 5 à 10%, il peut y avoir de toute façon une immunité de groupe. L'efficacité des vaccins est évaluée précisément en fonction de la présence ou non de ces anticorps. C'est une fausse déclaration.
La plupart des personnes dont le test est positif (PCR) ne se plaignent pas. Leur système immunitaire est suffisamment fort. Le renforcement de l'immunité naturelle est une approche beaucoup plus logique. La prévention est un pilier important et insuffisamment mis en évidence: une alimentation saine et à part entière, de l'exercice à l'air frais, sans masque, une réduction du stress et des contacts émotionnels et sociaux nourrissants.
Conséquences de l'isolement social sur la santé physique et mentale
L'isolement social et les dommages économiques ont entraîné une augmentation de la dépression, de l'anxiété, des suicides, de la violence intrafamiliale et de la maltraitance des enfants.
Des études ont montré que plus les gens ont des engagements sociaux et émotionnels, plus ils sont résistants aux virus. Il est beaucoup plus probable que l'isolement et la quarantaine aient des conséquences fatales.
Les mesures d'isolement ont également conduit à l'inactivité physique chez de nombreuses personnes âgées en raison de leur obligation de rester à l'intérieur. Cependant, une activité physique suffisante a un effet positif sur le fonctionnement cognitif, réduisant les plaintes dépressives et l'anxiété et améliorant la santé physique, les niveaux d'énergie, le bien-être et, en général, la qualité de vie.
La peur, le stress persistant et la solitude induits par la distanciation sociale ont une influence négative avérée sur la santé psychologique et générale.
Un virus hautement contagieux avec des millions de morts sans aucun traitement ?
La mortalité s'est avérée être plusieurs fois plus faible que prévu et proche de celle d'une grippe saisonnière normale (0,2%).
Le nombre de décès corona enregistrés semble donc toujours surestimé.
Il y a une différence entre la mort par corona et la mort avec corona. Les humains sont souvent porteurs de plusieurs virus et de bactéries potentiellement pathogènes en même temps. Compte tenu du fait que la plupart des personnes qui ont développé des symptômes graves souffraient d'une pathologie supplémentaire, on ne peut pas simplement conclure que l'infection corona était la cause du décès. Cela n'a généralement pas été pris en compte dans les statistiques.
Les groupes les plus vulnérables peuvent être clairement identifiés. La grande majorité des patients décédés étaient âgés de 80 ans ou plus. La majorité (70%) des personnes décédées, âgées de moins de 70 ans, avaient un trouble sous-jacent, tel que la souffrance cardiovasculaire, le diabète sucré, une maladie pulmonaire chronique ou l'obésité. La grande majorité des personnes infectées (> 98%) ne sont pas ou à peine tombées malades ou se sont rétablies spontanément.
Pendant ce temps, il existe une thérapie abordable, sûre et efficace pour ceux qui présentent des symptômes graves de maladie sous forme de HCQ (hydroxychloroquine), de zinc et d'AZT (azithromycine). Appliquée rapidement, cette thérapie conduit au rétablissement et empêche souvent l'hospitalisation. Presque personne ne doit mourir maintenant.
Cette thérapie efficace a été confirmée par l'expérience clinique de collègues dans le domaine avec des résultats impressionnants. Cela contraste fortement avec la critique théorique (justification insuffisante par des études en double aveugle) qui dans certains pays (par exemple les Pays-Bas) a même conduit à une interdiction de cette thérapie. Une méta-analyse dans The Lancet, qui ne pouvait pas démontrer un effet de HCQ, a été retirée. Les principales sources de données utilisées se sont avérées peu fiables et 2 auteurs sur 3 étaient en conflit d'intérêts. Cependant, la plupart des lignes directrices basées sur cette étude sont restées inchangées…
Nous avons de sérieuses questions sur cet état de fait.
Aux États-Unis, un groupe de médecins sur le terrain, qui voient des patients quotidiennement, s'est réuni au sein de «America’s Frontline Doctors» et a donné une conférence de presse qui a été regardée des millions de fois.
Le professeur français Didier Raoult de l’Institut d’Infectiologie de Marseille (IHU) a également présenté cette polythérapie prometteuse dès le mois d’avril. Le médecin généraliste néerlandais Rob Elens, qui a guéri de nombreux patients dans sa pratique avec HCQ et zinc, a appelé ses collègues dans une pétition pour la liberté de thérapie.
La preuve définitive provient du suivi épidémiologique en Suisse: taux de mortalité comparés avec et sans ce traitement.
À partir des images médiatiques pénibles du SDRA (syndrome de détresse respiratoire aiguë) où les gens étouffaient et subissaient une respiration artificielle à l'agonie, nous savons maintenant que cela était causé par une réponse immunitaire exagérée avec coagulation intravasculaire dans les vaisseaux sanguins pulmonaires. L'administration d'anticoagulants et de dexaméthasone et l'évitement de la ventilation artificielle, qui s'est avérée causer des dommages supplémentaires aux tissus pulmonaires, signifient que cette complication redoutée n'est pratiquement plus mortelle.
Ce n'est donc pas un virus tueur, mais une maladie bien traitable.
Propagation
La propagation se produit par infection goutte-à-goutte (uniquement pour les patients qui toussent ou éternuent) et des aérosols dans des pièces fermées et non ventilées. La contamination n'est donc pas possible à l'air libre. La recherche des contacts et les études épidémiologiques montrent que les personnes en bonne santé (ou les porteurs asymptomatiques testés positivement) sont pratiquement incapables de transmettre le virus. Les personnes en bonne santé ne se mettent donc pas en danger.
Le transfert via des objets (par exemple de l'argent, des caddies ou des caddies) n'a pas été scientifiquement prouvé.
Tout cela remet sérieusement en question toute la politique de distanciation sociale et de masques buccaux obligatoires pour les personnes en bonne santé - il n'y a aucune base scientifique à cela.
Masques
Les masques oraux ont leur place dans des contextes où ont lieu des contacts avec des groupes à risque avéré ou des personnes souffrant de troubles des voies respiratoires supérieures, et dans un contexte médical / hôpital-maison de retraite. Ils réduisent le risque d'infection par gouttelettes par les éternuements ou la toux. Les masques oraux chez les individus en bonne santé sont inefficaces contre la propagation des infections virales.
Le port d'un masque n'est pas sans effets secondaires. La carence en oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) survient assez rapidement, un effet similaire au mal des montagnes. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d'hyperventilation dus au port de masques. De plus, le gaz carbonique accumulé entraîne une acidification toxique de l'organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d'utilisation inappropriée du masque.
Notre Code du travail (Codex 6) fait référence à une teneur en gaz carbonique (ventilation sur les lieux de travail) de 900 ppm, maximum 1200 ppm dans des circonstances particulières. Après avoir porté un masque pendant une minute, cette limite toxique est considérablement dépassée pour atteindre des valeurs trois à quatre fois supérieures à ces valeurs maximales. Quiconque porte un masque se trouve donc dans une pièce extrêmement mal ventilée.
L'utilisation inappropriée de masques sans dossier médical complet de tests cardio-pulmonaires n'est donc pas recommandée par des spécialistes reconnus de la sécurité des travailleurs.
Les hôpitaux ont un environnement stérile dans leurs salles d'opération où le personnel porte des masques et il y a une régulation précise de l'humidité / température avec un débit d'oxygène correctement surveillé pour compenser cela, répondant ainsi à des normes de sécurité strictes.
Une deuxième onde corona ?
Une deuxième vague est actuellement en discussion en Belgique, avec un nouveau resserrement des mesures en conséquence. Cependant, un examen plus approfondi des chiffres de Sciensano (dernier rapport du 3 septembre 2020) montre que, bien qu'il y ait eu une augmentation du nombre d'infections depuis la mi-juillet, il n'y avait pas d'augmentation des hospitalisations ou des décès à cette époque. Il ne s'agit donc pas d'une seconde vague de corona, mais d'une soi-disant «chimie de cas» due à un nombre accru de tests.
Le nombre d'hospitalisations ou de décès a montré une augmentation minime de courte durée ces dernières semaines, mais pour l'interpréter, il faut tenir compte de la récente vague de chaleur. De plus, la grande majorité des victimes appartiennent toujours au groupe de population> 75 ans.
Cela indique que la proportion des mesures prises par rapport à la population active et aux jeunes est disproportionnée par rapport aux objectifs visés.
La grande majorité des personnes «infectées» testées positivement appartiennent à la tranche d'âge de la population active, qui ne développe aucun symptôme ou est simplement limitée, en raison d'un système immunitaire qui fonctionne bien.
Rien n'a donc changé - le pic est passé.
Renforcer une politique de prévention
Les mesures corona forment un contraste frappant avec la politique minimale menée par le gouvernement jusqu'à présent, lorsqu'il s'agit de mesures bien fondées avec des avantages pour la santé avérés tels que la taxe sur le sucre, l'interdiction des (e-) cigarettes et la fabrication d'aliments sains, l'exercice et les réseaux de soutien social financièrement attractifs et largement accessibles. C'est une occasion manquée pour une meilleure politique de prévention qui aurait pu entraîner un changement de mentalité dans toutes les couches de la population avec des résultats clairs en termes de santé publique. À l'heure actuelle, seulement 3% du budget de la santé est consacré à la prévention. 2
Le serment d'Hippocrate
En tant que médecin, nous avons prêté le serment d'Hippocrate:
«Je vais avant tout soigner mes patients, promouvoir leur santé et soulager leurs souffrances».
«J'informerai correctement mes patients.»
«Même sous pression, je n'utiliserai pas mes connaissances médicales pour des pratiques qui sont contre l'humanité.»
Les mesures actuelles nous obligent à agir contre ce serment.
D'autres professionnels de la santé ont un code similaire.
Le «primum non nocere», que tout médecin et professionnel de santé assume, est également miné par les mesures actuelles et par la perspective de l’introduction éventuelle d’un vaccin généralisé, qui ne fait pas l’objet de tests préalables approfondis.
Des enquêtes sur la vaccination antigrippale montrent qu'en 10 ans, nous n'avons réussi que trois fois à développer un vaccin avec un taux d'efficacité de plus de 50%. Vacciner nos personnes âgées semble inefficace. Plus de 75 ans, l'efficacité est quasi inexistante.
En raison de la mutation naturelle continue des virus, comme on le voit également chaque année dans le cas du virus de la grippe, un vaccin est tout au plus une solution temporaire, qui nécessite chaque fois de nouveaux vaccins par la suite. Un vaccin non testé, mis en œuvre par procédure d'urgence et pour lequel les fabricants ont déjà obtenu une immunité légale contre d'éventuels dommages, soulève de sérieuses questions. Nous ne souhaitons pas utiliser nos patients comme des cobayes.
A l'échelle mondiale, 700 000 cas de dommages ou de décès sont attendus du fait du vaccin.
Si 95% des personnes souffrent de Covid-19 pratiquement sans symptôme, le risque d'exposition à un vaccin non testé est irresponsable.
Le rôle des médias et le plan de communication officiel
Au cours des derniers mois, les fabricants de journaux, de radio et de télévision semblaient se tenir presque sans esprit critique derrière le panel d'experts et le gouvernement, là où c'est précisément la presse qui devrait être critique et empêcher la communication gouvernementale unilatérale. Cela a conduit à une communication publique dans nos médias d'information, qui ressemblait plus à de la propagande qu'à des reportages objectifs.
À notre avis, c'est la tâche du journalisme d'apporter des informations aussi objectivement et neutres que possible, visant à trouver la vérité et à contrôler de manière critique le pouvoir, les experts dissidents se voyant également offrir un forum dans lequel s'exprimer.
Ce point de vue est soutenu par les codes d'éthique journalistique.
L'histoire officielle selon laquelle un verrouillage était nécessaire, que c'était la seule solution possible et que tout le monde était derrière ce verrouillage, a rendu difficile pour les personnes ayant un point de vue différent, ainsi que pour les experts, d'exprimer une opinion différente.
Les opinions alternatives ont été ignorées ou ridiculisées. Nous n'avons pas vu de débats ouverts dans les médias, où différents points de vue pourraient être exprimés.
Nous avons également été surpris par les nombreuses vidéos et articles de nombreux experts scientifiques et autorités, qui ont été et sont toujours supprimés des réseaux sociaux. Nous estimons que cela ne cadre pas avec un État constitutionnel libre et démocratique, d’autant plus que cela conduit à une vision tunnel. Cette politique a également un effet paralysant et nourrit la peur et l'inquiétude dans la société. Dans ce contexte, nous rejetons l'intention de censure des dissidents dans l'Union européenne!
La manière dont Covid-19 a été décrit par les politiciens et les médias n'a pas non plus fait de bien à la situation. Les termes de guerre étaient populaires et le langage guerrier ne manquait pas. On a souvent évoqué une «guerre» avec un «ennemi invisible» qui doit être «vaincu». L’utilisation dans les médias d’expressions telles que «héros du soin en première ligne» et «victimes de la couronne» a encore alimenté la peur, tout comme l’idée que nous avons affaire à un «virus tueur» dans le monde.
Le bombardement incessant de chiffres, qui se déchaînait sur la population jour après jour, heure après heure, sans interpréter ces chiffres, sans les comparer aux décès grippaux d'autres années, sans les comparer à des décès d'autres causes, a induit une véritable psychose de peur dans la population. Ce n'est pas une information, c'est une manipulation.
Nous déplorons le rôle de l'OMS à cet égard, qui a appelé à ce que l'infodémie (c'est-à-dire toutes les opinions divergentes du discours officiel, y compris par des experts aux vues différentes) soit réduite au silence par une censure des médias sans précédent.
Nous appelons d'urgence les médias à prendre leurs responsabilités ici!
Nous exigeons un débat ouvert dans lequel tous les experts sont entendus.
Droit d'urgence contre droits de l'homme
Le principe général de bonne gouvernance exige que la proportionnalité des décisions gouvernementales soit mise en balance à la lumière des normes juridiques plus élevées: toute ingérence du gouvernement doit respecter les droits fondamentaux tels que protégés par la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). L'ingérence des pouvoirs publics n'est autorisée que dans les situations de crise. En d'autres termes, les décisions discrétionnaires doivent être proportionnées à une nécessité absolue.
Les mesures actuellement prises concernent l'ingérence dans l'exercice, entre autres, du droit au respect de la vie privée et familiale, de la liberté de pensée, de conscience et de religion, de la liberté d'expression et de la liberté de réunion et d'association, du droit à l'éducation, etc. , et doit donc respecter les droits fondamentaux tels que protégés par la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH).
Par exemple, conformément à l'article 8, paragraphe 2, de la CEDH, l'ingérence dans le droit à la vie privée et familiale n'est autorisée que si les mesures sont nécessaires dans l'intérêt de la sécurité nationale, de la sécurité publique et du bien-être économique du pays. , la protection de l'ordre public et la prévention des infractions pénales, la protection de la santé ou la protection des droits et libertés d'autrui, le texte réglementaire sur lequel se fonde l'ingérence doit être suffisamment clair, prévisible et proportionné aux objectifs poursuivis.
La pandémie prévue de millions de morts semble répondre à ces conditions de crise, conduisant à la mise en place d'un gouvernement d'urgence. Maintenant que les faits objectifs montrent quelque chose de complètement différent, la condition d'incapacité d'agir autrement (pas de temps pour évaluer en profondeur s'il y a une urgence) n'est plus en place. Covid-19 n'est pas un virus du rhume, mais une maladie bien traitable avec un taux de mortalité comparable à la grippe saisonnière. En d'autres termes, il n'y a plus d'obstacle insurmontable à la santé publique.
Il n'y a pas d'état d'urgence.
Immenses dommages causés par les politiques actuelles Une discussion ouverte sur les mesures corona signifie qu'en plus des années de vie gagnées par les patients corona, nous devons également prendre en compte d'autres facteurs affectant la santé de l'ensemble de la population. Il s'agit notamment des dommages dans le domaine psychosocial (augmentation de la dépression, de l'anxiété, des suicides, de la violence intra-familiale et de la maltraitance des enfants) 16 et des dommages économiques.
Si nous prenons en compte ces dommages collatéraux, la politique actuelle est disproportionnée, l'utilisation proverbiale d'un marteau pour casser une noix.
Nous trouvons choquant que le gouvernement invoque la santé comme raison de la loi d'urgence.
En tant que médecins et professionnels de santé, face à un virus qui, en termes de nocivité, mortalité et transmissibilité, se rapproche de la grippe saisonnière, nous ne pouvons que rejeter ces mesures extrêmement disproportionnées.
Nous exigeons donc la fin immédiate de toutes les mesures.
Nous remettons en question la légitimité des experts consultatifs actuels, qui se réunissent à huis clos.
À la suite de l'ACU 2020 https://acu2020.org/nederlandse-versie/, nous appelons à un examen approfondi du rôle de l'OMS et de l'influence possible des conflits d'intérêts dans cette organisation. Elle était également au cœur de la lutte contre «l'infodémie», c'est-à-dire la censure systématique de toutes les opinions dissidentes dans les médias. C'est inacceptable pour un État démocratique régi par la primauté du droit.
Distribution de cette lettre
Nous aimerions lancer un appel public à nos associations professionnelles et à nos collègues aidants pour qu'ils donnent leur avis sur les mesures actuelles.
Nous attirons l'attention et appelons à une discussion ouverte dans laquelle les soignants peuvent et osent s'exprimer.
Avec cette lettre ouverte, nous envoyons le signal que les progrès sur le même pied font plus de mal que de bien, et appelons les politiciens à s'informer de manière indépendante et critique sur les preuves disponibles - y compris celles d'experts ayant des points de vue différents, pour autant qu'elles le soient. basé sur une science solide - lors de la mise en œuvre d'une politique, dans le but de promouvoir une santé optimale.
(...) Le port d'un masque n'est pas sans effets secondaires. La carence en oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) survient assez rapidement, un effet similaire au mal des montagnes. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d'hyperventilation dus au port de masques. De plus, le gaz carbonique accumulé entraîne une acidification toxique de l'organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d'utilisation inappropriée du masque.
Notre Code du travail (Codex 6) fait référence à une teneur en gaz carbonique (ventilation sur les lieux de travail) de 900 ppm, maximum 1200 ppm dans des circonstances particulières. Après avoir porté un masque pendant une minute, cette limite toxique est considérablement dépassée pour atteindre des valeurs trois à quatre fois supérieures à ces valeurs maximales. Quiconque porte un masque se trouve donc dans une pièce extrêmement mal ventilée. (...)
La police du Delaware saisit suffisamment de fentanyl pour tuer au moins 75% de la population de l'État
par Tyler Durden Mar, 22/09/2020 - 22:25
Lundi, la police de l'État du Delaware et le FBI ont annoncé une enquête multi-juridictionnelle de deux ans qui a conduit à l'arrestation de plus de deux douzaines de personnes liées à une importante organisation de drogue opérant à Deleware, a rapporté la station de presse locale WDEL.
La police de l'État du Delaware a déclaré que la répression du gang criminel avait abouti à «la plus grande saisie de fentanyl de l'histoire de l'État».
Au total, 28 personnes ont été arrêtées et sont maintenant inculpées de 252 crimes, notamment de racket criminel, de complot et de trafic de drogue.
Le lieutenant Robert Jones de la police de l'État du Delaware, qui a pris la parole lors de la conférence de presse au poste Troop 2 à Newark, a déclaré que les forces de l'ordre avaient saisi sept kilogrammes et demi de fentanyl. Il a dit, étant donné la puissance de la drogue, "c'était assez de fentanyl pour tuer 750 000 Delawaréens."
Le colonel Melissa Zebley, surintendant de la police de l'État du Delaware, a déclaré qu'il serait «difficile de mesurer toute la gravité que cette organisation criminelle aurait pu avoir dans notre État».
Des représentants d'autres services de police, dont le bureau extérieur du FBI à Baltimore et la procureure générale du Delaware, Kathleen Jennings, ont également assisté à la conférence de presse de lundi.
Jennifer Boone, agent spécial en charge du bureau extérieur du FBI à Baltimore, a déclaré:
"Ces résultats comprenaient la plus grande saisie de fentanyl par les forces de l'ordre du Delaware dans l'histoire de l'État, ce qui a fait une brèche majeure dans l'approvisionnement en fentanyl qui aurait été distribué dans les rues de Newark et des environs", a déclaré Boone. «À elle seule, la quantité de fentanyl saisie aurait pu tuer des milliers et des milliers de personnes».
Les forces de l'ordre ont également saisi un quart de million de dollars en espèces, 20 armes à feu, des millions de dollars de cocaïne, d'héroïne, de crack et de marijuana et cinq véhicules lors des raids de juillet dans sept maisons du Delaware et de Philadelphie.
Les lecteurs se rappelleront peut-être que l'administration Trump a récemment annoncé un important effondrement de la méthamphétamine qui avait des opérations couvrant l'ensemble des États-Unis.
Le président Trump continue de tenir sa promesse envers le peuple américain dans sa campagne contre les drogues illégales qui continuent de couler de pays étrangers dans les rues des communautés américaines.
Mensonges, mensonges damnés et statistiques sur la santé au Royaume-Uni: le danger mortel des faux positifs
par Tyler Durden Mar, 22/09/2020 - 05:00 Rédigé par le Dr Michael Yeadon via lockdownsceptics.org,
Je ne m'attendais jamais à écrire quelque chose comme ça. Je suis une personne ordinaire, récemment semi-retraitée d'une carrière dans l'industrie pharmaceutique et la biotechnologie, où j'ai passé plus de 30 ans à essayer de résoudre les problèmes de compréhension des maladies et à rechercher de nouveaux traitements pour les troubles allergiques et inflammatoires des poumons et de la peau. J'ai toujours été intéressé par la résolution de problèmes, donc quand quelque chose de biologique survient, mon attention est attirée dessus. Venez 2020, est venu SARS-CoV-2. J’ai écrit sur la pandémie aussi objectivement que possible. La méthode scientifique ne quitte jamais une personne qui a été formée et a travaillé comme scientifique professionnel. Veuillez lire cet article. Mes co-auteurs et moi le soumettrons aux rigueurs normales de l'examen par les pairs, mais ce processus est lent et de nombreuses nouvelles données scientifiques cette année ont attiré l'attention par le biais de serveurs de pré-impression et d'autres points de vente moins conventionnels.
Tout en prêtant une attention particulière aux données, nous nous sommes tous d'abord concentrés sur la triste affaire des décès. J'ai trouvé remarquable que, en discutant des décès liés au COVID-19, la plupart des personnes à qui j'ai parlé n'avaient aucune idée des grands nombres. Lorsqu'on leur a demandé approximativement combien de personnes meurent chaque année au Royaume-Uni dans le cours normal des événements, chacun étant une tragédie personnelle, ils ne savaient généralement pas. J’ai dû les informer qu’il s’agit d’environ 620 000 personnes, parfois moins si nous avons eu un hiver doux, parfois un peu plus si nous avons eu une saison grippale sévère. Je mentionne ce nombre parce que nous savons qu'environ 42000 personnes sont mortes avec ou du COVID-19. Bien qu’il s’agisse d’un grand nombre de personnes, il ne représente «que» 0,06% de la population britannique. Ce n'est pas une coïncidence si c'est presque la même proportion de morts avec ou de COVID-19 dans chacun des pays européens fortement infectés - par exemple, la Suède. La mortalité annuelle toutes causes de 620 000 est de 1 700 par jour, plus faible en été et plus élevée en hiver. Cela a toujours été le sort des humains dans les zones tempérées. Donc, pour le contexte, 42 000 équivaut à environ 24 jours de mortalité normale. Sachez que je ne minimise pas cela, j'essaie simplement d'avoir une certaine perspective à ce sujet. Les décès de cette ampleur ne sont pas rares et peuvent survenir pendant les saisons grippales les plus sévères. Les vaccins contre la grippe aident un peu, mais à trois reprises seulement au cours de la dernière décennie, la vaccination a atteint une efficacité de 50%. Ils sont bons, mais ils n’ont jamais été des balles magiques pour les virus respiratoires. Au lieu de cela, nous avons appris à vivre avec de tels virus, allant de nombreux rhumes à des pneumonies qui peuvent tuer. Les médicaments et les soins humains font de leur mieux.
Alors, à cet article ...
Il s'agit des tests que nous faisons avec quelque chose appelé PCR, une technique d'amplification, mieux connue des biologistes comme un outil de recherche utilisé dans nos laboratoires, lorsque nous essayons de déceler les mécanismes de la maladie.
J'ai été franchement étonné de constater qu'ils sont parfois utilisés dans le dépistage des maladies dans la population - étonné parce que c'est une technique très exigeante, sujette à des erreurs invisibles et qu'il est assez difficile d'en tirer des informations fiables, notamment en raison des quantités prodigieuses d'amplification impliquée dans la tentative de capter un brin de code génétique viral. Le test ne peut pas faire la distinction entre un virus vivant et un court brin d'ARN d'un virus qui s'est brisé en morceaux il y a des semaines ou des mois.
Je crois avoir identifié une faille sérieuse, vraiment fatale, dans le test PCR utilisé dans ce que le gouvernement britannique appelle le dépistage du pilier 2 - c'est-à-dire le dépistage de nombreuses personnes dans leurs communautés. Je vais passer en revue cela avec soin et en détail car je suis un scientifique et je n'aime pas où cette enquête me mène. Je ne suis pas particulièrement politique et je préfère une administration compétente et honnête par rapport aux politiques réellement choisies. Nous sommes un groupe raisonnable au Royaume-Uni et peu enclin aux extrêmes. Ce dont je suis particulièrement réticent, c’est qu’en suivant les preuves, je n’ai pas d’autre choix que de montrer que le secrétaire à la Santé, Matt Hancock, a induit la Chambre des communes en erreur et a également fait des déclarations trompeuses dans une interview à la radio. Ce sont de graves accusations. Je le sais. Je ne suis pas une personne impitoyable. Mais j’écris ceci de toute façon, parce que ce que j’ai découvert est d’une importance monumentale pour la santé et le bien-être de tous les habitants de la nation que j’ai toujours appelée chez moi.
Revenons à l'histoire, puis aux preuves. Lorsque la première (et je pense, la seule) vague de COVID-19 a frappé le Royaume-Uni, j'étais avec presque tout le monde dans la peur. J'ai 60 ans et en bonne santé, mais en apprenant que j'avais un risque supplémentaire d'environ 1% de périr si j'attrapais le virus, j'ai découvert que j'étais loin d'être prêt à partir. Donc, je n’ai pas été surpris ni en colère lorsque le premier verrouillage est arrivé. Cela a dû être une chose très difficile à décider. Cependant, avant la fin des trois premières semaines, j'avais commencé à comprendre ce qui se passait
Revenons à l'histoire, puis aux preuves. Lorsque la première (et je pense, la seule) vague de COVID-19 a frappé le Royaume-Uni, j'étais avec presque tout le monde dans la peur. J'ai 60 ans et en bonne santé, mais en apprenant que j'avais un risque supplémentaire d'environ 1% de périr si j'attrapais le virus, j'ai découvert que j'étais loin d'être prêt à partir. Donc, je n’ai pas été surpris ni en colère lorsque le premier verrouillage est arrivé. Cela a dû être une chose très difficile à décider. Cependant, avant la fin de la première période de trois semaines, j’avais commencé à comprendre ce qui se passait. Le taux d'infection, qui aurait infecté plus de 100 000 nouvelles personnes chaque jour autour du pic, a commencé à baisser et diminuait avant le verrouillage. L'infection a continué à se propager, à un rythme toujours plus faible et nous l'avons vu au tournant des décès quotidiens, lors d'une sinistre conférence de presse chaque après-midi. Nous savons maintenant que le verrouillage n'a fait aucune différence dans la propagation du virus. Nous pouvons le dire parce que l’intervalle entre la capture du virus et, chez ceux qui ne le font pas, leur mort est plus long que l’intervalle entre le verrouillage et le pic des décès quotidiens. Il n’ya pas de controverse sur ce fait, facilement démontrable, mais je suis conscient que certaines personnes aiment prétendre que c’est le verrouillage qui a transformé la pandémie, peut-être pour justifier le prix extraordinaire que nous avons tous payé pour le faire. Ce prix n’était pas seulement économique.
Il s'agissait de décès évitables dus à des maladies autres que le COVID-19, car les services médicaux étaient limités, afin de se concentrer sur le virus. Certains disent que le verrouillage, directement et indirectement, a tué autant que le virus. Je ne sais pas. Ce n’est pas quelque chose que j’ai cherché à apprendre. Mais je mentionne parce que les interventions dans toutes nos vies ne doivent pas être faites à la légère. Ce n'est pas seulement un inconvénient, mais une souffrance réelle, la perte de moyens de subsistance, des amitiés, des ancres d'une importance capitale pour nous tous, qui sont coupées par de tels actes. Nous devons être certains que le prix vaut le prix. Même s'il est incertain que ce soit le cas, même pour le premier lock-out, je l'ai également soutenu, car nous ne savions pas à quoi nous affrontions et, franchement, presque tout le monde l'a fait, sauf la Suède. Je suis maintenant résolument contre de nouvelles interventions dans ce que je suis devenu convaincu est une tentative infructueuse de «contrôler le virus». Nous sommes, à mon avis - partagés par d’autres, dont certains sont bien placés pour évaluer la situation - plus près de la fin de la pandémie en termes de décès que de son milieu. Je pense que nous devons offrir la meilleure protection possible à toute personne vulnérable et, par ailleurs, continuer avec prudence notre vie. Je pense que nous allons tous devenir un peu plus suédois avec le temps.
Ces dernières semaines, cependant, il n’a pu échapper à personne qu’un battement de tambour se soit produit pour le monde entier comme le prélude à des restrictions encore plus infructueuses et préjudiciables. Pensez au milieu de l'été. Nous étions nouvellement sortis du lock-out et malgré les inquiétudes concernant les plages bondées, les grandes manifestations, l'ouverture de boutiques et de pubs, le principal sujet de l'actualité concernant COVID-19 était la baisse rassurante et implacable des décès quotidiens. J'ai remarqué que, par rapport aux pentes du nombre de morts en baisse dans de nombreux pays voisins, notre pente était trop plate. J'ai même mentionné à des amis scientifiques qui ont déduit la présence d'un signal fixe qui était mélangé avec de véritables décès COVID-19. Imaginez à quel point il était gratifiant lorsque la définition d'un décès par COVID-19 a été modifiée pour s'aligner sur celle d'autres pays et en un clin d'œil, notre ligne de bilan en baisse a été assortie à celle ailleurs. J'étais sûr que ce serait le cas: ce que nous avons vécu et vu est une sorte d'équilibre terrible. Un virus qui en tue peu, puis laisse des survivants presque certainement immunisés - un virus contre lequel peut-être 30 à 50% étaient déjà immunisés car il a des parents et certains d'entre nous les ont déjà rencontrés - explique tout le processus biologique terrible mais aussi fascinant. . Il y avait une pièce très intéressante dans le BMJ ces derniers jours qui offre un soutien potentiel à cette affirmation.
Maintenant, nous avons appris certaines des caractéristiques inhabituelles du nouveau virus, de meilleurs traitements (stéroïdes anti-inflammatoires, anticoagulants et en particulier, masques à oxygène et non ventilateurs en général), le `taux de létalité' même pour les plus difficiles. le nombre de personnes touchées est beaucoup plus faible qu'il y a six mois.
Comme il n'y a pas de littérature fondamentale, médicale ou scientifique qui nous dit de nous attendre à une 'deuxième vague', j'ai commencé à prêter plus d'attention à l'expression telle qu'elle apparaissait à la télévision, à la radio et dans la presse écrite - le même jour - et j'ai été sans relâche répété depuis. J'ai été interviewée récemment par Julia Hartley-Brewer sur son émission talkRADIO et à cette occasion j'ai appelé le gouvernement à nous divulguer les preuves sur lesquelles il comptait pour prédire cette deuxième vague. Ils ont sûrement des preuves ? Je ne pense pas qu’ils le fassent. J'ai cherché et je suis très qualifié pour le faire, en m'appuyant sur des amis universitaires, et nous avons tous été surpris de constater qu'il n'y avait rien du tout. Les deux derniers nouveaux coronavirus, Sar (2003) et MERS (2012), étaient d'une vague chacun. Même les «vagues» de grippe de la Première Guerre mondiale étaient presque certainement une série de vagues uniques impliquant plus d’un virus. Je crois que tout discours de deuxième vague est une pure spéculation. Ou peut-être est-ce quelque part dans un modèle, déconnecté du monde des preuves pour moi ? Il serait raisonnable de s’attendre à une «résurgence» limitée d’un virus étant donné que nous ne mélangeons pas comme du cordial dans un verre d’eau, mais d’une manière plus grumeleuse et humaine. Vous êtes le plus en contact avec votre famille, vos amis et vos collègues de travail et ce sont eux avec qui vous échangez généralement des rhumes.
Une longue période de restrictions imposées, en plus de celles de nos vies ordinaires, a empêché les derniers pour cent de virus de se mélanger à la population. Avec les mouvements de vacances, les nouveaux emplois, les visites de parents éloignés, le début de nouveaux mandats dans les universités et les écoles, ce mélange final est en cours. Cela ne devrait pas être un processus terrifiant. Cela arrive à chaque nouveau virus, grippe incluse. C’est juste que nous ne l’avons jamais encore chassé dans la campagne avec une technique plus adaptée au laboratoire de biologie qu’à un parking de supermarché.
Un très long prélude, mais nécessaire.
Une partie de la «peur du projet» qui est plutôt trop évidente, impliquant des secondes vagues, a été le décompte quotidien des «cas». Il est important de comprendre que, selon les spécialistes des maladies infectieuses à qui j’ai parlé, le mot «cas» doit signifier plus que la simple présence d’un organisme étranger. Il doit présenter des signes (choses que les médecins remarquent) et des symptômes (choses que vous remarquez). Et dans la plupart des soi-disant cas, les personnes testées positives ne présentaient aucun signe ou symptôme de maladie. On parlait beaucoup de propagation asymptomatique, et en tant que biologiste, cela m'a surpris. Dans presque tous les cas, une personne est symptomatique parce qu'elle a une charge virale élevée et qu'elle attaque son corps ou que son système immunitaire le combat, généralement un mélange. Je ne doute pas qu’il y ait eu des cas de transmission asymptomatique, mais je suis convaincu que ce n’est pas important.
Cela dit, le gouvernement a décidé de qualifier une personne de «cas» si son échantillon sur écouvillon était positif pour l'ARN viral, ce qui est mesuré par PCR. L’échantillon d’une personne peut être positif si elle est infectée par le virus, et ainsi de suite. Ils peuvent également être positifs s’ils ont contracté le virus il y a quelques semaines ou quelques mois et s’ils se rétablissent. Il est à peine possible que des charges élevées de coronavirus apparentés, mais différents, qui peuvent causer certains des rhumes que nous contractons, puissent également réagir dans le test PCR, bien que je ne sache pas si c'est le cas.
Mais il y a un cadre final dans lequel une personne peut être positive et c'est un processus aléatoire. Cela peut avoir des causes multiples, telles que la technique d’amplification qui n’est pas parfaite et donc l’amplification des séquences «appâts» placées avec l’échantillon, dans le but de se marier avec l’ARN viral du SRAS-CoV-2 apparenté. Il y aura de nombreuses autres contributions à ces aspects positifs. Ce sont ce qu'on appelle les faux positifs.
Pensez à tout test diagnostique qu'un médecin pourrait utiliser sur vous. Le test de diagnostic idéal confirme correctement toutes les personnes atteintes de la maladie et n'indique jamais à tort que des personnes en bonne santé sont atteintes de la maladie. Il n'y a pas de tel test. Tous les tests présentent un certain degré de faiblesse dans la génération de faux positifs. L'important est de savoir à quelle fréquence cela se produit, et c'est ce qu'on appelle le taux de faux positifs. Si 1 échantillon exempt de maladie sur 100 est faussement positif, la maladie n'est pas présente, nous appelons cela un taux de faux positifs de 1%. Le taux de faux positifs réel ou opérationnel diffère, parfois considérablement, selon les paramètres, les opérateurs techniques, les méthodes de détection et l'équipement. Je me concentre uniquement sur le taux de faux positifs dans le pilier 2, car la plupart des gens n’ont pas le virus (récemment environ 1 personne sur 1000 et plus tôt en été, il était d’environ 1 personne sur 2000). C'est lorsque la quantité de maladie, sa soi-disant prévalence, est faible que tout taux de faux positifs peut être un problème majeur. Ce problème peut être si grave qu'à moins que des modifications ne soient apportées, le test est désespérément inadapté au travail qui lui est demandé. Dans ce cas, le test du pilier 2 était et reste chargé d'identifier les personnes atteintes du virus, mais comme je vais le montrer, il est incapable de le faire.
En raison du taux élevé de faux positifs et de la faible prévalence, presque chaque test positif, un soi-disant cas, identifié par le pilier 2 depuis mai de cette année a été un FAUX POSITIF. Pas seulement quelques pour cent. Pas un quart ni même la moitié des positifs sont FAUX, mais environ 90% d'entre eux. En termes simples, le nombre de personnes dont M. Hancock nous parle sombrement est une surestimation d'un facteur environ dix. Plus tôt cet été, c'était une surestimation d'environ 20 fois.
Permettez-moi de vous expliquer ceci, mais si vous êtes en mesure de lire d’abord le texte clairement écrit du professeur Carl Heneghan, je suis plus confiant que je réussirai à vous expliquer cette conclusion dramatique. (Voici un lien vers l'enregistrement du nombre de tests, combinant le pilier 1 (hôpital) et le pilier 2 (communauté).)
Imaginez 10 000 personnes se faire tester en utilisant ces écouvillons que vous voyez à la télévision. Nous avons une bonne estimation de la prévalence générale du virus de l'ONS, qui sont totalement indépendants (des tests du pilier 2) et ne testent que quelques personnes par jour, environ un pour cent des chiffres récemment testés dans le pilier 2. Il Il est raisonnable de supposer que la plupart du temps, les personnes testées ne présentent pas de symptômes. On a demandé aux gens de ne chercher un test que s'ils présentaient des symptômes. Cependant, nous savons des informations télévisées et des reportages sur les médias sociaux grâce à l'échantillonnage du personnel, aux conseils sévères du ministre de la Santé et au fait surprenant que dans de nombreux endroits du pays, le conseil local envoie des tracts aux maisons des gens, rue par rue testé.
L'essentiel est qu'il est raisonnable de s'attendre à ce que la prévalence du virus soit proche du nombre trouvé par l'ONS, car ils échantillonnent au hasard et captureraient des personnes symptomatiques et asymptomatiques proportionnellement à leur présence dans la communauté. D'après l'enquête la plus récente de l'ONS, en première approximation, le virus a été trouvé chez 1 personne sur 1000. Cela peut également être écrit comme 0,1%. Ainsi, lorsque toutes ces 10000 personnes sont testées dans le pilier 2, vous vous attendez à ce que 10 vrais positifs soient trouvés (les faux négatifs peuvent être un problème lorsque le virus est très courant, mais dans ce contexte communautaire, il est statistiquement sans importance et j'ai donc choisi de l'ignorer, mieux vaut se concentrer uniquement sur les faux positifs).
Alors, quel est le taux de faux positifs de tests dans le pilier 2? Pendant des mois, cela a été une préoccupation. Il semble que ce ne soit pas connu, même si, comme je l’ai mentionné, vous devez absolument le savoir pour déterminer si le test de diagnostic a une valeur quelconque! Que savons-nous du taux de faux positifs? Eh bien, nous savons que les propres scientifiques du gouvernement étaient très préoccupés à ce sujet, et un rapport sur ce problème a été envoyé au SAGE le 3 juin 2020. Je cite: «À moins que nous ne comprenions le taux de faux positifs opérationnels des tests RT-PCR du Royaume-Uni système, nous risquons de surestimer l’incidence du COVID-19, la demande de suivi et l’étendue de l’infection asymptomatique ». Dans ce même rapport, les auteurs ont utilement énuméré le taux de faux positifs du plus bas au plus élevé de dizaines de tests utilisant la même technologie. La valeur la plus basse du taux de faux positifs était de 0,8%.
Permettez-moi d'expliquer l'impact d'un taux de faux positifs de 0,8% sur le pilier 2. Nous revenons à nos 10 000 personnes qui se sont portées volontaires pour se faire dépister, et les dix attendues avec le virus (prévalence de 0,1% ou 1: 1000) ont été identifiées par le test PCR. Mais maintenant, nous devons calculer le nombre de faux positifs pour les accompagner. La réponse choquante est 80. 80 est 0,8% de 10 000. C'est le nombre de faux positifs que vous obtiendrez chaque fois que vous utiliseriez un test Pilier 2 sur un groupe de cette taille.
L'effet de ceci est, dans cet exemple, où 10 000 personnes ont été testées dans le Pilier 2, pourrait être résumé dans un titre comme celui-ci: «90 nouveaux cas ont été identifiés aujourd'hui» (10 cas réels positifs et 80 faux positifs). Mais nous savons que c'est complètement incorrect. À l'insu du pauvre technicien, il n'y avait dans cet exemple que 10 cas réels. 80 n'avaient même pas un morceau d'ARN viral dans leur échantillon. Ce sont vraiment de faux positifs.
Je vais vous expliquer à quel point c'est une autre façon de mal, de retour aux diagnostics. Si vous vous êtes soumis à un test et qu’il s’est avéré positif, vous vous attendez à ce que le médecin vous dise que vous avez une maladie, quel que soit le résultat du test. Cependant, ils répondent généralement à une question légèrement différente: «Si le patient est positif à ce test, quelle est la probabilité qu’il soit atteint de la maladie?» En règle générale, pour un bon test de diagnostic, le médecin pourra dire quelque chose comme 95% et vous et ils peuvent vivre avec cela. Vous pourriez passer un test de confirmation différent, si le résultat est très grave, comme le cancer. Mais dans notre exemple du pilier 2, quelle est la probabilité qu'une personne testée positive au pilier 2 ait réellement COVID-19 ? La terrible réponse est 11% (10 divisé par 80 + 10). Le test exagère le nombre de cas de covid-19 par presque dix fois (90 divisé par 10). Vous avez encore peur? Cette image quotidienne qu’ils vous montrent, avec les «cas» qui grimpent sur le côté droit ? C'est horriblement exagéré. Ce n'est pas une erreur, comme je vais le montrer.
Plus tôt cet été, l'ONS a montré que la prévalence du virus était un peu plus faible, 1 en 2000 ou 0,05%. Cela ne semble pas être une grande différence, mais c'est le cas. Désormais, le test Pilier 2 trouvera deux fois moins de cas réels de nos 10 000 volontaires notionnels, donc 5 cas réels. Mais le défaut du test signifie qu'il trouvera toujours 80 faux positifs (0,8% de 10 000). Donc c'est encore pire. Le titre serait «85 nouveaux cas identifiés aujourd'hui». Mais maintenant, la probabilité qu'une personne testée positive ait le virus est absurdement faible de 6% (5 divisé par 80 + 5). Plus tôt cet été, ce même test a multiplié par 17 le nombre de cas de COVID-19 (85 divisé par 5). Il est si facile de générer une épidémie apparemment importante de cette façon. Ignorez simplement le problème des faux positifs. Prétendez son zéro. Mais ce n'est jamais nul.
Ce test est irrémédiablement défectueux et DOIT être immédiatement retiré et ne jamais être réutilisé dans ce cadre, sauf s'il est démontré qu'il est corrigé. Les exemples que j'ai donnés sont très proches de ce qui se passe réellement chaque jour lorsque vous lisez ceci.
Je suis obligé de demander si M. Hancock était au courant de cette faille fatale? Savait-il quel effet cela aurait inévitablement et continue d’avoir, non seulement sur le nombre de cas signalés, mais aussi sur l’anxiété de la nation. J'adorerais croire que tout cela est une erreur innocente. Si c'était le cas, cependant, il devrait démissionner par pure incompétence. Mais est-ce vrai ? Nous savons que des scientifiques internes ont écrit au SAGE, en termes, et, sûrement, ce court mais choquant document d’avertissement aurait été porté à l’attention du secrétaire à la Santé ? Si c'était la seule preuve, vous seriez peut-être enclin à lui accorder le bénéfice du doute. Mais les preuves deviennent plus accablantes.
Récemment, j'ai publié avec mes co-auteurs un bref exposé de position. Je ne pense pas qu'à ce moment-là, il y a environ un mois, le sou avait tout à fait chuté avec moi. Et je suis un chercheur biomédical expérimenté, habitué à traiter des ensembles de données et des probabilités complexes.
Le 11 septembre 2020, j'étais invitée à l'émission talkRADIO de Julia Hartley-Brewer. Entre autres choses, j’ai demandé à M. Hancock de publier les preuves soulignant sa confiance et sa planification en faveur de la «deuxième vague». Cette preuve n'a encore été montrée au public par personne. J'ai également exigé qu'il divulgue le taux opérationnel de faux positifs lors des tests du pilier 2.
Le 16 septembre, j'étais de retour sur l'émission de Julia et cette fois je me suis concentré sur la question du taux de faux positifs (1m 45s - 2min 30s). J'avais lu l'analyse de Carl Heneghan montrant que même si le taux de faux positifs était aussi bas que 0,1%, 8 fois plus bas que n'importe quel test similaire, il donne quand même une majorité de faux positifs. Donc, ma critique ne tombe pas si le taux réel de faux positifs est inférieur à mon hypothèse de 0,8%.
Le 18 septembre, M. Hancock est de nouveau apparu, comme il le fait souvent, dans l’émission de Julia Hartley-Brewer. Julia lui a demandé directement (1min 50s - allumé) quel est le taux de faux positifs dans le pilier 2. M. Hancock a déclaré: «C'est moins de 1%». Julia lui a de nouveau demandé ce que c'était exactement, et le savait-il même? Il n’a pas répondu à cela, mais a ensuite déclaré: «cela signifie que, pour tous les cas positifs, la probabilité qu’un d’entre eux soit un faux positif est très faible».
C'est une déclaration très trompeuse car elle est incorrecte. La probabilité qu'un cas apparemment positif soit un faux positif se situe entre 89 et 94%, soit une quasi-certitude. Il convient de noter que même lorsque l'ONS enregistrait sa prévalence la plus faible jamais enregistrée, le taux de positif dans les tests du pilier 2 n'est jamais tombé en dessous de 0,8%.
Cela empire pour le secrétaire à la Santé. Le 17 septembre, je crois, M. Hancock a répondu à une question de Sir Desmond Swayne sur les faux positifs. Il est clair que Sir Desmond pose des questions sur le pilier 2.
M. Hancock a répondu:
«J'aime beaucoup mon très honorable ami et j'aimerais que ce soit vrai. La raison pour laquelle nous avons des tests de surveillance, effectués par l'ONS, est de nous assurer que nous examinons constamment un échantillon représentatif à l'échelle nationale à quel est le taux de cas. La dernière enquête ONS, publiée vendredi, montre une augmentation consommée (sic) avec l'augmentation du nombre de tests qui sont revenus positifs.
Il n’a pas répondu à la question de sir Desmond, mais a plutôt répondu à une question de son choix. Le secrétaire à la Santé a-t-il sciemment induit la Chambre en erreur? En se référant uniquement à l'ONS et en ne mentionnant même pas le taux de faux positifs du test du pilier 2, il volait en quelque sorte le costume du travail plus minutieux de l'ONS qui a un taux de faux positifs plus bas, afin de passer clandestinement à travers le taux de faux positifs beaucoup plus élevé dans le pilier 2. Le lecteur devra décider par lui-même.
Les tests du pilier 2 sont en cours depuis mai, mais ce n'est qu'au cours des dernières semaines qu'ils ont atteint plusieurs centaines de milliers de tests par jour. L’effet de l’augmentation de jour en jour du nombre de personnes qualifiées de «cas» ne peut être surestimé. Je sais que cela suscite la peur, l'anxiété et l'inquiétude face à la possibilité de nouvelles restrictions injustifiées, y compris des verrouillages. Je n'ai aucune idée des motivations de M. Hancock. Mais il a et continue d'utiliser la production extrêmement gonflée d'un test du pilier 2 fatalement défectueux et apparaît souvent dans les médias, insistant gravement sur la nécessité d'interventions supplémentaires (dont aucune, je le répète, ne s'est avérée efficace).
Vous serez très familier avec l'intrigue des cas qui est diffusée sur la plupart des émissions de télévision en ce moment. Il prétend montrer le nombre de cas qui ont augmenté puis diminué au printemps, et la récente augmentation des cas. Ce graphique est toujours accompagné du titre selon lequel «tant de milliers de nouveaux cas ont été détectés au cours des dernières 24 heures».
Vous devez savoir qu'il y a deux tromperies majeures, dans cette image, qui combinées sont très susceptibles à la fois d'induire en erreur et d'induire de l'anxiété. Son omniprésence indique qu'il s'agit d'un choix délibéré.
Premièrement, il est très trompeur en ce qui concerne le pic printanier des cas. C'est parce que nous n'avions aucune capacité de dépistage communautaire à l'époque. Un collègue a ajusté le graphique pour montrer le nombre de cas que nous aurions détectés, s'il y avait eu une capacité de test communautaire bien comportée disponible. L'effet est d'augmenter considérablement la taille du pic de cas au printemps, car il y a de très nombreux cas pour chaque hospitalisation et de nombreuses hospitalisations pour chaque décès.
Deuxièmement, comme j'espère vous l'avoir montré et convaincu, les cas en été et actuellement, générés par des tests du pilier 2 gravement défectueux, devraient être corrigés à la baisse d'environ dix fois.
- voir graphiques sur site -
Je pense que les cas authentiques augmentent quelque peu. Ceci est cependant également vrai pour la grippe, que nous ne mesurons pas quotidiennement ni ne rapportons dans tous les bulletins d'information. Si nous le faisions, vous apprécierez qu'à l'avenir, il est fort probable que la grippe représente un plus grand risque pour la santé publique que le COVID-19. L'intrigue des cas corrigés (ci-dessus) place, je crois, les récentes augmentations de l'incidence du COVID-19 dans un contexte beaucoup plus raisonnable. J'ai pensé que vous devriez voir cette différence avant d'arriver à votre propre verdict sur cette triste histoire.
Il y a des conséquences très graves découlant de la surestimation grotesque des soi-disant cas dans les tests communautaires du pilier 2, qui, je crois, ont été mis en place sciemment. Peut-être que M. Hancock croit sa propre copie sur le niveau de risque auquel le grand public est maintenant confronté? Ce n'est pas à moi d'en déduire. Ce que cette énorme surestimation a fait, c'est d'avoir ralenti la normalisation du NHS. Nous savons tous que l’accès aux services médicaux est, à des degrés divers, restreint. De nombreuses spécialités ont été fortement réduites au printemps et après une certaine reprise, certaines sont encore entre un tiers et demi en dessous de leurs capacités normales. Cela a conduit à la fois à des retards continus et à une augmentation des listes d'attente pour de nombreuses opérations et traitements. Je ne suis pas qualifié pour évaluer les dommages causés à la santé de la nation et des individus en conséquence directe de cette longue attente d’une deuxième vague.
Entrer en hiver avec cette configuration entraînera, en plus de l'accès déjà restreint pendant six mois, inévitablement un grand nombre de décès évitables, non-Covid. C'est déjà une accusation assez sérieuse. Moins évidents mais, dans l'ensemble, des impacts supplémentaires découlent de la peur du virus, accentués de manière inappropriée à mon avis, qui comprennent: des dommages ou même la destruction d'un grand nombre d'entreprises, en particulier les petites entreprises, avec perte de moyens de subsistance, perte d'opportunités d'éducation , tensions sur les relations familiales, troubles de l'alimentation, augmentation de l'alcoolisme et de la violence domestique et même des suicides, pour n'en citer que quelques-uns.
Pour terminer, je tiens à souligner que, au cours des 40 dernières années seulement, le Royaume-Uni a connu sept épidémies / pandémies officielles; SIDA, grippe porcine, MCJ, SRAS, MERS, grippe aviaire ainsi que grippe saisonnière annuelle. Tout était très inquiétant mais les écoles sont restées ouvertes et le NHS a traité tout le monde et la plupart de la population n'a pas été affectée. Le pays aurait rarement été ouvert s'il avait été fermé à chaque fois.
J'ai expliqué comment un test de diagnostic extrêmement performant a été et continue d'être utilisé non pas pour le diagnostic de la maladie mais, semble-t-il, uniquement pour créer la peur.
Ce détournement de pouvoir doit cesser. Tous les coûts ci-dessus figurent également dans le grand livre lors de la pondération des risques résiduels pour la société liés au COVID-19 et des mesures appropriées à prendre, le cas échéant. Quoi qu'il en soit, le test utilisé dans le pilier 2 doit être immédiatement retiré car il ne fournit aucune information utile. En l'absence d'un nombre de cas largement gonflé résultant de ce test, la pandémie serait vue et considérée comme presque terminée.
* * *
Le Dr Mike Yeadon est l'ancien CSO et vice-président, responsable de la recherche sur les allergies et la respiration chez Pfizer Global R&D et co-fondateur de Ziarco Pharma Ltd.
Comment les CDC / OMS simuleront les effets du vaccin COVID pour en faire un succès
Par Jon Rappoport Le blog de Jon Rappoport 23 septembre 2020
Faire passer un vaccin comme un champion n’est pas difficile pour les agences de santé publique. Il existe un certain nombre de stratégies.
Bien entendu, ces stratégies frauduleuses seraient des crimes graves. Mais quand cela a-t-il arrêté le CDC ou l'Organisation mondiale de la santé ?
Dans aucun ordre particulier--
PREMIEREMENT: retravailler la définition d'un «cas COVID». Actuellement, le CDC permet absurdement aux médecins de diagnostiquer une personne avec COVID qui a une toux, des frissons et de la fièvre, et vit dans une région où des cas sont réclamés. Aucun test nécessaire.
Alors changez cette pratique, une fois le vaccin approuvé. Exigez des tests pour un diagnostic. Dites que la toux seule ne suffit pas. Des frissons et de la fièvre doivent également être présents. Exiger que la fièvre soit supérieure à 100.
Ces changements et d'autres réduiraient automatiquement le nombre de cas. La baisse des effectifs serait attribuée au vaccin.
Ce «rétrécissement de la définition» a été, en fait, déployé dans les années 1950, après l'introduction du vaccin contre la polio.
DEUXIEMEMENT: Ordonnez une modification de la manière dont le test de diagnostic PCR est effectué. La pratique d'amplification de l'échantillon d'essai original du patient se produit par cycles ou par sauts. Plus le nombre de cycles est élevé, plus le test aboutira à un diagnostic COVID. Par conséquent, commandez un nombre réduit de cycles pour tous les laboratoires de test.
Résultat ? Moins de diagnostics COVID. Moins de numéros de cas. «Le vaccin fonctionne.»
TROISIÈMEMENT: Restreindre discrètement la pratique actuelle de l'hôpital d'écrire arbitrairement «COVID» sur les dossiers des patients et des décès.
QUATRIEMEMENT: Préparez et publiez de fausses études montrant que de plus en plus de personnes développent une immunité contre le virus. Attribuez cela au vaccin.
CINQUIEMEMENT: Un autre type de fausse étude - «la transmission du virus d'une personne à l'autre ralentit, grâce au vaccin».
SIXIEMEMENT: Augmentez le succès de la délivrance des certificats d'immunité après la vaccination. «Les gens se sentent plus en sécurité maintenant. De plus en plus d'entreprises rouvrent… »
SEPTIEMEMENT: En utilisant la presse conforme, émettez simplement des déclarations chauves que le vaccin est un succès.
HUITIEMEMENT: Cachez les nombreux cas de blessures et de décès du vaccin. Si nécessaire, prétendez que COVID était la cause.
NEUVIEMEMENT: avertissez que la merveilleuse immunité dérivée du vaccin n'est pas permanente et que des injections de rappel fréquentes sont nécessaires.
DIXIEMEMENT: retravailler la définition de «l'immunité acquise par vaccin». Même une réponse anticorps très faible du coup de feu serait qualifiée d '«immunité protectrice».
ONZIEMEMENT: Un grand nombre de personnes atteintes d'une maladie grippale ordinaire, d'une pneumonie et d'autres infections pulmonaires traditionnelles sont appelées «COVID». Changez cette pratique. Revenez à appeler beaucoup de ces personnes «grippe», «pneumonie», etc. Le nombre de cas de COVID diminuera. Prétend que la goutte est l'effet du vaccin.
DOUZIÈMEMENT: Actuellement, des millions de cas dits COVID ont des «comorbidités». Ce sont des problèmes de santé antérieurs graves qui sont, en fait, les véritables causes de maladies et de décès. Bien sûr, cela est refusé. Mais après l'introduction du vaccin… réduisez la pratique consistant à compter tous ces patients comorbides malades et décédés comme «COVID». Les nombres de cas et de décès chuteront. Réclamez que le vaccin est la raison.
TREIZIÈMEMENT: Après l'introduction du vaccin, ralentissez les tests pendant une brève période. Cela réduira automatiquement le taux de nouveaux cas. Attribuez le déclin au vaccin.
Commettre ces crimes est une promenade dans le parc pour les agences de santé publique.
Et nommer des porte-parole officiels pour porter des mensonges au public est aussi simple que d'entraîner les petits Faucis à s'asseoir et à aboyer.
Reproduit avec la permission du blog de Jon Rappoport.
Pour arrêter une pandémie ? Arrêter les chemtrails ! (par avions ou par drones).
Un vaccin n'est pas injecté pour tuer une bactérie puisque un virus est une nano-particule minérale ou métallique. Un vaccin va se charger d'encapsuler le virus qui continuera d'irradier ou d'aimanter mais moins fortement. Notre organisme va lui aussi se défendre contre cette poussière étrangère et va lui aussi l'encapsuler (ou tenter de le faire) bien avant que n'arrive le vaccin.
Pour nettoyer le corps des virus qui y sont (depuis xx années !), il faut passer par la chélation. Rechercher un chélateur.
Vaccination: qu'est-ce que la confiance a à voir avec cela ?
Par Joseph Mercola Mercola.com 23 septembre 2020
Alors que le Centre national d'information sur les vaccins (NVIC) se prépare à accueillir la Cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination de trois jours et trois nuits qui sera diffusée en ligne du 16 au 18 octobre 2020, le thème que nous avons choisi est «Protéger la santé et l'autonomie en le 21e siècle », parce qu'à aucun moment de l'histoire moderne il n'a été plus important pour nous tous de prendre position et de faire exactement cela.
Cette année, les actions orchestrées par les gouvernements du monde entier pour restreindre ou éliminer les libertés civiles en réponse à l'émergence d'un nouveau coronavirus ont été sans précédent et ont eu des effets profonds sur l'économie mondiale et sur la santé physique, mentale et émotionnelle de milliards de personnes de personnes.1
À la mi-septembre 2020, environ 29 millions de cas du nouveau syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) avaient été signalés dans le monde, avec environ 925000 décès associés.
Les États-Unis, troisième pays le plus peuplé du monde avec 330 millions d'habitants, ont enregistré plus de 7 millions de cas et 198000 décès, avec un taux estimé à 598 décès par million d'habitants, soit un taux de mortalité par million d'habitants plus élevé que la Suède2, où Les responsables de la santé ont refusé d'ordonner le masquage ou le verrouillage du pays et ont permis à la population d'acquérir une immunité naturelle du troupeau contre le virus.3,4
La mortalité globale par COVID-19 est inférieure à 1%
Selon l'Organisation mondiale de la santé, le taux global de mortalité par infection pour le nouveau coronavirus du SRAS causant le COVID-19 est d'environ 0,6%, 5 bien que certains scientifiques disent qu'il est inférieur, 6 tandis que d'autres estiment qu'il peut atteindre 1 à 2% en certaines parties du monde.7
Par rapport à Ebola avec un taux de mortalité de 50 %8 ou la variole qui a tué 30%, 9 ou la tuberculose qui est encore une maladie mortelle tuant 20% à 70%, 10 ou la diphtérie de 5% à 10%, 11 ou la pandémie de grippe de 1918 avec un Taux de mortalité de 2,5%, 12 Le COVID-19 se situe près du bas de l'échelle de mortalité par maladies infectieuses avec un taux de mortalité inférieur à 1% dans la plupart des pays.
Les personnes les plus à risque de complications et de décès sont les personnes âgées et celles qui souffrent d'un ou plusieurs problèmes de santé.
Le CDC a récemment rapporté que seulement 6% des décès liés au COVID-19 étaient uniquement dus à une infection à coronavirus et que 94% des personnes décédées avaient également la grippe ou une pneumonie; maladie cardiaque, pulmonaire ou rénale; hypertension artérielle; diabète, ou un autre mauvais état de santé sous-jacent.14 La plupart des études suggèrent qu'il est rare que les enfants souffrent de complications et meurent du COVID-19.15
Mais sept mois après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) 16 a déclaré une pandémie de coronavirus17, et que les responsables de la santé publique ont persuadé les législateurs de renverser le monde, beaucoup de gens se posent des questions, tout comme les médecins qui sont en désaccord sur les faits. Des questions comme:
Les récits les plus populaires sur le coronavirus muté sont qu'il a sauté d'une chauve-souris ou d'un autre animal sur un marché chinois de la nourriture humide18,19 ou s'est échappé d'un laboratoire de biohazard en 201920,21, mais les scientifiques continuent de se demander quel scénario est plus probable.22 Et cette question:
Si je porte un masque en tissu, est-ce que cela m'empêche vraiment d'être infecté ou de transmettre le COVID-19 ?
Il y a un débat en cours dans la communauté médicale pour savoir si c'est une bonne idée pour tous les enfants et adultes en bonne santé de porter des masques en tissu lorsqu'ils quittent leur domicile.23 En mars 2020, le chirurgien général américain a ordonné au public américain de cesser d'acheter et de porter ces masques car «ils ne sont pas efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le coronavirus» 24 et «peuvent en fait augmenter la propagation du coronavirus», ce qui était la position de l'Organisation mondiale de la santé.25
Mais en avril, le CDC est revenu sur son ordre de «ne pas masquer» et a exhorté tous les Américains en bonne santé à porter volontairement des couvre-visage en tissu fait maison lorsqu'ils entrent dans les espaces publics.26
En juin, l'OMS continuait de dire que «À l'heure actuelle, l'utilisation généralisée des masques partout n'est pas étayée par des preuves scientifiques de haute qualité, et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte… Les masques à eux seuls ne vous protégeront pas de COVID-19. »27
Mais en juin, un certain nombre de gouverneurs d'État et de gouvernements locaux avaient rendu obligatoire le port du masque facial et une épidémie de honte au masque avait commencé, 28,29 qui a conduit à des protestations publiques contre les mandats de masquage.30 En août, le CDC a doublé et élargi les directives sur le masquage du visage, inclure tous les enfants de plus de 2 ans, tandis que l'OMS a averti que les enfants de moins de 6 ans ne devraient pas porter de masque mais que les enfants de plus de 12 ans devraient le faire32.
Ainsi, la confusion règne. Alors que certains scientifiques disent que si toutes les personnes en bonne santé sont obligées de porter des masques faciaux, cela n'arrêtera pas la pandémie de coronavirus et donne une illusion dangereuse et fausse de sécurité, 33 autres scientifiques diabolisent les refusants, alléguant que les personnes refusant de se masquer sont " sociopathes »et ont des niveaux d'empathie inférieurs34.
Environ 30 États américains exigent le masquage pour les jeunes enfants et les adultes qui pénètrent dans les espaces publics35, et certains États imposent de lourdes amendes pouvant aller jusqu'à 1000 dollars ou menacent d'emprisonner quiconque ne se conforme pas.36
L'État de Washington a fait de ne pas porter de masque en public un délit de délit37 et les responsables du centre du Texas ont déclaré qu'ils souhaiteraient pouvoir mettre des personnes en prison pour avoir refusé de porter un masque.38 Plus de 50 pays dans le monde exigent désormais que les gens se couvrent le visage lorsqu'ils quittent la maison et certains se débrouillent bien et emprisonnent les personnes qui sortent sans masque.39
Alors, qu'en est-il de se faire tester pour COVID-19 ? Le CDC dit que les personnes devraient se faire tester si elles présentent des symptômes du COVID-19 ou si elles ont été en contact avec une personne chez qui l'infection a été diagnostiquée. Il existe également un test d'anticorps pour déterminer si vous avez été infecté ou non dans le passé.40 Mais les tests de laboratoire ne sont pas toujours fiables et les gens se posent cette question logique:
Si j'obtiens un test de laboratoire, identifiera-t-il avec précision si je suis actuellement infecté ou si j'ai été infecté par COVID-19 dans le passé ?
Malheureusement, la précision de l'un des tests n'est pas claire, en particulier le test d'anticorps pour une infection passée, car la présence d'anticorps n'est peut-être pas le seul moyen de mesurer l'immunité.41 La meilleure estimation est que la plage de résultats faussement négatifs signalés pour le le test sur écouvillon nasal est compris entre 2 % et 50 %, et les résultats faussement négatifs rapportés pour le test sanguin d'anticorps peuvent atteindre 30 %, selon le moment pendant ou après le test d'infection.42
En juillet, un laboratoire d'État du Connecticut a admis que 90 personnes sur 144 testées au cours d'une période de 30 jours - la plupart d'entre elles résidant dans une maison de soins infirmiers - avaient été informées à tort qu'elles étaient infectées en raison de tests de laboratoire défectueux et faux positifs.43 En août 77 Les joueurs de football de la Ligue nationale de football ont reçu des résultats de test faussement positifs lorsque, après un nouveau test, tous les tests sont revenus négatifs.44 Les gens se demandent également ce qui se passe après avoir reçu le COVID-19, en posant cette question:
Si je me rétablis du COVID-19, est-ce que je n'obtiendrai qu'une immunité temporaire ou aurai-je une immunité à long terme contre la réinfection ?
Le CDC dit qu'on ne sait pas combien de temps dure l'immunité ou si vous pouvez contracter la nouvelle infection à coronavirus deux fois.45 Cependant, les chercheurs du printemps dernier ont découvert que sur 68 personnes non infectées, le sang d'un tiers d'entre elles contenait des lymphocytes T auxiliaires qui reconnaissaient le coronavirus muté du SRAS.
Ils ont conclu que la présence de ces lymphocytes T auxiliaires défensifs prouve une certaine immunité résiduelle qui peut avoir été produite après des infections par le rhume causées par d'autres types de coronavirus. Ceci, selon les scientifiques, "augure bien pour le développement d'une immunité protectrice à long terme."
Une autre étude importante a été publiée dans la littérature médicale en août, fournissant des preuves de réponses immunitaires robustes des lymphocytes T à mémoire chez des personnes qui s'étaient rétablies de cas même légers ou asymptomatiques de COVID-19, mais qui n'avaient pas d'anticorps détectables spécifiques au virus.47
Si les gens peuvent avoir de fortes réponses immunitaires sans symptômes et que les tests d'anticorps traditionnels pour la preuve de l'immunité ne s'appliquent pas au COVID-19, les responsables de la santé publique peuvent sous-estimer l'étendue de l'immunité collective au niveau de la population qui existe déjà aux États-Unis, où il existe plus de cas signalés que partout ailleurs.
COVID-19 lois sur la santé publique un désastre des relations publiques
Alors que les médecins débattent de la science, il devient de plus en plus clair que la réponse à la nouvelle infection à coronavirus par les responsables gouvernementaux de la santé a été un désastre de relations publiques. L'anxiété, la peur et le chaos créés par les réglementations instituées par la plupart des gouvernements après la déclaration d'une pandémie de COVID-19 cette année ont déchiré le tissu des sociétés et affecté l'opinion publique sur les lois de santé publique et la vaccination.48
Maintenant, on dit aux gens qu'il y a une - et une seule - solution simple pour résoudre la crise et revenir à la normale: c'est la seule façon pour nous d'enlever nos masques et de toucher, étreindre, embrasser ou s'approcher de chacun. autre encore 49,50,51,52,53,54 est pour chaque personne vivant dans chaque pays de se faire injecter l'un des vaccins sans responsabilité COVID-19 en cours de mise sur le marché rapide ! 55,56,57,58,59
Les gouvernements ont donné aux sociétés pharmaceutiques une protection contre les poursuites judiciaires lorsque les vaccins COVID-19 blessent ou tuent des personnes ! La vente difficile est en cours, mais beaucoup de gens ne l'achètent PAS. Chaque sondage effectué cette année a révélé qu'entre 40 % et 70 % des personnes vivant aux États-Unis et en Europe ne prévoient pas de se faire vacciner contre le COVID-19 lorsqu'il sera homologué.
En avril, les responsables de l'OMS aux Nations Unies ont lancé une initiative mondiale «pour mettre fin à la pandémie de COVID-19», proclamant que «personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'est pas en sécurité» .60 En mai, ils avertissaient que si chaque personne dans le monde ne se fait pas injecter le vaccin COVID-19, le virus «risque de ne jamais disparaître» 61.
L'OMS, 62 le gouvernement américain63,64,65,66 et les législateurs de l'Union européenne67, ainsi que des organisations non gouvernementales (ONG) riches et politiquement puissantes comme la Fondation Gates, 68,69,70 GAVI, la Vaccine Alliance, 71 et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) 72 ont donné à l'industrie pharmaceutique des dizaines de milliards de dollars pour développer et accélérer la mise sur le marché de vaccins expérimentaux contre les coronavirus et promouvoir leur utilisation universelle.73,74
Dans le même temps, les gouvernements ont donné aux entreprises pharmaceutiques une protection contre les poursuites judiciaires lorsque les vaccins COVID-19 blessent ou tuent des personnes ! 75,76 La vente difficile est en cours, mais beaucoup de gens ne l'achètent PAS.
Les gens rejettent l'argumentaire de vente du vaccin COVID-19
Chaque sondage effectué cette année a révélé qu'entre 40 % et 70 % des personnes vivant aux États-Unis et en Europe ne prévoient pas de se faire vacciner contre le COVID-19 lorsqu'il sera homologué.77,78,79,80,81,82 Populations in les pays développés résistent à l'appel de la sirène à la «solidarité», car le doute sur les vaccins COVID-19 devient de plus en plus courant dans les pays en développement également.83
Le refus d'un public méfiant a surpris les représentants du gouvernement. Apparemment, ils espéraient que la privation économique et sociale, la peur et le chaos entourant les verrouillages produiraient un marché haussier pour les vaccins expérimentaux à ARNm et ADN COVID-19 en utilisant une technologie qui n'a jamais été homologuée pour les humains.84
Il est largement reconnu maintenant qu'un solide deux tiers des Américains ou plus «diront simplement non» à l'injection d'un vaccin contenant des parties modifiées en laboratoire d'un nouveau coronavirus dont les scientifiques admettent qu'ils ne savent toujours pas grand-chose, 85 vaccins qui des essais cliniques préliminaires ont révélé que cela pourrait bien causer plus que quelques réactions mineures ! 86.
Un haut responsable de la santé américain frustré a surnommé des Américains qui refusent d'accepter les politiques et les lois de santé publique, les qualifiant d '«anti-science» et d' «anti-autorité». 87,88 La vérité est que les gens de ce pays et beaucoup d'autres n'ont tout simplement pas confiance dans la qualité et la quantité des scientifiques ou des responsables gouvernementaux de la santé auxquels on leur dit de faire confiance.89
En colère contre le fait qu'un nombre croissant de personnes hésitent à retrousser leurs manches pour un vaccin qui se précipite sur le marché à la «vitesse de distorsion», des responsables de la santé publique, 90 technocrates milliardaires de la Silicon Valley, 91,92,93 médecins, avocats et professeurs de bioéthique94,95,96,97,98 et les politiciens99 battent le tambour pour la promulgation rapide de lois sur la vaccination obligatoire «sans exception» dès que les vaccins COVID-19 sont autorisés ! 100
Déjà, certaines pom-pom girls des principales universités frappent ce tambour pour approuver et utiliser les vaccins expérimentaux COVID-19 avant même que les tests ne soient effectués, 101 et demandent que les jeunes et en bonne santé soient les premiers à recevoir le vaccin parce que c'est leur «devoir civique »Pour protéger tout le monde.102
Ils préviennent que «l'immunité collective peut ne pas être atteinte si les gens refusent de se faire vacciner contre le coronavirus» 103,104 et affirment que, pour assurer la «sécurité» de la société, des lois doivent être adoptées pour menacer et contraindre vous et vos enfants mineurs à vous faire vacciner ou faire face à des sanctions sociales paralysantes qui vous priveront effectivement de liberté et détruiront votre vie.105
Les gens aux États-Unis et dans d'autres pays se lèvent pour défendre la liberté
Cet été, d'énormes manifestations publiques pour défendre la liberté à Berlin, 106 Londres, 107 Paris108 et Copenhague ont vu des dizaines de milliers de citoyens se rassembler pour protester contre le masquage109 et d'autres politiques de verrouillage oppressives contre les coronavirus, qui ont sévèrement restreint les contacts physiques normaux entre les gens, ont provoqué un chômage généralisé, 110 et ont nui à leur santé physique, mentale et émotionnelle.111
Comme en Europe, les personnes vivant au Canada 112, en Australie113,114 et en Nouvelle-Zélande115 résistent également pendant des mois à des politiques de distanciation sociale qui ont éliminé les droits humains fondamentaux, tels que la liberté d'expression et de réunion.
Les États-Unis ont vu des manifestations publiques similaires mais plus modestes s'opposant aux lois de masquage forcé, de distanciation sociale et de verrouillage et à la défense de la liberté en Virginie, 116 Pennsylvanie, 117 Wisconsin, 118 Michigan, 119 Californie120 et d'autres États, alors qu'un nombre record d'Américains luttent contre le chômage, 121.122 le destruction de petites entreprises de la classe moyenne, 123 défauts de paiement hypothécaire124 et dépôts de bilan; 125 fortes hausses de l'anxiété et de la dépression, 126127 toxicomanie et alcoolisme, 128 abus envers les enfants et les conjoints, 129 et divorce.130
Les sanctions sociales en cas de non-vaccination peuvent s'aligner sur les sanctions de verrouillage
Les sanctions sociales punitives dont il est question si vous refusez une vaccination contre le COVID-19 seront probablement appliquées à l'aide de systèmes de suivi électroniques gérés par le gouvernement liés à des «passeports d'immunité» numériques qui vous obligent à «prouver» que vous êtes immunisé contre le nouveau coronavirus du SRAS avant vous êtes autorisé à travailler dans un immeuble de bureaux ou à pénétrer dans d'autres espaces publics.131.132.133.134
Ces sanctions sociales pour défaut de vaccination peuvent ressembler étroitement aux types de restrictions d'interaction sociale appliquées aux États-Unis et dans d'autres pays au cours de l'année écoulée.
Aux États-Unis, la plupart des lois sur la santé publique, y compris les lois sur les vaccins, sont adoptées par les États135, tandis que le gouvernement fédéral formule des recommandations sur l'utilisation des vaccins et peut imposer des vaccins aux personnes traversant les frontières nationales ou étatiques. Les gouvernements locaux des villes et des comtés peuvent également imposer leurs propres réglementations en matière de santé publique.136 C'est pourquoi certains États et villes ont vu des réglementations très restrictives de masquage de la pandémie de COVID-19137 et de verrouillage138 et d'autres ont été plus ouvertes.139
Ainsi, la question de savoir si vous serez puni ou non pour avoir refusé de vous faire vacciner contre le COVID-19 l'année prochaine sera principalement déterminée par le gouverneur de votre État et les représentants qui ont été élus pour légiférer dans votre capitale.140
Selon l'endroit où vous vivez et la philosophie politique de la majorité des représentants de la législature de votre État, une fois que le vaccin COVID-19 est autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) fédérale et recommandé par le CDC pour une utilisation par tous les enfants et adultes, 141 si vous refusez de vous faire vacciner contre le COVID-19, vous pourriez être bloqué à partir de: 142
Et vous pourriez être interdit de vous enregistrer dans un hôpital pour une intervention chirurgicale, ou de rendre visite à un membre de votre famille dans une maison de soins infirmiers, ou de ne pas obtenir une assurance maladie privée et Medicaid ou Medicare.
En d'autres termes, si vous refusez de vous faire vacciner contre le coronavirus, vous pourriez être soumis aux types de sanctions sociales punitives que je prévois et dont j'ai publiquement mis en garde depuis 1997,143,144,145,146 sanctions qui sont déjà appliquées aux Américains qui refusent d'obtenir ou de donner leurs enfants des dizaines de doses de vaccins sans responsabilité «recommandés» par les CDC147 et se voient déjà refuser une éducation, des soins médicaux et un emploi.148,149
Des promesses non tenues mènent à une confiance brisée
Les médecins et les responsables de la santé publique se demandant pourquoi les gens ne font pas confiance à ce qu'ils disent sur les maladies infectieuses et la vaccination, y compris les vaccins contre le coronavirus et le COVID-19, n'ont qu'à se regarder dans le miroir pour répondre à la question.
Depuis 1982, les parents d'enfants blessés par le vaccin ont supplié les médecins de faire le genre de science qui expliquera pourquoi tant d'enfants hautement vaccinés, qui ne contractent plus la rougeole ou la varicelle, sont coincés et souffrent de maladies cérébrales et auto-immunes. troubles qui ne disparaissent jamais.150 Depuis quatre décennies, nous demandons aux médecins et aux responsables gouvernementaux de la santé de cesser de faire des victimes de politiques vaccinales inhumaines et universelles, sous le tapis.151
Ce que nous obtenons des professeurs de médecine des universités recevant beaucoup d'argent du gouvernement et des sociétés pharmaceutiques, des médecins qui développent des vaccins et des responsables de la santé publique qui poussent des politiques de vaccination «sans exception» sont des menaces, des injures, des brimades et des punitions si nous essayons exercer un consentement éclairé à la vaccination.152,153,154 Il n'y a pas d'autre mot que d'abus.
Ils nous ordonnent de leur obéir mais refusent d'assumer la responsabilité de ce qui se passe lorsque nous obéissons aux ordres qu'ils donnent. Ils attendent de nous que nous leur fassions confiance et refusent de nous soucier des victimes de la vaccination lorsque les bénéfices ne l'emportent pas sur les risques.
Au lieu de cela, ils agissent pour protéger le pouvoir et le profit de leurs partenaires commerciaux: l'industrie pharmaceutique, les associations professionnelles médicales, les multinationales des médias et les milliardaires de la Silicon Valley, et laissent les victimes de vaccins prendre soin d'elles-mêmes. Qu'est-ce que la confiance a à voir avec cela?
La confiance brisée a tout à voir avec la raison pour laquelle la majorité des gens aux États-Unis et en Europe ne veulent pas lancer les dés et savoir si les chances de survivre à une vaccination COVID-19 sont en leur faveur.
C'est pendant cette période extraordinaire de grands défis et d'opportunités que NVIC parraine la Cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination. Notre conférence créera une base élargie de connaissances sur la science, la politique, le droit et l'éthique des vaccins, apportée par plus de 40 conférenciers distingués, qui vous donneront les informations dont vous avez besoin pour devenir un défenseur efficace de la liberté des vaccins.
Rendez-vous sur NVIC.org et inscrivez-vous dès aujourd'hui à cette conférence historique célébrant la liberté de pensée, d'expression et de conscience et obtenez un accès en ligne permanent à cette précieuse vidéothèque d'informations. C’est votre santé, votre famille, votre choix. Et notre mission continue: pas de vaccination forcée, pas en Amérique.
Aidez à soutenir la Semaine de sensibilisation aux vaccins
La dixième semaine annuelle de sensibilisation aux vaccins, du 20 au 26 septembre 2020, présentera des informations importantes sur la science, la politique et le droit des vaccins que vous pourrez partager avec votre famille et vos amis.
Avec les efforts agressifs des sociétés pharmaceutiques, des groupes de commerce médical et du gouvernement pour restreindre ou éliminer toutes les exemptions de vaccins selon les croyances personnelles et restreindre sévèrement les exemptions médicales aux États-Unis, il est essentiel que vous agissiez maintenant pour protéger votre droit légal de faire des choix de vaccins volontaires et informés.
Heureusement, le Centre national d'information sur les vaccins (NVIC) à but non lucratif fournit au public des informations indépendantes et bien référencées sur les vaccins et plaide pour la sécurité des vaccins et la protection du consentement éclairé dans le système de santé publique. La mission de cet organisme de bienfaisance éducatif depuis 1982 est de prévenir les blessures et les décès dus aux vaccins grâce à l’éducation du public et de garantir et de défendre votre droit légal d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination.
Cette année, NVIC parraine la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination: protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle en ligne du 16 au 18 octobre 2020. Vous ne voudrez pas la manquer - inscrivez-vous ici aujourd'hui.
Ressources où vous pouvez en savoir plus
NVIC Advocacy Portal - Devenez un utilisateur enregistré de ce réseau de communication en ligne gratuit unique qui vous connecte électroniquement directement avec vos propres législateurs et vous envoie des alertes d'action avec des points de discussion afin que vous puissiez être un défenseur efficace du choix de vaccin dans votre état. informez vos législateurs des raisons pour lesquelles il est nécessaire de protéger les exemptions de vaccins et votre droit légal de prendre des décisions volontaires en matière de vaccination pour vous-même et vos enfants.
Demandez 8 Kiosque d'information sur les vaccins - Téléchargez des brochures et des rapports sur la vaccination et comment reconnaître les symptômes de la réaction au vaccin, ainsi que des affiches et des badges Web que vous pouvez partager avec votre famille et vos amis. Accédez au Guide illustré et entièrement référencé sur la réforme de la politique et de la législation en matière de vaccins pour éduquer votre législateur lorsque vous préconisez le droit au consentement éclairé pour les vaccins.
Loi de l'État et exigence de vaccins
- Vous pouvez facilement obtenir les politiques et lois actuelles en matière de vaccins de votre État ici.
Rapports sur les réactions vaccinales et le harcèlement - Recherchez et lisez les descriptions des rapports sur les réactions vaccinales faites au système fédéral de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS). Sur le site Web de NVIC, lisez ou rapportez publiquement une réaction au vaccin ou décrivez une expérience d’intimidation et de sanction pour avoir tenté d’exercer un consentement éclairé à la vaccination pour vous-même ou votre enfant.
Guide des vaccins contre la grippe et la grippe - Ce mini-guide des vaccins contre la grippe et la grippe est un bref résumé des faits sur la grippe et les vaccins contre la grippe.
Contribuons à faire de la conférence en ligne sur les vaccins du NVIC d’octobre 2020 un grand succès
Du 16 au 18 octobre 2020, NVIC sponsorise la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination: protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle en ligne. Plus de 40 conférenciers distingués - dont le Dr Joe Mercola - présenteront des informations et des perspectives critiques sur la vaccination, la santé et l'autonomie que vous pouvez utiliser pour protéger vos droits à la liberté de la santé en 2021. Ce sera une conférence historique que vous ne pouvez pas vous permettre manquer !
Veuillez soutenir le travail de pionnier du NVIC pour protéger le droit de savoir et la liberté de prendre des décisions de vaccination volontaires. Devenez un commanditaire de la conférence Starfish pour 250 $ ou plus et aidez NVIC à maintenir le prix général du billet de 80 $ à un bas niveau afin que beaucoup plus de personnes, en particulier les familles aux prises avec des problèmes financiers cette année, puissent y assister et avoir un accès permanent aux informations de la conférence en ligne.
Donnez au NVIC votre vote de confiance pour poursuivre sa mission de sauvetage de quatre décennies visant à prévenir les blessures et les décès dus aux vaccins grâce à l'éducation du public et à préserver la liberté de la santé. Inscrivez-vous ici pour assister à la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination du 16 au 18 octobre 2020 du NVIC: «Protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle».
(...) soit un taux de mortalité par million d'habitants plus élevé que la Suède2, où Les responsables de la santé ont refusé d'ordonner le masquage ou le verrouillage du pays et ont permis à la population d'acquérir une immunité naturelle du troupeau contre le virus.3,4
Il y a un débat en cours dans la communauté médicale pour savoir si c'est une bonne idée pour tous les enfants et adultes en bonne santé de porter des masques en tissu lorsqu'ils quittent leur domicile.23 En mars 2020, le chirurgien général américain a ordonné au public américain de cesser d'acheter et de porter ces masques car «ils ne sont pas efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le coronavirus» 24 et «peuvent en fait augmenter la propagation du coronavirus», ce qui était la position de l'Organisation mondiale de la santé.25 (...)
Compte tenu que les masques proposés ne sont PAS antivirus et que l'emprisonnement (chez soi) est inutiles et aggravant, seules les personnes non-chemtraillées ont pu s'en sortir !
Pour le Pr Raoult, l'épidémie actuelle est «une autre maladie» qui «n’a rien à voir» avec celle de mars-avril
12:27 23.09.2020 Par Victor Koulakov
Dans sa dernière vidéo, le professeur Didier Raoult avance que le virus est en train de muter et devient moins dangereux qu'au printemps. Selon lui, l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués ne conduit pas à celle du nombre de morts.
Le directeur de l'IHU Méditerranée Infection réitère dans sa nouvelle vidéo les propos qu’il a tenus la semaine dernière au Sénat, avançant que le virus connaît une mutation et devient moins dangereux qu'au printemps dernier.
«Il y a un phénomène particulier qui est l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués sans augmentation du tout de la mort, donc il y a une discordance», explique-t-il. «L'épidémie actuelle n'a rien à voir avec l'épidémie de mars-avril, c'est une autre maladie.»
Une idée que ne partage pas Bruno Megarbane, chef du service de réanimation à l'hôpital Lariboisière, dans une vidéo diffusée à la suite par CNews.
«À mon sens, on ne peut pas du tout dire qu'il existe une réduction de la virulence du virus. Je ne dirais pas qu'il s'agit d'une nouvelle maladie, mais possiblement une maladie avec un profil épidémique modifié en raison des mesures interventionnelles qui ont été prises pour prévenir la contamination», rétorque-t-il, signalant qu'une hausse de la mortalité est possible dans les prochains jours.
Audition au Sénat
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat le 15 septembre, le Pr Raoult a une nouvelle fois défendu l'utilisation de l'l'hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19 et évoqué la mutation du virus devenu moins grave.
Selon lui, «le virus a aujourd’hui dix fois plus de variations que celui présent jusqu'en mai».
«Les mutants qu’on a sont plutôt des formes dégradées de la forme initiale. C’est plutôt notre impression. C’est très compliqué de deviner le pouvoir pathogène d’un virus en voyant sa séquence. Personne ne sait vraiment le faire. Mais globalement, nous, ça nous apparaît lié à des formes qui sont moins graves», avait-t-il déclaré en fin d'audition.
COVID-19: La Suède a-t-elle une immunité collective ?
par Tyler Durden Mer, 23/09/2020 - 05:00 Rédigé par Sebastian Rushworth, M.D.,
Au début du mois d'août, j'ai écrit un article sur mes expériences de travail en tant que médecin urgentiste à Stockholm, en Suède, pendant la pandémie de covid. Pour ceux qui ne le savent pas, la Suède n'est jamais entrée dans un verrouillage complet. Au lieu de cela, le pays a imposé un verrouillage partiel qui était presque entièrement volontaire. Il a été recommandé aux personnes occupant un emploi de bureau de travailler à domicile, et il a été recommandé aux personnes en général d'éviter les transports en commun, sauf si nécessaire. Il a été recommandé à ceux qui avaient plus de 70 ans ou qui avaient de graves problèmes de santé sous-jacents de limiter les contacts sociaux.
La seule restriction imposée par le gouvernement depuis le début était une exigence que les gens ne se rassemblent pas en groupes de plus de 50 personnes à la fois. Après qu'il est devenu clair que le covid était avant tout dangereux pour les personnes en maison de retraite, une restriction supplémentaire a été imposée aux visites dans les maisons de retraite. À aucun moment, les gens n'ont été tenus de porter des masques faciaux en public. Les restaurants, cafés, coiffeurs et magasins sont restés ouverts tout au long de la pandémie. Les écoles maternelles et les écoles pour les enfants jusqu'à l'âge de 16 ans sont restées ouvertes, tandis que les écoles pour les enfants de 16 à 19 ans sont passées à l'enseignement à distance.
Mon expérience personnelle est que les gens ont assez bien suivi les restrictions volontaires au début, mais qu'ils sont devenus de plus en plus laxistes avec le temps. À titre d'exemple personnel, ma mère et mes beaux-parents sont restés enfermés chez eux pendant les six premières semaines environ de la pandémie. Après cela, ils ne pouvaient plus supporter d’être éloignés de leurs petits-enfants.
Dans mon article précédent en août, j'ai mentionné qu'après un pic initial qui a duré environ un mois, de mars à avril, les visites aux urgences en raison de covid avaient diminué continuellement et les décès en Suède étaient passés de plus de 100 à jour au sommet en avril, à environ cinq par jour en août.
Au moment où j'ai écrit cet article en août, je n'avais pas vu un seul patient covid depuis plus d'un mois. J’ai émis l’hypothèse que la Suède avait développé une immunité collective, car la baisse énorme et continue se produisait en dépit du fait que la Suède ne prenait pas vraiment de mesures sérieuses pour empêcher la propagation de l’infection.
Alors, comment les choses ont-elles évolué au cours des six semaines qui ont suivi ce premier article ?
Eh bien, dans l’état actuel des choses, je n’ai pas vu un seul patient convidé aux urgences depuis plus de deux mois et demi. Les gens ont continué à devenir de plus en plus détendus dans leur comportement, ce qui est perceptible dans l'augmentation des volumes dans les salles d'urgence. Au plus fort de la pandémie en avril, je voyais environ deux fois moins de patients par quart de travail que d'habitude, probablement parce que beaucoup de gens avaient peur d'aller aux urgences de peur d'attraper un covid. Les volumes sont maintenant revenus à la normale.
Quand je suis assis dans le tube sur le chemin du travail, il est plein de monde. Peut-être qu'une personne sur cent choisit de porter un masque facial en public. À Stockholm, la vie est en grande partie revenue à la normale. Si vous regardez les premières pages des tabloïds, de nombreux jours, il n'y a pas une seule mention de covid nulle part. Au moment où j'écris ces lignes (19 septembre 2020), les premières pages des deux principaux tabloïds ont de grandes diffusions sur l'arthrite et les pensions. Apparemment, l'arthrite et les pensions sont actuellement plus excitantes que le covid-19 en Suède.
Malgré cette attitude détendue, le taux de mortalité a continué de baisser. Quand j'ai écrit le premier article, j'ai écrit que le covid avait tué moins de 6 000 personnes. Combien de personnes sont mortes maintenant, six semaines plus tard ? En fait, nous sommes toujours à moins de 6 000 morts. En moyenne, une à deux personnes par jour meurent actuellement de covid en Suède, et ce nombre continue de baisser.
Dans l’hôpital où je travaille, il n’y a pas une seule personne actuellement traitée pour le covid. En fait, dans l'ensemble de Stockholm, un comté de 2,4 millions d'habitants, il n'y a actuellement que 28 personnes traitées pour covid dans tous les hôpitaux réunis. Au sommet, en avril, ce nombre était supérieur à 1 000. Si 28 personnes sont actuellement à l'hôpital, sur 2,4 millions qui vivent à Stockholm, cela signifie que les chances d'avoir un cas de covid si grave qu'il nécessite un traitement à l'hôpital sont actuellement d'environ un sur 86000.
Depuis mars, la salle d'urgence où je travaille est divisée en une section «covid» et une section «non covid». Toute personne ayant de la fièvre, de la toux ou des maux de gorge s'est retrouvée dans la section covid, et nous avons été tenus de porter un équipement de protection individuelle complet lorsque nous interagissons avec les patients de cette section. Mercredi dernier, l'hôpital a fermé la section covid. Si peu de vrais cas de covid arrivent dans la salle d'urgence qu'il n'est plus logique d'avoir une section séparée pour les covid.
Qu'en est-il des quelques restrictions formelles imposées au début de la pandémie ? La restriction sur les visites dans les maisons de soins infirmiers sera levée à partir du 1er octobre. Les enfants plus âgés, âgés de 16 à 19 ans, qui pratiquaient l'enseignement à distance pendant une partie du printemps, sont maintenant de retour à l'école, se voyant face à face avec leurs enseignants. L'autorité suédoise de la santé publique a recommandé au gouvernement de lever la restriction sur les rassemblements de 50 à 500 personnes.
Lorsque j'ai écrit mon premier article, je me suis engagé dans la spéculation que la raison pour laquelle la Suède semblait développer une immunité collective, malgré le fait que seule une minorité avait des anticorps, était due aux lymphocytes T. Depuis que j'ai écrit cet article, des études sont apparues qui soutiennent cet argument. C'est bien, car les lymphocytes T ont tendance à durer plus longtemps que les anticorps. En fait, des études sur des personnes infectées par le SRAS-CoV-1 en 2003 ont révélé qu'elles avaient encore des cellules T dix-sept ans après avoir été infectées. Cela suggère que l'immunité est durable et explique probablement pourquoi il n'y a eu qu'une poignée de cas de réinfection par covid signalés, même si le virus a passé les neuf derniers mois à rebondir autour de la planète, infectant des millions de personnes.
Quant à la poignée de personnes qui auraient été réinfectées. Presque tous ces cas ont été complètement asymptomatiques. Ce n’est pas un signe d’affaiblissement de l’immunité, comme certains le prétendent. En fait, c'est le contraire. Il montre que les personnes développent une immunité fonctionnelle après la première infection, ce qui leur permet de lutter contre la deuxième infection sans jamais développer de symptômes.
Donc, si la Suède a déjà une immunité collective, qu'en est-il des autres pays ? À quel point sont-ils proches de l'immunité collective ? Les endroits qui ont connu beaucoup d’infections à covides, comme l’Angleterre et l’Italie, ont des courbes de mortalité très similaires à celles de la Suède, en dépit du fait qu’ils se sont enfermés. Mon interprétation est qu'ils sont entrés en lock-out trop tard pour que cela ait un impact notable sur la propagation de la maladie. Si tel est le cas, ils ont probablement également développé une immunité collective. Ce qui rendrait les verrouillages en cours dans ces pays bizarres.
Et le vaccin? Arrivera-t-il à temps pour faire une différence ? Comme je l'ai mentionné dans mon premier article, le verrouillage n'a de sens que si vous êtes prêt à rester confiné jusqu'à ce qu'il y ait un vaccin efficace. Sinon, vous ne faites que reporter l'inévitable. Au plus tôt, un vaccin sera largement disponible à un moment donné au milieu de l'année prochaine. Combien de gouvernements sont prêts à maintenir leurs populations en lock-out d'ici là ? Et si le vaccin n'était efficace qu'à 30% ? Ou 50% ? Les gouvernements décideront-ils que c'est assez bon pour qu'ils mettent fin au verrouillage ? Ou voudront-ils rester enfermés jusqu'à ce qu'il y ait un vaccin efficace à au moins 90% ? Combien d'années cela prendra-t-il ?
Donc, pour conclure: Covid est terminé en Suède. Nous avons l'immunité collective. Très probablement, de nombreuses autres régions du monde le font aussi, y compris l'Angleterre, l'Italie et certaines parties des États-Unis, comme New York.
Et les pays qui ont réussi à contenir la propagation de la maladie, comme l'Allemagne, le Danemark, la Nouvelle-Zélande et l'Australie, vont devoir rester enfermés pendant au moins une autre année, voire plusieurs années, s'ils ne le souhaitent pas. développer l'immunité du troupeau de manière naturelle.
Edward Snowden accepte de renoncer à plus de 5 millions de dollars de livres, frais de parole
par Tyler Durden Mer, 23/09/2020 - 05:30
L'ancien analyste de la CIA Edward Snowden a accepté de remettre au gouvernement américain plus de 5 millions de dollars de revenus provenant de son livre et des frais de parole, après que ses mémoires, Permanent Record, aient violé un accord de non-divulgation qu'il a signé avec l'agence. L'argent ira dans une fiducie.
Un juge fédéral s'est rangé du côté du ministère de la Justice, qui a poursuivi l'ancien entrepreneur qui avait divulgué des secrets des services de renseignement américains en 2013, révélant les programmes de surveillance américains. Le juge n'a pas encore approuvé le plan de confiscation, selon le Washington Examiner.
Snowden a réalisé plus de 4 millions de dollars en ventes de livres et un peu plus d'un million de dollars en 56 allocutions payées au cours de l'année dernière, selon des documents judiciaires.
Pourtant, l'avocat de Snowden, Lawrence Lustberg, a déclaré que son client de 37 ans envisageait de faire appel de la décision et qu'aucun argent ne serait versé immédiatement au gouvernement américain.
"Ce n'est pas comme s'il allait débourser l'argent", a déclaré l'avocat à CNN. "Cela leur donne un jugement qu'ils allaient obtenir de toute façon." -Examinateur de Washington
En 2013, Snowden a quitté son emploi dans une installation de la NSA à Hawaï où il a travaillé pour l'entrepreneur Booz Allen Hamilton - fuyant à Hong Kong où il a ensuite divulgué des centaines de milliers de documents de la NSA. Il a obtenu l'asile de la Russie et vit actuellement à Moscou, et a été accusé par le DOJ d'avoir enfreint la loi sur l'espionnage.
Le mois dernier, le président Trump a déclaré aux journalistes qu'il allait "jeter un très bon regard" sur le pardon de Snowden, en disant: "Il y a beaucoup, beaucoup de gens - il semble que ce soit une décision partagée que beaucoup de gens pensent qu'il devrait être traité différemment. , et d’autres pensent qu’il a fait de très mauvaises choses. »
ICOULOGIE ! LA FRANCE RALLUME SES CENTRALES À CHARBON... LES ÉOLIENNES C'EST DU VENT !!
par CHARLES SANNAT 23/09/2020
L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en 2019.
Le Flash Stratégies « Seconde vague et reconfinement » est en ligne dans vos espaces lecteurs ici .
Haaaaa…..
Ici les impertinents, message pour notre grand Amish du palais, qui se fichait la semaine dernière de nos amish les Amishs !!!
Pensez donc, vous savez ces Amishs qui veulent retourner à la lampe à huile et à la bougie.
Notre Manu du Palais, lui, il règne sur la Start-up Nation française en chemise et sans cravate pour la modernité justement et le règne de la fée électricité. Car, de vous à moi, et Manu notre Jupiter de l'Elysée ne me démentira pas, une Start-Up Nation sans électricité et sans courant c'est une Start-Bug Nation et là, forcément, ça marcherait beaucoup moins bien comme dirait Bourvil.
Pour startuper (cela ne se dit pas mais je suis sûr que vous avez parfaitement tous compris le sens) il faut du jus, du courant, de l'élec, de la vraie, de la bonne, de l'ampérage et des watts !
Plus de centrales nucléaires, un anticyclone, plus de vents… on rallume les centrales à charbon ! Qu'est-ce que je rigole les amis, surtout quand dans ce pays on me parle d'icoulogie… Alors que le maire de Bordeaux s'occupe de sa charte des arbres et supprime le sapin de Noël, dans la vraie vie, on nous bassine avec les empreintes carbone de Pierre, Paul, Jacques, quand ils vont bosser avec la vieille 205 diesel, puant le gasoil et les clopes. Mais personne ne dit rien quand notre pays rallume ses centrales à charbon pour nous éviter, à tous, le sombre destin des Amishs et la funeste bougie.
Et oui, on n'a plus assez d'électricté, et donc si l'on pousse le raisonnement, actuellement en France les bagnoles électriques des bobos bordelais et parisiens sont rechargées au charbon.
Hahahahahahahaha
Hahahahahahahahaha
hahahahahahahahahahahah
Mais quelle rigolade, le charbon c'est ce qu'il y a de plus pourri dans le bilan carbono-environnementalo-écolo hahahahahahahahahaha…..
20 minutes de rire par jour, un minimum en ces temps de pré-reconfinement pour garder santé, esprit clair et moral au beau fixe.
Riez encore mes amis.
La charte des arbres d'un côté et les centrales à charbon de l'autre. Ce pays est un naufrage à lui seul chaque jour un peu plus.
En cause : la très faible disponibilité du parc de réacteurs nucléaires d'EDF. Sur ses 56 réacteurs, 24 sont actuellement à l'arrêt. Les causes sont multiples, et dépassent largement la fermeture de Fessenheim…. Faut changer quelques tuyaux d'eau radioactifs, et puis il n'y a pas de vent, du coup, et bien, il n'y a plus assez d'électricité. C'est la faute à un anticyclone qui fait rien que nous embêter; et les panneaux solaires, cela ne produit rien du tout au niveau national. De quoi chauffer la flotte de mon ballon d'eau chaude, mais certainement pas assez pour faire tourner les serveurs nécessaires à Netflix et à la Start-up Nation… et encore moins au rechargement des voitures électriques…
On est mal chef, comme ils disent chez Lidl…
L'icoulogie, c'est faux-cul…
Pour la culture de tous, notre pays dispose à l'heure actuelle d'encore 4 centrales à charbon en service : Cordemais (Loire-Atlantique), Gardanne (Bouches-du-Rhône), Le Havre (Seine-Maritime) et Saint-Avold (Moselle).
Le gouvernement s'était engagé à fermer les dernières centrales à charbon françaises d'ici à 2022. La loi énergie-climat adoptée en novembre 2019 prévoit de plafonner la durée de fonctionnement de ces installations afin de réduire leur rentabilité et conduire à leur fermeture… tout en conservant la possibilité d'y avoir recours ponctuellement lors de pointes de consommation ….
Je traduis, on ferme, mais on garde quand même ouvert, parce que quand on n'a plus que la moitié du parc nucléaire ouvert, que l'hiver se profile et que le vent tombe, on rallume les centrales au charbon et… les bougies !
Moi je pense que cette histoire d'éoliennes qui n'ont plus de vent à cause de l'anticyclone c'est un coup des Amishs. Manu, je t'avais prévenu, je t'avais dit que les amishs de mes Amishs sont mes amishs…
J'ai hâte de voir notre startuper en chef au Palais vivre comme un amish un bougeoir à la main…
Je rigole d'avance hahahahahahaha. A tout hasard, en plus des raviolis, cette année, je vous propose d'acheter quelques bougies d'avance, mon petit doigt me dit, que si EDF nous doit plus que la lumière, il se pourrait bien qu'ils n'arrivent même plus à nous la donner…
Il est déjà trop tard, mais tout n'est pas perdu. Préparez-vous !
LA PEUR DU RECONFINEMENT ET DE LA 2NDE VAGUE FAIT CHUTER LES BOURSES !
par CHARLES SANNAT 22/09/2020
Le CAC40 a chuté de 4% le 21 septembre 2020.
Je vous annonçais avant l'été que nous devrions avoir le début du second pic à partir du 15 août et que les marchés devraient prendre en compte cette « deuxième » vague, ainsi que les reconfinements qui vont en découler.
Cela va coûter cher, très cher à notre économie.
Il ne manquera pas de lecteurs pour expliquer qu'il n'y a pas de seconde vague, ou qu'ils ne reconfineront jamais. En fait, d'un point de vue analytique on s'en fiche bien.
Factuellement, Israël a reconfiné pour 3 semaines avec un confinement total et l'interdiction de dépasser un rayon de 500 mètres de chez soi, l'Angleterre se prépare à reconfiner pour le 15 octobre, l'Espagne reconfine Madrid et s'apprête à déployer 15 000 à 20 000 militaires dans les rues de la capitale notamment.
Les bourses réagissent un peu plus tard que ce qu'elles auraient du faire, mais nous sommes mûrs pour un beau plongeon, un plongeon qui peut aussi être une tentative de déstabilisation de l'élection américaine, car, si, juste avant de voter les Américains se retrouvent confronter à un terrible crash, c'est bien le bilan de Trump spécifiquement sur l'économie, son point fort qui se trouvera écorné.
Voici ce que dit l'agence de presse Reuters :
« Wall Street est attendue en nette baisse et les Bourses européennes creusent leurs pertes à mi-séance lundi, les interrogations sur le risque d'un reconfinement dans plusieurs pays face à la résurgence des cas d'infection par le coronavirus replongeant les marchés dans le climat d'aversion généralisée au risque en vigueur au printemps » .
Si l'épidémie dure, alors les prévisions de « reprise » tombent toute à l'eau ! Soyons clairs.
Les marchés jouent depuis le départ la reprise dite en « V » c'est-à-dire une forte baisse de l'activité suivie d'une reprise toute aussi forte.
Les marchés ont joué sans réserve ce scénario.
Or l'analyse de la situation depuis le départ montre qu'il était peu probable que nous ne connaissions qu'un seul pic, et d'ailleurs tout le monde le savait très bien, puisque comme je l'avais dit à mes abonnés à la lettre STRATEGIES, le gouvernement français travaillait avec l'hypothèse central d'un confinement en yo-yo.
Face à la situation nébuleuse où l'on ne sait plus très bien quoi penser, ni qui croire, je vous ai préparé un Flash STRATEGIES disponible ici .
Le professeur Raoult avait-il raison de dire qu'il n'y aurait pas de seconde vague alors qu'il parle désormais d'un deuxième acte de l'épidémie ? Le savait-il ? Ceux qui disent que la charge virale est en baisse ont-ils raison ? Y-ta-il vraiment moins de morts et est-ce parce que le virus rend moins malade ou y-a-t-il d'autres raisons ? Est-ce moins grave aujourd'hui en septembre qu'hier en mars ?
Va-t-on se retrouver à nouveau confiné comme en Israël, en Espagne et prochainement en Angleterre ?
Quelles seront également les conséquences économiques de cette seconde vague qui va nous frapper de plein fouet, même si cela prend une forme différente de ce que nous avons vécu en mars dernier ?
Je partage avec vous toutes mes réponses à ces questions et plein d'autres dans le Flash Stratégies ci-dessous accessible à tous les abonnés. Pour plus de renseignements c'est ici (e t sachez que toute souscription d'abonnement à la lettre stratégies donne accès à l'ensemble des archives soit plus de 55 dossiers et des centaines de pages d'analyses et de conseils pour avoir un temps d'avance sur les évènements ).
Même si nous en avons tous envie, l'épidémie n'est pas finie !
Nous pourrions même être plus proche du début encore, que de la fin et du bout du tunnel.
Il est déjà trop tard, mais tout n'est pas perdu. Préparez-vous !
La tempête tropicale Beta touche le Texas; L'ouragan Teddy Eyes, Nouvelle-Écosse
par Tyler Durden Mar, 22/09/2020 - 08:45
Le National Hurricane Center (NHC) surveille mardi trois systèmes tropicaux dans le bassin atlantique.
Le premier système est Tropical Storm Beta, qui a touché terre juste au nord de Port O'Connor, au Texas, lundi soir. Mardi tôt, Beta se déplaçait vers le nord-ouest à trois mph et devrait caler au-dessus du Texas. Il se déplacera ensuite vers l'est-nord-est plus tard dans la journée et s'affaiblira probablement. Beta continuera à se déplacer vers l'intérieur du sud-est du Texas jusqu'à mercredi, puis vers l'est vers la Louisiane et le Mississippi de mercredi soir à vendredi.
- voir carte sur site -
Le deuxième système est la tempête tropicale Paulette, qui tourne au sud-est des Açores avec des vents maximums soutenus d'environ 60 mph. Paulette devrait se déplacer vers le sud et le sud-ouest mercredi soir et jeudi. Il n'y a pas de menaces immédiates ni de veilles côtières ou d'avertissements en vigueur.
- voir carte sur site -
Les prévisionnistes regardent également Teddy, autrefois un puissant ouragan de catégorie 4 avec des vents de 140 mph, a été rétrogradé en tempête de catégorie 2 lundi. Mardi, les vents sont toujours d'environ 100 mi / h, car la tempête est à environ 435 miles au sud de Halifax, en Nouvelle-Écosse, se déplaçant du nord-nord-ouest à 28 mi / h.
- voir carte sur site -
Le météorologue Bob Robichaud a déclaré à Halifax News que la trajectoire de Teddy est toujours «incertaine», mais que l'atterrissage se fera «entre l'ouest d'Halifax, juste à l'est du Cap-Breton» mercredi.
- voir carte sur site -
Les lecteurs se souviendront peut-être que la raison de la saison des ouragans super active est La Nina. Cela a forcé NHC à passer à l'alphabet grec pour nommer les tempêtes.
Gardez un œil sur Beta sur Texas mardi, tout en suivant les développements de Teddy avant son arrivée mercredi.
Quelle nouvelle sans aucune importance ! me direz-vous. D’abord c’est quoi au juste un cycle solaire ? Il s’agit de la durée d’environ 11 ans pour constater la migration des pôles solaires vers l’équateur de ce qu’on a appelé les taches, des régions de la surface de la chromosphère solaire de très forte activité magnétique. Ces taches apparaissent dans la région des pôles et suivent les lignes de champ magnétique dites toroïdales. Il y a deux champs magnétiques toroïdaux, l’un dans l’hémisphère nord et l’autre dans l’hémisphère sud. La durée de ce processus dure environ 11 ans. Je pourrais continuer à disserter à ce sujet mais qui, dans la rue d’une petite ou d’une grande ville, au Botswana ou en Finlande, se préoccupe du Soleil ? Personne.
Ce nouveau cycle solaire va culminer en nombre de taches vers le milieu de l’année 2025 puis se terminera vers 2032. Les savantes prédictions des astrophysiciens font état d’un cycle #25 qui sera dans tous les cas de modélisation sinon égal à feu le cycle #24 ou probablement aussi plus faible, à égalité de chances. Il faut remonter 200 ans en arrière pour trouver un tel effondrement durable de l’activité solaire, ce fameux petit âge glaciaire de la première moitié du XIXe siècle. Alors peut-être que l’homme de la rue s’intéressa aux taches solaires quand il constatera que les hivers deviennent de plus en plus froids et les étés de plus en plus pourris. Tout ça prendra du temps et en 2032 je serai probablement mort, mes enfants seront d’heureux grands-parents et le plus jeune de mes petits-enfants fera de brillantes études à l’université. L’Europe aura été ruinée par les folies des écologistes, l’humanité se relèvera avec peine d’un conflit éventuellement généralisé et les premiers colons arrivés sur Mars n’auront pas survécu très longtemps aux radiations cosmiques. Les rêves stupides d’un monde meilleur avec moins de carbone auront été balayés par les fluctuations du climat qui ne dépendent que de l’activité solaire.
Climate FAIL: Travailler à domicile surchargerait le réseau d'énergie renouvelable australien
21 septembre 2020
h / t JoNova - Le gouvernement australien ABC a conseillé aux gens de se rendre au bureau plutôt que d'essayer de travailler à domicile, pour éviter les pannes causées par le fait que tout le monde travaille à domicile allume ses climatiseurs.
Pourquoi travailler à domicile pourrait être un désastre pour le réseau électrique australien cet été
Par Emma Elsworthy
Les climatiseurs pourraient entraîner un effondrement du réseau électrique australien cet été, car environ un tiers de la main-d’œuvre fait son travail à domicile, ont averti les experts.
Points clés:
La climatisation stimule la demande de puissance en période de pointe Un plus grand nombre de personnes travaillant à domicile entraînera probablement plus de stress sur le réseau électrique australien L’été dernier a été le deuxième record record d’Australie Selon la société de recherche Roy Morgan, plus de 4,3 millions d'Australiens travaillent à domicile alors que les employés et les employeurs continuent d'adopter une approche prudente de la distanciation sociale des coronavirus.
Mais le temps plus chaud est venu avec un avertissement selon lequel une utilisation accrue de la climatisation dans les maisons pourrait entraîner davantage de pannes de courant et des factures d'électricité plus élevées.
«La climatisation est ce qui stimule notre demande maximale en Australie», a déclaré Peter Dobney, ancien président fondateur de l'Energy Users Association of Australia.
"Nous pouvons nous attendre à des prix plus élevés, en fait, je pense que c'est une certitude."
…
"Il est très clair qu'il y a un risque ici, avec la climatisation fonctionnant dans la maison et dans le bâtiment en même temps", a déclaré le Dr Bannister.
«Et pour refroidir une maison, elle n'est pas aussi bien isolée qu'un bâtiment, et la maison peut être moins économe en énergie.»
…
En savoir plus: https://www.abc.net.au/news/2020-09-21/why-working-from-home-could-spark-power-disaster-down-under/12667814
L’échec total de la révolution verte australienne pourrait-il devenir plus drôle ?
Les Verts ont finalement obtenu quelque chose qu'ils voulaient vraiment - moins de déplacements, plus de personnes travaillant à domicile - pour voir cette victoire leur échapper, car leur précieux réseau électrique lourd à énergie renouvelable ne peut pas supporter la charge de plus de personnes travaillant à domicile.
Victoria: c'est la démocratie et la science médicale, et ça va vite mieux
September 22nd, 2020
Carte de Victoria La bonne nouvelle: les verrouillages prendront fin plus tôt que prévu. Pas assez tôt pour certaines entreprises désespérées, mais plus tôt que ne le pensaient les modélistes de Dan Andrew.
Comme je l'ai prédit, Victoria fait mieux que les modèles estimés. Beaucoup de gens se concentrent sur les «nouveaux cas quotidiens», mais les «cas de source inconnue» sont un meilleur outil plus tourné vers l'avenir.
Aujourd'hui, dans Newspoll, nous constatons - comme je l'avais prédit depuis le début de la pandémie - que la santé est la priorité numéro un pour la plupart des électeurs. C’est un fait étrange de la démocratie. Aussi drastiques que soient les restrictions à Victoria, plus de la moitié des électeurs sont heureux de renoncer temporairement à une certaine liberté afin de sauver des vies, des difficultés et des effets sur la santé inconnus, ainsi que le fardeau des agents de santé.
Les propriétaires de petites entreprises et les entrepreneurs de droite ne sont souvent pas du tout heureux de renoncer à la liberté. Ils sont beaucoup plus à l'aise pour prendre des risques, mais la plupart de la population ne le sont pas. C'est une chose de type personnalité. Cela ne changera pas. (Ce qui est obscène cependant, c'est que ceux qui sont à l'aise pour prendre des risques supportent davantage les coûts tandis que les fonctionnaires comme Dan Andrews obtiennent de grosses augmentations de salaire.)
Malgré les restrictions strictes, 71% des Victoriens considèrent les restrictions comme «à peu près correctes» ou «trop clémentes». Un quart se disent «trop stricts». La plus grande crainte pour le moment, de 56% des Victoriens, est d'assouplir les restrictions trop tôt. Bien que 39% soient inquiets, les choses avancent trop lentement. Compte tenu de la mauvaise modélisation, il est facile de comprendre ce dernier point de vue. Il est pratiquement certain maintenant que Victoria sortira des restrictions plus rapidement que le plan difficile d'il y a quelques semaines. Les deux groupes ne sont pas aussi éloignés que vous pourriez le penser. Les craintes de «se détendre trop tôt» sont essentiellement des craintes d'un troisième verrouillage, et personne ne veut cela.
Cas sources inconnus: le graphique le plus important pour la prévision
Le 8 septembre, j'ai dit que les cas victoriens diminueraient plus rapidement que prévu simplement parce que les cas dont les sources étaient inconnues étaient déjà sous contrôle à ce moment-là. Incroyablement, le modèle utilisé pour prédire combien de temps il faudrait pour réduire les cas ne prenait même pas en compte si les cas étaient une source «inconnue» ou une transmission locale connue. Le fait que les clusters soient traçables ou non fait toute la différence dans le monde.
Voici une mise à jour de ce graphique montrant que depuis deux semaines, Victoria a effectué un décompte négatif sur les cas sources «inconnus» pour finalement maîtriser cette épidémie et assembler les grappes mystérieuses pour comprendre comment le virus s'est propagé.
Nouveaux cas quotidiens de source inconnue de coronavirus à Victoria et en Nouvelle-Galles du Sud.
Victoria a fait beaucoup mieux que NSW au cours des deux dernières semaines (sur des sources inconnues)
Victoria compte 101 «cas de source inconnue» de moins au cours des deux dernières semaines. NSW a 85 autres cas.
Comme nous nous attendions - compte tenu des restrictions beaucoup plus strictes à Victoria - la propagation des infections mystérieuses ralentit à Victoria, mais se poursuit à un taux faible et constant en Nouvelle-Galles du Sud. Sur la base de ces données quotidiennes nettes limitées (de Covidlive), nous pouvons dire que depuis le 8 septembre, Victoria a signalé 8 cas sources inconnus mais a identifié la source de 111 cas, alors que NSW a découvert 86 personnes atteintes d'infections qu'elle ne peut pas expliquer. Ce ne sont que des «chiffres quotidiens nets», mais le dernier communiqué de presse de Vic Health montre que seuls 3 cas sont inconnus parmi les 657 actuellement actifs. Bien que les tests des eaux usées suggèrent qu'il peut y avoir une épidémie inconnue à Apollo Bay.
Suite aux cas mystérieux, le nombre total de nouveaux cas quotidiens à Victoria a chuté: 39, 32, 27, 42, 22, 8, 9 et 28. Cela a incité le médecin-chef à admettre que Victoria reconsidérerait probablement la feuille de route.
Le Queensland, quant à lui, a eu trois cas de source inconnue au cours des huit dernières semaines et en a trouvé la cause. Deux d’entre eux remontaient à trois semaines, donc s’ils ne se sont pas propagés, ce sont des jours heureux pour les Queenslanders. Jusqu'à présent, je compte dix jours d'affilée sans cas mystérieux. Nous ne devrions pas compter les poulets et tous, mais théoriquement, dans deux semaines et demie, le Queensland pourrait atteindre les 28 jours avec transmission communautaire. Élimination.
Sans doute le plus grand échec de politique publique de l'histoire australienne
La deuxième vague était bien pire. Regardez à quelle vitesse cette infection se propage. Toute cette deuxième vague est venue de seulement deux brèches d'hôtel: le Rydges on Swanson et le Stamford Plaza. Tous les milliards de dollars perdus, les restrictions, la douleur et plus de 740 décès auraient pu être évités avec une frontière solide.
Sans ces violations, NSW et Qld n'auraient pas non plus de cas maintenant (si seulement ils n'avaient pas laissé le virus entrer).
Tous les États d'Australie auraient volé librement en ce moment. Aucune frontière intérieure n'est nécessaire.
Malgré le grand échec extraordinaire à Victoria, remarquablement, d'une manière ou d'une autre, 62% des électeurs sont satisfaits de la performance de Dan Andrews, ce qui semble difficile à croire. Il a augmenté de 5% depuis juillet. Alors que de nombreux Victoriens estiment que le verrouillage a été draconien, la majorité l'appuie.
Victoria, infection à covid, graphique, nouveaux cas quotidiens, septembre 2020.
Le plus grand échec politique de tous pourrait cependant être le refus des avantages de tant d'autres traitements potentiels, le manque d'utilisation de vitamine D3, l'opposition politique à HCQ, l'ivermectine, la bromhexine (sirop contre la toux) et les nombreuses options antivirales.
Le manque de vitamine D3 est un scandale en cours et une parodie provoquant une augmentation de la mortalité due à de nombreuses maladies infectieuses, ainsi qu'à un cancer probable et à de nombreuses autres causes. C’est l’une des rares vitamines associées à une réduction de la mortalité toutes causes.
Les vaccins contre la grippe ont été poussés et promus pendant des années, mais où était la campagne pour s'assurer que tout le monde en avait assez des nutriments sûrs, bon marché et essentiels ? La vitamine D a réduit le taux d'admission aux soins intensifs de 50 % à 2 %. Les vies des noirs sont-elles importantes ?
10%: le fardeau hospitalier est trop lourd pour n'importe quel pays L'état de Victoria:
Cas actifs: 620 Hôpital: 80 ICU: 8
Le taux d’hospitalisation est d’environ 10%, et c’est l’un des régimes de test les plus élevés au monde où la positivité du test était de 1% il y a un mois, mais n’est plus que de 0,2% maintenant. Même si nous ignorons la mortalité, le fardeau hospitalier du Covid-19 est important, et certaines restrictions sont inévitables et nécessaires simplement pour maintenir le fonctionnement des hôpitaux. Le bilan des agents de santé a également été important et les infirmières ont dû être transportées par avion depuis WA, SA et Qld. De toute évidence, si tous les États d'Australie étaient confrontés à des épidémies majeures comme celle-ci, cela brise le système hospitalier. Et nous savons que dans d'autres pays, les taux de mortalité grimpent rapidement une fois que les hôpitaux doivent refuser des gens.
Une histoire de deux pannes d'énergie renouvelable: Californie vs Texas
21 septembre 2020 Invité «Yi-hah!» par David Middleton
Énergie
California Blackouts met en évidence le contraste avec l'énergie du Texas, fournit un avertissement préalable L'été dernier, les Texans ont presque connu des pannes de courant similaires à celles auxquelles les Californiens ont été confrontés il y a à peine quelques semaines.
BRAD JOHNSON 7 SEPTEMBRE 2020
Conduisant au nord de San Antonio à Austin sur la I-35, un panneau d'affichage domine la circulation qui passe et diffuse un message simple: "Ne pas Californie notre Texas."(Ne pas Californiser notre Texas). Dans les récentes coupures de courant du réseau électrique roulant en Californie, les Texans pourraient reconnaître un avertissement pour leur propre alimentation électrique.
Les Californiens ont été confrontés à des pannes de courant continuelles de la mi-août à la fin août alors que la chaleur de l’été s’étouffait, conduisant à une consommation électrique non durable. Son réseau électrique est principalement alimenté par un mélange de 35 % de gaz naturel et de 31 % d'énergies renouvelables, comme les sources éoliennes, solaires et géothermiques.
Les politiciens démocrates de Californie ont exigé que 60 % du réseau électrique de l'État soit constitué d'énergie produite par les énergies renouvelables d'ici 2030. Des propositions similaires mais plus vagues ont été faites au niveau national, y compris par le candidat démocrate à la présidence, Joe Biden.
Le manque de fiabilité des énergies renouvelables de l’État a stimulé la pénurie d’approvisionnement et a été aggravé par les États voisins à partir desquels la Californie importe de l’énergie auxiliaire, qui connaissent également une forte demande.
Cette tempête parfaite a été aggravée par les efforts concertés de l’État pour fermer les centrales au gaz naturel et nucléaires qui peuvent fournir de l’énergie à la demande, en particulier pour les situations d’urgence.
[…]
Le Texas, quant à lui, a connu une situation d'urgence similaire l'été dernier, encore une fois parce que la consommation d'électricité a monté en flèche alors que les Texans se retiraient à l'intérieur pour échapper à la chaleur torride.
L'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), le plus grand marché d'énergie sans capacité du pays dans lequel les producteurs sont payés par les consommateurs en fonction de leur utilisation, plutôt que payés d'avance pour une quantité de production fixée par contrat, a mis en garde contre d'éventuelles pannes de courant l'été dernier, mais les a finalement évités.
Cet appel rapproché a été causé par une insuffisance de la production éolienne et solaire projetée et un dysfonctionnement d'une centrale à combustibles fossiles.
Contrastant avec le géant de la côte ouest, Stein a déclaré: «Au Texas, le régulateur de l'État fait un effort pour encourager une capacité supplémentaire.»
Les énergies renouvelables représentent près du quart de la production totale du réseau énergétique du Texas, tandis que le gaz naturel représente plus de la moitié de la production d’électricité. L'une des principales raisons pour lesquelles la Californie a renforcé sa part du réseau renouvelable au détriment du gaz naturel était d'éliminer les émissions.
Le Texas dépasse de loin la Californie en ce qui concerne les émissions totales de gaz carbonique - produisant 13% des émissions américaines et 22% de son énergie, contre 3% en production et 7% en émissions de la Californie.
Et tandis que la part des énergies renouvelables dans le réseau californien est plus élevée que celle du Texas, notre État génère environ 3 000 MWh d’électricité de plus à partir de ses énergies renouvelables. Cela suffit pour alimenter près de 2 millions de foyers supplémentaires à tout moment.
[…]
Brad Johnson Brad Johnson est un natif de l'Ohio qui a obtenu son diplôme de l'Université de Cincinnati en 2017. Il est un passionné de sport qui aime le plus regarder ses équipes préférées continuer leur titre à la sécheresse tout au long de sa vie consciente. Pendant son temps libre, vous trouverez peut-être Brad regarder et citer les productions de Monty Python.
Le Texan C'était «l'avertissement» d'août 2019 d'ERCOT…
13 août 2019
La chaleur extrême à travers l'état entraîne une utilisation élevée, un besoin de conservation
Austin, Texas, 13 août 2019 - Le Conseil de la fiabilité électrique du Texas (ERCOT) a annulé son alerte d'urgence énergétique (EEA1) à 17 heures. aujourd'hui et est revenu aux opérations normales du réseau à 17h30.
«La chaleur extrême à travers l'État a entraîné une utilisation élevée aujourd'hui», a déclaré le président et chef de la direction d'ERCOT, Bill Magness. «Déclarer un EEE1 nous a permis d'accéder à des outils pour maintenir la fiabilité, et nous apprécions la réponse de chacun à l'appel de conservation.»
À 15 h 10 aujourd'hui, ERCOT a émis un EEA1 en raison de réserves d'exploitation inférieures à 2 300 MW. Dans des conditions normales de réseau, les réserves d’exploitation d’ERCOT sont égales ou supérieures à 3 000 MW. C'est la première fois que ERCOT émet un EEA1 depuis janvier 2014.
Un mégawatt (MW) suffit pour alimenter 200 foyers par une chaude journée d'été.
Lorsque ERCOT émet un EEE, il est alors en mesure de profiter de ressources supplémentaires qui ne sont disponibles que dans des conditions d'exploitation restreintes.
Cet après-midi, le prix moyen de l'énergie sur le marché en temps réel a atteint le plafond d'offre de 9 000 $ / MWh pour plusieurs intervalles de règlement de 15 minutes.
ERCOT a établi un nouveau record absolu de demande de pointe le lundi 12 août, lorsque la demande a atteint 74531 MW entre 16 et 17 heures. Le pic d’aujourd’hui s’est établi à 74 181 MW entre 15 h et 16 h.
Les consommateurs peuvent surveiller les conditions du réseau en temps réel en téléchargeant l'application mobile ERCOT dans l'Apple Store et Google Play et / ou en suivant ERCOT sur Twitter.
ERCOT «L'été dernier, les Texans ont presque connu des pannes de courant similaires à celles auxquelles les Californiens ont été confrontés il y a à peine quelques semaines. Quand j'ai lu la phrase ci-dessus, j'ai immédiatement pensé à Monty Python et au Saint Graal.
"Le Brave Sir Robin: Celui qui a failli combattre le féroce Dragon d'Angor, a presque tenu tête au poulet vicieux de Bristol ..." Imgur Je savais que ce n’était pas une coïncidence après avoir lu la brève biographie de Brad Johnson, auteur de l’article Texan.
Pendant son temps libre, vous trouverez peut-être Brad regarder et citer les productions de Monty Python.
La Californie a connu une insuffisance réelle d'environ 4 400 MW de capacité de production. Le Texas a connu une brève période (moins de 3 heures) où nos réserves d’exploitation sont tombées en dessous de 2 300 MW… C’était la première alerte d’urgence énergétique (EEA1) d’ERCOT depuis 2014.
Bien que nous ayons connu de nombreuses pannes de courant dues à la glace, à la foudre et / ou au vent, les pannes de courant sont presque inconnues ici. Je vis dans le comté de Dallas depuis 1981, et la seule panne de courant continue dont je me souvienne a eu lieu pendant la semaine du Super Bowl 2011. Les pannes de courant étaient dues à un froid glacial qui a empêché le démarrage de centrales électriques au charbon inactives ... n'a pas affecté les lieux liés aux festivités du Super Bowl.
- voir graphique sur site -
Fonctionnel
Texas Dysfonctionnel
- voir graphique sur site -
Calizuela À la même échelle… Le Texas est en rouge, la Californie est en bleu.
Grâce à l'énergie éolienne et solaire, les Australiens doivent se rendre au travail pour sauver la planète
September 21st, 2020
Les Australiens avaient un réseau électrique qui leur donnait la liberté de travailler à domicile
Pendant des années, ils nous ont dit de travailler à la maison pour protéger l'environnement. Mais grâce à un réseau décentralisé peu fiable, les Australiens sont maintenant avertis que ce sera un «désastre» pour le réseau s'ils restent à la maison et travaillent avec leur climatiseur allumé en été.
Maintenant, il vaut mieux aller au travail pour que le réseau solaire-éolien ne tombe pas:
Pourquoi le travail à domicile pourrait être un désastre pour le réseau électrique australien cet été Emma Elsworthy, ABC
Les climatiseurs pourraient entraîner un effondrement du réseau électrique australien cet été, car environ un tiers de la main-d’œuvre fait son travail à domicile, ont averti les experts.
Selon la société de recherche Roy Morgan, plus de 4,3 millions d'Australiens travaillent à domicile ...
Mais le temps plus chaud est venu avec un avertissement selon lequel une utilisation accrue de la climatisation dans les maisons pourrait entraîner davantage de pannes de courant et des factures d'électricité plus élevées.
«La climatisation est ce qui stimule notre demande maximale en Australie», a déclaré Peter Dobney, ancien président fondateur de l'Energy Users Association of Australia.
"Nous pouvons nous attendre à des prix plus élevés, en fait, je pense que c'est une certitude."
Après avoir installé des panneaux solaires sur une maison sur quatre, nous ne voulons apparemment pas que les gens restent à la maison et les utilisent pour alimenter leurs climatiseurs. Au lieu de cela, nous voulons qu'ils montent dans leur voiture et conduisent dans de grands immeubles de bureaux que nous pouvons encore nous permettre de garder au frais.
Près de 70 % des Australiens se rendent au travail en voiture et 30 % y passent près d'une heure. La liberté de passer près de deux heures par jour sans être assis dans la circulation est étonnamment populaire. Mais maintenant, tout comme les gens découvrent à quel point cela peut être bon, vient la mauvaise nouvelle que notre réseau électrique n'offre plus la liberté d'allumer votre climatiseur quand vous le souhaitez. Les heures passées coincées dans les voitures ne sont qu'un autre type de taxe renouvelable.
Personne n'a vu ça venir
Qui aurait pensé qu'un réseau électrique conçu pour rendre le temps plus agréable en 2100 ne fonctionnerait pas aussi bien qu'un réseau électrique conçu pour produire de l'électricité bon marché maintenant ? Où étaient les universitaires à qui on payait de gros chèques pour prévoir l'avenir des énergies renouvelables ?
La grande ironie est que, à mesure que notre pouvoir devient moins centralisé et moins efficace, nos bureaux doivent être plus efficaces. Ainsi, le pouvoir décentralisé signifie des vies centralisées. Juste un autre prix pour sauver la Terre
La puissance maléfique au charbon nous donne la liberté, mais qui veut cela ?
Cela fait 118 ans que le premier climatiseur a été inventé. Ils sauvent 20 000 vies chaque année aux États-Unis et probablement 2 000 par an dans la chaude Australie. Si seulement nous pouvions encore nous permettre de les gérer. Si le réchauffement climatique devait vraiment se produire, la climatisation et l'électricité bon marché seraient encore plus importantes que jamais. Les vieilles vies comptent-elles ?
Préparez-vous pour Climate Hustle 2: à venir jeudi à 20 h!
September 22nd, 2020
Juste à temps pour les élections américaines. Climate Hustle 2 est presque un Who's Who du monde climatiquement sceptique. C’est un documentaire sur les jeux de pouvoir, les sales tours et l’hypocrisie effrontée derrière la poussée pour une gouvernance mondiale par le biais du dioxyde de carbone. Il s’agit de la façon dont les enfants sont utilisés comme pions, formés dans les écoles pour «devenir toute une génération d’électeurs obéissants». C’est l’avertissement d’Eisenhower et Nineteen Eighty Four. C’est la montée de la monarchie climatique.
Marc Morano et CFACT ont fait le tour du monde, interviewant tout le monde, de Richard Lindzen au regretté Bob Carter, en passant par Vauclav Klaus et Patrick Moore, l'homme effacé par Greenpeace. Il y a Christopher Monckton, Will Happer, Roger Pielke, Tim Ball, Don Easterbrook, le sénateur Malcolm Roberts, Anthony Watts… trop pour nommer, même brièvement, Jo Nova. Celui-ci s'adresse à un public plus large que les sceptiques qui connaissent les combats des dix dernières années. Mais même pour les plus purs et durs, il y a quelque chose de bien à mettre des visages sur tant de noms.
Dans le monde entier, la première en ligne aura lieu le 24 septembre à 20 h. (dans tous les fuseaux horaires du monde… y compris le vôtre en Australie !). Pour ceux qui ne peuvent pas être là à 20 h, la rediffusion des émissions Climate Hustle 1 et 2 restera visible jusqu'au 27 septembre. 1 h 35 min.
Obtenez votre billet aujourd'hui !
Tim Ball: «Jusqu'à ce que vous repoussiez le Big Government, vous ne savez pas à quel point cela peut devenir désagréable.»
Il n'y a eu que quelques documentaires professionnels qui partagent le message sceptique. Alors soutenez CFACT, Climate Depot et l'équipe qui l'a mis en place. Les sceptiques doivent toucher une foule plus large. Il doit y avoir eu des centaines d'heures de séquences à condenser. ….
Il s'agit d'un flux en ligne, mais peut, via Google Chrome Cast ou Apple TV ou simplement lié à votre ordinateur, être regardé sur votre télévision habituelle. Un billet suffira pour vous, votre famille et vos amis pour regarder tous ensemble.
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MISE À JOUR: Je sais que les sceptiques sont sceptiques quant à «prêcher aux convertis» - mais ce documentaire atteint déjà les barrières, les nouveaux sceptiques et les personnes qui n'ont tout simplement pas prêté beaucoup d'attention au débat sur le climat. Marc Morano et CFACT réalisent déjà 6 à 10 interviews chaque jour.
Nous avons tous intérêt à dépasser les censeurs - alors mettez vos «chapeaux» et réfléchissez aux moyens d'utiliser cette opportunité. Suggérer des pistes dans les commentaires. Et ce serait idéal si vous aviez quelques amis partageant les mêmes idées jeudi soir (bonne excuse juste pour voir des amis) et si vous le faites, prenez une photo, ajoutez-la sur Twitter (j'ajouterai le bon # ici) et montrez au monde qu'il y a beaucoup de sceptiques là-bas, qui ne seront pas réduits au silence par les lâches et les parasites de Facebook, YouTube, Google, notre secteur de l'éducation et les médias grand public.
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Achetez un billet pour soutenir les sceptiques qui ont tout mis en œuvre pour y parvenir.
Agitation climatique Cliquez pour obtenir des billets. ClimateHustle 1 Hustle climatique 2
Coût des États-Unis pour se passer des combustibles fossiles: 18-29 billions de dollars
22 septembre 2020
À titre de comparaison, le produit intérieur brut des États-Unis pour 2018 était de 20,54 billions de dollars.
- voir carte sur site -
E&E Legal publie son rapport sur les coûts «d'électrification» État par État de Tom Tanton
Pour diffusion immédiate: 22 septembre 2020
- Aujourd'hui, l'Institut juridique de l'énergie et de l'environnement (E&E Legal), a publié un rapport État par État sur le coût en capital associé à «l'électrification» pour les États et la nation. Le rapport et la feuille de calcul qui l’accompagne ont été rédigés par Tom Tanton, directeur de l’évaluation scientifique et technologique d’E&E Legal.
Selon le rapport, l'électrification de toute la nation, dans le but d'éliminer la consommation directe de carburant et de réduire les émissions liées au changement climatique, coûterait entre 18 billions de dollars et 29 billions de dollars en premiers coûts. Passer à l'énergie renouvelable forcera les coûts à atteindre le haut de gamme. En outre, la construction et la mise en œuvre d'une nation «tout électrique» comprendront deux autres coûts importants: les actifs bloqués et les pertes d'aubaine.
L'essentiel est que l'électrification n'est pas un moyen rentable de réduire les émissions de carbone des bâtiments commerciaux ou résidentiels ni du secteur des transports.
«L'électrification de tout est un mauvais moyen de réduire les gaz à effet de serre et expose les clients à des pannes plus fréquentes. De plus, nous remplacerions simplement un ensemble d’impacts environnementaux par un autre », a déclaré Tanton.
"Il existe plusieurs autres moyens plus respectueux de l'environnement et plus rentables pour atteindre cet objectif, et nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre de tout électrifier comme le montre clairement le rapport."
Tanton ajoute que l'électrification détruira des décennies de diversification du marché, liant les consommateurs à un réseau électrique fragile mais monolithique.
Le réseau électrique est mal équipé pour des conditions extrêmes, comme des vagues de chaleur prolongées ou des vagues de froid vortex polaires, sans coupures de courant, comme cela vient de se passer en Californie. La probabilité de pannes augmentera avec l'augmentation considérable de la demande associée aux voitures électriques, au retrait du gaz naturel des bâtiments et à d'autres mouvements d'électrification. Construire une grille plus robuste pour gérer de tels extrêmes ajouterait peut-être 7 billions de dollars aux coûts.
Le rapport note que le Texas ouvrirait la voie en termes de coûts d'électrification totaux à 3,157 milliards de dollars, suivi de la Californie à 2,823 milliards de dollars.
Ce qui est encore plus effrayant, ce sont les coûts par habitant d’une expérience aussi coûteuse et destructrice. Par exemple, chaque résident de la Louisiane peut s'attendre à une facture de 166 065 $, tandis que les citoyens du Wyoming seraient payants pour 158 961 $ chacun, et ceux du Dakota du Nord feraient face à un onglet de 133 847 $.
Tanton, qui vit en Californie et anciennement conseiller principal en politique auprès de la CA Energy Commission (CEC), a été témoin de première main de la dévastation causée par les tentatives d'électrification complète.
«Les pannes de courant et les incendies de forêt cataclysmiques en Californie ne sont pas le résultat du changement climatique. Ils sont le résultat direct d'un leadership médiocre et de politiques énergétiques destructrices qui devraient être annulées dans mon État et dans d'autres avant qu'il ne soit trop tard », a conclu Tanton.
L’Institut juridique de l’énergie et de l’environnement (E&E Legal) est une organisation 501 (c) (3) qui défend un environnementalisme responsable et équilibré, qui cherche à conserver les ressources naturelles du pays tout en garantissant une économie stable et robuste grâce à la domination énergétique.
Plus précisément, E&E Legal prône le développement responsable des ressources, la conservation, une science solide et le respect des droits de propriété. -30-
Selon le BEA, l'USGDP est désormais négatif. Les verts devraient expliquer comment ils prévoient de payer pour le «nouvel accord vert» dans ces circonstances:
Ignorer l'alarme climatique, l'énergie propre et annuler les escrocs de l'industrie culturelle. Voir le film.
Paul Driessen 22 septembre 2020
Toutes les semaines, tous les jours, voire toutes les heures, on nous dit que les températures mondiales augmentent, que les calottes glaciaires fondent et que les ouragans, les tornades, les incendies de forêt, les inondations et les sécheresses deviennent de plus en plus fréquents, intenses et destructeurs en raison du changement climatique. Pas seulement le changement climatique, bien sûr, mais le changement climatique provoqué par l’homme, dû à l’utilisation par l’humanité des combustibles fossiles - qui fournissent 80% de toute l’énergie qui alimente l’Amérique et le monde.
Les affirmations supposent que le climat et le temps de la Terre étaient inchangés et inchangés jusqu'aux dernières décennies. Cette présomption est évidemment démentie par de multiples périodes glaciaires et interglaciaires; les périodes chaudes romaine et médiévale; le petit âge glaciaire; le Dust Bowl, les sécheresses anasazies et mayas; l'ouragan de Galveston, au Texas, de 1900 et l'ouragan de la grande fête du travail de 1935; la tornade des trois États de 1925; et d'innombrables autres époques climatiques et événements météorologiques extrêmes à travers l'histoire.
Mais tout irait bien mieux, nous serons encore mal informés si le monde cessait simplement d'utiliser ces carburants et passait à des technologies éoliennes, solaires, biocarburants et batteries «propres, vertes, renouvelables, durables».
Les messages d'alarme climatique sont transmis à plusieurs reprises dans les salles de classe, les journaux, les programmes d'information télévisés et radiophoniques, les médias sociaux, les films et autres médias - tandis que les voix et les preuves à contre-courant sont systématiquement et vigoureusement réprimées par une culture d'annulation de plus en plus puissante, politique et universitaire.
Ces messages, et les programmes d'énergie verte justifiés par eux, sont susceptibles de gagner beaucoup plus d'influence sous une administration Harris-Biden, en particulier celle poussée de plus en plus à gauche par Alexandria Ocasio-Cortez et ses alliés «progressistes» vocaux, souvent violents.
En 2016, le Comité pour un avenir constructif (CFACT) a sorti son film documentaire Climate Hustle. Le film factuel, souvent hilarant, mettait en vedette des scientifiques, des prévisionnistes météorologiques et d'autres experts qui ont contesté les affirmations selon lesquelles nos voitures, nos usines et nos fermes causent un climat catastrophique. Il a été présenté dans 400 cinémas américains, où il a fait valoir de manière convaincante que l'apocalypse climatique est «une arnaque environnementale surchauffée».
Aujourd'hui, ce jeudi 24 septembre, CFACT publie Climate Hustle 2: Rise of the Climate Monarchy. L'événement mondial de diffusion en continu sera mis en ligne à 20h00, heure locale, dans tous les fuseaux horaires de la Terre, où que vous viviez.
Pour ceux qui l'ont manqué ou qui veulent un rappel, CFACT propose également une rediffusion de Climate Hustle 1 pour une visualisation instantanée. Vous pouvez obtenir des billets combinés pour les deux événements ici.
Climate Hustle 2 est magistralement animé et raconté par Kevin Sorbo, d’Hollywood, qui a joué Hercules dans le téléfilm. Comme CH1, il dispose d'une superbe gamme d'experts qui contestent les allégations de «points de basculement climatiques» et de «cataclysmes météorologiques extrêmes». Tout aussi important, ils exposent, démystifient et démolissent les trucs, les mensonges et les agendas cachés des militants du réchauffement climatique et de l'énergie verte.
CH2 expose les véritables agendas des militants et des politiciens. Sans surprise, comme le démontrent Michael Moore et Jeff Gibbs dans leur documentaire Planet of the Humans, ces véritables programmes sont l'argent, le pouvoir, l'idéologie et le contrôle. Surtout, le contrôle de notre énergie, de notre économie, de nos industries, de notre niveau de vie et de nos choix personnels. Les militants et les politiciens ont également peu de considération pour les conséquences écologiques, sanitaires et sur les droits humains qui accompagnent inévitablement l'adoption toujours plus large des technologies éolienne, solaire, aux biocarburants et aux batteries.
Climate Hustle 2: Rise of the Climate Monarchy frappe durement. Comme le dit CFACT, «les mensonges seront brisés. Les noms seront nommés. Hypocrites démasqués. Grifters défroqués. Les tyrans potentiels ont été abattus.
Accompagnant Sorbo est CFACT et Marc Morano de Climate Depot, qui a accueilli Climate Hustle 1. La revue Nature Communications a qualifié Morano de communicateur climatique le plus efficace au monde. Il est également la personne que les alarmistes climatiques veulent le plus sur la liste noire et interdite du discours public.
Le météorologue et animateur de WattsUpWithThat.com, Anthony Watts, affirme que CH2 met en évidence de nombreux exemples «d'hypocrisie, de corruption financière, de biais médiatique, d'endoctrinement en classe, de politiquement correct et d'autres questions troublantes entourant le problème du réchauffement climatique». Il offre une vraie perspective de la force avec laquelle les médias et les alarmistes climatiques poussent un agenda, et à quel point les sceptiques climatiques tout aussi durs repoussent. Inconvenient Truth d’Al Gore présente de la rhétorique, du malheur et de la désinformation. Mais «si vous voulez une vue pratique et sensée de ce qui se passe réellement avec le climat, regardez Climate Hustle 2.»
Le Wall Street Journal cite le scientifique Roger Pielke, Jr., qui souligne que les ouragans frappant les États-Unis n'ont pas augmenté en fréquence ou en intensité depuis 1900. Le Journal note également que la National Oceanic and Atmospheric Administration a déclaré: «il est prématuré de conclure que les activités humaines - et en particulier les émissions de gaz à effet de serre… ont déjà eu un impact détectable sur les ouragans de l'Atlantique ou les cyclones tropicaux dans le monde. " Et n’oublions pas l’absence record, depuis douze ans, d’ouragans de catégorie 3-5 qui touchent terre aux États-Unis. (Était-ce dû à plus de dioxyde de carbone atmosphérique ?)
En ce qui concerne les tornades, un article du Washington Post montre clairement que beaucoup plus de tornades F4 et F5 violentes ont frappé les États-Unis entre 1950 et 1985, que pendant les 35 années suivantes, 1986-2020. Plus étonnant encore, en 2018, pour la première année de l'histoire enregistrée, pas une violente tornade n'a frappé les États-Unis.
Les Amis de la science du Canada disent, une fois que vous voyez Climate Hustle 2, «vous ne pouvez pas ignorer les dommages que la monarchie climatique fait à tous les aspects de la recherche scientifique, à la liberté et à la société démocratique.»
Le président du CFACT, Craig Rucker, a déclaré: «Les politiciens ont abandonné tout semblant de réalité scientifique et régurgitent à la place des points de discussion des groupes de pression radicaux vers des médias qui ont peu d'intérêt à vérifier leur crédibilité. En fait, la culture d'annulation supprime activement toute opinion sceptique sur le climat.
Twitter a activement interdit Climate Hustle 2 et gelé le compte Twitter de CFACT. En appel, le compte n'a pas été gelé, mais l'interdiction a eu un impact négatif sur des milliers d'abonnés de CFACT sur Twitter.
Amazon Prime Video a supprimé Climate Hustle 1 de son site Web. CFACT a tenté de faire appel, mais Amazon n'a pas répondu. Vous pouvez regarder la bande-annonce, mais le film lui-même est désormais "indisponible dans votre région". Amazon permet uniquement aux gens d'acheter de nouveaux DVD par l'intermédiaire du producteur du film, CDR Communications (19,95 $) - tout en traitant également les commandes pour les fournisseurs tiers qui vendent des DVD usagés (pour plus de 45 $).
Wikipedia affirme que Climate Hustle est «un film de 2016 rejetant l'existence et la cause du changement climatique, raconté par le négationniste du changement climatique Marc Morano… et financé par le Committee for a Constructive Tomorrow, un groupe de pression sur le marché libre financé par le lobby des énergies fossiles. (CFACT n'a reçu aucun argent pour les combustibles fossiles depuis plus d'une décennie, et n'a reçu que de petites sommes avant cela.)
Les journaux, les programmes d'information télévisés et radiophoniques, les sites de médias sociaux, les écoles et autres arènes devraient présenter toutes les nouvelles et favoriser une discussion et un débat ouverts. Mais beaucoup refusent de le faire. Au lieu de cela, ils fonctionnent comme une police de la pensée, trouvant et supprimant activement et constamment ce que vous pouvez voir, lire, entendre et dire, car cela va à l'encontre de leurs récits et des agendas qu'ils soutiennent.
Le climat et l'énergie figurent en bonne place sur cette liste. Cela rend Climate Hustle 1 et 2 particulièrement importants cette année - et il est essentiel que tous les électeurs et utilisateurs d'énergie concernés regardent et promeuvent ce film.
Paul Driessen est analyste politique principal pour le Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org) et auteur de livres et d'articles sur l'énergie, l'environnement, le climat et les droits de l'homme.
PERSONNE ne peut prédire les éruptions volcaniques terrestres ou sous-océaniques/maritimes. D'où l'impossibilité des 'météorologues' de ficher sur ordinateurs les climats d'hier et de les calquer sur ceux d'aujourd'hui !
Éradiquer la mort en éradiquant la vie, l'ambition d'un système en plein délire ?
Dominique Muselet Mondialisation.ca lun., 21 sept. 2020 21:46 UTC
Tout comme, depuis les années 1970, les ouvrages de Brzezinski servent de programme de politique étrangère aux Etats-Unis, il se pourrait bien que 1984, la dystopie d'Orwell, leur serve ( et à nous aussi qui leur sommes inféodés ) de programme de politique intérieure.
On peut imaginer avec quelle gourmandise, nos élites, dont le souci principal est de dominer le petit peuple pour pouvoir l'exploiter au mieux de leurs intérêts, se sont appropriées et ont mis en œuvre les enseignements de ce petit livre. Pendant que la Russie et le Moyen-Orient se débattaient sous les coups programmés par Brzezinski, des apprentis Big Brother prenaient subrepticement le contrôle de nos existences.
Les peuples occidentaux commencent à s'en rendre compte et l'adjectif orwellien s'est répandu pour décrire la communication gouvernementale, les inversions de valeur, les éléments de langage, les décisions contradictoires, bref presque tout ce qui, chez nous, rappelle 1984.
A sa parution, en 1948, nous avons pris naïvement ce livre pour un roman de sciences fiction. A l'époque, à part quelques rares visionnaires aussitôt traités de défaitistes, nous croyions être occupés à construire un monde meilleur, plus juste, plus solidaire, sous la houlette de dirigeants éclairés. De Gaulle n'avait-il pas sauvé la France ? Et les communistes ne mettaient-ils pas en œuvre, tambour battant, le programme du Conseil National de la Résistance : sécurité sociale, allocations familiales, congés payés, chômage, retraites ? Les syndicats étaient puissants et un salaire d'ouvrier suffisait à faire vivre une famille entière. On s'attendait à ce que le système capitaliste s'effondre sous ses contradictions, comme l'avait prédit Marx. On pensait que le ciel descendrait bientôt sur terre sous la forme du socialisme, et tant pis pour la classe possédante ! Il y avait une forme d'équilibre social de la terreur qui avait son pendant extérieur dans la dissuasion atomique.
Hélas, c'était trop beau pour être vrai et, au lieu de s'effondrer, le capitalisme, s'est bientôt déchaîné sous la poussée de la mondialisation, entraînant avec lui les valeurs de la République (Liberté, Egalité, Fraternité, cotisation sociale et séparation des pouvoirs) et les valeurs de la vie en commun (justice, vérité, confiance, respect). Tout cela a été remplacé par la course individuelle au plaisir et au profit dans une sorte de sauve qui peut, de guerre de tous contre tous qui fait plier sous le joug ceux qu'elle n'élimine pas.
La France, un pays béni des dieux
Mais dans notre malheur nous avons bien de la chance, nous répète Big Media. Imaginez, on aurait pu avoir l'Union soviétique et Staline ! Grâce au ciel, on a les Etats-Unis et Big Brother. C'est d'ailleurs un vrai bonheur de voir avec quelle aisance et quelle finesse nos chères élites se sont glissées dans la peau de Big Brother. Dans de nombreux domaines, les élèves occidentaux ont même dépassé le maître. Oui, nous avons bien de la chance !
Prenez nos ennemis par exemple : un ennemi invisible et insaisissable comme le COVID-19, ça a tout de même plus d'allure et de potentiel que les archaïques Estasia et Eurasia !
Notre État n'a certes pas encore réussi à installer des caméras dans chaque appartement, mais qu'à cela ne tienne, nos téléphones et ordinateurs portables, avec leurs applications sophistiquées, lui fournissent déjà beaucoup d'informations sur nous et dans ce domaine les progrès sont rapides. Voyez le succès éclatant de Stop Covid !
Pour ce qui est de la Vérité, nous ne sommes pas non plus en reste. Même un enfant de CM2 connaît la Vérité sur la seconde guerre mondiale. Il sait qu'elle été menée contre les juifs et gagnée par les Américains. Comment se pourrait-il en effet que les Soviétiques aient vaincu Hitler ? Les Etats-Unis dont nous sommes les fidèles alliés ne pourraient jamais l'accepter. Ou que les Allemands nous aient attaqués ? L'Europe de la paix ne s'en remettrait pas. Quant aux 21 millions de Soviétiques tombés sous les bottes allemandes ? Voyons, c'est de la propagande russe !
Chez nous, il n'y a pas de propagande. Nous avons Big Media qui nous enseigne le politiquement correct. Nous savons que tout ce que disent les pays hostiles et les réseaux sociaux complotistes, sont des fake-news. Tout comme nous savons que « La guerre, c'est la paix ; la liberté, c'est l'esclavage ; l'ignorance, c'est la force ». C'est sûrement parce que nos médias sont capables de tout transmuter en Vérité que Jupiter les a exemptés du masque, à l'heure du sanitairement correct.
Notre pays est béni des dieux parce qu'il est dans le camp du bien et que ses élites sont au service du peuple, et donc nous n'avions rien à craindre du Coronavirus quand il est arrivé de Chine avec les Français rapatriés, a déclaré notre apprenti Big Brother. Au cœur de l'épidémie, il a harangué son peuple avec fougue, envoyé les fantassins au front, mis ses amis à l'abri dans leurs châteaux de province, et enfermé à la maison le reste de la population avec, pour résoudre tous les problèmes, une boîte magique de Doliprane. Tous ensemble, sous sa houlette éclairée, nous avons fait reculer la bête, au péril de nos vies. Evidemment, nous n'avons pas pu sauver tout le monde et beaucoup de vieillards sont morts, seuls, dans nos mouroirs à profit. Mais nous avons beaucoup appris.
Les enseignements principaux de l'épidémie
1. L'hystérie, c'est la sagesse. Grâce à Big Media et ses médecins de plateau, nous savons que ce n'est pas parce que, en plein cœur de l'épidémie, la moyenne d'âge des malheureux qui mouraient se situait entre 70 et 80 ans et qu'aujourd'hui il n'y a quasiment plus de morts (30 décès le 30/9 contre 1438 le 14/4, selon le Prof Toussaint, dont on se demande pourquoi Big Media le reçoit encore), que le virus n'est pas plus dangereux que la peste noire ou, plus près de nous, que la grippe espagnole (qui venait en fait des Etats-Unis et a fait 50 millions de morts selon d'incorrigibles complotistes). Nous avons appris que le Principe de précaution invite à se prémunir de tous les dangers même ceux qui n'existent pas. C'est pour cela que Big Media est obligé, à son corps défendant, d'affoler et de terroriser les populations. Sinon, bêtes comme ils sont, les gens ne comprendraient pas que ce n'est pas parce que la menace n'existe pas, qu'il ne faut pas s'en protéger par tous les moyens.
2. La science, la médecine et Big Pharma forment un seul bloc uni et solidaire.
En d'autres temps nous aurions parlé de corruption, mais aujourd'hui, nous savons qu'il n'y pas de corruption, ni de conflits d'intérêt, en Occident, car Big Brother et le Doliprane nous protègent de tout. Grâce à Big Pharma et l'administration à flux tendus de l'ARS, nous avons, en fait, le « meilleur système de santé du monde ». Il faut être à la solde des Russes ou des Chinois pour prétendre qu'il y a eu infiniment moins de morts au Vietnam ou en Biélorussie que chez nous pendant l'épidémie !
Ceux qui pensent que l'idéal anglo-saxon de l'asepsie absolue est une utopie, sont évidemment des agents russes. Big Pharma et Big Media nous l'ont promis : grâce au port du masque obligatoire, à l'interdiction de l'hydroxychloroquine et au vaccin qui va nous tomber du ciel, il n'y aura bientôt plus de virus du tout. La preuve, l'UE a versé des milliards d'Euros à Big Pharma. Ceux qui parlent de prévention, de défenses immunitaires, de soin, de guérison sont des traîtres à la nation, qui veulent nous ramener au Moyen-âge et qui font le jeu de nos ennemis.
On trouve encore, sur des réseaux-sociaux que la Police de la pensée n'a pas réussi à éradiquer, des contributeurs anonymes, possédés par des forces maléfiques, qui affirment que les bactéries, les virus et les microbes font partie de la vie. Selon ces cerveaux malades, on n'aurait absolument pas intérêt à se débarrasser des virus car ils sont des agents qui viennent créer une réaction dans notre corps pour que celui-ci active l'énergie vitale et se nettoie. Ce qu'il faudrait, insistent-ils, c'est développer notre énergie vitale, nos anticorps, nos défenses immunitaires. Ils osent même citer Claude Bernard qui aurait dit :Le terrain est tout, le microbe n'est rien.
Heureusement pour Big Brother, Big Pharma et nous, Pasteur, qui était un as des relations publiques, a remporté haut la main la victoire du vaccin contre les immunologistes de son temps. Encore un miracle qui prouve que dieu est avec Big Pharma et que rien n'arrêtera le progrès...
4. La mort, elle-même, sera bientôt éradiquée.
La France a déjà pratiquement éradiqué la mort sur les routes en appliquant les recommandations - simples et efficaces - du Conseil écologique de Big Brother : supprimer les voitures des pauvres. Quand il ne restera plus que celles des riches, conduites par des chauffeurs, il n'y aura plus de morts, soyons en certains.
Pour éradiquer la mort des seniors dans les Ehpad qui font notre fierté, Big Brother a trouvé la solution : sacrifier les jeunes. S'il n'y avait pas de jeunes, il n'y aurait pas de vieux et donc pratiquement plus de morts, voilà la Nouvelle Doctrine. Big Brother et son Conseil scientifique sont conscients qu'une doctrine aussi révolutionnaire peut surprendre des générations de parents et de grands-parents encore viscéralement attachés à leurs enfants et petits-enfants et naturellement peu enclins à les sacrifier, même pour le bien commun. Mais Big Brother sait que nous avons confiance en lui et en Sa parole et que nous lui obéirons.
D'ailleurs nous avons fait des progrès et, tout récemment, Big Brother est apparu à la TV de Big Media pour nous féliciter. Il était fier de nous parce que nous avions compris la nécessité de rester enfermés pendant deux mois, de remplacer les enseignants après de nos enfants, de nous contenter du Doliprane pour combattre un virus létal, de porter un masque inutile, de payer des amendes illégales, de laisser mourir seul nos vieux parents, de faire nos emplettes dans des supermarchés couverts au lieu des marchés de plein air, de ne pas nous réunir, ni nous marier, ni rien, tout en continuant à vider les poubelles du pays.
Nous avons aussi compris, à sa grande joie, qu'il était capital que nos enfants et leurs maîtres soient désormais transformés en zombies dans des écoles zombies*, pendant que nous travaillons de tout notre cœur pour sauver les dividendes de Big Finance. Il est donc sûr et certain, que nous serons bientôt heureux d'offrir nos enfants à la nation pour éradiquer la mort, car il n'y a pas de projet plus grand, plus noble, plus moderne.
Éradiquer la mort est LA grande mission de Big Brother. Mais, comme Big Media nous l'a affirmé, le sacrifice de la jeunesse permettra, en même temps, de solutionner les problèmes de santé publique, les problèmes politiques, économiques (les enfants coûtent cher et ne rapportent rien), sociaux et écologiques, bref tous les problèmes dont Big Brother a promis de nous délivrer lorsqu'il a été porté au pouvoir par une foule en délire, il y a quatre ans. Son plan était prêt car Big Brother est toujours prêt. Il n'attendait que le Coronavirus pour l'appliquer.
Et voilà que ce qu'il nous avait annoncé, se réalise enfin sous nos yeux éblouis : la fin de l'histoire, la fin de la politique, la fin de l'économie, la fin de la société, la fin de la joie, la fin de l'espoir, la fin du cycle de la vie et de la mort, en un mot, la fin de la souffrance humaine. Oui, nous sommes bénis des dieux !
Lorsque leur œuvre sera accomplie, Big Brother, Big Media et Big Finance entasseront l'or, dont ils nous ont délestés, dans les fusées spatiales qui les attendent en Guyane ou en Floride. Puis, de là, ils regagneront les planètes paradisiaques qu'ils avaient quittées, l'espace d'un instant, pour venir répandre sur nous leurs bienfaits et nous délivrer du mal de vivre.
Nos défenses sont transmises génétiquement et donc les organismes d'aujourd'hui sont plus forts que ceux d'hier. Mais, alors que subsistent les microbes (bactéries 'indestructibles'), arrivent aujourd'hui les nano-particules (virus) dont la défense n'est pas assurable ! Why ? Because que ce sont de nouvelles nouvelles particules (dernier cri) étudiées, ciblées et larguées en chemtrails.
Philippe Guillemant : nous sommes sur un escalier menant au transhumanisme
Philippe Guillemant Nexus mar., 22 sept. 2020 21:47 UTC
Pour ceux qui doutent encore des objectifs « masqués » de la manipulation à l'origine du pétage de plomb de nos médias et gouvernement, voici simplement la première des 23 mutations profondes anticipées par Klaus Schwab, le président du forum économique mondial, dans son livre La quatrième révolution industrielle paru en 2017 :
MUTATION 1 : Les technologies implantables
Le premier téléphone implantable commercialisé est prévu pour 2025. Au programme, géolocalisation, suivi du comportement de santé, tatouage intelligent ou puce électronique et lecture d'onde cérébrale c'est à dire de la pensée.
Il y a aussi les « smart dust » ou poussières intelligentes qui pourront agir dans le corps et stocker vos informations corporelles via votre nanoréseau personnel.
En 2020, nous avons déjà gravi les trois premières marches vers le transhumanisme que j'ai déjà évoqué plusieurs fois. (1) 2020 = Confinement pour éviter l'infection
(2) 2020 = Déconfinement pour éviter l'effondrement
(3) 2020 = Port du masque obligatoire pour éviter le reconfinement Nous pouvons maintenant anticiper une possible montée linéaire des marches suivantes : (4) 2021 = Vaccination obligatoire pour éviter le port du masque (5) 2022 = Micro puce implantée (contrôle de vaccination) (6) 2023 = Monnaie numérique mondiale (grâce à la micro-puce) (7) 2024 = Traçage humain (identification du comportement) (8) 2025 = Interfaçage numérique de l'humain (même du cerveau !) (9) 2026 = Transhumanisme (humain cuit, connexion âme détruite) Et voilà le programme, qui fort heureusement est en train de disparaître car le pétage de plomb depuis le confinement est bien trop voyant et il en résulte que nous les grenouilles subissons une cuisson bien trop rapide.
Cela dit, pour ce qui me concerne j'ai déjà sauté en dehors de la casserole depuis 14 ans.
bnghjkEt ne venez pas me dire que d'anticiper (5), c'est à dire l'implantation de la micro-puce, soit délirant, car si je vous avais prédit l'année dernière que (3) arriverait en 2020, c'est à dire qu'on nous obligerait à porter un masque en l'absence de pandémie et d'une façon complètement sidérante (assis non, debout oui) vous m'auriez pris pour un cinglé.
Résultat : Aujourd'hui, à chaque fois que nous allons travailler ou conduire nos enfants à l'école, nous entrons dans un asile de fous.
Alors, et je parle seulement à ceux qui portent le masque par peur de l'amende et sans même croire à son utilité (et non pas à ceux qui croient à sa fonction protectrice, ce que je respecte totalement), vous allez continuer à collaborer combien de temps à ce programme ?
S'il ne devait subsister qu'une seule théorie du complot qui soit juste, ce serait celle-ci : ILS veulent nous conduire jusqu'au transhumanisme.
Leurs motifs : conquérir un très grand marché et organiser une société gérée par des I.A. selon l'idéologie transhumaniste, fondée sur l'ignorance (enfermement dans le parc de la pensée).
Comme je crois en cette théorie, il est légitime de me considérer comme un complotiste.
Maintenant, le non complotisme et la niaiserie risquent de devenir synonymes.
L’État policier anti-Covid : un danger pour nos sociétés
Nous assistons désormais à une tendance autoritaire et liberticide qui, si elle se poursuit et s’intensifie, pourrait à terme être qualifiée de totalitaire.
24 SEPTEMBRE 2020 Par Alexandre Massaux et Gael Campan1. Un article de l’Institut économique de Montréal
Des décisions politiques dépendantes des calculs des ordinateurs, la police qui arrête ceux qui critiquent les mesures du gouvernement et ceux souhaitant se déplacer librement dans leur pays. Ce n’est pas la description d’un film dystopique ou de la Chine mais celle de certains pays occidentaux comme l’Australie.
Il y a encore moins d’un an, nos sociétés occidentales consacraient la liberté comme une valeur fondamentale. Il aura fallu à peine quelques mois pour que la situation change radicalement. Des États qui étaient jusqu’alors considérés comme des parangons de la démocratie sont devenus des États policiers. Nous assistons désormais à une tendance autoritaire et liberticide qui, si elle se poursuit et s’intensifie, pourrait à terme être qualifiée de totalitaire.
DES MESURES LIBERTICIDES QUI AMÈNENT UNE SURVEILLANCE GÉNÉRALISÉE DE LA POPULATION
Nous avions évoqué dans plusieurs de nos billets précédents des dangers de laisser les ordinateurs prendre des décisions à la place de l’Humain. Force est de constater que la lutte contre la Covid a fait franchir le pas à certains politiciens comme Daniel Andrews, le Premier ministre de l’État Victoria en Australie.
Celui-ci a reconnu baser ses décisions sur les calculs d’un « super-ordinateur » qui aurait analysé 1000 scénarios et qu’« il n’y a pas à discuter avec ces données et la science ». Un discours tenu pour justifier la prolongation du confinement qui selon le Washington Post, laisserait les « 5 millions d’habitants de Melbourne confinés à l’intérieur pendant 115 jours, soit plus que celui de 92 jours à Manille, 76 jours à Wuhan en Chine, 58 jours en Italie et 33 jours en Nouvelle-Zélande ».
La ville de Melbourne considérée comme l’une des villes les plus agréables du monde connait désormais des restrictions anti-Covid plus longues qu’en Chine.
Précisons que Daniel Andrews avait décrété un couvre-feu début août à Melbourne. En outre, plusieurs personnes ont été interpellées par la police dans l’État de Victoria pour avoir appeler à protester contre le confinement sur les réseaux sociaux. La Hongrie avait été critiquée quand son gouvernement a restreint la liberté d’expression pendant la pandémie. Étrangement l’atteinte à cette liberté en Australie ne semble pas créer d’indignation internationale.
Une autre anecdote qui nous a été rapportée vient du Québec. Un couple de Français vivant à Montréal s’est vu imposé une amende de 25 000 dollars (environ 16 000 euros) pour ne pas avoir respecté la quarantaine de 14 jours à son retour de France cet été, car ses enfants jouaient dans le parc en face du domicile tandis qu’il était dans la maison. La police faisait des surveillances quotidiennes devant chez eux et a ainsi pris le couple « en flagrant délit » !
Enfin, le directeur national de la santé publique de Québec, Horacio Arruda, réfléchit à autoriser la police à pénétrer sans mandat dans les propriétés privées au nom de la santé publique. Toutefois, selon le tweet d’un journaliste, le Dr. Arruda se serait par la suite rétracté. Une chose est certaine : il a publiquement mentionné qu’il était favorable à une telle mesure.
Ces exemples démontrent le développement des pouvoirs de l’État impactant négativement la vie quotidienne sur la base de modélisations mathématiques informatiques supposées prédire l’avenir.
LA PEUR, OU COMMENT FAIRE ACCEPTER SES MESURES ET LES RENDRE POPULAIRES
Il existe un phénomène aussi problématique que ces mesures : le soutien populaire à ces atteintes aux libertés. Malgré ses dispositifs, le Premier ministre Daniel Andrews conserve une popularité importante. Deux-tiers de la population de la ville de Melbourne approuve ces mesures.
Ce n’est pas le seul cas où des politiques liberticides anti-Covid sont soutenues par la population. En effet, en matière de fermeture des frontières, une large majorité des Européens, Américains et Canadiens approuve ces restrictions.
Cette opinion publique liberticide s’explique par le climat de peur instauré durant la pandémie. Cette situation pourrait bien persister après la fin de la crise sanitaire. Plus grave, il n’est pas impossible que les politiques eux-mêmes cèdent à la panique.
LE JEU DANGEREUX D’UNE POLITIQUE LIBERTICIDE
Néanmoins, il apparait nécessaire que les politiques comme les médias et les experts cessent de confondre mesures liberticides et climat de peur.
En effet, il existe un risque de plus en plus probable de contrecoups qui profiteront aux extrêmes, les émeutes actuelles aux États-Unis pouvant être analysées comme un début : une population affaiblie mentalement et économiquement par la crise et les restrictions et accoutumée aux politiques liberticides se tournera naturellement vers des forces politiques populistes qui seront beaucoup plus habiles pour la satisfaire.
Une telle situation et ses conséquences pourraient bien être bien plus meurtrières que le virus lui-même.
Gaël Campan et Alexandre Massaux, respectivement économiste senior et chercheur à l’Institut économique de Montréal ?
Suisse : la démocratie plus forte que le virus. Et en France ?
RépondreSupprimerC’est en commençant par prendre part aux décisions les plus locales qu’en 800 ans d’exercice de la démocratie directe la Suisse a développé cette capacité à prendre son destin en main.
23 SEPTEMBRE 2020
Par Jean-Baptiste Vigouroux.
Ce 27 septembre, les Suisses reprennent le chemin de l’isoloir. La pandémie Covid-19 aura réussi à interrompre provisoirement l’exercice de la démocratie participative à la Suisse, mais pas pour longtemps ! Et la démocratie revient en force : pas moins de cinq sujets au niveau fédéral, auxquels s’ajoutent les sujets proposés aux niveaux cantonal et communal.
Cet épisode aura été l’occasion pour les Suisses de nous administrer trois leçons de démocratie.
PREMIÈRE LEÇON DE DÉMOCRATIE : LE PROCESSUS NE S’ARRÊTE PAS
Que s’est-il passé pendant ces deux mois où les Suisses, ce peuple si peu enclin à la panique, ont été forcés par la pandémie à suspendre les votations du 17 mai ?
Le 13 mars, la confédération annonçait des mesures de restriction des libertés – fermeture des écoles, interdiction des rassemblements supérieurs à cent personnes, introduction de contrôles aux frontières – avant de fermer, le 16 mars, les commerces non essentiels. Deux mois après, le 27 mai, le conseil fédéral introduisait des aménagements progressifs et annonçait la fin du lockdown pour le 19 juin.
Pour rappel, les Suisses sont appelés à voter 3 ou 4 fois par an, selon un calendrier réglé en temps ordinaire comme du papier à musique (ou comme une horloge suisse). Les objets sont mis à l’agenda en fonction de leur avancement dans le processus, qui peut aller jusqu’à quatre ans. Le 17 mai, trois objets fédéraux étaient initialement au programme, ainsi que toute une série d’objets cantonaux et communaux.
Dans cet intervalle de mi mars à fin mai, les collectes de signatures pour les référendums et les initiatives populaires ont été suspendues. Dès l’annonce de cette suspension, le 21 mars, la date prévue pour la reprise des collectes de signatures était annoncée pour le 31 mai. Sans surprise, elles ont pu effectivement reprendre dès le 1er juin et ne se sont pas interrompues depuis.
Cette machine bien huilée s’était trouvée grippée pendant deux mois, mais aucun des rouages n’étaient atteint. Elle fonctionne à nouveau à plein régime, comme si rien ne s’était passé. Seules des mesures sanitaires sont venues s’ajouter aux procédures à suivre. Et donc, tout naturellement, les objets arrivés au terme de leur parcours législatif se sont retrouvés à l’agenda de la votation du 27 septembre.
Ce sont donc cinq objets fédéraux sur lesquels les Suisses vont devoir porter un jugement. Dans le canton de Zürich s’y ajoutent deux objets cantonaux, un objet communal dans ma commune de résidence, deux objets de district (subdivision d’un canton), ainsi qu’un objet concernant un groupement de communes. Rien que ca !
Les Suisses sont habitués à ces marathons démocratiques. Le 18 mai 2003 ce ne sont pas moins de neuf objets fédéraux qui ont été soumis à référendum (le précédent record date de 1866). Chacun se forgeant une opinion au fil des ans, faire son choix à chaque échéance devient presque facile. Quand on n’a pas d’opinion, on lit la presse, on se renseigne sur les recommandations des partis, on consulte la recommandation du conseil fédéral ou du parlement, et si on ne trouve vraiment pas l’inspiration, on s’abstient. Environ la moitié des suffrages sont exprimés en moyenne sur chaque objet, mais cela ne signifie pas que 50 % des Suisses s’abstiennent. Vous votez sur les sujets qui vous tiennent à cœur, sans vous sentir obligés de vous prononcer sur tous les sujets.
RépondreSupprimerCantonnons-nous à l’examen des cinq objets fédéraux du 27 septembre. Leur parcours d’approbation constitue la deuxième leçon de démocratie.
DEUXIÈME LEÇON DE DÉMOCRATIE : LA LOI EST FAITE PAR LE PEUPLE
Les cinq objets couvrent une variété de sujets tels que immigration, impôts, dépenses, droits sociaux, et protection des animaux :
contrôle de l’immigration
modification de la loi sur la chasse
relèvement des déductions pour enfants et pour garde d’enfants
congé paternité
acquisition d’avions militaires
Les trois derniers objets touchent à la levée de l’impôt et/ou à l’utilisation qui en est faite. On touche là à l’essence même de la démocratie : le contrôle de l’impôt et de la dépense par le peuple. Dans quel autre pays au monde trouve-t-on un tel mécanisme ?
Trois objets touchent à des enjeux de société : l’équilibre entre droit des éleveurs et protection des animaux ; l’octroi d’un congé paternité ; enfin, la question de savoir si l’État doit aider à supporter la charge des familles avec enfants.
Deux objets touchent au domaine régalien de l’État : la défense nationale et le contrôle de l’immigration, auxquels sont liés des enjeux de diplomatie internationale, en particulier avec l’Union européenne.
Mais plus riche d’enseignement encore, pour nous autres Européens qui ne connaissons pas la démocratie participative, est la manière dont les citoyens sont à l’initiative directe de ces votations.
Prenons l’exemple de l’initiative sur la chasse.
Le parlement, selon son rôle, a pris l’initiative de modifier la loi existante réglementant la chasse. Ces modifications sont monnaie courante : elles participent du toilettage nécessaire de l’arsenal législatif. Mais dans certains cas, comme dans celui-ci, ces modifications sont suffisamment importantes pour ouvrir la voie à un recours. Plusieurs associations de protection des animaux ont saisi l’opportunité, arguant que ces modifications affaiblissent la protection des espèces menacées. Elles ont récolté 50 000 signatures en moins de cent jours et déposé un recours, ce qui a entraîné une procédure nommée référendum facultatif.
Voilà comment la démocratie représentative se trouve contrôlée par la démocratie participative : un groupe de citoyens conteste une loi établie par le parlement, et le sujet est tranché par un vote de l’ensemble de la population.
Prenons un deuxième exemple : le congé paternité.
RépondreSupprimerUn groupe de citoyens récolte 100 000 signatures et dépose une initiative populaire de référendum obligatoire pour octroyer quatre semaines de congé paternité aux heureux nouveaux papas. Le parlement propose un contre-projet de deux semaines. Le comité d’initiative a pris la décision de retirer son projet initial, mais avec une condition, que la loi autorise : si le peuple vote Non au contre-projet, le comité d’initiative pourra proposer à nouveau son projet de quatre semaines de congé à une date ultérieure.
La première de ces deux initiatives a débuté son parcours il y a un an, ce qui est le chemin court. La voie longue, pour aboutir au référendum d’initiative populaire, prend typiquement trois ans, et peut durer plus de quatre ans. Un comité se constitue, écrit un projet d’initiative, collecte les 100 000 signatures requises, les dépose ; le gouvernement fédéral étudie le projet, donne son avis, le transmet au parlement ; celui-ci à son tour étudie le projet, donne son avis, et le renvoie au conseil fédéral, qui le met à l’agenda des votations.
Un troisième exemple pourra nous éclairer sur certains des enjeux de ces votations, dont les sujets peuvent parfois revenir à l’agenda sous des formes diverses.
TROISIÈME EXEMPLE DE DÉMOCRATIE : IL N’Y A PAS DE SUJET TABOU
Après avoir rejeté en 1991 l’adhésion à l’Espace économique européen, considérée alors comme une première étape vers l’Union européenne, les Suisses plébiscitent à 67 % une première série d’accords bilatéraux avec l’Union européenne en 2000, dit Bilatéraux I, qui incluent un accord sur la libre circulation des personnes. Quatre ans plus tard, en 2004, l’Union européenne s’agrandit de dix nouveaux membres. Les Suisses votent alors également Oui en 2005 à l’extension de cet accord aux dix nouveaux pays membres. En 2009, en pleine crise économique, les Suisses votent à nouveau pour la reconduction de l’accord, ainsi que son extension à la Bulgarie et à la Roumanie, qui entretemps avaient rejoint l’Union européenne.
La Suisse signe ensuite une deuxième série d’accords bilatéraux avec l’Union européenne en 2005, les Bilatéraux II, dont un seulement sera remis en cause dans les urnes, pour être confirmé à 55 %. Après avoir résolument tourné le dos à l’Europe, la Suisse s’est donc lancée dans la voie bilatérale avec le soutien de sa population, et avec beaucoup de succès.
Un parti, l’UDC, tente régulièrement de torpiller ces accords bilatéraux, notamment l’accord sur la libre circulation. En février 2014 il parvient à faire accepter une initiative imposant des quotas d’immigration, mais échoue en novembre de la même année à imposer une limitation de la croissance de la population à 0,2 % par an. Il échoue à nouveau en 2018 à imposer la prévalence du droit suisse sur le droit international.
Cette fois-ci, l’initiative de l’UDC attaque directement l’accord de libre circulation, considérant que l’initiative de 2014 n’a pas été correctement mise en œuvre par le gouvernement et le parlement. Si elle était acceptée, elle forcerait le conseil fédéral à renégocier l’accord dans un délai d’un an au maximum. En cas d’échec des négociations, la Suisse devrait dénoncer l’accord dans un délai de 30 jours.
C’est ainsi que les citoyens ont régulièrement la possibilité de se prononcer sur le maintien ou non d’une politique qui touche tout autant à l’immigration qu’aux relations complexes mais essentielles avec l’Union européenne. Faut-il rappeler que la Suisse est complètement encerclée par l’Union ? La nature des relations entre la Suisse et l’Union européenne est un sujet éminemment important qui ne saurait être laissé à la discrétion de l’administration ou même de la représentation nationale. Seul le peuple souverain peut décider !
RépondreSupprimerCONCLUSION
Un tel processus démocratique pourrait-il fonctionner dans un autre pays ? Il est difficile de répondre à cette question. La réponse est peut-être à aller chercher dans la foule des sujets soumis au vote aux niveaux cantonal et communal. C’est en commençant par prendre part aux décisions les plus locales, parfois encore de nos jours à main levée sur la place du village, que les Suisses ont développé en 800 ans d’exercice de la démocratie directe cette capacité à prendre leur destin en main.
Et si on commençait en France par associer les Français aux décisions locales ? Peut-être serions-nous prêts dans 800 ans pour la démocratie participative ?
https://www.contrepoints.org/2020/09/23/380697-suisse-la-democratie-plus-forte-que-le-virus-et-en-france
SupprimerLa Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple.
C'est-à-dire que c'est le Peuple qui dirige.
Le mot démocratie est le contraire de dictature. C'est pourquoi il n'y a qu'UN SEUL PAYS AU MONDE en Démocratie !! La Suisse.
Les citoyens suisses proposent eux-mêmes LEURS propres lois (récolte de signatures pour être admises à référendum) et votent eux-mêmes LEURS propres lois.
En dictatures ce sont des tuteurs (Députés/Sénateurs qui n'ont pas fait 1 heure de Droit) qui proposent et votent LEURS lois sans demander quoi que ce soit au Peuple !!
(Plus de 50 % des suisses ne connaissent pas le nom de leur chef(fe) d'État ! Il ou elle change tous les ans (1er Janvier/31 Décembre).
Le secrétaire général de l'Onu nomme «les cinq cavaliers de l’Apocalypse» qui menacent l’humanité
RépondreSupprimer17:39 22.09.2020
Par Dmitri Bassenko
Le secrétaire général des Nations unies a qualifié la pandémie de Covid-19 de «cinquième cavalier de l’Apocalypse» qui galope aujourd’hui dans le monde entier.
La pandémie de nouveau coronavirus est le «cinquième cavalier de l’Apocalypse» qui menace le monde aujourd’hui, estime le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres.
Intervenant devant l’Assemblée générale, M.Guterres a rappelé qu’en janvier dernier il avait nommé «les quatre cavaliers de l’Apocalypse» qui mettaient en péril l’avenir de l’humanité, à savoir les tensions géopolitiques, la crise climatique, la méfiance et, enfin, «le côté obscur du monde numérique».
«Pourtant, le cinquième cavalier se cachait alors dans l’ombre. Depuis janvier, le cavalier de la pandémie de Covid galope dans le monde entier. Il a rejoint les quatre autres cavaliers et accru la force destructrice de chacun d’entre eux», a déclaré le chef de l’Onu.
Progrès mis à mal
Selon lui, la pandémie a davantage mis en évidence les «points faibles» du monde contemporain, dont les inégalités croissantes, la corruption et la menace d’une catastrophe climatique.
«La pandémie a aggravé la situation créée par tous ces facteurs d’injustice, porté un coup aux couches sociales les plus vulnérables et torpillé les progrès atteints au cours des précédentes décennies», a souligné M.Guterres.
Le nouveau coronavirus a fait plus de 965.000 morts à travers le monde, selon les dernières données de l’université Johns-Hopkins aux États-Unis. Le nombre total des cas de Covid-19 approche les 32 millions.
https://fr.sputniknews.com/international/202009221044468540-le-secretaire-general-de-lonu-nomme-les-cinq-cavaliers-de-lapocalypse-qui-menacent-lhumanite/
Le corps humain du 21ème siècle N'A RIEN À VOIR avec celui des siècles précédents. Notre organisme a appris à se défendre contre les mutations bactériologiques (êtres vivants).
SupprimerMais, en ce qui concerne les virus (particules minérales ou métalliques), eux sont dans l'atmosphère depuis des millions d'années sans qu'ils n'aient pu accéder à une quelconque mutation.
Ce sont parfois des particules 'nouvelles' issues du nucléaire - encore que ces dernières aient été expulsées des volcans depuis des millions d'années - et font qu'il 'y en aurait plus qu'avant'. Soit.
Mais, ces particules 'appelées aujourd'hui 'corona' existaient avant et depuis des millions d'années sans que les humains n'en meurent de (encore que la recherche soit récente). Soit.
Mais... au fait... D'où viennent ces particules ? D'éruptions volcaniques ? Que nenni ! Extraterrestres ? Pourquoi pas.
La différence entre êtres vivants (bactéries/microbes) et les poussières (appelées parfois virus) est que les premiers aient une saison pour attaquer l'organisme tandis que les particules appelées virus n'en aient pas. Soit.
Donc, de deux choses l'une: soit elles sont extraterrestres (et arrivées depuis peu), soit elles ont été fabriqués sur Terre (comme celles des chemtrails).
Mais différences avec celles des chemtrails (qui sont absorbées par toute la nature - plantes, humains et animaux - ) les nano-particules appelées 'corona' sont ciblées. Leurs fonctions objectives est d'attaquer certains organismes et pas d'autres (par exemple: l'ethnicité).
Rappelons au passage que les chemtrails (largage de nano-particules par avions) répandent de l'aluminium (et baryum, etc) et que ces nano-particules sont absorbées par tous ce qui vit. D'où l'apparition de maladies comme Alzheimer ou Parkinson. Et nano-particules d'aluminium retrouvées (Laboratoires de Los Angeles) dans le cerveau des abeilles (mortes d'Alzheimer) qui butinaient les pistils où sont rassemblés les nano-particules remontées par les racines. Et d'où la concentration dangereuse de nano-particules dans les miels !
L'expérience de soigner le Covid par l'hydroxychloroquine racontée par un journaliste
RépondreSupprimer07:30 23.09.2020
Par Ekaterina Yanson
Ni partisan ni détracteur de Didier Raoult, un journaliste pour Les Échos a consenti au traitement à l'hydroxychloroquine. S'étant senti au début de la maladie comme «habité» par des «êtres inconnus», il a constaté sur France Bleu n'avoir plus de symptômes à l'issue du traitement.
Testé positif au nouveau coronavirus, le journaliste pour Les Échos à Marseille Paul Molga a décidé d'essayer le médicament défendu par le professeur de l'IHU de Marseille Didier Raoult.
Ses premiers symptômes ont été une «grosse fatigue, mal de tête, violentes courbatures, frissons», ce qui différait d'une grippe commune.
«C'est quelque chose de nouveau dans l'organisme [...] c'est plus violent que ça. On se sent habité, par des êtres, des virus qui sont inconnus du corps», a-t-il fait part à France Bleu.
Il lui a été proposé de se soigner selon le schéma préconisé par le professeur Didier Raoult, il l'a accepté. Dans un post sur Facebook, il a donné des précisions sur son traitement qui prévoyait entre autres la prise d'hydroxychloroquine trois fois par jour.
«Mercredi soir, je prends les premiers médicaments. Jeudi matin, je sens que la charge virale a déjà diminué et la plupart des symptômes se sont atténués», a-t-il raconté, alors que sa «charge virale était exceptionnellement élevée ce jour-là, de quoi mettre KO un cheval», comme il l'avait fait remarquer dans un post sur Facebook.
Le traitement a été prescrit pour 10 jours. Deux jours plus tard, le journaliste a aperçu ne pas ressentir de symptômes.
«Ce qui m'étonne, c'est la violence qu'on fait subir à ce traitement et à l'hydroxychloroquine. On a quand même parlé de poison alors que c'est un médicament dont on connaît les effets depuis 70 ans, il y a plusieurs continents qui en prennent régulièrement. On n'a pas parlé de taux de mortalité associé à la prise de médicament», a estimé Paul Molga, qui n'était «ni anti ni pro Raoult» avant.
Résultat
Près d'une semaine s'est écoulée depuis le début du traitement à cette «potion du druide». La conclusion du journaliste c'est qu'il n'a «plus aucun symptôme».
«C'est ma vérité, ce n'est pas une vérité absolue. Moi j'ai pu le tester, je vois les effets et je vois aussi les gens qui n'ont pas pris de traitement et dont les symptômes traînent des semaines, voire des mois», a-t-il conclu.
Controverse
L'utilisation de l'hydroxychloroquine en tant que traitement anti-Covid suscite une polémique depuis des mois, en France, qui en a banni l'usage le 28 mai, et ailleurs. Le médicament ne montrait pas «d'effet bénéfique» pour les personnes positives au coronavirus, selon les essais cliniques britanniques Recovery réalisés début juin.
L'OMS a annoncé mi-juin avoir décidé de mettre fin aux essais cliniques sur l'hydroxychloroquine vu que cet antipaludéen ne réduisait pas le taux de mortalité lié au Covid-19.
https://fr.sputniknews.com/france/202009221044470386-lexperience-de-soigner-le-covid-par-lhydroxychloroquine-racontee-par-un-journaliste/
"Aucune justification médicale pour les mesures d'urgence" - Lettre ouverte d'une centaine de médecins, les professionnels de la santé exhortent à mettre fin aux verrouillages
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 23/09/2020 - 02:00
L'AIER rapporte que la lettre suivante a eu un impact sur les autorités de santé publique non seulement en Belgique mais dans le monde entier. Le texte pourrait concerner tous les cas dans lesquels les États ont enfermé leurs citoyens plutôt que de laisser la liberté aux gens et permettre aux professionnels de la santé d'assumer la tâche principale d'atténuation des maladies.
Jusqu'à présent, il a été signé par 435 médecins, 1 439 professionnels de la santé formés médicalement et 9 901 citoyens.
* * *
Lettre ouverte des médecins et des professionnels de la santé à toutes les autorités belges et à tous les médias belges.
Nous, médecins et professionnels de santé belges, souhaitons exprimer notre vive inquiétude quant à l'évolution de la situation au cours des derniers mois entourant l'épidémie du virus SRAS-CoV-2. Nous appelons les politiciens à être informés de manière indépendante et critique dans le processus de prise de décision et dans la mise en œuvre obligatoire des mesures corona. Nous demandons un débat ouvert, où tous les experts sont représentés sans aucune forme de censure. Après la panique initiale entourant le covid-19, les faits objectifs montrent maintenant une image complètement différente - il n'y a plus de justification médicale pour une politique d'urgence.
La gestion actuelle des crises est devenue totalement disproportionnée et cause plus de dégâts qu'elle ne fait de bien.
Nous appelons à la fin de toutes les mesures et demandons une restauration immédiate de notre gouvernance démocratique normale et de nos structures juridiques et de toutes nos libertés civiles.
«Un remède ne doit pas être pire que le problème» est une thèse plus pertinente que jamais dans la situation actuelle. Nous notons, cependant, que les dommages collatéraux actuellement causés à la population auront un impact plus important à court et à long terme sur toutes les couches de la population que le nombre de personnes maintenant protégées de la couronne.
À notre avis, les mesures corona actuelles et les sanctions strictes en cas de non-respect de celles-ci sont contraires aux valeurs formulées par le Conseil suprême de la santé belge qui, jusqu'à récemment, en tant qu'autorité sanitaire, a toujours assuré une médecine de qualité dans notre pays: «Science - Expertise - Qualité - Impartialité - Indépendance - Transparence».
Nous pensons que la politique a introduit des mesures obligatoires qui ne sont pas suffisamment fondées scientifiquement, ni dirigées unilatéralement, et qu'il n'y a pas assez d'espace dans les médias pour un débat ouvert dans lequel des points de vue et des opinions différents sont entendus. De plus, chaque commune et province a désormais l'autorisation d'ajouter ses propres mesures, fondées ou non.
De plus, la politique répressive stricte sur la corona contraste fortement avec la politique minimale du gouvernement en matière de prévention des maladies, renforçant notre propre système immunitaire grâce à un mode de vie sain, des soins optimaux avec une attention particulière pour l'individu et un investissement dans le personnel soignant.
RépondreSupprimerLe concept de santé
En 1948, l’OMS définissait la santé comme suit: «La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social et pas simplement l’absence de maladie ou d’autres déficiences physiques».
La santé est donc un concept large qui va au-delà du physique et concerne également le bien-être émotionnel et social de l'individu. La Belgique a également le devoir, du point de vue de l'adhésion aux droits fondamentaux de l'homme, d'inclure ces droits de l'homme dans sa prise de décision lorsqu'il s'agit de mesures prises dans le cadre de la santé publique.
Les mesures mondiales actuellement prises pour lutter contre le SRAS-CoV-2 violent dans une large mesure cette conception de la santé et des droits de l'homme. Les mesures comprennent le port obligatoire d'un masque (également en plein air et pendant les activités sportives, et dans certaines municipalités même lorsqu'il n'y a pas d'autres personnes à proximité), l'éloignement physique, l'isolement social, la quarantaine obligatoire pour certains groupes et des mesures d'hygiène.
La pandémie prévue avec des millions de morts
Au début de la pandémie, les mesures étaient compréhensibles et largement soutenues, même s'il y avait des différences de mise en œuvre dans les pays qui nous entourent. L'OMS avait initialement prédit une pandémie qui ferait 3,4% de victimes, soit des millions de morts, et un virus hautement contagieux pour lequel aucun traitement ou vaccin n'était disponible. Cela exercerait une pression sans précédent sur les unités de soins intensifs (USI) de nos hôpitaux.
Cela a conduit à une situation d'alarme mondiale, jamais vue dans l'histoire de l'humanité: «aplatir la courbe» était représenté par un verrouillage qui a fermé toute la société et l'économie et mis en quarantaine les personnes en bonne santé. La distanciation sociale est devenue la nouvelle norme en prévision d'un vaccin de sauvetage.
Les faits sur le covid-19
Peu à peu, la sonnette d'alarme a retenti de nombreuses sources: les faits objectifs ont montré une réalité complètement différente.
Le cours du covid-19 a suivi le cours d'une vague normale d'infection semblable à une saison grippale. Comme chaque année, on voit un mix de virus grippaux suivre la courbe: d'abord les rhinovirus, puis les virus grippaux A et B, suivis des coronavirus. Il n'y a rien de différent de ce que nous voyons normalement.
L'utilisation du test PCR non spécifique, qui produit de nombreux faux positifs, a montré une image exponentielle. Ce test a été précipité avec une procédure d'urgence et n'a jamais été sérieusement autotesté. Le créateur a expressément averti que ce test était destiné à la recherche et non au diagnostic.
Le test PCR fonctionne avec des cycles d'amplification du matériel génétique - un morceau de génome est amplifié à chaque fois. Toute contamination (par exemple, d'autres virus, des débris d'anciens génomes de virus) peut éventuellement entraîner des faux positifs.
RépondreSupprimerLe test ne mesure pas le nombre de virus présents dans l'échantillon. Une véritable infection virale signifie une présence massive de virus, ce qu'on appelle la charge virale. Si une personne est testée positive, cela ne signifie pas qu'elle est en fait cliniquement infectée, qu'elle est malade ou qu'elle va tomber malade. Le postulat de Koch n’a pas été rempli («L’agent pur trouvé chez un patient souffrant de plaintes peut provoquer les mêmes plaintes chez une personne en bonne santé»).
Dans la mesure où un test PCR positif n'indique pas automatiquement une infection active ou une infectivité, cela ne justifie pas les mesures sociales prises, qui reposent uniquement sur ces tests.
Confinement.
Si l'on compare les vagues d'infection dans les pays à politique stricte de verrouillage à des pays qui n'ont pas imposé de verrouillage (Suède, Islande…), on voit des courbes similaires. Il n'y a donc aucun lien entre le verrouillage imposé et l'évolution de l'infection. Le verrouillage n'a pas conduit à une baisse du taux de mortalité.
Si nous regardons la date d'application des verrouillages imposés, nous voyons que les verrouillages ont été fixés après que le pic était déjà passé et que le nombre de cas diminuait. La baisse n'est donc pas le résultat des mesures prises.
Comme chaque année, il semble que les conditions climatiques (météo, température et humidité) et une immunité croissante sont plus susceptibles de réduire la vague d'infection.
Notre système immunitaire
Depuis des milliers d'années, le corps humain est quotidiennement exposé à l'humidité et aux gouttelettes contenant des microorganismes infectieux (virus, bactéries et champignons).
La pénétration de ces micro-organismes est empêchée par un mécanisme de défense avancé - le système immunitaire. Un système immunitaire fort repose sur une exposition quotidienne normale à ces influences microbiennes. Des mesures trop hygiéniques ont un effet néfaste sur notre immunité. Seules les personnes dont le système immunitaire est faible ou défectueux devraient être protégées par une hygiène poussée ou un éloignement social.
La grippe réapparaîtra à l'automne (en association avec le covid-19) et une possible diminution de la résilience naturelle pourrait entraîner de nouvelles victimes.
Notre système immunitaire se compose de deux parties: un système immunitaire congénital non spécifique et un système immunitaire adaptatif.
Le système immunitaire non spécifique forme une première barrière: peau, salive, suc gastrique, mucus intestinal, cellules ciliées vibratoires, flore commensale,… et empêche la fixation des micro-organismes aux tissus.
S'ils se fixent, les macrophages peuvent provoquer l'encapsulation et la destruction des micro-organismes.
RépondreSupprimerLe système immunitaire adaptatif se compose de l'immunité muqueuse (anticorps IgA, principalement produits par les cellules de l'intestin et de l'épithélium pulmonaire), de l'immunité cellulaire (activation des lymphocytes T), qui peut être générée au contact de substances étrangères ou de microorganismes, et de l'immunité humorale (IgM et les anticorps IgG produits par les cellules B).
Des recherches récentes montrent que les deux systèmes sont très intriqués.
Il semble que la plupart des gens aient déjà une immunité congénitale ou générale contre par ex. grippe et autres virus. Cela est confirmé par les découvertes sur le bateau de croisière Diamond Princess, qui a été mis en quarantaine à cause de quelques passagers décédés de Covid-19. La plupart des passagers étaient âgés et se trouvaient dans une situation idéale de transmission sur le navire. Cependant, 75% ne semblaient pas infectés. Ainsi, même dans ce groupe à haut risque, la majorité est résistante au virus.
Une étude de la revue Cell montre que la plupart des gens neutralisent le coronavirus par l'immunité muqueuse (IgA) et cellulaire (lymphocytes T), tout en ressentant peu ou pas de symptômes.
Les chercheurs ont trouvé jusqu'à 60% de réactivité du SRAS-Cov-2 avec les cellules T CD4 + dans une population non infectée, ce qui suggère une réactivité croisée avec d'autres virus froids (corona).
La plupart des personnes ont donc déjà une immunité congénitale ou croisée car elles étaient déjà en contact avec des variantes du même virus.
La formation d'anticorps (IgM et IgG) par les cellules B n'occupe qu'une partie relativement petite de notre système immunitaire. Cela peut expliquer pourquoi, avec un pourcentage d'anticorps de 5 à 10%, il peut y avoir de toute façon une immunité de groupe. L'efficacité des vaccins est évaluée précisément en fonction de la présence ou non de ces anticorps. C'est une fausse déclaration.
La plupart des personnes dont le test est positif (PCR) ne se plaignent pas. Leur système immunitaire est suffisamment fort. Le renforcement de l'immunité naturelle est une approche beaucoup plus logique. La prévention est un pilier important et insuffisamment mis en évidence: une alimentation saine et à part entière, de l'exercice à l'air frais, sans masque, une réduction du stress et des contacts émotionnels et sociaux nourrissants.
Conséquences de l'isolement social sur la santé physique et mentale
L'isolement social et les dommages économiques ont entraîné une augmentation de la dépression, de l'anxiété, des suicides, de la violence intrafamiliale et de la maltraitance des enfants.
Des études ont montré que plus les gens ont des engagements sociaux et émotionnels, plus ils sont résistants aux virus. Il est beaucoup plus probable que l'isolement et la quarantaine aient des conséquences fatales.
Les mesures d'isolement ont également conduit à l'inactivité physique chez de nombreuses personnes âgées en raison de leur obligation de rester à l'intérieur. Cependant, une activité physique suffisante a un effet positif sur le fonctionnement cognitif, réduisant les plaintes dépressives et l'anxiété et améliorant la santé physique, les niveaux d'énergie, le bien-être et, en général, la qualité de vie.
La peur, le stress persistant et la solitude induits par la distanciation sociale ont une influence négative avérée sur la santé psychologique et générale.
RépondreSupprimerUn virus hautement contagieux avec des millions de morts sans aucun traitement ?
La mortalité s'est avérée être plusieurs fois plus faible que prévu et proche de celle d'une grippe saisonnière normale (0,2%).
Le nombre de décès corona enregistrés semble donc toujours surestimé.
Il y a une différence entre la mort par corona et la mort avec corona. Les humains sont souvent porteurs de plusieurs virus et de bactéries potentiellement pathogènes en même temps. Compte tenu du fait que la plupart des personnes qui ont développé des symptômes graves souffraient d'une pathologie supplémentaire, on ne peut pas simplement conclure que l'infection corona était la cause du décès. Cela n'a généralement pas été pris en compte dans les statistiques.
Les groupes les plus vulnérables peuvent être clairement identifiés. La grande majorité des patients décédés étaient âgés de 80 ans ou plus. La majorité (70%) des personnes décédées, âgées de moins de 70 ans, avaient un trouble sous-jacent, tel que la souffrance cardiovasculaire, le diabète sucré, une maladie pulmonaire chronique ou l'obésité. La grande majorité des personnes infectées (> 98%) ne sont pas ou à peine tombées malades ou se sont rétablies spontanément.
Pendant ce temps, il existe une thérapie abordable, sûre et efficace pour ceux qui présentent des symptômes graves de maladie sous forme de HCQ (hydroxychloroquine), de zinc et d'AZT (azithromycine). Appliquée rapidement, cette thérapie conduit au rétablissement et empêche souvent l'hospitalisation. Presque personne ne doit mourir maintenant.
Cette thérapie efficace a été confirmée par l'expérience clinique de collègues dans le domaine avec des résultats impressionnants. Cela contraste fortement avec la critique théorique (justification insuffisante par des études en double aveugle) qui dans certains pays (par exemple les Pays-Bas) a même conduit à une interdiction de cette thérapie. Une méta-analyse dans The Lancet, qui ne pouvait pas démontrer un effet de HCQ, a été retirée. Les principales sources de données utilisées se sont avérées peu fiables et 2 auteurs sur 3 étaient en conflit d'intérêts. Cependant, la plupart des lignes directrices basées sur cette étude sont restées inchangées…
Nous avons de sérieuses questions sur cet état de fait.
Aux États-Unis, un groupe de médecins sur le terrain, qui voient des patients quotidiennement, s'est réuni au sein de «America’s Frontline Doctors» et a donné une conférence de presse qui a été regardée des millions de fois.
Le professeur français Didier Raoult de l’Institut d’Infectiologie de Marseille (IHU) a également présenté cette polythérapie prometteuse dès le mois d’avril. Le médecin généraliste néerlandais Rob Elens, qui a guéri de nombreux patients dans sa pratique avec HCQ et zinc, a appelé ses collègues dans une pétition pour la liberté de thérapie.
La preuve définitive provient du suivi épidémiologique en Suisse: taux de mortalité comparés avec et sans ce traitement.
RépondreSupprimerÀ partir des images médiatiques pénibles du SDRA (syndrome de détresse respiratoire aiguë) où les gens étouffaient et subissaient une respiration artificielle à l'agonie, nous savons maintenant que cela était causé par une réponse immunitaire exagérée avec coagulation intravasculaire dans les vaisseaux sanguins pulmonaires. L'administration d'anticoagulants et de dexaméthasone et l'évitement de la ventilation artificielle, qui s'est avérée causer des dommages supplémentaires aux tissus pulmonaires, signifient que cette complication redoutée n'est pratiquement plus mortelle.
Ce n'est donc pas un virus tueur, mais une maladie bien traitable.
Propagation
La propagation se produit par infection goutte-à-goutte (uniquement pour les patients qui toussent ou éternuent) et des aérosols dans des pièces fermées et non ventilées. La contamination n'est donc pas possible à l'air libre. La recherche des contacts et les études épidémiologiques montrent que les personnes en bonne santé (ou les porteurs asymptomatiques testés positivement) sont pratiquement incapables de transmettre le virus. Les personnes en bonne santé ne se mettent donc pas en danger.
Le transfert via des objets (par exemple de l'argent, des caddies ou des caddies) n'a pas été scientifiquement prouvé.
Tout cela remet sérieusement en question toute la politique de distanciation sociale et de masques buccaux obligatoires pour les personnes en bonne santé - il n'y a aucune base scientifique à cela.
Masques
Les masques oraux ont leur place dans des contextes où ont lieu des contacts avec des groupes à risque avéré ou des personnes souffrant de troubles des voies respiratoires supérieures, et dans un contexte médical / hôpital-maison de retraite. Ils réduisent le risque d'infection par gouttelettes par les éternuements ou la toux. Les masques oraux chez les individus en bonne santé sont inefficaces contre la propagation des infections virales.
Le port d'un masque n'est pas sans effets secondaires. La carence en oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) survient assez rapidement, un effet similaire au mal des montagnes. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d'hyperventilation dus au port de masques. De plus, le gaz carbonique accumulé entraîne une acidification toxique de l'organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d'utilisation inappropriée du masque.
Notre Code du travail (Codex 6) fait référence à une teneur en gaz carbonique (ventilation sur les lieux de travail) de 900 ppm, maximum 1200 ppm dans des circonstances particulières. Après avoir porté un masque pendant une minute, cette limite toxique est considérablement dépassée pour atteindre des valeurs trois à quatre fois supérieures à ces valeurs maximales. Quiconque porte un masque se trouve donc dans une pièce extrêmement mal ventilée.
L'utilisation inappropriée de masques sans dossier médical complet de tests cardio-pulmonaires n'est donc pas recommandée par des spécialistes reconnus de la sécurité des travailleurs.
RépondreSupprimerLes hôpitaux ont un environnement stérile dans leurs salles d'opération où le personnel porte des masques et il y a une régulation précise de l'humidité / température avec un débit d'oxygène correctement surveillé pour compenser cela, répondant ainsi à des normes de sécurité strictes.
Une deuxième onde corona ?
Une deuxième vague est actuellement en discussion en Belgique, avec un nouveau resserrement des mesures en conséquence. Cependant, un examen plus approfondi des chiffres de Sciensano (dernier rapport du 3 septembre 2020) montre que, bien qu'il y ait eu une augmentation du nombre d'infections depuis la mi-juillet, il n'y avait pas d'augmentation des hospitalisations ou des décès à cette époque. Il ne s'agit donc pas d'une seconde vague de corona, mais d'une soi-disant «chimie de cas» due à un nombre accru de tests.
Le nombre d'hospitalisations ou de décès a montré une augmentation minime de courte durée ces dernières semaines, mais pour l'interpréter, il faut tenir compte de la récente vague de chaleur. De plus, la grande majorité des victimes appartiennent toujours au groupe de population> 75 ans.
Cela indique que la proportion des mesures prises par rapport à la population active et aux jeunes est disproportionnée par rapport aux objectifs visés.
La grande majorité des personnes «infectées» testées positivement appartiennent à la tranche d'âge de la population active, qui ne développe aucun symptôme ou est simplement limitée, en raison d'un système immunitaire qui fonctionne bien.
Rien n'a donc changé - le pic est passé.
Renforcer une politique de prévention
Les mesures corona forment un contraste frappant avec la politique minimale menée par le gouvernement jusqu'à présent, lorsqu'il s'agit de mesures bien fondées avec des avantages pour la santé avérés tels que la taxe sur le sucre, l'interdiction des (e-) cigarettes et la fabrication d'aliments sains, l'exercice et les réseaux de soutien social financièrement attractifs et largement accessibles. C'est une occasion manquée pour une meilleure politique de prévention qui aurait pu entraîner un changement de mentalité dans toutes les couches de la population avec des résultats clairs en termes de santé publique. À l'heure actuelle, seulement 3% du budget de la santé est consacré à la prévention. 2
Le serment d'Hippocrate
En tant que médecin, nous avons prêté le serment d'Hippocrate:
«Je vais avant tout soigner mes patients, promouvoir leur santé et soulager leurs souffrances».
«J'informerai correctement mes patients.»
«Même sous pression, je n'utiliserai pas mes connaissances médicales pour des pratiques qui sont contre l'humanité.»
Les mesures actuelles nous obligent à agir contre ce serment.
D'autres professionnels de la santé ont un code similaire.
Le «primum non nocere», que tout médecin et professionnel de santé assume, est également miné par les mesures actuelles et par la perspective de l’introduction éventuelle d’un vaccin généralisé, qui ne fait pas l’objet de tests préalables approfondis.
Vaccin
RépondreSupprimerDes enquêtes sur la vaccination antigrippale montrent qu'en 10 ans, nous n'avons réussi que trois fois à développer un vaccin avec un taux d'efficacité de plus de 50%. Vacciner nos personnes âgées semble inefficace. Plus de 75 ans, l'efficacité est quasi inexistante.
En raison de la mutation naturelle continue des virus, comme on le voit également chaque année dans le cas du virus de la grippe, un vaccin est tout au plus une solution temporaire, qui nécessite chaque fois de nouveaux vaccins par la suite. Un vaccin non testé, mis en œuvre par procédure d'urgence et pour lequel les fabricants ont déjà obtenu une immunité légale contre d'éventuels dommages, soulève de sérieuses questions. Nous ne souhaitons pas utiliser nos patients comme des cobayes.
A l'échelle mondiale, 700 000 cas de dommages ou de décès sont attendus du fait du vaccin.
Si 95% des personnes souffrent de Covid-19 pratiquement sans symptôme, le risque d'exposition à un vaccin non testé est irresponsable.
Le rôle des médias et le plan de communication officiel
Au cours des derniers mois, les fabricants de journaux, de radio et de télévision semblaient se tenir presque sans esprit critique derrière le panel d'experts et le gouvernement, là où c'est précisément la presse qui devrait être critique et empêcher la communication gouvernementale unilatérale. Cela a conduit à une communication publique dans nos médias d'information, qui ressemblait plus à de la propagande qu'à des reportages objectifs.
À notre avis, c'est la tâche du journalisme d'apporter des informations aussi objectivement et neutres que possible, visant à trouver la vérité et à contrôler de manière critique le pouvoir, les experts dissidents se voyant également offrir un forum dans lequel s'exprimer.
Ce point de vue est soutenu par les codes d'éthique journalistique.
L'histoire officielle selon laquelle un verrouillage était nécessaire, que c'était la seule solution possible et que tout le monde était derrière ce verrouillage, a rendu difficile pour les personnes ayant un point de vue différent, ainsi que pour les experts, d'exprimer une opinion différente.
Les opinions alternatives ont été ignorées ou ridiculisées. Nous n'avons pas vu de débats ouverts dans les médias, où différents points de vue pourraient être exprimés.
Nous avons également été surpris par les nombreuses vidéos et articles de nombreux experts scientifiques et autorités, qui ont été et sont toujours supprimés des réseaux sociaux. Nous estimons que cela ne cadre pas avec un État constitutionnel libre et démocratique, d’autant plus que cela conduit à une vision tunnel. Cette politique a également un effet paralysant et nourrit la peur et l'inquiétude dans la société. Dans ce contexte, nous rejetons l'intention de censure des dissidents dans l'Union européenne!
La manière dont Covid-19 a été décrit par les politiciens et les médias n'a pas non plus fait de bien à la situation. Les termes de guerre étaient populaires et le langage guerrier ne manquait pas. On a souvent évoqué une «guerre» avec un «ennemi invisible» qui doit être «vaincu». L’utilisation dans les médias d’expressions telles que «héros du soin en première ligne» et «victimes de la couronne» a encore alimenté la peur, tout comme l’idée que nous avons affaire à un «virus tueur» dans le monde.
Le bombardement incessant de chiffres, qui se déchaînait sur la population jour après jour, heure après heure, sans interpréter ces chiffres, sans les comparer aux décès grippaux d'autres années, sans les comparer à des décès d'autres causes, a induit une véritable psychose de peur dans la population. Ce n'est pas une information, c'est une manipulation.
RépondreSupprimerNous déplorons le rôle de l'OMS à cet égard, qui a appelé à ce que l'infodémie (c'est-à-dire toutes les opinions divergentes du discours officiel, y compris par des experts aux vues différentes) soit réduite au silence par une censure des médias sans précédent.
Nous appelons d'urgence les médias à prendre leurs responsabilités ici!
Nous exigeons un débat ouvert dans lequel tous les experts sont entendus.
Droit d'urgence contre droits de l'homme
Le principe général de bonne gouvernance exige que la proportionnalité des décisions gouvernementales soit mise en balance à la lumière des normes juridiques plus élevées: toute ingérence du gouvernement doit respecter les droits fondamentaux tels que protégés par la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH). L'ingérence des pouvoirs publics n'est autorisée que dans les situations de crise. En d'autres termes, les décisions discrétionnaires doivent être proportionnées à une nécessité absolue.
Les mesures actuellement prises concernent l'ingérence dans l'exercice, entre autres, du droit au respect de la vie privée et familiale, de la liberté de pensée, de conscience et de religion, de la liberté d'expression et de la liberté de réunion et d'association, du droit à l'éducation, etc. , et doit donc respecter les droits fondamentaux tels que protégés par la Convention européenne des droits de l'homme (CEDH).
Par exemple, conformément à l'article 8, paragraphe 2, de la CEDH, l'ingérence dans le droit à la vie privée et familiale n'est autorisée que si les mesures sont nécessaires dans l'intérêt de la sécurité nationale, de la sécurité publique et du bien-être économique du pays. , la protection de l'ordre public et la prévention des infractions pénales, la protection de la santé ou la protection des droits et libertés d'autrui, le texte réglementaire sur lequel se fonde l'ingérence doit être suffisamment clair, prévisible et proportionné aux objectifs poursuivis.
La pandémie prévue de millions de morts semble répondre à ces conditions de crise, conduisant à la mise en place d'un gouvernement d'urgence. Maintenant que les faits objectifs montrent quelque chose de complètement différent, la condition d'incapacité d'agir autrement (pas de temps pour évaluer en profondeur s'il y a une urgence) n'est plus en place. Covid-19 n'est pas un virus du rhume, mais une maladie bien traitable avec un taux de mortalité comparable à la grippe saisonnière. En d'autres termes, il n'y a plus d'obstacle insurmontable à la santé publique.
Il n'y a pas d'état d'urgence.
Immenses dommages causés par les politiques actuelles
Une discussion ouverte sur les mesures corona signifie qu'en plus des années de vie gagnées par les patients corona, nous devons également prendre en compte d'autres facteurs affectant la santé de l'ensemble de la population. Il s'agit notamment des dommages dans le domaine psychosocial (augmentation de la dépression, de l'anxiété, des suicides, de la violence intra-familiale et de la maltraitance des enfants) 16 et des dommages économiques.
Si nous prenons en compte ces dommages collatéraux, la politique actuelle est disproportionnée, l'utilisation proverbiale d'un marteau pour casser une noix.
RépondreSupprimerNous trouvons choquant que le gouvernement invoque la santé comme raison de la loi d'urgence.
En tant que médecins et professionnels de santé, face à un virus qui, en termes de nocivité, mortalité et transmissibilité, se rapproche de la grippe saisonnière, nous ne pouvons que rejeter ces mesures extrêmement disproportionnées.
Nous exigeons donc la fin immédiate de toutes les mesures.
Nous remettons en question la légitimité des experts consultatifs actuels, qui se réunissent à huis clos.
À la suite de l'ACU 2020 https://acu2020.org/nederlandse-versie/, nous appelons à un examen approfondi du rôle de l'OMS et de l'influence possible des conflits d'intérêts dans cette organisation. Elle était également au cœur de la lutte contre «l'infodémie», c'est-à-dire la censure systématique de toutes les opinions dissidentes dans les médias. C'est inacceptable pour un État démocratique régi par la primauté du droit.
Distribution de cette lettre
Nous aimerions lancer un appel public à nos associations professionnelles et à nos collègues aidants pour qu'ils donnent leur avis sur les mesures actuelles.
Nous attirons l'attention et appelons à une discussion ouverte dans laquelle les soignants peuvent et osent s'exprimer.
Avec cette lettre ouverte, nous envoyons le signal que les progrès sur le même pied font plus de mal que de bien, et appelons les politiciens à s'informer de manière indépendante et critique sur les preuves disponibles - y compris celles d'experts ayant des points de vue différents, pour autant qu'elles le soient. basé sur une science solide - lors de la mise en œuvre d'une politique, dans le but de promouvoir une santé optimale.
Avec inquiétude, espoir et à titre personnel.
https://www.zerohedge.com/medical/no-medical-justification-emergency-measures-open-letter-100s-doctors-health-pros-urges-end
(...) Le port d'un masque n'est pas sans effets secondaires. La carence en oxygène (maux de tête, nausées, fatigue, perte de concentration) survient assez rapidement, un effet similaire au mal des montagnes. Chaque jour, nous voyons maintenant des patients se plaindre de maux de tête, de problèmes de sinus, de problèmes respiratoires et d'hyperventilation dus au port de masques. De plus, le gaz carbonique accumulé entraîne une acidification toxique de l'organisme qui affecte notre immunité. Certains experts mettent même en garde contre une transmission accrue du virus en cas d'utilisation inappropriée du masque.
SupprimerNotre Code du travail (Codex 6) fait référence à une teneur en gaz carbonique (ventilation sur les lieux de travail) de 900 ppm, maximum 1200 ppm dans des circonstances particulières. Après avoir porté un masque pendant une minute, cette limite toxique est considérablement dépassée pour atteindre des valeurs trois à quatre fois supérieures à ces valeurs maximales. Quiconque porte un masque se trouve donc dans une pièce extrêmement mal ventilée. (...)
La police du Delaware saisit suffisamment de fentanyl pour tuer au moins 75% de la population de l'État
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 22/09/2020 - 22:25
Lundi, la police de l'État du Delaware et le FBI ont annoncé une enquête multi-juridictionnelle de deux ans qui a conduit à l'arrestation de plus de deux douzaines de personnes liées à une importante organisation de drogue opérant à Deleware, a rapporté la station de presse locale WDEL.
La police de l'État du Delaware a déclaré que la répression du gang criminel avait abouti à «la plus grande saisie de fentanyl de l'histoire de l'État».
Au total, 28 personnes ont été arrêtées et sont maintenant inculpées de 252 crimes, notamment de racket criminel, de complot et de trafic de drogue.
Le lieutenant Robert Jones de la police de l'État du Delaware, qui a pris la parole lors de la conférence de presse au poste Troop 2 à Newark, a déclaré que les forces de l'ordre avaient saisi sept kilogrammes et demi de fentanyl. Il a dit, étant donné la puissance de la drogue, "c'était assez de fentanyl pour tuer 750 000 Delawaréens."
Le colonel Melissa Zebley, surintendant de la police de l'État du Delaware, a déclaré qu'il serait «difficile de mesurer toute la gravité que cette organisation criminelle aurait pu avoir dans notre État».
Des représentants d'autres services de police, dont le bureau extérieur du FBI à Baltimore et la procureure générale du Delaware, Kathleen Jennings, ont également assisté à la conférence de presse de lundi.
Jennifer Boone, agent spécial en charge du bureau extérieur du FBI à Baltimore, a déclaré:
"Ces résultats comprenaient la plus grande saisie de fentanyl par les forces de l'ordre du Delaware dans l'histoire de l'État, ce qui a fait une brèche majeure dans l'approvisionnement en fentanyl qui aurait été distribué dans les rues de Newark et des environs", a déclaré Boone. «À elle seule, la quantité de fentanyl saisie aurait pu tuer des milliers et des milliers de personnes».
Les forces de l'ordre ont également saisi un quart de million de dollars en espèces, 20 armes à feu, des millions de dollars de cocaïne, d'héroïne, de crack et de marijuana et cinq véhicules lors des raids de juillet dans sept maisons du Delaware et de Philadelphie.
Les lecteurs se rappelleront peut-être que l'administration Trump a récemment annoncé un important effondrement de la méthamphétamine qui avait des opérations couvrant l'ensemble des États-Unis.
Le président Trump continue de tenir sa promesse envers le peuple américain dans sa campagne contre les drogues illégales qui continuent de couler de pays étrangers dans les rues des communautés américaines.
https://www.zerohedge.com/political/delaware-police-seize-enough-fentanyl-kill-least-75-states-population
Mensonges, mensonges damnés et statistiques sur la santé au Royaume-Uni: le danger mortel des faux positifs
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 22/09/2020 - 05:00
Rédigé par le Dr Michael Yeadon via lockdownsceptics.org,
Je ne m'attendais jamais à écrire quelque chose comme ça. Je suis une personne ordinaire, récemment semi-retraitée d'une carrière dans l'industrie pharmaceutique et la biotechnologie, où j'ai passé plus de 30 ans à essayer de résoudre les problèmes de compréhension des maladies et à rechercher de nouveaux traitements pour les troubles allergiques et inflammatoires des poumons et de la peau. J'ai toujours été intéressé par la résolution de problèmes, donc quand quelque chose de biologique survient, mon attention est attirée dessus. Venez 2020, est venu SARS-CoV-2. J’ai écrit sur la pandémie aussi objectivement que possible. La méthode scientifique ne quitte jamais une personne qui a été formée et a travaillé comme scientifique professionnel. Veuillez lire cet article. Mes co-auteurs et moi le soumettrons aux rigueurs normales de l'examen par les pairs, mais ce processus est lent et de nombreuses nouvelles données scientifiques cette année ont attiré l'attention par le biais de serveurs de pré-impression et d'autres points de vente moins conventionnels.
Tout en prêtant une attention particulière aux données, nous nous sommes tous d'abord concentrés sur la triste affaire des décès. J'ai trouvé remarquable que, en discutant des décès liés au COVID-19, la plupart des personnes à qui j'ai parlé n'avaient aucune idée des grands nombres. Lorsqu'on leur a demandé approximativement combien de personnes meurent chaque année au Royaume-Uni dans le cours normal des événements, chacun étant une tragédie personnelle, ils ne savaient généralement pas. J’ai dû les informer qu’il s’agit d’environ 620 000 personnes, parfois moins si nous avons eu un hiver doux, parfois un peu plus si nous avons eu une saison grippale sévère. Je mentionne ce nombre parce que nous savons qu'environ 42000 personnes sont mortes avec ou du COVID-19. Bien qu’il s’agisse d’un grand nombre de personnes, il ne représente «que» 0,06% de la population britannique. Ce n'est pas une coïncidence si c'est presque la même proportion de morts avec ou de COVID-19 dans chacun des pays européens fortement infectés - par exemple, la Suède. La mortalité annuelle toutes causes de 620 000 est de 1 700 par jour, plus faible en été et plus élevée en hiver. Cela a toujours été le sort des humains dans les zones tempérées. Donc, pour le contexte, 42 000 équivaut à environ 24 jours de mortalité normale. Sachez que je ne minimise pas cela, j'essaie simplement d'avoir une certaine perspective à ce sujet. Les décès de cette ampleur ne sont pas rares et peuvent survenir pendant les saisons grippales les plus sévères. Les vaccins contre la grippe aident un peu, mais à trois reprises seulement au cours de la dernière décennie, la vaccination a atteint une efficacité de 50%. Ils sont bons, mais ils n’ont jamais été des balles magiques pour les virus respiratoires. Au lieu de cela, nous avons appris à vivre avec de tels virus, allant de nombreux rhumes à des pneumonies qui peuvent tuer. Les médicaments et les soins humains font de leur mieux.
Alors, à cet article ...
Il s'agit des tests que nous faisons avec quelque chose appelé PCR, une technique d'amplification, mieux connue des biologistes comme un outil de recherche utilisé dans nos laboratoires, lorsque nous essayons de déceler les mécanismes de la maladie.
J'ai été franchement étonné de constater qu'ils sont parfois utilisés dans le dépistage des maladies dans la population - étonné parce que c'est une technique très exigeante, sujette à des erreurs invisibles et qu'il est assez difficile d'en tirer des informations fiables, notamment en raison des quantités prodigieuses d'amplification impliquée dans la tentative de capter un brin de code génétique viral. Le test ne peut pas faire la distinction entre un virus vivant et un court brin d'ARN d'un virus qui s'est brisé en morceaux il y a des semaines ou des mois.
RépondreSupprimerJe crois avoir identifié une faille sérieuse, vraiment fatale, dans le test PCR utilisé dans ce que le gouvernement britannique appelle le dépistage du pilier 2 - c'est-à-dire le dépistage de nombreuses personnes dans leurs communautés. Je vais passer en revue cela avec soin et en détail car je suis un scientifique et je n'aime pas où cette enquête me mène. Je ne suis pas particulièrement politique et je préfère une administration compétente et honnête par rapport aux politiques réellement choisies. Nous sommes un groupe raisonnable au Royaume-Uni et peu enclin aux extrêmes. Ce dont je suis particulièrement réticent, c’est qu’en suivant les preuves, je n’ai pas d’autre choix que de montrer que le secrétaire à la Santé, Matt Hancock, a induit la Chambre des communes en erreur et a également fait des déclarations trompeuses dans une interview à la radio. Ce sont de graves accusations. Je le sais. Je ne suis pas une personne impitoyable. Mais j’écris ceci de toute façon, parce que ce que j’ai découvert est d’une importance monumentale pour la santé et le bien-être de tous les habitants de la nation que j’ai toujours appelée chez moi.
Revenons à l'histoire, puis aux preuves. Lorsque la première (et je pense, la seule) vague de COVID-19 a frappé le Royaume-Uni, j'étais avec presque tout le monde dans la peur. J'ai 60 ans et en bonne santé, mais en apprenant que j'avais un risque supplémentaire d'environ 1% de périr si j'attrapais le virus, j'ai découvert que j'étais loin d'être prêt à partir. Donc, je n’ai pas été surpris ni en colère lorsque le premier verrouillage est arrivé. Cela a dû être une chose très difficile à décider. Cependant, avant la fin des trois premières semaines, j'avais commencé à comprendre ce qui se passait
Revenons à l'histoire, puis aux preuves. Lorsque la première (et je pense, la seule) vague de COVID-19 a frappé le Royaume-Uni, j'étais avec presque tout le monde dans la peur. J'ai 60 ans et en bonne santé, mais en apprenant que j'avais un risque supplémentaire d'environ 1% de périr si j'attrapais le virus, j'ai découvert que j'étais loin d'être prêt à partir. Donc, je n’ai pas été surpris ni en colère lorsque le premier verrouillage est arrivé. Cela a dû être une chose très difficile à décider. Cependant, avant la fin de la première période de trois semaines, j’avais commencé à comprendre ce qui se passait. Le taux d'infection, qui aurait infecté plus de 100 000 nouvelles personnes chaque jour autour du pic, a commencé à baisser et diminuait avant le verrouillage. L'infection a continué à se propager, à un rythme toujours plus faible et nous l'avons vu au tournant des décès quotidiens, lors d'une sinistre conférence de presse chaque après-midi. Nous savons maintenant que le verrouillage n'a fait aucune différence dans la propagation du virus. Nous pouvons le dire parce que l’intervalle entre la capture du virus et, chez ceux qui ne le font pas, leur mort est plus long que l’intervalle entre le verrouillage et le pic des décès quotidiens. Il n’ya pas de controverse sur ce fait, facilement démontrable, mais je suis conscient que certaines personnes aiment prétendre que c’est le verrouillage qui a transformé la pandémie, peut-être pour justifier le prix extraordinaire que nous avons tous payé pour le faire. Ce prix n’était pas seulement économique.
Il s'agissait de décès évitables dus à des maladies autres que le COVID-19, car les services médicaux étaient limités, afin de se concentrer sur le virus. Certains disent que le verrouillage, directement et indirectement, a tué autant que le virus. Je ne sais pas. Ce n’est pas quelque chose que j’ai cherché à apprendre. Mais je mentionne parce que les interventions dans toutes nos vies ne doivent pas être faites à la légère. Ce n'est pas seulement un inconvénient, mais une souffrance réelle, la perte de moyens de subsistance, des amitiés, des ancres d'une importance capitale pour nous tous, qui sont coupées par de tels actes. Nous devons être certains que le prix vaut le prix. Même s'il est incertain que ce soit le cas, même pour le premier lock-out, je l'ai également soutenu, car nous ne savions pas à quoi nous affrontions et, franchement, presque tout le monde l'a fait, sauf la Suède. Je suis maintenant résolument contre de nouvelles interventions dans ce que je suis devenu convaincu est une tentative infructueuse de «contrôler le virus». Nous sommes, à mon avis - partagés par d’autres, dont certains sont bien placés pour évaluer la situation - plus près de la fin de la pandémie en termes de décès que de son milieu. Je pense que nous devons offrir la meilleure protection possible à toute personne vulnérable et, par ailleurs, continuer avec prudence notre vie. Je pense que nous allons tous devenir un peu plus suédois avec le temps.
RépondreSupprimerCes dernières semaines, cependant, il n’a pu échapper à personne qu’un battement de tambour se soit produit pour le monde entier comme le prélude à des restrictions encore plus infructueuses et préjudiciables. Pensez au milieu de l'été. Nous étions nouvellement sortis du lock-out et malgré les inquiétudes concernant les plages bondées, les grandes manifestations, l'ouverture de boutiques et de pubs, le principal sujet de l'actualité concernant COVID-19 était la baisse rassurante et implacable des décès quotidiens. J'ai remarqué que, par rapport aux pentes du nombre de morts en baisse dans de nombreux pays voisins, notre pente était trop plate. J'ai même mentionné à des amis scientifiques qui ont déduit la présence d'un signal fixe qui était mélangé avec de véritables décès COVID-19. Imaginez à quel point il était gratifiant lorsque la définition d'un décès par COVID-19 a été modifiée pour s'aligner sur celle d'autres pays et en un clin d'œil, notre ligne de bilan en baisse a été assortie à celle ailleurs. J'étais sûr que ce serait le cas: ce que nous avons vécu et vu est une sorte d'équilibre terrible. Un virus qui en tue peu, puis laisse des survivants presque certainement immunisés - un virus contre lequel peut-être 30 à 50% étaient déjà immunisés car il a des parents et certains d'entre nous les ont déjà rencontrés - explique tout le processus biologique terrible mais aussi fascinant. . Il y avait une pièce très intéressante dans le BMJ ces derniers jours qui offre un soutien potentiel à cette affirmation.
Maintenant, nous avons appris certaines des caractéristiques inhabituelles du nouveau virus, de meilleurs traitements (stéroïdes anti-inflammatoires, anticoagulants et en particulier, masques à oxygène et non ventilateurs en général), le `taux de létalité' même pour les plus difficiles. le nombre de personnes touchées est beaucoup plus faible qu'il y a six mois.
Comme il n'y a pas de littérature fondamentale, médicale ou scientifique qui nous dit de nous attendre à une 'deuxième vague', j'ai commencé à prêter plus d'attention à l'expression telle qu'elle apparaissait à la télévision, à la radio et dans la presse écrite - le même jour - et j'ai été sans relâche répété depuis. J'ai été interviewée récemment par Julia Hartley-Brewer sur son émission talkRADIO et à cette occasion j'ai appelé le gouvernement à nous divulguer les preuves sur lesquelles il comptait pour prédire cette deuxième vague. Ils ont sûrement des preuves ? Je ne pense pas qu’ils le fassent. J'ai cherché et je suis très qualifié pour le faire, en m'appuyant sur des amis universitaires, et nous avons tous été surpris de constater qu'il n'y avait rien du tout. Les deux derniers nouveaux coronavirus, Sar (2003) et MERS (2012), étaient d'une vague chacun. Même les «vagues» de grippe de la Première Guerre mondiale étaient presque certainement une série de vagues uniques impliquant plus d’un virus. Je crois que tout discours de deuxième vague est une pure spéculation. Ou peut-être est-ce quelque part dans un modèle, déconnecté du monde des preuves pour moi ? Il serait raisonnable de s’attendre à une «résurgence» limitée d’un virus étant donné que nous ne mélangeons pas comme du cordial dans un verre d’eau, mais d’une manière plus grumeleuse et humaine. Vous êtes le plus en contact avec votre famille, vos amis et vos collègues de travail et ce sont eux avec qui vous échangez généralement des rhumes.
RépondreSupprimerUne longue période de restrictions imposées, en plus de celles de nos vies ordinaires, a empêché les derniers pour cent de virus de se mélanger à la population. Avec les mouvements de vacances, les nouveaux emplois, les visites de parents éloignés, le début de nouveaux mandats dans les universités et les écoles, ce mélange final est en cours. Cela ne devrait pas être un processus terrifiant. Cela arrive à chaque nouveau virus, grippe incluse. C’est juste que nous ne l’avons jamais encore chassé dans la campagne avec une technique plus adaptée au laboratoire de biologie qu’à un parking de supermarché.
Un très long prélude, mais nécessaire.
Une partie de la «peur du projet» qui est plutôt trop évidente, impliquant des secondes vagues, a été le décompte quotidien des «cas». Il est important de comprendre que, selon les spécialistes des maladies infectieuses à qui j’ai parlé, le mot «cas» doit signifier plus que la simple présence d’un organisme étranger. Il doit présenter des signes (choses que les médecins remarquent) et des symptômes (choses que vous remarquez). Et dans la plupart des soi-disant cas, les personnes testées positives ne présentaient aucun signe ou symptôme de maladie. On parlait beaucoup de propagation asymptomatique, et en tant que biologiste, cela m'a surpris. Dans presque tous les cas, une personne est symptomatique parce qu'elle a une charge virale élevée et qu'elle attaque son corps ou que son système immunitaire le combat, généralement un mélange. Je ne doute pas qu’il y ait eu des cas de transmission asymptomatique, mais je suis convaincu que ce n’est pas important.
Cela dit, le gouvernement a décidé de qualifier une personne de «cas» si son échantillon sur écouvillon était positif pour l'ARN viral, ce qui est mesuré par PCR. L’échantillon d’une personne peut être positif si elle est infectée par le virus, et ainsi de suite. Ils peuvent également être positifs s’ils ont contracté le virus il y a quelques semaines ou quelques mois et s’ils se rétablissent. Il est à peine possible que des charges élevées de coronavirus apparentés, mais différents, qui peuvent causer certains des rhumes que nous contractons, puissent également réagir dans le test PCR, bien que je ne sache pas si c'est le cas.
Mais il y a un cadre final dans lequel une personne peut être positive et c'est un processus aléatoire. Cela peut avoir des causes multiples, telles que la technique d’amplification qui n’est pas parfaite et donc l’amplification des séquences «appâts» placées avec l’échantillon, dans le but de se marier avec l’ARN viral du SRAS-CoV-2 apparenté. Il y aura de nombreuses autres contributions à ces aspects positifs. Ce sont ce qu'on appelle les faux positifs.
RépondreSupprimerPensez à tout test diagnostique qu'un médecin pourrait utiliser sur vous. Le test de diagnostic idéal confirme correctement toutes les personnes atteintes de la maladie et n'indique jamais à tort que des personnes en bonne santé sont atteintes de la maladie. Il n'y a pas de tel test. Tous les tests présentent un certain degré de faiblesse dans la génération de faux positifs. L'important est de savoir à quelle fréquence cela se produit, et c'est ce qu'on appelle le taux de faux positifs. Si 1 échantillon exempt de maladie sur 100 est faussement positif, la maladie n'est pas présente, nous appelons cela un taux de faux positifs de 1%. Le taux de faux positifs réel ou opérationnel diffère, parfois considérablement, selon les paramètres, les opérateurs techniques, les méthodes de détection et l'équipement. Je me concentre uniquement sur le taux de faux positifs dans le pilier 2, car la plupart des gens n’ont pas le virus (récemment environ 1 personne sur 1000 et plus tôt en été, il était d’environ 1 personne sur 2000). C'est lorsque la quantité de maladie, sa soi-disant prévalence, est faible que tout taux de faux positifs peut être un problème majeur. Ce problème peut être si grave qu'à moins que des modifications ne soient apportées, le test est désespérément inadapté au travail qui lui est demandé. Dans ce cas, le test du pilier 2 était et reste chargé d'identifier les personnes atteintes du virus, mais comme je vais le montrer, il est incapable de le faire.
En raison du taux élevé de faux positifs et de la faible prévalence, presque chaque test positif, un soi-disant cas, identifié par le pilier 2 depuis mai de cette année a été un FAUX POSITIF. Pas seulement quelques pour cent. Pas un quart ni même la moitié des positifs sont FAUX, mais environ 90% d'entre eux. En termes simples, le nombre de personnes dont M. Hancock nous parle sombrement est une surestimation d'un facteur environ dix. Plus tôt cet été, c'était une surestimation d'environ 20 fois.
Permettez-moi de vous expliquer ceci, mais si vous êtes en mesure de lire d’abord le texte clairement écrit du professeur Carl Heneghan, je suis plus confiant que je réussirai à vous expliquer cette conclusion dramatique. (Voici un lien vers l'enregistrement du nombre de tests, combinant le pilier 1 (hôpital) et le pilier 2 (communauté).)
Imaginez 10 000 personnes se faire tester en utilisant ces écouvillons que vous voyez à la télévision. Nous avons une bonne estimation de la prévalence générale du virus de l'ONS, qui sont totalement indépendants (des tests du pilier 2) et ne testent que quelques personnes par jour, environ un pour cent des chiffres récemment testés dans le pilier 2. Il Il est raisonnable de supposer que la plupart du temps, les personnes testées ne présentent pas de symptômes. On a demandé aux gens de ne chercher un test que s'ils présentaient des symptômes. Cependant, nous savons des informations télévisées et des reportages sur les médias sociaux grâce à l'échantillonnage du personnel, aux conseils sévères du ministre de la Santé et au fait surprenant que dans de nombreux endroits du pays, le conseil local envoie des tracts aux maisons des gens, rue par rue testé.
L'essentiel est qu'il est raisonnable de s'attendre à ce que la prévalence du virus soit proche du nombre trouvé par l'ONS, car ils échantillonnent au hasard et captureraient des personnes symptomatiques et asymptomatiques proportionnellement à leur présence dans la communauté. D'après l'enquête la plus récente de l'ONS, en première approximation, le virus a été trouvé chez 1 personne sur 1000. Cela peut également être écrit comme 0,1%. Ainsi, lorsque toutes ces 10000 personnes sont testées dans le pilier 2, vous vous attendez à ce que 10 vrais positifs soient trouvés (les faux négatifs peuvent être un problème lorsque le virus est très courant, mais dans ce contexte communautaire, il est statistiquement sans importance et j'ai donc choisi de l'ignorer, mieux vaut se concentrer uniquement sur les faux positifs).
RépondreSupprimerAlors, quel est le taux de faux positifs de tests dans le pilier 2? Pendant des mois, cela a été une préoccupation. Il semble que ce ne soit pas connu, même si, comme je l’ai mentionné, vous devez absolument le savoir pour déterminer si le test de diagnostic a une valeur quelconque! Que savons-nous du taux de faux positifs? Eh bien, nous savons que les propres scientifiques du gouvernement étaient très préoccupés à ce sujet, et un rapport sur ce problème a été envoyé au SAGE le 3 juin 2020. Je cite: «À moins que nous ne comprenions le taux de faux positifs opérationnels des tests RT-PCR du Royaume-Uni système, nous risquons de surestimer l’incidence du COVID-19, la demande de suivi et l’étendue de l’infection asymptomatique ». Dans ce même rapport, les auteurs ont utilement énuméré le taux de faux positifs du plus bas au plus élevé de dizaines de tests utilisant la même technologie. La valeur la plus basse du taux de faux positifs était de 0,8%.
Permettez-moi d'expliquer l'impact d'un taux de faux positifs de 0,8% sur le pilier 2. Nous revenons à nos 10 000 personnes qui se sont portées volontaires pour se faire dépister, et les dix attendues avec le virus (prévalence de 0,1% ou 1: 1000) ont été identifiées par le test PCR. Mais maintenant, nous devons calculer le nombre de faux positifs pour les accompagner. La réponse choquante est 80. 80 est 0,8% de 10 000. C'est le nombre de faux positifs que vous obtiendrez chaque fois que vous utiliseriez un test Pilier 2 sur un groupe de cette taille.
L'effet de ceci est, dans cet exemple, où 10 000 personnes ont été testées dans le Pilier 2, pourrait être résumé dans un titre comme celui-ci: «90 nouveaux cas ont été identifiés aujourd'hui» (10 cas réels positifs et 80 faux positifs). Mais nous savons que c'est complètement incorrect. À l'insu du pauvre technicien, il n'y avait dans cet exemple que 10 cas réels. 80 n'avaient même pas un morceau d'ARN viral dans leur échantillon. Ce sont vraiment de faux positifs.
Je vais vous expliquer à quel point c'est une autre façon de mal, de retour aux diagnostics. Si vous vous êtes soumis à un test et qu’il s’est avéré positif, vous vous attendez à ce que le médecin vous dise que vous avez une maladie, quel que soit le résultat du test. Cependant, ils répondent généralement à une question légèrement différente: «Si le patient est positif à ce test, quelle est la probabilité qu’il soit atteint de la maladie?» En règle générale, pour un bon test de diagnostic, le médecin pourra dire quelque chose comme 95% et vous et ils peuvent vivre avec cela. Vous pourriez passer un test de confirmation différent, si le résultat est très grave, comme le cancer. Mais dans notre exemple du pilier 2, quelle est la probabilité qu'une personne testée positive au pilier 2 ait réellement COVID-19 ? La terrible réponse est 11% (10 divisé par 80 + 10). Le test exagère le nombre de cas de covid-19 par presque dix fois (90 divisé par 10). Vous avez encore peur? Cette image quotidienne qu’ils vous montrent, avec les «cas» qui grimpent sur le côté droit ? C'est horriblement exagéré. Ce n'est pas une erreur, comme je vais le montrer.
RépondreSupprimerPlus tôt cet été, l'ONS a montré que la prévalence du virus était un peu plus faible, 1 en 2000 ou 0,05%. Cela ne semble pas être une grande différence, mais c'est le cas. Désormais, le test Pilier 2 trouvera deux fois moins de cas réels de nos 10 000 volontaires notionnels, donc 5 cas réels. Mais le défaut du test signifie qu'il trouvera toujours 80 faux positifs (0,8% de 10 000). Donc c'est encore pire. Le titre serait «85 nouveaux cas identifiés aujourd'hui». Mais maintenant, la probabilité qu'une personne testée positive ait le virus est absurdement faible de 6% (5 divisé par 80 + 5). Plus tôt cet été, ce même test a multiplié par 17 le nombre de cas de COVID-19 (85 divisé par 5). Il est si facile de générer une épidémie apparemment importante de cette façon. Ignorez simplement le problème des faux positifs. Prétendez son zéro. Mais ce n'est jamais nul.
Ce test est irrémédiablement défectueux et DOIT être immédiatement retiré et ne jamais être réutilisé dans ce cadre, sauf s'il est démontré qu'il est corrigé. Les exemples que j'ai donnés sont très proches de ce qui se passe réellement chaque jour lorsque vous lisez ceci.
Je suis obligé de demander si M. Hancock était au courant de cette faille fatale? Savait-il quel effet cela aurait inévitablement et continue d’avoir, non seulement sur le nombre de cas signalés, mais aussi sur l’anxiété de la nation. J'adorerais croire que tout cela est une erreur innocente. Si c'était le cas, cependant, il devrait démissionner par pure incompétence. Mais est-ce vrai ? Nous savons que des scientifiques internes ont écrit au SAGE, en termes, et, sûrement, ce court mais choquant document d’avertissement aurait été porté à l’attention du secrétaire à la Santé ? Si c'était la seule preuve, vous seriez peut-être enclin à lui accorder le bénéfice du doute. Mais les preuves deviennent plus accablantes.
Récemment, j'ai publié avec mes co-auteurs un bref exposé de position. Je ne pense pas qu'à ce moment-là, il y a environ un mois, le sou avait tout à fait chuté avec moi. Et je suis un chercheur biomédical expérimenté, habitué à traiter des ensembles de données et des probabilités complexes.
Le 11 septembre 2020, j'étais invitée à l'émission talkRADIO de Julia Hartley-Brewer. Entre autres choses, j’ai demandé à M. Hancock de publier les preuves soulignant sa confiance et sa planification en faveur de la «deuxième vague». Cette preuve n'a encore été montrée au public par personne. J'ai également exigé qu'il divulgue le taux opérationnel de faux positifs lors des tests du pilier 2.
Le 16 septembre, j'étais de retour sur l'émission de Julia et cette fois je me suis concentré sur la question du taux de faux positifs (1m 45s - 2min 30s). J'avais lu l'analyse de Carl Heneghan montrant que même si le taux de faux positifs était aussi bas que 0,1%, 8 fois plus bas que n'importe quel test similaire, il donne quand même une majorité de faux positifs. Donc, ma critique ne tombe pas si le taux réel de faux positifs est inférieur à mon hypothèse de 0,8%.
RépondreSupprimerLe 18 septembre, M. Hancock est de nouveau apparu, comme il le fait souvent, dans l’émission de Julia Hartley-Brewer. Julia lui a demandé directement (1min 50s - allumé) quel est le taux de faux positifs dans le pilier 2. M. Hancock a déclaré: «C'est moins de 1%». Julia lui a de nouveau demandé ce que c'était exactement, et le savait-il même? Il n’a pas répondu à cela, mais a ensuite déclaré: «cela signifie que, pour tous les cas positifs, la probabilité qu’un d’entre eux soit un faux positif est très faible».
C'est une déclaration très trompeuse car elle est incorrecte. La probabilité qu'un cas apparemment positif soit un faux positif se situe entre 89 et 94%, soit une quasi-certitude. Il convient de noter que même lorsque l'ONS enregistrait sa prévalence la plus faible jamais enregistrée, le taux de positif dans les tests du pilier 2 n'est jamais tombé en dessous de 0,8%.
Cela empire pour le secrétaire à la Santé. Le 17 septembre, je crois, M. Hancock a répondu à une question de Sir Desmond Swayne sur les faux positifs. Il est clair que Sir Desmond pose des questions sur le pilier 2.
M. Hancock a répondu:
«J'aime beaucoup mon très honorable ami et j'aimerais que ce soit vrai. La raison pour laquelle nous avons des tests de surveillance, effectués par l'ONS, est de nous assurer que nous examinons constamment un échantillon représentatif à l'échelle nationale à quel est le taux de cas. La dernière enquête ONS, publiée vendredi, montre une augmentation consommée (sic) avec l'augmentation du nombre de tests qui sont revenus positifs.
Il n’a pas répondu à la question de sir Desmond, mais a plutôt répondu à une question de son choix. Le secrétaire à la Santé a-t-il sciemment induit la Chambre en erreur? En se référant uniquement à l'ONS et en ne mentionnant même pas le taux de faux positifs du test du pilier 2, il volait en quelque sorte le costume du travail plus minutieux de l'ONS qui a un taux de faux positifs plus bas, afin de passer clandestinement à travers le taux de faux positifs beaucoup plus élevé dans le pilier 2. Le lecteur devra décider par lui-même.
Les tests du pilier 2 sont en cours depuis mai, mais ce n'est qu'au cours des dernières semaines qu'ils ont atteint plusieurs centaines de milliers de tests par jour. L’effet de l’augmentation de jour en jour du nombre de personnes qualifiées de «cas» ne peut être surestimé. Je sais que cela suscite la peur, l'anxiété et l'inquiétude face à la possibilité de nouvelles restrictions injustifiées, y compris des verrouillages. Je n'ai aucune idée des motivations de M. Hancock. Mais il a et continue d'utiliser la production extrêmement gonflée d'un test du pilier 2 fatalement défectueux et apparaît souvent dans les médias, insistant gravement sur la nécessité d'interventions supplémentaires (dont aucune, je le répète, ne s'est avérée efficace).
Vous serez très familier avec l'intrigue des cas qui est diffusée sur la plupart des émissions de télévision en ce moment. Il prétend montrer le nombre de cas qui ont augmenté puis diminué au printemps, et la récente augmentation des cas. Ce graphique est toujours accompagné du titre selon lequel «tant de milliers de nouveaux cas ont été détectés au cours des dernières 24 heures».
RépondreSupprimerVous devez savoir qu'il y a deux tromperies majeures, dans cette image, qui combinées sont très susceptibles à la fois d'induire en erreur et d'induire de l'anxiété. Son omniprésence indique qu'il s'agit d'un choix délibéré.
Premièrement, il est très trompeur en ce qui concerne le pic printanier des cas. C'est parce que nous n'avions aucune capacité de dépistage communautaire à l'époque. Un collègue a ajusté le graphique pour montrer le nombre de cas que nous aurions détectés, s'il y avait eu une capacité de test communautaire bien comportée disponible. L'effet est d'augmenter considérablement la taille du pic de cas au printemps, car il y a de très nombreux cas pour chaque hospitalisation et de nombreuses hospitalisations pour chaque décès.
Deuxièmement, comme j'espère vous l'avoir montré et convaincu, les cas en été et actuellement, générés par des tests du pilier 2 gravement défectueux, devraient être corrigés à la baisse d'environ dix fois.
- voir graphiques sur site -
Je pense que les cas authentiques augmentent quelque peu. Ceci est cependant également vrai pour la grippe, que nous ne mesurons pas quotidiennement ni ne rapportons dans tous les bulletins d'information. Si nous le faisions, vous apprécierez qu'à l'avenir, il est fort probable que la grippe représente un plus grand risque pour la santé publique que le COVID-19. L'intrigue des cas corrigés (ci-dessus) place, je crois, les récentes augmentations de l'incidence du COVID-19 dans un contexte beaucoup plus raisonnable. J'ai pensé que vous devriez voir cette différence avant d'arriver à votre propre verdict sur cette triste histoire.
Il y a des conséquences très graves découlant de la surestimation grotesque des soi-disant cas dans les tests communautaires du pilier 2, qui, je crois, ont été mis en place sciemment. Peut-être que M. Hancock croit sa propre copie sur le niveau de risque auquel le grand public est maintenant confronté? Ce n'est pas à moi d'en déduire. Ce que cette énorme surestimation a fait, c'est d'avoir ralenti la normalisation du NHS. Nous savons tous que l’accès aux services médicaux est, à des degrés divers, restreint. De nombreuses spécialités ont été fortement réduites au printemps et après une certaine reprise, certaines sont encore entre un tiers et demi en dessous de leurs capacités normales. Cela a conduit à la fois à des retards continus et à une augmentation des listes d'attente pour de nombreuses opérations et traitements. Je ne suis pas qualifié pour évaluer les dommages causés à la santé de la nation et des individus en conséquence directe de cette longue attente d’une deuxième vague.
Entrer en hiver avec cette configuration entraînera, en plus de l'accès déjà restreint pendant six mois, inévitablement un grand nombre de décès évitables, non-Covid. C'est déjà une accusation assez sérieuse. Moins évidents mais, dans l'ensemble, des impacts supplémentaires découlent de la peur du virus, accentués de manière inappropriée à mon avis, qui comprennent: des dommages ou même la destruction d'un grand nombre d'entreprises, en particulier les petites entreprises, avec perte de moyens de subsistance, perte d'opportunités d'éducation , tensions sur les relations familiales, troubles de l'alimentation, augmentation de l'alcoolisme et de la violence domestique et même des suicides, pour n'en citer que quelques-uns.
RépondreSupprimerPour terminer, je tiens à souligner que, au cours des 40 dernières années seulement, le Royaume-Uni a connu sept épidémies / pandémies officielles; SIDA, grippe porcine, MCJ, SRAS, MERS, grippe aviaire ainsi que grippe saisonnière annuelle. Tout était très inquiétant mais les écoles sont restées ouvertes et le NHS a traité tout le monde et la plupart de la population n'a pas été affectée. Le pays aurait rarement été ouvert s'il avait été fermé à chaque fois.
J'ai expliqué comment un test de diagnostic extrêmement performant a été et continue d'être utilisé non pas pour le diagnostic de la maladie mais, semble-t-il, uniquement pour créer la peur.
Ce détournement de pouvoir doit cesser. Tous les coûts ci-dessus figurent également dans le grand livre lors de la pondération des risques résiduels pour la société liés au COVID-19 et des mesures appropriées à prendre, le cas échéant. Quoi qu'il en soit, le test utilisé dans le pilier 2 doit être immédiatement retiré car il ne fournit aucune information utile. En l'absence d'un nombre de cas largement gonflé résultant de ce test, la pandémie serait vue et considérée comme presque terminée.
* * *
Le Dr Mike Yeadon est l'ancien CSO et vice-président, responsable de la recherche sur les allergies et la respiration chez Pfizer Global R&D et co-fondateur de Ziarco Pharma Ltd.
https://www.zerohedge.com/medical/lies-damned-lies-uk-health-statistics-deadly-danger-false-positives
Comment les CDC / OMS simuleront les effets du vaccin COVID pour en faire un succès
RépondreSupprimerPar Jon Rappoport
Le blog de Jon Rappoport
23 septembre 2020
Faire passer un vaccin comme un champion n’est pas difficile pour les agences de santé publique. Il existe un certain nombre de stratégies.
Bien entendu, ces stratégies frauduleuses seraient des crimes graves. Mais quand cela a-t-il arrêté le CDC ou l'Organisation mondiale de la santé ?
Dans aucun ordre particulier--
PREMIEREMENT: retravailler la définition d'un «cas COVID». Actuellement, le CDC permet absurdement aux médecins de diagnostiquer une personne avec COVID qui a une toux, des frissons et de la fièvre, et vit dans une région où des cas sont réclamés. Aucun test nécessaire.
Alors changez cette pratique, une fois le vaccin approuvé. Exigez des tests pour un diagnostic. Dites que la toux seule ne suffit pas. Des frissons et de la fièvre doivent également être présents. Exiger que la fièvre soit supérieure à 100.
Ces changements et d'autres réduiraient automatiquement le nombre de cas. La baisse des effectifs serait attribuée au vaccin.
Ce «rétrécissement de la définition» a été, en fait, déployé dans les années 1950, après l'introduction du vaccin contre la polio.
DEUXIEMEMENT: Ordonnez une modification de la manière dont le test de diagnostic PCR est effectué. La pratique d'amplification de l'échantillon d'essai original du patient se produit par cycles ou par sauts. Plus le nombre de cycles est élevé, plus le test aboutira à un diagnostic COVID. Par conséquent, commandez un nombre réduit de cycles pour tous les laboratoires de test.
Résultat ? Moins de diagnostics COVID. Moins de numéros de cas. «Le vaccin fonctionne.»
TROISIÈMEMENT: Restreindre discrètement la pratique actuelle de l'hôpital d'écrire arbitrairement «COVID» sur les dossiers des patients et des décès.
QUATRIEMEMENT: Préparez et publiez de fausses études montrant que de plus en plus de personnes développent une immunité contre le virus. Attribuez cela au vaccin.
CINQUIEMEMENT: Un autre type de fausse étude - «la transmission du virus d'une personne à l'autre ralentit, grâce au vaccin».
SIXIEMEMENT: Augmentez le succès de la délivrance des certificats d'immunité après la vaccination. «Les gens se sentent plus en sécurité maintenant. De plus en plus d'entreprises rouvrent… »
SEPTIEMEMENT: En utilisant la presse conforme, émettez simplement des déclarations chauves que le vaccin est un succès.
HUITIEMEMENT: Cachez les nombreux cas de blessures et de décès du vaccin. Si nécessaire, prétendez que COVID était la cause.
NEUVIEMEMENT: avertissez que la merveilleuse immunité dérivée du vaccin n'est pas permanente et que des injections de rappel fréquentes sont nécessaires.
DIXIEMEMENT: retravailler la définition de «l'immunité acquise par vaccin». Même une réponse anticorps très faible du coup de feu serait qualifiée d '«immunité protectrice».
RépondreSupprimerONZIEMEMENT: Un grand nombre de personnes atteintes d'une maladie grippale ordinaire, d'une pneumonie et d'autres infections pulmonaires traditionnelles sont appelées «COVID». Changez cette pratique. Revenez à appeler beaucoup de ces personnes «grippe», «pneumonie», etc. Le nombre de cas de COVID diminuera. Prétend que la goutte est l'effet du vaccin.
DOUZIÈMEMENT: Actuellement, des millions de cas dits COVID ont des «comorbidités». Ce sont des problèmes de santé antérieurs graves qui sont, en fait, les véritables causes de maladies et de décès. Bien sûr, cela est refusé. Mais après l'introduction du vaccin… réduisez la pratique consistant à compter tous ces patients comorbides malades et décédés comme «COVID». Les nombres de cas et de décès chuteront. Réclamez que le vaccin est la raison.
TREIZIÈMEMENT: Après l'introduction du vaccin, ralentissez les tests pendant une brève période. Cela réduira automatiquement le taux de nouveaux cas. Attribuez le déclin au vaccin.
Commettre ces crimes est une promenade dans le parc pour les agences de santé publique.
Et nommer des porte-parole officiels pour porter des mensonges au public est aussi simple que d'entraîner les petits Faucis à s'asseoir et à aboyer.
Reproduit avec la permission du blog de Jon Rappoport.
https://www.lewrockwell.com/2020/09/jon-rappoport/how-cdc-who-will-fake-the-effects-of-the-covid-vaccine-to-make-it-look-like-a-success/
Pour arrêter une pandémie ? Arrêter les chemtrails ! (par avions ou par drones).
SupprimerUn vaccin n'est pas injecté pour tuer une bactérie puisque un virus est une nano-particule minérale ou métallique. Un vaccin va se charger d'encapsuler le virus qui continuera d'irradier ou d'aimanter mais moins fortement. Notre organisme va lui aussi se défendre contre cette poussière étrangère et va lui aussi l'encapsuler (ou tenter de le faire) bien avant que n'arrive le vaccin.
Pour nettoyer le corps des virus qui y sont (depuis xx années !), il faut passer par la chélation.
Rechercher un chélateur.
RépondreSupprimerVaccination: qu'est-ce que la confiance a à voir avec cela ?
Par Joseph Mercola
Mercola.com
23 septembre 2020
Alors que le Centre national d'information sur les vaccins (NVIC) se prépare à accueillir la Cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination de trois jours et trois nuits qui sera diffusée en ligne du 16 au 18 octobre 2020, le thème que nous avons choisi est «Protéger la santé et l'autonomie en le 21e siècle », parce qu'à aucun moment de l'histoire moderne il n'a été plus important pour nous tous de prendre position et de faire exactement cela.
Cette année, les actions orchestrées par les gouvernements du monde entier pour restreindre ou éliminer les libertés civiles en réponse à l'émergence d'un nouveau coronavirus ont été sans précédent et ont eu des effets profonds sur l'économie mondiale et sur la santé physique, mentale et émotionnelle de milliards de personnes de personnes.1
À la mi-septembre 2020, environ 29 millions de cas du nouveau syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) avaient été signalés dans le monde, avec environ 925000 décès associés.
Les États-Unis, troisième pays le plus peuplé du monde avec 330 millions d'habitants, ont enregistré plus de 7 millions de cas et 198000 décès, avec un taux estimé à 598 décès par million d'habitants, soit un taux de mortalité par million d'habitants plus élevé que la Suède2, où Les responsables de la santé ont refusé d'ordonner le masquage ou le verrouillage du pays et ont permis à la population d'acquérir une immunité naturelle du troupeau contre le virus.3,4
La mortalité globale par COVID-19 est inférieure à 1%
Selon l'Organisation mondiale de la santé, le taux global de mortalité par infection pour le nouveau coronavirus du SRAS causant le COVID-19 est d'environ 0,6%, 5 bien que certains scientifiques disent qu'il est inférieur, 6 tandis que d'autres estiment qu'il peut atteindre 1 à 2% en certaines parties du monde.7
Par rapport à Ebola avec un taux de mortalité de 50 %8 ou la variole qui a tué 30%, 9 ou la tuberculose qui est encore une maladie mortelle tuant 20% à 70%, 10 ou la diphtérie de 5% à 10%, 11 ou la pandémie de grippe de 1918 avec un Taux de mortalité de 2,5%, 12 Le COVID-19 se situe près du bas de l'échelle de mortalité par maladies infectieuses avec un taux de mortalité inférieur à 1% dans la plupart des pays.
Les personnes les plus à risque de complications et de décès sont les personnes âgées et celles qui souffrent d'un ou plusieurs problèmes de santé.
Le CDC a récemment rapporté que seulement 6% des décès liés au COVID-19 étaient uniquement dus à une infection à coronavirus et que 94% des personnes décédées avaient également la grippe ou une pneumonie; maladie cardiaque, pulmonaire ou rénale; hypertension artérielle; diabète, ou un autre mauvais état de santé sous-jacent.14 La plupart des études suggèrent qu'il est rare que les enfants souffrent de complications et meurent du COVID-19.15
Mais sept mois après que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) 16 a déclaré une pandémie de coronavirus17, et que les responsables de la santé publique ont persuadé les législateurs de renverser le monde, beaucoup de gens se posent des questions, tout comme les médecins qui sont en désaccord sur les faits. Des questions comme:
D'où vient le nouveau virus respiratoire ?
RépondreSupprimerLes récits les plus populaires sur le coronavirus muté sont qu'il a sauté d'une chauve-souris ou d'un autre animal sur un marché chinois de la nourriture humide18,19 ou s'est échappé d'un laboratoire de biohazard en 201920,21, mais les scientifiques continuent de se demander quel scénario est plus probable.22 Et cette question:
Si je porte un masque en tissu, est-ce que cela m'empêche vraiment d'être infecté ou de transmettre le COVID-19 ?
Il y a un débat en cours dans la communauté médicale pour savoir si c'est une bonne idée pour tous les enfants et adultes en bonne santé de porter des masques en tissu lorsqu'ils quittent leur domicile.23 En mars 2020, le chirurgien général américain a ordonné au public américain de cesser d'acheter et de porter ces masques car «ils ne sont pas efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le coronavirus» 24 et «peuvent en fait augmenter la propagation du coronavirus», ce qui était la position de l'Organisation mondiale de la santé.25
Mais en avril, le CDC est revenu sur son ordre de «ne pas masquer» et a exhorté tous les Américains en bonne santé à porter volontairement des couvre-visage en tissu fait maison lorsqu'ils entrent dans les espaces publics.26
En juin, l'OMS continuait de dire que «À l'heure actuelle, l'utilisation généralisée des masques partout n'est pas étayée par des preuves scientifiques de haute qualité, et il y a des avantages et des inconvénients potentiels à prendre en compte… Les masques à eux seuls ne vous protégeront pas de COVID-19. »27
Mais en juin, un certain nombre de gouverneurs d'État et de gouvernements locaux avaient rendu obligatoire le port du masque facial et une épidémie de honte au masque avait commencé, 28,29 qui a conduit à des protestations publiques contre les mandats de masquage.30 En août, le CDC a doublé et élargi les directives sur le masquage du visage, inclure tous les enfants de plus de 2 ans, tandis que l'OMS a averti que les enfants de moins de 6 ans ne devraient pas porter de masque mais que les enfants de plus de 12 ans devraient le faire32.
Ainsi, la confusion règne. Alors que certains scientifiques disent que si toutes les personnes en bonne santé sont obligées de porter des masques faciaux, cela n'arrêtera pas la pandémie de coronavirus et donne une illusion dangereuse et fausse de sécurité, 33 autres scientifiques diabolisent les refusants, alléguant que les personnes refusant de se masquer sont " sociopathes »et ont des niveaux d'empathie inférieurs34.
Environ 30 États américains exigent le masquage pour les jeunes enfants et les adultes qui pénètrent dans les espaces publics35, et certains États imposent de lourdes amendes pouvant aller jusqu'à 1000 dollars ou menacent d'emprisonner quiconque ne se conforme pas.36
L'État de Washington a fait de ne pas porter de masque en public un délit de délit37 et les responsables du centre du Texas ont déclaré qu'ils souhaiteraient pouvoir mettre des personnes en prison pour avoir refusé de porter un masque.38 Plus de 50 pays dans le monde exigent désormais que les gens se couvrent le visage lorsqu'ils quittent la maison et certains se débrouillent bien et emprisonnent les personnes qui sortent sans masque.39
RépondreSupprimerAlors, qu'en est-il de se faire tester pour COVID-19 ? Le CDC dit que les personnes devraient se faire tester si elles présentent des symptômes du COVID-19 ou si elles ont été en contact avec une personne chez qui l'infection a été diagnostiquée. Il existe également un test d'anticorps pour déterminer si vous avez été infecté ou non dans le passé.40 Mais les tests de laboratoire ne sont pas toujours fiables et les gens se posent cette question logique:
Si j'obtiens un test de laboratoire, identifiera-t-il avec précision si je suis actuellement infecté ou si j'ai été infecté par COVID-19 dans le passé ?
Malheureusement, la précision de l'un des tests n'est pas claire, en particulier le test d'anticorps pour une infection passée, car la présence d'anticorps n'est peut-être pas le seul moyen de mesurer l'immunité.41 La meilleure estimation est que la plage de résultats faussement négatifs signalés pour le le test sur écouvillon nasal est compris entre 2 % et 50 %, et les résultats faussement négatifs rapportés pour le test sanguin d'anticorps peuvent atteindre 30 %, selon le moment pendant ou après le test d'infection.42
En juillet, un laboratoire d'État du Connecticut a admis que 90 personnes sur 144 testées au cours d'une période de 30 jours - la plupart d'entre elles résidant dans une maison de soins infirmiers - avaient été informées à tort qu'elles étaient infectées en raison de tests de laboratoire défectueux et faux positifs.43 En août 77 Les joueurs de football de la Ligue nationale de football ont reçu des résultats de test faussement positifs lorsque, après un nouveau test, tous les tests sont revenus négatifs.44 Les gens se demandent également ce qui se passe après avoir reçu le COVID-19, en posant cette question:
Si je me rétablis du COVID-19, est-ce que je n'obtiendrai qu'une immunité temporaire ou aurai-je une immunité à long terme contre la réinfection ?
Le CDC dit qu'on ne sait pas combien de temps dure l'immunité ou si vous pouvez contracter la nouvelle infection à coronavirus deux fois.45 Cependant, les chercheurs du printemps dernier ont découvert que sur 68 personnes non infectées, le sang d'un tiers d'entre elles contenait des lymphocytes T auxiliaires qui reconnaissaient le coronavirus muté du SRAS.
Ils ont conclu que la présence de ces lymphocytes T auxiliaires défensifs prouve une certaine immunité résiduelle qui peut avoir été produite après des infections par le rhume causées par d'autres types de coronavirus. Ceci, selon les scientifiques, "augure bien pour le développement d'une immunité protectrice à long terme."
Une autre étude importante a été publiée dans la littérature médicale en août, fournissant des preuves de réponses immunitaires robustes des lymphocytes T à mémoire chez des personnes qui s'étaient rétablies de cas même légers ou asymptomatiques de COVID-19, mais qui n'avaient pas d'anticorps détectables spécifiques au virus.47
Si les gens peuvent avoir de fortes réponses immunitaires sans symptômes et que les tests d'anticorps traditionnels pour la preuve de l'immunité ne s'appliquent pas au COVID-19, les responsables de la santé publique peuvent sous-estimer l'étendue de l'immunité collective au niveau de la population qui existe déjà aux États-Unis, où il existe plus de cas signalés que partout ailleurs.
COVID-19 lois sur la santé publique un désastre des relations publiques
RépondreSupprimerAlors que les médecins débattent de la science, il devient de plus en plus clair que la réponse à la nouvelle infection à coronavirus par les responsables gouvernementaux de la santé a été un désastre de relations publiques. L'anxiété, la peur et le chaos créés par les réglementations instituées par la plupart des gouvernements après la déclaration d'une pandémie de COVID-19 cette année ont déchiré le tissu des sociétés et affecté l'opinion publique sur les lois de santé publique et la vaccination.48
Maintenant, on dit aux gens qu'il y a une - et une seule - solution simple pour résoudre la crise et revenir à la normale: c'est la seule façon pour nous d'enlever nos masques et de toucher, étreindre, embrasser ou s'approcher de chacun. autre encore 49,50,51,52,53,54 est pour chaque personne vivant dans chaque pays de se faire injecter l'un des vaccins sans responsabilité COVID-19 en cours de mise sur le marché rapide ! 55,56,57,58,59
Les gouvernements ont donné aux sociétés pharmaceutiques une protection contre les poursuites judiciaires lorsque les vaccins COVID-19 blessent ou tuent des personnes ! La vente difficile est en cours, mais beaucoup de gens ne l'achètent PAS. Chaque sondage effectué cette année a révélé qu'entre 40 % et 70 % des personnes vivant aux États-Unis et en Europe ne prévoient pas de se faire vacciner contre le COVID-19 lorsqu'il sera homologué.
En avril, les responsables de l'OMS aux Nations Unies ont lancé une initiative mondiale «pour mettre fin à la pandémie de COVID-19», proclamant que «personne n'est en sécurité tant que tout le monde n'est pas en sécurité» .60 En mai, ils avertissaient que si chaque personne dans le monde ne se fait pas injecter le vaccin COVID-19, le virus «risque de ne jamais disparaître» 61.
L'OMS, 62 le gouvernement américain63,64,65,66 et les législateurs de l'Union européenne67, ainsi que des organisations non gouvernementales (ONG) riches et politiquement puissantes comme la Fondation Gates, 68,69,70 GAVI, la Vaccine Alliance, 71 et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) 72 ont donné à l'industrie pharmaceutique des dizaines de milliards de dollars pour développer et accélérer la mise sur le marché de vaccins expérimentaux contre les coronavirus et promouvoir leur utilisation universelle.73,74
Dans le même temps, les gouvernements ont donné aux entreprises pharmaceutiques une protection contre les poursuites judiciaires lorsque les vaccins COVID-19 blessent ou tuent des personnes ! 75,76 La vente difficile est en cours, mais beaucoup de gens ne l'achètent PAS.
Les gens rejettent l'argumentaire de vente du vaccin COVID-19
Chaque sondage effectué cette année a révélé qu'entre 40 % et 70 % des personnes vivant aux États-Unis et en Europe ne prévoient pas de se faire vacciner contre le COVID-19 lorsqu'il sera homologué.77,78,79,80,81,82 Populations in les pays développés résistent à l'appel de la sirène à la «solidarité», car le doute sur les vaccins COVID-19 devient de plus en plus courant dans les pays en développement également.83
Le refus d'un public méfiant a surpris les représentants du gouvernement. Apparemment, ils espéraient que la privation économique et sociale, la peur et le chaos entourant les verrouillages produiraient un marché haussier pour les vaccins expérimentaux à ARNm et ADN COVID-19 en utilisant une technologie qui n'a jamais été homologuée pour les humains.84
Il est largement reconnu maintenant qu'un solide deux tiers des Américains ou plus «diront simplement non» à l'injection d'un vaccin contenant des parties modifiées en laboratoire d'un nouveau coronavirus dont les scientifiques admettent qu'ils ne savent toujours pas grand-chose, 85 vaccins qui des essais cliniques préliminaires ont révélé que cela pourrait bien causer plus que quelques réactions mineures ! 86.
RépondreSupprimerUn haut responsable de la santé américain frustré a surnommé des Américains qui refusent d'accepter les politiques et les lois de santé publique, les qualifiant d '«anti-science» et d' «anti-autorité». 87,88 La vérité est que les gens de ce pays et beaucoup d'autres n'ont tout simplement pas confiance dans la qualité et la quantité des scientifiques ou des responsables gouvernementaux de la santé auxquels on leur dit de faire confiance.89
En colère contre le fait qu'un nombre croissant de personnes hésitent à retrousser leurs manches pour un vaccin qui se précipite sur le marché à la «vitesse de distorsion», des responsables de la santé publique, 90 technocrates milliardaires de la Silicon Valley, 91,92,93 médecins, avocats et professeurs de bioéthique94,95,96,97,98 et les politiciens99 battent le tambour pour la promulgation rapide de lois sur la vaccination obligatoire «sans exception» dès que les vaccins COVID-19 sont autorisés ! 100
Déjà, certaines pom-pom girls des principales universités frappent ce tambour pour approuver et utiliser les vaccins expérimentaux COVID-19 avant même que les tests ne soient effectués, 101 et demandent que les jeunes et en bonne santé soient les premiers à recevoir le vaccin parce que c'est leur «devoir civique »Pour protéger tout le monde.102
Ils préviennent que «l'immunité collective peut ne pas être atteinte si les gens refusent de se faire vacciner contre le coronavirus» 103,104 et affirment que, pour assurer la «sécurité» de la société, des lois doivent être adoptées pour menacer et contraindre vous et vos enfants mineurs à vous faire vacciner ou faire face à des sanctions sociales paralysantes qui vous priveront effectivement de liberté et détruiront votre vie.105
Les gens aux États-Unis et dans d'autres pays se lèvent pour défendre la liberté
Cet été, d'énormes manifestations publiques pour défendre la liberté à Berlin, 106 Londres, 107 Paris108 et Copenhague ont vu des dizaines de milliers de citoyens se rassembler pour protester contre le masquage109 et d'autres politiques de verrouillage oppressives contre les coronavirus, qui ont sévèrement restreint les contacts physiques normaux entre les gens, ont provoqué un chômage généralisé, 110 et ont nui à leur santé physique, mentale et émotionnelle.111
Comme en Europe, les personnes vivant au Canada 112, en Australie113,114 et en Nouvelle-Zélande115 résistent également pendant des mois à des politiques de distanciation sociale qui ont éliminé les droits humains fondamentaux, tels que la liberté d'expression et de réunion.
Les États-Unis ont vu des manifestations publiques similaires mais plus modestes s'opposant aux lois de masquage forcé, de distanciation sociale et de verrouillage et à la défense de la liberté en Virginie, 116 Pennsylvanie, 117 Wisconsin, 118 Michigan, 119 Californie120 et d'autres États, alors qu'un nombre record d'Américains luttent contre le chômage, 121.122 le destruction de petites entreprises de la classe moyenne, 123 défauts de paiement hypothécaire124 et dépôts de bilan; 125 fortes hausses de l'anxiété et de la dépression, 126127 toxicomanie et alcoolisme, 128 abus envers les enfants et les conjoints, 129 et divorce.130
Les sanctions sociales en cas de non-vaccination peuvent s'aligner sur les sanctions de verrouillage
RépondreSupprimerLes sanctions sociales punitives dont il est question si vous refusez une vaccination contre le COVID-19 seront probablement appliquées à l'aide de systèmes de suivi électroniques gérés par le gouvernement liés à des «passeports d'immunité» numériques qui vous obligent à «prouver» que vous êtes immunisé contre le nouveau coronavirus du SRAS avant vous êtes autorisé à travailler dans un immeuble de bureaux ou à pénétrer dans d'autres espaces publics.131.132.133.134
Ces sanctions sociales pour défaut de vaccination peuvent ressembler étroitement aux types de restrictions d'interaction sociale appliquées aux États-Unis et dans d'autres pays au cours de l'année écoulée.
Aux États-Unis, la plupart des lois sur la santé publique, y compris les lois sur les vaccins, sont adoptées par les États135, tandis que le gouvernement fédéral formule des recommandations sur l'utilisation des vaccins et peut imposer des vaccins aux personnes traversant les frontières nationales ou étatiques. Les gouvernements locaux des villes et des comtés peuvent également imposer leurs propres réglementations en matière de santé publique.136 C'est pourquoi certains États et villes ont vu des réglementations très restrictives de masquage de la pandémie de COVID-19137 et de verrouillage138 et d'autres ont été plus ouvertes.139
Ainsi, la question de savoir si vous serez puni ou non pour avoir refusé de vous faire vacciner contre le COVID-19 l'année prochaine sera principalement déterminée par le gouverneur de votre État et les représentants qui ont été élus pour légiférer dans votre capitale.140
Selon l'endroit où vous vivez et la philosophie politique de la majorité des représentants de la législature de votre État, une fois que le vaccin COVID-19 est autorisé par la Food and Drug Administration (FDA) fédérale et recommandé par le CDC pour une utilisation par tous les enfants et adultes, 141 si vous refusez de vous faire vacciner contre le COVID-19, vous pourriez être bloqué à partir de: 142
Et vous pourriez être interdit de vous enregistrer dans un hôpital pour une intervention chirurgicale, ou de rendre visite à un membre de votre famille dans une maison de soins infirmiers, ou de ne pas obtenir une assurance maladie privée et Medicaid ou Medicare.
En d'autres termes, si vous refusez de vous faire vacciner contre le coronavirus, vous pourriez être soumis aux types de sanctions sociales punitives que je prévois et dont j'ai publiquement mis en garde depuis 1997,143,144,145,146 sanctions qui sont déjà appliquées aux Américains qui refusent d'obtenir ou de donner leurs enfants des dizaines de doses de vaccins sans responsabilité «recommandés» par les CDC147 et se voient déjà refuser une éducation, des soins médicaux et un emploi.148,149
Des promesses non tenues mènent à une confiance brisée
Les médecins et les responsables de la santé publique se demandant pourquoi les gens ne font pas confiance à ce qu'ils disent sur les maladies infectieuses et la vaccination, y compris les vaccins contre le coronavirus et le COVID-19, n'ont qu'à se regarder dans le miroir pour répondre à la question.
Depuis 1982, les parents d'enfants blessés par le vaccin ont supplié les médecins de faire le genre de science qui expliquera pourquoi tant d'enfants hautement vaccinés, qui ne contractent plus la rougeole ou la varicelle, sont coincés et souffrent de maladies cérébrales et auto-immunes. troubles qui ne disparaissent jamais.150 Depuis quatre décennies, nous demandons aux médecins et aux responsables gouvernementaux de la santé de cesser de faire des victimes de politiques vaccinales inhumaines et universelles, sous le tapis.151
RépondreSupprimerCe que nous obtenons des professeurs de médecine des universités recevant beaucoup d'argent du gouvernement et des sociétés pharmaceutiques, des médecins qui développent des vaccins et des responsables de la santé publique qui poussent des politiques de vaccination «sans exception» sont des menaces, des injures, des brimades et des punitions si nous essayons exercer un consentement éclairé à la vaccination.152,153,154 Il n'y a pas d'autre mot que d'abus.
Ils nous ordonnent de leur obéir mais refusent d'assumer la responsabilité de ce qui se passe lorsque nous obéissons aux ordres qu'ils donnent. Ils attendent de nous que nous leur fassions confiance et refusent de nous soucier des victimes de la vaccination lorsque les bénéfices ne l'emportent pas sur les risques.
Au lieu de cela, ils agissent pour protéger le pouvoir et le profit de leurs partenaires commerciaux: l'industrie pharmaceutique, les associations professionnelles médicales, les multinationales des médias et les milliardaires de la Silicon Valley, et laissent les victimes de vaccins prendre soin d'elles-mêmes. Qu'est-ce que la confiance a à voir avec cela?
La confiance brisée a tout à voir avec la raison pour laquelle la majorité des gens aux États-Unis et en Europe ne veulent pas lancer les dés et savoir si les chances de survivre à une vaccination COVID-19 sont en leur faveur.
C'est pendant cette période extraordinaire de grands défis et d'opportunités que NVIC parraine la Cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination. Notre conférence créera une base élargie de connaissances sur la science, la politique, le droit et l'éthique des vaccins, apportée par plus de 40 conférenciers distingués, qui vous donneront les informations dont vous avez besoin pour devenir un défenseur efficace de la liberté des vaccins.
Rendez-vous sur NVIC.org et inscrivez-vous dès aujourd'hui à cette conférence historique célébrant la liberté de pensée, d'expression et de conscience et obtenez un accès en ligne permanent à cette précieuse vidéothèque d'informations. C’est votre santé, votre famille, votre choix. Et notre mission continue: pas de vaccination forcée, pas en Amérique.
Aidez à soutenir la Semaine de sensibilisation aux vaccins
La dixième semaine annuelle de sensibilisation aux vaccins, du 20 au 26 septembre 2020, présentera des informations importantes sur la science, la politique et le droit des vaccins que vous pourrez partager avec votre famille et vos amis.
Avec les efforts agressifs des sociétés pharmaceutiques, des groupes de commerce médical et du gouvernement pour restreindre ou éliminer toutes les exemptions de vaccins selon les croyances personnelles et restreindre sévèrement les exemptions médicales aux États-Unis, il est essentiel que vous agissiez maintenant pour protéger votre droit légal de faire des choix de vaccins volontaires et informés.
Heureusement, le Centre national d'information sur les vaccins (NVIC) à but non lucratif fournit au public des informations indépendantes et bien référencées sur les vaccins et plaide pour la sécurité des vaccins et la protection du consentement éclairé dans le système de santé publique. La mission de cet organisme de bienfaisance éducatif depuis 1982 est de prévenir les blessures et les décès dus aux vaccins grâce à l’éducation du public et de garantir et de défendre votre droit légal d’exercer un consentement volontaire et éclairé à la vaccination.
RépondreSupprimerCette année, NVIC parraine la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination: protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle en ligne du 16 au 18 octobre 2020. Vous ne voudrez pas la manquer - inscrivez-vous ici aujourd'hui.
Ressources où vous pouvez en savoir plus
NVIC Advocacy Portal - Devenez un utilisateur enregistré de ce réseau de communication en ligne gratuit unique qui vous connecte électroniquement directement avec vos propres législateurs et vous envoie des alertes d'action avec des points de discussion afin que vous puissiez être un défenseur efficace du choix de vaccin dans votre état. informez vos législateurs des raisons pour lesquelles il est nécessaire de protéger les exemptions de vaccins et votre droit légal de prendre des décisions volontaires en matière de vaccination pour vous-même et vos enfants.
Demandez 8 Kiosque d'information sur les vaccins - Téléchargez des brochures et des rapports sur la vaccination et comment reconnaître les symptômes de la réaction au vaccin, ainsi que des affiches et des badges Web que vous pouvez partager avec votre famille et vos amis. Accédez au Guide illustré et entièrement référencé sur la réforme de la politique et de la législation en matière de vaccins pour éduquer votre législateur lorsque vous préconisez le droit au consentement éclairé pour les vaccins.
Loi de l'État et exigence de vaccins
- Vous pouvez facilement obtenir les politiques et lois actuelles en matière de vaccins de votre État ici.
Rapports sur les réactions vaccinales et le harcèlement - Recherchez et lisez les descriptions des rapports sur les réactions vaccinales faites au système fédéral de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS). Sur le site Web de NVIC, lisez ou rapportez publiquement une réaction au vaccin ou décrivez une expérience d’intimidation et de sanction pour avoir tenté d’exercer un consentement éclairé à la vaccination pour vous-même ou votre enfant.
Guide des vaccins contre la grippe et la grippe - Ce mini-guide des vaccins contre la grippe et la grippe est un bref résumé des faits sur la grippe et les vaccins contre la grippe.
Contribuons à faire de la conférence en ligne sur les vaccins du NVIC d’octobre 2020 un grand succès
Du 16 au 18 octobre 2020, NVIC sponsorise la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination: protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle en ligne. Plus de 40 conférenciers distingués - dont le Dr Joe Mercola - présenteront des informations et des perspectives critiques sur la vaccination, la santé et l'autonomie que vous pouvez utiliser pour protéger vos droits à la liberté de la santé en 2021. Ce sera une conférence historique que vous ne pouvez pas vous permettre manquer !
RépondreSupprimerParrainer le travail de pionnier de NVIC
Veuillez soutenir le travail de pionnier du NVIC pour protéger le droit de savoir et la liberté de prendre des décisions de vaccination volontaires. Devenez un commanditaire de la conférence Starfish pour 250 $ ou plus et aidez NVIC à maintenir le prix général du billet de 80 $ à un bas niveau afin que beaucoup plus de personnes, en particulier les familles aux prises avec des problèmes financiers cette année, puissent y assister et avoir un accès permanent aux informations de la conférence en ligne.
Donnez au NVIC votre vote de confiance pour poursuivre sa mission de sauvetage de quatre décennies visant à prévenir les blessures et les décès dus aux vaccins grâce à l'éducation du public et à préserver la liberté de la santé. Inscrivez-vous ici pour assister à la cinquième conférence publique internationale sur la vaccination du 16 au 18 octobre 2020 du NVIC: «Protéger la santé et l'autonomie au 21e siècle».
Sources et références
1 Voir toutes les références
https://www.lewrockwell.com/2020/09/joseph-mercola/vaccination-whats-trust-got-to-do-with-it/
(...) soit un taux de mortalité par million d'habitants plus élevé que la Suède2, où Les responsables de la santé ont refusé d'ordonner le masquage ou le verrouillage du pays et ont permis à la population d'acquérir une immunité naturelle du troupeau contre le virus.3,4
SupprimerIl y a un débat en cours dans la communauté médicale pour savoir si c'est une bonne idée pour tous les enfants et adultes en bonne santé de porter des masques en tissu lorsqu'ils quittent leur domicile.23 En mars 2020, le chirurgien général américain a ordonné au public américain de cesser d'acheter et de porter ces masques car «ils ne sont pas efficaces pour empêcher le grand public d'attraper le coronavirus» 24 et «peuvent en fait augmenter la propagation du coronavirus», ce qui était la position de l'Organisation mondiale de la santé.25 (...)
Compte tenu que les masques proposés ne sont PAS antivirus et que l'emprisonnement (chez soi) est inutiles et aggravant, seules les personnes non-chemtraillées ont pu s'en sortir !
Pour le Pr Raoult, l'épidémie actuelle est «une autre maladie» qui «n’a rien à voir» avec celle de mars-avril
RépondreSupprimer12:27 23.09.2020
Par Victor Koulakov
Dans sa dernière vidéo, le professeur Didier Raoult avance que le virus est en train de muter et devient moins dangereux qu'au printemps. Selon lui, l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués ne conduit pas à celle du nombre de morts.
Le directeur de l'IHU Méditerranée Infection réitère dans sa nouvelle vidéo les propos qu’il a tenus la semaine dernière au Sénat, avançant que le virus connaît une mutation et devient moins dangereux qu'au printemps dernier.
«Il y a un phénomène particulier qui est l'augmentation du nombre de cas diagnostiqués sans augmentation du tout de la mort, donc il y a une discordance», explique-t-il. «L'épidémie actuelle n'a rien à voir avec l'épidémie de mars-avril, c'est une autre maladie.»
Une idée que ne partage pas Bruno Megarbane, chef du service de réanimation à l'hôpital Lariboisière, dans une vidéo diffusée à la suite par CNews.
«À mon sens, on ne peut pas du tout dire qu'il existe une réduction de la virulence du virus. Je ne dirais pas qu'il s'agit d'une nouvelle maladie, mais possiblement une maladie avec un profil épidémique modifié en raison des mesures interventionnelles qui ont été prises pour prévenir la contamination», rétorque-t-il, signalant qu'une hausse de la mortalité est possible dans les prochains jours.
Audition au Sénat
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat le 15 septembre, le Pr Raoult a une nouvelle fois défendu l'utilisation de l'l'hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19 et évoqué la mutation du virus devenu moins grave.
Selon lui, «le virus a aujourd’hui dix fois plus de variations que celui présent jusqu'en mai».
«Les mutants qu’on a sont plutôt des formes dégradées de la forme initiale. C’est plutôt notre impression. C’est très compliqué de deviner le pouvoir pathogène d’un virus en voyant sa séquence. Personne ne sait vraiment le faire. Mais globalement, nous, ça nous apparaît lié à des formes qui sont moins graves», avait-t-il déclaré en fin d'audition.
https://fr.sputniknews.com/france/202009231044471750-pour-le-pr-raoult-lepidemie-actuelle-est-une-autre-maladie-qui-na-rien-a-voir-avec-celle-de/
Çà y est ! Il a été chemtraillé un nouveau nouveau Corona 20 ! (et 21, 22, 10106 ? ?).
SupprimerCOVID-19: La Suède a-t-elle une immunité collective ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 23/09/2020 - 05:00
Rédigé par Sebastian Rushworth, M.D.,
Au début du mois d'août, j'ai écrit un article sur mes expériences de travail en tant que médecin urgentiste à Stockholm, en Suède, pendant la pandémie de covid. Pour ceux qui ne le savent pas, la Suède n'est jamais entrée dans un verrouillage complet. Au lieu de cela, le pays a imposé un verrouillage partiel qui était presque entièrement volontaire. Il a été recommandé aux personnes occupant un emploi de bureau de travailler à domicile, et il a été recommandé aux personnes en général d'éviter les transports en commun, sauf si nécessaire. Il a été recommandé à ceux qui avaient plus de 70 ans ou qui avaient de graves problèmes de santé sous-jacents de limiter les contacts sociaux.
La seule restriction imposée par le gouvernement depuis le début était une exigence que les gens ne se rassemblent pas en groupes de plus de 50 personnes à la fois. Après qu'il est devenu clair que le covid était avant tout dangereux pour les personnes en maison de retraite, une restriction supplémentaire a été imposée aux visites dans les maisons de retraite. À aucun moment, les gens n'ont été tenus de porter des masques faciaux en public. Les restaurants, cafés, coiffeurs et magasins sont restés ouverts tout au long de la pandémie. Les écoles maternelles et les écoles pour les enfants jusqu'à l'âge de 16 ans sont restées ouvertes, tandis que les écoles pour les enfants de 16 à 19 ans sont passées à l'enseignement à distance.
Mon expérience personnelle est que les gens ont assez bien suivi les restrictions volontaires au début, mais qu'ils sont devenus de plus en plus laxistes avec le temps. À titre d'exemple personnel, ma mère et mes beaux-parents sont restés enfermés chez eux pendant les six premières semaines environ de la pandémie. Après cela, ils ne pouvaient plus supporter d’être éloignés de leurs petits-enfants.
Dans mon article précédent en août, j'ai mentionné qu'après un pic initial qui a duré environ un mois, de mars à avril, les visites aux urgences en raison de covid avaient diminué continuellement et les décès en Suède étaient passés de plus de 100 à jour au sommet en avril, à environ cinq par jour en août.
Au moment où j'ai écrit cet article en août, je n'avais pas vu un seul patient covid depuis plus d'un mois. J’ai émis l’hypothèse que la Suède avait développé une immunité collective, car la baisse énorme et continue se produisait en dépit du fait que la Suède ne prenait pas vraiment de mesures sérieuses pour empêcher la propagation de l’infection.
Alors, comment les choses ont-elles évolué au cours des six semaines qui ont suivi ce premier article ?
Eh bien, dans l’état actuel des choses, je n’ai pas vu un seul patient convidé aux urgences depuis plus de deux mois et demi. Les gens ont continué à devenir de plus en plus détendus dans leur comportement, ce qui est perceptible dans l'augmentation des volumes dans les salles d'urgence. Au plus fort de la pandémie en avril, je voyais environ deux fois moins de patients par quart de travail que d'habitude, probablement parce que beaucoup de gens avaient peur d'aller aux urgences de peur d'attraper un covid. Les volumes sont maintenant revenus à la normale.
Quand je suis assis dans le tube sur le chemin du travail, il est plein de monde. Peut-être qu'une personne sur cent choisit de porter un masque facial en public. À Stockholm, la vie est en grande partie revenue à la normale. Si vous regardez les premières pages des tabloïds, de nombreux jours, il n'y a pas une seule mention de covid nulle part. Au moment où j'écris ces lignes (19 septembre 2020), les premières pages des deux principaux tabloïds ont de grandes diffusions sur l'arthrite et les pensions. Apparemment, l'arthrite et les pensions sont actuellement plus excitantes que le covid-19 en Suède.
RépondreSupprimerMalgré cette attitude détendue, le taux de mortalité a continué de baisser. Quand j'ai écrit le premier article, j'ai écrit que le covid avait tué moins de 6 000 personnes. Combien de personnes sont mortes maintenant, six semaines plus tard ? En fait, nous sommes toujours à moins de 6 000 morts. En moyenne, une à deux personnes par jour meurent actuellement de covid en Suède, et ce nombre continue de baisser.
Dans l’hôpital où je travaille, il n’y a pas une seule personne actuellement traitée pour le covid. En fait, dans l'ensemble de Stockholm, un comté de 2,4 millions d'habitants, il n'y a actuellement que 28 personnes traitées pour covid dans tous les hôpitaux réunis. Au sommet, en avril, ce nombre était supérieur à 1 000. Si 28 personnes sont actuellement à l'hôpital, sur 2,4 millions qui vivent à Stockholm, cela signifie que les chances d'avoir un cas de covid si grave qu'il nécessite un traitement à l'hôpital sont actuellement d'environ un sur 86000.
Depuis mars, la salle d'urgence où je travaille est divisée en une section «covid» et une section «non covid». Toute personne ayant de la fièvre, de la toux ou des maux de gorge s'est retrouvée dans la section covid, et nous avons été tenus de porter un équipement de protection individuelle complet lorsque nous interagissons avec les patients de cette section. Mercredi dernier, l'hôpital a fermé la section covid. Si peu de vrais cas de covid arrivent dans la salle d'urgence qu'il n'est plus logique d'avoir une section séparée pour les covid.
Qu'en est-il des quelques restrictions formelles imposées au début de la pandémie ? La restriction sur les visites dans les maisons de soins infirmiers sera levée à partir du 1er octobre. Les enfants plus âgés, âgés de 16 à 19 ans, qui pratiquaient l'enseignement à distance pendant une partie du printemps, sont maintenant de retour à l'école, se voyant face à face avec leurs enseignants. L'autorité suédoise de la santé publique a recommandé au gouvernement de lever la restriction sur les rassemblements de 50 à 500 personnes.
Lorsque j'ai écrit mon premier article, je me suis engagé dans la spéculation que la raison pour laquelle la Suède semblait développer une immunité collective, malgré le fait que seule une minorité avait des anticorps, était due aux lymphocytes T. Depuis que j'ai écrit cet article, des études sont apparues qui soutiennent cet argument. C'est bien, car les lymphocytes T ont tendance à durer plus longtemps que les anticorps. En fait, des études sur des personnes infectées par le SRAS-CoV-1 en 2003 ont révélé qu'elles avaient encore des cellules T dix-sept ans après avoir été infectées. Cela suggère que l'immunité est durable et explique probablement pourquoi il n'y a eu qu'une poignée de cas de réinfection par covid signalés, même si le virus a passé les neuf derniers mois à rebondir autour de la planète, infectant des millions de personnes.
Quant à la poignée de personnes qui auraient été réinfectées. Presque tous ces cas ont été complètement asymptomatiques. Ce n’est pas un signe d’affaiblissement de l’immunité, comme certains le prétendent. En fait, c'est le contraire. Il montre que les personnes développent une immunité fonctionnelle après la première infection, ce qui leur permet de lutter contre la deuxième infection sans jamais développer de symptômes.
RépondreSupprimerDonc, si la Suède a déjà une immunité collective, qu'en est-il des autres pays ? À quel point sont-ils proches de l'immunité collective ? Les endroits qui ont connu beaucoup d’infections à covides, comme l’Angleterre et l’Italie, ont des courbes de mortalité très similaires à celles de la Suède, en dépit du fait qu’ils se sont enfermés. Mon interprétation est qu'ils sont entrés en lock-out trop tard pour que cela ait un impact notable sur la propagation de la maladie. Si tel est le cas, ils ont probablement également développé une immunité collective. Ce qui rendrait les verrouillages en cours dans ces pays bizarres.
Et le vaccin? Arrivera-t-il à temps pour faire une différence ? Comme je l'ai mentionné dans mon premier article, le verrouillage n'a de sens que si vous êtes prêt à rester confiné jusqu'à ce qu'il y ait un vaccin efficace. Sinon, vous ne faites que reporter l'inévitable. Au plus tôt, un vaccin sera largement disponible à un moment donné au milieu de l'année prochaine. Combien de gouvernements sont prêts à maintenir leurs populations en lock-out d'ici là ? Et si le vaccin n'était efficace qu'à 30% ? Ou 50% ? Les gouvernements décideront-ils que c'est assez bon pour qu'ils mettent fin au verrouillage ? Ou voudront-ils rester enfermés jusqu'à ce qu'il y ait un vaccin efficace à au moins 90% ? Combien d'années cela prendra-t-il ?
Donc, pour conclure: Covid est terminé en Suède. Nous avons l'immunité collective. Très probablement, de nombreuses autres régions du monde le font aussi, y compris l'Angleterre, l'Italie et certaines parties des États-Unis, comme New York.
Et les pays qui ont réussi à contenir la propagation de la maladie, comme l'Allemagne, le Danemark, la Nouvelle-Zélande et l'Australie, vont devoir rester enfermés pendant au moins une autre année, voire plusieurs années, s'ils ne le souhaitent pas. développer l'immunité du troupeau de manière naturelle.
https://www.zerohedge.com/medical/covid-19-does-sweden-have-herd-immunity
Seul le vent transporte les nano-particules chemtraillées. Donc, comme en Suède il y a du vent: il n'y a donc pas de chemtrails !
Supprimer
RépondreSupprimerEdward Snowden accepte de renoncer à plus de 5 millions de dollars de livres, frais de parole
par Tyler Durden
Mer, 23/09/2020 - 05:30
L'ancien analyste de la CIA Edward Snowden a accepté de remettre au gouvernement américain plus de 5 millions de dollars de revenus provenant de son livre et des frais de parole, après que ses mémoires, Permanent Record, aient violé un accord de non-divulgation qu'il a signé avec l'agence. L'argent ira dans une fiducie.
Un juge fédéral s'est rangé du côté du ministère de la Justice, qui a poursuivi l'ancien entrepreneur qui avait divulgué des secrets des services de renseignement américains en 2013, révélant les programmes de surveillance américains. Le juge n'a pas encore approuvé le plan de confiscation, selon le Washington Examiner.
Snowden a réalisé plus de 4 millions de dollars en ventes de livres et un peu plus d'un million de dollars en 56 allocutions payées au cours de l'année dernière, selon des documents judiciaires.
Pourtant, l'avocat de Snowden, Lawrence Lustberg, a déclaré que son client de 37 ans envisageait de faire appel de la décision et qu'aucun argent ne serait versé immédiatement au gouvernement américain.
"Ce n'est pas comme s'il allait débourser l'argent", a déclaré l'avocat à CNN. "Cela leur donne un jugement qu'ils allaient obtenir de toute façon." -Examinateur de Washington
En 2013, Snowden a quitté son emploi dans une installation de la NSA à Hawaï où il a travaillé pour l'entrepreneur Booz Allen Hamilton - fuyant à Hong Kong où il a ensuite divulgué des centaines de milliers de documents de la NSA. Il a obtenu l'asile de la Russie et vit actuellement à Moscou, et a été accusé par le DOJ d'avoir enfreint la loi sur l'espionnage.
Le mois dernier, le président Trump a déclaré aux journalistes qu'il allait "jeter un très bon regard" sur le pardon de Snowden, en disant: "Il y a beaucoup, beaucoup de gens - il semble que ce soit une décision partagée que beaucoup de gens pensent qu'il devrait être traité différemment. , et d’autres pensent qu’il a fait de très mauvaises choses. »
https://www.zerohedge.com/political/edward-snowden-agrees-forfeit-over-5-million-book-speaking-fees
ICOULOGIE ! LA FRANCE RALLUME SES CENTRALES À CHARBON... LES ÉOLIENNES C'EST DU VENT !!
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
23/09/2020
L'éolien a représenté 6,3% de la production d'électricité en France en 2019.
Le Flash Stratégies « Seconde vague et reconfinement » est en ligne dans vos espaces lecteurs ici .
Haaaaa…..
Ici les impertinents, message pour notre grand Amish du palais, qui se fichait la semaine dernière de nos amish les Amishs !!!
Pensez donc, vous savez ces Amishs qui veulent retourner à la lampe à huile et à la bougie.
Notre Manu du Palais, lui, il règne sur la Start-up Nation française en chemise et sans cravate pour la modernité justement et le règne de la fée électricité. Car, de vous à moi, et Manu notre Jupiter de l'Elysée ne me démentira pas, une Start-Up Nation sans électricité et sans courant c'est une Start-Bug Nation et là, forcément, ça marcherait beaucoup moins bien comme dirait Bourvil.
Pour startuper (cela ne se dit pas mais je suis sûr que vous avez parfaitement tous compris le sens) il faut du jus, du courant, de l'élec, de la vraie, de la bonne, de l'ampérage et des watts !
Plus de centrales nucléaires, un anticyclone, plus de vents… on rallume les centrales à charbon !
Qu'est-ce que je rigole les amis, surtout quand dans ce pays on me parle d'icoulogie… Alors que le maire de Bordeaux s'occupe de sa charte des arbres et supprime le sapin de Noël, dans la vraie vie, on nous bassine avec les empreintes carbone de Pierre, Paul, Jacques, quand ils vont bosser avec la vieille 205 diesel, puant le gasoil et les clopes. Mais personne ne dit rien quand notre pays rallume ses centrales à charbon pour nous éviter, à tous, le sombre destin des Amishs et la funeste bougie.
Et oui, on n'a plus assez d'électricté, et donc si l'on pousse le raisonnement, actuellement en France les bagnoles électriques des bobos bordelais et parisiens sont rechargées au charbon.
Hahahahahahahaha
Hahahahahahahahaha
hahahahahahahahahahahah
Mais quelle rigolade, le charbon c'est ce qu'il y a de plus pourri dans le bilan carbono-environnementalo-écolo hahahahahahahahahaha…..
20 minutes de rire par jour, un minimum en ces temps de pré-reconfinement pour garder santé, esprit clair et moral au beau fixe.
Riez encore mes amis.
La charte des arbres d'un côté et les centrales à charbon de l'autre.
Ce pays est un naufrage à lui seul chaque jour un peu plus.
En cause : la très faible disponibilité du parc de réacteurs nucléaires d'EDF. Sur ses 56 réacteurs, 24 sont actuellement à l'arrêt. Les causes sont multiples, et dépassent largement la fermeture de Fessenheim…. Faut changer quelques tuyaux d'eau radioactifs, et puis il n'y a pas de vent, du coup, et bien, il n'y a plus assez d'électricité. C'est la faute à un anticyclone qui fait rien que nous embêter; et les panneaux solaires, cela ne produit rien du tout au niveau national. De quoi chauffer la flotte de mon ballon d'eau chaude, mais certainement pas assez pour faire tourner les serveurs nécessaires à Netflix et à la Start-up Nation… et encore moins au rechargement des voitures électriques…
RépondreSupprimerOn est mal chef, comme ils disent chez Lidl…
L'icoulogie, c'est faux-cul…
Pour la culture de tous, notre pays dispose à l'heure actuelle d'encore 4 centrales à charbon en service : Cordemais (Loire-Atlantique), Gardanne (Bouches-du-Rhône), Le Havre (Seine-Maritime) et Saint-Avold (Moselle).
Le gouvernement s'était engagé à fermer les dernières centrales à charbon françaises d'ici à 2022. La loi énergie-climat adoptée en novembre 2019 prévoit de plafonner la durée de fonctionnement de ces installations afin de réduire leur rentabilité et conduire à leur fermeture… tout en conservant la possibilité d'y avoir recours ponctuellement lors de pointes de consommation ….
Je traduis, on ferme, mais on garde quand même ouvert, parce que quand on n'a plus que la moitié du parc nucléaire ouvert, que l'hiver se profile et que le vent tombe, on rallume les centrales au charbon et… les bougies !
Moi je pense que cette histoire d'éoliennes qui n'ont plus de vent à cause de l'anticyclone c'est un coup des Amishs. Manu, je t'avais prévenu, je t'avais dit que les amishs de mes Amishs sont mes amishs…
J'ai hâte de voir notre startuper en chef au Palais vivre comme un amish un bougeoir à la main…
Je rigole d'avance hahahahahahaha. A tout hasard, en plus des raviolis, cette année, je vous propose d'acheter quelques bougies d'avance, mon petit doigt me dit, que si EDF nous doit plus que la lumière, il se pourrait bien qu'ils n'arrivent même plus à nous la donner…
Il est déjà trop tard, mais tout n'est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-electricite-production-france-charbon-eolienne-ecologie-sannat
LA PEUR DU RECONFINEMENT ET DE LA 2NDE VAGUE FAIT CHUTER LES BOURSES !
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
22/09/2020
Le CAC40 a chuté de 4% le 21 septembre 2020.
Je vous annonçais avant l'été que nous devrions avoir le début du second pic à partir du 15 août et que les marchés devraient prendre en compte cette « deuxième » vague, ainsi que les reconfinements qui vont en découler.
Cela va coûter cher, très cher à notre économie.
Il ne manquera pas de lecteurs pour expliquer qu'il n'y a pas de seconde vague, ou qu'ils ne reconfineront jamais. En fait, d'un point de vue analytique on s'en fiche bien.
Factuellement, Israël a reconfiné pour 3 semaines avec un confinement total et l'interdiction de dépasser un rayon de 500 mètres de chez soi, l'Angleterre se prépare à reconfiner pour le 15 octobre, l'Espagne reconfine Madrid et s'apprête à déployer 15 000 à 20 000 militaires dans les rues de la capitale notamment.
Les bourses réagissent un peu plus tard que ce qu'elles auraient du faire, mais nous sommes mûrs pour un beau plongeon, un plongeon qui peut aussi être une tentative de déstabilisation de l'élection américaine, car, si, juste avant de voter les Américains se retrouvent confronter à un terrible crash, c'est bien le bilan de Trump spécifiquement sur l'économie, son point fort qui se trouvera écorné.
Voici ce que dit l'agence de presse Reuters :
« Wall Street est attendue en nette baisse et les Bourses européennes creusent leurs pertes à mi-séance lundi, les interrogations sur le risque d'un reconfinement dans plusieurs pays face à la résurgence des cas d'infection par le coronavirus replongeant les marchés dans le climat d'aversion généralisée au risque en vigueur au printemps » .
Si l'épidémie dure, alors les prévisions de « reprise » tombent toute à l'eau !
Soyons clairs.
Les marchés jouent depuis le départ la reprise dite en « V » c'est-à-dire une forte baisse de l'activité suivie d'une reprise toute aussi forte.
Les marchés ont joué sans réserve ce scénario.
Or l'analyse de la situation depuis le départ montre qu'il était peu probable que nous ne connaissions qu'un seul pic, et d'ailleurs tout le monde le savait très bien, puisque comme je l'avais dit à mes abonnés à la lettre STRATEGIES, le gouvernement français travaillait avec l'hypothèse central d'un confinement en yo-yo.
Face à la situation nébuleuse où l'on ne sait plus très bien quoi penser, ni qui croire, je vous ai préparé un Flash STRATEGIES disponible ici .
Le professeur Raoult avait-il raison de dire qu'il n'y aurait pas de seconde vague alors qu'il parle désormais d'un deuxième acte de l'épidémie ? Le savait-il ? Ceux qui disent que la charge virale est en baisse ont-ils raison ? Y-ta-il vraiment moins de morts et est-ce parce que le virus rend moins malade ou y-a-t-il d'autres raisons ? Est-ce moins grave aujourd'hui en septembre qu'hier en mars ?
RépondreSupprimerVa-t-on se retrouver à nouveau confiné comme en Israël, en Espagne et prochainement en Angleterre ?
Quelles seront également les conséquences économiques de cette seconde vague qui va nous frapper de plein fouet, même si cela prend une forme différente de ce que nous avons vécu en mars dernier ?
Je partage avec vous toutes mes réponses à ces questions et plein d'autres dans le Flash Stratégies ci-dessous accessible à tous les abonnés. Pour plus de renseignements c'est ici (e t sachez que toute souscription d'abonnement à la lettre stratégies donne accès à l'ensemble des archives soit plus de 55 dossiers et des centaines de pages d'analyses et de conseils pour avoir un temps d'avance sur les évènements ).
Même si nous en avons tous envie, l'épidémie n'est pas finie !
Nous pourrions même être plus proche du début encore, que de la fin et du bout du tunnel.
Il est déjà trop tard, mais tout n'est pas perdu. Préparez-vous !
http://www.economiematin.fr/news-confinement-deuxieme-vague-covid19-bourse-crainte-economie-sannat
La tempête tropicale Beta touche le Texas; L'ouragan Teddy Eyes, Nouvelle-Écosse
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 22/09/2020 - 08:45
Le National Hurricane Center (NHC) surveille mardi trois systèmes tropicaux dans le bassin atlantique.
Le premier système est Tropical Storm Beta, qui a touché terre juste au nord de Port O'Connor, au Texas, lundi soir. Mardi tôt, Beta se déplaçait vers le nord-ouest à trois mph et devrait caler au-dessus du Texas. Il se déplacera ensuite vers l'est-nord-est plus tard dans la journée et s'affaiblira probablement. Beta continuera à se déplacer vers l'intérieur du sud-est du Texas jusqu'à mercredi, puis vers l'est vers la Louisiane et le Mississippi de mercredi soir à vendredi.
- voir carte sur site -
Le deuxième système est la tempête tropicale Paulette, qui tourne au sud-est des Açores avec des vents maximums soutenus d'environ 60 mph. Paulette devrait se déplacer vers le sud et le sud-ouest mercredi soir et jeudi. Il n'y a pas de menaces immédiates ni de veilles côtières ou d'avertissements en vigueur.
- voir carte sur site -
Les prévisionnistes regardent également Teddy, autrefois un puissant ouragan de catégorie 4 avec des vents de 140 mph, a été rétrogradé en tempête de catégorie 2 lundi. Mardi, les vents sont toujours d'environ 100 mi / h, car la tempête est à environ 435 miles au sud de Halifax, en Nouvelle-Écosse, se déplaçant du nord-nord-ouest à 28 mi / h.
- voir carte sur site -
Le météorologue Bob Robichaud a déclaré à Halifax News que la trajectoire de Teddy est toujours «incertaine», mais que l'atterrissage se fera «entre l'ouest d'Halifax, juste à l'est du Cap-Breton» mercredi.
- voir carte sur site -
Les lecteurs se souviendront peut-être que la raison de la saison des ouragans super active est La Nina. Cela a forcé NHC à passer à l'alphabet grec pour nommer les tempêtes.
Gardez un œil sur Beta sur Texas mardi, tout en suivant les développements de Teddy avant son arrivée mercredi.
https://www.zerohedge.com/commodities/tropical-storm-beta-makes-landfall-over-texas-hurricane-teddy-eyes-nova-scotia
Le cycle solaire #25 a officiellement commencé
RépondreSupprimerle 23 septembre 2020
- voir graphique sur site -
Quelle nouvelle sans aucune importance ! me direz-vous. D’abord c’est quoi au juste un cycle solaire ? Il s’agit de la durée d’environ 11 ans pour constater la migration des pôles solaires vers l’équateur de ce qu’on a appelé les taches, des régions de la surface de la chromosphère solaire de très forte activité magnétique. Ces taches apparaissent dans la région des pôles et suivent les lignes de champ magnétique dites toroïdales. Il y a deux champs magnétiques toroïdaux, l’un dans l’hémisphère nord et l’autre dans l’hémisphère sud. La durée de ce processus dure environ 11 ans. Je pourrais continuer à disserter à ce sujet mais qui, dans la rue d’une petite ou d’une grande ville, au Botswana ou en Finlande, se préoccupe du Soleil ? Personne.
Ce nouveau cycle solaire va culminer en nombre de taches vers le milieu de l’année 2025 puis se terminera vers 2032. Les savantes prédictions des astrophysiciens font état d’un cycle #25 qui sera dans tous les cas de modélisation sinon égal à feu le cycle #24 ou probablement aussi plus faible, à égalité de chances. Il faut remonter 200 ans en arrière pour trouver un tel effondrement durable de l’activité solaire, ce fameux petit âge glaciaire de la première moitié du XIXe siècle. Alors peut-être que l’homme de la rue s’intéressa aux taches solaires quand il constatera que les hivers deviennent de plus en plus froids et les étés de plus en plus pourris. Tout ça prendra du temps et en 2032 je serai probablement mort, mes enfants seront d’heureux grands-parents et le plus jeune de mes petits-enfants fera de brillantes études à l’université. L’Europe aura été ruinée par les folies des écologistes, l’humanité se relèvera avec peine d’un conflit éventuellement généralisé et les premiers colons arrivés sur Mars n’auront pas survécu très longtemps aux radiations cosmiques. Les rêves stupides d’un monde meilleur avec moins de carbone auront été balayés par les fluctuations du climat qui ne dépendent que de l’activité solaire.
Source graphique : NOAA
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/23/le-cycle-solaire-25-a-officiellement-commence/
Climate FAIL: Travailler à domicile surchargerait le réseau d'énergie renouvelable australien
RépondreSupprimer21 septembre 2020
h / t JoNova - Le gouvernement australien ABC a conseillé aux gens de se rendre au bureau plutôt que d'essayer de travailler à domicile, pour éviter les pannes causées par le fait que tout le monde travaille à domicile allume ses climatiseurs.
Pourquoi travailler à domicile pourrait être un désastre pour le réseau électrique australien cet été
Par Emma Elsworthy
Les climatiseurs pourraient entraîner un effondrement du réseau électrique australien cet été, car environ un tiers de la main-d’œuvre fait son travail à domicile, ont averti les experts.
Points clés:
La climatisation stimule la demande de puissance en période de pointe
Un plus grand nombre de personnes travaillant à domicile entraînera probablement plus de stress sur le réseau électrique australien
L’été dernier a été le deuxième record record d’Australie
Selon la société de recherche Roy Morgan, plus de 4,3 millions d'Australiens travaillent à domicile alors que les employés et les employeurs continuent d'adopter une approche prudente de la distanciation sociale des coronavirus.
Mais le temps plus chaud est venu avec un avertissement selon lequel une utilisation accrue de la climatisation dans les maisons pourrait entraîner davantage de pannes de courant et des factures d'électricité plus élevées.
«La climatisation est ce qui stimule notre demande maximale en Australie», a déclaré Peter Dobney, ancien président fondateur de l'Energy Users Association of Australia.
"Nous pouvons nous attendre à des prix plus élevés, en fait, je pense que c'est une certitude."
…
"Il est très clair qu'il y a un risque ici, avec la climatisation fonctionnant dans la maison et dans le bâtiment en même temps", a déclaré le Dr Bannister.
«Et pour refroidir une maison, elle n'est pas aussi bien isolée qu'un bâtiment, et la maison peut être moins économe en énergie.»
…
En savoir plus: https://www.abc.net.au/news/2020-09-21/why-working-from-home-could-spark-power-disaster-down-under/12667814
L’échec total de la révolution verte australienne pourrait-il devenir plus drôle ?
Les Verts ont finalement obtenu quelque chose qu'ils voulaient vraiment - moins de déplacements, plus de personnes travaillant à domicile - pour voir cette victoire leur échapper, car leur précieux réseau électrique lourd à énergie renouvelable ne peut pas supporter la charge de plus de personnes travaillant à domicile.
https://wattsupwiththat.com/2020/09/21/aussie-climate-fail-working-at-home-would-overload-the-renewable-energy-grid/
Victoria: c'est la démocratie et la science médicale, et ça va vite mieux
RépondreSupprimerSeptember 22nd, 2020
Carte de Victoria La bonne nouvelle: les verrouillages prendront fin plus tôt que prévu. Pas assez tôt pour certaines entreprises désespérées, mais plus tôt que ne le pensaient les modélistes de Dan Andrew.
Comme je l'ai prédit, Victoria fait mieux que les modèles estimés. Beaucoup de gens se concentrent sur les «nouveaux cas quotidiens», mais les «cas de source inconnue» sont un meilleur outil plus tourné vers l'avenir.
Aujourd'hui, dans Newspoll, nous constatons - comme je l'avais prédit depuis le début de la pandémie - que la santé est la priorité numéro un pour la plupart des électeurs. C’est un fait étrange de la démocratie. Aussi drastiques que soient les restrictions à Victoria, plus de la moitié des électeurs sont heureux de renoncer temporairement à une certaine liberté afin de sauver des vies, des difficultés et des effets sur la santé inconnus, ainsi que le fardeau des agents de santé.
Les propriétaires de petites entreprises et les entrepreneurs de droite ne sont souvent pas du tout heureux de renoncer à la liberté. Ils sont beaucoup plus à l'aise pour prendre des risques, mais la plupart de la population ne le sont pas. C'est une chose de type personnalité. Cela ne changera pas. (Ce qui est obscène cependant, c'est que ceux qui sont à l'aise pour prendre des risques supportent davantage les coûts tandis que les fonctionnaires comme Dan Andrews obtiennent de grosses augmentations de salaire.)
Malgré les restrictions strictes, 71% des Victoriens considèrent les restrictions comme «à peu près correctes» ou «trop clémentes». Un quart se disent «trop stricts». La plus grande crainte pour le moment, de 56% des Victoriens, est d'assouplir les restrictions trop tôt. Bien que 39% soient inquiets, les choses avancent trop lentement. Compte tenu de la mauvaise modélisation, il est facile de comprendre ce dernier point de vue. Il est pratiquement certain maintenant que Victoria sortira des restrictions plus rapidement que le plan difficile d'il y a quelques semaines. Les deux groupes ne sont pas aussi éloignés que vous pourriez le penser. Les craintes de «se détendre trop tôt» sont essentiellement des craintes d'un troisième verrouillage, et personne ne veut cela.
Cas sources inconnus: le graphique le plus important pour la prévision
Le 8 septembre, j'ai dit que les cas victoriens diminueraient plus rapidement que prévu simplement parce que les cas dont les sources étaient inconnues étaient déjà sous contrôle à ce moment-là. Incroyablement, le modèle utilisé pour prédire combien de temps il faudrait pour réduire les cas ne prenait même pas en compte si les cas étaient une source «inconnue» ou une transmission locale connue. Le fait que les clusters soient traçables ou non fait toute la différence dans le monde.
Voici une mise à jour de ce graphique montrant que depuis deux semaines, Victoria a effectué un décompte négatif sur les cas sources «inconnus» pour finalement maîtriser cette épidémie et assembler les grappes mystérieuses pour comprendre comment le virus s'est propagé.
- voir graphique sur site -
Sources inconnues, Victoria, NSW, Covid-19, graphique.
RépondreSupprimerNouveaux cas quotidiens de source inconnue de coronavirus à Victoria et en Nouvelle-Galles du Sud.
Victoria a fait beaucoup mieux que NSW au cours des deux dernières semaines (sur des sources inconnues)
Victoria compte 101 «cas de source inconnue» de moins au cours des deux dernières semaines. NSW a 85 autres cas.
Comme nous nous attendions - compte tenu des restrictions beaucoup plus strictes à Victoria - la propagation des infections mystérieuses ralentit à Victoria, mais se poursuit à un taux faible et constant en Nouvelle-Galles du Sud. Sur la base de ces données quotidiennes nettes limitées (de Covidlive), nous pouvons dire que depuis le 8 septembre, Victoria a signalé 8 cas sources inconnus mais a identifié la source de 111 cas, alors que NSW a découvert 86 personnes atteintes d'infections qu'elle ne peut pas expliquer. Ce ne sont que des «chiffres quotidiens nets», mais le dernier communiqué de presse de Vic Health montre que seuls 3 cas sont inconnus parmi les 657 actuellement actifs. Bien que les tests des eaux usées suggèrent qu'il peut y avoir une épidémie inconnue à Apollo Bay.
Suite aux cas mystérieux, le nombre total de nouveaux cas quotidiens à Victoria a chuté: 39, 32, 27, 42, 22, 8, 9 et 28. Cela a incité le médecin-chef à admettre que Victoria reconsidérerait probablement la feuille de route.
Le Queensland, quant à lui, a eu trois cas de source inconnue au cours des huit dernières semaines et en a trouvé la cause. Deux d’entre eux remontaient à trois semaines, donc s’ils ne se sont pas propagés, ce sont des jours heureux pour les Queenslanders. Jusqu'à présent, je compte dix jours d'affilée sans cas mystérieux. Nous ne devrions pas compter les poulets et tous, mais théoriquement, dans deux semaines et demie, le Queensland pourrait atteindre les 28 jours avec transmission communautaire. Élimination.
Sans doute le plus grand échec de politique publique de l'histoire australienne
La deuxième vague était bien pire. Regardez à quelle vitesse cette infection se propage. Toute cette deuxième vague est venue de seulement deux brèches d'hôtel: le Rydges on Swanson et le Stamford Plaza. Tous les milliards de dollars perdus, les restrictions, la douleur et plus de 740 décès auraient pu être évités avec une frontière solide.
Sans ces violations, NSW et Qld n'auraient pas non plus de cas maintenant (si seulement ils n'avaient pas laissé le virus entrer).
Tous les États d'Australie auraient volé librement en ce moment. Aucune frontière intérieure n'est nécessaire.
Malgré le grand échec extraordinaire à Victoria, remarquablement, d'une manière ou d'une autre, 62% des électeurs sont satisfaits de la performance de Dan Andrews, ce qui semble difficile à croire. Il a augmenté de 5% depuis juillet. Alors que de nombreux Victoriens estiment que le verrouillage a été draconien, la majorité l'appuie.
- voir graphique sur site -
Victoria, infection à covid, graphique, nouveaux cas quotidiens, septembre 2020.
RépondreSupprimerLe plus grand échec politique de tous pourrait cependant être le refus des avantages de tant d'autres traitements potentiels, le manque d'utilisation de vitamine D3, l'opposition politique à HCQ, l'ivermectine, la bromhexine (sirop contre la toux) et les nombreuses options antivirales.
Le manque de vitamine D3 est un scandale en cours et une parodie provoquant une augmentation de la mortalité due à de nombreuses maladies infectieuses, ainsi qu'à un cancer probable et à de nombreuses autres causes. C’est l’une des rares vitamines associées à une réduction de la mortalité toutes causes.
Les vaccins contre la grippe ont été poussés et promus pendant des années, mais où était la campagne pour s'assurer que tout le monde en avait assez des nutriments sûrs, bon marché et essentiels ? La vitamine D a réduit le taux d'admission aux soins intensifs de 50 % à 2 %. Les vies des noirs sont-elles importantes ?
10%: le fardeau hospitalier est trop lourd pour n'importe quel pays
L'état de Victoria:
Cas actifs: 620
Hôpital: 80
ICU: 8
Le taux d’hospitalisation est d’environ 10%, et c’est l’un des régimes de test les plus élevés au monde où la positivité du test était de 1% il y a un mois, mais n’est plus que de 0,2% maintenant. Même si nous ignorons la mortalité, le fardeau hospitalier du Covid-19 est important, et certaines restrictions sont inévitables et nécessaires simplement pour maintenir le fonctionnement des hôpitaux. Le bilan des agents de santé a également été important et les infirmières ont dû être transportées par avion depuis WA, SA et Qld. De toute évidence, si tous les États d'Australie étaient confrontés à des épidémies majeures comme celle-ci, cela brise le système hospitalier. Et nous savons que dans d'autres pays, les taux de mortalité grimpent rapidement une fois que les hôpitaux doivent refuser des gens.
REFERENCES
Vic Health
Covidlive
http://joannenova.com.au/2020/09/victoria-its-democracy-and-medical-science-and-getting-better-fast/
Une histoire de deux pannes d'énergie renouvelable: Californie vs Texas
RépondreSupprimer21 septembre 2020
Invité «Yi-hah!» par David Middleton
Énergie
California Blackouts met en évidence le contraste avec l'énergie du Texas, fournit un avertissement préalable
L'été dernier, les Texans ont presque connu des pannes de courant similaires à celles auxquelles les Californiens ont été confrontés il y a à peine quelques semaines.
BRAD JOHNSON
7 SEPTEMBRE 2020
Conduisant au nord de San Antonio à Austin sur la I-35, un panneau d'affichage domine la circulation qui passe et diffuse un message simple: "Ne pas Californie notre Texas."(Ne pas Californiser notre Texas). Dans les récentes coupures de courant du réseau électrique roulant en Californie, les Texans pourraient reconnaître un avertissement pour leur propre alimentation électrique.
Les Californiens ont été confrontés à des pannes de courant continuelles de la mi-août à la fin août alors que la chaleur de l’été s’étouffait, conduisant à une consommation électrique non durable. Son réseau électrique est principalement alimenté par un mélange de 35 % de gaz naturel et de 31 % d'énergies renouvelables, comme les sources éoliennes, solaires et géothermiques.
Les politiciens démocrates de Californie ont exigé que 60 % du réseau électrique de l'État soit constitué d'énergie produite par les énergies renouvelables d'ici 2030. Des propositions similaires mais plus vagues ont été faites au niveau national, y compris par le candidat démocrate à la présidence, Joe Biden.
Le manque de fiabilité des énergies renouvelables de l’État a stimulé la pénurie d’approvisionnement et a été aggravé par les États voisins à partir desquels la Californie importe de l’énergie auxiliaire, qui connaissent également une forte demande.
Cette tempête parfaite a été aggravée par les efforts concertés de l’État pour fermer les centrales au gaz naturel et nucléaires qui peuvent fournir de l’énergie à la demande, en particulier pour les situations d’urgence.
[…]
Le Texas, quant à lui, a connu une situation d'urgence similaire l'été dernier, encore une fois parce que la consommation d'électricité a monté en flèche alors que les Texans se retiraient à l'intérieur pour échapper à la chaleur torride.
L'Electric Reliability Council of Texas (ERCOT), le plus grand marché d'énergie sans capacité du pays dans lequel les producteurs sont payés par les consommateurs en fonction de leur utilisation, plutôt que payés d'avance pour une quantité de production fixée par contrat, a mis en garde contre d'éventuelles pannes de courant l'été dernier, mais les a finalement évités.
Cet appel rapproché a été causé par une insuffisance de la production éolienne et solaire projetée et un dysfonctionnement d'une centrale à combustibles fossiles.
Contrastant avec le géant de la côte ouest, Stein a déclaré: «Au Texas, le régulateur de l'État fait un effort pour encourager une capacité supplémentaire.»
[…]
Les énergies renouvelables représentent près du quart de la production totale du réseau énergétique du Texas, tandis que le gaz naturel représente plus de la moitié de la production d’électricité. L'une des principales raisons pour lesquelles la Californie a renforcé sa part du réseau renouvelable au détriment du gaz naturel était d'éliminer les émissions.
RépondreSupprimerLe Texas dépasse de loin la Californie en ce qui concerne les émissions totales de gaz carbonique - produisant 13% des émissions américaines et 22% de son énergie, contre 3% en production et 7% en émissions de la Californie.
Et tandis que la part des énergies renouvelables dans le réseau californien est plus élevée que celle du Texas, notre État génère environ 3 000 MWh d’électricité de plus à partir de ses énergies renouvelables. Cela suffit pour alimenter près de 2 millions de foyers supplémentaires à tout moment.
[…]
Brad Johnson
Brad Johnson est un natif de l'Ohio qui a obtenu son diplôme de l'Université de Cincinnati en 2017. Il est un passionné de sport qui aime le plus regarder ses équipes préférées continuer leur titre à la sécheresse tout au long de sa vie consciente. Pendant son temps libre, vous trouverez peut-être Brad regarder et citer les productions de Monty Python.
Le Texan
C'était «l'avertissement» d'août 2019 d'ERCOT…
13 août 2019
La chaleur extrême à travers l'état entraîne une utilisation élevée, un besoin de conservation
Austin, Texas, 13 août 2019 - Le Conseil de la fiabilité électrique du Texas (ERCOT) a annulé son alerte d'urgence énergétique (EEA1) à 17 heures. aujourd'hui et est revenu aux opérations normales du réseau à 17h30.
«La chaleur extrême à travers l'État a entraîné une utilisation élevée aujourd'hui», a déclaré le président et chef de la direction d'ERCOT, Bill Magness. «Déclarer un EEE1 nous a permis d'accéder à des outils pour maintenir la fiabilité, et nous apprécions la réponse de chacun à l'appel de conservation.»
À 15 h 10 aujourd'hui, ERCOT a émis un EEA1 en raison de réserves d'exploitation inférieures à 2 300 MW. Dans des conditions normales de réseau, les réserves d’exploitation d’ERCOT sont égales ou supérieures à 3 000 MW. C'est la première fois que ERCOT émet un EEA1 depuis janvier 2014.
Un mégawatt (MW) suffit pour alimenter 200 foyers par une chaude journée d'été.
Lorsque ERCOT émet un EEE, il est alors en mesure de profiter de ressources supplémentaires qui ne sont disponibles que dans des conditions d'exploitation restreintes.
Cet après-midi, le prix moyen de l'énergie sur le marché en temps réel a atteint le plafond d'offre de 9 000 $ / MWh pour plusieurs intervalles de règlement de 15 minutes.
ERCOT a établi un nouveau record absolu de demande de pointe le lundi 12 août, lorsque la demande a atteint 74531 MW entre 16 et 17 heures. Le pic d’aujourd’hui s’est établi à 74 181 MW entre 15 h et 16 h.
Les consommateurs peuvent surveiller les conditions du réseau en temps réel en téléchargeant l'application mobile ERCOT dans l'Apple Store et Google Play et / ou en suivant ERCOT sur Twitter.
ERCOT
RépondreSupprimer«L'été dernier, les Texans ont presque connu des pannes de courant similaires à celles auxquelles les Californiens ont été confrontés il y a à peine quelques semaines.
Quand j'ai lu la phrase ci-dessus, j'ai immédiatement pensé à Monty Python et au Saint Graal.
"Le Brave Sir Robin: Celui qui a failli combattre le féroce Dragon d'Angor, a presque tenu tête au poulet vicieux de Bristol ..." Imgur
Je savais que ce n’était pas une coïncidence après avoir lu la brève biographie de Brad Johnson, auteur de l’article Texan.
Pendant son temps libre, vous trouverez peut-être Brad regarder et citer les productions de Monty Python.
La Californie a connu une insuffisance réelle d'environ 4 400 MW de capacité de production. Le Texas a connu une brève période (moins de 3 heures) où nos réserves d’exploitation sont tombées en dessous de 2 300 MW… C’était la première alerte d’urgence énergétique (EEA1) d’ERCOT depuis 2014.
Bien que nous ayons connu de nombreuses pannes de courant dues à la glace, à la foudre et / ou au vent, les pannes de courant sont presque inconnues ici. Je vis dans le comté de Dallas depuis 1981, et la seule panne de courant continue dont je me souvienne a eu lieu pendant la semaine du Super Bowl 2011. Les pannes de courant étaient dues à un froid glacial qui a empêché le démarrage de centrales électriques au charbon inactives ... n'a pas affecté les lieux liés aux festivités du Super Bowl.
- voir graphique sur site -
Fonctionnel
Texas
Dysfonctionnel
- voir graphique sur site -
Calizuela
À la même échelle…
Le Texas est en rouge, la Californie est en bleu.
- voir graphique sur site -
California = Blue, Texas = Red
https://wattsupwiththat.com/2020/09/21/a-tale-of-two-renewable-energy-blackouts-california-vs-texas/
Cà y est c'est le Printemps ! (en Australie)
RépondreSupprimerGrâce à l'énergie éolienne et solaire, les Australiens doivent se rendre au travail pour sauver la planète
September 21st, 2020
Les Australiens avaient un réseau électrique qui leur donnait la liberté de travailler à domicile
Pendant des années, ils nous ont dit de travailler à la maison pour protéger l'environnement. Mais grâce à un réseau décentralisé peu fiable, les Australiens sont maintenant avertis que ce sera un «désastre» pour le réseau s'ils restent à la maison et travaillent avec leur climatiseur allumé en été.
Maintenant, il vaut mieux aller au travail pour que le réseau solaire-éolien ne tombe pas:
Pourquoi le travail à domicile pourrait être un désastre pour le réseau électrique australien cet été
Emma Elsworthy, ABC
Les climatiseurs pourraient entraîner un effondrement du réseau électrique australien cet été, car environ un tiers de la main-d’œuvre fait son travail à domicile, ont averti les experts.
Selon la société de recherche Roy Morgan, plus de 4,3 millions d'Australiens travaillent à domicile ...
Mais le temps plus chaud est venu avec un avertissement selon lequel une utilisation accrue de la climatisation dans les maisons pourrait entraîner davantage de pannes de courant et des factures d'électricité plus élevées.
«La climatisation est ce qui stimule notre demande maximale en Australie», a déclaré Peter Dobney, ancien président fondateur de l'Energy Users Association of Australia.
"Nous pouvons nous attendre à des prix plus élevés, en fait, je pense que c'est une certitude."
Après avoir installé des panneaux solaires sur une maison sur quatre, nous ne voulons apparemment pas que les gens restent à la maison et les utilisent pour alimenter leurs climatiseurs. Au lieu de cela, nous voulons qu'ils montent dans leur voiture et conduisent dans de grands immeubles de bureaux que nous pouvons encore nous permettre de garder au frais.
Près de 70 % des Australiens se rendent au travail en voiture et 30 % y passent près d'une heure. La liberté de passer près de deux heures par jour sans être assis dans la circulation est étonnamment populaire. Mais maintenant, tout comme les gens découvrent à quel point cela peut être bon, vient la mauvaise nouvelle que notre réseau électrique n'offre plus la liberté d'allumer votre climatiseur quand vous le souhaitez. Les heures passées coincées dans les voitures ne sont qu'un autre type de taxe renouvelable.
Personne n'a vu ça venir
Qui aurait pensé qu'un réseau électrique conçu pour rendre le temps plus agréable en 2100 ne fonctionnerait pas aussi bien qu'un réseau électrique conçu pour produire de l'électricité bon marché maintenant ? Où étaient les universitaires à qui on payait de gros chèques pour prévoir l'avenir des énergies renouvelables ?
La grande ironie est que, à mesure que notre pouvoir devient moins centralisé et moins efficace, nos bureaux doivent être plus efficaces. Ainsi, le pouvoir décentralisé signifie des vies centralisées. Juste un autre prix pour sauver la Terre
La puissance maléfique au charbon nous donne la liberté, mais qui veut cela ?
RépondreSupprimerCela fait 118 ans que le premier climatiseur a été inventé. Ils sauvent 20 000 vies chaque année aux États-Unis et probablement 2 000 par an dans la chaude Australie. Si seulement nous pouvions encore nous permettre de les gérer. Si le réchauffement climatique devait vraiment se produire, la climatisation et l'électricité bon marché seraient encore plus importantes que jamais. Les vieilles vies comptent-elles ?
http://joannenova.com.au/2020/09/thanks-to-wind-and-solar-power-australians-have-to-drive-to-work-to-save-the-planet/
Préparez-vous pour Climate Hustle 2: à venir jeudi à 20 h!
RépondreSupprimerSeptember 22nd, 2020
Juste à temps pour les élections américaines. Climate Hustle 2 est presque un Who's Who du monde climatiquement sceptique. C’est un documentaire sur les jeux de pouvoir, les sales tours et l’hypocrisie effrontée derrière la poussée pour une gouvernance mondiale par le biais du dioxyde de carbone. Il s’agit de la façon dont les enfants sont utilisés comme pions, formés dans les écoles pour «devenir toute une génération d’électeurs obéissants». C’est l’avertissement d’Eisenhower et Nineteen Eighty Four. C’est la montée de la monarchie climatique.
Marc Morano et CFACT ont fait le tour du monde, interviewant tout le monde, de Richard Lindzen au regretté Bob Carter, en passant par Vauclav Klaus et Patrick Moore, l'homme effacé par Greenpeace. Il y a Christopher Monckton, Will Happer, Roger Pielke, Tim Ball, Don Easterbrook, le sénateur Malcolm Roberts, Anthony Watts… trop pour nommer, même brièvement, Jo Nova. Celui-ci s'adresse à un public plus large que les sceptiques qui connaissent les combats des dix dernières années. Mais même pour les plus purs et durs, il y a quelque chose de bien à mettre des visages sur tant de noms.
Dans le monde entier, la première en ligne aura lieu le 24 septembre à 20 h. (dans tous les fuseaux horaires du monde… y compris le vôtre en Australie !). Pour ceux qui ne peuvent pas être là à 20 h, la rediffusion des émissions Climate Hustle 1 et 2 restera visible jusqu'au 27 septembre. 1 h 35 min.
Obtenez votre billet aujourd'hui !
Tim Ball: «Jusqu'à ce que vous repoussiez le Big Government, vous ne savez pas à quel point cela peut devenir désagréable.»
Il n'y a eu que quelques documentaires professionnels qui partagent le message sceptique. Alors soutenez CFACT, Climate Depot et l'équipe qui l'a mis en place. Les sceptiques doivent toucher une foule plus large. Il doit y avoir eu des centaines d'heures de séquences à condenser.
….
Il s'agit d'un flux en ligne, mais peut, via Google Chrome Cast ou Apple TV ou simplement lié à votre ordinateur, être regardé sur votre télévision habituelle. Un billet suffira pour vous, votre famille et vos amis pour regarder tous ensemble.
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MISE À JOUR: Je sais que les sceptiques sont sceptiques quant à «prêcher aux convertis» - mais ce documentaire atteint déjà les barrières, les nouveaux sceptiques et les personnes qui n'ont tout simplement pas prêté beaucoup d'attention au débat sur le climat. Marc Morano et CFACT réalisent déjà 6 à 10 interviews chaque jour.
Nous avons tous intérêt à dépasser les censeurs - alors mettez vos «chapeaux» et réfléchissez aux moyens d'utiliser cette opportunité. Suggérer des pistes dans les commentaires. Et ce serait idéal si vous aviez quelques amis partageant les mêmes idées jeudi soir (bonne excuse juste pour voir des amis) et si vous le faites, prenez une photo, ajoutez-la sur Twitter (j'ajouterai le bon # ici) et montrez au monde qu'il y a beaucoup de sceptiques là-bas, qui ne seront pas réduits au silence par les lâches et les parasites de Facebook, YouTube, Google, notre secteur de l'éducation et les médias grand public.
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Achetez un billet pour soutenir les sceptiques qui ont tout mis en œuvre pour y parvenir.
Agitation climatique
Cliquez pour obtenir des billets.
ClimateHustle 1
Hustle climatique 2
http://joannenova.com.au/2020/09/get-ready-for-climate-hustle-2-coming-thursday-8pm/
Coût des États-Unis pour se passer des combustibles fossiles: 18-29 billions de dollars
RépondreSupprimer22 septembre 2020
À titre de comparaison, le produit intérieur brut des États-Unis pour 2018 était de 20,54 billions de dollars.
- voir carte sur site -
E&E Legal publie son rapport sur les coûts «d'électrification» État par État de Tom Tanton
Pour diffusion immédiate: 22 septembre 2020
- Aujourd'hui, l'Institut juridique de l'énergie et de l'environnement (E&E Legal), a publié un rapport État par État sur le coût en capital associé à «l'électrification» pour les États et la nation. Le rapport et la feuille de calcul qui l’accompagne ont été rédigés par Tom Tanton, directeur de l’évaluation scientifique et technologique d’E&E Legal.
Selon le rapport, l'électrification de toute la nation, dans le but d'éliminer la consommation directe de carburant et de réduire les émissions liées au changement climatique, coûterait entre 18 billions de dollars et 29 billions de dollars en premiers coûts. Passer à l'énergie renouvelable forcera les coûts à atteindre le haut de gamme. En outre, la construction et la mise en œuvre d'une nation «tout électrique» comprendront deux autres coûts importants: les actifs bloqués et les pertes d'aubaine.
L'essentiel est que l'électrification n'est pas un moyen rentable de réduire les émissions de carbone des bâtiments commerciaux ou résidentiels ni du secteur des transports.
«L'électrification de tout est un mauvais moyen de réduire les gaz à effet de serre et expose les clients à des pannes plus fréquentes. De plus, nous remplacerions simplement un ensemble d’impacts environnementaux par un autre », a déclaré Tanton.
"Il existe plusieurs autres moyens plus respectueux de l'environnement et plus rentables pour atteindre cet objectif, et nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre de tout électrifier comme le montre clairement le rapport."
Tanton ajoute que l'électrification détruira des décennies de diversification du marché, liant les consommateurs à un réseau électrique fragile mais monolithique.
Le réseau électrique est mal équipé pour des conditions extrêmes, comme des vagues de chaleur prolongées ou des vagues de froid vortex polaires, sans coupures de courant, comme cela vient de se passer en Californie. La probabilité de pannes augmentera avec l'augmentation considérable de la demande associée aux voitures électriques, au retrait du gaz naturel des bâtiments et à d'autres mouvements d'électrification. Construire une grille plus robuste pour gérer de tels extrêmes ajouterait peut-être 7 billions de dollars aux coûts.
Le rapport note que le Texas ouvrirait la voie en termes de coûts d'électrification totaux à 3,157 milliards de dollars, suivi de la Californie à 2,823 milliards de dollars.
Ce qui est encore plus effrayant, ce sont les coûts par habitant d’une expérience aussi coûteuse et destructrice. Par exemple, chaque résident de la Louisiane peut s'attendre à une facture de 166 065 $, tandis que les citoyens du Wyoming seraient payants pour 158 961 $ chacun, et ceux du Dakota du Nord feraient face à un onglet de 133 847 $.
Tanton, qui vit en Californie et anciennement conseiller principal en politique auprès de la CA Energy Commission (CEC), a été témoin de première main de la dévastation causée par les tentatives d'électrification complète.
«Les pannes de courant et les incendies de forêt cataclysmiques en Californie ne sont pas le résultat du changement climatique. Ils sont le résultat direct d'un leadership médiocre et de politiques énergétiques destructrices qui devraient être annulées dans mon État et dans d'autres avant qu'il ne soit trop tard », a conclu Tanton.
RépondreSupprimerL’Institut juridique de l’énergie et de l’environnement (E&E Legal) est une organisation 501 (c) (3) qui défend un environnementalisme responsable et équilibré, qui cherche à conserver les ressources naturelles du pays tout en garantissant une économie stable et robuste grâce à la domination énergétique.
Plus précisément, E&E Legal prône le développement responsable des ressources, la conservation, une science solide et le respect des droits de propriété.
-30-
Selon le BEA, l'USGDP est désormais négatif. Les verts devraient expliquer comment ils prévoient de payer pour le «nouvel accord vert» dans ces circonstances:
https://www.bea.gov/news/2020/gross-domestic-product-2nd-quarter-2020-advance-estimate-and-annual-update
https://wattsupwiththat.com/2020/09/22/usa-cost-to-go-without-fossil-fuels-18-29-trillion/
Climate Hustle 2 débute ce jeudi
RépondreSupprimerIgnorer l'alarme climatique, l'énergie propre et annuler les escrocs de l'industrie culturelle. Voir le film.
Paul Driessen
22 septembre 2020
Toutes les semaines, tous les jours, voire toutes les heures, on nous dit que les températures mondiales augmentent, que les calottes glaciaires fondent et que les ouragans, les tornades, les incendies de forêt, les inondations et les sécheresses deviennent de plus en plus fréquents, intenses et destructeurs en raison du changement climatique. Pas seulement le changement climatique, bien sûr, mais le changement climatique provoqué par l’homme, dû à l’utilisation par l’humanité des combustibles fossiles - qui fournissent 80% de toute l’énergie qui alimente l’Amérique et le monde.
Les affirmations supposent que le climat et le temps de la Terre étaient inchangés et inchangés jusqu'aux dernières décennies. Cette présomption est évidemment démentie par de multiples périodes glaciaires et interglaciaires; les périodes chaudes romaine et médiévale; le petit âge glaciaire; le Dust Bowl, les sécheresses anasazies et mayas; l'ouragan de Galveston, au Texas, de 1900 et l'ouragan de la grande fête du travail de 1935; la tornade des trois États de 1925; et d'innombrables autres époques climatiques et événements météorologiques extrêmes à travers l'histoire.
Mais tout irait bien mieux, nous serons encore mal informés si le monde cessait simplement d'utiliser ces carburants et passait à des technologies éoliennes, solaires, biocarburants et batteries «propres, vertes, renouvelables, durables».
Les messages d'alarme climatique sont transmis à plusieurs reprises dans les salles de classe, les journaux, les programmes d'information télévisés et radiophoniques, les médias sociaux, les films et autres médias - tandis que les voix et les preuves à contre-courant sont systématiquement et vigoureusement réprimées par une culture d'annulation de plus en plus puissante, politique et universitaire.
Ces messages, et les programmes d'énergie verte justifiés par eux, sont susceptibles de gagner beaucoup plus d'influence sous une administration Harris-Biden, en particulier celle poussée de plus en plus à gauche par Alexandria Ocasio-Cortez et ses alliés «progressistes» vocaux, souvent violents.
En 2016, le Comité pour un avenir constructif (CFACT) a sorti son film documentaire Climate Hustle. Le film factuel, souvent hilarant, mettait en vedette des scientifiques, des prévisionnistes météorologiques et d'autres experts qui ont contesté les affirmations selon lesquelles nos voitures, nos usines et nos fermes causent un climat catastrophique. Il a été présenté dans 400 cinémas américains, où il a fait valoir de manière convaincante que l'apocalypse climatique est «une arnaque environnementale surchauffée».
Aujourd'hui, ce jeudi 24 septembre, CFACT publie Climate Hustle 2: Rise of the Climate Monarchy. L'événement mondial de diffusion en continu sera mis en ligne à 20h00, heure locale, dans tous les fuseaux horaires de la Terre, où que vous viviez.
Pour ceux qui l'ont manqué ou qui veulent un rappel, CFACT propose également une rediffusion de Climate Hustle 1 pour une visualisation instantanée. Vous pouvez obtenir des billets combinés pour les deux événements ici.
Climate Hustle 2 est magistralement animé et raconté par Kevin Sorbo, d’Hollywood, qui a joué Hercules dans le téléfilm. Comme CH1, il dispose d'une superbe gamme d'experts qui contestent les allégations de «points de basculement climatiques» et de «cataclysmes météorologiques extrêmes». Tout aussi important, ils exposent, démystifient et démolissent les trucs, les mensonges et les agendas cachés des militants du réchauffement climatique et de l'énergie verte.
RépondreSupprimerCH2 expose les véritables agendas des militants et des politiciens. Sans surprise, comme le démontrent Michael Moore et Jeff Gibbs dans leur documentaire Planet of the Humans, ces véritables programmes sont l'argent, le pouvoir, l'idéologie et le contrôle. Surtout, le contrôle de notre énergie, de notre économie, de nos industries, de notre niveau de vie et de nos choix personnels. Les militants et les politiciens ont également peu de considération pour les conséquences écologiques, sanitaires et sur les droits humains qui accompagnent inévitablement l'adoption toujours plus large des technologies éolienne, solaire, aux biocarburants et aux batteries.
Climate Hustle 2: Rise of the Climate Monarchy frappe durement. Comme le dit CFACT, «les mensonges seront brisés. Les noms seront nommés. Hypocrites démasqués. Grifters défroqués. Les tyrans potentiels ont été abattus.
Accompagnant Sorbo est CFACT et Marc Morano de Climate Depot, qui a accueilli Climate Hustle 1. La revue Nature Communications a qualifié Morano de communicateur climatique le plus efficace au monde. Il est également la personne que les alarmistes climatiques veulent le plus sur la liste noire et interdite du discours public.
Le météorologue et animateur de WattsUpWithThat.com, Anthony Watts, affirme que CH2 met en évidence de nombreux exemples «d'hypocrisie, de corruption financière, de biais médiatique, d'endoctrinement en classe, de politiquement correct et d'autres questions troublantes entourant le problème du réchauffement climatique». Il offre une vraie perspective de la force avec laquelle les médias et les alarmistes climatiques poussent un agenda, et à quel point les sceptiques climatiques tout aussi durs repoussent. Inconvenient Truth d’Al Gore présente de la rhétorique, du malheur et de la désinformation. Mais «si vous voulez une vue pratique et sensée de ce qui se passe réellement avec le climat, regardez Climate Hustle 2.»
Le Wall Street Journal cite le scientifique Roger Pielke, Jr., qui souligne que les ouragans frappant les États-Unis n'ont pas augmenté en fréquence ou en intensité depuis 1900. Le Journal note également que la National Oceanic and Atmospheric Administration a déclaré: «il est prématuré de conclure que les activités humaines - et en particulier les émissions de gaz à effet de serre… ont déjà eu un impact détectable sur les ouragans de l'Atlantique ou les cyclones tropicaux dans le monde. " Et n’oublions pas l’absence record, depuis douze ans, d’ouragans de catégorie 3-5 qui touchent terre aux États-Unis. (Était-ce dû à plus de dioxyde de carbone atmosphérique ?)
En ce qui concerne les tornades, un article du Washington Post montre clairement que beaucoup plus de tornades F4 et F5 violentes ont frappé les États-Unis entre 1950 et 1985, que pendant les 35 années suivantes, 1986-2020. Plus étonnant encore, en 2018, pour la première année de l'histoire enregistrée, pas une violente tornade n'a frappé les États-Unis.
Les Amis de la science du Canada disent, une fois que vous voyez Climate Hustle 2, «vous ne pouvez pas ignorer les dommages que la monarchie climatique fait à tous les aspects de la recherche scientifique, à la liberté et à la société démocratique.»
RépondreSupprimerLe président du CFACT, Craig Rucker, a déclaré: «Les politiciens ont abandonné tout semblant de réalité scientifique et régurgitent à la place des points de discussion des groupes de pression radicaux vers des médias qui ont peu d'intérêt à vérifier leur crédibilité. En fait, la culture d'annulation supprime activement toute opinion sceptique sur le climat.
Twitter a activement interdit Climate Hustle 2 et gelé le compte Twitter de CFACT. En appel, le compte n'a pas été gelé, mais l'interdiction a eu un impact négatif sur des milliers d'abonnés de CFACT sur Twitter.
Amazon Prime Video a supprimé Climate Hustle 1 de son site Web. CFACT a tenté de faire appel, mais Amazon n'a pas répondu. Vous pouvez regarder la bande-annonce, mais le film lui-même est désormais "indisponible dans votre région". Amazon permet uniquement aux gens d'acheter de nouveaux DVD par l'intermédiaire du producteur du film, CDR Communications (19,95 $) - tout en traitant également les commandes pour les fournisseurs tiers qui vendent des DVD usagés (pour plus de 45 $).
Wikipedia affirme que Climate Hustle est «un film de 2016 rejetant l'existence et la cause du changement climatique, raconté par le négationniste du changement climatique Marc Morano… et financé par le Committee for a Constructive Tomorrow, un groupe de pression sur le marché libre financé par le lobby des énergies fossiles. (CFACT n'a reçu aucun argent pour les combustibles fossiles depuis plus d'une décennie, et n'a reçu que de petites sommes avant cela.)
Les journaux, les programmes d'information télévisés et radiophoniques, les sites de médias sociaux, les écoles et autres arènes devraient présenter toutes les nouvelles et favoriser une discussion et un débat ouverts. Mais beaucoup refusent de le faire. Au lieu de cela, ils fonctionnent comme une police de la pensée, trouvant et supprimant activement et constamment ce que vous pouvez voir, lire, entendre et dire, car cela va à l'encontre de leurs récits et des agendas qu'ils soutiennent.
Le climat et l'énergie figurent en bonne place sur cette liste. Cela rend Climate Hustle 1 et 2 particulièrement importants cette année - et il est essentiel que tous les électeurs et utilisateurs d'énergie concernés regardent et promeuvent ce film.
Paul Driessen est analyste politique principal pour le Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org) et auteur de livres et d'articles sur l'énergie, l'environnement, le climat et les droits de l'homme.
https://wattsupwiththat.com/2020/09/22/climate-hustle-2-premieres-this-thursday/
SupprimerPERSONNE ne peut prédire les éruptions volcaniques terrestres ou sous-océaniques/maritimes. D'où l'impossibilité des 'météorologues' de ficher sur ordinateurs les climats d'hier et de les calquer sur ceux d'aujourd'hui !
RépondreSupprimerÉradiquer la mort en éradiquant la vie, l'ambition d'un système en plein délire ?
Dominique Muselet
Mondialisation.ca
lun., 21 sept. 2020 21:46 UTC
Tout comme, depuis les années 1970, les ouvrages de Brzezinski servent de programme de politique étrangère aux Etats-Unis, il se pourrait bien que 1984, la dystopie d'Orwell, leur serve ( et à nous aussi qui leur sommes inféodés ) de programme de politique intérieure.
On peut imaginer avec quelle gourmandise, nos élites, dont le souci principal est de dominer le petit peuple pour pouvoir l'exploiter au mieux de leurs intérêts, se sont appropriées et ont mis en œuvre les enseignements de ce petit livre. Pendant que la Russie et le Moyen-Orient se débattaient sous les coups programmés par Brzezinski, des apprentis Big Brother prenaient subrepticement le contrôle de nos existences.
Les peuples occidentaux commencent à s'en rendre compte et l'adjectif orwellien s'est répandu pour décrire la communication gouvernementale, les inversions de valeur, les éléments de langage, les décisions contradictoires, bref presque tout ce qui, chez nous, rappelle 1984.
A sa parution, en 1948, nous avons pris naïvement ce livre pour un roman de sciences fiction. A l'époque, à part quelques rares visionnaires aussitôt traités de défaitistes, nous croyions être occupés à construire un monde meilleur, plus juste, plus solidaire, sous la houlette de dirigeants éclairés. De Gaulle n'avait-il pas sauvé la France ? Et les communistes ne mettaient-ils pas en œuvre, tambour battant, le programme du Conseil National de la Résistance : sécurité sociale, allocations familiales, congés payés, chômage, retraites ? Les syndicats étaient puissants et un salaire d'ouvrier suffisait à faire vivre une famille entière. On s'attendait à ce que le système capitaliste s'effondre sous ses contradictions, comme l'avait prédit Marx. On pensait que le ciel descendrait bientôt sur terre sous la forme du socialisme, et tant pis pour la classe possédante ! Il y avait une forme d'équilibre social de la terreur qui avait son pendant extérieur dans la dissuasion atomique.
Hélas, c'était trop beau pour être vrai et, au lieu de s'effondrer, le capitalisme, s'est bientôt déchaîné sous la poussée de la mondialisation, entraînant avec lui les valeurs de la République (Liberté, Egalité, Fraternité, cotisation sociale et séparation des pouvoirs) et les valeurs de la vie en commun (justice, vérité, confiance, respect). Tout cela a été remplacé par la course individuelle au plaisir et au profit dans une sorte de sauve qui peut, de guerre de tous contre tous qui fait plier sous le joug ceux qu'elle n'élimine pas.
La France, un pays béni des dieux
Mais dans notre malheur nous avons bien de la chance, nous répète Big Media. Imaginez, on aurait pu avoir l'Union soviétique et Staline ! Grâce au ciel, on a les Etats-Unis et Big Brother. C'est d'ailleurs un vrai bonheur de voir avec quelle aisance et quelle finesse nos chères élites se sont glissées dans la peau de Big Brother. Dans de nombreux domaines, les élèves occidentaux ont même dépassé le maître. Oui, nous avons bien de la chance !
Prenez nos ennemis par exemple : un ennemi invisible et insaisissable comme le COVID-19, ça a tout de même plus d'allure et de potentiel que les archaïques Estasia et Eurasia !
Notre État n'a certes pas encore réussi à installer des caméras dans chaque appartement, mais qu'à cela ne tienne, nos téléphones et ordinateurs portables, avec leurs applications sophistiquées, lui fournissent déjà beaucoup d'informations sur nous et dans ce domaine les progrès sont rapides. Voyez le succès éclatant de Stop Covid !
Pour ce qui est de la Vérité, nous ne sommes pas non plus en reste. Même un enfant de CM2 connaît la Vérité sur la seconde guerre mondiale. Il sait qu'elle été menée contre les juifs et gagnée par les Américains. Comment se pourrait-il en effet que les Soviétiques aient vaincu Hitler ? Les Etats-Unis dont nous sommes les fidèles alliés ne pourraient jamais l'accepter. Ou que les Allemands nous aient attaqués ? L'Europe de la paix ne s'en remettrait pas. Quant aux 21 millions de Soviétiques tombés sous les bottes allemandes ? Voyons, c'est de la propagande russe !
RépondreSupprimerChez nous, il n'y a pas de propagande. Nous avons Big Media qui nous enseigne le politiquement correct. Nous savons que tout ce que disent les pays hostiles et les réseaux sociaux complotistes, sont des fake-news. Tout comme nous savons que « La guerre, c'est la paix ; la liberté, c'est l'esclavage ; l'ignorance, c'est la force ». C'est sûrement parce que nos médias sont capables de tout transmuter en Vérité que Jupiter les a exemptés du masque, à l'heure du sanitairement correct.
Notre pays est béni des dieux parce qu'il est dans le camp du bien et que ses élites sont au service du peuple, et donc nous n'avions rien à craindre du Coronavirus quand il est arrivé de Chine avec les Français rapatriés, a déclaré notre apprenti Big Brother. Au cœur de l'épidémie, il a harangué son peuple avec fougue, envoyé les fantassins au front, mis ses amis à l'abri dans leurs châteaux de province, et enfermé à la maison le reste de la population avec, pour résoudre tous les problèmes, une boîte magique de Doliprane. Tous ensemble, sous sa houlette éclairée, nous avons fait reculer la bête, au péril de nos vies. Evidemment, nous n'avons pas pu sauver tout le monde et beaucoup de vieillards sont morts, seuls, dans nos mouroirs à profit. Mais nous avons beaucoup appris.
Les enseignements principaux de l'épidémie
1. L'hystérie, c'est la sagesse. Grâce à Big Media et ses médecins de plateau, nous savons que ce n'est pas parce que, en plein cœur de l'épidémie, la moyenne d'âge des malheureux qui mouraient se situait entre 70 et 80 ans et qu'aujourd'hui il n'y a quasiment plus de morts (30 décès le 30/9 contre 1438 le 14/4, selon le Prof Toussaint, dont on se demande pourquoi Big Media le reçoit encore), que le virus n'est pas plus dangereux que la peste noire ou, plus près de nous, que la grippe espagnole (qui venait en fait des Etats-Unis et a fait 50 millions de morts selon d'incorrigibles complotistes). Nous avons appris que le Principe de précaution invite à se prémunir de tous les dangers même ceux qui n'existent pas. C'est pour cela que Big Media est obligé, à son corps défendant, d'affoler et de terroriser les populations. Sinon, bêtes comme ils sont, les gens ne comprendraient pas que ce n'est pas parce que la menace n'existe pas, qu'il ne faut pas s'en protéger par tous les moyens.
2. La science, la médecine et Big Pharma forment un seul bloc uni et solidaire.
En d'autres temps nous aurions parlé de corruption, mais aujourd'hui, nous savons qu'il n'y pas de corruption, ni de conflits d'intérêt, en Occident, car Big Brother et le Doliprane nous protègent de tout. Grâce à Big Pharma et l'administration à flux tendus de l'ARS, nous avons, en fait, le « meilleur système de santé du monde ». Il faut être à la solde des Russes ou des Chinois pour prétendre qu'il y a eu infiniment moins de morts au Vietnam ou en Biélorussie que chez nous pendant l'épidémie !
3. Tous les virus seront bientôt éradiqués.
RépondreSupprimerCeux qui pensent que l'idéal anglo-saxon de l'asepsie absolue est une utopie, sont évidemment des agents russes. Big Pharma et Big Media nous l'ont promis : grâce au port du masque obligatoire, à l'interdiction de l'hydroxychloroquine et au vaccin qui va nous tomber du ciel, il n'y aura bientôt plus de virus du tout. La preuve, l'UE a versé des milliards d'Euros à Big Pharma. Ceux qui parlent de prévention, de défenses immunitaires, de soin, de guérison sont des traîtres à la nation, qui veulent nous ramener au Moyen-âge et qui font le jeu de nos ennemis.
On trouve encore, sur des réseaux-sociaux que la Police de la pensée n'a pas réussi à éradiquer, des contributeurs anonymes, possédés par des forces maléfiques, qui affirment que les bactéries, les virus et les microbes font partie de la vie. Selon ces cerveaux malades, on n'aurait absolument pas intérêt à se débarrasser des virus car ils sont des agents qui viennent créer une réaction dans notre corps pour que celui-ci active l'énergie vitale et se nettoie. Ce qu'il faudrait, insistent-ils, c'est développer notre énergie vitale, nos anticorps, nos défenses immunitaires. Ils osent même citer Claude Bernard qui aurait dit :Le terrain est tout, le microbe n'est rien.
Heureusement pour Big Brother, Big Pharma et nous, Pasteur, qui était un as des relations publiques, a remporté haut la main la victoire du vaccin contre les immunologistes de son temps. Encore un miracle qui prouve que dieu est avec Big Pharma et que rien n'arrêtera le progrès...
4. La mort, elle-même, sera bientôt éradiquée.
La France a déjà pratiquement éradiqué la mort sur les routes en appliquant les recommandations - simples et efficaces - du Conseil écologique de Big Brother : supprimer les voitures des pauvres. Quand il ne restera plus que celles des riches, conduites par des chauffeurs, il n'y aura plus de morts, soyons en certains.
Pour éradiquer la mort des seniors dans les Ehpad qui font notre fierté, Big Brother a trouvé la solution : sacrifier les jeunes. S'il n'y avait pas de jeunes, il n'y aurait pas de vieux et donc pratiquement plus de morts, voilà la Nouvelle Doctrine. Big Brother et son Conseil scientifique sont conscients qu'une doctrine aussi révolutionnaire peut surprendre des générations de parents et de grands-parents encore viscéralement attachés à leurs enfants et petits-enfants et naturellement peu enclins à les sacrifier, même pour le bien commun. Mais Big Brother sait que nous avons confiance en lui et en Sa parole et que nous lui obéirons.
D'ailleurs nous avons fait des progrès et, tout récemment, Big Brother est apparu à la TV de Big Media pour nous féliciter. Il était fier de nous parce que nous avions compris la nécessité de rester enfermés pendant deux mois, de remplacer les enseignants après de nos enfants, de nous contenter du Doliprane pour combattre un virus létal, de porter un masque inutile, de payer des amendes illégales, de laisser mourir seul nos vieux parents, de faire nos emplettes dans des supermarchés couverts au lieu des marchés de plein air, de ne pas nous réunir, ni nous marier, ni rien, tout en continuant à vider les poubelles du pays.
Nous avons aussi compris, à sa grande joie, qu'il était capital que nos enfants et leurs maîtres soient désormais transformés en zombies dans des écoles zombies*, pendant que nous travaillons de tout notre cœur pour sauver les dividendes de Big Finance. Il est donc sûr et certain, que nous serons bientôt heureux d'offrir nos enfants à la nation pour éradiquer la mort, car il n'y a pas de projet plus grand, plus noble, plus moderne.
Éradiquer la mort est LA grande mission de Big Brother. Mais, comme Big Media nous l'a affirmé, le sacrifice de la jeunesse permettra, en même temps, de solutionner les problèmes de santé publique, les problèmes politiques, économiques (les enfants coûtent cher et ne rapportent rien), sociaux et écologiques, bref tous les problèmes dont Big Brother a promis de nous délivrer lorsqu'il a été porté au pouvoir par une foule en délire, il y a quatre ans. Son plan était prêt car Big Brother est toujours prêt. Il n'attendait que le Coronavirus pour l'appliquer.
RépondreSupprimerEt voilà que ce qu'il nous avait annoncé, se réalise enfin sous nos yeux éblouis : la fin de l'histoire, la fin de la politique, la fin de l'économie, la fin de la société, la fin de la joie, la fin de l'espoir, la fin du cycle de la vie et de la mort, en un mot, la fin de la souffrance humaine. Oui, nous sommes bénis des dieux !
Lorsque leur œuvre sera accomplie, Big Brother, Big Media et Big Finance entasseront l'or, dont ils nous ont délestés, dans les fusées spatiales qui les attendent en Guyane ou en Floride. Puis, de là, ils regagneront les planètes paradisiaques qu'ils avaient quittées, l'espace d'un instant, pour venir répandre sur nous leurs bienfaits et nous délivrer du mal de vivre.
https://fr.sott.net/article/36091-Eradiquer-la-mort-en-eradiquant-la-vie-l-ambition-d-un-systeme-en-plein-delire
Nos défenses sont transmises génétiquement et donc les organismes d'aujourd'hui sont plus forts que ceux d'hier. Mais, alors que subsistent les microbes (bactéries 'indestructibles'), arrivent aujourd'hui les nano-particules (virus) dont la défense n'est pas assurable ! Why ? Because que ce sont de nouvelles nouvelles particules (dernier cri) étudiées, ciblées et larguées en chemtrails.
SupprimerPhilippe Guillemant : nous sommes sur un escalier menant au transhumanisme
RépondreSupprimerPhilippe Guillemant
Nexus
mar., 22 sept. 2020 21:47 UTC
Pour ceux qui doutent encore des objectifs « masqués » de la manipulation à l'origine du pétage de plomb de nos médias et gouvernement, voici simplement la première des 23 mutations profondes anticipées par Klaus Schwab, le président du forum économique mondial, dans son livre La quatrième révolution industrielle paru en 2017 :
MUTATION 1 : Les technologies implantables
Le premier téléphone implantable commercialisé est prévu pour 2025. Au programme, géolocalisation, suivi du comportement de santé, tatouage intelligent ou puce électronique et lecture d'onde cérébrale c'est à dire de la pensée.
Il y a aussi les « smart dust » ou poussières intelligentes qui pourront agir dans le corps et stocker vos informations corporelles via votre nanoréseau personnel.
En 2020, nous avons déjà gravi les trois premières marches vers le transhumanisme que j'ai déjà évoqué plusieurs fois.
(1) 2020 = Confinement pour éviter l'infection
(2) 2020 = Déconfinement pour éviter l'effondrement
(3) 2020 = Port du masque obligatoire pour éviter le reconfinement
Nous pouvons maintenant anticiper une possible montée linéaire des marches suivantes :
(4) 2021 = Vaccination obligatoire pour éviter le port du masque
(5) 2022 = Micro puce implantée (contrôle de vaccination)
(6) 2023 = Monnaie numérique mondiale (grâce à la micro-puce)
(7) 2024 = Traçage humain (identification du comportement)
(8) 2025 = Interfaçage numérique de l'humain (même du cerveau !)
(9) 2026 = Transhumanisme (humain cuit, connexion âme détruite)
Et voilà le programme, qui fort heureusement est en train de disparaître car le pétage de plomb depuis le confinement est bien trop voyant et il en résulte que nous les grenouilles subissons une cuisson bien trop rapide.
Cela dit, pour ce qui me concerne j'ai déjà sauté en dehors de la casserole depuis 14 ans.
bnghjkEt ne venez pas me dire que d'anticiper (5), c'est à dire l'implantation de la micro-puce, soit délirant, car si je vous avais prédit l'année dernière que (3) arriverait en 2020, c'est à dire qu'on nous obligerait à porter un masque en l'absence de pandémie et d'une façon complètement sidérante (assis non, debout oui) vous m'auriez pris pour un cinglé.
Résultat : Aujourd'hui, à chaque fois que nous allons travailler ou conduire nos enfants à l'école, nous entrons dans un asile de fous.
Alors, et je parle seulement à ceux qui portent le masque par peur de l'amende et sans même croire à son utilité (et non pas à ceux qui croient à sa fonction protectrice, ce que je respecte totalement), vous allez continuer à collaborer combien de temps à ce programme ?
S'il ne devait subsister qu'une seule théorie du complot qui soit juste, ce serait celle-ci : ILS veulent nous conduire jusqu'au transhumanisme.
Leurs motifs : conquérir un très grand marché et organiser une société gérée par des I.A. selon l'idéologie transhumaniste, fondée sur l'ignorance (enfermement dans le parc de la pensée).
Comme je crois en cette théorie, il est légitime de me considérer comme un complotiste.
Maintenant, le non complotisme et la niaiserie risquent de devenir synonymes.
https://fr.sott.net/article/36094-Philippe-Guillemant-nous-sommes-sur-un-escalier-menant-au-transhumanisme
L’État policier anti-Covid : un danger pour nos sociétés
RépondreSupprimerNous assistons désormais à une tendance autoritaire et liberticide qui, si elle se poursuit et s’intensifie, pourrait à terme être qualifiée de totalitaire.
24 SEPTEMBRE 2020
Par Alexandre Massaux et Gael Campan1.
Un article de l’Institut économique de Montréal
Des décisions politiques dépendantes des calculs des ordinateurs, la police qui arrête ceux qui critiquent les mesures du gouvernement et ceux souhaitant se déplacer librement dans leur pays. Ce n’est pas la description d’un film dystopique ou de la Chine mais celle de certains pays occidentaux comme l’Australie.
Il y a encore moins d’un an, nos sociétés occidentales consacraient la liberté comme une valeur fondamentale. Il aura fallu à peine quelques mois pour que la situation change radicalement. Des États qui étaient jusqu’alors considérés comme des parangons de la démocratie sont devenus des États policiers. Nous assistons désormais à une tendance autoritaire et liberticide qui, si elle se poursuit et s’intensifie, pourrait à terme être qualifiée de totalitaire.
DES MESURES LIBERTICIDES QUI AMÈNENT UNE SURVEILLANCE GÉNÉRALISÉE DE LA POPULATION
Nous avions évoqué dans plusieurs de nos billets précédents des dangers de laisser les ordinateurs prendre des décisions à la place de l’Humain. Force est de constater que la lutte contre la Covid a fait franchir le pas à certains politiciens comme Daniel Andrews, le Premier ministre de l’État Victoria en Australie.
Celui-ci a reconnu baser ses décisions sur les calculs d’un « super-ordinateur » qui aurait analysé 1000 scénarios et qu’« il n’y a pas à discuter avec ces données et la science ». Un discours tenu pour justifier la prolongation du confinement qui selon le Washington Post, laisserait les « 5 millions d’habitants de Melbourne confinés à l’intérieur pendant 115 jours, soit plus que celui de 92 jours à Manille, 76 jours à Wuhan en Chine, 58 jours en Italie et 33 jours en Nouvelle-Zélande ».
La ville de Melbourne considérée comme l’une des villes les plus agréables du monde connait désormais des restrictions anti-Covid plus longues qu’en Chine.
Précisons que Daniel Andrews avait décrété un couvre-feu début août à Melbourne. En outre, plusieurs personnes ont été interpellées par la police dans l’État de Victoria pour avoir appeler à protester contre le confinement sur les réseaux sociaux. La Hongrie avait été critiquée quand son gouvernement a restreint la liberté d’expression pendant la pandémie. Étrangement l’atteinte à cette liberté en Australie ne semble pas créer d’indignation internationale.
Une autre anecdote qui nous a été rapportée vient du Québec. Un couple de Français vivant à Montréal s’est vu imposé une amende de 25 000 dollars (environ 16 000 euros) pour ne pas avoir respecté la quarantaine de 14 jours à son retour de France cet été, car ses enfants jouaient dans le parc en face du domicile tandis qu’il était dans la maison. La police faisait des surveillances quotidiennes devant chez eux et a ainsi pris le couple « en flagrant délit » !
Enfin, le directeur national de la santé publique de Québec, Horacio Arruda, réfléchit à autoriser la police à pénétrer sans mandat dans les propriétés privées au nom de la santé publique. Toutefois, selon le tweet d’un journaliste, le Dr. Arruda se serait par la suite rétracté. Une chose est certaine : il a publiquement mentionné qu’il était favorable à une telle mesure.
Ces exemples démontrent le développement des pouvoirs de l’État impactant négativement la vie quotidienne sur la base de modélisations mathématiques informatiques supposées prédire l’avenir.
RépondreSupprimerLA PEUR, OU COMMENT FAIRE ACCEPTER SES MESURES ET LES RENDRE POPULAIRES
Il existe un phénomène aussi problématique que ces mesures : le soutien populaire à ces atteintes aux libertés. Malgré ses dispositifs, le Premier ministre Daniel Andrews conserve une popularité importante. Deux-tiers de la population de la ville de Melbourne approuve ces mesures.
Ce n’est pas le seul cas où des politiques liberticides anti-Covid sont soutenues par la population. En effet, en matière de fermeture des frontières, une large majorité des Européens, Américains et Canadiens approuve ces restrictions.
Cette opinion publique liberticide s’explique par le climat de peur instauré durant la pandémie. Cette situation pourrait bien persister après la fin de la crise sanitaire. Plus grave, il n’est pas impossible que les politiques eux-mêmes cèdent à la panique.
LE JEU DANGEREUX D’UNE POLITIQUE LIBERTICIDE
Néanmoins, il apparait nécessaire que les politiques comme les médias et les experts cessent de confondre mesures liberticides et climat de peur.
En effet, il existe un risque de plus en plus probable de contrecoups qui profiteront aux extrêmes, les émeutes actuelles aux États-Unis pouvant être analysées comme un début : une population affaiblie mentalement et économiquement par la crise et les restrictions et accoutumée aux politiques liberticides se tournera naturellement vers des forces politiques populistes qui seront beaucoup plus habiles pour la satisfaire.
Une telle situation et ses conséquences pourraient bien être bien plus meurtrières que le virus lui-même.
Gaël Campan et Alexandre Massaux, respectivement économiste senior et chercheur à l’Institut économique de Montréal ?
https://www.contrepoints.org/2020/09/24/380750-letat-policier-anti-covid-un-danger-pour-nos-societes