- ENTREE de SECOURS -



jeudi 3 septembre 2020

COVID 19 Le grand RESET (Isabelle reçoit Stéphane)

https://www.youtube.com/watch?v=g4QtOW4rDkc&feature=youtu.be&fbclid=IwAR1e06Mr7daAYKkuHsyb52U8NDOTnyE8HpjDPTNi-12ZTRi11HVX-MNE_-4

77 commentaires:

  1. De l'instrumentalisation du terrorisme islamiste à l'orchestration du terrorisme viral


    Mesloub Khider
    Les7duQuébec
    mer., 02 sept. 2020 20:10 UTC


    Les attentats du 11 septembre 2001 avaient constitué le prétexte à la mise en œuvre des nouvelles reconfigurations politiques et géostratégiques impulsées par l'hyperpuissance américaine.

    kijuhySur fond de sidération mondiale suscitée par la psychose généralisée, dès le lendemain des attentats, les autorités américaines avaient déployé promptement leur stratégie machiavélique : mobilisation de la population derrière l'état de guerre, renforcement de l'appareil répressif de l'État, réaffirmation de la puissance de l'Amérique matérialisée par une politique interventionniste impérialiste tous azimuts, opérée au nom de la lutte contre le terrorisme islamiste.

    De fait, immédiatement après les attentats du 11 septembre 2001, les instances politiques et médiatiques américaines ont été embrigadées pour enrôler la population dans les entreprises guerrières impérialistes.

    Tous les pays stratégiques du Tiers-monde étaient susceptibles d'être envahis, toutes les nations économiquement concurrentes, torpillées, toutes les puissances militaires potentiellement rivales, neutralisées.

    Dans le même temps, au niveau national, en un temps record, l'appareil politique a mis en œuvre ses plans de durcissement de la machine judiciaire et policière répressive, sa nouvelle législation sécuritaire liberticide. Du jour au lendemain, la crise terroriste (aujourd'hui on parle de crise sanitaire du Covid-19) a servi de prétexte à l'aggravation de la récession économique et au démantèlement des budgets des programmes sociaux.

    Tous les fonds étaient désormais alloués à l'effort de guerre impérialiste et à la sécurité nationale.
    La promptitude avec laquelle ces mesures ont été adoptées révèle qu'elles avaient été ficelées depuis longtemps préparées et planifiées par les cercles restreints opaques américains (à l'instar des mesures antisociales et liberticides décrétées actuellement dans la majorité des pays). Sur le plan international, le dessein réel de la guerre n'était pas tant l'anéantissement du terrorisme islamiste que la réaffirmation de la domination militaire américaine sur tout le globe, implantée au lendemain de l'effondrement du bloc impérialiste rival soviétique.

    Durant deux décennies, les États-Unis ont ainsi mené plusieurs opérations militaires d'envergure : contre l'Irak, l'Afghanistan, la Serbie, le réseau Al Qaïda, etc. Dans chacune de ses interventions impérialistes, les États-Unis avaient contraint leurs alliés, telles la France, la Grande Bretagne, l'Allemagne, à s'enrôler sous le drapeau américain ; l'ensemble des pays du monde à se plier au calendrier géostratégique étasunien, à s'incliner devant la volonté de l'Oncle Sam, à se soumettre devant les intérêts de la grande puissance victorieuse de la Guerre froide.

    Cependant, ces dernières années, le terrorisme islamiste étant devenu inopérant en matière de manipulation idéologique, pour avoir épuisé toutes ses potentialités de dévoiement politique et de enrégimentement caporalisée, les classes dominantes (occidentales) se sont résolues à s'offrir un autre ferment terrorisant, le coronavirus, pour passer à un degré supérieur en matière de gouvernance par la manipulation et la terreur de la population, exercée dans le cadre du nouvel ordre mondial chaotique menacé d'éclatement sous l'effet de la récession économique.

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  2. Sans conteste, le Covid-19 signe l'entrée des États occidentaux, en particulier, et des pays du Tiers-monde, en général, dans l'ère du despotisme, autrement dit de l'extinction de la « démocratie » représentative. Désormais, toute la planète, depuis le simple village jusqu'à la grande mégalopole, en passant par toutes les «maisons», sont soumis aux lois d'exception, à l'état de siège, au couvre-feu, à la surveillance technologique. À la dictature du confinement. Au confinement de la démocratie. Au nom de la prétendue lutte contre le virus, l'ensemble des États du monde, dans une action concertée, ont décrété des mesures de confinement pénitentiaire, des recommandations sanitaires spécieuses, des despotiques prescriptions médicales suspectes d'inanité. Le coronavirus devient le catalyseur de l'aggiornamento planétaire et l'agent dérivatif de divertissement de la foule mondiale plongée dans la psychose généralisée, orchestrée par les médias inféodés aux puissances financières et étatiques.

    Quelles ont été les véritables motivations de la tactique politique de confinement total apparemment préjudiciable aux intérêts économiques et sanitaires des pays ? Aujourd'hui, il est clairement établi, eu égard aux conséquences catastrophiques provoquées par la décision
    d'arrêter la production (du moins certains secteurs industriels) et la commercialisation (secteurs tertiaire et quaternaire), de mettre en quarantaine des centaines de millions de travailleurs (producteurs de valeur), qu'il s'est agi là d'une véritable volonté de torpiller l'économie, chapeautée par quelques factions du grand capital financier.

    Cette entreprise de torpillage répond à priori à une réaction mécanique du capital actée officiellement par les gouvernements. À première vue, certes les intérêts ayant présidé à la tactique de confinement généralisé ont semblé opposer aux intérêts vitaux des bourgeoisies nationales. Mais, ils sont conformes aux intérêts du grand capital international.

    Une chose est sûre : le cataclysme économique actuel ne doit rien au hasard. Ce désordre apparent s'inscrit dans la stratégie de la théorie du « chaos constructif » (ou « destruction créatrice », selon l'expression de Joseph Schumpeter) visant la mise en œuvre accélérée de la gouvernance mondiale du grand capital financier (occidental), dans le cadre d'une économie dématérialisée, numérisée, ubérisée, assujettie au télétravail et l'e-commerce (économes en coûts de locaux, en facturations diverses liées à l'entretien, électricité, eau, assurance, frais de repas et de transport dus aux salariés, etc.).

    L'ère de l'économie « physique » et réelle est révolue. Bienvenue dans l'économie dématérialisée et virtuelle à entreprises évanescentes, à réglementations salariales disloquées, à avantages sociaux démantelés, à rémunérations drastiquement comprimées.

    Faut-il mentionner que le camp sino-russe ne compte pas assister impuissant à cette tentative de reconfiguration du monde actionnée par le grand capital occidental, au plan économique comme au plan militaire.

    À cet égard, dans un contexte de crise économique aiguë et de menace d'éclatement imminent de la « bulle financière », la pandémie du Covid-19 a constitué, pour le grand capital financier, une opportunité inespérée pour accélérer le processus de purgation de l'économie et de concentration de la propriété des moyens de production, de commercialisation et de gouvernance mondialisée.

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  3. Par cette opération de purge économique exécutée à la faveur du confinement généralisé où les populations ont été mises à la disette et les grandes entreprises généreusement subventionnées, le grand capital financier escompte relancer l'économie à son profit, après avoir éliminé les secteurs et les entreprises insuffisamment adaptés à la globalisation contemporaine, ou plus exactement instaurer une économie de guerre destinée à neutraliser l'adversaire économique extérieur (le camp rival chinois), et surtout l'ennemi intérieur (le prolétariat) par la répression de toute velléité de résistance populaire. Ce maquignonnage économique, effectué dans une période de paix, donc sans conflits armés, a pour dessein la concentration monopolistique des moyens de production et de commercialisation, mais également la destruction simultanée d'une grande partie des forces productives (comme lors des deux Guerres mondiales) et d'une partie des capitaux financiers superflus, afin d'éviter la réitération rapide de la constitution de la « bulle financière » susceptible de compromettre la reconstruction économique numérisée.

    Aujourd'hui, le manque de réactivité des États devant la pandémie du Covid-19 s'éclaire à la lumière de l'actualité à posteriori moins dramatique en matière de mortalité que les prévisions catastrophistes annoncées par les médias inféodés aux puissances financières (l'Impérial Collège London annonçait insidieusement, au début de l'épidémie, pour créer un climat de psychose légitimant les mesures de confinement et d'arrêt de l'économie, des millions morts).Tout s'était passé comme si toutes les conditions avaient été délibérément réunies pour favoriser la tactique de confinement total avec son corollaire d'arrêt de l'économie.

    Ces « défaillances » sanitaires programmées, illustrées notamment par les carences en matière d'urgence médicale et l'absence d'équipements médicaux, laissent subodorer une stratégie du chaos planifiée, fomentée par les différents gouvernements inféodés aux puissances financières. L'absence d'adoption de mesures sanitaires précoces, telles que les contrôles aux frontières et aux aéroports, la défaillance médicale illustrée par les pénuries des équipements (masques, tests, gants, gels hydro alcooliques, respirateurs), semblent constituer des preuves de la volonté des pouvoirs de favoriser cette refondation du monde (sic) par la destruction des pans entiers de l'économie considérés comme obsolètes. Cette refondation économique est devenue primordiale pour le grand capital mondial en proie à une crise de revalorisation. Elle s'inscrit dans la politique de financiarisation de l'économie. Pour pérenniser sa domination de classe au moyen d'une restructuration du capitalisme, le grand capital est résolu à sacrifier des pans entiers de l'économie planétaire et à réduire à la misère des centaines de millions de personnes. Quitte à financer la « nouvelle économie », reconfigurée selon les intérêts du capital financier, par les États, autrement dit avec l'argent des contribuables (des travailleurs) et l'endettement (payé également par les futures générations de travailleurs au moyen de l'augmentation des impôts).

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  4. Par la faute de l'application de cette mesure de confinement totalitaire, même les pays sous-développés et émergents, quoi qu'épargnés par la pandémie du Covid-19, ont subi les conséquences dramatiques de l'arrêt mondial de l'économie, par la précipitation de centaines de millions de personnes dans le chômage endémique et la misère. Indéniablement, à la faveur de la pandémie du Covid-19 à la gestion sanitaire délibérément calamiteuse, le monde (occidental) a basculé de la démocratie formelle au totalitarisme réel. Que le contexte viral soit l'œuvre de la nature ou d'une main invisible d'un laboratoire, importe peu. Assurément, le virus existe. Les États s'en servent comme arme de terrorisme et de neutralisation des populations, aujourd'hui condamnées à vivre sous la terreur sanitaire pour les soigner de leur « maladive propension subversive », très virulente ces dernières années. Ainsi, le virus aura permis d'appliquer diligemment et intelligemment la stratégie de confinement, cette forme d'internement carcéral de la population mondiale, prémices à la militarisation de la société et a l'enrégimentement guerrier.

    De surcroît, toutes les classes dirigeantes ont entrevu l'opportunité offerte par la pandémie, notamment la possibilité d'étriller les archaïques Constitutions, les libérales règles politiques et les lois sociales protectrices, devenues des entraves à la nouvelle gouvernance despotique dictée par la situation de crise économique systémique mondiale, vectrice de menaces d'explosions sociales.

    De manière générale, en période de crise instrumentalisée avec cynisme par les classes dominantes, l'état de nécessité exonère toutes les transgressions juridiques, toutes les illégalités politiques, toutes les violations des libertés, tous les crimes sociaux perpétrés contre la population par l'État. Aujourd'hui, à la faveur de la crise sanitaire du Covid-19, au nom du prétendu sauvetage de la santé de la population, les gouvernants mutilent tous les droits politiques et sociaux de cette même population. Incontestablement, le monde est entré dans l'ère de la gouvernance par le terrorisme viral, devenu l'unique modalité d'administration totalitaire, indispensable aux classes possédantes dans cette période de récession économique travaillée par la recrudescence de la lutte des classes.

    En tout état de cause, la promptitude avec laquelle l'ensemble des États ont mis en œuvre leur stratégie contre-insurrectionnelle matérialisée par les mesures de confinement et d'état de siège, les spécieuses prescriptions sanitaires comminatoires, révèle les intentions réelles de cette guerre sanitaire, menée non pas contre le virus mais contre toutes les réglementations politiques et sociales libres, contre toutes les institutions sociales et législations protectrices encore en vigueur, en un mot contre les peuples, les travailleurs, le prolétariat, dans le cadre de la reconfiguration despotique d'un nouvel ordre économique.

    Quoi qu'il en soit, si la pandémie finira par s'éteindre, en revanche toutes les lois liberticides et antisociales votées à l'occasion de cette crise sanitaire du Covid-19 s'implanteront définitivement dans le paysage politique et social de la société désormais tailladée par la paupérisation absolue et garrottée par le Pouvoir absolu du grand capital financier.

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  5. Sans conteste, le Covid-19 aura été le prétexte à l'instauration d'une guerre contre-insurrectionnelle, menée par les États pour tenter de contenir les tempêtes subversives sociales provoquées par la récession économique. Au nom de la lutte contre le virus, il s'agit en vrai d'une guerre de classe contre l'ensemble des peuples, contre les travailleurs, leurs droits, leurs institutions, leurs protections sociales, mis en place depuis plus d'un siècle. Il s'agit ni plus ni moins d'un retour à la tyrannie de l'époque de la monarchie absolue dépourvue d'institutions démocratiques, d'une volonté de démantèlement de toutes les règles de « l'État de droit », devenues inopérantes pour contenir la guerre de classe en germination, en fermentation.

    Ainsi, nous vivons la fin d'un monde capitaliste, celui de la démocratie bourgeoise avec ses Parlements, son État de droit, ses pouvoirs législatifs désormais superflus car les lois et les mesures sont dictées directement par le Pouvoir exécutif (ou plus exactement le grand capital), sans être ratifiées par les représentations nationales, autrement dit les Assemblées nationales. Nous assistons à la fin de la souveraineté du pouvoir judiciaire désormais dépouillée de son apparente et illusoire indépendance, à la mort de la liberté d'expression et de la presse, illustrée par la disparition des fonctions de contrepoids correctif démocratiques défendues par des instances de régulation libres, désormais menacées de disparition car encombrantes en période de guerre de classe. Cela dévoile également le caractère illusoire de la démocratie bourgeoise. En effet, la démocratie est la feuille de vigne derrière laquelle se dissimule la dictature du capital. Dans l'histoire, Démocratie et Dictature, deux modes de régulation politique au sein du même système de production capitaliste, se succèdent alternativement, au sein du même État, au gré des conjonctures économiques et sociales.

    La stratégie appliquée à la faveur de la pandémie est avant tout une stratégie totalitaire de contre-insurrection pérenne. Elle ne tolère aucun contre-pouvoir, aucune opposition politique, aucune protestation sociale, aucune grève ouvrière, aucun parti révolutionnaire, aucun « citoyen » subversif, aucune voix discordante, aucune urne électorale sinon l'urne funèbre des cadavres décimés par la répression ou la guerre, toutes deux appelées à se généraliser, à s'institutionnaliser, à occuper l'espace public déserté par la démocratie, la prospérité économique, le progrès social.

    De manière globale, d'un point de vue géostratégique, dans cette période marquée par des tensions commerciales exacerbées, pour l'Occident l'infléchissement vers le totalitarisme moderne est motivé par deux raisons capitales. D'une part, pour une raison endogène, autrement dit pour des motivations de sécurité intérieure. En effet, pour affronter l'inéluctable subversion intérieure prévisible, provoquée par la dépression économique, l'Occident blinde son État, caporalise sa gouvernance. D'autre part, pour une raison exogène, autrement dit pour des mobiles impérialistes. Effectivement, pour préparer l'imminente guerre extérieure contre le nouvel ennemi nommément désigné, en l'espèce le dragon économique chinois, nouvelle puissance incontestable économique, l'Occident enrégimente sa population. Dans les deux cas, s'impose la militarisation de la société pour tout à la fois neutraliser et enrégimenter la population, pour transformer chaque « citoyen » en soldat dans la perspective de l'imminente conflagration militaire généralisée.

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  6. Ce n'est pas la première fois que l'Occident joue à l'apprenti sorcier. À de nombreuses reprises dans son histoire meurtrière, pour résoudre ses contradictions, il a activé des foyers de déstabilisation contagieuse létale. Il ne faut pas oublier que l'Europe moderne capitaliste est devenue une machine à produire de la destruction tous azimuts dès la fin XVIIIe siècle, illustrée notamment par le processus de déshumanisation de ses habitants arrachés à leur société villageoise millénaire fondée sur la solidarité, destruction amplifiée par les deux guerres mondiales (le qualificatif « européennes » serait plus approprié), et les totalitarismes fascistes et staliniens (tous deux européens), (sans oublier le Japon et la guerre sur le Pacifique. NDLR).

    De même, il ne faut pas oublier que l'Occident « civilisé » a été le laboratoire du terrorisme. Le terrorisme est une invention occidentale. En effet, le terrorisme aveugle comme la guerre génocidaire sont l'apanage des sociétés capitalistes occidentales (surtout capitalistes qu'occidentales... Chine et Japon, la Birmanie aussi ont génocidé dans leur coin de continent. NDLR). Avant de revêtir les oripeaux de l'islamisme fabriqués par ailleurs par les puissances impérialistes occidentales, le terrorisme s'est longtemps, de la Russie tsariste en passant par la France de la Troisième république et des années 60, l'Italie, l'Allemagne, les États-Unis d'Amérique et l'Irlande du XXe siècle, les mouvements sionistes européens (ashkénazes) des années 1930-1940, attifé du costume civilisé occidental.

    Assurément, à la faveur de la pandémie du coronavirus, la fragilité du monde actuel apparaît avec netteté. L'enjeu socioéconomique et politique est autrement plus dangereux que le coronavirus. In fine, le bilan sera plus dramatique après la crise sanitaire et le confinement. Le nombre de morts attendu sera autrement plus important que celui du virus, morts occasionnés à la fois par les famines et les guerres.

    Quoi qu'il en soit, la particularité de la crise économique actuelle, dévastatrice par son ampleur, outre le fait d'être présentée mensongèrement comme avoir été provoquée par le Covid-19, est d'apparaître comme totalement étrangère aux contradictions internes du capital. Cette mystification permet à l'État (de tous les États) de dissimuler les causes profondes de la crise, mais elle lui offre surtout une occasion inespérée de décréter, sous couvert de lutte contre la pandémie du Covid-19, des mesures liberticides, des recommandations coercitives, promulguées avec l'assentiment de la population tétanisée par la terreur virale distillée par les médias inféodés aux puissants. Tout se passe comme si, avant la survenue de l'épidémie, le monde capitaliste filait le parfait amour avec la croissance économique, le plein emploi, l'échange commercial pacifique, l'écoulement fluide des marchandises, la prospérité sociale. Tout allait bien dans le meilleur des mondes du système capitaliste. En résumé, on vivait dans le capitalisme parfait, comme disaient autrefois les économistes libéraux. Puis, soudainement, comme à l'époque des impuissantes sociétés primitives dominées par les forces de la nature, l'irruption d'un microscopique et invisible virus a totalement ébranlé la plus grande civilisation scientifique et technologique de l'histoire de l'humanité, le monde moderne capitaliste qui, soit dit au passage, dépense 2000 milliards de dollars chaque année dans l'achat de l'armement pour combattre on ne sait quel ennemi « dans cette période censément de paix », mais est incapable d'aligner une armée de médecins et de personnels soignants dotés d'équipements sanitaires pour nous protéger d'un minuscule virus.

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  7. Ainsi, sans l'envahissement du barbare virus, la civilisation capitaliste aurait poursuivi éternellement sa lune de miel avec la croissance, la prospérité, sa nature pacifique, humaniste, antiraciste, écologique. (sic) Même un homme de Cro-Magnon ne croirait pas à cette supercherie sanitaire, escroquerie médicale, mystification médiatique, tromperie étatique.

    Lentement mais sûrement, le grand capital financier étend sa domination sur tous les pays, y compris contre une grande partie de la petite et moyenne bourgeoisie, aujourd'hui précarisée, paupérisée, prolétarisée, désespérée mais néanmoins toujours pleine d'illusions sur la « refondation » du capitalisme national (sic).

    Qui a dit que le prolétariat avait disparu ? N'est-ce pas plutôt à la disparition définitive des « classes petites et moyennes bourgeoises » que nous assistons. À leur prolétarisation rampante, à leur précipitation irréversible dans la misère et la mendicité. Aujourd'hui, Marx a gagné contre ses détracteurs qui encensaient le capitalisme triomphant, assurant éternellement bonheur et prospérité, élévation constante du niveau de vie, ascension sociale inaltérable, disparition de la paupérisation, le triomphe irréversible des « classes moyennes », signant la fin de l'histoire, etc. (sic). Aujourd'hui ne subsiste sur la scène historique que deux classes antagoniques : la bourgeoisie et le prolétariat. La première nous mène vers l'hécatombe. Le second doit empêcher cette perspective par son devoir à s'atteler de remplir sa mission historique d'émancipation de l'humanité, autrement dit l'instauration de la fin de la société de classe.

    Quoi qu'il en soit, si un simple invisible virus microscopique aura réussi à précipiter toutes les populations du monde entier dans l'obéissance au nouveau despotisme high tech et dans la refondation politique chauviniste et belliqueuse, sur fond de destruction - reconfiguration capitalistique de l'économie - , cela confirme qu'elles étaient déjà génétiquement disposées à la servitude volontaire, à l'embrigadement ordinaire, à la paupérisation séculaire, au sacrifice militaire, à la mort génocidaire. Ce sera la fin de tout espoir d'émancipation humaine, le début de l'enfoncement dans une barbarie planétaire interminable.

    https://fr.sott.net/article/36036-De-l-instrumentalisation-du-terrorisme-islamiste-a-l-orchestration-du-terrorisme-viral

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  8. Le coût réel des verrouillages


    1 septembre 2020
    par Willis Eschenbach


    J'ai publié un message appelant à la fin des verrouillages américains il y a cinq mois environ, le 21 mars, une semaine après les premiers verrouillages ici en Californie.

    Dans ce post, j'ai fait trois prédictions: des pertes économiques massives, une augmentation des décès et des jeunes hommes qui causent des problèmes dans les rues, à savoir:

    Les dommages économiques causés par la réglementation insensée actuelle des «abris sur place» visant à contrecarrer le coronavirus vont être énormes - emplois perdus, entreprises fermées, ralentissement économique, pertes boursières. Cela ne compte pas le coût personnel de choses comme l'augmentation des suicides et de la violence domestique et autre. Pensez aux jeunes hommes en colère sans travail et à boire dans la rue parce qu'aucun endroit n'est ouvert, même si bien sûr il est illégal d'être dans la rue.

    De toute évidence, les dommages économiques ont été accablants. Et tragiquement, j'avais raison à propos des jeunes hommes en colère dans les rues.

    En ce qui concerne le dernier point, les décès, j'ai été intéressé par une étude intitulée COVID-19 Lockdowns Over 10 fois plus mortel que la pandémie elle-même. Ils ont examiné les chiffres bien établis reliant l'augmentation des décès à la perte d'emplois. Puis, étant donné l'âge des personnes impliquées, ils ont compris les «années de vie» perdues.

    Voici le devis de l'argent:

    En combinant ces analyses, nous avons constaté qu'environ 18,7 millions d'années de vie seront perdues aux États-Unis en raison des verrouillages COVID-19. L'analyse comparative des données entre les pays montre que les verrouillages aux États-Unis ont probablement eu un effet minime en sauvant des années de vie. En utilisant deux groupes de comparaison différents, nous estimons que les verrouillages du COVID-19 aux États-Unis ont permis d'économiser entre un quart et trois quarts de million d'années de vie.

    Les verrouillages coûtent dix fois le nombre d'années de vie sauvées du coronavirus… un plan double et non bon. Il s'avère que rester à la maison est loin d'être sûr, sans même inclure l'énorme coût économique.

    Et c'était à l'époque du pic des infections lorsque les verrouillages auraient pu faire une différence. Maintenant, à la fin de l'histoire, le déséquilibre est pire: les gens sont toujours sans travail, les coûts économiques continuent d'augmenter et chaque jour, de moins en moins de vies sont affectées par le virus.

    Face à tout cela, je ne peux que répéter ce que j'ai dit le 21 mars…

    METTEZ FIN AUX LOCKDOWNS AMÉRICAINS !

    w.

    PS - Lorsque vous commentez, veuillez citer les mots exacts dont vous parlez, afin que nous puissions éviter au moins certains des malentendus qui sévissent dans les intarwebs…

    https://wattsupwiththat.com/2020/09/01/the-real-cost-of-lockdowns/

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  9. Maires, gouverneurs, présidents, premiers ministres, dictateurs, rois, reines, papes, potentats


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    3 septembre 2020


    Sur la base de ma vaste expérience en tant que traducteur, voici ce que disent ces dirigeants:

    «Nous sommes trop stupides pour savoir ce qui se passe. Nous comptons donc sur nos responsables de la santé publique. Ce qu'ils recommandent devient loi ou décret. Tout de suite."

    «Nous sommes en train de commettre un suicide économique. Nous vous demanderions de vous joindre à nous, mais il n'y a pas de demande. Vous êtes, que cela vous plaise ou non. Et le «nous» est un peu un abus de langage, car en tant que dirigeants, nos chèques de paie sont sécurisés. De plus, «en train de commettre» n’est pas tout à fait correct, car nous avons déjà accompli le suicide susmentionné. Apparemment, on peut accomplir l'acte d'autodestruction plusieurs fois.

    «Par exemple, nous rouvrons nos économies, élargissons les tests avec des tests sans valeur, accumulons des faux positifs, puis sur la base de ces nombres de cas insignifiants, nous passons à nouveau au verrouillage.»

    «Ne nous blâmez pas. Nous sommes trop stupides pour savoir ce que nous faisons. Bien sûr, nous VOYONS ce que nous faisons, mais il y a une distinction entre voir et savoir. Nos employés sont en train de régler cette distinction maintenant, et nous vous répondrons avec des éclaircissements, si possible. "

    «Il y a deux problèmes que nous devons expliquer. Premièrement, le CDC a annoncé que seulement six pour cent des décès dus au COVID ont été causés par le virus seul. Dans tous les autres cas, les victimes âgées souffraient déjà de problèmes de santé multiples et graves. Nous sommes conscients que ces conditions préalables, plus la terreur infligée à un diagnostic de COVID, ainsi que l'isolement consécutif de la famille et de la famille, ont été suffisantes pour causer la mort de 94% de TOUTES les personnes étiquetées `` mort par le virus ''. AUCUN VIRUS N'EST OBLIGATOIRE. Étonnant, n'est-ce pas? Mais nous ignorons tout cela. Pourquoi? Parce qu'on nous le dit. »

    Deuxièmement, comme l'a révélé le New York Times, jusqu'à 90% de tous les cas de COVID, définis par un test positif, sont en effet dénués de sens, car la quantité de virus dans le corps des personnes est si infinitésimale, aucun mal ne leur serait infligé et non la contagion d'une personne à l'autre se produirait. Nous ignorons également cette question, car on nous le dit. "

    «Habituellement, ces deux développements majeurs nous conduiraient à proclamer:« Retournez au travail, retournez dans vos vies, enlevez vos masques, c'est fini. »Mais nous ne faisons pas cette proclamation. Nous continuons comme si de rien n'était. Pourquoi? Afin de rester cohérent, et parce qu'on nous le dit. Nous sommes si stupides. "

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  10. «Il y a un troisième problème, maintenant que nous y pensons. Les États-Unis et le Royaume-Uni, en mars, envisageaient des politiques ouvertes. Pas de verrouillage. Ensuite, un modélisateur informatique manifestement défaillant, Neil Ferguson, de l'Imperial College de Londres, a déclaré que 500 000 personnes pourraient mourir au Royaume-Uni et que deux millions pourraient mourir aux États-Unis. Sur cette base, sans enquête sur les antécédents épouvantables de Ferguson, les deux pays sont allés au verrouillage et au premier cycle de suicide économique. D'autres pays ont emboîté le pas. Pourquoi? Nous, dirigeants de ces pays, avons compris les conséquences économiques et humaines, mais nous n’avons pas GRASP les conséquences. La distinction, là encore, est en train d'être réglée. »

    «Dans l'intérêt d'une divulgation complète, il y a encore une quatrième question que nous devons mettre sur la table et inscrire au dossier. Vous voyez, au début de toute cette affaire, à Wuhan, nous n'avons vraiment aucune idée de ce que les chercheurs ont fait ou n'ont pas fait, dans leur laboratoire, ce qui les a amenés à annoncer qu'ils avaient découvert un nouveau coronavirus qui provoquait une grave épidémie. "

    «Nous ne sommes pas autorisés dans ces laboratoires. Il n'y a pas de vidéo du processus étape par étape qui s'est déroulé dans le laboratoire de Wuhan. Il n'y avait pas d'observateurs indépendants non conflictuels. Conclusion: nous ne savons pas si un nouveau virus a réellement été découvert. »

    «Nous savons qu'aucune étude traditionnelle au microscope électronique à grande échelle n'a été réalisée, en utilisant des échantillons de tissus provenant, par exemple, d'un millier de patients qui auraient été atteints de la maladie épidémique.

    «Nous savons également que les chercheurs ont commencé avec un morceau d'ARN dont ils ont simplement présumé provenir d'un virus. Encore une… bizarrerie.

    «Nous savons également que les chercheurs ont déclaré que la pneumonie était la caractéristique cardinale de la nouvelle épidémie. Pourtant, depuis des décennies, environ 300 000 personnes meurent chaque année en Chine d'une pneumonie. Cela signifie que des millions de cas de pneumonie surviennent chaque année en Chine. »

    «Nous savons également que si ces chercheurs de Wuhan avaient regardé à travers les fenêtres de leur laboratoire, ils auraient vu une brume mortelle. C'est ce qu'on appelle la pollution de l'air. À Wuhan et dans d'autres villes chinoises, le mélange mortel de toxines polluantes de l'ère industrielle précoce et de l'ère industrielle moderne est sans précédent dans l'histoire de l'humanité.

    «Cette pollution provoque toutes sortes d'infections pulmonaires, y compris la pneumonie, qui, une fois de plus, aurait été la caractéristique cardinale de la NOUVELLE épidémie.

    "Nous savons et pourtant nous ne savons pas, si vous comprenez notre dérive."

    «Nous pouvons additionner les choses mais la conclusion nous échappe.»

    "Nous voyons mais nous ne comprenons pas."

    «Cependant, soyez indulgents avec nous. Il y a beaucoup à régler et à clarifier. »

    «La lumière brillera à travers les ténèbres.»

    «Vous êtes dans nos pensées et nos prières.»

    "Merci pour votre service."

    "C'est tout."

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  11. NON, VOUS DE BEAUX LEADERS À PLUMES. C'EST TRES DEFINITIVEMENT PAS TOUT. LA TEMPÊTE DE MERDE EST DÉJÀ SUR VOTRE CHEMIN.

    DUCK.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/09/jon-rappoport/mayors-governors-presidents-prime-ministers-dictators-kings-queens-popes-potentates/

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  12. Le mot «jusqu'à» - une raison clé pour ne jamais expliquer votre exemption de masque facial


    Par Allan Stevo
    3 septembre 2020


    Un homme sage a dit un jour: "Vous vendez ou êtes vendu." Je ne suis pas d'accord avec sa vision dichotomique et contradictoire de la vie, mais, en effet, il y a des gens qui cherchent constamment quelqu'un à pousser et pour qui cette approche de la vie devient auto-réalisatrice.

    Ce sont les intimidateurs, les psychopathes, les sociopathes et les lâches.

    Ce groupe se déplace dans la vie à la recherche d'indicateurs clés dans leur entourage qui communiquent au prédateur «J'ai un dedans», «J'ai un crochet», «Je peux attraper ce type.»

    Ces personnes sont une des principales raisons pour lesquelles il est désavantageux de parler de votre santé, de votre handicap, de votre religion ou de toute autre question lorsque vous essayez d'invoquer une exemption de masque facial.

    Ne dites pas plus que "Je ne peux pas porter de masque facial en toute sécurité." C'est tout. Laisse-le ici. Les personnes agressives, comme celles mentionnées ci-dessus, chercheront à vous pousser contre vous et à traverser vos frontières. Ne vous en faites pas, c’est ce que font ces gens.

    Les intimidateurs intimident les gens. C’est pourquoi nous les appelons des intimidateurs. Si ce n’était pas ce qui les faisait sortir du lit le matin, on ne les traiterait pas de brutes. Ils vivent pour ça.

    Les intimidateurs ont tendance à affluer vers des positions où ils peuvent échapper à l'intimidation, peut-être même être récompensés pour cela. La montée du communisme corona a ouvert une nouvelle voie par laquelle les intimidateurs peuvent intimider. Les points de contrôle de conformité du masque facial sont l'une des nombreuses nouvelles opportunités pour un intimidateur de faire son travail.

    Et vous, mon ami, vous devez faire votre truc. Vous savez mieux que moi ce que c’est, car je ne vous connais même pas, mais si vous avez trouvé cet écrit, nous avons probablement quelques points communs.

    Nous pourrions tous les deux croire que les personnes exemptées de masques faciaux ne devraient pas être incitées à les porter.

    Nous pourrions tous les deux mépriser les tyrans. Nous pourrions même croire tous les deux que ce n’est pas la faute du tyran si une personne choisit d’être si oppressable. Chaque personne doit se défendre.

    Il existe d’excellentes raisons axiomatiques autour de la vie privée et de la décence. Ce n’est tout simplement pas leur affaire, peu importe combien ils pourraient vous pousser et vous sonder. Leur pousser et leur sonder ne devraient pas vous choquer, aussi excessif ou sincère que cela puisse paraître, car encore une fois, cela est à prévoir de toute personne dans une position qui attire les intimidateurs.

    Au lieu d'être dérangé par leur intimidation, quand on ne sait pas quoi faire, mieux vaut se moquer d'eux. Il n’est jamais facile de dire si une personne a éclaté de rire intentionnellement ou accidentellement. Cela dérange la tête d'un intimidateur.

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  13. Avec un intimidateur, vous pouvez établir de bonnes limites maintenant, ou vous pouvez établir des limites moins bonnes plus tard. Ce sera maintenant plus facile. Plus tard, ce sera plus douloureux.

    Si vous ne fixez pas de limite ferme autour de votre santé et de votre bien-être, vous allez vous retrouver face à une nouvelle insistance d'un intimidateur.

    Considérant le monde comme un jeu à somme nulle, une division entre les nantis et les démunis, chaque interaction comme ayant un perdant ou un gagnant, un oppresseur ou une victime, l'intimidateur ne comprend pas vraiment le mot «coopération», mais comprend vraiment et profondément le mot «conformité». Bien que communément échangés les uns avec les autres en tant que synonymes, à quel point ces deux mots sont incroyablement différents.

    Vous voyez, la conformité peut ne pas donner satisfaction à un intimidateur. La conformité peut signaler une faiblesse. Plus la demande est farfelue, plus votre «coopération» bien intentionnée signalera à l'intimidateur que vous désirez devenir une victime facile. C’est pourquoi vous ne devez jamais simplement vous conformer aux demandes d’étrangers avec lesquels vous n’entretenez pas une relation de longue date. Vous vous rendez un mauvais service.

    C'est le grand mal derrière «les gens qui plaisent». Les négatifs n'ont rien à voir avec le fait de rendre un autre heureux. Rendre un autre heureux peut être une chose merveilleuse à faire. Les inconvénients ont à voir avec le peu de respect que vous montrez pour vous-même dans de tels moments.

    Heureusement, il existe des moyens de se protéger des intimidateurs. Je ne vous suggère pas de suivre le chemin du contrariant, en disant toujours «non». Ce faisant, vous pouvez vous refuser toute activité qui est dans votre propre intérêt. Être si rigide et préprogrammé fait de vous une cible facile pour le domaine du comportementalisme appelé psychologie inversée.

    Au lieu de cela, il s'agit de 1.) Identifier vos propres limites, 2.) Communiquer sur vos propres limites, et 3.) Défendre vos propres limites qui devraient avoir lieu dans de telles interactions.

    Vos actions ne doivent pas être commises à partir de quoi que ce soit qui ressemble vaguement à une obéissance aveugle ou à une désobéissance aveugle. Cela, en particulier l'obéissance aveugle, fait de vous une victime facile pour l'intimidateur. Ne faites rien de tel aux points de contrôle de conformité.

    Vous pouvez donner à l'intimidateur vos antécédents médicaux complets et les notes de trois médecins au point de contrôle. Cela n'a peut-être pas d'importance.

    L'intimidateur ira plus loin.

    Vous pouvez accepter de parcourir le magasin de manière unidirectionnelle et sur une seule jambe.

    L'intimidateur ira plus loin.

    Vous pouvez l’inviter à la maison pour le dîner pour cracher dans la nourriture de votre mère.

    L'intimidateur ira plus loin.

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  14. «Nous allons avoir besoin que vous portiez votre masque jusqu'à ce que…» est ce que l'intimidateur pourrait dire, en réponse à votre explication sincère et totalement transparente des raisons pour lesquelles vous avez besoin d'une exemption.

    Ou ils pourraient dire "Eh bien, ne pouvez-vous pas porter votre masque avant ..."

    Jusqu'à quoi?

    Remplissez simplement l'espace en fonction de votre exemption.

    «Nous aurons besoin que vous portiez votre masque jusqu'à ce que vos palpitations cardiaques commencent et que vous vous évanouissiez.

    «Nous aurons besoin que vous portiez votre masque jusqu'à ce que vos attaques de panique commencent et que vous deviez l'arracher de votre visage une fois qu'il sera trop tard pour ramener l'attaque sous contrôle.»

    «Nous allons avoir besoin que vous portiez votre masque jusqu'à ce que du sang commence à sortir de votre bouche», une condition sur laquelle quelqu'un m'a récemment écrit.

    Si vous ne dites pas «non», cela va empirer. Ce qui est bien, c'est que les personnes courageuses en contact avec leurs propres frontières sont récompensées dans cette situation. Ils amènent rapidement le conflit à un point culminant. Ils obtiennent par conséquent une résolution relativement indolore et facile.

    «Je suis incapable de porter un masque facial en toute sécurité», trace rapidement une limite et communique ce qui est nécessaire.

    Si vous ne tracez pas de frontière, l'intimidateur vous enveloppera de trucs pour profiter de vous et fera de son mieux pour ruiner les choses les plus spéciales à votre sujet, tout ce que vous exposez à cet intimidateur.

    C’est exactement ce que font les intimidateurs.

    C’est une des raisons pour lesquelles la promiscuité est si nuisible. Les émotions humaines importantes sont mises à nu devant des personnes qui ne méritent pas la confiance. Perles avant les porcs. Les chances ne sont pas en faveur de ceux qui permettent que l'intimité soit poussée dans la porte d'une relation avant que la confiance nécessaire pour en faire un environnement sûr ne soit gagnée.

    Je ne sais pas quels sont vos problèmes de santé liés au masque. Ce ne sont pas mes affaires. Et ce n’est certainement pas l’affaire du vérificateur de conformité à la porte.

    Faites-vous une faveur et gardez vos affaires privées pour vous.

    Faites-vous une faveur et ne portez plus jamais un masque facial dont vous êtes exempté.

    Rendez service au monde et envoyez-moi vos histoires depuis le point de contrôle de la conformité, afin que nous puissions mettre fin à cette tyrannie.

    https://www.lewrockwell.com/2020/09/allan-stevo/the-word-until-a-key-reason-to-never-explain-your-face-mask-exemption/

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  15. Le CDC est le nouveau propriétaire de l'Amérique


    Par Jeff Deist
    Mises.org
    3 septembre 2020


    Les Centers for Disease Control and Prevention, opérant sous l'égide du Département américain de la santé et des services sociaux, ont exercé leur compétence sur les baux résidentiels privés à l'échelle nationale. Il a l'intention de réduire les expulsions jusqu'à la fin de l'année au moins, et en fait, sa nouvelle directive menace des sanctions pénales fédérales contre les propriétaires qui ignorent les «déclarations» des locataires faites à l'aide des formulaires CDC.

    On ne sait pas, pour le dire avec douceur, comment cette compétence sur les contrats privés et les tribunaux étatiques / locaux passe même au Congrès, et encore moins à une agence administrative agissant seule. Un fonctionnaire fédéral justifie l'action bizarre et juridiquement douteuse basée sur la large charte du CDC pour arrêter la propagation des maladies transmissibles - une charte à laquelle ils ont lamentablement échoué avec le covid:

    Le Congrès a délégué une large autorité au HHS, au Surgeon General et au CDC, afin de déployer des efforts raisonnables pour lutter contre la propagation des maladies transmissibles, et franchement, je pense que cela a du sens pour ces autorités à l'étranger, car nous ne savons pas pour une situation ou un scénario donné ce que des étapes seront nécessaires pour arrêter la propagation. Je pense que, dans cet ordre particulier, le CDC a fait un argument très convaincant selon lequel il est assez problématique en ce moment particulier. Il se concentre sur cette pandémie particulière, qui est évidemment la compréhension unique et puissante de toute l'histoire du pays en termes de l'effet qu'elle a eu, pour un tas de raisons en particulier, que la maison a été en quelque sorte le point focal de la distanciation sociale des gens et bâtiment, une sorte d'espace sûr eux-mêmes au cours des derniers mois, et aussi le fait que si les gens sont expulsés, ils peuvent se retrouver dans des lieux de vie collectifs surpeuplés ou des refuges pour sans-abri, et c'est une recette potentielle pour une grande propagation du COVID -19.

    Merci à Zero Hedge, souvent critiqué mais en fait essentiel, pour le petit reportage précoce et original ici - une journée complète avant NPR, Bloomberg, et al. - et pour les détails d'une conférence téléphonique avec des responsables du CDC.

    Encore une fois, cela a été annoncé sans contribution ni approbation du Congrès et uniquement par décret administratif. Au moins, les moratoires sur les expulsions et les hypothèques dans la loi CARES, adoptée par le Congrès en mars, ont été adoptés par des politiciens qui doivent faire face aux électeurs cet automne. Et bien que ces moratoires antérieurs puissent également être suspects sur le plan constitutionnel, du moins en période de raison, ils se limitaient aux locations et aux hypothèques soutenues par le gouvernement fédéral. La nouvelle action de la CDC est beaucoup plus large et s’applique vraisemblablement à tous les baux résidentiels privés à travers le pays.

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  16. Les retombées de la suspension des contrats de location seront profondes et durables. De nombreux propriétaires trouveront leur situation intenable et cesseront de payer leurs hypothèques et leurs impôts fonciers. Le parc de nouveaux logements locatifs sera déprimé, car les propriétaires s'inquiètent de la prochaine suspension des paiements de loyer maintenant que le précédent a été établi. Après tout, pourquoi les moratoires ne se reproduiraient-ils pas lors de la prochaine pandémie ou crise financière? Les prix des logements locatifs chuteront à mesure que de plus en plus de propriétaires abandonneront l'entreprise, ce qui permettra aux acheteurs commerciaux et privés de s'approprier des logements bon marché aux particuliers et aux petits propriétaires. En fin de compte, les saisies, les expulsions et les ventes fiscales se produiront, quoi que fasse le gouvernement fédéral. Le résultat probable est que les plus gros joueurs possèdent de plus en plus de logements locatifs, consolidant la classe des locataires permanents et ajoutant au déracinement que ressentent de nombreux Américains. Même l'accession à la propriété la plus modeste crée une peau dans le jeu et encourage de meilleurs quartiers, tandis que les zones dominées par la location n'ont pas les mêmes incitations à l'amélioration. Et les nouveaux propriétaires de logements locatifs répercuteront toute l'incertitude, les risques et les pertes potentielles sur des millions d'Américains sous la forme de loyers plus élevés.

    Même pendant les périodes les plus turbulentes de l'histoire américaine, y compris la Grande Dépression, la Seconde Guerre mondiale et une épidémie de tuberculose des années 1880 qui a tué une personne sur sept, pratiquement personne ne s'attendait à ce que le gouvernement fédéral suspende le loyer. Cette action du CDC, en réponse à un virus du rhume très gérable et en retrait, est le genre de développement sans précédent auquel nous nous attendons cette année. C'est un moment décisif pour les États-Unis: lorsque vous détruisez la confiance dans l'exécution des contrats, vous créez des effets d'entraînement terribles dans toute la société. Quelque chose d'aussi radical ne doit pas être précipité en place avec si peu de prévoyance, surtout lorsqu'il s'agit d'acheter des voix lors d'une élection nationale. Mais bien sûr, dans un état managérial, nous devrions nous attendre à ce que ce type de considération politique à courte vue prévale sur le bon sens et la justice.

    La CDC veut effectivement vicier les contrats: lorsque vous dites à une partie qu'elle ne doit pas exécuter et à l'autre qu'elle ne peut pas poursuivre en justice pour non-exécution, vous modifiez radicalement le pouvoir de négociation de ces parties. Le contrat qu'ils ont signé n'est plus qu'un document ambitieux, un outil législatif (ou administratif!) À réécrire au gré des politiques. Les effets de ce moratoire se répercuteront sans aucun doute de manière imprévue à mesure que les Américains s'habitueront à l'idée que leurs obligations financières peuvent être effacées par décret d'État. Les coûts énormes seront supportés par nous tous, car lorsque les contrats ne sont pas exécutoires, chaque transaction doit représenter des risques beaucoup plus élevés.

    https://www.lewrockwell.com/2020/09/jeff-deist/the-cdc-is-americas-new-landlord/

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  17. Un argent sain est essentiel pour défendre nos libertés


    par Tyler Durden
    Mer, 09/02/2020 - 20:45
    Rédigé par Thorstein Polleit via The Mises Institute,


    Le titre de cet article incarne ce que l'économiste autrichien Ludwig von Mises (1881–1973) a appelé le «principe de la monnaie saine». Comme Mises l'a dit:

    Le principe de la monnaie saine comporte deux aspects.

    Il est affirmatif en approuvant le choix par le marché d’un moyen d’échange couramment utilisé.

    Il est négatif d’entraver la propension du gouvernement à se mêler du système monétaire.

    Et plus loin:

    Il est impossible de saisir le sens de l'idée de monnaie saine si l'on ne se rend pas compte qu'elle a été conçue comme un instrument de protection des libertés civiles contre les incursions despotiques de la part des gouvernements. Idéologiquement, il appartient à la même classe avec les constitutions politiques et les projets de loi de droit.

    Mises nous dit qu'une monnaie saine est une ligne de défense indispensable des libertés des gens contre l'empiétement de l'État et qu'une monnaie saine est une sorte d'argent qui n'est pas dictée par l'État mais qui est choisie par le peuple sur le marché libre. . Le monde dans lequel nous nous trouvons est un endroit assez différent. Notre argent - que ce soit le dollar américain, l'euro, le renminbi chinois, le yen ou le franc suisse - représentent des monnaies fiduciaires, monopolisées par l'État.

    La monnaie fiduciaire est économiquement et socialement destructrice - avec des conséquences économiques et sociétales profondes et gravement néfastes, des effets qui vont au-delà de ce que la plupart des gens imagineraient. La monnaie fiduciaire est inflationniste; il en profite à quelques-uns au détriment de beaucoup d'autres; il provoque des cycles d'expansion et de récession; il conduit au surendettement; il corrompt la morale de la société; et il ouvre la voie vers l'État tout-puissant et tout-puissant, vers la tyrannie.

    La banque centrale est marxiste

    Ce n'est certainement pas un hasard si «l'État» s'est développé depuis que le monde a adopté un régime de monnaie fiduciaire sans entraves au début des années 1970, et qu'en conséquence les libertés et les libertés individuelles sont sous pression depuis lors. L'État se nourrit de monnaie fiduciaire. Il émet simplement une nouvelle dette, qui est ensuite monétisée par sa banque centrale, qui est au cœur du régime de la monnaie fiduciaire.

    Vous trouverez peut-être étonnant que je pense que le concept de banque centrale est vraiment un concept marxiste. (Je ne dis pas que la banque centrale n'est favorisée que par les marxistes. Pas du tout! Il existe également de nombreuses autres idéologies qui approuvent la banque centrale.)

    Dans leur Manifeste communiste de 1848, Karl Marx (1818-1883) et Friedrich Engels (1820-1895) ont compilé une liste de mesures nécessaires pour établir le communisme. La mesure numéro 5 se lit comme suit:

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  18. Centralisation du crédit entre les mains de l'Etat, au moyen d'une banque nationale à capital d'Etat et monopole exclusif.

    Dans ce contexte, il ne devrait y avoir aucun doute qu'une fois que l'État est devenu le maître absolu de la monnaie fiduciaire, la porte est ouverte pour qu'il s'agrandisse de plus en plus, pour finalement devenir le redoutable État profond. Et l'État profond, comme nous le savons bien par l'histoire, ne tient guère compte des libertés et des libertés individuelles.

    Rendre de l'argent à nouveau rentable: retour à une monnaie saine
    Ce qui doit être fait ? Eh bien, le défi à relever est de «faire de l'argent à nouveau» ! Pour cela, il faut avant tout mettre fin au monopole de la production monétaire de l’État et ouvrir un marché libre de la monnaie. Un marché libre de l'argent signifie que les gens ont la liberté de choisir le type d'argent qu'ils souhaitent utiliser et que les gens ont la liberté de fournir à leurs semblables des biens alternatifs qui peuvent leur servir aussi bien que l'argent.

    Dans l'état actuel des choses, cependant, une solution finale au «problème de l'argent» n'est pas encore arrivée - même compte tenu de l'émergence de l'espace de crypto-monnaie. En effet, le problème d'intermédiation financière n'est toujours pas résolu dans l'écosystème de la crypto-monnaie; nous reviendrons sur cette question dans un instant.

    Mais abordons d'abord la question: comment pouvons-nous passer d'un régime de monnaie fiduciaire contrôlé par l'État à un marché libre de la monnaie ?

    La première stratégie est l'illumination monétaire - informer le plus large public possible des méfaits de la monnaie fiduciaire et de la manière dont elle affecte leur vie personnelle, leur famille et leur communauté. Cela comprend également d'expliquer aux gens qu'il existe une alternative supérieure et pratique à un régime de monnaie fiduciaire, à savoir un marché libre de la monnaie.

    La deuxième stratégie progresse dans le domaine des monnaies alternatives et des systèmes de paiement, notamment en termes de bouleversements technologiques et de leur rentabilité économique. C'est l'espace d'activités pour ceux d'entre nous qui sont animés par l'esprit d'entreprise.

    Les limites de la crypto-monnaie

    La communauté des crypto-monnaies, la communauté bitcoin en particulier, ainsi que les fournisseurs de systèmes de paiement basés sur les métaux précieux ont fait des progrès dans ce domaine ces dernières années, mais malheureusement, la victoire n'a pas encore été remportée.

    Par exemple, le bitcoin a encore des problèmes d'évolutivité et de performances. Actuellement, le réseau Bitcoin règle un pic d'environ 350000 transactions dans le monde chaque jour et, compte tenu de sa configuration actuelle, il fonctionne probablement à presque pleine capacité. En comparaison, le système de paiement en monnaie fiduciaire allemand traite à lui seul plus de 75 millions de transactions en moyenne chaque jour ouvrable. Du point de vue du traitement des paiements, le bitcoin ne peut pas encore surpasser les devises fiduciaires.

    De plus, une monnaie dans une économie moderne doit prévoir la possibilité d'une intermédiation financière (une question que j'ai mentionnée plus tôt). Les gens demandent généralement des services de paiement ou de stockage pour leur argent, ou ils veulent prêter et emprunter de l'argent, quel que soit le type d'argent qu'ils utilisent réellement. Souvent, peer-to-peer ne suffit pas, un tiers est requis.

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  19. Fournir des services d'intermédiation en dehors de la réglementation étatique existante est difficile. En fait, cela imposerait une limite supérieure à la sophistication financière de toute crypto-monnaie. C'est un lourd frein à leur compétitivité par rapport aux monnaies fiduciaires. Et si une crypto-monnaie sort dans l'espace ouvert, elle fera respirer l'État dans le cou, la noyant dans des réglementations et des restrictions destructrices pour les entreprises. Le problème de l'intermédiation financière n'étant toujours pas résolu, on a des raisons de rester sceptique quant au fait que, dans les circonstances actuelles, les crypto-monnaies existantes réussiront à écarter l'État et à remplacer sa monnaie fiduciaire comme ça.

    Les métaux précieux souffrent de problèmes similaires. Dans de nombreux pays, l'État soumet l'or et l'argent à des taxes sur la valeur ajoutée et / ou à des impôts sur les plus-values. Cela les rend non compétitifs par rapport aux monnaies fiduciaires en ce qui concerne leur utilisation dans les transactions quotidiennes.

    La clé de la monnaie du marché libre est la déconstruction de l'État

    En fait, est-il possible qu'un marché libre de la monnaie puisse émerger tant qu'il y aura le type d'État que nous connaissons aujourd'hui ? L'État est, comme la plupart d'entre vous le savent probablement, le monopole territorial de la prise de décision ultime avec le droit de taxer ses citoyens. On peut à juste titre s'attendre à ce que ce type d'État fasse de son mieux pour écraser tout concurrent à sa monnaie fiduciaire et empêcher l'émergence d'un marché libre de la monnaie.

    Donc, si nous voulons un marché libre de l'argent, la conclusion logique qui donne à réfléchir est la suivante: nous devons réformer, déconstruire l'État (tel que nous le connaissons aujourd'hui).

    Maintenant, la vérité inconfortable est révélée, car l'État est peut-être l'adversaire le plus féroce que vous puissiez choisir. Comment espérer remporter la victoire ?

    Eh bien, il n'y a certainement pas de sortilège magique. Une stratégie possible et simple pourrait être de faire appel au moi intérieur des gens, et c'est leur droit à l'autodétermination.

    Le droit à l'autodétermination est inaliénable et c'est une vérité incontestable. Chaque individu est propriétaire de son corps et propriétaire de biens acquis de manière non agressive (sans porter atteinte à l'intégrité physique de la propriété d'autrui). Nous ne pouvons contester ces propos sans provoquer une contradiction logique.

    Le droit à l'autodétermination implique que les citoyens d'un État ont le droit (1) de faire savoir, par un plébiscite librement organisé, qu'ils ne souhaitent plus être membres de l'État et (2) de former un État indépendant ou de s'attacher à un autre état. En d'autres termes: le droit à l'autodétermination comprend le droit de sécession, c'est-à-dire le droit des peuples de démanteler le grand État et de le déconstruire en unités plus petites.

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  20. Les petites unités politiques sont moins puissantes, plus pacifiques et orientées vers le libre marché. Ils maintiennent un taux d'imposition bas, ou peuvent même s'en passer et devenir plus riches. Pensez simplement, par exemple, à Shanghai, Hong Kong, la Suisse, le Liechtenstein ou Monaco. En effet, les petites unités politiques doivent rivaliser pour obtenir des capitaux et des talents avec d'autres unités politiques. Ils doivent bien se comporter. Sinon, les gens et les capitaux quitteront leur territoire. Étant donné un grand nombre de petites unités politiques, il y a de fortes chances que certaines d'entre elles permettent, voire encouragent, un marché libre de l'argent, donnant l'exemple qui crée des émulateurs.

    Conclusion

    Il est difficile de dire quelle voie serait la plus efficace pour «rendre l'argent encore plus intéressant».

    Peut-être que la communauté des crypto-monnaies réussira d'une manière ou d'une autre à mettre fin à l'État (tel que nous le connaissons aujourd'hui), laissant à sa place un marché véritablement libre de l'argent.

    En attendant, cependant, cela ne ferait certainement pas de mal si nous (1) continuions à éduquer le public plus large sur ce qu'est le bon argent et ce qu'est le mauvais argent et aussi (2) continuions à démasquer l'État (tel que nous le connaissons aujourd'hui), en montrant que il est incompatible avec et constitue une violation du droit inaliénable à l'autodétermination de chaque être humain.

    Dans tous les cas, il est de la plus haute importance d'arracher le monopole monétaire des mains de l'État. Sinon, il y a en effet peu d'espoir que la société libre (ou le peu qu'il en reste) puisse survivre.

    https://www.zerohedge.com/markets/sound-money-key-defending-our-liberties

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  21. Brève. La politique étrangère ou une campagne électorale ont bon dos.


    le 3 septembre 2020


    Aux Etats-Unis le président sortant craint pour sa réélection et c’est normal. Pour résumer la situation intérieure américaine, c’est un vrai bordel amplifié par des médias favorables au parti démocrate. Donc Trump va visiter les villes « chaudes » pour rassurer ses électeurs. Comme toute la vie américaine est basée sur des mensonges, des apparences et des faux débats tout est organisé pour dissimuler la lente décadence de ce pays, décadence amplifiée par la grippe coronavirale. Les Américains vivent avec de l’argent factice sorti du chapeau des banquiers de la FED, les Américains se réjouissent d’être les leaders mondiaux des technologies de la communication avec internet, Google, Facebook, Amazon et Microsoft. Les Américains sont fiers d’avoir répandu dans le monde entier le système GPS dont plus personne ne peut faire l’économie y compris le conducteur d’une moissonneuse-batteuse au fin fond de l’Ukraine ou dans la Beauce en France. Les Américains sont fiers d’avoir mis au point et de contrôler le système de compensation bancaire international SWIFT. Et pour conclure cet aperçu les Américains sont fiers de contrôler plusieurs systèmes de cartes de crédit universellement utilisés dans le monde comme Visa, Mastercard ou Amex et les Américains sont fiers de disposer de la plus grande flotte maritime du monde et de près de 1000 bases militaires, beaucoup d’entre elles disposant d’un arsenal nucléaire.

    Et pourtant la situation intérieure américaine est catastrophique et ni Trump ni son rival Biden n’ont de solution magique pour la redresser. Les Américains ne peuvent pas en être fiers : la mortalité infantile augmente, l’espérance de vie diminue, plus de 60 % de la population est en surpoids et le nombre de personnes souffrant de diabète ou de maladies cardiovasculaires atteint des sommets qui rivalisent avec la progression des indices boursiers, eux aussi totalement artificiels. On n’est plus à DisneyLand mais dans la réalité quotidienne du chômage, de l’endettement et de la précarité qui frappent des dizaines de millions de personnes qui n’iront probablement pas voter parce qu’elles savent que leur cause est perdue d’avance. Alors Trump et Biden et sa « co-présidente » font le tour des popotes sans arriver à convaincre qui que ce soit.

    En France la situation est en apparence plutôt meilleure mais ce n’est qu’une apparence et les responsables politiques le savent très bien. La crise sanitaire de la grippe coronavirale, finalement pas plus méchante qu’une grippe saisonnière classique, a sidéré la population avec le confinement, une situation inédite érodant les libertés individuelles. Aujourd’hui, alors que cette grippe a disparu, le gouvernement continue à entretenir la peur dans la population avançant le fallacieux prétexte que le nombre de « cas » augmente dangereusement alors que le nombre de morts est négligeable voire nul. C’est très exactement la même situation qui prévaut en Espagne avec l’obligation de porter un masque à tout instant et partout. Il faut entretenir la peur parce que le cerveau ne fonctionne plus correctement : le cerveau reptilien a pris les commandes, alors on devient incapable de raisonner sainement. Il y a une douzaine de milliers d’années nos ancêtres grimpaient aux arbres pour échapper aux bêtes fauves. Ils ne réfléchissaient plus car leur vie était en danger. Aujourd’hui les politiciens nous ont convaincu que nos vies étaient en danger et nous raisonnons exactement comme ces chasseurs-cueilleurs. Plutôt que de grimper aux arbres nous avons docilement obéi aux ordres de confinement. Comme nos ancêtres laissaient parfois des vieux incapables de grimper aux arbres se laisser dévorer par les fauves, nous avons laissé nos vieux mourir, seuls, dans des hospices.

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  22. Ce confinement n’a pas vraiment modifié le cours de l’épidémie mais son effet a détruit l’économie et la crise économique et sociale dont on parle ne fait que commencer. Des dizaines de milliers d’entreprises de toutes tailles ferment leurs portes en France mais aussi en Espagne ou en Italie et dans d’autres pays européens. Ce seront dans quelques semaines des millions de chômeurs qui s’ajouteront à ceux qui n’avaient pas de travail avant la grippe. Et on s’achemine avec certitude vers une situation critique et potentiellement incontrôlable dans les prochains jours. Alors pour que le peuple ne pense pas à cet avenir particulièrement incertain et dangereux le Président français montre ses muscles à Erdogan en Méditerranée orientale et se paie le luxe d’aller pour la deuxième fois au Liban donner des conseils aux politiciens locaux qui s’en moquent complètement. Mais tous les médias français reprennent l’information : elle a le mérite de capter l’attention du peuple pour lui faire oublier que la France se trouve dans une situation critique que l’on pourrait qualifier de pré-révolutionnaire. Tourisme électoral dans les Etats US, tourisme au Liban, même combat d’illusionnistes.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/03/breve-la-politique-etrangere-ou-une-campagne-electorale-ont-bon-dos/

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  23. La STEP : un trésor énergétique à (re)découvrir en France

    La STEP permet d’équilibrer le réseau électrique et d’augmenter la part de production d’électricité décarbonée dans le mix énergétique.


    Par Michel Gay et Serge Gil1.
    3 SEPTEMBRE 2020


    Sous l’acronyme rêche et anodin de « STEP » (station de transfert d’énergie par pompage) se cache un trésor : la possibilité d’absorber et de restituer beaucoup d’électricité à la demande, en quelques minutes, selon le besoin.

    LE MIRACLE

    Cette simple capacité est une prouesse remarquable car elle permet d’équilibrer le réseau électrique et d’augmenter la part de production d’électricité décarbonée (nucléaire et énergies aléatoirement variables ou intermittentes comme les éoliennes et les panneaux solaires) dans le mix énergétique.

    Une STEP transfère de l’eau par pompage d’un réservoir bas vers un réservoir haut lorsque la production est momentanément supérieure à la consommation et que le prix de marché est bas. Ensuite, son turbinage (production d’électricité à travers une turbine) peut répondre au besoin lorsque l’électricité est rare et chère.

    C’est la seule technique de stockage d’énergie à grande échelle dont la disponibilité permet de délivrer sur le réseau électrique une puissance équivalente à un ou deux réacteurs nucléaires (jusqu’à presque 1800 MW pilotables) en quelques minutes, et pendant quelques heures. Elle répond au besoin fluctuant de la consommation journalière en lissant les productions fatales des énergies renouvelables et en optimisant la production nucléaire.

    Une STEP constitue donc un facteur essentiel de la stabilité du réseau d’électrique tout en évitant l’utilisation d’énergies fossiles polluantes.

    POURQUOI S’EN PRIVER ?

    À ce jour, EDF exploite en France seulement 6 STEP représentant une puissance totale de 5000 mégawatts (MW). La plus grande STEP (Grand’maison), qui a un dénivelé de 1000 mètres, demande 1275 MW en pompage et produit 1790 MW en turbinage. La puissance d’un réacteur nucléaire de dernière génération (EPR) est de 1660 MW.

    Ces chiffres sont à relativiser avec les 25 000 MW installés d’hydroélectricité dont 12 000 MW sont modulables avec une capacité de démarrage de 3 à 15 minutes.

    Par comparaison, le parc de production électrique français a une capacité totale de l’ordre de 120000 MW, dont 61 000 MW de nucléaire.

    Les STEP sont de plus en plus utiles dans un système électrique qui développe des énergies intermittentes électriques car leurs productions fatales, brutales et aléatoires nécessitent des centrales de compensation rapide à gaz, y compris à l’étranger (importations).

    Selon le rapport Quinet de 2019 sur la valeur du gaz carbonique, « donner une valeur monétaire à l’action pour le climat, c’est signaler que les activités humaines doivent intégrer les bénéfices collectifs que procure la réduction des émissions de gaz à effet de serre. C’est se donner une référence pour sélectionner et hiérarchiser les actions utiles à la collectivité ».

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  24. Or, EDF semble tergiverser en France alors que d’autres pays en construisent.

    La PPE 2019-2028 estime que « l’hydroélectricité pourrait contribuer de manière décisive à répondre au besoin de flexibilité du système électrique, notamment grâce aux STEP » et envisage d’accroître la puissance totale des STEP de 1500 MW d’ici 2035 mais, paradoxalement, EDF hésite. Après avoir tergiversé pendant des années, elle a annoncé en mars 2018 prévoir d’autres STEP… restées à ce jour à l’état de projet, à l’exception de quelques modernisations.

    OÙ CONSTRUIRE DES STEP ?

    Le rapport Dambrine avait identifié en 2006 plusieurs sites potentiels, notamment en Savoie et le long de la Durance.

    Les STEP nécessitent un dénivelé important et un gros débit d’eau. Presque toutes les STEP disposent d’un réservoir haut constitué par la retenue principale d’un barrage d’altitude et un petit réservoir bas en vallée.

    Mais l’inverse est aussi possible : un réservoir principal « en bas » et un « petit lac » réservoir de quelques millions de m3 « en haut ».

    De nombreux grands lacs « bas », naturels ou artificiels, existent en France. Plus rares sont ceux entourés de hautes montagnes capables d’accueillir un petit réservoir « haut » à distance raisonnable avec un grand dénivelé d’environ 1000 mètres.

    L’immense lac artificiel de Serre-Ponçon au confluent de la Durance et de l’Ubaye en fait partie. Il est situé à 780 m d’altitude avec quelques cuvettes naturelles proches et plus de 1000 m de dénivelé, dont le cirque de Morgon.

    Le cirque de Morgon (voir carte), offre des conditions intéressantes d’aménagement.

    Ce site de plus de 300 hectares (ha) à 2000 mètres d’altitude pourrait accueillir une retenue d’environ 25 ha (un carré de 500 mètres de côté, vide d’habitants) et 12 mètres de profondeur moyenne, correspondant à un volume d’eau (3 millions de m3) susceptible d’être pompé en quelques heures depuis le lac « bas » de Serre-Ponçon.

    Ce dernier, d’une superficie de 28 km², verrait son niveau varier d’environ 10 centimètres en cas de vidange ou de pompage complet (sa variation saisonnière dépasse 40 mètres), sans aucun impact sur la flore et la faune puisque l’eau pompée est restituée intacte.

    Ce site permettrait de fournir une puissance de plus de 1500 MW (comparable à la STEP de Grand’maison), soit plus de 4 fois la puissance de l’usine électrique du barrage de Serre-Ponçon pendant 5 heures !

    EST-CE INTÉRESSANT ET RENTABLE ?

    Les STEP présentent un intérêt croissant pour assurer l’équilibre du système électrique mais leur futur bilan économique reste incertain compte tenu du prix bas du pétrole (autour de 40 euros par baril) et du gaz. Ces énergies fossiles importées alimentent à bas coût des turbines à combustion (TAC), un autre moyen flexible de production d’électricité concurrent des STEP, bien que polluant et émetteur de gaz à effet de serre.

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  25. Mais au-delà d’un prix de marché de 65 euros/MWh dans les cas de forte demande (en heure de pointe), la production de STEP est moins chère que la consommation de pétrole

    Les premières grandes STEP datent du début des années 1970. La réglementation du marché de l’électricité par les pouvoirs publics conférait alors à ces investissements une visibilité quant à leur rentabilité sur le long terme.

    Aujourd’hui, avec la disparition du monopole d’État et l’ouverture des marchés européens de l’électricité à la concurrence, l’absence de visibilité compromet de futurs investissements en l’absence de mesures correctrices. Le développement des STEP a donc été stoppé à la fin des années 1980.

    Les produits d’exploitation d’une STEP proviennent de la vente de l’électricité turbinée, mais aussi de la rémunération des différents services rendus au système électrique qui doivent être valorisés à leur juste valeur.

    Car une STEP nécessite un investissement important sur le long terme.

    Le coût de construction de la STEP de Nant de Drance près de Martigny en Suisse, qui sera inaugurée en décembre 2021, et d’une puissance comparable à celle de Grand’maison, a été évalué à environ 2 milliards d’euros avec des longueurs de galeries de 14 km (au lieu d’environ 4 km pour l’exemple du cirque de Morgon à Serre-Ponçon).

    La STEP paye le Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Electricité (TURPE) deux fois : une première fois pour l’électricité nécessaire au pompage, une deuxième fois pour la production lors du turbinage. Son taux a donc été logiquement diminué de 50 % pour les STEP en 2016, passant de 20 % à 10 %.

    S’ajoutent ensuite les frais de fonctionnement et d’amortissement, et les pertes d’environ 25 % sur l’électricité « pompée » (la STEP restitue 75 % de l’électricité absorbée).

    La majeure partie des frais de fonctionnement d’une STEP provient de la fourniture de l’électricité nécessaire au pompage.

    Dans le cas de l’exemple du cirque de Morgon, il s’agirait d’environ 1800 gigawattheures par an (GWh/an) en pompage. La production du turbinage serait d’environ 1400 GWh/an d’électricité « propre » (deux fois plus que l’usine électrique de Serre-Ponçon) mobilisable en quelques minutes, améliorant ainsi la sécurité d’approvisionnement de la France entière.

    Les lignes de transport capables d’évacuer la puissance de 1500 MW existent déjà en 230 000 volts

    Tous les coûts doivent être compensés par la différence de prix entre l’achat pour le pompage et la vente lors du turbinage ainsi que par la rémunération de la plus-value de sa disponibilité pour l’équilibre du réseau.

    Si l’électricité consommée au pompage provient régulièrement de sources dont le coût de fonctionnement est pratiquement nul (nucléaire) ou déjà payé par des subventions (énergies renouvelables électriques), non seulement la production d’une STEP devient rentable mais, en plus, elle rentabilise aussi d’autres moyens dont le coût de fonctionnement est marginal.

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  26. Par exemple, le coût global d’un réacteur nucléaire en fonctionnement à pleine puissance ou à l’arrêt est quasiment identique car l’usure du combustible est négligeable et les principaux coûts sont fixes (personnel, amortissement…). Il est donc préférable qu’il produise de l’électricité… quitte à la stocker « intelligemment ».

    UNE ÉNERGIE « INTELLIGENTE »

    Les installations hydroélectriques, dont les STEP, peuvent redémarrer seules sans nécessiter d’apport externe d’électricité. Elles constitueraient ainsi les premiers moyens remis en fonctionnement après une coupure généralisée du réseau afin de le « reconstruire ». Ainsi, progressivement, des moyens de production ajoutés successivement alimenteraient une zone géographique et, de proche en proche, toute la France.

    En absorbant et en produisant rapidement de grandes quantités d’électricité, les STEP contribuent à égaler en permanence la production et la consommation pour maintenir le fragile équilibre du réseau électrique. Ce point important doit être valorisé.

    Relancer le potentiel hydroélectrique de la France, notamment les STEP, constitue un enjeu majeur d’indépendance énergétique et d’économies d’importations de gaz et de pétrole pour contribuer à la politique énergétique définie par la Loi sur la Transition Énergétique pour la Croissance Verte (LTECV) votée le 22 juillet 2015.

    MAIS… IL Y A PLUSIEURS « MAIS »…

    1) Aujourd’hui, EDF est contraint par des lois européennes de mettre sur le marché les concessions de tous ses ouvrages hydrauliques. La durée maximale des concessions serait de 75 ans et pourrait être ramenée à moins de 40 ans. La rentabilité n’est donc pas assurée.

    Dans ces conditions, les candidats à de nouveaux investissements dans des ouvrages prévus pour durer plus de 100 ans se font rares.

    2) Les écologistes politiques veulent bien d’un stockage pour les excédents des énergies renouvelables mais ils craignent de favoriser le nucléaire… et aussi de noyer des espaces verts ! (voir l’émotion suscitée par la retenue de 34 ha qui était prévue à Sivens).

    3) La politique énergétique actuelle est incohérente : EDF annonce un plan de stockage électrique en mars 2018, mais le 13 mars 2019, un rapport du Conseil Général de l’Économie intitulé « Stockage stationnaire d’électricité » indique que « le caractère très limité en France du potentiel de déploiement de nouvelles STEP hydrauliques ne permet pas de mobiliser cette solution pour notre pays ». Comprenne qui pourra…

    UN TRÉSOR À (RE)DÉCOUVRIR

    Le titre de cet article a été inspiré par un enfant de 5 ans qui, en regardant avec l’auteur de cet article la carte du projet de STEP à Serre-Ponçon (en annexe), a demandé : « Tu cherches un trésor ? ».

    Réponse : « Oui, un trésor qui absorbe et produit sur demande beaucoup d’électricité avec de l’eau ! »

    Les hommes politiques fascinés par ce qui brille devraient aussi s’intéresser aux vertus de l’hydroélectricité, et particulièrement aux pépites des STEP. Cet or blanc produit une électricité renouvelable adaptable au besoin pour assurer l’équilibre du système électrique français et européen.

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  27. L’hydroélectricité devient aujourd’hui une composante incontournable d’une politique de renforcement de la sécurité d’approvisionnement et de lutte contre l’effet de serre. Elle constitue par excellence l’énergie du développement durable.

    La France, dans le Plan Climat de juillet 2017, s’est elle-même fixé l’objectif « zéro émissions nettes » (ZEN) de gaz à effet de serre à l’horizon 2050. La valeur du carbone évité doit être utilisée dans les évaluations d’investissements et plus généralement dans les politiques publiques comme un levier d’action nécessaire à la réussite des objectifs de ce Plan Climat.

    Alors,

    pour respecterl’impératif de sécurité d’approvisionnement (Art. 100-1 2° du Code de l’énergie),
    pour diminuer l’importation d’énergies fossiles et les émissions de gaz carbonique,
    pour renforcer la stabilité du réseau électrique malmené par les productions erratiques des éoliennes et des panneaux photovoltaïques, ainsi que par les fortes variations de consommation,
    pour améliorer l’emploi avec du personnel local et du matériel français (pompes, turbines, travaux…)
    la puissance publique pourrait (re)découvrir les avantages de ces trésors énergétiques « intelligents » et initier la construction de nouvelles STEP.

    1 - Serge Gil est ingénieur hydraulicien de formation et a principalement travaillé au CEA

    https://www.contrepoints.org/2020/09/03/379175-la-step-un-tresor-energetique-a-redecouvrir-en-france

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  28. La liberté par le marché,
    de Morris & Linda Tannehill

    Il faut amener la majorité des gens à voir l’État pour ce qu’il est et à croire en la liberté.


    Par Francis Richard.
    3 SEPTEMBRE 2020


    La liberté par le marché est paru il y a tout juste cinquante ans sous le titre The Market For Liberty. Le moins qu’on puisse dire est qu’il est toujours d’actualité : l’État était et demeure le problème de nos sociétés.

    Ce livre n’est qu’un petit peu daté ici ou là parce qu’il a été publié avant certains événements tels que la fin de la convertibilité du dollar en or en 1971 ou la chute du Mur en 1989 et qu’il n’en tient pas compte, et pour cause.

    LE PRINCIPE FONDAMENTAL D’UNE SOCIÉTÉ LIBRE

    Selon les auteurs de ce livre, la société vraiment libre, dont l’homme a besoin pour fonctionner avec le plus d’efficacité et de bonheur possible, repose sur un principe fondamental, la règle de base des relations humaines justes (toutes les autres règles en découlent: il n’est pas besoin de légiférer) :

    Aucun homme ni groupe d’hommes (y compris tout groupe d’hommes se prétendant l’État) n’est moralement en droit d’initier l’usage de la force physique, la menace de force ou tout équivalent de la force (comme l’escroquerie) contre aucun autre homme ou groupe d’hommes.

    Si un homme ou un groupe d’hommes initie la force contre un homme ou un groupe d’hommes, ceux-ci non seulement ont le droit, mais le devoir de se défendre :

    Si un homme chérit vraiment ses valeurs, il a une obligation morale envers lui-même de les défendre.

    LA NATURE SPÉCIFIQUE DE L’HOMME

    L’homme a une spécificité : Afin de survivre, [il] doit penser. Penser lui permet en effet, en utilisant son esprit, de produire et en utilisant sa faculté de raison, de distinguer le bien, ce qui est pro-vie, du mal, ce qui est anti-vie :

    Mieux il pensera, mieux il vivra.

    Pour réaliser son plein potentiel, la société dans laquelle il vit doit le laisser en paix : il doit y être libre de penser et d’agir selon ses idées… sans que personne d’autre ne tente de le forcer à vivre selon leurs normes :

    Dès qu’un homme n’est pas libre de vivre paisiblement sa vie selon ses propres normes et de posséder pleinement ce qu’il gagne, il est esclave.

    LE DROIT NATUREL

    Tous les droits sont des aspects du droit à la vie et sont le produit de la nature de l’homme et de la réalité. Ils ne peuvent qu’être individuels, car le collectif n’a aucune existence hors des individus qui le composent.

    Le droit à la vie se traduit par une interdiction morale, celle d’interférer dans la vie de quiconque tant que ses actions sont non-coercitives. Si ce n’est pas le cas, comme vu plus haut, il est légitime de se défendre.

    Tout homme a un droit sur sa propre vie : il la possède – il est son propre propriétaire – comme il possède chaque partie de sa vie. C’est pourquoi les auteurs disent que les droits de propriété sont les droits de l’Homme.

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  29. Une société vraiment libre est une société de laissez-faire : cela signifie la liberté pour chaque individu de gérer ses propres affaires comme il l’entend… pas juste dans le domaine de l’économie, mais dans tous les aspects de sa vie.

    LE MARCHÉ LIBRE ET L’ÉTAT

    Le grand conflit entre liberté et esclavage, bien qu’il ait pris de nombreuses formes, trouve sa principale expression dans le conflit entre deux institutions humaines puissantes et opposées : le marché libre et l’État.

    Qu’est-ce un marché libre, responsable de l’abondance, sinon un réseau d’échanges économiques volontaires ; il inclut tous les échanges volontaires n’impliquant pas l’usage de la coercition envers quiconque.

    Si le marché est perturbé, son mécanisme d’autorégulation intégré ne fonctionne plus comme un système de signaux complexe, visible par tous et fiable, et ne permet plus d’accroître le bien-être humain.

    Or, justement, l’État le perturbe avec la fiscalité et les dépenses, la réglementation et le contrôle de la monnaie et des banques, avec pour conséquences, comme le démontrent les auteurs, la pauvreté et le chômage.

    L’ÉTAT MALFAISANT

    L’État est un monopole coercitif qui a assumé le pouvoir et certaines responsabilités pour chaque être humain dans une zone géographique qu’il prétend être la sienne.

    Alors qu’un monopole de marché ne peut empêcher la concurrence en utilisant la force physique, un monopole coercitif peut l’interdire ou l’autoriser de façon limitée. C’est là une grande différence.

    Le but d’une entreprise privée est de faire du profit, en donnant satisfaction à ses clients : le profit est le signal du succès pour tout homme d’affaires opérant sur un marché libre. Il offre aux gens les choses qu’ils veulent.

    Le but d’un politicien ou d’un bureaucrate est d’augmenter sa sphère de contrôle sur la vie d’autrui : le pouvoir est pour lui le signal du succès. Il se comporte comme un parasite qui prive les gens des choses qu’ils veulent par la saisie forcée de leurs biens (la fiscalité) ou par la réglementation :

    Pour faire simple, l’État est le règne de certains hommes sur d’autres par la force initiée, ce qui est l’esclavage, qui est mal.

    UNE SOCIÉTÉ DE LAISSEZ-FAIRE

    Les auteurs montrent dans le détail comment il serait logiquement possible de se passer d’État puisque celui-ci est malfaisant. Une société vraiment libre, une société de laissez-faire, serait une société où le marché libre remplacerait l’État.

    Tous les domaines de la vie des individus pourraient être mis sur le marché libre et la sélection par eux-mêmes de ce qui est bien ou mal pour eux se ferait par la réputation, bonne ou mauvaise, qu’il s’agisse par exemple de l’éducation, de la médecine ou de la monnaie.

    La propriété serait la solution à bien des problèmes, tels que la pollution ou la conservation des ressources naturelles : Une des différences les plus profondes d’une société de libre marché se verrait par le fait que tout ce qui a le potentiel d’être propriété serait possédé. Par exemple, il n’y aurait plus de propriété publique…

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  30. Les litiges seraient réglés par des agences d’arbitrage. La vie et les biens seraient protégés par des agences de protection. Les pertes causées à autrui, considérées comme des dettes, seraient remboursées par les agresseurs et les victimes seraient indemnisées autant qu’il est humainement possible etc.

    COMMENT PARVENIR À LA SOCIÉTÉ DE LAISSEZ-FAIRE

    Est ancrée dans la culture de la majorité des hommes d’aujourd’hui que l’État est juste et/ou nécessaire. D’abord, leurs dirigeants le leur ont toujours dit, ensuite il y en a toujours eu un, enfin la liberté leur fait peur : c’est la peur d’être jeté seul face à un monde effrayant, sans personne qui dise quoi faire.

    Il faut leur dire au contraire qu’il n’est pas un mal nécessaire, mais un mal inutile:

    L’État, ce sont quelques hommes gouvernant (régnant sur) les autres par la force. […] Quand certains hommes règnent sur d’autres, il existe une condition d’esclavage, et l’esclavage est un mal en toutes circonstances. Préconiser un État limité, c’est préconiser un esclavage limité.

    Il faut amener la majorité des gens à voir l’État pour ce qu’il est et à croire en la liberté. Car cela les conduira à une désobéissance passive de masse à des lois déraisonnables :

    Nous pouvons amener à une société de laissez-faire, mais seulement grâce au pouvoir formidable et invisible des idées. Les idées sont la puissance motrice du progrès humain, l’énergie qui façonne le monde.

    Morris & Linda Tannehill, La liberté par le marché, Résurgence, 252 pages (traduit par Stéphane Geyres et Daivy Merlijs).
    https://www.wikiberal.org/wiki/Linda_et_Morris_Tannehill

    https://www.contrepoints.org/2020/09/03/379374-la-liberte-par-le-marche-de-morris-linda-tannehill

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  31. Le profit est-il légitime ?

    Trois situations fictives pour évaluer la moralité du profit.


    Par Hadrien Gournay.
    3 SEPTEMBRE 2020


    Alors que beaucoup se satisfont du capitalisme en refusant les profits dits excessifs, l’extrême gauche se distingue en assimilant n’importe quel profit capitaliste à une exploitation. Selon elle, le capitaliste n’a aucun droit sur une la production à laquelle il n’a pas contribué par son travail. Le profit est illégitime, seuls les salaires sont mérités.

    Que vaut la condamnation du profit ? Pour tenter de répondre à cette question, j’ai imaginé trois situations fictives.

    PREMIÈRE FABLE : LES TROIS ÎLES

    Trois acteurs occupent chacun une île différente.

    La première, l’île du sel, est habitée par Patrick Sel qui y produit du sel et diverses choses pour ses besoins personnels, sauf du sucre.

    Patrice Sucre réside dans la deuxième île, l’île du sucre. Il y produit du sucre et autres produits qui lui sont nécessaires, hormis du sel.

    La troisième, l’île marchande, située entre les deux autres, a pour habitant Philippe Marchand qui n’est en mesure de produire ni sel ni sucre.

    Aux yeux de Patrick Sel qui n’en dispose pas, la valeur d’un kilogramme de sucre est égale à deux kilos de sel. En revanche, aux yeux de Patrick Sucre un kilogramme de sel vaut deux kilogrammes de sucre. Leurs îles étant trop éloignées, P. Sel et P. Sucre ne se connaissent pas. En revanche, Philippe Marchand a connaissance de l’existence de l’un et de l’autre, de leurs activités et de leurs préférences.

    Philippe Marchand achète d’abord contre divers services 10 kg de sel à P. Sel. Il se rapproche de P. Sucre et lui propose d’échanger ces 10 kg de sel contre 15 kg de sucre. Se tournant alors à nouveau vers P. Sel, il obtient 22,5 kg de sel contre ce sucre. Il garde alors 12,5 kg de sel pour lui et échange les 10 kg restants contre 15 kg de sucre avec P. Sucre.

    MORALITÉ DE LA FABLE

    Le gain de Philippe Marchand est-il juste ?


    Uniquement par le jeu de l’échange, à partir des 10 kg de sel, il a obtenu deux kg et demi de sel et 15 kg de sucre en plus.

    L’anticapitaliste juge le gain usurpé puisque Philippe Marchand n’a fourni aucun travail.

    Néanmoins, cette opinion néglige les gains subjectifs, tout aussi réels quoique moins visibles obtenus dans l’opération par P. Sucre et P. Sel. Ce dernier a en effet obtenu au total contre 22,5 kg de sel 15 kg de sucre dont il estime la valeur à 30 kg de sel, soit un gain de 7,5 kg de sel. De même, au cours des différentes opérations d’échange P. Sucre a cédé en tout 30 kg de sucre contre 20 kg de sel qui valaient pour lui 40 kg de sel.

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  32. Autrement dit, si les gains résultant de l’échange étaient usurpés, il conviendrait alors d’interdire tout échange en imposant à chacun de ne consommer que ce qu’il a produit. À l’évidence, cette solution ne serait avantageuse pour personne. Bien plus, elle s’oppose à la théorie de l’exploitation formulée par les anti-capitalistes. Ces derniers défendent le salaire des ouvriers, salaire qui leur permettra d’acquérir d’autres biens que ceux à la fabrication desquels ils ont participé.

    Nous pouvons donc tenir pour légitimes les gains issus de l’échange.

    DEUXIÈME FABLE : ROBINSON, VENDREDI ET LA CANNE À PÊCHE

    Vendredi, bon nageur, a l’habitude de pêcher le poisson à la main. Robinson, habile artisan, fabrique une canne à pêche et propose à Vendredi d’essayer de pêcher le poisson avec sa canne. Si Vendredi est d’accord, ils partageront le produit de la pêche dans une proportion de deux tiers pour Vendredi et un tiers pour Robinson. Après expérimentation de la canne à pêche Vendredi constate la multiplication de ses prises par trois, et il accepte le marché proposé par Robinson.

    Moralité de la fable

    Peut-on contester à Robinson le paiement de l’usage que Vendredi peut faire de la canne à pêche ? En tant que propriétaire légitime de la canne qu’il a lui-même fabriquée, n’est-il pas libre d’en céder l’usage aux conditions qu’il souhaite ? Par la fabrication de la canne, ne participe-t-il pas, certes de manière plus indirecte et par un travail plus en amont à la prise de poisson ? La rémunération de Robinson ne souffre pas de contestation.

    Les choses seraient-elles différentes si Robinson avait acheté la canne à pêche au lieu de la fabriquer ?

    Une personne qui fabrique une chose pour en acquérir une autre par le biais d’un échange en est propriétaire et peut la consommer. Dès lors, pour quelle raison n’aurait-il pas les droits complets d’un propriétaire sur un instrument de travail acquis de la sorte ? Pourquoi ne pourrait-il en tirer les mêmes profits que s’il était issu de sa main ?

    TROISIÈME FABLE : LES IMPASSES DE L’AUTOGESTION

    Son propriétaire abandonna une petite entreprise textile et laissa les employés à leur sort. Ceux-ci reprirent le flambeau et maintinrent l’activité. Les emplois étant similaires, l’égalité des rémunérations eut leur préférence mais une première question les divisa.

    Rémunération et temps de travail

    La rémunération devait-elle être égale pour tous quel que soit le temps de travail de chaque employé ? Proportionnelle à ce temps de travail ? Ou fallait-il imposer à chaque employé un nombre fixe d’heures de travail en accord avec l’égalité des rémunérations ? Finalement, la discussion aboutit à la reconnaissance de la liberté de chaque employé de déterminer son nombre d’heures de travail. En contrepartie, le salaire de chacun serait fonction de son temps de présence au travail. Les profits éventuels étaient reversés aux employés à proportion de leur temps de présence ou réaffectés à l’entreprise.

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  33. Renouvellement de l’outil de production

    Plus tard, il devint urgent de renouveler l’outil de production qui commençait à devenir désuet. Les profits étant manifestement insuffisants, une première proposition fut d’imposer à chaque employé une participation unique.

    La plupart des employés à mi-temps et certains à temps complet refusèrent de participer. Leurs revenus modestes, leurs priorités familiales ne leur permettaient pas de subvenir à cette dépense.

    Après de vives discussions, les employés qui souhaitaient contribuer acceptèrent en posant une condition. Ceux qui participeraient au financement du matériel pourraient se payer sur les profits de l’entreprise.

    Ils se heurtèrent alors à un refus catégorique des autres employés. Ces derniers considéraient cette option comme un retour sournois du profit capitaliste. Les contributeurs firent alors observer que si un employé qui avait renoncé à ses loisirs devait être récompensé pour avoir travaillé davantage, cela devait également être le cas de celui qui finançait l’entreprise, chacun renonçant à un loisir immédiat au profit de l’entreprise. Pour les non contributeurs, le remboursement devait se limiter au montant de l’investissement. Les contributeurs objectèrent que sans la perspective d’un gain, ils n’auraient pas de raison de courir le risque d’une perte. Ils ajoutèrent que ceux qui travaillaient davantage attendaient non pas une stricte compensation de leur choix mais un gain. Les contributeurs dirent ne pas souhaiter un traitement différent.

    Finalement, en partie en raison de ces arguments et faute d’autre option viable, la demande des contributeurs fut acceptée.

    CONCLUSION

    Nous nous rangerons à leurs arguments et conclurons à la légitimité du profit. Cependant, cette conclusion reste muette sur la question du juste partage de la valeur ajoutée entre travailleurs et propriétaires des moyens de production. Une telle question mériterait assurément d’amples développements qui dépassent l’ambition de ce texte.

    Remarquons simplement que dans un système capitaliste, la rémunération respective du salarié et du capitaliste découle du jeu du marché. Or, si la justice distributive d’un système dépend de sa capacité à récompenser chacun en fonction de son utilité sociale, la question revient à savoir si en suivant le jeu du marché, chaque facteur de production est rémunéré selon son utilité économique.

    Or, il existe deux moyens par lesquels un capitaliste peut augmenter son profit. Le premier moyen consiste à proposer au consommateur un nouveau produit plus en phase avec ses goûts.

    Le second moyen repose sur l’adoption de nouveaux processus productifs permettant de produire plus avec moins. A son tour, ce moyen offre différentes options. Dans la première, le capitaliste laisse prix et production inchangés et accroit son profit par des coûts de production plus faibles.

    Dans le second, il baisse ses prix et augmente le volume de ses ventes. Or, quelle que soit la solution choisie, la contribution du capitaliste sur la production a augmenté à proportion du profit.

    https://www.contrepoints.org/2020/09/03/379022-le-profit-est-il-legitime

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    Réponses
    1. Se poser la question est de ne rien comprendre ! Un patron qui tirent des bénéfices de son entreprise c'est normal, qu'il engrange des millions en banques ou paradis fiscaux c'est tout aussi honnête, car... que fera t-il de ses millions ? A quoi bon les gagner si c'est pour pas s'en servir ?

      S'il les dépense il fait marcher le commerce.
      S'il monte une nouvelle usine il fournira donc plus de salaires qu'avec une seule.
      Juste qu'il faut choisir dans quel pays bâtir entreprise car... si c'est pour tout perdre...

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  34. CLINTEL conteste l'alarmisme climatique d'IChemE


    Par David Wojick
    2 septembre 2020



    L'Institution for Chemical Engineers (IChemE) est un groupe international prestigieux de scientifiques et de professionnels comptant plus de 35 000 membres dans une centaine de pays. IChemE a mené ce qu'il appelle une consultation sur son projet de déclaration de position sur le changement climatique. Cela signifie essentiellement que les membres sont invités à soumettre des commentaires. Étant donné que de nombreux ingénieurs sont sceptiques face à la peur du climat, il sera intéressant de voir si tous ces commentaires sont rendus publics.

    Le projet de déclaration lui-même est un pur alarmisme. Ils disent que la science est réglée, selon l'IPCC, et qu'une catastrophe se profile. Voici le premier paragraphe:

    «La science du climat est établie - le changement climatique mondial est à nos portes, exacerbé par les activités humaines. IChemE accepte la véracité de la science et ses conclusions publiées par l'IPCC. Pour éviter des dommages sociaux, économiques et environnementaux irréparables, il est essentiel d'accélérer nos efforts de décarbonisation de nos systèmes économiques et de stabiliser les niveaux de gaz à effet de serre dans l'atmosphère terrestre, si nous voulons avoir une chance de limiter la hausse de la température moyenne mondiale à 1,5 ° C, au-delà duquel des conséquences catastrophiques sont plus probables. L'action doit être globale et équitable, en reconnaissant les différences relatives entre les régions, à la fois en termes de contributions historiques aux émissions et de vulnérabilité aux conséquences du réchauffement de la planète.

    Les ingénieurs chimistes sont particulièrement bien placés pour agir dans les industries qui contribuent aux émissions de gaz à effet de serre pour arrêter et inverser les dommages que nous, les humains, faisons aux systèmes de survie de notre planète unique et commune.

    Non seulement ils chantent simplement la chanson du GIEC, mais ils se trompent même. Nulle part le GIEC ne suggère que 1,5 degré de réchauffement (avec un degré déjà inscrit) est un seuil de catastrophe. En fait, l'objectif de l'Accord de Paris est toujours de 2,0 degrés. La dernière phrase peut expliquer le fervent catastrophisme d’IChemE. Ses membres sont bien placés pour gagner d'énormes sommes d'argent en faisant l'ingénierie pour décarboner le monde. Après tout, les émissions de gaz carbonique sont généralement le produit de réactions chimiques (y compris la combustion).

    En fait, la plupart des quatre pages du projet de déclaration de position n'est rien d'autre qu'un plan stratégique pour tirer profit de la peur injustifiée d'un changement climatique catastrophique causé par l'homme.

    La lettre de CLINTEL met IChemE au défi de faire réellement l'analyse scientifique et technique nécessaire pour étayer une déclaration climatique raisonnable. Le fait que cette analyse ne l'ait pas fait fait du projet actuel ce que CLINTEL appelle un énoncé de position embarrassant «moi aussi».

    Voici comment CLINTEL le dit: «Sauf votre respect, le projet de déclaration de l’Institution sur le changement climatique est une déclaration sans aucun doute, moi aussi, de caractère politique et dépourvue d’argument scientifique, de justification ou de justification. Le document n'est pas digne de votre prestigieuse institution. Les déclarations climatiques «moi aussi» uniformes ne nous rapprochent pas de la réalité thermodynamique. »

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  35. Selon CLINTEL, le projet doit être complètement réécrit:

    «Le Climate Intelligence Group (CLINTEL) est une société scientifique internationale représentant près de 1000 scientifiques et ingénieurs du climat et des domaines connexes. En tant que président de CLINTEL, je vous écris pour inviter l’Institution of Chemical Engineers à envisager sérieusement une refonte intégrale de sa déclaration de position sur le changement climatique. »

    De plus, cette réécriture devrait être basée sur une analyse minutieuse de la science et de l'ingénierie du changement climatique. À cette fin, CLINTEL fournit la liste de contrôle succincte suivante de six considérations analytiques, y compris une analyse coûts-avantages d'ingénierie indispensable. »

    - Dans quelle mesure, ou à quel point, le réchauffement climatique est-il vraiment causé par l'humanité ?

    - Les avantages et les inconvénients d'une plus grande quantité de gaz carbonique dans l'air ont-ils été correctement pris en compte ?

    - Pourquoi le réchauffement planétaire passé projeté dépasse-t-il le réchauffement dérivé de l'observation de plus de 200 % ?

    - Le coût et l'avantage de tenter d'atténuer le réchauffement climatique dépassent-ils celui de s'y adapter ?

    - Qu'en est-il des millions de personnes qui meurent chaque année parce qu'elles ne peuvent pas se permettre une électricité «renouvelable» coûteuse et se voient refuser des alternatives abordables et fiables ?

    - L'histoire ne nous a-t-elle pas montré à maintes reprises que l'adaptation au changement présente une puissante stratégie évolutive ?

    La lettre ouverte est signée par le professeur Guus Berkhout, président de CLINTEL, et leur ambassadeur du Royaume-Uni, le vicomte Monckton de Brenchley. IChemE a son siège au Royaume-Uni. Il a été envoyé au professeur Stephen Richardson, président, Institution of Chemical Engineers.

    De toute évidence, ce défi s'applique à toutes les organisations «moi aussi» qui induisent leurs membres en erreur en approuvant la peur sans fondement de la catastrophe climatique.

    https://www.cfact.org/2020/09/02/clintel-challenges-icheme-climate-scaremongering/

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  36. Des savants russes inventent un appareil de photothérapie, une «solution radicale au Covid-19» - images


    13:47 03.09.2020
    Par Kamal Louadj


    Une équipe de savants russes a inventé un appareil Avers-Light utilisant l’énergie du spectre bleu de la lumière à une longueur d’onde de 450 nanomètres pouvant prévenir et guérir le coronavirus. Il a été expérimenté sur 20 médecins travaillant dans des services de traitement des malades du Covid-19 et «aucun n’est tombé malade».

    Le Covid-19 ayant fait près de 26 millions de contaminés confirmés dont 900.000 morts dans le monde, les plus grands laboratoires pharmaceutiques internationaux se sont engagés dans une course contre la montre afin de développer des vaccins. Des essais cliniques multicentriques de phase III ont débuté dans plusieurs pays afin de déterminer le degré d’efficacité de chacun d’entre eux et d’évaluer leurs risques d’effets secondaires.

    Dans ce contexte, une équipe de savants russes a développé dans le cadre du programme spatial de la Fédération de Russie un appareil basé sur la photothérapie capable de prévenir et de guérir cette maladie d’une manière radicale. Le dispositif consiste en un émetteur de lumière bleue destiné à une irradiation non-invasive (transdermique) du sang du patient afin de stopper divers processus inflammatoires dont les Infection virales respiratoires aiguës (ARVI), sans recours aux médicaments.

    Lors d’un entretien accordé à Sputnik, le Pr Vladimir Ivanovitch Grachev, physicien membre des académies des sciences russe, française, belge et britannique et candidat au Prix Nobel de Physique, a exposé les vertus du dispositif Avers-Light dont il a dirigé les recherches.

    Un appareil «qui remplace 3.000 médicament»

    Le Pr Grachev a expliqué que le dispositif avait été inventé il y a quelques années, suite à une demande des autorités russes qui voulaient que les cosmonautes ne soient plus obligés d’emporter des centaines de médicaments avec eux, notamment dans la Station spatiale internationale.

    «Le dispositif Avers-Light est capable de prévenir et guérir des maladies correspondant à 3.000 médicaments», a déclaré le scientifique. «Cet appareil pratique qui peut être mis dans la poche a été adapté et homologué pour toutes les maladies virales respiratoires dont le Covid-19», a-t-il ajouté.

    Et de préciser que «l’effet bactéricide et immunostimulant de la lumière bleue est associé à l’excitation des chromophores cellulaires et à la formation d’espèces réactives de l’oxygène qui stimulent la phagocytose». «La recherche a également révélé que l'appareil de photothérapie

    Avers-Light contribue à réduire la viscosité du sang et à améliorer le transport de l'oxygène», a-t-il soutenu.
    Les essais cliniques anti-Covid-19

    Le Pr Grachev a informé qu’entre le 3 mars et le 3 juillet 20 médecins de l’Université médicale d’État de Moscou avaient participé à l’expérimentation du Avers-Light. Ces professionnels qui travaillent 12 heures par jour dans des zones à très haut risque de contamination au Covid-19 ont utilisé cet appareil calibré à une longueur d’onde de 450 nanomètres.

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  37. De manière préventive, ils ont utilisé la buse n°1 de l’appareil par voie orale entre 10 à 15 minutes avant l’entrée aux services où sont soignés les malades du Covid-19 et 10 à 15 minutes après la sortie. L’appareil est utilisé de la même façon trois fois par jour (matin, midi et soir) pendant 15 à 20 minutes.

    Aux premiers signes d'infection respiratoire aiguë (ARVI), Avers-Light est utilisé de 10 à 15 minutes toutes les heures.

    «À l’issue de ces essais, aucun de ces médecins n’est tombé malade du Covid-19», a conclu Vladimir Grachev.

    https://fr.sputniknews.com/russie/202009031044367180-des-savants-russes-inventent-un-appareil-de-phototherapie-une-solution-radicale-au-covid-19--/

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  38. L’été de toutes les violences en France: 900 agressions par jour


    17:40 03.09.2020
    Par Fabien Buzzanca



    «L’ensauvagement» de la France, que dénoncent de nombreux observateurs, est-il une réalité ? Même au sein du gouvernement, le sujet oppose le ministre de l’Intérieur au Garde des Sceaux. Que disent les chiffres ? Pour cet été, ils révèlent clairement une augmentation de l’insécurité. Analyse-choc.

    «L’ensauvagement, c’est un mot qui développe le sentiment d’insécurité. Pire que l’insécurité, il y a le sentiment d’insécurité.»

    Invité de la matinale d’Europe 1 le 1er septembre, Éric Dupond-Moretti a joué une partition bien différente de celle de son collègue, Gérald Darmanin.

    Alors qu’il était interrogé sur la réalité de la délinquance dans le pays, le garde des Sceaux s’est habilement désolidarisé du locataire de la place Beauvau. Le ministre de l’Intérieur avait lancé, lors d’une interview donnée au Figaro au cœur de l’été, qu’il fallait «stopper l’ensauvagement d’une partie de la société.»

    «Je ne le reprends pas, c’est une question de sensibilité, chacun utilise les mots qu’il veut utiliser», a déclaré Éric Dupond-Moretti avant d’ajouter que «le ministre de l’Intérieur, c’est le ministre de l’Intérieur.»

    L’emploi du terme «ensauvagement» a notamment été popularisé par l’essayiste à succès Laurent Obertone, auteur du remarqué «La France Orange mécanique», paru en 2013 aux éditions Ring. Dans cet ouvrage, l’auteur dépeint une France aux prises avec une délinquance de plus en plus violente, comme si la réalité avait rejoint la fiction du chef-d’œuvre de Stanley Kubrick.

    Repris plusieurs fois par des cadres du Rassemblement national, le mot «ensauvagement» gêne au sein de la majorité.

    «Fermez le ban: il n’y a aucune polémique», a quant a lui lancé Jean Castex en déplacement à Châteauroux, dans la cadre de la rentrée scolaire. Le Premier ministre a toutefois ajouté: «le vrai sujet, en revanche, c’est bien celui de mobiliser face à la montée des violences et de l’insécurité», semblant ainsi pencher du côté de son ministre de l’Intérieur.

    Une série de faits divers tragiques et ultra-violents a rythmé l’été. Du meurtre de la jeune gendarme Mélanie Lemée, renversée par un chauffard multirécidiviste le 4 juillet près d’Agen, au lynchage, le lendemain, de Philippe Monguillot, chauffeur de bus à Bayonne, en passant par l’abominable calvaire vécu par Axelle Dorier, renversée par une voiture et traînée sur près de 800 mètres dans la nuit du 18 au 19 juillet à Lyon, ces affaires ont remis l’insécurité au centre des débats.

    «On sort d’un été 2020 particulièrement inquiétant, où on voit une montée quantitative des violences, mais surtout une aggravation de la violence», affirmait le 31 août dernier, sur CNews David Le Bars, le secrétaire général du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN).

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  39. Le Figaro a récemment relevé des chiffres qui lui donnent raison. En se plongeant dans l’«état 4001», «sorte de bible statistique réunissant les plaintes des victimes et les constats de crimes et de délits réalisés par la police et la gendarmerie et transmis à la justice», comme l’explique le quotidien, il apparaît clair que les mois de juin et juillet ont été particulièrement violents en France.

    «Les atteintes aux personnes (hors violences sexuelles et agressions contre les porteurs d’uniforme) ont fortement augmenté cet été, avec plus de 82.000 faits recensés en deux mois, concernant les violences non crapuleuses (hors vol). C’est une hausse de plus de 12% par rapport à la même période de l’année précédente, où l’on dénombrait 73.000 faits environ», souligne Le Figaro.

    Une tendance de fond, à en croire le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI), qui montre que les coups et blessures volontaires sur personne de 15 ans et plus ont fortement augmenté entre 2008 et 2018.

    Poignardé pour un regard

    En juin 2019, Marlène Schiappa, qui officiait alors en tant que secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, déclarait:

    «Les Français n’en peuvent plus des coups de couteau pour un mauvais regard. Nous ne devons plus rien laisser passer. Nous travaillerons à un livre blanc et une loi de programmation sur la sécurité intérieure.»

    Force est de constater qu’un an plus tard, la situation est loin de s’être améliorée. A-t-elle empiré ? La litanie de faits divers plus sordides et violents les uns que les autres permet d’en douter.

    Dans la nuit du 25 au 26 août à Strasbourg, un jeune homme âgé de 30 ans a été grièvement blessé à l’arme blanche pour une histoire de mauvais regard. Pris à partie par six hommes, il a été entaillé de l’oreille au cou.

    «Dans le détail, toutes zones confondues, les coups et blessures volontaires ont grimpé de 8,5%, avec plus de 54.000 faits déclarés en deux mois, soit une moyenne de 900 agressions par jour», détaille Le Figaro.

    La Dépêche relate que le 30 août, deux jeunes couples quittaient un bar de Toulouse aux alentours de 3h du matin. C’est à ce moment que deux jeunes alcoolisés les ont abordés avant de draguer lourdement les deux jeunes femmes devant leurs compagnons. S’en est suivie une bagarre qui a vu l’un des agresseurs sortir un couteau et tenter de poignarder l’une des victimes à quatre reprises, avant que son ami ne s’interpose et tente de récupérer l’arme, se blessant au passage. Résultat: deux et un jours d’ITT pour les deux victimes.

    Les deux jeunes hommes ont eu de la chance, au contraire de Philippe, Axelle ou Mélanie. Comme le souligne Le Figaro, «les homicides et tentatives d’homicide ont augmenté de plus de 21% cet été, dépassant les 850 faits en deux mois, contre 700 en juin et juillet 2019». «Ces infractions parmi les plus graves ont même explosé de 95% en zone gendarmerie, passant de 150 à près de 300 faits déclarés!», ajoute le quotidien.

    Les viols sont également en forte augmentation. Ils ont grimpé de 30%, pour atteindre plus de 5.300 faits en juin et juillet. Le récent viol et meurtre d’une adolescente de 15 ans à Nantes par un homme de 45 ans au très lourd casier judiciaire a ému une grande partie du pays.

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  40. La France, un «coupe-gorge»?

    L’agresseur avait été libéré de prison en 2016 après avoir été condamné à 18 ans de réclusion criminelle en 2005 pour neuf viols, trois tentatives et une agression sexuelle, commis entre 2001 et 2003. Il bénéficiait d’une remise de peine avec suivi socio-judiciaire pendant dix ans. L’inspection générale de la justice a été saisie.

    Ce drame a provoqué la colère de très nombreuses personnes, pour qui la justice a failli. Ce qui n’est pas l’avis du garde des Sceaux. «À cet instant précis, on peut penser que la justice a fait le suivi», a-t-il expliqué sur Europe 1. Et d’ajouter:

    «Après un drame comme celui-là, on doit se taire. Et on n’est pas obligé de faire dans la surenchère populiste.»

    Gérald Darmanin reste quant à lui droit dans ses bottes. Quelques heures après le passage d’Éric Dupond-Moretti sur Europe 1 le 1er septembre, il a de nouveau, justifié son choix lexical: «On peut utiliser des mots différents. Personnellement, j’utilise le mot d’ensauvagement et je le réitère.»

    «C’est un mot qui fait naître en moi des échos des années de permanence électorale, où j’ai vu des gens victimes d’actes de sauvagerie», a-t-il expliqué lors d’un déplacement à Choisy-le-Roi dans le Val-de-Marne.

    D’après Le Figaro, c’est toujours une réalité pour beaucoup: «On dénombrait, par exemple, plus de 164.000 victimes de violence (hors vol) sur toute l’année 2000, pour une population de 60 millions d’habitants. Or les faits déclarés en 2019 dépassaient les 428.000 pour 66 millions d’habitants. Le taux de victimes de ces crimes et délits est donc passé de 272 pour 100.000 habitants à 645 pour 100.000 habitants. Bref, la violence (hors vol) déclarée à la justice, celle qui révèle sans doute le mieux le climat de tension dans la société, a plus que doublé en presque 20 ans!»

    Éric Dupont-Moretti, lui, l’assure: «La France n’est pas un coupe-gorge !»

    https://fr.sputniknews.com/france/202009031044369988-lete-de-toutes-les-violences-en-france-900-agressions-par-jour/

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    Réponses

    1. (...) «La France n’est pas un coupe-gorge !» (...)

      Noooon ! C'est plus que çà !

      (...) «Les atteintes aux personnes (hors violences sexuelles et agressions contre les porteurs d’uniforme) ont fortement augmenté cet été, avec plus de 82.000 faits recensés en deux mois, (...)

      82 000 en 2 mois, c'est 41 000 par mois et une moyenne de 410 par département !

      'Réfugiés climatiques' ou 'coronavirus' ? Hahaha !

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  41. Des squatteurs font changer les serrures de leur maison dans le Var, ils doivent la quitter


    17:03 03.09.2020


    Voulant profiter des beaux jours, un couple s’est rendu dans sa maison secondaire du Var. Surpris, il a découvert qu’un groupe de squatteurs avait investi les lieux. Les gendarmes ont donné droit aux occupants illégaux.

    En se rendant dans sa résidence secondaire située dans le Var, un couple originaire de Lyon s’est retrouvé confronté à un problème de squatteurs.

    Comme le relate Var-Matin, relayé par Ouest-France, ces propriétaires d’une maison située à Théoule-sur-Mer n’ont même pas pu en profiter car des occupants indésirables avaient changé les serrures.

    «Le premier soir, j’ai dormi dans ma voiture en face de la maison, en les regardant dîner sur la terrasse», a raconté le retraité cité par Ouest-France.

    Ils quittent la maison

    Le lendemain, en profitant d’une sortie des squatteurs, le couple a essayé de reprendre possession des lieux accompagné de gendarmes et du directeur général des services de la municipalité. Mais leur tentative a été un échec: les nouveaux occupants sont revenus et ont exigé que les propriétaires quittent la maison. En outre, les gendarmes ont reçu l’ordre de laisser entrer les squatteurs.

    Selon Ouest-France, «le droit concernant les maisons secondaires squattées est complexe. Il est nécessaire de prendre un avocat et de déposer plainte rapidement pour prouver qu’on est bien propriétaire des lieux. Mais cette procédure peut prendre beaucoup de temps».

    Comme la procédure risque de se retourner contre eux car les squatteurs peuvent porter plainte pour violation de domicile, le couple a préféré de revenir à Lyon en attendant «qu’une décision de justice soit prise».
    https://fr.sputniknews.com/france/202009031044369931-des-squatteurs-font-changer-les-serrures-de-leur-maison-dans-le-var-ils-doivent-la-quitter/

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  42. Une mère australienne enceinte arrêtée chez elle pour un message de protestation contre le verrouillage de Facebook


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 11:00


    Pour ceux qui se sont moqués ou ont simplement ignoré l'idée que le grand gouvernement peut (utilise) la pandémie comme «excuse» pour exercer plus de contrôle sur tous les aspects de votre vie, nous présentons: Pièce A.

    Zoe Buhler est une mère enceinte de 28 ans qui vit juste à l'extérieur de Melbourne, en Australie. Mercredi après-midi, elle a été menottée dans son propre salon et accusée d'«incitation» après que des agents sont entrés dans sa propriété privée (avec un mandat de perquisition) et ont commencé à lire Buhler sur ses droits.

    Qu'est-ce qui aurait pu inciter une réponse aussi robuste de la part des forces de l'ordre ? Buhler a publié un message sur Facebook qui aurait incité à une "manifestation anti-lockdown" à Victoria. "N'importe qui de Ballarat, rejoignez-nous dans notre combat pour la liberté et les droits de l'homme !" elle a écrit sur la page.

    La vidéo montre Buhler essayant d'être raisonnable et de plaider auprès des agents, les informant qu'elle a une échographie «dans une heure».

    Elle demande aux officiers, déconcertée: "Excusez-moi, incitation à quoi, quoi diable ? Je suis en pyjama, mes deux enfants sont là. J'ai une échographie dans une heure car je suis enceinte." Elle a insisté sur le fait qu'elle n'avait enfreint aucune loi en affichant le poste et a offert une occasion de plus de simplement supprimer le poste.

    Un regard sur le post Facebook "offensant"

    "En fait, vous l'êtes, c'est pourquoi nous vous arrêtons pour incitation", lui ont dit les policiers. Pendant ce temps, son petit ami a également essayé de faire preuve de bon sens, déclarant: "Et si elle ne faisait tout simplement pas l'événement ? Ce n'est pas comme si elle l'avait fait, elle a publié un message."

    "Vous avez déjà commis l'infraction", a répondu la police.

    En plus d'arrêter la mère enceinte à la suite d'une publication sur Facebook, la police l'a ensuite informée qu'elle avait un mandat de perquisition et qu'elle devait saisir et confisquer tous les appareils électroniques à son domicile.

    Les amis de Buhler ont pesé dans le Daily Mail, déclarant: "C'est absolument dégoûtant !! Pourquoi ne font-ils pas leur travail et attrapent-ils de vrais criminels. Cette incitation à la peur est ridicule."

    Pendant ce temps, la police de Victoria a déclaré que des amendes seraient infligées à quiconque envisage de participer à la manifestation de toute façon: "Nous n'hésiterons pas à infliger des amendes de 1 652 $ à quiconque enfreint les restrictions le jour même, ou à procéder à des arrestations si nécessaire." La police soutient que les manifestations "mettent des vies en danger".

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  43. Alan Jones de Sky News a écrit sur sa page Facebook: «Heureusement, je ne suis pas le seul Australien à penser que c'est épouvantable, dégoûtant et honteux. La seule personne coupable d'incitation est le premier ministre de Victoria. Sa prise de pouvoir extravagante, son dédain de toute responsabilité oblige les gens à adopter des comportements simplement conçus pour reprendre leur liberté. "

    Buhler a finalement été inculpé d'incitation et libéré sous caution. Elle doit comparaître devant le tribunal le 25 janvier. Le poste a été supprimé.

    https://www.zerohedge.com/markets/pregnant-australian-mother-arrested-her-home-over-facebook-lockdown-protest-post

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  44. Les sept raisons pour lesquelles nous obéissons à l'autorité


    par Tyler Durden
    Ven, 09/04/2020 - 00:00
    Rédigé par Phillip Schneider via Phillipschneider.com,


    Les rebelles sont une partie très importante de la société, mais ils obtiennent rarement la reconnaissance qu'ils méritent. Ils nous aident à briser les vieilles normes et à nous empêcher de tomber dans la pensée de groupe. Cependant, la nature humaine pousse la plupart d'entre nous à rester dans notre zone de confort, même si cela signifie moins de liberté ou des problèmes plus difficiles sur la route.

    Pourquoi tant de gens ignorent-ils le monde extérieur ou le font passer pour le problème de quelqu'un d'autre jusqu'à ce qu'il atteigne leur propre porte ? Dans une vidéo récente, Brittany Sellner (Brittany Pettibone avant son mariage) décrit les sept raisons pour lesquelles les hommes obéissent à l'autorité, même lorsque cela va à l'encontre de leur intérêt supérieur.

    # 1 Habit

    Comme tout le monde le sait, les habitudes sont extrêmement difficiles à briser et même si nous avons des reproches sur l'état des choses, accepter notre réalité imparfaite nous semble mieux que d'assumer la perspective effrayante du changement. Inversement… l'habitude cesse d'être un motif d'obéissance en temps de crise politique; un peu similaire à ce que nous vivons actuellement à la suite de Covid. Bien que beaucoup d'entre nous ne voulaient pas modifier nos habitudes, nos habitudes ont été modifiées de force pour nous.

    # 2 Obligation morale

    La deuxième raison d'obéissance est l'obligation morale qui est évidemment un motif que l'on retrouve très souvent dans la religion, mais politiquement parlant ... certains y voient une obligation morale de "1) obéir pour le bien de la société, '2)' en raison de la dirigeant ayant des facteurs surhumains tels que le fait d'être un être surnaturel ou une divinité," ce qui, à mon avis, ne s'applique pas à trop d'Américains ... 3) Les gens voient comme une obligation morale d'obéir parce qu'ils "perçoivent le commandement comme légitime, en raison de sa source un émetteur ». Par exemple, un maire ou un policier [serait considéré pour cette raison], et 4) Les gens voient comme une obligation morale d'obéir en raison de la "conformité des commandes aux normes acceptées.'' Par exemple, la plupart des gens croient qu'une commande comme ne pas commettre de meurtre est un ordre moral et par conséquent, ils y obéissent.

    # 3 Intérêt personnel

    La troisième raison de l'obéissance est l'intérêt personnel et c'est peut-être l'un des motifs les plus courants de nos jours. Par exemple, la plupart des grandes entreprises sont immorales et cherchent à tirer parti des tendances sociales et politiques actuelles afin d'obtenir de l'argent, un statut et une approbation. Regardez toutes les entreprises qui sont soudainement devenues des «champions de la justice sociale» après la mort de George Floyd; aucun d'entre eux n'a donné une connerie sur la brutalité policière et Black Lives Matter jusqu'à ce qu'il devienne dans leur intérêt de s'en soucier.

    Cet intérêt personnel peut bien entendu s'étendre aussi aux individus. Les personnes célèbres et non célèbres ont beaucoup à gagner à faire la queue, ou ... il y a aussi un intérêt personnel négatif dans lequel la personne n'obéit pas simplement parce qu'elle va gagner quelque chose mais pour ne pas tout perdre : leur réputation, leur emploi, leur statut social et leurs perspectives de carrière futures.

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  45. # 4 Identification psychologique avec le dirigeant

    La quatrième raison d'obéissance est l'identification psychologique avec le dirigeant, ce qui signifie que les gens ont un lien émotionnel étroit avec le dirigeant, le régime ou le système. J'imagine que vous auriez rencontré beaucoup de cela, par exemple, en Russie communiste ou en Allemagne nazie.

    # 5 Zones d'indifférence

    La cinquième raison d'obéissance est aujourd'hui extrêmement courante et ce sont des "zones d'indifférence'', ce qui signifie que même si les gens ne sont pas pleinement satisfaits de l'état des choses, ils ont une marge d'indifférence ou une marge de tolérance pour les aspects négatifs. de leur société et de leur gouvernement.

    # 6 Peur des sanctions

    La sixième raison d'obéissance est la raison la plus évidente ... et c'est la peur des sanctions, qui impliquent généralement la menace ou l'utilisation d'une certaine forme de violence physique contre le sujet désobéissant et induisent l'obéissance par un pouvoir simplement coercitif, un pouvoir qui opère réellement sur les gens simplement par leurs peurs.

    # 7 Absence de confiance en soi

    Enfin, la septième et dernière raison d’obéissance est l’absence de confiance en soi chez les sujets, ce qui signifie que de nombreuses personnes n’ont tout simplement pas une confiance suffisante en elles-mêmes, en leur jugement et en leurs capacités à se rendre capables de désobéissance et de résistance.

    Grâce à Internet, j'observe assez souvent ce motif. Des milliers de personnes décrient au quotidien qu’elles sont misérables dans l’état des choses et pourtant elles ne font rien parce qu’elles n’ont aucune confiance en leur capacité personnelle à diriger, à organiser une manifestation pacifique, à lancer un mouvement, etc.

    Bien que l'autorité puisse être légitime et significative, la résistance à des actes de violence inutiles ou à une injustice gouvernementale draconienne est souvent meilleure pour l'individu et la société et fait preuve de plus de caractère que l'inaction.

    Watch Brittany Sellner’s analysis:

    - voir clip sur site -

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/seven-reasons-we-obey-authority

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  46. L'étrange désir de la Californie d'étouffer «l'économie du concert»


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 23:20
    Rédigé par Gerard Scimeca via RealClearMarkets.com,


    Si notre économie actuelle était un nageur pagayant furieusement contre une marée montante, alors la Californie est déterminée à lui donner une ancre. Des millions d’américains qui travaillent pour joindre les deux bouts grâce à un travail indépendant dans l’économie des «petits boulots» ont récemment reçu des feuillets roses virtuels via AB5, une loi signée l’année dernière par le gouverneur Gavin Newsom obligeant les entrepreneurs indépendants à être traités comme des employés.

    Alors que d’autres États cherchent maintenant à emboîter le pas, il est temps que le Congrès s'attaque à cette atroce attaque contre les libertés des travailleurs et l’innovation économique en promulguant des normes fédérales sur le travail à contrat indépendant. Ce serait une victoire superficielle pour notre économie de rebondir à partir de Covid seulement pour avoir des travailleurs chassés de leurs emplois indépendants par des politiciens ignorants qui cherchent à «protéger» leurs droits.

    Cela ne devrait surprendre personne qu'AB5 ait déclenché une énorme boule de démolition économique dans laquelle les géants du covoiturage Uber et Lyft font déjà leurs valises pour quitter l'État. Exiger que les travailleurs contractuels soient traités comme des employés à part entière en Californie ou dans n'importe quel État rendra bien sûr des dizaines de plates-formes de concerts similaires non rentables, supprimant en fait les applications directement de nos téléphones. Une pause temporaire d'AB5 par le tribunal la semaine dernière suspend désormais les emplois des travailleurs par un fil, ce qui oblige Uber et Lyft à suspendre temporairement leurs projets de quitter l'État. Si la décision ne tient pas, plus de 200 000 travailleurs indépendants seront chassés du travail et des millions de consommateurs seront laissés sur le bord de la route.

    Il est étonnant que, dans l’économie moderne d’aujourd’hui, la Californie tente même une telle répression. Le modèle unique de relation employé-employeur est une relique d'un passé lointain. Plus d'un tiers de la main-d'œuvre américaine est actuellement employée en tant que pigistes à temps plein ou à temps partiel. Ce n'est plus un créneau d'emploi mais un pilier de notre économie actuelle. Les pigistes gagnent beaucoup d'argent, souvent bien plus que leurs homologues employés. Et malgré les plaintes de certains législateurs interventionnistes, les travailleurs eux-mêmes sont assez satisfaits de la liberté qu'offre leur travail. Dans une enquête récente, 71 pour cent ont déclaré des possibilités de travail accrues par rapport à l'année précédente.

    Il est préoccupant que d'autres États, dont le New Jersey, New York et l'Illinois, envisagent une législation similaire, raison pour laquelle une action fédérale est nécessaire, à la fois pour protéger les travailleurs à temps partiel sous contrat et pour fixer une norme uniforme pour leur emploi. L'économie des concerts indépendante et basée sur les applications représente une valeur annuelle de 1,4 billion de dollars pour notre pays, et ce moteur économique essentiel, ainsi que les personnes qui l'alimentent, nécessitent des normes claires qui protégeront les droits des travailleurs contractuels et définiront des conditions claires pour les entreprises. qui les emploient.

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  47. Considérez que lorsqu'une personne perd un emploi au quai de chargement ou qu'une entreprise réduit ses effectifs, il y a au moins un certain réconfort que l'opportunité grâce à l'économie indépendante n'a jamais été aussi grande. Quel que soit le niveau de scolarité ou de compétence, presque n'importe qui peut gagner un revenu pour payer l'hypothèque, garder les lumières allumées ou manger sur la table. Les applications pour smartphone fournissent presque tous les services imaginables, avec de nouvelles offres chaque jour. L'économie moderne offre un modèle entièrement nouveau de liberté des travailleurs qui est fortement corrélé à la croissance économique. En un peu plus d'une décennie, la technologie a permis aux gens de créer un film de qualité studio avec juste un téléphone, ou de publier un livre avec juste un ordinateur. Les obstacles et les obstacles coûteux à la libre entreprise tels que les frais généraux, l'équipement, l'emplacement physique, la main-d'œuvre et le capital de démarrage ont désormais disparu. Les gens sont vraiment libres d'échanger leur travail et leurs talents à leurs conditions, au profit non seulement d'eux-mêmes et de leurs clients, mais aussi de nos signes économiques vitaux.

    En son cœur, l'économie des petits boulots est un rejet de l'interventionnisme gouvernemental et une structure d'entreprise où les entreprises détenaient tout le pouvoir. Transformer les travailleurs indépendants en employés efface tous les gains que les travailleurs ont réalisés en ce qui concerne leur liberté de contracter et les remet carrément dans la cabine proverbiale de l'entreprise.

    Et le préjudice économique de ces lois ridicules va bien au-delà de l'économie des petits boulots elle-même. Prenons l'exemple d'une jeune famille qui envisage un nouvel achat automobile. La voiture peut être financièrement hors de portée compte tenu de leur salaire de neuf à cinq, mais les paiements deviennent rapidement abordables lorsque les acheteurs complètent leurs revenus par un travail de covoiturage indépendant. Des transactions similaires multipliées dans l'ensemble de l'économie sont essentielles à notre reprise. De plus, qui développera les «applications tueuses» de demain si les développeurs savent que les travailleurs seront exclus du marché ? Un coup dur pour notre secteur de la technologie est un autre avantage que l'Amérique ne peut pas se permettre.

    Malgré ce que la Californie ou n'importe quel État peut prétendre, ces lois n'aident pas le «petit gars», elles nuisent aux travailleurs moyens, elles nuisent aux consommateurs et elles nuisent à notre économie lorsque nous pouvons tous le moins se le permettre. Un formidable moteur de croissance, la croissance rapide de l'économie des applications et des concerts sera mise à genoux si ces mandats d'employés se répandent dans tout le pays, un fait qui devrait nous préoccuper tous. Qui sait quelles applications qui font maintenant partie de notre vie quotidienne n'auraient jamais vu le jour si ces règles paralysantes avaient été en place il y a des années ? Il est temps que la législation fédérale nous protège des législateurs voyous qui vont revenir en arrière sur les libertés des consommateurs et les droits des travailleurs et forcer l'Amérique à faire de l'auto-stop vers la reprise économique.

    https://www.zerohedge.com/political/californias-odd-desire-suffocate-gig-economy

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  48. L'ancien Premier ministre australien dénonce la «dictature de la santé» qui prolonge la douleur au milieu de la première récession en 30 ans


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 22:20


    L'Australie est officiellement en récession, la première fois en 30 ans, car elle souffre des retombées économiques désastreuses de la pandémie de virus.

    Tony Abbott, l'ancien Premier ministre australien, a averti mardi, dans un discours au groupe de réflexion britannique Policy Exchange, que "l'hystérie" virale et les verrouillages draconiens perpétuent le ralentissement économique et ont créé un état d'esprit "quelque chose pour rien" parmi les jeunes générations vivant. en congé.

    Il a dit, "une grande partie des médias s'est livrée à l'hystérie virale avec la mort occasionnelle liée au virus d'une personne plus jeune mise en évidence pour montrer que la menace mortelle ne se limite pas aux personnes très âgées ou déjà très malades ou à celles exposées à des charges virales. "

    Abbott a accusé le premier ministre victorien Daniel Andrews d'être un «dictateur de la santé» en plaçant cinq millions de Melburniens en «assignation à résidence». Il a déclaré que les politiciens doivent cesser d'agir comme des «médecins traumatologues» et commencer à adopter la mentalité des «économistes de la santé» - car l'impression imprudente de l'argent pour soutenir l'économie du pays pendant les verrouillages n'est pas durable.

    "Du point de vue de la santé, cette pandémie a été grave. D'un point de vue économique, elle a été désastreuse", a déclaré Abbott. "Mais je soupçonne que c'est du point de vue du bien-être général que cela va devenir le pire de tous."

    "À un moment donné, nous devons simplement apprendre à vivre avec ce virus d'une manière qui peut être maintenue plus ou moins indéfiniment", a déclaré Abbott.

    Il a appelé à la fin de «l'économie du pudding magique» - l'impression monétaire sans fin qui a permis aux gouvernements de payer les salaires des entreprises fermées, de geler les loyers et les hypothèques et de maintenir les paiements de chômage sans manquer de fonds.

    Cet état d'esprit «quelque chose pour rien», a-t-il soutenu, risque de se figer dans une «nouvelle normalité» - alors que «des gens autrefois solidement autonomes» renoncent à leurs responsabilités personnelles en échange d'être pris en charge par Big Brother.

    - Actualités RT

    L'ancien Premier ministre a reproché aux gouvernements locaux d'avoir paniqué en «mode crise», désormais pris au piège d'une urgence alors que la «crise renforce leur autorité ou renforce leur position».

    Abbott a déclaré que les couvre-feux à Victoria et les interdictions de voyager de plus de 3 miles étaient les plus sévères au monde en dehors de Wuhan, en Chine, l'épicentre présumé de la pandémie de virus.

    Il a dit, "la peur de tomber malade nous empêche d'être pleinement en vie." En d'autres termes, l'hystérie virale a prolongé la récession et produit de profondes cicatrices économiques.

    https://www.zerohedge.com/economics/amid-australias-first-recession-30-years-former-pm-slams-health-dictatorship-prolonging

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  49. Ce n'est pas «juste la propriété»: comment le pillage détruit des vies et des quartiers à faible revenu


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 21:20
    Rédigé par Ryan McMaken via The Mises Institute,


    Il est désormais à la mode à gauche de défendre le pillage comme moyen de redistribuer la richesse des propriétaires d’entreprises prétendument indignes aux pilleurs les plus méritants eux-mêmes.

    "C'est juste une propriété !" est le refrain, l'implication étant que les propriétaires ne devraient pas défendre leur propriété avec des moyens coercitifs - comme faire appel à la police ou utiliser des armes privées contre des pillards.1

    Telle est la philosophie derrière une déclaration récente d'un organisateur de Black Lives Matter. Comme l'a rapporté le New York Post le 11 août:

    «Je m'en fiche si quelqu'un décide de piller un Gucci, un Macy ou un Nike, car cela garantit que cette personne mange. Cela garantit que cette personne porte des vêtements », a déclaré lundi Ariel Atkins [l'organisateur du BLM] lors d'un rassemblement devant le poste de police de South Loop, ont rapporté les médias locaux. … «C’est une réparation», a déclaré Atkins.

    Une apologie plus complète pour le pillage se présente maintenant sous la forme d'un nouveau livre intitulé In Defense of Looting par Vicky Osterweil, qui s'identifie comme «une écrivaine, rédactrice et agitatrice basée à Philadelphie».

    Dans une interview accordée à National Public Radio, Osterweil déclare:

    Quand j'utilise le mot pillage, j'entends l'expropriation massive de biens, le vol à l'étalage de masse lors d'un moment de bouleversement ou d'émeute ...

    … Cela a tendance à être une attaque contre une entreprise, un espace commercial, peut-être un bâtiment gouvernemental - prendre ces choses qui seraient autrement commercialisées et contrôlées et les partager gratuitement.

    Osterweil poursuit ensuite en affirmant que le pillage est essentiellement un programme de lutte contre la pauvreté et qu'il libère les pillards de l'obligation de travailler pour gagner leur vie:

    Il donne aux gens ce dont ils ont besoin gratuitement immédiatement, ce qui signifie qu'ils sont capables de vivre et de se reproduire sans avoir à compter sur un travail ou un salaire ...

    Et le plus fondamental de tous, le pillage est une attaque contre la propriété privée elle-même. Si seulement il y avait plus de pillages, nous pourrions tous «avoir des choses gratuitement»:

    [Le pillage] attaque l'idée de propriété, et il attaque l'idée que pour que quelqu'un ait un toit au-dessus de sa tête ou un ticket de repas, il doit travailler pour un patron, afin d'acheter des choses que les gens comme eux ailleurs dans le monde a dû faire dans les mêmes conditions. Cela montre à quel point c'est injuste. Et la raison pour laquelle le monde est organisé de cette façon, évidemment, est au profit des gens qui possèdent les magasins et les usines. Vous entrez donc au cœur de cette relation de propriété et démontrez que sans police et sans oppression étatique, nous pouvons avoir des choses gratuitement ...

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  50. Ce genre de chose peut sembler convaincant pour ceux qui préfèrent vivre dans le domaine de la théorie pure. De grands mots comme «marchandiser» et «oppression» pourraient sembler impressionnants aux dissidents débutants. Mais une fois que nous commençons à examiner les détails du monde réel sur le fonctionnement du pillage, nous constatons rapidement que le pillage de votre magasin de pièces automobiles local ou de votre point de vente Nike ne va pas faire tomber les fonds spéculatifs de Wall Street de si tôt. Ce qu'il fera, c'est blesser les gens ordinaires qui possèdent des entreprises et travaillent dans des magasins ciblés par des pillards. De plus, une fois la fumée dissipée, nous constaterons que les quartiers à faible revenu en souffriront le plus.

    Plus précisément, il y a trois raisons pour lesquelles le pillage ne servira qu'à blesser exactement les gens ordinaires pour lesquels les partisans du pillage prétendent être des champions.

    Un: les gens ordinaires travaillent dans des entreprises pillées
    Les magasins de détail fournissent des emplois aux travailleurs ordinaires, y compris à ceux qui n'ont pas reçu d'éducation formelle. De plus, ces emplois sont souvent des emplois souhaitables, offrant un lieu de travail climatisé, propre et beaucoup plus sûr que des emplois plus dangereux comme conduire un bus ou travailler dans la construction. Cela est particulièrement vrai pour les magasins de détail haut de gamme. Mais vendre des sacs à main et des gadgets à des clients riches ne rend pas le vendeur riche, même si cela peut assurer une vie décente.

    Lorsque les pillards détruisent ces magasins et enlèvent leurs marchandises, parmi les plus touchés figurent les membres du personnel ordinaire. Sans aucune marchandise, il n'y a rien à vendre. Et avec rien à vendre, il n'y a pas de revenus qui peuvent être utilisés pour soutenir un salaire pour le personnel de vente.

    Les pillards peuvent se féliciter d'avoir «libéré» ces travailleurs de leur «esclavage salarié», mais il est peu probable que les nouveaux chômeurs voient les choses de cette façon lorsqu'ils se présentent le matin et trouvent leur lieu de travail incendié et saccagé.

    Deux: Le pillage victimise les familles d'immigrants et d'autres qui ne sont pas exactement membres de la classe dirigeante
    Bien que de nombreux reportages sur le pillage de ces dernières semaines se soient concentrés sur le pillage de points de vente haut de gamme dans des endroits comme le Magnificent Mile de Chicago, le fait est que le pillage se produit plus souvent dans les quartiers où les résidents sont de la classe ouvrière ou à faible revenu.

    Et dans ces quartiers, les propriétaires des magasins locaux et des petites entreprises ont tendance à être des familles d'immigrants et d'autres petits entrepreneurs ordinaires qui ne sont guère membres de l'élite de Wall Street. Selon un rapport sur l'entrepreneuriat dans les zones à faible revenu de la Small Business Administration, les travailleurs indépendants dans les zones à faible revenu sont «moins susceptibles d'être citoyens américains et anglophones» que dans d'autres domaines et ont une éducation moins formelle. Des proportions plus élevées de travailleurs indépendants sont également noirs et hispaniques par rapport à d'autres régions. De plus, «La grande majorité des travailleurs indépendants des régions à faible revenu exploitent une entreprise dans leur région de résidence.» 2 Ces propriétaires d'entreprise ont eux-mêmes tendance à faire face à des difficultés. Une partie de la raison pour laquelle ils vivent et travaillent dans un quartier à faible revenu est qu'ils ont relativement moins accès au fonds de roulement et aux prêts aux entreprises que les habitants des quartiers à revenu élevé.

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  51. Les quartiers à faible revenu ne sont pas entièrement sans avantages. La concurrence est souvent moins forte dans les quartiers à faible revenu, car de nombreuses grandes entreprises préfèrent ne pas prendre le risque supplémentaire de placer leurs bureaux et leurs magasins dans ces zones. Cela laisse plus de place aux petites entreprises indépendantes, où les propriétaires sont plus disposés à prendre le risque en échange de loyers inférieurs et de coûts d'exploitation initiaux inférieurs. L'inconvénient vient du potentiel plus élevé de criminalité, y compris les vols, le pillage et le vandalisme. Mais comme ils ont peu d'autres choix, de nombreux entrepreneurs de ces domaines choisissent de tenter leur chance. Lorsqu'ils réussissent, ils apportent à leurs quartiers plus d'emplois et un meilleur accès aux biens et services pour les résidents.

    Mais ce sont précisément ces entreprises appartenant à des immigrants, appartenant à des minorités et familiales qui ont tendance à être le plus victimes des pillards.

    Troisièmement: le pillage nuit le plus aux quartiers à faible revenu
    Naturellement, au niveau de l'entreprise indépendante, le pillage peut être désastreux pour un propriétaire d'entreprise. L'idée que le pillage n'est «pas grave» parce que les entreprises ont souvent une assurance est sourde au point d'être risible. La plupart des entreprises des régions à faible revenu peuvent à peine se permettre les primes nécessaires pour couvrir la valeur de remplacement de leur entreprise - si elles peuvent se le permettre. De nombreuses entreprises sont sous-assurées. Le processus de récupération n'est pas non plus sans effort. Des mois après que des entreprises ont été incendiées lors des émeutes de Minneapolis, "Seulement 20% de toutes les réclamations d'assurance liées aux émeutes ont été payées jusqu'à présent." De plus, les primes d'assurance sont plus élevées dans les régions où le risque de criminalité et de pillage est élevé. Désormais, les primes seront encore plus élevées après la dernière série d'émeutes et de pillages.

    C'est pourquoi les entreprises ont souvent tendance à fermer et à quitter les quartiers touchés par les émeutes après avoir été pillées. L'assurance ne fait pas que disparaître les problèmes d'un propriétaire d'entreprise. Les pillages et les émeutes signifient également aux autres entreprises de rester à l'écart.

    Au fil du temps, cela signifie moins d'entreprises, moins d'employeurs et plus de brûlure urbaine. C'est pourquoi, après la panne d'électricité et le pillage de 1977 à New York, d'innombrables entreprises ont fait leurs valises et ne sont jamais revenues. Ces zones sont restées économiquement déprimées pendant des décennies par la suite.

    En d'autres termes, les pillages et les émeutes conduisent au «désinvestissement» dans les quartiers populaires.

    Inutile de dire que le pillage n'aide pas la situation. Et cela ne fait qu'aggraver la pauvreté pour ceux qui pensent se libérer eux-mêmes et les autres en arrachant les iPhones et les chaussures de sport.

    Cela va également au-delà du niveau du quartier. Le pillage récent à Chicago - même le pillage dans les quartiers d'affaires chics - ne sert qu'à réduire les recettes fiscales à l'échelle de la ville:

    «Cette base de résidents et d'entreprises du centre-ville génère près de 2 milliards de dollars pour la ville de Chicago», a déclaré Adam Skaf, porte-parole de la Magnificent Mile Association. "Si ces types de détaillants partent à l'avenir, cela laisse un énorme trou dans notre assiette fiscale au centre-ville et cela affecte toute la ville."

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  52. Ces entreprises n'ont pas besoin d'être implantées à Chicago. Il existe de nombreux autres marchés en Amérique où le pillage est beaucoup plus rare, voire inexistant. Ainsi, de nombreuses entreprises peuvent tout simplement partir, ce qui signifie moins de recettes fiscales pour les dépenses d'infrastructure, de transport public et de services sociaux. En d'autres termes, cela signifie moins de dépenses pour les types de programmes et de commodités que les défenseurs du pillage ont tendance à vouloir.

    Non, le pillage des magasins n'est pas quelque chose à propos duquel nous haussons simplement les épaules et disons "bon sang, c'est juste une propriété. Personne n'a été blessé. Allégez-vous!" Le pillage fait mal à beaucoup de gens: en particulier les pauvres, et en particulier ceux qui font le plus pour apporter des capitaux, des emplois et la prospérité aux quartiers à faible revenu.

    https://www.zerohedge.com/political/its-not-just-property-how-looting-destroys-lives-and-low-income-neighborhoods

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  53. Pourquoi nous avons besoin de propriétaires


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 20:00
    Par Bradley Thomas de Mises.org,


    Un tweet du compte largement suivi «Existential Comics» a récemment fait le tour. Cela peut être facile à ignorer, mais avec plus de 345 000 abonnés, le compte attire apparemment beaucoup de personnes partageant les mêmes idées.

    Le tweet a attiré mon attention en grande partie à cause du nombre de personnes qui ont aimé ce qui équivaut à un «quiz pop» très ignorant et naïf sur le plan économique.

    Le but du sarcasme, bien sûr, était de diaboliser toute personne avide qui croit en la propriété privée du logement. Comme vous devez avoir froid pour soutenir la propriété des propriétaires de logements! Ne savez-vous pas que les propriétaires avides loueront simplement aux plus riches et laisseront les pauvres sans abri ? C'est ce que fait la motivation du profit !

    La seule réponse acceptable pour toute personne décente, bien entendu, serait que le logement soit «distribué» de manière plus équitable. Apparemment, nous ne sommes pas censés penser à la grande inégalité entre les dirigeants qui ont le pouvoir de distribuer des ressources aussi importantes comme le logement et ceux qui dépendent des caprices des dirigeants pour leur logement.

    Néanmoins, le motif du profit est clairement le méchant de cette histoire, car il est convaincu qu'un moyen de distribution plus équitable est souhaitable.

    Voici trois points principaux démontrant les erreurs contenues dans ce tweet.

    Ça commence à la fin
    Le problème le plus évident avec ce «quiz pop» est que le point de départ est celui dans lequel 100 maisons existent déjà. Mais les maisons n’existent pas seulement à l’état de nature. Ils doivent être produits en utilisant des ressources rares telles que la main-d’œuvre, la terre, le bois d’œuvre, les plaques de plâtre et bien d’autres.

    Les maisons doivent être produites avant de pouvoir être «distribuées». Le quiz pop ignore cela, en supposant simplement que les maisons existent sans que l'on sache comment elles sont arrivées là-bas.

    De plus, n’est-il pas pratique que le «quiz» suppose également une centaine de maisons sur une île d’une centaine de personnes ?

    Pourquoi les constructeurs ont-ils choisi de construire une centaine de maisons ? La réponse simple est qu'il y a une centaine de personnes sur l'île.

    Mais alors quoi ?

    Tout le monde ne veut pas vivre seul dans une maison. Supposons que la centaine d'habitants de l'île se compose de vingt familles de quatre. Dans ce cas, vingt maisons auraient été suffisantes et les soixante-quinze autres seraient vides.

    Il doit y avoir un certain processus de coordination pour communiquer aux constructeurs combien de maisons les habitants de l’île souhaitent. Ce processus est également simplement assumé dans le quiz pop.

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  54. Les problèmes de coordination et de calcul économique

    Ceci nous amène aux prochains grands enjeux du «quiz pop», à savoir son ignorance des problèmes de coordination et de calcul économique.

    Comme indiqué ci-dessus, pourquoi les constructeurs choisiraient-ils de construire cent maisons? Et si au contraire vingt-cinq ou cinquante correspondaient davantage aux préférences des consommateurs? Sans une motivation de profit incitant à l'utilisation efficace de ressources rares avec des utilisations alternatives, combinée à un système de prix basé sur la propriété privée de la propriété, il n'y a aucun moyen pour les producteurs de coordonner leurs plans pour s'aligner sur les préférences des consommateurs.

    Les prix communiqueront aux producteurs là où les ressources rares sont les plus urgentes demandées par les consommateurs, tandis que la motivation du profit encourage les utilisations les plus efficaces des ressources pour répondre à cette demande. Si trop de maisons sont construites, les prix chuteront et inciteront les producteurs à investir dans d'autres lignes de production. Si trop peu de maisons sont construites, les prix augmenteront et encourageront davantage la construction de maisons. C’est le but du profit au travail.

    Sans ce processus de coordination, comment déterminer les préférences des consommateurs ? C'est l'une des questions que Existential Comics (EC) ne veut pas que vous posiez.

    Même si le problème de la coordination du bon nombre de maisons à construire peut être surmonté, qu'en est-il de la façon de construire ces maisons ? Technologiquement, les maisons peuvent être construites avec n'importe quel nombre de matériaux. Mais sans marchés des moyens de production, comment les constructeurs peuvent-ils économiser sur leur construction?

    En d'autres termes, ils peuvent choisir parmi des briques, du bois, des parements d'aluminium ou de vinyle, n'importe quel nombre de métaux ou PVC pour la plomberie, etc. Sans prix dans les moyens de production, les constructeurs pourraient, par exemple, choisir le titane ou le platine pour la plomberie dans le maisons. Cela détournerait ces matériaux rares d’utilisations plus précieuses telles que les dispositifs médicaux vitaux.

    La société serait privée d'une utilisation beaucoup plus valorisée de ces matériaux, car ils seraient épuisés dans la construction du logement, alors que l'acier ou le fer moins cher et plus abondant aurait suffi.

    C’est l’efficacité même dans la recherche du profit que EC diabolise qui aide à minimiser les coûts d’opportunité et garantit par conséquent que la société ne soit pas privée des biens dont elle a le plus besoin.

    Quel système de distribution ?

    Tous les biens économiques sont par définition rares et doivent être distribués selon un système.

    À partir de son «quiz pop», nous pouvons raisonnablement déduire que EC propose d'autoriser un dictateur ou un autre organe dirigeant à répartir équitablement les ressources. Il pense en quelque sorte que c'est plus juste et juste qu'un système basé sur la propriété privée, l'échange et la recherche du profit.

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  55. Mais comment est-ce juste ? Ceux qui entretiennent des relations les plus proches des dirigeants tireraient parti de ces relations de copinage, tandis que d'autres soudoyaient le décideur pour obtenir un traitement préférentiel. On espère qu'EC n'est pas assez naïf au point de penser qu'accorder à des individus de si larges pouvoirs ne les corromprait pas. Après tout, s'il pense que les propriétaires capitalistes sont avides et ne peuvent pas faire confiance, qu'est-ce qui lui fait penser que les chefs de bureau de planification ne joueront pas également le système pour un gain personnel?

    De plus, comme Hayek nous l'a enseigné, de telles positions de pouvoir seraient recherchées par ceux-là mêmes qui désirent ce genre de pouvoir sur les autres. Qu'il s'agisse de personnes corrompues à la recherche de ces positions de pouvoir ou de personnes corrompues par elles, il ne faudra certainement pas longtemps avant que ce pouvoir ne soit abusé.

    La société et l'économie ne sont pas si simples qu'il y a toujours une correspondance parfaite entre les ressources disponibles et les besoins des consommateurs, comme dans le quiz pop trop simpliste d'EC. Les conseils de planification devraient prendre des décisions en répartissant les ressources rares qui favorisent certains et en excluent d'autres. C'est la recette parfaite de la corruption, et pas plus dans n'importe quel sens du terme qu'un système de production et d'échange basé sur la propriété privée.

    Conclusion

    La recherche du profit est une cible populaire des progressistes et des socialistes. Mais les critiques sont souvent fondées sur des malentendus sur le fonctionnement d'une économie de marché basée sur la propriété privée. On ne peut pas simplement décréter une «distribution» uniforme de ressources rares comme le logement sans considérer comment ces maisons ont été produites en premier lieu.

    De plus, les économies de marché fondées sur la production et l’échange de propriétés privées se sont avérées être le meilleur créateur de richesse et le plus grand ennemi de la pauvreté que le monde ait jamais connu. Les gains d'efficacité motivés par le profit sont ce qui est responsable de l'éradication massive de la pauvreté et des améliorations étonnantes de notre niveau de vie et de notre qualité de vie.

    Des gens comme Existential Comics nous rendent un grave mauvais service en le prenant pour acquis.

    https://www.zerohedge.com/economics/why-we-need-landlords

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  56. NYC Restaurants Sue Cuomo pour 2 milliards de dollars pour avoir refusé d'autoriser le retour de repas à l'intérieur


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 19:00


    Après avoir critiqué le président Trump pour avoir agi "comme un roi", le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a heureusement permis à plus d'entreprises de l'Empire State de rouvrir enfin, même si les cas de COVID-19 n'ont rien vu s'approcher du genre de résurgences dont les responsables ont mis en garde .

    Contrairement à presque tous les autres États à ce stade (même le New Jersey voisin a finalement cédé), New York n'a pas autorisé le retour des repas en salle. Le problème suscite une vague de rage dirigée contre Cuomo et le maire de New York, Bill de Blasio, qui ont permis aux manifestants de se rassembler nuit après nuit, tout en écrasant les petites entreprises de la ville. Ajoutant l'insulte à la blessure, de Blasio a cédé au syndicat des enseignants et a épargné plus de 20 000 employés de la ville qui avaient été mis à pied.

    Les gymnases ont finalement rouvert mercredi à New York après que les responsables de la ville aient forcé les entreprises à se faire vider par le département de la santé. Les gymnases de l'État ont été autorisés à rouvrir le 24 août, mais le retard jusqu'au 2 septembre était unique à New York.

    - voir graphique sur site -

    Source: NYT

    La carte ci-dessus est légèrement trompeuse: la plupart des États de New York autorisent des repas à l'intérieur limités. NYC est la seule ville de l'État qui n'autorise aucune forme de restauration à l'intérieur, malgré le fait qu'elle a régulièrement signalé des taux de positivité inférieurs à 1% pendant des semaines.

    Jeudi, alors que le pays se concentrait sur les nouvelles sur les vaccins, Cuomo a annoncé que l'État autoriserait les casinos et les centres commerciaux à rouvrir sur une capacité limitée le 9 septembre. Mais les restaurants de New York resteraient fermés dans un avenir prévisible.

    Alors que de Blasio fait pression pour que Cuomo et lui développent en coopération un calendrier pour le retour des repas en salle à New York, Cuomo a répondu par une raillerie à peine voilée, rappelant à nouveau aux dirigeants de New York qu '"ils n'ont aucune autorité légale pour prendre cette décision" sur la réouverture complète des restaurants . Alors qu'il a suggéré qu'il était «prêt» à rouvrir des restaurants, il a insisté sur le fait que la ville doit avoir un plan bien pensé qui doit être approuvé par le gouverneur.

    Après tout, Cuomo est celui qui a le dernier mot.

    "… Nous avons des problèmes majeurs à New York avec la conformité des barreaux. J'ai supplié la ville de New York de faire un meilleur travail en matière de conformité et d'application", a déclaré Cuomo lors d'un briefing téléphonique avec des journalistes. "Nous avons mis sur pied un groupe de travail pour faire l'application de la loi à Long Island et à New York ... Nous avons pris des ressources de la police d'État de nombreux endroits pour faire cette application."

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  57. "Mon opinion est que les restaurants devraient ouvrir. La question est de savoir comment?" Cuomo a déclaré jeudi.

    Il a ensuite promis qu'un «calendrier» pour la réouverture serait haché d'ici la fin du mois, bien que la réponse puisse être «bonne ou mauvaise nouvelle».

    "Je pense qu'il est de notre responsabilité de leur donner une réponse aussi claire que possible au mois de septembre, de l'endroit où nous allons", a déclaré mercredi le maire. "S'il peut y avoir un calendrier, s'il peut y avoir un ensemble de normes pour la réouverture, nous devons décider cela dans les prochaines semaines et l'annoncer, que ce soit une bonne ou une mauvaise nouvelle."

    Mais les restaurateurs, confrontés à la destruction de leurs moyens de subsistance, refusent d'attendre. Un groupe frustré de restaurateurs a giflé Cuomo avec un recours collectif exhortant un juge à surpasser le gouverneur et à permettre aux restaurants de New York de commencer à rouvrir leurs salles à manger.

    La poursuite demande 2 milliards de dollars de dommages et intérêts et allègue que l'État viole les droits constitutionnels des propriétaires de plus de 150 000 restaurants de la ville de New York, dont beaucoup ont déjà fermé définitivement. Une étude publiée jeudi affirme que 60% des restaurants de New York seront probablement contraints de fermer si les repas à l'intérieur ne reviennent pas bientôt. Plus de 350 restaurants de la ville se sont inscrits.

    Un restaurant, Il Bacco dans le Queens, a rejoint le procès pour affirmer que les clients peuvent simplement marcher quelques pâtés de maisons dans le comté de Nassau s'ils veulent manger à l'intérieur.

    L'État de New York a signalé près de 470 000 cas, dont environ la moitié ont été confirmés à New York.

    - voir graphique sur site -

    Nous imaginons que les juges libéraux de l'État seront du côté du gouvernement. Mais avec le temps, de plus en plus de gens commencent à douter que l'interdiction de manger à l'intérieur soit un problème de sécurité. Au lieu de cela, pourrait-il s'agir d'une autre tentative de Cuomo de paralyser politiquement son rival démocrate le plus détesté, de Blasio ?

    https://www.zerohedge.com/political/nyc-restaurants-sue-cuomo-after-governor-refuses-approve-indoor-dining

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  58. Pourquoi San Francisco est en difficulté: 19000 employés de la ville hautement rémunérés ont gagné plus de 150000 $


    par Tyler Durden
    Jeu, 09/03/2020 - 18:40
    Soumis par Adam Andrzejewski, initialement publié dans Forbes,


    La région de la baie de San Francisco abrite des merveilles du monde moderne comme le Golden Gate Bridge et la Silicon Valley - ainsi que de puissants politiciens progressistes comme la présidente de la Chambre des communes Nancy Pelosi, le gouverneur Gavin Newsom et le sénateur américain (et espoir à la vice-présidence) Kamala Harris.

    Mais la ville est en difficulté. Chaque fois que nous ouvrons les livres, San Francisco se classe systématiquement parmi les pires contrevenants à l'impôt et aux dépenses.

    - voir liste sur site -

    En fait, le déficit budgétaire de 1,5 milliard de dollars de la ville n’empêche pas 18 759 employés hautement rémunérés de rapporter chaque année à la maison des salaires d’une valeur de 150 000 dollars (ou plus).

    Nous avons trouvé des chauffeurs de camion chargés de 262 898 $; les peintres de la ville gagnent 270 190 $; les pompiers gagnant 316 306 $; et les surveillants de la plomberie nettoient 348 291 $ chaque année. Un shérif adjoint a gagné 574 595 $ l'an dernier, dont 315 896 $ en heures supplémentaires.

    En moyenne, les 44 526 employés de la ville ont reçu une rémunération et des avantages qui coûtent aux contribuables 131 335 $ chacun. Quatre sur dix - 18 749 travailleurs de la ville - ont reçu une indemnité de plus de 150 000 $ par an.

    L'ensemble de rémunération comprend la retraite, la santé, les heures supplémentaires, la pension et d'autres avantages en plus du salaire de base.

    Bureau du maire - Le maire de San Francisco London Breed a coûté 452 421 $ aux contribuables - le maire le mieux payé du pays. Breed bénéficie d'un salaire de 342 974 $ et de 109 447 $ supplémentaires en avantages sociaux. Incroyablement, il y a trente et un autres membres du personnel dans son bureau avec un effectif total dépassant 200 000 $ par an.

    Services de police et de shérif - Les 4 418 employés combinés des services de police de la ville ont coûté aux contribuables 831 millions de dollars en compensation l’année dernière pour un coût moyen de plus de 188 000 dollars par personne. Les policiers sont appelés «agents de la paix».

    Parce que San Francisco est à la fois une ville et un comté, elle a à la fois un shérif et un département de police. Les adjoints du shérif gèrent les prisons, exécutent les jugements civils et assurent la sécurité des affaires judiciaires, tandis que la police patrouille dans la ville.

    Le chef de police William Scott a gagné 434 613 $ (338 482 $ de salaire et 96 131 $ d'avantages sociaux). Quatre chefs adjoints (police et gestion) ont reçu entre 346 528 $ et 445 539 $. Ensuite, il y avait 195 employés avec un salaire et des avantages dépassant 300 000 $ chacun.

    Matt Dorsey, le directeur des communications stratégiques, a répondu à notre demande de commentaires en disant que la mise en œuvre réussie des réformes récentes était coûteuse.

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  59. Le shérif Paul Miyamoto a fait 357 570 $ en compensation totale. Dans l'ensemble, le shérif a payé plus de 100 000 $ en heures supplémentaires à cinquante employés, dont 315 896 $ en heures supplémentaires à un shérif adjoint principal, avec un total de 574 595 $.

    Le shérif a répondu à notre demande de commentaires par l'intermédiaire de Nancy Hayden Crowley, directrice des communications: «Mon service continue de travailler sur des solutions créatives pour répondre à nos effectifs minimaux et aux défis de sécurité publique auxquels nous sommes tous confrontés avec un budget réduit.»

    Dans l'ensemble, les deux départements employaient 3 775 personnes - soit environ 8,5 sur 10 employés - avec des packages comp dépassant 100 000 $.

    - voir liste sur site -

    Service d'incendie - Le service d'incendie avait deux chefs l'an dernier. La chef sortante Joanne Hayes-White a pris sa retraite avec une pension annuelle de 311560 $ et la chef Jeanine Nicholson l'a remplacée en mai 2019.

    L'an dernier, Hayes-White a reçu 386 727 $ et Nicholson a reçu 442 722 $ en rémunération totale. Cependant, la compensation en espèces ne suffit pas à elle seule. Le ministère maintient une maison historique de quatre chambres de 2 millions de dollars comme résidence du chef.

    Un lieutenant de prévention des incendies a gagné 415 111 $ - plus du double de son salaire de base de 184 791 $ avec un énorme 230 320 $ en heures supplémentaires. Quinze employés ont reçu plus de 100 000 $ en heures supplémentaires seulement.

    Seuls 389 des 1 559 employés de Fire n’ont pas ramené à la maison un package comp à six chiffres l’année dernière.

    Travaux publics - Les cas de déchets humains dans les rues de San Francisco ont atteint 31000 en 2019 - un niveau record. L'agence chargée de nettoyer le désordre dispose d'un budget d'un quart de milliard de dollars (224 millions de dollars) réservé aux seuls frais de personnel.

    Les travaux publics emploient 1 790 personnes, dont des chauffeurs de camion (218 495 dollars), des arboriculteurs (206 107 dollars) et des manœuvres (188 975 dollars). Les membres de l'équipe de la soi-disant «patrouille de merde» coûtent aux contribuables jusqu'à 184 000 $ chacun.

    Le nom éponyme de San Francisco «M. Propre », Mohammed Nuru, directeur des travaux publics, est surtout connu pour ses efforts infructueux pour garder les excréments et les aiguilles hypodermiques hors de la voie publique.

    En 2019, Nuru a gagné 380120 $ en rémunération totale et son salaire de base à lui seul a grimpé de 65000 $ sur huit ans. Ce n’était pas suffisant, apparemment. En février 2020, le FBI a arrêté Nuru dans un prétendu scandale de porta-pot.

    - voir graphique sur site -

    Services aux sans-abri et logement avec services de soutien - En 2016, la ville a ajouté une nouvelle agence pour servir ses résidents sans-abri. En 2019, le ministère comptait 148 employés et 53 d'entre eux gagnaient plus de 100000 $.

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  60. Le directeur, Jeff Kosinsky, rapportait jusqu'à 238 182 dollars par an, mais chaque année, la population de sans-abri de la ville continuait de croître. La population est passée à 8 000 cette année (en hausse de 17%) et les plaintes pour déchets humains dans les rues de la ville sont passées de 18 246 (2016) à 31 000 (2019).

    Incroyablement, le département peut encore revendiquer un «bon» emploi par rapport à d'autres villes de Californie: à Oakland, la population des sans-abri a presque doublé au cours de la même période.

    Département de la condition de la femme (DOSW) - Le DOSW s'efforce de «faire de San Francisco le meilleur endroit pour les femmes et les personnes dont le sexe est large pour vivre, travailler et apprendre aux États-Unis».

    L'agence s'attaque à des projets tels que le nombre d'espaces publics portant le nom des femmes. La rémunération totale des six employés rémunérés à plein temps de DOSW était de 1 million de dollars en 2019.

    Nos auditeurs ont également constaté, cependant, que DOSW économise de l’argent sur ses «boursiers politiques», majoritairement féminins. Ces stagiaires sont payés 20 $ / heure, tandis que d’autres stages du gouvernement de San Fran en génie civil, en arpentage et dans des rôles similaires paient 29,50 $ / heure.

    War Memorial Opera House - Cet opéra emploie vingt-cinq membres du personnel (sur 120) avec des salaires à six chiffres, y compris un agent de patrouille rapportant 164 399 $ en rémunération totale. Bien que les saisons de performance d'été et d'automne aient été annulées ou déplacées en ligne, nos vérificateurs n'ont pu trouver aucun rapport de mise à pied ni même de réduction de salaire.

    Musée d'art asiatique - Ce musée a coûté aux contribuables de la ville 7,8 millions de dollars en rémunération des employés l'an dernier et n'est pas ouvert aux visiteurs cette année.

    En 2019, le directeur Jay Xu a gagné 302145 $ en rémunération totale, y compris un salaire (220563 $) et des avantages sociaux (81582 $). Parmi les autres hauts revenus, citons le directeur adjoint (248 463 $), un directeur de l'entretien (200 802 $), un conservateur (200 046 $) et un bibliothécaire (174 355 $).

    La situation financière à long terme de San Francisco semble sombre.

    La ville a garanti 8,1 milliards de dollars de pensions et de soins de santé aux retraités qui n’ont pas été financés. Chaque habitant de la ville doit 9000 $ juste pour couvrir le passif non provisionné, selon les données fournies par l'organisation de responsabilité fiscale Truth In Accounting (2018).

    Alors que la ville peine à équilibrer ses comptes face à un bouleversement économique et social remarquable, les syndicats ne coopèrent pas. Représentant les 44 525 employés de la ville de San Francisco, les syndicats ont riposté de manière agressive contre une récente proposition de suspendre les augmentations de salaire.

    San Francisco est une utopie progressiste, donc les faucons fiscaux bien intentionnés vont devoir pleurer beaucoup plus fort - ou ils n'auront même pas une voix à la table.

    https://www.zerohedge.com/markets/why-san-francisco-trouble-19000-highly-compensated-city-employees-earned-150000-pay-perks

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    1. Faut bien que les impôts servent à quelque chose !! Hahahaha !

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  61. Monnaie numérique: la fin de l'entrepreneuriat américain et des petites entreprises

    Pourquoi les petites entreprises n'ont pas une chance à l'ère des néo-banques


    Par Bill Sardi
    4 septembre 2020


    «Permettez-moi d'émettre et de contrôler l'argent d'une nation, et peu m'importe qui fait ses lois.
    - Mayer Amschel Rothschild

    Ils l'appellent Fintech. Il abolira l'entrepreneuriat américain et anéantira les petites entreprises.

    La technologie financière qui régnera sur la vie de tous les habitants de la planète, riches ou pauvres, doit être lancée en janvier 2021 dans le cadre de ce que le Fonds monétaire international appelle une RÉINITIALISATION GLOBALE.

    Pour y parvenir, les banques fermeront des succursales sous prétexte que leurs employés démissionnent par crainte de transmission du coronavirus COVID-19 d'un client de la banque à un caissier de banque. L'inflation intentionnelle induite par la banque centrale écrasera le pouvoir d'achat du dollar américain. Ensuite, il y aura des pénuries pré-planifiées d'espèces et de pièces qui forceront le public à demander une réforme de la monnaie - l'élimination du papier-monnaie et son remplacement par une carte de monnaie numérique, ce que le Forum économique mondial appelle LA 4ÈME RÉVOLUTION INDUSTRIELLE NUMÉRIQUE.

    La monnaie numérique sera mondiale, pas seulement locale. Les pauvres (près des 3/4 de la population sur Terre gagnent 10 $ par jour ou moins) percevront cette «carte d’équité» comme une égalisation du terrain de jeu. Un peu comme tout le monde obtenant une carte American Express Platinum. Tout le monde peut obtenir un crédit et, avec des garanties, consentir des prêts, même un agriculteur pauvre en Afrique. Du moins, c'est ce que prétendent les banquiers mondialistes.

    Faire mendier le public pour une nouvelle monnaie

    Un rapport publié sur Deutsche Welle (DW.com) déclare: «Craignant que les citoyens abandonnent les liquidités soutenues par la banque centrale au profit de monnaies numériques privées, la Banque centrale européenne a mis en place un groupe de travail. L’objectif n’est pas de promouvoir un euro numérique en soi, mais d’être prêt à le publier si les citoyens le demandent. » Bien sûr, aucune mention de la façon dont les banquiers inaugurent furtivement la disparition du papier-monnaie et envisagent ensuite de contraindre la population à demander de l'aide avec leur alternative numérique.

    Peur du papier-monnaie

    Des études de recherche biaisées (franchement, de la pure propagande) ont déjà été diffusées pour induire une peur indue du papier-monnaie. Les médias citent des études qui montrent que les billets abritent environ 26 000 colonies de bactéries et de particules virales humaines peuvent «survivre» sur un billet de banque jusqu'à 17 jours, avec des billets d'un dollar / cinq dollars changeant de main plus de 100 fois par an en moyenne . C'est le dogme actuel du coronavirus.

    Ce n'est rien de plus qu'une malarky plantée car les virus ne sont pas vivants et même les Centers for Disease Control admettent maintenant que la transmission des virus à un autre système respiratoire humain se fait par voie aérienne du poumon au poumon, et non par contact main / surface.

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  62. Bien que les billets de banque puissent héberger des bactéries, aucune épidémie d'aucune maladie n'a été liée à la manipulation de la monnaie papier. Seules des simulations de laboratoire font une telle affirmation. Un rapport du MIT rejette l'idée que le papier-monnaie propage des maladies infectieuses.

    Indépendamment de ces faits. L'Organisation mondiale de la santé a émis un avertissement (8 mars 2020) selon lequel la manipulation du papier-monnaie peut propager le coronavirus COVID-19. Les entreprises ont alors commencé à éviter le papier-monnaie et à insister sur les achats par carte de débit / crédit. Le camion Brinks a juste suivi le chemin du fouet poussette.

    Si le papier-monnaie a effectivement joué un rôle dans la propagation des virus respiratoires, cela n'expliquerait pas pourquoi le rhume, la grippe et les coronavirus surviennent en hiver lorsque les niveaux de vitamine D du soleil sont faibles. Et les guichets de banque n'ont pas été identifiés comme étant plus malades que le reste de la population.

    Le lavage de cerveau des Américains

    Mais nous vivons maintenant dans un monde de «fausses nouvelles». Les présentateurs de télévision réfléchissent aux Américains spectateurs stupides. C'est pourquoi les Américains sont souvent appelés «moutons». Par exemple, les Américains portent inutilement des masques faciaux en conduisant alors qu'ils sont la seule partie dans la voiture.

    Ces Américains patriotiques à faute font consciencieusement ce qu'on leur dit et portent des masques faciaux même s'il n'y a pas de mandat législatif, oubliant que le pays a été lancé par l'opposition à l'autorité (britannique).

    Maintenant qu'il est devenu évident que les décès dus au coronavirus COVID-19 ont été surestimés de 80% pour augmenter faussement la peur du public et préparer les masses à demander la vaccination, les Américains se rendront-ils jamais compte qu'ils ont été escroqués ?

    Les largesses de cette arnaque ont créé sa crédibilité. La télévision peut instiller une peur mal placée comme aucun autre média. Le public américain ne comprend pas très bien, moins il y a de personnes infectées, plus il faudra se faire vacciner. Les médias d'information reproduisent toute la désinformation en faveur des vaccins pour les agences de santé publique qui ont des conflits d'intérêts financiers.

    Avez-vous entendu parler du guichet automatique qui a tué un bébé ?

    Il y aura de plus en plus de reportages plantés dans les médias d'information qui feront peur au public et craindra le papier-monnaie. Anticipez une histoire évoquant la peur, comme une mère qui est rentrée chez elle après avoir retiré de l'argent d'un guichet automatique bancaire et a infecté à son insu son nouveau-né qui est ensuite mort d'une maladie infectieuse causée par le même agent pathogène trouvé sur le papier-monnaie que l'enfant. mère s'est retirée du guichet automatique. Les guichets automatiques tuent! La mère est également accusée de ne pas avoir vacciné son bébé immédiatement après la naissance. Ce genre d'histoire inventée «ferait d'une pierre deux coups», créant une peur infondée du papier-monnaie et la culpabilité du refus de vacciner.

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  63. Contrôle AI numérique

    Les Américains ne se rendent pas compte que la disparition du papier-monnaie donne aux banques et au gouvernement un contrôle total sur ses citoyens. Le Forum économique mondial, l'instigateur de la pandémie de coronavirus COVID-19 (événement sponsorisé 201 qui était censé être un exercice pour la pandémie à venir) veut lier la délivrance d'une carte de monnaie numérique à l'autorisation qu'une personne a été vaccinée. Les employeurs qui ne demandent pas à leurs employés de se faire vacciner seront confrontés à la désactivation de leur carte de monnaie numérique.

    Il est assez bien que les gens de la nation ne comprennent pas notre système bancaire et monétaire, car s'ils le faisaient, je crois qu'il y aurait une révolution avant demain matin.
    ~ Henry Ford

    De fausses promesses d'aider les pauvres, les femmes et les non bancarisés

    L'agenda caché derrière la pandémie de coronavirus COVID-19 est centré sur l'abandon du papier-monnaie et des pièces de monnaie avec substitution forcée de la monnaie numérique qui promettra à tort d'aider les pauvres et les non bancarisés et les rendre plus égaux (et moins racistes) avec le reste du monde. monde.

    Inaugurée sous prétexte qu'elle accélérera les paiements, protégera la vie privée, réduira les coûts, représentera les personnes non bancarisées et offrira des services à valeur ajoutée (santé, transport, éducation, nourriture, une liste infinie d'avantages supplémentaires), la carte de monnaie numérique mondiale sera vantée comme seule alternative à une autre crise artificielle.

    Les partisans de la banque numérique invoquent une enquête qui montre que 76% des répondants ont déclaré que «l'économie de mon pays est truquée au profit des riches et des puissants». L'opinion publique peut amener le public à préférer la carte numérique au papier-monnaie, en particulier parmi les pauvres qui n'ont pas le sentiment d'avoir un intérêt financier en Amérique.

    La banque numérique entraînera la fin des succursales bancaires locales et la mondialisation des réglementations afin que les banques puissent devenir mondiales et non locales. Sans papier-monnaie ni monnaie, les agences bancaires traditionnelles seront abandonnées, toutes les transactions financières, personnelles et commerciales, seront effectuées en ligne ou par téléphone - prêts immobiliers, prêts automobiles, etc.

    Où nous emmènent-ils ?

    Les succursales bancaires telles que nous les connaissons aujourd'hui n'existeront plus à l'avenir. Les banques étaient un endroit. Désormais, ils n'existeront que dans l'espace électronique.

    MoneyWise affirme que plus de 80% des dépenses de consommation aux États-Unis étaient sans numéraire en 2017. Fini les banques physiques. Pas même un guichet automatique ne sera nécessaire car la monnaie et les pièces ne sont plus. Je dois répéter ce point car il peut être difficile pour les Américains de l'imaginer, étant donné que les banques font partie du paysage de l'Amérique moderne. Ici aujourd'hui, parti demain, tout comme les cartes routières qui sont désormais remplacées par des cassettes vidéo GPS et VHS remplacées par des DVD. Mais c'est la disparition physique de toute une institution américaine.

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  64. Ce bâtiment d'aspect sûr avec des colonnes grecques et une voûte géante dans votre ville ne sera plus. Le vol de banque serait également un crime du passé. Ironiquement, le public porte tous des masques pendant que les banksters nous volent à l'aveugle.

    En 1995, le philanthrope milliardaire Bill Gates,
    qui a fondé la BETTER THAN CASH ALLIANCE a déclaré:
    «Les banques sont des dinosaures, elles peuvent être contournées.»

    Qu'est-ce qui motive ce changement ?

    Quel est le moteur de ces changements rapides dans le secteur bancaire ? - - - Compétition. Les banques Challenger perturbent les modèles bancaires traditionnels, faisant rapidement des incursions dans les bénéfices du secteur en offrant des alternatives numérisées.

    Alibaba et Google se lancent dans le secteur des prêts. Les banques vont concurrencer Amazon, Facebook et Apple… Les TechFins représentent une plus grande menace pour les banques que toute autre perturbation.

    Un leader de la réforme bancaire, Genpact, déclare: «Une fois qu'Amazon en sait plus sur moi que ma banque en sait sur moi, cela devient un défi existentiel pour les banques.»

    Genpact: «Les banques devront rivaliser avec Amazon sur l'expérience client, tout en offrant quelque chose de plus profond, que ce soit par le biais de relations et de services, en stimulant les entreprises et les communautés, ou en prenant position sur les problèmes mondiaux pour susciter la confiance…. Les banques passeront de l'offre de services financiers à l'amélioration financière. » Bien sûr, la définition de l'amélioration sera elle-même, pas le public bancaire.

    -------------------------

    Mark Carney, gouverneur de la Banque d'Angleterre,
    offre une position à contre-courant:

    «De nombreux citoyens des économies avancées sont confrontés à une incertitude accrue, déplorant une perte de contrôle et une perte de confiance dans le système. Plutôt qu'une nouvelle ère d'or, la mondialisation est associée à des bas salaires, des emplois précaires, des sociétés apatrides et des inégalités criantes. »

    -------------------------

    Géré par IA (intelligence automatisée)

    Genpact se pose comme une réponse à ces problèmes avec ce qu'il appelle «réalité optimisée, impact éthique et planification de l'ensemble du système». GenPact indique que les banques utiliseront même l'intelligence automatisée (IA) pour déterminer l'humeur de leurs clients, puis adapteront leurs programmes et leurs expériences à ces cadres mentaux.

    Les banques seront tellement axées sur la technologie qu'un article dans Global Finance Magazine indique que «la banque du futur pourrait même, en théorie, être dirigée par un PDG de robot. Ce sera basé sur l'IA. » Comment tirez-vous un robot? Comment poursuivez-vous un robot ?

    Les banques utiliseront l'IA pour devenir instinctives, dit Genpact, pour savoir ce dont les clients ont besoin avant eux-mêmes. En d'autres termes, réfléchissez à l'avenir à leur place.

    Les grandes entreprises se tournent vers les petites entreprises

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  65. GenPact prétend que les nouvelles néo-banques «permettront aux gens et aux entreprises». En réalité, les néo-banques détruiront l'esprit d'entreprise et les petites entreprises. Les néo-banques ne se contenteront pas de proposer des produits d'investissement plus sûrs, elles ont l'intention de s'étendre dans tous les secteurs, la santé, la médecine, l'alimentation, l'automobile, les voyages, les assurances, les vitamines et même les services de shampoing pour chiens.

    À l'instar d'Amazon et de Facebook, ces néo-banques vont commencer à créer leurs propres marques secrètes. Commandez des pilules de vitamines sur Amazon aujourd'hui et toutes les marques privées d'Amazon sont classées en haut de la page de commande et reçoivent des avis clients exceptionnels. Amazon et Facebook volent des affaires à leurs propres vendeurs qui publient des produits en vente sur Amazon.

    Par exemple, les banquiers ajouteront des applications de téléphone portable pour surveiller la pression artérielle, la température corporelle, le pouls, puis l'IA prendra rendez-vous avec les médecins, et le public sera rappelé de vacciner contre la grippe et de prendre ses médicaments à temps.

    Maintenant, si vous souffrez d'hypertension artérielle et que vous commandez une pizza avec de la viande et du fromage, la carte de monnaie numérique basée sur l'IA peut hésiter, sachant que ce n'est pas le meilleur pour votre santé. Vous vous souvenez de ce scénario audio créé il y a plus de dix ans?

    (Cliquez pour voir) COMMANDER UNE PIZZA DANS LE FUTUR

    Un objectif tacite du verrouillage du COVID-19 a été de forcer les petites entreprises à cesser leurs activités. Bientôt, les néo-banksters vont tout contrôler, de l'achat d'une maison à la planification d'un massage en passant par le rappel que vous avez besoin de vaccins de rappel contre la grippe. Il ne restera plus de petite entreprise.

    Comment les néo-banques, qui mettent tant de gens à la faillite, prospéreront-elles grâce aux consommateurs qui ont été déplacés de leur emploi et qui vivent des paiements de revenu garanti du gouvernement? Bien entendu, ces paiements seront directement placés sur la carte d'équité numérique.

    En passant, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis est en passe d'être une mesure du bien-être plutôt que de la productivité. Peux-tu imaginer ?

    Scoring social

    Les néo-banques feront tout cela sous la bannière d'être inclusives - promouvoir l'égalité des sexes, la durabilité et pénaliser les clients qui achètent des biens ou des services auprès d'entreprises qui n'ont pas un bon «score planétaire». La banque prendra des «décisions morales» à la place des clients qui sont censés le faire. La vision du monde de la banque (Green New Deal, changement climatique, réchauffement climatique) sera imposée à ses déposants.

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  66. Les partisans de la monnaie numérique désignent la Banque populaire de Chine, qui a la capacité de surveiller les transactions de paiement électronique en monnaie numérique (DCEP) et «peut aider à améliorer l'efficacité des opérations de politique monétaire et fiscale et faciliter la lutte contre les crimes financiers, y compris le blanchiment d'argent. et le financement du terrorisme. Le suivi des transactions monétaires via la monnaie numérique renforcera considérablement le système de notation du crédit social du gouvernement chinois, utilisé pour contrôler ses citoyens en récompensant ou en punissant certains comportements. Fondamentalement, plus les citoyens utilisent le DCEP au lieu de l'argent liquide, plus le gouvernement peut surveiller et contrôler leur vie », indique un rapport publié par le Conseil de l'Atlantique.

    Vous ferez confiance au banquier qui, selon vous, vous connaît

    Rester connecté et construire des expériences accumulées renforcera la confiance avec le client et sera la porte d'entrée pour les banques pour offrir tous ces produits et services supplémentaires qui aujourd'hui sont en dehors du menu d'une banque traditionnelle.

    Voici la façon dont les banquiers l'expliquent: «Si vous écoutez les derniers succès de Taylor Swift sur Amazon Alexa (assistant à commande vocale), l'étape suivante est probablement« Alexa, achète cet album »; Ensuite, vous ne tarderez pas à dire: «Alexa réhypothèque ma maison» », déclare un article dans le magazine Global Finance.

    Les avantages reviennent aux gouvernements, aux FinTechs

    Ce que la FinTech semble offrir, c'est de miser sur les conditions des banquiers et non sur les conditions du public. Les avantages les plus importants reviennent au gouvernement et aux banquiers dans un système de monnaie numérique.

    Avantages pour le gouvernement

    Le gouvernement va adorer l'argent numérique. Le passage de la monnaie papier à la monnaie numérique signifie des centaines de milliards de dollars de recettes fiscales accrues pour le gouvernement fédéral. L'argent numérique fait sortir davantage d'activités rémunératrices de l'ombre et de la colonne du revenu imposable. L'IRS estime que les États-Unis ont perdu 500 milliards de dollars de recettes fiscales en 2012 en raison de revenus non déclarés. Désormais, 100% de ce montant sera déclaré et imposé de manière appropriée.

    Ensuite, il y a des économies évidentes de ne pas avoir à imprimer des milliards de billets de banque chaque année - une économie d'environ 700 millions de dollars / an.

    Un autre avantage de la monnaie numérique est l'invulnérabilité inhérente à la contrefaçon. Cependant, la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) pourrait, via le piratage, mettre l'argent en danger pour la contrefaçon électronique à une échelle plus massive. Les systèmes de sécurité devront être étanches.

    Les avantages de la banque numérique sont énormes pour les banksters

    Selon Genpact, une entreprise qui façonne la transition des banques physiques vers les banques numériques, le secteur bancaire dépense 270 milliards de dollars en coûts de conformité et 10 à 15% en gouvernance, en gestion des risques et en formation de son personnel. Une grande partie de ces dépenses sera éliminée, y compris des milliers d'emplois bancaires. Il y a environ 472 000 caissiers de banque aux États-Unis qui pourraient bientôt être à la recherche d'un emploi.

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  67. Avantage supplémentaire pour les banquiers

    Au 5 août 2020, il y avait 1,95 billion de dollars de billets de la Réserve fédérale en circulation. Le public recevra probablement une date d'expiration pour ce papier-monnaie. Si tous ces événements prévus diminuent, espérons que notre papier-monnaie sera converti au numérique à une valeur de 1 pour 1. Ensuite, il y a encore 500 milliards de dollars de papier-monnaie américain à l'étranger qui devront être rapatriés. Les banques seront désormais automatiquement soutenues par 1,95 billion de dollars + 500 milliards de dollars de réserves supplémentaires.

    Négatifs pour les consommateurs

    Les déposants bancaires bénéficieront d'une carte de monnaie numérique, mais seulement de manière modeste. Glen Frost, fondateur; FinTech Summit & FinTech Awards explique que les FinTechs offrent généralement «une meilleure expérience utilisateur, des prix moins chers et une concentration dédiée à la résolution d'un problème spécifique». Mais ces petites économies n’élèveront en aucun cas la tranche de revenu des Américains. Les avantages pour les consommateurs du néo-dollar numérique seront marginaux. L’objectif des banquiers est de faire de chacun un esclave de la dette.

    Dans le commerce extérieur, le dollar américain est utilisé comme monnaie d'échange. «Une monnaie numérique souveraine» est présentée comme une alternative efficace au système de règlement en dollars américains. » Il n’y aurait pas autant de demande forcée pour le dollar américain et sa valeur chuterait probablement dans le commerce international. Les produits fabriqués à l'étranger coûteraient alors plus cher.

    Les banques centrales numériques peuvent également imposer des taux d'intérêt négatifs aux détenteurs de monnaie numérique, ce qu'une banque centrale ne peut pas faire avec des espèces. Cela représente la confiscation de l'argent.

    Un autre inconvénient est que les paiements électroniques en monnaie numérique (DCEP) suppriment l'anonymat des transactions en espèces, ce qui réduit la vie privée et donne au gouvernement un outil puissant pour surveiller et contrôler ses citoyens. L'IRS sait combien d'argent vous avez gagné et combien vous avez dépensé, mais maintenant il saura où est passé chaque centime.

    Les entreprises basées sur la trésorerie portent un toast

    C’est fini pour les entreprises de paiement en espèces (vendeurs ambulants, restaurants, services de pelouse, baby-sitters, laveries automatiques, distributeurs automatiques, camions de crème glacée) qui sont déjà «désintermédiées». Les distributeurs automatiques et les laveries automatiques devront être ré-outillés. Même les mendiants des rues sont en faillite.

    Il a également été suggéré que les paiements électroniques en monnaie numérique (DCEP) qui accompagnent la monnaie numérique puissent être utilisés pour les transactions de paiement internationales, en particulier comme alternative au système SWIFT qui gère les virements de fonds.

    La monnaie numérique et la disparition du papier-monnaie sont inévitables

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  68. Les plans sont déjà en cours. La Réserve fédérale a annoncé qu'elle construisait et testait une hypothétique monnaie numérique, équivalente à des espèces. Dieu sait, le gouvernement a probablement une monnaie numérique prête à l'emploi.

    La monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) - monnaie fiduciaire émise par les banques centrales sous forme numérique - est passée ces dernières années d'un concept spéculatif audacieux à une apparente inévitabilité. Plus de 80% des banques centrales ayant répondu à une enquête de la Banque des règlements internationaux en 2019 ont déclaré s'engager dans des projets de CBDC. Les banques planifient mais ne disent pas à leurs déposants ce qu'elles ont à l'esprit.

    Comment les petites entreprises seront-elles compétitives?

    Pour survivre, les consultants en affaires disent que presque toutes les entreprises devront être une société de services financiers. Uber et Lyft fournissent désormais des services financiers à leurs chauffeurs, créant des comptes bancaires internes afin de pouvoir payer immédiatement les chauffeurs lorsqu'ils gagnent de l'argent. Ce que l’on ne dit pas, c’est qu’Uber et Lyft peuvent essentiellement garder une partie de l’argent de leurs travailleurs en compte, ne jamais quitter leur banque et utiliser l’argent de leurs travailleurs sans aucun retour. C’est un peu comme travailler pour la mine de charbon et être obligé d’acheter au magasin de l’entreprise.

    L’avenir du secteur bancaire est… vous êtes fauché
    Notre ruine financière actuelle est en train de tourner
    en un modèle commercial. - Molly Wood, FILAIRE

    Molly Wood, écrivant sur WIRED.com, déclare:

    «Notre ruine financière actuelle est en train de devenir un modèle commercial.» Dans son discours intitulé THE FUTURE OF BANKING IS. . . VOUS ÊTES CASSÉ », écrit-elle:« Soixante-dix-huit pour cent des Américains vivent de salaire en chèque de paie. . . il y a l'idée que la solution à nos problèmes financiers peut être trouvée dans une banque numérique plus pratique, plus technologique et plus conviviale.

    L'économie est malade et la monnaie numérique fait partie du problème, pas de la solution

    Un deuxième problème est plus grave. En fin de compte, aucune conception conviviale, fonctionnalités accessibles et protections contre les découverts ne résoudront les problèmes sous-jacents qui ont rendu ces services nécessaires en premier lieu. Aucune néo-banque ne peut effacer la dette des prêts étudiants ou la stagnation des salaires de 40 ans ou les dépenses médicales imprévues ou la réalité paralysante de la rupture existentielle de l'Amérique. Les néo-banques ont promis de soulager votre douleur, mais ce n’est que de la morphine pour la vraie condition. Quand il s'agit de la maladie réelle, vous êtes toujours seul. "

    https://www.lewrockwell.com/2020/09/no_author/digital-currency-the-end-of-american-entrepreneurship-small-business/

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  69. Combien de personnes ont un «COVID psychologique» ?


    Par Jon Rappoport
    Le blog de Jon Rappoport
    4 septembre 2020


    Pendant des mois, j’ai présenté des preuves que: un nouveau coronavirus n’a jamais été correctement découvert; les tests diagnostiques sont donc dénués de sens; et la plupart des personnes malades souffrent de maladies traditionnelles qui ont été réemballées sous l’étiquette ombrelle vide «COVID».

    Bien sûr, la plupart des gens dans le monde ont une croyance religieuse dans le nouveau virus. Et cela ouvre la porte à: «COVID psychologique».

    Voici à quoi cela peut ressembler.

    Une personne regarde la télévision pendant des heures. Il a droit à des nouvelles mur à mur, des publicités, des annonces d’intérêt public - tout sur le virus et la pandémie. Après des jours, des semaines et des mois de ce solide conditionnement opérant, il est dans l'état d'esprit COVID.

    Il est DANS le contexte, la boîte, le modèle, le scénario.

    Il ressent parfois un peu de ceci et cela: une gorge irritée, un reniflement. Alors il pense: «C'est peut-être le début de COVID.» Un jour, il a mal à la tête. Il pense: "N'ont-ils pas dit que cela pouvait aussi être un symptôme?"

    Il prend sa température. 99.8 F (37,6°C). Il essaie de se souvenir: "Ma normale n'est-elle pas toujours un peu basse ?"

    Il appelle sa sœur et lui demande. Elle dit: «Oui, vous êtes généralement venu 98. Pourquoi ? Quel est le problème ?"

    "Rien. J'ai eu une petite toux hier, alors j'ai pris ma température. C'était 99,8.

    "Appelle le docteur."

    "Ça ira."

    «Vous ne le savez pas. APPELLE LE DOCTEUR."

    Après avoir parlé à sa sœur, sa gorge est à vif. Il fait du thé. Il fait le tour de l'appartement. Il se sent fatigué. Pendant une seconde, une douleur lui monte au bras. «Ils ont dit que le virus pouvait causer un problème cardiaque.»

    Il va au frigo, sort un demi-gâteau et mange une grande part. Maintenant, il se sent vraiment fatigué, alors il se couche et s'endort. Quand il se réveille, son nez est bouché. Il entre dans la salle de bain et se mouche. Il se regarde dans le miroir. Ses yeux sont un peu rouges. Son visage est pâle.

    Il tousse trois fois.

    Il appelle son médecin. Une infirmière dit: «Eh bien, vous pourriez avoir quelques symptômes. Vous devriez entrer et vous faire tester.

    Le lendemain, il le fait.

    Pendant deux jours, en attendant les résultats, il éternue par intermittence. Sa tête est bourrée. Il dort plus que d'habitude. Ses membres lui font un peu mal. Est-ce qu'il ressent un frisson ou est-ce une brise qui souffle à travers l'écran ?

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  70. Si vous lui disiez que ses pensées et son état d’esprit pouvaient provoquer des symptômes physiques, il ne vous croirait pas. Chaque année depuis dix ans, il a eu au moins un épisode de toux-éternuements-légère fièvre, et il n’y a rien pensé… mais si vous lui rappeliez cela maintenant, il ne ferait pas attention. Non, c'est différent. Il commence à ressentir de la peur.

    Dans cet état de peur légère, il imagine aller à l'hôpital et se faire mettre sous respirateur. Il imagine infecter quelqu'un d'autre et être découvert. Il imagine mourir.

    La peur monte. Il s'assoit devant la télé, espérant se distraire. Mais les publicités montrent des personnes portant des masques.

    Le lendemain, le téléphone sonne. C’est l’infirmière. Elle lui dit qu'il est positif pour COVID. Il est infecté. Il devra s'isoler pendant deux semaines, et si les symptômes s'aggravent, il devra se rendre à l'urgence ...

    Maintenant, sa fièvre dépasse les 100 centimètres. Il tousse davantage.

    Voyez l'image ?

    Si vous ne pensez pas que l'esprit et les pensées peuvent affecter le corps, détrompez-vous.

    Si vous ne pensez pas que la capacité de résister et de se débarrasser d'une histoire concoctée est importante, détrompez-vous.

    Si vous pensez que le refus d'accepter les déclarations officielles n'est pas vital…

    Cette personne que je décris, qui a maintenant été taguée avec l'étiquette COVID, ne souffre de RIEN.

    Comme dans: RIEN.

    Il additionne et invente sa propre histoire, ce qui le met dans un trou.

    Si quelqu'un le giflant au visage pouvait le réveiller, quelqu'un devrait le gifler au visage.

    Il vient d’être aspiré et il s’enfonce.

    «Monsieur, vous avez un COVID psychologique. Il porte un meilleur nom. Maladie de Sucker. »

    - Oh mais attendez… qu'en est-il des gens qui sont VRAIMENT malades ?

    Comme je l'ai mentionné en haut, la plupart de ces personnes souffrent de maladies traditionnelles qui n'ont rien à voir avec «un nouveau virus».

    Donnez-moi le contrôle de tous les principaux organes d'information du monde, et des porte-parole vénaux comme Fauci à mettre à la télévision jour après jour, et je convaincrai la population que des panthères roses se sont échappées d'un zoo de l'Antarctique et qu'elles parcourent le monde. crachant du poison rose sur des milliards de victimes.

    Et quels que soient les symptômes de l'intoxication rose, les gens COMMENCERONT À LES EXPÉRIMENTER.

    «Monsieur, vous ne ressentez pas de symptômes de poison rose. Ils n’existent pas. »

    «J'ai vu trois panthères cet après-midi sur ma pelouse.

    «C'étaient vos chats. Vous vous souviendrez peut-être que votre femme, qui divorce de vous, les avait chez elle. Elle les a déposés dans votre cour tôt ce matin.

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  71. Avant que certaines personnes ne tirent des conclusions erronées, permettez-moi de le dire encore ENCORE: Oui, il y a des gens dans le monde qui sont en fait malades et mourants, comme toujours, et la plupart de ceux qui ont été étiquetés «COVID» souffrent de maladies traditionnelles, comme la pneumonie, la tuberculose, la grippe, d'autres problèmes pulmonaires, etc. Les autres personnes qui sont étiquetées COVID - il faudrait regarder ces groupes, où qu'ils vivent, pour en découvrir les causes, telles que: de nouvelles campagnes de vaccins toxiques; nouveaux niveaux ou nouveau contenu de pollution mortelle; les pesticides; traitements avec ventilateurs et médicaments antiviraux toxiques, etc. AUCUN NOUVEAU VIRUS REQUIS.

    Le contrôle mental ou COVID psychologique est sa propre créature, et il est répandu.

    Si quelqu'un pense que mon utilisation du terme maladie de Sucker est trop forte, et est méchante, et que j'aurais dû l'appeler quelque chose comme syndrome de confusion, permettez-moi de souligner que, dans cette situation, être gentil et poli ne coupe pas l'esprit. contrôle. En fait, Nice et Polite, comme ils se sont répandus dans la société comme une couverture moisie, sont les principales composantes de la raison pour laquelle les gens achètent l'histoire du virus et les verrouillages et la destruction économique qui en résultent. Ils ne veulent pas faire de vagues. Ils veulent être plus gentils et plus doux envers l'Autorité. Ils veulent se réconcilier avec le fascisme et coopérer dans leur propre chute.

    George Carlin l'a exposé il y a 20 ans: «Ce que nous avons maintenant, c'est une population complètement névrotique… D'où vient cette peur soudaine des germes dans ce pays? Avez-vous remarqué cela? Les médias, qui publient constamment des articles sur toutes les dernières infections - salmonelle, e-coli, virus hanta, grippe aviaire - et les Américains, paniquent facilement, alors maintenant tout le monde court, frotte et pulvérise cela, trop cuit sa nourriture et se lave les mains à plusieurs reprises, en essayant d'éviter tout contact avec des germes. C'est ridicule et ça va à des longueurs ridicules… tas de putain de chattes! D'ailleurs, pourquoi pensez-vous avoir un système immunitaire? C'est pour tuer les germes!… Permettez-moi de vous raconter une histoire vraie sur la vaccination, d'accord ? Quand j'étais petit garçon à New York dans les années 40, nous avons nagé dans la rivière Hudson et elle était remplie d'eaux usées brutes, d'accord? Nous avons nagé dans les eaux usées! Vous savez… pour vous rafraîchir! Et à cette époque, la grande peur était la polio; des milliers d'enfants meurent de la polio chaque année, mais vous savez quelque chose? Dans mon quartier, personne n'a jamais contracté la polio! Personne! Déjà ! Tu sais pourquoi ? Parce que nous avons nagé dans les eaux usées ! Cela a renforcé nos systèmes immunitaires! La polio n'a jamais fait de prière; nous étions trempés dans de la merde brute! Donc personnellement, je ne prends jamais de précautions particulières contre les germes. Je n’ai pas peur des gens qui éternuent et toussent, je n’essuie pas le téléphone, je ne couvre pas le siège des toilettes, et si je laisse tomber de la nourriture par terre, je la ramasse et la mange ! Oui. Même si je suis dans un café avec terrasse ! À Calcutta ! La section pauvre ! Le matin du Nouvel An lors d'une émeute de football ! Et tu sais quelque chose ? Malgré tout ce soi-disant comportement à risque, je n'ai jamais d'infections, je ne les attrape pas, je n'ai pas de rhume, je n'ai pas la grippe, je n'ai pas de maux de tête, je ne m'énerve pas estomac, tu sais pourquoi? Parce que j'ai un bon système immunitaire fort et ça demande beaucoup de pratique… »

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  72. Une personne souffrant de COVID psychologique auto-induit doit porter un marteau à sa propre complicité ET à la propagande de l'État. Cassez l'œuf, sortez et respirez.

    Reprinted with permission from Jon Rappoport’s blog.

    https://www.lewrockwell.com/2020/09/jon-rappoport/how-many-people-have-psychological-covid/

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