L’éolien et le photovoltaïque ne sont pas adaptés pour faire face aux besoins en électricité de la France lorsque le nucléaire et l’hydroélectricité ne couvrent plus la demande.
21 SEPTEMBRE 2020 Par Michel Gay.
Le développement de l’éolien et du solaire photovoltaïque (PV), aléatoirement variable, voire intermittent, est idiot en France pour diminuer la consommation d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), et donc les émissions de gaz à effet de serre (CO2 et autres).
Cet article est adapté d’un thread publié sur Twitter par François-Marie Bréon (@fmbreon), chercheur au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement.
Il a établi des graphiques originaux de consommation et production électrique à partir des données de RTE pour l’année 2019.
Les résultats sont particulièrement éloquents pour qui se donne la peine de les lire et de les comprendre en 3 minutes !
LES GRAPHES NE MENTENT PAS (EUX)…
Chaque point des graphiques suivants correspond à une journée (il y en a 365) de production et de consommation d’électricité en France en 2019.
Le graphique ci-dessous se lit ainsi : chaque jour (un point) durant l’année 2019 est représenté par l’intersection de la production cumulée d’électricité nucléaire et hydraulique de la journée (sur la graduation verticale, elle a varié d’environ 1 térawattheure (TWh) à 1,5 TWh) et de la consommation totale d’électricité (sur la graduation horizontale, elle a varié de moins de 1 TWh journalier au creux de l’été en août, à presque 2 TWh à la pointe de l’hiver).
- voir graphique sur site -
Dans une situation idéale, la production correspondrait chaque jour exactement à la consommation et tous les points devraient être alignés sur la diagonale dessinée.
Ce graphique montre donc que les productions nucléaires et hydrauliques décarbonées (graduation verticale) sont bien corrélées (donc adaptées) à la consommation (graduation horizontale).
En effet, les points rouges sont proches de la diagonale, sauf pour les fortes consommations supérieures à 1,5 TWh par jour. Durant ces quelques jours, la somme des productions nucléaire et hydraulique plafonne à 1,5 TWh par jour et reste inférieure à la demande qui atteint presque 2 TWh par jour.
Dans ces périodes, il faut donc faire appel aux importations d’électricité et aux énergies fossiles (surtout le gaz), notamment si les productions éoliennes et solaires sont aux « abonnés absents » ces jours-là par manque de vent et de soleil (faibles ou inexistants la nuit).
PRODUIRE AU « BON MOMENT »…
Les deux graphiques ci-dessous montrent que les performances de production au « bon moment » (lorsque la demande est forte) de l’éolien et du PV sont mauvaises.
En effet, les points très dispersés, souvent loin de la diagonale, correspondent à des jours où leur production n’est pas adaptée au besoin.
Le besoin électrique restant à satisfaire après avoir retranché les productions nucléaire et hydraulique (graduation horizontale) est notée « Conso – Nuke – Hydro » sur le graphique.
La production est exprimée en gigawattheures (GWh) pour les éoliennes (graphique ci-dessous), ainsi que pour le PV ensuite (1000 GWh = 1 TWh).
La partie à gauche de « 0.0 » représente un besoin « négatif », c’est-à-dire une production supérieure au besoin. Pour conserver l’équilibre du système électrique, il faut donc l’« éliminer » par l’exportation, par pompage dans des STEP, ou par toute autre consommation, même inutile (faire chauffer des lignes à haute tension par exemple, ou brasser de l’eau…).
Et aussi bien pour le solaire que pour l’éolien, il y a beaucoup de jours (points) de production à gauche de 0.0 ! Cela signifie que ces sources d’électricité produisent lorsque le réseau est déjà saturé par les autres productions déjà décarbonées ! Et ces productions aléatoires des éoliennes et des PV sont mêmes parfois proches de leur maximum à ce moment-là !
Productions éoliennes journalières en 2019 ci-dessous :
- voir graphique sur site -
La production journalière des éoliennes a varié en 2019 entre 11 GWh (soit 0,011 TWh) et 283 GWh (soit 0,283 TWh).
Multiplier les éoliennes et les PV augmenterait certes la production globale mais ne réduirait pas la fatalité de la production erratique. Au contraire, leurs « bouffées » de productions s’amplifieraient !
Productions solaires journalières en 2019 ci-dessous :
- voir graphique sur site -
Sur ces deux graphiques, l’absence de corrélation entre production et consommation (les points sont éloignés de la diagonale) montre que, souvent, les productions éolienne et solaire sont faibles (points en bas) lorsque le besoin est fort (points à droite), et vice-versa.
ÉOLIEN ET PHOTOVOLTAÏQUE SONT INADAPTÉS
Le pseudo « foisonnement » qui permettrait de lisser les productions éoliennes et solaires parce qu’elles seraient complémentaires à l’échelle de la France, selon certains inconditionnels de ces sources d’énergies, n’existe pas.
De plus, lorsque leurs productions sont élevées, les exportations d’électricité sont vendues à prix dérisoires, voire négatifs, puisque nos voisins ont aussi des surproductions en phase avec celles de la France (été/hiver et jour/nuit sont synchrones avec nos voisins).
Ces exportations rapportent cependant 3 milliards d’euros par an qui contribuent à rembourser partiellement les plus de 5 milliards d’euros annuels de subventions pour acheter des éoliennes fabriquées à l’étranger et des PV importés de Chine…
Ces 3 milliards par an seraient certainement plus judicieusement utilisés pour subventionner des pompes à chaleur, de l’isolation, une filière EPR, des hôpitaux, des services de proximité, la sécurité, la justice…
L’éolien et le PV ne sont donc pas adaptés pour faire face aux besoins en électricité de la France lorsque le nucléaire et l’hydroélectricité ne couvrent plus la demande.
INTERDIT DE SE BRANLER DEVANT LE PORTRAIT DE LA REINE !!
Un conseil municipal de Londres interdit à ses télétravailleurs de fumer depuis chez eux
13:09 21.09.2020 Par Alexandre Sutherland
Les employés du conseil de Hammersmith et Fulham sont désormais privés de cigarettes durant les heures de bureau même lorsqu’ils travaillent depuis chez eux, relate le Telegraph. Une «croisade morale» contre les fumeurs, estiment des militants qui ont émis un rapport à l’encontre de cette décision.
La municipalité de Hammersmith et Fulham, située à l’ouest de Londres, a décidé d’interdire à tous les employés de fumer au travail même lorsqu’ils sont à distance, indique le Telegraph. Ainsi, toute partie d’un logement privée utilisée à des fins professionnelles «sera un espace non-fumeur», indique le conseil à la majorité dominée par le parti travailliste Labour.
Cette décision «honteuse» a été vivement critiquée par des militants et qualifiée de «croisade morale» et de «guerre au choix et à la liberté individuelle». Un rapport intitulé «L’idéologie non-fumeur» et soutenu par un groupe pro-fumeur, Forest, a été remis aux autorités locales.
L’un des auteurs, Josie Appleton, a commenté auprès du quotidien britannique que le conseil «devrait se concentrer sur le service public plutôt qu’intervenir dans les choix de vie de ses employés».
Selon elle, cette politique à l’égard des fumeurs n’est plus liée au tabagisme passif, mais vise à faire de la cigarette une «activité honteuse» qui «ne devrait jamais être vue en public ou à proximité des bâtiments officiels».
D’autres conseils font de même
Le rapport indique également que sur les 147 conseils de la capitale britannique seuls 10 autorisent leurs travaillent à prendre des pauses cigarette. Une cinquantaine ont également interdit la cigarette électronique, et ce même dehors ou entre des rendez-vous professionnels. Certains détracteurs affirment dès lors que cette mesure rend plus difficile le fait d’arrêter de fumer.
D’après Ian Hudspeth, président du conseil de bien-être communautaire de l’association des gouvernements locaux, ces actes démontrent que les conseils sont des «employeurs responsables» qui «cherchent à protéger la santé de leurs employés et du grand public».
Choisir son pays et sa stratégie de jeu si tout part en couille en France
Charles Dereeper dimanche, 20 septembre 2020 18:28
Vous êtes nombreux à réfléchir en ce moment. Je copie un email reçu ce jour qui saura je n'en doute pas faire réfléchir certains
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C’est peut-être la première fois de l’histoire où nous pouvons être devin et connaître un avenir proche…
Les Etats que j’observe avec mes moyens sont la France, UK, Canada. Ces pays procèdent de la manière suivante avec une échelle de temps différente selon les pays. Le processus est :
L’état fait fuiter les informations par le moyen de rumeur ou simple hypothèse L’info est directement transmise aux médias et relayée pour annoncer et préparer les populations à la réalisation de l’annonce Quelques jours, semaines ou mois plus tard la population préparée la rumeur devient la règle. Si la pilule est très grosse ils procèdent par diffusion espacée et répétée pour éviter trop tôt les levées de boucliers. Ils savent aussi qu’il faut envoyer de faux signaux en envoyant des rumeurs qui ne sont pas prévues se réaliser pour éviter que cela ne soit trop visible et brouiller les pistes
Il faudrait avoir assez de temps ou avoir de notre côte une IA qui collecte ces rumeurs, note la fréquence de diffusion et estime le délai de réalisation.
Cette veille pourrait nous donner une légère avance sur le reste de la masse et nous sauver la vie ou du moins nous donner un sursis. Pour ceux qui regardent l’économie, investissent ou trade cela pourrait aussi s’avérait très très utile…
Pour une meilleure compréhension de ce qui se passe ou de se qui va se passer à court terme il faudrait pouvoir observer ainsi tous les pays en même temps.
Succinctement à aujourd’hui ( les infos déferlent chaque heures )
Les dernières en France :
Confinement partiel a minima en préparation Vaccination obligatoire contre la grippe Isoler les jeunes en les pointant du doigt au cas ou ils voudraient se révolter (les jeunes sont parfois si imprévisibles)
En Uk :
Confinement généralisé en préparation Vaccination covid obligatoire en s’affranchissant des autorisations des autorités vaccinales Vote de lois inédites permettant de couvrir juridiquement les dirigeants face à ce qu’ils se préparent à faire et ce qui va arriver (une hécatombe)
Canada :
Là bas c’est encore plus gros …
Je reste convaincu que tant que la situation n’est pas évidente il vaut mieux ne pas bouger mais être prêt en moins de 24h à fuir si nécessaire dans le pays le moins pire… Je crois que nous y verrons plus clair dans les prochains mois.
Si je devais faire un pronostic, je crois que les usa seront les moins « violentés » ou dirais-je impactés car lorsque l’on est numéro 1 et habitué à conquérir le monde on sait limiter la casse. De plus c’est le seul peuple autant armé et qui dans la défense de soi est profondément dans la croyance être dans son bon droit notamment constitutionnel. Trop tôt pour ne pas se tromper.
J’estime ces derniers mois à plus de 80% les rumeurs s’étant réalisées en fait quelques semaines ou mois plus tard. Ce chiffre n’est pas scientifique mais une proportion qui me semble assez réaliste.
L'option catamaran pour zigzaguer au milieu du chaos à venir ? + Lisbonne
dimanche, 20 septembre 2020 22:00
Salut Charles,
On avait eu l’occasion d’échanger par email à quelques reprises déjà et de mon côté je continue de te suivre toujours avec autant de plaisir - et d’amusement certaines fois ;-) -
De mon côté, j’ai conduit une réflexion comparable à la tienne depuis 5 ans que j’ai quitté la France mais je suis arrivé à un résultat un poil différent. Après 2 ans au UK, je suis au Portugal à Lisbonne où la vie est encore assez douce surtout comparée à la France où je vais encore de temps à autre pour mes affaires.
Voici mon idée :
Je projète d’acheter un catamaran de 14/15 mètres équipé pour me donner pas mal d’autonomie (désalinisateur, panneaux solaires, équipement de chasse et pêche etc. …) et de me barrer autour du monde en fonction de la tournure des évènements.
Evidemment, il faut pouvoir se payer un bateau et aimer ça mais dans mon cas je vais joindre l’utile à l’agréable.
Comme toi et comme tu l'explique régulièrement, je crains que ça tourne mal un peu partout même s’il se peut que ça se fera progressivement en commençant par l’Europe, je me dis que je pourrai bouger rapidement (traverser l’atlantique en 3 semaines, le pacifique en 1 mois), aller aux USA si ça me plait et si je m’y sens en sécurité, ou encore dans les caraïbes si je pense que la situation y est plus sereine, pourquoi pas en Amérique du sud voire enfin dans le pacifique si vraiment ça chauffe un peu partout.
Comme je vois que tu n’as jamais évoqué cette idée alors que tu nous fait le plaisir de partager tes propres réflexions, je me suis dit que tu serais peut-être intéressé par mon idée.
Quoiqu’il en soit, ton avis m’intéresse et j’espère que mes prochaines pérégrinations nous donneront l’occasion de nous croiser.
Take care -----------------
Beaucoup de français choisissent Lisbonne depuis quelques années. Perso, j'ai visité en 2009. J'ai pas kiffé !
C'est clairement mieux que la France.
L'option catamaran, je n'en parle pas car j'ai exprimé dans la formation les 3S mes réflexions sur l'art de la fuite, ses contraintes et les enjeux. http://formation.objectifeco.com/charles-dereeper-les-3-s-formation/
Un des clients du groupe STRATEGIE DE VIE PRO ET PERSO a acheté y a 2 mois un cata chez les yougo. Il est actuellement au Maroc et prépare sa traversée jusqu'au Panama.
Le cata, c'est une option en cas de gros bordel. Pas en cas de bordel comme en ce moment, par vague et localisé.
Perso j'ai énormément navigué dans ma jeunesse au lieu d'aller piner (quel con putain !) en Bretagne Sud que je connais intégralement, plages par plages.
S'il y a bien un truc que je déteste, c'est dormir dans un bateau qui avance... a vrai dire, je ne dors pas dans un bateau qui avance... vous allez me dire, cela ne me change pas trop de ne pas dormir... oui et non. Je ne dors pendant mes heures de traumas. Mais je suis libre de dormir à partir de 8h du matin et jusqu'à minuit passé. Sur un bateau qui avance, je ne dors pas du tout, 24h/24... donc je ne suis pas super fan... au delà des autres problèmes structurels. En outre, nous avons pu voir que le traffic maritime privé a été stoppé puis gelé pendant le délire covid cette année, ce qui m'a terriblement surpris. Et comme l'autonomie sur un bateau est limitée à cause de la bouffe... tôt ou tard, l'option catamaran prend l'eau...
(...) Et comme l'autonomie sur un bateau est limitée à cause de la bouffe.. (...)
Et la canne-à-pêche elle sert à quoi ?
Pour pas faire comme Christopho Colombo qui emportait... de l'eau !) faut savoir désaliniser l'eau sale.
Prendre une boite d'eau sale et la poser dans une poêle sur le feu. Mettre par dessus la petite boite une boite plus grande et retournée dessus-dessous (style marmiton). Lorsque l'eau bout de la condensation va se former dans le marmiton et descendre en gouttelettes dans la poêle.
Cette eau est pure, claire, sans goût ni odeur ni bactérie !
Manipulation d'un marché comme les actions américaines, le fric qu'il faut mettre sur la table !
dimanche, 20 septembre 2020 17:55
Suite à mon article sur les 3 salades ici http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/les-3-salades-du-moment-qui-n-ont-ni-queue-ni-tete-mais-qui-sont-tres-populaires-sur-internet.html
Je vais répondre à certains commentaires avec des chiffres car nous vivons une période troublée où les esprits oublient de compter. Je crois sincèrement que l'un des enjeux du moment consiste à apprendre à confronter. Je m'y prête dans ma vie perso comme un forcené et jamais finalement, j'ai n'ai eu autant conscience de moi, jamais je n'ai eu accès à autant d'informations pertinentes et au final, jamais je ne me suis fait aussi peu confiance... en gros, plus on sait, moins on sait... donc plus on ne sait rien en réalité... l'humilité...
Je recopie un premier commentaire
- "Je ne te suis pas sur le 3. Ce n'est pas parce que la valo actuelle des indices us a pris 2000 mds qu'on a injecté 2000 mds. La valo représente les cours à l'instant t. Si l'équilibre acheteur vendeur change, il peut y avoir besoin de beaucoup moins pour propulser les cours à la hausse. De même Apple 'vaut' 2000 mds mais si les dirigeants vendent tous leurs titres, ils feront s'effondrer les cours bien avant d'avoir pu en vendre ne serait-ce qu'une fraction à ce prix."
J'ai pris la capitalisation pour marquer les esprits.
Ici l'idée du commentaire c'est de dire que le volume est différent de la capitalisation. Volume nécessaire pour manipuler les marchés US pendant 6 mois.
Ok confrontons !
Combien de volume en valeur s'échange t il sur les marchés US par an ?
La réponse varie, mais nous tournons autour de 30.000 à 40.000 milliards de dollars depuis 10 ans. source world bank ici https://tradingeconomics.com/united-states/stocks-traded-total-value-us-dollar-wb-data.html
Nous parlons d'une hausse parabolique de 6 mois et en face de pseudo théories du financial times qui accusent softbank et les investisseurs particuliers chez Robinwood d'être derrière cette hausse.
Ces mecs contrôlent 6 à 7 milliards de cash, softbank inclus. Ils jouent sur les options. Donc en valeur nominal / volume en valeur, on parle allez de 40 milliards de dollars avec le levier des options.
En face, en volume en valeur, les marchés américains s'échangent environ 15 à 20.000 milliards de dollars...
Vous pouvez m'expliquer comment avec 40 milliards il est possible d'impacter une masse de 15 à 20.000 milliards d'échange ? Tout en créant une hausse de la capitalisation de 2.000 milliards...
C'est juste ridicule.
La vérité se cache derrière les théories du complot. Les banquiers londoniens contrôlent le monde. Comme je l'ai déjà dit à de nombreuses reprises, je n'adhère pas aux théories d'Alain Soral et Dieudonnet sur les juifs. Les white protestants sont plus nombreux et plus capitalisés que les juifs et juifs et white protestants roulent pour le même boss qui est le mal. Derrière juifs, il ne faut pas mélanger le juif de la rue, mes potes d'ailleurs ici à Panama City, du sionisme international qui ne croit en rien à la religion. Ces mecs carburent au satanisme estimant que dieu ne fait pas son boulot sur terre et que la matrice est imparfaite. Leur dieu est le dieu de la connaissance.
C'est la croyance fondamentale qui oppose les forces du monde. J'ai longtemps hésité entre les deux. Car je doute moi même. J'ai toujours été à 55% en larme devant dieu et la perfection de la matrice et le rejet total à 45% de mon higher self et de ma destinée d'humain. Je suis très bien placé pour le savoir car le satanisme repose sur des traumas et le fait d'écarter l'âme de son corps en l'empêchant de se réfugier dans sa place naturelle qui permet la connexion à l'univers, dans le chakra 4. J'ai la possibilité personnelle d'expérimenter les deux faces fondamentales de l'être humain, la basse fréquence et la hausse fréquence. Et je suis écartelé la dedans depuis toujours.
Je pense que softbank n'appartient pas aux clubs londoniens, nombreux, qui se font la guerre entre eux, mais qui éliminent ceux qui ne jouent pas dans leur sphère. Résultat, le mec prend une plus value de 5 milliards de dollars et il se fait allumer. C'est systématique dans l'histoire de la finance. Dénigrement, campagne média dégueulasse, activation des justices sur des préceptes bidons.
Ce qui me fait pitié c'est de voir thami kabbaj opportuniste s'engouffrer la dedans sans rien comprendre et égarer les foules derrière. C'est toujours pareil. En bout de piste, les gens faibles se font égarer au lieu de progresser. Vous allez me dire, tant pis pour eux. Ils sont attirés par les paillettes de mecs visiblement stupides et opportunistes. A charge pour chacun de sélectionner ses sources d'infos et de grimper ou descendre. Ok. Mais à ce rythme là, mieux vaut alors être satanique parce que la lumière prend une branlée magistrale en ce moment. Le mal représente le gros de la vie sur terre. Autant pisser dans le sens du vent...
Bon, reprenons: Comment est créé l'argent ? Et comment il peut disparaître plus vite qu'il ne peut être inscrit au clavier ? L'EMP ! Avec çà: Pchitt ! T'as plus rien ! En un centième de seconde tout s'éteint. L'ascenseur en panne, la voiture qui ne démarre pas (sauf à manivelle si t'en a une !), pas de tel, pas de sat. Rien !
T'allumes ta bougie et tu part avec ta poêle à la chasse aux pigeons !
California Burnin'- Un avertissement contre la règle du parti unique
par Tyler Durden Lun, 21/09/2020 - 05:45 Rédigé par Niall Ferguson, éditorial via Bloomberg.com,
Incendies, pannes d'électricité, impôts élevés, pauvreté, logements rares, misère urbaine, écoles minables - c'est une merveille que quiconque reste.
«La Californie, mes amis, c'est l'Amérique qui avance rapidement.» Ainsi le gouverneur Gavin Newsom, d'une voix rauque, au milieu de la fumée brune au North Complex Fire le 11 septembre.
«Ce que nous vivons ici, c'est arriver à une communauté partout aux États-Unis d'Amérique ... à moins que nous n'agissions ensemble sur le changement climatique.»
J'étais avec lui jusqu'à ce qu'il prononce les mots «sur le changement climatique».
Comme mon collègue de la Hoover Institution, Victor Davis Hanson, l’a dit le mois dernier, la Californie est «le modèle progressiste de l’avenir: un État autrefois riche et novateur qui est maintenant une civilisation presque en ruines. La nation devrait nous surveiller cette année électorale et connaître son avenir possible. »
Commençons par les incendies. Jusqu'à présent cette année, ils ont incendié plus de cinq fois plus de terres que la moyenne des 33 années précédentes, tuant 25 personnes et obligeant environ 100 000 personnes à quitter leurs maisons. À un moment donné, trois des plus grands incendies de l’histoire de l’État brûlaient simultanément dans un anneau autour de la baie de San Francisco. Selon le Département des forêts et de la protection contre les incendies de Californie, ou CAL FIRE, sur les 10 plus grands incendies depuis 1970, cinq se sont déclarés cette année. Neuf sur 10 se sont produits depuis 2012.
Il ne fait aucun doute que les températures élevées et les orages inhabituels sont en partie responsables des terrifiants incendies de forêt de cette année sur la côte ouest. Il est profondément trompeur de prétendre, comme le font encore certains négationnistes purs et durs, que les températures n'augmentent pas et ne rendent pas les feux de forêt plus probables. Mais il est également trompeur de prétendre, comme l'a fait le New York Times la semaine dernière, que «les scientifiques disent que le changement climatique est la principale cause de la conflagration».
En réalité, comme le soutiennent Rebecca Miller, Christopher Field et Katharine J. Mach de Stanford dans un article récent de Nature Sustainability, cette crise a au moins autant à voir avec une mauvaise gestion désastreuse des terres qu'avec le changement climatique, et peut-être plus. Quiconque pense que les panneaux solaires, Teslas et un éléphant blanc de 3,3 milliards de dollars d'une ligne ferroviaire à grande vitesse éviteront des incendies comparables ou pires l'année prochaine (et l'année suivante et l'année suivante) ne comprend pas ce que les scientifiques disent vraiment.
La plupart des mesures proposées par les écologistes pour réduire les émissions de gaz carbonique et autres «gaz à effet de serre» porteront leurs fruits sur 50 à 100 ans, comme l'IPCC l'a depuis longtemps indiqué. Même un scénario «d'atténuation rigoureuse» dans le meilleur des cas (ce que l'IPCC appelle la voie de concentration représentative 2.6) ne ramènerait pas les émissions de gaz carbonique aux niveaux de 1950 avant environ 2050. Il ne réduirait pas non plus les températures moyennes mondiales; cela les empêcherait simplement de s'élever.
Et ce n’est que si le monde entier - y compris la Chine et l’Inde - prend des mesures. Le problème des incendies de forêt en Californie ne peut pas être résolu par les citoyens de l’État «qui agissent ensemble sur le changement climatique», selon les mots de Newsom. Le problème nécessite une action immédiatement efficace - et cela signifie un retour à une gestion saine des forêts, si un tel retour est encore possible. Pendant des décennies, les dirigeants démocrates de Californie ont présidé à une politique de laisser pourrir les arbres morts, au lieu du système ancien et rationnel de brûlures prescrites ou contrôlées, notamment parce que les réglementations environnementales et d'air clair, ainsi que les problèmes de responsabilité légale, ont fait les brûlures contrôlées sont de plus en plus difficiles à faire.
Dans la Californie préhistorique, selon une analyse récente de ProPublica, entre 4,4 millions et 11,8 millions d'acres brûlent chaque année.
Les gestionnaires des terres de la Californie ont brûlé environ 30 000 acres par an en moyenne entre 1982 et 1998. Au cours des 18 années suivantes, ce nombre est tombé à 13 000 acres par an. Le résultat a été une énorme accumulation de bois d'allumage hautement inflammable.
Miller, Field et Mach ont conclu qu’une superficie totale d’environ 20 millions d’acres - soit environ un cinquième du territoire de l’État - avait un besoin urgent de «traitement du carburant», ce qui signifie des brûlures dirigées, des éclaircies mécaniques et des feux de forêt gérés. Il est difficile d'imaginer quoi que ce soit de très proche de ce qui se passe sous le régime politique actuel. (Les auteurs ont poliment appelé à «des changements fondamentaux dans les politiques de brûlage dirigé, au-delà de celles actuellement à l'étude.») Ou plutôt, cela va se produire, mais à un moment choisi par la Nature, avec des conséquences catastrophiques.
Un exemple typique: pendant un an et demi, les formalités administratives ont ralenti un projet d'éclaircie forestière à Berry Creek, dans le comté de Butte. Le projet ne couvrait que 54 acres mais, grâce aux lourdes dispositions du California Environmental Quality Act, les travaux n'avaient pas encore commencé lorsque l'incendie du complexe nord a frappé, dévastant la ville et tuant 10 personnes.
J'ai de la peau dans ce jeu.
Il y a quatre ans, j'ai déménagé de l'Université Harvard à l'Université Stanford. Ma famille a troqué une solide résidence universitaire centenaire à Cambridge pour une maison en bois dans une zone boisée qui à nos têtes en bois semblait la plus idyllique. Il y a quelques semaines, notre quartier était en bordure de la zone d'évacuation.
Cependant, j'ai moins de peau dans le jeu que Victor Davis Hanson. Il vit sur la ferme de fruits et de noix près de Selma, dans la vallée centrale, que sa famille possède depuis les années 1870. L'indice de la qualité de l'air à Stanford est passé au-dessus de 170 trois jours au cours du dernier mois. À Selma la semaine dernière, il était de 460. (Tout ce qui dépasse 301 est qualifié de «conditions d'urgence»).
J'écris ces mots à plus de 1 000 kilomètres de chez nous en Californie, mais ce n’est pas bon: ces derniers jours, la fumée nous a également retrouvés. Les parkings d'hôtels remplis de véhicules avec des plaques d'immatriculation CA confirment que nous ne sommes pas les seuls migrants vers l'est. C'est comme "Grapes of Wrath" de Steinbeck à l'envers: maintenant que le Golden State est le Char-Grilled State, les Californiens sont devenus les nouveaux Okies, bien que beaucoup moins impécunieux.
Pourtant, les incendies de forêt ne sont que l'une des raisons pour lesquelles les gens fuient la Californie.
En outre, les politiques environnementales erronées des sages de Sacramento ont tellement sapé le réseau électrique (par exemple, en fermant les centrales au gaz et en refusant de compter l'énergie hydroélectrique comme renouvelable) que les résidents ont été soumis à des pannes de courant continuelles cette année. Les mêmes politiques ont en grande partie tué l'industrie pétrolière et gazière. Newsom & Co. n'a pas réussi à moderniser le système d'eau pour suivre le rythme du dernier demi-siècle de croissance démographique.
Ce n’est pas que les politiciens californiens ne savent pas comment dépenser de l’argent. En 2007, les dépenses totales de l'État s'élevaient à 146 milliards de dollars. L'année dernière, c'était 215 milliards de dollars. Je sais, je sais: en termes réels, le PIB de la Californie a augmenté de près d’un tiers au cours de la même période. Et je sais: si c’était une nation indépendante, ce serait la cinquième économie du monde, devant l’Inde. Mais pendant combien de temps cela sera-t-il vrai ?
Les impôts de la Californie ne sont pas les plus élevés du pays - pour le ménage médian. Mais le système fiscal est l’un des plus progressifs, avec un taux d’imposition maximal de 13,3% sur les revenus supérieurs à 1 million de dollars - et cela n’est plus déductible de la facture fiscale fédérale comme il l’était auparavant. Le 1% des contribuables les plus riches (ceux qui gagnent plus de 500 000 $) représente désormais la moitié des recettes fiscales des particuliers. Et il y a pire à venir.
Les dernières idées brillantes à Sacramento sont d’augmenter le taux de revenu le plus élevé à 16,8% et de prélever un impôt sur la fortune (0,4% sur les fortunes personnelles de plus de 30 millions de dollars) que vous ne pourriez même pas éviter de payer si vous quittiez l’État.
(La proposition prévoit un paiement jusqu'à 10 ans après le départ vers un État à faible taux d'imposition.)
C'est un endroit étrange qui cherche à repousser les riches tout en se faisant un aimant pour les immigrés clandestins en établissant pas moins de 20 villes ou comtés «sanctuaires».
Et les résultats de toute cette politique progressiste ?
Un boom de la pauvreté.
La Californie compte désormais 12 % de la population du pays, mais plus de 30 % de ses bénéficiaires de l'aide sociale. Selon la mesure officielle, basée principalement sur le revenu et la taille de la famille, le taux de pauvreté de 11,4 % de la Californie en 2019 était proche de la moyenne nationale des trois dernières années. Cependant, selon un nouveau rapport du Census Bureau, qui prend en compte le logement et les autres coûts, le taux de pauvreté réel en Californie est de 17,2%, le plus élevé de tous les États. (Newsom comprend une chose quand il dit: «Nous vivons dans l'État le plus riche et le plus pauvre d'Amérique.»)
Environ un tiers de la pauvreté en Californie peut être attribué au logement et à d’autres frais de subsistance tels que les vêtements et les services publics. Comme tous ceux qui y résident le savent, il y a une pénurie chronique de logements dans la région de la baie (le prix médian de la maison à San Francisco coûte environ 1,5 million de dollars), principalement parce qu'une pléthore de réglementations rend la construction de logements abordables quasiment impossible. Au mépris de tout ce que nous savons sur les contrôles des loyers - qui découragent les propriétaires de fournir un logement - c'est, de manière prévisible, la solution proposée par les démocrates.
Mais ce n'est pas tout. Les écoles publiques de l’État se classent au 37e rang dans l’ensemble du pays et présentent le ratio élèves-enseignant le plus élevé.
«Seule la moitié des étudiants californiens répondent aux normes anglaises et moins aux normes mathématiques, comme le montrent les résultats des tests», faisait la une du Los Angeles Times en octobre dernier.
Les coûts des soins de santé et des retraites ne sont pas viables. Oh, et ils ont raté Covid-19, malgré l’imposition des premières commandes d’abris sur place du pays. Ayant prématurément revendiqué la victoire, la Californie mène désormais New York en termes de cas, mais pas de décès.
Dans les années 1960, la Californie était la destination fantastique du monde. «California Dreamin», «California Girls», «Going to California» - vous connaissez les chansons. Mais les réputations ont un moyen de survivre à la réalité. Malgré le miracle économique opéré dans la Silicon Valley, qui a commencé avec la genèse de l’Internet dans les années 1970, et malgré la force continue des universités de l’État, le rêve en termes de qualité de vie s’est lentement éteint.
Lorsque j'ai visité San Francisco pour la première fois en 1981, c'était toujours l'une des plus belles villes que j'aie jamais vues. Maintenant, ses rues sont si sales - les excréments humains et les seringues sont les principaux dangers - que je l'évite. (J'allais dire «comme la peste», mais c'est le lac Tahoe.)
Pourtant, la Bay Area et sa sœur du sud, Los Angeles, ne sont que l'une des deux Californies.
Comme Hanson l'a fait valoir il y a 10 ans, la vallée centrale est un autre pays, plus «caribéen» ou latino-américain, où «d'innombrables communautés de l'intérieur… sont devenues des sociétés proches de l'apartheid, où l'espagnol est la première langue, les écoles ne sont pas du tout diverses, et les gouvernements fédéral et des États sont soit les principaux employeurs, soit au moins les principales sources de revenus. »
La principale raison du déclin de la Californie est que le Golden State est devenu un État à parti unique.
Le candidat républicain a remporté la Californie à toutes les élections sauf une (1964) entre 1952 et 1988. Mais le démocrate a remporté la Californie à chaque élection depuis, la part des voix démocrates passant de 46 % en 1992 à 62 % en 2016.
Les démocrates ont maintenant 61 sièges sur 80 à l'Assemblée de l'État de Californie. La dernière fois que les républicains avaient une majorité (d'un), c'était en 1994, mais c'était une anomalie. Les démocrates contrôlent essentiellement le Sénat de l'État depuis 1958, avec des majorités croissantes depuis les années 1990. Hormis 1994, la seule autre année depuis 1958 où ils n'ont pas remporté la majorité des sièges à l'Assemblée était 1968.
Lorsque le vote régulier n'a aucun effet, les gens votent finalement avec leurs pieds. De 2007 à 2016, environ cinq millions de personnes ont déménagé en Californie, mais six millions ont déménagé dans d'autres États. Pendant des années avant cela, les nouveaux arrivants étaient plus pauvres que les sortants. Cet exode net est en plein essor en 2020. Et les entreprises (par exemple, Charles Schwab Corp.) partent aussi. La Silicon Valley devient virtuelle, de nombreuses grandes entreprises technologiques envisageant de rendre le travail à domicile permanent pour au moins certains employés. (Un directeur technique m'a dit la semaine dernière que ses ingénieurs plaidaient pour ne pas retourner au bureau.)
Les gens sortent de la région de la baie autant et peut-être plus qu'ils n'en sortent de New York. Le Texas n'est que l'une des alternatives préférées. Les agents immobiliers du Montana signalent une demande record de la part des réfugiés de la côte ouest. Les hôtels sont pleins, ce qui est inouï à cette période de l'année. Je connais aussi un certain nombre d'éminents Californiens qui sont maintenant Hawaïens.
L'écrivain et diffuseur conservateur Ben Shapiro, né à Los Angeles, vient d'annoncer qu'il se dirigeait vers Nashville, Tennessee.
«J'adore l'État, j'ai grandi dans l'État, je me suis marié dans l'État et j'ai eu des enfants dans l'État», a-t-il déclaré à Laura Ingraham.
Mais la Californie n'était «pas un endroit idéal pour élever des enfants et pas un endroit idéal pour créer une entreprise».
Nous connaissons maintenant la vraie signification de Calexit. Ce n’est pas la sécession. C’est l’exode.
Je ne peux pas blâmer les sortants. Lorsque j'ai déménagé dans l'Ouest en 2016, c'était dans la croyance naïve que la Californie était le Massachusetts sans neige et Stanford était Harvard avec un temps de septembre toute l'année. Comme j'avais tort.
Mais est-ce que je pars ? Eh bien, peut-être que ça ne sert à rien. Comme le prédécesseur de Newsom Jerry Brown l’a dit la semaine dernière:
«Il va y avoir des problèmes partout aux États-Unis. C'est la nouvelle norme. Cela a été prédit et cela se produit… Dites-moi: où allez-vous aller ? Quelle est votre alternative ? »
Grande question, mais - comme avec la prophétie de Newsom - mal formulée.
Le gros problème n'est pas que le changement climatique touche tous les États. C'est vrai, même si la plupart des États l'atténueront mieux que la Californie. Le problème est que la gouvernance démocratique pourrait arriver à la nation dans son ensemble, à partir du 20 janvier. Et avec le candidat démocrate, Joe Biden, qui aura 78 ans deux semaines après le jour des élections, ce n'est pas un peu troublant pour moi que son vice - le choix présidentiel est un Californien, tout comme nombre de ses projets de dépenses, de taxes et de réglementation l'ont «conçu en Californie» partout.
Oui, mes amis, la Californie est l'Amérique qui avance rapidement. Quelqu'un peut-il s'il vous plaît appuyer sur pause ?
AUCUN scientifique n'a parlé de 'Réchauffement climatique anthropique' ! AUCUN ! Les périodes de réchauffements (comme celles de refroidissements) correspondent UNIQUEMENT aux activités magmatique.
Les livres de Rowling ont été brûlés ou interdits dans le monde en raison de ses opinions personnelles sur le genre !
par Tyler Durden Lun, 21/09/2020 - 03:30 Rédigé par Jonathan Turley,
Dans Harry Potter, Albus Dumbledore a dit aux étudiants de l'école de sorcellerie et de sorcellerie de Poudlard que "Il faut beaucoup de courage pour tenir tête à nos ennemis, mais tout autant pour tenir tête à nos amis."
Beaucoup apprennent la vérité de cette ligne écrite par le célèbre auteur JK Rowling alors que des progressistes autoproclamés brûlent ses livres ou les bannissent des étagères parce qu'elle a personnellement une vision opposée du genre. Tout comme le mouvement de boycott de Chick-Fil-A suite aux commentaires de son PDG, les gens cherchent à punir Rowling en attaquant sa littérature.
Nous avons précédemment discuté de l'adoption de la destruction de l'art comme analogue à la gravure de livres, mais maintenant, la gravure réelle de livres est adoptée comme une arme du réveillé.
Une série TikTok montre des gens du monde entier en train de brûler des copies des livres de Rowlings. Dans une vidéo d'une pile de livres en feu par l'utilisateur de TikTok @elmcdo, on entend une voix disant
«Vous devez cesser d’utiliser la« mort de l’auteur »comme excuse pour avoir votre gâteau et le manger aussi. Si le point de vue du lecteur est une partie importante de l’interprétation et du sens, il est impossible de séparer complètement une œuvre de son créateur. L'impact positif que J.K. Le travail de Rowling sur des millions de lecteurs ne nie pas à quel point son lobby haineux a affecté la communauté trans. "
Cela résume la logique de chaque graveur de livres de l'histoire. Vous ne pouvez pas lire un livre en raison des opinions, de la religion ou de l'identité de l'auteur. Il vaut mieux brûler le livre pour protéger la société.
Ensuite, il y a Rabble Books and Games à Maylands, Perth. Le propriétaire propriétaire Nat Latter a fièrement déclaré sur Facebook qu'il avait retiré tous les livres Harry Potter des étagères pour garantir «un espace plus sûr pour notre communauté». Vous pouvez donc acheter un livre Rowlings en le récupérant de l'arrière-salle comme de la pornographie. C'est une forme de censure qui rend plus difficile l'achat de certains livres plutôt que d'autres parce que vous défavorisez les auteurs aux opinions opposées.
Ce dernier semble apprécier le rôle d'un vendeur de livres censurant:
«Bien que stocker un livre ne soit pas une approbation (bon sang, ce serait un champ de mines), et nous prendrons toujours des commandes pour des livres qui ne sont pas en stock, il y a plus de livres valables à mettre en rayon, des livres qui ne ne nuit pas aux communautés et ne nous rendra pas tristes de les déballer.
Est-ce que Latter cache également des œuvres avec des vues opposées sur le genre de la Bible au Coran en passant par les romans classiques ? En effet, pourquoi ne pas tirer tout le travail d'auteurs comme Hemingway et d'autres pour leurs points de vue sur les femmes ou les relations raciales ou d'autres questions ? Les vendeurs de livres étaient autrefois des personnes qui souhaitaient être des portes d'accès à la connaissance et à un monde d'idées et de valeurs différentes. Désormais, les lecteurs ne peuvent même pas voir le nom d'un auteur qui a personnellement des opinions opposées ou offensantes.
Ce qui est le plus troublant, ce n'est pas la rhétorique imparfaite de ces personnes pour justifier la gravure de livres et la régulation de la parole, mais le silence relatif des communautés dans leur ensemble. Nous avons vu une pression croissante pour réglementer l'art en fonction de l'identité ou du sexe des artistes. Les auteurs ont souvent des opinions impopulaires de la société dans son ensemble. Beaucoup sont profondément religieux ou ont une vision étroite de certaines institutions ou droits sociaux. Ces points de vue ne sont souvent pas reflétés dans leur art ou leurs écrits. En effet, Rowlings est considéré comme extrêmement libérale mais a une vision étroite du genre. Nous pouvons débattre avec elle de ces opinions et dénoncer celles que nous trouvons odieuses ou intolérantes. Cependant, brûler ou interdire ou cacher des livres (ou détruire l'art) est l'attaque ultime contre la liberté d'expression. C'est la signature de l'oppression de la dynastie chinoise Qin aux nazis et aux ségrégationnistes du Sud. Dire que vous êtes différent parce que vous agissez pour défendre les autres est une rationalisation transparente et faible. Déclarer l'intolérance au nom de la tolérance capture le caractère très illogique de la gravure de livres.
Heureusement, cela reste une petite minorité d'activistes, mais il y a un mouvement anti-liberté d'expression plus prononcé qui se développe dans ce pays et dans d'autres.
Ces actions ne font que prouver à nouveau ce qu'Albus Dumbledore a dit (et J.K. Rowlings a écrit): "Des temps sombres nous attendent et il y aura un moment où nous devrons choisir entre ce qui est facile et ce qui est juste."
Le combat des dictateurs ('hommes de l'ombre') est forcément inégal: un nano-groupuscule contre plus de 7 milliards de cerveaux ! Reste donc les forces armées (comme de tous temps). Donc: réduire le nombre de têtes pleines (Plus de 4% de surdoués dans le monde en l'an 2000 et plus de 1 milliard 20 ans après !).
D'où le tout-faire pour que les gens ne s'instruisent ! (voir la censure même sur Internet).
Le Royaume-Uni dévoile une amende de 13000 $ pour rupture de la quarantaine au milieu de la deuxième vague de Covid
par Tyler Durden Lun, 21/09/2020 - 02:45
Le Royaume-Uni a été témoin d'un nouveau nombre record de cas de coronavirus signalés en une seule journée depuis mai samedi, enregistrant plus de 4420 infections confirmées.
Et maintenant, les autorités sont désespérées, menaçant de sévères mesures et sanctions d'application de la loi, la dernière étant que ceux dont le test est positif mais refusent de s'auto-mettre en quarantaine peuvent être condamnés à une amende allant jusqu'à 13000 dollars (ou 10000 livres).
Cela vient après que le Premier ministre Boris Johnson a confirmé que le pays subissait vendredi une deuxième vague d'infections "inévitable".
Via The Daily Records
«De toute évidence, nous examinons attentivement la propagation de la pandémie au fur et à mesure de son évolution au cours des derniers jours, et il ne fait aucun doute, comme je l'ai dit depuis plusieurs semaines maintenant, que nous pourrions nous attendre, et nous voyons maintenant, un deuxième vague à venir », a déclaré Johnson.
Il a évoqué les pics de nombre de cas observés en Espagne et en France voisines, affirmant qu'il était «absolument inévitable, j'en ai peur, que nous le voyions dans ce pays».
La nouvelle sanction sévère de l'équivalent d'une amende de 13000 $ prend effet d'ici la fin de ce mois, selon l'AP:
La nouvelle règle oblige les gens à s'auto-isoler s'ils sont testés positifs pour le coronavirus ou sont identifiés comme un contact étroit. La règle entre en vigueur le 28 septembre.
Le gouvernement aidera les personnes à faible revenu qui font face à une perte de revenus en raison de l'auto-isolement avec une pension alimentaire unique de 500 livres (633 $).
Au milieu des protestations incessantes à Londres de Britanniques qui en ont assez des libertés restreintes, y compris les mandats de masque et de distanciation sociale et les mesures de répression en matière de sécurité, les derniers commentaires du Premier ministre Johnson ont également fortement laissé entendre qu'un deuxième verrouillage est sur la table, comme Israël est en train de vivre.
«Je ne pense pas que quiconque veuille entrer dans un deuxième verrouillage, mais clairement quand vous regardez ce qui se passe, vous devez vous demander si nous devons aller plus loin que la règle de six que nous avons introduite lundi». Dit Johnson.
Les chefs d'États sont-ils prévenus que s'ils bougent le petit doigt ("A bas les masques !") des drones risquent de larguer des flacons de virus ici ou là ?
Les meilleurs et les pires états pour la liberté de l'école à la maison
par Tyler Durden Dim, 20/09/2020 - 20:50 Soumis par Simon Black de Sovereign Man
La Pennsylvanie fait partie des États les plus restrictifs en ce qui concerne la liberté de scolariser vos enfants à la maison. L'État exige que les parents enseignent à leurs enfants des matières prescrites par l'État pendant 180 jours par an, pendant au moins 900 heures. Des tests doivent être administrés et le district doit évaluer l'enfant à la fin de chaque année scolaire. Des immunisations sont également requises.
Vous pouvez engager un tuteur à la place, mais ce ne sera pas bon marché car l’État exige que les tuteurs d’école à la maison aient les qualifications des enseignants. De plus, le tuteur doit enseigner uniquement aux enfants de la même famille immédiate.
Mais cette année, alors que COVID a fermé certaines écoles et obligé d'autres à apprendre à distance, le nombre d'enfants scolarisés à la maison a doublé dans tout le pays. Jusqu'à 10% des enfants sont maintenant scolarisés à la maison, selon un sondage Gallup - et cela n'inclut pas l'apprentissage à distance.
Certains parents en Pennsylvanie (et ailleurs) ont choisi de créer des «modules» d'enseignement à la maison où ils font équipe avec d'autres parents pour enseigner à la maison un certain nombre d'enfants de différentes familles.
Et la Pennsylvanie a répondu en émettant des règles de fonctionnement strictes pour ces pods, en commençant par l'exigence d'informer l'état de votre intention d'héberger un pod homeschooling.
Désormais, tout parent qui accueille des enfants pour un module d'apprentissage doit subir une vérification des antécédents et s'assurer qu'ils sont autorisés à gérer une «garderie résidentielle» dans leur région. Ils doivent également se conformer aux directives de l'État et du CDC en matière de distanciation sociale pendant leur scolarité à la maison.
L'État peut entasser autant d'enfants dans une classe qu'il le souhaite, mais les modules doivent avoir un adulte pour 12 jeunes enfants (ou 15 élèves plus âgés).
Les parents de pod doivent ouvrir leur maison au DHS si les services aux enfants viennent frapper, aucun mandat n'est requis. Et ils sont considérés comme des reporters obligatoires, ce qui signifie qu'ils pourraient être poursuivis pour ne pas avoir signalé les signes de maltraitance d'enfants.
Qu'est-ce que cela signifie:
Gardez à l'esprit que ces pods ne sont généralement pas composés d'étrangers aléatoires. Un parent pourrait héberger ces mêmes enfants pour une soirée pyjama sans nécessiter de vérification des antécédents et d'autorisation de l'État. Mais pour une raison quelconque, lorsqu'il s'agit d'apprendre, l'État s'insère soudainement dans la relation.
Et comme d'habitude, ces réglementations sont beaucoup plus dures pour les familles aux moyens financiers limités. Ainsi, au milieu d’une économie en ruine et du plus grand bouleversement du mode de vie dans la mémoire moderne, les parents doivent également se conformer aux réglementations simplement pour choisir la meilleure méthode pour l’éducation de leur famille.
Heureusement, tous les États ne sont pas aussi stricts que la Pennsylvanie en ce qui concerne l'enseignement à domicile. En fait, la plupart sont beaucoup plus libres.
Que pouvez-vous faire à ce sujet:
Certains États ne réglementent pas du tout l’enseignement à la maison. Vous avez toute liberté pour éduquer vos enfants comme bon vous semble.
Les états «sans préavis» les plus libres sont: l'Alaska, l'Idaho, l'Indiana, l'Iowa, le Michigan, le Missouri, l'Oklahoma, le Texas et (et étonnamment) le Connecticut, l'Illinois et le New Jersey. Ces états n'autorisent aucun avis / règlement. Cela signifie que si vous n’inscrivez jamais vos enfants à l’école, vous n’avez pas à informer l’État que vous étudiez à la maison. En règle générale, cependant, vous devez officiellement retirer votre enfant de l'école publique si vous avez l'intention de passer à l'école à la maison. Et c'est tout. Apprenez à vos enfants comme bon vous semble.
16 États ont une faible réglementation: la Californie, le Nevada, l'Arizona, l'Utah et le Nouveau-Mexique entrent dans cette catégorie. Ces États exigent généralement que vous enregistriez votre intention de faire de l'école à la maison auprès d'un district scolaire (généralement votre district) avant l'année scolaire au cours de laquelle votre enfant atteint 6 ou 7 ans, selon l'état. Mais il y a généralement très peu d'autres exigences.
18 États ont une réglementation modérée. Cela nécessite une inscription, souvent chaque année. Ils ont également généralement des exigences de test. Cette catégorie comprend la Floride, la Virginie, le Colorado, l'Oregon et Washington.
Les États les plus restrictifs: Massachusetts, New York, Pennsylvanie, Rhode Island et Vermont. Ceux-ci nécessitent généralement un enregistrement, des tests, la soumission d'un programme annuel qui s'aligne sur les matières enseignées par l'État et parfois une preuve de vaccination. Partout dans le monde, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et le Royaume-Uni autorisent tous l'enseignement à domicile. Comme aux États-Unis, les exigences varient d'une région à l'autre dans chaque pays. Mais c'est une option.
Dès lors que ce sont (ou seraient) les parents à enseigner ce qui ne comprennent même pas d'eux-mêmes... et, que ce serait à l'Internet (aux sites d'informations censurés) qui prendrait le relais du maître... Là, on sent déjà que çà sent pas la rose !
Alors quoi ? Alors... les parents seront mis au piloris de n'avoir conservé leurs études (s'ils en ont fait !) et retirés des marchés où leur papelard 'Diplôme de fin d'études' (HAHAHA !) sera foutu à la poubelle !
OBJET : CONTRIBUABLES ASSOCIÉS S'OPPOSE AU FINANCEMENT PUBLIC ET OBLIGATOIRE DES SYNDICATS !
par EUDES BAUFRETON 21/09/2020
Il n'y a que 8,8% de salariés qui sont syndiqués en France.
Alors que la France va assurément devoir faire face à une très grave crise économique qui mettra peut-être au chômage 1 million de travailleurs, la CGT appelle à la grève permanente …
Combien de travailleurs les syndicats vont-ils encore mettre au chômage ? Combien d'entreprises les syndicats vont-ils encore faire fermer ou mettre en grave difficulté ?
Nous faisons face à un véritable scandale. L'économie du pays n'a plus les moyens d'être tenue par une poignée de syndicalistes dans la revendication permanente, qui par leurs menaces empêchent nos dirigeants politiques de mettre en œuvre des réformes. Le « dialogue social » n'est qu'un prétexte à la soumission du pouvoir élu démocratiquement à la dictature des syndicats financés par les contribuables.
Comment la France peut-elle continuer à accepter que 8,8% de salariés syndiqués entrainent dans l'abîme le reste du pays ? Ce manque d'intérêt des travailleurs révèle le décalage entre les enjeux politiques défendus par des syndicats subventionnés et les attentes de travailleurs qui ne se sentent pas représentés.
Contribuables Associés se bat pour faire entendre sa voix. L'association vient de lancer une campagne et demande aujourd'hui que les ressources financières des syndicats se limitent aux seules cotisations des syndiqués.
Selon Eudes Baufreton, Directeur de Contribuables Associés, « nous ne pouvons pas nous permettre de financer des syndicats au taux de représentativité quasi nul, qui bloquent la France , altèrent l'économie de notre pays et fabriquent des chômeurs avec l'argent de nos impôts ».
Jean Castex doit reprendre en main le dossier du financement des syndicats. C'était une promesse d'Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle de 2017. Il est temps de faire le ménage dans des pratiques qui n'ont que trop duré.
Contribuables Associés, première association de contribuables de France - apolitique, non partisane et non subventionnée - ; est engagée depuis 1990 pour la bonne maîtrise de la dépense publique pour une réduction des impôts.
Les tremblements de terre sous-marins bouleversent la science du climat
COMMUNIQUÉ DE PRESSE 18-SEP-2020 INSTITUT DE TECHNOLOGIE DE CALIFORNIE
Bien que le changement climatique soit le plus évident pour les gens comme des journées d'hiver exceptionnellement chaudes ou la fonte des glaciers, pas moins de 95% de la chaleur supplémentaire piégée sur Terre par les gaz à effet de serre se trouve dans les océans du monde. Pour cette raison, la surveillance de la température des eaux océaniques a été une priorité pour les climatologues, et maintenant les chercheurs de Caltech ont découvert que les grondements sismiques sur le fond marin peuvent leur fournir un autre outil pour le faire.
Dans un nouvel article publié dans Science, les chercheurs montrent comment ils peuvent utiliser l'équipement de surveillance sismique existant, ainsi que les données sismiques historiques, pour déterminer à quel point la température des océans de la Terre a changé et continue de changer, même en profondeur. qui sont normalement hors de portée des outils conventionnels.
Ils le font en écoutant les sons des nombreux tremblements de terre qui se produisent régulièrement sous l'océan, explique Jörn Callies, professeur adjoint de sciences et d'ingénierie de l'environnement à Caltech et co-auteur de l'étude. Callies dit que ces sons de tremblement de terre sont puissants et parcourent de longues distances à travers l'océan sans s'affaiblir considérablement, ce qui les rend faciles à surveiller.
Wenbo Wu, chercheur postdoctoral en géophysique et auteur principal de l'article, explique que lorsqu'un tremblement de terre se produit sous l'océan, la plus grande partie de son énergie traverse la terre, mais une partie de cette énergie est transmise dans l'eau sous forme de son. Ces ondes sonores se propagent vers l’extérieur depuis l’épicentre du séisme, tout comme les ondes sismiques qui traversent le sol, mais les ondes sonores se déplacent à une vitesse beaucoup plus lente. En conséquence, les ondes de sol arriveront d'abord à une station de surveillance sismique, suivies des ondes sonores, qui apparaîtront comme un signal secondaire du même événement. L'effet est à peu près similaire à la façon dont vous pouvez souvent voir le flash à partir de quelques secondes d'éclair avant d'entendre son tonnerre.
«Ces ondes sonores dans l'océan peuvent être clairement enregistrées par des sismomètres à une distance beaucoup plus longue que le tonnerre - à des milliers de kilomètres de distance», dit Wu. «Fait intéressant, ils sont encore plus« forts »que les vibrations qui voyagent profondément dans la Terre solide, qui sont plus largement utilisées par les sismologues.»
La vitesse du son dans l’eau augmente à mesure que la température de l’eau augmente. L’équipe a donc réalisé que le temps qu’il faut à un son pour parcourir une distance donnée dans l’océan peut être utilisé pour déduire la température de l’eau.
«La clé est que nous utilisons des tremblements de terre à répétition - des tremblements de terre qui se produisent encore et encore au même endroit», dit-il. «Dans cet exemple, nous examinons les tremblements de terre qui se produisent au large de Sumatra en Indonésie, et nous mesurons leur arrivée dans le centre de l'océan Indien. Il leur faut environ une demi-heure pour parcourir cette distance, la température de l'eau entraînant une différence d'environ un dixième de seconde. Il s’agit d’un très petit changement fractionnaire, mais nous pouvons le mesurer. »
Wu ajoute que, comme ils utilisent un sismomètre qui se trouve au même endroit dans le centre de l'océan Indien depuis 2004, ils peuvent revenir sur les données collectées chaque fois qu'un tremblement de terre s'est produit à Sumatra, par exemple, et ainsi déterminer la température de l'océan en même temps.
«Nous utilisons de petits tremblements de terre qui sont trop petits pour causer des dommages ou même être ressentis par les humains», dit Wu. «Mais le sismomètre peut les détecter à de grandes distances, ce qui nous permet de surveiller les changements de température de l'océan à grande échelle sur un trajet particulier en une seule mesure.»
Callies affirme que les données qu'ils ont analysées confirment que l'océan Indien s'est réchauffé, comme l'ont indiqué d'autres données collectées par d'autres méthodes, mais qu'il pourrait se réchauffer encore plus rapidement que prévu.
«L'océan joue un rôle clé dans la vitesse à laquelle le climat change», dit-il. «L'océan est le principal réservoir d'énergie du système climatique, et l'océan profond en particulier est important à surveiller. L'un des avantages de notre méthode est que les ondes sonores échantillonnent des profondeurs inférieures à 2000 mètres, là où il y a très peu de mesures conventionnelles.
En fonction de l'ensemble de données précédentes auquel ils comparent leurs résultats, le réchauffement des océans semble être jusqu'à 69 pour cent supérieur à ce que l'on croyait. Cependant, Callies met en garde de ne pas tirer de conclusions immédiates, car davantage de données doivent être collectées et analysées.
Comme les tremblements de terre sous-marins se produisent partout dans le monde, Callies dit qu'il devrait être possible d'étendre le système que lui et ses collègues chercheurs ont développé afin qu'il puisse surveiller la température de l'eau dans tous les océans. Wu ajoute que parce que la technique utilise les infrastructures et équipements existants, elle est relativement peu coûteuse.
«Nous pensons que nous pouvons le faire dans de nombreuses autres régions», déclare Callies. «Et ce faisant, nous espérons contribuer aux données sur le réchauffement de nos océans.»
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L'article décrivant la recherche, intitulé «Sismic Ocean Thermometry», paraît dans le numéro du 18 septembre de Science. Les co-auteurs sont Wenbo Wu, chercheur postdoctoral en géophysique; Zhongwen Zhan (PhD ’13), professeur adjoint de géophysique; et Shirui Peng, étudiante diplômée en sciences et ingénierie de l'environnement, toutes de Caltech; et Sidao Ni (MS ’98, PhD ’01) de l’Institut de géodésie et de géophysique de l’Académie chinoise des sciences.
Effectivement les mers & océans couvrent plus de 78 % de la surface de notre planète et, les sismologues ne s'occupent que des sismographes terrestres !
Or, il n'y a pas qu'à Fukushima que se produisent (tous les jours !!) des tremblement de terre aux planchers maritimes ou océaniques. Ils déplacent continuellement les milliers (millions ?) de sources chaudes qui réchauffent les lames de fonds et ressortent aux côtes en embonpoint atmosphérique. C'est pourquoi, malgré les millions de photos satellites positionnées sur les eaux l'on ne peut prévoir (d'après mémoires photographiques) le temps qu'il fera demain !
Et oui ! C'est comme çà que ça se passe !
Des éruptions plus ou moins fortes ici ou là modifient continuellement le climat terrestre par ces élévations de températures qui activent les vents plus ou moins forts !
Les astronomes découvrent une "planète pi" de la taille de la Terre avec une orbite de 3,14 jours Le monde rocheux, avec sa surface chaude, n'est probablement pas habitable.
MASSACHUSETTS INSTITUTE OF TECHNOLOGY 21-SEP-2020
Dans un délicieux alignement de l'astronomie et des mathématiques, des scientifiques du MIT et d'ailleurs ont découvert une «pi Earth» - une planète de la taille de la Terre qui tourne autour de son étoile tous les 3,14 jours, dans une orbite rappelant la constante mathématique universelle.
Les chercheurs ont découvert des signaux de la planète dans des données prises en 2017 par la mission K2 du télescope spatial Kepler de la NASA. En se concentrant sur le système plus tôt cette année avec SPECULOOS, un réseau de télescopes au sol, l'équipe a confirmé que les signaux provenaient d'une planète en orbite autour de son étoile. Et en effet, la planète semble encore encercler son étoile aujourd'hui, avec une période de type pi, tous les 3,14 jours.
«La planète bouge comme une horloge», déclare Prajwal Niraula, étudiant diplômé du Département des sciences de la Terre, de l'atmosphère et des planètes (EAPS) du MIT, auteur principal d'un article publié aujourd'hui dans l'Astronomical Journal, intitulé: «p Earth: une planète de la taille de la Terre de 3,14 jours de la cuisine de K2 servie chaude par l'équipe SPECULOOS. "
"Tout le monde a besoin d'un peu de plaisir ces jours-ci", déclare le co-auteur Julien de Wit, à la fois du titre de l'article et de la découverte de la planète pi elle-même.
Extraction de planètes
La nouvelle planète est étiquetée K2-315b; c'est le 315ème système planétaire découvert dans les données K2 - juste un système à l'écart d'un endroit encore plus fortuit sur la liste.
Les chercheurs estiment que K2-315b a un rayon de 0,95 celui de la Terre, ce qui en fait à peu près la taille de la Terre. Il tourne autour d'une étoile fraîche de faible masse qui mesure environ un cinquième de la taille du soleil. La planète fait le tour de son étoile tous les 3,14 jours, à une vitesse fulgurante de 81 kilomètres par seconde, soit environ 181 000 miles par heure.
Bien que sa masse reste à déterminer, les scientifiques soupçonnent que K2-315b est terrestre, comme la Terre. Mais la planète pi n'est probablement pas habitable, car son orbite serrée la rapproche suffisamment de son étoile pour chauffer sa surface jusqu'à 450 kelvins (450 Kelvins = 176,85 Celsius), soit environ 350 degrés Fahrenheit - parfait, en fait, pour cuire une tarte réelle.
«Ce serait trop chaud pour être habitable dans la compréhension commune de la phrase», dit Niraula, qui ajoute que l'excitation autour de cette planète particulière, en dehors de ses associations avec la constante mathématique pi, est qu'elle peut s'avérer un candidat prometteur pour étudier les caractéristiques de son atmosphère.
"Nous savons maintenant que nous pouvons exploiter et extraire des planètes à partir de données d'archives, et nous espérons qu'il n'y aura plus de planètes laissées pour compte, en particulier ces planètes vraiment importantes qui ont un impact élevé", déclare de Wit, professeur adjoint à l'EAPS, et un membre de l'Institut Kavli du MIT pour l'astrophysique et la recherche spatiale.
Les co-auteurs du MIT de Niraula et de Wit incluent Benjamin Rackham et Artem Burdanov, ainsi qu'une équipe de collaborateurs internationaux.
Les chercheurs sont membres de SPECULOOS, un acronyme pour The Search for habitable Planets EClipsing ULtra-cOOl Stars, et nommé d'après un réseau de quatre télescopes de 1 mètre dans le désert d'Atacama au Chili, qui balaient le ciel à travers l'hémisphère sud. Plus récemment, le réseau a ajouté un cinquième télescope, qui est le premier à être situé dans l'hémisphère nord, nommé Artemis - un projet dirigé par des chercheurs du MIT.
Les télescopes SPECULOOS sont conçus pour rechercher des planètes semblables à la Terre autour de naines ultracool à proximité, de petites étoiles sombres qui offrent aux astronomes une meilleure chance de repérer une planète en orbite et de caractériser son atmosphère, car ces étoiles n'ont pas l'éblouissement de beaucoup plus grandes et plus brillantes. étoiles.
«Ces nains ultracool sont dispersés dans le ciel», dit Burdanov. «Les levés ciblés au sol comme SPECULOOS sont utiles car nous pouvons examiner ces nains ultracool un par un.
En particulier, les astronomes regardent les étoiles individuelles pour des signes de transits, ou des creux périodiques dans la lumière d'une étoile, qui signalent une possible planète traversant devant l'étoile et bloquant brièvement sa lumière.
Plus tôt cette année, Niraula est tombé sur une naine fraîche, légèrement plus chaude que le seuil communément accepté pour une naine ultracool, dans les données collectées par la campagne K2 - la deuxième mission d'observation du télescope spatial Kepler, qui surveillait des éclats de ciel alors que le vaisseau spatial tournait en orbite. autour du Soleil.
Pendant plusieurs mois en 2017, le télescope Kepler a observé une partie du ciel qui incluait la naine froide, étiquetée dans les données K2 comme EPIC 249631677. Niraula a passé au peigne fin cette période et a trouvé environ 20 creux dans la lumière de cette étoile, ce qui semblait répéter tous les 3,14 jours.
L'équipe a analysé les signaux, testé différents scénarios astrophysiques potentiels pour leur origine, et a confirmé que les signaux provenaient probablement d'une planète en transit et non d'un produit de certains autres phénomènes tels qu'un système binaire de deux étoiles en spirale.
Les chercheurs ont alors prévu de regarder de plus près l'étoile et sa planète en orbite avec SPECULOOS. Mais d'abord, ils devaient identifier une fenêtre de temps où ils seraient sûrs de prendre un transit.
"Clouer la meilleure nuit pour effectuer un suivi depuis le sol est un peu délicat", déclare Rackham, qui a développé un algorithme de prévision pour prédire quand un transit pourrait se produire ensuite. "Même lorsque vous voyez ce signal de 3,14 jours dans les données K2, il y a une incertitude à cela, qui s'ajoute à chaque orbite."
Avec l'algorithme de prévision de Rackham, le groupe s'est resserré sur plusieurs nuits de février 2020 au cours desquelles ils étaient susceptibles de voir la planète traverser devant son étoile. Ils ont ensuite pointé les télescopes de SPECULOOS en direction de l'étoile et ont pu voir trois transits clairs: deux avec les télescopes de l'hémisphère sud du réseau, et le troisième depuis Artemis, dans l'hémisphère nord.
Les chercheurs affirment que la nouvelle planète pi pourrait être un candidat prometteur pour le suivi du télescope spatial James Webb (JWST), pour voir les détails de l'atmosphère de la planète. Pour l'instant, l'équipe examine d'autres ensembles de données, tels que la mission TESS de la NASA, et observe également directement le ciel avec Artemis et le reste du réseau SPECULOOS, à la recherche de signes de planètes semblables à la Terre.
"Il y aura des planètes plus intéressantes dans le futur, juste à temps pour JWST, un télescope conçu pour sonder l'atmosphère de ces mondes extraterrestres", dit Niraula. "Avec de meilleurs algorithmes, nous espérons qu'un jour nous pourrons rechercher des planètes plus petites, même aussi petites que Mars."
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Cette recherche a été soutenue en partie par la Fondation Heising-Simons et le Conseil européen de la recherche.
Lyon instaure de nouvelles restrictions pour freiner l'épidémie de Covid-19
15:46 21.09.2020 Par Youlia Zvantsova
Face à la recrudescence des cas de Covid-19 dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et le département du Rhône, le préfet, Pascal Mailhos, a annoncé le durcissement des mesures sanitaires, notamment l’annulation de la Foire de Lyon.
De nouvelles mesures ont été prévues ce 21 septembre à Lyon par le préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du département du Rhône, Pascal Mailhos, pour freiner la propagation du Covid-19.
Ainsi, la jauge maximum autorisée est abaissée à 1.000 personnes, contre 5.000 personnes jusqu’à présent et certains événements seront annulés, comme la Foire de Lyon, qui devait se tenir du 9 au 12 octobre à Eurexpo. En outre, le port du masque reste obligatoire dans l'espace public à Lyon en permanence.
Pascal Mailhos a également indiqué qu’il fallait «limiter les réunions familiales et privées à 10 personnes maximum».
Dix nouvelles villes du Rhône sont concernées par l'obligation de port du masque de six heures à deux heures du matin dans la rue. Par ailleurs, les fêtes foraines, brocantes, vide-greniers sont désormais interdits. Le port du masque est étendu aux abords des salles de sport, de spectacle et parkings de centres commerciaux.
La situation reste inchangée dans l'hôtellerie-restauration, mais le préfet a déclaré que les établissements qui ne respecteraient pas strictement les conditions sanitaires seraient fermés.
L'épidémie
Lyon recense 213 cas positifs pour 100.000 habitants, le record ayant été enregistré à Villeurbanne avec 242 cas positifs, a indiqué Jean-Yves Grall, directeur de l'Agence régionale de santé, révélant également un retour des décès et un vieillissement des cas positifs jusqu'alors dans la tranche 20-45 ans.
Le chiffre record de 13.498 cas supplémentaires a été enregistré en France le 19 septembre. Le lendemain, bien qu’il ait baissé, il est resté très élevé, avec 10.569 cas de contamination supplémentaires en 24 heures.
Sachant qu'AVEC ou SANS masque* nous respirons toutes & tous 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique, nous sommes TOUTES et TOUS porteurs/porteuses de virus staphylocoque, corona ou autres ! Mais, nous sommes TOUTES & TOUS des porteurs sains car notre organisme les combat. Or, lors d'examens de réceptivité sont donc révélés que nous avons toutes & tous du corona en nous. D'où l'idiotie de la panique traumatique volontairement exagérée de mortalité dans les prochains jours.
*Il ne peut exister de masque dit 'antivirus' because que le maillage le plus fin (N95 ou FFP2/masque 'bec de canard' avec valve d'expiration) est de 3 µ alors que le virus ne mesure que 0,7 micron !
Plus fin que çà l'air ne passe pas ! Autant dire de se mettre un sac en plastique sur la tête !
TOUS les masques (blancs et bleus) vendus en pharmacies ou grandes surfaces ne sont que des masques anti-poussières QUI NE PROTÈGENT ni de l'entrée ni de la sortie de virus ! (Demandez au pharmaciens, docteurs, etc).
Masque obligatoire : vivons-nous déjà dans la science-fiction ?
le 21 septembre 2020
Les mesures de distanciation sociale et le port du masque anti-Covid, s’ajoutant à l’usage quotidien des technologies connectées, dessinent un monde déshumanisé, aseptisé et «hyper-contrôlé», selon l’essayiste Eric Verhaeghe.
Par un curieux mouvement de pensée, les pouvoirs publics se sont efforcés d’affirmer que la «rentrée» de cette semaine était «normale». Brutalement, on se demande si la société que nous craignions de voir advenir, il y a 30 ou 40 ans, celle d’un futur aseptisé, hyper-technologisée et déshumanisée, n’est finalement pas notre actualité la plus terrible.
Il fallait lire les propos rassurants du ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, et ceux du Premier ministre, Jean Castex, sur la rentrée «sereine» ou la plus normale possible pour capter cet étrange mouvement de la pensée qui anime désormais nos élites : nous persuader que porter un masque pour tout déplacement hors de son domicile, que vivre sous une surveillance sanitaire permanente, avec des statistiques quotidiennes de contagion, est une vie «normale». Et soudain, ce discours nous interroge sur la survenue d’un futur qui, dans le cinéma populaire du XXe siècle, était présenté comme un destin anxiogène mais évitable. Au fond, le cauchemar se réalise, et nous sommes priés de l’admettre comme normal.
Vie d’enfants, vie de science-fiction Après le confinement, dans la semaine où ma fille de sept ans est retournée à l’école, elle s’est employée à réorganiser l’appartement en tenant compte des normes sanitaires désormais imposées par le gouvernement. Elle avait dessiné sur le sol des zones avec des distances à respecter et des circuits de circulation. Le vocabulaire de la prophylaxie officielle n’a désormais plus aucun secret pour elle : les gestes barrières, le virus, et même le combat anti-bactérien, lui sont beaucoup plus familiers que le Petit Prince. Tous les films de science-fiction que nous avions vus se réalisent avec une déconcertante rapidité et facilité.
L’une des marques laissées dans nos épidermes par le virus sera bien celle-là : les enfants en savent désormais beaucoup plus, au moins au même âge, que leurs parents sur les maladies, les contaminations et les moyens de s’en protéger. Dans notre enfance, nous avions peur qu’un jour notre vie bascule dans une spirale sanitaire. Et cette spirale est en cours. Tous les films de science-fiction que nous avions vus se réalisent avec une déconcertante rapidité et facilité. Ce qui était une angoisse d’enfant est devenu la réalité de nos enfants. La déshumanisation, c’est maintenant Donc, nos enfants grandissent désormais dans un monde où tous les contacts sont le plus limités ou intermédiés possible. Il n’est plus question de s’embrasser (manie qui, il est vrai, avait pris trop de place) pour se saluer, ni de se serrer la main, ni de se toucher. Il n’est plus question de sympathiser au bar, au restaurant, au bistrot, avec ses voisins de table. Cette désocialisation s’ajoute aux manies venues des films futuristes. Une montre connectée au poignet, un téléphone cellulaire dans la poche, l’humain d’aujourd’hui est déjà plus proche du héros de Soleil vert ou de l’Âge de Cristal que de nos parents. Partout où il est, il peut converser avec un interlocuteur situé à l’autre bout du monde sans avoir le droit de parler à son voisin direct qu’il ne connaît pas. Il peut suivre en direct son pouls, sa tension, recevoir des messages personnalisés l’invitant à modérer son comportement de telle ou telle façon (marcher plus, travailler moins, ne pas s’endormir). Il est déjà cet humain amélioré qu’on voyait dans des séries à succès. Et pour comble, cet humain évolue comme on nous le montrait, comme on le craignait, dans l’enfer aseptisé et hyper-contrôlé qui paraissait impossible à admettre. Mais essayez donc d’entrer en contact avec une personne du sexe opposé aujourd’hui, essayez de prendre la parole en public pour exprimer votre point de vue, et vous vous apercevez qu’une grande mécanique de répression se met en place. La réalité est que, forts de nos communications virtuelles permanentes, nous bannissons peu à peu la «liquidité sociale», ce contact spontané et physique entre les individus, au gré des rencontres et au hasard des rues. La déshumanisation est déjà bien entamée. Organiser d’ores et déjà la résistance clandestine ! Face à ce monde monstrueux qui s’annonce, il devient urgent d’organiser la résistance. C’est tout un mode de vie humain et humanisé que nous devons désormais préserver pour le transmettre à nos enfants, sans quoi leur paradigme de référence sera bien cette société normalisée, aseptisée, hyper-contrôlée, où la spontanéité des rapports humains est vécue comme suspecte, voire coupable et répréhensible.
Dans les mois qui viennent, il faudra retrouver le sens de la parole «immédiate», c’est-à-dire l’art de parler à des inconnus dans la rue, de parler de tout et de rien, de commenter le temps qu’il fait ou le dernier match de football. Il faudra réapprendre à se rencontrer au café, dans le métro, sur un bout de trottoir, sans «speed dating» organisé par un site payant. Il faudra réapprendre à vivre le quotidien ensemble. Comme si nous formions une société humaine avec un projet commun et des choses à partager entre nous. Le drame est sans doute que, en écrivant ces choses simples et évidentes, on se dit tout bas qu’il y aura du boulot pour y arriver.
L'HORREUR est de ne rencontrer QUE des gens masqués ! Plus connaître/reconnaître personne ! Croiser des masques ! Finie la drague, les rencontres d'une amie ! Parler à quelqu'un ! On ne rencontre que des cons ! Un troupeau de cons !
Éolien et photovoltaïque aux abonnés absents
RépondreSupprimerL’éolien et le photovoltaïque ne sont pas adaptés pour faire face aux besoins en électricité de la France lorsque le nucléaire et l’hydroélectricité ne couvrent plus la demande.
21 SEPTEMBRE 2020
Par Michel Gay.
Le développement de l’éolien et du solaire photovoltaïque (PV), aléatoirement variable, voire intermittent, est idiot en France pour diminuer la consommation d’énergies fossiles (pétrole, gaz et charbon), et donc les émissions de gaz à effet de serre (CO2 et autres).
Cet article est adapté d’un thread publié sur Twitter par François-Marie Bréon (@fmbreon), chercheur au Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement.
Il a établi des graphiques originaux de consommation et production électrique à partir des données de RTE pour l’année 2019.
Les résultats sont particulièrement éloquents pour qui se donne la peine de les lire et de les comprendre en 3 minutes !
LES GRAPHES NE MENTENT PAS (EUX)…
Chaque point des graphiques suivants correspond à une journée (il y en a 365) de production et de consommation d’électricité en France en 2019.
Le graphique ci-dessous se lit ainsi : chaque jour (un point) durant l’année 2019 est représenté par l’intersection de la production cumulée d’électricité nucléaire et hydraulique de la journée (sur la graduation verticale, elle a varié d’environ 1 térawattheure (TWh) à 1,5 TWh) et de la consommation totale d’électricité (sur la graduation horizontale, elle a varié de moins de 1 TWh journalier au creux de l’été en août, à presque 2 TWh à la pointe de l’hiver).
- voir graphique sur site -
Dans une situation idéale, la production correspondrait chaque jour exactement à la consommation et tous les points devraient être alignés sur la diagonale dessinée.
Ce graphique montre donc que les productions nucléaires et hydrauliques décarbonées (graduation verticale) sont bien corrélées (donc adaptées) à la consommation (graduation horizontale).
En effet, les points rouges sont proches de la diagonale, sauf pour les fortes consommations supérieures à 1,5 TWh par jour. Durant ces quelques jours, la somme des productions nucléaire et hydraulique plafonne à 1,5 TWh par jour et reste inférieure à la demande qui atteint presque 2 TWh par jour.
Dans ces périodes, il faut donc faire appel aux importations d’électricité et aux énergies fossiles (surtout le gaz), notamment si les productions éoliennes et solaires sont aux « abonnés absents » ces jours-là par manque de vent et de soleil (faibles ou inexistants la nuit).
PRODUIRE AU « BON MOMENT »…
Les deux graphiques ci-dessous montrent que les performances de production au « bon moment » (lorsque la demande est forte) de l’éolien et du PV sont mauvaises.
En effet, les points très dispersés, souvent loin de la diagonale, correspondent à des jours où leur production n’est pas adaptée au besoin.
Le besoin électrique restant à satisfaire après avoir retranché les productions nucléaire et hydraulique (graduation horizontale) est notée « Conso – Nuke – Hydro » sur le graphique.
RépondreSupprimerLa production est exprimée en gigawattheures (GWh) pour les éoliennes (graphique ci-dessous), ainsi que pour le PV ensuite (1000 GWh = 1 TWh).
La partie à gauche de « 0.0 » représente un besoin « négatif », c’est-à-dire une production supérieure au besoin. Pour conserver l’équilibre du système électrique, il faut donc l’« éliminer » par l’exportation, par pompage dans des STEP, ou par toute autre consommation, même inutile (faire chauffer des lignes à haute tension par exemple, ou brasser de l’eau…).
Et aussi bien pour le solaire que pour l’éolien, il y a beaucoup de jours (points) de production à gauche de 0.0 ! Cela signifie que ces sources d’électricité produisent lorsque le réseau est déjà saturé par les autres productions déjà décarbonées ! Et ces productions aléatoires des éoliennes et des PV sont mêmes parfois proches de leur maximum à ce moment-là !
Productions éoliennes journalières en 2019 ci-dessous :
- voir graphique sur site -
La production journalière des éoliennes a varié en 2019 entre 11 GWh (soit 0,011 TWh) et 283 GWh (soit 0,283 TWh).
Multiplier les éoliennes et les PV augmenterait certes la production globale mais ne réduirait pas la fatalité de la production erratique. Au contraire, leurs « bouffées » de productions s’amplifieraient !
Productions solaires journalières en 2019 ci-dessous :
- voir graphique sur site -
Sur ces deux graphiques, l’absence de corrélation entre production et consommation (les points sont éloignés de la diagonale) montre que, souvent, les productions éolienne et solaire sont faibles (points en bas) lorsque le besoin est fort (points à droite), et vice-versa.
ÉOLIEN ET PHOTOVOLTAÏQUE SONT INADAPTÉS
Le pseudo « foisonnement » qui permettrait de lisser les productions éoliennes et solaires parce qu’elles seraient complémentaires à l’échelle de la France, selon certains inconditionnels de ces sources d’énergies, n’existe pas.
De plus, lorsque leurs productions sont élevées, les exportations d’électricité sont vendues à prix dérisoires, voire négatifs, puisque nos voisins ont aussi des surproductions en phase avec celles de la France (été/hiver et jour/nuit sont synchrones avec nos voisins).
Ces exportations rapportent cependant 3 milliards d’euros par an qui contribuent à rembourser partiellement les plus de 5 milliards d’euros annuels de subventions pour acheter des éoliennes fabriquées à l’étranger et des PV importés de Chine…
Ces 3 milliards par an seraient certainement plus judicieusement utilisés pour subventionner des pompes à chaleur, de l’isolation, une filière EPR, des hôpitaux, des services de proximité, la sécurité, la justice…
L’éolien et le PV ne sont donc pas adaptés pour faire face aux besoins en électricité de la France lorsque le nucléaire et l’hydroélectricité ne couvrent plus la demande.
Il serait temps de le reconnaître.
https://www.contrepoints.org/2020/09/21/380360-eolien-et-photovoltaique-aux-abonnes-absents
INTERDIT DE SE BRANLER DEVANT LE PORTRAIT DE LA REINE !!
RépondreSupprimerUn conseil municipal de Londres interdit à ses télétravailleurs de fumer depuis chez eux
13:09 21.09.2020
Par Alexandre Sutherland
Les employés du conseil de Hammersmith et Fulham sont désormais privés de cigarettes durant les heures de bureau même lorsqu’ils travaillent depuis chez eux, relate le Telegraph. Une «croisade morale» contre les fumeurs, estiment des militants qui ont émis un rapport à l’encontre de cette décision.
La municipalité de Hammersmith et Fulham, située à l’ouest de Londres, a décidé d’interdire à tous les employés de fumer au travail même lorsqu’ils sont à distance, indique le Telegraph. Ainsi, toute partie d’un logement privée utilisée à des fins professionnelles «sera un espace non-fumeur», indique le conseil à la majorité dominée par le parti travailliste Labour.
Cette décision «honteuse» a été vivement critiquée par des militants et qualifiée de «croisade morale» et de «guerre au choix et à la liberté individuelle». Un rapport intitulé «L’idéologie non-fumeur» et soutenu par un groupe pro-fumeur, Forest, a été remis aux autorités locales.
L’un des auteurs, Josie Appleton, a commenté auprès du quotidien britannique que le conseil «devrait se concentrer sur le service public plutôt qu’intervenir dans les choix de vie de ses employés».
Selon elle, cette politique à l’égard des fumeurs n’est plus liée au tabagisme passif, mais vise à faire de la cigarette une «activité honteuse» qui «ne devrait jamais être vue en public ou à proximité des bâtiments officiels».
D’autres conseils font de même
Le rapport indique également que sur les 147 conseils de la capitale britannique seuls 10 autorisent leurs travaillent à prendre des pauses cigarette. Une cinquantaine ont également interdit la cigarette électronique, et ce même dehors ou entre des rendez-vous professionnels. Certains détracteurs affirment dès lors que cette mesure rend plus difficile le fait d’arrêter de fumer.
D’après Ian Hudspeth, président du conseil de bien-être communautaire de l’association des gouvernements locaux, ces actes démontrent que les conseils sont des «employeurs responsables» qui «cherchent à protéger la santé de leurs employés et du grand public».
https://fr.sputniknews.com/international/202009211044460963-un-conseil-municipal-de-londres-interdit-a-ses-teleravailleurs-de-fumer-depuis-chez-eux/
Choisir son pays et sa stratégie de jeu si tout part en couille en France
RépondreSupprimerCharles Dereeper
dimanche, 20 septembre 2020 18:28
Vous êtes nombreux à réfléchir en ce moment. Je copie un email reçu ce jour qui saura je n'en doute pas faire réfléchir certains
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C’est peut-être la première fois de l’histoire où nous pouvons être devin et connaître un avenir proche…
Les Etats que j’observe avec mes moyens sont la France, UK, Canada. Ces pays procèdent de la manière suivante avec une échelle de temps différente selon les pays. Le processus est :
L’état fait fuiter les informations par le moyen de rumeur ou simple hypothèse
L’info est directement transmise aux médias et relayée pour annoncer et préparer les populations à la réalisation de l’annonce
Quelques jours, semaines ou mois plus tard la population préparée la rumeur devient la règle. Si la pilule est très grosse ils procèdent par diffusion espacée et répétée pour éviter trop tôt les levées de boucliers. Ils savent aussi qu’il faut envoyer de faux signaux en envoyant des rumeurs qui ne sont pas prévues se réaliser pour éviter que cela ne soit trop visible et brouiller les pistes
Il faudrait avoir assez de temps ou avoir de notre côte une IA qui collecte ces rumeurs, note la fréquence de diffusion et estime le délai de réalisation.
Cette veille pourrait nous donner une légère avance sur le reste de la masse et nous sauver la vie ou du moins nous donner un sursis. Pour ceux qui regardent l’économie, investissent ou trade cela pourrait aussi s’avérait très très utile…
Pour une meilleure compréhension de ce qui se passe ou de se qui va se passer à court terme il faudrait pouvoir observer ainsi tous les pays en même temps.
Succinctement à aujourd’hui ( les infos déferlent chaque heures )
Les dernières en France :
Confinement partiel a minima en préparation
Vaccination obligatoire contre la grippe
Isoler les jeunes en les pointant du doigt au cas ou ils voudraient se révolter (les jeunes sont parfois si imprévisibles)
En Uk :
Confinement généralisé en préparation
Vaccination covid obligatoire en s’affranchissant des autorisations des autorités vaccinales
Vote de lois inédites permettant de couvrir juridiquement les dirigeants face à ce qu’ils se préparent à faire et ce qui va arriver (une hécatombe)
Canada :
Là bas c’est encore plus gros …
Je reste convaincu que tant que la situation n’est pas évidente il vaut mieux ne pas bouger mais être prêt en moins de 24h à fuir si nécessaire dans le pays le moins pire… Je crois que nous y verrons plus clair dans les prochains mois.
Si je devais faire un pronostic, je crois que les usa seront les moins « violentés » ou dirais-je impactés car lorsque l’on est numéro 1 et habitué à conquérir le monde on sait limiter la casse. De plus c’est le seul peuple autant armé et qui dans la défense de soi est profondément dans la croyance être dans son bon droit notamment constitutionnel. Trop tôt pour ne pas se tromper.
RépondreSupprimerJ’estime ces derniers mois à plus de 80% les rumeurs s’étant réalisées en fait quelques semaines ou mois plus tard. Ce chiffre n’est pas scientifique mais une proportion qui me semble assez réaliste.
http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/debuter-choisir-son-pays/choisir-son-pays-et-sa-strategie-de-jeu-si-tout-part-en-couille-en-france.html
SupprimerL'idée du cata contre la cata n'est pas mauvaise !
L'option catamaran pour zigzaguer au milieu du chaos à venir ? + Lisbonne
RépondreSupprimerdimanche, 20 septembre 2020 22:00
Salut Charles,
On avait eu l’occasion d’échanger par email à quelques reprises déjà et de mon côté je continue de te suivre toujours avec autant de plaisir - et d’amusement certaines fois ;-) -
De mon côté, j’ai conduit une réflexion comparable à la tienne depuis 5 ans que j’ai quitté la France mais je suis arrivé à un résultat un poil différent. Après 2 ans au UK, je suis au Portugal à Lisbonne où la vie est encore assez douce surtout comparée à la France où je vais encore de temps à autre pour mes affaires.
Voici mon idée :
Je projète d’acheter un catamaran de 14/15 mètres équipé pour me donner pas mal d’autonomie (désalinisateur, panneaux solaires, équipement de chasse et pêche etc. …) et de me barrer autour du monde en fonction de la tournure des évènements.
Evidemment, il faut pouvoir se payer un bateau et aimer ça mais dans mon cas je vais joindre l’utile à l’agréable.
Comme toi et comme tu l'explique régulièrement, je crains que ça tourne mal un peu partout même s’il se peut que ça se fera progressivement en commençant par l’Europe, je me dis que je pourrai bouger rapidement (traverser l’atlantique en 3 semaines, le pacifique en 1 mois), aller aux USA si ça me plait et si je m’y sens en sécurité, ou encore dans les caraïbes si je pense que la situation y est plus sereine, pourquoi pas en Amérique du sud voire enfin dans le pacifique si vraiment ça chauffe un peu partout.
Comme je vois que tu n’as jamais évoqué cette idée alors que tu nous fait le plaisir de partager tes propres réflexions, je me suis dit que tu serais peut-être intéressé par mon idée.
Quoiqu’il en soit, ton avis m’intéresse et j’espère que mes prochaines pérégrinations nous donneront l’occasion de nous croiser.
Take care
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Beaucoup de français choisissent Lisbonne depuis quelques années. Perso, j'ai visité en 2009. J'ai pas kiffé !
C'est clairement mieux que la France.
L'option catamaran, je n'en parle pas car j'ai exprimé dans la formation les 3S mes réflexions sur l'art de la fuite, ses contraintes et les enjeux. http://formation.objectifeco.com/charles-dereeper-les-3-s-formation/
Un des clients du groupe STRATEGIE DE VIE PRO ET PERSO a acheté y a 2 mois un cata chez les yougo. Il est actuellement au Maroc et prépare sa traversée jusqu'au Panama.
Le cata, c'est une option en cas de gros bordel. Pas en cas de bordel comme en ce moment, par vague et localisé.
Perso j'ai énormément navigué dans ma jeunesse au lieu d'aller piner (quel con putain !) en Bretagne Sud que je connais intégralement, plages par plages.
S'il y a bien un truc que je déteste, c'est dormir dans un bateau qui avance... a vrai dire, je ne dors pas dans un bateau qui avance... vous allez me dire, cela ne me change pas trop de ne pas dormir... oui et non. Je ne dors pendant mes heures de traumas. Mais je suis libre de dormir à partir de 8h du matin et jusqu'à minuit passé. Sur un bateau qui avance, je ne dors pas du tout, 24h/24... donc je ne suis pas super fan... au delà des autres problèmes structurels. En outre, nous avons pu voir que le traffic maritime privé a été stoppé puis gelé pendant le délire covid cette année, ce qui m'a terriblement surpris. Et comme l'autonomie sur un bateau est limitée à cause de la bouffe... tôt ou tard, l'option catamaran prend l'eau...
RépondreSupprimerCharles
http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/l-option-catamaran-pour-zigzaguer-au-milieu-du-chaos-a-venir-lisbonne.html
(...) Et comme l'autonomie sur un bateau est limitée à cause de la bouffe.. (...)
SupprimerEt la canne-à-pêche elle sert à quoi ?
Pour pas faire comme Christopho Colombo qui emportait... de l'eau !) faut savoir désaliniser l'eau sale.
Prendre une boite d'eau sale et la poser dans une poêle sur le feu. Mettre par dessus la petite boite une boite plus grande et retournée dessus-dessous (style marmiton). Lorsque l'eau bout de la condensation va se former dans le marmiton et descendre en gouttelettes dans la poêle.
Cette eau est pure, claire, sans goût ni odeur ni bactérie !
Manipulation d'un marché comme les actions américaines, le fric qu'il faut mettre sur la table !
RépondreSupprimerdimanche, 20 septembre 2020 17:55
Suite à mon article sur les 3 salades ici http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/capitalisme/les-3-salades-du-moment-qui-n-ont-ni-queue-ni-tete-mais-qui-sont-tres-populaires-sur-internet.html
Je vais répondre à certains commentaires avec des chiffres car nous vivons une période troublée où les esprits oublient de compter. Je crois sincèrement que l'un des enjeux du moment consiste à apprendre à confronter. Je m'y prête dans ma vie perso comme un forcené et jamais finalement, j'ai n'ai eu autant conscience de moi, jamais je n'ai eu accès à autant d'informations pertinentes et au final, jamais je ne me suis fait aussi peu confiance... en gros, plus on sait, moins on sait... donc plus on ne sait rien en réalité... l'humilité...
Je recopie un premier commentaire
- "Je ne te suis pas sur le 3. Ce n'est pas parce que la valo actuelle des indices us a pris 2000 mds qu'on a injecté 2000 mds. La valo représente les cours à l'instant t. Si l'équilibre acheteur vendeur change, il peut y avoir besoin de beaucoup moins pour propulser les cours à la hausse. De même Apple 'vaut' 2000 mds mais si les dirigeants vendent tous leurs titres, ils feront s'effondrer les cours bien avant d'avoir pu en vendre ne serait-ce qu'une fraction à ce prix."
J'ai pris la capitalisation pour marquer les esprits.
Ici l'idée du commentaire c'est de dire que le volume est différent de la capitalisation. Volume nécessaire pour manipuler les marchés US pendant 6 mois.
Ok confrontons !
Combien de volume en valeur s'échange t il sur les marchés US par an ?
La réponse varie, mais nous tournons autour de 30.000 à 40.000 milliards de dollars depuis 10 ans. source world bank ici https://tradingeconomics.com/united-states/stocks-traded-total-value-us-dollar-wb-data.html
Nous parlons d'une hausse parabolique de 6 mois et en face de pseudo théories du financial times qui accusent softbank et les investisseurs particuliers chez Robinwood d'être derrière cette hausse.
Ces mecs contrôlent 6 à 7 milliards de cash, softbank inclus. Ils jouent sur les options. Donc en valeur nominal / volume en valeur, on parle allez de 40 milliards de dollars avec le levier des options.
En face, en volume en valeur, les marchés américains s'échangent environ 15 à 20.000 milliards de dollars...
Vous pouvez m'expliquer comment avec 40 milliards il est possible d'impacter une masse de 15 à 20.000 milliards d'échange ? Tout en créant une hausse de la capitalisation de 2.000 milliards...
C'est juste ridicule.
La vérité se cache derrière les théories du complot. Les banquiers londoniens contrôlent le monde. Comme je l'ai déjà dit à de nombreuses reprises, je n'adhère pas aux théories d'Alain Soral et Dieudonnet sur les juifs. Les white protestants sont plus nombreux et plus capitalisés que les juifs et juifs et white protestants roulent pour le même boss qui est le mal. Derrière juifs, il ne faut pas mélanger le juif de la rue, mes potes d'ailleurs ici à Panama City, du sionisme international qui ne croit en rien à la religion. Ces mecs carburent au satanisme estimant que dieu ne fait pas son boulot sur terre et que la matrice est imparfaite. Leur dieu est le dieu de la connaissance.
C'est la croyance fondamentale qui oppose les forces du monde. J'ai longtemps hésité entre les deux. Car je doute moi même. J'ai toujours été à 55% en larme devant dieu et la perfection de la matrice et le rejet total à 45% de mon higher self et de ma destinée d'humain. Je suis très bien placé pour le savoir car le satanisme repose sur des traumas et le fait d'écarter l'âme de son corps en l'empêchant de se réfugier dans sa place naturelle qui permet la connexion à l'univers, dans le chakra 4. J'ai la possibilité personnelle d'expérimenter les deux faces fondamentales de l'être humain, la basse fréquence et la hausse fréquence. Et je suis écartelé la dedans depuis toujours.
RépondreSupprimerJe pense que softbank n'appartient pas aux clubs londoniens, nombreux, qui se font la guerre entre eux, mais qui éliminent ceux qui ne jouent pas dans leur sphère. Résultat, le mec prend une plus value de 5 milliards de dollars et il se fait allumer. C'est systématique dans l'histoire de la finance. Dénigrement, campagne média dégueulasse, activation des justices sur des préceptes bidons.
Ce qui me fait pitié c'est de voir thami kabbaj opportuniste s'engouffrer la dedans sans rien comprendre et égarer les foules derrière. C'est toujours pareil. En bout de piste, les gens faibles se font égarer au lieu de progresser. Vous allez me dire, tant pis pour eux. Ils sont attirés par les paillettes de mecs visiblement stupides et opportunistes. A charge pour chacun de sélectionner ses sources d'infos et de grimper ou descendre. Ok. Mais à ce rythme là, mieux vaut alors être satanique parce que la lumière prend une branlée magistrale en ce moment. Le mal représente le gros de la vie sur terre. Autant pisser dans le sens du vent...
Charles
http://www.objectifeco.com/bourse/indices-boursiers/indices-usa/manipulation-d-un-marche-comme-les-actions-americaines-le-fric-qu-il-faut-mettre-sur-la-table.html
SupprimerBon, reprenons: Comment est créé l'argent ? Et comment il peut disparaître plus vite qu'il ne peut être inscrit au clavier ? L'EMP ! Avec çà: Pchitt ! T'as plus rien ! En un centième de seconde tout s'éteint. L'ascenseur en panne, la voiture qui ne démarre pas (sauf à manivelle si t'en a une !), pas de tel, pas de sat. Rien !
T'allumes ta bougie et tu part avec ta poêle à la chasse aux pigeons !
California Burnin'- Un avertissement contre la règle du parti unique
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 21/09/2020 - 05:45
Rédigé par Niall Ferguson, éditorial via Bloomberg.com,
Incendies, pannes d'électricité, impôts élevés, pauvreté, logements rares, misère urbaine, écoles minables - c'est une merveille que quiconque reste.
«La Californie, mes amis, c'est l'Amérique qui avance rapidement.» Ainsi le gouverneur Gavin Newsom, d'une voix rauque, au milieu de la fumée brune au North Complex Fire le 11 septembre.
«Ce que nous vivons ici, c'est arriver à une communauté partout aux États-Unis d'Amérique ... à moins que nous n'agissions ensemble sur le changement climatique.»
J'étais avec lui jusqu'à ce qu'il prononce les mots «sur le changement climatique».
Comme mon collègue de la Hoover Institution, Victor Davis Hanson, l’a dit le mois dernier, la Californie est «le modèle progressiste de l’avenir: un État autrefois riche et novateur qui est maintenant une civilisation presque en ruines. La nation devrait nous surveiller cette année électorale et connaître son avenir possible. »
Commençons par les incendies. Jusqu'à présent cette année, ils ont incendié plus de cinq fois plus de terres que la moyenne des 33 années précédentes, tuant 25 personnes et obligeant environ 100 000 personnes à quitter leurs maisons. À un moment donné, trois des plus grands incendies de l’histoire de l’État brûlaient simultanément dans un anneau autour de la baie de San Francisco. Selon le Département des forêts et de la protection contre les incendies de Californie, ou CAL FIRE, sur les 10 plus grands incendies depuis 1970, cinq se sont déclarés cette année. Neuf sur 10 se sont produits depuis 2012.
Il ne fait aucun doute que les températures élevées et les orages inhabituels sont en partie responsables des terrifiants incendies de forêt de cette année sur la côte ouest. Il est profondément trompeur de prétendre, comme le font encore certains négationnistes purs et durs, que les températures n'augmentent pas et ne rendent pas les feux de forêt plus probables. Mais il est également trompeur de prétendre, comme l'a fait le New York Times la semaine dernière, que «les scientifiques disent que le changement climatique est la principale cause de la conflagration».
En réalité, comme le soutiennent Rebecca Miller, Christopher Field et Katharine J. Mach de Stanford dans un article récent de Nature Sustainability, cette crise a au moins autant à voir avec une mauvaise gestion désastreuse des terres qu'avec le changement climatique, et peut-être plus. Quiconque pense que les panneaux solaires, Teslas et un éléphant blanc de 3,3 milliards de dollars d'une ligne ferroviaire à grande vitesse éviteront des incendies comparables ou pires l'année prochaine (et l'année suivante et l'année suivante) ne comprend pas ce que les scientifiques disent vraiment.
La plupart des mesures proposées par les écologistes pour réduire les émissions de gaz carbonique et autres «gaz à effet de serre» porteront leurs fruits sur 50 à 100 ans, comme l'IPCC l'a depuis longtemps indiqué. Même un scénario «d'atténuation rigoureuse» dans le meilleur des cas (ce que l'IPCC appelle la voie de concentration représentative 2.6) ne ramènerait pas les émissions de gaz carbonique aux niveaux de 1950 avant environ 2050. Il ne réduirait pas non plus les températures moyennes mondiales; cela les empêcherait simplement de s'élever.
RépondreSupprimerEt ce n’est que si le monde entier - y compris la Chine et l’Inde - prend des mesures. Le problème des incendies de forêt en Californie ne peut pas être résolu par les citoyens de l’État «qui agissent ensemble sur le changement climatique», selon les mots de Newsom. Le problème nécessite une action immédiatement efficace - et cela signifie un retour à une gestion saine des forêts, si un tel retour est encore possible. Pendant des décennies, les dirigeants démocrates de Californie ont présidé à une politique de laisser pourrir les arbres morts, au lieu du système ancien et rationnel de brûlures prescrites ou contrôlées, notamment parce que les réglementations environnementales et d'air clair, ainsi que les problèmes de responsabilité légale, ont fait les brûlures contrôlées sont de plus en plus difficiles à faire.
Dans la Californie préhistorique, selon une analyse récente de ProPublica, entre 4,4 millions et 11,8 millions d'acres brûlent chaque année.
Les gestionnaires des terres de la Californie ont brûlé environ 30 000 acres par an en moyenne entre 1982 et 1998. Au cours des 18 années suivantes, ce nombre est tombé à 13 000 acres par an. Le résultat a été une énorme accumulation de bois d'allumage hautement inflammable.
Miller, Field et Mach ont conclu qu’une superficie totale d’environ 20 millions d’acres - soit environ un cinquième du territoire de l’État - avait un besoin urgent de «traitement du carburant», ce qui signifie des brûlures dirigées, des éclaircies mécaniques et des feux de forêt gérés. Il est difficile d'imaginer quoi que ce soit de très proche de ce qui se passe sous le régime politique actuel. (Les auteurs ont poliment appelé à «des changements fondamentaux dans les politiques de brûlage dirigé, au-delà de celles actuellement à l'étude.») Ou plutôt, cela va se produire, mais à un moment choisi par la Nature, avec des conséquences catastrophiques.
Un exemple typique: pendant un an et demi, les formalités administratives ont ralenti un projet d'éclaircie forestière à Berry Creek, dans le comté de Butte. Le projet ne couvrait que 54 acres mais, grâce aux lourdes dispositions du California Environmental Quality Act, les travaux n'avaient pas encore commencé lorsque l'incendie du complexe nord a frappé, dévastant la ville et tuant 10 personnes.
J'ai de la peau dans ce jeu.
Il y a quatre ans, j'ai déménagé de l'Université Harvard à l'Université Stanford. Ma famille a troqué une solide résidence universitaire centenaire à Cambridge pour une maison en bois dans une zone boisée qui à nos têtes en bois semblait la plus idyllique. Il y a quelques semaines, notre quartier était en bordure de la zone d'évacuation.
Cependant, j'ai moins de peau dans le jeu que Victor Davis Hanson. Il vit sur la ferme de fruits et de noix près de Selma, dans la vallée centrale, que sa famille possède depuis les années 1870. L'indice de la qualité de l'air à Stanford est passé au-dessus de 170 trois jours au cours du dernier mois. À Selma la semaine dernière, il était de 460. (Tout ce qui dépasse 301 est qualifié de «conditions d'urgence»).
J'écris ces mots à plus de 1 000 kilomètres de chez nous en Californie, mais ce n’est pas bon: ces derniers jours, la fumée nous a également retrouvés. Les parkings d'hôtels remplis de véhicules avec des plaques d'immatriculation CA confirment que nous ne sommes pas les seuls migrants vers l'est. C'est comme "Grapes of Wrath" de Steinbeck à l'envers: maintenant que le Golden State est le Char-Grilled State, les Californiens sont devenus les nouveaux Okies, bien que beaucoup moins impécunieux.
Pourtant, les incendies de forêt ne sont que l'une des raisons pour lesquelles les gens fuient la Californie.
RépondreSupprimerEn outre, les politiques environnementales erronées des sages de Sacramento ont tellement sapé le réseau électrique (par exemple, en fermant les centrales au gaz et en refusant de compter l'énergie hydroélectrique comme renouvelable) que les résidents ont été soumis à des pannes de courant continuelles cette année. Les mêmes politiques ont en grande partie tué l'industrie pétrolière et gazière. Newsom & Co. n'a pas réussi à moderniser le système d'eau pour suivre le rythme du dernier demi-siècle de croissance démographique.
Ce n’est pas que les politiciens californiens ne savent pas comment dépenser de l’argent. En 2007, les dépenses totales de l'État s'élevaient à 146 milliards de dollars. L'année dernière, c'était 215 milliards de dollars. Je sais, je sais: en termes réels, le PIB de la Californie a augmenté de près d’un tiers au cours de la même période. Et je sais: si c’était une nation indépendante, ce serait la cinquième économie du monde, devant l’Inde. Mais pendant combien de temps cela sera-t-il vrai ?
Les impôts de la Californie ne sont pas les plus élevés du pays - pour le ménage médian. Mais le système fiscal est l’un des plus progressifs, avec un taux d’imposition maximal de 13,3% sur les revenus supérieurs à 1 million de dollars - et cela n’est plus déductible de la facture fiscale fédérale comme il l’était auparavant. Le 1% des contribuables les plus riches (ceux qui gagnent plus de 500 000 $) représente désormais la moitié des recettes fiscales des particuliers. Et il y a pire à venir.
Les dernières idées brillantes à Sacramento sont d’augmenter le taux de revenu le plus élevé à 16,8% et de prélever un impôt sur la fortune (0,4% sur les fortunes personnelles de plus de 30 millions de dollars) que vous ne pourriez même pas éviter de payer si vous quittiez l’État.
(La proposition prévoit un paiement jusqu'à 10 ans après le départ vers un État à faible taux d'imposition.)
C'est un endroit étrange qui cherche à repousser les riches tout en se faisant un aimant pour les immigrés clandestins en établissant pas moins de 20 villes ou comtés «sanctuaires».
Et les résultats de toute cette politique progressiste ?
Un boom de la pauvreté.
La Californie compte désormais 12 % de la population du pays, mais plus de 30 % de ses bénéficiaires de l'aide sociale. Selon la mesure officielle, basée principalement sur le revenu et la taille de la famille, le taux de pauvreté de 11,4 % de la Californie en 2019 était proche de la moyenne nationale des trois dernières années. Cependant, selon un nouveau rapport du Census Bureau, qui prend en compte le logement et les autres coûts, le taux de pauvreté réel en Californie est de 17,2%, le plus élevé de tous les États. (Newsom comprend une chose quand il dit: «Nous vivons dans l'État le plus riche et le plus pauvre d'Amérique.»)
RépondreSupprimerEnviron un tiers de la pauvreté en Californie peut être attribué au logement et à d’autres frais de subsistance tels que les vêtements et les services publics. Comme tous ceux qui y résident le savent, il y a une pénurie chronique de logements dans la région de la baie (le prix médian de la maison à San Francisco coûte environ 1,5 million de dollars), principalement parce qu'une pléthore de réglementations rend la construction de logements abordables quasiment impossible. Au mépris de tout ce que nous savons sur les contrôles des loyers - qui découragent les propriétaires de fournir un logement - c'est, de manière prévisible, la solution proposée par les démocrates.
Mais ce n'est pas tout. Les écoles publiques de l’État se classent au 37e rang dans l’ensemble du pays et présentent le ratio élèves-enseignant le plus élevé.
«Seule la moitié des étudiants californiens répondent aux normes anglaises et moins aux normes mathématiques, comme le montrent les résultats des tests», faisait la une du Los Angeles Times en octobre dernier.
Les coûts des soins de santé et des retraites ne sont pas viables. Oh, et ils ont raté Covid-19, malgré l’imposition des premières commandes d’abris sur place du pays. Ayant prématurément revendiqué la victoire, la Californie mène désormais New York en termes de cas, mais pas de décès.
Dans les années 1960, la Californie était la destination fantastique du monde. «California Dreamin», «California Girls», «Going to California» - vous connaissez les chansons. Mais les réputations ont un moyen de survivre à la réalité. Malgré le miracle économique opéré dans la Silicon Valley, qui a commencé avec la genèse de l’Internet dans les années 1970, et malgré la force continue des universités de l’État, le rêve en termes de qualité de vie s’est lentement éteint.
Lorsque j'ai visité San Francisco pour la première fois en 1981, c'était toujours l'une des plus belles villes que j'aie jamais vues. Maintenant, ses rues sont si sales - les excréments humains et les seringues sont les principaux dangers - que je l'évite. (J'allais dire «comme la peste», mais c'est le lac Tahoe.)
Pourtant, la Bay Area et sa sœur du sud, Los Angeles, ne sont que l'une des deux Californies.
Comme Hanson l'a fait valoir il y a 10 ans, la vallée centrale est un autre pays, plus «caribéen» ou latino-américain, où «d'innombrables communautés de l'intérieur… sont devenues des sociétés proches de l'apartheid, où l'espagnol est la première langue, les écoles ne sont pas du tout diverses, et les gouvernements fédéral et des États sont soit les principaux employeurs, soit au moins les principales sources de revenus. »
La principale raison du déclin de la Californie est que le Golden State est devenu un État à parti unique.
Le candidat républicain a remporté la Californie à toutes les élections sauf une (1964) entre 1952 et 1988. Mais le démocrate a remporté la Californie à chaque élection depuis, la part des voix démocrates passant de 46 % en 1992 à 62 % en 2016.
Les démocrates ont maintenant 61 sièges sur 80 à l'Assemblée de l'État de Californie. La dernière fois que les républicains avaient une majorité (d'un), c'était en 1994, mais c'était une anomalie. Les démocrates contrôlent essentiellement le Sénat de l'État depuis 1958, avec des majorités croissantes depuis les années 1990. Hormis 1994, la seule autre année depuis 1958 où ils n'ont pas remporté la majorité des sièges à l'Assemblée était 1968.
RépondreSupprimerLorsque le vote régulier n'a aucun effet, les gens votent finalement avec leurs pieds. De 2007 à 2016, environ cinq millions de personnes ont déménagé en Californie, mais six millions ont déménagé dans d'autres États. Pendant des années avant cela, les nouveaux arrivants étaient plus pauvres que les sortants. Cet exode net est en plein essor en 2020. Et les entreprises (par exemple, Charles Schwab Corp.) partent aussi. La Silicon Valley devient virtuelle, de nombreuses grandes entreprises technologiques envisageant de rendre le travail à domicile permanent pour au moins certains employés. (Un directeur technique m'a dit la semaine dernière que ses ingénieurs plaidaient pour ne pas retourner au bureau.)
Les gens sortent de la région de la baie autant et peut-être plus qu'ils n'en sortent de New York. Le Texas n'est que l'une des alternatives préférées. Les agents immobiliers du Montana signalent une demande record de la part des réfugiés de la côte ouest. Les hôtels sont pleins, ce qui est inouï à cette période de l'année. Je connais aussi un certain nombre d'éminents Californiens qui sont maintenant Hawaïens.
L'écrivain et diffuseur conservateur Ben Shapiro, né à Los Angeles, vient d'annoncer qu'il se dirigeait vers Nashville, Tennessee.
«J'adore l'État, j'ai grandi dans l'État, je me suis marié dans l'État et j'ai eu des enfants dans l'État», a-t-il déclaré à Laura Ingraham.
Mais la Californie n'était «pas un endroit idéal pour élever des enfants et pas un endroit idéal pour créer une entreprise».
Nous connaissons maintenant la vraie signification de Calexit. Ce n’est pas la sécession. C’est l’exode.
Je ne peux pas blâmer les sortants. Lorsque j'ai déménagé dans l'Ouest en 2016, c'était dans la croyance naïve que la Californie était le Massachusetts sans neige et Stanford était Harvard avec un temps de septembre toute l'année. Comme j'avais tort.
Mais est-ce que je pars ? Eh bien, peut-être que ça ne sert à rien. Comme le prédécesseur de Newsom Jerry Brown l’a dit la semaine dernière:
«Il va y avoir des problèmes partout aux États-Unis. C'est la nouvelle norme. Cela a été prédit et cela se produit… Dites-moi: où allez-vous aller ? Quelle est votre alternative ? »
Grande question, mais - comme avec la prophétie de Newsom - mal formulée.
Le gros problème n'est pas que le changement climatique touche tous les États. C'est vrai, même si la plupart des États l'atténueront mieux que la Californie. Le problème est que la gouvernance démocratique pourrait arriver à la nation dans son ensemble, à partir du 20 janvier. Et avec le candidat démocrate, Joe Biden, qui aura 78 ans deux semaines après le jour des élections, ce n'est pas un peu troublant pour moi que son vice - le choix présidentiel est un Californien, tout comme nombre de ses projets de dépenses, de taxes et de réglementation l'ont «conçu en Californie» partout.
Oui, mes amis, la Californie est l'Amérique qui avance rapidement. Quelqu'un peut-il s'il vous plaît appuyer sur pause ?
https://www.zerohedge.com/political/california-burnin-warning-against-one-party-rule
SupprimerAUCUN scientifique n'a parlé de 'Réchauffement climatique anthropique' ! AUCUN !
Les périodes de réchauffements (comme celles de refroidissements) correspondent UNIQUEMENT aux activités magmatique.
Les livres de Rowling ont été brûlés ou interdits dans le monde en raison de ses opinions personnelles sur le genre !
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 21/09/2020 - 03:30
Rédigé par Jonathan Turley,
Dans Harry Potter, Albus Dumbledore a dit aux étudiants de l'école de sorcellerie et de sorcellerie de Poudlard que "Il faut beaucoup de courage pour tenir tête à nos ennemis, mais tout autant pour tenir tête à nos amis."
Beaucoup apprennent la vérité de cette ligne écrite par le célèbre auteur JK Rowling alors que des progressistes autoproclamés brûlent ses livres ou les bannissent des étagères parce qu'elle a personnellement une vision opposée du genre. Tout comme le mouvement de boycott de Chick-Fil-A suite aux commentaires de son PDG, les gens cherchent à punir Rowling en attaquant sa littérature.
Nous avons précédemment discuté de l'adoption de la destruction de l'art comme analogue à la gravure de livres, mais maintenant, la gravure réelle de livres est adoptée comme une arme du réveillé.
Une série TikTok montre des gens du monde entier en train de brûler des copies des livres de Rowlings. Dans une vidéo d'une pile de livres en feu par l'utilisateur de TikTok @elmcdo, on entend une voix disant
«Vous devez cesser d’utiliser la« mort de l’auteur »comme excuse pour avoir votre gâteau et le manger aussi. Si le point de vue du lecteur est une partie importante de l’interprétation et du sens, il est impossible de séparer complètement une œuvre de son créateur. L'impact positif que J.K. Le travail de Rowling sur des millions de lecteurs ne nie pas à quel point son lobby haineux a affecté la communauté trans. "
Cela résume la logique de chaque graveur de livres de l'histoire. Vous ne pouvez pas lire un livre en raison des opinions, de la religion ou de l'identité de l'auteur. Il vaut mieux brûler le livre pour protéger la société.
Ensuite, il y a Rabble Books and Games à Maylands, Perth. Le propriétaire propriétaire Nat Latter a fièrement déclaré sur Facebook qu'il avait retiré tous les livres Harry Potter des étagères pour garantir «un espace plus sûr pour notre communauté». Vous pouvez donc acheter un livre Rowlings en le récupérant de l'arrière-salle comme de la pornographie. C'est une forme de censure qui rend plus difficile l'achat de certains livres plutôt que d'autres parce que vous défavorisez les auteurs aux opinions opposées.
Ce dernier semble apprécier le rôle d'un vendeur de livres censurant:
«Bien que stocker un livre ne soit pas une approbation (bon sang, ce serait un champ de mines), et nous prendrons toujours des commandes pour des livres qui ne sont pas en stock, il y a plus de livres valables à mettre en rayon, des livres qui ne ne nuit pas aux communautés et ne nous rendra pas tristes de les déballer.
Est-ce que Latter cache également des œuvres avec des vues opposées sur le genre de la Bible au Coran en passant par les romans classiques ? En effet, pourquoi ne pas tirer tout le travail d'auteurs comme Hemingway et d'autres pour leurs points de vue sur les femmes ou les relations raciales ou d'autres questions ? Les vendeurs de livres étaient autrefois des personnes qui souhaitaient être des portes d'accès à la connaissance et à un monde d'idées et de valeurs différentes. Désormais, les lecteurs ne peuvent même pas voir le nom d'un auteur qui a personnellement des opinions opposées ou offensantes.
Ce qui est le plus troublant, ce n'est pas la rhétorique imparfaite de ces personnes pour justifier la gravure de livres et la régulation de la parole, mais le silence relatif des communautés dans leur ensemble. Nous avons vu une pression croissante pour réglementer l'art en fonction de l'identité ou du sexe des artistes. Les auteurs ont souvent des opinions impopulaires de la société dans son ensemble. Beaucoup sont profondément religieux ou ont une vision étroite de certaines institutions ou droits sociaux. Ces points de vue ne sont souvent pas reflétés dans leur art ou leurs écrits. En effet, Rowlings est considéré comme extrêmement libérale mais a une vision étroite du genre. Nous pouvons débattre avec elle de ces opinions et dénoncer celles que nous trouvons odieuses ou intolérantes. Cependant, brûler ou interdire ou cacher des livres (ou détruire l'art) est l'attaque ultime contre la liberté d'expression. C'est la signature de l'oppression de la dynastie chinoise Qin aux nazis et aux ségrégationnistes du Sud. Dire que vous êtes différent parce que vous agissez pour défendre les autres est une rationalisation transparente et faible. Déclarer l'intolérance au nom de la tolérance capture le caractère très illogique de la gravure de livres.
RépondreSupprimerHeureusement, cela reste une petite minorité d'activistes, mais il y a un mouvement anti-liberté d'expression plus prononcé qui se développe dans ce pays et dans d'autres.
Ces actions ne font que prouver à nouveau ce qu'Albus Dumbledore a dit (et J.K. Rowlings a écrit): "Des temps sombres nous attendent et il y aura un moment où nous devrons choisir entre ce qui est facile et ce qui est juste."
https://www.zerohedge.com/political/rowlings-books-burned-or-banned-around-world-over-her-personal-views-gender
Le combat des dictateurs ('hommes de l'ombre') est forcément inégal: un nano-groupuscule contre plus de 7 milliards de cerveaux !
SupprimerReste donc les forces armées (comme de tous temps).
Donc: réduire le nombre de têtes pleines (Plus de 4% de surdoués dans le monde en l'an 2000 et plus de 1 milliard 20 ans après !).
D'où le tout-faire pour que les gens ne s'instruisent ! (voir la censure même sur Internet).
Le Royaume-Uni dévoile une amende de 13000 $ pour rupture de la quarantaine au milieu de la deuxième vague de Covid
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 21/09/2020 - 02:45
Le Royaume-Uni a été témoin d'un nouveau nombre record de cas de coronavirus signalés en une seule journée depuis mai samedi, enregistrant plus de 4420 infections confirmées.
Et maintenant, les autorités sont désespérées, menaçant de sévères mesures et sanctions d'application de la loi, la dernière étant que ceux dont le test est positif mais refusent de s'auto-mettre en quarantaine peuvent être condamnés à une amende allant jusqu'à 13000 dollars (ou 10000 livres).
Cela vient après que le Premier ministre Boris Johnson a confirmé que le pays subissait vendredi une deuxième vague d'infections "inévitable".
Via The Daily Records
«De toute évidence, nous examinons attentivement la propagation de la pandémie au fur et à mesure de son évolution au cours des derniers jours, et il ne fait aucun doute, comme je l'ai dit depuis plusieurs semaines maintenant, que nous pourrions nous attendre, et nous voyons maintenant, un deuxième vague à venir », a déclaré Johnson.
Il a évoqué les pics de nombre de cas observés en Espagne et en France voisines, affirmant qu'il était «absolument inévitable, j'en ai peur, que nous le voyions dans ce pays».
La nouvelle sanction sévère de l'équivalent d'une amende de 13000 $ prend effet d'ici la fin de ce mois, selon l'AP:
La nouvelle règle oblige les gens à s'auto-isoler s'ils sont testés positifs pour le coronavirus ou sont identifiés comme un contact étroit. La règle entre en vigueur le 28 septembre.
Le gouvernement aidera les personnes à faible revenu qui font face à une perte de revenus en raison de l'auto-isolement avec une pension alimentaire unique de 500 livres (633 $).
Au milieu des protestations incessantes à Londres de Britanniques qui en ont assez des libertés restreintes, y compris les mandats de masque et de distanciation sociale et les mesures de répression en matière de sécurité, les derniers commentaires du Premier ministre Johnson ont également fortement laissé entendre qu'un deuxième verrouillage est sur la table, comme Israël est en train de vivre.
«Je ne pense pas que quiconque veuille entrer dans un deuxième verrouillage, mais clairement quand vous regardez ce qui se passe, vous devez vous demander si nous devons aller plus loin que la règle de six que nous avons introduite lundi». Dit Johnson.
https://www.zerohedge.com/medical/uk-unveils-harsh-13000-fine-breaking-quarantine-amid-covid-2nd-wave
SupprimerIls ne citeront pas le nombre d'immigrants positifs !
Les chefs d'États sont-ils prévenus que s'ils bougent le petit doigt ("A bas les masques !") des drones risquent de larguer des flacons de virus ici ou là ?
SupprimerLes meilleurs et les pires états pour la liberté de l'école à la maison
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim, 20/09/2020 - 20:50
Soumis par Simon Black de Sovereign Man
La Pennsylvanie fait partie des États les plus restrictifs en ce qui concerne la liberté de scolariser vos enfants à la maison. L'État exige que les parents enseignent à leurs enfants des matières prescrites par l'État pendant 180 jours par an, pendant au moins 900 heures. Des tests doivent être administrés et le district doit évaluer l'enfant à la fin de chaque année scolaire. Des immunisations sont également requises.
Vous pouvez engager un tuteur à la place, mais ce ne sera pas bon marché car l’État exige que les tuteurs d’école à la maison aient les qualifications des enseignants. De plus, le tuteur doit enseigner uniquement aux enfants de la même famille immédiate.
Mais cette année, alors que COVID a fermé certaines écoles et obligé d'autres à apprendre à distance, le nombre d'enfants scolarisés à la maison a doublé dans tout le pays. Jusqu'à 10% des enfants sont maintenant scolarisés à la maison, selon un sondage Gallup - et cela n'inclut pas l'apprentissage à distance.
Certains parents en Pennsylvanie (et ailleurs) ont choisi de créer des «modules» d'enseignement à la maison où ils font équipe avec d'autres parents pour enseigner à la maison un certain nombre d'enfants de différentes familles.
Et la Pennsylvanie a répondu en émettant des règles de fonctionnement strictes pour ces pods, en commençant par l'exigence d'informer l'état de votre intention d'héberger un pod homeschooling.
Désormais, tout parent qui accueille des enfants pour un module d'apprentissage doit subir une vérification des antécédents et s'assurer qu'ils sont autorisés à gérer une «garderie résidentielle» dans leur région. Ils doivent également se conformer aux directives de l'État et du CDC en matière de distanciation sociale pendant leur scolarité à la maison.
L'État peut entasser autant d'enfants dans une classe qu'il le souhaite, mais les modules doivent avoir un adulte pour 12 jeunes enfants (ou 15 élèves plus âgés).
Les parents de pod doivent ouvrir leur maison au DHS si les services aux enfants viennent frapper, aucun mandat n'est requis. Et ils sont considérés comme des reporters obligatoires, ce qui signifie qu'ils pourraient être poursuivis pour ne pas avoir signalé les signes de maltraitance d'enfants.
Qu'est-ce que cela signifie:
Gardez à l'esprit que ces pods ne sont généralement pas composés d'étrangers aléatoires. Un parent pourrait héberger ces mêmes enfants pour une soirée pyjama sans nécessiter de vérification des antécédents et d'autorisation de l'État. Mais pour une raison quelconque, lorsqu'il s'agit d'apprendre, l'État s'insère soudainement dans la relation.
Et comme d'habitude, ces réglementations sont beaucoup plus dures pour les familles aux moyens financiers limités. Ainsi, au milieu d’une économie en ruine et du plus grand bouleversement du mode de vie dans la mémoire moderne, les parents doivent également se conformer aux réglementations simplement pour choisir la meilleure méthode pour l’éducation de leur famille.
RépondreSupprimerHeureusement, tous les États ne sont pas aussi stricts que la Pennsylvanie en ce qui concerne l'enseignement à domicile. En fait, la plupart sont beaucoup plus libres.
Que pouvez-vous faire à ce sujet:
Certains États ne réglementent pas du tout l’enseignement à la maison. Vous avez toute liberté pour éduquer vos enfants comme bon vous semble.
Les états «sans préavis» les plus libres sont: l'Alaska, l'Idaho, l'Indiana, l'Iowa, le Michigan, le Missouri, l'Oklahoma, le Texas et (et étonnamment) le Connecticut, l'Illinois et le New Jersey. Ces états n'autorisent aucun avis / règlement. Cela signifie que si vous n’inscrivez jamais vos enfants à l’école, vous n’avez pas à informer l’État que vous étudiez à la maison. En règle générale, cependant, vous devez officiellement retirer votre enfant de l'école publique si vous avez l'intention de passer à l'école à la maison. Et c'est tout. Apprenez à vos enfants comme bon vous semble.
16 États ont une faible réglementation: la Californie, le Nevada, l'Arizona, l'Utah et le Nouveau-Mexique entrent dans cette catégorie. Ces États exigent généralement que vous enregistriez votre intention de faire de l'école à la maison auprès d'un district scolaire (généralement votre district) avant l'année scolaire au cours de laquelle votre enfant atteint 6 ou 7 ans, selon l'état. Mais il y a généralement très peu d'autres exigences.
18 États ont une réglementation modérée. Cela nécessite une inscription, souvent chaque année. Ils ont également généralement des exigences de test. Cette catégorie comprend la Floride, la Virginie, le Colorado, l'Oregon et Washington.
Les États les plus restrictifs: Massachusetts, New York, Pennsylvanie, Rhode Island et Vermont. Ceux-ci nécessitent généralement un enregistrement, des tests, la soumission d'un programme annuel qui s'aligne sur les matières enseignées par l'État et parfois une preuve de vaccination.
Partout dans le monde, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, le Canada et le Royaume-Uni autorisent tous l'enseignement à domicile. Comme aux États-Unis, les exigences varient d'une région à l'autre dans chaque pays. Mais c'est une option.
https://www.zerohedge.com/markets/best-and-worst-states-homeschool-freedom
SupprimerDès lors que ce sont (ou seraient) les parents à enseigner ce qui ne comprennent même pas d'eux-mêmes...
et, que ce serait à l'Internet (aux sites d'informations censurés) qui prendrait le relais du maître...
Là, on sent déjà que çà sent pas la rose !
Alors quoi ? Alors... les parents seront mis au piloris de n'avoir conservé leurs études (s'ils en ont fait !) et retirés des marchés où leur papelard 'Diplôme de fin d'études' (HAHAHA !) sera foutu à la poubelle !
OBJET : CONTRIBUABLES ASSOCIÉS S'OPPOSE AU FINANCEMENT PUBLIC ET OBLIGATOIRE DES SYNDICATS !
RépondreSupprimerpar EUDES BAUFRETON
21/09/2020
Il n'y a que 8,8% de salariés qui sont syndiqués en France.
Alors que la France va assurément devoir faire face à une très grave crise économique qui mettra peut-être au chômage 1 million de travailleurs, la CGT appelle à la grève permanente …
Combien de travailleurs les syndicats vont-ils encore mettre au chômage ? Combien d'entreprises les syndicats vont-ils encore faire fermer ou mettre en grave difficulté ?
Nous faisons face à un véritable scandale. L'économie du pays n'a plus les moyens d'être tenue par une poignée de syndicalistes dans la revendication permanente, qui par leurs menaces empêchent nos dirigeants politiques de mettre en œuvre des réformes. Le « dialogue social » n'est qu'un prétexte à la soumission du pouvoir élu démocratiquement à la dictature des syndicats financés par les contribuables.
Comment la France peut-elle continuer à accepter que 8,8% de salariés syndiqués entrainent dans l'abîme le reste du pays ? Ce manque d'intérêt des travailleurs révèle le décalage entre les enjeux politiques défendus par des syndicats subventionnés et les attentes de travailleurs qui ne se sentent pas représentés.
Contribuables Associés se bat pour faire entendre sa voix. L'association vient de lancer une campagne et demande aujourd'hui que les ressources financières des syndicats se limitent aux seules cotisations des syndiqués.
Selon Eudes Baufreton, Directeur de Contribuables Associés, « nous ne pouvons pas nous permettre de financer des syndicats au taux de représentativité quasi nul, qui bloquent la France , altèrent l'économie de notre pays et fabriquent des chômeurs avec l'argent de nos impôts ».
Jean Castex doit reprendre en main le dossier du financement des syndicats. C'était une promesse d'Emmanuel Macron lors de sa campagne présidentielle de 2017. Il est temps de faire le ménage dans des pratiques qui n'ont que trop duré.
Contribuables Associés, première association de contribuables de France - apolitique, non partisane et non subventionnée - ; est engagée depuis 1990 pour la bonne maîtrise de la dépense publique pour une réduction des impôts.
Notre infographie sur les syndicats
- voir sur site :
http://www.economiematin.fr/news-financement-public-syndicats-cout-argent-contribuable-greve-baufreton
Les tremblements de terre sous-marins bouleversent la science du climat
RépondreSupprimerCOMMUNIQUÉ DE PRESSE 18-SEP-2020
INSTITUT DE TECHNOLOGIE DE CALIFORNIE
Bien que le changement climatique soit le plus évident pour les gens comme des journées d'hiver exceptionnellement chaudes ou la fonte des glaciers, pas moins de 95% de la chaleur supplémentaire piégée sur Terre par les gaz à effet de serre se trouve dans les océans du monde. Pour cette raison, la surveillance de la température des eaux océaniques a été une priorité pour les climatologues, et maintenant les chercheurs de Caltech ont découvert que les grondements sismiques sur le fond marin peuvent leur fournir un autre outil pour le faire.
Dans un nouvel article publié dans Science, les chercheurs montrent comment ils peuvent utiliser l'équipement de surveillance sismique existant, ainsi que les données sismiques historiques, pour déterminer à quel point la température des océans de la Terre a changé et continue de changer, même en profondeur. qui sont normalement hors de portée des outils conventionnels.
Ils le font en écoutant les sons des nombreux tremblements de terre qui se produisent régulièrement sous l'océan, explique Jörn Callies, professeur adjoint de sciences et d'ingénierie de l'environnement à Caltech et co-auteur de l'étude. Callies dit que ces sons de tremblement de terre sont puissants et parcourent de longues distances à travers l'océan sans s'affaiblir considérablement, ce qui les rend faciles à surveiller.
Wenbo Wu, chercheur postdoctoral en géophysique et auteur principal de l'article, explique que lorsqu'un tremblement de terre se produit sous l'océan, la plus grande partie de son énergie traverse la terre, mais une partie de cette énergie est transmise dans l'eau sous forme de son. Ces ondes sonores se propagent vers l’extérieur depuis l’épicentre du séisme, tout comme les ondes sismiques qui traversent le sol, mais les ondes sonores se déplacent à une vitesse beaucoup plus lente. En conséquence, les ondes de sol arriveront d'abord à une station de surveillance sismique, suivies des ondes sonores, qui apparaîtront comme un signal secondaire du même événement. L'effet est à peu près similaire à la façon dont vous pouvez souvent voir le flash à partir de quelques secondes d'éclair avant d'entendre son tonnerre.
«Ces ondes sonores dans l'océan peuvent être clairement enregistrées par des sismomètres à une distance beaucoup plus longue que le tonnerre - à des milliers de kilomètres de distance», dit Wu. «Fait intéressant, ils sont encore plus« forts »que les vibrations qui voyagent profondément dans la Terre solide, qui sont plus largement utilisées par les sismologues.»
La vitesse du son dans l’eau augmente à mesure que la température de l’eau augmente. L’équipe a donc réalisé que le temps qu’il faut à un son pour parcourir une distance donnée dans l’océan peut être utilisé pour déduire la température de l’eau.
«La clé est que nous utilisons des tremblements de terre à répétition - des tremblements de terre qui se produisent encore et encore au même endroit», dit-il. «Dans cet exemple, nous examinons les tremblements de terre qui se produisent au large de Sumatra en Indonésie, et nous mesurons leur arrivée dans le centre de l'océan Indien. Il leur faut environ une demi-heure pour parcourir cette distance, la température de l'eau entraînant une différence d'environ un dixième de seconde. Il s’agit d’un très petit changement fractionnaire, mais nous pouvons le mesurer. »
RépondreSupprimerWu ajoute que, comme ils utilisent un sismomètre qui se trouve au même endroit dans le centre de l'océan Indien depuis 2004, ils peuvent revenir sur les données collectées chaque fois qu'un tremblement de terre s'est produit à Sumatra, par exemple, et ainsi déterminer la température de l'océan en même temps.
«Nous utilisons de petits tremblements de terre qui sont trop petits pour causer des dommages ou même être ressentis par les humains», dit Wu. «Mais le sismomètre peut les détecter à de grandes distances, ce qui nous permet de surveiller les changements de température de l'océan à grande échelle sur un trajet particulier en une seule mesure.»
Callies affirme que les données qu'ils ont analysées confirment que l'océan Indien s'est réchauffé, comme l'ont indiqué d'autres données collectées par d'autres méthodes, mais qu'il pourrait se réchauffer encore plus rapidement que prévu.
«L'océan joue un rôle clé dans la vitesse à laquelle le climat change», dit-il. «L'océan est le principal réservoir d'énergie du système climatique, et l'océan profond en particulier est important à surveiller. L'un des avantages de notre méthode est que les ondes sonores échantillonnent des profondeurs inférieures à 2000 mètres, là où il y a très peu de mesures conventionnelles.
En fonction de l'ensemble de données précédentes auquel ils comparent leurs résultats, le réchauffement des océans semble être jusqu'à 69 pour cent supérieur à ce que l'on croyait. Cependant, Callies met en garde de ne pas tirer de conclusions immédiates, car davantage de données doivent être collectées et analysées.
Comme les tremblements de terre sous-marins se produisent partout dans le monde, Callies dit qu'il devrait être possible d'étendre le système que lui et ses collègues chercheurs ont développé afin qu'il puisse surveiller la température de l'eau dans tous les océans. Wu ajoute que parce que la technique utilise les infrastructures et équipements existants, elle est relativement peu coûteuse.
«Nous pensons que nous pouvons le faire dans de nombreuses autres régions», déclare Callies. «Et ce faisant, nous espérons contribuer aux données sur le réchauffement de nos océans.»
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L'article décrivant la recherche, intitulé «Sismic Ocean Thermometry», paraît dans le numéro du 18 septembre de Science. Les co-auteurs sont Wenbo Wu, chercheur postdoctoral en géophysique; Zhongwen Zhan (PhD ’13), professeur adjoint de géophysique; et Shirui Peng, étudiante diplômée en sciences et ingénierie de l'environnement, toutes de Caltech; et Sidao Ni (MS ’98, PhD ’01) de l’Institut de géodésie et de géophysique de l’Académie chinoise des sciences.
From EurekAlert!
https://www.eurekalert.org/pub_releases/2020-09/ciot-ues091820.php
SupprimerEffectivement les mers & océans couvrent plus de 78 % de la surface de notre planète et, les sismologues ne s'occupent que des sismographes terrestres !
Or, il n'y a pas qu'à Fukushima que se produisent (tous les jours !!) des tremblement de terre aux planchers maritimes ou océaniques. Ils déplacent continuellement les milliers (millions ?) de sources chaudes qui réchauffent les lames de fonds et ressortent aux côtes en embonpoint atmosphérique.
C'est pourquoi, malgré les millions de photos satellites positionnées sur les eaux l'on ne peut prévoir (d'après mémoires photographiques) le temps qu'il fera demain !
Et oui ! C'est comme çà que ça se passe !
Des éruptions plus ou moins fortes ici ou là modifient continuellement le climat terrestre par ces élévations de températures qui activent les vents plus ou moins forts !
Les astronomes découvrent une "planète pi" de la taille de la Terre avec une orbite de 3,14 jours
RépondreSupprimerLe monde rocheux, avec sa surface chaude, n'est probablement pas habitable.
MASSACHUSETTS INSTITUTE OF TECHNOLOGY
21-SEP-2020
Dans un délicieux alignement de l'astronomie et des mathématiques, des scientifiques du MIT et d'ailleurs ont découvert une «pi Earth» - une planète de la taille de la Terre qui tourne autour de son étoile tous les 3,14 jours, dans une orbite rappelant la constante mathématique universelle.
Les chercheurs ont découvert des signaux de la planète dans des données prises en 2017 par la mission K2 du télescope spatial Kepler de la NASA. En se concentrant sur le système plus tôt cette année avec SPECULOOS, un réseau de télescopes au sol, l'équipe a confirmé que les signaux provenaient d'une planète en orbite autour de son étoile. Et en effet, la planète semble encore encercler son étoile aujourd'hui, avec une période de type pi, tous les 3,14 jours.
«La planète bouge comme une horloge», déclare Prajwal Niraula, étudiant diplômé du Département des sciences de la Terre, de l'atmosphère et des planètes (EAPS) du MIT, auteur principal d'un article publié aujourd'hui dans l'Astronomical Journal, intitulé: «p Earth: une planète de la taille de la Terre de 3,14 jours de la cuisine de K2 servie chaude par l'équipe SPECULOOS. "
"Tout le monde a besoin d'un peu de plaisir ces jours-ci", déclare le co-auteur Julien de Wit, à la fois du titre de l'article et de la découverte de la planète pi elle-même.
Extraction de planètes
La nouvelle planète est étiquetée K2-315b; c'est le 315ème système planétaire découvert dans les données K2 - juste un système à l'écart d'un endroit encore plus fortuit sur la liste.
Les chercheurs estiment que K2-315b a un rayon de 0,95 celui de la Terre, ce qui en fait à peu près la taille de la Terre. Il tourne autour d'une étoile fraîche de faible masse qui mesure environ un cinquième de la taille du soleil. La planète fait le tour de son étoile tous les 3,14 jours, à une vitesse fulgurante de 81 kilomètres par seconde, soit environ 181 000 miles par heure.
Bien que sa masse reste à déterminer, les scientifiques soupçonnent que K2-315b est terrestre, comme la Terre. Mais la planète pi n'est probablement pas habitable, car son orbite serrée la rapproche suffisamment de son étoile pour chauffer sa surface jusqu'à 450 kelvins (450 Kelvins = 176,85 Celsius), soit environ 350 degrés Fahrenheit - parfait, en fait, pour cuire une tarte réelle.
«Ce serait trop chaud pour être habitable dans la compréhension commune de la phrase», dit Niraula, qui ajoute que l'excitation autour de cette planète particulière, en dehors de ses associations avec la constante mathématique pi, est qu'elle peut s'avérer un candidat prometteur pour étudier les caractéristiques de son atmosphère.
"Nous savons maintenant que nous pouvons exploiter et extraire des planètes à partir de données d'archives, et nous espérons qu'il n'y aura plus de planètes laissées pour compte, en particulier ces planètes vraiment importantes qui ont un impact élevé", déclare de Wit, professeur adjoint à l'EAPS, et un membre de l'Institut Kavli du MIT pour l'astrophysique et la recherche spatiale.
Les co-auteurs du MIT de Niraula et de Wit incluent Benjamin Rackham et Artem Burdanov, ainsi qu'une équipe de collaborateurs internationaux.
RépondreSupprimerPlonge dans les données
Les chercheurs sont membres de SPECULOOS, un acronyme pour The Search for habitable Planets EClipsing ULtra-cOOl Stars, et nommé d'après un réseau de quatre télescopes de 1 mètre dans le désert d'Atacama au Chili, qui balaient le ciel à travers l'hémisphère sud. Plus récemment, le réseau a ajouté un cinquième télescope, qui est le premier à être situé dans l'hémisphère nord, nommé Artemis - un projet dirigé par des chercheurs du MIT.
Les télescopes SPECULOOS sont conçus pour rechercher des planètes semblables à la Terre autour de naines ultracool à proximité, de petites étoiles sombres qui offrent aux astronomes une meilleure chance de repérer une planète en orbite et de caractériser son atmosphère, car ces étoiles n'ont pas l'éblouissement de beaucoup plus grandes et plus brillantes. étoiles.
«Ces nains ultracool sont dispersés dans le ciel», dit Burdanov. «Les levés ciblés au sol comme SPECULOOS sont utiles car nous pouvons examiner ces nains ultracool un par un.
En particulier, les astronomes regardent les étoiles individuelles pour des signes de transits, ou des creux périodiques dans la lumière d'une étoile, qui signalent une possible planète traversant devant l'étoile et bloquant brièvement sa lumière.
Plus tôt cette année, Niraula est tombé sur une naine fraîche, légèrement plus chaude que le seuil communément accepté pour une naine ultracool, dans les données collectées par la campagne K2 - la deuxième mission d'observation du télescope spatial Kepler, qui surveillait des éclats de ciel alors que le vaisseau spatial tournait en orbite. autour du Soleil.
Pendant plusieurs mois en 2017, le télescope Kepler a observé une partie du ciel qui incluait la naine froide, étiquetée dans les données K2 comme EPIC 249631677. Niraula a passé au peigne fin cette période et a trouvé environ 20 creux dans la lumière de cette étoile, ce qui semblait répéter tous les 3,14 jours.
L'équipe a analysé les signaux, testé différents scénarios astrophysiques potentiels pour leur origine, et a confirmé que les signaux provenaient probablement d'une planète en transit et non d'un produit de certains autres phénomènes tels qu'un système binaire de deux étoiles en spirale.
Les chercheurs ont alors prévu de regarder de plus près l'étoile et sa planète en orbite avec SPECULOOS. Mais d'abord, ils devaient identifier une fenêtre de temps où ils seraient sûrs de prendre un transit.
"Clouer la meilleure nuit pour effectuer un suivi depuis le sol est un peu délicat", déclare Rackham, qui a développé un algorithme de prévision pour prédire quand un transit pourrait se produire ensuite. "Même lorsque vous voyez ce signal de 3,14 jours dans les données K2, il y a une incertitude à cela, qui s'ajoute à chaque orbite."
Avec l'algorithme de prévision de Rackham, le groupe s'est resserré sur plusieurs nuits de février 2020 au cours desquelles ils étaient susceptibles de voir la planète traverser devant son étoile. Ils ont ensuite pointé les télescopes de SPECULOOS en direction de l'étoile et ont pu voir trois transits clairs: deux avec les télescopes de l'hémisphère sud du réseau, et le troisième depuis Artemis, dans l'hémisphère nord.
RépondreSupprimerLes chercheurs affirment que la nouvelle planète pi pourrait être un candidat prometteur pour le suivi du télescope spatial James Webb (JWST), pour voir les détails de l'atmosphère de la planète. Pour l'instant, l'équipe examine d'autres ensembles de données, tels que la mission TESS de la NASA, et observe également directement le ciel avec Artemis et le reste du réseau SPECULOOS, à la recherche de signes de planètes semblables à la Terre.
"Il y aura des planètes plus intéressantes dans le futur, juste à temps pour JWST, un télescope conçu pour sonder l'atmosphère de ces mondes extraterrestres", dit Niraula. "Avec de meilleurs algorithmes, nous espérons qu'un jour nous pourrons rechercher des planètes plus petites, même aussi petites que Mars."
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Cette recherche a été soutenue en partie par la Fondation Heising-Simons et le Conseil européen de la recherche.
https://www.eurekalert.org/pub_releases/2020-09/miot-ada092120.php
1 an en 3,14 jours ! Soit un peu plus de 116 ans par an-terrestre !
SupprimerSoit un homme de 80 ans terrestres aurait là-bas 9299 ans !
Vitesse de tournoiement: 291600 km/h faut s'accrocher ! (La Terre ne tourne qu'à 1700 km/h à l'Équateur et 1100 km/h à la latitude française).
Lyon instaure de nouvelles restrictions pour freiner l'épidémie de Covid-19
RépondreSupprimer15:46 21.09.2020
Par Youlia Zvantsova
Face à la recrudescence des cas de Covid-19 dans la région Auvergne-Rhône-Alpes et le département du Rhône, le préfet, Pascal Mailhos, a annoncé le durcissement des mesures sanitaires, notamment l’annulation de la Foire de Lyon.
De nouvelles mesures ont été prévues ce 21 septembre à Lyon par le préfet de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du département du Rhône, Pascal Mailhos, pour freiner la propagation du Covid-19.
Ainsi, la jauge maximum autorisée est abaissée à 1.000 personnes, contre 5.000 personnes jusqu’à présent et certains événements seront annulés, comme la Foire de Lyon, qui devait se tenir du 9 au 12 octobre à Eurexpo. En outre, le port du masque reste obligatoire dans l'espace public à Lyon en permanence.
Pascal Mailhos a également indiqué qu’il fallait «limiter les réunions familiales et privées à 10 personnes maximum».
Dix nouvelles villes du Rhône sont concernées par l'obligation de port du masque de six heures à deux heures du matin dans la rue. Par ailleurs, les fêtes foraines, brocantes, vide-greniers sont désormais interdits. Le port du masque est étendu aux abords des salles de sport, de spectacle et parkings de centres commerciaux.
La situation reste inchangée dans l'hôtellerie-restauration, mais le préfet a déclaré que les établissements qui ne respecteraient pas strictement les conditions sanitaires seraient fermés.
L'épidémie
Lyon recense 213 cas positifs pour 100.000 habitants, le record ayant été enregistré à Villeurbanne avec 242 cas positifs, a indiqué Jean-Yves Grall, directeur de l'Agence régionale de santé, révélant également un retour des décès et un vieillissement des cas positifs jusqu'alors dans la tranche 20-45 ans.
Le chiffre record de 13.498 cas supplémentaires a été enregistré en France le 19 septembre. Le lendemain, bien qu’il ait baissé, il est resté très élevé, avec 10.569 cas de contamination supplémentaires en 24 heures.
https://fr.sputniknews.com/france/202009211044461801-lyon-instaure-de-nouvelles-restrictions-pour-freiner-lepidemie-de-covid-19/
Sachant qu'AVEC ou SANS masque* nous respirons toutes & tous 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique, nous sommes TOUTES et TOUS porteurs/porteuses de virus staphylocoque, corona ou autres !
SupprimerMais, nous sommes TOUTES & TOUS des porteurs sains car notre organisme les combat. Or, lors d'examens de réceptivité sont donc révélés que nous avons toutes & tous du corona en nous. D'où l'idiotie de la panique traumatique volontairement exagérée de mortalité dans les prochains jours.
*Il ne peut exister de masque dit 'antivirus' because que le maillage le plus fin (N95 ou FFP2/masque 'bec de canard' avec valve d'expiration) est de 3 µ alors que le virus ne mesure que 0,7 micron !
Plus fin que çà l'air ne passe pas ! Autant dire de se mettre un sac en plastique sur la tête !
TOUS les masques (blancs et bleus) vendus en pharmacies ou grandes surfaces ne sont que des masques anti-poussières QUI NE PROTÈGENT ni de l'entrée ni de la sortie de virus ! (Demandez au pharmaciens, docteurs, etc).
Masque obligatoire : vivons-nous déjà dans la science-fiction ?
RépondreSupprimerle 21 septembre 2020
Les mesures de distanciation sociale et le port du masque anti-Covid, s’ajoutant à l’usage quotidien des technologies connectées, dessinent un monde déshumanisé, aseptisé et «hyper-contrôlé», selon l’essayiste Eric Verhaeghe.
Par un curieux mouvement de pensée, les pouvoirs publics se sont efforcés d’affirmer que la «rentrée» de cette semaine était «normale». Brutalement, on se demande si la société que nous craignions de voir advenir, il y a 30 ou 40 ans, celle d’un futur aseptisé, hyper-technologisée et déshumanisée, n’est finalement pas notre actualité la plus terrible.
Il fallait lire les propos rassurants du ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, et ceux du Premier ministre, Jean Castex, sur la rentrée «sereine» ou la plus normale possible pour capter cet étrange mouvement de la pensée qui anime désormais nos élites : nous persuader que porter un masque pour tout déplacement hors de son domicile, que vivre sous une surveillance sanitaire permanente, avec des statistiques quotidiennes de contagion, est une vie «normale». Et soudain, ce discours nous interroge sur la survenue d’un futur qui, dans le cinéma populaire du XXe siècle, était présenté comme un destin anxiogène mais évitable. Au fond, le cauchemar se réalise, et nous sommes priés de l’admettre comme normal.
Vie d’enfants, vie de science-fiction Après le confinement, dans la semaine où ma fille de sept ans est retournée à l’école, elle s’est employée à réorganiser l’appartement en tenant compte des normes sanitaires désormais imposées par le gouvernement. Elle avait dessiné sur le sol des zones avec des distances à respecter et des circuits de circulation. Le vocabulaire de la prophylaxie officielle n’a désormais plus aucun secret pour elle : les gestes barrières, le virus, et même le combat anti-bactérien, lui sont beaucoup plus familiers que le Petit Prince. Tous les films de science-fiction que nous avions vus se réalisent avec une déconcertante rapidité et facilité.
L’une des marques laissées dans nos épidermes par le virus sera bien celle-là : les enfants en savent désormais beaucoup plus, au moins au même âge, que leurs parents sur les maladies, les contaminations et les moyens de s’en protéger. Dans notre enfance, nous avions peur qu’un jour notre vie bascule dans une spirale sanitaire. Et cette spirale est en cours. Tous les films de science-fiction que nous avions vus se réalisent avec une déconcertante rapidité et facilité. Ce qui était une angoisse d’enfant est devenu la réalité de nos enfants. La déshumanisation, c’est maintenant Donc, nos enfants grandissent désormais dans un monde où tous les contacts sont le plus limités ou intermédiés possible. Il n’est plus question de s’embrasser (manie qui, il est vrai, avait pris trop de place) pour se saluer, ni de se serrer la main, ni de se toucher. Il n’est plus question de sympathiser au bar, au restaurant, au bistrot, avec ses voisins de table. Cette désocialisation s’ajoute aux manies venues des films futuristes. Une montre connectée au poignet, un téléphone cellulaire dans la poche, l’humain d’aujourd’hui est déjà plus proche du héros de Soleil vert ou de l’Âge de Cristal que de nos parents. Partout où il est, il peut converser avec un interlocuteur situé à l’autre bout du monde sans avoir le droit de parler à son voisin direct qu’il ne connaît pas. Il peut suivre en direct son pouls, sa tension, recevoir des messages personnalisés l’invitant à modérer son comportement de telle ou telle façon (marcher plus, travailler moins, ne pas s’endormir). Il est déjà cet humain amélioré qu’on voyait dans des séries à succès. Et pour comble, cet humain évolue comme on nous le montrait, comme on le craignait, dans l’enfer aseptisé et hyper-contrôlé qui paraissait impossible à admettre. Mais essayez donc d’entrer en contact avec une personne du sexe opposé aujourd’hui, essayez de prendre la parole en public pour exprimer votre point de vue, et vous vous apercevez qu’une grande mécanique de répression se met en place. La réalité est que, forts de nos communications virtuelles permanentes, nous bannissons peu à peu la «liquidité sociale», ce contact spontané et physique entre les individus, au gré des rencontres et au hasard des rues. La déshumanisation est déjà bien entamée. Organiser d’ores et déjà la résistance clandestine ! Face à ce monde monstrueux qui s’annonce, il devient urgent d’organiser la résistance. C’est tout un mode de vie humain et humanisé que nous devons désormais préserver pour le transmettre à nos enfants, sans quoi leur paradigme de référence sera bien cette société normalisée, aseptisée, hyper-contrôlée, où la spontanéité des rapports humains est vécue comme suspecte, voire coupable et répréhensible.
RépondreSupprimerDans les mois qui viennent, il faudra retrouver le sens de la parole «immédiate», c’est-à-dire l’art de parler à des inconnus dans la rue, de parler de tout et de rien, de commenter le temps qu’il fait ou le dernier match de football. Il faudra réapprendre à se rencontrer au café, dans le métro, sur un bout de trottoir, sans «speed dating» organisé par un site payant. Il faudra réapprendre à vivre le quotidien ensemble. Comme si nous formions une société humaine avec un projet commun et des choses à partager entre nous. Le drame est sans doute que, en écrivant ces choses simples et évidentes, on se dit tout bas qu’il y aura du boulot pour y arriver.
Source : https://francais.rt.com/opinions/78489-masque-obligatoire-vivons-nous-deja-science-fiction-eric-verhaeghe
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/21/masque-obligatoire-vivons-nous-deja-dans-la-science-fiction/
L'HORREUR est de ne rencontrer QUE des gens masqués !
SupprimerPlus connaître/reconnaître personne !
Croiser des masques !
Finie la drague, les rencontres d'une amie !
Parler à quelqu'un !
On ne rencontre que des cons ! Un troupeau de cons !