- ENTREE de SECOURS -



dimanche 27 septembre 2020

LA SCOUMOUNE (1972) - Jean-Paul Belmondo, Claudia Cardinale, Michel Constantin

https://www.youtube.com/watch?v=iPYP50owUP8

44 commentaires:

  1. Qui a manipulé les décideurs politiques dans la gestion de la grippe coronavirale ?


    le 27 septembre 2020


    Il me paraît important pour initier cette réflexion d’insister sur un premier point dont personne n’a fait mention : où est passée en Europe, en Extrême-Orient et en Amérique du Nord la grippe saisonnière à virus Influenza durant les 5 premiers mois de cette année 2020 ? Et pourquoi, si cette grippe saisonnière coexistait avec la grippe coronavirale, n’en a-t-on jamais parlé ? Ces questions naïves que peut se poser n’importe quel non-spécialiste des maladies à virus (dont je fais partie) soulèvent donc un problème important : comment peut-on accorder la moindre confiance dans les statistiques angoissantes répétées jusqu’à la nausée durant toute cette période, de janvier à mai, au sujet de l’extrême dangerosité du coronavirus ? Si les statisticiens de l’administration de la santé, dans tous les pays occidentaux, ont mélangé tous les cas de grippes, cette manipulation a certainement été décidée dans un but précis. De plus il s’agit d’une malhonnêteté qui a conduit à une catastrophe économique et sociale dans les pays d’Europe les plus touchés, je veux dire l’Italie, la France, l’Espagne, la Belgique, l’Autriche et la Grande-Bretagne dont les gouvernements n’ont pas envisagé un seul instant que le confinement strict de l’ensemble de la population allait provoquer une crise économique très grave dont on ne ressent aujourd’hui que les premiers effets : la vraie crise, le plat de résistance, ce sera pour cet automne.

    Non seulement il n’y a eu aucune modification sensible du nombre de morts ou de cas à la suite de ce confinement mais le manque de prévoyance des gouvernements a complètement discrédité ces derniers aux yeux du public. L’une des explications possibles de la mise en place de ces confinements dignes d’une peste noire moyenâgeuse aurait pu être de faire trainer l’épidémie pour que les gros et moins gros laboratoires pharmaceutiques aient tout le loisir de trouver une ou plusieurs molécules anti-virales « nouvelles » (les vieilles molécules ne sont plus à la mode et ne coûtent rien) qui seraient mises sur le marché dans l’urgence, sans respecter les moindres règles de l’éthique, pour juguler l’épidémie pour laquelle ces mêmes gouvernements entretenaient quotidiennement la peur et l’angoisse des peuples. La seule molécule étant supposée avoir un effet sur le coronavirus s’est révélée être toxique dans 15 % des cas en provoquant des lésions rénales irréversibles sans présenter d’efficacité antivirale avérée. Ces confinements ont-ils été, donc, suggérés aux décideurs politiques par les grands laboratoires pharmaceutiques ? Je me pose la question sans y apporter de réponse claire.

    Il y a pire au sujet de ces nouveaux antiviraux supposés d’une rare efficacité alors qu’aucune étude détaillée n’avait été effectuée : les laboratoires pharmaceutiques avaient un espoir de réaliser d’immenses profit et c’est pourquoi, sans être « complotiste », je suppose que le lobby de l’industrie pharmaceutique a fait son travail pour créer le conflit franco-français absurde et choquant au sujet de l’hydroxychloroquine dans le seul but de dénigrer cette molécule prescrite par ailleurs à des milliards de personnes dans le monde. Je pense que de nombreux dirigeants politiques français ne doivent pas avoir la conscience tranquille.

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  2. Parallèlement et depuis que la séquence de l’ARN du virus a été rendue publique dès le mois de janvier 2020 ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont développé par diverses approches expérimentales des candidats pour une vaccination de masse, source de gigantesques profits potentiels pouvant atteindre des centaines de milliards de dollars. Or la mise au point d’un vaccin ne se fait pas d’un coup de baguette magique et une nouvelle fois les gouvernements des pays qui ont le plus mal géré l’épidémie hivernale de 2020 ont décidé d’entretenir à nouveau la peur en utilisant cette fois d’autres arguments grossiers comme une deuxième vague l’hiver prochain ou un accroissement alarmant du nombre de personnes porteuses du virus. C’est exactement ce à quoi on assiste en ce moment par exemple en France, en Espagne et en Italie ou encore en Israël, pays dont le gouvernement a décrété à la hâte un nouveau confinement afin d’enrayer la progression du nombre de nouveaux cas en oubliant de mentionner qu’il n’y a pratiquement plus de décès provoqués de manière non équivoque par ce coronavirus.

    Le cas de la France est caricatural :


    Après avoir déclaré l’hydroxychloroquine toxique voire mortelle alors qu’elle est prescrite à plusieurs milliards de personnes dans le monde, je le rappelle, puis avoir interdit aux médecins de la prescrire – ce qui est totalement contraire à la loi – et enfin aux pharmaciens de la vendre sans ordonnance circonstanciée, une accumulation d’évidences indiquant que la totalité du gouvernement français est vendu aux intérêts du lobby de la pharmacie, y compris le président, alors aujourd’hui la caste parisienne dominante (ou croyant être dominatrice) oblige la ville de Marseille à respecter des mesures liberticides à la population et aux autres petits commerces au bord de la faillite comme si elle voulait punir le Professeur Didier Raoult, le trouble fait numéro un de l’agenda du cartel apatride de la pharmacie. La France n’est plus gouvernée par des politiciens intègres mais par des mafieux du plus mauvais genre. Alors il n’y a plus qu’une solution aux politiciens en place : faire respecter la loi par la force ou bidouiller encore et encore les chiffres pour entretenir la peur.

    Il faut en effet continuer à entretenir cette peur pour préparer la population à la vaccination obligatoire qui fait déjà partie de l’agenda des grands groupes pharmaceutiques pour la plus grande satisfaction de leurs actionnaires, dont les banques, cela va de soi. Oublié le fait que ce virus n’a pas provoqué plus de morts qu’une grippe saisonnière classique, oubliées les manipulations statistiques honteuses pour entretenir la peur, oubliées les libertés individuelles, il faut que les gouvernements satisfassent les désirs (qui sont des ordres) du lobby pharmaceutique mondial. Si les politiciens n’étaient pas aussi corrompus par la finance et les grands groupes industriels ils défendraient la liberté des citoyens, mais ils ont déjà aliénés la leur, le pistolet des banquiers et des grands groupes industriels sur la tempe, alors ils ne savent plus ce que signifie le mot liberté … (à suivre)

    Publié dans actualité | Mots-clefs : France, grippe coronavirale, hydroxychloroquine | Laisser une réponse
    Mortalité par Covid-19 : la pire fraude de ces cent dernières années
    Publié le 26 septembre 2020
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    Ce mois-ci, le Dr Ronald B.Brown a publié un article audacieux dans Disaster Medicine and Public Health Preparedness, intitulé de manière limpide : « Les leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité par coronavirus » (lien en fin de billet).

    - voir graphique sur site -

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  3. « Le sujet de cet article est pour le moins perturbateur, bien que ce ne soit pas aussi évident d’après le titre », a dit le Dr Brown, « Le manuscrit cite l’arme du crime, des preuves documentées montrant que la réaction excessive du public et des dirigeants politiques à la pandémie de coronavirus était basée sur la pire erreur de calcul de l’histoire de l’humanité, à mon avis. Mon manuscrit a fait l’objet d’un processus intensif d’examen par les pairs ». Il n’est malheureusement pas surprenant que les médias n’aient pas fait sonner le téléphone du Dr Brown avec des demandes d’entrevue. Le résumé, en lui-même, contient une bombe où il dit :

    « Les résultats de cette évaluation critique révèlent un biais d’information et un biais de sélection dans la surestimation de la mortalité due aux coronavirus, biais probablement causés par une mauvaise classification d’un taux de mortalité par infection grippale (IFR, infection fatality rate) en tant que taux de mortalité par cas (CFR, case fatality rate) ».

    N’est-ce pas ce que nous avons vu ? Le nombre de personnes qui, selon eux, seraient enterrées dans des tombes communes du COVID-19 reflète mieux le nombre de personnes qui se sont simplement retrouvées avec une toux et de la fièvre. Le Dr Brown a ajouté que les documents des CDC et de l’OMS montrent que le taux de létalité pour la grippe était similaire à celui du coronavirus, ce qui implique que les confinements autoritaires étaient inutiles. Son article se demande pourquoi la saison grippale 2017-2018 aux États-Unis n’a pas « reçu la même couverture médiatique intensive que le COVID-19 ».

    Il souligne que « la fiabilité des tests de coronavirus précipités en production pendant la pandémie était inconnue ». Et il explore comment les médias ont commencé récemment à se concentrer sur une augmentation des cas de coronavirus tout en ignorant la diminution des taux de mortalité. Une grande partie de l’article examine comment les confinements et la distanciation (anti)sociale ont probablement eu peu ou pas d’effet sur la réduction des décès dus au COVID-19. Il dit que « la croyance du public selon laquelle les mesures d’atténuation de l’épidémie étaient responsables de la réduction de la mortalité due aux coronavirus peut être une erreur a posteriori si la baisse de la mortalité était en réalité due à la surestimation des décès dus aux coronavirus ».

    S’exprimant sur les dommages causés par les contre-mesures, Brown écrit : « L’éthique de la mise en œuvre de campagnes de santé publique fondées sur la peur doit être réévaluée en regard du préjudice potentiel que ces stratégies peuvent causer ». Son rapport comprend ce schéma sur la façon dont nous avons tous été désinformés :

    Vous pouvez lire l’article complet de Brown. Il rejette succinctement l’idée que le cas du coronavirus a quelque chose à voir avec le bien-être du peuple. Comme l’a averti Albert Camus : « Le bien-être du peuple en particulier a toujours été l’alibi des tyrans, et il offre l’avantage supplémentaire de donner aux serviteurs de la tyrannie une bonne conscience ».

    Source : https://doi.org/10.1017/dmp.2020.298 (accès libre)

    Note à l’intention de mes fidèles lecteurs. Dans un prochain billet je tenterai d’expliquer aussi objectivement que possible quelle est la cause sous-jacente de ce scandale sanitaire planétaire qui affecte des milliards de personnes encore aujourd’hui.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/27/qui-a-manipule-les-decideurs-politiques-dans-la-gestion-de-la-grippe-coronavirale/

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  4. Qui a manipulé les décideurs politiques dans la gestion de la grippe coronavirale ?


    le 27 septembre 2020


    Il me paraît important pour initier cette réflexion d’insister sur un premier point dont personne n’a fait mention : où est passée en Europe, en Extrême-Orient et en Amérique du Nord la grippe saisonnière à virus Influenza durant les 5 premiers mois de cette année 2020 ? Et pourquoi, si cette grippe saisonnière coexistait avec la grippe coronavirale, n’en a-t-on jamais parlé ? Ces questions naïves que peut se poser n’importe quel non-spécialiste des maladies à virus (dont je fais partie) soulèvent donc un problème important : comment peut-on accorder la moindre confiance dans les statistiques angoissantes répétées jusqu’à la nausée durant toute cette période, de janvier à mai, au sujet de l’extrême dangerosité du coronavirus ? Si les statisticiens de l’administration de la santé, dans tous les pays occidentaux, ont mélangé tous les cas de grippes, cette manipulation a certainement été décidée dans un but précis. De plus il s’agit d’une malhonnêteté qui a conduit à une catastrophe économique et sociale dans les pays d’Europe les plus touchés, je veux dire l’Italie, la France, l’Espagne, la Belgique, l’Autriche et la Grande-Bretagne dont les gouvernements n’ont pas envisagé un seul instant que le confinement strict de l’ensemble de la population allait provoquer une crise économique très grave dont on ne ressent aujourd’hui que les premiers effets : la vraie crise, le plat de résistance, ce sera pour cet automne.

    Non seulement il n’y a eu aucune modification sensible du nombre de morts ou de cas à la suite de ce confinement mais le manque de prévoyance des gouvernements a complètement discrédité ces derniers aux yeux du public. L’une des explications possibles de la mise en place de ces confinements dignes d’une peste noire moyenâgeuse aurait pu être de faire trainer l’épidémie pour que les gros et moins gros laboratoires pharmaceutiques aient tout le loisir de trouver une ou plusieurs molécules anti-virales « nouvelles » (les vieilles molécules ne sont plus à la mode et ne coûtent rien) qui seraient mises sur le marché dans l’urgence, sans respecter les moindres règles de l’éthique, pour juguler l’épidémie pour laquelle ces mêmes gouvernements entretenaient quotidiennement la peur et l’angoisse des peuples. La seule molécule étant supposée avoir un effet sur le coronavirus s’est révélée être toxique dans 15 % des cas en provoquant des lésions rénales irréversibles sans présenter d’efficacité antivirale avérée. Ces confinements ont-ils été, donc, suggérés aux décideurs politiques par les grands laboratoires pharmaceutiques ? Je me pose la question sans y apporter de réponse claire.

    Il y a pire au sujet de ces nouveaux antiviraux supposés d’une rare efficacité alors qu’aucune étude détaillée n’avait été effectuée : les laboratoires pharmaceutiques avaient un espoir de réaliser d’immenses profit et c’est pourquoi, sans être « complotiste », je suppose que le lobby de l’industrie pharmaceutique a fait son travail pour créer le conflit franco-français absurde et choquant au sujet de l’hydroxychloroquine dans le seul but de dénigrer cette molécule prescrite par ailleurs à des milliards de personnes dans le monde. Je pense que de nombreux dirigeants politiques français ne doivent pas avoir la conscience tranquille.

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  5. Parallèlement et depuis que la séquence de l’ARN du virus a été rendue publique dès le mois de janvier 2020 ces mêmes laboratoires pharmaceutiques ont développé par diverses approches expérimentales des candidats pour une vaccination de masse, source de gigantesques profits potentiels pouvant atteindre des centaines de milliards de dollars. Or la mise au point d’un vaccin ne se fait pas d’un coup de baguette magique et une nouvelle fois les gouvernements des pays qui ont le plus mal géré l’épidémie hivernale de 2020 ont décidé d’entretenir à nouveau la peur en utilisant cette fois d’autres arguments grossiers comme une deuxième vague l’hiver prochain ou un accroissement alarmant du nombre de personnes porteuses du virus. C’est exactement ce à quoi on assiste en ce moment par exemple en France, en Espagne et en Italie ou encore en Israël, pays dont le gouvernement a décrété à la hâte un nouveau confinement afin d’enrayer la progression du nombre de nouveaux cas en oubliant de mentionner qu’il n’y a pratiquement plus de décès provoqués de manière non équivoque par ce coronavirus.

    Le cas de la France est caricatural :

    - voir graphique sur site -

    Après avoir déclaré l’hydroxychloroquine toxique voire mortelle alors qu’elle est prescrite à plusieurs milliards de personnes dans le monde, je le rappelle, puis avoir interdit aux médecins de la prescrire – ce qui est totalement contraire à la loi – et enfin aux pharmaciens de la vendre sans ordonnance circonstanciée, une accumulation d’évidences indiquant que la totalité du gouvernement français est vendu aux intérêts du lobby de la pharmacie, y compris le président, alors aujourd’hui la caste parisienne dominante (ou croyant être dominatrice) oblige la ville de Marseille à respecter des mesures liberticides à la population et aux autres petits commerces au bord de la faillite comme si elle voulait punir le Professeur Didier Raoult, le trouble fait numéro un de l’agenda du cartel apatride de la pharmacie. La France n’est plus gouvernée par des politiciens intègres mais par des mafieux du plus mauvais genre. Alors il n’y a plus qu’une solution aux politiciens en place : faire respecter la loi par la force ou bidouiller encore et encore les chiffres pour entretenir la peur.

    Il faut en effet continuer à entretenir cette peur pour préparer la population à la vaccination obligatoire qui fait déjà partie de l’agenda des grands groupes pharmaceutiques pour la plus grande satisfaction de leurs actionnaires, dont les banques, cela va de soi. Oublié le fait que ce virus n’a pas provoqué plus de morts qu’une grippe saisonnière classique, oubliées les manipulations statistiques honteuses pour entretenir la peur, oubliées les libertés individuelles, il faut que les gouvernements satisfassent les désirs (qui sont des ordres) du lobby pharmaceutique mondial. Si les politiciens n’étaient pas aussi corrompus par la finance et les grands groupes industriels ils défendraient la liberté des citoyens, mais ils ont déjà aliénés la leur, le pistolet des banquiers et des grands groupes industriels sur la tempe, alors ils ne savent plus ce que signifie le mot liberté … (à suivre)

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/27/qui-a-manipule-les-decideurs-politiques-dans-la-gestion-de-la-grippe-coronavirale/

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    1. Ce n'est pas une 'guerre économique' mais humanitaire de 7 milliards d'habitants appelés à disparaître.

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  6. La réponse de l'État à ce "virus" n'est rien de plus qu'une arme de soumission massive


    par Tyler Durden
    Dim., 27/09/2020 - 07:00
    Rédigé par Gary Barnett via LewRockwell.com,


    «On voit que les grandes masses d'hommes, bien que théoriquement libres, se soumettent à l'oppression et à l'exploitation d'une centaine de sortes odieuses. N'ont-ils aucun moyen de résistance ? De toute évidence, ils l'ont fait. Le pire tyran, même sous ploutocratie démocratique, n'a qu'une gorge à trancher. Au moment où la majorité déciderait de le renverser, il serait renversé. Mais la majorité n'a pas la résolution; il ne peut pas imaginer prendre des risques.

    ~ H. L. Mencken (1926). «Notes sur la démocratie», p. 50, Alfred A. Knopf

    Les mesures draconiennes de l'État contre les masses nécessitent la coopération des masses. C’est l’essence de la soumission politique, et par conséquent, c’est le fondement du plan de «l’élite» au pouvoir pour parvenir à une réinitialisation complète de l’économie mondiale et du contrôle total. À ce stade de l'intrigue, tout se passe comme les mondialistes l'attendaient, car la prise de contrôle de la population humaine est bien engagée.

    La logique voudrait que cette fausse pandémie soit terminée pour de bon après que les nouveaux chiffres de décès des CDC aux États-Unis aient été récemment révélés. Ce rapport a montré que 94% des personnes qui seraient décédées des seules suites de Covid ne sont pas du tout mortes de Covid. En fait, les 94% qui sont décédés et qui ont été déclarés comme décès Covid avaient en moyenne 2,6 autres comorbidités évidentes.

    Cela signifie que toute cette arnaque au virus était une fraude depuis le début et qu'elle est utilisée comme une arme de soumission afin de prendre le contrôle de l'ensemble de la population.

    Les mensonges sur les mensonges ont été utilisés pour effrayer les gens afin qu'ils détruisent volontairement leur vie au nom de la fausse sécurité, et maintenant les dégâts ont atteint des niveaux qu'il sera presque impossible de surmonter à tout moment dans un avenir proche ou même lointain. On pourrait penser qu'avec cette information bouleversante, tous les citoyens seraient en armes, mais cela ne semble pas être le cas. C'est extrêmement troublant, car sans un soulèvement massif de la population, ce plan horrible continuera à aller de l'avant.

    Il est maintenant temps d'envisager les tactiques possibles qui seront utilisées par l'État contre nous tous, en particulier ceux qui continuent de s'interroger, et refusent de se plier à l'idiotie que l'on appelle une pandémie de coronavirus.

    L'enfer arrive sous la forme de la classe dirigeante et de ses pions au gouvernement et de leur plan pour une société capturée. Y a-t-il vraiment un diable, ou des hommes pervers en quête de pouvoir ont-ils créé Satin à leur image pour tenter de prendre le contrôle de la planète entière pour eux-mêmes?

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  7. Tous les plans de ces monstres sont télégraphiés à l'avance, comme cela s'est toujours produit dans le passé. La création d'un nouveau Pearl Harbor a pris une toute nouvelle signification avec cette peur des virus fabriqués, mais cela ne fera qu'empirer à partir de là. Il est impératif de comprendre que rien qui se passe n'est organique ou naturel; tout a été délibérément conçu pour atteindre un résultat particulier. Ce résultat est la domination mondiale totale par quelques-uns, et pour réussir dans cette entreprise, le système économique actuel doit être détruit et un nouveau système monétaire numérique qui peut être surveillé et contrôlé depuis le sommet doit être créé et mis en œuvre.

    Même si le CDC a publié des chiffres de décès qui contredisent complètement le récit traditionnel et montrent que cette pandémie est une fraude, elle est encore peu signalée, et il semble que beaucoup ne prêteraient aucune attention à cette révélation même si elle était rapportée plus largement.

    Cela seul montre la faiblesse et l'état d'esprit apathique qui imprègne la population américaine aujourd'hui.

    Compte tenu de l'attitude des masses et du manque de raison et de logique évidente dans le troupeau, ce qui s'en vient devrait être évident. Les puissants ne céderont pas tant que les gens resteront indifférents à leur propre existence. Dans cet esprit, attendez-vous à une vague de nouvelles techniques exagérées de peur. Plus le peuple se rebellera, voire pas du tout, plus la réponse de l'appareil d'État sera forte. Si suffisamment de questions sur la validité de cette pandémie virale, une nouvelle souche plus dangereuse émergera comme par magie. Si la résistance continue de gagner la faveur, alors un nouvel agent biologique, potentiellement mortel, pourrait être libéré, bien qu'il faille l'isoler pour ne pas devenir incontrôlable et menacer les responsables de sa distribution parmi le public. Si la saison de la grippe, associée à une réponse immunitaire très affaiblie des citoyens désormais compromis, ne tient pas les gens sous contrôle, la libération d'autres agents toxiques est non seulement possible à mon avis, mais également probable.

    De nombreux scénarios pourraient émerger en fonction de ce que les classes dirigeantes et dominantes jugent nécessaire pour obtenir et conserver le contrôle total. Une fois que les gens auront suffisamment peur, le nouveau vaccin sera immédiatement introduit. Je pense que ce vaccin est déjà disponible et qu'il est maintenu jusqu'à ce que la peur atteigne un niveau si élevé que la plupart

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  8. De nombreux scénarios pourraient émerger en fonction de ce que les classes dirigeantes et dominantes jugent nécessaire pour obtenir et conserver le contrôle total. Une fois que les gens auront suffisamment peur, le nouveau vaccin sera immédiatement introduit. Je pense que ce vaccin est déjà disponible et qu'il est maintenu jusqu'à ce que la peur atteigne un niveau si élevé que la plupart d'entre eux feront volontairement la queue pour l'injection. Si cela se produit, le contrôle sur les personnes aura atteint un stade irréversible pour plusieurs raisons.

    Tout vaccin Covid introduira plusieurs virus dans le système humain, ainsi que de nombreuses toxines très dangereuses et problématiques et adjuvants nocifs. Mais ce n'est qu'une partie du risque, car il pourrait également y avoir d'autres ingrédients inconnus, et ceux-ci pourraient faire partie d'un plan secret qui ne serait divulgué aux bénéficiaires d'aucun vaccin.

    Tout récemment, dans cet article de Steemit, il a été annoncé que la FDA est sur le point d'approuver un implant de biopuce qui pourrait être injecté à l'aide d'une solution d'hydrogel. Ceci est censé être un implant pour détecter Covid en reliant le corps et l'esprit humains à un système informatique, et pourrait facilement faire partie de n'importe quel vaccin. C'est de la folie, mais ce n'est que le début d'un certain nombre de méthodes d'intelligence artificielle modifiant le corps et l'esprit destinées à produire une société transhumaine qui pourrait être contrôlée par des moyens technocratiques.

    Méfiez-vous de toute attaque bio-terroriste imputée à un ennemi extérieur, qu'il s'agisse d'un individu, d'un pays du tiers monde ou de tout ennemi des États-Unis comme la Chine, l'Iran ou la Russie. Une attaque de cette nature maintenant serait très certainement de l'intérieur de ce pays, et perpétrée par des forces internes pour attiser plus de peur. Cette peur supplémentaire et toute libération d'armes biologiques censées ressembler à un virus pourraient être considérées comme la deuxième vague pré-planifiée, et cela à lui seul retournerait la majeure partie du pays contre toute question qui remet en question le récit officiel. Ceux qui dénoncent le mensonge qu'est Covid et résistent aux mandats de l'État seraient gravement marginalisés ou pire si la peur totale s'empare de l'Amérique.

    Alors que la résistance commence à croître en raison des mesures draconiennes initiées par l'État, notamment les verrouillages, la quarantaine, la perte d'emploi et le port de masques, le risque d'attaques terroristes fabriquées supplémentaires, de disséminations de virus, de déploiement d'armes biologiques, d'autres événements sous faux drapeau ou de vaccin Il faut certainement s'attendre à des maladies liées. C'est le monde dans lequel nous vivons, une dystopie provoquée parce que les gens l'ont permis.

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  9. Le tournant de toute cette folie est proche et progressera en faveur de l’État lors de cette farce appelée élection présidentielle. Cette élection entraînera un chaos incalculable, notamment des pillages, des émeutes, la destruction de biens et la haine au sein de la population en général. Ce chaos sera utilisé contre tout le monde dans ce pays, car il y aura encore plus de divisions et avec lui, plus d'incertitude et de violence, conduisant à une plus grande ingérence de l'État dans nos vies. C'est exactement ce que désire l'élite dirigeante revendiquée, car plus il y a de peur et de haine, plus il est facile de nous contrôler tous. Cette élection odieuse, quel qu'en soit le résultat, sera une catastrophe et ne fera que prolonger la terreur à laquelle nous sommes confrontés depuis mars de cette année.

    «L'esclavage de la peur avait fait peur aux hommes pour réfléchir.
    - Thomas Paine, Bruce Kuklick (2000). «Paine: Political Writings», p.162, Cambridge University Press

    La poussée vers un régime totalitaire entre dans la phase finale cet hiver. Cela a été proclamé ouvertement par la lie des classes dirigeantes et politiques. Nous sommes sur le point de perdre toute souveraineté qui nous reste et de devenir juste un rouage dans la roue d'une structure fédérale centralisée du pouvoir résolue à créer une société d'esclaves technocratiques à utiliser pour soutenir le plus haut niveau de quelques tyranniques. Arrêtez-le maintenant ou soumettez votre corps, votre esprit et votre âme à votre nouvelle position de serviteur de vos maîtres «humains».

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/states-response-virus-nothing-more-weapon-mass-submission

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  10. Gestion chaotique de la crise sanitaire : pas la peine de crier au complot !

    Amateurisme, mesures injustes ou ineptes, idiots utiles, inversion des valeurs : en ce qui concerne la gestion de crise, tout est réuni pour un mécontentement de tous.


    Par Olivier Maurice.
    SOCIAL 26 SEPTEMBRE 2020


    Depuis le début de l’épidémie, beaucoup cherchent à comprendre la logique derrière tout un tas de décisions, de dysfonctionnements ou d’incohérences et en viennent un jour ou l’autre, faute d’explications logiques, à se pencher sur des hypothèses alternatives.

    On les appelle des complotistes.

    Dans la France de 2020, se poser des questions est devenu un péché.

    Michel Rocard a dit un jour qu’il faut « toujours préférer l’hypothèse de la connerie à celle du complot. La connerie est courante. Le complot exige un esprit rare. »

    Et s’il avait totalement raison ?

    GESTION DE LA CRISE SANITAIRE : UNE ÉNIÈME BOULETTE

    Essayons de soumettre cette méthode au dernier rebondissement des aventures du docteur Véran au pays du bonheur et à sa dernière boulette : annoncer la veille pour le lendemain que la seconde ville de France allait être punie et mise au coin parce qu’il était persuadé que la situation allait un jour ou l’autre devenir sérieuse.

    La théorie rocardienne nous amène immédiatement à balayer tout de suite l’hypothèse selon laquelle la ville de Marseille aurait été repeinte en rouge écarlate flamboyant mercredi soir dans le seul but de faire un pied de nez au directeur de l’Institut Hospitalo-Universitaire Méditerranée infection…

    Tout comme on éliminera également les petites querelles de chapelle entre le docteur Olivier Véran et le docteur Michèle Rubirola (le maire récemment élu de la ville de Marseille a exercé pendant de nombreuses années en tant que médecin généraliste).

    On ne pensera pas non plus à l’arrière-pensée d’écraser dans l’œuf le printemps marseillais, cette remise en ordre de la gauche éclatée façon puzzle…

    Il aurait fallu un esprit machiavélique digne des pires épisodes du Road Runner et du Coyote, les faux précipices en moins et les vrais tunnels en plus, pour réussir à faire ainsi passer de telles vessies pour des lanternes. De toute façon, à voir comment le sujet a immédiatement enflammé le pays, l’hypothèse du complot secret et machiavélique semble fortement compromise.

    Quelle mouche a donc pu piquer le ministre de la Santé lors de son point presse hebdomadaire quand il a soudain décidé de priver les Marseillais de leur pastis, de les empêcher de manger une bonne bouillabaisse et accessoirement de napalmiser la quasi-totalité de l’économie et de la vie sociale de la ville ?

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  11. Si ce n’est une machination tordue, il ne nous reste plus qu’à nous rabattre sur l’alternative.

    LE MINISTRE

    Et au vu de la réaction immédiate du maire de Marseille et de son premier adjoint, il en a même fallu une sacrée dose pour en arriver à mettre autant en colère les élus de la deuxième ville de France.

    Parce que si on suit leurs explications, non seulement le ministre de la Santé s’est totalement planté sur la forme, ayant mis tout le monde devant le fait accompli, mais aussi sur le fond.

    Benoit Payan, le premier adjoint de la ville a ainsi aligné une bonne liste de chiffres montrant exactement le contraire de ce qu’affirmait Olivier Véran la veille devant les journalistes.

    Ceci dit, coté boulettes, le ministre traîne quand même avec lui quelques perles : l’histoire des masques inutiles, tellement rocambolesque que même le patron de la République en Marche, Stanislas Guerini, en a eu assez de toute cette mascarade et a fini par lâcher le morceau.

    Ou encore plus récemment, dans sa réponse à Nicolas Bedos, quand le ministre a osé tenter d’expliquer sans se démonter que si on met sa ceinture de sécurité en voiture, c’est pour prendre soin des autres…


    Qu’il se rapproche chaque jour un peu plus près de la ligne rouge n’est un secret pour personne. La précédente, la ligne jaune qui sépare l’incompétence de la bêtise, a été franchie depuis bien longtemps.

    LE GOUVERNEMENT

    Quand Pascal Praud fait l’éloge de Nicolas Bedos ou que Patrick Pelloux tient le même discours que Didier Raoult, on ne peut même plus se réfugier derrière l’épouvantail du populisme d’extrême droite ou de l’individualisme d’extrême gauche, à moins d’imaginer un obscur comité de résistance clandestin qui aurait organisé la convergence des luttes dans le dos du gouvernement.

    Il semblerait que le « en même temps » rêvé par le président voie finalement le jour et que parallèlement à l’explosion de LaREM se produise une espèce de fusion entre les divers courants politiques du pays. Une belle et douce unanimité consensuelle. Unanimité qui est en train d’apparaître, mais contre lui.

    L’amateurisme (pour ne pas utiliser le vocabulaire de Michel Rocard) du ministre de la Santé ne fait rien pour arranger les choses. Mais il est inutile de trop tirer sur l’ambulance. Il n’est pas le seul, loin de là à participer à cette joyeuse pétaudière et à arroser le pays de foutaise et de crétinerie.

    Qui pouvait penser que l’annonce de la quasi-fermeture de la seconde ville de France, avec toutes les questions que cela peut entraîner, et annoncée entre deux phrases dans un point presse de 45 minutes allait passer crème ? On attendait au minimum le Premier ministre, voire le chef de l’État. On attendait aussi un minimum de relais localement, si ce n’était pas le maire de la ville, que ce soit au minimum le président de région.

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  12. Et après, on s’étonne que les esprits s’enflamment, que le maire de gauche hurle au scandale et lance des noms d’oiseaux et que le président de région de droite lui apporte son soutien et porte l’affaire devant les tribunaux ?

    LA POPULATION AU SERVICE DE L’HÔPITAL

    Surtout que l’explication donnée par le ministre de la Santé est sans doute vraie. Mais cela ne rattrape pas le désastre bien au contraire : si elle est vraie, alors elle est totalement inacceptable.

    Toute cette histoire n’aurait pas comme objectif de protéger la population, mais de protéger l’hôpital qui aurait atteint « un niveau de tension alarmant ».

    Comme si d’un coup de baguette magique, c’étaient les citoyens, les contribuables, la population qui étaient maintenant au service des services publics.

    Comme si le rôle du gouvernement n’était pas de faire fonctionner les hôpitaux pour soigner les gens, mais de tout mettre en œuvre pour que les citoyens n’aient pas la mauvaise idée de tomber malades et d’encombrer les lits et de faire travailler les soignants.

    Comme si le système de santé se résumait aux services d’urgences et de réanimation des hôpitaux publics.

    Comme si le pays n’avait comme unique objectif que celui de faire fonctionner les hôpitaux dans la routine et la tranquillité.

    Comme si la santé était totalement incapable de prendre en charge les cas de force majeure.

    Comme si le monde allait s’écrouler si par malheur on dépassait le nombre de malades autorisés par la planification administrative.

    Comme si on ne payait pas fort cher au demeurant tout une palanquée de personnes pour s’assurer que la tension n’atteigne jamais le niveau « alarmant ».

    LES GENS (CERTAINS)

    Le tableau ne serait pas complet sans y ajouter ceux que Nicolas Bedos a appelé les donneurs de leçon, mais qu’il vaudrait mieux nommer par leurs qualificatifs objectifs à savoir les hypocrites licencieux et criminels.

    On les reconnait facilement et ils sont présents partout où on peut les trouver. Ils passent leur temps à paniquer et à expliquer à tout le monde que la situation est grave, qu’elle va empirer et que la cause principale en est l’inconscience des Français tous plus égoïstes et désobéissants les uns que les autres.

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  13. Le KGB et la nébuleuse marxiste révolutionnaire avaient un nom pour désigner ces alliés bénévoles et enthousiastes : les idiots utiles.

    Ces gauchistes qui souvent s’ignorent sont prêts à tout : à dénoncer leur voisin, à mettre les gens en prison ou au chômage, à faire tomber des milliers de personnes dans la misère et la pauvreté, à voir la civilisation s’effondrer et les individus s’entretuer pour pouvoir montrer leur supériorité morale afin de cacher leur lâcheté.

    Mais ne nous laissons pas tromper par leur arrogance ou leur air autoritaire et moralisateur.

    Quand ils vous disent que les Français sont égoïstes et qu’ils ne pensent pas aux autres, c’est en fait à leur petit confort qu’ils pensent. Quand ils vous disent qu’il faut porter le masque pour protéger les plus fragiles, c’est uniquement parce qu’ils meurent de trouille d’attraper la sale bête.

    Quand ils appellent à la radio sous couvert d’anonymat mais en donnant leur vrai prénom pour témoigner de moult anecdotes sur l’incivisme de leurs concitoyens, c’est par pur voyeurisme. C’est pour se délecter de leur récit obscène et des multiples petits détails scabreux, d’ailleurs souvent fantasmés, du comportement immoral de leur prochain.

    Quand ils aiguillonnent les hommes politiques et les exhortent à prendre des décisions courageuses et radicales, toutes plus totalitaires et liberticides les unes que les autres, ce sont des centaines de vies qu’ils mettent ainsi en péril. Quand ils colportent la peur, ce sont des centaines de personnes qu’ils poussent au désespoir, des milliers d’entreprises qu’ils poussent à la faillite en faisant fuir leurs clients, des millions de travailleurs qu’ils jettent au chômage et de familles qui finiront dans la misère.

    Ces vampires nécrophages sont peut-être la pire plaie de cette épidémie. Ils feront, à ne pas en douter, autant sinon plus de victimes que le virus lui-même.

    LES GENS (LES AUTRES, PLUS NOMBREUX MAIS QU’ON N’ENTEND PAS)

    Inutile d’inventer des théories fumeuses pour tenter de comprendre la crise. La bêtise, l’incompétence et la méchanceté sont bien suffisantes pour l’expliquer.

    Maintenant, la question est de savoir quand la coupe débordera. Les voix se font de plus en plus nombreuses pour refuser l’hygiénisme comme seul but dans la vie et le gouvernement ne saura bientôt plus derrière quoi se cacher pour masquer ses échecs : l’inconnu, puis les scientifiques, maintenant les prévisions…

    Les jeunes nous ont montré la voie cet été en faisant un bras d’honneur gigantesque aux consignes ridicules. On peut nier l’envie de liberté pendant des années, mais c’est sans doute le meilleur moyen d’encourager toutes les transgressions. En fait que ce soit par en haut ou par en bas, le consentement à l’État est juste en train de s’effondrer.

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  14. À quoi cela peut-il servir de payer des impôts, de suivre les consignes, de vivre constamment dans la peur d’enfreindre les règles, si en fin de compte tous nos efforts ne servent qu’à financer une bande d’incapables hautains qui se retournent vers nous en pleurnichant au premier problème venu ?

    https://www.contrepoints.org/2020/09/26/380916-gestion-chaotique-de-la-crise-sanitaire-pas-la-peine-de-crier-au-complot

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  15. La chaîne d'approvisionnement est rompue et les pénuries alimentaires sont là


    par Tyler Durden
    Sam, 26/09/2020 - 17:15
    Rédigé par Robert Wheeler via The Organic Prepper,


    Si vous êtes un lecteur de ce site, vous pourriez être plus intéressé par la chaîne d'approvisionnement alimentaire que la plupart des autres, du moins lorsque les choses vont bien. Donc, si vous avez prêté attention récemment, vous pourriez constater qu'il y a eu de graves perturbations dans cette chaîne d'approvisionnement.

    Il y a plusieurs mois, les perturbations immédiates ont commencé au début de l'hystérie du COVID-19, lorsque des usines, des centres de distribution et même des fermes ont fermé leurs portes sous prétexte d '«aplatir la courbe».

    En conséquence, les Américains ont constaté que les produits de première nécessité manquaient sur les étagères pour la première fois depuis des années. Des articles comme le désinfectant pour les mains et les lingettes Clorox étaient bien sûr en rupture de stock.

    Bientôt, d'autres articles sont également devenus manifestement absents.

    Les gens ont commencé à remarquer la viande, et même les légumes en conserve et le riz ont rapidement disparu des étagères. La plupart de cela était simplement le résultat d'un achat de panique de masse, bien que les «préparateurs» aient été accusés de «thésaurisation». Par conséquent, des gens qui ne se préparaient pas depuis le début et qui ont été soudainement surpris le pantalon baissé.

    Mais ce n’est pas toute l’histoire.

    Les installations de fabrication et d'emballage et les abattoirs ont été fermés en raison des réactions intrusives du gouvernement totalitaire à une prétendue pandémie. Combinée à des achats de panique, la capacité de ces installations à remplacer ce qui avait été acheté a été considérablement réduite. En conséquence, les consommateurs ont été contraints d'attendre des semaines avant d'acheter à nouveau ce dont ils avaient besoin (ou voulaient). Même alors, ils devaient se présenter le matin.

    Nous subissons toujours ces pénuries, bien que mieux cachées. Comme tous ceux qui achètent régulièrement peuvent vous le dire, vous pouvez trouver ce dont vous avez besoin, mais vous devrez peut-être vous rendre dans trois magasins pour l'obtenir, là où on l'aurait fait dans le passé. Dans cet article, vous trouverez des conseils sur la façon de gérer les variétés limitées d'inventaire que les internautes remarquent actuellement dans les magasins.

    La guerre lancée sur l'économie par les gouvernements des États a mis des millions d'Américains au chômage.

    Désormais, alors que la plupart des gens rationnels seraient heureux d’avoir un emploi dans un chômage aussi élevé, ils étaient prêts à empêcher les roues de la machine de fonctionner.

    Les travailleurs ont soudainement commencé à s'organiser, à faire grève et à quitter leur travail commodément alors que l'approvisionnement alimentaire était déjà interrompu. Bien entendu, ces travailleurs n'avaient jamais organisé ni déclenché une grève auparavant, alors que les conditions de travail étaient sombres et les salaires bas.

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  16. Alors que les temps extraordinaires engendrent des réactions extraordinaires, le moment choisi pour le nouveau sens de la détermination des travailleurs ne peut pas passer inaperçu.

    En même temps, nous avons vu des fermes déverser des milliers de gallons de lait dans les égouts, des producteurs de viande abattant et enterrant des animaux, et des agriculteurs détruisant des récoltes partout au pays et dans le monde.

    La raison en est double.

    Premièrement, de nombreux grands producteurs ne voudraient pas une surabondance de leur produit sur le marché et voient leurs prix baisser.

    Deuxièmement, avec les mesures totalitaires qui ont forcé la fermeture de restaurants à travers le pays, de nombreuses fermes et producteurs ont perdu une partie massive de leur marché, le détruisant ainsi.

    Un gouvernement véritablement soucieux de la santé de sa population aurait acheté ces produits et les aurait distribués ou lyophilisés et stockés pour l’apocalypse à venir.

    En effet, l'administration Trump a tenté cela avec un succès très mineur et un coût élevé. Les banques alimentaires en ont au moins bénéficié. Mais le dommage à l'approvisionnement alimentaire était déjà fait.

    Et puis sont venus les vents.

    Au fil du temps, nous avons vu des vents dévastateurs en ligne droite souffler sur des endroits comme l'Iowa, détruisant d'énormes quantités de cultures et d'infrastructures agricoles, des effets rarement annoncés dans les médias grand public.

    Suite à ces vents, nous avons vu des incendies de forêt massifs le long de l’ensemble de la côte ouest de Washington à la Californie et aussi loin à l’est que le Colorado, le Dakota du Sud et le Texas.

    Il suffit de regarder la carte des incendies qui se dirigent apparemment vers l'est, brûlant les prairies et les terres agricoles tout au long du chemin pour voir que la chaîne alimentaire connaîtra encore plus de hoquet une fois la fumée dissipée.

    Mais alors que les gauchistes affirment que les incendies sont le résultat naturel du «changement climatique» et que les conservateurs accusent le manque de gestion adéquate des forêts (ce qui a un certain mérite), tous deux ignorent complètement le fait que près de dix personnes ont été arrêtées pour avoir allumé ces incendies.

    À plusieurs reprises, des incendiaires sont arrêtés pour avoir déclenché des incendies, bien que le motif ne soit pas clair. Ceux d'entre nous qui ont étudié l'histoire, cependant, peuvent spéculer avec une certaine certitude.

    Mais ces problèmes ne sont pas propres aux États-Unis.

    Des pays du monde entier connaissent des problèmes de chaîne d'approvisionnement. L'Australie, par exemple, est sur le point de manquer complètement de son approvisionnement intérieur en riz d'ici décembre.

    Maintenant, nous y sommes, avec l'hiver qui approche à grands pas et l'approvisionnement alimentaire décimé. La population mondiale se promène masquée et terrifiée à l'idée de se trouver à moins de six pieds d'un autre humain, et les villes de toute l'Amérique sont en feu avec de violentes émeutes.

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  17. Les communistes et la réponse inévitable s'affrontent dans les rues et menacent de se transformer en une possible guerre civile américaine 2.0. Quel rôle jouera la faim dans ce scénario ?

    Pour le moment, nous ne pouvons pas le dire avec certitude.

    Mais ce que nous pouvons dire avec certitude, c'est que ce sera un hiver très long et très éprouvant.

    Les pénuries alimentaires arrivent et elles ne sont pas trop loin.

    Il ne vous reste plus beaucoup de temps avant que les objets que vous pouvez saisir maintenant soient partis pour de bon. Voici quelques conseils pour faire du shopping quand il ne reste plus beaucoup de fournitures sur les étagères, et voici une liste de choses qui sont généralement importées de Chine et que nous n'avons pas reçu dans les mêmes quantités (voire pas du tout) depuis le début de la crise .

    Beaucoup de lecteurs de ce site Web seront prêts, sans aucun doute, mais d’autres ne le seront pas. Non seulement nous vous conseillons de vous préparer, mais nous vous conseillons également d'être prêt pour les non préparés.

    https://www.zerohedge.com/personal-finance/supply-chain-broken-and-food-shortages-are-here

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    1. Comme le soulignait Isabelle (voir clip sur site ci-dessous), il est URGENT de faire des provisions de tout !
      Farine, sucre, huiles, allumettes, gaz, piles, conserves, légumes secs, surgelés, alcools, cigarettes et munitions !


      Ma deuxième vidéo présente, je crois, assez bien ce qui se passe en ce moment et particulièrement depuis le début septembre

      vendredi 25 septembre 2020

      Je présente le document de la Fondation Rockefeller, publié le 16 juillet dernier, intitulé: "Testing action plan". Dans ce plan d'action, on peut explicitement voir les grandes orientations pour l'automne-hiver...

      https://www.youtube.com/watch?v=BhSjupW3X-0&feature=share

      http://conscience-du-peuple.blogspot.com/2020/09/ma-deuxieme-video-presente-je-crois.html

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  18. POUR LE MONDE NOUS SOMMES ENTRÉS DANS L'ÈRE DE L'ARGENT GRATUIT !


    par CHARLES SANNAT
    07/07/2020


    La dette de la France fin 2020 pourrait atteindre 120% du PIB.

    Vous le saviez déjà et cette information ne va pas changer votre vie… au premier abord. Au second, c’est un véritable signal faible bruyant !

    En effet si vous êtes un lecteur régulier de ces chroniques quotidiennes que je partage avec vous, vous savez à quel point nous sommes dans un monde d’argent gratuit, vous savez que cet argent gratuit inonde toute l’économie.

    Vous savez que l’immobilier monte parce que l’argent coule à flots.

    Vous savez que le prix des actions ne veut, le plus souvent, plus dire grand-chose, car dans un monde de taux zéro ou négatifs, une action qui verse des dividendes supérieurs à zéro (ce qui est la définition des dividendes) sera toujours plus rentable même si son cours est multiplié par 10 qu’une obligation à taux négatifs !

    Vous savez tout cela.

    Là, ce qui doit nous interpeller c’est que le grand quotidien, Le Monde en personne vient de se rendre compte de la situation et titre :

    « Avec la crise sanitaire, le monde est entré dans l’ère de l’argent gratuit »
    « Face à l’explosion des dettes, les banques centrales ont baissé leur taux à des niveaux historiquement bas et ne pourront pas les remonter avant très longtemps. Les conséquences seront très profondes.

    Gouvernements, entreprises, ménages : endettez-vous, c’est le moment ! Les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas et ils ne sont pas prêts de remonter. Le monde est entré dans la pandémie alors que les taux étaient historiquement bas depuis la crise de 2008. Pour permettre aux Etats de se financer pendant cette crise, les banques centrales sont allées encore plus loin, s’enfonçant un peu plus dans cette nouvelle ère monétaire où l’argent est quasi gratuit. « Les taux vont rester très bas très longtemps, on est tous d’accord », explique Mikaël Pacot, d’Axa Investment Managers. « On ne va pas sortir de la politique monétaire expansionniste de sitôt », confirme Christopher Dembik, de Saxo Bank.

    Pour l’économie mondiale, les conséquences sont majeures. L’action des banques centrales, qui permet de garder les taux à zéro, est le principal phénomène qui va influencer tous les autres. C’est vrai pour les ménages qui achètent un logement et qui vont pouvoir emprunter toujours moins cher. C’est vrai aussi pour les ménages les plus riches, détenteurs d’actifs, qui vont s’enrichir, accentuant les inégalités entre les classes sociales mais aussi entre les générations. Inversement, l’épargne bancaire ne rapporte plus rien et le Livret A est, aujourd’hui, presque sans intérêt. Mais c’est surtout vrai pour les Etats, qui vont pouvoir emprunter comme jamais.

    Avec la pandémie, toutes les grandes banques centrales sont venues au secours de l’économie, en lançant des plans d’achat de dette d’une ampleur inédite. L’enveloppe dépasse, par exemple, 1 500 milliards d’euros pour la Banque centrale européenne (BCE), ce qui permet aux Etats de la zone euro de se financer facilement ».

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  19. J’ai toujours dit, même lorsque la FED annonçait triomphalement qu’elle allait normaliser sa politique monétaire car la croissance était de retour qu’elle ne pourrait jamais dépasser les 3 % et que ce mouvement de hausse de taux tenait plus de l’opération de communication du genre « nous avons toujours le contrôle de la valeur de la monnaie » que d’une véritable politique monétaire et d’un vrai cycle de resserrement des taux.

    Et évidemment les taux de la FED n’ont jamais dépassé les 3 % seuil, de douleur pour les marchés drogués à l’injection d’argent frais.

    Avec la pandémie (qui n’est pas finie, même si cela va faire hurler ceux qui croient que le déconfinement c’est la fin des problèmes sanitaires), les taux ne sont pas près de remonter, pour longtemps, très longtemps.

    Avec 120 % de dettes sur PIB, il faut 3 % de croissance de nos 100 % de PIB pour payer une dette à 2 % sur 120 % de dettes sur notre même PIB… Alors oui, cela va devenir compliqué.

    Très compliqué.

    La dette ne sert qu’à réduire les populations en esclavage…
    Vous savez que je ne suis pas un démagogue. Oui la dette des uns est souvent l’épargne des autres. Annuler les dettes c’est annuler l’épargne. Ce n’est pas si simple.

    Pourtant, on le voit bien, depuis 2008 et la dernière crise, ce ne sont plus les marchés qui financent les dettes, mais bien les banques centrales qui impriment de la monnaie pour boucler les fins de mois difficiles.

    Cela implique que nous ne payons plus la dette, que la dette des uns, n’est plus l’épargne des autres, mais bien une création monétaire des banques centrales.

    Une fois que l’on a mis le doigt dans un tel cycle, alors, plus rien n’empêche de racheter progressivement les dettes qui arrivent à échéance et de faire un refinancement progressif via les banques centrales, et petit à petit on stérilise cet endettement que l’on ne remboursera jamais, parce que c’est devenu impossible.

    Ceux qui vous expliquent que les dettes doivent être remboursées dans la situation économique actuelle vous mentent.

    Ils mentent pour deux raisons simples.

    La première, personne ne veut être le premier à déclarer que les dettes ne seront jamais remboursées et que c’est la faillite généralisée.

    La seconde, c’est que s’il n’y a plus de dettes à rembourser, il n’y a plus de justification à la levée des impôts et des taxes sur tout et n’importe quoi. Maintenir la croyance dans le fait que nous devons payer les dettes, c’est maintenir le couteau sous la gorge de chaque peuple, de chaque contribuable. Payer la dette c’est poursuivre l’asservissement des citoyens.

    Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

    http://www.economiematin.fr/news-argent-gratuit-ere-changement-covid-aides-etats-sannat

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    1. Dès lors que l'argent n'a plus de valeur (le référent or s'est absenté !), il ne peut y avoir de dettes ou de dons car donner du rien ou rien ne devoir sont les mamelles à brasser du vent !

      Donc ne pas entrer dans ces faux conflits de faux problèmes où des haricots sont sur la table du Monopoly !

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  20. 1971: l'année qui a tout changé


    par Tyler Durden
    Dim, 27/09/2020 - 10:30
    Rédigé par Adam Taggart via PeakProsperity.com,


    L'année 1971 a vu les trajectoires de presque toutes les grandes tendances relatives à notre mode de vie changer massivement.

    Cette année est un point d'inflexion si perceptible dans tant d'ensembles de données, qu'un site Web intrigant WTFHappenedIn1971.com a été créé pour ramener le point à la maison.

    Le site Web est un défilé de séries de données montrant visuellement comment le monde a changé cette année-là.

    Que ce soit un revenu…

    - voir graphique sur site -

    …coût de la vie…

    - voir graphique sur site -

    …. Polarisation politique…

    - voir graphique sur site -

    … Le taux de divorce…

    - voir graphique sur site -

    … Et la somme d’autres statistiques - de la dette nationale aux dépenses déficitaires, en passant par l’obésité infantile, le taux d’incarcération, la consommation d’énergie par habitant - à peu près tous les aspects de la vie telle que nous la connaissons ont changé matériellement et définitivement au début des années 1970.

    Les experts invités de cette semaine, Ben Prentice et Collin, fondateurs de WTFHappenedIn1971.com, expliquent comment pratiquement tous ces changements sont le résultat direct ou indirect de la «rupture» du système monétaire cette année-là avec le Nixon Shock et la fin du système de Bretton Woods .

    Sur une note personnelle, interviewer Ben et Collin a été un plaisir inattendu, car j'ai trouvé encourageant de découvrir que les membres de la génération Millennial s'engagent avec les lacunes de notre système de monnaie fiduciaire moderne basé sur la dette avec la même passion et la même pensée critique que nous. cohortes plus âgées. Peut-être que l'avenir pourrait bien se passer entre leurs mains après tout ...

    Cela dit, Ben et Collin font écho à des préoccupations et à des conseils similaires à ceux de nos experts précédents. Le système est injuste, non viable et a désespérément besoin de réforme. L’investisseur prudent ne doit s’attendre à aucun changement positif réel tant qu’un choc suffisamment douloureux n’imposera pas le statu quo - il est donc préférable d’utiliser le temps maintenant pour se positionner prudemment à l’avance face à cette inévitabilité:

    - voir graphique sur site -

    https://www.zerohedge.com/political/1971-year-changed-everything

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    1. Voir aussi (France:) 7 Janvier 1973

      Le ministre des Finances Valery Giscard d'Estaing (sous Pompidou) vend la Banque de France aux banques privées !!

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  21. Arrêter des gens pour ne pas porter de masque est un autre pas de géant vers la tyrannie totale


    24 septembre 2020
    par Michael Snyder


    Si quelqu'un doute que le pays que beaucoup d'entre nous aimions tant soit presque totalement disparu, regardez simplement ce qui se passe partout aux États-Unis en ce moment. Des gens sont en fait arrêtés et mis en prison pour ne pas porter de masques. Si les autorités sont prêtes à atteindre cet extrême pendant une pandémie relativement mineure, que vont-elles nous faire lorsqu'une véritable urgence nationale éclate ? Je n’ai certainement rien contre quiconque veut porter un masque, et je n’ai certainement pas de problème avec les officiels qui veulent encourager tout le monde à en porter un. Mais quand il en arrive au point où la police recherche activement les «non-conformistes» et les traîne en prison menottés, cela devrait nous dire à tous que nous ne vivons plus dans un pays libre.

    Je suis sûr que la plupart d'entre vous ont maintenant entendu ce qui est arrivé à une femme de l'Ohio qui assistait à un match de football au collège. Elle a eu l'audace de ne pas porter de masque, alors un policier a utilisé un taser sur elle, l'a arrêtée et l'a traînée avec les menottes…

    Une femme de l'Ohio lors d'un match de football au collège a été taser et arrêtée par un policier pour ne pas avoir porté de masque facial dans les gradins.

    Environ 300 personnes ont assisté à un match de football des Marietta City Schools où Alecia Kitts, de Marietta, a été filmée en train de se faire menotter mercredi dans la ville de Logan.
    Je m'attendrais à ce que quelque chose de ce genre se produise en Chine, mais pas aux États-Unis.

    Qu'est-ce qui arrive dans le monde à notre pays ?

    Aussi grave qu'ait été cet incident, j'ai été encore plus troublé par les arrestations qui viennent d'avoir lieu à Moscou, Idaho ...

    Au moins cinq chrétiens ont été arrêtés lors d'un cantique chanté sur le parking de la mairie de Moscou, Idaho. Mains en l'air, ne chante pas.

    L'une des personnes citées était le candidat de la Commission du comté de Latah, Gabriel Rench.

    Les cinq personnes ont été citées pour avoir enfreint le masque / l'ordre de distanciation sociale de Moscou, a déclaré le chef de la police de Moscou, James Fry, au Daily News.
    A quel point faut-il être malade pour arrêter des chrétiens pendant qu'ils chantent des hymnes à Dieu ?

    Littéralement, alors que des centaines de croyants chantaient «Louange à Dieu de qui coulent toutes les bénédictions», les officiers mettaient des menottes aux gens…

    «Eh bien, c'est arrivé», a écrit un observateur sur Twitter. «Le département de police de Moscou (Idaho) a arrêté le professeur de musique de mes enfants et son épouse l'entraîneur de basket-ball pour avoir chanté sans distanciation sociale lors d'une manifestation de Psalm Sing. La musique est belle. »

    Deux personnes ont été menottées alors que des centaines de personnes chantaient «Louez Dieu de qui découlent toutes les bénédictions».
    Vous pouvez regarder la vidéo de ce qui se passe ici. Je suis en fait allé à Moscou et il est navrant de voir une telle tyrannie dans une si belle communauté.

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  22. Et cela a eu lieu dans l'un des États supposés les plus «conservateurs» de tout le pays. L'Idaho a la réputation d'être un «État profondément rouge», mais pour une raison quelconque, il compte certains des pires politiciens.

    Malheureusement, les deux exemples que je viens de citer ne sont pas des incidents isolés. Des personnes ont également été arrêtées récemment pour ne pas porter de masques dans le New Jersey, New York, Tennessee, Oregon, Nevada et Montana.

    Hawaï est l'un des États les plus exigeants en matière d'application de la loi. Beaucoup de gens y ont été arrêtés pour avoir refusé de porter des masques, et cela inclut cinq personnes qui se sont récemment rassemblées pour un «sommet sur la santé» en plein air qui allait débattre de l'efficacité des masques ...

    La police du comté d'Hawaï a arrêté samedi cinq personnes pour avoir enfreint les protocoles COVID-19 dans le cadre d'un rassemblement au Kahalu'u Beach Park à West Hawai'i.

    Le chef adjoint du HPD, Robert Wagner, a déclaré que les agents avaient répondu à un rapport faisant état d'environ deux douzaines de personnes rassemblées sous le grand pavillon au bord de l'océan dans le parc. Michelle Melendez, qui a organisé le rassemblement, a décrit l'événement comme un «sommet pacifique sur la santé à Hawaï». Un dépliant faisant la promotion de l'événement, qui était prévu à partir de 16h30. à 18 h Samedi, a noté plusieurs orateurs et sujets de discussion prévus, notamment "Y a-t-il de la science derrière les masques faciaux ?" et les «risques pour la santé de la 5G».

    Alors, combien de temps les autorités chargées de l'application de la loi prévoient-elles de continuer à arrêter des gens comme ça ?

    Parce que la vérité est que ce virus ne disparaît jamais.

    À l'origine, la plupart des gens pensaient que cette pandémie prendrait fin lorsque l'immunité collective serait atteinte ou qu'un vaccin efficace serait mis au point. Mais étude après étude a montré que les anticorps disparaissent très rapidement et que toute immunité au virus est de très courte durée.

    Cela signifie que ce virus va être avec nous en permanence. Il a déjà été prouvé que les gens peuvent attraper le virus plusieurs fois et, sans immunité durable, il continuera à revenir année après année, comme le fait la grippe.

    D'une manière ou d'une autre, nous allons devoir apprendre à vivre avec ce virus.

    Pensent-ils vraiment pouvoir nous obliger tous à porter des masques en permanence à partir de maintenant ? Il est impossible que le peuple américain accepte cela.

    Oui, je crois qu'il faut prendre ce virus au sérieux, et si les gens veulent porter des masques, ils devraient porter des masques. Et les scientifiques nous assurent que ce n'est qu'une question de temps avant qu'une véritable pandémie meurtrière éclate qui tuera des millions et des millions de personnes, et quand une telle épidémie survient inévitablement, vous ne voudrez même pas quitter votre domicile pendant une période prolongée de temps.

    Mais ce virus n'est pas ce genre de menace. De 1918 à 1920, la grippe espagnole a tué plus de 50 millions de personnes, mais cette pandémie n'en a tué qu'un million à ce jour.

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  23. Si nous ne pouvons même pas gérer ce virus, comment diable pourrions-nous faire face à quelque chose de beaucoup plus grave ?

    La peur de cette pandémie a été bien pire que la pandémie elle-même, et les responsables de l'application de la loi sont devenus complètement fous partout dans le monde.

    Voir des gens menottés pour avoir refusé de porter des masques devrait nous rendre malade, mais ce n'est que le début.

    Beaucoup plus de tyrannie s'en vient, et les années à venir vont être une ère très sombre pour toute l'humanité.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/arresting-people-for-not-wearing-masks-is-another-giant-step-toward-total-tyranny

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    1. Scientifiquement, il ne peut exister de masque antivirus because que les masques (jusqu'alors) N95 (USA) ou FFP2 (Europe) ont un maillage de 3 microns alors que le virus fait 0,7µ ! Et, plus fin : Y A PAS ! (car l'air ne passe pas au travers d'un sac en plastique sur la tête !).

      Nous respirons toutes et tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique (depuis notre naissance et nous ne sommes pas morts !).

      Un virus n'est pas quelque chose de vivant (comme les bactéries appelées aussi microbes), il est minéral ou métallique et de dimension nanométrique. Il irradie ou attire comme un aimant. C'est aussi ce que l'on appelle 'une poussière intelligente'.

      Jusqu'à présent, le seul moyen de s'en défaire est la chélation et non un vaccin qui va l'encapsuler sans le retirer de notre organisme.

      Parallèlement, on été mis au point des poussières appelées 'intelligentes' parce qu'elles peuvent servir de relais électrique d'ondes portées. Ces ondes peuvent être émises par les téléphones portables (pires lorsqu'ils sont portés à l'oreille !) voire les nouvelles tours de 6G.

      Les exemple ne manquent pas où en Irak les soldats Americains avaient porté des ondes sur des personnes ciblées (à x distance) et les avaient contraintes à des ordres qui paraissaient être les leurs !

      Parallèlement, le monde a été chemtraillé de milliards de milliards de nano-particules (absorbées par les plantes, les animaux et les humains) et sont apparues de nouvelles maladies (Alzheimer, Parkingson, etc).

      Pour résumer, les autorités dictatoriales forment un nano-groupuscule de personnes face aujourd'hui à 7 milliards de personnes. Et, contre l'intelligence de 7 milliards de personnes elles ne peuvent rien ! C'est pourquoi, faute d'explication ou de discussion interdite avec elles (nous ne sommes pas en Démocratie), elles n'ont recours qu'aux armes pour se défendre. D'où la montée quotidiennes des systèmes de protection qui ne sont pas là pour juguler une invasion ou attaque étrangère à distance mais pour stopper leur propre Peuple en cas de révolution ou de simple manifestation.

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  24. La température la plus froide de l'hémisphère nord, enregistrée pour la première fois par UW, est officiellement confirmée


    27 septembre 2020
    L'UNIVERSITE DE WISCONSIN-MADISON


    Actualités de la recherche

    MADISON, Wisconsin - Près de 30 ans après avoir enregistré une température de moins 93,2 degrés Fahrenheit (moins 69,6 Celsius) au Groenland, la mesure a été vérifiée par l'Organisation météorologique mondiale comme étant la température la plus froide enregistrée dans l'hémisphère nord.

    La mesure a été enregistrée pour la première fois par une station météorologique automatique du Centre de recherche météorologique antarctique de l'Université du Wisconsin-Madison en décembre 1991. Un AWS est une suite d'instruments autonome développée par le Centre des sciences et techniques spatiales UW-Madison et des scientifiques et ingénieurs de l'AMRC pour collecter de nombreux paramètres environnementaux comme la température de l'air, la pression, l'humidité, la direction et la vitesse du vent. Les informations sont ensuite retransmises par satellite au SSEC en temps quasi réel.

    Au fil du temps, ces données sont devenues une référence pour comprendre les extrêmes météorologiques et le changement climatique.

    «Plus vous disposez de données, plus vous pouvez comprendre ce qui se passe dans le monde et prendre d’importantes décisions politiques et environnementales liées au changement climatique», déclare George Weidner, chercheur émérite au Département des sciences atmosphériques et océaniques de l’UW-Madison. «C'est également un moment important pour les systèmes AWS dans la mesure où leurs données sont acceptées en tant que documents officiels.»

    Weidner est l'auteur principal d'un nouvel article publié ce mois-ci dans le Quarterly Journal de la Royal Meteorological Society qui documente la découverte de basses températures.

    En 2007, l'OMM a créé une archive en ligne des phénomènes météorologiques et climatiques extrêmes dans le monde entier, aidant à établir des références pour les futures recherches sur le climat. D'autres mesures incluent des températures records, des vitesses de vent et l'impact des cyclones tropicaux, y compris les plus meurtriers de l'histoire.

    Les mesures extrêmes comme celle du Groenland sont soumises à un processus d'examen rigoureux pour s'assurer qu'elles sont exactes et qu'il y a accord avec d'autres données météorologiques et modèles de prévisions météorologiques. En raison de la qualité et de la préservation des données de la station AWS fournies par le Centre de recherche météorologique de l'Antarctique, l'OMM a pu vérifier la température de 1991 et l'enregistrer dans le cadre du registre officiel.

    Selon Weidner, cette température froide était le résultat de plusieurs conditions atmosphériques convergeant de manière spécifique.

    Le site de Klinck, où la température la plus froide a été mesurée, est situé au milieu du Groenland à une altitude de 10 170 pieds (3 100 mètres). Des températures de l'air extrêmement froides peuvent survenir lorsqu'il y a peu de vent pour perturber une zone, accompagné d'un ciel clair.

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  25. Dans ce cas, l'élévation et la division du jet stream - qui coule généralement sur la calotte glaciaire du Groenland - ont créé une zone morte, permettant à la région déjà froide de continuer à perdre la chaleur de la Terre. Des conditions similaires se produisent au Canada et entraînent le célèbre (ou tristement célèbre) «vortex polaire», qui produit un froid extrême qui atteint les États-Unis.

    Depuis plus de 40 ans, le réseau de plus de 60 sites de stations météorologiques automatiques a aidé à fournir des données en temps réel aux scientifiques dans des régions extrêmes comme l'Antarctique et le Groenland et a aidé à dresser un tableau plus complet des changements du climat de la Terre. En mars 2017, l'OMM a confirmé certaines des températures les plus chaudes jamais enregistrées en Antarctique et a utilisé les données du réseau AWS d'AMRC pour aider à vérifier ces mesures.

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    Ce travail est soutenu par la National Science Foundation.
    From EurekAlert!

    https://wattsupwiththat.com/2020/09/27/coldest-northern-hemisphere-temperature-first-recorded-by-uw-officially-confirmed/

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  26. Les éoliennes génèrent des montagnes de déchets


    26 septembre 2020
    Déchets de pales, d'autres facteurs prouvent que le vent n'est pas plus vert que le solaire

    Duggan Flanakin

    Les écologistes et les opportunistes de l'énergie éolienne (entrepreneurs qui profitent de crédits d'impôt trop généreux et de multiples autres subventions) veulent que vous croyiez que l'énergie éolienne est aussi pure «verte» que la neige nouvellement entraînée est blanche et aussi bon marché que Taco Bell.

    Ils ne vous parlent jamais des coûts - ou de la destruction de l'environnement - qu'ils vous ont cachés pendant des décennies. Mais la plupart des gouvernements, des médias d'information ou des médias sociaux non plus.

    Selon John Timmer, rédacteur scientifique d'Ars Technica, les prix du matériel éolien baissent, alors même que les nouvelles conceptions d'éoliennes augmentent la puissance typique générée par chaque turbine. Timmer a admis que «l'éolien est encore moins cher en ce moment en raison d'un crédit d'impôt accordé à la production d'énergie renouvelable» [je souligne]. Il a averti que la suppression progressive des nombreuses incitations existantes pourrait certainement créer des incertitudes concernant le coût futur et la domination de l’énergie éolienne. Mais c’est à peu près tout.

    Le rapport 2018 sur le marché des technologies éoliennes du ministère américain de l'Énergie a déclaré avec éloge: «Avec le soutien des incitations fiscales fédérales, les prix des contrats d'achat d'énergie éolienne et solaire (PPA) sont maintenant inférieurs au coût prévu de la combustion du gaz naturel dans le cycle combiné au gaz existant. unités."

    Ceci en dépit du fait que les propres données du DOE montrent que le «facteur de capacité» de l’énergie éolienne (pourcentage du temps produisant réellement de l’électricité à pleine capacité) n’est que de 35%, contre 57% pour les centrales au gaz naturel et 92% pour le nucléaire. Dans de nombreux endroits, d'énormes installations éoliennes industrielles produisent de l'électricité bien en dessous de 30% de l'année. Les jours les plus chauds et les plus froids, il est souvent proche de zéro. C’est pourquoi les centrales nucléaires ont produit 20% de l’électricité américaine en 2019, alors qu’elles n’avaient que 9% de la capacité de production du pays.

    En plus d'être dépendantes des conditions météorologiques, intermittentes et peu fiables, les éoliennes couvrent de vastes étendues de terres; affectent les vues panoramiques et le flux du vent local, la température et l'humidité; tuer les chauves-souris et les oiseaux de proie, sans pénalité en vertu des lois sur les oiseaux migrateurs ou les espèces en voie de disparition; ont une durée de vie relativement courte et nécessitent des quantités massives de matières premières, en particulier pour les turbines océaniques, par rapport aux centrales à charbon, à gaz, hydroélectriques ou nucléaires; impliquent une énorme pollution de l'air et de l'eau dans des pays lointains où une grande partie de l'extraction, du traitement et de la fabrication est effectuée, avant que les pièces de turbine ne soient expédiées en Amérique; et plus.

    Tout cela est simplement ignoré. De même, vous serez peut-être surpris d'apprendre qu'aucune page de ce rapport massif du DOE ne mentionne le terme «déchets d'éoliennes». La fiche d'information du DOE, «Advancing the Growth of the US Wind Industry: Federal Incentives, Funding and Opportunités de partenariat. » C’est comme si les éoliennes ne meurent jamais et ne laissent jamais rien derrière elles.

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  27. En règle générale, lorsque les turbines arrivent en fin de vie, le propriétaire du projet remplace les anciennes turbines et pales par des modèles plus récents; seules quelques entreprises ont choisi le démantèlement et l'enlèvement totaux. Certains États (plus récemment le Texas et la Caroline du Nord) et localités ont leurs propres normes. Mais les seules normes fédérales (supervisées par le Bureau of Land Management) concernent les installations situées sur les terres fédérales.

    La fiche d'information du DOE fournit des informations sur quatre programmes de crédit d'impôt, trois programmes de prêts et de subventions, quatre sources de subventions de R&D et d'accords de coopération, et cinq sources de subventions de déploiement technologique - ainsi qu'un certain nombre de possibilités de partenariat avec les laboratoires nationaux du DOE.

    Mais il est silencieux sur les déchets d'éoliennes, y compris les énormes fondations en béton et en barres d'armature, et les pales d'une longueur maximale de 107 mètres (351 pieds). Il en va de même pour la plupart des politiciens, des défenseurs du vent et des publications sur l'énergie éolienne. En effet, les fondations et les aubes de turbine ne sont généralement pas recyclables, économiquement ou non.

    Le volume de déchets d'éoliennes devrait grimper dans les années à venir, les déchets miniers et industriels, les déchets de service et les déchets en fin de vie étant les principales sources. On estime qu'il y aura 43 millions de tonnes de déchets de pales dans le monde d'ici 2050. La Chine devrait être responsable de la production de 40% des déchets, suivie de l'Europe (25%) et des États-Unis (19%).

    Basée à Londres, Principia Scientific International appelle les aubes de turbine «un amalgame toxique de composites uniques, fibre de verre, époxy, mousse de polychlorure de vinyle, mousse de polyéthylène téréphtalate, bois de balsa et revêtements en polyuréthane. Fondamentalement, il y a trop de crapola plastique-composite-époxy qui ne vaut pas la peine d'être recyclé." Jusqu'à ce que de meilleures méthodes soient trouvées, les décharges sont l'une des rares options.

    Dans l'Union européenne, les lames usagées sont découpées et brûlées dans des fours ou des centrales électriques. Mais pas aux USA.

    Un camion semi-remorque séparé est nécessaire pour transporter chaque lame vers une décharge, et leur coupe nécessite un équipement spécialisé puissant. Avec quelque 8 000 lames par an déjà retirées du service uniquement aux États-Unis, cela représente 32 000 chargements de camions au cours des quatre prochaines années; dans quelques années, les chiffres seront cinq fois plus élevés.

    Certaines entreprises d'énergie éolienne coupent les énormes pales en courtes sections avant de les envoyer dans des décharges, car la plupart des décharges manquent d'outils de coupe. Les pales des turbines actuelles sont 20% plus longues et leurs tours jusqu'à 200 pieds plus hautes que la plupart de celles actuellement enfouies.

    Les coûts d'élimination des turbines sont de plus de 400 000 $ chacun. Cela signifie 24 milliards de dollars pour éliminer les 60000 turbines actuellement utilisées aux États-Unis.Le coût et le péage des décharges existantes augmenteront à mesure que de plus en plus de pales, plus longues et plus lourdes atteindront leur fin de vie.

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  28. Au cours des 20 prochaines années, les États-Unis à eux seuls pourraient avoir à éliminer 720000 tonnes de déchets de lame. Pourtant, un rapport de 2018 prévoyait une baisse de 15% de la capacité d'enfouissement aux États-Unis d'ici 2021, avec seulement 15 ans de capacité restante. Nous devrons autoriser des décharges entièrement nouvelles simplement pour traiter les déchets des éoliennes - au sommet des montagnes de déchets solaires et de batteries.

    Mais ce n'est que la pointe de l'iceberg. La Fondation Locke cite des études de l'Université du Kansas confirmant que les parcs éoliens créent des conditions de vol dangereuses. La force de rotation des éoliennes peut créer des turbulences extrêmes qui rendent le vol dangereux et l'atterrissage à proximité presque impossible. En effet, un comté du Michigan interdit aux ambulances aériennes de secourir des citoyens vivant à proximité de parcs éoliens, en raison de problèmes de sécurité.

    De plus, la production d’électricité aux États-Unis uniquement aujourd’hui avec l’énergie éolienne pourrait réchauffer les températures de surface continentales des États-Unis de 0,24 ° C (0,43 ° F), avec un effet de réchauffement plus fort la nuit. Ce n'est qu'un dixième du réchauffement généré par les systèmes solaires photovoltaïques, mais ce n'est pas insignifiant - et plus le parc éolien est grand, plus le réchauffement localisé est important.

    En 2013, lorsque les turbines étaient plus petites qu'aujourd'hui, Lafarge North America a déclaré qu'il fallait environ 750 verges cubes (2 500 000 livres/1134 t.) de béton (plus les barres d'armature) pour ancrer une seule éolienne; Nextera Wind a admis utiliser plus de 800 tonnes de béton par turbine plus petite. (Ces chiffres n'incluent pas le béton et l'asphalte importants nécessaires pour améliorer les routes rurales afin de gérer les composants lourds des turbines.)

    De plus, la fabrication du béton est déjà le troisième plus grand émetteur de gaz carbonique - après la combustion du charbon, du pétrole et du gaz naturel. Elle nécessite également près d’un dixième de la consommation d’eau industrielle dans le monde.

    En résumé, les parcs éoliens nécessitent beaucoup de béton émettant du gaz carbonique, d'acier, d'aluminium, de plastiques, de terres rares et d'autres matériaux. Ils perturbent les flux d'air naturels. Ils déciment les populations d'oiseaux et de chauves-souris et provoquent des infrasons et des scintillements de lumière qui nuisent à la santé humaine, tout en produisant relativement peu d'électricité à faible capacité et à un coût élevé. Les pales de turbine mortes submergent les décharges.

    Pourtant, les partisans voudraient vous faire croire que l'énergie éolienne est bon marché, propre, verte, renouvelable et durable. La blague du Green New Deal serait drôle, si elle n’était pas aussi coûteuse économiquement et écologiquement.

    Duggan Flanakin est directeur de la recherche sur les politiques du Comité pour un avenir constructif (www.CFACT.org)

    https://wattsupwiththat.com/2020/09/26/wind-turbines-generate-mountains-of-waste/

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  29. Loi Avia : la France tente de passer en force par la voie européenne

    Le Conseil constitutionnel a empêché la Loi Avia de passer en France ? Qu’importe, le gouvernement la propose à Bruxelles pour l’imposer au niveau européen.


    28 SEPTEMBRE 2020
    Par Sabine Sultan Danino.


    La saison 1 ou « la chronique d’un fiasco annoncé », avait commencé au niveau national, par un échafaudage juridique bancal et déséquilibré : la loi dite Avia, visant à un objectif a priori louable : combattre la prolifération des propos haineux en ligne.

    RAPPEL DE LA LOI AVIA

    Pour rappel, ce qui était proposé était tellement large que véritablement impossible à appliquer en pratique. Il était prévu d’enjoindre les plateformes numériques de supprimer tous les messages et contenus considérés comme haineux au sens très large (incitation à la haine, contenus pédopornographiques, diffamation, discrimination raciale, de genre…)

    La liste des messages susceptibles d’être retirés des réseaux sociaux était extrêmement longue.

    De plus, non seulement le caractère manifestement illicite des contenus signalés n’est pas forcément évident dans des délais aussi courts (24 heures voire une heure pour les messages d’incitation au terrorisme et les contenus pédopornographiques), mais de plus la loi ne laissait aucune marge aux plateformes, avec une peine très importante (250 000 euros d’amende) dès le premier manquement, et cumulable.

    Tout au long de son élaboration, le texte a cumulé les critiques tant pour ses déficiences sur la forme que sur le fond.

    Des personnalités politiques, un grand nombre d’organisations et des juristes ont critiqué la loi qu’ils présentaient comme un danger pour la liberté d’expression, notamment en raison de la possibilité que des décisions de retrait de contenus soient prises par un opérateur privé sans intervention du juge judiciaire, pourtant garant constitutionnellement des libertés fondamentales.

    Au final, le juge constitutionnel a censuré la disposition-phare du texte, l’obligation faite aux réseaux sociaux de supprimer dans les 24 heures, sous peine de lourdes amendes, les contenus « haineux » qui leur sont signalés sur Facebook, Twitter, Snapchat, YouTube…

    Pour le Conseil constitutionnel, ce mécanisme risquait de porter « une atteinte à l’exercice de la liberté d’expression et de communication qui n’est pas nécessaire, adaptée et proportionnée ».

    Il ne restait finalement du texte que quelques dispositions mineures : la création d’un parquet spécialisé dans les messages de haine en ligne ; la simplification du signalement d’un contenu ; ou la création d’un « observatoire de la haine en ligne », auprès du CSA. Pour le reste, le législateur était invité à revoir sa copie.

    Vidée quasi-intégralement de l’essentielle de sa substance par le gardien de la constitution, la loi Avia avait été finalement adoptée par l’Assemblée nationale le 13 mai 2020.

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  30. PASSER EN FORCE AU NIVEAU EUROPÉEN

    La saison 2 ne s’est pas fait attendre. Le 25 juin, quelques jours après cette censure, le gouvernement français a sollicité de la Commission européenne qu’elle adopte au niveau européen ce que la Constitution l’empêchait d’adopter en France.

    Un tour de passe-passe qui permettrait de faire passer cette loi en force en France, au regard de la hiérarchie des normes et ce nonobstant l’avis du Conseil constitutionnel.

    Précisément, l’exécutif demande une nouvelle loi européenne pour « contraindre les plateformes à retirer promptement les contenus manifestement illicites » via « des obligations de moyens sous le contrôle d’un régulateur indépendant qui définirait des recommandations contraignantes relatives à ces obligations et sanctionnerait les éventuels manquements ».

    Et ce projet ressemble étrangement à la loi Avia : son délai de 24 heures, ses pleins pouvoirs donnés au CSA. La France demande de faire censurer « non seulement les contenus illicites, mais aussi d’autres types de contenus tels que les contenus préjudiciables non illicites […] par exemple, les contenus pornographiques [ou] les contenus de désinformation ».

    Cette demande s’inscrit dans un contexte de Digital Service Act (DSA), un projet de texte européen visant à encadrer la puissance des grandes entreprises technologiques grâce à un arsenal de sanctions.

    Le DSA ambitionne également de renforcer les obligations des entreprises technologiques dans la lutte contre les contenus illicites en ligne.

    Il sera donc intéressant de surveiller de près les débats européens et de vérifier si les arguments visés par le Conseil constitutionnel auront eu une résonance dans les travaux bruxellois.

    Car, qu’il soit français ou européen, le législateur devra veiller à préserver cet équilibre fragile : la sauvegarde de l’ordre public, d’une part, et la liberté d’expression et de communication, d’autre part.

    Car envers et contre tout, dans une société ou le liberticide occupe une place de plus en plus importante, l’accès aux services internet et la possibilité d’y exprimer ses idées et opinions demeurent les corollaires de la liberté d’expression, socle de notre société démocratique.

    https://www.contrepoints.org/2020/09/28/381017-loi-avia-la-france-tente-de-passer-en-force-par-la-voie-europeenne

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    Réponses
    1. (...) (incitation à la haine, contenus pédopornographiques, diffamation, discrimination raciale, de genre…) (...)
      (...) les contenus de désinformation ». (...)

      contenus de genre ! Interdit de publier le mot 'madame' ou 'mademoiselle' ou 'monsieur' mais se limiter à dire que c'est 'une personne' (une ou un ?) !! HAHAHAHA !

      contenus de désinformation ! Aaaaaalors là ! TOUS les 'chefs d'États et ministres sous les verrous ! Tous les gros cons d'ordure qui ont dit que 'la mer va monter' ! HAHAHAHA !

      "Depuis des millions d'années il y a des milliards de km³ d'eaux douces (venus des pluies, des fleuves & des rivières) qui se sont déversés dans les mers & océans... SANS QU'ELLES OU ILS NE MONTENT !!! Çà alors ! Tout simplement parce que l'eau s'infiltre continuellement dans les planchers océaniques et maritimes vers le magma où cette soupe toxique (les poissons chient dans la mer !) y est chauffée/bouillie et remonte donc (comme dans une cafetière électrique) vers les sources (chaudes ou froides suivant l'altitude) et vers les nappes phréatique qu'elle remplit."

      qui parlent aussi du 'réchauffement climatique', 'OGM', '11 Septembre 2001', '11 Mars 2011' et pourquoi pas du 7 Janvier 1973 ?!

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  31. France: plus de terrorisme, plus de silence


    par Tyler Durden
    Lun, 28/09/2020 - 02:00
    Rédigé par Giulio Meotti via The Gatestone Institute,


    Le 25 septembre, à Paris, deux personnes ont été poignardées et grièvement blessées devant les anciens bureaux de Charlie Hebdo, où 12 rédacteurs en chef et caricaturistes du magazine satirique ont été assassinés par des musulmans extrémistes en 2015. Le suspect, en garde à vue, fait l'objet d'une enquête pour terrorisme.

    Les meurtriers accusés dans les attentats de 2015 sont actuellement jugés à Paris.

    Peu de temps avant l'attaque au couteau, le 22 septembre, la directrice des ressources humaines de Charlie Hebdo, Marika Bret, n'est pas revenue à la maison. En fait, elle n'a plus de maison. Elle a été expulsée après des menaces de mort graves et concrètes de la part de musulmans extrémistes. Elle a décidé de rendre publique son «exfiltration» pour les renseignements français afin d'alerter le public sur la menace d'extrémisme en France.

    «Je vis sous la protection de la police depuis près de cinq ans», a-t-elle déclaré à l'hebdomadaire Le Point.

    «Mes agents de sécurité ont reçu des menaces spécifiques et détaillées. J'avais dix minutes pour faire mes valises et quitter la maison. Dix minutes pour abandonner une partie de sa vie, c'est un peu court et c'était très violent. Je ne rentrerai pas chez moi. Je perds chez moi aux explosions de haine, à la haine qui commence toujours par la menace d'insuffler la peur. Nous savons comment cela peut se terminer ".

    Bret a également affirmé que la gauche française avait abandonné la «bataille pour la laïcité».

    Depuis le début du procès des hommes accusés d'avoir commis les meurtres de Charlie Hebdo en 2015 - et surtout depuis la nouvelle publication des caricatures de Mohammed - Charlie Hebdo a reçu des menaces de toutes sortes - y compris d'Al-Qaïda. La sécurité aujourd'hui au magazine satirique est massive. "L'adresse de notre siège est secrète, il y a des barrières de sécurité partout, des portes et fenêtres blindées, des agents de sécurité armés, nous ne pouvons guère faire entrer personne", a déclaré Bret.

    Aujourd'hui, 85 policiers protègent les journalistes de Charlie.

    Bret est devenu un autre exemple du caractère clandestin de la liberté d'expression en France, pays de Voltaire. Le premier était Robert Redeker, professeur de philosophie. Le 17 septembre 2006, il se leva tôt pour écrire un article pour Le Figaro sur la lutte de l'Europe avec l'islam. Trois jours plus tard, il était dans une maison sûre et en fuite.

    En janvier dernier, Mila O., une jeune française de 16 ans, a fait des commentaires insultants sur l'islam lors d'un livestream sur Instagram.

    "Au cours de sa diffusion en direct, un garçon musulman lui a demandé de sortir dans les commentaires, mais elle l'a refusé parce qu'elle est gay. Il a répondu en l'accusant de racisme et en la traitant de 'lesbienne sale'. Dans une vidéo de suivi en colère, diffusée en continu immédiatement après avoir été insultée, Mila a répondu en disant qu'elle "déteste la religion" ".

    Mila continua en disant entre autres:

    «Connaissez-vous la liberté d'expression? Je n'ai pas hésité à dire ce que je pensais. Je déteste la religion. Le Coran est une religion de haine, il n'y a que de la haine. C'est ce que je pense. Je dis ce que je pense. .. L'Islam c'est de la merde ... Je ne suis pas du tout raciste. On ne peut pas simplement être raciste contre une religion ... Je dis ce que je veux, je dis ce que je pense. Ta religion est de la merde. Je "Je mettrais un doigt dans le trou de ton dieu ..."

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  32. Après que l'adresse de son école ait été publiée sur les réseaux sociaux, elle a été forcée de partir et d'être transférée dans une autre école, cette fois gardée secrète.

    Le journaliste Éric Zemmour a été agressé à plusieurs reprises devant son domicile; la journaliste franco-marocaine Zineb el Rhazoui a également trouvé l'adresse de son domicile publiée sur les réseaux sociaux.

    Pendant ce temps, à son honneur, le président français Emmanuel Macron a défendu le droit de Charlie Hebdo à la liberté d'expression. Le blasphème, a-t-il dit, "n'est pas un crime".

    "La loi est claire: nous avons le droit de blasphémer, de critiquer, de caricaturer les religions. L'ordre républicain n'est pas un ordre moral ... ce qui est interdit, c'est d'inciter à la haine et d'attaquer la dignité."

    Une affaire judiciaire de 2007 a statué qu '"en France, il est possible d'insulter une religion, ses chiffres et ses symboles ... cependant, insulter ceux qui suivent une religion est interdit."

    Les paroles courageuses des autorités françaises semblent toutefois inoffensives, pâles et ennuyeuses, comparées à la force de la violence et de l'intimidation extrémistes.

    L'intégrisme islamique a déjà réussi à déplacer non seulement des milliers de chrétiens persécutés - comme Asia Bibi, forcée de fuir pour sa vie du Pakistan au Canada après avoir été acquittée de son blasphème. Cette forme d'extrémisme a également réussi à transformer de nombreux citoyens européens en prisonniers, des personnes se cachant dans leur propre pays, condamnées à mort et contraintes de vivre dans des maisons inconnues même de leurs amis et de leur famille. Et nous nous y sommes habitués !

    Le jour de la condamnation à mort par l'Iran de Salman Rushdie pour son roman, Les Versets sataniques, lui et sa femme, Marianne Wiggins, ont été emmenés de leur domicile dans le nord de Londres par les services secrets britanniques, au premier de plus de cinquante "refuges "dans lequel l'écrivain a vécu pendant les dix prochaines années.

    Le parlementaire néerlandais Geert Wilders - dont le nom, comme le prochain à être assassiné, a été retrouvé sur une feuille de papier poignardée dans le cinéaste assassiné, Theo van Gogh - vit dans des maisons sûres depuis 2004. «Je suis en prison, "dit-il," et ils se promènent librement. "

    Il y a dix ans, une journaliste du Seattle Weekly, Molly Norris, en solidarité avec les auteurs en danger du dessin animé télévisé «South Park», a également dessiné une caricature de Mohammed. Le dernier article de journal qui parlait d'elle disait:

    "Vous avez peut-être remarqué que la bande de Molly Norris n'est pas incluse dans le numéro de cette semaine. C'est parce qu'il n'y a plus de Molly ... sur les conseils des spécialistes de la sécurité du FBI, elle déménagera et changera de nom ..."

    Le journal danois Jyllands Posten, qui a imprimé pour la première fois des caricatures de Mohammed en 2005, a abandonné. Le journal a refusé de republier les caricatures du Prophète de l'Islam lorsque Charlie Hebdo les a imprimées à nouveau en première page. Le rédacteur en chef qui a publié les dessins chez Jyllands Posten, Flemming Rose, est toujours escorté par des gardes du corps. «J'admire vraiment le courage de Charlie», dit-il.

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  33. "Des héros qui n'ont pas succombé aux menaces ou à la violence. Malheureusement, ils ont reçu un soutien limité. Aucune publication en France ou en Europe ne se comporte comme Charlie. C'est pourquoi je crois qu'en Europe il existe une loi non écrite contre le blasphème. Je ne critique pas les journalistes. et les rédacteurs en chef qui font ce choix. On ne peut pas blâmer les gens qui, contrairement à Charlie, ne mettent pas leur vie en danger. Mais ne soyons pas dupes: ce manque de courage pour suivre les traces de Charlie a un prix, on perd la liberté de le discours et une forme insidieuse d'autocensure gagnent du terrain".

    Ces derniers jours, le nouvel éditeur de Jyllands Posten, Jacob Nybroe, a répété:

    "Nous ne les publierons plus. J'ai confirmé cette ligne éditoriale à mon arrivée et j'ai reçu beaucoup d'applaudissements. J'ai peut-être l'air d'un lâche, mais nous ne pouvons pas le faire".

    Les noms des caricaturistes danois figuraient sur la même «liste de résultats» publiée par Al-Qaïda avec le nom du rédacteur en chef de Charlie Hebdo, Stéphane Charbonnier, assassiné lors du massacre de 2015. Le caricaturiste danois Kurt Westergaard n'est vivant que parce que lors d'une attaque terroriste contre sa maison, il s'est caché.

    Aujourd'hui, le siège social de Jyllands Posten dispose de fenêtres pare-balles, de barres et de dalles métalliques, de barbelés et de caméras vidéo. Elle se trouve en face du port d'Aarhus, la deuxième plus grande ville du Danemark, et est sous surveillance jour et nuit. Chaque porte automatique, chaque ascenseur, nécessite un badge et un code. Vous y entrez comme s'il s'agissait d'un coffre-fort de banque. Une porte s'ouvre et après qu'elle se ferme, la porte suivante s'ouvre. Les journalistes qui y travaillent entrent un par un. "Pour le dire simplement, la liberté d'expression est en mauvais état dans le monde. Y compris au Danemark, en France et dans tout l'Occident", a déclaré Rose, "Ce sont des temps troublés; les gens préfèrent l'ordre et la sécurité à la liberté."

    Si nous ne défendons pas tous nos libertés, bientôt nous ne les aurons plus.

    https://www.zerohedge.com/markets/france-more-terrorism-more-silence

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  34. Coronavirus : halte au délire sanitaire !

    Foutons la paix à la population et laissons-la vivre sa vie. Après tout un peuple bien vivant, et non sous l’éteignoir, a davantage d’armes pour se battre. Notre pays doit retrouver au plus vite son dynamisme.

    28 SEPTEMBRE 2020
    Par Paul Touboul.


    Car délire est bien le mot : toute raison a volé en éclats depuis le début de l’épidémie de covid-19 et l’extravagance continue de plus belle alors que nous en sommes désormais au septième mois de cette soi-disant guerre.

    Et revenons à ce mot de guerre employé dès le début par notre président, expression dévoyée appliquée à une situation qui en rappelait d’autres dans le passé et pour lesquelles il n’y avait pas eu tant de battage.

    D’un côté le virus annoncé appartenait à la branche des coronavirus qui prolifèrent régulièrement à l’origine des rhinopharyngites et bronchites de nos enfants. De l’autre il était un nouveau produit de sa série et semblait évoluer sur un mode pandémique.

    Quoiqu’il en soit il s’agissait d’une invasion virale de plus à laquelle nous devions faire face, situation encore une fois qui n’avait rien d’exceptionnel.

    Or tout a viré d’un coup à un mélange de tragédie et de grand-guignol. Et d’abord la question : comment protéger la population ? La réfutation par les autorités que le port de masques à ce stade ait un quelconque intérêt a d’ores et déjà pris sa place dans le grand bêtisier des annales du covid-19.

    La question de la prise en charge des contaminés a été à l’origine d’un psychodrame national. La proposition de prescrire d’emblée une association hydroxy-chloroquine-azithromycine a été rejetée par le Conseil scientifique aux manettes.

    Comment oser préconiser sans preuve ? Critique non dénuée de mauvaise foi et mettant surtout en cause un virologue marseillais, Didier Raoult, personnalité flamboyante qui osait dire son fait aux caciques de Paris.

    DÉLIRE DES COUPS BAS

    Le débat a été enterré sous les invectives et autres coups bas. Le Conseil scientifique tenait le bon bout. On ne traitait plus désormais les cas déclarés, sauf bien sûr les formes graves transférées aux hôpitaux pour être au besoin réanimées. Et le comble de tout cela est que la délivrance d’hydroxychloroquine dans les pharmacies a été suspendue sur la foi d’une supposée dangerosité jamais prouvée.

    Sans vouloir polémiquer sur le désastre sanitaire enregistré à Paris, plutôt que des échanges au-dessous de la ceinture, l’affaire aurait mérité une confrontation en bonne et due forme entre scientifiques responsables. Mais là encore c’était trop demander à un microcosme parisien imbu de lui-même et qui avait fait de Didier Raoult l’homme à abattre.

    ON N’A PAS SU GARDER RAISON

    Je passerai sur le confinement de mars-avril auquel a été attribué sans preuves sérieuses la survie de milliers de contaminés, en se gardant bien de mettre à jour les dégâts collatéraux considérables en termes d’appauvrissement, d’isolement social, d’abandons de soins, de désordres psychiques et la perte de tout lien pour les plus âgés laissés à eux-mêmes voire livrés à la mort.

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  35. L’état de panique qui a pris place lors de l’invasion de l’épidémie, orchestrée par une communication médiatique anxiogène délivrant quotidiennement son lot de morts, a fait émerger la notion d’un fléau à nul autre pareil, d’une dangerosité redoutable, capable de tout, et qui même après le déclin annoncé était encore capable de résurgence violente.

    Pourtant la mortalité observée au-dessous de 65 ans avait été de l’ordre de 0,3 %, et les sujets de plus de 80 ans étaient les principales victimes. Pourquoi en avoir tenu si peu compte et laisser se propager quand même un discours alarmiste ? À l’évidence la peur s’est mêlée au débat.

    Certes les débuts avaient été catastrophiques, et on ne remettra pas sur le tapis les éventuelles responsabilités. Il reste qu’en mettant sur le dos de l’épidémie le poids de la tragédie, en en faisant un mal à part doté de pouvoirs hors du commun, le rôle de ceux qui nous gouvernent dans la marche des évènements devenait plus secondaire.

    Par contre et alors que l’épidémie s’épuisait, cette même dramatisation a été enfourchée pour reprendre à bras le corps le combat comme si de rien n’était. Le contexte a été noirci à souhait.

    Il a été donné au public le sentiment que tout ne faisait que commencer et qu’avec les armes maintenant disponibles, masques et autres tests, était engagée la véritable lutte contre la bête immonde. Était inauguré du même coup un nouveau début de la confrontation, et relégué aux oubliettes un prologue calamiteux. L’honneur était sauf et le bien-fondé de cette politique sanitaire de rattrapage légitimée.

    Je ne dis pas qu’il n’y a que faux-semblants dans l’action publique actuelle. Il suffit de jeter un coup d’œil sur ce qui s’est fait de par le monde pour réaliser que, fait extraordinaire, nombre de pays ont surenchéri à l’envi dans le combat antiviral.

    NOS PEURS SERONT-ELLES EXPLOITÉES ?

    Et l’on doit s’interroger sur les déterminants des conduites humaines au XXIe siècle : conscience d’un monde en péril, finitude expulsée de notre horizon, défense quasi-hystérique de toute vie, peur panique devant un trublion mortifère invisible, autant de facteurs dynamitant un combat sans merci aux dimensions prométhéennes. Certes, nous en sommes là. Toute-puissance et immense fragilité coexistent intimement liées.

    Alors, que cela ait pu être exploité, voire entretenu à des fins peu honorables, pourquoi pas ? Big pharma a vite perçu les avantages à tirer de l’affaire et a en coulisses fait jouer ses lobbies.

    Des antiviraux onéreux, et non dénués de risques, se sont imposés dans les instances officielles, mettant l’hydroxychloroquine au tapis. La course aux vaccins profite d’un contexte hystérisé dans lequel cette injection miraculeuse est attendue comme le messie et doit inaugurer la fin de tous nos maux. Inutile de préciser que la concurrence en la matière est rude et les bénéfices à en attendre des plus juteux.

    Dans le même temps nous poursuivons inlassablement le virus, cinq mois après la fin annoncée de l’épidémie. Dépistage à tout-va, comptabilisation quotidienne des contaminés, retour de l’angoisse, atmosphère de plus en plus alarmiste, messages récurrents nous rappelant que le virus circule toujours.

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  36. Et l’on ne traite toujours pas les sujets infectés, l’hydroxychloroquine demeurant jusqu’à ce jour un sujet tabou. Si des formes sévères sont signalées, à l’évidence cependant le processus n’a plus la même gravité, témoin une mortalité demeurée à son taux le plus bas.

    Pourtant les interdits pleuvent ici ou là limitant dramatiquement la vie sociale, qu’il s’agisse de restauration, de lieux de rencontre, de rassemblements, de festivités, sans parler de la fermeture d’écoles pour un oui pour un non.

    Un soi-disant indice de contamination fait la loi, des villes sont étiquetées rouges et subissent les oukases d’un pouvoir plus que jamais liberticide. Un sentiment de « jamais fini » s’est installé. Surtout l’atmosphère a un relent de folie, de course en avant incontrôlée, nos gouvernants sont devenus des marionnettes aux ordres d’un virus qui s’en donne à cœur joie.

    HALTE À CE DÉLIRE DE SURENCHÈRE

    Il est urgent de briser cette dynamique infernale. Le pouvoir reste enfermé dans une surenchère de dépistage, on a envie de dire, par compensation, si l’on se réfère à l’historique des tests, inexistants en phase d’invasion épidémique.

    Or à l’évidence le virus n’est plus le même et sa dangerosité est grandement atténuée, toutes les données récentes le prouvent. Comment dans ces conditions justifier une politique aussi agressive, et dont les conséquences sur la société sont d’ores et déjà catastrophiques ?

    Nous ne sommes pas près de nous relever de ce qui se dessine à nos portes : chômage massif et marasme économique. Nos édiles nous entrainent dans le mur avec une obstination démente.

    Il faut reprendre raison. Certes le virus, celui-là ou un autre, circule encore. Cantonnons-nous aux malades déclarés pour le suivre et enchaîner à partir de là un dépistage rapproché, maintenons un cordon sanitaire autour des sujets très âgés, gérons l’affaire au cas par cas en gardant bien sûr un œil vigilant sur les données épidémiologiques.

    Mais foutons la paix à la population et laissons-la vivre sa vie. Après tout un peuple bien vivant, et non sous l’éteignoir, a plus d’armes pour se battre. Notre pays doit retrouver au plus vite ses fondamentaux, son dynamisme et ses traits bien à lui. Et l’immunité collective fera le reste.

    Nos gouvernants ont eu tout faux depuis le début. Et ça continue. Les voix discordantes sont étouffées voire discréditées. Le débat en la matière est biaisé, détourné, annihilé, les contraintes exercées au nom de la bonne parole sont de plus en plus pesantes et expriment un glissement totalitaire.

    La dérive de l’institution démocratique se poursuit inexorablement. Comment ne pas voir dans la politique sanitaire brutale menée dernièrement à l’égard de Marseille un coup de Jarnac à l’adresse de Didier Raoult ?

    Nous en sommes encore aux règlements de compte. Dans cette course en avant menée par un pouvoir pris dans un engrenage fatal, seul est à espérer un sursaut populaire pour siffler la fin de la partie.

    https://www.contrepoints.org/2020/09/28/381021-coronavirus-halte-au-delire-sanitaire

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  37. Pendant la Covid, que fait-on des autres patients ?

    À cause de l’organisation forcée autour de la Covid, va-t-on à nouveau délaisser les patients qui ont besoin de soins ? Coup de gueule d’un chirurgien.


    27 SEPTEMBRE 2020
    Par Denis Dupuy.


    Voici peu, Françoise, mon amie cardiologue, me confiait avoir passé un mois sans diagnostiquer un infarctus. Du jamais vu en 20 ans d’exercice. Évidemment, les premiers à se présenter ont été dramatiques.

    Au centre anti-cancéreux, c’est Pierre qui se lamentait : les cancers, ces petites horreurs qui ne vous laissent jamais durablement l’opportunité d’agir, n’ont pas respecté le confinement. Il a dû prendre en charge en catastrophe des tumeurs cérébrales, hélas hors de toute ressource thérapeutique.

    Et puis on a vu débouler des comas diabétiques, des insuffisances cardiaques décompensées et des tas de saloperies habituellement bien sages, qui échappaient au contrôle.

    Le brave citoyen supposé bien portant a souvent laissé mijoter ses plaintes à la maison, alors qu’il se rongeait d’inquiétude pour lui et ses proches. Tout ça pour un virus guère plus mortel que la grippe, qui a tué des vieux messieurs très affaiblis attendant leur fin dans un EHPAD (pour l’essentiel).

    Et quelques très rares jeunes, oui, je sais. Avant que le virus ne mute on en a compté 0,5 % de la mortalité globale : grippe ou appendicite, ce sont les mêmes pourcentages. Vous crevez de trouille à l’idée d’une appendicite, vous ?

    Nous nous soumettrons tous, un jour. C’est ainsi. L’existence des vivants doit se poursuivre. Allons, libres, de préférence : éloignons les prodiges en charge, après cette limpide démonstration de pouvoir de nuisance et de carence de bon sens.

    PATIENTS AFFOLÉS, GESTION EN BERNE

    Durant l’épidémie, les grands chefs ont été, comme d’usage, souvent totalement indignes : mauvais médecins, mauvais administrateurs, mauvais chefs. De peu réactifs, ils se révélaient d’un jour sur l’autre trop réactifs et l’on filait de gaffe en catastrophe.

    Le fameux masque, peut-être ou peut-être pas utile (l’épidémie de rhinovirus actuelle semble s’en balancer, du chiffon nasal) les faisait sourire au commencement. Aujourd’hui, l’oublier peut vous coûter jusqu’à 1500 euros.

    Endoctrinés, affolés, manipulés, les patients ont déserté les centres de soins. Ils ont eu peur parce qu’on leur a fait peur : presses, politiciens et crétins divers. La fameuse deuxième vague qui n’arrive pas mais qui pourrait surgir des ténèbres est la cousine du réchauffement climatique qui n’arrive pas mais qui pourrait un jour détruire la planète.

    Une société de trouillards occupés à traquer le danger potentiel en tout a pris le contrôle des âmes vaillantes. Leur credo ? On ne sait jamais. Le courage ? Non mais vous n’y pensez pas ?

    LES PATIENTS DOIVENT… SAUVER LE SYSTÈME ?

    De leurs erreurs, les génies en charge n’ont rien retenu : ce n’est pas la deuxième vague qu’aucun pays n’a connue mais la deuxième couche que nous subissons. Bégaiements. Ainsi, j’apprends que le CHU de Toulouse refuse les urgences pas vraiment urgentes. Certains vont donc à nouveau crever chez eux, afin de… ne pas surcharger les services. Effarant ! Pourtant, c’est bien l’unique raison avancée.

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  38. Ailleurs, passée la crise, on se souvient, sourire aux lèvres et on se félicite d’avoir accueilli chacun, urgences et Covid, sans compter son temps ou sa peine. En France, c’est précisément l’inverse et l’on se félicite d’avoir sauvé… les services hospitaliers !

    En Chine, les médecins ont œuvré, bâti des hôpitaux, affronté, combattu, vaincu et tourné la page. En France, le médecin fonctionnaire, sous la coupe d’autres fonctionnaires, protège son outil de travail, enfin, celui que nos impôts mettent à sa disposition.

    Que de pleurnicheries ! Du médecin ou du patient, lequel importe le plus ? Et puis ce choix assumé d’encenser le médecin hospitalier ! Est-ce digne, est-ce juste ? Il ne s’agit pas de le jalouser mais croyez-vous que dans nos cliniques nous nous amusons, avec nos tarifs deux fois inférieurs (voyez la T2A, si je mens), nos personnels deux fois moins nombreux et nos groupes financiers sans âme ?

    Passons-nous notre temps à exiger des avantages et de la reconnaissance, nous qui soignons de la même manière ? Je respecte hautement mes confrères en tant que médecins mais pour le reste…

    Accordons-leur de se coltiner 30 % de tâches administratives. Des pelletées de « je vais leur montrer à ces cons de médecins… ». J’en ai tant croisé. Eux sont là pour faire régner l’ordre : eux seuls peuvent organiser intelligemment, pensez bien. À Marseille, 70 lits de réanimation sur 300 étaient dévolus au Covid et on a crié au loup quand… 67 lits ont été occupés. Les tableurs Excel souffraient affreusement.

    Tout ne se résume cependant pas à un problème d’agences par dizaines, de clans de privilégiés en lutte les uns contre les autres, avec leurs hordes d’abrutis plein de morgue, persuadés de savoir diriger quand ils ne sont pas à même de seulement déterminer leurs effectifs exacts.

    RÉVEILLONS-NOUS !

    C’est une affaire d’état d’esprit, une affaire individuelle, notre affaire, votre affaire. J’évoque là le courage et la façon d’envisager l’existence. L’État ne supprimera pas la mort. La Covid n’est devenue qu’une grippe que l’on sait aujourd’hui mieux soigner. Alors, on se couche, on se terre, on se lamente, comme des écolos face au progrès ?

    Quelle image souhaitons-nous offrir à nos descendances, celle de trouillards, d’indignes pleureuses vaincues par un petit virus, quand nos ancêtres ont affronté la peste noire comme celle des dictatures…

    Et le prochain confinement, alors, pour quelle raison l’imposera-t-on ? Hémorroïdes, gastro-entérite ? Ou encore dans le but ne pas surcharger les services des impôts ou de l’Éducation nationale ?

    Allez, quoi : on se réveille ! Nous n’avons pas besoin de ces organisations ruineuses, malfaisantes et tyranniques. Nous avons besoin de résolution et de fraternité. Que chacun se protège, épargnant ainsi les anciens sans qui il ne serait pas.

    Que les hôpitaux aillent de l’avant, bravement et sans chouiner, au service de tous les affligés.

    Qu’un peu de dignité émerge de la médiocrité, en conclusion de ces égarements…

    https://www.contrepoints.org/2020/09/27/380973-pendant-la-covid-que-fait-on-des-autres-patients

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