11:33 09.09.2020
Par Anastasia Patts
En raison de la crise sanitaire mondiale, des millions de personnes perdent leurs revenus et la capacité de s’alimenter sainement, ce qui contribue à la propagation de l’obésité chez l’adulte, qualifiée par les Nations unies de «pandémie à part entière», indique Bloomberg.
Les Nations unies alertent sur le risque pour 130 millions de personnes à travers le monde d’aller s’ajouter à ceux qui souffrent déjà de faim chronique cette année en raison de la pandémie de coronavirus. Dans cette sombre perspective, l’obésité représente une menace plus grave pour sa part dans le monde développé, indique Bloomberg.
De nombreuses personnes ayant perdu leur travail et leurs revenus à cause de la pandémie sont contraintes d’économiser sur l’alimentation en optant pour des aliments moins chers qui sont souvent moins sains, poursuit l’agence. Il s’agit notamment des repas rapides et des aliments ultra-transformés, généralement chargés de sel, de graisse et de sucre.
Les régimes alimentaires qui ne sont pas sains contribuent ainsi à l’aggravation du problème de l’obésité de l’adulte dans le monde entier, qui devient une «pandémie mondiale à part entière», avait déclaré en juillet l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture. Selon l’institution, une alimentation saine et nutritive est déjà hors de portée pour plus de trois milliards de personnes.
Qui sont les concernés ?
Dans le cas du Royaume-Uni analysé par Bloomberg, les personnes aux revenus les plus faibles et issues de nombreuses minorités ethniques ont plus de risques d’être en surpoids que celles qui vivent dans les zones les moins défavorisées. À l’âge de 11 ans, les enfants des régions les plus pauvres sont trois fois plus susceptibles d’être obèses que leurs camarades les plus riches, et les minorités noires courent un plus grand risque, précise l’agence.
Environ 12% des adultes vivant avec des enfants ont déclaré avoir sauté des repas parce qu’ils n’avaient pas les moyens de se payer ou d’avoir accès à de la nourriture au cours des six derniers mois, selon une enquête de l’organisme de bienfaisance de la Food Foundation citée par Bloomberg.
Impact
Associée à des maladies telles que le diabète, les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le cancer, l’obésité participe également au développement des cas graves de Covid-19 et donc des décès qui en découlent.
Avec l’immobilisme et l’inaction face à la montée mondiale de la mauvaise alimentation et de l’obésité, les coûts de santé associés dépasseront 1,3 milliard de dollars par an au cours de la prochaine décennie, préviennent les Nations unies, citées par l’agence.
Dans le même temps, le taux de chômage augmente à mesure que l’aide aux entreprises et aux travailleurs en congé diminue, précise Bloomberg qui suppose que la deuxième vague de coronavirus risque d’aggraver la situation.
"C'est en agissant sur la base de fausses croyances qui lui sont inculquées par des autorités déviantes, que l'humanité crée collectivement le chaos et la souffrance dans la société, ce qu'elle déplore alors, et fait ensuite appel à ces mêmes autorités pour y remédier".
RépondreSupprimer- Joe Quinn
AstraZeneca suspend l'essai de son vaccin anti-Covid-19 après l'apparition d'une «maladie potentiellement inexpliquée»
RépondreSupprimer10:40 09.09.2020
Le groupe pharmaceutique britannique AstraZeneca a annoncé avoir suspendu l'essai clinique de son vaccin contre le Covid-19 après qu'un des participants a présenté une réaction indésirable et inexpliquée. Selon le site d'information Stat News, spécialisé dans le domaine de la santé, la personne concernée devrait se rétablir.
Le groupe pharmaceutique AstraZeneca a annoncé mardi une pause dans les essais cliniques de son vaccin expérimental contre le Covid-19 après l'apparition d'une «maladie potentiellement inexpliquée», sans doute un effet secondaire grave, chez un participant.
«Dans le cadre des essais cliniques randomisés mondiaux du vaccin contre le coronavirus de l'université d'Oxford, notre processus d'évaluation normal a été déclenché et nous avons volontairement fait une pause dans les vaccinations pour permettre une évaluation des données de sécurité par un comité indépendant», a déclaré un porte-parole de la société dans un communiqué.
«C'est une action de routine qui est requise dès qu'une maladie potentiellement inexpliquée apparaît dans l'un des essais, pendant l'enquête, afin de maintenir l'intégrité des essais», a poursuivi le porte-parole.
On ignore la nature et la gravité de l'événement, mais selon le site Statnews, la personne concernée devrait se rétablir.
Une suspension qui fera date
C'est la première suspension connue d'un essai clinique concernant un vaccin expérimental contre le Covid-19.
Selon la durée des investigations, cela pourrait avoir un impact sur le calendrier serré du développement. Le ministre de la Santé britannique avait dit le 7 septembre espérer des résultats des essais d'AstraZeneca d'ici la fin de l'année ou le début de 2021.
AstraZeneca est le partenaire industriel de l'université britannique Oxford, et leur vaccin est testé sur des dizaines de milliers de volontaires au Royaume-Uni, au Brésil, en Afrique du Sud et, depuis le 31 août, les États-Unis, dans ce qu'on appelle la phase 3 des essais, la dernière, devant vérifier sécurité et efficacité.
Le laboratoire a déjà pré-vendu des centaines de millions de doses à de multiples pays, au cas où son vaccin prouverait son efficacité, indique l'AFP.
https://fr.sputniknews.com/international/202009091044396906-astrazeneca-suspend-lessai-de-son-vaccin-anti-covid-19-apres-lapparition-dune-maladie/
Moscou a lancé la vaccination contre le coronavirus
RépondreSupprimer15:45 09.09.2020
Par Anna Borissova
Les premiers Moscovites ont commencé ce 9 septembre à se faire vacciner contre le coronavirus. La vaccination a lieu dans le cadre des essais post-enregistrement du Spoutnik V, premier vaccin russe. Plus de 35.000 demandes ont été déposées.
La vaccination contre le coronavirus a été lancée à Moscou dans le cadre des essais post-enregistrement du vaccin russe Spoutnik V, premier élaboré dans le monde, a déclaré ce 9 septembre aux journalistes Anastassia Rakova, adjointe au maire de la capitale russe pour les questions du développement social.
«Cela nous permettra de rapprocher la date de la mise à disposition du vaccin pour tout le monde. Les premiers participants des essais ont été vaccinés aujourd’hui», a précisé Mme Rakova.
La vaccination est gratuite, la participation de 40.000 volontaires au total est nécessaire.
Selon l’adjointe au maire, le nombre de personnes qui souhaitent être vaccinées augmente chaque jour.
«La demande a déjà été déposée par plus de 35.000 Moscovites. Maintenant, dans la capitale, l'étude du vaccin contre le Covid-19 est menée sur la base de six établissements médicaux. À l'avenir, leur nombre passera à 20», a expliqué Mme Rakova.
Les deux étapes de l’injection
Elle a ajouté que le vaccin sera administré en deux étapes: le premier composant du vaccin sera injecté au cours de la première étape et au bout de 21 jours la personne se verra administrée le second composant. Ils se distinguent par les substances actives qui les composent, ce qui est fait pour renforcer la défense immunitaire.
Le professeur et directeur du département des arbovirus du Centre d’épidémiologie et de microbiologie Gamaleïa, Alexandre Boutenko, a déclaré à Sputnik qu’au terme des essais cliniques du vaccin Spoutnik V, les Russes recevront au moins deux types de ce médicament – un pour les enfants et un pour les adultes.
Le ministère russe de la Santé a annoncé le 7 septembre que le premier lot de vaccins russes anticoronavirus Spoutnik V, développé par le Centre d’épidémiologie et de microbiologie Gamaleïa avec le concours du Fonds russe d’investissements directs, a été produit et sera bientôt fourni aux régions russes.
Le 11 août, ce premier vaccin contre le Covid-19 au monde a été enregistré par le ministère russe de la Santé.
https://fr.sputniknews.com/russie/202009091044399511-moscou-a-lance-la-vaccination-contre-le-coronavirus/
Covid-19 CFR et IFR confondus
RépondreSupprimer8 septembre 2020
Fil Twitter de Steve McIntyre
Un nouvel article dans un journal publié par Cambridge Univ Press indique que le témoignage devant le House Oversight Committee en mars 2020 a confondu le taux de létalité des cas (CFR) et le taux de mortalité par infection (IFR) pour la grippe, ce qui entraîne une erreur majeure. (Je signale cela sans analyse)
2 / L'auteur Ronald Brown (de l'Université de Waterloo en Ontario) a déclaré que le comité de la Chambre avait appris que la mortalité estimée était 10 fois plus élevée que la grippe saisonnière. C'était le principal argument pour le verrouillage.
3 / Brown a observé que l'article du New England Journal, juste avant le témoignage de la Chambre, avait dit (à tort) que le CFR pour la grippe saisonnière était de 0,1% alors que 0,1% est en fait la valeur de l'IFR (OMS).
4 / Brown a observé que CFR et IFR ont des définitions différentes en épidémiologie et donne une longue exposition.
5 / Brown n'a curieusement pas identifié la personne qui, selon Brown, a donné au Congrès des informations de référence erronées sur les taux de mortalité pour la grippe saisonnière, reliant le CSPAN dans ses notes de bas de page.
6 / l'expert qui, selon Brown, a commis l'erreur 10x dans son témoignage au Congrès est désormais bien connu de nous tous. C'était, il va sans dire, Anthony Fauci.
7 / J'exhorte les lecteurs à lire l'article original. Je ne connais pas personnellement les distinctions de définition soulignées par Brown et n’ai pas vérifié ses affirmations. Brown est dans une université réputée et le journal est publié par un éditeur réputé (Cambridge Univ).
https://www.cambridge.org/core/journals/disaster-medicine-and-public-health-preparedness/article/public-health-lessons-learned-from-biases-in-coronavirus-mortality-overestimation/7ACD87D8FD2237285EB667BB28DCC6E
Initialement tweeté par Stephen McIntyre (@ClimateAudit) le 7 septembre 2020.
https://wattsupwiththat.com/2020/09/08/covid-19-cfr-and-ifr-confused/
Nous respirons tous (avec ou sans masque) 200 000 virus par minute et 2 millions en activité physique, dans ces virus il y a la quasi totalité de ces nano-particules minérales ou métalliques dont notre corps est immunisé. Demeurent les nano-particules irradiantes ou aimantées qui perturbent notre organisme. Un virus (matière non vivante) ne peut être tué par un vaccin mais seulement encapsulé. Ce qui lui réserve donc le droit d'apparaître plus tard.
SupprimerC'est aussi pourquoi ces métaux lourds (présents en chemtrails et injections) demeurent des relais qui peuvent par ondes (5G) être remis en service pour modifier les comportements humains.
https://rudy2.wordpress.com
https://educate-yourself.org/mc/
La Suède est proche de la victoire sur le coronavirus; Jamais eu de mandat de verrouillage ou de masque
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 09/09/2020 - 05:00
Rédigé par Steve Watson via Summit News,
Alors que le reste de l'Europe et le monde restent sous l'emprise de règles draconiennes et de la menace de nouveaux verrouillages, la Suède, qui a permis à ses citoyens de rester libres pendant toute la pandémie, a quasiment déclaré sa victoire sur le coronavirus.
Le pays a désormais l’un des taux d’infection les plus bas de la planète et il est difficile de ne pas admirer la façon dont il a géré l’année écoulée, sans aucune règle stricte de verrouillage ou de masque facial obligatoire. Tous les commerces, écoles et lieux publics sont restés ouverts en Suède pendant toute la durée.
«La Suède est passée du pays le plus infecté d’Europe au pays le plus sûr», a commenté l’épidémiologiste suédois Dr Anders Tegnell au journal italien Corriere della Sera.
«Ce que nous voyons maintenant, c'est que la politique durable pourrait être plus lente à obtenir des résultats, mais elle finira par obtenir des résultats», a précisé Tegnell.
«Et puis nous espérons également que le résultat sera plus stable», a-t-il ajouté.
Tegnell avait précédemment averti qu'encourager les gens à porter des masques faciaux était «très dangereux» car cela donne un faux sentiment de sécurité mais ne freine pas efficacement la propagation du virus.
"Les découvertes qui ont été produites à travers les masques faciaux sont étonnamment faibles, même si tant de personnes dans le monde les portent", a exhorté Tengell.
La semaine dernière, le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies a confirmé la baisse du taux d’infection en Suède, avec seulement 12 cas par million, contre 18 au Danemark voisin et 14 en Norvège voisine.
- voir sur site -
Graphique: le soleil
Au plus fort de la flambée épidémique en Suède, la Suède enregistrait 108 nouvelles infections par million d’habitants, dans le cadre d’une stratégie d’immunité collective.
Les chiffres montrent également que sur 2500 personnes sélectionnées et testées au hasard en Suède, aucune n'a été testée positive, contre 0,9% en avril et 0,3% en mai.
«Nous interprétons cela comme signifiant qu'il n'y a actuellement pas d'infection généralisée parmi les personnes qui ne présentent pas de symptômes», a déclaré Karin Tegmark, directrice adjointe de l'Agence de santé publique de Suède.
Par rapport au reste de l’Europe, le taux de mortalité de la Suède se situe quelque part entre les deux. Cependant, les officiels sont convaincus qu'en jouant le long match, cela s'améliorera considérablement.
https://www.zerohedge.com/medical/sweden-close-victory-over-coronavirus-never-had-lockdown-or-mask-mandate
Un quart des conducteurs britanniques n’achèteront même pas de voiture électrique «de leur vivant»
RépondreSupprimerSeptember 9th, 2020
Le parlement britannique a décidé d'éliminer complètement les voitures à combustible fossile d'ici 2040 ou même 2035, mais à l'heure actuelle, seuls 4% du public britannique envisagent même d'acheter un véhicule électrique, ce qui en fait une transition très forcée. Quarante-quatre pour cent disent qu’ils ne seront même pas prêts dans quinze ans, et un quart dit effectivement «sur mon cadavre».
La moitié des Britanniques disent que l'échéance 2035 pour passer à une voiture électrique est trop tôt!
Rob Hull et Grace Gausden, ThisIsMoney.co.uk
Mais malgré la disponibilité croissante et le choix plus large de moteurs parmi lesquels choisir, une enquête commandée par le SMMT a révélé que près de la moitié des conducteurs ne sont pas seulement non préparés à faire la transition vers l'automobile zéro émission maintenant, mais ne pensent pas qu'ils le seront en 2035. - cinq ans avant l'échéance actuelle pour l'interdiction de la vente de voitures neuves à essence, diesel et hybrides.
Un quart (24%) des 2185 conducteurs interrogés ont déclaré qu'ils ne prévoyaient pas acheter une voiture électrique au cours de leur vie, malgré l'interdiction de 2040.
96% déclarent ne même pas songer à en acheter un pour le moment
Presque personne ne veut acheter une voiture électrique au Royaume-Uni
Peter Campbell Financial Times
Le nombre de personnes au Royaume-Uni prévoyant d'acheter un véhicule électrique s'est effondré alors que la pandémie a réduit les finances des acheteurs potentiels de voitures, selon un portail automobile en ligne de premier plan. Une enquête réalisée par Auto Trader auprès de 2 300 consommateurs en janvier a révélé que 16% prévoyaient d'acheter une voiture à batterie uniquement. Mais dans une enquête d'août auprès de 2700 personnes, seulement 4% envisageaient une voiture purement électrique.
Les deux principales raisons invoquées sont le manque de points de recharge et le coût - même si le gouvernement fait effectivement un accord de remise de 3000 £ pour aider à les vendre.
Les subventions gouvernementales pour les voitures électriques ont été réduites en mars de 3 500 £ à 3 000 £, bien que l'avantage ne s'applique pas aux véhicules d'occasion.
En période de pandémie serrée, les véhicules électriques sont tellement impopulaires que les gens ne veulent même pas de véhicules électriques d'occasion. Les prix de vente moyens des VE d'occasion ont chuté de 5% en août.
Étant donné que le petit nombre de véhicules électriques que nous avons en Australie est déjà à l'origine de la panne d'électricité, les gestionnaires de UK Grid doivent être légèrement soulagés. Le ministre britannique de l'Environnement, pas tellement.
h / t GWPF
http://joannenova.com.au/2020/09/a-quarter-of-the-uk-wont-even-buy-an-electric-car-in-their-lifetimes/
Les groupes verts sauvent le charbon sous terre mais détruisent la forêt au-dessus
RépondreSupprimerSeptember 9th, 2020
Raser les arbres pour sauver les gisements de charbon
Construire le futur un journal à la fois.
Grâce aux militants pour le climat, les gisements de charbon souterrains sont sûrs, mais les vieilles forêts d'Europe sont en train d'être converties en plantations industrielles et en granulés de bois
Pierre Gosselin de NoTricksZone pense que les médias, qui ont fait rage à cause des incendies de forêt amazoniens au Brésil, ont peut-être enfin remarqué leur propre désastre causé par l'homme.
«Das Erste» de l’ARD rapporte que les images satellites montrent que la déforestation a augmenté de 49% depuis 2016 en Suède, en Finlande et dans les pays baltes. La raison: «À cause des objectifs de gaz carbonique.
Qui a besoin de bois durs massifs de toute façon ?
Pour les granulés de bois «neutres en gaz carbonique»
Là où se trouvaient autrefois des bois durs massifs, poussent maintenant de minuscules sapins. Les arbres récoltés, selon le rapport, ont été utilisés pour les granulés de bois - une forme d'énergie verte renouvelable. Les arbres, selon l'industrie du granulé, repousseront.
Non seulement les forêts sont touchées, mais la faune qui y habitait autrefois l'est aussi. Selon Mme Steinberg, la vie des oiseaux a chuté d'environ 25%. «C’est gaspillé. Maintenant, nous devons tout recommencer. »
Le problème est particulièrement grave en Estonie où un sixième de la forêt a été rasé depuis 2001 seulement pour nourrir la deuxième plus grande entreprise de pellets au monde.
L'Estonie commence à voir le coût des granulés de bois. La Caroline du Nord est-elle la prochaine ?
Elizabeth Ouzts, Energy News Network
«Le principal moteur de l'industrie des granulés en Estonie est les subventions aux énergies renouvelables de l'Union européenne», a déclaré Asko Lõhmus, chercheur principal en biologie de la conservation à l'Université de Tartu. «Ils rendent les personnes les plus riches d’Estonie avec l’argent des contribuables européens.»
Les astuces de comptabilisation du carbone tuent les forêts:
Dans un cadre comptable international, les émissions de granulés de bois sont suivies dans le secteur de l'utilisation des terres (où les arbres et les plantes absorbent et stockent le carbone) plutôt que dans le secteur de l'énergie (où la combustion de combustibles fossiles émettent du carbone.) Les pays qui brûlent des granulés de bois pour l'électricité comptent. leurs émissions sont nulles et subventionnent fortement le carburant.
L'Estonie a perdu 15% de son couvert forestier depuis 2001, et seule une fraction a été remplacée par un nouveau couvert forestier. Les données du ministère de l'Environnement montrent que de plus en plus de terres sont coupées à blanc ou coupées pour ne laisser que des arbres d'âge moyen capables de produire des graines.
Cette tendance a contrecarré l'appel officiel de l'Estonien aux touristes…
http://joannenova.com.au/2020/09/green-groups-save-the-coal-underground-but-destroy-the-forest-above/
Rassurez-vous, même s'il n'y avait aucune végétation sur terre demeurerait la présence d'oxygène (émise par le magma) dans le même pourcentage atmosphérique qu'aujourd'hui.
SupprimerNotre masse ferrique incandescente au centre de notre planète fournit tous les gaz connus dans les masses d'eaux et espace atmosphérique. Sans quoi il n'y aurait pas de vie marine et océanique ni vie lacustre et fluviale.
Gaz carbonique: les multiples fraudes de l’IPCC
RépondreSupprimerle 8 septembre 2020
L’IPCC (International Panel on Climate Change, GIEC en français), est un organisme onusien en charge de répandre la bonne parole auprès des décideurs politiques. Il est nécessaire de faire la généalogie de la malhonnêteté de l’IPCC, en quelque sorte sa règle de conduite, pour en comprendre les raisons. Cet organisme onusien a été mis en place à la suite de la Conférence de Stockholm en 1971 quand Maurice Strong cosigna opportunément un rapport onusien qui remporta un succès mondial inattendu : « Only One Earth : The Care and Maintenance of a Small Planet ».
Remontons donc à Maurice Strong pour bien comprendre la genèse de la lutte contre le changement du climat. Maurice Strong quitta l’école à l’âge de 14 ans, en 1943, et il survécut de petits boulots jusqu’en 1948, année où il fut embauché comme apprenti dans un cabinet de courtage à Winnipeg, capitale de l’Etat du Manitoba au Canada. Il s’intéressa très rapidement au business du pétrole et fut muté à Calgary dans l’Etat d’Alberta toujours chez le même courtier. Il eut l’occasion de rencontrer des gros bonnets de l’industrie pétrolière et c’est ainsi qu’il devint lui-même un investisseur dans le secteur pétrolier en pleine effervescence durant les années 1950. Il se constitua par la suite un solide carnet d’adresses dans ce milieu de l’industrie pétrolière.
Ceci amena Strong à mettre de côté ses scrupules et à utiliser ce carnet d’adresses pour fonder une entreprise, cette fois dans le Colorado, pour exploiter des aquifères (il devait confondre le pétrole et l’eau) au mépris des règlementations locales de protection de l’environnement. Son entreprise fut mise à mal par un long procès. Elle fut condamnée à de lourdes amendes et Strong l’abandonna pour rebondir rapidement en créant une autre entreprise « bidon » de technologie liée à l’environnement qu’il prétendait être innovante dans le recyclage des déchets dangereux. Strong bénéficia d’aides financières considérables de l’Etat fédéral américain pour le développement de cette entreprise qui en réalité ne fut jamais opérationnelle. Personne n’a pu savoir quelle somme d’argent Strong détourna quand sa société « Molten Metal Technology » fit faillite.
Dès le tout début de son activité professionnelle Strong avait établi des liens avec des officiels des Nations-Unies. C’est ainsi que Strong fut nommé directeur de l’Agence canadienne de développement international alors que parallèlement ses activités industrielles allaient de faillites frauduleuses en faillites frauduleuses. Bref, en 1971 Strong se retrouva à Stockholm puis il monta en grade au sein des Nations-Unies pour se retrouver cette fois à Rio de Janeiro au sommet de la Terre en 1992. Inutile de détailler ensuite sa carrière au sein d’une multitude de commissions et instituts affiliés de près ou de loin aux Nations-Unies et à la Banque Mondiale. Malgré ce vernis respectable, Strong ne put résister à tremper dans le scandale « Pétrole contre Nourriture » par l’intermédiaire de la mafia sud-coréenne qui pilotait les importations « illégales » de pétrole irakien.
Ce qui ressort de ce bref résumé de la carrière de Maurice Strong est qu’il était bien plus qu’un opportuniste, il était en réalité un escroc ! Et pourtant l’IPCC a repris à la lettre ses recommandations de sauvetage du climat sur la base d’un effet direct du gaz carbonique d’origine anthropique, concept formulé pour la première fois par Strong à l’occasion de la Conférence de Stockholm, concept repris par une multitude d’organisations non gouvernementales en les agrémentant de la préservation de l’environnement et en particulier le « développement durable », autre concept qu’il avait formulé au cours de la splendeur de sa carrière au sein des Nations-Unies en relation étroite avec le World Economic Forum, comprenez le Forum de Davos. On peut se demander si toutes ces organisations internationales ne sont pas des nids d’opportunistes issus de la gauche ultra-radicale et d’escrocs de la carrure de Maurice Strong, toujours est-il que cette tradition d’escroquerie a perduré au sein de l’IPCC au sujet du gaz carbonique comme je vais l’exposer brièvement ci-après.
RépondreSupprimerL’IPCC reconnaît que le gaz carbonique issu des activités humaines, essentiellement l’utilisation de combustibles fossiles, ne représente que 5 % de la totalité du gaz carbonique atmosphérique. En conséquence ce rapport devrait être constant au cours du temps. Or l’IPCC clame par ailleurs que ce gaz carbonique produit par les activités humaines représente la totalité de l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique au delà de 280 ppm, en gros la valeur « préindustrielle ». Une simple soustraction montre que 130 ppm, soit 32 % du total du gaz carbonique atmosphérique proviendrait de l’activité humaine. L’escroquerie réside dans le fait que l’IPCC réserve un traitement différent pour le gaz carbonique issu de l’activité humaine en regard du même gaz d’origine naturelle, en tous points indiscernable de celui issu de l’usage des combustibles fossiles. Mises à part d’infimes variations isotopiques ces deux gaz carboniques sont indiscernables sur le plan physicochimique. Les modèles prévisionnels de l’IPCC sont adossés à cette escroquerie.
Cette malversation de l’IPCC sert de référence à toutes les politiques énergétiques prônées aujourd’hui par les adeptes d’un ordre écologique nouveau. Mais il y a pire encore. Lorsque les essais nucléaires atmosphériques ont été interdits la teneur en carbone-14, sous forme de gaz carbonique générés par les explosions a suivi une loi de décroissance qui a permis de calculer avec précision un temps de résidence du gaz carbonique de 16,5 ans. D’autres études ont montré une demi-vie du gaz carbonique atmosphérique de quelque source que ce soit de l’ordre de 5 ans. Ces évidences expérimentales viennent contrarier les théories de l’IPCC au sujet de la persistance spécifique du gaz carbonique généré par l’activité humaine. Pour contourner ce problème l’IPCC a inventé de toute pièce une nouvelle propriété nouvelle de ce gaz carbonique d’origine humaine : il provoquerait un blocage spécifique de la dissolution du gaz carbonique par les océans. Il s’agit d’une escroquerie supplémentaire d’un tout autre ordre de grandeur puisque les océans représentent les 4/5e de la surface de la Terre et sont le principal réservoir de gaz carbonique terrestre. Pour faire passer son escroquerie l’IPCC a mandaté toutes sortes d’organisations non gouvernementales pour faire l’information du blanchissement des coraux comme conséquence de l’acidification des océans à cause du surplus de gaz carbonique.
Il est donc évident que l’IPCC invente des nouvelles lois physiques qui lui sont propres (inutile de rappeler ici l’effet de serre contraire aux lois fondamentales de la thermodynamique) permettant de faire une distinction physicochimique entre le gaz carbonique naturel et le gaz carbonique « humain », de faire également une distinction entre les différentes variétés isotopiques de ce gaz carbonique, ce qui n’a jamais été montré par les études réalisées jusqu’à ce jour. L’IPCC s’est pris les pieds dans le tapis d’escroqueries scientifiques toutes aussi grossières les unes que les autres. C’est bien le digne successeur de Maurice Strong.
RépondreSupprimerSources : Wikipedia et doi : 10.11648/j.ijaos.20190301.13
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/08/co2-les-multiples-fraudes-de-lipcc/
D'une part le gaz carbonique appelé 'anthropique' (rapport à l'humain) ne représente qu'un dix millionième du gaz carbonique émit par notre magma et est dissout en partie par les mers et océans (en nano-particules de carbone/charbon) et par les gaz atmosphérique et la végétation.
SupprimerTous les gaz se recyclent depuis toujours sans quoi la vie sur terre et dans les océans ne serait jamais apparue.
Suède: la violence est "extrêmement grave"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 09/09/2020 - 02:00
Rédigé par Judith Bergman via The Gatestone Institute,
Les choses en Suède se sont maintenant détériorées à un tel point que le 29 août, la police suédoise a publié une déclaration intitulée "Les tendances à la violence sont extrêmement graves". Ça disait:
<< Récemment, il y a eu des incidents graves et des actes de violence graves liés à des réseaux criminels, au cours desquels plusieurs personnes ont été assassinées et d'autres gravement blessées ...
«À Stockholm, deux personnes ont été assassinées la semaine dernière, et à Göteborg, des groupes criminels ont tenté de démontrer leur pouvoir en contrôlant les véhicules entrant dans certains quartiers. Plus tôt en août, une innocente fillette de 12 ans a été assassinée ... [pendant un incident de gang], et dans d'autres régions du pays, il y a aussi des conflits entre divers réseaux criminels et d'autres crimes impitoyables. Vendredi soir, une violente émeute s'est également produite à Malmö où plusieurs policiers ont été blessés ... "
Le chef de la police nationale suédoise, Anders Thornberg, a lancé ce qui ressemblait à un appel à l'aide du reste de la société: "La police suédoise est dans une situation opérationnelle difficile. Il s'agit maintenant de la société unissant ses forces derrière la police", a-t-il déclaré.
«Nous continuerons de lutter contre le crime organisé avec tous les outils dont nous disposons. D'autres bonnes forces de la société, allant des fonctionnaires municipaux et de la société civile aux forces de l'ordre et surtout au grand public, doivent également se concentrer sur la situation actuelle. La police doit veiller à ce que les criminels soient arrêtés et puissent être poursuivis. Les criminels doivent disparaître de nos rues et de nos places pour qu'il n'y ait plus de crimes impitoyables ...
«La vie quotidienne de nombreux policiers lorsqu'ils se rendent au travail en ce moment est inquiétante et très fatigante. Nous travaillons intensément, 24 heures sur 24, malgré cela, la violence sévère continue. La police est là 24 heures sur 24, 365 jours par an . Nous n'abandonnons pas et nous ne reculons pas, mais la situation est actuellement très stressante. "
La déclaration de la police ne mentionnait pas que deux garçons avaient été violés, torturés et presque enterrés vivants dans un cimetière près de Stockholm. L'atrocité a ajouté au nombre croissant de soi-disant «crimes d'humiliation». Ce sont des crimes où la victime est non seulement volée, mais aussi violemment humiliée pour démontrer le pouvoir de l'auteur. Un autre crime d'humiliation de ce type, par exemple, a eu lieu à Göteborg en octobre 2019, lorsqu'un gang criminel a forcé leur victime à embrasser les pieds du chef de gang pendant qu'ils le filmaient. Après cela, ils lui ont piétiné le visage jusqu'à ce qu'il perde connaissance.
"La Suède est en train de perdre le contrôle de son propre territoire", a récemment déclaré Ivar Arpi, un chroniqueur suédois, au journal danois Berlingske Tidende.
"Ces crimes odieux et ces humiliations sont liés à une culture de ghetto ... Les journalistes n'aiment pas écrire à ce sujet, les politiciens ne veulent pas en parler et les chercheurs ne veulent pas y toucher. Il y a une ignorance systématique."
Lors de l'émeute qui a eu lieu à Malmö le 28 août, environ 300 personnes ont brûlé des pneus de voiture, tiré des feux d'artifice et jeté des pierres sur la police. L'émeute s'est produite près de Rosengård, une soi-disant «zone vulnérable», peuplée principalement d'immigrants. Des séquences vidéo publiées sur les réseaux sociaux montraient les émeutiers criant "Allahu Akbar" et "juifs, souvenez-vous de Khaybar, l'armée de Mohammed revient" - une référence au massacre des juifs de Khaybar par le prophète islamique Mohammed et ses partisans dans le 628, dans ce qui est aujourd'hui l'Arabie saoudite. Le Conseil officiel des communautés juives suédoises a publié une déclaration en réaction à l'émeute, disant:
RépondreSupprimer<< Malheureusement, ce n'est pas la première fois qu'une foule scande des menaces similaires contre des Juifs à Malmö. Le Conseil des communautés juives suédoises prend cet incident très au sérieux et appelle la police et les autres autorités responsables à poursuivre les individus qui ont ainsi commis des incitations contre un groupe ethnique. "
Selon les médias suédois, l'émeute était une réaction à l'incendie d'un Coran plus tôt dans la journée dans une partie de Malmö et au coup de pied d'un Coran sur une place centrale de la ville par des partisans du petit parti anti-islam danois, Stram Kurs. Le chef du parti, Rasmus Paludan, a déjà fait une tournée au Danemark avec ses manifestations anti-islam.
Les manifestations de Paludan présentent souvent un «coup coranique». Dans celui-ci, il jette un Coran partout, le brûle ou y met du bacon. Dan Park, un artiste de rue suédois, qui a été reconnu coupable d'incitation à la haine contre un groupe ethnique, avait invité Paludan à Malmö pour participer à une manifestation. Paludan a été arrêté à la frontière suédoise et s'est vu refuser l'entrée par la police suédoise, qui lui a dit qu'il lui était interdit d'entrer dans le pays pendant deux ans.
"Nous pensons que ses actions et sa liberté d'entrée constitueraient une menace pour les intérêts fondamentaux de la société", a déclaré Mattias Sigfridsson, police par intérim de Malmö.
«Nous pensons que ses actions et sa liberté d'entrée constitueraient une menace pour les intérêts sociaux fondamentaux», a déclaré Mattias Sigfridsson, chef de la police par intérim de Malmö. Interrogé sur la question de savoir si la décision n'allait pas à l'encontre de la liberté d'expression, Sigfridsson a déclaré:
"Nous voyons le contraire. Nous faisons tout notre possible pour protéger les valeurs démocratiques qui existent. Le rassemblement public auquel nous avons refusé la permission aujourd'hui aurait été un danger pour la sécurité et l'ordre lors de l'événement".
"Je pense que ce sont ceux qui réagissent à ce que je fais, qui constituent une menace", a déclaré Paludan aux médias suédois. La décision d'interdire la manifestation de Paludan a été confirmée par le tribunal administratif suédois. Il a estimé que si la liberté de réunion et de manifestation sont des droits garantis par la Constitution et qu'il y a donc une portée très limitée pour refuser l'autorisation de manifester, la menace de la manifestation était si grave qu'elle justifiait son interdiction. L'incendie du Coran qui a suivi malgré la décision de la police s'est produit en violation de l'interdiction. Trois personnes ont été arrêtées et accusées d'incitation à la haine, apparemment pour avoir donné des coups de pied autour d'un Coran dans le centre de Malmö.
Dans la banlieue de Göteborg à Angered, un gang de criminels a dressé des barrages routiers et les a gardés avec des hommes armés masqués qui vérifiaient l'identité des personnes entrant et sortant de la zone. Selon Berlingske Tidende, les barrages routiers ont été mis en place par un gang centré autour de la famille Ali Khan, qui s'occupe de fraude financière et d'autres crimes. Le clan a été dénoncé à la police plus de 200 fois, mais la police a dû fermer presque tous les dossiers parce que le gang menace les victimes et les témoins de garder le silence.
RépondreSupprimerRécemment également à Göteborg, un enseignant de l'école de Lövgärdes a signalé que deux hommes armés se déplaçaient à l'extérieur de l'école et en avait averti la police, mais au moment où ils sont arrivés, les hommes avaient disparu. Lorsque l'enseignant est rentré de l'école plus tard dans la journée, il a été kidnappé et battu.
Le chef du principal parti d'opposition suédois, Moderaterna (le parti modéré), Ulf Kristersson, dit maintenant qu'il veut en faire un crime d'être membre d'un gang.
"Plusieurs enfants sont morts cette année seulement dans des coups de couteau et des fusillades", a écrit Kristersson dans un message sur Facebook.
«Ce week-end, deux garçons ont été victimes d'atrocités terribles dans un cimetière de Solna pendant une nuit entière. Mardi, un enseignant de Göteborg a été enlevé et battu après avoir contacté la police.
«Ce que nous vivons aujourd'hui presque quotidiennement n'est pas normal - ni pour la Suède ni pour l'Europe. Presque tous ceux qui vivent ici le savent. Le développement détruit la confiance et la cohésion suédoises, la violence menace le système. Les gangs criminels terrorisent tout entier des zones résidentielles et tuent des enfants et des adultes qui se trouvent sur le chemin. Ils mettent en place leurs propres barrages routiers et contrôlent la vie quotidienne des gens. Ils sont comme les terroristes nationaux de la Suède - et doivent donc être accueillis avec toute la force de notre démocratie. des mesures de rupture qui mènent vraiment au changement, pas seulement à des ajustements de la marge.
"La Suède devrait commencer par ériger en crime l'appartenance à un gang criminel, de la même manière que l'appartenance à une organisation terroriste devrait être un crime. Cela donnerait ainsi à la police de nouvelles possibilités d'agir contre les activités que nous avons. vu à Göteborg ces derniers jours, comme l'établissement de barrages routiers ou l'organisation de réunions auxquelles participent divers gangs criminels. "
Par ailleurs, l'église Västra Skrävlinge de Malmö a récemment été vandalisée sept nuits de suite. Des fenêtres ont été brisées et des statues brisées, y compris une statue de Jésus qui a été brisée en morceaux. Les auteurs sont inconnus, mais le Parti démocrate suédois à Malmö a demandé à l'Église suédoise de se pencher plus profondément sur la question, ajoutant dans un communiqué:
<< Compte tenu du vandalisme de l'église Västra Skrävlinge que nous avons vu et du vandalisme systématique que nous constatons dans nos cimetières, c'est un domaine dans lequel l'Église de Suède doit travailler. Malheureusement, il y a une rancune contre la culture chrétienne parmi certains groupes et l'Église de la Suède à Malmö ne peut pas être passive tant que l'héritage culturel chrétien est vandalisé. "
https://www.zerohedge.com/political/sweden-violence-extremely-serious
L'OCDE expose 15 billions de raisons pour lesquelles les écoles américaines doivent ouvrir maintenant!
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer, 09/09/2020 - 08:14
L'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a fait une terrible prédiction, affirmant que l'économie américaine est confrontée à un coup de 15 billions de dollars.
L'étude publiée mardi par l'organisation économique intergouvernementale, qui comprend 37 pays membres, a cherché à évaluer l'impact économique des fermetures d'écoles dans le monde parmi les pays membres, et a supposé que les étudiants actuels au milieu des fermetures de coronavirus du printemps dernier à cette année manqueraient jusqu'à un tiers du total de l'année scolaire.
L'OCDE a déclaré que l'impact économique se ferait sentir longtemps, même en supposant un retour immédiat des écoles aux niveaux de performance d'avant la pandémie. Plus précisément, le rapport prévoit que, dans le cas des États-Unis:
"si les cohortes d'étudiants à l'école pendant les fermetures de 2020 enregistrent une perte de compétences induite par corona d'un dixième d'écart-type et si toutes les cohortes reviennent ensuite aux niveaux précédents, la perte de 1,5% du PIB futur équivaudrait à un total perte économique de 15,3 billions USD. "
Plus largement, l'étude a mis en évidence la productivité à long terme du PIB d'un pays en temps perdu en classe en raison de la pandémie.
"En conséquence, le coût total de la scolarisation manquée pourrait s'élever à 69% du PIB actuel du pays type, a déclaré l'OCDE", comme le résume CNBC.
Cependant, les pertes totales de croissance économique sont «proportionnellement plus élevées» si les écoles tardent à retrouver leur performance optimale qui existait avant la pandémie.
Le rapport a également pris en compte l'essor de l'enseignement à domicile et d'autres programmes alternatifs d'enseignement à distance au niveau international. Divers sondages et rapports des médias ont fortement suggéré que l'enseignement à domicile aux États-Unis a explosé au cours du dernier semestre.
À ce sujet, l’OCDE a déclaré qu’« il y a des avantages évidents pour les élèves à étendre leur temps d’apprentissage et leurs opportunités au-delà de la porte de l’école en étant capables d’apprendre en utilisant une variété d’approches d’enseignement à distance ».
Une suggestion dans le document pour limiter les nouveaux revers dans l'éducation, en l'absence d'un vaccin largement disponible, était de continuer à s'appuyer sur l'infrastructure pour l'apprentissage à distance.
https://www.zerohedge.com/economics/major-intergovernmental-study-finds-school-closures-cost-us-economy-15-trillion
La Chine après le virus et l’économie mondiale
RépondreSupprimerLe virus semble maintenant vaincu en Chine : la deuxième vague a été stoppée net. On peut maintenant analyser la situation interne et son impact sur l’économie mondiale.
Par Yves Montenay.
9 SEPTEMBRE 2020
La Chine a pris une place croissante dans l’économie mondiale de mille façons. Elle est notamment un des plus gros importateurs de matières premières. Elle est aussi un grand exportateur, notamment de produits bon marché, ce qui a fait disparaître l’inflation dans le monde depuis plusieurs années.
Ce n’est pas un miracle ni un scandale. C’est tout simplement naturel pour un pays sérieux faisant 20 % de population mondiale
Et puis, le Covid est arrivé, la Chine s’est confinée et son économie s’est brusquement beaucoup ralentie. Pékin a alors exporté non seulement le virus mais aussi une récession mondiale.
Le virus semble maintenant vaincu en Chine : la deuxième vague a été stoppée net. On peut maintenant analyser la situation interne et son impact sur l’économie mondiale.
N’oublions pas que si le virus monopolise les commentaires, d’autres évolutions étaient en cours et vont continuer. Je pense notamment à la reprise en main des entreprises chinoises et étrangères par des cellules du parti, et plus généralement au tour de vis politique extrêmement brutal.
L’ÉCONOMIE CHINOISE APRÈS LE CONFINEMENT
Les chiffres globaux semblent montrer que la Chine semble redémarrer normalement après un choc qui lui coûtera en gros sa croissance annuelle, c’est-à-dire qu’au lieu de croître d’environ 6%, elle ne devrait croître (ou décroître) que peu en 2020 par rapport à 2019. Ne cherchons pas à être précis dans ce pays où les statistiques globales sont imparfaites ou insincères.
Mais si on regarde plus en détail, on s’aperçoit que la consommation n’a pas complètement repris et que les exportations sont ralenties par la récession due au confinement dans le reste du monde. Le gouvernement a réagi comme les fois précédentes en décidant de lancer de nouvelles infrastructures.
À court terme ces dépenses d’investissement remplacent la consommation manquante, mais reste à savoir si les investissements une fois terminés seront vraiment utiles, sachant que le pays est déjà couvert d’autoroutes, de TGV, d’aérodromes, de gratte-ciel…
Pourquoi la consommation reste-t-elle faible ?
D’une part pour des raisons habituelles aggravées par la crise sanitaire : les particuliers épargnent massivement pour faire face aux dépenses de santé et de retraite faute de système général de sécurité sociale (ce qui a contribué au bas coût du travail). Et puis les gouvernants ont pris l’habitude d’utiliser ce qu’ils peuvent piloter : l’investissement. L’économie est donc construite autour de lui et non autour de la consommation comme en Occident. C’est l’occasion de rappeler que la consommation du Chinois moyen est encore très faible par rapport à celle d’un Occidental.
D’autre part pour des raisons liées à la pandémie : les travailleurs « migrants intérieurs » ont souvent perdu leur travail et ont été renvoyés chez leurs parents campagnards où leur productivité et leurs revenus sont faibles. De plus une part des nouveaux diplômés ne trouve pas de travail, notamment dans les branches exportatrices.
RépondreSupprimerLES CONSÉQUENCES À COURT TERME POUR LE RESTE DU MONDE
Les chaînes d’approvisionnement
La Chine s’est confinée alors que la pandémie n’avait pas gagné le reste du monde. C’est donc la vulnérabilité des chaînes d’approvisionnement qui est apparue en premier pour les entreprises étrangères à la Chine. Beaucoup ont été privées de certains composants, de produits semi-finis, d’usines de montage, tandis que les États s’apercevaient qu’ils dépendaient de la Chine pour les approvisionnements notamment en terres rares ou en composants essentiels pour les médicaments.
Mais on ne peut dans l’immédiat qu’analyser la situation, une éventuelle réaction étant renvoyée au moyen terme
Les déplacements, dont le tourisme
Les Chinois cessèrent de voyager, et n’acceptèrent plus les étrangers. L’énorme manne touristique correspondante s’arrêta, frappant par exemple les palaces parisiens et suspendant de multiples transactions notamment immobilières dans le monde entier.
Dans un deuxième temps les cadres étrangers des entreprises chinoises, par exemple ceux des multinationales implantées dans le pays, ainsi que les cadres chinois se trouvant à l’étranger ne pouvaient plus rejoindre leur poste, aggravant la paralysie. Il semble que de nombreuses exceptions aient été négociées discrètement.
Là aussi, la pandémie n’a fait qu’accélérer une tendance existante : les étrangers ainsi que les Chinois éduqués en Occident ont du mal à supporter l’ambiance politique, la pollution, la brutalité des déclarations publiques, l’espionnage obligatoire, comme signalé incidemment dans de nombreux témoignages et notamment dans The Economist du 29 février 2020.
LES CONSÉQUENCES À TERME POUR LA CHINE
Un départ des multinationales ?
Les multinationales vont-elles oublier cet accident de parcours ou vont-elles quitter la Chine pour sécuriser leur chaîne d’approvisionnement ? À mon avis elles vont se désengager petit à petit. D’abord parce que les salaires chinois ont beaucoup augmenté, mais aussi à cause de la mainmise du parti communiste sur la gestion des entreprises, le danger de voir les cadres étrangers pris en otage et le pillage technologique.
Depuis la mise au pas de Hong Kong cette année, Pékin menace les entreprises dont la communication lui déplaît de leur interdire toute activité en Chine. Frédéric Schaeffer, correspondant du journal Les Échos dans ce pays a particulièrement creusé cette question mais son étude est maintenant introuvable.
Samsung a abandonné la Chine pour le Vietnam. Bien d’autres entreprises font de même, dont Nintendo, et Google pour ses smartphones Pixels. Foxcom, fabricant taïwanais de l’iPhone ira en Inde. À cette occasion ces entreprises échappent aux droits de douane imposés par Trump aux produits chinois.
Celles qui resteront seront les filiales des groupes pour lesquels le marché intérieur chinois est important… mais ce n’est plus une question de chaîne d’approvisionnement.
RépondreSupprimerThe Economist du 5 septembre rappelle que si jusqu’à présent les États-Unis encourageaient les entreprises chinoises à être cotées aux États-Unis, alors que Pékin était réticent à les voir aux mains de l’étranger, les rôles sont brusquement inversés : les États-Unis ferment leurs portes, voire tentent de refouler les entreprises chinoises, tandis que Pékin supprime les quotas limitant les investissements financiers étrangers dans la bourse chinoise, et avec succès pour l’instant. Bref, il s’agit de refaire avec les entreprises financières étrangères ce qui a été fait jusqu’à la pandémie avec des entreprises industrielles : bénéficier d’un apport puis apprendre ou copier…
Tout cela est une première raison du ralentissement de l’osmose entre la Chine et le reste du monde, osmose qui explique en grande partie son développement récent.
La perte de confiance envers la Chine
Cette perte de confiance était déjà présente parmi les facteurs ci-dessus, mais elle gagne d’autres domaines. Par exemple la ruée des étudiants chinois vers les États-Unis s’est arrêtée, car ils sont suspectés d’être des espions technologiques. C’est certainement injuste pour beaucoup, mais il suffit qu’une minorité le fasse pour que la suspicion se répande, d’autant que le devoir de tout citoyen chinois est d’informer son gouvernement.
Cela s’ajoute au constat que beaucoup de produits chinois ne sont pas fiables au point de vue sanitaire, notamment pour l’alimentaire ou plus récemment pour les masques de protection. Déjà les riches Chinois font venir leur nourriture de Hong Kong ou du Japon. C’est peut-être un stade transitoire du développement, comme on l’a constaté pour le Japon de naguère, mais pour l’instant c’est un handicap.
Enfin la perte de confiance vient également la crise d’orgueil des « loups combattants » chinois, ces cadres qui donnent à l’étranger de virulentes leçons de morale visant la politique étrangère ou les compétences de leur pays. À mon avis, la Chine fait une crise d’orgueil.
Cet orgueil vient d’être nourri par des découvertes archéologiques récentes, permettant aux officiels de proclamer que la Chine aurait eu une culture propre et donc une unité depuis 5 à 6000 ans (The Economist du 1er août 2000, apparemment légèrement sceptique). Faut-il comprendre : donc supérieure à la culture occidentale ??
À LONG TERME, LES DEUX PARTIES DU MONDE VONT DIVERGER
Commençons par quelques exemples
Le Monde du 7 septembre constate l’échec de la tournée en Europe des officiels chinois : à toutes les offres chinoises de coopération, ou de menaces dans le cas de la Tchéquie qui faisait une visite officielle à Formose, ont été opposées des demandes de démocratisation et de respect des droits de l’Homme, tant à Hong Kong qu’au Tibet et au Xinjiang.
Il existe une relative exception française avec une réception très aimable mais ça n’empêche pas notre pays d’aider matériellement Taïwan avec la modernisation des frégates que nous lui avons vendues et d’avoir autorisé l’ouverture d’un deuxième bureau de représentation de ce pays à Aix-en-Provence.
La presse chinoise a néanmoins titré : « Rapprochement avec l’Europe ». Est-ce délibéré ou des officiers chinois n’osent-il pas dire la vérité au président ? Il est classique qu’un autocrate finisse par croire à sa propre propagande.
RépondreSupprimerParmi les autres exemples de séparation en deux de la planète, remarquons qu’un des immenses succès populaires chinois à l’étranger, l’application TikTok, va être rachetée par des Indiens en Inde et des Américains aux États-Unis. C’est une vente forcée, ces deux pays ayant interdit l’application pour empêcher l’envoi de données privées en Chine et les concurrents locaux se ruant pour combler le vide.
Remarquons également l’insistance sur la médecine traditionnelle chinoise « au service de Xi Jinping ». Elle serait maintenant enseignée concurremment avec la médecine occidentale. Rappelons que les scientifiques occidentaux ne voient aucun fondement à cette tradition. Une séparation de plus entre les deux mondes, dans un domaine qui devrait rester rationnel.
Enfin, The Economist du 29 août nous rappelle qu’en 2013, Boris Johnson encourageait l’apprentissage du mandarin y compris pour ses propres enfants. Depuis, le nombre d’apprenants a chuté, passant d’un modeste maximum de 3700 diplômés niveau A à un peu plus de 2000.
Encore une illustration de la dégradation de l’image de la Chine, ainsi que des perspectives d’y faire une carrière intéressante. On ne dit plus « c’est très difficile, mais ça vaut la peine », mais « en quelques mois on peut apprendre le langage informatique Python et gagner beaucoup plus ».
Parallèlement, on se rend compte des difficultés pour les Chinois d’apprendre les langues occidentales. Encore deux indices confirmant l’isolement croissant de la Chine.
Allons-nous en arriver à la guerre froide de mon enfance ?
À moins qu’il n’y ait un changement au sommet.
Les spécialistes notent par exemple les divergences entre le Premier ministre Li Keqiang et le président Xi. Tous les Chinois ont certes un amour propre très sensible après les humiliations du XIXe siècle, mais de là à provoquer le monde entier…
Les Chinois ayant participé au rattrapage national grâce à leurs études en Occident ou en coopérant avec des cadres occidentaux sur le terrain sont probablement gênés et inquiets pour la suite.
https://www.contrepoints.org/2020/09/09/379772-la-chine-apres-le-virus-et-leconomie-mondiale