Pr. Eric Chabrière : « Ils nous punissent, mais ils sont les incompétents ! »
Sud Radio jeu., 24 sept. 2020 19:00 UTC
Extrait tiré de l'émission "Bercoff dans tous ses états", diffusée sur Sud Radio le 24 septembre 2020.
(Samia Ghali) « La réalité, c'est que l'état aujourd'hui veut camoufler la situation de l'hôpital public, parce que tout simplement à Marseille nous n'avons pas, nous avons, l'état a abandonné l'hôpital public à Marseille et on le touche du doigt aujourd'hui. C'est-à-dire qu'aujourd'hui c'est le covid mais demain ça pourrait être une catastrophe naturelle, peu importe, on serait dans la même situation. C'est-à-dire que l'on ne serait pas en situation de soigner les gens en réanimation parce que, là où vous avez en réanimation à Paris par exemple, 1.000 lits de réanimation, on en a que 300 sur Marseille. Donc de fait, c'est clair que si on prend ça comme équation, alors on sera toujours dans la zone écarlate parce que malgré tous les efforts que l'on fait, malgré le fait que ça diminue à Marseille plus qu'ailleurs, on ne sera jamais en situation finalement de venir à bout. »
« Aujourd'hui on est pénalisé parce qu'on a trop bien fait notre travail. »
« La réalité aujourd'hui, c'est que quand vous prenez les chiffres, ils sont meilleurs à Marseille, dans les bouches du Rhône que partout en France et qui si on devait confiné aujourd'hui c'est pas par Marseille qu'on devrait commencer. On commencerait par l'île de France on commencerait par la Guadeloupe, on commencerait par d'autres villes en tout cas ou départements ou régions et pas par les bouches du Rhône. »
-- Commentaire : Examen par la FDA du vaccin Covid-accéléré d'ici octobre pendant qu'un million de micro-robots injectables dans le sang ont déjà été produits --
Didier Raoult voit «trop de panique, trop d’affolement» autour du coronavirus en France
14:42 28.09.2020
Le professeur Didier Raoult s’est exprimé sur RTL quant à l’état actuel de l’épidémie de coronavirus. Pour lui, la «peur est pire que le mal» et il y a «trop d’affolement» et «de nervosité» aujourd’hui.
Interviewé dans la matinale de RTL à l’occasion de la sortie prochaine de son livre «La science est un sport de combat», le médecin s’est penché sur la crise du Covid-19 dans l’Hexagone.
«Je pensais et je pense toujours, je n'ai pas changé, que la peur est pire que le mal. Et c'est ce qu'il se passe. Il y a trop d'affolement, trop de nervosité, trop de panique», a lancé le directeur de l’IHU.
Et d’ajouter qu’«on regardera à la fin», puisque «le poids de la mortalité à côté du poids social va être négligeable»:
«Le poids social va être considérable car la peur n'a pas su être gérée», a-t-il estimé.
La confiance des Français envers les autorités pour la lutte contre la pandémie est au plus bas, selon un sondage
Le 24 septembre, il avait accusé dans une lettre les médecins de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM) de lancer des «messages alarmistes», a relaté Le Monde qui a consulté le courrier en question.
En réponse au Pr Raoult, 19 chefs de service de l’AP-HM ont publié ce 28 septembre une tribune dans La Provence, où ils alertent sur l'occupation des lits par des malades infectés au coronavirus. Le spécialiste marseillais y a réagi dans la matinale:
«Vous verrez. Je ne veux pas rentrer dans les fantasmes».
Il a été par ailleurs interrogé quant à ses déclarations du mois d’avril, lorsqu’il avait avancé que l’épidémie allait disparaître. Selon lui, «les gens qui observent voient les choses plus tôt que les gens qui ne les observent pas directement»:
«J’ai dit ce que j'avais à dire. Je continuerai de dire ce que j'ai à dire avec les chiffres que l'on observe. Mais bien entendu, quand on a dit assez tôt, en avril, que l'on était passé derrière le pic de la courbe, on le voyait parce qu'on avait les données au quotidien».
Nouvelles restrictions
Le 27 septembre, 11.123 personnes ont été testées positives en France alors que le 24 ce chiffre s’élevait à 16.096.
Le 23 septembre, le gouvernement a annoncé, sans concertation préalable avec les collectivités, la fermeture dès samedi 26 septembre à Aix-Marseille et en Guadeloupe des bars, restaurants et établissements recevant du public, à l'exception de ceux ayant un protocole sanitaire strict comme les théâtres, musées et cinémas. Il s’agit des deux zones géographiques qui sont en «alerte maximale», selon le nouveau classement des autorités.
Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés vendredi 25 septembre devant le tribunal de commerce de Marseille pour protester contre cette mesure.
Le Pr Raoult a relativisé la gravité de la situation face aux nouvelles restrictions annoncées dans la métropole d'Aix-Marseille.
Des étudiants britanniques disent être traités comme des «prisonniers» en raison de mesures draconiennes contre le COVID
par Tyler Durden Lun, 28/09/2020 - 05:00 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Les étudiants des universités du Royaume-Uni sont traités comme des 'prisonniers' car les règles draconiennes sur les coronavirus exigent qu'ils mangent seuls, ne sont pas autorisés à sortir et sont contraints de se couper des autres ou d'être suspendus.
Des entretiens avec des étudiants de l'Université d'Édimbourg illustrent à quel point les nouvelles règles sont autoritaires, les étudiants étant obligés d'apporter leurs propres couverts et de manger seuls à des bureaux espacés de style examen, la salle étant constamment surveillée par des moniteurs veillant à ne pas enfreindre les protocoles.
«Maintenant, ils ont enlevé l'option à emporter et on m'a dit que tout le monde est obligé de manger seul et n'est pas autorisé à se lever de la table qui lui a été attribuée pour plus de nourriture ou d'eau», a déclaré Liberty Phelan, qui rédige le journal étudiant.
«Il y a d'énormes files d'attente pour entrer dans la salle à manger et le personnel amène les élèves aux tables pour que vous ne choisissiez même pas à côté de qui vous vous asseyez», a-t-elle ajouté.
«Dans le logement, vous n’avez droit qu’à une autre personne dans votre chambre, mais certaines personnes ont organisé des fêtes et la police a été appelée», a déclaré Phelan.
Un autre étudiant qui souhaitait rester anonyme a déclaré que les étudiants avaient maintenant commencé à sauter des repas pour éviter complètement l'expérience.
Florence Carr-Jones, étudiante de première année, a déclaré que les inspecteurs patrouillaient dans les résidences, s'assurant que l'on ne pouvait pas s'amuser.
«Les agents de sécurité parcourent les couloirs le soir en frappant aux portes bruyantes, menaçant des amendes et des suspensions», a-t-elle dit.
L'université a également appelé la police sur les étudiants pour avoir organisé des fêtes illégales, les avertissant qu'ils risquaient d'être expulsés.
On dit aussi aux étudiants qu’ils ne sont pas autorisés à sortir ce week-end et qu’ils seront légalement empêchés de rentrer chez eux pour Noël.
«Même les terroristes ne sont pas traités aussi mal», a fait remarquer l'ancienne eurodéputée du Brexit Party Alexandra Philips.
Imaginez que vous soyez excité de commencer votre première année à l’université et de rencontrer un tas de nouveaux amis, pour découvrir que vous êtes traité comme un prisonnier et que vous n’êtes même pas autorisé à sortir ou à avoir des contacts sociaux avec plus d’une personne.
Comme nous l’avons souligné précédemment, les rues du Royaume-Uni sont également surveillées par des «agents de la rue COVID» qui scrutent les fenêtres et les boîtes aux lettres pour s’assurer que les pubs et les clubs privés ne restent pas ouverts après le nouveau couvre-feu de 22 heures.
Le gouvernement britannique a également encouragé les citoyens à s'espionner les uns les autres et à signaler leurs voisins aux autorités malgré le fait que les cas de coronavirus et les hospitalisations aient pratiquement stagné, une augmentation relativement mineure des cas étant due à davantage de tests et à un grand nombre de faux positifs.
Bientôt dans votre ville : La réponse totalitaire de l'Australie au Covid crée un précédent pour tout dictateur en devenir
Sott.net jeu., 24 sept. 2020 16:24 UTC
Les habitants de Melbourne sont prisonniers dans leur ville et risquent d'être détenus indéfiniment pour « pré-crime » et même de voir leurs enfants enlevés sur la base de statistiques Covid souvent inexactes. Combien de temps avant que cela ne se répète ailleurs ?
Les Américains seraient bien avisés de prêter attention à ce qui se passe en Australie. Le Premier ministre de l'État de Victoria, Dan Andrews, s'est lancé dans une course à la police pour rivaliser avec le Patriot Act, en présentant récemment un projet de loi qui donne au gouvernement de l'État le pouvoir de détenir préventivement des personnes « à haut risque », pour une durée indéterminée, dans des installations de quarantaine, sur la base de simples soupçons de non-respect des ordres d'auto-isolement.
Cette mesure est justifiée par l'utilisation de statistiques Covid-19 que même l'establishment médiatique qui aime bien la peur, a reconnu être probablement fortement exagérées, sur la base d'un test dont le créateur a, parait-il, été horrifié à l'idée de l'utiliser pour diagnostiquer une infection virale. Pourtant, le même establishment médiatique a adopté le verrouillage totalitaire décidé par Dan Andrews comme le modèle que les États-Unis devraient adopter.
Un désastre pour la démocratie
Ressemblant plus au méchant d'un dessin animé qu'à un politicien, Dan Andrews a averti en début de semaine les habitants de Melbourne que « les chances étaient très faibles » qu'ils puissent échapper à « la ceinture d'acier » que son gouvernement a construit autour de la ville. Alors que le verrouillage dans reste le l'état se relâchait un peu jeudi, les Melbourniens eux sont encore soumis à une réglementation stricte et sont menacés d'une amende de 5 000 dollars s'ils tentent de fuir vers des climats plus favorables. Et si l'idée d'être détenus préventivement pendant des mois pour être des « théoriciens de la conspiration » ne dissuade pas suffisamment les résidents d'avoir des crimes de pensées, la disposition du projet de loi Omnibus qui permet au gouvernement de retirer les enfants à leurs parents jusqu'à une durée de 30 mois, le fera certainement. Le projet de loi a été adopté par la chambre basse de l'État de Victoria la semaine dernière.
L'État de Victoria a déclaré l'état de catastrophe le 2 août dernier avec 123 décès dus au coronavirus dans tout l'état pendant toute la durée de la pandémie, citant une hausse soudaine et inexplicable du nombre de cas dans sa décision d'enfermer les résidents des logements publics dans leurs appartements et d'envoyer des membres des services militaires faire du porte-à-porte pour s'assurer que les citoyens obéissent.
La vidéo de la police traînant une femme enceinte hors de son domicile pour avoir simplement encouragé une manifestation contre le verrouillage des logements dans sa petite ville, en solidarité avec les habitants de Melbourne, a déclenché une indignation internationale, et la condition économique et psychologique des habitants s'est rapidement détériorée au cours des deux derniers mois.
La santé mentale n'est pas la seule à avoir souffert de ce confinement du « Dictateur Dan ». Le nombre de décès dus au coronavirus a en effet grimpé en flèche, passant de 123 lors de l'imposition du confinement le 2 août à un énorme 773 à partir de mercredi. Bien sûr, « énorme » est relatif - étant donné les dizaines de milliers de personnes supposées infectées, on pourrait s'attendre à un nombre de décès beaucoup plus élevé, du moins jusqu'à ce qu'on se rappelle que 90 % des « cas » diagnostiqués par le test PCR ne portaient probablement pas assez de virus dans leur organisme pour présenter des symptômes ou infecter d'autres personnes. Si c'est une bonne nouvelle pour tous les Australiens qui ne mourront pas du Covid-19, c'est une mauvaise nouvelle pour ceux qui sont maintenant enfermés dans leur maison à cause de ces chiffres inexacts.
La dictature, ça veut dire que l'on n'a jamais à admettre d'erreurs
Même en mettant de côté les faux positifs, les terrifiants modèles informatiques qui ont inspiré tant de pays et d'États à verrouiller ont depuis longtemps été dénoncés comme étant erronés. Cependant, les politiques qu'ils ont inspirées n'ont pas été réexaminées. Étant donné les énormes dommages collatéraux qui découlent de l'arrêt de l'économie d'un pays - les statisticiens ont averti il y a quelques mois que le nombre de suicides en Australie serait dix fois plus élevé que celui des décès dus au virus, une part importante de ces décès inclue des jeunes, tandis que les experts médicaux britanniques et américains ont averti que les confinements tuent plus que le virus qu'ils sont censés arrêter - il n'y a aucune excuse pour enfermer les jeunes et les personnes en bonne santé afin de protéger les personnes âgées. Le fait que ces mêmes personnes âgées soient plus susceptibles de mourir de causes autres que le Covid-19 lorsqu'elles sont maintenues dans l'isolement social ne fait qu'ajouter à l'insulte.
Personne ne veut admettre qu'il a fait une erreur. Le Premier ministre Andrews est félicité par les médias internationaux pour s'être approprié encore plus de pouvoirs, et de nombreux dirigeants américains et britanniques sont impatients de suivre ses traces. Il est rare que l'on tente de corriger des statistiques fallacieuses, malgré la découverte généralisée de la tenue de registres frauduleux (ou simplement tenus avec incompétence) aux États-Unis et au Royaume-Uni. Même le fait de comprendre que la plupart des méthodes de dépistage du Covid-19 sont extrêmement imprécises n'a pas contribué à ralentir l'enthousiasme qui s'est emparé d'une population pour lui faire avaler ce test (littéralement).
Et Dan Andrews est loin d'être le seul dirigeant à infliger ce que l'on ne peut qualifier que de cruelles expériences psychologiques à son peuple sous le couvert d'une réponse virale. Qu'il s'agisse de la promesse de la Nouvelle-Zélande d'enfermer dans des installations de quarantaine toutes les personnes dont le test est positif et les membres de leur famille, de l'interdiction des visites à domicile décrétée par le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, de la menace du maire de Los Angeles Eric Garcetti de couper l'eau aux maisons et aux entreprises qui accueillent des fêtes, ou les gouverneurs des États américains qui ont exigé que les maisons de retraite acceptent les patients positifs au Covid-19 malgré le risque qu'ils encourent, il semble que dans le monde entier, tous les aspirants dictateurs des « démocraties » anglophones se battent pour savoir qui pourra franchir la ligne d'arrivée en premier.
Alors que nous regardons avec horreur ce qui se passe dans l'État de Victoria, nous devons faire ce que nous pouvons pour arrêter la montée du totalitarisme dans nos propres pays.
Traduction Sott.net - Source : Helen Buyniski, RT
Commentaire : Ceux qui attendent placidement que tout « revienne à la normale » pourraient être surpris par la durée de leur peine de prison - les élites du pouvoir n'ont pas l'intention de céder les mesures de contrôle dont elles jouissent actuellement sans un retour en arrière MASSIF (liens sur des articles en anglais) : L'État policier mondial se développe rapidement Objectif : Santé - Bienvenue dans l'État policier du coronavirus Du confinement à l'État policier : Le « bond en arrière » se déploie Bracelets électronique de cheville, passages à tabac et drones espions : Bienvenue dans l'État Stasi de surveillance du COVID-19
Belgique : le conseil d'Etat donne le feu vert pour l'ouverture d'une nouvelle «boite à bébés»
28 sept. 2020, 07:18
Après trois ans de procédure judiciaire, le conseil d'Etat belge a donné le feu vert à l'association Corvia pour l'ouverture d'une «boite à bébés» qui permet aux parents en difficulté d'abandonner leurs enfants en bas âge de manière anonyme. L'association d'aide aux femmes précaire Corvia a obtenu le feu vert du conseil d'Etat début septembre pour installer en octobre une «boite à bébés» dans la ville d'Evere à proximité de Bruxelles.
Ce concept permet aux parents d'abandonner leur enfant en bas âge de manière anonyme.
Selon le site de l'association, «la "boîte à bébés" permet aux mères en situation de détresse de laisser leur nouveau-né en toute sécurité dans des espaces dédiés. De nombreuses fois, certaines mères ont abandonné leurs enfants dans des lieux publics et dangereux.» Disponible «à toute heure et tous les jours», le parent doit pousser une « petite porte verte » pour déposer le bébé dans «une boîte chauffée [où] se trouve un nid douillet».
«Dans celle-ci, une enveloppe avec les informations sur l'association CORVIA ainsi qu’une pièce de puzzle unique seront présentes. Avec cette pièce, la mère pourra identifier son enfant plus tard si elle le souhaite. Une fois que la porte de la boîte se referme, elle est définitivement verrouillée», précise l'association.
Une fois la manipulation effectuée, une alarme s'enclenche permettant un personnel de l'association de prodiguer les premiers soins à l'enfant. Le résultat d'une bataille judiciaire de trois ans Cette autorisation est le résultat d'une bataille judiciaire de trois ans entre l'association et le bourgmestre de l'époque, Pierre Muylle (PS), qui les avait fait interdire d'après le média local BX1.
L'association avait fait un recours au conseil d'Etat pour pouvoir ouvrir ces boîtes toujours selon BX1. Lire aussi Un Japonais obtient la garde de ses 13 enfants nés de mères porteuses Le conseil d'Etat a donné raison à l'association d'aide aux femmes précaire ouvrant la voie à l'ouverture des «boites à bébé». L'association a déclaré qu'elle avait le soutien de l'actuel maire, Ridouane Chahid. «Nous nous réjouissons, car chaque enfant devrait avoir droit à un avenir», a déclaré Mathilde Pelsers, de l'association Corvia, auprès de la RTBF, ajoutant : «Nous espérons pouvoir ouvrir officiellement début octobre.»
Toujours selon la RTBF, le bourgmestre actuel d’Evere, Ridouane Chahid (PS), soutient l’initiative. Une discussion préalable est prévue avec l’association pour aborder les détails et le cadre juridique. La première «boîte à bébés» de Belgique a été installée à Anvers il y a 20 ans. Le même système existe actuellement dans plusieurs pays européens dont l'Allemagne, l'Autriche et le Pays-Bas.
Un homme condamné après avoir refusé de serrer la main d’une préfète
14:37 28.09.2020 Par Florent Zephir
La justice a condamné un homme qui avait refusé de serrer la main de l’ancienne préfète du Cher en raison de son sexe. L’individu, musulman, justifiait son geste par des raisons religieuses. L’incident s’est produit à deux reprises, dont une fois lors d’un hommage aux victimes d’un attentat terroriste. Le tribunal de police de Bourges a condamné un homme qui a refusé de serrer la main de Catherine Ferrier, alors préfète du Cher, sous prétexte qu’elle est une femme.
Les faits pour lesquels il était poursuivi se sont produits le 7 janvier, dans les locaux de la préfecture, rapporte Le Berry républicain. Alors que la préfète était venue saluer le personnel et les administrés pour la nouvelle année, l’homme présent dans le public avait décliné la main tendue et gantée de Catherine Ferrier. De confession musulmane, il avait évoqué des raisons religieuses, lui interdisant de serrer la main d’une femme.
La préfète avait porté plainte suite à cet incident. Le tribunal de Bourges lui a donné raison, considérant qu’il s’agissait d’un «comportement sexiste» et «portant atteinte à la dignité». L’homme a été condamné à une amende de 750 euros et devra verser 1.500 euros de dommages et intérêts à la plaignante.
Nouvel incident lors d’une cérémonie d’hommage
L’individu avait déjà fait montre d’un comportement similaire deux ans auparavant, lors d’une cérémonie d’hommage au colonel Arnaud Beltrame, tué par un terroriste islamiste en 2018.
L’homme participait aux commémorations en tant que représentant de l’association Ditib Vierzon (ex-association des travailleurs turcs). Il avait là encore refusé de saluer Catherine Ferrier pour motif religieux, déclarant «on n’a pas le droit de serrer la main aux femmes». L’association avait par la suite envoyé une lettre à la préfète pour s’excuser.
Dans un communiqué, le nouveau préfet du Cher, Jean-Christophe Bouvier, s’est félicité de la décision du tribunal de Bourges qui «rappelle le caractère fondamental du respect des valeurs de laïcité et d’égalité homme-femme dans la République».
Catherine Ferrier a pour sa part quitté ses fonctions en février 2020 pour devenir préfète du Tarn.
Des parents végétaliens rendent handicapé à vie leur bébé en le nourrissant avec de l’eau de coco
12:05 28.09.2020 Par Anna Borissova
Un bébé est devenu handicapé permanent après que ses parents végétaliens lui ont donné massivement de l’eau de coco après la fin de la période d’allaitement. Ils ont reçu une ordonnance pour passer un traitement de santé mentale et ont évité la prison en reconnaissant la négligence.
En Australie, les parents végétaliens d’un bébé de 12 mois souffrant à cause d’eux d’une paralysie cérébrale et de kwashiorkor, un syndrome de malnutrition protéino-énergétique, ont été condamnés par la justice à suivre un traitement psychologique, rapporte le site local News.com.
Les faits remontent au mois d’août 2018. Selon le média, ils avaient choisi d’astreindre leur fille à un régime alimentaire à base de fruits depuis la fin de la période d’allaitement en lui donnant massivement de l’eau de coco.
La fillette, qui ne pesait que 6.040 kg, a été admise aux soins intensifs où elle a passé environ un mois.
Après l’hospitalisation, les médecins ont découvert des ecchymoses et éruptions cutanées, conséquences directes du syndrome de kwashiorkor. Elle saignait également de l'intérieur, avait du sang dans ses selles et un besoin de soutien vital.
Une semaine avant d’avoir conduit sa fille aux urgences, le père de famille s’était déjà inquiété de la dégradation de son état de santé et avait écrit un courriel à une association de végétaliens basée aux États-Unis pour obtenir des conseils.
«Salut, mon enfant de un an a cessé de vouloir boire et manger et quand elle le fait, elle n'arrive pas à dormir et tousse. Que puis-je faire pour l'aider ? Elle suit un régime de fruits. S'il vous plaît, aidez-nous dès que possible», avait-il écrit. Son interlocuteur lui avait alors suggéré de lui faire boire un simple thé destiné à soulager son estomac. Handicapée à vie
Le couple a évité la prison en se déclarant coupable de négligence ce 28 septembre à la Cour de l’État australien de Victoria.
Ils ont tous deux reçu l'ordre de purger une ordonnance correctionnelle communautaire de 12 mois et d'entreprendre un traitement de santé mentale, a ordonné la juge.
L’enfant, qui a maintenant trois ans, est handicapé à vie. Sa paralysie cérébrale est causée par la malnutrition subie.
René Lamertume Le Saker Francophone dim., 27 sept. 2020 19:18 UTC
Le but de ce texte est de tenter de faire un lien entre des tendances fortes et, en apparence, disparates constatées sur la planète.
Ce but est ambitieux et ce texte limité ne peut l'atteindre qu'au prix de simplifications.
Économie et politique
Durant des décennies, il était possible d'intégrer un fonctionnement simpliste des pays qui était le suivant : les pays et leurs sociétés progressent, s'enrichissent ; des forces se battent pour prendre le pouvoir. Dans un système binaire par exemple, tantôt une tendance prend le pouvoir, tantôt l'autre et ces forces au pouvoir tirent des revenus substantiels de leur position privilégiée. Mais il semblait que les luttes de pouvoir respectaient le consensus fondamental que le pays et la société qui l'habite devaient être en bonne santé, surtout économiquement, de manière à ce que le pouvoir puisse en tirer des revenus.
Or désormais, les affaires vont mal en occident. Aux USA même, ce qui se passe depuis 5 ans ne paraît pas respecter le schéma habituel. Sans être spécialiste de ce pays, on peut comprendre que le président élu a été empêché de gouverner pendant la durée de son mandat, et on voit même des émeutes se déclencher continuellement dans ce pays - il paraît clair que les manifestations sur le thème de racisme sont rattachées aux luttes de pouvoir dans le pays. Et la question qui vient alors à l'esprit est de savoir pourquoi la prospérité du pays elle-même semble n'avoir plus d'intérêt, pourquoi la subsistance des classes moyenne et inférieure n'est plus la préoccupation d'une partie des forces qui luttent pour le pouvoir. Le pays lui-même semble ne plus avoir d'importance. Cette situation serait favorisée par le fait qu'une grande part de l'économie est devenue virtuelle, détachée du sol du pays ou internationalisée.
Vu de notre pays, les USA sont notre avenir proche. Nous avons été arrimés de force à ce modèle de société. Un intérêt quasi unique constitué par le matérialisme et l'argent, remplace notre culture et s'impose dans notre pays. Nos « responsables » politiques subissent cette influence. Ainsi, pour qui a vécu dans notre pays depuis des décennies, il est douloureux de voir l'industrie disparaître, l'économie péricliter, la société se fermer, perdre son humanité, devenir instable, la population soumise à l'influence des médias privés dominants.
Quelles que soient les difficultés rencontrées par le pays, quelle que soit la dégradation du niveau de vie général, aucun débat, aucune remise en cause n'est possible.
Dans l'épisode de la « crise sanitaire », on a vu des mesures inutiles appliquées de manière draconienne, le confinement aveugle n'a pas arrêté l'épidémie puisque les pays qui n'ont pas confiné s'en sortent mieux que nous, alors que dans le même temps, on passait à coté de moyens qui auraient pu s'avérer efficaces : absence quasi complète de tests de dépistage, interdiction d'un traitement médicamenteux, fermeture de services hospitaliers... 1. Cela au mépris de l'économie, donc de la vie que mènent les classes moyenne et inférieure. Mais, fait troublant, la baisse d'activité durant le confinement n'a pas ralenti l'enrichissement des plus riches. Nous assistons ici aussi à la déconnexion de la captation de richesses par un petit nombre, d'avec la vie de la majorité de la population dans le pays puisque, pour une part prédominante, la production industrielle a été délocalisée.
Si nous en croyons les nombreuses voix de scientifiques et de médecins qui ne sont pas invités à s'exprimer dans les médias dominants, la situation autour du virus s'apparente à une mise en scène qui installe une psychose dans la population. Cela entrave la pratique de toute activité. Par exemple, il est impossible de travailler dans des conditions normales pour les adultes - surtout ceux qui ont des petits enfants scolarisés, et qui sont tiraillés entre la nécessité de travailler et la peur de traumatiser les enfants en les menant à l'école - de professer ou de suivre un enseignement normal. Les commerces, les plus petits en particulier fonctionnent mal. Toutes ces difficultés, dont certaines tournent en tragédies, sont ignorées.
Dans ces quelques exemples, il est possible de repérer une ligne directrice qui est que le devenir d'un pays n'a plus d'importance. L'économie s'est internationalisée et les forces supranationales qui ont installé leur pouvoir ne se préoccupent pas des pays. Et il est même probable que plus les pays perdent de leur puissance et plus les forces supranationales prospèrent. Seuls les pays solides peuvent résister. Considérons le dénigrement continuel auquel la Russie doit faire face en occident. La Russie résiste depuis plusieurs décennies à une guerre économique - elle n'est pas la seule - dans laquelle l'UE, contre ses intérêts propres, est un relais efficace. Et les tensions ne font que s'accroître car la Russie, loin de se soumettre, a modifié sa constitution pour se soustraire aux forces qui prévalent aujourd'hui en occident, afin d'empêcher, tant que faire se peut, que des instances étrangères ne viennent dicter sa conduite au pays 2.
Ce qui a été proposé et imposé aux populations d'Europe comme un avenir meilleur supposé reposer sur la fusion pacifique des nations, et qui dans les faits ne se réalise absolument pas, est en fait le pompage des richesses nationales par des intérêts supra-nationaux. La situation économique et sociale des pays est passée par pertes et profits. Les structures des pays disparaissent, dissoutes par les structures supra-nationales.
Comportements individuels
Dépassons les plans politique et économique. Nous voyons constamment se développer autour de nous en occident, des modes de comportement décidés par un petit nombre de personnes sans que les peuples ne soient consultés. Et quand on feint de consulter les peuples, des « experts » sont convoqués pour nous convaincre de rester sur le chemin décidé en petit comité. Nous pouvions avoir l'impression que le transfert de compétences entre les niveaux national et supra-national concernait les sphères politique et économique, mais que dans des sociétés prétendument démocratiques, les libertés individuelles seraient préservées. Il n'en est rien. Les changements en cours concernent d'abord la vie économique, puis le contrôle de la vie politique et cela se poursuit jusque dans la sphère privée. Les forces en actions se servent donc de la décomposition des pays pour s'assurer le contrôle total des individus et mettre en place un pouvoir total 3. Il est possible de repérer cette prise de pouvoir sur les comportements et les individus dans différentes tendances développées, favorisées ou utilisées par les forces supranationales. Le rapprochement va paraître hétéroclite, mais il paraît bien exister un point commun.
Souvenons-nous que le terrorisme nous a été promis jusqu'à la fin des temps et a été un thème de mise en place de l'état d'urgence prolongé.
L'immigration massive dans des pays où le chômage est endémique n'a pas de sens mais elle pousse au communautarisme et fragilise les sociétés d'accueil.
Le climat est ce qu'il est, et la société humaine, dans ses différentes composantes, respecte peu la nature et pollue, mais cette situation profite aux grands groupes industriels privés. En se basant sur des arguments scientifiques encore en débats, on dicte des mode de vie à la société humaine dans son ensemble. La réorientation de la politique énergétique et industrielle, sur des bases scientifiques douteuses peut aussi avoir pour but de dicter aux collectivités et finalement aux individus des comportements définis par un petit nombre. Par exemple, au titre de la « défense du climat », on ne remet pas en cause le fait de produire à des milliers de kilomètres ce qui est consommé ici.
Considérons aussi le mouvement LGBT et demandons nous s'il ne serait pas une tentative de manipuler la société, et les personnes dans ce qu'elles ont de plus intime. Il existe en effet une différence énorme entre le fait d'accepter l'homosexualité et celui de voir des campagnes d'affichage promouvoir ce comportement, sous les yeux des enfants et des adolescents.
Mais là où le contrôle s'opère de la manière la plus spectaculaire, c'est dans le domaine de « l'urgence sanitaire », thème inventé au début de l'année 2020 et qui ne semble jamais avoir été invoqué auparavant. Dans ce domaine, en tournant le dos à la science médicale cette fois, on oblige les individus à adopter un comportement qui les éloigne les uns des autres, dans la sphère publique et, étape inédite pour les prétendues démocraties, dans la sphère privée. Le porteur du seul virus médiatisé est considéré comme un paria. Le corps médical devient une structure de répression de la population.
États-nations
La destruction des États-nations est engagée dès que les figures politiques visibles ne sont plus sous l'autorité du peuple, mais se soumettent à des réseaux occultes de pouvoir. Les véritables décideurs ne sont pas identifiés, et donc leur responsabilité ne peut être engagée. L'État-nation est critiqué au motif qu'il serait le signe d'un comportement obsolète de repliement sur soi. En fait, l'État-nation est le rempart qui permet de défendre les richesses communes contre les intérêts privés. Nous sommes confrontés à des forces internationales qui enlèvent aux peuples leur pouvoir de décision, et qui les dirigent.
L'UE est une telle structure. Derrière les beaux discours, elle montre que des administrateurs non élus déterminent les politiques d'un continent entier 4. Les pays qui veulent défendre leurs spécificités nationales sont critiqués, sermonnés, pénalisés financièrement. Les « responsables » nationaux ne parviennent au pouvoir que lorsqu'ils démontrent leur soumission au régime dominant. Les partis dits d'opposition ne peuvent acquérir une visibilité que s'ils se soumettent et renoncent au principe de souveraineté du peuple.
Dans l'État-nation, les représentants politiques doivent rendre des comptes aux peuples qui leur ont conféré un mandat. Ils sont responsables de ce qu'ils font, bien entendu, en principe. Mais lorsque les représentants n'ont plus de compte à rendre qu'à des administrateurs étrangers, eux-mêmes sous influence, le pays et son peuple, se retrouvent sans protection 5. Dans notre pays, les représentants des forces dites de gauche ont activement participé à la trahison du peuple et de la confiance dont ils étaient dépositaires.
Les tensions en cours reposent donc sur trois moyens au moins : la destruction des États-nations, la délocalisation des industries et la manipulation des individus qui perdent leur libre arbitre. Le tout est dirigé à des niveaux supra-nationaux. Ainsi, les pièces du puzzle se mettent en place :
Les structures supra-nationales servent à enlever aux États-nations leur souveraineté, cela paraît évident. Les pays qui résistent sont soumis à des difficultés et chantages financiers majeurs.
La délocalisation des moyens de production et la spéculation font que la prospérité du pays en lui-même n'a plus d'intérêt. Seuls les pays solides peuvent s'opposer aux forces supra-nationales.
L'UE qui devait apporter la prospérité économique et sociale aux pays européens est l'outil de l'affaiblissement des pays de l'Europe et de la soumission aux forces supra-nationales. Les thèmes de manipulation des sociétés et des individus se succèdent, terrorisme, immigration, LGBT, lutte climatique, crise sanitaire, resserrant le filet. Le processus de destruction de l'État-nation est une étape sur le chemin qui mène au contrôle total des individus.
Nous vivons un grand cycle historique. Nous avons été placés dans un projet leurre qui permet de diriger les pays et leurs populations sans débat. Tant que nous continuerons dans cette voie, nous serons détachés du réel. Le réveil sera douloureux. L'échéance n'est peut-être plus éloignée. Nous avons, au moins pour nos enfants et nos petits enfants, la responsabilité de réagir. Les Anglais ont compris cela, même si le processus de réorientation prendra du temps.
Ainsi, le choix pour les peuples n'est plus de vouloir favoriser une politique dite de droite, ou de gauche, du centre, ou d'extrême d'un bord ou d'un autre. Ces enjeux paraissent bien dépassés, du moins provisoirement espérons-le. Le choix ne réside plus que dans la reconquête de la souveraineté du peuple ou la soumission. En effet, il est évident qu'un pays non souverain ne peut plus orienter ni sa politique économique, ni ses choix de société. Un pays non souverain est guidé à distance par des forces non identifiées ; les intérêts du pays et de son peuple n'ont plus aucun intérêt : les individus sont captifs ; le pays, aussi important soit-il, est vidé de sa substance.
Tourisme - veulent "ils" casser l'économie ou juste nous vacciner ???? Le secteur boursier que je surveille pour évaluer la situation
Charles Dereeper dimanche, 27 septembre 2020 22:49
Je me demande très fort à quel jeu nous allons participer dans les trimestres à venir.
A ma gauche, nous avons le tourisme, usine à polluer le monde, qui aide les économies émergentes à décoller.
A ma droite, nous avons un vaccin pour renforcer le contrôle et probablement à l'aide de ce vaccin, aider à tuer plus tard une partie de la population mondiale.
Ma grande question est de savoir si "ils" veulent les deux... ou juste casser l'économie... ou juste nous vacciner !
Je me souviens en 2017. Nous étions dans le taxi avec Tonio (Antoine Capitan http://www.objectifeco.com/blog/antoine-capitan.html ) à Bangkok en route pour aller rencontrer l'un d'entre vous, chers lecteurs, qui vivait à en Russie. Il nous avait fixé RDV à Koh San Road, un lieu assez éloigné de Sukhumvit du fait des bouchons.
Je regardais une place touristique imposante sur le chemin et j'ai dit à Tonio.
Putain quand je pense que tout ceci ne sera plus là dans 3 ans. Comment cela va arriver ? Par quel biais est ce possible ?
J'ai passé des centaines d'heures à réfléchir sur ce Q1 2020. J'ai quitté la Thaïlande à cause de ma dead line de Q4 2019 et inversion courbe des taux.
Cela remonte à loin. Quand j'ai eu en 2009 le véto pour vivre avec mon ex femme française à Koh Samui. A partir de là, il m'a été dit que j'avais le droit à la Thaïlande jusqu'à Q4 2019. Je devais avoir quitté le sol ensuite.
Je vous laisse deviner en 11 ans combien de fois je me suis interrogé sur cet évènement de 2020. Je l'ai vu arriver. Mais je n'ai jamais trouvé sa forme. Jamais. Malgré des milliers de tests.
Comme pour le trading intuitif. J'ai les dates des points tournants. Une vague direction. Mais je n'ai jamais obtenu le chèque en blanc.
Le temps en fait faisait partie de ces visions plus que la forme et le sens.
Il y a une semaine, j'ai reçu de Thaïlande l'exacte vision qui m'a fait faire 22.000km de déménagement.
Walking STREET déserte à Pattaya dans le septième pays touristique au monde... 6 mois après le début du délire... le tout avec 200 morts au compteur. Je ne risquais pas de le trouver tout seul en vision. Du 15 écart types...
Je n'ai plus de visions. J'ai mis fin à mon accès pour pouvoir vivre.
Accéder au futur se faisait à un prix trop élevé. Je devais collaborer avec des entités de merde qui bousillait ma vie par ailleurs.
Je suis redevenu un humain dans le noir. Et je suis content de l'être.
Je me pose donc des questions sans réponse ni timing.
Vont ils juste buter les masses avec le vaccin bidon qui agira sur le long terme ? En nous faisant tellement chier la couille qu'à la fin tout le monde se dira qu'il vaut mieux vivre et se faire vacciner que de subir les restrictions ? Je ne parle même pas des esclaves qui vont se précipiter pour s'injecter le liquide miraculeux... hahhaahha
Ou vont ils buter 10% du PIB mondial en créant des règles qu'aucun touriste n'acceptera... dans le but de diminuer le carbone officiellement alors que le carbone n'est rien dans l'atmosphère et dans le but officieux de casser la croissance économique mondiale ?
Dans tous les cas, 2021 va apporter du sport dans la rue.
Moi je dis... cap sur le farming hihihihi
Quand aux énervés de l'investissement immobilier, l'addition va être lourde si ce n'est fatale. Il faut surveiller les flux de capitaux dans les REIT spécialistes de l'hôtellerie. C'est là que je cherche la réponse. Les délits d'initiés des élites étant une religion, aucun doute que nous verrons ce compartiment rebondir au milieu de nulle part si l'option vaccin était en fait la target plus que casser le tourisme. Pour l'instant, ce sous secteur immobilier n'a pas rebondi... ce qui en dit long sur le futur.
Charles
PS : mon véto sur la thaïlande s'arrêtait début 2023... et le big show, le vrai collapse, la date n'a jamais varié. Début en 2034.
Il y a longtemps qu'elle existe cette 'gouvernance mondiale', voir les commentaires (ou plutôt l'ABSENCE de !) sur le 11 Septembre dans le monde ! Idem aujourd'hui avec le 'corona'. Il n'y en a pas un qui bouge !
La question absolument essentielle à se poser avant de consentir à toute vaccination - Quel est le nombre d'injections nécessaires pour vacciner (NNV) ?
Par exemple: quels seront les NNV pour le (s) nouveau (x) vaccin (s) COVID-19 ?
Par Gary G. Kohls, MD 28 septembre 2020
«Une majorité écrasante des fonctionnaires de la FDA directement chargés de l'homologation des vaccins, et les fonctionnaires du CDC qui les mandatent effectivement pour les enfants, ont des liens financiers personnels avec les fabricants de vaccins. Ces «fonctionnaires» sont souvent des actionnaires, des bénéficiaires de subventions et / ou des consultants rémunérés pour les fabricants de vaccins et, parfois, même des détenteurs de brevets pour les vaccins qu’ils votent pour approuver. Ces conflits d'intérêts les motivent à recommander toujours plus de vaccins avec un soutien minimal de la science factuelle »- Robert F. Kennedy, Jr.
«La FDA reçoit 45 % de son budget annuel de l'industrie pharmaceutique. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) tire environ la moitié de son budget de sources privées, y compris Pharma et ses fondations alliées. Et le CDC, franchement, est une société de vaccins; il détient 56 brevets de vaccins et achète et distribue annuellement 4,6 milliards de dollars de vaccins dans le cadre du programme Vaccins for Children, ce qui représente plus de 40% de son budget total. » - Robert F. Kennedy, Jr
«Le HHS (Santé et Services humains) s'associe aux fabricants de vaccins pour développer, approuver, recommander et passer des mandats pour de nouveaux produits, puis partage les bénéfices des ventes de vaccins. Les employés de HHS peuvent personnellement percevoir jusqu'à 150 000 dollars par an en redevances pour les produits sur lesquels ils travaillent. Par exemple, les principaux responsables du HHS collectent de l’argent sur chaque vente du vaccin controversé contre le VPH de Merck, Gardasil, qui rapporte également des dizaines de millions de dollars par an à l’agence en redevances de brevets. » - Robert F. Kennedy, Jr
«En 1986, le Congrès, inondé d'argent de l'industrie pharmaceutique (l'industrie pharmaceutique est numéro un pour les contributions de campagne politique et les dépenses de lobbying auprès des législateurs au cours des 20 dernières années) a promulgué une loi accordant aux fabricants de vaccins une immunité totale de responsabilité pour les blessures causées par les vaccins.
La ruée vers l'or qui a suivi par les sociétés pharmaceutiques a fait passer le nombre d'inoculations recommandées de douze injections de cinq vaccins en 1986 à 54 injections de 13 vaccins aujourd'hui. Une ligne de touche d'un milliard de dollars est devenue le géant de l'industrie des vaccins de 50 milliards de dollars. » - Robert F. Kennedy, Jr
«Étant donné que les vaccins sont exempts de toute responsabilité - et effectivement obligatoires pour un marché captif de 76 millions d'enfants - les entreprises ne sont guère incitées à les rendre sûrs. Le public doit se fier aux scrupules moraux de Merck, GlaxoSmithKline, Sanofi et Pfizer. Mais ces entreprises ont une longue histoire d'opérations imprudentes et malhonnêtes, même avec des produits (du médicament) pour lesquels elles peuvent être poursuivies pour blessures. Les quatre entreprises qui fabriquent pratiquement tous les vaccins recommandés sont toutes des criminels condamnés. Collectivement, ils ont payé plus de 35 milliards de dollars depuis 2009 pour avoir fraudé les régulateurs, menti et corrompu des représentants du gouvernement et des médecins, falsifié la science et laissé une trace de blessures et de décès (maladies chroniques incurables) dus à des produits qu'ils savaient dangereux et toujours vendus sous prétexte. d'innocuité et d'efficacité. » - Robert F. Kennedy, Jr
La question du titre de cette chronique est une question piège, ni pour l'Opération Warp Speed ??de l'administration Trump, ni pour Big Pharma, ni pour la Fondation Bill & Melinda Gates, ni pour l'Organisation mondiale de la santé, ni pour le CDC du Dr Fauci, ni pour les médias grand public, ni pour vos médecins locaux, ni pour vos pharmacies locales. ni vos hôpitaux ou cliniques locaux ne pourront y répondre !!
Étant donné que le consentement éclairé de tout patient à tout traitement prescrit offert par un médecin agréé (qui est censé prêter et adhérer au serment d'Hippocrate) est un droit humain universel, la question n'est pas seulement une tour d'ivoire, une être ignoré. C'est une question de vie ou de mort. Par conséquent, être totalement informé des risques importants et souvent maigres bénéfices de la vaccination. Par conséquent, étant donné que les puissances actuelles qui tentent de tirer profit des vaccinations de masse dans un proche avenir, j'offre les informations suivantes.
Cette colonne est modifiée par rapport à celle que j'ai écrite en 2018 pour le lecteur Duluth. cela peut être lu ici. ________________________
Le nombre nécessaire à vacciner (NNV) est similaire au nombre nécessaire à traiter (NNT) pour les médicaments pharmaceutiques), en ce sens qu'il indique, en une phrase, combien de patients devront être vaccinés (ou traités) pour qu'un patient en bénéficie du vaccin ou du médicament. Plus le nombre est élevé, meilleure est l'efficacité du vaccin (ou du médicament). Je liste juste quelques exemples ci-dessous.
Malheureusement - mais de manière prévisible, étant donné qu'une grande partie de ce qui est publié est rédigée par des académiciens cooptés par Big Pharma, des responsables de la santé publique de carrière, des chercheurs, des épidémiologistes et des statisticiens, la grande majorité des articles de journaux omet intentionnellement les statistiques NNV ou NNT.
Cet article contient des informations statistiques que Big Pharma, Big Vaccine et Big Medicine essaient de ne pas publier et dont les Big Media cooptés par Big Pharma ne parlent jamais non plus - pour des raisons évidentes.
Le nombre de recherches sur Google nécessaires pour vacciner (NNV), le nombre de besoins à traiter (NNT), le nombre nécessaire pour nuire (NNH), la réduction du risque relatif (RRR) et la réduction du risque réel (ARR) sont importants pour décoder les campagnes de propagande massives au cours des dernières années des décennies qui ont été si rusées à
1] «vendre la maladie»,
2] vulgarisation de la «germophobie»,
3] vendre des médicaments de plus en plus inabordables, très rentables et dangereux,
4] promouvoir des vaccins dont la sécurité à long terme OU l'efficacité à long terme n'ont pas été testées de manière adéquate, et
5] sur-vendre des «épidémies» et des «pandémies» rentables dans le but d'acquérir du pouvoir, du contrôle et de la richesse pour ces entités rusées qui ont déjà trop de pouvoir et des quantités obscènes de richesse.
Bien sûr, les quantités massives de «recherches» publiées qui proviennent des laboratoires de bureaucrates de la santé publique influencés par les Big Pharma ou de «scientifiques» embauchés par les Big Pharma dans des articles de revues médicales doivent être considérées avec beaucoup de scepticisme, en partie seulement à cause de les conflits d'intérêts pratiquement incurables qui se sont créés - en raison des relations financières et collégiales étroites - entre les groupes suivants:
1] les bureaucrates de carrière du HHS, du NIH, du CDC, du NIAID, de la FDA,
2] les nombreux scientifiques embauchés (et donc biaisés) qui travaillent pour des sociétés pharmaceutiques / vaccinales à but lucratif,
3] les décideurs politiques corrompus par Big Pharma qui s'appuient sur les conseils de «scientifiques» employés par Big Pharma,
4] les membres de la Classe mondiale d'investissement multimillionnaire et milliardaire et leurs diverses fondations familiales qui ont acquis une grande partie de leur richesse grâce à des investissements dans les industries pharmaceutique et des vaccins, et
5] les médias grand public qui dépendent des revenus publicitaires de Big Pharma, censurant ainsi inévitablement les voix dissidentes de scientifiques indépendants qui sont assez courageux pour dire la vérité au pouvoir.
Lisez ces quelques exemples et demandez ensuite plus d'informations et le droit à un consentement pleinement éclairé sur ce qui est injecté dans les muscles de nos nourrissons, enfants et adultes et donc sur ce qui affecte également l'ADN, les systèmes lymphatiques, les systèmes immunologiques, la moelle osseuse, les systèmes gastro-intestinaux, le microbiome, les systèmes circulatoires et les systèmes nerveux périphérique et central des générations actuelles et futures de l'humanité.
Ces exemples proviennent de la littérature médicale publiée et évaluée par des pairs. Beaucoup d'entre eux ont été archivés à cette source. ________________________
1] VNN pour le vaccin contre la grippe infantile pour prévenir une hospitalisation (<4 ans) = 1852
Quantification des avantages et des risques de la vaccination des enfants australiens âgés de six mois à quatre ans avec le vaccin antigrippal saisonnier trivalent inactivé en 2010
Kelly et coll.
1852 enfants devraient être vaccinés pour éviter une hospitalisation due à une souche de grippe circulante (2009).
En outre, les auteurs ont estimé que, pour chaque hospitalisation grippale potentiellement évitée, la vaccination avec Fluvax ou Fluvax Junior peut avoir en fait causé deux à trois hospitalisations en raison de convulsions fébriles induites par le vaccin. ________________________
2] VNN pour le vaccin contre la grippe infantile pour prévenir une hospitalisation => 4 255
Grippe infantile: NNV (nombre nécessaire pour vacciner) pour éviter 1 hospitalisation ou visite ambulatoire
E.N. Lewis, et al - De Pediatrics, 120 (3) (2007), pp. 467-472
De 4 255 à 6 897 enfants âgés de 24 à 59 mois devraient être vaccinés contre la grippe pour éviter une hospitalisation. ___________________________
3] VNV contre le zona / herpès zoster pour les 70 ans et plus = 231
Vaccin vivant atténué varicelle-zona: en vaut-il la peine ?
Skootsky S. - Du département UCLA de Med. 20 févr.2007.
175 adultes de plus de 60 ans devraient être vaccinés pour prévenir 1 épisode d'herpès zoster
231 adultes de 70 ans ou plus devraient être vaccinés pour prévenir 1 épisode d'herpès zoster. ________________________
4] VNN pour le vaccin antipneumococcique chez les personnes âgées = 5 206
L'impact et l'efficacité de la vaccination antipneumococcique (23 Valent) en Écosse pour les personnes âgées de 65 ans et plus pendant l'hiver 2003/2004
John D Mooney, et al - De BMC Infectious Diseases 2008: 53 Le NNV pour les adultes> 65 ans était de 5 206 (4 388 - 7 122) par cas de PPI (pneumococcie invasive) évité. ____________________________
5] VNN pour le vaccin antituberculeux (Irlande) = 646
Vaccination néonatale au BCG en Irlande: preuves de son efficacité dans la prévention de la tuberculose infantile
Kelly, et al - Eur Respir J, 10 (3) (1997), pp. 619-623 646 enfants ont dû être vaccinés avec le vaccin néonatal irlandais Bacillus Calmette-Guérin (BCG) pour prévenir un cas de tuberculose en 1986 ____________________________
6] NNV pour Gardasil chez les filles de 12 ans sexuellement inactives = 9 080
Estimation du nombre de vaccins nécessaires pour prévenir les maladies et les décès liés à l'infection à papillomavirus humain
Marc Brisson, PhD, et al - CMAJ. 28 août 2007; 177 (5): 464–468.
9080 filles de 12 ans sexuellement inactives devraient être vaccinées avec Gardasil afin de prévenir un cas de cancer du col de l'utérus - une estimation épidémiologique réellement très optimiste calquée sur l'espoir que le taux d'efficacité du vaccin s'avère élevé. Cette estimation de l'efficacité ne sera pas connue avant des décennies!) Par conséquent, un NNV de 9 080 est probablement faux. ____________________
7] VNN pour le vaccin antiméningococcique du groupe B => 33 000
Épidémiologie de la méningococcie invasive du sérogroupe B en Ontario, Canada, 2000 à 2010
V Dang, et al - BMC Infect Dis, 12 (1) (2012), p. 202
33 784 à 38 610 nourrissons devraient être vaccinés afin de prévenir un cas de méningococcie invasive de sérogroupe B. _________________________
8] NNV pour empêcher un adulte en bonne santé de contracter la grippe = 71
Vaccins pour prévenir la grippe chez les adultes en bonne santé
Demicheli V, et al - Revue Cochrane 1 févr.2018
71 adultes en bonne santé doivent être vaccinés pour éviter que l'un d'eux ne soit grippé
_______________________
9] VNN pour la vaccination contre la varicelle pour prévenir 1 décès = 34 000
La rentabilité de la vaccination contre la varicelle (varicelle) au Canada
«Pour la vaccination contre la varicelle, nous avons estimé que 34 000 personnes devraient être vaccinées pour éviter 1 décès (en utilisant les taux de mortalité rapportés par 25 et en supposant une efficacité de 100% contre le virus varicelle-zona et aucune diminution de la protection).»
10] VNN pour prévenir 1 décès par méningite à méningocoque = 21 000
Vaccination des adolescents contre la méningococcie au Canada: une analyse coût-efficacité
Philippe De Wals, et. Al. - Vaccine 20 juillet 2007; 25 (29): 5433-40.
«Pour prévenir 1 décès lié au méningocoque, nous avons estimé qu'environ 21 000 personnes devraient être vaccinées (en supposant une efficacité de 100% contre les types A, C, Y et W135).
_________________________
11] Un essai d'un vaccin conjugué contre le pneumocoque 9-Valent chez des enfants atteints et non infectés par le VIH (le NNV n'a pas été calculé dans l'article original)
Klugman, KP et coll. - N Engl J Med 2 octobre 2003; 349 (14): 1341-8.
Dans l'essai sud-africain mené dans le canton urbain de Soweto, la vaccination de près de 20 000 nourrissons n'a entraîné que 31 cas de moins de pneumococcie invasive dans l'ensemble de la population et seulement 13 cas de moins chez les enfants séronégatifs. _______________________
12] Les NST suivants sont destinés aux patients à faible risque qui ont pris des statines pendant 5 ans (et dont le seul risque était un taux de cholestérol élevé mais aucune maladie coronarienne documentée) par rapport aux patients à faible risque similaire qui n'ont pas pris de statines:
Le NNT pour éviter une crise cardiaque: - 104
Le NNT pour empêcher une course: 154
Le NNH (nombre nécessaire pour nuire) pour développer une rhabdomyonécrose du cœur = 10
Statines pour la prévention primaire des maladies cardiovasculaires
Taylor F, et al - Cochrane Database Syst Rev.2011 janvier 19; (1): CD004816
Résumé:
104 patients auraient dû prendre des statines pendant 5 ans pour qu'un cas de crise cardiaque soit évité.
154 patients auraient dû prendre des statines pendant 5 ans pour qu'un seul cas d'AVC soit évité.
Il n'y avait pas de différence dans la mortalité toutes causes confondues entre les groupes prenant des statines et les groupes sans statines. En d'autres termes, il n'y a pas eu d'amélioration statistique de la mortalité par la prise de statines.
Nombre nécessaire pour nuire (NNH) pour les statines
Cependant, pour les patients prenant des statines pendant 5 ans, 2% d'entre eux (1 sur 50) ont développé un diabète (significativement plus que le groupe sans statine).
Pour les patients prenant des statines pendant 5 ans, 10% d'entre eux (1 sur 10 a développé une rhabdomyolyse significative induite par les statines (plus précisément appelée rhabdomyonécrose, qui est la mort [nécrose] des tissus musculaires cardiaques et périphériques). 10% est très probablement une sous-estimation parce que les médecins semblent ne pas être conscients de cet effet indésirable et ne font donc généralement pas le diagnostic.Ainsi, un NNH de 10 pour les statines est une estimation faible.
Pour une liste des études qui corroborent les chiffres des statines, cliquez ici:
Notez bien qu'un virus n'est PAS une nano-particule vivante (comme les bactéries appelées aussi microbes). Donc: d'où viennent ces 'nouvelles particules' ? Çà c'est une question très intéressante ! Particules extraterrestres ? ou... Particules fabriquées en laboratoires et lâchées par chemtrails ou par drones ?
«L'approvisionnement a été décimé»: la pénurie de masques en Californie s'est aggravée en raison de la fumée des feux de forêt
par Tyler Durden Lun, 28/09/2020 - 20:40
Les masques N95 étaient déjà très demandés lorsque les incendies de forêt sur la côte ouest ont commencé à couvrir toute la côte de fumée. Il semble que ce n'est pas seulement la pandémie que la Californie réussit mal à gérer - mais aussi le problème croissant des incendies de forêt dans l'État.
Le problème est que les deux problèmes suscitent une demande massive de masques - et que l'État fait face à une pénurie.
Maintenant, les résidents de la côte ouest comme Lindsey Major, qui a 25 ans et souffre d'asthme, sont désespérés de trouver des masques N95. «Vous pouvez respirer, mais c’est comme quelque chose qui pèse sur votre poitrine. J'avais l'impression que mes poumons étaient remplis de bandes humides », a-t-elle déclaré à Bloomberg. Elle a finalement pu obtenir un masque après avoir posté désespérément sur un groupe Facebook.
Les mêmes masques recommandés par le CDC pour filtrer Covid étaient "presque introuvables" car la qualité de l'air sur la côte ouest s'est détériorée en raison des incendies de forêt. L'approvisionnement a été «décimé».
Maintenant, à quelques semaines de la saison des feux de forêt, des dizaines d'incendies à travers la Californie ont provoqué la combustion de 3,7 millions d'acres. La fumée des incendies a été poussée dans les grandes villes, ce qui a donné un ciel orange - certaines photos que nous avons publiées il y a quelques jours ici.
Les services de santé ont exhorté les citoyens à rester à l'intérieur autant que possible, malgré le fait que la plupart des maisons ne disposent pas de filtres à air de haute qualité.
Le président Trump a utilisé la loi sur la production de défense en avril pour forcer 3M à continuer à fabriquer des masques N95. La société prévoit une production de 95 millions de masques par mois en octobre, contre 50 millions en juin. Mais les responsables de nombreux États affirment toujours avoir du mal à acheter des EPI, y compris des masques.
Et les expéditions de masques d'urgence "sont à peine entre les mains du grand public", selon Bloomberg. Au lieu de cela, de nombreuses demandes de masques sont adressées directement aux premiers intervenants et aux agents de santé.
Jim Murphy est un autre résident de la côte ouest qui a déclaré qu'il avait acheté des masques N95 en janvier, mais qu'il avait fini par les donner à des parents qui étaient des travailleurs essentiels.
«Si vous êtes comme moi et que vous avez quelques chiens à promener, vous n’avez pas d’autre choix que de sortir. Ce serait certainement bien d'avoir quelque chose qui vous protégerait de la fumée même pour de courtes périodes de temps », a-t-il déclaré.
Aaron Bourne, directeur général de W.C. Winks Hardware à Portland, a déclaré qu'il avait vendu une expédition de 100 masques en moins de 2 jours ouvrables.
Joel Kaufman, médecin et professeur d'épidémiologie à l'Université de Washington, a conclu que les masques devraient être conservés pour les secouristes proches des incendies qui ont été installés pour eux: «Les personnes qui nous préoccupent le plus - les personnes souffrant de maladies pulmonaires chroniques - ne sont pas de bons candidats pour porter ces masques, car les masques augmentent la quantité de travail nécessaire pour faire entrer et sortir l'air. Les personnes qui en ont le plus besoin sont, en quelque sorte, les moins capables de tolérer de les porter.
Le N95 n'est PAS un masque à gaz toxique ! Un masque à gaz enveloppe le visage et possède 2 cartouches vissables sur les côtés de la bouche. L'espace visuel est vitré.
MASQUE EN TISSU : LA SOIE PROTÈGE PLUS DU COVID-19 QUE LE COTON
par PERRINE DE ROBIEN 28/09/2020
La fabrication de la soie aurait été découverte en Chine il y a 26 siècles.
Une enquête menée par des scientifiques américains met à l’honneur la soie. Ce tissu présente de nombreuses propriétés qui en font un matériau plus efficace que le coton, pour, par exemple, fabiquer un masque de protection contre le Covid-19.
Masque contre le Covid-19 : la soie est plus respirante
Et si après la visière Vuitton à 800 €, Hermès sortait un masque en soie orné de brides et autres motifs très chics ? Pourquoi pas ! Selon des chercheurs de l’Université de Cincinnati (États-Unis), la soie protège plus du Covid-19 que le coton ou le polyester. C’est pourquoi, si vous portez un masque en tissu, il est préférable qu’il soit fabriqué dans cette matière.
Les scientifiques américains estiment que la soie naturelle a l’avantage d’être plus douce et confortable pour la peau mais surtout elle est plus respirante. Une propriété intéressante sachant que lorsque l’on respire avec un masque, il finit par devenir humide à cause de la condensation. Or, une fois mouillé, le tissu perd ses propriétés filtrantes. Autre atout de la soie naturelle, elle sèche rapidement. Plus vite que le coton. Un avantage non négligeable à la fois pour le confort des utilisateurs qui portent un masque et pour faire barrière au Covid-19.
Les propriétés anti-microbiennes de la soie
La soie est aussi une matière qui présente des propriétés antimicrobiennes, antibactériennes et antivirales naturelles permettant d’éloigner le virus. Et pour cause, elle contient du cuivre présent dans les feuilles de mûrier dont est faite la soie naturelle. Or, le cuivre présente la particularité de tuer les bactéries et les micro-organismes.
Si vous avez des vêtements ou accessoires en soie qui sont abîmés ou ne servent plus, vous savez donc ce qu’il vous reste à faire : récupérer le tissu pour en faire un masque de protection anti Covid-19.
La soie comme le coton n'est rien d'autre qu'un GRILLAGE ! Balancez un seau d'eau sur un grillage et regardez combien d'eau n'a pas réussi à passer au travers ! HAHAHAHAHA !
Perrine de Robien ne fait qu'ajouter une pierre à l'escroquerie mondiale des masques 'antivirus' qui sont pourtant prouvés être NON-ANTIVIRUS !
Par Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 29 septembre 2020
Nous avons été trompés par les autorités de santé publique au sujet de Covid, en partie à cause de l’ignorance des autorités publiques du virus, de sa propagation et de son traitement, mais principalement à dessein.
L'une des raisons pour lesquelles nous avons été intentionnellement trompés par les autorités de santé publique, et continuons d'être trompés par elles, est de créer un marché pour une vaccination contre Covid. Il y a des milliards de dollars de profits là-dedans, et Big Pharma les veut. Les liens financiers entre les autorités de santé publique et Big Pharma signifient que l'OMS, les NIH et les CDC souhaitent également des vaccinations de masse. S'il n'y a pas assez de gens effrayés pour se faire vacciner volontairement, il y a de fortes chances que les vaccins soient rendus obligatoires ou que votre capacité à voyager, etc., dépende de la vaccination.
Une autre raison intentionnelle de notre tromperie est que la menace Covid justifie le vote par courrier depuis la sécurité de son domicile. Le vote par correspondance signifie qu'aucun gagnant ne peut être déclaré le soir de l'élection. Les votes par correspondance devront être comptés au fur et à mesure qu'ils arrivent. Le retard dans la déclaration d'un vainqueur des élections laisse le temps de faire plus de propagande selon laquelle Trump a (1) truqué frauduleusement sa réélection ou (2) a perdu et ne démissionnera pas. Alors que les presstituts parlent d'une seule voix orchestrée, que Trump gagne ou non sera enterré dans des informations selon lesquelles il a perdu et refuse de démissionner ou qu'il a gagné par fraude.
Même si Trump survit à la révolution des couleurs prévue pour lui, il sera attaqué en tant que président illégitime, tout comme il l'était lors de son premier mandat lorsqu'il aurait été élu par «ingérence russe». Cela suffira à empêcher un renouvellement de son attaque contre l'establishment mondialiste - écoutez son premier discours inaugural - et à mettre de nouveau à l'écart son désir de servir la paix en réduisant les dangereuses tensions avec la Russie, une politique qui prive le complexe militaire / sécuritaire de sa valeur. ennemi.
Comme l'ont appris les présidents John F. Kennedy et Ronald Reagan, la réduction des tensions avec la Russie menace le budget et le pouvoir du complexe militaire / sécuritaire contre lequel le président Eisenhower a mis en garde les Américains. Ce complexe a plus de pouvoir que le président des États-Unis. Comme personne ne croirait plus une autre explication «d'assassin solitaire», Trump est assassiné avec de fausses accusations et une révolution des couleurs. Pendant un certain temps, Trump a utilisé Twitter pour réfuter les fausses accusations, mais maintenant, le président des États-Unis est censuré par Twitter.
Lorsque la révolution de la couleur frappera, Trump ne pourra pas communiquer avec le peuple américain via la presse écrite, la télévision, la NPR ou les médias sociaux. Il n'y aura que des accusations contre Trump, et aucune réponse de sa part.
Les démocrates affirment que, lorsque le ministre des Postes est nommé par Trump, il truquera les votes par correspondance en ne délivrant pas les votes des États bleus. Pourtant, les sondages montrent que la grande majorité des démocrates votent par correspondance et que pratiquement aucun républicain ne le fait. C'est parce que le syndicat postal est un syndicat du secteur public et appartient aux démocrates. Les postiers ont déjà leurs instructions: ne délivrez pas de votes dans les zones rouges. De toute évidence, aucun démocrate ne voterait par correspondance s'il pensait que le ministre des Postes avait le moindre contrôle sur la livraison du courrier. Les républicains savent que l'union postale ne prononcera pas leurs votes et votent en personne. (Des milliers de votes non livrés et non ouverts de 2018 ont été trouvés dans une décharge).
Cela devrait signifier que le soir des élections, Trump remportera une énorme victoire, mais le retard pour compter les votes par correspondance donne aux démocrates le temps nécessaire pour déterminer l'ampleur du vote par correspondance pour gagner ou contester l'élection.
Ce ne sont pas seulement les votes par correspondance, mais aussi les bulletins de vote par correspondance qui ne sont pas livrés.
Une troisième raison de la fausse représentation intentionnelle de la menace Covid est de construire l'État policier croissant sur plus d'intrusions dans la vie privée. La menace pour la santé publique est utilisée pour imposer des intrusions inconstitutionnelles qui ferment des entreprises privées ou les forcent à fonctionner à 50% de leur capacité, les conduisant ainsi à la faillite et détruisant le travail des personnes au nom de la santé publique. La menace est également utilisée pour habituer le public à obéir aux mandats de porter des masques qui n'offrent aucune protection. Bien que l'opposition à cette politique néfaste augmente aux États-Unis et soit forte en Allemagne et au Royaume-Uni, la peur de Covid qui a été endoctriné a poussé la plupart des populations à se comporter comme des lemmings. Les gens sont formés pour obéir aux décrets qui leur nuisent.
Examinons maintenant la fausse représentation de la menace Covid elle-même.
De nombreux professionnels de la santé ont montré, avec des preuves, que la menace Covid a été largement surestimée. Selon les propres données du CDC, sur les 200 000 Américains présumés tués par Covid, seuls 9 000 l’ont été. Les autres avaient 2,6 comorbidités qui en fait les tuaient. Le CDC rapporte que dans seulement 6% des décès signalés par Covid, Covid était la seule cause. Pour 94% des décès de Covid, il y avait en moyenne 2,6 comorbidités ou causes supplémentaires de décès.
(Exemples de comorbidités)
Le CDC conclut que les taux de mortalité initiaux ont été surestimés. Si vous avez le virus, le CDC rapporte le taux de survie par groupe d'âge. Comme je lis le rapport, les pourcentages sont tous les décès Covid, y compris ceux avec une moyenne de 2,6 comorbidités.
Regarde ça.
En plus des morbidités existantes, beaucoup de personnes décédées des suites de Covid sont décédées des ventilateurs ou du refus d'un traitement HCQ. HCQ, un remède sûr et certain, a été diabolisé par les responsables de la santé publique en alliance avec Big Pharma et les presstituts, car il est peu coûteux et dans la voie des bénéfices des vaccins. S'il existe un remède, il n'y a pas besoin d'un vaccin qui, selon certains experts, sera plus dangereux que Covid lui-même. (Les médecins de Floride affirment avoir trouvé un deuxième remède)
La menace Covid est maintenue en vie par les presstituts et les responsables de la santé publique jusqu'à ce qu'un vaccin puisse être développé. La dernière affirmation est que le retour des jeunes dans les collèges a relancé la contagation et la propager à la population adulte dans une deuxième vague. Cette «menace» est un canular orchestré. Selon les données, les 48 299 cas de Covid-19 signalés dans 37 universités américaines sont associés à seulement deux hospitalisations et à zéro décès.
Il est question de revenir aux verrouillages et d'exigences de masque plus strictes. Tout cela pour garder les gens, en particulier les personnes âgées, effrayés et favorables à la vaccination. Les tests appropriés du vaccin sont suspendus dans le but de le précipiter sur le marché avant que Covid ne disparaisse.
Le Dr Mike Yeadon, ancien directeur scientifique du géant de la Big Pharma Pfizer, affirme que la pandémie est terminée et que le test Covid produit des «faux positifs» et n'indique pas une infection par Covid. Le Dr Yeadon a déclaré que nous fondons une politique gouvernementale, une politique économique et une politique des libertés civiles sur «ce qui pourrait bien être des données complètement fausses sur ce coronavirus». Selon le Dr Yeadon, une «deuxième vague» et «tout argument gouvernemental en faveur des verrouillages, étant donné les principes bien connus de l'épidémiologie, sera entièrement fabriqué».
Il est clair que la menace Covid a été surestimée à un prix très élevé. Le corps médical belge a exigé l'arrêt de la propagande Covid.
Bien sûr, Big Pharma et ses shills tels que Fauci, Redfield et les presstituts continueront à maintenir vivante la «crise de Covid» car elle est essentielle aux bénéfices des vaccins de Big Pharma, à la révolution de couleur des démocrates contre le président Trump et à la formation de les populations à accepter davantage de contrôle gouvernemental sur leur vie.
Dans cette interview, le Dr Andrew Wakefield discute du documentaire1 «1986: The Act», qu'il a produit. Il a également co-écrit et réalisé le film de Del Bigtree «Vaxxed», qui révèle le complot au sein des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis pour retenir des informations sur les méfaits des vaccins.
Wakefield fait actuellement une tournée de promotion de «1986: The Act», qui est le meilleur documentaire que j'aie jamais vu sur ce sujet. C'est également l'un des deux longs métrages inclus dans le prix du billet pour la conférence publique internationale du Centre national d'information sur les vaccins sur la vaccination 2, qui se tiendra en ligne du 16 au 18 octobre 2020.
Si vous ne vous êtes pas encore inscrit à cet événement, je vous encourage à le faire maintenant. Si vous souhaitez regarder le film maintenant, il est disponible en ligne sur 1986theact.com. Une bande-annonce est fournie à la fin de cet article.
La controverse de Wakefield
Wakefield, comme beaucoup d'entre vous le savent, a été un personnage controversé dans le domaine des vaccins. Il a été vilipendé comme peu d'autres, au point de perdre sa licence médicale - tout cela parce qu'il a publié, avec 12 autres médecins, une étude de cas suggérant qu'il pourrait y avoir une association possible entre le vaccin contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) et le développement de l'autisme chez certains enfants. Dans l'interview, Wakefield donne sa version de l'histoire:
«J'ai obtenu mon diplôme en 1981 du Royal Free Hospital de Londres. J'avais suivi une formation de chirurgien et je suis entré en gastro-entérologie. Mes principaux intérêts étaient les maladies inflammatoires de l'intestin, et j'ai fini par diriger une grande équipe de recherche, environ 19 d'entre nous au Royal Free Hospital de Londres, qui fait partie de l'Université de Londres.
Je me suis intéressé aux origines virales possibles de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse, ce qui m'a conduit à me pencher sur le virus de la rougeole. Après avoir publié un article dans The Lancet en 1995, j'ai reçu un appel d'une mère qui m'a dit que son enfant se développait normalement, puis a reçu son vaccin ROR et a régressé très, très rapidement dans l'autisme après [avoir vécu] ce qui s'est avéré être une encéphalite.
Il avait également de terribles symptômes intestinaux, des problèmes gastro-intestinaux, un retard de croissance, des douleurs, des ballonnements, de la diarrhée, et c'est la raison pour laquelle elle a pris contact avec moi. Elle était convaincue qu'il y avait un lien entre l'intestin et le cerveau ...
Nous avons donc pris cela très au sérieux. Nous avons enquêté sur son enfant et elle avait tout à fait raison. Nous avons enquêté sur un grand nombre d'enfants, et ils avaient en effet une maladie inflammatoire de l'intestin, et c'était fascinant. Le corps médical l’avait rejeté et avait dit non, c’est juste une partie de l’autisme. En fait, ce n’était pas le cas.
C'était une véritable pathologie, mais surtout, lorsque nous corrigions ou améliorions cette pathologie avec un régime alimentaire ou des anti-inflammatoires, non seulement les problèmes gastro-intestinaux se sont améliorés, mais le comportement et les symptômes autistiques se sont également améliorés ...
Nous l'avons fait 180 fois et cela s'est produit pratiquement à chaque fois. Donc, les parents avaient absolument raison.
Nous avons donc dû prendre très, très au sérieux le lien proposé entre le vaccin ROR et la régression, et c'était bien sûr un anathème pour la santé publique, pour le Royal College of Pediatricians, pour le CDC, pour à peu près le monde entier de la médecine, et certainement, bien sûr, à l’industrie pharmaceutique chargée de fabriquer ces vaccins…
Mais ce n'était ni ici ni là. Nous avions une obligation envers les enfants et remplir cette obligation a conduit à une atténuation de ma perspective de carrière… Nous avions un travail à faire et nous avons fait le travail. Après qu'ils m'ont empêché de faire le travail que j'avais prévu de faire, j'ai décidé de devenir cinéaste ... j'avais ces histoires extraordinaires, et j'ai pensé que le moment était venu de commencer à raconter ces histoires au cinéma, et c'est là que je me trouve maintenant."
Le pouvoir du cinéma
Un autre film réalisé par Wakefield est "Qui a tué Alex Spourdalakis?" C’est l’histoire tragique d’un enfant détruit par le système médical. Après s'être vu prescrire 28 médicaments psychotropes et avoir été enchaîné à son lit, le garçon a finalement été tué par sa mère lorsqu'elle s'est suicidée pour lui éviter d'autres douleurs. Le film s'est avéré si puissant, après que le procureur de l'État de l'Illinois a vu le film, il a décidé de la libérer de prison.
«C'était la première fois dans l'histoire américaine qu'un film commute ce qui était en fait une peine à perpétuité», dit Wakefield. «C'était extraordinaire, et cela m'a fait réaliser que le cinéma est quelque chose qui peut transmettre à beaucoup de gens un ensemble extraordinaire de vérités qui peuvent changer leur façon de penser sur un certain sujet.
1986: La loi
«1986: The Act», est une description historique de la naissance de la National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 et de la manière dont elle a radicalement changé à jamais le paysage des vaccins. Il est méticuleusement documenté et, comme un roman policier, emmène le spectateur à travers les nombreux rebondissements qui nous ont amenés là où nous en sommes aujourd'hui. Comme l’a expliqué Wakefield, c’est une histoire complexe de législation, de litige et de science médicale.
«En tant que cinéaste, vous avez ce défi extraordinaire de livrer cela au public, dont beaucoup ne savent rien à ce sujet, d’une manière qu’ils comprendront. C'était un vrai défi… car cela aurait pu endormir même le fan le plus ardent en 10 minutes en essayant de raconter cette histoire », dit-il.
Le film suit un mari et une femme alors qu'ils attendent leur premier bébé, tard dans la vie, et emmène le spectateur dans le voyage qu'ils traversent alors qu'ils commencent leur enquête sur les vaccins.
«Au départ, c’est le même débat que tant de familles autour de la table de cuisine tous les soirs ont dans tous les pays du monde en ce moment, et c’est: que faisons-nous de la vaccination ? Il y a tellement de controverse, il y a ceci pour et cela contre, et mon ami dit ceci, et ma sœur dit cela.
Maintenant, nous, le public, sommes soudainement fiancés parce que ce couple, c'est nous. Ils sont là où nous avons été. Ils posent les questions que nous avons posées, et tout à coup, nous nous en soucions. Nous nous soucions parce que leur voyage est notre voyage, leur résultat est notre résultat. Donc, nous sommes assis en avant dans nos sièges, voulant en savoir plus, et cela devient tellement plus engageant.
Il y a deux éléments dans l'histoire. Premièrement, c’est l’histoire de ce qui se passe lorsque vous retirez une industrie et des produits des contraintes du marché libre. Le marché libre fonctionne pour promouvoir le succès de bons produits et lorsqu'un produit est mauvais ou dangereux, il sombrera au fond et soit les entreprises s'améliorent, soit elles périssent.
Lorsque vous retirez un produit de ce marché libre, éloignez-vous de ces contraintes telles qu'il n'y a aucune incitation à la sécurité, là où il y a un marché obligatoire et aucune responsabilité, alors vous avez une catastrophe.
Pour l'industrie, vous disposez d'un modèle commercial parfait. Tout ce qu'ils peuvent faire, c'est réaliser un profit énorme. Ils n’ont pas à faire les études de sécurité correctement, ils n’ont aucune responsabilité, et faire des études de sécurité correctement est découragé.
Pourquoi ? Parce que vous ne voulez pas investir d’argent pour identifier un événement indésirable grave susceptible d’affecter vos résultats. Donc, vous n’allez pas faire ces études de sécurité, et c’est une situation à laquelle nous faisons face actuellement dans ce pays.
Mais c’est pire que ça. Ce que le film montre, c'est comment, lorsque cette loi a été adoptée, les agences de régulation, le CDC, la FDA, le NIH n'en voulaient pas. Ils ne le voulaient pas parce que chaque fois qu’un enfant était indemnisé, cela signifiait que les vaccins pouvaient nuire, ils pouvaient tuer, et nous ne voulons pas que le public le sache. Comment allons-nous empêcher cela?
Ainsi, ils ont conspiré avec l'industrie pour démolir, saboter tout ce que le Congrès avait mis en place pour garantir une réglementation appropriée, des études de sécurité appropriées, une vérification adéquate des événements indésirables graves, des événements indésirables en général et rendre les vaccins plus sûrs. Il n'y avait rien de tout cela.
Donc en ce moment, nous nous trouvons dans cette situation extraordinaire où face à une nouvelle pandémie, COVID-19, nous avons la menace de mandats mondiaux de vaccination pour tout le monde, sans exception, et aucune étude de sécurité de quelque mérite que ce soit.
En fait, les quelques études de sécurité qui sont en cours révèlent déjà de graves événements indésirables neurologiques, et aucune possibilité d'indemnisation pour toute personne endommagée par ces vaccins dans ce qui est maintenant la loi PREP, qui est remplacée ou poursuivie depuis la National Childhood Vaccine Injury Act et c'est encore pire - aucune responsabilité pour quiconque dans cette chaîne d'approvisionnement de ces nouveaux vaccins Frankenstein dangereux non testés, qui se révèlent déjà gênants.
La pandémie de grippe porcine de 1976 a ouvert la voie à la protection contre la responsabilité
Dans l'interview, Wakefield examine comment la pandémie de grippe porcine de 1976 a contribué à ouvrir la voie à la loi nationale de 1986 sur les vaccins chez les enfants et à la mise en œuvre du programme national d'indemnisation des blessures liées aux vaccins (NVICP) .3 À bien des égards, la pandémie de grippe porcine de 1976 est la pandémie ressemblant le plus à celle du COVID-19, en ce qu'elle a suscité une peur énorme, qui a conduit à la création précipitée d'un vaccin.
Les Américains ont été fortement encouragés (mais pas forcés) à se faire vacciner. Beaucoup sont décédés ou ont été gravement blessés par ce vaccin, ce qui a entraîné des dommages-intérêts totalisant environ 3 milliards de dollars. Le fiasco du vaccin contre la grippe de 1976 a été crucial en ce qu'il a modifié de façon permanente la perception des risques liés aux vaccins pour les politiciens et les sociétés pharmaceutiques. Comme l'explique Wakefield:
«Les compagnies d’assurance ont refusé de souscrire ces vaccins parce qu’ils avaient été précipités sur le marché, et l’industrie pharmaceutique a dit à l’administration Ford:« Si vous voulez que les gens reçoivent ce vaccin, vous devez souscrire une responsabilité »…
L'administration Ford était persuadée que la [pandémie] allait tuer des millions d'Américains s'ils ne se précipitaient pas avec ce vaccin qui n'avait pas été testé, et l'industrie exigeait une protection en matière de responsabilité, et c'était le premier sang dans l'eau. …
Le vaccin a été une catastrophe. De nombreux enfants étaient paralysés. Beaucoup sont morts des suites de ce vaccin et l'industrie a échappé à toute responsabilité. Cela a coûté aux contribuables.
Cela a créé plusieurs choses. Dans l'esprit de l'industrie, ils ont réalisé à quel point la peur était un facteur de motivation, un outil de marketing puissant. S'ils pouvaient engendrer la peur chez les politiciens, ils pourraient se frayer un chemin dans tout ce qu'ils voulaient, et nous l'avons vu maintes et maintes fois depuis.
C'était aussi, comme je l'ai dit, le premier sang dans l'eau pour la protection de la responsabilité. Si nous pouvons faire cela pour le vaccin contre la grippe et que le gouvernement veut que les enfants reçoivent tous ces autres vaccins, nous pouvons le faire pour ces autres vaccins également, et nous pouvons éviter toute responsabilité.
Donc, en ce qui concerne le vaccin anticoquelucheux à cellules entières, qui était le gros problème à l'époque, causant la mort et des lésions cérébrales chez les enfants, ils ont dit: `` OK, si vous voulez que les enfants reçoivent ce vaccin, ce n'est pas un gros profit. incitation pour nous. Nous allons nous retirer du marché à moins que vous ne nous accordiez une protection en matière de responsabilité, car nous l'avons rendu aussi sûr que possible. »
C'est le mensonge qui a été dit au gouvernement, et bien sûr, une fois de plus, la peur de la résurgence de la coqueluche et de la mort possible d'enfants a conduit le gouvernement à être contraint, à être soumis au chantage de l'industrie, à signer le National 1986 Loi sur les blessures aux vaccins chez les enfants. »
La vie d’enfants sacrifiée pour un sou
«1986: The Act» révèle - grâce à des documents de découverte de Mike Hugo, l’avocat du plaignant au tribunal des vaccins - que la National Childhood Vaccine Injury Act et la protection de responsabilité qu’elle fournit aux fabricants de vaccins sont fondées sur un grand mensonge.
Le vaccin contre la coqueluche n'avait pas été rendu aussi sûr que possible. En fait, le fabricant de vaccins avait un brevet pour un vaccin plus sûr en 1937, mais il allait leur coûter une fraction de cent de plus pour fabriquer ce vaccin. Ainsi, ils ont continué à distribuer le vaccin anticoquelucheux à cellules entières plus dangereux. Littéralement, la vie d’enfants a été sacrifiée pour ce qui équivaut à quelques centimes.
«C'est une histoire extraordinaire, et les gens ont besoin de la voir pour comprendre le caractère des industries avec lesquelles nous traitons», dit Wakefield, «parce que nous sommes maintenant confrontés au même genre de situation où tout le monde sent du sang dans l'eau - tous de ces industries, d'AstraZeneca, à GlaxoSmithKline, à Merck, à Pfizer - elles se lancent toutes dans ce domaine pour faire une offre pour que le vaccin COVID soit nettoyé à l'échelle mondiale lorsque nous n'avons pas du tout besoin d'un vaccin.
En effet, cela s’avère être une catastrophe. Mais si nous voulons comprendre où nous en sommes, nous devons comprendre d’où nous venons.
Nous devons comprendre que cela s'est produit maintes et maintes fois et que cela continuera à se produire tant que nous resterons terrifiés par la notion de fléau qui nous est livrée par le CDC et l'industrie dans le cadre d'une démarche marketing intelligente et très simpliste. Nous devons comprendre les problèmes et le film aide à comprendre les problèmes. "
La loi offre peu de protection ou d'avantages
Comme l'explique Wakefield, dans les années qui ont suivi sa promulgation en 1986, la National Childhood Vaccine Injury Act a été si pervertie et corrompue qu'aujourd'hui, elle n'offre que peu ou pas de protection ou d'avantages aux personnes blessées par des vaccins sans responsabilité.
Le HHS garde le silence sur la disponibilité du programme de compensation des vaccins, car ils savent que s'ils disent aux gens que les vaccins peuvent réellement nuire, les gens résisteraient à la vaccination. Tout d'abord, l'existence même du programme de compensation a été supprimée. Peu de gens savent même qu’il existe, alors quand eux-mêmes ou un membre de leur famille sont blessés, ils ne se rendent pas compte qu’ils ont le droit de demander réparation.
Le département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) est censé informer le public sur le programme, mais il refuse de remplir le mandat du Congrès et d'informer les gens de l'existence de ce programme. «Ils gardent le silence parce qu'ils savent que s'ils disent aux gens que les vaccins peuvent réellement faire du mal, alors les gens résisteraient à la vaccination», dit Wakefield.
Le système de notification des événements indésirables oublie 99% des événements indésirables
Deuxièmement, les dispositions relatives à l'information, à l'enregistrement, à la notification et à la recherche sur l'innocuité des vaccins ont été garanties dans la loi par les parents d'enfants blessés par la vaccination, mais, après l'adoption de la loi, la plupart de ces dispositions ont été considérablement affaiblies par le Congrès par des amendements à la loi ou par l'application de la règle du HHS. donner le pouvoir d'obtenir les dispositions de sécurité.
Un système centralisé de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a été créé dans la Loi qui a mandaté les médecins et autres vaccins pour signaler au gouvernement fédéral les hospitalisations, blessures et décès liés au vaccin. Malheureusement, comme le Congrès n'a imposé aucune sanction aux médecins et autres fournisseurs de vaccins s'ils ne signalaient pas les réactions vaccinales au VAERS, moins de 1% de toutes les réactions vaccinales qui se produisent sont choquantes jamais signalées au gouvernement. Comme l'a noté Wakefield:
«[Le CDC] a fait une étude avec Harvard Pilgrim pour l'automatiser, pour informatiser [le système VAERS]. Quand ils ont fait cela, ils ont détecté un grand nombre de réactions indésirables, de sorte que plus d'une personne sur 50 souffrait de réactions indésirables aux vaccins… et celles-ci n'ont jamais été enregistrées.
Lorsque les CDC ont appris ces résultats, plutôt que de prendre des mesures pour faire les recherches nécessaires pour savoir combien d'enfants étaient blessés afin de prévenir les réactions vaccinales, ils ont fondamentalement ignoré le rapport de Harvard Pilgrim et n'ont pas ouvertement divulgué les résultats initiaux.
Le HHS a retiré les blessures courantes liées aux vaccins du tableau des blessures
Troisièmement, le HHS a également vidé le tableau des blessures dues aux vaccins, qui répertorie les types de blessures reconnues comme étant des blessures «courantes» dues aux vaccins. Si une blessure est inscrite sur le tableau, l'individu recevra automatiquement une compensation sans avoir à passer par le processus juridique complet.
«Eh bien, le CDC détestait ça», dit Wakefield. «Cela reconnaissait automatiquement que les vaccins pouvaient causer des blessures graves et la mort et que les enfants seraient indemnisés.
Ainsi, quand Donna Shalala a pris la tête du HHS, elle a vidé cette table… et a retiré les blessures qui étaient courantes pour qu'elles ne soient pas automatiquement indemnisables; de sorte que les parents devraient prouver - avec un très haut degré de certitude juridique - que leurs enfants avaient subi ce préjudice à la suite du vaccin.
Comment pourraient-ils faire ça? Comment les parents pourraient-ils opposer leurs connaissances telles qu'elles sont à la puissance des sociétés pharmaceutiques, du ministère de la Santé et des Services sociaux et du ministère de la Justice? Ils ne pouvaient pas le faire, et c'était presque une prédétermination qu'il n'y aurait jamais de compensation. "
Autisme reconnu, puis révoqué
Comme l'a noté Wakefield, le tribunal chargé des vaccins a commis une «erreur» grave en indemnisant Hannah Poling pour une nouvelle blessure. Ce faisant, ils ont créé un précédent et ils n'avaient aucune idée de la fréquence de son état. Quand il est apparu sur eux, il fallait faire quelque chose pour minimiser les véritables ramifications de l'affaire.
«[Poling] avait un trouble mitochondrial ou une prédisposition mitochondriale à développer une réaction indésirable grave et grave au vaccin. Ils ne savaient pas combien d'enfants autistes avaient le même trouble de dysfonctionnement mitochondrial », dit Wakefield.
«Le ministère de la Justice alors ... en collusion avec les maîtres spéciaux qui sont en charge du tribunal des vaccins, a délibérément manipulé les documents juridiques où il déclare qu'il s'agit d'une blessure hors table, un précédent, qui pourrait ouvrir la boîte de Pandore pour HHS par identifier des milliers d’enfants qui ont automatiquement droit à une indemnisation.
Ils ont changé les petits caractères pour qu'ils deviennent alors simplement des lésions cérébrales d'un ancien vaccin ordinaire, rien de spécial, rien de nouveau, pas un précédent. C'était délibéré. C'était le risque le plus extraordinaire de la part des avocats chevronnés et d'autres membres du ministère de la Justice - prendre ce risque au nom du programme de vaccination et refuser l'indemnisation des enfants.
Il faut qu'il y ait une responsabilité. Il faut des poursuites. Ces gens doivent être considérés comme une honte pour l'Amérique, pour leur profession, pour leur rôle gouvernemental dans la protection des citoyens de ce pays. C’est absolument épouvantable, et cela continue encore et encore.
Le film est plein des actes de fraude, de tromperie les plus odieux, se situe au plus haut niveau, et vraiment, la clé de ce film est qu'il conduit à la responsabilité. On ne peut pas simplement laisser cela passer sous le tapis, et par conséquent, il doit être rendu aussi public que possible, et cela doit avoir une influence sur les prochaines élections.
Il doit influencer les politiciens de la manière qu'ils doivent maintenant agir au nom des intérêts des enfants qu'ils représentent et non des compagnies pharmaceutiques qui paient leurs frais de campagne.
C'est absolument essentiel, et c'est mon message direct sur la route à tous les Américains: vous devez voter pour ... les dirigeants qui défendront vos enfants face aux pressions, aux pressions financières, aux pressions politiques, des lobbyistes de l'industrie pharmaceutique.
Qu'est-ce qui nous attend avec le vaccin COVID-19 ?
En conclusion, nous discutons des ramifications potentielles d'un programme de vaccination de masse contre le COVID-19. Il y a déjà des signes déconcertants que ces nouveaux vaccins à ARNm accélérés sont une tragédie en devenir, à la suite de la campagne de vaccination contre la grippe porcine de 1976.
AstraZeneca a récemment interrompu ses essais de vaccins mondiaux après qu'un de ses participants britanniques ait développé une myélite transverse.
Il est important de noter que la myélite transverse est une blessure de table indemnisable reconnue pour un vaccin, il n'y a donc vraiment aucun moyen de nier un lien potentiel avec le vaccin - mais ils l'ont fait, en le rejetant avec un rapport selon lequel la réaction était «soit considérée comme peu probable d'être associée au vaccin. ou il n'y avait pas suffisamment de preuves pour dire avec certitude que les maladies étaient ou non liées au vaccin. »4
Notez que le commentaire mentionne «maladies» au pluriel - car il s'avère qu'il y a eu un événement neurologique similaire avec l'un des participants à l'essai clinique de la société en juillet. Cet événement a été attribué à un cas préexistant, mais «non diagnostiqué auparavant» de sclérose en plaques. Ceci - dans un participant à un essai clinique qui aurait été soigneusement examiné et jugé en bonne santé avant d'être accepté dans les essais. En ce qui concerne le cas de la myélite transverse, Wakefield a noté:
«Cela devrait en fait être la mort de ce vaccin sur place, car vous pouvez extrapoler à partir de ce cas à une population mondiale recevant ce vaccin, et voir des millions de personnes paralysées et tuées ...
J'ai de sérieux doutes sur ces vaccins. Nous examinons les complications à court terme [dans les essais de vaccins]. Vous et moi savons que les maladies auto-immunes ne commencent peut-être pas avant des mois, des années après l'exposition, mais vous êtes sur le point de développer cette maladie auto-immune en raison de l'exposition au vaccin.
Nous allons voir une accumulation d’événements indésirables chez les jeunes en bonne santé à mesure que nous progressons. Certaines personnes se précipiteront encore pour obtenir ce vaccin parce que tel est le niveau de peur engendré par les médias et le gouvernement. Tout ce que je peux faire, c'est leur souhaiter bonne chance, mais dans les termes néo-darwiniens les plus durs. J'ai peur que ce soit la manière du monde.
Quoi qu'il en soit, je suis un fervent partisan de l'immunité naturelle. Nos systèmes immunitaires sont, du moins l'étaient, jusqu'à ce qu'ils soient attaqués par des vaccins, suffisamment robustes pour faire face à ce genre d'insultes, et il existe de nombreuses autres façons de protéger une population qui n'impliquent pas de s'approcher d'un vaccin.
Le mandat des véhicules électriques en Californie pourrait «conduire à un désastre» pour le réseau électrique déjà fragile de l'État
par Tyler Durden Lun, 28/09/2020 - 18:40
Maintenant que les législateurs géniaux californiens ont exigé que toutes les voitures de l'État soient électriques d'ici 2035, il semble que le moment soit venu de se demander ce que cela va faire exactement au réseau électrique déjà fragile de l'État.
Dans ce qui sera probablement une surprise pour les législateurs qui, nous pouvons presque garantir, n'y ont pas pensé à l'avance, il s'avère que l'électrification de tous les véhicules de l'État pourrait être "un énorme fardeau" sur le réseau de l'État, selon Bloomberg.
En fait, le décret de la semaine dernière pourrait faire grimper les demandes de pouvoir dans l'État de 9,5% au cours des 10 prochaines années et de 25% d'ici 2035. Cela pourrait être un scénario de «cauchemar» pour un État où le pouvoir est souvent si restreint que les pannes de courant continuelles sont ordonnées pour empêcher le système de s'effondrer pendant les vagues de chaleur.
De plus, si tout le monde devait brancher son véhicule en même temps, la nuit, le problème pourrait être concentré et même pire.
Erica Bowman, directrice de la planification et de la stratégie des ressources et de l'environnement au service public Southern California Edison a déclaré: "Cela pourrait aller dans les deux sens. Cela dépend vraiment de la planification."
Ce que signifie la planification, c'est l'idée que les gens devraient échelonner quand et comment ils branchent leur véhicule pour le recharger, en tenant compte du moment où l'énergie solaire de l'État entre et lorsque l'énergie éolienne atteint son maximum. Ah oui, quelle merveilleuse qualité de vie offre la Californie, où vous devrez bientôt demander la permission de brancher votre voiture juste pour aller du point A au point B.
Tout le monde branchant sa voiture à 18 heures après le travail pourrait "conduire au désastre", selon le rapport. C'est au même moment que tout le monde décide également d'allumer sa climatisation, ses poêles et ses téléviseurs. Dans le même temps, l'énergie solaire plonge vers le coucher du soleil, obligeant les usines à gaz à prendre le relais. Si les usines à gaz sont en panne ou s'il n'y a pas d'importations disponibles, vous vous retrouvez avec un scénario de panne de courant continu, comme l'État l'avait fait le mois dernier.
Jules Kortenhorst, directeur général du Rocky Mountain Institute, a déclaré que les voitures devront «parler au réseau» pour déterminer le meilleur moment pour se recharger: «La voiture parlera au réseau. «Il est 18 heures. Attendez 15 minutes, car je suis un peu craqué. "Vous ne passerez pas une seconde à y penser."
Les Californiens ont acheté environ 1,9 million de voitures et de camions légers l'année dernière. L'État aura simplement besoin de plus de pouvoir s'il exige qu'ils soient tous des VE à l'avenir. Il devra également déployer des bornes de recharge beaucoup plus rapidement que par le passé.
Pedro Pizzaro d'Edison International a conclu: «Ce n'est pas faisable dans un an, mais c'est faisable dans une décennie. Et cela donne à la société le temps de déployer une infrastructure pour les chargeurs et de mettre les consommateurs à l'aise. »
Et les citoyens californiens, qui quittent déjà l'État en masse en raison de la hausse des impôts, devront payer pour tout cela. Mais bon, revenons à sauver la planète à tout prix!
Les Arnold Schwarzenegger et Jerry Brown, ne sont plus là ! Ils ont été payés assez cher pour être à l'aise durant toute leur vie ! reste Gavin Newsom qui s'en met lui aussi plein les poches à vendre des conneries qui n'ont JAMAIS marché, ne marchent pas et ne marcheront JAMAIS !
«Le peuple pourrait se rebeller», alerte un maire de Bretagne où de nombreux emplois ont été supprimés
13:22 29.09.2020 Par Alexandre Sutherland
Depuis la crise liée au coronavirus, de nombreux emplois ont été supprimés en Bretagne, au point qu’un élu de la région a évoqué sur Europe 1 un éventuel soulèvement populaire si rien n’était fait du côté du gouvernement.
Entreprises en difficulté, fermetures d’usines, suppressions d’emplois: la Bretagne est particulièrement touchée par la crise économique et sociale liée à l’épidémie de Covid-19, souligne Europe 1. Les habitants de la région, déjà frappés par des crises précédentes, commencent à sérieusement exprimer leur colère.
«Ça gronde dans le Trégor, ça gronde dans le Léon, et on sent que là, il y a vraiment cette coalition qui est en train de monter très fortement», prévient auprès de la radio le maire de Morlaix (Finistère), Jean-Paul Vermot.
«Le peuple pourrait se rebeller, il est temps que des décisions que nous avons demandées trouvent réponse auprès du gouvernement», ajoute-t-il. Début septembre, il s’était adressé au Premier ministre après avoir appris la suppression de près de 300 emplois en raison de la fermeture du site de Hop!, une filiale d’Air France.
L’économie bretonne menacée
En plus de la décision de la compagnie aérienne, l’usine Nokia à Lannion a également annoncé sa fermeture en juin prochain. Les 900 salariés devront retrouver un travail dans une zone qui pourrait devenir «le triangle des Bermudes de l’emploi», comme l’indique Europe 1. Le risque est réel de voir de nombreux habitants déménager, impliquant donc la fermeture d’écoles et de commerces.
Employeur de 3.000 personnes dans la région, l’entreprise Britanny Ferries à Roscoff subit depuis le début de l’épidémie l’absence des passagers anglais, lesquels craignent d’être placés en quarantaine de retour chez eux. Si aucun licenciement n’a encore été annoncé, les employés en chômage partiel depuis plusieurs mois craignent pour leur avenir et celui de l’entreprise.
«Ce sont des pans entiers de notre économie qui sont menacés», déplore auprès de BFM TV le maire de Carhaix, Christian Troadec.
Face à la situation, ces élus s’en remettent désormais au gouvernement et attendent des annonces concrètes. Lundi 28 septembre, le président du conseil régional de Bretagne, Loïg Chesnais-Girard, a ainsi rencontré Jean Castex afin de trouver des solutions pérennes pour le maintien de l’emploi.
Madrid éclate alors que les citoyens se heurtent à la police lors d'émeutes anti-lockdown
par Tyler Durden Mar, 29/09/2020 - 02:45
Londres n'était pas la seule ville européenne où des habitants frustrés sont descendus dans la rue en colère pour protester contre une autre série de verrouillages inspirés du COVID-19. Madrid a vu les manifestations anti-lockdown se transformer en émeutes - comme elles ont été décrites dans la presse espagnole - alors que les affrontements entre citoyens et police devenaient de plus en plus violents.
La semaine dernière, le conseil municipal a imposé de nouvelles restrictions à plus d'un million d'habitants de Madrid, car ils ont porté le nombre de points chauds COVID-19 à 45. Les restrictions localisées sur les déplacements étaient similaires à celles imposées lors du verrouillage au printemps, mais pas aussi dur.
Au cours du week-end, des milliers d'Espagnols ont afflué dans les rues de Madrid. Des dizaines d'habitants ont été impliqués dans de violents affrontements avec la police.
Démontrant que les flics américains n'ont pas le monopole de la brutalité policière, un flic espagnol a été filmé en train de donner des coups de tête à un détenu.
Les protestations ne se sont pas limitées à Madrid. Ils étaient répandus pendant le week-end dans des régions telles que Usera, Puente de Vallecas, Villa de Vallecas, Villaverde, Ciudad Lineal, Vicálvaro, San Blas et Carabanchel.
Plus d'un million de personnes sont soumises aux nouvelles restrictions de verrouillage localisées et ne peuvent quitter leur domicile qu'à des fins professionnelles, médicales ou éducatives et uniquement si elles portent des pièces justificatives. Les travailleurs pauvres et migrants qui dépendent des transports en commun pour accéder à un emploi dans le secteur de la construction disent que ces mesures sont discriminatoires à leur égard.
Les entreprises locales doivent fonctionner à 50% de leur capacité et doivent fermer avant 22 heures. Les rassemblements sont limités à six personnes maximum. Les nouvelles mesures seront revues toutes les 2 semaines.
Madrid est actuellement l'une des villes les plus touchées de toute l'Europe, avec un taux d'infection d'environ 1 000 cas pour 100 000 habitants.
«Volonté de punir»: Emmanuel Macron multiplie les assassinats à l’étranger, assure une nouvelle enquête
16:17 29.09.2020 Par Youlia Zvantsova
Des opérations de forces spéciales et des frappes ciblées sont ordonnées par le Président de la République pour éliminer à l'étranger des personnes jugées dangereuses pour la sécurité nationale: Vincent Nouzille, un spécialiste de la DGSE, publie un nouveau livre-enquête sur les «tueurs de la République» en prolongement de celui paru en 2015.
Dans sa rubrique Enquête, Le Figaro donne la parole au journaliste indépendant Vincent Nouzille qui se penche sur les opérations militaires d’Emmanuel Macron jugées de plus en plus offensives. Selon lui, le Président a affiché à plusieurs reprises «sa résolution martiale et sa volonté de punir», autorisant les opérations «en série».
«C’est une lame froide», confie un haut gradé militaire qui le côtoie. «Il analyse et tranche vite», ajoute un de ses conseillers. «Il assume pleinement ses responsabilités constitutionnelles de chef des armées, avec toute la gravité que cela implique, sans hésitation», précise la députée LREM Françoise Dumas, présidente de la commission de la Défense à l’Assemblée nationale.
Emmanuel Macron n’hésite pas à employer la force, que ce soit en ordonnant des raids des forces spéciales et des frappes ciblées contre Daech* ou en renforçant le contingent de Barkhane au Sahel. Selon Vincent Nouzille, le patron de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) est autorisé à lancer des opérations clandestines dites «d’entraves», qui peuvent aller jusqu’à des éliminations de certains djihadistes, des opérations entamées sous François Hollande et poursuivies par Emmanuel Macron.
«C’est un engagement fort, pour faire face à tous les types de conflits », estime Françoise Dumas.
Le Président suit les opérations en temps réel avec l’aide de son nouveau chef d’état-major particulier, l’amiral Jean-Philippe Rolland, qui reste en contact permanent avec la ministre des Armées, Florence Parly, son cabinet et l’état-major des armées. Le Conseil de défense devient hebdomadaire et Emmanuel Macron lit chaque jour une note de synthèse de renseignement. Les patrons des six principaux services de renseignement se réunissent tous les 15 jours autour du coordonnateur et échangent régulièrement avec le Président, ce dernier étant également en ligne directe avec le directeur de la DGSE.
Enfin, Emmanuel Macron est capable de déclencher des opérations radicales, qu’elles soient menées de manière discrète, par les forces spéciales en uniforme sous l’égide du Commandement des opérations spéciales (COS), ou de façon clandestine, par les commandos du Service Action (SA) de la DGSE.
Pour ces opérations ciblées, la France a recours aux drones Reaper qui n’étaient pas armés sous François Hollande pour des raisons éthiques, rappelle le journaliste. En septembre 2017, Emmanuel Macron donne son feu vert pour que les Reaper puissent être, à l’avenir, dotés de bombes et de missiles. Avec ces engins de guerre presque invisibles, Emmanuel Macron dispose «d’un permis de tuer» sans commune mesure avec celui de ses prédécesseurs, indique l’auteur.
D’ailleurs, Emmanuel Macron promet dès fin 2017 d’augmenter de 1,7 milliard d’euros chaque année les dépenses militaires, pour les porter à 295 milliards dans le cadre de la loi de programmation militaire 2019-2025, adoptée en juillet 2018.
Sahel
Ainsi, poursuit l’auteur, quelques jours après l’assassinat, le 9 août dernier, de huit personnes, deux Nigériens et six Français membres de l’ONG Acted, près de Niamey, au Niger, des commandos français héliportés détruisent des camps logistiques de l’État islamique* dans le Grand Sahara (EIGS). En outre, un drone Reaper de l’armée de l’air, qui survole la frontière malo-nigérienne, repère plusieurs individus considérés comme membres des «groupes armés terroristes », l’EIGS* en l’occurrence. Le drone largue une bombe guidée au laser, tandis que deux Mirage détruisent le bivouac vers lequel roulaient les hommes, tuant plusieurs «terroristes».
Emmanuel Macron intensifie les opérations militaires au Sahel. Les soldats de Barkhane et les forces spéciales de la Task Force Sabre reçoivent pour consigne de cibler les chefs des groupes djihadistes. Début 2018, le ministère des Armées communique sur le fait que les forces françaises ont neutralisé 450 djihadistes au Sahel depuis le début de l’opération Barkhane. En 2019, Florence Parly annonce aux sénateurs «la neutralisation de nombreux chefs terroristes», rappelle Vincent Nouzille.
Toutefois, les chefs éliminés sont rapidement remplacés et leurs actions s’intensifient. L’Élysée tient une réunion du G5 Sahel en janvier 2020 et Emmanuel Macron renforce, une nouvelle fois, les opérations militaires. Les frappes aériennes et les raids nocturnes se multiplient durant tout le premier semestre 2020 et se poursuivent durant l’été, ce qui permet d’éliminer au moins 600 djihadistes.
Syrie
Le journaliste évoque également l’opération militaire menée dans le cadre de la coalition internationale en Irak et en Syrie, Inherent Resolve. Lors de la phase finale du siège de Raqqa, début octobre 2017, l’Élysée a donné des consignes pour que les combattants de Daech*, dont beaucoup de Français, ne puissent s’échapper de leur enclave encerclée.
Toutefois, les Forces démocratiques syriennes (FDS) négocient une reddition avec ces combattants et plusieurs centaines d’entre eux quittent la ville, note le journal. Raqqa conquise, la France traque en Syrie les djihadistes étrangers, avant tout les francophones, en vue de limiter au minimum les retours en France.
États-Unis et Chine: technologies émergentes et course au contrôle de l'avenir
par Tyler Durden Lun, 28/09/2020 - 23:40 Rédigé par Lawrence Franklin via le Gatestone Institute,
Les Etats-Unis sont dans une "guerre technologique" avec la Chine, le vainqueur contrôlera la diffusion mondiale de l'information. Le lauréat rédigera également les règles et normes mondiales relatives aux technologies émergentes dans l'économie numérique.
Le président du Parti communiste chinois (PCC), Xi Jinping, a jeté le gant aux États-Unis dans un discours de mai 2017, où il a présenté le plan pour l'établissement d'une «route de la soie numérique» sous la supervision de la Chine. Le président Xi se rend compte que la dimension informationnelle de la guerre moderne est liée à l'objectif général apparent de la Chine de renverser les États-Unis en tant que leader de l'ordre mondial démocratique libéral existant.
Xi veut apparemment s'assurer une avance de premier plan dans les disciplines émergentes de haute technologie pour créer un sentiment d'inévitabilité quant à la montée de la Chine vers la domination mondiale. Les États-Unis ont encore le temps, le talent et les ressources pour assurer une victoire sur la Chine dans cette course au leadership mondial, à condition que les États-Unis aient la volonté, l'autodiscipline et la flexibilité d'instituer une mobilisation sociale totale sur des décennies.
Des spécialistes de la Chine tels que Gordon Chang et des responsables politiques de l'administration Trump ont cherché à éduquer le public américain sur la façon dont la Chine est devenue un puissant challenger de la primauté mondiale des États-Unis dans les disciplines de haute technologie. Un grand nombre des méthodes par lesquelles la Chine a accédé au statut de candidat comprennent le vol de propriété intellectuelle à grande échelle, avec la complicité, malheureusement, de nombreux Américains; le transfert forcé des secrets d'entreprise des entreprises américaines comme condition préalable à l'activité sur le marché chinois; planification méticuleuse et à long terme pour garantir les priorités nationales de la Chine; le recrutement légal et illégal de talents humains étrangers et le soutien généreux de l'État aux entreprises chinoises de haute technologie.
La Chine a peut-être involontairement alerté le monde libre de son danger actuel en révélant le vrai visage du régime du PCC - pas exactement celui présenté par "Une Chine montante est un ... développement positif non seulement pour la Chine, mais pour l'Amérique" - comme ainsi que ses ambitions mondiales. La Chine a révélé ce vrai visage par un bilan abominable en matière de droits humains, souligné par sa politique génocidaire envers la minorité ouïghoure de Chine dans la province du Xinjiang. L'expansion territoriale agressive de la Chine contre Hong Kong et plusieurs de ses voisins asiatiques - sans parler de la façon dont elle a délibérément exporté le virus de Wuhan à l'échelle internationale tout en fermant les transports pour limiter sa propagation en Chine - a aidé à dépouiller son image soigneusement orchestrée de puissance majeure responsable. et a révélé un état belligérant contrôlé par le PCC.
Aujourd'hui, un médecin et virologue chinois, le Dr Yan Limeng, qui a fui la Chine et se cache aux États-Unis, a déclaré que la Chine avait libéré le virus "intentionnellement" - peut-être, on suppose, comme un moyen de torpiller les perspectives du président Trump. pour sa réélection et ses efforts pour modifier les accords commerciaux qui ont favorisé la Chine de 600 milliards de dollars par an. Pendant ce temps, Twitter a soigneusement supprimé le compte clairement important de Yan.
La mise en œuvre par la Chine des progrès de la technologie de surveillance pour contrôler sa propre population a également contribué à la transformation négative de l'image internationale de la Chine. Le PCC a utilisé ces avancées pour créer un État de surveillance pour surveiller les actions des citoyens chinois, et de nombreux pays ont acheté des produits de reconnaissance faciale chinois. Ces clients étatiques couvrent toute la gamme des systèmes politiques, des dictatures aux démocraties.
L'intelligence artificielle (IA) est une autre technologie émergente dans laquelle la Chine fait une percée sur le leadership américain signalé. La Chine s'est fixé comme objectif de dépasser les États-Unis en matière d'IA d'ici 2030. L'IA est une discipline scientifique qui apprend aux machines à imiter les actions humaines. De telles applications ont un énorme potentiel pour avoir un impact sur l'efficacité et la précision des systèmes d'armes modernes tels que les missiles. Les exercices d'IA ont produit des résultats comme l'aide à la chirurgie et où les machines ont battu les amateurs d'échecs et de go de classe mondiale.
Cinq facteurs contribuent aux percées en matière d'IA et d'autres technologies émergentes: les brevets, les investissements, le matériel, la main-d'œuvre talentueuse et la recherche universitaire. La Chine et les États-Unis améliorent la capacité de l'IA à saisir la nuance des langues.
La Chine a maintenant dépassé les États-Unis en nombre d'études scientifiques publiées, mais il y a une mise en garde: les publications scientifiques américaines restent, dans l'ensemble, qualitativement supérieures. Ces études aident les États-Unis à garder une longueur d'avance dans les logiciels de base tels que la gestion et le traitement des données informatiques et les logiciels de système d'exploitation.
Une autre discipline critique dans laquelle les États-Unis conservent un net avantage sur la Chine est la technologie des puces à semi-conducteurs, nécessaire à la fabrication de divers appareils électroniques. Le découplage par l'administration Trump de la société chinoise Huawei Technologies Co., Ltd du marché américain a contribué à ralentir les efforts de Pékin pour rattraper les États-Unis dans la technologie des semi-conducteurs. Les matériaux électroniques, les gaz chimiques et la technologie lithographique - tous les composants nécessaires à la production des semi-conducteurs les plus avancés - ne peuvent actuellement être produits que dans les États du monde libre tels que les États-Unis, le Japon et les Pays-Bas.
La manifestation la plus animée et la plus publique de la «guerre technologique» entre les États-Unis et la Chine est peut-être dans l'espace. Cette compétition rappelle peut-être le drame de la «course à l'espace» entre une génération antérieure de superpuissances rivales, les États-Unis et l'Union soviétique. Plutôt que la rivalité entre les États-Unis et l'URSS pour atteindre la lune, le concours actuel entre les États-Unis et la Chine se concentre sur les armes spatiales - et atteindre Mars. La Chine fait des progrès impressionnants dans les opérations spatiales en déployant récemment la constellation BeiDou de 30 satellites, son rival du système américain de positionnement global (GPS). La Chine envisage également de lancer sa propre station spatiale comme alternative à la Station spatiale internationale qui met en évidence la coopération mondiale, en particulier entre les États-Unis et la Russie. De manière inquiétante, la Chine semble redoubler d'efforts pour contrôler la capacité de l'Occident à utiliser des systèmes spatiaux pendant les conflits. Si la Chine parvient à aveugler les systèmes américains par des cyberopérations offensives ou par la destruction pure et simple des systèmes américains par des attaques antisatellites, l'avantage de la guerre actuellement possédé par l'Occident peut être annihilé. La Chine a exécuté une frappe antisatellite réussie dès 2007; il a montré sa capacité en détruisant l'un de ses propres satellites météorologiques vieillissants.
L'informatique quantique est une autre technologie nouvelle avec un énorme potentiel pour résoudre des problèmes mathématiques et scientifiques complexes plus rapidement que les ordinateurs d'aujourd'hui. Alors que les États-Unis prétendent avoir créé le premier ordinateur quantique, la Chine semble être le chef de file dans l'application militaire de cette nouvelle science. La Chine a déjà démontré sa capacité à créer des messages cryptés incassables, une réalisation qui pourrait garder d'autres pays dans l'ignorance des opérations militaires chinoises secrètes planifiées, telles que, par exemple, une invasion de Taiwan.
Les États-Unis sont toujours en tête de la Chine en matière de dépenses de recherche et développement (R&D), mais Pékin a également fait de grands progrès dans ce domaine. Afin de suivre le rythme de l'effort total de la Chine pour dominer les technologies émergentes, une approche bien disciplinée et coordonnée du gouvernement américain, une sorte de «projet Manhattan» dans tous les domaines clés de la haute technologie, pourrait aider. Les coûts pour les États-Unis d'un retard pourraient bien s'avérer catastrophiques.
J’ai fini par comprendre pourquoi l’épidémie de SARS-CoV-2 avait été aussi dévastatrice en Espagne et la raison en est très claire. Le beau-frère Canarien d’un ami Français est positif pour le virus (test PCR), il présente tous les symptômes d’une mauvaise grippe et depuis deux semaines son état commence à s’aggraver. Son médecin traitant lui a prescrit de la vitamine C, du paracétamol et de la Ventoline, un truc en spray qu’on prescrit aux asthmatiques, parce qu’il commence à éprouver des difficultés à respirer. Il se trouve donc au début de la phase dangereuse de l’apparition de l’ « orage cytokinique » qui va provoquer des lésions irréversibles des poumons, entre autres dommages variés. Il est trop tard pour qu’il soit traité avec de l’hydroxychloroquine + azithromycine alors que ce traitement est disponible en Espagne mais apparemment pas prescrit par les médecins, pour une raison que j’ose ignorer.
Si tous les malades du SARS-CoV-2 ont été traité ainsi il est facile de comprendre qu’il y ait eu autant de morts en Espagne. Ce pays n’a pas tenu compte de la solide expérience des Chinois ni des préconisations et des études du Professeur Didier Raoult en France. Je souhaite un prompt rétablissement à ce monsieur que je ne connais pas mais je me pose quelques questions au sujet du professionnalisme des médecins qui n’ont pas l’air de tenir compte de l’expérience de leurs confrères. Je rappelle à mes lecteurs que je ne suis pas médecin mais si j’avais fait mes études de médecine j’aurais certainement respecté le serment d’Hippocrate qui stipule clairement ceci : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé ». (Extrait de la déclaration de Genève adoptée en 1948 par l’Association médicale mondiale). Au cours de ses nombreuses conférences au sein de l’IHU de Marseille et lors d’interviews télévisées le Professeur Didier Raoult n’a cessé d’exposer la bi-thérapie conseillée en tout début de maladie conduisant à une guérison en une semaine. Toutes le publications de l’IHU de Marseille sont disponibles en ligne et on y trouve celle-ci : https://doi.org/10.1016/j.tmaid.2020.101791 , d’où provient l’illustration ci-dessous. Le manuscrit avait été soumis pour publication au mois de mai si ma mémoire ne fait pas défaut et le Professeur Raoult avait fait état à plusieurs reprises de l’évolution de la charge virale qui rendait progressivement la bi-thérapie inutile. Il est déplorable de constater que les professionnels de la santé tant en Espagne qu’en France et dans bien d’autres pays européens n’aient tenu compte ni des expériences des Chinois ni de celle de l’IHU de Marseille … pour sauver des vies.
Un député britannique exhorte les vaccins COVID obligatoires pour quiconque souhaite voyager
par Tyler Durden Mar, 29/09/2020 - 10:17 Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Un député conservateur a appelé à des certificats de vaccination obligatoires contre les coronavirus distribués par l'armée qui détermineront si les personnes seront autorisées à voyager à l'étranger.
Lors d'un débat au Parlement britannique hier soir, le député Tobias Ellwood a exhorté le Premier ministre à confier aux forces armées britanniques la supervision du processus de déploiement de la vaccination contre le COVID-19.
Notant qu'un vaccin contre le coronavirus était potentiellement dans six mois, Ellwood a déclaré: «Le déploiement de masse d'un vaccin est une responsabilité énorme et nous devons faire les choses correctement.»
Ellwood a déclaré qu'il avait écrit à Boris Johnson pour l'exhorter à donner le pouvoir à un groupe de travail du ministère de la Défense d'expédier les vaccins à travers le pays et de mettre en place des centres de distribution régionaux ainsi que de développer une «base de données nationale pour suivre les progrès et délivrer les certificats de vaccination. . »
Le député a déclaré que les certificats de vaccination "devront probablement être reconnus internationalement pour permettre les voyages, les voyages internationaux."
Ellwood a poursuivi en précisant que les personnes qui prennent le vaccin verront leur vie revenir à la normale tandis que celles qui ne le feront pas seront toujours «soumises à des règles de distanciation sociale».
La perspective de refuser les droits fondamentaux de mobilité et de voyage aux personnes qui refusent de se faire vacciner pour des raisons personnelles, religieuses ou médicales est en train de devenir un champ de mines pour les droits humains.
Un sondage mené par King’s College London (KCL) et Ipsos Mori le mois dernier a révélé que seulement 53% des Britanniques seraient «certains» ou «susceptibles» de se faire vacciner contre le COVID-19.
Une personne sur six a déclaré qu'elle n'obtiendrait certainement pas de vaccin ou que ce serait très improbable. Extrapolée à la population, cela équivaut à 11 millions de personnes qui, si l’avis d’Ellwood est suivi, se verront refuser le voyage et seront traitées comme des citoyens de seconde zone.
Les médecins qui ne se sont toujours pas remis d'une arme biologique probable
September 29th, 2020
Le coronavirus est à la fois le rocher et le dur
Il y a des coûts pour l'arrêter et pour l'abandonner. Il y a des entreprises qui ne se rétablissent pas, mais aussi des personnes qui ne le feront pas.
Les décisions relatives à une pandémie ne se limitent pas à des «décès par habitant». Un autre aspect du dilemme pervers concerne les «longs transporteurs» ou la condition appelée «long Covid».
Ces 39 médecins britanniques qui ont attrapé Covid sont toujours en difficulté 6 mois plus tard et ont écrit une lettre commune pour le British Medical Journal. C'étaient pour la plupart des jeunes en bonne forme et ils n’ont pas été hospitalisés. Ils avaient des cas légers et modérés de Covid. Mais beaucoup disent que les séquelles sont pires que l'infection initiale. Ceux-ci incluent des maux de tête, des étourdissements, l'incapacité de marcher 200 mètres ou plus, un essoufflement, d'étranges plaques d'engourdissement, de nouvelles allergies, des difficultés à réguler la température corporelle, une diarrhée persistante. Beaucoup sont incapables de travailler.
La cause pourrait être une lésion nerveuse, ou une maladie auto-immune (ou tout autre chose). Si le virus déclenche une réaction immunitaire contre ses propres cellules, il peut être difficile de l'annuler ou de «sortir de». Certaines lésions nerveuses seront réparées. Certains non.
La réaction du PCC à sa propre arme biologique dit quelque chose, et nous savons que ce n’est pas de l’amour ou de l’inquiétude pour les Chinois. La stratégie du PCC reste la même. Il y a une semaine, ils ont verrouillé une ville frontalière près du Myanmar après avoir trouvé deux nouveaux cas et ont ordonné des tests pour les 200 000 personnes. Au cours des dernières 24 heures, ils ont dit aux entreprises de cesser de commander des aliments surgelés dans des pays à haut risque.
Une arme biologique Boucle d'or ?
David Evans souligne: «Les militaires savent depuis longtemps qu'il est plus efficace de blesser un combattant ennemi que de le tuer, car un blessé a besoin de plus de ressources pour être dépensé pour lui, le secourant et l'hospitalisant, en attachant souvent deux autres ou trois personnes pendant des mois. Même principe avec la maladie. L'arme biologique qui affaiblit le plus une autre société serait une maladie hautement contagieuse qui altère simplement subtilement.
Une contagion qui avait un taux de mortalité modéré, un taux d'hospitalisation important et parfois une longue convalescence pourrait être l'idéal des «Boucle d'or» pour provoquer la division, la dissidence, la confusion et des dommages chez un adversaire. La sortie de SARS-Cov-2 était probablement un accident, mais il y avait une sorte de plan en tête lors de sa création. Il pourrait être utile de savoir ce que c'était.
Les médecins sont toujours paralysés par Covid-19 six mois après l'avoir attrapé:
Aucun de ces médecins n’a été hospitalisé après avoir attrapé un coronavirus, mais ils ont tous été frappés par un «long Covid» - ce qui soulève des questions alarmantes sur ses effets durables
par Lucy Elkins pour Daily Mail UK
Le bilan sanitaire britannique (à ce jour) est de 440 000 cas connus, 42 000 décès et 60 000 «Long Covid».
Le nombre touché [par "Long Covd"] jusqu'à présent dans ce pays a déjà dépassé les 60000, selon les premiers résultats de l'étude britannique sur les symptômes Covid (menée par le King’s College de Londres, où les gens saisissent leurs symptômes via une application).
«Si [Covid à long terme] affecte 10% de la population [comme le suggère une étude] et que nous ne nous améliorons jamais - et passons d’activités économiques à inactifs et incapables de travailler à long terme - alors même si vous supprimez l’élément de la souffrance humaine , c'est quelque chose que les décideurs doivent prendre en compte », a déclaré à Good Health le Dr Jake Suett, 32 ans, anesthésiste à l'origine de la lettre.
La GP Tanya Northridge, 40 ans, a déclaré que Covid avait changé sa vie et a déclaré qu'elle ne pouvait pas marcher plus de 200 mètres sans se sentir fatiguée et étourdie. «Je ne peux pas faire d'exercice debout. Avant cela, j'étais constamment en déplacement et je courais trois fois par semaine - parfois jusqu'à huit milles… »
Sarah Burns, 41 ans, est médecin généraliste à Southampton. «Pendant deux mois plus tôt cette année, j'ai ressenti une fatigue si intense que j'étais allongée sur le canapé toute la journée. La seule façon dont je pouvais gérer des tâches simples, comme faire un lavage, était de me reposer au milieu.
Pour mettre cela en perspective, non seulement je gérais auparavant un travail très chargé en tant que généraliste, mais je courais régulièrement 10 km ...
Grace Dolman, 40 ans, hépatologue (spécialiste du foie) l'a attrapée en mars…. «Ma concentration et ma mémoire sont encore pauvres: je mets du lait dans le placard. J'ai également développé des épingles et des aiguilles dans mes pieds et mes doigts. Cela a détruit ma confiance. Mes mots ne viennent pas aussi facilement, donc même parler à des amis est difficile. Je suis malade jusqu'à la fin du mois d'octobre…. »
Le Dr Jenny Judge, 48 ans, est un psychiatre médico-légal du NHS qui doit maintenant porter un épipène pour les allergies graves. «Au fil des semaines, j'ai développé des poignets, des épaules et des genoux enflammés et douloureux, ainsi qu'un gonflement important des pieds et des mains. Je pouvais à peine tenir une tasse de thé.
Ian Frayling, 61 ans, est un scientifique génétique récemment retraité du NHS. «Il y a quelques semaines, je suis allé acheter de nouvelles chaussures quand j'ai soudainement commencé à trembler de manière incontrôlable. Je me sentais complètement vidé de toute énergie. Il m'a fallu tous mes efforts pour regagner la voiture à seulement 800 mètres. » ... "J'ai aussi des nausées, un syndrome du côlon irritable et une hypoglycémie - où je peux soudainement sentir ma glycémie chuter, me laissant faible et tremblante."
L'autre effet, non précisé ici, est que les membres du corps médical connaîtront tous ces séquelles et en discuteront. Pour ceux qui ne l'ont pas attrapé, ce risque s'ajoutera à leurs décisions concernant la retraite anticipée, les conditions de travail, la volonté d'être exposés et le risque pour leurs proches. Au-delà de la mortalité et de la morbidité, il y a le bilan du système de santé.
D'autres maladies, y compris la grippe, laissent des séquelles et des dommages à long terme chez un certain pourcentage de la population. Ce sont les chiffres qui comptent, et toutes les données sont problématiques. Mais les décisions doivent être prises maintenant.
La génétique dit «arme biologique»
Le Dr Li-Meng Yan affirme que le virus est artificiel et se propage pour faire des dégâts
Les preuves croissent que le coronavirus était d'origine humaine: le virus de la chauve-souris dont il a «évolué» semble être un faux
La première pandémie synthétique ? L'homme qui a découvert le VIH dit que le coronavirus est fabriqué par l'homme. Le PCC a détruit les preuves.
REFERENCE
Jackie Wise (2020) Long covid: doctors call for research and surveillance to capture disease, BMJ 2020; 370 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.m3586 (Published 15 September 2020) BMJ 2020;370:m3586
Dès lors que quelqu'un a respiré (ou entrée par les yeux dépourvus de globules blancs) une des nano-particules chemtraillée par drones il est dirigé par les ondes émises via son téléphone ou proximité de tour-relais.
Les écoliers britanniques apprendront qu'Annuler la culture est de l'intimidation
September 29th, 2020
Soudain, c’est presque comme si les écoles britanniques préparaient les élèves à la vraie vie. Comment est-ce arrivé ?
Imaginez enseigner aux élèves que la tolérance signifie écouter les personnes que vous n'aimez pas, qui disent des choses que vous ne voulez pas entendre ? Cancel Culture délègue et supprime des personnes entières de tous les aspects de la vie ou de la fonction publique pour la moindre violation insignifiante de certaines règles non écrites qui sont appliquées de manière sélective. Comme un exil néolithique de type «pointage d'os», toute expérience de vie et toute expertise est ainsi «annulée». Les excuses ne valent rien, il n'y a pas d'apprentissage, il n'y a que des «aveux de culpabilité». Il y a quelque chose de profondément non chrétien dans tout cela - le manque total de pardon.
Ce nouveau programme est alors comme un espace sûr de The Safe Spaces. Pour Activist-Uni, cela fait la pire des choses. Cela peut entraîner une génération à voir à travers leur propagande.
La prochaine chose que vous savez, les enfants pourraient apprendre que le dogme du changement climatique est aussi de l'intimidation. Woke «annuler la culture» est une forme d’intimidation et «pas de plate-forme» une attaque contre la liberté d’expression, les élèves apprendront
Josh White, Daily Mail, Royaume-Uni
Les enseignants diront aux élèves que «annuler la culture» ne fait pas partie d’une «société tolérante et libre» Les élèves apprendront que les personnes ayant des opinions controversées doivent être respectées Cela survient alors que certains orateurs grand public ont été empêchés de parler aux unis
Dans les manuels de formation du ministère de l'Éducation, les enseignants sont chargés de dire aux élèves que la 'culture de l'annulation' qui a pris racine dans de nombreuses universités - où les individus appellent au boycott d'une personne ou d'une entreprise dont ils ne sont pas d'accord, dans l'espoir ils perdent leur emploi ou leurs clients - ne font pas partie d'une «société tolérante et libre».
Cela peut être dû à l'échec lamentable des universités à élever… des penseurs civils pour les civilisations.
Peut-être que les conservateurs ont enfin réalisé que le système éducatif produit des flocons de neige qui ne savent rien des conservateurs ni de ce qu'ils représentent ? Après 50 ans de marche collectiviste dans les instituts, peut-être que les conservateurs se rendent compte finalement qu'ils doivent riposter.
Il est également possible que ce swing-to-sensible ait un tout petit peu à voir avec le récent retour du Labour au milieu.
Concurrence: c’est une bonne chose. Chaque nation a besoin de deux partis à moitié décents en compétition.
Billet covidien : parce qu'il n'est pas nécessaire d'une deuxième vague pour avoir peur
lundi 28 septembre 2020
La propagande de la terreur fonctionne à merveille, ça y est, les gens en redemandent, la méthode Knock a fonctionné. En tout cas, si l'on en croit l'étrange sondage diffusé dans les médias français, nos concitoyens sont prêts à plus de restrictions, acceptent même d'être reconfinés. Dans leur grande majorité. Oyé, Oyé, braves gens, prenez-en de la graine, vous qui étouffez sous votre masque, voici ceux qui ont un sens civique ! Et surtout, ne vous posez pas la question de savoir pour quoi ni pour combien de temps. La grippe arrive, comme chaque année, mais cette fois-ci, à Moscou, les personnes de plus de 65 ans sont priées de rester à domicile. Manifestement éternellement, puisqu'il y aura toujours des virus. L'OMS annonce que la fête n'est pas terminée, pardon, le danger est encore là, donc notre bon monde globalisé ressort le sabre sans le goupillon : de toute manière, c'est l'enfer sur terre qui vous est promis.
Des gérants de bars en garde à vue pour avoir offert du wifi à leurs clients à Grenoble
15:06 29.09.2020 Par Alexandre Sutherland
Des tenanciers de bars de Grenoble ont été arrêtés et placés en garde à vue pour avoir offert du wifi à leurs clients sans conserver les données de connexion pendant un an, relatent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Les mis en cause ont assuré ne jamais avoir été informés de cette loi, à cause de laquelle ils risquent jusqu’à un an de prison.
Un gérant de bar, de restaurant ou de discothèque peut fournir gratuitement une connexion wifi à ses clients, mais pas n’importe comment. Au moins cinq gérants grenoblois l’ont appris à leur dépens lorsqu’ils ont vu débarquer la police dans leurs établissements et ont été menottés et placés en garde à vue, rapporte le journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace.
En effet, une loi de 2006 relative à la lutte contre le terrorisme les oblige à conserver pendant un an toutes les connexions de leurs clients, peu importe si elles sont ouvertes ou protégées par un mot de passe.
Certains tenanciers se contentent de partager l’accès à leur forfait grand public. Or, ils devraient prendre un abonnement professionnel, plus cher mais conforme à la loi car permettant d’identifier, de collecter et de conserver les données des clients qui s’y connectent.
Une loi peu connue
Les tenanciers ont appris l’existence de cette loi au moment de leur interpellation.
«Personne, pas même les professionnels de l’Umih (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie, ndlr) qui prodiguent la formation obligatoire dans le cadre d’une reprise de licence IV, ne m’a jamais dit que je devais conserver cet historique», a témoigné l’un d’eux auprès du quotidien local.
Interrogée par BFM TV, l’organisation reconnaît que ce point ne fait pas partie de la formation pour obtenir ou reprendre un permis d’exploitation. Les sanctions sont pourtant particulièrement sévères pour les contrevenants: jusqu’à un an d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende pour les personnes physiques, et 375.000 euros pour les personnes morales.
Le Pacte en trompe-l'oeil pour l'immigration de l'UE
vendredi 25 septembre 2020
De ce qui a été présenté par la Commission européenne du Pacte sur la migration et l'asile, il ressort très clairement qu'aucune remise en cause stratégique du phénomène migratoire vers l'Europe n'a eu lieu. La réponse est à première vue purement technique et hypothétique, comme promesse d'améliorer les procédures, plus de gardes-frontières européens. Principalement, il s'agit d'obliger les Etats à la solidarité, notamment à la prise en charge de l'immigration illégale arrivant par voie maritime, qui est de loin la plus importante. Le principe posé ces dernières années d'une Europe porte-ouverte n'est pas remis en cause. Il est même prévu de développer les voies légales de l'immigration. Bref, l'UE continue à miner les sociétés européennes de l'intérieur.
Le plan d'organisation de l'immigration en Europe a été présenté dans les grandes lignes par la Commission européenne, avec des formulations rappelant toujours plus les grandes heures de la Pravda. Ainsi, apprend-on, qu'il s'agit :
"Une nouvelle approche en matière de migration : instaurer un climat de confiance et un nouvel équilibre en matière de responsabilité et de solidarité"
Autrement dit, il ne s'agit absolument pas d'une remise en cause du phénomène migratoire, d'une interrogation sur l'implication qu'il peut avoir sur l'évolution culturelle des sociétés, sur l'identité des populations qui habitent ces territoires, présentés sans histoire propre, sans culture propre, donc sans avenir propre. Ce Pacte n'est qu'un ensemble de mesures techniques visant à rendre plus efficace l'immigration en Europe, avec de fausses concessions faites aux pays résistant à l'immigration de masse, comme l'Autriche ou la Pologne.
Le premier but est annoncé, est un but politique propre à l'UE : elle doit reprendre la main sur cette question.
"La présidente de la Commission européenne Mme Ursula von der Leyen a déclaré à cette occasion: «Nous proposons aujourd'hui une solution européenne, afin de rétablir la confiance entre les États et de restaurer la confiance des citoyens dans notre capacité, en tant qu'Union, à gérer la migration. " Sans pour autant changer la ligne idéologique no border qui est la sienne :
"Mme Ylva Johansson, commissaire aux affaires intérieures, s'est exprimée en ces termes: «Les phénomènes migratoires ont fait et feront toujours partie de nos sociétés. Les propositions que nous faisons aujourd'hui permettront d'établir une politique migratoire à long terme, capable de traduire les valeurs européennes dans la gestion concrète." A cette fin, un volumineux Pacte sur la migration est l'asile (disponible uniquement en anglais ici) a été adopté. Le terme d'immigration est banni, sa charge négative est trop forte. Ceux de migrants, de migration font cette Novlangue cachant avec de plus en plus de difficultés une réalité peu attrayante. Certaines dispositions sont particulièrement intéressantes (voir aussi cet article).
Sous couvert de "renforcement de l'effectivité des procédures", alors que paraît-il, les arrivants ne seront plus bloqués dans le pays d'arrivée, mais pourront être pris en charge par un pays où ils ont de la famille (donc nouvelle vague de regroupement familial en perspective), où ils ont fait leurs études (l'idée initiale était de former une élite francophone et francophile, qui sera présente dans les pays étrangers, idée désuète, mais le mécanisme reste), où ils ont travaillé ou obtenu un visa. Mais, en même temps, il est précisé que la demande d'asile devra être traitée par le premier pays d'arrivée ... Donc, l'allègement de la charge sur les pays frontaliers touchés est assez minime. D'autant plus que des mesures totalement irréalistes, comme l'établissement de l'identité de chacun, sont prévues, quand l'on sait que la plupart des immigrés arrivant illégalement se défont de leurs papiers d'identité, notamment pour se faire passer pour de (très) grands mineurs. Cela, finalement, va faire peser des obligations renforcées sur les pays de première arrivée.
Mais pour les aider, non pas à refuser les nouveaux arrivants illégaux, mais à les accueillir pour une durée indéterminée, les procédures seront simplifiées, une procédure de premier filtrage établie et des gardes-frontières permanents européens seront placés en plus des gardes-frontières nationaux. Pour l'instant, l'on ne sait pas à quoi ressembleront ces procédures, mais déjà l'on sait qu'une structure non -étatique aura des garde-frontières, quand la frontière est l'attribut de l'Etat.
La transformation de l'Etat en instrument de mise en oeuvre d'une décision politique prise ailleurs se renforce. D'autant plus que la surveillance exercée par l'UE sur la manière dont les Etats remplissent docilement leur rôle sera renforcée ... dans l'intérêt des immigrés :
"Parallèlement, toutes les autres procédures seront améliorées et feront l'objet d'un suivi et d'un soutien opérationnel renforcés de la part des agences de l'UE. "
Le miracle annoncé doit venir de l'apparition du Deus ex machina "numérique", qui va permettre de régler tous les problèmes - techniques. Car les Etats, eux, au nom de la "responsabilité et de la "solidarité", n'ont plus le choix. Ce choix a déjà été fait pour eux :
"Les États membres seront tenus d'agir de manière responsable et solidaire les uns envers les autres. En période de tension, chaque État membre, sans exception, devra apporter sa contribution solidaire"
Il n'y a pas de choix pour les Etats quant à être ou non "solidaire". En revanche, avec beaucoup de grandeur d'âme, l'UE permet aux Etats d'exprimer leur solidarité de plusieurs manières, de la prise en charge des immigrés après filtrage, du financement dans le pays de retour, etc. Si le bénévolat est soi-disant la règle, les Etats seront obligés en cas de "tension". Et ces tensions étant très fréquentes ... Notamment, l'obligation d'accueillir ces immigrés va couvrir les "sauvetages en mer". Il est vrai que ces opérations sont organisées par de grandes ONG, très bien financées, il serait dommage de gâcher un argent si bien placé.
Très concrètement, selon les statistiques officielles, sur les 141 700 personnes illégalement arrivées en Europe en 2019, seules 35 000 sont arrivées par voie terrestre, quand 106 200 ont été débarquées. Donc, imposer la prise en charge des personnes arrivées par mer et non pas le retour dans le pays d'origine est bien le signe d'une volonté de faciliter l'arrivée en Europe.
D'autant plus que toujours selon les statistiques, seulement 38% des demandeurs d'asiles obtiennent satisfaction. Mais uniquement 30% des déboutés sont effectivement renvoyés dans leur pays d'origine. Ainsi, en 2019, 491 000 personnes ont reçu ordre de quitter le territoire. 70% sont restés. Sur les 29% expulsés, il s'agissait principalement d'Ukrainiens, de Marocains et d'Albanais. Le taux le plus faible de retour concerne les pays d'Afrique. Rappelons aussi les pays d'origine :
L'UE promet de rendre plus efficace les procédures de renvoie à la frontière, ce qui semble assez irréaliste au regard de la jurisprudence, extrêmement protectrice des immigrés, développée par la CEDH, qui nie pratiquement la différence entre immigration légale et illégale.
En revanche, ce qui semble être la véritable ligne de ce Pacte en trompe-l'oeil, est le développement des voies d'immigration légale. Elles s'inscriront dans l'établissement de partenariats avec les pays tiers.
Rappelons, qu'en France, formellement, l'on compte en 2019, 6,7 millions d'immigrés, dont la plupart viennent d'Afrique. Que chaque année, 100 000 à 160 000 personnes acquièrent d'une manière ou d'une autre la nationalité française et sortent donc des statistiques, ainsi que leurs enfants. Et si l'INSEE note une stabilisation des sorties, les entrées augmentent. En 2018, l'on compte 278 000 personnes. Légalement.
La confirmation par l'UE de sa politique favorable à l'immigration ne promet pas de renverser la tendance, ni même d'être capable d'intégrer les populations étrangères. Avec l'effet de masse, visible au quotidien, c'est le visage du pays, son mode de vie et sa culture qui sont en cause.
Le Bureau of Met lit les feuilles de thé et découvre un réchauffement à Horn Island qu'aucun thermomètre ne peut voir
September 28th, 2020
Ken Stewart a étudié le schéma mystérieux des températures sur Horn Island - juste au sommet du cap York en Australie. C’est presque aussi loin au nord qu’en Australie. Il n'y avait pas de thermomètre là-bas avant 1995, donc le Bureau de météorologie a secoué les feuilles de thé les plus proches pour savoir à quel point il faisait chaud.
Les villes répertoriées sur la carte sont ses plus proches voisines. «Près», au sens australien du terme, signifiant vaguement à moins de 500 kilomètres.
- voir graphique sur site -
Bureau de Meoteorology, Australie, Horn Island. Horn Island et ses voisins les plus proches Voici, ci-dessous, la façon dont 70 ans de lie de température roulent sur tous ces sites.
voir graphique sur site -
Horn Island, Tmin absolu. Graphique. … C'est ce que voit le Bureau de météorologie (notez que l'échelle a changé sur l'axe des températures). Cela représente deux degrés de réchauffement dans l'extrême nord du Queensland.
voir graphique sur site -
Horn Island, Tmin absolu. Graphique. … Ainsi, la température minimale moyenne semble maintenant un demi-degré plus froide en 1960 que ce que suggèrent vos globes oculaires couchés.
Ken entre dans beaucoup plus de détails et mérite nos remerciements pour avoir pris la peine d'essayer de déballer la mystérieuse fusion des enregistrements de thermomètres au département BoM de Tasseomancie.
Visitez son site: Garbage In, Garbage Out - Horn Island
"Nous n'avons tout simplement pas de mots" - Les feux de forêt se propagent dans la région viticole de Californie
par Tyler Durden Mar, 29/09/2020 - 08:08
Un incendie de forêt dangereux et rapide qui ravage la région viticole du nord de la Californie a plus que triplé sa taille, obligeant des dizaines de milliers de résidents à évacuer, a rapporté Bloomberg.
La dernière mise à jour de CalFire montre que le feu de forêt, appelé "Glass Fire", est situé dans le comté de Napa, s'est étendu dans le comté de Sonoma à un "taux de propagation dangereux" et a brûlé plus de 36 000 acres (14 568 ha). Lundi, l'incendie est maîtrisé à 0%, détruisant 113 structures et en a endommagé ou en menace 8 543 autres. Environ 1 500 pompiers ont été déployés dans la région pour contenir l'incendie.
Environ 70 000 habitants des comtés de Sonoma et de Napa ont été évacués alors que des vents chauds et secs propagent les incendies dans les quartiers et les vignobles, consommant des structures de bâtiments commerciaux et résidentiels.
Des dizaines de vignobles se trouvent dans les zones d'évacuation obligatoires ou les zones d'avertissement d'évacuation. Au moins une cave a été détruite, selon l'affilié de CNN, KGO.
KGO s'est entretenu avec Dario Sattui, propriétaire de la cave Castello di Amorosa à Calistoga, qui a déclaré que "son pire cauchemar s'est réalisé tôt lundi lorsqu'une partie de sa cave bien-aimée a pris feu".
Le sénateur Mike McGuire a déclaré à KTVU-TV que le feu de verre "se déplaçait à environ 40 mi / h à cause du vent, descend la colline dans la ville de Santa Rosa, et nous espérons de meilleures conditions ici aujourd'hui".
"Nous n'avons tout simplement pas de mots", a déclaré McGuire, un démocrate représentant Healdsburg dans le comté de Sonoma. "C'est une période incroyablement éprouvante et émouvante en ce moment."
La haute saison des incendies en Californie s'étend généralement de septembre à novembre. Comme les lecteurs se souviendront peut-être, La Nina a amplifié les incendies avec plus de 8100 incendies de forêt qui ont brûlé plus de 3,7 millions d'acres (1 497 336 ha) cette année, selon CalFire. Environ 29 personnes sont mortes et plus de 7 000 structures ont été détruites depuis le 15 août. La saison des incendies de cette année pourrait se prolonger jusqu'en décembre.
Le «changement climatique» plus froid est blâmé pour les décès excessifs pendant la Première Guerre mondiale
29 septembre 2020 De l'Union géophysique américaine.
WASHINGTON - Les scientifiques ont repéré une anomalie climatique d'une fois dans un siècle pendant la Première Guerre mondiale qui a probablement augmenté la mortalité pendant la guerre et la pandémie de grippe dans les années qui ont suivi.
American Expeditionary Force victimes de la grippe espagnole à l'hôpital du camp de l'armée américaine no. 45 à Aix-les-Bains, France, en 1918. Photographe non crédité de l'armée américaine; domaine public.
Des pluies torrentielles bien documentées et des températures inhabituellement froides ont affecté les résultats de nombreuses batailles majeures sur le front occidental pendant les années de guerre de 1914 à 1918. Plus particulièrement, les mauvaises conditions ont joué un rôle dans les batailles de Verdun et de la Somme, au cours desquelles d'autres plus d'un million de soldats ont été tués ou blessés.
Le mauvais temps a peut-être également exacerbé la pandémie de grippe espagnole qui a fait 50 à 100 millions de vies entre 1917 et 1919, selon la nouvelle étude. Les scientifiques étudient depuis longtemps la propagation de la souche de grippe H1N1 qui a causé la pandémie, mais peu de recherches se sont concentrées sur la question de savoir si les conditions environnementales ont joué un rôle.
Dans une nouvelle étude publiée dans la revue GeoHealth de l’AGU, des scientifiques ont analysé une carotte de glace prélevée sur un glacier des Alpes européennes pour reconstruire les conditions climatiques pendant les années de guerre. Ils ont découvert qu'un afflux d'air extrêmement inhabituel en provenance de l'océan Atlantique Nord a affecté les conditions météorologiques sur le continent européen de 1914 à 1919. Les pluies et le froid incessants causés par cet afflux d'air océanique planaient sur les principaux champs de bataille du front occidental mais ont également affecté les schémas migratoires des canards colverts, principal hôte animal des souches du virus de la grippe H1N1.
Les canards colverts sont probablement restés en Europe occidentale à l'automne 1917 et 1918 en raison du mauvais temps, plutôt que de migrer vers le nord-est vers la Russie comme ils le font normalement, selon la nouvelle étude. Cela les a maintenus proches des populations militaires et civiles et a peut-être permis aux oiseaux de transmettre une souche particulièrement virulente de grippe H1N1 aux humains à travers des plans d'eau.
Les résultats aident les scientifiques à mieux comprendre les facteurs qui ont contribué à rendre la guerre et la pandémie si meurtrières, selon Alexander More, climatologue et historien à l'Université Harvard / Climate Change Institute, professeur agrégé de santé environnementale à l'Université de Long Island et auteur principal. de la nouvelle étude.
"Je ne dis pas que c'était" la "cause de la pandémie, mais c'était certainement un potentialisateur, un facteur aggravant supplémentaire à une situation déjà explosive", a déclaré More.
«Il est intéressant de penser que de très fortes pluies peuvent avoir accéléré la propagation du virus», a déclaré Philip Landrigan, directeur du programme de santé publique mondiale au Boston College, qui n’était pas lié à la nouvelle étude. «L’une des choses que nous avons apprises lors de la pandémie de COVID est que certains virus semblent rester viables pendant de plus longues périodes dans l’air humide que dans l’air sec. Il est donc logique que si l'air en Europe était exceptionnellement humide et humide pendant les années de la Première Guerre mondiale, la transmission du virus aurait pu être accélérée.
Guerre et temps
Les paysages pluvieux, froids et boueux du front occidental sont bien documentés par les historiens. La poète Mary Borden la décrit comme «la tombe liquide de nos armées» dans son poème «Le chant de la boue» sur la bataille de la Somme en 1916.
Les récits historiques des premières batailles en France décrivent comment les pluies intenses ont affecté les troupes britanniques, françaises et allemandes. Tranchées et tunnels nouvellement creusés remplis d'eau de pluie; les champs boueux ont ralenti le mouvement des troupes pendant la journée; et les températures nocturnes froides ont causé des engelures à des milliers de personnes. Cependant, peu de recherches ont été effectuées sur les conditions environnementales qui peuvent avoir causé les pluies torrentielles et le froid inhabituel.
Dans la nouvelle étude, More et ses collègues ont reconstruit les conditions environnementales en Europe pendant la guerre en utilisant les données d'une carotte de glace prélevée dans les Alpes. Ils ont ensuite comparé les conditions environnementales aux enregistrements historiques de décès pendant les années de guerre.
Ils ont constaté que la mortalité en Europe avait culminé à trois reprises pendant la guerre, et ces pics se produisaient pendant ou peu après des périodes de températures froides et de fortes pluies causées par des afflux extrêmement inhabituels d'air océanique au cours des hivers 1915, 1916 et 1918.
«La circulation atmosphérique a changé et il y a eu beaucoup plus de pluie, un temps beaucoup plus froid dans toute l'Europe pendant six ans», a déclaré More. «Dans ce cas particulier, il s’agissait d’une anomalie une fois tous les 100 ans.»
Le nouveau record de carottes de glace corrobore les récits historiques de pluies torrentielles sur les champs de bataille du front occidental, qui ont causé la mort de nombreux soldats par noyade, exposition, pneumonie et autres infections.
Fait intéressant, les résultats suggèrent que le mauvais temps a pu garder les canards colverts et autres oiseaux migrateurs en Europe pendant les années de guerre, où ils pourraient facilement transmettre la grippe aux humains par l'eau contaminée par leurs excréments fécaux. Les canards colverts sont le principal réservoir animal des virus de la grippe H1N1 et jusqu'à 60 pour cent des canards colverts peuvent être infectés par le virus H1N1 chaque année. Des recherches antérieures ont montré que les schémas migratoires des colverts et autres oiseaux sont perturbés lors de périodes de temps inhabituel.
«Les colverts se sont révélés très sensibles aux anomalies climatiques dans leurs schémas de migration», a déclaré More. "Il est donc probable qu'ils sont restés sur place pendant une grande partie de cette période."
La première vague d'infection grippale H1N1 en Europe s'est produite au printemps 1918, probablement parmi les troupes alliées arrivant en France d'Asie à l'automne et à l'hiver 1917, selon des recherches antérieures. La nouvelle étude a révélé que la vague la plus meurtrière de la pandémie en Europe avait commencé à l'automne 1918, après de près une période de fortes précipitations et de températures froides.
«Ces réorganisations atmosphériques se produisent et affectent les gens», a déclaré More. «Ils affectent la façon dont nous nous déplaçons, la quantité d'eau disponible, la nature des animaux. Les animaux apportent leurs propres maladies avec eux dans leurs déplacements, et leurs migrations sont dues à l'environnement et à la façon dont il change, ou à la façon dont nous le changeons.
"Je pense que c'est une étude très crédible et provocante qui nous fait réfléchir de manière nouvelle sur l'interaction entre les maladies infectieuses et l'environnement", a déclaré Landrigan.
Pr. Eric Chabrière : « Ils nous punissent, mais ils sont les incompétents ! »
RépondreSupprimerSud Radio
jeu., 24 sept. 2020 19:00 UTC
Extrait tiré de l'émission "Bercoff dans tous ses états", diffusée sur Sud Radio le 24 septembre 2020.
(Samia Ghali) « La réalité, c'est que l'état aujourd'hui veut camoufler la situation de l'hôpital public, parce que tout simplement à Marseille nous n'avons pas, nous avons, l'état a abandonné l'hôpital public à Marseille et on le touche du doigt aujourd'hui. C'est-à-dire qu'aujourd'hui c'est le covid mais demain ça pourrait être une catastrophe naturelle, peu importe, on serait dans la même situation. C'est-à-dire que l'on ne serait pas en situation de soigner les gens en réanimation parce que, là où vous avez en réanimation à Paris par exemple, 1.000 lits de réanimation, on en a que 300 sur Marseille. Donc de fait, c'est clair que si on prend ça comme équation, alors on sera toujours dans la zone écarlate parce que malgré tous les efforts que l'on fait, malgré le fait que ça diminue à Marseille plus qu'ailleurs, on ne sera jamais en situation finalement de venir à bout. »
« Aujourd'hui on est pénalisé parce qu'on a trop bien fait notre travail. »
« La réalité aujourd'hui, c'est que quand vous prenez les chiffres, ils sont meilleurs à Marseille, dans les bouches du Rhône que partout en France et qui si on devait confiné aujourd'hui c'est pas par Marseille qu'on devrait commencer. On commencerait par l'île de France on commencerait par la Guadeloupe, on commencerait par d'autres villes en tout cas ou départements ou régions et pas par les bouches du Rhône. »
-- Commentaire : Examen par la FDA du vaccin Covid-accéléré d'ici octobre pendant qu'un million de micro-robots injectables dans le sang ont déjà été produits --
https://fr.sott.net/article/36108-Pr-Eric-Chabriere-Ils-nous-punissent-mais-ils-sont-les-incompetents
Didier Raoult voit «trop de panique, trop d’affolement» autour du coronavirus en France
RépondreSupprimer14:42 28.09.2020
Le professeur Didier Raoult s’est exprimé sur RTL quant à l’état actuel de l’épidémie de coronavirus. Pour lui, la «peur est pire que le mal» et il y a «trop d’affolement» et «de nervosité» aujourd’hui.
Interviewé dans la matinale de RTL à l’occasion de la sortie prochaine de son livre «La science est un sport de combat», le médecin s’est penché sur la crise du Covid-19 dans l’Hexagone.
«Je pensais et je pense toujours, je n'ai pas changé, que la peur est pire que le mal. Et c'est ce qu'il se passe. Il y a trop d'affolement, trop de nervosité, trop de panique», a lancé le directeur de l’IHU.
Et d’ajouter qu’«on regardera à la fin», puisque «le poids de la mortalité à côté du poids social va être négligeable»:
«Le poids social va être considérable car la peur n'a pas su être gérée», a-t-il estimé.
La confiance des Français envers les autorités pour la lutte contre la pandémie est au plus bas, selon un sondage
Le 24 septembre, il avait accusé dans une lettre les médecins de l'Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM) de lancer des «messages alarmistes», a relaté Le Monde qui a consulté le courrier en question.
En réponse au Pr Raoult, 19 chefs de service de l’AP-HM ont publié ce 28 septembre une tribune dans La Provence, où ils alertent sur l'occupation des lits par des malades infectés au coronavirus. Le spécialiste marseillais y a réagi dans la matinale:
«Vous verrez. Je ne veux pas rentrer dans les fantasmes».
Il a été par ailleurs interrogé quant à ses déclarations du mois d’avril, lorsqu’il avait avancé que l’épidémie allait disparaître. Selon lui, «les gens qui observent voient les choses plus tôt que les gens qui ne les observent pas directement»:
«J’ai dit ce que j'avais à dire. Je continuerai de dire ce que j'ai à dire avec les chiffres que l'on observe. Mais bien entendu, quand on a dit assez tôt, en avril, que l'on était passé derrière le pic de la courbe, on le voyait parce qu'on avait les données au quotidien».
Nouvelles restrictions
Le 27 septembre, 11.123 personnes ont été testées positives en France alors que le 24 ce chiffre s’élevait à 16.096.
Le 23 septembre, le gouvernement a annoncé, sans concertation préalable avec les collectivités, la fermeture dès samedi 26 septembre à Aix-Marseille et en Guadeloupe des bars, restaurants et établissements recevant du public, à l'exception de ceux ayant un protocole sanitaire strict comme les théâtres, musées et cinémas. Il s’agit des deux zones géographiques qui sont en «alerte maximale», selon le nouveau classement des autorités.
Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés vendredi 25 septembre devant le tribunal de commerce de Marseille pour protester contre cette mesure.
Le Pr Raoult a relativisé la gravité de la situation face aux nouvelles restrictions annoncées dans la métropole d'Aix-Marseille.
https://fr.sputniknews.com/france/202009281044493463-didier-raoult-voit-trop-de-panique-trop-daffolement-autour-du-coronavirus-en-france/
SupprimerQuand on voit deux ados (fille et garçon) se toucher du coude !! pour se saluer au lieu de s'embrasser ou de se serrer la main...
RépondreSupprimerDes étudiants britanniques disent être traités comme des «prisonniers» en raison de mesures draconiennes contre le COVID
par Tyler Durden
Lun, 28/09/2020 - 05:00
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Les étudiants des universités du Royaume-Uni sont traités comme des 'prisonniers' car les règles draconiennes sur les coronavirus exigent qu'ils mangent seuls, ne sont pas autorisés à sortir et sont contraints de se couper des autres ou d'être suspendus.
Des entretiens avec des étudiants de l'Université d'Édimbourg illustrent à quel point les nouvelles règles sont autoritaires, les étudiants étant obligés d'apporter leurs propres couverts et de manger seuls à des bureaux espacés de style examen, la salle étant constamment surveillée par des moniteurs veillant à ne pas enfreindre les protocoles.
«Maintenant, ils ont enlevé l'option à emporter et on m'a dit que tout le monde est obligé de manger seul et n'est pas autorisé à se lever de la table qui lui a été attribuée pour plus de nourriture ou d'eau», a déclaré Liberty Phelan, qui rédige le journal étudiant.
«Il y a d'énormes files d'attente pour entrer dans la salle à manger et le personnel amène les élèves aux tables pour que vous ne choisissiez même pas à côté de qui vous vous asseyez», a-t-elle ajouté.
«Dans le logement, vous n’avez droit qu’à une autre personne dans votre chambre, mais certaines personnes ont organisé des fêtes et la police a été appelée», a déclaré Phelan.
Un autre étudiant qui souhaitait rester anonyme a déclaré que les étudiants avaient maintenant commencé à sauter des repas pour éviter complètement l'expérience.
Florence Carr-Jones, étudiante de première année, a déclaré que les inspecteurs patrouillaient dans les résidences, s'assurant que l'on ne pouvait pas s'amuser.
«Les agents de sécurité parcourent les couloirs le soir en frappant aux portes bruyantes, menaçant des amendes et des suspensions», a-t-elle dit.
L'université a également appelé la police sur les étudiants pour avoir organisé des fêtes illégales, les avertissant qu'ils risquaient d'être expulsés.
On dit aussi aux étudiants qu’ils ne sont pas autorisés à sortir ce week-end et qu’ils seront légalement empêchés de rentrer chez eux pour Noël.
«Même les terroristes ne sont pas traités aussi mal», a fait remarquer l'ancienne eurodéputée du Brexit Party Alexandra Philips.
Imaginez que vous soyez excité de commencer votre première année à l’université et de rencontrer un tas de nouveaux amis, pour découvrir que vous êtes traité comme un prisonnier et que vous n’êtes même pas autorisé à sortir ou à avoir des contacts sociaux avec plus d’une personne.
Comme nous l’avons souligné précédemment, les rues du Royaume-Uni sont également surveillées par des «agents de la rue COVID» qui scrutent les fenêtres et les boîtes aux lettres pour s’assurer que les pubs et les clubs privés ne restent pas ouverts après le nouveau couvre-feu de 22 heures.
Le gouvernement britannique a également encouragé les citoyens à s'espionner les uns les autres et à signaler leurs voisins aux autorités malgré le fait que les cas de coronavirus et les hospitalisations aient pratiquement stagné, une augmentation relativement mineure des cas étant due à davantage de tests et à un grand nombre de faux positifs.
https://www.zerohedge.com/medical/british-students-say-theyre-being-treated-prisoners-due-draconian-covid-measures
Bientôt dans votre ville : La réponse totalitaire de l'Australie au Covid crée un précédent pour tout dictateur en devenir
RépondreSupprimerSott.net
jeu., 24 sept. 2020 16:24 UTC
Les habitants de Melbourne sont prisonniers dans leur ville et risquent d'être détenus indéfiniment pour « pré-crime » et même de voir leurs enfants enlevés sur la base de statistiques Covid souvent inexactes. Combien de temps avant que cela ne se répète ailleurs ?
Les Américains seraient bien avisés de prêter attention à ce qui se passe en Australie. Le Premier ministre de l'État de Victoria, Dan Andrews, s'est lancé dans une course à la police pour rivaliser avec le Patriot Act, en présentant récemment un projet de loi qui donne au gouvernement de l'État le pouvoir de détenir préventivement des personnes « à haut risque », pour une durée indéterminée, dans des installations de quarantaine, sur la base de simples soupçons de non-respect des ordres d'auto-isolement.
Cette mesure est justifiée par l'utilisation de statistiques Covid-19 que même l'establishment médiatique qui aime bien la peur, a reconnu être probablement fortement exagérées, sur la base d'un test dont le créateur a, parait-il, été horrifié à l'idée de l'utiliser pour diagnostiquer une infection virale. Pourtant, le même establishment médiatique a adopté le verrouillage totalitaire décidé par Dan Andrews comme le modèle que les États-Unis devraient adopter.
Un désastre pour la démocratie
Ressemblant plus au méchant d'un dessin animé qu'à un politicien, Dan Andrews a averti en début de semaine les habitants de Melbourne que « les chances étaient très faibles » qu'ils puissent échapper à « la ceinture d'acier » que son gouvernement a construit autour de la ville. Alors que le verrouillage dans reste le l'état se relâchait un peu jeudi, les Melbourniens eux sont encore soumis à une réglementation stricte et sont menacés d'une amende de 5 000 dollars s'ils tentent de fuir vers des climats plus favorables. Et si l'idée d'être détenus préventivement pendant des mois pour être des « théoriciens de la conspiration » ne dissuade pas suffisamment les résidents d'avoir des crimes de pensées, la disposition du projet de loi Omnibus qui permet au gouvernement de retirer les enfants à leurs parents jusqu'à une durée de 30 mois, le fera certainement. Le projet de loi a été adopté par la chambre basse de l'État de Victoria la semaine dernière.
L'État de Victoria a déclaré l'état de catastrophe le 2 août dernier avec 123 décès dus au coronavirus dans tout l'état pendant toute la durée de la pandémie, citant une hausse soudaine et inexplicable du nombre de cas dans sa décision d'enfermer les résidents des logements publics dans leurs appartements et d'envoyer des membres des services militaires faire du porte-à-porte pour s'assurer que les citoyens obéissent.
La vidéo de la police traînant une femme enceinte hors de son domicile pour avoir simplement encouragé une manifestation contre le verrouillage des logements dans sa petite ville, en solidarité avec les habitants de Melbourne, a déclenché une indignation internationale, et la condition économique et psychologique des habitants s'est rapidement détériorée au cours des deux derniers mois.
La santé mentale n'est pas la seule à avoir souffert de ce confinement du « Dictateur Dan ». Le nombre de décès dus au coronavirus a en effet grimpé en flèche, passant de 123 lors de l'imposition du confinement le 2 août à un énorme 773 à partir de mercredi. Bien sûr, « énorme » est relatif - étant donné les dizaines de milliers de personnes supposées infectées, on pourrait s'attendre à un nombre de décès beaucoup plus élevé, du moins jusqu'à ce qu'on se rappelle que 90 % des « cas » diagnostiqués par le test PCR ne portaient probablement pas assez de virus dans leur organisme pour présenter des symptômes ou infecter d'autres personnes. Si c'est une bonne nouvelle pour tous les Australiens qui ne mourront pas du Covid-19, c'est une mauvaise nouvelle pour ceux qui sont maintenant enfermés dans leur maison à cause de ces chiffres inexacts.
RépondreSupprimerLa dictature, ça veut dire que l'on n'a jamais à admettre d'erreurs
Même en mettant de côté les faux positifs, les terrifiants modèles informatiques qui ont inspiré tant de pays et d'États à verrouiller ont depuis longtemps été dénoncés comme étant erronés. Cependant, les politiques qu'ils ont inspirées n'ont pas été réexaminées. Étant donné les énormes dommages collatéraux qui découlent de l'arrêt de l'économie d'un pays - les statisticiens ont averti il y a quelques mois que le nombre de suicides en Australie serait dix fois plus élevé que celui des décès dus au virus, une part importante de ces décès inclue des jeunes, tandis que les experts médicaux britanniques et américains ont averti que les confinements tuent plus que le virus qu'ils sont censés arrêter - il n'y a aucune excuse pour enfermer les jeunes et les personnes en bonne santé afin de protéger les personnes âgées. Le fait que ces mêmes personnes âgées soient plus susceptibles de mourir de causes autres que le Covid-19 lorsqu'elles sont maintenues dans l'isolement social ne fait qu'ajouter à l'insulte.
Personne ne veut admettre qu'il a fait une erreur. Le Premier ministre Andrews est félicité par les médias internationaux pour s'être approprié encore plus de pouvoirs, et de nombreux dirigeants américains et britanniques sont impatients de suivre ses traces. Il est rare que l'on tente de corriger des statistiques fallacieuses, malgré la découverte généralisée de la tenue de registres frauduleux (ou simplement tenus avec incompétence) aux États-Unis et au Royaume-Uni. Même le fait de comprendre que la plupart des méthodes de dépistage du Covid-19 sont extrêmement imprécises n'a pas contribué à ralentir l'enthousiasme qui s'est emparé d'une population pour lui faire avaler ce test (littéralement).
Et Dan Andrews est loin d'être le seul dirigeant à infliger ce que l'on ne peut qualifier que de cruelles expériences psychologiques à son peuple sous le couvert d'une réponse virale. Qu'il s'agisse de la promesse de la Nouvelle-Zélande d'enfermer dans des installations de quarantaine toutes les personnes dont le test est positif et les membres de leur famille, de l'interdiction des visites à domicile décrétée par le Premier ministre écossais, Nicola Sturgeon, de la menace du maire de Los Angeles Eric Garcetti de couper l'eau aux maisons et aux entreprises qui accueillent des fêtes, ou les gouverneurs des États américains qui ont exigé que les maisons de retraite acceptent les patients positifs au Covid-19 malgré le risque qu'ils encourent, il semble que dans le monde entier, tous les aspirants dictateurs des « démocraties » anglophones se battent pour savoir qui pourra franchir la ligne d'arrivée en premier.
Alors que nous regardons avec horreur ce qui se passe dans l'État de Victoria, nous devons faire ce que nous pouvons pour arrêter la montée du totalitarisme dans nos propres pays.
RépondreSupprimerTraduction Sott.net - Source : Helen Buyniski, RT
Commentaire : Ceux qui attendent placidement que tout « revienne à la normale » pourraient être surpris par la durée de leur peine de prison - les élites du pouvoir n'ont pas l'intention de céder les mesures de contrôle dont elles jouissent actuellement sans un retour en arrière MASSIF (liens sur des articles en anglais) :
L'État policier mondial se développe rapidement
Objectif : Santé - Bienvenue dans l'État policier du coronavirus
Du confinement à l'État policier : Le « bond en arrière » se déploie
Bracelets électronique de cheville, passages à tabac et drones espions : Bienvenue dans l'État Stasi de surveillance du COVID-19
https://fr.sott.net/article/36106-Bientot-dans-votre-ville-La-reponse-totalitaire-de-l-Australie-au-Covid-cree-un-precedent-pour-tout-dictateur-en-devenir
Belgique : le conseil d'Etat donne le feu vert pour l'ouverture d'une nouvelle «boite à bébés»
RépondreSupprimer28 sept. 2020, 07:18
Après trois ans de procédure judiciaire, le conseil d'Etat belge a donné le feu vert à l'association Corvia pour l'ouverture d'une «boite à bébés» qui permet aux parents en difficulté d'abandonner leurs enfants en bas âge de manière anonyme. L'association d'aide aux femmes précaire Corvia a obtenu le feu vert du conseil d'Etat début septembre pour installer en octobre une «boite à bébés» dans la ville d'Evere à proximité de Bruxelles.
Ce concept permet aux parents d'abandonner leur enfant en bas âge de manière anonyme.
Selon le site de l'association, «la "boîte à bébés" permet aux mères en situation de détresse de laisser leur nouveau-né en toute sécurité dans des espaces dédiés. De nombreuses fois, certaines mères ont abandonné leurs enfants dans des lieux publics et dangereux.» Disponible «à toute heure et tous les jours», le parent doit pousser une « petite porte verte » pour déposer le bébé dans «une boîte chauffée [où] se trouve un nid douillet».
«Dans celle-ci, une enveloppe avec les informations sur l'association CORVIA ainsi qu’une pièce de puzzle unique seront présentes. Avec cette pièce, la mère pourra identifier son enfant plus tard si elle le souhaite. Une fois que la porte de la boîte se referme, elle est définitivement verrouillée», précise l'association.
Une fois la manipulation effectuée, une alarme s'enclenche permettant un personnel de l'association de prodiguer les premiers soins à l'enfant. Le résultat d'une bataille judiciaire de trois ans Cette autorisation est le résultat d'une bataille judiciaire de trois ans entre l'association et le bourgmestre de l'époque, Pierre Muylle (PS), qui les avait fait interdire d'après le média local BX1.
L'association avait fait un recours au conseil d'Etat pour pouvoir ouvrir ces boîtes toujours selon BX1. Lire aussi Un Japonais obtient la garde de ses 13 enfants nés de mères porteuses Le conseil d'Etat a donné raison à l'association d'aide aux femmes précaire ouvrant la voie à l'ouverture des «boites à bébé». L'association a déclaré qu'elle avait le soutien de l'actuel maire, Ridouane Chahid. «Nous nous réjouissons, car chaque enfant devrait avoir droit à un avenir», a déclaré Mathilde Pelsers, de l'association Corvia, auprès de la RTBF, ajoutant : «Nous espérons pouvoir ouvrir officiellement début octobre.»
Toujours selon la RTBF, le bourgmestre actuel d’Evere, Ridouane Chahid (PS), soutient l’initiative. Une discussion préalable est prévue avec l’association pour aborder les détails et le cadre juridique. La première «boîte à bébés» de Belgique a été installée à Anvers il y a 20 ans. Le même système existe actuellement dans plusieurs pays européens dont l'Allemagne, l'Autriche et le Pays-Bas.
https://francais.rt.com/international/79179-belgique-conseil-etat-donne-feu-vert-ouverture-boite-a-bebe
Supprimer(...) «boite à bébés» qui permet aux parents en difficulté d'abandonner leurs enfants en bas âge de manière anonyme. (...)
Bas âge jusqu'à... 18 ans ?
RépondreSupprimerUn homme condamné après avoir refusé de serrer la main d’une préfète
14:37 28.09.2020
Par Florent Zephir
La justice a condamné un homme qui avait refusé de serrer la main de l’ancienne préfète du Cher en raison de son sexe. L’individu, musulman, justifiait son geste par des raisons religieuses. L’incident s’est produit à deux reprises, dont une fois lors d’un hommage aux victimes d’un attentat terroriste.
Le tribunal de police de Bourges a condamné un homme qui a refusé de serrer la main de Catherine Ferrier, alors préfète du Cher, sous prétexte qu’elle est une femme.
Les faits pour lesquels il était poursuivi se sont produits le 7 janvier, dans les locaux de la préfecture, rapporte Le Berry républicain. Alors que la préfète était venue saluer le personnel et les administrés pour la nouvelle année, l’homme présent dans le public avait décliné la main tendue et gantée de Catherine Ferrier. De confession musulmane, il avait évoqué des raisons religieuses, lui interdisant de serrer la main d’une femme.
La préfète avait porté plainte suite à cet incident. Le tribunal de Bourges lui a donné raison, considérant qu’il s’agissait d’un «comportement sexiste» et «portant atteinte à la dignité». L’homme a été condamné à une amende de 750 euros et devra verser 1.500 euros de dommages et intérêts à la plaignante.
Nouvel incident lors d’une cérémonie d’hommage
L’individu avait déjà fait montre d’un comportement similaire deux ans auparavant, lors d’une cérémonie d’hommage au colonel Arnaud Beltrame, tué par un terroriste islamiste en 2018.
L’homme participait aux commémorations en tant que représentant de l’association Ditib Vierzon (ex-association des travailleurs turcs). Il avait là encore refusé de saluer Catherine Ferrier pour motif religieux, déclarant «on n’a pas le droit de serrer la main aux femmes». L’association avait par la suite envoyé une lettre à la préfète pour s’excuser.
Dans un communiqué, le nouveau préfet du Cher, Jean-Christophe Bouvier, s’est félicité de la décision du tribunal de Bourges qui «rappelle le caractère fondamental du respect des valeurs de laïcité et d’égalité homme-femme dans la République».
Catherine Ferrier a pour sa part quitté ses fonctions en février 2020 pour devenir préfète du Tarn.
https://fr.sputniknews.com/france/202009281044493449-un-homme-condamne-apres-avoir-refuse-de-serrer-la-main-dune-prefete/
Des parents végétaliens rendent handicapé à vie leur bébé en le nourrissant avec de l’eau de coco
RépondreSupprimer12:05 28.09.2020
Par Anna Borissova
Un bébé est devenu handicapé permanent après que ses parents végétaliens lui ont donné massivement de l’eau de coco après la fin de la période d’allaitement. Ils ont reçu une ordonnance pour passer un traitement de santé mentale et ont évité la prison en reconnaissant la négligence.
En Australie, les parents végétaliens d’un bébé de 12 mois souffrant à cause d’eux d’une paralysie cérébrale et de kwashiorkor, un syndrome de malnutrition protéino-énergétique, ont été condamnés par la justice à suivre un traitement psychologique, rapporte le site local News.com.
Les faits remontent au mois d’août 2018. Selon le média, ils avaient choisi d’astreindre leur fille à un régime alimentaire à base de fruits depuis la fin de la période d’allaitement en lui donnant massivement de l’eau de coco.
La fillette, qui ne pesait que 6.040 kg, a été admise aux soins intensifs où elle a passé environ un mois.
Après l’hospitalisation, les médecins ont découvert des ecchymoses et éruptions cutanées, conséquences directes du syndrome de kwashiorkor. Elle saignait également de l'intérieur, avait du sang dans ses selles et un besoin de soutien vital.
Une semaine avant d’avoir conduit sa fille aux urgences, le père de famille s’était déjà inquiété de la dégradation de son état de santé et avait écrit un courriel à une association de végétaliens basée aux États-Unis pour obtenir des conseils.
«Salut, mon enfant de un an a cessé de vouloir boire et manger et quand elle le fait, elle n'arrive pas à dormir et tousse. Que puis-je faire pour l'aider ? Elle suit un régime de fruits. S'il vous plaît, aidez-nous dès que possible», avait-il écrit. Son interlocuteur lui avait alors suggéré de lui faire boire un simple thé destiné à soulager son estomac.
Handicapée à vie
Le couple a évité la prison en se déclarant coupable de négligence ce 28 septembre à la Cour de l’État australien de Victoria.
Ils ont tous deux reçu l'ordre de purger une ordonnance correctionnelle communautaire de 12 mois et d'entreprendre un traitement de santé mentale, a ordonné la juge.
L’enfant, qui a maintenant trois ans, est handicapé à vie. Sa paralysie cérébrale est causée par la malnutrition subie.
https://fr.sputniknews.com/societe/202009281044491143-des-parents-vegetaliens-rendent-handicape-a-vie-leur-bebe-en-le-nourrissant-avec-de-leau-de-coco/
Entreprise de démolition
RépondreSupprimerRené Lamertume
Le Saker Francophone
dim., 27 sept. 2020 19:18 UTC
Le but de ce texte est de tenter de faire un lien entre des tendances fortes et, en apparence, disparates constatées sur la planète.
Ce but est ambitieux et ce texte limité ne peut l'atteindre qu'au prix de simplifications.
Économie et politique
Durant des décennies, il était possible d'intégrer un fonctionnement simpliste des pays qui était le suivant : les pays et leurs sociétés progressent, s'enrichissent ; des forces se battent pour prendre le pouvoir. Dans un système binaire par exemple, tantôt une tendance prend le pouvoir, tantôt l'autre et ces forces au pouvoir tirent des revenus substantiels de leur position privilégiée. Mais il semblait que les luttes de pouvoir respectaient le consensus fondamental que le pays et la société qui l'habite devaient être en bonne santé, surtout économiquement, de manière à ce que le pouvoir puisse en tirer des revenus.
Or désormais, les affaires vont mal en occident. Aux USA même, ce qui se passe depuis 5 ans ne paraît pas respecter le schéma habituel. Sans être spécialiste de ce pays, on peut comprendre que le président élu a été empêché de gouverner pendant la durée de son mandat, et on voit même des émeutes se déclencher continuellement dans ce pays - il paraît clair que les manifestations sur le thème de racisme sont rattachées aux luttes de pouvoir dans le pays. Et la question qui vient alors à l'esprit est de savoir pourquoi la prospérité du pays elle-même semble n'avoir plus d'intérêt, pourquoi la subsistance des classes moyenne et inférieure n'est plus la préoccupation d'une partie des forces qui luttent pour le pouvoir. Le pays lui-même semble ne plus avoir d'importance. Cette situation serait favorisée par le fait qu'une grande part de l'économie est devenue virtuelle, détachée du sol du pays ou internationalisée.
Vu de notre pays, les USA sont notre avenir proche. Nous avons été arrimés de force à ce modèle de société. Un intérêt quasi unique constitué par le matérialisme et l'argent, remplace notre culture et s'impose dans notre pays. Nos « responsables » politiques subissent cette influence. Ainsi, pour qui a vécu dans notre pays depuis des décennies, il est douloureux de voir l'industrie disparaître, l'économie péricliter, la société se fermer, perdre son humanité, devenir instable, la population soumise à l'influence des médias privés dominants.
Quelles que soient les difficultés rencontrées par le pays, quelle que soit la dégradation du niveau de vie général, aucun débat, aucune remise en cause n'est possible.
Dans l'épisode de la « crise sanitaire », on a vu des mesures inutiles appliquées de manière draconienne, le confinement aveugle n'a pas arrêté l'épidémie puisque les pays qui n'ont pas confiné s'en sortent mieux que nous, alors que dans le même temps, on passait à coté de moyens qui auraient pu s'avérer efficaces : absence quasi complète de tests de dépistage, interdiction d'un traitement médicamenteux, fermeture de services hospitaliers... 1. Cela au mépris de l'économie, donc de la vie que mènent les classes moyenne et inférieure. Mais, fait troublant, la baisse d'activité durant le confinement n'a pas ralenti l'enrichissement des plus riches. Nous assistons ici aussi à la déconnexion de la captation de richesses par un petit nombre, d'avec la vie de la majorité de la population dans le pays puisque, pour une part prédominante, la production industrielle a été délocalisée.
Si nous en croyons les nombreuses voix de scientifiques et de médecins qui ne sont pas invités à s'exprimer dans les médias dominants, la situation autour du virus s'apparente à une mise en scène qui installe une psychose dans la population. Cela entrave la pratique de toute activité. Par exemple, il est impossible de travailler dans des conditions normales pour les adultes - surtout ceux qui ont des petits enfants scolarisés, et qui sont tiraillés entre la nécessité de travailler et la peur de traumatiser les enfants en les menant à l'école - de professer ou de suivre un enseignement normal. Les commerces, les plus petits en particulier fonctionnent mal. Toutes ces difficultés, dont certaines tournent en tragédies, sont ignorées.
RépondreSupprimerDans ces quelques exemples, il est possible de repérer une ligne directrice qui est que le devenir d'un pays n'a plus d'importance. L'économie s'est internationalisée et les forces supranationales qui ont installé leur pouvoir ne se préoccupent pas des pays. Et il est même probable que plus les pays perdent de leur puissance et plus les forces supranationales prospèrent. Seuls les pays solides peuvent résister. Considérons le dénigrement continuel auquel la Russie doit faire face en occident. La Russie résiste depuis plusieurs décennies à une guerre économique - elle n'est pas la seule - dans laquelle l'UE, contre ses intérêts propres, est un relais efficace. Et les tensions ne font que s'accroître car la Russie, loin de se soumettre, a modifié sa constitution pour se soustraire aux forces qui prévalent aujourd'hui en occident, afin d'empêcher, tant que faire se peut, que des instances étrangères ne viennent dicter sa conduite au pays 2.
Ce qui a été proposé et imposé aux populations d'Europe comme un avenir meilleur supposé reposer sur la fusion pacifique des nations, et qui dans les faits ne se réalise absolument pas, est en fait le pompage des richesses nationales par des intérêts supra-nationaux. La situation économique et sociale des pays est passée par pertes et profits. Les structures des pays disparaissent, dissoutes par les structures supra-nationales.
Comportements individuels
Dépassons les plans politique et économique. Nous voyons constamment se développer autour de nous en occident, des modes de comportement décidés par un petit nombre de personnes sans que les peuples ne soient consultés. Et quand on feint de consulter les peuples, des « experts » sont convoqués pour nous convaincre de rester sur le chemin décidé en petit comité. Nous pouvions avoir l'impression que le transfert de compétences entre les niveaux national et supra-national concernait les sphères politique et économique, mais que dans des sociétés prétendument démocratiques, les libertés individuelles seraient préservées. Il n'en est rien. Les changements en cours concernent d'abord la vie économique, puis le contrôle de la vie politique et cela se poursuit jusque dans la sphère privée. Les forces en actions se servent donc de la décomposition des pays pour s'assurer le contrôle total des individus et mettre en place un pouvoir total 3. Il est possible de repérer cette prise de pouvoir sur les comportements et les individus dans différentes tendances développées, favorisées ou utilisées par les forces supranationales. Le rapprochement va paraître hétéroclite, mais il paraît bien exister un point commun.
Souvenons-nous que le terrorisme nous a été promis jusqu'à la fin des temps et a été un thème de mise en place de l'état d'urgence prolongé.
L'immigration massive dans des pays où le chômage est endémique n'a pas de sens mais elle pousse au communautarisme et fragilise les sociétés d'accueil.
Le climat est ce qu'il est, et la société humaine, dans ses différentes composantes, respecte peu la nature et pollue, mais cette situation profite aux grands groupes industriels privés. En se basant sur des arguments scientifiques encore en débats, on dicte des mode de vie à la société humaine dans son ensemble. La réorientation de la politique énergétique et industrielle, sur des bases scientifiques douteuses peut aussi avoir pour but de dicter aux collectivités et finalement aux individus des comportements définis par un petit nombre. Par exemple, au titre de la « défense du climat », on ne remet pas en cause le fait de produire à des milliers de kilomètres ce qui est consommé ici.
RépondreSupprimerConsidérons aussi le mouvement LGBT et demandons nous s'il ne serait pas une tentative de manipuler la société, et les personnes dans ce qu'elles ont de plus intime. Il existe en effet une différence énorme entre le fait d'accepter l'homosexualité et celui de voir des campagnes d'affichage promouvoir ce comportement, sous les yeux des enfants et des adolescents.
Mais là où le contrôle s'opère de la manière la plus spectaculaire, c'est dans le domaine de « l'urgence sanitaire », thème inventé au début de l'année 2020 et qui ne semble jamais avoir été invoqué auparavant. Dans ce domaine, en tournant le dos à la science médicale cette fois, on oblige les individus à adopter un comportement qui les éloigne les uns des autres, dans la sphère publique et, étape inédite pour les prétendues démocraties, dans la sphère privée. Le porteur du seul virus médiatisé est considéré comme un paria. Le corps médical devient une structure de répression de la population.
États-nations
La destruction des États-nations est engagée dès que les figures politiques visibles ne sont plus sous l'autorité du peuple, mais se soumettent à des réseaux occultes de pouvoir. Les véritables décideurs ne sont pas identifiés, et donc leur responsabilité ne peut être engagée. L'État-nation est critiqué au motif qu'il serait le signe d'un comportement obsolète de repliement sur soi. En fait, l'État-nation est le rempart qui permet de défendre les richesses communes contre les intérêts privés. Nous sommes confrontés à des forces internationales qui enlèvent aux peuples leur pouvoir de décision, et qui les dirigent.
L'UE est une telle structure. Derrière les beaux discours, elle montre que des administrateurs non élus déterminent les politiques d'un continent entier 4. Les pays qui veulent défendre leurs spécificités nationales sont critiqués, sermonnés, pénalisés financièrement. Les « responsables » nationaux ne parviennent au pouvoir que lorsqu'ils démontrent leur soumission au régime dominant. Les partis dits d'opposition ne peuvent acquérir une visibilité que s'ils se soumettent et renoncent au principe de souveraineté du peuple.
Dans l'État-nation, les représentants politiques doivent rendre des comptes aux peuples qui leur ont conféré un mandat. Ils sont responsables de ce qu'ils font, bien entendu, en principe. Mais lorsque les représentants n'ont plus de compte à rendre qu'à des administrateurs étrangers, eux-mêmes sous influence, le pays et son peuple, se retrouvent sans protection 5. Dans notre pays, les représentants des forces dites de gauche ont activement participé à la trahison du peuple et de la confiance dont ils étaient dépositaires.
Conclusion
RépondreSupprimerLes tensions en cours reposent donc sur trois moyens au moins : la destruction des États-nations, la délocalisation des industries et la manipulation des individus qui perdent leur libre arbitre. Le tout est dirigé à des niveaux supra-nationaux. Ainsi, les pièces du puzzle se mettent en place :
Les structures supra-nationales servent à enlever aux États-nations leur souveraineté, cela paraît évident. Les pays qui résistent sont soumis à des difficultés et chantages financiers majeurs.
La délocalisation des moyens de production et la spéculation font que la prospérité du pays en lui-même n'a plus d'intérêt. Seuls les pays solides peuvent s'opposer aux forces supra-nationales.
L'UE qui devait apporter la prospérité économique et sociale aux pays européens est l'outil de l'affaiblissement des pays de l'Europe et de la soumission aux forces supra-nationales.
Les thèmes de manipulation des sociétés et des individus se succèdent, terrorisme, immigration, LGBT, lutte climatique, crise sanitaire, resserrant le filet. Le processus de destruction de l'État-nation est une étape sur le chemin qui mène au contrôle total des individus.
Nous vivons un grand cycle historique. Nous avons été placés dans un projet leurre qui permet de diriger les pays et leurs populations sans débat. Tant que nous continuerons dans cette voie, nous serons détachés du réel. Le réveil sera douloureux. L'échéance n'est peut-être plus éloignée. Nous avons, au moins pour nos enfants et nos petits enfants, la responsabilité de réagir. Les Anglais ont compris cela, même si le processus de réorientation prendra du temps.
Ainsi, le choix pour les peuples n'est plus de vouloir favoriser une politique dite de droite, ou de gauche, du centre, ou d'extrême d'un bord ou d'un autre. Ces enjeux paraissent bien dépassés, du moins provisoirement espérons-le. Le choix ne réside plus que dans la reconquête de la souveraineté du peuple ou la soumission. En effet, il est évident qu'un pays non souverain ne peut plus orienter ni sa politique économique, ni ses choix de société. Un pays non souverain est guidé à distance par des forces non identifiées ; les intérêts du pays et de son peuple n'ont plus aucun intérêt : les individus sont captifs ; le pays, aussi important soit-il, est vidé de sa substance.
https://fr.sott.net/article/36112-Entreprise-de-demolition
Tourisme - veulent "ils" casser l'économie ou juste nous vacciner ???? Le secteur boursier que je surveille pour évaluer la situation
RépondreSupprimerCharles Dereeper
dimanche, 27 septembre 2020 22:49
Je me demande très fort à quel jeu nous allons participer dans les trimestres à venir.
A ma gauche, nous avons le tourisme, usine à polluer le monde, qui aide les économies émergentes à décoller.
A ma droite, nous avons un vaccin pour renforcer le contrôle et probablement à l'aide de ce vaccin, aider à tuer plus tard une partie de la population mondiale.
Ma grande question est de savoir si "ils" veulent les deux... ou juste casser l'économie... ou juste nous vacciner !
Je me souviens en 2017. Nous étions dans le taxi avec Tonio (Antoine Capitan http://www.objectifeco.com/blog/antoine-capitan.html ) à Bangkok en route pour aller rencontrer l'un d'entre vous, chers lecteurs, qui vivait à en Russie. Il nous avait fixé RDV à Koh San Road, un lieu assez éloigné de Sukhumvit du fait des bouchons.
Je regardais une place touristique imposante sur le chemin et j'ai dit à Tonio.
Putain quand je pense que tout ceci ne sera plus là dans 3 ans. Comment cela va arriver ? Par quel biais est ce possible ?
J'ai passé des centaines d'heures à réfléchir sur ce Q1 2020. J'ai quitté la Thaïlande à cause de ma dead line de Q4 2019 et inversion courbe des taux.
Cela remonte à loin. Quand j'ai eu en 2009 le véto pour vivre avec mon ex femme française à Koh Samui. A partir de là, il m'a été dit que j'avais le droit à la Thaïlande jusqu'à Q4 2019. Je devais avoir quitté le sol ensuite.
Je vous laisse deviner en 11 ans combien de fois je me suis interrogé sur cet évènement de 2020. Je l'ai vu arriver. Mais je n'ai jamais trouvé sa forme. Jamais. Malgré des milliers de tests.
Comme pour le trading intuitif. J'ai les dates des points tournants. Une vague direction. Mais je n'ai jamais obtenu le chèque en blanc.
Le temps en fait faisait partie de ces visions plus que la forme et le sens.
Il y a une semaine, j'ai reçu de Thaïlande l'exacte vision qui m'a fait faire 22.000km de déménagement.
Walking STREET déserte à Pattaya dans le septième pays touristique au monde... 6 mois après le début du délire... le tout avec 200 morts au compteur. Je ne risquais pas de le trouver tout seul en vision. Du 15 écart types...
Je n'ai plus de visions. J'ai mis fin à mon accès pour pouvoir vivre.
Accéder au futur se faisait à un prix trop élevé. Je devais collaborer avec des entités de merde qui bousillait ma vie par ailleurs.
Je suis redevenu un humain dans le noir. Et je suis content de l'être.
Je me pose donc des questions sans réponse ni timing.
RépondreSupprimerVont ils juste buter les masses avec le vaccin bidon qui agira sur le long terme ? En nous faisant tellement chier la couille qu'à la fin tout le monde se dira qu'il vaut mieux vivre et se faire vacciner que de subir les restrictions ? Je ne parle même pas des esclaves qui vont se précipiter pour s'injecter le liquide miraculeux... hahhaahha
Ou vont ils buter 10% du PIB mondial en créant des règles qu'aucun touriste n'acceptera... dans le but de diminuer le carbone officiellement alors que le carbone n'est rien dans l'atmosphère et dans le but officieux de casser la croissance économique mondiale ?
Dans tous les cas, 2021 va apporter du sport dans la rue.
Moi je dis... cap sur le farming hihihihi
Quand aux énervés de l'investissement immobilier, l'addition va être lourde si ce n'est fatale. Il faut surveiller les flux de capitaux dans les REIT spécialistes de l'hôtellerie. C'est là que je cherche la réponse. Les délits d'initiés des élites étant une religion, aucun doute que nous verrons ce compartiment rebondir au milieu de nulle part si l'option vaccin était en fait la target plus que casser le tourisme. Pour l'instant, ce sous secteur immobilier n'a pas rebondi... ce qui en dit long sur le futur.
Charles
PS : mon véto sur la thaïlande s'arrêtait début 2023... et le big show, le vrai collapse, la date n'a jamais varié. Début en 2034.
http://www.objectifeco.com/entreprendre/tendances-sectorielles/tourisme-veulent-ils-casser-l-economie-ou-juste-nous-vacciner-le-secteur-boursier-que-je-surveille-pour-evaluer-la-situation.html
Il y a longtemps qu'elle existe cette 'gouvernance mondiale', voir les commentaires (ou plutôt l'ABSENCE de !) sur le 11 Septembre dans le monde !
SupprimerIdem aujourd'hui avec le 'corona'.
Il n'y en a pas un qui bouge !
La question absolument essentielle à se poser avant de consentir à toute vaccination - Quel est le nombre d'injections nécessaires pour vacciner (NNV) ?
RépondreSupprimerPar exemple: quels seront les NNV pour le (s) nouveau (x) vaccin (s) COVID-19 ?
Par Gary G. Kohls, MD
28 septembre 2020
«Une majorité écrasante des fonctionnaires de la FDA directement chargés de l'homologation des vaccins, et les fonctionnaires du CDC qui les mandatent effectivement pour les enfants, ont des liens financiers personnels avec les fabricants de vaccins. Ces «fonctionnaires» sont souvent des actionnaires, des bénéficiaires de subventions et / ou des consultants rémunérés pour les fabricants de vaccins et, parfois, même des détenteurs de brevets pour les vaccins qu’ils votent pour approuver. Ces conflits d'intérêts les motivent à recommander toujours plus de vaccins avec un soutien minimal de la science factuelle »- Robert F. Kennedy, Jr.
«La FDA reçoit 45 % de son budget annuel de l'industrie pharmaceutique. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) tire environ la moitié de son budget de sources privées, y compris Pharma et ses fondations alliées. Et le CDC, franchement, est une société de vaccins; il détient 56 brevets de vaccins et achète et distribue annuellement 4,6 milliards de dollars de vaccins dans le cadre du programme Vaccins for Children, ce qui représente plus de 40% de son budget total. » - Robert F. Kennedy, Jr
«Le HHS (Santé et Services humains) s'associe aux fabricants de vaccins pour développer, approuver, recommander et passer des mandats pour de nouveaux produits, puis partage les bénéfices des ventes de vaccins. Les employés de HHS peuvent personnellement percevoir jusqu'à 150 000 dollars par an en redevances pour les produits sur lesquels ils travaillent. Par exemple, les principaux responsables du HHS collectent de l’argent sur chaque vente du vaccin controversé contre le VPH de Merck, Gardasil, qui rapporte également des dizaines de millions de dollars par an à l’agence en redevances de brevets. » - Robert F. Kennedy, Jr
«En 1986, le Congrès, inondé d'argent de l'industrie pharmaceutique (l'industrie pharmaceutique est numéro un pour les contributions de campagne politique et les dépenses de lobbying auprès des législateurs au cours des 20 dernières années) a promulgué une loi accordant aux fabricants de vaccins une immunité totale de responsabilité pour les blessures causées par les vaccins.
La ruée vers l'or qui a suivi par les sociétés pharmaceutiques a fait passer le nombre d'inoculations recommandées de douze injections de cinq vaccins en 1986 à 54 injections de 13 vaccins aujourd'hui. Une ligne de touche d'un milliard de dollars est devenue le géant de l'industrie des vaccins de 50 milliards de dollars. » - Robert F. Kennedy, Jr
«Étant donné que les vaccins sont exempts de toute responsabilité - et effectivement obligatoires pour un marché captif de 76 millions d'enfants - les entreprises ne sont guère incitées à les rendre sûrs. Le public doit se fier aux scrupules moraux de Merck, GlaxoSmithKline, Sanofi et Pfizer. Mais ces entreprises ont une longue histoire d'opérations imprudentes et malhonnêtes, même avec des produits (du médicament) pour lesquels elles peuvent être poursuivies pour blessures. Les quatre entreprises qui fabriquent pratiquement tous les vaccins recommandés sont toutes des criminels condamnés. Collectivement, ils ont payé plus de 35 milliards de dollars depuis 2009 pour avoir fraudé les régulateurs, menti et corrompu des représentants du gouvernement et des médecins, falsifié la science et laissé une trace de blessures et de décès (maladies chroniques incurables) dus à des produits qu'ils savaient dangereux et toujours vendus sous prétexte. d'innocuité et d'efficacité. » - Robert F. Kennedy, Jr
La question du titre de cette chronique est une question piège, ni pour l'Opération Warp Speed ??de l'administration Trump, ni pour Big Pharma, ni pour la Fondation Bill & Melinda Gates, ni pour l'Organisation mondiale de la santé, ni pour le CDC du Dr Fauci, ni pour les médias grand public, ni pour vos médecins locaux, ni pour vos pharmacies locales. ni vos hôpitaux ou cliniques locaux ne pourront y répondre !!
RépondreSupprimerÉtant donné que le consentement éclairé de tout patient à tout traitement prescrit offert par un médecin agréé (qui est censé prêter et adhérer au serment d'Hippocrate) est un droit humain universel, la question n'est pas seulement une tour d'ivoire, une être ignoré. C'est une question de vie ou de mort. Par conséquent, être totalement informé des risques importants et souvent maigres bénéfices de la vaccination. Par conséquent, étant donné que les puissances actuelles qui tentent de tirer profit des vaccinations de masse dans un proche avenir, j'offre les informations suivantes.
Cette colonne est modifiée par rapport à celle que j'ai écrite en 2018 pour le lecteur Duluth. cela peut être lu ici.
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Le nombre nécessaire à vacciner (NNV) est similaire au nombre nécessaire à traiter (NNT) pour les médicaments pharmaceutiques), en ce sens qu'il indique, en une phrase, combien de patients devront être vaccinés (ou traités) pour qu'un patient en bénéficie du vaccin ou du médicament. Plus le nombre est élevé, meilleure est l'efficacité du vaccin (ou du médicament). Je liste juste quelques exemples ci-dessous.
Malheureusement - mais de manière prévisible, étant donné qu'une grande partie de ce qui est publié est rédigée par des académiciens cooptés par Big Pharma, des responsables de la santé publique de carrière, des chercheurs, des épidémiologistes et des statisticiens, la grande majorité des articles de journaux omet intentionnellement les statistiques NNV ou NNT.
Cet article contient des informations statistiques que Big Pharma, Big Vaccine et Big Medicine essaient de ne pas publier et dont les Big Media cooptés par Big Pharma ne parlent jamais non plus - pour des raisons évidentes.
Le nombre de recherches sur Google nécessaires pour vacciner (NNV), le nombre de besoins à traiter (NNT), le nombre nécessaire pour nuire (NNH), la réduction du risque relatif (RRR) et la réduction du risque réel (ARR) sont importants pour décoder les campagnes de propagande massives au cours des dernières années des décennies qui ont été si rusées à
1] «vendre la maladie»,
2] vulgarisation de la «germophobie»,
3] vendre des médicaments de plus en plus inabordables, très rentables et dangereux,
4] promouvoir des vaccins dont la sécurité à long terme OU l'efficacité à long terme n'ont pas été testées de manière adéquate, et
5] sur-vendre des «épidémies» et des «pandémies» rentables dans le but d'acquérir du pouvoir, du contrôle et de la richesse pour ces entités rusées qui ont déjà trop de pouvoir et des quantités obscènes de richesse.
Bien sûr, les quantités massives de «recherches» publiées qui proviennent des laboratoires de bureaucrates de la santé publique influencés par les Big Pharma ou de «scientifiques» embauchés par les Big Pharma dans des articles de revues médicales doivent être considérées avec beaucoup de scepticisme, en partie seulement à cause de les conflits d'intérêts pratiquement incurables qui se sont créés - en raison des relations financières et collégiales étroites - entre les groupes suivants:
1] les bureaucrates de carrière du HHS, du NIH, du CDC, du NIAID, de la FDA,
RépondreSupprimer2] les nombreux scientifiques embauchés (et donc biaisés) qui travaillent pour des sociétés pharmaceutiques / vaccinales à but lucratif,
3] les décideurs politiques corrompus par Big Pharma qui s'appuient sur les conseils de «scientifiques» employés par Big Pharma,
4] les membres de la Classe mondiale d'investissement multimillionnaire et milliardaire et leurs diverses fondations familiales qui ont acquis une grande partie de leur richesse grâce à des investissements dans les industries pharmaceutique et des vaccins, et
5] les médias grand public qui dépendent des revenus publicitaires de Big Pharma, censurant ainsi inévitablement les voix dissidentes de scientifiques indépendants qui sont assez courageux pour dire la vérité au pouvoir.
Lisez ces quelques exemples et demandez ensuite plus d'informations et le droit à un consentement pleinement éclairé sur ce qui est injecté dans les muscles de nos nourrissons, enfants et adultes et donc sur ce qui affecte également l'ADN, les systèmes lymphatiques, les systèmes immunologiques, la moelle osseuse, les systèmes gastro-intestinaux, le microbiome, les systèmes circulatoires et les systèmes nerveux périphérique et central des générations actuelles et futures de l'humanité.
Ces exemples proviennent de la littérature médicale publiée et évaluée par des pairs. Beaucoup d'entre eux ont été archivés à cette source.
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1] VNN pour le vaccin contre la grippe infantile pour prévenir une hospitalisation (<4 ans) = 1852
Quantification des avantages et des risques de la vaccination des enfants australiens âgés de six mois à quatre ans avec le vaccin antigrippal saisonnier trivalent inactivé en 2010
Kelly et coll.
1852 enfants devraient être vaccinés pour éviter une hospitalisation due à une souche de grippe circulante (2009).
En outre, les auteurs ont estimé que, pour chaque hospitalisation grippale potentiellement évitée, la vaccination avec Fluvax ou Fluvax Junior peut avoir en fait causé deux à trois hospitalisations en raison de convulsions fébriles induites par le vaccin.
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2] VNN pour le vaccin contre la grippe infantile pour prévenir une hospitalisation => 4 255
Grippe infantile: NNV (nombre nécessaire pour vacciner) pour éviter 1 hospitalisation ou visite ambulatoire
E.N. Lewis, et al - De Pediatrics, 120 (3) (2007), pp. 467-472
De 4 255 à 6 897 enfants âgés de 24 à 59 mois devraient être vaccinés contre la grippe pour éviter une hospitalisation.
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3] VNV contre le zona / herpès zoster pour les 70 ans et plus = 231
Vaccin vivant atténué varicelle-zona: en vaut-il la peine ?
Skootsky S. - Du département UCLA de Med. 20 févr.2007.
175 adultes de plus de 60 ans devraient être vaccinés pour prévenir 1 épisode d'herpès zoster
231 adultes de 70 ans ou plus devraient être vaccinés pour prévenir 1 épisode d'herpès zoster.
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4] VNN pour le vaccin antipneumococcique chez les personnes âgées = 5 206
RépondreSupprimerL'impact et l'efficacité de la vaccination antipneumococcique (23 Valent) en Écosse pour les personnes âgées de 65 ans et plus pendant l'hiver 2003/2004
John D Mooney, et al - De BMC Infectious Diseases 2008: 53
Le NNV pour les adultes> 65 ans était de 5 206 (4 388 - 7 122) par cas de PPI (pneumococcie invasive) évité.
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5] VNN pour le vaccin antituberculeux (Irlande) = 646
Vaccination néonatale au BCG en Irlande: preuves de son efficacité dans la prévention de la tuberculose infantile
Kelly, et al - Eur Respir J, 10 (3) (1997), pp. 619-623
646 enfants ont dû être vaccinés avec le vaccin néonatal irlandais Bacillus Calmette-Guérin (BCG) pour prévenir un cas de tuberculose en 1986
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6] NNV pour Gardasil chez les filles de 12 ans sexuellement inactives = 9 080
Estimation du nombre de vaccins nécessaires pour prévenir les maladies et les décès liés à l'infection à papillomavirus humain
Marc Brisson, PhD, et al - CMAJ. 28 août 2007; 177 (5): 464–468.
9080 filles de 12 ans sexuellement inactives devraient être vaccinées avec Gardasil afin de prévenir un cas de cancer du col de l'utérus - une estimation épidémiologique réellement très optimiste calquée sur l'espoir que le taux d'efficacité du vaccin s'avère élevé. Cette estimation de l'efficacité ne sera pas connue avant des décennies!) Par conséquent, un NNV de 9 080 est probablement faux.
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7] VNN pour le vaccin antiméningococcique du groupe B => 33 000
Épidémiologie de la méningococcie invasive du sérogroupe B en Ontario, Canada, 2000 à 2010
V Dang, et al - BMC Infect Dis, 12 (1) (2012), p. 202
33 784 à 38 610 nourrissons devraient être vaccinés afin de prévenir un cas de méningococcie invasive de sérogroupe B.
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8] NNV pour empêcher un adulte en bonne santé de contracter la grippe = 71
Vaccins pour prévenir la grippe chez les adultes en bonne santé
Demicheli V, et al - Revue Cochrane 1 févr.2018
71 adultes en bonne santé doivent être vaccinés pour éviter que l'un d'eux ne soit grippé
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9] VNN pour la vaccination contre la varicelle pour prévenir 1 décès = 34 000
La rentabilité de la vaccination contre la varicelle (varicelle) au Canada
Brisson et Edmunds - Vaccine 2002 15 janvier; 20 (7-8): 1113-25
«Pour la vaccination contre la varicelle, nous avons estimé que 34 000 personnes devraient être vaccinées pour éviter 1 décès (en utilisant les taux de mortalité rapportés par 25 et en supposant une efficacité de 100% contre le virus varicelle-zona et aucune diminution de la protection).»
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10] VNN pour prévenir 1 décès par méningite à méningocoque = 21 000
RépondreSupprimerVaccination des adolescents contre la méningococcie au Canada: une analyse coût-efficacité
Philippe De Wals, et. Al. - Vaccine 20 juillet 2007; 25 (29): 5433-40.
«Pour prévenir 1 décès lié au méningocoque, nous avons estimé qu'environ 21 000 personnes devraient être vaccinées (en supposant une efficacité de 100% contre les types A, C, Y et W135).
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11] Un essai d'un vaccin conjugué contre le pneumocoque 9-Valent chez des enfants atteints et non infectés par le VIH (le NNV n'a pas été calculé dans l'article original)
Klugman, KP et coll. - N Engl J Med 2 octobre 2003; 349 (14): 1341-8.
Dans l'essai sud-africain mené dans le canton urbain de Soweto, la vaccination de près de 20 000 nourrissons n'a entraîné que 31 cas de moins de pneumococcie invasive dans l'ensemble de la population et seulement 13 cas de moins chez les enfants séronégatifs.
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12] Les NST suivants sont destinés aux patients à faible risque qui ont pris des statines pendant 5 ans (et dont le seul risque était un taux de cholestérol élevé mais aucune maladie coronarienne documentée) par rapport aux patients à faible risque similaire qui n'ont pas pris de statines:
Le NNT pour éviter une crise cardiaque: - 104
Le NNT pour empêcher une course: 154
Le NNH (nombre nécessaire pour nuire) pour développer une rhabdomyonécrose du cœur = 10
Statines pour la prévention primaire des maladies cardiovasculaires
Taylor F, et al - Cochrane Database Syst Rev.2011 janvier 19; (1): CD004816
Résumé:
104 patients auraient dû prendre des statines pendant 5 ans pour qu'un cas de crise cardiaque soit évité.
154 patients auraient dû prendre des statines pendant 5 ans pour qu'un seul cas d'AVC soit évité.
Il n'y avait pas de différence dans la mortalité toutes causes confondues entre les groupes prenant des statines et les groupes sans statines. En d'autres termes, il n'y a pas eu d'amélioration statistique de la mortalité par la prise de statines.
Nombre nécessaire pour nuire (NNH) pour les statines
Cependant, pour les patients prenant des statines pendant 5 ans, 2% d'entre eux (1 sur 50) ont développé un diabète (significativement plus que le groupe sans statine).
Pour les patients prenant des statines pendant 5 ans, 10% d'entre eux (1 sur 10 a développé une rhabdomyolyse significative induite par les statines (plus précisément appelée rhabdomyonécrose, qui est la mort [nécrose] des tissus musculaires cardiaques et périphériques). 10% est très probablement une sous-estimation parce que les médecins semblent ne pas être conscients de cet effet indésirable et ne font donc généralement pas le diagnostic.Ainsi, un NNH de 10 pour les statines est une estimation faible.
Pour une liste des études qui corroborent les chiffres des statines, cliquez ici:
https://www.thennt.com/nnt/statins-for-heart-disease-prevention-without-prior-heart-disease-2/
https://www.lewrockwell.com/2020/09/gary-g-kohls/the-absolutely-essential-question-to-ask-before-consenting-to-any-vaccination-what-is-the-number-needed-to-vaccinate-nnv/
SupprimerNotez bien qu'un virus n'est PAS une nano-particule vivante (comme les bactéries appelées aussi microbes). Donc: d'où viennent ces 'nouvelles particules' ?
Çà c'est une question très intéressante !
Particules extraterrestres ?
ou... Particules fabriquées en laboratoires et lâchées par chemtrails ou par drones ?
«L'approvisionnement a été décimé»: la pénurie de masques en Californie s'est aggravée en raison de la fumée des feux de forêt
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 28/09/2020 - 20:40
Les masques N95 étaient déjà très demandés lorsque les incendies de forêt sur la côte ouest ont commencé à couvrir toute la côte de fumée. Il semble que ce n'est pas seulement la pandémie que la Californie réussit mal à gérer - mais aussi le problème croissant des incendies de forêt dans l'État.
Le problème est que les deux problèmes suscitent une demande massive de masques - et que l'État fait face à une pénurie.
Maintenant, les résidents de la côte ouest comme Lindsey Major, qui a 25 ans et souffre d'asthme, sont désespérés de trouver des masques N95. «Vous pouvez respirer, mais c’est comme quelque chose qui pèse sur votre poitrine. J'avais l'impression que mes poumons étaient remplis de bandes humides », a-t-elle déclaré à Bloomberg. Elle a finalement pu obtenir un masque après avoir posté désespérément sur un groupe Facebook.
Les mêmes masques recommandés par le CDC pour filtrer Covid étaient "presque introuvables" car la qualité de l'air sur la côte ouest s'est détériorée en raison des incendies de forêt. L'approvisionnement a été «décimé».
Maintenant, à quelques semaines de la saison des feux de forêt, des dizaines d'incendies à travers la Californie ont provoqué la combustion de 3,7 millions d'acres. La fumée des incendies a été poussée dans les grandes villes, ce qui a donné un ciel orange - certaines photos que nous avons publiées il y a quelques jours ici.
Les services de santé ont exhorté les citoyens à rester à l'intérieur autant que possible, malgré le fait que la plupart des maisons ne disposent pas de filtres à air de haute qualité.
Le président Trump a utilisé la loi sur la production de défense en avril pour forcer 3M à continuer à fabriquer des masques N95. La société prévoit une production de 95 millions de masques par mois en octobre, contre 50 millions en juin. Mais les responsables de nombreux États affirment toujours avoir du mal à acheter des EPI, y compris des masques.
Et les expéditions de masques d'urgence "sont à peine entre les mains du grand public", selon Bloomberg. Au lieu de cela, de nombreuses demandes de masques sont adressées directement aux premiers intervenants et aux agents de santé.
Jim Murphy est un autre résident de la côte ouest qui a déclaré qu'il avait acheté des masques N95 en janvier, mais qu'il avait fini par les donner à des parents qui étaient des travailleurs essentiels.
«Si vous êtes comme moi et que vous avez quelques chiens à promener, vous n’avez pas d’autre choix que de sortir. Ce serait certainement bien d'avoir quelque chose qui vous protégerait de la fumée même pour de courtes périodes de temps », a-t-il déclaré.
Aaron Bourne, directeur général de W.C. Winks Hardware à Portland, a déclaré qu'il avait vendu une expédition de 100 masques en moins de 2 jours ouvrables.
RépondreSupprimerJoel Kaufman, médecin et professeur d'épidémiologie à l'Université de Washington, a conclu que les masques devraient être conservés pour les secouristes proches des incendies qui ont été installés pour eux: «Les personnes qui nous préoccupent le plus - les personnes souffrant de maladies pulmonaires chroniques - ne sont pas de bons candidats pour porter ces masques, car les masques augmentent la quantité de travail nécessaire pour faire entrer et sortir l'air. Les personnes qui en ont le plus besoin sont, en quelque sorte, les moins capables de tolérer de les porter.
https://www.zerohedge.com/medical/supply-has-been-decimated-california-mask-shortage-has-worsened-due-wildfire-smoke
SupprimerLe N95 n'est PAS un masque à gaz toxique !
Un masque à gaz enveloppe le visage et possède 2 cartouches vissables sur les côtés de la bouche. L'espace visuel est vitré.
ET MON CUL C'EST DU POULET ?
RépondreSupprimerMASQUE EN TISSU : LA SOIE PROTÈGE PLUS DU COVID-19 QUE LE COTON
par PERRINE DE ROBIEN
28/09/2020
La fabrication de la soie aurait été découverte en Chine il y a 26 siècles.
Une enquête menée par des scientifiques américains met à l’honneur la soie. Ce tissu présente de nombreuses propriétés qui en font un matériau plus efficace que le coton, pour, par exemple, fabiquer un masque de protection contre le Covid-19.
Masque contre le Covid-19 : la soie est plus respirante
Et si après la visière Vuitton à 800 €, Hermès sortait un masque en soie orné de brides et autres motifs très chics ? Pourquoi pas ! Selon des chercheurs de l’Université de Cincinnati (États-Unis), la soie protège plus du Covid-19 que le coton ou le polyester. C’est pourquoi, si vous portez un masque en tissu, il est préférable qu’il soit fabriqué dans cette matière.
Les scientifiques américains estiment que la soie naturelle a l’avantage d’être plus douce et confortable pour la peau mais surtout elle est plus respirante. Une propriété intéressante sachant que lorsque l’on respire avec un masque, il finit par devenir humide à cause de la condensation. Or, une fois mouillé, le tissu perd ses propriétés filtrantes. Autre atout de la soie naturelle, elle sèche rapidement. Plus vite que le coton. Un avantage non négligeable à la fois pour le confort des utilisateurs qui portent un masque et pour faire barrière au Covid-19.
Les propriétés anti-microbiennes de la soie
La soie est aussi une matière qui présente des propriétés antimicrobiennes, antibactériennes et antivirales naturelles permettant d’éloigner le virus. Et pour cause, elle contient du cuivre présent dans les feuilles de mûrier dont est faite la soie naturelle. Or, le cuivre présente la particularité de tuer les bactéries et les micro-organismes.
Si vous avez des vêtements ou accessoires en soie qui sont abîmés ou ne servent plus, vous savez donc ce qu’il vous reste à faire : récupérer le tissu pour en faire un masque de protection anti Covid-19.
http://www.economiematin.fr/news-masque-tissu-protection-covid-soie
La soie comme le coton n'est rien d'autre qu'un GRILLAGE !
SupprimerBalancez un seau d'eau sur un grillage et regardez combien d'eau n'a pas réussi à passer au travers ! HAHAHAHAHA !
Perrine de Robien ne fait qu'ajouter une pierre à l'escroquerie mondiale des masques 'antivirus' qui sont pourtant prouvés être NON-ANTIVIRUS !
Solution soulageacente !
La tromperie Covid
RépondreSupprimerPar Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
29 septembre 2020
Nous avons été trompés par les autorités de santé publique au sujet de Covid, en partie à cause de l’ignorance des autorités publiques du virus, de sa propagation et de son traitement, mais principalement à dessein.
L'une des raisons pour lesquelles nous avons été intentionnellement trompés par les autorités de santé publique, et continuons d'être trompés par elles, est de créer un marché pour une vaccination contre Covid. Il y a des milliards de dollars de profits là-dedans, et Big Pharma les veut. Les liens financiers entre les autorités de santé publique et Big Pharma signifient que l'OMS, les NIH et les CDC souhaitent également des vaccinations de masse. S'il n'y a pas assez de gens effrayés pour se faire vacciner volontairement, il y a de fortes chances que les vaccins soient rendus obligatoires ou que votre capacité à voyager, etc., dépende de la vaccination.
Une autre raison intentionnelle de notre tromperie est que la menace Covid justifie le vote par courrier depuis la sécurité de son domicile. Le vote par correspondance signifie qu'aucun gagnant ne peut être déclaré le soir de l'élection. Les votes par correspondance devront être comptés au fur et à mesure qu'ils arrivent. Le retard dans la déclaration d'un vainqueur des élections laisse le temps de faire plus de propagande selon laquelle Trump a (1) truqué frauduleusement sa réélection ou (2) a perdu et ne démissionnera pas. Alors que les presstituts parlent d'une seule voix orchestrée, que Trump gagne ou non sera enterré dans des informations selon lesquelles il a perdu et refuse de démissionner ou qu'il a gagné par fraude.
Même si Trump survit à la révolution des couleurs prévue pour lui, il sera attaqué en tant que président illégitime, tout comme il l'était lors de son premier mandat lorsqu'il aurait été élu par «ingérence russe». Cela suffira à empêcher un renouvellement de son attaque contre l'establishment mondialiste - écoutez son premier discours inaugural - et à mettre de nouveau à l'écart son désir de servir la paix en réduisant les dangereuses tensions avec la Russie, une politique qui prive le complexe militaire / sécuritaire de sa valeur. ennemi.
Comme l'ont appris les présidents John F. Kennedy et Ronald Reagan, la réduction des tensions avec la Russie menace le budget et le pouvoir du complexe militaire / sécuritaire contre lequel le président Eisenhower a mis en garde les Américains. Ce complexe a plus de pouvoir que le président des États-Unis. Comme personne ne croirait plus une autre explication «d'assassin solitaire», Trump est assassiné avec de fausses accusations et une révolution des couleurs. Pendant un certain temps, Trump a utilisé Twitter pour réfuter les fausses accusations, mais maintenant, le président des États-Unis est censuré par Twitter.
Lorsque la révolution de la couleur frappera, Trump ne pourra pas communiquer avec le peuple américain via la presse écrite, la télévision, la NPR ou les médias sociaux. Il n'y aura que des accusations contre Trump, et aucune réponse de sa part.
Les démocrates affirment que, lorsque le ministre des Postes est nommé par Trump, il truquera les votes par correspondance en ne délivrant pas les votes des États bleus. Pourtant, les sondages montrent que la grande majorité des démocrates votent par correspondance et que pratiquement aucun républicain ne le fait. C'est parce que le syndicat postal est un syndicat du secteur public et appartient aux démocrates. Les postiers ont déjà leurs instructions: ne délivrez pas de votes dans les zones rouges. De toute évidence, aucun démocrate ne voterait par correspondance s'il pensait que le ministre des Postes avait le moindre contrôle sur la livraison du courrier. Les républicains savent que l'union postale ne prononcera pas leurs votes et votent en personne. (Des milliers de votes non livrés et non ouverts de 2018 ont été trouvés dans une décharge).
Cela devrait signifier que le soir des élections, Trump remportera une énorme victoire, mais le retard pour compter les votes par correspondance donne aux démocrates le temps nécessaire pour déterminer l'ampleur du vote par correspondance pour gagner ou contester l'élection.
RépondreSupprimerCe ne sont pas seulement les votes par correspondance, mais aussi les bulletins de vote par correspondance qui ne sont pas livrés.
Une troisième raison de la fausse représentation intentionnelle de la menace Covid est de construire l'État policier croissant sur plus d'intrusions dans la vie privée. La menace pour la santé publique est utilisée pour imposer des intrusions inconstitutionnelles qui ferment des entreprises privées ou les forcent à fonctionner à 50% de leur capacité, les conduisant ainsi à la faillite et détruisant le travail des personnes au nom de la santé publique. La menace est également utilisée pour habituer le public à obéir aux mandats de porter des masques qui n'offrent aucune protection. Bien que l'opposition à cette politique néfaste augmente aux États-Unis et soit forte en Allemagne et au Royaume-Uni, la peur de Covid qui a été endoctriné a poussé la plupart des populations à se comporter comme des lemmings. Les gens sont formés pour obéir aux décrets qui leur nuisent.
Examinons maintenant la fausse représentation de la menace Covid elle-même.
De nombreux professionnels de la santé ont montré, avec des preuves, que la menace Covid a été largement surestimée. Selon les propres données du CDC, sur les 200 000 Américains présumés tués par Covid, seuls 9 000 l’ont été. Les autres avaient 2,6 comorbidités qui en fait les tuaient. Le CDC rapporte que dans seulement 6% des décès signalés par Covid, Covid était la seule cause. Pour 94% des décès de Covid, il y avait en moyenne 2,6 comorbidités ou causes supplémentaires de décès.
(Exemples de comorbidités)
Le CDC conclut que les taux de mortalité initiaux ont été surestimés. Si vous avez le virus, le CDC rapporte le taux de survie par groupe d'âge. Comme je lis le rapport, les pourcentages sont tous les décès Covid, y compris ceux avec une moyenne de 2,6 comorbidités.
Regarde ça.
En plus des morbidités existantes, beaucoup de personnes décédées des suites de Covid sont décédées des ventilateurs ou du refus d'un traitement HCQ. HCQ, un remède sûr et certain, a été diabolisé par les responsables de la santé publique en alliance avec Big Pharma et les presstituts, car il est peu coûteux et dans la voie des bénéfices des vaccins. S'il existe un remède, il n'y a pas besoin d'un vaccin qui, selon certains experts, sera plus dangereux que Covid lui-même. (Les médecins de Floride affirment avoir trouvé un deuxième remède)
La menace Covid est maintenue en vie par les presstituts et les responsables de la santé publique jusqu'à ce qu'un vaccin puisse être développé. La dernière affirmation est que le retour des jeunes dans les collèges a relancé la contagation et la propager à la population adulte dans une deuxième vague. Cette «menace» est un canular orchestré. Selon les données, les 48 299 cas de Covid-19 signalés dans 37 universités américaines sont associés à seulement deux hospitalisations et à zéro décès.
RépondreSupprimerIl est question de revenir aux verrouillages et d'exigences de masque plus strictes. Tout cela pour garder les gens, en particulier les personnes âgées, effrayés et favorables à la vaccination. Les tests appropriés du vaccin sont suspendus dans le but de le précipiter sur le marché avant que Covid ne disparaisse.
Le Dr Mike Yeadon, ancien directeur scientifique du géant de la Big Pharma Pfizer, affirme que la pandémie est terminée et que le test Covid produit des «faux positifs» et n'indique pas une infection par Covid. Le Dr Yeadon a déclaré que nous fondons une politique gouvernementale, une politique économique et une politique des libertés civiles sur «ce qui pourrait bien être des données complètement fausses sur ce coronavirus». Selon le Dr Yeadon, une «deuxième vague» et «tout argument gouvernemental en faveur des verrouillages, étant donné les principes bien connus de l'épidémiologie, sera entièrement fabriqué».
Il est clair que la menace Covid a été surestimée à un prix très élevé. Le corps médical belge a exigé l'arrêt de la propagande Covid.
Bien sûr, Big Pharma et ses shills tels que Fauci, Redfield et les presstituts continueront à maintenir vivante la «crise de Covid» car elle est essentielle aux bénéfices des vaccins de Big Pharma, à la révolution de couleur des démocrates contre le président Trump et à la formation de les populations à accepter davantage de contrôle gouvernemental sur leur vie.
https://www.lewrockwell.com/2020/09/paul-craig-roberts/the-covid-deception/
Ce que vous devez savoir sur la loi de 1986
RépondreSupprimerPar Joseph Mercola
Mercola.com
29 septembre 2020
Dans cette interview, le Dr Andrew Wakefield discute du documentaire1 «1986: The Act», qu'il a produit. Il a également co-écrit et réalisé le film de Del Bigtree «Vaxxed», qui révèle le complot au sein des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis pour retenir des informations sur les méfaits des vaccins.
Wakefield fait actuellement une tournée de promotion de «1986: The Act», qui est le meilleur documentaire que j'aie jamais vu sur ce sujet. C'est également l'un des deux longs métrages inclus dans le prix du billet pour la conférence publique internationale du Centre national d'information sur les vaccins sur la vaccination 2, qui se tiendra en ligne du 16 au 18 octobre 2020.
Si vous ne vous êtes pas encore inscrit à cet événement, je vous encourage à le faire maintenant. Si vous souhaitez regarder le film maintenant, il est disponible en ligne sur 1986theact.com. Une bande-annonce est fournie à la fin de cet article.
La controverse de Wakefield
Wakefield, comme beaucoup d'entre vous le savent, a été un personnage controversé dans le domaine des vaccins. Il a été vilipendé comme peu d'autres, au point de perdre sa licence médicale - tout cela parce qu'il a publié, avec 12 autres médecins, une étude de cas suggérant qu'il pourrait y avoir une association possible entre le vaccin contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) et le développement de l'autisme chez certains enfants. Dans l'interview, Wakefield donne sa version de l'histoire:
«J'ai obtenu mon diplôme en 1981 du Royal Free Hospital de Londres. J'avais suivi une formation de chirurgien et je suis entré en gastro-entérologie. Mes principaux intérêts étaient les maladies inflammatoires de l'intestin, et j'ai fini par diriger une grande équipe de recherche, environ 19 d'entre nous au Royal Free Hospital de Londres, qui fait partie de l'Université de Londres.
Je me suis intéressé aux origines virales possibles de la maladie de Crohn et de la colite ulcéreuse, ce qui m'a conduit à me pencher sur le virus de la rougeole. Après avoir publié un article dans The Lancet en 1995, j'ai reçu un appel d'une mère qui m'a dit que son enfant se développait normalement, puis a reçu son vaccin ROR et a régressé très, très rapidement dans l'autisme après [avoir vécu] ce qui s'est avéré être une encéphalite.
Il avait également de terribles symptômes intestinaux, des problèmes gastro-intestinaux, un retard de croissance, des douleurs, des ballonnements, de la diarrhée, et c'est la raison pour laquelle elle a pris contact avec moi. Elle était convaincue qu'il y avait un lien entre l'intestin et le cerveau ...
Nous avons donc pris cela très au sérieux. Nous avons enquêté sur son enfant et elle avait tout à fait raison. Nous avons enquêté sur un grand nombre d'enfants, et ils avaient en effet une maladie inflammatoire de l'intestin, et c'était fascinant. Le corps médical l’avait rejeté et avait dit non, c’est juste une partie de l’autisme. En fait, ce n’était pas le cas.
C'était une véritable pathologie, mais surtout, lorsque nous corrigions ou améliorions cette pathologie avec un régime alimentaire ou des anti-inflammatoires, non seulement les problèmes gastro-intestinaux se sont améliorés, mais le comportement et les symptômes autistiques se sont également améliorés ...
RépondreSupprimerNous l'avons fait 180 fois et cela s'est produit pratiquement à chaque fois. Donc, les parents avaient absolument raison.
Nous avons donc dû prendre très, très au sérieux le lien proposé entre le vaccin ROR et la régression, et c'était bien sûr un anathème pour la santé publique, pour le Royal College of Pediatricians, pour le CDC, pour à peu près le monde entier de la médecine, et certainement, bien sûr, à l’industrie pharmaceutique chargée de fabriquer ces vaccins…
Mais ce n'était ni ici ni là. Nous avions une obligation envers les enfants et remplir cette obligation a conduit à une atténuation de ma perspective de carrière… Nous avions un travail à faire et nous avons fait le travail. Après qu'ils m'ont empêché de faire le travail que j'avais prévu de faire, j'ai décidé de devenir cinéaste ... j'avais ces histoires extraordinaires, et j'ai pensé que le moment était venu de commencer à raconter ces histoires au cinéma, et c'est là que je me trouve maintenant."
Le pouvoir du cinéma
Un autre film réalisé par Wakefield est "Qui a tué Alex Spourdalakis?" C’est l’histoire tragique d’un enfant détruit par le système médical. Après s'être vu prescrire 28 médicaments psychotropes et avoir été enchaîné à son lit, le garçon a finalement été tué par sa mère lorsqu'elle s'est suicidée pour lui éviter d'autres douleurs. Le film s'est avéré si puissant, après que le procureur de l'État de l'Illinois a vu le film, il a décidé de la libérer de prison.
«C'était la première fois dans l'histoire américaine qu'un film commute ce qui était en fait une peine à perpétuité», dit Wakefield. «C'était extraordinaire, et cela m'a fait réaliser que le cinéma est quelque chose qui peut transmettre à beaucoup de gens un ensemble extraordinaire de vérités qui peuvent changer leur façon de penser sur un certain sujet.
1986: La loi
«1986: The Act», est une description historique de la naissance de la National Childhood Vaccine Injury Act de 1986 et de la manière dont elle a radicalement changé à jamais le paysage des vaccins. Il est méticuleusement documenté et, comme un roman policier, emmène le spectateur à travers les nombreux rebondissements qui nous ont amenés là où nous en sommes aujourd'hui. Comme l’a expliqué Wakefield, c’est une histoire complexe de législation, de litige et de science médicale.
«En tant que cinéaste, vous avez ce défi extraordinaire de livrer cela au public, dont beaucoup ne savent rien à ce sujet, d’une manière qu’ils comprendront. C'était un vrai défi… car cela aurait pu endormir même le fan le plus ardent en 10 minutes en essayant de raconter cette histoire », dit-il.
Le film suit un mari et une femme alors qu'ils attendent leur premier bébé, tard dans la vie, et emmène le spectateur dans le voyage qu'ils traversent alors qu'ils commencent leur enquête sur les vaccins.
«Au départ, c’est le même débat que tant de familles autour de la table de cuisine tous les soirs ont dans tous les pays du monde en ce moment, et c’est: que faisons-nous de la vaccination ? Il y a tellement de controverse, il y a ceci pour et cela contre, et mon ami dit ceci, et ma sœur dit cela.
Maintenant, nous, le public, sommes soudainement fiancés parce que ce couple, c'est nous. Ils sont là où nous avons été. Ils posent les questions que nous avons posées, et tout à coup, nous nous en soucions. Nous nous soucions parce que leur voyage est notre voyage, leur résultat est notre résultat. Donc, nous sommes assis en avant dans nos sièges, voulant en savoir plus, et cela devient tellement plus engageant.
RépondreSupprimerIl y a deux éléments dans l'histoire. Premièrement, c’est l’histoire de ce qui se passe lorsque vous retirez une industrie et des produits des contraintes du marché libre. Le marché libre fonctionne pour promouvoir le succès de bons produits et lorsqu'un produit est mauvais ou dangereux, il sombrera au fond et soit les entreprises s'améliorent, soit elles périssent.
Lorsque vous retirez un produit de ce marché libre, éloignez-vous de ces contraintes telles qu'il n'y a aucune incitation à la sécurité, là où il y a un marché obligatoire et aucune responsabilité, alors vous avez une catastrophe.
Pour l'industrie, vous disposez d'un modèle commercial parfait. Tout ce qu'ils peuvent faire, c'est réaliser un profit énorme. Ils n’ont pas à faire les études de sécurité correctement, ils n’ont aucune responsabilité, et faire des études de sécurité correctement est découragé.
Pourquoi ? Parce que vous ne voulez pas investir d’argent pour identifier un événement indésirable grave susceptible d’affecter vos résultats. Donc, vous n’allez pas faire ces études de sécurité, et c’est une situation à laquelle nous faisons face actuellement dans ce pays.
Mais c’est pire que ça. Ce que le film montre, c'est comment, lorsque cette loi a été adoptée, les agences de régulation, le CDC, la FDA, le NIH n'en voulaient pas. Ils ne le voulaient pas parce que chaque fois qu’un enfant était indemnisé, cela signifiait que les vaccins pouvaient nuire, ils pouvaient tuer, et nous ne voulons pas que le public le sache. Comment allons-nous empêcher cela?
Ainsi, ils ont conspiré avec l'industrie pour démolir, saboter tout ce que le Congrès avait mis en place pour garantir une réglementation appropriée, des études de sécurité appropriées, une vérification adéquate des événements indésirables graves, des événements indésirables en général et rendre les vaccins plus sûrs. Il n'y avait rien de tout cela.
Donc en ce moment, nous nous trouvons dans cette situation extraordinaire où face à une nouvelle pandémie, COVID-19, nous avons la menace de mandats mondiaux de vaccination pour tout le monde, sans exception, et aucune étude de sécurité de quelque mérite que ce soit.
En fait, les quelques études de sécurité qui sont en cours révèlent déjà de graves événements indésirables neurologiques, et aucune possibilité d'indemnisation pour toute personne endommagée par ces vaccins dans ce qui est maintenant la loi PREP, qui est remplacée ou poursuivie depuis la National Childhood Vaccine Injury Act et c'est encore pire - aucune responsabilité pour quiconque dans cette chaîne d'approvisionnement de ces nouveaux vaccins Frankenstein dangereux non testés, qui se révèlent déjà gênants.
La pandémie de grippe porcine de 1976 a ouvert la voie à la protection contre la responsabilité
Dans l'interview, Wakefield examine comment la pandémie de grippe porcine de 1976 a contribué à ouvrir la voie à la loi nationale de 1986 sur les vaccins chez les enfants et à la mise en œuvre du programme national d'indemnisation des blessures liées aux vaccins (NVICP) .3 À bien des égards, la pandémie de grippe porcine de 1976 est la pandémie ressemblant le plus à celle du COVID-19, en ce qu'elle a suscité une peur énorme, qui a conduit à la création précipitée d'un vaccin.
Les Américains ont été fortement encouragés (mais pas forcés) à se faire vacciner. Beaucoup sont décédés ou ont été gravement blessés par ce vaccin, ce qui a entraîné des dommages-intérêts totalisant environ 3 milliards de dollars. Le fiasco du vaccin contre la grippe de 1976 a été crucial en ce qu'il a modifié de façon permanente la perception des risques liés aux vaccins pour les politiciens et les sociétés pharmaceutiques. Comme l'explique Wakefield:
RépondreSupprimer«Les compagnies d’assurance ont refusé de souscrire ces vaccins parce qu’ils avaient été précipités sur le marché, et l’industrie pharmaceutique a dit à l’administration Ford:« Si vous voulez que les gens reçoivent ce vaccin, vous devez souscrire une responsabilité »…
L'administration Ford était persuadée que la [pandémie] allait tuer des millions d'Américains s'ils ne se précipitaient pas avec ce vaccin qui n'avait pas été testé, et l'industrie exigeait une protection en matière de responsabilité, et c'était le premier sang dans l'eau. …
Le vaccin a été une catastrophe. De nombreux enfants étaient paralysés. Beaucoup sont morts des suites de ce vaccin et l'industrie a échappé à toute responsabilité. Cela a coûté aux contribuables.
Cela a créé plusieurs choses. Dans l'esprit de l'industrie, ils ont réalisé à quel point la peur était un facteur de motivation, un outil de marketing puissant. S'ils pouvaient engendrer la peur chez les politiciens, ils pourraient se frayer un chemin dans tout ce qu'ils voulaient, et nous l'avons vu maintes et maintes fois depuis.
C'était aussi, comme je l'ai dit, le premier sang dans l'eau pour la protection de la responsabilité. Si nous pouvons faire cela pour le vaccin contre la grippe et que le gouvernement veut que les enfants reçoivent tous ces autres vaccins, nous pouvons le faire pour ces autres vaccins également, et nous pouvons éviter toute responsabilité.
Donc, en ce qui concerne le vaccin anticoquelucheux à cellules entières, qui était le gros problème à l'époque, causant la mort et des lésions cérébrales chez les enfants, ils ont dit: `` OK, si vous voulez que les enfants reçoivent ce vaccin, ce n'est pas un gros profit. incitation pour nous. Nous allons nous retirer du marché à moins que vous ne nous accordiez une protection en matière de responsabilité, car nous l'avons rendu aussi sûr que possible. »
C'est le mensonge qui a été dit au gouvernement, et bien sûr, une fois de plus, la peur de la résurgence de la coqueluche et de la mort possible d'enfants a conduit le gouvernement à être contraint, à être soumis au chantage de l'industrie, à signer le National 1986 Loi sur les blessures aux vaccins chez les enfants. »
La vie d’enfants sacrifiée pour un sou
«1986: The Act» révèle - grâce à des documents de découverte de Mike Hugo, l’avocat du plaignant au tribunal des vaccins - que la National Childhood Vaccine Injury Act et la protection de responsabilité qu’elle fournit aux fabricants de vaccins sont fondées sur un grand mensonge.
Le vaccin contre la coqueluche n'avait pas été rendu aussi sûr que possible. En fait, le fabricant de vaccins avait un brevet pour un vaccin plus sûr en 1937, mais il allait leur coûter une fraction de cent de plus pour fabriquer ce vaccin. Ainsi, ils ont continué à distribuer le vaccin anticoquelucheux à cellules entières plus dangereux. Littéralement, la vie d’enfants a été sacrifiée pour ce qui équivaut à quelques centimes.
«C'est une histoire extraordinaire, et les gens ont besoin de la voir pour comprendre le caractère des industries avec lesquelles nous traitons», dit Wakefield, «parce que nous sommes maintenant confrontés au même genre de situation où tout le monde sent du sang dans l'eau - tous de ces industries, d'AstraZeneca, à GlaxoSmithKline, à Merck, à Pfizer - elles se lancent toutes dans ce domaine pour faire une offre pour que le vaccin COVID soit nettoyé à l'échelle mondiale lorsque nous n'avons pas du tout besoin d'un vaccin.
RépondreSupprimerEn effet, cela s’avère être une catastrophe. Mais si nous voulons comprendre où nous en sommes, nous devons comprendre d’où nous venons.
Nous devons comprendre que cela s'est produit maintes et maintes fois et que cela continuera à se produire tant que nous resterons terrifiés par la notion de fléau qui nous est livrée par le CDC et l'industrie dans le cadre d'une démarche marketing intelligente et très simpliste. Nous devons comprendre les problèmes et le film aide à comprendre les problèmes. "
La loi offre peu de protection ou d'avantages
Comme l'explique Wakefield, dans les années qui ont suivi sa promulgation en 1986, la National Childhood Vaccine Injury Act a été si pervertie et corrompue qu'aujourd'hui, elle n'offre que peu ou pas de protection ou d'avantages aux personnes blessées par des vaccins sans responsabilité.
Le HHS garde le silence sur la disponibilité du programme de compensation des vaccins, car ils savent que s'ils disent aux gens que les vaccins peuvent réellement nuire, les gens résisteraient à la vaccination.
Tout d'abord, l'existence même du programme de compensation a été supprimée. Peu de gens savent même qu’il existe, alors quand eux-mêmes ou un membre de leur famille sont blessés, ils ne se rendent pas compte qu’ils ont le droit de demander réparation.
Le département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS) est censé informer le public sur le programme, mais il refuse de remplir le mandat du Congrès et d'informer les gens de l'existence de ce programme. «Ils gardent le silence parce qu'ils savent que s'ils disent aux gens que les vaccins peuvent réellement faire du mal, alors les gens résisteraient à la vaccination», dit Wakefield.
Le système de notification des événements indésirables oublie 99% des événements indésirables
Deuxièmement, les dispositions relatives à l'information, à l'enregistrement, à la notification et à la recherche sur l'innocuité des vaccins ont été garanties dans la loi par les parents d'enfants blessés par la vaccination, mais, après l'adoption de la loi, la plupart de ces dispositions ont été considérablement affaiblies par le Congrès par des amendements à la loi ou par l'application de la règle du HHS. donner le pouvoir d'obtenir les dispositions de sécurité.
Un système centralisé de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) a été créé dans la Loi qui a mandaté les médecins et autres vaccins pour signaler au gouvernement fédéral les hospitalisations, blessures et décès liés au vaccin. Malheureusement, comme le Congrès n'a imposé aucune sanction aux médecins et autres fournisseurs de vaccins s'ils ne signalaient pas les réactions vaccinales au VAERS, moins de 1% de toutes les réactions vaccinales qui se produisent sont choquantes jamais signalées au gouvernement. Comme l'a noté Wakefield:
«[Le CDC] a fait une étude avec Harvard Pilgrim pour l'automatiser, pour informatiser [le système VAERS]. Quand ils ont fait cela, ils ont détecté un grand nombre de réactions indésirables, de sorte que plus d'une personne sur 50 souffrait de réactions indésirables aux vaccins… et celles-ci n'ont jamais été enregistrées.
RépondreSupprimerLorsque les CDC ont appris ces résultats, plutôt que de prendre des mesures pour faire les recherches nécessaires pour savoir combien d'enfants étaient blessés afin de prévenir les réactions vaccinales, ils ont fondamentalement ignoré le rapport de Harvard Pilgrim et n'ont pas ouvertement divulgué les résultats initiaux.
Le HHS a retiré les blessures courantes liées aux vaccins du tableau des blessures
Troisièmement, le HHS a également vidé le tableau des blessures dues aux vaccins, qui répertorie les types de blessures reconnues comme étant des blessures «courantes» dues aux vaccins. Si une blessure est inscrite sur le tableau, l'individu recevra automatiquement une compensation sans avoir à passer par le processus juridique complet.
«Eh bien, le CDC détestait ça», dit Wakefield. «Cela reconnaissait automatiquement que les vaccins pouvaient causer des blessures graves et la mort et que les enfants seraient indemnisés.
Ainsi, quand Donna Shalala a pris la tête du HHS, elle a vidé cette table… et a retiré les blessures qui étaient courantes pour qu'elles ne soient pas automatiquement indemnisables; de sorte que les parents devraient prouver - avec un très haut degré de certitude juridique - que leurs enfants avaient subi ce préjudice à la suite du vaccin.
Comment pourraient-ils faire ça? Comment les parents pourraient-ils opposer leurs connaissances telles qu'elles sont à la puissance des sociétés pharmaceutiques, du ministère de la Santé et des Services sociaux et du ministère de la Justice? Ils ne pouvaient pas le faire, et c'était presque une prédétermination qu'il n'y aurait jamais de compensation. "
Autisme reconnu, puis révoqué
Comme l'a noté Wakefield, le tribunal chargé des vaccins a commis une «erreur» grave en indemnisant Hannah Poling pour une nouvelle blessure. Ce faisant, ils ont créé un précédent et ils n'avaient aucune idée de la fréquence de son état. Quand il est apparu sur eux, il fallait faire quelque chose pour minimiser les véritables ramifications de l'affaire.
«[Poling] avait un trouble mitochondrial ou une prédisposition mitochondriale à développer une réaction indésirable grave et grave au vaccin. Ils ne savaient pas combien d'enfants autistes avaient le même trouble de dysfonctionnement mitochondrial », dit Wakefield.
«Le ministère de la Justice alors ... en collusion avec les maîtres spéciaux qui sont en charge du tribunal des vaccins, a délibérément manipulé les documents juridiques où il déclare qu'il s'agit d'une blessure hors table, un précédent, qui pourrait ouvrir la boîte de Pandore pour HHS par identifier des milliers d’enfants qui ont automatiquement droit à une indemnisation.
Ils ont changé les petits caractères pour qu'ils deviennent alors simplement des lésions cérébrales d'un ancien vaccin ordinaire, rien de spécial, rien de nouveau, pas un précédent. C'était délibéré. C'était le risque le plus extraordinaire de la part des avocats chevronnés et d'autres membres du ministère de la Justice - prendre ce risque au nom du programme de vaccination et refuser l'indemnisation des enfants.
Il faut qu'il y ait une responsabilité. Il faut des poursuites. Ces gens doivent être considérés comme une honte pour l'Amérique, pour leur profession, pour leur rôle gouvernemental dans la protection des citoyens de ce pays. C’est absolument épouvantable, et cela continue encore et encore.
RépondreSupprimerLe film est plein des actes de fraude, de tromperie les plus odieux, se situe au plus haut niveau, et vraiment, la clé de ce film est qu'il conduit à la responsabilité. On ne peut pas simplement laisser cela passer sous le tapis, et par conséquent, il doit être rendu aussi public que possible, et cela doit avoir une influence sur les prochaines élections.
Il doit influencer les politiciens de la manière qu'ils doivent maintenant agir au nom des intérêts des enfants qu'ils représentent et non des compagnies pharmaceutiques qui paient leurs frais de campagne.
C'est absolument essentiel, et c'est mon message direct sur la route à tous les Américains: vous devez voter pour ... les dirigeants qui défendront vos enfants face aux pressions, aux pressions financières, aux pressions politiques, des lobbyistes de l'industrie pharmaceutique.
Qu'est-ce qui nous attend avec le vaccin COVID-19 ?
En conclusion, nous discutons des ramifications potentielles d'un programme de vaccination de masse contre le COVID-19. Il y a déjà des signes déconcertants que ces nouveaux vaccins à ARNm accélérés sont une tragédie en devenir, à la suite de la campagne de vaccination contre la grippe porcine de 1976.
AstraZeneca a récemment interrompu ses essais de vaccins mondiaux après qu'un de ses participants britanniques ait développé une myélite transverse.
Il est important de noter que la myélite transverse est une blessure de table indemnisable reconnue pour un vaccin, il n'y a donc vraiment aucun moyen de nier un lien potentiel avec le vaccin - mais ils l'ont fait, en le rejetant avec un rapport selon lequel la réaction était «soit considérée comme peu probable d'être associée au vaccin. ou il n'y avait pas suffisamment de preuves pour dire avec certitude que les maladies étaient ou non liées au vaccin. »4
Notez que le commentaire mentionne «maladies» au pluriel - car il s'avère qu'il y a eu un événement neurologique similaire avec l'un des participants à l'essai clinique de la société en juillet. Cet événement a été attribué à un cas préexistant, mais «non diagnostiqué auparavant» de sclérose en plaques. Ceci - dans un participant à un essai clinique qui aurait été soigneusement examiné et jugé en bonne santé avant d'être accepté dans les essais. En ce qui concerne le cas de la myélite transverse, Wakefield a noté:
«Cela devrait en fait être la mort de ce vaccin sur place, car vous pouvez extrapoler à partir de ce cas à une population mondiale recevant ce vaccin, et voir des millions de personnes paralysées et tuées ...
J'ai de sérieux doutes sur ces vaccins. Nous examinons les complications à court terme [dans les essais de vaccins]. Vous et moi savons que les maladies auto-immunes ne commencent peut-être pas avant des mois, des années après l'exposition, mais vous êtes sur le point de développer cette maladie auto-immune en raison de l'exposition au vaccin.
Nous allons voir une accumulation d’événements indésirables chez les jeunes en bonne santé à mesure que nous progressons. Certaines personnes se précipiteront encore pour obtenir ce vaccin parce que tel est le niveau de peur engendré par les médias et le gouvernement. Tout ce que je peux faire, c'est leur souhaiter bonne chance, mais dans les termes néo-darwiniens les plus durs. J'ai peur que ce soit la manière du monde.
RépondreSupprimerQuoi qu'il en soit, je suis un fervent partisan de l'immunité naturelle. Nos systèmes immunitaires sont, du moins l'étaient, jusqu'à ce qu'ils soient attaqués par des vaccins, suffisamment robustes pour faire face à ce genre d'insultes, et il existe de nombreuses autres façons de protéger une population qui n'impliquent pas de s'approcher d'un vaccin.
Où regarder «1986: la loi»
- voir clip sur site :
https://www.lewrockwell.com/2020/09/joseph-mercola/what-you-need-to-know-about-the-act-of-1986/
Le mandat des véhicules électriques en Californie pourrait «conduire à un désastre» pour le réseau électrique déjà fragile de l'État
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 28/09/2020 - 18:40
Maintenant que les législateurs géniaux californiens ont exigé que toutes les voitures de l'État soient électriques d'ici 2035, il semble que le moment soit venu de se demander ce que cela va faire exactement au réseau électrique déjà fragile de l'État.
Dans ce qui sera probablement une surprise pour les législateurs qui, nous pouvons presque garantir, n'y ont pas pensé à l'avance, il s'avère que l'électrification de tous les véhicules de l'État pourrait être "un énorme fardeau" sur le réseau de l'État, selon Bloomberg.
En fait, le décret de la semaine dernière pourrait faire grimper les demandes de pouvoir dans l'État de 9,5% au cours des 10 prochaines années et de 25% d'ici 2035. Cela pourrait être un scénario de «cauchemar» pour un État où le pouvoir est souvent si restreint que les pannes de courant continuelles sont ordonnées pour empêcher le système de s'effondrer pendant les vagues de chaleur.
De plus, si tout le monde devait brancher son véhicule en même temps, la nuit, le problème pourrait être concentré et même pire.
Erica Bowman, directrice de la planification et de la stratégie des ressources et de l'environnement au service public Southern California Edison a déclaré: "Cela pourrait aller dans les deux sens. Cela dépend vraiment de la planification."
Ce que signifie la planification, c'est l'idée que les gens devraient échelonner quand et comment ils branchent leur véhicule pour le recharger, en tenant compte du moment où l'énergie solaire de l'État entre et lorsque l'énergie éolienne atteint son maximum. Ah oui, quelle merveilleuse qualité de vie offre la Californie, où vous devrez bientôt demander la permission de brancher votre voiture juste pour aller du point A au point B.
Tout le monde branchant sa voiture à 18 heures après le travail pourrait "conduire au désastre", selon le rapport. C'est au même moment que tout le monde décide également d'allumer sa climatisation, ses poêles et ses téléviseurs. Dans le même temps, l'énergie solaire plonge vers le coucher du soleil, obligeant les usines à gaz à prendre le relais. Si les usines à gaz sont en panne ou s'il n'y a pas d'importations disponibles, vous vous retrouvez avec un scénario de panne de courant continu, comme l'État l'avait fait le mois dernier.
Jules Kortenhorst, directeur général du Rocky Mountain Institute, a déclaré que les voitures devront «parler au réseau» pour déterminer le meilleur moment pour se recharger: «La voiture parlera au réseau. «Il est 18 heures. Attendez 15 minutes, car je suis un peu craqué. "Vous ne passerez pas une seconde à y penser."
Les Californiens ont acheté environ 1,9 million de voitures et de camions légers l'année dernière. L'État aura simplement besoin de plus de pouvoir s'il exige qu'ils soient tous des VE à l'avenir. Il devra également déployer des bornes de recharge beaucoup plus rapidement que par le passé.
RépondreSupprimerPedro Pizzaro d'Edison International a conclu: «Ce n'est pas faisable dans un an, mais c'est faisable dans une décennie. Et cela donne à la société le temps de déployer une infrastructure pour les chargeurs et de mettre les consommateurs à l'aise. »
Et les citoyens californiens, qui quittent déjà l'État en masse en raison de la hausse des impôts, devront payer pour tout cela. Mais bon, revenons à sauver la planète à tout prix!
https://www.zerohedge.com/political/california-ev-mandate-could-lead-disaster-states-already-fragile-electric-grid
SupprimerLes Arnold Schwarzenegger et Jerry Brown, ne sont plus là ! Ils ont été payés assez cher pour être à l'aise durant toute leur vie ! reste Gavin Newsom qui s'en met lui aussi plein les poches à vendre des conneries qui n'ont JAMAIS marché, ne marchent pas et ne marcheront JAMAIS !
«Le peuple pourrait se rebeller», alerte un maire de Bretagne où de nombreux emplois ont été supprimés
RépondreSupprimer13:22 29.09.2020
Par Alexandre Sutherland
Depuis la crise liée au coronavirus, de nombreux emplois ont été supprimés en Bretagne, au point qu’un élu de la région a évoqué sur Europe 1 un éventuel soulèvement populaire si rien n’était fait du côté du gouvernement.
Entreprises en difficulté, fermetures d’usines, suppressions d’emplois: la Bretagne est particulièrement touchée par la crise économique et sociale liée à l’épidémie de Covid-19, souligne Europe 1. Les habitants de la région, déjà frappés par des crises précédentes, commencent à sérieusement exprimer leur colère.
«Ça gronde dans le Trégor, ça gronde dans le Léon, et on sent que là, il y a vraiment cette coalition qui est en train de monter très fortement», prévient auprès de la radio le maire de Morlaix (Finistère), Jean-Paul Vermot.
«Le peuple pourrait se rebeller, il est temps que des décisions que nous avons demandées trouvent réponse auprès du gouvernement», ajoute-t-il. Début septembre, il s’était adressé au Premier ministre après avoir appris la suppression de près de 300 emplois en raison de la fermeture du site de Hop!, une filiale d’Air France.
L’économie bretonne menacée
En plus de la décision de la compagnie aérienne, l’usine Nokia à Lannion a également annoncé sa fermeture en juin prochain. Les 900 salariés devront retrouver un travail dans une zone qui pourrait devenir «le triangle des Bermudes de l’emploi», comme l’indique Europe 1. Le risque est réel de voir de nombreux habitants déménager, impliquant donc la fermeture d’écoles et de commerces.
Employeur de 3.000 personnes dans la région, l’entreprise Britanny Ferries à Roscoff subit depuis le début de l’épidémie l’absence des passagers anglais, lesquels craignent d’être placés en quarantaine de retour chez eux. Si aucun licenciement n’a encore été annoncé, les employés en chômage partiel depuis plusieurs mois craignent pour leur avenir et celui de l’entreprise.
«Ce sont des pans entiers de notre économie qui sont menacés», déplore auprès de BFM TV le maire de Carhaix, Christian Troadec.
Face à la situation, ces élus s’en remettent désormais au gouvernement et attendent des annonces concrètes. Lundi 28 septembre, le président du conseil régional de Bretagne, Loïg Chesnais-Girard, a ainsi rencontré Jean Castex afin de trouver des solutions pérennes pour le maintien de l’emploi.
https://fr.sputniknews.com/france/202009291044497977-le-peuple-pourrait-se-rebeller-alerte-un-maire-de-bretagne-ou-de-nombreux-emplois-ont-ete-supprimes/
Madrid éclate alors que les citoyens se heurtent à la police lors d'émeutes anti-lockdown
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 29/09/2020 - 02:45
Londres n'était pas la seule ville européenne où des habitants frustrés sont descendus dans la rue en colère pour protester contre une autre série de verrouillages inspirés du COVID-19. Madrid a vu les manifestations anti-lockdown se transformer en émeutes - comme elles ont été décrites dans la presse espagnole - alors que les affrontements entre citoyens et police devenaient de plus en plus violents.
La semaine dernière, le conseil municipal a imposé de nouvelles restrictions à plus d'un million d'habitants de Madrid, car ils ont porté le nombre de points chauds COVID-19 à 45. Les restrictions localisées sur les déplacements étaient similaires à celles imposées lors du verrouillage au printemps, mais pas aussi dur.
Au cours du week-end, des milliers d'Espagnols ont afflué dans les rues de Madrid. Des dizaines d'habitants ont été impliqués dans de violents affrontements avec la police.
Démontrant que les flics américains n'ont pas le monopole de la brutalité policière, un flic espagnol a été filmé en train de donner des coups de tête à un détenu.
Les protestations ne se sont pas limitées à Madrid. Ils étaient répandus pendant le week-end dans des régions telles que Usera, Puente de Vallecas, Villa de Vallecas, Villaverde, Ciudad Lineal, Vicálvaro, San Blas et Carabanchel.
Plus d'un million de personnes sont soumises aux nouvelles restrictions de verrouillage localisées et ne peuvent quitter leur domicile qu'à des fins professionnelles, médicales ou éducatives et uniquement si elles portent des pièces justificatives. Les travailleurs pauvres et migrants qui dépendent des transports en commun pour accéder à un emploi dans le secteur de la construction disent que ces mesures sont discriminatoires à leur égard.
Les entreprises locales doivent fonctionner à 50% de leur capacité et doivent fermer avant 22 heures. Les rassemblements sont limités à six personnes maximum. Les nouvelles mesures seront revues toutes les 2 semaines.
Madrid est actuellement l'une des villes les plus touchées de toute l'Europe, avec un taux d'infection d'environ 1 000 cas pour 100 000 habitants.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/madrid-erupts-citizens-clash-police-during-anti-lockdown-riots
«Volonté de punir»: Emmanuel Macron multiplie les assassinats à l’étranger, assure une nouvelle enquête
RépondreSupprimer16:17 29.09.2020
Par Youlia Zvantsova
Des opérations de forces spéciales et des frappes ciblées sont ordonnées par le Président de la République pour éliminer à l'étranger des personnes jugées dangereuses pour la sécurité nationale: Vincent Nouzille, un spécialiste de la DGSE, publie un nouveau livre-enquête sur les «tueurs de la République» en prolongement de celui paru en 2015.
Dans sa rubrique Enquête, Le Figaro donne la parole au journaliste indépendant Vincent Nouzille qui se penche sur les opérations militaires d’Emmanuel Macron jugées de plus en plus offensives. Selon lui, le Président a affiché à plusieurs reprises «sa résolution martiale et sa volonté de punir», autorisant les opérations «en série».
«C’est une lame froide», confie un haut gradé militaire qui le côtoie. «Il analyse et tranche vite», ajoute un de ses conseillers. «Il assume pleinement ses responsabilités constitutionnelles de chef des armées, avec toute la gravité que cela implique, sans hésitation», précise la députée LREM Françoise Dumas, présidente de la commission de la Défense à l’Assemblée nationale.
Emmanuel Macron n’hésite pas à employer la force, que ce soit en ordonnant des raids des forces spéciales et des frappes ciblées contre Daech* ou en renforçant le contingent de Barkhane au Sahel. Selon Vincent Nouzille, le patron de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) est autorisé à lancer des opérations clandestines dites «d’entraves», qui peuvent aller jusqu’à des éliminations de certains djihadistes, des opérations entamées sous François Hollande et poursuivies par Emmanuel Macron.
«C’est un engagement fort, pour faire face à tous les types de conflits », estime Françoise Dumas.
Le Président suit les opérations en temps réel avec l’aide de son nouveau chef d’état-major particulier, l’amiral Jean-Philippe Rolland, qui reste en contact permanent avec la ministre des Armées, Florence Parly, son cabinet et l’état-major des armées. Le Conseil de défense devient hebdomadaire et Emmanuel Macron lit chaque jour une note de synthèse de renseignement. Les patrons des six principaux services de renseignement se réunissent tous les 15 jours autour du coordonnateur et échangent régulièrement avec le Président, ce dernier étant également en ligne directe avec le directeur de la DGSE.
Enfin, Emmanuel Macron est capable de déclencher des opérations radicales, qu’elles soient menées de manière discrète, par les forces spéciales en uniforme sous l’égide du Commandement des opérations spéciales (COS), ou de façon clandestine, par les commandos du Service Action (SA) de la DGSE.
Pour ces opérations ciblées, la France a recours aux drones Reaper qui n’étaient pas armés sous François Hollande pour des raisons éthiques, rappelle le journaliste. En septembre 2017, Emmanuel Macron donne son feu vert pour que les Reaper puissent être, à l’avenir, dotés de bombes et de missiles. Avec ces engins de guerre presque invisibles, Emmanuel Macron dispose «d’un permis de tuer» sans commune mesure avec celui de ses prédécesseurs, indique l’auteur.
D’ailleurs, Emmanuel Macron promet dès fin 2017 d’augmenter de 1,7 milliard d’euros chaque année les dépenses militaires, pour les porter à 295 milliards dans le cadre de la loi de programmation militaire 2019-2025, adoptée en juillet 2018.
RépondreSupprimerSahel
Ainsi, poursuit l’auteur, quelques jours après l’assassinat, le 9 août dernier, de huit personnes, deux Nigériens et six Français membres de l’ONG Acted, près de Niamey, au Niger, des commandos français héliportés détruisent des camps logistiques de l’État islamique* dans le Grand Sahara (EIGS). En outre, un drone Reaper de l’armée de l’air, qui survole la frontière malo-nigérienne, repère plusieurs individus considérés comme membres des «groupes armés terroristes », l’EIGS* en l’occurrence. Le drone largue une bombe guidée au laser, tandis que deux Mirage détruisent le bivouac vers lequel roulaient les hommes, tuant plusieurs «terroristes».
Emmanuel Macron intensifie les opérations militaires au Sahel. Les soldats de Barkhane et les forces spéciales de la Task Force Sabre reçoivent pour consigne de cibler les chefs des groupes djihadistes. Début 2018, le ministère des Armées communique sur le fait que les forces françaises ont neutralisé 450 djihadistes au Sahel depuis le début de l’opération Barkhane. En 2019, Florence Parly annonce aux sénateurs «la neutralisation de nombreux chefs terroristes», rappelle Vincent Nouzille.
Toutefois, les chefs éliminés sont rapidement remplacés et leurs actions s’intensifient. L’Élysée tient une réunion du G5 Sahel en janvier 2020 et Emmanuel Macron renforce, une nouvelle fois, les opérations militaires. Les frappes aériennes et les raids nocturnes se multiplient durant tout le premier semestre 2020 et se poursuivent durant l’été, ce qui permet d’éliminer au moins 600 djihadistes.
Syrie
Le journaliste évoque également l’opération militaire menée dans le cadre de la coalition internationale en Irak et en Syrie, Inherent Resolve. Lors de la phase finale du siège de Raqqa, début octobre 2017, l’Élysée a donné des consignes pour que les combattants de Daech*, dont beaucoup de Français, ne puissent s’échapper de leur enclave encerclée.
Toutefois, les Forces démocratiques syriennes (FDS) négocient une reddition avec ces combattants et plusieurs centaines d’entre eux quittent la ville, note le journal. Raqqa conquise, la France traque en Syrie les djihadistes étrangers, avant tout les francophones, en vue de limiter au minimum les retours en France.
*Organisation terroriste interdite en Russie
https://fr.sputniknews.com/international/202009291044499243-volonte-de-punir-emmanuel-macron-multiplie-les-assassinats-a-letranger-assure-une-nouvelle-enquete/
États-Unis et Chine: technologies émergentes et course au contrôle de l'avenir
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun, 28/09/2020 - 23:40
Rédigé par Lawrence Franklin via le Gatestone Institute,
Les Etats-Unis sont dans une "guerre technologique" avec la Chine, le vainqueur contrôlera la diffusion mondiale de l'information. Le lauréat rédigera également les règles et normes mondiales relatives aux technologies émergentes dans l'économie numérique.
Le président du Parti communiste chinois (PCC), Xi Jinping, a jeté le gant aux États-Unis dans un discours de mai 2017, où il a présenté le plan pour l'établissement d'une «route de la soie numérique» sous la supervision de la Chine. Le président Xi se rend compte que la dimension informationnelle de la guerre moderne est liée à l'objectif général apparent de la Chine de renverser les États-Unis en tant que leader de l'ordre mondial démocratique libéral existant.
Xi veut apparemment s'assurer une avance de premier plan dans les disciplines émergentes de haute technologie pour créer un sentiment d'inévitabilité quant à la montée de la Chine vers la domination mondiale. Les États-Unis ont encore le temps, le talent et les ressources pour assurer une victoire sur la Chine dans cette course au leadership mondial, à condition que les États-Unis aient la volonté, l'autodiscipline et la flexibilité d'instituer une mobilisation sociale totale sur des décennies.
Des spécialistes de la Chine tels que Gordon Chang et des responsables politiques de l'administration Trump ont cherché à éduquer le public américain sur la façon dont la Chine est devenue un puissant challenger de la primauté mondiale des États-Unis dans les disciplines de haute technologie. Un grand nombre des méthodes par lesquelles la Chine a accédé au statut de candidat comprennent le vol de propriété intellectuelle à grande échelle, avec la complicité, malheureusement, de nombreux Américains; le transfert forcé des secrets d'entreprise des entreprises américaines comme condition préalable à l'activité sur le marché chinois; planification méticuleuse et à long terme pour garantir les priorités nationales de la Chine; le recrutement légal et illégal de talents humains étrangers et le soutien généreux de l'État aux entreprises chinoises de haute technologie.
La Chine a peut-être involontairement alerté le monde libre de son danger actuel en révélant le vrai visage du régime du PCC - pas exactement celui présenté par "Une Chine montante est un ... développement positif non seulement pour la Chine, mais pour l'Amérique" - comme ainsi que ses ambitions mondiales. La Chine a révélé ce vrai visage par un bilan abominable en matière de droits humains, souligné par sa politique génocidaire envers la minorité ouïghoure de Chine dans la province du Xinjiang. L'expansion territoriale agressive de la Chine contre Hong Kong et plusieurs de ses voisins asiatiques - sans parler de la façon dont elle a délibérément exporté le virus de Wuhan à l'échelle internationale tout en fermant les transports pour limiter sa propagation en Chine - a aidé à dépouiller son image soigneusement orchestrée de puissance majeure responsable. et a révélé un état belligérant contrôlé par le PCC.
Aujourd'hui, un médecin et virologue chinois, le Dr Yan Limeng, qui a fui la Chine et se cache aux États-Unis, a déclaré que la Chine avait libéré le virus "intentionnellement" - peut-être, on suppose, comme un moyen de torpiller les perspectives du président Trump. pour sa réélection et ses efforts pour modifier les accords commerciaux qui ont favorisé la Chine de 600 milliards de dollars par an. Pendant ce temps, Twitter a soigneusement supprimé le compte clairement important de Yan.
RépondreSupprimerLa mise en œuvre par la Chine des progrès de la technologie de surveillance pour contrôler sa propre population a également contribué à la transformation négative de l'image internationale de la Chine. Le PCC a utilisé ces avancées pour créer un État de surveillance pour surveiller les actions des citoyens chinois, et de nombreux pays ont acheté des produits de reconnaissance faciale chinois. Ces clients étatiques couvrent toute la gamme des systèmes politiques, des dictatures aux démocraties.
L'intelligence artificielle (IA) est une autre technologie émergente dans laquelle la Chine fait une percée sur le leadership américain signalé. La Chine s'est fixé comme objectif de dépasser les États-Unis en matière d'IA d'ici 2030. L'IA est une discipline scientifique qui apprend aux machines à imiter les actions humaines. De telles applications ont un énorme potentiel pour avoir un impact sur l'efficacité et la précision des systèmes d'armes modernes tels que les missiles. Les exercices d'IA ont produit des résultats comme l'aide à la chirurgie et où les machines ont battu les amateurs d'échecs et de go de classe mondiale.
Cinq facteurs contribuent aux percées en matière d'IA et d'autres technologies émergentes: les brevets, les investissements, le matériel, la main-d'œuvre talentueuse et la recherche universitaire. La Chine et les États-Unis améliorent la capacité de l'IA à saisir la nuance des langues.
La Chine a maintenant dépassé les États-Unis en nombre d'études scientifiques publiées, mais il y a une mise en garde: les publications scientifiques américaines restent, dans l'ensemble, qualitativement supérieures. Ces études aident les États-Unis à garder une longueur d'avance dans les logiciels de base tels que la gestion et le traitement des données informatiques et les logiciels de système d'exploitation.
Une autre discipline critique dans laquelle les États-Unis conservent un net avantage sur la Chine est la technologie des puces à semi-conducteurs, nécessaire à la fabrication de divers appareils électroniques. Le découplage par l'administration Trump de la société chinoise Huawei Technologies Co., Ltd du marché américain a contribué à ralentir les efforts de Pékin pour rattraper les États-Unis dans la technologie des semi-conducteurs. Les matériaux électroniques, les gaz chimiques et la technologie lithographique - tous les composants nécessaires à la production des semi-conducteurs les plus avancés - ne peuvent actuellement être produits que dans les États du monde libre tels que les États-Unis, le Japon et les Pays-Bas.
La manifestation la plus animée et la plus publique de la «guerre technologique» entre les États-Unis et la Chine est peut-être dans l'espace. Cette compétition rappelle peut-être le drame de la «course à l'espace» entre une génération antérieure de superpuissances rivales, les États-Unis et l'Union soviétique. Plutôt que la rivalité entre les États-Unis et l'URSS pour atteindre la lune, le concours actuel entre les États-Unis et la Chine se concentre sur les armes spatiales - et atteindre Mars. La Chine fait des progrès impressionnants dans les opérations spatiales en déployant récemment la constellation BeiDou de 30 satellites, son rival du système américain de positionnement global (GPS). La Chine envisage également de lancer sa propre station spatiale comme alternative à la Station spatiale internationale qui met en évidence la coopération mondiale, en particulier entre les États-Unis et la Russie. De manière inquiétante, la Chine semble redoubler d'efforts pour contrôler la capacité de l'Occident à utiliser des systèmes spatiaux pendant les conflits. Si la Chine parvient à aveugler les systèmes américains par des cyberopérations offensives ou par la destruction pure et simple des systèmes américains par des attaques antisatellites, l'avantage de la guerre actuellement possédé par l'Occident peut être annihilé. La Chine a exécuté une frappe antisatellite réussie dès 2007; il a montré sa capacité en détruisant l'un de ses propres satellites météorologiques vieillissants.
RépondreSupprimerL'informatique quantique est une autre technologie nouvelle avec un énorme potentiel pour résoudre des problèmes mathématiques et scientifiques complexes plus rapidement que les ordinateurs d'aujourd'hui. Alors que les États-Unis prétendent avoir créé le premier ordinateur quantique, la Chine semble être le chef de file dans l'application militaire de cette nouvelle science. La Chine a déjà démontré sa capacité à créer des messages cryptés incassables, une réalisation qui pourrait garder d'autres pays dans l'ignorance des opérations militaires chinoises secrètes planifiées, telles que, par exemple, une invasion de Taiwan.
Les États-Unis sont toujours en tête de la Chine en matière de dépenses de recherche et développement (R&D), mais Pékin a également fait de grands progrès dans ce domaine. Afin de suivre le rythme de l'effort total de la Chine pour dominer les technologies émergentes, une approche bien disciplinée et coordonnée du gouvernement américain, une sorte de «projet Manhattan» dans tous les domaines clés de la haute technologie, pourrait aider. Les coûts pour les États-Unis d'un retard pourraient bien s'avérer catastrophiques.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/us-china-emerging-technologies-and-race-control-future
Brève. Coronavirus en Espagne : le traitement
RépondreSupprimerle 29 septembre 2020
J’ai fini par comprendre pourquoi l’épidémie de SARS-CoV-2 avait été aussi dévastatrice en Espagne et la raison en est très claire. Le beau-frère Canarien d’un ami Français est positif pour le virus (test PCR), il présente tous les symptômes d’une mauvaise grippe et depuis deux semaines son état commence à s’aggraver. Son médecin traitant lui a prescrit de la vitamine C, du paracétamol et de la Ventoline, un truc en spray qu’on prescrit aux asthmatiques, parce qu’il commence à éprouver des difficultés à respirer. Il se trouve donc au début de la phase dangereuse de l’apparition de l’ « orage cytokinique » qui va provoquer des lésions irréversibles des poumons, entre autres dommages variés. Il est trop tard pour qu’il soit traité avec de l’hydroxychloroquine + azithromycine alors que ce traitement est disponible en Espagne mais apparemment pas prescrit par les médecins, pour une raison que j’ose ignorer.
Si tous les malades du SARS-CoV-2 ont été traité ainsi il est facile de comprendre qu’il y ait eu autant de morts en Espagne. Ce pays n’a pas tenu compte de la solide expérience des Chinois ni des préconisations et des études du Professeur Didier Raoult en France. Je souhaite un prompt rétablissement à ce monsieur que je ne connais pas mais je me pose quelques questions au sujet du professionnalisme des médecins qui n’ont pas l’air de tenir compte de l’expérience de leurs confrères. Je rappelle à mes lecteurs que je ne suis pas médecin mais si j’avais fait mes études de médecine j’aurais certainement respecté le serment d’Hippocrate qui stipule clairement ceci : « Je partagerai mes connaissances médicales au bénéfice du patient et pour les progrès des soins de santé ». (Extrait de la déclaration de Genève adoptée en 1948 par l’Association médicale mondiale). Au cours de ses nombreuses conférences au sein de l’IHU de Marseille et lors d’interviews télévisées le Professeur Didier Raoult n’a cessé d’exposer la bi-thérapie conseillée en tout début de maladie conduisant à une guérison en une semaine. Toutes le publications de l’IHU de Marseille sont disponibles en ligne et on y trouve celle-ci : https://doi.org/10.1016/j.tmaid.2020.101791 , d’où provient l’illustration ci-dessous. Le manuscrit avait été soumis pour publication au mois de mai si ma mémoire ne fait pas défaut et le Professeur Raoult avait fait état à plusieurs reprises de l’évolution de la charge virale qui rendait progressivement la bi-thérapie inutile. Il est déplorable de constater que les professionnels de la santé tant en Espagne qu’en France et dans bien d’autres pays européens n’aient tenu compte ni des expériences des Chinois ni de celle de l’IHU de Marseille … pour sauver des vies.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2020/09/29/breve-coronavirus-en-espagne-le-traitement/
'Ancien temps' existait la Nivaquine (dans tous les placards).
SupprimerUn député britannique exhorte les vaccins COVID obligatoires pour quiconque souhaite voyager
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 29/09/2020 - 10:17
Rédigé par Paul Joseph Watson via Summit News,
Un député conservateur a appelé à des certificats de vaccination obligatoires contre les coronavirus distribués par l'armée qui détermineront si les personnes seront autorisées à voyager à l'étranger.
Lors d'un débat au Parlement britannique hier soir, le député Tobias Ellwood a exhorté le Premier ministre à confier aux forces armées britanniques la supervision du processus de déploiement de la vaccination contre le COVID-19.
Notant qu'un vaccin contre le coronavirus était potentiellement dans six mois, Ellwood a déclaré: «Le déploiement de masse d'un vaccin est une responsabilité énorme et nous devons faire les choses correctement.»
Ellwood a déclaré qu'il avait écrit à Boris Johnson pour l'exhorter à donner le pouvoir à un groupe de travail du ministère de la Défense d'expédier les vaccins à travers le pays et de mettre en place des centres de distribution régionaux ainsi que de développer une «base de données nationale pour suivre les progrès et délivrer les certificats de vaccination. . »
Le député a déclaré que les certificats de vaccination "devront probablement être reconnus internationalement pour permettre les voyages, les voyages internationaux."
Ellwood a poursuivi en précisant que les personnes qui prennent le vaccin verront leur vie revenir à la normale tandis que celles qui ne le feront pas seront toujours «soumises à des règles de distanciation sociale».
La perspective de refuser les droits fondamentaux de mobilité et de voyage aux personnes qui refusent de se faire vacciner pour des raisons personnelles, religieuses ou médicales est en train de devenir un champ de mines pour les droits humains.
Un sondage mené par King’s College London (KCL) et Ipsos Mori le mois dernier a révélé que seulement 53% des Britanniques seraient «certains» ou «susceptibles» de se faire vacciner contre le COVID-19.
Une personne sur six a déclaré qu'elle n'obtiendrait certainement pas de vaccin ou que ce serait très improbable. Extrapolée à la population, cela équivaut à 11 millions de personnes qui, si l’avis d’Ellwood est suivi, se verront refuser le voyage et seront traitées comme des citoyens de seconde zone.
https://www.zerohedge.com/political/british-mp-urges-mandatory-covid-vaccinations-anyone-wanting-travel
Les médecins qui ne se sont toujours pas remis d'une arme biologique probable
RépondreSupprimerSeptember 29th, 2020
Le coronavirus est à la fois le rocher et le dur
Il y a des coûts pour l'arrêter et pour l'abandonner. Il y a des entreprises qui ne se rétablissent pas, mais aussi des personnes qui ne le feront pas.
Les décisions relatives à une pandémie ne se limitent pas à des «décès par habitant». Un autre aspect du dilemme pervers concerne les «longs transporteurs» ou la condition appelée «long Covid».
Ces 39 médecins britanniques qui ont attrapé Covid sont toujours en difficulté 6 mois plus tard et ont écrit une lettre commune pour le British Medical Journal. C'étaient pour la plupart des jeunes en bonne forme et ils n’ont pas été hospitalisés. Ils avaient des cas légers et modérés de Covid. Mais beaucoup disent que les séquelles sont pires que l'infection initiale. Ceux-ci incluent des maux de tête, des étourdissements, l'incapacité de marcher 200 mètres ou plus, un essoufflement, d'étranges plaques d'engourdissement, de nouvelles allergies, des difficultés à réguler la température corporelle, une diarrhée persistante. Beaucoup sont incapables de travailler.
La cause pourrait être une lésion nerveuse, ou une maladie auto-immune (ou tout autre chose). Si le virus déclenche une réaction immunitaire contre ses propres cellules, il peut être difficile de l'annuler ou de «sortir de». Certaines lésions nerveuses seront réparées. Certains non.
La réaction du PCC à sa propre arme biologique dit quelque chose, et nous savons que ce n’est pas de l’amour ou de l’inquiétude pour les Chinois. La stratégie du PCC reste la même. Il y a une semaine, ils ont verrouillé une ville frontalière près du Myanmar après avoir trouvé deux nouveaux cas et ont ordonné des tests pour les 200 000 personnes. Au cours des dernières 24 heures, ils ont dit aux entreprises de cesser de commander des aliments surgelés dans des pays à haut risque.
Une arme biologique Boucle d'or ?
David Evans souligne: «Les militaires savent depuis longtemps qu'il est plus efficace de blesser un combattant ennemi que de le tuer, car un blessé a besoin de plus de ressources pour être dépensé pour lui, le secourant et l'hospitalisant, en attachant souvent deux autres ou trois personnes pendant des mois. Même principe avec la maladie. L'arme biologique qui affaiblit le plus une autre société serait une maladie hautement contagieuse qui altère simplement subtilement.
Une contagion qui avait un taux de mortalité modéré, un taux d'hospitalisation important et parfois une longue convalescence pourrait être l'idéal des «Boucle d'or» pour provoquer la division, la dissidence, la confusion et des dommages chez un adversaire. La sortie de SARS-Cov-2 était probablement un accident, mais il y avait une sorte de plan en tête lors de sa création. Il pourrait être utile de savoir ce que c'était.
Les médecins sont toujours paralysés par Covid-19 six mois après l'avoir attrapé:
Aucun de ces médecins n’a été hospitalisé après avoir attrapé un coronavirus, mais ils ont tous été frappés par un «long Covid» - ce qui soulève des questions alarmantes sur ses effets durables
RépondreSupprimerpar Lucy Elkins pour Daily Mail UK
Le bilan sanitaire britannique (à ce jour) est de 440 000 cas connus, 42 000 décès et 60 000 «Long Covid».
Le nombre touché [par "Long Covd"] jusqu'à présent dans ce pays a déjà dépassé les 60000, selon les premiers résultats de l'étude britannique sur les symptômes Covid (menée par le King’s College de Londres, où les gens saisissent leurs symptômes via une application).
«Si [Covid à long terme] affecte 10% de la population [comme le suggère une étude] et que nous ne nous améliorons jamais - et passons d’activités économiques à inactifs et incapables de travailler à long terme - alors même si vous supprimez l’élément de la souffrance humaine , c'est quelque chose que les décideurs doivent prendre en compte », a déclaré à Good Health le Dr Jake Suett, 32 ans, anesthésiste à l'origine de la lettre.
La GP Tanya Northridge, 40 ans, a déclaré que Covid avait changé sa vie et a déclaré qu'elle ne pouvait pas marcher plus de 200 mètres sans se sentir fatiguée et étourdie. «Je ne peux pas faire d'exercice debout. Avant cela, j'étais constamment en déplacement et je courais trois fois par semaine - parfois jusqu'à huit milles… »
Sarah Burns, 41 ans, est médecin généraliste à Southampton. «Pendant deux mois plus tôt cette année, j'ai ressenti une fatigue si intense que j'étais allongée sur le canapé toute la journée. La seule façon dont je pouvais gérer des tâches simples, comme faire un lavage, était de me reposer au milieu.
Pour mettre cela en perspective, non seulement je gérais auparavant un travail très chargé en tant que généraliste, mais je courais régulièrement 10 km ...
Grace Dolman, 40 ans, hépatologue (spécialiste du foie) l'a attrapée en mars…. «Ma concentration et ma mémoire sont encore pauvres: je mets du lait dans le placard. J'ai également développé des épingles et des aiguilles dans mes pieds et mes doigts. Cela a détruit ma confiance. Mes mots ne viennent pas aussi facilement, donc même parler à des amis est difficile. Je suis malade jusqu'à la fin du mois d'octobre…. »
Le Dr Jenny Judge, 48 ans, est un psychiatre médico-légal du NHS qui doit maintenant porter un épipène pour les allergies graves. «Au fil des semaines, j'ai développé des poignets, des épaules et des genoux enflammés et douloureux, ainsi qu'un gonflement important des pieds et des mains. Je pouvais à peine tenir une tasse de thé.
Ian Frayling, 61 ans, est un scientifique génétique récemment retraité du NHS. «Il y a quelques semaines, je suis allé acheter de nouvelles chaussures quand j'ai soudainement commencé à trembler de manière incontrôlable. Je me sentais complètement vidé de toute énergie. Il m'a fallu tous mes efforts pour regagner la voiture à seulement 800 mètres. » ... "J'ai aussi des nausées, un syndrome du côlon irritable et une hypoglycémie - où je peux soudainement sentir ma glycémie chuter, me laissant faible et tremblante."
L'autre effet, non précisé ici, est que les membres du corps médical connaîtront tous ces séquelles et en discuteront. Pour ceux qui ne l'ont pas attrapé, ce risque s'ajoutera à leurs décisions concernant la retraite anticipée, les conditions de travail, la volonté d'être exposés et le risque pour leurs proches. Au-delà de la mortalité et de la morbidité, il y a le bilan du système de santé.
RépondreSupprimerD'autres maladies, y compris la grippe, laissent des séquelles et des dommages à long terme chez un certain pourcentage de la population. Ce sont les chiffres qui comptent, et toutes les données sont problématiques. Mais les décisions doivent être prises maintenant.
La génétique dit «arme biologique»
Le Dr Li-Meng Yan affirme que le virus est artificiel et se propage pour faire des dégâts
Les preuves croissent que le coronavirus était d'origine humaine: le virus de la chauve-souris dont il a «évolué» semble être un faux
La première pandémie synthétique ? L'homme qui a découvert le VIH dit que le coronavirus est fabriqué par l'homme. Le PCC a détruit les preuves.
REFERENCE
Jackie Wise (2020) Long covid: doctors call for research and surveillance to capture disease, BMJ 2020; 370 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.m3586 (Published 15 September 2020) BMJ 2020;370:m3586
http://joannenova.com.au/2020/09/the-doctors-who-still-havent-recovered-from-a-likely-bioweapon/
Dès lors que quelqu'un a respiré (ou entrée par les yeux dépourvus de globules blancs) une des nano-particules chemtraillée par drones il est dirigé par les ondes émises via son téléphone ou proximité de tour-relais.
SupprimerSeul un chélateur peut l'en séparer.
Les écoliers britanniques apprendront qu'Annuler la culture est de l'intimidation
RépondreSupprimerSeptember 29th, 2020
Soudain, c’est presque comme si les écoles britanniques préparaient les élèves à la vraie vie. Comment est-ce arrivé ?
Imaginez enseigner aux élèves que la tolérance signifie écouter les personnes que vous n'aimez pas, qui disent des choses que vous ne voulez pas entendre ? Cancel Culture délègue et supprime des personnes entières de tous les aspects de la vie ou de la fonction publique pour la moindre violation insignifiante de certaines règles non écrites qui sont appliquées de manière sélective. Comme un exil néolithique de type «pointage d'os», toute expérience de vie et toute expertise est ainsi «annulée». Les excuses ne valent rien, il n'y a pas d'apprentissage, il n'y a que des «aveux de culpabilité». Il y a quelque chose de profondément non chrétien dans tout cela - le manque total de pardon.
Ce nouveau programme est alors comme un espace sûr de The Safe Spaces. Pour Activist-Uni, cela fait la pire des choses. Cela peut entraîner une génération à voir à travers leur propagande.
La prochaine chose que vous savez, les enfants pourraient apprendre que le dogme du changement climatique est aussi de l'intimidation.
Woke «annuler la culture» est une forme d’intimidation et «pas de plate-forme» une attaque contre la liberté d’expression, les élèves apprendront
Josh White, Daily Mail, Royaume-Uni
Les enseignants diront aux élèves que «annuler la culture» ne fait pas partie d’une «société tolérante et libre»
Les élèves apprendront que les personnes ayant des opinions controversées doivent être respectées
Cela survient alors que certains orateurs grand public ont été empêchés de parler aux unis
Dans les manuels de formation du ministère de l'Éducation, les enseignants sont chargés de dire aux élèves que la 'culture de l'annulation' qui a pris racine dans de nombreuses universités - où les individus appellent au boycott d'une personne ou d'une entreprise dont ils ne sont pas d'accord, dans l'espoir ils perdent leur emploi ou leurs clients - ne font pas partie d'une «société tolérante et libre».
Cela peut être dû à l'échec lamentable des universités à élever… des penseurs civils pour les civilisations.
Peut-être que les conservateurs ont enfin réalisé que le système éducatif produit des flocons de neige qui ne savent rien des conservateurs ni de ce qu'ils représentent ? Après 50 ans de marche collectiviste dans les instituts, peut-être que les conservateurs se rendent compte finalement qu'ils doivent riposter.
Il est également possible que ce swing-to-sensible ait un tout petit peu à voir avec le récent retour du Labour au milieu.
Concurrence: c’est une bonne chose. Chaque nation a besoin de deux partis à moitié décents en compétition.
h / t GWPF.
http://joannenova.com.au/2020/09/british-school-children-to-be-taught-that-cancel-culture-is-bullying/
Billet covidien : parce qu'il n'est pas nécessaire d'une deuxième vague pour avoir peur
RépondreSupprimerlundi 28 septembre 2020
La propagande de la terreur fonctionne à merveille, ça y est, les gens en redemandent, la méthode Knock a fonctionné. En tout cas, si l'on en croit l'étrange sondage diffusé dans les médias français, nos concitoyens sont prêts à plus de restrictions, acceptent même d'être reconfinés. Dans leur grande majorité. Oyé, Oyé, braves gens, prenez-en de la graine, vous qui étouffez sous votre masque, voici ceux qui ont un sens civique ! Et surtout, ne vous posez pas la question de savoir pour quoi ni pour combien de temps. La grippe arrive, comme chaque année, mais cette fois-ci, à Moscou, les personnes de plus de 65 ans sont priées de rester à domicile. Manifestement éternellement, puisqu'il y aura toujours des virus. L'OMS annonce que la fête n'est pas terminée, pardon, le danger est encore là, donc notre bon monde globalisé ressort le sabre sans le goupillon : de toute manière, c'est l'enfer sur terre qui vous est promis.
https://russiepolitics.blogspot.com/2020/09/billet-covidien-parce-quil-nest-pas.html
SupprimerNous respirons toutes & tous (AVEC ou SANS masque) 200 000 virus PAR MINUTE et 2 millions en activité physique.
On vous demande juste d'AVOIR PEUR ! C'est tout !
Des gérants de bars en garde à vue pour avoir offert du wifi à leurs clients à Grenoble
RépondreSupprimer15:06 29.09.2020
Par Alexandre Sutherland
Des tenanciers de bars de Grenoble ont été arrêtés et placés en garde à vue pour avoir offert du wifi à leurs clients sans conserver les données de connexion pendant un an, relatent Les Dernières Nouvelles d’Alsace. Les mis en cause ont assuré ne jamais avoir été informés de cette loi, à cause de laquelle ils risquent jusqu’à un an de prison.
Un gérant de bar, de restaurant ou de discothèque peut fournir gratuitement une connexion wifi à ses clients, mais pas n’importe comment. Au moins cinq gérants grenoblois l’ont appris à leur dépens lorsqu’ils ont vu débarquer la police dans leurs établissements et ont été menottés et placés en garde à vue, rapporte le journal Les Dernières Nouvelles d’Alsace.
En effet, une loi de 2006 relative à la lutte contre le terrorisme les oblige à conserver pendant un an toutes les connexions de leurs clients, peu importe si elles sont ouvertes ou protégées par un mot de passe.
Certains tenanciers se contentent de partager l’accès à leur forfait grand public. Or, ils devraient prendre un abonnement professionnel, plus cher mais conforme à la loi car permettant d’identifier, de collecter et de conserver les données des clients qui s’y connectent.
Une loi peu connue
Les tenanciers ont appris l’existence de cette loi au moment de leur interpellation.
«Personne, pas même les professionnels de l’Umih (Union des métiers et des industries de l’hôtellerie, ndlr) qui prodiguent la formation obligatoire dans le cadre d’une reprise de licence IV, ne m’a jamais dit que je devais conserver cet historique», a témoigné l’un d’eux auprès du quotidien local.
Interrogée par BFM TV, l’organisation reconnaît que ce point ne fait pas partie de la formation pour obtenir ou reprendre un permis d’exploitation. Les sanctions sont pourtant particulièrement sévères pour les contrevenants: jusqu’à un an d’emprisonnement et 75.000 euros d’amende pour les personnes physiques, et 375.000 euros pour les personnes morales.
https://fr.sputniknews.com/faits_divers/202009291044498557-des-gerants-de-bars-en-garde-a-vue-pour-avoir-offert-du-wifi-a-leurs-clients-a-grenoble/
Le Pacte en trompe-l'oeil pour l'immigration de l'UE
RépondreSupprimervendredi 25 septembre 2020
De ce qui a été présenté par la Commission européenne du Pacte sur la migration et l'asile, il ressort très clairement qu'aucune remise en cause stratégique du phénomène migratoire vers l'Europe n'a eu lieu. La réponse est à première vue purement technique et hypothétique, comme promesse d'améliorer les procédures, plus de gardes-frontières européens. Principalement, il s'agit d'obliger les Etats à la solidarité, notamment à la prise en charge de l'immigration illégale arrivant par voie maritime, qui est de loin la plus importante. Le principe posé ces dernières années d'une Europe porte-ouverte n'est pas remis en cause. Il est même prévu de développer les voies légales de l'immigration. Bref, l'UE continue à miner les sociétés européennes de l'intérieur.
Le plan d'organisation de l'immigration en Europe a été présenté dans les grandes lignes par la Commission européenne, avec des formulations rappelant toujours plus les grandes heures de la Pravda. Ainsi, apprend-on, qu'il s'agit :
"Une nouvelle approche en matière de migration : instaurer un climat de confiance et un nouvel équilibre en matière de responsabilité et de solidarité"
Autrement dit, il ne s'agit absolument pas d'une remise en cause du phénomène migratoire, d'une interrogation sur l'implication qu'il peut avoir sur l'évolution culturelle des sociétés, sur l'identité des populations qui habitent ces territoires, présentés sans histoire propre, sans culture propre, donc sans avenir propre. Ce Pacte n'est qu'un ensemble de mesures techniques visant à rendre plus efficace l'immigration en Europe, avec de fausses concessions faites aux pays résistant à l'immigration de masse, comme l'Autriche ou la Pologne.
Le premier but est annoncé, est un but politique propre à l'UE : elle doit reprendre la main sur cette question.
"La présidente de la Commission européenne Mme Ursula von der Leyen a déclaré à cette occasion: «Nous proposons aujourd'hui une solution européenne, afin de rétablir la confiance entre les États et de restaurer la confiance des citoyens dans notre capacité, en tant qu'Union, à gérer la migration. "
Sans pour autant changer la ligne idéologique no border qui est la sienne :
"Mme Ylva Johansson, commissaire aux affaires intérieures, s'est exprimée en ces termes: «Les phénomènes migratoires ont fait et feront toujours partie de nos sociétés. Les propositions que nous faisons aujourd'hui permettront d'établir une politique migratoire à long terme, capable de traduire les valeurs européennes dans la gestion concrète."
A cette fin, un volumineux Pacte sur la migration est l'asile (disponible uniquement en anglais ici) a été adopté. Le terme d'immigration est banni, sa charge négative est trop forte. Ceux de migrants, de migration font cette Novlangue cachant avec de plus en plus de difficultés une réalité peu attrayante. Certaines dispositions sont particulièrement intéressantes (voir aussi cet article).
Sous couvert de "renforcement de l'effectivité des procédures", alors que paraît-il, les arrivants ne seront plus bloqués dans le pays d'arrivée, mais pourront être pris en charge par un pays où ils ont de la famille (donc nouvelle vague de regroupement familial en perspective), où ils ont fait leurs études (l'idée initiale était de former une élite francophone et francophile, qui sera présente dans les pays étrangers, idée désuète, mais le mécanisme reste), où ils ont travaillé ou obtenu un visa. Mais, en même temps, il est précisé que la demande d'asile devra être traitée par le premier pays d'arrivée ... Donc, l'allègement de la charge sur les pays frontaliers touchés est assez minime. D'autant plus que des mesures totalement irréalistes, comme l'établissement de l'identité de chacun, sont prévues, quand l'on sait que la plupart des immigrés arrivant illégalement se défont de leurs papiers d'identité, notamment pour se faire passer pour de (très) grands mineurs. Cela, finalement, va faire peser des obligations renforcées sur les pays de première arrivée.
RépondreSupprimerMais pour les aider, non pas à refuser les nouveaux arrivants illégaux, mais à les accueillir pour une durée indéterminée, les procédures seront simplifiées, une procédure de premier filtrage établie et des gardes-frontières permanents européens seront placés en plus des gardes-frontières nationaux. Pour l'instant, l'on ne sait pas à quoi ressembleront ces procédures, mais déjà l'on sait qu'une structure non -étatique aura des garde-frontières, quand la frontière est l'attribut de l'Etat.
La transformation de l'Etat en instrument de mise en oeuvre d'une décision politique prise ailleurs se renforce. D'autant plus que la surveillance exercée par l'UE sur la manière dont les Etats remplissent docilement leur rôle sera renforcée ... dans l'intérêt des immigrés :
"Parallèlement, toutes les autres procédures seront améliorées et feront l'objet d'un suivi et d'un soutien opérationnel renforcés de la part des agences de l'UE. "
Le miracle annoncé doit venir de l'apparition du Deus ex machina "numérique", qui va permettre de régler tous les problèmes - techniques. Car les Etats, eux, au nom de la "responsabilité et de la "solidarité", n'ont plus le choix. Ce choix a déjà été fait pour eux :
"Les États membres seront tenus d'agir de manière responsable et solidaire les uns envers les autres. En période de tension, chaque État membre, sans exception, devra apporter sa contribution solidaire"
Il n'y a pas de choix pour les Etats quant à être ou non "solidaire". En revanche, avec beaucoup de grandeur d'âme, l'UE permet aux Etats d'exprimer leur solidarité de plusieurs manières, de la prise en charge des immigrés après filtrage, du financement dans le pays de retour, etc. Si le bénévolat est soi-disant la règle, les Etats seront obligés en cas de "tension". Et ces tensions étant très fréquentes ... Notamment, l'obligation d'accueillir ces immigrés va couvrir les "sauvetages en mer". Il est vrai que ces opérations sont organisées par de grandes ONG, très bien financées, il serait dommage de gâcher un argent si bien placé.
Très concrètement, selon les statistiques officielles, sur les 141 700 personnes illégalement arrivées en Europe en 2019, seules 35 000 sont arrivées par voie terrestre, quand 106 200 ont été débarquées. Donc, imposer la prise en charge des personnes arrivées par mer et non pas le retour dans le pays d'origine est bien le signe d'une volonté de faciliter l'arrivée en Europe.
RépondreSupprimerD'autant plus que toujours selon les statistiques, seulement 38% des demandeurs d'asiles obtiennent satisfaction. Mais uniquement 30% des déboutés sont effectivement renvoyés dans leur pays d'origine. Ainsi, en 2019, 491 000 personnes ont reçu ordre de quitter le territoire. 70% sont restés. Sur les 29% expulsés, il s'agissait principalement d'Ukrainiens, de Marocains et d'Albanais. Le taux le plus faible de retour concerne les pays d'Afrique. Rappelons aussi les pays d'origine :
L'UE promet de rendre plus efficace les procédures de renvoie à la frontière, ce qui semble assez irréaliste au regard de la jurisprudence, extrêmement protectrice des immigrés, développée par la CEDH, qui nie pratiquement la différence entre immigration légale et illégale.
En revanche, ce qui semble être la véritable ligne de ce Pacte en trompe-l'oeil, est le développement des voies d'immigration légale. Elles s'inscriront dans l'établissement de partenariats avec les pays tiers.
Rappelons, qu'en France, formellement, l'on compte en 2019, 6,7 millions d'immigrés, dont la plupart viennent d'Afrique. Que chaque année, 100 000 à 160 000 personnes acquièrent d'une manière ou d'une autre la nationalité française et sortent donc des statistiques, ainsi que leurs enfants. Et si l'INSEE note une stabilisation des sorties, les entrées augmentent. En 2018, l'on compte 278 000 personnes. Légalement.
La confirmation par l'UE de sa politique favorable à l'immigration ne promet pas de renverser la tendance, ni même d'être capable d'intégrer les populations étrangères. Avec l'effet de masse, visible au quotidien, c'est le visage du pays, son mode de vie et sa culture qui sont en cause.
https://russiepolitics.blogspot.com/2020/09/le-pacte-en-trompe-loeil-pour.html#more
Les millions de personnes assassinées chez elles ou dans la rue seront étiquetés 'corona' !
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RépondreSupprimerLe Bureau of Met lit les feuilles de thé et découvre un réchauffement à Horn Island qu'aucun thermomètre ne peut voir
September 28th, 2020
Ken Stewart a étudié le schéma mystérieux des températures sur Horn Island - juste au sommet du cap York en Australie. C’est presque aussi loin au nord qu’en Australie. Il n'y avait pas de thermomètre là-bas avant 1995, donc le Bureau de météorologie a secoué les feuilles de thé les plus proches pour savoir à quel point il faisait chaud.
Les villes répertoriées sur la carte sont ses plus proches voisines. «Près», au sens australien du terme, signifiant vaguement à moins de 500 kilomètres.
- voir graphique sur site -
Bureau de Meoteorology, Australie, Horn Island.
Horn Island et ses voisins les plus proches
Voici, ci-dessous, la façon dont 70 ans de lie de température roulent sur tous ces sites.
voir graphique sur site -
Horn Island, Tmin absolu. Graphique.
…
C'est ce que voit le Bureau de météorologie (notez que l'échelle a changé sur l'axe des températures). Cela représente deux degrés de réchauffement dans l'extrême nord du Queensland.
voir graphique sur site -
Horn Island, Tmin absolu. Graphique.
…
Ainsi, la température minimale moyenne semble maintenant un demi-degré plus froide en 1960 que ce que suggèrent vos globes oculaires couchés.
Ken entre dans beaucoup plus de détails et mérite nos remerciements pour avoir pris la peine d'essayer de déballer la mystérieuse fusion des enregistrements de thermomètres au département BoM de Tasseomancie.
Visitez son site: Garbage In, Garbage Out - Horn Island
https://kenskingdom.wordpress.com/2020/09/27/garbage-in-garbage-out-horn-island/
http://joannenova.com.au/2020/09/bureau-of-met-reads-tea-leaves-and-finds-warming-that-no-thermometer-can-see/
"Nous n'avons tout simplement pas de mots" - Les feux de forêt se propagent dans la région viticole de Californie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar, 29/09/2020 - 08:08
Un incendie de forêt dangereux et rapide qui ravage la région viticole du nord de la Californie a plus que triplé sa taille, obligeant des dizaines de milliers de résidents à évacuer, a rapporté Bloomberg.
La dernière mise à jour de CalFire montre que le feu de forêt, appelé "Glass Fire", est situé dans le comté de Napa, s'est étendu dans le comté de Sonoma à un "taux de propagation dangereux" et a brûlé plus de 36 000 acres (14 568 ha). Lundi, l'incendie est maîtrisé à 0%, détruisant 113 structures et en a endommagé ou en menace 8 543 autres. Environ 1 500 pompiers ont été déployés dans la région pour contenir l'incendie.
Environ 70 000 habitants des comtés de Sonoma et de Napa ont été évacués alors que des vents chauds et secs propagent les incendies dans les quartiers et les vignobles, consommant des structures de bâtiments commerciaux et résidentiels.
Des dizaines de vignobles se trouvent dans les zones d'évacuation obligatoires ou les zones d'avertissement d'évacuation. Au moins une cave a été détruite, selon l'affilié de CNN, KGO.
KGO s'est entretenu avec Dario Sattui, propriétaire de la cave Castello di Amorosa à Calistoga, qui a déclaré que "son pire cauchemar s'est réalisé tôt lundi lorsqu'une partie de sa cave bien-aimée a pris feu".
Le sénateur Mike McGuire a déclaré à KTVU-TV que le feu de verre "se déplaçait à environ 40 mi / h à cause du vent, descend la colline dans la ville de Santa Rosa, et nous espérons de meilleures conditions ici aujourd'hui".
"Nous n'avons tout simplement pas de mots", a déclaré McGuire, un démocrate représentant Healdsburg dans le comté de Sonoma. "C'est une période incroyablement éprouvante et émouvante en ce moment."
La haute saison des incendies en Californie s'étend généralement de septembre à novembre. Comme les lecteurs se souviendront peut-être, La Nina a amplifié les incendies avec plus de 8100 incendies de forêt qui ont brûlé plus de 3,7 millions d'acres (1 497 336 ha) cette année, selon CalFire. Environ 29 personnes sont mortes et plus de 7 000 structures ont été détruites depuis le 15 août. La saison des incendies de cette année pourrait se prolonger jusqu'en décembre.
https://www.zerohedge.com/markets/we-just-dont-have-words-wildfires-spread-across-california-wine-country
Le «changement climatique» plus froid est blâmé pour les décès excessifs pendant la Première Guerre mondiale
RépondreSupprimer29 septembre 2020
De l'Union géophysique américaine.
WASHINGTON - Les scientifiques ont repéré une anomalie climatique d'une fois dans un siècle pendant la Première Guerre mondiale qui a probablement augmenté la mortalité pendant la guerre et la pandémie de grippe dans les années qui ont suivi.
American Expeditionary Force victimes de la grippe espagnole à l'hôpital du camp de l'armée américaine no. 45 à Aix-les-Bains, France, en 1918. Photographe non crédité de l'armée américaine; domaine public.
Des pluies torrentielles bien documentées et des températures inhabituellement froides ont affecté les résultats de nombreuses batailles majeures sur le front occidental pendant les années de guerre de 1914 à 1918. Plus particulièrement, les mauvaises conditions ont joué un rôle dans les batailles de Verdun et de la Somme, au cours desquelles d'autres plus d'un million de soldats ont été tués ou blessés.
Le mauvais temps a peut-être également exacerbé la pandémie de grippe espagnole qui a fait 50 à 100 millions de vies entre 1917 et 1919, selon la nouvelle étude. Les scientifiques étudient depuis longtemps la propagation de la souche de grippe H1N1 qui a causé la pandémie, mais peu de recherches se sont concentrées sur la question de savoir si les conditions environnementales ont joué un rôle.
Dans une nouvelle étude publiée dans la revue GeoHealth de l’AGU, des scientifiques ont analysé une carotte de glace prélevée sur un glacier des Alpes européennes pour reconstruire les conditions climatiques pendant les années de guerre. Ils ont découvert qu'un afflux d'air extrêmement inhabituel en provenance de l'océan Atlantique Nord a affecté les conditions météorologiques sur le continent européen de 1914 à 1919. Les pluies et le froid incessants causés par cet afflux d'air océanique planaient sur les principaux champs de bataille du front occidental mais ont également affecté les schémas migratoires des canards colverts, principal hôte animal des souches du virus de la grippe H1N1.
Les canards colverts sont probablement restés en Europe occidentale à l'automne 1917 et 1918 en raison du mauvais temps, plutôt que de migrer vers le nord-est vers la Russie comme ils le font normalement, selon la nouvelle étude. Cela les a maintenus proches des populations militaires et civiles et a peut-être permis aux oiseaux de transmettre une souche particulièrement virulente de grippe H1N1 aux humains à travers des plans d'eau.
Les résultats aident les scientifiques à mieux comprendre les facteurs qui ont contribué à rendre la guerre et la pandémie si meurtrières, selon Alexander More, climatologue et historien à l'Université Harvard / Climate Change Institute, professeur agrégé de santé environnementale à l'Université de Long Island et auteur principal. de la nouvelle étude.
"Je ne dis pas que c'était" la "cause de la pandémie, mais c'était certainement un potentialisateur, un facteur aggravant supplémentaire à une situation déjà explosive", a déclaré More.
«Il est intéressant de penser que de très fortes pluies peuvent avoir accéléré la propagation du virus», a déclaré Philip Landrigan, directeur du programme de santé publique mondiale au Boston College, qui n’était pas lié à la nouvelle étude. «L’une des choses que nous avons apprises lors de la pandémie de COVID est que certains virus semblent rester viables pendant de plus longues périodes dans l’air humide que dans l’air sec. Il est donc logique que si l'air en Europe était exceptionnellement humide et humide pendant les années de la Première Guerre mondiale, la transmission du virus aurait pu être accélérée.
RépondreSupprimerGuerre et temps
Les paysages pluvieux, froids et boueux du front occidental sont bien documentés par les historiens. La poète Mary Borden la décrit comme «la tombe liquide de nos armées» dans son poème «Le chant de la boue» sur la bataille de la Somme en 1916.
Les récits historiques des premières batailles en France décrivent comment les pluies intenses ont affecté les troupes britanniques, françaises et allemandes. Tranchées et tunnels nouvellement creusés remplis d'eau de pluie; les champs boueux ont ralenti le mouvement des troupes pendant la journée; et les températures nocturnes froides ont causé des engelures à des milliers de personnes. Cependant, peu de recherches ont été effectuées sur les conditions environnementales qui peuvent avoir causé les pluies torrentielles et le froid inhabituel.
Dans la nouvelle étude, More et ses collègues ont reconstruit les conditions environnementales en Europe pendant la guerre en utilisant les données d'une carotte de glace prélevée dans les Alpes. Ils ont ensuite comparé les conditions environnementales aux enregistrements historiques de décès pendant les années de guerre.
Ils ont constaté que la mortalité en Europe avait culminé à trois reprises pendant la guerre, et ces pics se produisaient pendant ou peu après des périodes de températures froides et de fortes pluies causées par des afflux extrêmement inhabituels d'air océanique au cours des hivers 1915, 1916 et 1918.
«La circulation atmosphérique a changé et il y a eu beaucoup plus de pluie, un temps beaucoup plus froid dans toute l'Europe pendant six ans», a déclaré More. «Dans ce cas particulier, il s’agissait d’une anomalie une fois tous les 100 ans.»
Le nouveau record de carottes de glace corrobore les récits historiques de pluies torrentielles sur les champs de bataille du front occidental, qui ont causé la mort de nombreux soldats par noyade, exposition, pneumonie et autres infections.
Fait intéressant, les résultats suggèrent que le mauvais temps a pu garder les canards colverts et autres oiseaux migrateurs en Europe pendant les années de guerre, où ils pourraient facilement transmettre la grippe aux humains par l'eau contaminée par leurs excréments fécaux. Les canards colverts sont le principal réservoir animal des virus de la grippe H1N1 et jusqu'à 60 pour cent des canards colverts peuvent être infectés par le virus H1N1 chaque année. Des recherches antérieures ont montré que les schémas migratoires des colverts et autres oiseaux sont perturbés lors de périodes de temps inhabituel.
«Les colverts se sont révélés très sensibles aux anomalies climatiques dans leurs schémas de migration», a déclaré More. "Il est donc probable qu'ils sont restés sur place pendant une grande partie de cette période."
RépondreSupprimerLa première vague d'infection grippale H1N1 en Europe s'est produite au printemps 1918, probablement parmi les troupes alliées arrivant en France d'Asie à l'automne et à l'hiver 1917, selon des recherches antérieures. La nouvelle étude a révélé que la vague la plus meurtrière de la pandémie en Europe avait commencé à l'automne 1918, après de près une période de fortes précipitations et de températures froides.
«Ces réorganisations atmosphériques se produisent et affectent les gens», a déclaré More. «Ils affectent la façon dont nous nous déplaçons, la quantité d'eau disponible, la nature des animaux. Les animaux apportent leurs propres maladies avec eux dans leurs déplacements, et leurs migrations sont dues à l'environnement et à la façon dont il change, ou à la façon dont nous le changeons.
"Je pense que c'est une étude très crédible et provocante qui nous fait réfléchir de manière nouvelle sur l'interaction entre les maladies infectieuses et l'environnement", a déclaré Landrigan.
https://wattsupwiththat.com/2020/09/29/colder-climate-change-blamed-for-excess-deaths-in-word-war-i/