- ENTREE de SECOURS -



samedi 9 novembre 2019

L’éponge à vaisselle peut représenter une menace mortelle

11:58 09.11.2019


De la levure et des moisissures, ainsi que des staphylocoques, au total environ 360 types de bactéries peuvent être présents dans les éponges servant à laver la vaisselle, mettent en garde des experts russes, assurant que cet objet de tous les jours est susceptible de déclencher d’importantes infections.
Il est recommandé de se débarrasser de son éponge à vaisselle chaque semaine, cet objet et son environnement contenant de nombreuses bactéries dangereuses, estiment des spécialistes du service fédéral chargé de la supervision de la protection des droits des consommateurs et du bien-être humain en Russie.

D’après eux, les éponges et leur environnement dans la cuisine peuvent contenir environ 360 types de bactéries.

«Il est prouvé qu’une éponge pour laver la vaisselle peut être 200.000 fois plus sale qu’un siège de toilettes», rappellent les experts.

À l’origine d’infections intestinales aiguës

Les recherches de ces spécialistes russes ont montré que les éponges pour la vaisselle contenaient de la levure et des moisissures, ainsi que des bactéries coliformes, pouvant entraîner des infections intestinales aiguës. Des bactéries staphylococciques ont également été découvertes.

Pour prévenir les infections dans la cuisine, il est conseillé de laver l’évier avec un désinfectant, bien essuyer toutes les surfaces, les ustensiles et les poignées des appareils ménagers et des meubles. En outre, il est recommandé de laver les serviettes de cuisine une fois par semaine et la poubelle avec un nettoyant contenant du chlore tous les mois.

En 2017, des scientifiques allemands avaient déjà établi que de nombreuses bactéries pathogènes vivaient principalement à la surface des éponges à vaisselle, ainsi qu'à l'intérieur des pores adjacents.

12 commentaires:

  1. Volume record de capitaux étrangers dans les entreprises chinoises


    Arnaud Lefebvre
    8 novembre 2019


    La présence étrangère dans le capital des entreprises chinoises cotées en bourse a atteint un record absolu à la fin du troisième trimestre, indique un rapport de la Banque populaire de Chine. L’institution a calculé qu’à la fin du mois de septembre, les actions chinoises détenues par des étrangers ont atteint 1.700 milliards de yuans (229,1 milliards d’euros) dans les sociétés chinoises cotées en bourse.

    Il s’agit d’une augmentation de près de 40% en un an.

    Détente

    La Chine a récemment simplifié l’accès à ses marchés financiers fortement réglementés. Cette décision visait à aider les entreprises chinoises à financer leur croissance future. Les quotas d’investissement pour les investisseurs institutionnels étrangers ont notamment été ajustés.

    « L’utilisation transfrontalière du yuan sur le marché des capitaux a augmenté de 20% au cours des neuf premiers mois de cette année », soulignent Luoyan Liu et John Ruwitch, correspondants de l’agence de presse Reuters en Chine.

    « Cependant, le pays est aux prises avec une forte incertitude économique, associée à un conflit commercial prolongé avec les États-Unis », ont commenté Liu et Ruwitch. « Cependant, de nombreux investisseurs potentiels sont fortement attirés par l’énorme taille du marché chinois, où ils entrevoient des opportunités particulièrement lucratives. »

    Un certain nombre de grands indices internationaux – tels que MSCI, FTSE Russell et S & P – ont également commencé à inclure un ensemble d’actions et d’obligations chinoises dans leurs listes.

    Consommation

    Les flux les plus importants en provenance de l’étranger ont été dirigés vers le secteur de la consommation. « Les investisseurs comptent clairement sur les incitations du gouvernement chinois pour renforcer l’économie nationale, qui souffre de la guerre commerciale qui a duré près de deux ans avec les États-Unis », souligne Reuters.

    « Le gouvernement chinois a pris une série de mesures pour stimuler la consommation intérieure, qui représente plus de 60% de l’économie nationale ».

    Les entreprises qui se concentrent sur les aliments et les boissons, les appareils ménagers et la fourniture de soins semblent particulièrement attrayantes pour les investisseurs étrangers. Les producteurs de boissons alcoolisées Kweichow Moutai et Wuliangye Yibin, entre autres, ont pu compter sur un capital étranger supplémentaire, ainsi que Midea Group et Gree Electric, principaux fabricants d’appareils électroménagers.

    https://fr.express.live/volume-record-de-capitaux-etrangers-dans-les-entreprises-chinoises/

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  2. L’Allemagne veut un million de stations de recharge pour les véhicules électriques


    Arnaud Lefebvre
    7 novembre 2019


    D’ici la fin de la prochaine décennie, l’Allemagne souhaite construire un réseau d’un million de stations de recharge pour les véhicules électriques, a annoncé la chancelière allemande Angela Merkel. Via ce programme, Merkel veut encourager ses compatriotes à passer aux voitures à propulsion électrique. Cet effort fait partie des efforts visant à réduire l’empreinte environnementale des consommateurs allemands.

    « La mobilité à l’avenir devrait être respectueuse du climat, flexible, économique et confortable », a déclaré Merkel. L’Allemagne compte actuellement environ 21.000 stations de recharge pour les voitures électriques. Merkel a expliqué que l’augmentation du nombre de points de recharge pour les véhicules électriques encouragerait les consommateurs à s’éloigner des moteurs à combustion interne et à adopter des voitures à faibles émissions.

    Subventions pour les véhicules électriques

    Le gouvernement espère réduire de moitié les émissions de gaz carbonique d’ici 2030. Pour atteindre cet objectif, Berlin a mis en place un certain nombre de mesures visant à promouvoir des modes de transport plus écologiques, notamment des subventions pouvant aller jusqu’à 4.000 euros pour compenser le coût d’un nouveau véhicule électrique.

    Merkel a souligné que le gouvernement et l’industrie devaient supporter les coûts supplémentaires liés à la promotion des transports durables.

    La chancelière allemande a déclaré qu’elle souhaitait continuer à consulter l’industrie pour voir comment le secteur automobile pourrait atteindre ses objectifs en matière d’émissions. Dans le même temps, selon Merkel, il est également nécessaire d’examiner de quelle manière le passage à la production de voitures électriques aura un impact sur les employés allemands.

    « Nous voulons amener nos travailleurs spécialisés sur la voie d’un avenir moderne et respectueux du climat », a déclaré Merkel.

    Les géants allemands de l’automobile, notamment VW et BMW, ont adopté la production de voitures électriques. Toutefois, il souhaitent disposer de plus d’infrastructures avant de s’engager pleinement.

    Entre-temps, les voitures électriques continuent de progresser en Allemagne. L’année dernière, 53.000 nouvelles voitures électriques ont été enregistrées en Allemagne, contre 34.000 l’année précédente. Cette année, un niveau de 100.000 exemplaires devrait être atteint.

    La Volkswagen Golf devrait devenir le premier grand modèle de masse électrique sur le marché automobile européen.

    https://fr.express.live/lallemagne-veut-un-million-de-stations-de-recharge-pour-les-vehicules-electriques/

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    1. (...) Subventions pour les véhicules électriques

      Le gouvernement espère réduire de moitié les émissions de gaz carbonique d’ici 2030. (...)

      Subventions: (pouvant aller jusqu’à 4.000 euros). "C'est pas vous qui payez, c'est l'État" ! F.H.

      gaz carbonique: Il n'est ni un poison ni un 'gaz a effet de serre'. 99 % des gaz émis le sont par le magma via les mers & océans. Le 1 % restant est partagé par les humains, les animaux, les végétaux (sur ou sous terre) et les industries. TOUS les gaz se recyclent ! TOUS ! Dès qu'un gaz est lâché dans l'atmosphère il se confond, se dilue, s'éparpille dans d'autres gaz qui le ou les recycle.

      PERSONNE ne peut être en mesure de retirer tel ou tel gaz de l'atmosphère.

      Si les gaz ne se recyclaient pas, les animaux ne seraient même pas apparu sur Terre !

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  3. UN AGRICULTEUR SUR CINQ N'A DÉGAGÉ AUCUN REVENU EN 2017


    par NICOLAS BOUTIN
    08/11/2019


    Les exploitants ont enregistré en moyenne un revenu net imposable mensuel de 1.390 euros en 2017.

    Près de 20% des agriculteurs français ont déclaré un revenu nul en 2017.

    Une augmentation de 8,2% du revenu moyen

    C’est une donnée qui illustre le malaise des professionnels du secteur. Près de 20% des agriculteurs n’ont déclaré aucun revenu en 2017, voire un déficit de leur exploitation, selon un rapport de l’Insee publié jeudi 7 novembre.

    En moyenne, les exploitants ont enregistré un revenu net imposable mensuel de 1.390 euros en 2017. Une augmentation de 8,2% par rapport en 2016 qui cache de nombreuses disparités. Les céréaliers ont dégagé en moyenne moins de 1.000 euros, notamment en raison des mauvaises récoltes en 2016 et d’une chute des cours mondiaux.

    Un revenu moyen compris entre 620 et 2.790 euros

    La part d’agriculteurs sans revenus représente 30% des exploitants de céréales et de grandes cultures et 28% parmi les éleveurs d’ovins, de caprins, d’équidés et d’autres animaux, révèle l’étude de l’Institut de statistiques économiques.

    Avec 2.790 euros par mois, les viticulteurs sont ceux qui s’en sortent le mieux. Les éleveurs d’ovins, de caprins, d’équidés sont tout en bas de l’échelle avec un revenu moyen de 620 euros par mois. Les éleveurs bovins ont connu une augmentation de 15,9% de leur salaire, avec un revenu moyen de 1.100 euros en moyenne par mois en 2017.

    http://www.economiematin.fr/news-agriculteur-revenu-nul

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  4. Un père tasé par la police US alors qu’il porte son bébé dans ses bras - vidéo


    13:50 09.11.2019


    Un trentenaire américain a été la cible de plusieurs coups de Taser de la part de la police après avoir refusé de poser son enfant d’un an. Son avocate estime que l’homme n’avait pas à se soumettre à «des ordres de police illégaux».

    Une vidéo troublante révélée par le Washington Post a provoqué une polémique aux États-Unis: sur l’enregistrement, on voit un homme noir qui reçoit plusieurs coups de Taser de la part d’agents de police, alors qu’il tient son bébé d’un an dans ses bras.

    Un homme paralysé par un Taser prend subitement feu (vidéo choc)

    Les faits se sont déroulés le 15 juin dernier, lorsque des policiers de Tempe ont été appelés pour intervenir pour un cas de violences domestiques, écrit le journal. Sur place, les agents sont tombés sur un homme, Ivaughn Oakry, qui portait un bébé dans les bras.

    L’homme leur déclare qu'ils n’ont pas à entrer chez lui, mais les membres des forces de l’ordre y pénètrent et lui demandent de poser le bébé, pointant sur l’adulte un Taser. Les deux autres enfants du couple commencent à pleurer, mais leur père n’obtempère pas. Alors une décharge électrique traverse l’air, faisant chuter leur cible. L’enfant n’a pas été blessé, et un agent l’a ensuite confié à sa mère.

    Usage de la force justifié par la police

    Le chef de la police de Tempe a déclaré que ses agents avaient agi de manière appropriée, car M.Oakry se montrait «verbalement agressif et indocile» et mettait en danger un enfant.

    Pour sa part, l’avocate de l’intéressé estime que son client a été victime d’un usage excessif de la force qui a entraîné un traumatisme important chez le père et ses enfants. «Ce qui est arrivé à M.Oakry n’aurait jamais dû se passer», souligne-t-elle.

    Et d’ajouter que son client n’avait pas à se soumettre à «des ordres de police illégaux» à son domicile alors qu’ils y étaient entrés «de manière incorrecte».

    https://fr.sputniknews.com/international/201911091042398442-des-policiers-us-tasent-un-pere-avec-son-bebe-dans-les-bras-video/

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  5. POUR APPRENDRE A AIMER LES PEDERASTES !

    Le gouvernement suédois accorde 175 000 dollars pour financer des spectacles de drag queen pour enfants


    par Tyler Durden
    Samedi, 11/09/2019 - 09:20
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    Le gouvernement suédois distribuera l'équivalent de 175 000 dollars de l'argent de la succession de Suédois décédés sans héritiers pour financer des spectacles drag queen destinés aux enfants.

    Vous ne pouvez pas arrêter le progrès!

    Le Fonds pour les héritages publics, un organisme public qui gère l’argent, remettra l’argent à ‘Kulturföreningen Mums’ à Stockholm, qui l’utilisera pour organiser des événements transvestis et transgenres où des contes de fées sont lus aux enfants.

    «Le projet, avec les enfants, les jeunes et les adultes handicapés, développera des contes de fées créatifs normatifs disponibles sous la forme de drag shows. Avec le groupe cible et plusieurs organisations, l'entreprise établie Parmi les dragons et les drag queens créera de nouveaux contes de fées qui reflètent le groupe cible », écrit la Fondation générale du patrimoine.

    Les fonds serviront à promouvoir des projets «fondés sur les besoins et les souhaits du groupe cible», notamment des «ateliers de spectacle de dragsters» basés sur des drag queens lisant des livres aux enfants des bibliothèques.

    D'autres gros morceaux d'argent du pot de la succession sont en train d'être distribués aux groupes de gauche, y compris celui qui promeut "un engagement plus fort du climat" pour les jeunes.

    Bien que la Suède soit une utopie progressiste qui punisse ses propres citoyens qui remettent en question un tel sujet, les répondants sur Twitter n’étaient pas aussi enthousiastes.

    L’un d’eux a décrit la situation comme une «nécrophilie économique», tandis que l’autre a déclaré: «Note à la putain de personne: ne laissez pas vos enfants s'approcher de ces personnes».

    https://www.zerohedge.com/political/swedish-government-grants-175000-fund-drag-queen-shows-children

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  6. La Lune, le Soleil et d’autres possibles provocateurs d’un conflit nucléaire accidentel


    12:14 09.11.2019
    Par Irina Dmitrieva


    Il y a 40 ans jour pour jour, le monde était au bord d’une guerre nucléaire en raison d’une erreur informatique. Mais les ordinateurs sont loin d’être la principale cause d’un conflit nucléaire accidentel: les militaires doivent aussi faire attention à la météo et même à ce qui se passe en dehors de l’atmosphère. En voilà quelques exemples.

    En novembre 1979, une erreur informatique a failli provoquer un conflit nucléaire à grande échelle entre les États-Unis et l’URSS. Ce n’était pas le premier ou le dernier cas où une guerre a pu être évitée de justesse, mais des situations dangereuses similaires n’ont pas toujours été la conséquence de problèmes informatiques. Voilà le top-7 des causes potentielles d’un conflit nucléaire.

    Erreur humaine: le «mauvais bouton» au mauvais moment

    Le 12 janvier 2018, les Hawaïens, dans le Pacifique, ont reçu des messages sur leurs smartphones, annonçant qu'un missile balistique allait frapper les îles. Le contenu de ce message a ensuite été démenti par les autorités. Le gouverneur de l'État d'Hawaï, David Ige, a mis les points sur les i: «L'erreur est survenue au moment d'une procédure ordinaire de changement d'équipe. Un employé s'est trompé en appuyant sur un mauvais bouton», a-t-il ainsi commenté pour la chaîne de télévision CNN.

    Le commandement de la Défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) a aussi évoqué un malentendu, assurant qu'il n'avait «détecté aucune menace de missile balistique sur Hawaï».

    Des nuages menaçants ?

    Le 26 septembre 1983, alors que la Guerre froide était au plus chaud, les satellites du système d'alerte précoce soviétique Oko, mis en exploitation en 1982, ont signalé le tir de plusieurs missiles balistiques intercontinentaux américains en provenance de la Malmstrom Air Force Base, dans le Montana.

    Le lieutenant-colonel Stanislav Petrov, qui était de service au poste opérationnel de commandement Serpoukhov-15, à une centaine de kilomètres de Moscou, a considéré ces signaux comme une fausse alerte lorsque des alarmes sonores et lumineuses ont été déclenchées dans son bunker souterrain. Convaincu qu'une véritable offensive américaine nécessiterait beaucoup plus de missiles, il a réussi à convaincre ses supérieurs d’attendre une confirmation des données par les radars terrestres.

    Par la suite, une enquête a établi que les capteurs des satellites Oko ont mal interprété la réflexion des rayons solaires sur les nuages évoluant à haute altitude, la confondant avec le dégagement d'énergie au décollage de missiles.

    Une bande d’ordinateur mal placée

    Le 9 novembre 1979, lors de la crise de Suez, les officiers de quatre centres de commandement américains, y compris du Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD), ont vu sur leurs écrans un grand nombre de missiles soviétiques, ce qui semblait être une attaque à grande échelle contre les États-Unis. En six minutes, des préparatifs d'urgence ont été effectués: les bombardiers nucléaires étaient prêts au décollage et les équipes des missiles balistiques intercontinentaux ont été placées en état d’alerte.

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  7. Mais les systèmes de radar d'alerte précoce et de satellites ont ensuite confirmé qu’aucun tir de missiles n'avait eu lieu. Il s’est plus tard avéré que la fausse alarme avait été lancée après qu’une bande d’ordinateur destinée à être utilisée pendant des exercices d’alerte aux missiles avait été installée par erreur dans un ordinateur en service opérationnel, selon le rapport d’Alan Phillips, 20 Mishaps That Might Have Started Accidental Nuclear War.

    Une éruption solaire

    Le 23 mai 1967, les postes d’observation radar du NORAD situés au-delà du cercle polaire arctique ont enregistré de fortes radiations et des interférences qui ont été interprétées comme un brouillage intentionnel des radars destiné à dissimuler le lancement de missiles soviétiques.

    Les équipages de bombardiers stratégiques ont reçu l’ordre de décoller, ordre qui a par la suite été annulé. La fausse alerte avait en fait été provoquée par les radiations résultant d'une puissante éruption solaire, associée à une éjection de masse coronale.

    Le taux de radioactivité était le plus élevé au-dessus des pôles terrestres où l’atmosphère et la couche d’ozone sont les plus minces, d’après Space.com.

    «Ingérence de la Lune»

    Le 5 octobre 1960, le poste de commandement du NORAD a reçu un signal de la station d’alerte précoce de Thulé, au Groenland, sur une frappe massive de missiles balistiques intercontinentaux soviétiques.

    Heureusement, les États-Unis n’ont pas riposté après cette fausse alerte: l’incident a eu lieu avant la crise des missiles de Cuba alors que la tension dans les relations américano-soviétiques n’était pas encore à son apogée. De plus, le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev se trouvait à ce moment-là à New York, en tant que chef de la délégation soviétique à l'Assemblée générale des Nations Unies.

    L’enquête a établi que la réflexion d’un signal radio par la surface lunaire était à l’origine de cette fausse alerte, d’après l’ouvrage Computer Technology and Social Issues de David Garson.

    Un blackout important

    Le 9 novembre 1965, l’Office de gestion des secours d’urgence (OEP) auprès de l’administration américaine a considéré la gigantesque coupure de courant électrique qui affectait plusieurs États du nord-est des États-Unis, ainsi qu’une partie de la province de l'Ontario au Canada, comme le résultat d’une frappe nucléaire. Pendant ce blackout, plus de 30 millions de personnes réparties sur 207.000 km2 ont été privées d'électricité pendant près de 13 heures, selon le New York Times.

    Plusieurs dispositifs d’alerte installés à proximité des grandes villes et des sites militaires aux États-Unis pour distinguer les pannes de courant «normales» de celles causées par une explosion nucléaire, ont envoyé un signal rouge sur les écrans des postes de commandement, alors qu’ils devaient en transmettre un jaune pour montrer qu’ils étaient hors circuit. Ces indications erronées ont mis le centre de commandement de l’OEP en état d’alerte.

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  8. Explosion d’un satellite

    En octobre 1962, une sonde soviétique, Mars 1962A (Spoutnik 22), a explosé en orbite d’attente peu après son lancement le 24 octobre par la fusée Molnia 8K78 depuis le cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan. L’accident a eu lieu en pleine crise des missiles de Cuba.

    «L'explosion d'un engin spatial russe en orbite pendant la crise des missiles de Cuba [...] a amené les États-Unis à croire que l'URSS avait lancé une attaque massive de missiles balistiques intercontinentaux», a affirmé en 1968 le physicien et radioastronome britannique Bernard Lovell, directeur de l'observatoire de Jodrell Bank (Université de Manchester) de 1945 à 1980.

    Malgré toutes les précautions, la possibilité d’une guerre par inadvertance en raison d’une suite imprévue d’événements demeure une menace mortelle. À l’époque où de nombreux pays possèdent des armes nucléaires, la plus grande vigilance s’impose.

    https://fr.sputniknews.com/international/201911091042395630-la-lune-le-soleil-et-dautres-possibles-provocateurs-dun-conflit-nucleaire-accidentel/

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  9. Ce fonds alternatif génère une rentabilité de 40 % par an… nette de frais


    Audrey Duperron
    8 novembre 2019


    Jim Simons, gérant du fonds alternatif Medallion, et fondateur de la société Renaissance Technologies

    Vous n’avez peut-être jamais entendu parler de Renaissance Technologies, ou du fonds spéculatif Medallion, et pourtant, ce dernier est peut-être l’un des fonds alternatifs les plus rentables de tous les temps. Selon les calculs de Bloomberg, il dégage un bénéfice net annuel de 40 %. Mais ce “hedge funds” est aussi auréolé de mystère.

    C’est le mathématicien Jim Simons qui a créé Renaissance Technologies en 1988. Auparavant, il avait remporté le prix Oswald Veblen de l’American Mathematical Society en 1976 pour ses travaux sur la géométrie. Aujourd’hui, il est l’un des hommes les plus riches du monde, avec une fortune estimée à 16,6 milliards de dollars, selon le Billionaires Index de Bloomberg.

    Le secret de Medallion : éliminer l’émotion

    Selon Greg Zuckerman, auteur de “The Man Who Solved the Market: How Jim Simons Launched the Quant Revolution”, le secret de Medallion tient à sa capacité à se concentrer sur les données pures et dures, en débarrassant les informations des marchés de tout contexte émotionnel.

    “Trop souvent, nous sommes émus par des histoires, quand il s’agit du marché des actions. Nous sommes captivés par les Uber, ou WeWork. Si vous regardez les meilleures entreprises aujourd’hui, Amazon, Netflix, Tencent, vous constatez que ce sont toutes des modèles. Et c’est la solution de Simons. En se fiant aux modèles et à la méthode scientifique, on ne tombe pas dans le piège des préjugés comportementaux”, explique-t-il.

    Dès le départ, en effet, Simons a employé des modélisations mathématiques tenues secrètes pour prédire les changements de cours sur les marchés mondiaux afin de saisir ces opportunités. Les plus infimes modifications sont prises en compte ; les données sur lesquelles il s’appuie remontent parfois jusqu’au XVIIIe siècle. En outre, la durée de détention maximale des titres ne dépasse pas deux jours.

    Une rentabilité brute annuelle de… 66 %

    Selon les calculs de Zuckerman, la rentabilité annuelle de Medallion culmine à 66%, mais compte tenu des frais de gestion que la société de gestion prélève, le bénéfice net pour les investisseurs n’est « que » de 39 %. En effet, outre des frais de gestion de 5 %, Renaissance Technologies facture une participation à la performance de 36 %. Pour cette dernière, la moyenne du marché s’éatblit à 20 %.

    Aujourd’hui, Renaissance Technologies emploie 300 personnes, pour la plupart des mathématiciens, et non des traders, et son encours serait proche de 10 milliards d’euros, toujours selon Bloomberg.

    Et hélas, le fonds n’est pas ouvert aux investisseurs tels que vous et moi. En 2005, jugeant qu’il était trop gros, ce qui posait des défis supplémentaires en matière de gestion, Renaissance Technologies a décidé d’en exclure pour se concentrer sur un petit groupe de privilégiés.

    https://fr.express.live/medallion-renaissance-technologies-hedge-funds/

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  10. Macron : libéralisme de façade, poursuite de l’étatisation

    Affirmer que la gauche française s’est convertie à l’ultralibéralisme, c’est méconnaître l’économie.


    Par Claude Robert.
    9 NOVEMBRE 2019


    Beaucoup de Français se font leurrer par le discours politico-économique ambiant. Mais comment leur reprocher cela quand un Éric Zemmour et un Michel Onfray commettent à longueur d’antenne les mêmes confusions ? Comment en effet blâmer ces Français qui accusent Hollande et Macron d’être ultralibéraux alors que ces « intellectuels »1 en font de même ?

    Zemmour et Onfray ne sont d’ailleurs pas les seuls à diffuser de telles méprises. Jean-François Kahn et Régis Debray, pour ne citer qu’eux, tiennent strictement le même discours. Dans son délire, ce quarteron de sophistes partage un solide point commun : celui d’affirmer que la gauche française s’est convertie à l’ultralibéralisme ! Ne partagent-t-ils pas aussi une splendide incompréhension de l’économie ?

    Rien n’est plus efficace, pour mesurer la compétence d’une personne dans un domaine précis, que de lui poser des questions sur les définitions les plus courantes. C’est ainsi que procèdent les tests psychotechniques, en commençant par le niveau le plus basique de la connaissance : la compréhension du vocabulaire. Or que dire de ces soi-disant maîtres à penser qui ne font aucune différence entre « libéralisme économique », « capitalisme », « libre-échange » et « capitalisme d’État » ?

    Certes, Kahn et Debray font moins le buzz. Ce sont à présent Zemmour et Onfray qui ont pris le relais. Mais ils nous abreuvent du même aveuglement. Un aveuglement idéologique tellement français, si ce n’est marxiste… Aussi est-il d’utilité publique de rectifier ces mythes que nos médias majoritairement de gauche diffusent sans même s’en rendre compte : non, Macron n’est pas libéral en économie.

    Dans un pays dont l’État collecte et redistribue chaque année plus de 57,7 % de la création de richesse annuelle, record mondial parmi les pays non communistes, il est impossible de qualifier de libéral2 un président qui non seulement ne ramène pas ce pourcentage à des niveaux plus normaux, mais au contraire l’accroît par sa politique…

    QUID DE LA SUPPRESSION DE L’ISF ?

    Certes, pour beaucoup de Français, le fait d’avoir supprimé l’ISF (hors immobilier) est une mesure libérale. Or l’effet libératoire sur les happy few3 se révèle plus que détruit par l’accroissement de la fiscalité sur les autres citoyens, retraités compris, qui eux sont considérablement plus nombreux.

    Au total, ainsi que le démontrent les chiffres officiels (INSEE, etc.), les prélèvements obligatoires continuent d’augmenter en France. L’État accentue donc son emprise sur l’économie du pays, ce qui est l’exact opposé du libéralisme économique.

    QUID DES PRIVATISATIONS ?

    En privatisant plusieurs compagnies nationales, Macron passe aussi pour un ultra-libéral. Mais comment qualifier la cession des « bijoux de famille » que sont les Aéroports de Paris, Engie et la Française des jeux de libérale quand on sait que l’argent ainsi récolté par l’État lui évitera les réformes que sa taille, son coût et sa toxicité exigent depuis déjà si longtemps ?

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  11. Comme l’a indiqué le président, l’argent récolté ira d’une part à la diminution de sa dette, et alimentera d’autre part un « fonds pour l’industrie et l’innovation » (Libération 21/03/19). Quant au choix de ces trois entreprises, il semble d’autant plus suspect qu’il n’obéit à aucune logique industrielle.

    Ainsi, ces privatisations sont des actions purement one shot. Elles n’ont pour principal objectif que de donner un confort instantané à un État qui croule sous les emprunts. Si celui-ci voulait véritablement redresser l’économie, il commencerait par la libérer du carcan fiscal et réglementaire qui l’étouffe au lieu de tenter de planifier une énième façon d’intervenir financièrement en soutien de l’innovation. Tout cela transpire bien évidemment le capitalisme d’État, ce capitalisme que pratiquent surtout les dictatures communistes, pour l’intérêt financier de la caste au pouvoir, rarement pour celui des citoyens.

    QUID DE LA RÉFORME DU CODE DU TRAVAIL ?

    La baisse des indemnités prud’homales en cas de licenciement et le reste de la réforme engagée il y a deux ans par le gouvernement ne doivent pas non plus faire illusion : il s’agit d’une goutte d’eau dans un océan de contraintes administratives et fiscales qui font que les entreprises françaises sont en moyenne, depuis des années, moins rentables que leurs homologues européennes4.

    Sans compter que les inégalités entre travailleurs du public et du privé sont maintenues telles quelles, au bénéfice bien évidemment des agents de l’État qui cotisent moins, gagnent plus à niveau de responsabilité égal, perçoivent une meilleure retraite pour, cerise sur le gâteau, une meilleure espérance de vie. La préférence pour l’administration, qui est l’apanage des régimes anti-libéraux5, au préjudice de l’équité entre individus, ne fait ici aucun doute.

    QUID DE LA RÉFORME DE LA SNCF ?

    Il s’agit de l’un des plus gros échecs du président. Sorte de « canada dry », elle a le coût de la réforme (790 millions d’euros rien que pour les grèves) mais aucun des avantages ! Faut-il être naïf au point de croire que le simple fait de ne plus recruter des fonctionnaires va transformer un diplodocus ventripotent et ruineux en une jeune startup agile et capable d’affronter la concurrence européenne ?

    Là aussi, le président s’est bien gardé de toucher à l’essentiel6 : les méthodes de management et l’organisation interne du monstre étatique. Un monstre capable de fermer la gare Montparnasse à cause d’un simple boitier électrique défectueux et de se mettre en grève quand bon lui chante. Comment penser que cette fausse réforme puisse être considérée comme libérale si elle ne profite à personne en dehors du confort des cheminots ?

    À l’instar des médias et de notre classe politique très majoritairement socialistes, Onfray, Zemmour et bien d’autres sont dans la droite ligne de l’idéologie dominante. Ils participent à la duperie quotidienne du peuple, au mépris de la clairvoyance démocratique, cette clairvoyance qui exigerait depuis longtemps de mettre un frein à l’étatisation rampante de l’hexagone afin de remettre la classe politique au service d’un citoyen libre. Mais comment espérer un revirement libéral tant que les régimes socialistes au pouvoir ne sont même pas perçus comme tels ?



    Sur le web

    1 - Métier dont la tâche consiste pourtant à éclairer le peuple, mettre en perspective, rendre intelligent chacun d’entre nous… ?
    2 - Libéral en économie. ?
    3 - Ce sont vraiment les très riches, qui ne représentent qu’une petite partie de la population. ?
    4 - Source la plus récente : Euler Hermes données 2018. ?
    5 - Un régime étatique est aux antipodes d’un régime libéral : il privilégie l’État et ses agents par rapport aux travailleurs du privé. ?
    6 - L’essentiel n’est certainement pas une affaire de statut du personnel. ?

    https://www.contrepoints.org/2019/11/09/357418-macron-liberalisme-de-facade-poursuite-de-letatisation

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