Les 1% les plus riches d'Amérique possèdent désormais autant de richesses que les classes moyennes et inférieures combinées
par Tyler Durden Samedi, 11/09/2019 - 16:00
Il y a deux semaines, nous avions fait remarquer que même si (ou plutôt parce que) les actions atteignaient des sommets sans précédent, nous avons maintenant des troubles publics massifs (ponctuels) en: France, Espagne, Algérie. Irak: Liban; Egypte; Russie; Hong Kong; Venezuela; Chili; L'Équateur; et en Bolivie.
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C’est une raison simple de cette colère sociale: une fracture sans précédent en termes de richesse et de revenus, résultant des interventions constantes de la banque centrale sur les marchés des capitaux, qui ont rendu la mobilité sociale ascendante pratiquement impossible et stagnant la croissance des salaires, et plus encore que dans le Aux États-Unis, où, selon Bloomberg, citant les dernières données de la Fed, les "1%" détiennent désormais presque autant de richesses que les classes moyennes et supérieures combinées, en raison de la hausse incessante des actions qui a ajouté 1 billion de dollars supplémentaires au marché. la semaine dernière, ce qui porte le total à 82,7 billions de dollars.
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Voici les faits: comme le rapportait récemment le NBER, en 2016, le 1% des ménages les plus riches détenait plus de la moitié des actions en circulation, des titres financiers, des fonds en fiducie et des fonds de commerce et 40% des biens immobiliers non résidentiels. Les 10% les plus riches de familles en tant que groupe détenaient directement plus de 93% de la totalité des actions et des fonds communs de placement.
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De plus, bien que près de la moitié des ménages possèdent des actions directement ou indirectement par le biais de fonds communs de placement, de fiducies ou de divers comptes de pension, les 10% les plus riches des ménages contrôlaient 84% de la valeur totale de ces actions, bien que moins Part de 93% des actions détenues directement et des fonds communs de placement.
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Et avec le marché boursier atteignant de nouveaux sommets, il ne sera guère surprenant que le "top 1%" des ménages américains ait enregistré des rendements énormes sur le marché boursier au cours de la dernière décennie, ce qui est assez ironique, selon les données de la Réserve fédérale. directement responsable de cette distribution de richesse sans précédent. Et, comme le note Bloomberg, "ces gros portefeuilles ont l'élite américaine qui engloutit une part de plus en plus grande du gâteau".
Concrètement, cela signifie que le très riche 1% disposait d'actifs d'environ 35,4 billions de dollars au deuxième trimestre, soit un peu moins que les 36,9 billions de dollars détenus par les dizaines de millions de personnes qui composent le 50e au 90e centiles des Américains. - une grande partie de la classe moyenne et de la classe moyenne supérieure.
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Commentant cette divergence de richesse sans précédent observée quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, Stephen Colavito, stratège en chef du marché chez Lakeview Capital, a déclaré que les certificats de dépôt et autres investissements passifs ne rapportent pas grand chose. a injecté de l'argent dans les actions et a consolidé le marché dans son ensemble. "
En fait, celui qui "soutient le marché dans son ensemble" est la Fed qui, à la suite d'une crise du marché des mini-pensions de titres déclenchée par JPMorgan, a lancé "NOT QE" et a injecté 280 milliards de dollars en liquidités fraîches au cours des deux derniers mois, poussant la Fed à bilan supérieur à 4 billions de dollars pour la première fois depuis février.
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À ce stade, la richesse devient une boucle de rétroaction: "Plus les riches obtiennent d'argent, plus ils ont d'opportunités", a déclaré Colavito.
C'est aussi la raison pour laquelle les mouvements populistes en colère sont devenus une force de plus en plus puissante, à gauche comme à droite, exigeant soit la redistribution de la richesse, soit une imposition plus sévère de la punition pure et simple des milliardaires qui ont bénéficié de la lévitation artificielle du marché boursier par la Fed. Dans de nombreux pays du monde, cette colère s'est répandue dans la rue alors que des millions de personnes protestaient pour le changement social, à maintes reprises avec violence.
Leur colère ne fera que grandir, car, comme le note Bloomberg, les "pourcentages 1%" ne devraient pas tarder à dépasser les classes moyennes et supérieures combinées. La richesse des ménages dans la tranche supérieure de la tranche supérieure a augmenté de 650 milliards de dollars au deuxième trimestre de 2019, atteignant 35 500 milliards de dollars, tandis que les Américains des 50e au 90e centiles ont enregistré une hausse de 210 milliards de dollars.
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Un peu plus bas que les 1% les plus riches, les Américains des 90e au 99e centiles contrôlent toujours la plus grande part de la richesse, avec un actif de 42,6 billions de dollars.
Qu'en est-il du bas de la société américaine ? Eh bien, si les super-riches possèdent la quasi-totalité des stocks, les "90% de la base", c’est-à-dire 90% de la population américaine totale, détient la grande majorité de la dette, soit environ 72,4% du total.
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Un dernier tournant: les conflits entre riches et pauvres attirent de plus en plus de groupes d’âge: les baby-boomers nés entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et 1964 détiennent actuellement une richesse 11 fois supérieure à celle des millénaires au deuxième trimestre.
Alors, comment les millénaristes protestent-ils contre ce fossé de richesse inéquitable ? S'émeuvent-ils, deviennent des militants politiques et votent-ils en masse, se syndiquent-ils ou participent-ils à des grèves collectives de masse? Rien de ce qui précède: après tout, même refuser de travailler est apparemment trop de travail; Au lieu de cela, la jeunesse américaine a inondé les médias sociaux du summum de la révolte passive-agressive sous la forme de l'omniprésent "OK Boomer".
Nous doutons que les baby-boomers perdent trop de sommeil à cause de cette rébellion de la génération des toasts à l'avocat.
53 millions d'Américains se noient dans le cycle du travail à bas salaire
par Tyler Durden Samedi, 11/09/2019 - 22:00
C'est la "plus grande économie de tous les temps", non? Eh bien, cela dépend de qui vous demandez.
Par exemple, un nouveau rapport met en lumière que 53 millions d'Américains, soit environ 44% de tous les travailleurs américains âgés de 18 à 64 ans, sont considérés comme à bas salaires et peu qualifiés.
Selon un rapport de la Brookings Institution, bon nombre de ces personnes sont bloquées dans l’économie de la grande salle, gagnant environ 10,22 dollars l’heure, et rapportent moins de 20 000 dollars par an.
Un pourcentage extrêmement élevé de ces personnes ont des dettes insurmontables, qu'il s'agisse de prêts étudiants, de prêts automobiles ou de dettes de cartes de crédit. Leurs salaires ne couvrent pas leurs paiements de service de la dette, car leur vie sera ruinée financièrement après la prochaine récession.
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Alors que le top 10 des Américains fait la fête comme en 1999, la plupart d'entre eux possèdent des actifs, tels que des actions, des obligations et des biens immobiliers, qui tirent grandement profit du schéma de la bulle d'actifs en série de la Réserve fédérale et du dynamisme boursier du président Trump sur Twitter.
L'économie artificielle d'aujourd'hui ne fonctionne pas pour tout le monde car l'écart d'inégalité de la richesse se creuse de plus en plus au niveau de la crise.
Les États-Unis sont à la onzième heure, une heure avant minuit, alors que le déséquilibre d'inégalité de richesse se résorbera par l'éruption de manifestations dans les rues des grandes métros, un peu comme ce qui se passe dans le monde au Chili, à Hong Kong, au Liban et à Barcelone.
Un soulèvement, une révolution, les gens se rendent compte que des fonctionnaires et des gouvernements non élus ont ruiné l’économie et leur ont causé la misère financière des bas salaires et des dettes insurmontables.
Le rapport montre que près de la moitié des travailleurs à faible salaire sont concentrés dans dix professions, telles que vendeur, cuisiniers et préparateurs culinaires, nettoyeurs de bâtiments et ouvriers de la construction (ces emplois seront supprimés lors de la prochaine récession). ).
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Ci-dessous, la plupart de ces travailleurs à faible salaire sont concentrés dans des régions du nord-est, du centre du littoral atlantique et de la ceinture de Rust.
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Comme nous l'avons expliqué dans des articles précédents, des millions de ces emplois faiblement rémunérés et peu qualifiés ne seront jamais remplacés après la prochaine récession, en partie grâce aux méga-entreprises qui échangent ces emplois avec automatisation et intelligence artificielle.
La solution du gouvernement et de la Réserve fédérale, pour éviter les émeutes dans les rues, consistera à mettre en œuvre diverses formes d’assouplissement quantitatif pour la population.
Il y a une raison pour laquelle vous entendez déjà le débat sur le revenu universel, le fait que les banques centrales commencent à financer des investissements verts et d'autres formes de stimulus à court et à long terme, car l'économie mondiale est au bord de l'arrêt - et la seule solution à le moment est de faire plus de la même chose.
LA CALIFORNIE N'A PAS D'ÉLECTRICITÉ ? VIVE LE TRAIN ÉLECTRIQUE !
La Californie approuve un cautionnement de 3,2 milliards de dollars pour le train à grande vitesse vers nulle part
par Tyler Durden Samedi, 11/09/2019 - 21:01
Le train à grande vitesse est mort, vive le train à grande vitesse.
Moins d'un an après que le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, eut annoncé en février qu'il mettait fin au fiasco de la ligne ferroviaire à grande vitesse de l'État, qui coûtait très cher et qui était désespérément calé. achevé en 2033 pour un coût stupéfiant de 77 milliards de dollars), la Californie est sur le point de lancer un autre projet de train à grande vitesse, et celui-ci est encore plus idiot.
La Banque d'infrastructure et de développement économique de Californie (IBank) a autorisé une émission d'obligations fiscales à taux fixe et exonérée d'impôt de 3,2 milliards de dollars pour aider DesertXpress Enterprises, une filiale de Virgin Trains USA, à construire un train à grande vitesse reliant Victorville en Californie à Las Vegas. Le nouveau service XpressWest, à une vitesse pouvant atteindre 180 km / h, prendra environ 90 minutes aller simple.
Il y a juste un problème: Victorville, situé dans le haut désert de SoCal, est littéralement au milieu de nulle part.
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DesertXpress pourra utiliser cet argent pour payer les 135 kilomètres du projet situés dans l’état de la Californie. Selon ConstructionDrive, cela inclut les coûts de conception, de développement, de construction, d’exploitation et de maintenance du système ferroviaire lui-même; une gare de passagers; une installation de maintenance; wagons de train; et infrastructure d'électrification. DesertXpress pourra également utiliser les obligations, qui sont sponsorisées par le comté californien de San Bernardino, pour créer un fonds de réserve pour le service de la dette, ainsi que pour payer les intérêts et autres dépenses liées aux obligations. Alors que les dépenses totales s'élèvent à environ 4,8 milliards de dollars, les "coûts de construction difficiles" s'élèvent à 3,6 milliards de dollars.
Selon un rapport du personnel d'IBank, la construction, qui devrait commencer au cours du second semestre de 2020 et se terminer en 2023, générera plus de 15 800 emplois temporaires dans le secteur de la construction.
C'est la bonne nouvelle. La mauvaise nouvelle est… à quoi diable pensent-ils ?
En théorie, ce n’est pas une mauvaise idée: la Californie cherche depuis des décennies à trouver une voie rapide entre Los Angleles et Las Vegas. En pratique, le train qui va à Victorville assure que le projet est du type DOA.
Selon le rapport de l'IBank, le XpressWest entre la Californie et Las Vegas prendra environ la moitié du temps en voiture, mais Randal O'Toole, un membre senior du Cato Institute, pense qu'il n'y a tout simplement pas assez de potentiel. passagers - au moins de quoi faire de ce nouveau train à grande vitesse un succès.
"Si vous conduisez de Los Angeles à Victorville, vous serez à peu près à mi-chemin de Vegas," dit O'Toole, "alors pourquoi voudriez-vous vous arrêter et laisser votre voiture quelque part pour prendre un train et puis vous devez marcher jusqu’à votre destination, ou prendre un taxi, un Uber ou un Lyft, quand vous pouvez conduire votre voiture là-bas ? "
C'est probablement une question que les créateurs du projet auraient dû poser en premier.
Voici le problème: la distance entre Los Angeles et Victorville est d'environ 90 miles (144 km) et environ 190 miles (305 km) de Victorville à Las Vegas.
"En voiture de Los Angeles à Victorville", a déclaré O'Toole, "vous traversez tout le trafic - vous conduisez au-dessus des montagnes ... et vous arrivez à Victorville et c'est juste un coup droit à Las Vegas. C'est plus de miles, mais il y a très peu de trafic.
"S'ils devaient aller de Los Angeles à Las Vegas, ils pourraient peut-être attirer des clients, mais passer à travers la montagne coûterait extrêmement cher", a-t-il déclaré. "Ils construisent la partie facile de la ligne de chemin de fer mais pas la partie dont ils ont besoin pour construire afin d'attirer les clients."
Virgin Trains USA est un actionnaire majoritaire de Virgin Trains USA Florida, anciennement connu sous le nom de Brightline, et possède et exploite actuellement un système de rail voyageurs express qui relie Miami à West Palm Beach. La société construit actuellement une extension de 4 milliards de dollars de l'aéroport international d'Orlando. La date d'achèvement prévue est vers 2022.
Et bien que les projets de la société puissent être viables en Floride, ils constitueront un autre gaspillage de fonds épique en Californie.
Pendant ce temps, quand nous avons dit que le premier train à grande vitesse est mort, eh bien, ce n’était pas tout à fait correct: la construction du premier train à grande vitesse californien avance toujours, bien qu’à une échelle réduite. Alors que le gouverneur Gavin Newsom avait mis de côté les projets de la California High-Rail Rail Authority concernant une ligne de chemin de fer de 77 milliards de dollars entre San Francisco et Los Angeles, le gouverneur avait limité les travaux à 20 milliards de dollars du projet. prendra les passagers entre Bakersfield et Merced.
En d'autres termes, un autre train à grande vitesse allant de nulle part à nulle part.
Alors, pourquoi la Californie continue-t-elle à faire pression avec non pas un mais deux projets de train qu'elle sait être une catastrophe ? La réponse est simple: de l’argent fédéral «gratuit». Les autorités ferroviaires à grande vitesse tentent de dépasser l’échéance du 31 décembre 2022 pour ne pas perdre une subvention de 929 millions de dollars de la Federal Railroad Administration pour ce segment particulier.
En d’autres termes, au lieu d’économiser près d’un milliard de dollars en fonds des contribuables et de les appliquer à quelque chose d’utile, la Californie est prête à lancer un projet qui, chacun le sait, sera un gaspillage de fonds catastrophique, mais puisque cet argent doit être dépensé, même si cela signifie creuser des trous juste pour les remplir à nouveau ... eh bien, ainsi soit-il. Après tout, le gouvernement travaille fort.
CA Wildfires aggrave encore la crise des sans-abri
par Tyler Durden Samedi, 11/09/2019 - 20h30 Publié par Jenny Jayne via le blog Organic Prepper,
Le sans-abrisme en Californie a déjà atteint un état de crise, mais à l'approche de l'hiver et du nombre croissant de sans-abri, le problème continue de s'aggraver. Le manque de logements abordables associé à la crise nationale des opioïdes a entraîné une augmentation du nombre de sans-abri vivant dans les rues de la Californie.
Les populations de sans-abri de la Californie vivent dans des maisons de fortune faites de bâches, de tentes et de bois mis au rebut. L’assainissement pour un grand nombre de personnes vivant à l’extérieur est pratiquement inexistant et les excréments et l’urine sont laissés à l’extérieur à côté d’une literie sale.
La saleté dans les rues, en particulier «Skid Row», a conduit au retour des «maladies médiévales» que l’on pensait jadis éradiquées.
La situation du logement en Californie ne montre aucun signe d'amélioration.
Tandis que les Californiens continuent à assister à la désolation campée juste devant leurs portes, leur patience s'affaiblit et leur tolérance se dissipe.
Le New York Times rapporte:
La Californie peut être fière de son engagement en faveur de la tolérance et des valeurs libérales, mais dans tout l'État, des niveaux record d'itinérance ont suscité une réaction brutale contre les sans-abri. (la source)
Les sans-abri arrivent dans les rues de Californie pour diverses raisons, mais le manque de logement est le cri retentissant. Les logements abordables sont rares et les citoyens à faible revenu sont contraints de partir, les loyers ne cessant d'augmenter. Mais un autre facteur important a entraîné de nouveaux sans-abri qui ont envahi les ressources déjà débordées: les évacués des incendies. En conséquence, les sans-abri récents se heurtent à la population de sans-abri âgée. Nombre des «nouveaux» sans-abri de l’État n’ont nulle part où aller après que leurs maisons se soient incendiées. Les deux camps sont peut-être devenus des sans-abri de différentes manières, mais leurs besoins sont les mêmes. Et ces deux camps de sans-abri se battent pour des ressources en diminution.
Les incendies de forêt contribuent au problème du logement. La destruction des feux de forêt fait du manque de logements abordables un problème plus important et plus urgent. Les incendies de forêt font des ravages sur les logements déjà limités, obligeant les familles déplacées par les incendies à mettre de longues listes d'attente pour obtenir un abri, même temporaire. Même si les familles avaient les ressources nécessaires pour emménager dans un logement permanent, il en restait peu. Les incendies mettent à feu le peu de logements qui restent et rendent encore plus difficile la recherche de logements à des prix incroyables. Le manque d’assurance des propriétaires de logements abordables vient aggraver le problème. Même les propriétaires de longue date sont contraints de quitter leur emploi en raison de l'abandon par les compagnies d'assurance de la couverture des biens dans les zones à «risque élevé» et de la multiplication par trois des taux. Cela déplace encore plus de Californiens.
Les feux de forêt continuent de faire rage et emménagent avec eux. La situation des incendies en Californie, qui était déjà incontrôlable, ne fait que s'aggraver. C’est tellement grave que la Californie émet un «drapeau rouge sévère» pour avertir du risque d’incendies de forêt, certaines régions étant soumises à des vents de force ouragan. Ces vents ne font qu'augmenter les chances que les incendies commencent et se propagent plus rapidement.
Et les sans-abri, une population déjà fragile et disposant de peu de ressources, connaissent une croissance exponentielle en raison de la dévastation du logement dans les zones de feux de forêt. Déplacées de leurs maisons et de leur logement déjà en crise, les personnes évacuées des incendies de forêt n'ont nulle part où aller et peu d'endroits vers lesquels se tourner pour obtenir de l'aide. Ils ont opté pour la vie sous des tentes dans des champs ou dans des parcs de stationnement Walmart, alors qu’ils attendaient sur des listes interminablement longues de logements disponibles et abordables. Beaucoup, y compris un nombre disproportionné de citoyens âgés, sont tout simplement refoulés et laissés à eux-mêmes.
Le gouverneur de Californie a proposé une solution: le contrôle des loyers. Cela a suscité des réactions négatives de la part de leurs citoyens qui s'y sont opposés. Même là où le contrôle des loyers avait déjà été instauré, le nombre de sans-abri a continué de croître, ce qui donne à penser que la seule solution réelle est la construction, entravée par le contrôle des prix, les incendies de forêt et l’exode des assureurs de biens immobiliers.
Fox News rapporte:
Le contrôle des loyers s’est avéré un échec dans la résolution des problèmes de logement. Il incite les propriétaires à convertir leurs propriétés en habitations occupées par leurs propriétaires et décourage les investissements dans le marché du logement, aggravant ainsi les pénuries qui les ont provoqués. (la source)
La situation est désastreuse pour les personnes qui ne peuvent pas trouver de logement. Alors que les incendies continuent de ravager les maisons et de causer des milliards de dégâts, la population des sans-abri continue de croître et l'hiver approche. Étonnamment, l’état qui a le plus de décès de sans-abri dus à l’hypothermie est le Sunshine State.
Qu'est-ce que cela signifie pour ceux qui ne peuvent pas trouver d'abri ? Les sans-abri, y compris ceux qui sont des réfugiés de la dévastation causée par les incendies de forêt, seront toujours dans les rues lorsque les températures chuteront. La compassion de leurs compatriotes californiens a porté ses fruits. Il y a moins d'options pour un abri chaud et plus de personnes se battent pour les quelques ressources fournies.
Peu de choses ont été faites pour résoudre le problème imminent de «Où vont-ils aller ?» Quand il fait trop froid pour être dehors. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils trouveront un abri avant que de nouvelles tragédies ne se produisent.
par Tyler Durden Samedi, 11/09/2019 - 17h30 Ecrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,
Pris entre les forces des médias traditionnels et la propagande gouvernementale, il semble que nous ne puissions croire rien de ce que nous voyons ou entendons. Une grande partie de ce problème est enracinée dans les agendas des grandes entreprises et de ceux qui les contrôlent. Ces entreprises sont devenues si grandes et puissantes qu'elles influencent maintenant le message et l'orientation du gouvernement. Les fausses nouvelles et les faux drapeaux ont laissé beaucoup d'entre nous avoir du mal à décider ce qui est réel, sans compter que les ordinateurs sont de plus en plus capables de générer et de modifier des images humaines. Tout est sur le point d’aller à un tout autre niveau.
Margrethe Vestager, chef de la législation antitrust de l'Union européenne, s'emploie à affirmer que l'influence de l'UE lui donne l'occasion et le pouvoir de façonner le monde. Elle insiste sur le fait que l'UE est prête à affronter des entreprises telles que Google, Facebook et Amazon, qui, selon elle, a utilisé son pouvoir pour miner la concurrence, empêcher l'innovation et recueillir des données à notre sujet. Cela a donné à ces entreprises un grand pouvoir de manipulation de la société. Google l'a fait lorsqu'il a utilisé la puissance de son moteur de recherche pour favoriser son propre service de comparaison. Alors que l’UE a annoncé qu’elle allait obliger plusieurs grandes entreprises à utiliser leur pouvoir d’une manière juste et équitable, sans discrimination, c’est plus facile à dire qu’à faire.
Redéfinir la technologie 'Made in China'
L'UE a l'intention de le faire en faisant preuve de souplesse en combinant des modifications de la politique de la concurrence et de la réglementation. Cependant, il reste à voir si cela réussira. Comme beaucoup de gens, je reste douteux. Ces puissantes entreprises sont déjà trop impliquées dans la définition du message des médias et la propagande gouvernementale est sur le point de libérer beaucoup plus de modèles et d'images générés par ordinateur. Celles-ci ont progressé là où elles ont brouillé la réalité et réduit la nécessité pour les êtres humains d’agir en tant que porte-parole ou de représenter des organisations.
En 2011, la chaîne de mode suédoise H & M a admis avoir utilisé des modèles générés par ordinateur pour présenter ses collections sur son site Web. Depuis lors, la capacité de créer des images générées par ordinateur n’a cessé de s’améliorer. Nous avons avancé là où il est difficile, non, il serait plus juste de dire impossible de savoir si ce que vous voyez est vraiment une personne ou simplement l’image de celle-ci. L'analyse approfondie de ce problème nous oblige à faire le lien entre créativité, marketing et prix, ce qui a d'énormes implications pour la société. Nous avons atteint le point où il nous est demandé de croire en un monde de fausses nouvelles et de faux drapeaux.
Les modèles virtuels que H & M a générés pour une utilisation dans les publicités en sont un exemple. Ces images ont l'air complètement humaines, mais si vous regardez bien, si vous regardez attentivement, elles pourraient toutes avoir la même forme et poser avec la tête d'un véritable modèle superposée sur le corps, là où le teint a été modifié numériquement pour correspondre à son teint. Cette étape qui dépasse le "photoshopping" a créé un peu de controverse. H & M a attiré les critiques pour avoir créé une fausse réalité et une image corporelle irréaliste, digne des femmes. Le site suédois Aftonbladet a tout d’abord remarqué les étranges similitudes des modèles. Hacan Andersson, un porte-parole de H & M, a confirmé la déception en disant:
"Ce n'est pas un corps réel, il est complètement virtuel et créé par l'ordinateur. Nous prenons des photos des vêtements sur une poupée qui se trouve dans le magasin, puis nous créons l'apparence humaine avec un programme sur un ordinateur."
Andersson a expliqué que la société avait choisi d'utiliser les images de modèles générés par ordinateur, car cela simplifiait le processus de prise de vue et permettait également aux clients de se concentrer sur les vêtements plutôt que sur les modèles. Il a reconnu, "Le résultat est étrange à regarder, mais le message est clair: achetez nos vêtements, pas nos modèles."
Le fait est que les images générées par ordinateur semblent souvent plus réelles que la réalité
Les images générées par ordinateur, appelées CGI, englobent les astuces et la capacité de générer et de manipuler des images. Cela crée des possibilités intéressantes pour l'avenir ainsi que le graissage d'une pente déjà glissante aux possibilités infinies. Finalement, cela pourrait conduire à une forme de "Photoshop" sur les stéroïdes. Toute personne familiarisée avec Photoshop sait qu'elle offre la magie qui aide les utilisateurs à concrétiser leur vision créative. En modifiant des fichiers d’image bruts et des photos à l’aide de l’édition de photo de pointe, non seulement les utilisateurs peuvent créer des images HDRI attrayantes, mais ils peuvent également induire en erreur les téléspectateurs quant à la réalité.
Attendez-vous à beaucoup plus de cela dans le futur. En ajoutant à un CGI des caractéristiques distinctes d’individus que la société considère sous un jour très positif, il n’est pas difficile d’imaginer que nous pourrions étendre une partie de ce même sentiment positif à cette image. Si cela est vrai, il n’est pas difficile d’envisager à la fois les politiciens et les autres de «frotter» légèrement leur voix et leur personnalité afin d’améliorer l’impact qu’ils ont sur la défense de leur cause. Ralentir leur discours, approfondir le ton de leur voix, réduire quelques kilos en trop. Manipuler les gens de cette manière pourrait être considéré comme une forme de propagande, mais en réalité, ce n’est qu’un pas de plus que ce que nous faisons déjà lorsque nous faisons un montage extrême d’un clip pour influencer l’opinion publique.
L'avenir du journal télévisé pourrait être très différent en ce sens qu'il pourrait être entièrement généré par ordinateur. Prenez, par exemple, les nombreuses imitations sonores introduites dans certains claviers électroniques aujourd'hui. Bien qu'un audiophile puisse faire la différence, l'auditeur moyen ne peut pas et la plupart des gens ne s'inquiètent pas s'il en résulte un téléchargement moins coûteux pour leur iPod. Etant donné que la même chose peut être dite à propos de la musique et même de l'art, cela peut être effrayant, surtout si vous êtes la personne qui découvre soudainement qu'un robot pourrait prendre votre travail. À Vegas, les spectacles sur scène avaient tous des orchestres live, mais maintenant, de nombreux musiciens ont du mal à trouver du travail sur le strip. Nous avons également vu que l'équivalent électronique de la musique générée par l'homme est devenu un genre et est devenu un marché à part. Les acteurs de la voix ressentent déjà la chaleur alors que l’empiétement de voix synthétiques frappe le marché industriel / des entreprises et se lance dans les livres audio.
La capacité de produire une voix à consonance humaine avec toutes les inflexions, les nuances et le minutage qui la rendent intéressante nécessite souvent autant de technicité artistique de la part d’un ingénieur en logiciel qu’à celle d’un acteur expérimenté. Cependant, à un moment donné, les ordinateurs seront en mesure de prendre en charge et effectuer cette tâche en routine. Cela ne devrait pas surprendre ceux qui observent les tendances technologiques récentes. Une recherche rapide des mots "voix off" et "voix d'ordinateur" vous permettra de vous familiariser rapidement. Apple a même conçu dans son iPhone une fonction appelée voiceover que les malvoyants trouvent très utile, elle lit les mots à l'écran à haute voix dans ce que Apple appelle une "interface en anglais parlé".
Une grande partie de cela se produit sous la surface avec peu de fanfare parce que la plupart des gens le considèrent comme inoffensif. Le fait est que nous avons maintenant des ordinateurs qui sonnent plus humains que les humains et, sur une note positive, parlent plus clairement. Il n’est pas difficile d’imaginer de tels chiffres faire économiser de l’argent aux réseaux de médias en diffusant les nouvelles. Tout cela nous amène à un moment dans le futur où les ordinateurs ont la capacité de générer des images qui dialoguent et peuvent agir avec émotion. En imitant des figures du passé ou leurs meilleures qualités et traits, il serait possible de créer de fausses figures avec des personnalités convaincantes.
Dans la vie, la plupart des gens ne rencontrent ni n'entendent jamais leur sénateur ou leur président parler en personne, ce qui signifie qu'une amélioration «douce et dissimulée» pourrait les aider à paraître plus attrayants. Il est important de considérer que si cette technologie peut être utilisée pour améliorer la stature d'une personne, elle pourrait également être utilisée pour diminuer son statut ou même comme moyen d'assassinat de personnage. Cela rend ce domaine de la technologie parfois trompeur et potentiellement dangereux propice aux abus. Malheureusement, il apparaît à l'avenir qu'il sera encore plus difficile de déterminer ce qui est réel et ce qui est faux.
Les deepfake s'emparent du cinéma ! Elle font revivre les actrices & acteurs décédés et les remettent dans des films x aux côtés de personnes vivantes. Tout est fait pour l'arnaque, tout est conçu pour stimuler l'envie de découverte et à la fois amener la confusion, le doute, la peur ou la mort.
Un envoyé des Nations unies met en garde contre la vie d'Assange
par Tyler Durden Dim., 11/10/2019 - 07:00 Via la Fondation de la culture stratégique,
Un expert des Nations Unies en matière de diagnostic de la torture a vivement averti la semaine dernière que le dénonciateur australien Julian Assange risquait de mourir de conditions de détention extrêmes en Grande-Bretagne.
Cela témoigne de l'hypocrisie de rang des gouvernements britanniques et américains qui donnent des conférences à d'autres dans le monde sur la démocratie, les droits de l'homme et le droit international.
On ne peut qu'imaginer le tollé hystérique des gouvernements et des médias occidentaux si Assange était en quelque sorte détenu dans une prison russe.
Assange, âgé de 48 ans, est incarcéré dans une prison à sécurité maximale à Londres depuis le mois d’avril de cette année, quand il a été renvoyé de force à l’ambassade de l’Équateur. Son arrestation était en soi une violation stupéfiante du droit international. Assange avait été confiné à l'ambassade pendant près de sept ans, où il avait demandé l'asile pour éviter d'être extradé vers les États-Unis.
Il aurait dû être libéré le 22 septembre après avoir purgé sa peine pour violation de la liberté sous caution. Au lieu de cela, un juge britannique a ordonné la détention d'Assange jusqu'à ce que le procès d'extradition vers les États-Unis commence l'année prochaine. Si Assange est extradé aux États-Unis, il risque 175 ans de prison s'il est reconnu coupable d'espionnage. Peu de gens croient qu'il bénéficiera d'un procès équitable en Grande-Bretagne ou aux États-Unis. On lui a refusé une procédure régulière de consultation de ses avocats.
La charge "d'espionnage" d'Assange découle du fait que son site de dénonciation, Wikileaks, a publié de nombreuses informations accablantes révélant des crimes de guerre massifs commis par les États-Unis et l'OTAN en Irak, en Afghanistan et ailleurs. Ses publications de données divulguées exposaient également les méfaits de la diplomatie occidentale dans plusieurs pays, ainsi que l'espionnage mondial illégal de citoyens par les agences de renseignement américaines, en collusion avec leurs homologues britanniques.
Assange a fourni au public international des informations vitales démontrant la corruption systématique de Washington et de ses alliés. Pour avoir dit la vérité, il est maintenant persécuté, tout comme ses collègues dénonciateurs, Chelsea Manning et Edward Snowden. Manning a été emprisonné à plusieurs reprises aux États-Unis, tandis que Snowden a dû demander l'asile en Russie de peur d'être sommairement incarcéré en tant que «traître» s'il retournait aux États-Unis.
Nils Melzer, un expert internationalement reconnu en matière de traitement de la torture, s'est rendu à Assange en mai de cette année alors qu'il était toujours en détention dans la prison de catégorie A de Belmarsh, dans des conditions d'isolement cellulaire. Il a ensuite conclu qu'Assange subissait des tortures psychologiques de la part des autorités britanniques. Son dernier avertissement est basé sur des informations médicales à jour relatives à la santé d’Assange et donne lieu à une sombre évaluation.
Dans ses commentaires à l'agence de presse AFP, qui a reçu peu de couverture médiatique occidentale cette semaine, Melzer a déclaré:
"La santé de M. Assange est entrée dans une spirale descendante d’anxiété, de stress et d’impuissance de plus en plus graves, typiques des personnes exposées à un isolement prolongé et à un arbitraire constant."
Dans une conclusion grave, il ajouta:
"Bien que l'évolution précise soit difficile à prédire avec certitude, cette configuration de symptômes peut rapidement se transformer en une situation potentiellement mortelle impliquant une défaillance cardiovasculaire ou un effondrement nerveux."
Melzer a déclaré que les mesures qu'il avait recommandées en mai pour protéger la santé et la dignité d'Assange avaient été ignorées. «Cependant, ce que nous avons vu du gouvernement britannique est un mépris total pour les droits et l'intégrité de M. Assange… Malgré l'urgence médicale de mon appel et la gravité des violations alléguées, le Royaume-Uni n'a pris aucune mesure d'enquête, de prévention ou de réparation. requis par le droit international."
Dans un autre commentaire accablant, Melzer a déclaré que Julian Assange «continue d'être détenu dans des conditions d'oppression et d'isolement oppressives, non justifiées par son statut de détenu. Alors que le gouvernement américain poursuit M. Assange pour avoir publié des informations sur de graves violations des droits humains, notamment des actes de torture et des meurtres, les responsables de ces crimes continuent de bénéficier de l'impunité. "
Cette évaluation épouvantable corrobore ce que le père d’Assange a déclaré à la Strategic Culture Foundation dans une interview publiée le 24 septembre. John Shipton a alors averti qu’il craignait que son fils ne soit tué de façon extrajudiciaire par les autorités britanniques et américaines.
En dépit du journalisme primé d’Assange et de la vérité, les principaux médias occidentaux ont fait preuve d’un mépris total pour son sort. En effet, de tels médias ont eu tendance à renforcer la diffamation et l’assassinat de caractère imputés à Assange par les gouvernements américain et britannique.
L’hypocrisie est encore soulignée par les tentatives récentes des médias américains de lorgner un soi-disant dénonciateur qui a aidé à lancer une procédure de destitution du président Trump pour corruption présumée en Ukraine. En revanche, les mêmes médias, dans leur insensible indifférence à l’égard d’Assange, le condamnent à la torture pour des actes de dénonciation vraiment historiques par leur portée et leur importance.
Cependant, la cause d'Assange a été gravement désavantagée par la campagne de diffamation à son encontre, l'accusant d'être un «atout russe» ou un «cyber-terroriste». Ces frottis ont été colportés par les médias occidentaux.
Ainsi, évidemment, lorsque la dénonciation est au service du pouvoir, elle est considérée comme louable. Mais lorsque les dénonciateurs contestent et discréditent le pouvoir, ils sont persécutés en tant que criminels, pouvant aller jusqu'à la mort.
On peut soutenir que si le président Donald Trump avait des scrupules, il abandonnerait l'affaire d'espionnage inventée contre Assange. Après tout, ce sont les révélations de corruption de Hillary Clinton et de ses chefs du parti démocrate par Wikileaks qui ont partiellement contribué à l'élection de Trump en 2016. Assange a obtenu ces fuites d'un initié démocrate, et non de pirates informatiques russes, comme le prétendent généralement des "Russiagaters" trompés.
Julian Assange, alors qu'il était libre et maintenant en prison, expose la criminalité et l'immoralité systématiques des gouvernements occidentaux et de leurs médias institutionnels. C’est la raison pour laquelle il se retrouve dans les conditions infernales d’un cachot dans une prison britannique.
Nous ne pouvons qu’espérer que l’opinion publique puisse exercer une pression croissante sur Washington et Londres pour restaurer la liberté et la vie d’Assange. Entre-temps, le vengeur cruel des deux gouvernements, leur anarchie et leur profond mépris pour les droits de l'homme sont assurément un spectacle révélateur.
La différence entre Assange prisonnier et les autres en d'autres prisons est que les autres détruisent le Peuple et sont même encouragé à le faire tandis qu'Assange a détruit la dictature ou du moins l'a attaqué.
Sont même encouragé à le faire par le système bien entretenu des prisons où il y a forcément plusieurs personnes par cellules qui en rencontrent d'autres à la sortie quotidienne dans la cour. Là, ils peuvent échanger leurs savoirs et leurs objectifs de façon à ce qu'à la sortie ils se rencontrent et remettent çà. C'est là une récidive voulue par la dictature pour faire marcher le commerce. Tout ce qui est volé a disparu et n'est donc pas rendu aux propriétaires. Victimes qui doivent donc racheter d'autres biens personnels ou demeurer pauvre. L'objectif est d'appauvrir la population Tandis qu'en solitaire en prison et promenade quotidienne (suivant l'horaire) ils ne pourraient rencontrer personne durant toute la durée du séjour.
Solution: Une cellule personnelle qui s'ouvre sur un cour personnelle suivant l'heure établie où le voisinage immédiat n'est pas de sortie.
David Stockman sur le fonctionnement réel de l'état profond
par Tyler Durden Samedi, 11/09/2019 - 21h30 Via InternationalMan.com,
- Internationa Man: L'année dernière, le président Trump a pris la décision inhabituelle de contourner ses conseillers pour annoncer son intention de retirer rapidement toutes les troupes américaines de la Syrie. La décision a secoué Washington et les principaux médias. L'ancien secrétaire à la Défense Mattis a dû démissionner. Près d'un an plus tard, les États-Unis n'ont retiré qu'un nombre symbolique de soldats. Des milliers de soldats occupent encore la partie du pays où se trouvent les champs de pétrole. Qu'est-ce qui se passe ici ?
- David Stockman: Eh bien, c’est l’état profond au travail.
Donald Trump est tout par son solitaire. Il est seul à la maison dans le bureau ovale. Maintenant, la moitié, il peut s'en vouloir. S'il embauche quelqu'un, un idiot connu comme John Bolton, il s'attend à ce qu'il se produise sauf que tout ce qu'il voulait faire serait mis à mal.
Néanmoins, il ne semble pas pouvoir trouver quelqu'un qui puisse articuler au quotidien une voie vers la posture plus modérée de America First qu’il avait en tête.
Il est entouré de gens qui contredisent constamment ses ordres. James Jeffery, ambassadeur américain et envoyé spécial en Syrie, a déclaré: «Eh bien, Trump ne voulait pas dire cela quand il a dit qu'il voulait que les troupes quittent la Syrie."
Nous avons la même chose avec la Corée du Nord. Trump a finalement déclaré: 66 ans après l’armistice, nous n’avons toujours pas de traité de paix et nous occupons toujours la péninsule coréenne, ce qui n’intéresse en rien notre sécurité nationale.
Vous devez faire ce que j’appellerais «l’histoire contrefactuelle». En d’autres termes, si vous comprenez ce qui aurait pu se passer dans l’autre sens, vous ne serez peut-être pas aussi impressionné par toute cette menace inflationniste.
Je reviens sur la raison pour laquelle la guerre de Corée a eu lieu, parce que je pense que c’est important pour toute cette affaire, alors que Trump essaie de conclure un accord avec Kim Jong-un.
À la fin des années 40, des responsables de Washington ont déclaré que la Corée se trouvait en dehors de notre sphère d'influence. La ligne de démarcation Nord-Sud avait été établie à la hâte lors de la conférence de guerre de Potsdam en juillet 1945. Dean Acheson, secrétaire d'État américain à la fin des années 1940, a déclaré était une simple ligne d'arpenteur; il n’a pas d’influence stratégique. Et si le bon sens avait prévalu au lieu du conseil insensé du président Truman?
Et si Truman avait dit: "OK, nous allons quitter cette fichue péninsule" ? Eh bien, elle serait devenue une quasi-province de la Chine, comme toutes les autres.
Ils fabriqueraient probablement toutes sortes de choses et les enverraient à Walmart aujourd'hui, et personne ne saurait faire la différence.
Au lieu de cela, nous avons eu une guerre. Si je me souviens bien, 54 000 militaires ont été tués. Toute la péninsule a été battue, bombardée et littéralement détruite. C'était comme une terre en friche dans le nord. Il y a des raisons pour lesquelles la famille Kim a survécu pendant toutes ces années, parce qu'elle nous déteste pour ce qui s'est passé. Les gens se souviennent. C'était vraiment de la terre brûlée. Je veux dire, c'était en quelque sorte un génocide, même à ce moment-là.
Donc tout cela s’est passé, et Eisenhower arrive et est assez astucieux pour dire que nous n’avons pas vraiment de sécurité nationale. Il a négocié un armistice, et pourtant le parti de la guerre a maintenu la tension sur la zone démilitarisée pendant toutes ces années, car elle devait figurer dans le livre des menaces.
Je me souviens bien quand je combattais la grande défense de Reagan, lorsque j'étais directeur du budget. Nous avons toujours besoin de tous ces nouveaux chars, avions d’attaque et capacités logistiques de réapprovisionnement, car nous devons être en mesure de mener une guerre de deux ans et demi.
Eh bien, où était la moitié de la guerre ? Je savais où étaient les autres. La moitié de la guerre était en Corée. Pourquoi avons-nous dû mener une demi-guerre en Corée ? Mais néanmoins, cela faisait partie de la rationalisation - justification - de cette force militaire massive qui est vraiment un outil de l’empire et non un outil de défense de la patrie.
Aujourd’hui, Trump dit enfin: laissons les Coréens décider comment gérer l’avenir de la Corée et renoncer à cette longue confrontation qui dure depuis 65 ans.
Et pourtant, aussi courageux qu'il soit, il est constamment miné par son propre peuple, qui dès qu'il ne cherche plus, envoie de vilains messages aux Nord-Coréens - cela ne fera que remettre Kim sur les talons - et donc rien se fait. Même si cela pouvait être très facilement fait.
Lorsque vous avez une politique de changement de régime - et c'est la seule chose vraiment positive que Trump a apportée à la table. Il a dit que le changement de régime avait échoué; nous ne le ferons pas dans le cadre de ma politique.
Pourquoi pensez-vous que les Nord-Coréens sont quasi affamés ? Et je sais que l’élite communiste et la famille de Kim, etc. vivent une vie bien remplie, mais néanmoins, ils sont dans une situation économique difficile.
Pourquoi investissent-ils tout cet argent dans le développement des capacités nucléaires et des missiles ? Parce qu’ils ne veulent pas être changés de régime. Kim est un jeune homme, il a la mi-trentaine et il ne veut pas être un autre Mouammar Kadhafi ou Saddam Hussein.
Il sait ce qui se passe. Vous êtes accroché à la télévision nationale si vous êtes un Hussein, ou vous êtes torturé et drogué derrière une jeep si vous êtes un Kadhafi.
De toute évidence, ce genre de choses a des conséquences. Ces idiots à Washington et tous ces groupes de réflexion qui parlent de changement de régime et d'instauration de la démocratie dans le monde et ainsi de suite - ne pensent même jamais à la conséquence - au message que ces épisodes violents envoient - et à la fâcheuse réaction des gens face à la défense se.
- Internationa Man: John Bolton étant exclu, voyez-vous les pourparlers américains avec la Corée du Nord porter leurs fruits pour Trump ?
- David Stockman: Je pense que c’est toucher et aller.
Le problème, c’est que des dommages durables surviennent lorsque vous vous engagez dans tous ces changements de régime au cours de tant d’années et d’épisodes. Ils ne te font pas confiance.
Trump a travaillé très dur, utilisant une diplomatie personnelle étrange et idiosyncratique pour établir la confiance avec Kim. Cela semble fonctionner, mais il y a tellement de forces en coulisse qui cherchent à saper cette confiance afin que rien ne se passe.
Ils veulent garder 29 000 soldats en Corée du Sud, en danger, comme déclencheurs, afin que les Nord-Coréens nous obéissent comme nous leur disons de se comporter. C'est fou.
Je lui donnerais une chance de 50/50. Je sais qu'il veut une grande victoire, une victoire de la politique étrangère. Il est désespéré, car il ne se passe pas grand-chose ailleurs et ce qu’il avait l’intention de faire est totalement ébranlé.
Peut-être y at-il une chance que quelque chose se produise ici, mais je me méfie tellement des mécanismes de l’État profond et de leur besoin de menaces pérennes.
Si vous enlevez la menace coréenne, si vous reconnaissez que les Iraniens ne sont pas une menace, si vous voyez que la Russie est un tout petit pays qui ne va pas envahir l’Europe occidentale et s’effondrer par la porte de Brandebourg à Berlin, et ainsi de suite ...
Tout à coup, une personne va faire le calcul alors que nous entrons dans la crise financière et dit: «Nous ne pouvons pas nous permettre toute cette défense dont nous n’avons pas besoin. Laissons le réduire considérablement. "
Ils ne veulent pas que cela se produise. Et donc, ils doivent garder ces points chauds en flammes et ces menaces maintenues ou gonflées, car ils savent que si le Congrès prend en compte la vérité sur le monde, le budget de la défense serait considérablement réduit.
- Internationa Man: Jusqu'à présent, le président Trump avait une politique étrangère très différente de celle du candidat Trump. Qu'adviendra-t-il des chances de réélection de Trump s'il ne fait aucun progrès pour mettre fin à la guerre en Afghanistan, se retirer de la Syrie et rétablir la paix en Corée ?
- David Stockman: Je pense que sa réélection est binaire.
Si le marché boursier résiste et que l’économie parvient à éviter la récession, il sera en pleine forme. Mais je ne pense pas que cela va arriver.
Je pense que le marché boursier est dans ses derniers jours d'excès de bulle. Je pense que l’économie est en chute libre dans quelques trimestres ou quelques mois. Si cela se produit, Trump est grillé. Elizabeth Warren devient présidente et ce sera alors un tout nouveau jeu de balle difficile à imaginer.
- Internationa Man: Quel genre de rôle voyez-vous dans la politique étrangère lors des élections de 2020 ?
- David Stockman: Ce n’est pas le sens habituel de la politique du débat - là où il y a généralement un duopole bipartite, avec des nuances nuancées qu’ils aiment débattre et prétendre avoir un sens.
Cela ne se produira même pas cette fois-ci. La politique étrangère a été totalement prise en charge par la paranoïa démocratique sur la Russie et Poutine et se mêler de nos élections.
Il s’applique désormais à l’ensemble de l’enquête d’impeachment et à l’Ukraine-gate. C’est l’objet de tout le débat. Le débat va porter sur un side-show.
Les problèmes sous-jacents sont la raison pour laquelle nous naviguons sans cesse des navires de guerre dans la mer Noire. C’est comme le golfe du Mexique en Russie.
Pourquoi envoyons-nous des navires de guerre dans la Baltique ?
Pourquoi faisons-nous constamment de grandes manœuvres en Pologne et dans les États baltes, aux portes de la Russie alors que ces dizaines de milliers de soldats effectuent ces manœuvres et exercices ? Qu'est-ce qu'on fait tout ça ?
Ce sont les problèmes. Mais ils ne vont même pas faire l’objet d’un débat.
Un dernier point: Trump avait posé la question: l’OTAN n’est-elle pas obsolète ? L'Union soviétique est partie. Les 50 000 chars prétendument situés sur le front central et faisant face à l'Europe occidentale ont été fondus. Et pourtant, il ne peut même rien faire avec l’OTAN.
Il a dû double-parler pour dire: «Eh bien, les autres pays vont engager plus d’argent qu’ils n’ont pas. Ils vont gaspiller plus d’argent en défense. »C’est tout ce qui en découle.
Le fait est que nous devrions débattre de ce que nous faisons avec l'OTAN 25 ans après la disparition de l'Union soviétique de la surface de la terre.
Pourquoi Washington et le président ne dirigent-ils pas le monde avec cette conférence sur le désarmement afin que nous puissions commencer à réduire ces dépenses énormes en armes que personne ne peut se permettre ?
C'est ce que Washington devrait faire. Le président des États-Unis devrait être à la tête de la grande conférence mondiale sur le désarmement de 2021, et pourtant cela ne se produira même pas. Ce n'est même pas sur l'écran radar.
Cela n’a même pas été mentionné parce que, comme je le disais, l’appareil d’état de la Warfare étouffe tout débat, étouffe toute pensée qui dévie du statu quo.
Le grand problème dans le monde d’aujourd’hui est la guerre et la paix. Nous sommes confrontés à une campagne en 2020 qui ne sera même pas mentionnée.
* * *
Malheureusement, la plupart des gens n'ont aucune idée de ce qui se passe réellement lorsqu'un gouvernement devient incontrôlable, sans parler de la manière de se préparer ... La crise économique et politique à venir va être bien pire, beaucoup plus longue et très différente de ce que nous avons vu autrefois. C’est précisément pourquoi l’auteur à succès Doug Casey et son équipe viennent de publier un nouveau rapport urgent contenant tous les détails. Cliquez ici pour télécharger le PDF maintenant:
MÉTIERS - INFLUENCEUR FAIT PLUS RÊVER LES JEUNES QUE VÉTÉRINAIRE OU PROF
Influenceur, youtubeur, blogueur... L'avènement du web a donné naissance à de nombreux nouveaux gagne-pains de plus en plus populaires chez les jeunes.
LEMATIN.CH 10.11.2019, 16h18
«Et toi, qu'est-ce que tu veux faire plus tard ?» Adressée au moins une fois à quasi toutes les petites têtes blondes, la question est aussi banale qu'elle peut être angoissante.
Les aspirations professionnelles des jeunes générations semblent évoluer au fil des époques et de nombreux jeunes aspirent désormais à exercer des activités qui n'existaient pas il y a une dizaine d'années, comme influenceur ou encore youtubeur.
Si bien que ces métiers seraient devenus des choix de carrière plus populaires que d'autres professions jadis convoitées, telles que vétérinaire ou enseignant par exemple.
Sur le podium
C'est du moins ce qu'affirment les auteurs d'une étude menée en Grande-Bretagne par le réseau international de marketing Awin et relayée par le magazine spécialisé Mobile Marketing. L'enquête a été menée auprès de 2000 parents ayant au moins un enfant âgé de 11 à 16 ans.
Résultat: les activités d'«influenceur sur les réseaux sociaux» et de «vidéaste sur YouTube» sont désormais sur le podium des perspectives de carrière les plus convoitées par les jeunes (17% et 14% des sondés respectivement). Seule la profession de médecin est plus populaire (18% des sondés).
«Une place pour des emplois moins conventionnels»
«Il n'est pas surprenant que l'influence sur les réseaux sociaux soit une aspiration réelle de nombreux jeunes», estime Carina Toledo, conseillère en marketing influenceur chez Awin. «Bien que les emplois traditionnels soient encore vitaux pour notre société, qu'on le veuille ou non, il y a une place dans le monde moderne pour des emplois moins conventionnels tels que les influenceurs, les youtubeurs et les blogueurs».
Malgré l'intérêt croissant des enfants pour les carrières liées aux réseaux sociaux, ces dernières demeurent mystérieuses pour les générations précédentes. Ainsi, 45% des parents sondés ont déclarés qu'ils ne comprenaient pas véritablement en quoi consiste l'activité d'influenceur. En outre, 58% ont affirmé qu'ils ignoraient qu'on pouvait en tirer des revenus.
Dire la vérité ou un mensonge peut effectivement influencer certaines personnes encore en construction. La vérité est inattaquable et détruit le mensonge. Il est donc préférable d'entendre plusieurs sons de cloches.
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L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle 14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
SUISSE - DES MÉDECINS GAGNENT DES MILLIONS GRÂCE À L'AI
Selon le SonntagsBlick, certains praticiens empochent des sommes faramineuses afin de mener des expertises médicales pour l'assurance invalidité. Un médecin bernois a même gagné près de 3,1 millions de francs (2'817'952,39 €) depuis 2012 grâce à ses expertises.
10.11.2019, 08h16
Certains médecins empochent des millions grâce aux expertises médicales qu'ils font pour les offices assurance-invalidité (AI). C'est ce qui ressort d'un document de l'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) que le SonntagsBlick a pu consulter.
Celui-ci recense les sommes versées par les offices AI aux médecins et cliniques entre 2012 et 2018. Il en ressort que ceux-ci attribuent les contrats d'expertise de manière extrêmement unilatérale.
En 2018, ils ont payé 683 médecins et cliniques pour mener des expertises dites monodisciplinaires pour un montant total de 29,5 millions de francs. 10% de ces experts se partagent les trois quarts des mandats. Depuis 2012, un médecin bernois a même gagné près de 3,1 millions de francs grâce à ses expertises pour l'AI. Deux autres médecins ont reçu chacun 1,9 million de francs au cours de la même période.
Des avocats, des organisations de personnes handicapées et même des médecins se plaignent du fait que les experts qui reçoivent des millions de la part des offices AI ne jugent plus en toute indépendance. Ils voient dans cette répartition inégale une indication que ceux-ci préfèrent des experts qui jugent dans leur sens - c'est-à-dire contre une incapacité de travail et donc contre une rente, écrit le SonntagsBlick. (ATS/nxp)
OCÉAN ATLANTIQUE - LE «MATÉRIEL FANTÔME» DÉCIME LA FAUNE MARINE
Près de 640'000 tonnes de matériel de pêche sont abandonnées chaque année, comme autant de déchets au fond de l'eau Il faut attendre au moins 600 ans avant que le plastique ne commence à se désintégrer en petites particules.
10.11.2019
Pascal Van Erp le redoutait, il ne s'est pas trompé. De sa plongée dans les eaux froides de l'Atlantique sud, à 1600 km au nord-ouest de la ville sud-africaine du Cap, il a ramené à la surface un piège à homards noirci par les algues. Dûment répertoriée, la petite cage de plastique vert va rejoindre la longue liste des pièces à conviction du procès de la pollution des océans instruit contre la pêche industrielle.
«On est à un millier de milles des côtes de l'Afrique du Sud et on y trouve quand même du matériel de pêche abandonné», fulmine l'océanologue Thilo Maack, de Greenpeace. «Dans un endroit aussi isolé (...) c'est vraiment dégoûtant».
A bord d'un des navires de l'ONG, l'Arctic Sunrise, lui et son équipe patrouillent autour du mont Vema, une montagne sous-marine dont le sommet affleure à une vingtaine de mètres de la surface, pour y documenter l'ampleur de la pollution. Des millions de filets, de lignes ou de cages en tous genres flottent dans les océans de la planète. Perdus ou simplement jetés par les entreprises de pêche.
Les Nations unies estiment que 640'000 tonnes de matériel de pêche sont abandonnées chaque année comme autant de déchets au fond de l'eau. Le poids de 50'000 bus à impériale, insiste Greenpeace, jamais à court de comparaisons saisissantes.
Dans un rapport publié en 2009, le Programme de l'ONU pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) des Nations unies ont évalué à 10% la part des matières plastiques issues de la pêche qui polluent les mers.
«Zombies sous-marins»
«Le matériel de pêche constitue (...) plus de 85% des déchets plastiques retrouvés sur les fonds ou les reliefs sous-marins», a renchéri Greenpeace dans un rapport publié mercredi. Même abandonnés, ces équipements, non biodégradables, continuent à capturer poissons et crustacés et menacent même les grands mammifères comme les dauphins.
Thilo Maack les range dans la catégorie du «matériel fantôme» car, dit-il, «tels des zombies tapis au fond de l'eau, ils continuent à capturer (des poissons), même si personne ensuite ne se préoccupe du produit de ces captures». L'an dernier, plus de 300 spécimens d'une espèce menacée de tortues ont ainsi été trouvés morts au large du Mexique, prisonniers d'un filet de pêche apparemment oublié.
Selon l'ONG World Animal Protection, qui a son siège au Royaume-Uni, ces filets abandonnés tuent chaque année 100'000 baleines, dauphins, otaries, phoques et tortues.
«C'est un énorme problème car ils sont conçus pour capturer et tuer la faune marine et continuent à le faire tant qu'ils restent au fond», souligne Bukelwa Nzimande, de Greenpeace. A cause de sa solidité et de sa longévité, le plastique est l'un des matériaux privilégiés de l'industrie de la pêche.
Il faut attendre au moins 600 ans avant qu'il ne commence à se désintégrer en petites particules qui sont d'abord ingérées par les poissons, avant de l'être par les humains qui les consomment à leur table.
«Machine de mort»
Au terme d'une semaine de plongées, l'équipage de l'Arctic Sunrise n'a mis la main que sur un seul piège à homards. Les plus optimistes veulent y voir l'effet du moratoire sur la pêche autour du mont Vema imposé en 2007 par l'Organisation régionale chargée des questions de pêche pour le sud-est de l'Atlantique (SEAFO).
Mais ce type d'institutions ne couvre encore que 1% de la surface des océans de la planète, laissant leur quasi-totalité sans protection, à la merci de la pêche illégale. Depuis des années, les ONG pressent l'ONU de mettre en place un système de gouvernance en mesure d'y protéger, à terme, la faune et la flore marines. A ce jour, 64% des océans échappent à la souveraineté des pays.
Un tel système pourrait notamment contraindre les entreprises de pêche à récupérer leur matériel, voire leur imposer des pénalités financières en cas d'oubli. En attendant, plusieurs ONG ont déjà entamé leur propre chasse à cette forme de pollution marine.
«Partout où il y a une mer ou un océan, on en trouve (du matériel fantôme)», regrette Pascal Van Erp, fondateur d'une association précisément baptisée Ghost Fishing, établie aux Pays-Bas, qui nettoie les fonds marins depuis 2012.
«Nettoyer le matériel abandonné me motive au plus haut point, quand j'en trouve je suis sincèrement heureux», ajoute le plongeur en remontant sur l'Arctic Sunrise, combinaison ruisselante. «Sinon, il continue à fonctionner», insiste-t-il, «comme une sorte de machine de mort». (ats/nxp)
1°) Il ne s'agit pas là de matériel abandonné ou jeté volontairement à la mer, quand un bateau chavire et coule c'est un accident et non un geste volontaire. 2°) Tout est dégradable surtout en fonds de bassins où les températures élevées et les émanations magmatique des plus toxique désagrègent les matériaux les 'plus coriaces'. 3°) la terre recèlent des milliards de milliards de fois plus de 'matériaux' dispersés depuis des millions d'années. 4°) L'être humain est constitué 100 % de 'pollution' sorties de Terre depuis toujours !
JEUX MOBILE - UNE RÉALITÉ AUGMENTÉE À L'ÉCHELLE DE LA PLANÈTE
Niantic, l'éditeur de Pokemon Go, veut créer des jeux pour smartphones qui mélangent toujours plus le réel et le virtuel. A l'été 2016, Niantic avait généré en à peine quelques semaines plus de 800 millions de dollars de revenus grâce à Pokemon Go.
06.11.2019
L'éditeur américain de jeux vidéos Niantic, spécialisé dans la réalité augmentée sur smartphone, veut construire la possibilité de se déplacer au quotidien dans des univers fantastiques mêlés au monde réel, comme dans Pokemon Go, son jeu phare lancé en 2016.
«Jouer ensemble, partout»
L'entreprise a dévoilé mercredi une série d'améliorations pour ses jeux (Ingress, Harry Potter: Wizards Unite) et sa plateforme de développeurs, et en a profité pour expliquer la mission qu'elle s'est donnée.
John Hanke, le fondateur de Niantic, imagine une réalité augmentée à l'échelle de la planète, où la technologie incite «les gens à s'extraire de leur canapé pour aller jouer ensemble» dehors, dans les parcs ou les cafés, n'importe où «les atomes rencontrent les octets».
La réalité augmentée permet de surimposer des animations au monde réel, via son écran (notamment celui du smartphone, mais pas seulement). Dans Pokemon Go, les joueurs chassent des créatures magiques qu'ils peuvent visualiser sur la table de leur salon ou sur la pelouse dans un parc.
Pour se rapprocher de sa vision, l'éditeur travaille à une meilleure intégration des éléments virtuels dans le réel, et vice et versa.
Niantic veut par exemple enrichir ses cartes numériques, qui donnent aux joueurs des informations virtuelles (où se trouvent les créatures) et aussi réelles (les monuments remarquables ou les magasins).
Photo de famille
A ce stade, les joueurs d'un certain niveau proposent d'ajouter des lieux (avec des photos et quelques mots d'explication) et l'éditeur a conclu des partenariats avec des grands groupes (comme Starbucks ou McDonalds), qui payent pour faire apparaître leurs établissements dans le jeu, lors d'événements ponctuels ou dans la durée.
Désormais les petites entreprises auront aussi cette possibilité, et pourront attirer les consommateurs avec des promotions. «Les sponsors représentent une petite partie de nos revenus pour l'instant», a précisé John Hanke. «Mais cela s'intègre bien à notre mission d'aider les gens à découvrir des trucs cools autour de chez eux - le contraire d'Amazon en quelque sorte».
Le modèle économique de Niantic est fondé sur les micro transactions: les jeux sont gratuits, mais les joueurs peuvent acheter des objets virtuels qui leur permettent de progresser plus vite.
A l'été 2016, Niantic avait généré en à peine quelques semaines plus de 800 millions de dollars de revenus grâce à Pokemon Go, basé sur la franchise de jeux vidéo de Nintendo.
Depuis l'éditeur lui a ajouté de nombreuses fonctionnalités, pour encourager la sociabilité entre les joueurs: ils peuvent notamment s'échanger des cadeaux numériques et s'affronter par pokemon interposé.
Bientôt, ils pourront en plus visualiser les pokemons «compagnons» de leurs amis en chair et en os, en surimposition dans l'environnement réel, et les prendre en photo avec leurs humains.
Patates
«La réalité augmentée va refaçonner les expériences de divertissement de demain, et changer notre manière d'appréhender les mondes réel et numérique», prédit Kellee Santiago, responsable des relations avec les développeurs chez Niantic.
Le groupe investit en outre dans une plateforme d'outils technologiques de réalité augmentée, à laquelle d'autres éditeurs sélectionnés ont accès.
Cette année, le jeu de JCSoft, «Run to My Heart» («Cours vers mon coeur»), a remporté la première édition de «Beyond reality contest», une compétition «au-delà de la réalité» organisée par Niantic.
Ce jeu qui encourage le jogging se passe dans un monde virtuel où les personnes qui ne courent pas se transforment en patates.
L'éditeur américain a prévu d'allouer 10 millions de dollars, sur trois ans, pour financer un nouveau programme pour les créateurs en début d'année prochaine.
«Nous savons que les développeurs sont la clef pour inventer de nouvelles expériences qui amènent les gens à explorer et à se connecter avec le monde réel», indique Kellee Santiago.
La plateforme - baptisée «Real World» ou «monde réel» - comportera «bientôt» un outil de réalité augmenté dernier cri, qui permet au personnage animé de se dissimuler derrière un mur ou un objet, au lieu de flotter devant, d'une façon peu crédible. S'intégrer dans le monde réel signifie aussi pouvoir disparaître de l'écran. (afp/nxp)
D'après les journaux et articles financiers publiés sur le net, lorsqu'il y a récession/effondrement/inflation ce sont en premiers lieux les 'banksters'/traders & Cie qui sont visés et... non... celles et ceux qui les ont mis en place !!!!
Remarquez dans toutes les nouvelles économiques qui sont désignés du doigt lors de troubles constatés. Qui leur a donné l'autorisation (au nom du pays représenté !!!) de voler ?! Qui ?! Même si les politichiens et les banksters travaillent ensemble patte dans la patte, les premiers ne sont là que pour tirer les marrons du feu tandis que les autres se vautrent dans le stupre 'condamné' par les religieux-de-l'apparition (!).
Effectivement, si 100% des pauvres vivent dans la pauvreté (comme 100% des riches vivent dans le vol) l'image d'Epinal de l'ange traversant un champ de tir-aux-pigeons ne pourrait que le concerner dans la mesure où la constatation d'avoir 'un coup dans l'aile' et de se faire 'détourner' fait partie de son quotidien, mais, tous sports de ball-trap mis à part, c'est quand même du lourd et du gros calibre qu'est servi chez les pauvres ! 'Criblés de dettes' après les factures 'coups de fusil' même s'il y a 'de quoi se flinguer' ou se noyer avec une pierre au coup, voilà qu'arrive "Le reflouement" ('Rambo XX') avec ses taux d'intérêt 'pompon-girl' et en bouquet final the feu d'artifice où tout part en confettis !
Suffit juste de changer le carton-cible de temps en temps ! Car même si la biquette de Mr Seguin s'était appelée 'Chevrotine', le loup n'étant pas au courant de 'l'astuce' l'aurait croqué pareillement. (voir aussi "si Géronimo s'était appelé AK 47" ed. Contrelemur).
Les marchés (d'appels d'offre) n'étant pas soumis aux '7 jours de réflexion', les 'amis de Mr le maire' là aussi sont copains comme cochons et l'entrée n'est pas gratuite à 5 € ! Voyez plutôt (et détaillez svp !) le coût de tel ou tel bâtiment ou simples travaux de rénovation !! Les endettements pharaoniques-ta-mer des communes et tous les milliards qui servent à rien ! Qui s'enrichit ? Qui s'appauvrit ?... "On ne peut faire plaisir à tout le monde" !
Regardez en quoi consiste 'l'aide aux pays sous-développés' (qui n'ont que du pétrole à gogo, des diamants et de l'or à la pelle) ! Plutôt que d'apprendre à pêcher à quelqu'un ils se contentent d'apporter un poisson ! Vous comprenez maintenant la valeur du message (et des intentions de 'l'aide humanitaire') ?
Mais les panneaux solaires ne sont-ils pas supposés arrêter les feux de brousse ?
November 10th, 2019
Des scènes d'Armageddon en Nouvelle-Galles du Sud aujourd'hui et les gens l'appellent une urgence climatique sur Twitter. Interdire les nouvelles mines de charbon! Blâmez Tony Abbott ! (Voir #nswbushfires). Jusqu'à présent, il y a trois morts et 150 maisons perdues (au moins). Selon les dernières nouvelles de @NSW RFS ce soir, à 12 h 30, il y a eu 74 feux de brousse sur NSW, dont 43 non encore maîtrisés.
- voir photo sur site - @smhussey C'était la vue sur Northern NSW hier soir.
Les passagers en partance de la Gold Coast ont déclaré qu’ils ne pourraient pas fuir les flammes. #NSWfires
- voir photo sur site - Incendies - NSW - Vue depuis un avion. Détails: https: //t.co/xiUiZn9Ygh CRÉDIT Zach Firth sur Facebook
Effrayant à tout moment, surtout si tôt dans la saison. Il n’était pas si longtemps que nous aurions encore entrepris de petites brûlures de réduction des risques à cette période de l’année. Plus maintenant. # NSWbushfires # QLDbushfirespic.twitter.com / Wchw4NDl8U
- ÆnesidemusOZ (@AenesidemusOZ) 9 novembre 2019
Sensationnel. C'est beaucoup de forêt en train d'être convertie en nuage dans cette image satellite.
- voir photo sur site - Fires, tweet. Charbon et changement climatique
Trop de carburant provoque des feux de brousse extrêmes, pas le changement climatique 67 ans de réduction des risques en Australie occidentale montrent exactement comment contrôler les incendies de forêt. C’est juste de la chimie.
Nous laissons tout ce carburant traîner, puis sommes-nous surpris quand il brûle ? La gestion des feux en Australie occidentale détruit environ 8% de la forêt gérée chaque année - une rotation sur une année sur douze. La gestion californienne brûle une fois tous les 500 ans.
Les hommes ayant des décennies d'expérience et les pratiques indigènes estiment qu'une rotation de six ans est préférable.
- voir graphique sur site -
Feux de brousse, graphique, Australie occidentale, 50 ans de réduction des risques.
Plus de brûlages dirigés signifient moins de zones incendiées. Source: Bushfirefront Western Australia
Plus d'articles sur les incendies:
Une tempête de feu de Fake News: l'hystérie mondiale «commode» à propos d'Amazon basée uniquement sur des photos twitter C’est une urgence scientifique: combien d’incendies l’Australie peut-elle arrêter avec des panneaux solaires et des parcs éoliens ? Les incendies survenus au mois de août 1951 dans le Queensland ont été qualifiés de "catastrophiques" alors que le gaz carbonique atteignait 311 ppm Californie: peut-être que les brûlures prescrites une fois tous les 500 ans ne suffisent pas ?
Kolkhoze ou sovkhoze parisien « Anne Hidalgo » : qu'en pensent Mme Géraldine Woessner et M. Gil Rivière-Wekstein ?
10 Novembre 2019 par Seppi Glané sur la toile 435
- voir dessin sur site -
– Stop ! Nous sommes au bord du précipice !! – Moi, je pense que je peux encore avancer de quelques pas !!
Les grandes manœuvres électorales – lire : les petites bassesses électoralistes – pour les prochaines municipales ont commencé. Selon le positionnement politique, les candidats déclarés ou potentiels donnent quelques coups de barre à droite – histoire de ramener des voix qui pourraient aller vers la droite bien à droite – ou à... non, pas à gauche – la vraie gauche est atomisée et contaminée – mais vers le « vert ».
Paris, capitale agricole...
Mme Anne Hidalgo, maire sortante de Paris et peu désireuse de sortir, a fait particulièrement fort de sa propre initiative ou par soutiens (lire : faux-nez) interposés.
Le 28 octobre 2019 (date sur la toile), un « collectif » constitué d'un trio publiait une tribune dans le Monde, « "Nous pouvons faire de Paris une capitale agricole" ». Rien que ça ! En chapô :
« Dans une tribune au "Monde", Célia Blauel et Pénélope Komitès, adjointes à la Mairie de Paris, et le voyagiste Jean-François Rial, membres de la plate-forme citoyenne Paris en commun, qui soutient Anne Hidalgo, proposent de créer AgriParis, une coopérative pour permettre à Paris de produire directement ses denrées alimentaires. »
En bref :
« ...la plate-forme citoyenne Paris en commun, qui s’est engagée aux côtés d’Anne Hidalgo, propose de créer la coopérative agricole AgriParis afin de gérer l’approvisionnement en alimentation biologique, locale, éthique, sociale, bref, écologique de la capitale. »
De là, on embraye sur la méthode Coué avec un raisonnement des plus bancals :
« Dans une ville comme Paris, relocaliser l’alimentation est vital. Et la bonne nouvelle, c’est que c’est possible : les services publics parisiens produisent plus de trente millions de repas par an, que ce soit pour les crèches, les écoles, les agents de la ville ou les personnes âgées, pour près de 55 millions d’euros d’achat de denrées alimentaires. La puissance publique municipale peut donc avoir une vraie capacité d’entraînement. »
« Contourner » le code des marchés publics
Dans « Quand Anne Hidalgo réinvente le sovkhoze », dans le Point, Mme Géraldine Woessner rappelle implicitement que cette Schnapsidee, cette idée saugrenue, est aussi le fruit de l'imbécillité législative :
« ...la proposition [...] part pourtant d'une bonne intention : pour se conformer à la loi Egalim, les collectivités devront, dès 2022, inclure dans leurs repas au moins 50 % de produits locaux ou répondant à un critère de qualité, dont 20 % de produits bio.
[…] explique le premier adjoint Emmanuel Grégoire. "[…] Aujourd'hui, le code des marchés publics nous empêche d'imposer un critère de distance dans les contrats que nous passons. Nous devons trouver un outil juridique pour sécuriser l'approvisionnement local." Son idée : créer une coopérative, baptisée Du champ à l'assiette, pour racheter des terres agricoles, prendre des participations dans des exploitations existantes ou en créer sur les réserves foncières de la ville. "Nous espérons, dans un premier temps, exploiter 250 hectares."
Cette manœuvre – en clair : ce passage dans une forme d'illégalité – est rappelée plus loin :
« "Cela reste très positif, car il y a urgence", constate Gilles Pérole, adjoint au maire de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) et président de la commission restauration scolaire de l'Association des maires de France (AMF). "Si on veut avancer en restauration collective en approvisionnement local et bio, il faut absolument trouver des moyens de contourner le code des marchés publics." »
Ne nous fâchons pas...
Mme Géraldine Woessner interroge quelques acteurs de la vie économique au fait des réalités agricoles et alimentaires.
Certains s'esclaffent à juste titre. Curieusement (ou peut-être pas... il faut savoir rester bien avec tout le monde), le président de la Chambre d'Agriculture de l'Île-de-France tient un discours ambivalent :
« Ils veulent des agriculteurs fonctionnaires, comme au bon temps de l'URSS ? […] Ça ne tient pas la route ! Les coopératives existent, l'État n'a pas à se substituer aux professionnels. »
Et plus loin, notamment :
« "Ils auraient dû m'appeler avant de faire leur annonce", regrette Christophe Hillairet, convaincu au contraire que l'idée, loin d'être idiote, est riche de promesses si elle est "correctement travaillée". »
Lisez la suite sur le Point. On y distille le chaud et le froid.
Voici un autre propos de M. Christophe Hillairet que l'on devrait méditer :
« Le bio et le local, c'est plus cher à produire : le blé bio s'achète 530 euros la tonne au moulin, contre 180 euros pour le blé conventionnel. Avant de promettre de faire du 100 % bio, il faut réfléchir au prix qu'on est prêt à payer. »
« On », dans cette citation, c'est le citoyen-contribuable...
Ni possible, ni souhaitable...
Atlantico a interrogé M. Gil Rivière-Wekstein et produit un article dont le titre donne déjà la conclusion : « Faire de Paris une capitale agricole auto-suffisante : une idée de l’équipe Hidalgo qui n’est ni possible, ni souhaitable ».
Notons que M. Gil Rivière-Wekstein est rédacteur pour la revue Agriculture et Environnement. Il n'a aucun intérêt « régionaliste » ou clientéliste à défendre.
Sur la question du possible, par exemple :
« Pour fournir les 30 millions de repas simplement en carottes, en choux-fleurs et en salades, on aurait besoin d’au moins 600 ha. Pour le reste, si la Mairie compte s’approvisionner auprès des exploitations maraîchères existantes, elle va très vite être confrontée à la faible diversité des fruits disponibles en région parisienne, puisqu'il y a principalement des producteurs de pommes, de poires et de cerises. Cela ne donnera pas une grande variété de fruits pour nos enfants ! Tout cela ne semble donc pas très sérieux. »
Notons que le tir est un peu court ! Car ce constat n'est pas que une sentence de condamnation de la seule Ville de Paris, mais de la loi « Egalim » et, au-delà, de l'incurie gouvernementale et législative.
Sur la question du souhaitable :
« D’une part, ce serait un gouffre financier au regard du coût totalement prohibitif des terres agricoles de la région parisienne, et d’autre part, on fait déjà face à un manque de main-d’œuvre agricole disponible dans la région. Celle-ci y est en concurrence directe avec des métiers non qualifiés bien moins contraignants. »
Cela pourrait être une conclusion :
« Tout cela relève d’annonces électoralistes pour attirer les voix des Parisiens bobo-écolos qui fantasment sur des jardins potagers. Nous avons connu la mode du « bio », maintenant nous subissons le fantasme du « local ». Ce qui, pour une grande région comme Paris, reste totalement utopique. »
Quoique... en matière de persévérance dans la connerie…
Les personnes âgées peuvent recommencer à perfuser le sang des enfants
par Tyler Durden Dim 11/10/2019 - 21:00
Jesse Karmazin, diplômé de Stanford, a annoncé que sa société, Ambrosia, est de retour dans le monde des affaires, malgré la mise en garde de la FDA contre les personnes âgées de ne pas en infuser le sang, selon l'agence OneZero.
Jesse Karmazin, PDG et fondateur d’Ambrosia, a déclaré à OneZero dans une interview que la société avait repris les transfusions de plasma, la partie liquide du sang incolore aux clients, il y a environ un mois. «Nos patients veulent vraiment le traitement», a-t-il déclaré. «Les patients reçoivent à nouveau des transfusions plasmatiques de donneurs âgés de 16 à 25 ans.» Les transfusions d’un litre coûtent 8 000 dollars, et les transfusions de deux litres, 12 000 dollars. -OneZero
Karmazin, qui n'est pas un médecin agréé, a cessé de traiter des patients après l'annonce de la FDA plus tôt cette année et a désactivé son site Web.
Maintenant, le sang jeune est de retour sur le marché - il vous suffit de l'obtenir "hors étiquette", ce qui signifie qu'un médecin peut le prescrire pour autre chose que son utilisation approuvée.
Karmazin est diplômé de la faculté de médecine de Stanford, mais n'a pas l'autorisation de pratiquer la médecine et ne fait pas les transfusions lui-même. Au lieu de cela, il passe un contrat avec des médecins pour effectuer les procédures. Lorsqu'on lui a demandé, il ne nommerait pas les médecins avec lesquels il travaille ni les autres employés d'Ambrosia. Il dit que la société n’obtient pas de sang directement auprès de jeunes donneurs, mais bien de banques de sang agréées aux États-Unis. -OneZero
"Nous sommes une entreprise qui souhaite vous faire revivre jeune", a-t-il déclaré lors d'une conférence en 2017. La société affirme que "des expériences sur des souris appelées parabiosis ont été l’inspiration pour administrer des traitements avec du plasma jeune".
Cela dit, même si le plasma peut aider le sang à coaguler ou à gérer les saignements excessifs au cours d'une intervention chirurgicale, les experts affirment qu'il n'y a aucune raison de l'utiliser pour ralentir ou inverser les maladies liées au vieillissement, comme le prétend Karmazin.
"Il n'y a aucun avantage clinique prouvé de la perfusion de plasma provenant de jeunes donneurs pour guérir, atténuer, traiter ou prévenir ces affections, et il existe des risques associés à l'utilisation de tout produit plasmatique", a déclaré Scott Gottlieb, Peter, membre de la FDA, en février dernier. Marks, qui dirige le centre de biologie de l'agence.
"Les utilisations déclarées de ces produits ne doivent pas être considérées comme sûres ou efficaces", a-t-il déclaré. "Nous déconseillons vivement aux consommateurs de suivre cette thérapie en dehors des essais cliniques, sous la surveillance d'un comité d'examen institutionnel approprié et sous la supervision de la réglementation."
"Nous craignons que certains patients ne soient la cible d’acteurs peu scrupuleux vantant les traitements du plasma de jeunes donneurs comme des remèdes et des remèdes."
L'agence a déclaré à OneZero "La FDA n'a pas autorisé ou approuvé de produit plasmatique provenant de jeunes donneurs, quelle qu'en soit l'utilisation."
À l'automne dernier, la société avait pratiqué la procédure sur environ 150 personnes âgées de 35 à 92 ans, alors que 81% d'entre elles avaient participé à l'essai clinique de la société. L'essai a fourni aux patients un litre et demi de plasma provenant d'un donneur âgé de 16 à 25 ans et a été conduit avec David Wright, un médecin qui possède son propre centre de traitement du sang par voie intraveineuse en Californie.
Les participants à l'essai ont payé la note pour leurs propres traitements - alors que les résultats de leurs essais cliniques n'ont pas été rendus publics.
(...) «Les patients reçoivent à nouveau des transfusions plasmatiques de donneurs âgés de 16 à 25 ans.» Les transfusions d’un litre coûtent 8 000 dollars, et les transfusions de deux litres, 12 000 dollars. -OneZero (...)
Par contre en 'pays pauvres' - outre les yeux des enfants qui sont vendus ! - existent des 'dons' du sang qui valent de l'or sur des enfants de 5 ans et plus ! Notez bien que les personnes riches meurent aux alentours de 100 ans contrairement aux autres personnes ! Et, de plus... rien ne dits que ces personnes riches meurent ! (A t-on vérifié qui est dans le cercueil ?).
par Tyler Durden Dim., 11/10/2019 - 22:30 Écrit par Phil Torres via OneZero,
Pour l’essentiel de l’histoire de l’humanité, la question de savoir qui voudrait détruire le monde importait peu. La raison en était, bien sûr, qu’aucun individu ou groupe d’êtres humains ne pouvait démolir la civilisation ou causer notre extinction. Nos ancêtres n’avaient tout simplement pas les outils nécessaires: aucune quantité de lances, de flèches, d’épées ou de catapultes ne leur aurait permis - même les plus assoiffés de sang et de misanthropes - d’avoir fait du mal aux quatre coins du monde.
Cela a changé avec l'invention de la bombe atomique. Alors que les érudits considèrent souvent que 1945 est l’année où l’auto-annihilation est devenue possible, les dates les plus précises sont 1948 ou 1949, car c’est à ce moment-là que les États-Unis ont stocké suffisamment d’armes nucléaires (environ 100) pour avoir initié un «hiver nucléaire». . ”(Voir ce travail en cours pour expliquer pourquoi je me concentre sur 100 armes nucléaires comme seuil.) Un hiver nucléaire se produit lorsque la suie des villes en flammes réduit considérablement la quantité de lumière solaire atteignant la surface de la Terre pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. provoquant une chute des températures et une famine. Assez troublant, ce n’est que dans les années 1980 - des décennies après que nous ayons eu assez d’armes nucléaires pour éponger le soleil - que le phénomène nucléaire hivernal ait été identifié pour la première fois, bien que des questions subsistent encore.
Le monopole américain sur le pouvoir mondial n’a pas duré très longtemps: en 1953, l’Union soviétique s’est également étendue à 100 armes. Maintenant, il y avait deux nations sur Terre qui pourraient effacer la civilisation. Mais encore une fois, cela n’a pas duré très longtemps. Le Royaume-Uni a rejoint le club des championnats du monde potentiels vers 1962, la Chine vers 1971 et la France vers 1973, Israël, le Pakistan et l’Inde étant devenus membres de ce club dans les années 2010. Ainsi, en moins d'un siècle, le monde est passé de zéro acteur capable de détruire unilatéralement le monde à huit.
C'est une situation effrayante. Malheureusement, la situation empire - bien pire. La raison en est que les États ne sont plus les seuls acteurs du jeu. Grâce aux nouvelles technologies, des acteurs non étatiques, tels que des groupes terroristes et des loups solitaires, se lancent eux aussi dans l'action, et ils pourraient être beaucoup plus disposés que les gouvernements nationaux à appuyer sur le bouton proverbial Doomsday.
Mes propres recherches suggèrent que le pourcentage de personnes qui appuieraient sur un bouton de la fin du monde, s’il était placé à la portée d’un doigt, est assez faible, mais le nombre absolu est inacceptable. Même une recherche rapide sur Google semble l'affirmer. Examinez les réponses suivantes, tirées de différentes sources en ligne, à la question de savoir si l’on pourrait détruire le monde si on le pouvait (citant des fautes de frappe et tous):
"Oui. Il est évident que nous ne gagnons rien à la vie et il y a une énorme quantité de souffrance humaine que je trouve tout à fait injustifiable. L'anéantissement complet de la race humaine serait le plus grand acte de compassion jamais réalisé. ”Reddit.com
"Oui, nous sommes nuls en tant que race humaine." Reddit.com
"Oui. Parce que vous êtes tous des connards. Et ce n’est pas une blague, j’aimerais bien pousser quelque chose qui mette fin à l’humanité. J'y ai toujours pensé et maintenant il y a la question sur ce sujet et je suis heureux de pouvoir dire que je veux que vous soyez tous morts, chacun de vous, célibataire, enfoirés. S'il vous plaît, donnez-moi la chance d'éliminer l'humanité. ”Reddit.com
"Mon point de vue est que l'humanité est un fléau… Je vote pour détruire l'humanité et laisser la nature recommencer à zéro." Debate.org
«L'animal humain est le seul animal pervers du règne animal. Nous détruisons tout… J'envoie un courriel au président chaque semaine pour le prier d'appuyer sur le bouton et d'arrêter la folie déjà. ”Debate.org
«Depuis peu de temps que nous sommes sur cette planète, les humains ont déjà tellement détruit. Nous détruisons les écosystèmes et éliminons des espèces d'animaux entiers… Le monde serait mieux sans l'homme dans son ensemble. ”Debate.org
Bien sûr, dire quelque chose n’est certainement pas la même chose que de le faire. Même dans ce cas, pouvons-nous être totalement certains qu'aucune personne au monde ne tentera de donner suite à ses fantasmes annihilatoires? Une façon d'aborder cette question est de rechercher des exemples historiques de groupes ou de personnes qui ont tous deux exprimé le désir de tuer tout le monde et qui ont commis un ou plusieurs actes terribles de violence. La combinaison de ces deux phénomènes implique que de telles personnes seraient disposées à agir selon leurs impulsions omnicidales (ce qui signifie de tuer tout le monde) et volontiers, peut-être même avec empressement, à appuyer sur un bouton apocalyptique. Alors, y a-t-il de tels exemples ?
Malheureusement oui. Beaucoup d'entre eux. Et ils semblent tomber dans une poignée de catégories de base.
Prenons le cas troublant d’Eric Harris, le cerveau psychopathe à l’origine du massacre de 1999 du lycée Columbine. Son journal est rempli de toutes sortes de fantasmes véritablement horribles et macabres. À plusieurs reprises, il mentionne explicitement son désir brûlant d'éteindre l'humanité. À un moment donné. Il écrit: «Si vous vous rappelez votre histoire, les nazis ont proposé une« solution finale »au problème juif. Tuez-les tous. Eh bien, au cas où vous ne le sauriez pas encore, je dis: "Tuez l'homme", personne ne devrait survivre. "
Ailleurs, Harris a médité: «Je pense que je voudrais que nous disparaissions», ce à quoi il a ajouté: «J'ai pour objectif de détruire autant que possible… Je veux brûler le monde» et «Je souhaite juste pouvoir réellement FAIRE cela au lieu de simplement rêver de tout cela. "
Lorsque Harris et son complice criminel, Dylan Klebold, ont perpétré leur massacre à Columbine, ils étaient équipés d'armes de jardinage. C'est dangereux, certes, mais à peine capable de «brûler le monde». Peut-on toutefois douter que si Harris - qui était relativement intelligent et aimait les mathématiques et les sciences - avait eu accès à certaines des technologies de pointe de demain, il aurait, en se suicidant, essayé de sortir avec un bang beaucoup plus gros ?
Le massacre de Columbine a eu une influence considérable sur les tireurs qui se sont déchaînés par la suite, certains rêvant également d’omnicide. Par exemple, en 2007, un étudiant finlandais âgé de 18 ans, Pekka-Eric Auvinen, a tué plusieurs personnes dans son école, qu'il a également tenté de mettre à feu. Comme Harris, il a parlé de "solution finale" comme "de la mort de toute la race humaine" et décrit son massacre comme "une opération contre l'humanité dans le but de tuer le plus grand nombre de personnes possible". Un autre tireur déchaîné de Finlande Matti Saari a écrit dans sa note de suicide: «Je déteste la race humaine, je déteste l’humanité, je déteste le monde entier et je veux tuer le plus de gens possible».
Ensuite, bien sûr, il y avait Elliot Rodger, le psychopathe incel qui a tué sept personnes et en a blessé 14 autres lors des meurtres perpétrés à Isla Vista en 2014. Dans une vidéo tournée un jour avant le déchaînement, il a déclaré sans ambages: «Je vous déteste tous. L'humanité est une espèce dégoûtante, misérable et dépravée. Si j'avais le pouvoir, je ne reculerais devant rien pour réduire chacun d'entre vous à des montagnes de crânes et de rivières de sang. Et à juste titre. Vous méritez d'être annihilé. Et je te le donnerai.
Les tireurs d'école et autres loups solitaires ont des motivations idiosyncratiques, telles qu'une haine misanthropique de l'humanité ou le désir de riposter contre les femmes pour des insultes sexuelles et amoureuses. Ensemble, cependant, ils forment une catégorie d'acteurs omnicidaux relativement cohérente et relativement imprévisible.
Un autre type d'acteur omnicidal se présente sous la forme de terroristes apocalyptiques qui croient que pour sauver le monde, il faut d'abord le détruire. ISIS, sans doute le groupe terroriste le plus important et le plus riche de l’histoire, est un cas exemplaire. Si certains membres de l’Isi n’avaient probablement pas de croyances apocalyptiques, les dirigeants en avaient certainement, et ils prenaient des décisions stratégiques fondées sur ces convictions. Abu Musab al-Zarqawi, l’homme qui a essentiellement fondé l’Etat islamique, croyait que la version islamique d’Armageddon était sur le point de se dérouler autour de la petite ville syrienne de Dabiq. C’est pourquoi le nom du magazine de propagande du groupe, Dabiq. Après que l'armée américaine ait tué al-Zarqawi en 2006, la direction de l'Etat islamique a été transférée à Abu Ayyub al-Masri, un apocalyptique fébrile qui a insisté sur le fait que la figure messianique de la fin des jours islamiques, le «Mahdi», était sur le point d'apparaître en Irak. Comme al-Zarqawi, il a fondé sa stratégie sur sa conviction apocalyptique - et cela s'est retourné contre elle. Il a bientôt rencontré sa fin aux mains des forces occidentales.
Ces deux personnes croyaient vraiment que la fin était proche et qu'il était de leur devoir d'utiliser la violence - la violence catastrophique, pour être plus précis - afin de provoquer l'apocalypse. Les membres de l'Etat islamique ont parlé de l'acquisition d'armes nucléaires, de la libération d'agents pathogènes mortels et de la fabrication de bombes sales. Personnellement, je n'ai jamais parlé à un spécialiste du terrorisme qui ne pense pas que l'EI aurait poussé joyeusement un bouton «détruis le monde», surtout si les forces occidentales se dirigeaient vers Dabiq.
Mais ISIS est loin d'être le seul groupe apocalyptique. Le culte apocalyptique Aum Shinrikyo a tenté de déclencher Armageddon en lançant du sarin dans le métro de Tokyo en 1995. Ici, aux États-Unis, plus d'une douzaine de groupes haineux adhèrent à Christian Identity, une vision du monde apocalyptique qui préconise le recours à la violence catastrophique. de déclencher une «guerre raciale» qui amorcera la fin du monde. Et l'un des conflits les plus sanglants de l'histoire de l'humanité, la rébellion de Taiping, impliquait un mouvement apocalyptique appelé «royaume céleste de Taiping». Il était dirigé par un homme nommé Hong Xiuquan, qui se croyait le frère de Jésus-Christ, «commandé par le Seigneur des cieux de tuer les démons-démons (Manchus) dont le règne avait entraîné la ruine en Chine. "
Un dernier type d'acteur omnicidal demeure dans la frange la plus extérieure des idéologies environnementales radicales, anarcho-primitivistes et néo-luddites. Ted Kaczynski, mieux connu sous le nom de Unabomber, fournit un exemple par excellence. À partir de 1978, Kaczynski a perpétré de nombreuses attaques terroristes dans le pays, faisant trois morts et 23 blessés. Ancien professeur de mathématiques à l'Université de Berkeley et ancien élève de Harvard, Kaczynski ne souhaitait pas que l'humanité disparaisse. Au contraire, il voulait déclencher une révolution mondiale contre la société industrielle, dans le but ultime de provoquer son effondrement. Kaczynski ne se souciait finalement pas de savoir si sa révolution causerait la mort de gens, car dans son calcul utilitaire, les fins justifieraient les moyens. Comme l'écrivait Kaczynski en 1995: «Cette révolution peut ou non faire usage de la violence; il peut être soudain ou un processus relativement graduel s'étendant sur quelques décennies. Son objectif sera de renverser non pas les gouvernements mais la base économique et technologique de la société actuelle. "
En revanche, d’autres acteurs de cette catégorie ont explicitement adopté des convictions favorables à l’extinction. Par exemple, le Gaia Liberation Front (GLF), un groupe écoterroriste, a pour mission «la libération totale de la Terre, ce qui ne peut être accompli que par l'extinction de l'homme en tant qu'espèce». «Si des humains survivent, ils peuvent tout recommencer. Notre politique est de ne prendre aucun risque. "
Comment pourraient-ils atteindre leurs objectifs omnicidal ? GLF affirme que la bio-ingénierie est «la technologie spécifique permettant d'anéantir l'humanité, et qu'elle pourrait être réalisée par une seule personne disposant de l'expertise nécessaire et de l'accès au matériel nécessaire». Ils continuent: «… des virus génétiquement modifiés… ont l'avantage de ne s'attaquer qu'aux espèces cibles. Pour compliquer la recherche d’un remède ou d’un vaccin et pour s’assurer que certains humains ne seraient pas immunisés contre un virus particulier, plusieurs virus différents pourraient être libérés (il est prévu de libérer un deuxième tour après le les politiciens étaient sortis de leurs abris). "
Ceci est parallèle à un article anonyme de Earth First ! Journal, publié en 1989, signifie que cette idée existe depuis un certain temps: «Nous sollicitons d’urgence des contributions pour la recherche scientifique sur un virus spécifique à une espèce qui éliminera l’Homo shiticus de la planète. Seul un virus absolument spécifique à une espèce devrait être disséminé. Sinon, ce ne sera qu'une autre solution technologique. N'oubliez pas l'égalité des droits pour toutes les autres espèces. ”
Mais ISIS est loin d'être le seul groupe apocalyptique. Le culte apocalyptique Aum Shinrikyo a tenté de déclencher Armageddon en lançant du sarin dans le métro de Tokyo en 1995. Ici, aux États-Unis, plus d'une douzaine de groupes haineux adhèrent à Christian Identity, une vision du monde apocalyptique qui préconise le recours à la violence catastrophique. de déclencher une «guerre raciale» qui amorcera la fin du monde. Et l'un des conflits les plus sanglants de l'histoire de l'humanité, la rébellion de Taiping, impliquait un mouvement apocalyptique appelé «royaume céleste de Taiping». Il était dirigé par un homme nommé Hong Xiuquan, qui se croyait le frère de Jésus-Christ, «commandé par le Seigneur des cieux de tuer les démons-démons (Manchus) dont le règne avait entraîné la ruine en Chine. "
Un dernier type d'acteur omnicidal demeure dans la frange la plus extérieure des idéologies environnementales radicales, anarcho-primitivistes et néo-luddites. Ted Kaczynski, mieux connu sous le nom de Unabomber, fournit un exemple par excellence. À partir de 1978, Kaczynski a perpétré de nombreuses attaques terroristes dans le pays, faisant trois morts et 23 blessés. Ancien professeur de mathématiques à l'Université de Berkeley et ancien élève de Harvard, Kaczynski ne souhaitait pas que l'humanité disparaisse. Au contraire, il voulait déclencher une révolution mondiale contre la société industrielle, dans le but ultime de provoquer son effondrement. Kaczynski ne se souciait finalement pas de savoir si sa révolution causerait la mort de gens, car dans son calcul utilitaire, les fins justifieraient les moyens. Comme l'écrivait Kaczynski en 1995: «Cette révolution peut ou non faire usage de la violence; il peut être soudain ou un processus relativement graduel s'étendant sur quelques décennies. Son objectif sera de renverser non pas les gouvernements mais la base économique et technologique de la société actuelle. "
En revanche, d’autres acteurs de cette catégorie ont explicitement adopté des convictions favorables à l’extinction. Par exemple, le Gaia Liberation Front (GLF), un groupe écoterroriste, a pour mission «la libération totale de la Terre, ce qui ne peut être accompli que par l'extinction de l'homme en tant qu'espèce». «Si des humains survivent, ils peuvent tout recommencer. Notre politique est de ne prendre aucun risque. "
Comment pourraient-ils atteindre leurs objectifs omnicidal ? GLF affirme que la bio-ingénierie est «la technologie spécifique permettant d'anéantir l'humanité, et qu'elle pourrait être réalisée par une seule personne disposant de l'expertise nécessaire et de l'accès au matériel nécessaire». Ils continuent: «… des virus génétiquement modifiés… ont l'avantage de ne s'attaquer qu'aux espèces cibles. Pour compliquer la recherche d’un remède ou d’un vaccin et pour s’assurer que certains humains ne seraient pas immunisés contre un virus particulier, plusieurs virus différents pourraient être libérés (il est prévu de libérer un deuxième tour après le les politiciens étaient sortis de leurs abris). "
Ceci est parallèle à un article anonyme de Earth First ! Journal, publié en 1989, signifie que cette idée existe depuis un certain temps: «Nous sollicitons d’urgence des contributions pour la recherche scientifique sur un virus spécifique à une espèce qui éliminera l’Homo shiticus de la planète. Seul un virus absolument spécifique à une espèce devrait être disséminé. Sinon, ce ne sera qu'une autre solution technologique. N'oubliez pas l'égalité des droits pour toutes les autres espèces. ”
Alors que la frange la plus radicale du mouvement environnementaliste a évité la vedette au cours des dernières années, certains experts, tels que la spécialiste du terrorisme Frances Flannery, s'attendent à une résurgence avec l'aggravation des crises climatiques et de la biodiversité. Cela pose un danger évident dans un monde rempli de balles et de bombes; mais cela pose une menace existentielle dans un monde d'édition de gènes facile et peu coûteux. Des technologies telles que les lecteurs de gènes, les convertisseurs numérique-biologique et CRISPR-Cas9 permettent de plus en plus de synthétiser des agents pathogènes de synthèse qui pourraient être bien plus dévastateurs que tout ce que l'on trouve dans la nature.
Existe-t-il des solutions aux problèmes posés par les maniaques omnidaux porteurs de virus ? Une solution difficile à éviter - et complètement terrifiante - est la surveillance de masse. Cela pourrait prendre la forme de ce que le philosophe Jeremy Bentham a appelé un «panoptique», selon lequel l'État (peut-être géré par des programmes informatiques conçus spécifiquement pour gouverner - une forme de gouvernement appelée «algocratie») surveille chaque action de ses citoyens. Le danger évident est que cela risque de s’effondrer dans un totalitarisme tyrannique, qui constitue en soi un risque existentiel.
Une autre possibilité concerne ce que l’écrivain de science-fiction, David Brin, appelle la «société transparente». Cela rendrait la surveillance sur un pied d’égalité, pour ainsi dire: tout le monde pourrait voir ce que tout le monde fait tout le temps, permettant ainsi à ceux observés de regarder les observateurs. Brin n’affirme pas qu’il s’agit d’une situation idéale, mais seulement d’une situation meilleure que celle dans laquelle l’État dispose de tous les pouvoirs. Une perte totale de la vie privée est peut-être le coût de la sécurité existentielle.
Alternativement, j'ai déjà affirmé que, afin de réduire les risques posés par des agents malveillants tels que ceux mentionnés ci-dessus, la société devrait donner la priorité à l'atténuation du changement climatique et à la destruction écologique. Les deux phénomènes sont des multiplicateurs de menace et des intensificateurs de menace, ce qui signifie qu’ils introduiront de nouveaux problèmes tout en aggravant les anciens. De meilleures politiques environnementales permettraient de réduire la menace posée par les écoterroristes, dont le grief fondamental - "Les humains détruisent stupidement la biosphère" - est scientifiquement exacte. De telles politiques diminueraient également le nombre et la gravité des catastrophes naturelles, ce qui pourrait fertiliser la ferveur apocalyptique des extrémistes religieux. Comme le remarque Mark Juergensmeyer, spécialiste du terrorisme, «des temps radicaux engendreront une religion radicale», hypothèse apparemment étayée par la montée de l'Etat islamique pendant la guerre civile syrienne.
Pour aller de l'avant, les personnes qui se préoccupent de la survie humaine doivent réfléchir sérieusement, non seulement aux différentes technologies qui seront disponibles, mais également aux types d'acteurs susceptibles d'essayer de les utiliser pour lutter contre des maladies catastrophiques. L'avenir de la race humaine pourrait littéralement en dépendre.
(...) Cela a changé avec l'invention de la bombe atomique. (...)
Entièrement faux ! Premièrement la 'bombe atomique' est obsolète depuis plus de 40 ans et a été remplacé depuis par la Technologie scalaire (HAARP) et l'EMP. Deuxièmement, aux lendemain du 11 Mars 2011 à Fukushima, le monde s'est inquiété des nuages de compositions radioactives survolaient le Pacifique, Canada/USA, Atlantique-Nord et Europe en Jet-Stream. Faut dire aussi que le monde était informé grâce aux publications de NILU (en Norvège) qui sur son site montrait jusqu'à 8 images satellite par jour du déplacement des nuages ! NILU a été censuré ! Censuré car il portait atteinte au commerce du poisson et pouvez faire paniquer raisonnablement le monde entier. Donc, HAARP est intervenu pour déplacer les nuages vers le pôle Nord où ils y étaient aplatis. Aplatis jusqu'aux jours où souffla le vortex et renvoya tout çà jusqu'au Texas !
(...) les nazis ont proposé une« solution finale »au problème juif. Tuez-les tous. Eh bien, au cas où vous ne le sauriez pas encore, je dis: "Tuez l'homme", personne ne devrait survivre. "(...)
Notez que A.H. était juif (comme tous les autres de la nazional socialiste qui le soutenaient) et n'aurait proposé à personne de l'abattre ! A vrai dire il était parti non pas en guerre contre les italiens, les français, les anglais, etc mais contre UNIQUEMENT les excisés !
CHINE - ILS CLAQUENT 1 MILLIARD EN 68 SECONDES SUR ALIBABA
Les Chinois ont profité de soldes monstres pour dépenser dans les commerces en ligne, dont Alibaba, des sommes vertigineuses en quelques secondes. Alibaba profite pleinement de la «Fête des célibataires».
11.11.2019, 07h45
68 secondes: c'est le temps que les consommateurs chinois ont mis dans la nuit de dimanche à lundi pour dépenser en ligne leur premier milliard de dollars lors de la traditionnelle «Fête des célibataires», considérée comme la plus grosse opération mondiale de soldes.
A 0h précises, des millions de consommateurs se sont rués sur leur ordinateur ou leur téléphone portable dans l'espoir de bénéficier d'alléchantes remises sur toute une gamme de produits, de l'électronique au prêt-à-porter, en passant par les chaussures ou l'ameublement.
Alibaba et les autres groupes chinois de commerce électronique ont pris l'habitude depuis 2009 d'annoncer des rabais à chaque 11 novembre, jour surnommé la «Fête des célibataires» en raison de la répétition du chiffre «un» (11/11).
Cette frénésie d'achats dépasse en valeur celle du «Black Friday», le vendredi qui suit la fête de Thanksgiving fin novembre aux Etats-Unis. La Fête des célibataires, qui sont censés disposer d'un fort pouvoir d'achat, est ainsi le plus gros événement mondial du secteur de la distribution.
Vigueur des achats scrutée
Sur les seules plateformes d'Alibaba, 7 milliards de yuans (1 milliard de dollars) ont donc été dépensés en l'espace de 68 secondes... encore plus vite que l'an dernier, quand ce cap avait été atteint en 85 secondes. Ce chiffre correspond à la valeur totale des marchandises achetées sur ces plateformes, y compris les frais d'expédition.
Le cap des 100 milliards de yuans (14 milliards de francs) a été franchi en une heure, 3 minutes et 59 secondes très exactement, soit 43 minutes de moins que l'an dernier, a assuré Alibaba, qui représente à lui seul la moitié du commerce électronique en Chine.
La vigueur des achats du 11 novembre est scrutée par les économistes qui y cherchent des indices quant à la robustesse de l'économie du pays, en proie à la guerre commerciale lancée par les Etats-Unis de Donald Trump.
Près de 30 milliards
L'an dernier, le chiffre d'affaires total de la journée du 11 novembre communiqué par Alibaba faisait état de 213,5 milliards de yuans (29,6 milliards de francs) de ventes en l'espace de 24 heures.
Il s'agissait d'un ralentissement du rythme de progression d'une année sur l'autre: le chiffre d'affaires avait en effet augmenté de 27% seulement sur 2017, contre 39% l'année précédente.
Le groupe de l'excentrique milliardaire Jack Ma, qui vient de prendre sa retraite, espère lever 15 milliards de dollars US à Hong Kong, lors d'une introduction en Bourse qui pourrait intervenir prochainement, a rapporté vendredi l'agence Bloomberg. (ats/nxp)
ETUDE - LA MAJORITÉ DES SUISSES FAIT CONFIANCE À LA SCIENCE
Près des trois quarts des Suisses sondés jugent que la recherche fondamentale est nécessaire. Et qu'elle doit être soutenue étatiquement. La santé et l'alimentation figurent parmi les sujets prioritaires pour la science ces prochaines années.
06.11.2019
La science et la recherche jouissent toujours d'un crédit élevé auprès de la population suisse, selon une étude de l'Université de Zurich. La confiance en la science est élevée ou très élevée chez 56% des sondés, contre 57% lors du premier baromètre en 2016.
Le degré de confiance accordé aux chercheuses et aux chercheurs universitaires est encore plus important. Il est élevé ou très élevé chez près des deux tiers (64%) des répondants. Ils sont 64% également à penser que la recherche scientifique améliore leur vie. Près des trois quarts (73%) jugent que la recherche fondamentale est nécessaire. Et la même proportion estime qu'elle doit être soutenue étatiquement.
Climat et énergie prioritaires
Le climat et l'énergie arrivent en tête des thèmes considérés comme prioritaires pour la science ces prochaines années. Suivent la santé et l'alimentation, puis le trafic et la mobilité, la migration et l'intégration ainsi que la communication et la numérisation.
Sans surprise, internet est l'outil privilégié pour s'informer sur la science. Les sources les plus prisées toutes classes d'âge confondues sont l'encyclopédie en ligne Wikipédia et les sites internet et les applications mobiles des journaux et magazines.
YouTube comme source d'information
Pour les 15-34 ans, la source principale sont les plateformes vidéo comme YouTube: 44% disent y entrer souvent ou très souvent en contact avec la science et la recherche. Les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter jouent aussi un rôle important pour cette classe d'âge (30%) et même pour les 35-54 ans (28%).
L'enquête a été menée par téléphone auprès de 1050 personnes de plus de 15 ans domiciliées en Suisse romande, en Suisse alémanique et au Tessin. Les entretiens ont été conduits du 17 juin au 20 juillet 2019. (ats/nxp)
56 % n'est pas 100 % ! La confiance se détériore suite à la prostitution de personnes (rayées depuis par le Conseil de l'Ordre en tant que scientifique) qui acceptent dans les merdias (y compris sur le site lematin.ch) de détourner la vérité au profit de mensonges plus lucratifs !
C'est ainsi que sont nés les vers, parti nazi(onal-socialiste) et tous les trisomiques acceptés pour les soutenir !
Un réacteur nucléaire EPR coûtera entre 7,5 et 7,8 milliards d'euros.
Combien coûtera un nouvel EPR ? Le réacteur nucléaire de troisième génération représente un véritable défi, que ce soit en termes de construction que… de coûts. EDF livre une facture.
Dans un document d'EDF révélé par Le Monde, l'électricien explique que la construction par paires de six réacteurs EPR, financés sur vingt ans, reviendrait à un total « d'au moins » 46 milliards d'euros. Un réacteur coûterait entre 7,5 et 7,8 milliards d'euros. C'est deux fois plus cher élevé que la facture initiale de l'EPR de Flamanville, qui s'élevait à 3,3 milliards d'euros. Mais les retards n'ont cessé de s'accumuler : le réacteur, qui devait entrer en service en 2012, ne démarrera finalement que fin 2022… si tout va bien. La facture a elle aussi complètement explosé : l'EPR coûtera 12,4 milliards d'euros, ce qui représente un coût multiplié par 4 par rapport à la facture d'origine.
Retards à répétition
Le gouvernement a eu l'occasion de pointer du doigt EDF et l'ensemble de la filière nucléaire pour les retards à répétition et l'explosion des frais. Un audit rendu fin octobre a fait le point sur les difficultés rencontrées par l'électricien (dont l'État est actionnaire à hauteur de 83,7%) pour la constructeur de l'EPR de Flamanville. Bruno Le Maire avait déploré un « manque de rigueur inacceptable ». EDF est sommé de mettre en place un plan d'action d'ici un mois afin de retrouver les « meilleurs niveaux d'exigence » indispensables pour la construction de ces réacteurs de dernière génération.
Le gouvernement aura-t-il le choix ?
Malgré des coûts qui ne cessent d'augmenter, l'État pourrait continuer à accorder sa confiance à EDF pour la mise en service de nouveaux EPR. Le ministère de la Transition écologique pourrait en effet décider de confier au groupe la construction de nouveaux réacteurs, le nucléaire étant une énergie relativement propre et bon marché. Mais le gouvernement a indiqué qu'il s'agissait « d'un scénario parmi d'autres ».
Primo: la photo ! Elle représente (comme sur tant d'autres merdias) un réaction de centrale à charbon de façon à présenter une sortie noire de fumées ! Or, les centrales nucléaire ne brûlent ni charbon, ni pétrole, ni gaz, ni bois ! mais ne rejettent QUE de la vapeur d'eau.
Changement climatique : les asthmatiques polluent grave !
11 Novembre 2019 par Seppi
Ce titre est à dessein putaclic.
La vie d'un ou d'une asthmatique est déjà suffisamment compliquée, et il serait indécent de les stigmatiser. C'est pourtant ce que viennent de faire Allodocteurs et FranceTVInfo, répercutés par Yahoo !, avec « Asthmatiques, gare à votre empreinte carbone ! »
En chapô :
« Certains inhalateurs émettent des gaz à effet de serre et font grimper l’empreinte carbone des patients qui utilisent régulièrement ces traitements contre l’asthme ou d’autres maladies pulmonaires. »
En bref, après l'interdiction des chlorofluorocarbones (CFC) pour cause d'atteinte à la couche d'ozone, des inhalateurs utilisent des hydrofluorocarbures (HFC) – plus précisément des hydrofluoroalcanes – comme propulseurs de l’agent actif du médicament.
Difficile de trouver des indications précises. Contentons-nous donc de ceci : les gaz fluorés sont de puissants gaz à effet de serre – jusqu'à 23.000 fois l'effet du dioxyde de carbone. Leur utilisation est en augmentation, mais des mesures ont été prises en vue d'une réduction ; ils représentent 2 % des émissions de l'Union Européenne.
Les HFC sont principalement utilisés comme réfrigérants dans les réfrigérateurs, les appareils de conditionnement d'air et les pompes à chaleur, comme agents d'expansion pour les mousses, gaz propulseurs, etc. L'HFC le plus répandu est 1.430 fois plus puissant que le gaz carbonique par unité de masse. Beaucoup de HFC ont une durée de résidence dans l'atmosphère courte, de 15 à 29 ans. Selon ce site, le HFC-134a – utilisé dans les inhalateurs – a une durée de résidence dans l'atmosphère de quelque 14 ans.
Une équipe britannique – Alexander J.K. Wilkinson, Rory Braggins, Ingeborg Steinbach et James Smith – vient de publier « Costs of switching to low global warming potential inhalers. An economic and carbon footprint analysis of NHS prescription data in England » (coûts du passage à des inhalateurs à faible potentiel de réchauffement de la planète. Une analyse économique et de l'empreinte carbone des données de prescription du NHS [service national de santé] en Angleterre) dans le British Medical Journal.
Prenons l'information pertinente du communiqué de presse de l'Université de Cambridge, « Switching to ‘green’ inhalers could reduce carbon emissions and cut costs, study suggests » (passer aux inhalateurs « verts » pourrait réduire les émissions de carbone et les coûts, selon une étude). Un titre précautionneux ! Mais :
« L'équipe a trouvé que l'empreinte carbone des inhalateurs à doseur était 10 à 37 fois supérieure à celle des inhalateurs à poudre sèche. Sur la base des prescriptions de 2017, le remplacement d'un inhalateur à doseur sur dix en Angleterre par un inhalateur équivalent à poudre sèche le moins cher pourrait permettre de réduire le coût des médicaments de 8,2 millions £ par an et de réduire les émissions d'équivalent en gaz carbonique de 58 kilotonnes, soit à peu près l'équivalent de 180.000 allers-retours entre Londres et Édimbourg.
Au niveau individuel, chaque inhalateur-doseur remplacé par un inhalateur à poudre sèche pourrait permettre d’économiser entre 150 et 400 kg de gaz carbonique par an, ce qui est similaire à de nombreuses actions déjà entreprises par les particuliers soucieux de l’environnement, telles que l’isolation thermique des murs, le recyclage ou la réduction de la consommation de viande. »
Il y a plus de 5 millions d'asthmatiques au Royaume-Uni et, en 2017, on a prescrit quelque 50 millions d'inhalateurs, sept sur dix étant doseurs.
Chez nos voisins, la BBC a titré : « Asthma carbon footprint 'as big as eating meat' » (l'empreinte carbone de l'asthme est « aussi grande que la consommation de viande »).
En France, donc, Allodocteurs et FranceTVInfo ouvrent subtilement le ban avec :
« Les inhalateurs, pires que la viande rouge en matière d’impact écologique ? »
Comme la viande est déjà clouée au pilori, il est difficile de faire mieux en matière de culpabilisation des asthmatiques.
Nous ajouterons que ce genre d'études est fondamentalement fallacieux, sinon vicié : brûler du carbone fossile – notamment rouler en voiture, même électrique si l'électricité a été produite par une centrale à gaz, à fioul ou au charbon – augmente le stock de gaz à effet de serre pour une durée considérable. En simplifiant l'argument, l'hydrofluoroalcane propulseur utilisé aujourd'hui remplace celui qui fut utilisé il y a 14 ans ; sa contribution actuelle au réchauffement climatique dépend ainsi de la variation des quantités utilisées ; et elle est transitoire.
Si l'on veut réellement lutter contre le réchauffement climatique par la réduction de l'utilisation des HFC propulseurs, il y a bien d'autres pistes à explorer que celle qui malmène le confort, sinon la santé, de malades.
Sortie du glyphosate : l'Opinion et l'AFP font rapport sur un rapport d'étape parlementaire
11 Novembre 2019 par Seppi Glané sur la toile 437
L'Assemblée Nationale a mis en place une mission d'information commune – commune à deux de ses commissions – sur le suivi de la stratégie de sortie du glyphosate. Sa réunion constitutive a eu lieu le 27 septembre 2018 et elle a désigné son bureau (M. Julien Dive, président, et MM. Jean-Luc Fugit et Jean-Baptiste Moreau, co-rapporteurs).
Un rapport intermédiaire a été établi et sera présenté le mardi 12 novembre 2019 à la Commission du Développement Durable. Il sera présenté à la presse le lendemain.
L'Opinion ouvre la marche
L'Opinion s'est procuré ce rapport et a produit le vendredi 8 novembre 2019, sous la plume de Mme Emmanuelle Ducros, « Sortie du glyphosate: un rapport parlementaire souligne flou et impasses techniques ».
La lecture de ce bref article laisse entrevoir une lecture tout aussi intéressante du rapport d'étape. Mme Emmanuelle Ducros écrit :
« Il [le monde agricole] doit apprendre à se passer d’un produit qui représente 30 % des herbicides vendus en France, et dont les 11 agences sanitaires mondiales – dont l’Efsa en Europe et l’Anses en France – ne demandent pas le retrait, au motif que ses effets sont bien maîtrisés et connus. Le glyphosate, produit-symbole, ne présente pas de danger autre qu’électoral.
Il faut ajouter : un danger électoral créé par le Président Emmanuel Macron lui-même, par son annonce intempestive d'une sortie du glyphosate destinée sans nul doute à maintenir une pax gubernamentalis avec un Nicolas Hulot qui lui a ensuite chié dans les bottes...
Vers la fin, elle écrit aussi :
« Car aussi incroyable que cela paraisse, la décision de se passer du glyphosate a été prise sans connaître tous ces faits. »
On ose espérer que la mission commune aura pu recueillir les faits, les vrais – pas les élucubrations d'un INRA servile et à-plat-ventriste – et réussi à « remettre de la rationalité scientifique et technique dans ce débat passionné » en privilégiant une « approche par la confiance et non la défiance des agriculteurs qui n’ont eu de cesse que de s’adapter aux demandes des consommateurs ».
En attendant de lire le rapport d'étape de la mission, lisons l'Opinion...
Un bon compte rendu de l'AFP
L'AFP – voir par exemple « Supprimer le glyphosate aura un coût élevé, estime un rapport parlementaire » d'Orange.fr – s'est appuyée sur l'Émission politique de France Inter, France Télévisions et le Monde qui avait Mme Élisabeth Borne pour invitée le dimanche 10 novembre 2019.
L'AFP apporte aussi quelques biscuits appéritifs comme :
« La mission parlementaire […] juge "inconscient d'attendre le 31 décembre 2020" pour savoir "quelles situations culturales" devront obligatoirement cesser d'utiliser l'herbicide le 1er janvier 2021 et celles qui pourront bénéficier d'un délai. »
Dommage qu'elle n'ait pas eu le courage de dire que le caprice présidentiel est irresponsable et, pour l'agriculture française, scélérat :
« Frais de main d'œuvre (12,7 millions d'euros d'heures supplémentaires), consommation de carburant multipliée par trois ou quatre (87 millions d'euros), investissements en matériels nouveaux et croissance des dépenses dans d'autres produits chimiques: la suppression de cet herbicide bon marché alourdira les charges des exploitations entre 50 et 150 euros l'hectare, selon le rapport.
Les coûts de production du blé augmenteraient de 10 euros la tonne. Les techniques alternatives de désherbage (passages supplémentaires de tracteurs et de machines) émettraient aussi 226.000 tonnes de CO2 supplémentaires, selon l'association générale des producteurs de céréales AGPB citée dans le rapport. »
Ce qui choque aussi, ce sont les propos de Mme Élisabeth Borne :
« […] Elisabeth Borne, a affirmé que le gouvernement "reste résolu à sortir du glyphosate. Je confirme que l'objectif est bien de sortir de l'essentiel des usages au 1er janvier 2021, et de tous les usages au 1er janvier 2023" [...]. »
« ...reste résolu... » ? N'est-ce pas l'admission du fait que c'est une connerie, qu'on en est conscient et que, malgré cela, on a l'intention de la faire ?
Mme Élisabeth Borne est pourtant confrontée à un rapport parlementaire qui lui indique – à elle et au gouvernement – qu'il y a des situations où le glyphosate est indispensable. Par exemple :
« Selon l'institut technique Arvalis, cité dans le rapport, "l'interdiction du glyphosate déstabiliserait [certaines] exploitations concernées au point de menacer leur survie". »
Sont aussi menacées des filières comme les semences, le lin ou :
« celle de légumes frais et de conserve cultivés en plein champ (203.560 hectares) qui ne peut se permettre le moindre datura toxique, une plante qui pousse aux abords des champs et peut contaminer les moissons. »
Ne croyez surtout pas que ces constats sont nouveaux. Ah, si l'INRA avait été honnête (son tableau récapitulatif – ci-dessous – contredisait pourtant clairement les propos lénifiants de son rapport)...
On tombe enfin des nues quand on lit :
« Pour Mme Borne, "ce rapport est intéressant car il pointe que ce n'est pas en claquant des doigts qu'on décide comme cela qu'on arrête le glyphosate".
"Je pense qu'on a des premières filières qui pourront le faire sans doute plus rapidement que d'autres. Le président de la République l'avait dit, on souhaite avoir la première viticulture zéro glyphosate et je pense qu'ils sont en train d'agir pour que ce soit le cas", a-t-elle précisé.
Claquer du doigt (et penser que d'autres agissent), n'est-ce pas ce qu'ils font ? Tout ça pour un caprice ?
ATTENTION ! La plateforme 'over-blog' est une merde bourrée de publicités et de trakers pour empêcher les internautes d'y accéder et de s'informer sur les quelques derniers blogs qui existent encore !
Les 1% les plus riches d'Amérique possèdent désormais autant de richesses que les classes moyennes et inférieures combinées
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 11/09/2019 - 16:00
Il y a deux semaines, nous avions fait remarquer que même si (ou plutôt parce que) les actions atteignaient des sommets sans précédent, nous avons maintenant des troubles publics massifs (ponctuels) en: France, Espagne, Algérie. Irak: Liban; Egypte; Russie; Hong Kong; Venezuela; Chili; L'Équateur; et en Bolivie.
- voir graphique sur site -
C’est une raison simple de cette colère sociale: une fracture sans précédent en termes de richesse et de revenus, résultant des interventions constantes de la banque centrale sur les marchés des capitaux, qui ont rendu la mobilité sociale ascendante pratiquement impossible et stagnant la croissance des salaires, et plus encore que dans le Aux États-Unis, où, selon Bloomberg, citant les dernières données de la Fed, les "1%" détiennent désormais presque autant de richesses que les classes moyennes et supérieures combinées, en raison de la hausse incessante des actions qui a ajouté 1 billion de dollars supplémentaires au marché. la semaine dernière, ce qui porte le total à 82,7 billions de dollars.
- voir graphique sur site -
Voici les faits: comme le rapportait récemment le NBER, en 2016, le 1% des ménages les plus riches détenait plus de la moitié des actions en circulation, des titres financiers, des fonds en fiducie et des fonds de commerce et 40% des biens immobiliers non résidentiels. Les 10% les plus riches de familles en tant que groupe détenaient directement plus de 93% de la totalité des actions et des fonds communs de placement.
- voir graphique sur site -
De plus, bien que près de la moitié des ménages possèdent des actions directement ou indirectement par le biais de fonds communs de placement, de fiducies ou de divers comptes de pension, les 10% les plus riches des ménages contrôlaient 84% de la valeur totale de ces actions, bien que moins Part de 93% des actions détenues directement et des fonds communs de placement.
- voir graphique sur site -
Et avec le marché boursier atteignant de nouveaux sommets, il ne sera guère surprenant que le "top 1%" des ménages américains ait enregistré des rendements énormes sur le marché boursier au cours de la dernière décennie, ce qui est assez ironique, selon les données de la Réserve fédérale. directement responsable de cette distribution de richesse sans précédent. Et, comme le note Bloomberg, "ces gros portefeuilles ont l'élite américaine qui engloutit une part de plus en plus grande du gâteau".
Concrètement, cela signifie que le très riche 1% disposait d'actifs d'environ 35,4 billions de dollars au deuxième trimestre, soit un peu moins que les 36,9 billions de dollars détenus par les dizaines de millions de personnes qui composent le 50e au 90e centiles des Américains. - une grande partie de la classe moyenne et de la classe moyenne supérieure.
- voir graphique sur site -
Commentant cette divergence de richesse sans précédent observée quelques années avant la Seconde Guerre mondiale, Stephen Colavito, stratège en chef du marché chez Lakeview Capital, a déclaré que les certificats de dépôt et autres investissements passifs ne rapportent pas grand chose. a injecté de l'argent dans les actions et a consolidé le marché dans son ensemble. "
En fait, celui qui "soutient le marché dans son ensemble" est la Fed qui, à la suite d'une crise du marché des mini-pensions de titres déclenchée par JPMorgan, a lancé "NOT QE" et a injecté 280 milliards de dollars en liquidités fraîches au cours des deux derniers mois, poussant la Fed à bilan supérieur à 4 billions de dollars pour la première fois depuis février.
RépondreSupprimer- voir graphique sur site -
À ce stade, la richesse devient une boucle de rétroaction: "Plus les riches obtiennent d'argent, plus ils ont d'opportunités", a déclaré Colavito.
C'est aussi la raison pour laquelle les mouvements populistes en colère sont devenus une force de plus en plus puissante, à gauche comme à droite, exigeant soit la redistribution de la richesse, soit une imposition plus sévère de la punition pure et simple des milliardaires qui ont bénéficié de la lévitation artificielle du marché boursier par la Fed. Dans de nombreux pays du monde, cette colère s'est répandue dans la rue alors que des millions de personnes protestaient pour le changement social, à maintes reprises avec violence.
Leur colère ne fera que grandir, car, comme le note Bloomberg, les "pourcentages 1%" ne devraient pas tarder à dépasser les classes moyennes et supérieures combinées. La richesse des ménages dans la tranche supérieure de la tranche supérieure a augmenté de 650 milliards de dollars au deuxième trimestre de 2019, atteignant 35 500 milliards de dollars, tandis que les Américains des 50e au 90e centiles ont enregistré une hausse de 210 milliards de dollars.
- voir graphique sur site -
Un peu plus bas que les 1% les plus riches, les Américains des 90e au 99e centiles contrôlent toujours la plus grande part de la richesse, avec un actif de 42,6 billions de dollars.
Qu'en est-il du bas de la société américaine ? Eh bien, si les super-riches possèdent la quasi-totalité des stocks, les "90% de la base", c’est-à-dire 90% de la population américaine totale, détient la grande majorité de la dette, soit environ 72,4% du total.
- voir graphique sur site -
Un dernier tournant: les conflits entre riches et pauvres attirent de plus en plus de groupes d’âge: les baby-boomers nés entre la fin de la Seconde Guerre mondiale et 1964 détiennent actuellement une richesse 11 fois supérieure à celle des millénaires au deuxième trimestre.
Alors, comment les millénaristes protestent-ils contre ce fossé de richesse inéquitable ? S'émeuvent-ils, deviennent des militants politiques et votent-ils en masse, se syndiquent-ils ou participent-ils à des grèves collectives de masse? Rien de ce qui précède: après tout, même refuser de travailler est apparemment trop de travail; Au lieu de cela, la jeunesse américaine a inondé les médias sociaux du summum de la révolte passive-agressive sous la forme de l'omniprésent "OK Boomer".
Nous doutons que les baby-boomers perdent trop de sommeil à cause de cette rébellion de la génération des toasts à l'avocat.
https://www.zerohedge.com/economics/americas-richest-1-now-own-much-wealth-middle-and-lower-classes-combined
53 millions d'Américains se noient dans le cycle du travail à bas salaire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 11/09/2019 - 22:00
C'est la "plus grande économie de tous les temps", non? Eh bien, cela dépend de qui vous demandez.
Par exemple, un nouveau rapport met en lumière que 53 millions d'Américains, soit environ 44% de tous les travailleurs américains âgés de 18 à 64 ans, sont considérés comme à bas salaires et peu qualifiés.
Selon un rapport de la Brookings Institution, bon nombre de ces personnes sont bloquées dans l’économie de la grande salle, gagnant environ 10,22 dollars l’heure, et rapportent moins de 20 000 dollars par an.
Un pourcentage extrêmement élevé de ces personnes ont des dettes insurmontables, qu'il s'agisse de prêts étudiants, de prêts automobiles ou de dettes de cartes de crédit. Leurs salaires ne couvrent pas leurs paiements de service de la dette, car leur vie sera ruinée financièrement après la prochaine récession.
- voir clip sur site -
Alors que le top 10 des Américains fait la fête comme en 1999, la plupart d'entre eux possèdent des actifs, tels que des actions, des obligations et des biens immobiliers, qui tirent grandement profit du schéma de la bulle d'actifs en série de la Réserve fédérale et du dynamisme boursier du président Trump sur Twitter.
L'économie artificielle d'aujourd'hui ne fonctionne pas pour tout le monde car l'écart d'inégalité de la richesse se creuse de plus en plus au niveau de la crise.
Les États-Unis sont à la onzième heure, une heure avant minuit, alors que le déséquilibre d'inégalité de richesse se résorbera par l'éruption de manifestations dans les rues des grandes métros, un peu comme ce qui se passe dans le monde au Chili, à Hong Kong, au Liban et à Barcelone.
Un soulèvement, une révolution, les gens se rendent compte que des fonctionnaires et des gouvernements non élus ont ruiné l’économie et leur ont causé la misère financière des bas salaires et des dettes insurmontables.
Le rapport montre que près de la moitié des travailleurs à faible salaire sont concentrés dans dix professions, telles que vendeur, cuisiniers et préparateurs culinaires, nettoyeurs de bâtiments et ouvriers de la construction (ces emplois seront supprimés lors de la prochaine récession). ).
- voir tableau sur site -
Ci-dessous, la plupart de ces travailleurs à faible salaire sont concentrés dans des régions du nord-est, du centre du littoral atlantique et de la ceinture de Rust.
- voir graphique sur site -
Comme nous l'avons expliqué dans des articles précédents, des millions de ces emplois faiblement rémunérés et peu qualifiés ne seront jamais remplacés après la prochaine récession, en partie grâce aux méga-entreprises qui échangent ces emplois avec automatisation et intelligence artificielle.
La solution du gouvernement et de la Réserve fédérale, pour éviter les émeutes dans les rues, consistera à mettre en œuvre diverses formes d’assouplissement quantitatif pour la population.
Il y a une raison pour laquelle vous entendez déjà le débat sur le revenu universel, le fait que les banques centrales commencent à financer des investissements verts et d'autres formes de stimulus à court et à long terme, car l'économie mondiale est au bord de l'arrêt - et la seule solution à le moment est de faire plus de la même chose.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/53-million-americans-drowning-cycle-low-wage-work
LA CALIFORNIE N'A PAS D'ÉLECTRICITÉ ? VIVE LE TRAIN ÉLECTRIQUE !
RépondreSupprimerLa Californie approuve un cautionnement de 3,2 milliards de dollars pour le train à grande vitesse vers nulle part
par Tyler Durden
Samedi, 11/09/2019 - 21:01
Le train à grande vitesse est mort, vive le train à grande vitesse.
Moins d'un an après que le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, eut annoncé en février qu'il mettait fin au fiasco de la ligne ferroviaire à grande vitesse de l'État, qui coûtait très cher et qui était désespérément calé. achevé en 2033 pour un coût stupéfiant de 77 milliards de dollars), la Californie est sur le point de lancer un autre projet de train à grande vitesse, et celui-ci est encore plus idiot.
La Banque d'infrastructure et de développement économique de Californie (IBank) a autorisé une émission d'obligations fiscales à taux fixe et exonérée d'impôt de 3,2 milliards de dollars pour aider DesertXpress Enterprises, une filiale de Virgin Trains USA, à construire un train à grande vitesse reliant Victorville en Californie à Las Vegas. Le nouveau service XpressWest, à une vitesse pouvant atteindre 180 km / h, prendra environ 90 minutes aller simple.
Il y a juste un problème: Victorville, situé dans le haut désert de SoCal, est littéralement au milieu de nulle part.
- voir carte sur site -
DesertXpress pourra utiliser cet argent pour payer les 135 kilomètres du projet situés dans l’état de la Californie. Selon ConstructionDrive, cela inclut les coûts de conception, de développement, de construction, d’exploitation et de maintenance du système ferroviaire lui-même; une gare de passagers; une installation de maintenance; wagons de train; et infrastructure d'électrification. DesertXpress pourra également utiliser les obligations, qui sont sponsorisées par le comté californien de San Bernardino, pour créer un fonds de réserve pour le service de la dette, ainsi que pour payer les intérêts et autres dépenses liées aux obligations. Alors que les dépenses totales s'élèvent à environ 4,8 milliards de dollars, les "coûts de construction difficiles" s'élèvent à 3,6 milliards de dollars.
Selon un rapport du personnel d'IBank, la construction, qui devrait commencer au cours du second semestre de 2020 et se terminer en 2023, générera plus de 15 800 emplois temporaires dans le secteur de la construction.
C'est la bonne nouvelle. La mauvaise nouvelle est… à quoi diable pensent-ils ?
En théorie, ce n’est pas une mauvaise idée: la Californie cherche depuis des décennies à trouver une voie rapide entre Los Angleles et Las Vegas. En pratique, le train qui va à Victorville assure que le projet est du type DOA.
Selon le rapport de l'IBank, le XpressWest entre la Californie et Las Vegas prendra environ la moitié du temps en voiture, mais Randal O'Toole, un membre senior du Cato Institute, pense qu'il n'y a tout simplement pas assez de potentiel. passagers - au moins de quoi faire de ce nouveau train à grande vitesse un succès.
"Si vous conduisez de Los Angeles à Victorville, vous serez à peu près à mi-chemin de Vegas," dit O'Toole, "alors pourquoi voudriez-vous vous arrêter et laisser votre voiture quelque part pour prendre un train et puis vous devez marcher jusqu’à votre destination, ou prendre un taxi, un Uber ou un Lyft, quand vous pouvez conduire votre voiture là-bas ? "
- voir carte sur site -
RépondreSupprimerC'est probablement une question que les créateurs du projet auraient dû poser en premier.
Voici le problème: la distance entre Los Angeles et Victorville est d'environ 90 miles (144 km) et environ 190 miles (305 km) de Victorville à Las Vegas.
"En voiture de Los Angeles à Victorville", a déclaré O'Toole, "vous traversez tout le trafic - vous conduisez au-dessus des montagnes ... et vous arrivez à Victorville et c'est juste un coup droit à Las Vegas. C'est plus de miles, mais il y a très peu de trafic.
"S'ils devaient aller de Los Angeles à Las Vegas, ils pourraient peut-être attirer des clients, mais passer à travers la montagne coûterait extrêmement cher", a-t-il déclaré. "Ils construisent la partie facile de la ligne de chemin de fer mais pas la partie dont ils ont besoin pour construire afin d'attirer les clients."
Virgin Trains USA est un actionnaire majoritaire de Virgin Trains USA Florida, anciennement connu sous le nom de Brightline, et possède et exploite actuellement un système de rail voyageurs express qui relie Miami à West Palm Beach. La société construit actuellement une extension de 4 milliards de dollars de l'aéroport international d'Orlando. La date d'achèvement prévue est vers 2022.
Et bien que les projets de la société puissent être viables en Floride, ils constitueront un autre gaspillage de fonds épique en Californie.
Pendant ce temps, quand nous avons dit que le premier train à grande vitesse est mort, eh bien, ce n’était pas tout à fait correct: la construction du premier train à grande vitesse californien avance toujours, bien qu’à une échelle réduite. Alors que le gouverneur Gavin Newsom avait mis de côté les projets de la California High-Rail Rail Authority concernant une ligne de chemin de fer de 77 milliards de dollars entre San Francisco et Los Angeles, le gouverneur avait limité les travaux à 20 milliards de dollars du projet. prendra les passagers entre Bakersfield et Merced.
En d'autres termes, un autre train à grande vitesse allant de nulle part à nulle part.
Alors, pourquoi la Californie continue-t-elle à faire pression avec non pas un mais deux projets de train qu'elle sait être une catastrophe ? La réponse est simple: de l’argent fédéral «gratuit». Les autorités ferroviaires à grande vitesse tentent de dépasser l’échéance du 31 décembre 2022 pour ne pas perdre une subvention de 929 millions de dollars de la Federal Railroad Administration pour ce segment particulier.
En d’autres termes, au lieu d’économiser près d’un milliard de dollars en fonds des contribuables et de les appliquer à quelque chose d’utile, la Californie est prête à lancer un projet qui, chacun le sait, sera un gaspillage de fonds catastrophique, mais puisque cet argent doit être dépensé, même si cela signifie creuser des trous juste pour les remplir à nouveau ... eh bien, ainsi soit-il. Après tout, le gouvernement travaille fort.
https://www.zerohedge.com/markets/california-approves-32-billion-bond-high-speed-train-nowhere
CA Wildfires aggrave encore la crise des sans-abri
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 11/09/2019 - 20h30
Publié par Jenny Jayne via le blog Organic Prepper,
Le sans-abrisme en Californie a déjà atteint un état de crise, mais à l'approche de l'hiver et du nombre croissant de sans-abri, le problème continue de s'aggraver. Le manque de logements abordables associé à la crise nationale des opioïdes a entraîné une augmentation du nombre de sans-abri vivant dans les rues de la Californie.
Les populations de sans-abri de la Californie vivent dans des maisons de fortune faites de bâches, de tentes et de bois mis au rebut. L’assainissement pour un grand nombre de personnes vivant à l’extérieur est pratiquement inexistant et les excréments et l’urine sont laissés à l’extérieur à côté d’une literie sale.
La saleté dans les rues, en particulier «Skid Row», a conduit au retour des «maladies médiévales» que l’on pensait jadis éradiquées.
La situation du logement en Californie ne montre aucun signe d'amélioration.
Tandis que les Californiens continuent à assister à la désolation campée juste devant leurs portes, leur patience s'affaiblit et leur tolérance se dissipe.
Le New York Times rapporte:
La Californie peut être fière de son engagement en faveur de la tolérance et des valeurs libérales, mais dans tout l'État, des niveaux record d'itinérance ont suscité une réaction brutale contre les sans-abri. (la source)
Les sans-abri arrivent dans les rues de Californie pour diverses raisons, mais le manque de logement est le cri retentissant. Les logements abordables sont rares et les citoyens à faible revenu sont contraints de partir, les loyers ne cessant d'augmenter. Mais un autre facteur important a entraîné de nouveaux sans-abri qui ont envahi les ressources déjà débordées: les évacués des incendies. En conséquence, les sans-abri récents se heurtent à la population de sans-abri âgée. Nombre des «nouveaux» sans-abri de l’État n’ont nulle part où aller après que leurs maisons se soient incendiées. Les deux camps sont peut-être devenus des sans-abri de différentes manières, mais leurs besoins sont les mêmes. Et ces deux camps de sans-abri se battent pour des ressources en diminution.
Les incendies de forêt contribuent au problème du logement.
La destruction des feux de forêt fait du manque de logements abordables un problème plus important et plus urgent. Les incendies de forêt font des ravages sur les logements déjà limités, obligeant les familles déplacées par les incendies à mettre de longues listes d'attente pour obtenir un abri, même temporaire. Même si les familles avaient les ressources nécessaires pour emménager dans un logement permanent, il en restait peu. Les incendies mettent à feu le peu de logements qui restent et rendent encore plus difficile la recherche de logements à des prix incroyables. Le manque d’assurance des propriétaires de logements abordables vient aggraver le problème. Même les propriétaires de longue date sont contraints de quitter leur emploi en raison de l'abandon par les compagnies d'assurance de la couverture des biens dans les zones à «risque élevé» et de la multiplication par trois des taux. Cela déplace encore plus de Californiens.
Les feux de forêt continuent de faire rage et emménagent avec eux. La situation des incendies en Californie, qui était déjà incontrôlable, ne fait que s'aggraver. C’est tellement grave que la Californie émet un «drapeau rouge sévère» pour avertir du risque d’incendies de forêt, certaines régions étant soumises à des vents de force ouragan. Ces vents ne font qu'augmenter les chances que les incendies commencent et se propagent plus rapidement.
RépondreSupprimerEt les sans-abri, une population déjà fragile et disposant de peu de ressources, connaissent une croissance exponentielle en raison de la dévastation du logement dans les zones de feux de forêt. Déplacées de leurs maisons et de leur logement déjà en crise, les personnes évacuées des incendies de forêt n'ont nulle part où aller et peu d'endroits vers lesquels se tourner pour obtenir de l'aide. Ils ont opté pour la vie sous des tentes dans des champs ou dans des parcs de stationnement Walmart, alors qu’ils attendaient sur des listes interminablement longues de logements disponibles et abordables. Beaucoup, y compris un nombre disproportionné de citoyens âgés, sont tout simplement refoulés et laissés à eux-mêmes.
Le gouverneur de Californie a proposé une solution: le contrôle des loyers. Cela a suscité des réactions négatives de la part de leurs citoyens qui s'y sont opposés. Même là où le contrôle des loyers avait déjà été instauré, le nombre de sans-abri a continué de croître, ce qui donne à penser que la seule solution réelle est la construction, entravée par le contrôle des prix, les incendies de forêt et l’exode des assureurs de biens immobiliers.
Fox News rapporte:
Le contrôle des loyers s’est avéré un échec dans la résolution des problèmes de logement. Il incite les propriétaires à convertir leurs propriétés en habitations occupées par leurs propriétaires et décourage les investissements dans le marché du logement, aggravant ainsi les pénuries qui les ont provoqués. (la source)
La situation est désastreuse pour les personnes qui ne peuvent pas trouver de logement.
Alors que les incendies continuent de ravager les maisons et de causer des milliards de dégâts, la population des sans-abri continue de croître et l'hiver approche. Étonnamment, l’état qui a le plus de décès de sans-abri dus à l’hypothermie est le Sunshine State.
Qu'est-ce que cela signifie pour ceux qui ne peuvent pas trouver d'abri ? Les sans-abri, y compris ceux qui sont des réfugiés de la dévastation causée par les incendies de forêt, seront toujours dans les rues lorsque les températures chuteront. La compassion de leurs compatriotes californiens a porté ses fruits. Il y a moins d'options pour un abri chaud et plus de personnes se battent pour les quelques ressources fournies.
Peu de choses ont été faites pour résoudre le problème imminent de «Où vont-ils aller ?» Quand il fait trop froid pour être dehors. Nous ne pouvons qu’espérer qu’ils trouveront un abri avant que de nouvelles tragédies ne se produisent.
https://www.zerohedge.com/health/ca-wildfires-make-homeless-crisis-even-worse
La technologie stimule notre capacité à tromper
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 11/09/2019 - 17h30
Ecrit par Bruce Wilds via le blog Advancing Time,
Pris entre les forces des médias traditionnels et la propagande gouvernementale, il semble que nous ne puissions croire rien de ce que nous voyons ou entendons. Une grande partie de ce problème est enracinée dans les agendas des grandes entreprises et de ceux qui les contrôlent. Ces entreprises sont devenues si grandes et puissantes qu'elles influencent maintenant le message et l'orientation du gouvernement. Les fausses nouvelles et les faux drapeaux ont laissé beaucoup d'entre nous avoir du mal à décider ce qui est réel, sans compter que les ordinateurs sont de plus en plus capables de générer et de modifier des images humaines. Tout est sur le point d’aller à un tout autre niveau.
Margrethe Vestager, chef de la législation antitrust de l'Union européenne, s'emploie à affirmer que l'influence de l'UE lui donne l'occasion et le pouvoir de façonner le monde. Elle insiste sur le fait que l'UE est prête à affronter des entreprises telles que Google, Facebook et Amazon, qui, selon elle, a utilisé son pouvoir pour miner la concurrence, empêcher l'innovation et recueillir des données à notre sujet. Cela a donné à ces entreprises un grand pouvoir de manipulation de la société. Google l'a fait lorsqu'il a utilisé la puissance de son moteur de recherche pour favoriser son propre service de comparaison. Alors que l’UE a annoncé qu’elle allait obliger plusieurs grandes entreprises à utiliser leur pouvoir d’une manière juste et équitable, sans discrimination, c’est plus facile à dire qu’à faire.
Redéfinir la technologie 'Made in China'
L'UE a l'intention de le faire en faisant preuve de souplesse en combinant des modifications de la politique de la concurrence et de la réglementation. Cependant, il reste à voir si cela réussira. Comme beaucoup de gens, je reste douteux. Ces puissantes entreprises sont déjà trop impliquées dans la définition du message des médias et la propagande gouvernementale est sur le point de libérer beaucoup plus de modèles et d'images générés par ordinateur. Celles-ci ont progressé là où elles ont brouillé la réalité et réduit la nécessité pour les êtres humains d’agir en tant que porte-parole ou de représenter des organisations.
En 2011, la chaîne de mode suédoise H & M a admis avoir utilisé des modèles générés par ordinateur pour présenter ses collections sur son site Web. Depuis lors, la capacité de créer des images générées par ordinateur n’a cessé de s’améliorer. Nous avons avancé là où il est difficile, non, il serait plus juste de dire impossible de savoir si ce que vous voyez est vraiment une personne ou simplement l’image de celle-ci. L'analyse approfondie de ce problème nous oblige à faire le lien entre créativité, marketing et prix, ce qui a d'énormes implications pour la société. Nous avons atteint le point où il nous est demandé de croire en un monde de fausses nouvelles et de faux drapeaux.
Les modèles virtuels que H & M a générés pour une utilisation dans les publicités en sont un exemple. Ces images ont l'air complètement humaines, mais si vous regardez bien, si vous regardez attentivement, elles pourraient toutes avoir la même forme et poser avec la tête d'un véritable modèle superposée sur le corps, là où le teint a été modifié numériquement pour correspondre à son teint. Cette étape qui dépasse le "photoshopping" a créé un peu de controverse. H & M a attiré les critiques pour avoir créé une fausse réalité et une image corporelle irréaliste, digne des femmes. Le site suédois Aftonbladet a tout d’abord remarqué les étranges similitudes des modèles. Hacan Andersson, un porte-parole de H & M, a confirmé la déception en disant:
"Ce n'est pas un corps réel, il est complètement virtuel et créé par l'ordinateur. Nous prenons des photos des vêtements sur une poupée qui se trouve dans le magasin, puis nous créons l'apparence humaine avec un programme sur un ordinateur."
RépondreSupprimerAndersson a expliqué que la société avait choisi d'utiliser les images de modèles générés par ordinateur, car cela simplifiait le processus de prise de vue et permettait également aux clients de se concentrer sur les vêtements plutôt que sur les modèles. Il a reconnu, "Le résultat est étrange à regarder, mais le message est clair: achetez nos vêtements, pas nos modèles."
Le fait est que les images générées par ordinateur semblent souvent plus réelles que la réalité
Les images générées par ordinateur, appelées CGI, englobent les astuces et la capacité de générer et de manipuler des images. Cela crée des possibilités intéressantes pour l'avenir ainsi que le graissage d'une pente déjà glissante aux possibilités infinies. Finalement, cela pourrait conduire à une forme de "Photoshop" sur les stéroïdes. Toute personne familiarisée avec Photoshop sait qu'elle offre la magie qui aide les utilisateurs à concrétiser leur vision créative. En modifiant des fichiers d’image bruts et des photos à l’aide de l’édition de photo de pointe, non seulement les utilisateurs peuvent créer des images HDRI attrayantes, mais ils peuvent également induire en erreur les téléspectateurs quant à la réalité.
Attendez-vous à beaucoup plus de cela dans le futur. En ajoutant à un CGI des caractéristiques distinctes d’individus que la société considère sous un jour très positif, il n’est pas difficile d’imaginer que nous pourrions étendre une partie de ce même sentiment positif à cette image. Si cela est vrai, il n’est pas difficile d’envisager à la fois les politiciens et les autres de «frotter» légèrement leur voix et leur personnalité afin d’améliorer l’impact qu’ils ont sur la défense de leur cause. Ralentir leur discours, approfondir le ton de leur voix, réduire quelques kilos en trop. Manipuler les gens de cette manière pourrait être considéré comme une forme de propagande, mais en réalité, ce n’est qu’un pas de plus que ce que nous faisons déjà lorsque nous faisons un montage extrême d’un clip pour influencer l’opinion publique.
L'avenir du journal télévisé pourrait être très différent en ce sens qu'il pourrait être entièrement généré par ordinateur. Prenez, par exemple, les nombreuses imitations sonores introduites dans certains claviers électroniques aujourd'hui. Bien qu'un audiophile puisse faire la différence, l'auditeur moyen ne peut pas et la plupart des gens ne s'inquiètent pas s'il en résulte un téléchargement moins coûteux pour leur iPod. Etant donné que la même chose peut être dite à propos de la musique et même de l'art, cela peut être effrayant, surtout si vous êtes la personne qui découvre soudainement qu'un robot pourrait prendre votre travail. À Vegas, les spectacles sur scène avaient tous des orchestres live, mais maintenant, de nombreux musiciens ont du mal à trouver du travail sur le strip. Nous avons également vu que l'équivalent électronique de la musique générée par l'homme est devenu un genre et est devenu un marché à part. Les acteurs de la voix ressentent déjà la chaleur alors que l’empiétement de voix synthétiques frappe le marché industriel / des entreprises et se lance dans les livres audio.
La capacité de produire une voix à consonance humaine avec toutes les inflexions, les nuances et le minutage qui la rendent intéressante nécessite souvent autant de technicité artistique de la part d’un ingénieur en logiciel qu’à celle d’un acteur expérimenté. Cependant, à un moment donné, les ordinateurs seront en mesure de prendre en charge et effectuer cette tâche en routine. Cela ne devrait pas surprendre ceux qui observent les tendances technologiques récentes. Une recherche rapide des mots "voix off" et "voix d'ordinateur" vous permettra de vous familiariser rapidement. Apple a même conçu dans son iPhone une fonction appelée voiceover que les malvoyants trouvent très utile, elle lit les mots à l'écran à haute voix dans ce que Apple appelle une "interface en anglais parlé".
RépondreSupprimerUne grande partie de cela se produit sous la surface avec peu de fanfare parce que la plupart des gens le considèrent comme inoffensif. Le fait est que nous avons maintenant des ordinateurs qui sonnent plus humains que les humains et, sur une note positive, parlent plus clairement. Il n’est pas difficile d’imaginer de tels chiffres faire économiser de l’argent aux réseaux de médias en diffusant les nouvelles. Tout cela nous amène à un moment dans le futur où les ordinateurs ont la capacité de générer des images qui dialoguent et peuvent agir avec émotion. En imitant des figures du passé ou leurs meilleures qualités et traits, il serait possible de créer de fausses figures avec des personnalités convaincantes.
Dans la vie, la plupart des gens ne rencontrent ni n'entendent jamais leur sénateur ou leur président parler en personne, ce qui signifie qu'une amélioration «douce et dissimulée» pourrait les aider à paraître plus attrayants. Il est important de considérer que si cette technologie peut être utilisée pour améliorer la stature d'une personne, elle pourrait également être utilisée pour diminuer son statut ou même comme moyen d'assassinat de personnage. Cela rend ce domaine de la technologie parfois trompeur et potentiellement dangereux propice aux abus. Malheureusement, il apparaît à l'avenir qu'il sera encore plus difficile de déterminer ce qui est réel et ce qui est faux.
https://www.zerohedge.com/technology/technology-spurs-our-ability-deceive
Les deepfake s'emparent du cinéma ! Elle font revivre les actrices & acteurs décédés et les remettent dans des films x aux côtés de personnes vivantes. Tout est fait pour l'arnaque, tout est conçu pour stimuler l'envie de découverte et à la fois amener la confusion, le doute, la peur ou la mort.
SupprimerC'est un lobbying.
Un envoyé des Nations unies met en garde contre la vie d'Assange
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim., 11/10/2019 - 07:00
Via la Fondation de la culture stratégique,
Un expert des Nations Unies en matière de diagnostic de la torture a vivement averti la semaine dernière que le dénonciateur australien Julian Assange risquait de mourir de conditions de détention extrêmes en Grande-Bretagne.
Cela témoigne de l'hypocrisie de rang des gouvernements britanniques et américains qui donnent des conférences à d'autres dans le monde sur la démocratie, les droits de l'homme et le droit international.
On ne peut qu'imaginer le tollé hystérique des gouvernements et des médias occidentaux si Assange était en quelque sorte détenu dans une prison russe.
Assange, âgé de 48 ans, est incarcéré dans une prison à sécurité maximale à Londres depuis le mois d’avril de cette année, quand il a été renvoyé de force à l’ambassade de l’Équateur. Son arrestation était en soi une violation stupéfiante du droit international. Assange avait été confiné à l'ambassade pendant près de sept ans, où il avait demandé l'asile pour éviter d'être extradé vers les États-Unis.
Il aurait dû être libéré le 22 septembre après avoir purgé sa peine pour violation de la liberté sous caution. Au lieu de cela, un juge britannique a ordonné la détention d'Assange jusqu'à ce que le procès d'extradition vers les États-Unis commence l'année prochaine. Si Assange est extradé aux États-Unis, il risque 175 ans de prison s'il est reconnu coupable d'espionnage. Peu de gens croient qu'il bénéficiera d'un procès équitable en Grande-Bretagne ou aux États-Unis. On lui a refusé une procédure régulière de consultation de ses avocats.
La charge "d'espionnage" d'Assange découle du fait que son site de dénonciation, Wikileaks, a publié de nombreuses informations accablantes révélant des crimes de guerre massifs commis par les États-Unis et l'OTAN en Irak, en Afghanistan et ailleurs. Ses publications de données divulguées exposaient également les méfaits de la diplomatie occidentale dans plusieurs pays, ainsi que l'espionnage mondial illégal de citoyens par les agences de renseignement américaines, en collusion avec leurs homologues britanniques.
Assange a fourni au public international des informations vitales démontrant la corruption systématique de Washington et de ses alliés. Pour avoir dit la vérité, il est maintenant persécuté, tout comme ses collègues dénonciateurs, Chelsea Manning et Edward Snowden. Manning a été emprisonné à plusieurs reprises aux États-Unis, tandis que Snowden a dû demander l'asile en Russie de peur d'être sommairement incarcéré en tant que «traître» s'il retournait aux États-Unis.
Nils Melzer, un expert internationalement reconnu en matière de traitement de la torture, s'est rendu à Assange en mai de cette année alors qu'il était toujours en détention dans la prison de catégorie A de Belmarsh, dans des conditions d'isolement cellulaire. Il a ensuite conclu qu'Assange subissait des tortures psychologiques de la part des autorités britanniques. Son dernier avertissement est basé sur des informations médicales à jour relatives à la santé d’Assange et donne lieu à une sombre évaluation.
Dans ses commentaires à l'agence de presse AFP, qui a reçu peu de couverture médiatique occidentale cette semaine, Melzer a déclaré:
"La santé de M. Assange est entrée dans une spirale descendante d’anxiété, de stress et d’impuissance de plus en plus graves, typiques des personnes exposées à un isolement prolongé et à un arbitraire constant."
RépondreSupprimerDans une conclusion grave, il ajouta:
"Bien que l'évolution précise soit difficile à prédire avec certitude, cette configuration de symptômes peut rapidement se transformer en une situation potentiellement mortelle impliquant une défaillance cardiovasculaire ou un effondrement nerveux."
Melzer a déclaré que les mesures qu'il avait recommandées en mai pour protéger la santé et la dignité d'Assange avaient été ignorées. «Cependant, ce que nous avons vu du gouvernement britannique est un mépris total pour les droits et l'intégrité de M. Assange… Malgré l'urgence médicale de mon appel et la gravité des violations alléguées, le Royaume-Uni n'a pris aucune mesure d'enquête, de prévention ou de réparation. requis par le droit international."
Dans un autre commentaire accablant, Melzer a déclaré que Julian Assange «continue d'être détenu dans des conditions d'oppression et d'isolement oppressives, non justifiées par son statut de détenu. Alors que le gouvernement américain poursuit M. Assange pour avoir publié des informations sur de graves violations des droits humains, notamment des actes de torture et des meurtres, les responsables de ces crimes continuent de bénéficier de l'impunité. "
Cette évaluation épouvantable corrobore ce que le père d’Assange a déclaré à la Strategic Culture Foundation dans une interview publiée le 24 septembre. John Shipton a alors averti qu’il craignait que son fils ne soit tué de façon extrajudiciaire par les autorités britanniques et américaines.
En dépit du journalisme primé d’Assange et de la vérité, les principaux médias occidentaux ont fait preuve d’un mépris total pour son sort. En effet, de tels médias ont eu tendance à renforcer la diffamation et l’assassinat de caractère imputés à Assange par les gouvernements américain et britannique.
L’hypocrisie est encore soulignée par les tentatives récentes des médias américains de lorgner un soi-disant dénonciateur qui a aidé à lancer une procédure de destitution du président Trump pour corruption présumée en Ukraine. En revanche, les mêmes médias, dans leur insensible indifférence à l’égard d’Assange, le condamnent à la torture pour des actes de dénonciation vraiment historiques par leur portée et leur importance.
Cependant, la cause d'Assange a été gravement désavantagée par la campagne de diffamation à son encontre, l'accusant d'être un «atout russe» ou un «cyber-terroriste». Ces frottis ont été colportés par les médias occidentaux.
Ainsi, évidemment, lorsque la dénonciation est au service du pouvoir, elle est considérée comme louable. Mais lorsque les dénonciateurs contestent et discréditent le pouvoir, ils sont persécutés en tant que criminels, pouvant aller jusqu'à la mort.
On peut soutenir que si le président Donald Trump avait des scrupules, il abandonnerait l'affaire d'espionnage inventée contre Assange. Après tout, ce sont les révélations de corruption de Hillary Clinton et de ses chefs du parti démocrate par Wikileaks qui ont partiellement contribué à l'élection de Trump en 2016. Assange a obtenu ces fuites d'un initié démocrate, et non de pirates informatiques russes, comme le prétendent généralement des "Russiagaters" trompés.
Julian Assange, alors qu'il était libre et maintenant en prison, expose la criminalité et l'immoralité systématiques des gouvernements occidentaux et de leurs médias institutionnels. C’est la raison pour laquelle il se retrouve dans les conditions infernales d’un cachot dans une prison britannique.
RépondreSupprimerNous ne pouvons qu’espérer que l’opinion publique puisse exercer une pression croissante sur Washington et Londres pour restaurer la liberté et la vie d’Assange. Entre-temps, le vengeur cruel des deux gouvernements, leur anarchie et leur profond mépris pour les droits de l'homme sont assurément un spectacle révélateur.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/un-envoy-issues-grim-warning-over-assanges-life
La différence entre Assange prisonnier et les autres en d'autres prisons est que les autres détruisent le Peuple et sont même encouragé à le faire tandis qu'Assange a détruit la dictature ou du moins l'a attaqué.
SupprimerSont même encouragé à le faire par le système bien entretenu des prisons où il y a forcément plusieurs personnes par cellules qui en rencontrent d'autres à la sortie quotidienne dans la cour. Là, ils peuvent échanger leurs savoirs et leurs objectifs de façon à ce qu'à la sortie ils se rencontrent et remettent çà. C'est là une récidive voulue par la dictature pour faire marcher le commerce. Tout ce qui est volé a disparu et n'est donc pas rendu aux propriétaires. Victimes qui doivent donc racheter d'autres biens personnels ou demeurer pauvre. L'objectif est d'appauvrir la population
Tandis qu'en solitaire en prison et promenade quotidienne (suivant l'horaire) ils ne pourraient rencontrer personne durant toute la durée du séjour.
Solution: Une cellule personnelle qui s'ouvre sur un cour personnelle suivant l'heure établie où le voisinage immédiat n'est pas de sortie.
David Stockman sur le fonctionnement réel de l'état profond
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 11/09/2019 - 21h30
Via InternationalMan.com,
- Internationa Man: L'année dernière, le président Trump a pris la décision inhabituelle de contourner ses conseillers pour annoncer son intention de retirer rapidement toutes les troupes américaines de la Syrie. La décision a secoué Washington et les principaux médias. L'ancien secrétaire à la Défense Mattis a dû démissionner. Près d'un an plus tard, les États-Unis n'ont retiré qu'un nombre symbolique de soldats. Des milliers de soldats occupent encore la partie du pays où se trouvent les champs de pétrole. Qu'est-ce qui se passe ici ?
- David Stockman: Eh bien, c’est l’état profond au travail.
Donald Trump est tout par son solitaire. Il est seul à la maison dans le bureau ovale. Maintenant, la moitié, il peut s'en vouloir. S'il embauche quelqu'un, un idiot connu comme John Bolton, il s'attend à ce qu'il se produise sauf que tout ce qu'il voulait faire serait mis à mal.
Néanmoins, il ne semble pas pouvoir trouver quelqu'un qui puisse articuler au quotidien une voie vers la posture plus modérée de America First qu’il avait en tête.
Il est entouré de gens qui contredisent constamment ses ordres. James Jeffery, ambassadeur américain et envoyé spécial en Syrie, a déclaré: «Eh bien, Trump ne voulait pas dire cela quand il a dit qu'il voulait que les troupes quittent la Syrie."
Nous avons la même chose avec la Corée du Nord. Trump a finalement déclaré: 66 ans après l’armistice, nous n’avons toujours pas de traité de paix et nous occupons toujours la péninsule coréenne, ce qui n’intéresse en rien notre sécurité nationale.
Vous devez faire ce que j’appellerais «l’histoire contrefactuelle». En d’autres termes, si vous comprenez ce qui aurait pu se passer dans l’autre sens, vous ne serez peut-être pas aussi impressionné par toute cette menace inflationniste.
Je reviens sur la raison pour laquelle la guerre de Corée a eu lieu, parce que je pense que c’est important pour toute cette affaire, alors que Trump essaie de conclure un accord avec Kim Jong-un.
À la fin des années 40, des responsables de Washington ont déclaré que la Corée se trouvait en dehors de notre sphère d'influence. La ligne de démarcation Nord-Sud avait été établie à la hâte lors de la conférence de guerre de Potsdam en juillet 1945. Dean Acheson, secrétaire d'État américain à la fin des années 1940, a déclaré était une simple ligne d'arpenteur; il n’a pas d’influence stratégique. Et si le bon sens avait prévalu au lieu du conseil insensé du président Truman?
Et si Truman avait dit: "OK, nous allons quitter cette fichue péninsule" ? Eh bien, elle serait devenue une quasi-province de la Chine, comme toutes les autres.
Ils fabriqueraient probablement toutes sortes de choses et les enverraient à Walmart aujourd'hui, et personne ne saurait faire la différence.
Au lieu de cela, nous avons eu une guerre. Si je me souviens bien, 54 000 militaires ont été tués. Toute la péninsule a été battue, bombardée et littéralement détruite. C'était comme une terre en friche dans le nord. Il y a des raisons pour lesquelles la famille Kim a survécu pendant toutes ces années, parce qu'elle nous déteste pour ce qui s'est passé. Les gens se souviennent. C'était vraiment de la terre brûlée. Je veux dire, c'était en quelque sorte un génocide, même à ce moment-là.
Donc tout cela s’est passé, et Eisenhower arrive et est assez astucieux pour dire que nous n’avons pas vraiment de sécurité nationale. Il a négocié un armistice, et pourtant le parti de la guerre a maintenu la tension sur la zone démilitarisée pendant toutes ces années, car elle devait figurer dans le livre des menaces.
RépondreSupprimerJe me souviens bien quand je combattais la grande défense de Reagan, lorsque j'étais directeur du budget. Nous avons toujours besoin de tous ces nouveaux chars, avions d’attaque et capacités logistiques de réapprovisionnement, car nous devons être en mesure de mener une guerre de deux ans et demi.
Eh bien, où était la moitié de la guerre ? Je savais où étaient les autres. La moitié de la guerre était en Corée. Pourquoi avons-nous dû mener une demi-guerre en Corée ? Mais néanmoins, cela faisait partie de la rationalisation - justification - de cette force militaire massive qui est vraiment un outil de l’empire et non un outil de défense de la patrie.
Aujourd’hui, Trump dit enfin: laissons les Coréens décider comment gérer l’avenir de la Corée et renoncer à cette longue confrontation qui dure depuis 65 ans.
Et pourtant, aussi courageux qu'il soit, il est constamment miné par son propre peuple, qui dès qu'il ne cherche plus, envoie de vilains messages aux Nord-Coréens - cela ne fera que remettre Kim sur les talons - et donc rien se fait. Même si cela pouvait être très facilement fait.
Lorsque vous avez une politique de changement de régime - et c'est la seule chose vraiment positive que Trump a apportée à la table. Il a dit que le changement de régime avait échoué; nous ne le ferons pas dans le cadre de ma politique.
Pourquoi pensez-vous que les Nord-Coréens sont quasi affamés ? Et je sais que l’élite communiste et la famille de Kim, etc. vivent une vie bien remplie, mais néanmoins, ils sont dans une situation économique difficile.
Pourquoi investissent-ils tout cet argent dans le développement des capacités nucléaires et des missiles ? Parce qu’ils ne veulent pas être changés de régime. Kim est un jeune homme, il a la mi-trentaine et il ne veut pas être un autre Mouammar Kadhafi ou Saddam Hussein.
Il sait ce qui se passe. Vous êtes accroché à la télévision nationale si vous êtes un Hussein, ou vous êtes torturé et drogué derrière une jeep si vous êtes un Kadhafi.
De toute évidence, ce genre de choses a des conséquences. Ces idiots à Washington et tous ces groupes de réflexion qui parlent de changement de régime et d'instauration de la démocratie dans le monde et ainsi de suite - ne pensent même jamais à la conséquence - au message que ces épisodes violents envoient - et à la fâcheuse réaction des gens face à la défense se.
- Internationa Man: John Bolton étant exclu, voyez-vous les pourparlers américains avec la Corée du Nord porter leurs fruits pour Trump ?
- David Stockman: Je pense que c’est toucher et aller.
Le problème, c’est que des dommages durables surviennent lorsque vous vous engagez dans tous ces changements de régime au cours de tant d’années et d’épisodes. Ils ne te font pas confiance.
Trump a travaillé très dur, utilisant une diplomatie personnelle étrange et idiosyncratique pour établir la confiance avec Kim. Cela semble fonctionner, mais il y a tellement de forces en coulisse qui cherchent à saper cette confiance afin que rien ne se passe.
RépondreSupprimerIls veulent garder 29 000 soldats en Corée du Sud, en danger, comme déclencheurs, afin que les Nord-Coréens nous obéissent comme nous leur disons de se comporter. C'est fou.
Je lui donnerais une chance de 50/50. Je sais qu'il veut une grande victoire, une victoire de la politique étrangère. Il est désespéré, car il ne se passe pas grand-chose ailleurs et ce qu’il avait l’intention de faire est totalement ébranlé.
Peut-être y at-il une chance que quelque chose se produise ici, mais je me méfie tellement des mécanismes de l’État profond et de leur besoin de menaces pérennes.
Si vous enlevez la menace coréenne, si vous reconnaissez que les Iraniens ne sont pas une menace, si vous voyez que la Russie est un tout petit pays qui ne va pas envahir l’Europe occidentale et s’effondrer par la porte de Brandebourg à Berlin, et ainsi de suite ...
Tout à coup, une personne va faire le calcul alors que nous entrons dans la crise financière et dit: «Nous ne pouvons pas nous permettre toute cette défense dont nous n’avons pas besoin. Laissons le réduire considérablement. "
Ils ne veulent pas que cela se produise. Et donc, ils doivent garder ces points chauds en flammes et ces menaces maintenues ou gonflées, car ils savent que si le Congrès prend en compte la vérité sur le monde, le budget de la défense serait considérablement réduit.
- Internationa Man: Jusqu'à présent, le président Trump avait une politique étrangère très différente de celle du candidat Trump. Qu'adviendra-t-il des chances de réélection de Trump s'il ne fait aucun progrès pour mettre fin à la guerre en Afghanistan, se retirer de la Syrie et rétablir la paix en Corée ?
- David Stockman: Je pense que sa réélection est binaire.
Si le marché boursier résiste et que l’économie parvient à éviter la récession, il sera en pleine forme. Mais je ne pense pas que cela va arriver.
Je pense que le marché boursier est dans ses derniers jours d'excès de bulle. Je pense que l’économie est en chute libre dans quelques trimestres ou quelques mois. Si cela se produit, Trump est grillé. Elizabeth Warren devient présidente et ce sera alors un tout nouveau jeu de balle difficile à imaginer.
- Internationa Man: Quel genre de rôle voyez-vous dans la politique étrangère lors des élections de 2020 ?
- David Stockman: Ce n’est pas le sens habituel de la politique du débat - là où il y a généralement un duopole bipartite, avec des nuances nuancées qu’ils aiment débattre et prétendre avoir un sens.
Cela ne se produira même pas cette fois-ci. La politique étrangère a été totalement prise en charge par la paranoïa démocratique sur la Russie et Poutine et se mêler de nos élections.
Il s’applique désormais à l’ensemble de l’enquête d’impeachment et à l’Ukraine-gate. C’est l’objet de tout le débat. Le débat va porter sur un side-show.
Les problèmes sous-jacents sont la raison pour laquelle nous naviguons sans cesse des navires de guerre dans la mer Noire. C’est comme le golfe du Mexique en Russie.
RépondreSupprimerPourquoi envoyons-nous des navires de guerre dans la Baltique ?
Pourquoi faisons-nous constamment de grandes manœuvres en Pologne et dans les États baltes, aux portes de la Russie alors que ces dizaines de milliers de soldats effectuent ces manœuvres et exercices ? Qu'est-ce qu'on fait tout ça ?
Ce sont les problèmes. Mais ils ne vont même pas faire l’objet d’un débat.
Un dernier point: Trump avait posé la question: l’OTAN n’est-elle pas obsolète ? L'Union soviétique est partie. Les 50 000 chars prétendument situés sur le front central et faisant face à l'Europe occidentale ont été fondus. Et pourtant, il ne peut même rien faire avec l’OTAN.
Il a dû double-parler pour dire: «Eh bien, les autres pays vont engager plus d’argent qu’ils n’ont pas. Ils vont gaspiller plus d’argent en défense. »C’est tout ce qui en découle.
Le fait est que nous devrions débattre de ce que nous faisons avec l'OTAN 25 ans après la disparition de l'Union soviétique de la surface de la terre.
Pourquoi Washington et le président ne dirigent-ils pas le monde avec cette conférence sur le désarmement afin que nous puissions commencer à réduire ces dépenses énormes en armes que personne ne peut se permettre ?
C'est ce que Washington devrait faire. Le président des États-Unis devrait être à la tête de la grande conférence mondiale sur le désarmement de 2021, et pourtant cela ne se produira même pas. Ce n'est même pas sur l'écran radar.
Cela n’a même pas été mentionné parce que, comme je le disais, l’appareil d’état de la Warfare étouffe tout débat, étouffe toute pensée qui dévie du statu quo.
Le grand problème dans le monde d’aujourd’hui est la guerre et la paix. Nous sommes confrontés à une campagne en 2020 qui ne sera même pas mentionnée.
* * *
Malheureusement, la plupart des gens n'ont aucune idée de ce qui se passe réellement lorsqu'un gouvernement devient incontrôlable, sans parler de la manière de se préparer ... La crise économique et politique à venir va être bien pire, beaucoup plus longue et très différente de ce que nous avons vu autrefois. C’est précisément pourquoi l’auteur à succès Doug Casey et son équipe viennent de publier un nouveau rapport urgent contenant tous les détails. Cliquez ici pour télécharger le PDF maintenant:
https://www.zerohedge.com/geopolitical/david-stockman-how-deep-state-really-works
MÉTIERS - INFLUENCEUR FAIT PLUS RÊVER LES JEUNES QUE VÉTÉRINAIRE OU PROF
RépondreSupprimerInfluenceur, youtubeur, blogueur... L'avènement du web a donné naissance à de nombreux nouveaux gagne-pains de plus en plus populaires chez les jeunes.
LEMATIN.CH
10.11.2019, 16h18
«Et toi, qu'est-ce que tu veux faire plus tard ?» Adressée au moins une fois à quasi toutes les petites têtes blondes, la question est aussi banale qu'elle peut être angoissante.
Les aspirations professionnelles des jeunes générations semblent évoluer au fil des époques et de nombreux jeunes aspirent désormais à exercer des activités qui n'existaient pas il y a une dizaine d'années, comme influenceur ou encore youtubeur.
Si bien que ces métiers seraient devenus des choix de carrière plus populaires que d'autres professions jadis convoitées, telles que vétérinaire ou enseignant par exemple.
Sur le podium
C'est du moins ce qu'affirment les auteurs d'une étude menée en Grande-Bretagne par le réseau international de marketing Awin et relayée par le magazine spécialisé Mobile Marketing. L'enquête a été menée auprès de 2000 parents ayant au moins un enfant âgé de 11 à 16 ans.
Résultat: les activités d'«influenceur sur les réseaux sociaux» et de «vidéaste sur YouTube» sont désormais sur le podium des perspectives de carrière les plus convoitées par les jeunes (17% et 14% des sondés respectivement). Seule la profession de médecin est plus populaire (18% des sondés).
«Une place pour des emplois moins conventionnels»
«Il n'est pas surprenant que l'influence sur les réseaux sociaux soit une aspiration réelle de nombreux jeunes», estime Carina Toledo, conseillère en marketing influenceur chez Awin. «Bien que les emplois traditionnels soient encore vitaux pour notre société, qu'on le veuille ou non, il y a une place dans le monde moderne pour des emplois moins conventionnels tels que les influenceurs, les youtubeurs et les blogueurs».
Malgré l'intérêt croissant des enfants pour les carrières liées aux réseaux sociaux, ces dernières demeurent mystérieuses pour les générations précédentes. Ainsi, 45% des parents sondés ont déclarés qu'ils ne comprenaient pas véritablement en quoi consiste l'activité d'influenceur. En outre, 58% ont affirmé qu'ils ignoraient qu'on pouvait en tirer des revenus.
LPH
https://www.lematin.ch/societe/influenceur-rever-jeunes-veterinaire-prof/story/30193190
Dire la vérité ou un mensonge peut effectivement influencer certaines personnes encore en construction. La vérité est inattaquable et détruit le mensonge.
SupprimerIl est donc préférable d'entendre plusieurs sons de cloches.
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L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle
14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet
SUISSE - DES MÉDECINS GAGNENT DES MILLIONS GRÂCE À L'AI
RépondreSupprimerSelon le SonntagsBlick, certains praticiens empochent des sommes faramineuses afin de mener des expertises médicales pour l'assurance invalidité.
Un médecin bernois a même gagné près de 3,1 millions de francs (2'817'952,39 €) depuis 2012 grâce à ses expertises.
10.11.2019, 08h16
Certains médecins empochent des millions grâce aux expertises médicales qu'ils font pour les offices assurance-invalidité (AI). C'est ce qui ressort d'un document de l'Office fédéral des assurances sociales (OFAS) que le SonntagsBlick a pu consulter.
Celui-ci recense les sommes versées par les offices AI aux médecins et cliniques entre 2012 et 2018. Il en ressort que ceux-ci attribuent les contrats d'expertise de manière extrêmement unilatérale.
En 2018, ils ont payé 683 médecins et cliniques pour mener des expertises dites monodisciplinaires pour un montant total de 29,5 millions de francs. 10% de ces experts se partagent les trois quarts des mandats. Depuis 2012, un médecin bernois a même gagné près de 3,1 millions de francs grâce à ses expertises pour l'AI. Deux autres médecins ont reçu chacun 1,9 million de francs au cours de la même période.
Des avocats, des organisations de personnes handicapées et même des médecins se plaignent du fait que les experts qui reçoivent des millions de la part des offices AI ne jugent plus en toute indépendance. Ils voient dans cette répartition inégale une indication que ceux-ci préfèrent des experts qui jugent dans leur sens - c'est-à-dire contre une incapacité de travail et donc contre une rente, écrit le SonntagsBlick. (ATS/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/medecins-gagnent-millions-grce/story/21919788
Comme l''intelligence' artificielle n'existe pas (encore), il est facile d'ajuster les paramètres selon ce que l'on veut obtenir !
SupprimerOCÉAN ATLANTIQUE - LE «MATÉRIEL FANTÔME» DÉCIME LA FAUNE MARINE
RépondreSupprimerPrès de 640'000 tonnes de matériel de pêche sont abandonnées chaque année, comme autant de déchets au fond de l'eau
Il faut attendre au moins 600 ans avant que le plastique ne commence à se désintégrer en petites particules.
10.11.2019
Pascal Van Erp le redoutait, il ne s'est pas trompé. De sa plongée dans les eaux froides de l'Atlantique sud, à 1600 km au nord-ouest de la ville sud-africaine du Cap, il a ramené à la surface un piège à homards noirci par les algues. Dûment répertoriée, la petite cage de plastique vert va rejoindre la longue liste des pièces à conviction du procès de la pollution des océans instruit contre la pêche industrielle.
«On est à un millier de milles des côtes de l'Afrique du Sud et on y trouve quand même du matériel de pêche abandonné», fulmine l'océanologue Thilo Maack, de Greenpeace. «Dans un endroit aussi isolé (...) c'est vraiment dégoûtant».
A bord d'un des navires de l'ONG, l'Arctic Sunrise, lui et son équipe patrouillent autour du mont Vema, une montagne sous-marine dont le sommet affleure à une vingtaine de mètres de la surface, pour y documenter l'ampleur de la pollution. Des millions de filets, de lignes ou de cages en tous genres flottent dans les océans de la planète. Perdus ou simplement jetés par les entreprises de pêche.
Les Nations unies estiment que 640'000 tonnes de matériel de pêche sont abandonnées chaque année comme autant de déchets au fond de l'eau. Le poids de 50'000 bus à impériale, insiste Greenpeace, jamais à court de comparaisons saisissantes.
Dans un rapport publié en 2009, le Programme de l'ONU pour l'environnement (PNUE) et l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) des Nations unies ont évalué à 10% la part des matières plastiques issues de la pêche qui polluent les mers.
«Zombies sous-marins»
«Le matériel de pêche constitue (...) plus de 85% des déchets plastiques retrouvés sur les fonds ou les reliefs sous-marins», a renchéri Greenpeace dans un rapport publié mercredi. Même abandonnés, ces équipements, non biodégradables, continuent à capturer poissons et crustacés et menacent même les grands mammifères comme les dauphins.
Thilo Maack les range dans la catégorie du «matériel fantôme» car, dit-il, «tels des zombies tapis au fond de l'eau, ils continuent à capturer (des poissons), même si personne ensuite ne se préoccupe du produit de ces captures». L'an dernier, plus de 300 spécimens d'une espèce menacée de tortues ont ainsi été trouvés morts au large du Mexique, prisonniers d'un filet de pêche apparemment oublié.
Selon l'ONG World Animal Protection, qui a son siège au Royaume-Uni, ces filets abandonnés tuent chaque année 100'000 baleines, dauphins, otaries, phoques et tortues.
«C'est un énorme problème car ils sont conçus pour capturer et tuer la faune marine et continuent à le faire tant qu'ils restent au fond», souligne Bukelwa Nzimande, de Greenpeace. A cause de sa solidité et de sa longévité, le plastique est l'un des matériaux privilégiés de l'industrie de la pêche.
Il faut attendre au moins 600 ans avant qu'il ne commence à se désintégrer en petites particules qui sont d'abord ingérées par les poissons, avant de l'être par les humains qui les consomment à leur table.
RépondreSupprimer«Machine de mort»
Au terme d'une semaine de plongées, l'équipage de l'Arctic Sunrise n'a mis la main que sur un seul piège à homards. Les plus optimistes veulent y voir l'effet du moratoire sur la pêche autour du mont Vema imposé en 2007 par l'Organisation régionale chargée des questions de pêche pour le sud-est de l'Atlantique (SEAFO).
Mais ce type d'institutions ne couvre encore que 1% de la surface des océans de la planète, laissant leur quasi-totalité sans protection, à la merci de la pêche illégale. Depuis des années, les ONG pressent l'ONU de mettre en place un système de gouvernance en mesure d'y protéger, à terme, la faune et la flore marines. A ce jour, 64% des océans échappent à la souveraineté des pays.
Un tel système pourrait notamment contraindre les entreprises de pêche à récupérer leur matériel, voire leur imposer des pénalités financières en cas d'oubli. En attendant, plusieurs ONG ont déjà entamé leur propre chasse à cette forme de pollution marine.
«Partout où il y a une mer ou un océan, on en trouve (du matériel fantôme)», regrette Pascal Van Erp, fondateur d'une association précisément baptisée Ghost Fishing, établie aux Pays-Bas, qui nettoie les fonds marins depuis 2012.
«Nettoyer le matériel abandonné me motive au plus haut point, quand j'en trouve je suis sincèrement heureux», ajoute le plongeur en remontant sur l'Arctic Sunrise, combinaison ruisselante. «Sinon, il continue à fonctionner», insiste-t-il, «comme une sorte de machine de mort». (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/materiel-fantome-decime-faune-marine/story/12402682
1°) Il ne s'agit pas là de matériel abandonné ou jeté volontairement à la mer, quand un bateau chavire et coule c'est un accident et non un geste volontaire.
Supprimer2°) Tout est dégradable surtout en fonds de bassins où les températures élevées et les émanations magmatique des plus toxique désagrègent les matériaux les 'plus coriaces'.
3°) la terre recèlent des milliards de milliards de fois plus de 'matériaux' dispersés depuis des millions d'années.
4°) L'être humain est constitué 100 % de 'pollution' sorties de Terre depuis toujours !
JEUX MOBILE - UNE RÉALITÉ AUGMENTÉE À L'ÉCHELLE DE LA PLANÈTE
RépondreSupprimerNiantic, l'éditeur de Pokemon Go, veut créer des jeux pour smartphones qui mélangent toujours plus le réel et le virtuel.
A l'été 2016, Niantic avait généré en à peine quelques semaines plus de 800 millions de dollars de revenus grâce à Pokemon Go.
06.11.2019
L'éditeur américain de jeux vidéos Niantic, spécialisé dans la réalité augmentée sur smartphone, veut construire la possibilité de se déplacer au quotidien dans des univers fantastiques mêlés au monde réel, comme dans Pokemon Go, son jeu phare lancé en 2016.
«Jouer ensemble, partout»
L'entreprise a dévoilé mercredi une série d'améliorations pour ses jeux (Ingress, Harry Potter: Wizards Unite) et sa plateforme de développeurs, et en a profité pour expliquer la mission qu'elle s'est donnée.
John Hanke, le fondateur de Niantic, imagine une réalité augmentée à l'échelle de la planète, où la technologie incite «les gens à s'extraire de leur canapé pour aller jouer ensemble» dehors, dans les parcs ou les cafés, n'importe où «les atomes rencontrent les octets».
La réalité augmentée permet de surimposer des animations au monde réel, via son écran (notamment celui du smartphone, mais pas seulement). Dans Pokemon Go, les joueurs chassent des créatures magiques qu'ils peuvent visualiser sur la table de leur salon ou sur la pelouse dans un parc.
Pour se rapprocher de sa vision, l'éditeur travaille à une meilleure intégration des éléments virtuels dans le réel, et vice et versa.
Niantic veut par exemple enrichir ses cartes numériques, qui donnent aux joueurs des informations virtuelles (où se trouvent les créatures) et aussi réelles (les monuments remarquables ou les magasins).
Photo de famille
A ce stade, les joueurs d'un certain niveau proposent d'ajouter des lieux (avec des photos et quelques mots d'explication) et l'éditeur a conclu des partenariats avec des grands groupes (comme Starbucks ou McDonalds), qui payent pour faire apparaître leurs établissements dans le jeu, lors d'événements ponctuels ou dans la durée.
Désormais les petites entreprises auront aussi cette possibilité, et pourront attirer les consommateurs avec des promotions.
«Les sponsors représentent une petite partie de nos revenus pour l'instant», a précisé John Hanke. «Mais cela s'intègre bien à notre mission d'aider les gens à découvrir des trucs cools autour de chez eux - le contraire d'Amazon en quelque sorte».
Le modèle économique de Niantic est fondé sur les micro transactions: les jeux sont gratuits, mais les joueurs peuvent acheter des objets virtuels qui leur permettent de progresser plus vite.
A l'été 2016, Niantic avait généré en à peine quelques semaines plus de 800 millions de dollars de revenus grâce à Pokemon Go, basé sur la franchise de jeux vidéo de Nintendo.
Depuis l'éditeur lui a ajouté de nombreuses fonctionnalités, pour encourager la sociabilité entre les joueurs: ils peuvent notamment s'échanger des cadeaux numériques et s'affronter par pokemon interposé.
RépondreSupprimerBientôt, ils pourront en plus visualiser les pokemons «compagnons» de leurs amis en chair et en os, en surimposition dans l'environnement réel, et les prendre en photo avec leurs humains.
Patates
«La réalité augmentée va refaçonner les expériences de divertissement de demain, et changer notre manière d'appréhender les mondes réel et numérique», prédit Kellee Santiago, responsable des relations avec les développeurs chez Niantic.
Le groupe investit en outre dans une plateforme d'outils technologiques de réalité augmentée, à laquelle d'autres éditeurs sélectionnés ont accès.
Cette année, le jeu de JCSoft, «Run to My Heart» («Cours vers mon coeur»), a remporté la première édition de «Beyond reality contest», une compétition «au-delà de la réalité» organisée par Niantic.
Ce jeu qui encourage le jogging se passe dans un monde virtuel où les personnes qui ne courent pas se transforment en patates.
L'éditeur américain a prévu d'allouer 10 millions de dollars, sur trois ans, pour financer un nouveau programme pour les créateurs en début d'année prochaine.
«Nous savons que les développeurs sont la clef pour inventer de nouvelles expériences qui amènent les gens à explorer et à se connecter avec le monde réel», indique Kellee Santiago.
La plateforme - baptisée «Real World» ou «monde réel» - comportera «bientôt» un outil de réalité augmenté dernier cri, qui permet au personnage animé de se dissimuler derrière un mur ou un objet, au lieu de flotter devant, d'une façon peu crédible. S'intégrer dans le monde réel signifie aussi pouvoir disparaître de l'écran. (afp/nxp)
https://www.lematin.ch/high-tech/realite-augmentee-echelle-planete/story/25018810
Le public et le privé (de tout !)
RépondreSupprimermercredi 8 août 2012
D'après les journaux et articles financiers publiés sur le net, lorsqu'il y a récession/effondrement/inflation ce sont en premiers lieux les 'banksters'/traders & Cie qui sont visés et... non... celles et ceux qui les ont mis en place !!!!
Remarquez dans toutes les nouvelles économiques qui sont désignés du doigt lors de troubles constatés. Qui leur a donné l'autorisation (au nom du pays représenté !!!) de voler ?! Qui ?! Même si les politichiens et les banksters travaillent ensemble patte dans la patte, les premiers ne sont là que pour tirer les marrons du feu tandis que les autres se vautrent dans le stupre 'condamné' par les religieux-de-l'apparition (!).
Effectivement, si 100% des pauvres vivent dans la pauvreté (comme 100% des riches vivent dans le vol) l'image d'Epinal de l'ange traversant un champ de tir-aux-pigeons ne pourrait que le concerner dans la mesure où la constatation d'avoir 'un coup dans l'aile' et de se faire 'détourner' fait partie de son quotidien, mais, tous sports de ball-trap mis à part, c'est quand même du lourd et du gros calibre qu'est servi chez les pauvres ! 'Criblés de dettes' après les factures 'coups de fusil' même s'il y a 'de quoi se flinguer' ou se noyer avec une pierre au coup, voilà qu'arrive "Le reflouement" ('Rambo XX') avec ses taux d'intérêt 'pompon-girl' et en bouquet final the feu d'artifice où tout part en confettis !
Suffit juste de changer le carton-cible de temps en temps ! Car même si la biquette de Mr Seguin s'était appelée 'Chevrotine', le loup n'étant pas au courant de 'l'astuce' l'aurait croqué pareillement. (voir aussi "si Géronimo s'était appelé AK 47" ed. Contrelemur).
Les marchés (d'appels d'offre) n'étant pas soumis aux '7 jours de réflexion', les 'amis de Mr le maire' là aussi sont copains comme cochons et l'entrée n'est pas gratuite à 5 € ! Voyez plutôt (et détaillez svp !) le coût de tel ou tel bâtiment ou simples travaux de rénovation !! Les endettements pharaoniques-ta-mer des communes et tous les milliards qui servent à rien ! Qui s'enrichit ? Qui s'appauvrit ?... "On ne peut faire plaisir à tout le monde" !
Regardez en quoi consiste 'l'aide aux pays sous-développés' (qui n'ont que du pétrole à gogo, des diamants et de l'or à la pelle) ! Plutôt que d'apprendre à pêcher à quelqu'un ils se contentent d'apporter un poisson ! Vous comprenez maintenant la valeur du message (et des intentions de 'l'aide humanitaire') ?
https://huemaurice5.blogspot.com/2012/08/le-public-et-le-prive-de-tout.html
Mais les panneaux solaires ne sont-ils pas supposés arrêter les feux de brousse ?
RépondreSupprimerNovember 10th, 2019
Des scènes d'Armageddon en Nouvelle-Galles du Sud aujourd'hui et les gens l'appellent une urgence climatique sur Twitter. Interdire les nouvelles mines de charbon! Blâmez Tony Abbott ! (Voir #nswbushfires). Jusqu'à présent, il y a trois morts et 150 maisons perdues (au moins). Selon les dernières nouvelles de @NSW RFS ce soir, à 12 h 30, il y a eu 74 feux de brousse sur NSW, dont 43 non encore maîtrisés.
- voir photo sur site -
@smhussey C'était la vue sur Northern NSW hier soir.
Les passagers en partance de la Gold Coast ont déclaré qu’ils ne pourraient pas fuir les flammes. #NSWfires
- voir photo sur site -
Incendies - NSW - Vue depuis un avion.
Détails: https: //t.co/xiUiZn9Ygh CRÉDIT Zach Firth sur Facebook
Effrayant à tout moment, surtout si tôt dans la saison. Il n’était pas si longtemps que nous aurions encore entrepris de petites brûlures de réduction des risques à cette période de l’année. Plus maintenant. # NSWbushfires # QLDbushfirespic.twitter.com / Wchw4NDl8U
- ÆnesidemusOZ (@AenesidemusOZ) 9 novembre 2019
Sensationnel. C'est beaucoup de forêt en train d'être convertie en nuage dans cette image satellite.
- voir photo sur site -
Fires, tweet. Charbon et changement climatique
Trop de carburant provoque des feux de brousse extrêmes, pas le changement climatique
67 ans de réduction des risques en Australie occidentale montrent exactement comment contrôler les incendies de forêt. C’est juste de la chimie.
Nous laissons tout ce carburant traîner, puis sommes-nous surpris quand il brûle ? La gestion des feux en Australie occidentale détruit environ 8% de la forêt gérée chaque année - une rotation sur une année sur douze. La gestion californienne brûle une fois tous les 500 ans.
Les hommes ayant des décennies d'expérience et les pratiques indigènes estiment qu'une rotation de six ans est préférable.
- voir graphique sur site -
Feux de brousse, graphique, Australie occidentale, 50 ans de réduction des risques.
Plus de brûlages dirigés signifient moins de zones incendiées. Source: Bushfirefront Western Australia
Plus d'articles sur les incendies:
Une tempête de feu de Fake News: l'hystérie mondiale «commode» à propos d'Amazon basée uniquement sur des photos twitter
C’est une urgence scientifique: combien d’incendies l’Australie peut-elle arrêter avec des panneaux solaires et des parcs éoliens ?
Les incendies survenus au mois de août 1951 dans le Queensland ont été qualifiés de "catastrophiques" alors que le gaz carbonique atteignait 311 ppm
Californie: peut-être que les brûlures prescrites une fois tous les 500 ans ne suffisent pas ?
http://joannenova.com.au/2019/11/but-werent-solar-panels-supposed-to-stop-bushfires/
Kolkhoze ou sovkhoze parisien « Anne Hidalgo » : qu'en pensent Mme Géraldine Woessner et M. Gil Rivière-Wekstein ?
RépondreSupprimer10 Novembre 2019
par Seppi
Glané sur la toile 435
- voir dessin sur site -
– Stop ! Nous sommes au bord du précipice !!
– Moi, je pense que je peux encore avancer de quelques pas !!
Les grandes manœuvres électorales – lire : les petites bassesses électoralistes – pour les prochaines municipales ont commencé. Selon le positionnement politique, les candidats déclarés ou potentiels donnent quelques coups de barre à droite – histoire de ramener des voix qui pourraient aller vers la droite bien à droite – ou à... non, pas à gauche – la vraie gauche est atomisée et contaminée – mais vers le « vert ».
Paris, capitale agricole...
Mme Anne Hidalgo, maire sortante de Paris et peu désireuse de sortir, a fait particulièrement fort de sa propre initiative ou par soutiens (lire : faux-nez) interposés.
Le 28 octobre 2019 (date sur la toile), un « collectif » constitué d'un trio publiait une tribune dans le Monde, « "Nous pouvons faire de Paris une capitale agricole" ». Rien que ça ! En chapô :
« Dans une tribune au "Monde", Célia Blauel et Pénélope Komitès, adjointes à la Mairie de Paris, et le voyagiste Jean-François Rial, membres de la plate-forme citoyenne Paris en commun, qui soutient Anne Hidalgo, proposent de créer AgriParis, une coopérative pour permettre à Paris de produire directement ses denrées alimentaires. »
En bref :
« ...la plate-forme citoyenne Paris en commun, qui s’est engagée aux côtés d’Anne Hidalgo, propose de créer la coopérative agricole AgriParis afin de gérer l’approvisionnement en alimentation biologique, locale, éthique, sociale, bref, écologique de la capitale. »
De là, on embraye sur la méthode Coué avec un raisonnement des plus bancals :
« Dans une ville comme Paris, relocaliser l’alimentation est vital. Et la bonne nouvelle, c’est que c’est possible : les services publics parisiens produisent plus de trente millions de repas par an, que ce soit pour les crèches, les écoles, les agents de la ville ou les personnes âgées, pour près de 55 millions d’euros d’achat de denrées alimentaires. La puissance publique municipale peut donc avoir une vraie capacité d’entraînement. »
« Contourner » le code des marchés publics
Dans « Quand Anne Hidalgo réinvente le sovkhoze », dans le Point, Mme Géraldine Woessner rappelle implicitement que cette Schnapsidee, cette idée saugrenue, est aussi le fruit de l'imbécillité législative :
« ...la proposition [...] part pourtant d'une bonne intention : pour se conformer à la loi Egalim, les collectivités devront, dès 2022, inclure dans leurs repas au moins 50 % de produits locaux ou répondant à un critère de qualité, dont 20 % de produits bio.
[…] explique le premier adjoint Emmanuel Grégoire. "[…] Aujourd'hui, le code des marchés publics nous empêche d'imposer un critère de distance dans les contrats que nous passons. Nous devons trouver un outil juridique pour sécuriser l'approvisionnement local." Son idée : créer une coopérative, baptisée Du champ à l'assiette, pour racheter des terres agricoles, prendre des participations dans des exploitations existantes ou en créer sur les réserves foncières de la ville. "Nous espérons, dans un premier temps, exploiter 250 hectares."
RépondreSupprimerCette manœuvre – en clair : ce passage dans une forme d'illégalité – est rappelée plus loin :
« "Cela reste très positif, car il y a urgence", constate Gilles Pérole, adjoint au maire de Mouans-Sartoux (Alpes-Maritimes) et président de la commission restauration scolaire de l'Association des maires de France (AMF). "Si on veut avancer en restauration collective en approvisionnement local et bio, il faut absolument trouver des moyens de contourner le code des marchés publics." »
Ne nous fâchons pas...
Mme Géraldine Woessner interroge quelques acteurs de la vie économique au fait des réalités agricoles et alimentaires.
Certains s'esclaffent à juste titre. Curieusement (ou peut-être pas... il faut savoir rester bien avec tout le monde), le président de la Chambre d'Agriculture de l'Île-de-France tient un discours ambivalent :
« Ils veulent des agriculteurs fonctionnaires, comme au bon temps de l'URSS ? […] Ça ne tient pas la route ! Les coopératives existent, l'État n'a pas à se substituer aux professionnels. »
Et plus loin, notamment :
« "Ils auraient dû m'appeler avant de faire leur annonce", regrette Christophe Hillairet, convaincu au contraire que l'idée, loin d'être idiote, est riche de promesses si elle est "correctement travaillée". »
Lisez la suite sur le Point. On y distille le chaud et le froid.
Voici un autre propos de M. Christophe Hillairet que l'on devrait méditer :
« Le bio et le local, c'est plus cher à produire : le blé bio s'achète 530 euros la tonne au moulin, contre 180 euros pour le blé conventionnel. Avant de promettre de faire du 100 % bio, il faut réfléchir au prix qu'on est prêt à payer. »
« On », dans cette citation, c'est le citoyen-contribuable...
Ni possible, ni souhaitable...
Atlantico a interrogé M. Gil Rivière-Wekstein et produit un article dont le titre donne déjà la conclusion : « Faire de Paris une capitale agricole auto-suffisante : une idée de l’équipe Hidalgo qui n’est ni possible, ni souhaitable ».
Notons que M. Gil Rivière-Wekstein est rédacteur pour la revue Agriculture et Environnement. Il n'a aucun intérêt « régionaliste » ou clientéliste à défendre.
Sur la question du possible, par exemple :
« Pour fournir les 30 millions de repas simplement en carottes, en choux-fleurs et en salades, on aurait besoin d’au moins 600 ha. Pour le reste, si la Mairie compte s’approvisionner auprès des exploitations maraîchères existantes, elle va très vite être confrontée à la faible diversité des fruits disponibles en région parisienne, puisqu'il y a principalement des producteurs de pommes, de poires et de cerises. Cela ne donnera pas une grande variété de fruits pour nos enfants ! Tout cela ne semble donc pas très sérieux. »
Notons que le tir est un peu court ! Car ce constat n'est pas que une sentence de condamnation de la seule Ville de Paris, mais de la loi « Egalim » et, au-delà, de l'incurie gouvernementale et législative.
RépondreSupprimerSur la question du souhaitable :
« D’une part, ce serait un gouffre financier au regard du coût totalement prohibitif des terres agricoles de la région parisienne, et d’autre part, on fait déjà face à un manque de main-d’œuvre agricole disponible dans la région. Celle-ci y est en concurrence directe avec des métiers non qualifiés bien moins contraignants. »
Cela pourrait être une conclusion :
« Tout cela relève d’annonces électoralistes pour attirer les voix des Parisiens bobo-écolos qui fantasment sur des jardins potagers. Nous avons connu la mode du « bio », maintenant nous subissons le fantasme du « local ». Ce qui, pour une grande région comme Paris, reste totalement utopique. »
Quoique... en matière de persévérance dans la connerie…
http://seppi.over-blog.com/2019/11/kolkhoze-ou-sovkhoze-parisien-anne-hidalgo-qu-en-pensent-mme-geraldine-woessner-et-m.gil-riviere-wekstein.html
Supprimer(...) Paris, capitale agricole... (...)
Après 'Les champignons de Paris', le 'Jambon de Paris' voir 'Les immigrés climatique de Paris' !
Les personnes âgées peuvent recommencer à perfuser le sang des enfants
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim 11/10/2019 - 21:00
Jesse Karmazin, diplômé de Stanford, a annoncé que sa société, Ambrosia, est de retour dans le monde des affaires, malgré la mise en garde de la FDA contre les personnes âgées de ne pas en infuser le sang, selon l'agence OneZero.
Jesse Karmazin, PDG et fondateur d’Ambrosia, a déclaré à OneZero dans une interview que la société avait repris les transfusions de plasma, la partie liquide du sang incolore aux clients, il y a environ un mois. «Nos patients veulent vraiment le traitement», a-t-il déclaré. «Les patients reçoivent à nouveau des transfusions plasmatiques de donneurs âgés de 16 à 25 ans.» Les transfusions d’un litre coûtent 8 000 dollars, et les transfusions de deux litres, 12 000 dollars. -OneZero
Karmazin, qui n'est pas un médecin agréé, a cessé de traiter des patients après l'annonce de la FDA plus tôt cette année et a désactivé son site Web.
Maintenant, le sang jeune est de retour sur le marché - il vous suffit de l'obtenir "hors étiquette", ce qui signifie qu'un médecin peut le prescrire pour autre chose que son utilisation approuvée.
Karmazin est diplômé de la faculté de médecine de Stanford, mais n'a pas l'autorisation de pratiquer la médecine et ne fait pas les transfusions lui-même. Au lieu de cela, il passe un contrat avec des médecins pour effectuer les procédures. Lorsqu'on lui a demandé, il ne nommerait pas les médecins avec lesquels il travaille ni les autres employés d'Ambrosia. Il dit que la société n’obtient pas de sang directement auprès de jeunes donneurs, mais bien de banques de sang agréées aux États-Unis. -OneZero
"Nous sommes une entreprise qui souhaite vous faire revivre jeune", a-t-il déclaré lors d'une conférence en 2017. La société affirme que "des expériences sur des souris appelées parabiosis ont été l’inspiration pour administrer des traitements avec du plasma jeune".
Cela dit, même si le plasma peut aider le sang à coaguler ou à gérer les saignements excessifs au cours d'une intervention chirurgicale, les experts affirment qu'il n'y a aucune raison de l'utiliser pour ralentir ou inverser les maladies liées au vieillissement, comme le prétend Karmazin.
"Il n'y a aucun avantage clinique prouvé de la perfusion de plasma provenant de jeunes donneurs pour guérir, atténuer, traiter ou prévenir ces affections, et il existe des risques associés à l'utilisation de tout produit plasmatique", a déclaré Scott Gottlieb, Peter, membre de la FDA, en février dernier. Marks, qui dirige le centre de biologie de l'agence.
"Les utilisations déclarées de ces produits ne doivent pas être considérées comme sûres ou efficaces", a-t-il déclaré. "Nous déconseillons vivement aux consommateurs de suivre cette thérapie en dehors des essais cliniques, sous la surveillance d'un comité d'examen institutionnel approprié et sous la supervision de la réglementation."
"Nous craignons que certains patients ne soient la cible d’acteurs peu scrupuleux vantant les traitements du plasma de jeunes donneurs comme des remèdes et des remèdes."
L'agence a déclaré à OneZero "La FDA n'a pas autorisé ou approuvé de produit plasmatique provenant de jeunes donneurs, quelle qu'en soit l'utilisation."
RépondreSupprimerÀ l'automne dernier, la société avait pratiqué la procédure sur environ 150 personnes âgées de 35 à 92 ans, alors que 81% d'entre elles avaient participé à l'essai clinique de la société. L'essai a fourni aux patients un litre et demi de plasma provenant d'un donneur âgé de 16 à 25 ans et a été conduit avec David Wright, un médecin qui possède son propre centre de traitement du sang par voie intraveineuse en Californie.
Les participants à l'essai ont payé la note pour leurs propres traitements - alors que les résultats de leurs essais cliniques n'ont pas été rendus publics.
https://www.zerohedge.com/health/old-people-can-start-infusing-childrens-blood-again
(...) «Les patients reçoivent à nouveau des transfusions plasmatiques de donneurs âgés de 16 à 25 ans.» Les transfusions d’un litre coûtent 8 000 dollars, et les transfusions de deux litres, 12 000 dollars. -OneZero (...)
SupprimerPar contre en 'pays pauvres' - outre les yeux des enfants qui sont vendus ! - existent des 'dons' du sang qui valent de l'or sur des enfants de 5 ans et plus ! Notez bien que les personnes riches meurent aux alentours de 100 ans contrairement aux autres personnes ! Et, de plus... rien ne dits que ces personnes riches meurent ! (A t-on vérifié qui est dans le cercueil ?).
Qui veut détruire le monde ?
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Dim., 11/10/2019 - 22:30
Écrit par Phil Torres via OneZero,
Pour l’essentiel de l’histoire de l’humanité, la question de savoir qui voudrait détruire le monde importait peu. La raison en était, bien sûr, qu’aucun individu ou groupe d’êtres humains ne pouvait démolir la civilisation ou causer notre extinction. Nos ancêtres n’avaient tout simplement pas les outils nécessaires: aucune quantité de lances, de flèches, d’épées ou de catapultes ne leur aurait permis - même les plus assoiffés de sang et de misanthropes - d’avoir fait du mal aux quatre coins du monde.
Cela a changé avec l'invention de la bombe atomique. Alors que les érudits considèrent souvent que 1945 est l’année où l’auto-annihilation est devenue possible, les dates les plus précises sont 1948 ou 1949, car c’est à ce moment-là que les États-Unis ont stocké suffisamment d’armes nucléaires (environ 100) pour avoir initié un «hiver nucléaire». . ”(Voir ce travail en cours pour expliquer pourquoi je me concentre sur 100 armes nucléaires comme seuil.) Un hiver nucléaire se produit lorsque la suie des villes en flammes réduit considérablement la quantité de lumière solaire atteignant la surface de la Terre pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. provoquant une chute des températures et une famine. Assez troublant, ce n’est que dans les années 1980 - des décennies après que nous ayons eu assez d’armes nucléaires pour éponger le soleil - que le phénomène nucléaire hivernal ait été identifié pour la première fois, bien que des questions subsistent encore.
Le monopole américain sur le pouvoir mondial n’a pas duré très longtemps: en 1953, l’Union soviétique s’est également étendue à 100 armes. Maintenant, il y avait deux nations sur Terre qui pourraient effacer la civilisation. Mais encore une fois, cela n’a pas duré très longtemps. Le Royaume-Uni a rejoint le club des championnats du monde potentiels vers 1962, la Chine vers 1971 et la France vers 1973, Israël, le Pakistan et l’Inde étant devenus membres de ce club dans les années 2010. Ainsi, en moins d'un siècle, le monde est passé de zéro acteur capable de détruire unilatéralement le monde à huit.
C'est une situation effrayante. Malheureusement, la situation empire - bien pire. La raison en est que les États ne sont plus les seuls acteurs du jeu. Grâce aux nouvelles technologies, des acteurs non étatiques, tels que des groupes terroristes et des loups solitaires, se lancent eux aussi dans l'action, et ils pourraient être beaucoup plus disposés que les gouvernements nationaux à appuyer sur le bouton proverbial Doomsday.
Mes propres recherches suggèrent que le pourcentage de personnes qui appuieraient sur un bouton de la fin du monde, s’il était placé à la portée d’un doigt, est assez faible, mais le nombre absolu est inacceptable. Même une recherche rapide sur Google semble l'affirmer. Examinez les réponses suivantes, tirées de différentes sources en ligne, à la question de savoir si l’on pourrait détruire le monde si on le pouvait (citant des fautes de frappe et tous):
"Oui. Il est évident que nous ne gagnons rien à la vie et il y a une énorme quantité de souffrance humaine que je trouve tout à fait injustifiable. L'anéantissement complet de la race humaine serait le plus grand acte de compassion jamais réalisé. ”Reddit.com
"Oui, nous sommes nuls en tant que race humaine." Reddit.com
"Oui. Parce que vous êtes tous des connards. Et ce n’est pas une blague, j’aimerais bien pousser quelque chose qui mette fin à l’humanité. J'y ai toujours pensé et maintenant il y a la question sur ce sujet et je suis heureux de pouvoir dire que je veux que vous soyez tous morts, chacun de vous, célibataire, enfoirés. S'il vous plaît, donnez-moi la chance d'éliminer l'humanité. ”Reddit.com
RépondreSupprimer"Mon point de vue est que l'humanité est un fléau… Je vote pour détruire l'humanité et laisser la nature recommencer à zéro." Debate.org
«L'animal humain est le seul animal pervers du règne animal. Nous détruisons tout… J'envoie un courriel au président chaque semaine pour le prier d'appuyer sur le bouton et d'arrêter la folie déjà. ”Debate.org
«Depuis peu de temps que nous sommes sur cette planète, les humains ont déjà tellement détruit. Nous détruisons les écosystèmes et éliminons des espèces d'animaux entiers… Le monde serait mieux sans l'homme dans son ensemble. ”Debate.org
Bien sûr, dire quelque chose n’est certainement pas la même chose que de le faire. Même dans ce cas, pouvons-nous être totalement certains qu'aucune personne au monde ne tentera de donner suite à ses fantasmes annihilatoires? Une façon d'aborder cette question est de rechercher des exemples historiques de groupes ou de personnes qui ont tous deux exprimé le désir de tuer tout le monde et qui ont commis un ou plusieurs actes terribles de violence. La combinaison de ces deux phénomènes implique que de telles personnes seraient disposées à agir selon leurs impulsions omnicidales (ce qui signifie de tuer tout le monde) et volontiers, peut-être même avec empressement, à appuyer sur un bouton apocalyptique. Alors, y a-t-il de tels exemples ?
Malheureusement oui. Beaucoup d'entre eux. Et ils semblent tomber dans une poignée de catégories de base.
Prenons le cas troublant d’Eric Harris, le cerveau psychopathe à l’origine du massacre de 1999 du lycée Columbine. Son journal est rempli de toutes sortes de fantasmes véritablement horribles et macabres. À plusieurs reprises, il mentionne explicitement son désir brûlant d'éteindre l'humanité. À un moment donné. Il écrit: «Si vous vous rappelez votre histoire, les nazis ont proposé une« solution finale »au problème juif. Tuez-les tous. Eh bien, au cas où vous ne le sauriez pas encore, je dis: "Tuez l'homme", personne ne devrait survivre. "
Ailleurs, Harris a médité: «Je pense que je voudrais que nous disparaissions», ce à quoi il a ajouté: «J'ai pour objectif de détruire autant que possible… Je veux brûler le monde» et «Je souhaite juste pouvoir réellement FAIRE cela au lieu de simplement rêver de tout cela. "
Lorsque Harris et son complice criminel, Dylan Klebold, ont perpétré leur massacre à Columbine, ils étaient équipés d'armes de jardinage. C'est dangereux, certes, mais à peine capable de «brûler le monde». Peut-on toutefois douter que si Harris - qui était relativement intelligent et aimait les mathématiques et les sciences - avait eu accès à certaines des technologies de pointe de demain, il aurait, en se suicidant, essayé de sortir avec un bang beaucoup plus gros ?
Le massacre de Columbine a eu une influence considérable sur les tireurs qui se sont déchaînés par la suite, certains rêvant également d’omnicide. Par exemple, en 2007, un étudiant finlandais âgé de 18 ans, Pekka-Eric Auvinen, a tué plusieurs personnes dans son école, qu'il a également tenté de mettre à feu. Comme Harris, il a parlé de "solution finale" comme "de la mort de toute la race humaine" et décrit son massacre comme "une opération contre l'humanité dans le but de tuer le plus grand nombre de personnes possible". Un autre tireur déchaîné de Finlande Matti Saari a écrit dans sa note de suicide: «Je déteste la race humaine, je déteste l’humanité, je déteste le monde entier et je veux tuer le plus de gens possible».
RépondreSupprimerEnsuite, bien sûr, il y avait Elliot Rodger, le psychopathe incel qui a tué sept personnes et en a blessé 14 autres lors des meurtres perpétrés à Isla Vista en 2014. Dans une vidéo tournée un jour avant le déchaînement, il a déclaré sans ambages: «Je vous déteste tous. L'humanité est une espèce dégoûtante, misérable et dépravée. Si j'avais le pouvoir, je ne reculerais devant rien pour réduire chacun d'entre vous à des montagnes de crânes et de rivières de sang. Et à juste titre. Vous méritez d'être annihilé. Et je te le donnerai.
Les tireurs d'école et autres loups solitaires ont des motivations idiosyncratiques, telles qu'une haine misanthropique de l'humanité ou le désir de riposter contre les femmes pour des insultes sexuelles et amoureuses. Ensemble, cependant, ils forment une catégorie d'acteurs omnicidaux relativement cohérente et relativement imprévisible.
Un autre type d'acteur omnicidal se présente sous la forme de terroristes apocalyptiques qui croient que pour sauver le monde, il faut d'abord le détruire. ISIS, sans doute le groupe terroriste le plus important et le plus riche de l’histoire, est un cas exemplaire. Si certains membres de l’Isi n’avaient probablement pas de croyances apocalyptiques, les dirigeants en avaient certainement, et ils prenaient des décisions stratégiques fondées sur ces convictions. Abu Musab al-Zarqawi, l’homme qui a essentiellement fondé l’Etat islamique, croyait que la version islamique d’Armageddon était sur le point de se dérouler autour de la petite ville syrienne de Dabiq. C’est pourquoi le nom du magazine de propagande du groupe, Dabiq. Après que l'armée américaine ait tué al-Zarqawi en 2006, la direction de l'Etat islamique a été transférée à Abu Ayyub al-Masri, un apocalyptique fébrile qui a insisté sur le fait que la figure messianique de la fin des jours islamiques, le «Mahdi», était sur le point d'apparaître en Irak. Comme al-Zarqawi, il a fondé sa stratégie sur sa conviction apocalyptique - et cela s'est retourné contre elle. Il a bientôt rencontré sa fin aux mains des forces occidentales.
Ces deux personnes croyaient vraiment que la fin était proche et qu'il était de leur devoir d'utiliser la violence - la violence catastrophique, pour être plus précis - afin de provoquer l'apocalypse. Les membres de l'Etat islamique ont parlé de l'acquisition d'armes nucléaires, de la libération d'agents pathogènes mortels et de la fabrication de bombes sales. Personnellement, je n'ai jamais parlé à un spécialiste du terrorisme qui ne pense pas que l'EI aurait poussé joyeusement un bouton «détruis le monde», surtout si les forces occidentales se dirigeaient vers Dabiq.
Mais ISIS est loin d'être le seul groupe apocalyptique. Le culte apocalyptique Aum Shinrikyo a tenté de déclencher Armageddon en lançant du sarin dans le métro de Tokyo en 1995. Ici, aux États-Unis, plus d'une douzaine de groupes haineux adhèrent à Christian Identity, une vision du monde apocalyptique qui préconise le recours à la violence catastrophique. de déclencher une «guerre raciale» qui amorcera la fin du monde. Et l'un des conflits les plus sanglants de l'histoire de l'humanité, la rébellion de Taiping, impliquait un mouvement apocalyptique appelé «royaume céleste de Taiping». Il était dirigé par un homme nommé Hong Xiuquan, qui se croyait le frère de Jésus-Christ, «commandé par le Seigneur des cieux de tuer les démons-démons (Manchus) dont le règne avait entraîné la ruine en Chine. "
RépondreSupprimerUn dernier type d'acteur omnicidal demeure dans la frange la plus extérieure des idéologies environnementales radicales, anarcho-primitivistes et néo-luddites. Ted Kaczynski, mieux connu sous le nom de Unabomber, fournit un exemple par excellence. À partir de 1978, Kaczynski a perpétré de nombreuses attaques terroristes dans le pays, faisant trois morts et 23 blessés. Ancien professeur de mathématiques à l'Université de Berkeley et ancien élève de Harvard, Kaczynski ne souhaitait pas que l'humanité disparaisse. Au contraire, il voulait déclencher une révolution mondiale contre la société industrielle, dans le but ultime de provoquer son effondrement. Kaczynski ne se souciait finalement pas de savoir si sa révolution causerait la mort de gens, car dans son calcul utilitaire, les fins justifieraient les moyens. Comme l'écrivait Kaczynski en 1995: «Cette révolution peut ou non faire usage de la violence; il peut être soudain ou un processus relativement graduel s'étendant sur quelques décennies. Son objectif sera de renverser non pas les gouvernements mais la base économique et technologique de la société actuelle. "
En revanche, d’autres acteurs de cette catégorie ont explicitement adopté des convictions favorables à l’extinction. Par exemple, le Gaia Liberation Front (GLF), un groupe écoterroriste, a pour mission «la libération totale de la Terre, ce qui ne peut être accompli que par l'extinction de l'homme en tant qu'espèce». «Si des humains survivent, ils peuvent tout recommencer. Notre politique est de ne prendre aucun risque. "
Comment pourraient-ils atteindre leurs objectifs omnicidal ? GLF affirme que la bio-ingénierie est «la technologie spécifique permettant d'anéantir l'humanité, et qu'elle pourrait être réalisée par une seule personne disposant de l'expertise nécessaire et de l'accès au matériel nécessaire». Ils continuent: «… des virus génétiquement modifiés… ont l'avantage de ne s'attaquer qu'aux espèces cibles. Pour compliquer la recherche d’un remède ou d’un vaccin et pour s’assurer que certains humains ne seraient pas immunisés contre un virus particulier, plusieurs virus différents pourraient être libérés (il est prévu de libérer un deuxième tour après le les politiciens étaient sortis de leurs abris). "
Ceci est parallèle à un article anonyme de Earth First ! Journal, publié en 1989, signifie que cette idée existe depuis un certain temps: «Nous sollicitons d’urgence des contributions pour la recherche scientifique sur un virus spécifique à une espèce qui éliminera l’Homo shiticus de la planète. Seul un virus absolument spécifique à une espèce devrait être disséminé. Sinon, ce ne sera qu'une autre solution technologique. N'oubliez pas l'égalité des droits pour toutes les autres espèces. ”
Mais ISIS est loin d'être le seul groupe apocalyptique. Le culte apocalyptique Aum Shinrikyo a tenté de déclencher Armageddon en lançant du sarin dans le métro de Tokyo en 1995. Ici, aux États-Unis, plus d'une douzaine de groupes haineux adhèrent à Christian Identity, une vision du monde apocalyptique qui préconise le recours à la violence catastrophique. de déclencher une «guerre raciale» qui amorcera la fin du monde. Et l'un des conflits les plus sanglants de l'histoire de l'humanité, la rébellion de Taiping, impliquait un mouvement apocalyptique appelé «royaume céleste de Taiping». Il était dirigé par un homme nommé Hong Xiuquan, qui se croyait le frère de Jésus-Christ, «commandé par le Seigneur des cieux de tuer les démons-démons (Manchus) dont le règne avait entraîné la ruine en Chine. "
RépondreSupprimerUn dernier type d'acteur omnicidal demeure dans la frange la plus extérieure des idéologies environnementales radicales, anarcho-primitivistes et néo-luddites. Ted Kaczynski, mieux connu sous le nom de Unabomber, fournit un exemple par excellence. À partir de 1978, Kaczynski a perpétré de nombreuses attaques terroristes dans le pays, faisant trois morts et 23 blessés. Ancien professeur de mathématiques à l'Université de Berkeley et ancien élève de Harvard, Kaczynski ne souhaitait pas que l'humanité disparaisse. Au contraire, il voulait déclencher une révolution mondiale contre la société industrielle, dans le but ultime de provoquer son effondrement. Kaczynski ne se souciait finalement pas de savoir si sa révolution causerait la mort de gens, car dans son calcul utilitaire, les fins justifieraient les moyens. Comme l'écrivait Kaczynski en 1995: «Cette révolution peut ou non faire usage de la violence; il peut être soudain ou un processus relativement graduel s'étendant sur quelques décennies. Son objectif sera de renverser non pas les gouvernements mais la base économique et technologique de la société actuelle. "
En revanche, d’autres acteurs de cette catégorie ont explicitement adopté des convictions favorables à l’extinction. Par exemple, le Gaia Liberation Front (GLF), un groupe écoterroriste, a pour mission «la libération totale de la Terre, ce qui ne peut être accompli que par l'extinction de l'homme en tant qu'espèce». «Si des humains survivent, ils peuvent tout recommencer. Notre politique est de ne prendre aucun risque. "
Comment pourraient-ils atteindre leurs objectifs omnicidal ? GLF affirme que la bio-ingénierie est «la technologie spécifique permettant d'anéantir l'humanité, et qu'elle pourrait être réalisée par une seule personne disposant de l'expertise nécessaire et de l'accès au matériel nécessaire». Ils continuent: «… des virus génétiquement modifiés… ont l'avantage de ne s'attaquer qu'aux espèces cibles. Pour compliquer la recherche d’un remède ou d’un vaccin et pour s’assurer que certains humains ne seraient pas immunisés contre un virus particulier, plusieurs virus différents pourraient être libérés (il est prévu de libérer un deuxième tour après le les politiciens étaient sortis de leurs abris). "
Ceci est parallèle à un article anonyme de Earth First ! Journal, publié en 1989, signifie que cette idée existe depuis un certain temps: «Nous sollicitons d’urgence des contributions pour la recherche scientifique sur un virus spécifique à une espèce qui éliminera l’Homo shiticus de la planète. Seul un virus absolument spécifique à une espèce devrait être disséminé. Sinon, ce ne sera qu'une autre solution technologique. N'oubliez pas l'égalité des droits pour toutes les autres espèces. ”
Alors que la frange la plus radicale du mouvement environnementaliste a évité la vedette au cours des dernières années, certains experts, tels que la spécialiste du terrorisme Frances Flannery, s'attendent à une résurgence avec l'aggravation des crises climatiques et de la biodiversité. Cela pose un danger évident dans un monde rempli de balles et de bombes; mais cela pose une menace existentielle dans un monde d'édition de gènes facile et peu coûteux. Des technologies telles que les lecteurs de gènes, les convertisseurs numérique-biologique et CRISPR-Cas9 permettent de plus en plus de synthétiser des agents pathogènes de synthèse qui pourraient être bien plus dévastateurs que tout ce que l'on trouve dans la nature.
RépondreSupprimerExiste-t-il des solutions aux problèmes posés par les maniaques omnidaux porteurs de virus ? Une solution difficile à éviter - et complètement terrifiante - est la surveillance de masse. Cela pourrait prendre la forme de ce que le philosophe Jeremy Bentham a appelé un «panoptique», selon lequel l'État (peut-être géré par des programmes informatiques conçus spécifiquement pour gouverner - une forme de gouvernement appelée «algocratie») surveille chaque action de ses citoyens. Le danger évident est que cela risque de s’effondrer dans un totalitarisme tyrannique, qui constitue en soi un risque existentiel.
Une autre possibilité concerne ce que l’écrivain de science-fiction, David Brin, appelle la «société transparente». Cela rendrait la surveillance sur un pied d’égalité, pour ainsi dire: tout le monde pourrait voir ce que tout le monde fait tout le temps, permettant ainsi à ceux observés de regarder les observateurs. Brin n’affirme pas qu’il s’agit d’une situation idéale, mais seulement d’une situation meilleure que celle dans laquelle l’État dispose de tous les pouvoirs. Une perte totale de la vie privée est peut-être le coût de la sécurité existentielle.
Alternativement, j'ai déjà affirmé que, afin de réduire les risques posés par des agents malveillants tels que ceux mentionnés ci-dessus, la société devrait donner la priorité à l'atténuation du changement climatique et à la destruction écologique. Les deux phénomènes sont des multiplicateurs de menace et des intensificateurs de menace, ce qui signifie qu’ils introduiront de nouveaux problèmes tout en aggravant les anciens. De meilleures politiques environnementales permettraient de réduire la menace posée par les écoterroristes, dont le grief fondamental - "Les humains détruisent stupidement la biosphère" - est scientifiquement exacte. De telles politiques diminueraient également le nombre et la gravité des catastrophes naturelles, ce qui pourrait fertiliser la ferveur apocalyptique des extrémistes religieux. Comme le remarque Mark Juergensmeyer, spécialiste du terrorisme, «des temps radicaux engendreront une religion radicale», hypothèse apparemment étayée par la montée de l'Etat islamique pendant la guerre civile syrienne.
Pour aller de l'avant, les personnes qui se préoccupent de la survie humaine doivent réfléchir sérieusement, non seulement aux différentes technologies qui seront disponibles, mais également aux types d'acteurs susceptibles d'essayer de les utiliser pour lutter contre des maladies catastrophiques. L'avenir de la race humaine pourrait littéralement en dépendre.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/who-wants-destroy-world
(...) Cela a changé avec l'invention de la bombe atomique. (...)
SupprimerEntièrement faux ! Premièrement la 'bombe atomique' est obsolète depuis plus de 40 ans et a été remplacé depuis par la Technologie scalaire (HAARP) et l'EMP. Deuxièmement, aux lendemain du 11 Mars 2011 à Fukushima, le monde s'est inquiété des nuages de compositions radioactives survolaient le Pacifique, Canada/USA, Atlantique-Nord et Europe en Jet-Stream. Faut dire aussi que le monde était informé grâce aux publications de NILU (en Norvège) qui sur son site montrait jusqu'à 8 images satellite par jour du déplacement des nuages ! NILU a été censuré ! Censuré car il portait atteinte au commerce du poisson et pouvez faire paniquer raisonnablement le monde entier. Donc, HAARP est intervenu pour déplacer les nuages vers le pôle Nord où ils y étaient aplatis. Aplatis jusqu'aux jours où souffla le vortex et renvoya tout çà jusqu'au Texas !
(...) les nazis ont proposé une« solution finale »au problème juif. Tuez-les tous. Eh bien, au cas où vous ne le sauriez pas encore, je dis: "Tuez l'homme", personne ne devrait survivre. "(...)
Notez que A.H. était juif (comme tous les autres de la nazional socialiste qui le soutenaient) et n'aurait proposé à personne de l'abattre ! A vrai dire il était parti non pas en guerre contre les italiens, les français, les anglais, etc mais contre UNIQUEMENT les excisés !
CHINE - ILS CLAQUENT 1 MILLIARD EN 68 SECONDES SUR ALIBABA
RépondreSupprimerLes Chinois ont profité de soldes monstres pour dépenser dans les commerces en ligne, dont Alibaba, des sommes vertigineuses en quelques secondes.
Alibaba profite pleinement de la «Fête des célibataires».
11.11.2019, 07h45
68 secondes: c'est le temps que les consommateurs chinois ont mis dans la nuit de dimanche à lundi pour dépenser en ligne leur premier milliard de dollars lors de la traditionnelle «Fête des célibataires», considérée comme la plus grosse opération mondiale de soldes.
A 0h précises, des millions de consommateurs se sont rués sur leur ordinateur ou leur téléphone portable dans l'espoir de bénéficier d'alléchantes remises sur toute une gamme de produits, de l'électronique au prêt-à-porter, en passant par les chaussures ou l'ameublement.
Alibaba et les autres groupes chinois de commerce électronique ont pris l'habitude depuis 2009 d'annoncer des rabais à chaque 11 novembre, jour surnommé la «Fête des célibataires» en raison de la répétition du chiffre «un» (11/11).
Cette frénésie d'achats dépasse en valeur celle du «Black Friday», le vendredi qui suit la fête de Thanksgiving fin novembre aux Etats-Unis. La Fête des célibataires, qui sont censés disposer d'un fort pouvoir d'achat, est ainsi le plus gros événement mondial du secteur de la distribution.
Vigueur des achats scrutée
Sur les seules plateformes d'Alibaba, 7 milliards de yuans (1 milliard de dollars) ont donc été dépensés en l'espace de 68 secondes... encore plus vite que l'an dernier, quand ce cap avait été atteint en 85 secondes. Ce chiffre correspond à la valeur totale des marchandises achetées sur ces plateformes, y compris les frais d'expédition.
Le cap des 100 milliards de yuans (14 milliards de francs) a été franchi en une heure, 3 minutes et 59 secondes très exactement, soit 43 minutes de moins que l'an dernier, a assuré Alibaba, qui représente à lui seul la moitié du commerce électronique en Chine.
La vigueur des achats du 11 novembre est scrutée par les économistes qui y cherchent des indices quant à la robustesse de l'économie du pays, en proie à la guerre commerciale lancée par les Etats-Unis de Donald Trump.
Près de 30 milliards
L'an dernier, le chiffre d'affaires total de la journée du 11 novembre communiqué par Alibaba faisait état de 213,5 milliards de yuans (29,6 milliards de francs) de ventes en l'espace de 24 heures.
Il s'agissait d'un ralentissement du rythme de progression d'une année sur l'autre: le chiffre d'affaires avait en effet augmenté de 27% seulement sur 2017, contre 39% l'année précédente.
Le groupe de l'excentrique milliardaire Jack Ma, qui vient de prendre sa retraite, espère lever 15 milliards de dollars US à Hong Kong, lors d'une introduction en Bourse qui pourrait intervenir prochainement, a rapporté vendredi l'agence Bloomberg. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/economie/entreprises/claquent-1-milliard-68-secondes-alibaba/story/22368606
COUP DUR POUR LES VERTS TRISOMIQUES !
RépondreSupprimerETUDE - LA MAJORITÉ DES SUISSES FAIT CONFIANCE À LA SCIENCE
Près des trois quarts des Suisses sondés jugent que la recherche fondamentale est nécessaire. Et qu'elle doit être soutenue étatiquement.
La santé et l'alimentation figurent parmi les sujets prioritaires pour la science ces prochaines années.
06.11.2019
La science et la recherche jouissent toujours d'un crédit élevé auprès de la population suisse, selon une étude de l'Université de Zurich. La confiance en la science est élevée ou très élevée chez 56% des sondés, contre 57% lors du premier baromètre en 2016.
Le degré de confiance accordé aux chercheuses et aux chercheurs universitaires est encore plus important. Il est élevé ou très élevé chez près des deux tiers (64%) des répondants. Ils sont 64% également à penser que la recherche scientifique améliore leur vie. Près des trois quarts (73%) jugent que la recherche fondamentale est nécessaire. Et la même proportion estime qu'elle doit être soutenue étatiquement.
Climat et énergie prioritaires
Le climat et l'énergie arrivent en tête des thèmes considérés comme prioritaires pour la science ces prochaines années. Suivent la santé et l'alimentation, puis le trafic et la mobilité, la migration et l'intégration ainsi que la communication et la numérisation.
Sans surprise, internet est l'outil privilégié pour s'informer sur la science. Les sources les plus prisées toutes classes d'âge confondues sont l'encyclopédie en ligne Wikipédia et les sites internet et les applications mobiles des journaux et magazines.
YouTube comme source d'information
Pour les 15-34 ans, la source principale sont les plateformes vidéo comme YouTube: 44% disent y entrer souvent ou très souvent en contact avec la science et la recherche. Les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter jouent aussi un rôle important pour cette classe d'âge (30%) et même pour les 35-54 ans (28%).
L'enquête a été menée par téléphone auprès de 1050 personnes de plus de 15 ans domiciliées en Suisse romande, en Suisse alémanique et au Tessin. Les entretiens ont été conduits du 17 juin au 20 juillet 2019. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/sante/sciences/majorite-suisses-confiance-science/story/27543138
Supprimer56 % n'est pas 100 % ! La confiance se détériore suite à la prostitution de personnes (rayées depuis par le Conseil de l'Ordre en tant que scientifique) qui acceptent dans les merdias (y compris sur le site lematin.ch) de détourner la vérité au profit de mensonges plus lucratifs !
C'est ainsi que sont nés les vers, parti nazi(onal-socialiste) et tous les trisomiques acceptés pour les soutenir !
EPR : EDF CHIFFRE LE COÛT DE NOUVEAUX RÉACTEURS
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
11/11/2019
Un réacteur nucléaire EPR coûtera entre 7,5 et 7,8 milliards d'euros.
Combien coûtera un nouvel EPR ? Le réacteur nucléaire de troisième génération représente un véritable défi, que ce soit en termes de construction que… de coûts. EDF livre une facture.
Dans un document d'EDF révélé par Le Monde, l'électricien explique que la construction par paires de six réacteurs EPR, financés sur vingt ans, reviendrait à un total « d'au moins » 46 milliards d'euros. Un réacteur coûterait entre 7,5 et 7,8 milliards d'euros. C'est deux fois plus cher élevé que la facture initiale de l'EPR de Flamanville, qui s'élevait à 3,3 milliards d'euros. Mais les retards n'ont cessé de s'accumuler : le réacteur, qui devait entrer en service en 2012, ne démarrera finalement que fin 2022… si tout va bien. La facture a elle aussi complètement explosé : l'EPR coûtera 12,4 milliards d'euros, ce qui représente un coût multiplié par 4 par rapport à la facture d'origine.
Retards à répétition
Le gouvernement a eu l'occasion de pointer du doigt EDF et l'ensemble de la filière nucléaire pour les retards à répétition et l'explosion des frais. Un audit rendu fin octobre a fait le point sur les difficultés rencontrées par l'électricien (dont l'État est actionnaire à hauteur de 83,7%) pour la constructeur de l'EPR de Flamanville. Bruno Le Maire avait déploré un « manque de rigueur inacceptable ». EDF est sommé de mettre en place un plan d'action d'ici un mois afin de retrouver les « meilleurs niveaux d'exigence » indispensables pour la construction de ces réacteurs de dernière génération.
Le gouvernement aura-t-il le choix ?
Malgré des coûts qui ne cessent d'augmenter, l'État pourrait continuer à accorder sa confiance à EDF pour la mise en service de nouveaux EPR. Le ministère de la Transition écologique pourrait en effet décider de confier au groupe la construction de nouveaux réacteurs, le nucléaire étant une énergie relativement propre et bon marché. Mais le gouvernement a indiqué qu'il s'agissait « d'un scénario parmi d'autres ».
http://www.economiematin.fr/news-epr-edf-chiffre--cout-nouveaux-reacteurs
Primo: la photo ! Elle représente (comme sur tant d'autres merdias) un réaction de centrale à charbon de façon à présenter une sortie noire de fumées !
SupprimerOr, les centrales nucléaire ne brûlent ni charbon, ni pétrole, ni gaz, ni bois ! mais ne rejettent QUE de la vapeur d'eau.
Vapeur d'eau noire ?! HAHAHAHA ! Houlala !
Changement climatique : les asthmatiques polluent grave !
RépondreSupprimer11 Novembre 2019
par Seppi
Ce titre est à dessein putaclic.
La vie d'un ou d'une asthmatique est déjà suffisamment compliquée, et il serait indécent de les stigmatiser. C'est pourtant ce que viennent de faire Allodocteurs et FranceTVInfo, répercutés par Yahoo !, avec « Asthmatiques, gare à votre empreinte carbone ! »
En chapô :
« Certains inhalateurs émettent des gaz à effet de serre et font grimper l’empreinte carbone des patients qui utilisent régulièrement ces traitements contre l’asthme ou d’autres maladies pulmonaires. »
En bref, après l'interdiction des chlorofluorocarbones (CFC) pour cause d'atteinte à la couche d'ozone, des inhalateurs utilisent des hydrofluorocarbures (HFC) – plus précisément des hydrofluoroalcanes – comme propulseurs de l’agent actif du médicament.
Difficile de trouver des indications précises. Contentons-nous donc de ceci : les gaz fluorés sont de puissants gaz à effet de serre – jusqu'à 23.000 fois l'effet du dioxyde de carbone. Leur utilisation est en augmentation, mais des mesures ont été prises en vue d'une réduction ; ils représentent 2 % des émissions de l'Union Européenne.
Les HFC sont principalement utilisés comme réfrigérants dans les réfrigérateurs, les appareils de conditionnement d'air et les pompes à chaleur, comme agents d'expansion pour les mousses, gaz propulseurs, etc. L'HFC le plus répandu est 1.430 fois plus puissant que le gaz carbonique par unité de masse. Beaucoup de HFC ont une durée de résidence dans l'atmosphère courte, de 15 à 29 ans. Selon ce site, le HFC-134a – utilisé dans les inhalateurs – a une durée de résidence dans l'atmosphère de quelque 14 ans.
Une équipe britannique – Alexander J.K. Wilkinson, Rory Braggins, Ingeborg Steinbach et James Smith – vient de publier « Costs of switching to low global warming potential inhalers. An economic and carbon footprint analysis of NHS prescription data in England » (coûts du passage à des inhalateurs à faible potentiel de réchauffement de la planète. Une analyse économique et de l'empreinte carbone des données de prescription du NHS [service national de santé] en Angleterre) dans le British Medical Journal.
Prenons l'information pertinente du communiqué de presse de l'Université de Cambridge, « Switching to ‘green’ inhalers could reduce carbon emissions and cut costs, study suggests » (passer aux inhalateurs « verts » pourrait réduire les émissions de carbone et les coûts, selon une étude). Un titre précautionneux ! Mais :
« L'équipe a trouvé que l'empreinte carbone des inhalateurs à doseur était 10 à 37 fois supérieure à celle des inhalateurs à poudre sèche. Sur la base des prescriptions de 2017, le remplacement d'un inhalateur à doseur sur dix en Angleterre par un inhalateur équivalent à poudre sèche le moins cher pourrait permettre de réduire le coût des médicaments de 8,2 millions £ par an et de réduire les émissions d'équivalent en gaz carbonique de 58 kilotonnes, soit à peu près l'équivalent de 180.000 allers-retours entre Londres et Édimbourg.
Au niveau individuel, chaque inhalateur-doseur remplacé par un inhalateur à poudre sèche pourrait permettre d’économiser entre 150 et 400 kg de gaz carbonique par an, ce qui est similaire à de nombreuses actions déjà entreprises par les particuliers soucieux de l’environnement, telles que l’isolation thermique des murs, le recyclage ou la réduction de la consommation de viande. »
RépondreSupprimerIl y a plus de 5 millions d'asthmatiques au Royaume-Uni et, en 2017, on a prescrit quelque 50 millions d'inhalateurs, sept sur dix étant doseurs.
Chez nos voisins, la BBC a titré : « Asthma carbon footprint 'as big as eating meat' » (l'empreinte carbone de l'asthme est « aussi grande que la consommation de viande »).
En France, donc, Allodocteurs et FranceTVInfo ouvrent subtilement le ban avec :
« Les inhalateurs, pires que la viande rouge en matière d’impact écologique ? »
Comme la viande est déjà clouée au pilori, il est difficile de faire mieux en matière de culpabilisation des asthmatiques.
Nous ajouterons que ce genre d'études est fondamentalement fallacieux, sinon vicié : brûler du carbone fossile – notamment rouler en voiture, même électrique si l'électricité a été produite par une centrale à gaz, à fioul ou au charbon – augmente le stock de gaz à effet de serre pour une durée considérable. En simplifiant l'argument, l'hydrofluoroalcane propulseur utilisé aujourd'hui remplace celui qui fut utilisé il y a 14 ans ; sa contribution actuelle au réchauffement climatique dépend ainsi de la variation des quantités utilisées ; et elle est transitoire.
Si l'on veut réellement lutter contre le réchauffement climatique par la réduction de l'utilisation des HFC propulseurs, il y a bien d'autres pistes à explorer que celle qui malmène le confort, sinon la santé, de malades.
http://seppi.over-blog.com/2019/11/changement-climatique-les-asthmatiques-polluent-grave.html
Sortie du glyphosate : l'Opinion et l'AFP font rapport sur un rapport d'étape parlementaire
RépondreSupprimer11 Novembre 2019
par Seppi
Glané sur la toile 437
L'Assemblée Nationale a mis en place une mission d'information commune – commune à deux de ses commissions – sur le suivi de la stratégie de sortie du glyphosate. Sa réunion constitutive a eu lieu le 27 septembre 2018 et elle a désigné son bureau (M. Julien Dive, président, et MM. Jean-Luc Fugit et Jean-Baptiste Moreau, co-rapporteurs).
Un rapport intermédiaire a été établi et sera présenté le mardi 12 novembre 2019 à la Commission du Développement Durable. Il sera présenté à la presse le lendemain.
L'Opinion ouvre la marche
L'Opinion s'est procuré ce rapport et a produit le vendredi 8 novembre 2019, sous la plume de Mme Emmanuelle Ducros, « Sortie du glyphosate: un rapport parlementaire souligne flou et impasses techniques ».
La lecture de ce bref article laisse entrevoir une lecture tout aussi intéressante du rapport d'étape. Mme Emmanuelle Ducros écrit :
« Il [le monde agricole] doit apprendre à se passer d’un produit qui représente 30 % des herbicides vendus en France, et dont les 11 agences sanitaires mondiales – dont l’Efsa en Europe et l’Anses en France – ne demandent pas le retrait, au motif que ses effets sont bien maîtrisés et connus. Le glyphosate, produit-symbole, ne présente pas de danger autre qu’électoral.
Il faut ajouter : un danger électoral créé par le Président Emmanuel Macron lui-même, par son annonce intempestive d'une sortie du glyphosate destinée sans nul doute à maintenir une pax gubernamentalis avec un Nicolas Hulot qui lui a ensuite chié dans les bottes...
Vers la fin, elle écrit aussi :
« Car aussi incroyable que cela paraisse, la décision de se passer du glyphosate a été prise sans connaître tous ces faits. »
On ose espérer que la mission commune aura pu recueillir les faits, les vrais – pas les élucubrations d'un INRA servile et à-plat-ventriste – et réussi à « remettre de la rationalité scientifique et technique dans ce débat passionné » en privilégiant une « approche par la confiance et non la défiance des agriculteurs qui n’ont eu de cesse que de s’adapter aux demandes des consommateurs ».
En attendant de lire le rapport d'étape de la mission, lisons l'Opinion...
Un bon compte rendu de l'AFP
L'AFP – voir par exemple « Supprimer le glyphosate aura un coût élevé, estime un rapport parlementaire » d'Orange.fr – s'est appuyée sur l'Émission politique de France Inter, France Télévisions et le Monde qui avait Mme Élisabeth Borne pour invitée le dimanche 10 novembre 2019.
L'AFP apporte aussi quelques biscuits appéritifs comme :
« La mission parlementaire […] juge "inconscient d'attendre le 31 décembre 2020" pour savoir "quelles situations culturales" devront obligatoirement cesser d'utiliser l'herbicide le 1er janvier 2021 et celles qui pourront bénéficier d'un délai. »
Dommage qu'elle n'ait pas eu le courage de dire que le caprice présidentiel est irresponsable et, pour l'agriculture française, scélérat :
RépondreSupprimer« Frais de main d'œuvre (12,7 millions d'euros d'heures supplémentaires), consommation de carburant multipliée par trois ou quatre (87 millions d'euros), investissements en matériels nouveaux et croissance des dépenses dans d'autres produits chimiques: la suppression de cet herbicide bon marché alourdira les charges des exploitations entre 50 et 150 euros l'hectare, selon le rapport.
Les coûts de production du blé augmenteraient de 10 euros la tonne. Les techniques alternatives de désherbage (passages supplémentaires de tracteurs et de machines) émettraient aussi 226.000 tonnes de CO2 supplémentaires, selon l'association générale des producteurs de céréales AGPB citée dans le rapport. »
Ce qui choque aussi, ce sont les propos de Mme Élisabeth Borne :
« […] Elisabeth Borne, a affirmé que le gouvernement "reste résolu à sortir du glyphosate. Je confirme que l'objectif est bien de sortir de l'essentiel des usages au 1er janvier 2021, et de tous les usages au 1er janvier 2023" [...]. »
« ...reste résolu... » ? N'est-ce pas l'admission du fait que c'est une connerie, qu'on en est conscient et que, malgré cela, on a l'intention de la faire ?
Mme Élisabeth Borne est pourtant confrontée à un rapport parlementaire qui lui indique – à elle et au gouvernement – qu'il y a des situations où le glyphosate est indispensable. Par exemple :
« Selon l'institut technique Arvalis, cité dans le rapport, "l'interdiction du glyphosate déstabiliserait [certaines] exploitations concernées au point de menacer leur survie". »
Sont aussi menacées des filières comme les semences, le lin ou :
« celle de légumes frais et de conserve cultivés en plein champ (203.560 hectares) qui ne peut se permettre le moindre datura toxique, une plante qui pousse aux abords des champs et peut contaminer les moissons. »
Ne croyez surtout pas que ces constats sont nouveaux. Ah, si l'INRA avait été honnête (son tableau récapitulatif – ci-dessous – contredisait pourtant clairement les propos lénifiants de son rapport)...
On tombe enfin des nues quand on lit :
« Pour Mme Borne, "ce rapport est intéressant car il pointe que ce n'est pas en claquant des doigts qu'on décide comme cela qu'on arrête le glyphosate".
"Je pense qu'on a des premières filières qui pourront le faire sans doute plus rapidement que d'autres. Le président de la République l'avait dit, on souhaite avoir la première viticulture zéro glyphosate et je pense qu'ils sont en train d'agir pour que ce soit le cas", a-t-elle précisé.
Claquer du doigt (et penser que d'autres agissent), n'est-ce pas ce qu'ils font ? Tout ça pour un caprice ?
http://seppi.over-blog.com/2019/11/sortie-du-glyphosate-l-opinion-et-l-afp-font-rapport-sur-un-rapport-d-etape-parlementaire.html
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