par PAOLO GAROSCIO
20/11/2019
En France, 52% des ménages ont déjà été victimes d'arnaques bancaires.
La technique paraît trop simple pour être vraie et pourtant elle a fait plusieurs dizaines de milliers de victimes : un simple SMS permettrait à un hacker (ou plusieurs) de tout simplement vider votre compte bancaire. La vigilance est de mise.
Une arnaque bancaire aussi simple que redoutable
Selon les informations données par Serge Maître, président de l’Association française des usagers des banques (AFUB), à RTL, les attaques sont en forte augmentation : une hausse de 40 % entre mars et octobre 2019, soit un total de 61.000 infections confirmées. Le nombre réel pourrait être supérieur.
Or, ce qui inquiète les autorités, c’est la simplicité avec laquelle ce piratage est mené : le hacker envoie un simple SMS avec un lien Internet à cliquer. Si la victime clique sur ce lien, le piratage est réussi : le hacker peut tout simplement se connecter sur la banque en ligne de la victime avec ses codes et réaliser toutes les opérations possibles. Et, de fait, vider le compte bancaire.
Une arnaque à 12.000 euros en moyenne
Contrairement aux arnaques téléphoniques aux numéros surtaxés, qui coûtent quelques dizaines voire centaines d’euros dans les cas les plus graves à l’utilisateur, ici on parle d’une arnaque bien supérieure : l’AFUB estime que les hackers volent, en moyenne, 12.000 euros. En un sens, cela permet à la victime de se rendre compte facilement du piratage… mais après il reste la question du remboursement.
L’association conseille de faire immédiatement opposition à tous les virements et d’envoyer une lettre au directeur d’agence. Si cela n’aboutit pas, des recours judiciaires sont envisageables.
Le Venezuela versera une prime de Noël à des retraités et retraités à Petro
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar., 19/11/2019 - 18:45
Écrit par Adrian Zmudzinski via CoinTelegraph.com,
Le Président vénézuélien, Nicholas Maduro, a annoncé que la prime de Noël des retraités et retraités du pays leur serait versée dans la crypto-monnaie nationale Petro.
Le profil Twitter du point de presse local Venepress a rendu compte des remarques de Maduro le 17 novembre. Ce cas particulier n’est pas la première fois que le Venezuela pousse Petro dans le portefeuille des retraités.
Comme Cointelegraph l’a signalé en décembre dernier, le Venezuela a automatiquement converti les primes des retraités de l’année en Petro.
Petro, l'avenir de l'économie vénézuélienne ?
Le crypto asset en question a été lancé pour la pré-vente en février dernier et a suscité des inquiétudes parmi les observateurs étrangers dès le début. À la fin du mois d'août de l'année dernière, Petro était déjà cinglée comme une "cascade" opaque soutenue par une entité centralisée et endettée.
Néanmoins, la crypto-monnaie nationale et les crypto-monnaies dans leur ensemble sont de plus en plus poussées par le gouvernement local.
Comme le rapporte Cointelegraph Spain le 13 novembre, le député de l'Assemblée nationale constituante du Venezuela, Francisco Torrealba, a déclaré qu'il pensait que toutes les monnaies seraient remplacées par des crypto-monnaies.
S'agissant du Venezuela, Torrealba a affirmé que le pays était confronté à un grand changement et que Maduro apportait une "grande contribution" au pays en créant le Petro. Il a conclu son entretien en déclarant que "tout proviendra de cette monnaie [le Petro]".
https://www.zerohedge.com/crypto/venezuela-pay-retirees-and-pensioners-christmas-bonus-petro
Le Venezuela utilise des pétroliers invisibles pour écarter les sanctions
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mar 11/19/2019 - 13:30
Écrit par Irina Slav via OilPrice.com,
Les sanctions américaines contre le Venezuela ont mis à mal la vie de son économie pour tenter d'éliminer le gouvernement de Nicolas Maduro du pouvoir, mais jusqu'à présent, ces sanctions n'ont pas été totalement couronnées de succès. La raison: le Venezuela exporte toujours du pétrole.
Jusqu'ici en novembre, selon les données de OilX, le Venezuela a exporté en moyenne 530 000 b / j, contre 523 000 b / j en octobre.
Bloomberg rapporte, citant des données d'expédition, que le Venezuela avait chargé près de 11 millions de barils de brut en seulement les 11 premiers jours de novembre, soit plus du double de ce qu'il était à la même période le mois dernier. La majeure partie du pétrole semble avoir été acheminée vers l’Inde et la Chine, la moitié des navires le transportant éteignant leurs transpondeurs pour éviter toute détection.
C’est la tactique désormais utilisée par l’Iran pour exporter son pétrole malgré les sanctions imposées par les États-Unis. Désactiver le dispositif de géolocalisation est ce que font les pétroliers iraniens lorsqu'ils quittent le port - ou en pleine mer - et ne les éteignent que lorsqu'ils approchent de leur port de destination. Ce transfert, ainsi que les transferts de navire à navire, ont aidé Téhéran à continuer à percevoir des recettes pétrolières malgré les sanctions.
Le Venezuela utilise également ces mêmes tactiques.
Selon le dernier rapport mensuel de l’OPEP sur le marché du pétrole, la production de pétrole brut du Venezuela n’a atteint que 644 000 b / j en septembre. Cela représente une baisse de 727 000 barils par jour en août et de 975 000 barils par jour en moyenne au cours du premier semestre.
En septembre 2018, le Venezuela pompait plus de deux fois le niveau atteint en octobre, à 1,354 milliard de barils par jour.
Cela montre que les sanctions ont pour effet de réduire la production de pétrole, mais elles n’ont pas réussi à freiner les exportations vénézuéliennes à néant. Le pays a conclu des accords «pétrole contre rémunération» avec la Chine et la Russie et, bien qu’il ait du mal à rembourser cette dette avec sa quantité limitée de pétrole, il en rembourse une partie - apparemment sans violer aucune sanction.
Les données récemment détectées par le navire Bloomberg sont le Dragon - un très gros porteur de pétrole brut battant pavillon libérien, dont le dernier signal GPS est arrivé au large des côtes françaises. Le pétrolier s’est toutefois retrouvé au large du Venezuela, où il a chargé 2 millions de barils de brut local pour la société russe Rosneft, l’un des principaux créanciers de Caracas.
La société russe et l'opérateur du Dragon ont tous deux déclaré à Bloomberg qu'ils n'avaient violé aucune sanction. Pour ce faire, Rosneft vend le pétrole et se fait payer en carburant. C’est ainsi que l’Inde récupère une partie de ses expéditions de pétrole vénézuélien malgré les pressions exercées par Washington pour réduire ces importations.
Il existe donc de nombreux moyens d'éviter la détection des parties en mer sujettes aux sanctions et le Venezuela les utilise, comme l'Iran.
La pratique de la désactivation des transpondeurs est devenue encore plus populaire récemment, après que Washington ait imposé des sanctions à plusieurs expéditeurs chinois pour avoir violé ses sanctions contre l'Iran. Selon les analystes, les importations de pétrole de la Chine provenant des transferts de navire à navire ont été multipliées par trois en septembre, une grande partie du pétrole provenant d’Iran ou du Venezuela.
Le Venezuela n’a certainement aucun plaisir à essayer de maintenir son industrie pétrolière malgré les sanctions et le délabrement qui ont suivi des années de sous-investissement dans la maintenance des champs et de l’équipement. Pourtant, la vérité la plus fondamentale de l’économie fondamentale l’aide à progresser: tant qu’il y aura une demande, il y aura une offre.
RépondreSupprimerLa demande de pétrole vénézuélien est toujours présente et jusqu’à ce que le Venezuela trouve le moyen de transporter le pétrole à l’étranger.
https://www.zerohedge.com/energy/venezuela-using-invisible-oil-tankers-skirt-sanctions
La NSA espionne-t-elle le monde depuis le Valais ?
RépondreSupprimerUne trentaine d'antennes se trouvent sur le site du Brentjong. La majorité d'entre elles sont gérées par Robert James Kubbernus, qui compte parmi ses clients la NSA.
Mar 11/19/2019
A Loèche se côtoient 10 antennes du système d'écoute du Département fédéral de la défense (DDPS) et 25 antennes de la société Signalhorn, dont certains clients sont proches de l'agence américaine du renseignement (NSA). Comment est-ce possible et quels sont les risques? Le 2e épisode de la web-série "La Suisse sous couverture" tente d'y répondre.
Depuis 1974, les PTT (devenus Swisscom) et la Confédération gèrent un parc d’antennes paraboliques à Loèche, un site considéré comme le cœur du système de renseignement suisse. En l’an 2000, ils créent la surprise en cédant une grande partie des paraboles à l’entreprise américaine Verestar, qui a des liens indirects avec la NSA. Depuis, plusieurs entreprises ont défilé à Loèche, mais elles ont toujours compté parmi leurs clients des sociétés susceptibles d'entretenir des rapports avec les services de renseignements américains.
Du côté de la Berne fédérale, on assure que tout va bien. En 2001, le Conseil fédéral exprime sa confiance à l'exploitant Verestar. En 2012, le Département fédéral de la défense (DDPS) prend le relais, et affirme, à propos du nouvel exploitant, Signalhorn, que l'indépendance est assurée. L'armée et l'entreprise ne partagent que les charges d'eau et d'électricité.
RTSinfo diffuse cette semaine la web-série "La Suisse sous couverture", consacrée aux liens entre la Confédération et le renseignement international. Replongez dans cette affaire d'antennes valaisannes en regardant le deuxième épisode "Les grandes oreilles de la Confédération" (ci-dessus) avec son complément d'informations (ci-dessous).
Baltazar Gällti est l'un des experts de l'Assemblée fédérale sur les questions d'espionnage.
La Suisse n’est pas neutre lorsqu'il s’agit des services de renseignement, c’est évident.
Balthasar Glättli - conseiller national (Vert/ZH)
Chronologie des événements
1974 - les PTT installent les antennes
Les PTT installent une antenne parabolique sur le site du Brentjong, au-dessus de Loèche (voir carte tout en bas) afin d'offrir des solutions de communication par satellite entre la Suisse et l'étranger. L'opération se fait conjointement avec le Département fédéral de la défense (DDPS). Une deuxième antenne est construite en 1980. Le site ne cesse ensuite de s'agrandir.
2000 - l'américain Verestar achète des antennes
Les antennes de Loèche sont perfectionnées. Nommées Satos-3, elles figurent désormais au coeur du système Onyx, un projet suisse d'interception des communications internationales (téléphone, fax et internet) qui transitent par satellite. Deux autres sites font partie de ce programme: Zimmerwald (BE) et Heimenschwand (BE).
A l'automne, les PTT devenus Swisscom SA scindent le site du Brentjong en deux. Dix antennes sont confiées au DDPS pour un usage militaire. Le reste est vendu pour des objectifs civils à Verestar. Nommée jusqu'ici ATC Teleports, cette société américaine était une filiale d’American Tower Corporation, l’un des principaux exploitants et concepteurs de services de radiodiffusion en Amérique du Nord. Des politiciens s'interrogent sur la confiance à accorder à Verestar.
En l'an 2000, Oswald Sigg était le chef de l'information du DDPS, alors dirigé par Adolf Ogi.
RépondreSupprimerConcernant cette opération, j'avais, personnellement, un mauvais pressentiment
Oswald Sigg - ex-chef de l'information au DDPS
"Cela a surpris tout le monde, y compris moi", confie Jean-Paul Rouiller, ex-agent du renseignement suisse. A cette époque, le service du renseignement fonctionne de manière isolée. Même le DDPS ne sait rien de son budget ni de ses équipes. Selon le journaliste Duncan Campbell, Onyx pourrait être lié au réseau d'espionnage anglo-saxon Echelon, qu'il a révélé en 1988. De son côté, Jean-Paul Rouiller réfute que la Suisse ait pu être un partenaire d'Echelon, mais il admet qu'une collaboration est envisageable (voire encadré).
Jean-Paul Rouillet est un ancien agent du renseignement suisse.
La Suisse est un service qui collabore avec ses partenaires. Après sur les détails de ces coopérations, c'est bien évidemment couvert par les règles du secret
Jean-Paul Rouiller - ex-agent du renseignement suisse
2001 - le Conseil fédéral exprime sa confiance
A la suite de l'interpellation du conseiller national Bernhard Hess (Démocrates Suisses/BE), le Conseil fédéral indique que Verestar exploite "des réseaux de satellites d'envergure internationale, soit 170 antennes ainsi qu'une cinquantaine de satellites" mais que l'entreprise "n'a jamais compté la NSA au nombre de ses clients". Pourtant, Verestar possède la Maritime Telecommunications Network (MTN), qui compte parmi ses clients... l'US Navy. Le Conseil fédéral l'admet: "MTN travaille pour le compte de la Defense Information System Agency et du Space and Naval Warfare System Center, tous deux rattachés au Département de la défense, et susceptibles de ce fait d’entretenir des rapports avec les services de renseignements américains".
Le journaliste Duncan Campbell a révélé l'existence du réseau d'espionnage Echelon.
Swisscom est complètement infiltrée par l'Agence nationale de sécurité (NSA), d'après des documents de Snowden que personne n'a encore remarqués
Duncan Campbell - journaliste d'investigation
2004 - le luxembourgeois SES Global reprend les rênes
Au bord de la faillite, Verestar est englouti pour 18 millions de dollars par SES International Teleport AG, filiale suisse du luxembourgeois SES Global, qui possède 41 satellites. L'entreprise compte elle aussi parmi ses clients plusieurs départements de l'administration américaine. En 2008, SES Global crée spécifiquement une filiale pour gérer les antennes de Loèche: l'entreprise Satlynx.
2012 - Signalhorn et Washington
Le DDPS et l'armée possèdent encore 10 antennes. De son côté, Satlynx devient Signalhorn AG. Son nouveau directeur est le Canadien Robert James Kubbernus, un spécialiste international des télécommunications satellitaires. Pourquoi la gestion d'un site aussi sensible a-t-elle été confiée à une société luxembourgeoise? "L'indépendance des installations du DDPS est assurée", explique au Temps en 2015 le Département de la défense. Seuls les frais d'eau et d'électricité sont partagés. De son côté, Robert James Kubbernus assure que les règles de confidentialité sont "strictes".
2013 - les révélations d'Edward Snowden
RépondreSupprimerEx-chargé de sécurité informatique à la CIA et administrateur système pour la NSA, Edward Snowden dévoile à différents médias des documents top-secrets de la NSA. La surveillance massive des communications et d'internet par Washington et Londres apparaît au grand jour. Swisscom, détenue à 51% par la Confédération, figure en rouge dans le programme "Treasure Map", une carte en temps réel du Web global. Les noeuds rouges représentent les réseaux d'entreprise où la NSA peut observer les données qui y circulent. Les flèches bleues illustrent les principaux chemins empruntés par les communications internet et mobiles. Est-ce que Swisscom a donné son consentement à un logiciel d'espionnage ?
>> Lire: Les antennes de Loèche (VS) pourraient être utilisées par l'espionnage américain
En réaction à ces révélations, le conseiller national Balthasar Glättli a posé de nombreuses questions au Conseil fédéral. Il attend encore aujourd'hui les réponses. "Les fonctionnaires suisses ne mentent jamais. L'important est de garder le déni plausible", relève Duncan Campbell.
>> Retrouver tous les épisodes: "La Suisse sous couverture", la web-série qui décrypte les activités d'espionnage sur sol helvétique
Caroline Briner
Comment Washington pourrait espionner depuis Loèche ?
Pour transférer un message ou des images via une liaison satellitaire, une antenne parabolique "A" envoie un signal vers un satellite-relais. Ce satellite-relais renvoie le signal sur Terre via une fréquence différente. Le signal est réceptionné par une antenne parabolique "B". Il suffit de pointer une parabole vers ce satellite et de se "brancher" sur les fréquences utilisées pour récupérer ce flux de communication.
"Les seules personnes autorisées à utiliser les satellites-relais sont les grandes agences de renseignement. Elles doivent collaborer si elles veulent intercepter l'autre partie de l'appel téléphonique", précise le journaliste Duncan Campbell.
"Personne n'a encore découvert le nom de couverture de la Suisse. Tous les autres pays ont un nom de code pour les besoins d'identification. (...) La Suisse est la plus protégée", estime le journaliste.
https://www.rts.ch/info/suisse/10824153-la-nsa-espionne-t-elle-le-monde-depuis-le-valais-.html
"Il existe un gouvernement au sein d'un gouvernement aux États-Unis" - Osama Ben Laden
RépondreSupprimerZero Hedge
20 novembre 2019
«Je n’étais pas impliqué dans les attaques du 11 septembre aux États-Unis et je n’étais pas au courant de ces attaques. Il existe un gouvernement au sein d'un gouvernement aux États-Unis. Les États-Unis devraient essayer de retrouver les auteurs de ces attaques en eux-mêmes… Il faut demander à ce gouvernement secret qui a mené les attaques. … Le système américain contrôle totalement les juifs, dont la première priorité est Israël et non les États-Unis. »
- Déclaration d'Osama Ben Laden, publiée par la BBC
En substance, cet article concerne une carte, une vidéo, une chronologie et un graphique. S'il vous plaît, prenez quelques minutes pour examiner attentivement chacun.
La carte
J'ai demandé à des dizaines, voire des centaines d'Américains, de bien vouloir me dire pourquoi, exactement, l'Amérique est en guerre avec l'Afghanistan, la plus longue guerre de son histoire. Certains disent: "Parce qu'ils nous ont attaqués". La plupart n'ont aucune réponse, mais me demandent plutôt: "Pourquoi ?" Je leur réponds en leur demandant quel grand pays producteur de pétrole borde l'Afghanistan à l'ouest. Certains supposent que «l'Irak». Personne ne le sait. Je demande ensuite quel grand pays consommateur de pétrole borde l’Afghanistan à l’est. Personne ne sait. Je leur réponds que les réponses sont l’Iran (le principal ennemi d’Israël et de l’Arabie saoudite) et la Chine.
0 km: Distance entre l'Afghanistan et l'Iran
0 miles: Distance de l'Afghanistan à la Chine
Distance entre Afghanistan et Washington, D.C.
Dit différemment, les États-Unis ont envahi et occupé un pays de l’autre côté de la planète, bordé de putains de frontières avec l’Iran et la Chine, puis se sont plaints du comportement agressif persan et chinois dans le golfe Persique et la mer de Chine méridionale.
lol
- voir sur site la vidéo -
Il est fort peu probable que vous ayez vu les interviews dans cette vidéo de 4 minutes et 13 secondes, une compilation de pompiers du FDNY parlant des explosions à l'intérieur du WTC du 9-11-2001. Regardez-le maintenant, avant qu'il ne soit effacé par le ministère de la Vérité.
La chronologie
1979-1989: Opération Cyclone - Programme de la CIA pour armer et financer les insurgés afghans, y compris ceux organisés par l'Arabie saoudite, Oussama Ben Laden
9-10-2001 Le secrétaire américain à la Défense, Donald Rumsfeld, déclare 2 300 milliards de dollars de recettes manquantes du Pentagone
9-11-2001 Des milliers d'Américains sont tués lorsque trois tours du World Trade Center sont détruites et que deux objets volants non identifiables percutent le Pentagone et le sol en Pennsylvanie
10-7-2001 Les États-Unis partent en guerre contre le concept général de «terreur» et attaquent la nation afghane, parce qu'ils refusent d'extrader l'ancien allié de l'opération Cyclone et citoyen saoudien, Osama ben Laden, sans aucune preuve de son implication dans le conflit. -11-2001 attaques, que les États-Unis refusent de fournir
10-26-2001 USA Patriot Act promulgué
21-11-2001 Cinq soldats israéliens arrêtés par la police de New York, le 9-11-2001, sont doucement libérés par le FBI pour retourner en Israël
9-2-2004 Élection présidentielle américaine avec zéro débat ou débat sur la guerre en Afghanistan
9-4-2008 Élection présidentielle américaine avec zéro débat ou débat sur la guerre en Afghanistan
5-2-2011 Oussama ben Laden aurait reçu une balle au visage au Pakistan et son corps a été immédiatement enterré en mer
9-6-20012 Élection présidentielle américaine avec zéro débat ou débat sur la guerre en Afghanistan
RépondreSupprimer9-8-2016 Élection présidentielle américaine avec zéro débat ou débat sur la guerre en Afghanistan
9-3-2020 Élection présidentielle américaine avec zéro débat ou débat sur la guerre en Afghanistan
Le tableau
Le président Donald J. Trump a exprimé son désir de retirer les forces américaines de l’Afghanistan.
https://fas.org/sgp/crs/row/R45122.pdf
Regardez ce qu'ils font, pas ce qu'ils disent.
Le 7 septembre 2019, le président Trump a révélé dans une série de tweets qu'il avait invité les «principaux dirigeants talibans» et le président afghan Ashraf Ghani à le rencontrer séparément à Camp David le lendemain. Il a écrit que, parce que le Taliban avait tué le 5 septembre à Kaboul plusieurs personnes, dont un soldat américain, il avait «immédiatement annulé la réunion et annulé les négociations de paix».
https://fas.org/sgp/crs/row/R45122.pdf
Les opérations aériennes américaines se sont considérablement intensifiées sous l’Administration Trump, comme le montre le nombre de munitions libérées (voir figure 2). Ces opérations ont contribué à une forte augmentation du nombre de victimes civiles. Le Royaume-Uni a indiqué que le troisième trimestre de 2019 était le plus lourd bilan trimestriel de victimes civiles depuis le début du suivi en 2009, avec plus de 4 300 civils tués ou blessés du 1er juillet au 30 septembre.
https://fas.org/sgp/crs/row/R45122.pdf
L'Océanie est en guerre avec l'Asie centrale.
L'Océanie a toujours été en guerre avec l'Asie centrale.
11-17-2019
Les nouvelles cartes de l’armée américaine contiennent des armes russes, chinoises et iraniennes «pour en apprendre davantage sur les adversaires»
https://www.rt.com/usa/473664-us-army-playing-cards/
Peace, liberty, love, and truth,
Reprinted from Zero Hedge.
https://www.lewrockwell.com/2019/11/no_author/there-exists-a-government-within-a-government-within-the-united-states-osama-bin-laden/