- ENTREE de SECOURS -



samedi 2 novembre 2019

La fermeture des Grandes surfaces

La fermeture des grandes surfaces (50 000 & 30 000 m²) est inexpliquée ! Hahaha !

Les 'grosses têtes' qui sont sorties de 'grandes écoles' n'ont jamais eu l'intelligence inclusive. Et regardent tous les jours leurs conneries qu'ils ont pondu. Ils ne se demandent même pas pourquoi les clients se dirigent vers Internet pour faire leurs achats !!

Les supermarchés (comme leur nom l'indiquent) sont là pour vous faire marcher ! Imaginez le client qui veut une clé de 12. Il doit traverser le rayon boites à conserves, les liquides, les vêtements, le rayon électroménager, fruits & légumes et wi-fi pour arriver (au milieu de milliers de caddies) au rayon outillage ! Puis retraverser les rayons pour faire la queue aux caisses pendant 1 heure !

Tandis que le client qui passe par Internet, ne tapera pas "rayon boites à conserves, les liquides, les vêtements, le rayon électroménager, fruits & légumes pour arriver (au milieu de milliers de caddies) au rayon outillage ! Puis faire la queue aux caisses pendant 1 heure !" ! Il tapera 'clé de 12' et aura ce qu'il cherche ! Çà alors !

LA solution n'est PAS d'aller en ZI embouteillées mais... de rester 'sur place' ! IL FAUT un magasin 'boites à conserve', un magasin liquides, un magasin vêtements, un... etc dans la rue ! et le client ira directos au magasin 'outillage' ! près de chez lui.

Mais, les 'directives' sont que le client qui doit traverser le rayon 'boite à conserve', le rayon 'liquides', etc, etc sera tenté de faire d'autres achats ! C'est-à-dire que le client doit dépenser. Or, s'il achète au rayon 'boites à conserve', au rayon 'liquides' etc... n'aura plus d'argent pour s'acheter une clé de 12 !

Comme quoi les 'directives du management' sont des directives à la con ! données par des professeurs qui suivent eux-mêmes les directives des super-chefs 'qui gèrent' (leurs conneries) !

7 commentaires:

  1. L’armée rouge de médiocres : le système universitaire occidental est de type soviétique.


    le 2 novembre 2019


    Dans un article paru dans le Boston Globe du 15 avril 2019 intitulé « A Message to All Professional Thinkers : We Either Hang Together or We Hang Separately » (Message à tous les intellectuels : ou bien nous restons tous ensemble ou bien nous nous séparons), l’historien Niall Ferguson (illustration, voir note) a décrit la « sortie » maintenant routinière des professeurs conservateurs des universités américaines par les marxistes d’extrême-gauche qui contrôlent la plupart des universités américaines. (C’est exactement la même situation en Europe et en France, du moins pour le souvenir que j’en ai). La procédure habituelle consiste d’abord à répandre une fausse nouvelle au sujet de ce qu’aurait pu raconter sur Facebook ou un autre réseau social un professeur conservateur, ou libertarien, dans un nombre de tweets frôlant une odieuse folie. Les médias locaux reprennent alors l’information et l’amplifient. Les collègues « indépendants » soit font le gros dos pour ne pas se compromettre soit abondent dans le sens de l’administration de l’université dans le seul but de bénéficier plus tard d’une petite augmentation de salaire. Si le professeur conservateur ou libertarien incriminé n’est pas sous contrat (on dit dans ce cas associé ou invité) il est tout simplement viré. Mais s’il est sous contrat il est alors marginalisé, harcelé, victime de discrimination et alors il est encouragé à quitter son poste volontairement, ce qui lui évitera de poursuivre sa carrière dans un enfer. Les bureaucrates des ressources humaines ne s’inquiètent jamais des environnements de travail hostiles des membres du staff enseignant conservateurs ou libertariens. Seuls ceux qui affichent franchement des idées de gauche sont protégés et ne font jamais l’objet de telles dérives verbales ou écrites.

    Les professeurs et les administrateurs qui appliquent ce genre de censure généralisée dans le plus pur style KGB sont ce que Ferguson appelle « l’Armée Rouge des Médiocres ». Ce sont bien des médiocres car très peu d’entre eux sont de véritables érudits ou de véritables scientifiques mais sont plutôt des voyous politiques dénués de toute instruction qui ont simplement continué à aller à l’école pendant toute leur vie d’adultes, armés de diplômes académiques prestigieux, sur le papier seulement, dans des disciplines factices et frauduleuses telles que les « sciences sociales », la « théologie féministe » ou les « études mondialistes globalisées ». Ce sont, dit Ferguson, les descendants directs de l’idéologie antilibérale et égalitaire qui avait jadis réprimé la liberté d’expression en Europe orientale à l’époque du bloc soviétique. La réalité est bien pire que ce que décrit Ferguson dans son court ouvrage. La discrimination à l’embauche est ouvertement anti-conservatrice et anti-libertarienne depuis des décennies. Qui ne se souvient plus avoir assisté à une conférence du Liberty Fund (voir note), il y a 30 ans, au cours de laquelle le Professeur Henri Manne déclara : « nous avons perdu les universités ». Il faisait allusion à la prise de contrôle presque complète du système universitaires américain par les gauchistes, déjà à cette époque, et de la lutte systématique contre la liberté académique et la liberté d’expression. L’attaque de la gauche contre la liberté d’expression s’est depuis lors étendue de façon exponentielle avec des codes de discours, des espaces sécurisés, l’obligation de signaler aux autorités les discours « dangereux », des manifestations organisées pour protester contre les orateurs classés conservateurs sur les campus et bien d’autres tactiques dignes de la Stasi ou du KGB.

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  2. Il y a quelques exceptions comme le Grove City College et le Hillsdale College qui n’ont jamais accepté de financements publics ainsi que quelques programmes universitaires financés par d’anciens élèves maintenant fortunés mais il ne sont qu’une goutte d’eau dans l’océan académique. Même dans ces conditions les universitaires conservateurs financés par de tels anciens donateurs sont généralement considérés par la faculté majoritairement de gauche comme des imposteurs qui doivent être sinon exterminés du moins expulsés. De tels programmes peuvent représenter moins de 1 % du budget du corps professoral d’une université et le reste est financé par le gouvernement. Néanmoins les membres de la faculté, tous de gauche, ont là l’occasion de se plaindre sans cesse du prétendu « parti-pris » illégitime dont la cause est non pas le financement public à hauteur de 99 % mais le financement privé à hauteur de 1 %. Le financement public à hauteur de 99 % ne peut pas favoriser le gouvernement dans la recherche et l’enseignement. Seuls les dons privés et volontaires expliquent cette prise de position défavorable. Cette situation concerne des centaines de collèges et d’universités mal étiquetées « privées » qui reçoivent des milliards de dollars de fonds publics chaque année. Le fameux dicton « celui qui accepte le shilling du Roi devient l’homme du Roi » est toujours d’actualité.

    Niall Ferguson termine son op-ed par un appel en faveur d’un « traité universitaire non conformiste » parmi ceux des professeurs et administrateurs qui défendent toujours la liberté d’expression. Les censeurs universitaires crypto-communistes doivent être confrontés à des représailles massives tout comme l’Union soviétique a menacé des universitaires pendant la guerre froide. C’est ce qu’il veut dire quand il dit que « nous » devons rester ensemble ou séparément. Un tel « traité » n’obtiendrait probablement que très peu de signatures en raison du fait que, à quelques rares exceptions près, tout le monde universitaire américain est une institution socialiste. Presque toutes les universités sont partiellement ou totalement financées par le gouvernement. Par ce financement le gouvernement contrôle les moyens de production : la définition même du socialisme. En conséquence tous les professeurs d’université sont par essence des bureaucrates du gouvernement et comme tous les bureaucrates ils savent que la meilleure façon de survivre est de ne jamais enfreindre les règles ni de faire de vagues, même si ces règles sont complètement pourries. Ils ont compris que s’ils rechignent l’armée rouge des médiocres se vengera, les licenciera si possible ou du moins ne leur accordera plus aucune augmentation de salaire au mérite. Ils peuvent aussi être assujettis à donner un cours à 8 heures du matin sur le campus principal et un autre cours à 20 heures le même jour sur un des campus distants de l’université en guise de revanche.

    Les conseils d’administration des universités sont pour la plupart inutiles car ils sont manipulés de l’intérieur, intimidés, et ils doivent souvent mentir. Nombre d’entre eux restent silencieux car se plaindre signifierait qu’ils seraient alors exclus du conseil ce qui ternirait par ailleurs leur carrière. Par exemple dans ma propre ville où je travaille l’ancien diplômé Tom Clancy, célèbre auteur, s’est plaint lors d’une réunion d’administrateurs de l’université que les frais de scolarité étaient si élevés que le fils d’un employé des postes, comme lui, ne pourrait jamais se le permettre. Il a été radié du conseil l’année suivante. Les universités n’ont pas d’actionnaires car ce sont soit des institutions publiques soit des institutions à but non lucratif. Il est même déroutant d’apprendre qui sont les véritables « consommateurs » des universités assis dans les salles de cours puisqu’ils paient rarement les frais de scolarité exorbitants, du moins jusqu’à ce qu’ils obtiennent leur diplôme et soient alors confrontés à des montagnes de dette que représentent les prêts étudiants garantis par le gouvernement.

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  3. Tout le système universitaire est un système socialiste de contrôle monopolistique de l’enseignement dit « supérieur » qui est maintenant fermement tenu par des idéologues de gauche secondés par une vaste armée de fraudeurs et d’imposteurs sans éducation réelle, ennemis jurés de la liberté d’expression, de la liberté universitaire et de la liberté d’enquêter. Comme le disait si justement F. Hayek dans son ouvrage « The Road to Serfdom » (La route vers la servitude) dans un chapitre intitulé « La Fin de la Vérité » : « dans quelque régime collectiviste que ce soit la vérité n’est pas déterminée par la recherche, la discussion, le débat ou l’investigation scientifique, mais par les décrets et les platitudes de l’Etat. Dans un tel monde le mépris de la liberté intellectuelle est répandu parmi ces intellectuels qui ont adopté une religion collectiviste et qui sont acclamés en tant que leaders intellectuels« . Sous un tel régime « l’intolérance est vantée publiquement » écrivait Hayek en 1944. Ceci est une description parfaite des universités américaines d’aujourd’hui.

    C’est le chemin que suit le monde universitaire depuis plusieurs générations maintenant et aucune espèce de « traité » conclu entre des professeurs conservateurs et des professeurs progressistes (de gauche) ne pourrait améliorer cette situation car, comme tous les bureaucrates du gouvernement, ils se contentent de compter le temps qui passe jusqu’à la retraite, alors la liberté académique ne peut que s’effondrer. Le salut reposera sur les institutions privées de la société civile, les associations éducatives comme le Mises Institute, le mouvement d’enseignement à domicile, le curriculum promu par Ron Paul (médecin) et, plus important encore, la sécession des masses d’étudiants qui sont passés par ces académies d’endoctrinement socialiste, ce que les universités et les écoles publiques sont devenues. En attendant nous avons besoin de plus de Niall Ferguson pour au moins sonner l’alarme sur la nécessité d’une résistance massive à ce système totalitaire.

    Article de Thomas DiLorenzo paru sur le site LewRockwell.com. L’ensemble de cet article de DiLorenzo s’applique à la majeure partie des universités européennes, canadiennes et australiennes. La dérive crypto-marxiste des universités et des instituts de recherche français s’est accélérée avec les évènements de mai 1968 et n’a jamais cessé de s’amplifier. J’en sais personnellement quelque chose puisque je terminais mon cursus de maîtrise à l’Université précisément en 1968. Je peux affirmer que dans le Ministère de l’Éducation et de la Recherche (le même ministère ou deux ministères séparés, cela n’a aucune importance) seul le Ministre, interchangeable par définition, n’est pas un crypto-marxiste déclaré. Toute l’administration de l’Education nationale est ultra-gauchiste sans aucune exception, depuis le cabinet du Ministre jusqu’à la moindre école de village. Toutes les administrations des instituts de recherche sont de couleur marxiste d’ultra-gauche. La situation française est strictement identique à celle des Etats-Unis et c’est la raison pour laquelle j’ai trouvé utile de traduire cet article pour le faire figurer sur mon blog.

    Note. Niall Ferguson, historien d’origine écossaise, a enseigné l’histoire à l’Université d’Harvard. Il a écrit de nombreux ouvrages et chroniques dans divers journaux. Ferguson a introduit le concept historique « Eurabian » décrivant la déchristianisation de l’Europe ouvrant toutes grandes ses portes au fanatisme islamiste. (source : https://en.wikipedia.org/wiki/Niall_Ferguson). Le Liberty Fund est une fondation sans but lucratif promouvant les idées libertariennes.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/11/02/larmee-rouge-de-mediocres-le-systeme-universitaire-occidental-est-de-type-sovietique/

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  4. Un effet secondaire dangereux de la rougeole pour le corps a été découvert par des scientifiques


    19:47 02.11.2019


    Des scientifiques ont découvert que la rougeole fait oublier au corps tous les agents pathogènes contre qui il a lutté auparavant, ce qui rend les personnes qui en ont été atteintes vulnérables aux autres maladies. Les conclusions de deux études portant sur ce sujet ont été publiées dans les revues scientifiques Science et Science Immunology.

    Deux études scientifiques ont révélé le prix élevé que payent les personnes qui ont eu la rougeole. En effet, malgré le fait qu’ils sont désormais protégés de cette maladie pour le reste de leur vie, cette affection efface la mémoire immunitaire du corps et le rend vulnérable à d’autres maladies. Ces conclusions ont été publiées dans les revues Science et Science Immunology.

    Il s'avère que les anciens patients atteints de rougeole sont plus sensibles à d'autres maladies infectieuses dangereuses, même deux ou trois ans après leur rétablissement. Les scientifiques ont ainsi découvert des preuves confirmant l’hypothèse selon laquelle le virus de la rougeole affecte le système immunitaire en y engendrant une amnésie. En d'autres termes, en détruisant certaines cellules, le virus oblige la mémoire cellulaire à oublier les agents pathogènes combattus dans le passé.

    Les chercheurs ont étudié le sang de 77 enfants appartenant à une communauté religieuse aux Pays-Bas dont les membres ne vaccinent pas leur progéniture. Ces derniers ont cependant accepté de participer aux recherches. Ainsi, on a prélevé aux enfants du sang avant et après une épidémie locale de rougeole.

    Grâce à une nouvelle méthode de biologie moléculaire (VirScan), les scientifiques ont pu détecter dans le sang des enfants des anticorps spécifiques nés de la collision avec des milliers de virus différents. Mais ce système de protection a échoué après la rougeole, car les enfants souffrant de cette maladie ont perdu de 11 à 73% de ces anticorps.

    Les chercheurs ont baptisé ce phénomène amnésie immunitaire, le corps oubliant comment réagir face à des agents pathogènes pourtant déjà rencontrés. En revanche, les enfants qui avaient été vaccinés contre la rougeole n’ont pas présenté cette baisse de leurs défenses biologiques.

    L’équipe de recherche de Colin Russell, de l'université d'Amsterdam, a découvert que le nombre de lymphocytes B qui sont responsables de la production d'anticorps et qui se souviennent des attaques de différents agents pathogènes avait diminué après la rougeole.

    Ainsi, les chercheurs concluent que la vaccination contre la rougeole est non seulement importante pour lutter contre le virus, mais est aussi une façon de maintenir les barrières immunologiques et de prévenir l'amnésie immunitaire.

    https://fr.sputniknews.com/sante/201911021042364994-un-effet-secondaire-dangereux-de-la-rougeole-pour-le-corps-a-ete-decouvert-par-des-scientifiques/ç

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  5. Les disparitions d'avions militaires les plus mystérieuses


    19:45 30.10.2019


    Il y a 65 ans, un avion Lockheed R7V-1 Super Constellation de la marine américaine disparaissait sans laisser de traces au-dessus de l'Atlantique - ses 42 passagers restent portés disparus.

    L'opération de sauvetage a duré plus d'une semaine, à la recherche de débris et de parties de la cargaison. A son bord se trouvaient 111 gilets de sauvetage, cinq radeaux et 660 gobelets en papier. Quelque chose aurait forcément fait surface en cas de crash, mais rien n'a été retrouvé. Un florilège des disparitions d'avions militaires les plus mystérieuses.

    Un escadron «évaporé»

    Dans la journée du 5 décembre 1945, cinq bombardiers torpilleurs américains Avenger ont décollé de la base aérienne de Fort Lauderdale, près de Miami. La météo était ensoleillée, les conditions étaient parfaites pour un vol d'entraînement. L'escadre avait pour mission de mettre le cap sur le point A, effectuer un bombardement d'entraînement, tourner, se diriger vers le point B, tourner et revenir à la base. Les pilotes connaissaient bien l'itinéraire, tous les points de navigation étaient doublés par des repères visuels. Le commandement avait alloué pour le tout un délai de deux heures, mais le carburant dans les réservoirs aurait suffi pour voler pendant cinq heures et demie.

    Au début, tout s'était déroulé comme prévu. Les Avenger avaient identifié la cible d'entraînement, largué les bombes et fait demi-tour vers 15 heures 30. Mais cinq minutes plus tard le chef d'escadre a rapporté à la base que les avions s'étaient perdus et qu'il ne voyait pas la côte. Les pilotes ont changé plusieurs fois de cap, sans jamais atteindre le littoral. L'escadre a pris le contact pour la dernière fois à 19 heures, selon les calculs, une heure plus tard les réservoirs étaient à sec et les avions se sont probablement amarrés.

    Le commandement de la marine américaine a organisé l'une des plus grandes opérations de sauvetage de l'histoire. Plus de 300 avions et 21 navires y ont participé. Les troupes au sol ont passé au crible la côte de la Floride, des îles Keys et des Bahamas. Sans pouvoir trouver la moindre trace. Les recherches ont été stoppées plusieurs semaines plus tard, et les équipages d'Avenger restent portés disparus. Cet épisode est entré dans l'histoire de l'aviation comme l'incident de vol le plus mystérieux.

    L'enquête de la marine a conclu que l'incident était dû au facteur humain et a rejeté la responsabilité sur le commandant de l'escadre, le lieutenant Charles Carroll Taylor. Selon la version officielle, il s'est trompé dans la navigation et a conduit les Avenger dans l'océan Atlantique. Il existe de nombreuses autres hypothèses, notamment paranormales. En effet, l'escadre de torpilleurs a disparu dans le triangle des Bermudes où des phénomènes étranges se produiraient. Toutefois, cette version n'a jamais été officiellement confirmée.

    Disparu avec des bombes

    Le 10 mars 1956, un bombardier B-47 Stratojet a disparu sans laisser de traces au-dessus de la Méditerranée avec deux bombes atomiques à son bord. Ce jour-là, quatre avions avaient décollé de la base américaine MacDill en Floride à destination de la base marocaine de Ben Guerir. L'escadre a traversé l'Atlantique et s'est ravitaillée dans les airs. Le second ravitaillement était prévu en Méditerranée. Les bombardiers descendaient par temps très nuageux. Quand la visibilité est revenue, un avion manquait. Le pilote n'a pas répondu aux appels radio.

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  6. Des groupes de recherche ont été envoyés aux dernières coordonnées connues de l'appareil. Des militaires français et marocains ont participé à l'opération de sauvetage au large de l'Algérie, des navires britanniques ont été envoyés dans la zone du crash supposé. Mais aucune trace n'a été découverte. Les trois membres d'équipage du bombardier restent portés disparus.

    Un éclair dans le ciel

    Dans la nuit du 15 au 16 mars 1962, un avion américain Lockheed L-1049 Super Constellation a disparu au-dessus de l'océan Pacifique alors qu'il transportait des soldats des États-Unis vers le Vietnam. Après un ravitaillement sur l'île de Guam, l'appareil s'est dirigé vers la base aérienne de Clark aux Philippines, sans jamais arriver à destination. Approximativement à mi-parcours, la liaison avec l'avion a été interrompue. Plus de mille personne ont participé à l'opération de sauvetage qui a impliqué des dizaines d'avions et de navires - en vain.

    Selon les conclusions de la commission, «il est impossible de trouver la cause de la disparition de l'avion faute de preuves matérielles». L'avion était parfaitement opérationnel, les conditions météorologiques étaient presque idéales, l'équipage du L-1049 n'avait rapporté aucun incident à bord. Le seul indice est le témoignage de l'équipe du cargo pétrolier Lenzen qui se trouvait dans cette zone au moment des faits. Les marins ont rapporté avoir vu un éclair dans le ciel ressemblant à une explosion. Mais les fouilles dans la zone n'ont rien donné. 11 membres d'équipage de 96 passagers ont été reconnus morts. Il s'agit de la plus importante disparition d'avion au XXe siècle de par le nombre de personnes à bord.

    Disparus après l'amarrage

    Le 23 mars 1951, l'avion de transport américain Douglas C-124 a disparu des écrans radar. Cet appareil transportait 44 militaires depuis l'aérodrome de Walker au Nouveau-Mexique à destination de la base aérienne britannique de Mildenhall. Parmi les passagers se trouvait le général de brigade de l'armée de l'air Paul Thomas Cullen, qui se rendait en Angleterre avec ses subordonnés pour y former la 7e division d'aviation stratégique.

    L'appareil se trouvait dans l'Atlantique à 1.500 km au Sud-Ouest de l'Irlande quand l'opérateur a transmis un signal d'alerte: la cargaison avait pris feu. L'équipage a amarré l'appareil et a embarqué dans cinq radeaux de sauvetage. Un bombardier stratégique B-29 a décollé d'Angleterre pour les secourir. L'équipage a aperçu les radeaux et a volé au-dessus d'eux jusqu'à épuiser ses réserves, puis il est rentré à la base.

    C'est ensuite que l'inexplicable a commencé. Les navires de sauvetage et les avions sont arrivés sur les lieux seulement 19 heures plus tard, le 25 mars. Mais ils n'ont vu ni avion, ni radeaux de sauvetage. Des milliers de kilomètres carrés ont été ratissés, sans succès. On ignore à ce jour ce qui est arrivé à l'avion, à l'équipage et aux passagers.

    Certains parlaient de la «main du Kremlin», d'un prétendu l'enlèvement des militaires américains par des navires soviétiques à cause de la grande valeur présumée du général Cullen pour les renseignements. Mais rien n'est venu confirmer cette hypothèse.

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  7. Un an de recherches

    Les avions américains ne sont pas les seuls à avoir disparu sans laisser de traces. Le 12 août 1937, le bombardier soviétique à long rayon d'action DB-A, numéro de bord N-209, a décollé de l'aérodrome de Moscou en direction d'Arkhanguelsk. Sous le commandement du Héros de l'Union soviétique Siguizmound Levanevski, l'équipage devait traverser l'Antarctique pour se rendre à Fairbanks, en Alaska. Selon les premiers radiogrammes de bord, tout se déroulait comme prévu. Mais le 14 août, Siguizmound Levanevski a transmis qu'il volait avec un vent fort et des nuages denses, que les vitres de la cabine étaient givrées, et qu'un moteur était endommagé». L'avion se trouvait dans la région de l'Alaska. Après ce message la communication avec le DB-A a été interrompue.

    Des pilotes soviétiques, canadiens et américains ont cherché l'appareil pendant presque un an. Aucun corps ni débris n'a été retrouvé. Plusieurs versions ont été avancées. Selon l'une d'elles, l'équipage aurait atterri d'urgence près du mont Endicott en Alaska. Des pilotes américains ont passé au crible ce territoire, mais en vain. Le bombardier aurait pu atterrir sur un glacier à la dérive, et avoir été emporté dans l'océan Atlantique. Des esquimaux auraient aperçu un avion tombé dans l'eau près de l'île Thetis. L'examen de cette région n'a rien donné non plus. Les pilotes ont été reconnus comme officiellement décédés.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/201910301042349336-les-disparitions-davions-militaires-les-plus-mysterieuses/

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