le 1 août 2019
À 48 heures d’intervalle, deux équipes de géophysiciens, l’une finlandaise et l’autre japonaise, passent à la contre-attaque et dénoncent les mensonges répétés de l’IPCC. La question qu’il est opportun de se poser avant d’entrer dans les détails de ces publications est la suivante : l’IPCC a-t-il été mandaté pour ne considérer que l’effet du gaz carbonique sur la sensibilité du climat à l’exclusion de tout autre paramètre ? Si la réponse est oui, alors qui est le mandataire (ou les mandataires) et pour quelles raisons ? Si la réponse est non, alors je n’aimerais pas me trouver, en tant qu’ancien scientifique, dans la peau d’un quelconque des membres de ce groupement de fonctionnaires internationaux qui accumule les mensonges « par omission » depuis sa création, attitude qui l’oblige à inventer encore plus de mensonges.
En effet les variations du climat terrestre ne dépendent pas que des variations de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère, ce que ces deux équipes de géophysiciens démontrent clairement. L’IPCC a « oublié » (ou omis) de mentionner les variations de l’activité solaire. L’IPCC au aussi – et surtout – oublié la présence de vapeur d’eau et de nuages dans l’atmosphère. Personne ne peut nier qu’il y a des nuages dans le ciel, à moins d’aller chercher un bédouin au milieu du désert d’Arabie ou au milieu du Sahara qui témoignera que : « oui il n’y a jamais de nuages ici », alors ces quelques personnes confirmeront le fait que l’IPCC n’a jamais pris en compte ce paramètre central dans l’évolution du climat. Ces prétendus scientifiques de haut niveau qui osent donner des conseils aux gouvernements de tous les pays du monde, tous les membres des Nations-Unies, ont avoué, la bouche en coeur, que modéliser la formation et les mouvements des nuages, c’était trop compliqué, alors ils ne l’ont pas envisagé ! On croit rêver …
Entrons d’abord dans le vif du contenu du travail publié par des géophysiciens de l’Université de Kobe (doi : 10.1038/s41598-019-45466-8). Ces universitaires ont reconstruit les changements climatiques concernant le régime des moussons durant les périodes de la fin du Pléistocène et de l’Holocène en s’intéressant aux plateaux du nord de la Chine recouverts de loess, ces poussières apportées par les vents depuis les déserts, et où allaient ces poussières portées par les vents lors des moussons. Il se sont rendu compte que, dans le passé, quand le champ magnétique terrestre faiblissait puis s’inversait, le régime des moussons d’hiver, comme des moussons d’été, était profondément affecté. Durant le changement de direction du dipôle magnétique de la Terre, changement qui survient tous les 400000 ans environ, les variations concomitantes des régimes de mousson qui en résultaient étaient dues aux variations de la couverture nuageuse – sans nuages, pas de mousson – et que cette variation était directement liée à l’intensité du rayonnement cosmique atteignant les plus basses couches de l’atmosphère. Les travaux de cette équipe ont été focalisés sur les variations du régime des moussons telles qu’elles ont pu être évaluées par des carottages des sédiments dans les baies d’Osaka et de Tokyo. La conclusion de ces travaux est sans appel : lors du changement de polarité du champ magnétique terrestre l’intensité du champ magnétique diminue dramatiquement pour atteindre une valeur d’environ 25 % seulement de celle normalement relevée au cours d’un cycle normal de ce champ magnétique terrestre. Il en résulte une formation beaucoup plus fournie de nuages provoquée par le conflit normalement existant entre l’air froid sibérien entrant dans la région de l’archipel nippon qui se confronte avec l’air chaud et humide océanique provenant du sud de l’archipel. Cette situation a pour effet de favoriser un effet d’ombrelle nuageuse plus important que la normale en raison de l’intensité du bombardement cosmique, le champ magnétique terrestre n’étant plus assez efficace pour atténuer l’effet de ce bombardement cosmique sur la formation de nuages.
On peut constater qu’il s’agit d’une vérification indirecte des hypothèses formulées par Svensmark sur l’influence combinée des champs magnétiques solaire et terrestre sur la protection de la Terre vis-à-vis des rayons cosmiques et de leur effet sur le climat. L’IPCC n’a jamais mentionné ce type de paramètre dans leurs nombreux modèles d’évolution de la température moyenne de la Terre, et pour cause, c’est tout aussi compliqué à modéliser que les nuages … Cette « ombrelle nuageuse » comme les géophysiciens japonais l’ont appelée a eu pour résultat une série d’épisodes de refroidissement du climat sur la période 1 million d’années – 200000 ans avant l’ère commune qui a fait l’objet de ces études.
Quelle horreur ! Remonter des centaines de milliers d’années en arrière pour expliquer le climat terrestre actuel qui préoccupe le monde entier doit paraître une hérésie profonde car la science climatique infuse est exclusivement du domaine de l’IPCC puisque pour cet organisme il suffit de « modéliser » pour savoir quel temps il fera en 2100. Et il faut croire cet organisme de fonctionnaires internationaux richement rémunérés par les impôts des contribuables du monde entier, nous n’avons plus le choix, c’est ce que ne cessent de répéter inlassablement tous les gouvernements des pays développés, dont en particulier les ministres des « transitions énergétiques », naturellement tous encartés aux partis verts locaux qui ont voué leur carrière politique à la cause climatique, quelques que soient leurs agissements privés par ailleurs : ils sont les seuls à détenir le savoir, point barre.
Et pourtant ces travaux ont mis indirectement en évidence le fait que les nuages, indépendamment de la cause de leur abondance relative au cours du temps, sont le paramètre naturel majeur de la sensibilité du climat comme cela va être exposé ci-après.
Venons-en donc maintenant aux travaux de Kauppinen et Malmi, deux Docteurs en géophysique de l’Université de Turku en Finlande. Les choses se compliquent sérieusement pour l’IPCC obsédé depuis sa création par le gaz carbonique. Le titre de leur publication est évocateur sinon provocateur : « Pas d’évidence expérimentale en faveur d’un changement du climat d’origine humaine » (arXiv : 1907.00165v1 [physics.ao-ph] 29 juin 2019, via Cornell University). Il existe une très large incertitude dans la communauté scientifique en ce qui concerne la sensibilité du climat, c’est-à-dire la résultante des divers facteurs affectant le climat, sensibilité qui se mesure en degrés Celsius. Certains modèles affirment que cette sensibilité est proche de zéro alors que d’autres modèles prédisent des augmentations de température pouvant atteindre 9 degrés C en cas de doublement de la teneur atmosphérique en gaz carbonique. La plupart de ces modèles utilisent une théorie dite « modèle de circulation générale » pour leurs estimations. Les modèles considérés comme plausibles par l’IPCC prévoient des sensibilités entre 2 et 5°C mais il y en a d’autres qui n’arrivent pas à dégager une quelconque sensibilité :
Pour se faire une opinion de ce qui se passe dans la réalité il est nécessaire pour analyser l’anomalie de température par rapport à une moyenne, ce qu’indiquent les modèles, de faire la distinction entre les facteurs naturels et les gaz à effet de serre. Le rapport AR5 de l’IPCC stipulait que les facteurs naturels ne pouvaient pas expliquer l’évolution récente des températures comme l’indiquait en résumé la figure ci-dessous où les observations sont matérialisées par un trait noir, le facteur anthropogénique avec ses incertitudes en rose et les « facteurs naturels en bleu :
L’un des facteurs naturels influant sur la température moyenne est la couverture nuageuse qui est disponible à partir des observations satellitaires. En rassemblant sur un même graphique les données relatives aux températures moyennes observées, plutôt leur écart par rapport à une moyenne fixée à 15°C, et les variations de la couverture nuageuse exprimées par rapport à une superficie égale à 26 % de la surface terrestre, on peut constater de cette représentation que quand il y a beaucoup de nuages, les températures ont tendance à diminuer et inversement quand cette même couverture nuageuse diminue l’écart des températures par rapport à la moyenne augmente positivement. On ne peut qu’en déduire que les nuages bloquent l’énergie solaire qui atteint moins efficacement la surface du sol ou des océans et par conséquent la température qui y est mesurée diminue :
Dans cette figure le zéro de l’ordonnée pour les températures est 15°C et le Δc est la fraction exprimée en pourcentage correspondant au changement de la couverture nuageuse par rapport à la moyenne globale de 26 % de couverture nuageuse basse sur l’ensemble de la surface de la Terre.
Or, les modèles utilisés – forcing naturel seulement ou forcing naturel + forcing anthropogénique – devraient en toute logique se superposer autour de la courbe noire des observations si le forcing naturel considéré dans ces modèles prenait correctement en compte la contribution des nuages bas (voir la figure précédente figurant dans le rapport AR5 de l’IPCC. Force est de constater qu’il n’en est rien.
Mais si on superpose l’anomalie des températures observées entre l’été 1983 et l’été 2008 avec les observations globales de la couverture nuageuse, on va remarquer, bien qu’il y ait un « bruit de fond » important, que si on multiplie les données de couverture nuageuse exprimées en pourcentage de la moyenne sur cette période, un nombre sans dimension physique, par « moins » 0,11°C / % (-0,11) on retrouve grosso modo la même courbe que celle décrivant l’anomalie des températures :
Les valeurs « zéro » pour chacune de ces grandeurs ΔT (en degrés) et Δc( en %) sont respectivement, il est important de le rappeler encore une fois, de 15°C et 26 % pour les deux graphiques. Ce facteur multiplicatif -0,11 introduit une valeur physique, des degrés centigrades, à la couverture nuageuse exprimée en pourcentage qui peut alors être corrélée à la sensibilité climatique elle-même exprimée en degrés C.
Nous allons découvrir que ce facteur multiplicatif de « moins 0,11 °C » n’est pas sorti comme par magie d’un chapeau. Force est de constater qu’il existe une remarquable concordance entre ces deux courbes. Qu’est-ce que cela signifie ? Les anomalies de température telles qu’indiquées en rouge dans la première figure tiennent compte des facteurs naturels et de l’effet des gaz à effet de serre sur la sensibilité climatique, alors que dans cette première figure la courbe bleue n’indiquait que le facteur naturel qu’est la couverture nuageuse. Il est opportun de rappeler ici que cette couverture nuageuse est mesurée 24/24 heures à l’aide de radars installés sur des satellites et que les températures sont appréciées par thermométrie infra-rouge également avec l’aide de satellites. Cette concordance signifie tout simplement qu’il n’y a pas lieu de considérer un quelconque effet des gaz dits à effet de serre puisque températures et couverture nuageuse sont directement liées !
Les contradicteurs pourront toujours arguer du fait que le laps de temps indiqué dans ce travail est trop court. Il a pourtant été tenu compte des données satellitaires homogènes disponibles. Toute disparité dans ces observations aurait nécessité des corrections pouvant prêter à contestation. D’autres remarques seraient du genre : mais puisque l’IPCC affirme que l’évolution des températures entre 1983 et 2008 est uniquement explicable par l’augmentation de la teneur en gaz carbonique atmosphérique de 343 à 386 ppm, donc c’est vrai, point final. Effectivement, la température moyenne globale, une notion, certes, contestable sur le plan strictement physique, a augmenté durant cette période de 0,4 °C. Conformément à la théorie développée par ces mêmes auteurs ( arXiv:1812.11547v1, décembre 2018 via Cornell University) et le résultat illustré par les deux courbes ci-dessus directement déduit de cette théorie, si la concentration en gaz carbonique augmente de Co à C et double ( C = 2Co) le T obéit à la loi suivante :
où ΔT2CO2 gaz carbonique est le changement global de la température et c le changement de la couverture nuageuse. Le premier terme de l’équation décrit l’effet du gaz carbonique sur la sensibilité du climat et le second terme l’effet naturel – les nuages – indépendamment du gaz carbonique. En replaçant ΔT2CO2 gaz carbonique par la valeur de la sensibilité du climat au gaz carbonique qui est de 0,24 °C alors selon le premier terme de l’équation ci-dessus la contribution du gaz carbonique n’est que de 0,04 °C. C’est la raison pour laquelle cette minuscule augmentation est invisible dans le deuxième graphe ci-dessus. Ce même calcul peut être transposé en tenant compte non plus de la couverture nuageuse de basse altitude mais de l’humidité ou teneur en vapeur d’eau de l’atmosphère, une grandeur également mesurable à l’aide de satellites et les auteurs sont arrivés aux mêmes conclusions.
Ces résultats conduisent donc à la révélation surprenante qui est la surévaluation de la sensibilité climatique au gaz carbonique d’un facteur 10 par l’IPCC car la rétro-action négative des nuages sur la température a tout simplement été ignorée. De plus la contribution de l’activité humaine à l’accroissement du gaz carbonique atmosphérique total étant de l’ordre de 4 % alors on ne peut que conclure que le réchauffement climatique d’origine humaine n’existe tout simplement pas ! Durant les dernières 100 années la température globale moyenne a augmenté de 0,1 °C et la contribution humaine, c’est-à-dire l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique n’a été que de 0,01 °C dans la sensibilité du climat. La couverture nuageuse contrôle donc principalement la température.
Le fait que l’équipe japonaise ait mis en évidence un rôle majeur des rayons cosmiques dans la formation de la couverture nuageuse constitue une explication d’une grande importance pour la compréhension des changements du climat, passés mais aussi à venir. Oublions l’inversion des pôles magnétiques terrestres qui est un processus s’étendant sur des centaines de milliers d’années. Il faut rappeler que sur une échelle de temps de l’ordre de quelques dizaines d’années le facteur naturel ayant une influence prépondérante sur les variations de la couche nuageuse est l’activité magnétique solaire. La Terre évolue dans le champ magnétique solaire et le rôle protecteur de ce champ magnétique contre les rayons cosmiques dépend directement de son intensité (voir note en fin de billet). La faiblesse du cycle solaire (#24) finissant et les prévisions plutôt pessimistes pour le cycle solaire suivant (#25) ne sont pas encourageantes pour la « sensibilité climatique », en d’autres termes pour la température moyenne qui sera ressentie durant les années à venir.
Notes. Le facteur multiplicatif -0,11 n’est pas une vue de l’esprit mais le résultat d’une longue étude qui a été publiée en 2018 et mentionnée ci-dessus. Je suggère à ceux de mes lecteurs qui voudraient contester le contenu non pas de mon billet mais celui des travaux de J. Kauppinen et P. Malmi de lire les deux articles cités en référence ou encore de s’adresser directement à ces auteurs dont voici l’ e-mail : jyrkau@utu.fi
Note. Le champ magnétique solaire est beaucoup plus puissant et étendu que celui de la Terre. Ce champ dévie les rayons cosmiques, j’ai écrit de nombreux billets à ce sujet. Le champ magnétique terrestre dévie également certains rayons cosmiques mais son rôle majeur dans la protection de la vie sur la Terre est de piéger les particules émises par le Soleil qui constituent le vent solaire.
HUMOUR du VENDREDI :
RépondreSupprimerUne étude révèle que la taille des corps des animaux diminue sous l'effet du changement climatique, sur la base d'un groupe de bergeronnettes ?
August 2nd, 2019
Un autre climat classique aujourd'hui: la taille du corps des animaux s'amenuisant devant le changement climatique, révèle une étude
par l'Université du Cap
Bonne théorie si vous pouvez obtenir un financement pour cela:
«Toutes choses étant égales par ailleurs, les gros animaux tolèrent mieux le froid que les petits animaux. On peut donc s'attendre à ce que le réchauffement climatique soit relativement plus avantageux pour les petits animaux», a déclaré le professeur Altwegg.
Il y a 8,7 millions d'espèces sur la Terre et cela est basé sur "l'une" d'entre elles:
Pour étudier cette idée et déterminer si elle pourrait être vraie, l'équipe de recherche a examiné un groupe de bergeronnettes vivant le long de la rivière Palmiet.
C’est un groupe - juste celui-là - et un changement de température de moins d’un cinquième de degré en 23 ans:
D'après les données d'une station météorologique locale située près de la rivière Palmiet, les chercheurs ont appris que la température dans la région avait augmenté de 0,18 ° C. Mais ils ne savaient pas comment cela avait affecté la taille des oiseaux.
Ce qu’ils ont trouvé corrobore l’idée que le changement climatique peut réduire le nombre d’animaux de la Terre.
"Soutient" l'idée ? L’objectif principal de cette étude est qu’elle n’a pas éteint l’idée au stade «dos de l’enveloppe»…
Leurs résultats ont montré que lorsque la température augmentait le long de la rivière Palmiet, la bergeronnette des montagnes qui y vivait était devenue plus légère. Plus précisément, ils ont découvert que des individus plus légers remplaçaient des individus plus lourds dans la population et qu’ils survivaient mieux sous des températures élevées. Cela indiquait qu'une pression évolutive incitait les oiseaux à devenir plus légers.
Ou peut-être que la nourriture, les prédateurs, la fertilité, les précipitations et les maladies étaient plus importants que 0,18 ° C, ce qui peut être plus grand que les barres d'erreur de la météorologie sud-africaine. Qui sait. La météorologie australienne a de plus grandes «barres d’ajustement» que celle-ci.
Mais c'est bien l'évolution. Regardez de près et nous pouvons voir des preuves que les chercheurs plus modestes surpassent les plus grands.
Cela semble se produire dans tous les environnements de gauche douce, quel que soit le climat.
RÉFÉRENCE. Sérieusement ?
Jorinde Prokosch et al. Les animaux sont-ils en train de rétrécir à cause du changement climatique ? Sélection induite par la température sur la masse corporelle chez les bergeronnettes des montagnes, Oecologia (2019). DOI: 10.1007 / s00442-019-04368-2
(Quelles sont les chances que ce soit une pure parodie? Je veux dire, un tas de bergeronnettes…. Fergoodnesssake– Jo)
h / t oldbrew dans un commentaire quelque part à Tallblokes.
http://joannenova.com.au/2019/08/another-climate-classic-today-animals-body-sizes-shrinking-from-climate-change-study-finds/
C'est ainsi que les mammouths sont devenus des souris dès l'arrivée de l'humain sur Terre ! Hahahaha !
SupprimerUn astéroïde grand comme un gratte-ciel s’approche de la Terre
RépondreSupprimer15:38 02.08.2019
Un astéroïde aussi grand qu'un gratte-ciel new-yorkais passera près de la Terre la semaine prochaine, avertit la Nasa. Tout en affirmant qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter.
Un astéroïde aussi grand qu'un gratte-ciel new-yorkais, soit environ 570 mètres de diamètre, passera près de la Terre le 10 août, a annoncé la Nasa tout en affirmant qu’il n’y avait rien à craindre, rapporte CNN.
Cet astéroïde nommé 2006 QQ23 est d’ailleurs considéré comme étant de taille moyenne, a précisé Lindley Johnson du Bureau de coordination de la défense planétaire de la Nasa. C'est «plus ou moins bénin», a-t-il déclaré.
Un phénomène habituel
Des astéroïdes de cette taille passent près de notre planète environ six fois par an, d'après lui. Il y aurait de plus près de 900 astéroïdes dans notre système solaire qui seraient plus gros que le 2006 QQ23, lequel est maintenant situé à près de 5 millions de kilomètres.
Si un objet de sa taille frappait la Terre, une région entière pourrait être ravagée. Mais un tel impact se produit rarement, environ une fois tous les deux ou trois siècles, a poursuivi M.Johnson. Et la Nasa dispose de la technologie nécessaire pour les détecter et savoir quand ils passeront près de la Terre.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201908021041853458-un-asteroide-grand-comme-un-gratte-ciel-sapproche-de-la-terre/
Quand les racines des plantes ont appris à suivre la gravité
RépondreSupprimerpar Institut des sciences et de la technologie en Autriche
2 AOÛT 2019
Les plantes à graines hautement développées ont développé des systèmes de racines profondes capables de détecter la gravité de la Terre. Le comment et le moment de cette étape évolutive sont restés jusqu'à présent inconnus. Les biologistes spécialistes des plantes de l'Institut scientifique et technologique d'Autriche (IST Autriche) ont identifié des composants et des processus cruciaux qui ne se sont développés que dans des plantes à graines il y a environ 350 millions d'années pour permettre une croissance rapide et efficace des racines induite par la gravité. Les résultats ont été publiés dans la revue Nature Communications.
L'un des événements les plus importants de l'histoire de l'évolution s'est produit il y a environ 500 millions d'années, avec la propagation de la vie végétale de l'eau à la terre. Pour que les plantes puissent prospérer dans ce nouvel environnement, les systèmes racinaires devaient évoluer vers le bas, suivant deux objectifs principaux: l’ancrage dans le sol et une source d’eau et d’éléments nutritifs pour la croissance des parties aériennes de la plante. Ce mécanisme, appelé gravitropisme, a été étudié de manière approfondie chez des plantes à fleurs telles que Arabidopsis thaliana. Cependant, il n'a jamais été systématiquement comparé dans tout le règne végétal et son origine évolutive reste un mystère.
Bas, bas, bas, mais à une vitesse différente
Maintenant, Yuzhou Zhang, post-doctorant dans le groupe du professeur Jirí Friml, et son équipe ont acquis une vision plus large de comment et quand le gravitropisme des racines a évolué. Les chercheurs ont sélectionné plusieurs espèces de plantes représentant les lignées de mousses, lycophytes (mosses et firmosses), fougères, gymnospermes (conifères) et plantes à fleurs et laissé leurs racines se développer horizontalement pour observer si et quand elles commençaient à se plier pour suivre la gravité. Résultat: la croissance des racines due à la gravité s'est révélée très rudimentaire et lente, chez les plantes terrestres les plus primitives (mousses) ainsi que chez les plantes vasculaires basales (lycophytes et fougères). Seules les plantes à graines (gymnospermes et plantes à fleurs), apparues il y a environ 350 millions d'années, ont présenté une forme de gravitropisme plus rapide et donc plus efficace.
Le pouvoir de l'amidon
Mais quelle étape de l'évolution a permis ce gravitropisme rapide et efficace des racines chez les plantes à graines? En analysant les différentes phases du gravitropisme - la perception de la gravité, la transmission du signal gravitropique et, finalement, la réponse de la croissance elle-même - les chercheurs ont découvert deux composants cruciaux, qui évoluaient de concert. Le premier s'est révélé être une caractéristique anatomique: des organites végétales appelées amyloplastes - densément remplies de granules d'amidon - sédiment en réponse à la gravité et fonctionnent ainsi comme des capteurs de gravité. Cependant, ce processus de sédimentation n’a été observé que chez les gymnospermes et les plantes à fleurs, les amyloplastes finissant par se concentrer dans le fond de l’extrémité de la racine. Au contraire, chez les plantes plus anciennes, les amyloplastes sont restés répartis de manière aléatoire à l’intérieur et au-dessus du sommet des racines, ne fonctionnant donc pas comme des capteurs de gravité comme c’était le cas chez les plants.
Après la perception à travers les amyloplastes, le signal de gravité est ensuite transmis de cellule à cellule par l’auxine, une hormone de croissance. Dans des expériences génétiques, les chercheurs ont identifié une molécule de transport spécifique dans la plante modèle Arabidopsis thaliana, PIN2, qui dirige le flux d’auxine et donc la croissance des racines. Alors que presque toutes les plantes vertes portent des protéines PIN, seule la molécule spécifique PIN2 des plantes à graines se rassemble du côté poussoir des cellules épidermiques des racines. Cette localisation spécifique - unique aux plantes à graines - conduit à la polarisation des cellules de transport, ce qui permet à la racine de transporter l'auxine vers la pousse et permet ainsi à la signalisation basée sur l'auxine de se déplacer du lieu de la perception de la gravité à la zone. de la régulation de la croissance.
RépondreSupprimerQuand les racines des plantes ont appris à suivre la gravité
Evolution des plantes terrestres (graphique simplifié). Crédit: (C) IST Austria
Les plantes en tant qu'enseignants pour l'humanité
Avec ces deux composants anatomiques et fonctionnels identifiés, les auteurs ont acquis de précieuses informations sur l’évolution du gravitropisme racinaire, l’une des adaptations cruciales des plantes à graines au sol. Mais même les implications pratiques de ces résultats sont concevables: "Maintenant que nous avons commencé à comprendre ce dont les plantes ont besoin pour développer un ancrage stable afin de pouvoir atteindre les éléments nutritifs et l'eau dans les couches profondes du sol, nous pourrons éventuellement trouver des moyens d'améliorer la croissance des plantes cultivées et autres plantes dans des zones très arides ", a déclaré Zhang, qui a rejoint IST Austria en 2016. Il ajoute:" La nature est beaucoup plus intelligente que nous ne le sommes; il y a tellement de choses que nous pouvons apprendre des plantes qui peuvent avantage pour nous. "
https://phys.org/news/2019-08-roots-gravity.html
Quelle que soit la position d'un grain de blé (séparé par l'axe embryonnaire) semé l'embryon du haut donnera la tige et l'épi et l'embryon positionné en bas donnera les racines. Il n'y a donc pas une 'sens' pour posé un grain dans le sol. Quant au grain positionné à plat, la sortie des germes sera déterminé par l'hasard !
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RépondreSupprimerLe corridor des icebergs déclenche un boom touristique sur la côte est du Canada
par Julien Besset
2 AOÛT 2019
Au crépuscule, les touristes s'émerveillent devant l'effondrement sensationnel d'un iceberg à la fin de son long voyage du Groenland à la côte est du Canada, qui occupe désormais le premier rang des fondations de la fonte des glaces de l'Arctique.
Alors que le reste du monde s'inquiète des conséquences du réchauffement de la planète, le vêlage des glaciers du Groenland - la séparation des morceaux de glace de son bord - a insufflé une nouvelle vie dans les villages côtiers reculés de Terre-Neuve-et-Labrador.
Autrefois plaque tournante de la pêche à la morue, la province accueille maintenant des hordes de photographes amateurs et de touristes souhaitant capturer la fonte épique pour la postérité. À la fin de l'hiver, la détection des icebergs commence.
"Les choses s'améliorent chaque année", déclare Barry Strickland, un ancien pêcheur de 58 ans qui emmène maintenant des touristes dans son petit bateau autour de King's Point, dans le nord de la province.
"Nous avons 135, 140 bus de tourisme avec des personnes âgées qui arrivent en ville chaque saison, donc c'est bon pour l'économie."
Au cours des quatre dernières années, Strickland a amené les visiteurs à témoigner de la mort de ces géants de la glace, qui peuvent mesurer des dizaines de mètres de hauteur et peser des centaines de milliers de tonnes.
Les vents et les courants océaniques amènent les icebergs du nord-ouest du Groenland, à des milliers de kilomètres (miles), sur les rives du Canada.
En quelques semaines, la glace gelée pendant des milliers d'années peut rapidement se fondre dans l'océan.
Hausse "incroyable" du tourisme
Les excursions en bateau de Strickland sont souvent entièrement réservées pendant la haute saison de mai à juillet, avec des touristes du monde entier à destination de King's Point, un village de 600 habitants seulement.
Les villageois suivent les icebergs sur une carte de suivi interactive par satellite mise en ligne par le gouvernement provincial.
"Il n'y a plus beaucoup de choses dans ces petites villes éloignées pour retenir les gens, donc le tourisme est une partie importante de notre économie", a déclaré Devon Chaulk, qui travaille dans une boutique de souvenirs à Elliston, une petite ville de 300 sur "Iceberg Corridor". comme le littoral est maintenant connu.
"J'ai vécu ici toute ma vie, et l'augmentation du tourisme ici au cours des 10 à 15 dernières années a été incroyable. Ce n'est pas surprenant que des milliers de personnes soient présentes ici au cours des deux prochains mois", a déclaré le président -vieux.
L'année dernière, un total de 500 000 touristes ont visité Terre-Neuve-et-Labrador, un nombre à peu près équivalent à la population totale de la province.
Les chiffres du gouvernement montrent que ces visiteurs ont dépensé près de 570 millions de dollars canadiens (433 millions de dollars américains).
L'essor du tourisme a permis de compenser le déclin de l'industrie de la pêche traditionnelle de la région, en crise en raison de la surpêche de la fin du siècle dernier.
RépondreSupprimerCertains commercialisent même «l'eau d'iceberg» comme étant la plus pure de la planète et la vendent comme un produit de luxe haut de gamme. La fonte est également utilisée dans la vodka, la bière et les cosmétiques.
Mais sous la surface brillante du succès économique se cache la sombre vérité que la région profite en partie du réchauffement climatique accéléré dans l'Arctique et que l'industrie est au mieux précaire.
Dans le village de Twillingate, les employés de la Auk Island Winery - dont le produit est fabriqué à partir d'eau d'iceberg et de baies sauvages cueillies localement - ont déjà constaté que les affaires pouvaient être imprévisibles.
"Nous constatons une différence dans le nombre de touristes d'année en année, en fonction du nombre d'icebergs présents dans la région", explique Elizabeth Gleason, qui travaille à la vinerie.
"Cette année a été une bonne année. L'année dernière, nous n'en avions presque pas."
L'Arctique se réchauffe trois fois plus vite que le reste du monde. À la mi-juillet, des températures record ont été enregistrées près du pôle Nord.
Ces dernières années, les icebergs se sont déplacés de plus en plus au sud, menaçant la navigation sur cette route très fréquentée entre l'Europe et l'Amérique du Nord.
Pour le moment, les touristes profitent de la vue et de l'expérience tant qu'ils le peuvent.
"La prévalence des icebergs a des avantages et des inconvénients", a déclaré Melissa Axtman, une voyageuse américaine.
Laurent Lucazeau, un touriste français âgé de 34 ans, a déclaré que voir un iceberg faisait réfléchir.
"C’est une image concrète du réchauffement de la planète que de voir des icebergs se rendre dans ces endroits où l’eau est chaude", a-t-il déclaré à l'AFP.
"Cela a quelque chose de mystérieux et d’impressionnant, mais savoir aussi qu’ils ne sont pas censés être ici fait rêver, et c’est un peu effrayant."
https://phys.org/news/2019-08-iceberg-corridor-tourist-boom-canada.html
SupprimerLa faiblesse intellectuelle de certaines personnes donne à réfléchir ! Le réchauffement des glaces polaires n'a presque rien à voir avec le soleil d'été, car ce 1/10 émergé ne fond que très difficilement comparativement au 9/10ème immergés qui fondent grâce aux sources chaudes sous-polaires !
La température du fond de la mer polaire et comme celle du fond des océans à plusieurs milliers de mètres: brûlante !
C'est cette chaleur magmatique qui fait fondre et détache les glaciers des sols profonds et qui est occulté aux touristes.
RépondreSupprimerLe prochain test de l'humanité: nourrir 10 milliards de personnes sans ruiner la Terre
par Patrick Galey
2 AOÛT 2019
Le rapport spécial du GIEC sur l'utilisation des terres devrait mettre en garde contre la manière dont les chaînes alimentaires industrialisées, l'exploitation généralisée des ressources et même les efforts visant à contrer les pires effets du réchauffement climatique compromettent notre capacité future de nous nourrir.
Les experts ont commencé vendredi à négocier l’évaluation scientifique la plus complète jamais réalisée sur le rôle que notre terre joue dans la lutte contre le changement climatique, qui devrait mettre en lumière les choix difficiles que l’humanité doit faire pour nourrir 10 milliards de personnes tout en préservant la Nature.
Le rapport spécial du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat (IPCC) sur l’utilisation des terres devrait mettre en garde les chaînes alimentaires industrialisées, l’exploitation généralisée des ressources et même les efforts visant à contrecarrer les pires effets du réchauffement de la planète compromettent notre avenir.
Mais elle donnera également un verdict qui s’étouffe sur l’inégalité mondiale, décrivant une planète où des milliards de personnes suralimentées jettent de grandes quantités de calories à la fin de chaque journée alors que des centaines de millions de personnes se couchent le ventre vide.
Alors que les délégués du monde entier commençaient à se pencher sur le projet de texte du rapport à Genève vendredi, les experts ont déclaré que l'importance d'utiliser efficacement la terre avait longtemps été négligée.
"Quand on examine à la fois les effets du changement climatique et les contributions au changement climatique, le secteur foncier est extrêmement important", a déclaré à l'AFP Lynn Scarlett, vice-présidente des politiques publiques du groupe de campagne The Nature Conservancy.
L’utilisation des sols, y compris l’agriculture et la déforestation, représente environ un quart des émissions de gaz à effet de serre qui réchauffent la planète. L'agriculture industrielle utilise un tiers de toutes les terres de la planète et jusqu'à 74% des ressources en eau douce.
Stephen Cornelius, conseiller principal du WWF sur le changement climatique, a déclaré que le monde avait besoin "d'une transformation urgente de la manière dont nous utiliserons la terre à l'avenir.
"Cela inclut le type d'agriculture que nous pratiquons, notre système alimentaire et notre régime alimentaire, ainsi que la conservation de zones telles que les forêts et autres écosystèmes naturels."
Les systèmes agricoles utilisent désormais un tiers des terres et les trois quarts de l'eau douce de la planète
'Ma ferme, ma nourriture'
Lors de la séance plénière d'ouverture, le président du GIEC, Hoesung Lee, a déclaré que l'évaluation de l'utilisation des sols touchait tout le monde.
"Vous pourriez dire que ce rapport concerne mon paysage, ma ferme et ma nourriture", a-t-il déclaré.
Inger Andersen, le nouveau responsable des programmes pour l'environnement des Nations Unies, a qualifié le document de 1 200 pages de "document scientifique extrêmement important".
"La terre peut être soit une source, soit un puits de gaz à effet de serre, et c'est à nous de décider si elle aura un impact positif ou négatif sur un monde en pleine mutation climatique", a-t-elle déclaré à la délégation.
Alors que la population mondiale devrait atteindre 10 milliards d’habitants d’ici le milieu du siècle, il est à craindre que les systèmes alimentaires existants ne soient trop étonnés.
RépondreSupprimerLa viande est un problème majeur, tout comme le gaspillage alimentaire. On estime qu'environ 30% de tous les aliments produits aboutissent dans des décharges, avec une empreinte carbone égale.
"Bien que la terre fournisse plus que suffisamment de nourriture pour nourrir tout le monde, il reste encore 820 millions de personnes qui se couchent affamées chaque nuit", a déclaré Stephan Singer, conseiller principal pour les politiques énergétiques mondiales chez Climate Action Network, un groupe mondial d'ONG.
Le rapport devrait aboutir à un certain nombre de compromis entre production alimentaire et atténuation du changement climatique
Le rapport devrait aboutir à un certain nombre de compromis entre production alimentaire et atténuation du changement climatique
En outre, des cultures en monoculture, telles que le soja utilisé pour l’énergie et l’alimentation animale, remodèlent la surface de la Terre, contribuant ainsi à la destruction des forêts absorbant le carbone.
Des compromis ?
Un rapport du GIEC publié en octobre sur la possibilité de limiter les augmentations de température à 1,5 ° C, conformément aux objectifs de l'accord de Paris sur le climat, a déclenché des mouvements de protestation mondiaux exigeant que les gouvernements adaptent leurs politiques à la science.
Le rapport sur l’utilisation des terres devrait détailler la désertification croissante et la dégradation de l’habitat dû à l’agriculture, une zone de forêt tropicale de la taille du Sri Lanka disparaissant chaque année.
Cela entraînera également un certain nombre de compromis.
L'une consiste à trouver le bon équilibre entre les terres utilisées pour la nourriture et les terres utilisées pour atténuer le réchauffement planétaire, telles que les forêts et les projets de bioénergie.
"Nous devons nous écarter d'une agriculture industrielle néfaste qui utilise des produits chimiques, provoque la déforestation et libère des émissions", a déclaré Teresa Anderson, coordinatrice de la politique climatique du groupe de campagne mondiale ActionAid, à l'AFP.
"L'écriture est sur le mur pour les grandes sociétés agricoles."
https://phys.org/news/2019-08-humanity-billion-earth.html
Il peut y avoir 100 milliards d'habitants sur Terre TOUTE eau bue est rejetée (urine, crachat ou suée), donc: il ne manquera pas une goutte d'eau sur Terre malgré que le corps en conserve 60 % durant sa vie.
SupprimerSi l'eau des fleuves et rivières n'est pas canalisée vers les champs agricoles l'eau s'en ira vers les mers et océans... sans qu'elles ou ils ne montent ! Çà alors !
Pareillement que les nappes phréatiques alimentées continuellement par les infiltrations maritimes & océanique via le magma qui les nettoie, sont des réserves éternelles d'eau pure utilisées et reremplies immédiatement.
L'agriculture d'aujourd'hui n'est pas celle d'anciens temps ! Aujourd'hui la culture peut être 365 jours par an sans tenir compte des saisons (appelées 'réchauffement climatique') grâce aux millions de serres construites. Ce sont donc de toutes 'petites' surfaces qui contribuent à nourrir les terriens même en hiver. Elles bénéficient aussi de l'auto-arrosage en univers clos et sans apport de maladies ou d'insectes venus de l'extérieur.
(...) "Nous devons nous écarter d'une agriculture industrielle néfaste qui utilise des produits chimiques, provoque la déforestation et libère des émissions" (...)
Les produits dits chimiques sont des médicaments contre les insectes et maladies. Les traitement de remèdes chimiques sont donc nécessaires pour éviter la famine venue par l'arrivée de vaches folles, diarrhées porcines ou grippes aviaires, comme des mildiou, oïdium et phylloxera non guérissables par d'autres méthodes ou méthodes d'anciens temps où régnait la disette malgré que 90 % des terriens étaient des paysans !
Les produits de traitement ne sont nullement la cause de déforestations ! Quant aux 'libérations d'émissions'... veut-elle parler de celles à la télé ou de celles qui lui sortent du corps quand elle jacasse ?
Violences policières en Russie ? Ces armes de la police qui blessent, voire mutilent, en Occident
RépondreSupprimer18:39 02.08.2019
Anna Dedkova
L’arsenal des policiers et gendarmes s’adapte aux manifestations pour continuer à maintenir l’ordre efficacement. Tandis que des manifestants se réunissent dans la capitale russe, voici l’occasion d’aller observer comment s’opère le maintien de l’ordre public en France, en Belgique et au Canada.
Moscou s’apprête à faire face à un deuxième samedi de rassemblements non-autorisés après le rejet d'une soixantaine de candidatures aux élections du Parlement de la capitale qui se tiendront en septembre. Pendant les moments de tension, les policiers russes ont utilisé samedi dernier des matraques. Lesquelles semblent bien légères comparées à l’éventail d’armes utilisées par la police dans certains pays occidentaux.
En mars 2015, la police a utilisé au Québec des gaz lacrymogènes et des grenades assourdissantes contre des jeunes qui s'opposaient aux politiques d'austérité de la province canadienne. Après que la police a tenté de disperser une foule d'étudiants, les manifestants ont commencé à ériger des barricades en plein centre de Montréal. Une manifestante a reçu une grenade lacrymogène en plein visage.
D’après Radio-Canada, en 2018, la Sûreté du Québec (SQ) a renoncé à utiliser les balles de plastique de type AR-1, lesquelles ont causé des blessures graves dans le passé. La police est désormais équipée de bâtons télescopiques et d'une nouvelle arme d'impact, le lanceur GL06, qui utilise des projectiles considérés comme dangereux. Certains groupes spécialisés disposent également de pistolets à impulsion électrique.
Pendant les manifestations ayant eu lieu à l’occasion du forum de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique à Vancouver en 2018, la Gendarmerie royale du Canada aurait également eu recours à la force de manière excessive en fouillant de manière osée des manifestantes et en utilisant du poivre de Cayenne.
Les armes de la police française
La doctrine française du maintien de l’ordre repose sur une mise à distance des manifestants à l’aide de différents dispositifs… et qu’ils sont nombreux! Le bâton de défense à poignée latérale, les canons à eau, les lanceurs de balles de défense (LBD) et les grenades GLI-F4. Ces dernières ont fait beaucoup de bruit durant les manifestations des Gilets jaunes en laissant plusieurs manifestants mutilés.
Les grenades de désencerclement sont pointées du doigt pour avoir grièvement blessé des manifestants, selon un rapport commun de l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) et de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Les agents porteurs d’un lance-grenades doivent faire une demande d’autorisation verbale à leur hiérarchie avant chaque utilisation.
Selon le collectif Désarmons-les, qui publie des photos des victimes, environ 40 personnes ont été mutilées à cause de cette arme sublétale entre 2007 et le 1er mai 2019.
Peu après les premiers heurts entre la police et les Gilets jaunes lors de l'acte 13 à Paris, un manifestant a eu une main arrachée.
Les interventions collectives n’ont lieu qu’en cas d’absolue nécessité.
La Belgique n’est pas épargnée par les LBD
RépondreSupprimerUn rapport remis en janvier 2018 par le Défenseur des droits plébiscite la mise à distance des policiers par rapport aux manifestants en Belgique, «où l’on tente au maximum d’éviter [l'affrontement] par le biais de la négociation et du compromis».
Le cadre d'utilisation du LBD est également restreint en Belgique. Il est destiné par exemple aux interventions dans les prisons, aux agressions, en cas de surveillance d’une personne en danger ou dans le cadre d’un plan d’urgence lors d’une prise d’otages.
Ainsi, à quelles armes ont recours les policiers belges pendant les manifestations? Aux matraques, bombes lacrymogènes ou encore aux canons à eau, comme ci-dessous, lors de la manifestation des Gilets jaunes à Bruxelles le 30 novembre 2018.
À titre d’exemple, quand des manifestants descendus dans les rues de Bruxelles pour protester contre le Pacte de Marrakech en décembre dernier ont lancé des projectiles sur les forces de l'ordre et commis des dégradations, la police leur a répliqué en faisant usage de gaz lacrymogènes et de lances à eau.
https://fr.sputniknews.com/international/201908021041854336-violences-policieres-en-russie-ces-armes-de-la-police-qui-blessent-voire-mutilent-en-occident-/
L'ESCROQUERIE DE LA FAUSSE DETTE
RépondreSupprimerUne bombe de 246.000 milliards de dollars posée sous l'économie mondiale
18:15 02.08.2019
La dette mondiale a atteint 246.000 milliards de dollars, un record absolu dépassant de plus du triple le PIB mondial, c'est-à-dire la valeur de tous les produits et services sur la planète.
Les économistes avertissent que quand cette immense bombe posée sous l'économie mondiale explosera, une crise bien pire que celle de 2008 éclatera. Pourquoi la situation est-elle critique, quelles mèches ont déjà été allumées et parviendra-t-on à éviter un effondrement global ?
L'origine d'une telle dette
Selon le rapport de l'Institut de la finance internationale (IIF), au premier trimestre la dette mondiale a augmenté de 3.000 milliards de dollars en glissement annuel pour établir un nouveau record à 246.000 milliards de dollars, soit presque 320% du PIB mondial.
Dans les pays développés, les dettes ont augmenté de 1.600 milliards jusqu'à 177.000 milliards de dollars. La contribution principale a été apportée traditionnellement par les États-Unis, où la dette a atteint 69.000 milliards de dollars - dont 22.000 milliards de prêts publics qui continuent de s'accumuler à cause de l'appétit insatiable du gouvernement fédéral.
En juillet, le Centre américain de la politique bipartite (BPC) a rappelé que les USA risquaient un défaut de paiement dès septembre si les congressistes n'augmentaient pas de nouveau le plafond de la dette publique. Et ils l'ont fait. Ils ont repoussé l'échéance de deux ans, jusqu'au 31 juillet 2021. Autrement dit, ils ont autorisé le gouvernement à s'endetter sans limite. Selon les prévisions du Trésor américain, les emprunts courants dépasseront 1.000 milliards pour la deuxième année consécutive.
Les analystes de l'IIF constatent que cette dette mondiale immense et incontrôlée résulte de la politique irresponsable des banques centrales, addictives à la planche à billets et à la distribution de prêts. Les gouvernements, les compagnies et les particuliers empruntent pour le développement économique. Et, en l'absence de croissance, ils empruntent encore plus, qui plus est au vu des taux d'intérêts bas des plus grandes banques centrales. Avant même que la Fed n'assouplisse la politique monétaire, plusieurs banques centrales de pays émergents avaient réduit leur taux directeur.
Prendre tant qu'on donne
Comme l'affirme l'IIF, ce sont les pays émergents qui sont apporté la plus grande contribution à la hausse de la dette globale. Leur dette a dépassé 69.000 milliards de dollars soit 216,4% de leur PIB. La plus forte hausse a été enregistrée au Chili, en Corée du Sud, au Brésil, en Afrique du Sud et au Pakistan. Sachant qu'une partie significative concerne les entreprises dont la dette a pratiquement rattrapé la somme du PIB des 30 pays émergents (92,6%).
Ayant obtenu un accès sans obstacles aux marchés des capitaux, en deux décennies les pays émergents ont vu la dette des entreprises grimper de 50%.
«Le fait est que ce groupe d'emprunteurs ne dispose pas d'une expérience suffisante de gestion de la dette durant plusieurs cycles économiques. Dès que le déclin commence, les obligations des compagnies qui ont du mal à les honorer augmentent», explique l'Institut de la finance internationale.
La menace chinoise
RépondreSupprimerMais c'est la Chine qui inquiète le plus, dont l'économie se développe depuis plusieurs décennies grâce à des emprunts continus. Au final, la dette a quadruplé pour atteindre presque 300% du PIB. Le secteur des entreprises, où prédominent les compagnies publiques, a emprunté 21.000 milliards de dollars, soit 155% du PIB et presque deux tiers de la dette totale. A titre de comparaison, la dette des entreprises au Japon s'élève à 100% du PIB, et aux États-Unis à 74%.
Pour évaluer l'ampleur du problème, il suffit de regarder le marché des obligations d'entreprises. En 2018, la Chine possédait 1.720 milliards de dollars de ces titres, derrière seulement les États-Unis (5.810 milliards de dollars). Cette année, les compagnies chinoises représentent 42% de la nouvelle dette des entreprises, ce qui accroît le risque de défaut à court terme.
Dès à présent, de nombreuses compagnies admettent des défauts sur les obligations en déposant le bilan. L'an dernier, 18.000 sociétés ont fait faillite en Chine, alors que le niveau de défauts sur les obligations a dépassé cinq fois l'indice de 2015. Un nouveau record est attendu cette année.
L'Organisation de coopération et de développement économiques avait indiqué plus tôt que le niveau élevé et instable de la dette chinoise risquait d'entraîner de nombreux défauts d'entreprises.
«Le ralentissement de la croissance et les dépenses accrues pour le financement compliquent la charge de la dette et font planer la menace de défauts. Cela affectera de manière négative la rentabilité des banques, provoquant des problèmes de liquidités», a indiqué l'OCDE.
Les économistes sont persuadés que la situation actuelle indique clairement que la bombe de la dette sous l'économie chinoise émet déjà de la fumée. La dette excessive, couplée au ralentissement économique, est un précurseur notoire de récession.
Une situation similaire avait été observée à la veille de la crise financière mondiale de 2008. A un moment donné, l'économie mondiale ne pourra plus digérer l'immense dette incontrôlée. Sachant que la crise imminente, prédite par les économistes, sera bien plus rude et conduira à un appauvrissement de masse, à une grande instabilité géopolitique, à des troubles sociaux et à des guerres.
https://fr.sputniknews.com/economie/201908021041855056-une-bombe-de-246000-milliards-de-dollars-posee-sous-leconomie-mondiale/
SupprimerLes banque n'ont JAMAIS prêté 246.000 milliards de dollars à qui que ce soit ! mais fabriqué de LA FAUSSE monnaie par jeu d'écritures (doigt posé sur un chiffre du clavier et maintenu advitam éternuam !).
La vérité est que dès les années 70 a été inventée 'le choc pétrolier' ! (représentant une hausse d'un quart de centimes du litre d'essence mais affichée avec multiplicateur 100 !) car, les 'économistes' ont compris que l'ère des machines intelligentes était exponentielle et que ces robots/machine-outils pouvaient travailler 24/24h et 7/7j sans salaire !
Donc: le Peuple devait profiter de ce progrès ! D'où les hausses d'impôts et de taxes sur tout (mêmes des taxes sur les taxes !!) pour maintenir le Peuple pauvre jusqu'aux... générations futures !!!
ST-IMIER (BE) UNE TOMBE POTAGÈRE FAIT S'ÉTRANGLER UN CROQUE-MORT
RépondreSupprimer«Des légumes sur une tombe: du jamais-vu en 50 ans de métier!» s'offusque le patron d'une entreprise de pompes funèbres. C'est un hommage, explique une parente du défunt.
PAR VINCENT DONZÉ
02.08.2019, 11h53
En passant par le cimetière de St-Imier (BE), un croque-mort chargé de déposer des fleurs pour une famille s'est étranglé devant une sépulture: «Des légumes sur une tombe: du jamais-vu en 50 ans de métier!», s'est-il exclamé.
«À quand le marché bio au cimetière?», interroge ce propriétaire d'une entreprise de pompes funèbres du Jura bernois. Sur la tombe, devant lui, des bettes et des choux...
Pour planter ses choux, la famille du défunt a demandé et obtenu une autorisation. Sa démarche était dûment motivée: «Cette tombe potagère est un hommage à sa passion pour le jardinage et la cuisine», témoigne une parente.
Conseils en assurances
Dans l'annonce mortuaire, rien ne signalait la passion de l'agent d'assurance décédé subitement le 15 juin 2018, à 73 ans,. Mais l'homme qui gérait un bureau de courtage et de conseils en assurances et en caisses de retraite passait pour un original aux yeux des uns, pour un passionné aux yeux des autres.
Son épouse, ses trois enfants et leur maman: toute sa famille se recueille sur les légumes plantés sur sa tombe. «C'était un grand jardinier, mais aussi un gastronome», raconte une proche, sans dévoiler si les légumes sont consommés.
Herbes aromatiques
La tombe potagère sèmera peut-être ses graines, d'autant que les légumes n'exigent pas autant de soins que les fleurs.
«Des légumes sur une tombe ? Je n'avais pas remarqué et ça ne me choque pas: j'ai un copain qui a une moto représentée sur la sienne», commente un sexagénaire qui entretient chaque semaine la tombe de ses parents et celle de sa marraine.
Des arrosoirs sont à disposition, au cimetière de St-Imier, mais toutes les tombes ne sont pas entretenues. Au fil du temps, ceux qu se rendent au cimetière sont de moins en moins nombreux. Autant choisir des végétaux résistants pour orner les tombes, sur une terre souvent pauvre à cause des terrassements.
https://www.lematin.ch/suisse/tombe-potagere-s-etrangler-croquemort/story/22213529
Le 'croque-mort' n'a aucun respect pour les défunts.
Supprimer«CHIMÈRES» BIENTÔT DES EMBRYONS ANIMAUX-HUMAINS: INQUIÉTANT ?
RépondreSupprimerLe Japon autorise désormais le développement d’organes humains dans des animaux en vue de futures greffes. Ce qui soulève beaucoup de questions.
02.08.2019
Des scientifiques japonais vont commencer à essayer de fabriquer des organes humains à l’intérieur d’animaux après avoir reçu du gouvernement l’autorisation, pour la première fois au Japon, de mener ce type d’études. Ce domaine de recherche controversé consiste à implanter, dans des embryons animaux modifiés, des cellules-souches humaines dites «iPS».
Ces cellules-souches ont la capacité de produire n’importe quel genre de cellule selon la partie du corps où elles sont implantées, et peuvent ainsi servir de base à la création d’un organe particulier. Il s’agit seulement d’un premier pas sur un très long chemin qui pourrait mener à la fabrication à l’intérieur d’animaux d’organes humains destinés à la transplantation, avertissent les scientifiques.
Restrictions abandonnées
Ces travaux menés par Hiromitsu Nakauchi, généticien de l’Université de Stanford, sont les premiers de ce type à obtenir l’accord du gouvernement après que le Japon a changé ses règles concernant l’implantation de cellules humaines.
Le Japon exigeait auparavant des chercheurs qu’ils détruisent au bout de 14 jours les embryons dans lesquels avaient été introduites des cellules humaines et interdisait que des embryons de ce type soient implantés dans des utérus d’animaux afin qu’ils se développent. Mais ces restrictions ont été abandonnées en mars, permettant aux chercheurs de demander des autorisations individuelles pour leurs projets.
Souris, rats, porcs
«Cela a pris près de dix ans mais nous pouvons à présent commencer l’expérience», s’est félicité M. Nakauchi auprès de l’AFP. Il s’agira de développer des embryons animaux (souris, rats ou porcs) auxquels manque un certain organe, comme le pancréas par exemple. Des cellules iPS humaines destinées à se multiplier pour former le pancréas absent seront ensuite implantées.
Les embryons seraient par la suite introduits dans l’utérus d’un animal, où ils se développeraient en théorie jusqu’à générer à terme un pancréas humain en état de fonctionner. Des recherches préliminaires ont donné des signes prometteurs, comme la création de pancréas de souris dans des rats. Ces organes réimplantés dans des souris ont ensuite bien fonctionné et régulé le niveau de glucose chez des souris diabétiques.
Une «chimère»
Mais d’autres essais se sont révélés plus compliqués: les chercheurs sont parvenus à faire se développer des reins de souris dans des rats, mais des cellules-souches de rats implantées dans des souris n’ont pas pris. Pour M. Nakauchi, ces recherches récemment autorisées aideront à comprendre les obstacles dans ce domaine mais, met-il en garde, on est encore loin du but.
«Bien que nous soyons parvenus à réaliser des études de preuve de concept en utilisant des rongeurs, franchir la distance génétique entre l’humain et le porc n’est pas facile», a-t-il dit. «L’étude ne fait que commencer. Ne vous attendez pas à ce que nous générions des organes humains dans un an ou deux».
Implanter des embryons animaux avec des cellules humaines crée ce que l’on appelle une «chimère»: une entité composée à la fois de cellules animales et de cellules humaines.
RépondreSupprimerCraintes des éthiciens
Ce processus ouvre des questions éthiques complexes, en particulier la crainte qu’il ne soit pas entièrement possible de savoir avec certitude quels organes les cellules iPS humaines vont produire dans l’animal. Les règles varient d’un pays à l’autre: les États-Unis ne disposent pas de restriction fédérale sur la création de chimères, tandis que d’autres pays interdisent que celles-ci soient laissées en vie plus de deux semaines.
Les éthiciens craignent que des chimères au cerveau humain ou équipées de cellules reproductives humaines posent de graves questions sur la nature réelle de l’animal testé. Mais les experts soulignent que qualifier ce processus de création d’«hybrides humain-animal» est erroné. Il existe une grande différence entre des «hybrides et des chimères», explique le Dr M. William Lensch, un conseiller en stratégie de l’École de Médecine de Harvard.
Deux étapes de contrôle
«Dans un hybride humain-animal, la moitié de l’ADN de chaque cellule serait humaine et l’autre moitié animale, à la différence d’une chimère humain-animal, qui contient un mélange de cellules entièrement animales et d’autres entièrement humaines». «Il est important d’utiliser le terme adéquat», insiste-t-il.
M. Nakauchi assure que son équipe fera preuve d’une extrême précaution, en ne portant pas les embryons jusqu’à leur terme dans un premier temps. «Nous aurons deux étapes de contrôle au cours du développement embryonnaire des chimères», ajoute M. Nakauchi. «À chaque étape, nous vérifierons la présence ou non de cellules humaines dans le cerveau. Une fois leur absence assurée, nous passerons à l’étape suivante».
https://www.lematin.ch/monde/bientot-embryons-animauxhumains-inquietant/story/29266258
Nous sommes TOUS descendants d'animaux (et nous en consommons !).
SupprimerLa montée de la Gestapo américaine
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Samedi, 08/03/2019 - 00:05
Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
"Adolf Hitler est bien vivant aux États-Unis et il monte rapidement au pouvoir."
- Paul Craig Roberts, ancien secrétaire adjoint au Trésor, sur le danger que représente le FBI pour nos libertés civiles
Malgré le doigt et la consternation de ceux qui regardent le gouvernement rejeter l'État de droit à chaque tour, la question n'est pas de savoir si Donald Trump est le nouvel Adolf Hitler, mais si l'État policier américain est le nouveau Troisième Reich.
Dépenses américaines au 4 juillet
Pour ceux qui peuvent voir le paysage politique présent et passé sans aveugler les partisans, les signes avant-coureurs sont indéniables: la liaison entre Deep State et le totalitarisme a commencé il y a longtemps.
En effet, le gouvernement américain a tellement admiré le régime nazi qu’au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, il a secrètement recruté les employés d’Hitler, adopté ses protocoles, adopté son état d’esprit en matière de maintien de l’ordre, appliqué sa tactique par étapes et commencé à poser les fondements du montée du quatrième Reich.
Cela semble tiré par les cheveux ? Continuer à lire. Tout est documenté.
Comme le raconte l'historien Robert Gellately, «Après cinq ans de dictature hitlérienne, la police nazie avait obtenu l'approbation du FBI». Au début, l'État de police nazi était tellement admiré pour l'efficacité et l'ordre des forces mondiales que J. Edgar Hoover, alors à la tête du FBI, a envoyé à Berlin en janvier 1938 l'un de ses bras-droit, Edmund Patrick Coffey, à l'invitation de la police secrète allemande, la Gestapo.
Le FBI était tellement impressionné par le régime nazi que, selon le New York Times, au cours des décennies qui ont suivi la Seconde Guerre mondiale, le FBI, avec d’autres agences gouvernementales, a recruté agressivement au moins un millier de nazis, y compris certains des plus hauts hommes de main de Hitler.
Au total, des milliers de collaborateurs nazis - y compris le chef d'un camp de concentration nazi - ont reçu des visas secrets et ont été amenés en Amérique par le biais de Project Paperclip. Par la suite, ils ont été embauchés comme espions et informateurs, puis camouflés pour que leur véritable identité et leurs liens avec la machine de l’Holocauste de Hitler restent inconnus. Pendant ce temps, des milliers de réfugiés juifs se sont vu refuser des visas d’entrée aux États-Unis au motif qu’ils pouvaient menacer la sécurité nationale.
Ajoutant une insulte supplémentaire aux blessures, les contribuables américains paient pour maintenir ces ex-nazis sur la liste de paye du gouvernement américain depuis. Et, comme le veut la Gestapo, quiconque a osé dénoncer les liens illicites nazis du FBI s'est retrouvé épié, intimidé, harcelé et qualifié de menace à la sécurité nationale.
Comme si l’emploi clandestin des nazis financé par le gouvernement après la Seconde Guerre mondiale n’était pas suffisant, les agences gouvernementales américaines - le FBI, la CIA et l’armée - ont pleinement adopté bon nombre des tactiques policières perfectionnées des nazis et ont utilisé eux à plusieurs reprises contre les citoyens américains.
RépondreSupprimerEn effet, au fil des jours, le gouvernement des États-Unis emprunte une autre feuille au livre de jeu de l’Allemagne nazie: la police secrète. Cours secrètes. Agences gouvernementales secrètes. Surveillance. La censure. Intimidation. Harcèlement. Torture. Brutalité. Corruption généralisée. Le piégeage. Endoctrinement. Détention illimitée.
Ce ne sont pas des tactiques utilisées par les républiques constitutionnelles, où la primauté du droit et les droits des citoyens sont les priorités absolues. Au contraire, ils sont la marque des régimes autoritaires, où la seule loi qui compte est la dictée impitoyable et unilatérale d'un souverain suprême qui utilise une police secrète pour contrôler la population.
Ce danger est maintenant posé par le FBI, dont la liste de crimes contre le peuple américain comprend la surveillance, la désinformation, le chantage, l’emprisonnement, les tactiques d’intimidation, le harcèlement et l’endoctrinement, les abus de la part du gouvernement, les abus, les fautes, les violations, les activités criminelles et les atteintes à la vie privée. propriété, et c'est juste basé sur ce que nous savons.
Si le FBI installe des agents d'infiltration dans les églises, les synagogues et les mosquées; envoyer de fausses lettres d’urgence pour avoir accès aux enregistrements téléphoniques des Américains; utiliser des tactiques d'intimidation pour faire taire les Américains qui critiquent le gouvernement; recruter des lycéens pour espionner et signaler des camarades qui montrent des signes de futurs terroristes; ou persuader des individus impressionnables de comploter des actes de terreur et de les piéger, l'impression générale de la force de police secrète de la nation est celle d'un voyou bien habillé, qui fait preuve de souplesse et qui fait le sale boulot du chef pour veiller au respect des obligations, en gardant un œil sur le potentiel dissidents et punir ceux qui osent défier le statu quo.
Quelles que soient les restrictions initiales qui ont maintenu les activités de surveillance du FBI dans les limites de la loi, le FBI a pratiquement disparu après le 11 septembre. Depuis lors, le FBI a été transformé en une gigantesque agence de surveillance et de surveillance de la police fédérale, qui fonctionne largement comme un pouvoir en soi, au-delà des lois établies, des décisions de justice et des mandats législatifs.
Considérez les pouvoirs étendus du FBI en matière de surveillance, de détention, d’interrogatoire, de poursuite, de sanction, de police et agissent généralement comme une loi en soi - à l’instar de leurs cousins nazis, la Gestapo - puis essayez de vous convaincre que les États-Unis toujours une république constitutionnelle.
Tout comme la Gestapo, le FBI dispose de vastes ressources, de vastes pouvoirs d'enquête et d'un vaste pouvoir discrétionnaire pour déterminer qui est l'ennemi de l'État.
Aujourd'hui, le FBI emploie plus de 35 000 personnes et exploite plus de 56 bureaux extérieurs dans les grandes villes des États-Unis, ainsi que 400 agences résidentes dans des villes plus petites et plus de 50 bureaux internationaux. Outre son «campus de données», qui abrite plus de 96 millions d'empreintes digitales provenant des États-Unis et d'ailleurs, le FBI a également créé un vaste répertoire de «profils de dizaines de milliers d'Américains et de résidents légaux non accusés». de tout crime. Ils semblent avoir agi avec méfiance envers un shérif de la ville, un agent de la circulation ou même un voisin. »Les bases de données en plein essor du FBI sur les Américains sont non seulement ajoutées et utilisées par les services de police locaux, mais sont également mises à la disposition du public. employeurs pour la vérification des antécédents en temps réel.
Tout cela est rendu possible par les ressources presque illimitées de l'agence (son budget minimum pour l'exercice financier 2015 s'élevait à 8,3 milliards de dollars), le vaste arsenal technologique du gouvernement, l'interconnexion des agences de renseignement du gouvernement et le partage d'informations par le biais de centres de fusion - collecte de données agences réparties dans tout le pays qui surveillent en permanence les communications (y compris celles des citoyens américains), des activités sur Internet aux recherches sur le Web, en passant par les SMS, les appels téléphoniques et les courriels.
RépondreSupprimerTout comme la Gestapo espionnée par courrier et appels téléphoniques, les agents du FBI ont carte blanche pour donner accès aux informations les plus personnelles des citoyens.
Travaillant par le biais du bureau de poste américain, le FBI a accès à tous les courriers qui transitent par le système postal: plus de 160 milliards de courriers sont numérisés et enregistrés chaque année. En outre, les lettres de sécurité nationales de l’agence, l’un des nombreux pouvoirs illicites autorisés par le USA Patriot Act, permettent au FBI d’exiger secrètement que les banques, les compagnies de téléphone et d’autres entreprises leur fournissent des informations sur leurs clients et ne les divulguent pas. Un audit interne de l'agence a révélé que la pratique du FBI consistant à émettre chaque année des dizaines de milliers de NSL pour des informations sensibles telles que des enregistrements téléphoniques et financiers, souvent dans des cas non urgents, est entachée de violations constitutionnelles généralisées.
Tout comme les programmes de surveillance sophistiqués de la Gestapo, les capacités d’espionnage du FBI peuvent s’intéresser aux détails les plus intimes des Américains (et permettre également à la police locale de le faire).
Outre la technologie (partagée avec les services de police) qui leur permet d'écouter des appels téléphoniques, de lire des courriels et des SMS et de surveiller les activités Web, la surveillance du FBI propose une collection envahissante d'outils d'espionnage, allant des dispositifs Stingray l'emplacement des téléphones cellulaires sur les dispositifs Triggerfish qui permettent aux agents d'écouter les appels téléphoniques. Dans un cas, le FBI a en fait réussi à reprogrammer à distance la carte Internet sans fil d'un «suspect» afin qu'il envoie «des données en temps réel sur l'emplacement des sites cellulaires à Verizon, qui les a transmises au FBI». Les forces de l'ordre utilisent également logiciel de suivi des médias sociaux pour surveiller les publications Facebook, Twitter et Instagram. En outre, les règles secrètes du FBI permettent également aux agents d’espionner les journalistes sans contrôle judiciaire important.
Tout comme la capacité de la Gestapo d’établir un profil basé sur la race et la religion et son hypothèse de culpabilité par association, l’approche du FBI en matière de pré-crime lui permet de profiler les Américains en fonction d’un large éventail de caractéristiques, notamment la race et la religion.
La base de données biométriques de l'agence a pris des proportions énormes, la plus importante au monde, allant des empreintes digitales aux scanners de paume, de visage et d'iris à l'ADN, et est de plus en plus partagée entre les autorités répressives fédérales, étatiques et locales dans le but de cibler le potentiel les criminels bien avant qu'ils ne commettent un crime. C’est ce que l’on appelle le pré-crime. Mais ce ne sont pas seulement vos actions qui vont vous causer des ennuis. Dans de nombreux cas, c’est aussi ceux que vous connaissez - même le moins possible - et la sympathie qui vous tient à coeur qui pourraient vous conduire à une liste de surveillance du gouvernement. En outre, comme le rapporte Intercept, malgré les interdictions anti-profiling, le bureau «revendique une latitude considérable pour utiliser la race, l'appartenance ethnique, la nationalité et la religion pour décider des personnes et des communautés sur lesquelles enquêter».
RépondreSupprimerTout comme le pouvoir de la Gestapo de faire de quiconque un ennemi de l’État, le FBI a le pouvoir d’appeler quiconque un terroriste national.
Dans le cadre de la soi-disant guerre en cours contre le terrorisme par le gouvernement, la police secrète de facto du pays a commencé à utiliser les termes «anti-gouvernement», «extrémiste» et «terroriste» de manière interchangeable. De plus, le gouvernement continue d’ajouter à sa liste croissante de caractéristiques qui peuvent être utilisées pour identifier une personne (en particulier toute personne en désaccord avec le gouvernement) comme un terroriste national potentiel. Par exemple, vous pourriez être un terroriste national aux yeux du FBI (et de son réseau de mouchards) si vous:
exprimer des philosophies libertaires (déclarations, autocollants)
exposer des points de vue du deuxième amendement (adhésion à la NRA ou à un club de tir)
lire de la littérature de survie, y compris des livres de fiction apocalyptiques
montrer des signes d'autosuffisance (stockage de nourriture, munitions, outils à main, fournitures médicales)
craindre un effondrement économique
acheter de l'or et des objets de troc
souscrire aux opinions religieuses concernant le livre de l'Apocalypse
voix craintes à propos de Big Brother ou grand gouvernement
exposer sur les droits constitutionnels et les libertés civiles
croire en un complot du Nouvel Ordre Mondial
Tout comme la Gestapo infiltrée dans les communautés pour espionner les citoyens allemands, le FBI infiltre régulièrement des groupes politiques et religieux, ainsi que des entreprises.
Comme l'écrit Cora Currier dans Intercept: «Utilisant des échappatoires qu'il garde secrètes depuis des années, le FBI peut, dans certaines circonstances, contourner ses propres règles afin d'envoyer des agents infiltrés ou des informateurs dans des organisations politiques et religieuses, ainsi que dans des écoles, des clubs et des centres de détention. entreprises… »Le FBI a même payé des techniciens de la Best Buy de Geek Squad pour espionner les ordinateurs de ses clients sans mandat.
De même que la Gestapo a uni et militarisé les forces de police allemandes en une force de police nationale, les forces de police américaines ont été largement fédéralisées et transformées en une force de police nationale.
RépondreSupprimerEn plus des programmes gouvernementaux qui fournissent du matériel et de la formation militaires aux forces de police du pays, le FBI gère également une académie nationale qui forme chaque année des milliers de chefs de police et les incarne dans un état d'esprit qui préconise l'utilisation de la technologie de surveillance et le partage d'informations entre agences locales, étatiques, fédérales et internationales.
De même que les dossiers secrets de la Gestapo sur les dirigeants politiques étaient utilisés pour intimider et contraindre, les dossiers du FBI sur quiconque était soupçonné d’être «anti-gouvernemental» ont été victimes d’abus similaires.
Comme l'indiquent d'innombrables documents, le FBI n'hésite pas à utiliser ses vastes pouvoirs pour faire chanter des politiciens, espionner des célébrités et des hauts responsables du gouvernement, et pour intimider et tenter de discréditer les dissidents de toutes tendances. Par exemple, non seulement le FBI a suivi Martin Luther King Jr. et a gêné ses téléphones et ses chambres d'hôtel, mais des agents lui ont également envoyé des lettres anonymes lui demandant de se suicider et ont fait pression sur un collège du Massachusetts pour qu'il laisse tomber King comme conférencier.
Tout comme la Gestapo a effectué des opérations de piégeage, le FBI est devenu un maître dans l'art du piégeage.
À la suite des attentats terroristes du 11 septembre, le FBI a non seulement ciblé des individus vulnérables, mais les a également attirés ou soumis à un chantage pour les impliquer dans de faux complots terroristes, tout en les dotant de l'organisation, de l'argent, des armes et de la motivation nécessaires pour les exécuter. puis les emprisonnant ou les expulsant pour leur soi-disant complot terroriste. C’est ce que le FBI qualifie de «poursuites à caractère préventif, préventif». En plus de créer certains crimes pour ensuite les «résoudre», le FBI autorise également certains informateurs à enfreindre la loi, «tout ce qui va de l’achat à la vente drogues illicites à des pots-de-vin à des responsables gouvernementaux et à des complots », en échange de leur coopération sur d’autres fronts. USA Today estime que les agents ont autorisé des criminels à commettre jusqu'à 15 crimes par jour. Certains de ces informateurs touchent des sommes astronomiques: un camarade particulièrement peu recommandable, arrêté plus tard pour avoir tenté d'écraser un policier, a en réalité été payé 85 000 $ pour son aide en mettant un piège dans un stratagème.
Quand et si une véritable histoire du FBI est jamais écrite, cela ne suivra pas seulement l’ascension de l’État policier américain, mais aussi le déclin de la liberté en Amérique, à peu près de la même manière que l’autonomisation de la police secrète allemande avec la montée du régime nazi.
Comment la Gestapo est-elle devenue la terreur du Troisième Reich ?
Pour ce faire, il a mis en place un système sophistiqué de surveillance et d'application de la loi dont le succès repose sur la coopération des forces armées, de la police, du renseignement, des chiens de garde de quartier, des fonctionnaires de la poste et du chemin de fer, de simples fonctionnaires et d'un pays. de mouchards enclins à signaler «des rumeurs, un comportement déviant, ou même simplement des paroles vagues».
En d'autres termes, des citoyens ordinaires travaillant avec des agents du gouvernement ont contribué à créer le monstre qui est devenu l'Allemagne nazie. Barry Ewen écrit pour le New York Times un portrait particulièrement effrayant de la façon dont un pays tout entier devient complice de sa propre chute en se détournant:
RépondreSupprimerDans sa déclaration la plus provocante peut-être, [l'auteur Eric A.] Johnson déclare que "la plupart des Allemands n'auraient peut-être même pas réalisé jusqu'à très tard dans la guerre, voire jamais, qu'ils vivaient dans une dictature abominable." pour ne pas dire qu'ils n'étaient pas au courant de l'Holocauste; Johnson démontre que des millions d'Allemands ont dû connaître au moins une partie de la vérité. Mais, conclut-il, "un accord tacite faustien a été conclu entre le régime et les citoyens". Le gouvernement a détourné la tête lorsque des crimes mineurs ont été commis. Les Allemands ordinaires ont détourné le regard lorsque des Juifs ont été rassemblés et assassinés; ils ont encouragé l'un des plus grands crimes du XXe siècle, non par une collaboration active, mais par la passivité, le déni et l'indifférence.
Tout comme le peuple allemand, «nous le peuple» sommes devenus passifs, polarisés, crédules, faciles à manipuler et manquant de sens critique. Distraits par les spectacles, la politique et les écrans, nous sommes aussi des partenaires complices et silencieux dans la création d’un État policier semblable à la terreur pratiquée par les anciens régimes.
Si le gouvernement avait tenté soudainement de nous imposer un tel état de choses, il aurait pu avoir une rébellion sur les bras.
Au lieu de cela, le peuple américain a reçu le traitement de grenouille bouillante, immergé dans de l’eau qui s'échauffe lentement - degré par degré - afin de ne pas se rendre compte qu’il est pris au piège, cuit et tué.
«Nous les gens» sont dans l'eau chaude maintenant.
La Constitution n'a aucune chance contre une armée fédérée et globalisée de membres du gouvernement protégés par des pouvoirs législatif, judiciaire et exécutif qui sont tous du même côté, quelles que soient leurs opinions politiques auxquelles ils souscrivent: il suffit de dire pas de notre côté ou du côté de la liberté.
De Clinton à Bush, puis d'Obama et maintenant de Trump, c'est comme si nous étions pris dans une boucle temporelle, obligés de revivre la même chose encore et encore: les mêmes atteintes à nos libertés, le même mépris de la règle de droit, le même asservissement à l’Etat profond et le même gouvernement corrompu et égoïste qui n’existe que pour amasser le pouvoir, enrichir ses actionnaires et assurer sa domination continue.
Le quatrième Reich peut-il arriver ici ?
Comme je le souligne dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, cela se passe déjà sous notre nez.
https://www.zerohedge.com/news/2019-08-02/rise-american-gestapo
Dans toute l'histoire du monde le plus grand danger a toujours été la religion. Ces fanatiques psychopathes n'hésitent pas à tuer n'importe qui, 'ils envoient leurs victimes au paradis !' et cela ne leur fait pas plus d'effet que çà.
SupprimerLes 'plus' violents sont les excisés. Elles et eux n'ont jamais connu l'amour, le plaisir interdit par leur religion. Ils n'ont d'objectif que le vol et le meurtre.
C'est pourquoi l'entrée d'italien en France après la guerre n'a jamais causé de problèmes, idem pour les espagnols, portugais, anglais, chinois, belges, mais, quand arriva celles et ceux d'Afrique du Nord ou de l'Est méditerranée en Asie...
La Californie se tourne vers l'agriculture Photons alors que les problèmes d'eau entraînent des champs solaires dans la vallée centrale
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 08/02/2019 - 23:05
La vallée centrale de la Californie passe au vert (er). Grâce au manque d'approvisionnement en eau et à la loi sur la gestion durable des eaux souterraines (SGMA), qui demande que plus de 500 000 acres soient retirés de la production, certaines des plus de 77 000 fermes du Golden State se lancent dans des projets solaires ambitieux, selon le journal LA Times.
La conversion de terres agricoles en fermes solaires pourrait également être essentielle pour atteindre les objectifs de la Californie en matière de changement climatique. C’est ce qui ressort d’un nouveau rapport de Nature Conservancy, une association environnementale à but non lucratif.
En collaboration avec le cabinet de conseil Energy and Environmental Economics, la société de conservation a tenté de comprendre comment la Californie pourrait satisfaire son appétit d'énergie propre sans détruire les terres écologiquement sensibles de l'Ouest américain. Le rapport propose des réponses possibles à l’une des grandes questions relatives aux énergies renouvelables: quelles zones devraient être consacrées aux panneaux solaires et aux éoliennes, et quelles zones devraient être protégées pour protéger la faune, les loisirs de plein air, l’agriculture et le pâturage ?
Un extrait du rapport publié cette semaine: la Californie aura besoin de plusieurs centaines, voire plusieurs milliers de kilomètres carrés de production d'énergie solaire au cours des prochaines décennies - et il serait logique de construire un tiers à la moitié de cette capacité solaire sur des terres agricoles, principalement dans l'état. -LA fois
La hausse des niveaux d'eau dans les Grands Lacs a un impact sur les entreprises
En utilisant des terres qui ont déjà été «dégradées sur le plan écologique» (sauvant ainsi l'anéantissement solaire des créatures du désert de l'État), la Californie peut convertir une tonne de terres en panneaux solaires sans nuire à son industrie agricole de 50 milliards de dollars par an. Selon une étude antérieure réalisée par UC Berkeley, l'État compte au moins 470 000 acres de terres dites "les moins conflictuelles" dans la vallée de San Juaqin (la partie inférieure de la vallée centrale) où "un sol salé, un mauvais drainage ou autre Les conditions agricoles idéales pourraient faire de l’énergie solaire une alternative attrayante pour les propriétaires terriens ", selon le Times.
"Le prochain projet sera de 100 mégawatts. Il sera cinq fois plus grand", a déclaré John Reiter, développeur d'énergie renouvelable et agriculteur qui a déjà opté pour l'énergie solaire sur 160 acres et qui a de grands projets pour l'avenir.
À Maricopa Orchards, un important producteur d’amandes, d’oranges et d’autres cultures, basé à Fresno, Reiter a élaboré un plan de construction de panneaux solaires sur des milliers d’acres de terres agricoles dans le comté de Kern.
Il a travaillé avec les responsables locaux à la création d’un plan de conservation de l’habitat de 6 000 acres, prévoyant l’utilisation de panneaux solaires sur 4 000 acres du terrain de la société et la mise en réserve de 2 000 acres supplémentaires à des fins d’atténuation environnementale. Les terres faisant l'objet de mesures d'atténuation sont en train de reconvertir en habitat pour les renards kit San Joaquin, les lézards léopards à nez arrondis, les chevêches des terriers et d'autres espèces en péril.
La vision de Reiter est en constante évolution: jusqu’à présent, seuls 160 acres ont été développés avec l’énergie solaire. Le projet solaire de 20 mégawatts Maricopa West a été construit par la société allemande E.ON et vendu à Dominion Energy de Virginie, sur un terrain adjacent aux vergers d'amandiers. -LA fois
RépondreSupprimerReiter a indiqué qu'il négociait avec trois développeurs sur sept projets solaires "prêts à démarrer", avec "des permis et des terres d'atténuation prêtes à l'emploi, leur faisant gagner du temps et de l'argent", selon le rapport.
De grands projets
Pendant ce temps, d'autres producteurs agricoles de Central Valley se préparent pour leurs propres projets.
Wonderful Co. - qui cultive des noix et possède les sociétés Pom Wonderful, Fiji Water et Justin Wines - souhaite alimenter ses activités en électricité à partir d’énergie renouvelable à 100% d’ici 2025. Wonderful a ouvert son premier projet solaire en 2007 et a signé cette année un contrat avec Florida développeur basé NextEra Energy pour une installation solaire de 23 mégawatts, qui sera construit sur 157 acres de terres agricoles en jachère.
«Le potentiel d’implantation d’énergie solaire sur des terres agricoles est extraordinaire», a déclaré Steven Swartz, vice-président de la stratégie de la société. Swartz a expliqué que les merveilles appartenant aux milliardaires de Beverly Hills, Stewart et Lynda Resnick, pouvaient rapporter autant d’argent qu’en produisant de l’énergie solaire sur une période de 30 ans, tout comme la culture d’amandes et de pistaches, deux des cultures les plus lucratives de la Californie.
"Dans un cas, nous cultivons un produit agricole qui a de la valeur, et dans un autre cas, nous produisons des électrons qui ont de la valeur", a-t-il déclaré.
Swartz a ajouté qu’il s'attendait à une "concurrence relativement limitée" entre le solaire et l’agriculture, car il ya déjà beaucoup de terres agricoles qui ne sont pas en production dans la vallée centrale. Wonderful a 10 000 acres de terre en jachère, a-t-il déclaré, soit en raison de la dégradation des sols ou du manque d’eau. En 2015, au plus fort de la dernière sécheresse en Californie, les agriculteurs de la vallée centrale ont laissé inutilisés environ un million d'acres toute l'année, ont estimé des scientifiques de la NASA. -LA fois
Jusqu'à présent, le plus grand projet solaire de Central Valley est planifié par Westlands Solar Park, qui devrait débuter sur les 670 premiers mégawatts d'un projet qui pourrait atteindre 2 700 mégawatts sur 20 000 acres. Il sera construit sur des terres "mal drainées" où le sol a été pollué par des tonnes de "sels phytophages et de sélénium toxique" car des couches d'argile sous la terre empêchent l'irrigation d'atteindre l'aquifère souterrain.
"Si vous continuez à cultiver ces types de terres, vous continuez à aggraver les problèmes de drainage", a déclaré DCaniel Kim, vice-président des affaires réglementaires et gouvernementales pour le promoteur, Golden State Clean Energy.
Combien coûtera le solaire ?
Selon le Times, citant le rapport "Power of Place" de Nature Conservancy, le développement de centrales solaires sur des terres appartenant à l'État, autorisées par la réglementation, pourrait coûter environ 110 milliards de dollars. Si les projets devaient être étendus à des terres comportant des espèces en voie de disparition ou alors ce chiffre pourrait atteindre 125 milliards de dollars. En assouplissant les règles d'utilisation des sols, les coûts seraient ramenés à environ 106 milliards de dollars.
"Ce scénario à l'échelle de l'Ouest est le meilleur des scénarios", a déclaré Arne Olson, co-auteur du rapport Nature Conservancy et associé principal du cabinet de conseil Energy and Environmental Economics.
RépondreSupprimerLe rapport "Power of Place" ne recense pas toutes les forces qui pourraient façonner l’avenir énergétique de la Californie. Il ne suppose aucun développement de l'énergie éolienne en mer, malgré le potentiel énorme des turbines au large de la côte du Pacifique. Cela ne tient pas compte non plus des besoins en énergie renouvelable des autres États, qui pourraient être considérables.
Néanmoins, les défenseurs de l'énergie propre estiment que le document pourrait aider les autorités californiennes à trouver un équilibre entre développement et protection de l'écosystème, puisqu'elles prévoient une électricité 100% respectueuse du climat d'ici 2045, objectif adopté par les législateurs l'an dernier. En 2018, 31% de son électricité était d'origine californienne, notamment solaire et éolienne, et 20% provenant de centrales nucléaires zéro carbone et de grandes centrales hydroélectriques.
Le rapport de Nature Conservancy "semble indiquer des options réfléchies sur la manière de situer les projets dont nous avons besoin pour faire face à la crise climatique", a déclaré Shannon Eddy, directrice exécutive de Large-scale Solar Assn., Groupe commercial basé à Sacramento. -LA Times
https://www.zerohedge.com/news/2019-08-02/california-turns-farming-photons-water-woes-result-central-valley-solar-fields
Que ce soit à la San Juaqin River ou au Colorado, ce sont des millions de km cubes d'eau qui vont se perdre en océan car... il est interdit de construire des barrages qui empêcheraient les éperlans (poissons de friture) de remonter pour pondre !!!!
SupprimerLes fermier crèvent, les sols sont secs et le 'Gouverneur' est un con inculte et malfaisant.
L'exemple piteux d'implantations d'éoliennes a montré l'inutilité de ce dispositif qui coûte plus cher qu'il ne rapporte. Idem pour le photovoltaïque. Mais, comme les États ont trop d'argent depuis l'arrivée des machines, de l'automatisation des tâches, les citoyens devraient tous être millionnaires mais c'est loin d'être le cas !
Même le cinéma est touché par les repro 3D d'ex-vedettes d'Hollywood !
RépondreSupprimerITALIE - MORT MYSTÉRIEUSE DE 34 CÉTACÉS EN TOSCANE
En sept mois, plus d'une trentaine de dauphins et de baleines sont morts dans ces circonstances que les spécialistes peinent à expliquer.
Des dauphins ont été retrouvés très près des côtes en train d'agoniser.
02.08.2019, 20h23
Depuis le début de l'année, 34 cétacés, des dauphins mais aussi un cachalot et une baleine, sont morts dans des conditions mystérieuses au large des côtes toscanes (Italie), ont déclaré vendredi les autorités locales. Des analyses sont en cours.
Rien que sur quatre jours, entre le 29 juillet et le 1er août, six dauphins de deux espèces différentes ont été retrouvés morts, a précisé Marco Talluri, porte-parole de l'Agence régionale pour la protection environnementale de la Toscane (Arpat). Les chercheurs ne devraient pas recevoir avant fin août les résultats des analyses réalisées sur ces animaux.
Les dauphins ont été retrouvés très près des côtes en train d'agoniser. Cela a permis aux vétérinaires de faire des prélèvements plus fiables que sur des spécimens découverts en décomposition au fond de l'eau.
«Un virus comme celui de la rougeole»
«Nous avons analysé les estomacs de huit spécimens et nous avons constaté qu'ils étaient à moitié vides, comme si les animaux n'avaient pas mangé depuis deux ou trois jours», a détaillé la biologiste italienne Cecilia Mancusi, une experte de l'Arpat, citée par le quotidien Il Corriere della Sera.
«Cet important indice pourrait indiquer que les dauphins n'allaient pas bien depuis quelque temps et qu'il pourrait s'agir d'un virus comme celui de la rougeole, qui avait entraîné la mort de centaines de dauphins dans toute l'Italie en 2013», a-t-elle ajouté.
Gianna Fabi, chercheuse de l'Institut pour les ressources biologiques et en biotechnologie marine du CNR (Centre national italien de recherche) a étudié un phénomène similaire en juin dans l'Adriatique avec la mort de 14 dauphins en trois semaines. Selon elle, il est improbable que les causes soient une ingestion de plastique ou un problème de pollution.
«Dans les deux cas, on aurait trouvé des traces dans l'organisme», a-t-elle expliqué à l'agence Agi. Il pourrait s'agir d'épidémies «provoquées par un agent pathogène qui aurait proliféré en raison des pics de températures ou de pluies abondantes qui ont abaissé la salinité de l'eau» de mer.
Sanctuaire Pelagos
Autre hypothèse: «une importante pollution acoustique sous-marine qui aurait altéré le système de localisation de ces espèces». Selon une étude réalisée entre 2008 et 2018, en moyenne 18 cétacés ont été retrouvés morts chaque année près de la Toscane, témoignant du caractère exceptionnel de l'épisode actuel.
La zone fait partie du sanctuaire Pelagos pour la protection des mammifères marins créé en 1999 par la France, l'Italie et la Principauté de Monaco. Cette réserve de 87'500 km2 forme un triangle entre la presqu'île de Giens en France, le nord de la Sardaigne et Fosso Chiarone en Italie. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/mort-mysterieuse-34-cetaces-toscane/story/28038511
Comme il en a été pour tant d'autres espèces visées, ce sont des exercices de repérages de vivants suivant la spécificité. Après des millions de harengs ou de sardines ou de thons qui s'ont retrouvés le ventre en l'air échoués sur les plages et les milliers d'enquêtes et d'analyses médicales, (zéro maladie ! zéro accident, zéro empoisonnement !) ces cétacés sont aussi les victimes de HAARP.
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