- ENTREE de SECOURS -



vendredi 23 août 2019

Climat : l’incroyable saga des températures (2)

Vous reprendrez bien encore une petite analyse des relevés de températures ? (2e partie)


Par Michel Negynas.
23 AOÛT 2019


On a vu dans le précédent billet* que l’indicateur que s’est choisi l’humanité pour sceller son destin (l’anomalie de température globale) n’est pas vraiment scientifique, difficile à quantifier, et pas vraiment utile pour réagir à des évolutions du climat.


Nous allons examiner maintenant les problèmes posés par l’établissement des séries historiques recouvrant la période dite industrielle, c’est-à-dire, selon les auteurs, depuis 1850 ou 1880.

POURQUOI TANT D’IMPORTANCE DONNÉE AU PASSÉ ?

La démarche scientifique habituelle est, si l’on trouve une corrélation entre deux variables, de bâtir une théorie qui explique une relation de cause à effet, ensuite, de modéliser le processus pour quantifier la relation, et de vérifier si le modèle est prédictif, en le soumettant à l’épreuve des faits.

Dans le cas de l’effet de serre, rien ne se passe comme cela. On ne peut vérifier le modèle pour l’instant car il faut attendre des dizaines d’années… Et il n’y a pas de corrélation, en tout cas pour un scientifique honnête.
On pourrait objecter que les deux courbes montent… Mais ce serait une entourloupe bien connue des statisticiens ; il suffit de lisser suffisamment deux courbes n’ayant rien en commun pour trouver, à un moment donné, qu’elles sont corrélées.

Joanne Nova a trouvé une meilleure corrélation :

On ne peut donc passer sous silence que même si l’effet du gaz carbonique produit du réchauffement, il se passe des choses supplémentaires, non expliquées par l’effet de serre, sur cette série de température. Elle devient donc un enjeu important.

Or, retracer l’évolution des températures est évidemment un exercice de plus en plus risqué lorsqu’on recule de plus en plus dans le passé car on ne sait pas si les outils et les méthodes sont restés les mêmes (on est même certains du contraire). 

LA RARETÉ DES MESURES DANS LE PASSÉ

La NASA a là encore réalisé ce schéma, de l’état de l’art en 1880 :
En 1880, seulement 174 stations ont été retenues pour établir la température moyenne : quasiment rien sur les océans, sur les pôles, soit au moins 80 % de la surface… On peut à la limite définir une moyenne européenne, nord-américaine, mais une moyenne mondiale est pure spéculation.

CHANGEMENTS DE MÉTHODE ET D’OUTILS DE MESURE

Pour beaucoup de stations, on est passé du thermomètre à alcool aux sondes électroniques. Mais d’autres changements, pas toujours documentés, sont plus sournois et peuvent produire des écarts allant jusqu’à 0,5 degré : changement de peinture ou de dimension des « cabanes » abritant le thermomètre… 

Mais surtout, il y a eu des changements de méthode de prélèvement. Autrefois, on prélevait à heure fixe, c’était manuel, une fois à l’heure supposée la plus froide, une fois à celle la plus chaude, mais ça ne collait pas bien avec, par exemple, les décalages saisonniers. Ensuite on a utilisé des thermomètres à mini/maxi. Mais la moyenne de deux mesures est-elle représentative de la journée ? Maintenant, on dispose de relevés en continu qui permettent de faire une vraie moyenne….

CHANGEMENT DE LIEU DE LA STATION ET INTERPOLATION POUR LE VOISINAGE

Certaines stations ont été déplacées sans qu’on change leur dénomination. Si on a connaissance de cela, on peut essayer de calculer l’écart produit. Il se calcule généralement par interpolation des stations les plus proches… mais tient-on compte du relief, de la rose des vents… ? Pour faire cela correctement, il faudrait toute une étude. Les organismes en charge de la collecte n’en ont pas les moyens. Et surtout, certains maillages (voir celui de la France) sont trop lâches pour être utilisables.

Une évolution significative a été opérée un peu avant 1990 : une réduction drastique du nombre de stations utilisées. (source : NASA GISS, diagramme de R McIntrick). Il est difficile de vérifier si les méthodes employées pour garder une représentativité inchangée (souvent là encore à base d’interpolations) sont correctes. Cette période correspond d’ailleurs justement à un « réchauffement » très rapide. Et depuis, le nombre de stations a été ré-augmenté… 
MODIFICATION DE L’ENVIRONNEMENT DES STATIONS

Mais les changements les plus significatifs sont certainement les changements de l’environnement des stations de mesure qui en affectent un grand nombre, comme l’a montré l’étude d’Antony Watts, aux États-Unis, déjà citée.  

Le processus est assez classique : une station météo est installée en bordure de la piste en herbe d’un aérodrome, pour les exigences de l’aviation, assez loin de la ville. L’aéroport se développe, on bétonne, la ville se rapproche… on ne mesure plus du tout la même chose. Et c’est plus chaud.

L’EFFET D’ÎLOT URBAIN

Ce sujet est d’une grande importance et a fait l’objet d’intenses controverses, qui ne sont pas closes à ce jour. En effet, il pourrait constituer un biais de mesure très important.

Il est basé sur la constatation que tout un chacun peut faire en venant de la campagne et en pénétrant en ville : il fait plus chaud au centre (à Paris, 2 degrés d’écart ne sont pas exceptionnels). Dès lors, comme beaucoup de stations météo sont près des villes, il faut corriger cet effet. Le GIEC et les organismes officiels ont montré que cela n’excédait pas 0,01 degré de réchauffement tous les dix ans. Mais de nombreuses études montrent un biais bien plus important.

Le phénomène en lui-même est simple : le béton et l’asphalte des villes absorbent la chaleur du soleil davantage que la campagne, et la nuit ralentit le refroidissement. Toute la question est de savoir si cet effet est très limité ou s’étend sur une surface suffisamment étendue pour y affecter de nombreuses stations météo.

Une étude de deux chercheurs de la Royale Meteorology Society me semble assez robuste. Elle estime que l’effet d’îlot urbain en Angleterre pourrait aller jusqu’à 1,7 degré, concentré sur la température journalière minimum, et capable d’influencer la moyenne.

Un papier de Ross McIntrick, un statisticien qui a joué un rôle important de démystificateur sur d’autres sujets climatiques, montre que l’effet n’est pas négligeable sur la moyenne mondiale du fait d’un grand nombre de stations sous influence des villes et improprement considérées comme « rurales », ce que conteste le GIEC.

L’AJUSTEMENT ET L’HOMOGÉNÉISATION DES TEMPÉRATURES

Tous les biais cités ici sont connus et admis par les organismes en charge de compiler les séries de température. Mais les données sont très nombreuses, et les équipes ont peu de moyens. Pas question d’aller voir ce qui s’est passé depuis plus de 100 ans station par station… On a donc créé des algorithmes d’ajustement automatique, basés sur des analyses de l’évolution du signal (discontinuité, dérive lente détectée comme « anormale »…).

Les méthodes sont très mal documentées, les données brutes sont parfois déjà partiellement ajustées. Par ailleurs, lorsqu’on détecte une correction à faire, généralement on ne corrige pas la valeur mesurée mais toutes les valeurs du passé. Tout cela fait qu’en pratique personne ne peut plus auditer ces processus.

QUELQUES « MOMENTS CLÉS » ET EXEMPLES SIGNIFICATIFS

Les auteurs des courbes de température affirment qu’il y a autant de corrections « chaudes » que froides » en moyenne. Force est de constater qu’on tombe sur des exemples troublants.
En 2000, une modification des algorithmes de NOAA/NASA « effaça » les records de température des années 1930 aux USA, pour les replacer en 1998. 

Cela cadre mal avec l’indicateur des vagues de chaleur de l’US EPA (agence pour l’environnement américaine) :
En France, on homogénéise aussi. Un exemple est donné par Météo France elle-même, pour montrer l’efficacité de son processus :
À Pau, un refroidissement de 1,19 degré devient un réchauffement de 0,67 degré… Pourquoi pas ? Mais cela mériterait peut-être plus d’explications que l’application automatique d’un algorithme… Météo France a raison d’être satisfaite de son algorithme : il chauffe, donc c’est bon !

En fait, les données mondiales sont corrigées en permanence ; NASA/NOAA est d’ailleurs transparente là-dessus, comme l’atteste ce tableau tiré de son site :
Par exemple, l’anomalie de 2005, initialement chiffrée à 1,08 degré F, a été corrigée à 1,12 en 2010, 1,15 en 2011 et 1,17 en 2012…. 

LE HIATUS

Tout allait pour le mieux ; on réussissait à montrer que les données satellites et les donnes terrestres étaient à peu près cohérentes. Mais catastrophe ! À partir des années 2000, les températures n’augmentaient plus !    

Décidément, cette saga des températures fait aussi bien que House of cards…

La suite au prochain épisode…

39 commentaires:


  1. Bolsonaro admet que les agriculteurs ont peut-être commencé Amazon Wildfires et prévient le monde de ne pas s'immiscer


    par Tyler Durden
    Vendredi, 23/08/2019 - 07:11


    Alors que le tollé suscité par les incendies qui ravagent actuellement l’Amazonie s’intensifie, le président brésilien Jair Bolsonaro a admis jeudi que des agriculteurs pourraient illégalement incendier des défricheurs afin de défricher des terres en pâturage. rapports.

    - voir carte sur site -

    Mais il a averti les étrangers de ne pas intervenir, car le président français Emmanuel Macron a insisté pour que la situation au Brésil soit discutée par le G-7 à Biarritz ce week-end, tandis que le secrétaire général de l'ONU, Antonio Gutterres, s'inquiétait des incendies via Twitter. Macron a qualifié les incendies de "crise internationale" dans un tweet.

    Mais Bolsonaro a été irrité par ce qu'il a décrit comme une "ingérence" et s'est moqué de pays comme l'Allemagne et la Norvège qui ont récemment suspendu le financement de projets destinés à réduire la déforestation.

    "Ces pays qui envoient de l'argent ici, ils ne l'envoient pas par charité ... Ils l'envoient dans le but d'empiéter sur notre souveraineté", a déclaré Bolsonaro.

    Cela dit, leur argent est toujours le bienvenu: jeudi, il avait admis que le Brésil seul ne disposait pas des ressources nécessaires pour supprimer les incendies "criminels".


    "L'Amazonie est plus grande que l'Europe, comment allez-vous combattre les incendies de criminels dans une telle région?", A-t-il demandé aux journalistes au moment de quitter la résidence présidentielle. "Nous n'avons pas les ressources nécessaires pour cela."

    Selon les chiffres du gouvernement, les incendies de forêt ont presque doublé pendant la saison sèche de cette année. Les procureurs fédéraux ont déclaré qu'ils enquêtaient sur la flambée de la déforestation et des incendies de forêt dans l'État de Pará afin de déterminer si la surveillance et l'application des mesures de protection de l'environnement ont été réduites.

    - voir graphique sur site -

    Mais certains ont accusé Bolsonaro d'avoir toléré tacitement les agriculteurs, en insistant sur le fait que le Brésil devrait ouvrir davantage de forêts tropicales humides à des intérêts commerciaux tels que l'agriculture et les mines. Environ 60% de la forêt tropicale est au Brésil.

    - voir carte sur site -

    Les procureurs ont déclaré qu'ils examineraient une annonce qui, selon eux, aurait été publiée dans un journal local encourageant les agriculteurs à participer à une "Journée des incendies", durant laquelle ils brûleraient de vastes étendues de forêt "pour montrer à Bolsonaro leur volonté de travailler".

    La Colombie, qui abrite également une partie de la forêt tropicale, a déclaré jeudi qu'elle soutiendrait la protection contre les incendies.

    "Les autorités colombiennes travaillent déjà pour contenir la propagation de ces incendies vers le territoire colombien et nous sommes disposés à collaborer avec nos voisins pour cette cause commune", a déclaré le ministère colombien des Affaires étrangères dans un communiqué.

    RépondreSupprimer
  2. Bolsonaro a été maintes fois critiqué pour son attitude à l'égard de l'Amazone. Bien que les incendies de forêt soient en grande partie hors de son contrôle, sa réticence à blâmer les agriculteurs pour les avoir inculqués risque de donner l'impression qu'il ne considère pas l'arrêt des incendies comme une priorité.

    Pendant ce temps, aux États-Unis, toutes les célébrités et influences ont publié des articles sur les incendies de forêt et le manque de couverture médiatique, donnant ainsi l’impression que la forêt tropicale est vraiment en danger et ignorant le fait que des incendies se produisent chaque année en Amazonie.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-23/bolsonaro-concedes-farmers-may-have-started-wildfires-warns-world-not-interfere

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Les incendies défrichent et nettoient les champs d'insectes ravageurs. La pluie qui vient fera tout repousser en 15 jours sous les Tropiques.

      Les paysans ont raison de se battre pour nourrir le monde tandis que des pays font tout pour les faire disparaître et pousser leur population à la famine et à être nourrie d'importations toxiques !

      Supprimer
  3. Une manifestation franco-espagnole contre l’ours

    Prédation - Une manifestation franco-espagnole contre l’ours


    Plusieurs centaines de personnes ont manifesté le 22 août 2019 à Ainsa en Espagne contre les réintroductions d’ours dans les Pyrénées. Elles répondaient à l’appel d’une quarantaine d’organisations agricoles espagnoles et françaises.

    « Nous nous plaignons de la réintroduction de l’ours », une décision prise « sans prendre en compte la vie des villages et des éleveurs » de la région, a déclaré Felix Bariain, président du syndicat agricole UAG de Navarre (nord de l’Espagne). « Nous demandons que les ours violents soient retirés des Pyrénées », a-t-il ajouté.

    « Les ours non, des Pyrénées sûres »

    « Ours, la ruine du monde rural et de l’élevage extensif », « les ours non, des Pyrénées sûres », pouvait-on lire sur les banderoles dans des vidéos retransmises par des médias locaux. Parmi les organisations présentes, de nombreuses branches locales de syndicats agricoles et coopératives, ainsi que les FDSEA et Jeunes Agriculteurs.

    Le programme de réintroduction des ours dans les Pyrénées, menacés d’extinction, date de 1996 et fonctionne grâce à des lâchers d’ours slovènes. Mais les éleveurs se plaignent régulièrement d’attaques contre leurs troupeaux, notamment du côté français, en Ariège, département où la colère des anti-ours est vive.

    Goiat et Claverina sous les feux de la rampe

    Ces derniers mois, deux ours ont particulièrement concentré les critiques : Goiat, un mâle d’environ 13 ans qui s’est notamment attaqué à des chevaux dans les Pyrénées espagnoles, et Claverina, une femelle lâchée au début d’octobre dans les Pyrénées-Atlantiques en France, accusée d’avoir tué des brebis en France comme en Espagne.

    Plusieurs ONG françaises et espagnoles ont pris la défense du plantigrade, affirmant que « la cohabitation avec l’ours est possible ». « L’ours brun ne peut servir d’otage face aux difficultés de l’élevage de montagne pour s’adapter au nouveau contexte […] du manque de main-d’œuvre, […] de la concurrence féroce des importations […] à bas prix […]? », soulignent-elles.

    Les ONG visent le « tourisme de nature »

    « L’ours n’a créé aucun des problèmes actuels qui rendent difficile la rentabilité de l’élevage extensif dans les Pyrénées », ont-ils insisté, proposant de mettre en place d’un « contrat » avec le secteur de l’élevage. Selon eux, la présence de l’ours pourrait générer un « tourisme de nature » avec des retombées économiques non négligeables.

    « Si dans les monts Cantabriques (Espagne), on a pu obtenir ce résultat, on peut également y parvenir dans les Pyrénées », ont relevé ces ONG, notamment la coordination Cap Ours, du côté français, et SEO Birdife, Amigos de la tierra, Fundación para la conservación del Quebrantahuesos, du côté espagnol.

    Selon un décompte de la Fondation Oso Pardo en mai, environ 45 ours sont recensés dans la partie centrale des Pyrénées françaises et espagnoles, et quatre dans les Pyrénées occidentales sur les deux versants. Le ministère de la Transition écologique en dénombrait une quarantaine en 2018.

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. On ne compte plus les politiques nazies mises en place pour tuer les troupeaux et les gens ! Le loup, l'ours font des ravages et sèment l'insécurité. A quand un lâcher de lions dans Paris ?

      Supprimer
  4. « Aujourd’hui, seuls 6 containers importés sur 5 000 sont contrôlés »


    Attendant des « annonces concrètes », la Coordination rurale n’a pas été convaincue par la réponse du ministre de l’Agriculture sur les contrôles des denrées alimentaires importés.

    « L’augmentation du nombre d’échantillonnages n’est que de la poudre aux yeux quand on sait qu’aujourd’hui seuls 6 containers importés sur 5 000 sont contrôlés », clame la Coordination rurale le 21 août 2019 dans un communiqué mis en ligne sur son site internet. S’interrogeant sur l’application de l’article 44 de loi portant sur l’agriculture et l’alimentation.

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Grâce à la politique de 'frontière ouverte' pour les terroristes, il va de soi que les containers de drogues ou d'armes peuvent aussi rentrer !

      Supprimer
  5. 35,6 litres d’eau nécessaires pour produire un demi-litre de Coca-Cola


    Dominique Dewitte
    23 août 2019



    Pour produire une bouteille d’un demi-litre de Coca-Cola, il faut 35 litres d’eau. 80 % sont consacrés à la production de betteraves à sucre, qui fournissent l’ingrédient qui confère à la boisson gazeuse son goût sucré. 19 autres pourcents sont nécessaires à la fabrication de l’emballage, les 1 % restants étant consommés dans le reste de la chaîne d’approvisionnement.

    C’est ce qui ressort d’une étude commandée par Coca-Cola elle-même en 2011. Depuis lors, l’entreprise a fait de gros efforts pour réduire sa consommation d’eau. En 2018, la société Atlanta publiait sur son site Web un message indiquant qu’il ne faudrait que 1,89 litre d’eau pour produire un litre de soda. Par ailleurs, le groupe affirme avoir investi l’an dernier dans des projets de développement qui ont permis de recycler et d’améliorer 257 milliards de litres d’eau potable, soit presque autant que les 299 milliards de litres que l’entreprise consomme elle-même.

    Les recherches effectuées en 2018 sur le site Web The Verge et l’Investigative Fund at the Nation Institute n’ont pas contredit cela. Cependant, il est précisé que seule la production de la boisson gazeuse elle-même est prise en compte ici. La majeure partie de l’eau est utilisée pour la production de sucres, des autres ingrédients et surtout de l’emballage.

    Selon l’étude, la production d’une bouteille d’un demi-litre de Coca-Cola nécessite 35,6 litres d’eau, dont seulement 0,4 litre est contenu dans le produit final. Le processus de production nécessite 27,9 litres d’eau, principalement pour la culture de betteraves. Les betteraves sont essentielles à la production de sucre, l’ingrédient principal de chaque bouteille de Coca-Cola. En outre, 7,3 litres d’eau sont utilisés dans la fabrication de bouteilles en plastique et en verre, dans lesquelles la boisson gazeuse est conditionnée.

    Selon les chercheurs, Coca-Cola doit réduire d’urgence sa consommation d’eau tout au long de la chaîne d’approvisionnement. pour les années à venir, l’entreprise aura besoin de quantités massives d’une matière première qui se fait de plus en plus rare.

    Coca-Cola produit 200 000 bouteilles en plastique… par minute

    Au début de cette année, Coca-Cola a publié pour la première fois des chiffres sur sa consommation de plastique. La société n’a pas révélé l’échelle exacte de sa production de bouteilles. Mais lorsque l’on traduit l’empreinte de l’emballage en bouteilles PET de 500 ml, cela représente environ 108 milliards de bouteilles par an. Soit plus d’un cinquième de la production mondiale de bouteilles en PET d’environ 500 milliards de bouteilles par an. Cela équivaut à 200 000 bouteilles en plastique d’un demi-litre… par minute.

    https://fr.express.live/coca-cola-consommation-eau-production/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et plus d'1 MILLION DE LITRE D'EAU pour une seule sardine !!! HAHAHAHAHAHAHA !

      Le 'Fan-Club de Greta-la-triso' doit en chier dans ses couches ! HAHAHAHAHA !

      Supprimer
  6. Paris : Une policière de 26 ans se suicide avec son arme de service - 47e suicide dans la police


    20 minutes
    jeu., 22 août 2019 20:30 UTC


    Les forces de l'ordre à nouveau touchées par un drame. Ce jeudi, une policière affectée à la 21e Compagnie d'intervention de la Direction de l'ordre public et de la circulation (DOPC) a mis fin à ses jours à l'aide de son arme de service, indiquent nos confrères de BFMTV. La jeune femme a été retrouvée dans sa voiture, garée sur le parking de son logement à Drancy, en Seine-Saint-Denis.

    D'après Actu17, le corps sans vie de la fonctionnaire, âgée de 26 ans, a été retrouvée par son compagnon, lui aussi policier, ce jeudi matin. Sous le choc, il a été pris en charge par les secours. Une enquête a été ouverte par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN).

    Depuis le début de l'année selon la direction générale de la police nationale, 47 policiers se sont donné la mort. Ce vendredi, un «barbecue de la colère» est organisé face à la vague de suicides dans la fonction.

    https://fr.sott.net/article/34320-Paris-Une-policiere-de-26-ans-se-suicide-avec-son-arme-de-service-47e-suicide-dans-la-police

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et, COMME TOUJOURS, les raisons du suicide (mêmes écrites sur papier ou enregistrées sur vidéo) ne sont PAS PUBLIÉES !

      Donc: Tout va bien et n'avait 'aucune raison de nettoyer son arme à 4 h du matin' !

      Supprimer
  7. Couverture de glace supérieure à la normale dans l'hémisphère Nord


    Robert W. FelixIce Age Now
    Sott.net
    ven., 23 août 2019 14:46 UTC


    Hémisphère Nord équivalent en eau de neige - 21 août 2019
    "Ce graphique d'Environnement Canada montre clairement qu'une partie de la glace n'a pas encore fondu", dit le lecteur Ole Jensen. "Je me demandais où ce graphique pouvait être. Et il doit y avoir d'autres morceaux quelque part sur le N.H."

    "J'ai roulé des yeux quand j'ai vu que le graphique indique qu'un minimum de 15 km3. (3,6 miles cubes) sont toujours là, quelque part."

    "On dirait que c'est plus que normal."

    Il est difficile d'imaginer un mille cube de glace, et encore moins 3,6 milles cubes. C'est un mille de large, un mille de long et un mille de haut, soit plus de quatre fois la hauteur de l'Empire State Building.

    Merci à Ole Jensen pour cette info

    Traduction fr.sott.net - Source : Robert W. Felix, Ice Age Now

    Commentaire : 1 mille = 1,6 km

    https://fr.sott.net/article/34325-Couverture-de-glace-superieure-a-la-normale-dans-l-hemisphere-Nord

    RépondreSupprimer
  8. Oui, manger de la viande affecte l'environnement, mais les vaches ne détruisent pas le climat


    25 octobre 2018, 12h48 CEST
    Frank M. Mitloehner
    Professeur de zootechnie et spécialiste de la vulgarisation de la qualité de l'air, Université de Californie à Davis



    Alors que l'ampleur et les impacts du changement climatique deviennent de plus en plus alarmants, la viande est un objectif populaire d'action. Les défenseurs exhortent le public à manger moins de viande pour préserver l'environnement. Certains militants ont appelé à taxer la viande pour en réduire la consommation.

    Une affirmation clé qui sous-tend ces arguments est que, dans le monde, la production de viande génère plus de gaz à effet de serre que l’ensemble du secteur des transports. Cependant, cette affirmation est manifestement fausse, comme je le montrerai. Et sa persistance a conduit à de fausses hypothèses sur le lien entre viande et changement climatique.

    Mes recherches portent sur les effets de l'agriculture animale sur la qualité de l'air et les changements climatiques. À mon avis, il existe de nombreuses raisons pour choisir des protéines animales ou opter pour une sélection végétarienne. Cependant, renoncer à la viande et aux produits carnés n’est pas la panacée environnementale que beaucoup voudraient nous faire croire. Et à l'extrême, cela pourrait également avoir des conséquences nutritionnelles néfastes.

    - voir carte sur site -

    Production animale mondiale par région (lait et œufs exprimés en protéines). FAO, CC BY-ND

    Mettre les choses au clair sur la viande et les gaz à effet de serre

    Une bonne partie de la mauvaise réputation de la viande est basée sur l’affirmation selon laquelle le bétail est la plus grande source de gaz à effet de serre au monde. Par exemple, une analyse de 2009 publiée par le Worldwatch Institute de Washington, DC, affirme que 51% des émissions mondiales de GES proviennent de l'élevage et de la transformation du bétail.

    Selon l’Environmental Protection Agency des États-Unis, les principales sources d’émission de GES aux États-Unis en 2016 étaient la production d’électricité (28% des émissions totales), les transports (28%) et l’industrie (22%). L’ensemble de l’agriculture représentait 9% du total. L’ensemble de l’élevage représente moins de la moitié de ce montant, soit 3,9% du total des émissions de gaz à effet de serre des États-Unis. C’est très différent de prétendre que le bétail représente autant ou plus que le transport.

    Pourquoi cette idée fausse ? En 2006, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture a publié une étude intitulée «Le bétail dans l’ombre», qui a suscité l’attention de la communauté internationale. Il a déclaré que le bétail produisait 18% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. L'agence a tiré une conclusion surprenante: le bétail faisait plus pour nuire au climat que tous les modes de transport réunis.

    Cette dernière affirmation était erronée et a depuis été corrigée par Henning Steinfeld, l’auteur principal du rapport. Le problème était que les analystes de la FAO ont utilisé une analyse complète du cycle de vie pour étudier l'impact du bétail sur le climat, mais une méthode différente lorsqu'ils ont analysé le transport.

    RépondreSupprimer
  9. Pour le bétail, ils ont examiné tous les facteurs associés à la production de viande. Cela comprenait les émissions provenant de la production d'engrais, la conversion des terres forestières en pâturages, la production d'aliments pour animaux et les émissions directes d'animaux (éructations et fumier) de la naissance à la mort.

    - voir graphique sur site -

    Cependant, quand ils ont examiné l’empreinte carbone des transports, ils ont ignoré les impacts sur le climat de la fabrication de matériaux et de pièces de véhicules, de l’assemblage de véhicules et de l’entretien des routes, des ponts et des aéroports. Au lieu de cela, ils ont uniquement pris en compte les gaz d'échappement émis par les voitures, camions, trains et avions finis. En conséquence, la comparaison faite par la FAO des émissions de gaz à effet de serre provenant du bétail et de celles provenant des transports a été fortement faussée.

    Les chercheurs ont identifié plusieurs options pour réduire les émissions de gaz à effet de serre du secteur de l'élevage. Les barres rouges représentent la plage potentielle pour chaque pratique. Herrero et al, 2016, via l'Université Penn State, CC BY-NC-SA

    J'ai souligné cette lacune lors d'un discours prononcé devant des scientifiques à San Francisco le 22 mars 2010, ce qui a entraîné une inondation de la couverture médiatique. À son crédit, la FAO a immédiatement reconnu son erreur. Malheureusement, l’affirmation initiale de l’agence selon laquelle le bétail était responsable de la part du lion des émissions mondiales de gaz à effet de serre avait déjà été largement couverte. À ce jour, nous luttons pour «défaire» la cloche.

    Dans son plus récent rapport d'évaluation, la FAO a estimé que l'élevage produit 14,5% des émissions mondiales de gaz à effet de serre résultant des activités humaines. Il n’existe pas d’évaluation comparable du cycle de vie complet pour le transport. Cependant, comme Steinfeld l’a souligné, les émissions directes provenant du transport par rapport au bétail peuvent être comparées et représentent respectivement 14% et 5%.

    Donner de la viande ne sauvera pas le climat

    De nombreuses personnes continuent à penser qu'éviter la viande aussi rarement qu'une fois par semaine aura un impact significatif sur le climat. Mais selon une étude récente, même si les Américains éliminaient toutes les protéines animales de leur alimentation, ils ne réduiraient que de 2,6% les émissions de gaz à effet de serre des États-Unis. Selon nos recherches à l’Université de Californie, Davis, si la pratique du lundi sans viande était adoptée par tous les Américains, nous ne constaterions une réduction que de 0,5%.

    De plus, les changements technologiques, génétiques et de gestion qui se sont produits dans l’agriculture américaine au cours des 70 dernières années ont rendu la production animale plus efficace et moins consommatrice de gaz à effet de serre. Selon la base de données statistiques de la FAO, le total des émissions directes de gaz à effet de serre provenant du bétail américain a diminué de 11,3% depuis 1961, tandis que la production de viande de bétail a plus que doublé.

    RépondreSupprimer
  10. La demande de viande augmente dans les économies en développement et émergentes, avec le Moyen-Orient, l’Afrique du Nord et l’Asie du Sud-Est en tête. Cependant, la consommation de viande par habitant dans ces régions reste inférieure à celle des pays développés. En 2015, la consommation annuelle moyenne de viande par habitant dans les pays développés était de 92 kilogrammes, contre 24 kilogrammes au Moyen-Orient et en Afrique du Nord et 18 kilogrammes en Asie du Sud-Est.

    Néanmoins, compte tenu de la croissance démographique prévue dans les pays en développement, il sera certainement possible pour des pays tels que les États-Unis de mettre en avant leurs pratiques d'élevage durable.

    Dans les pays en développement, l'élevage de tels animaux au Kenya est une source importante de nourriture et de revenus pour de nombreux petits agriculteurs et éleveurs. Loisa Kitakaya, CC BY-SA

    La valeur de l'agriculture animale

    En retirant les animaux de l’agriculture américaine, on réduirait légèrement les émissions nationales de gaz à effet de serre, mais il serait également plus difficile de satisfaire les besoins nutritionnels. Beaucoup de critiques de l'agriculture animale s'empressent de dire que si les agriculteurs ne cultivaient que des plantes, ils pourraient produire plus de kilos de nourriture et plus de calories par personne. Mais les humains ont également besoin de nombreux micro- et macronutriments essentiels à leur santé.

    Il est difficile de soutenir de manière convaincante que les États-Unis ont un déficit calorique, étant donné le taux élevé d’obésité chez les adultes et les enfants. De plus, toutes les parties de la plante ne sont pas comestibles ni souhaitables. L'élevage du bétail est un moyen d'ajouter de la valeur nutritionnelle et économique à l'agriculture végétale.

    À titre d'exemple, l'énergie contenue dans les plantes que consomment les animaux d'élevage est le plus souvent contenue dans de la cellulose, non digestible pour l'homme et de nombreux autres mammifères. Mais les vaches, moutons et autres ruminants peuvent dégrader la cellulose et libérer de l’énergie solaire contenue dans cette vaste ressource. Selon la FAO, 70% de toutes les terres agricoles du monde sont des terres de parcours qui ne peuvent être utilisées que comme pâturages pour le bétail ruminant.

    La population mondiale devrait atteindre actuellement 9,8 milliards de personnes d’ici 2050. Nourrir un si grand nombre de personnes soulèvera d’immenses défis. La viande est plus dense en nutriments par portion que les options végétariennes, et les ruminants se nourrissent principalement d'aliments qui ne conviennent pas à l'homme. L'élevage du bétail offre également un revenu indispensable aux petits agriculteurs des pays en développement. Dans le monde entier, l'élevage fournit un moyen de subsistance à un milliard de personnes.

    Les changements climatiques exigent une attention urgente et le secteur de l'élevage a une grande empreinte environnementale globale qui affecte l'air, l'eau et la terre. Ces facteurs, combinés à une population mondiale en augmentation rapide, nous fournissent de nombreuses raisons impérieuses de continuer à œuvrer pour une efficacité accrue de l’élevage. Je pense qu’il faut commencer par les faits scientifiques.

    https://theconversation.com/yes-eating-meat-affects-the-environment-but-cows-are-not-killing-the-climate-94968?fbclid=IwAR0F2R-RiBFMb2YBeMvaIvpKjLSHh4S4TtW4Oxa-GSFael4Zas2I3SZSA9E

    https://www.facebook.com/TheFarmersDaughterUSA/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. L' 'IPCC' et autres trisomiques qui se disent 'scientifiques-de-la-dernière-heure', REFUSENT de dire LA vérité.

      LA vérité est que TOUS les gaz se recyclent (sans quoi l'animal ne serait jamais apparu sur Terre) et qu'il n'existe pas de 'gaz à effet de serre' !

      Les 'Changements climatiques' ont TOUJOURS existé ! Ils s'appellent des saisons, ils s'appellent la vie, parce que le matin il fait 50°F et l'après-midi 86°F. Parce que l'hiver il fait 30°F et l'été 104°F !

      Supprimer
  11. En Angola et au Congo, plus de feux de forêt brûlent que le Brésil


    par Tyler Durden
    Vendredi 23/08/2019 - 20:05


    Grâce aux efforts concertés des «influenceurs» des médias sociaux américains, tout le monde et leur grand-mère sont maintenant conscients du fait que des incendies de forêt - dont beaucoup auraient été illégalement déclenchés par des agriculteurs cherchant à défricher davantage de terres pour l'agriculture ou le pâturage - déchirent le Amazone.

    Ce que beaucoup ne réalisent pas, c’est que les incendies de forêt dans les "poumons de la Terre" - comme l’a décrit le président français Emmanuel Macron en Amazonie - ne sont pas si rares en réalité. En fait, ils font naturellement partie du processus d'auto-restauration de la forêt tropicale. Au total, cette année, les incendies ont augmenté de 83% par rapport à l’année dernière.

    Et tandis que le reste du monde utilise les incendies comme une excuse pour reprocher au président brésilien Jair Bolsonaro et à sa politique environnementale (certains l'ont accusé d'avoir toléré tacitement les agriculteurs qui ont allumé les incendies), Bloomberg rapporte que le Brésil est en réalité le troisième au monde. incendies de forêt au cours des dernières 48 heures, citant les données du satellite MODIS analysées par Weather Source.

    - voir carte sur site -

    Bloomberg Market Wrap 8/19: Stocks d'énergie, le real brésilien, l'or

    Weather Source a enregistré 6 902 incendies en Angola au cours des dernières 48 heures, 3 395 en République démocratique du Congo et 2 127 au Brésil.

    Comme en Amazonie et en Californie, les incendies de forêt ne sont pas si rares en Afrique centrale.

    - voir carte sur site -

    En ce qui concerne le nombre total d'incendies de forêt actifs, ils sont également loin des sommets enregistrés ces dernières années. Selon la NASA, plus de 67 000 incendies ont été signalés en une semaine en juin de l'année dernière, dont la plupart ont été provoqués par des agriculteurs.

    Au cours des deux derniers jours, environ 16 500 incendies de forêt ont été enregistrés dans les 10 premiers pays.

    - voir graphique sur site -

    En fait, en ce qui concerne les feux de forêt, 2019 n’est pas extraordinaire.

    - voir graphique sur site -

    Mais nous sommes certains que le groupe d'influenceurs Instagram clarifiera bientôt tout cela dans une série de messages sponsorisés mettant en contexte les feux de forêt amazoniens ... n'est-ce pas ?

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-23/more-wildfires-are-burning-angola-congo-brazil

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Grâce au développement et vente libre de drone, les incendies peuvent aujourd'hui être déclenchés n'importe où ! Les champs de céréales comme les forêts
      Le roi est sur le drone !
      Livraison d'armes, drogues et largage de grenade à 1000 m.

      Supprimer
  12. DoJ: En 2018, 64% des arrestations fédérales étaient des non-citoyens


    par Tyler Durden
    Vendredi 23/08/2019 - 15h30
    Écrit par Ivan Pentchoukov via The Epoch Times,


    Les non-citoyens ont représenté 64% de toutes les arrestations fédérales en 2018, selon les nouvelles données publiées le 22 août par le ministère de la Justice. Cette hausse est principalement due aux arrestations liées à l'immigration et au crime, qui ont atteint leur plus haut niveau depuis au moins deux décennies.

    Les autorités fédérales ont procédé à 108 667 arrestations pour crimes liés à l'immigration en 2018, soit une augmentation de plus de cinq fois par rapport aux 20 942 arrestations de 1998. Les arrestations liées à l'immigration ont représenté 95% de l'augmentation totale du nombre d'arrestations fédérales au cours des 20 dernières années, selon les données.

    Ces données montrent également une inversion du pourcentage d’arrestations de non-citoyens par rapport aux arrestations de citoyens américains. En 1998, les arrestations de citoyens représentaient 63% du total des arrestations. En 2018, les arrestations de non-citoyens atteignaient 64% du total.

    Dans un communiqué de presse accompagnant les données, le Bureau of Justice Statistics (BJS) a noté que, bien que les non-citoyens représentent 7% de la population américaine, ils ont commis 24% de toutes les arrestations de drogue fédérales, 25% de toutes les arrestations de biens fédéraux et 28% de toutes les arrestations de fraude fédérale.

    Le président Donald Trump a fait campagne en promettant de renforcer et d’appliquer les lois nationales sur l’immigration. Alors que le nombre total d'arrestations en matière d'immigration en 2018 a atteint le niveau le plus élevé en 20 ans, le nombre total d'arrestations en 2017 est le plus bas depuis 10 ans. L'augmentation du nombre total d'arrestations en 2018 a été alimentée presque entièrement par les arrestations d'immigrants.

    Bien que le rapport ne sépare pas les étrangers légaux des étrangers clandestins, les statistiques fédérales sur les incarcérations montrent que 93% des étrangers incarcérés dans des établissements fédéraux en 2018 étaient illégaux.

    Les non-citoyens du Mexique et d'Amérique centrale ont représenté 94% des arrestations liées à l'immigration en 2018. Les arrestations de non-citoyens d'Amérique centrale ont augmenté de 160% par rapport à 2017, tandis que les arrestations de personnes originaires du Mexique ont augmenté de 48%. Les autorités fédérales ont notamment arrêté en 2018 plus de ressortissants mexicains que de citoyens américains.

    «Les arrestations fédérales d’Amérique centrale ont été multipliées par 30 au cours des deux dernières décennies, passant de 1 171 en 1998 à 39 858 en 2018», a déclaré le BJS.

    Soulignant également le rôle de l'application des règles d'immigration dans les statistiques sur les arrestations, la déclaration du BJS a noté que la partie de toutes les arrestations survenues dans «les cinq districts judiciaires fédéraux situés le long de la frontière américano-mexicaine (sur 94 districts judiciaires dans le pays)» a presque doublé le cours de deux décennies de 33% à 65%.

    «En 2018, un quart de toutes les arrestations de drogue fédérales ont eu lieu dans ces cinq districts», selon le communiqué du BJS.

    RépondreSupprimer

  13. «Le nombre de centraméricains arrêtés dans ces cinq districts a presque triplé en un an, passant de 13 549 en 2017 à 37 590 en 2018.»

    En termes de poursuites, plus de 78% des non-citoyens ont été poursuivis pour réintégration illégale, trafic de clandestins et utilisation abusive de visas. Les poursuites les plus courantes contre des non-citoyens en dehors des infractions liées à l'immigration concernaient des drogues (13% du total) et des fraudes (4%).

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-23/doj-64-all-federal-arrests-2018-were-non-citizens

    RépondreSupprimer
  14. Tesla's Secret se couvre de panneaux solaires à combustion spontanée


    par Tyler Durden
    Vendredi, 23/08/2019 - 08:50
    La dissimulation est activée.


    Il y a quelques jours à peine, Walmart a intenté une action en justice contre Tesla en raison de la combustion spontanée de ses panneaux solaires au-dessus des magasins Walmart du pays. Maintenant, les détails de la dissimulation que Tesla a tenté de mettre en place en 2018 ont été divulgués et ont transformé en une histoire moche pour Tesla - poursuivie par Walmart - en une histoire encore plus moche.

    Au cours de l'été 2018, Tesla a lancé une entreprise de grande envergure appelée "Projet Titan", qui avait pour but de remplacer des éléments de panneaux solaires défectueux à travers les États-Unis, selon Business Insider. Les pièces en question sont des connecteurs - connecteurs Amphenol H4 - et des optimiseurs SolarEdge, deux éléments du panneau chargés de la régulation du flux d’énergie et de la chaleur.

    Le travail principal de ces pièces? En veillant à ce que le panneau reçoive le plus de puissance possible sans surchauffe, ce qui peut alors provoquer - vous l'aurez deviné - un incendie.

    Une enquête révèle que les «Millennials Digital Native» investissent dans les «marques en lesquelles ils croient»
    Tesla a même confirmé que la dissimulation avait lieu. Un porte-parole de la société a déclaré: "Une partie des modules et optimiseurs installés par SolarCity de différents fabricants ont été fabriqués avec des connecteurs H4 d'Amphenol, une pièce couramment utilisée dans le secteur à l'époque".

    Le même porte-parole a poursuivi en affirmant que Tesla avait seulement constaté qu'un "petit nombre" de connecteurs avait échoué: "Au cours de la dernière année, moins de 1% des sites équipés de ce connecteur ont présenté un comportement anormal. Tesla a tenu à ses engagements envers notre Les clients, qui s'attendent à ce que leurs installations solaires génèrent de manière fiable de l'énergie propre et à faible coût pour une durée de contrat de 10 à 20 ans. Cette campagne visant à remplacer les connecteurs défectueux sur ces sites permet à Tesla de respecter son engagement. "

    ... parle d'une ligne qui pourrait en faire une plainte modifiée, si Walmart en déposait une.

    Ces pièces ont ensuite été "mises en quarantaine" dans le cadre du projet, pour être ensuite retravaillées et remises sur les toits ou mises au rebut. Business Insider affirme qu'un document contenait 120 000 pièces devant être mises en quarantaine aux États-Unis, mais Tesla conteste ce nombre. Au lieu de cela, Tesla a appelé Project Titan "un effort de correction visant à limiter tout impact éventuel du connecteur, même si nous ne sommes au courant d'aucun fabricant ni d'aucun organisme de réglementation ayant déterminé l'existence d'un danger important".

    Walmart est un client de Solar City depuis 2010. La plainte de Walmart allègue que Tesla n'a pas géré et entretenu des panneaux solaires sur des centaines de toits à travers les États-Unis, en violation de l'accord de la société.

    Walmart affirme que cette négligence a provoqué des incendies sur sept toits dans des États allant de l'Ohio à la Californie. Walmart a également affirmé que la mise hors tension des panneaux solaires ne les empêchait pas de prendre feu:

    RépondreSupprimer
  15. "En novembre 2018, Walmart a découvert qu'un autre incendie s'était déclaré dans un magasin Walmart de Yuba City, en Californie, alors même que les panneaux solaires de ce magasin avaient été mis hors tension depuis juin 2018. Les fils sur le toit du magasin produisaient encore des étincelles l’époque où Walmart a découvert le feu et aurait pu allumer des flammes plus étendues, avec des conséquences potentiellement dévastatrices. "

    En mars 2018, un incendie sur le toit d'un Walmart équipé de panneaux solaires a été installé à Beavercreek, dans l'Ohio. L’incendie a provoqué la fermeture du magasin pendant huit jours et, un mois après, Tesla n’arrivait toujours pas à trouver une solution. Le modèle de panneau solaire devant être remplacé n’était pas en stock et la société ne savait pas comment remplacer l’unité endommagée sur le toit.

    La commande de toutes les pièces nécessaires à l'exécution de "Project Titan" - y compris les échelles, les courroies d'outils et les pièces de rechange - s'est déroulée de manière échelonnée. En décembre 2018, 188 camions ont été envoyés dans près de 50 villes pour remplacer les connecteurs défectueux et les optimiseurs. En avril 2019, Tesla essayait toujours de "peaufiner" ses procédures. La société a même annoncé début avril que les équipes de réparation devaient utiliser des pièces remises à neuf pour remplacer les optimiseurs et les connecteurs endommagés.

    Un ancien employeur a déclaré:

    "C'est comme ça que tout se passe. Nous réglons les problèmes au fur et à mesure. Il n'y a pas de planification à venir. Il y a trop d'incendies à éteindre. Le jeu de mots était destiné."

    Walmart affirme que Tesla n'a inspecté que 29 des 240 sites équipés de toits solaires Tesla jusqu'au jour du procès. Cependant, jeudi soir, il semblerait que Musk ait peut-être encore mieux maîtrisé les dégâts, les deux sociétés ayant publié une déclaration commune concernant le procès:

    "Walmart et Tesla ont hâte de régler tous les problèmes et de redynamiser les installations solaires Tesla dans les magasins Walmart, une fois que toutes les parties sont convaincues que toutes les préoccupations ont été résolues."

    "Ensemble, nous avons hâte de parcourir notre objectif commun d'un avenir énergétique durable", a poursuivi le communiqué. "Les deux sociétés souhaitent avant tout que chaque système fonctionne de manière fiable, efficace et sûre."

    Tesla vient-il de réaliser à quel point l'optique de la situation était horrible ? Si tel est le cas, la question devient: qu'est-ce que Tesla a offert à l'un des plus grands détaillants du monde en guise de concession, afin de les amener à jouer au ballon et à publier une déclaration comme celle-ci ?

    Nous aimerions dire que nous "sommes impatients de le savoir", mais étant donné que la catastrophe catastrophique provoquée par des panneaux solaires avec l'un des clients les plus connus de Solar City n'a jamais été divulguée ni classée dans un fichier 8-K, nous ' ne pas garder espoir.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-23/teslas-secret-spontaneously-combusting-solar-panel-cover-0

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Tout ce qu'il touche et fabrique prend feu ou est accidenté !
      Seulement 99 % des voitures électrique sont dangereuses !

      Supprimer
  16. David Einhorn: "Elon Musk devrait démissionner" après le scandale des panneaux solaires


    par Tyler Durden
    Vendredi 23/08/2019 - 12:40


    Le vendeur à découvert de Tesla, David Einhorn, est resté principalement maman au cours des derniers trimestres, bien que le stock de Tesla ait plongé depuis le début de 2019. Mais, compte tenu des nouveaux détails "explosifs" (jeu de mots très recherchés) de la controverse la plus récente concernant le panneau solaire de Tesla, Einhorn a a finalement brisé son silence de façon considérable.

    Vendredi, sur Twitter, Einhorn a appelé à la démission du président-directeur général de Tesla, Elon Musk, citant la dissimulation massive de panneaux solaires défectueux qui a finalement provoqué sept incendies dans les locaux de Walmart et un procès intenté plus tôt cette semaine contre Tesla par Walmart.

    "Combien de panneaux solaires sont encore défectueux et pourraient provoquer des incendies?" Demanda Einhorn. "Un rappel aurait dû se produire il y a longtemps. Elon Musk devrait démissionner."

    Pourquoi David Einhorn parie-t-il sur la dette des entreprises ?
    "Vous ne devriez pas être Walmart pour réparer vos dangereux panneaux solaires", a t-il poursuivi.

    Les actions de Tesla ont plongé dans les premières transactions jeudi après le Tweet.

    - voir graphique sur site -

    Comme nous l'avions annoncé plus tôt dans la journée, Walmart affirme que Tesla n'a inspecté que 29 des plus de 240 sites équipés de toits solaires Tesla jusqu'au jour du procès. Cependant, jeudi soir, il semblerait que Musk ait peut-être encore mieux maîtrisé les dégâts, les deux sociétés ayant publié une déclaration commune concernant le procès:

    "Walmart et Tesla ont hâte de régler tous les problèmes et de redynamiser les installations solaires Tesla dans les magasins Walmart, une fois que toutes les parties sont convaincues que toutes les préoccupations ont été résolues."

    "Ensemble, nous avons hâte de parcourir notre objectif commun d'un avenir énergétique durable", a poursuivi le communiqué. "Les deux sociétés souhaitent avant tout que chaque système fonctionne de manière fiable, efficace et sûre."

    Nous avons également posé la question suivante: qu'est-ce que Tesla a offert à l'un des plus grands détaillants du monde en guise de concession, afin de les amener à jouer au ballon et à publier une déclaration comme celle-ci ?

    Nous aimerions dire que nous "sommes impatients de le savoir", mais étant donné que la catastrophe catastrophique de panneaux solaires avec l'un des clients les plus connus de Solar City n'a jamais été divulguée ni classée dans un fichier 8-K, nous ' ne pas garder espoir.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-23/david-einhorn-elon-musk-should-resign-over-solar-panel-scandal

    RépondreSupprimer
  17. Les USA essayent-ils de s’emparer du plus grand réservoir d’eau douce d’Amérique latine ?


    22:42 23.08.2019


    Les États-Unis augmentent leur présence militaire en Amérique latine. Ils ont accordé au Brésil un statut d’allié clé en dehors de l’Otan et construisent une base militaire à la frontière avec l’Argentine, le Brésil et le Paraguay. Deux analystes, un Uruguayen et un Argentin, ont révélé à Sputnik le véritable objectif de Washington, selon eux.

    Les États-Unis sont militairement de plus en plus présents en Amérique latine. Ils ont notamment attribué au Brésil un statut d’allié privilégié en dehors de l’Otan et déploient leur base militaire dans une zone frontalière avec l’Argentine, le Brésil et le Paraguay.

    «Les militaires américains y sont déjà. La construction de leur base bat son plein», a déclaré à Sputnik l’homme politique uruguayen Wilson Ferreira Aldunate.

    Selon Ernesto Lopez, directeur de l’Institut argentin des problèmes nationaux près de l’Université nationale de Lanus, l’objectif déclaré par Washington, notamment la lutte contre le narcotrafic et autres crimes très courants dans cette zone, n’a rien à voir avec la réalité.

    Pour M.Lopez, la présence des États-Unis dans tel ou tel pays n’a jamais eu d’impact positif sur la réduction du taux de criminalité, mais a plutôt eu un effet négatif. Il a dit en avoir reçu des preuves concrètes quand il était en poste en tant qu’ambassadeur au Guatemala. À l’époque, il a pu constater l’impunité absolue des criminels engagés «dans le trafic de drogue et d’armes, ainsi que dans le blanchiment d’argent» et ce, malgré la «lutte» de Washington contre ces crimes.

    Il est évident, relève l’expert, que l’élargissement de la présence militaire américaine en Amérique latine a d’autres objectifs, dont le principal est de s’emparer des ressources naturelles dont regorge cette région.

    «Il s’agit, entre autres, du lithium», souligne l’Argentin.

    Et d’ajouter que l’intérêt manifesté par les États-Unis à la «Triple Frontière» qui sépare le Brésil, l’Argentine et le Paraguay n’était sans doute pas dû au hasard.

    «Des recherches y ont révélé un gigantesque gisement d’eau potable, sans doute la réserve la plus importante du monde», a précisé Ernesto Lopez.

    L’aquifère Guarani est une nappe d’eau faisant partie des plus grandes réserves du monde. Cette gigantesque réserve d’eau douce s’étend sur quatre pays. L’Argentine, le Brésil, le Paraguay et l’Uruguay se partagent l’aquifère Guarani, le troisième réservoir d’eau douce de la planète en terme de volume, évalué aujourd’hui à 55.000 kilomètres cubes et recouvrant une surface de près de 1,2 million de kilomètres carrés.

    L’eau constitue une ressource déjà rare aux États-Unis, de même qu’en Europe, en raison des sécheresses qui y sévissent périodiquement. Dans un tel contexte, l’aquifère Guarani suscite de nombreuses convoitises.

    https://fr.sputniknews.com/international/201908231041976252-les-usa-essayent-ils-de-semparer-du-plus-grand-reservoir-deau-douce-damerique-latine/

    RépondreSupprimer
  18. Le plus petit moteur du monde mis au point par des scientifiques


    21:09 23.08.2019


    Les scientifiques ont conçu un moteur constitué d'un seul ion de calcium. À l'avenir, de tels moteurs pourraient être intégrés à d’autres technologies destinées à recycler la chaleur perdue et ainsi améliorer l'efficacité énergétique.

    Des chercheurs du Trinity College de Dublin en Irlande ont mis au point le plus petit moteur du monde constitué d'un seul ion de calcium. Ils ont mené une étude expliquant l'effet des oscillations aléatoires sur le fonctionnement des machines atomiques.

    Comme ce moteur est chargé électriquement, il est facilement piégeable par un champ électrique. Et son spin — soit son moment angulaire intrinsèque — est utilisé pour convertir la chaleur issue de faisceaux lasers en vibrations.

    Ces vibrations agissent comme un volant d’inertie qui capte l'énergie utile générée par le moteur. Une énergie stockée sous forme de quantum.

    Ces vibrations ont permis aux scientifiques de mesurer la puissance réelle d'un moteur à l'échelle atomique et de résoudre ainsi pour la première fois le quantum d’énergie unique.

    Selon les physiciens, cette invention ouvre une nouvelle ère dans l'étude des technologies énergétiques et la compréhension des spécificités de la thermodynamique à l'échelle nanométrique revêt une grande importance pour leur développement.

    https://fr.sputniknews.com/insolite/201908231041975719-le-plus-petit-moteur-du-monde-mis-au-point-par-des-scientifiques/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Le calcium est aussi l'autre nom du tartre et du calcaire.

      Supprimer

  19. Les conditions clés pour qu’une planète puisse accueillir la vie établies par des chercheurs


    22:51 23.08.2019


    Une condition clé pour que la vie soit possible sur n’importe quelle planète a été révélée par des scientifiques américains. Ils ont conclu que le phénomène de la remontée des eaux du fond des océans pouvait donner naissance à des organismes vivantes sur une planète, relate Phys.org.

    Des scientifiques américains de l'Université de Chicago ont constaté que certains exoplanètes pouvaient proposer de meilleures conditions que la Terre pour accueillir la vie. Les chercheurs ont défini l’un des facteurs clefs contribuant à la naissance d’organismes, et ont expliqué dans quels cas c’était possible, relate le site Phys.org.

    Les chercheurs ont modélisé les conditions climatiques, environnementales et océaniques probables sur divers types des planètes avec l'aide du logiciel ROCKE-3-D élaboré par l'Institut Goddard d'études spatiales (GISS) de la Nasa.

    L’une des conditions favorables au développement de la vie est la remontée de l'eau. Il s’agit d’un phénomène océanographique qui se produit quand de forts vents poussent l'eau à la surface des océans, laissant ainsi un vide qui permet aux eaux du fond de remonter avec une quantité importante de nutriments.

    Les scientifiques ont ainsi conclu que les planètes présentant une atmosphère plus dense que celle de la Terre, avec une rotation assez lente et une importante quantité de masse de terre à leur surface, présenteraient une grande vitesse de remontée de l'eau et réuniraient ainsi les conditions nécessaires pour accueillir la vie. Cependant, les chercheurs tiennent à souligner que la présence d'eau liquide sur la planète n’est pas forcément liée à la présence d’organismes vivants. Ainsi, les planètes-océans, qui ne présentent pas de masses de terre, peuvent être privés de la vie.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201908231041976135-les-conditions-cles-pour-quune-planete-puisse-accueillir-la-vie-etablies-par-des-chercheurs-/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. (...) L’une des conditions favorables au développement de la vie est la remontée de l'eau. Il s’agit d’un phénomène océanographique qui se produit quand de forts vents poussent l'eau à la surface des océans, laissant ainsi un vide qui permet aux eaux du fond de remonter avec une quantité importante de nutriments. (...)

      HAHAHAHA ! La vie dépendrait du bon tirage de la cheminée !! Plus CON que çà y a pas !

      Avec ou sans vent extérieur, les sources chaudes sous-marines et sous-océaniques expulsent continuellement des milliards de produits toxique et de gaz (les poissons vivent dedans) et, la vie sur terre n'a pas attendu que le Mistral se lève !

      Supprimer
  20. 7 erreurs qui coûtent une fortune aux consommateurs


    Redactie Expres
    23 août 2019


    Les consommateurs n’ont jamais eu autant d’options d’achats qu’aujourd’hui. Trouver des aubaines n’a jamais été aussi facile qu’aujourd’hui, mais dépenser beaucoup d’argent, l’est aussi. Le blog financier de MSN répertorie sept erreurs qui coûtent beaucoup d’argent aux consommateurs d’aujourd’hui.

    1. Les achats compulsifs
    Beaucoup de gens font du shopping non pas parce qu’ils ont besoin de quelque chose, mais parce qu’ils s’ennuyent, ou par pure habitude.
    Résistez à votre envie de faire du shopping loisir en respectant un budget hebdomadaire, en laissant vos cartes de crédit à la maison ou en ne vous promenant pas dans un centre commercial si vous vous ennuyez.

    2. La publicité
    L’ère numérique exacerbe plus que jamais nos tentations. Les sites Web de commerce électronique deviennent de plus en plus intelligents et agressifs.
    Des publicités personnalisées vous suivent sur le site Web sur lequel vous naviguez. Désabonnez-vous des listes de diffusion et fermez quelques comptes sur des sites commerciaux, conseille le blog financier.

    3. Les nouvelles technologies
    Toujours vouloir disposer des dernières technologies peut coûter très cher. Il n’y a rien de mal à attendre quelques mois pour ce type d’achats.
    De plus, si vous attendez, non seulement le prix baissera, mais les fabricants auront également le temps de réparer les bugs et autres défauts de l’appareil en question.

    4. Acheter des plats préparés
    Cela est particulièrement vrai pour vos achats d’épicerie hebdomadaires. Les plats cuisinés sont plus pratiques, mais aussi beaucoup plus chers.
    Consacrer quinze minutes supplémentaires chaque jour à la cuisine peut vous faire économiser beaucoup d’argent à long terme.

    5. Les marques
    Parfois, il est avantageux d’acheter des marques, et parfois non. L’étiquette d’une grande marque n’est pas toujours le gage d’une meilleure qualité.
    Vous pouvez réduire de moitié le prix de nombreuses courses en achetant des marques génériques, sans avoir à faire de compromis sur la qualité.

    6. Les bonnes affaires
    Même les acheteurs prudents ne peuvent souvent pas résister à la tentation de faire des achats en gros à des prix de liquidation.
    Attendre de bonnes affaires est souvent une bonne idée, mais pas si vous commencez à acheter de grandes quantités de produits inutiles.

    7. Les bons de réduction
    Certains semblent considérer la collecte de coupons de réduction comme une discipline olympique.
    N’achetez pas de choses dont vous n’avez pas besoin uniquement parce que vous avez un bon de réduction. Utilisez-le intelligemment et ne l’utilisez que pour des produits que vous auriez achetés de toute façon (éventuellement, échangez les autres avec des amis).

    https://fr.express.live/7-erreurs-achats/

    RépondreSupprimer
  21. La maladie de Panama ou « sida de la culture de la banane » atteint l’Amérique du Sud et c’est une catastrophe


    Dominique Dewitte
    22 août 2019


    La maladie de Panama, un champignon incurable qui a affecté les espèces de bananes les plus importantes au monde, a également atteint l’Amérique du Sud. Ce continent est le plus grand exportateur du fruit au monde.

    La maladie de Panama est le nom populaire d’un champignon (fusariose) qui tue les bananiers dans le monde entier depuis un siècle. Ces dernières années, la maladie s’est propagée sous une nouvelle forme, encore plus meurtrière, de l’Asie du Sud-Est aux plantations d’Afrique, au Moyen-Orient et en Australie. Maintenant que le champignon a également atteint l’Amérique latine (responsable de plus de 70 % des exportations mondiales de bananes), les experts craignent le pire pour le fruit préféré.

    La Colombie, le cinquième plus grand exportateur de bananes au monde, a déclaré l’état d’urgence après la découverte du champignon dans une plantation de 175 hectares.

    Le géant des fruits Chiquita a toujours qualifié le risque de limité. La production de bananes d’Amérique latine n’était pas immédiatement menacée, disait-on, mais cela s’est révélé trop optimiste. Après tout, ce n’est pas la première fois que la banane commerciale disparaît complètement disparu : cela était déjà arrivé au Gros Michel au cours du siècle dernier. Maintenant c’est au tour de la Cavendish.

    Après les bananes Gros Michel, c’est au tour des Cavendish
    Jusqu’aux années 1950, le Gros Michel était pratiquement la seule banane cultivée pour l’exportation, en raison de son goût sucré et crémeux et de sa résistance à toutes sortes de maladies. Jusqu’à ce qu’une première variété de la maladie de Panama la stoppe. La banane Cavendish, cependant, était résistante et les producteurs se sont tournés vers elle, malgré le goût plus fade et les coûts énormes.

    95 % de toutes les bananes actuellement consommées par l’homme sont de la variété Cavendish. La nouvelle version du champignon de la maladie de Panama est encore plus meurtrière que celle qui a éradiqué le Gros Michel (et a endommagé 2,3 milliards de dollars soit 13,23 milliards d’euros courants en dégâts). Pire, presque toutes les autres variétés de bananes sont également sensibles au champignon et il n’existe donc aucune alternative.

    Si les Cavendish devaient également succomber à la maladie de Panama, les conséquences seraient désastreuses. En effet, la banane est la quatrième culture la plus précieuse et elle manquerait beaucoup aux consommateurs. Plus important encore, 400 millions de personnes en dépendent pour 15 à 27 % de leurs calories quotidiennes. Pour des millions d’autres, la Cavendish est leur principale source de revenus.

    Selon les spécialistes, il faudra pas moins de 5 à 6 ans pour cultiver une nouvelle variété de bananes résistante au champignon de la maladie de Panama et pouvant plaire aux consommateurs en termes de goût et de qualité.

    Pourquoi la maladie de Panama (le « HIV de la banane ») est-elle si dangereuse ?

    Le champignon infecte silencieusement la racine du plant de bananier. Il s’accapare ensuite son approvisionnement en eau et en éléments nutritifs, ce qui entraîne la mort de toute la plante.

    RépondreSupprimer
  22. Il n’y a aucun moyen de combattre la maladie. Quand il est détecté dans une plantation, il est déjà trop tard. Il n’y a alors plus rien à faire.

    Les spores du champignon se fixent sur les chaussures, les machines, les bagages et plus encore. Cela permet au champignon de se propager très rapidement et efficacement.
    Le champignon est un survivant. Les spores peuvent entrer en sommeil en silence pendant des décennies après la mort d’une plante infectée jusqu’à l’apparition d’une nouvelle proie.

    Les symptômes sont très similaires à ceux d’autres variétés antérieures du champignon, que l’on parvient à contrôler. Les agriculteurs risquent donc de perdre leurs récoltes en raison de la maladie sans s’en rendre compte.

    La monoculture industrialisée de bananes Cavendish relativement faibles ne donne aucune chance à ces dernières contre le champignon de la maladie de Panama. Il a évolué pour concurrencer les bananiers sauvages les plus robustes et les plus résistants des forêts tropicales humides de Malaisie.

    https://fr.express.live/bananes-cavendish-maladie-de-panama/

    RépondreSupprimer
    Réponses

    1. Après les attaques de papillons Monarch sur tous les palmiers (Côte d'Azur touchée-coulée !), c'est au tour des bananiers. D'où l'obligation de mettre en place au plus vite des produits de traitement pour sauver l'agriculture attaquée de toute part afin que la famine puisse gagner le monde ! C'est un lobbying hégémonique qui a court depuis qq années en passant par le faux 'réchauffement climatique', le faux poison du gaz carbonique et l'escroquerie de faire payer l'eau gratuite !

      Supprimer
  23. Pour l'Afrique, la voie à suivre consiste à adopter la technologie, pas à la craindre !


    24 Août 2019
    par Seppi
    Motlatsi Musi*


    Quand j’ai entendu parler pour la première fois des activistes qui voulaient retirer les produits de protection des plantes à des agriculteurs africains comme moi, je ne pouvais pas y croire. Veulent-ils vraiment nous ramener à l'âge de pierre ?

    C’est ce qui se produirait si nous perdions l’accès au glyphosate et à d’autres technologies sûres qui nous aident à défendre ce que nous cultivons contre les mauvaises herbes, les parasites et les champignons. Une situation déjà mauvaise en Afrique deviendrait pire encore.

    Nous devons éviter ce sort à tout prix – et cette semaine [le texte original a été mis en ligne le 17 mai 2019], la situation est devenue un peu plus difficile car un jury américain en Californie a accordé plus de 2 milliards de dollars de dommages et intérêts à un couple qui alléguait un lien entre le glyphosate et le cancer.

    Musi est apparu dans le documentaire ‘Food Evolution’.

    Ici, en Afrique du Sud, j'ai utilisé du glyphosate pendant au moins une douzaine d’années, depuis que le maïs et le soja résistants à cet herbicide sont devenus disponibles pour les petits agriculteurs. D'autres agriculteurs de mon pays ont utilisé le glyphosate depuis les années 1970. Nous convenons tous que cela nous aide à vaincre les mauvaises herbes qui font concurrence à nos cultures pour l’eau et les nutriments. C’est un outil sûr et éprouvé.

    Je n'ose pas penser à ce qu'il adviendrait de l'agriculture africaine en l'absence de protection des cultures. Notre continent traîne derrière le reste du monde dans la production alimentaire. Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture, plus de 250 millions d'Africains souffrent de malnutrition. Cela représente 21 % de la population totale de mon continent – et c’est presque le double du taux de malnutrition en Asie (environ 11 %) et plus de quatre fois celui de l’Amérique du Sud (environ 5 %).

    Motlatsi dans sa ferme.

    Et pourtant, nous pourrions prendre encore plus de retard. À l'heure actuelle, nous ne faisons que lutter pour produire la nourriture dont nous avons besoin. Dans un monde sans protection des plantes, nous échouerions complètement. Beaucoup d'entre nous deviendraient des agriculteurs de subsistance qui survivent à peine. Plutôt que de vendre des aliments aux consommateurs, nous devrions les garder pour nous-mêmes.

    J’ai vu une protection des cultures déficiente conduire à des catastrophes agricoles. Un groupe d'activistes se présentera et encouragera les petits agriculteurs à cesser d'utiliser des produits conventionnels de protection des plantes. Ses membres colporteront une théorie sur la valeur des culture associées, sur les moyens d'attirer les insectes prédateurs ou quelque chose du genre. Mais ces tentatives de défier les leçons de l'agriculture moderne ne fonctionnent pas. Les agriculteurs et les consommateurs en font toujours les frais.

    Au 21e siècle, nous devons adopter la technologie, ne pas en avoir peur. Pour l’Afrique, la voie à suivre consiste à choisir les bonnes semences, à cultiver les meilleures plantes et à utiliser les meilleurs produits de protection des plantes afin que nous puissions profiter de récoltes abondantes.

    RépondreSupprimer
  24. Je serai le premier à admettre que de nombreux agriculteurs doivent lire plus attentivement les instructions sur les étiquettes de leurs bidons de produits, car ils ne les utilisent pas toujours correctement. Mais c’est un argument pour une meilleure éducation, pas pour l’élimination de bons produits.

    En protégeant mes cultures, je produis plus de nourriture sur moins de terre. C’est donc un élément important de l’agriculture durable. Pourtant, il ne suffit pas de produire de la nourriture. Grâce au glyphosate, je n’ai pas à lutter contre les mauvaises herbes en bouleversant mon sol avec des labours profonds. Cela signifie que le glyphosate protège non seulement mes cultures des mauvaises herbes mais également mes champs de l'érosion des sols.

    Des herbicides moins efficaces m'obligeraient à passer avec mon tracteur plus souvent dans mes champs, ce qui augmenterait mes coûts en carburant et les prix à la consommation. Cela augmenterait les gaz à effet de serre que je libère dans l'atmosphère. Avec le glyphosate, cependant, je séquestre le dioxyde de carbone et je fais ma petite part pour prévenir les changements climatiques.

    Mais ce n’est pas tout. Peu de gens comprennent un autre défi et la manière dont il menace d’aggraver les problèmes déjà rencontrés par les agriculteurs africains.

    Même avec la protection des cultures, nous avons du mal à convaincre nos enfants de nous suivre dans l’agriculture. Ils sont attirés par la vie urbaine et se demandent s’il y a un avenir dans l’agriculture. Si nous devons leur dire que l’agriculture signifie soudainement retourner en arrière et revenir à la pratique obsolète du désherbage manuel, nous aurons encore moins de succès dans nos efforts pour les persuader de choisir des carrières dans l’agriculture.

    L'Afrique risquerait de manquer d'agriculteurs.

    Qu'est-ce que cela voudra dire dire ? Quelque chose me dit que chaque fois que nous lisons à propos d’un bateau de réfugiés qui se noient en Méditerranée, nous entrevoyons ce qui pourrait nous attendre. Les personnes affamées feront des choses désespérées – et une Afrique qui ne protège pas ses cultures deviendrait l'endroit le plus désespéré de la planète.

    Les Africains vont tout risquer pour échapper au nouvel âge de pierre.

    L’apparition de Musi dans « Food Evolution » est un témoignage puissant d’un petit exploitant agricole qui en avait marre d’être commandé par des militants extérieurs défendant leurs propres intérêts.
    _______________

    M. Motlatsi Musi produit du maïs, des haricots et des pommes de terre, et élève des porcs reproducteurs et des vaches sur 21 hectares qu’il a acquis en 2004 par le biais du Programme de Redistribution des Terres pour le Développement Agricole (LRAD). Le Prix Kleckner de 2017 lui a été décerné le 17 octobre 2017 à Des Moines, Iowa.

    Source : https://globalfarmernetwork.org/2019/05/for-africa-the-way-forward-is-to-embrace-technology-not-fear-it/

    http://seppi.over-blog.com/2019/08/pour-l-afrique-la-voie-a-suivre-consiste-a-adopter-la-technologie-pas-a-la-craindre-4.html

    RépondreSupprimer
  25. LES PAYS DU G7 FAVORISENT LES INÉGALITÉS, SELON OXFAM


    par MARIE-EVE WILSON-JAMIN
    23/08/2019


    Les 20% les plus riches perçoivent environ 45% du total des
    rémunérations.

    Oxfam estime que le G7 "favorise les inégalités". L'ONG dénonce le modèle capitaliste et néolibéral mis en place par les superpuissances mondiales, alors que les inégalités s'accroissent toujours plus.

    Une étude de l'ONG Oxfam, publiée jeudi 22 août à deux jours de l'ouverture du sommet du G7 de Biarritz, estime que les dirigeants de ces sept pays "favorisent activement ces inégalités dans leurs pays et dans le monde entier."

    Les inégalités s'aggravent dans les pays du G7

    "Les inégalités de revenus se sont aggravées dans tous les pays du G7 depuis les années 1980. Les 20% les plus pauvres de la population des pays du G7 ne touchent, en moyenne, que 5% du total des rémunérations, tandis que les 20% les plus riches en perçoivent environ 45%", relate un document de l'ONG.

    Pour rappel, le G7 2019 est consacré à "la lutte contre les inégalités". Oxfam déplore que le groupement des superpuissances mondiales "ne parvient pas à prendre des mesures concluantes pour combler le fossé entre riches et pauvres". Et de dénoncer "une mainmise sur les politiques publiques" par les grandes fortunes et les entreprises, ainsi que "la priorité aux actionnaires" du modèle de capitalisme néolibéral, imposé par le G7 "dans le monde entier".

    Des investissements réclamés "dans des services universels publics et gratuits"

    Pauline Leclère, responsable de campagne "justice fiscale et inégalités" chez Oxfam France, réagit sur Sud Radio : "La France ne fait pas exception, c'est très mauvais élève en matière d'inégalités. Quant à la justice fiscale, nous nous mobilisons pour alerter sur l'injustice fiscale mise en place par Emmanuel Macron, depuis son arrivée au pouvoir. Pour lutter contre les inégalités, il faut actionner un levier majeur, celui de l'impôt. Or, la politique mise en place favorise les plus fortunés et les multinationales".

    L'ONG réclame au final "des plans concrets avec une date butoir claire", "l'introduction d'un taux effectif d'imposition minimum dans tous les pays, fixé à un niveau ambitieux" et des investissements "dans des services universels publics et gratuits".

    http://www.economiematin.fr/news-pays-g7-favorisent-inegalites-oxfam

    RépondreSupprimer
  26. Koch et Soros s'unissent pour censurer Internet


    Par Mac Slavo
    SHTFplan.com
    24 août 2019


    Les milliardaires conservateurs et de gauche se sont associés pour censurer Internet. Il semble que les élitistes des deux côtés de l'allée politique essaient de s'assurer que vous n'obtenez que les informations qu'ils souhaitent.

    Les organisations créées par l'aile gauche George Soros et le néo-conservateur Charles Koch ont travaillé ensemble sur une priorité essentielle des néolibéraux et néo-conservateurs mondialistes: la censure d'Internet, selon Breitbart News. La censure étant nécessaire pour la tyrannie, il est donc logique que ceux qui ont besoin du gouvernement pour asservir l’humanité travaillent ensemble pour atteindre les moyens de parvenir à une fin.

    L'année dernière, l'Institut Charles Koch a annoncé son soutien au «After Charlottesville Project», une initiative organisée par la Ligue anti-diffamation (ADL) visant à lutter contre «l'extrémisme en ligne».

    Les promoteurs de cette initiative sont Comcast, NBC Universal, la Fondation Kresge et la George Soros Charitable Foundation.

    Parmi les autres groupes impliqués dans le projet, on compte une foule d’organisations financées par Soros, notamment «Hope not Hate», l’équivalent britannique du SPLC (parti d'extrême gauche) et le Forum national sur l'immigration, favorable à l'immigration.

    L'ancien groupe, Hope not Hate, a la réputation d'être un extrémiste d'extrême gauche. Le militant libéral anti-extrémiste Maajid Nawaz les a accusés d '"incendies de livres" après avoir annoncé une campagne visant à interdire les livres prétendument "racistes" par les grands détaillants. Il a également été contraint de se rétracter une année contre un militant juif pro-israélien l'année dernière.-Breitbart News

    L’Institut Charles Koch, considéré jadis comme une ennemie conservatrice de la gauche, s’est maintenant aligné sur ce groupe d’agitateurs de gauche censeurs de la censure et anti-Trump. Lorsqu'il s'agit de censurer Internet, les institutions à la fois progressistes et «conservatrices» semblent converger vers une position commune.

    L'Institut Charles Koch semble désormais également déterminé à faire progresser la censure sur Internet et à s'aligner sur le totalitarisme et l'esclavage au détriment de la liberté et des principes libertaires. Koch est maintenant pour la «modération de contenu», comme ils l'appellent. Sarah Ruger, directrice des «initiatives pour la liberté d’expression» à l’Institut, a félicité Airbnb d’avoir annulé les réservations des militants d’extrême droite et a appelé à ce que «la haine en ligne» soit traitée comme un «virus».

    Comme toujours, il y a un éléphant dans la pièce - qu'est-ce qui compte comme "haine en ligne ?" Est-ce une remise en question du récit officiel ? Est-ce que c'est condamner les autoritaires qui font du mal aux autres ? Est-il du côté de la moralité même s'il contredit l'existence du gouvernement? Qu'est-ce que la «haine en ligne» au juste et qui décide si vous êtes haineux ?

    Réimprimé avec la permission de SHTFplan.com.

    https://www.lewrockwell.com/2019/08/mac-slavo/koch-and-soros-unite-to-censor-the-internet/

    RépondreSupprimer
  27. Savoir vivre au delà du pognon - les 3 piliers


    Charles Dereeper
    jeudi, 22 août 2019 14:52


    "Bonjour Charles,
    Cela fait pas mal d'années que je lis tes chroniques, elles sont globalement bien "écrites", et voici ce que je pense de tout cela, et de tous ceux qui veulent gagner toujours toujours toujours...plus de pognon ! bla bla bla dollars bla bla bla euros bla bla bla yuans bla bla bla dividendes bla bla bla etc... ne crois tu pas que lorsque tu en a assez (de fric) pour vivre, te payer des vacances, une bagnole, une baraque, un resto, un voyage, que sais-je ??? de profiter de la vie tout simplement, que ce n'est pas cela le vrai bonheur, et non pas toujours toujours essayer de gratter un $, €, etc...cette course à l'échalotte est sans fin, alors que tu vis sur une planète finie ou presque. Perso, je crois qu'il (le monde) va falloir changer de logiciel. Un proverbe indien qui dit (approximativement mais tu en comprendras parfaitement le sens): quand l'homme aura coupé le dernier arbre, manger le dernier poisson (je rajoute pomper le dernier litre de pétrole), et bien l'homme disparaitra.
    Bonne journée et essaye de rajouter quelques dollars sur ton compte en banque.
    Cordialement "

    C'est un bon sujet cet email du jour.

    Au delà du fait que chacun a ses passions et que la mienne est les marchés financiers et l'entrepreneuriat, ce qui fait que je ne gagne pas de l'argent pour obtenir du pouvoir d'achat mais parce que j'adore ce jeu, on ne peut pas ventiler le sens de la vie sur la polarité oisiveté ou pognon.

    Dans l'idéal occidental, l'oisiveté est la finalité alors qu'on sait que les assureurs vie ont chiffré qu'on perdait jusqu'à 4 ans en moyenne de vie sur des millions d'individus à s'éteindre en profitant sans rien faire... L'homme est génétiquement programmé pour lutter.

    Cette question de savoir profiter de la vie est si inaccessible pour la majorité des humains.

    Pour ma part, la réponse n'est pas en achetant des objets. Il faut un certain confort et une certaine sécurité, mais au delà de 1M€, le bénéfice direct de l'argent décline rapidement.

    La réponse repose sur 3 piliers.

    Le premier est la créativité. Quand on créé, on est heureux, ce qui scientifiquement signifie qu'on ne voit plus du tout le temps passer. Toute ma créativité passe par le pognon. Je pense que c'est par la créativité qu'on peut atteindre la grâce.

    Le deuxième est le groupe d'hommes (et j'insiste sur homme, le code source des femmes est l'amour pour leurs enfants, mais elles sont incapables d'aimer ni leur mari ni leurs amies durablement et en profondeur et dans l'adversité). Je pense et c'est prouvé par la science, que ce soit au niveau hormonal ou par les recherches d'Harvard sur 7 décennies, que le lien entretenu par les hommes dans les difficultés communes fait sortir en eux la fraternité, qui est un sentiment parmi les plus nourrissants si ce n'est pas le numéro 1 avec l'instinct de protection de son enfant. Des militaires sur un théâtre d'opérations, des sportifs en groupe s'affrontant au plus haut niveau, des missions dans des associations à intérêt général... Charles et Oscar (et les frères d'Oscar) dans la jungle du Costa Rica en train d'essayer de faire aboutir leur vision... il y a des liens qui se créént pour l'éternité qu'aucune noirceur humaine ne peut tâcher.

    RépondreSupprimer
  28. Quand je regarde mon futur après mes 46 ans, je pense faire passer la part de mon emploi du temps pour ce deuxième sujet à au moins 20%. C'est la drogue dure qui paye le plus en terme de vie humaine. L'occident en entier a un souci avec cela. On court tous après des chimères qui ne délivrent au final aucune valeur réelle qui compte à nos yeux. En tous les cas, c'est le meilleur moyen que je connaisse pour profiter de ma vie. Et je compte bien en faire mon cheval de bataille. Le lien avec un autre humain, avec engagement, profondeur, à nu sans tricherie ni manipulation, la réciprocité, la gratuité et le don... surtout quand la situation devient difficile, un lien qui ne déserte pas (car le lien en période de beau temps, c'est un lien facile dont on ne connaît pas la vraie valeur, l'épreuve est nécessaire pour forger un lien sacré)...

    Je pense qu'à ce stade, du fait que la terre est contrôlée par la peur, les humains ne savent pas vivre le lien à un autre et se coupent "de ce plaisir des dieux". Se lier en dehors du névrotique, c'est pour eux le truc le plus dangereux. Cela les pétrifie.

    C'est un peu normal. Ils ont tous déjà expérimenté un lien de la sorte dans leur enfance et ca s'est soldé pour tous par un score ambivalent qui pique pour les plus chanceux à qui détruit pour les moins chanceux... comment se risquer à recommencer une opération aussi périlleuse... ?

    Le troisième pilier, c'est le grand nettoyage et la libération partielle de la matrice et du transgénérationnel familiale.

    L'argent ne contribue que très peu effectivement mais qu'est ce qu'il est amusant quand on en a la passion...

    Charles

    http://www.objectifeco.com/entreprendre/temoignages/savoir-vivre-au-dela-du-pognon-les-3-piliers.html

    RépondreSupprimer