par Tyler Durden
Lun., 08/12/2019 - 20:45
Blog sur le climat et la météorologie de masse de Via Cliff,
Lors du récent débat présidentiel, un certain nombre de candidats ont suggéré que le réchauffement de la planète représentait une menace existentielle pour l'humanité et nécessitait donc une action spectaculaire et immédiate.
Le gouverneur Jay Inslee a été particulièrement généreux dans l'utilisation de ce terme, mais il n'est pas seul. Kamala Harris, Cory Booker, Bernie Sanders et Elizabeth Warren ont dit la même chose, de même que plusieurs médias et groupes d’intérêt environnemental.
Les gestionnaires d'actifs font face à une crise existentielle au bord d'un assouplissement
Certains d'entre eux affirment également que la fenêtre d'action sur le changement climatique est en train de se fermer - Jay Inslee suggère que le prochain président sera le dernier à pouvoir prendre des mesures efficaces. D'autres suggèrent 10 ou 12 ans.
Mais ces revendications de menace existentielle sont-elles vraies ? C'est ce que nous allons examiner dans ce blog.
Une menace existentielle est une menace qui menace l'existence même de l'humanité. Quelque chose qui est simplement un défi ou un inconvénient n'est pas une menace existentielle. Une menace existentielle doit avoir le potentiel de saper la viabilité même de la civilisation humaine.
Comme décrit ci-dessous, le réchauffement de la planète est un problème grave et ses impacts seront considérables --- mais il ne menace en aucun cas sérieusement notre espèce ou notre civilisation humaine. Et avec des mesures d'atténuation et d'adaptation raisonnables, l'humanité continuera à aller de l'avant - en réduisant la pauvreté, en menant une vie plus saine et en stabilisant notre population.
Que nous disent les modèles climatiques actuels ? Ces modèles sont exploités selon des scénarios spécifiques d’émission de gaz carbonique et d’autres gaz à effet de serre (voir la figure). Dans l'un d'entre eux, le RCP8.5, nous continuons simplement à faire ce que nous faisons, avec une utilisation croissante du charbon et du pétrole. Pas beaucoup d'énergie renouvelable. Beaucoup pensent que ce scénario est trop pessimiste. Beaucoup plus raisonnable est le RCP 4.5, qui a modestement augmenté ses émissions d’ici 2040 et a diminué après 2050. Je pense que celui-ci sera plus proche de la réalité.
L'implication de ces émissions sur la température globale est illustrée ci-dessous à partir d'un ensemble de modèles climatiques (CMIP-5). Dans le scénario extrême, la Terre se réchauffe d’environ 4° C, mais pour le plus raisonnable (RCP4.5), le réchauffement planétaire est d’environ 2° C (3.6°F). Ce réchauffement ne sera pas uniforme, il sera plus important dans les régions polaires et moins dans les océans de l’est.
Vous remarquerez que l’augmentation de la température dans le RCP 4.5 est relativement stable jusqu’en 2045 environ, puis commence à se stabiliser progressivement. Pas de transition brusque, pas de chute d'une falaise, pas de catastrophe soudaine.
J'ai effectué une vaste collection de simulations climatiques à haute résolution sur le Nord-Ouest, tirées par le scénario agressif RCP 8.5. Comme indiqué ci-dessous pour la température annuelle moyenne de Seattle, il y a une hausse constante, encore une fois sans changements soudains auxquels il serait difficile de s'adapter. La plupart des gens du Nord-Ouest voudront acheter un climatiseur pour l'été, mais notre existence ne menace pas notre existence et les hivers seront plus agréables.
Mais que prévoient les évaluations internationales et nationales officielles pour l’avenir économique ?
Premièrement, vérifions les conclusions du Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), très respecté, qui offre un consensus sur le point de vue de nombreux scientifiques et nations. Leur analyse (SR15, chapitre 3) citait un article de Yohe (2017) qui révélait une perte de PIB américain de 1,2% par degré de réchauffement. Ainsi, avec un réchauffement global à 2 ° C associé au RCP4.5, on parle de 2,4%. perte du revenu national en 2100. Pas une perte de 2,4% par rapport aux niveaux actuels, mais 2,4% de moins du revenu substantiellement plus élevé en 2100.
Qu'en est-il de la Quatrième évaluation nationale du climat récemment publiée, document abondamment cité par la communauté environnementale américaine ? Leur analyse est que les dommages à l’économie américaine en 2100 représenteraient une perte d’environ 1% (voir ci-dessous). Il ne s’agit pas d’une perte de 1% du produit intérieur brut (PIB) actuel des États-Unis, mais d’une perte de 1% du PIB en 2100. Nous serons beaucoup plus riches en 2100 et perdrons 1% de notre PIB en raison du réchauffement de la planète. Ne sonne-t-il pas comme la fin de la civilisation ?
W. D. Nordhaus, lauréat du prix Nobel d'économie pour son étude sur l'impact du changement climatique sur l'économie, a examiné un grand nombre d'études sur l'impact du réchauffement de la planète sur l'économie mondiale (voir ci-dessous). Avec son co-auteur (A Moffat), il a constaté qu'une augmentation de 2 ° C des températures mondiales causerait 0-1% de dommages à l'économie mondiale en 2100. Le fait de doubler le réchauffement ne ferait qu'augmenter les dégâts à environ 3%. Encore une fois, pas de menace existentielle.
En lisant ces chiffres et en considérant les nombreux rapports qui les corroborent, il ne fait clairement aucun doute que le réchauffement de la planète ne menace ni les États-Unis ni l’humanité, ce qui laisse à se demander pourquoi tant d’hommes politiques, de militants écologistes et de nombreux médias répandent cette menace existentielle. ligne.
Et les études susmentionnées n’envisagent pas vraiment le potentiel de percées techniques majeures dans la production d’énergie (par exemple, la fusion), les sources d’énergie renouvelables, ou l’élimination du carbone de l’atmosphère (séquestration). Je pense que de tels progrès sont inévitables, comme personne en 1950 ne s'attendait à ce que l’an 2000 apporte des ordinateurs personnels, des téléphones portables, etc.
Vous devez également vous demander si les scientifiques, les politiciens et les spécialistes de l'environnement croient vraiment aux avertissements de menace existentielle qu'ils lancent. Beaucoup parlent, mais la plupart ne marchent pas.
Les candidats à la présidence qui ont peu de chance de remporter la candidature se promènent à travers le pays, ce qui entraîne une énorme empreinte carbone. Les climatologues volent plus que quiconque pour le travail et le plaisir. De nombreux écologistes s'opposent à l'énergie nucléaire, l'une des technologies pouvant produire une énergie massive sans carbone. Et plusieurs groupes environnementaux locaux de l'État de Washington se sont opposés à une initiative de la taxe sur le carbone bipartite, neutre en termes de recettes (I-732).
Le réchauffement climatique est un réel problème et nous allons réchauffer lentement notre planète, ce qui aura des conséquences importantes (p. Ex. Moins de neige dans les Cascades, crue accrue des rivières en novembre, conditions plus sèches dans les régions subtropicales, perte de la banquise arctique). Mais le monde sera beaucoup plus riche en 2100 et l’humanité trouvera le moyen de s’adapter à de nombreux changements. Et il y a de fortes chances que nous développions les technologies pour inverser la tendance croissante des gaz à effet de serre et ramener à terme les concentrations de gaz carbonique aux niveaux précédents.
Le réchauffement planétaire ne constitue pas une menace existentielle pour l’humanité, et les politiciens et les décideurs ne font que saper leur crédibilité et nuisent à l’efficacité des mesures prises par leur battage médiatique et leur exagération. Et leurs revendications infondées de catastrophe future empêchent un large consensus national et blessent les personnes vulnérables anxieuses et craintives.
Premièrement, ils accusent toute personne qui ose lever le doigt pour poser une question (ou aller aux chiottes ?) d'être 'complotiste' ! voire 'négationniste' ou 'sceptique' (si la personne ne sait pas si elle a chaud ou froid !) ou carrément 'terroriste' ! Ainsi, après l'escroc Al Gore est venu s'y collé Elon Musk avec ses putains de 'voitures' explosives qui n'ont jamais marché et ne marcheront jamais (sauf avec des subventions comme pour les éoliennes & panneaux solaires qui ne rapportent rien).
RépondreSupprimerDeuxièmement, les merdias et politichiens qui n'ont jamais fait une heure d'étude scientifique se permettent de contrecarrer les scientifiques et même 'de les instruire' du haut de leur tête pleine de merde !
Tout çà pour ruiner les Peuples qui devraient tous être riches et les conduire vers la trisomie présidentielle qui va leur dire comment se torcher le cul avec un confetti et ticket de mètro !
A savoir que le gaz carbonique n'est ni un poison ni un gaz à 'effet de serre'. Les mers & océans dégazent des milliards de fois plus que tous les animaux (humains) et leurs industrie et, TOUS LES GAZ SE RECYCLENT (depuis toujours et pour toujours) sans quoi l'être humain ne serait même pas apparu sur Terre !
Les chaleurs excessives et saisonnières d'été ne sont nullement dues à un rapprochement excessif du soleil mais UNIQUEMENT au éruptions volcanique du magma sous les mers & océans qui viennent ajouter quelques degrés aux régions ventées. ET NOUS N'Y SOMMES POUR RIEN !
(...) Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), très respecté, qui offre un consensus sur le point de vue de nombreux scientifiques et nations. (...)
Ce 'Intergouvernemental Panneau sur le changement climatique' aussi appelé le 'GIEC' ne regroupe AUCUN scientifique. Il s'agit uniquement d'une mafia de lobbyistes milliardaires qui tendent à changer le monde en mal en payant le voyage à des centaines de millions de 'réfugiés climatique' pour envahir les pays où la dictature les accepte et les paie pour rester !
(...) Le réchauffement climatique est un réel problème et nous allons réchauffer lentement notre planète, (...)
Notez bien que le 'Blog sur le climat et la météorologie de masse de Via Cliff' n'est PAS un blog scientifique et n'en comprend aucun qui y travaille. Le principal pour ces criminels psychopathes et de terrifier la population pour lui soutirer de l'argent.
Étiquetage du glyphosate en « cancérogène » : c'est un NO ! de l'EPA aux conséquences majeures
RépondreSupprimer13 Août 2019
par Seppi
Mais que font les médias français ?
Non à une mise en garde alléguant la cancérogénicité du glyphosate
L'Agence de Protection de l'Environnement des États-Unis d'Amérique a publié un communiqué de presse, que nous traduisons ci-dessous, annonçant qu'elle « n’approuvera plus les étiquettes de produits affirmant que le glyphosate est cancérigène ».
Un « catch 22 », une situation sans issue ?...
Cela crée a priori une situation ubuesque.
D'un côté, Bayer/Monsanto se fait condamner par des tribunaux avec jurys à des millions de dollars de dommages-intérêts en faveur de plaignants atteints par un lymphome non hodgkinien dont la cause alléguée a été attribuée au glyphosate, au motif notamment que l'étiquetage ne précisait pas le danger de cancer ; de l'autre, l'EPA n'autorise plus un tel étiquetage, conformément, d'une part, à un consensus scientifique duquel seul s'est démarqué le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), et, d'autre part, au principe juridique qui honnit les allégations fausses ou trompeuses en matière d'étiquetage des pesticides.
Cette décision du niveau fédéral met aussi à mal le système de la Prop 65 de l'État de Californie qui exige d'émettre, pour un nombre invraisemblable de produits et services, des avertissements selon lesquels ces produits « sont connus par l'État de Californie comme provoquant le cancer » (voir par exemple ici).
...ou une clarification pour Bayer/Monsanto ?
Plus important encore, la décision semble susceptible de mettre un terme aux actions engagées contre Bayer/Monsanto, ou du moins à leurs chances de prospérer. Dans « Finally, Some Sanity About Roundup » (finalement un peu de bon sens à propos du Roundup), M. James M. Beck du cabinet Reed Smith conclut :
« Ainsi, en comparant la position de l’EPA avec les critères d’Albrecht en matière de préemption implicite, nous pensons que la préemption devrait réussir à remettre le génie pervers des litiges relatifs aux cancers et au glyphosate dans la bouteille réglementaire où il a sa place. »
Merck Sharp & Dohme Corp. v. Albrecht a été décidé à l'unanimité des neuf juges de la Cour Suprême le 20 mai 2019. En résumé :
« "Une preuve claire" que la Food and Drug Administration n'aurait pas approuvé une modification de l'étiquette d'un médicament – barrant ainsi une allégation de défaut de mise en garde selon une loi d'État – est une preuve montrant que le fabricant du médicament a pleinement informé la FDA des justifications de l'avertissement requis par la loi de l'État et que la FDA, à son tour, a informé le fabricant du médicament que la FDA n'approuverait pas une modification de l'étiquette du médicament pour inclure cet avertissement ; la question de la désapprobation de l’agence relève essentiellement du droit qu'il appartient au juge de décider. » [L'arrêt précise : au juge et non au jury.]
Ce principe s'applique évidemment aussi au glyphosate (ou tout autre pesticides) et l'EPA. Et le dossier a franchi une étape : ce n'est plus « [l'EPA] n'approuverait pas... », mais « l'EPA n'approuve pas... ».
RépondreSupprimerCela ne met pas automatiquement fin aux procédures, mais l'arsenal d'arguments des avocats prédateurs est sérieusement entamé. Cela ne met pas non plus fin à des négociations pour une transaction permettant de mettre fin à ce qui constitue une véritable tentative de racket (légal...).
Que font les médias français ?
L'AFP a produit une dépêche et quelques médias l'ont reprise ou s'en sont inspirés, par exemple FranceTVInfo avec « Les Etats-Unis n'autoriseront plus les étiquettes qualifiant le glyphosate de "cancérigène" » ou le Point avec « États-Unis : les étiquettes n'indiqueront plus que le glyphosate est cancérigène ».
Mais ce n'est pas une information digne d'être rapportée pour le gros des troupes – pour ces médias qui ont sauté et glosé sur les verdicts à millions sinon milliards de dollars – du reste, en se faisant bien plus discrets quand les juges les ont ramenés dans les limites légales (de 2,055 milliards à... 86,7 millions dans l'affaire Alva et Alberta Pilliod... excusez du peu)...
Transaction ou pas transaction ?
Ces médias ont aussi abondamment diffusé l'« information » selon laquelle Bayer a proposé une transaction – aux avocats prédateurs (c'est nous qui ajoutons ici la précision) – pour un montant de 8 milliards de dollars pour clore les actions en justice actuelles (qui sont grimpées à 8.400...), pour ensuite abondamment diffuser l'information selon laquelle Bayer dément avoir proposé une transaction (voir par exemple ici et ici pour Challenges)...
Notons qu'aux États-Unis d'Amérique, les avocats peuvent se rémunérer par un pourcentage des dommages-intérêts éventuellement alloués, normalement entre 30 et 40 %. Porter plainte contre une entreprise aux poches profondes en responsabilité civile (délictuelle) pour atteinte à des personnes est donc un business potentiellement juteux. Selon les médias, les avocats – prédateurs – veulent 10 milliards de dollars... 3 ou 4 milliards de butin à se partager entre eux. Tel est le retour sur l'investissement qu'ils auront consenti, avec l'aide du CIRC.
Le communiqué de presse
Voici le communiqué de presse :
L'EPA prend des mesures pour fournir aux consommateurs des informations exactes sur les risques et faire cesser le faux étiquetage des produits
08/08/2019
WASHINGTON (8 août 2019) – L'EPA publie des lignes directrices pour les déclarants de glyphosate [titulaires d'une autorisation de mettre en marché] afin de garantir la clarté de l'étiquetage de la substance chimique sur leurs produits. L’EPA n’approuvera plus les étiquettes de produits affirmant que le glyphosate est connu comme cancérigène – une affirmation fausse ne respectant pas les exigences en matière d’étiquetage de la Loi fédérale sur les insecticides, les fongicides et les rodenticides (FIFRA). La proposition 65, très critiquée, de l’État de Californie a conduit à des exigences en matière d’étiquetage trompeuses pour des produits tels que le glyphosate, car elle mésinforme le public sur les risques auxquels il est confronté. Cette action permettra aux consommateurs de disposer des informations correctes et est fondée sur l’évaluation complète du glyphosate réalisée par l’EPA.
« Il est irresponsable d'exiger des étiquettes sur des produits qui sont inexactes quand l'EPA sait que le produit ne présente pas de risque de cancer. Nous ne permettrons pas au programme défectueux de la Californie de dicter la politique fédérale », a déclaré Andrew Wheeler, administrateur de l'EPA. « Il est essentiel que les organismes de réglementation fédéraux tels que l'EPA communiquent aux consommateurs des informations exactes et fondées sur des données scientifiques concernant les risques que les pesticides peuvent présenter pour eux. La notification de l’EPA aux déclarants de glyphosate est une mesure importante pour garantir que les informations diffusées auprès du public sur une étiquette de pesticide fédérale sont correctes et non trompeuses. »
RépondreSupprimerEn avril, l’EPA a franchi une nouvelle étape dans le processus de réexamen du glyphosate. L’EPA a constaté – comme ce fut le cas auparavant – que le glyphosate n’est pas un cancérigène et qu’il n'y a aucun risque pour la santé publique lorsque le glyphosate est utilisé conformément à son étiquette actuelle. Ces constatations scientifiques sont conformes aux conclusions des études scientifiques effectuées par de nombreux autres pays et autres agences fédérales.
Le 26 février 2018, le tribunal de district des États-Unis pour le district oriental de Californie a émis une injonction préliminaire empêchant la Californie de faire respecter les exigences de l'État de mise en garde quant à la cancérogénicité du glyphosate, en partie au motif que la déclaration d'avertissement requise est fausse ou trompeuse. L'injonction préliminaire n'a pas fait l'objet d'un appel et reste en vigueur.
L'inscription du glyphosate sur la liste californienne en tant que substance relevant de la Proposition 65 repose sur le fait que l'Agence Internationale de Recherche sur le Cancer (CIRC) l'a classé dans la catégorie "probablement cancérogène pour l'homme". L'évaluation indépendante par l'EPA des données scientifiques disponibles comprenait un ensemble de données plus complet et plus pertinent que celui que le CIRC a pris en compte lors de son évaluation du glyphosate, ensemble à partir duquel l'agence a conclu que le glyphosate n'est "probablement pas cancérogène pour l'homme" [not likely to be carcinogenic to humans]. La classification de l'EPA s'agissant du cancer correspond à celle de nombreux autres groupes d'experts internationaux et autorités de réglementation.
Les déclarants de produits à base de glyphosate actuellement munis d'une étiquette qui porte le libellé de mise en garde de la proposition 65 doivent soumettre un projet d’étiquetage modifié qui supprime ce libellé dans les 90 jours suivant la date de la lettre.
Pour plus d’informations sur l’évaluation complète du glyphosate par l’EPA, visitez le site https://www.regulations.gov/document?D=EPA-HQ-OPP-2009-0361-0073.
Pour lire l'avis aux personnes inscrites, cliquez ici.
https://www.epa.gov/sites/production/files/2019-08/documents/glyphosate_registrant_letter_-_8-7-19_-_signed.pdf
http://seppi.over-blog.com/2019/08/etiquetage-du-glyphosate-en-cancerogene-c-est-un-no-de-l-epa-aux-consequences-majeures.html
Pour l'Afrique, la voie à suivre consiste à adopter la technologie, pas à la craindre !
RépondreSupprimer13 Août 2019
par Seppi
Motlatsi Musi*
Quand j’ai entendu parler pour la première fois des activistes qui voulaient retirer les produits de protection des plantes à des agriculteurs africains comme moi, je ne pouvais pas y croire. Veulent-ils vraiment nous ramener à l'âge de pierre ?
C’est ce qui se produirait si nous perdions l’accès au glyphosate et à d’autres technologies sûres qui nous aident à défendre ce que nous cultivons contre les mauvaises herbes, les parasites et les champignons. Une situation déjà mauvaise en Afrique deviendrait pire encore.
Nous devons éviter ce sort à tout prix – et cette semaine [le texte original a été mis en ligne le 17 mai 2019], la situation est devenue un peu plus difficile car un jury américain en Californie a accordé plus de 2 milliards de dollars de dommages et intérêts à un couple qui alléguait un lien entre le glyphosate et le cancer.
Musi est apparu dans le documentaire ‘Food Evolution’.
Ici, en Afrique du Sud, j'ai utilisé du glyphosate pendant au moins une douzaine d’années, depuis que le maïs et le soja résistants à cet herbicide sont devenus disponibles pour les petits agriculteurs. D'autres agriculteurs de mon pays ont utilisé le glyphosate depuis les années 1970. Nous convenons tous que cela nous aide à vaincre les mauvaises herbes qui font concurrence à nos cultures pour l’eau et les nutriments. C’est un outil sûr et éprouvé.
Je n'ose pas penser à ce qu'il adviendrait de l'agriculture africaine en l'absence de protection des cultures. Notre continent traîne derrière le reste du monde dans la production alimentaire. Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture, plus de 250 millions d'Africains souffrent de malnutrition. Cela représente 21 % de la population totale de mon continent – et c’est presque le double du taux de malnutrition en Asie (environ 11 %) et plus de quatre fois celui de l’Amérique du Sud (environ 5 %).
Motlatsi dans sa ferme.
Et pourtant, nous pourrions prendre encore plus de retard. À l'heure actuelle, nous ne faisons que lutter pour produire la nourriture dont nous avons besoin. Dans un monde sans protection des plantes, nous échouerions complètement. Beaucoup d'entre nous deviendraient des agriculteurs de subsistance qui survivent à peine. Plutôt que de vendre des aliments aux consommateurs, nous devrions les garder pour nous-mêmes.
J’ai vu une protection des cultures déficiente conduire à des catastrophes agricoles. Un groupe d'activistes se présentera et encouragera les petits agriculteurs à cesser d'utiliser des produits conventionnels de protection des plantes. Ses membres colporteront une théorie sur la valeur des culture associées, sur les moyens d'attirer les insectes prédateurs ou quelque chose du genre. Mais ces tentatives de défier les leçons de l'agriculture moderne ne fonctionnent pas. Les agriculteurs et les consommateurs en font toujours les frais.
Prenant la parole lors de la table ronde mondiale des agriculteurs.
Au 21e siècle, nous devons adopter la technologie, ne pas en avoir peur. Pour l’Afrique, la voie à suivre consiste à choisir les bonnes semences, à cultiver les meilleures plantes et à utiliser les meilleurs produits de protection des plantes afin que nous puissions profiter de récoltes abondantes.
Je serai le premier à admettre que de nombreux agriculteurs doivent lire plus attentivement les instructions sur les étiquettes de leurs bidons de produits, car ils ne les utilisent pas toujours correctement. Mais c’est un argument pour une meilleure éducation, pas pour l’élimination de bons produits.
En protégeant mes cultures, je produis plus de nourriture sur moins de terre. C’est donc un élément important de l’agriculture durable. Pourtant, il ne suffit pas de produire de la nourriture. Grâce au glyphosate, je n’ai pas à lutter contre les mauvaises herbes en bouleversant mon sol avec des labours profonds. Cela signifie que le glyphosate protège non seulement mes cultures des mauvaises herbes mais également mes champs de l'érosion des sols.
RépondreSupprimerDes herbicides moins efficaces m'obligeraient à passer avec mon tracteur plus souvent dans mes champs, ce qui augmenterait mes coûts en carburant et les prix à la consommation. Cela augmenterait les gaz à effet de serre que je libère dans l'atmosphère. Avec le glyphosate, cependant, je séquestre le dioxyde de carbone et je fais ma petite part pour prévenir les changements climatiques.
Mais ce n’est pas tout. Peu de gens comprennent un autre défi et la manière dont il menace d’aggraver les problèmes déjà rencontrés par les agriculteurs africains.
Même avec la protection des cultures, nous avons du mal à convaincre nos enfants de nous suivre dans l’agriculture. Ils sont attirés par la vie urbaine et se demandent s’il y a un avenir dans l’agriculture. Si nous devons leur dire que l’agriculture signifie soudainement retourner en arrière et revenir à la pratique obsolète du désherbage manuel, nous aurons encore moins de succès dans nos efforts pour les persuader de choisir des carrières dans l’agriculture.
L'Afrique risquerait de manquer d'agriculteurs.
Qu'est-ce que cela voudra dire dire ? Quelque chose me dit que chaque fois que nous lisons à propos d’un bateau de réfugiés qui se noient en Méditerranée, nous entrevoyons ce qui pourrait nous attendre. Les personnes affamées feront des choses désespérées – et une Afrique qui ne protège pas ses cultures deviendrait l'endroit le plus désespéré de la planète.
Les Africains vont tout risquer pour échapper au nouvel âge de pierre.
L’apparition de Musi dans « Food Evolution » est un témoignage puissant d’un petit exploitant agricole qui en avait marre d’être commandé par des militants extérieurs défendant leurs propres intérêts.
_______________
Agriculteur, Afrique du Sud
M. Motlatsi Musi produit du maïs, des haricots et des pommes de terre, et élève des porcs reproducteurs et des vaches sur 21 hectares qu’il a acquis en 2004 par le biais du Programme de Redistribution des Terres pour le Développement Agricole (LRAD). Le Prix Kleckner de 2017 lui a été décerné le 17 octobre 2017 à Des Moines, Iowa.
Source : https://globalfarmernetwork.org/2019/05/for-africa-the-way-forward-is-to-embrace-technology-not-fear-it/
http://seppi.over-blog.com/2019/08/pour-l-afrique-la-voie-a-suivre-consiste-a-adopter-la-technologie-pas-a-la-craindre.html
«Record Temperature» du Groenland refusé - les données étaient fausses
RépondreSupprimer12 août 2019
De la «Mais, mais, attendez ! Nos algorithmes peuvent s’adapter à cela ! »Le département raconte cette histoire de malheur alarmiste. La température record du Groenland n’était pas du tout un record et n’a jamais dépassé le point de congélation.
Premièrement, les lamentations des médias:
NYT: https://www.nytimes.com/2019/08/02/climate/european-heatwave-climate-change.html
WAPO: https://www.washingtonpost.com/news/capital-weather-gang/wp/2016/06/10/greenland-witnessed-its-highest-june-temperature-ever-recorded-on-thursday/
Climate Progress: https://thinkprogress.org/greenland-hits-record-75-f-sets-melt-record-as-globe-aims-at-hottest-year-e34e534e533e/
Portail polaire: http://polarportal.dk/en/news/news/record-high-temperature-for-june-in-greenland/
Maintenant, de l’Institut météorologique danois (DMI), via le site Web de nouvelles The Local, la réalité plus froide:
Un organisme climatique danois a rapporté à tort un record de chaleur au Groenland
L’Institut météorologique danois, qui joue un rôle clé dans la surveillance du climat du Groenland, a signalé la semaine dernière une température choquante entre 2,7 et 4,7 ° C en août à la station météorologique du Sommet, située à 3 202 m d’altitude au centre du Groenland. inlandsis, générant une série de gros titres mondiaux.
Mercredi, il a publié un tweet qui affirmait qu'un examen plus approfondi avait montré que l'équipement de surveillance avait donné des résultats erronés.
"Y avait-il un record de chaleur sur la glace continentale vendredi?" "Non! Un contrôle de qualité a permis de confirmer les soupçons selon lesquels la mesure était trop élevée. ”
…
En combinant les mesures avec les observations d'autres stations météorologiques, le DMI a maintenant estimé que la température était plus proche de -2 ° C.
La température record jamais enregistrée à Summit est de 2,2 ° C, ce qui a été atteint en 2012 et en 2017. Mais -2 ° C est encore inhabituel à la station.
Commencez par les gros titres, posez des questions plus tard.
https://wattsupwiththat.com/2019/08/12/greenlands-record-temperature-denied-the-data-was-wrong/
Bonanza, not: Avec la manipulation des gouvernements, les crédits carbone remontent au niveau de 2008
RépondreSupprimerAugust 13th, 2019
Il a été salué comme un «investissement en flèche», mais c’est juste le faux programme de réduction du carbone en fiducie qui a été ramené à la vie. Le marché de l'EU ETS avait trop de crédits et a chuté à 5 euros ou moins d'ici 2013. L'UE a décidé de prélever un quart des crédits pour l'EU ETS chaque année à partir de 2019 et le prix a augmenté de manière prévisible. Le grand succès de ce marché non libre et inutile est qu’il a ajouté un tarif au charbon bon marché pour le rendre aussi coûteux que le gaz et a fait monter les prix de l’électricité dans l’UE.
Toute illusion de création de richesse économique ou d'efficacité énergétique est purement fortuite. Il n’existe aucune offre, aucune demande, aucun produit supplémentaire ni productivité - et sans la force des pouvoirs publics, aucun marché pour les pénitences imaginaires sur le carbone. Il tire de l'argent de chaque consommateur et le donne au gaz, aux géants des énergies renouvelables, ainsi qu'aux banquiers, aux escrocs et aux fraudeurs de la TVA. Et si ce marché se mondialise, il s’agit potentiellement d’une source de profits de 7 000 milliards de dollars pour les banquiers. Pas étonnant que HSBC, Deutche Bank, Goldman Sachs, BBVA et Citigroup veuillent «sauver le monde».
Retour à 2008:
- voir graphique sur site -
Prix EU ETS, 2008 - 2019
Les décisions du gouvernement fixent en grande partie les prix du SEQE de l'UE, 2008 - 2019
Les crédits de carbone ne sont pas un investissement. Ils sont un pari spéculatif sur ce que les gouvernements du monde vont faire. Si le public s'oppose à la réduction des émissions de carbone et que l'humeur change, le marché est un homme mort qui marche. Il ya beaucoup d’argent ici qui a intérêt à garder les vues sceptiques hors de la lumière du public. Juste en train de dire…
Nous pouvons dire que ce n'est pas un vrai marché. Les vrais marchés libres rendent les choses moins chères. Les marchés communistes ne font qu'empirer les choses.
Les crédits de carbone autrefois impopulaires deviennent l’un des meilleurs investissements au monde
Par DAVID HODARI, Wall Street Journal (L'Australien)
Les crédits d’émission de carbone, longtemps boudés par les commerçants, comptent désormais parmi les investissements les plus performants au monde.
Les grands acteurs sont toujours des sociétés financières et des spéculateurs, pas des générateurs:
En 2013, les banques et les maisons de commerce ont acheté les deux tiers des permis d'émission de carbone. Maintenant, peu de choses ont changé:
La reprise a entraîné un recul des investisseurs qui ont en grande partie abandonné le marché lorsque les prix se sont effondrés au cours de la dernière décennie.
"Cela attire les spéculateurs de hedge funds", a déclaré Norbert Rücker, responsable des questions économiques à la banque privée suisse Julius Baer. "Avec ce déménagement, le carbone a vraiment repris vie cette année et a suscité beaucoup d'intérêt. Nous avons des clients qui nous contactent pour nous demander des informations à ce sujet."
Orwellian Translation: "marché libre" = marché factice, et "pollueurs" industriels = engrais gratuits dans le monde
Les prix plus élevés signifient qu’il coûte maintenant presque autant aux pollueurs industriels d’utiliser le charbon que d’utiliser un gaz naturel plus propre. L'égalité des chances entre les deux marchés signifie que les prix du carbone dépendent de facteurs similaires à ceux qui ont une incidence sur les prix de l'essence, tels que les températures estivales élevées.
RépondreSupprimerIls taxent un carburant plus que l’autre, alors «Égalité de traitement» signifie «inéquité».
Les faux marchés attirent les fraudes. Lorsque vous vendez un produit dont personne n'a besoin, personne ne se soucie même de savoir s'il s'agit d'un faux.
Messages d'il y a longtemps sur le SCEQE
Le marché du carbone des zombies chute de 60%, ravivé par un décret de l'UE - Les médias décrivent «un succès fulgurant»
Le prix du carbone a fait un bond de 30% - Ce n’est pas un marché libre, c’est une charade fixe
Vous voulez échanger une taxe de vente contre une taxe sur le carbone et «sauver le monde» du carbone ? Non, merci 92% des Suisses
http://joannenova.com.au/2019/08/bonanza-not-with-govt-manipulation-carbon-credits-rise-back-to-2008-levels/
Ils veulent donner (jeter au feu) de l'argent aux volcans pour qu'ils abaissent leur thermostat !!
SupprimerÇà c'est du copié-collé des quêtes faites en églises 'pour dieu' ! (il vous le rendre ! Avec intérêt ?). Autant dire que c'est de l'argent foutu en l'air mais qui n'est pas perdu pour tout le monde !
Les premières cellules peuvent avoir émergé parce que les blocs de construction des protéines ont stabilisé les membranes
RépondreSupprimerpar l'Université de Washington
12 AOÛT 2019
La vie sur Terre est née il y a environ 4 milliards d'années lorsque les premières cellules se sont formées au sein d'une soupe primordiale de composés chimiques complexes et riches en CARBONE.
Ces cellules faisaient face à une énigme chimique. Ils avaient besoin d'ions particuliers de la soupe pour pouvoir exécuter les fonctions de base. Mais ces ions chargés auraient perturbé les membranes simples qui encapsulaient les cellules.
Une équipe de chercheurs de l'Université de Washington a résolu ce casse-tête en utilisant uniquement des molécules qui auraient été présentes sur la Terre primitive. En utilisant des compartiments remplis de liquide et de la taille d'une cellule, entourés de membranes composées de molécules d'acide gras, l'équipe a découvert que les acides aminés, éléments constitutifs des protéines, peuvent stabiliser les membranes contre les ions magnésium. Leurs résultats ont ouvert la voie aux premières cellules qui codent leur information génétique dans l'ARN, une molécule liée à l'ADN qui nécessite du magnésium pour sa production, tout en maintenant la stabilité de la membrane.
Les résultats, publiés la semaine du 12 août dans les Actes de l'Académie nationale des sciences, vont au-delà de l'explication de la manière dont les acides aminés pourraient avoir des membranes stabilisées dans des environnements défavorables. Ils démontrent également comment les différents éléments constitutifs des structures cellulaires (membranes, protéines et ARN) pourraient être co-localisés dans des environnements aqueux de la Terre ancienne.
"Les cellules sont constituées de types de structures très différentes avec des types de blocs de construction totalement différents, et on ne sait jamais pourquoi elles se regrouperaient de manière fonctionnelle", a déclaré Roy Black, co-correspondant, professeur de chimie à l'UW. et bioingénierie. "L'hypothèse était que, d'une manière ou d'une autre, ils s'étaient réunis."
Après une carrière chez Amgen, Black est venu à l'UW pour saisir les détails cruciaux qui manquent derrière ce "d'une manière ou d'une autre". Il a fait équipe avec Sarah Keller, professeur de chimie et experte en membranes à l'Université de Washington. Black avait été inspiré par l'observation selon laquelle les molécules d'acide gras peuvent s'auto-assembler pour former des membranes, et ont émis l'hypothèse que ces membranes pourraient constituer une surface favorable pour l'assemblage des blocs de construction de l'ARN et des protéines.
"Vous pouvez imaginer différents types de molécules en mouvement dans la soupe primordiale, telles que des balles de tennis floues et des balles de squash dures rebondissant dans une grande boîte en train d'être secouée", a déclaré Keller, auteur co-correspondant sur le papier. "Si vous recouvrez une surface à l'intérieur de la boîte avec du velcro, seules les balles de tennis resteront collées à cette surface et elles se retrouveront rapprochées. Roy savait qu'il était possible de renforcer les concentrations locales de molécules grâce à un mécanisme similaire."
L’équipe avait précédemment montré que les blocs constitutifs de l’ARN se fixaient préférentiellement aux membranes d’acides gras et, étonnamment, stabilisaient également les membranes fragiles contre les effets néfastes du sel, un composé commun sur la Terre, aujourd’hui.
L’équipe a émis l’hypothèse que les acides aminés pourraient également stabiliser les membranes. Ils ont eu recours à diverses techniques expérimentales (microscopie optique, microscopie électronique et spectroscopie) pour tester l'interaction de 10 acides aminés différents avec les membranes. Leurs expériences ont révélé que certains acides aminés se lient aux membranes et les stabilisent. Certains acides aminés ont même déclenché d'importants changements structurels dans les membranes, tels que la formation de sphères concentriques de membranes, un peu comme des couches d'un oignon.
RépondreSupprimer"Les acides aminés ne protégeaient pas uniquement les vésicules des perturbations causées par les ions magnésium, ils créaient également des vésicules multicouches, semblables à des membranes imbriquées", a déclaré l'auteur principal Caitlin Cornell, étudiant au doctorat au Département de chimie de l'Université de Washington.
Les chercheurs ont également découvert que les acides aminés stabilisaient les membranes en modifiant la concentration. Certains scientifiques ont émis l’hypothèse que les premières cellules pourraient s’être formées dans des bassins peu profonds ayant subi des cycles de concentrations élevées et faibles en acides aminés lors de l’évaporation de l’eau et lors de l’installation d’une nouvelle eau.
Les nouvelles découvertes selon lesquelles les acides aminés protègent les membranes - ainsi que les résultats antérieurs montrant que les éléments constitutifs de l'ARN peuvent jouer un rôle similaire - indiquent que les membranes pourraient avoir été un site propice à la colocalisation de ces molécules précurseurs, offrant ainsi un mécanisme potentiel permettant d'expliquer ce qui a amené ensemble les ingrédients pour la vie.
Keller, Black et leur équipe se pencheront sur la manière dont les blocs de construction co-localisés ont produit une chose encore plus remarquable: ils se sont liés pour former des machines fonctionnelles.
"C'est la prochaine étape", a déclaré Black.
Leurs efforts en cours permettent également de tisser des liens entre les disciplines de l’Université.
"L'Université de Washington est un lieu exceptionnellement propice aux découvertes, en raison de l'enthousiasme de la communauté scientifique pour travailler en collaboration afin de partager des équipements et des idées dans différents départements et domaines", a déclaré Keller. "Nos collaborations avec le Drobny Lab et le Lee Lab étaient essentielles. Aucun laboratoire n’aurait pu tout faire."
https://phys.org/news/2019-08-cells-emerged-blocks-proteins-stabilized.html
Les fuites de gaz naturel sont une source importante d'émissions de gaz à effet de serre à Los Angeles
RépondreSupprimerEmily Velasco,
Institut de technologie de Californie
12 AOÛT 2019
Dans les discussions sur les changements climatiques anthropiques, le gaz carbonique est généralement mis à l'honneur, mais ce n'est pas le seul gaz à effet de serre rejeté dans l'atmosphère par l'activité humaine, ni le plus puissant.
Le méthane (pet) est un autre gaz à effet de serre qui augmente dans l'atmosphère terrestre à cause des humains. Le méthane est produit par l'activité humaine en quantités beaucoup plus faibles que le gaz carbonique, mais il est environ 25 fois plus puissant en tant que gaz à effet de serre. Bien qu'il soit souvent associé à des flatulences de vache, les bovins ne sont pas la seule source de méthane d'origine humaine.
Une nouvelle étude réalisée par des scientifiques de Caltech montre que, du moins dans le bassin de Los Angeles, les fuites de gaz naturel utilisé pour chauffer les maisons et les entreprises sont des facteurs majeurs de méthane dans l'atmosphère.
La recherche a été menée par Liyin He (MS '18), une étudiante diplômée en sciences de l’environnement et en génie de l’environnement, alors qu’elle travaillait dans le laboratoire de Yuk L. Yung, professeur de sciences planétaires à Caltech et chercheur au Jet Propulsion Laboratory, que gère Caltech. pour la NASA. Elle a constaté que les concentrations de méthane dans l'air au-dessus de L.A. fluctuaient avec les saisons. En hiver, lorsque l'utilisation du gaz naturel est à son maximum, les concentrations de méthane sont également les plus élevées. En été, lorsque la consommation de gaz naturel diminue, la quantité de méthane dans l'air diminue également.
"Naturellement, les émissions de méthane devraient être assez stables au fil des saisons, mais peut-être un peu plus élevées en été à cause de beaucoup de choses se décomposant à la suite de températures plus élevées", dit-il. "Mais il semble qu'en ville, la consommation de gaz naturel soit si élevée en hiver qu'une grande partie de celle-ci se déverse dans l'atmosphère."
Il a mené ses recherches en utilisant un appareil appelé spectromètre de télédétection au sommet du mont. Wilson, une montagne dont le sommet culmine au-dessus de Los Angeles. Du haut de son perchoir, le spectromètre donnait une vue sur une large bande de la zone urbaine en dessous. Le méthane est invisible pour les yeux humains, mais il est facilement visible par le spectromètre car il absorbe fortement la lumière infrarouge, la longueur d'onde de la lumière à laquelle le spectromètre est sensible.
À l'aide de cette configuration, le spectromètre a été dirigé sur 33 sites de surface autour de la région et a recueilli des mesures de méthane six à huit fois par jour pendant six ans. Lorsque ces mesures ont été agrégées, une tendance claire s’est dégagée: les concentrations de méthane dans l’atmosphère ont atteint leur maximum en décembre et en janvier et ont diminué au plus bas en juin et en juillet.
RépondreSupprimerBien que ses recherches n'identifient pas de sources spécifiques de méthane, elle dit qu'il est probable que tout le système de distribution de gaz naturel, des champs de stockage aux conduites en passant par les fours et les fourneaux, est responsable des fuites.
Etant donné que le méthane est un gaz à effet de serre très puissant et qu'il a une durée de vie relativement courte dans l'atmosphère, l'identification et la réduction de ces fuites de gaz naturel sont un moyen par lequel les humains pourraient contribuer à réduire les effets du changement climatique, a-t-il déclaré.
"L'agriculture et les zones humides sont toujours les sources de méthane les plus importantes lorsque nous examinons l'échelle mondiale, a-t-il déclaré." Mais je pense que les fuites des pipelines sont les plus importantes en ce qui concerne les villes. "
https://phys.org/news/2019-08-natural-gas-leaks-important-source-greenhouse.html
(...) Étant donné que le méthane est un gaz à effet de serre très puissant et qu'il a une durée de vie relativement courte dans l'atmosphère, (...)
SupprimerLe méthane (pet,ou appelé aussi 'gaz de shiste) n'a AUCUN effet de serre puisqu'il est extérieur.
'et qu'il a une durée de vie relativement courte dans l'atmosphère'
Effectivement il disparaît sitôt émis comme le font tous les gaz de l'atmosphère qui recycle.
Quelque chose d'énorme pourrait s'être passé autour de la zone 51 pendant le week-end
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Lun., 08/12/2019 - 19:05
Il semblerait que quelque chose de grave se produise autour de la zone 51 ce week-end, selon des "rapports fragmentés provenant de diverses sources" compilés par The Drive.
Le rapport note que des "tests significatifs" auraient pu être effectués au cours du week-end après avoir appris que des Avis à l'aviateur (NOTAM) avaient été publiés, marquant l'interdiction de toute zone du Nevada Test and Training Range (NTTR) à la circulation aérienne à n'importe quelle altitude.
Les NOTAM sont généralement destinés aux équipages militaires, et non au trafic aérien civil ou commercial. Ils ont d'abord été signalés par un passionné d'aviation sur Twitter.
La zone en question, le R-4806, est "un bloc allongé nord-sud d'espace aérien restreint mesurant environ 50 km sur 15 et située au sud de la petite communauté d'Alamo et à l'est du R-4806W".
La région est remarquable pour deux raisons:
R-4806W inclut Dog Bone Dry Lake. Un certain nombre de cibles air-sol et une installation MOUT qui est souvent utilisée pour la formation du JTAC et d’autres exercices d’intégration d’avions au sol et aériens y sont situées. Le Desert Dry Lake est au centre du R-4806E, l’espace aérien restreint dont il est question, mais rien n’est réellement situé à cet endroit ni sur la portion de sol située au-dessous de cet espace aérien dans son ensemble. Il est également intéressant de noter que Desert Lake se trouve à environ 30 miles au sud-est de Groom Lake / Area 51.
- voir carte sur site -
Un autre NOTAM a été publié le 10 août pour le même espace aérien, à partir de 20h00 heure locale. Il était semblable au NOTAM initial en ce qu'il couvrait du sol jusqu'à "une altitude illimitée".
Enfin, un autre NOTAM a été publié, s'étendant sur plusieurs jours, à compter du 10 août, limitant également le même espace aérien considérable. Ce NOTAM était destiné à un bloc "massif" d'espace aérien restreint sur le "flanc ouest de la notoire" zone interdite "de la zone 51 suspendue au-dessus de l'installation clandestine".
Ce NOTAM est actif à partir de minuit le 11 août et jusqu'à 5h59 le 12 août.
- voir carte sur site -
En plus de ces avis, des "vols Janet" étranges - le surnom pour les vols sans escale vers la Zone 51 depuis l'aéroport de Las Vegas - ont été signalés par des badauds. Cette activité a été décrite comme "inhabituelle" et devrait indiquer un "événement test majeur" près de la zone 51.
Il est bien connu que le NTTR est utilisé pour tous les types de formation, les vols d’essais et les exercices classifiés pour les nouvelles technologies. Et bien que réserver un espace aérien pour des tests ne soit pas inhabituel, cette activité du week-end, qui couvre une altitude illimitée, est remarquable.
L'article indique que le NTTR ne prend généralement pas en charge les tests de fusée traditionnels, mais certains ont suggéré l'explication évidente du lancement de fusées de test en raison des restrictions illimitées d'altitude. Certains ont également noté que les systèmes d'armes à laser et autres armes à énergie directe pourraient nécessiter un espace aérien entièrement assaini pour des raisons de sécurité. Les précautions à prendre pourraient également consister à tester des aéronefs sensibles susceptibles d’être capables d’atteindre des altitudes extrêmes.
RépondreSupprimerIl y a également eu des spéculations plus exotiques:
Bien sûr, il existe de nombreuses autres explications potentielles. Ils n’appellent pas la région 51 «Dreamland» pour rien et son propre espace aérien, relativement limité, serait certainement enrichi par la portée environnante pour des essais plus étendus, le cas échéant, en particulier le week-end, lorsque la circulation militaire est minimale. Le N-4807A contient également la portée de combat électronique (ECR) du pic de Tolicha, complexe complexe parsemé de systèmes de défense aérienne et de systèmes de guerre électroniques ennemis réels et simulés, qui revêt une grande importance pour le développement de futurs systèmes de combat aérien et la mise au point de tactiques et sous-systèmes pour ceux qui sont déjà opérationnels.
Les gens ont également spéculé ces dernières années que les tests secrets autour de la zone 51 avaient à voir avec le développement du B-21 Raider. Ou peut-être que le gouvernement se prépare simplement pour le "raid" sur la zone 51 qui aurait lieu début septembre.
Quoi qu’il en soit, c’était sans aucun doute un week-end chargé pour l’un des plus mystérieux et des plus spéculés sur les champs d’essai aux États-Unis. Nous allons suivre cette histoire de près pour les mises à jour.
https://www.zerohedge.com/news/2019-08-12/something-huge-may-have-happened-around-area-51-over-weekend-0
Les racines génocidaires du « New Deal » vert : limiter la croissance et … libérer Prométhée.
RépondreSupprimerle 12 août 2019
Traduction d’un article de Matthew Ehret paru le 31 juillet 2019 sur le site Oriental Review. M. Ehret est un journaliste et conférencier canadien. Il a créé la Canadian Patriot Review et il est cofondateur de la Rising Tide Foundation. Les inserts en italique et entre parenthèses sont de mon fait.
Le Prince Charles vient de donner au monde 18 mois pour sauver la planète (tout le monde sait que le Prince Charles est un spécialiste du climat). Au cours des dernières années, le Prince Charles et son père, parmi d’autres aristocrates consanguins d’Europe, ont manifesté un incroyable intérêt pour la sécurité de la Terre contre les machines émettrices de pollution qui consomment avec avidité et se reproduisent sans limite tout en n’ayant aucune considération pour Gaïa, notre mère à tous. Ces derniers mois la prise de conscience de cet état de fait a pris la forme d’un « Green New Deal » promu aux USA par la représentante démocrate Alexandria Ocasio-Cortez et le sénateur Bernie Sanders (illustration). Une campagne à l’intention des enfants approuvée par le Pape François et dirigée par Greta Thunberg s’est répandue en Europe et en Amérique du Nord tandis qu’un club de milliardaires dirigé par Al Gore et George Soros finance le mouvement « Sunrise » pour lutter contre le réchauffement climatique.
Cette passion déclarée pour sauver la planète est-elle authentique ? Ces oligarques et milliardaires se soucient-ils vraiment du « Green New Deal » autant que les médias bienveillants le prétendent … ou bien y a-t-il quelques chose de beaucoup plus sombre en jeu ? Pour répondre à ces questions il faut d’abord examiner rapidement ce qu’est le « Green New Deal », d’où il vient et ce que ses concepteurs ont déclaré vouloir réaliser avec sa mise en oeuvre.
Comme son nom l’indique le « Green New Deal » est un vaste programme politique qui tire son nom du « New Deal » initial de 1932 promulgué sous la direction du Président Franklin Roosevelt. Il s’agissait à l’origine d’un programme de réforme bancaire et de construction d’infrastructures massif afin de guérir les Etats-Unis des blessures profondes provoquées par quatre années de grande dépression. Alors que le « Green New Deal » de 2019 propose également de réviser en profondeur les règles de la finance et la planification d’infrastructures sa similitude avec le New Deal de Roosevelt s’arrête là. Le New Deal de Roosevelt était motivé par des projets qui allaient augmenter les capacités de production de la nation dans son ensemble grâce à des investissements dans des projets hydroélectriques, des couloirs de transport, la Tennessee Valley Authority et des milliers d’autres projets d’infrastructure. Le « Green New Deal », a contrario, cherche à réduire la puissance du travail et réduire le niveau de vie des citoyens en investissant dans des infrastructures vertes à croissance zéro. Si la vraie nature de ce « Green New Deal » était explicitée personne ne boirait cette potion amère.
Comme les Présidents Poutine et Trump l’ont souligné à diverses reprises, non seulement il n’a jamais été prouvé que le gaz carbonique d’origine humaine entraînait des variations climatiques, mais il est apparu clairement que, depuis 1998, la tendance au réchauffement qui prévalait depuis 1938 a fait une étrange pause. Tandis que la teneur en gaz carbonique augmentait sans cesse des scientifiques ont alerté le monde sur le fait que l’on était sur le point d’entrer dans un âge glaciaire. Ce simple fait met en évidence l’embarrassante réalité selon laquelle l’augmentation des teneur en gaz carbonique a toujours par le passé suivi des épisodes de réchauffement et jamais l’inverse, ce qui a tendance à prouver que ce « gaz à effet de serre » est effectivement affecté par le réchauffement du climat, probablement par des facteurs d’origine spatiale, comme l’a souligné à plusieurs reprises le Président Poutine. Encore plus surprenant encore pour certains, des études récemment publiées par la NASA ont montré que la biomasse mondiale avait augmenté de 10 % ces dernières années, en grande partie en raison des politiques de croissance économique de la Chine et de l’Inde. Après tout, on a observé que les plantes poussaient beaucoup mieux lorsqu’elles étaient nourries par des niveaux accrus de gaz carbonique.
RépondreSupprimerQuelle est l’origine de ce « Green New Deal » ?
Comment autant de scientifiques respectables auteurs de travaux de grande valeur et autant de politiciens ont-ils pu supposer qu’une telle erreur était pourtant la vérité à tel point qu’une refonte totale de la société doit être envisagée ? Cela ne s’est évidemment pas produit du jour au lendemain, mais la pression actuelle pour transformer notre monde entier en le confrontant à la « réalité » devenue incontestable du réchauffement planétaire provoqué par l’homme trouve ses origines dans le mouvement néo-malthusien des années 1968-1972. Dans ce court intervalle de temps qui connut les assassinats de grands leaders politiques comme John F. Kennedy, Enrico Mattei, Martin Luther King et Bob Kennedy et la mort de Charles de Gaulle, le vide que laissa ces disparitions fut vite comblé par l’établissement sur la scène politique de lâches et de parasites. Il y eut un changement de paradigme vers le conservationnisme rejetant l’éthique de la croissance industrielle qui définissait la civilisation occidentale jusqu’à présent. Ce réveil malthusien répondait au défi lancé par le président de la société eugénique et fondateur de l’UNESCO Julian Huxley qui écrivit en 1946 :
« L’unification politique dans un gouvernement mondial sera nécessaire même si toute politique eugénique radicale sera politiquement et psychologiquement impossible pendant de nombreuses années, il importera que l’UNESCO veille à ce que ce problème eugénique soit examiné avec le plus grand soin et que l’esprit du public soit informé des problèmes en jeu, de sorte que ce qui est maintenant impensable puisse au moins devenir pensable. »
Naturellement, à peine un an après que le monde eut pris conscience des horreurs de l’eugénisme nazi Huxley et ses associés parmi l’élite anglo-américaine qui finança Hitler eurent un grand travail à réaliser pour redorer l’image de l’eugénisme et le reformuler sous un autre nom.
1001 Nature Trust et le Club de Rome
RépondreSupprimerEn 1968 fut fondée une organisation connue sous le nom de Club de Rome sous la direction de deux misanthropes Aurelio Peccei et Sir Alexander King. Rapidement cette organisation (on dirait aujourd’hui un « think-tank ») prit rapidement de l’ampleur dans le monde anglo-saxon avec des membres comptant divers idéologues de la communauté politique, économique et scientifique qui ont tous convenu que la meilleure forme de gouvernance de la société était une dictature scientifique. Sir Alexander King a écrit :
« En cherchant un nouvel ennemi pour nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine, etc … iraient de l’avant. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine. Ce n’est que par le biais de changements d’attitude qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même.«
Afin de financer ce changement de paradigme le 1001 Nature Trust avait été fondé en 1970 par le Prince Bernhard des Pays-Bas (Bernhardt de Lippe-Biesterfeld, époux de la future reine Juliana), porteur de sa carte de membre du parti nazi et fondateur du Groupe Bilderberg en 1954, qui avait travaillé aux côtés du Prince Philip Mountbatten (époux de la Reine Elizabeth II), son compagnon misanthrope, et de Sir Julian Huxley pour créer quelques années auparavant le World Wildlife Fund (WWF). Le plan était très simple : chacun des 1001 membres fondateurs a versé 10000 dollars dans la fiducie qui a ensuite été dirigée vers le changement de paradigme vert. Parmi les autres membres importants du Club 1001 on compte des têtes couronnées royales et princières, des milliardaires et des sociopathes technocratiques qui ne souhaitaient rien d’autre que gérer ce « Nouveau Monde » hautement prometteur financièrement en tant que membres « alpha ». Beaucoup d’entre eux firent ensuite partie du Club de Rome dont le Canadien Maurice Strong qui est ensuite devenu vice-président du WWF sous la présidence du Prince Philip en remplaçant un autre vice-président du WWF, Louis Mortimer Bloomfield. Bloomfield était membre du Club 1001 et il avait été identifié par le procureur de la Nouvelle-Orleans, Jim Garrison, comme étant l’un des instigateurs de l’assassinat du Président John F. Kennedy, notoirement opposé aux mouvement malthusien.
Le document qui devint ces années-là la véritable bible et le plan directeur de ce nouveau mouvement anti-humaniste et néo-malthusien qui a donné naissance au programme « Green New Deal » d’aujourd’hui s’intitule « Limits of Growth » paru en 1972. Il détient le record du livre sur l’écologie le plus lu, vendu à 30 millions d’exemplaires et traduit en 32 langues. Un article récent célébrant la parution de cet ouvrage déclarait :
« Cet ouvrage a contribué au lancement de la modélisation informatique moderne de l’environnement à l’échelle mondiale. Après la parution de « Limits of Growth » les environnementalistes, scientifiques et décideurs politiques ont de plus en plus pensé aux problèmes écologiques en termes planétaires et comme étant interconnectés de manière dynamique. Il faut relire ce livre, car plus que tout autre il a introduit le concept de changement climatique anthropocentré auprès d’un immense public.«
Le livre lui-même est le résultat d’une étude réalisée par une équipe de statisticiens du MIT co-signée par Jay Forrester et Dennis Meadows. Comme Alexandria Ocasio-Cortez aujourd’hui, ces jeunes professeurs du MIT n’étaient que des marionnettes en papier manipulées par les plus grands ingénieurs en sciences sociales qui géraient le spectacle en coulisse. Cette étude émanant du MIT n’a même pas été initiée au MIT, elle le fut à Montebellow au Québec en 1971 sous la houlette de Pierre Elliot Trudeau, l’un des « parrains » du Club de Rome, qui a alloué de l’argent des contribuables canadiens à ce projet. Il fut décidé lors d’une réunion rassemblant un réseau de conseillers privés de la fondation Rhodes (qui finance des bourses d’étude) réunis autour d’Alexander King (illustration ci-dessus), Maurice Strong, Maurice Lamontagne (fondateur d’Environnement Canada), Michael Pitfield, fondateur du SCRS, service de renseignement et de sécurité du Canada et le Gouverneur général Roland Michener de financer ce projet. Le projet a ensuite été en partie financé au MIT par la fondation Volkswagen dont le passé soutenu par les nazis aurait dû indisposer certains statisticiens du MIT.
RépondreSupprimerLe malthusianisme en bref.
Les membres du Club de Rome/WWF/Club 1001 se sont surnommés « néo-malthusiens » en référence à l’idéologie popularisée par Thomas Malthus (illustration ci-après). L’essai de Malthus paru en 1799 sur le principe de la population a noté de façon pessimiste que la population humaine s’accroissait de manière géométrique tandis que la production alimentaire augmentait de manière arithmétique, menant inévitablement à un point critique de surpopulation.
Ce point de crise a été le fondement du concept que les auteurs de « Limits of Growth » ont appelé par la suite la « capacité de charge » (carrying capacity). Bien sûr, plutôt que de permettre à ces « bovins » d’humains de développer leur esprit afin de faire plus de découvertes et d’inventions qui compenseraient ce point critique, Malthus, et plus tard ses héritiers, savaient que l’Empire britannique dont il était un employé n’aurait jamais pu exister si ce pouvoir créatif n’avait pas été libéré. En dépit des faits Malthus a froidement préconisé l’élimination des faibles pour faire de la place aux plus forts. N’étant pas au fait des subtilités de langage utilisées dans l’actualité au XXIe siècle, Malthus est allé jusqu’à proposer que l’on pratique des infanticides :
» Tous les enfants naissant au delà de ce qui serait nécessaire pour maintenir la population au niveau souhaité doivent nécessairement périr, à moins que les décès des adultes leur laisse une place suffisante … nous devons donc faciliter, au lieu de tenter maladroitement et en vain, les opérations de la nature dans la production de cette mortalité.«
En reformulant les hypothèses de Malthus dans un système informatique complexe, ces néo-malthusiens ont voulu créer un mouvement d’annulation volontaire fondé sur la honte parmi une génération entière de baby-boomers. Bien sûr, si vous supposez que le progrès technologique est terminé, il apparaîtra certainement qu’un système fermé des ressources limitées et fixes ne peut être géré que par une élite technocratique qui obtient des rendements décroissants à mesure que le monde s’installera dans un « équilibre mathématique » imaginaire de la « durabilité ». Heureusement pour l’humanité la réalité est rarement conformes aux idéaux pessimistes des racistes et des impérialistes.
L’enchainement de Prométhée.
RépondreSupprimerFormé depuis longtemps à Londres et proche collaborateur du premier ministre canadien Pierre Elliot Trudeau, Maurice Lamontagne était membre du Club de Rome et ancien président du conseil privé de ce club. Parmi tous les membres du Club de Rome Lamontagne a été toujours décisif en identifiant le plus grand ennemi de la Terre comme étant la créativité humaine elle-même. Dans ses rapports au Sénat canadien qui réformaient le financement et la planification scientifique canadienne, Lamontagne écrivit :
» La nature impose des contraintes précises à la technologie elle-même et si l’homme persiste à les ignorer l’effet final de son action à long terme peut être de réduire plutôt que d’accroître le potentiel de la nature en tant que fournisseur de ressources et d’espace habitable … Mais alors une question se pose : comment pouvons-nous arrêter la créativité de l’homme ? «
Reconnaissant à juste titre que l’envie de découvrir l’inconnu est inhérente à la condition humaine Lamontagne répond à sa propre question en écrivant :
» Comment pouvons-nous proclamer un moratoire sur la technologie ? Il est impossible de détruire les connaissances existantes, il est impossible de paralyser le désir inné de l’homme d’apprendre, d’inventer et d’innover … En dernière analyse, nous constatons que la technologie n’est qu’un outil créé par l’homme à la recherche de ses aspirations infinies et n’est pas l’élément significatif envahissant le milieu naturel. C’est la croissance matérielle elle-même qui est à l’origine du conflit entre l’homme et la nature. «
Ainsi donc la créativité et ses fruits du progrès technologique ne sont acceptables que s’ils réduisent le conflit entre l’homme et la nature, selon Lamontagne ! La « mauvaise » technologie, dans sa formulation, a pour effet d’augmenter la croissance matérielle de l’humanité, c’est-à-dire les pouvoirs de productivité. Si en revanche nous promouvons des technologies à faible densité énergétique telles que les éoliennes, les panneaux solaires et les biocarburants, qui entraînent une réduction de la capacité de travail de l’homme alors la technologie peut être définie comme une « bonne chose » selon cette logique tordue. Ce rapport a été repris par un autre membre du Club de Rome, Omond Solandt, qui l’a présenté au Sénat américain. Solandt a initié sa carrière comme conseiller scientifique auprès de Lord Mountbatten (mentor aux penchants pédophiles du Prince Philip) pendant la seconde guerre mondiale puis il a dirigé le Conseil de recherches pour la défense jusqu’en 1957 et il a ensuite intégré le MK Ultra (lien en fin de billet, je conseille à mes lecteurs de lire l’article en français sur MK Ultra) aux côtés du tristement célèbre Ewan Cameron de l’Université McGill au Canada. Solandt a dit de manière sophistiquée que » il n’est plus nécessaire de faire de la science. Il faut plutôt comprendre, guider et utiliser efficacement la science pour le bien-être de l’humanité « . Ce qui définit « le bien-être de l’humanité » pour un membre promoteur de MK Ultra ne peut que donner des frissons !
En prévision du déchainement de l’ordre post-industriel avec la fluctuation du dollar américain en 1971 et la destruction du système monétaire de Bretton Woods qui incluait au moins un minimum de réglementations des spéculateurs monétaristes, Lamontagne a prescrit que la nouvelle sagesse ne visait plus seulement les découvertes scientifiques dans les domaines médical, atomique et spatial mais une réorientation vers des projets d’ingénierie plus pratiques. Il a aussi proposé de réduire les budgets alloués aux sciences « dures » en élargissant cette notion de science aux sciences humaines, sociales et monétaires. Ces programmes ont progressivement absorbé une grande partie des fonds alloués aux sciences exactes et à la science pure. Dans le premier volume de son rapport Lamontagne a déclaré ceci :
RépondreSupprimer» La nouvelle sagesse prescrit qu’un effort de recherche et développement supplémentaire soit consacré aux sciences de la vie et aux sciences sociales plutôt qu’aux sciences physiques, aux objectifs économiques et sociaux plutôt qu’à la curiosité et à la découverte. «
À la défense de Prométhée
Un scientifique canadien de premier plan a rapidement pris position contre cette transformation impulsée par le Club de Rome. Ronald Hayes, Professeur de sciences de l’environnement à l’Université Dalhousie et fonctionnaire canadien, a écrit un livre en 1973 intitulé « L’Enchainement de Prométhée : l’évolution d’une structure de puissance pour la science canadienne » dans lequel il a identifié Lamontagne comme un serviteur du dieu Zeus décrit par Eschyle dans la célèbre tragédie Prométhée enchaîné. Le drame grec antique racontait l’histoire du demi-dieu Prométhée, puni pendant dix-mille ans pour avoir enseigné à l’humanité, par défi, l’usage du feu que Zeus avait monopolisé pour lui-même. En attaquant l’appel de Lamontagne à déconstruire toute la structure de financement de la science canadienne mise en place entre 1938 et 1971 et à mettre en place un nouveau système technocratique le Professeur Hayes déclara que le principal problème avec l’approche de Lamontagne s’appelait le syndrome égyptien :
» Si seulement nous pouvions détruire tout ce que les Israéliens ont construit et réduire la Palestine à un désert, tout le monde serait égal et nous pourrions commencer à construire un monde meilleur pour les Arabes. Ainsi Lamontagne veut détruire le conseil national de la recherche, l’organisme qui a lancé et nourri une grande partie de la recherche gouvernementale et abondé les programmes des cycles supérieurs dans les universités. C’est une erreur de l’administration Trudeau dont se fait l’écho Lamontagne. «
Il n’y a pas de limite à la croissance.
Dix ans après la publication de « Limits of Growth » le candidat à la présidence américaine et fondateur de la Fusion Energy Foundation, Lyndon Larouche (1922-1919) a réagi au mouvement néo-malthusien avec encore plus de force que Hayes. Dans sa première publication en 1982 de son ouvrage « Il n’y a pas de Limite à la Croissance » Larouche écrivait :
» Ce n’est pas la croissance de l’industrie qui détruit les forêts du monde. Dans la plupart des cas la cause est un déficit de production industrielle, une mauvaise gestion industrielle de l’écosphère. Au cours des 15 dernières années la plus grande cause et unique de destruction de l’ « écologie » du monde a été la tolérance des politiques réclamées par les soi-disant écologistes, les soi-disant néo-malthusiens du Club de Rome, l’Institut International pour l’Analyse des Systèmes Appliqués, le Fond mondial pour la nature, l’Institut Aspen, la Fondation Ford, la Fondation Rockfeller, le US Sierra Club, etc. Nous n’investissons pas assez d’énergie produite industriellement dans la gestion de l’eau, les produits chimiques, etc, l’agriculture de la biosphère terrestre. Dans le même temps nous utilisons la biomasse comme combustible et d’autres usages traditionnels. Nous devrions plutôt utiliser de l’énergie d’origine nucléaire, utiliser des matériaux modernes fabriqués industriellement à la place du bois d’oeuvre pour la construction de logements, etc. «
RépondreSupprimerDécrivant l’influence extraordinaire que les limitations de la croissance ont eu sur la consolidation du renouveau néo-malthusien comme facteur dominant dans les cercles politiques occidentaux, Larouche a identifié les erreurs fondamentales qui ne sont que timidement remises en cause par les prises de position de Trump aux USA. Il a déclaré :
» L’étude elle-même, « Limits of Growth », était particulièrement frauduleuses à deux égards. Premièrement, en essayant de prouver que la société industrielle utilise trop rapidement les ressources naturelles qui restent. Meadows et Forrester ont fortement minimisé les quantités connues de ces ressources. Deuxièmement, plus important encore, Meadows et Forrester ont projeté le taux de consommation des ressources naturelles en utilisant des systèmes d’équations linéaires simultanément. Cette utilisation dans un « modèle » informatique d’équations linéaires intègre l’hypothèse selon laquelle il n’y a aucun progrès technologique dans la société. En fait le progrès technologique, y compris la redéfinition fondamentale de la signification des « ressources naturelles », constitue depuis cinq siècles le trait marquant de la civilisation européenne. Les limites de la croissance dans ce modèle reposaient sur l’hypothèse que de tels progrès technologiques étaient parvenus à un arrêt brutal et absolu. «
Entropique ou anti-entropique ?
Tout comme Thomas Malthus quelques siècles auparavant les néo-malthusiens se devaient de nier l’existence des progrès technologiques – et de leur origine dans la créativité humaine – comme moyen par lequel les capacités de performance de l’humanité sont modifiées en fonction des découvertes et des inventions. Cette relation de l’humanité avec l’univers qui l’entoure définit absolument notre existence en tant qu’espèce au dessus de toutes les autres créatures de la biosphère. Etant donnée que les capacités de performance des autres espèces vivantes sont définies par l’environnement et par des caractéristiques génétiques, l’être humain peut transcender ces conditions de manière délibérée à condition de pouvoir accéder au meilleur patrimoine culturel et éducatif du passé, à condition d’avoir le désir et la curiosité de porter cet héritage vers des limites toujours plus élevées sans jamais s’attendre à butter sur un équilibre mathématique ou une mort par chaleur entropique, comme le prédisent avec leur pessimisme bon nombre de statisticiens de l’école « Limits to Growth ».
Contrairement à cette école, les travaux de Larouche en science de l’économie physique réalisés entre 1952 et 1956 reposaient sur le concept opposé selon lequel la capacité de l’humanité de passer de formes de consommation d’énergie faibles à élevées (c’est-à-dire du bois au charbon, du charbon au pétrole, du pétrole à la fission nucléaire puis à la fusion, etc) permet de transformer sans limite le potentiel économique physique de l’humanité. Des sauts créatifs dans l’inconnu conduisent à de nouvelles découvertes de principes permettant à la densité de la population relative potentielle de l’humanité d’augmenter avec l’amélioration des niveaux de vie, de l’espérance de vie et du potentiel cognitif d’une manière qu’aucun autre animal – ce que les malthusiens souhaitent pourtant nous faire croire – ne peut atteindre. Ce fait même de la vie est la preuve essentielle que non seulement l’humanité mais aussi l’univers n’a aucune limite en ce qui concerne son potentiel de perfectionnabilité constante et donc son essence anti-entropique.
RépondreSupprimerLe Vrai New Deal
Il faut espérer que ces lignes ont démontré que le « Green New Deal » n’est rien d’autre qu’une nouvelle forme d’eugénisme se faisant passer pour une réforme socialement consciente. Le fait est que ce « Green New Deal » n’est pas vert (car un monde recouvert de panneaux solaires accélérerait la désertification de la terre par chauffage) mais il n’y a aucun lien avec le véritable New Deal. Les effets d’un programme visant à réduire les émissions de gaz carbonique à des niveaux « acceptables » conformément à la volonté des Britanniques aujourd’hui n’apporterait rien d’autre que le chaos, la famine et la dépopulation à l’humanité.
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Fort heureusement, le monde aujourd’hui compte près de 8 milliards d’âmes et, en dehors d’une poignée d’oligarques et de technocrates bornés et avides, ce sont tous des esprits qui pourraient volontairement se perfectionner et se déployer pour faire de grandes découvertes dans les domaines de la science et des arts. Le monde dans lequel vivent toutes ces personnes est de plus en plus façonné par le vrai New Deal dans le cadre de l’initiative Routes et Voies commerciales dirigée par la Chine, initiative qui compte maintenant 160 pays et représente le volume financier de plus de 20 plans Marshall. Cette initiative nécessite un retour à une éthique fondée sur l’amour de l’humanité et la conviction de l’utilité des progrès scientifique et technique. Cet esprit a été parfaitement explicité par le Président Xi Jinping qui a déclaré au Dialogue des Civilisations Asiatiques le 15 mai dernier :
» Pour qu’une civilisation perdure il faut tout faire pour la maintenir en vie et valoriser son patrimoine de génération en génération. Plus important encore une civilisation doit s’adapter à l’évolution de la situation et innover. L’histoire des civilisations du monde nous dit que chaque civilisation doit progresser avec son temps et profiter du meilleur de ce temps pour se développer. Nous devons trouver de nouvelles idées pour donner une impulsion et une inspiration au développement de nos civilisations. Grâce à ces efforts, nous livrerons à nos civilisations des réalisations qui transcenderont dans le temps et l’espace et auront un attrait durable. Pour stimuler l’innovation et la créativité des personnes le meilleur moyen est de mettre en contact les différentes civilisations, de détecter les points forts des autres et d’y faire appel. «
Le fait que les Présidents Poutine et Xi Jinping aient créé une alliance basée sur la planification à long terme, de grands projets d’infrastructure visant à améliorer les conditions de vie de tous et des progrès à la pointe de la technologie indique que le « grand jeu vert » créé à la suite des disparitions des dirigeants anti-malthusiens dans les années 1960 va enfin se terminer. L’automutilation lente des Etats-Unis a enfin une chance de s’arrêter avec le premier président anti-malthusien élu depuis l’époque Reagan qui était plutôt bien intentionné bien que parfois stupide, il y a 35 ans. Reagan n’avait pas cette alliance russo-chinoise avec laquelle coopérer pendant la guerre froide contrairement à Trump. L’offre faite à l’Amérique de rejoindre l’initiative Belt and Road et un nouveau système de coopération stratégique est sur la table du Président. Reste à savoir comment le Président Trump réagira.
RépondreSupprimerLire aussi https://fr.wikipedia.org/wiki/Projet_MK-Ultra )
https://jacqueshenry.wordpress.com/2019/08/12/les-racines-genocidaires-du-new-deal-vert-limiter-la-croissance-et-liberer-promethee/#respond
Chaque humain sur Terre comme chaque autre animal représente un certain poids composé exclusivement de terre et d'eau. Ainsi, durant leur vie chacun des terriens absorbera et reposera (à peu près au même endroit où il l'a pris) les dizaines de tonnes d'aliments et d'eau jusqu'à ce qu'il décède et repose là les restes qu'il a absorbé.
SupprimerC'est-à-dire que notre planète ne pèse pas un gramme de plus en prenant ici et reposant là. Et, comme l'agriculture, la pêche et l'élevage sont développés (et le trop à la décharge), chacun peut se nourrir. Mais, arrive les importuns qui prônent la diète, la guerre et les maladies (plantes non traitées contre elles !) afin que l'auto-suffisance n'ait plus lieu et ruine tous les espoirs de la Démocratie face aux dictatures qui dirigent.
Mais, face à ces charlatans lobbyistes de l'hégémonie internationale, se multiplient les intelligences propres à comprendre qui inondent le Peuple. Ce n'est plus le 'pot de Terre contre le pot de fer' mais la révolte filigranée qui couve en son sein des neurones instruites contre la marchandisation des politiques du pire. Plus de 7 milliards de têtes bien pleines en lutte contre un nano-groupuscule de psychopathes qui trépignent de n'en savoir autant !
Autant en emporte le vent mais les idées restent et se transmettent ! Tous les gaz se recyclent depuis toujours (sans quoi l'animal ne serait jamais apparu sur Terre). Et nul autre que le magma ne peut modifier le climat de notre planète. C'est grâce à lui (et au soleil) que la vie est présente. Il dégaze des milliards de fois plus que tous les vivants sur Terre et ses industries au travers des millions (milliards ?) de sources chaudes au fond des bassins maritimes & océanique. C'est lui qui règle les marées, les vents, les courants marins et océaniques et les températures.
Contrairement aux autres animaux, les humains travaillent pour vivre. C'est cette scission entre l'Homme Préhistorique qui se nourrissait de chasses et de cueillettes avec l'Homme Historique qui a créé l'agriculture et l'irrigation de la planète.
Plus de 3 000 victimes du loup depuis janvier
RépondreSupprimerSelon les données officielles au 30 juin 2019, les dommages des loups sont en léger recul par rapport à 2018.
Avec 910 attaques enregistrées au 30 juin 2019 et 3 060 victimes indemnisées (données non stabilisées), les dégâts des loups semblent avoir stoppé leur ascension. L’année dernière à la même date, plus de 1 000 constats avaient déjà été comptabilisés pour près de 3 800 animaux domestiques dévorés.
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Des étudiants privés de bœuf pour sauver le climat
Fini hamburgers, lasagnes et spaghettis à la bolognaise pour les étudiants de l’université Goldsmiths de Londres : la viande de bœuf y sera bannie afin de lutter contre le changement climatique.
Cette interdiction à la vente de tous les produits contenant de la viande bovine entrera en vigueur dans les commerces du campus à la rentrée de septembre, a annoncé cette université du sud-est de la capitale britannique dans un communiqué, l’élevage de bovins étant accusé d’être très consommateur d’eau et source de déforestation. Affichant l’objectif de devenir neutre en carbone d’ici à 2025, l’université appliquera également une pénalité de 10 pence, environ 10 centimes d’euro, sur les bouteilles en plastique et les tasses non réutilisables.
« Contribuer au changement radical nécessaire »
« L’appel mondial de plus en plus insistant à ce que les organisations prennent au sérieux leurs responsabilités afin de stopper le changement climatique est impossible à ignorer, a expliqué la nouvelle directrice de Goldsmiths, qui a pris ses fonctions en août. Le personnel et les étudiants […] sont déterminés à contribuer au changement radical nécessaire pour réduire drastiquement notre empreinte carbone, aussi vite que possible. »
Le rapport du Giec, groupe de l’ONU sur le climat, rendu public jeudi dernier souligne que modifier les habitudes de consommation et de production alimentaires est un des leviers pour agir contre le réchauffement climatique, sans pour autant préconiser de passer à un régime végétarien ou végétalien.
Une approche « trop simpliste »
Le Syndicat national des agriculteurs (NFU) a dénoncé « une approche trop simpliste » de la part de Goldsmiths et encouragé les organismes privés ou publics, y compris les universités, à soutenir l’agriculture britannique et à s’approvisionner localement. « Le principal problème est le manque […] de distinction entre le bœuf britannique et le bœuf produit ailleurs », a ajouté son vice-président Stuart Roberts.
L’empreinte carbone du bœuf britannique est « 2,5 fois plus faible que la moyenne mondiale », selon lui, grâce à des élevages extensifs. D’autres universités britanniques ont déjà pris des initiatives visant à réduire la consommation de viande, notamment Cambridge.
Une nouvelle épidémie mortelle semble se profiler à l’horizon
RépondreSupprimer19:10 13.08.2019
Des scientifiques ont découvert qu’une bactérie infectieuse de l'intestin était en train d’évoluer pour former deux espèces distinctes dont l’une semble très bien s’adapter à l’existence dans les hôpitaux, malgré tous les produits désinfectants.
Un groupe international de scientifiques du centre Sanger Institute et de l’École d’hygiène et de médecine tropicale de Londres (London School of Hygiene & Tropical Medicine) a appris que la bactérie Clostridium difficile, qui provoque des maladies infectieuses de l'intestin, se développait progressivement pour former deux espèces distinctes dont l’une a su s’adapter aux désinfectants hospitaliers et se propage largement. Ce micro-organisme peut causer aussi bien une légère diarrhée que des états dangereux pour la santé comme la septicémie, annonce Science Daily.
«Notre analyse génétique à grande échelle nous a permis de découvrir que Clostridium difficile était en train de former une nouvelle espèce avec un groupe à diffusion particulière en milieu hospitalier», a déclaré Nitin Kumar, du centre Sanger.
La propagation
Pour comprendre l'évolution de cette bactérie, les chercheurs ont analysé 906 souches de Clostridium isolées chez l'homme et les animaux (chiens, porcs et chevaux), ainsi que dans l'environnement. Il s’est avéré que la bactérie évoluait actuellement en deux espèces distinctes dont l’une survit et se propage aisément dans les hôpitaux.
La bactérie à l’origine d’une peste médiévale ayant coûté la vie à 100 millions de personnes mise à nue
Ainsi, les chercheurs ont découvert que cette espèce émergente, nommée Clostridium difficile clade A, était présente dans environ 70% des échantillons prélevés sur des patients hospitalisés. Ils ont également découvert qu’elle assimilait mieux les sucres. Ainsi, les souches nouvelles colonisaient mieux l’intestin des souris quand le régime alimentaire de celles-ci était riche en sucre.
Une bactérie vieille de 76.000 ans
Une analyse de datation a révélé que Clostridium difficile clade A avait fait son apparition pour la première fois il y a environ 76.000 ans, mais que le nombre de souches différentes avait commencé à proliférer à la fin du XVIe siècle, avec l’ouverture des premiers hôpitaux. Depuis, le groupe a prospéré en milieu hospitalier avec de nombreuses souches qui continuent à s’adapter et à évoluer.
Les auteurs de l’étude soulignent également le danger du traitement aux antibiotiques en présence de cette bactérie. Tant que quelqu'un est en bonne santé et ne prend pas d'antibiotiques, des millions de «bonnes» bactéries dans l'intestin contrôlent la présence de Clostridium difficile. Mais lorsque les antibiotiques éliminent ces bactéries barrières, l’intestin du patient devient vulnérable à Clostridium difficile qui peut alors provoquer des inflammations et une diarrhée aiguë.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201908131041923141-une-nouvelle-epidemie-mortelle-semble-se-profiler-a-lhorizon/
SANTÉ - LES CAS DE ROUGEOLE DANS LE MONDE ONT TRIPLÉ
RépondreSupprimerSelon l'OMS, ils ont atteint le niveau «le plus élevé» jamais enregistré depuis 2006. En Afrique, les cas ont été multipliés par dix.
13.08.2019, 14h30
Les cas de rougeole dans le monde ont quasiment été multipliés par trois depuis janvier par rapport à la même période de l'an dernier, a annoncé mardi l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Ils ont atteint le niveau «le plus élevé» jamais enregistré depuis 2006.
Les chiffres publiés par l'OMS montrent que du 1er janvier au 31 juillet 364'808 cas ont été enregistrés, contre 129'239 l'an dernier à la même période. Les plus grands nombres de cas ont été enregistrés en République démocratique du Congo (RDC), à Madagascar et en Ukraine.
A Magadascar, «le nombre de cas a cependant considérablement diminué au cours des derniers mois» à la suite des campagnes nationales de vaccination d'urgence contre la rougeole, a relevé l'OMS lors d'un point de presse à Genève.
D'autres flambées majeures sont en cours en Angola, au Cameroun, au Tchad, au Kazakhstan, au Nigeria, aux Philippines, au Soudan du Sud, au Soudan et en Thaïlande. Les Etats-Unis ont eux enregistré leur plus grand nombre de cas de rougeole depuis 25 ans.
Une des maladies les plus contagieuses
La rougeole est l'une des maladies les plus contagieuses au monde et les décès sont le plus souvent dus à des complications. Il n'existe pas de traitement curatif, mais elle peut être prévenue par deux doses d'un vaccin «sûr et très efficace», selon l'OMS.
Les épidémies de rougeole les plus importantes surviennent dans des pays où la couverture vaccinale est faible. Dans les pays occidentaux, les «anti-vax» s'appuient sur une publication de 1998 liant le vaccin contre la rougeole et l'autisme. L'OMS a balayé à plusieurs reprises ces critiques et il a été établi que l'auteur du texte, le Britannique Andrew Wakefield, avait falsifié ses résultats.
La défiance peut aussi avoir des motifs religieux, comme à New York où la maladie a été importée par des voyageurs non vaccinés venus d'Israël.
Sous-évalué
Dans la région européenne, les chiffres ont doublé avec près de 90'000 cas signalés cette année: ce chiffre dépasse largement celui enregistré pour l'ensemble de l'année 2018 (84'462).
Dans les autres régions, l'OMS a enregistré une explosion des cas en Afrique, presque multipliés par dix, une augmentation de 230% dans le Pacifique occidental et de 50% en Méditerranée orientale. L'Asie du Sud-Est et la région des Amériques dans son ensemble ont chacune enregistré une diminution de 15% des cas.
L'OMS estime que toute personne de plus de six mois devrait être protégée contre la rougeole avant de se rendre dans une région où la maladie circule. L'agence spécialisée de l'ONU recommande aux voyageurs de se faire vacciner au moins quinze jours avant le départ.
L'OMS estime que moins d'un cas sur dix est signalé dans le monde, ce qui signifie que l'ampleur de l'épidémie est bien plus importante que les statistiques officielles. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/cas-rougeole-monde-triple/story/21364918
Qui inflige le plus de violence armée en Amérique ? Le gouvernement américain et sa police
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Mer., 14/08/2019 - 00:05
Écrit par John Whitehead via le Rutherford Institute,
«Il arrive souvent que des tirs contre la police, des incidents où des membres des forces de l'ordre appuient sur des civils, restent en dehors du débat sur la violence armée. Mais un policier qui tire sur un civil est considéré comme une violence armée. Chaque fois qu'un agent utilise une arme à feu contre un innocent ou une personne non armée, cela contribue à la culture de la violence armée dans ce pays. »- Journaliste Celisa Calacal
Oui, la violence armée est un problème en Amérique, bien que les crimes violents restent généralement au plus bas.
Oui, les fusillades en masse sont un problème en Amérique, même si elles deviennent de plus en plus meurtrières, elles ne deviennent pas plus fréquentes.
Oui, les personnes atteintes de maladie mentale qui se lancent dans des tournées de masse sont un problème en Amérique.
Cependant, les lois plus strictes en matière de contrôle des armes à feu et les vérifications soi-disant «intelligentes» des antécédents ne protègent pas le public des auteurs les plus flagrants d'actes de violence armée aux États-Unis: le gouvernement américain.
Considérez que cinq ans après que la police a abattu un homme non armé de 18 ans à Ferguson, dans le Missouri, la violence armée perpétrée par le gouvernement n’a pas été soulagée.
Voici ce que nous avons appris sur la violence armée du gouvernement depuis Ferguson, selon le Washington Post: Si vous êtes un Américain noir, vous avez plus de chances d’être abattu par la police. Si vous êtes un homme noir sans armes, vous êtes quatre fois plus susceptible d'être tué par la police qu'un homme blanc sans armes. La plupart des personnes tuées par la police sont des hommes jeunes. Depuis 2015, la police a abattu en moyenne 3 personnes par jour. Plus de 2 500 départements de police ont abattu au moins une personne depuis 2015. Et bien que la grande majorité des personnes abattues par la police soient armées, leurs armes allaient des fusils aux couteaux en passant par les toyguns.
Clairement, le gouvernement américain ne rend pas l’Amérique plus sûre.
En effet, la violence armée du gouvernement - infligée à des individus non armés par des équipes SWAT entraînées sur le champ de bataille, une police militarisée et des agents du gouvernement bureaucratiques formés pour tirer en premier et poser des questions plus tard - constitue une menace plus grande pour la sûreté et la sécurité du pays que tout tireur de masse .
Selon le journaliste Matt Agorist, "les fusillades à grande échelle… ont coûté la vie à 339 personnes depuis 2015 ... [traduction] ce même laps de temps, la police en Amérique a coûté la vie à 4 355 citoyens."
C'est 1200 % plus de personnes tuées par la police que de tireurs de masse depuis 2015.
Par exemple, au Texas, un officier de police envoyé pour vérifier l'aide sociale d'une femme âgée de 30 ans vue couchée sur l'herbe près d'un centre commercial a visé le chien de la femme alors qu'il se dirigeait vers lui en aboyant et a tiré plusieurs fois, et tué la femme à la place.
RépondreSupprimerÀ Chicago, une équipe du SWAT, vêtue de «treillis militaires recouverts de tissu noir et portant des lunettes de protection», armés de fusils automatiques et lançant des grenades éclatantes, a percuté les portes d'une maison de banlieue et a pris d'assaut les chambres à coucher. les enfants de la maison au bout du fusil. Un enfant, Amir, 13 ans, a été «accidentellement» blessé au genou par la police alors qu'il était assis sur son lit.
À St. Louis, dans le Missouri, une équipe du SWAT chargée de délivrer un mandat administratif a organisé un raid sans appel qui a abouti à un coup de pied donné par la police à la porte de la propriétaire, puis à une fusillade et à la mise à mort de son chien, le tout sur une facture d’essence impayée. Les contribuables devront trouver 750 000 dollars pour régler le litige concernant la tactique par zèle des flics.
En Caroline du Sud, un propriétaire de 62 ans a été abattu à quatre reprises par la porte de son domicile par la police qui enquêtait sur un appel d'alarme d'assistance médicale provenant d'un téléphone portable à l'intérieur de la maison. Dick Tench, croyant que sa maison était cambriolée, se tenait dans le hall de son domicile armé d'une arme de poing lorsque la police, regardant par la porte d'entrée, a tiré plusieurs coups de feu à travers la porte, frappant Tench dans le bassin et l'artère aortique. La tanche a survécu, mais la balle logée dans son bassin y restera à vie.
Au Kansas, une équipe SWAT tentant d'exécuter un mandat de perquisition de routine (le suspect avait déjà été arrêté) s'est présentée à une résidence aux alentours de l'heure du dîner, vêtue de l'équipement tactique avec les armes dégainées et a lancé une grenade éclair dans la maison. passé la femme de 68 ans qui était en train de leur ouvrir la porte et dans la direction générale d’un enfant de 2 ans.
Ce ne sont là que quelques exemples récents parmi des centaines cette année seulement.
Curieusement, au beau milieu de la dernière série de tirs en masse, les Américains se sont tellement concentrés sur la question de savoir qui est responsable de la violence armée - les armes à feu, les propriétaires d’armes à feu, le Second Amendement, les politiciens ou notre culture violente - qu'ils ont oublié le fait que la violence systémique perpétrée par des agents du gouvernement a causé plus de tort collectif au peuple américain et à leurs libertés que tout acte terroriste ou tir de masse.
La violence est devenue la carte de visite de notre gouvernement. Elle commence depuis le sommet et s’abaisse des 80 000 raids de l’équipe SWAT menés chaque année contre des Américains sans méfiance par des commandos lourdement armés et vêtus de noir et par la militarisation de plus en plus rapide des forces de police locales à travers le pays. pays aux meurtres par drones utilisés pour cibler les insurgés.
Le gouvernement exporte même la violence dans le monde entier, l’une des exportations les plus rentables de ce pays étant les armes. En effet, les États-Unis, premier exportateur d’armes au monde, vendent la violence au monde depuis trop longtemps maintenant. Contrôlant plus de 50% du marché mondial des armes, les États-Unis ont vendu ou donné des armes à au moins 96 pays au cours des cinq dernières années, y compris le Moyen-Orient. Les États-Unis accordent également des subventions et des prêts à des pays comme Israël, l’Égypte, la Jordanie, le Pakistan et l’Iraq dans le cadre du programme de financement militaire à l’étranger afin d’acquérir des armes de guerre.
Au moment même où les États-Unis équipent près de la moitié du monde avec des armes meurtrières et réalisent des gains de l'ordre de 36,2 milliards de dollars, ses dirigeants ont également sermonné les citoyens américains sur les dangers de la violence armée et se sont employés à prendre des mesures qui rendraient la tâche plus difficile pour les Américains d'acquérir certaines armes.
RépondreSupprimerTu parles d'un double standard absurde.
Si nous voulons vraiment prendre au sérieux la violence armée, pourquoi ne pas commencer par réduire les armes de guerre de l’État policier américain?
Je vais vous dire pourquoi: parce que le gouvernement n’a pas l’intention de réduire ses armes.
En fait, alors que les critiques d’armes à feu continuent de réclamer une interdiction des armes d’assaut de type militaire, des magazines de grande capacité et des balles perforantes, l’armée américaine les transmet aux forces de police nationales.
Sous les auspices d’un programme militaire de «recyclage», qui permet aux services de police locaux d’acquérir des armes et du matériel de qualité militaire, des équipements d’une valeur de plus de 4,2 milliards de dollars ont été transférés du Département de la défense aux services de police nationaux depuis 1990. «cadeaux» sont des véhicules, des engins tactiques et des fusils d’assaut ressemblant à des chars, d’une résistance de 20 tonnes contre les mines anti-embûches (MRAP).
Il y aurait actuellement plus d'agents gouvernementaux bureaucratiques (non militaires) armés d'armes de haute technologie et mortelles que les Marines américains.
Alors que les Américains doivent faire face à de plus en plus d'objectifs pour posséder une arme à feu, le gouvernement arme ses propres employés civils au maximum avec des armes, des munitions et du matériel de type militaire, les autorisant à procéder à des arrestations et à leur formation en matière militaire. tactique.
Parmi les agences qui reçoivent du matériel de vision nocturne, des gilets pare-balles, des fusils de chasse, des drones, des fusils d’assaut et des canons à gaz LP, citons le Smithsonian, US Mint, Services de santé et services à la personne, IRS, FDA, Small Business Administration, Social Administration de la sécurité, Administration nationale des océans et de l'atmosphère, Département de l'éducation, Département de l'énergie, Bureau de la gravure et de l'impression et un assortiment d'universités publiques.
Sérieusement, pourquoi les agents de l'IRS ont-ils besoin de fusils AR-15 ?
D'ailleurs, pourquoi la police a-t-elle besoin de véhicules de transport de troupes blindés dotés d'orifices pour armes à feu, de mitraillettes compactes avec des chargeurs de 30 cartouches, de fusils de précision pour tireurs d'élite sur le champ de bataille et de carabines et de fusils d'assaut de qualité militaire?
Réponse courte: ils ne le font pas.
Aux mains des agents du gouvernement, qu'ils soient membres des forces armées, des forces de l'ordre ou d'un autre organisme gouvernemental, ces armes sont devenues des tâches courantes de la vie quotidienne des États-Unis, un sous-produit de la militarisation rapide des forces de l'ordre au cours des dernières années. plusieurs décennies.
Au cours des 30 dernières années, les policiers portant des bottes armées de fusils d'assaut sont devenus assez courants dans les petites villes du pays. En tant que journalistes d'investigation Andrew Becker et G.W. Schulz révèle: «De nombreux policiers, y compris des policiers battus, portent désormais systématiquement des fusils d'assaut. Combinés à des gilets pare-balles et à d'autres vêtements, de nombreux officiers ressemblent de plus en plus à des troupes de combat servant en Irak et en Afghanistan. "
RépondreSupprimerCela ressemble-t-il à un pays soumis à la loi martiale ?
Vous voulez parler de violence armée ? Même si, techniquement, le citoyen moyen possède toujours une arme à feu en Amérique, en posséder une peut désormais vous faire arrêter, fouiller, arrêter, être soumis à toutes sortes de surveillance, être traité comme un suspect sans avoir jamais commis de crime, tirer et tué par la police.
Vous n'avez même pas besoin d'avoir en votre possession une arme à feu ou une arme similaire, telle qu'une arme à feu BB, pour qu'elle soit choisie et tuée par la police.
Tous les jours, d'innombrables incidents se produisent, où des policiers américains tirent sur des Américains, leur dénudent, les fouettent, les étouffent, les frappent et les mettent au pistolet pour ne rien faire de plus que d'oser froncer les sourcils, sourire, remettre en question ou contester un ordre.
De plus en plus de personnes non armées sont abattues pour avoir simplement agi d'une certaine manière, ou avoir agi d'une certaine manière, ou détenant quelque chose - n'importe quoi - que la police pourrait mal interpréter pour être une arme à feu, ou susciter une peur centrée sur la gâchette dans l'esprit d'un agent de police cela n'a rien à voir avec une menace réelle pour leur sécurité.
Avec une régularité alarmante, des hommes, des femmes, des enfants et même des animaux domestiques non armés sont abattus par des policiers vexés, hypersensibles, facilement apeurés, qui tirent les premiers et posent des questions plus tard. Le gouvernement ne fait que hausser les épaules et promet de faire mieux. Pendant tout ce temps, les flics bénéficient d'une immunité qualifiée.
Tué pour s'être tenu dans une «posture de tir». En Californie, la police a ouvert le feu et tué un homme noir, sans arme, à l'état mental, quelques minutes après son arrivée sur les lieux, apparemment parce qu'il avait sorti de sa poche un appareil à fumer à la vapeur et position de tir. "
Tué pour avoir tenu un téléphone portable. La police en Arizona a tiré sur un homme qui fuyait les maréchaux américains après avoir refusé de laisser tomber un objet qui se révélait être un téléphone portable. De même, la police de Sacramento a tiré 20 coups de feu sur un Noir de 22 ans non armé qui se tenait dans le jardin de ses grands-parents après avoir pris son téléphone portable pour une arme à feu.
Tué pour avoir porté une batte de baseball. Répondant à un appel de troubles intérieurs, la police de Chicago a abattu Quintonio LeGrier, un étudiant de 19 ans qui aurait eu des problèmes de santé mentale et qui portait une batte de baseball autour de l'appartement où vivaient son père et lui.
Tué pour avoir ouvert la porte d'entrée. Bettie Jones, qui vivait à l'étage inférieur de LeGrier, a également reçu une balle mortelle - cette fois-ci, accidentellement - lorsqu'elle a tenté d'ouvrir la porte d'entrée à la police.
Tué pour avoir couru vers la police avec une cuillère en métal. En Alabama, la police a abattu un homme de 50 ans qui aurait inculpé un policier alors qu'il tenait «une grande cuillère en métal de manière menaçante».
RépondreSupprimerTué pour avoir couru en tenant une branche d'arbre. La police géorgienne a abattu un homme de 47 ans, vêtu uniquement d'un short et de chaussures de tennis, qui était assis dans le bois, contre un arbre, avant de commencer à courir vers la police en tenant un bâton de manière «agressive».
Tué pour avoir rampé tout nu. La police d'Atlanta a abattu un homme non armé qui aurait «agi dérangé, frappant aux portes, rampant nu sur le sol». La police a tiré deux coups de feu sur l'homme après qu'il aurait commencé à courir vers eux.
Tué pour avoir porté un pantalon sombre et un maillot de basketball. Donnell Thompson, un homme de 27 ans handicapé mental décrit comme étant doux et timide, a été tué par balle après que la police - recherchant un suspect portant des collisions de voiture portant apparemment des vêtements similaires - l'ait rencontré allongée immobile dans une cour du quartier. La police a «seulement» ouvert le feu avec un fusil M4 après que Thompson eut échoué pour la première fois à répondre à leurs grenades éclatantes, puis se mit à courir après avoir été touchée par des balles en mousse.
Tué pour conduite en étant sourd. En Caroline du Nord, un soldat d'État a tué Daniel K. Harris, âgé de 29 ans - qui était sourd - et qui avait été tué après que celui-ci ne se soit pas arrêté avant lors d'un contrôle routier.
Tué pour être sans abri. La police de Los Angeles a tiré sur un sans-abri non armé après qu'il ne soit pas parvenu à arrêter de faire de la bicyclette, avant de se mettre en fuite.
Tué pour avoir brandi un chausse-pied. John Wrana, un ancien combattant de la Seconde Guerre mondiale âgé de 95 ans, vivait dans un centre d'hébergement, utilisait un promeneur pour se déplacer et a été tué par balle par la police qui a confondu le chausse-pied avec une machette de deux pieds de long. et a tiré plusieurs cartouches de sacs de fèves d'un fusil de chasse à bout portant.
Tué pour avoir votre voiture en panne sur la route. Terence Crutcher, noir et sans armes, a été tué par balle par la police de l'Oklahoma après que sa voiture soit tombée en panne sur le bord de la route. Crutcher a reçu une balle dans le dos alors qu'il se dirigeait vers sa voiture, les mains en l'air.
Tué pour avoir tenu un tuyau d'arrosage. La police californienne a été condamnée à payer 6,5 millions de dollars après avoir ouvert le feu sur un homme tenant un tuyau d'arrosage, croyant qu'il s'agissait d'une arme à feu. Douglas Zerby a été abattu 12 fois et déclaré mort sur le coup.
Tué pour avoir appelé le 911. Justine Damond, une instructrice de yoga âgée de 40 ans, a été tuée par balle par la police de Minneapolis, apparemment parce qu'elle avait été surprise par un bruit fort à proximité de la voiture alors qu'elle s'approchait de leur voiture de patrouille. Damond, vêtue en pyjama, avait appelé le 911 pour signaler une possible agression dans son quartier.
Tué pour avoir cherché une place de parking. Richard Ferretti, un chef âgé de 52 ans, a été tué par balle par la police de Philadelphie qui avait été alertée pour enquêter sur une Dodge Caravan violette qui conduisait «de manière suspicieuse» dans le quartier.
Tourné sept fois pour faire pipi à l'extérieur. Keivon Young, 18 ans, a été abattu sept fois par la police alors qu'il urinait à l'extérieur. Young était en train de zipper son pantalon lorsqu'il entendit une commotion derrière lui puis se retrouva frappé par une pluie de balles de deux policiers en civil. Les officiers auraient confondu Young - 5’4 ’’, 135 livres, et coupable d’avoir pris une fuite à l’extérieur - pour un suspect de meurtre de 6 pieds et 200 livres qu’ils ont appréhendé par la suite. Young a été inculpé de crime de résistance à l'arrestation et de deux chefs d'agression d'un agent de la paix.
RépondreSupprimerC’est ce qui se passe pour la police en Amérique aujourd’hui, les gens, et la situation ne fait qu’empirer.
Dans chacun de ces scénarios, la police aurait pu recourir à des tactiques moins meurtrières.
Ils auraient pu agir avec raison et calcul au lieu de réagir avec un instinct de tueur.
Ils auraient pu tenter de désamorcer et de désamorcer la «menace» perçue, ce qui les faisait craindre pour leur vie suffisamment pour qu'ils réagissent avec une force meurtrière.
Le fait que la police ait choisi de résoudre fatalement ces affrontements en utilisant ses armes à feu sur ses concitoyens en dit long sur ce qui ne va pas avec le maintien de l'ordre en Amérique, où des policiers sont vêtus des pièges de la guerre, entraînés dans l'art meurtrier du combat et formés considérer «chaque individu avec lequel ils interagissent comme une menace armée et chaque situation comme une force meurtrière se préparant».
Rappelez-vous, pour un marteau, tout le monde ressemble à un clou.
Pourtant, comme je le souligne dans mon livre intitulé Battlefield America: La guerre contre le peuple américain, «nous, le peuple» ne se fait pas simplement marteler.
On se fait tuer, à la manière d'une exécution.
La violence engendre la violence: jusqu'à ce que nous commencions à parler du rôle du gouvernement américain dans la création, la culture et la promotion d'une culture de la violence, nous continuerons d'être un pays en proie à la violence dans nos maisons, nos écoles, nos rues et nos affaires d'État, à la fois étrangers et nationaux.
https://www.zerohedge.com/news/2019-08-13/who-inflicts-most-gun-violence-america-us-government-and-its-police-force
Fausses déclarations aux rapports de police, fausses protections du gouvernement qui passe ses journées à mentir, fausses publications dans les journaux, radios et télés.
SupprimerUn homme trouve le moyen de se reposer pendant sa journée de travail avec l’aval de son chef
RépondreSupprimer23:10 13.08.2019
Obtenir une pause supplémentaire pendant ses heures de travail pour «méditer» en toute tranquillité, c’est possible. Un utilisateur de Reddit qui travaille dans une grande entreprise raconte comment.
Un utilisateur du site Reddit a raconté comment il avait réussi à obtenir une pause supplémentaire pendant ses heures de travail.
Selon lui, une grande majorité de ses collègues, qui viennent d'un certain contexte religieux, se voient accorder tous les jours du temps pour prier.
«Ils quittent le bureau deux ou trois fois par jour pendant 10 minutes et ils touchent le même salaire. En outre, ils n’ont pas besoin d’y consacrer du temps pendant leur pause déjeuner», a-t-il fait remarquer.
L’auteur du post a avoué qu’il n’était pas croyant ce qui l’empêchait de profiter de cette situation.
Du temps pour méditer
Il s’est alors décidé à demander à son supérieur pourquoi la majorité des membres du personnel bénéficiait pratiquement d'une pause supplémentaire de 30 minutes payées par jour pour faire le même travail.
«J’ai décidé d’avoir moi aussi du temps pour méditer tous les jours. J'ai dit à mon responsable que j'avais besoin du même temps que mes collègues et lui ai dit que c'était très important pour moi», a-t-il poursuivi.
Il a précisé que son chef lui a d’abord refusé ce droit, mais a fini par le lui accorder.
«Au cours des six derniers mois, je faisais chaque jour 30 minutes de méditation dans le jardin de notre entreprise», a-t-il indiqué.
Par la suite, les autres employés qui n’étaient adeptes d’aucune religion ont également demandé du «temps méditatif».
https://fr.sputniknews.com/societe/201908131041924391-un-homme-trouve-le-moyen-de-se-reposer-pendant-sa-journee-de-travail-avec-laval-de-son-chef/
«IL NE FAUT PAS IMPOSER AUX SUISSES LE CHOIX DE LEUR VÉHICULE»
RépondreSupprimerSi les Suisses sont les champions d'Europe pour acheter des voitures grosses et lourdes, le président de l'Automobile club suisse estime que cela correspond au marché et aux goûts des clients.
Thomas Hurter (UDC/SH) est président de l'Automobile Club de Suisse depuis 2016. Pour son association, il n'est pas question de pénaliser les véhicules lourds prisés par la clientèle helvétique.
PAR ERIC FELLEY
14.08.2019, 06h46
En 2018, la moitié des voitures achetées en Suisse ont été de gros modèles de type 4x4 ou SUV. Ces véhicules plus polluants font grimper la moyenne des émissions de gaz carbonique a plus de 137 grammes par kilomètre, alors que la Suisse doit viser une moyenne de 95 grammes en 2020. Mais pour le conseiller national Thomas Hurter (UDC/SH), président de l'Automobile club de Suisse (ACS), les Suisses aiment ce type de véhicule et il n'est pas question de les taxer plus lourdement.
Faudrait-il introduire aussi en Suisse, à l'instar de la Norvège, une taxe au poids pour les grosses voitures neuves à essence ?
Nous sommes opposés à cette forme de taxe. Il faut laisser le choix aux clients de faire jouer le marché. Il ne faut pas vouloir diriger ou imposer aux Suisses les véhicules qu'ils doivent acheter. C'est le marché et la politique des constructeurs qui jouent leur rôle. Cela ne sert à rien de mettre des taxes supplémentaires pour remplir les caisses de l'Etat.
La modification actuelle du parc automobile suisse avec une forte progression de véhicules SUV, n'est-elle pas en contradiction avec la volonté de diminuer les émissions de gaz carbonique dans les transports ?
Il faut considérer la taille du pays. Si l'on veut faire quelque chose pour le climat, il faut agir sur le plan international. Une mesure qui ne serait prise qu'en Suisse n'aurait pour ainsi dire pas d'effets sur le climat. Il faut voir la globalité des problèmes. On veut mettre en avant la mobilité électrique, mais si nous devons importer de l'électricité avec de l'énergie qui vient d'Allemagne, produite avec du charbon, ou de France, d'origine nucléaire, ce n'est pas une solution propre. Si on restreint aussi l'achat de ses voitures en Suisse, les gens iront les acheter ailleurs, dans un pays moins regardant.
Comment voyez-vous l'évolution du parc automobile dans les dix ou vingt ans à venir ? Toujours plus de grosses voitures ? Est-ce la fin des petites voitures ?
Non, ce n'est pas la fin des petites voitures. La mobilité du futur va changer énormément. En Suisse, nous sommes bien placés pour développer différentes formes de mobilité. Dans les villes, les véhicules devront être plus petits, avec des formes nouvelles, alternatives, avec peut-être seulement deux places. Pour les trajets plus longs, cela sera des véhicules plus confortables fonctionnant à l'essence, au diesel ou hybride. Nous envisageons aussi l'avenir avec le développement des piles à combustible. C'est vrai qu'aujourd'hui, on a une grande demande de SUV en Suisse. Mais si l'on prend une Tesla, le moyen de propulsion change, mais la grosseur du véhicule est la même... D'une manière générale, les types de véhicules vont se diversifier à l'avenir.
https://www.lematin.ch/suisse/faut-imposer-suisses-choix-vehicule/story/29578541
Primo, la Suisse est un pays montagneux et demandent donc plus de chevaux que les pays plats.
SupprimerSecundo, le gaz carbonique n'est pas reconnu comme poison et est un gaz rare sans effet de serre.
DICTATURE ETERNELLE !
RépondreSupprimerLIECHTENSTEIN - LE PRINCE PLAIDE POUR UNE MONARCHIE MASCULINE
A l'occasion de la 300e fête nationale du Liechtenstein, le prince héritier Alois défend les avantages de la monarchie.
14.08.2019, 07h38
Les privilèges du prince assurent, selon lui, la stabilité du pays; et c'est au nom de celle-ci que le souverain ne peut pas être une femme.
«Une monarchie apporte beaucoup de stabilité et de continuité parce que le chef de l'Etat n'a pas à faire face à une réélection régulière», déclare ainsi Alois dans un entretien publié mercredi par la «Neue Zürcher Zeitung». Et grâce à l'immunité totale conférée au prince par la Constitution, ce dernier reste politiquement efficace.
A bien des égards, le Liechtenstein est plus démocratique que certaines républiques, poursuit le prince héritier Alois von und zu Liechtenstein, auquel son père, le prince régnant Hans-Adam II, a confié la conduite des affaires de l'Etat en août 2004.
Le peuple a le dernier mot
En raison de la possibilité prévue par la Constitution d'abolir la monarchie sans le consentement du prince, le peuple a le dernier mot. Le prince régnant «doit donc toujours agir dans l'intérêt à long terme du peuple».
Le Liechtenstein est une monarchie constitutionnelle de base démocratique et parlementaire. Le souverain jouit de certains privilèges: il dispose d'un droit de veto sur les lois et n'est pas soumis à la juridiction ordinaire, il peut aussi destituer le gouvernement, dissoudre le Parlement et nommer les juges.
Mais la Constitution prévoit aussi un passage sur l'abolition de la monarchie ainsi qu'un éventuel vote de censure contre le prince.
Le droit de veto pour un chef d'Etat n'est pas inhabituel, souligne le prince héritier en faisant référence au président des Etats-Unis qui dispose également d'un tel outil. Les citoyens ont des droits importants grâce à une démocratie largement directe, souligne-t-il. «Nous avons des structures décentralisées et une grande autonomie des communes».
Pas de princesse en vue
Malgré un mouvement pour l'égalité qui se fait de plus en plus fort, le Liechtenstein continuera d'être gouverné uniquement par des hommes. La famille souveraine, par la voix de son prince héritier, argue que cette mesure permet la stabilité du petit Etat.
«La prévisibilité sur le long terme, au-delà de la loi et de la Constitution, est, dans ce contexte, plus importante que la question du genre». Il n'est pas non plus facile, selon lui, de convertir un système qui fait ses preuves depuis des siècles.
Inclure les femmes dans la succession au trône provoquerait au fil des générations une «augmentation exponentielle» du nombre des membres de la famille von und zu Liechtenstein puisque son appartenance se transmettrait non seulement par les hommes, mais aussi par les femmes. Une situation que le prince héritier ne voit pas d'un bon oeil, car cela «cela affecterait la stabilité très chère à notre pays».
Au Royaume-Uni, une règle entrée en vigueur le 28 octobre 2011, avant la naissance du prince George - fils du duc et de la duchesse de Cambridge - a mis fin au droit de pimogéniture masculine. C'est désormais l'enfant le plus âgé du souverain en titre qui hérite du trône, quel que soit son sexe, et non le garçon le plus âgé. Cette règle a été adoptée par les seize royaumes qui reconnaissent la reine Elizabeth II comme cheffe d'Etat.
Depuis 1719
La Principauté du Liechtenstein commémore cette année le 300e anniversaire de sa création. En janvier 1719, l'empereur romain-germanique Charles VI avait élevé la petite monarchie alpine au rang de principauté. Jeudi, ce pays de 160 km2, à peine aussi grand que le Parc national suisse en Engadine, fêtera donc sa «Fête nationale 300». (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/prince-plaide-monarchie-masculine/story/18541520
(...) Les privilèges du prince assurent, selon lui, la stabilité du pays; et c'est au nom de celle-ci que le souverain ne peut pas être une femme. (...)
Supprimer!!!
(...) Le souverain jouit de certains privilèges: il dispose d'un droit de veto sur les lois et n'est pas soumis à la juridiction ordinaire, il peut aussi destituer le gouvernement, dissoudre le Parlement et nommer les juges. (...)
Au Liechtenstein LE PEUPLE DOIT FERMER SA GUEULE !!!
La dette moyenne des États-Unis est de 1 300 000 dollars d’endettement et nous sommes maintenant confrontés à la pire crise de l’agriculture dans l’histoire moderne
RépondreSupprimerPar Michael Snyder
Fin du rêve américain
14 août 2019
Nous n’avons rien vu de tel depuis la Grande Dépression des années 30. Avant cette année, les revenus agricoles avaient eu tendance à baisser pendant la plus grande partie de la dernière décennie et, entre temps, le niveau de la dette agricole avait totalement explosé. Les agriculteurs américains étaient donc désespérés pour une très bonne année, mais 2019 a été un désastre total. Comme je l’ai soigneusement documenté, à cause de la pluie sans fin et des inondations catastrophiques, des millions d’acres de terres agricoles de premier ordre n’ont pas été plantés cette année, et les rendements de dizaines de millions d’autres acres devraient être bien inférieurs à la normale. En conséquence, nous sommes confrontés à la pire crise de l’agriculture de l’histoire américaine moderne, à un moment où les exploitations agricoles des États-Unis sont plus endettées que jamais. En fait, les derniers chiffres que nous avons disponibles montrent que la dette moyenne d’une ferme américaine est de 1,3 million de dollars de dettes…
Les ratios dette / actif connaissent le même resserrement, de plus en plus de fermes passant à 80%. Barrett note que chaque année depuis 2009, le montant moyen de la dette totale des paysans a augmenté, et 2017 n'a pas fait exception. La dette moyenne a augmenté de 10% pour atteindre 1,3 million de dollars. L'augmentation la plus importante concerne la dette à long terme, telle que la terre.
L’agriculture au XXIe siècle est devenue une entreprise extrêmement risquée et d'innombrables agriculteurs américains étaient déjà sur le point de sombrer avant même d'arriver à 2019.
Maintenant que cette année a été une catastrophe complète et totale, de nombreuses fermes ne pourront plus fonctionner une fois en 2020.
Les fermiers du Minnesota, Liz et Bob Krocak, espéraient des jours meilleurs à l’avenir au début de cette année, mais la situation était très difficile et leurs dettes devenaient énormes. Lors d'une récente réunion avec leurs créanciers, Liz était tellement bouleversée qu'elle a littéralement éclaté en sanglots…
Ils ont dû faire face à leurs créanciers lors d'une médiation. Il y avait Del, le mécanicien, à qui ils doivent 28 000 $ et qui ne peut plus aider son fils à acheter une maison. Il y avait Steve, le gars du magasin d’alimentation, qui a 64 ans et a retardé sa retraite à cause de la facture de 311 000 $ des Krocaks.
Liz a rappelé le médiateur qui avait ouvert la réunion en disant: «Ce sera une journée riche en émotions. Je peux voir que tout le monde aime vraiment cette famille. »Liz s'était alors mise à pleurer - et elle pleurait à nouveau maintenant, décrivant la scène sept mois plus tard.
«Nous espérons simplement qu’il reste une ferme à la fin», a-t-elle déclaré.
Au total, les Krocaks ont une dette de 1,3 million de dollars.
À ce stade, il n’y a pas lieu de prier pour que toute cette dette soit remboursée. Tout ce qu’ils peuvent vraiment espérer, c’est davantage de patience de la part de leurs créanciers, car sans cela, la ferme disparaîtrait.
Les Krocaks ont récemment reçu un chèque d’un montant d’environ 12 000 dollars du gouvernement fédéral, qui leur en est très reconnaissant, mais la vérité est qu’il ne va même pas réduire leur dette de 1,3 million de dollars.
Si les mauvaises conditions météorologiques et les inondations sans fin ne suffisaient pas, le gouvernement chinois a annoncé il y a environ une semaine qu’il mettrait fin à tous les «achats de produits agricoles américains», ce qui a été un coup dévastateur pour les agriculteurs du pays.
RépondreSupprimerEn particulier, les producteurs de soja vont voir la demande de leurs cultures s'effondrer absolument. Ces dernières années, la Chine a acheté environ 60% de toutes les exportations de soja des États-Unis.
Et même si un accord commercial est finalement conclu, il est peu probable que toute cette demande revienne jamais. À l'heure actuelle, les Chinois dépensent des sommes énormes pour «construire une infrastructure de transport permettant d'acheminer du soja cultivé dans ce qui était autrefois des forêts tropicales» au Brésil. Ils ne vont pas tout abandonner simplement parce que Trump a soudainement changé d’avis.
Et la vérité est qu’il est extrêmement improbable que Trump change d’avis et cède sa place aux Chinois.
Ainsi, dans un avenir prévisible, les agriculteurs américains vont être confrontés à des marchés plus faibles et à des prix plus bas, ce qui sera la paille pour beaucoup d’entre eux.
Avez-vous déjà été à un moment de votre vie où vous avez enduré problème après incident puis un jour, un coup de foudre ultime vous emporte et vous enlève le dernier lambeau d'espoir auquel vous vous accrochiez ? C'est précisément ce qui est arrivé à des agriculteurs comme Bob Kuylen du Dakota du Nord…
«C’est vraiment très mauvais ici», a déclaré Bob Kuylen, qui a travaillé 35 ans dans le Dakota du Nord.
«Trump ruine nos marchés. Personne n'achète plus notre produit et nous n'avons plus de marchés. ”
Nous entendons toujours parler de «plans de sauvetage du gouvernement», mais ils ne seront pas assez gros pour la plupart des agriculteurs. Kuylen a travaillé aussi dur que possible, mais il n'a pas été en mesure de surmonter les défis auxquels il était confronté et il fait maintenant face à un désastre financier. Il s'en irait, mais il a dit qu'il ne pouvait pas parce que «j'ai tout investi dans l'agriculture»…
Kuylen, qui cultive environ 1 500 acres de blé et de tournesol, a perdu 70 dollars par acre (0,40 ha) cette année, malgré de bonnes récoltes. Les subventions gouvernementales actuelles ne couvrent qu'environ 15 dollars par acre, a-t-il déclaré.
"Il n’y a aucune raison de continuer à pratiquer l’agriculture, si ce n’est que j’ai tout investi dans l’agriculture et que c’est difficile de partir", at-il déclaré.
Il serait bien de penser que tous ces agriculteurs vont en quelque sorte rebondir l’année prochaine, mais ce n’est pas probable. Il est très peu probable qu'il y ait un quelconque accord commercial avec la Chine avant l'élection présidentielle de 2020, et les conditions climatiques mondiales ne vont pas devenir plus stables. Malheureusement, il est tout à fait possible que l’année prochaine, les agriculteurs américains soient encore plus difficiles que cette année.
Alors s'il vous plaît dites une prière pour nos agriculteurs. Ils cultivent les aliments que nous mangeons tous quotidiennement et leur travail acharné est rarement reconnu au niveau national. Ce sont des héros méconnus et, à l'heure actuelle, la plupart d'entre eux souffrent vraiment.
Reprinted with permission from End Of The American Dream.
https://www.lewrockwell.com/2019/08/michael-snyder/the-average-u-s-farm-is-1300000-in-debt-and-now-the-worst-farming-crisis-in-modern-history-is-upon-us/