- ENTREE de SECOURS -



lundi 5 août 2019

Énergie éolienne : la vérité qui dérange !

le 5 août 2019


En ces temps d’intoxication idéologique (écologiste) mondiale au sujet de l’urgence de la « décarbonation » de toute notre civilisation pour sauver in extremis le climat, il est opportun de rappeler quelques points délibérément ignorés par les exploitants et passés sous silence par les constructeurs à propos de l’énergie éolienne. L’information provient d’une étude réalisée à la suite d’une commande du gouvernement de l’Etat du Vermont aux USA. Voici un résumé de ce rapport disponible auprès du site http://www.aweo.org .

Les grandes éoliennes nécessitent une grande quantité d’énergie électrique pour fonctionner. Les autres centrales électriques utilisent généralement leur propre électricité et la différence entre la quantité générée et la quantité livrée au réseau est facilement déterminée. Les centrales éoliennes utilisent toutefois l’électricité du réseau, ce qui n’est pas pris en compte dans les chiffres de production. À l’usine éolienne de Searsburg dans le Vermont, par exemple, cette « dépendance » au réseau électrique n’est pas prise en compte ni mesurée : elle est complètement inconnue. Les fabricants de grandes éoliennes comme Vestas, GE ou NEG-Micon ne précisent pas la consommation de l’électricité provenant du réseau, elle n’est pas non plus mentionnée dans les spécifications des équipements ni explicitement indiquée aux exploitants. Ci-après figure la liste exhaustive de la consommation électrique des grandes éoliennes.

1. Mécanisme de maintien du parallélisme de l’axe de l’éolienne avec la direction du vent sachant que l’ensemble carter de la turbine et les trois pales pèsent 92 tonnes pour une éolienne GE de 1,5 MW.

2. Mécanisme de contrôle du pas des pales pour que le rotor tourne à un rythme régulier.

3. Alimentation électrique des systèmes d’éclairage (signalisation pour les avions), contrôleurs, capteurs, collectes de données.

4. Chauffage des pales par temps favorable à la formation de givre en hiver : peut consommer de 10 à 20 % de la puissance nominale de la turbine.

5. Conditionnement à une température constante et déshumidification de la nacelle. Selon le fabricant danois Vestas cet équipement doit être opérationnel pendant les périodes de forte humidité, de basses températures et de vent faible.

6. Réchauffeur de l’huile de lubrification des coussinets de l’axe, pompe à huile, système de filtrage de l’huile de la boite de vitesse.

7. Frein hydraulique pour bloquer les pales par vent fort, alimentation des thyristors pour graduer la connexion et la déconnexion entre le générateur et le réseau, 1 à 2 % de l’énergie qui passe est perdue.

8. Pour les grandes éoliennes les générateurs à induction utilisés pour alimenter les bobines autour du rotor à cage asynchrone qui entoure l’arbre du générateur consomment une « grande » quantité d’énergie, quantité qui n’est jamais spécifié par les fabricants. Ce système est obligatoire pour maintenir la vitesse du rotor constante et quand le vent commence à souffler pour démarrer le rotor. (Compte tenu de leur poids les grandes éoliennes ne peuvent pas commencer à tourner de manière autonome quand le vent forcît).

9. Quand le vent n’a pas encore atteint la vitesse « nominale » (il serait plus approprié de dire optimale) le stator peut utiliser une puissance égale à 10 % de la puissance nominale de la turbine pour aider le rotor à tourner en fonctionnant dans le sens moteur.

10. Compte tenu de l’énorme poids de l’ensemble pales-rotor (les 3 pales pèsent environ 40 tonnes à elles seules) la rotation par vent faible est parfois maintenue pour donner l’illusion que le parc éolien produit de l’électricité ( ! ) en particulier lors des visites du site ou pour procéder à des mesures de bruit.

11. Par vent faible ou nul la plupart des éoliennes de grande taille doivent être maintenues en mouvement de rotation pour éviter le gauchissement de l’axe supportant l’ensemble pales-rotor.

La question qui se pose au terme de cette énumération à la Prévert est que l’on peut se demander à juste titre si la plupart du temps les éoliennes ne consomment pas déjà l’équivalent de plus de 50 % de l’électricité qu’elles génèrent effectivement quand elles sont en fonctionnement. De plus, sachant qu’un parc éolien produit bon an mal an à peine 25 % de la puissance nominale installée on peut donc se demander, également à juste titre, si les éoliennes ne fonctionnent pas tout simplement virtuellement en consommant (gratuitement !) deux fois plus d’énergie qu’elles n’en produisent. C’est une situation paraissant improbable mais les industriels de l’éolien n’ont jamais publié de données à ce sujet pouvant prouver le contraire car la puissance entrante n’est jamais enregistrée. En conclusion l’énergie éolienne « c’est du vent » !

48 commentaires:

  1. Climate Expert ou Seer certifié par l'ONU ? Joelle Gergis fait une horreur douloureuse, une rage volcanique


    Rappelez-vous quand les scientifiques étaient des gens impartiaux et prudents ? Bon laisse tomber.
    h / t ClimateDepot, Travis T, Jones

    August 5th, 2019


    Joelle Gergis lance un message de déchirure totale, de naufrage d'estomac, de vérité terrible et de brutalité. Lordy, 50% de la Grande Barrière de Corail est morte. Parfois, elle pleure après ses entretiens. Elle a une vision, une anticipation d'événements terribles, mais seulement elle et quelques autres voyants certifiés par l'ONU peuvent voir. Le changement climatique est l'éco-catastrophe terrifiante qui sonne de plus en plus comme un roman de Stephen King. Comment un scientifique vend-il le changement climatique - avec des flaques de sang ? C’est comme une hémorragie cérébrale. Sérieusement.

    Son chagrin est rapidement remplacé par la rage. "Rage volcanique explosive".

    Quelles chances un scientifique comme celui-ci considère-t-il ses résultats de manière impartiale ? Serait-il disposé à écarter ses idées d'animaux si 28 millions de radiosondes, 3 000 bouées océaniques, 120 proxy, 1 000 marégraphes et 40 années de données satellitaires étaient erronés, et tout faux dans le même sens ? C’est la même femme qui a énormément parlé de la chaleur de l’Australie il ya 800 ans, en se basant sur un réchauffement de 0,09 ° C, si petit qu’il est inférieur aux barres d’erreur et n’a été «mesuré» qu’à l'aide de deux peuplements d'arbres en Tasmanie et New Zélande.

    Est-elle à la recherche de la vérité ou à la recherche d'une renommée, d'un statut et d'un public captif ? Il était une fois les scientifiques qui parlaient dans des mises en garde et des qualificatifs minutieux. Plus maintenant.

    Et l’ironie - après toute cette émotion déchaînée et hyperbolique, elle tourne le couteau pour demander… attendez… ”une conversation nationale urgente et pragmatique.” Où est le pragmatisme de faire de la science une analogie sans pareille avec un film d’horreur.

    En préparant cet entretien, j'ai vécu quelque chose qui me déchirait. C'était la prise de conscience qu'il n'y avait maintenant nulle part où se cacher de la terrible vérité.

    - "Nous assistons à l'effondrement catastrophique de l'écosystème du plus grand organisme vivant de la planète."

    Accepter de reconnaître l'arrivée du point de non-retour est un acte de bravoure.

    Holy Horrors: Cette femme est si spéciale - Regarde-moi, si courageuse, si visionnaire !
    Elle est un messie en devenir. Joelle Gergis est l'une des élues:

    - "En tant qu’une des douzaine d’auteurs australiens du sixième rapport d’évaluation du Intergovernmental Panel on Climate Change’s (IPCC) actuellement en cours, j’ai une profonde connaissance de la vitesse et de la gravité des changements climatiques en cours sur la planète. L’année dernière, j’ai également été nommée conseillère scientifique du Climate Council, principal organisme indépendant en Australie, qui conseille le public sur le climat et les politiques climatiques. En bref, je suis dans la position d’être l’une des rares Australiennes à voir la réalité terrifiante de la crise climatique."

    Elle est tellement intelligente que presque personne ne voit ce qu’elle voit.

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  2. Parce que le changement climatique est comme une hémorragie cérébrale. Expliquez-moi en quoi tout cela a un lien scientifique - c’est un simple théâtre - les deux sujets liés par un «choc» personnel. Elle traine sans vergogne le chagrin de sa famille pour la distance parcourue par la propagande.

    - "En préparant cet entretien, j'ai vécu quelque chose qui me déchirait. C'était la prise de conscience qu'il n'y avait maintenant nulle part où se cacher de la terrible vérité.

    La dernière fois que cela m'est arrivé, [constatant qu'il n'y avait "pas de cachette"], je rendais visite à mon père à l'hôpital après une opération d'urgence pour une hémorragie cérébrale massive. Alors qu'il était inconscient en soins intensifs, j'ai examiné son scanner avec l'un des chirurgiens présents, qui m'a doucement expliqué que la tache sombre recouvrant près du quart de l'image de son cerveau était une flaque de sang. Bien qu'ils aient fait de leur mieux pour drainer la zone et endiguer le saignement, la nature catastrophique des dégâts était indéniable. La brutalité de la preuve était évidente - tout son poids me laissait tomber dans l'estomac."

    Quelle partie est gelée émotionnellement ?

    - "De plus en plus après mes discours, je me surprends à pleurer de façon inattendue dans ma chambre d'hôtel ou sur mon vol de retour. De temps en temps, la réalité de ce que dit la science parvient à dégeler la partie de moi émotionnellement gelée que je dois maintenir pour faire mon travail. Dans ces moments, ce qui fait surface est un chagrin pur. C’est le seul sentiment qui se rapproche de la douleur que j’ai ressenti et qui influe sur la gravité de la lésion cérébrale de mon père. Accepter de reconnaître l'arrivée du point de non-retour est un acte de bravoure."

    Sûr. Blood n ’Guts une minute, analytique la suivante:

    - ''En tant que climatologue à ce stade difficile de notre histoire, ce que je peux offrir de plus utile est le même professionnalisme que le médecin a fait preuve tard dans la nuit dans la salle de soins intensifs de Papa. Un regard lucide et compatissant sur les faits."

    Chère Joëlle, chaque fois que tu veux commencer le commentaire clair aux yeux, vas-y.

    http://joannenova.com.au/2019/08/climate-expert-or-un-certified-seer-joelle-gergis-does-gut-wrenching-grieving-horror-volcanic-rage/

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  3. La Terre verdit grâce aux émissions de gaz carbonique

    Le gaz carbonique rejeté par les activités humaines a accru la quantité de feuilles des arbres entre 1982 et 2009, selon un rapport couplant observations et modèles informatiques.


    Par Audrey Garric
    le 28 avril 2016 à 18h05


    Hausse des températures, élévation du niveau des mers, acidification des océans ou encore fonte des glaciers : la liste des maux associés à l’augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l’atmosphère ne cesse de s’allonger. Pourtant, il existe une autre conséquence, moins connue et plus positive – du moins à court terme –, du pic actuel de dioxyde de carbone : une Terre plus verte, c’est-à-dire arborant une végétation plus dense. C’est ce que démontre une étude publiée dans Nature Climate Change, lundi 25 avril, menée par une équipe de 32 scientifiques issus de 24 centres de recherche dans 8 pays du monde.

    Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les données de trois satellites, qui ont mesuré la quantité de rayonnement solaire réfléchi par la végétation, jour après jour entre 1982 et 2009. Ils en ont déduit un indice foliaire pour chaque parcelle de la planète, compris comme la quantité de feuilles par mètre carré de sol.

    Un continent vert

    Les résultats sont inattendus : les capteurs montrent un verdissement (davantage de feuilles ou parfois d’arbres) de 25 % à 50 % des terres végétalisées du globe depuis une trentaine d’années, essentiellement dans les tropiques et à des latitudes élevées. A l’inverse, seulement 4 % des sols ont perdu en couverture foliaire – dans certaines régions de Mongolie, d’Argentine ou en Alaska. Cet accroissement de la végétation représente, si on la mettait à plat, l’équivalent d’un continent vert de deux fois la taille des Etats-Unis (18 millions de km²). Aujourd’hui, les plantes couvrent près d’un tiers (32 %) de la superficie totale de la planète, occupant environ 85 % de toutes les terres libres de glace.

    Une densification de la végétation qui n’empêche toutefois pas la poursuite de la déforestation. Cette dernière, bien qu’ayant ralenti, a entraîné la destruction de 1,3 million de km2 de forêts en vingt-cinq ans selon l’ONU, soit l’équivalent de la superficie de l’Afrique du Sud. « Il est difficile de comparer les deux phénomènes en termes de superficie car la déforestation détruit de la forêt qui est généralement remplacée par des zones de culture, donc sans réel changement de surface végétalisée. En revanche, son effet sur le climat est négatif », explique Nicolas Viovy, l’un des auteurs de l’étude et chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE).

    Effet fertilisant du gaz carbonique

    Comment expliquer un tel « boom vert » à l’échelle du globe ? En faisant tourner dix modèles informatiques permettant de simuler le comportement de la végétation, les scientifiques ont déterminé et classé les facteurs jouant un rôle dans cette croissance : pour 9 %, il s’agit de l’augmentation de l’azote dans l’environnement (principalement sous l’effet de la combustion d’énergies fossiles et des engrais agricoles), pour 8 %, du changement climatique (le réchauffement des régions boréales et arctiques a, par exemple, entraîné des saisons de croissance des plantes plus longues) et pour 4 %, des changements d’occupation des sols. Mais le principal facteur (70 %) réside dans l’effet fertilisant du gaz carbonique.

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  4. « Les arbres ont besoin, pour leur croissance, d’eau, de nutriments et de gaz carbonique, qu’ils absorbent et stockent grâce au processus de la photosynthèse, rappelle Philippe Ciais, co-auteur de l’étude et chercheur au LSCE. Davantage de gaz carbonique favorise le développement des arbres et des feuilles. » Dans un monde qui atteint des niveaux inégalés de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous l’effet des activités humaines telles que la consommation d’énergies fossiles ou la déforestation, les plantes, les arbres et même les cultures croissent plus rapidement.

    « C’est une relation que plusieurs études avaient déjà suggérée, mais c’est la première fois que nous pouvons la confirmer et la généraliser à l’échelle de la planète, ajoute le spécialiste des cycles du carbone. En effet, il est très difficile de passer de l’échelle d’une feuille à celle d’un écosystème global. Si l’on connaît le processus de base de la photosynthèse, de nombreuses questions restaient en suspens : toutes les feuilles répondent-elles de la même manière à la hausse du gaz carbonique ? L’arbre va-t-il développer plus de branches pour supporter plus de feuilles ? Une augmentation de la masse foliaire se traduit-elle par des feuilles plus longues, plus larges ou plus nombreuses ? »

    « Il reste quelques incertitudes quant au réalisme des modèles et aux données satellites sur les tropiques : ce sont des zones où les observations directes sont plus difficiles en raison des nombreux nuages et où la saturation en feuilles limite la précision des analyses, juge Frédéric Baret, directeur de recherches à l’Institut national de recherche agronomique (INRA), spécialisé en télédétection, qui n’a pas participé aux travaux. Reste qu’un verdissement global est bel et bien à l’œuvre. »

    Une diminution au fil du temps

    De là à conclure que les émissions de gaz à effet de serre sont positives pour la planète, et qu’elles ne doivent donc pas être limitées, il n’y a qu’un pas, que les climatosceptiques n’ont pas hésité à franchir. En réalité, les résultats de cette étude ne peuvent être généralisés sur le long terme. « L’effet positif de la fertilisation diminue au fil du temps en raison d’une saturation des plantes en gaz carbonique, prévient Nicolas Viovy. Ce phénomène est par ailleurs inefficace lorsque la concentration en gaz carbonique est trop élevée. »

    Surtout, ce verdissement ne signifie en aucun cas que les feuilles nouvelles pourront absorber les rejets excédentaires de gaz à effet de serre et donc éviter d’avoir à les réduire comme le prévoit l’accord sur le climat, signé par 174 pays à New York, le 22 avril. « Une augmentation de l’indice foliaire ne signifie pas nécessairement que le stockage du carbone atmosphérique est plus important, ajoute Philippe Ciais. Les feuilles, qui tombent chaque année dans la plupart des forêts, ne représentent que 10 % du stockage du carbone par les arbres. L’essentiel du gaz carbonique est en réalité piégé par les bois, les racines et les sols. »

    Les conséquences néfastes des saisons sont donc loin de pouvoir être compensées par ce seul effet positif. « La végétation permet d’absorber environ 25 % des émissions de gaz carbonique anthropiques [36 milliards de tonnes en 2014], tandis que l’océan stocke la même quantité. Ce qui veut dire que l’autre moitié de nos émissions s’accumule dans le système climatique, calcule Nicolas Viovy. Or, ce phénomène de “puits de carbone” est déjà pris en compte dans les projections climatiques. Les hausses de la température mondiale que l’on prévoit (+ 3 ou + 4 °C d’ici à la fin du siècle) tiennent donc déjà compte de ce bonus que nous offrent la végétation et les océans. »

    https://www.lemonde.fr/planete/article/2016/04/27/la-terre-verdit-grace-aux-emissions-de-co2_4909274_3244.html

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    1. (...) « Il est difficile de comparer les deux phénomènes en termes de superficie car la déforestation détruit de la forêt qui est généralement remplacée par des zones de culture, donc sans réel changement de surface végétalisée. En revanche, son effet sur le climat est négatif » (...)

      Le verdissement est désormais... négatif !!

      (...) Aujourd’hui, les plantes couvrent près d’un tiers (32 %) de la superficie totale de la planète, (...)

      Sachant que les mers & océans couvrent déjà 78 % de la superficie de la planète Terre et que, d'après l'expert Audrey Garric, 32 % de la planète serait couverte d'arbres...
      les dangers de la navigation sont devenus que chaque bateau peut rencontrer un arbre en mer !

      Les mers & océans dégazent des milliards de fois plus de gaz que les pauvres 7 milliards d'habitants et quelques fois plus d'animaux (nombre ignoré) ! Heureusement, TOUS les gaz se recyclent sans quoi l'être humain (animal évolué) ne serait JAMAIS apparu sur notre planète !
      Mais, mais il (l'être humain) est mis à contribution afin de lutter contre l'adversaire maritime et océanique qui - outre le recyclage TOTAL des gaz dégazés - le met dans une compétition de choix qui l'infériorise dès le départ face à l'immensité des bassins d'eaux !

      Nota qu'il a fallu attendre le 21è siècle pour découvrir que l'eau de mer pouvait être dessalée (nettoyée) par l'humain qui prend une boite d'eau sale (noire, urine et la pose dans une poêle sur le feu et la couvre d'un marmiton renversé sur la boite centrale ! L'eau chauffée crée de la vapeur d'eau. Condensation formée de gouttelettes sur les parois du marmiton qui vont donner lieu à un écoulement d'eau vers la poêle ! Çà alors !!!*

      L'eau dans la poêle est propre, limpide et sans odeur ni bactérie et rivalise dons avec le magma de notre planète qui - tous les jours et GRATUITEMENT - recycle des milliards de km3 d'eaux sales et les rejette vers les nappes phréatique et sources de montagnes ! Çà alors !!

      *Même le con de Christophe Colomb (contemporain de Léonard de Vinci qui se disait surdoué) a emporté... de l'eau pour traverser l'Atlantique !! C'est pas une blague ! (prévoyait-il que la Terre était plate et qu'arrivé au bout de l'horizon il n'y avait plus d'eau ?)

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  5. "Le tourisme est un prédateur, il détruit ce qu'il fait vivre"


    Laurent Tissot, spécialiste de l'histoire des loisirs et du tourisme


    Alors que le tourisme de masse pèse de plus en plus sur les villes européennes, Lucerne tente de réguler le nombre de ses visiteurs. Pour le professeur Laurent Tissot, toutefois, les côtés sombres du tourisme ont toujours été indissociables de ses côtés positifs.

    Devenues emblématiques du tourisme de masse, les villes de Venise et Barcelone n'en peuvent plus des centaines de milliers de visiteurs qui les envahissent chaque année. En Suisse, c'est Lucerne qui peine le plus à gérer son flot de touristes. Pour juguler les quelque 25'000 personnes par jour qui s'arrêtent dans la cité, elle songe à introduire une taxe sur les autocars touristiques.

    Pour Laurent Tissot, professeur émérite en histoire contemporaine à l’Université de Neuchâtel, la Suisse dans son ensemble va devoir faire face à un tourisme de masse qui va devenir de plus en plus problématique. Mais si l'on parle beaucoup, actuellement, de ses aspects négatifs, il se n'agit pas d'un phénomène nouveau.

    "Jusqu'ici, on ne voulait voir et parler que de la face positive du tourisme: les gens qui s'épanouissent en voyageant, la création d'emplois dans les régions visitées... Mais on ne peut pas occulter son autre face. Le tourisme est un prédateur. Il érode, et à terme peut mettre en péril et détruire ce qu'il fait vivre", avertit ce spécialiste de l’histoire des loisirs et du tourisme, invité lundi dans La Matinale de la RTS.

    Le tourisme érode, et à terme peut mettre en péril ce qu'il nourrit. On ne peut pas ne regarder qu'un seul de ses deux visages

    Côté sombre occulté

    Ce visage-là doit absolument être associé à l'autre, positif, auquel on préfère penser, poursuit Laurent Tissot. "C'est peut-être la critique que l'on peut émettre au niveau de la politique touristique, non seulement en Suisse mais aussi à l'étranger: ne voir que son bon côté, pour ensuite constater les dégâts au niveau social, écologique et politique".

    "On verra tout d'un coup, j'en suis sûr, des tags 'Tourists, you are not welcome' apparaître à Lucerne", prédit l'historien. Des marques qui montrent que les habitants de ces villes en ont assez des touristes, car à leurs yeux, ce trop grand nombre de visiteurs détruit l'environnement dans lequel ils vivent.

    On va voir des tags "Tourists, you are not welcome" apparaître à Lucerne

    Changer les circuits

    Pour endiguer ces phénomènes, il faut se poser la question de savoir pourquoi certaines villes ou points d'intérêt figurent sur tous les circuits touristiques, pourquoi ils constituent des "cases à cocher" pour un grand nombre de visiteurs. "Il doit être possible de varier les circuits, de montrer autre chose", estime Laurent Tissot. A ses yeux, la taxe sur les cars envisagée par Lucerne est une mesure un peu prématurée et pas forcément bonne à long terme.

    "Il y a une forme d'arrogance des Lucernois, qui pensent que, même avec des taxes, les gens viendront. Or, ce n'est pas sûr", prévient le spécialiste, qui pense préférable une ventilation des visiteurs dans l'espace ou l'introduction de quotas de cars. Car les taxes ne résolvent qu'une partie du problème: les dégâts sur l'environnement, par exemple, restent à traiter.

    Une partie de la solution passera peut-être par la transition d'un tourisme de masse vers un tourisme plus individuel, en petits groupes, une tendance à la hausse chez les touristes chinois, comme l'a relevé la NZZ am Sonntag le week-end dernier. Cette évolution pourrait voir les visiteurs mieux se répartir sur les différentes attractions touristiques que compte la Suisse.

    https://www.rts.ch/info/suisse/10611311--le-tourisme-est-un-predateur-il-detruit-ce-qu-il-fait-vivre-.html

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    1. La limitation ne peut se faire qu'avec un quota d'entrées (hors locaux en déplacement extérieur).

      NON CE N'EST PAS de la science-fiction ! 1 milliard de personnes débarquent à Monaco ? Que faire ?

      Il n'y a pas de racisme (sauf aux tribunaux qui admettent plusieurs races et condamnent donc les 'racistes' qui en verraient plusieurs !), ni de xénophobie mais une responsabilité et de liberté de pouvoir vivre chez soi en un lieu privé comme on l'entend.

      Notez que cette proposition existe réellement en fait aux États-Unis où se clôturent des propriétés privés (d'x mille habitants) afin de n'accepter à cet endroit QUE les résidents et invités par).

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  6. L’ONU demande les droits sexuels et la sexualité procréative à partir de 10 ans !


    Il y a longtemps que les pédophiles prédateurs cherchent à légaliser l’acte de pédophilie sans vraiment avoir trouvé le bon créneau. Celui qui permettrait de faire voter une loi les mettant à l’abri de poursuites pénales et des peines d’emprisonnement mais, aussi, qui passerait pour être acceptable aux yeux de l’opinion publique.

    Chacun sait que les plus grands pervers impunis, puisque protégés, œuvrent dans les plus grandes institutions et qu’ils ont des postes dans les plus hautes fonctions du secteur privé comme celui du public, et ce, en se permettant de nous dicter la morale que nous devons suivre tout en nous menaçant des sentences prévues si nous l’enfreignons. Des sentences qui ne les concernent pas.

    Banki Moon pourrait donc être définitivement considéré comme une véritable ordure si ce projet était avalisé. Celui de « vouloir légaliser la sexualité et celle procréative à 10 ans avec les moyens contraceptifs et abortifs qui vont avec au cas ou…».

    Cette marionnette onusienne, qui n’est qu’un VRP stipendié des plus grands lobbies, et qui piétine depuis son arrivée le rôle même de l’ONU, même si nous savons que cette institution use et abuse de mensonges et de sophismes, et qu’elle n’a été créée que pour être un outil international de contrôle et de propagande, offrirait, sous couvert d’acte vertueux, un visa de respectabilité et d’immunité totale à cette engeance composée de pédo-criminels et de pédo-satanistes qui viole, torture et tue les enfants.

    Comme nous savons que les enfants âgés de 10 ans sont les plus prisés par ces malades, que beaucoup de snuff movies et de photos pédopornographiques sont tournés avec des enfants de cet âge, même si certains préfèrent des beaucoup plus petits et des bébés, nous comprenons pourquoi, pour le moment, ils se contentent d’abaisser la sexualité à 10 ans. Ils opèrent progressivement pour en arriver à ce qu’ils veulent ; c’est à dire que la sexualité puérile soit banalisée comme dans le Talmud de Babylone.

    Question ; Que feront-ils des bébés nés de petites filles de 10, 11 ans et plus ? Bien évidemment, ils seront pris en charge dans de dits « instituts d’aide à l’enfance» ou de dites « associations de protection de l’enfance » qui ne s’avèrent être que des réservoirs où les pédophiles viennent faire leur marché et où les satanistes, qui eux, ont besoin parfois de victimes sacrificielles pures, donc très jeunes, viennent aussi. Mais nous savons aussi que des enfants servent de cobayes pour de nombreux tests pharmaceutiques et expériences médicales.

    Combien de petites filles auront décidé volontairement d’être sexuellement actives et enceintes, et combien seront aptes à élever leur enfant ? Aucune.

    https://echelledejacob.blogspot.com/2016/11/lonu-demande-les-droits-sexuels-et-la.html?fbclid=IwAR1qFBnzNu2piWXCvZ2VvUV_AjKx2F-6_9ag-o44uy1B6hg3WoYlAZ6Kefk

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  7. L’ère de la super ville est arrivée


    Dominique Dewitte
    5 août 2019


    Le monde entre dans l’ère des super-villes, et cette évolution est la plus évidente en Afrique subsaharienne, où, selon les chiffres des Nations Unies, le nombre de citadins atteindra 1,3 milliard d’ici 2050.

    Lagos, la capitale du Nigéria, en est un bon exemple. En 2000, 7,2 millions de personnes y vivaient, une ville comparable aux agglomérations américaines telles que Philadelphie et Chicago. D’ici 2030, selon les Nations Unies, elle rassemblera 24 millions de personnes et formera une ville aussi grande que les métropoles de New York et de Londres… cumulées.

    L’urbanisation rapide – et tout ce qui l’accompagne : opportunités économiques, problèmes sociaux et pollution environnementale – touche tous les coins du monde. En 1975, 750 millions de personnes vivaient dans des villes, la plupart en Europe ou en Amérique du Nord. Jusqu’en 2008, la majorité de la population mondiale vivait dans des zones rurales.

    L’urbanisation africaine ne fait que commencer

    Aujourd’hui, 55 % de la population mondiale (4,3 milliards d’habitants) vit dans les villes. En 2050, ils seront 68 % (6,6 milliards de personnes).

    Entre 1950 et 2000, 1 milliard de citadins se sont ajoutés à la population des villes d’Asie, et depuis lors, 900 autres millions. L’Asie abrite aujourd’hui plus de la moitié de la population urbaine mondiale. Le continent compte 17 des 31 mégapoles mondiales de plus de 10 millions d’habitants.

    L’urbanisation africaine ne fait que commencer. Il y a dix ans, le continent comptait deux fois moins de citadins que l’Europe. Dans dix ans, il y en aura plus, et dans vingt ans, deux fois plus.

    L’Afrique est l’événement le plus important de ce siècle

    Le politicien français Jean-Louis Borloo, maire de la ville française de Valenciennes pendant 20 ans et également ministre dans divers gouvernements français, qualifie donc l’Afrique d’événement le plus important de ce siècle.

    « Un continent qui est passé de 250 millions d’habitants au moment des indépendances à 1,2 milliard aujourd’hui. Qui dans 30 ans, sera à 2,5 milliards d’habitants. Est-ce que vous imaginez ce que ça représente ? 25 % de l’humanité, 40 % des moins de 20 ans »

    Le Nigeria

    Prenons le Nigéria, par exemple, où la population croît à un rythme rapide et où les gens se déplacent constamment vers la ville. D’ici 2050, elle aura dépassé les États-Unis pour devenir le pays le plus peuplé du monde derrière l’Inde et la Chine. Aujourd’hui, 8 fois plus de Nigérians vivent dans les villes qu’en 1975. Les 5 plus grandes villes du pays continueront à croître à peu près au même rythme, ce qui signifie que d’ici 2030, elles devront accueillir plus de 70% de personnes de plus qu’aujourd’hui.

    La naissance de la super-ville …

    L’urbanisation est également à la base de la naissance de la super-ville. En 1975, seules les agglomérations de Tokyo, New York et Mexico comptaient plus de 10 millions d’habitants. Aujourd’hui, il y a 31 supervilles et, selon les Nations Unies, il y en aura 10 autres d’ici 2030. Toutes ces nouvelles villes seront situées en Afrique ou en Asie, à l’exception de Bogota en Colombie.

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  8. Paris, Moscou et Los Angeles figurent dans la liste des plus grandes villes du monde. Aujourd’hui, la capitale française se situe au 25ème rang, la russe à la 22ème, et Los Angeles au 21ème rang.

    … et la mégapole

    Certaines personnes pensent entre-temps que le terme « mégapole » nécessite une nouvelle définition, car d’ici 2030, il y aura 14 villes sur la planète où vivront 20 millions de personnes ou plus, dont Lagos et Kinshasa en République démocratique du Congo.

    Les défis sont énormes. Les villes peuvent être un puissant moteur de croissance économique en créant des emplois, en réduisant les coûts de transport et en favorisant la concurrence et la coopération. Mais cela a souvent d’énormes conséquences sur l’environnement et le logement.

    La ville tire le meilleur parti des gens

    Dans son livre Triumph of the City, l’auteur Edward Glaeser explique comment les villes tirent le meilleur parti de leurs habitants. Les villes densément peuplées sont plus créatives, plus excitantes et moins polluantes que la banlieue américaine moyenne, victime d’un trafic routier important. Les villes sont des passeports pour sortir de la pauvreté, elles attirent les pauvres plutôt qu’elles ne les créent. Les villes sont également le lieu où les gens sont les plus créatifs sur le plan artistique et technologique.

    Glaeser conclut que vivre dans une mégapole n’est pas nécessairement un enfer. Au contraire, Tokyo, Séoul et Shanghai prouvent que les mégapoles peuvent être tout à fait vivables. Pour beaucoup d’entre nous, la mégapole sera notre destin. Le but de l’humanité doit être de gérer ce destin, plutôt que de le subir.

    Paris en 2100

    Remarquable : dans le top 50 des plus grandes villes en 2100, il y en a exactement cinq de l’Ouest : New York (22e position – 30 millions d’habitants), Mexico (34e – 22 millions), Los Angeles (40e – 20 millions) ), Rio de Janeiro (41e – 19,8 millions) et Sao Paolo (44e – 19,1 millions). La première ville européenne sera Paris, avec 11,8 millions d’habitants, ce qui lui vaudra… la 67e place.

    https://fr.express.live/ere-villes-megapoles/

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    1. Les tramways auront plusieurs étages et circuleront sur des ponts construits dans l'axe de l'avenue. Ils seront donc visibles de face jusqu'à hauteur du 4è ou 5è étage d'un immeuble.

      Sous ces transports publics circuleront les privés en voitures et camions sans la gène des bus !

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  9. ROYAUME-UNI - LES SUPERMARCHÉS TESCO SUPPRIMENT 4500 EMPLOIS

    Face aux changements de consommation de ses clients, la chaîne britannique de supermarchés Tesco va diminuer ses effectifs, ses stocks et réduire les horaires d'ouverture.


    05.08.2019, 16h38


    Internet et les enseignes de maxi discompte telles que Aldi et Lidl représentent une nouvelle concurrence.

    Le géant britannique des supermarchés Tesco a annoncé lundi la suppression de 4500 emplois au Royaume-Uni afin de s'adapter à un secteur de la distribution particulièrement concurrentiel dans le pays.

    Le groupe explique, dans un communiqué, que ces suppressions d'emplois, représentant autour de 1% de ses effectifs totaux, concernent ses 153 supermarchés Tesco Metro, des magasins de taille moyenne présents surtout en centre-ville.

    Tesco veut simplifier le fonctionnement de ces magasins qui ont été conçus au départ pour que les Britanniques viennent y faire leurs courses hebdomadaires. Mais le groupe constate que désormais la majorité de ses clients les utilisent comme magasins d'appoint.

    Désormais, ces magasins auront moins de stocks et le travail du personnel sera plus flexible, précise le groupe qui emploie 440'000 personnes dans le monde dont 300'000 rien qu'au Royaume-Uni.

    Réaménagement

    Le directeur général de Tesco pour le Royaume-Uni et l'Irlande, Jason Terry, met en avant «un environnement difficile et changeant dans le secteur de la distribution, avec des pressions croissantes sur les coûts».

    Le groupe prévoit également des changements dans 134 de ses 1750 Tesco Express, sa gamme de supérettes, sur fond de baisse de la fréquentation. Ses points de vente verront notamment leurs horaires d'ouverture réduits.

    Il entend réaliser des aménagements par ailleurs dans quelques-uns de ces hypermarchés afin de simplifier la gestion des stocks et d'approvisionnement des rayons.

    Concurrence d'Internet

    Le groupe évolue dans un secteur de la distribution particulièrement difficile au Royaume-Uni où les grands acteurs se livrent une véritable guerre des prix sous la pression des enseignes de maxi discompte allemandes Aldi et Lidl qui ne cessent de gagner des parts de marché.

    Il doit en outre composer avec l'essor de la vente alimentaire sur internet, au détriment de la fréquentation physique des commerces.

    Numéro 1 malgré tout

    Tesco, qui a amélioré ses performances financières récemment grâce à l'acquisition fructueuse du grossiste Booker, avait déjà annoncé 9000 suppressions d'emplois en janvier dernier, en fermant notamment ses étalages de viande et de poisson dans des supermarchés.

    Selon les derniers chiffres du cabinet Kantar, correspondant à la période de trois mois achevée mi-juillet, Tesco reste confortablement numéro un du secteur au Royaume-Uni avec une part de marché de 27,2%.

    Il devance respectivement Sainsbury's et Asda (filiale de l'américain Walmart), avec des parts de marché autour de 15% chacun et dont le projet de fusion a été récemment retoqué par le gendarme britannique de la concurrence. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/supermarches-tesco-suppriment-4500-emplois/story/31973440

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  10. L'immigration en monar-chie:

    Des signes montent à Londres en disant aux gens de ne pas chier dans les rues


    par Tyler Durden
    Lun., 08/05/2019 - 05:00
    Écrit par Paul Joseph Watson via Summit News,


    À Londres, des panneaux signalent aux gens de ne pas fumer dans les rues.

    Un panneau des rues propres de la Cité de Westminster, posté sur Twitter, indique: «Cette zone est surveillée pour encrassement des rues. Toute personne qui urine ou défèque peut faire l’objet d’une arrestation. "

    L'ancien commissaire de la FCC déclare que tenter de bloquer l'accord T-Mobile est une tâche louée
    "Bienvenue à Londres. Ne chie pas dans la rue », a tweeté Old Holborn.

    La défécation publique était un problème plus courant dans les pays non européens, mais elle semble avoir fait son chemin ici maintenant.

    La vue des matières fécales dans les rues devient un problème majeur dans les utopies libérales comme San Francisco, et il semble que ce soit au tour de Londres de goûter à cette forme de progressisme.

    Cela semble être un endroit approprié pour intégrer la vidéo suivante:

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-03/signs-go-london-telling-people-not-sht-streets

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    1. Et la reine est sur le trône en attendant qu'on tire la chasse.

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  11. Deux tiers des Français ont déjà dû renoncer à leurs vacances d'été par manque d’argent


    19:38 05.08.2019
    Hakim Saleck


    D’après un sondage IFOP, un nombre croissant de Français, appartenant aux classes moyennes et populaires, doivent renoncer à partir en vacances car ils n’en ont plus les moyens. Une fracture symptomatique qui vient s’ajouter à celles déjà mises en lumière ces derniers mois par la crise des Gilets jaunes notamment.

    «Selon notre étude, 40 % des Français ont renoncé plusieurs fois à partir sur les cinq dernières années».

    Une part croissante des Français les moins aisés n’iront pas se reposer à la campagne ou respirer l’air de la mer durant ces vacances d’été. Essentiellement à cause du coût de celles-ci. C’est en tout cas ce que révèle Sondage Ifop pour l’UNAT et la Fondation Jean-Jaurès sur les inégalités dans les départs en vacances des français. Menée par David Nguyen et Jérôme Fourquet auteur de « l’archipel français », cette enquête met en lumière un écart générationnel, social et territorial qui se creuse entre les Français.

    L’étude, faite sur un échantillon de 1003 individus, indique que 59% des Français catégorisés comme « pauvres » ont souvent dû renoncer à un départ en vacances pour des raisons financières ces 5 dernières années. À l’opposé, seulement 11% de la catégorie aisée a dû faire ce sacrifice. Plus surprenant encore, la division entre les classes moyennes supérieures et inférieures comme l’analysent les responsables de l’enquête :

    «On constate ici que le niveau d’accès aux vacances d’été constitue une véritable ligne de faille sociologique au sein de la vaste classe moyenne. Le taux de renoncement passe de 48 % dans la partie inférieure de la classe moyenne à 21 % dans sa partie supérieure. Le corps central de la société n’a dès lors plus un rapport homogène à une pratique pourtant cruciale de la vie moderne».

    Ce que recherchent les différentes catégories sociales lorsqu’elles partent en vacances est d’ailleurs révélateur de ces fractures. Le premier souci des catégories populaires est d’aller dans « un endroit pas cher » (33%), ensuite de « partir loin de chez soi pour déconnecter du quotidien » (26%). Si les catégories supérieures partagent cette nécessité de partir loin et de se déconnecter du quotidien (37%), le fait de trouver un endroit peu cher s’élève seulement de 15%.

    Cette donnée du prix des vacances est donc le principal facteur expliquant cette fracture entre les différentes catégories de la population. En effet, l’envolée des prix des logements et du transport -notamment en train- fait que les classes moyennes et populaires peuvent de moins en moins assumer les coûts. Dans une interview au Figaro, Jérôme Fourquet, apporte des clés de lecture pour comprendre cette envolée des prix :

    « C’est un phénomène que l’on retrouve dans tous les secteurs de la consommation: la montée en gamme ou «premiumisation». Elle touche notamment les offres d’hébergement, en particulier les structures d’accueil historiquement dédiées aux publics populaires, comme les villages vacances ou les campings, aujourd’hui renommés "hôtelleries de plein air"» explique Jérôme Fourquet.

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  12. Les clivages que soulèvent cette étude sont aussi territoriaux : 54% des vacanciers de province privilégient un changement de région en France alors que 25% préfèrent changer de pays régulièrement. Dans le même temps, 35% des vacanciers sondés en Île-de-France privilégient un changement de région au niveau national et 38% ont tendances à changer de pays régulièrement.

    Les Gilets jaunes parmi les plus impactés

    Autre symbole révélateur: 61% de Français qui se revendiquent Gilets jaunes ont un taux de renoncement fréquent au départ en vacances ces 5 dernières années. Les Gilets jaunes renoncent donc plus fortement que la moyenne des Français à partir en vacances. Pour les non-Gilets jaunes, qui soutiennent le mouvement, ce taux diminue mais reste à 45%. Cette impossibilité de se rendre en vacances alors que d’autres le peuvent renforce un clivage social et un sentiment de paupérisation entre différentes catégories de la population. Pour Jérôme Fourquet :

    «Dans une société qui privilégie les loisirs, où les vacances sont un must-have, ce renoncement est un marqueur de déclassement social douloureusement ressenti. Les réseaux sociaux, sur lesquels chacun met avantageusement en scène ses vacances, alimentent ce sentiment de frustration parmi ceux qui ne peuvent plus partir».

    https://fr.sputniknews.com/france/201908051041873994-deux-tiers-des-francais-ont-deja-du-renoncer-a-leurs-vacances-dete-par-manque-dargent/

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  13. «Les élites haïtiennes mangent les miettes que les États-Unis leur jettent»


    18:08 05.08.2019
    Jérôme Blanchet-Gravel


    En Haïti, l’arrestation d’un criminel notoire a replongé le pays dans une crise. Cette arrestation pourrait mener à révéler des scandales impliquant des membres du gouvernement. Au micro de Sputnik, l’avocat haïtien Franck Vaneus décrit une situation catastrophique et dénonce le rôle de Washington dans ce nouvel épisode.

    La perle des Antilles vit d’intenses troubles politiques. Depuis février 2019, des citoyens dénoncent la corruption et la mauvaise situation économique. Les opposants au Président Jovenel Moïse l’accusent d’avoir détourné des fonds du Petrocaribe, un prêt accordé à Haïti par le Venezuela. Menée par la Cour supérieure des comptes, une enquête conclut déjà que le Président a participé à ce détournement.

    Le 22 juillet dernier, l’arrestation du chef de gang Arnel Joseph a remis le feu aux poudres. La police judiciaire soupçonne le sénateur Garcia Delva d’avoir pris part à un enlèvement impliquant ce criminel. Des accusations que M. Delva qualifie de «politique» dans un communiqué. L’arrestation de Joseph pourrait finir par dévoiler d’autres cas de corruption majeurs impliquant des politiciens.

    Dans une lettre à publier dans la presse haïtienne, et dont Sputnik a obtenu copie d’avance, l’avocat Franck Vaneus s’indigne du rôle des élites dans cette crise. Titulaire d’un master en philosophie de l’Université Paris-VIII, M.Vaneus est co-actionnaire du cabinet Équité et Droit à Port-au-Prince.

    «Élites de mon pays, intellectuels, politiciens, hommes et femmes d’affaires, comment sommes-nous devenus cette populace indigne ? Comment la barque de la Première République noire indépendante du Nouveau Monde a-t-elle dérivé vers les rives de la médiocrité, de l’abjection, de l’inhumanité ? Comment avons-nous pu assister impuissants au processus “d’immondicisation” accrue de ce pays ?», demande notamment l’avocat dans sa lettre.

    En entrevue avec Sputnik, Frank Vaneus décrit une situation pour le moins catastrophique. Il pointe avant tout le rôle du crime organisé dans celle-ci, ayant lui-même récemment été violenté par les membres d’un gang.

    «Les chefs de gang agissent en toute impunité et à visière levée, sans que les autorités ne s’en préoccupent outre mesure. Cela démontre que l’État haïtien est devenu un État de bandes illégales. Les gens peuvent faire ce qu’ils veulent à partir du moment où ils ont un minimum de pouvoir. Nous sommes aujourd’hui plongés dans une anarchie totale. L’État haïtien n’existe pas, il brille par son absence sur l’ensemble du territoire», a d’abord déploré l’avocat à notre micro.

    De plus en plus de jeunes seraient utilisés par les bandes criminelles, dont certaines seraient elles-mêmes contrôlées par des politiciens. Ces jeunes ont généralement entre 14 et 30 ans, observe-t-il:

    «Ces jeunes vivent dans des quartiers vraiment très pauvres. Ces jeunes n’ont même pas toujours de quoi manger tous les jours. Pourtant, ils possèdent des armes de guerre qui coûtent plusieurs centaines de dollars américains. Où trouvent-ils cet argent ? Ça ne tombe pas du ciel. Ils ont des cartouches en quantités illimitées. D’où provient donc cet armement ? Ils sont soutenus par des secteurs policiers ou bien par des hommes d’affaires qui veulent se débarrasser de certains concurrents. Il arrive aussi que le but de ces jeunes soit d’empêcher la distribution de certains produits», a-t-il poursuivi.

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  14. Comme d’autres observateurs, M. Vaneus pointe aussi le rôle de Jovenel Moïse dans cette crise. Il rappelle que ce Président est toujours soutenu par les États-Unis, ce qu’il considère inacceptable. En février dernier, malgré la grande impopularité du Président, l’ambassadrice américaine en Haïti est allée lui renouveler son appui dans la capitale. L’avocat pense toutefois que le Canada et la France jouent aussi un certain rôle politique:

    «Aujourd’hui, Jovenel Moïse est toujours au pouvoir parce que Washington, Paris et Ottawa l’acceptent. […] L’Occident pense qu’il existe des humanités superposées. L’Occident serait supérieur et les autres nations devraient l’accepter. […] Pourquoi Washington veut-il voir Maduro quitter le pouvoir au Venezuela alors qu’il maintient en place Moïse en Haïti? Maduro est appuyé par son peuple alors que Moïse ne l’est pas du tout. C’est encore une politique de deux poids deux mesures des États-Unis», a ajouté l’avocat haïtien.

    Franck Vaneus estime même que les États-Unis veulent bloquer l’accession de dirigeants plus intègres au pouvoir. Selon lui, Washington voudrait empêcher que n’éclatent des scandales de corruption impliquant des Américains. Des scandales de nature sexuelle impliquant des Occidentaux pourraient aussi être dévoilés. Rappelons que l’ONG anglaise Oxfam a déjà été épinglée pour une affaire de proxénétisme sur l’île.

    «Les États-Unis ont toujours pensé qu’ils étaient le grand frère d’Haïti. Mais les médias de masse ont changé la perception de la population. Maintenant, les Haïtiens sont bien conscients que leur pays n’est même plus la simple cour arrière des États-Unis. Les Haïtiens sont conscients que leur pays est devenu les toilettes des États-Unis.

    C’est vrai au sens propre et figuré. Je rappelle que Haïti reçoit des tonnes de déchets en provenance des États-Unis. Le Président Trump n’a-t-il pas dit qu’Haïti était un “shithole country” ? En fait, les élites haïtiennes mangent les miettes que les États-Unis leur jettent», s’est désolé M.Vaneus.

    https://fr.sputniknews.com/international/201908051041874038-les-elites-haitiennes-mangent-les-miettes-que-les-etats-unis-leur-jettent/

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  15. De 38 euros d'amende à la peine de mort, comment sont punis les rassemblements non autorisés dans le monde ?


    17:02 05.08.2019


    À la lumière des manifestations non autorisées qu’a connu Moscou, pendant lesquelles de nombreux participants ont été interpellés pour violation de l’ordre public, voici un aperçu de la gestion des rassemblements non autorisés à travers divers pays du monde.

    Pour la deuxième semaine consécutive, plusieurs manifestants ont été arrêtés le 3 août à Moscou lors de rassemblements non autorisés contre le rejet d'une soixantaine de candidatures aux élections locales prévues en septembre. Rassemblés au cœur de Moscou, certains manifestants ont utilisé du gaz poivre, jeté des bouteilles et même une poubelle contre les policiers. La plupart d’entre eux ont été libérés immédiatement, tandis qu'environ une douzaine font l'objet de poursuites pénales pour avoir agressé des policiers et attisé des émeutes.

    Le lendemain, la diplomatie britannique a fait part de son inquiétude face à la détention de manifestants, faisant ainsi allusion aux obligations de la Russie en vertu du droit international des droits de l'Homme, tandis que l'ambassade américaine à Moscou a déclaré que la «répression» portait atteinte aux droits des citoyens.

    Alors que la partie française a condamné elle aussi les interpellations de manifestants à Moscou, voici comment d'autres pays du monde punissent les manifestants pour un rassemblement illégal.

    États-Unis

    Le premier amendement de la constitution américaine donne aux Américains le droit de se réunir, mais certaines lois criminalisent le fait de se rassembler et de ne pas se disperser sur l’ordre de la police. Comme dans de nombreux autres pays, il est obligatoire d’obtenir une autorisation de manifestation avant de pouvoir organiser tout type de rassemblement dans un espace public. Chaque État dispose de sa propre législation prévoyant des sanctions pénales pour violation des règles de la manifestation pacifique.

    Par exemple, ne pas obtenir d’autorisation en Alabama constituerait un délit de classe B pouvant entraîner des peines de prison pouvant aller jusqu'à six mois et des amendes jusqu'à 3.000 dollars; en Arizona, il s’agit d’un délit de classe 1 passible de six mois de prison et de 1.000 dollars d’amende; au Texas, cela pourrait donner lieu à un délit de classe B punissable d’une amende pouvant aller jusqu’à 2.000 dollars, voire jusqu’à 180 jours de prison, ou les deux.
    Quant à Washington, le non-respect de l’ordre de se disperser est considéré comme un délit passible d’une peine d’emprisonnement d’au moins 24 heures consécutives et d’une amende de jusqu’à 250 dollars. À New York, les rassemblements non autorisés sont classés dans la catégorie des infractions mineures de classe B passibles d’une peine maximale de 90 jours de prison.

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  16. Royaume-Uni

    Le Royaume-Uni a ses propres règles en matière de manifestations illégales. Conformément à la loi de 1986 sur l'ordre public, en cas de manifestations de masse non autorisées ou interdites qui entravent la circulation de véhicules ou de piétons, la police britannique a le droit de prendre des mesures en toute indépendance pour les empêcher, notamment par le recours à la force.

    Ainsi, l'organisation d'un rassemblement non autorisé dans une zone désignée, y compris autour du Parlement, est punissable de six mois d'emprisonnement et/ou d'une amende.

    France

    En France, organiser une action dans une rue publique sans demande officielle est passible d’une infraction pénale qui prévoit six mois d'emprisonnement et une amende de 7.500 euros, conformément à l'article 431-9 du code pénal.

    Dans le contexte des dernières manifestations des Gilets jaunes, marquées régulièrement par des affrontements entre manifestants et policiers, le gouvernement a proposé de renforcer la loi «anticasseurs», ce qui donnerait aux autorités le droit d'empêcher les manifestants de se livrer à des violences.

    Le non-respect des ordres de la police lors d'un rassemblement non autorisé en France prévoit une amende pouvant aller jusqu'à 38 euros. Les forces de l'ordre ont le droit de disperser les personnes rassemblées par la force après deux appels peu concluants. Dans ce cas, les manifestants encourent également une responsabilité pénale, pouvant aller jusqu'à un an de prison et une amende de 15.000 euros.

    Le délit de dissimulation volontaire, totale ou partielle, du visage est assorti d'une peine de prison d'un an et 15.000 euros d'amende.

    Allemagne

    En Allemagne, toute personne qui participe ou appelle à une manifestation dans des zones interdites peut être condamnée à une amende pouvant aller jusqu'à 30.000 euros et à une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à un an. Ceux qui organisent un rassemblement autorisé mais dans un lieu complètement différent risquent de purger une peine de prison de six mois.

    Les manifestants qui violent l’ordre public, notamment en lançant des objets sur la police, en érigeant des barricades, en cassant des vitres et en utilisant des armes, encourent le risque d’une amende ou d’une peine de prison pouvant aller jusqu’à trois ans. Selon la loi, les cas où les manifestants utilisent et jettent des objets dangereux avec des arêtes vives (bouteilles en verre ou cailloux) constituent un cas particulièrement grave d’atteinte à la paix et sont passibles d'une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à dix ans.

    Espagne

    Si les manifestants espagnols n’informent pas les autorités d’un prochain rassemblement, même pacifique, dans les lieux publics, ils seront inévitablement condamnés à des amendes pouvant aller jusqu'à 600 euros.

    Dans le même temps, lors d’un rassemblement autorisé, les pénalités peuvent monter en flèche jusqu'à 30.000 euros si une manifestation se solde par «des troubles graves de la sécurité publique» à proximité des bâtiments du Parlement ou du gouvernement régional, alors que l'organisation de manifestations sans autorisation autour d'infrastructures clés pourrait coûter jusqu’à 600.000 euros d’amende.

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  17. Italie

    Bien que l'Italie soit favorable à la liberté de réunion, sa législation oblige les organisateurs à en informer les autorités trois jours à l’avance. Pour toute personne rassemblée dans une «foule indésirable» de plus de 10 personnes, la loi prévoit une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à un an, ainsi qu'une amende administrative de 206 à 413 euros.

    Organiser un événement dans un lieu public n’est possible qu’avec le feu vert de la police et des autorités locales. Si un manifestant attaque un policier, il sera condamné à une peine de prison de six mois à cinq ans.

    Turquie

    La tenue et la participation à des rassemblements pacifiques sans autorisation préalable en Turquie sont encadrées par l'article 3 de la loi sur les rassemblements et les manifestations. Cependant, les manifestants doivent s'assurer que les slogans sous lesquels se déroulent ces événements ne sont pas contraires à la loi.

    Ainsi, l'organisation et la participation à une manifestation illégale sont passibles d'une peine maximale de trois ans d'emprisonnement, recourir à la force contre la police ou à la violence ou à des menaces entraînera une peine de prison de deux à cinq ans, résister ou insulter les autorités afin de perturber un rassemblement ou une marche pacifique est sanctionnée d’une peine d'un an et demi à trois ans de prison.

    Si les participants d’une réunion illégale choisissent de la poursuivre en dépit des multiples avertissements et procèdent à des violences, ils seront emprisonnés pour une période de six mois à trois ans. Si le crime est commis par l'organisateur d'un rassemblement illégal, la peine augmente de 50%.

    République tchèque

    Il n’est pas nécessaire d’obtenir une autorisation de manifestation dans un lieu public, mais l’autorité locale doit en être informée au moins cinq jours à l’avance. Le droit tchèque impose à l’organisateur de la réunion de se conformer aux instructions des autorités, de veiller à ce que la manifestation se déroule de manière pacifique, de veiller à ce que les participants ne soient pas en possession d’objets qui pourraient nuire à la santé d’autrui, et de se disperser une fois avertis. En outre, les rassemblements dans certaines zones proches du Parlement ne sont pas autorisés.

    Si les manifestants ne respectent pas ces conditions, ils peuvent recevoir une amende de 5.000 (environ 194 euros) à 10.000 (389 euros) couronnes et se voir saisir leurs biens. D’autres infractions sont punies plus sévèrement, par exemple, attaquer un agent en service entraînera une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à trois ans et jusqu'à 10 ans dans le cas d’une blessure grave.

    Suède

    En Suède, en cas de violation de la loi, les manifestants sont passibles d'une amende ou d'une peine maximale de quatre ans d'emprisonnement.

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  18. Algérie

    Depuis 1991, les rassemblements et les manifestations doivent être organisés avec l’autorisation du ministère de l’Intérieur. En 2001, le gouvernement de la république a décidé d'interdire complètement l'organisation de rassemblements et de manifestations dans la capitale pour des raisons de sécurité.

    Maroc

    Les autorités surveillent de près les manifestations illégales. Les organisateurs et les participants des rassemblements dans le royaume encourent jusqu'à 20 ans de prison.

    Arabie saoudite

    Les rassemblements et les manifestations sont interdits sur le territoire saoudien. Les organisateurs et les participants des manifestations sont condamnés à mort.

    Tunisie

    La constitution tunisienne garantit le droit d'organiser des rassemblements et des manifestations pacifiques. Dans le même temps, la loi antiterroriste adoptée en 2015 et plusieurs déclarations d'état d'urgence ont imposé des restrictions à l'organisation et à la tenue de rassemblements. Ainsi, l'état d'urgence déclaré en Tunisie en décembre 2018 autorise les forces de sécurité à interdire les grèves, les manifestations et les grands rassemblements qui pourraient provoquer des troubles. Par conséquent, toutes les tentatives d'organiser des rassemblements sont depuis lors dispersées par la police, les manifestants sont souvent arrêtés.

    https://fr.sputniknews.com/international/201908051041873361-de-38-euros-damende-a-la-peine-de-mort-comment-sont-punis-les-rassemblements-non-autorises-dans-le/

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  19. SUISSE - L'ATE VEUT QUE LES ENFANTS AILLENT À PIED À L'ÉCOLE

    L'association transports et environnement souhaite que les élèves adoptent les bons comportements face au trafic pour mieux éviter les accidents.
    Un tiers des accidents impliquant des enfants s'est produit sur le chemin de l'école, selon l'OFROU.


    05.08.2019


    L'association transports et environnement profite de la prochaine rentrée des classes pour dénoncer à nouveau les parents qui amènent leurs enfants à l'école en voiture. Les écoliers doivent s'y rendre à pied et s'approprier les bons comportements face au trafic.

    Selon l'Office fédéral des routes (OFROU), onze enfants ont été tués l'année dernière et 172 grièvement blessés, écrit l'association transports et environnement (ATE) lundi dans un communiqué. Un tiers des accidents s'est produit sur le chemin de l'école.

    S'inquiétant de la sécurité des enfants, les parents les amènent en voiture à l'école. Cela crée le chaos devant les établissements scolaires et des manoeuvres risquées, entraînant des accidents. Conséquence: les parents s'inquiètent encore plus et prennent la voiture par sécurité. La situation ne fait que s'aggraver.

    Sortir de ce cercle vicieux est possible si les enfants peuvent apprendre pas après pas le comportement à adopter face au trafic, souligne l'ATE. Le chemin pour l'école est idéal pour cet apprentissage. A l'inverse, les «parents-taxis» empêchent les enfants de prendre conscience des dangers et d'apprendre à les gérer.

    Privilégier le pédibus

    Les parents devraient, dans une première phase, accompagner leurs enfants à pied. Les écoliers peuvent ainsi acquérir des compétences utiles aussi dans leur temps libre. Le chemin le plus sûr doit être préféré au chemin le plus court. Idéalement, le trajet doit être fait plusieurs fois avant le début de l'école afin de rendre les enfants attentifs aux possibles situations dangereuses et en parler.

    L'ATE recommande de porter des vêtements clairs et des matériaux réfléchissants pour que l'enfant soit bien visible. Les enfants devraient aussi être envoyés assez tôt sur le chemin de l'école pour qu'ils n'aient pas à se précipiter en classe. L'ATE déconseille en revanche les planches et patins à roulettes pour se rendre à l'école. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/suisse/ate-veut-enfants-aillent-pied-lecole/story/13787269

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    1. Débilité moyenâgeuse ! L'anxiété des parents poussée à son comble par des irresponsables !

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  20. 22% des personnes du millénaire disent ne pas avoir d'amis


    par Tyler Durden
    Lundi 08/05/2019 - 23h30


    Quelque 22 % des millennials (âgés de 23 à 38 ans) interrogés par YouGov déclarent ne pas avoir d'amis, alors que moins d'un tiers d'entre eux affirment en avoir au moins 10.

    Entre temps, 30 % des personnes du millénaire déclarent «se sentir toujours ou souvent seules».

    - voir graphique sur site -

    Les acheteurs hispaniques stimulent le marché intérieur; L'immobilier est l'investissement préféré des Américains
    Selon le New York Daily News,

    Même si les jeunes Américains surestiment leur isolement, les chiffres discordants reflètent les tendances à la hausse à long terme de la solitude. Des études ont montré que la solitude avait une multitude d'effets négatifs sur la santé mentale et physique.

    «Des relations sociales solides soutiennent la santé mentale et contribuent à une meilleure fonction immunitaire, à une réduction du stress et à une activation cardiovasculaire», a déclaré Debra Umberson, professeure de sociologie à l'Université du Texas, au magazine Time en 2015.

    Curieusement, 25% des membres de la génération Y interrogés ont également déclaré ne pas avoir de connaissances.

    Les médias sociaux sont-ils à blâmer ? Comme le souligne le Daily News, "une étude réalisée en 2018 par l'Université de Pennsylvanie liait l'utilisation d'applications telles que Facebook et Instagram à l'isolement social." L'utilisation de moins de médias sociaux que d'habitude entraîne une diminution significative de la dépression et de la solitude " L'auteur de l'étude, la psychologue Melissa Hunt, a déclaré à l'époque ".

    - voir graphique sur site -

    Selon Vox, de nombreuses personnes âgées de 30 à 30 ans ont du mal à se faire de nouveaux amis à mesure qu’elles vieillissent, à mesure que leur vie s’amplifie et que leurs amis s’éloignent.

    Plus récemment, dans un article de 2016, des chercheurs allemands ont constaté un pic de solitude sur un échantillon de 16 000 Allemands vers 30 ans, un autre vers 50 ans, puis une nouvelle augmentation à 80 ans.

    "Nous ne savons pas très bien pourquoi cela se produit", a déclaré Maike Luhmann, une psychologue qui étudie la solitude à la Ruhr-Universität Bochum et a co-écrit le document. -Vox

    "La plupart des recherches précédentes portaient donc sur la vieillesse, et pour cause, car c’est lorsque les niveaux de solitude sont élevés", a déclaré Luhmann, ajoutant que "les chercheurs ont ignoré que la solitude pouvait arriver à tout moment".

    - voir graphique sur site -

    La solitude est-elle dangereuse pour votre santé ?

    Selon une méta-revue de 70 études réalisée en 2015, la solitude a été associée à une pression artérielle élevée et à une maladie cardiaque - et augmente le risque de décès de 26%.

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  21. "Tant que nous faisons ce que nous devons faire - renouer les liens avec les gens - la solitude est une bonne chose", a déclaré Luhmann, ajoutant: "Cela devient une mauvaise chose quand cela devient chronique. C'est à ce moment-là que les effets sur la santé se manifestent. il est de plus en plus difficile de vous connecter avec d'autres personnes plus vous êtes longtemps dans un état de solitude. "

    Bien sûr, qui a besoin d'amis quand vous avez un toast à l'avocat à 12 $ ?

    Pendant ce temps - la prochaine génération a ses propres problèmes:

    - voir graphique sur site -

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-05/22-millennials-say-they-have-no-friends

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    1. L'on ne se lie pas (forcément) d'amitié avec des personnes laides, sales, pas rasées. Or, nombreuses sont encore les personnes qui ... s'enlaidissent volontairement en se laissant pousser la barbe ! La barbe est l'endroit le plus sale devant le trou de cul ! et, il y a même des barbus qui servent aux restaurants ! sont cuisiniers ! infirmiers ! chirurgiens !! boulangers, charcutiers, bref, une très longue liste d'infection !

      Notons aussi que les personnes seules ont parfois la compagnie d'animaux. Chiens ou chats... qu'ils embrassent !! Voir dans les commentaires du Dimanche 4 Août un article sur une américaine qui a été amputée des 4 membres pour avoir 'caresser' un chien !!

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  22. L'Amérique ne sera plus une société libre et ouverte


    par Tyler Durden
    Lun., 08/05/2019 - 23:10
    Écrit par Michael; Snyder via le blog Economic Collapse,


    Chaque fois qu'un acte de violence tragique fait la une des journaux nationaux, les appels à renoncer à davantage de nos libertés et libertés en échange de la promesse d'une sécurité accrue deviennent assourdissants.

    Mais si nous faisons un pas de plus vers une société autoritaire chaque fois que quelque chose d’horrible se produit, nous n’aurons finalement plus aucune des libertés fondamentales que les générations précédentes d’Amérique se sont battues si durement pour nous.

    Malheureusement, les voix comme la mienne se font de plus en plus rares et le peuple américain semble vouloir une société qui les protège de tout ce qui pourrait mal tourner. Bien sûr, il n’ya jamais eu une telle société dans toute l’histoire de l’humanité, et nous ne pourrons pas en créer une non plus. Aucun système gouvernemental ne peut éliminer le problème du mal, et de mauvaises choses arrivent parfois aux bonnes personnes. Et sans aucun doute, les tirs de masse dont nous avons été témoins ce week-end étaient absolument horribles. En moins de 24 heures, 29 vies américaines ont été perdues entre ces deux fusillades en masse, ce qui a profondément ébranlé la nation entière…

    Dimanche, les Américains ont appris la nouvelle d'une fusillade dans un quartier de divertissement de Dayton, dans l'Ohio, où un homme portant une armure corporelle a tué par balle neuf personnes, dont sa propre sœur. Quelques heures plus tôt, un homme de 21 ans avec un fusil est entré dans un magasin Walmart à El Paso et a tué 20 personnes.

    Dans un pays devenu presque insensible aux hommes armés d'armes à feu qui ont ouvert le feu dans des écoles, des concerts et des églises, les éclats de violence consécutifs à la violence armée en moins de 24 heures ont suffi à laisser le public assommé et ébranlé.

    Malheureusement, ces incidents ne sont pas isolés. Alors que notre société est devenue moins morale, nous avons assisté à une escalade de la violence dans tout le pays.

    Selon USA Today, il y a eu jusqu'à présent plus de fusillades en masse qu'en 2019…

    Alors que des coups de feu ont balayé l'Amérique en 24 heures sans précédent, un événement marquant a été franchi dans une nation frappée par la violence armée: il y a eu 251 fusillades en masse en 2019, selon les archives de Gun Violence.

    Une fusillade début dimanche matin dans un quartier de divertissement de Dayton, dans l'Ohio, qui a fait au moins neuf morts et plus de deux douzaines de blessés, a révélé une statistique encore plus sombre: elle s'est produite le 216ème jour de l'année, signifiant de nouvelles fusillades en masse. que des jours jusqu'à présent cette année.

    Comme je le préviens depuis des années, la mince couche de civilisation que nous tenons tous pour acquis disparaît progressivement.

    À un moment donné, vous pouviez vous promener dans les rues de la plupart des communautés américaines sans craindre que quelqu'un vous abatte soudainement, mais ce n'est plus une hypothèse sûre.

    Et dans certains domaines, les choses deviennent vraiment très mauvaises. Voyez ce qui s'est passé à Chicago ce week-end…

    A Chicago, au moins trois personnes ont été tuées et 37 autres blessées depuis vendredi soir dans des fusillades dans les limites de la ville, dont 22 ont été tuées dimanche en moins de quatre heures, a rapporté le Chicago Sun-Times.

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  23. Un tir de masse qui s’est déroulé près d’un terrain de jeux pour enfants a été particulièrement tragique…

    Comme le rapporte Jack Phillips du journal The Epoch Times, au moins sept personnes ont été blessées par balle le 4 août alors qu’elles se rassemblaient près d’un terrain de jeux pour enfants dans le West Side de Chicago. Les gens se sont rassemblés à 1h20 alors qu'ils se trouvaient dans le parc du 2900 West Roosevelt Road lorsqu'une personne a ouvert le feu à partir d'une Chevrolet Camaro noire, a déclaré la police de Chicago.

    Alors, pourquoi ce tir de masse n’at-il pas obtenu le même type de couverture que les autres tirs de masse ?

    Se pourrait-il que ce soit parce qu'il ne correspond pas parfaitement à l'agenda que les médias traditionnels tentent de promouvoir ?

    La ville de Baltimore est une autre grande ville américaine où la violence est complètement et totalement incontrôlable. En fait, un seul pays sur la planète entière a un taux d'homicides supérieur à celui de Baltimore…

    Le taux d'homicides par habitant est supérieur à celui de la ville de Baltimore dans un seul pays au monde.

    Selon WorldAtlas, la capitale du meurtre dans le monde est le Honduras - où il y a 90,4 homicides pour 100 000 habitants.

    Baltimore, avec 56 homicides pour 100 000 habitants, se classe en deuxième position devant le Venezuela, avec 53,7 homicides pour 100 000 habitants.

    Alors que la violence dans notre pays continue de s'intensifier, les appels à restreindre les droits de notre deuxième amendement vont devenir accablants.

    Mais retirer nos droits au 2e amendement ne va pas résoudre le problème. Au lieu de cela, il retirera simplement les armes à feu des citoyens respectueux de la loi.

    La vérité est que le tireur d’El Paso a choisi une zone exempte d’armes à feu pour une raison. Quand ils savent que leurs cibles seront des canards assis, cela rendra les choses encore plus faciles pour les tireurs de masse.

    Et les méchants trouveront toujours le moyen de se procurer des armes à feu. Il suffit de regarder la ville de Chicago - ils ont certaines des lois les plus sévères sur les armes à feu du pays tout entier, mais ils mènent également le pays en nombre de morts par balle.

    Malheureusement, la logique n’a pas tendance à marcher avec ceux qui aiment l’autoritarisme. Chaque fois que quelque chose se produit, ils veulent que le gouvernement fasse «quelque chose», et que «quelque chose» implique presque toujours l'érosion de nos droits les plus fondamentaux.

    Je souhaite que ce ne soit pas vrai, mais c’est la direction que prend notre pays. Les Américains ont été formés à croire que le gouvernement devrait les prendre en charge du berceau au tombeau et faire tout ce qui est en leur pouvoir pour les protéger de tout ce qui pourrait arriver de mal dans la vie.

    Malheureusement, chaque fois qu'une «utopie» aussi totalitaire a été tentée au cours de l'histoire de l'humanité, elle s'est toujours très mal terminée, et ce sera également le cas ici.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-05/america-not-going-be-free-and-open-society-any-longer

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    1. Les marchands d'armes délivrent des armes à des personnes calmes, entretenues, intelligentes et loyales. Mais, ces mêmes clients peuvent être attaqués et perdre la vie et leurs armes. Les armes circulent alors de mains en mains et sont parfois remisent à des personnes déséquilibrées choisies exprès pour leur incompétence, leur haine et leur irresponsabilité pour aller commettre des meurtres de masses !

      C'est justement cette absence de motif qui retient l'attention.

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  24. Johnstone: les Américains devraient être très sceptiques quant à l'appel à de nouvelles lois sur le "terrorisme"


    par Tyler Durden
    Lun., 08/05/2019 - 19:50
    Écrit par Caitlin Johnstone via Medium.com,


    Deux fusillades en masse ont secoué les États-Unis en moins de 24 heures, faisant des dizaines de morts et de nombreux blessés. Le premier à El Paso, au Texas, aurait été perpétré par un suprématiste blanc dont les motivations racistes sont exposées dans un «manifeste» décousu, le second par un soi-disant «gauchiste» dont les motivations, comme le tireur de Las Vegas 2017, sont actuellement inconnues. . Ces incidents se sont produits une semaine après un autre tir de masse à Gilroy, en Californie.

    Tous les débats américains sur le contrôle des armes à feu ont bien sûr repris, ce qui est compréhensible. Parallèlement à ce débat, cependant, nous voyons un autre ordre du jour beaucoup plus pernicieux que je voudrais aborder ici.

    Anglo American a l'intention de racheter jusqu'à 1 milliard de dollars en rachat d'actions
    Dans une interview avec Joy Reid de MSNBC, menteur et propagandiste notoire, Malcolm Nance a affirmé que les lois existantes ne suffisaient pas pour poursuivre le tireur d’El Paso, car il n’existait aucune loi qualifiant son assassinat de masse de "terrorisme domestique".

    "Je pense que le Congrès doit adopter immédiatement une série de lois sur le terrorisme national", a déclaré Nance.

    «Ce serait très simple: il suffit de les faire correspondre aux mots« terrorisme international », de sorte qu'un membre d'Al-Qaïda et un membre d'une cellule terroriste nationaliste blanc ou une milice qui pense qu'ils commettent des actes internationaux du terrorisme sont égaux tout autour. À l’heure actuelle, il n’existe aucune loi appelée «loi nationale sur le terrorisme». Ils peuvent vous obtenir des armes à feu, de la haine, mais vous n'êtes pas traité comme un terroriste. Cet acte à El Paso était clairement, selon toutes les définitions, un attentat terroriste aux États-Unis, mais bien sûr, étant de nature blanche et américaine, il ne peut être traité comme un membre de l’ISIS ou d’Al-Qaïda. Il ne peut même pas être détenu, il ne peut être traité que comme un meurtrier. "

    (L’accusé, pour mémoire, est actuellement en état d’arrestation et les procureurs disent qu’il la traitent comme une affaire de terrorisme interne pour laquelle il réclame la peine de mort. C’est au Texas; il sera mort avant le prochain procès. Film Fast & Furious. Nance est stupide de croire que les procureurs ont les mains liées.

    "Mais il est un meurtrier avec une intention politique qui répand une idéologie", a poursuivi Nance.

    «Le Congrès devrait donc prendre cela immédiatement. Et voyons si la Maison Blanche ne signera pas cette loi. Ce serait très révélateur. "

    En d’autres termes, force est de faire passer le texte de loi et de traiter tous ceux qui s’y opposent d’amoureux nazi.

    «Des années d’alarmisme égaré face au« terrorisme islamique »ont entraîné l’érosion des libertés civiles, la militarisation de la police et une foule d’autres conséquences négatives. L’application de la même logique alarmiste au «terrorisme nationaliste blanc» produira probablement une foule de résultats tout aussi négatifs », a tweeté le journaliste indépendant Michael Tracey en réponse au bavardage.

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  25. Les commentaires politiques sont inondés du mot «terrorisme» aujourd'hui. Les gens exigent que le tireur d’El Paso en particulier et les suprémacistes blancs en général soient qualifiés de terroristes par les commentateurs narratifs, et vous savez quoi? Je comprends tout à fait. Depuis le 11 septembre, la pression exercée sur les musulmans pour les qualifier de «terroristes» a été extrêmement odieuse et alimentée par la haine et le fanatisme. Il est donc logique que les personnes progressistes aient pour objectif de promouvoir l'usage égalitaire de ce terme. Mais avant cela, veuillez réfléchir aux leçons que nous avons tirées de la peur du «terrorisme islamique» après le 11 septembre.

    "Je vous dis maintenant que le gouvernement utilisera la violence que Trump lui-même a invoquée pour excuser plus de militarisation, plus de surveillance, plus de violations des libertés civiles - et beaucoup de gens vont se réjouir de ces choses parce qu'ils ont peur, ”Tweeté Kelly Hayes de Truthout.

    «Je ne suis pas en train de deviner ni d’être créatif ici. Il s’agit d’avoir un sens de l’histoire et une idée du fonctionnement de ces systèmes dans le présent. J'aimerais avoir tort. Je célébrerais avoir tort. Mais je ne suis pas."

    En effet, il est un fait établi que le gouvernement des États-Unis utilisera le discours sur la nécessité de lutter contre le terrorisme pour faire avancer les programmes préexistants. La première version de l'US USA Patriot Act a été introduite une semaine après les attentats du 11 septembre 2001, beaucoup trop rapidement pour que quiconque ait pu rassembler les informations nécessaires auprès de tous les organismes gouvernementaux concernés sur les changements nécessaires et dactylographier les centaines de pages de le projet de loi. Les législateurs ont par la suite admis qu’ils n’avaient même pas le temps de lire le projet de loi au contenu dense avant de l’adopter le mois suivant. Il serait donc puéril de croire qu’il aurait pu être rédigé en une semaine.

    En 2011, Ron Paul, membre du Congrès, a déclaré à Politico que «le Patriot Act avait été rédigé de nombreuses années avant le 11 septembre», ajoutant que les attentats offraient simplement «à certaines personnes la possibilité de faire ce qu'elles voulaient faire». au Congrès lorsque le Patriot Act a été adopté. Depuis lors, la loi a été utilisée pour éroder les droits de l’homme chez nous et à l’étranger en détruisant les protections du quatrième amendement et en légalisant la surveillance orwellienne, et il est prudent de supposer que les agences gouvernementales opaques et irresponsables qui en étaient grandement investies le souhaitaient déjà.

    Je n’ai pas de solution facile à l’épidémie de tir de masse en Amérique et, en tant qu’Australien, je considère que le débat sur le contrôle des armes à feu se situe en dehors de mon territoire souverain. Je vais simplement suggérer, comme je le fais si souvent, que si les Américains veulent vraiment s'attaquer au problème, alors le mieux est de commencer la première étude honnête et approfondie sur les effets de la propagande nationale sur l'esprit américain, en particulier propagande de guerre. Il y a peu de fois qu'un certain type d'esprit peut se faire dire de mentir en glorifiant la violence avant de se casser; Si quelqu'un étudie les fusillades à la lumière des violences psychologiques que subissent les Américains de la part de leurs médias, je leur garantis qu'ils trouveront un lien. Les Américains sont le peuple le plus propagé par la propagande sur la planète en raison de leur proximité avec la partie la plus stratégique de l’empire; Ce n’est pas une coïncidence si elles sont aussi de loin les plus exposées aux fusillades en masse.

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  26. Je peux vous dire qu’une chose, c’est que vous ne réglerez pas vos problèmes, Amérique, et que c’est à l’écoute des propagandistes qui veulent que vous confiez encore plus de contrôle à un gouvernement qui a déjà commencé à faire flotter des ballons de surveillance à haute altitude sur votre pays sans votre permission.

    Ne les laissez pas vous intimider de peur.

    https://www.zerohedge.com/news/2019-08-05/johnstone-americans-should-be-very-skeptical-calls-new-terrorism-laws

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  27. Les assassins-terroristes sont ceux qui gouvernent !

    Ils veulent supprimer les armes de défense afin que les attaques et tueries soient multipliées par 10 000 ou 100 000 du jour au lendemain !!!

    Ils se REFUSENT de financer un mur frontière pour empêcher l'importation massive d'armes et de drogue !

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  28. LA TRISOMIQUE PARLE AUX TRISOMIQUES

    GRETA À LAUSANNE ? DIALOGUE DE SOURDS PROGRAMMÉ

    Aujourd'hui, la jeune Suédoise s'exprime à l'Université de Lausanne. Mais les revendications drastiques des grévistes du climat ne vont pas bousculer la politique helvétique.
    Avant de partir pour une traversée de l'Atlantique sur un voilier, la jeune suédoise sera à Lausanne cette semaine et participera vraisemblablement à la manifestation de vendredi après-midi.


    PAR ERIC FELLEY
    05.08.2019, 10h48


    Que ce soit à Zurich, Bâle ou Lausanne, la tolérance envers les manifestants pour le climat a baissé depuis le début du mouvement en mars dernier. Alors qu'une certaine bienveillance accompagnait les étudiants en grève, la police réagit aujourd'hui au quart de tour contre les fauteurs de troubles climatiques, notamment les plus déterminés, ceux d'Extinction Rébellion.

    Revendications pour 2030

    C'est dans ce climat, dira-t-on, que se déroule cette semaine une rencontre des mouvements Grève pour le climat (37 pays annoncés) à l'Université de Lausanne. Elle sera ponctuée par une manifestation en ville ce vendredi à 15 heures, à laquelle doit participer la jeune militante suédoise Greta Thunberg. Celle-ci participe déjà ce lundi à une conférence de presse à 12 h 30. Pour elle aussi, l'état de grâce semble passé. En tout cas, elle suscite autant d'enthousiasme d'un côté, qu'elle suscite d'agacement de l'autre.

    Des réductions drastiques

    Le public ne peut pas assister aux discussions de cette semaine de rencontre à l'UNIL, mais elles sont diffusées en direct sur Facebook. Pour la Suisse, le mouvement revendique l'urgence climatique nationale: «Nous exigeons que d'ici 2030, la Suisse ne produise plus d'émissions nettes de gaz à effet de serre en Suisse... La réduction des émissions nettes de gaz à effet de serre devra être d’au moins 13% par année entre le 1.1.2020 et le 1.1.2024, et ensuite d’au moins 8% par année jusqu’au 1.1.2030.»

    Pas de révolution écologique

    Cet échéancier paraît bien improbable pour la petite Suisse, déjà incapable jusqu'ici de réduire les émission de gaz carbonique du trafic automobile avec un parc de véhicules qui ne cesse de s'agrandir. Le système politique suisse fonctionne à son rythme. Le renouvellement du Parlement le 20 octobre prochain pourra certes montrer une couleur plus verte, mais il n'y aura pas de révolution écologique à 13% de moins par année! Les nuits fraîches de l'automne auront fait oublier les pics de sueur de l'été.

    «Gourou apocalyptique»

    Avant de traverser l’océan à bord d'un voilier «zéro émission» pour se rendre au Sommet action climat 2019 de l’ONU à New York le 23 septembre, Greta Thunberg sera donc à Lausanne cette semaine pour donner du poids à ces rencontres intitulées les «vendredis pour le futur». Contrairement à la France, où elle a créé la polémique à l'Assemblée nationale, ici la jeune fille n'est pas reçue officiellement par des politiciens, mais par le Prix Nobel Jacques Dubochet. Depuis son passage à Davos en janvier, sa personnalité est devenue de plus en plus clivante. En France, certains ont dénoncé une «prophétesse en culottes courtes», une «gourou apocalyptique» ou la «cyborg suédoise» (Michel Onfray). Elle leur a répondu: «Vous avez davantage peur de moi que du danger qui nous guette».

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  29. Un fossé énorme

    Aujourd'hui, il existe encore un fossé énorme entre les revendications des jeunes militants pour le climat et les classes dirigeantes. Cela reste un dialogue de sourds. En Suisse, ce n'est pas la rue, mais le Parlement qui a la légitimité pour faire avancer, ou pas, des mesures visant à réduire l'impact de l'activité humaine sur le climat. Pour l'instant, les contingences économiques et une bonne dose de scepticisme empêchent d'accélérer des réformes climatiques contraignantes. Il en faudra encore des étés caniculaires et dépasser les 40 degrés pour provoquer un déclic plus décisif.

    https://www.lematin.ch/suisse/greta-lausanne-dialogue-sourds-programme/story/31551700

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  30. « L’intérêt négatif est un impôt supplémentaire de 160 milliards d’euros sur l’épargne, qui n’a été approuvé par aucun parlement »


    Dominique Dewitte
    5 août 2019


    Depuis vendredi, l’Allemagne applique un taux d’intérêt négatif sur toutes ses obligations d’État, quelle que soit leur échéance. C’était déjà la norme depuis un certain temps pour les obligations à 10 ans (-0,5 %), mais depuis vendredi, c’est aussi le cas pour les obligations souveraines à 20 ans (-0,2 %) et même à 30 ans (0,05 %). Et cela malgré le fait que le chômage dans le pays est à son niveau le plus bas depuis la réunification.

    Selon David Folkert-Landau, économiste en chef à la Deutsche Bank, ce taux d’intérêt négatif est de facto devenu un impôt supplémentaire de 160 milliards d’euros sur l’épargne dans la zone euro. Il fait un calcul simple. Quelque 13 000 milliards d’euros sont placés sur des livrets d’épargne dans la zone euro. Sur ce montant, 7 500 milliards d’euros sont externalisés par des banques sous forme de prêts. La BCE a maintenant saisi la différence – 5 500 milliards d’euros – une somme qui, dans des circonstances normales et avec un taux d’intérêt de 3 %, devrait rapporter plus de 160 milliards d’euros en intérêts aux épargnants.

    L’effet de sables mouvants

    « Une mesure pour laquelle il n’y a eu aucune majorité démocratique légitime dans aucun parlement », a déclaré le banquier allemand. En effet, normalement, la politique fiscale relève des parlements élus, et non des banques centrales. La BCE retire donc cet argent aux épargnants pour le donner aux gouvernements. Mais cette « taxe de la BCE » est appliquée de manière disproportionnée. Folkert-Landau conclut que des pays dépensiers comme l’Italie se portent très bien, tandis que des pays économes comme l’Allemagne sont punis. Il parle d’un effet de sables mouvants, dans lequel la zone euro menace lentement mais sûrement de se noyer.

    Ensuite, il y a la question de ce que l’avenir nous réserve. La réponse n’est pas prometteuse. L’économiste français Patrick Artus (Natixis) s’est penché sur le problème et, dans une note aux clients, il propose les deux scénarios suivants.

    1. Les taux d’intérêt restent tels quels ou baissent encore
    Des recherches récentes montrent que 3 phénomènes persistent :

    a) Les grandes entreprises deviennent encore plus grandes parce qu’elles peuvent emprunter plus facilement et accroître leur position dominante et leur valeur de marché par le biais d’acquisitions. C’est un problème que l’on rencontre surtout aux États-Unis (voir graphique à gauche : la concentration des entreprises). Comme tous les efforts pour devenir plus efficaces avec une telle croissance font généralement défaut, la productivité diminue, en général dans cette configuration.

    b) Les sociétés zombies – des sociétés faibles qui devraient disparaitre du marché dans des circonstances normales – ne survivent que parce qu’elles peuvent emprunter de l’argent à des taux d’intérêt très bas pour rester opérationnelles.

    c) Les banques éprouvent de plus en plus de difficultés parce que la base des opérations bancaires – promettre un taux d’intérêt donné aux épargnants en demandant un taux d’intérêt plus élevé aux emprunteurs – est remise en question.

    2. Les taux d’intérêt augmentent

    Si les taux d’intérêt repartent de nouveau à la hausse après une longue période de taux bas, les détenteurs d’obligations perdront des capitaux importants. La raison est évidente : ils recevront des coupons faibles.
    Les entreprises et les gouvernements fortement endettés deviendront moins solvables, et une nouvelle crise de la dette s’annoncera rapidement.

    https://fr.express.live/taux-interet-negatif-impot-epargnants/

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  31. Venise veut une action européenne contre les navires de croisière


    Arnaud Lefebvre
    5 août 2019


    Venise a appelé les principales destinations européennes prisées des navires de croisière telles qu’Amsterdam, Barcelone, Dubrovnik et Marseille, à s’unir pour lutter contre les dangers et l’impact environnemental liés aux nuisances croissantes de ce secteur du tourisme. Venise souhaite savoir quelles initiatives ces destinations populaires peuvent prendre pour s’attaquer au problème. Le conseil municipal de Venise a tenu, entre autres, à souligner le danger physique et les dommages environnementaux que représentent les navires de croisière.

    Cette initiative fait suite à un incident majeur survenu au début du mois de juin lorsque le navire de croisière MSC Opera situé dans le Canale della Giudecca à Venise a percuté le quai et un bateau de tourisme. L’accident a non seulement causé des dégâts considérables, mais a également provoqué la panique de dizaines de personnes présentes sur le quai et sur le bateau de tourisme.

    Seules quatre personnes ont été légèrement blessées. Un peu plus d’un mois plus tard, lors d’une tempête, le Costa Deliziosa a frôlé l’accident et a failli percuter le quai de la Riva dei Sette Martiri à Venise. Cette succession d’incidents ont poussé les autorités de la ville italienne à intervenir.

    Bilan

    Venise, mais aussi d’autres grandes villes portuaires européennes, luttent depuis un certain temps contre les inconvénients du tourisme de croisière. Bien entendu, la ville se félicite des revenus générés par les croisières. Toutefois, cette activité est responsable de nuisances majeures.

    La situation à Venise est particulièrement délicate. La ville, site du patrimoine mondial de l’UNESCO, est en train de couler lentement. Les navires de croisière sont tenus pour responsables de l’érosion des fondations de la ville flottante.

    « J’ai écrit à toutes les villes européennes qui partagent notre expérience du tourisme de croisière et qui doivent trouver un équilibre entre développement économique et durabilité environnementale », a déclaré Pino Musolino, président de l’autorité portuaire du nord de l’Adriatique, dans un communiqué.

    « La taille croissante des navires, leurs impacts environnementaux sur les zones entourant les ports et le fardeau que représente le nombre croissant de touristes créent une situation de conflit », explique-t-il dans sa lettre à huit autres autorités portuaires.

    Musolino a appelé les autorités portuaires européennes à « unir leurs forces pour obliger les entreprises à lancer des navires compatibles avec les structures et l’environnement ».

    Tourisme de masse

    Venise n’est pas la seule destination de croisière confrontées à ce type de problèmes. En 2017, Dubrovnik, un autre site classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, est devenu synonyme du fléau du « sur-tourisme » des croisières, figurant désormais sur la liste des destinations à éviter.

    À Marseille, les navires joueraient un rôle important dans la hausse du smog ces dernières années. Bruges souhaite également limiter le nombre de navires de croisière autorisés à accoster chaque année au port de Zeebrugge. La mesure vise à aider la ville à contrôler le nombre de touristes à la journée.

    Venise a reçu des réponses positives de Barcelone, Palma et Marseille. Musolino espèrent que d’autres villes suivront bientôt.

    Selon les chiffres de la Cruise Lines International Association, les navires de croisière transporteront environ trente millions de touristes cette année, soit près de 70% de plus qu’il y a dix ans.

    https://fr.express.live/venise-veut-une-action-europeenne-contre-les-navires-de-croisiere/

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    1. Ni Venise ni l'Italie n'ont à demander à Bruxelles ce qu'elle doit faire !

      Après les ports les aéroports et les routes ! (péage touristes only)

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  32. De dieu ou de l'épée ?


    Par Frank Chodorov
    Mises.org
    6 août 2019


    [Cet article est extrait du deuxième chapitre de The Rise and Fall of Society.]

    L'État est-il ordonné dans la nature des choses ? Les théoriciens classiques de la science politique étaient tellement convaincus. Constatant que chaque agglomération d’êtres humains connus dans l’histoire était dotée d’une institution politique quelconque, et convaincus que, dans toutes les affaires humaines, la main de dieu jouait un rôle, ils ont conclu que l’organisation politique des hommes jouissait de la sanction divine. Ils avaient un syllogisme à l'appui de leur hypothèse: dieu a créé l'homme; l'homme a fait l'Etat; donc, dieu a créé l'État. L'État a acquis la divinité par procuration. Le raisonnement était renforcé par une analogie; il est certain que l'organisation familiale, avec sa tête, est dans l'ordre naturel des choses, et il en résulte qu'un groupe de familles, avec l'État agissant en tant que père global, est également un phénomène naturel. Si des déficiences dans la famille se produisent, c'est à cause de l'ignorance ou de la méchanceté du père; et si l'ordre social souffre de détresse ou de manque d'harmonie, c'est parce que l'État a perdu de vue les voies de dieu. Dans les deux cas, le pater familias a besoin d'être initié aux principes moraux. En d’autres termes, l’État, qui est inévitable et nécessaire, pourrait être amélioré mais ne pourrait être aboli.

    Reconnaissant a priori le naturel de l’État, ils ont cherché la racine de l’institution dans la nature de l’homme. Certes, l'État n'apparaît que lorsque les hommes se sont réunis, ce qui indiquerait que son origine se situe dans la complexité de l'être humain; les animaux n'ont pas d'état. Cette ligne de recherche a conduit à des contradictions et à des incertitudes, comme c’était le cas, car la preuve de la nature de l’homme réside dans son comportement moral qui est loin d’être uniforme. Deux hommes répondront différemment à la même exigence et un seul homme ne suivra pas un comportement constant en toutes circonstances. Le problème que se posaient les politologues ayant la tournure théologique voulue était de savoir si l’État devait son origine au fait que l’homme est intrinsèquement «bon» ou «mauvais», et sur ce point il n’existe aucune preuve positive. D'où les contradictions dans leurs conclusions.

    Thomas Hobbes, John Locke et Jean Jacques Rousseau sont les trois penseurs de ce type que nous connaissons bien, bien qu'ils aient eu leurs précurseurs. Comme point de départ pour leurs spéculations, les trois d'entre eux ont utilisé la même hypothèse, à savoir qu'il fut un temps où les hommes n'étaient pas organisés politiquement et vivaient dans des conditions appelées «état de nature». C'était une pure hypothèse, bien sûr, puisque si les hommes parcouraient la surface de la terre en isolationnistes, n'ayant aucun contact les uns avec les autres sauf à la fin d'un club, ils n'en auraient jamais laissé la preuve. Il doit toujours y avoir au moins une organisation familiale sinon nous ne serions pas ici pour parler d'un «état de nature».

    En tout état de cause, Hobbes a maintenu que, dans cet État pré-politique, l'homme était «brutal» et «méchant», jamais suspendu à la propriété et à la personne de son voisin. Son inclination prédatrice était motivée par une passion irrésistible pour l'abondance matérielle. Mais, dit Hobbes, l'homme était dès le début doté du don de la raison et, à un moment donné dans son état «naturel», sa raison lui a dit qu'il pouvait faire mieux pour lui-même en coopérant avec son prochain homme «naturel». À ce stade, il a conclu avec lui un «contrat social» aux termes duquel chacun accepte de se conformer à une autorité qui l’empêcherait de faire ce que sa «nature» l’incite à faire. Ainsi vint l'État.

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  33. Locke, en revanche, est plutôt neutre dans ses conclusions morales; Pour lui, la question de savoir si l'homme est «bon» ou «mauvais» est secondaire au fait qu'il est une créature de la raison et du désir. En fait, dit Locke, même quand il vivait dans son état «naturel», la principale préoccupation de l’homme était sa propriété, le fruit de son travail. Sa raison lui a dit qu'il serait plus en sécurité dans la possession et la jouissance de celui-ci s'il se soumettait à un organisme de protection. Il a donc conclu un «contrat social» et organisé l’État. Locke fait du premier travail de l’État la protection de la propriété et affirme que, lorsqu'un État est en infraction par rapport à ce devoir, il est moralement correct que le peuple le remplace, même par la force, par un autre.

    En regardant dans "l'état de la nature", Rousseau trouve qu'il s'agit d'un Eden idyllique, dans lequel l'homme était parfaitement libre et donc moralement parfait. Il n’y avait qu’un défaut dans cette vie par ailleurs bonne: gagner sa vie était difficile. C'est pour surmonter les difficultés de l'existence «naturelle» qu'il a renoncé à une partie de sa liberté et a accepté le «contrat social». Quant à la nature du contrat, il s'agit d'un mélange de volonté de chaque individu avec celle de tout autre. signataire de ce que Rousseau appelle la Volonté Générale.

    Ainsi, alors que les trois spéculateurs étaient en désaccord sur la nature de l’homme, là où la graine de l’État devait être trouvée, ils ont néanmoins convenu que l’État en était issu. Il convient de souligner que cette tentative de recherche d’une origine de l’État n’était pas leur objectif premier, que chacun d’entre eux s’intéressait à un système politique qui lui était propre et que chacun jugeait nécessaire d’établir une origine propre à la société. son système. Il ne servirait pas notre objectif actuel de discuter de leurs philosophies politiques, mais il est intéressant de noter que chacune d’elles a été conçue pour répondre aux exigences de l’époque, ce qui laisse penser que leurs théories sur l’origine ont été influencées de la même manière. Leur prétention commune était que l'État est dans l'ordre naturel des choses et Hobbes lui donne la sanction divine. À cet égard, ils ont suivi la tradition; Les spéculations des premiers chrétiens sur l'État se référaient à son idéal en tant que «Cité de Dieu» et Platon parlait de son État comme d'une chose «dont un modèle est fait dans le ciel».

    La science politique moderne laisse passer la question de l'origine, accepte l'État comme une entreprise en activité, formule des recommandations pour son amélioration opérationnelle. Les métaphysiciens de l’époque ont imputé les lacunes d’un État à l’ignorance ou à la désobéissance aux lois de Dieu. Les modernes ont aussi leur idéal, ou chaque politologue a le sien, et chacun a son ordonnance pour le réaliser; les ingrédients de la prescription sont une série de lois et un mécanisme d'application. On suppose généralement que la fonction de l’État est de créer la bonne société - la capacité de le faire n’est pas mise en doute - et la bonne société est ce que le politologue a à l’esprit.

    Ces derniers temps, quelques enquêteurs se sont tournés vers l'histoire pour trouver des preuves de l'origine de l'État et ont élaboré ce que l'on appelle parfois la théorie de l'État sociologique.

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  34. Les archives montrent, observent-ils, que tous les peuples primitifs gagnaient leur vie de deux manières: agriculture ou élevage; la chasse et la pêche semblent avoir été des lignes de touche dans les deux économies. Les exigences de ces deux professions ont développé des habitudes et des compétences clairement définies et différentes. Le commerce d'itinérance à la recherche de pâturages et d'eau nécessitait une organisation bien établie d'hommes entreprenants, tandis que la routine agricole fixe ne nécessitait aucune organisation et peu d'entreprise. La docilité flegmatique des ouvriers agricoles dispersés en faisait une proie facile pour les bergers audacieux des collines. La convoitise a suggéré une attaque.

    Les historiens rapportent que, selon les historiens, le vol était une affaire de femmes, car l'inceste était tabou bien avant que les scientifiques trouvent une raison de condamner cette pratique. Le vol de femmes a été suivi par le vol de biens portables, et les deux emplois ont été accompagnés par le massacre en masse d'hommes et de femmes indésirables. Quelque part le long de la ligne, les maraudeurs ont découvert le fait économique que les hommes morts ne produisent rien, et de cette observation est née l'institution de l'esclavage; les bergers améliorèrent leurs affaires en emmenant des captifs et en leur assignant des tâches ménagères. La théorie soutient que cette économie maître-esclave est la plus ancienne manifestation de l'État. Ainsi, la prémisse de l'État est l'exploitation des producteurs par le biais de l'utilisation du pouvoir.

    Finalement, le chapardage a été remplacé par l'idée de sécurité - ou par la poursuite de l'hommage rendu à des personnes maintenues en esclavage. Parfois, la tribu investisseuse prend en charge un centre commercial et perçoit des redevances sur les transactions, parfois elle prend le contrôle des autoroutes et des voies navigables menant aux villages et perçoit les péages auprès des caravanes et des marchands. En tout état de cause, ils ont vite compris que le butin faisait partie de la production et qu'il était abondant lorsque la production était abondante. pour encourager la production, ils se sont donc engagés à la surveiller et à maintenir «la loi et l'ordre». Ils ont non seulement assuré le maintien de l'ordre du peuple conquis, mais l'ont également protégée des autres tribus en maraude; En fait, il n’était pas rare qu’une communauté harcelée invite une tribu guerrière à monter la garde, pour un prix. Les conquérants ne venaient pas seulement des collines, il y avait aussi des «bergers de la mer», des tribus dont l'occupation dangereuse les rendait particulièrement audacieux lors de l'attaque.

    Les investisseurs investis se tenaient à l'écart de la conquête, profitant de ce que l'on appellera plus tard l'extraterritorialité. Ils ont maintenu des liens culturels et politiques avec leur patrie, ils ont conservé leur propre langue, leur religion et leurs coutumes et, dans la plupart des cas, ils n'ont pas perturbé les mœurs de leurs sujets aussi longtemps qu'un hommage a été rendu. Avec le temps, c’est la voie de la proximité, les barrières idéologiques entre les conquis et les conquérants s’estompent et un processus de fusion s’est amorcé. Le processus a parfois été accéléré par la rupture des liens avec la patrie, comme lorsque le chef local se sentait fort. assez dans son nouvel environnement pour défier son suzerain et cesser de partager le butin avec lui, ou lorsqu'un insurrection réussie à la maison le coupa. Un contact plus étroit avec les vaincus a entraîné un mélange de langues, de religions et de coutumes. Même si les mariages mixtes étaient mal vus pour des raisons économiques et sociales, l'attrait sexuel ne pouvait pas être dissuadé par un dicton, et une nouvelle génération, souvent barbouillée de bar, a comblé le gouffre de liens sanglants. Les entreprises militaires, comme dans la défense de la patrie désormais commune, ont aidé l’amalgame.

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  35. L’alliance des deux cultures a donné lieu à une nouvelle, dont le trait le plus important n’est pas un ensemble de coutumes et de lois régularisant l’hébergement de la classe payante pour leurs maîtres. Ces conventions ont nécessairement été formulées par ces derniers dans l’intention de geler leur avantage économique en un héritage pour leur progéniture. Les peuples dominés, qui avaient d'abord résisté aux exactions, étaient épuisés depuis longtemps par la lutte inégale et s'étaient résignés à un système d'impôts, de loyers, de péages et d'autres formes de tribut. Cet ajustement a été facilité par l'inclusion de certaines «classes inférieures» dans le système, telles que les contremaîtres, les huissiers de justice et les serviteurs subalternes, et le service militaire sous les ordres de maîtres faits pour l'admiration mutuelle sinon le respect. De plus, la codification des exactions a finalement effacé de la mémoire l'arbitraire avec lequel elles avaient été introduites et les a recouvertes d'une aura de correction. Les lois fixaient des limites aux exactions, rendaient les excès irréguliers et punissables et établissaient ainsi des «droits» pour la classe exploitée.

    Les exploiteurs protégeaient sagement ces «droits» contre les intrusions de leurs propres membres les plus avides, tandis que les exploités, après s'être adaptés confortablement au système d'exactions dont certains profitaient souvent, acquéraient sens de la sécurité et de l'estime de soi. cette doctrine des «droits». Ainsi, par le biais de processus psychologiques et juridiques, cette stratification de la société est devenue figée. L'État est cette classe qui jouit d'une préférence économique par le biais de son contrôle du mécanisme d'exécution 1.

    La théorie sociologique de l'État repose non seulement sur les preuves de l'histoire, mais aussi sur le fait qu'il existe deux moyens par lesquels les hommes peuvent acquérir des biens économiques: la production et la prédation. Le premier concerne l'application de la main-d'œuvre aux matières premières, le second le recours à la force. Le pillage, l'esclavage et la conquête sont les formes primitives de prédation, mais l'effet économique est le même lorsque la contrainte politique est utilisée pour priver le producteur de son produit, ou même lorsqu'il accède au transfert de propriété en tant que prix à payer pour obtenir l'autorisation de vivre . La prédation ne change pas non plus en quelque chose d'autre lorsqu'elle est commise au nom d'une œuvre de bienfaisance - la formule Robin Hood. En tout état de cause, l’un profite de ce que l’autre a produit et, dans la mesure du possible, les désirs du producteur doivent rester insatisfaits, son travail non rémunéré. On verra que, sous son aspect moral, la théorie sociologique s’appuie sur la doctrine de la propriété privée, droit inaliénable de l’individu au produit de son effort, et stipule que toute forme de contrainte exercée à quelque fin que ce soit n’aliène pas ce droit. Nous aborderons ce point plus tard.

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  36. Incidemment, à première vue, cette théorie semble ressembler au dictum de Karl Marx selon lequel l’État est le comité directeur de la classe capitaliste. Mais la ressemblance est dans les mots, pas dans les idées. La théorie marxiste soutient que l'État entre d'autres mains - la «dictature du prolétariat» - pourrait abolir l'exploitation. Mais la théorie sociologique de l'État (ou la théorie de la conquête) insiste sur le fait que l'État lui-même, quelle que soit sa composition, est une institution exploiteuse et ne peut être rien d'autre; Que ce soit la propriété du propriétaire du salaire ou celle du propriétaire du capital, le principe éthique est le même. Si l’État prend au capitaliste de donner au travailleur, ou au mécanicien de donner au fermier, ou à tout le monde pour mieux s’agir, la force a été utilisée pour priver une personne de ses biens légitimes, et à cet égard elle continue dans l'esprit, sinon la manière, de la conquête originale.

    Par conséquent, si la chronologie d’un État donné ne commence pas par la conquête, elle suit néanmoins le même schéma parce que ses institutions et ses pratiques s’inscrivent dans la tradition des États qui ont traversé le processus historique. L'État américain n'a pas commencé par la conquête; les Indiens n'avaient aucune propriété qui puisse être enlevée et, étant des chasseurs de profession, ils étaient trop insolubles pour être réduits en esclavage. Mais les colons étaient eux-mêmes le produit d’une économie d’exploitation, s’y étaient habitués dans leurs pays respectifs, l’avaient importée et intégrée dans leur nouvelle organisation. Beaucoup d'entre eux sont venus dans leur nouveau pays avec le joug de la servitude. Tous venaient d'environnements institutionnels issus de la conquête; ils ne connaissaient rien d'autre et, lorsqu'ils ont créé leurs propres institutions, ils ont simplement transplanté ces environnements. Ils ont amené l'Etat prédateur avec eux.

    Toute enquête profitable sur le caractère de l’État américain doit donc tenir compte de la distinction entre gagner sa vie par la production et gagner sa vie par la prédation; c'est-à-dire entre économie et politique.

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    1. Ce bref résumé du contexte historique de la théorie sociologique suggère des récits de l'Ancien Testament sur la conquête de Canaan par les Israélites, l'histoire de l'Angleterre et de l'empire romain. Cependant, les principaux partisans de cette théorie, Gumplowicz et Oppenheimer, étaient plus intéressés par l'origine de l'État que par son développement, et ils ont puisé dans les archives des premières tribus du monde entier; partout où ils regardaient, ils trouvaient que l'organisation politique commençait par la conquête.

    https://www.lewrockwell.com/2019/08/frank-chodorov/from-god-or-the-sword/

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    1. (...) Ils avaient un syllogisme à l'appui de leur hypothèse: dieu a créé l'homme; l'homme a fait l'État; donc, dieu a créé l'État. (...)

      Ils avaient un syllogisme à l'appui de leur hypothèse: l'homme a créé dieu; l'homme a fait l'État; donc, l'homme a créé l'État.

      Toutes les guerres ont été des guerres de religions. Où la même religion qui se massacre ! (Hahaha !) Le juif adolf hitler combattait les siens et non les français, italiens, anglais, etc non juifs. Il y avait les camps de prisonniers vivants, camps ouverts à la fin de la guerre. Les ex prisonniers ont regagné leurs foyers.

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  37. De plus en plus d'enfants perdus sur les plages à cause des parents qui ont le nez collé sur leur téléphone portable


    Marc Leras
    Le Parisien
    lun., 05 août 2019 16:59 UTC


    Policiers et maîtres nageurs ont déjà retrouvé 360 jeunes mineurs égarés sur les plages de Marseille depuis le début des vacances. Ils déplorent le défaut de surveillance des parents.

    Depuis le début de la saison balnéaire, 360 enfants égarés ont été restitués à leur famille par des policiers ou des maîtres nageurs de Marseille.

    C'est à la fois un cri d'alarme vis-à-vis des parents et un coup de gueule qu'ont poussé vendredi les policiers en charge de la surveillance des plages extrêmement fréquentées de Marseille. Depuis le début de la saison balnéaire, 360 enfants égarés, souvent en très bas âge, ont été restitués à leur famille par des policiers ou des maîtres nageurs de la ville, et deux ont été sauvés in extremis de la noyade.

    Au point que cette année et pour la première fois, des annonces audio, demandant aux parents de surveiller leurs enfants et de les munir de brassards, sont diffusées régulièrement par les haut-parleurs. Un service de bracelet portant le nom de l'enfant et un numéro de téléphone est même désormais proposé aux postes de secours.

    « C'est une situation grave, insupportable et totalement anormale, on a déjà récupéré deux fois plus d'enfants qu'il y a deux ans. Si on continue comme ça, on sera à 600 ou 700 enfants perdus à la fin de la saison », déplore le commandant Frédéric Vidal, adjoint opérationnel au commissaire central de Marseille.

    « Il faut que les parents qui ne s'en rendent pas compte comprennent que la plage est un espace dangereux : un gamin peut se noyer dans 5 cm d'eau, mais il y a aussi des enlèvements ou des tentatives, on en a connu l'an dernier. Sans compter des pédophiles qui filment ou prennent des photos des mineurs. On en a arrêté deux en juillet dans la calanque de Sormiou, ils sont aujourd'hui écroués ».« Il faut éduquer les parents »

    La police marseillaise a commencé à se pencher il y a trois ans sur les chiffres de ces enfants égarés, et depuis ils ne cessent de grimper. Policiers, maîtres nageurs mais aussi éducateurs de rue sillonnent désormais les plages les plus populaires pour faire de la prévention. La police doit également rencontrer à la rentrée les services du parquet de Marseille pour mettre en place des sanctions et des poursuites pour « délaissement d'enfants ».

    « Quand on laisse comme on le voit souvent des petits de 2 ou 3 ans sous la surveillance d'enfants de 7 à 8 ans, que voulez-vous qu'il se passe ? C'est totalement irresponsable », poursuit le commandant Vidal. « On ne laisse pas son enfant seul dans l'eau pendant qu'on pianote sur son téléphone portable ! Il faut éduquer les parents pour qu'ils comprennent le danger ».

    Responsable du poste de secours de la plage de Corbières dans les quartiers nord de Marseille, le brigadier Michaël Pretre a sauvé dimanche dernier avec la maître nageur Noélie Maurel une enfant de 8 ans qui ne savait pas nager et qui « faisait le bouchon ». En arrêt cardio-respiratoire, elle a été réanimée de justesse grâce à un sac à oxygène et un massage cardiaque avant d'être sa prise en charge par le Samu. Elle avait été confiée par ses parents à des voisines adolescentes qui s'étaient installées plus loin à l'ombre et dont l'attention s'était relâchée.

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  38. « Clairement de l'inconscience »

    « C'était clairement un défaut de surveillance, ce groupe d'enfants était livré à lui-même, sans même une paire de brassards. Personne ne s'est rendu compte qu'elle se noyait », raconte-t-il. « Cela fait treize ans que je suis en poste, on a ce genre d'accidents tous les étés et cela augmente. Le pire c'est que parfois, quand on alerte les parents, ils nous répondent que c'est à nous de surveiller les enfants. C'est clairement de l'inconscience ».

    « C'est vrai qu'il y a beaucoup de monde sur les plages et que les enfants vont vite », témoigne Marie, une grand-mère avec sa petite-fille sur la plage du Prophète. « C'est aux adultes d'être attentifs, c'est quand même une règle de base ! »

    https://fr.sott.net/article/34243-De-plus-en-plus-d-enfants-perdus-sur-les-plages-a-cause-des-parents-qui-ont-le-nez-colle-sur-leur-telephone-portable

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