J'ai dépensé 1,5 milliard de dollars sur une interconnexion pour obtenir une réduction minime des factures d'électricité gonflées de façon obscène !
June 30th, 2018
Ce qui coûte 1 500 millions de dollars, ne fait pas d'électricité, mais «économise de l'argent» ?
L'Australie-Méridionale a utilisé les subventions fédérales pour construire plus d'énergie éolienne que ce qu'elle peut utiliser. Ils ont déjà dépensé un demi-milliard de dollars pour des moteurs à réaction diesel et une batterie qui peut alimenter l'état pendant quelques "minutes". Pendant 139 heures l'année dernière, l'État produisait tellement d'énergie éolienne qu'il fournissait 100 % des besoins en électricité de l'État, puis le problème de l'excès d'électricité s'aggravait à mesure que la production d'énergie éolienne augmentait et que l'énergie photovoltaïque augmentait.
Lorsque les règles et les règlements du gouvernement ont créé un problème inefficace et coûteux, que faisons-nous ? Plus de ça. Un nouveau rapport suggère que l'Australie méridionale a besoin d'une ligne de transmission directe vers NSW qui coûtera 1,5 milliard de dollars. Nous pourrions plutôt utiliser un générateur fiable, ou laisser le gouvernement à l'écart et laisser le secteur privé le faire pour nous, mais nous devrions plutôt payer une autre ligne de transmission pour relier différentes zones de subvention-demandeurs de loyer. et j'espère que nous aurons 30 $ sur la facture ? C'est une économie sur la marge d'erreur statistique ...
L'Australie du Sud n'avait même pas d'interconnecteur jusqu'en 1990. Maintenant, avec l'énergie décentralisée et renouvelable, ils en ont besoin de deux ?
C'est un autre coût caché d'une puissance peu fiable. Mettez l'interconnecteur sur l'onglet "Renouvelables". Il semble que ce soit la ligne directe entre les parcs éoliens qui sont censés changer la météo et le projet d'Hydro 2.0 dont nous n'avions pas besoin.
- voir photo sur site -
Interconnecteur, lignes de transmission, 500kV, Australie. Photo Image: Marcus Wong Wongm
Économies d'énergie dans l'interconnecteur NSW-SA: rapport ElectraNet
MICHAEL OWEN,
Chef de bureau SA, The Australian Adelaide @mjowen Les consommateurs économiseront jusqu'à 30 dollars sur leurs factures d'électricité si une nouvelle interconnexion entre la Nouvelle-Galles du Sud et l'Australie méridionale est construite, a déclaré la compagnie de transport d'électricité ElectraNet dans un projet de rapport sur la proposition du gouvernement Marshall.
Le rapport, publié aujourd'hui par ElectraNet, conclut qu'une nouvelle liaison de transport d'électricité "apporterait des avantages économiques substantiels".
Le directeur général d'ElectraNet, Steve Masters, a déclaré que les bénéfices nets du marché étaient estimés à environ 1 milliard de dollars sur 21 ans. Mais selon les estimations actuelles, M. Masters a déclaré qu'une nouvelle interconnexion coûterait 1,5 milliard de dollars dans les deux États. Le lien serait opérationnel entre 2022 et 2024.
D'Anero.id nous pouvons voir pourquoi SA veut maintenant un interconnecteur dont il n'a pas besoin. La demande totale en SA est d'environ 2 000 MW, donc nous pouvons apprécier le plaisir que les gars doivent avoir dans les salles de contrôle du réseau SA, puisque 1 400 MW viennent et vont pour la plupart. (Graphique ci-dessous).
Le chaos du mégawatt en Australie méridionale a été soutenu par du charbon brun victorien. Maintenant que Hazelwood est fermé, ils ont besoin d'énergie de charbon du Queensland, ou s'il y en a, de NSW. SA a un excédent d'énergie renouvelable à vendre (parfois) pour récupérer les paiements RET forcés renouvelables.
- voir graphique sur site -
SA Énergie éolienne, graphique, juin 2018
Comme TonyfromOz l'a dit à TREIZE reprises ce mois-ci (jusqu'à présent), la capacité totale des éoliennes de 1800 MW et plus en SA n'a pas réussi à générer 50 MW d'électricité.
L'Australie du Sud a déjà plus d'énergie renouvelable qu'elle ne peut en utiliser
Tout le monde SA a 1806MW d'énergie éolienne et il ya 781MW de toit solaire signifiant par une journée ensoleillée et venteuse à midi SA doit déverser un peu d'excès sur les autres États. Cela fonctionne comme un répulsif anti-moustique pour tout générateur de base de charge fiable, aspirant efficacement tout le plaisir de posséder une ressource d'un milliard de dollars.
L'énergie éolienne dépasse déjà souvent la demande de l'État - AEMO:
La pénétration du vent était supérieure à 100 % [en SA] pendant 139 heures au cours de l'année 2016-2017, sur 30 jours différents tout au long de l'année. À ces occasions, l'Australie méridionale aurait pu fournir entièrement sa demande locale à partir de la production d'énergie éolienne, l'excédent d'énergie éolienne pouvant être exporté vers Victoria.
Cette puissance excédentaire est répartie sur 30 jours différents, n'est généralement pas pendant les périodes de pointe (quand cela peut être utile), elle crée de la volatilité dans les prix, et aide à chasser les joueurs de base les moins chers. L'excès de puissance non fiable devrait augmenter à mesure que davantage de projets éoliens et solaires entrent en jeu. "Au cours de l'année prochaine, le projet solaire de 220 MW de Bungala et le parc éolien de 212 MW de Lincoln Gap, tous deux près de Port Augusta, entreront en ligne de compte pour 65% d'énergies renouvelables. le point de clôture financière.
«AEMO s'attend également à ce que la capacité solaire sur le toit de l'Australie du Sud double et atteigne plus de 1500 MW d'ici 2025, date à laquelle la demande minimale de l'État pourrait être entièrement satisfaite par le solaire ...» - Renew Economy
À tout moment, le vent et l'énergie solaire ont besoin d'un soutien presque complet. L'énergie éolienne est limitée s'il n'y a pas assez de secours assis en attendant de passer à l'action.
Le but de toute cette infrastructure supplémentaire est de réduire les émissions de gaz carbonique et de changer le climat pour nos petits-enfants. L'électricité produite est presque toujours excédentaire par rapport aux infrastructures existantes.
Pensée du jour Grâce à un certain caprice de la nature, même si l'Australie du Sud a les générateurs d'électricité les moins chers connus de l'humanité, elle a aussi l'électricité la plus chère au monde.
De peur que nous n'oublions, comme je le répète, qu'il y avait une option moins chère:
Il n'y a pas longtemps, Port Augusta avait une centrale au charbon de trente et un ans qui produisait 520 MW. Le premier ministre aurait pu dépenser 30 millions de dollars pour le maintenir.
h / t à William B dans les commentaires sur le site de The Australian.
Pourquoi les moulins à vent ne peuvent jamais être une source d'électricité économique dans un monde 24/7.
Réponse: Parce que quand le vent ne souffle pas, il doit y avoir un générateur fiable en veille pour fournir de l'énergie dispatchable, si bien que vous devez investir deux fois pour fournir de l'électricité fiable. C'est pourquoi les coûts de l'électricité ont augmenté, car il y a maintenant plus de capitaux investis dans les générateurs pour fournir la même quantité d'électricité.
Prenons l'exemple du parc éolien d'Ararat à Victoria, dont la capacité nominale est de 240 MW, achevée en avril 2017. Le coût en capital est de 450 millions de dollars, «alimentant suffisamment d'énergie renouvelable pour alimenter 120 000 foyers, dont 37 000 à Canberra». Si l'on suppose un facteur de capacité de 30%, c'est une production moyenne de 72 MW, soit une allocation de 0,6 kW par foyer, soit 5 256 kWh par année.
Mais pour mardi-jeudi, la semaine dernière, Ararat a produit zéro électricité, en fait, il a consommé environ 3 MW pour faire tourner ces pales. Canberra, comment avez-vous fait face sans électricité ? Le Parlement était assis, donc ces pollies ont dû être encore plus dans l'obscurité que d'habitude. La contribution de ce ministre Frydenberg était-elle une «pression à la baisse sur les prix de l'électricité»?
Le réseau doit pouvoir faire face à la production d'Ararat de 0 à 240 MW, non pas en réponse à la demande, mais au hasard en fonction des conditions de vent.
En l'occurrence, à seulement 110 km d'Ararat, il existe des générateurs de gaz à cycle ouvert à Mortlake d'une capacité de 560 MW. Mortlake représente un investissement de 810 millions de dollars d'Origin, y compris le gazoduc associé provenant d'une usine à gaz d'Otways. Ainsi, ces générateurs peuvent également fournir une réserve pour Ararat, ainsi que le parc éolien de 190 MW à Waubra, 420 MW à Macarthur et 110 MW à Bald Hills, tous dans l'ouest de Victoria. Puissance éolienne combinée 960 MW, livraison moyenne 290 MW.
Le coût de l'électricité d'Ararat doit donc être calculé en tenant compte du coût supplémentaire de 72 MW de générateurs fiables, charbon, gaz, diesel ou hydro disponibles à la demande. Mais c'est pire que ça, parce que dans les vents violents, Ararat délivre plus de 200 MW de manière spasmodique, donc à ces occasions, il réduit l'utilisation de générateurs supplémentaires, réduisant leur rentabilité et augmentant les coûts unitaires de l'électricité. Attendez une minute, qu'en est-il d'une grosse batterie comme la batterie Musk / Tesla de 100 MW au parc éolien de Hornsdale en Afrique du Sud ? Cette grosse batterie a coûté 50 millions de dollars (bien que le gouvernement SA ait refusé de publier le coût) pour 129 MWh. Donc, cela fournirait 2 heures de sauvegarde pour Ararat. Par conséquent, pour fournir une batterie de secours d'une semaine pour Ararat, il faudrait 12 000 MWh ou 94 Tesla grosses batteries pour un coût en capital de 4,7 milliards de dollars! Électricité abordable Je crois que non.
M. Finkel a signalé que le coût moyen de la production d'énergie éolienne était de 92 $ / MWh, mais il n'a pas inclus de frais de remplacement pour fournir de l'électricité fiable et expédiable.
Le réseau AEMO a survécu à ce jour parce qu'il y avait de l'électricité, du gaz et du charbon de secours disponibles lorsque le vent ne soufflait pas. Mais avec l'augmentation du nombre de générateurs éoliens, l'utilisation d'autres générateurs diminue, mettant plus de pression sur les prix et la fermeture éventuelle de certains générateurs comme nous l'avons vu dans SA et Vic. Le gouvernement a fait valoir que dans le cadre de la NEG, il y aura plus d'offre, ce qui exercera une pression à la baisse sur les prix. Mais si les prix baissent, les usines à faible utilisation fermeront.
En Afrique du Sud, ils veulent maintenant dépenser 1,5 milliard de dollars pour une autre interconnexion, malgré le fait que 1 800 MW de générateurs éoliens ont été construits pour un coût en capital de plus de 3 milliards de dollars, en moyenne 540 MW, mais parfois zéro. SA a une demande sur le réseau qui varie de 1 000 à 2 000 MW, et probablement encore plus en été. Donc, malgré toute cette énergie éolienne, ils doivent avoir en réserve au moins 2 000 MW de sources d'alimentation fiables. C'est ce qui détermine leurs coûts. L'été dernier, ils ont même ajouté 250 MW de générateurs diesel pour s'assurer que les lumières restent allumées après l'arrêt de leur dernière centrale au charbon.
Conclusion: Les coûts de l'électricité doivent augmenter avec des fournitures intermittentes comme les générateurs éoliens (et solaires) parce que vous devez également investir dans des générateurs de secours pour fournir une alimentation fiable et réglable pour répondre à la demande 24/7.
Nouvelles données sur la confiscation des biens civils en 2017
CONNOR BOYACK 29TH JUIN 18
Nous avons déjà proposé une loi - qui a reçu un appui unanime - qui oblige le gouvernement à fournir des données chaque fois qu'il prend possession des biens d'une personne au moyen de la confiscation des biens.
Le dernier rapport, compilant des données pour 2017, vient d'être publié par la Commission de justice pénale et juvénile de l'Utah.
Pour les confiscations d'états, le rapport révèle les données suivantes (voir ci-dessous pour les confiscations fédérales):
Il y a eu 334 cas de confiscation d'état, et 88% d'entre eux ont eu lieu devant un tribunal civil, où le propriétaire n'a pas besoin d'être accusé, et encore moins condamné, d'un crime.
96 % des confiscations concernaient des infractions présumées en matière de drogue.
L'argent était confisqué dans presque tous les cas; la valeur médiane prise était de seulement 1 071 $.
64% des cas concernaient un jugement par défaut, lorsque le propriétaire a choisi de ne pas se battre contre la confiscation devant un tribunal.
Un total de 2 180 290 $ en espèces a été confisqué. Les autres biens confisqués s'élevaient à environ 401 653 $. Dans 87% des cas, une accusation criminelle était associée à la saisie, 58% ayant donné lieu à une déclaration de culpabilité.
Étant donné que de nombreuses confiscations sont effectuées devant un tribunal fédéral, les exigences en matière de déclaration ont été modifiées l'an dernier pour exiger également la publication de données sur ces confiscations afin d'obtenir une image complète de la question. Voici quelques faits saillants:
Il y a eu 110 cas de confiscation par le gouvernement fédéral, dont 61 % par la Drug Enforcement Administration. 5 % ont été faits devant un tribunal civil et 11 % administrativement; 80 % ont été traités devant un tribunal pénal.
Le programme de partage équitable du gouvernement fédéral permet aux organismes d'application de la loi locaux de conserver 80 % du produit de la confiscation fédérale. En 2017, les agences ont reçu un total de 1 118 850 $ dans le cadre de ce programme.
69 % des affaires portaient sur des infractions présumées aux stupéfiants, 29 % sur des allégations de blanchiment d'argent.
Un récent sondage effectué auprès des électeurs de l'Utah a montré que 86 % d'entre eux s'opposent aux lois civiles sur la confiscation des biens qui permettent de confisquer définitivement des biens à une personne qui n'a pas été accusée d'un crime.
Un principe fondamental de notre système de justice pénale est que les personnes sont présumées innocentes jusqu'à preuve du contraire. Cette idée est violée lorsque le gouvernement peut légalement voler les biens d'une personne présumée innocente. À ce titre, nous continuons d'insister pour que des réformes garantissent que seules les personnes coupables d'un crime soient sujettes à ce que leurs biens soient définitivement pris par le gouvernement.
La Catalogne et le prix de la république: 4.000 entreprises sont parties et le PIB a diminué de 20 %
30 JUIN 2018 Arnaud Lefebvre
Pendant le premier trimestre de 2018, la Catalogne a pu réunir à peine 348 millions d'euros en investissements étrangers, plus de 61,17 % en moins qu'un an auparavant.
Sur ce plan, les Catalans sont dépassés par Madrid et également par le Pays basque, selon des chiffres du ministère espagnol de l'Industrie, du Commerce et du Tourisme. Pour la même période, Madrid a connu une croissance de 81,6%. Les entreprises étrangères préfèrent de plus en plus souvent la capitale espagnole, tant la situation en Catalogne n'est pas claire.
4.057 entreprises ont quitté la Catalogne
La situation continue à peser sur les entreprises, car pendant le premier trimestre de 2018, 1.695 entreprises ont quitté la Catalogne pour installer leur siège dans une autre région. C'est presque 800% de plus qu'un an plus tôt, selon les calculs de l'analyste financier Dun & Bradstreet.
D'un autre côté, 94 entreprises se sont installées en Catalogne. Le chiffre d'affaires qui disparaît ainsi de Catalogne se monte à plus ou moins 14,4 milliards d'euros. Au total, depuis le référendum illégal sur l'indépendance, ce sont 4.057 entreprises qui ont quitté Barcelone et ses environs. Le bénéficiaire surprenant de cette situation est la région de Madrid qui a pu accueillir plus de 60% de ces entreprises.
20 % du PIB a quitté la région
Sur la radio espagnole Cadena Cope, Josep Bou, président de l'association d'entrepreneurs Empresaris de Catalunya, a expliqué ces chiffres. Selon lui, 20 % du PIB catalan a quitté la région depuis le 1er octobre 2017. Au total, ce sont 44 milliards d'euros qui sont partis vers d'autres régions espagnoles. "Ce n'est pas à moi de juger si ce que font les séparatistes est bien ou mal, mais, en tout cas, la réaction à ce qu'ils font est négative" a ajouté Bou.
La désignation de Quim Torra a mis de l'huile sur le feu dans le monde des affaires
La nomination du séparatiste Quim Torra à la présidence de la Generalitat de Catalunya n'a pas du tout calmé les esprits. Depuis son arrivée, plus de 100 entreprises supplémentaires ont plié bagages.
Torra avait annoncé qu'il exécuterait 100 % de l'agenda de Carles Puigdemont, son prédécesseur démis. Ce dernier a quitté cette semaine Berlin pour Hambourg, où il attend la décision de la justice allemande à propos de son extradition vers l'Espagne.
L'association Empresaris de Catalunya avait réfuté cette désignation immédiatement, en le traitant de "représentant d'un radicalisme extrême montrant des tendances à la xénophobie". Joaquin Gay de Montellà, président de l'association d'entrepreneurs Foment del Treball, craint que le contre-coup des actions du mouvement séparatiste est encore à venir. "Actuellement, l'économie est encore portée par un vent favorable. Mais je préviens les plaisanciers : si nous ne faisons rien, nous payerons un lourd tribut pour tout ce qui s'est passé ces derniers mois ".
La Catalogne est une région espagnole de la monarchie et, un autre dictateur voulait la transformer en république !!! et non en Démocratie ! D'où le mécontentement des entreprises qui ont préféré déménager.
SUISSE-UE LIGNES ROUGES TOUJOURS VALABLES POUR ALAIN BERSET
30.06.2018, 15h36
Le président de la Confédération est revenu sur les propos d'Ignazio Cassis, qui évoquait de possibles concessions sur les mesures d'accompagnement.
«Nous avons des règles claires sur comment cela peut et doit se passer», a déclaré Alain Berset.
Pour Alain Berset, les lignes rouges définies dans le dossier européen restent valables. Le président de la Confédération contredit ainsi le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis, qui a remis en question l'intangibilité des mesures d'accompagnement.
Position maintenue
Il y a deux semaines, à la journée Swissmem de l'industrie, M. Cassis avait dit que la Suisse doit faire des concessions envers l'Union européenne (UE) sur cette question. Il a lancé le débat sur l'instrument visant à se protéger de la sous-enchère salariale pratiquée par des employeurs de l'UE, un point que le Conseil fédéral a défini il y a déjà plusieurs années comme une ligne rouge. Ces lignes rouges sont constituées par des domaines juridiques que le gouvernement exclut expressément des négociations avec l'UE.
Sur les ondes de la radio publique alémanique SRF, Alain Berset a réaffirmé samedi la position du Conseil fédéral. «Nous avons défini des lignes rouges il y a plusieurs années et les avons confirmées au début de cette année», a dit le président de la Confédération.
En fait partie par exemple la règles des huit jours. Celle-ci, qui est incluse dans les mesures d'accompagnement à la libre circulation des personnes, stipule que les artisans en provenance de l'UE doivent respecter ce délai d'annonce pour la réalisation d'un mandat en Suisse. Sur ce point, rien ne change.
En même temps, le président de la Confédération, interrogé sur cet aspect, n'exclut pas totalement qu'il puisse y avoir des adaptations sur certains points. «Fondamentalement, tout peut toujours changer, mais nous avons des règles claires sur comment cela peut et doit se passer. Pour le moment, ce qui est valable, c'est ce que nous avons défini», a dit M. Berset.
Partenaires sociaux
Le ministre socialiste n'a pas voulu répondre à la question de savoir dans quelle mesure le Conseil fédéral mise sur des discussions avec les partenaires sociaux pour examiner des alternatives. Les discussions entre partenaires sociaux sont toujours très importantes dans ce domaine, a-t-il noté.
La protection des salaires et le marché du travail sont des points centraux, a-t-il ajouté. Il s'agit là d'une discussion nécessaire de politique intérieure. Aucune décision n'a encore été prise sur les prochains pas à accomplir sur la voie d'un accord-cadre avec l'UE.
Ignazio Cassis avait défrayé la chronique avec ses déclarations. A ce sujet, Alain Berset a dit que le Tessinois, en tant que ministre des affaires étrangères, rencontre toujours des gens et il doit les informer sur l'état actuel du dossier UE et leur expliquer la politique européenne de la Suisse. Cela fait partie de son travail.
Un équilibre est toutefois nécessaire entre ce que l'on fait au Conseil fédéral et la manière dont on l'explique au public, a estimé M. Berset. (ats/nxp)
Sondage: La plupart des Américains pensent que la frontière américaine est la plus poreuse au monde
Gregory Bull 29 juin 2018366
Le président Donald Trump a fait campagne et a probablement remporté la présidence sur sa promesse de construire un mur entre le Mexique et les États-Unis, et un nouveau sondage Rasmussen montre qu'une majorité d'Américains pensent que notre frontière est plus poreuse que dans d'autres pays.
"Malgré les efforts du président Trump pour renforcer l'application des frontières, les électeurs pensent toujours qu'il est plus facile pour les immigrants illégaux d'entrer aux Etats-Unis et de rester ici que dans une grande partie du reste du monde", a déclaré M. Rasmussen.
Le sondage téléphonique et en ligne a révélé que seulement 22 % des électeurs potentiels pensent qu'il est plus difficile d'entrer illégalement aux États-Unis que dans d'autres pays, tandis que 39 % ont déclaré que c'était plus facile. 26 % ont dit qu'entrer dans un pays illégalement est à peu près le même autour du globe.
Breitbart News a rapporté en mars qu'un sondage Quinnipiac a révélé que les électeurs républicains pensent toujours que l'immigration est la question la plus importante des élections de mi-mandat de novembre, avec l'économie.
Le sondage a révélé que les républicains pensent que l'immigration est plus importante que les taxes, les soins de santé et la politique des armes à feu et qu'ils voteraient en conséquence.
Breitbart News a également rapporté que la majorité des électeurs potentiels dans les 2018 districts de transition à travers le pays ont déclaré qu'ils croient que l'immigration a empiré la vie en Amérique, selon un sondage CBS News / YouGov pris début Juin.
Environ 56 % des électeurs potentiels ont déclaré que l'immigration aggrave leur situation, alors que seulement 17 % affirment que leur région a été «améliorée» en raison de l'immigration.
L'enquête Rasmussen auprès de 1 000 électeurs potentiels a été menée les 25 et 26 juin. La marge d'erreur d'échantillonnage est de plus ou moins trois points de pourcentage, avec un niveau de confiance de 95%.
Breitbart News a rapporté:
Actuellement, les États-Unis admettent plus de 1,5 million d'immigrants légaux et illégaux chaque année, et plus de 70% d'entre eux arrivent au pays par le biais du processus de «migration en chaîne» par lequel les citoyens nouvellement naturalisés peuvent amener un nombre illimité de parents étrangers aux États-Unis.
Au cours des 20 prochaines années, le système actuel d'immigration légale des États-Unis est sur le point d'importer environ 15 millions de nouveaux électeurs nés à l'étranger. Entre sept et huit millions de ces électeurs nés à l'étranger arriveront aux États-Unis par le biais de la migration en chaîne.
Fraude en santé publique: pourquoi la fluoration de l'eau est l'un des plus grands crimes contre l'humanité
Vendredi 29 juin 2018 par: Vicki Batts
(Natural News) La médication de masse des citoyens par la fluoration de l'eau est peut-être l'un des plus grands crimes contre l'humanité qui ait lieu aujourd'hui - et c'est aussi l'un des scandales les plus sous-déclarés. Oser parler des faits réels sur le fluorure vous donnera l'impression d'être un «théoricien du complot fou», tout comme s'interroger sur la sécurité des vaccins ou parler des dangers du glyphosate vous permettra d'être qualifié d '«anti-science».
Mais, même si le coût peut être élevé, quelques âmes courageuses sont toujours disposées à parler des dangers pour la santé que nous imposent les pouvoirs en place. Le docteur David Kennedy, un dentiste biologique, a récemment qualifié la fluoruration de l'eau de «fraude à la santé publique» et sa description ne pouvait être plus exacte.
La fraude du fluorure
D'abord et avant tout, le fluor n'est pas un nutriment essentiel. Les humains n'ont pas et n'auront jamais besoin de fluor pour être en bonne santé. En fait, c'est tout le contraire: le fluor est une substance hautement toxique. C'est pourquoi il y a un avertissement de poison sur le dentifrice et d'autres produits contenant du fluorure.
Comme l'explique Fluoride Action Network, le fluor a toujours été utilisé comme pesticide - et c'est la raison pour laquelle consommer trop de fluor en une séance peut entraîner un empoisonnement grave et même la mort. Mais les dangers du fluorure ne finissent pas avec l'aigu. À long terme, il y a beaucoup d'autres effets secondaires négatifs à avoir.
La fluorose dentaire et la fluorose squelettique sont les deux formes de dommages les plus évidentes. Les experts ont noté qu'au moment où le fluor a été déposé dans le tissu osseux, il est très probable que d'autres formes de dommages moins détectables ont eu lieu. Par exemple, des études ont montré que la consommation chronique de fluorure peut entraîner une douleur arthritique et un risque accru de fractures - même avant que la fluorose squelettique ne s'installe.
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Il y a aussi des préoccupations importantes au sujet des effets que la consommation de fluorure au cours de la vie peut avoir sur le cerveau et la thyroïde. De nombreuses études ont montré que la consommation de fluor peut provoquer des lésions cérébrales et une baisse du QI chez les enfants.
Il y a environ 20 ans, un syndicat représentant des scientifiques et des toxicologues de l'EPA aurait déclaré: «Nous estimons que la fluoration de l'eau est un risque déraisonnable.
Par le passé, le syndicat a témoigné que la fluoration de l'eau était liée à «un cancer, des dommages génétiques, une déficience neurologique et une pathologie osseuse».
Une étude menée en 2012 par la Harvard Medical School a révélé que la fluoration de l'eau était liée à des QI plus faibles et à un développement cognitif défavorable chez les enfants.
L'auteur principal de l'étude, Philippe Grandjean, a commenté les résultats. «Le fluorure semble s'intégrer au plomb, au mercure et à d'autres poisons qui causent la fuite des cerveaux chimiques. L'effet de chaque toxique peut sembler faible, mais les dommages combinés à l'échelle de la population peuvent être graves, en particulier parce que la puissance cérébrale de la prochaine génération est cruciale pour nous tous », a-t-il déclaré.
En 2015, Grandjean et son équipe ont publié une recherche de suivi, qui a examiné les effets de la fluoration continue de l'eau au cours de la vie chez les enfants de première année. Et encore, les résultats ont confirmé leurs soupçons sur la neurotoxicité du fluorure. Les chercheurs ont de nouveau conclu que leurs données «soutiennent l'idée que le fluor dans l'eau potable peut produire une neurotoxicité développementale».
La preuve du préjudice est claire - mais rien n'est fait pour réduire les efforts de fluoration de l'eau. Le danger est de vraies personnes; La fluoration de l'eau n'est rien de plus qu'un plan visant à réduire les masses et à rendre les gens malades. En réalité, la fluoration de l'eau est un crime; ce n'est pas seulement une forme de médicament de masse, mais plutôt un empoisonnement de masse. Il n'y a aucune raison pour que cette substance toxique soit ajoutée à l'approvisionnement public en eau. Vous pouvez en apprendre plus sur les efforts locaux pour mettre fin à la fluoration de l'eau ici.
Pour plus d'informations sur les dangers du fluor et le plan d'empoisonnement de l'eau publique, lisez sur http://www.fluoride.news
Le bitcoin s'élève le plus en trois mois, revenant au-dessus de 6 000 $
par Tyler Durden Sam, 30/06/2018 - 11:54
Après avoir franchi la barre des 6 000 $ pour la quatrième fois en une semaine hier, Bitcoin a bondi pendant la nuit, bondissant de 10 % à un point, le plus en trois mois.
- voir graphique sur site -
La poussée de 10% est une valeur aberrante notable après des semaines de pression constante à la baisse, mais nous notons qu'elle s'est déjà légèrement atténuée avec le reste des cryptos.
- voir graphique sur site -
Et même si Bitcoin a baissé de 70 % depuis ses sommets, il est facile pour les naysayers originaux de se réjouir avec le "on vous dit de danser", nous remarquons que Bitcoin est toujours en hausse de 155 % en glissement annuel et comme le dit Simon Black de SovereignMan, il est important d'avoir un contexte historique lorsque l'on considère l'avenir de Bitcoin ...
Le 29 mars 1879, un journal largement diffusé appelé The American Register publiait un éditorial cinglant affirmant qu '"il est douteux que l'électricité soit [largement] utilisée" parce que c'était trop cher à produire.
Plusieurs mois plus tard, le Comité spécial de l'éclairage et de l'électricité de la Chambre des Communes britannique a tenu des audiences sur l'électricité, les experts affirmant qu'il n'y avait «pas la moindre chance» que le monde se tourne vers la production d'électricité.
Ce n'est pas que l'électricité n'existait pas à ce moment-là. Ça faisait. De sérieuses études et recherches ont été consacrées à l'électricité depuis les années 1600.
Mais même en 1879, il était encore considéré comme un fantasme coûteux.
Puis le jour de l'An de la même année, Thomas Edison a dévoilé publiquement son ampoule à incandescence à Menlo Park, New Jersey.
Au moment où il aurait déclaré: «Nous allons faire de l'électricité si bon marché que seuls les riches vont brûler des bougies."
Trois ans plus tard, en 1882, Edison allumerait le premier service public d'électricité du monde.
Et à la fin de la décennie, il allait fonder General Electric, qui restait l'une des plus importantes au monde jusqu'à ce qu'un tas de bouffons l'envahissent au début du 21ème siècle.
Nous savons, bien sûr, ce qui s'est passé avec l'électricité: elle est finalement devenue omniprésente ... lentement, puis rapidement.
En 1908, 26 ans après qu'Edison a mis en service le premier service public d'électricité, seulement 10 % des ménages américains étaient encore sur le réseau.
Mais alors le rythme de l'adoption s'est accéléré. En 1941, 80% des ménages étaient sur la grille.
Ainsi, les premiers 10 % ont pris 26 ans, et les 70 % suivants n'ont pris que 33 ans.
Pour les technologies suivantes, la courbe d'adoption était encore plus raide.
Le réfrigérateur, par exemple, n'a pris que deux décennies pour augmenter sa prévalence dans les ménages américains de 10% à 80%.
Les téléphones portables ont été encore plus rapides, passant de 10% à 80% en seulement 14 ans, de 1994 à 2008.
C'est un point important: les nouvelles technologies sont adoptées à des vitesses de plus en plus rapides ... une fois qu'elles atteignent une masse critique minimale.
L'adoption de la technologie cryptofinance et de la comptabilité distribuée (DLT) pourrait suivre cette tendance.
Comme nous venons de le dire hier, les banques ont désespérément besoin d'un coup de pied géant dans le cul, ce que les technophiles appellent la «désorganisation».
Les banques ont eu une mainmise monopolistique sur l'argent de leurs clients pendant des siècles.
Et comme nous le voyons constamment dans les titres, les banques n'hésitent pas à abuser de cette confiance privilégiée.
Crypto et DLT détruisent leur monopole en décentralisant et en désintermédiant les transactions financières.
Après tout, nous sommes en 2018. Il n'y a plus aucune raison de mettre un tas d'intermédiaires entre vous et vos économies.
Envoyer de l'argent devrait être aussi simple que d'envoyer un courriel ... et la technologie pour le faire devrait être aussi répandue que le courriel lui-même.
Crypto et DLT rendent tout cela possible. Et l'histoire suggère que nous pourrions voir l'adoption généralisée de ces technologies seulement 10 ans après avoir atteint une masse critique minimale.
Pour les besoins de l'argumentation, supposons que la «masse critique minimale» signifie qu'environ 10% des particuliers et des entreprises utilisent régulièrement la technologie pour les transactions financières.
Une étude de l'Université de Cambridge en mars 2017 a estimé le nombre d'utilisateurs actifs de Bitcoin entre 2,9 et 5,8 millions.
C'est en hausse de zéro en 2009 ... une croissance si impressionnante à coup sûr.
Mais même une vision optimiste de ces chiffres suggère que l'utilisation de crypto et de DLT est bien en deçà d'une masse critique minimale pour accélérer leur adoption généralisée.
Il est clair qu'il y a encore un long chemin à parcourir avant que ces technologies soient aussi omniprésentes que l'email ou le mobile.
La question est: combien de temps faudra-t-il pour atteindre cette masse critique ?
L'industrie de la téléphonie mobile peut être un exemple illustratif.
Les premiers téléphones cellulaires ont été développés entre 1971 et 1973. Mais il a fallu plus de 20 ans pour que leur utilisation passe de 0 % à 10 % de la population. (Mais alors seulement 14 ans pour passer de 10 % à 80 %.)
Donc, en utilisant les téléphones mobiles comme point de référence, et compte tenu du fait que la crypto a déjà dix ans, il faudra peut-être encore dix ans avant d'atteindre cette masse critique minimale.
Le revers de la médaille signifie que nous pourrions encore avoir une décennie d'opportunités incroyables à explorer, que je classerais comme suit:
1) Technologie de base. Dans les premiers jours d'une tendance technologique majeure, il existe toujours des possibilités de développer, d'améliorer et de réitérer la technologie de base qui sous-tend cette tendance.
Ça commence toujours avec des individus - un gars comme Steve Wozniak dans son garage.
Mais finalement ces opportunités sont prises en charge par d'énormes sociétés ... et avec le temps, il devient plus difficile pour le petit gars de rivaliser.
Cela commence à se produire avec crypto: les opportunités de développement de niche qui étaient autrefois dominées par de petites équipes de programmeurs attirent maintenant la concurrence et les ressources de méga-entreprises (comme JP Morgan).
Il est toujours possible de réussir dans ce domaine. Mais il deviendra de plus en plus difficile au cours des prochaines années.
2) Vendre des pelles aux mineurs d'or. Ce sont les personnes et les entreprises qui construisent l'infrastructure de base et facilitent l'adoption de la technologie.
Dans les premiers jours d'Internet, c'était America Online.
Il s'agit d'une zone très intéressante en crypto en ce moment, et il y a beaucoup de grandes entreprises (Fidelity, Goldman Sachs) qui construisent des infrastructures pour faciliter l'achat et la vente de crypto-monnaie.
3) Application de la technologie.
Pensez Amazon: Jeff Bezos a adopté une nouvelle technologie (Internet) et l'a appliquée à un modèle d'entreprise vieux de 5 000 ans (ventes au détail physiques). Il est maintenant l'homme le plus riche du monde. Et certains des noms les plus importants dans le commerce de détail font faillite.
C'est, de loin, l'opportunité la plus excitante du secteur.
Il ne s'agit plus de spéculer sur une pièce ou un ICO; la véritable opportunité est d'appliquer la technologie à d'autres industries.
Et compte tenu du taux relativement faible d'adoption de la technologie en ce moment, cette opportunité est grande ouverte.
Et pour continuer à apprendre à vous épanouir peu importe ce qui se passe dans le monde, je vous encourage à télécharger gratuitement notre Guide Perfect Plan B gratuit.
(...) C'est un point important: les nouvelles technologies sont adoptées à des vitesses de plus en plus rapides ... une fois qu'elles atteignent une masse critique minimale. (...)
Effectivement, comme le dit Simon Black de SovereignMan, le progrès va si vite aujourd'hui que c'est presque tous les pays qui ont l'EMP ! Ce qui donne à réfléchir !
"Ces gars-là sont comme des diamants" - La pénurie de camionneurs en Amérique frappe un point de crise
par Tyler Durden Sam, 30/06/2018 - 12:10
Presque tous les produits de consommation - de la nourriture aux textiles en passant par l'électronique - vendus aux États-Unis touchent parfois le lit d'un camion. C'est pourquoi la pénurie de camionneurs pour transporter des marchandises à travers les États-Unis est devenue un problème tellement intraitable pour les entreprises américaines - et le chômage à 3,8 % n'aide pas.
Une pénurie de travailleurs oblige les entreprises de camionnage à augmenter leurs salaires et à offrir d'autres incitatifs pour combler une pénurie «officielle» de 60 000 emplois qui, selon certains initiés de l'industrie, est plus proche de 100 000.
Et comme les entreprises sont de plus en plus désespérées, ils sont prêts à jeter un coup d'œil sur les candidats qui n'auraient jamais eu une chance dans des circonstances normales, selon le Washington Post.
Au TDDS Technical Institute, une école de camionnage indépendante dans l'Ohio où Blocksom a envisagé de s'inscrire, des enseignants chevronnés affirment ne jamais avoir vu cela aussi mal. Ils disent qu'il pourrait y avoir plus de 100 000 ouvertures de camions.
«Tant que vous pouvez entrer et sortir d'un camion et passer un examen physique, une entreprise de camionnage vous regarde maintenant», a déclaré Tish Sammons, coordonnatrice du placement chez TDDS, dont le bureau est rempli de camions et de tracts. des entreprises qui l'appellent tous les jours mendier pour les conducteurs. "J'ai récemment placé quelqu'un qui a purgé une peine pour homicide involontaire."
L'histoire de WaPo s'ouvre avec une anecdote sur Bob Blocksom, un retraité de 87 ans, un vendeur d'assurance à la recherche d'un emploi après n'avoir pas économisé assez d'argent pour sa retraite.
Et les entreprises de camionnage, en fait, sont prêts à lui donner un coup de feu - même si la plupart des employeurs ne considèrent pas un homme de son âge. La seule chose qui le retient? Être loin de sa femme de 60 ans.
LAKE MILTON, Ohio - Bob Blocksom, un ancien vendeur d'assurance âgé de 87 ans, a besoin d'un emploi. Il n'a pas économisé assez d'argent pour sa retraite. Et les entreprises de camionnage, désespérées pour les travailleurs, sont prêtes à lui en donner un.
L'âge n'avait pas d'importance, ont-ils dit. Si Blocksom pouvait obtenir son "CDL" - permis de conduire commercial - ils l'embaucheraient pour un emploi de 50 000 $. On a même offert de payer ses frais de scolarité pour l'école de conduite, mais il y avait un problème: Blocksom a dû s'engager à conduire un camion à 18 roues partout aux États-Unis pendant un an.
Jusqu'ici, cela a été trop demander à Blocksom, qui ne veut pas passer beaucoup de temps loin de sa femme de 60 ans. "Plus j'y pense, plus il serait difficile d'être sur la route du lundi au vendredi", a-t-il déclaré.
Les salaires énumérés dans l'histoire se chiffraient à 80 000 $ par année, en plus des avantages. Et certaines entreprises disent qu'elles envisagent des augmentations, car cela ne suffit pas pour attirer les jeunes. Déjà, selon WaPo, des sociétés comme Amazon, General Mills et Tyson Foods répercutent des coûts de transport plus élevés sur les consommateurs. Wal-Mart a même identifié la hausse des coûts de transport comme le plus grand «vent de face» de l'entreprise.
"Cela ralentit déjà l'économie", a déclaré Peter Boockvar, directeur des investissements chez Bleakley Advisory Group. "S'il me faut une semaine au lieu de deux jours pour expédier des produits du point A au point B, je perds des affaires potentielles."
Même avec la nouvelle réglementation fédérale obligeant les camionneurs à consigner leurs heures de travail pour ne pas dépasser la limite quotidienne de 11 heures, être camionneur est un «travail difficile» qui prend «une race spéciale». Les nouveaux camionneurs prennent souvent du poids en s'asseyant toute la journée. Les périodes de séparation affectent souvent les relations interpersonnelles, et les divorces sont fréquents.
Le camionnage est également étonnamment dangereux: il y a eu plus de 1 000 morts parmi les conducteurs de véhicules à moteur en 2016, selon le département du travail. Cela signifie qu'être chauffeur de camion est huit fois plus meurtrier qu'un policier. L'obtention d'un CDL prend également des mois de scolarité et peut coûter jusqu'à 7 000 $. Sans surprise, un nombre croissant de candidats échouent aux tests obligatoires de médicaments qui font partie de la demande.
La communauté autour de TDDS est pleine d'usines fermées et de bars nommés "Lucky Inn" et "Horseshoe". Les aciéries ont fermé leurs portes dans les années 1980 et une usine GM vient d'annoncer plus de mille licenciements. L'une des seules industries qui croît dans la région est le camionnage, mais les habitants hésitent à devenir camionneurs.
Un homme, un concierge, qui traînait à l'atelier de réparation de Larry's Automotive près de Warren, a déclaré que ses oncles étaient des camionneurs et lui ont dit qu'ils le «tueraient» s'il se mettait dans une affaire difficile. Le propriétaire de la boutique a dit qu'il avait envisagé de devenir camionneur, mais a décidé que ce n'était pas faisable après avoir eu des enfants.
Les emplois de camionnage exigent que les gens quittent leur famille pendant des semaines et vivent dans une petite «cabane» avec un lit dur. Les divorces sont communs, disent les anciens combattants, et leurs enfants les oublient. Une vie sur la route est souvent coûteuse et malsaine. Les conducteurs sont assis pendant des heures par jour dans des camions diesel et tirent dans des arrêts de camions qui servent généralement des hot-dogs et du chili gras.
Selon Gordon Zellers, un médecin de l'Ohio qui passe la moitié de son temps à examiner les camionneurs et à administrer des tests de dépistage de drogues, le nombre de demandeurs de CDL échoue. Il conseille aux étudiants TDDS de voir un nutritionniste, mais il sait que la plupart ne le feront pas.
Même les entreprises qui n'exigent pas que leurs conducteurs «passent la route» - c'est-à-dire effectuent des trajets à long terme - ont du mal à recruter.
"Ces gars-là sont comme des diamants en ce moment", a déclaré Jason Olesh, vice-président d'Aim Transportation Solutions, qui a quitté ses vacances en famille pour se précipiter à TDDS pour parler aux étudiants. "Nous sommes en baisse de 90 pilotes dans notre flotte de 650."
Olesh a donné son meilleur discours aux étudiants: il leur a offert des emplois qui paient 70 000 $ par année avec des avantages complets et des routes régionales transportant l'eau jusqu'aux sites de forage pétrolier qui les ramèneraient à la maison presque tous les soirs.
«Je vous offre un emploi régulier avec un quart de travail de 10 à 12 heures afin que vous puissiez voir vos enfants», a déclaré Olesh.
La pénurie de travailleurs a, sans surprise, conduit à une vague de braconnage qui a fait passer le taux de roulement de l'industrie à 94 %. À ce rythme, les entreprises et les consommateurs espèrent que Elon Musk réussira à lancer une flotte de camions autonomes plusieurs décennies avant la date prévue.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les astéroïdes sans oser le demander
17:52 30.06.2018
Est-il possible qu'un astéroïde entre prochainement en collision avec la Terre et provoque une catastrophe planétaire ? Comment l'humanité peut-elle se préparer à cette éventualité ? Est-il possible que les corps célestes nous apportent un avantage économique ? Autant de questions qui se posent en ce 30 juin, Journée internationale des astéroïdes.
Le 30 juin 1908, un corps d'origine spatiale relativement petit serait tombé en Sibérie. Bien que supposé avoir eu un diamètre d'une cinquantaine de mètres, il a causé un effet dévastateur important sur un territoire de plusieurs milliers de kilomètres carrés. Les scientifiques ont émis de nombreuses hypothèses au sujet de ce phénomène appelé Évènement de la Toungouska. Selon les principales, il s'agirait d'une comète ou d'un astéroïde. Le secteur étant désert, il n'y a eu aucun mort à déplorer, mais le phénomène fait réfléchir sur les conséquences qu'il aurait pu avoir dans d'autres conditions.
Le 30 juin est donc depuis 2016 la Journée internationale des astéroïdes, a rappelé dans une interview accordée à Sputnik Gonzalo Tancredi, expert à la chaire d'astronomie de l'Université de la République d'Uruguay.
«En fonction de ses dimensions, un astéroïde pourrait engendrer une catastrophe au niveau local, régional, voire planétaire. Le sujet a été étudié au cours des dernières décennies, notamment depuis 1980, lorsque les scientifiques ont conclu que les dinosaures avaient disparu de la surface de la Terre après que celle-ci a été heurtée par un astéroïde», a-t-il indiqué.
Luis Alvarez a reçu le prix Nobel de physique en 1968 pour ses recherches sur la physique des particules élémentaires. Cependant, il est probablement plus célèbre pour avoir publié la théorie selon laquelle les dinosaures ont disparu après qu'un astéroïde est entré en collision avec la Terre il y a 65 millions d'années.
Cette situation a placé les scientifiques et les gouvernements devant le problème des moyens pour se protéger contre d'éventuelles catastrophes du genre, car les conséquences d'une collision entre la Terre et un astéroïde dépendent dans une grande mesure des dimensions de celui-ci.
«Selon les scientifiques, un astéroïde d'un kilomètre de diamètre provoquera une catastrophe globale sur la Terre. Pas obligatoirement la disparition [d'une espèce, ndlr], comme pour les dinosaures, car il faudrait sans doute pour cela un astéroïde de quelque 5 kilomètres de diamètre», a-t-il noté.
Gonzalo Tancredi a rappelé qu'au début des années 1990, la communauté scientifique internationale avait décidé de répertorier plus de 90 % des astéroïdes de plus d'un kilomètre de diamètre. Le projet, baptisé Spaceguard, a été réalisé et 1.000 astéroïdes ont été inscrits sur le catalogue, à côté de 10.000 autres corps célestes de moindres dimensions.
Dans ce contexte, il a évoqué «la météorite de Tcheliabinsk» tombée le 15 février 2013. Le corps céleste, qualifié d'astéroïde, a provoqué plusieurs explosions dans l'atmosphère, à quelques kilomètres de la surface de la Terre. L'onde de choc a fait plus de mille blessés et causé d'importants dégâts matériels.
«De tels évènements n'entraîneront pas l'extinction d'une espèce, mais provoqueront une catastrophe d'ampleur locale ou régionale», a fait remarquer Gonzalo Tancredi.
Il s'est voulu pourtant rassurant, ajoutant que la liste ne comptait aucun corps pouvant entrer en collision avec la Terre au cours des prochaines décennies.
Évoquant les moyens d'éviter une probable collision, Gonzalo Tancredi a été formel: l'homme est pratiquement impuissant pour ce qui est de réduire ses conséquences. À l'heure actuelle, les techniques sont concentrées non sur la destruction d'un corps potentiellement dangereux, mais sur les moyens de le faire «dévier» de sa trajectoire pour éviter la Terre.
«Mais ces technologies doivent encore être testées», a-t-il précisé.
La NASA travaille pour trouver, suivre et surveiller les astéroïdes à proximité de la Terre.
Commentant l'idée d'un avantage économique que pourraient présenter les astéroïdes, il a rappelé le séminaire de Munich consacré aux objets géo-croiseurs.
Les participants à la rencontre, a raconté Gonzalo Tancredi, ont conclu que deux possibilités s'offraient à l'humanité. La première est d'en extraire des éléments peu nombreux sur notre planète, par exemple des métaux rares. La seconde est d'en tirer de l'eau indispensable tant pour la construction de toute base spatiale, qu'elle soit située sur la Lune, sur un astéroïde ou sur Mars, que pour servir de combustible.
Abordant le sujet de l'appellation, il a dit qu'il existait quelque 500.000 astéroïdes et que seule une partie insignifiante avait été «baptisée». En règle générale, ils se voient attribuer un code, mais ils peuvent également avoir un nom.
«Pour ce qui est de l'Uruguay, nous avons des astéroïdes différents portant surtout des noms d'astronomes, mais pouvait également glorifier d'autres représentants de la science ou être appelés en l'honneur de villes. Ainsi, l'un des astéroïdes s'appelle Montevideo», a indiqué Gonzalo Tancredi, insistant sur l'idée que l'appellation devait refléter toutes les cultures de l'humanité.
Qu'est-ce qui est arrivé à des craintes sur "pic pétrolier" ?
Anthony Watts 30 juin 2018 Par Michael Lynch, Forbes
Très peu de gens se rendent compte que toutes les préoccupations concernant le pic pétrolier étaient fondées sur la désinformation ou la science de la malbouffe.
Il y a dix ans, les médias étaient remplis d'histoires sur le pic pétrolier, de nombreux livres ont été publiés sur le sujet (comme Half Gone et 20 $ le gallon !), Et même les Simpson l'ont mentionné dans un épisode sur les preppy. Maintenant, le sujet est largement oublié et la saveur du mois est la demande de pointe de pétrole. Quiconque est préoccupé par la qualité de la recherche qui se fraye un chemin dans le débat public devrait être curieux de savoir combien d'erreurs ont été commises pendant si longtemps. (Acheter mon livre pour l'histoire complète.)
Tout d'abord, réalisez que dans les années 1970, de nombreux analystes et institutions ont avancé des arguments similaires, arguant que la rareté géologique était responsable des prix plus élevés que les deux perturbations de la production en 1973 et 1979. En effet, Le consensus était que les prix étaient trop bas et devaient augmenter pour rendre l'investissement en amont rentable, malgré le fait que la production de l'OPEP s'effondrait (de 30 Mb / j en 1980 à 15 en 1985). On pourrait penser que cela rendrait les gens plus sceptiques quant aux affirmations selon lesquelles la pénurie géologique était responsable lorsque la fermeture de la production vénézuélienne et la deuxième guerre du Golfe ont coupé les approvisionnements irakiens et ont fait monter les prix à partir de 2003.
Ce n'était pas le cas. En fait, le 21 septembre 2004, le Wall Street Journal publiait un article intitulé «Alors que les prix montent, Doomsayers provoque le débat sur l'avenir du pétrole», citant le fondateur de l'Association pour l'étude du pic pétrolier: «Sainte Mère! Le bon moment est arrivé! »Bizarrement, l'article ne mentionnait pas l'explication alternative des prix élevés, à savoir la perte de production du Venezuela et de l'Irak, environ 1 milliard de barils jusqu'à la publication de l'article.
Scientific American a publié un article de deux géologues retraités intitulé «The End of Cheap Oil», qui présentait l'idée que la production pétrolière mondiale atteindrait bientôt un sommet alors que la demande continuerait à augmenter, provoquant un choc économique. vagues et même «la fin de la civilisation» comme l'a dit un co-auteur par la suite. Depuis que le prix du pétrole s'est effondré à 12 dollars le baril cette année-là, la plupart d'entre eux ont peu tenu compte au début, mais comme les prix du pétrole ont commencé à augmenter cinq ans plus tard, l'attention a grimpé.
Peu de gens se rendent compte que le débat a commencé un an plus tôt, dans les pages du Oil & Gas Journal, où les membres des camps opposés ont exprimé leurs points de vue. Colin Campbell, qui devint plus tard le fondateur de l'Association pour l'étude du pic pétrolier (et co-auteur de l'article Scientific American de 1998), écrivit un article intitulé «Meilleure compréhension demandée pour des réserves rapidement épuisées». trouver "et" la stabilité politique, économique et politique du monde, qui repose sur un approvisionnement abondant en pétrole bon marché, est sérieusement menacée. "Son argument de base était que la quantité de pétrole brut récupérable, qu'il a mis à 1,8 trillions de barils, était plus petit que la plupart des réalisations, en raison de la fausse déclaration et de l'interprétation erronée des données.
Le point de vue contraire a été avancé dans le même journal dans un article de MA Adelman et cet auteur, notant le pessimisme passé: "Depuis de nombreuses années, presque toutes les prévisions ont été: un pic précoce, puis dans 3 à 5 ans place, mais le golfe Persique. "Et" L'industrie pétrolière a toujours été dans un bras de fer entre l'épuisement et la connaissance. Il faut des efforts et des investissements sans fin pour renouveler et élargir les réserves. Mais les limites des ressources sont un fantôme ... .Les prévisions sont révisées avec un pic plus élevé et plus tard .... Ces estimations des réserves et de la production déclinantes sont incurablement fausses parce qu'elles traitent en quantité ce qui est vraiment un processus dynamique conduit par la connaissance croissante.
Depuis lors, les défenseurs du pétrole de pointe ont augmenté à plusieurs reprises leurs estimations de ressources récupérables (Campbell est passé de 1,575 à 1,9 trillion) et poussé la date du pic plus loin, exactement comme Adelman et Lynch ont soutenu, tout en essayant de soutenir que l'augmentation du pétrole l'offre était un pétrole «non conventionnel» qu'ils n'analysaient pas. Bien sûr, ils ont tendance à ne pas mentionner que leur article de 1998 affirmait: «Mais l'industrie aura du mal à trouver le temps et l'argent nécessaires pour accélérer suffisamment la production de pétrole non conventionnel.» De même, beaucoup soutiennent que la croissance provient des LGN. ou schiste, pas de pétrole conventionnel, mais la figure ci-dessous réfute cela.
World Petroleum Supply L'AUTEUR; DONNÉES DE BP ET EIA. Le point de vue général est que l'huile de schiste nous a évité le pic pétrolier, et la question a largement disparu des médias pour être remplacée par des avertissements de pic de demande de pétrole, mais il y a encore des articles sur le pic de cobalt, le pic de cacao. Plutôt la façon dont votre station de nouvelles locale signale constamment une nouvelle menace pour le public (les germes dans l'eau des lavabos de l'avion, les dangers des produits de nettoyage ménagers, etc ad infinitum).
Malheureusement, très peu de gens se rendent compte que toutes les préoccupations concernant le pic pétrolier étaient fondées sur la désinformation ou la science de la malbouffe. Plus précisément, la recherche n'était pas du tout scientifique mais une analyse statistique si mal faite qu'elle ne réussirait pas un cours collégial de première année. Le travail de Campbell et Laherrere reposait sur l'idée de base que la géologie déterminait les tendances de la production et que les tendances pouvaient donc être extrapolées en toute sécurité en se basant sur le modèle de la courbe en cloche. Si la production diminuait, c'est-à-dire. L'économie n'a pas d'importance parce que «vous devez trouver du pétrole avant de pouvoir le produire» et si c'est là, il sera produit. La technologie n'a pas pu améliorer la récupération parce que «la technologie ne peut pas changer la géologie du réservoir, mais la technologie (en particulier le forage horizontal) peut aider à produire plus vite, mais pas plus ...» (Jean Laherrere)
La majorité de ceci est un non-sens. La production ne suit généralement pas une courbe en cloche, et quand c'est le cas, c'est le résultat des effets de la croissance et du déclin exponentiels. (Beaucoup ont répété que la géologie signifiait que la production de pétrole dans une région devait suivre une courbe en cloche sans réellement vérifier les données.) Au lieu de cela, les changements dans les prix du pétrole, les conditions fiscales et l'accès aux bassins de ressources dépassent souvent le niveau supposé de «pointe» que les défenseurs du pétrole de pointe identifient.
Beaucoup d'arguments reflétaient l'ignorance de leurs auteurs à l'égard de l'industrie ou des prévisions. Simmons a affirmé qu'entendre la compagnie pétrolière saoudienne utiliser une «logique floue» pour modéliser les réservoirs l'a convaincu qu'ils avaient des problèmes, puisqu'il n'en avait jamais entendu parler. Joe Romm a déclaré: «La chute brutale de la production de pétrole signifie que le monde doit maintenant remplacer une quantité de pétrole équivalente à la production de l'Arabie Saoudite tous les deux ans, a déclaré Merrill Lynch dans un rapport de recherche.
Apparemment, il ne savait pas que Jimmy Carter, dans son discours de 1977 sur la crise de l'énergie, a déclaré: "... juste pour rester, nous avons besoin de la production d'un nouveau Texas chaque année, d'un Alaska North Slope tous les neuf mois. Arabie Saoudite tous les trois ans. Évidemment, cela ne peut pas continuer. "
Ainsi, les publications et les prédictions ne se sont généralement pas vérifiées - souvent de façon plutôt spectaculaire. On a dit que la Russie était incapable de dépasser 8 Mb / j, et quand ils l'ont fait, 9 Mb / j, et quand ils ont atteint 10 Mb / j, un effondrement rapide a été prédit. La production y est supérieure à 11 Mb / j et continue d'augmenter. Et un livre de 2005 décrivant l'effondrement imminent de la production saoudienne, présageant l'effondrement de la production mondiale, a été non seulement truffé d'erreurs, mais s'est révélé totalement invalide. Les Saoudiens n'ont connu aucune difficulté de production, ont dû en effet réduire leurs coûts; et la production mondiale a augmenté d'environ 15 Mb / j depuis la prévision de pointe de 2005 par cet auteur et d'autres.
Les arguments avancés par des économistes compétents en matière de ressources expliquent la tendance historique, comme l'article de 1997 par Adelman et Lynch. La base de ressources pétrolières est énorme, au moins dix fois celle décrite par les défenseurs du pétrole de pointe, et les hausses de prix reflètent les perturbations temporaires de l'approvisionnement ou l'élimination de certaines ressources «bon marché» de la portion accessible par nationalisme des ressources. Les pionniers du pétrole suivaient la pratique néo-malthusienne de longue date consistant à interpréter les problèmes à court terme comme permanents et insolubles, tout comme dans les années 1970.
Fait révélateur, ceux qui croyaient au pic pétrolier affichaient souvent une certitude totalement injustifiée, compte tenu de la complexité du problème.
À San Francisco, les familles qui gagnent 117 000 $ se qualifient pour un logement à faible revenu
par Tyler Durden Sam, 30/06/2018 - 22:30
Peu de temps après, les autorités ont révélé que San Francisco était devenue la première ville américaine à imposer un salaire minimum de 15 dollars, conformément à une loi adoptée en 2014 - et juste à temps. Parce que les prix des maisons à San Francisco ont augmenté si rapidement que Business Insider a rapporté samedi que les candidats à un logement abordable dans la ville doivent gagner moins de 117 400 par an admissibles à des logements à faible revenu à San Francisco et quelques comtés voisins, selon à un nouveau rapport du ministère du Logement et du Développement urbain. Pour mettre cela en contexte, ce chiffre est légèrement inférieur au revenu médian de la ville de 118 400 $.
Voici plus de BI:
Pour être admissible à un logement à faible revenu dans le comté de San Francisco ou dans les comtés voisins de San Mateo et Marin, un ménage de quatre personnes peut faire jusqu'à 117 400 $ par année. Il en va de même pour un ménage d'une personne qui gagne 82 200 $ par année.
C'est la conclusion d'un nouveau rapport du ministère du Logement et du Développement urbain, qui vient de publier les seuils de 2018 pour le logement abordable aux États-Unis ... le seuil de la région métropolitaine de San Francisco est juste en dessous du revenu familial médian de 118 400 $.
Les coûts de logement à San Francisco ont augmenté à un taux ridicule: Selon l'indice des prix S & P / Case-Shiller Home, qui couvre non seulement la ville et le comté, mais comprend également quatre autres comtés Bay Area: Alameda, Contra Costa, Marin, et San Mateo, les prix dans la région ont augmenté de 10% en avril. Cependant, d'autres affirment que l'augmentation des prix des maisons a été encore plus extrême Par exemple, Paragon Real Estate Group a rapporté en avril que les prix à San Francisco avaient explosé de 24% YOY, soit plus du double de l'estimation de Case-Shiller. Ce bond vertigineux a laissé le prix médian des maisons dans la ville à un étonnant 1,6 million de dollars.
Bien sûr, les nouveaux chiffres du département du logement de la ville ne sont pas surprenants: comme le rapporte BI, ces dernières années, la Bay Area a été confrontée à une crise du logement abordable exacerbée par le boom technologique et une pénurie concomitante du stock de logements. Plusieurs géants de la technologie Bay Area (comme Alphabet, par exemple) ont situé leur quartier général dans des zones sans beaucoup de logements à proximité.
Et comme nous l'avons souligné en avril, voici à quoi ressemble un boom immobilier ...
- voir graphique sur site - Boom
... qui, à son tour, a fait grimper le prix médian des maisons de plus de 1,6 million de dollars ...
... qui est bien au-dessus de la moyenne nationale.
- voir graphique sur site - Boom
Même les quartiers «pauvres» de la ville ont connu une forte augmentation des prix quartier par quartier. Dans le tableau ci-dessous, les prix médians des maisons vont de 960 000 $ à Bayview, l'un des quartiers les plus en difficulté, à plus de 5 millions de dollars à Pacific Heights, l'un des quartiers les plus riches de la ville.
Malheureusement, pour les résidents assiégés de la ville, la loterie «robuste» de logements abordables de SF n'est pas assez près pour servir n'importe où près des nombres qui pourraient utiliser l'aide. Dans cet esprit, certaines villes de la région de Bay envisagent des alternatives, comme une «taxe d'entrée» importante sur les employeurs. À Cupertino et à Mountain View, les conseils municipaux ont proposé une «taxe d'entrée» par employé de 150 $ par année qui permettrait de reconstituer un fonds destiné à la construction de logements abordables.
SF envisage également une taxe d'entrée. Et tandis que les entreprises technologiques (comme Amazon à Seattle) ont menacé de déplacer ou d'abandonner les expansions planifiées sur des mesures similaires, les résidents de la ville bénéficieraient aussi de ce résultat: Parce que les talents technologiques qui ont probablement contribué le plus à le boom des prix du logement, la ville pourrait lentement mais sûrement faire baisser les prix ... avec les recettes fiscales et toute la croissance économique locale.
En créant des prix artificiellement élevés la place n'appartient qu'aux riches, ainsi, après l'eau gratuite que les contribuables doivent payer et arrivé le prix de l'air ! Une électricité pour les riches une bougie pour les pauvres. Les paysans (ceux qui donnent à manger au monde entier) disparaissent un peu plus chaque jour. La nourriture est aux mains des importateurs. A quel prix ? Vous comprenez la suite ?
Match Made In Hell: Le partenariat entre Bayer et Monsanto fait le baume de la mort pour l'humanité
par Tyler Durden Sam, 30/06/2018 - 19:00 Auteur de Robert Bridge via The Strategic Culture Foundation,
Sur quel plan de réalité est-il possible que deux des entreprises les plus moralement en faillite au monde, Bayer et Monsanto, puissent être autorisées à unir leurs forces pour ce qui promet d'être la prochaine étape dans la prise en charge des fournitures agricoles et médicinales mondiales?
Attention, spoiler intrigue: Il n'y a pas de côté M. Hyde dans cette histoire d'horreur aux proportions épiques; Tout est Dr. Jekyll. Comme un scénario d'une plante grimpante de David Lynch, Bayer AG de renommée gazeuse a finalisé son achat de 66 milliards de dollars (50 milliards de livres) de Monsanto, la société agrochimique qui devrait plaider la Cinquième dans la baie de Guantanamo au lieu de profiter de l'asile et l'immunité contre les crimes contre l'humanité. Tels sont les privilèges spéciaux qui viennent d'être une société transnationale au-dessus des lois.
Sans surprise, la première chose que Bayer a faite après avoir affronté Monsanto, avec son bagage supplémentaire d'irrégularités éthiques, a été d'initier une campagne de rebranding. Comme un méchant hollywoodien tombant dans un creuset d'acier fondu pour revenir plus tard dans un état altéré, Monsanto a été englobé dans la division "Bayer Crop Science" à consonance orwellienne, dont la devise est: "Science pour une vie meilleure".
Pourtant, Bayer lui-même fournit peu de couverture de protection pour Monsanto compte tenu de sa propre histoire inégale de malversations d'entreprise. Bien au-delà de son activité bien connue de soulagement de la douleur pour les maux de tête, la société basée en Allemagne a joué un rôle important dans l'introduction de gaz toxiques sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale.
En dépit d'une interdiction de la Convention de La Haye sur l'utilisation d'armes chimiques depuis 1907, le PDG de Bayer, Carl Duisberg, qui siégeait à une commission spéciale créée par le ministère allemand de la Guerre, connaissait une opportunité commerciale.
Duisberg a été témoin des premiers essais de gaz toxique et n'a eu que des rapports élogieux sur l'horrible nouvelle arme:
"L'ennemi ne saura même pas quand une zone a été pulvérisée avec elle et restera tranquillement en place jusqu'à ce que les conséquences se produisent."
Bayer, qui a créé un département spécifiquement dédié à la recherche et au développement d'agents gazeux, a développé des armes chimiques de plus en plus meurtrières, telles que le phosgène et le gaz moutarde. "Ce phosgène est l'arme la plus méchante que je connaisse," remarqua Duisberg avec un mépris étourdissant pour la vie, comme s'il parlait du dernier spray anti-insectes. "Je recommande fortement de ne pas laisser passer l'occasion de cette guerre sans tester les grenades à gaz."
Duisberg a eu son souhait démoniaque. L'occasion d'utiliser le champ de bataille comme terrain d'essai et les soldats comme cobayes arrivèrent au printemps de 1915 alors que Bayer fournissait quelque 700 tonnes d'armes chimiques sur le front de guerre. Le 22 avril 1915, on estime qu'environ 170 tonnes de chlore gazeux ont été utilisées pour la première fois sur un champ de bataille à Ypres, en Belgique, contre des troupes françaises. Jusqu'à 1000 soldats ont péri dans l'attaque, et beaucoup plus de milliers ont été blessés
Au total, environ 60 000 personnes sont mortes à la suite de la guerre chimique déclenchée par l'Allemagne lors de la Première Guerre mondiale et livrée par la société basée à Leverkusen.
Selon Axel Koehler-Schnura de la Coalition contre les dangers de Bayer:
"Le nom BAYER signifie particulièrement le développement et la production de gaz toxiques. Néanmoins, l'entreprise n'a pas accepté son implication dans les atrocités de la Première Guerre mondiale. BAYER ne s'est même pas distancié des crimes de Carl Duisberg. "
Le comportement criminel a continué jusqu'à l'époque moderne. Mike Papantonio, un avocat américain et présentateur de télévision a discuté de l'un des actes les plus odieux commis par cette entreprise chimique sur le programme de Thomas Hartmann, The Big Picture: «Ils ont produit un facteur de coagulation pour les hémophiles dans les années 1980 appelé facteur VIII. Cet agent responsable de la coagulation sanguine était contaminé par le VIH, et après que le gouvernement leur ait dit qu'ils ne pouvaient pas le vendre ici, ils l'ont expédié partout dans le monde, infectant des gens partout dans le monde. C'est juste une partie de l'histoire de Bayer. "
Papantonio, citant le rapport annuel 2014 de Bayer, a déclaré que la société fait face à 32 poursuites en responsabilité différentes à travers le monde. Pour le rapport de responsabilité de Bayer 2018, cliquez ici.
Avant de jeter vos produits Bayer dans les toilettes, vous pouvez mettre de côté une aspirine ou deux parce que l'histoire s'aggrave.
L'une des conséquences directes du monstre «Baysanto» sera une hausse importante des prix pour les agriculteurs, qui souffrent déjà directement de leur subsistance à cause de prix non viables.
"Les agriculteurs ont déjà connu une augmentation de prix de 300 % ces dernières années, sur tout, des semences aux engrais, qui sont tous contrôlés par Monsanto", a déclaré M. Papantonio à Hartmann. "Et tous les prévisionnistes prédisent que ces prix vont augmenter encore plus à cause de cette fusion."
Pourtant, il est difficile d'imaginer que la situation s'aggrave pour l'agriculteur américain, qui fait maintenant face au taux de suicide le plus élevé de toutes les professions au pays. Le taux de suicide pour les Américains engagés dans le domaine de l'agriculture, de la pêche et de la foresterie est de 84,5 pour 100 000 personnes, soit plus de cinq fois plus que la population générale.
Cette tendance tragique fait écho à celle de l'Inde, où il y a une dizaine d'années, des millions d'agriculteurs indiens ont commencé à abandonner l'agriculture traditionnelle pour utiliser les semences génétiquement modifiées de Monsanto. Dans le passé, suivant une tradition millénaire, les agriculteurs conservaient les semences d'une récolte et les replantaient l'année suivante. Ces jours de sagement suivant les rythmes et les modèles du monde naturel sont presque terminés. Aujourd'hui, les semences de Monsanto OGM sont élevées pour contenir une «technologie de terminaison», les cultures résultantes étant «programmées» pour ne pas produire leurs propres semences. En d'autres termes, la compagnie semencière joue littéralement Dieu avec la nature et nos vies. Ainsi, des centaines de milliers d'agriculteurs indiens sont obligés d'acheter chaque année un nouveau lot de semences - avec Round Up, un pesticide de Monsanto - et à un coût très prohibitif.
Mais le monde aurait-il dû s'attendre à quelque chose de différent de la même entreprise qui était impliquée dans la production de l'Agent Orange à des fins militaires pendant la guerre du Vietnam (1961-1971) ? Plus de 4,8 millions de Vietnamiens ont souffert des effets négatifs du défoliant, qui a été pulvérisé sur de vastes étendues de terres agricoles pendant la guerre, détruisant la fertilité de la terre et l'approvisionnement alimentaire du Vietnam. Environ 400 000 Vietnamiens sont morts suite à l'utilisation de l'Agent Orange par l'armée américaine, tandis que des millions d'autres souffraient de la faim, de handicaps invalidants et de malformations congénitales.
C'est l'entreprise que nous avons autorisée, avec Bayer, à contrôler environ un quart de l'approvisionnement alimentaire mondial. Cela soulève la question: Qui est plus fou? Bayer et Monsanto, ou We the People ?
Il est important de mentionner que la convergence Bayer - Monsanto ne se produit pas dans un vide corporatif. Tout cela fait partie d'une course de la part des sociétés agrochimiques mondiales à la foire de l'approvisionnement alimentaire mondial. ChemChina a racheté la société suisse Syngenta pour 43 milliards de dollars, par exemple, tandis que Dow et DuPont ont forgé leur propre empire de 130 milliards de dollars.
Cependant, aucune de ces compagnies ne porte la même réputation sanglante que Bayer et Monsanto, une allumette faite en enfer qui menace toute la vie sur terre.
Après tout, comme le dit Robert Bridge, les soldats américains ne sont-ils pas des criminels ? Sont-ce des criminels ceux qui fabriquent du gaz moutarde commandé par le gouvernement ? (ou des pistolets, canons, missiles ?). Bayer comme Monsanto (ou Google, Facebook, etc) sont des entreprises privées qui proposent. S'il n'y a aucune concurrence ils sont appelés faussement oligopoles ou monopoles.
En 2009, 1 seul agriculteur nourrit 80 à 100 personnes par rapport à 5 personnes nourries en 1945. 150 plantes cultivées dans le monde, mais 12 seulement couvrent 80% des besoins alimentaires En 1975, un hectare nourrissait dans le monde 3 personnes, demain en 2020 ce même hectare devra nourrir 8 personnes.
En 1960, il fallait environ 8 heures de SMIC pour se payer 1kg de viande (jambon ou steack), en 1990, il en fallait moins de deux. De la même manière le beurre, les pâtes ou le pain ont vu leur prix d'achat divisé par un facteur de 5 à 10. Cela a permis de faire passer le coût de l'alimentation dans les ménages de 35% en 1970 à moins de 15% actuellement. Dans le même temps la part des dépenses de services et de loisirs est passée de 34% à plus de 50%.
Globalement aujourd'hui, un agriculteur français nourrit 60 personnes. En 1960, un agriculteur nourrissait 15 personnes pour deux fois plus cher. Cette évolution s'est faite sans que l'opinion publique s'occupe vraiment des bouleversements qui s'opéraient dans nos campagnes. Ceci s'explique par la décroissance considérable du nombre des agriculteurs (2 millions en 1960 et 500 000 aujourd'hui en France) pendant que la société devenait essentiellement urbaine et oubliait les soucis de nourriture quotidienne.
Par exemple, quand on croise deux lignées de maïs, il arrive que la première génération présente des caractéristiques agronomiques très supérieures à celles de ses parents. Ce phénomène est aujourd'hui largement utilisé pour de nombreuses espèces. Il présente cependant un inconvénient qui limite son emploi : la semence doit être rachetée chaque année par les agriculteurs. Car seul le semencier détient les deux géniteurs à l'origine de l'hybride.
La révolution climatique canadienne: les électeurs se rebellent contre les taxes sur le carbone de Trudeau
Eric Worrall 30 juin 2018
The Economist s'inquiète que les Canadiens élisent de puissants politiciens d'État opposés aux politiques climatiques de Trudeau.
Le nouveau chef de l'Ontario peut-il détruire le plan canadien sur les changements climatiques?
Si l'Alberta le soutient, il pourrait le faire
The Economist explique 27 juin 2018 par M.D. | OTTAWA
Doug Ford dit que son premier acte officiel en tant que chef de la province la plus peuplée du Canada, l'Ontario, sera de tuer le programme de plafonnement et d'échange mis en place par le gouvernement libéral que ses progressistes conservateurs ont défait plus tôt ce mois-ci. Au 29 juin, date de la rétrocession, M. Ford promet que ce qu'il décrit comme «la taxe carbone cap-and-trade» aura disparu. Le programme sur le changement climatique est une politique provinciale, mais il fait aussi partie du plan national du Canada, qui dépend essentiellement de la réduction des émissions de gaz à effet de serre de chacune des dix provinces et des trois territoires. En retirant l'Ontario, le deuxième plus grand émetteur après l'Alberta riche en énergie, M. Ford va-t-il détruire le plan national sur les changements climatiques ?
Les sondages indiquent que le Parti conservateur uni dirigé par Jason Kenney remplacera le gouvernement néo-démocrate favorable au climat de l'Alberta l'an prochain. M. Kenney promet de mettre fin au plan de changement climatique de l'Alberta. Imposer une taxe sur le carbone à la plus grande province du Canada sera difficile. Prendre l'Alberta en même temps pourrait bien s'avérer impossible.
Lire la suite: https://www.economist.com/the-economist-explains/2018/06/27/can-ontarios-new-leader-wreck-canadas-climate-change-plan
Les Verts ne peuvent pas gagner, parce que les victoires vertes sont auto-défaites.
Je n'ai aucun doute que les Canadiens aimeraient passer à un avenir énergétique vert. Qui ne voudrait pas d'une source d'énergie magique qui garde les gens au chaud en hiver sans polluer la Terre ?
Trudeau a gagné avec la promesse de lancer la révolution de l'énergie verte au Canada. Mais tous les Canadiens ont vu des coûts plus élevés, des pertes d'emplois et de précieux progrès écologiques.
Pour les adeptes de l'énergie verte, ceux qui, après toutes les déceptions, croient encore sincèrement que l'énergie verte est un substitut viable aux combustibles fossiles, l'échec doit en quelque sorte être la faute de Trudeau. Seul un incompétent pourrait ne pas réaliser notre futur vert inévitable et à faible coût.
Les gens qui ne sont pas aveuglés par les dogmes sont conscients que l'énergie verte n'est pas un substitut viable aux combustibles fossiles. Même les défenseurs de l'énergie verte qui font un véritable effort pour enquêter sur la question, comme Google Engineers en 2014, découvrent avec horreur qu'il n'y a pas de route viable vers l'énergie verte abordable utilisant quelque chose ressemblant vaguement à la technologie actuelle.
Les croyants continueront à être balayés par les mensonges et les fausses promesses, mais les victoires vertes sont de courte durée et finissent toujours par être déçues. La révolution canadienne grandissante contre le fanatisme vert de Trudeau était inévitable.
Panique climatique: Le remplacement du juge Kennedy par Trump pourrait abroger le droit de l'EPA de réguler le gaz carbonique
Eric Worrall 30 juin 2018
Imaginez à quel point les États-Unis seraient différents si les lois sur le climat étaient décidées par les représentants élus du peuple, plutôt que par des manœuvres sournoises en vue d'étendre la portée des lois existantes.
Une décision historique sur les changements climatiques pourrait disparaître après la fin du procès du juge Kennedy
PAR MARK KAUFMAN
Après 30 ans à la Cour suprême, le juge Anthony Kennedy quittera le plus haut palais de justice du pays à la fin du mois de juillet.
Avec le départ de Kennedy vient beaucoup de malaise. L'une des causes d'inquiétude concerne la décision sur le climat primordiale, Massachusetts c. EPA, dans laquelle Kennedy s'est avéré être le vote décisif, comme il l'a souvent été. L'inquiétude est qu'avec son départ, la décision sera mise en péril.
L'affaire a eu lieu après que l'EPA ait décidé, en 2003, qu'elle ne pouvait pas réglementer les gaz à effet de serre retenant la chaleur. Douze États, y compris le Massachusetts, ont intenté une poursuite contre l'agence. Ils ont soutenu que ces gaz étaient des polluants et un danger pour le public. Finalement, l'affaire a trouvé son chemin à la Cour suprême.
Instauré par cinq voix contre quatre en 2007, Massachusetts v. EPA a statué pour la première fois que les gaz à effet de serre piégeant la chaleur sont polluants, et que l'Environmental Protection Agency (EPA) peut les réglementer, tout comme l'agence contrôle la pollution émise par voitures et camions.
"Je pense que le Massachusetts v. EPA est la décision environnementale la plus importante jamais décidée par la Cour suprême", a déclaré Ann Carlson, directrice de l'Institut Emmett sur le changement climatique et l'environnement à la Faculté de droit de l'UCLA.
Le président Donald Trump choisira le prochain candidat à la Cour suprême, et il est presque certain que cette personne, à tout le moins, verra Massachusetts v. EPA défectueux ou mauvaise loi. Trump est ouvertement hostile à la science climatique largement acceptée, et semble ne pas avoir même une compréhension élémentaire de la façon dont fonctionne le climat.
Lire la suite: https://mashable.com/2018/06/30/kennedy-supreme-court-climate-massachusetts-epa/
Massachusetts v. EPA donne à l'EPA le droit de réglementer le gaz carbonique en utilisant les lois existantes sur l'air pur.
Ce que je trouve encore choquant, c'est que les verts méprisants comme Kaufman semblent manifester pour la démocratie.
Si les verts veulent réguler le gaz carbonique, ils devraient essayer de convaincre les électeurs de soutenir les politiciens qui prévoient de réguler le gaz carbonique.
Des efforts détournés pour étendre la portée des lois existantes sont politiquement dangereux. À mon avis, la décision de 2003 de l'EPA contre le Massachusetts et de nombreux autres exemples de mépris écologique pour la démocratie au fil des ans démontre que les verts sont conscients qu'ils n'ont pas le soutien dont ils ont besoin pour adopter les lois draconiennes qu'ils veulent adopter. ils s'en foutent.
Les verts sont déterminés à obtenir leur chemin indépendamment de ce que les gens veulent.
(...) Ce que je trouve encore choquant, c'est que les verts méprisants comme Kaufman semblent manifester pour la démocratie. (...)
Les États-Unis ne sont PAS une Démocratie mais son contraire: une république. Ainsi, les 'élus du Peuple' peuvent-ils voter des lois contre le Peuple sans leur demander leur avis !!!
ENCHÈRES - LA GAMBIE VEND LES BIENS DE SON EX-PRÉSIDENT
01.07.2018, 11h17
Les autorités gambiennes espèrent pouvoir récolter près de dix millions de francs des avions et autres terrains délaissés par l'ex-président.
A vendre: trois avions présidentiels, trente voitures de luxe, quatre terrains en zone touristique - Prix à débattre. Plus d'un an après le départ de l'ex-président Yahya Jammeh, la Gambie propose aux plus offrants les biens qu'il n'a pas pu emporter en exil.
Immobilisés sur le tarmac de l'aéroport de Banjul, trois avions de ligne - un Boeing 727, un Bombardier Challenger 601 et un Iliouchine Il-62 M soviétique - frappés des mots «Republic of The Gambia» se couvrent petit à petit d'une fine couche de sable.
Un peu plus loin, deux petits avions épandeurs ayant appartenu à Yahya Jammeh voient également leur peinture verte disparaître sous la poussière. Les cinq aéronefs sont visibles depuis le restaurant de l'aéroport de ce petit pays anglophone d'Afrique de l'Ouest totalement enclavé dans le Sénégal, à l'exception de son étroite façade côtière prisée des touristes.
Des millions
Ils sont mis en vente en même temps que quatre terrains non bâtis de Yahya Jammeh situés dans le secteur le plus coté du pays. Au total, les autorités gambiennes espèrent récolter quelque 10 millions de dollars (quelque 9,9 millions de francs), avait expliqué en 2017 au Parlement le ministre des Finances, Amadou Sanneh.
Il faudra encore y ajouter les fruits de la cession d'une trentaine de véhicules luxueux que l'ancien dirigeant n'a pas pu emporter lorsqu'il s'est finalement résolu, après 22 ans d'un règne sans partage, à céder le pouvoir le 21 janvier 2017 à son opposant Adama Barrow, vainqueur de l'élection présidentielle.
Dans le garage de la présidence, deux énormes Hummer blindés prennent depuis lors la poussière aux côtés de cinq Rolls-Royce, d'une Bentley, d'une Mini-Cooper immatriculée «MYJ» - pour Mariam Yahya Jammeh, la fille de l'ex-président - de pick-ups et de BMW et Mercedes, ont constaté des journalistes de l'AFP.
«Nous travaillons à la création d'un site internet», a expliqué le secrétaire permanent du ministère des Finances, Lamin Camara. «Si des acheteurs sont intéressés, ce sera sans doute à eux de faire une offre, ou bien le gouvernement donnera un prix.» «Pillage» organisé
Moins de deux dollars par jour
Dans un pays où une grande partie de la population vit avec moins de deux dollars par jour, l'argent récolté doit servir à financer des programmes d'éducation, de santé et de développement agricole, selon des responsables gouvernementaux.
Lors d'une conférence internationale sur la Gambie en mai à Bruxelles, Adama Barrow a dit avoir trouvé «une économie sinistrée», dénonçant le «pillage des maigres ressources étatiques» par son prédécesseur.
Exil doré
Afin d'obtenir le départ de Yahya Jammeh pour un exil doré en Guinée Equatoriale, l'autorisation lui avait été donnée d'emporter sa collection de voitures de luxe, dont une partie était restée en Gambie, faute de place dans l'avion.
Quelques mois plus tard, le gouvernement décidait toutefois de geler les comptes de l'ex-président, soupçonné d'avoir détourné plus de 50 millions de dollars (environ 42 millions d'euros), puis de vendre ses principaux actifs laissés au pays.
Du bétail qui se trouvait sur les fermes de Yahya Jammeh a déjà été vendu en début d'année.
«De notre point de vue, ces voitures, ces propriétés, ont été acquises avec de l'argent public et appartiennent de droit à l'Etat», a déclaré à l'AFP le ministre de la Justice, Abubacarr Tambadou, mettant au défi l'ancien président d'en contester la vente en justice.
Prêts non remboursés
Yahya Jammeh avait acheté les avions grâce à des prêts consentis par la Social Security and Housing Finance Corporation, une institution publique en principe chargée d'administrer des fonds destinés au financement de la sécurité sociale, des maladies professionnelles et à la construction de logements, a expliqué son directeur financier, Abdoulie Cham.
A l'époque, «si vous ne suiviez pas les instructions, il risquait de vous arriver quelque chose. Ce n'était pas le genre d'instructions que vous pouviez remettre en cause», a dit M. Cham devant une commission d'enquête, en soulignant que les prêts n'avaient jamais été remboursés. (ats/nxp)
J'ai dépensé 1,5 milliard de dollars sur une interconnexion pour obtenir une réduction minime des factures d'électricité gonflées de façon obscène !
RépondreSupprimerJune 30th, 2018
Ce qui coûte 1 500 millions de dollars, ne fait pas d'électricité, mais «économise de l'argent» ?
L'Australie-Méridionale a utilisé les subventions fédérales pour construire plus d'énergie éolienne que ce qu'elle peut utiliser. Ils ont déjà dépensé un demi-milliard de dollars pour des moteurs à réaction diesel et une batterie qui peut alimenter l'état pendant quelques "minutes". Pendant 139 heures l'année dernière, l'État produisait tellement d'énergie éolienne qu'il fournissait 100 % des besoins en électricité de l'État, puis le problème de l'excès d'électricité s'aggravait à mesure que la production d'énergie éolienne augmentait et que l'énergie photovoltaïque augmentait.
Lorsque les règles et les règlements du gouvernement ont créé un problème inefficace et coûteux, que faisons-nous ? Plus de ça. Un nouveau rapport suggère que l'Australie méridionale a besoin d'une ligne de transmission directe vers NSW qui coûtera 1,5 milliard de dollars. Nous pourrions plutôt utiliser un générateur fiable, ou laisser le gouvernement à l'écart et laisser le secteur privé le faire pour nous, mais nous devrions plutôt payer une autre ligne de transmission pour relier différentes zones de subvention-demandeurs de loyer. et j'espère que nous aurons 30 $ sur la facture ? C'est une économie sur la marge d'erreur statistique ...
L'Australie du Sud n'avait même pas d'interconnecteur jusqu'en 1990. Maintenant, avec l'énergie décentralisée et renouvelable, ils en ont besoin de deux ?
C'est un autre coût caché d'une puissance peu fiable. Mettez l'interconnecteur sur l'onglet "Renouvelables". Il semble que ce soit la ligne directe entre les parcs éoliens qui sont censés changer la météo et le projet d'Hydro 2.0 dont nous n'avions pas besoin.
- voir photo sur site -
Interconnecteur, lignes de transmission, 500kV, Australie. Photo
Image: Marcus Wong Wongm
Économies d'énergie dans l'interconnecteur NSW-SA: rapport ElectraNet
MICHAEL OWEN,
Chef de bureau SA, The Australian Adelaide @mjowen
Les consommateurs économiseront jusqu'à 30 dollars sur leurs factures d'électricité si une nouvelle interconnexion entre la Nouvelle-Galles du Sud et l'Australie méridionale est construite, a déclaré la compagnie de transport d'électricité ElectraNet dans un projet de rapport sur la proposition du gouvernement Marshall.
Le rapport, publié aujourd'hui par ElectraNet, conclut qu'une nouvelle liaison de transport d'électricité "apporterait des avantages économiques substantiels".
Le directeur général d'ElectraNet, Steve Masters, a déclaré que les bénéfices nets du marché étaient estimés à environ 1 milliard de dollars sur 21 ans. Mais selon les estimations actuelles, M. Masters a déclaré qu'une nouvelle interconnexion coûterait 1,5 milliard de dollars dans les deux États. Le lien serait opérationnel entre 2022 et 2024.
D'Anero.id nous pouvons voir pourquoi SA veut maintenant un interconnecteur dont il n'a pas besoin.
RépondreSupprimerLa demande totale en SA est d'environ 2 000 MW, donc nous pouvons apprécier le plaisir que les gars doivent avoir dans les salles de contrôle du réseau SA, puisque 1 400 MW viennent et vont pour la plupart. (Graphique ci-dessous).
Le chaos du mégawatt en Australie méridionale a été soutenu par du charbon brun victorien. Maintenant que Hazelwood est fermé, ils ont besoin d'énergie de charbon du Queensland, ou s'il y en a, de NSW. SA a un excédent d'énergie renouvelable à vendre (parfois) pour récupérer les paiements RET forcés renouvelables.
- voir graphique sur site -
SA Énergie éolienne, graphique, juin 2018
Comme TonyfromOz l'a dit à TREIZE reprises ce mois-ci (jusqu'à présent), la capacité totale des éoliennes de 1800 MW et plus en SA n'a pas réussi à générer 50 MW d'électricité.
L'Australie du Sud a déjà plus d'énergie renouvelable qu'elle ne peut en utiliser
Tout le monde SA a 1806MW d'énergie éolienne et il ya 781MW de toit solaire signifiant par une journée ensoleillée et venteuse à midi SA doit déverser un peu d'excès sur les autres États. Cela fonctionne comme un répulsif anti-moustique pour tout générateur de base de charge fiable, aspirant efficacement tout le plaisir de posséder une ressource d'un milliard de dollars.
L'énergie éolienne dépasse déjà souvent la demande de l'État - AEMO:
La pénétration du vent était supérieure à 100 % [en SA] pendant 139 heures au cours de l'année 2016-2017, sur 30 jours différents tout au long de l'année. À ces occasions, l'Australie méridionale aurait pu fournir entièrement sa demande locale à partir de la production d'énergie éolienne, l'excédent d'énergie éolienne pouvant être exporté vers Victoria.
Cette puissance excédentaire est répartie sur 30 jours différents, n'est généralement pas pendant les périodes de pointe (quand cela peut être utile), elle crée de la volatilité dans les prix, et aide à chasser les joueurs de base les moins chers.
L'excès de puissance non fiable devrait augmenter à mesure que davantage de projets éoliens et solaires entrent en jeu.
"Au cours de l'année prochaine, le projet solaire de 220 MW de Bungala et le parc éolien de 212 MW de Lincoln Gap, tous deux près de Port Augusta, entreront en ligne de compte pour 65% d'énergies renouvelables. le point de clôture financière.
«AEMO s'attend également à ce que la capacité solaire sur le toit de l'Australie du Sud double et atteigne plus de 1500 MW d'ici 2025, date à laquelle la demande minimale de l'État pourrait être entièrement satisfaite par le solaire ...» - Renew Economy
À tout moment, le vent et l'énergie solaire ont besoin d'un soutien presque complet. L'énergie éolienne est limitée s'il n'y a pas assez de secours assis en attendant de passer à l'action.
Le but de toute cette infrastructure supplémentaire est de réduire les émissions de gaz carbonique et de changer le climat pour nos petits-enfants. L'électricité produite est presque toujours excédentaire par rapport aux infrastructures existantes.
RépondreSupprimerPensée du jour
Grâce à un certain caprice de la nature, même si l'Australie du Sud a les générateurs d'électricité les moins chers connus de l'humanité, elle a aussi l'électricité la plus chère au monde.
De peur que nous n'oublions, comme je le répète, qu'il y avait une option moins chère:
Il n'y a pas longtemps, Port Augusta avait une centrale au charbon de trente et un ans qui produisait 520 MW. Le premier ministre aurait pu dépenser 30 millions de dollars pour le maintenir.
h / t à William B dans les commentaires sur le site de The Australian.
http://joannenova.com.au/2018/06/spent-1-5-billion-on-an-interconnector-to-get-a-tiny-cut-in-obscenely-inflated-electricity-bills/
Robber
RépondreSupprimerJune 30, 2018 at 8:40 am ·
Pourquoi les moulins à vent ne peuvent jamais être une source d'électricité économique dans un monde 24/7.
Réponse: Parce que quand le vent ne souffle pas, il doit y avoir un générateur fiable en veille pour fournir de l'énergie dispatchable, si bien que vous devez investir deux fois pour fournir de l'électricité fiable. C'est pourquoi les coûts de l'électricité ont augmenté, car il y a maintenant plus de capitaux investis dans les générateurs pour fournir la même quantité d'électricité.
Prenons l'exemple du parc éolien d'Ararat à Victoria, dont la capacité nominale est de 240 MW, achevée en avril 2017. Le coût en capital est de 450 millions de dollars, «alimentant suffisamment d'énergie renouvelable pour alimenter 120 000 foyers, dont 37 000 à Canberra». Si l'on suppose un facteur de capacité de 30%, c'est une production moyenne de 72 MW, soit une allocation de 0,6 kW par foyer, soit 5 256 kWh par année.
Mais pour mardi-jeudi, la semaine dernière, Ararat a produit zéro électricité, en fait, il a consommé environ 3 MW pour faire tourner ces pales. Canberra, comment avez-vous fait face sans électricité ? Le Parlement était assis, donc ces pollies ont dû être encore plus dans l'obscurité que d'habitude. La contribution de ce ministre Frydenberg était-elle une «pression à la baisse sur les prix de l'électricité»?
Le réseau doit pouvoir faire face à la production d'Ararat de 0 à 240 MW, non pas en réponse à la demande, mais au hasard en fonction des conditions de vent.
En l'occurrence, à seulement 110 km d'Ararat, il existe des générateurs de gaz à cycle ouvert à Mortlake d'une capacité de 560 MW. Mortlake représente un investissement de 810 millions de dollars d'Origin, y compris le gazoduc associé provenant d'une usine à gaz d'Otways. Ainsi, ces générateurs peuvent également fournir une réserve pour Ararat, ainsi que le parc éolien de 190 MW à Waubra, 420 MW à Macarthur et 110 MW à Bald Hills, tous dans l'ouest de Victoria. Puissance éolienne combinée 960 MW, livraison moyenne 290 MW.
Le coût de l'électricité d'Ararat doit donc être calculé en tenant compte du coût supplémentaire de 72 MW de générateurs fiables, charbon, gaz, diesel ou hydro disponibles à la demande. Mais c'est pire que ça, parce que dans les vents violents, Ararat délivre plus de 200 MW de manière spasmodique, donc à ces occasions, il réduit l'utilisation de générateurs supplémentaires, réduisant leur rentabilité et augmentant les coûts unitaires de l'électricité.
Attendez une minute, qu'en est-il d'une grosse batterie comme la batterie Musk / Tesla de 100 MW au parc éolien de Hornsdale en Afrique du Sud ? Cette grosse batterie a coûté 50 millions de dollars (bien que le gouvernement SA ait refusé de publier le coût) pour 129 MWh. Donc, cela fournirait 2 heures de sauvegarde pour Ararat. Par conséquent, pour fournir une batterie de secours d'une semaine pour Ararat, il faudrait 12 000 MWh ou 94 Tesla grosses batteries pour un coût en capital de 4,7 milliards de dollars! Électricité abordable Je crois que non.
M. Finkel a signalé que le coût moyen de la production d'énergie éolienne était de 92 $ / MWh, mais il n'a pas inclus de frais de remplacement pour fournir de l'électricité fiable et expédiable.
Le réseau AEMO a survécu à ce jour parce qu'il y avait de l'électricité, du gaz et du charbon de secours disponibles lorsque le vent ne soufflait pas. Mais avec l'augmentation du nombre de générateurs éoliens, l'utilisation d'autres générateurs diminue, mettant plus de pression sur les prix et la fermeture éventuelle de certains générateurs comme nous l'avons vu dans SA et Vic. Le gouvernement a fait valoir que dans le cadre de la NEG, il y aura plus d'offre, ce qui exercera une pression à la baisse sur les prix. Mais si les prix baissent, les usines à faible utilisation fermeront.
RépondreSupprimerEn Afrique du Sud, ils veulent maintenant dépenser 1,5 milliard de dollars pour une autre interconnexion, malgré le fait que 1 800 MW de générateurs éoliens ont été construits pour un coût en capital de plus de 3 milliards de dollars, en moyenne 540 MW, mais parfois zéro. SA a une demande sur le réseau qui varie de 1 000 à 2 000 MW, et probablement encore plus en été. Donc, malgré toute cette énergie éolienne, ils doivent avoir en réserve au moins 2 000 MW de sources d'alimentation fiables. C'est ce qui détermine leurs coûts. L'été dernier, ils ont même ajouté 250 MW de générateurs diesel pour s'assurer que les lumières restent allumées après l'arrêt de leur dernière centrale au charbon.
Conclusion: Les coûts de l'électricité doivent augmenter avec des fournitures intermittentes comme les générateurs éoliens (et solaires) parce que vous devez également investir dans des générateurs de secours pour fournir une alimentation fiable et réglable pour répondre à la demande 24/7.
http://joannenova.com.au/2018/06/spent-1-5-billion-on-an-interconnector-to-get-a-tiny-cut-in-obscenely-inflated-electricity-bills/#comments
Nouvelles données sur la confiscation des biens civils en 2017
RépondreSupprimerCONNOR BOYACK
29TH JUIN 18
Nous avons déjà proposé une loi - qui a reçu un appui unanime - qui oblige le gouvernement à fournir des données chaque fois qu'il prend possession des biens d'une personne au moyen de la confiscation des biens.
Le dernier rapport, compilant des données pour 2017, vient d'être publié par la Commission de justice pénale et juvénile de l'Utah.
Pour les confiscations d'états, le rapport révèle les données suivantes (voir ci-dessous pour les confiscations fédérales):
Il y a eu 334 cas de confiscation d'état, et 88% d'entre eux ont eu lieu devant un tribunal civil, où le propriétaire n'a pas besoin d'être accusé, et encore moins condamné, d'un crime.
96 % des confiscations concernaient des infractions présumées en matière de drogue.
L'argent était confisqué dans presque tous les cas; la valeur médiane prise était de seulement 1 071 $.
64% des cas concernaient un jugement par défaut, lorsque le propriétaire a choisi de ne pas se battre contre la confiscation devant un tribunal.
Un total de 2 180 290 $ en espèces a été confisqué. Les autres biens confisqués s'élevaient à environ 401 653 $.
Dans 87% des cas, une accusation criminelle était associée à la saisie, 58% ayant donné lieu à une déclaration de culpabilité.
Étant donné que de nombreuses confiscations sont effectuées devant un tribunal fédéral, les exigences en matière de déclaration ont été modifiées l'an dernier pour exiger également la publication de données sur ces confiscations afin d'obtenir une image complète de la question. Voici quelques faits saillants:
Il y a eu 110 cas de confiscation par le gouvernement fédéral, dont 61 % par la Drug Enforcement Administration. 5 % ont été faits devant un tribunal civil et 11 % administrativement; 80 % ont été traités devant un tribunal pénal.
Le programme de partage équitable du gouvernement fédéral permet aux organismes d'application de la loi locaux de conserver 80 % du produit de la confiscation fédérale. En 2017, les agences ont reçu un total de 1 118 850 $ dans le cadre de ce programme.
69 % des affaires portaient sur des infractions présumées aux stupéfiants, 29 % sur des allégations de blanchiment d'argent.
Un récent sondage effectué auprès des électeurs de l'Utah a montré que 86 % d'entre eux s'opposent aux lois civiles sur la confiscation des biens qui permettent de confisquer définitivement des biens à une personne qui n'a pas été accusée d'un crime.
Un principe fondamental de notre système de justice pénale est que les personnes sont présumées innocentes jusqu'à preuve du contraire. Cette idée est violée lorsque le gouvernement peut légalement voler les biens d'une personne présumée innocente. À ce titre, nous continuons d'insister pour que des réformes garantissent que seules les personnes coupables d'un crime soient sujettes à ce que leurs biens soient définitivement pris par le gouvernement.
https://libertasutah.org/justice-and-due-process/new-data-on-civil-asset-forfeiture-in-2017/
L'Utah est un État comme un autre et soumis aux lois républicaines de la dictature.
SupprimerLe Peuple doit donc fermer sa gueule !
La Catalogne et le prix de la république: 4.000 entreprises sont parties et le PIB a diminué de 20 %
RépondreSupprimer30 JUIN 2018
Arnaud Lefebvre
Pendant le premier trimestre de 2018, la Catalogne a pu réunir à peine 348 millions d'euros en investissements étrangers, plus de 61,17 % en moins qu'un an auparavant.
Sur ce plan, les Catalans sont dépassés par Madrid et également par le Pays basque, selon des chiffres du ministère espagnol de l'Industrie, du Commerce et du Tourisme. Pour la même période, Madrid a connu une croissance de 81,6%. Les entreprises étrangères préfèrent de plus en plus souvent la capitale espagnole, tant la situation en Catalogne n'est pas claire.
4.057 entreprises ont quitté la Catalogne
La situation continue à peser sur les entreprises, car pendant le premier trimestre de 2018, 1.695 entreprises ont quitté la Catalogne pour installer leur siège dans une autre région. C'est presque 800% de plus qu'un an plus tôt, selon les calculs de l'analyste financier Dun & Bradstreet.
D'un autre côté, 94 entreprises se sont installées en Catalogne. Le chiffre d'affaires qui disparaît ainsi de Catalogne se monte à plus ou moins 14,4 milliards d'euros. Au total, depuis le référendum illégal sur l'indépendance, ce sont 4.057 entreprises qui ont quitté Barcelone et ses environs. Le bénéficiaire surprenant de cette situation est la région de Madrid qui a pu accueillir plus de 60% de ces entreprises.
20 % du PIB a quitté la région
Sur la radio espagnole Cadena Cope, Josep Bou, président de l'association d'entrepreneurs Empresaris de Catalunya, a expliqué ces chiffres. Selon lui, 20 % du PIB catalan a quitté la région depuis le 1er octobre 2017. Au total, ce sont 44 milliards d'euros qui sont partis vers d'autres régions espagnoles. "Ce n'est pas à moi de juger si ce que font les séparatistes est bien ou mal, mais, en tout cas, la réaction à ce qu'ils font est négative" a ajouté Bou.
La désignation de Quim Torra a mis de l'huile sur le feu dans le monde des affaires
La nomination du séparatiste Quim Torra à la présidence de la Generalitat de Catalunya n'a pas du tout calmé les esprits. Depuis son arrivée, plus de 100 entreprises supplémentaires ont plié bagages.
Torra avait annoncé qu'il exécuterait 100 % de l'agenda de Carles Puigdemont, son prédécesseur démis. Ce dernier a quitté cette semaine Berlin pour Hambourg, où il attend la décision de la justice allemande à propos de son extradition vers l'Espagne.
L'association Empresaris de Catalunya avait réfuté cette désignation immédiatement, en le traitant de "représentant d'un radicalisme extrême montrant des tendances à la xénophobie". Joaquin Gay de Montellà, président de l'association d'entrepreneurs Foment del Treball, craint que le contre-coup des actions du mouvement séparatiste est encore à venir. "Actuellement, l'économie est encore portée par un vent favorable. Mais je préviens les plaisanciers : si nous ne faisons rien, nous payerons un lourd tribut pour tout ce qui s'est passé ces derniers mois ".
https://fr.express.live/2018/06/30/la-catalogne-et-le-prix-de-la-republique-4000-entreprises-sont-parties-et-le-pib-diminue
SupprimerLa Catalogne est une région espagnole de la monarchie et, un autre dictateur voulait la transformer en république !!! et non en Démocratie ! D'où le mécontentement des entreprises qui ont préféré déménager.
SUISSE-UE LIGNES ROUGES TOUJOURS VALABLES POUR ALAIN BERSET
RépondreSupprimer30.06.2018, 15h36
Le président de la Confédération est revenu sur les propos d'Ignazio Cassis, qui évoquait de possibles concessions sur les mesures d'accompagnement.
«Nous avons des règles claires sur comment cela peut et doit se passer», a déclaré Alain Berset.
Pour Alain Berset, les lignes rouges définies dans le dossier européen restent valables. Le président de la Confédération contredit ainsi le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis, qui a remis en question l'intangibilité des mesures d'accompagnement.
Position maintenue
Il y a deux semaines, à la journée Swissmem de l'industrie, M. Cassis avait dit que la Suisse doit faire des concessions envers l'Union européenne (UE) sur cette question. Il a lancé le débat sur l'instrument visant à se protéger de la sous-enchère salariale pratiquée par des employeurs de l'UE, un point que le Conseil fédéral a défini il y a déjà plusieurs années comme une ligne rouge. Ces lignes rouges sont constituées par des domaines juridiques que le gouvernement exclut expressément des négociations avec l'UE.
Sur les ondes de la radio publique alémanique SRF, Alain Berset a réaffirmé samedi la position du Conseil fédéral. «Nous avons défini des lignes rouges il y a plusieurs années et les avons confirmées au début de cette année», a dit le président de la Confédération.
En fait partie par exemple la règles des huit jours. Celle-ci, qui est incluse dans les mesures d'accompagnement à la libre circulation des personnes, stipule que les artisans en provenance de l'UE doivent respecter ce délai d'annonce pour la réalisation d'un mandat en Suisse. Sur ce point, rien ne change.
En même temps, le président de la Confédération, interrogé sur cet aspect, n'exclut pas totalement qu'il puisse y avoir des adaptations sur certains points. «Fondamentalement, tout peut toujours changer, mais nous avons des règles claires sur comment cela peut et doit se passer. Pour le moment, ce qui est valable, c'est ce que nous avons défini», a dit M. Berset.
Partenaires sociaux
Le ministre socialiste n'a pas voulu répondre à la question de savoir dans quelle mesure le Conseil fédéral mise sur des discussions avec les partenaires sociaux pour examiner des alternatives. Les discussions entre partenaires sociaux sont toujours très importantes dans ce domaine, a-t-il noté.
La protection des salaires et le marché du travail sont des points centraux, a-t-il ajouté. Il s'agit là d'une discussion nécessaire de politique intérieure. Aucune décision n'a encore été prise sur les prochains pas à accomplir sur la voie d'un accord-cadre avec l'UE.
Ignazio Cassis avait défrayé la chronique avec ses déclarations. A ce sujet, Alain Berset a dit que le Tessinois, en tant que ministre des affaires étrangères, rencontre toujours des gens et il doit les informer sur l'état actuel du dossier UE et leur expliquer la politique européenne de la Suisse. Cela fait partie de son travail.
Un équilibre est toutefois nécessaire entre ce que l'on fait au Conseil fédéral et la manière dont on l'explique au public, a estimé M. Berset. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/suisse/lignes-rouges-toujours-valables-alain-berset/story/21552871
Le chef de l'État Suisse (2018) a bien rappelé que c'est le Peuple Suisse qui en Démocratie dirige la Suisse et non des dictatures étrangères !
SupprimerSondage: La plupart des Américains pensent que la frontière américaine est la plus poreuse au monde
RépondreSupprimerGregory Bull
29 juin 2018366
Le président Donald Trump a fait campagne et a probablement remporté la présidence sur sa promesse de construire un mur entre le Mexique et les États-Unis, et un nouveau sondage Rasmussen montre qu'une majorité d'Américains pensent que notre frontière est plus poreuse que dans d'autres pays.
"Malgré les efforts du président Trump pour renforcer l'application des frontières, les électeurs pensent toujours qu'il est plus facile pour les immigrants illégaux d'entrer aux Etats-Unis et de rester ici que dans une grande partie du reste du monde", a déclaré M. Rasmussen.
Le sondage téléphonique et en ligne a révélé que seulement 22 % des électeurs potentiels pensent qu'il est plus difficile d'entrer illégalement aux États-Unis que dans d'autres pays, tandis que 39 % ont déclaré que c'était plus facile. 26 % ont dit qu'entrer dans un pays illégalement est à peu près le même autour du globe.
Pour voir les questions posées, cliquez ici :
http://www.rasmussenreports.com/public_content/politics/questions/pt_survey_questions/june_2018/questions_immigration_harder_or_easier_june_25_26_2018
Breitbart News a rapporté en mars qu'un sondage Quinnipiac a révélé que les électeurs républicains pensent toujours que l'immigration est la question la plus importante des élections de mi-mandat de novembre, avec l'économie.
Le sondage a révélé que les républicains pensent que l'immigration est plus importante que les taxes, les soins de santé et la politique des armes à feu et qu'ils voteraient en conséquence.
Breitbart News a également rapporté que la majorité des électeurs potentiels dans les 2018 districts de transition à travers le pays ont déclaré qu'ils croient que l'immigration a empiré la vie en Amérique, selon un sondage CBS News / YouGov pris début Juin.
Environ 56 % des électeurs potentiels ont déclaré que l'immigration aggrave leur situation, alors que seulement 17 % affirment que leur région a été «améliorée» en raison de l'immigration.
L'enquête Rasmussen auprès de 1 000 électeurs potentiels a été menée les 25 et 26 juin. La marge d'erreur d'échantillonnage est de plus ou moins trois points de pourcentage, avec un niveau de confiance de 95%.
Breitbart News a rapporté:
Actuellement, les États-Unis admettent plus de 1,5 million d'immigrants légaux et illégaux chaque année, et plus de 70% d'entre eux arrivent au pays par le biais du processus de «migration en chaîne» par lequel les citoyens nouvellement naturalisés peuvent amener un nombre illimité de parents étrangers aux États-Unis.
Au cours des 20 prochaines années, le système actuel d'immigration légale des États-Unis est sur le point d'importer environ 15 millions de nouveaux électeurs nés à l'étranger. Entre sept et huit millions de ces électeurs nés à l'étranger arriveront aux États-Unis par le biais de la migration en chaîne.
http://www.breitbart.com/big-government/2018/06/29/poll-most-americans-think-u-s-border-most-porous-in-the-world/
Fraude en santé publique: pourquoi la fluoration de l'eau est l'un des plus grands crimes contre l'humanité
RépondreSupprimerVendredi 29 juin 2018
par: Vicki Batts
(Natural News) La médication de masse des citoyens par la fluoration de l'eau est peut-être l'un des plus grands crimes contre l'humanité qui ait lieu aujourd'hui - et c'est aussi l'un des scandales les plus sous-déclarés. Oser parler des faits réels sur le fluorure vous donnera l'impression d'être un «théoricien du complot fou», tout comme s'interroger sur la sécurité des vaccins ou parler des dangers du glyphosate vous permettra d'être qualifié d '«anti-science».
Mais, même si le coût peut être élevé, quelques âmes courageuses sont toujours disposées à parler des dangers pour la santé que nous imposent les pouvoirs en place. Le docteur David Kennedy, un dentiste biologique, a récemment qualifié la fluoruration de l'eau de «fraude à la santé publique» et sa description ne pouvait être plus exacte.
La fraude du fluorure
D'abord et avant tout, le fluor n'est pas un nutriment essentiel. Les humains n'ont pas et n'auront jamais besoin de fluor pour être en bonne santé. En fait, c'est tout le contraire: le fluor est une substance hautement toxique. C'est pourquoi il y a un avertissement de poison sur le dentifrice et d'autres produits contenant du fluorure.
Comme l'explique Fluoride Action Network, le fluor a toujours été utilisé comme pesticide - et c'est la raison pour laquelle consommer trop de fluor en une séance peut entraîner un empoisonnement grave et même la mort. Mais les dangers du fluorure ne finissent pas avec l'aigu. À long terme, il y a beaucoup d'autres effets secondaires négatifs à avoir.
La fluorose dentaire et la fluorose squelettique sont les deux formes de dommages les plus évidentes. Les experts ont noté qu'au moment où le fluor a été déposé dans le tissu osseux, il est très probable que d'autres formes de dommages moins détectables ont eu lieu. Par exemple, des études ont montré que la consommation chronique de fluorure peut entraîner une douleur arthritique et un risque accru de fractures - même avant que la fluorose squelettique ne s'installe.
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Il y a aussi des préoccupations importantes au sujet des effets que la consommation de fluorure au cours de la vie peut avoir sur le cerveau et la thyroïde. De nombreuses études ont montré que la consommation de fluor peut provoquer des lésions cérébrales et une baisse du QI chez les enfants.
La fluoration de l'eau devrait être un crime
RépondreSupprimerIl y a environ 20 ans, un syndicat représentant des scientifiques et des toxicologues de l'EPA aurait déclaré: «Nous estimons que la fluoration de l'eau est un risque déraisonnable.
Par le passé, le syndicat a témoigné que la fluoration de l'eau était liée à «un cancer, des dommages génétiques, une déficience neurologique et une pathologie osseuse».
Une étude menée en 2012 par la Harvard Medical School a révélé que la fluoration de l'eau était liée à des QI plus faibles et à un développement cognitif défavorable chez les enfants.
L'auteur principal de l'étude, Philippe Grandjean, a commenté les résultats. «Le fluorure semble s'intégrer au plomb, au mercure et à d'autres poisons qui causent la fuite des cerveaux chimiques. L'effet de chaque toxique peut sembler faible, mais les dommages combinés à l'échelle de la population peuvent être graves, en particulier parce que la puissance cérébrale de la prochaine génération est cruciale pour nous tous », a-t-il déclaré.
En 2015, Grandjean et son équipe ont publié une recherche de suivi, qui a examiné les effets de la fluoration continue de l'eau au cours de la vie chez les enfants de première année. Et encore, les résultats ont confirmé leurs soupçons sur la neurotoxicité du fluorure. Les chercheurs ont de nouveau conclu que leurs données «soutiennent l'idée que le fluor dans l'eau potable peut produire une neurotoxicité développementale».
La preuve du préjudice est claire - mais rien n'est fait pour réduire les efforts de fluoration de l'eau. Le danger est de vraies personnes; La fluoration de l'eau n'est rien de plus qu'un plan visant à réduire les masses et à rendre les gens malades. En réalité, la fluoration de l'eau est un crime; ce n'est pas seulement une forme de médicament de masse, mais plutôt un empoisonnement de masse. Il n'y a aucune raison pour que cette substance toxique soit ajoutée à l'approvisionnement public en eau. Vous pouvez en apprendre plus sur les efforts locaux pour mettre fin à la fluoration de l'eau ici.
Pour plus d'informations sur les dangers du fluor et le plan d'empoisonnement de l'eau publique, lisez sur http://www.fluoride.news
https://www.naturalnews.com/2018-06-29-public-health-fraud-water-fluoridation-is-one-of-the-greatest-crimes-against-humanity.html
Le bitcoin s'élève le plus en trois mois, revenant au-dessus de 6 000 $
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 30/06/2018 - 11:54
Après avoir franchi la barre des 6 000 $ pour la quatrième fois en une semaine hier, Bitcoin a bondi pendant la nuit, bondissant de 10 % à un point, le plus en trois mois.
- voir graphique sur site -
La poussée de 10% est une valeur aberrante notable après des semaines de pression constante à la baisse, mais nous notons qu'elle s'est déjà légèrement atténuée avec le reste des cryptos.
- voir graphique sur site -
Et même si Bitcoin a baissé de 70 % depuis ses sommets, il est facile pour les naysayers originaux de se réjouir avec le "on vous dit de danser", nous remarquons que Bitcoin est toujours en hausse de 155 % en glissement annuel et comme le dit Simon Black de SovereignMan, il est important d'avoir un contexte historique lorsque l'on considère l'avenir de Bitcoin ...
Le 29 mars 1879, un journal largement diffusé appelé The American Register publiait un éditorial cinglant affirmant qu '"il est douteux que l'électricité soit [largement] utilisée" parce que c'était trop cher à produire.
Plusieurs mois plus tard, le Comité spécial de l'éclairage et de l'électricité de la Chambre des Communes britannique a tenu des audiences sur l'électricité, les experts affirmant qu'il n'y avait «pas la moindre chance» que le monde se tourne vers la production d'électricité.
Ce n'est pas que l'électricité n'existait pas à ce moment-là. Ça faisait. De sérieuses études et recherches ont été consacrées à l'électricité depuis les années 1600.
Mais même en 1879, il était encore considéré comme un fantasme coûteux.
Puis le jour de l'An de la même année, Thomas Edison a dévoilé publiquement son ampoule à incandescence à Menlo Park, New Jersey.
Au moment où il aurait déclaré: «Nous allons faire de l'électricité si bon marché que seuls les riches vont brûler des bougies."
Trois ans plus tard, en 1882, Edison allumerait le premier service public d'électricité du monde.
Et à la fin de la décennie, il allait fonder General Electric, qui restait l'une des plus importantes au monde jusqu'à ce qu'un tas de bouffons l'envahissent au début du 21ème siècle.
Nous savons, bien sûr, ce qui s'est passé avec l'électricité: elle est finalement devenue omniprésente ... lentement, puis rapidement.
En 1908, 26 ans après qu'Edison a mis en service le premier service public d'électricité, seulement 10 % des ménages américains étaient encore sur le réseau.
Mais alors le rythme de l'adoption s'est accéléré. En 1941, 80% des ménages étaient sur la grille.
Ainsi, les premiers 10 % ont pris 26 ans, et les 70 % suivants n'ont pris que 33 ans.
RépondreSupprimerPour les technologies suivantes, la courbe d'adoption était encore plus raide.
Le réfrigérateur, par exemple, n'a pris que deux décennies pour augmenter sa prévalence dans les ménages américains de 10% à 80%.
Les téléphones portables ont été encore plus rapides, passant de 10% à 80% en seulement 14 ans, de 1994 à 2008.
C'est un point important: les nouvelles technologies sont adoptées à des vitesses de plus en plus rapides ... une fois qu'elles atteignent une masse critique minimale.
L'adoption de la technologie cryptofinance et de la comptabilité distribuée (DLT) pourrait suivre cette tendance.
Comme nous venons de le dire hier, les banques ont désespérément besoin d'un coup de pied géant dans le cul, ce que les technophiles appellent la «désorganisation».
Les banques ont eu une mainmise monopolistique sur l'argent de leurs clients pendant des siècles.
Et comme nous le voyons constamment dans les titres, les banques n'hésitent pas à abuser de cette confiance privilégiée.
Crypto et DLT détruisent leur monopole en décentralisant et en désintermédiant les transactions financières.
Après tout, nous sommes en 2018. Il n'y a plus aucune raison de mettre un tas d'intermédiaires entre vous et vos économies.
Envoyer de l'argent devrait être aussi simple que d'envoyer un courriel ... et la technologie pour le faire devrait être aussi répandue que le courriel lui-même.
Crypto et DLT rendent tout cela possible. Et l'histoire suggère que nous pourrions voir l'adoption généralisée de ces technologies seulement 10 ans après avoir atteint une masse critique minimale.
Pour les besoins de l'argumentation, supposons que la «masse critique minimale» signifie qu'environ 10% des particuliers et des entreprises utilisent régulièrement la technologie pour les transactions financières.
Une étude de l'Université de Cambridge en mars 2017 a estimé le nombre d'utilisateurs actifs de Bitcoin entre 2,9 et 5,8 millions.
C'est en hausse de zéro en 2009 ... une croissance si impressionnante à coup sûr.
Mais même une vision optimiste de ces chiffres suggère que l'utilisation de crypto et de DLT est bien en deçà d'une masse critique minimale pour accélérer leur adoption généralisée.
Il est clair qu'il y a encore un long chemin à parcourir avant que ces technologies soient aussi omniprésentes que l'email ou le mobile.
La question est: combien de temps faudra-t-il pour atteindre cette masse critique ?
L'industrie de la téléphonie mobile peut être un exemple illustratif.
Les premiers téléphones cellulaires ont été développés entre 1971 et 1973. Mais il a fallu plus de 20 ans pour que leur utilisation passe de 0 % à 10 % de la population. (Mais alors seulement 14 ans pour passer de 10 % à 80 %.)
RépondreSupprimerDonc, en utilisant les téléphones mobiles comme point de référence, et compte tenu du fait que la crypto a déjà dix ans, il faudra peut-être encore dix ans avant d'atteindre cette masse critique minimale.
Le revers de la médaille signifie que nous pourrions encore avoir une décennie d'opportunités incroyables à explorer, que je classerais comme suit:
1) Technologie de base. Dans les premiers jours d'une tendance technologique majeure, il existe toujours des possibilités de développer, d'améliorer et de réitérer la technologie de base qui sous-tend cette tendance.
Ça commence toujours avec des individus - un gars comme Steve Wozniak dans son garage.
Mais finalement ces opportunités sont prises en charge par d'énormes sociétés ... et avec le temps, il devient plus difficile pour le petit gars de rivaliser.
Cela commence à se produire avec crypto: les opportunités de développement de niche qui étaient autrefois dominées par de petites équipes de programmeurs attirent maintenant la concurrence et les ressources de méga-entreprises (comme JP Morgan).
Il est toujours possible de réussir dans ce domaine. Mais il deviendra de plus en plus difficile au cours des prochaines années.
2) Vendre des pelles aux mineurs d'or. Ce sont les personnes et les entreprises qui construisent l'infrastructure de base et facilitent l'adoption de la technologie.
Dans les premiers jours d'Internet, c'était America Online.
Il s'agit d'une zone très intéressante en crypto en ce moment, et il y a beaucoup de grandes entreprises (Fidelity, Goldman Sachs) qui construisent des infrastructures pour faciliter l'achat et la vente de crypto-monnaie.
3) Application de la technologie.
Pensez Amazon: Jeff Bezos a adopté une nouvelle technologie (Internet) et l'a appliquée à un modèle d'entreprise vieux de 5 000 ans (ventes au détail physiques). Il est maintenant l'homme le plus riche du monde. Et certains des noms les plus importants dans le commerce de détail font faillite.
C'est, de loin, l'opportunité la plus excitante du secteur.
Il ne s'agit plus de spéculer sur une pièce ou un ICO; la véritable opportunité est d'appliquer la technologie à d'autres industries.
Et compte tenu du taux relativement faible d'adoption de la technologie en ce moment, cette opportunité est grande ouverte.
Et pour continuer à apprendre à vous épanouir peu importe ce qui se passe dans le monde, je vous encourage à télécharger gratuitement notre Guide Perfect Plan B gratuit.
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-30/bitcoin-soars-most-3-months-back-above-6000
(...) C'est un point important: les nouvelles technologies sont adoptées à des vitesses de plus en plus rapides ... une fois qu'elles atteignent une masse critique minimale. (...)
SupprimerEffectivement, comme le dit Simon Black de SovereignMan, le progrès va si vite aujourd'hui que c'est presque tous les pays qui ont l'EMP !
Ce qui donne à réfléchir !
"Ces gars-là sont comme des diamants" - La pénurie de camionneurs en Amérique frappe un point de crise
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 30/06/2018 - 12:10
Presque tous les produits de consommation - de la nourriture aux textiles en passant par l'électronique - vendus aux États-Unis touchent parfois le lit d'un camion. C'est pourquoi la pénurie de camionneurs pour transporter des marchandises à travers les États-Unis est devenue un problème tellement intraitable pour les entreprises américaines - et le chômage à 3,8 % n'aide pas.
Une pénurie de travailleurs oblige les entreprises de camionnage à augmenter leurs salaires et à offrir d'autres incitatifs pour combler une pénurie «officielle» de 60 000 emplois qui, selon certains initiés de l'industrie, est plus proche de 100 000.
Et comme les entreprises sont de plus en plus désespérées, ils sont prêts à jeter un coup d'œil sur les candidats qui n'auraient jamais eu une chance dans des circonstances normales, selon le Washington Post.
Au TDDS Technical Institute, une école de camionnage indépendante dans l'Ohio où Blocksom a envisagé de s'inscrire, des enseignants chevronnés affirment ne jamais avoir vu cela aussi mal. Ils disent qu'il pourrait y avoir plus de 100 000 ouvertures de camions.
«Tant que vous pouvez entrer et sortir d'un camion et passer un examen physique, une entreprise de camionnage vous regarde maintenant», a déclaré Tish Sammons, coordonnatrice du placement chez TDDS, dont le bureau est rempli de camions et de tracts. des entreprises qui l'appellent tous les jours mendier pour les conducteurs. "J'ai récemment placé quelqu'un qui a purgé une peine pour homicide involontaire."
L'histoire de WaPo s'ouvre avec une anecdote sur Bob Blocksom, un retraité de 87 ans, un vendeur d'assurance à la recherche d'un emploi après n'avoir pas économisé assez d'argent pour sa retraite.
Et les entreprises de camionnage, en fait, sont prêts à lui donner un coup de feu - même si la plupart des employeurs ne considèrent pas un homme de son âge. La seule chose qui le retient? Être loin de sa femme de 60 ans.
LAKE MILTON, Ohio - Bob Blocksom, un ancien vendeur d'assurance âgé de 87 ans, a besoin d'un emploi. Il n'a pas économisé assez d'argent pour sa retraite. Et les entreprises de camionnage, désespérées pour les travailleurs, sont prêtes à lui en donner un.
L'âge n'avait pas d'importance, ont-ils dit. Si Blocksom pouvait obtenir son "CDL" - permis de conduire commercial - ils l'embaucheraient pour un emploi de 50 000 $. On a même offert de payer ses frais de scolarité pour l'école de conduite, mais il y avait un problème: Blocksom a dû s'engager à conduire un camion à 18 roues partout aux États-Unis pendant un an.
Jusqu'ici, cela a été trop demander à Blocksom, qui ne veut pas passer beaucoup de temps loin de sa femme de 60 ans. "Plus j'y pense, plus il serait difficile d'être sur la route du lundi au vendredi", a-t-il déclaré.
Les salaires énumérés dans l'histoire se chiffraient à 80 000 $ par année, en plus des avantages. Et certaines entreprises disent qu'elles envisagent des augmentations, car cela ne suffit pas pour attirer les jeunes. Déjà, selon WaPo, des sociétés comme Amazon, General Mills et Tyson Foods répercutent des coûts de transport plus élevés sur les consommateurs. Wal-Mart a même identifié la hausse des coûts de transport comme le plus grand «vent de face» de l'entreprise.
"Cela ralentit déjà l'économie", a déclaré Peter Boockvar, directeur des investissements chez Bleakley Advisory Group. "S'il me faut une semaine au lieu de deux jours pour expédier des produits du point A au point B, je perds des affaires potentielles."
RépondreSupprimerMême avec la nouvelle réglementation fédérale obligeant les camionneurs à consigner leurs heures de travail pour ne pas dépasser la limite quotidienne de 11 heures, être camionneur est un «travail difficile» qui prend «une race spéciale». Les nouveaux camionneurs prennent souvent du poids en s'asseyant toute la journée. Les périodes de séparation affectent souvent les relations interpersonnelles, et les divorces sont fréquents.
Le camionnage est également étonnamment dangereux: il y a eu plus de 1 000 morts parmi les conducteurs de véhicules à moteur en 2016, selon le département du travail. Cela signifie qu'être chauffeur de camion est huit fois plus meurtrier qu'un policier. L'obtention d'un CDL prend également des mois de scolarité et peut coûter jusqu'à 7 000 $. Sans surprise, un nombre croissant de candidats échouent aux tests obligatoires de médicaments qui font partie de la demande.
La communauté autour de TDDS est pleine d'usines fermées et de bars nommés "Lucky Inn" et "Horseshoe". Les aciéries ont fermé leurs portes dans les années 1980 et une usine GM vient d'annoncer plus de mille licenciements. L'une des seules industries qui croît dans la région est le camionnage, mais les habitants hésitent à devenir camionneurs.
Un homme, un concierge, qui traînait à l'atelier de réparation de Larry's Automotive près de Warren, a déclaré que ses oncles étaient des camionneurs et lui ont dit qu'ils le «tueraient» s'il se mettait dans une affaire difficile. Le propriétaire de la boutique a dit qu'il avait envisagé de devenir camionneur, mais a décidé que ce n'était pas faisable après avoir eu des enfants.
Les emplois de camionnage exigent que les gens quittent leur famille pendant des semaines et vivent dans une petite «cabane» avec un lit dur. Les divorces sont communs, disent les anciens combattants, et leurs enfants les oublient. Une vie sur la route est souvent coûteuse et malsaine. Les conducteurs sont assis pendant des heures par jour dans des camions diesel et tirent dans des arrêts de camions qui servent généralement des hot-dogs et du chili gras.
Selon Gordon Zellers, un médecin de l'Ohio qui passe la moitié de son temps à examiner les camionneurs et à administrer des tests de dépistage de drogues, le nombre de demandeurs de CDL échoue. Il conseille aux étudiants TDDS de voir un nutritionniste, mais il sait que la plupart ne le feront pas.
Même les entreprises qui n'exigent pas que leurs conducteurs «passent la route» - c'est-à-dire effectuent des trajets à long terme - ont du mal à recruter.
"Ces gars-là sont comme des diamants en ce moment", a déclaré Jason Olesh, vice-président d'Aim Transportation Solutions, qui a quitté ses vacances en famille pour se précipiter à TDDS pour parler aux étudiants. "Nous sommes en baisse de 90 pilotes dans notre flotte de 650."
Olesh a donné son meilleur discours aux étudiants: il leur a offert des emplois qui paient 70 000 $ par année avec des avantages complets et des routes régionales transportant l'eau jusqu'aux sites de forage pétrolier qui les ramèneraient à la maison presque tous les soirs.
«Je vous offre un emploi régulier avec un quart de travail de 10 à 12 heures afin que vous puissiez voir vos enfants», a déclaré Olesh.
La pénurie de travailleurs a, sans surprise, conduit à une vague de braconnage qui a fait passer le taux de roulement de l'industrie à 94 %. À ce rythme, les entreprises et les consommateurs espèrent que Elon Musk réussira à lancer une flotte de camions autonomes plusieurs décennies avant la date prévue.
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-29/these-guys-are-diamonds-americas-trucker-shortage-getting-worse
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les astéroïdes sans oser le demander
RépondreSupprimer17:52 30.06.2018
Est-il possible qu'un astéroïde entre prochainement en collision avec la Terre et provoque une catastrophe planétaire ? Comment l'humanité peut-elle se préparer à cette éventualité ? Est-il possible que les corps célestes nous apportent un avantage économique ? Autant de questions qui se posent en ce 30 juin, Journée internationale des astéroïdes.
Le 30 juin 1908, un corps d'origine spatiale relativement petit serait tombé en Sibérie. Bien que supposé avoir eu un diamètre d'une cinquantaine de mètres, il a causé un effet dévastateur important sur un territoire de plusieurs milliers de kilomètres carrés. Les scientifiques ont émis de nombreuses hypothèses au sujet de ce phénomène appelé Évènement de la Toungouska. Selon les principales, il s'agirait d'une comète ou d'un astéroïde. Le secteur étant désert, il n'y a eu aucun mort à déplorer, mais le phénomène fait réfléchir sur les conséquences qu'il aurait pu avoir dans d'autres conditions.
Le 30 juin est donc depuis 2016 la Journée internationale des astéroïdes, a rappelé dans une interview accordée à Sputnik Gonzalo Tancredi, expert à la chaire d'astronomie de l'Université de la République d'Uruguay.
«En fonction de ses dimensions, un astéroïde pourrait engendrer une catastrophe au niveau local, régional, voire planétaire. Le sujet a été étudié au cours des dernières décennies, notamment depuis 1980, lorsque les scientifiques ont conclu que les dinosaures avaient disparu de la surface de la Terre après que celle-ci a été heurtée par un astéroïde», a-t-il indiqué.
Luis Alvarez a reçu le prix Nobel de physique en 1968 pour ses recherches sur la physique des particules élémentaires. Cependant, il est probablement plus célèbre pour avoir publié la théorie selon laquelle les dinosaures ont disparu après qu'un astéroïde est entré en collision avec la Terre il y a 65 millions d'années.
Cette situation a placé les scientifiques et les gouvernements devant le problème des moyens pour se protéger contre d'éventuelles catastrophes du genre, car les conséquences d'une collision entre la Terre et un astéroïde dépendent dans une grande mesure des dimensions de celui-ci.
«Selon les scientifiques, un astéroïde d'un kilomètre de diamètre provoquera une catastrophe globale sur la Terre. Pas obligatoirement la disparition [d'une espèce, ndlr], comme pour les dinosaures, car il faudrait sans doute pour cela un astéroïde de quelque 5 kilomètres de diamètre», a-t-il noté.
Gonzalo Tancredi a rappelé qu'au début des années 1990, la communauté scientifique internationale avait décidé de répertorier plus de 90 % des astéroïdes de plus d'un kilomètre de diamètre. Le projet, baptisé Spaceguard, a été réalisé et 1.000 astéroïdes ont été inscrits sur le catalogue, à côté de 10.000 autres corps célestes de moindres dimensions.
Dans ce contexte, il a évoqué «la météorite de Tcheliabinsk» tombée le 15 février 2013. Le corps céleste, qualifié d'astéroïde, a provoqué plusieurs explosions dans l'atmosphère, à quelques kilomètres de la surface de la Terre. L'onde de choc a fait plus de mille blessés et causé d'importants dégâts matériels.
RépondreSupprimer«De tels évènements n'entraîneront pas l'extinction d'une espèce, mais provoqueront une catastrophe d'ampleur locale ou régionale», a fait remarquer Gonzalo Tancredi.
Il s'est voulu pourtant rassurant, ajoutant que la liste ne comptait aucun corps pouvant entrer en collision avec la Terre au cours des prochaines décennies.
Évoquant les moyens d'éviter une probable collision, Gonzalo Tancredi a été formel: l'homme est pratiquement impuissant pour ce qui est de réduire ses conséquences. À l'heure actuelle, les techniques sont concentrées non sur la destruction d'un corps potentiellement dangereux, mais sur les moyens de le faire «dévier» de sa trajectoire pour éviter la Terre.
«Mais ces technologies doivent encore être testées», a-t-il précisé.
La NASA travaille pour trouver, suivre et surveiller les astéroïdes à proximité de la Terre.
Commentant l'idée d'un avantage économique que pourraient présenter les astéroïdes, il a rappelé le séminaire de Munich consacré aux objets géo-croiseurs.
Les participants à la rencontre, a raconté Gonzalo Tancredi, ont conclu que deux possibilités s'offraient à l'humanité. La première est d'en extraire des éléments peu nombreux sur notre planète, par exemple des métaux rares. La seconde est d'en tirer de l'eau indispensable tant pour la construction de toute base spatiale, qu'elle soit située sur la Lune, sur un astéroïde ou sur Mars, que pour servir de combustible.
Abordant le sujet de l'appellation, il a dit qu'il existait quelque 500.000 astéroïdes et que seule une partie insignifiante avait été «baptisée». En règle générale, ils se voient attribuer un code, mais ils peuvent également avoir un nom.
«Pour ce qui est de l'Uruguay, nous avons des astéroïdes différents portant surtout des noms d'astronomes, mais pouvait également glorifier d'autres représentants de la science ou être appelés en l'honneur de villes. Ainsi, l'un des astéroïdes s'appelle Montevideo», a indiqué Gonzalo Tancredi, insistant sur l'idée que l'appellation devait refléter toutes les cultures de l'humanité.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201806301037017350-asteroides-journee-internationale/
Il y a plus de 70 % de chance qu'un astéroïde tombe dans une mer ou un océan. De quoi prendre un bon bain de pieds à 100 kilomètres du rivage !
Supprimervoir:
NASA NEO Earth Close Approaches (objets connus dans les 30 prochains jours)
http://hisz.rsoe.hu/alertmap/index2.php
Qu'est-ce qui est arrivé à des craintes sur "pic pétrolier" ?
RépondreSupprimerAnthony Watts
30 juin 2018
Par Michael Lynch, Forbes
Très peu de gens se rendent compte que toutes les préoccupations concernant le pic pétrolier étaient fondées sur la désinformation ou la science de la malbouffe.
Il y a dix ans, les médias étaient remplis d'histoires sur le pic pétrolier, de nombreux livres ont été publiés sur le sujet (comme Half Gone et 20 $ le gallon !), Et même les Simpson l'ont mentionné dans un épisode sur les preppy. Maintenant, le sujet est largement oublié et la saveur du mois est la demande de pointe de pétrole. Quiconque est préoccupé par la qualité de la recherche qui se fraye un chemin dans le débat public devrait être curieux de savoir combien d'erreurs ont été commises pendant si longtemps. (Acheter mon livre pour l'histoire complète.)
Tout d'abord, réalisez que dans les années 1970, de nombreux analystes et institutions ont avancé des arguments similaires, arguant que la rareté géologique était responsable des prix plus élevés que les deux perturbations de la production en 1973 et 1979. En effet, Le consensus était que les prix étaient trop bas et devaient augmenter pour rendre l'investissement en amont rentable, malgré le fait que la production de l'OPEP s'effondrait (de 30 Mb / j en 1980 à 15 en 1985). On pourrait penser que cela rendrait les gens plus sceptiques quant aux affirmations selon lesquelles la pénurie géologique était responsable lorsque la fermeture de la production vénézuélienne et la deuxième guerre du Golfe ont coupé les approvisionnements irakiens et ont fait monter les prix à partir de 2003.
Ce n'était pas le cas. En fait, le 21 septembre 2004, le Wall Street Journal publiait un article intitulé «Alors que les prix montent, Doomsayers provoque le débat sur l'avenir du pétrole», citant le fondateur de l'Association pour l'étude du pic pétrolier: «Sainte Mère! Le bon moment est arrivé! »Bizarrement, l'article ne mentionnait pas l'explication alternative des prix élevés, à savoir la perte de production du Venezuela et de l'Irak, environ 1 milliard de barils jusqu'à la publication de l'article.
Scientific American a publié un article de deux géologues retraités intitulé «The End of Cheap Oil», qui présentait l'idée que la production pétrolière mondiale atteindrait bientôt un sommet alors que la demande continuerait à augmenter, provoquant un choc économique. vagues et même «la fin de la civilisation» comme l'a dit un co-auteur par la suite. Depuis que le prix du pétrole s'est effondré à 12 dollars le baril cette année-là, la plupart d'entre eux ont peu tenu compte au début, mais comme les prix du pétrole ont commencé à augmenter cinq ans plus tard, l'attention a grimpé.
Peu de gens se rendent compte que le débat a commencé un an plus tôt, dans les pages du Oil & Gas Journal, où les membres des camps opposés ont exprimé leurs points de vue. Colin Campbell, qui devint plus tard le fondateur de l'Association pour l'étude du pic pétrolier (et co-auteur de l'article Scientific American de 1998), écrivit un article intitulé «Meilleure compréhension demandée pour des réserves rapidement épuisées». trouver "et" la stabilité politique, économique et politique du monde, qui repose sur un approvisionnement abondant en pétrole bon marché, est sérieusement menacée. "Son argument de base était que la quantité de pétrole brut récupérable, qu'il a mis à 1,8 trillions de barils, était plus petit que la plupart des réalisations, en raison de la fausse déclaration et de l'interprétation erronée des données.
Le point de vue contraire a été avancé dans le même journal dans un article de MA Adelman et cet auteur, notant le pessimisme passé: "Depuis de nombreuses années, presque toutes les prévisions ont été: un pic précoce, puis dans 3 à 5 ans place, mais le golfe Persique. "Et" L'industrie pétrolière a toujours été dans un bras de fer entre l'épuisement et la connaissance. Il faut des efforts et des investissements sans fin pour renouveler et élargir les réserves. Mais les limites des ressources sont un fantôme ... .Les prévisions sont révisées avec un pic plus élevé et plus tard .... Ces estimations des réserves et de la production déclinantes sont incurablement fausses parce qu'elles traitent en quantité ce qui est vraiment un processus dynamique conduit par la connaissance croissante.
RépondreSupprimerDepuis lors, les défenseurs du pétrole de pointe ont augmenté à plusieurs reprises leurs estimations de ressources récupérables (Campbell est passé de 1,575 à 1,9 trillion) et poussé la date du pic plus loin, exactement comme Adelman et Lynch ont soutenu, tout en essayant de soutenir que l'augmentation du pétrole l'offre était un pétrole «non conventionnel» qu'ils n'analysaient pas. Bien sûr, ils ont tendance à ne pas mentionner que leur article de 1998 affirmait: «Mais l'industrie aura du mal à trouver le temps et l'argent nécessaires pour accélérer suffisamment la production de pétrole non conventionnel.» De même, beaucoup soutiennent que la croissance provient des LGN. ou schiste, pas de pétrole conventionnel, mais la figure ci-dessous réfute cela.
World Petroleum Supply L'AUTEUR; DONNÉES DE BP ET EIA.
Le point de vue général est que l'huile de schiste nous a évité le pic pétrolier, et la question a largement disparu des médias pour être remplacée par des avertissements de pic de demande de pétrole, mais il y a encore des articles sur le pic de cobalt, le pic de cacao. Plutôt la façon dont votre station de nouvelles locale signale constamment une nouvelle menace pour le public (les germes dans l'eau des lavabos de l'avion, les dangers des produits de nettoyage ménagers, etc ad infinitum).
Malheureusement, très peu de gens se rendent compte que toutes les préoccupations concernant le pic pétrolier étaient fondées sur la désinformation ou la science de la malbouffe. Plus précisément, la recherche n'était pas du tout scientifique mais une analyse statistique si mal faite qu'elle ne réussirait pas un cours collégial de première année. Le travail de Campbell et Laherrere reposait sur l'idée de base que la géologie déterminait les tendances de la production et que les tendances pouvaient donc être extrapolées en toute sécurité en se basant sur le modèle de la courbe en cloche. Si la production diminuait, c'est-à-dire. L'économie n'a pas d'importance parce que «vous devez trouver du pétrole avant de pouvoir le produire» et si c'est là, il sera produit. La technologie n'a pas pu améliorer la récupération parce que «la technologie ne peut pas changer la géologie du réservoir, mais la technologie (en particulier le forage horizontal) peut aider à produire plus vite, mais pas plus ...» (Jean Laherrere)
La majorité de ceci est un non-sens. La production ne suit généralement pas une courbe en cloche, et quand c'est le cas, c'est le résultat des effets de la croissance et du déclin exponentiels. (Beaucoup ont répété que la géologie signifiait que la production de pétrole dans une région devait suivre une courbe en cloche sans réellement vérifier les données.) Au lieu de cela, les changements dans les prix du pétrole, les conditions fiscales et l'accès aux bassins de ressources dépassent souvent le niveau supposé de «pointe» que les défenseurs du pétrole de pointe identifient.
Beaucoup d'arguments reflétaient l'ignorance de leurs auteurs à l'égard de l'industrie ou des prévisions. Simmons a affirmé qu'entendre la compagnie pétrolière saoudienne utiliser une «logique floue» pour modéliser les réservoirs l'a convaincu qu'ils avaient des problèmes, puisqu'il n'en avait jamais entendu parler. Joe Romm a déclaré: «La chute brutale de la production de pétrole signifie que le monde doit maintenant remplacer une quantité de pétrole équivalente à la production de l'Arabie Saoudite tous les deux ans, a déclaré Merrill Lynch dans un rapport de recherche.
RépondreSupprimerApparemment, il ne savait pas que Jimmy Carter, dans son discours de 1977 sur la crise de l'énergie, a déclaré: "... juste pour rester, nous avons besoin de la production d'un nouveau Texas chaque année, d'un Alaska North Slope tous les neuf mois. Arabie Saoudite tous les trois ans. Évidemment, cela ne peut pas continuer. "
Ainsi, les publications et les prédictions ne se sont généralement pas vérifiées - souvent de façon plutôt spectaculaire. On a dit que la Russie était incapable de dépasser 8 Mb / j, et quand ils l'ont fait, 9 Mb / j, et quand ils ont atteint 10 Mb / j, un effondrement rapide a été prédit. La production y est supérieure à 11 Mb / j et continue d'augmenter. Et un livre de 2005 décrivant l'effondrement imminent de la production saoudienne, présageant l'effondrement de la production mondiale, a été non seulement truffé d'erreurs, mais s'est révélé totalement invalide. Les Saoudiens n'ont connu aucune difficulté de production, ont dû en effet réduire leurs coûts; et la production mondiale a augmenté d'environ 15 Mb / j depuis la prévision de pointe de 2005 par cet auteur et d'autres.
Les arguments avancés par des économistes compétents en matière de ressources expliquent la tendance historique, comme l'article de 1997 par Adelman et Lynch. La base de ressources pétrolières est énorme, au moins dix fois celle décrite par les défenseurs du pétrole de pointe, et les hausses de prix reflètent les perturbations temporaires de l'approvisionnement ou l'élimination de certaines ressources «bon marché» de la portion accessible par nationalisme des ressources. Les pionniers du pétrole suivaient la pratique néo-malthusienne de longue date consistant à interpréter les problèmes à court terme comme permanents et insolubles, tout comme dans les années 1970.
Fait révélateur, ceux qui croyaient au pic pétrolier affichaient souvent une certitude totalement injustifiée, compte tenu de la complexité du problème.
Histoire complète ici:
https://wattsupwiththat.com/2018/06/30/whatever-happened-to-fears-over-peak-oil/
Le pétrole est abiotique, c'est-à-dire éternel comme l'air ou l'eau qui se recyclent continuellement.
SupprimerÀ San Francisco, les familles qui gagnent 117 000 $ se qualifient pour un logement à faible revenu
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 30/06/2018 - 22:30
Peu de temps après, les autorités ont révélé que San Francisco était devenue la première ville américaine à imposer un salaire minimum de 15 dollars, conformément à une loi adoptée en 2014 - et juste à temps. Parce que les prix des maisons à San Francisco ont augmenté si rapidement que Business Insider a rapporté samedi que les candidats à un logement abordable dans la ville doivent gagner moins de 117 400 par an admissibles à des logements à faible revenu à San Francisco et quelques comtés voisins, selon à un nouveau rapport du ministère du Logement et du Développement urbain. Pour mettre cela en contexte, ce chiffre est légèrement inférieur au revenu médian de la ville de 118 400 $.
Voici plus de BI:
Pour être admissible à un logement à faible revenu dans le comté de San Francisco ou dans les comtés voisins de San Mateo et Marin, un ménage de quatre personnes peut faire jusqu'à 117 400 $ par année. Il en va de même pour un ménage d'une personne qui gagne 82 200 $ par année.
C'est la conclusion d'un nouveau rapport du ministère du Logement et du Développement urbain, qui vient de publier les seuils de 2018 pour le logement abordable aux États-Unis ... le seuil de la région métropolitaine de San Francisco est juste en dessous du revenu familial médian de 118 400 $.
Les coûts de logement à San Francisco ont augmenté à un taux ridicule: Selon l'indice des prix S & P / Case-Shiller Home, qui couvre non seulement la ville et le comté, mais comprend également quatre autres comtés Bay Area: Alameda, Contra Costa, Marin, et San Mateo, les prix dans la région ont augmenté de 10% en avril. Cependant, d'autres affirment que l'augmentation des prix des maisons a été encore plus extrême Par exemple, Paragon Real Estate Group a rapporté en avril que les prix à San Francisco avaient explosé de 24% YOY, soit plus du double de l'estimation de Case-Shiller. Ce bond vertigineux a laissé le prix médian des maisons dans la ville à un étonnant 1,6 million de dollars.
Bien sûr, les nouveaux chiffres du département du logement de la ville ne sont pas surprenants: comme le rapporte BI, ces dernières années, la Bay Area a été confrontée à une crise du logement abordable exacerbée par le boom technologique et une pénurie concomitante du stock de logements. Plusieurs géants de la technologie Bay Area (comme Alphabet, par exemple) ont situé leur quartier général dans des zones sans beaucoup de logements à proximité.
Et comme nous l'avons souligné en avril, voici à quoi ressemble un boom immobilier ...
- voir graphique sur site -
Boom
... qui, à son tour, a fait grimper le prix médian des maisons de plus de 1,6 million de dollars ...
... qui est bien au-dessus de la moyenne nationale.
- voir graphique sur site -
Boom
Même les quartiers «pauvres» de la ville ont connu une forte augmentation des prix quartier par quartier. Dans le tableau ci-dessous, les prix médians des maisons vont de 960 000 $ à Bayview, l'un des quartiers les plus en difficulté, à plus de 5 millions de dollars à Pacific Heights, l'un des quartiers les plus riches de la ville.
Pacifique
RépondreSupprimerMalheureusement, pour les résidents assiégés de la ville, la loterie «robuste» de logements abordables de SF n'est pas assez près pour servir n'importe où près des nombres qui pourraient utiliser l'aide. Dans cet esprit, certaines villes de la région de Bay envisagent des alternatives, comme une «taxe d'entrée» importante sur les employeurs. À Cupertino et à Mountain View, les conseils municipaux ont proposé une «taxe d'entrée» par employé de 150 $ par année qui permettrait de reconstituer un fonds destiné à la construction de logements abordables.
SF envisage également une taxe d'entrée. Et tandis que les entreprises technologiques (comme Amazon à Seattle) ont menacé de déplacer ou d'abandonner les expansions planifiées sur des mesures similaires, les résidents de la ville bénéficieraient aussi de ce résultat: Parce que les talents technologiques qui ont probablement contribué le plus à le boom des prix du logement, la ville pourrait lentement mais sûrement faire baisser les prix ... avec les recettes fiscales et toute la croissance économique locale.
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-30/san-francisco-families-making-117000-qualify-low-income-housing
En créant des prix artificiellement élevés la place n'appartient qu'aux riches, ainsi, après l'eau gratuite que les contribuables doivent payer et arrivé le prix de l'air !
SupprimerUne électricité pour les riches une bougie pour les pauvres.
Les paysans (ceux qui donnent à manger au monde entier) disparaissent un peu plus chaque jour. La nourriture est aux mains des importateurs. A quel prix ?
Vous comprenez la suite ?
Match Made In Hell: Le partenariat entre Bayer et Monsanto fait le baume de la mort pour l'humanité
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Sam, 30/06/2018 - 19:00
Auteur de Robert Bridge via The Strategic Culture Foundation,
Sur quel plan de réalité est-il possible que deux des entreprises les plus moralement en faillite au monde, Bayer et Monsanto, puissent être autorisées à unir leurs forces pour ce qui promet d'être la prochaine étape dans la prise en charge des fournitures agricoles et médicinales mondiales?
Attention, spoiler intrigue: Il n'y a pas de côté M. Hyde dans cette histoire d'horreur aux proportions épiques; Tout est Dr. Jekyll. Comme un scénario d'une plante grimpante de David Lynch, Bayer AG de renommée gazeuse a finalisé son achat de 66 milliards de dollars (50 milliards de livres) de Monsanto, la société agrochimique qui devrait plaider la Cinquième dans la baie de Guantanamo au lieu de profiter de l'asile et l'immunité contre les crimes contre l'humanité. Tels sont les privilèges spéciaux qui viennent d'être une société transnationale au-dessus des lois.
Sans surprise, la première chose que Bayer a faite après avoir affronté Monsanto, avec son bagage supplémentaire d'irrégularités éthiques, a été d'initier une campagne de rebranding. Comme un méchant hollywoodien tombant dans un creuset d'acier fondu pour revenir plus tard dans un état altéré, Monsanto a été englobé dans la division "Bayer Crop Science" à consonance orwellienne, dont la devise est: "Science pour une vie meilleure".
Pourtant, Bayer lui-même fournit peu de couverture de protection pour Monsanto compte tenu de sa propre histoire inégale de malversations d'entreprise. Bien au-delà de son activité bien connue de soulagement de la douleur pour les maux de tête, la société basée en Allemagne a joué un rôle important dans l'introduction de gaz toxiques sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale.
En dépit d'une interdiction de la Convention de La Haye sur l'utilisation d'armes chimiques depuis 1907, le PDG de Bayer, Carl Duisberg, qui siégeait à une commission spéciale créée par le ministère allemand de la Guerre, connaissait une opportunité commerciale.
Duisberg a été témoin des premiers essais de gaz toxique et n'a eu que des rapports élogieux sur l'horrible nouvelle arme:
"L'ennemi ne saura même pas quand une zone a été pulvérisée avec elle et restera tranquillement en place jusqu'à ce que les conséquences se produisent."
Bayer, qui a créé un département spécifiquement dédié à la recherche et au développement d'agents gazeux, a développé des armes chimiques de plus en plus meurtrières, telles que le phosgène et le gaz moutarde. "Ce phosgène est l'arme la plus méchante que je connaisse," remarqua Duisberg avec un mépris étourdissant pour la vie, comme s'il parlait du dernier spray anti-insectes. "Je recommande fortement de ne pas laisser passer l'occasion de cette guerre sans tester les grenades à gaz."
Duisberg a eu son souhait démoniaque. L'occasion d'utiliser le champ de bataille comme terrain d'essai et les soldats comme cobayes arrivèrent au printemps de 1915 alors que Bayer fournissait quelque 700 tonnes d'armes chimiques sur le front de guerre. Le 22 avril 1915, on estime qu'environ 170 tonnes de chlore gazeux ont été utilisées pour la première fois sur un champ de bataille à Ypres, en Belgique, contre des troupes françaises. Jusqu'à 1000 soldats ont péri dans l'attaque, et beaucoup plus de milliers ont été blessés
Au total, environ 60 000 personnes sont mortes à la suite de la guerre chimique déclenchée par l'Allemagne lors de la Première Guerre mondiale et livrée par la société basée à Leverkusen.
RépondreSupprimerSelon Axel Koehler-Schnura de la Coalition contre les dangers de Bayer:
"Le nom BAYER signifie particulièrement le développement et la production de gaz toxiques. Néanmoins, l'entreprise n'a pas accepté son implication dans les atrocités de la Première Guerre mondiale. BAYER ne s'est même pas distancié des crimes de Carl Duisberg. "
Le comportement criminel a continué jusqu'à l'époque moderne. Mike Papantonio, un avocat américain et présentateur de télévision a discuté de l'un des actes les plus odieux commis par cette entreprise chimique sur le programme de Thomas Hartmann, The Big Picture: «Ils ont produit un facteur de coagulation pour les hémophiles dans les années 1980 appelé facteur VIII. Cet agent responsable de la coagulation sanguine était contaminé par le VIH, et après que le gouvernement leur ait dit qu'ils ne pouvaient pas le vendre ici, ils l'ont expédié partout dans le monde, infectant des gens partout dans le monde. C'est juste une partie de l'histoire de Bayer. "
Papantonio, citant le rapport annuel 2014 de Bayer, a déclaré que la société fait face à 32 poursuites en responsabilité différentes à travers le monde. Pour le rapport de responsabilité de Bayer 2018, cliquez ici.
Avant de jeter vos produits Bayer dans les toilettes, vous pouvez mettre de côté une aspirine ou deux parce que l'histoire s'aggrave.
L'une des conséquences directes du monstre «Baysanto» sera une hausse importante des prix pour les agriculteurs, qui souffrent déjà directement de leur subsistance à cause de prix non viables.
"Les agriculteurs ont déjà connu une augmentation de prix de 300 % ces dernières années, sur tout, des semences aux engrais, qui sont tous contrôlés par Monsanto", a déclaré M. Papantonio à Hartmann. "Et tous les prévisionnistes prédisent que ces prix vont augmenter encore plus à cause de cette fusion."
Pourtant, il est difficile d'imaginer que la situation s'aggrave pour l'agriculteur américain, qui fait maintenant face au taux de suicide le plus élevé de toutes les professions au pays. Le taux de suicide pour les Américains engagés dans le domaine de l'agriculture, de la pêche et de la foresterie est de 84,5 pour 100 000 personnes, soit plus de cinq fois plus que la population générale.
Cette tendance tragique fait écho à celle de l'Inde, où il y a une dizaine d'années, des millions d'agriculteurs indiens ont commencé à abandonner l'agriculture traditionnelle pour utiliser les semences génétiquement modifiées de Monsanto. Dans le passé, suivant une tradition millénaire, les agriculteurs conservaient les semences d'une récolte et les replantaient l'année suivante. Ces jours de sagement suivant les rythmes et les modèles du monde naturel sont presque terminés. Aujourd'hui, les semences de Monsanto OGM sont élevées pour contenir une «technologie de terminaison», les cultures résultantes étant «programmées» pour ne pas produire leurs propres semences. En d'autres termes, la compagnie semencière joue littéralement Dieu avec la nature et nos vies. Ainsi, des centaines de milliers d'agriculteurs indiens sont obligés d'acheter chaque année un nouveau lot de semences - avec Round Up, un pesticide de Monsanto - et à un coût très prohibitif.
Mais le monde aurait-il dû s'attendre à quelque chose de différent de la même entreprise qui était impliquée dans la production de l'Agent Orange à des fins militaires pendant la guerre du Vietnam (1961-1971) ? Plus de 4,8 millions de Vietnamiens ont souffert des effets négatifs du défoliant, qui a été pulvérisé sur de vastes étendues de terres agricoles pendant la guerre, détruisant la fertilité de la terre et l'approvisionnement alimentaire du Vietnam. Environ 400 000 Vietnamiens sont morts suite à l'utilisation de l'Agent Orange par l'armée américaine, tandis que des millions d'autres souffraient de la faim, de handicaps invalidants et de malformations congénitales.
RépondreSupprimerC'est l'entreprise que nous avons autorisée, avec Bayer, à contrôler environ un quart de l'approvisionnement alimentaire mondial. Cela soulève la question: Qui est plus fou? Bayer et Monsanto, ou We the People ?
Il est important de mentionner que la convergence Bayer - Monsanto ne se produit pas dans un vide corporatif. Tout cela fait partie d'une course de la part des sociétés agrochimiques mondiales à la foire de l'approvisionnement alimentaire mondial. ChemChina a racheté la société suisse Syngenta pour 43 milliards de dollars, par exemple, tandis que Dow et DuPont ont forgé leur propre empire de 130 milliards de dollars.
Cependant, aucune de ces compagnies ne porte la même réputation sanglante que Bayer et Monsanto, une allumette faite en enfer qui menace toute la vie sur terre.
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-30/match-made-hell-bayer-monsanto-partnership-signals-death-knell-humanity
Après tout, comme le dit Robert Bridge, les soldats américains ne sont-ils pas des criminels ? Sont-ce des criminels ceux qui fabriquent du gaz moutarde commandé par le gouvernement ? (ou des pistolets, canons, missiles ?).
SupprimerBayer comme Monsanto (ou Google, Facebook, etc) sont des entreprises privées qui proposent. S'il n'y a aucune concurrence ils sont appelés faussement oligopoles ou monopoles.
En 2009, 1 seul agriculteur nourrit 80 à 100 personnes par rapport à 5 personnes nourries en 1945.
150 plantes cultivées dans le monde, mais 12 seulement couvrent 80% des besoins alimentaires
En 1975, un hectare nourrissait dans le monde 3 personnes, demain en 2020 ce même hectare devra nourrir 8 personnes.
En 1960, il fallait environ 8 heures de SMIC pour se payer 1kg de viande (jambon ou steack), en 1990, il en fallait moins de deux. De la même manière le beurre, les pâtes ou le pain ont vu leur prix d'achat divisé par un facteur de 5 à 10. Cela a permis de faire passer le coût de l'alimentation dans les ménages de 35% en 1970 à moins de 15% actuellement. Dans le même temps la part des dépenses de services et de loisirs est passée de 34% à plus de 50%.
Globalement aujourd'hui, un agriculteur français nourrit 60 personnes. En 1960, un agriculteur nourrissait 15 personnes pour deux fois plus cher. Cette évolution s'est faite sans que l'opinion publique s'occupe vraiment des bouleversements qui s'opéraient dans nos campagnes. Ceci s'explique par la décroissance considérable du nombre des agriculteurs (2 millions en 1960 et 500 000 aujourd'hui en France) pendant que la société devenait essentiellement urbaine et oubliait les soucis de nourriture quotidienne.
Par exemple, quand on croise deux lignées de maïs, il arrive que la première génération présente des caractéristiques agronomiques très supérieures à celles de ses parents. Ce phénomène est aujourd'hui largement utilisé pour de nombreuses espèces. Il présente cependant un inconvénient qui limite son emploi : la semence doit être rachetée chaque année par les agriculteurs. Car seul le semencier détient les deux géniteurs à l'origine de l'hybride.
http://www.interactif-agriculture.org/pages/l-evolution-des-techniques/la-genetique.php#L_homme_et_le_bl_
La révolution climatique canadienne: les électeurs se rebellent contre les taxes sur le carbone de Trudeau
RépondreSupprimerEric Worrall
30 juin 2018
The Economist s'inquiète que les Canadiens élisent de puissants politiciens d'État opposés aux politiques climatiques de Trudeau.
Le nouveau chef de l'Ontario peut-il détruire le plan canadien sur les changements climatiques?
Si l'Alberta le soutient, il pourrait le faire
The Economist explique
27 juin 2018 par M.D. | OTTAWA
Doug Ford dit que son premier acte officiel en tant que chef de la province la plus peuplée du Canada, l'Ontario, sera de tuer le programme de plafonnement et d'échange mis en place par le gouvernement libéral que ses progressistes conservateurs ont défait plus tôt ce mois-ci. Au 29 juin, date de la rétrocession, M. Ford promet que ce qu'il décrit comme «la taxe carbone cap-and-trade» aura disparu. Le programme sur le changement climatique est une politique provinciale, mais il fait aussi partie du plan national du Canada, qui dépend essentiellement de la réduction des émissions de gaz à effet de serre de chacune des dix provinces et des trois territoires. En retirant l'Ontario, le deuxième plus grand émetteur après l'Alberta riche en énergie, M. Ford va-t-il détruire le plan national sur les changements climatiques ?
Les sondages indiquent que le Parti conservateur uni dirigé par Jason Kenney remplacera le gouvernement néo-démocrate favorable au climat de l'Alberta l'an prochain. M. Kenney promet de mettre fin au plan de changement climatique de l'Alberta. Imposer une taxe sur le carbone à la plus grande province du Canada sera difficile. Prendre l'Alberta en même temps pourrait bien s'avérer impossible.
Lire la suite: https://www.economist.com/the-economist-explains/2018/06/27/can-ontarios-new-leader-wreck-canadas-climate-change-plan
Les Verts ne peuvent pas gagner, parce que les victoires vertes sont auto-défaites.
Je n'ai aucun doute que les Canadiens aimeraient passer à un avenir énergétique vert. Qui ne voudrait pas d'une source d'énergie magique qui garde les gens au chaud en hiver sans polluer la Terre ?
Trudeau a gagné avec la promesse de lancer la révolution de l'énergie verte au Canada. Mais tous les Canadiens ont vu des coûts plus élevés, des pertes d'emplois et de précieux progrès écologiques.
Pour les adeptes de l'énergie verte, ceux qui, après toutes les déceptions, croient encore sincèrement que l'énergie verte est un substitut viable aux combustibles fossiles, l'échec doit en quelque sorte être la faute de Trudeau. Seul un incompétent pourrait ne pas réaliser notre futur vert inévitable et à faible coût.
Les gens qui ne sont pas aveuglés par les dogmes sont conscients que l'énergie verte n'est pas un substitut viable aux combustibles fossiles. Même les défenseurs de l'énergie verte qui font un véritable effort pour enquêter sur la question, comme Google Engineers en 2014, découvrent avec horreur qu'il n'y a pas de route viable vers l'énergie verte abordable utilisant quelque chose ressemblant vaguement à la technologie actuelle.
Les croyants continueront à être balayés par les mensonges et les fausses promesses, mais les victoires vertes sont de courte durée et finissent toujours par être déçues. La révolution canadienne grandissante contre le fanatisme vert de Trudeau était inévitable.
https://wattsupwiththat.com/2018/06/30/canadian-climate-revolution-voters-rebelling-against-trudeau-carbon-taxes/
Panique climatique: Le remplacement du juge Kennedy par Trump pourrait abroger le droit de l'EPA de réguler le gaz carbonique
RépondreSupprimerEric Worrall
30 juin 2018
Imaginez à quel point les États-Unis seraient différents si les lois sur le climat étaient décidées par les représentants élus du peuple, plutôt que par des manœuvres sournoises en vue d'étendre la portée des lois existantes.
Une décision historique sur les changements climatiques pourrait disparaître après la fin du procès du juge Kennedy
PAR MARK KAUFMAN
Après 30 ans à la Cour suprême, le juge Anthony Kennedy quittera le plus haut palais de justice du pays à la fin du mois de juillet.
Avec le départ de Kennedy vient beaucoup de malaise. L'une des causes d'inquiétude concerne la décision sur le climat primordiale, Massachusetts c. EPA, dans laquelle Kennedy s'est avéré être le vote décisif, comme il l'a souvent été. L'inquiétude est qu'avec son départ, la décision sera mise en péril.
L'affaire a eu lieu après que l'EPA ait décidé, en 2003, qu'elle ne pouvait pas réglementer les gaz à effet de serre retenant la chaleur. Douze États, y compris le Massachusetts, ont intenté une poursuite contre l'agence. Ils ont soutenu que ces gaz étaient des polluants et un danger pour le public. Finalement, l'affaire a trouvé son chemin à la Cour suprême.
Instauré par cinq voix contre quatre en 2007, Massachusetts v. EPA a statué pour la première fois que les gaz à effet de serre piégeant la chaleur sont polluants, et que l'Environmental Protection Agency (EPA) peut les réglementer, tout comme l'agence contrôle la pollution émise par voitures et camions.
"Je pense que le Massachusetts v. EPA est la décision environnementale la plus importante jamais décidée par la Cour suprême", a déclaré Ann Carlson, directrice de l'Institut Emmett sur le changement climatique et l'environnement à la Faculté de droit de l'UCLA.
Le président Donald Trump choisira le prochain candidat à la Cour suprême, et il est presque certain que cette personne, à tout le moins, verra Massachusetts v. EPA défectueux ou mauvaise loi. Trump est ouvertement hostile à la science climatique largement acceptée, et semble ne pas avoir même une compréhension élémentaire de la façon dont fonctionne le climat.
Lire la suite: https://mashable.com/2018/06/30/kennedy-supreme-court-climate-massachusetts-epa/
Massachusetts v. EPA donne à l'EPA le droit de réglementer le gaz carbonique en utilisant les lois existantes sur l'air pur.
Ce que je trouve encore choquant, c'est que les verts méprisants comme Kaufman semblent manifester pour la démocratie.
Si les verts veulent réguler le gaz carbonique, ils devraient essayer de convaincre les électeurs de soutenir les politiciens qui prévoient de réguler le gaz carbonique.
Des efforts détournés pour étendre la portée des lois existantes sont politiquement dangereux. À mon avis, la décision de 2003 de l'EPA contre le Massachusetts et de nombreux autres exemples de mépris écologique pour la démocratie au fil des ans démontre que les verts sont conscients qu'ils n'ont pas le soutien dont ils ont besoin pour adopter les lois draconiennes qu'ils veulent adopter. ils s'en foutent.
Les verts sont déterminés à obtenir leur chemin indépendamment de ce que les gens veulent.
https://wattsupwiththat.com/2018/06/30/climate-panic-trumps-justice-kennedy-replacement-might-repeal-the-epas-right-to-regulate-co2/
Supprimer(...) Ce que je trouve encore choquant, c'est que les verts méprisants comme Kaufman semblent manifester pour la démocratie. (...)
Les États-Unis ne sont PAS une Démocratie mais son contraire: une république. Ainsi, les 'élus du Peuple' peuvent-ils voter des lois contre le Peuple sans leur demander leur avis !!!
ENCHÈRES - LA GAMBIE VEND LES BIENS DE SON EX-PRÉSIDENT
RépondreSupprimer01.07.2018, 11h17
Les autorités gambiennes espèrent pouvoir récolter près de dix millions de francs des avions et autres terrains délaissés par l'ex-président.
A vendre: trois avions présidentiels, trente voitures de luxe, quatre terrains en zone touristique - Prix à débattre. Plus d'un an après le départ de l'ex-président Yahya Jammeh, la Gambie propose aux plus offrants les biens qu'il n'a pas pu emporter en exil.
Immobilisés sur le tarmac de l'aéroport de Banjul, trois avions de ligne - un Boeing 727, un Bombardier Challenger 601 et un Iliouchine Il-62 M soviétique - frappés des mots «Republic of The Gambia» se couvrent petit à petit d'une fine couche de sable.
Un peu plus loin, deux petits avions épandeurs ayant appartenu à Yahya Jammeh voient également leur peinture verte disparaître sous la poussière. Les cinq aéronefs sont visibles depuis le restaurant de l'aéroport de ce petit pays anglophone d'Afrique de l'Ouest totalement enclavé dans le Sénégal, à l'exception de son étroite façade côtière prisée des touristes.
Des millions
Ils sont mis en vente en même temps que quatre terrains non bâtis de Yahya Jammeh situés dans le secteur le plus coté du pays. Au total, les autorités gambiennes espèrent récolter quelque 10 millions de dollars (quelque 9,9 millions de francs), avait expliqué en 2017 au Parlement le ministre des Finances, Amadou Sanneh.
Il faudra encore y ajouter les fruits de la cession d'une trentaine de véhicules luxueux que l'ancien dirigeant n'a pas pu emporter lorsqu'il s'est finalement résolu, après 22 ans d'un règne sans partage, à céder le pouvoir le 21 janvier 2017 à son opposant Adama Barrow, vainqueur de l'élection présidentielle.
RépondreSupprimerDes voitures en nombre
Dans le garage de la présidence, deux énormes Hummer blindés prennent depuis lors la poussière aux côtés de cinq Rolls-Royce, d'une Bentley, d'une Mini-Cooper immatriculée «MYJ» - pour Mariam Yahya Jammeh, la fille de l'ex-président - de pick-ups et de BMW et Mercedes, ont constaté des journalistes de l'AFP.
«Nous travaillons à la création d'un site internet», a expliqué le secrétaire permanent du ministère des Finances, Lamin Camara. «Si des acheteurs sont intéressés, ce sera sans doute à eux de faire une offre, ou bien le gouvernement donnera un prix.» «Pillage» organisé
Moins de deux dollars par jour
Dans un pays où une grande partie de la population vit avec moins de deux dollars par jour, l'argent récolté doit servir à financer des programmes d'éducation, de santé et de développement agricole, selon des responsables gouvernementaux.
Lors d'une conférence internationale sur la Gambie en mai à Bruxelles, Adama Barrow a dit avoir trouvé «une économie sinistrée», dénonçant le «pillage des maigres ressources étatiques» par son prédécesseur.
Exil doré
Afin d'obtenir le départ de Yahya Jammeh pour un exil doré en Guinée Equatoriale, l'autorisation lui avait été donnée d'emporter sa collection de voitures de luxe, dont une partie était restée en Gambie, faute de place dans l'avion.
Quelques mois plus tard, le gouvernement décidait toutefois de geler les comptes de l'ex-président, soupçonné d'avoir détourné plus de 50 millions de dollars (environ 42 millions d'euros), puis de vendre ses principaux actifs laissés au pays.
Du bétail qui se trouvait sur les fermes de Yahya Jammeh a déjà été vendu en début d'année.
«De notre point de vue, ces voitures, ces propriétés, ont été acquises avec de l'argent public et appartiennent de droit à l'Etat», a déclaré à l'AFP le ministre de la Justice, Abubacarr Tambadou, mettant au défi l'ancien président d'en contester la vente en justice.
Prêts non remboursés
Yahya Jammeh avait acheté les avions grâce à des prêts consentis par la Social Security and Housing Finance Corporation, une institution publique en principe chargée d'administrer des fonds destinés au financement de la sécurité sociale, des maladies professionnelles et à la construction de logements, a expliqué son directeur financier, Abdoulie Cham.
A l'époque, «si vous ne suiviez pas les instructions, il risquait de vous arriver quelque chose. Ce n'était pas le genre d'instructions que vous pouviez remettre en cause», a dit M. Cham devant une commission d'enquête, en soulignant que les prêts n'avaient jamais été remboursés. (ats/nxp)
https://www.lematin.ch/monde/gambie-vend-biens-expresident/story/30421301