Tesla c'est la copie conforme avec l'escroquerie du Global Warming/Éoliennes et panneaux solaires ! Çà rapporte rien, ça coûte 'les yeux de la tête' au contribuable et c'est n°1 au hit-parade !
Apocalypse selon l'accord : comment fait-on la guerre avec une arme nucléaire
Sputnik mer., 13 juin 2018 22:32 UTC
Le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) a été signé il y a 50 ans. Quels pays ont refusé de le signer, pourquoi est-il difficile de contrôler les sites nucléaires et que risquent ceux qui transgressent le traité ? bombe
Le 12 juin 1968, l'Assemblée générale des Nations unies approuvait le TNP, qui sera signé le 1er juillet par plus de 40 pays dont l'URSS et les USA, écrit le quotidien Gazeta.ru. Le traité était nécessaire pour empêcher l'élargissement du cercle de pays disposant de l'arme nucléaire. Le contrôle du respect des termes de l'accord permettait de restreindre la possibilité d'évolution d'un conflit armé avec l'usage de cette arme.
Conformément aux termes principaux du document, tout État doté d'armes nucléaires (les États qui ont fabriqué et testé l'arme nucléaire avant le 1er janvier 1967) étant Partie du Traité s'engage à ne transférer à qui que ce soit, ni directement ni indirectement, des armes nucléaires ou autres dispositifs nucléaires explosifs, ou le contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs; et à n'aider, n'encourager ni inciter d'aucune façon un État non doté d'armes nucléaires, quel qu'il soit, à fabriquer ou acquérir de quelque autre manière des armes nucléaires ou autres dispositifs nucléaires explosifs, ou le contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs. Par ailleurs, tout État non doté d'armes nucléaires qui est Partie du Traité s'engage à n'accepter de qui que ce soit, ni directement ni indirectement, le transfert d'armes nucléaires ou autres dispositifs explosifs nucléaires ou du contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs.
Sachant que le traité fixe le droit inaliénable de toutes les Parties de développer la recherche, la production et l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, et exige de faciliter un échange aussi large que possible d'équipements, de matériaux et de renseignements scientifiques et technologiques.
A ce jour, seulement quatre États n'ont pas signé le TNP: Israël, l'Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.
« Le Pakistan, l'Inde et Israël n'ont jamais signé le TNP et possèdent l'arme nucléaire. Ils ne veulent pas y renoncer, or il n'existe pas d'autres moyens pour adhérer au TNP. La Corée du Nord était membre du TNP mais elle a décidé de créer l'arme nucléaire et en est sortie. Actuellement, ces quatre pays ne sont pas membres du TNP. L'Afrique du Sud est un exemple bien connu d'État qui a créé l'arme nucléaire avant d'y renoncer, de fermer le programme nucléaire et de rejoindre le TNP. Les autres ne sont pas encore prêts à le faire », déclare Andreï Baklitski, consultant du centre PIR.
Malgré l'utilité du traité pour réduire la probabilité d'un conflit nucléaire, il possède plusieurs lacunes. Par exemple, le TNP ne régule pas très précisément les possibilités de développer l'arme nucléaire dans les pays non nucléaires.
« L'article VI stipule que les États dotés de l'arme nucléaire s'engagent à poursuivre de bonne foi des négociations sur la cessation de la course aux armements nucléaires et le désarmement nucléaire. Mais cet article est très vague - il ne précise pas comment, quand et sous quelle forme les États doivent réduire leurs arsenaux et tout cela repose sur la conscience des États eux-mêmes.
C'est pourquoi les États non nucléaires critiquent fortement le TNP dans la mesure où il n'impose pas de restrictions sévères », explique Andreï Baklitski.
Alors que les États qui n'ont pas signé le traité n'ont pratiquement aucune restriction.
La question de l'élaboration de l'arme nucléaire dans ces pays est en partie réglementée par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Les États signataires du traité se trouvent également sous son contrôle.
« L'AIEA a précisément été créée pour veiller à ce que le programme nucléaire pacifique ne devienne pas un programme nucléaire militaire. Quand tout le matériau nucléaire se retrouve sous la garantie de l'AIEA, l'agence garantit que le matériau pacifique reste pacifique. Pour conclure des contrats avec l'AIEA il n'est pas indispensable d'être membre du TNP et en principe, par exemple, Israël et l'Inde signent également des contrats avec l'AIEA, mais seulement dans le cadre de leur activité nucléaire pacifique », poursuit Andreï Baklitski.
Par exemple, il existe deux réacteurs nucléaires en Israël, dont un sous la garantie de l'AIEA. Les spécialistes de l'agence s'y rendent régulièrement en inspection pour s'assurer qu'il est utilisé uniquement à des fins pacifiques. Bien que le second réacteur israélien soit utilisé pour produire du plutonium militaire, au moins l'un des sites est contrôlé. L'Inde a suivi un itinéraire similaire en divisant en 2006 son programme nucléaire en pacifique et militaire.
-- Commentaire : Hypocrisie à son plus haut degré. C'es un scandale. --
Conformément à l'accord, un État n'a pas le droit de refuser aux représentants de l'AIEA l'inspection d'un site nucléaire.
Cependant, la responsabilité de rapporter la présence de tels sites et leur nombre incombe uniquement à l'État-même. En 1991, par exemple, a été révélée l'ampleur du programme nucléaire de l'Irak qui menait secrètement ses recherches.
Un protocole supplémentaire avait alors été introduit, permettant aux inspecteurs de l'AIEA de vérifier tous les sites, d'effectuer des inspections inopinées et de recueillir des échantillons pour détecter l'accumulation d'isotopes radioactifs.
« Le problème du protocole supplémentaire est qu'il repose sur une base volontaire et que chaque pays décide lui-même s'il faut le signer ou non, indique l'expert. Et certains pays pensent que c'est un fardeau inutile, que c'est discriminatoire, que les États nucléaires possèdent l'arme nucléaire alors que les pays pacifiques non nucléaires doivent rendre des comptes et laisser entrer des inspecteurs sur leur territoire.
Les inspecteurs de l'AIEA peuvent exiger un accès aux sites militaires s'ils pensent que des matériaux nucléaires non déclarés pourraient s'y trouver - et il est obligatoire de les laisser entrer.
Naturellement, certains pays ne veulent pas laisser des étrangers pénétrer sur des sites militaires. C'est pourquoi plusieurs pays n'ont toujours pas ratifié le protocole supplémentaire.»
Le traité ne protège pas non plus contre l'usage de l'arme nucléaire: il porte uniquement sur les questions relatives à la non-prolifération.
« Le mécanisme qui empêcherait, disons, la Russie et les USA de commencer une guerre nucléaire n'existe pas, précise Andreï Baklitski. Cette question serait examinée par L'ONU mais en cas de tel conflit, tout procès perdrait son sens: l'humanité pourrait avoir déjà disparu à ce moment-là».
-- Commentaire : Si en plus nous attendons que l'ONU fasse quoi que ce soit pour sauver qui que ce soit ... nous sommes dans des beaux draps. --
Néanmoins, il contribue effectivement au désarmement nucléaire. Ainsi, en pleine Guerre froide, les puissances nucléaires, notamment l'URSS et les USA, avaient déployé des dizaines de milliers d'ogives nucléaires alors qu'aujourd'hui, la Russie et les États-Unis possèdent 1.550 ogives chacun.
« Mais elles sont encore très nombreuses et suffisantes pour infliger des dégâts irréparables, estime l'expert. On ignore si la réduction de leur nombre se poursuivra. Ces dernières années, les USA et la Russie ne mènent pas de négociations sur leur réduction.»
-- Commentaire : Et qu'en est-il d'Israel avec ses 200 bombes atomiques ? Lire : Moscou appelle Israël à adhérer au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires --
Le traité ne comporte non plus aucun mécanisme de sanction.
Tout comme l'AIEA - ces questions sont prises en charge par le Conseil de sécurité des Nations unies. Un État soupçonné de violer le traité fait d'abord l'objet de sanctions économiques et subit la pression internationale pour faire cesser le programme nucléaire. L'Iran, soupçonné depuis 2004 d'élaborer secrètement l'arme nucléaire, s'est retrouvé dans une telle situation.
« Il faut savoir que la décision d'élaborer ou non l'arme nucléaire est prise par chaque État pour lui-même. D'un côté, il y a des moyens d'isolement économique et politique, de pression, de l'autre un État n'élabore pas l'arme nucléaire sans raison. C'est un projet complexe et coûteux dans lequel les pays s'engagent seulement en cas de menace pour leur sécurité », déclare Andreï Baklitski.
Les conférences d'examen du TNP sont organisées tous les cinq ans. Parmi les derniers accords conclus figurent celui sur l'abandon de la construction de nouveaux réacteurs pour l'enrichissement d'uranium et l'extraction de plutonium, l'accélération du désarmement nucléaire des signataires du TNP dotés de l'arme nucléaire, le durcissement des mesures engagées contre les pays qui sortent du TNP, qui font du commerce illicite de technologies et de matières nucléaires, et le changement d'exigences pour le déroulement des inspections de l'AIEA.
-- Commentaire : Des beaux mots et de belles résolutions mais le fait est que : Armes nucléaires américaines en Allemagne De nucléaire en nucléaire ... ça risque de faire boum ! Les USA préparent les Européens à l'utilisation d'armes nucléaires contre la Russie Voulez-vous une bombe nucléaire ? Israël détruira le monde, dans un Armageddon nucléaire --
YourNewsWire.com Cela fait plusieurs mois que je vois des sites internet français qui partagent les article du site YourNewsWire. A chaque fois les titres des articles et leurs contenus sont tellement gros que ça me paraissait être du fake. J'avais vu juste, il suffit de se balader sur les articles de ce site en carton pour se rendre compte que les auteurs inventent tout simplement les faits qu'ils dénoncent, tout en se basant parfois sur du vrai. Dans cette vidéo vous trouverez un débunkage du site YourNewsWire dans les règles de l'art ainsi que quelques révélations sur la personne qui est l'origine de ce site web.
Redux: Le capitalisme et la croissance à tout prix…
11 juin 2018 par Minarchiste
- voir graphique sur site -
Notez que cet article a été initialement publié en novembre 2013.
Un reproche souvent fait au capitalisme est qu’il dépend absolument de la « croissance » pour exister. Sans elle, le système s’écroulerait, ce pourquoi la croissance est recherchée à tout prix, de manière perpétuelle, voire exponentielle.
En fait, la croissance n’est pas inhérente au capitalisme, qui n’est en fait qu’un système de normes définissant la manière dont les humains coopèrent économiquement entre eux (c’est-à-dire par libre choix plutôt que par la force). La viabilité du capitalisme ne dépend d’aucune croissance minimale intrinsèque.
Ceci dit, la croissance perpétuelle est-elle souhaitable? Dans les pays industrialisé, le niveau de vie n’est-il pas déjà suffisamment élevé ? Pourquoi devrions-nous épuiser nos ressources et détruire la planète pour consommer encore plus ?
La croissance de quoi ?
Certes, le niveau de vie qui prévaut présentement dans les pays industrialisés est confortable, mais pourquoi faudrait-il qu’il arrête de s’améliorer ? L’individu moyen vit effectivement très bien, mais il y a encore beaucoup de gens dont le niveau de vie laisse encore à désirer et qui bénéficieraient grandement d’une croissance économique accrue.
Tout d’abord, il faut définir de quelle genre de croissance on parle : du PIB ? de la population ? de la consommation ? L’erreur est de définir la croissance en se basant sur le PIB, ce qui est la vision keynésienne des choses. La vraie croissance est celle du capital productif de l’économie, en quantité et/ou en qualité.
Il y a plusieurs façons d’améliorer son niveau de vie, dépendamment des besoins marginaux et des désirs de chaque individu. Certains souhaiteraient s’alimenter mieux ou se loger mieux, d’autres voudraient faire quelques voyages et se payer un peu de luxe, d’autres voudraient peut-être travailler moins, prendre une période sabbatique ou une retraite anticipée. Dans tous les cas, l’augmentation du niveau de vie nécessite une augmentation de la capacité productive de l’économie.
Il y a plusieurs manières pour un travailleur de voir sa capacité productive augmenter. Pour ce faire, il faut que la valeur ajoutée de son travail augmente, c’est-à-dire la différence entre la valeur de ce qu’il produit et le coût des ressources et du capital injectées dans le processus de production du bien ou service produit. Autrement dit, il faut que le bien ou service valle plus cher que ce qu’il coûte à produire, sinon il y aurait gaspillage de ressources et aucune richesse ne serait créée, ce qui résulterait en un appauvrissement de la société.
Une première façon d’y arriver est la formation. En apprenant de nouvelles techniques, un travailleur peut arriver soit à produire des biens de plus grandes valeur de par leurs qualités intrinsèques et/ou à produire des bien à moindre coût. Dans les deux cas, la valeur ajoutée augmente, ce qui va de pair avec la rémunération potentielle de ce travail et le niveau de vie du travailleur. Cependant, la formation nécessite un investissement soit de la part du travailleur, soit de l’entrepreneur qui finance la formation de ses employés, ou les deux à la fois.
Une deuxième source d’augmentation de capacité productive consiste à développer de nouvelles technologies qui permettent soit de produire des biens de plus grande qualité et/ou de les produire à moindre coût. Encore une fois, ces nouvelles technologies arrivent à faire augmenter la valeur ajoutée générée par le travailleur. Pour accéder à ces gains, des « innovateurs » doivent investir en recherche et développement, puis des entrepreneurs doivent investir du capital pour acquérir ces nouvelles technologies.
Lorsqu’ils font baisser les coûts de production, ces deux vecteurs de croissance contribuent au niveau de vie du travailleur de deux manières : 1) en faisant augmenter sa rémunération et 2) en faisant augmenter son pouvoir d’achat (puisque les biens et services coûtent moins cher, chaque dollar de salaire permet d’obtenir davantage de choses). Dans la mesure où le travailleur décidera d’utiliser ce pouvoir d’achat supplémentaire pour consommer davantage plutôt que pour travailler moins ou épargner de manière à devancer sa retraite, la demande de biens et services augmentera. Pour subvenir à cette demande accrue, les entrepreneurs devront investir dans l’expansion de leur capacité de production. Cela offrira l’opportunité à un certain nombre de travailleurs d’améliorer leur sort en obtenant un meilleur emploi. Autrement dit, cette croissance de la capacité de production fera augmenter la demande de travailleurs et, par conséquent, le prix du travail, c’est-à-dire la rémunération.
Ces graphiques (source) démontrent à quel point le niveau de vie est corrélé à la productivité, laquelle dépend de l’innovation et de la formation. J’ajouterais cependant que l’utilisation du PIB comme mesure de richesse comporte plusieurs bémols à ne pas négliger.
- voir graphique sur site -
Le cercle vertueux de l’investissement
On constate donc que la croissance du niveau de vie des gens dépend de l’investissement dans la capacité productive de l’économie, soit en formation, soit en développement technologique, soit en expansion des opérations. Mais d’où vient cet investissement ? Comment est-il financé ? En fait, dans un système monétaire où la banque centrale n’inonde pas les marchés financiers de monnaie créée ex nihilo, l’investissement vient de l’épargne. Cette épargne peut provenir d’un travailleur qui décide d’investir une partie de son salaire en actions, obligations ou dépôts bancaires plutôt que de le consommer entièrement. Elle peut aussi provenir d’une entreprise qui réinvestit une partie de ses profits plutôt que de les verser entièrement aux actionnaires sous forme de dividendes. Dans les deux cas, en finançant l’investissement, l’épargne fait grossir le capital productif de l’économie : c’est l’essence du capitalisme. D’ailleurs, plus le niveau de vie d’un travailleur augmente, plus il aura tendance à épargner ses gains plutôt qu’à les consommer. Cela résulte en une augmentation des fonds disponibles à l’investissement et, par conséquent, à une accélération de la croissance future du niveau de vie. Notez aussi le rôle des profits, non seulement comme signal qu’une activité économique produit de la richesse plutôt que de gaspiller des ressources, mais aussi comme source de financement pour l’investissement, qui mène à l’amélioration du niveau de vie.
Vu de cette manière, la croissance n’a aucune limite intrinsèque. Notez que je n’ai pas parlé ici de croissance de la population, laquelle peut bien décélérer ou même devenir négative sans nuire au niveau de vie. En fait, si on pousse ce raisonnement à l’extrême, nous pourrions atteindre un stade où les gens ne travaillent presque plus et passent leur temps à profiter de la vie.
Cette vision de la croissance est fort différente de la vision keynésienne qui dicte présentement les politiques gouvernementales. Les keynésiens visent le plein-emploi, et pour y arriver il faut faire augmenter la « demande agrégée». Pour ce faire, il faut que les gens épargnent moins et consomment davantage. On demande donc à la banque centrale de faire baisser les taux d’intérêt autant que possible, pour décourager l’épargne et stimuler la consommation, incitant même à l’endettement. S’il n’y a pas d’épargne, comment alors financer l’investissement ? Pas de problème! En créant de la monnaie ex nihilo, la banque centrale produit une forme « d’épargne artificielle » pour remplacer l’épargne authentique des travailleurs/consommateurs. Le keynésianisme, outillé d’une banque centrale et d’une monnaie fiduciaire, arrive donc à complètement désarrimer la consommation de l’investissement, et donc à miner l’essence du capitalisme. L’offre et la demande de capital sont dé-coordonnés. D’autre part, les keynésiens considèrent que les dépenses du gouvernement font partie du PIB. Donc, lorsque la croissance de la consommation n’est pas au rendez-vous, ils n’hésiteront pas à mousser les dépenses gouvernementales pour stimuler la demande agrégée.
On constate donc que du point de vue keynésien, la croissance est un objectif à atteindre à tout prix; une nécessité vitale.
En ce qui a trait à la croissance de la population, les keynésiens sont terrorisés par la décélération de celle-ci et par le vieillissement démographique que cela engendre, lequel met une pression baissière sur la croissance du PIB total. La réduction du PIB potentiel total est un problème majeur pour l’État puisque ses recettes fiscales diminueront alors que ses dépenses continueront d’augmenter. En outre, les retraités sont de grands consommateurs de services sociaux, surtout en santé. Notre système d’État-providence fait en sorte que ces retraités se retrouvent sur le dos des contribuables pour l’obtention de généreux services sociaux, d’autant plus qu’en raison des politiques keynésiennes décrites ci-haut, ils ont peu épargné et se sont endettés. Vous comprenez maintenant pourquoi la croissance est une telle obsession pour les sbires du gouvernement.
D’ailleurs, ce comportement est facilement observable lorsqu’il est question des politiques des gouvernements à l’égard des ressources naturelles. Les ressources minérales (pétrole, gaz, métaux, potasse) présentes dans le sous-sol au Canada appartiennent en grande majorité aux gouvernements. Les gouvernements louent des droits d’exploitation aux entreprises désirant y faire de l’exploration et une fois la production entamée, ces gouvernements perçoivent de juteuses redevances. Cependant, ces entreprises qui louent les droits d’exploitation de ces terrains doivent se dépêcher de démarrer la production avant l’expiration du bail, sinon elles le perdront! Le gouvernement force donc ces entreprises à produire même si le prix ne le justifie pas, engendrant parfois des surplus. Ces surplus font baisser les prix encore plus, ce qui stimule la consommation et le gaspillage de la ressource. La même chose s’applique aux ressources forestières au Québec. Les coupes à blanc décriées par Richard Desjardins et sa bande se produisent sur des terres qui appartiennent au gouvernement. Ces producteurs ont tout intérêt à couper le plus possible avant l’expiration de leur bail, peu importe le prix.
Les gouvernements ont tout intérêt à agir de cette façon; c’est-à-dire à avoir une vision à court terme. Le but des politiciens est de se faire élire aux quatre ans (ou moins!). Pour améliorer leurs chances de se faire réélire ils doivent dépenser. Et pour dépenser le plus possible, il faut le plus de revenus possible, d’où leur intérêt à exproprier la propriété minérale du sous-sol. Les politiciens ont donc un gros incitatif à ce que ces ressources soient exploitées le plus rapidement possible, de façon à s’accaparer le plus de redevances possible; c’est pourquoi les gouvernements incitent les producteurs à produire davantage à court terme, même si le prix du marché ne le justifie pas. Les producteurs ne sont donc pas en position de conserver les ressources jusqu’à ce que le signal de marché (i.e. un prix plus élevé) les incite à produire. Les gouvernements empêchent donc le marché de faire son travail de gardien des ressources naturelles. (voir ceci)
Le capital contre le travailleur ?
Mais attendez un instant, quand un entrepreneur adopte une nouvelle technologie, cela ne lui permet-il pas d’utiliser moins de travailleurs en remplaçant ceux-ci par une machine ? Dans ce cas, le capitaliste est le seul à bénéficier de l’investissement, alors que les travailleurs en souffrent ? C’est ce que Keynes avait nommé le « chômage technologique » (voir ceci).
Prenons un exemple fictif : une entreprise de téléphonie adopte une nouvelle technologie informatique qui lui permet d’éliminer un certain nombre d’emplois. Quelles seraient les conséquences?
a) Les coûts sont réduits, ce qui permet à l’entreprise de réduire ses prix pour gagner des parts de marchés.
b) La réduction de prix permet aux consommateurs de consommer davantage de ce service, ce qui fait augmenter les profits de l’entreprise.
c) Les consommateurs pourront aussi utiliser l’économie pour consommer autre chose, ce qui fera augmenter la demande de biens et services dans d’autres industries, qui absorberont une partie des emplois éliminés.
d) Cette nouvelle technologie nécessite l’embauche de techniciens et informaticiens, qui sont mieux payés que les travailleurs mis à la porte. Ceux-ci occupaient auparavant des emplois inférieurs (ce qui est une supposition plausible), qui seront dorénavant disponibles à d’autres travailleurs présentement au chômage.
e) L’augmentation des profits de l’entreprise pourra être utilisée pour investir davantage dans l’entreprise, créant ainsi de nouveaux emplois, ou encore pour payer davantage de dividendes aux actionnaires.
Les actionnaires pourront soit utiliser ces dividendes pour consommer davantage, ce qui fera augmenter la demande de biens et services ailleurs dans l’économie, ce qui sera positif pour l’emploi. Ou encore réinvestir cet argent dans d’autres entreprises, leur permettant de financer des investissements créateurs d’emplois.
f) Au final, la demande totale de travailleurs dans l’économie finit par augmenter plutôt que diminuer, tout comme le niveau de vie moyen de la population. Tout ce que nous avons observé est en fait un déplacement de main d’oeuvre, non pas une destruction d’emplois.
g) Cependant, le bémol est que pour se trouver un nouvel emploi, les travailleurs mis à pied devront sans doute suivre une formation.
Ceci dit, au cours des dernières décennies, beaucoup de travailleurs en viennent à perdre la « course contre les machines », et ce pour diverses raisons, dont notamment un système d’éducation vétuste et de mauvais incitatifs induits par l’interventionnisme étatique. Il n’en demeure pas moins que la croissance du capital productif de l’économie augmente le niveau de vie de la population.
Conclusion
Avant de parler de la croissance, il est important de bien la définir. De par sa nature, l’humain tentera toujours d’améliorer son sort, soit en consommant plus, soit en travaillant moins. La croissance du niveau de vie peut parfois être négative pour le PIB; et alors ? Par ailleurs, la croissance du niveau de vie n’implique pas nécessairement de rosser la planète pour en extraire de plus en plus de ressources. En fait, à l’aide du développement technologique, on arrive à produire de plus en plus en utilisant moins de ressources naturelles. Prenez par exemple le iPad, qui permet de remplacer une panoplie de gadgets (ordinateur portable, console de jeu, appareil photo, GPS, etc). Cette innovation améliore notre niveau de vie tout en étant négative pour le PIB et en consommant moins de ressources.
On constate finalement que c’est le gouvernement qui poursuit la croissance à tout prix et que, ce faisant, il a anéanti les leviers du capitalisme, lesquels canalisent l’effort humain vers la création de richesse.
Le gazole représente 80% des volumes de carburant écoulés en France.
Après de longs mois de hausse, les prix du carburant poursuivent leur baisse entamée il y a quinze jours. Une bonne nouvelle pour les automobilistes.
Les prix des carburants poursuivent leur chute
En avril et en mai dernier, le moins que l’on puisse dire, c’est que les automobilistes de France n’ont clairement pas été gâtés en ce qui concerne le prix des différents carburants. Suite à une hausse prodigieuse du prix du baril de Brent en Bourse, les prix de l’essence et du gazole dans l’Hexagone se sont envolés, au point d’atteindre des records. Les choses semblent évoluer positivement.
D’après les derniers chiffres publiés par le ministère de la Transition écologique et solidaire, les prix des carburants auraient poursuivi leur baisse la semaine dernière. Une baisse amorcée il y a quinze jours et qui concerne tant les différentes essences proposées en station-service, en France, que le gazole, qui concentre toujours près de 80% des volumes de carburants écoulés dans le pays.
Gazole et essences voient leur prix diminuer
Plus concrètement, le prix du gazole la semaine passée a chuté de 1,20 centime d’euro. Le litre de gazole s’échangeait ainsi contre 1,4671 euro. Une bonne nouvelle pour les automobilistes quand on sait qu’ils sont encore très nombreux à rouler dans une voiture dotée d’un moteur diesel. Et cela alors que la fiscalité du diesel s’aligne progressivement sur celle de l’essence.
L’essence justement. La semaine dernière, le litre de SP95 s’échangeait en moyenne contre 1,5489 euro. Soit une baisse de 1,18 centime d’euro par rapport à la semaine précédente. Le SP95E10 s’échangeait en revanche contre 1,5279 euro le litre en moyenne, ce qui témoignait une baisse de 1,12 centime d’euro. Enfin, le SP98 s’est écoulé contre 1,6194 euro le litre en moyenne, soit une baisse plus légère de 0,89 centime d’euro.
Un professeur des droits de l'homme déclare que les Vénézuéliens sont «mieux lotis» sous le socialisme
par Tyler Durden Ve, 15/06/2018 - 10:20 Auteur de Grace Gottschling via Campus Reform,
Un professeur de droit spécialisé dans les droits de l'homme affirme que les Vénézuéliens sont «mieux lotis» à cause de Hugo Chávez et qu'ils jouissent actuellement d'élections «libres et équitables».
Daniel Kovalik, qui enseigne le droit international des droits de l'homme à la Faculté de droit de l'Université de Pittsburgh, affirme dans un récent article du Pittsburgh Post-Gazette que la couverture médiatique américaine du Venezuela «ignore le fait» que les États-Unis sont le «plus grand obstacle à la démocratie "au Venezuela et" dans toute l'Amérique latine ".
Kovalik affirme que les "vrais patriotes" du Venezuela "ressentiment" les "sanctions économiques dévastatrices" imposées par les Etats-Unis, affirmant qu'un vote pour le président socialiste actuel Nicolás Maduro "était un vote contre l'ingérence des Etats-Unis" dans les affaires du pays.
«Le système électoral du Venezuela [...] est un processus inspirant qui garantit une personne, une voix et comprend de multiples procédures d'audit pour garantir des élections libres et équitables», affirme Kovalik.
Un rapport mondial 2017 de Human Rights Watch (HRC), cependant, documente plusieurs cas d'abus contre des opposants politiques et des citoyens qui critiquaient le gouvernement actuel du Venezuela.
Selon le rapport, entre avril et juillet de l'année dernière, "les forces de sécurité ont abattu des manifestants à bout portant avec des munitions anti-émeutes, écrasé des manifestants avec un véhicule blindé, battu brutalement des personnes qui n'offraient aucune résistance et organisé des violences raids sur les immeubles d'appartements. "
De même, l'Observatoire des droits de l'homme note que le Bureau du procureur général des États-Unis a signalé 124 décès survenus au Venezuela lors d'incidents liés aux manifestations en juillet 2017. En août de la même année, le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme également déclaré avoir conclu que "plus de la moitié des décès ont été causés par des agents de sécurité."
"Les forces de sécurité ont souvent tenu des manifestants au secret pendant 48 heures ou plus et, dans certains cas, ont commis des violations flagrantes des droits de l'homme, notamment des sévices corporels, des décharges électriques ou des brûlures et forcé les détenus à s'accroupir ou à s'agenouiller pendant des heures." rapport ajoute.
Alors que Kovalik reconnaît les «vraies difficultés au Venezuela», pour lesquelles il prétend que les États-Unis sont «largement responsables», il soutient également que «la plupart des pauvres du Venezuela sont mieux lotis qu'ils ne l'étaient avant la révolution bolivarienne d'Hugo Chavez et Nicolas Maduro "
"Mais vous n'entendez jamais la voix de ces pauvres dans la presse américaine", se plaint-il. "Vous n'avez jamais entendu leur version de l'histoire, comment ils ont bénéficié de la révolution bolivarienne et comment ils ne veulent pas retourner à la façon dont les choses étaient avant."
La «Révolution bolivarienne» est un mouvement politique dirigé par Chavez en 1999. Le slogan original de la révolution - «Patrie, socialisme ou mort» - a été plus tard changé par Chavez en «patrie socialiste et victoire, nous vivrons, et nous sortirons victorieux."
"Alors que les pauvres ont reçu une voix au Venezuela, ils restent muselés dans ce pays et par une presse qui fait passer pour de la propagande en faveur de l'intervention et de la propagande pro-guerre", écrit Kovalik. "Il n'est pas étonnant que les États-Unis continuent à se lancer dans une aventure militaire désastreuse après l'autre."
Dans un entretien avec Campus Reform, Kovalic a déclaré que les rapports du HRC négligent souvent "la violence des manifestations qui incluaient des manifestants mettant le feu à des personnes; décapiter les gens avec des lignes de vêtements en métal placées comme des pièges dans les rues; bombarder un convoi de police; et en mettant des tonnes de nourriture, des bâtiments publics (y compris des cliniques de santé et une garderie) sur le feu. "
"Bien que je ne tolère pas la violence policière, il faut avoir ce contexte pour comprendre ce qui se passe au Venezuela et pourquoi la police pourrait réagir comme ils le font", a poursuivi Kovalik. "Et encore, le calme relatif est revenu au Venezuela, et je pense que vous verrez des rapports beaucoup plus positifs [Human Rights Watch] pour la fin de 2017 et pour 2018."
En comparant la situation à la violence policière aux Etats-Unis, Kovalik a prédit que "le nombre de morts par la police au Venezuela sera minuscule par rapport au nombre de morts par la police américaine dans un environnement beaucoup plus calme".
"Et pourtant, les Etats-Unis - qui emprisonnent aussi plus de personnes (en termes absolus et en pourcentage de la population) que n'importe quelle autre nation sur Terre - continueront à se présenter comme le phare de la liberté et de la démocratie" m'a dit.
Pour mieux illustrer son propos, Kovalik a poursuivi en citant l'ancien président George W. Bush, qui a un jour fait remarquer que «trop souvent nous jugeons les autres groupes par leurs pires exemples, tout en nous jugeant par nos meilleures intentions».
* * *
ZH: Les mots ne peuvent même pas commencer à expliquer à quel point ces déclarations sont ridicules - quand on considère ce qui suit ...
Jan 2018: Une récente vague de pillages révèle l'ampleur de la faim au Venezuela
La crise économique et la pénurie alimentaire au Venezuela sont si graves que le pillage est devenu monnaie courante dans tout le pays.
Rien qu'en janvier, près de 400 petites manifestations et plus de 100 cas de pillage ont eu lieu dans 19 États, selon l'Observatoire vénézuélien des conflits.
Jan 2018: Au Venezuela, "Nous pillons ou nous mourons de faim"
Alors que nous avons rapporté des incidents de pillage antérieurs, les analystes commencent à craindre que la vague actuelle ne s'attarde sur la chute économique du Venezuela vers une dystopie de type Mad-Max - très différente de la terre promise du succès utopique socialiste promise par Bernie Sanders et ses prédécesseurs latino-américains.
Il est clair qu'au milieu des pénuries alimentaires désespérées, les Vénézuéliens acquièrent de nouvelles compétences de survie.
Février 2018: Début de l'exode de masse: des milliers de personnes fuient la famine socialiste vénézuélienne à travers le pont vers la Colombie
Les gens fuient le socialisme imposé au Venezuela par des centaines de milliers de personnes. Affamés, et confrontés à la violence sur les miettes de nourriture, beaucoup n'ont d'autre choix que de fuir les terres incultes qui ont utilisé l'autorité du gouvernement pour détruire la vie de leurs citoyens.
Des milliers de Vénézuéliens tentent de fuir la dystopie socialiste que leur nation est devenue.
Février 2018: "C'est de la folie" - La violence de Mad Max s'envole sur les routes sans loi du Venezuela
Le Venezuela a atteint de nouveaux sommets alors qu'une bande de motards de type Mad-Max poursuit sa course et attaque un camion (avec des cocktails Molotov) pour voler sa charge de sucre ...
Et alors que nous ne pouvions pas voir comment les choses pourraient empirer ... ils l'ont fait.
Mar 2018: "Je n'ai pas mangé de viande en deux mois" - Les travailleurs du pétrole vénézuéliens s'effondrent de faim au travail
60 % des Vénézuéliens interrogés ont déclaré qu'au cours des trois mois précédents ils s'étaient réveillés affamés parce qu'ils n'avaient pas assez d'argent pour acheter de la nourriture. Environ un quart de la population mangeait deux repas ou moins par jour.
Après avoir remporté la présidence en 1999, le président de gauche Hugo Chavez était fier d'améliorer les indicateurs sociaux du Venezuela, alors que l'économie du pays était soutenue par des politiques d'aide sociale alimentées par le pétrole.
Mais son successeur, le président Nicolas Maduro, qui a régné depuis 2013, a permis à la corruption de s'épanouir. Et ses alliés politiques ont mal géré l'économie à un point tel que l'effondrement du prix du pétrole en 2014 a eu des conséquences ruineuses.
Même si le prix du brut a commencé à grimper sensiblement, la situation au Venezuela ne fait que s'aggraver.
Dans le Venezuela actuel, les contrôles des changes limitent les importations de produits alimentaires, l'hyperinflation empiète sur les salaires et les gens s'alignent pendant des heures pour acheter des produits de base comme la farine.
En conséquence, 90 % des Vénézuéliens vivent dans la pauvreté.
@leoperiodista Avis de non-responsabilité au sujet des paiements effectués sur ce site Internet au sujet des réservations à l'hôtel. # Mérida .. # 11ene .. @ ReporteYa .. @ ElNacionalWeb 23h57 - 11 janvier 2018
Autrement dit, la société utopique qui se nourrit de flamants, de taureaux, de lapins et d'éleveurs est en train de s'effondrer ... mais bon, comme dit ce professeur, au moins les pauvres ont le droit de vote !!
Faut dire que Tyler Durden n'est jamais allé au Venezuela et se contente de regarder la télé et de lire les journaux de N-Y. Il y a une mafia étrangère installée aux postes-clés des fournitures électrique, hospitalières et alimentaires. Ces terroristes volent et tuent. Ce sont des mercenaires cités par le professeur Kovalik. Des vénézuéliens ne fuient pas la politique voulue par le Peuple au Venezuela mais tentent d'échapper aux mercenaires payés par un pays étranger qui veut uniquement s'emparer du pétrole vénézuélien.
En tous les cas ce n'est pas pire qu'à L.A. où des quartiers sont intouchables et très dangereux.
"La situation est critique": l'Autriche mène des exercices de défense à la frontière pour une vague attendue de 80 000 migrants
par Tyler Durden Ven, 15/06/2018 - 04:15
Quelques semaines après l'ouverture d'une nouvelle "route des Balkans" en Albanie, Montegegro, Bosnie et Croatie, les forces autrichiennes mèneront des exercices de sécurité le 25 juin dans la ville frontalière de Spielfeld en prévision d'une vague de 80 000 migrants Selon Kronen Zeitung, le journal autrichien le plus largement diffusé.
La participation à l'exercice se fera entre 600 et 1000 membres de la police anti-émeute, l'escadron de la "Puma" et l'armée fédérale participeront à l'exercice.
«La situation est critique», déclare le général Fritz Lang, directeur de l'Office fédéral autrichien de police criminelle, qui affirme que 30 passages clandestins illégaux sont tentés chaque jour.
Selon M. Lang, les migrants sont principalement de jeunes hommes solitaires, «dont beaucoup sont considérés comme des« combattants terroristes », ce qui nécessite une forte protection aux frontières.
L'Autriche a construit une clôture renforcée à la frontière slovène à la fin de l'année 2015, après qu'un afflux de demandeurs d'asile a commencé à affluer dans le pays depuis la Slovénie. La Slovénie, quant à elle, a construit un mur à sa frontière sud avec la Croatie pour endiguer le flux de migrants vers le nord.
@OnlineMagazin Afflux de #refugees: Sur la frontière # Slovène-Autriche. #Sentilj - #Spielfeld le 29-12-2015 15 heures. 20h53 - 30 décembre 2015
"Nous devons également nous préparer à ce que, dans un flux migratoire important et soudain, les mesures de protection des frontières dans ces pays amis ne soient plus utiles", a déclaré le ministre de l'Intérieur Herbert Kickl, ajoutant: "Nous montrons aussi que nous sommes sérieux. l'enregistrement et la prise de la vague avec nous, mais une vraie attitude défensive. "
"Le problème a commencé avec la phrase" Nous pouvons le faire "
Lang, commentant les "scènes disgracieuses" où les migrants tentent d'entrer dans le pays, a déclaré: "Nous ne désamorcerons certainement pas notre propre situation si nous induisons simplement les gens en agitant des migrants, et nos policiers seront si près de la frontière slovène toute demande d'asile, il y aura un cas pour les Slovènes. "
Kickl, quant à lui, a eu quelques mots durs pour la chancelière allemande Angela Merkel, en disant que "tout le problème a commencé avec la phrase" Nous pouvons le faire ", en référence à l'acceptation de l'afflux de migrants balayant l'Europe.
L'exercice frontalier de l'Autriche du 25 juin tombe sur la Journée de l'Etat slovène - qui a bouleversé les Slovènes.
"Nous avons été informés de l'exercice prévu, nous avons exprimé notre désaccord avec la date, le lieu et le concept de l'exercice lui-même, le nombre de migrants entrant en Autriche via la Slovénie n'est pas de nature à exiger de tels exercices". La police slovène - qui dit que seulement 13 migrants ont été renvoyés d'Autriche en Slovénie jusqu'à présent cette année.
La police allemande découvre le complot djihadiste "Terreur de Ricin"
par Tyler Durden Ven, 15/06/2018 - 02:45
Un tunisien de 29 ans a été arrêté à Cologne, en Allemagne, après avoir réussi à produire Ricin, ce que les autorités disent vouloir alimenter comme un agent terroriste biochimique. Le ricin est considéré par le Center for Disease Control (CDC) comme l'un des agents biologiques les plus toxiques connus - classé comme un agent de bioterrorisme de catégorie B et un agent de guerre chimique de numéro 1.
Selon les médias allemands, la police pense avoir déjoué une potentielle attaque terroriste djihadiste au stade de la planification, qui visait à utiliser Ricin que le suspect fabriquait avec des graines de ricin.
L'AP rapporte que les plans ont été inspirés par un manuel d'instructions en ligne pour une "bombe à la ricine" sur un site web de l'Etat islamique, citant le journal allemand Bild:
Bild a également signalé que le suspect avait acheté des matériaux de fabrication de bombes et des produits chimiques utilisés dans la production de ricine. Il a déclaré que le suspect vivait dans le quartier de Chorweiler à Cologne avec sa femme, convertie à l'islam, et quatre enfants. Il aurait utilisé des instructions pour fabriquer une bombe ricin mise en ligne par le groupe extrémiste État islamique.
Les services de renseignement américains auraient informé les autorités allemandes après que le suspect ait été surveillé en commandant des quantités inhabituelles de graines de ricin en ligne, qui sont naturellement toxiques et peuvent être utilisées pour créer le poison.
"Nous ne savons pas comment, ou dans quelle mesure, le ricin devait être distribué", a déclaré le procureur allemand cité par l'AP. Il est encore inconnu si l'homme, identifié seulement comme Sief Allah H., a des liens avec des organisations terroristes, ni la police a révélé combien de ricin avait été produit - seulement que "Il avait des contacts avec les gens dans le spectre djihadiste", selon le procureur.
Ricin: sous-produit mortel de l'usine de Castor, célèbre par Walter White pour tuer un ennemi dans l'épisode final de la série à succès Breaking Bad.
«Le djihad en Occident n'a jamais produit de ricin à ma connaissance», note Paul Cruickshank, du Centre de lutte contre le terrorisme de West Point, qui ajoute: «Un nouveau seuil a été franchi dans la menace terroriste chimique. "
"Ricin est plus meurtrier que le venin d'un cobra: une quantité infime suffit à tuer un adulte", a déclaré un expert du terrorisme, cité par NBC, à propos de la substance utilisée par Walter White pour tuer un ennemi dans la région. épisode final de la série à succès Breaking Bad.
En poudre fine, Ricin peut tuer rapidement s'il est inhalé, comme l'explique National Geographic:
Si la ricine est inhalée, les symptômes initiaux peuvent survenir dès 4 à 6 heures après l'exposition, mais des symptômes graves peuvent aussi survenir 24 heures après l'exposition. Les symptômes initiaux sont susceptibles d'affecter le système respiratoire et peuvent inclure des difficultés respiratoires, un essoufflement, une oppression thoracique et une toux. La mort par intoxication à la ricine peut survenir dans les 36 à 72 heures suivant l'exposition, selon la voie d'exposition et la dose.
Ricin est, selon le groupe de surveillance des armes chimiques OPCW, un «agent chimique du tableau 1» pour les raisons suivantes: les produits chimiques comprennent ceux qui ont été ou peuvent être facilement utilisés comme armes chimiques et qui ont des utilisations très limitées, voire nulles; fins pacifiques.
Ainsi, le plus inquiétant pour les enquêteurs qui examinent actuellement l'affaire de Cologne est peut-être de savoir si elle est ou non liée à un complot terroriste plus large mené par un groupe djihadiste organisé.
Compte tenu de l'accessibilité relative de la production de ricin et du fait que les sites de propagande de l'Etat islamique explorent son potentiel de provoquer des morts massifs, le cas de Cologne est profondément troublant car il pourrait ne constituer que la pointe de l'iceberg.
Les membres de la Société géologique repoussent la position climatique
Anthony Watts 15 juin 2018
En 2010, 43 membres de la Royal Society ont écrit à leur président d'alors, Paul Nurse, pour se plaindre du ton peu scientifique des messages de la société sur le changement climatique. Il y a quelques jours, un groupe de 33 membres actuels et anciens de la Société géologique ont écrit une lettre ouverte à leur président dans la même veine. Le texte est reproduit ci-dessous.
Le président Société géologique de Londres
Cher Président
Nous écrivons en tant que groupe de géoscientifiques principalement concernés, dont la moitié sont ou étaient des Fellows (noms et affiliations énumérés ci-dessous). Notre préoccupation est que la position de la Société sur le changement climatique (ou Anthropogenic Global Warming) est désuète et unilatérale, et détourne l'attention et le financement de véritables problèmes de pollution tels que le plastique et autres déchets industriels et domestiques nocifs. Pour résoudre ce problème, nous avons proposé à Colin Summerhayes que les documents de position 2010 et 2013 du GSL soient affichés sur le blogue Energy Matters afin que tous les aspects de la discussion puissent être diffusés; et nous sommes très reconnaissants à Colin d'y avoir participé et d'y avoir participé (http://euanmearns.com/the-geological-society-of-londons-statement-on-climate-change/). En outre, Colin continue de s'engager dans une correspondance électronique ouverte et dynamique avec certains d'entre nous sur les avantages et les inconvénients d'AGW.
Les documents de position du GSL indiquent qu'ils ont été préparés «sur la base d'une analyse de données géologiques, et non sur l'analyse de données récentes de température ou de satellite, ou de projections de modèles climatiques». l'augmentation de la température depuis 1900, est l'augmentation exponentielle de gaz carbonique et autres gaz à effet de serre dans l'atmosphère depuis la révolution industrielle », n'est pas conforme à l'affirmation du GIEC (dans AR5 SPM), que« les influences anthropiques ont probablement affecté l'eau globale cycle depuis 1960 ', et que' plus de la moitié 'du réchauffement depuis 1951 est dû à AGW. Le GIEC affirme également que «les émissions anthropiques de gaz à effet de serre (GES) depuis l'ère préindustrielle (prétendues entre 1750 et 1880) ont entraîné de fortes augmentations des concentrations atmosphériques de ... gaz carbonique», ce que personne ne nie sérieusement, mais ils le font pas prétendre que cela a entraîné un réchauffement avant 1951/60, comme le GSL semble le faire.
La position du GIEC correspond aux observations selon lesquelles près de la moitié du réchauffement qui s'est produit au cours des quelque 150 dernières années depuis l'industrialisation avait déjà eu lieu en 1943, bien avant l'augmentation rapide du gaz carbonique industriel. Cette différence d'opinion est critique, car si le gaz carbonique n'a pas causé le réchauffement d'avant 1943, le consensus prétendu que les AGW catastrophiques sont causées par les émissions de gaz carbonique humaines depuis la révolution industrielle, qui est soutenu par GSL, doit être confondu.
Alors qu'il reste d'autres points de désaccord sur la science du réchauffement climatique et du changement climatique (qui ne sont pas la même chose), nous pouvons probablement tous convenir que le document de position 2010 et l'addendum 2013 doivent être actualisés. Et comme cette mise à jour sera cruciale pour décider de la future politique climatique mondiale, nous proposons que tout document actualisé provienne d'une discussion ouverte et complète de la science, et pas seulement des idées d'un petit groupe, aussi qualifié soit-il. Nous suggérons qu'un tel processus pourrait être réalisé en adoptant des méthodes d'examen utilisées par d'autres sociétés professionnelles, en particulier l'APS, l'AAPG et l'APPEA dont des copies sont jointes.
Nous croyons également que le GSL a la responsabilité de réfuter les revendications exagérées qui tourbillonnent autour du débat sur les changements climatiques, sapant la vraie science - telle que la cause du gaz carbonique et du changement climatique:
plus d'ouragans, plus de pluie, plus de sécheresse, plus d'asthme et maintenant, encore plus de terrorisme (à cause de la sécheresse en Afrique), le froid et le chaud exceptionnels enregistrés sur la majeure partie de l'hémisphère nordique sub-arctique au cours de l'hiver et du printemps passés sont ce que nous devrions «attendre» du réchauffement climatique.
Comme cette lettre le montre clairement, il n'est pas vrai que 97 % des scientifiques acceptent sans réserve que la théorie de l'AGW est fixe, ou que le carbone et le gaz carbonique sont des «polluants» et que leur production devrait être pénalisée; comment le nutriment primaire dans la photosynthèse peut-il être un polluant ? Nous notons également que 700 scientifiques ont présenté des observations au Sénat américain exprimant leur dissidence du consensus et 166 climatologues ont lancé un défi à Ban Ki Moon à la veille du Sommet de Copenhague sur le climat en 2009 pour fournir une preuve du réchauffement climatique induit par l'homme. n'a pas fait.
Même une fois que les journaux respectables comme le New Scientist, continuent de colporter sans discernement ces absurdités sur les médias sociaux comme le tristement célèbre bâton de hockey, cela semble avoir perdu la période chaude médiévale par ailleurs bien documentée. Le «réchauffement de la planète» est sur toutes les lèvres, chaque mois / année étant considéré comme «le plus chaud de tous les temps», sur la base des données de température terrestre et marine «ajustées» du GIEC; cependant, la «pause» dans les températures moyennes depuis le phénomène El Niño de 1998, comme en témoignent presque toutes les données récentes sur les températures, suggère que le réchauffement planétaire ne se produit plus. Les deux affirmations ne peuvent pas être correctes et, en ne disant rien sur ces différences, la Société les soutient plutôt qu'elles ne les résout.
En restreignant l'examen à la preuve géologique, indépendamment de la théorie et de la modélisation du GIEC, le GSL a signalé une approche scientifique indépendante. Mais en excluant une évaluation du climat moderne, le comité n'a pas remarqué ou tenu compte de ces incohérences et d'autres incohérences dans la théorie AGW.
Le blog Energy Matters a été une première étape utile pour se concentrer sur ces questions, mais comme il ne fait pas l'objet d'un «examen par les pairs» comme le sont généralement les articles scientifiques, nous suggérons que quelque chose de plus formel soit nécessaire. conférence pour explorer tous les côtés des questions soulevées, avec un modérateur neutre fort.
Les sujets d'un tel dialogue pourraient examiner les preuves
Le gaz carbonique seul comme principal facteur de température ou de climat. Le changement climatique est en grande partie réel, naturel et hors de notre contrôle. La manipulation des données climatiques a été utilisée pour soutenir le «réchauffement climatique». [Ii] La plupart des alarmes climatiques ne sont guère plus que des alarmistes. Le gaz carbonique est principalement bénéfique, pas dangereux mais la décarbonisation générale est. Les effluents industriels et les plastiques, la déforestation et la surpêche sont dangereux et sont mis de côté par l'attention portée aux émissions de gaz carbonique.
Le système climatique mondial, tel que défini par le GIEC, [iii] est un «système chaotique couplé non linéaire» pour lequel «la prédiction à long terme des futurs états climatiques n'est pas possible». Cela est dû à l'impossibilité de décrire avec précision les conditions initiales, et à l'instabilité générée par les mathématiques causant des erreurs cumulatives dans le processus de modélisation, qui se combinent pour rendre une solution «correcte» impossible. Cela devrait à lui seul inciter les auteurs des déclarations GSL à se montrer très confiants quant au fait que le gaz carbonique seul a conduit à la température et au climat depuis 1900. Les documents du GIEC répondent à certaines incertitudes et sont généralement beaucoup moins biaisés que les SPM. ) qui retiennent toute l'attention des médias, ce qui est regrettable, car il est évident qu'ils sont en grande partie écrits non pas par des scientifiques mais par un «ensemble de représentants de gouvernements et d'ONG, avec seulement une petite représentation scientifique.» [iv] Le biais ne sape pas seulement le contenu scientifique, il surcharge le «consensus écrasant pour le changement climatique induit par l'homme» qui est inconsciemment promulgué par les médias année après année. La façade du consensus, aidée par les ajustements de données promis dans les emails du Climategate, nie le «conflit créatif entre la théorie et les données» qui manque dans ce débat et que nous suggérons que le GSL puisse relancer. Il est à espérer que l'utilisation fréquente de conditions «peut» et «pourrait» dans les documents actuels sera réduite, car un document qui affectera la politique du gouvernement pendant des années doit être plus précis quant aux niveaux d'incertitude dans ses déclarations.
Nous notons également la difficulté de publier quoi que ce soit qui ne confirme pas la position du GIEC AGW, encore une fois, comme promis dans les emails du Climategate; et aussi, les attaques «ad hominem» plutôt que la réfutation des données qui caractérisent trop souvent le débat, et nous espérons que cela n'empêchera pas le comité d'examiner des données qui ne semblent pas étayer ses conclusions.
Nous ne nous attendons pas à ce que toutes nos préoccupations survivent à l'épreuve du temps, et nous supposons que GSL accepterait pareillement que de nouvelles données pourraient bien changer le «consensus». Les modèles climatiques ne parviennent pas à modéliser les climats passés de manière précise et surestimée les tendances futures de la température, et ne sont pas capables d'expliquer ce qui suit:
Le hiatus actuel ou une pause dans le réchauffement. Pourquoi les 285 ppm de gaz carbonique atmosphérique estimés pour le début de la révolution industrielle sont en quelque sorte une référence souhaitable. Il coïncide avec le petit âge glaciaire victorien, une période de famine et de déclin de la population, qui ne peut pas être une cible souhaitable, sauf si vous voulez dépeupler la terre.
Les modèles climatiques prédisent toujours des températures plus élevées que celles qui se produisent réellement L'absence de hotspot troposphérique prédit - «l'empreinte digitale d'AGW».
Le gaz carbonique et la température étaient plus élevés qu'aujourd'hui au cours des 50 millions d'années précédentes plus, sans effets CAGW, pourquoi pas ? Le réchauffement naturel de 8 ° C et de ~ 100ppm a augmenté de gaz carbonique pendant l'Holocène jusqu'aux années 1800, et l'augmentation subséquente de 125 ppm de gaz carbonique après 1950, accompagnée d'une élévation de température d'environ 1 ° C. L'énigme holocène de la baisse générale mais fluctuante des températures à partir de ~ 3.000BP, accompagnée d'une augmentation du gaz carbonique qui précède les émissions industrielles de gaz carbonique. Comment la théorie AGW repose sur le transfert radiatif seulement pour chauffer la planète, et semble ignorer l'insolation, l'enthalpie et la vapeur d'eau. L'incapacité de la science d'AGW à aiguiser la gamme d'estimations de la sensibilité au climat (actuellement entre 1.5 oC et 6.4 ° C selon GSL) malgré plus de 30 ans d'efforts extrêmement financés; la science a sûrement échoué ? Notion de sensibilité du système terrestre introduite par GSL, qui pourrait être deux fois «sensible au climat» (Addendum 2013, page 4) De telles défaillances rationnelles doivent inquiéter le GSL car elles démontrent que le gaz carbonique seul ne peut pas conduire le réchauffement climatique, alors comment peut-il conduire le changement climatique ? Et si ce n'est pas le cas, il n'y a pas de raison pour l'acceptation sans réserve de l'accent du GIEC / ONU sur la pénalisation du gaz carbonique les émissions ?
Les discussions sur le blog Energy Matters suggèrent que les documents de position du GSL ne «prouvent» pas que les températures moyennes mondiales sont mesurées ou convenues avec précision, ou que le réchauffement climatique est réel et / ou dangereux, ou que le gaz carbonique est efficace le climat au-delà de la variabilité naturelle. Les documents de position n'auraient pas inclus les effets bénéfiques du gaz carbonique sur l'écologisation de la planète, car cela n'a pas été largement rapporté avant l'étude de juillet 2013 du CSIRO. Cependant, les avantages qu'une électricité fiable et peu coûteuse peut apporter pour prévenir plus de 4 millions de décès annuels dus à la pollution de l'air intérieur due à la combustion de bio et autres combustibles solides, sont évidents depuis un certain temps. Même si le gaz carbonique a provoqué un certain réchauffement, est-ce plus dangereux pour plus de personnes que cette très réelle pollution que subissent quotidiennement plus de 200 millions de personnes dans le monde en développement ?
Nous soutenons pleinement l'implication de la Société dans le débat sur le changement climatique, mais nous croyons que les échecs apparents de la théorie de l'AGW évoqués ci-dessus appellent à une nouvelle réflexion. Le climat est et changera toujours, mais la preuve que cela est dû principalement au gaz carbonique, n'est pas à venir. Si les forts forçages naturels qui sont si bien décrits dans les documents du GSL ont plus d'impact que le gaz carbonique, alors nous devrions dépenser plus de ressources limitées pour trouver des moyens de s'adapter aux changements climatiques négatifs.
Nous sommes conscients que le conseil a des devoirs envers la Société, pour le prestige de la science et pour les Associés, dans cet ordre peut-être, mais pense que toute déclaration officielle de la Société devrait au moins reconnaître les opinions des Associés dissidents. Le changement climatique (qui n'est jamais décrit, sans aucune justification, comme dangereux) est devenu la question critique de notre temps et la dissidence éclairée, ne peut pas être balayé sous le tapis ou rejeté comme «non scientifique» ou «négationniste», comme trop souvent ; "La rébellion est la racine la plus profonde de la science; le refus d'accepter le présent ordre de choses, '[v] mais apparemment plus dans Climate Studies.
Le GSL a pris une position indépendante forte; le cycle du carbone est un véritable problème géologique, mais l'interprétation des données est sujette à une incertitude croissante au fur et à mesure que l'on avance dans le temps, de sorte que des conclusions fermes basées uniquement sur des données expérimentales (le dossier géologique). Comme l'un de mes correspondants le dit: «La Société peut faire des commentaires sur la complexité de la physique et des mathématiques et sur l'incertitude inévitable des prédictions du comportement dynamique non linéaire, etc., et il n'y a rien de mal à en débattre ... Mais ... leurs conclusions sont une science injustifiée et malsaine si elle repose uniquement sur des preuves géologiques.
La science est censée utiliser tous les outils à sa disposition et, en excluant le registre moderne, il serait encore plus judicieux d'éviter le soutien tacite à la proposition selon laquelle «la science est réglée». Et même si tout ce que le GIEC a peur des regards est inéluctable, appliquer le principe de précaution en pénalisant le carbone, quel qu'il soit, a mis fin au débat en créant plus de mal que de bénéfice. Mieux vaut de loin chercher des moyens d'atténuer les effets possibles jusqu'à ce que les preuves deviennent plus fermes, d'une manière ou d'une autre.
La force de la Société est que la Fraternité n'est pas seulement ouverte aux personnes qui partagent un «consensus» actuel, ce qui était autrefois accepté est souvent tombé à l'eau lorsque les arguments sont renversés; Murchison et Sedgwick, uniformitarisme et catastrophisme, Piltdown Man.
Nous aimerions faire une présentation de nos constatations au conseil d'administration, car une bonne partie de ce qui est pertinent peut être mieux comprise en référence aux données. Cependant, nous ne souhaitons aucunement monopoliser cette discussion, car nous pensons que les questions doivent être soulevées avant autant de parties intéressées que possible. C'est pour cette raison que nous appelons cela une lettre ouverte et que nous la ferons circuler dans les médias après la prochaine AGA. Yours sincerely
«Catastrophe totale»: d’anciens employés de Tesla décrivent leur travail
22:45 15.06.2018
Le portail Business Insider a interrogé certains employés de Tesla qui ont raconté leurs difficiles conditions de travail et de licenciement dans cette entreprise d’Elon Musk. Tesla
Plusieurs anciens employés de Tesla, qui ont préféré garder l'anonymat, ont raconté au portail Business Insider leur travail dans cette entreprise dirigée par Elon Musk.
Une femme, qui a travaillé au département des ventes avant d'être licenciée, a raconté qu'elle devait travailler le week-end et la nuit pour accomplir les tâches fixées par la direction. De plus, l'entreprise n'a pas respecté à plusieurs reprises ses obligations, notamment concernant les frais de transport.
«À vrai dire, depuis le début de mon travail dans l'entreprise, cela n'a été qu'une catastrophe totale», a-t-elle constaté.
Un ex-employé du service de livraison des voitures Tesla a fait savoir qu'entre 2015 et 2018, le volume de travail de son équipe avait été multiplié par six, alors que les effectifs avaient été réduits.
«Nous manquons de personnel, mais 9 % des employés sont licenciés», a-t-il souligné.
Un ingénieur, qui travaille toujours à Tesla, a annoncé qu'il avait appris le licenciement de son chef lors d'une réunion. Selon cet interlocuteur de Business Insider, la direction de la société a licencié les personnes qui auraient dû rester.
Le 12 juin, Elon Musk a annoncé le licenciement de près de quatre mille emplois de Tesla, soit 9 % du personnel. Il a expliqué cette décision de réorganisation de la société comme étant nécessaire pour réduire les dépenses et rendre l'entreprise rentable.
En mai, Tesla a rendu publiques des pertes d'un montant de 710 millions de dollars (611 millions d'euros) pour le premier trimestre 2018.
Tesla c'est la copie conforme avec l'escroquerie du Global Warming/Éoliennes et panneaux solaires !
RépondreSupprimerÇà rapporte rien, ça coûte 'les yeux de la tête' au contribuable et c'est n°1 au hit-parade !
Apocalypse selon l'accord : comment fait-on la guerre avec une arme nucléaire
RépondreSupprimerSputnik
mer., 13 juin 2018 22:32 UTC
Le traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP) a été signé il y a 50 ans. Quels pays ont refusé de le signer, pourquoi est-il difficile de contrôler les sites nucléaires et que risquent ceux qui transgressent le traité ?
bombe
Le 12 juin 1968, l'Assemblée générale des Nations unies approuvait le TNP, qui sera signé le 1er juillet par plus de 40 pays dont l'URSS et les USA, écrit le quotidien Gazeta.ru. Le traité était nécessaire pour empêcher l'élargissement du cercle de pays disposant de l'arme nucléaire. Le contrôle du respect des termes de l'accord permettait de restreindre la possibilité d'évolution d'un conflit armé avec l'usage de cette arme.
Conformément aux termes principaux du document,
tout État doté d'armes nucléaires (les États qui ont fabriqué et testé l'arme nucléaire avant le 1er janvier 1967) étant Partie du Traité s'engage à ne transférer à qui que ce soit, ni directement ni indirectement, des armes nucléaires ou autres dispositifs nucléaires explosifs, ou le contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs; et à n'aider, n'encourager ni inciter d'aucune façon un État non doté d'armes nucléaires, quel qu'il soit, à fabriquer ou acquérir de quelque autre manière des armes nucléaires ou autres dispositifs nucléaires explosifs, ou le contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs.
Par ailleurs, tout État non doté d'armes nucléaires qui est Partie du Traité s'engage à n'accepter de qui que ce soit, ni directement ni indirectement, le transfert d'armes nucléaires ou autres dispositifs explosifs nucléaires ou du contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs.
Sachant que le traité fixe le droit inaliénable de toutes les Parties de développer la recherche, la production et l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques, et exige de faciliter un échange aussi large que possible d'équipements, de matériaux et de renseignements scientifiques et technologiques.
A ce jour, seulement quatre États n'ont pas signé le TNP: Israël, l'Inde, le Pakistan et la Corée du Nord.
« Le Pakistan, l'Inde et Israël n'ont jamais signé le TNP et possèdent l'arme nucléaire. Ils ne veulent pas y renoncer, or il n'existe pas d'autres moyens pour adhérer au TNP. La Corée du Nord était membre du TNP mais elle a décidé de créer l'arme nucléaire et en est sortie. Actuellement, ces quatre pays ne sont pas membres du TNP. L'Afrique du Sud est un exemple bien connu d'État qui a créé l'arme nucléaire avant d'y renoncer, de fermer le programme nucléaire et de rejoindre le TNP. Les autres ne sont pas encore prêts à le faire », déclare Andreï Baklitski, consultant du centre PIR.
Malgré l'utilité du traité pour réduire la probabilité d'un conflit nucléaire, il possède plusieurs lacunes. Par exemple, le TNP ne régule pas très précisément les possibilités de développer l'arme nucléaire dans les pays non nucléaires.
« L'article VI stipule que les États dotés de l'arme nucléaire
s'engagent à poursuivre de bonne foi des négociations sur la cessation de la course aux armements nucléaires et le désarmement nucléaire.
Mais cet article est très vague - il ne précise pas comment, quand et sous quelle forme les États doivent réduire leurs arsenaux et tout cela repose sur la conscience des États eux-mêmes.
C'est pourquoi les États non nucléaires critiquent fortement le TNP dans la mesure où il n'impose pas de restrictions sévères », explique Andreï Baklitski.
RépondreSupprimerAlors que les États qui n'ont pas signé le traité n'ont pratiquement aucune restriction.
La question de l'élaboration de l'arme nucléaire dans ces pays est en partie réglementée par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Les États signataires du traité se trouvent également sous son contrôle.
« L'AIEA a précisément été créée pour veiller à ce que le programme nucléaire pacifique ne devienne pas un programme nucléaire militaire. Quand tout le matériau nucléaire se retrouve sous la garantie de l'AIEA, l'agence garantit que le matériau pacifique reste pacifique. Pour conclure des contrats avec l'AIEA il n'est pas indispensable d'être membre du TNP et en principe, par exemple, Israël et l'Inde signent également des contrats avec l'AIEA, mais seulement dans le cadre de leur activité nucléaire pacifique », poursuit Andreï Baklitski.
Par exemple, il existe deux réacteurs nucléaires en Israël, dont un sous la garantie de l'AIEA. Les spécialistes de l'agence s'y rendent régulièrement en inspection pour s'assurer qu'il est utilisé uniquement à des fins pacifiques. Bien que le second réacteur israélien soit utilisé pour produire du plutonium militaire, au moins l'un des sites est contrôlé. L'Inde a suivi un itinéraire similaire en divisant en 2006 son programme nucléaire en pacifique et militaire.
-- Commentaire : Hypocrisie à son plus haut degré. C'es un scandale. --
Conformément à l'accord, un État n'a pas le droit de refuser aux représentants de l'AIEA l'inspection d'un site nucléaire.
Cependant, la responsabilité de rapporter la présence de tels sites et leur nombre incombe uniquement à l'État-même. En 1991, par exemple, a été révélée l'ampleur du programme nucléaire de l'Irak qui menait secrètement ses recherches.
Un protocole supplémentaire avait alors été introduit, permettant aux inspecteurs de l'AIEA de vérifier tous les sites, d'effectuer des inspections inopinées et de recueillir des échantillons pour détecter l'accumulation d'isotopes radioactifs.
« Le problème du protocole supplémentaire est qu'il repose sur une base volontaire et que chaque pays décide lui-même s'il faut le signer ou non, indique l'expert. Et certains pays pensent que c'est un fardeau inutile, que c'est discriminatoire, que les États nucléaires possèdent l'arme nucléaire alors que les pays pacifiques non nucléaires doivent rendre des comptes et laisser entrer des inspecteurs sur leur territoire.
Les inspecteurs de l'AIEA peuvent exiger un accès aux sites militaires s'ils pensent que des matériaux nucléaires non déclarés pourraient s'y trouver - et il est obligatoire de les laisser entrer.
Naturellement, certains pays ne veulent pas laisser des étrangers pénétrer sur des sites militaires. C'est pourquoi plusieurs pays n'ont toujours pas ratifié le protocole supplémentaire.»
Le traité ne protège pas non plus contre l'usage de l'arme nucléaire: il porte uniquement sur les questions relatives à la non-prolifération.
RépondreSupprimer« Le mécanisme qui empêcherait, disons, la Russie et les USA de commencer une guerre nucléaire n'existe pas, précise Andreï Baklitski. Cette question serait examinée par L'ONU mais en cas de tel conflit, tout procès perdrait son sens: l'humanité pourrait avoir déjà disparu à ce moment-là».
-- Commentaire : Si en plus nous attendons que l'ONU fasse quoi que ce soit pour sauver qui que ce soit ... nous sommes dans des beaux draps. --
Néanmoins, il contribue effectivement au désarmement nucléaire. Ainsi, en pleine Guerre froide, les puissances nucléaires, notamment l'URSS et les USA, avaient déployé des dizaines de milliers d'ogives nucléaires alors qu'aujourd'hui, la Russie et les États-Unis possèdent 1.550 ogives chacun.
« Mais elles sont encore très nombreuses et suffisantes pour infliger des dégâts irréparables, estime l'expert. On ignore si la réduction de leur nombre se poursuivra. Ces dernières années, les USA et la Russie ne mènent pas de négociations sur leur réduction.»
-- Commentaire : Et qu'en est-il d'Israel avec ses 200 bombes atomiques ? Lire : Moscou appelle Israël à adhérer au Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires --
Le traité ne comporte non plus aucun mécanisme de sanction.
Tout comme l'AIEA - ces questions sont prises en charge par le Conseil de sécurité des Nations unies. Un État soupçonné de violer le traité fait d'abord l'objet de sanctions économiques et subit la pression internationale pour faire cesser le programme nucléaire. L'Iran, soupçonné depuis 2004 d'élaborer secrètement l'arme nucléaire, s'est retrouvé dans une telle situation.
« Il faut savoir que la décision d'élaborer ou non l'arme nucléaire est prise par chaque État pour lui-même. D'un côté, il y a des moyens d'isolement économique et politique, de pression, de l'autre un État n'élabore pas l'arme nucléaire sans raison. C'est un projet complexe et coûteux dans lequel les pays s'engagent seulement en cas de menace pour leur sécurité », déclare Andreï Baklitski.
Les conférences d'examen du TNP sont organisées tous les cinq ans. Parmi les derniers accords conclus figurent celui sur l'abandon de la construction de nouveaux réacteurs pour l'enrichissement d'uranium et l'extraction de plutonium, l'accélération du désarmement nucléaire des signataires du TNP dotés de l'arme nucléaire, le durcissement des mesures engagées contre les pays qui sortent du TNP, qui font du commerce illicite de technologies et de matières nucléaires, et le changement d'exigences pour le déroulement des inspections de l'AIEA.
-- Commentaire : Des beaux mots et de belles résolutions mais le fait est que :
Armes nucléaires américaines en Allemagne
De nucléaire en nucléaire ... ça risque de faire boum !
Les USA préparent les Européens à l'utilisation d'armes nucléaires contre la Russie
Voulez-vous une bombe nucléaire ?
Israël détruira le monde, dans un Armageddon nucléaire --
https://fr.sott.net/article/32667-Apocalypse-selon-l-accord-comment-fait-on-la-guerre-avec-une-arme-nucleaire
Débunkage du site à Fake News « YourNewsWire »
RépondreSupprimerEn direct du chaos
mer., 13 juin 2018 19:51 UTC
YourNewsWire.com Cela fait plusieurs mois que je vois des sites internet français qui partagent les article du site YourNewsWire. A chaque fois les titres des articles et leurs contenus sont tellement gros que ça me paraissait être du fake. J'avais vu juste, il suffit de se balader sur les articles de ce site en carton pour se rendre compte que les auteurs inventent tout simplement les faits qu'ils dénoncent, tout en se basant parfois sur du vrai. Dans cette vidéo vous trouverez un débunkage du site YourNewsWire dans les règles de l'art ainsi que quelques révélations sur la personne qui est l'origine de ce site web.
- voir clip sur site:
https://fr.sott.net/article/32664-Debunkage-du-site-a-Fake-News-YourNewsWire
Redux: Le capitalisme et la croissance à tout prix…
RépondreSupprimer11 juin 2018
par Minarchiste
- voir graphique sur site -
Notez que cet article a été initialement publié en novembre 2013.
Un reproche souvent fait au capitalisme est qu’il dépend absolument de la « croissance » pour exister. Sans elle, le système s’écroulerait, ce pourquoi la croissance est recherchée à tout prix, de manière perpétuelle, voire exponentielle.
En fait, la croissance n’est pas inhérente au capitalisme, qui n’est en fait qu’un système de normes définissant la manière dont les humains coopèrent économiquement entre eux (c’est-à-dire par libre choix plutôt que par la force). La viabilité du capitalisme ne dépend d’aucune croissance minimale intrinsèque.
Ceci dit, la croissance perpétuelle est-elle souhaitable? Dans les pays industrialisé, le niveau de vie n’est-il pas déjà suffisamment élevé ? Pourquoi devrions-nous épuiser nos ressources et détruire la planète pour consommer encore plus ?
La croissance de quoi ?
Certes, le niveau de vie qui prévaut présentement dans les pays industrialisés est confortable, mais pourquoi faudrait-il qu’il arrête de s’améliorer ? L’individu moyen vit effectivement très bien, mais il y a encore beaucoup de gens dont le niveau de vie laisse encore à désirer et qui bénéficieraient grandement d’une croissance économique accrue.
Tout d’abord, il faut définir de quelle genre de croissance on parle : du PIB ? de la population ? de la consommation ? L’erreur est de définir la croissance en se basant sur le PIB, ce qui est la vision keynésienne des choses. La vraie croissance est celle du capital productif de l’économie, en quantité et/ou en qualité.
Il y a plusieurs façons d’améliorer son niveau de vie, dépendamment des besoins marginaux et des désirs de chaque individu. Certains souhaiteraient s’alimenter mieux ou se loger mieux, d’autres voudraient faire quelques voyages et se payer un peu de luxe, d’autres voudraient peut-être travailler moins, prendre une période sabbatique ou une retraite anticipée. Dans tous les cas, l’augmentation du niveau de vie nécessite une augmentation de la capacité productive de l’économie.
Il y a plusieurs manières pour un travailleur de voir sa capacité productive augmenter. Pour ce faire, il faut que la valeur ajoutée de son travail augmente, c’est-à-dire la différence entre la valeur de ce qu’il produit et le coût des ressources et du capital injectées dans le processus de production du bien ou service produit. Autrement dit, il faut que le bien ou service valle plus cher que ce qu’il coûte à produire, sinon il y aurait gaspillage de ressources et aucune richesse ne serait créée, ce qui résulterait en un appauvrissement de la société.
Une première façon d’y arriver est la formation. En apprenant de nouvelles techniques, un travailleur peut arriver soit à produire des biens de plus grandes valeur de par leurs qualités intrinsèques et/ou à produire des bien à moindre coût. Dans les deux cas, la valeur ajoutée augmente, ce qui va de pair avec la rémunération potentielle de ce travail et le niveau de vie du travailleur. Cependant, la formation nécessite un investissement soit de la part du travailleur, soit de l’entrepreneur qui finance la formation de ses employés, ou les deux à la fois.
Une deuxième source d’augmentation de capacité productive consiste à développer de nouvelles technologies qui permettent soit de produire des biens de plus grande qualité et/ou de les produire à moindre coût. Encore une fois, ces nouvelles technologies arrivent à faire augmenter la valeur ajoutée générée par le travailleur. Pour accéder à ces gains, des « innovateurs » doivent investir en recherche et développement, puis des entrepreneurs doivent investir du capital pour acquérir ces nouvelles technologies.
RépondreSupprimerLorsqu’ils font baisser les coûts de production, ces deux vecteurs de croissance contribuent au niveau de vie du travailleur de deux manières : 1) en faisant augmenter sa rémunération et 2) en faisant augmenter son pouvoir d’achat (puisque les biens et services coûtent moins cher, chaque dollar de salaire permet d’obtenir davantage de choses). Dans la mesure où le travailleur décidera d’utiliser ce pouvoir d’achat supplémentaire pour consommer davantage plutôt que pour travailler moins ou épargner de manière à devancer sa retraite, la demande de biens et services augmentera. Pour subvenir à cette demande accrue, les entrepreneurs devront investir dans l’expansion de leur capacité de production. Cela offrira l’opportunité à un certain nombre de travailleurs d’améliorer leur sort en obtenant un meilleur emploi. Autrement dit, cette croissance de la capacité de production fera augmenter la demande de travailleurs et, par conséquent, le prix du travail, c’est-à-dire la rémunération.
Ces graphiques (source) démontrent à quel point le niveau de vie est corrélé à la productivité, laquelle dépend de l’innovation et de la formation. J’ajouterais cependant que l’utilisation du PIB comme mesure de richesse comporte plusieurs bémols à ne pas négliger.
- voir graphique sur site -
Le cercle vertueux de l’investissement
On constate donc que la croissance du niveau de vie des gens dépend de l’investissement dans la capacité productive de l’économie, soit en formation, soit en développement technologique, soit en expansion des opérations. Mais d’où vient cet investissement ? Comment est-il financé ? En fait, dans un système monétaire où la banque centrale n’inonde pas les marchés financiers de monnaie créée ex nihilo, l’investissement vient de l’épargne. Cette épargne peut provenir d’un travailleur qui décide d’investir une partie de son salaire en actions, obligations ou dépôts bancaires plutôt que de le consommer entièrement. Elle peut aussi provenir d’une entreprise qui réinvestit une partie de ses profits plutôt que de les verser entièrement aux actionnaires sous forme de dividendes. Dans les deux cas, en finançant l’investissement, l’épargne fait grossir le capital productif de l’économie : c’est l’essence du capitalisme. D’ailleurs, plus le niveau de vie d’un travailleur augmente, plus il aura tendance à épargner ses gains plutôt qu’à les consommer. Cela résulte en une augmentation des fonds disponibles à l’investissement et, par conséquent, à une accélération de la croissance future du niveau de vie. Notez aussi le rôle des profits, non seulement comme signal qu’une activité économique produit de la richesse plutôt que de gaspiller des ressources, mais aussi comme source de financement pour l’investissement, qui mène à l’amélioration du niveau de vie.
Les limites de la croissance
RépondreSupprimerVu de cette manière, la croissance n’a aucune limite intrinsèque. Notez que je n’ai pas parlé ici de croissance de la population, laquelle peut bien décélérer ou même devenir négative sans nuire au niveau de vie. En fait, si on pousse ce raisonnement à l’extrême, nous pourrions atteindre un stade où les gens ne travaillent presque plus et passent leur temps à profiter de la vie.
Cette vision de la croissance est fort différente de la vision keynésienne qui dicte présentement les politiques gouvernementales. Les keynésiens visent le plein-emploi, et pour y arriver il faut faire augmenter la « demande agrégée». Pour ce faire, il faut que les gens épargnent moins et consomment davantage. On demande donc à la banque centrale de faire baisser les taux d’intérêt autant que possible, pour décourager l’épargne et stimuler la consommation, incitant même à l’endettement. S’il n’y a pas d’épargne, comment alors financer l’investissement ? Pas de problème! En créant de la monnaie ex nihilo, la banque centrale produit une forme « d’épargne artificielle » pour remplacer l’épargne authentique des travailleurs/consommateurs. Le keynésianisme, outillé d’une banque centrale et d’une monnaie fiduciaire, arrive donc à complètement désarrimer la consommation de l’investissement, et donc à miner l’essence du capitalisme. L’offre et la demande de capital sont dé-coordonnés. D’autre part, les keynésiens considèrent que les dépenses du gouvernement font partie du PIB. Donc, lorsque la croissance de la consommation n’est pas au rendez-vous, ils n’hésiteront pas à mousser les dépenses gouvernementales pour stimuler la demande agrégée.
On constate donc que du point de vue keynésien, la croissance est un objectif à atteindre à tout prix; une nécessité vitale.
En ce qui a trait à la croissance de la population, les keynésiens sont terrorisés par la décélération de celle-ci et par le vieillissement démographique que cela engendre, lequel met une pression baissière sur la croissance du PIB total. La réduction du PIB potentiel total est un problème majeur pour l’État puisque ses recettes fiscales diminueront alors que ses dépenses continueront d’augmenter. En outre, les retraités sont de grands consommateurs de services sociaux, surtout en santé. Notre système d’État-providence fait en sorte que ces retraités se retrouvent sur le dos des contribuables pour l’obtention de généreux services sociaux, d’autant plus qu’en raison des politiques keynésiennes décrites ci-haut, ils ont peu épargné et se sont endettés. Vous comprenez maintenant pourquoi la croissance est une telle obsession pour les sbires du gouvernement.
D’ailleurs, ce comportement est facilement observable lorsqu’il est question des politiques des gouvernements à l’égard des ressources naturelles. Les ressources minérales (pétrole, gaz, métaux, potasse) présentes dans le sous-sol au Canada appartiennent en grande majorité aux gouvernements. Les gouvernements louent des droits d’exploitation aux entreprises désirant y faire de l’exploration et une fois la production entamée, ces gouvernements perçoivent de juteuses redevances. Cependant, ces entreprises qui louent les droits d’exploitation de ces terrains doivent se dépêcher de démarrer la production avant l’expiration du bail, sinon elles le perdront! Le gouvernement force donc ces entreprises à produire même si le prix ne le justifie pas, engendrant parfois des surplus. Ces surplus font baisser les prix encore plus, ce qui stimule la consommation et le gaspillage de la ressource. La même chose s’applique aux ressources forestières au Québec. Les coupes à blanc décriées par Richard Desjardins et sa bande se produisent sur des terres qui appartiennent au gouvernement. Ces producteurs ont tout intérêt à couper le plus possible avant l’expiration de leur bail, peu importe le prix.
Les gouvernements ont tout intérêt à agir de cette façon; c’est-à-dire à avoir une vision à court terme. Le but des politiciens est de se faire élire aux quatre ans (ou moins!). Pour améliorer leurs chances de se faire réélire ils doivent dépenser. Et pour dépenser le plus possible, il faut le plus de revenus possible, d’où leur intérêt à exproprier la propriété minérale du sous-sol. Les politiciens ont donc un gros incitatif à ce que ces ressources soient exploitées le plus rapidement possible, de façon à s’accaparer le plus de redevances possible; c’est pourquoi les gouvernements incitent les producteurs à produire davantage à court terme, même si le prix du marché ne le justifie pas. Les producteurs ne sont donc pas en position de conserver les ressources jusqu’à ce que le signal de marché (i.e. un prix plus élevé) les incite à produire. Les gouvernements empêchent donc le marché de faire son travail de gardien des ressources naturelles. (voir ceci)
RépondreSupprimerLe capital contre le travailleur ?
Mais attendez un instant, quand un entrepreneur adopte une nouvelle technologie, cela ne lui permet-il pas d’utiliser moins de travailleurs en remplaçant ceux-ci par une machine ? Dans ce cas, le capitaliste est le seul à bénéficier de l’investissement, alors que les travailleurs en souffrent ? C’est ce que Keynes avait nommé le « chômage technologique » (voir ceci).
Prenons un exemple fictif : une entreprise de téléphonie adopte une nouvelle technologie informatique qui lui permet d’éliminer un certain nombre d’emplois. Quelles seraient les conséquences?
a) Les coûts sont réduits, ce qui permet à l’entreprise de réduire ses prix pour gagner des parts de marchés.
b) La réduction de prix permet aux consommateurs de consommer davantage de ce service, ce qui fait augmenter les profits de l’entreprise.
c) Les consommateurs pourront aussi utiliser l’économie pour consommer autre chose, ce qui fera augmenter la demande de biens et services dans d’autres industries, qui absorberont une partie des emplois éliminés.
d) Cette nouvelle technologie nécessite l’embauche de techniciens et informaticiens, qui sont mieux payés que les travailleurs mis à la porte. Ceux-ci occupaient auparavant des emplois inférieurs (ce qui est une supposition plausible), qui seront dorénavant disponibles à d’autres travailleurs présentement au chômage.
e) L’augmentation des profits de l’entreprise pourra être utilisée pour investir davantage dans l’entreprise, créant ainsi de nouveaux emplois, ou encore pour payer davantage de dividendes aux actionnaires.
Les actionnaires pourront soit utiliser ces dividendes pour consommer davantage, ce qui fera augmenter la demande de biens et services ailleurs dans l’économie, ce qui sera positif pour l’emploi.
Ou encore réinvestir cet argent dans d’autres entreprises, leur permettant de financer des investissements créateurs d’emplois.
f) Au final, la demande totale de travailleurs dans l’économie finit par augmenter plutôt que diminuer, tout comme le niveau de vie moyen de la population. Tout ce que nous avons observé est en fait un déplacement de main d’oeuvre, non pas une destruction d’emplois.
g) Cependant, le bémol est que pour se trouver un nouvel emploi, les travailleurs mis à pied devront sans doute suivre une formation.
Ceci dit, au cours des dernières décennies, beaucoup de travailleurs en viennent à perdre la « course contre les machines », et ce pour diverses raisons, dont notamment un système d’éducation vétuste et de mauvais incitatifs induits par l’interventionnisme étatique. Il n’en demeure pas moins que la croissance du capital productif de l’économie augmente le niveau de vie de la population.
RépondreSupprimerConclusion
Avant de parler de la croissance, il est important de bien la définir. De par sa nature, l’humain tentera toujours d’améliorer son sort, soit en consommant plus, soit en travaillant moins. La croissance du niveau de vie peut parfois être négative pour le PIB; et alors ? Par ailleurs, la croissance du niveau de vie n’implique pas nécessairement de rosser la planète pour en extraire de plus en plus de ressources. En fait, à l’aide du développement technologique, on arrive à produire de plus en plus en utilisant moins de ressources naturelles. Prenez par exemple le iPad, qui permet de remplacer une panoplie de gadgets (ordinateur portable, console de jeu, appareil photo, GPS, etc). Cette innovation améliore notre niveau de vie tout en étant négative pour le PIB et en consommant moins de ressources.
On constate finalement que c’est le gouvernement qui poursuit la croissance à tout prix et que, ce faisant, il a anéanti les leviers du capitalisme, lesquels canalisent l’effort humain vers la création de richesse.
Lectures complémentaires :
https://minarchiste.wordpress.com/2012/09/18/recommandation-de-lecture-abundance-par-peter-diamandis/
https://minarchiste.wordpress.com/2013/05/09/la-course-contre-les-machines-et-le-chomage-technologique/
https://minarchiste.wordpress.com/2010/01/29/keynes-et-le-choc-demographique-du-quebec/
https://minarchiste.wordpress.com/2010/05/10/vive-le-capital/
https://minarchiste.wordpress.com/2010/05/03/limportance-du-profit/
https://minarchiste.wordpress.com/2018/06/11/redux-le-capitalisme-et-la-croissance-a-tout-prix/#more-6124
LES PRIX DES CARBURANTS POURSUIVENT LEUR BAISSE
RépondreSupprimerpar JEAN-BAPTISTE LE ROUX
12/06/2018
Le gazole représente 80% des volumes de carburant écoulés en France.
Après de longs mois de hausse, les prix du carburant poursuivent leur baisse entamée il y a quinze jours. Une bonne nouvelle pour les automobilistes.
Les prix des carburants poursuivent leur chute
En avril et en mai dernier, le moins que l’on puisse dire, c’est que les automobilistes de France n’ont clairement pas été gâtés en ce qui concerne le prix des différents carburants. Suite à une hausse prodigieuse du prix du baril de Brent en Bourse, les prix de l’essence et du gazole dans l’Hexagone se sont envolés, au point d’atteindre des records. Les choses semblent évoluer positivement.
D’après les derniers chiffres publiés par le ministère de la Transition écologique et solidaire, les prix des carburants auraient poursuivi leur baisse la semaine dernière. Une baisse amorcée il y a quinze jours et qui concerne tant les différentes essences proposées en station-service, en France, que le gazole, qui concentre toujours près de 80% des volumes de carburants écoulés dans le pays.
Gazole et essences voient leur prix diminuer
Plus concrètement, le prix du gazole la semaine passée a chuté de 1,20 centime d’euro. Le litre de gazole s’échangeait ainsi contre 1,4671 euro. Une bonne nouvelle pour les automobilistes quand on sait qu’ils sont encore très nombreux à rouler dans une voiture dotée d’un moteur diesel. Et cela alors que la fiscalité du diesel s’aligne progressivement sur celle de l’essence.
L’essence justement. La semaine dernière, le litre de SP95 s’échangeait en moyenne contre 1,5489 euro. Soit une baisse de 1,18 centime d’euro par rapport à la semaine précédente.
Le SP95E10 s’échangeait en revanche contre 1,5279 euro le litre en moyenne, ce qui témoignait une baisse de 1,12 centime d’euro.
Enfin, le SP98 s’est écoulé contre 1,6194 euro le litre en moyenne, soit une baisse plus légère de 0,89 centime d’euro.
http://www.economiematin.fr/news-france-baisse-prix-carburants
Un professeur des droits de l'homme déclare que les Vénézuéliens sont «mieux lotis» sous le socialisme
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ve, 15/06/2018 - 10:20
Auteur de Grace Gottschling via Campus Reform,
Un professeur de droit spécialisé dans les droits de l'homme affirme que les Vénézuéliens sont «mieux lotis» à cause de Hugo Chávez et qu'ils jouissent actuellement d'élections «libres et équitables».
Daniel Kovalik, qui enseigne le droit international des droits de l'homme à la Faculté de droit de l'Université de Pittsburgh, affirme dans un récent article du Pittsburgh Post-Gazette que la couverture médiatique américaine du Venezuela «ignore le fait» que les États-Unis sont le «plus grand obstacle à la démocratie "au Venezuela et" dans toute l'Amérique latine ".
Kovalik affirme que les "vrais patriotes" du Venezuela "ressentiment" les "sanctions économiques dévastatrices" imposées par les Etats-Unis, affirmant qu'un vote pour le président socialiste actuel Nicolás Maduro "était un vote contre l'ingérence des Etats-Unis" dans les affaires du pays.
«Le système électoral du Venezuela [...] est un processus inspirant qui garantit une personne, une voix et comprend de multiples procédures d'audit pour garantir des élections libres et équitables», affirme Kovalik.
Un rapport mondial 2017 de Human Rights Watch (HRC), cependant, documente plusieurs cas d'abus contre des opposants politiques et des citoyens qui critiquaient le gouvernement actuel du Venezuela.
Selon le rapport, entre avril et juillet de l'année dernière, "les forces de sécurité ont abattu des manifestants à bout portant avec des munitions anti-émeutes, écrasé des manifestants avec un véhicule blindé, battu brutalement des personnes qui n'offraient aucune résistance et organisé des violences raids sur les immeubles d'appartements. "
De même, l'Observatoire des droits de l'homme note que le Bureau du procureur général des États-Unis a signalé 124 décès survenus au Venezuela lors d'incidents liés aux manifestations en juillet 2017. En août de la même année, le Haut Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme également déclaré avoir conclu que "plus de la moitié des décès ont été causés par des agents de sécurité."
"Les forces de sécurité ont souvent tenu des manifestants au secret pendant 48 heures ou plus et, dans certains cas, ont commis des violations flagrantes des droits de l'homme, notamment des sévices corporels, des décharges électriques ou des brûlures et forcé les détenus à s'accroupir ou à s'agenouiller pendant des heures." rapport ajoute.
Alors que Kovalik reconnaît les «vraies difficultés au Venezuela», pour lesquelles il prétend que les États-Unis sont «largement responsables», il soutient également que «la plupart des pauvres du Venezuela sont mieux lotis qu'ils ne l'étaient avant la révolution bolivarienne d'Hugo Chavez et Nicolas Maduro "
"Mais vous n'entendez jamais la voix de ces pauvres dans la presse américaine", se plaint-il. "Vous n'avez jamais entendu leur version de l'histoire, comment ils ont bénéficié de la révolution bolivarienne et comment ils ne veulent pas retourner à la façon dont les choses étaient avant."
La «Révolution bolivarienne» est un mouvement politique dirigé par Chavez en 1999. Le slogan original de la révolution - «Patrie, socialisme ou mort» - a été plus tard changé par Chavez en «patrie socialiste et victoire, nous vivrons, et nous sortirons victorieux."
RépondreSupprimer"Alors que les pauvres ont reçu une voix au Venezuela, ils restent muselés dans ce pays et par une presse qui fait passer pour de la propagande en faveur de l'intervention et de la propagande pro-guerre", écrit Kovalik. "Il n'est pas étonnant que les États-Unis continuent à se lancer dans une aventure militaire désastreuse après l'autre."
Dans un entretien avec Campus Reform, Kovalic a déclaré que les rapports du HRC négligent souvent "la violence des manifestations qui incluaient des manifestants mettant le feu à des personnes; décapiter les gens avec des lignes de vêtements en métal placées comme des pièges dans les rues; bombarder un convoi de police; et en mettant des tonnes de nourriture, des bâtiments publics (y compris des cliniques de santé et une garderie) sur le feu. "
"Bien que je ne tolère pas la violence policière, il faut avoir ce contexte pour comprendre ce qui se passe au Venezuela et pourquoi la police pourrait réagir comme ils le font", a poursuivi Kovalik. "Et encore, le calme relatif est revenu au Venezuela, et je pense que vous verrez des rapports beaucoup plus positifs [Human Rights Watch] pour la fin de 2017 et pour 2018."
En comparant la situation à la violence policière aux Etats-Unis, Kovalik a prédit que "le nombre de morts par la police au Venezuela sera minuscule par rapport au nombre de morts par la police américaine dans un environnement beaucoup plus calme".
"Et pourtant, les Etats-Unis - qui emprisonnent aussi plus de personnes (en termes absolus et en pourcentage de la population) que n'importe quelle autre nation sur Terre - continueront à se présenter comme le phare de la liberté et de la démocratie" m'a dit.
Pour mieux illustrer son propos, Kovalik a poursuivi en citant l'ancien président George W. Bush, qui a un jour fait remarquer que «trop souvent nous jugeons les autres groupes par leurs pires exemples, tout en nous jugeant par nos meilleures intentions».
* * *
ZH: Les mots ne peuvent même pas commencer à expliquer à quel point ces déclarations sont ridicules - quand on considère ce qui suit ...
Jan 2018: Une récente vague de pillages révèle l'ampleur de la faim au Venezuela
La crise économique et la pénurie alimentaire au Venezuela sont si graves que le pillage est devenu monnaie courante dans tout le pays.
https://www.zerohedge.com/sites/default/files/inline-images/20180117_venz1.png
Rien qu'en janvier, près de 400 petites manifestations et plus de 100 cas de pillage ont eu lieu dans 19 États, selon l'Observatoire vénézuélien des conflits.
Jan 2018: Au Venezuela, "Nous pillons ou nous mourons de faim"
Alors que nous avons rapporté des incidents de pillage antérieurs, les analystes commencent à craindre que la vague actuelle ne s'attarde sur la chute économique du Venezuela vers une dystopie de type Mad-Max - très différente de la terre promise du succès utopique socialiste promise par Bernie Sanders et ses prédécesseurs latino-américains.
RépondreSupprimerIl est clair qu'au milieu des pénuries alimentaires désespérées, les Vénézuéliens acquièrent de nouvelles compétences de survie.
Février 2018: Début de l'exode de masse: des milliers de personnes fuient la famine socialiste vénézuélienne à travers le pont vers la Colombie
Les gens fuient le socialisme imposé au Venezuela par des centaines de milliers de personnes. Affamés, et confrontés à la violence sur les miettes de nourriture, beaucoup n'ont d'autre choix que de fuir les terres incultes qui ont utilisé l'autorité du gouvernement pour détruire la vie de leurs citoyens.
Des milliers de Vénézuéliens tentent de fuir la dystopie socialiste que leur nation est devenue.
Février 2018: "C'est de la folie" - La violence de Mad Max s'envole sur les routes sans loi du Venezuela
Le Venezuela a atteint de nouveaux sommets alors qu'une bande de motards de type Mad-Max poursuit sa course et attaque un camion (avec des cocktails Molotov) pour voler sa charge de sucre ...
Et alors que nous ne pouvions pas voir comment les choses pourraient empirer ... ils l'ont fait.
Mar 2018: "Je n'ai pas mangé de viande en deux mois" - Les travailleurs du pétrole vénézuéliens s'effondrent de faim au travail
60 % des Vénézuéliens interrogés ont déclaré qu'au cours des trois mois précédents ils s'étaient réveillés affamés parce qu'ils n'avaient pas assez d'argent pour acheter de la nourriture. Environ un quart de la population mangeait deux repas ou moins par jour.
Après avoir remporté la présidence en 1999, le président de gauche Hugo Chavez était fier d'améliorer les indicateurs sociaux du Venezuela, alors que l'économie du pays était soutenue par des politiques d'aide sociale alimentées par le pétrole.
Mais son successeur, le président Nicolas Maduro, qui a régné depuis 2013, a permis à la corruption de s'épanouir. Et ses alliés politiques ont mal géré l'économie à un point tel que l'effondrement du prix du pétrole en 2014 a eu des conséquences ruineuses.
Même si le prix du brut a commencé à grimper sensiblement, la situation au Venezuela ne fait que s'aggraver.
Dans le Venezuela actuel, les contrôles des changes limitent les importations de produits alimentaires, l'hyperinflation empiète sur les salaires et les gens s'alignent pendant des heures pour acheter des produits de base comme la farine.
En conséquence, 90 % des Vénézuéliens vivent dans la pauvreté.
@leoperiodista
Avis de non-responsabilité au sujet des paiements effectués sur ce site Internet au sujet des réservations à l'hôtel. # Mérida .. # 11ene .. @ ReporteYa .. @ ElNacionalWeb
23h57 - 11 janvier 2018
Autrement dit, la société utopique qui se nourrit de flamants, de taureaux, de lapins et d'éleveurs est en train de s'effondrer ... mais bon, comme dit ce professeur, au moins les pauvres ont le droit de vote !!
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-15/human-rights-professor-says-venezuelans-better-under-socialism
Faut dire que Tyler Durden n'est jamais allé au Venezuela et se contente de regarder la télé et de lire les journaux de N-Y.
SupprimerIl y a une mafia étrangère installée aux postes-clés des fournitures électrique, hospitalières et alimentaires. Ces terroristes volent et tuent. Ce sont des mercenaires cités par le professeur Kovalik. Des vénézuéliens ne fuient pas la politique voulue par le Peuple au Venezuela mais tentent d'échapper aux mercenaires payés par un pays étranger qui veut uniquement s'emparer du pétrole vénézuélien.
En tous les cas ce n'est pas pire qu'à L.A. où des quartiers sont intouchables et très dangereux.
"La situation est critique": l'Autriche mène des exercices de défense à la frontière pour une vague attendue de 80 000 migrants
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
Ven, 15/06/2018 - 04:15
Quelques semaines après l'ouverture d'une nouvelle "route des Balkans" en Albanie, Montegegro, Bosnie et Croatie, les forces autrichiennes mèneront des exercices de sécurité le 25 juin dans la ville frontalière de Spielfeld en prévision d'une vague de 80 000 migrants Selon Kronen Zeitung, le journal autrichien le plus largement diffusé.
La participation à l'exercice se fera entre 600 et 1000 membres de la police anti-émeute, l'escadron de la "Puma" et l'armée fédérale participeront à l'exercice.
«La situation est critique», déclare le général Fritz Lang, directeur de l'Office fédéral autrichien de police criminelle, qui affirme que 30 passages clandestins illégaux sont tentés chaque jour.
Selon M. Lang, les migrants sont principalement de jeunes hommes solitaires, «dont beaucoup sont considérés comme des« combattants terroristes », ce qui nécessite une forte protection aux frontières.
L'Autriche a construit une clôture renforcée à la frontière slovène à la fin de l'année 2015, après qu'un afflux de demandeurs d'asile a commencé à affluer dans le pays depuis la Slovénie. La Slovénie, quant à elle, a construit un mur à sa frontière sud avec la Croatie pour endiguer le flux de migrants vers le nord.
@OnlineMagazin
Afflux de #refugees: Sur la frontière # Slovène-Autriche. #Sentilj - #Spielfeld le 29-12-2015 15 heures.
20h53 - 30 décembre 2015
"Nous devons également nous préparer à ce que, dans un flux migratoire important et soudain, les mesures de protection des frontières dans ces pays amis ne soient plus utiles", a déclaré le ministre de l'Intérieur Herbert Kickl, ajoutant: "Nous montrons aussi que nous sommes sérieux. l'enregistrement et la prise de la vague avec nous, mais une vraie attitude défensive. "
"Le problème a commencé avec la phrase" Nous pouvons le faire "
Lang, commentant les "scènes disgracieuses" où les migrants tentent d'entrer dans le pays, a déclaré: "Nous ne désamorcerons certainement pas notre propre situation si nous induisons simplement les gens en agitant des migrants, et nos policiers seront si près de la frontière slovène toute demande d'asile, il y aura un cas pour les Slovènes. "
Kickl, quant à lui, a eu quelques mots durs pour la chancelière allemande Angela Merkel, en disant que "tout le problème a commencé avec la phrase" Nous pouvons le faire ", en référence à l'acceptation de l'afflux de migrants balayant l'Europe.
L'exercice frontalier de l'Autriche du 25 juin tombe sur la Journée de l'Etat slovène - qui a bouleversé les Slovènes.
"Nous avons été informés de l'exercice prévu, nous avons exprimé notre désaccord avec la date, le lieu et le concept de l'exercice lui-même, le nombre de migrants entrant en Autriche via la Slovénie n'est pas de nature à exiger de tels exercices". La police slovène - qui dit que seulement 13 migrants ont été renvoyés d'Autriche en Slovénie jusqu'à présent cette année.
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-14/situation-critical-austria-conducts-border-defense-drills-expected-wave-80000
C'est tout de même mieux que le 'mur' entre les USA et le Mexique !!
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RépondreSupprimerLa police allemande découvre le complot djihadiste "Terreur de Ricin"
par Tyler Durden
Ven, 15/06/2018 - 02:45
Un tunisien de 29 ans a été arrêté à Cologne, en Allemagne, après avoir réussi à produire Ricin, ce que les autorités disent vouloir alimenter comme un agent terroriste biochimique. Le ricin est considéré par le Center for Disease Control (CDC) comme l'un des agents biologiques les plus toxiques connus - classé comme un agent de bioterrorisme de catégorie B et un agent de guerre chimique de numéro 1.
Selon les médias allemands, la police pense avoir déjoué une potentielle attaque terroriste djihadiste au stade de la planification, qui visait à utiliser Ricin que le suspect fabriquait avec des graines de ricin.
L'AP rapporte que les plans ont été inspirés par un manuel d'instructions en ligne pour une "bombe à la ricine" sur un site web de l'Etat islamique, citant le journal allemand Bild:
Bild a également signalé que le suspect avait acheté des matériaux de fabrication de bombes et des produits chimiques utilisés dans la production de ricine. Il a déclaré que le suspect vivait dans le quartier de Chorweiler à Cologne avec sa femme, convertie à l'islam, et quatre enfants. Il aurait utilisé des instructions pour fabriquer une bombe ricin mise en ligne par le groupe extrémiste État islamique.
Les services de renseignement américains auraient informé les autorités allemandes après que le suspect ait été surveillé en commandant des quantités inhabituelles de graines de ricin en ligne, qui sont naturellement toxiques et peuvent être utilisées pour créer le poison.
"Nous ne savons pas comment, ou dans quelle mesure, le ricin devait être distribué", a déclaré le procureur allemand cité par l'AP. Il est encore inconnu si l'homme, identifié seulement comme Sief Allah H., a des liens avec des organisations terroristes, ni la police a révélé combien de ricin avait été produit - seulement que "Il avait des contacts avec les gens dans le spectre djihadiste", selon le procureur.
Ricin: sous-produit mortel de l'usine de Castor, célèbre par Walter White pour tuer un ennemi dans l'épisode final de la série à succès Breaking Bad.
«Le djihad en Occident n'a jamais produit de ricin à ma connaissance», note Paul Cruickshank, du Centre de lutte contre le terrorisme de West Point, qui ajoute: «Un nouveau seuil a été franchi dans la menace terroriste chimique. "
"Ricin est plus meurtrier que le venin d'un cobra: une quantité infime suffit à tuer un adulte", a déclaré un expert du terrorisme, cité par NBC, à propos de la substance utilisée par Walter White pour tuer un ennemi dans la région. épisode final de la série à succès Breaking Bad.
Breaking Bad, scène "Rice'n Beans":
En poudre fine, Ricin peut tuer rapidement s'il est inhalé, comme l'explique National Geographic:
RépondreSupprimerSi la ricine est inhalée, les symptômes initiaux peuvent survenir dès 4 à 6 heures après l'exposition, mais des symptômes graves peuvent aussi survenir 24 heures après l'exposition. Les symptômes initiaux sont susceptibles d'affecter le système respiratoire et peuvent inclure des difficultés respiratoires, un essoufflement, une oppression thoracique et une toux. La mort par intoxication à la ricine peut survenir dans les 36 à 72 heures suivant l'exposition, selon la voie d'exposition et la dose.
Ricin est, selon le groupe de surveillance des armes chimiques OPCW, un «agent chimique du tableau 1» pour les raisons suivantes: les produits chimiques comprennent ceux qui ont été ou peuvent être facilement utilisés comme armes chimiques et qui ont des utilisations très limitées, voire nulles; fins pacifiques.
Ainsi, le plus inquiétant pour les enquêteurs qui examinent actuellement l'affaire de Cologne est peut-être de savoir si elle est ou non liée à un complot terroriste plus large mené par un groupe djihadiste organisé.
Compte tenu de l'accessibilité relative de la production de ricin et du fait que les sites de propagande de l'Etat islamique explorent son potentiel de provoquer des morts massifs, le cas de Cologne est profondément troublant car il pourrait ne constituer que la pointe de l'iceberg.
https://www.zerohedge.com/news/2018-06-15/german-police-uncover-jihadist-ricin-bomb-terror-plot
Les membres de la Société géologique repoussent la position climatique
RépondreSupprimerAnthony Watts
15 juin 2018
En 2010, 43 membres de la Royal Society ont écrit à leur président d'alors, Paul Nurse, pour se plaindre du ton peu scientifique des messages de la société sur le changement climatique. Il y a quelques jours, un groupe de 33 membres actuels et anciens de la Société géologique ont écrit une lettre ouverte à leur président dans la même veine. Le texte est reproduit ci-dessous.
Le président
Société géologique de Londres
Cher Président
Nous écrivons en tant que groupe de géoscientifiques principalement concernés, dont la moitié sont ou étaient des Fellows (noms et affiliations énumérés ci-dessous). Notre préoccupation est que la position de la Société sur le changement climatique (ou Anthropogenic Global Warming) est désuète et unilatérale, et détourne l'attention et le financement de véritables problèmes de pollution tels que le plastique et autres déchets industriels et domestiques nocifs. Pour résoudre ce problème, nous avons proposé à Colin Summerhayes que les documents de position 2010 et 2013 du GSL soient affichés sur le blogue Energy Matters afin que tous les aspects de la discussion puissent être diffusés; et nous sommes très reconnaissants à Colin d'y avoir participé et d'y avoir participé (http://euanmearns.com/the-geological-society-of-londons-statement-on-climate-change/). En outre, Colin continue de s'engager dans une correspondance électronique ouverte et dynamique avec certains d'entre nous sur les avantages et les inconvénients d'AGW.
Les documents de position du GSL indiquent qu'ils ont été préparés «sur la base d'une analyse de données géologiques, et non sur l'analyse de données récentes de température ou de satellite, ou de projections de modèles climatiques». l'augmentation de la température depuis 1900, est l'augmentation exponentielle de gaz carbonique et autres gaz à effet de serre dans l'atmosphère depuis la révolution industrielle », n'est pas conforme à l'affirmation du GIEC (dans AR5 SPM), que« les influences anthropiques ont probablement affecté l'eau globale cycle depuis 1960 ', et que' plus de la moitié 'du réchauffement depuis 1951 est dû à AGW. Le GIEC affirme également que «les émissions anthropiques de gaz à effet de serre (GES) depuis l'ère préindustrielle (prétendues entre 1750 et 1880) ont entraîné de fortes augmentations des concentrations atmosphériques de ... gaz carbonique», ce que personne ne nie sérieusement, mais ils le font pas prétendre que cela a entraîné un réchauffement avant 1951/60, comme le GSL semble le faire.
La position du GIEC correspond aux observations selon lesquelles près de la moitié du réchauffement qui s'est produit au cours des quelque 150 dernières années depuis l'industrialisation avait déjà eu lieu en 1943, bien avant l'augmentation rapide du gaz carbonique industriel. Cette différence d'opinion est critique, car si le gaz carbonique n'a pas causé le réchauffement d'avant 1943, le consensus prétendu que les AGW catastrophiques sont causées par les émissions de gaz carbonique humaines depuis la révolution industrielle, qui est soutenu par GSL, doit être confondu.
Alors qu'il reste d'autres points de désaccord sur la science du réchauffement climatique et du changement climatique (qui ne sont pas la même chose), nous pouvons probablement tous convenir que le document de position 2010 et l'addendum 2013 doivent être actualisés. Et comme cette mise à jour sera cruciale pour décider de la future politique climatique mondiale, nous proposons que tout document actualisé provienne d'une discussion ouverte et complète de la science, et pas seulement des idées d'un petit groupe, aussi qualifié soit-il. Nous suggérons qu'un tel processus pourrait être réalisé en adoptant des méthodes d'examen utilisées par d'autres sociétés professionnelles, en particulier l'APS, l'AAPG et l'APPEA dont des copies sont jointes.
RépondreSupprimerNous croyons également que le GSL a la responsabilité de réfuter les revendications exagérées qui tourbillonnent autour du débat sur les changements climatiques, sapant la vraie science - telle que la cause du gaz carbonique et du changement climatique:
plus d'ouragans, plus de pluie, plus de sécheresse, plus d'asthme et maintenant, encore plus de terrorisme (à cause de la sécheresse en Afrique), le froid et le chaud exceptionnels enregistrés sur la majeure partie de l'hémisphère nordique sub-arctique au cours de l'hiver et du printemps passés sont ce que nous devrions «attendre» du réchauffement climatique.
Comme cette lettre le montre clairement, il n'est pas vrai que 97 % des scientifiques acceptent sans réserve que la théorie de l'AGW est fixe, ou que le carbone et le gaz carbonique sont des «polluants» et que leur production devrait être pénalisée; comment le nutriment primaire dans la photosynthèse peut-il être un polluant ? Nous notons également que 700 scientifiques ont présenté des observations au Sénat américain exprimant leur dissidence du consensus et 166 climatologues ont lancé un défi à Ban Ki Moon à la veille du Sommet de Copenhague sur le climat en 2009 pour fournir une preuve du réchauffement climatique induit par l'homme. n'a pas fait.
Même une fois que les journaux respectables comme le New Scientist, continuent de colporter sans discernement ces absurdités sur les médias sociaux comme le tristement célèbre bâton de hockey, cela semble avoir perdu la période chaude médiévale par ailleurs bien documentée. Le «réchauffement de la planète» est sur toutes les lèvres, chaque mois / année étant considéré comme «le plus chaud de tous les temps», sur la base des données de température terrestre et marine «ajustées» du GIEC; cependant, la «pause» dans les températures moyennes depuis le phénomène El Niño de 1998, comme en témoignent presque toutes les données récentes sur les températures, suggère que le réchauffement planétaire ne se produit plus. Les deux affirmations ne peuvent pas être correctes et, en ne disant rien sur ces différences, la Société les soutient plutôt qu'elles ne les résout.
En restreignant l'examen à la preuve géologique, indépendamment de la théorie et de la modélisation du GIEC, le GSL a signalé une approche scientifique indépendante. Mais en excluant une évaluation du climat moderne, le comité n'a pas remarqué ou tenu compte de ces incohérences et d'autres incohérences dans la théorie AGW.
Le blog Energy Matters a été une première étape utile pour se concentrer sur ces questions, mais comme il ne fait pas l'objet d'un «examen par les pairs» comme le sont généralement les articles scientifiques, nous suggérons que quelque chose de plus formel soit nécessaire. conférence pour explorer tous les côtés des questions soulevées, avec un modérateur neutre fort.
RépondreSupprimerLes sujets d'un tel dialogue pourraient examiner les preuves
Le gaz carbonique seul comme principal facteur de température ou de climat.
Le changement climatique est en grande partie réel, naturel et hors de notre contrôle.
La manipulation des données climatiques a été utilisée pour soutenir le «réchauffement climatique». [Ii]
La plupart des alarmes climatiques ne sont guère plus que des alarmistes.
Le gaz carbonique est principalement bénéfique, pas dangereux mais la décarbonisation générale est.
Les effluents industriels et les plastiques, la déforestation et la surpêche sont dangereux et sont mis de côté par l'attention portée aux émissions de gaz carbonique.
Le système climatique mondial, tel que défini par le GIEC, [iii] est un «système chaotique couplé non linéaire» pour lequel «la prédiction à long terme des futurs états climatiques n'est pas possible». Cela est dû à l'impossibilité de décrire avec précision les conditions initiales, et à l'instabilité générée par les mathématiques causant des erreurs cumulatives dans le processus de modélisation, qui se combinent pour rendre une solution «correcte» impossible. Cela devrait à lui seul inciter les auteurs des déclarations GSL à se montrer très confiants quant au fait que le gaz carbonique seul a conduit à la température et au climat depuis 1900. Les documents du GIEC répondent à certaines incertitudes et sont généralement beaucoup moins biaisés que les SPM. ) qui retiennent toute l'attention des médias, ce qui est regrettable, car il est évident qu'ils sont en grande partie écrits non pas par des scientifiques mais par un «ensemble de représentants de gouvernements et d'ONG, avec seulement une petite représentation scientifique.» [iv] Le biais ne sape pas seulement le contenu scientifique, il surcharge le «consensus écrasant pour le changement climatique induit par l'homme» qui est inconsciemment promulgué par les médias année après année. La façade du consensus, aidée par les ajustements de données promis dans les emails du Climategate, nie le «conflit créatif entre la théorie et les données» qui manque dans ce débat et que nous suggérons que le GSL puisse relancer. Il est à espérer que l'utilisation fréquente de conditions «peut» et «pourrait» dans les documents actuels sera réduite, car un document qui affectera la politique du gouvernement pendant des années doit être plus précis quant aux niveaux d'incertitude dans ses déclarations.
Nous notons également la difficulté de publier quoi que ce soit qui ne confirme pas la position du GIEC AGW, encore une fois, comme promis dans les emails du Climategate; et aussi, les attaques «ad hominem» plutôt que la réfutation des données qui caractérisent trop souvent le débat, et nous espérons que cela n'empêchera pas le comité d'examiner des données qui ne semblent pas étayer ses conclusions.
Nous ne nous attendons pas à ce que toutes nos préoccupations survivent à l'épreuve du temps, et nous supposons que GSL accepterait pareillement que de nouvelles données pourraient bien changer le «consensus». Les modèles climatiques ne parviennent pas à modéliser les climats passés de manière précise et surestimée les tendances futures de la température, et ne sont pas capables d'expliquer ce qui suit:
Le hiatus actuel ou une pause dans le réchauffement.
RépondreSupprimerPourquoi les 285 ppm de gaz carbonique atmosphérique estimés pour le début de la révolution industrielle sont en quelque sorte une référence souhaitable. Il coïncide avec le petit âge glaciaire victorien, une période de famine et de déclin de la population, qui ne peut pas être une cible souhaitable, sauf si vous voulez dépeupler la terre.
Les modèles climatiques prédisent toujours des températures plus élevées que celles qui se produisent réellement
L'absence de hotspot troposphérique prédit - «l'empreinte digitale d'AGW».
Le gaz carbonique et la température étaient plus élevés qu'aujourd'hui au cours des 50 millions d'années précédentes plus, sans effets CAGW, pourquoi pas ?
Le réchauffement naturel de 8 ° C et de ~ 100ppm a augmenté de gaz carbonique pendant l'Holocène jusqu'aux années 1800, et l'augmentation subséquente de 125 ppm de gaz carbonique après 1950, accompagnée d'une élévation de température d'environ 1 ° C.
L'énigme holocène de la baisse générale mais fluctuante des températures à partir de ~ 3.000BP, accompagnée d'une augmentation du gaz carbonique qui précède les émissions industrielles de gaz carbonique.
Comment la théorie AGW repose sur le transfert radiatif seulement pour chauffer la planète, et semble ignorer l'insolation, l'enthalpie et la vapeur d'eau.
L'incapacité de la science d'AGW à aiguiser la gamme d'estimations de la sensibilité au climat (actuellement entre 1.5 oC et 6.4 ° C selon GSL)
malgré plus de 30 ans d'efforts extrêmement financés; la science a sûrement échoué ?
Notion de sensibilité du système terrestre introduite par GSL, qui pourrait être deux fois «sensible au climat» (Addendum 2013, page 4)
De telles défaillances rationnelles doivent inquiéter le GSL car elles démontrent que le gaz carbonique seul ne peut pas conduire le réchauffement climatique, alors comment peut-il conduire le changement climatique ? Et si ce n'est pas le cas, il n'y a pas de raison pour l'acceptation sans réserve de l'accent du GIEC / ONU sur la pénalisation du gaz carbonique
les émissions ?
Les discussions sur le blog Energy Matters suggèrent que les documents de position du GSL ne «prouvent» pas que les températures moyennes mondiales sont mesurées ou convenues avec précision, ou que le réchauffement climatique est réel et / ou dangereux, ou que le gaz carbonique est efficace le climat au-delà de la variabilité naturelle. Les documents de position n'auraient pas inclus les effets bénéfiques du gaz carbonique sur l'écologisation de la planète, car cela n'a pas été largement rapporté avant l'étude de juillet 2013 du CSIRO. Cependant, les avantages qu'une électricité fiable et peu coûteuse peut apporter pour prévenir plus de 4 millions de décès annuels dus à la pollution de l'air intérieur due à la combustion de bio et autres combustibles solides, sont évidents depuis un certain temps. Même si le gaz carbonique a provoqué un certain réchauffement, est-ce plus dangereux pour plus de personnes que cette très réelle pollution que subissent quotidiennement plus de 200 millions de personnes dans le monde en développement ?
Nous soutenons pleinement l'implication de la Société dans le débat sur le changement climatique, mais nous croyons que les échecs apparents de la théorie de l'AGW évoqués ci-dessus appellent à une nouvelle réflexion. Le climat est et changera toujours, mais la preuve que cela est dû principalement au gaz carbonique, n'est pas à venir. Si les forts forçages naturels qui sont si bien décrits dans les documents du GSL ont plus d'impact que le gaz carbonique, alors nous devrions dépenser plus de ressources limitées pour trouver des moyens de s'adapter aux changements climatiques négatifs.
RépondreSupprimerNous sommes conscients que le conseil a des devoirs envers la Société, pour le prestige de la science et pour les Associés, dans cet ordre peut-être, mais pense que toute déclaration officielle de la Société devrait au moins reconnaître les opinions des Associés dissidents. Le changement climatique (qui n'est jamais décrit, sans aucune justification, comme dangereux) est devenu la question critique de notre temps et la dissidence éclairée, ne peut pas être balayé sous le tapis ou rejeté comme «non scientifique» ou «négationniste», comme trop souvent ; "La rébellion est la racine la plus profonde de la science; le refus d'accepter le présent ordre de choses, '[v] mais apparemment plus dans Climate Studies.
Le GSL a pris une position indépendante forte; le cycle du carbone est un véritable problème géologique, mais l'interprétation des données est sujette à une incertitude croissante au fur et à mesure que l'on avance dans le temps, de sorte que des conclusions fermes basées uniquement sur des données expérimentales (le dossier géologique). Comme l'un de mes correspondants le dit: «La Société peut faire des commentaires sur la complexité de la physique et des mathématiques et sur l'incertitude inévitable des prédictions du comportement dynamique non linéaire, etc., et il n'y a rien de mal à en débattre ... Mais ... leurs conclusions sont une science injustifiée et malsaine si elle repose uniquement sur des preuves géologiques.
La science est censée utiliser tous les outils à sa disposition et, en excluant le registre moderne, il serait encore plus judicieux d'éviter le soutien tacite à la proposition selon laquelle «la science est réglée». Et même si tout ce que le GIEC a peur des regards est inéluctable, appliquer le principe de précaution en pénalisant le carbone, quel qu'il soit, a mis fin au débat en créant plus de mal que de bénéfice. Mieux vaut de loin chercher des moyens d'atténuer les effets possibles jusqu'à ce que les preuves deviennent plus fermes, d'une manière ou d'une autre.
La force de la Société est que la Fraternité n'est pas seulement ouverte aux personnes qui partagent un «consensus» actuel, ce qui était autrefois accepté est souvent tombé à l'eau lorsque les arguments sont renversés; Murchison et Sedgwick, uniformitarisme et catastrophisme, Piltdown Man.
Nous aimerions faire une présentation de nos constatations au conseil d'administration, car une bonne partie de ce qui est pertinent peut être mieux comprise en référence aux données. Cependant, nous ne souhaitons aucunement monopoliser cette discussion, car nous pensons que les questions doivent être soulevées avant autant de parties intéressées que possible. C'est pour cette raison que nous appelons cela une lettre ouverte et que nous la ferons circuler dans les médias après la prochaine AGA.
Yours sincerely
Howard Dewhirst FGS,
on behalf of the following:
- voir sur site la longue liste:
https://wattsupwiththat.com/2018/06/15/fellows-of-the-royal-geological-society-pushback-over-climate-position/
voir aussi:
http://www.petitionproject.org
«Catastrophe totale»: d’anciens employés de Tesla décrivent leur travail
RépondreSupprimer22:45 15.06.2018
Le portail Business Insider a interrogé certains employés de Tesla qui ont raconté leurs difficiles conditions de travail et de licenciement dans cette entreprise d’Elon Musk.
Tesla
Plusieurs anciens employés de Tesla, qui ont préféré garder l'anonymat, ont raconté au portail Business Insider leur travail dans cette entreprise dirigée par Elon Musk.
Une femme, qui a travaillé au département des ventes avant d'être licenciée, a raconté qu'elle devait travailler le week-end et la nuit pour accomplir les tâches fixées par la direction. De plus, l'entreprise n'a pas respecté à plusieurs reprises ses obligations, notamment concernant les frais de transport.
«À vrai dire, depuis le début de mon travail dans l'entreprise, cela n'a été qu'une catastrophe totale», a-t-elle constaté.
Un ex-employé du service de livraison des voitures Tesla a fait savoir qu'entre 2015 et 2018, le volume de travail de son équipe avait été multiplié par six, alors que les effectifs avaient été réduits.
«Nous manquons de personnel, mais 9 % des employés sont licenciés», a-t-il souligné.
Un ingénieur, qui travaille toujours à Tesla, a annoncé qu'il avait appris le licenciement de son chef lors d'une réunion. Selon cet interlocuteur de Business Insider, la direction de la société a licencié les personnes qui auraient dû rester.
Le 12 juin, Elon Musk a annoncé le licenciement de près de quatre mille emplois de Tesla, soit 9 % du personnel. Il a expliqué cette décision de réorganisation de la société comme étant nécessaire pour réduire les dépenses et rendre l'entreprise rentable.
En mai, Tesla a rendu publiques des pertes d'un montant de 710 millions de dollars (611 millions d'euros) pour le premier trimestre 2018.
https://fr.sputniknews.com/international/201806151036821560-catastrophe-employes-tesla-travail/