- ENTREE de SECOURS -



mardi 19 juin 2018

L’effet de serre du gaz carbonique : réalité ou fiction ?

le 19 juin 2018


Les ingénieurs experts dans l’industrie des radiations infra-rouges, en particulier celle du chauffage domestique, sont formels : la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique atmosphérique est fausse. Seuls les modèles fantaisistes des climatologues prennent en considération cette théorie pour expliquer le réchauffement du climat d’origine humaine. Revenons aux origines de la physique c’est-à-dire à la loi de Newton sur le refroidissement qui stipule que « La vitesse de perte de chaleur d’un corps est proportionnelle à la différence des températures entre celle de ce corps et celle de son environnement« . Il s’agit de la loi de physique qui définit le flux de chaleur entre deux corps physiques en contact et dans le cas qui nous préoccupe entre la l’atmosphère et la surface de la Terre et des océans. Elle s’écrit ainsi :

k est une constante à déterminer et qui requiert des calculs dont aucun d’entre eux n’a de lien avec la radiation infra-rouge émise par le corps considéré.

La théorie de l’effet de serre tente de définir les transferts de chaleur entre la Terre et l’atmosphère en utilisant la loi de Stefan-Boltzmann relative aux radiations infra-rouges qui nécessite un facteur qui est absent dans ce cas : la partie la plus basse de l’atmosphère devrait selon cette loi être séparée de la surface de la Terre par du vide, or elle est directement en contact avec la surface terrestre et celle des océans. Seule la loi du refroidissement de Newton peut donc s’appliquer dans le cas du système Terre-atmosphère. N’est-il pas axiomatique de ne pas pouvoir obtenir la bonne réponse quand on utilise la mauvaise loi pour décrire un phénomène ? Puisque Newton est mentionné ici auriez-vous la prétention d’utiliser la loi de la chute d’une sphère d’une hauteur de 5 mètres pour déterminer son volume ?

La question qui nous intéresse est donc de savoir si oui ou non il est possible de chauffer l’atmosphère à l’aide de radiations infra-rouges. Et si c’est le cas comment un tel transfert de chaleur entre la surface de la Terre et l’atmosphère selon la loi de Newton du refroidissement est-il affecté.

Plutôt que de faire des spéculations examinons ce que des centaines d’expériences scientifiques et des millions d’heures de retour d’expérience de chauffage domestique ont montré. D’abord considérons les travaux de John Tyndall (1820-1893), un physicien du XIXe siècle qui réalisa un grand nombre d’expériences dans son laboratoire pour tester l’aptitude de divers gaz à bloquer la transmission des rayons infra-rouges qu’il appela à l’époque les « rayons calorifiques ». Il testa par exemple le gaz carbonique jusqu’à une concentration de 80000 ppm, soit 200 fois plus que la teneur actuelle en ce gaz dans l’atmosphère et il conclut ainsi :

« Le gaz carbonique est l’un des plus faibles (feeblest dans le texte de Tyndall) absorbants de la chaleur radiante émise par une source solide. Il est par exemple extrêmement transparent au rayons émis par la plaque de cuivre chauffée à laquelle nous nous référons » (voir le lien en fin de billet).

Tyndall nota aussi qu’aux concentrations atmosphériques le gaz carbonique n’avait aucun effet sur la température de l’air quelle que soit la quantité de « radiations calorifiques » la traversant. Il écrivit : « À travers l’air (…) les ondes de l’éther passent sans absorption, et la température de ces gaz n’est pas sensiblement modifiée par les plus puissantes radiations calorifiques. »

En dépit de ces observations Svante August Arrhenius (1859-1927) spécula 30 ans après ces travaux de Tyndall que le gaz carbonique augmente la température du sol non pas selon la loi de Newton mais selon celle de Stefan-Boltzmann. Pour tester l’hypothèse d’Arrhenius le physicien suédois Knut Ångström (1857-1910) publia en 1900 des expériences qu’il réalisa dans son laboratoire dans un article intitulé « De l’importance de la vapeur d’eau et du gaz carbonique dans l’absorption de l’atmosphère« . (Annalen der Physik Bd3. 1900, p720-732). L’expérience d’Angström consistait à remplir un tube de verre avec un gaz contenant du gaz carbonique simulant une colonne d’air en contact avec le sol et atteignant le sommet de l’atmosphère. Il fit varier la teneur en gaz carbonique de moitié puis en la doublant et il fut incapable d’observer un quelconque changement de la température du gaz contenu dans cette colonne de verre quelle que soit l’intensité de la source d’infra-rouges.

Les observations d’Angström ont été confirmées par des millions d’heures d’utilisation des chauffages domestiques à infra-rouges par les ingénieurs et techniciens de cette discipline. Voici ce qu’ils en disent : « L’énergie infra-rouge se déplace à la vitesse de la lumière sans chauffer l’air qu’elle traverse car les radiations infra-rouges ne sont absorbées par le gaz carbonique, la vapeur d’eau et les autres gaz présents dans l’atmosphère que de manière négligeable. Les appareils de chauffage infra-rouge atteignent les objets présents dans une pièce mais n’affectent en rien l’air contenu dans une pièce. C’est le rayonnement diffus qui en résulte qui fait qu’une personne se sent confortable dans une pièce chauffée par un tel système de chauffage« .

Ainsi ce dont nous disposons est d’une part une somme d’ expérimentations scientifiques et d’autre part les observations du monde réel dans le domaine de l’application des rayons infra-rouges qui démontrent que les radiations IR ne chauffent pas l’air, et pourquoi ? Tout simplement parce qu’il a été démontré depuis la fin du XIXe siècle qu’une molécule de ces gaz composant l’atmosphère absorbent les rayons infra-rouges mais les réémettent tout aussitôt. John Tyndall écrivit aussi : « Selon cette expérience il a pu être prouvé qu’un arrangement moléculaire rendant un gaz un puissant absorbant de radiations calorifiques le rend aussi un puissant émetteur de ces radiations. Ainsi, alors que les atomes des gaz élémentaires de l’atmosphère font qu’ils sont incapables d’émettre de la chaleur radiante ils ont pu être montrés comme des perturbateurs de l’éther environnant« . En d’autres termes – disons « plus modernes » – accroître la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère accroît aussi l’émissivité de l’atmosphère. La loi de Stefan-Boltzmann définit la relation entre l’atmosphère et l’espace et un paramètre de cette loi décrit l’émissivité de l’atmosphère. Il a depuis longtemps été démontré qu’une constante d’émissivité élevée permet à la matière d’émettre la même quantité d’infra-rouges à une température plus basse. L’hypothèse de l’effet de serre suggère au contraire qu’accroître l’émissivité de l’atmosphère en ajoutant des « gaz à effet de serre » aura l’effet inverse et nécessitera alors que l’atmosphère soit plus chaud afin d’émettre la même quantité de rayonnement infra-rouge vers l’espace.

Comment peut-on ne pas comprendre que certaines personnes soient sceptiques au sujet d’une théorie qui d’une part utilise la mauvaise loi de la physique pour définir la relation entre l’atmosphère et l’espace extra-planétaire et qui d’autre part applique la loi de Stefan-Boltzmann à l’inverse de sa définition première !

Traduction aussi fidèle que possible d’un article écrit par Carl Brehmer, ingénieur thermicien dans l’industrie du chauffage domestique, en 2012 et paru sur le site de John Sullivan. Il est parfois salutaire de réexaminer les résultats scientifiques acquis il y a près de 150 ans.

De récentes publications scientifiques confirment les travaux de Tyndall qui ne disposait pas de thermomètre sensible au centième de degré. Par exemple un récent article du docteur B. M. Smirnov (lien) démontre que ce qui est suggéré dans l’article de Brehmer, à savoir la réémission du rayonnement infra-rouge par les molécules des gaz constituant l’atmosphère conduit à un élargissement des bandes d’absorption de ces derniers et que par conséquent un doublement de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère provoquerait un accroissement d’au plus 0,4 °C au sol. Or comme la quantité totale du gaz carbonique atmosphérique produite directement par l’activité humaine n’est que de 5 % du total de ce gaz carbonique la contribution d’origine humaine dans l’évolution récente de la température de la planète Terre n’est que de 0,02 °C ! Il n’y a pas lieu de s’alarmer plus avant car il y a encore de la marge pour tous être grillés comme des toasts comme le clamait il y a quelques années la Directrice du FMI Christine Lagarde.

Tyndall J., Fragments of Science : A series of Detached Essays, Addresses ans Reviews, (1879) disponible sur le site http://www.gutenberg.org

B.M. Smirnov, Journal of Physics D, doi : 10.1088/1361-6463/aabac6

37 commentaires:

  1. HAHAHAHAHA !

    ETATS-UNIS - LA MONTÉE DES EAUX, «UNE CATASTROPHE AU RALENTI»

    Sur les côtes de Floride, des dizaines de milliers de maisons sont à risque, bien qu'elles ne soient pas officiellement classées en zones inondables, alerte un nouveau rapport publié lundi.


    19.06.2018, 09h13


    A seulement quelques blocs des plages, juste en dehors des zones inondables, les promoteurs s'activent à construire des maisons qui n'ont pas d'obligation légale de souscrire une assurance inondation. Cette économie à court terme présage un désastre économique à long terme.

    Rien qu'en Floride, 64'000 maisons, d'une valeur totale de 26 milliards de dollars, risquent des inondations chroniques dans les 30 prochaines années, la durée habituelle des emprunts immobiliers aux Etats-Unis, prévient le rapport publié par l'Union of Concerned Scientists (UCS), une organisation scientifique américaine.

    Dans l'ensemble des Etats-Unis, 311'000 maisons côtières, d'une valeur de 120 milliards de dollars, présentent un risque d'inondations chroniques d'ici 2045, selon le même rapport.

    Marées toujours plus hautes

    Ce risque d'inondations n'a rien à voir avec les ouragans et les tempêtes: le danger vient des marées hautes, de plus en plus hautes, quand l'eau se déverse dans les rues, sur les trottoirs, dans les magasins et les maisons - même par beau temps.

    «Ce risque est à relativement court terme, bien avant que tout soit complètement inondé, et cela peut arriver sans tempête», explique Rachel Cleetus, économiste à l'UCS. Or, le marché immobilier ne prend pas en compte ces risques, dit la chercheuse, qui avertit qu'une correction économique est «inévitable».

    L'organisation a publié sur son site une carte montrant les zones réellement à risque selon elle, sur la base d'un scénario de forte montée des eaux. Pour les propriétaires, dont la maison est souvent la possession la plus importante, il est nécessaire de prendre en compte le haut de la fourchette de risque, dit Rachel Cleetus

    «Catastrophe au ralenti»

    Des inondations chroniques sont définies comme se produisant au moins 26 fois par an. En Floride, le niveau des océans devrait monter de 55 centimètres d'ici 2045, et 1,95 m d'ici 2100, selon ce scénario - alors que l'altitude moyenne dans l'Etat est d'environ 1,80 m, et que beaucoup d'endroits sont en-dessous de zéro. «C'est une catastrophe au ralenti», résume l'économiste.

    Miami, la baie de Tampa et les très touristiques îles Florida Keys sont les plus exposées. Des quartiers entiers pourraient être inondés de façon permanente, un coût astronomique pour les propriétaires mais aussi pour les municipalités, qui perdraient en population et en recettes fiscales.

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  2. Cartes vétustes

    Le problème est que les acheteurs de maisons ne prennent en compte que les cartes de l'Etat fédéral américain, qui n'ont souvent pas été remises à jour depuis des années ou des décennies.

    A Sarasota, nombre d'habitants disent ne pas avoir besoin d'assurance inondation car ils ne sont pas dans les zones inondables officielles. Une décision absurde, s'évertuait à expliquer récemment Desiree Companion, experte en inondations du comté de Sarasota, lors d'une réunion publique.

    Elle a raconté aux sept participants que les cartes fédérales sont fondées sur un risque de précipitations de 25 centimètres en 24 heures, un événement météorologique censé arriver une fois par siècle. L'an dernier, l'ouragan Harvey a déversé 129 cm en 24 heures sur le Texas. «Tout le monde est en zone inondable», lance-t-elle.

    A qui la faute ?

    Ce n'est pas seulement la faute du gouvernement fédéral, nuance Jeffrey Huber, professeur à l'école d'architecture de la Florida Atlantic University.

    «Les agents immobiliers ne sont nulle part obligés de dire aux acheteurs que leur maison est vulnérable face à la montée du niveau des océans», dit-il à l'AFP, blâmant également les municipalités. «Les gens ne sont pas assez informés», regrette-t-il.

    Une solution existe: limiter les émissions de gaz à effet de serre, et donc le réchauffement de la planète et la fonte des glaces, ce qui est l'objectif de l'accord de Paris sur le climat. Selon Astrid Caldas, scientifique de l'UCS, 85 % des propriétés à risque pourraient être sauvées si l'objectif de l'accord de Paris de limiter à 2 degrés le réchauffement de la planète était atteint.

    Mais le président américain Donald Trump a sorti les Etats-Unis de l'accord l'an dernier. (ats/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/montee-eaux-catastrophe-ralenti/story/18798267

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    1. Le phénomène de 'upwelling' (grande marée) est largement représenté aux Maldives (entr'autres) où les îles et ilets se perdent soudainement sous l'eau puis, la marée s'étant retirée, réapparaissent comme ou a-peu-près comme ils ou elles étaient auparavant !

      (...) Des inondations chroniques sont définies comme se produisant au moins 26 fois par an. (...)

      Idem en France où la côtes Atlantique est sujette à des marées.
      Cela ne change en RIEN le niveau mondial des océans ! Çà alors !!!

      C'est pourquoi, le président américain Donald Trump a sorti les États-Unis de l'accord l'an dernier.

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  3. Joyeux 30e anniversaire réchauffement Gorebal!


    19 juin 2018
    par David Middleton


    Eh bien ... Joyeux 30ème anniversaire, 3 jours plus tôt ...

    L'AP était là: l'ère du changement climatique commence

    Par GUY DARST, ASSOCIATED PRESS WASHINGTON - juin 18, 2018

    Le 23 juin 1988, un scientifique de haut niveau de la NASA a déclaré au Congrès et au monde que le réchauffement climatique était arrivé. Le scientifique de la NASA, James Hansen, a prédit que 1988 serait l'année la plus chaude du monde, grâce à la combustion de combustibles fossiles qui ont libéré des gaz piégeant la chaleur.

    L'Associated Press est en train de republier une version de son rapport sur le témoignage pour marquer le 30e anniversaire.

    ---

    WASHINGTON (AP) - Le réchauffement planétaire de la Terre est "à effet de serre", mais la vague de chaleur et de sécheresse qui sévit actuellement sur la plupart des Etats-Unis ne peut pas être mise en cause, a déclaré un scientifique jeudi.

    Toutefois, des vagues de chaleur et des sécheresses similaires peuvent être attendues beaucoup plus souvent à cause du réchauffement futur, a déclaré James E. Hansen, climatologue à l'Institut Goddard pour les études spatiales à New York.

    Hansen a déclaré au Comité sénatorial de l'énergie et des ressources naturelles qu'il y a seulement 1 % de chances qu'il ait tort de blâmer la hausse des températures dans le monde à cause de l'accumulation de gaz anthropiques dans l'atmosphère.

    Blah, bla, bla ...

    [...]

    - voir graphique sur site -

    ABC Snooze

    Le fabuleux modèle climatique de 1988 de Hansen. La courbe rouge correspond à la moyenne sur 5 ans de GISTEMP.

    Le scénario A est «business as usual». Le scénario C est l'endroit où les humains découvrent essentiellement le feu.

    Référence

    Hansen, J., I. Fung, A. Lacis, D. Rind, S. Lebedeff, R. Ruedy, G. Russell, et P. Stone, 1988: les changements climatiques mondiaux comme prévu par l'Institut Goddard pour les études spatiales en trois dimensions modèle. J. Geophys. Res., 93, 9341-9364, doi: 10.1029 / JD093iD08p09341

    https://wattsupwiththat.com/2018/06/19/happy-30th-birthday-gorebal-warming/

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  4. Énergie : la guerre asymétrique entre le dogme et la raison
    By: Réseau Sortir du nucléaire - CC BY 2.0

    Chaque fois qu’un argument spécifique est présenté en faveur du nucléaire, ou contre un aspect de la transition énergétique, il lui est opposé une plus grande aspiration moraliste visionnaire et altruiste, par exemple celle du sauvetage de la planète.


    Par Michel Gay et Michel de Rougemont.
    19 JUIN 2018


    Pour l’avenir de la production énergétique en Europe, il existe une guerre asymétrique entre des opinions de militants convaincus par leurs dogmes et des avis formés sur des bases rationnelles.

    Une opinion se forme sur un a priori idéologique alors qu’un avis (de l’Académie des sciences par exemple) devrait être fondé sur la connaissance et des considérations bien pesées.

    L’opinion anti-nucléaire l’a emporté en Suisse en mai 2017. En agglomérant une clause du non-renouvellement du nucléaire à une série de mesures dans une loi générale sur l’énergie, c’est une loi d’interdiction qui a été votée. L’analyse post-scrutin montre que, paradoxalement, le fatras nommé transition énergétique a été avalisé non pas tant par enthousiasme écologique mais avant tout grâce au sentiment anti-nucléaire, sans trop se soucier de la validité de la stratégie énergétique proposée. Grâce à ce « succès », le nucléaire en Suisse se trouve dès lors en soins palliatifs et mourra sans possibilité de reconstruire de nouvelles centrales.

    Les pro-nucléaires ont échoué, même en présentant cette technologie comme étant rationnellement la meilleure pour faire de l’électricité sans utiliser de carburants fossiles.

    La Suisse a ainsi non seulement programmé l’abandon du nucléaire, mais elle a aussi mis en place une stratégie énergétique qui ne tiendra pas la route. En effet, 35 à 40% de son approvisionnement en électricité ne se remplacera pas par un coup de baguette magique. L’hydraulique plafonne à 55% de la production (les principales vallées exploitables sont déjà utilisées), tandis que le vent et le soleil ne participent que pour moins de… 3%, et de manière irrégulière !

    Plus grave : aucun physicien ou ingénieur nucléaire ne sera plus formé dans ce pays ce qui obérera ses futures capacités à changer d’avis.

    DES ARGUMENTS SUR LA SÉCURITÉ ET LA SÛRETÉ INAUDIBLES

    Les arguments relatifs à la sécurité et à la sûreté ne sont pas audibles dans un environnement politique et médiatique totalement indisposé à les recevoir et à les présenter de manière équilibrée. Les batailles de chiffres et autres considérations économiques n’ont même pas lieu, ni en France, ni ailleurs, tant elles sont rébarbatives. Ce n’est pas suffisamment « sexy » et accrocheur.

    De tout temps dans l’Histoire, l’argumentation rationnelle est rarement celle qui fait gagner une cause. Comment s’opposer au populisme écolo-climatique antinucléaire sous-jacent à toutes ces manœuvres alors que, justement, le nucléaire est une technologie éprouvée, en constante amélioration et qui n’émet pas de gaz à effet de serre ?

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  5. Les habituels opposants idéologiques et viscéraux aux avancées de la technologie (nucléaire dans ce cas mais il y en a bien d’autres), aux solutions existantes pour prévenir les accidents, éviter les pollutions et traiter les déchets, manœuvrent bruyamment pour attirer l’attention du public et le conditionner défavorablement.

    Mais, il y a plus grave.

    Dans les hautes sphères gouvernementales et même dans les entreprises du secteur énergétique une mouvance qui sait défendre ses propres intérêts (souvent financiers) chevauche sur cette transition énergétique avec le même enthousiasme irresponsable pour l’avenir de l’Europe. En cela nos gouvernants sont bien mal conseillés. Idem avec les médias conformistes, même s’il y a des poches de résistance refusant de décérébrer la population, ce qui est risqué pour la carrière de certains journalistes.

    LE POINT DE VUE IDÉOLOGIQUE

    Chaque fois qu’un argument spécifique est présenté en faveur du nucléaire, ou contre un aspect de cette transition énergétique, il lui est opposé une plus grande aspiration visionnaire et altruiste, par exemple celle du sauvetage de la planète.

    Une approche raisonnée et ouverte, non dirigée par des a priori idéologiques, est systématiquement opposée aux souffrances du monde et à une série de cas particuliers allant du cancer à la disparition de la biodiversité. Il est ainsi quasiment impossible de débattre, tant les dés sont pipés.

    Voilà le contexte dans lequel se trouve notre monde industrialisé européen devenu postmoderne. Chinois, Indiens et Russes peuvent s’en réjouir, l’avenir leur appartiendra.

    La tactique efficace pour empêcher ce rouleau compresseur d’écraser toute approche rationnelle est encore à trouver et à mettre sur pied. Jusqu’à présent, il faut bien constater qu’elle a échoué. Il ne s’agit plus de mettre des rustines à une loi de transition énergétique inapplicable en l’état, mais, sans trop d’illusions, de faire émerger un peu de raison face à une utopie énergétique fondée sur des éoliennes et des panneaux photovoltaïques.

    https://www.contrepoints.org/2018/06/19/318500-energie-la-guerre-asymetrique-entre-le-dogme-et-la-raison

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  6. Comcast et AT & T vont devenir les entreprises les plus endettées du monde avec plus de 350 milliards de dollars de dettes


    par Tyler Durden
    Mar. 19/06/2018 - 04:15


    Alors que le FMI estime que plus de 20 % des entreprises mondiales seraient incapables de couvrir leurs intérêts si les taux d'intérêt augmentaient brusquement, Comcast et AT & T sont sur le point de devenir les entreprises les plus endettées du monde suite aux méga Selon le Wall Street Journal, les deux entreprises ont peu de marge de manœuvre si les profits ne se matérialisent pas.

    - voir graphique sur site -

    Comcast

    Comme WSJ le fait remarquer, en supposant que les deux sont finalisés, les accords laisseraient aux deux sociétés un total combiné de 350 milliards de dollars en obligations et prêts, soit plus d'un tiers de billion de dollars de dettes. Le nombre rend nerveux certains gestionnaires de fonds obligataires, et certains disent qu'ils n'incluront pas la dette Comcast ou AT & T dans leurs portefeuilles - à moins qu'ils ne présentent un rendement suffisamment élevé.

    "C'est un très grand nombre", a déclaré Mike Collins, un gestionnaire de fonds obligataire chez PGIM Fixed Income, qui gère 329 milliards de dollars d'investissements de dette d'entreprise. "Il a des investisseurs à revenu fixe un peu nerveux et à juste titre."

    Mais plutôt que de considérer ces transactions comme des exemples isolés, WSJ rappelle que les entreprises n'ont atteint ce niveau d'endettement que suite à une flambée des emprunts des entreprises, les entreprises - y compris ces deux géants des télécoms - rachetant avec empressement leurs actions pour apaiser les investisseurs, et financé ces achats avec dette. La dette globale des entreprises, à l'exclusion des institutions financières, s'élève maintenant à 11 billions de dollars. Pendant ce temps, le levier médian pour les entreprises ayant une note d'investissement a augmenté de 30% depuis la crise financière.

    Dette

    L'accord d'AT & T pour acheter Time Warner a laissé près de 200 milliards de dollars de dette, un ratio de levier qui est juste en dessous de la moyenne pour les entreprises classées au bas de l'échelle d'investissement (bien que l'entreprise affirme l'effet de levier est nettement inférieur).

    AT & T aura une dette d'environ 181 milliards de dollars en raison de l'achat de Time Warner, mais les autres passifs, y compris les contrats de location-exploitation et les obligations de retraite, s'élèvent à environ 50 milliards de dollars, dit M. Arden. En conséquence, S & P estime que le levier financier de l'entreprise après l'opération est environ 3,5 fois le bénéfice avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement, ou Ebitda. C'est légèrement en deçà du levier de 3,75 fois que S & P considère comme typique pour les entreprises de télécommunications comparables, notées triple-B-moins, la note de moindre qualité.

    AT & T calcule son effet de levier à 2,9 fois l'Ebitda, mais n'inclut pas les contrats de location ou les obligations post-retraite dans la figure. L'entreprise de télécommunications prévoit un retour à 2,5 fois en quatre ans, a déclaré une personne proche de l'entreprise.

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  7. La société a cherché à rassurer les gestionnaires de fonds obligataires en promettant un ratio de levier financier de 2,5 (selon le calcul de l'entreprise) d'ici quatre ans. Mais si les agences de notation font l'impensable et collent Comcast et AT & T avec des cotes d'ordure (bien méritées), les gestionnaires de fonds qui sont interdits de détenir une dette inférieure à l'investment grade seront forcés de vider les obligations de manière préemptive. Cette inquiétude a poussé certains gestionnaires de fonds à renflouer entièrement la dette des entreprises des médias et des télécoms, grâce au niveau d'endettement généralement élevé des entreprises.

    "Le risque est que tout le monde veut sortir de la dette en même temps", a déclaré M. Collins. "C'est quand ça devient moche." Lorsque les prix du pétrole ont chuté en 2015, par exemple, la dette de certaines compagnies de pipelines d'énergie ayant des cotes de crédit de faible qualité a chuté de 15% en quelques mois.

    Gene Tannuzzo, gestionnaire de portefeuille d'un fonds de dette de 4,3 milliards de dollars pour Columbia Threadneedle Investments, a réduit de moitié son exposition aux obligations de sociétés de télécommunications et de médias au cours de la dernière année en raison de leur dette croissante. Il a complètement vendu des obligations Comcast mais envisagerait d'acheter des dettes en soutenant l'achat de Fox s'il payait un rendement assez élevé, at-il dit.

    S & P et Moody's - les deux agences de notation les plus importantes - ont abaissé leur note sur les obligations d'AT & T vendredi à deux crans au-dessus de la jonque. Et une baisse et une rétrogradation possible pour Comcast serait attendue si elle conclut un accord avec 21st Century Fox (un accord qui est également poursuivi par Disney).

    Pendant ce temps, les projections publiées par la Fed après avoir annoncé sa décision d'augmenter le taux des fonds fédéraux la semaine dernière ont montré que les membres du FOMC ont augmenté leurs points, ce qui a entraîné une augmentation des attentes médianes d'une à deux nouvelles hausses cette année. ).

    nourris

    Et avec l'expansion économique maintenant la deuxième plus longue dans l'histoire, maintenant semble certainement un moment raisonnable pour assumer un fardeau de la dette inouïe.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-18/comcast-att-set-become-worlds-most-indebted-companies-over-350bn-debt

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    1. Depuis (toujours !) il est facile pour les banques de prêter de l'argent ! ... qu'elles n'ont pas ! D'où, la naissance de FAUSSES DETTES envers diverses entreprises 'bien vues des banquiers' !

      voir "Ali Baba et les 40 voleurs" !

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  8. L'État débordé par la montée de la violence des mineurs


    Le Figaro
    ven., 15 juin 2018 21:17 UTC


    Les mineurs représentent un tiers des mis en cause pour vol de véhicules.

    Cambriolages, vols de voitures, agressions sexuelles... l'hyperactivité des mineurs alarme les pouvoirs publics.

    Elles sont neuf. Elles ont moins de 13 ans. En France, l'an dernier, ces fillettes, mais aussi 134 garçons guère plus vieux, ont été mis en cause pour vols de voitures. Et si l'on prend en compte toutes les infractions de ce type sur lesquelles la police ou la gendarmerie ont été capables de mettre un nom, les mineurs représentent désormais un mis en cause sur trois.

    Les mineurs comptent aussi pour un quart du vivier des auteurs présumés de cambriolages de logements. Ceux que la police a pu appréhender. Les moins de 18 ans représentent 3 % des mis en cause pour homicide, une proportion qui passe à 9 % pour les coups et blessures volontaires.

    Un auteur présumé sur cinq de vol avec arme signalé à la justice est un mineur. Leur part chez les mis en cause pour vols sans violence est de 24 %.

    En mars dernier, à Vaulx-en-Velin, la police a arrêté un adolescent lyonnais qui avait déjà 79 affaires judiciaires à son palmarès... à 16 ans.

    L'article complet est payant sur le site du Figaro.

    https://fr.sott.net/article/32693-L-Etat-deborde-par-la-montee-de-la-violence-des-mineurs

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  9. Georges Malbrunot : les Irakiens ont signalé à la France la présence de terroristes de Daech parmi les réfugiés

    (Vidéo)

    Bertrand Riviere
    lun., 18 juin 2018 21:34 UTC


    Georges Malbrunot Georges Malbrunot, ancien otage en Irak, Grand Reporter du Figaro affirme que les Irakiens ont signalé à la France la présence de terroristes parmi les réfugiés

    https://fr.sott.net/article/32694-Georges-Malbrunot-les-Irakiens-ont-signale-a-la-France-la-presence-de-terroristes-de-Daech-parmi-les-refugies-Video

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  10. Le géant suisse Trafigura du commerce de marchandises souffre d'un bénéfice de 50 %


    par Tyler Durden
    Mar, 19/06/2018 - 03:30
    Soumis par Damir Kaletovic pour Safehaven.com


    La hausse des prix du pétrole peut être un atout pour les producteurs, mais le géant suisse des produits de base Trafigura n'en est pas l'un des bénéficiaires. En fait, les profits ont diminué de moitié pendant la première moitié de l'année fiscale parce que les jours d'achat et de stockage du brut bon marché sont terminés.

    Et ce n'est pas le seul problème de Trafigura. La division des métaux n'a pas été en mesure de prendre le relais du marché du pétrole, ce qui a entraîné le plus faible bénéfice de la société au premier semestre en quatre ans.

    Le négociant suisse de produits de base a vu son bénéfice net chuter de 53 % à 222 millions de dollars au cours des six premiers mois de mars. C'est en baisse de 471 millions de dollars l'année précédente. C'est aussi le pire des cas depuis 2014.

    Pour l'un des plus grands négociants indépendants de pétrole et de métaux au monde, la fin du contango pétrolier est fulgurante.

    - voir graphique sur site -

    Trafigura à Genève

    Avec le pétrole qui dépasse les 80 dollars le baril cette année, les négociants en produits de base qui se concentrent sur le pétrole se sont trompés. Depuis la crise des prix du pétrole, ils achètent du brut bon marché et l'entreposent, ce qui leur permet d'économiser des ventes à marge élevée lorsque les prix augmentent. Mais entre-temps, d'autres variables sont intervenues pour rendre cette stratégie plus difficile à exploiter, notamment la hausse des taux d'intérêt et la concurrence.

    Selon un communiqué de Trafigura publié mercredi, "la pression sur les marges, résultant d'un changement dans la structure du marché pétrolier, a provoqué une chute du bénéfice du groupe Trafigura au premier semestre de son exercice 2018".

    Plus spécifiquement, Trafigura a déclaré que "la baisse de rentabilité est le résultat d'un changement important du marché pétrolier au cours de la période à partir d'une structure contango, où les prix à terme sont plus élevés que les prix au comptant et incitent à détenir des stocks de backwardation, où les stocks de détention sont coûteux. Le marché pétrolier a été rétrocédé en octobre 2017 en raison de la hausse des prix au comptant en réaction aux freins à la production menés par l'OPEP. "

    Dans une tentative de rééquilibrer l'équation, Trafigura a «entrepris une restructuration substantielle» de ses portefeuilles de négociation et a tenté de réduire les coûts en réduisant les stocks et en «ajustant radicalement» ses engagements de stockage.

    Mais il était trop tard dans la journée ...

    Les marges commerciales subissaient déjà des pressions importantes, et les bénéfices bruts de la division du commerce du pétrole sont tombés à 299 millions de dollars au cours de la période, passant de 652 millions de dollars un an plus tôt.

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  11. - voir graphique sur site -

    La division du négoce de métaux du groupe a bien performé, mais pas assez pour compenser la perte du négoce pétrolier.

    Selon le Financial Times, alors que Trafigura et Vitol augmentent leurs volumes de négociation pour augmenter leurs bénéfices et réduire leurs coûts, le groupe Mercuria mise sur des «opérations de financement structurées complexes pour soutenir les marges ou le raffinage».

    Reuters rapporte que le volume de pétrole négocié par Trafigura a augmenté de 16 % à 5,8 millions de barils par jour de septembre 2017 à mars 2018.

    Mis à part le pétrole et le backwarding, il s'annonce comme une mauvaise année pour les traders de matières premières.

    Glencore ressent aussi une pression massive, mais d'un genre différent.

    En avril, l'activité minière de Glencore en République Démocratique du Congo (RDC) a été gâchée par un gel minier par l'homme d'affaires israélien Dan Gertler, pour des redevances impayées s'élevant à 3 milliards de dollars.

    Le problème pour Glencore est que Gertler figure sur la liste noire des États-Unis en tant que «National spécialement désigné»; en d'autres termes, il est sous sanction.

    En jeu, il y a beaucoup de cobalt, l'un des principaux métaux de batterie pour les véhicules électriques.

    Aujourd'hui, Glencore s'est engagé dans une voie intéressante, en annonçant qu'il était prévu de rembourser Gertler, malgré les sanctions. C'est un test pour voir ce que Washington fera, selon le Wall Street Journal. Et c'est un gros risque.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-18/swiss-commodity-trading-giant-trafigura-sees-suffers-50-profit-hit

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    1. Plus de riches = plus de pauvres. Moins de riches = moins de pauvres !

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  12. Où sont passés les milliards russes après la vente des obligations américaines ?


    13:05 19.06.2018
    Ivan Danilov


    Trois sujets liés à Moscou suscitent toujours une attention réelle voire un étonnement sincère de la presse financière et des experts étrangers.

    Le mystère principal que les journalistes financiers occidentaux tentent de résoudre est le suivant: pourquoi l'économie russe ne s'est-elle pas écroulée malgré les sanctions sans précédent de l'Occident ? Si cette tendance persistait, le mème de la «mystérieuse économie russe» pourrait se retrouver, dans la noosphère occidentale, à côté de celui sur la «mystérieuse âme russe».

    Un autre sujet d'inquiétude pour le monde est le succès russe en ce qui concerne la prise de contrôle de l'OPEP, que les Américains avaient créée pour promouvoir leurs propres intérêts. Aujourd'hui, les journalistes américains blaguent avec amertume en disant qu'il est probablement temps de rebaptiser l'OPEP en ROPEP, car l'organisation est menée par la Russie qui préfère ignorer les tweets de Donald Trump exigeant de faire immédiatement baisser les prix du pétrole.
    Enfin, il faut évoquer le sujet des réserves russes d'or et l'obsession de la Banque centrale qui achète ce métal précieux pour élargir ses stocks. Comme les réserves russes dépassent déjà celles de Pékin, les analystes occidentaux supposent que cette stratégie pourrait s'inscrire dans le cadre des préparatifs à une explosion ou à un reformatage radical du système monétaire international, suite auquel l'or serait le seul «outil financier» capable non seulement de préserver sa valeur, mais aussi de l'augmenter.

    On a constaté la semaine dernière des événements qui devraient élargir cette liste et devenir un autre sujet de débats. Suite à la publication des récentes données du ministère américain des Finances, tous les experts réfléchissent aux raisons de la Russie qui s'est débarrassée en avril — les dernières données du ministère américain ne concernent que ce mois — de la moitié de son portefeuille d'obligations américaines.

    Quand la «bombe de la dette» américaine explosera-t-elle ?
    Alors que les amateurs russes de tout ce qui est occidental affichent ouvertement leur satisfaction et soulignent que le marché n'a même pas remarqué la liquidation de la moitié du portefeuille russe, d'autres remarquent sèchement que cette liquidation a coïncidé de manière étrange avec la chute des prix des obligations américaines. Autrement dit, le marché n'a rien ignoré mais a été en mesure de «digérer» cette vente d'obligations pour 47,4 milliards de dollars.

    Certains médias russes soulignent que le ministère américain des Finances ne fait aucune distinction entre le statut des propriétaires des obligations et ne mentionne que le montant total pour chaque pays. Autrement dit, ils suggèrent que toutes les ventes n'ont probablement pas été initiées par la banque centrale russe. En réalité, on peut raisonnablement affirmer que la majorité — voire la totalité — des obligations a été vendue par la banque centrale russe, et pas par d'autres détenteurs nationaux. Selon les statistiques de la Fed, elle a enregistré en avril une chute notable du volume des obligations que les banques centrales étrangères détenaient sur ses comptes. Cela constitue une preuve indirecte, mais assez tangible, du fait qu'il s'agit d'une liquidation de la moitié du portefeuille des obligations américaines appartenant à l'État russe.

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  13. Le plus intéressant dans toute cette histoire est que le montant estimé des réserves russes de change a augmenté en avril de 1,3 milliard de dollars. Cela dément donc les suppositions selon lesquelles ces ventes s'expliqueraient par la nécessité de combler d'urgence un trou financier. Les obligations américaines ont été vendues pour réinvestir les fonds obtenus dans d'autres actifs.

    Comme la banque centrale publie ses rapports concernant la gestion des réserves avec un retard considérable, nous ne connaîtrons l'objectif de ces réinvestissements que dans six mois. On peut pourtant déjà évoquer plusieurs scénarios possibles.

    La version la plus conservatrice serait que la vente des obligations américaines — elle pourrait même concerner tout leur volume, car nous n'avons pas encore vu les données de mai — s'expliquerait par la seule volonté de minimiser le risque de leur saisie dans le cadre des sanctions américaines. La tentative éventuelle de confisquer (ou de geler) le portefeuille russe d'obligations américaines se solderait par des dégâts colossaux pour les marchés financiers américains et les capacités du ministère des Finances d'emprunter afin de contrebalancer le déficit budgétaire qui ne cesse de croître. L'administration Trump a pourtant déjà plus d'une fois affiché son mépris envers le bon sens et la gestion des risques à long terme, ce qui pourrait donc justifier la liquidation d'une partie ou de la totalité du portefeuille russe.

    Si cette dernière n'était qu'une mesure défensive, on verrait parmi les possessions de la banque centrale russe d'autres actifs en dollars, stockés hors de la juridiction américaine et gérés probablement à l'aide d'une structure «tampon» telle que le système européen Euroclear. Un scénario alternatif: la banque centrale aurait investi dans les outils financiers émis par des organismes non-américains. Il est pourtant assez difficile de trouver un volume aussi important d'outils non-américains en dollars.

    Les réseaux sociaux et les médias supposent que les fonds obtenus grâce à la vente des obligations américaines ont été utilisés pour soutenir Rusal, qui a énormément souffert à cause des sanctions, notamment pour racheter ses dettes en dollars. Il n'aurait cependant pas été nécessaire de vendre les obligations américaines pour 47 milliards de dollars: 8,5 milliards auraient été parfaitement suffisants. On aurait pu le considérer comme un investissement voire comme une «nationalisation souple», mais il s'agit visiblement dans ce cas-là d'un projet plus important.

    Le scénario le plus radical et le moins crédible est celui d'une révision sérieuse du rapport des devises dans les réserves de change russes. Les autorités auraient donc considérablement réduit la part du dollar grâce à la vente des obligations et à l'achat de titres dans d'autres monnaies, probablement en euro. Ce scénario est le plus intéressant du point de vue des analystes occidentaux, dont certains considèrent ces manœuvres financières russes comme une répétition des actions similaires de la Chine.

    Cette perspective devient encore plus intéressante dans le contexte de l'échec évident des négociations entre les États-Unis et la Chine concernant la prévention de la guerre commerciale — dans le cadre de cette dernière, le portefeuille chinois d'obligations américaines pourrait être un équivalent financier de l'arme nucléaire. Si Moscou supposait ou était certaine que Pékin pourrait lancer des mesures si radicales, la vente rapide du paquet russe d'obligations américaines aurait été un moyen de protéger ses fonds avant que la Chine ne frappe le marché financier américain. Si c'est exactement la raison des actions radicales de la banque centrale russe, on ne peut que saluer sa vision et espérer que la Russie ne subira pas les conséquences les plus dures de la guerre commerciale internationale du type «tous contre tous».

    https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201806191036857225-russie-usa-obligations-vente/

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  14. Des élèves allemandes priées désormais de porter des burkinis ?


    13:13 19.06.2018


    Dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, les élèves musulmanes d’une école secondaire qui refusent de participer aux cours de natation pour des raisons religieuses sont priées d’emprunter les burkinis que l’établissement a acquis pour l’occasion. L’islamologue Birgit Ebel a expliqué à Sputnik que cela n’avait rien à voir avec la tolérance.

    Le gymnasium Pestalozzi à Herne (Rhénanie-du-Nord-Westphalie, RNW) s'est procuré 20 burkinis, c'est-à-dire des bikinis intégraux, pour ses élèves musulmanes afin que celles-ci puissent prendre part aux cours de natation.

    Or, cette mesure a été largement critiquée par certains hommes politiques et experts locaux. «Je trouve que cette décision est absurde de la part de l'école», a confié à Sputnik Birgit Ebel, institutrice et islamologue à Herford.

    Selon elle, «cela ressemble à un conflit d'intérêts: d'une part, on souhaite que tous les enfants apprennent à nager et que toutes les élèves, y compris les filles musulmanes, prennent part aux cours de natation; d'autre part, on ouvre ainsi les portes à l'islam politique lorsqu'on laisse appliquer aux filles ces prescriptions vestimentaires de l'islam conservateur et ultraréactionnaire, ce qui favorise non pas l'intégration, mais l'éclosion de sociétés parallèles».

    «Nous ne vivons pas en Arabie saoudite, où les sexes se trouvent dans un dualisme total et se voient séparés dans une sorte d'apartheid», a-t-elle relevé.

    Le gymnasium assure de son côté que la décision revêt un objectif pragmatique. «Ainsi, personne n'a plus de prétexte pour ne pas assister aux cours», a indiqué le directeur de l'établissement, Volker Goessling, dans une interview à Westdeutsche Allgemeine Zeitung (WAZ). D'après le journal, au moins 15 filles ont déjà utilisé cette possibilité et ont emprunté des burkinis.

    Cependant, Yvonne Gebauer (FDP), la ministre de l'Education de la RNW, a critiqué cette mesure, qui ne faisait selon elle pas partie des «prérogatives d'une école». Serap Güler (CDU), la secrétaire d'État à l'Intégration dans le même Land, a tenu à souligner qu'«en Allemagne, nous ne devons pas opter pour les burkinis pour les filles».

    «À mon avis, c'est un signal absolument faux et une tolérance mal interprétée. C'est désastreux en premier lieu du point de vue de l'émancipation», a-t-elle expliqué.

    Il faut que les musulmans qui vivent en Allemagne, a poursuivi Mme Ebel, «acceptent notre attitude vis-à-vis l'égalité entre les sexes». «L'école devrait faire des efforts dans cette direction et ne pas céder à l'initiative imposant le port de voiles», a-t-elle conclu.

    https://fr.sputniknews.com/societe/201806191036858214-eleves-allemandes-burkinis-polemique/

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  15. A Paris, le risque d'inondation n'est jamais loin


    19 juin 2018
    par Charles Perrin, Carina Furusho-Percot, Julie Viatgé et Vazken Andréassian, La Conversation


    En 1910, Paris a fait l'objet d'une inondation historique dont on se souvient encore, et c'est loin d'être un événement unique. En France, le risque d'inondation est le risque naturel numéro un, touchant une personne sur quatre, soit 17 millions de résidents. L'élévation du niveau des rivières est un phénomène naturel qui peut conduire - en fonction de leur intensité (hauteur, vitesse), durée et portée géographique - à un débordement (où la rivière se brise) et la moitié des inondations sont liées au ruissellement.

    Risque, danger et vulnérabilité

    Risque d'inondation, risque d'inondation et vulnérabilité aux inondations: dans le langage courant, ces termes sont souvent utilisés de manière synonyme, bien que chacun ait sa propre définition précise:

    Un risque d'inondation est un concept hydrologique faisant référence à l'élévation des niveaux d'eau des rivières;
    La vulnérabilité aux inondations est un concept sociologique lié aux dommages que les inondations causeraient dans une zone donnée. Par exemple, un champ ou une forêt peut présenter une faible vulnérabilité, car la végétation peut facilement tolérer d'être submergée pendant de courtes périodes. Cependant, si un magasin de matériel électrique est construit sur le même site, son niveau de vulnérabilité augmenterait considérablement.

    Le risque d'inondation est une combinaison de danger et de vulnérabilité. Une inondation extraordinaire provoquée par une élévation remarquable des niveaux d'eau dans une zone inhabitée ne présente aucun risque, puisqu'il n'y a pas de vulnérabilité. D'un autre côté, une inondation relativement modérée dans un centre commercial aurait de graves conséquences économiques et présenterait donc un niveau de risque élevé.

    Ces concepts permettent d'établir des seuils d'alerte de niveau d'eau (jaune, orange, rouge), correspondant à des niveaux de danger croissants, pour un point donné sur un cours d'eau.

    Comment les niveaux d'eau sont-ils surveillés ?

    En France, le réseau national de prévision des crues surveille plus d'un millier de points sur les principaux cours d'eau. Composé de services de prévision des crues (SPC) et d'un service central (Service central d'hydrométéorologie et d'appui à la prévision des inondations), ou SCHAPI, géré par le département de l'environnement, ce réseau utilise la prévision des crues. des modèles permettant de prédire les risques quelques heures ou jours à l'avance, en fonction de l'efficacité des bassins versants.

    Certains - tels que GRP et AÏGA développés par l'institut de recherche IRSTEA et utilisés dans de nombreux SPC régionaux - sont des modèles hydrologiques. Ceux-ci utilisent les informations fournies par Météo-France sur la quantité de pluie qui s'est déjà produite, ainsi que les précipitations prévues pour les heures ou les jours à venir, pour prédire le débit d'eau futur dans la rivière. Les prévisions de ces modèles peuvent ensuite être utilisées par les modèles hydrauliques pour simuler le mouvement des ondes de crue en amont.

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  16. En fonction de ces prévisions, des niveaux de risques sont attribués aux différentes parties du fleuve et publiés en temps réel sur www.vigicrues.gouv.fr, ainsi que les bulletins météo correspondants.

    Comment pouvons-nous mieux nous protéger ?

    Pour mieux nous protéger des inondations, nous pouvons essayer d'atténuer les dangers ou la vulnérabilité. Pour réduire les risques, nous pouvons tenter de stocker une partie de l'eau dans un réservoir ou un canal d'inondation en amont de façon à répartir le volume d'eau de crue au fil du temps (ce qui signifie atténuer le débit de pointe).

    Pour réduire la vulnérabilité, nous pouvons soit éviter de construire des infrastructures sensibles (hôpitaux, écoles, etc.) dans les plaines inondables des rivières, protéger les zones touchées (en utilisant des digues), soit avertir les populations avec suffisamment d'attention.

    Pour agir dans le temps, nous avons besoin à la fois de prévisions hydrologiques (avec des modèles prédictifs) et d'une organisation appropriée, comme en témoigne l'exercice Sequana qui s'est tenu à Paris du 7 au 18 mars 2016.

    Devrions-nous être préoccupés par les épisodes d'inondation majeurs potentiels ?

    Cette année, les conditions météorologiques ont conduit à des hausses importantes des niveaux d'eau dans la vallée du Loing et dans les petites cours d'eau Ile-de-France (Yvette), et monte légèrement plus petit dans l'Yonne et les rivières Brie (Grand et Petit Morin, et Yerres). Les bassins supérieurs de la Seine et de l'Aube ont été moins touchés. Il n'y avait donc qu'un seul bassin contribuant à la montée des eaux à Paris en 2016, il était donc peu probable que la ville connaisse un scénario similaire à celui de la grande crue de 1910.

    Un mois de mai exceptionnel ?

    Bien que le moment soit inhabituel, la situation en 2016 n'était pas complètement inattendue. Historiquement, la Seine à Paris a inondé en hiver (en janvier 1910, 1924 et 1955, et en février 1945). Cependant, cela ne doit pas nécessairement être le cas. D'autres plans d'eau, soumis à des sollicitations océaniques, ont vu les grandes inondations au printemps, la Loire a fait en Juin 1856. En mai 2013, un événement assez similaire (bien que plus localisée) a également affecté le bassin Yonne.

    Bien que Paris ait battu le record de pluie en mai 2016 (176mm, en hausse par rapport au précédent record de 132mm en 1992), il faut rappeler que mai est généralement un mois pluvieux et, généralement, le mois le plus pluvieux de l'année à Paris.

    https://phys.org/news/2018-06-paris.html#jCp

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    1. (...) Pour réduire la vulnérabilité, nous pouvons soit éviter de construire des infrastructures sensibles (hôpitaux, écoles, etc.) dans les plaines inondables des rivières, protéger les zones touchées (en utilisant des digues), soit avertir les populations avec suffisamment d'attention. (...)

      Charles Perrin, Carina Furusho-Percot, Julie Viatgé et Vazken Andréassian sont des connards qui auraient omis de parler de la NÉCESSITÉ DES DRAGAGES de fleuves & rivières afin qu'ils ne débordassent à l'avenir !

      Le désalluvionnage des cours d'eaux devrait être obligatoire car, depuis bientôt 50 ans il ne sont plus curés ! D'où les inondations à la moindre pluie compte tenu de l'épaisseur de vase qu'il y a au fond !!

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  17. Les chaussures de cuir sont-elles devenues "has been"?


    19 JUIN 2018
    Audrey Duperron


    Jusqu’ici, les industries de la viande et du cuir étaient étroitement corrélées. L’industrie du cuir récupérait les peaux issues de l’abattage du bétail pour la viande. Mais on assiste maintenant à un déséquilibre: les gens mangent de plus en plus de viande, mais ils portent moins de chaussures en cuir.

    Traditionnellement, l’industrie de la chaussure est la plus grosse consommatrice de cuir, raflant 55 % de l’offre de peaux, selon Bloomberg. Les voitures en récupèrent 20 % pour la sellerie, l’industrie du meuble, 12 %, tandis que 13 % sont réservés à la maroquinerie.

    La demande de cuir en chute libre

    Mais depuis 2014, la demande de peaux pour l’industrie de la chaussure est en chute libre aux États-Unis. Cette année-là, des sécheresses ont affecté la taille des troupeaux, ce qui a réduit le nombre de peaux vendues, et provoqué une baisse de flambée des cours du cuir. Certains fabricants de chaussures se sont alors tournés vers des alternatives du cuir… et semblent les avoir définitivement adoptées. Les cours sont revenus à un niveau normal depuis, mais la demande n’a pas suivi.

    L’année dernière, les cours ont même commencé à décrocher brutalement, en raison de la chute de la demande. Les substituts du cuir se sont beaucoup améliorés ces dernières années, à tel point que le secteur du luxe les a adoptés, et qu’il est parfois difficile de les distinguer du matériau qu’ils copient. En parallèle, des consommateurs de plus en plus soucieux de leur impact sur l’environnement et de l’éthique répugnent à consommer des produits animaux.

    La basket reine

    Enfin, et c’est probablement le plus gros facteur de désaffection du cuir, les codes vestimentaires se sont assouplis, et les consommateurs privilégient de manière croissante le confort sur l’aspect. Désormais, les baskets ne sont plus cantonnées à un usage exclusivement sportif, et elles deviennent un élément de base de la garde-robe, et leurs adeptes les portent au quotidien. Elles sont désormais admises dans les bureaux et parfois même dans les réceptions de mariage.

    Or, la plupart de ces baskets sont réalisées dans des matériaux ou des textiles synthétiques ; leur semelle est faite de caoutchouc, ou de polystyrène. C’est donc une véritable tendance de fond qui menace l’industrie du cuir américaine, et, à terme, européenne.

    Le cuir de veau échappe à cette tendance

    En revanche, et d’après Don Ohsman, de la société de recherche Hidenet, le cuir fin haut de gamme, qui provient des veaux, ne connaît pas le même sort, et la demande continue de croître pour ces peausseries. Ce cuir souple et immaculé est en effet le composant de base des sacs à main et d’autres articles de maroquinerie luxueux, autrement dit, des marchés de niche.

    https://fr.express.live/2018/06/19/les-chaussures-de-cuir-sont-elles-devenues-has-been

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    1. (...) la plupart de ces baskets sont réalisées dans des matériaux ou des textiles synthétiques ; leur semelle est faite de caoutchouc, ou de polystyrène. (...)

      Ce sont pourtant des 'sacs en plastique' de la même matière que ce qu'est consommé au 100 km par une voiture !

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  18. La Russie met en garde: "La militarisation de l'espace est une catastrophe"


    par Tyler Durden
    Mer, 20/06/2018 - 01:00


    L'ordre du président Trump pour que le Pentagone crée une "force spatiale" en tant que branche distincte des forces armées a déjà suscité de vives critiques, mais un sénateur russe est allé jusqu'à avertir que "la militarisation de l'espace est un désastre".

    Ils ont également averti que Washington risquait de violer les principaux accords internationaux réglementant la démilitarisation de l'espace, ce qui pourrait déstabiliser l'ordre international.

    Atout

    "Il y a un risque majeur que les Américains commettent de graves violations dans ce domaine ... si l'on tient compte de ce qu'ils font dans d'autres domaines", a déclaré Viktor Bondarev, chef de la Commission de défense et de sécurité du Conseil de la Fédération de Russie.

    Alors que Trump n'était pas tout à fait clair sur ce qu'il voulait dire, il espérait parvenir à une "domination" dans l'espace, ignorant le fait que les Etats-Unis soient signataires de l'accord de 1967 sur l'espace extra-atmosphérique. espace. Cependant, les États-Unis ont apparemment pris l'habitude de se retirer des principaux accords internationaux. Par exemple, George W. Bush s'est retiré du Traité sur les missiles antibalistiques et la Russie a menacé de «riposter énergiquement» si les États-Unis violaient l'accord sur l'espace en envoyant des armes de destruction massive en orbite. Le traité interdit également aux états de construire des bases militaires sur la lune, selon RT.

    Pourtant, violer "l'accord de l'espace extra-atmosphérique" pourrait potentiellement créer des problèmes parce que, pendant son discours, Trump a mentionné quelque chose sur l'établissement d'une "présence permanente" sur la Lune - bien qu'il ne dise pas explicitement qu'il serait une présence "militaire". Trump a déclaré lors de son discours qu'une force spatiale «séparée mais égale» (des autres branches de l'armée) serait nécessaire pour que l'Amérique conserve un avantage tactique sur ses adversaires géopolitiques (adversaires comme la Chine et la Russie).

    Parlant avec CNN après le discours de Trump, un analyste a précisé exactement pourquoi la «dominance» de l'espace serait si importante pour la défense nationale à l'avenir: «Je déteste le terme 'la frontière finale' mais (l'espace) est la hauteur finale. ne domine pas une petite zone géographique - elle domine les continents, les océans », a déclaré le lieutenant-colonel américain Rick Francona

    "La plupart des penseurs militaires savent que c'est l'espace de bataille du futur."

    Un membre du Congrès américain a averti que les Etats-Unis étaient déjà en retard, et que "la Russie et la Chine" dominaient la course à l'espace.

    "La Russie et la Chine nous surpassent dans les capacités spatiales et nous devons consacrer une force distincte uniquement à une mission spatiale", a déclaré Mike Rogers.

    Les Chinois se sont également prononcés contre la "domination" planifiée des Etats-Unis sur l'espace.

    Répondant à une question de CNN concernant l'annonce de Trump mardi, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Geng Shuang, a déclaré que "l'espace est un atout partagé par toute l'humanité, la Chine préconise toujours l'utilisation pacifique de l'espace. les courses."

    Mais bien sûr, plus que tout, la déclaration de Trump nous rappelle tout ce fameux croquis «Chapelle Show».

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-19/russia-warns-militarization-space-way-disaster

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    1. Qu'implique cette 'militarisation de l'espace' sinon la mise en place de bombes (EMP) satellites !

      Le satellite peut donc être placé à la verticale d'un pays et, commande laser, exploser en anéantissant tous les appareils électrique sur le dit pays.

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  19. Moscou réagit à l’annonce de la création de la Force armée spatiale


    18:58 19.06.2018


    Le projet américain de créer une Force armée spatiale risque de mettre la sécurité mondiale en péril, considère un sénateur russe qui rappelle que les États-Unis dérogent régulièrement aux accords et peuvent le faire avec le traité d'interdiction des armes nucléaires dans l’espace.

    Si en créant leur Force armée spatiale, dont le projet a été annoncé lundi, les États-Unis violent le traité d'interdiction des armes nucléaires dans l’espace, la Russie en donnera une riposte rigoureuse, a déclaré dans un commentaire à Sputnik le sénateur Viktor Bondarev, président de la commission de la défense du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe).

    «La militarisation de l’espace est une voie menant à la catastrophe. Certes, nous espérons que les élites politiques américaines ont encore des restes de conscience et de raison. Mais si les États-Unis se retirent du traité de 1967, interdisant les armes nucléaires dans l’espace, alors non seulement nous, mais aussi d’autres États y opposeront une réponse sévère», a-t-il déclaré.

    Et d’ajouter que ce projet pouvait mettre en péril la sécurité et la stabilité internationales.

    «Compte tenu du comportement américain dans toutes les autres sphères, le risque de dérogations flagrantes susceptibles de mettre en péril la sécurité et la stabilité internationales est majeur», a-t-il encore ajouté.

    Le 18 juin, Donald Trump a ordonné au Pentagone de créer une Force spatiale en tant que nouvelle branche indépendante des Forces armées du pays. Selon ses dires, les États-Unis sont résolus à obtenir le leadership dans l’espace et n’envisagent pas de «traîner» derrière la Russie et la Chine.

    https://fr.sputniknews.com/international/201806191036866218-russie-usa-force-spatiale/

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    1. L'Impulsion ElectroMagnétique n'est PAS nucléaire. Cette 'bombe propre' américaine tend à rivaliser avec celle en Chine qui demeure au sol (en attente d'élévation en cas de). D'où cette différence d'avancée. En altitude, l'EMP détruit la totalité des appareils électrique sur Terre et les satellites !

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  20. Si l’énergie nucléaire est si sûre, pourquoi en avons-nous si peur ?

    Comment le glamour de l’énergie nucléaire dans les années 1950 s’est-il transformé en craintes aujourd’hui ?


    Par Michael Shellenberger.
    20 JUIN 2018


    De nombreuses études dans des revues scientifiques de haut niveau révèlent que les réacteurs nucléaires sont de loin le moyen le plus sûr de produire de l’électricité fiable. Pourquoi alors suscitent-ils une telle peur ?

    L’association historique des centrales nucléaires avec les armes nucléaires n’y est pour rien. Pendant les deux premières décennies après le bombardement de Fukushima et Nagasaki au Japon, l’énergie nucléaire pour la production d’électricité a reçu un accueil plus enthousiaste qu’effrayé.

    Comment le glamour de l’énergie nucléaire dans les années 1950 s’est-il transformé en craintes aujourd’hui ?

    Serait-ce à cause de Three Mile Island, Tchernobyl et Fukushima ?

    Pourtant, ces accidents ont prouvé le danger relatif de l’énergie nucléaire. Personne n’est mort des radiations à Three Mile Island ni à Fukushima, et moins de 50 personnes sont mortes à cause des radiations à Tchernobyl au cours des 30 années qui se sont écoulées depuis l’accident.

    Pourquoi alors ces accidents nucléaires sont-ils considérés comme si catastrophiques ?

    La réponse est à rechercher dans la manière dont les gouvernements ont réagi. Au lieu d’encourager le public à rester calme, les gouvernements ont paniqué. Ils ont fait évacuer des centaines de milliers de personnes… pour rien.

    Le graphique ci-dessous montre que le nucléaire est le moyen le plus sûr pour produire de l’électricité. Le nombre de décès pour une production identique d’électricité, ici par exemple le térawattheure (TWh = un milliard de kilowattheure) est notablement inférieur à celui des autres grands moyens de production de masse de l’électricité que sont le charbon, le pétrole, la biomasse et le gaz naturel.

    « Entre 1986 et 1990, entre cinq et dix fois trop de personnes ont été éloignées de la région de Tchernobyl« , a écrit début juin 2018 une équipe de scientifiques de haut niveau dans la revue à comité de lecture, « Process Safety and Environmental Protection ».

    Quant à l’accident nucléaire de 2011 au Japon, les scientifiques ont déclaré qu’il leur était difficile de justifier le déplacement d’une seule personne de Fukushima Daiichi pour des raisons de protection radiologique.

    En d’autres termes, les réactions excessives aux accidents – et non les accidents eux-mêmes – ont suscité les craintes de la population à l’égard de cette technologie.

    Les spécialistes des rayonnements estiment que les craintes du public ne pourront pas être complètement supprimées, mais que la façon dont les gouvernements réagiront au prochain accident nucléaire éventuel pourrait être modifiée.

    LA GUERRE CONTRE LA PROSPÉRITÉ UNIVERSELLE

    Dans son discours « Atomes pour la paix » de 1953, le président américain Eisenhower avait proposé à l’assemblée générale des Nations-Unies à New-York d’utiliser l’énergie nucléaire comme un moyen de prospérité. « Un des objectifs serait de fournir de l’énergie électrique en abondance dans les régions du monde en manque d’énergie. »

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  21. Quel est l’intérêt de la paix si des milliards de personnes restent dans la pauvreté ?

    La vision d’Eisenhower était à la fois nationaliste et internationaliste, altruiste et intéressée.

    « Les États-Unis s’engagent à consacrer tout leur cœur et leur esprit à trouver le moyen par lequel l’inventivité miraculeuse de l’homme ne sera pas consacrée à sa mort, mais consacrée à sa vie. »

    Après le discours d’Eisenhower, les représentants de chaque nation se sont levés et ont applaudi pendant 10 minutes.

    Mais tout le monde n’a pas été ravi par l’idée d’éliminer la pauvreté.

    Trois ans avant le discours d’Eisenhower, Harrison Brown, un ancien participant au programme Manhattan (qui a fabriqué la première bombe nucléaire) a publié un livre en 1950 The Challenge of Man’s Future qui affirmait que les humains étaient trop nombreux sur la Terre. « L’humanité ne sera pas satisfaite tant que la Terre ne sera pas complètement recouverte d’êtres humains, un peu comme le cadavre d’une vache est recouverte d’une masse grouillante d’asticots« .

    Brown, qui avait proposé la stérilisation des humains pour prévenir « la dégénérescence à longue échéance de l’espèce humaine », était influent parmi les « environnementalistes » (écologistes). Sa proposition était une extension des idées de l’économiste du 19e siècle Thomas Malthus qui désirait l’extermination de son prochain, en particulier les pauvres et les Irlandais. « Au lieu de recommander la propreté aux pauvres « , soutenait Malthus, » nous devrions encourager les habitudes contraires… et courtiser le retour de la peste « .

    En 1966, des misanthropes au sein du Sierra Club avaient adopté le malthusianisme.

    Dans son livre Energy : A Human History, l’historien Richard Rhodes, lauréat du Pulitzer, écrit :

    « La croissance démographique ramenée à zéro et le développement des énergies renouvelables émergent du mouvement écologiste dans les années 1960 et 1970. Ils ont sciemment ou inconsciemment incorporé l’idéologie antihumaniste des néo-Malthusiens dans leurs arguments… Plus de centrales électriques créent plus d’industrie qui à son tour invite à une plus grande densité de population » se plaint le directeur exécutif du Sierra Club.

    De telles idées anti-humanistes ont fleuri dans le pamphlet du Sierra Club de 1967 The Population Bomb de Paul Ehrlich, biologiste de Stanford qui dépeint les pauvres en Inde comme des animaux « criant… mendiant… déféquant et urinant… ».

    En revanche, les créateurs de l’énergie nucléaire sont restés optimistes et humanistes. Ils considéraient la nouvelle source d’énergie comme la clé pour éviter les problèmes créés par une population humaine croissante, et permettre à chacun, y compris les plus pauvres en Afrique, de sortir de la pauvreté.

    Avec l’énergie nucléaire, Alvin Weinberg, directeur du laboratoire d’Oak Ridge, a soutenu que les humains pouvaient créer de l’engrais, de l’eau douce et donc de la nourriture abondante pour toujours.

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  22. Mais pour les Malthusiens, l’énergie bon marché et abondante n’était pas un bienfait mais plutôt une anomalie catastrophique. Le Sierra Club et d’autres écologistes détestaient le nucléaire parce qu’il promettait la prospérité universelle.

    C’est à ce moment-là que les groupes écologistes ont lancé une campagne d’un demi-siècle pour effrayer le public. « Notre campagne soulignant les dangers de l’énergie nucléaire fournira une justification pour l’augmentation de la réglementation et augmentera le coût de l’industrie » a écrit le président du Sierra Club dans une note de 1974 au conseil d’administration.

    LA FRAUDE SCIENTIFIQUE

    L’un des passages les plus choquants de l’ouvrage de Rhodes traite de la façon dont le scientifique américain Hermann Muller, lauréat du prix Nobel en 1946, a commis une fraude pour exagérer les risques des rayonnements nucléaires pour la santé humaine.

    S’inspirant des recherches d’Edward Calabrese, professeur de toxicologie à l’Université du Maryland, les travaux de Muller sur les mouches des fruits l’ont amené à conclure qu’il n’y a pas de dose sûre de radiation parce que chaque dose, selon lui, conduit à des mutations « dommageables ou mortelles… irréversibles et permanentes « .

    Mais juste avant que Muller ne s’envole pour recevoir son prix Nobel à Stockholm, de nouvelles recherches contredisaient ses conclusions.

    Müller avaient exploré les effets des doses élevées et moyennes de rayonnement. Ernst Caspari, un spécialiste du comportement des insectes, avait étendu cette recherche à la gamme des faibles doses et s’il s’était demandé si l’effet serait le même lorsque la dose était étalée sur une longue période de temps (« exposition chronique ») plutôt que d’être administrée en une seule fois (« exposition aiguë »)… La nouvelle découverte surprenante de Caspari était que les mouches des fruits exposées à une faible dose quotidienne… ne montraient aucune augmentation de leur taux de mutation.

    Muller était confronté à un dilemme. Que devait-il faire ? Il aurait dû modifier sa conférence pour le prix Nobel mais il ne l’a pas fait. « À Stockholm, Muller a accepté son prix Nobel et a délibérément ignoré les conclusions de Caspari dans sa conférence » écrit Rhodes.

    Mais le pire était à venir. À son retour aux États-Unis, Muller a dit à un collègue qu’il n’avait « pas grand-chose à ajouter sur l’étude de Caspari » si ce n’est de recommander qu’elle soit reproduite pour vérification.

    Cependant, en tant que relecteur principal du document, Muller a supprimé la phrase qui remettait en question ses travaux.

    Son statut de lauréat du prix Nobel lui a permis d’établir sa théorie falsifiée comme base scientifique pour la réglementation des centrales nucléaires pour les décennies à venir.

    Après avoir supprimé une remise en question de son modèle des effets des rayonnements appelé « Relation Linéaire Sans Seuil » (RLSS ou « linear no treshhold » (LNT) en anglais), le lauréat du prix Nobel Muller a continué par la suite à défendre le modèle RLSS.

    Les motivations professionnelles de Muller correspondaient aux souhaits des activistes antinucléaires. « Un mouvement antinucléaire, né de l’hostilité à la croissance démographique dans un monde prétendument malthusien, a promu à son tour le modèle RLSS en exagérant ses effets » écrit Rhodes.

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  23. BONNE NOUVELLE ET ESPOIR

    La bonne nouvelle est qu’un nombre croissant de scientifiques spécialisés dans les radiations, le climat et la santé publique se prononcent aujourd’hui en faveur des centrales nucléaires comme étant essentielles pour sauver des vies.

    En 2013, les climatologues Pushker Kharecha et James Hansen ont constaté que « l’énergie nucléaire a permis d’éviter en moyenne 1,84 million de décès liés à la pollution atmosphérique « .

    Et ce constat ne prend pas en compte les conséquences potentielles du changement climatique.

    Au cours des deux dernières années, des climatologues comme Hansen et des universitaires comme Rhodes ont uni leurs forces pour développer les centrales nucléaires dans le monde.

    Aujourd’hui, des spécialistes des radiations, avec l’appui des gouvernements britannique et indien, exhortent les gouvernements à rester calme et à poursuivre leurs activités en cas d’accident nucléaire.

    À défaut de supprimer totalement la crainte des accidents nucléaires, leurs efforts permettent d’espérer qu’ils pourront au moins empêcher les populations de réagir de manière excessive.

    Article paru initialement dans Forbes. Traduction de Michel Gay.

    https://www.contrepoints.org/2018/06/20/318546-si-lenergie-nucleaire-est-si-sure-pourquoi-en-avons-nous-si-peur

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  24. L'idiocratie se profile ? Une étude suggère que les scores de QI sont en baisse en raison des médias sociaux, des banques centrales


    par Tyler Durden
    Mar. 19/06/2018 - 18:25


    Une nouvelle étude, publiée lundi par des chercheurs norvégiens a analysé les scores de QI entre 1962 et 1991 et a constaté que les scores ont augmenté de près de 3 points de pourcentage par décennie pour les personnes nées entre 1962 et 1975.

    - voir graphique sur site -

    La hausse précédente des scores de QI suit l'effet «Flynn» - un terme pour l'augmentation à long terme des niveaux d'intelligence au cours du XXe siècle, sans doute le résultat d'un meilleur accès à l'éducation - selon Stuart Ritchie, postdoctorat fellow en vieillissement cognitif à l'Université d'Edimbourg dont les recherches explorent les scores de QI et de l'intelligence et qui n'a pas été impliqué dans la nouvelle étude.

    Mais la nouvelle étude, ainsi que des études similaires au Danemark, en Grande-Bretagne, en France, aux Pays-Bas, en Finlande et en Estonie, ont toutes montré une tendance à la baisse similaire dans les scores de QI depuis le début des années 1970.

    Comme le rapporte Fox News, les chercheurs ont longtemps préféré utiliser des gènes pour expliquer les variations de l'intelligence par rapport aux facteurs environnementaux. Cependant, la nouvelle étude tourne cette pensée sur sa tête.

    Quiconque a vu le film "Idiocracy" pourrait déjà être familier avec ces idées. Dans la communauté scientifique, l'idée que des parents inintelligents ont plus d'enfants et rabaisse la population est connue sous le nom de théorie de la fertilité dysgénique, mais la nouvelle étude suggère que l'intelligence est héréditaire, mais que les facteurs externes jouent un rôle plus important.

    Alors, qu'est-ce qui conduit à ce renversement soudain de «l'effet Flynn» et qui provoque le naufrage du monde ?

    Fox rapporte que Ole Rogeberg, chercheur senior au Centre de recherche économique Ragnar Frisch en Norvège et co-auteur de la nouvelle étude, estime que le changement n'est pas dû à la génétique, mais dit:

    "Les causes dans le QI augmente avec le temps et maintenant la baisse est due à des facteurs externes."

    "Ce n'est pas que les gens stupides ont plus d'enfants que de gens intelligents, pour le dire crûment. C'est quelque chose à voir avec l'environnement, parce que nous voyons les mêmes différences au sein des familles ", a-t-il dit.

    Selon Rogeberg, les «facteurs environnementaux» influent sur la personne - et non sur la météo - ce qui pourrait inclure des changements dans le système d'éducation, les médias, la nutrition, la lecture et le contenu en ligne, ainsi qu'un meilleur niveau de vie. .

    Robin Morris, professeur de psychologie au Kings College de Londres, a également confirmé l'impact des médias sociaux:

    «À mon avis, nous devons reconnaître qu'à mesure que le temps change et que les gens sont exposés à différentes expériences intellectuelles, comme les changements dans l'utilisation de la technologie, par exemple les médias sociaux, la façon dont l'intelligence s'exprime change aussi. Les méthodes éducatives doivent s'adapter à de tels changements. "

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  25. - voir graphique sur site -

    Nixon a donc commencé l'abrutissement du monde au début des années 70 en permettant l'impression d'argent (écrasant le niveau de vie à plus long terme) et la naissance d'Internet a accéléré la tendance (créant une réalité de plus en plus distraite)?

    - voir tableau sur site -

    Est-ce que le monde développé - avec ses banques centrales interventionnistes et ses populations distraites qui accèdent au Web sont sur le point de se faire prendre par les pays les moins médiatisés par les médias sociaux et les moins touchés par les normes de vie ?

    Pour l'instant, la solution est simple pour un monde plus intelligent - arrêtez de «goûter à Facebook» et «arrêtez de manger»!

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-19/idiocracy-looms-study-finds-iq-scores-are-falling-due-social-media-central-banks

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    1. Notons qu'il est difficile pour un adulte sans instruction et immigrant de se construire une intelligence dans le pays d'accueil. Idem pour les enfants qui vivent encore chez leurs parents et - comme eux - sèment la violence et la mort.

      Ce monde est trop compliqué pour eux et se contentent donc de dealer.

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  26. "La plus grande toilette publique du monde", Starbucks dégringole après avoir interrompu son guidage, 150 fermetures de magasins


    par Tyler Durden
    Mar. 19/06/2018 - 16:41


    C'est peut-être justice poétique que peu de temps après que Starbucks devienne l'un des plus grands signaleurs de la vertu, quand la compagnie décida qu'elle deviendrait la plus grande toilette publique du monde après l'incident de Philadelphie où deux hommes noirs furent arrêtés pour ne rien faire. La société a publié ses prévisions les plus décevantes depuis des années, dans lesquelles elle a non seulement annoncé la fermeture de 150 magasins sous-performants, mais a également réduit de 3% à 3% les prévisions La société prévoit maintenant de rembourser environ 25 milliards de dollars en espèces aux actionnaires sous forme de rachats d'actions et de dividendes jusqu'à l'exercice 20, soit une augmentation de 10 milliards de dollars par rapport à l'objectif de rendement annoncé le 2 novembre 2017 et la confirmation que NFLX ne peut même pas monter 10 milliards de dollars dans des initiatives de croissance.

    Dans le cadre de la guidance, Starbucks dont le président exécutif Howard Schultz a annoncé il y a deux semaines qu'il quitte l'entreprise à la fin du mois, a annoncé trois priorités stratégiques "pour regagner du dynamisme des revenus et des bénéfices":

    Accélérer la croissance aux États-Unis et en Chine, les marchés de croissance à long terme ciblés de la société;
    Développer et tirer parti de la portée mondiale de la marque à travers la Global Coffee Alliance; et
    Accentuation de l'accent sur l'augmentation des rendements pour les actionnaires.

    Kevin Johnson, président et chef de la direction de Starbucks, a déclaré que «bien que certains vents contraires de la demande soient transitoires et que certaines de nos augmentations de coûts soient des investissements appropriés pour l'avenir, notre performance récente ne reflète pas le potentiel de notre marque exceptionnelle. acceptable."

    Cela a été suivi par plus speek d'entreprise:

    "Nous devons agir plus rapidement pour répondre aux préférences et aux besoins de nos clients qui évoluent le plus rapidement. Au cours de la dernière année, nous avons pris plusieurs mesures pour rationaliser l'entreprise, nous positionnant pour accroître notre agilité d'innovation en tant qu'organisation et nous concentrer sur nos principaux moteurs de valeur qui servent de base pour accélérer la croissance et créer de la valeur actionnariale à long terme. "

    Et les conseils complets:

    Accélérer la croissance aux États-Unis et en Chine, c'est-à-dire «prier pour que nous puissions proposer une version encore plus chère du latte épicé à la citrouille:»

    Les initiatives de rationalisation de l'entreprise permettront une plus grande agilité pour s'adapter plus rapidement aux changements dans les préférences des consommateurs. Cela comprend l'accélération de l'innovation des produits autour des boissons de base tout en tirant parti de la catégorie croissante du thé et des rafraîchissements, ainsi que les tendances du comportement des consommateurs envers la santé et le bien-être.

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  27. Starbucks optimise son portefeuille de magasins aux États-Unis à un rythme plus rapide au cours de l'exercice 19, notamment en transférant la croissance des nouveaux magasins aux marchés sous-pénétrés, en ralentissant la croissance des magasins sous licence et en fermant davantage les magasins sous-performants. 150 en FY19 à partir d'une moyenne historique allant jusqu'à 50 par an. Au cours de l'exercice 19, il en résultera un taux de croissance légèrement inférieur dans les nouveaux magasins corporatifs.

    Starbucks étend activement l'étendue et la profondeur des relations numériques avec les clients actuels et nouveaux. La société a ajouté 5 millions de nouveaux clients enregistrés numériquement depuis avril 2018 et 2 millions de membres Starbucks Rewards actifs sur un an à 15 millions, en hausse de 13 % par rapport à l'année précédente.

    Au cours de l'exercice 19, la société s'attend à ce que les nouvelles initiatives numériques contribuent à un ou deux points de croissance aux États-Unis, grâce à un programme Starbucks Rewards redéfini qui offre aux clients un plus grand choix de rachats et de paiements. relation numérique avec l'entreprise.

    L'expansion et l'optimisation de la portée mondiale de la marque, c'est-à-dire la fermeture des magasins sous-performants et l'octroi de licences aux autres, tout en augmentant le dividende dans l'espoir que les investisseurs soient suffisamment distraits et ne remarquent pas le glaçon fondant.

    Starbucks continue de progresser vers la clôture de la transaction de Global Coffee Alliance avec Nestlé pour accélérer et étendre la portée mondiale des marques Starbucks dans les biens de consommation courante et les services alimentaires, ajoutant 5 millions de points de présence dans 189 pays.

    Accent sur la rentabilité et l'augmentation des rendements pour les actionnaires

    Avec l'exécution des priorités stratégiques de la société censées améliorer le profil de rendement de l'entreprise, la société s'attend maintenant à retourner environ 25 milliards de dollars en espèces aux actionnaires sous la forme de rachats d'actions et de dividendes jusqu'à l'exercice 20. Cela représente une augmentation de 10 milliards de dollars par rapport à l'objectif de rendement en espèces annoncé le 2 novembre 2017.
    Starbucks s'intéresse de plus en plus à l'efficacité des fusions et acquisitions, et envisage de s'associer à un consultant externe pour accélérer la vitesse et tirer parti des meilleures pratiques pour identifier les opportunités. La société prévoit fournir des plans plus détaillés en conjonction avec l'appel de revenus de l'entreprise pour le troisième trimestre de l'exercice fiscal 2011.

    La société explore activement des options stratégiques pour l'octroi de licences de magasins exploités par la société dans d'autres marchés appropriés.

    Afin d'accélérer le remboursement des liquidités aux actionnaires, le conseil d'administration a approuvé une augmentation de 20% du dividende trimestriel régulier de la société et a déclaré un dividende en espèces de 0,36 $ par action payable le 24 août 2018 aux actionnaires inscrits en date du 9 août , 2018. Ceci représente la 8e augmentation annuelle du dividende trimestriel régulier de la société.

    Enfin - littéralement - à la toute fin du communiqué de presse, était la mise à jour financière:

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  28. La société prévoit désormais une croissance de 1% des ventes de magasins comparables à l'échelle mondiale au troisième trimestre de l'exercice fiscal18. Des détails supplémentaires concernant les directives pour l'exercice fiscal 2011 seront fournis lors de la présentation des investisseurs d'aujourd'hui.

    C'est en baisse de 3 % précédemment. Sans surprise, le titre a dégringolé sur les nouvelles.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-19/worlds-biggest-public-toilet-starbucks-tumbles-after-slashing-guidance-150-store

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    1. Les drones sautent continuellement 'le mur' et livrent les armes et drogues à n'importe qui. D'où la clochardisation des autochtones.

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