- ENTREE de SECOURS -



dimanche 24 juin 2018

TIREZ SANS SOMMATION - Nasseeruddin Shah, Greta Scacchi

42 commentaires:

  1. «Nous sommes un pays colonisé»: Dupont-Aignan appelle la France à disposer d’elle-même


    10:56 24.06.2018


    La France est un pays colonisé économiquement par la Chine et les États-Unis, politiquement par Bruxelles et religieusement par les migrants, a déclaré samedi Nicolas Dupont-Aignan. Selon lui, les Français doivent dire «stop» à cette situation.

    La France est un pays «colonisé» sur plusieurs plans, estime le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan qui était invité samedi à l'émission On n'est pas couché sur France 2.

    «J'estime que notre pays est colonisé […] économiquement par les Américains et les Chinois, politiquement par Bruxelles, l'Union européenne et l'Allemagne, religieusement et "migratoirement" par les migrants qui arrivent sur notre sol», a-t-il ainsi lancé.

    Il a déploré l'installation de «centaines de mosquées salafistes» qui «décrédibilisent les Français qui pratiquent la foi musulman tout à fait sereinement».
    M.Dupont-Aignan a rappelé le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes dont, selon lui, les Français devaient bénéficier.

    «Les Français à un moment doivent être fiers d'être Français, dans la tolérance, mais doivent dire "stop", "ça suffit". Il y a le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. On le revendique pour tous les peuples [… ] Et pourquoi pas les Français ?», s'est-t-il interrogé.

    En 2017, lors de la campagne présidentielle, le président de DLF avait déjà employé le mot «colonisation» dans un tweet adressé à Emmanuel Macron.

    https://fr.sputniknews.com/france/201806241036928472-colonisation-dupont-aignan-france/

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    1. 'Dupont-Aignan', un marron couleur et odeur que le 'pré-zidan'. Idem pour sa (...) Maréchal du FRNA qui n'ont JAMAIS proposé à la république (dictature moyenâgeuse) de devenir un jour une Démocratie ! (comme la Suisse, seul pays au monde !!! où les citoyens-nes proposent LEURS lois et votent LEURS lois EUX-MÊMES !!!!!!).

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  2. Une nouvelle méthode pour craquer un iPhone au profit des hackers (vidéo)


    10:50 24.06.2018


    Un iPhone peut être déverrouillé avec un clavier virtuel tapant à toute vitesse de nombreux codes d'accès, a révélé vendredi un chercheur en sécurité.

    Les iPhones sont de nouveau devenus une cible facile pour les hackers qui sont à présent capables de les déverrouiller à l'aide d'un clavier virtuel, relate le magazine Fortune.

    En envoyant toutes les combinaisons possibles de codes PIN à quatre chiffres comme s'ils venaient d'un clavier USB, cette méthode de craquage contourne notamment les protections d'Apple contre la saisie incorrecte du mot de passe, déverrouillant finalement le téléphone, une fois la combinaison correcte enfin trouvée.

    Dans une vidéo publiée vendredi, le chercheur en sécurité Matthew Hickey montre qu'il envoie un flux continu d'entrées au clavier — un équivalent de frappe très rapide —, si bien que toutes les combinaisons possibles de codes d'accès ne sont pas bloquées par les fonctions de sécurité d'Apple.

    Les protections d'Apple contre les entrées de mot de passe incorrectes incluent des retards de plus en plus longs entre l'entrée de chaque mauvais code et l'effacement du téléphone après 10 tentatives de mot de passe incorrectes.
    Mais Hickey montre que même avec l'option d'effacement activée sur son téléphone, son logiciel entre code après code sur l'iPhone sans que cette action ne se déclenche.

    Apple s'abstient pour le moment de tout commentaire. Hickey a toutefois déclaré au site ZDNet qu'il avait signalé la faille à la société.

    https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201806241036928372-deverouiller-iphone-clavier-virtuel-hackers/

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  3. Prolonger son espérance de vie en 6 secrets extraordinaires de centenaires


    00:24 24.06.2018


    Sport, consommation de fruits et légumes, air frais ? Non, ces centenaires choisissent leur propre méthode pour prolonger leur vie et elles ne sont pas vraiment conventionnelles. A vous de choisir de suivre ces conseils aussi efficaces que ridicules ou pas.

    Tout récemment, l'Américaine Helen Granier a fêté son 105e anniversaire et s'est elle-même étonnée d'avoir vécu une vie aussi longue. Voici quelques secrets de personnes extraordinaires qui vivent aux quatre coins du monde et qui sont parvenues — ou s'apprêtent — à franchir le seuil du siècle d'existence. Ils vont à contre-courant de la conception d'un mode de vie sain que nous nous faisons habituellement…

    Fêtes, cigarettes et jeux de hasard

    Le secret d'Helen Granier, habitante de Floride, consiste à ne pas brider ses envies. Cette mamie reconnaît n'avoir jamais pensé pouvoir vivre aussi longtemps, tout comme sa famille qui ne s'y attendait pas non plus.

    «Je buvais de la bière, fumais et tout ça. Je sortais toute la nuit, dansais, puis allais au travail», a-t-elle confié à la chaine WTSP.

    De plus, elle avoue beaucoup aimer les jeux de hasard. «Mon mari ne m'a jamais emmenée à Las Vegas, car il savait que j'adorais jouer, surtout aux machines à sous. Donc, je suis allée à Vegas après sa mort», a-t-elle raconté.

    L'Américaine a fêté son 105e anniversaire avec des amis proches dans la maison de retraite de luxe où elle vit depuis neuf ans.

    Consommation régulière de bière

    La centenaire britannique Doris Olive Netting croit avoir réussi à vivre longtemps grâce à une bière Guinness quotidienne. Originaire de Plymouth, dans le sud de l'Angleterre, elle prend chaque jour depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale un verre de bière brune, indique The Metro. Sa petite-fille assure que Doris continue à boire une petite bouteille tous les jours malgré les prescriptions des médecins.

    Pour son centenaire, le personnel de la maison de retraite où vit Doris a organisé toute une fête de la bière, tandis que les représentants de la marque Guinness ont envoyé à leur fidèle cliente plusieurs bouteilles de sa boisson préférée et des frites au goût de bière.

    Rosé, mais modérément

    L'Hexagone a aussi de qui être fier: de Marie-Louise Wirth, surnommée Marie-Lou. A l'âge de 100 ans, elle tient toujours le comptoir du café qu'elle a hérité de ses parents et y sert des bières.

    «J'ai tout fait à l'envers. Aucun fruit, aucun laitage. Et pas de sport, j'ai horreur de la marche. Et pourtant, avec tout ça, je n'ai que du bon cholestérol», a-t-elle affirmé, ajoutant qu'elle se permet chaque jour un petit verre de rosé. «Mais modérément», assure-t-elle tout de même.

    Au fil du temps, son tempérament n'a pas changé: «On naît avec son caractère. Dans le temps, je virais des clients qui élevaient trop la voix. J'aime bien discuter, mais faut pas m'embêter. Chez moi, il n'y a pas de milieu, j'aime ou j'aime pas! Et si vous n'êtes pas content, c'est le même prix.»
    Cheeseburgers

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  4. A la veille de son 100e anniversaire, l'Américaine Dorothy Fletcher a confié quant à elle que sa longévité est apparemment due à son habitude de manger régulièrement chez McDonald.

    Presque tous les jours, cette femme se rend au fast-food et y arrive toujours idéalement manucurée et coiffée d'un chapeau raffiné avec une voilette. Dorothy assure qu'elle n'avait pas l'intention de vivre jusqu'à 100 ans et n'a pas suivi de règles spéciales. Chez McDo, elle préfère les cheeseburgers, les frites et les sodas.

    Travailler du matin au soir

    Cet agriculteur, comparativement jeune aux mamies dont nous venons de parler, est né en 1922 et ne partage pas leur attitude désinvolte quant à la longévité. Originaire d'Italie, Rick Pisaturo a été capturé par la coalition anti-hitlérienne lors de la Seconde Guerre mondiale, puis envoyé en Australie.

    Comment l'augmentation de l'espérance de vie ruine l'économie mondiale *

    https://fr.sputniknews.com/societe/201806201036884986-economie-mondiale-esperance-de-vie/

    Là, l'homme a commencé à travailler dans une ferme, «sept jours par semaine, de l'aube au crépuscule». Depuis lors, son emploi du temps est resté inchangé.

    «Parfois je travaille jusqu'à dix heures ou onze heures du soir», avoue-t-il. Le fermier continue de suivre l'exemple de son père, qui est mort à 101 ans et a travaillé jusqu'au dernier jour de sa vie.

    Vie de célibataire

    Un autre exemple qui tranche avec ceux de nos mamies centenaires: celui de la Britannique Madeline Dye qui explique le fait qu'elle a pu vivre jusqu'à 100 ans et encore plus (elle est née en 1912) parce qu'elle est restée célibataire toute sa vie. Elle affirme qu'elle n'a jamais eu de rendez-vous galant et est allée dans un pub pour la première fois à l'âge de 90 ans. De cette façon, elle a évité le stress associé au mariage et aux relations, est-elle persuadée.

    Elle a vécu seule dans sa maison jusqu'à l'âge de 103 ans et ensuite a été obligée d'embaucher une infirmière. Admirée par ses proches parce qu'elle marche encore sans canne, s'habille seule et communique énergiquement avec les gens, elle répond la même chose aux questions sur des histoires d'amour passées: «Je n'ai jamais eu ça, donc je suis toujours en vie», comme le rapporte sa nièce de 80 ans.

    https://fr.sputniknews.com/societe/201806231036926783-longevite-secrets-centenaires/

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    1. Notez bien que les ordures qui ont écrit l'article font remarquer que... les centenaires ruinent l'économie mondiale !!!!!!!! alors qu'ils sont TRÈS peu nombreux et dix mille fois moins que les dictateurs retraités qui chient eux-mêmes dans vos couches !!!

      *- voir l'article ci-dessous :

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  5. Comment l'augmentation de l'espérance de vie ruine l'économie mondiale


    20:32 20.06.2018


    D'après les experts du Forum économique mondial (FEM), d'ici 2050 le déficit total des cotisations de retraite dans le monde atteindra la somme astronomique de 400.000 milliards de dollars, soit le triple de l'économie mondiale.
    Comment l'humanité s'est-elle retrouvée au seuil de la crise des retraites et quelles mesures sont prises par différents pays pour redresser la situation ?

    400.000 milliards de dollars, c'est 20 fois le PIB des États-Unis — la plus grande économie du monde. D'ici 2050, les USA ne pourront pas assurer leurs engagements en matière de retraite pour un total de 137.000 milliards de dollars, soit 7 fois leur PIB.

    Sur l'échelle de gravité des problèmes de retraites, les analystes du FEM prédisent la deuxième place à la Chine où le déficit atteindra 119.000 milliards de dollars (10 fois le PIB de ce pays).

    Dans le top-5 du déficit du système de retraite se retrouveront également l'Inde (85.000 milliards), le Royaume-Uni (33.000 milliards) et le Japon (26.000 milliards).

    La raison principale de ce problème est l'augmentation de l'espérance de vie. Selon les prévisions du FEM, au milieu du XXIe siècle beaucoup de personnes vivront jusqu'à cent ans, ce à quoi aucun système de retraite au monde n'est préparé.

    «Si d'ici 2050 les gens vivaient en moyenne 85 ans, soit les systèmes de retraite seront écrasés par le poids du déficit, soit l'État devra se résigner à une pauvreté de masse des retraités», constate Michael Drexler, responsable des investissements et infrastructures du FEM.

    Le patrimoine de Bismarck

    L'assurance vieillesse publique est un phénomène relativement nouveau dans l'histoire de l'humanité, apparu pour la première fois avec la «retraite de solidarité publique» introduite en 1889 en Prusse par le chancelier Otto von Bismarck. Elle englobait toute la population.

    Ce système prévoyait un versement obligatoire des cotisations d'assurance par les employeurs au budget de l'État, et la corrélation du montant des cotisations avec le salaire de chaque travailleur concret. Peu à peu, d'autres pays ont suivi l'exemple de la Prusse.

    Voici un moyen simple et efficace pour vivre plus longtemps
    Les USA ont instauré la retraite pour les fonctionnaires en 1915, même si le système fédéral d'assurance de retraite n'est apparu qu'au milieu des années 1930 dans le cadre du «New Deal» du président Roosevelt.

    Le décret sur les retraites a été adopté dans l'Empire russe encore en 1827, et est resté en vigueur avec des amendements jusqu'en 1917.

    Cependant, à la fin du XXe siècle, il s'est avéré tout à coup que l'assurance de retraite publique ne correspondait pas aux exigences de l'époque. En 1994, la Banque mondiale (BM) a publié le rapport intitulé «Éviter la crise du vieillissement».

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  6. Ce document affirmait que d'ici 2030, le nombre de personnes de 60 ans et plus augmenterait de 900 millions par rapport à 1990 pour atteindre 1,4 milliards de personnes. La BM avertissait alors du risque de crise totale des systèmes de retraite publics.

    A titre de solution, elle proposait une recette ultra-libérale: renoncer au système des retraites publiques par répartition au profit du principe de cotisation. En d'autres termes, les citoyens devaient verser des cotisations de retraite non pas à l'État, mais aux caisses de retraite qui investissaient cet argent dans des actifs rentables, garantissant ainsi une augmentation des retraites sans surcharger le budget public.

    Sous la pression de la BM, certains pays ont même complètement renoncé aux retraites publiques. L'un d'eux, le Chili, fut pendant plusieurs années un modèle pour les réformateurs des systèmes de retraite du monde entier.

    Cependant, la crise financière mondiale de 2007 a dissipé toutes les illusions. Les pays avec des systèmes de retraite par répartition ont été sérieusement touchés parce qu'ils étaient contraints d'augmenter le déficit budgétaire pour remplir leurs engagements devant les retraités.

    Mais c'était incomparable avec les problèmes rencontrés par les États ayant adopté un système de retraite par capitalisation. Suite à la dévaluation des actifs d'investissement, les caisses de retraite étaient tout simplement incapables de verser les retraites.

    Au Chili, «exemplaire», les habitants sont descendus dans la rue — près d'un million de personnes — pour exiger le retour au système public de retraite.

    Au final, les experts ont reconnu inefficaces les systèmes de retraite par répartition et par capitalisation. La BM a apporté des amendements à ses recommandations en appelant à créer des systèmes de retraite combinant les systèmes par réparation et par capitalisation, tout en laissant la possibilité aux citoyens de constituer eux-mêmes leurs cotisations de retraite.

    L'espérance de vie, un problème économique

    Mais le problème de l'augmentation de l'espérance de vie et, par conséquent, du poids accru pour les systèmes de retraite, n'a pas été réglé. Selon les prévisions de l'Eurostat, d'ici 2030 les Européens vivront en moyenne 2,5 ans plus longtemps qu'aujourd'hui.

    La BM note que le problème de l'augmentation du fardeau pour les systèmes de retraite devra être réglé «compte tenu des particularités de chaque État». En d'autres termes: débrouillez-vous.

    La Commission européenne a déterminé trois axes prioritaires de la politique en matière d'épargne retraite: l'augmentation de l'âge de la retraite, la motivation à travailler après l'âge de la retraite et la réduction de la part des retraites anticipées.

    D'après l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), 30 de ses 35 pays membres ont déjà décidé d'augmenter l'âge de la retraite. Au Canada, en Belgique, en Espagne, en Allemagne, aux Pays-Bas et en Australie, il a été porté jusqu'à 67 ans. En République tchèque, en Irlande et au Royaume-Uni, les citoyens qui ont commencé à travailler en 2014 prendront leur repos mérité à 68 ans.

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  7. La France a augmenté les annuités minimales pour bénéficier de la retraite de 41,5 à 43 ans. Aux USA, l'administration de l'assurance sociale suggère d'augmenter la taxe de pension de 5,9% à 8,5% ou de réduire le montant des retraites publiques de 16% pour combattre le déficit des caisses de retraite.

    Washington a renoncé à l'augmentation de l'âge de la retraite, puisqu'il est déjà de 67 ans. Le groupe financier Equitable a mené un sondage auprès des Américains de cet âge pour arriver à une conclusion décevante.

    En effet, seulement 1 % d'entre eux peut être considéré comme aisé, 4 % disposent de moyens suffisants pour mener une vie confortable, 3 % continuent de travailler et 63 % dépendent complètement des prestations sociales, de l'aide de leurs proches, de leurs amis et des organisations caritatives. 29 % n'ont tout simplement pas vécu jusqu'à l'âge de la retraite. Par ailleurs, les experts avertissent que les problèmes ne font que commencer.

    La génération du baby-boom, née dans les années 1950-1960, commence à prendre sa retraite dans le monde entier. Aux USA, l'augmentation la plus importante du nombre de retraités est attendue à partir de 2020, et en Europe à partir de 2025.

    L'OCDE prédit que d'ici 2060, l'âge de la retraite augmentera en Inde jusqu'à 70 ans, et en Tchéquie jusqu'à 69 ans. Le record sera détenu par les Pays-Bas et le Danemark avec 71,5 ans et 72,5 ans respectivement.

    https://fr.sputniknews.com/societe/201806201036884986-economie-mondiale-esperance-de-vie/

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    1. L'état de merde au pouvoir pillent à leur profit les caisses de retraites du monde entier !

      Les 'maisons de retraite' (mouroirs crématophiles) laissent les personnes âgées sans soins (couches non-changées) durant 48 heures !!!).

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  8. L'assaut final dans la guerre sur l'argent


    par Tyler Durden
    Sam, 23/06/2018 - 19:30
    Rédigé par Dan Denning via Bonner & Partners,


    Bill a longtemps mis en garde contre le Deep State - la collection lâche d'intérêts spéciaux, d'initiés du gouvernement et d'élite financière qui trace tranquillement le cours de l'avenir de l'Amérique.

    Aujourd'hui, Dan Denning, co-auteur de Bill sur The Bill Bonner Letter, explique pourquoi la prochaine cible de Deep State pourrait être l'argent dans votre compte en banque ... et révèle comment la War on Cash se termine finalement.

    * * *

    Avant de vous montrer ce que j'ai appris sur un plan pour prendre le contrôle de l'argent américain, permettez-moi de préciser un point ...

    Si vous appréciez l'argent sain et la liberté politique ... si vous appréciez le gouvernement et la fiscalité limités avec la représentation ... et si vous valorisez l'entreprise et la vie privée ... alors vous détestez l'avenir que je suis sur le point de décrire.

    Il n'y a pas de moyen philosophique ou monétaire sur la question.

    Vous êtes avec ou contre.

    Le plan de Chicago

    En mars 1933, Henry Morgenthau Jr., président du Federal Farm Board, reçut une courte note intitulée «Memorandum on Banking Reform».

    Il a été signé par Frank Knight (l'auteur reconnu de la note), Garfield Cox, directeur d'Aaron, Paul Douglas, Lloyd Mints, Henry Schultz et Henry Simons. Tous étaient professeurs à l'Université de Chicago.

    Le mémorandum plaidait en faveur d'une banque à réserves intégrales (FRB) dans le système monétaire américain. La monnaie américaine ne serait adossée qu'à la dette publique et non à la dette bancaire (prêts accordés par des banques commerciales à des particuliers et à des entreprises).

    Il ne nationaliserait pas le système bancaire américain. Mais cela nationaliserait la masse monétaire de la nation.

    Dans ce type de système, les banques ne pouvaient plus «créer» de l'argent en le prêtant à l'existence. La création d'argent serait le territoire exclusif du gouvernement des États-Unis.

    Dans ce système, les principaux organismes gouvernementaux ne pouvaient pas créer de l'argent grâce à de nouveaux prêts. Ils le feraient par le biais de nouvelles dépenses (sur des priorités déterminées par les politiciens élus).

    Ils l'ont appelé "Le plan de Chicago".

    Les éléments les plus radicaux du plan - dont nous parlerons bientôt - ont été laissés sur le plateau il y a près d'un siècle.

    Mais je crois qu'il est sur le point de trouver une résurgence dans l'Amérique moderne ...

    La fin de la réserve fractionnaire

    Avant de vous montrer quelles seraient les implications d'un plan de Chicago moderne, il est important de comprendre comment la création d'argent fonctionne aujourd'hui.

    Malgré ce que vous pouvez penser, la banque centrale (la Réserve fédérale) n'imprime pas beaucoup d'argent. La grande majorité de la masse monétaire de l'économie américaine est constituée de banques qui prêtent de l'argent.

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  9. Les banques commerciales émettent un prêt, il apparaît dans votre compte, et juste comme ça ... c'est de l'argent. De rien, quelque chose ! Et puis il y avait de l'argent !

    Mais voici l'autre partie de ce processus que la plupart des gens ne réalisent pas. Lorsque les banques accordent un prêt, elles n'ont pas besoin d'un dollar en espèces dans leurs coffres pour chaque dollar en espèces qu'elles prêtent. Si elles le faisaient, alors chaque prêt à un nouveau client serait égalé avec un montant égal d'économies déjà dans la banque d'un autre client. C'est la banque «pleine réserve».

    Ce que nous avons aujourd'hui s'appelle une banque «à réserve fractionnaire». Pourquoi ? Le montant des économies en espèces réellement détenues par la banque est seulement une fraction de l'argent prêté par la banque. Et pour chaque dollar en dépôt d'épargne détenu par la banque (votre argent), la banque peut prêter jusqu'à 10 $ en argent frais (c'est la magie secrète de la création d'argent).

    C'est aussi ce que certains appellent l'argent «basé sur la dette», parce que l'argent est créé quand une nouvelle dette est née (sous la forme d'un prêt bancaire).

    Les partisans du plan de Chicago affirment que permettre aux banques de créer du crédit dans un système de réserve fractionnaire conduit à des cycles de crédit. Et le cycle du crédit a des booms et des bustes. Les bustes blessent tout le monde, pas seulement ceux qui ont emprunté et dépensé trop.

    C'est un problème, disent-ils.

    Pour le contourner, il y a ceux qui sont au pouvoir qui essaient activement de mettre fin au système bancaire tel que nous le connaissons. Ils veulent revenir à l'idée originale du plan de Chicago. Et puis ils veulent aller plus loin et remplacer l'argent de l'Amérique par quelque chose d'autre.

    Nouvelle monnaie de l'Amérique

    La principale caractéristique du plan de Chicago est qu'il fait passer la création de crédit de mains privées à des mains publiques (gouvernementales), l'Américain moyen ne sachant pas qui est réellement en train de déplacer le gouvernement.

    L'argent n'est pas prêté à l'existence. C'est dépensé dans l'existence.

    Vous pouvez imaginer que celui qui dépense dans ce système a un grand pouvoir. C'est exactement l'idée !

    Dans le cadre de ce plan, au lieu de stimuler la croissance en modifiant le prix de l'argent des banques commerciales (la politique monétaire fonctionne actuellement avec la Réserve fédérale et les taux d'intérêt), le gouvernement «dépensera» l'argent en circulation, par exemple.

    La quantité d'argent dans l'économie serait déterminée par le gouvernement, pas par les banques commerciales. Et, du moins en théorie, le gouvernement aurait des niveaux d'endettement nettement inférieurs (absolument et par rapport au PIB) dans ce type de système monétaire. Pourquoi ?

    Dans le système actuel, le Trésor américain lève de l'argent en vendant des obligations aux banques commerciales ou à la Fed, en payant des intérêts aux deux. L'argent est créé en empruntant. Mais encore une fois, c'est de l'argent basé sur la dette. Cela n'arriverait pas dans le nouveau système. Mais à quoi servirait l'argent neuf ?

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  10. Euh ... dette publique !

    Le terme «banque à réserve complète» implique que chaque unité de monnaie est adossée à une réserve réelle. Certains défenseurs de la banque de réserve complète (y compris une poignée d'économistes autrichiens) croient que vous pourriez soutenir l'argent avec de l'or. Ainsi, l'or serait restauré comme l'actif de réserve le plus important au monde.

    Mais si votre programme est de dépenser de l'argent en existence en quantités illimitées, vous pouvez également utiliser la dette du gouvernement comme un actif de réserve. Il y en a déjà beaucoup. Et vous pouvez toujours en faire plus!

    En fait, c'est une caractéristique clé du plan de Chicago. C'est la banque à réserve pleine où le gouvernement fait toute la création d'argent, «soutenu» par la dette du gouvernement. Les banques commerciales fournissent simplement des services de paiement ou payent des intérêts sur les dépôts. Ils sont exclus de l'activité de création de monnaie basée sur la dette (où tout le bénéfice est, bien sûr).

    Selon la théorie, ce nouveau système monétaire américain accomplirait trois choses ...

    Terminez les booms et les bustes du cycle de crédit.

    Faites disparaître les courses bancaires (pas besoin de sortir votre argent de la banque si elle est entièrement soutenue).

    Éliminer le problème de la dette du gouvernement. Si l'argent peut être dépensé en existence, les emprunts du gouvernement et les dettes du gouvernement appartiennent au passé. S'il a besoin de plus d'argent, le gouvernement ne fait que le dépenser et le «soutenir» en émettant de nouvelles obligations détenues par la banque centrale. Le gouvernement ne pourrait jamais être insolvable.

    Cela vous semble-t-il être une amélioration du système actuel ? Pour certaines personnes, tout cela semble un peu attrayant, jusqu'à ce que vous regardiez de plus près ...

    Souveraineté monétaire

    Sous le plan de Chicago, le gouvernement a la «souveraineté monétaire». Qu'est-ce que la souveraineté monétaire ? C'est le découplage complet de l'argent de tout ce qui est réel.

    Laissez-moi vous expliquer ce que je veux dire et pourquoi c'est si important pour la valeur de votre épargne et de vos investissements aujourd'hui.

    Dans le cadre du plan de Chicago, l'argent n'a pas nécessairement ses racines dans le travail à valeur ajoutée réelle. L'argent ne naît pas parce qu'un commerçant a créé quelque chose d'utile et l'a vendu à quelqu'un d'autre, exigeant de l'argent pour faire la transaction.

    Et dans le nouveau système, l'argent ne doit certainement pas être quelque chose de physique et de rare, comme l'or.

    Dans le nouveau système, l'argent peut être ce que le gouvernement veut qu'il soit.

    Avec un gouvernement monétairement souverain appelant les coups de feu, l'argent n'est littéralement aucun objet. Un gouvernement monétairement souverain n'aurait plus à emprunter ou à payer des intérêts. Pour créer de l'argent, il suffit de le dépenser en existence. Voilà!

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  11. Pensez à tous les emplois et tous les revenus créés lorsqu'un gouvernement souverainement monétarien décide de dépenser des milliards de dollars pour de nouvelles infrastructures et des projets de «construction de la nation».

    C'est le «créditisme» de Richard Duncan sans le besoin d'emprunter. C'est la croissance économique sans effort, la richesse sans travail, la richesse sans risque.

    Si vous pensez que cela semble absurde, vous n'êtes pas seul. Mais rappelez-vous ce qui est en jeu ici: le contrôle total de l'argent américain, et à travers lui, de l'économie et de vous. Et ce sera accompli en contrôlant la quantité d'argent à travers une autorité centrale.

    Pour avoir une idée de ce à quoi cela pourrait ressembler - et pourquoi c'est si dangereux pour votre argent et vos économies aujourd'hui - considérez cette citation de l'innocemment intitulé «L'argument en faveur d'une politique de désengagement des taux d'intérêt à la limite zéro».

    Il a été prononcé par Marvin Goodfriend de l'Université Carnegie Mellon lors de la retraite annuelle de la Fed à Jackson Hole, Wyoming en 2016 (soulignement ajouté est le mien):

    Le moyen le plus simple de désengorger complètement la politique de taux d'intérêt à zéro est d'abolir la monnaie de papier. En principe, l'abolition du papier-monnaie serait efficace, n'aurait pas besoin de nouvelles technologies et n'aurait pas besoin de modifications institutionnelles. Cependant, le public serait privé du paquet de services largement utilisé que le papier-monnaie fournit de façon unique.

    [...] Ainsi, le public résiste probablement à l'abolition du papier-monnaie au moins jusqu'à ce que l'accès mobile aux dépôts bancaires devienne moins cher et plus facilement disponible.

    Premièrement, nous avons une proposition pour un nouveau système dans lequel seul le gouvernement peut créer de l'argent. Ensuite, les «experts» pensent que la manière la plus logique de «décourager» une politique monétaire inefficace est d'abolir les liquidités.

    En passant, Goodfriend a été nommé par le président Trump pour siéger au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, composé de sept membres. Sa nomination est actuellement en attente d'une décision du Sénat américain.

    Pris ensemble, il y a un effort réel en cours pour éliminer votre liberté économique individuelle et votre préférence pour détenir des liquidités face à l'incertitude des taux d'intérêt. "Si cela peut être surmonté", semble dire Goodfriend, "alors nous pourrions vous faire agir comme nous le voulons."

    Est-ce que j'exagère ? Wall Street permettrait-elle un changement aussi fondamental au système bancaire américain? La Fed va-t-elle vraiment abolir les liquidités? Y a-t-il une possibilité que tout cela devienne une réalité?

    Cela se passe plus vite que vous ne le pensez.

    Par exemple, les Suisses ont récemment voté la mise en œuvre d'une version du plan de Chicago plus tôt ce mois-ci. Ils l'ont finalement rejetée, mais le fait qu'un tel plan ait été envisagé en premier lieu montre que cette idée revient dans le courant dominant.

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  12. De plus, gardez à l'esprit que les Suisses, en raison de leur constitution, doivent voter sur ce genre de choses. C'est une démocratie directe, contrôlée au niveau local. Le changement de haut en bas - le genre de changement qui a tendance à profiter aux élites et à ceux qui sont dans l'ombre du pouvoir - est très difficile à réaliser en Suisse. Mais aux États-Unis ...?

    Que faudrait-il aux élus et aux électeurs américains pour décider qu'on ne peut plus faire confiance aux banques? Que faudrait-il aux politiciens et aux électeurs pour convenir qu'il est temps de mettre fin aux banques «trop grandes pour faire faillite» et de changer le système financier pour que «les gens» (par l'intermédiaire de leurs élus, bien sûr) puissent être responsables du système monétaire?

    Un krach boursier ?

    Une autre "banque d'importance systémique" s'effondre?

    Une crise de la dette souveraine ?

    Le catalyseur pourrait provenir de n'importe où, ou nulle part. Et si vous pensez que c'est hors de la possibilité, alors vous manquez d'imagination ou de compréhension de l'histoire.

    En défense de la liberté économique
    Dans un monde où le gouvernement a un contrôle illimité de l'argent et où se cacher de l'argent physique n'est plus une option (parce que l'argent a été aboli), il n'y a pas de fin à ce qu'un souverain monétaire pourrait vous forcer à faire.

    Le contrôle de l'argent est un pouvoir politique massif. Que se passerait-il ensuite?

    Cryptos hors la loi ?

    Forcer des taux d'intérêt négatifs (en fait, une taxe sur vos économies) ?

    Interdire l'achat d'articles que le gouvernement juge indésirables, comme des armes, de l'alcool ou des cigarettes?

    Ceux-ci peuvent sembler des scénarios farfelus. Mais ils sont bien dans le domaine de la possibilité pour un gouvernement dans le contrôle complet de l'argent dans votre compte.

    C'était le plan en 1933. C'est presque arrivé. Je crois que c'est le plan aujourd'hui. Et je crois que cela arrivera. Bien plus tôt que vous ne le pensez. C'est pourquoi vous devez planifier pour cela MAINTENANT.

    Ce n'est pas un débat théorique. Qu'est-ce qui est en jeu pour vous maintenant ?

    Cette idée de l'argent souverain attire les planificateurs centraux, car avec eux, ils ont l'autorité et la permission absolues d'essayer de résoudre tout «problème» qu'ils considèrent comme une menace.

    Vous êtes cette menace, parce que vous ne ferez pas ce qu'on vous dit. Vous ne dépenserez pas quand vous êtes censé dépenser, emprunter quand vous êtes censé emprunter. Et vous êtes susceptible de thésauriser de l'argent et de l'argent réel (métaux précieux) face à des taux d'intérêt bas (ou négatifs). Cela vous rend un problème non résolu pour l'État à résoudre.

    Quand vous l'associez à l'interdiction de l'argent et à l'utilisation du tout numérique, vous n'avez rien de moins que la perte totale de la liberté économique et de la liberté d'action en Amérique. C'est ce qui est en jeu ici. Maintenant.

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  13. Si vous êtes dans une situation où vous ne pouvez dépenser de l'argent que lorsque vous êtes autorisé à dépenser de l'argent, ou si vous ne pouvez dépenser de l'argent que pour de l'argent, et que vous ne pouvez dépenser de l'argent que quand ça vous convient, alors vous êtes pas libre.

    Et pour certaines personnes, la liberté compte toujours en Amérique.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-23/final-assault-war-cash

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    1. (...) Dans ce type de système, les banques ne pouvaient plus «créer» de l'argent en le prêtant à l'existence. La création d'argent serait le territoire exclusif du gouvernement des États-Unis. (...)

      HAHAHAHA ! Il se ferait tant !!!
      Primo: Déclarer la fin de la république et la naissance de la Démocratie.
      Deuxio: Appliquer la Démocratie, c'est-à-dire C'est le Peuple qui dirige ! (et non des entreprises privées criminelles).
      Tertio: Copier le système Suisse.

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  14. Trump appelle à des déportations «immédiates» d'illégaux avec «aucun juge ou cas judiciaire»


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 13:44


    Le président Trump a déclaré dimanche que ceux qui entrent illégalement aux Etats-Unis devraient être "immédiatement" renvoyés dans leur pays d'origine "sans juges ni procès", ajoutant que "notre politique d'immigration, rigolée dans le monde entier, est très injuste". à ceux qui ont légalement traversé le système et qui attendent en ligne depuis des années! "

    "L'immigration doit être fondée sur le mérite - nous avons besoin de personnes qui aideront à rendre l'Amérique encore plus belle" a ajouté Trump.

    @realDonaldTrump
    Nous ne pouvons pas permettre à toutes ces personnes d'envahir notre pays. Quand quelqu'un entre, nous devons immédiatement, sans juges ni procès, les ramener d'où ils viennent. Notre système est une moquerie à une bonne politique d'immigration et à la loi et l'ordre. La plupart des enfants viennent sans parents ...
    17h02 - 24 juin 2018

    @realDonaldTrump
    [...] Notre politique d'immigration, rigolée partout dans le monde, est très injuste pour toutes les personnes qui ont légalement traversé le système et qui attendent en ligne depuis des années! L'immigration doit être fondée sur le mérite - nous avons besoin de gens qui aideront à rendre l'Amérique encore plus belle!
    17h08 - 24 juin 2018

    Tandis que les promesses de campagne sont respectées, les commentaires de Trump sont sûrs de déverser du carburant sur le feu nourri de la controverse sur les familles migrantes séparées à la frontière sud des Etats-Unis, après que des images d'enfants en cage aient commencé à circuler. politique de «tolérance zéro» de l'application des lois sur l'immigration de Clinton, Bush et Obama.

    @DLind
    La deuxième phrase est un rejet catégorique de tout droit de demander l'asile aux États-Unis.

    @realDonaldTrump
    Nous ne pouvons pas permettre à toutes ces personnes d'envahir notre pays. Quand quelqu'un entre, nous devons immédiatement, sans juges ni procès, les ramener d'où ils viennent. Notre système est une moquerie à une bonne politique d'immigration et à la loi et l'ordre. La plupart des enfants viennent sans parents ...
    17h07 - 24 juin 2018

    Mercedes Schlapp, directrice des communications stratégiques de la Maison-Blanche, a déclaré: «Comme nous l'avons déjà dit à plusieurs reprises, l'administration ne poursuit PAS ceux qui demandent l'asile à nos points d'entrée.

    @mercedesschlapp
    Comme nous l'avons déjà dit plusieurs fois, l'administration ne poursuit PAS ceux qui demandent l'asile à nos points d'entrée. @chucktodd et @SenAngusKing le savent, mais continuent à pousser un faux récit. #CorrectTheRecord #ChangeTheLaws
    17h54 - 24 juin 2018

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  15. D'autres ont évoqué le fait qu'il y a neuf consulats américains au Mexique où les demandeurs d'asile peuvent légalement demander à être aux États-Unis.

    Le Sicilien, mais pas dieu
    @TweetOfTriston
    Il y a 10 consulats américains au Mexique auxquels les citoyens mexicains peuvent s'adresser pour demander l'asile. Ils peuvent également commencer le processus de citoyenneté légale et ne seront pas tués, violés, volés ou séparés de leurs familles comme la plupart le sont par des gangs lorsqu'ils essaient de traverser illégalement. #Sauver une vie
    18h14 - 24 juin 2018

    Et malgré le fait que les "enfants encagés" photographiés dans les médias viraux se sont produits sous Obama - qui a séparé les familles migrantes tout le temps et est poursuivi pour avoir gardé des enfants dans des conditions brutales, et malgré le fait que Time Magazine a essayé de faire passer une fausse image d'un «enfant migrant séparé» (qui n'a jamais été séparé) afin de faire la propagande de la politique d'immigration de Trump - que même CNN a dénoncée, les tweets de Trump's dimanche donneront sans aucun doute beaucoup de matière première aux HSH pour la semaine prochaine.

    Après tout, pourquoi mener une analyse significative sur le témoignage du Congrès de Michael Horowitz la semaine dernière, où nous avons appris que le FBI a peut-être trafiqué des preuves dans l'enquête de Mike Flynn ou que Peter Strzok a été assigné à comparaître? hors du témoignage du Congrès la semaine dernière, et peut être assigné à comparaître avec l'ancien AG Loretta Lynch?

    Ou pourquoi évoquer les autres «amoureux» anti-Trump / pro-Clinton amoureux de chaque candidat présidentiel ? Rencontrez "Agent 5" par exemple, et "FBI Attorney 2" du récent rapport de l'IG.

    Au lieu de cela, les médias devraient continuer à mettre l'accent sur l'application de la politique frontalière de Trump depuis des décennies, même après qu'il a signé un décret présidentiel mercredi pour garder les familles de migrants détenues ensemble.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/trump-calls-immediate-deportations-illegals-no-judges-or-court-cases

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    1. OUF ! Trump sauve les États-Unis de l'invasion de terroristes et refuse de copier les gros cons de Bruxelles !

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  16. La politique des migrants en Allemagne: pourquoi Trump avait raison


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 08:00
    Auteur de Vijeta Uniyal via The Gatestone Institute,


    Le président américain Donald Trump a attaqué la politique migratoire de la chancelière allemande Angela Merkel cette semaine. Le peuple allemand se retourne contre son leadership alors que la migration secoue la coalition déjà fragile de Berlin", a-t-il tweeté le 18 juin. "Le crime en Allemagne est en hausse. Une grosse erreur a fait dans toute l'Europe en permettant à des millions de personnes qui ont si fortement et violemment changé leur culture !", a-t-il ajouté.

    Les commentaires du président Trump arrivent à un moment où Merkel fait face à la plus grande crise de sa carrière. Elle lutte pour maintenir son gouvernement ensemble, avec le parti catholique bavarois, l'Union chrétienne-sociale (CSU), menaçant de quitter la coalition gouvernementale pour l'immigration. La CSU veut que la police ait le pouvoir de refuser les migrants illégaux à la frontière, une mesure farouchement combattue par Merkel.

    Alors que Trump a critiqué la gestion de la crise des migrants par Merkel pendant sa campagne présidentielle, jusqu'à présent, il s'est abstenu de la critiquer publiquement sur la question.

    Comme on pouvait s'y attendre, les médias traditionnels ont rapidement critiqué le président Trump pour ses remarques.

    "Trump prétend faussement que le crime en Allemagne est à la hausse", a écrit le New York Times.

    Le Washington Post a publié une histoire de "vérification des faits" intitulée "Trump dit que le crime en Allemagne est en hausse, les statistiques allemandes montrent le contraire".

    "Les statistiques contredisent les propos de Trump", a rapporté le radiodiffuseur public allemand Deutsche Welle.

    "Les commentaires de Trump ne manqueront pas d'inquiéter les ministres allemands, d'autant plus que la plus grande économie européenne a récemment enregistré les chiffres les plus bas depuis plus de 25 ans, avec près de 10% de crimes en 2017".

    CNN, BBC, Vox et même le magazine de mode pour les jeunes Teen Vogue ont publié des rapports similaires.

    Des millions de téléspectateurs et de lecteurs à travers le monde pourraient croire que le Trump avait fait une fausse déclaration en attaquant la politique d'ouverture des frontières de Merkel qui a permis à des millions de migrants Europe depuis l'automne 2015.

    Selon le récit colporté par les médias traditionnels, après une série de crimes horribles des migrants et une série d'attentats terroristes meurtriers perpétrés par les migrants musulmans nouvellement arrivés, les villes et les villes à travers l'Allemagne revenaient à une sorte d'harmonie idyllique.

    Tous les rapports des médias étaient basés sur les statistiques policières de la police de 2017 qui ont enregistré une baisse de près de 10 % du taux de criminalité par rapport à l'année précédente. S'adressant aux journalistes en mai 2018, le ministre allemand de l'Intérieur Horst Seehofer a cité le rapport pour affirmer que "le nombre de crimes commis en Allemagne est le plus bas depuis 1992".

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  17. Examinons ce rapport de près.

    Le 22 avril 2018, Ansgar Graw, qui écrit pour le journal allemand Die Welt, conteste le rapport sur les crimes tant cité dans un article intitulé «La réalité derrière les nouvelles statistiques sur la criminalité»:

    "Quand toutes les catégories de crimes sont prises en compte, le crime a certainement diminué (de 9,6 %) par rapport à l'année précédente." En cas de crimes violents - qui mènent particulièrement à la peur - l'image est nuancée. Cependant, en termes généraux, les crimes violents soumis à de fortes fluctuations sont supérieurs aux niveaux [enregistrés] entre 2013 et 2015. "

    Cas de meurtre. homicide involontaire, le viol et l'agression sexuelle ont augmenté de façon mesurable. En 2014, par exemple, un total de 180 955 actes de violence ont été signalés, contre 188 946 l'année précédente.

    Comme le conclut Graw, «les statistiques sur la criminalité ne diminuent que par rapport à 2016, mais elles ont augmenté par rapport à la période précédant la crise des réfugiés». Abordant la question de la criminalité des migrants, il a écrit que "la proportion de suspects non-allemands dans tous les domaines, et en particulier lorsqu'il s'agit de crimes violents, était disproportionnée".

    Selon les statistiques de la criminalité de 2017, plus de 1 100 étrangers ont été accusés de meurtre ou d'homicide involontaire, contre environ 1 500 suspects détenteurs de passeports allemands. Les statistiques de l'année précédente ont montré une corrélation similaire: 1 137 étrangers ont été accusés de crimes liés à l'homicide, comparés à 1 638 suspects allemands. Ce sont des chiffres stupéfiants étant donné que l'Allemagne comptait environ 10 millions d'étrangers contre 70 millions de ressortissants allemands.

    Dans un article censé réfuter les tweets du président Trump, le journal allemand Süddeutsche Zeitung a reconnu, le 19 juin 2018, que le rapport de police de 2017 révélait une augmentation des homicides et des agressions sexuelles dans le pays. Le Süddeutsche Zeitung, tout en affirmant correctement que le rapport de la criminalité a montré une baisse globale de 9,6 %, a révélé que "le nombre d'homicides a augmenté de 3,2 %" et "le nombre d'agressions sexuelles a également augmenté".

    Le 8 juin 2018, le radiodiffuseur public allemand Südwestrundfunk (SWR) a admis qu'il existait une "corrélation entre l'afflux de réfugiés et la montée de la criminalité".

    En ce qui concerne les crimes violents, le rapport du gouvernement sur la criminalité de 2017 a révélé que la police avait inculpé 69 163 étrangers pour de tels crimes contre 112 346 Allemands. En 2016, le rapport indiquait un ratio de 67 869 non-allemands, contre 110 494 pour les suspects allemands.

    Il n'y a rien de nouveau dans les médias traditionnels qui saisissent l'occasion de ridiculiser et de discréditer le président américain. Cependant, la question de la migration de masse en Europe est plus grande qu'une nouvelle vague de Trump-dénigrement ou de trouver des délicatesses pour le prochain cycle de nouvelles.

    En protégeant la politique des migrants de Merkel contre un examen et une critique légitimes, et en étouffant un débat public, les médias traditionnels sont devenus un accessoire de la politique de migration ouverte fortement entachée par Merkel et le reste de l'élite politique européenne.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/germanys-migrant-policy-why-trump-was-right

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  18. Pourquoi des milliers de Suédois insèrent-ils des micropuces ?


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 10:35
    Auteur de Moa Petersen via TheConversation.com,


    Des milliers de personnes en Suède ont inséré dans leur corps des micropuces qui peuvent fonctionner comme des cartes de crédit sans contact, des cartes-clés et même des cartes de chemin de fer. Une fois que la puce est sous votre peau, il n'y a plus besoin de s'inquiéter d'égarer une carte ou de porter un portefeuille lourd. Mais pour beaucoup de gens, l'idée de porter une micropuce dans leur corps se sent plus dystopique que pratique.

    Certains ont suggéré que le fort état de bien-être de la Suède pourrait être la cause de cette tendance récente. Mais en réalité, les facteurs expliquant pourquoi environ 3 500 Suédois ont reçu des micropuces sont plus complexes que ce à quoi on pourrait s'attendre. Ce phénomène reflète la scène biohaque unique de la Suède. Si vous regardez sous la surface, l'histoire d'amour de la Suède avec toutes les choses numériques va beaucoup plus loin que ces puces.

    De nouvelles façons de payer

    Le terme biohackers fait référence aux biologistes amateurs qui effectuent des expériences en biomédecine, mais en dehors des institutions traditionnelles - telles que les universités, les sociétés médicales et d'autres environnements contrôlés scientifiquement. Tout comme les hackers informatiques piratent les ordinateurs, les biohackers piratent tout ce qui est biologique.

    Le biohacking est aussi une culture et une culture diverse, avec de nombreux sous-groupes différents - tous avec différents types d'intérêts, d'objectifs et d'idéologies. Mais au sein de cette diversité, il y a deux groupes principaux: les "wetware hackers" et les transhumanistes.

    Les hackers Wetware sont des biologistes amateurs de sciences qui construisent du matériel de laboratoire à partir d'ustensiles ménagers. Ils mènent ce que l'on appelle la «science frugale», où ils trouvent des solutions peu coûteuses qui amélioreront le niveau de vie des populations des pays en développement. Mais ils font aussi des expériences plus ludiques où les plantes sont génétiquement modifiées pour devenir fluorescentes, ou les algues sont utilisées pour fabriquer de nouveaux types de bière.

    L'autre groupe est constitué par les transhumanistes, qui se concentrent sur le renforcement et l'amélioration du corps humain - dans le but, à long terme, d'améliorer la race humaine. Ce n'est qu'en nous améliorant - et en échappant aux frontières biologiques - que les humains pourront rivaliser avec l'IA à l'avenir.

    Souvent, différentes scènes de biohacking reflètent les différentes sociétés et cultures dans lesquelles elles se développent. Ainsi, par exemple, les biohackers européens diffèrent généralement de leurs homologues nord-américains. Les groupes nord-américains sont concernés par le développement d'alternatives aux pratiques de soins de santé établies. Les groupes européens, quant à eux, sont plus axés sur la recherche de moyens d'aider les gens dans les pays en développement ou de s'engager dans des bio-projets artistiques.

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  19. Mais la culture biohacking suédoise diffère en réalité du reste de l'Europe. Les biohackers suédois font généralement partie du mouvement transhumaniste. Et ce sont les transhumanistes - ou plus précisément le sous-groupe «broyeurs» - qui ont inséré des puces NFC quelque part entre le pouce et l'index de milliers de Suédois. Ce sont les mêmes micropuces qui ont été utilisées pendant des décennies pour suivre les animaux et les colis.

    Qu'est-ce que c'est à propos de la Suède ?

    Alors pourquoi les Suédois sont-ils si heureux de mettre des micropuces dans leur corps ? Une théorie avancée est que les Suédois sont plus enclins à partager leurs données personnelles en raison de la structure du système de sécurité sociale suédois.

    Ce mythe du «naïf suédois», qui fait innocemment confiance au gouvernement et aux institutions nationales de la Suède, est une exagération - qui a même été relevée par le ministère suédois des affaires étrangères. Si cela fait partie de l'explication, ce n'est certainement pas toute la vérité. Plus convaincant est le fait qu'en Suède, les gens ont une foi profonde dans tout ce qui est numérique. Les Suédois croient profondément au potentiel positif de la technologie.

    Au cours des deux dernières décennies, le gouvernement suédois a beaucoup investi dans l'infrastructure technologique - et cela se voit. L'économie suédoise est désormais largement basée sur l'exportation numérique, les services numériques et les innovations technologiques numériques. Et la Suède est devenue l'un des pays les plus prospères au monde en matière de création et d'exportation de produits numériques. Des sociétés notables, telles que Skype et Spotify, ont été fondées en Suède.

    Une croyance dans la technologie numérique et une confiance dans son potentiel ont fortement affecté la culture suédoise. Et le mouvement transhumaniste a construit sur cela. En fait, la Suède a joué un rôle important dans la formation de l'idéologie transhumaniste. La fondation transhumaniste mondiale Humanity + a été cofondée par le Suédois Nick Bostrom en 1998. Depuis lors, de nombreux Suédois sont convaincus qu'ils devraient essayer d'améliorer et d'améliorer leurs corps biologiques.

    Alors que le monde se dit choqué par le nombre de personnes qui font l'objet d'une puce électronique en Suède, nous devrions profiter de cette occasion pour approfondir la relation remarquable de la Suède avec tous les chiffres

    Alors que le monde se dit choqué par le nombre de personnes qui font l'objet d'une micropuce en Suède, nous devrions saisir cette occasion pour approfondir la relation remarquable de la Suède avec le numérique. Après tout, ce dernier phénomène n'est qu'une manifestation d'une foi sous-jacente dans la technologie qui rend la Suède tout à fait unique.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/why-thousands-swedes-are-inserting-microchips-themselves

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    1. Primo, toutes les puces peuvent être piratées, ôtées et implantées sur quelqu'un d'autre.

      Secundo, elle permet de suivre n'importe qui à distance.

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  20. MEXIQUE - TOUS LES POLICIERS D'UNE VILLE ARRÊTÉS

    Le chef de la police locale de la petite ville d'Ocampo dans le centre du pays, ainsi que 27 de ses agents, ont été arrêtés dans le cadre d'une enquête sur la mort d'un candidat à la mairie.


    24.06.2018, 22h16


    Tous les agents de police de la localité mexicaine d'Ocampo (centre), où a été assassiné cette semaine un candidat à la mairie, ont été désarmés et arrêtés pour mener une enquête interne, ont annoncé dimanche les autorités locales. «Tous sont interrogés pour procéder conformément au droit à une enquête sur la participation à des actes de violation des règles de la profession», a indiqué le secrétariat de la Sécurité de l'Etat mexicain de Michoacan (centre-ouest du Mexique) où se trouve cette localité.

    Le candidat aux municipales Fernando Angeles a été tué jeudi par balles en pleine campagne électorale. Les policiers ont été transférés dans une unité interne du secrétariat de la Sécurité, qui n'a pas précisé si leur détention était liée à l'assassinat du candidat. Mercredi, Omar Gómez, candidat indépendant à la mairie d'Aguililla, également dans l'Etat de Michoacan, a été tué par balles. Et le 14 juin, un candidat à la mairie de Taretan, localité située dans le même Etat, a également été assassiné.

    Depuis le début de la campagne pour les élections générales du 1er juillet, plus d'une centaine d'élus, candidats à des élections ou hommes et femmes politiques ont été tués. La criminalité est un sujet central du scrutin de juillet, qui désignera le nouveau président et plus de 18.000 dirigeants aux niveaux fédéral, régional et local. Le Mexique est en proie à une violence endémique liée au crime organisé, avec 25.339 homicides en 2017. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/monde/policiers-ville-arretes/story/25685615

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  21. Le jeu de Doomsday de Trump dans la guerre de commerce de la Chine


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 23:25
    Rédigé par Finian Cunningham via The Strategic Culture Foundation,


    Le président Trump a spectaculairement repris la guerre commerciale avec Pékin, menaçant d'imposer des droits de douane sur pratiquement tous les produits chinois importés aux Etats-Unis.

    Après des négociations plus tôt ce mois-ci a semblé éviter un conflit, l'administration de Trump est de retour en pleine guerre commerciale. Avec un langage enflammé, le président américain et ses conseillers commerciaux ont dit qu'ils étaient à bout de patience avec ce qu'ils prétendent être des "pratiques prédatrices" de Pékin.

    Pour sa part, la Chine a rapidement riposté, condamnant "le chantage inacceptable" de Washington. Pékin a dit qu'il n'hésiterait pas à répondre en nature avec des contre-tarifs sur les exportations américaines.

    Les marchés en Asie, en Europe et en Amérique ont dégringolé, les entreprises et les investisseurs paniqués par la perspective d'une guerre commerciale à grande échelle entre les deux plus grandes économies du monde, et les répercussions incertaines d'un tel affrontement titanesque.

    Trump joue au grand moment. Il parie que la Chine sera la "première à clignoter", comme l'a rapporté le New York Times. C'est parce que l'administration Trump estime qu'avec l'énorme excédent commercial de la Chine, Pékin a beaucoup plus à souffrir financièrement si elle se retrouve du pied à nez avec les États-Unis dans une confrontation commerciale.

    "La Chine a beaucoup plus à perdre que nous", a déclaré le conseiller commercial de Trump, Peter Navarro, qui est un faucon quand il s'agit de traiter avec Pékin. Navarro, comme Trump, a continuellement accusé la Chine d'avoir arraché l'économie et les travailleurs américains à cause de prétendues pratiques commerciales déloyales et du vol de propriété intellectuelle de sociétés technologiques américaines.

    Au cours de sa campagne électorale, Trump a tiré sur les électeurs avec des tirades qui clamaient la Chine pour «violer l'Amérique». Récemment, le président a dénoncé "la Chine retirant 500 milliards de dollars de notre économie chaque année".

    Mais typique de Trump, les charges émotionnelles et les chiffres ne sont pas ce qu'ils semblent être.

    Pour commencer, l'économie américaine a connu un déficit commercial chronique avec le reste du monde au cours des quatre dernières décennies. C'est en grande partie à cause d'un changement structurel dans le capitalisme américain par lequel les entreprises américaines et les investisseurs ont quitté le pays pour s'installer dans des territoires de travail moins chers, comme la Chine.

    Accuser la Chine d'être le problème est une distraction trompeuse de la façon dont les capitalistes américains ont historiquement trompé les travailleurs américains avec des licenciements et des réductions d'effectifs. L'un de ces capitalistes qui profite très bien de son implantation en Chine est la fille de Donald Trump, Ivanka, dont les affaires de vêtements profitent de la fabrication en Chine et exportent vers les États-Unis, contribuant ainsi au déficit commercial américain.

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  22. Un autre problème est que, quelles que soient les plaintes que l'administration Trump pourrait avoir concernant le commerce avec la Chine, elle devrait régler ces différends par le biais des mécanismes juridiques de l'Organisation mondiale du commerce. Si Trump pense qu'il a un procès contre les pratiques chinoises injustes, alors il devrait faire confiance à l'autorité commerciale multilatérale. Sinon, c'est une recette pour le chaos international et une pente glissante vers le conflit, comme l'histoire l'a montré.

    Mais, comme beaucoup d'autres facettes de cette administration, il y a un mépris pour le multilatéralisme et un recours à l'unilatéralisme autoritaire. Règles, lois, qu'est-ce que c'est ? Comme l'a récemment cité un responsable de la Maison-Blanche, l'attitude de l'administration Trump à l'égard du reste du monde: "Nous sommes l'Amérique, salope !"

    Trump joue dur avec la Chine dans la conviction que son intimidation verra Pékin griller à ses demandes pour corriger les déséquilibres commerciaux. Les Américains tentent de résoudre leurs défauts structurels et inhérents en forçant la Chine à faire des concessions. Parce que les exportations annuelles de 500 milliards de dollars de la Chine vers les États-Unis sont environ le quadruple de ce que les États-Unis vendent à Beijing, Trump parie que son approche de Mad Max fera peur.

    La manière de Browbeating de Trump est également grandiose pour sa base d'électeur dans les États de la ceinture de la rouille, qui pourrait ressentir une poussée patriotique en le collant aux Chinois. Les élections législatives à mi-mandat en novembre ne font aucun doute sur l'intention de Trump d'obtenir le vote républicain.

    Cependant, les meilleurs plans du président risquent de se transformer en un accident politique.

    Pékin a déclaré qu'il ne reculerait pas devant l'intimidation. Dans un éditorial du Global Times, qui reflète la pensée du gouvernement, le ton était combatif: «C'est l'arrogance américaine de croire qu'une guerre commerciale épuisera la Chine. Mais la botte est de l'autre pied. Le commerce est mutuellement bénéfique pour les États-Unis et la Chine. Scuppering commerce bilatéral causerait des souffrances similaires aux deux côtés. "

    Les options à la disposition de Pékin pourraient faire des ravages pour l'économie américaine et l'avenir politique de Trump. L'incapacité de Trump à voir cela parle à sa pétulance et à celle de ses conseillers.

    Si la Chine continue à menacer d'imposer des contre-tarifs sur les produits agricoles américains, tels que le soja, le maïs et la viande, l'impact sur les États agricoles comme l'Iowa, l'Idaho et l'Illinois sera sévère. Les électeurs de ces États ont été cruciaux pour que Trump soit élu à la Maison Blanche en 2016. En prenant les Etats-Unis dans une guerre commerciale avec la Chine, Trump finira par frapper plus durement sa propre base politique.

    Une autre répercussion est la hausse des prix de détail pour les biens de consommation comme les téléviseurs et les chaussures importés de Chine, si Trump applique des tarifs punitifs. Cela va gonfler les prix à la consommation et alourdir les budgets des ménages, en particulier parmi la population à faible revenu, qui a encore eu tendance à voter pour Trump. Le résultat net est que la fragilité de l'économie américaine résulterait probablement de consommateurs à court d'argent, qui vivent déjà à la limite.

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  23. Les effets néfastes d'une guerre commerciale semblent avoir échappé à la planification de l'administration Trump. Le président semble avoir été emporté par une conception hubriste du pouvoir américain et une hostilité idéologique irrationnelle envers la Chine. Il est très bien pour lui et ses riches conseillers de s'opposer à la Chine sur les torts perçus. Et les Américains ordinaires? Voilà pour le célèbre deal maker. L'insouciance à court terme de Trump trahit quelqu'un qui joue des tiddlywinks au lieu des échecs.

    Pourtant, dans cette comptabilité, la vraie douleur n'a même pas commencé. L'arme commerciale ultime de la Chine est ses énormes avoirs en obligations du Trésor américain. Avec près de 1,2 billion de dollars en titres de dette fédérale américaine, la Chine est de loin le plus gros créancier du monde pour Washington. Bloomberg, l'agence de presse américaine, l'appelle «l'option nucléaire» de Pékin.

    "Cela peut simplement arrêter d'acheter la dette du Trésor américain", prévient Bloomberg. "La Chine est le plus grand investisseur du Trésor au monde, ce qui réduit les coûts d'emprunt aux États-Unis et nous aide à acheter plus de produits en provenance de Chine. Mettre fin à cette relation symbiotique au moment où les déficits budgétaires américains explosent dévasterait l'économie américaine. "

    Bloomberg ajoute qu'une telle option "catastrophe" pourrait "faire exploser" l'économie chinoise aussi. Il compare le scénario abyssal à une «destruction mutuellement assurée».

    On peut cependant dire que de telles conséquences économiques mutuellement dévastatrices pour la Chine sont sans objet. Elle a la sphère alternative de l'intégration économique eurasienne et les nouvelles Routes de la Soie qu'elle a activement construites avec la Russie et d'autres au cours de la dernière décennie.

    Si Trump pousse la belligérance de Washington trop loin avec Pékin, les ramifications économiques seront vastes et terribles pour le monde entier.

    La Chine pourrait bien survivre pour commercer un autre jour avec le reste du monde.

    Mais une chose semble sûre. Avec ses dettes chroniques, ses déficits et son dollar dodo, l'Amérique sera ruinée au-delà du salut. Ruiné par un président qui se vante de son "art de l'affaire".

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/trumps-doomsday-gamble-china-trade-war

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  24. Le Monde s'est transformé et personne en Amérique ne l'a remarqué


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 22:35
    Auteur de Martin Sieff via The Strategic Culture Foundation,



    L'Inde et le Pakistan ont rejoint l'Organisation de coopération de Shanghai. L'organisme de 17 ans depuis sa fondation le 15 juin 2001 s'est discrètement imposé comme la principale alliance et groupement de nations à travers l'Eurasie. Maintenant, il est passé de six nations à huit, et les deux nouveaux membres sont les puissantes puissances régionales nucléaires d'Asie du Sud, l'Inde, avec une population de 1,324 milliards et le Pakistan, avec 193,2 millions de personnes (les deux en 2016).

    En d'autres termes, la population combinée des pouvoirs SCO ou déjà bien plus de 1,5 milliard a pratiquement doublé d'un seul coup.

    Les conséquences globales à long terme de ce développement sont énormes. Il est susceptible de prouver le facteur le plus important assurant la paix et supprimant la menace de guerre nucléaire sur l'Asie du Sud et de 20 pour cent de la race humaine. Il élève maintenant la population totale du monde dans les huit nations SCO à 40%, y compris l'une des deux plus puissantes nations armées thermonucléaires (Russie) et trois autres puissances nucléaires (Chine, Inde et Pakistan).

    Ce développement est un triomphe diplomatique surtout pour Moscou. La Russie a cherché pendant des décennies à faciliter son proche allié stratégique de longue date l'Inde dans le parapluie SCO. Cette vision a été clairement exprimée par l'un des plus grands esprits stratégiques du 20ème siècle, l'ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères Evgueni Primakov, décédé en 2015. Dans le passé, la Chine a discrètement bloqué l'adhésion de l'Inde, mais avec le Pakistan. en même temps, l'influence de Pékin et de Moscou est harmonisée.

    Cette décision ne peut que renforcer le rôle déjà dominant de la Russie dans la diplomatie et la sécurité nationale du continent asiatique. Pour Pékin comme pour Delhi, la route pour de bonnes relations entre eux et la résolution de problèmes tels que le partage des ressources en eau de l'Himalaya et l'investissement dans le développement économique de l'Afrique passe maintenant par Moscou. Le président Vladimir Poutine est idéalement placé pour être l'interlocuteur régulier entre les deux nations géantes d'Asie.

    Ce mouvement doit également être considéré comme la réaction la plus significative de l'Inde à la volatilité croissante et à l'imprévisibilité des États-Unis sur la scène mondiale. À Washington et en Europe de l'Ouest, il est à la mode et en effet inévitablement inévitable que le président Donald Trump en soit entièrement responsable.

    Mais en réalité, cette tendance alarmante remonte au moins au bombardement du Kosovo par les États-Unis et leurs alliés de l'OTAN en 1998, défiant l'absence de sanction en droit international pour une telle action à l'époque parce que d'autres membres clés du Le Conseil s'y est opposé.

    Depuis lors, sous l'impulsion de quatre présidents successifs, l'appétit américain pour des interventions militaires imprévisibles dans le monde - généralement gâché et ouvert - a infligé des souffrances et de l'instabilité à un large éventail de pays, principalement au Moyen-Orient (Irak, Syrie, Libye et Yémen) mais aussi en Eurasie (Ukraine) et en Asie du Sud (Afghanistan).

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  25. L'adhésion de l'Inde et du Pakistan à l'OCS est aussi une répudiation stupéfiante des États-Unis.

    Les États-Unis ont été le principal allié stratégique et protecteur du Pakistan depuis plus de 70 ans depuis son indépendance (Dean Acheson, secrétaire d'État par l'intermédiaire de l'administration Truman de 1949-53, était connu pour son mépris raciste pour tous les Indiens, ainsi que pour ses antisémitisme et haine des Irlandais).

    Les relations américano-pakistanaises se sont progressivement détériorées depuis que les États-Unis ont lancé des accusations contre l'Afghanistan en novembre 2001, mais à travers tout cela, les décideurs américains ont toujours tenu pour acquis qu'Islamabad, à la fin de la journée, «resterait sur la réserve». leur musique.

    Les Etats-Unis ont courtisé l'Inde pendant 17 ans depuis la visite d'Etat du président Bill Clinton en 2000, que j'ai couverte dans son parti de presse. Le Premier ministre indien actuel, Narendra Modi, s'est adressé à une session conjointe du Congrès en 2016, l'ultime approbation de l'establishment politique américain pour tout dirigeant étranger.

    Les décideurs et les experts américains ont sans cesse pontifié que l'Inde, en tant que démocratie anglophone, deviendrait le partenaire idéologique et stratégique de l'Amérique pour s'opposer à la montée inévitable de la Chine sur la scène mondiale. Il s'est avéré être un fantasme.

    À l'époque de la guerre froide, la «perte» d'une nation de la taille et du statut de l'Inde ou du Pakistan à un camp idéologique et à un groupe de sécurité rivaux ou indépendants aurait provoqué des ondes de choc, de colère et même de peur. dans les médias américains.

    Cependant, ce que nous avons vu suite à ce dernier développement d'époque est bien plus extraordinaire. Les décisions de Delhi et Islamabad n'ont pas été louées, condamnées ou même reconnues

    Cependant, ce que nous avons vu suite à ce dernier développement d'époque est bien plus extraordinaire. Les décisions prises par Delhi et Islamabad n'ont pas été louées, condamnées ou même reconnues dans le courant principal du débat politique et stratégique américain. Ils viennent d'être entièrement ignorés. Voir les dirigeants et les faiseurs d'opinion d'une superpuissance majeure qui s'imagine encore que c'est le comportement dominant de l'hyperpuissance, ses affaires sont potentiellement inquiétantes et alarmantes.

    La réalité est que nous vivons dans un monde multipolaire - et que nous l'avons clairement fait au moins depuis 2001. Cependant, cette vérité évidente continuera d'être niée à Washington, à Londres et à Paris en défiant catégoriquement les faits abondamment clairs.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/world-transformed-and-no-one-america-noticed

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  26. Comment la politique américaine au Honduras ouvre la voie à la migration de masse d'aujourd'hui


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 16:35
    Auteur de Joseph Nevins via The Conversation,


    Les migrants d'Amérique centrale - en particulier les mineurs non accompagnés - traversent à nouveau la frontière entre les États-Unis et le Mexique en grand nombre.

    Sous l'administration Obama En 2014, plus de 68 000 enfants centraméricains non accompagnés ont été appréhendés à la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Il y en avait plus de 60 000 en 2016.

    Le discours dominant réduit souvent les causes de la migration aux facteurs qui se déroulent dans les pays d'origine des migrants. En réalité, la migration est souvent la manifestation d'une relation profondément inégalitaire et exploiteuse entre les pays d'origine et les pays de destination. Comprendre cela est essentiel pour rendre la politique d'immigration plus efficace et éthique.

    Grâce à mes recherches sur l'immigration et la police des frontières, j'ai beaucoup appris sur ces dynamiques. Un exemple concerne les relations entre le Honduras et les États-Unis.

    Racines américaines de l'émigration hondurienne

    J'ai d'abord visité le Honduras en 1987 pour faire de la recherche. En parcourant la ville de Comayagua, beaucoup pensaient que moi, un homme blanc aux cheveux courts au début de la vingtaine, j'étais un soldat américain. C'était parce que des centaines de soldats américains étaient stationnés à la base aérienne voisine de Palmerola à l'époque. Jusqu'à peu de temps avant mon arrivée, beaucoup d'entre eux fréquentaient Comayagua, en particulier sa «zone rouge» de travailleuses du sexe.

    La présence militaire américaine au Honduras et les racines de la migration hondurienne aux États-Unis sont étroitement liées. Il a commencé à la fin des années 1890, lorsque les sociétés bananières basées aux États-Unis y sont devenues actives. Comme l'écrit l'historien Walter LaFeber dans «Inévitables révolutions: les États-Unis en Amérique centrale», les «compagnies américaines» construisirent des chemins de fer, établirent leurs propres systèmes bancaires et corrompirent les fonctionnaires à un rythme vertigineux. une enclave sous contrôle étranger qui a systématiquement transformé l'ensemble du Honduras en une économie à une seule culture dont la richesse a été transférée à la Nouvelle-Orléans, à New York et plus tard à Boston.

    En 1914, les intérêts des bananes américaines possédaient près de 1 million d'acres des meilleures terres du Honduras. Ces exploitations se sont développées au cours des années 1920 à tel point que, comme l'affirme LaFeber, les paysans honduriens «n'avaient aucun espoir d'accéder au bon sol de leur nation». Pendant quelques décennies, les capitaux américains ont dominé les secteurs bancaire et minier du pays. processus facilité par la faiblesse du secteur des entreprises domestiques au Honduras. Cela a été couplé avec des interventions politiques et militaires directes des États-Unis pour protéger les intérêts américains en 1907 et 1911.

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  27. De tels développements ont rendu la classe dirigeante du Honduras dépendante de Washington pour son soutien. Un élément central de cette classe dirigeante était et reste l'armée hondurienne. Au milieu des années 1960, il était devenu, selon les termes de LaFeber, «l'institution politique la plus développée du pays», un rôle que Washington a joué un rôle clé dans la formation de la société.

    L'ère Reagan

    Ce fut notamment le cas lors de la présidence de Ronald Reagan dans les années 1980. A cette époque, la politique et la politique militaire américaines étaient si influentes que beaucoup appelaient le pays d'Amérique centrale les «États-Unis». Honduras "et la République du Pentagone.

    Dans le cadre de ses efforts pour renverser le gouvernement sandiniste au Nicaragua voisin et pour «faire reculer» les mouvements de gauche de la région, l'administration Reagan a «temporairement» envoyé plusieurs centaines de soldats américains au Honduras. En outre, il a entraîné et soutenu les rebelles «contra» du Nicaragua sur le sol hondurien, tout en augmentant considérablement l'aide militaire et les ventes d'armes au pays.

    Les années Reagan ont également vu la construction de nombreux honduriens-américains. bases militaires et installations. De tels mouvements ont considérablement renforcé la militarisation de la société hondurienne. À son tour, la répression politique a augmenté. Il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre d'assassinats politiques, de "disparitions" et de détentions illégales.

    L'administration Reagan a également joué un grand rôle dans la restructuration de l'économie hondurienne. Il l'a fait en poussant fortement pour des réformes économiques internes, en mettant l'accent sur l'exportation de produits manufacturés. Il a également aidé à déréglementer et à déstabiliser le commerce mondial du café, dont le Honduras dépendait fortement. Ces changements ont rendu le Honduras plus sensible aux intérêts du capital mondial. Ils ont perturbé les formes traditionnelles d'agriculture et miné un filet de sécurité sociale déjà faible.

    Ces décennies d 'implication des États - Unis au Honduras ont ouvert la voie à l' émigration hondurienne vers les États - Unis, qui a commencé à augmenter sensiblement dans les années 1990.

    Dans l'ère post-Reagan, le Honduras est resté un pays marqué par une armée lourde, d'importantes violations des droits de l'homme et une pauvreté omniprésente. Pourtant, les tendances libérales des gouvernements successifs et la pression de la base ont ouvert des débouchés aux forces démocratiques.

    Ils ont contribué, par exemple, à l'élection de Manuel Zelaya, un réformiste libéral, en tant que président en 2006. Il a conduit à des mesures progressistes telles que l'augmentation du salaire minimum. Il a également essayé d'organiser un plébiscite pour permettre à une assemblée constituante de remplacer la constitution du pays, qui avait été écrite pendant un gouvernement militaire. Cependant, ces efforts ont provoqué l'ire de l'oligarchie du pays, conduisant à son renversement par l'armée en juin 2009.

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  28. Le coup d'État de 2009, plus que tout autre développement, explique l'augmentation de la migration hondurienne à travers la frontière sud des États-Unis au cours des dernières années. L'administration Obama a joué un rôle important dans ces développements. Bien qu'il ait officiellement décrié l'éviction de Zelaya, il a équivoqué pour savoir s'il s'agissait ou non d'un coup d'État, ce qui aurait obligé les États-Unis à cesser d'envoyer la plupart de l'aide au pays.

    La secrétaire d'État Hillary Clinton, en particulier, a alors envoyé des messages contradictoires et a veillé à ce que Zelaya ne revienne pas au pouvoir. Cela était contraire aux souhaits de l'Organisation des États américains, le principal forum politique hémisphérique composé des 35 pays membres des Amériques, y compris les Caraïbes. Plusieurs mois après le coup d'État, Clinton a soutenu une élection hautement discutable visant à légitimer le gouvernement post-coup d'État.

    Des liens militaires forts entre les États-Unis et le Honduras persistent: plusieurs centaines de soldats américains sont stationnés à la base aérienne de Soto Cano (anciennement Palmerola) au nom de la lutte contre la drogue et de l'aide humanitaire.

    Depuis le coup d'Etat, écrit l'historienne Dana Frank, "une série d'administrations corrompues a déclenché un contrôle criminel ouvert du Honduras, de haut en bas du gouvernement".

    Le crime organisé, les trafiquants de drogue et la police du pays se chevauchent fortement. L'impunité règne dans un pays où les assassinats sont souvent motivés par des raisons politiques. Selon Global Witness, une organisation non gouvernementale internationale, c'est le pays le plus dangereux au monde pour les militants écologistes.

    Bien que son taux de meurtres, autrefois très élevé, ait diminué, l'exode continu de nombreux jeunes démontre que des gangs violents continuent de sévir dans les quartiers urbains.

    Pendant ce temps, les gouvernements après le coup d'État ont intensifié une forme de capitalisme de plus en plus non réglementée et «libre» qui rend la vie inapplicable pour beaucoup. Les dépenses publiques consacrées à la santé et à l'éducation, par exemple, ont diminué au Honduras. Pendant ce temps, le taux de pauvreté du pays a nettement augmenté. Ceux-ci contribuent aux pressions croissantes qui poussent de nombreuses personnes à migrer, soulevant des questions éthiques sur la responsabilité des États-Unis envers ceux qui fuient les ravages que la politique américaine a contribué à produire.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/how-us-policy-honduras-set-stage-todays-mass-migration

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  29. ETATS-UNIS - LE BUSINESS JUTEUX DE L'IMMIGRATION AU TEXAS

    D'importantes voix s’élèvent contre les nombreux lobbyistes et entreprises qui bénéficient des vagues d'arrestations nombreuses au Texas depuis l'application de la «tolérance zéro».


    24.06.2018


    Pour les militants bénévoles qui leur viennent en aide, tenter de tirer profit des situations humaines souvent dramatiques des migrants est «répugnant». Mais au Texas, l'immigration clandestine est aussi une activité économique juteuse pour les prisons privées, les usuriers ou autres avocats sans scrupules.

    Le grand Etat du sud des Etats-Unis est au coeur de la crise née de la politique de «tolérance zéro» du président Donald Trump, qui a provoqué la séparation de plus de 2.300 enfants de leurs parents arrêtés après avoir franchi la frontière américaine. Plus des deux tiers des arrestations de sans-papiers ont lieu au Texas, frontalier du Mexique. C'est donc là que se trouvent une grande partie des centres de détention pour migrants du pays.

    A sa construction en 1983, celui de Houston était la première prison privée de l'histoire moderne des Etats-Unis. Ses propriétaires, CoreCivic (ex-Corrections Corporation of America) et GEO Group, sont les deux plus grosses entreprises pénitentiaires du pays, toutes deux cotées en bourse.

    CoreCivic exploite au Texas quatre centres de détention sous contrat avec l'autorité fédérale de l'immigration et des douanes, tandis que GEO en gère trois autres, plus un quatrième en construction. Au niveau national, les deux groupes ont affiché en 2017 des chiffres d'affaires cumulés de quatre milliards de dollars.

    Promouvoir l'incarcération

    «Nous apprécions énormément la confiance que l'autorité de l'immigration et des douanes continue de nous manifester», affirmait l'an dernier le président de GEO George Zoley en annonçant un nouveau contrat pour un montant de 110 millions de dollars avec le gouvernement fédéral.

    Selon le think tank In The Public Interest, une telle privatisation du système pénal pousse ses acteurs à promouvoir l'incarcération massive y compris pour des délits mineurs, comme l'entrée illégale sur le territoire.

    Ensemble, les deux groupes pénitentiaires «ont dépensé plus de dix millions de dollars en soutien à des candidats politiques et près de 25 millions en lobbying depuis 1989», souligne ce groupe de recherche dans un récent rapport.«C'est une industrie qui fait pression en faveur de peines plus longues» et «plus sévères, car à chaque fois qu'un lit est occupé, elle gagne de l'argent», explique à l'AFP l'avocate spécialiste des migrations Jodi Goodwin, bénévole pour l'ONG Migrant Center for Human Rights.

    «C'est dégoûtant, c'est répugnant», lâche-t-elle. La polémique autour de la séparation des familles a aussi mis en lumière le rôle des centres, également exploités par des opérateurs privés, où ont été placés les enfants retirés à leurs parents à la frontière. Selon le site d'informations Texas Tribune, il y a 31 centres de rétention pour mineurs dans cet Etat, dont les plus controversés sont ceux de Southwest Key Programs qui, selon Bloomberg, recevra plus de 450 millions de dollars du gouvernement cette année.

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  30. Sous contrat avec le Bureau fédéral pour la réinstallation des réfugiés, ces «refuges» ont parfois été accusés de maltraitance, notamment le plus grand, nommé «Casa Padre», installé dans un ancien hypermarché Walmart et qui accueille plus de 1.400 garçons. Mais toutes ces sociétés florissantes ne sont pas les seules à tirer profit de l'immigration clandestine.

    «Riche en opportunités»

    «C'est une industrie, et elle est en pleine croissance», dit à l'AFP l'économiste William Glade, de l'Université du Texas. «Notre système judiciaire est riche en opportunités pour les avocats» et d'autres professions, «et ils ne vont pas se priver de les exploiter et de les faire perdurer», ajoute-t-il.

    Les migrants sont centraux dans l'économie des villes poussiéreuses qui jalonnent la frontière inhospitalière entre le Texas et le Mexique, comme McAllen, Hidalgo ou El Paso: les cabinets privés d'avocats spécialisés dans l'immigration et les sociétés de crédit qui octroient des prêts en échange d'une simple signature jouxtent les magasins de bottes de cow-boy et les lecteurs de tarots.

    Usuriers

    Le centre d'El Paso a ainsi vu la multiplication de sociétés qui prêtent de l'argent aux détenus incapables de payer la caution fixée par le juge pour être libérés en attendant le traitement de leur dossier.

    Pour les crimes de droit commun, leur commission est normalement de 10% du montant de la caution. Mais s'agissant des sans-papiers, le prix s'envole: Lachica Bonds facture par exemple 20% du montant de la caution pour les étrangers accusés d'être entrés illégalement aux Etats-Unis, plus 500 dollars de frais de dossier.

    Des cautions à 25'000 dollars

    Un commerce rémunérateur, puisque «la plupart des cautions sont comprises entre 10'000 et 15'000 dollars», voire «25'000 pour un cas que je suis actuellement en train de traiter», rapporte à l'AFP un employé sous couvert d'anonymat.

    Une fois libérés, les migrants doivent porter des bracelets électroniques, vendus aux autorités par BI Incorporated, une filiale de GEO Group. Interrogés par l'AFP, ses employés à El Paso ont refusé de communiquer le prix d'un bracelet électronique. (afp/nxp)

    https://www.lematin.ch/news/standard/business-juteux-immigration-texas/story/20225167

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  31. L'Italie déclare que les risques «arrogants» de Macron deviennent «l'ennemi n ° 1» de la migration, et que les navires d'arrêt doivent arrêter les collectes de réfugiés


    par Tyler Durden
    Dim, 24/06/2018 - 16:10


    Le président de la Ligue et ministre de l'Intérieur, Matteo Salvini, qualifie d '"arrogant" le président français Emmanuel Macron pour avoir tenté de minimiser la crise migratoire en Europe, tandis que le vice-Premier ministre italien, Luigi Di Maio, a déclaré que ennemi numéro un sur cette urgence "dans un post Facebook samedi.

    En Italie, l'urgence de l'immigration existe, et elle est également alimentée par la France avec les refus continus à la frontière. Macron dirige son pays pour devenir l'ennemi numéro un de l'Italie sur cette situation d'urgence, le peuple français a toujours été favorable et ami des Italiens. Écoutez-les, pas qui gagne de l'argent sur la peau de ces gens.

    Macron a été critiqué après avoir déclaré que "l'Europe ne traverse pas une crise migratoire de la même ampleur que celle qu'elle a connue en 2015" et que les nations de l'UE qui "expriment massivement leur égoïsme national en matière de migration" seront coupées des avantages de l'UE - menaçant effectivement de sanctionner les pays ayant des politiques populistes.

    Salvini riposta, affirmant que l'Italie avait fait face à 650 000 arrivées de migrants par voie maritime au cours des quatre dernières années, qui comprenaient 430 000 demandes d'asile. Salvini a ajouté que le pays accueille actuellement 170 000 «réfugiés présumés», ce qui coûte 5 milliards d'euros.

    "Si pour l'arrogant président Macron ce n'est pas un problème, nous l'invitons à cesser d'insulter et à montrer plutôt une générosité concrète en ouvrant de nombreux ports français et en laissant passer des enfants, hommes et femmes, à Vintimille", a déclaré Salvini. la ville italienne qui borde la France.

    Dimanche, le Premier ministre italien Guiseppe Conte, qui a rejeté les "leçons hypocrites" de Macron, a déclaré qu'il était "résolument satisfait" après la réunion d'urgence de l'UE à Bruxelles sur les migrations. Au cours de la réunion, l'Italie a présenté un document appelant les pays de l'UE à accepter leur juste part de migrants économiques entrant dans le bloc - ou recevant moins de financement de l'UE.

    Les relations entre la France et l'Italie au sujet de la migration se sont immédiatement dissipées après que Salvini, un populiste, a pris ses fonctions le 1er juin. Sa première décision majeure était de bloquer le navire de transport Aquarius des ports italiens - ce qui a conduit à La France a accepté de prendre les 629 migrants «naufragés» de la côte libyenne.

    Par ailleurs, Salvini a déclaré dimanche à des organisations non gouvernementales (ONG) étrangères d'arrêter de secourir des migrants au large de la Libye, bien qu'un groupe affirme que 1 000 personnes sont actuellement bloquées en Méditerranée sur des bateaux.

    Selon l'AFP, le groupe espagnol Proactiva Open Arms a déclaré avoir reçu "sept ou huit" messages l'alertant de bateaux en détresse en Méditerranée dimanche.

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  32. "Combinant toutes les notifications, cela ajouterait jusqu'à 1 000 personnes" près des côtes libyennes, a indiqué à l'AFP la porte-parole Laura Lanuza, ajoutant que les garde-côtes italiens ont déclaré que l'ONG n'était pas nécessaire et "l'opération était gérée par les garde-côtes libyens "

    "Si les garde-côtes libyens coordonnent cet effort, tous ces gens seront renvoyés en Libye", a-t-elle déclaré.

    Ce qui, bien sûr, est le point de l'Italie.

    Salvini a dit aux groupes d'aide humanitaire de reculer et de laisser la garde côtière libyenne sauver les migrants.

    "Laissez les autorités libyennes faire leur travail de sauvetage, de récupération et de retour (des migrants) dans leur pays, comme elles le font depuis un certain temps, sans que les navires des ONG voraces ne les dérangent ou ne causent de problèmes", a ajouté Salvini. "Les ports italiens sont et seront fermés à ceux qui aident les trafiquants d'êtres humains."

    "Ces bateaux peuvent oublier d'atteindre l'Italie, je veux arrêter les affaires de trafic et de mafia", a déclaré Salvini samedi.

    Les garde-côtes libyens ont rapporté avoir sauvé 97 migrants dimanche, alors que "d'autres opérations sont en cours", sans plus de précisions.

    Pendant ce temps, les garde-côtes italiens ont également dit vendredi à d'autres bateaux de sauvetage en Méditerranée qu'ils ne coordonneraient plus les opérations de sauvetage avec eux pour les migrants libyens.

    "A partir de maintenant, en vertu de la Convention Solas, les capitaines qui sont en mer dans la région près de la Libye devront se tourner vers le Centre de Tripoli et la garde côtière libyenne", selon le message cité dans les médias italiens.

    Deux autres navires transportant des centaines de migrants - le navire de l'ONG allemande Lifeline et le porte-conteneurs danois Alexander Maersk - sont actuellement

    Deux autres navires transportant des centaines de migrants - le navire-ONG allemand Lifeline et le porte-conteneurs danois Alexander Maersk - sont actuellement bloqués dans la Méditerranée en attendant des instructions sur l'endroit où ils seront autorisés à accoster.

    Le maire de Barcelone, Ada Colau, a imploré le gouvernement espagnol d'aider les 1 000 migrants bloqués: "À l'heure actuelle, plus de 1 000 personnes dérivent à sept bateaux et l'Italie a l'intention de les laisser entre les mains de La Libye, où les gens sont torturés, violés et réduits en esclavage ", a-t-elle déclaré sur Twitter.

    Colau a exhorté l'Espagne à "aider à sauver des vies" et a déclaré que "Barcelone est offert comme un port sûr".

    Nous sommes "confiants" que toute l'Espagne est d'accord avec Colau, et la vague de populisme qui balaie l'Europe (qu'un responsable de l'UE attribue carrément à Poutine) ne peut influencer les électeurs espagnols alors que leur propre matrice culturelle commence à se briser.

    https://www.zerohedge.com/news/2018-06-24/italy-says-arrogant-macron-risks-becoming-enemy-1-migration-orders-ships-halt

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  33. Assad explique pourquoi la guerre en Syrie ne peut être qualifiée de «civile»


    21:48 24.06.2018


    Dans un commentaire donné à la chaîne de télévision russe NTV, le Président syrien a expliqué que son pays n’était pas en proie à une guerre civile et en a fourni des preuves.

    Ce qui se passe en Syrie n’est pas une guerre civile mais bien une guerre avec des mercenaires et des terroristes, a déclaré le Président syrien dans un entretien accordé une chaîne de télévision russe.

    «La guerre civile se définit comme un conflit inter-confessionnel, ethnique, religieux ou autres. Cela n’existe pas chez nous. Vous pouvez aller là où vous vouliez, notamment dans les régions contrôlées par le gouvernement et y voir toutes les couches de la société syrienne vivre paisiblement côte à côte», a déclaré le Président syrien, soulignant qu’au cours de ces dernières années la cohésion entre les Syriens s’est renforcée toujours plus.

    Assad révèle ses intentions concernant les prochaines présidentielles syriennes

    Les Syriens restent soudés et la Syrie est unie tant que son peuple l’est, a insisté M.Assad.
    Et de souligner que ce n’est pas le peuple syrien qui ouvrait le feu sur ses frères mais «des terroristes et des mercenaires» qui le martyrisait.

    https://fr.sputniknews.com/international/201806241036934950-syrie-assad-guerre/

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    1. Pareil qu'en Libye où 100 % des libyens étaient pour Kadhafi et Venezuela où les vénézuéliens soutiennent Maduro.

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  34. Trump réclame des expulsions immédiates, met en garde contre «l'invasion» par les migrants illégaux


    Sputnik Nouvelles
    25 juin 2018


    Trump a pris à Twitter afin de réaffirmer sa position sur la politique d'immigration au milieu d'une ligne sur la séparation des familles.

    "Nous ne pouvons pas permettre à toutes ces personnes d'envahir notre pays", écrit Donald Trump sur Twitter, ajoutant que si un migrant clandestin entre aux Etats-Unis, les autorités doivent "immédiatement, sans juge ni procès, les ramener d'où ils sont venus."

    Il a également critiqué la politique d'immigration des États-Unis en la qualifiant de «moquerie». Il réclame encore un système d'immigration fondé sur le mérite qui, selon lui, «est actuellement très injuste pour tous ces personnes qui ont traversé le système légalement et attendent en ligne depuis des années. "

    Donald J. Trump
    @realDonaldTrump
    Nous ne pouvons pas permettre à toutes ces personnes d'envahir notre pays. Quand quelqu'un entre, nous devons immédiatement, sans juges ni procès, les ramener d'où ils viennent. Notre système est une moquerie à une bonne politique d'immigration et à la loi et l'ordre. La plupart des enfants viennent sans parents ...
    17h02 - 24 juin 2018

    Donald J. Trump
    @realDonaldTrump
    [...] Notre politique d'immigration, rigolée partout dans le monde, est très injuste pour toutes les personnes qui ont légalement traversé le système et qui attendent en ligne depuis des années! L'immigration doit être fondée sur le mérite - nous avons besoin de gens qui aideront à rendre l'Amérique encore plus belle!
    17h08 - 24 juin 2018

    La déclaration survient quelques jours après que Trump a signé un décret qui a mis fin à la politique de séparation des familles migrantes qui traversaient illégalement la frontière américaine suite à une vague de critiques sur la pratique.

    Selon la déclaration faite par le US Customs and Border Protection (CBP) le 24 juin, 522 enfants migrants, qui avaient été séparés de leurs parents, se sont déjà réunis avec eux.

    Les Etats-Unis se sont querellés sur la politique d'immigration après que le procureur général américain Jeff Sessions a annoncé en avril une nouvelle politique de tolérance zéro pour quiconque franchissant illégalement la frontière américaine, ce qui signifierait placer des adultes en détention et envoyer des enfants au ministère de la Santé et services humains. Depuis lors, près de 2 000 enfants immigrants ont été séparés de force de leurs parents entre le 19 avril et le 31 mai en vertu de cette politique, ce qui a suscité de vives critiques de la part des groupes de défense des droits et du Parti républicain.

    https://www.lewrockwell.com/2018/06/no_author/trump-demands-immediate-deportation/

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  35. Pourquoi nous ne pouvons pas conduire plus vite ...


    Par Eric Peters
    Eric Peters Autos
    25 juin 2018


    Presque tout ce qui concerne les voitures a changé au cours des 50 dernières années, à l'exception de la vitesse à laquelle nous sommes autorisés à les conduire.

    En 1970, vous pouvez légalement conduire 70-75 MPH sur la plupart des autoroutes - dans les voitures avec freins à tambour, sans ABS et même pas un sac gonflable. Il n'y avait pas Lane Keep Assist ou freinage d'urgence automatisé et les phares étaient des choses pitoyables selon les normes des années 1990.

    Mais nous ne pouvons pas conduire légalement plus vite aujourd'hui dans des voitures avec plus de technologie - et de capacité - que les voitures de course de 1970.

    Quel est alors le point de toute la technologie ?

    Oui je sais. Saaaaaaaaafety. Le taux d'accidents (et de décès) a diminué, tout ce matériel ayant été collé aux voitures. Mais sûrement, il est plus sûr de conduire une voiture de l'année modèle 2018 plus vite que les vitesses des années 1970 ? Si ce n'est pas le cas, il semble que cela ne dérange pas pour beaucoup de gain.

    Le problème, bien sûr, ce n'est pas les voitures ou la technologie ou même les lois sur la vitesse. C'est la qualité faible et en déclin du conducteur moyen, qui est due au fait qu'on attend peu des conducteurs en termes de compétence ou de jugement. Ils sont censés suivre les règles, quelles que soient ces règles et peu importe à quel point il peut être stupide de les suivre dans un contexte donné. Pensez, par exemple, aux drones - et c'est juste le bon mot - qui ne bougera pas aux feux rouges qui ne changent jamais; qui restera en place même après plusieurs cycles de la lumière qui ne leur donne jamais le vert.

    Parce que c'est la loi.

    Une image de sauvages nus se prosternant devant un totem grimaçant vient à l'esprit.

    Les conducteurs ont été habitués et intimidés dans un état de déférence quasi-paralytique aux règles (n'importe comment stupide) l'hypercaution, la torpidité et la passivité. Ce sont des vieilles dames myopes - selon les normes de 1970.

    C'est ironique.

    Le système le plus important de saaaaaaaaaaaaafety - le conducteur - a été totalement mis hors-la-loi. Le résultat est une sorte de bras de fer pervers entre des éléments conflictuels, le conflit orchestré par un gouvernement qui feint des inquiétudes sur notre bien-être mais qui s'intéresse avant tout au contrôle.

    En 1970, les conducteurs étaient en contrôle total. Ils avaient la souveraineté complète sur leurs voitures. Personne d'autre n'était responsable du freinage, de la direction et de l'attention - alors ils faisaient tout cela et, comme ils devaient le faire, le conducteur moyen n'avait pas le choix d'apprendre comment. Ce n'était pas seulement prévu, c'était nécessaire.

    En supposant que vous vouliez conduire.

    Par analogie, c'était comme quand vous étiez un enfant et vos amis ont construit une cabane dans les arbres. Si vous vouliez vous rendre là-haut, vous deviez faire appel à la culpabilité - et avoir l'habileté physique - pour vous hisser, pied à la main, dans le tronc de l'arbre en utilisant ces sections de 2x4s que les garçons clouaient aux troncs d'arbres comme des escaliers improvisés . Si vous n'aviez pas le talent ou les compétences, vous êtes resté sur le sol et n'avez pas pu fumer des cigarettes et regarder les mags Penthouse volés de votre pote. Il n'y avait pas d'ascenseur pour vous emmener dans l'arbre à saaaaaaaaaaaaaaaafety.

    https://www.lewrockwell.com/2018/06/eric-peters/why-we-cant-drive-faster/

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