La télévision : regard clinique sur la machine à abrutir
Jonathan Fanara dim., 21 juin 2015 04:10 UTC
Depuis les années 1950, dans un mouvement continu, la télévision s'est massivement implantée dans les foyers européens. D'aucuns lui prêtent aujourd'hui des vertus informatives, ludiques, sociales ou unificatrices. Elle contribuerait à faciliter la communication dans les familles, à éveiller, instruire et distraire les enfants, à dégager des plages horaires, durant les dessins animés ou les reportages animaliers, pour permettre aux parents de bricoler, cuisiner ou s'adonner aux tâches administratives et ménagères. Cette vision idyllique du petit écran, véhiculée de concert par les annonceurs et les dirigeants de chaîne, est largement battue en brèche par une vaste matrice d'études scientifiques, unanimes quant à ses effets pervers, à la fois sanitaires, cognitifs et comportementaux.
Bien moins inoffensif qu'il n'y paraît, à mille lieues des discours lénifiants d'un Serge Tisseron ou d'un Michael Stora, le tube cathodique donnerait lieu à une inépuisable série de facteurs favorisant l'obésité, la consommation d'alcool et de tabac, l'acte sexuel précoce et les violences de toutes sortes, un inventaire inquiétant auquel viennent encore se greffer des risques liés aux maladies cardiovasculaires, respiratoires et artérielles, ainsi que des phénomènes d'altération du sommeil. Des effets indésirables, et souvent irréversibles, généralement tenus pour quantité négligeable par des parents mal informés, permissifs ou démissionnaires, qui encouragent parfois eux-mêmes la téléphagie de leur progéniture. Comme Michel Desmurget le rappelle très justement, l'enfant n'est initialement demandeur de rien ; c'est son entourage qui le soumet délibérément aux stimuli télévisuels.
De TF1 à l'acculturation et la désensibilisation
Chercheur spécialisé en neurosciences cognitives, l'auteur met à nu l'extrême hypocrisie de l'institution télévisuelle. Les enquêtes d'opinion ont beau jeu de couvrir Arte de lauriers, il n'empêche que la petite chaîne culturelle franco-allemande ne pèse pas bien lourd face au mastodonte qu'est TF1 en des termes strictement médiamétriques.
De la même manière, les documentaires et magazines d'information, encensés par les sondages, apparaissent en rupture de ban quand il s'agit de mesurer leur audimat, se trouvant tristement relégués à l'arrière-plan par toute une cohorte de programmes abrutissants tels que les émissions de téléréalité.
On ne s'étonnera pas, dès lors, du déclin alarmant du niveau scolaire, précisément concomitant à la colonisation cathodique des foyers. Plus inquiétant encore, quel que soit la nature du programme regardé, segmentant ou fédérateur, analytique ou divertissant, et même s'il se revendique clairement comme « pédagogique » ou « didactique », on observe chez le téléspectateur des processus perturbateurs : d'acculturation - l'immersion de la télévision dans l'appréhension du réel - , d'anxiété - la grande peur de 1994 liée à l'affaire O.J. Simpson - , d'asociabilité - comportements inadéquats et/ou extrêmes désinhibés - , de troubles alimentaires - anorexie comme boulimie - , de moindre habileté sensori-motrice ou encore de désensibilisation à la violence, induite par le phénomène d'habituation - une diminution graduelle de l'intensité d'une réponse cérébrale donnée à un stimulus quelconque. Même sur le plan morphologique, la petite lucarne agit en sous-main ; certaines zones du cerveau canalisatrices se trouveraient hypertrophiées en raison d'une exposition accrue à la télévision, et singulièrement aux spectacles violents. Subvertir la pensée
Rien, dans la télévision, ne trouve grâce aux yeux de Michel Desmurget. Osez évoquer l'hypothétique effet cathartique des programmes violents, il objectera avec conviction au moyen d'une batterie d'études scientifiques, toutes concordantes. Tentez d'invoquer la bonne foi des chaînes, il vous renverra fissa à la célèbre déclaration de Patrick Le Lay, l'ancien dirigeant de TF1, admettant volontiers que son métier consiste avant tout à vendre à Coca-Cola du temps de cerveau disponible. Dans la grande foire à bestiaux télévisuelle, le spectateur n'est rien de plus qu'un « bovin amorphe et apathique » que l'on brade à des annonceurs devenus tout-puissants. Vous pensez prendre vos décisions en toute liberté et conscience ? N'oubliez pas que les marques dépensent chaque année des millions en études et neuromarketing pour mieux s'implanter dans votre esprit. Elles ne le font certainement pas en pure perte. De manière subliminale, elles s'impriment au fer rouge et parviennent à coloniser vos points cérébraux mnésiques et affectifs, allant jusqu'à marginaliser le goût et la raison dans leur volonté d'abattre toutes les digues.
À coups d'archétypes idéalisés, de héros positifs et de stars immaculées, le tube cathodique se met tout entier au service des industries agroalimentaire, du tabac et de l'alcool, peuplant notre inconscient de stimuli à finalité commerciale. Succès garanti et favorisé par des émissions bidon(née)s, confectionnées à la sauvette, et un zapping intempestif causant un détriment considérable aux programmes se risquant à proposer ne serait-ce que le début d'une once de subtilité.
Les faits sont têtus. Les données scientifiques, tout autant. Non contente de rouler pour l'industrie et d'insulter régulièrement l'intelligence de son public, la petite lucarne se plaît à étioler votre niveau d'écriture, de lecture, de sociabilité et de structuration de la pensée. Chez les enfants, quel que soit le milieu social observé, on note une moindre appétence de l'écrit, pourtant éminemment formateur, un moindre temps dévolu aux devoirs et une résistance certaine à se projeter dans des schémas cognitifs complexes. Le champ lexical, déterminant quant à l'appréhension juste et détaillée du monde, tend à s'assécher sous l'effet conjugué de la télévision et du manque de communication interpersonnelle. Le phénomène s'observe même chez les bébés et les jeunes enfants soumis à des programmes soi-disant adaptés ; en les privant d'interactions parentales et en chargeant leur esprit de stimuli inutiles, le petit écran les dépossède du meilleur outil d'apprentissage et de développement qui soit.
Suspecté de partir en croisade contre le tube cathodique, Michel Desmurget a essuyé durant ses recherches une vaste gamme de réactions outrées et consternées. Hâtivement taxé de vieux dinosaure incapable de se fondre dans l'air du temps, ou de réactionnaire insensible aux charmes et bienfaits supposés de la télévision, il narre, tantôt avec amusement, tantôt avec stupéfaction, les réticences et incompréhensions auxquelles il dût faire face. Des centaines d'études abondent pourtant en son sens, corroborent ses dires et légitiment ses inquiétudes. Sera-ce suffisant pour décrocher les enfants du poste devant lequel on les a lâchement installés ? Quand on sait l'importance des expériences formatrices et initiatiques, on ne peut que déplorer ce temps galvaudé devant des programmes culturellement exsangues et, parfois, moralement douteux. Bien conscient de l'énorme chemin à parcourir, l'auteur s'attend à voir encore longtemps les enfants passer davantage d'heures face à un écran abêtissant que face à leur instituteur...
Avant même la date de '2001' était portée sur les écrans l'obligations au chaînes de présenter au moins un barbu par reportage. Ainsi, depuis cette date et malgré la publicité pour les porteurs de barbe, il n'y a que moins de 1% des hommes qui l'ont, et, à la télé: c'est le contraire !
Regardez aujourd'hui n'importe quel film: il y a FORCEMENT des barbus !
Par contre, là où çà été fort c'est dans les tatouages. Non, pas celui des chiens et d'autres bestiaux trop cons pour refuser, mais dans ceux proposés aux meufs (!!) et aux mecs. C'est comme si demain on leur demandait de s'implanter un suppo torride et définitif dans le cul... ils le feraient !
Pronostic brésilien sur le destin de l’Empire du Bien et de la Vertu Devrions-nous nous préparer à un effondrement des États-Unis du style de l’URSS ? La réponse, pour diverses raisons est oui !
Par Antonio Gelis-Filho Le 2 juin 2015 – Source cartamaior.com
La longue séquence de revers économiques et géopolitiques des États-Unis depuis le début du siècle a maintenant reçu un élément de plus : la menace d'une attaque nucléaire sur le sol américain, faite il y a quelques jours par État islamique. Absurde ? Jusqu'à preuve du contraire (qui, nous espérons, ne viendra jamais) oui, c'est un non-sens complet. Mais l'important ici est moins la possibilité inimaginable de réaliser l'attaque que la nonchalance avec laquelle la menace a été faite. De toute évidence, État islamique ne craint pas les États-Unis.
Et pourquoi devraient-ils ? Après la décapitation des otages américains, après avoir vu le champ de bataille des soldats irakiens, censés être bien formés par des instructeurs américains, fuyant les combats, après la capture d'une quantité énorme de matériel militaire américain et après d'autres faits encore plus terribles qui ne seront jamais connus hors du champ des opérations, la horde terroriste peut se permettre de menacer d'une attaque nucléaire celui qui est, au moins sur le papier, la plus grande puissance du monde.
État islamique a exprimé avec son extrême violence habituelle ce qui est déjà perçu par la plupart des gens : les États-Unis semblent avoir atteint un point de non-retour dans leur déclin. La Russie a subi - et gagné - une guerre non déclarée contre l'Occident en Ukraine; la Chine occupe désormais sa Crimée maritime, les îles du Sud de la mer de Chine, où elle construit des îles artificielles pour militariser des atolls réclamés par plusieurs nations riveraines, mais qu'il considère comme partie de son territoire. Les protestations et les avertissements des États-Unis contre ces mouvements chinois sont traités par le mépris à Pékin, comme un vrombissement gênant de moustiques. La reprise économique américaine promise pour la énième fois à la fin de l'année dernière est en fait un repli de 0,7% au premier trimestre de 2015 en valeurs annualisées. Après tant de fausses annonces de reprise économique, après tous les échecs géopolitiques, après les signes de dégradation du tissu social du pays dans les émeutes contre la brutalité de la police, à Baltimore et à Ferguson, peut-être qu'il est temps de poser la question impensable : devons-nous nous préparer à un effondrement des États-Unis de style soviétique ?
La réponse, pour diverses raisons, est oui. Cela ne signifie pas qu'un tel effondrement est inévitable ou même probable. Mais le fait qu'il est possible et les énormes conséquences potentielles d'un tel événement demandent à tout gouvernement responsable de s'y préparer, au moins comme à un scénario stratégique.
Et pourquoi un tel effondrement est-il possible ? L'explication réside dans les raisons qui unissent le pays. Les États-Unis n'ont pas été construits selon des lignes ethniques, qui tendent à maintenir les structures nationales unifiées, même en temps de crise. Il n'y a pas non plus de prédétermination géographique : sa frontière avec le Canada est presque entièrement artificielle. En fait, les États-Unis sont une entité politique artificielle, et non une émergence historique plus ou moins spontanée. Ils sont le résultat d'un plan d'expansion très bien réussie. Et quel est le facteur unificateur unique et essentiel dans le pays? Le succès. L'insurrection confédérée au XIXe siècle a clairement montré que le potentiel d'éclatement du pays est grand. Mais le succès retentissant du projet américain a, depuis, créé un monstre qui se nourrit de succès. Et ce monstre est maintenant affamé. Malgré toute la rhétorique autour des idéaux de liberté, la raison pour laquelle la plupart des immigrants sont venus est le progrès matériel. Et qu'est-ce qui pourrait garder le pays unifié lorsque ce progrès n'est plus un horizon raisonnable ? Au fur et à mesure que la couverture a rétréci, les élites locales des États les plus riches sont incités à ne plus payer pour les États les plus pauvres. Le culte de la réussite, cette véritable religion laïque des Américains et qui était responsable de la longue et riche histoire du pays, pourrait donc être le carburant d'un fractionnement. Il est tentant d'imaginer que les forces armées du pays permettraient d'éviter un tel effondrement. Initialement, cela aurait pu être vrai, mais l'affaiblissement économique, arrivé à un certain point, met en péril les intérêts des entreprises, et se débarrasser de ce qui pourrait alors être considéré comme le poids mort des États les plus pauvres garantira plus, et non moins, de pouvoir à ceux qui sont en mesure de contrôler l'armée. Le fractionnement pourrait alors facilement échapper au contrôle de ceux-ci. Quelque chose comme ce qui est arrivé dans l'Union soviétique.
Un effondrement hypothétique des États-Unis serait beaucoup plus dangereux pour le monde que ne l'a été l'effondrement de l'Union soviétique. Celle-ci a été construite autour d'un noyau historique étendu, la Russie. Cela a permis à l'effondrement de suivre des lignes prédéfinies historiquement. La même chose est vraie pour les autres républiques soviétiques. Elles avaient déjà une vie institutionnelle au sein de l'Union soviétique, de sorte que les lignes de désintégration ont déjà été tirées. Lorsque ces lignes ne sont pas claires, la dissolution a été suivie par des conflits. Abkhazie et Ossétie du Sud se sont battues pour l'indépendance contre la Géorgie; l'Arménie et l'Azerbaïdjan se sont battus pour le contrôle du Haut-Karabakh et de Nakhitchevan; la Moldavie a été divisée en deux; L'Ukraine et la Russie se sont contestées le contrôle de Sébastopol. Ces conflits restent non résolus à ce jour ou aggravés.
Comment imaginer ce qui pourrait arriver aux États-Unis, un pays où l'on estime que le nombre d'armes à feu dans les mains de civils peut atteindre 200 millions? Il est peu probable qu'une telle fragmentation hypothétique suivre les lignes des États. D'une part il est vrai que certains États américains ont une longue histoire, et assez riche pour prendre soin d'eux-mêmes; il est également vrai que beaucoup d'entre eux ont été déployés sur énormes territoires plus ou moins arbitrairement. Les nombreuses lignes droites qui définissent les limites de plusieurs États occidentaux le prouvent. Plusieurs de ces pays sont sans débouché sur la mer et dépendent des autres pour l'exportation de tout ce qu'ils produisent. Et de nombreux comtés limitrophes du Mexique ont une énorme population mexicaine ou mexicaine-américaine, qui bien sûr demandera la protection dans le pays du sud en cas d'effondrement.
En outre, l'effondrement soviétique a eu lieu pendant les périodes économiquement prospères de l'Occident. Absorber économiquement les fragments de l'Union soviétique était quelque chose de naturel, et même passionnant. Mais même en considérant le succès économique actuel de la Chine, une telle possibilité d'absorption économique des États-Unis supposément éclatés n'existe pas aujourd'hui, dans une économie mondiale déjà fracassée.
Une autre raison de craindre et de se préparer à une telle éventualité est l'empire, composé de centaines de bases militaires américaines dans le monde entier [plus de mille, NdT], souvent bien mieux armées que les gouvernements locaux. Qui les administre et comment ? Les leçons de l'effondrement soviétique ici ne sont pas une source d'optimisme.
Et nous avons encore de plus grands problèmes : qui prendrait soin de l'énorme arsenal nucléaire des États-Unis ? Contrairement à ce qui se passait dans l'Union soviétique, où Moscou avait assez de pouvoir sur les forces stratégiques soviétiques pour assurer un contrôle sur elles lors de l'effondrement, rien de ce style n'existe aux États-Unis.
Ce sont des raisons suffisantes pour que les décideurs politiques des puissances mondiales émergentes préparent des scénarios traitant de la situation, bien que peu probable, mais pas impossible, d'un effondrement américain de style soviétique.
L'anti-terrorisme et l'anti-corruption utilisés par les USA pour asseoir leur suprématie dans le monde entier
Emilie Defresne Media Presse Info dim., 21 juin 2015 04:46 UTC
L'impérialisme américain qui se manifeste par le fer et le feu, est facilement observable. Plus subtil est l'arme anti-terrorisme et anti-corruption utilisée par la « justice » américaine pour asseoir sa suprématie dans le monde entier.
On se rappelle du scandale du procès intenté à la Banque française BNP Paribas, par les USA. La banque française devait répondre du fait de ne pas avoir respecté l'embargo décrété par les USA contre l'Iran. La « Justice » américaine a puni BNP Paribas en lui imposant une amende si énorme que la banque ne s'en est toujours pas relevée :
La BNP Paribas a été formellement condamnée par la justice américaine, vendredi 1er mai [2015] , à payer l'amende de 8,9 milliards de dollars (près de 8 milliards d'euros) faisant partie d'un accord annoncé en juillet avec des régulateurs pour violations d'embargos des Etats-Unis. (Source) Vladimir Poutine a dénoncé, il y a quelques jours, l'intrusion de la « Justice » américaine dans n'importe quel pays au mépris du Droit international, à propos du procès des membres de la FIFA. (Voir ou revoir la vidéo ci-dessous).
A la faveur des attentats du 11 septembre, la NSA a été dotée de moyens d'espionnage exorbitants qui sont à l'origine de ces procès intempestifs; au nom de la lutte contre le terrorisme et contre la corruption, l'agence américaine utilise des moyens d'espionnage illicites, tant du point-de-vue du Droit américain, que du Droit international, et en fait profiter le FBI et la « justice » américaine, au mépris de toute déontologie, selon le principe de la loi du plus fort.
Eric Denécé, docteur en Science Politique, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) explique le processus sur Atlantico : Nous savons que la NSA, depuis le Patriot Act qui a déjà largement augmenté ses possibilités d'action, est très largement utilisé à des fins économiques plutôt que contre-terroristes. (...). Sous couvert de lutte contre le terrorisme, les États-Unis écoutent la planète entière, souvent pour faire de l'espionnage de la concurrence, et pour asseoir la domination des entreprises nationales sur les marchés, sur le contrôle des technologies, et le contrôle des ressources naturelles principalement.
C'est la principale mission de la NSA.
Depuis l'été dernier, nous savons aussi que les Américains écoutaient les dirigeants européens qu'ils soient politiques ou économiques. Ces mêmes observations se retrouvent également chez les dirigeants chinois. Cela leur permet également de faire pression sur les individus dès lors qu'ils ont quelque chose à cacher.
(...) C'est par le biais d'un faisceau d'observation (et pour l'essentiel elles sont issues des révélations d'Edward Snowden) que nous pouvons tendre vers l'idée que cette hypothèse est crédible.
Dans le cas précis du scandale de la FIFA, il faut savoir que la lutte anti-corruption est l'une des principales armes employée par les Américains, (...) pour s'attaquer à leurs concurrents politiques et économique. Ceux-ci ont décrété que leurs normes étaient obligatoires partout dans le monde. Cela est rendu possible par le fait que la moindre transaction en dollars, ou une quelconque activité sur leur territoire, les rend justiciables aux yeux des Américains. Le FBI, comme dans l'affaire de Sepp Blatter, peut alors prendre le relais et porter les affaires sur le plan de la justice internationale.
(...) Avec ce système, les Américains ont compris deux choses : premièrement ils ont développé des armes anti-corruption pour que personne ne puisse gagner des contrats dans le monde grâce à la corruption, et cela leur donne dans le même temps l'arme de la pression. D'un côté ils ont contribué à faire évoluer les normes en matière de corruption, mais ils l'ont également utilisé pour écarter des contrats des personnes morales ou physiques étrangères. »
En d'autres termes, seuls les Américains peuvent utiliser l'arme de la corruption. « Les données récoltées par la NSA ne sont pas utilisables dans les juridictions internationales ou par le FBI. En revanche, il est possible de les transformer en preuves légales : les informations sont transmises aux autorités judiciaires américaines, en l'occurrence le FBI, lequel sait désormais où chercher. Il suffit alors aux agents de demander dans le cadre d'une commission rogatoire à un fournisseur d'accès à internet ou à un opérateur téléphonique de mettre sur écoute l'individu ciblé, et de retrouver alors les preuves que la NSA avait déjà identifiées pour une poursuite judiciaire.
Donc, les USA et la « justice » américaine, qui se présentent en championnes de la lutte contre la corruption, contournent allègrement leur propres lois quand ça les arrangent.
« Si ce type d'utilisation était effectivement observé en France [en raison de la loi sur le renseignement votée récemment en France], cela se cantonnerait au territoire national. Or aujourd'hui le droit américain s'applique dans le monde. Prenons l'exemple d'une société allemande qui ferait des affaires avec l'Indonésie. Même s'il n'y a pas de concurrence avec une entreprise américaine, le droit américain s'appliquerait malgré tout. Si la corruption a lieu en euro, mais qu'un mail concernant la corruption se faisait à travers un serveur américain comme Gmail, le droit américain s'applique également. Et comme les Etats-Unis, à travers la part principale du dollar dans les transactions internationales, ou par des technologies américaines, il est difficile de ne pas être touché. Cela leur donne des moyens de coercition rarement vus.
Ce dispositif technico-juridique leur donne une puissance extraordinaire : le vice-président Français d'Alstom mis en prison il y a plusieurs mois maintenant pour des soupçons de corruption s'est retrouvé lors de l'audience avec deux mails qu'il avait échangé un jour et qui servent aujourd'hui de preuve à charge contre lui. Les 14 mois de prison qu'il a fait jusqu'à aujourd'hui ne sont qu'uniquement liés à ces deux mails.
Cela leur permet dans le cas d'Alstom d'acheter une entreprise qui n'est pas à vendre, et de s'accaparer ses technologies.
Mais ces outils ne se limitent pas dans leur utilisation à la sphère économique. La corruption faisant partie intégrante du commerce international. Les Américains ont alors une arme de chantage extraordinaire.
« Les Chinois, les Européens, et particulièrement les Français sont dans le collimateur des Américains. Si des entreprises américaines sont parfois épinglées, le montant des amendes qu'elles payent sont en moyenne 4 fois moins importantes. Les seuls qui s'en sortent sans dommage sont les Britanniques et les israéliens.
Il serait possible de neutraliser rapidement ce dispositif par une volonté politique. Le point est essentiellement juridique, et nous avons donc les moyens d'y répondre. » (Source: Atlantico)
Mais apparemment la volonté politique est paralysée en France, face à l'Empire. La seule leçon retirée par les autorités françaises semble être d'utiliser les mêmes méthodes mais en interne avec la loi sur le Renseignement, récemment votée, qui ressemble comme une sœur au Patriot Act américain.
La « stratégie du choc » est une politique de démantèlement des biens publics et de réduction drastique des libertés menée après une grave crise économique, politique ou environnementale, un attentat ou une guerre. Elle s'inspire des techniques de lavage de cerveau et de privation sensorielle employées par la CIA visant à détruire la mémoire du sujet, briser ses capacités de résistance et obtenir une « page blanche » sur laquelle écrire une nouvelle personnalité. A l'échelle d'une population, il s'agit de faire « table rase » du passé en réduisant à zéro le patrimoine public d'un pays, ses structures sociales et économiques pour y construire une nouvelle société.
Privées de leurs points de repères, littéralement en état de choc, les populations victimes de ce traitement se sont vues spoliées de leurs biens publics (éducation, santé, retraites) et de leurs libertés par l'oligarchie et ses élites sans même pouvoir et vouloir se défendre. Les Chiliens sous la dictature de Pinochet ou les Argentins sous celle de Videla, les Russes victimes de la « thérapie de choc » de Boris Elstine, les Irakiens victimes de la campagne de bombardements intensifs américains de mars 2003 baptisée Shock and Awe (choc et effroi), le peuple de Louisiane victime du cyclone Katrina, les Américains victimes de l'escroquerie du 11 septembre et ses dérives liberticides, les Lybiens ou les Syriens en proie au terrorisme international, les Ukrainiens victimes du coup d'Etat made in CIA, les Sud-Africains, les Chinois ou les Polonais victimes de la contre-révolution néo-libérale,... la liste est encore longue de tous ceux qui ont servi de cobayes à cette doctrine insensée née dans le laboratoire de l'Université Mac Gill à Montréal. Elle a provisoirement épargné l'Europe de l'Ouest... jusqu'à la crise des subprimes de 2007-2008.
Bienvenue en Grèce, laboratoire européen du « capitalisme du désastre » où sont testées les limites de la résistance humaine : un taux de chômage (officiel) à 25 % (plus de 50 % chez les jeunes), un tiers de la population vivant sous le seuil de pauvreté, plus d'un tiers sans couverture maladie, des services publics en déliquescence laminés par des cures d'austérité draconiennes, un patrimoine public (sites archéologiques, îles, forêts, aéroports, compagnie de gaz ou d'électricité, ...) bradé pour une bouchée de pain à des sociétés privées... et une population à bout de souffle, devenue incapable de se défendre. La raison de cette capitulation ? le traumatisme provoqué par la violence de la crise imposée au peuple grec par l'oligarchie bancaire, sapant toute velléité de résistance à la destruction systématique de la sphère publique : « Attendre une crise de grande envergure, puis, pendant que les citoyens sont encore sous le choc, vendre l'État morceau par morceau, à des intérêts privés avant de s'arranger pour pérenniser les « réformes » à la hâte[1] » est un bon résumé de ce qu'ont subi les Grecs. Ce véritable coup d'État financier a nécessité plusieurs phases de préparation dont la menace actuelle de faillite imminente du pays, prélude à sa mise sous tutelle financière, est l'aboutissement. Récit d'une tragédie (grecque) en 5 actes.
1er acte : créer les conditions d'une crise du crédit (2000-2007)
Au début de la décennie 2000, les USA se lancent dans la folie du crédit sans limites. Les emprunteurs, même non solvables, contractent des formules de prêts immobiliers de plus en plus risquées, et le plus souvent à taux variable. Dans les premières années, les taux sont bas et les emprunteurs peuvent rembourser facilement mais au fur et à mesure qu'ils augmentent un nombre croissant de personnes ne peuvent plus rembourser leur emprunt immobilier et sont contraintes de vendre leur bien, faisant ainsi chuter les prix du marché, première étape de la crise. Ces emprunts « toxiques » (car ayant des risques élevés d'être non-remboursés) sont compilés avec d'autres produits financiers bénéficiant artificiellement de la meilleure note (AAA) des agences de notation pour être ensuite échangés sur les places boursières du monde. La banque d'affaires américaine Goldman Sachs est l'une des pionnières dans la création de ces « subprimes ». Coup d'arrêt au printemps 2008 : les ménages emprunteurs ne peuvent plus rembourser leurs prêts à cause de la montée des taux d'intérêts, la bulle de l'endettement privée éclate et le système se grippe. Le système financier est contaminé par ces titres pourris et la contagion est rapide : leur valeur s'effondre, la confiance des investisseurs chute et le système du prêt interbancaire est vite gelé.
Le bénéfice est triple pour l'oligarchie bancaire : après avoir tiré profit du crédit facile dans la première phase, elle fabrique les conditions d'une crise artificielle qui obligera les États (donc l'argent public) à les renflouer dans la seconde phase et elle décuplera ses gains en plaçant des pays entiers sous sa dépendance grâce au creusement des dettes souveraines et au gonflement des taux d'intérêt de leur financement, dans la troisième.
2ème acte : déclencher une crise de la dette (automne 2008)
Le déclencheur de la crise dite des « subprimes » est connu. L'administration Bush nationalise AIG et Bank of America, rachète Merril Lynch ... mais refuse de sauver la banque d'investissement Lehman Brothers qui se déclare en faillite le 15 septembre, faisant alors chuter toutes les places boursières mondiales. Par cette décision, le secrétaire au Trésor Henry Paulson fait d'une pierre trois coups : il sacrifie un concurrent direct de Goldman Sachs - banque qu'il a présidé entre 1998 et 2006 et dont il continue en sous-main de défendre les intérêts - , et il fabrique les conditions d'une crise providentielle pour la finance tout en raflant l'argent public aux seuls bénéfices des banques privées grâce au « plan Paulson ».
3ème : fabriquer une crise bancaire en Europe (2008-2009)
Conjointement présenté par la Réserve fédérale et le Trésor, le « plan Paulson » de rachat des actifs toxiques américains, d'un montant de 700 milliards de dollars, est voté au Congrès américain mais sans toutefois convaincre les investisseurs. Le CAC40 et le Dow Jones connaissent une chute historique le « lundi noir » (6 octobre 2008). Il faudra, pour calmer les marchés, que 7 banques centrales mondiales (États-Unis, Europe, Royaume-Uni, Canada, Suède, Suisse et Chine) s'accordent pour baisser leurs taux directeurs d'un demi-point.
4ème acte : la transformer en crise économique (à partir de 2009)
La crise financière devient rapidement une crise économique. De nombreux pays rentrent en récession, la consommation des ménages chute, les entreprises accusent des pertes énormes et sont obligées de réduire leurs effectifs salariés ou font faillite, le chômage explose : de l'automne 2008 à fin 2009, le taux passe en France de 7,9% à 10%, aux USA il double de 5 % à près de 10 % et il triple en Grèce de 8 % à plus de 24 %. Le secteur automobile est particulièrement touché. Aux États-Unis, le géant américain General Motors se déclare en faillite en juin 2009, seulement trois mois après Chrysler.
5ème acte : Goldman Sachs peut alors placer ses pions en Europe...
La Grèce a joué le rôle du cheval de Troie d'une gouvernance bancaire européenne. Première étape, la faire entrer dans la zone euro. C'est ce à quoi s'est employée activement la banque Goldman Sachs en maquillant ses comptes pour sous-estimer ses dettes et ses déficits déjà élevés, notamment par la levée de fonds hors bilan.
Deuxième étape : provoquer une crise de la dette européenne en étranglant financièrement la Grèce par une montée des taux d'intérêt et attendre la contagion à d'autres États.
Troisième étape, placer ses pions dans les États les plus sévèrement touchés par la crise de la dette qui débute au printemps 2010 : Lucas Papadémos, nouveau Premier ministre grec, Mario Monti, nouveau président du Conseil des ministres italien (nommé et non élu), et Mario Draghi, nouveau président de la Banque centrale européenne sont tous les trois des cadres de Goldman Sachs. Lucas Papadémos fut gouverneur de la Banque de Grèce entre 1994 et 2002, et à ce titre a activement participé aux opérations de malversations perpétrées par Goldman Sachs. Mario Monti est conseiller international de Goldman Sachs depuis 2005, et nommé à la Commission Européenne. Il est également le président pour l'Europe de la Commission Trilatérale et membre du groupe Bilderberg, deux organisations mondialistes. Il est aussi l'un des membres fondateurs du groupe Spineilli, un think tank qui veut promouvoir un fédéralisme européen. Mario Draghi fut vice-président de Goldman Sachs pour l'Europe entre 2002 et 2005 et, à ce titre, est soupçonné d'avoir permis la dissimulation d'une partie de la dette souveraine des comptes grecs en les embellissant.
Quatrième étape : faire plier les États les plus fragiles en leur octroyant des aides irremboursables à des taux prohibitifs. Face au risque de défaut souverain, les investisseurs imposent des taux d'emprunt impraticables aux Etats en difficulté, qui ne peuvent alors plus se financer. Ces plans successifs sont assortis de conditions drastiques d'austérité, mettant en péril l'équilibre social des pays. En Grèce, la sécurité sociale part en lambeaux, le ramassage des ordures n'est plus assuré, les musées ferment les uns après les autres, la télévision publique n'émet plus, les livres disparaissent peu à peu des écoles, les enfants tombent d'inanition... Les salaires du privé ont baissé de 25% en 2011, le SMIC est ramené à 586 euros bruts, faisant tomber le salaire moyen à 803 euros en 2012 puis en 2013 à 580 euros, soit l'équivalent du salaire moyen chinois. La Grèce est désormais considérée comme un pays du Tiers-Monde.
Tous les prêts octroyés à la Grèce sont d'autant moins susceptibles de faire redémarrer son économie qu'ils sont en grande partie captés par l'oligarchie financière : les banques grecques (pour 58 milliards), les créanciers de l'État grec (pour 101 milliards), la plupart des banques et fonds d'investissement ont reçu l'essentiel des aides débloquées par l'UE et le FMI depuis 2010, soit 207 milliards d'euros. Les trois-quarts de l'aide attribuée n'ont pas bénéficié aux citoyens mais, directement ou indirectement, au secteur financier. Une étude d'Attac Autriche montre ainsi que seuls 46 milliards ont servi à renflouer les comptes publics - et toujours sous forme de prêts, tandis que dans le même temps 34 milliards ont été versés par l'État à ses créanciers en intérêt de la dette. Ou comment transformer la dette privée détenue par les banques et les créanciers, en dette publique.
Le caractère illégitime de la dette et l'incapacité du pays à la rembourser ne dissuade pas la Troïka d'imposer au peuple grec de nouvelles mesures d'austérité dont certaines sont tout bonnement anticonstitutionnelles. Et pour cause : les vraies raisons de cet acharnement sont ailleurs. Faire échouer le gouvernement Syriza, principal obstacle au projet d'asphyxie puis de mise sous tutelle financière de la Grèce, est un enjeu de taille car il a valeur d'exemple pour les autres pays de l'Union Européenne, en particulier pour l'Espagne tentée de suivre la même voie. Il explique notamment pourquoi les créanciers de la Grèce sont encore plus exigeants avec le gouvernement Tsipras qu'avec les précédents.
... prélude à une dictature mondiale de la finance
Les politiques d'austérité de la Troïka seront-elles bientôt étendues à tout le continent ? Et de là, au monde entier ?
Ce véritable racket imposés aux États (et donc aux populations) a été rendu possible par les différents traités européens : celui de Maastricht qui fait de la BCE le garant de la monnaie commune et le maître d'œuvre de la politique monétaire (article 105) et celui de Lisbonne qui grave dans le marbre l'interdiction faite aux Banques nationales des États membres ainsi qu'à la BCE de financer directement les dettes souveraines et soumet ainsi les États aux appétits des banques privées[2] (article 123). La souveraineté nationale, principal frein à la gouvernance mondiale de la finance, est mise à mal par ces traités, de même que la souveraineté populaire allègrement bafouée. Le vote de refus aux consultations référendaires sur la constitution Européenne, que ce soit en France, aux Pays-bas ou en Irlande, n'a pas empêché la commission Européenne de les imposer. De plus en plus de décisions importantes en Europe sont prises par des fonctionnaires et lobbyistes non élus, au mépris des choix clairement exprimés par les citoyens... les rares fois où ils sont consultés.
La souveraineté populaire ou nationale sont des obstacles directs à la prédation financière ? Il suffit alors de les liquider purement et simplement ! Pour rendre acceptable la baisse d'un tiers de nos salaires comme le préconise Goldman Sachs , l'oligarchie veut mettre en place des régimes autoritaires en Europe. JP Morgan considère sans rire que des réformes politiques d'ampleur abrogeant les constitutions démocratiques bourgeoises protectrices de l'après-guerre seront nécessaires pour supprimer l'opposition aux mesures d'austérité massivement impopulaires qui s'annoncent. L'anxiété sociale provoquée par la crise a bien joué un rôle de frein aux revendications - 2011 première année de la crise de la dette a vu une baisse spectaculaire du nombre de journées de grèves en France et les réformes les plus dévastatrices pour le monde du travail, l'Accord National Interprofessionnel, le Pacte de responsabilité et les lois Macron sont passées comme une lettre à la poste alors qu'elles auraient provoqué avant la crise une levée massive de boucliers - mais l'oligarchie veut aller plus loin et plus vite et elle est prête à utiliser tous les moyens pour casser les résistances populaires. On comprend mieux le sens des efforts déployés par le gouvernement Hollande pour déstabiliser le modèle familial traditionnel : en s'attaquant à la notion même de filiation on fabrique des individus fragilisés, sans histoire et sans mémoire, en remettant en cause l'identité sexuée on efface un point de repère structurant, en détruisant les solidarités familiales on facilite l'avènement des dictatures de demain qui serviront les intérêts de la finance mondialisée. Faire table rase du passé en coupant les individus de leurs racines sociales, familiales, nationales ou religieuses pour obtenir une « page blanche » sur laquelle écrire une nouvelle histoire, est l'objectif de la « stratégie du choc ». La Grèce et son patrimoine public dévasté aura bien été le laboratoire d'une nouvelle forme de dictature particulièrement destructrice que l'oligarchie bancaire va imposer à l'Europe entière.
Notes :
[1] Naomi Klein, La stratégie du choc. La montée d'un capitalisme du désastre, 2007.
[2] Cette situation est celle que connaît la France depuis la loi Pompidou-Giscard de janvier 1973 qui interdit à l'État de se financer auprès de la Banque de France.
La hausse perpétuelle et exponentielle de la taxe foncière (illégale puisque la maison est un bien payé/acheté au même titre qu'une voiture ou vêtement), ajoutée de taxes diverses et 'révision du cadastre' (??!), ajoutée de la taxe (1 Janvier 2016) sur le mètre carré constructible autour de votre maison (cour, passage, chemin d'accès au garage) qui sera de: 5€/m² ! Soit, pout un terrain de 20 m x 50 m = 1000 m² = 5000 €/an !
Tout est fait pour saisir vos biens afin que PLUS RIEN NE VOUS APPARTIENNE !
Votre voiture provoque la guerre ! Ressentir la peur sur la sécurité climatique de l'Australie.
22 juin 2015
Non seulement le changement climatique détruit le café, le chocolat et la bière, mais la guerre va ruiner vos week-ends trop. Lorsque la guerre éclate et ils viennent pour votre premier-né, vous pouvez demander si vous devriez avoir quitté la voiture dans le garage plus. Vous pouvez vous demander si vous pourriez avoir utilisé les transports en commun et converti toutes les lumières à LED plus tôt et seulement mangé des oranges des produits locaux. Sentir la culpabilité. Envoyez-leur votre argent.
Marche pour la paix !
Il n'y a pas de fin pour les combinaisons et permutations des façons d'utiliser la peur de demander des fonds. Avant de mettre en place les ministères du changement climatique, les marchés commerciaux mondial du carbone, de programmes de réduction des émissions et préparer nos forces de défense à la vague de réfugiés climatique désespérée violents qui avaient été prévus, mais n'est pas venu, nous devons une chose plus que tout autre. Nous avons besoin de modèles climatiques qui fonctionnent réellement.
« Le changement climatique va déstabiliser notre région et saper notre mode de vie, mais nous ne faisons rien pour l'empêcher. »
Exactement, nous ne faisons rien, rien d'utile à tous. Bien que nous sommes des milliards de dollars battante puits profonds cherchant à réduire le gazcarbonique et se préparer à un climat on absolument ne peut prévoir. (Est-ce le genre de « rien » que Sturrock et Ferguson voulait dire ?) Il n'y a pas de financement pour les modèles de climat remplaçant, aucun financement pour étudier le rôle du soleil dans notre climat et d'obtenir des modèles des facteurs qu'actuelle faute de modèles n'ignorer — comme le vent solaire, rayons cosmiques, effets magnétiques solaires, les variations des spectres et des effets de marée lunaires sur les habitudes de l'ENSO.
La priorité la plus élevée pour n'importe quel gouvernement sensé l'environnement concerné est de mettre en place un centre pour l'étude des causes naturelles du changement climatique, dont le GIEC a été spécifiquement chargé de pas faire en 1989. La seule chose que les modèles actuels sont avérés, c'est que tout ce qu'ils prédisent, nous devons nous préparer pour quelque chose de différent.
Comme je l'ai déjà dit :
Les modèles non seulement échouent sur des échelles décennales globales, mais sur les régional, local, à court terme, [1] [2], polaire [3], et upper tropospheric échelles [4] [5] trop. Ils ne parviennent pas à l'humidité [6], [7] de la pluie, la sécheresse [8] , et ils n'arrivent pas sur les rétroactions des nuages [9]. point chaud est manquant, les principales rétroactions ne sont pas amplifier l'effet du gazcarbonique comme supposé.
Si nous avions un modèle qui a fonctionné, un, nous serions en mesure de commencer à écrire des rapports comme celui qui est partout dans la presse crédule aujourd'hui en Australie. Jusque-là, nous perdre du temps, des fonds et montrant comment, nous ne sommes pas sérieux au sujet de l'environnement. Si les verts se souciait des îles du Pacifique pauvres ils auraient exigé améliorer la recherche, à un plus haut standard et en commençant il ya dix ans.
Dans la course-up à Paris en Décembre, nous allons obtenir le spectre complet des sorciers en promettant de "Arrêtez les tempêtes", sauver nos enfants de se rétrécir de 0,5% en 850 années, et de garder peu de poissons de se téméraire. Je vote nous prenons leurs revendications au sérieux. Voilà pourquoi je les aider avec leur PR, parce qu'ils ne disposent que des milliards de dollars, l'ONU, la Banque mondiale, le pape, et le compte Twitter du leader du monde libre. S'il vous plaît partager l'image et faire passer le message autour de vous.
D'autres idées sur la meilleure des légendes et des façons de faire passer ce message ? Partager. Et pourquoi ne pas envoyer le paragraphe en gras ci-dessus aux politiciens partout, donc ils peuvent descendre de leurs fonds et font réellement la seule chose plus importante et utile pour le climat — améliorer la recherche. Il est temps que nous avons mis les scientifiques sur le travail — les vrais qui proviennent de l'extérieur le secteur étranglée, échec, « climat » — nous avons besoin des mathématiciens, des physiciens, des statisticiens et des ingénieurs avec antécédents de faire fonctionner les choses.
La liste est aussi longue que votre bras, Que warmists demande climatique nuira, Mais il a tout faire croire, Mise à jour pour tromper, Par ceux programmés sur alarme climatique.
RÉFÉRENCES Sturrock et Ferguson (2015) le plus long conflit :Défi de sécurité climatique de l'Australie, Centre for Policy Development, juin 2015
[1 ^] Anagnostopoulos, G. G., d. Koutsoyiannis, A. Christofides, Efstratiadis A. et N. Mamassis, (2010). Une comparaison du modèle climatique local et agrégées sorties avec les données observées »Hydrological Sciences Journal, 55:7, 1094 — 1110 [PDF]
[2 ^] Koutsoyiannis, D., Efstratiadis, A., Mamassis, N. & Christofides, A.(2008) sur la crédibilité des prévisions climatiques. Hydrol. J. Sci. 53 (4), 671-684. modifications [PDF]
[3 ^] Previdi, M. et Polvani, L. M. (2014), réponse du système climatique à l'ozone stratosphérique et la récupération. Q.J.R. Meteorol. SOC. doi : 10.1002/qj.233
[4 ^] Christy J.R., Herman, B., Pielke SR., R, 3, Klotzbach, P., McNide, R.T., J.J. Hnilo, R.W. Spencer, Chase, T. et Douglass, D: (2010) que faire d'observation Datasets Say about température troposphérique modélisée tendances depuis 1979 ? La télédétection 2010, 2, 2148-2169 ; doi:10.3390 / rs2092148 [PDF]
[5 ^] Fu, Q, Manabe, S. et Johanson, C. (2011) sur le réchauffement de la planète dans la haute troposphère tropicale : modèles vs observations, Geophysical Research Letters, Vol. 38, L15704, doi: / 2011GL048101, 2011 [PDF] [Discussion]
[6 ^] Paltridge, G., u, A., Gilbert, M., 2009. Tendances en humidité troposphériques de niveau moyen et supérieur de données de réanalyse NCEP. Climatologie théorique et appliquée, Volume 98, nos 3-4, pp. 351-35). [PDF]
[7 ^] Anagnostopoulos, G. G., d. Koutsoyiannis, A. Christofides, Efstratiadis A. et N. Mamassis, (2010). Une comparaison du modèle climatique local et agrégées sorties avec les données observées », Hydrological Sciences Journal, 55:7, 1094 — 1110 [PDF]
[8 ^] Sheffield, bois & Roderick (2012) peu de changement dans la sécheresse mondiale depuis les 60 dernières années, lettre Nature, vol 491, 437
[9 ^] Miller, M., gnon, V., Zahn, R., (2012) la Radiation Budget du Sahel d'Afrique de l'Ouest 1 et ses contrôles: A Perspective from 2 Observations et les modèles climatiques mondiaux. dans la presse Journal du climat [Résumé] [PDF]
Charlie Dog, Golondrinas, et l'impossibilité de fourmis: une étude approfondie
Par Fred Reed 22 juin 2015
Ce matin, quand je suis sorti groggy en quelque chose qui ressemble à la conscience, je ne savais pas que je devais établir l'impossibilité de fourmis. Il y avait là une question philosophique profonde, rampant sur moi subrepticement.
Les chiens, comme d'habitude sont venus tonnerre pour voir si nous existait encore et, après avoir constaté que nous avons fait, ont offerts à leurs oreilles rayé. Tels sont les chiens. Notre félins, Cat Cat et autres, le sommeil sur le lit avec nous-nord de la frontière, il ya probablement une loi fédérale contre ce et veulent aussi notre attention. Pourquoi? Ils ne reçoivent rien en dormant avec nous. Nous les nourrissons de toute façon.
Chiens me intriguent par leur caractère distinctif de la personnalité et de la gamme des émotions: la colère, l'affection, la peur, la curiosité, la jalousie, l'inquiétude et la culpabilité. Scientifiquement parlant, je ne suis pas sûr que ce soit bon. Ils étaient cependant chiens rue, et peut-être pas conscients des théories les plus avancées. Ils ne comprennent culpabilité, qu'ils sont censés ou non. Quand nous revenir à la maison et Charlie a une expression patibulaire, et se vautre dans la soumission, et ne fonctionne pas sur nous saluer, nous savons qu'il a été creusé à la poubelle, ce qui est interdit. Il sait aussi.
Notre chien Afrique, qui est très long et bas et jolie et semble être un croisement entre un Border Collie et un tuyau d'incendie, est une hystérique. Quand je marche en bas elle aboie joyeusement et se précipite follement, comme si je devais Zeus décroissant, même si elle me voyait monte à l'étage d'une demi-heure plus tôt et sait que je reviens toujours vers le bas. Vous ne pouvez pas être hors de votre esprit, sauf si vous avez un être hors de, est ce que je dis.
Ce qui nous amène à GOLONDRINAS, hirondelles. (Vous ne pouvez pas voir pourquoi il le fait. Eh bien, il le fait.) Nous avons un nid d'entre eux dans un coin de la terraza bas. Ils ont produit cinq œufs cette année, et se sont assis sur eux comme forgolondrinas est juste et bon. Quand les oisillons sont apparus, les parents sans relâche les ont amenés, toutes les quelques minutes, une partie de ce que mangent les hirondelles. Lorsque les petites fripouilles ont atteint l'âge auquel le vol a commencé à sembler une bonne idée, les parents ont commencé à planer pouces du nid, comme pour dire: "Voyez ? Ceci est la façon dont vous le faites. "Ils avaient pas fait cela avant.
Notre ornitho-chillun, profondément méfiant parce qu'ils savent que quelqu'un est là
Une des nouvelles birdlets volé assez bien pour un débutant, mais a atterri sur le sol où il ya des chats. (En fait, nous avions bloqué les chats à l'intérieur précisément pour cette raison, mais hirondelles mères ne savent pas toujours cela.) Les parents ont atterri à côté de lui et ont commencé à picorer le petit bonhomme désagréablement, jusqu'à ce qu'il a décollé et est retourné au nid. Je l'ai lu qu'ils font de telles choses purement sur l'instinct et ne savent pas pourquoi ils le font. Comment peut-on le savoir ? Personnellement, je pense qu'ils soupçonnent chats. Je sais que les oiseaux sont des automates biologique fonctionnant sur code programmé chimiquement, et ne pas avoir des sentiments ou idée de ce qu'ils font. Je sais ça. Je ne le crois pas. De plus, je ne comprends pas les gens d'affection presque universelles se sentent pour le très jeune. Le très jeune de près tout: les jeunes chiots, chatons, ânes, golondrinas. En termes de biologie de l'évolution, dont on nous dit gouverne tout, l'affection pour les jeunes hirondelles est difficile à comprendre. Ils sont affreusement laid, étant tous bouche et pas de cerveau, que je reconnais suggère une connexion évolutive avec des ancres de réseau. Mais nous sommes très friands d'entre eux. (non les ancres de réseau).
Pas beaucoup de fourmi, hein ?
Je vais maintenant offrir une preuve formelle de l'inexistence de fourmis. Tout d'abord, nous noterons la fourmi ci-dessus sur le dessus de l'oeil d'une aiguille. Nous allons continuer à notons qu'il n'y a presque pas de fourmi il. Nous allons maintenant réfléchir à la taille de son cerveau, à inclure des parties de celui-ci distribués. Si une fourmi est si petit qu'il est presque pas là, et la plupart d'une fourmi se compose de jambes, la chitine, les choses digestifs, et ainsi de suite, alors son cerveau, pour inclure tous ses tissus nerveux, est grandement plus est pas -Là.
Nous allons maintenant examiner ce que peut faire une fourmi. Premièrement, il peut marcher. Si vous pensez que cela est pas de grands zut, parler à un ingénieur de la robotique avec un supercalculateur de câble connecté. Demandez-lui comment il est facile de faire six jambes avec de multiples articulations chaque travailler ensemble tout en grimpant sur les choses. Si vous pensez à la quantité de rétroaction sensorielle nécessaire de savoir où ces jambes sont à un moment donné, et ce que les pressions et les angles sont, vous aurez le vertige. La fourmi fait sans effort, avec environ autant de cellules du cerveau comme un membre du Congrès a des points de QI. Cela suggère peut-être trois cellules du cerveau.
Il y a pire, bien pire. Ce même fourmi, avec seulement trois cellules du cerveau du Congrès, peut interpréter les données à la fois de ses yeux composés et ses yeux non composées ocelles-tiny. Maintenant, les gars qui a écrit PhotoShop pourrait fusionner toutes ces entrées à partir d'un ommatidies de jillion et arriver à quelque chose de raisonnable comme une image, mais le faire en temps réel, à l'équivalent d'environ six lignes de code, avec trois cellules du cerveau pour le traitement puissance-ils irait crier à la barre la plus proche et commencer à vivre sous un banc de parc. La même fourmi sait, en quelque sorte, pour creuser un nid correctement, afin de fonctionner comme l'enfer quand il a peur, et de prendre soin de la reine et les œufs et les larves. Il gère ses organes internes et les antennes. Il sait comment se toiletter, mettant en avant de nombreux adolescents, et comment trouver de la nourriture, ce qui nécessite l'exploitation des sens utilisés pour ce faire. Je pourrais continuer. Mais puisque chacune de ces choses est impossible, donc est la fourmi. Par conséquent, les fourmis existent pas. CQFD.
(Je soupçonne que l'impossibilité de plusieurs choses en une fourmi inexistant est le produit des impossibilités individuelles. Je vais laisser cette question des impossibilités multidimensionnelles au lecteur comme un exercice.)
Si je peux caduque momentanément en gravité inaccoutumée, je prétends ces micromonstrosities pique-nique posent une question déroutante de la cybernétique. Ils doivent faire quelque chose au-delà de la portée de nos petites imaginations d'ébullition. Réplication une fourmi dans le matériel de la même taille est hors de question. Informatique moléculaire? Eh bien, la petite bête fait d'une certaine façon. Les humains avec notre quart-et-un-tiers des cerveaux purée peuvent faire beaucoup plus que les fourmis peuvent, mais pas proportionnellement plus. Le tissu nerveux du nombre de fourmis serait nécessaire pour combler le crâne humain ?
Pour que je reçois habituellement la réponse stupide, "Mais Fred, les fourmis ont un tout autre genre de cerveau." Cela ne veut pas la réponse. Il est la question.
Prédictions sur les marchés, l'or, la Grèce et plus Par Adam Taggart Prospérité pic 22 juin 2015
Deux ans après sa dernière entrevue avec nous, l'investisseur Jim Rogers retourne et constate que les risques qu'il a averti de la dernière heure ont empiré. Dans le podcast de cette semaine, Jim partage son rationnel pour prédire:
• augmenter la confiscation de la richesse par les planificateurs centraux • un important effondrement des marchés financiers en attente • Le retour de l'or comme valeur refuge préféré • plus de la faiblesse des prix du pétrole, suivie d'une inversion de tendance • rebond de la Russie • une bulle compte la Chine • la valeur à long terme de l'agriculture Je soupçonne dans la prochaine année ou deux, nous allons voir une sorte de grandes, des problèmes majeurs dans les marchés financiers mondiaux.
Je soupçonne quand nous avons cette correction, il va provoquer des banques centrales à la panique. Il va venir un moment où il n'y a pas beaucoup de banques centrales peuvent faire quand ils ont perdu toute crédibilité. Lorsque les gouvernements ont perdu toute crédibilité. Ils vont imprimer et dépenser et emprunter, mais il arrive un moment où les gens vont juste de dire que nous ne voulons pas jouer à ce jeu plus. Et à ce moment, le monde a des problèmes sérieux, graves, car il n'y a rien pour nous sauver.
Je soupçonne le prochain effondrement financier / économique sera celui qu'ils ne peuvent pas traiter. Mais, si de toute façon ils sont des faiseurs de miracles, être très, très prudent. Je serais inquiet 2022 - 2023 puis. Le jeu sera certainement jusqu'à si elle est pas cette fois.
Mon US Dollar maintien est mon plus grand poste. Non pas parce que je dois toute confiance dans le dollar américain; il est une monnaie terriblement erronée. Nous sommes la plus grande nation débitrice dans l'histoire du monde. Et la dette va plus en plus haut et plus haut. Mais il va y avoir encore plus de problèmes à venir. Et pendant les périodes de turbulences personnes fuient vers un refuge. Le Dollar américain est pas un refuge, mais beaucoup de gens pensent qu'il est, et ils ne savent pas quoi faire d'autre. Alors, ils vont aller à l'US Dollar. Ils ne vont pas aller au yen. Ils ne vont pas aller à l'Euro.
Nous pouvons même voir le dollar américain, pour une variété de raisons, se transformer en une bulle. Cela est bien sûr pas bon pour l'or. Or peut tomber beaucoup, à quel point je dois vendre mes US Dollars et nous espérons être assez intelligent pour acheter de l'or.
(...) • augmenter la confiscation de la richesse par les planificateurs centraux • un important effondrement des marchés financiers en attente • Le retour de l'or comme valeur refuge préféré (...)
Contradiction entre la première et la dernière ligne.
Si vous êtes encore confus à propos Qui est en charge
Par Bionic Mosquito 22 juin 2015
«Donnez-moi le contrôle de la masse monétaire d'une nation, et je me soucie pas qui fait ses lois." - Amschel Rothschild
À ma connaissance, que Amstel Rothschild jamais dit une telle chose est dans le doute. Tout ce que je dirai est que si il ne le dit pas, il devrait avoir.
Ambrose Evans-Pritchard fait un excellent travail de mettre en évidence l'institution qui est, en fait, en charge. Il est pas impressionné par leur travail en ce qui concerne la situation en Grèce:
Rarement dans les temps modernes avons nous avons assisté à un tel étalage de pétulance et de mauvais jugement par ceux qui sont censés être en charge de la stabilité financière mondiale, et par ceux qui a donné le ton pour le monde occidental.
Le spectacle est étonnant. La Banque centrale européenne, le fonds de sauvetage de l'UEM, et le Fonds monétaire international, entre autres, sont des crises de fureur contre un gouvernement élu qui refuse de faire ce qu'on lui dit.
BCE, l'UEM, le FMI: le contrôle de l'argent, le contrôle de l'argent, et le contrôle de l'argent.
Ça va mieux; même la Banque centrale grecque met la pression sur les Grecs:
Ne conteste de quiconque que la BCE - via la Banque de Grèce - incite activement une panique bancaire dans un pays où il est également le régulateur bancaire par l'émission de ce rapport le mercredi?
Banque de Grèce: le contrôle de l'argent.
La Banque centrale grecque travaille à conduire, et en fait de contourner le processus politique:
Le gardien de la stabilité financière est consciemment et délibérément l'accélération d'une crise financière dans un état membre de l'UEM - avec les risques possibles de pan-UEM et contagion mondiale plus large - comme une tactique de négociation pour forcer la Grèce à la table.
Il fait donc jour après premier ministre Alexis Tsipras a accusé les créanciers des «pièges pondeuses" dans les négociations et agissant avec un motif politique. Il plus ou moins les a accusés d'essayer de détruire un gouvernement élu et amener un changement de régime par la contrainte financière.
Ceux qui contrôlent l'approvisionnement de l'argent de la nation ne sont pas préoccupés par toute «gouvernement élu» - voir citation ci-dessus.
Dans son rapport, la Banque de Grèce a affirmé que l'échec à répondre aux demandes des créanciers serait "probablement" conduire à l'éjection de l'Union européenne du pays. Soyons clairs sur la signification de cette. Il est pas l'expression d'une opinion. Cela équivaut à une menace par la BCE de jeter les Grecs hors de l'UE si elles résistent.
Regardez ... pour être clair, je serais ravie de voir les Grecs éjecté de l'Union européenne, suivie par les espagnols, portugais, français, italiens et allemands. Et puis tout le monde. Ejecter tous. Et puis éjecter la Flandre, la Catalogne de l'Espagne, et l'Ecosse à partir de la Grande-Bretagne.
Mais ce ne sont pas là où Ambrose est dirigé. Il voit qu'il est la banque centrale de contrôler les décisions politiques. Eh bien, duh. Voir la citation ci-dessus.
Ambrose cite d'autres cas - ce qui est pas la première fois que la BCE a fléchi ses muscles:
Il a forcé l'Etat irlandais à faire de bons revendications des détenteurs d'obligations juniors de Anglo-Irish Bank dans le but de sauver le système bancaire européen ....
Il a envoyé des lettres secrètes aux dirigeants élus de l'Espagne et de l'Italie en Août 2011 exigeant des modifications détaillées aux lois internes pour lesquels il n'a pas de mandat ou de compétence technique ...
Lorsque italien Silvio Berlusconi a hésité, la BCE éteint achats d'obligations, conduite rendements à 10 ans à 7.5pc. Il a été forcé de ses fonctions dans une arrière-salle-coup d'Etat ... "
Nous nous souviendrons, il parachuté son vice-président - Lucas Papademos - pour reprendre la Grèce lorsque le premier ministre George Papandreou a simplement suggéré qu'il pourrait soumettre le plan de sauvetage de l'UEM à un référendum, une bonne idée rétrospectivement. Cela fait deux coups d'Etat. Maintenant Syriza craint qu'ils sont la pêche pour une troisième.
Le FMI et le FESF sont à bord (plus de contrôle sur l'argent):
Il est évident ce qui se passe. Les créanciers agissent de concert. Au lieu d'arrêter de réfléchir un instant sur la sagesse profonde de leur stratégie, ils doublent machinalement, apparaissant de supposer que les tactiques de terreur vache les Grecs à la douzième heure.
Plus de contrôle de l'argent:
La troïka a poussé la privatisation des actifs rentables de l'Etat à des prix de dépression knock-down à des monopoles privés, au bénéfice d'une élite enracinée.
Ambrose met régulièrement ses doigts sur le problème. Il n'a jamais, cependant, se termine avec la solution appropriée:
Satellite par les étudiants : Sur les éléments électriques de l'Internet à la NASA
Par Jan Garrett
Voler a 25 000 kilomètres par heure à travers l'espace et la circonférence de la terre sur 5 000 fois par an: à Berlin, les étudiants développent des satellites qui sont plus petits, plus légers et moins cher que les avions de la NASA.
Qui aimerait apprendre quelque chose sur l'avenir de l'espace, pourrait, par exemple, dans la rue mars monter à Berlin-Charlottenburg et pénétré dans un bâtiment de béton tristes.
Il est au premier étage par un long couloir et puis dans une sorte de chargeur de saleté, qui est de garder des objets étrangers. Le visiteur doit porter une robe longue, blanche et glissez vos pieds dans la couche de finition en plastique : les cartes de circuits imprimés et autres pièces, il arrive à voir, ne pas toléré par la saleté de la route.
Après le verrouillage fonctionne sous autre Avsar Cem, un homme de 30 ans aux cheveux noirs et grands projets. L'ingénieur est chercheur associé au département de génie aérospatial de TU Berlin et mène des recherches avec les élèves une sorte de satellite populaire : dispositifs pour la galaxie, qui sont plus petit, plus léger et donc moins chers que toutes ces Erdumrunder, envoyer les organisations comme la NASA le long voyage.
Le dernier modèle, qui veut transporter Abraham et son équipe bientôt sur orbite, est appelé « Beesat-4 » et n'est même pas la moitié aussi gros qu'un grille-pain avec une taille de dix fois dix centimètres. À la fin du dispositif, qui est appelé à cause de sa forme de cube que Cubesat coûtera probablement moins de 500 000 euro - agences spatiales gouvernement investissent régulièrement trois chiffres en millions dans ses satellites. « Avec notre travail, nous aidons accès d'institutions plus petit à l'espace », dit Abraham.
L'ingénieur de Berlin et ses collègues ne sont pas seuls sur cette mission qui maintient l'Organisation pour la coopération économique et le développement même pour un « de l'espace démocratique ». Arrivée de « Beesat-4 », à 700 kilomètres, il rencontre une centaine d'autres satellites uni, dont près de la moitié depuis 2013 dans l'espace a été abattu. Le petit collège pilotes parlent, « UWE-2 » de l'Université de Würzburg, « Goliath » de l'Université de Bucarest ou « Jungpu » de l'Université à l'Indien de Kanpur.
Presque tous les satellites Studi reposent sur la même conception de cube et susciter un kg sur la balance. Certains des dispositifs de collecte de données sur l'atmosphère terrestre, mais actuellement il s'agit la plupart des opérateurs uni en premier lieu, que leurs petits aéronefs fonctionnent sans à-coup et fournissent des données de position précise régulière. Pas une simple tâche, car les cubes se précipitent avec une vitesse d'environ 25 000 kilomètres par heure à travers l'espace et la circonférence de la terre sur 5 000 fois par an.
Finalement, les Nano satellites devraient être matures, afin qu'ils puissent prendre sur les tâches de leurs grands frères au moyen d'autres construction et installations - y compris les données météorologiques collecte ou shooting photos espion.
Presque tous les chercheurs de l'espace de l'Université sont efforcent de maintenir les coûts aussi bas que possible. Il s'agit bien sûr déjà c'est pourquoi il est relativement facile, parce que les étudiants sont des travailleurs à bas prix. Contrairement à sur la NASA, les universités dans la construction du satellite continuer non seulement sur les fournisseurs hautement spécialisés, mais aussi sur les parties du magasin d'électronique ordinaire sur l'Internet - qui sont souvent facilement adaptés pour la construction d'un satellite.
Parce que les composants individuels sont également plus petits et plus petits, les Cubesats occupent peu d'espace et ont envoyé comme un auto-stoppeur de la galaxie. Prédécesseurs voyagea de « Beesat-4 » à bord d'une fusée russe "Soyouz" dans l'espace extra-atmosphérique, ainsi que l'ordinateur "Laurie" de Dresde - et 40 larves perchoir coloré, qui ont été envoyés au nom des universités dans l'ensemble de Nuremberg-Erlangen et Hohenheim. Les locales jeunes scientifiques veulent tester comment apesanteur affecte les animaux.
Parce que de nombreuses universités et entreprises intéressent par ce type de recherche, le nombre de taxis de l'espace privé se développe. Il a mis derrière les compagnies qui exploitent de fusées et de rivaliser avec l'État partie. Qui pousse vers le bas prix et pourrait avoir pour conséquence que, bientôt encore plus des chercheurs et des entreprises sur l'idée est venue pour l'exploitation des satellites.
Le Centre allemand pour l'aviation et l'astronautique (DLR) souhaitée par les bricoleurs uni non seulement considérable progrès de la technologie par satellite, mais aussi des jeunes activés. C'est pourquoi il a lancé un programme de soutien, destiné à aider les élèves à se familiariser avec la chaîne de développement complet d'un satellite : équipes de recruter, commander des pièces, assembler.
Le travail est très compliqué, et il n'est pas étonnant que parfois, les choses tournent mal. Comment par exemple à « Beesat-3 », qui a été abattu le 19 avril 2013 avec une fusée dans l'espace, et puisqu'il n'y a aucun signe avait disparu de lui-même. Peut-être certains composants de communication a échoué, peut-être recueillir les cellules solaires fournir assez de courant, et le petit satellite ne pourrait pas mettre en service. Est évident en l'espèce, que les étudiants ont fait un important espace d'expérience : une petite erreur ne suffit pas de condamner un projet à l'échec.
« La chance que quelque chose se passe mal, est formidable », a expliqué l'étudiant Marc Lehman de 28 ans, qui travaille pour son mémoire de maîtrise sur une interface pour connecter un appareil photo à l'ordinateur de bord. Le plus grand défi était de construire la technologie compliquée pour des températures extrêmes et le rayonnement qui prévaut à tous. « Parce qu'elle reflète les nuits autour des oreilles jamais », dit Lehmann.
Qui a dix satellites TU Berlin déjà dans l'espace de tir
Cependant, le travail aide les étudiants au cours de sa carrière dans l'industrie aérospatiale. Les chances sont, pour prendre pied sur les autorités comme DLR ou grandes sociétés aérospatiales tels que Airbus, défense et espace. "Nos diplômés travaillent principalement dans les bonnes positions, m. Cem Avsar. » Assure également l'excellente réputation de la TU Berlin, qui est l'un des participants plus réussis dans l'Université espace-course - malgré l'effondrement avec « Beesat-3 ». Qui a dix satellites TU tourné dans l'espace, en partie des développements révolutionnaires à bord.
Pour la série « Beesat », les ingénieurs ont construit, par exemple, cinq cents pièces grande réaction roues, ce qui peuvent modifier l'orientation du satellite de la terre par leur propre rotation. Cela peut être utile lorsque les caméras à bord doivent être axées sur une certaine zone. Par exemple dans le modèle actuellement prévu TUBIN, qui vise à suivre les feux de forêt à l'aide de caméras infrarouges et, bientôt, de faire le voyage.
Ainsi, le nombre de petits satellites, constamment en mouvement leurs trajectoires dans l'espace, va toujours continuer à croître - et à des possibilités insoupçonnées. Est sur la possible utilisation du satellite Armada Internet dans tous les coins du monde pour apporter: Wi-Fi sans faille pourrait lui donner bientôt même dans le désert et la haute mer – grâce aux cubes de prix abordable.
MIT scientifique montre ce qui peut arriver aux enfants qui reçoivent de l'aluminium contenu dans des vaccins
Dimanche 21 juin 2015 par Arjun Walia.
Une revendication souvent entendue de la communauté "pro-vaccination" lorsqu'il s'agit de relier des vaccins à l'autisme, c'est qu'il n'y a aucune preuve pour étayer ces affirmations. Cette vue est absolument absurde et dangereuse, compte tenu du fait qu'une énorme quantité de preuves scientifiques existent et sont disponible dans le domaine public qui suggère que certains vaccins pourraient éventuellement jouer un rôle dans le développement de l'autisme. Pour dire qu'il n'y a aucune probabilité de certaines vaccinations contribuant au développement de l'autisme est en contradiction avec la science.
Quand il s'agit de glyphosate de Monsanto et autres couramment utilisés pesticides (ainsi que d'autres toxines environnementales), la science qui les relient à des causes possibles de l'autisme (parmi beaucoup d'autres maladies comme l'Alzheimer et le cancer) semble être irréfutables et abondante. Vous pouvez en savoir plus sur que voici :
Scientifiques lier l'autisme à ces produits chimiques toxiques au cours du développement fœtal. Une autre étude révolutionnaire émerge des Pesticides agricoles qui relie à l'autisme.
En outre, nous avons eu des déclarations faites par des scientifiques qui ont eu des carrières longues avec les fabricants de vaccin, les compagnies pharmaceutiques et les organismes de santé comme la CDC. Nous avons également des documents qui indiquent la fraude scientifique et manipulation de données en ce qui concerne les effets indésirables des vaccins. (1) beaucoup d'exemples de "funny business" au sein de l'industrie alimentaire aussi font leur chemin dans le domaine public en ce qui concerne le rôle des OGM et pesticides en ce qui concerne leur lien avec les diverses maladies. Le fait qu'après qu'une étude a été publiée montrant que les deux produits de Monsanto, un maïs génétiquement modifié (GM) et l'herbicide Roundup étaient liés au cancer, rénales et hépatiques, la revue qui a publié l'étude nommé un ancien scientifique de Monsanto de décider quels documents sur les OGM et les cultures devraient être publiés en est un exemple (parmi tant d'autres). L'étude s'est ensuite rétractée, mais a été rééditée dans une autre revue depuis. (2) vous pouvez lire plus (et afficher) cette étude Ici.
Une chose que nous savons maintenant avec certitude est que le développement de l'autisme va bien au-delà de la génétique.
La recherche suggérant que les vaccins et le glyphosate pourraient éventuellement jouer un rôle dans l'autisme provient de différentes revues scientifiques ainsi que des recherches indépendantes menées par des scientifiques renommés de partout dans le monde. L'un de ces scientifiques est Dr. Stephanie Seneff. Cet article se concentrera principalement sur son point de vue quant au lien entre aluminium contenant les vaccins et l'autisme. Renseignements au sujet de l'autisme et les pesticides sont liés dans les deux articles ci-dessus après le premier alinéa.
Dr Seneff est chercheur principal au laboratoire d'Intelligence artificielle et informatique. Ces dernières années, ses recherches ont porté spécifiquement sur la biologie, la nutrition et la santé. Dans les trois dernières années elle a écrit plus d'une douzaine Articles multiples médicales et de santé revues connexes touchant de nombreuses maladies des temps modernes comme la maladie d'Alzheimer et l'autisme (entre autres). (3 )
Les vaccins et l'autisme
En Amérique du Nord, des millions de doses de vaccins sont administrées aux enfants chaque année. Divers produits chimiques sont ajoutés aux vaccins comme conservateurs et additifs chimiques thèses ont été responsables de remuer tout à fait la controverse, notamment au sein des deux dernières années. Une substance commune trouvée dans les vaccins est en aluminium.
Un article publié par Dr Seneff en 2012 fait valoir que des réactions indésirables graves aux produits chimiques (comme l'aluminium) dans les vaccins peuvent être associée liée la vie en danger les conditions qui sont associées avec le coeur et le cerveau. Le papier continue d'affirmer qu'il existe une relation entre l'autisme et des réactions indésirables aiguës aux vaccinations. Dr Seneff n'est pas prétendant que les vaccins peuvent provoquer l'autisme, elle réclame simplement que les enfants pourraient être vulnérables à une réaction aiguë à un vaccin avec adjuvant aluminium, qui pourrait causer des dommages neuronaux. (4 )
L'étude décrit également comment l'autisme est associé à des concentrations élevées de nitrate dans la circulation sanguine, et cet aluminium probablement joue un rôle dans la production de l'excès de nitrate. En outre, l'étude montre comment anormalement élevé des concentrations d'aluminium ont été récemment trouvées dans les analyses de cheveux de plus de la moitié des 34 enfants autistes qui ont été analysés. Un autre facteur important mentionné dans ses recherches est que l'autisme est associé à la fonction immunitaire anormale, et cela (elle prétend) est renforcée par les adjuvants d'aluminium dans les vaccins. (4 )
En résumé, le document fait valoir que l'autisme se développe suite à une insuffisance d'approvisionnement en sulfate de cholestérol pour stabiliser le système de suspension colloïdale du sang. Cholestérol sulfate approvisionnement est maintenue par des concentrations de nitrates « par intérim dans l'épiderme, l'endothélium et les suspension de globules, et qu'il exige le cholestérol de substrats et soufre, ainsi que la lumière du soleil, pour fournir l'énergie d'activation nécessaire pour la réaction ». (4) vaccins entrent en la photo parce que :
« Les vaccins contenant de l'aluminium sont problématiques, pas seulement parce que l'aluminium provoque eNOS passer de sulfate à la production d'oxyde nitrique, mais aussi parce que l'aluminium peut induire une nécrose des tissus au point de vaccination, imitant le processus du tissu endommager le placenta en pré-éclampsie. Dans les deux cas, la libération de l'ADN mitochondrial dans la circulation sanguine peut déclencher une réaction auto-immune aiguë. » (4 )
"Nous avons proposé dans cet article une nouvelle hypothèse pour la pathologie sous-jacente qui lie l'autisme et extrêmes indésirables des vaccins. On recommande également l'élimination de l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins." (4 )
« L'aluminium est une neurotoxine expérimentalement démontrée et l'adjuvant du vaccin plus couramment utilisés. Malgré près de 90 ans de l'utilisation généralisée des adjuvants d'aluminium, médicale compréhension de la science médicale de leurs mécanismes d'action est encore remarquablement pauvre. Il y a également une pénurie concernant des données sur la toxicologie et pharmacocinétique de ces composés. Malgré cela, la notion que l'aluminium dans les vaccins est sûr semble être largement accepté." (5) – Dr Chris Shaw, avec les départements de l'UBC d'ophtalmologie et Sciences de la vision, le programme d'études supérieures en neurosciences et médecine expérimentale
Je tiens également à mentionner que recherche expérimentale montre clairement qu'en aluminium en forme d'adjuvant crée un risque d'auto-immunité, inflammation du cerveau à long terme et les complications neurologiques et peut ainsi avoir des complications de santé défavorables profonde et généralisée. (5 )
Professeur Christopher Shaw et Dr Lucija Tomljenovic de UBC (dans une étude récente) montrent également que les enfants plus recevoir de vaccins avec adjuvants en aluminium, plus que leur chance est de développer l'autisme, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques plus tard dans la vie. Une neurotoxine démontrée, l'aluminium est le seul adjuvant approuvé aux États-Unis. Son utilisation présente le risque d'inflammation du cerveau, auto-immunité et autres conséquences néfastes pour la santé. (6 )
Tout comme une note de côté, on sait que l'aluminium s'accumule dans le cerveau et que cette accumulation est associé liée des maladies d'Alzheimer et de Parkinson et Syndrome de la guerre du Golfe. (7) (8 )
"Recherche expérimentale montre clairement que les adjuvants en aluminium ont un potentiel de provoquer de graves troubles immunologiques chez les humains. En particulier, en aluminium en forme d'adjuvant comporte un risque d'auto-immunité, inflammation du cerveau à long terme et les complications neurologiques associées et devront donc peut-être des conséquences sanitaires néfastes profonde et généralisée." (source )
Une étude publiée dans la revue pédiatrie a constaté que :
"Comme une ingérence dans une variété de processus métaboliques et cellulaires dans le système nerveux et dans d'autres tissus, aluminium est maintenant était impliquée." (source )
Un rôle pour la glande pinéale dans neurologique dommages suivants en aluminium Adjuvented Vaccination
Le document susmentionné par Dr Seneff provient de 2012. En plus d'actualité au sujet du Dr Seneff, elle a présenté récemment approfondir ses recherches scientifiques au troisième Symposium International sur les vaccins en mars 2014. Il faisait partie du 9e Congrès International sur l'auto-immunité. Elle a été invitée par Children Medical Safety Research Institute (CMSRI) pour discuter des effets nocifs sur la santé des adjuvants d'aluminium et aluminium-adjuvented vaccins.
Tel que noté ci-dessus, Dr Seneff communément fait valoir que les maladies neurologiques cérébrales sont le résultat d'un approvisionnement insuffisant de sulfate au cerveau. Elle soutient cette lacune sulfate systématique « est peut-être le facteur le plus important dans un grand nombre de problèmes de santé auxquels nous faisons face aujourd'hui. »
"L'une des conséquences du sulfate insuffisant dans le cerveau est qu'elle porte atteinte à la capacité du cerveau à éliminer les métaux lourds et autres toxines. Pour aggraver les choses, ces mêmes métaux toxiques aussi interférer avec la synthèse de sulfate. Le résultat net peut être une accumulation de débris cellulaires."- (source) Claire I. Viadro, MPH, PhD
Quelques études intéressantes ont été faites quand il s'agit d'héparine Sulfate, qui joue également un rôle clé dans le développement du cerveau foetal, protection contre les radicaux libres néfastes de. Quand il s'agit de carence en autisme et en sulfate, intriguant les preuves de ce qui arrive quand l'héparane sulfate est déficiente provient tant humaines et études sur les souris de l'autisme. Dans une étude, « conçus pour avoir vicié la synthèse de l'héparane sulfate dans le cerveau de souris affichent toutes les fonctions classiques de l'autisme, y compris les stéréotypies et déficits sociocommunicative. » (9) (expérimentation animale est cruelle, inutile et non nécessaires plus. Il y a autres méthodes qui existent maintenant les chercheurs peuvent utiliser pour faire leurs essais.)
Une autre étude publiée dans la revue Behavioural Brain Research a trouvé que ce type de carence existe dans la zone sous-ventriculaire des ventricules latéraux de quatre personnes autistes. Les auteurs ont conclu que cela « peut-être être des biomarqueurs pour l'autisme et potentiellement impliqués dans l'étiologie de la maladie. » (10 )
Ce que m. Seneff suggère est que la mélatonine est un facteur clé dans la prestation de sulfate au cerveau. Cette exposition au soleil qui permet la glande pinéale fournitures du sulfate le jour, stockant en molécules de sulfate d'héparane. Lorsque le soir arrive, la glande pinéale produit la mélatonine et le transporte comme sulfate de mélatonine à plusieurs parties du cerveau. La signification ici est qu'il existe une association de l'autisme avec l'appauvrissement de la héparane sulfate dans les ventricules latéraux et la troisième, et la pointe du troisième ventricule est située dans la glande pinéale. (source) Quand tout fonctionne, comment il est censé pour travailler, la glande pinéale livre sulfate du troisième ventricule, parmi d'autres parties du cerveau. Mais lorsque le cerveau est chargé avec des produits chimiques toxiques, comme l'aluminium, il fait obstacle à ce processus.
"En outre, la mélatonine transporte non seulement sulfate mais est également un antioxydant exceptionnel et lie les métaux toxiques afin de les jeter. On peut s'étonner, alors, cette déficience de la mélatonine a été impliquée dans l'autisme."– (source), Claire I. Viadro, MPH, PhD
Pour ce qui est en aluminium, il est un fait bien connu qu'elle joue un rôle dans diverses maladies neurologiques, et qu'elle peut perturber la capacité des glandes pinéale pour produire sulfate, qui signifie que le cerveau ne peut pas nettoyer elle-même des métaux lourds et juste, ils continuent à s'accumuler.
« La glande pinéale est particulièrement sensible à aluminium et autres métaux lourds parce qu'il n'est pas protégé par la barrière hémato-encéphalique et a un taux de perfusion sanguine très élevée. » (source) Claire I. Viadro, MPH, PhD
Vulnérabilité de la glande pinéale à l'aluminium est illustrée dans un document de 1996, montrant que les concentrations d'aluminium dans la glande pinéale étaient « constamment observée » et « nettement plus élevé » que dans les autres tissus cérébraux examiné (hypophyse, cortex et cervelet) (11 )
"Scientifiques prennent note du fait que nous vivons dans un « âge de l'aluminium, » avec l'exposition à l'aluminium qui se produisent à travers les vaccins ainsi que plusieurs autres canaux. En outre, bien que de nombreux experts voudrait nous faire croire que la question de la sécurité du thimérosal et vaccin s'en alla après organismes fédéraux a émis des recommandations tièdes pour réduire son utilisation comme un vaccin conservateur dans le début des années 2000, Dr Seneff a noté que le thimérosal est toujours très pertinent." (source) Claire I. Viadro, MPH, PhD
En résumé, m. Seneff est soulignant le fait que beaucoup de maladies neurologiques du cerveau ont une origine commune, qui comprend un approvisionnement insuffisant de sulfate au cerveau. Elle conclut qu'exposition aux métaux toxique améliorée (aluminium) nuit à la capacité de cerveaux à detox lui-même et de les éliminer. En conséquence, ces métaux toxiques interfère avec la synthèse de sulfate, créer une carence de sulfate d'héparane qui à son tour conduit à l'autisme (comme mentionné et souligné avec les études citées plus haut.) (12 )
Je tiens également à mentionner que l'autisme est composé d'un très large spectre. Certains des maux associés à diagnostic peut-être pas les maux du tout, mais les cadeaux qui sont en aucune façon associé aux vaccins. En revanche, je crois que dans certains cas, les caractéristiques que l'on voit chez certains enfants autistes sont à l'origine de diverses toxines de pesticides aux vaccins, surtout les enfants qui ont une génétique maquillage qui les rend plus sensibles à ces produits chimiques. Dans certains cas (je crois) il résulte de ces toxines diverses, et encore une fois, dans d'autres cas, je crois que c'est un cadeau et peut-être une étape de l'évolution.
(...) En outre, l'étude montre comment des concentrations d'aluminium anormalement élevé ont été récemment trouvées dans les analyses de cheveux de plus de la moitié des 34 enfants autistes qui ont été analysés. (...)
Sans aller jusqu'à désigner Monsanto comme étant l'auteur des chemtrails, j'aimerai bien connaître les résultats (si des analyses ont été faites) sur des non autistes ! Car, récemment est apparu cette information capitale dans un journal anglais:
Comme nous l’observions vendredi, il se passe des choses importantes entre la Chine et les autorités monétaires du reste du monde. Depuis la fin de la Route de la Soie, les Chinois se sont retrouvés dans une situation de simples observateurs. Le yuan ne fait pas partie des préoccupations monétaires des pays développés.
La Chine exerce une forte pression pour être incluse dans le panier de devises du FMI
Mais cette année, cela pourrait changer.
Beaucoup de gens plus intelligents que moi pensent que cela va se produire lors de la réunion du FMI, en octobre prochain…
"Pour la première fois, la Chine a une réelle chance d’obtenir du FMI la reconnaissance du yuan comme monnaie de réserve mondiale au même titre que le dollar et l’euro", rapporte Bloomberg.
Cette information est régulièrement relayée par les médias grand public comme CNBC…
En plus de cela, les Chinois s’organisent depuis longtemps (et ont stocké de l’or) pour que ce grand mouvement monétaire ait lieu.
Je suis cette affaire depuis 2011. Et depuis ce temps-là, j’ai toujours dit que 2015 est l’année où cela arrivera.
Ce qui nous amène à la situation actuelle… Il y a quelques semaines, je me trouvais à Washington, furetant autour du bâtiment du FMI.
Je n’ai vu aucune mallette remplie de yuans au bord du trottoir. Ni un nombre remarquable de Chinois — ils étaient néanmoins peut-être bien camouflés.
Plus sérieusement, cette interaction entre la Chine et le FMI est l’événement le plus important de l’année, et l’histoire n’est pas près de s’arrêter là.
Parier donc là-dessus assez tôt pourrait rapporter gros.
Mais cela soulève la question : comment cela va-t-il se passer ?
Eh bien, malheureusement pour les Chinois, je pense que ce sera une situation perdant/perdant.
Pendant de nombreuses années, les Chinois ont pu jouer avec leur monnaie et s’assurer que la balance penchait toujours en leur faveur. Rien qu’au cours des 10 dernières années, ils ont fait marcher la planche à billets avec excès …
Ainsi, la masse monétaire chinoise (M2) est passée d’environ 26 000 milliards de yuan à plus de 128 000 milliards de yuan — soit près du quintuple en seulement 10 ans ! Et vous pensiez que la Fed imprimait trop ?
Durant le même laps de temps (2005-2015) la masse monétaire des Etats-Unis (M2) n’a même pas doublé.
Dans un monde où une monnaie bon marché peut faire pencher la balance en votre faveur, la Chine a imprimé sans relâche.
Que se passera-t-il en cas d’accord avec le FMI ? Ce ne sera plus possible. Si le yuan entre dans les DTS, je suis certain qu’une partie de l’accord exigera un resserrement de la politique monétaire de la Chine. Cela pourrait représenter de TRES mauvaises nouvelles pour l’économie sur-inflationniste de la Chine.
Même si le yuan n’entre pas dans les DTS, je pense que cette situation pourrait être catastrophique pour les Chinois
Franchement, avec tout le foin que soulève cette histoire, même si la Chine ne reçoit pas l’accord du FMI, je parie que nous verrons une sorte de feuille de route grâce à laquelle le pays pourrait être accepté s’il obéit à certaines restrictions monétaires. Cette feuille de route pourrait être tout aussi fatale pour l’économie chinoise.
Pour résumer, au cours des cinq prochains mois, je pense que nous allons voir une forte pression sur l’économie chinoise — ce qui signifie que la bulle boursière chinoise pourrait bien éclater.
Mon conseil : évitez les actions chinoises. Et s’il vous prend la fantaisie de vous y aventurer, débrouillez-vous pour jouer la baisse…
Vague de froid inhabituelle pour un mois de juin sur le Nord de l'Europe
Météo World lun., 22 juin 2015 16:42 UTC
Une vague de froid inhabituelle pour un mois de juin, provoqué par la descente d'un air froid polaire qui s'est encore intensifié aujourd'hui, affecte depuis plusieurs jours le nord de l'Europe.
Sont concernés par ce froid : le Royaume-Uni, les Pays-Bas et l'Allemagne où les températures ont été proches des zéros degré hier, 3°C près de Hambourg. Il a même légèrement neigé juste en dessous des 200 mètres dans les Alpes Allemandes et Autrichiennes.
Des chutes de neige jusqu'à basse altitude sont attendues sur la Norvège, la Suède et la Finlande.
En France, le contraste thermique sera important aujourd'hui entre le nord qui va connaitre une journée digne d'un mois d'octobre avec des températures de 6 à 8°C en dessous des normales, et le sud de la France avec des températures de 3 à 6°C au-dessus des normales.
On pourrait par exemple relever au maximum de la journée jusqu'à 33°C dans le Sud-Ouest, et seulement 12°C sur le nord du pays.
Charles Darwin et son capitaine Robert Fitzroy a été témoin le grand séisme de 1835 au centre-sud du Chili. Des mesures précises du « Beagle »-commandant de bord a montré un soulèvement de l'île Isla Santa María de 2 à 3 mètres après le tremblement de terre. Ce que Darwin et Fitzroy ne pouvait pas savoir c'est le fait que 175 ans plus tard presque à la même position tel un fort tremblement de terre ne se reproduise.
À la côte de l'Amérique du Sud Ouest l'océan Pacifique sol se déplace sous le continent sud-américain. Qui entraîne à travers une in - et diminution de la tension de que la croûte terrestre le long de tout le continent de Tierra del Fuego au Pérou a battu aux côtés de l'ensemble du trajet dans la série de tremblements de terre dans un an et demi siècle. Le tremblement de terre de 1835 fut le début d'un tel cycle sismique dans cette région.
Après avoir examiné les résultats du tremblement de terre du Maule en 2010 une équipe de géologues de l'Allemagne, le Chili et les États-Unis pour la première fois étaient capable de mesurer et simuler un cycle complet de sismique à son mouvement vertical de la croûte terrestre à cet endroit.
Dans le cours en ligne-édition de Nature Geoscience , ils signalent sur les tremblements de terre : après le tremblement de terre de magnitude de 8,5 Isla Santa María a été soulevé jusqu'à 1835 3M, disparu à nouveau environ 1,5 m dans les années suivantes de 175 et upliftet nouveau 1,5-2 m causée par le tremblement de terre de Maule avec une échelle de magnitude de moment de 8,8.
Le tremblement de terre de Maule appartient aux grands tremblements de terre, qui a été entièrement enregistré et donc bien documentée par un réseau moderne de l'espace-géodésiques et géophysiques sur le terrain, les ensembles de mesurage. La reconstruction des processus en 1835 a été plus difficile. Mais les cartes marines de 1804 avant le tremblement de terre, de 1835 à 1886 ainsi que la documentation précise du capitaine Fitzroy permet en combinaison avec les méthodes actuelles une suffisamment de détermination précise du mouvement vertical de la croûte terrestre le long d'un cycle complet de sismique.
Au début d'un cycle de cet énergie est stocké par déformation élastique de la croûte terrestre, puis libéré au moment du tremblement de terre. "Mais il est intéressant, notre allusion d'observations à un taux de subsidence variable au cours du cycle sismique" explique Marcos Moreno GFZ allemand du Centre de recherche pour les sciences de la terre, l'un des co-auteurs. « Entre les grands séismes que les plaques sous Isla Santa María sont grandes verrouillé, glisser le bord de la plaque sud-américaine et l'île, vers le bas et vers l'est. » Pendant les tremblements de terre, la motion est soudainement inversée et le bord de la plaque de l'Amérique du Sud et de l'île sont projetés vers le haut et vers l'Ouest. » Ce modèle de mouvement complexe pourrait être parfaitement confirmé par un modèle numérique. Au total, au fil du temps se pose un soulèvement vertical permanent de 10 à 20 % de l'élévation complète.
Des tremblements de terre, les dossiers montrent qu'il n'y a aucun périodiquement les temps de répétition séquence ou cohérentes extensibles magnitudes des séismes. Un instrument important pour une meilleure estimation des risques causés par les tremblements de terre sont la compilation et la mesure de déformation croûte de la terre à travers un programme complet de la sismique.
Le dernier espoir de Kiev : la planche à billets, c’est parti
Par Valentin Katasonov Le 13 juin 2015 – Source strategic-culture
Yury Loutsenko, député et chef du parti de Petro Porochenko , a indiqué que la Banque nationale de l’Ukraine a lancé la planche à billets. Il est prétendument allé de l’avant après que le Premier ministre Arseni Iatseniouk lui a donné son approbation. Peu de gens on noté cette information. Ioulia Timochenko a rapidement confirmé la nouvelle (elle est une dirigeante de l’opposition). Elle a dit que l’émission incontrôlée sans contrepartie doit cesser. En janvier l’émission s’est élevée à 31 Mds de hryvnias.
La question a été mise à l’ordre du jour par des politiciens et des journalistes.
Le Premier ministre est dans une situation difficile. La première tranche d’argent reçue [du FMI] à la mi-mars, $5 Mds, est dépensée. Il n’y a aucune certitude que la prochaine tranche sera libérée (les pourparlers sur la restructuration de la dette sont dans l’impasse). Le gouvernement n’a pas d’argent pour les dépenses sociales (pensions, salaires, etc.). Iatseniouk n’a plus d’autre choix que la planche à billets.
Tout d’un coup le problème, qui n’est pourtant pas nouveau, est venu au premier plan. Cela ressemble beaucoup à un complot visant à se débarrasser du Premier ministre sortant. L’impression des billets avait déjà commencé l’année dernière. L’émission n’a aucune contrepartie (ni or ou devises des réserves de la banque centrale, ni obligations, ni billets à ordre,…). La seule chose qui vient avec l’émission des billets est l’émission de titres de créance, donc de dette. Voilà ce qui se passe en Ukraine.
La dette publique de l’Ukraine a augmenté énormément l’année dernière. Les médias s’intéressent surtout à la dette extérieure, mais la dette intérieure a augmenté aussi.
Voici les données officielles du ministère des Finances de l’Ukraine concernant la dette interne (en milliards de hryvnias)
En 2013, la dette publique interne a augmenté de 77,6 Mds de hryvnias (38%). L’augmentation était de 204,8 Mds de hryvnias en 2014 (72%). Pour couvrir la dette le ministère créait des titres de créance (des obligations). Les acquéreurs de ces titres sont les banques commerciales et autres organisations (compagnies d’assurance, fonds d’investissement, etc.) ukrainiennes ainsi que la Banque nationale d’Ukraine. Cette dernière rachète la part du lion de la dette. Selon les statistiques de la Banque, elle a acheté 181,9 Mds de hryvnias d’obligations du gouvernement en décembre 2014 – janvier 2015 (en outre elle a acheté des obligations en devises). Elle n’a pas vendu des obligations en devises l’an dernier, mais a continué à accumuler les titres de la dette. La valeur des obligations d’État achetées par la Banque était presque égale à 90% de la croissance interne de l’Ukraine.
Pavlo Rizanenko, membre du Parlement et président de la commission des finances et des activités bancaires de la Verkhovna Rada [le Parlement], a confirmé le fait de l’émission de billets. Selon les informations qu’il a obtenues de la Banque, en 2014 le montant de l’émission était de 176 milliards de hryvnias , dans les années précédentes elle allait de 20 à 50 milliards. Rizanenko a dit que le secteur privé n’a pas fourni de prêts au gouvernement, de sorte que la Banque nationale dépense l’argent du Trésor pour racheter les obligations. Les experts en macro-économie appellent cela la monétisation de la dette. Pour le dire simplement, ce n’est rien d’autre que la planche à billets. Rizanenko a déclaré que le volume d’émission était extrêmement important. L’imprimerie de la Banque est devenue une source importante de soutien pour le régime actuel. Il s’agit d’un cas classique d’émission sans contrepartie, exactement ce qui fait exploser l’inflation.
Des experts ukrainiens estiment que la hryvnia va logiquement s’affaisser en proportion de la hausse de l’inflation. Certains disent que le taux de change de la monnaie nationale contre le dollar US sera supérieur à 100 et peut-être même 200 hryvnias pour un dollar US. Ces estimations sont bien étayées. Selon le ministère des Finances, la dette publique a atteint 514,3 Mds de hryvnias au 1er mai 2015. Au cours des quatre premiers mois de l’année, la croissance moyenne de la dette était de 25,4 Mds, ou 5, 3%. Cela ne semble pas si étonnant en comparaison des indices de l’année dernière. Dans les années précédentes, les déficits budgétaires ont été rafistolés au détriment de la dette extérieure qui montait. La chute de la hryvnia au début de l’année a facilité le processus.
Certaines réserves de change accumulées grâce à l’emprunt ont créé l’illusion que le gouvernement remplissait complètement ses devoirs. Les réserves ont été épuisées, donc il n’y a plus rien d’autre à faire qu’à imprimer les billets. La Banque nationale d’Ukraine a déclaré qu’elle ne lancerait pas d’émission rampante. Sous la pression du Fonds monétaire international 1 elle a promis de ne pas laisser l’émission dépasser 91 Mds de hryvnias en 2015. En janvier-février 2015, la moyenne était de 10,2 Mds de hryvnias. Au printemps, elle descendait à 4,8 Mds de hryvnias en mars. En avril la Banque a émis seulement 3 Mds de hryvnias et vendu des obligations pour un même montant. En mai l’émission nette était de 7,9 Mds de hryvnias. Les réserves étant épuisées, le premier ministre a donné l’ordre de commencer l’impression des billets. Les détails seront connus dans un mois dès que la Banque nationale d’Ukraine aura publié les données de juin.
Acheter des obligations n’est pas la seule façon de combler les trous dans le budget. La Banque nationale peut refinancer les banques commerciales. Le refinancement classique est l’octroi de crédits par une banque centrale aux banques commerciales afin qu’elles puissent fournir des fonds pour l’économie. Les marchandises produites servent de contrepartie. Dans le cas de l’Ukraine, la Banque nationale stimule l’inflation parce que, directement ou indirectement, les banques commerciales achètent des obligations du gouvernement. Cet argent ne se dirige pas vers l’économie, il retourne au gouvernement, c’est une sorte de papier marchandise produit par l’imprimerie sans aucune contrepartie dans la réalité.
Ioulia Timochenko n’a pas manqué l’occasion de critiquer le gouvernement pour la chute de la monnaie. Selon elle, la raison était l’émission monétaire sans contrepartie et le refinancement incontrôlé des banques commerciales par la Banque nationale d’Ukraine. Il doit être entendu que par le refinancement du secteur commercial, la Banque nationale tente de compenser la sortie des dépôts. Pour la période du 1er janvier 2014 au 1er février 2015, la Banque nationale d’Ukraine a fourni 121,8 Mds de hryvnias à échéance de 30 jours, y compris aux banques russes. Timochenko pense que l’argent de la Banque nationale est enterré dans le sable. Ou, pour être plus précis, est volé. L’ancien Premier ministre sait de quoi elle parle, de sorte que la déclaration peut être digne de confiance. Selon elle, 109 Mds de hryvnias de remboursement n’ont pas été retournés à la Banque nationale. Elle dit que l’argent, un quart du budget de l’Ukraine, ne sera jamais rendu. Selon elle, elle n’a cité que les données officielles, il n’y avait rien d’émotionnel dans son message.
Selon les prévisions du Fonds monétaire international rendues publiques au début de l’année, l’inflation en 2015 pourrait atteindre 46% et dépasser le niveau record de 39,7% de 1996. Les prix ont augmenté de 40% cette année. Cela présage que le taux d’inflation va dépasser les prévisions du FMI. Le taux d’inflation de l’Ukraine est le 13e plus élevé au monde (l’estimation est basée sur les indices des cinq premiers mois de 2015). Si les informations sur l’impression de billets par la Banque nationale suite à l’ordre donné par Iatseniouk sont vraies, l’Ukraine peut être frappé par l’hyperinflation comme l’Allemagne dans les années 1920.
Par ailleurs, la montée en flèche de l’inflation n’est pas la seule similitude si vous faites une comparaison. Comme la question est devenue publique, un avis a été exprimé que le Premier ministre Arseni Iatseniouk, Victoria Gontareva, la directrice de la Banque Nationale, devraient démissionner. Les opposants politiques irréconciliables sont unanimes dans leur opinion, par exemple, Yury Lutsenko, le chef du parti de Petro Porochenko, et Ioulia Timochenko, chef du parti pan-ukrainien Patrie, ou Batkivshchyna défendent le même point de vue. Alors, qui devrait prendre la place des fonctionnaires démissionnaires ? Il y a un scénario intriguant qui pointe à l’horizon. Ioulia Timochenko a fustigé Victoria Gontareva. Selon elle, le Président et le gouvernement devraient s’adresser à la communauté mondiale pour obtenir de l’aide et demander un candidat avec une grande réputation.
Il y a une certaine logique ici. Puisque le ministère des Finances est dirigé par Natalie Jaresko, une ex-diplomate US, la Banque nationale devrait être dirigée par une femme venant d’un autre pays. Il serait préférable que ce candidat ait des liens avec le Système de la Réserve fédérale américaine car c’est là-bas que travaillent les personnes les plus respectables, selon la vision des choses à Kiev. Ensuite, il serait bon de franchir une autre et dernière étape – enlever l’enseigne La Banque nationale d’Ukraine et la remplacer par une autre Federal Reserve Bank of Ukraine.
La masse monétaire est la totalité du stock de monnaie et des autres instruments liquides dans l’économie d’un pays à un moment donné. L’offre de monnaie peut comprendre des espèces, pièces de monnaie et les soldes détenus dans les comptes chèques et d’épargne. Les économistes analysent l’offre de monnaie et élaborent des politiques qui tournent autour d’elle par le contrôle du taux d’intérêt et en augmentant ou en diminuant le montant d’argent circulant dans l’économie. les données sur la masse monétaire sont collectées, enregistrées et publiées périodiquement, généralement par le gouvernement du pays ou de la banque centrale
Voilà comment de faux économistes 's'en sortent' avec la célèbre planche-à-billets ! Ils paralysent les marchés avec une abondance de billets qu'ils va falloir rendre... en or ! C'est le cas de la Grèce (entr'autres) qui a reçu des avoirs qui n'existaient pas (sinon inscrits sur l'ordinateur) et que la Grèce se devrait de rendre... en or ! C'est pourquoi le PM grec a défendu son pays en disant que la 'dette' était illégale, illégitime et odieuse.
Et, qu'est-ce que les escrocs demandent maintenant ?
L'abandon de 'la planche-à-billets' au profit de la monnaie fictive (qui en fait l'a toujours été vis-à-vis de l'or en banques ou à la Réserve nationale) qui se fabrique en laissant le doigt appuyé (plus ou moins longtemps) sur une touche de chiffre sur le clavier ! Mais bien-sûr entre 'faux-monnayeurs', (ayant chacun un ordinateur chez lui), l'avenir est que chacun se fabrique ce qu'il a besoin !
Retour sur l’invention du vaccin contre la variole et la situation actuelle
Publié le 22 juin 2015 par jacqueshenry
Pour les Français, c’est Pasteur qui a inventé la vaccination, en réalité ce n’est pas Pasteur et le nom même de vaccin vient directement d’une maladie contractée par les fermières anglaises (et de bien d’autres pays) en trayant leurs vaches, des sortes de pustules ressemblant à s’y méprendre à la variole. Les faits se déroulèrent au XVIIIe siècle, donc bien avant Pasteur et il est souvent riche d’enseignements de relire l’histoire car on découvre l’ingéniosité de l’esprit humain qui sut faire avancer la science à petits pas, certes, mais des petits pas qui aboutirent à la plus grande avancée de la médecine, c’est-à-dire la vaccination. On savait depuis des temps reculés en particulier en Chine et en Turquie, bien avant l’époque de l’empire Ottoman, que la variole de la vache – en français vaccine – protégeait efficacement contre la variole (humaine) ceux qui avaient souffert de cette maladie, la variole touchant les deux tiers de la population et tuant un cinquième d’entre eux.
La « vaccine » fut donc la première expérimentation dont la finalité était la stimulation du système immunitaire pour se protéger d’une maladie afin d’éviter d’en mourir. Les observations d’immunité acquise contre la variole après avoir souffert de la vaccine restaient inexpliquées et ce n’est qu’à la fin du XVIIIe siècle qu’Edward Jenner, un médecin anglais né à Berkeley dans le Gloucestershire, comprit ce qui se passait dans la réalité. Jenner préleva du pus provenant des pustules de malades souffrant de vaccine et inocula celui-ci à des personnes saines qui développèrent la maladie dans le but de les protéger contre la variole. Il vérifia son hypothèse d’une immunité acquise en « variolant » ces sujets. La variolation était une pratique développée depuis très longtemps en Chine qui consistait à recueillir le liquide présent dans les pustules des personnes atteintes de variole et de l’inoculer dans la peau de personnes saines. Celles-ci étaient alors protégées contre la variole après avoir développé les mêmes symptômes que la maladie proprement dite mais atténués. Le même protocole appliqué avec le pus des pustules de la vaccine conduisit au même niveau de protection sans toutefois induire parfois de graves symptômes comme c’était le cas avec la variolation.
Fort de cette observation Jenner entreprit de collecter des fonds pour appliquer sa méthode à de nombreuses personnes pour les protéger contre les épidémies récurrentes de variole. Aujourd’hui la variole, grâce à la vaccination systématique mise en place au XIXe siècle, est la première maladie mortelle à avoir été éradiquée totalement et la poliomyélite est en passe de subir le même sort. La vaccination contre la variole reste obligatoire pour les militaires américains et leurs familles … Curieux, d’autant plus que la communauté scientifique considère que ce vaccin est aujourd’hui l’un des moins sûrs, du moins si l’on se réfère à ce qu’affirme une étude datant de 2003. Le vaccin actuel (bien qu’on ne vaccine plus contre cette maladie dans la plupart des pays développés) est un virus atténué authentique obtenu avec des cultures de cellules (Vero) de rein de singe Vervet africain. Paradoxalement cette technique d’obtention de virus atténués fut aussi utilisée pour produire le virus atténué de la polio et manque de chance ou mauvais contrôle industriel, certaines campagnes de vaccination contre la polio aboutirent à répandre massivement un autre virus présent chez le Vervet, le SV40. Ce dernier virus est suspecté d’avoir contaminé des millions d’enfants et d’adultes lors des campagnes de vaccination contre la poliomyélite. Le SV40 hautement suspecté de favoriser l’apparition de cancers contamina des lots entiers de vaccins polio façon Salk ou façon Sabin. Si l’affaire ne fut pas trop ébruitée en son temps car il s’agissait de combattre la poliomyélite en urgence, il n’en reste pas moins qu’à l’époque, sans les moyens d’investigation puissants de la génétique moderne, les pouvoirs publics avaient pris de gros risques qui s’avérèrent rétrospectivement anecdotiques car les études épidémiologiques ne révélèrent aucune incidence sur la fréquence de rares formes de cancers ou tout au plus un soupçon favorisant l’apparition comme co-carcinogène des cancers de la plèvre avec l’amiante. Cette observation conduisit pour partie à interdire l’usage de l’amiante …
Ces rappels sont là tout simplement pour montrer qu’une urgence sanitaire peut conduire à des incidents de parcours qu’il est difficile de prévoir ou de maîtriser. Mais revenons à la variole. À la fin du XIXe siècle, se « faire vacciner » représentait un coût et seules les classes sociales aisées pouvaient se permettre ce luxe. Il en résulta tout naturellement que la variole continuait à faire des ravages chez les pauvres comme c’est le cas aujourd’hui pour d’autres maladies. On accusa donc les classes sociales supérieures, protégées contre la maladie mais néanmoins porteuses éventuelles du virus, de le transmettre aux « pauvres » et cet état de fait introduisit une sorte de ségrégation entre les vaccinés et les non vaccinés. Avec la généralisation de la vaccination, il semble que le virus ait évolué vers une forme moins agressive, fait qui contribua probablement à son éradication.
Alors pourquoi conserver les souches de virus les plus dangereuses ? C’est du ressort des armées américaine et russe à tel point qu’en 2000 le gouvernement américain envisagea sous l’administration Bush de produire massivement des vaccins contre la variole car il s’agit d’une arme biologique dont il faut se protéger. Cependant la vaccination telle qu’elle fut décidée par l’armée américaine n’est pas anodine et les effets secondaires peuvent être vraiment indésirables et cela d’autant plus que ce projet était géré par des militaires. Il y eut tout de même un essai clinique organisé par l’armée américaine qui fut globalement catastrophique avec des complications cardiaques notoires pour des personnes ayant des pressions sanguines élevées, des taux de cholestérol hors normes, du diabète, un surpoids ou une prédisposition familiale à ces pathologies, autant dire plus de 60 % de la population américaine ! Pourtant 2,4 millions de militaires furent vaccinés entre 2002 et 2014 malgré les mises en garde du CDC. Il n’y a qu’un tout petit chemin à parcourir pour rapprocher cette campagne de vaccination du syndrome dit de la Guerre du Golfe qui coûta une fortune à l’armée américaine et qui persiste encore aujourd’hui sans qu’on ait pu en identifier les causes mais … suivez mon regard, car le nouveau vaccin produit par l’armée américaine est un véritable poison : le virus supposé désactivé est capable de s’installer et de créer ce qui s’appelle en jargon médical la « vaccine progressive », une sorte de variole atténuée qui progresse avec le temps au niveau du site de vaccination puis sur tout le corps. L’armée américaine a d’ailleurs inventé toutes sortes d’effets de la guerre du Golfe pour minimiser sa gestion catastrophique de cette vaccination obligatoire pour ses personnels comme par exemple l’utilisation de balles en uranium appauvri. Pas vraiment réjouissant !
La réintroduction de la vaccination contre la variole avec un virus atténué est donc potentiellement dévastatrice et ce qui est au contraire certain c’est que le virus détenu tant par les Russes que les Américains ne pourra jamais tomber dans les mains de terroristes tels qu’on les définit actuellement. La terreur pourrait au contraire provenir de l’establishment médico-pharmaceutique qui aimerait bien qu’une campagne de vaccination puisse être décidée afin de réaliser de monstrueux profits. On comprend donc un peu mieux pourquoi les souches de virus sont jalousement gardées, au cas où …
Liens : http://www.jennermuseum.com/the-garden.html. http://biotech.law.lsu.edu/blaw/bt/smallpox/Congress/040129_ABiodefenseFailureOneYearLater.pdf http://www.vaccines.mil/documents/1702_SmallpoxScreeningForm.pdf
Warren Buffett : Les dérivés sont toujours des armes de destruction massive et « sont susceptibles de causer de gros ennuis »
Par Michael Snyder, 22 juin 2015
Après toutes ces années, l'investisseur le plus célèbre dans le monde croit encore que les produits dérivés sont des armes financières de destruction massive. Et vous savez quoi ? Il est tout à fait exact. Le prochain grand effondrement financier mondial que beaucoup parlent AVERTISSEMENT est presque à nos portes, et quand il arrive dérivés vont jouer un rôle. Quand beaucoup de gens entendre le mot « produits dérivés », ils ont tendance à régler parce que c'est un mot qui sonne très compliqué. Et sans aucun doute, dérivés peuvent être extrêmement complexes. Mais ce que j'essaie de faire est de prendre des sujets complexes et de les décomposer en termes simples. À leur base, dérivés ne représentent rien de plus qu'une forme de légalisation des jeux d'argent. Un dérivé est essentiellement un pari qu'un élément soit seront ou ne se ne fera pas à l'avenir. En fin de compte, quelqu'un va gagner de l'argent et quelqu'un va perdre de l'argent. Il y a des centaines de milliers de milliards de dollars d'une valeur de ces Paris circulent là-bas et un jour que cette bombe à retardement gigantesque va s'éteindre et absolument paralyser tout le système financier mondial.
En 2002, le légendaire investisseur Warren Buffett partage les réflexions suivantes sur les dérivés avec les actionnaires de Berkshire Hathaway...
Le génie de dérivés est maintenant hors de la bouteille et ces instruments de seront presque certainement se multiplient dans la diversité et le nombre jusqu'à ce que certaines marques d'événement effacer leur toxicité. Banques centrales et les gouvernements ont donc présent, trouvé aucun moyen efficace de contrôle, ou le même moniteur, les risques posés par ces contrats. À mon avis, les dérivés sont des armes financières de destruction massive, transportant des dangers qui, bien que maintenant latente, sont potentiellement mortelles.
Ces mots s'est avéré pour être assez prophétique. Dérivés sont certainement multipliées dans la diversité et le nombre depuis cette époque, et il est devenu très clair comment toxiques qu'ils sont. Produits dérivés a joué un rôle important dans la crise financière de 2008, mais nous n'avons pas encore tiré nos leçons. Aujourd'hui, la bulle de dérivés est encore plus importante que c'était juste avant la dernière crise financière, et il pourrait tout à fait dévaster le système financier mondial à tout moment.
Lors d'une récente entrevue, Buffett a demandé si il est toujours convaincu que dérivés sont des « armes de destruction massive ». Il a dit à l'enquêteur qu'il croit qu'ils sont et ce "à un certain moment qu'ils sont susceptibles de causer de gros ennuis"...
Treize ans après la qualifiant de « armes de destruction massive » Warren Buffett a réaffirmé son point de vue qu'ils constituent une menace pour l'économie mondiale et les marchés financiers dérivés.
Dans une interview avec Chanticleer cette semaine, Buffett a déclaré que "à un moment donné, ils sont susceptibles de causer de gros ennuis".
« Dérivés, se prêtent à des quantités énormes de spéculation, » dit-il. La plupart du temps, les grandes banques qui font la plupart des échanges dans ces dérivés font très bien. Ils utilisent des algorithmes très sophistiqués qui les aident à sortir sur la fin gagnante de ces paris la plupart du temps.
Mais lorsqu'il y a une sorte d'événement imprévu qui provoque soudain un changement majeur sur le marché, qui peut causer des problèmes considérables. C'est quelque chose que Buffett discutés au cours de sa récente interview...
"Le problème se pose lorsqu'il y a une discontinuité sur le marché pour une raison ou une autre.
"Lorsque les marchés fermés comme si c'était pour quelques jours après le 11 septembre ou première guerre mondiale le marché a été fermée pendant quatre ou cinq mois – quoi que ce soit qui perturbe la continuité du marché lorsque vous avez des milliers de milliards de dollars d'encours nominales et aucune possibilité de s'installer vers le haut et qui sait ce qui se passe lorsque le marché s'ouvre à nouveau "dit-il. Donc si les marchés se comportent assez calmement et de manière prévisible, la bulle de dérivés probablement n'éclatera pas.
Mais aucun équilibre de cette nature jamais ne dure éternellement. N'oubliez pas ce qui s'est passé en 2008. Lehman Brothers s'est effondré, et puis le système financier pratiquement gelé. Selon Forbes, ils avaient à cette époque, que presque tout le monde avait peur de traiter avec les grandes banques parce que personne n'était sûr combien l'exposition à ces dérivés risqués...
Avance rapide jusqu'à la crise financière de 2008 et que nous voyons ? L'Amérique était encore célèbre. L'économie était en plein essor. Tout le monde semblait devenir plus riches, même si les signes avant-coureurs étaient partout : trop d'emprunts, investissements insensés, les banques avides, les régulateurs endormis au volant, politiciens désireux de promouvoir l'accession à la propriété pour ceux qui ne pouvaient pas payer il et éminents analystes ouvertement prédire cela pourraient seulement finissent mal. Et puis, chutant de Lehman Bros, a gelé le système financier et l'économie mondiale s'est presque effondré. Pourquoi ?
La cause n'était pas juste le Téméraire prêt et la prise de risque excessive. Le problème à la base était un manque de transparence. Effondrement de après Lehman, personne ne pouvait comprendre les risques de toute particulière de la Banque de trading dérivés et donc aucune banque ne voulais prêter à ou échanger avec d'autres banques. Parce que toutes les grandes banques avaient été impliqués à un degré inconnu en trading dérivés risqués, personne ne pouvait dire si toute institution financière pourrait imploser tout à coup. Après la crise, on nous avait promis que quelque chose se ferait sur le problème du « too big to fail ».
Mais au lieu de cela, le problème du « too big to fail » est maintenant plus grand que jamais.
Depuis la dernière crise financière, les quatre plus grandes banques du pays ont obtenu environ 40 % plus grand. Aujourd'hui, les cinq plus grandes banques représentent environ 42 % de tous les prêts aux États-Unis, et les six grandes banques représentent environ 67 p. 100 de tous les actifs dans notre système financier. Sans ces banques, nous aurions pas beaucoup d'une économie du tout à gauche.
Pendant ce temps, les petites banques sont poursuivent leurs activités ou ont été englouties par les grandes banques à un rythme effarant. Incroyablement, il y a des 1 400 banques petits moins en fonctionnement aujourd'hui qu'il y avait lors de la dernière crise financière a éclaté.
Nous ne pouvons donc pour ces banques « too big to fail » en fait échouer. Même la défaillance d'un seul entraînerait un cauchemar financier national. Les banques « too big to fail » qui je veux parler sont JPMorgan Chase, Citibank, Goldman Sachs, Bank of America, Morgan Stanley et Wells Fargo. Lorsque vous totalisez jusqu'à l'exposition à des produits dérivés que tous ont actuellement, il s'agit d'un total de plus de 278 billions de dollars. Mais lorsque vous totalisez jusqu'à tous les actifs de toutes les six banques combinés, il s'agit seulement d'un total d'environ 9,8 billions de dollars. En d'autres termes, les banques « too big to fail » sont exposées aux produits dérivés qui sont plus de 28 fois la taille de leur actif total.
Les numéros suivants, j'ai partagé avec mes lecteurs avant, mais il est absolument crucial que nous comprenons tous comment extrêmement vulnérable de notre système financier est vraiment. Ces chiffres viennent directement du trimestriel plus récent de l'OCC rapport (voir tableau 2), et elles révèlent une insouciance qui est presque au-delà des mots...
Étant donné que les États-Unis a été créé tout d'abord, le gouvernement américain a accumulé une dette totale d'un peu plus de 18 billions de dollars. C'est la plus grande montagne de la dette dans l'histoire de la planète, et il est devenu tellement grand qu'il est littéralement impossible pour nous de payer au loin à ce stade.
Mais les cinq premières banques dans la liste ci-dessus ont chacun exposition aux dérivés c'est plus de deux fois la taille de la dette nationale, et plusieurs d'entre eux sont exposés au dérivés c'est plus de trois fois la taille de la dette nationale.
C'est pourquoi je continue à dire qu'il y aura pas assez d'argent dans le monde entier pour sauver tout le monde dehors lorsque cette bulle dérivés enfin implose.
Warren Buffett est tout à fait correct sur les dérivés – ils sont vraiment des armes de destruction massive qui pourrait détruire l'ensemble du système financier mondial à tout moment.
Ainsi, alors que nous entrons dans la seconde moitié de cette année et au-delà, vous voudrez regarder pour des termes comme « crise dérivés » ou "crash dérivés" dans les bulletins de nouvelles. Quand dérivés de commencent à faire de nouvelles front page, ce sera un vraiment, vraiment mauvais signe.
Notre système financier a été transformée en le plus grand casino de l'histoire de la planète. Pour l'instant, les roues de roulette tournent encore et tout le monde est heureux. Mais tôt ou tard, un événement « black swan » arrivera que personne n'attend, et puis tout l'enfer va Barder.
12 signes que les Etats-Unis et la Chine sont dirigent vers la guerre
Par Michael Snyder, le 21 juin 2015
Si les Etats-Unis et la Chine sont censés pour être des « grands amis », pourquoi les deux parties agissent comme si la guerre est dans notre avenir ? Grâce à des événements survenus en mer de Chine méridionale et le vol flagrant des renseignements personnels de millions d'employés du gouvernement américain, les tensions entre les Etats-Unis et la Chine sont les plus élevés qu'ils ont été au cours des décennies. La plupart des américains supposent généralement qu'une guerre de tir réelle, réelle entre les Etats-Unis et la Chine pouvait jamais arriver, mais comme vous le verrez ci-dessous les chinois dépensent effectivement beaucoup de temps et d'argent à préparer justement un tel conflit. En fait, les chinois travaillent fiévreusement pour développer de nouveaux systèmes d'armes offensives qui serviraient seulement à une telle guerre. Bien sûr, il est très improbable qu'un conflit militaire entre nos deux nations arrivera dans notre futur immédiat, mais sans aucun doute, nous nous dirigeons dans cette direction. Et c'est comment les guerres arrive généralement – choses s'accumuler sur une période de temps avant qu'ils atteignent enfin un point de rupture. Il suffit de penser ce qui a eu lieu entre les États-Unis et le Japon en tête vers le haut à notre guerre avec eux. Il y a des années de troubles diplomatiques avant Japon finalement pris la décision de lancer une attaque de « surprise » sur Pearl Harbor. Droit maintenant, je crois que nous sommes dans une période similaire des problèmes diplomatiques avec la Chine. Au début, cela affectera probablement notre relation commerciale avec les chinois, mais en fin de compte, ça pourrait être bien plus que cela. Voici 10 signes que les Etats-Unis et la Chine sont dirigent vers la guerre...
#1 Se déplace de la Chine en mer de Chine méridionale ont irrité grandement responsables de l'administration Obama. Certaines des îles que la Chine a saisi sont également revendiquées par la Malaisie, Vietnam, Taiwan, Brunei et les Philippines. Aux États-Unis est lié par le traité pour défendre les Philippines dans tout conflit avec la Chine, et Brunei, Malaisie et Vietnam sont tous devait être parties du nouveau traité de commerce mondial super secret qu'Obama est en train de négocier. Ce qui suit provient de Business Insider...
Remise en état de la Chine de plus de 2 000 acres de terrain sur les îles contestées et les atolls de la mer de Chine méridionale depuis l'an dernier a soulevé l'alarme internationale sur ses ambitions territoriales. Washington a pris une mesure inhabituelle le mois dernier de faire connaître un vol de surveillance militaire américain qui a montré l'échelle massive du renforcement des île de la Chine.
La Chine dit les îles sont son territoire souverain, mais Washington fait valoir que la poursuite de la construction et la militarisation des îles pourrait attiser les conflits territoriaux complexes avec les voisins de la Chine, avec lesquels les États-Unis cherche à tisser des liens plus étroits tout en préservant la liberté de navigation dans les voies maritimes cruciales pour le commerce mondial.
#2 En Chine, on parle qu'une guerre peut être nécessaire de défendre les intérêts de la Chine en mer de Chine du Sud. En fait, un journal qui est qu'un porte-parole pour le parti communiste en fait a déclaré que la guerre avec les Etats-Unis « est inévitable » si les États-Unis continuent d'insister pour que les chinois doit stopper les activités sur ces îles...
Coïncidant avec la publication du livre blanc, un éditorial dans The Global Times – une embouchure de journal tabloïd pour le parti communiste au pouvoir – a émis un avertissement aux Etats-Unis pour mettre fin à sa protestation au-dessus de la mer de Chine du Sud.
La semaine dernière, le ministère des affaires étrangères de la Chine a révélé qu'il avait porté plainte avec les États-Unis sur un avion espion américain qui a survolé les régions de l'archipel contesté.
Elle a ajouté que la Chine a « soigneusement préparé » la possibilité d'une guerre avec Washington et que « si l'essentiel aux États-Unis est que la Chine est de stopper les activités, puis une guerre Etats-Unis-Chine est inévitable dans la mer de Chine du Sud ».
#3 Le vol des informations de jusqu'à 14 millions d'employés fédéraux est décrit comme "un acte de guerre". À ce stade, l'Obama administration semble convaincu que cet acte horrible a été commis par le gouvernement chinois...
La cybersécurité est une autre source d'acrimonie qui est en place pour la discussion, vu urgence fraîche par la brèche de sécurité massives qui ont conduit au vol de renseignements personnels autant que 14 millions employés fédéraux actuels et anciens américains. L'administration Obama estime que le gouvernement chinois, des pirates non criminels, était responsable de la violation qui contenait des informations d'autres renseignements sur le personnel militaire et du renseignement.
La Chine a nié l'implication dans le cambriolage et dit que c'est aussi une victime de cyberattaques. Alors, était la Chine derrière ce vol ?
Peut-être nous ne saurons jamais avec certitude, mais sans aucun doute cet incident a déclenché des tensions entre les deux nations.
Et que les tensions continuent d'augmenter, il est probable que le cyber espionnage commis par les deux parties ne fera qu'empirer. Ian Bremmer, fondateur du Groupe Eurasie, récemment à dit Business Insider qu'il estime qu'une "guerre" entre nos deux pays a déjà commencé...
«Nous devons être très clairs : la Chine est à la quasi-guerre avec les États-Unis, et la menace est beaucoup plus élevée que celui du terrorisme, qui obtient de la part du lion de l'attention — et, dans le monde post-9/11, financement. »
#4 La Chine a récemment mené une série de massifs exercices militaires simulant une attaque contre Taïwan. Étant donné que les États-Unis s'engage à protéger Taïwan, un véritable conflit de cette nature se traduira presque certainement aux Etats-Unis. Ce qui suit provient un article qui a été publié sur janes.com...
Dans une nouvelle analyse par Richard Fisher et James Hardy, IHS Jane rapporte que « une série d'exercices militaires chinois entre fin mai et début juin mis en valeur la capacité de l'armée populaire de libération (APL) au projet terrestre, aérien et la puissance navale dans les environs de Taïwan. »
Les exercices ont démontré plan de l'armée populaire de libération à utiliser des navires civils en cas d'urgence pour aider à stimuler ses forces.
"Pour compenser la petite taille de sa flotte de transport amphibie naval formel le PLA a cofinancé la construction d'un grand nombre de ferries utilisés par les sociétés civiles. Ils seront disponibles à l'APL en cas d'urgence et constituent un élément fréquent à des opérations civilo-militaires de transport,"Fisher et écriture Hardy.
#5 Selon Paul Joseph Watson, des milliers de navires marchands chinois sont être rééquipés à des fins militaires. Le conflit possible uniquement dans lequel l'armée chinoise aurait besoin « des milliers de navires marchands » serait une guerre avec les États-Unis...
La Chine est prête à moderniser des milliers de navires marchands à des fins militaires, afin qu'ils puissent être utilisés en cas de guerre, un autre signe inquiétant des tensions croissantes entre Pékin et Washington.
Publication de l'industrie d'expédition TradeWinds révèle que la Chine se prépare à une nouvelle flotte de « navires de guerre-prêt » pour servir de « une escadre de la réserve logistique militaire » en cas de conflit naval.
La nouvelle politique s'appliquera « porte-conteneurs, ro-ros, navires polyvalents, vraquiers et autres navires, » avec les chantiers navals recevant une subvention gouvernementale pour payer le coût de fabrication des vaisseaux « militairement utile ».
#6 Les chinois ont mis au point un missile de « tueur de transporteur » qui a été spécialement conçu pour détruire les porte-avions américains. Il y en a certains qui ont suggéré que ces nouveaux missiles auraient pu porte-avions américains obsolètes...
Néanmoins, certains ont suggéré que le DF - 21d a rendu le supercarrier obsolète. Bien que cela dépend de comment nous utilisons le terme « obsolète », c'est probablement trop tôt pour faire cette demande. La Chine a consacré temps vaste et ressources déterminer comment tuer les transporteurs américains, ce qui suggère que l'armée chinoise prend au sérieux les capacités du transporteur. En outre, le nombre de pays à la fois l'intérêt et les capacités techniques nécessaires pour développer le système des systèmes nécessaires au fonctionnement de l'ASBM est probablement limité à deux dans un avenir prévisible, avec seulement la Russie rejoindre la Chine.
#7 Les chinois ont maintenant la possibilité d'équiper leurs missiles nucléaires avec des ogives MIRV. Selon Bill Gertz, cela a sensiblement égaux l'équilibre des pouvoirs entre les Etats-Unis et la Chine...
Chine a effectué un essai en vol des missiles à longue portée samedi l'utilisation multiple, véhicules targetable indépendamment de rentrée ou MIRV, selon américaine de défense des fonctionnaires.
Le test en vol samedi d'un nouveau missile DF-41, redéployée de missiles balistiques intercontinentaux de la Chine, marque le premier essai de multiples possibilités d'ogive pour la Chine, fonctionnaires dit la balise gratuit de Washington.
La Chine a été connue pour développer la technologie de têtes multiples, qui elle obtenue illégalement aux États-Unis dans les années 1990.
Toutefois, le 13 décembre de la DF-41 test en vol, à l'aide d'un nombre inconnu d'ogives manœuvres inertes, est perçue par les agences de renseignement américaines comme un progrès significatif pour les forces nucléaires stratégiques de la Chine et une partie de l'accumulation qui est susceptible d'affecter l'équilibre stratégique des forces.
#8 D'autant plus préoccupant que le MIRV ogives sont les nouveaux véhicules hypersoniques plané que la Chine a mis au point. Ces missiles ultra-haute sont capables de transporter des ogives nucléaires et représentent une menace énorme pour les Etats-Unis...
La Chine a récemment effectué le deuxième essai en vol d'un missile nouveau, ultra-haute vitesse qui fait partie de ce que les analystes disent est le système mondial de Beijing des armes d'attaque capables de frapper les États-Unis avec des ogives nucléaires.
Le dernier test du nouveau véhicule hypersonique glide (VHG) connu comme Wu-14 a eu lieu le 7 août à une installation de missiles dans l'ouest de la Chine, a déclaré fonctionnaires US familiarisés avec les détails de l'essai dans des canaux internes.
#9 La marine chinoise est la construction d'une série de sous-marins SNLE extrêmement silencieux. Ces sous-marins pourraient potentiellement fluage jusqu'à nos côtes et de la pluie de missiles nucléaires vers le bas sur nous en juste quelques minutes. Ce qui suit provient d'un article de Bill Gertz...
Le commandant de la U.S. Northern Command, la marine chinoise a déployé trois missiles balistiques sous-marins en mer capable de frapper les États-Unis avec des missiles nucléaires, a déclaré mardi.
Amiral William Gortney, commandant, dit les sous-marins sont une « préoccupation » et seront capables de frapper les Etats-Unis lorsqu'il est complètement déployé avec des missiles et des ogives.
Les sous-marins de missiles sont déployés dans la mer de Chine méridionale à une base sur l'île de Hainan, selon un officiel de la défense.
#10 Les chinois ont développé des missiles nucléaires fondé sur les sous-marins qui pourraient potentiellement atteindre tous les 50 États des eaux de Hawaï...
La Chine pourrait cibler bientôt aux États-Unis avec des armes nucléaires en mer car il renforce ses sous-marins avec des missiles balistiques nucléaires à longue portée, un rapport du Congrès américain a trouvé.
Militaire de la Chine est définie en vue d'acquérir un fiable, dur-à-destruction en mer force de dissuasion nucléaire, une douzaine des missiles JL-2 étant montées sur ses sous-marins de classe JIN, selon un rapport présenté au Congrès par l'US-China Economic et le Conseil de contrôle de sécurité.
Les missiles ont une portée de grève d'environ 7 350 km, ce qui signifie qu'ils peuvent atteindre tous les 50 États américains, si elles sont lancées des eaux Ouest ou à l'est de Hawaï.
#11 À la fois quand l'US militaire est effectivement en baisse, les dépenses militaires chinoises s'accroît chaque année par deux chiffres...
Le Gouvernement de la Chine en mars, a annoncé une augmentation de 12,2 % des dépenses militaires à $ 132 milliards. Qui ont suivi la hausse de 10,7 % l'an dernier à $ 114 milliards, donnant la Chine le budget de la deuxième meilleure défense pour toute nation derrière les Etats-Unis, qui a dépensé $ 600,4 milliards sur ses forces armées l'année dernière.
#12 L'armée chinoise, c'est ne pas la seule préparation pour une guerre entre nos deux pays. Il s'avère que l'armée américaine a mené des exercices militaires qui sont spécifiquement orientés vers simulant un conflit avec la Chine. Ce qui suit provient de la BBC...
Regarder l'US Navy bouchent comme ça, il est difficile de ne pas être un peu intimidé. Aucune autre marine au monde a tout à fait les mêmes jouets, ou les exhibe avec le même charme facile.
Mais comme je suis sur le pont filmer mon rapport sur la façon dont « Les Etats-Unis exerce sa profession à la guerre avec la Chine », je vois mon hôte de la marine affaires publiques Bureau grimaçant.
On s'habitue à entendre la rhétorique PR: l'US Navy « n'est pas pratiquant à la guerre avec n'importe quel pays en particulier ». Mais l'US Navy n'a pas assemblé deux groupes aéronavals entiers et 200 avions au large de la côte de Guam pour un jolly, non plus. Il s'agit de pratiquer ce que le Pentagone appelle maintenant « Air Sea Battle ».
C'est un concept tout d'abord présenté en 2009, et il est spécialement conçu pour contrer la menace croissante de la Chine. Comme je le disais, une guerre entre les États-Unis et la Chine ne va pas se produire dans notre futur immédiat.
Mais ce serait une grave erreur de penser qu'il ne pourrait jamais arriver.
Plus en Chine, leur armée opère sous l'hypothèse qu'une guerre entre les deux superpuissances se tiendra certainement à un moment donné, et les chinois travaillent fébrilement à la figure des moyens qu'ils peuvent sortir par le haut dans un tel conflit.
Oui, les chinois sont devenus extrêmement riches nous vendre des marchandises. Dans le processus, nous avons perdu des milliers d'entreprises, des millions d'emplois et nous devons maintenant le chinois de plus de 1 billion de dollars. Les chinois n'a jamais voulus avoir une relation commerciale équilibrée et juste avec nous, car il a toujours été leur plan à émerger comme la superpuissance unique, dominante sur la planète entière.
Une fois que l'effondrement de notre économie alimentée par la dette, les chinois n'auront pas trop de plus pour nous l'utiliser. Au lieu de cela, nous serons juste un obstacle dans la voie de leur but de domination mondiale totale.
Si vous ne pensez pas que les chinois nous afficher de cette manière, il suffit de lire certains livres blancs produites par le gouvernement chinois et l'armée chinoise. Ils ne considèrent pas nous rendre à tous un « ami ». Au contraire, ils nous considèrent comme un ennemi qui doit finalement être vaincu.
Malheureusement, la plupart des américains semblent supposer que la communauté mondiale est une seule famille grosse, heureuse ces jours-ci.
En fin de compte, nous allons probablement payer un prix très avantageux pour être assez naïfs.
(...) La plupart des américains supposent généralement qu'une guerre de tir réelle, réelle entre les Etats-Unis et la Chine pouvait jamais arriver, mais comme vous le verrez ci-dessous les chinois dépensent effectivement beaucoup de temps et d'argent à préparer justement un tel conflit. En fait, les chinois travaillent fiévreusement pour développer de nouveaux systèmes d'armes offensives qui serviraient seulement à une telle guerre (...) !!
Voilà du parti-pris pour ce pays qui s'appellereait la Chine et qui 'mettrait tout en oeuvre' pour se défendre contre l'agresseur étasunien ! Mais, comme dans TOUTES guerres, les vrais coupables ne seront jamais punis/morts et attendront quelques années en rigolant avant de recommencer !
Sans parler des 'cyberpirate chinois' qui sont en fait que des 'touristes' americains venus en Chine pour voir et qui, bizarrement, ont pu de là-bas accéder plus facilement aux codes secrets qu'ils ne l'auraient pu depuis les States ! Cà alors !
De là a ce qu'ils disent que le '911' était chinois !...
Ils ne se décident pas à sortir du goulag européen. Pourquoi ? Les solutions alternatives existent et ils ont "promis" de rester au service du peuple. Hormis la réponse claire et précise que formulerait une victime des révolutions de couleur - personne ne désobéit aux ordres donnés par les complices de l'empire sous peine de mort pour lui et les siens - il se peut aussi que Syriza incarne la cerise sur le gâteau pour tous les membres de la zone euro.
Ils font le spectacle, balbutient des phrases toutes faites, expriment des sentiments convenus, avec une intonation d'acteurs. Ils rencontrent les fonctionnaires européens, ces figures hautaines dont on a pu constater, il y a peu, à quel point chacun est rempli de courage. Pendant ce temps, les responsables placés à la tête des autres pays européens ainsi qu'à la Commission sont tranquilles pour poursuivre le programme d'affaiblissement de l'Europe, obsession des fanatiques anglo-saxons depuis l'époque napoléonienne.
Négocier, mais pourquoi ?
La descente aux enfers de la population grecque est connue. Le PIB a chuté de quasi 25% en 8 ans, ce qui rappelle à quel point les efforts pour se hausser sont difficiles alors que les responsables de la finance détruisent tout en un clin d'œil. Les dépenses publiques, depuis la crise de 2007, ont baissé de plus de 18% alors que les recettes fiscales ont cru de 2,5%. La dette publique a évolué très raisonnablement, elle a à peine cru d'environ 20 % sur la même période, et l'excédent primaire, calcul demandé par les usuriers, a débuté en 2011 et ne cesse de se confirmer. Tout cela est bien meilleur que les résultats affichés par la plupart des autres pays de la zone euro. A telle enseigne que le satrape placé à la tête du Mécanisme Européen de Stabilité (MES), Klaus Regling, affirmait l'an dernier (en avril 2014) qu'il n'y avait aucun problème pour le renouvellement de la dette grecque sur les 10 prochaines années.
La dette grecque
Jusqu'à plus ample informé, elle est détenue à 40% au moins par le M.E.S. de l'Union Européenne, le reste est entre les mains du FMI et des pays de l'Union. En période de hautes eaux, grâce à la création monétaire forcenée des « faux-monnayeurs », les taux d'intérêt sont négatifs, le poids global des intérêts est donc faible et l'amortissement s'étale sur un délai très long, presque une génération (25 ans). Toutefois les usuriers, qu'ils soient privés ou publics, veulent des esclaves pour l'éternité. La dette, c'est le contrôle facile sur l'humanité, surtout lorsque la monnaie ne coûte rien à produire. Pour obtenir les clauses favorables du paiement des intérêts à partir de la dixième année après le début du prêt, et un délai d'exemption avant ce premier versement, il faut remplir des conditions : imposer des hausses de TVA, impôt uniquement payé par les ménages résidents, que l'on appauvrit au passage ; éliminer les retraites puisque le bétail doit travailler jusqu'à son dernier souffle, contrairement à ceux qui possèdent la richesse; privatiser au profit des « faux-monnayeurs », à qui il suffit d'émettre des dollars (ou des euros) pour acheter ce que bon leur semble. Or, Syriza s'est prosterné devant ces idoles. Il a augmenté la TVA sur certains produits, réduit les retraites - supprimé la retraite anticipée - vendu des infrastructures, le port du Pirée, les chemins de fer, les aéroports. Les financiers ne sont pas satisfaits ? Ou est-ce un scénario pour duper ?
De même que l'empire et ses affidés européens ont détruit les régimes arabes trop stables et indépendants, de même ils éliminent ceux qui ne leur conviennent pas en Europe. Le remplacement en Allemagne a commencé avec les guerres mondiales. En France, il a suivi le départ de De Gaulle. En Italie, le pouvoir de Berlusconi a été délogé au profit d'horreurs pires encore. En Espagne, le niveau dans lequel se meut le pouvoir est tellement répugnant que les élites d'Amérique latine ont fait peur à l'ancien responsable Felipe Gonzalez, qui a fui le Vénézuela, sous les huées d'une population chaque jour plus lucide. Il y a peu, l'empire US s'en est pris à l'Ukraine, et désormais l'abcès de fixation se trouve en Grèce, spectacle qui permet de faire marcher les autres pays au rythme du Bilderberg.
On ne saurait passer sous silence le chantage de Goldman Sachs placé à la tête de la BCE, Mario Draghi, dont le programme d'émission de monnaie est une horreur pour la population mais un cadeau fantastique à tous ceux spéculent. Malgré des concessions, le spectacle grec continue. On cache ainsi la destruction de l'Europe, et l'ampleur donnée aux négociations servira à montrer aux éventuels « inconformes » d'autres pays qu'il n'y a aucune chance de changer quoi que ce soit sur le fond. Quelques points de détail sont susceptibles de modification mais l'essentiel doit être décidé par les chargés de mission du bien en soi qui, depuis la guerre de sécession aux États-Unis, ont montré leur aptitude à répandre ce bien sur la terre.
Le sociologue James Petras a rappelé opportunément que Syriza a reconnu la légitimité de la dette externe d'un montant approximatif de 350 billions de dollars, alors qu'elle trouve sa source dans des escroqueries financières habituelles. Le parti a déclaré qu'il voulait la rembourser. Syriza a affirmé sa volonté de rester dans l'Union Européenne et la zone euro. Il a passé un accord avec un parti favorable aux infamies de l'OTAN. Le ministre de la défense a offert à l'organisation de nouvelles bases, en particulier sur l'île de Carpathos. Il a pompeusement proposé de créer un espace de défense avec Chypre et Israël.
Dans le même mouvement, la Turquie est agitée par les agents habituels du chaos, la Macédoine est mise en ébullition avec un plan qui a déjà fonctionné dans les Balkans et en Ukraine, et tout pays européen est susceptible de connaître les mêmes soulèvements organisés par les démons de l'ombre. Après que la TVA, les retraites, les biens publics, tout le programme de pillage de la Grèce aura été réussi, viendra le tour des autres parties, du moins pour ce qu'il en reste car la France et l'Allemagne ont déjà quasi tout donné.
Syriza sera-t-il finalement un leurre de plus ?
Sa fonction serait-elle d'attirer les mécontents vers de pseudo contestataires qui ,en réalité, se prosternent sur l'essentiel ? Avec Syriza, les alternatives sont éliminées par fragmentation de l'opposition. En même temps, il permet de peaufiner la liquidation de l'Europe, désormais offerte en prime aux populations venant du vaste monde.
La Jornada lun., 22 juin 2015 12:13 UTC Traduction : Luis Alberto Reygada pour Le Grand Soir
Cela fait maintenant plus d'une semaine que des manifestations ont lieu en Équateur pour exiger la démission du président Rafael Correa. Elles ont débuté suite à l'annonce par le gouvernement d'un projet de loi dont l'objectif est d'imposer les grandes successions et les plus-values qu'obtiennent les spéculateurs immobiliers. Au cri de « Dehors Correa, dehors ! », les leaders de l'opposition de droite ont attisé les protestations, concentrées principalement dans la capitale du pays et dans le port de Guayaquil, bastion de la droite.
Hier soir, Correa a annoncé le retrait temporaire du projet de loi pour ouvrir un grand débat national, expliquant que cette mesure répond au souhait de maintenir un climat de tranquillité avant la visite du Pape François en Équateur, qui aura lieu en juillet. Quelques heures avant, le président a demandé aux opposants d'abandonner les manifestations et de recourir à la consultation révocatoire. Il est important de rappeler que la Constitution équatorienne - approuvée par référendum en 2008- établit la possibilité de révoquer les mandats de toute autorité élue au suffrage directe. Lors des élections présidentielles de 2013 Correa a triomphé avec 57% des voix, soit 35 points de plus que son plus proche adversaire. Il est aussi important de rappeler-pour placer tous les éléments du contexte équatorien- que Correa a subit une tentative de coup d'État deux ans et demie plus tôt.
Il faut aussi prendre en compte le contentieux qui oppose l'Équateur à la multinationale pétrolière Chevron, compagnie qui a laissé toute une zone de l'Amazonie dévastée derrière son passage, territoire où elle a opéré jusqu'en 1992. Ce désastre environnemental a causé plus de 1 400 victimes mortelles et est toujours visible à cause des résidus pétrolifères [qui continuent de polluer la région]. Comme l'a indiqué le ministre des affaires étrangères de l'Équateur, Ricardo Patiño, lors de l'interview qu'il a concédé à ce journal[1], la multinationale demande que ce soit le pays qui paie pour les dommages causés à l'environnement et aux populations, qui se battent devant les tribunaux depuis plus de 20 ans afin d'obtenir des indemnisations. Force est de constater que les opposants qui exigent la sortie du président s'abstiennent bien de recourir à la consultation révocatoire, qui leur est pourtant disponible, et qu'au lieu de ça ils persistent à poursuivre leurs mobilisations dont l'objectif n'est plus très clair.
Du point de vue régional, le conflit politique équatorien s'articule avec ceux ayant cours dans d'autres pays. Ainsi, un jour après le début des manifestations à Quito et à Guayaquil, l'Argentine à vécut mardi dernier une grève générale convoquée par le syndicalisme-gangster local et appuyée par les grands médias. Comme en Equateur, les opposants au gouvernement argentin ont provoqué une flambée de tension à cause d'une loi qui n'affecte pourtant que les secteurs les plus aisés. On remarque que des manifestations de grande ampleur ont ou ont eu lieu récemment en Bolivie, au Brésil, au Chili, au Honduras, au Paraguay et au Venezuela, en plus des deux pays déjà cités, et que curieusement il s'agit à chaque fois de gouvernements qui ont en commun la volonté de construire leur propre développement de façon souveraine et digne.
Sans omettre que la plupart des manifestations de mécontentement dans ces pays se basent sur des erreurs réelles commises par leurs gouvernements respectifs, cette simultanéité suggère qu'en plus d'exprimer un agacement réel, ces mouvements pourraient être le résultat d'une manœuvre de déstabilisation régionale. La tactique étatsunienne et européenne d'amplifier et d'exacerber les malaises à l'encontre de gouvernements souverains est bien connue dans notre continent et pourrait bien être utilisée aujourd'hui contre les gouvernements latino-américains qui ont rompu avec le FMI et avec l'habituelle subordination au capital financier international, qui suivent la voie des politiques de bienêtre social et qui ont impulsé des processus d'intégration régionaux.
Bientôt un contrôle des capitaux en Grèce ? Et potentiellement en Europe ?
par Philippe Herlin 22 juin 2015
Comme Chypre au printemps 2013, il faut suivre avec attention ce qui se passe en Grèce, cela nous montrera à quelle sauce nous serons mangés. Suite à la faillite des banques chypriotes, il avait été décidé, dans l’urgence, de ponctionner directement les comptes de plus de 100.000 euros des déposants. Un pur vol, une remise en cause du droit de propriété, mais qu’importe ! Désormais, ce mode de règlement des crises bancaires est devenu très officiellement une directive européenne (BRRD, Bank Recovery and Resolution Directive) qui sera bientôt en vigueur dans l’ensemble des pays de la zone euro. Chacun est prévenu.
A Chypre, cette spoliation des comptes bancaires s'était évidemment accompagnée de la mise en place d’un strict contrôle des capitaux, de façon à empêcher les épargnants d’y échapper. Il semble qu’un dispositif comparable se mette en place en Grèce.
Dans la perspective d’une sortie de la Grèce de la zone euro, un scénario qui devient de plus en plus probable, il importe d’éviter un effondrement des banques et du circuit financier, aussi bien Athènes que les créanciers auraient tout à y perdre. En effet, devant la perspective de se retrouver avec des drachmes ne valant pas forcément grand-chose, les Grecs videraient leurs comptes pour mettre leurs euros à l’abri, en billets sous leur lit ou dans des banques étrangères. Ce mouvement a d’ailleurs déjà commencé, les retraits et les fuites de capitaux s’accélèrent ces dernières semaines, il s‘agirait simplement d’y mettre fin.
Le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung a affirmé, lundi, que les créanciers de la Grèce (FMI, BCE et Commission européenne) préparent un plan pour instaurer un contrôle des capitaux dans le pays, car celui-ci n’en dispose pas. Le parlement grec devrait voter une loi à cet effet, ce qui prendrait du temps, et laisserait aux capitaux le temps de partir, d’où la nécessité d’agir dans l’urgence pour ces créanciers afin d’éviter un effondrement complet de l’économie grecque. Il s’agit aussi, pour ces créanciers, de faire pression sur Athènes car ce contrôle des changes pourrait être imposé de l’extérieur si sa mise en œuvre trainait…
Eh bien prenons les paris : il apparaîtra bientôt une directive pour codifier et pouvoir mettre en place rapidement un contrôle des changes dans l’ensemble des pays de la zone euro. Une telle directive s’avère inévitable : celle sur la ponction des comptes bancaires (BRRD) entrera bientôt en vigueur, mais à quoi servira-t-elle si les épargnants peuvent virer leur épargne dans un autre pays, ou faire des retraits massifs en billets ?
De cette façon le contrôle des comptes bancaires serait complet : en cas de crise, en l’espace de 24 ou 48 heures, les retraits en liquide sont limités, les virements à l’étranger interdits, et finalement les comptes sont ponctionnés sans difficulté ni perte. Un scénario parfait pour les grandes banques, Bruxelles et les gouvernements, mais un cauchemar pour les épargnants.
Tout achat d'un bien d'une valeur de plus de 10 milliards devra être payé par carte de crédit ou chèque ! Une honte ! Hahahaha !
Cà me rappelle Georges Marchais "Aux riches, il faut TOUT prendre ! TOUT !" Hahahaha ! Je plains le type qui joue au tiercé ou au loto toute les semaines pour devenir riche ! Hahahaha !
Minimum de salaire-sensibilisation, mystérieux-magasin-arrêt de Wal-Mart supprime toute la marchandise drapeau confédéré de magasins
Soumis par Tyler Durden le 22/06/2015 19:36-0400
Dans le dernier acte populiste de plus Amérique du grand détaillant, minimum de salaire-sensibilisation, mystérieuse fermeture magasin Wal-Mart a décidé de supprimer toutes les marchandises drapeau confédéré de ses magasins. Apparemment elle continuera à stocks armes de poing, fusils, arbalètes, munitions et autres marchandises land-of-the-free-to-choose.
Comme les rapports CNN,
La Compagnie Wal-Mart, le plus grand détaillant du pays, supprimera toutes les marchandises drapeau confédéré de ses magasins, a déclaré à CNN lundi.
L'annonce est la latest indication selon laquelle le drapeau, un symbole du Sud esclavagiste, est devenu toxique à la suite d'une fusillade la semaine dernière dans une église afro-américaine historique à Charleston, en Caroline du Sud. Gouverneur Nikki Haley a annoncé en un lundi après-midi conférence de presse qu'elle supporte les supprimer le confédéré drapeau quitte les lieux de capitol d'État.
Walmart.com porte actuellement le drapeau confédéré, mais aussi les vêtements affichant le drapeau, tels que des T-shirts et des boucles de ceinture.
"Nous ne veux offenser personne avec les produits que nous offrons. Nous avons pris des mesures pour supprimer tous les éléments favorisant les confédérés du pavillon parmi notre assortiment--que ce soit dans nos magasins ou sur notre site web, « a déclaré le porte-parole de Wal-Mart Brian Nick. "Nous avons un processus en place pour aider nous amènent les bonnes décisions quand il s'agit de la marchandise que nous vendons. Pourtant, parfois, éléments font leur chemin dans notre assortiment mal--c'est une de ces instances."
Déclaration de Walmart est venue en réponse à une enquête CNN lundi. En plus de Wal-Mart, CNN demande Amazon et eBay, si ils supprimerait marchandise drapeau confédéré de leurs sites. Aucune entreprise n'a répondu à ses demandes répétées pour commentaire.
Le long débat au affichant le confédéré drapeau sur les bâtiments de gouvernement ont fait un tour rapide après le massacre de la semaine dernière à Charleston, qui a laissé neuf africains-américains morts dans leur église. Le tireur, âgé de 21 ans Dylann toit, a avoué le meurtre et a dit que vouloir lancer une "guerre de course"
Une photo largement diffusée du tireur tenant un pistolet et un drapeau confédéré a suscité l'indignation intense. Les critiques du drapeau appelé rapidement sur la Caroline du Sud à prendre vers le bas ce qui est largement considéré comme un symbole du racisme.
* * *
Une petite question... que se passe-t-il si le tireur/terroristes/tireur/nutjob est porteur d'un drapeau américain ?
NSA, GCHQ ciblées Kaspersky, autres entreprises de cybersécurité – Snowden docs
22 juin 2015 19:55
Américains et britanniques d'espionnage agences ont travaillé à désosser un logiciel antivirus afin de "exploiter ces logiciels et d'empêcher la détection de nos activités. » Entreprise de sécurité russe Kaspersky Lab a été particulièrement visé.
Citant les documents il y a plus de deux ans une fuite par entrepreneur ancien intelligence Edward Snowden, intercepter le signalés lundi qui le nous National Security Agency (NSA) et la British Government Communications Headquarters (GCHQ) associés à subvertir les logiciels antivirus et sécurité fabriqués par les goûts de Kaspersky Lab.
En outre, 23 sociétés de sécurité total--y compris la société antivirue F-Secure de Finlande, Avast de la République tchèque et DrWeb de Russie--ont été les cibles de la NSA "projet CAMBERDADA".
Les agences d'espionnage a cherché à rester devant les sociétés de logiciels--qui souvent drapeau malware parrainés par l'État--afin d'avantager les gouvernements américain et britannique au cours de la responsable des opérations de piratage.
Kaspersky Lab a été une cible particulièrement cruciale, selon les documents de Snowden.
"Produits de sécurité personnels tels que le russe un logiciel anti-virus Kaspersky continuent de poser un défi à du GCHQ CNE [Exploitation en réseau informatique] capacité et SRE [logiciel de rétro-ingénierie] est indispensable pour être en mesure d'exploiter ces logiciels et d'empêcher la détection de nos activités," GCHQ a écrit dans une demande de renouvellement de mandat de 2008. « Examen de Kaspersky et autres produits continue. »
Reauthorization demande--valable pour six mois depuis le 7 juillet 2008 au 7 janvier 2009--recherché du GCHQ émanant du Secrétaire britannique des affaires étrangères pour l'infiltration qui aurait « impliquent la modification de logiciels disponibles dans le commerce pour permettre l'interception, décryptage et autres tâches connexes ou le logiciel 'reverse engineering'. »
Il est bon de savoir que Kaspersky a donné mal à GCHQ en 2008. Serait préférable de savoir si cela ne fonctionne toujours aujourd'hui. https://t.co/hJUz3iIg1k
— Latentexistence (@latentexistence) 22 juin 2015
Sans un mandat d'ingénierie inverse, GCHQ craignait que ses actions pourraient être "illégaux" ou une contrefaçon des revendications de droits d'auteur.
« Rétro-ingénierie de produits commerciaux doit être justifiée pour être licite, » dit un mémo d'Agence GCHQ. « Il y a un risque que dans l'éventualité d'une contestation par le propriétaire du copyright ou le donneur de licence, les tribunaux, en l'absence d'une autorisation légale, tiendrait que cette activité était illégale [...] »
La NSA a également demandé des faiblesses dans les logiciels de Kaspersky Lab, employé par plus de 400 millions utilisateurs dans le monde entier, la société a demandé. L'Office de l'espion américain a conclu, en 2008, que la société transmet des données utilisateur sensibles à l'arrière des serveurs de l'entreprise. L'information "Baveur" --intégrée dans ce qui s'appelle "User-Agent" chaînes--a été interceptée et utilisée pour suivre les clients de Kaspersky puis, intercepter le signalé.
Dans une déclaration à l'intercepter, Kaspersky Lab a refusé "User-Agent" chaînes pourraient servir à suivre ses clients.
« L'information est dépersonnalisée et ne peut être attribuée à un utilisateur spécifique ou de la société » Kaspersky Lab a dit. « Nous prenons toutes les mesures possibles pour protéger ces données d'être compromis, par exemple par le biais de cryptage fort. »
À travers ce qu'on appelait « projet CAMBERDADA, » la NSA surveillées également le trafic e-mail des sociétés antivirus étrangères jusqu'à la fin 2010. L'Agence d'espionnage a cherché à découvrir des logiciels malveillants ou des vulnérabilités rapports. Projet CAMBERDADA comportait 23 sociétés antivirues, mais pas basée aux États-Unis McAfee et Symantec ou Sophos du Royaume-Uni.
« Chasseur prolifique A des malware parrainés par l'État, » selon l'intercepter, Kaspersky Lab, fondé par Eugene Kaspersky, a contribué à dénicher de nombreux supervirus, y compris de Stuxnet, un outil sans précédent de la cyber-guerre, en 2010.
« C'est extrêmement préoccupant que des organismes gouvernementaux seraient cibler nous au lieu de concentrer les ressources contre des adversaires légitimes et travail à la subversion du logiciel de sécurité qui est conçu pour nous garder tout sûrs » Kaspersky Lab a dit à l'intercepter. "Cependant, cela ne vient pas comme une surprise. Nous avons travaillé dur pour protéger nos utilisateurs contre tous les types d'adversaires. "Cela inclut les cyber-criminels de droit communs ou d'opérations de cyber-espionnage parrainé par l'Etat-nation."
Bien que la société a coopéré avec la police au cours de nombreuses enquêtes sur la cybercriminalité, la réputation de Kaspersky a gagné l'ire des espions occidentale, qui réclament que son entreprise est de mèche avec le service de renseignement russe FSB. Kaspersky a nié les accusations, en pointant sur les rapports de la société sur les logiciels malveillants qui sont venus les développeurs russes.
« Il est très difficile pour une entreprise avec des racines russes pour réussir aux Etats-Unis, les européens et les autres marchés, » dit-il dans un récent post de blog. "Personne ne nous fait confiance — par défaut."
La compagnie a exprimé qu'il aurait utilisé cette nouvellement trouvé informations pour contrer toute ces tentatives pour désosser et bouleverser ses services de sécurité, non seulement par le souci de protéger ses clients, mais pour aider à résister à la surveillance de masse en général.
"Comme l'a noté au cours de la récente attaque de Duqu 2.0 État-nation parrainé, nous jugeons extrêmement inquiétant que le gouvernement les organisations prennent pour cible les entreprises de sécurité au lieu de concentrer leurs ressources contre des adversaires légitimes et travaillent activement à subvertir les logiciels de sécurité qui sont conçu pour nous garder tout sûrs" Kaspersky Labs a déclaré dans un communiqué RT.
« À Kaspersky Lab, que nous travaillons avec diligence pour protéger nos utilisateurs et pour garder nos produits sûrs grâce aux efforts de code intense l'examen et la vulnérabilité d'évaluation. Nous examinons attentivement et enquêter sur les informations divulguées aujourd'hui afin d'évaluer le niveau potentiel de risque, il peut poser à notre infrastructure et comment atténuer efficacement. »
« Une fois de plus, nous tenons à insister sur la nécessité pour les entreprises de sécurité à travailler ensemble comme une communauté et la lutte pour la vie privée des utilisateurs, le droit à la vie privée sur Internet, déjouer la surveillance de masse et faire du monde un endroit plus sûr »
« Communiqué de câbles saoudiens est seulement un dixième de ce que nous avons » – WikiLeaks a RT
22 juin 2015 21:10
WikiLeaks Journalistes ont établi l'authenticité de la première tranche des documents top secret saoudien publié par WikiLeaks, comme l'Arabie saoudite a averti ne pas distribuer, porte-parole de la WikiLeaks a déclaré RT, ajoutant que « c'est juste le début. »
« Nous voyons comment l'argent du pétrole est utilisé pour augmenter l'influence de l'Arabie saoudite, qui est importante, bien sûr - il s'agit d'allié des Etats-Unis et le Royaume-Uni. Et depuis ce printemps, il a été la guerre au Yémen voisin, » islandais journaliste d'investigation et porte-parole de l'organisation WikiLeaks Kristinn Hrafnsson dit RT
Vendredi, le site Web de dénonciation a publié la première tranche de presque 70 000 dossiers du gouvernement secret, fournissant un aperçu de l'intérieur et de la politique étrangère du Royaume. Hrafnsson a déclaré qu'il s'agit "seulement un dixième des documents que nous avons qui, sortira dans les prochaines semaines".
WikiLeaks a déclaré qu'elle prévoyait publier environ la moitié un millions de documents, qui comprennent les communiqués du ministère des affaires étrangères de l'Arabie, ainsi que des rapports 'top secret' de l'Agence de renseignement du Royaume et le ministère de l'intérieur.
"Permettez-moi de vous rappeler que c'est qu'un début" , a-t-il déclaré ajoutant que les documents sont en arabe "donc il faudra plus de temps pour les médias à travailler sur le matériel et de développer des histoires."
Le samedi, en réponse aux publications de Riyad a exhorté ses citoyens ne pas à distribuer "documents qui pourraient être truquées." Toutefois, la déclaration faite par le ministère des affaires étrangères sur son compte Twitter n'a pas nié authenticité des documents.
« Il est intéressant qu'ils suggèrent qu'elles sont fabriquées les documents... sans mentionner une seule. D'autre part bien sûr journalistes ont déjà établi l'authenticité d'un grand nombre des documents qu'ils ont travaillé sur..." Hrafnsson a dit.
« Acheter le Silence »: coups de WikiLeaks sifflent sur le contrôle de Riyad des médias arabes Samedi, WikiLeaks a publié un rapport alléguant de l'Arabie saoudite "des efforts considérables pour surveiller et coopter les médias arabes".
Le Royaume prend une approche systématique pour maintenir l'image positive du pays sur la scène internationale, le site a affirmé ajoutant que Riyad il contrôle en contrôlant les médias et « achat loyautés d'Australie au Canada et partout entre les deux. »
Les « câbles saoudienne » a révélé "des efforts considérables pour surveiller et coopter les médias arabes, en veillant à corriger tout écart par rapport à une couverture régionale de l'Arabie saoudite et les questions liées à l'Arabie."
« Stratégie de l'Arabie saoudite pour la cooptation de médias arabes prend deux formes, correspondant à l'approche de « carotte et du bâton », dénommé dans les documents « neutralisation » et de « confinement ». L'approche est personnalisée selon le marché et les médias en question, » il a dit.
Ainsi des deux approches de ce dernier, le rapport présente l'Arabie d'acheter des milliers d'abonnements à des publications ciblées, qui devenu politiquement loyales envers l'État.
"Un document énumérant les abonnements nécessitant le renouvellement par le 1er janvier 2010 détaille une série de sommes contributives destinée à deux douzaines de publications en Damas, Abou Dhabi, Beyrouth, Koweit, Amman et Nouakchott. La gamme des sommes de 500 $ à 9 750 Dinars koweïtiens ($ 33 000). »
Le rapport dit que la somme de « pot-de-vin » dépend de comment bien la situation du pays sont.
« Elles vont de sommes petits mais vitales d'environ 2 000 $/ année au développement des médias de pays – une figure l'Agence guinéenne de presse « urgent » car « il permettrait de résoudre beaucoup de problèmes auxquels est confrontée l'Agence » – à des millions de dollars, comme dans le cas de la station de télévision de droite libanaise MTV. »
Entre autres questions, WikiLeaks a dit qu'il est préoccupé par l'Arabie saoudite influence médiatique durant le « printemps arabe » en 2011. Après la fuite de fichiers Riyad "a donné un soutien financier aux institutions des médias influents en Tunisie," le berceau du mouvement qui a abouti à plusieurs gouvernements étant renversés.
L'Arabie saoudite, deuxième producteur de pétrole du monde et le premier exportateur, est un acteur majeur dans l'Organisation des pays exportateurs pétrole (OPEP) qui contrôle la production de pétrole et les prix sur le marché mondial.
Le Royaume ultra-conservateur a également été largement critiqué par la communauté internationale pour son enregistrement scrupuleux des droits de l'homme. Lundi dernier Arabie saoudite effectué son centième exécution publique de l'année.
Des milliers de personnes protestent les factures d'électricité dans la capitale de l'Arménie
23 juin 2015 04:03
Des milliers de personnes sont sont rassemblées dans le centre d'Erevan, capitale de l'Arménie, à la demande que la tête du pays rétracte la décision des autorités de la hausse des prix de l'électricité pour le public.
La police arménienne ont bloqué une des rues centrales d'Erevan, la capitale du pays. Une marche de protestation de plusieurs mille-forte se dirige vers la résidence du Président qui se trouve dans la même rue. Les protestataires manifestent contre une hausse des tarifs d'électricité prévue pour août cette année.
Policiers en tenue anti-émeute ont formé plusieurs lignes dans la rue, soutenu avec des canons à eau – qu'il aura encore à mettre à profit.
Le chef de la police d'Erevan a dit les manifestants que le Président arménien Serzh Sargsyan est prêt à parler à plusieurs d'entre eux.
«Forment un groupe de trois à cinq personnes et le Président de l'Arménie les verrez. Le reste des participants protestation soient obligés de retourner à la place de la liberté, » il a dit à la réunion. Place de la liberté, c'est où la marche a commencé.
Toutefois, les manifestants a refusé l'offre, affirmant que le Président peut annuler l'augmentation des tarifs sans leur être présent.
Les manifestants, a déclaré que leur rallye est un paisible et est conforme à la constitution du pays. Cependant, les policiers les ont averti qu'ils réservent le droit d'employer la force pour disperser le rassemblement devraient les manifestants désobéir des ordres de la police.
Le rassemblement a commencé à la place de la liberté d'Erevan le 19 juin et fomenté un sit-in qui a exigé que la majoration des tarifs est annulée. Devrait il pas arrivé au soir du 22 juin, les manifestants, a averti qu'ils marcheraient sur la résidence du Président.
Giscard d’Estaing "prend tout le monde à contrepied" en soutenant Moscou
16:19 22.06.2015
En prenant position en faveur de la Russie, l'ancien président français Valéry Giscard d’Estaing a pris à revers une classe politique française et européenne qui n'ose critiquer la ligne aveuglément proaméricaine de l'Europe occidentale à l'égard de la Russie, écrit l'ancien diplomate Roland Hureaux.
"En prenant une position favorable à Poutine dans l'affaire ukrainienne, Valéry Giscard d'Estaing a pris tout le monde à contrepied", estime M. Hureaux dans les colonnes d’Atlantico.
Il rappelle qu'après sa rencontre avec Vladimir Poutine en mai 2015, l'ancien président français, généralement considéré comme un libéral proaméricain, a commencé à manifester des positions prorusses, notamment sur la Crimée et la crise ukrainienne.
VGE a souligné que les sanctions antirusses "ne sont pas dans l'intérêt de l'Europe, mais sont contraires au droit international".
"Les relations entre l'Europe et la Russie seraient meilleures si Bruxelles était réellement indépendant", a déclaré l'ancien président.
Notons que la position de M. d'Estaing est proche de celle de l'ancien chancelier allemand Helmut Schmidt, qui a fustigé la politique irresponsable de Bruxelles et a, dans une certaine mesure, soutenu la politique de Vladimir Poutine.
M. Hureaux affirme qu'en adoptant cette position audacieuse, Valéry Giscard d'Estaing "va dans le sens de l'opinion française éclairée, celle qui ne se laisse pas influencer par le matraquage anti-Poutine des médias, une opinion de plus en plus décalée par rapport à la position officielle de Hollande — et de la direction de l'UMP". Il explique que s’il n'y a pas longtemps, les partisans de la politique russe n'étaient pas nombreux, mais qu'actuellement "presque personne, en dehors de quelques intellectuels ne prend plus parti pour les Etats-Unis dans les affaires de l'Ukraine".
M. Hureaux finit par conclure: "il ne s'agit bien entendu pas d'être pro-ceci ou pro-cela. Il s'agit que notre diplomatie soit celle de nos intérêts et non pas des intérêts de quelqu'un d'autre".
Les États-Unis sont en train de devenir pour le monde un problème. Emmanuel Todd
L'Amérique s'impose de plus en plus comme une puissance tératologique et apocalyptique, illustrant une destinée de violence depuis presque deux siècles maintenant. En guerre elle donne Hiroshima, l'Irak ou le Vietnam, en culture les Tortues Ninja, Madonna ou Lady Gaga, en économie inégalités et dettes, des zones zombies ou la hideuse guirlande des Urban Sprawls (prolifération cancéreuse et géométrique des banlieues) qui défigurent le monde, et que le grand essayiste et écologue Dean Kunstler a brillamment dénoncé.
Dean Kunstler parle d'une économie hallucinée; on peut dire que le militarisme américain est aussi halluciné, qui propose aux Européens une extermination sous anesthésie pour cet été — car où est passée l'opinion publique susceptible de réagir ici ou là, où est passé le gouvernement européen susceptible de demander aux Américains d'arrêter leur délire? Je me souviens des manifestations menées par nos partis communistes en Occident, et qui rassemblaient 300.000 personnes, ou même des manifestations européennes contre la guerre en Irak…. Aujourd'hui personne ne réagit.
Mais en Asie aussi, la Thaïlande, les Philippines, d'autres Etats vassaux et corrompus, quadrillés par les bases US, promeuvent cette idée d'une guerre d'influence contre la Chine.
Faisons quelques rappels pour situer notre lecteur.
Tocqueville a recensé les désastres humains et culturels qui allaient venir d'Amérique (l'argent, le messianisme, le féminisme, le racisme, les médias aux ordres, la vulgarité…). Et alors que l'Amérique est encore loin de tout, il consacre plusieurs chapitres à la question militaire en « démocratie » américaine (Tome II, Troisième partie):
« De toutes les armées, celles qui désirent le plus ardemment la guerre sont les armées démocratiques. (…). On peut donc dire d'une manière générale que, si les peuples démocratiques sont naturellement portés vers la paix par leurs intérêts et leurs instincts, ils sont sans cesse attirés vers la guerre et les révolutions par leurs armées. »
Puis Tocqueville se fait encore plus inquiétant:
« Il y a deux choses qu'un peuple démocratique aura toujours beaucoup de peine à faire: commencer la guerre et la finir… (…) Il n'y a pas de longue guerre qui, dans un pays démocratique, ne mette en grand hasard la liberté. »
Deux éléments importants sont soulignés par le grand analyste français:
D'abord les Américains n'aiment pas faire la paix — ou la bâclent du mieux qu'ils peuvent. Du Traité de Versailles en 1919 en passant par le Vietnam ou la Guerre Froide après 1945 et l'actuelle ébullition russophobe et antichinoise, ils se livrent à la « guerre perpétuelle ».
Deuxièmement, Tocqueville voit que la guerre mettra fin aux libertés, comme l'a fait la guerre contre le terrorisme (cet EGM, être généré médiatiquement) à partir des années 90 ou du 11 septembre; la fascisation américaine peut être datée de Clinton, mais Chesterton la voyait poindre au cœur des années vingt: lynchage des noirs, chasse au facies (pas de juif, d'italien ou de balkanique en Amérique!), chasse au bolchevik-anarchiste, chasse enfin au buveur de bière ou de vin rouge…
Voilà où nous en sommes deux siècles après Tocqueville, quand les vassaux et les politiciens choisis (un politicien européen n'est plus élu, il est choisi, a déclaré un historien américain) vont accepter leur ruine avec un bel esprit de renoncement et dans l'indifférence d'une opinion publique momifiée. Les prétextes incriminés relèvent de la plus criante hypocrisie, hypocrisie qui existait déjà à l'époque de Rudyard Kipling ou Jules Verne quand on envahissait et pillait un pays pour les mêmes éhontés prétextes humanitaires. On évoque souvent l'hypocrisie de cette civilisation « démocratique » anglo-saxonne; l'analyste anti-impérialiste Hobson parlait en 1900 d'inconsistance de l'esprit humanitaire et impérial britannique. Peu cher payé pour les camps de concentration des Boers…
On pourra enfin rappeler une chose: ces démocraties se pensent meilleures, mais elles ne sont meilleures que parce qu'elles ont gagné leurs récentes guerres. Robert McNamara, dans Le Brouillard de la Guerre, le rappelle: « si nous avions perdu en 1945, nous aurions mérité d'être pendus. »
Il fut un temps où les démocraties prenaient plus de gants. On avait peur du péril jaune, du péril rouge, mais aujourd'hui on n'a même plus besoin de prétextes. L'Europe devient une colonie d'esclaves au service de l'étranger ou du bankster américain. A ce titre, elle et sa population sont « expendable », liquidables sur un champ de bataille ou dans une salle de marché. On fait confiance à la télé et aux ordinateurs pour anesthésier tout le petit monde.
Je pense au grand écrivain américain Gore Vidal; dans son beau pamphlet sur la guerre perpétuelle US, il écrivait:
« La junte du Pentagone en charge de nos affaires a programme son président pour nous dire que Ben Laden était un maléfique qui enviait notre bonté, notre richesse et notre liberté. »
Gore Vidal recense après 200 opérations militaires US de 1960 à 2000 puis il fait le lien entre la cruelle oligarchie boursière des années Clinton-Bush et la militarisation de la politique US devenue ultra:
« L'administration US, à peu près inepte dans tous les domaines sauf dans l'exemption des impôts pour les plus riches, a déchiré tous les traités auxquels les nations civilisées souscrivent, les accords de Kyoto, puis les accords nucléaires avec la Russie. »
Enfin, Vidal rappelle ce que c'est qu'un terroriste. Et ce n'est pas pour lui un fou d'Allah:
« Selon le dictionnaire d'américain d'Oxford, le mot terroriste désigne un supporteur des Jacobins, qui défend et pratique la Terreur, soit la répression et le bain de sang dans la propagation des principes de démocratie et d'égalité. »
Le grand romancier de conclure: la plupart des terroristes actuels se trouvent dans nos gouvernements occidentaux.
Voici les preuves des liens existant entre Washington et l’Etat islamique
22 juin 2015
Les informations selon lesquelles des avions étatsuniens et britanniques transportant des armes au groupe Etat islamique – mieux connu sous le nom d’EI – ont été abattus par les forces irakiennes ont provoqué un choc et ont renforcé le déni des pays occidentaux. Peu de personnes au Moyen-Orient se doute que Washington joue un «double jeu» avec ses armées de procuration en Syrie, mais certains mythes fondamentaux restent encore prévalents parmi les spectateurs occidentaux encore plus ignorants.
Un des mythes central est celui selon lequel Washington armerait à présent des « rebelles syriens modérés », à la fois pour renverser le gouvernement syrien et soi-disant pour «vaincre les rebelles extrémistes». Cette affirmation s’est accentuée en 2014, lorsque la raison d’être de l’agression étatsunienne contre la Syrie est passée d’une «intervention humanitaire» à un renouvellement de la «guerre de Bush contre le terrorisme».
Une controverse distincte est de savoir si les groupes affiliés à Al-Qaïda (surtout Jabhat al-Nosra et EI) ont été générés en réaction aux interventions répétées des États-Unis dans la région, ou si ils sont effectivement des agents payés par Washington.
Certes, les dirigeants importants de l’EI ont été détenus dans les prisons étatsuniennes. Le chef de l’Etat islamique (auquel Boko Harama a fait allégeance, ndt), Ibrahim al-Badri (alias Abou Bakr al-Baghdadi), déclare avoir été détenu entre un et deux ans à Camp Bucca en Irak. En 2006, lorsque al-Baghdadi et d’autres ont été libérés, l’administration Bush a annoncé son plan pour un «Nouveau Moyen-Orient», un plan qui avait pour objectif d’instrumentaliser la violence sectaire dans le cadre d’un processus de «destruction créatrice» dans la région.
Selon l’article de Seymour Hersh, publié en 2007, «The redirection», les Etats-Unis ont prévu d’instrumentaliser des «Etats sunnites modérés», et pas seulement les Saoudiens, pour «contenir» les gains chiites en Irak provoqués par l’invasion étatsuniens de 2003. Ces forces sunnites «modérées» viseraient à mener des opérations clandestines pour affaiblir l’Iran et le Hezbollah, les ennemis principaux d’Israël. Cela a rapproché les Saoudiens et Israël, qui tous deux craignent l’Iran.
Bien qu’il y ait eu des allégations que le calife al-Baghdadi de l’EI est un agent formé par la CIA ou le Mossad, celles-ci n’ont pas encore été bien étayées. Il y a certainement des motifs de suspicion, mais une preuve indépendante est importante, dans le contexte de la «guerre» supposée des USA contre l’EI.
De hauts responsables étatsuniens, et non des moindres, ont reconnu que des alliés clés appuyaient le groupe extrémiste. En septembre 2014, le général Martin Dempsey, chef de l’armée US, a déclaré lors d’une audience du Congrès «Je connais des alliés arabes majeurs qui financent [l’EI]». Le sénateur Lindsey Graham, du Comité des services armés, a répondu par cette justification, «Ils les ont financés parce que l’armée syrienne libre ne pouvait pas lutter contre [le président syrien] Assad, ils essayaient de battre Assad».
Le mois suivant, le vice-président étatsunien, Joe Biden est allé plus loin, expliquant que la Turquie, le Qatar, les Émirats arabes unis et l’Arabie Saoudite « étaient si déterminés à faire chuter Assad … qu’ils ont versé pour des centaines de millions de dollars et livré des milliers de tonnes d’armes à toute personne qui se battrait contre Assad … [y compris] al-Nosra et al-Quaïda et des groupes extrémistes djihadistes provenant d’autres parties du monde.. [qui ensuite] se sont nommés Etat islamique (EI) ». Les affirmations de Biden cherchaient à exempter les Etats-Unis de cette opération, comme si Washington était innocent dans les opérations soutenues et menées par ses principaux alliés. Ce n’est tout simplement pas crédible.
Les relations de Washington avec les Saoudiens, comme force sectaire de division dans la région, en particulier contre le nationalisme arabe, remonte aux années 1950, lorsque Winston Churchill a présenté le roi saoudien au président Eisenhower. A cette époque, Washington voulait mettre en place le roi saoudien comme un rival du président égyptien Nasser. Plus récemment, le général britannique Jonathan Shaw a reconnu le rôle de l’idéologie extrémiste de l’Arabie Saoudite : « C’est une bombe à retardement, sous couvert d’éducation. Le salafisme wahhabite est vraiment en train d’enflammer le monde. Et il est financé par l’argent saoudien et qatari », a déclaré Shaw.
D’autres preuves sapent les tentatives occidentales de maintenir une distinction entre les «rebelles modérés», désormais ouvertement armés et formés par les Etats-Unis, et les groupes extrémistes de Jabhat al-Nusra et de l’EI. Même s’il y a eu en effet une certaine rivalité (soulignée par le groupe des Frères musulmans basés à Londres, et l’Observatoire syrien des droits de l’homme), l’absence de réelle différence idéologique est révélée par la coopération et la fusion de ces groupes.
Alors que l’EI est venu d’Irak en 2013, ses bases syriennes sont généralement restées dans la partie extrême-orientale de la Syrie. Cependant Jabhat al-Nosra (la branche officielle d’Al-Qaïda en Syrie, à partir duquel l’EI s’est scindé) collabore avec des groupes islamistes syriens dans l’Ouest de la Syrie depuis plusieurs années. Le slogan génocidaire des islamistes syriens, «les Chrétiens à Beyrouth et les Alaouites à la tombe», repris à plusieurs reprises en 2011 par la Brigade Farouk, convenait bien aux groupes d’Al-Qaïda. Farouk (qui fut le plus grand groupe de l’«Armée syrienne libre») a en effet tué et réalisé un nettoyage ethnique de nombreux Chrétiens et Alaouites.
Une coopération sur le long terme entre ces «rebelles modérés» et le groupe Jabhat al-Nosra conduit de l’étranger a été constatée autour de Deraa, dans le sud, à Homs-Idlib, le long de la frontière turque et dans et autour d’Alep. Les mots Jabhat al-Nosra signifient réellement «front de soutien», qui est, un soutien pour les islamistes syriens. Retour en décembre 2012, alors que Jabhat al-Nosra a été interdit dans plusieurs pays, 29 de ces groupes ont exprimé leur solidarité dans leur déclaration: « Nous sommes tous Jabhat al-Nosra ».
Après l’effondrement des groupes de «l’Armée syrienne libre», la coopération entre al-Nosra et les nouveaux groupes soutenus par les Etats-Unis et les saoudiens (Dawud, le Front islamique, le Front révolutionnaire syrien et Harakat Hazm) ont contribué à attirer l’attention sur le soutien d’Israël pour al-Nosra, autour des hauteurs du Golan occupé. Depuis 2013, il y a eu de nombreux articles faisant état de combattants «rebelles», y compris ceux d’al-Nosra, qui ont été traités dans des hôpitaux israéliens.Le Premier ministre Netanyahu a même médiatisé sa visite aux «rebelles» blessés au début de 2014. Cela a amené à un « remerciement » public du chef «rebelle», Mohammed Badie, basé en Turquie(en février 2014).
La force de maintien de la paix des Nations Unies basée dans le Golan occupé a communiqué ses observations concernant les liens étroits entre les Forces de défense d’Israël et les combattants d’al-Nosra à la frontière. Dans le même temps, des armes israéliennes ont été trouvées au sein de groupes extrémistes, en Syrie et en Irak. En novembre 2014, les membres de la minorité druze du Golan ont protesté contre le soutien apporté par certains hôpitaux d’Israël pour les combattants d’al-Nosra et de l’EI. Cela a conduit à de nombreuses questions dans les médias israéliens, quant à savoir si Israël soignait « dans ses hôpitaux des membres d’al-Nosra et de Daesh [EI] ». La réponse d’un porte-parole militaire ne fut même pas un démenti : « Au cours des deux dernières années, les Forces de défense israéliennes ont été engagées dans des actions humanitaires, dans l’aide au sauvetage à des Syriens blessés, indépendamment de leur identité ».
La distinction artificielle entre «rebelles» et groupes «extrémistes» est raillée par de multiples rapports faisant état de défections à grande échelle et de transfert d’armes. En juillet 2014 mille hommes armés de la Brigade Dawud ont fait défection pour rejoindre l’EI à Raqqa. En novembre des défections de combattants du Front révolutionnaire syrien en faveur de Jabhat al-Nosra ont été signalés. En décembre, Adib Al-Shishakli, représentant de la ‘Coalition nationale syrienne » au Conseil de coopération du Golfe en exil, a déclaré que « les combattants de l’opposition » rejoignaient de plus en plus «l’EI» pour des « raisons financières ». Dans ce même mois, les «rebelles» de la région du Golan (adossé à Israël) ont été signalés comme ayant fait défection en faveur de l’EI, qui avait à cette époque commencé à établir une présence dans l’extrême sud de la Syrie. Puis, au début de 2015, trois mille «rebelles modérés» du groupe pro-étatsunien « Harakat Hazzm » ont rejoint le groupe Jabhat al-Nusra, en emportant avec eux un grand stock d’armes US y compris des armes anti-chars.
L’Etat islamique avait déjà acquis des armes US par d’autres moyens, à la fois en Irak et en Syrie, comme cela a été rapporté en juillet, en septembre et en octobre 2014. A cette époque, un «pacte de non agression» avait été passé dans la zone sud de Hajar al-Aswad entre les «rebelles modérés» et l’EI, ces deux groupes reconnaissant un ennemi commun en Syrie: « le régime Nussayri « , une façon sectaire de se référer aux musulmans prétendument apostats. Certains ont signalé que l’EI avait acheté des armes aux «rebelles».
En décembre 2014, il y a eu des articles des médias occidentaux concernant la livraison secrète couverte par les Etats-Unis d’armes lourdes aux «rebelles syriens» en provenance de Libye, et de l’obtention par Jabhat al-Nosra d’armes antichars qui avaient été fournies au groupe (pro-US) Harakat Hazm. Une vidéo postée par al-Nosra a montré que ces armes ont été utilisées pour prendre les bases militaires syriennes, de Wadi Deif et d’Hamidiyeh, dans la province d’Idlib.
Avec l’appui majeur des « alliés arabes » en faveur de l’EI et une collaboration importante entre les «rebelles modérés» soutenus par les Etats-Unis, il n’est pas illogique de penser que les vols de la coalition atlantiste menée par les Etats-Unis dans les zones de l’EI (soi-disant pour «détruire» les extrémistes ) auraient pu aussi constituer des lignes d’approvisionnement clandestines. C’est précisément ce que des sources irakiennes ont commencé à révéler, fin 2014 et début 2015.
Ainsi, tels que l’ont rapporté les deux médias irakiens et iraniens, le député irakien Majid al-Ghraoui a déclaré en janvier qu«’un avion US a largué des armes et du matériel aux miliciens du groupe EI dans la zone d’al-Dour dans la province de Salahuddin ». Les photos de l’EI en train de récupérer les armes ont été publiées. Les États-Unis ont admis la saisie, mais ont déclaré que c’était une «erreur». En février, le député irakien Hakem al-Zameli a déclaré que l’armée irakienne avait abattu deux avions britanniques qui portaient des armes à l’EI dans la province d’al-Anbar. Encore une fois, les photos des avions accidentés ont été publiées. « Nous avons découvert des armes fabriquées aux États-Unis, dans les pays européens et en Israël, dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région de Al-Baqdadi », a déclaré al-Zameli.
Le site web d’informations Al-Ahad a rapporté les propos du chef du Conseil provincial d’Al-Anbar, Khalaf Tarmouz, selon lesquels un avion étatsunien a fourni l’organisation terroriste de l’EI avec des armes et des munitions dans la province de Salahuddin. Toujours en février une milice irakienne appelé Al-Al-Shabi Hashad a déclaré avoir abattu un hélicoptère de l’armée étatsunienne transportant des armes pour l’EI dans les régions occidentales d’Al-Baqdadi dans la province d’Al-Anbar. Encore une fois, des photos ont été publiées. Après cela, les forces irakiennes contre le terrorisme ont signalé avoir arrêté « quatre étrangers qui travaillaient comme conseillers militaires aux combattants de l’EI », dont trois avaient (la double) nationalité étatsunienne et israélienne. Jusqu’à présent, les médias occidentaux ont évité de relayer ces informations ; ces manques sont particulièrement dommageables pour la version qui en est donnée en Occident.
En Libye, un collaborateur clé des États-Unis ( et de la France, ndt) dans le renversement du gouvernement Kadhafi a lui-même annoncé qu’il était le nouveau chef de l »Etat islamique » en Afrique du Nord. Abdel Hakim Belhaj a été détenu dans les prisons US pendant plusieurs années, puis il fut «rendu» à la Libye de Kadhafi, où il était recherché pour actes terroristes. En tant qu’ancien chef du groupe libyen islamique lié à Al-Qaïda, un groupe basé à Tripoli nommé « Jamahiriya Dawn », Belhaj a été défendu par Washington et salué par les membres du Congrès des États-Unis notamment par John McCain et Lindsey Graham.
Certaines manoeuvres visant à améliorer l’image des groupes d’Al-Qaïda sont en cours. Jabhat al-Nosra envisagerait de couper les liens avec al-Qaïda, pour recevoir le parrainage du Qatar afin d’augmenter ses sources de financement. Le magazine des Affaires étrangères (Foreign Affairs) de Washington a même publié une étude affirmant que les combattants de l’EI étaient « étonnamment en faveur de la démocratie ». Après tous les massacres commis et recensés cela manque de crédibilité.
L’armée syrienne a repris graduellement Alep, malgré les lignes d’approvisionnement hostiles en provenance de Turquie, du sud de la Syrie, et face au soutien de la Jordanie et d’Israël envers les groupes sectaires. La frontière avec le Liban est largement sous contrôle de l’Armée syrienne et du Hezbollah. Dans l’est, l’armée syrienne et ses alliés locaux contrôlent une grande partie de la région de Hasaka et de Deir e-Zour, avec une campagne finale contre Raqqa encore à venir. La tentative de l’OTAN et du conseil des pays du Golfe (GCC) de renverser le gouvernement syrien a échoué.
Pourtant la déstabilisation violente persiste. Les preuves de la relation secrète entre Washington et l’EI sont importantes et permettent d’expliquer ce que le ministre adjoint des Affaires étrangères de la Syrie, Fayssal Mikdad, appelle la «guerre cosmétique» de Washington sur l’EI. Ce groupe extrémiste est un cheval de Troie de Washington dans la région, ce qui affaiblit la Syrie et l’Irak. Leur «guerre» sur l’EI est inefficace. Des études menées par Jane’s Terrorism and Insurgent database montrent que les attaques de l’EI et les meurtres en Irak ont augmenté fortement après que les attaques aériennes US aient commencé. Les principales attaques efficaces contre l’EI au sol ont été réalisées par l’Armée arabe syrienne, et plus récemment, par les forces armées irakiennes avec le soutien iranien.
Tout cela a été rapporté de manière tronquée dans les médias occidentaux. Les mêmes canaux qui célèbrent le meurtre des soldats syriens par l’EI affirment également que l’armée syrienne « ne se bat pas contre l’EI » (Lire également : Pour l’Elysée, ce qui se passe en Irak c’est la faute de Bachar !, ndt). Ce prétendu «manque de volonté» faisait partie de la justification des bombardements étatsuniens à l’intérieur de la Syrie. S’il est certain que les priorités syriennes sont restées dans l’ouest densément peuplé, les médias locaux indiquent clairement que, depuis au moins le début de l’année 2014, l’armée arabe syrienne a été la principale force engagée contre l’EI à Hasaka, Raqqa et Deir Ezour. Un article de mars 2015 de Reuters concède que l’armée syrienne a récemment tué deux commandants de l’EI (y compris al-Deeb Hedjian Otaibi) ainsi que 24 combattants, à Hamadi Omar.
Une coopération plus étroite entre l’Iran, l’Irak, la Syrie et le Hezbollah libanais est inacceptable pour Israël, les Saoudiens et Washington, mais c’est ce qui est en train de se passer. Ce n’est pas une division sectaire mais plutôt une force basée sur des intérêts mutuels clairs, qui tentent de mettre fin aux groupes sectaires terroristes des takfiri.
Il était logique que, dans la récente offensive de l’armée irakienne sur la ville de Tikrit tenue par l’EI, l’armée iranienne ait émergé comme le principal partenaire de l’Irak. Washington a été mis à l’écart, provoquant la consternation au sein des médias US. Le général Qasem Suleimani, chef de la Force Qods de l’Iran, est un acteur majeur dans l’opération lancée sur Tikrit. Une décennie après la «destruction créatrice» issue des plans de Washington, visant à réduire l’influence iranienne en Irak, un article dans le magazine Foreign Policy se plaint que l’influence de l’Iran est « à son point culminant depuis quatre siècles ».
La télévision : regard clinique sur la machine à abrutir
RépondreSupprimerJonathan Fanara
dim., 21 juin 2015 04:10 UTC
Depuis les années 1950, dans un mouvement continu, la télévision s'est massivement implantée dans les foyers européens. D'aucuns lui prêtent aujourd'hui des vertus informatives, ludiques, sociales ou unificatrices. Elle contribuerait à faciliter la communication dans les familles, à éveiller, instruire et distraire les enfants, à dégager des plages horaires, durant les dessins animés ou les reportages animaliers, pour permettre aux parents de bricoler, cuisiner ou s'adonner aux tâches administratives et ménagères. Cette vision idyllique du petit écran, véhiculée de concert par les annonceurs et les dirigeants de chaîne, est largement battue en brèche par une vaste matrice d'études scientifiques, unanimes quant à ses effets pervers, à la fois sanitaires, cognitifs et comportementaux.
Bien moins inoffensif qu'il n'y paraît, à mille lieues des discours lénifiants d'un Serge Tisseron ou d'un Michael Stora, le tube cathodique donnerait lieu à une inépuisable série de facteurs favorisant l'obésité, la consommation d'alcool et de tabac, l'acte sexuel précoce et les violences de toutes sortes, un inventaire inquiétant auquel viennent encore se greffer des risques liés aux maladies cardiovasculaires, respiratoires et artérielles, ainsi que des phénomènes d'altération du sommeil. Des effets indésirables, et souvent irréversibles, généralement tenus pour quantité négligeable par des parents mal informés, permissifs ou démissionnaires, qui encouragent parfois eux-mêmes la téléphagie de leur progéniture. Comme Michel Desmurget le rappelle très justement, l'enfant n'est initialement demandeur de rien ; c'est son entourage qui le soumet délibérément aux stimuli télévisuels.
De TF1 à l'acculturation et la désensibilisation
Chercheur spécialisé en neurosciences cognitives, l'auteur met à nu l'extrême hypocrisie de l'institution télévisuelle. Les enquêtes d'opinion ont beau jeu de couvrir Arte de lauriers, il n'empêche que la petite chaîne culturelle franco-allemande ne pèse pas bien lourd face au mastodonte qu'est TF1 en des termes strictement médiamétriques.
De la même manière, les documentaires et magazines d'information, encensés par les sondages, apparaissent en rupture de ban quand il s'agit de mesurer leur audimat, se trouvant tristement relégués à l'arrière-plan par toute une cohorte de programmes abrutissants tels que les émissions de téléréalité.
(suite en dessous:)
On ne s'étonnera pas, dès lors, du déclin alarmant du niveau scolaire, précisément concomitant à la colonisation cathodique des foyers. Plus inquiétant encore, quel que soit la nature du programme regardé, segmentant ou fédérateur, analytique ou divertissant, et même s'il se revendique clairement comme « pédagogique » ou « didactique », on observe chez le téléspectateur des processus perturbateurs : d'acculturation - l'immersion de la télévision dans l'appréhension du réel - , d'anxiété - la grande peur de 1994 liée à l'affaire O.J. Simpson - , d'asociabilité - comportements inadéquats et/ou extrêmes désinhibés - , de troubles alimentaires - anorexie comme boulimie - , de moindre habileté sensori-motrice ou encore de désensibilisation à la violence, induite par le phénomène d'habituation - une diminution graduelle de l'intensité d'une réponse cérébrale donnée à un stimulus quelconque. Même sur le plan morphologique, la petite lucarne agit en sous-main ; certaines zones du cerveau canalisatrices se trouveraient hypertrophiées en raison d'une exposition accrue à la télévision, et singulièrement aux spectacles violents.
RépondreSupprimerSubvertir la pensée
Rien, dans la télévision, ne trouve grâce aux yeux de Michel Desmurget. Osez évoquer l'hypothétique effet cathartique des programmes violents, il objectera avec conviction au moyen d'une batterie d'études scientifiques, toutes concordantes. Tentez d'invoquer la bonne foi des chaînes, il vous renverra fissa à la célèbre déclaration de Patrick Le Lay, l'ancien dirigeant de TF1, admettant volontiers que son métier consiste avant tout à vendre à Coca-Cola du temps de cerveau disponible. Dans la grande foire à bestiaux télévisuelle, le spectateur n'est rien de plus qu'un « bovin amorphe et apathique » que l'on brade à des annonceurs devenus tout-puissants. Vous pensez prendre vos décisions en toute liberté et conscience ? N'oubliez pas que les marques dépensent chaque année des millions en études et neuromarketing pour mieux s'implanter dans votre esprit. Elles ne le font certainement pas en pure perte. De manière subliminale, elles s'impriment au fer rouge et parviennent à coloniser vos points cérébraux mnésiques et affectifs, allant jusqu'à marginaliser le goût et la raison dans leur volonté d'abattre toutes les digues.
À coups d'archétypes idéalisés, de héros positifs et de stars immaculées, le tube cathodique se met tout entier au service des industries agroalimentaire, du tabac et de l'alcool, peuplant notre inconscient de stimuli à finalité commerciale. Succès garanti et favorisé par des émissions bidon(née)s, confectionnées à la sauvette, et un zapping intempestif causant un détriment considérable aux programmes se risquant à proposer ne serait-ce que le début d'une once de subtilité.
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Une machine à abrutir ?
RépondreSupprimerLes faits sont têtus. Les données scientifiques, tout autant. Non contente de rouler pour l'industrie et d'insulter régulièrement l'intelligence de son public, la petite lucarne se plaît à étioler votre niveau d'écriture, de lecture, de sociabilité et de structuration de la pensée. Chez les enfants, quel que soit le milieu social observé, on note une moindre appétence de l'écrit, pourtant éminemment formateur, un moindre temps dévolu aux devoirs et une résistance certaine à se projeter dans des schémas cognitifs complexes. Le champ lexical, déterminant quant à l'appréhension juste et détaillée du monde, tend à s'assécher sous l'effet conjugué de la télévision et du manque de communication interpersonnelle. Le phénomène s'observe même chez les bébés et les jeunes enfants soumis à des programmes soi-disant adaptés ; en les privant d'interactions parentales et en chargeant leur esprit de stimuli inutiles, le petit écran les dépossède du meilleur outil d'apprentissage et de développement qui soit.
Suspecté de partir en croisade contre le tube cathodique, Michel Desmurget a essuyé durant ses recherches une vaste gamme de réactions outrées et consternées. Hâtivement taxé de vieux dinosaure incapable de se fondre dans l'air du temps, ou de réactionnaire insensible aux charmes et bienfaits supposés de la télévision, il narre, tantôt avec amusement, tantôt avec stupéfaction, les réticences et incompréhensions auxquelles il dût faire face. Des centaines d'études abondent pourtant en son sens, corroborent ses dires et légitiment ses inquiétudes. Sera-ce suffisant pour décrocher les enfants du poste devant lequel on les a lâchement installés ? Quand on sait l'importance des expériences formatrices et initiatiques, on ne peut que déplorer ce temps galvaudé devant des programmes culturellement exsangues et, parfois, moralement douteux. Bien conscient de l'énorme chemin à parcourir, l'auteur s'attend à voir encore longtemps les enfants passer davantage d'heures face à un écran abêtissant que face à leur instituteur...
http://fr.sott.net/article/25838-Television-regard-clinique-sur-la-machine-a-abrutir
Avant même la date de '2001' était portée sur les écrans l'obligations au chaînes de présenter au moins un barbu par reportage. Ainsi, depuis cette date et malgré la publicité pour les porteurs de barbe, il n'y a que moins de 1% des hommes qui l'ont, et, à la télé: c'est le contraire !
SupprimerRegardez aujourd'hui n'importe quel film: il y a FORCEMENT des barbus !
Par contre, là où çà été fort c'est dans les tatouages. Non, pas celui des chiens et d'autres bestiaux trop cons pour refuser, mais dans ceux proposés aux meufs (!!) et aux mecs. C'est comme si demain on leur demandait de s'implanter un suppo torride et définitif dans le cul... ils le feraient !
Pronostic brésilien sur le destin de l’Empire du Bien et de la Vertu
RépondreSupprimerDevrions-nous nous préparer à un effondrement des États-Unis du style de l’URSS ? La réponse, pour diverses raisons est oui !
Par Antonio Gelis-Filho
Le 2 juin 2015 – Source cartamaior.com
La longue séquence de revers économiques et géopolitiques des États-Unis depuis le début du siècle a maintenant reçu un élément de plus : la menace d'une attaque nucléaire sur le sol américain, faite il y a quelques jours par État islamique. Absurde ? Jusqu'à preuve du contraire (qui, nous espérons, ne viendra jamais) oui, c'est un non-sens complet. Mais l'important ici est moins la possibilité inimaginable de réaliser l'attaque que la nonchalance avec laquelle la menace a été faite. De toute évidence, État islamique ne craint pas les États-Unis.
Et pourquoi devraient-ils ? Après la décapitation des otages américains, après avoir vu le champ de bataille des soldats irakiens, censés être bien formés par des instructeurs américains, fuyant les combats, après la capture d'une quantité énorme de matériel militaire américain et après d'autres faits encore plus terribles qui ne seront jamais connus hors du champ des opérations, la horde terroriste peut se permettre de menacer d'une attaque nucléaire celui qui est, au moins sur le papier, la plus grande puissance du monde.
État islamique a exprimé avec son extrême violence habituelle ce qui est déjà perçu par la plupart des gens : les États-Unis semblent avoir atteint un point de non-retour dans leur déclin. La Russie a subi - et gagné - une guerre non déclarée contre l'Occident en Ukraine; la Chine occupe désormais sa Crimée maritime, les îles du Sud de la mer de Chine, où elle construit des îles artificielles pour militariser des atolls réclamés par plusieurs nations riveraines, mais qu'il considère comme partie de son territoire. Les protestations et les avertissements des États-Unis contre ces mouvements chinois sont traités par le mépris à Pékin, comme un vrombissement gênant de moustiques. La reprise économique américaine promise pour la énième fois à la fin de l'année dernière est en fait un repli de 0,7% au premier trimestre de 2015 en valeurs annualisées. Après tant de fausses annonces de reprise économique, après tous les échecs géopolitiques, après les signes de dégradation du tissu social du pays dans les émeutes contre la brutalité de la police, à Baltimore et à Ferguson, peut-être qu'il est temps de poser la question impensable : devons-nous nous préparer à un effondrement des États-Unis de style soviétique ?
La réponse, pour diverses raisons, est oui. Cela ne signifie pas qu'un tel effondrement est inévitable ou même probable. Mais le fait qu'il est possible et les énormes conséquences potentielles d'un tel événement demandent à tout gouvernement responsable de s'y préparer, au moins comme à un scénario stratégique.
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Et pourquoi un tel effondrement est-il possible ? L'explication réside dans les raisons qui unissent le pays. Les États-Unis n'ont pas été construits selon des lignes ethniques, qui tendent à maintenir les structures nationales unifiées, même en temps de crise. Il n'y a pas non plus de prédétermination géographique : sa frontière avec le Canada est presque entièrement artificielle. En fait, les États-Unis sont une entité politique artificielle, et non une émergence historique plus ou moins spontanée. Ils sont le résultat d'un plan d'expansion très bien réussie. Et quel est le facteur unificateur unique et essentiel dans le pays? Le succès. L'insurrection confédérée au XIXe siècle a clairement montré que le potentiel d'éclatement du pays est grand. Mais le succès retentissant du projet américain a, depuis, créé un monstre qui se nourrit de succès. Et ce monstre est maintenant affamé. Malgré toute la rhétorique autour des idéaux de liberté, la raison pour laquelle la plupart des immigrants sont venus est le progrès matériel. Et qu'est-ce qui pourrait garder le pays unifié lorsque ce progrès n'est plus un horizon raisonnable ? Au fur et à mesure que la couverture a rétréci, les élites locales des États les plus riches sont incités à ne plus payer pour les États les plus pauvres. Le culte de la réussite, cette véritable religion laïque des Américains et qui était responsable de la longue et riche histoire du pays, pourrait donc être le carburant d'un fractionnement. Il est tentant d'imaginer que les forces armées du pays permettraient d'éviter un tel effondrement. Initialement, cela aurait pu être vrai, mais l'affaiblissement économique, arrivé à un certain point, met en péril les intérêts des entreprises, et se débarrasser de ce qui pourrait alors être considéré comme le poids mort des États les plus pauvres garantira plus, et non moins, de pouvoir à ceux qui sont en mesure de contrôler l'armée. Le fractionnement pourrait alors facilement échapper au contrôle de ceux-ci. Quelque chose comme ce qui est arrivé dans l'Union soviétique.
RépondreSupprimerUn effondrement hypothétique des États-Unis serait beaucoup plus dangereux pour le monde que ne l'a été l'effondrement de l'Union soviétique. Celle-ci a été construite autour d'un noyau historique étendu, la Russie. Cela a permis à l'effondrement de suivre des lignes prédéfinies historiquement. La même chose est vraie pour les autres républiques soviétiques. Elles avaient déjà une vie institutionnelle au sein de l'Union soviétique, de sorte que les lignes de désintégration ont déjà été tirées. Lorsque ces lignes ne sont pas claires, la dissolution a été suivie par des conflits. Abkhazie et Ossétie du Sud se sont battues pour l'indépendance contre la Géorgie; l'Arménie et l'Azerbaïdjan se sont battus pour le contrôle du Haut-Karabakh et de Nakhitchevan; la Moldavie a été divisée en deux; L'Ukraine et la Russie se sont contestées le contrôle de Sébastopol. Ces conflits restent non résolus à ce jour ou aggravés.
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Comment imaginer ce qui pourrait arriver aux États-Unis, un pays où l'on estime que le nombre d'armes à feu dans les mains de civils peut atteindre 200 millions? Il est peu probable qu'une telle fragmentation hypothétique suivre les lignes des États. D'une part il est vrai que certains États américains ont une longue histoire, et assez riche pour prendre soin d'eux-mêmes; il est également vrai que beaucoup d'entre eux ont été déployés sur énormes territoires plus ou moins arbitrairement. Les nombreuses lignes droites qui définissent les limites de plusieurs États occidentaux le prouvent. Plusieurs de ces pays sont sans débouché sur la mer et dépendent des autres pour l'exportation de tout ce qu'ils produisent. Et de nombreux comtés limitrophes du Mexique ont une énorme population mexicaine ou mexicaine-américaine, qui bien sûr demandera la protection dans le pays du sud en cas d'effondrement.
RépondreSupprimerEn outre, l'effondrement soviétique a eu lieu pendant les périodes économiquement prospères de l'Occident. Absorber économiquement les fragments de l'Union soviétique était quelque chose de naturel, et même passionnant. Mais même en considérant le succès économique actuel de la Chine, une telle possibilité d'absorption économique des États-Unis supposément éclatés n'existe pas aujourd'hui, dans une économie mondiale déjà fracassée.
Une autre raison de craindre et de se préparer à une telle éventualité est l'empire, composé de centaines de bases militaires américaines dans le monde entier [plus de mille, NdT], souvent bien mieux armées que les gouvernements locaux. Qui les administre et comment ? Les leçons de l'effondrement soviétique ici ne sont pas une source d'optimisme.
Et nous avons encore de plus grands problèmes : qui prendrait soin de l'énorme arsenal nucléaire des États-Unis ? Contrairement à ce qui se passait dans l'Union soviétique, où Moscou avait assez de pouvoir sur les forces stratégiques soviétiques pour assurer un contrôle sur elles lors de l'effondrement, rien de ce style n'existe aux États-Unis.
Ce sont des raisons suffisantes pour que les décideurs politiques des puissances mondiales émergentes préparent des scénarios traitant de la situation, bien que peu probable, mais pas impossible, d'un effondrement américain de style soviétique.
http://lesakerfrancophone.net/pronostic-bresilien-sur-le-destin-de-lempire-du-bien-et-de-la-vertu/
L'anti-terrorisme et l'anti-corruption utilisés par les USA pour asseoir leur suprématie dans le monde entier
RépondreSupprimerEmilie Defresne
Media Presse Info
dim., 21 juin 2015 04:46 UTC
L'impérialisme américain qui se manifeste par le fer et le feu, est facilement observable. Plus subtil est l'arme anti-terrorisme et anti-corruption utilisée par la « justice » américaine pour asseoir sa suprématie dans le monde entier.
On se rappelle du scandale du procès intenté à la Banque française BNP Paribas, par les USA. La banque française devait répondre du fait de ne pas avoir respecté l'embargo décrété par les USA contre l'Iran. La « Justice » américaine a puni BNP Paribas en lui imposant une amende si énorme que la banque ne s'en est toujours pas relevée :
La BNP Paribas a été formellement condamnée par la justice américaine, vendredi 1er mai [2015] , à payer l'amende de 8,9 milliards de dollars (près de 8 milliards d'euros) faisant partie d'un accord annoncé en juillet avec des régulateurs pour violations d'embargos des Etats-Unis. (Source)
Vladimir Poutine a dénoncé, il y a quelques jours, l'intrusion de la « Justice » américaine dans n'importe quel pays au mépris du Droit international, à propos du procès des membres de la FIFA. (Voir ou revoir la vidéo ci-dessous).
A la faveur des attentats du 11 septembre, la NSA a été dotée de moyens d'espionnage exorbitants qui sont à l'origine de ces procès intempestifs; au nom de la lutte contre le terrorisme et contre la corruption, l'agence américaine utilise des moyens d'espionnage illicites, tant du point-de-vue du Droit américain, que du Droit international, et en fait profiter le FBI et la « justice » américaine, au mépris de toute déontologie, selon le principe de la loi du plus fort.
Eric Denécé, docteur en Science Politique, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) explique le processus sur Atlantico :
Nous savons que la NSA, depuis le Patriot Act qui a déjà largement augmenté ses possibilités d'action, est très largement utilisé à des fins économiques plutôt que contre-terroristes. (...). Sous couvert de lutte contre le terrorisme, les États-Unis écoutent la planète entière, souvent pour faire de l'espionnage de la concurrence, et pour asseoir la domination des entreprises nationales sur les marchés, sur le contrôle des technologies, et le contrôle des ressources naturelles principalement.
C'est la principale mission de la NSA.
Depuis l'été dernier, nous savons aussi que les Américains écoutaient les dirigeants européens qu'ils soient politiques ou économiques. Ces mêmes observations se retrouvent également chez les dirigeants chinois. Cela leur permet également de faire pression sur les individus dès lors qu'ils ont quelque chose à cacher.
(...) C'est par le biais d'un faisceau d'observation (et pour l'essentiel elles sont issues des révélations d'Edward Snowden) que nous pouvons tendre vers l'idée que cette hypothèse est crédible.
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Dans le cas précis du scandale de la FIFA, il faut savoir que la lutte anti-corruption est l'une des principales armes employée par les Américains, (...) pour s'attaquer à leurs concurrents politiques et économique. Ceux-ci ont décrété que leurs normes étaient obligatoires partout dans le monde. Cela est rendu possible par le fait que la moindre transaction en dollars, ou une quelconque activité sur leur territoire, les rend justiciables aux yeux des Américains. Le FBI, comme dans l'affaire de Sepp Blatter, peut alors prendre le relais et porter les affaires sur le plan de la justice internationale.
RépondreSupprimer(...) Avec ce système, les Américains ont compris deux choses : premièrement ils ont développé des armes anti-corruption pour que personne ne puisse gagner des contrats dans le monde grâce à la corruption, et cela leur donne dans le même temps l'arme de la pression. D'un côté ils ont contribué à faire évoluer les normes en matière de corruption, mais ils l'ont également utilisé pour écarter des contrats des personnes morales ou physiques étrangères. »
En d'autres termes, seuls les Américains peuvent utiliser l'arme de la corruption.
« Les données récoltées par la NSA ne sont pas utilisables dans les juridictions internationales ou par le FBI. En revanche, il est possible de les transformer en preuves légales : les informations sont transmises aux autorités judiciaires américaines, en l'occurrence le FBI, lequel sait désormais où chercher. Il suffit alors aux agents de demander dans le cadre d'une commission rogatoire à un fournisseur d'accès à internet ou à un opérateur téléphonique de mettre sur écoute l'individu ciblé, et de retrouver alors les preuves que la NSA avait déjà identifiées pour une poursuite judiciaire.
Donc, les USA et la « justice » américaine, qui se présentent en championnes de la lutte contre la corruption, contournent allègrement leur propres lois quand ça les arrangent.
« Si ce type d'utilisation était effectivement observé en France [en raison de la loi sur le renseignement votée récemment en France], cela se cantonnerait au territoire national. Or aujourd'hui le droit américain s'applique dans le monde. Prenons l'exemple d'une société allemande qui ferait des affaires avec l'Indonésie. Même s'il n'y a pas de concurrence avec une entreprise américaine, le droit américain s'appliquerait malgré tout. Si la corruption a lieu en euro, mais qu'un mail concernant la corruption se faisait à travers un serveur américain comme Gmail, le droit américain s'applique également. Et comme les Etats-Unis, à travers la part principale du dollar dans les transactions internationales, ou par des technologies américaines, il est difficile de ne pas être touché. Cela leur donne des moyens de coercition rarement vus.
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Ce dispositif technico-juridique leur donne une puissance extraordinaire : le vice-président Français d'Alstom mis en prison il y a plusieurs mois maintenant pour des soupçons de corruption s'est retrouvé lors de l'audience avec deux mails qu'il avait échangé un jour et qui servent aujourd'hui de preuve à charge contre lui. Les 14 mois de prison qu'il a fait jusqu'à aujourd'hui ne sont qu'uniquement liés à ces deux mails.
RépondreSupprimerCela leur permet dans le cas d'Alstom d'acheter une entreprise qui n'est pas à vendre, et de s'accaparer ses technologies.
Mais ces outils ne se limitent pas dans leur utilisation à la sphère économique. La corruption faisant partie intégrante du commerce international. Les Américains ont alors une arme de chantage extraordinaire.
« Les Chinois, les Européens, et particulièrement les Français sont dans le collimateur des Américains. Si des entreprises américaines sont parfois épinglées, le montant des amendes qu'elles payent sont en moyenne 4 fois moins importantes. Les seuls qui s'en sortent sans dommage sont les Britanniques et les israéliens.
Il serait possible de neutraliser rapidement ce dispositif par une volonté politique. Le point est essentiellement juridique, et nous avons donc les moyens d'y répondre. » (Source: Atlantico)
Mais apparemment la volonté politique est paralysée en France, face à l'Empire. La seule leçon retirée par les autorités françaises semble être d'utiliser les mêmes méthodes mais en interne avec la loi sur le Renseignement, récemment votée, qui ressemble comme une sœur au Patriot Act américain.
http://fr.sott.net/article/25840-L-anti-terrorisme-et-l-anti-corruption-utilises-par-les-USA-pour-asseoir-leur-suprematie-dans-le-monde-entier
La Grèce et la stratégie du choc
RépondreSupprimerNicolas Bourgoin
dim., 21 juin 2015 04:26 UTC
La « stratégie du choc » est une politique de démantèlement des biens publics et de réduction drastique des libertés menée après une grave crise économique, politique ou environnementale, un attentat ou une guerre. Elle s'inspire des techniques de lavage de cerveau et de privation sensorielle employées par la CIA visant à détruire la mémoire du sujet, briser ses capacités de résistance et obtenir une « page blanche » sur laquelle écrire une nouvelle personnalité. A l'échelle d'une population, il s'agit de faire « table rase » du passé en réduisant à zéro le patrimoine public d'un pays, ses structures sociales et économiques pour y construire une nouvelle société.
Privées de leurs points de repères, littéralement en état de choc, les populations victimes de ce traitement se sont vues spoliées de leurs biens publics (éducation, santé, retraites) et de leurs libertés par l'oligarchie et ses élites sans même pouvoir et vouloir se défendre. Les Chiliens sous la dictature de Pinochet ou les Argentins sous celle de Videla, les Russes victimes de la « thérapie de choc » de Boris Elstine, les Irakiens victimes de la campagne de bombardements intensifs américains de mars 2003 baptisée Shock and Awe (choc et effroi), le peuple de Louisiane victime du cyclone Katrina, les Américains victimes de l'escroquerie du 11 septembre et ses dérives liberticides, les Lybiens ou les Syriens en proie au terrorisme international, les Ukrainiens victimes du coup d'Etat made in CIA, les Sud-Africains, les Chinois ou les Polonais victimes de la contre-révolution néo-libérale,... la liste est encore longue de tous ceux qui ont servi de cobayes à cette doctrine insensée née dans le laboratoire de l'Université Mac Gill à Montréal. Elle a provisoirement épargné l'Europe de l'Ouest... jusqu'à la crise des subprimes de 2007-2008.
Bienvenue en Grèce, laboratoire européen du « capitalisme du désastre » où sont testées les limites de la résistance humaine : un taux de chômage (officiel) à 25 % (plus de 50 % chez les jeunes), un tiers de la population vivant sous le seuil de pauvreté, plus d'un tiers sans couverture maladie, des services publics en déliquescence laminés par des cures d'austérité draconiennes, un patrimoine public (sites archéologiques, îles, forêts, aéroports, compagnie de gaz ou d'électricité, ...) bradé pour une bouchée de pain à des sociétés privées... et une population à bout de souffle, devenue incapable de se défendre. La raison de cette capitulation ? le traumatisme provoqué par la violence de la crise imposée au peuple grec par l'oligarchie bancaire, sapant toute velléité de résistance à la destruction systématique de la sphère publique : « Attendre une crise de grande envergure, puis, pendant que les citoyens sont encore sous le choc, vendre l'État morceau par morceau, à des intérêts privés avant de s'arranger pour pérenniser les « réformes » à la hâte[1] » est un bon résumé de ce qu'ont subi les Grecs. Ce véritable coup d'État financier a nécessité plusieurs phases de préparation dont la menace actuelle de faillite imminente du pays, prélude à sa mise sous tutelle financière, est l'aboutissement. Récit d'une tragédie (grecque) en 5 actes.
1er acte : créer les conditions d'une crise du crédit (2000-2007)
(suite en dessous:)
Au début de la décennie 2000, les USA se lancent dans la folie du crédit sans limites. Les emprunteurs, même non solvables, contractent des formules de prêts immobiliers de plus en plus risquées, et le plus souvent à taux variable. Dans les premières années, les taux sont bas et les emprunteurs peuvent rembourser facilement mais au fur et à mesure qu'ils augmentent un nombre croissant de personnes ne peuvent plus rembourser leur emprunt immobilier et sont contraintes de vendre leur bien, faisant ainsi chuter les prix du marché, première étape de la crise. Ces emprunts « toxiques » (car ayant des risques élevés d'être non-remboursés) sont compilés avec d'autres produits financiers bénéficiant artificiellement de la meilleure note (AAA) des agences de notation pour être ensuite échangés sur les places boursières du monde. La banque d'affaires américaine Goldman Sachs est l'une des pionnières dans la création de ces « subprimes ». Coup d'arrêt au printemps 2008 : les ménages emprunteurs ne peuvent plus rembourser leurs prêts à cause de la montée des taux d'intérêts, la bulle de l'endettement privée éclate et le système se grippe. Le système financier est contaminé par ces titres pourris et la contagion est rapide : leur valeur s'effondre, la confiance des investisseurs chute et le système du prêt interbancaire est vite gelé.
RépondreSupprimerLe bénéfice est triple pour l'oligarchie bancaire : après avoir tiré profit du crédit facile dans la première phase, elle fabrique les conditions d'une crise artificielle qui obligera les États (donc l'argent public) à les renflouer dans la seconde phase et elle décuplera ses gains en plaçant des pays entiers sous sa dépendance grâce au creusement des dettes souveraines et au gonflement des taux d'intérêt de leur financement, dans la troisième.
2ème acte : déclencher une crise de la dette (automne 2008)
Le déclencheur de la crise dite des « subprimes » est connu. L'administration Bush nationalise AIG et Bank of America, rachète Merril Lynch ... mais refuse de sauver la banque d'investissement Lehman Brothers qui se déclare en faillite le 15 septembre, faisant alors chuter toutes les places boursières mondiales. Par cette décision, le secrétaire au Trésor Henry Paulson fait d'une pierre trois coups : il sacrifie un concurrent direct de Goldman Sachs - banque qu'il a présidé entre 1998 et 2006 et dont il continue en sous-main de défendre les intérêts - , et il fabrique les conditions d'une crise providentielle pour la finance tout en raflant l'argent public aux seuls bénéfices des banques privées grâce au « plan Paulson ».
3ème : fabriquer une crise bancaire en Europe (2008-2009)
Conjointement présenté par la Réserve fédérale et le Trésor, le « plan Paulson » de rachat des actifs toxiques américains, d'un montant de 700 milliards de dollars, est voté au Congrès américain mais sans toutefois convaincre les investisseurs. Le CAC40 et le Dow Jones connaissent une chute historique le « lundi noir » (6 octobre 2008). Il faudra, pour calmer les marchés, que 7 banques centrales mondiales (États-Unis, Europe, Royaume-Uni, Canada, Suède, Suisse et Chine) s'accordent pour baisser leurs taux directeurs d'un demi-point.
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4ème acte : la transformer en crise économique (à partir de 2009)
RépondreSupprimerLa crise financière devient rapidement une crise économique. De nombreux pays rentrent en récession, la consommation des ménages chute, les entreprises accusent des pertes énormes et sont obligées de réduire leurs effectifs salariés ou font faillite, le chômage explose : de l'automne 2008 à fin 2009, le taux passe en France de 7,9% à 10%, aux USA il double de 5 % à près de 10 % et il triple en Grèce de 8 % à plus de 24 %. Le secteur automobile est particulièrement touché. Aux États-Unis, le géant américain General Motors se déclare en faillite en juin 2009, seulement trois mois après Chrysler.
5ème acte : Goldman Sachs peut alors placer ses pions en Europe...
La Grèce a joué le rôle du cheval de Troie d'une gouvernance bancaire européenne. Première étape, la faire entrer dans la zone euro. C'est ce à quoi s'est employée activement la banque Goldman Sachs en maquillant ses comptes pour sous-estimer ses dettes et ses déficits déjà élevés, notamment par la levée de fonds hors bilan.
Deuxième étape : provoquer une crise de la dette européenne en étranglant financièrement la Grèce par une montée des taux d'intérêt et attendre la contagion à d'autres États.
Troisième étape, placer ses pions dans les États les plus sévèrement touchés par la crise de la dette qui débute au printemps 2010 : Lucas Papadémos, nouveau Premier ministre grec, Mario Monti, nouveau président du Conseil des ministres italien (nommé et non élu), et Mario Draghi, nouveau président de la Banque centrale européenne sont tous les trois des cadres de Goldman Sachs. Lucas Papadémos fut gouverneur de la Banque de Grèce entre 1994 et 2002, et à ce titre a activement participé aux opérations de malversations perpétrées par Goldman Sachs. Mario Monti est conseiller international de Goldman Sachs depuis 2005, et nommé à la Commission Européenne. Il est également le président pour l'Europe de la Commission Trilatérale et membre du groupe Bilderberg, deux organisations mondialistes. Il est aussi l'un des membres fondateurs du groupe Spineilli, un think tank qui veut promouvoir un fédéralisme européen. Mario Draghi fut vice-président de Goldman Sachs pour l'Europe entre 2002 et 2005 et, à ce titre, est soupçonné d'avoir permis la dissimulation d'une partie de la dette souveraine des comptes grecs en les embellissant.
Quatrième étape : faire plier les États les plus fragiles en leur octroyant des aides irremboursables à des taux prohibitifs. Face au risque de défaut souverain, les investisseurs imposent des taux d'emprunt impraticables aux Etats en difficulté, qui ne peuvent alors plus se financer. Ces plans successifs sont assortis de conditions drastiques d'austérité, mettant en péril l'équilibre social des pays. En Grèce, la sécurité sociale part en lambeaux, le ramassage des ordures n'est plus assuré, les musées ferment les uns après les autres, la télévision publique n'émet plus, les livres disparaissent peu à peu des écoles, les enfants tombent d'inanition... Les salaires du privé ont baissé de 25% en 2011, le SMIC est ramené à 586 euros bruts, faisant tomber le salaire moyen à 803 euros en 2012 puis en 2013 à 580 euros, soit l'équivalent du salaire moyen chinois. La Grèce est désormais considérée comme un pays du Tiers-Monde.
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Tous les prêts octroyés à la Grèce sont d'autant moins susceptibles de faire redémarrer son économie qu'ils sont en grande partie captés par l'oligarchie financière : les banques grecques (pour 58 milliards), les créanciers de l'État grec (pour 101 milliards), la plupart des banques et fonds d'investissement ont reçu l'essentiel des aides débloquées par l'UE et le FMI depuis 2010, soit 207 milliards d'euros. Les trois-quarts de l'aide attribuée n'ont pas bénéficié aux citoyens mais, directement ou indirectement, au secteur financier. Une étude d'Attac Autriche montre ainsi que seuls 46 milliards ont servi à renflouer les comptes publics - et toujours sous forme de prêts, tandis que dans le même temps 34 milliards ont été versés par l'État à ses créanciers en intérêt de la dette. Ou comment transformer la dette privée détenue par les banques et les créanciers, en dette publique.
RépondreSupprimerLe caractère illégitime de la dette et l'incapacité du pays à la rembourser ne dissuade pas la Troïka d'imposer au peuple grec de nouvelles mesures d'austérité dont certaines sont tout bonnement anticonstitutionnelles. Et pour cause : les vraies raisons de cet acharnement sont ailleurs. Faire échouer le gouvernement Syriza, principal obstacle au projet d'asphyxie puis de mise sous tutelle financière de la Grèce, est un enjeu de taille car il a valeur d'exemple pour les autres pays de l'Union Européenne, en particulier pour l'Espagne tentée de suivre la même voie. Il explique notamment pourquoi les créanciers de la Grèce sont encore plus exigeants avec le gouvernement Tsipras qu'avec les précédents.
... prélude à une dictature mondiale de la finance
Les politiques d'austérité de la Troïka seront-elles bientôt étendues à tout le continent ? Et de là, au monde entier ?
Ce véritable racket imposés aux États (et donc aux populations) a été rendu possible par les différents traités européens : celui de Maastricht qui fait de la BCE le garant de la monnaie commune et le maître d'œuvre de la politique monétaire (article 105) et celui de Lisbonne qui grave dans le marbre l'interdiction faite aux Banques nationales des États membres ainsi qu'à la BCE de financer directement les dettes souveraines et soumet ainsi les États aux appétits des banques privées[2] (article 123). La souveraineté nationale, principal frein à la gouvernance mondiale de la finance, est mise à mal par ces traités, de même que la souveraineté populaire allègrement bafouée. Le vote de refus aux consultations référendaires sur la constitution Européenne, que ce soit en France, aux Pays-bas ou en Irlande, n'a pas empêché la commission Européenne de les imposer. De plus en plus de décisions importantes en Europe sont prises par des fonctionnaires et lobbyistes non élus, au mépris des choix clairement exprimés par les citoyens... les rares fois où ils sont consultés.
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La souveraineté populaire ou nationale sont des obstacles directs à la prédation financière ? Il suffit alors de les liquider purement et simplement ! Pour rendre acceptable la baisse d'un tiers de nos salaires comme le préconise Goldman Sachs , l'oligarchie veut mettre en place des régimes autoritaires en Europe. JP Morgan considère sans rire que des réformes politiques d'ampleur abrogeant les constitutions démocratiques bourgeoises protectrices de l'après-guerre seront nécessaires pour supprimer l'opposition aux mesures d'austérité massivement impopulaires qui s'annoncent. L'anxiété sociale provoquée par la crise a bien joué un rôle de frein aux revendications - 2011 première année de la crise de la dette a vu une baisse spectaculaire du nombre de journées de grèves en France et les réformes les plus dévastatrices pour le monde du travail, l'Accord National Interprofessionnel, le Pacte de responsabilité et les lois Macron sont passées comme une lettre à la poste alors qu'elles auraient provoqué avant la crise une levée massive de boucliers - mais l'oligarchie veut aller plus loin et plus vite et elle est prête à utiliser tous les moyens pour casser les résistances populaires.
RépondreSupprimerOn comprend mieux le sens des efforts déployés par le gouvernement Hollande pour déstabiliser le modèle familial traditionnel : en s'attaquant à la notion même de filiation on fabrique des individus fragilisés, sans histoire et sans mémoire, en remettant en cause l'identité sexuée on efface un point de repère structurant, en détruisant les solidarités familiales on facilite l'avènement des dictatures de demain qui serviront les intérêts de la finance mondialisée. Faire table rase du passé en coupant les individus de leurs racines sociales, familiales, nationales ou religieuses pour obtenir une « page blanche » sur laquelle écrire une nouvelle histoire, est l'objectif de la « stratégie du choc ». La Grèce et son patrimoine public dévasté aura bien été le laboratoire d'une nouvelle forme de dictature particulièrement destructrice que l'oligarchie bancaire va imposer à l'Europe entière.
Notes :
[1] Naomi Klein, La stratégie du choc. La montée d'un capitalisme du désastre, 2007.
[2] Cette situation est celle que connaît la France depuis la loi Pompidou-Giscard de janvier 1973 qui interdit à l'État de se financer auprès de la Banque de France.
http://fr.sott.net/article/25839-La-Grece-et-la-strategie-du-choc
La hausse perpétuelle et exponentielle de la taxe foncière (illégale puisque la maison est un bien payé/acheté au même titre qu'une voiture ou vêtement), ajoutée de taxes diverses et 'révision du cadastre' (??!), ajoutée de la taxe (1 Janvier 2016) sur le mètre carré constructible autour de votre maison (cour, passage, chemin d'accès au garage) qui sera de: 5€/m² ! Soit, pout un terrain de 20 m x 50 m = 1000 m² = 5000 €/an !
SupprimerTout est fait pour saisir vos biens afin que PLUS RIEN NE VOUS APPARTIENNE !
Votre voiture provoque la guerre ! Ressentir la peur sur la sécurité climatique de l'Australie.
RépondreSupprimer22 juin 2015
Non seulement le changement climatique détruit le café, le chocolat et la bière, mais la guerre va ruiner vos week-ends trop.
Lorsque la guerre éclate et ils viennent pour votre premier-né, vous pouvez demander si vous devriez avoir quitté la voiture dans le garage plus. Vous pouvez vous demander si vous pourriez avoir utilisé les transports en commun et converti toutes les lumières à LED plus tôt et seulement mangé des oranges des produits locaux. Sentir la culpabilité. Envoyez-leur votre argent.
Marche pour la paix !
Il n'y a pas de fin pour les combinaisons et permutations des façons d'utiliser la peur de demander des fonds. Avant de mettre en place les ministères du changement climatique, les marchés commerciaux mondial du carbone, de programmes de réduction des émissions et préparer nos forces de défense à la vague de réfugiés climatique désespérée violents qui avaient été prévus, mais n'est pas venu, nous devons une chose plus que tout autre. Nous avons besoin de modèles climatiques qui fonctionnent réellement.
« Le changement climatique va déstabiliser notre région et saper notre mode de vie, mais nous ne faisons rien pour l'empêcher. »
Exactement, nous ne faisons rien, rien d'utile à tous. Bien que nous sommes des milliards de dollars battante puits profonds cherchant à réduire le gazcarbonique et se préparer à un climat on absolument ne peut prévoir. (Est-ce le genre de « rien » que Sturrock et Ferguson voulait dire ?) Il n'y a pas de financement pour les modèles de climat remplaçant, aucun financement pour étudier le rôle du soleil dans notre climat et d'obtenir des modèles des facteurs qu'actuelle faute de modèles n'ignorer — comme le vent solaire, rayons cosmiques, effets magnétiques solaires, les variations des spectres et des effets de marée lunaires sur les habitudes de l'ENSO.
La priorité la plus élevée pour n'importe quel gouvernement sensé l'environnement concerné est de mettre en place un centre pour l'étude des causes naturelles du changement climatique, dont le GIEC a été spécifiquement chargé de pas faire en 1989. La seule chose que les modèles actuels sont avérés, c'est que tout ce qu'ils prédisent, nous devons nous préparer pour quelque chose de différent.
Comme je l'ai déjà dit :
Les modèles non seulement échouent sur des échelles décennales globales, mais sur les régional, local, à court terme, [1] [2], polaire [3], et upper tropospheric échelles [4] [5] trop. Ils ne parviennent pas à l'humidité [6], [7] de la pluie, la sécheresse [8] , et ils n'arrivent pas sur les rétroactions des nuages [9]. point chaud est manquant, les principales rétroactions ne sont pas amplifier l'effet du gazcarbonique comme supposé.
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Si nous avions un modèle qui a fonctionné, un, nous serions en mesure de commencer à écrire des rapports comme celui qui est partout dans la presse crédule aujourd'hui en Australie. Jusque-là, nous perdre du temps, des fonds et montrant comment, nous ne sommes pas sérieux au sujet de l'environnement. Si les verts se souciait des îles du Pacifique pauvres ils auraient exigé améliorer la recherche, à un plus haut standard et en commençant il ya dix ans.
RépondreSupprimerDans la course-up à Paris en Décembre, nous allons obtenir le spectre complet des sorciers en promettant de "Arrêtez les tempêtes", sauver nos enfants de se rétrécir de 0,5% en 850 années, et de garder peu de poissons de se téméraire. Je vote nous prenons leurs revendications au sérieux. Voilà pourquoi je les aider avec leur PR, parce qu'ils ne disposent que des milliards de dollars, l'ONU, la Banque mondiale, le pape, et le compte Twitter du leader du monde libre. S'il vous plaît partager l'image et faire passer le message autour de vous.
D'autres idées sur la meilleure des légendes et des façons de faire passer ce message ? Partager. Et pourquoi ne pas envoyer le paragraphe en gras ci-dessus aux politiciens partout, donc ils peuvent descendre de leurs fonds et font réellement la seule chose plus importante et utile pour le climat — améliorer la recherche. Il est temps que nous avons mis les scientifiques sur le travail — les vrais qui proviennent de l'extérieur le secteur étranglée, échec, « climat » — nous avons besoin des mathématiciens, des physiciens, des statisticiens et des ingénieurs avec antécédents de faire fonctionner les choses.
La liste est aussi longue que votre bras,
Que warmists demande climatique nuira,
Mais il a tout faire croire,
Mise à jour pour tromper,
Par ceux programmés sur alarme climatique.
– Marie
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RÉFÉRENCES
RépondreSupprimerSturrock et Ferguson (2015) le plus long conflit :Défi de sécurité climatique de l'Australie, Centre for Policy Development, juin 2015
[1 ^] Anagnostopoulos, G. G., d. Koutsoyiannis, A. Christofides, Efstratiadis A. et N. Mamassis, (2010). Une comparaison du modèle climatique local et agrégées sorties avec les données observées »Hydrological Sciences Journal, 55:7, 1094 — 1110 [PDF]
[2 ^] Koutsoyiannis, D., Efstratiadis, A., Mamassis, N. & Christofides, A.(2008) sur la crédibilité des prévisions climatiques. Hydrol. J. Sci. 53 (4), 671-684. modifications [PDF]
[3 ^] Previdi, M. et Polvani, L. M. (2014), réponse du système climatique à l'ozone stratosphérique et la récupération. Q.J.R. Meteorol. SOC. doi : 10.1002/qj.233
[4 ^] Christy J.R., Herman, B., Pielke SR., R, 3, Klotzbach, P., McNide, R.T., J.J. Hnilo, R.W. Spencer, Chase, T. et Douglass, D: (2010) que faire d'observation Datasets Say about température troposphérique modélisée tendances depuis 1979 ? La télédétection 2010, 2, 2148-2169 ; doi:10.3390 / rs2092148 [PDF]
[5 ^] Fu, Q, Manabe, S. et Johanson, C. (2011) sur le réchauffement de la planète dans la haute troposphère tropicale : modèles vs observations, Geophysical Research Letters, Vol. 38, L15704, doi: / 2011GL048101, 2011 [PDF] [Discussion]
[6 ^] Paltridge, G., u, A., Gilbert, M., 2009. Tendances en humidité troposphériques de niveau moyen et supérieur de données de réanalyse NCEP. Climatologie théorique et appliquée, Volume 98, nos 3-4, pp. 351-35). [PDF]
[7 ^] Anagnostopoulos, G. G., d. Koutsoyiannis, A. Christofides, Efstratiadis A. et N. Mamassis, (2010). Une comparaison du modèle climatique local et agrégées sorties avec les données observées », Hydrological Sciences Journal, 55:7, 1094 — 1110 [PDF]
[8 ^] Sheffield, bois & Roderick (2012) peu de changement dans la sécheresse mondiale depuis les 60 dernières années, lettre Nature, vol 491, 437
[9 ^] Miller, M., gnon, V., Zahn, R., (2012) la Radiation Budget du Sahel d'Afrique de l'Ouest 1 et ses contrôles: A Perspective from 2 Observations et les modèles climatiques mondiaux. dans la presse Journal du climat [Résumé] [PDF]
http://joannenova.com.au/2015/06/your-car-causes-war-feel-the-fear-about-australias-climate-security/#more-43138
Charlie Dog, Golondrinas, et l'impossibilité de fourmis: une étude approfondie
RépondreSupprimerPar Fred Reed
22 juin 2015
Ce matin, quand je suis sorti groggy en quelque chose qui ressemble à la conscience, je ne savais pas que je devais établir l'impossibilité de fourmis. Il y avait là une question philosophique profonde, rampant sur moi subrepticement.
Les chiens, comme d'habitude sont venus tonnerre pour voir si nous existait encore et, après avoir constaté que nous avons fait, ont offerts à leurs oreilles rayé. Tels sont les chiens. Notre félins, Cat Cat et autres, le sommeil sur le lit avec nous-nord de la frontière, il ya probablement une loi fédérale contre ce et veulent aussi notre attention. Pourquoi? Ils ne reçoivent rien en dormant avec nous. Nous les nourrissons de toute façon.
Chiens me intriguent par leur caractère distinctif de la personnalité et de la gamme des émotions: la colère, l'affection, la peur, la curiosité, la jalousie, l'inquiétude et la culpabilité. Scientifiquement parlant, je ne suis pas sûr que ce soit bon. Ils étaient cependant chiens rue, et peut-être pas conscients des théories les plus avancées. Ils ne comprennent culpabilité, qu'ils sont censés ou non. Quand nous revenir à la maison et Charlie a une expression patibulaire, et se vautre dans la soumission, et ne fonctionne pas sur nous saluer, nous savons qu'il a été creusé à la poubelle, ce qui est interdit. Il sait aussi.
Notre chien Afrique, qui est très long et bas et jolie et semble être un croisement entre un Border Collie et un tuyau d'incendie, est une hystérique. Quand je marche en bas elle aboie joyeusement et se précipite follement, comme si je devais Zeus décroissant, même si elle me voyait monte à l'étage d'une demi-heure plus tôt et sait que je reviens toujours vers le bas. Vous ne pouvez pas être hors de votre esprit, sauf si vous avez un être hors de, est ce que je dis.
Ce qui nous amène à GOLONDRINAS, hirondelles. (Vous ne pouvez pas voir pourquoi il le fait. Eh bien, il le fait.) Nous avons un nid d'entre eux dans un coin de la terraza bas. Ils ont produit cinq œufs cette année, et se sont assis sur eux comme forgolondrinas est juste et bon. Quand les oisillons sont apparus, les parents sans relâche les ont amenés, toutes les quelques minutes, une partie de ce que mangent les hirondelles. Lorsque les petites fripouilles ont atteint l'âge auquel le vol a commencé à sembler une bonne idée, les parents ont commencé à planer pouces du nid, comme pour dire: "Voyez ? Ceci est la façon dont vous le faites. "Ils avaient pas fait cela avant.
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Notre ornitho-chillun, profondément méfiant parce qu'ils savent que quelqu'un est là
RépondreSupprimerUne des nouvelles birdlets volé assez bien pour un débutant, mais a atterri sur le sol où il ya des chats. (En fait, nous avions bloqué les chats à l'intérieur précisément pour cette raison, mais hirondelles mères ne savent pas toujours cela.) Les parents ont atterri à côté de lui et ont commencé à picorer le petit bonhomme désagréablement, jusqu'à ce qu'il a décollé et est retourné au nid. Je l'ai lu qu'ils font de telles choses purement sur l'instinct et ne savent pas pourquoi ils le font. Comment peut-on le savoir ? Personnellement, je pense qu'ils soupçonnent chats.
Je sais que les oiseaux sont des automates biologique fonctionnant sur code programmé chimiquement, et ne pas avoir des sentiments ou idée de ce qu'ils font. Je sais ça. Je ne le crois pas. De plus, je ne comprends pas les gens d'affection presque universelles se sentent pour le très jeune. Le très jeune de près tout: les jeunes chiots, chatons, ânes, golondrinas. En termes de biologie de l'évolution, dont on nous dit gouverne tout, l'affection pour les jeunes hirondelles est difficile à comprendre. Ils sont affreusement laid, étant tous bouche et pas de cerveau, que je reconnais suggère une connexion évolutive avec des ancres de réseau. Mais nous sommes très friands d'entre eux. (non les ancres de réseau).
Pas beaucoup de fourmi, hein ?
Je vais maintenant offrir une preuve formelle de l'inexistence de fourmis. Tout d'abord, nous noterons la fourmi ci-dessus sur le dessus de l'oeil d'une aiguille. Nous allons continuer à notons qu'il n'y a presque pas de fourmi il. Nous allons maintenant réfléchir à la taille de son cerveau, à inclure des parties de celui-ci distribués. Si une fourmi est si petit qu'il est presque pas là, et la plupart d'une fourmi se compose de jambes, la chitine, les choses digestifs, et ainsi de suite, alors son cerveau, pour inclure tous ses tissus nerveux, est grandement plus est pas -Là.
Nous allons maintenant examiner ce que peut faire une fourmi. Premièrement, il peut marcher. Si vous pensez que cela est pas de grands zut, parler à un ingénieur de la robotique avec un supercalculateur de câble connecté. Demandez-lui comment il est facile de faire six jambes avec de multiples articulations chaque travailler ensemble tout en grimpant sur les choses. Si vous pensez à la quantité de rétroaction sensorielle nécessaire de savoir où ces jambes sont à un moment donné, et ce que les pressions et les angles sont, vous aurez le vertige. La fourmi fait sans effort, avec environ autant de cellules du cerveau comme un membre du Congrès a des points de QI. Cela suggère peut-être trois cellules du cerveau.
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Il y a pire, bien pire. Ce même fourmi, avec seulement trois cellules du cerveau du Congrès, peut interpréter les données à la fois de ses yeux composés et ses yeux non composées ocelles-tiny. Maintenant, les gars qui a écrit PhotoShop pourrait fusionner toutes ces entrées à partir d'un ommatidies de jillion et arriver à quelque chose de raisonnable comme une image, mais le faire en temps réel, à l'équivalent d'environ six lignes de code, avec trois cellules du cerveau pour le traitement puissance-ils irait crier à la barre la plus proche et commencer à vivre sous un banc de parc.
RépondreSupprimerLa même fourmi sait, en quelque sorte, pour creuser un nid correctement, afin de fonctionner comme l'enfer quand il a peur, et de prendre soin de la reine et les œufs et les larves. Il gère ses organes internes et les antennes. Il sait comment se toiletter, mettant en avant de nombreux adolescents, et comment trouver de la nourriture, ce qui nécessite l'exploitation des sens utilisés pour ce faire. Je pourrais continuer. Mais puisque chacune de ces choses est impossible, donc est la fourmi. Par conséquent, les fourmis existent pas. CQFD.
(Je soupçonne que l'impossibilité de plusieurs choses en une fourmi inexistant est le produit des impossibilités individuelles. Je vais laisser cette question des impossibilités multidimensionnelles au lecteur comme un exercice.)
Si je peux caduque momentanément en gravité inaccoutumée, je prétends ces micromonstrosities pique-nique posent une question déroutante de la cybernétique. Ils doivent faire quelque chose au-delà de la portée de nos petites imaginations d'ébullition. Réplication une fourmi dans le matériel de la même taille est hors de question. Informatique moléculaire? Eh bien, la petite bête fait d'une certaine façon. Les humains avec notre quart-et-un-tiers des cerveaux purée peuvent faire beaucoup plus que les fourmis peuvent, mais pas proportionnellement plus. Le tissu nerveux du nombre de fourmis serait nécessaire pour combler le crâne humain ?
Pour que je reçois habituellement la réponse stupide, "Mais Fred, les fourmis ont un tout autre genre de cerveau." Cela ne veut pas la réponse. Il est la question.
https://www.lewrockwell.com/2015/06/fred-reed/the-impossibility-of-ants/
Jim Rogers: Turmoil Is Coming
RépondreSupprimerPrédictions sur les marchés, l'or, la Grèce et plus
Par Adam Taggart
Prospérité pic
22 juin 2015
Deux ans après sa dernière entrevue avec nous, l'investisseur Jim Rogers retourne et constate que les risques qu'il a averti de la dernière heure ont empiré. Dans le podcast de cette semaine, Jim partage son rationnel pour prédire:
• augmenter la confiscation de la richesse par les planificateurs centraux
• un important effondrement des marchés financiers en attente
• Le retour de l'or comme valeur refuge préféré
• plus de la faiblesse des prix du pétrole, suivie d'une inversion de tendance
• rebond de la Russie
• une bulle compte la Chine
• la valeur à long terme de l'agriculture
Je soupçonne dans la prochaine année ou deux, nous allons voir une sorte de grandes, des problèmes majeurs dans les marchés financiers mondiaux.
Je soupçonne quand nous avons cette correction, il va provoquer des banques centrales à la panique. Il va venir un moment où il n'y a pas beaucoup de banques centrales peuvent faire quand ils ont perdu toute crédibilité. Lorsque les gouvernements ont perdu toute crédibilité. Ils vont imprimer et dépenser et emprunter, mais il arrive un moment où les gens vont juste de dire que nous ne voulons pas jouer à ce jeu plus. Et à ce moment, le monde a des problèmes sérieux, graves, car il n'y a rien pour nous sauver.
Je soupçonne le prochain effondrement financier / économique sera celui qu'ils ne peuvent pas traiter. Mais, si de toute façon ils sont des faiseurs de miracles, être très, très prudent. Je serais inquiet 2022 - 2023 puis. Le jeu sera certainement jusqu'à si elle est pas cette fois.
Mon US Dollar maintien est mon plus grand poste. Non pas parce que je dois toute confiance dans le dollar américain; il est une monnaie terriblement erronée. Nous sommes la plus grande nation débitrice dans l'histoire du monde. Et la dette va plus en plus haut et plus haut. Mais il va y avoir encore plus de problèmes à venir. Et pendant les périodes de turbulences personnes fuient vers un refuge. Le Dollar américain est pas un refuge, mais beaucoup de gens pensent qu'il est, et ils ne savent pas quoi faire d'autre. Alors, ils vont aller à l'US Dollar. Ils ne vont pas aller au yen. Ils ne vont pas aller à l'Euro.
Nous pouvons même voir le dollar américain, pour une variété de raisons, se transformer en une bulle. Cela est bien sûr pas bon pour l'or. Or peut tomber beaucoup, à quel point je dois vendre mes US Dollars et nous espérons être assez intelligent pour acheter de l'or.
https://www.lewrockwell.com/2015/06/no_author/theres-turmoil-ahead/
(...) • augmenter la confiscation de la richesse par les planificateurs centraux
Supprimer• un important effondrement des marchés financiers en attente
• Le retour de l'or comme valeur refuge préféré (...)
Contradiction entre la première et la dernière ligne.
Si vous êtes encore confus à propos Qui est en charge
RépondreSupprimerPar Bionic Mosquito
22 juin 2015
«Donnez-moi le contrôle de la masse monétaire d'une nation, et je me soucie pas qui fait ses lois."
- Amschel Rothschild
À ma connaissance, que Amstel Rothschild jamais dit une telle chose est dans le doute. Tout ce que je dirai est que si il ne le dit pas, il devrait avoir.
Ambrose Evans-Pritchard fait un excellent travail de mettre en évidence l'institution qui est, en fait, en charge. Il est pas impressionné par leur travail en ce qui concerne la situation en Grèce:
Rarement dans les temps modernes avons nous avons assisté à un tel étalage de pétulance et de mauvais jugement par ceux qui sont censés être en charge de la stabilité financière mondiale, et par ceux qui a donné le ton pour le monde occidental.
Le spectacle est étonnant. La Banque centrale européenne, le fonds de sauvetage de l'UEM, et le Fonds monétaire international, entre autres, sont des crises de fureur contre un gouvernement élu qui refuse de faire ce qu'on lui dit.
BCE, l'UEM, le FMI: le contrôle de l'argent, le contrôle de l'argent, et le contrôle de l'argent.
Ça va mieux; même la Banque centrale grecque met la pression sur les Grecs:
Ne conteste de quiconque que la BCE - via la Banque de Grèce - incite activement une panique bancaire dans un pays où il est également le régulateur bancaire par l'émission de ce rapport le mercredi?
Banque de Grèce: le contrôle de l'argent.
La Banque centrale grecque travaille à conduire, et en fait de contourner le processus politique:
Le gardien de la stabilité financière est consciemment et délibérément l'accélération d'une crise financière dans un état membre de l'UEM - avec les risques possibles de pan-UEM et contagion mondiale plus large - comme une tactique de négociation pour forcer la Grèce à la table.
Il fait donc jour après premier ministre Alexis Tsipras a accusé les créanciers des «pièges pondeuses" dans les négociations et agissant avec un motif politique. Il plus ou moins les a accusés d'essayer de détruire un gouvernement élu et amener un changement de régime par la contrainte financière.
Ceux qui contrôlent l'approvisionnement de l'argent de la nation ne sont pas préoccupés par toute «gouvernement élu» - voir citation ci-dessus.
Dans son rapport, la Banque de Grèce a affirmé que l'échec à répondre aux demandes des créanciers serait "probablement" conduire à l'éjection de l'Union européenne du pays. Soyons clairs sur la signification de cette. Il est pas l'expression d'une opinion. Cela équivaut à une menace par la BCE de jeter les Grecs hors de l'UE si elles résistent.
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Regardez ... pour être clair, je serais ravie de voir les Grecs éjecté de l'Union européenne, suivie par les espagnols, portugais, français, italiens et allemands. Et puis tout le monde. Ejecter tous. Et puis éjecter la Flandre, la Catalogne de l'Espagne, et l'Ecosse à partir de la Grande-Bretagne.
RépondreSupprimerMais ce ne sont pas là où Ambrose est dirigé. Il voit qu'il est la banque centrale de contrôler les décisions politiques. Eh bien, duh. Voir la citation ci-dessus.
Ambrose cite d'autres cas - ce qui est pas la première fois que la BCE a fléchi ses muscles:
Il a forcé l'Etat irlandais à faire de bons revendications des détenteurs d'obligations juniors de Anglo-Irish Bank dans le but de sauver le système bancaire européen ....
Il a envoyé des lettres secrètes aux dirigeants élus de l'Espagne et de l'Italie en Août 2011 exigeant des modifications détaillées aux lois internes pour lesquels il n'a pas de mandat ou de compétence technique ...
Lorsque italien Silvio Berlusconi a hésité, la BCE éteint achats d'obligations, conduite rendements à 10 ans à 7.5pc. Il a été forcé de ses fonctions dans une arrière-salle-coup d'Etat ... "
Nous nous souviendrons, il parachuté son vice-président - Lucas Papademos - pour reprendre la Grèce lorsque le premier ministre George Papandreou a simplement suggéré qu'il pourrait soumettre le plan de sauvetage de l'UEM à un référendum, une bonne idée rétrospectivement. Cela fait deux coups d'Etat. Maintenant Syriza craint qu'ils sont la pêche pour une troisième.
Le FMI et le FESF sont à bord (plus de contrôle sur l'argent):
Il est évident ce qui se passe. Les créanciers agissent de concert. Au lieu d'arrêter de réfléchir un instant sur la sagesse profonde de leur stratégie, ils doublent machinalement, apparaissant de supposer que les tactiques de terreur vache les Grecs à la douzième heure.
Plus de contrôle de l'argent:
La troïka a poussé la privatisation des actifs rentables de l'Etat à des prix de dépression knock-down à des monopoles privés, au bénéfice d'une élite enracinée.
Ambrose met régulièrement ses doigts sur le problème. Il n'a jamais, cependant, se termine avec la solution appropriée:
Fin banque centrale; Finissez le Fed.
https://www.lewrockwell.com/2015/06/bionic-mosquito/who-runs-the-world/
Satellite par les étudiants : Sur les éléments électriques de l'Internet à la NASA
RépondreSupprimerPar Jan Garrett
Voler a 25 000 kilomètres par heure à travers l'espace et la circonférence de la terre sur 5 000 fois par an: à Berlin, les étudiants développent des satellites qui sont plus petits, plus légers et moins cher que les avions de la NASA.
Qui aimerait apprendre quelque chose sur l'avenir de l'espace, pourrait, par exemple, dans la rue mars monter à Berlin-Charlottenburg et pénétré dans un bâtiment de béton tristes.
Il est au premier étage par un long couloir et puis dans une sorte de chargeur de saleté, qui est de garder des objets étrangers. Le visiteur doit porter une robe longue, blanche et glissez vos pieds dans la couche de finition en plastique : les cartes de circuits imprimés et autres pièces, il arrive à voir, ne pas toléré par la saleté de la route.
Après le verrouillage fonctionne sous autre Avsar Cem, un homme de 30 ans aux cheveux noirs et grands projets. L'ingénieur est chercheur associé au département de génie aérospatial de TU Berlin et mène des recherches avec les élèves une sorte de satellite populaire : dispositifs pour la galaxie, qui sont plus petit, plus léger et donc moins chers que toutes ces Erdumrunder, envoyer les organisations comme la NASA le long voyage.
Le dernier modèle, qui veut transporter Abraham et son équipe bientôt sur orbite, est appelé « Beesat-4 » et n'est même pas la moitié aussi gros qu'un grille-pain avec une taille de dix fois dix centimètres. À la fin du dispositif, qui est appelé à cause de sa forme de cube que Cubesat coûtera probablement moins de 500 000 euro - agences spatiales gouvernement investissent régulièrement trois chiffres en millions dans ses satellites. « Avec notre travail, nous aidons accès d'institutions plus petit à l'espace », dit Abraham.
L'ingénieur de Berlin et ses collègues ne sont pas seuls sur cette mission qui maintient l'Organisation pour la coopération économique et le développement même pour un « de l'espace démocratique ». Arrivée de « Beesat-4 », à 700 kilomètres, il rencontre une centaine d'autres satellites uni, dont près de la moitié depuis 2013 dans l'espace a été abattu. Le petit collège pilotes parlent, « UWE-2 » de l'Université de Würzburg, « Goliath » de l'Université de Bucarest ou « Jungpu » de l'Université à l'Indien de Kanpur.
Presque tous les satellites Studi reposent sur la même conception de cube et susciter un kg sur la balance. Certains des dispositifs de collecte de données sur l'atmosphère terrestre, mais actuellement il s'agit la plupart des opérateurs uni en premier lieu, que leurs petits aéronefs fonctionnent sans à-coup et fournissent des données de position précise régulière. Pas une simple tâche, car les cubes se précipitent avec une vitesse d'environ 25 000 kilomètres par heure à travers l'espace et la circonférence de la terre sur 5 000 fois par an.
Finalement, les Nano satellites devraient être matures, afin qu'ils puissent prendre sur les tâches de leurs grands frères au moyen d'autres construction et installations - y compris les données météorologiques collecte ou shooting photos espion.
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Presque tous les chercheurs de l'espace de l'Université sont efforcent de maintenir les coûts aussi bas que possible. Il s'agit bien sûr déjà c'est pourquoi il est relativement facile, parce que les étudiants sont des travailleurs à bas prix. Contrairement à sur la NASA, les universités dans la construction du satellite continuer non seulement sur les fournisseurs hautement spécialisés, mais aussi sur les parties du magasin d'électronique ordinaire sur l'Internet - qui sont souvent facilement adaptés pour la construction d'un satellite.
RépondreSupprimerParce que les composants individuels sont également plus petits et plus petits, les Cubesats occupent peu d'espace et ont envoyé comme un auto-stoppeur de la galaxie. Prédécesseurs voyagea de « Beesat-4 » à bord d'une fusée russe "Soyouz" dans l'espace extra-atmosphérique, ainsi que l'ordinateur "Laurie" de Dresde - et 40 larves perchoir coloré, qui ont été envoyés au nom des universités dans l'ensemble de Nuremberg-Erlangen et Hohenheim. Les locales jeunes scientifiques veulent tester comment apesanteur affecte les animaux.
Parce que de nombreuses universités et entreprises intéressent par ce type de recherche, le nombre de taxis de l'espace privé se développe. Il a mis derrière les compagnies qui exploitent de fusées et de rivaliser avec l'État partie. Qui pousse vers le bas prix et pourrait avoir pour conséquence que, bientôt encore plus des chercheurs et des entreprises sur l'idée est venue pour l'exploitation des satellites.
Le Centre allemand pour l'aviation et l'astronautique (DLR) souhaitée par les bricoleurs uni non seulement considérable progrès de la technologie par satellite, mais aussi des jeunes activés. C'est pourquoi il a lancé un programme de soutien, destiné à aider les élèves à se familiariser avec la chaîne de développement complet d'un satellite : équipes de recruter, commander des pièces, assembler.
Le travail est très compliqué, et il n'est pas étonnant que parfois, les choses tournent mal. Comment par exemple à « Beesat-3 », qui a été abattu le 19 avril 2013 avec une fusée dans l'espace, et puisqu'il n'y a aucun signe avait disparu de lui-même. Peut-être certains composants de communication a échoué, peut-être recueillir les cellules solaires fournir assez de courant, et le petit satellite ne pourrait pas mettre en service. Est évident en l'espèce, que les étudiants ont fait un important espace d'expérience : une petite erreur ne suffit pas de condamner un projet à l'échec.
« La chance que quelque chose se passe mal, est formidable », a expliqué l'étudiant Marc Lehman de 28 ans, qui travaille pour son mémoire de maîtrise sur une interface pour connecter un appareil photo à l'ordinateur de bord. Le plus grand défi était de construire la technologie compliquée pour des températures extrêmes et le rayonnement qui prévaut à tous. « Parce qu'elle reflète les nuits autour des oreilles jamais », dit Lehmann.
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Qui a dix satellites TU Berlin déjà dans l'espace de tir
RépondreSupprimerCependant, le travail aide les étudiants au cours de sa carrière dans l'industrie aérospatiale. Les chances sont, pour prendre pied sur les autorités comme DLR ou grandes sociétés aérospatiales tels que Airbus, défense et espace. "Nos diplômés travaillent principalement dans les bonnes positions, m. Cem Avsar. » Assure également l'excellente réputation de la TU Berlin, qui est l'un des participants plus réussis dans l'Université espace-course - malgré l'effondrement avec « Beesat-3 ». Qui a dix satellites TU tourné dans l'espace, en partie des développements révolutionnaires à bord.
Pour la série « Beesat », les ingénieurs ont construit, par exemple, cinq cents pièces grande réaction roues, ce qui peuvent modifier l'orientation du satellite de la terre par leur propre rotation. Cela peut être utile lorsque les caméras à bord doivent être axées sur une certaine zone. Par exemple dans le modèle actuellement prévu TUBIN, qui vise à suivre les feux de forêt à l'aide de caméras infrarouges et, bientôt, de faire le voyage.
Ainsi, le nombre de petits satellites, constamment en mouvement leurs trajectoires dans l'espace, va toujours continuer à croître - et à des possibilités insoupçonnées. Est sur la possible utilisation du satellite Armada Internet dans tous les coins du monde pour apporter: Wi-Fi sans faille pourrait lui donner bientôt même dans le désert et la haute mer – grâce aux cubes de prix abordable.
http://www.spiegel.de/unispiegel/heft/studenten-entwickeln-nano-satelliten-fuers-weltall-a-1036270.html
MIT scientifique montre ce qui peut arriver aux enfants qui reçoivent de l'aluminium contenu dans des vaccins
RépondreSupprimerDimanche 21 juin 2015
par Arjun Walia.
Une revendication souvent entendue de la communauté "pro-vaccination" lorsqu'il s'agit de relier des vaccins à l'autisme, c'est qu'il n'y a aucune preuve pour étayer ces affirmations. Cette vue est absolument absurde et dangereuse, compte tenu du fait qu'une énorme quantité de preuves scientifiques existent et sont disponible dans le domaine public qui suggère que certains vaccins pourraient éventuellement jouer un rôle dans le développement de l'autisme. Pour dire qu'il n'y a aucune probabilité de certaines vaccinations contribuant au développement de l'autisme est en contradiction avec la science.
Quand il s'agit de glyphosate de Monsanto et autres couramment utilisés pesticides (ainsi que d'autres toxines environnementales), la science qui les relient à des causes possibles de l'autisme (parmi beaucoup d'autres maladies comme l'Alzheimer et le cancer) semble être irréfutables et abondante. Vous pouvez en savoir plus sur que voici :
Scientifiques lier l'autisme à ces produits chimiques toxiques au cours du développement fœtal. Une autre étude révolutionnaire émerge des Pesticides agricoles qui relie à l'autisme.
En outre, nous avons eu des déclarations faites par des scientifiques qui ont eu des carrières longues avec les fabricants de vaccin, les compagnies pharmaceutiques et les organismes de santé comme la CDC. Nous avons également des documents qui indiquent la fraude scientifique et manipulation de données en ce qui concerne les effets indésirables des vaccins. (1) beaucoup d'exemples de "funny business" au sein de l'industrie alimentaire aussi font leur chemin dans le domaine public en ce qui concerne le rôle des OGM et pesticides en ce qui concerne leur lien avec les diverses maladies. Le fait qu'après qu'une étude a été publiée montrant que les deux produits de Monsanto, un maïs génétiquement modifié (GM) et l'herbicide Roundup étaient liés au cancer, rénales et hépatiques, la revue qui a publié l'étude nommé un ancien scientifique de Monsanto de décider quels documents sur les OGM et les cultures devraient être publiés en est un exemple (parmi tant d'autres). L'étude s'est ensuite rétractée, mais a été rééditée dans une autre revue depuis. (2) vous pouvez lire plus (et afficher) cette étude Ici.
Une chose que nous savons maintenant avec certitude est que le développement de l'autisme va bien au-delà de la génétique.
La recherche suggérant que les vaccins et le glyphosate pourraient éventuellement jouer un rôle dans l'autisme provient de différentes revues scientifiques ainsi que des recherches indépendantes menées par des scientifiques renommés de partout dans le monde. L'un de ces scientifiques est Dr. Stephanie Seneff. Cet article se concentrera principalement sur son point de vue quant au lien entre aluminium contenant les vaccins et l'autisme. Renseignements au sujet de l'autisme et les pesticides sont liés dans les deux articles ci-dessus après le premier alinéa.
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Dr Seneff est chercheur principal au laboratoire d'Intelligence artificielle et informatique. Ces dernières années, ses recherches ont porté spécifiquement sur la biologie, la nutrition et la santé. Dans les trois dernières années elle a écrit plus d'une douzaine Articles multiples médicales et de santé revues connexes touchant de nombreuses maladies des temps modernes comme la maladie d'Alzheimer et l'autisme (entre autres). (3 )
RépondreSupprimerLes vaccins et l'autisme
En Amérique du Nord, des millions de doses de vaccins sont administrées aux enfants chaque année. Divers produits chimiques sont ajoutés aux vaccins comme conservateurs et additifs chimiques thèses ont été responsables de remuer tout à fait la controverse, notamment au sein des deux dernières années. Une substance commune trouvée dans les vaccins est en aluminium.
Un article publié par Dr Seneff en 2012 fait valoir que des réactions indésirables graves aux produits chimiques (comme l'aluminium) dans les vaccins peuvent être associée liée la vie en danger les conditions qui sont associées avec le coeur et le cerveau. Le papier continue d'affirmer qu'il existe une relation entre l'autisme et des réactions indésirables aiguës aux vaccinations. Dr Seneff n'est pas prétendant que les vaccins peuvent provoquer l'autisme, elle réclame simplement que les enfants pourraient être vulnérables à une réaction aiguë à un vaccin avec adjuvant aluminium, qui pourrait causer des dommages neuronaux. (4 )
L'étude décrit également comment l'autisme est associé à des concentrations élevées de nitrate dans la circulation sanguine, et cet aluminium probablement joue un rôle dans la production de l'excès de nitrate. En outre, l'étude montre comment anormalement élevé des concentrations d'aluminium ont été récemment trouvées dans les analyses de cheveux de plus de la moitié des 34 enfants autistes qui ont été analysés. Un autre facteur important mentionné dans ses recherches est que l'autisme est associé à la fonction immunitaire anormale, et cela (elle prétend) est renforcée par les adjuvants d'aluminium dans les vaccins. (4 )
En résumé, le document fait valoir que l'autisme se développe suite à une insuffisance d'approvisionnement en sulfate de cholestérol pour stabiliser le système de suspension colloïdale du sang. Cholestérol sulfate approvisionnement est maintenue par des concentrations de nitrates « par intérim dans l'épiderme, l'endothélium et les suspension de globules, et qu'il exige le cholestérol de substrats et soufre, ainsi que la lumière du soleil, pour fournir l'énergie d'activation nécessaire pour la réaction ». (4) vaccins entrent en la photo parce que :
« Les vaccins contenant de l'aluminium sont problématiques, pas seulement parce que l'aluminium provoque eNOS passer de sulfate à la production d'oxyde nitrique, mais aussi parce que l'aluminium peut induire une nécrose des tissus au point de vaccination, imitant le processus du tissu endommager le placenta en pré-éclampsie. Dans les deux cas, la libération de
l'ADN mitochondrial dans la circulation sanguine peut déclencher une réaction auto-immune aiguë. » (4 )
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L'étude a conclu que :
RépondreSupprimer"Nous avons proposé dans cet article une nouvelle hypothèse pour la pathologie sous-jacente qui lie l'autisme et extrêmes indésirables des vaccins. On recommande également l'élimination de l'aluminium comme adjuvant dans les vaccins." (4 )
« L'aluminium est une neurotoxine expérimentalement démontrée et l'adjuvant du vaccin plus couramment utilisés. Malgré près de 90 ans de l'utilisation généralisée des adjuvants d'aluminium, médicale compréhension de la science médicale de leurs mécanismes d'action est encore remarquablement pauvre. Il y a également une pénurie concernant des données sur la toxicologie et pharmacocinétique de ces composés. Malgré cela, la notion que l'aluminium dans les vaccins est sûr semble être largement accepté." (5) – Dr Chris Shaw, avec les départements de l'UBC d'ophtalmologie et Sciences de la vision, le programme d'études supérieures en neurosciences et médecine expérimentale
Je tiens également à mentionner que recherche expérimentale montre clairement qu'en aluminium en forme d'adjuvant crée un risque d'auto-immunité, inflammation du cerveau à long terme et les complications neurologiques et peut ainsi avoir des complications de santé défavorables profonde et généralisée. (5 )
Professeur Christopher Shaw et Dr Lucija Tomljenovic de UBC (dans une étude récente) montrent également que les enfants plus recevoir de vaccins avec adjuvants en aluminium, plus que leur chance est de développer l'autisme, les maladies auto-immunes et les troubles neurologiques plus tard dans la vie. Une neurotoxine démontrée, l'aluminium est le seul adjuvant approuvé aux États-Unis. Son utilisation présente le risque d'inflammation du cerveau, auto-immunité et autres conséquences néfastes pour la santé. (6 )
Tout comme une note de côté, on sait que l'aluminium s'accumule dans le cerveau et que cette accumulation est associé liée des maladies d'Alzheimer et de Parkinson et Syndrome de la guerre du Golfe. (7) (8 )
"Recherche expérimentale montre clairement que les adjuvants en aluminium ont un potentiel de provoquer de graves troubles immunologiques chez les humains. En particulier, en aluminium en forme d'adjuvant comporte un risque d'auto-immunité, inflammation du cerveau à long terme et les complications neurologiques associées et devront donc peut-être des conséquences sanitaires néfastes profonde et généralisée." (source )
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Une étude publiée dans la revue pédiatrie a constaté que :
RépondreSupprimer"Comme une ingérence dans une variété de processus métaboliques et cellulaires dans le système nerveux et dans d'autres tissus, aluminium est maintenant était impliquée." (source )
Un rôle pour la glande pinéale dans neurologique dommages suivants en aluminium Adjuvented Vaccination
Le document susmentionné par Dr Seneff provient de 2012. En plus d'actualité au sujet du Dr Seneff, elle a présenté récemment approfondir ses recherches scientifiques au troisième Symposium International sur les vaccins en mars 2014. Il faisait partie du 9e Congrès International sur l'auto-immunité. Elle a été invitée par Children Medical Safety Research Institute (CMSRI) pour discuter des effets nocifs sur la santé des adjuvants d'aluminium et aluminium-adjuvented vaccins.
Tel que noté ci-dessus, Dr Seneff communément fait valoir que les maladies neurologiques cérébrales sont le résultat d'un approvisionnement insuffisant de sulfate au cerveau. Elle soutient cette lacune sulfate systématique « est peut-être le facteur le plus important dans un grand nombre de problèmes de santé auxquels nous faisons face aujourd'hui. »
"L'une des conséquences du sulfate insuffisant dans le cerveau est qu'elle porte atteinte à la capacité du cerveau à éliminer les métaux lourds et autres toxines. Pour aggraver les choses, ces mêmes métaux toxiques aussi interférer avec la synthèse de sulfate. Le résultat net peut être une accumulation de débris cellulaires."- (source) Claire I. Viadro, MPH, PhD
Quelques études intéressantes ont été faites quand il s'agit d'héparine Sulfate, qui joue également un rôle clé dans le développement du cerveau foetal, protection contre les radicaux libres néfastes de. Quand il s'agit de carence en autisme et en sulfate, intriguant les preuves de ce qui arrive quand l'héparane sulfate est déficiente provient tant humaines et études sur les souris de l'autisme. Dans une étude, « conçus pour avoir vicié la synthèse de l'héparane sulfate dans le cerveau de souris affichent toutes les fonctions classiques de l'autisme, y compris les stéréotypies et déficits sociocommunicative. » (9) (expérimentation animale est cruelle, inutile et non nécessaires plus. Il y a autres méthodes qui existent maintenant les chercheurs peuvent utiliser pour faire leurs essais.)
Une autre étude publiée dans la revue Behavioural Brain Research a trouvé que ce type de carence existe dans la zone sous-ventriculaire des ventricules latéraux de quatre personnes autistes. Les auteurs ont conclu que cela « peut-être être des biomarqueurs pour l'autisme et potentiellement impliqués dans l'étiologie de la maladie. » (10 )
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Ce que m. Seneff suggère est que la mélatonine est un facteur clé dans la prestation de sulfate au cerveau. Cette exposition au soleil qui permet la glande pinéale fournitures du sulfate le jour, stockant en molécules de sulfate d'héparane. Lorsque le soir arrive, la glande pinéale produit la mélatonine et le transporte comme sulfate de mélatonine à plusieurs parties du cerveau. La signification ici est qu'il existe une association de l'autisme avec l'appauvrissement de la héparane sulfate dans les ventricules latéraux et la troisième, et la pointe du troisième ventricule est située dans la glande pinéale. (source) Quand tout fonctionne, comment il est censé pour travailler, la glande pinéale livre sulfate du troisième ventricule, parmi d'autres parties du cerveau. Mais lorsque le cerveau est chargé avec des produits chimiques toxiques, comme l'aluminium, il fait obstacle à ce processus.
RépondreSupprimer"En outre, la mélatonine transporte non seulement sulfate mais est également un antioxydant exceptionnel et lie les métaux toxiques afin de les jeter. On peut s'étonner, alors, cette déficience de la mélatonine a été impliquée dans l'autisme."– (source), Claire I. Viadro, MPH, PhD
Pour ce qui est en aluminium, il est un fait bien connu qu'elle joue un rôle dans diverses maladies neurologiques, et qu'elle peut perturber la capacité des glandes pinéale pour produire sulfate, qui signifie que le cerveau ne peut pas nettoyer elle-même des métaux lourds et juste, ils continuent à s'accumuler.
« La glande pinéale est particulièrement sensible à aluminium et autres métaux lourds parce qu'il n'est pas protégé par la barrière hémato-encéphalique et a un taux de perfusion sanguine très élevée. » (source) Claire I. Viadro, MPH, PhD
Vulnérabilité de la glande pinéale à l'aluminium est illustrée dans un document de 1996, montrant que les concentrations d'aluminium dans la glande pinéale étaient « constamment observée » et « nettement plus élevé » que dans les autres tissus cérébraux examiné (hypophyse, cortex et cervelet) (11 )
"Scientifiques prennent note du fait que nous vivons dans un « âge de l'aluminium, » avec l'exposition à l'aluminium qui se produisent à travers les vaccins ainsi que plusieurs autres canaux. En outre, bien que de nombreux experts voudrait nous faire croire que la question de la sécurité du thimérosal et vaccin s'en alla après organismes fédéraux a émis des recommandations tièdes pour réduire son utilisation comme un vaccin conservateur dans le début des années 2000, Dr Seneff a noté que le thimérosal est toujours très pertinent." (source) Claire I. Viadro, MPH, PhD
En résumé, m. Seneff est soulignant le fait que beaucoup de maladies neurologiques du cerveau ont une origine commune, qui comprend un approvisionnement insuffisant de sulfate au cerveau. Elle conclut qu'exposition aux métaux toxique améliorée (aluminium) nuit à la capacité de cerveaux à detox lui-même et de les éliminer. En conséquence, ces métaux toxiques interfère avec la synthèse de sulfate, créer une carence de sulfate d'héparane qui à son tour conduit à l'autisme (comme mentionné et souligné avec les études citées plus haut.) (12 )
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Je tiens également à mentionner que l'autisme est composé d'un très large spectre. Certains des maux associés à diagnostic peut-être pas les maux du tout, mais les cadeaux qui sont en aucune façon associé aux vaccins. En revanche, je crois que dans certains cas, les caractéristiques que l'on voit chez certains enfants autistes sont à l'origine de diverses toxines de pesticides aux vaccins, surtout les enfants qui ont une génétique maquillage qui les rend plus sensibles à ces produits chimiques. Dans certains cas (je crois) il résulte de ces toxines diverses, et encore une fois, dans d'autres cas, je crois que c'est un cadeau et peut-être une étape de l'évolution.
RépondreSupprimerSources :
(1) http://nsnbc.me/wp-content/uploads/2013/05/BSEM-2011.pdf
(2) http://earthopensource.org/index.php/news/148-former-monsanto-employee-put-in-charge-of-gmo-papers-at-journal
(3) http://people.csail.mit.edu/seneff/
(4) http://people.csail.mit.edu/seneff/Entropy/entropy-14-02265.pdf
(5) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21568886
(6) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23609067
(7) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1637136
(8) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14743440
(9) http://www.pnas.org/content/109/13/5052.long
(10) http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23318464
(11) http://www.99thagent.org/freddyspyder/files/108Piezoelectricity.pdf
(12) http://people.csail.mit.edu/seneff/SeneffNice2014.pdf
http://Pediatrics.aappublications.org/content/97/3/413.Abstract
http://newresearchfindingstwo.blogspot.fr/2015/06/mit-scientist-shows-what-can-happen-to.html
(...) En outre, l'étude montre comment des concentrations d'aluminium anormalement élevé ont été récemment trouvées dans les analyses de cheveux de plus de la moitié des 34 enfants autistes qui ont été analysés. (...)
SupprimerSans aller jusqu'à désigner Monsanto comme étant l'auteur des chemtrails, j'aimerai bien connaître les résultats (si des analyses ont été faites) sur des non autistes ! Car, récemment est apparu cette information capitale dans un journal anglais:
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/pas-plus-loin-que-le-bout-de-leur-nez.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/abeilles-atteintes-dalzheimer-la.html
Chine et FMI, le choc monétaire de 2015 ?
RépondreSupprimer22 juin 2015
Matt Insley
Comme nous l’observions vendredi, il se passe des choses importantes entre la Chine et les autorités monétaires du reste du monde. Depuis la fin de la Route de la Soie, les Chinois se sont retrouvés dans une situation de simples observateurs. Le yuan ne fait pas partie des préoccupations monétaires des pays développés.
La Chine exerce une forte pression pour être incluse dans le panier de devises du FMI
Mais cette année, cela pourrait changer.
Beaucoup de gens plus intelligents que moi pensent que cela va se produire lors de la réunion du FMI, en octobre prochain…
"Pour la première fois, la Chine a une réelle chance d’obtenir du FMI la reconnaissance du yuan comme monnaie de réserve mondiale au même titre que le dollar et l’euro", rapporte Bloomberg.
Cette information est régulièrement relayée par les médias grand public comme CNBC…
En plus de cela, les Chinois s’organisent depuis longtemps (et ont stocké de l’or) pour que ce grand mouvement monétaire ait lieu.
Je suis cette affaire depuis 2011. Et depuis ce temps-là, j’ai toujours dit que 2015 est l’année où cela arrivera.
Ce qui nous amène à la situation actuelle…
Il y a quelques semaines, je me trouvais à Washington, furetant autour du bâtiment du FMI.
Je n’ai vu aucune mallette remplie de yuans au bord du trottoir. Ni un nombre remarquable de Chinois — ils étaient néanmoins peut-être bien camouflés.
Plus sérieusement, cette interaction entre la Chine et le FMI est l’événement le plus important de l’année, et l’histoire n’est pas près de s’arrêter là.
Parier donc là-dessus assez tôt pourrait rapporter gros.
Mais cela soulève la question : comment cela va-t-il se passer ?
Eh bien, malheureusement pour les Chinois, je pense que ce sera une situation perdant/perdant.
Pendant de nombreuses années, les Chinois ont pu jouer avec leur monnaie et s’assurer que la balance penchait toujours en leur faveur. Rien qu’au cours des 10 dernières années, ils ont fait marcher la planche à billets avec excès …
Ainsi, la masse monétaire chinoise (M2) est passée d’environ 26 000 milliards de yuan à plus de 128 000 milliards de yuan — soit près du quintuple en seulement 10 ans ! Et vous pensiez que la Fed imprimait trop ?
Durant le même laps de temps (2005-2015) la masse monétaire des Etats-Unis (M2) n’a même pas doublé.
Prudence, prudence…
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Dans un monde où une monnaie bon marché peut faire pencher la balance en votre faveur, la Chine a imprimé sans relâche.
RépondreSupprimerQue se passera-t-il en cas d’accord avec le FMI ? Ce ne sera plus possible. Si le yuan entre dans les DTS, je suis certain qu’une partie de l’accord exigera un resserrement de la politique monétaire de la Chine. Cela pourrait représenter de TRES mauvaises nouvelles pour l’économie sur-inflationniste de la Chine.
Même si le yuan n’entre pas dans les DTS, je pense que cette situation pourrait être catastrophique pour les Chinois
Franchement, avec tout le foin que soulève cette histoire, même si la Chine ne reçoit pas l’accord du FMI, je parie que nous verrons une sorte de feuille de route grâce à laquelle le pays pourrait être accepté s’il obéit à certaines restrictions monétaires. Cette feuille de route pourrait être tout aussi fatale pour l’économie chinoise.
Pour résumer, au cours des cinq prochains mois, je pense que nous allons voir une forte pression sur l’économie chinoise — ce qui signifie que la bulle boursière chinoise pourrait bien éclater.
Mon conseil : évitez les actions chinoises. Et s’il vous prend la fantaisie de vous y aventurer, débrouillez-vous pour jouer la baisse…
http://la-chronique-agora.com/chine-fmi/
Vague de froid inhabituelle pour un mois de juin sur le Nord de l'Europe
RépondreSupprimerMétéo World
lun., 22 juin 2015 16:42 UTC
Une vague de froid inhabituelle pour un mois de juin, provoqué par la descente d'un air froid polaire qui s'est encore intensifié aujourd'hui, affecte depuis plusieurs jours le nord de l'Europe.
Sont concernés par ce froid : le Royaume-Uni, les Pays-Bas et l'Allemagne où les températures ont été proches des zéros degré hier, 3°C près de Hambourg.
Il a même légèrement neigé juste en dessous des 200 mètres dans les Alpes Allemandes et Autrichiennes.
Des chutes de neige jusqu'à basse altitude sont attendues sur la Norvège, la Suède et la Finlande.
En France, le contraste thermique sera important aujourd'hui entre le nord qui va connaitre une journée digne d'un mois d'octobre avec des températures de 6 à 8°C en dessous des normales, et le sud de la France avec des températures de 3 à 6°C au-dessus des normales.
On pourrait par exemple relever au maximum de la journée jusqu'à 33°C dans le Sud-Ouest, et seulement 12°C sur le nord du pays.
http://fr.sott.net/article/25844-Vague-de-froid-inhabituelle-pour-un-mois-de-juin-sur-le-Nord-de-l-Europe
Île soulevée.
RépondreSupprimerCharles Darwin et son capitaine Robert Fitzroy a été témoin le grand séisme de 1835 au centre-sud du Chili. Des mesures précises du « Beagle »-commandant de bord a montré un soulèvement de l'île Isla Santa María de 2 à 3 mètres après le tremblement de terre. Ce que Darwin et Fitzroy ne pouvait pas savoir c'est le fait que 175 ans plus tard presque à la même position tel un fort tremblement de terre ne se reproduise.
À la côte de l'Amérique du Sud Ouest l'océan Pacifique sol se déplace sous le continent sud-américain. Qui entraîne à travers une in - et diminution de la tension de que la croûte terrestre le long de tout le continent de Tierra del Fuego au Pérou a battu aux côtés de l'ensemble du trajet dans la série de tremblements de terre dans un an et demi siècle. Le tremblement de terre de 1835 fut le début d'un tel cycle sismique dans cette région.
Après avoir examiné les résultats du tremblement de terre du Maule en 2010 une équipe de géologues de l'Allemagne, le Chili et les États-Unis pour la première fois étaient capable de mesurer et simuler un cycle complet de sismique à son mouvement vertical de la croûte terrestre à cet endroit.
Dans le cours en ligne-édition de Nature Geoscience , ils signalent sur les tremblements de terre : après le tremblement de terre de magnitude de 8,5 Isla Santa María a été soulevé jusqu'à 1835 3M, disparu à nouveau environ 1,5 m dans les années suivantes de 175 et upliftet nouveau 1,5-2 m causée par le tremblement de terre de Maule avec une échelle de magnitude de moment de 8,8.
Le tremblement de terre de Maule appartient aux grands tremblements de terre, qui a été entièrement enregistré et donc bien documentée par un réseau moderne de l'espace-géodésiques et géophysiques sur le terrain, les ensembles de mesurage. La reconstruction des processus en 1835 a été plus difficile. Mais les cartes marines de 1804 avant le tremblement de terre, de 1835 à 1886 ainsi que la documentation précise du capitaine Fitzroy permet en combinaison avec les méthodes actuelles une suffisamment de détermination précise du mouvement vertical de la croûte terrestre le long d'un cycle complet de sismique.
Au début d'un cycle de cet énergie est stocké par déformation élastique de la croûte terrestre, puis libéré au moment du tremblement de terre. "Mais il est intéressant, notre allusion d'observations à un taux de subsidence variable au cours du cycle sismique" explique Marcos Moreno GFZ allemand du Centre de recherche pour les sciences de la terre, l'un des co-auteurs. « Entre les grands séismes que les plaques sous Isla Santa María sont grandes verrouillé, glisser le bord de la plaque sud-américaine et l'île, vers le bas et vers l'est. » Pendant les tremblements de terre, la motion est soudainement inversée et le bord de la plaque de l'Amérique du Sud et de l'île sont projetés vers le haut et vers l'Ouest. » Ce modèle de mouvement complexe pourrait être parfaitement confirmé par un modèle numérique. Au total, au fil du temps se pose un soulèvement vertical permanent de 10 à 20 % de l'élévation complète.
Des tremblements de terre, les dossiers montrent qu'il n'y a aucun périodiquement les temps de répétition séquence ou cohérentes extensibles magnitudes des séismes. Un instrument important pour une meilleure estimation des risques causés par les tremblements de terre sont la compilation et la mesure de déformation croûte de la terre à travers un programme complet de la sismique.
http://phys.org/news/2015-06-uplifted-island.html
Le dernier espoir de Kiev : la planche à billets, c’est parti
RépondreSupprimerPar Valentin Katasonov
Le 13 juin 2015 – Source strategic-culture
Yury Loutsenko, député et chef du parti de Petro Porochenko , a indiqué que la Banque nationale de l’Ukraine a lancé la planche à billets. Il est prétendument allé de l’avant après que le Premier ministre Arseni Iatseniouk lui a donné son approbation. Peu de gens on noté cette information. Ioulia Timochenko a rapidement confirmé la nouvelle (elle est une dirigeante de l’opposition). Elle a dit que l’émission incontrôlée sans contrepartie doit cesser. En janvier l’émission s’est élevée à 31 Mds de hryvnias.
La question a été mise à l’ordre du jour par des politiciens et des journalistes.
Le Premier ministre est dans une situation difficile. La première tranche d’argent reçue [du FMI] à la mi-mars, $5 Mds, est dépensée. Il n’y a aucune certitude que la prochaine tranche sera libérée (les pourparlers sur la restructuration de la dette sont dans l’impasse). Le gouvernement n’a pas d’argent pour les dépenses sociales (pensions, salaires, etc.). Iatseniouk n’a plus d’autre choix que la planche à billets.
Tout d’un coup le problème, qui n’est pourtant pas nouveau, est venu au premier plan. Cela ressemble beaucoup à un complot visant à se débarrasser du Premier ministre sortant. L’impression des billets avait déjà commencé l’année dernière. L’émission n’a aucune contrepartie (ni or ou devises des réserves de la banque centrale, ni obligations, ni billets à ordre,…). La seule chose qui vient avec l’émission des billets est l’émission de titres de créance, donc de dette. Voilà ce qui se passe en Ukraine.
La dette publique de l’Ukraine a augmenté énormément l’année dernière. Les médias s’intéressent surtout à la dette extérieure, mais la dette intérieure a augmenté aussi.
Voici les données officielles du ministère des Finances de l’Ukraine concernant la dette interne (en milliards de hryvnias)
01.01.2013 – 206, 5
01.01.2014 – 284, 1
01.01.2015 – 488, 9
En 2013, la dette publique interne a augmenté de 77,6 Mds de hryvnias (38%). L’augmentation était de 204,8 Mds de hryvnias en 2014 (72%). Pour couvrir la dette le ministère créait des titres de créance (des obligations). Les acquéreurs de ces titres sont les banques commerciales et autres organisations (compagnies d’assurance, fonds d’investissement, etc.) ukrainiennes ainsi que la Banque nationale d’Ukraine. Cette dernière rachète la part du lion de la dette. Selon les statistiques de la Banque, elle a acheté 181,9 Mds de hryvnias d’obligations du gouvernement en décembre 2014 – janvier 2015 (en outre elle a acheté des obligations en devises). Elle n’a pas vendu des obligations en devises l’an dernier, mais a continué à accumuler les titres de la dette. La valeur des obligations d’État achetées par la Banque était presque égale à 90% de la croissance interne de l’Ukraine.
(suite en dessous:)
Pavlo Rizanenko, membre du Parlement et président de la commission des finances et des activités bancaires de la Verkhovna Rada [le Parlement], a confirmé le fait de l’émission de billets. Selon les informations qu’il a obtenues de la Banque, en 2014 le montant de l’émission était de 176 milliards de hryvnias , dans les années précédentes elle allait de 20 à 50 milliards. Rizanenko a dit que le secteur privé n’a pas fourni de prêts au gouvernement, de sorte que la Banque nationale dépense l’argent du Trésor pour racheter les obligations. Les experts en macro-économie appellent cela la monétisation de la dette. Pour le dire simplement, ce n’est rien d’autre que la planche à billets. Rizanenko a déclaré que le volume d’émission était extrêmement important. L’imprimerie de la Banque est devenue une source importante de soutien pour le régime actuel. Il s’agit d’un cas classique d’émission sans contrepartie, exactement ce qui fait exploser l’inflation.
RépondreSupprimerDes experts ukrainiens estiment que la hryvnia va logiquement s’affaisser en proportion de la hausse de l’inflation. Certains disent que le taux de change de la monnaie nationale contre le dollar US sera supérieur à 100 et peut-être même 200 hryvnias pour un dollar US. Ces estimations sont bien étayées. Selon le ministère des Finances, la dette publique a atteint 514,3 Mds de hryvnias au 1er mai 2015. Au cours des quatre premiers mois de l’année, la croissance moyenne de la dette était de 25,4 Mds, ou 5, 3%. Cela ne semble pas si étonnant en comparaison des indices de l’année dernière. Dans les années précédentes, les déficits budgétaires ont été rafistolés au détriment de la dette extérieure qui montait. La chute de la hryvnia au début de l’année a facilité le processus.
Certaines réserves de change accumulées grâce à l’emprunt ont créé l’illusion que le gouvernement remplissait complètement ses devoirs. Les réserves ont été épuisées, donc il n’y a plus rien d’autre à faire qu’à imprimer les billets. La Banque nationale d’Ukraine a déclaré qu’elle ne lancerait pas d’émission rampante. Sous la pression du Fonds monétaire international 1 elle a promis de ne pas laisser l’émission dépasser 91 Mds de hryvnias en 2015. En janvier-février 2015, la moyenne était de 10,2 Mds de hryvnias. Au printemps, elle descendait à 4,8 Mds de hryvnias en mars. En avril la Banque a émis seulement 3 Mds de hryvnias et vendu des obligations pour un même montant. En mai l’émission nette était de 7,9 Mds de hryvnias. Les réserves étant épuisées, le premier ministre a donné l’ordre de commencer l’impression des billets. Les détails seront connus dans un mois dès que la Banque nationale d’Ukraine aura publié les données de juin.
Acheter des obligations n’est pas la seule façon de combler les trous dans le budget. La Banque nationale peut refinancer les banques commerciales. Le refinancement classique est l’octroi de crédits par une banque centrale aux banques commerciales afin qu’elles puissent fournir des fonds pour l’économie. Les marchandises produites servent de contrepartie. Dans le cas de l’Ukraine, la Banque nationale stimule l’inflation parce que, directement ou indirectement, les banques commerciales achètent des obligations du gouvernement. Cet argent ne se dirige pas vers l’économie, il retourne au gouvernement, c’est une sorte de papier marchandise produit par l’imprimerie sans aucune contrepartie dans la réalité.
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Ioulia Timochenko n’a pas manqué l’occasion de critiquer le gouvernement pour la chute de la monnaie. Selon elle, la raison était l’émission monétaire sans contrepartie et le refinancement incontrôlé des banques commerciales par la Banque nationale d’Ukraine. Il doit être entendu que par le refinancement du secteur commercial, la Banque nationale tente de compenser la sortie des dépôts. Pour la période du 1er janvier 2014 au 1er février 2015, la Banque nationale d’Ukraine a fourni 121,8 Mds de hryvnias à échéance de 30 jours, y compris aux banques russes. Timochenko pense que l’argent de la Banque nationale est enterré dans le sable. Ou, pour être plus précis, est volé. L’ancien Premier ministre sait de quoi elle parle, de sorte que la déclaration peut être digne de confiance. Selon elle, 109 Mds de hryvnias de remboursement n’ont pas été retournés à la Banque nationale. Elle dit que l’argent, un quart du budget de l’Ukraine, ne sera jamais rendu. Selon elle, elle n’a cité que les données officielles, il n’y avait rien d’émotionnel dans son message.
RépondreSupprimerSelon les prévisions du Fonds monétaire international rendues publiques au début de l’année, l’inflation en 2015 pourrait atteindre 46% et dépasser le niveau record de 39,7% de 1996. Les prix ont augmenté de 40% cette année. Cela présage que le taux d’inflation va dépasser les prévisions du FMI. Le taux d’inflation de l’Ukraine est le 13e plus élevé au monde (l’estimation est basée sur les indices des cinq premiers mois de 2015). Si les informations sur l’impression de billets par la Banque nationale suite à l’ordre donné par Iatseniouk sont vraies, l’Ukraine peut être frappé par l’hyperinflation comme l’Allemagne dans les années 1920.
Par ailleurs, la montée en flèche de l’inflation n’est pas la seule similitude si vous faites une comparaison. Comme la question est devenue publique, un avis a été exprimé que le Premier ministre Arseni Iatseniouk, Victoria Gontareva, la directrice de la Banque Nationale, devraient démissionner. Les opposants politiques irréconciliables sont unanimes dans leur opinion, par exemple, Yury Lutsenko, le chef du parti de Petro Porochenko, et Ioulia Timochenko, chef du parti pan-ukrainien Patrie, ou Batkivshchyna défendent le même point de vue. Alors, qui devrait prendre la place des fonctionnaires démissionnaires ? Il y a un scénario intriguant qui pointe à l’horizon. Ioulia Timochenko a fustigé Victoria Gontareva. Selon elle, le Président et le gouvernement devraient s’adresser à la communauté mondiale pour obtenir de l’aide et demander un candidat avec une grande réputation.
Il y a une certaine logique ici. Puisque le ministère des Finances est dirigé par Natalie Jaresko, une ex-diplomate US, la Banque nationale devrait être dirigée par une femme venant d’un autre pays. Il serait préférable que ce candidat ait des liens avec le Système de la Réserve fédérale américaine car c’est là-bas que travaillent les personnes les plus respectables, selon la vision des choses à Kiev. Ensuite, il serait bon de franchir une autre et dernière étape – enlever l’enseigne La Banque nationale d’Ukraine et la remplacer par une autre Federal Reserve Bank of Ukraine.
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Note
RépondreSupprimerLa masse monétaire est la totalité du stock de monnaie et des autres instruments liquides dans l’économie d’un pays à un moment donné. L’offre de monnaie peut comprendre des espèces, pièces de monnaie et les soldes détenus dans les comptes chèques et d’épargne. Les économistes analysent l’offre de monnaie et élaborent des politiques qui tournent autour d’elle par le contrôle du taux d’intérêt et en augmentant ou en diminuant le montant d’argent circulant dans l’économie. les données sur la masse monétaire sont collectées, enregistrées et publiées périodiquement, généralement par le gouvernement du pays ou de la banque centrale
http://lesakerfrancophone.net/le-dernier-espoir-de-kiev-la-planche-a-billets-cest-parti/
Voilà comment de faux économistes 's'en sortent' avec la célèbre planche-à-billets !
SupprimerIls paralysent les marchés avec une abondance de billets qu'ils va falloir rendre... en or !
C'est le cas de la Grèce (entr'autres) qui a reçu des avoirs qui n'existaient pas (sinon inscrits sur l'ordinateur) et que la Grèce se devrait de rendre... en or !
C'est pourquoi le PM grec a défendu son pays en disant que la 'dette' était illégale, illégitime et odieuse.
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/06/comite-de-la-dette-grecque-vient-de.html
Et, qu'est-ce que les escrocs demandent maintenant ?
L'abandon de 'la planche-à-billets' au profit de la monnaie fictive (qui en fait l'a toujours été vis-à-vis de l'or en banques ou à la Réserve nationale) qui se fabrique en laissant le doigt appuyé (plus ou moins longtemps) sur une touche de chiffre sur le clavier !
Mais bien-sûr entre 'faux-monnayeurs', (ayant chacun un ordinateur chez lui), l'avenir est que chacun se fabrique ce qu'il a besoin !
Retour sur l’invention du vaccin contre la variole et la situation actuelle
RépondreSupprimerPublié le 22 juin 2015
par jacqueshenry
Pour les Français, c’est Pasteur qui a inventé la vaccination, en réalité ce n’est pas Pasteur et le nom même de vaccin vient directement d’une maladie contractée par les fermières anglaises (et de bien d’autres pays) en trayant leurs vaches, des sortes de pustules ressemblant à s’y méprendre à la variole. Les faits se déroulèrent au XVIIIe siècle, donc bien avant Pasteur et il est souvent riche d’enseignements de relire l’histoire car on découvre l’ingéniosité de l’esprit humain qui sut faire avancer la science à petits pas, certes, mais des petits pas qui aboutirent à la plus grande avancée de la médecine, c’est-à-dire la vaccination. On savait depuis des temps reculés en particulier en Chine et en Turquie, bien avant l’époque de l’empire Ottoman, que la variole de la vache – en français vaccine – protégeait efficacement contre la variole (humaine) ceux qui avaient souffert de cette maladie, la variole touchant les deux tiers de la population et tuant un cinquième d’entre eux.
La « vaccine » fut donc la première expérimentation dont la finalité était la stimulation du système immunitaire pour se protéger d’une maladie afin d’éviter d’en mourir. Les observations d’immunité acquise contre la variole après avoir souffert de la vaccine restaient inexpliquées et ce n’est qu’à la fin du XVIIIe siècle qu’Edward Jenner, un médecin anglais né à Berkeley dans le Gloucestershire, comprit ce qui se passait dans la réalité. Jenner préleva du pus provenant des pustules de malades souffrant de vaccine et inocula celui-ci à des personnes saines qui développèrent la maladie dans le but de les protéger contre la variole. Il vérifia son hypothèse d’une immunité acquise en « variolant » ces sujets. La variolation était une pratique développée depuis très longtemps en Chine qui consistait à recueillir le liquide présent dans les pustules des personnes atteintes de variole et de l’inoculer dans la peau de personnes saines. Celles-ci étaient alors protégées contre la variole après avoir développé les mêmes symptômes que la maladie proprement dite mais atténués. Le même protocole appliqué avec le pus des pustules de la vaccine conduisit au même niveau de protection sans toutefois induire parfois de graves symptômes comme c’était le cas avec la variolation.
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Fort de cette observation Jenner entreprit de collecter des fonds pour appliquer sa méthode à de nombreuses personnes pour les protéger contre les épidémies récurrentes de variole. Aujourd’hui la variole, grâce à la vaccination systématique mise en place au XIXe siècle, est la première maladie mortelle à avoir été éradiquée totalement et la poliomyélite est en passe de subir le même sort. La vaccination contre la variole reste obligatoire pour les militaires américains et leurs familles … Curieux, d’autant plus que la communauté scientifique considère que ce vaccin est aujourd’hui l’un des moins sûrs, du moins si l’on se réfère à ce qu’affirme une étude datant de 2003. Le vaccin actuel (bien qu’on ne vaccine plus contre cette maladie dans la plupart des pays développés) est un virus atténué authentique obtenu avec des cultures de cellules (Vero) de rein de singe Vervet africain. Paradoxalement cette technique d’obtention de virus atténués fut aussi utilisée pour produire le virus atténué de la polio et manque de chance ou mauvais contrôle industriel, certaines campagnes de vaccination contre la polio aboutirent à répandre massivement un autre virus présent chez le Vervet, le SV40. Ce dernier virus est suspecté d’avoir contaminé des millions d’enfants et d’adultes lors des campagnes de vaccination contre la poliomyélite. Le SV40 hautement suspecté de favoriser l’apparition de cancers contamina des lots entiers de vaccins polio façon Salk ou façon Sabin. Si l’affaire ne fut pas trop ébruitée en son temps car il s’agissait de combattre la poliomyélite en urgence, il n’en reste pas moins qu’à l’époque, sans les moyens d’investigation puissants de la génétique moderne, les pouvoirs publics avaient pris de gros risques qui s’avérèrent rétrospectivement anecdotiques car les études épidémiologiques ne révélèrent aucune incidence sur la fréquence de rares formes de cancers ou tout au plus un soupçon favorisant l’apparition comme co-carcinogène des cancers de la plèvre avec l’amiante. Cette observation conduisit pour partie à interdire l’usage de l’amiante …
RépondreSupprimerCes rappels sont là tout simplement pour montrer qu’une urgence sanitaire peut conduire à des incidents de parcours qu’il est difficile de prévoir ou de maîtriser. Mais revenons à la variole. À la fin du XIXe siècle, se « faire vacciner » représentait un coût et seules les classes sociales aisées pouvaient se permettre ce luxe. Il en résulta tout naturellement que la variole continuait à faire des ravages chez les pauvres comme c’est le cas aujourd’hui pour d’autres maladies. On accusa donc les classes sociales supérieures, protégées contre la maladie mais néanmoins porteuses éventuelles du virus, de le transmettre aux « pauvres » et cet état de fait introduisit une sorte de ségrégation entre les vaccinés et les non vaccinés. Avec la généralisation de la vaccination, il semble que le virus ait évolué vers une forme moins agressive, fait qui contribua probablement à son éradication.
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Alors pourquoi conserver les souches de virus les plus dangereuses ? C’est du ressort des armées américaine et russe à tel point qu’en 2000 le gouvernement américain envisagea sous l’administration Bush de produire massivement des vaccins contre la variole car il s’agit d’une arme biologique dont il faut se protéger. Cependant la vaccination telle qu’elle fut décidée par l’armée américaine n’est pas anodine et les effets secondaires peuvent être vraiment indésirables et cela d’autant plus que ce projet était géré par des militaires. Il y eut tout de même un essai clinique organisé par l’armée américaine qui fut globalement catastrophique avec des complications cardiaques notoires pour des personnes ayant des pressions sanguines élevées, des taux de cholestérol hors normes, du diabète, un surpoids ou une prédisposition familiale à ces pathologies, autant dire plus de 60 % de la population américaine ! Pourtant 2,4 millions de militaires furent vaccinés entre 2002 et 2014 malgré les mises en garde du CDC. Il n’y a qu’un tout petit chemin à parcourir pour rapprocher cette campagne de vaccination du syndrome dit de la Guerre du Golfe qui coûta une fortune à l’armée américaine et qui persiste encore aujourd’hui sans qu’on ait pu en identifier les causes mais … suivez mon regard, car le nouveau vaccin produit par l’armée américaine est un véritable poison : le virus supposé désactivé est capable de s’installer et de créer ce qui s’appelle en jargon médical la « vaccine progressive », une sorte de variole atténuée qui progresse avec le temps au niveau du site de vaccination puis sur tout le corps. L’armée américaine a d’ailleurs inventé toutes sortes d’effets de la guerre du Golfe pour minimiser sa gestion catastrophique de cette vaccination obligatoire pour ses personnels comme par exemple l’utilisation de balles en uranium appauvri. Pas vraiment réjouissant !
RépondreSupprimerLa réintroduction de la vaccination contre la variole avec un virus atténué est donc potentiellement dévastatrice et ce qui est au contraire certain c’est que le virus détenu tant par les Russes que les Américains ne pourra jamais tomber dans les mains de terroristes tels qu’on les définit actuellement. La terreur pourrait au contraire provenir de l’establishment médico-pharmaceutique qui aimerait bien qu’une campagne de vaccination puisse être décidée afin de réaliser de monstrueux profits. On comprend donc un peu mieux pourquoi les souches de virus sont jalousement gardées, au cas où …
Liens :
http://www.jennermuseum.com/the-garden.html.
http://biotech.law.lsu.edu/blaw/bt/smallpox/Congress/040129_ABiodefenseFailureOneYearLater.pdf
http://www.vaccines.mil/documents/1702_SmallpoxScreeningForm.pdf
https://jacqueshenry.wordpress.com/
Warren Buffett : Les dérivés sont toujours des armes de destruction massive et « sont susceptibles de causer de gros ennuis »
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
22 juin 2015
Après toutes ces années, l'investisseur le plus célèbre dans le monde croit encore que les produits dérivés sont des armes financières de destruction massive. Et vous savez quoi ? Il est tout à fait exact. Le prochain grand effondrement financier mondial que beaucoup parlent AVERTISSEMENT est presque à nos portes, et quand il arrive dérivés vont jouer un rôle. Quand beaucoup de gens entendre le mot « produits dérivés », ils ont tendance à régler parce que c'est un mot qui sonne très compliqué. Et sans aucun doute, dérivés peuvent être extrêmement complexes. Mais ce que j'essaie de faire est de prendre des sujets complexes et de les décomposer en termes simples. À leur base, dérivés ne représentent rien de plus qu'une forme de légalisation des jeux d'argent. Un dérivé est essentiellement un pari qu'un élément soit seront ou ne se ne fera pas à l'avenir. En fin de compte, quelqu'un va gagner de l'argent et quelqu'un va perdre de l'argent. Il y a des centaines de milliers de milliards de dollars d'une valeur de ces Paris circulent là-bas et un jour que cette bombe à retardement gigantesque va s'éteindre et absolument paralyser tout le système financier mondial.
En 2002, le légendaire investisseur Warren Buffett partage les réflexions suivantes sur les dérivés avec les actionnaires de Berkshire Hathaway...
Le génie de dérivés est maintenant hors de la bouteille et ces instruments de seront presque certainement se multiplient dans la diversité et le nombre jusqu'à ce que certaines marques d'événement effacer leur toxicité. Banques centrales et les gouvernements ont donc présent, trouvé aucun moyen efficace de contrôle, ou le même moniteur, les risques posés par ces contrats. À mon avis, les dérivés sont des armes financières de destruction massive, transportant des dangers qui, bien que maintenant latente, sont potentiellement mortelles.
Ces mots s'est avéré pour être assez prophétique. Dérivés sont certainement multipliées dans la diversité et le nombre depuis cette époque, et il est devenu très clair comment toxiques qu'ils sont. Produits dérivés a joué un rôle important dans la crise financière de 2008, mais nous n'avons pas encore tiré nos leçons. Aujourd'hui, la bulle de dérivés est encore plus importante que c'était juste avant la dernière crise financière, et il pourrait tout à fait dévaster le système financier mondial à tout moment.
Lors d'une récente entrevue, Buffett a demandé si il est toujours convaincu que dérivés sont des « armes de destruction massive ». Il a dit à l'enquêteur qu'il croit qu'ils sont et ce "à un certain moment qu'ils sont susceptibles de causer de gros ennuis"...
Treize ans après la qualifiant de « armes de destruction massive » Warren Buffett a réaffirmé son point de vue qu'ils constituent une menace pour l'économie mondiale et les marchés financiers dérivés.
Dans une interview avec Chanticleer cette semaine, Buffett a déclaré que "à un moment donné, ils sont susceptibles de causer de gros ennuis".
« Dérivés, se prêtent à des quantités énormes de spéculation, » dit-il.
La plupart du temps, les grandes banques qui font la plupart des échanges dans ces dérivés font très bien. Ils utilisent des algorithmes très sophistiqués qui les aident à sortir sur la fin gagnante de ces paris la plupart du temps.
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Mais lorsqu'il y a une sorte d'événement imprévu qui provoque soudain un changement majeur sur le marché, qui peut causer des problèmes considérables. C'est quelque chose que Buffett discutés au cours de sa récente interview...
RépondreSupprimer"Le problème se pose lorsqu'il y a une discontinuité sur le marché pour une raison ou une autre.
"Lorsque les marchés fermés comme si c'était pour quelques jours après le 11 septembre ou première guerre mondiale le marché a été fermée pendant quatre ou cinq mois – quoi que ce soit qui perturbe la continuité du marché lorsque vous avez des milliers de milliards de dollars d'encours nominales et aucune possibilité de s'installer vers le haut et qui sait ce qui se passe lorsque le marché s'ouvre à nouveau "dit-il.
Donc si les marchés se comportent assez calmement et de manière prévisible, la bulle de dérivés probablement n'éclatera pas.
Mais aucun équilibre de cette nature jamais ne dure éternellement. N'oubliez pas ce qui s'est passé en 2008. Lehman Brothers s'est effondré, et puis le système financier pratiquement gelé. Selon Forbes, ils avaient à cette époque, que presque tout le monde avait peur de traiter avec les grandes banques parce que personne n'était sûr combien l'exposition à ces dérivés risqués...
Avance rapide jusqu'à la crise financière de 2008 et que nous voyons ? L'Amérique était encore célèbre. L'économie était en plein essor. Tout le monde semblait devenir plus riches, même si les signes avant-coureurs étaient partout : trop d'emprunts, investissements insensés, les banques avides, les régulateurs endormis au volant, politiciens désireux de promouvoir l'accession à la propriété pour ceux qui ne pouvaient pas payer il et éminents analystes ouvertement prédire cela pourraient seulement finissent mal. Et puis, chutant de Lehman Bros, a gelé le système financier et l'économie mondiale s'est presque effondré. Pourquoi ?
La cause n'était pas juste le Téméraire prêt et la prise de risque excessive. Le problème à la base était un manque de transparence. Effondrement de après Lehman, personne ne pouvait comprendre les risques de toute particulière de la Banque de trading dérivés et donc aucune banque ne voulais prêter à ou échanger avec d'autres banques. Parce que toutes les grandes banques avaient été impliqués à un degré inconnu en trading dérivés risqués, personne ne pouvait dire si toute institution financière pourrait imploser tout à coup.
Après la crise, on nous avait promis que quelque chose se ferait sur le problème du « too big to fail ».
Mais au lieu de cela, le problème du « too big to fail » est maintenant plus grand que jamais.
Depuis la dernière crise financière, les quatre plus grandes banques du pays ont obtenu environ 40 % plus grand. Aujourd'hui, les cinq plus grandes banques représentent environ 42 % de tous les prêts aux États-Unis, et les six grandes banques représentent environ 67 p. 100 de tous les actifs dans notre système financier. Sans ces banques, nous aurions pas beaucoup d'une économie du tout à gauche.
Pendant ce temps, les petites banques sont poursuivent leurs activités ou ont été englouties par les grandes banques à un rythme effarant. Incroyablement, il y a des 1 400 banques petits moins en fonctionnement aujourd'hui qu'il y avait lors de la dernière crise financière a éclaté.
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Nous ne pouvons donc pour ces banques « too big to fail » en fait échouer. Même la défaillance d'un seul entraînerait un cauchemar financier national. Les banques « too big to fail » qui je veux parler sont JPMorgan Chase, Citibank, Goldman Sachs, Bank of America, Morgan Stanley et Wells Fargo. Lorsque vous totalisez jusqu'à l'exposition à des produits dérivés que tous ont actuellement, il s'agit d'un total de plus de 278 billions de dollars. Mais lorsque vous totalisez jusqu'à tous les actifs de toutes les six banques combinés, il s'agit seulement d'un total d'environ 9,8 billions de dollars. En d'autres termes, les banques « too big to fail » sont exposées aux produits dérivés qui sont plus de 28 fois la taille de leur actif total.
RépondreSupprimerLes numéros suivants, j'ai partagé avec mes lecteurs avant, mais il est absolument crucial que nous comprenons tous comment extrêmement vulnérable de notre système financier est vraiment. Ces chiffres viennent directement du trimestriel plus récent de l'OCC rapport (voir tableau 2), et elles révèlent une insouciance qui est presque au-delà des mots...
JPMorgan Chase
Actif total: $2,573,126,000,000 (environ 2,6 billions dollars)
L'exposition totale aux dérivés: $63,600,246,000,000 (plus de 63 billions dollars)
Citibank
Actif total: $1,842,530,000,000 (plus de 1,8 billions de dollars)
L'exposition totale aux dérivés: $59,951,603,000,000 (plus de 59 billions dollars)
Goldman Sachs
Actif total: $856,301,000,000 (moins de 1 billion de dollars)
L'exposition totale aux dérivés: $57,312,558,000,000 (plus de 57 billions dollars)
Bank Of America
Actif total: $2,106,796,000,000 (un peu plus de 2,1 billions de dollars)
L'exposition totale aux dérivés: $54,224,084,000,000 (plus de 54 billions de dollars)
Morgan Stanley
Actif total: $801,382,000,000 (moins de 1 billion de dollars)
L'exposition totale aux dérivés: $38,546,879,000,000 (plus de 38 billions de dollars)
Wells Fargo
Actif total: $1,687,155,000,000 (environ 1,7 billions de dollars)
L'exposition totale aux dérivés: $5,302,422,000,000 (plus de 5 billions de dollars)
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Étant donné que les États-Unis a été créé tout d'abord, le gouvernement américain a accumulé une dette totale d'un peu plus de 18 billions de dollars. C'est la plus grande montagne de la dette dans l'histoire de la planète, et il est devenu tellement grand qu'il est littéralement impossible pour nous de payer au loin à ce stade.
RépondreSupprimerMais les cinq premières banques dans la liste ci-dessus ont chacun exposition aux dérivés c'est plus de deux fois la taille de la dette nationale, et plusieurs d'entre eux sont exposés au dérivés c'est plus de trois fois la taille de la dette nationale.
C'est pourquoi je continue à dire qu'il y aura pas assez d'argent dans le monde entier pour sauver tout le monde dehors lorsque cette bulle dérivés enfin implose.
Warren Buffett est tout à fait correct sur les dérivés – ils sont vraiment des armes de destruction massive qui pourrait détruire l'ensemble du système financier mondial à tout moment.
Ainsi, alors que nous entrons dans la seconde moitié de cette année et au-delà, vous voudrez regarder pour des termes comme « crise dérivés » ou "crash dérivés" dans les bulletins de nouvelles. Quand dérivés de commencent à faire de nouvelles front page, ce sera un vraiment, vraiment mauvais signe.
Notre système financier a été transformée en le plus grand casino de l'histoire de la planète. Pour l'instant, les roues de roulette tournent encore et tout le monde est heureux. Mais tôt ou tard, un événement « black swan » arrivera que personne n'attend, et puis tout l'enfer va Barder.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/warren-buffett-derivatives-are-still-weapons-of-mass-destruction-and-are-likely-to-cause-big-trouble
12 signes que les Etats-Unis et la Chine sont dirigent vers la guerre
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 21 juin 2015
Si les Etats-Unis et la Chine sont censés pour être des « grands amis », pourquoi les deux parties agissent comme si la guerre est dans notre avenir ? Grâce à des événements survenus en mer de Chine méridionale et le vol flagrant des renseignements personnels de millions d'employés du gouvernement américain, les tensions entre les Etats-Unis et la Chine sont les plus élevés qu'ils ont été au cours des décennies. La plupart des américains supposent généralement qu'une guerre de tir réelle, réelle entre les Etats-Unis et la Chine pouvait jamais arriver, mais comme vous le verrez ci-dessous les chinois dépensent effectivement beaucoup de temps et d'argent à préparer justement un tel conflit. En fait, les chinois travaillent fiévreusement pour développer de nouveaux systèmes d'armes offensives qui serviraient seulement à une telle guerre. Bien sûr, il est très improbable qu'un conflit militaire entre nos deux nations arrivera dans notre futur immédiat, mais sans aucun doute, nous nous dirigeons dans cette direction. Et c'est comment les guerres arrive généralement – choses s'accumuler sur une période de temps avant qu'ils atteignent enfin un point de rupture. Il suffit de penser ce qui a eu lieu entre les États-Unis et le Japon en tête vers le haut à notre guerre avec eux. Il y a des années de troubles diplomatiques avant Japon finalement pris la décision de lancer une attaque de « surprise » sur Pearl Harbor. Droit maintenant, je crois que nous sommes dans une période similaire des problèmes diplomatiques avec la Chine. Au début, cela affectera probablement notre relation commerciale avec les chinois, mais en fin de compte, ça pourrait être bien plus que cela. Voici 10 signes que les Etats-Unis et la Chine sont dirigent vers la guerre...
#1 Se déplace de la Chine en mer de Chine méridionale ont irrité grandement responsables de l'administration Obama. Certaines des îles que la Chine a saisi sont également revendiquées par la Malaisie, Vietnam, Taiwan, Brunei et les Philippines. Aux États-Unis est lié par le traité pour défendre les Philippines dans tout conflit avec la Chine, et Brunei, Malaisie et Vietnam sont tous devait être parties du nouveau traité de commerce mondial super secret qu'Obama est en train de négocier. Ce qui suit provient de Business Insider...
Remise en état de la Chine de plus de 2 000 acres de terrain sur les îles contestées et les atolls de la mer de Chine méridionale depuis l'an dernier a soulevé l'alarme internationale sur ses ambitions territoriales. Washington a pris une mesure inhabituelle le mois dernier de faire connaître un vol de surveillance militaire américain qui a montré l'échelle massive du renforcement des île de la Chine.
La Chine dit les îles sont son territoire souverain, mais Washington fait valoir que la poursuite de la construction et la militarisation des îles pourrait attiser les conflits territoriaux complexes avec les voisins de la Chine, avec lesquels les États-Unis cherche à tisser des liens plus étroits tout en préservant la liberté de navigation dans les voies maritimes cruciales pour le commerce mondial.
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#2 En Chine, on parle qu'une guerre peut être nécessaire de défendre les intérêts de la Chine en mer de Chine du Sud. En fait, un journal qui est qu'un porte-parole pour le parti communiste en fait a déclaré que la guerre avec les Etats-Unis « est inévitable » si les États-Unis continuent d'insister pour que les chinois doit stopper les activités sur ces îles...
RépondreSupprimerCoïncidant avec la publication du livre blanc, un éditorial dans The Global Times – une embouchure de journal tabloïd pour le parti communiste au pouvoir – a émis un avertissement aux Etats-Unis pour mettre fin à sa protestation au-dessus de la mer de Chine du Sud.
La semaine dernière, le ministère des affaires étrangères de la Chine a révélé qu'il avait porté plainte avec les États-Unis sur un avion espion américain qui a survolé les régions de l'archipel contesté.
Elle a ajouté que la Chine a « soigneusement préparé » la possibilité d'une guerre avec Washington et que « si l'essentiel aux États-Unis est que la Chine est de stopper les activités, puis une guerre Etats-Unis-Chine est inévitable dans la mer de Chine du Sud ».
#3 Le vol des informations de jusqu'à 14 millions d'employés fédéraux est décrit comme "un acte de guerre". À ce stade, l'Obama administration semble convaincu que cet acte horrible a été commis par le gouvernement chinois...
La cybersécurité est une autre source d'acrimonie qui est en place pour la discussion, vu urgence fraîche par la brèche de sécurité massives qui ont conduit au vol de renseignements personnels autant que 14 millions employés fédéraux actuels et anciens américains. L'administration Obama estime que le gouvernement chinois, des pirates non criminels, était responsable de la violation qui contenait des informations d'autres renseignements sur le personnel militaire et du renseignement.
La Chine a nié l'implication dans le cambriolage et dit que c'est aussi une victime de cyberattaques.
Alors, était la Chine derrière ce vol ?
Peut-être nous ne saurons jamais avec certitude, mais sans aucun doute cet incident a déclenché des tensions entre les deux nations.
Et que les tensions continuent d'augmenter, il est probable que le cyber espionnage commis par les deux parties ne fera qu'empirer. Ian Bremmer, fondateur du Groupe Eurasie, récemment à dit Business Insider qu'il estime qu'une "guerre" entre nos deux pays a déjà commencé...
«Nous devons être très clairs : la Chine est à la quasi-guerre avec les États-Unis, et la menace est beaucoup plus élevée que celui du terrorisme, qui obtient de la part du lion de l'attention — et, dans le monde post-9/11, financement. »
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#4 La Chine a récemment mené une série de massifs exercices militaires simulant une attaque contre Taïwan. Étant donné que les États-Unis s'engage à protéger Taïwan, un véritable conflit de cette nature se traduira presque certainement aux Etats-Unis. Ce qui suit provient un article qui a été publié sur janes.com...
RépondreSupprimerDans une nouvelle analyse par Richard Fisher et James Hardy, IHS Jane rapporte que « une série d'exercices militaires chinois entre fin mai et début juin mis en valeur la capacité de l'armée populaire de libération (APL) au projet terrestre, aérien et la puissance navale dans les environs de Taïwan. »
Les exercices ont démontré plan de l'armée populaire de libération à utiliser des navires civils en cas d'urgence pour aider à stimuler ses forces.
"Pour compenser la petite taille de sa flotte de transport amphibie naval formel le PLA a cofinancé la construction d'un grand nombre de ferries utilisés par les sociétés civiles. Ils seront disponibles à l'APL en cas d'urgence et constituent un élément fréquent à des opérations civilo-militaires de transport,"Fisher et écriture Hardy.
#5 Selon Paul Joseph Watson, des milliers de navires marchands chinois sont être rééquipés à des fins militaires. Le conflit possible uniquement dans lequel l'armée chinoise aurait besoin « des milliers de navires marchands » serait une guerre avec les États-Unis...
La Chine est prête à moderniser des milliers de navires marchands à des fins militaires, afin qu'ils puissent être utilisés en cas de guerre, un autre signe inquiétant des tensions croissantes entre Pékin et Washington.
Publication de l'industrie d'expédition TradeWinds révèle que la Chine se prépare à une nouvelle flotte de « navires de guerre-prêt » pour servir de « une escadre de la réserve logistique militaire » en cas de conflit naval.
La nouvelle politique s'appliquera « porte-conteneurs, ro-ros, navires polyvalents, vraquiers et autres navires, » avec les chantiers navals recevant une subvention gouvernementale pour payer le coût de fabrication des vaisseaux « militairement utile ».
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#6 Les chinois ont mis au point un missile de « tueur de transporteur » qui a été spécialement conçu pour détruire les porte-avions américains. Il y en a certains qui ont suggéré que ces nouveaux missiles auraient pu porte-avions américains obsolètes...
RépondreSupprimerNéanmoins, certains ont suggéré que le DF - 21d a rendu le supercarrier obsolète. Bien que cela dépend de comment nous utilisons le terme « obsolète », c'est probablement trop tôt pour faire cette demande. La Chine a consacré temps vaste et ressources déterminer comment tuer les transporteurs américains, ce qui suggère que l'armée chinoise prend au sérieux les capacités du transporteur. En outre, le nombre de pays à la fois l'intérêt et les capacités techniques nécessaires pour développer le système des systèmes nécessaires au fonctionnement de l'ASBM est probablement limité à deux dans un avenir prévisible, avec seulement la Russie rejoindre la Chine.
#7 Les chinois ont maintenant la possibilité d'équiper leurs missiles nucléaires avec des ogives MIRV. Selon Bill Gertz, cela a sensiblement égaux l'équilibre des pouvoirs entre les Etats-Unis et la Chine...
Chine a effectué un essai en vol des missiles à longue portée samedi l'utilisation multiple, véhicules targetable indépendamment de rentrée ou MIRV, selon américaine de défense des fonctionnaires.
Le test en vol samedi d'un nouveau missile DF-41, redéployée de missiles balistiques intercontinentaux de la Chine, marque le premier essai de multiples possibilités d'ogive pour la Chine, fonctionnaires dit la balise gratuit de Washington.
La Chine a été connue pour développer la technologie de têtes multiples, qui elle obtenue illégalement aux États-Unis dans les années 1990.
Toutefois, le 13 décembre de la DF-41 test en vol, à l'aide d'un nombre inconnu d'ogives manœuvres inertes, est perçue par les agences de renseignement américaines comme un progrès significatif pour les forces nucléaires stratégiques de la Chine et une partie de l'accumulation qui est susceptible d'affecter l'équilibre stratégique des forces.
#8 D'autant plus préoccupant que le MIRV ogives sont les nouveaux véhicules hypersoniques plané que la Chine a mis au point. Ces missiles ultra-haute sont capables de transporter des ogives nucléaires et représentent une menace énorme pour les Etats-Unis...
La Chine a récemment effectué le deuxième essai en vol d'un missile nouveau, ultra-haute vitesse qui fait partie de ce que les analystes disent est le système mondial de Beijing des armes d'attaque capables de frapper les États-Unis avec des ogives nucléaires.
Le dernier test du nouveau véhicule hypersonique glide (VHG) connu comme Wu-14 a eu lieu le 7 août à une installation de missiles dans l'ouest de la Chine, a déclaré fonctionnaires US familiarisés avec les détails de l'essai dans des canaux internes.
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#9 La marine chinoise est la construction d'une série de sous-marins SNLE extrêmement silencieux. Ces sous-marins pourraient potentiellement fluage jusqu'à nos côtes et de la pluie de missiles nucléaires vers le bas sur nous en juste quelques minutes. Ce qui suit provient d'un article de Bill Gertz...
RépondreSupprimerLe commandant de la U.S. Northern Command, la marine chinoise a déployé trois missiles balistiques sous-marins en mer capable de frapper les États-Unis avec des missiles nucléaires, a déclaré mardi.
Amiral William Gortney, commandant, dit les sous-marins sont une « préoccupation » et seront capables de frapper les Etats-Unis lorsqu'il est complètement déployé avec des missiles et des ogives.
Les sous-marins de missiles sont déployés dans la mer de Chine méridionale à une base sur l'île de Hainan, selon un officiel de la défense.
#10 Les chinois ont développé des missiles nucléaires fondé sur les sous-marins qui pourraient potentiellement atteindre tous les 50 États des eaux de Hawaï...
La Chine pourrait cibler bientôt aux États-Unis avec des armes nucléaires en mer car il renforce ses sous-marins avec des missiles balistiques nucléaires à longue portée, un rapport du Congrès américain a trouvé.
Militaire de la Chine est définie en vue d'acquérir un fiable, dur-à-destruction en mer force de dissuasion nucléaire, une douzaine des missiles JL-2 étant montées sur ses sous-marins de classe JIN, selon un rapport présenté au Congrès par l'US-China Economic et le Conseil de contrôle de sécurité.
Les missiles ont une portée de grève d'environ 7 350 km, ce qui signifie qu'ils peuvent atteindre tous les 50 États américains, si elles sont lancées des eaux Ouest ou à l'est de Hawaï.
#11 À la fois quand l'US militaire est effectivement en baisse, les dépenses militaires chinoises s'accroît chaque année par deux chiffres...
Le Gouvernement de la Chine en mars, a annoncé une augmentation de 12,2 % des dépenses militaires à $ 132 milliards. Qui ont suivi la hausse de 10,7 % l'an dernier à $ 114 milliards, donnant la Chine le budget de la deuxième meilleure défense pour toute nation derrière les Etats-Unis, qui a dépensé $ 600,4 milliards sur ses forces armées l'année dernière.
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#12 L'armée chinoise, c'est ne pas la seule préparation pour une guerre entre nos deux pays. Il s'avère que l'armée américaine a mené des exercices militaires qui sont spécifiquement orientés vers simulant un conflit avec la Chine. Ce qui suit provient de la BBC...
RépondreSupprimerRegarder l'US Navy bouchent comme ça, il est difficile de ne pas être un peu intimidé. Aucune autre marine au monde a tout à fait les mêmes jouets, ou les exhibe avec le même charme facile.
Mais comme je suis sur le pont filmer mon rapport sur la façon dont « Les Etats-Unis exerce sa profession à la guerre avec la Chine », je vois mon hôte de la marine affaires publiques Bureau grimaçant.
On s'habitue à entendre la rhétorique PR: l'US Navy « n'est pas pratiquant à la guerre avec n'importe quel pays en particulier ». Mais l'US Navy n'a pas assemblé deux groupes aéronavals entiers et 200 avions au large de la côte de Guam pour un jolly, non plus. Il s'agit de pratiquer ce que le Pentagone appelle maintenant « Air Sea Battle ».
C'est un concept tout d'abord présenté en 2009, et il est spécialement conçu pour contrer la menace croissante de la Chine.
Comme je le disais, une guerre entre les États-Unis et la Chine ne va pas se produire dans notre futur immédiat.
Mais ce serait une grave erreur de penser qu'il ne pourrait jamais arriver.
Plus en Chine, leur armée opère sous l'hypothèse qu'une guerre entre les deux superpuissances se tiendra certainement à un moment donné, et les chinois travaillent fébrilement à la figure des moyens qu'ils peuvent sortir par le haut dans un tel conflit.
Oui, les chinois sont devenus extrêmement riches nous vendre des marchandises. Dans le processus, nous avons perdu des milliers d'entreprises, des millions d'emplois et nous devons maintenant le chinois de plus de 1 billion de dollars. Les chinois n'a jamais voulus avoir une relation commerciale équilibrée et juste avec nous, car il a toujours été leur plan à émerger comme la superpuissance unique, dominante sur la planète entière.
Une fois que l'effondrement de notre économie alimentée par la dette, les chinois n'auront pas trop de plus pour nous l'utiliser. Au lieu de cela, nous serons juste un obstacle dans la voie de leur but de domination mondiale totale.
Si vous ne pensez pas que les chinois nous afficher de cette manière, il suffit de lire certains livres blancs produites par le gouvernement chinois et l'armée chinoise. Ils ne considèrent pas nous rendre à tous un « ami ». Au contraire, ils nous considèrent comme un ennemi qui doit finalement être vaincu.
Malheureusement, la plupart des américains semblent supposer que la communauté mondiale est une seule famille grosse, heureuse ces jours-ci.
En fin de compte, nous allons probablement payer un prix très avantageux pour être assez naïfs.
http://endoftheamericandream.com/archives/12-signs-that-the-united-states-and-china-are-moving-toward-war
Supprimer(...) La plupart des américains supposent généralement qu'une guerre de tir réelle, réelle entre les Etats-Unis et la Chine pouvait jamais arriver, mais comme vous le verrez ci-dessous les chinois dépensent effectivement beaucoup de temps et d'argent à préparer justement un tel conflit. En fait, les chinois travaillent fiévreusement pour développer de nouveaux systèmes d'armes offensives qui serviraient seulement à une telle guerre (...) !!
Voilà du parti-pris pour ce pays qui s'appellereait la Chine et qui 'mettrait tout en oeuvre' pour se défendre contre l'agresseur étasunien !
Mais, comme dans TOUTES guerres, les vrais coupables ne seront jamais punis/morts et attendront quelques années en rigolant avant de recommencer !
Sans parler des 'cyberpirate chinois' qui sont en fait que des 'touristes' americains venus en Chine pour voir et qui, bizarrement, ont pu de là-bas accéder plus facilement aux codes secrets qu'ils ne l'auraient pu depuis les States ! Cà alors !
De là a ce qu'ils disent que le '911' était chinois !...
Grèce : Syriza, finalement un leurre de plus ?
RépondreSupprimerAuran Derien
Metamag
lun., 22 juin 2015 04:04 UTC
Ils ne se décident pas à sortir du goulag européen. Pourquoi ? Les solutions alternatives existent et ils ont "promis" de rester au service du peuple. Hormis la réponse claire et précise que formulerait une victime des révolutions de couleur - personne ne désobéit aux ordres donnés par les complices de l'empire sous peine de mort pour lui et les siens - il se peut aussi que Syriza incarne la cerise sur le gâteau pour tous les membres de la zone euro.
Ils font le spectacle, balbutient des phrases toutes faites, expriment des sentiments convenus, avec une intonation d'acteurs. Ils rencontrent les fonctionnaires européens, ces figures hautaines dont on a pu constater, il y a peu, à quel point chacun est rempli de courage. Pendant ce temps, les responsables placés à la tête des autres pays européens ainsi qu'à la Commission sont tranquilles pour poursuivre le programme d'affaiblissement de l'Europe, obsession des fanatiques anglo-saxons depuis l'époque napoléonienne.
Négocier, mais pourquoi ?
La descente aux enfers de la population grecque est connue. Le PIB a chuté de quasi 25% en 8 ans, ce qui rappelle à quel point les efforts pour se hausser sont difficiles alors que les responsables de la finance détruisent tout en un clin d'œil. Les dépenses publiques, depuis la crise de 2007, ont baissé de plus de 18% alors que les recettes fiscales ont cru de 2,5%. La dette publique a évolué très raisonnablement, elle a à peine cru d'environ 20 % sur la même période, et l'excédent primaire, calcul demandé par les usuriers, a débuté en 2011 et ne cesse de se confirmer. Tout cela est bien meilleur que les résultats affichés par la plupart des autres pays de la zone euro. A telle enseigne que le satrape placé à la tête du Mécanisme Européen de Stabilité (MES), Klaus Regling, affirmait l'an dernier (en avril 2014) qu'il n'y avait aucun problème pour le renouvellement de la dette grecque sur les 10 prochaines années.
La dette grecque
Jusqu'à plus ample informé, elle est détenue à 40% au moins par le M.E.S. de l'Union Européenne, le reste est entre les mains du FMI et des pays de l'Union. En période de hautes eaux, grâce à la création monétaire forcenée des « faux-monnayeurs », les taux d'intérêt sont négatifs, le poids global des intérêts est donc faible et l'amortissement s'étale sur un délai très long, presque une génération (25 ans). Toutefois les usuriers, qu'ils soient privés ou publics, veulent des esclaves pour l'éternité. La dette, c'est le contrôle facile sur l'humanité, surtout lorsque la monnaie ne coûte rien à produire. Pour obtenir les clauses favorables du paiement des intérêts à partir de la dixième année après le début du prêt, et un délai d'exemption avant ce premier versement, il faut remplir des conditions : imposer des hausses de TVA, impôt uniquement payé par les ménages résidents, que l'on appauvrit au passage ; éliminer les retraites puisque le bétail doit travailler jusqu'à son dernier souffle, contrairement à ceux qui possèdent la richesse; privatiser au profit des « faux-monnayeurs », à qui il suffit d'émettre des dollars (ou des euros) pour acheter ce que bon leur semble. Or, Syriza s'est prosterné devant ces idoles. Il a augmenté la TVA sur certains produits, réduit les retraites - supprimé la retraite anticipée - vendu des infrastructures, le port du Pirée, les chemins de fer, les aéroports. Les financiers ne sont pas satisfaits ? Ou est-ce un scénario pour duper ?
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L'obsession de la révolution permanente
RépondreSupprimerDe même que l'empire et ses affidés européens ont détruit les régimes arabes trop stables et indépendants, de même ils éliminent ceux qui ne leur conviennent pas en Europe. Le remplacement en Allemagne a commencé avec les guerres mondiales. En France, il a suivi le départ de De Gaulle. En Italie, le pouvoir de Berlusconi a été délogé au profit d'horreurs pires encore. En Espagne, le niveau dans lequel se meut le pouvoir est tellement répugnant que les élites d'Amérique latine ont fait peur à l'ancien responsable Felipe Gonzalez, qui a fui le Vénézuela, sous les huées d'une population chaque jour plus lucide. Il y a peu, l'empire US s'en est pris à l'Ukraine, et désormais l'abcès de fixation se trouve en Grèce, spectacle qui permet de faire marcher les autres pays au rythme du Bilderberg.
On ne saurait passer sous silence le chantage de Goldman Sachs placé à la tête de la BCE, Mario Draghi, dont le programme d'émission de monnaie est une horreur pour la population mais un cadeau fantastique à tous ceux spéculent. Malgré des concessions, le spectacle grec continue. On cache ainsi la destruction de l'Europe, et l'ampleur donnée aux négociations servira à montrer aux éventuels « inconformes » d'autres pays qu'il n'y a aucune chance de changer quoi que ce soit sur le fond. Quelques points de détail sont susceptibles de modification mais l'essentiel doit être décidé par les chargés de mission du bien en soi qui, depuis la guerre de sécession aux États-Unis, ont montré leur aptitude à répandre ce bien sur la terre.
Le sociologue James Petras a rappelé opportunément que Syriza a reconnu la légitimité de la dette externe d'un montant approximatif de 350 billions de dollars, alors qu'elle trouve sa source dans des escroqueries financières habituelles. Le parti a déclaré qu'il voulait la rembourser. Syriza a affirmé sa volonté de rester dans l'Union Européenne et la zone euro. Il a passé un accord avec un parti favorable aux infamies de l'OTAN. Le ministre de la défense a offert à l'organisation de nouvelles bases, en particulier sur l'île de Carpathos. Il a pompeusement proposé de créer un espace de défense avec Chypre et Israël.
Dans le même mouvement, la Turquie est agitée par les agents habituels du chaos, la Macédoine est mise en ébullition avec un plan qui a déjà fonctionné dans les Balkans et en Ukraine, et tout pays européen est susceptible de connaître les mêmes soulèvements organisés par les démons de l'ombre. Après que la TVA, les retraites, les biens publics, tout le programme de pillage de la Grèce aura été réussi, viendra le tour des autres parties, du moins pour ce qu'il en reste car la France et l'Allemagne ont déjà quasi tout donné.
Syriza sera-t-il finalement un leurre de plus ?
Sa fonction serait-elle d'attirer les mécontents vers de pseudo contestataires qui ,en réalité, se prosternent sur l'essentiel ? Avec Syriza, les alternatives sont éliminées par fragmentation de l'opposition. En même temps, il permet de peaufiner la liquidation de l'Europe, désormais offerte en prime aux populations venant du vaste monde.
http://fr.sott.net/article/25847-Grece-Syriza-finalement-un-leurre-de-plus
Supprimer"Bonne nouvelle ! Vous n'allez pas payer !... tout de suite mais plus tard avec intérêts" !
Déstabilisation en cours en Amérique du Sud ?
RépondreSupprimerLa Jornada
lun., 22 juin 2015 12:13 UTC
Traduction : Luis Alberto Reygada pour Le Grand Soir
Cela fait maintenant plus d'une semaine que des manifestations ont lieu en Équateur pour exiger la démission du président Rafael Correa. Elles ont débuté suite à l'annonce par le gouvernement d'un projet de loi dont l'objectif est d'imposer les grandes successions et les plus-values qu'obtiennent les spéculateurs immobiliers. Au cri de « Dehors Correa, dehors ! », les leaders de l'opposition de droite ont attisé les protestations, concentrées principalement dans la capitale du pays et dans le port de Guayaquil, bastion de la droite.
Hier soir, Correa a annoncé le retrait temporaire du projet de loi pour ouvrir un grand débat national, expliquant que cette mesure répond au souhait de maintenir un climat de tranquillité avant la visite du Pape François en Équateur, qui aura lieu en juillet. Quelques heures avant, le président a demandé aux opposants d'abandonner les manifestations et de recourir à la consultation révocatoire. Il est important de rappeler que la Constitution équatorienne - approuvée par référendum en 2008- établit la possibilité de révoquer les mandats de toute autorité élue au suffrage directe. Lors des élections présidentielles de 2013 Correa a triomphé avec 57% des voix, soit 35 points de plus que son plus proche adversaire. Il est aussi important de rappeler-pour placer tous les éléments du contexte équatorien- que Correa a subit une tentative de coup d'État deux ans et demie plus tôt.
Il faut aussi prendre en compte le contentieux qui oppose l'Équateur à la multinationale pétrolière Chevron, compagnie qui a laissé toute une zone de l'Amazonie dévastée derrière son passage, territoire où elle a opéré jusqu'en 1992. Ce désastre environnemental a causé plus de 1 400 victimes mortelles et est toujours visible à cause des résidus pétrolifères [qui continuent de polluer la région]. Comme l'a indiqué le ministre des affaires étrangères de l'Équateur, Ricardo Patiño, lors de l'interview qu'il a concédé à ce journal[1], la multinationale demande que ce soit le pays qui paie pour les dommages causés à l'environnement et aux populations, qui se battent devant les tribunaux depuis plus de 20 ans afin d'obtenir des indemnisations.
Force est de constater que les opposants qui exigent la sortie du président s'abstiennent bien de recourir à la consultation révocatoire, qui leur est pourtant disponible, et qu'au lieu de ça ils persistent à poursuivre leurs mobilisations dont l'objectif n'est plus très clair.
Du point de vue régional, le conflit politique équatorien s'articule avec ceux ayant cours dans d'autres pays. Ainsi, un jour après le début des manifestations à Quito et à Guayaquil, l'Argentine à vécut mardi dernier une grève générale convoquée par le syndicalisme-gangster local et appuyée par les grands médias. Comme en Equateur, les opposants au gouvernement argentin ont provoqué une flambée de tension à cause d'une loi qui n'affecte pourtant que les secteurs les plus aisés. On remarque que des manifestations de grande ampleur ont ou ont eu lieu récemment en Bolivie, au Brésil, au Chili, au Honduras, au Paraguay et au Venezuela, en plus des deux pays déjà cités, et que curieusement il s'agit à chaque fois de gouvernements qui ont en commun la volonté de construire leur propre développement de façon souveraine et digne.
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RépondreSupprimerSans omettre que la plupart des manifestations de mécontentement dans ces pays se basent sur des erreurs réelles commises par leurs gouvernements respectifs, cette simultanéité suggère qu'en plus d'exprimer un agacement réel, ces mouvements pourraient être le résultat d'une manœuvre de déstabilisation régionale. La tactique étatsunienne et européenne d'amplifier et d'exacerber les malaises à l'encontre de gouvernements souverains est bien connue dans notre continent et pourrait bien être utilisée aujourd'hui contre les gouvernements latino-américains qui ont rompu avec le FMI et avec l'habituelle subordination au capital financier international, qui suivent la voie des politiques de bienêtre social et qui ont impulsé des processus d'intégration régionaux.
http://fr.sott.net/article/25843-Destabilisation-en-cours-en-Amerique-du-Sud
C'est ce qui se passe de PARTOUT où 'l'opposition' arrivée au pouvoir... fait exactement pareil que son prédécesseur !
SupprimerBientôt un contrôle des capitaux en Grèce ? Et potentiellement en Europe ?
RépondreSupprimerpar Philippe Herlin
22 juin 2015
Comme Chypre au printemps 2013, il faut suivre avec attention ce qui se passe en Grèce, cela nous montrera à quelle sauce nous serons mangés. Suite à la faillite des banques chypriotes, il avait été décidé, dans l’urgence, de ponctionner directement les comptes de plus de 100.000 euros des déposants. Un pur vol, une remise en cause du droit de propriété, mais qu’importe ! Désormais, ce mode de règlement des crises bancaires est devenu très officiellement une directive européenne (BRRD, Bank Recovery and Resolution Directive) qui sera bientôt en vigueur dans l’ensemble des pays de la zone euro. Chacun est prévenu.
A Chypre, cette spoliation des comptes bancaires s'était évidemment accompagnée de la mise en place d’un strict contrôle des capitaux, de façon à empêcher les épargnants d’y échapper. Il semble qu’un dispositif comparable se mette en place en Grèce.
Dans la perspective d’une sortie de la Grèce de la zone euro, un scénario qui devient de plus en plus probable, il importe d’éviter un effondrement des banques et du circuit financier, aussi bien Athènes que les créanciers auraient tout à y perdre. En effet, devant la perspective de se retrouver avec des drachmes ne valant pas forcément grand-chose, les Grecs videraient leurs comptes pour mettre leurs euros à l’abri, en billets sous leur lit ou dans des banques étrangères. Ce mouvement a d’ailleurs déjà commencé, les retraits et les fuites de capitaux s’accélèrent ces dernières semaines, il s‘agirait simplement d’y mettre fin.
Le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung a affirmé, lundi, que les créanciers de la Grèce (FMI, BCE et Commission européenne) préparent un plan pour instaurer un contrôle des capitaux dans le pays, car celui-ci n’en dispose pas. Le parlement grec devrait voter une loi à cet effet, ce qui prendrait du temps, et laisserait aux capitaux le temps de partir, d’où la nécessité d’agir dans l’urgence pour ces créanciers afin d’éviter un effondrement complet de l’économie grecque. Il s’agit aussi, pour ces créanciers, de faire pression sur Athènes car ce contrôle des changes pourrait être imposé de l’extérieur si sa mise en œuvre trainait…
Eh bien prenons les paris : il apparaîtra bientôt une directive pour codifier et pouvoir mettre en place rapidement un contrôle des changes dans l’ensemble des pays de la zone euro. Une telle directive s’avère inévitable : celle sur la ponction des comptes bancaires (BRRD) entrera bientôt en vigueur, mais à quoi servira-t-elle si les épargnants peuvent virer leur épargne dans un autre pays, ou faire des retraits massifs en billets ?
De cette façon le contrôle des comptes bancaires serait complet : en cas de crise, en l’espace de 24 ou 48 heures, les retraits en liquide sont limités, les virements à l’étranger interdits, et finalement les comptes sont ponctionnés sans difficulté ni perte. Un scénario parfait pour les grandes banques, Bruxelles et les gouvernements, mais un cauchemar pour les épargnants.
http://www.express.be/business/fr/economy/bientot-un-contrle-des-capitaux-en-grece-et-potentiellement-en-europe/214166.htm
Tout achat d'un bien d'une valeur de plus de 10 milliards devra être payé par carte de crédit ou chèque ! Une honte ! Hahahaha !
SupprimerCà me rappelle Georges Marchais "Aux riches, il faut TOUT prendre ! TOUT !" Hahahaha ! Je plains le type qui joue au tiercé ou au loto toute les semaines pour devenir riche ! Hahahaha !
Minimum de salaire-sensibilisation, mystérieux-magasin-arrêt de Wal-Mart supprime toute la marchandise drapeau confédéré de magasins
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 22/06/2015 19:36-0400
Dans le dernier acte populiste de plus Amérique du grand détaillant, minimum de salaire-sensibilisation, mystérieuse fermeture magasin Wal-Mart a décidé de supprimer toutes les marchandises drapeau confédéré de ses magasins. Apparemment elle continuera à stocks armes de poing, fusils, arbalètes, munitions et autres marchandises land-of-the-free-to-choose.
Comme les rapports CNN,
La Compagnie Wal-Mart, le plus grand détaillant du pays, supprimera toutes les marchandises drapeau confédéré de ses magasins, a déclaré à CNN lundi.
L'annonce est la latest indication selon laquelle le drapeau, un symbole du Sud esclavagiste, est devenu toxique à la suite d'une fusillade la semaine dernière dans une église afro-américaine historique à Charleston, en Caroline du Sud. Gouverneur Nikki Haley a annoncé en un lundi après-midi conférence de presse qu'elle supporte les supprimer le confédéré drapeau quitte les lieux de capitol d'État.
Walmart.com porte actuellement le drapeau confédéré, mais aussi les vêtements affichant le drapeau, tels que des T-shirts et des boucles de ceinture.
"Nous ne veux offenser personne avec les produits que nous offrons. Nous avons pris des mesures pour supprimer tous les éléments favorisant les confédérés du pavillon parmi notre assortiment--que ce soit dans nos magasins ou sur notre site web, « a déclaré le porte-parole de Wal-Mart Brian Nick. "Nous avons un processus en place pour aider nous amènent les bonnes décisions quand il s'agit de la marchandise que nous vendons. Pourtant, parfois, éléments font leur chemin dans notre assortiment mal--c'est une de ces instances."
Déclaration de Walmart est venue en réponse à une enquête CNN lundi. En plus de Wal-Mart, CNN demande Amazon et eBay, si ils supprimerait marchandise drapeau confédéré de leurs sites. Aucune entreprise n'a répondu à ses demandes répétées pour commentaire.
Le long débat au affichant le confédéré drapeau sur les bâtiments de gouvernement ont fait un tour rapide après le massacre de la semaine dernière à Charleston, qui a laissé neuf africains-américains morts dans leur église. Le tireur, âgé de 21 ans Dylann toit, a avoué le meurtre et a dit que vouloir lancer une "guerre de course"
Une photo largement diffusée du tireur tenant un pistolet et un drapeau confédéré a suscité l'indignation intense. Les critiques du drapeau appelé rapidement sur la Caroline du Sud à prendre vers le bas ce qui est largement considéré comme un symbole du racisme.
* * *
Une petite question... que se passe-t-il si le tireur/terroristes/tireur/nutjob est porteur d'un drapeau américain ?
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-22/minimum-wage-raising-mysterious-store-shutting-wal-mart-removes-all-confederate-flag
(...) Wal-Mart supprime toute la marchandise drapeau confédéré de magasins (...) au profit du drapeau rouge chinois ? Hahahaha !
SupprimerNSA, GCHQ ciblées Kaspersky, autres entreprises de cybersécurité – Snowden docs
RépondreSupprimer22 juin 2015 19:55
Américains et britanniques d'espionnage agences ont travaillé à désosser un logiciel antivirus afin de "exploiter ces logiciels et d'empêcher la détection de nos activités. » Entreprise de sécurité russe Kaspersky Lab a été particulièrement visé.
Citant les documents il y a plus de deux ans une fuite par entrepreneur ancien intelligence Edward Snowden, intercepter le signalés lundi qui le nous National Security Agency (NSA) et la British Government Communications Headquarters (GCHQ) associés à subvertir les logiciels antivirus et sécurité fabriqués par les goûts de Kaspersky Lab.
En outre, 23 sociétés de sécurité total--y compris la société antivirue F-Secure de Finlande, Avast de la République tchèque et DrWeb de Russie--ont été les cibles de la NSA "projet CAMBERDADA".
Les agences d'espionnage a cherché à rester devant les sociétés de logiciels--qui souvent drapeau malware parrainés par l'État--afin d'avantager les gouvernements américain et britannique au cours de la responsable des opérations de piratage.
Kaspersky Lab a été une cible particulièrement cruciale, selon les documents de Snowden.
"Produits de sécurité personnels tels que le russe un logiciel anti-virus Kaspersky continuent de poser un défi à du GCHQ CNE [Exploitation en réseau informatique] capacité et SRE [logiciel de rétro-ingénierie] est indispensable pour être en mesure d'exploiter ces logiciels et d'empêcher la détection de nos activités," GCHQ a écrit dans une demande de renouvellement de mandat de 2008. « Examen de Kaspersky et autres produits continue. »
Reauthorization demande--valable pour six mois depuis le 7 juillet 2008 au 7 janvier 2009--recherché du GCHQ émanant du Secrétaire britannique des affaires étrangères pour l'infiltration qui aurait « impliquent la modification de logiciels disponibles dans le commerce pour permettre l'interception, décryptage et autres tâches connexes ou le logiciel 'reverse engineering'. »
Il est bon de savoir que Kaspersky a donné mal à GCHQ en 2008. Serait préférable de savoir si cela ne fonctionne toujours aujourd'hui. https://t.co/hJUz3iIg1k
— Latentexistence (@latentexistence) 22 juin 2015
Sans un mandat d'ingénierie inverse, GCHQ craignait que ses actions pourraient être "illégaux" ou une contrefaçon des revendications de droits d'auteur.
« Rétro-ingénierie de produits commerciaux doit être justifiée pour être licite, » dit un mémo d'Agence GCHQ. « Il y a un risque que dans l'éventualité d'une contestation par le propriétaire du copyright ou le donneur de licence, les tribunaux, en l'absence d'une autorisation légale, tiendrait que cette activité était illégale [...] »
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La NSA a également demandé des faiblesses dans les logiciels de Kaspersky Lab, employé par plus de 400 millions utilisateurs dans le monde entier, la société a demandé. L'Office de l'espion américain a conclu, en 2008, que la société transmet des données utilisateur sensibles à l'arrière des serveurs de l'entreprise. L'information "Baveur" --intégrée dans ce qui s'appelle "User-Agent" chaînes--a été interceptée et utilisée pour suivre les clients de Kaspersky puis, intercepter le signalé.
RépondreSupprimerDans une déclaration à l'intercepter, Kaspersky Lab a refusé "User-Agent" chaînes pourraient servir à suivre ses clients.
« L'information est dépersonnalisée et ne peut être attribuée à un utilisateur spécifique ou de la société » Kaspersky Lab a dit. « Nous prenons toutes les mesures possibles pour protéger ces données d'être compromis, par exemple par le biais de cryptage fort. »
À travers ce qu'on appelait « projet CAMBERDADA, » la NSA surveillées également le trafic e-mail des sociétés antivirus étrangères jusqu'à la fin 2010. L'Agence d'espionnage a cherché à découvrir des logiciels malveillants ou des vulnérabilités rapports. Projet CAMBERDADA comportait 23 sociétés antivirues, mais pas basée aux États-Unis McAfee et Symantec ou Sophos du Royaume-Uni.
« Chasseur prolifique A des malware parrainés par l'État, » selon l'intercepter, Kaspersky Lab, fondé par Eugene Kaspersky, a contribué à dénicher de nombreux supervirus, y compris de Stuxnet, un outil sans précédent de la cyber-guerre, en 2010.
« C'est extrêmement préoccupant que des organismes gouvernementaux seraient cibler nous au lieu de concentrer les ressources contre des adversaires légitimes et travail à la subversion du logiciel de sécurité qui est conçu pour nous garder tout sûrs » Kaspersky Lab a dit à l'intercepter. "Cependant, cela ne vient pas comme une surprise. Nous avons travaillé dur pour protéger nos utilisateurs contre tous les types d'adversaires. "Cela inclut les cyber-criminels de droit communs ou d'opérations de cyber-espionnage parrainé par l'Etat-nation."
Bien que la société a coopéré avec la police au cours de nombreuses enquêtes sur la cybercriminalité, la réputation de Kaspersky a gagné l'ire des espions occidentale, qui réclament que son entreprise est de mèche avec le service de renseignement russe FSB. Kaspersky a nié les accusations, en pointant sur les rapports de la société sur les logiciels malveillants qui sont venus les développeurs russes.
« Il est très difficile pour une entreprise avec des racines russes pour réussir aux Etats-Unis, les européens et les autres marchés, » dit-il dans un récent post de blog. "Personne ne nous fait confiance — par défaut."
(suite en dessous:)
La compagnie a exprimé qu'il aurait utilisé cette nouvellement trouvé informations pour contrer toute ces tentatives pour désosser et bouleverser ses services de sécurité, non seulement par le souci de protéger ses clients, mais pour aider à résister à la surveillance de masse en général.
RépondreSupprimer"Comme l'a noté au cours de la récente attaque de Duqu 2.0 État-nation parrainé, nous jugeons extrêmement inquiétant que le gouvernement les organisations prennent pour cible les entreprises de sécurité au lieu de concentrer leurs ressources contre des adversaires légitimes et travaillent activement à subvertir les logiciels de sécurité qui sont conçu pour nous garder tout sûrs" Kaspersky Labs a déclaré dans un communiqué RT.
« À Kaspersky Lab, que nous travaillons avec diligence pour protéger nos utilisateurs et pour garder nos produits sûrs grâce aux efforts de code intense l'examen et la vulnérabilité d'évaluation. Nous examinons attentivement et enquêter sur les informations divulguées aujourd'hui afin d'évaluer le niveau potentiel de risque, il peut poser à notre infrastructure et comment atténuer efficacement. »
« Une fois de plus, nous tenons à insister sur la nécessité pour les entreprises de sécurité à travailler ensemble comme une communauté et la lutte pour la vie privée des utilisateurs, le droit à la vie privée sur Internet, déjouer la surveillance de masse et faire du monde un endroit plus sûr »
http://rt.com/usa/268891-nsa-gchq-software-kaspersky/
« Communiqué de câbles saoudiens est seulement un dixième de ce que nous avons » – WikiLeaks a RT
RépondreSupprimer22 juin 2015 21:10
WikiLeaks Journalistes ont établi l'authenticité de la première tranche des documents top secret saoudien publié par WikiLeaks, comme l'Arabie saoudite a averti ne pas distribuer, porte-parole de la WikiLeaks a déclaré RT, ajoutant que « c'est juste le début. »
« Nous voyons comment l'argent du pétrole est utilisé pour augmenter l'influence de l'Arabie saoudite, qui est importante, bien sûr - il s'agit d'allié des Etats-Unis et le Royaume-Uni. Et depuis ce printemps, il a été la guerre au Yémen voisin, » islandais journaliste d'investigation et porte-parole de l'organisation WikiLeaks Kristinn Hrafnsson dit RT
Vendredi, le site Web de dénonciation a publié la première tranche de presque 70 000 dossiers du gouvernement secret, fournissant un aperçu de l'intérieur et de la politique étrangère du Royaume. Hrafnsson a déclaré qu'il s'agit "seulement un dixième des documents que nous avons qui, sortira dans les prochaines semaines".
WikiLeaks a déclaré qu'elle prévoyait publier environ la moitié un millions de documents, qui comprennent les communiqués du ministère des affaires étrangères de l'Arabie, ainsi que des rapports 'top secret' de l'Agence de renseignement du Royaume et le ministère de l'intérieur.
"Permettez-moi de vous rappeler que c'est qu'un début" , a-t-il déclaré ajoutant que les documents sont en arabe "donc il faudra plus de temps pour les médias à travailler sur le matériel et de développer des histoires."
Le samedi, en réponse aux publications de Riyad a exhorté ses citoyens ne pas à distribuer "documents qui pourraient être truquées." Toutefois, la déclaration faite par le ministère des affaires étrangères sur son compte Twitter n'a pas nié authenticité des documents.
« Il est intéressant qu'ils suggèrent qu'elles sont fabriquées les documents... sans mentionner une seule. D'autre part bien sûr journalistes ont déjà établi l'authenticité d'un grand nombre des documents qu'ils ont travaillé sur..." Hrafnsson a dit.
« Acheter le Silence »: coups de WikiLeaks sifflent sur le contrôle de Riyad des médias arabes
Samedi, WikiLeaks a publié un rapport alléguant de l'Arabie saoudite "des efforts considérables pour surveiller et coopter les médias arabes".
Le Royaume prend une approche systématique pour maintenir l'image positive du pays sur la scène internationale, le site a affirmé ajoutant que Riyad il contrôle en contrôlant les médias et « achat loyautés d'Australie au Canada et partout entre les deux. »
Les « câbles saoudienne » a révélé "des efforts considérables pour surveiller et coopter les médias arabes, en veillant à corriger tout écart par rapport à une couverture régionale de l'Arabie saoudite et les questions liées à l'Arabie."
« Stratégie de l'Arabie saoudite pour la cooptation de médias arabes prend deux formes, correspondant à l'approche de « carotte et du bâton », dénommé dans les documents « neutralisation » et de « confinement ». L'approche est personnalisée selon le marché et les médias en question, » il a dit.
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Ainsi des deux approches de ce dernier, le rapport présente l'Arabie d'acheter des milliers d'abonnements à des publications ciblées, qui devenu politiquement loyales envers l'État.
RépondreSupprimer"Un document énumérant les abonnements nécessitant le renouvellement par le 1er janvier 2010 détaille une série de sommes contributives destinée à deux douzaines de publications en Damas, Abou Dhabi, Beyrouth, Koweit, Amman et Nouakchott. La gamme des sommes de 500 $ à 9 750 Dinars koweïtiens ($ 33 000). »
Le rapport dit que la somme de « pot-de-vin » dépend de comment bien la situation du pays sont.
« Elles vont de sommes petits mais vitales d'environ 2 000 $/ année au développement des médias de pays – une figure l'Agence guinéenne de presse « urgent » car « il permettrait de résoudre beaucoup de problèmes auxquels est confrontée l'Agence » – à des millions de dollars, comme dans le cas de la station de télévision de droite libanaise MTV. »
Entre autres questions, WikiLeaks a dit qu'il est préoccupé par l'Arabie saoudite influence médiatique durant le « printemps arabe » en 2011. Après la fuite de fichiers Riyad "a donné un soutien financier aux institutions des médias influents en Tunisie," le berceau du mouvement qui a abouti à plusieurs gouvernements étant renversés.
L'Arabie saoudite, deuxième producteur de pétrole du monde et le premier exportateur, est un acteur majeur dans l'Organisation des pays exportateurs pétrole (OPEP) qui contrôle la production de pétrole et les prix sur le marché mondial.
Le Royaume ultra-conservateur a également été largement critiqué par la communauté internationale pour son enregistrement scrupuleux des droits de l'homme. Lundi dernier Arabie saoudite effectué son centième exécution publique de l'année.
http://rt.com/news/268948-wikileaks-saudi-documents-new/
Des milliers de personnes protestent les factures d'électricité dans la capitale de l'Arménie
RépondreSupprimer23 juin 2015 04:03
Des milliers de personnes sont sont rassemblées dans le centre d'Erevan, capitale de l'Arménie, à la demande que la tête du pays rétracte la décision des autorités de la hausse des prix de l'électricité pour le public.
La police arménienne ont bloqué une des rues centrales d'Erevan, la capitale du pays. Une marche de protestation de plusieurs mille-forte se dirige vers la résidence du Président qui se trouve dans la même rue. Les protestataires manifestent contre une hausse des tarifs d'électricité prévue pour août cette année.
Policiers en tenue anti-émeute ont formé plusieurs lignes dans la rue, soutenu avec des canons à eau – qu'il aura encore à mettre à profit.
Le chef de la police d'Erevan a dit les manifestants que le Président arménien Serzh Sargsyan est prêt à parler à plusieurs d'entre eux.
«Forment un groupe de trois à cinq personnes et le Président de l'Arménie les verrez. Le reste des participants protestation soient obligés de retourner à la place de la liberté, » il a dit à la réunion. Place de la liberté, c'est où la marche a commencé.
Toutefois, les manifestants a refusé l'offre, affirmant que le Président peut annuler l'augmentation des tarifs sans leur être présent.
Les manifestants, a déclaré que leur rallye est un paisible et est conforme à la constitution du pays. Cependant, les policiers les ont averti qu'ils réservent le droit d'employer la force pour disperser le rassemblement devraient les manifestants désobéir des ordres de la police.
Le rassemblement a commencé à la place de la liberté d'Erevan le 19 juin et fomenté un sit-in qui a exigé que la majoration des tarifs est annulée. Devrait il pas arrivé au soir du 22 juin, les manifestants, a averti qu'ils marcheraient sur la résidence du Président.
http://rt.com/news/268918-armenia-protest-electricity-president/
Giscard d’Estaing "prend tout le monde à contrepied" en soutenant Moscou
RépondreSupprimer16:19 22.06.2015
En prenant position en faveur de la Russie, l'ancien président français Valéry Giscard d’Estaing a pris à revers une classe politique française et européenne qui n'ose critiquer la ligne aveuglément proaméricaine de l'Europe occidentale à l'égard de la Russie, écrit l'ancien diplomate Roland Hureaux.
"En prenant une position favorable à Poutine dans l'affaire ukrainienne, Valéry Giscard d'Estaing a pris tout le monde à contrepied", estime M. Hureaux dans les colonnes d’Atlantico.
Il rappelle qu'après sa rencontre avec Vladimir Poutine en mai 2015, l'ancien président français, généralement considéré comme un libéral proaméricain, a commencé à manifester des positions prorusses, notamment sur la Crimée et la crise ukrainienne.
VGE a souligné que les sanctions antirusses "ne sont pas dans l'intérêt de l'Europe, mais sont contraires au droit international".
"Les relations entre l'Europe et la Russie seraient meilleures si Bruxelles était réellement indépendant", a déclaré l'ancien président.
Notons que la position de M. d'Estaing est proche de celle de l'ancien chancelier allemand Helmut Schmidt, qui a fustigé la politique irresponsable de Bruxelles et a, dans une certaine mesure, soutenu la politique de Vladimir Poutine.
M. Hureaux affirme qu'en adoptant cette position audacieuse, Valéry Giscard d'Estaing "va dans le sens de l'opinion française éclairée, celle qui ne se laisse pas influencer par le matraquage anti-Poutine des médias, une opinion de plus en plus décalée par rapport à la position officielle de Hollande — et de la direction de l'UMP". Il explique que s’il n'y a pas longtemps, les partisans de la politique russe n'étaient pas nombreux, mais qu'actuellement "presque personne, en dehors de quelques intellectuels ne prend plus parti pour les Etats-Unis dans les affaires de l'Ukraine".
M. Hureaux finit par conclure: "il ne s'agit bien entendu pas d'être pro-ceci ou pro-cela. Il s'agit que notre diplomatie soit celle de nos intérêts et non pas des intérêts de quelqu'un d'autre".
http://fr.sputniknews.com/international/20150622/1016658743.html
Le monde libre face au terrorisme américain
RépondreSupprimer17:48 22.06.2015
Nicolas Bonnal
Les États-Unis sont en train de devenir pour le monde un problème. Emmanuel Todd
L'Amérique s'impose de plus en plus comme une puissance tératologique et apocalyptique, illustrant une destinée de violence depuis presque deux siècles maintenant. En guerre elle donne Hiroshima, l'Irak ou le Vietnam, en culture les Tortues Ninja, Madonna ou Lady Gaga, en économie inégalités et dettes, des zones zombies ou la hideuse guirlande des Urban Sprawls (prolifération cancéreuse et géométrique des banlieues) qui défigurent le monde, et que le grand essayiste et écologue Dean Kunstler a brillamment dénoncé.
Dean Kunstler parle d'une économie hallucinée; on peut dire que le militarisme américain est aussi halluciné, qui propose aux Européens une extermination sous anesthésie pour cet été — car où est passée l'opinion publique susceptible de réagir ici ou là, où est passé le gouvernement européen susceptible de demander aux Américains d'arrêter leur délire? Je me souviens des manifestations menées par nos partis communistes en Occident, et qui rassemblaient 300.000 personnes, ou même des manifestations européennes contre la guerre en Irak…. Aujourd'hui personne ne réagit.
Mais en Asie aussi, la Thaïlande, les Philippines, d'autres Etats vassaux et corrompus, quadrillés par les bases US, promeuvent cette idée d'une guerre d'influence contre la Chine.
Faisons quelques rappels pour situer notre lecteur.
Tocqueville a recensé les désastres humains et culturels qui allaient venir d'Amérique (l'argent, le messianisme, le féminisme, le racisme, les médias aux ordres, la vulgarité…). Et alors que l'Amérique est encore loin de tout, il consacre plusieurs chapitres à la question militaire en « démocratie » américaine (Tome II, Troisième partie):
« De toutes les armées, celles qui désirent le plus ardemment la guerre sont les armées démocratiques. (…). On peut donc dire d'une manière générale que, si les peuples démocratiques sont naturellement portés vers la paix par leurs intérêts et leurs instincts, ils sont sans cesse attirés vers la guerre et les révolutions par leurs armées. »
Puis Tocqueville se fait encore plus inquiétant:
« Il y a deux choses qu'un peuple démocratique aura toujours beaucoup de peine à faire: commencer la guerre et la finir… (…) Il n'y a pas de longue guerre qui, dans un pays démocratique, ne mette en grand hasard la liberté. »
(suite en dessous:)
Deux éléments importants sont soulignés par le grand analyste français:
RépondreSupprimerD'abord les Américains n'aiment pas faire la paix — ou la bâclent du mieux qu'ils peuvent. Du Traité de Versailles en 1919 en passant par le Vietnam ou la Guerre Froide après 1945 et l'actuelle ébullition russophobe et antichinoise, ils se livrent à la « guerre perpétuelle ».
Deuxièmement, Tocqueville voit que la guerre mettra fin aux libertés, comme l'a fait la guerre contre le terrorisme (cet EGM, être généré médiatiquement) à partir des années 90 ou du 11 septembre; la fascisation américaine peut être datée de Clinton, mais Chesterton la voyait poindre au cœur des années vingt: lynchage des noirs, chasse au facies (pas de juif, d'italien ou de balkanique en Amérique!), chasse au bolchevik-anarchiste, chasse enfin au buveur de bière ou de vin rouge…
Voilà où nous en sommes deux siècles après Tocqueville, quand les vassaux et les politiciens choisis (un politicien européen n'est plus élu, il est choisi, a déclaré un historien américain) vont accepter leur ruine avec un bel esprit de renoncement et dans l'indifférence d'une opinion publique momifiée. Les prétextes incriminés relèvent de la plus criante hypocrisie, hypocrisie qui existait déjà à l'époque de Rudyard Kipling ou Jules Verne quand on envahissait et pillait un pays pour les mêmes éhontés prétextes humanitaires. On évoque souvent l'hypocrisie de cette civilisation « démocratique » anglo-saxonne; l'analyste anti-impérialiste Hobson parlait en 1900 d'inconsistance de l'esprit humanitaire et impérial britannique. Peu cher payé pour les camps de concentration des Boers…
On pourra enfin rappeler une chose: ces démocraties se pensent meilleures, mais elles ne sont meilleures que parce qu'elles ont gagné leurs récentes guerres. Robert McNamara, dans Le Brouillard de la Guerre, le rappelle: « si nous avions perdu en 1945, nous aurions mérité d'être pendus. »
Il fut un temps où les démocraties prenaient plus de gants. On avait peur du péril jaune, du péril rouge, mais aujourd'hui on n'a même plus besoin de prétextes. L'Europe devient une colonie d'esclaves au service de l'étranger ou du bankster américain. A ce titre, elle et sa population sont « expendable », liquidables sur un champ de bataille ou dans une salle de marché. On fait confiance à la télé et aux ordinateurs pour anesthésier tout le petit monde.
Je pense au grand écrivain américain Gore Vidal; dans son beau pamphlet sur la guerre perpétuelle US, il écrivait:
« La junte du Pentagone en charge de nos affaires a programme son président pour nous dire que Ben Laden était un maléfique qui enviait notre bonté, notre richesse et notre liberté. »
Gore Vidal recense après 200 opérations militaires US de 1960 à 2000 puis il fait le lien entre la cruelle oligarchie boursière des années Clinton-Bush et la militarisation de la politique US devenue ultra:
(suite en dessous:)
« L'administration US, à peu près inepte dans tous les domaines sauf dans l'exemption des impôts pour les plus riches, a déchiré tous les traités auxquels les nations civilisées souscrivent, les accords de Kyoto, puis les accords nucléaires avec la Russie. »
RépondreSupprimerEnfin, Vidal rappelle ce que c'est qu'un terroriste. Et ce n'est pas pour lui un fou d'Allah:
« Selon le dictionnaire d'américain d'Oxford, le mot terroriste désigne un supporteur des Jacobins, qui défend et pratique la Terreur, soit la répression et le bain de sang dans la propagation des principes de démocratie et d'égalité. »
Le grand romancier de conclure: la plupart des terroristes actuels se trouvent dans nos gouvernements occidentaux.
http://fr.sputniknews.com/opinion/20150622/1016660793.html
Voici les preuves des liens existant entre Washington et l’Etat islamique
RépondreSupprimer22 juin 2015
Les informations selon lesquelles des avions étatsuniens et britanniques transportant des armes au groupe Etat islamique – mieux connu sous le nom d’EI – ont été abattus par les forces irakiennes ont provoqué un choc et ont renforcé le déni des pays occidentaux. Peu de personnes au Moyen-Orient se doute que Washington joue un «double jeu» avec ses armées de procuration en Syrie, mais certains mythes fondamentaux restent encore prévalents parmi les spectateurs occidentaux encore plus ignorants.
Un des mythes central est celui selon lequel Washington armerait à présent des « rebelles syriens modérés », à la fois pour renverser le gouvernement syrien et soi-disant pour «vaincre les rebelles extrémistes». Cette affirmation s’est accentuée en 2014, lorsque la raison d’être de l’agression étatsunienne contre la Syrie est passée d’une «intervention humanitaire» à un renouvellement de la «guerre de Bush contre le terrorisme».
Une controverse distincte est de savoir si les groupes affiliés à Al-Qaïda (surtout Jabhat al-Nosra et EI) ont été générés en réaction aux interventions répétées des États-Unis dans la région, ou si ils sont effectivement des agents payés par Washington.
Certes, les dirigeants importants de l’EI ont été détenus dans les prisons étatsuniennes. Le chef de l’Etat islamique (auquel Boko Harama a fait allégeance, ndt), Ibrahim al-Badri (alias Abou Bakr al-Baghdadi), déclare avoir été détenu entre un et deux ans à Camp Bucca en Irak. En 2006, lorsque al-Baghdadi et d’autres ont été libérés, l’administration Bush a annoncé son plan pour un «Nouveau Moyen-Orient», un plan qui avait pour objectif d’instrumentaliser la violence sectaire dans le cadre d’un processus de «destruction créatrice» dans la région.
Selon l’article de Seymour Hersh, publié en 2007, «The redirection», les Etats-Unis ont prévu d’instrumentaliser des «Etats sunnites modérés», et pas seulement les Saoudiens, pour «contenir» les gains chiites en Irak provoqués par l’invasion étatsuniens de 2003. Ces forces sunnites «modérées» viseraient à mener des opérations clandestines pour affaiblir l’Iran et le Hezbollah, les ennemis principaux d’Israël. Cela a rapproché les Saoudiens et Israël, qui tous deux craignent l’Iran.
Bien qu’il y ait eu des allégations que le calife al-Baghdadi de l’EI est un agent formé par la CIA ou le Mossad, celles-ci n’ont pas encore été bien étayées. Il y a certainement des motifs de suspicion, mais une preuve indépendante est importante, dans le contexte de la «guerre» supposée des USA contre l’EI.
De hauts responsables étatsuniens, et non des moindres, ont reconnu que des alliés clés appuyaient le groupe extrémiste. En septembre 2014, le général Martin Dempsey, chef de l’armée US, a déclaré lors d’une audience du Congrès «Je connais des alliés arabes majeurs qui financent [l’EI]». Le sénateur Lindsey Graham, du Comité des services armés, a répondu par cette justification, «Ils les ont financés parce que l’armée syrienne libre ne pouvait pas lutter contre [le président syrien] Assad, ils essayaient de battre Assad».
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Le mois suivant, le vice-président étatsunien, Joe Biden est allé plus loin, expliquant que la Turquie, le Qatar, les Émirats arabes unis et l’Arabie Saoudite « étaient si déterminés à faire chuter Assad … qu’ils ont versé pour des centaines de millions de dollars et livré des milliers de tonnes d’armes à toute personne qui se battrait contre Assad … [y compris] al-Nosra et al-Quaïda et des groupes extrémistes djihadistes provenant d’autres parties du monde.. [qui ensuite] se sont nommés Etat islamique (EI) ». Les affirmations de Biden cherchaient à exempter les Etats-Unis de cette opération, comme si Washington était innocent dans les opérations soutenues et menées par ses principaux alliés. Ce n’est tout simplement pas crédible.
RépondreSupprimerLes relations de Washington avec les Saoudiens, comme force sectaire de division dans la région, en particulier contre le nationalisme arabe, remonte aux années 1950, lorsque Winston Churchill a présenté le roi saoudien au président Eisenhower. A cette époque, Washington voulait mettre en place le roi saoudien comme un rival du président égyptien Nasser. Plus récemment, le général britannique Jonathan Shaw a reconnu le rôle de l’idéologie extrémiste de l’Arabie Saoudite : « C’est une bombe à retardement, sous couvert d’éducation. Le salafisme wahhabite est vraiment en train d’enflammer le monde. Et il est financé par l’argent saoudien et qatari », a déclaré Shaw.
D’autres preuves sapent les tentatives occidentales de maintenir une distinction entre les «rebelles modérés», désormais ouvertement armés et formés par les Etats-Unis, et les groupes extrémistes de Jabhat al-Nusra et de l’EI. Même s’il y a eu en effet une certaine rivalité (soulignée par le groupe des Frères musulmans basés à Londres, et l’Observatoire syrien des droits de l’homme), l’absence de réelle différence idéologique est révélée par la coopération et la fusion de ces groupes.
Alors que l’EI est venu d’Irak en 2013, ses bases syriennes sont généralement restées dans la partie extrême-orientale de la Syrie. Cependant Jabhat al-Nosra (la branche officielle d’Al-Qaïda en Syrie, à partir duquel l’EI s’est scindé) collabore avec des groupes islamistes syriens dans l’Ouest de la Syrie depuis plusieurs années. Le slogan génocidaire des islamistes syriens, «les Chrétiens à Beyrouth et les Alaouites à la tombe», repris à plusieurs reprises en 2011 par la Brigade Farouk, convenait bien aux groupes d’Al-Qaïda. Farouk (qui fut le plus grand groupe de l’«Armée syrienne libre») a en effet tué et réalisé un nettoyage ethnique de nombreux Chrétiens et Alaouites.
Une coopération sur le long terme entre ces «rebelles modérés» et le groupe Jabhat al-Nosra conduit de l’étranger a été constatée autour de Deraa, dans le sud, à Homs-Idlib, le long de la frontière turque et dans et autour d’Alep. Les mots Jabhat al-Nosra signifient réellement «front de soutien», qui est, un soutien pour les islamistes syriens. Retour en décembre 2012, alors que Jabhat al-Nosra a été interdit dans plusieurs pays, 29 de ces groupes ont exprimé leur solidarité dans leur déclaration: « Nous sommes tous Jabhat al-Nosra ».
Après l’effondrement des groupes de «l’Armée syrienne libre», la coopération entre al-Nosra et les nouveaux groupes soutenus par les Etats-Unis et les saoudiens (Dawud, le Front islamique, le Front révolutionnaire syrien et Harakat Hazm) ont contribué à attirer l’attention sur le soutien d’Israël pour al-Nosra, autour des hauteurs du Golan occupé. Depuis 2013, il y a eu de nombreux articles faisant état de combattants «rebelles», y compris ceux d’al-Nosra, qui ont été traités dans des hôpitaux israéliens.Le Premier ministre Netanyahu a même médiatisé sa visite aux «rebelles» blessés au début de 2014. Cela a amené à un « remerciement » public du chef «rebelle», Mohammed Badie, basé en Turquie(en février 2014).
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La force de maintien de la paix des Nations Unies basée dans le Golan occupé a communiqué ses observations concernant les liens étroits entre les Forces de défense d’Israël et les combattants d’al-Nosra à la frontière. Dans le même temps, des armes israéliennes ont été trouvées au sein de groupes extrémistes, en Syrie et en Irak. En novembre 2014, les membres de la minorité druze du Golan ont protesté contre le soutien apporté par certains hôpitaux d’Israël pour les combattants d’al-Nosra et de l’EI. Cela a conduit à de nombreuses questions dans les médias israéliens, quant à savoir si Israël soignait « dans ses hôpitaux des membres d’al-Nosra et de Daesh [EI] ». La réponse d’un porte-parole militaire ne fut même pas un démenti : « Au cours des deux dernières années, les Forces de défense israéliennes ont été engagées dans des actions humanitaires, dans l’aide au sauvetage à des Syriens blessés, indépendamment de leur identité ».
RépondreSupprimerLa distinction artificielle entre «rebelles» et groupes «extrémistes» est raillée par de multiples rapports faisant état de défections à grande échelle et de transfert d’armes. En juillet 2014 mille hommes armés de la Brigade Dawud ont fait défection pour rejoindre l’EI à Raqqa. En novembre des défections de combattants du Front révolutionnaire syrien en faveur de Jabhat al-Nosra ont été signalés. En décembre, Adib Al-Shishakli, représentant de la ‘Coalition nationale syrienne » au Conseil de coopération du Golfe en exil, a déclaré que « les combattants de l’opposition » rejoignaient de plus en plus «l’EI» pour des « raisons financières ». Dans ce même mois, les «rebelles» de la région du Golan (adossé à Israël) ont été signalés comme ayant fait défection en faveur de l’EI, qui avait à cette époque commencé à établir une présence dans l’extrême sud de la Syrie. Puis, au début de 2015, trois mille «rebelles modérés» du groupe pro-étatsunien « Harakat Hazzm » ont rejoint le groupe Jabhat al-Nusra, en emportant avec eux un grand stock d’armes US y compris des armes anti-chars.
L’Etat islamique avait déjà acquis des armes US par d’autres moyens, à la fois en Irak et en Syrie, comme cela a été rapporté en juillet, en septembre et en octobre 2014. A cette époque, un «pacte de non agression» avait été passé dans la zone sud de Hajar al-Aswad entre les «rebelles modérés» et l’EI, ces deux groupes reconnaissant un ennemi commun en Syrie: « le régime Nussayri « , une façon sectaire de se référer aux musulmans prétendument apostats. Certains ont signalé que l’EI avait acheté des armes aux «rebelles».
En décembre 2014, il y a eu des articles des médias occidentaux concernant la livraison secrète couverte par les Etats-Unis d’armes lourdes aux «rebelles syriens» en provenance de Libye, et de l’obtention par Jabhat al-Nosra d’armes antichars qui avaient été fournies au groupe (pro-US) Harakat Hazm. Une vidéo postée par al-Nosra a montré que ces armes ont été utilisées pour prendre les bases militaires syriennes, de Wadi Deif et d’Hamidiyeh, dans la province d’Idlib.
Avec l’appui majeur des « alliés arabes » en faveur de l’EI et une collaboration importante entre les «rebelles modérés» soutenus par les Etats-Unis, il n’est pas illogique de penser que les vols de la coalition atlantiste menée par les Etats-Unis dans les zones de l’EI (soi-disant pour «détruire» les extrémistes ) auraient pu aussi constituer des lignes d’approvisionnement clandestines. C’est précisément ce que des sources irakiennes ont commencé à révéler, fin 2014 et début 2015.
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Ainsi, tels que l’ont rapporté les deux médias irakiens et iraniens, le député irakien Majid al-Ghraoui a déclaré en janvier qu«’un avion US a largué des armes et du matériel aux miliciens du groupe EI dans la zone d’al-Dour dans la province de Salahuddin ». Les photos de l’EI en train de récupérer les armes ont été publiées. Les États-Unis ont admis la saisie, mais ont déclaré que c’était une «erreur». En février, le député irakien Hakem al-Zameli a déclaré que l’armée irakienne avait abattu deux avions britanniques qui portaient des armes à l’EI dans la province d’al-Anbar. Encore une fois, les photos des avions accidentés ont été publiées. « Nous avons découvert des armes fabriquées aux États-Unis, dans les pays européens et en Israël, dans les zones libérées du contrôle de l’EI dans la région de Al-Baqdadi », a déclaré al-Zameli.
RépondreSupprimerLe site web d’informations Al-Ahad a rapporté les propos du chef du Conseil provincial d’Al-Anbar, Khalaf Tarmouz, selon lesquels un avion étatsunien a fourni l’organisation terroriste de l’EI avec des armes et des munitions dans la province de Salahuddin. Toujours en février une milice irakienne appelé Al-Al-Shabi Hashad a déclaré avoir abattu un hélicoptère de l’armée étatsunienne transportant des armes pour l’EI dans les régions occidentales d’Al-Baqdadi dans la province d’Al-Anbar. Encore une fois, des photos ont été publiées. Après cela, les forces irakiennes contre le terrorisme ont signalé avoir arrêté « quatre étrangers qui travaillaient comme conseillers militaires aux combattants de l’EI », dont trois avaient (la double) nationalité étatsunienne et israélienne. Jusqu’à présent, les médias occidentaux ont évité de relayer ces informations ; ces manques sont particulièrement dommageables pour la version qui en est donnée en Occident.
En Libye, un collaborateur clé des États-Unis ( et de la France, ndt) dans le renversement du gouvernement Kadhafi a lui-même annoncé qu’il était le nouveau chef de l »Etat islamique » en Afrique du Nord. Abdel Hakim Belhaj a été détenu dans les prisons US pendant plusieurs années, puis il fut «rendu» à la Libye de Kadhafi, où il était recherché pour actes terroristes. En tant qu’ancien chef du groupe libyen islamique lié à Al-Qaïda, un groupe basé à Tripoli nommé « Jamahiriya Dawn », Belhaj a été défendu par Washington et salué par les membres du Congrès des États-Unis notamment par John McCain et Lindsey Graham.
Certaines manoeuvres visant à améliorer l’image des groupes d’Al-Qaïda sont en cours. Jabhat al-Nosra envisagerait de couper les liens avec al-Qaïda, pour recevoir le parrainage du Qatar afin d’augmenter ses sources de financement. Le magazine des Affaires étrangères (Foreign Affairs) de Washington a même publié une étude affirmant que les combattants de l’EI étaient « étonnamment en faveur de la démocratie ». Après tous les massacres commis et recensés cela manque de crédibilité.
L’armée syrienne a repris graduellement Alep, malgré les lignes d’approvisionnement hostiles en provenance de Turquie, du sud de la Syrie, et face au soutien de la Jordanie et d’Israël envers les groupes sectaires. La frontière avec le Liban est largement sous contrôle de l’Armée syrienne et du Hezbollah. Dans l’est, l’armée syrienne et ses alliés locaux contrôlent une grande partie de la région de Hasaka et de Deir e-Zour, avec une campagne finale contre Raqqa encore à venir. La tentative de l’OTAN et du conseil des pays du Golfe (GCC) de renverser le gouvernement syrien a échoué.
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Pourtant la déstabilisation violente persiste. Les preuves de la relation secrète entre Washington et l’EI sont importantes et permettent d’expliquer ce que le ministre adjoint des Affaires étrangères de la Syrie, Fayssal Mikdad, appelle la «guerre cosmétique» de Washington sur l’EI. Ce groupe extrémiste est un cheval de Troie de Washington dans la région, ce qui affaiblit la Syrie et l’Irak. Leur «guerre» sur l’EI est inefficace. Des études menées par Jane’s Terrorism and Insurgent database montrent que les attaques de l’EI et les meurtres en Irak ont augmenté fortement après que les attaques aériennes US aient commencé. Les principales attaques efficaces contre l’EI au sol ont été réalisées par l’Armée arabe syrienne, et plus récemment, par les forces armées irakiennes avec le soutien iranien.
RépondreSupprimerTout cela a été rapporté de manière tronquée dans les médias occidentaux. Les mêmes canaux qui célèbrent le meurtre des soldats syriens par l’EI affirment également que l’armée syrienne « ne se bat pas contre l’EI » (Lire également : Pour l’Elysée, ce qui se passe en Irak c’est la faute de Bachar !, ndt). Ce prétendu «manque de volonté» faisait partie de la justification des bombardements étatsuniens à l’intérieur de la Syrie. S’il est certain que les priorités syriennes sont restées dans l’ouest densément peuplé, les médias locaux indiquent clairement que, depuis au moins le début de l’année 2014, l’armée arabe syrienne a été la principale force engagée contre l’EI à Hasaka, Raqqa et Deir Ezour. Un article de mars 2015 de Reuters concède que l’armée syrienne a récemment tué deux commandants de l’EI (y compris al-Deeb Hedjian Otaibi) ainsi que 24 combattants, à Hamadi Omar.
Une coopération plus étroite entre l’Iran, l’Irak, la Syrie et le Hezbollah libanais est inacceptable pour Israël, les Saoudiens et Washington, mais c’est ce qui est en train de se passer. Ce n’est pas une division sectaire mais plutôt une force basée sur des intérêts mutuels clairs, qui tentent de mettre fin aux groupes sectaires terroristes des takfiri.
Il était logique que, dans la récente offensive de l’armée irakienne sur la ville de Tikrit tenue par l’EI, l’armée iranienne ait émergé comme le principal partenaire de l’Irak. Washington a été mis à l’écart, provoquant la consternation au sein des médias US. Le général Qasem Suleimani, chef de la Force Qods de l’Iran, est un acteur majeur dans l’opération lancée sur Tikrit. Une décennie après la «destruction créatrice» issue des plans de Washington, visant à réduire l’influence iranienne en Irak, un article dans le magazine Foreign Policy se plaint que l’influence de l’Iran est « à son point culminant depuis quatre siècles ».
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2015/06/voici-les-preuves-des-liens-existant.html
http://reseauinternational.net/voici-les-preuves-des-liens-existant-entre-washington-et-letat-islamique/