Rapport sur la Grèce: la machine de propagande de Merkel
Une colonne par Georg Diez
Alexis Tsipras a déclaré aux journalistes à Bruxelles: «Le Sauveur est en effet le droit"
Chaque article, qui parle du «sauvetage» de la Grèce visant, moralement. A ces rapports montre comment manipulateur un journalisme fonctionne, qui traite principalement avec les intérêts allemands.
La propagande Colonne dit Edward Bernays, qui a inventé le terme, est la réduction de la réalité complexe à quelques, facile à comprendre des explications, et il est finalement pas d'importance si ces déclarations sont également d'accord.
La "propagande" classique a été publié en 1928, bien avant que la télévision et l'Internet, il est plus d'instructions d'action pour la puissante comme une critique de la manipulation des masses - qui est pourquoi il vaut aujourd'hui, le temps de la relire.
Parce que dans son esprit, par exemple, tout produit qui réduit la crise de l'euro que Merkel et Schäuble ou à Bruxelles ou quelqu'un d'autre "sauvetages" Grèce, rien de plus que de la propagande.
"Merkel va sauver les banques"
Pendant des années, «sauvetage» est le mot utilisé par de nombreux journalistes pour raconter l'histoire de cette crise: un mot est établi, qui fait quelque chose et qui ne fait rien, qui est active et qui est passif, qui est sur le point et avec qui la main se précipite.
En un mot, la dette et la dépendance sont préparés avec un mot de gratitude et d'échec sont déterminés, en un mot, est dirigé moralement - l'analyse est plus tard, lors de la première heure est atteint au niveau émotionnel.
Le Sauveur dans la loi, ce qui suggère que ce mot, il est en possession de la vérité, il a le bon de son côté, il agit pour des motifs plus élevés - "Rescue" est donc un mot qui dans la politique en soi ou dans le journalisme politique n'a rien perdu en tant que tel, car il occulte les motivations et les intérêts qui font la politique.
Par exemple, je ne lis jamais aucun titre qui suit: "Merkel sauve les banques» - ce serait une très plausible le raccourcissement de ce qui est arrivé en Europe depuis 2010 au plus tard.
Et même ce titre est toujours manquant: "UE et le FMI prévoient un coup d'Etat en Grèce." Ici vous pouvez voir la crise de l'euro tout résumer comme suit: Quand il vient à forcer la Grèce à ses genoux, et que est toujours entonné, on aime à prendre une éventuelle défaillance du gouvernement grec dans l'achat.
Le capitalisme primaire est sauvé
"Il est un spectacle étonnant," écrit Ambrose Evans-Pritchard, «Burke-conservateur", comme il l'appelle lui-même, pas de gauche - la Banque centrale européenne et le FMI, a t-il dit, serait "furieusement battre un gouvernement élu qui ne font pas ce qu'ils veulent ".
Jürgen Habermas a de nouveau constaté cette semaine au déficit démocratique fondamental de l'UE - il sera «sauvé» en Grèce ne sont pas les valeurs européennes et les idéaux démocratiques, ou même des citoyens grecs, il est principalement enregistrés un capitalisme, a besoin de la stabilité et la sécurité.
La Banque centrale européenne nous a jamais montré comment faire, elle a envoyé en Août 2011 des lettres secrètes pour le gouvernement espagnol et l'italien, dans lesquelles ils demandaient des changements dans les lois et ainsi interféré dans les affaires intérieures de ces pays.
Curieusement, on trouve des textes avec de telles informations mais surtout dans les médias américains et britanniques - la moyenne place des éditorialistes allemands de toute façon, que les Grecs - contre toute expertise économique - pour économiser encore plus, sept années de vaches grasses sont assez.
Le fait que l'UE afin que leur prospérité promesse pauses, l'un des fondements essentiels et la raison d'être du tout de l'UE, ce qui signifie qu'il est la partie de l'UE est un échec patent, qui devrait être abordée, ce qui manque dans l'histoire du «sauvetage» de la Grèce.
Le reportage politique dans l'esprit de soap opera
Au lieu de cela, encore et encore écrit à l'épreuve de force, qui ne la rhétorique de crise de «sauveur» servi qui ont besoin de l'état d'urgence permanent afin de légitimer leurs mesures drastiques - le journalisme impliqués dans un drame escalade qui ne laisse pas de place pour la pensée dans le essoufflement ,
Et dans le même temps est écrit sur les yeux bleus de Schäuble qui ne peut mentir, et dans le «monde» à propos de la femme qui Tsipras vient de faire à l'entêté, qu'il soit d'un point de vue allemand doit dans le "Tagesspiegel" - il est une déclaration de politique Esprit de l'opéra de savon, ce qui, finalement, ne sert à dissimuler les problèmes économiques sous-jacentes.
Complicité entre la politique et les médias
« Tous les mensonges», demande le «temps» dans son histoire de couverture de cette semaine, une réflexion autocritique sur la pression sur les médias au cours des dernières années et les erreurs qui ont été faites - la guerre de 2003 en Irak et de la crise financière de 2008 en sont deux exemples, mais "ont maintenant les éditeurs appris de leurs erreurs."
Mais est pas la Grèce-déclaration juste un exemple de la façon manipulatrice et unilatéralement le journalisme fonctionne, qui traite essentiellement des intérêts allemands et un point de vue allemand propagation qui est bien loin de ce qui est écrit et pensé dans d'autres pays européens est ?
Ce que voit de toute façon Ambrose Evans-Pritchard, de la crise de la dette grecque a expliqué dans le britannique "Telegraph" pour "la guerre en Irak des Finances" - il signifie la complicité entre les politiciens et les médias qu'un "bank run" évoquait littéralement dans la dernière semaine ferait.
«La manipulation consciente et intelligente des comportements collectifs et les opinions des masses est un élément important dans une société démocratique», écrit Edward Bernays. "Il y a un gouvernement invisible qui manipule ces mécanismes sociale cachée, elle est une puissance de décision effective dans notre pays."
Il est un gouvernement qui ne l'a élu et personne ne contrôle.
Effectivement, un journaliste n'a pas la liberté du blogueur et doit s'en tenir à ce que lui dit le rédacteur en chef qui est lui au service du gouvernement (de droite ou de gauche qu'importe !).
Lorsqu'une personne ou groupe de au gouvernement se dit de 'sauver les banques', ce n'est bien sûr pas de sa poche (auquel cas il demanderait à être remboursé !!), mais de celle des contribuables. Donc, des entreprises PRIVEES sauvées sous la contrainte d'imposition au peuple alors que cet argent (en billet) va se transformer en suite de chiffres à l'ordinateur. Car, avec l'ordi, çà coûte rien de laisser le doigt x temps sur une touche !
Le principal - dans tout ce cirque entretenu - n'est-il pas de ruiner le peuple par tous les moyens ? C'est çà le progrès ! Plus on avance plus on est pauvre !
La non-invasion russe provoque l'inquiétude en Europe
Rob Slane The blog mire jeu., 18 juin 2015 05:32 UTC
Traduit par bluetonga, relu par Hervé et Diane pour le Saker francophone
Les tensions au sein des États baltes et de la Pologne ont atteint leur paroxysme ces jours derniers alors qu'il est devenu de plus en plus évident que les Russes n'avaient aucun plan d'aucune sorte pour attaquer l'un ou l'autre de ces pays. Pendant l'année écoulée, la Pologne, la Lettonie, la Lituanie et l'Estonie ont lancé un crescendo d'avertissements concernant une invasion russe, et ont tenté de convaincre le reste du monde qu'il devait prendre des mesures radicales afin d'empêcher le président Vladimir Poutine de mener à bien son projet de recréer l'Union soviétique, cette fois de Vladivostok à Johannesburg.
Cependant, malgré ces alertes répétées d'un péril imminent, les Russes n'ont pas encore pointé le bout de leur nez, et semblent même soutenir qu'ils ont mieux à faire de leur temps. Pas plus tard que la semaine passée, Monsieur Poutine a déclaré lors d'une interview avec le quotidien italien Il Corriere della Sera que l'idée d'attaquer un pays de l'Otan ne pouvait se trouver que «dans le cauchemar d'une personne dérangée».
Ce refus d'envahir a causé une grande consternation à Varsovie, Riga et Tallinn, mais il a porté un coup particulièrement rude à la présidente lituanienne Dalia Grybauskaité, qui avait multiplié les déclarations concernant cette menace et avait placé le pays en mode panique pendant quelque temps. Au début de l'année, et en prévision de l'invasion imminente, le gouvernement de Vilnius a sorti une brochure d'information publique de 100 pages - Comment agir dans des situations extrêmes ou des situations de guerre? - qui prodiguait des conseils aux citoyens pour survivre à l'invasion russe, et qui comprenait des chapitres sur l'organisation de la résistance civile et comment agir dans une situation de champ de bataille.
Un porte-parole du ministre de la Défense Juozas Olekas, qui avait présenté la brochure en janvier, était clairement irrité par la réponse russe :
« On s'est donné tout ce mal pour publier une brochure disant ce qu'il fallait faire quand ils nous envahiraient, et voilà qu'ils n'ont même pas la politesse élémentaire de venir nous envahir, a-t-il déclaré. C'est tellement typique des Russes. On ne peut pas leur faire confiance pour quoi que ce soit. »
Il a poursuivi en précisant que le pays fournissait maintenant des conseils aux citoyens sur la manière d'agir en cas de non-invasion russe, et une deuxième brochure - Comment agir dans des situations normales ou en cas de paix ? - est déjà en cours de préparation, au cas où les Russes mettraient à exécution leurs menaces de ne pas envahir. La nouvelle brochure devrait fournir des conseils aux Lituaniens sur la manière de gérer l'idée selon laquelle leur pays ne serait pas si important que ça aux yeux des Russes, après tout, et elle devrait contenir un certain nombre d'autres choses à partir desquelles les gens pourraient se monter le bourrichon contre la Russie, de manière à se détourner des problèmes domestiques au sein même du pays.
A Varsovie, ou l'hostilité envers la Russie s'est amplifiée grâce à un programme gouvernemental de conscientisation active, un porte-parole du gouvernement, qui souhaitait garder l'anonymat, a fait la déclaration suivante :
« La Russie a envahi l'Ukraine à pas moins de 47 reprises au cours des 12 derniers mois, ou presque. Nous ne savons pas pourquoi ils continuent d'envahir, puis de se retirer, puis d'envahir à nouveau, mais nous savons qu'ils le font parce que nous surveillons de près Twitter et Facebook, et que Arseni Iatseniouk le dit. Bien sûr, nous en avons naturellement conclu que tôt ou tard, ce serait notre tour - du moins, c'est ce que nous racontons à nos concitoyens depuis un an - , aussi l'idée qu'ils pourraient rester chez eux, après tout, n'est certainement pas une bonne nouvelle. S'ils persistent à ne pas venir, les gens pourraient commencer à se dire que ce n'était qu'un canular stupide destiné à détourner leur attention des problèmes intérieurs de la Pologne, et cela pourrait s'avérer désastreux pour nous en tant que nation. »
La crainte que la Russie puisse ne pas bouger de chez elle est également répercutée à Washington, avec une porte-parole du département d'État, au ton résolument perplexe :
« Nous sommes certains que les Russes veulent recréer l'Union soviétique. C'est ce que notre président a dit l'autre jour, et nous n'avons aucune raison de ne pas le croire. La première escale avant d'atteindre Johannesburg doit certainement être les États baltes et ensuite la Pologne. Alors, pourquoi n'envahissent-ils pas ? C'est un mystère pour nous, mais nous allons continuer avec nos vassaux... Désolée, je voulais dire nos alliés, à effrayer les gens pour qu'ils saisissent la menace, et je crois qu'il est important de noter que même une non-invasion peut être considérée comme faisant partie de leur agression en cours. »
La semaine dernière, l'espoir d'un début d'invasion est né lorsque deux Typhoons britanniques de la RAF stationnés en Estonie ont décollé d'urgence pour intercepter et surveiller deux appareils militaires russes au-dessus de la mer Baltique. Néanmoins, ces espoirs se sont évaporés lorsque deux experts ont fait remarquer, après avoir consulté une carte, que la Russie est limitrophe de la mer Baltique, et sacrément plus proche d'elle que ne l'est la Grande-Bretagne.
Très récente augmentation d'énormes tremblements, un « changeur de jeu » pour l'Oklahoma Oil & Gas
Soumis par Tyler Durden le 26/06/2015 11:22-0400 Soumis par Nick Cunningham via OilPrice.com,
La récente hausse de tremblements de terre dans l'Oklahoma pourrait présenter un « game changer » pour les régulateurs.
Voilà comment les régulateurs décrit la série de tremblements de terre qui a frappé l'état entre le 17 juin et 24 juin, selon Reuters. L'Oklahoma est devenu l'état plus sismiquement active dans le pays ces dernières années, avec beaucoup de données scientifiques pointant vers la pratique des puits d'élimination comme le coupable. Tremblements de terre d'une magnitude de 3.0 ou supérieur ont passé de 20 en 2009, à 585 en 2014. Mais 2015 pourrait être encore pire – si les tendances actuelles se poursuivent, l'état pouvait se connecter à plus de 800 pour l'année.
- voir graphiques sur site -
L'augmentation rapide de l'activité sismique a incité le nouveau règlement, après une longue période d'hésitation pour le compte de l'État, qui est entré en vigueur il y a deux mois. Les règles interdit foreurs d'injection d'eaux usées au-delà d'une certaine profondeur souterraine, un seuil qui, selon les sismologues contribue aux tremblements de terre.
Mais même avec ces règles en place, tremblements de terre n'ont pas cessé. La semaine dernière, un estimé 35 tremblements de terre d'une magnitude de 3.0 ou plus a frappé l'État.
Qui a le Conseil de Corporation de Oklahoma, qui réglemente le forage pétrolier et gazier, en regardant à nouveau règlement. « Nous avons à nouveau en approche », un porte-parole de l'OCC, Matt Skinner, a déclaré après la dernière série de tremblements de terre, selon l'agence Reuters. "Il y a eu une augmentation énorme. C'est un jeu-changeur. »
La flambée des tremblements de terre la semaine dernière vient sous forme de rapport le 23 juin E & E qui a montré que l'Université de l'Oklahoma a demandé un don de $ 25 millions de l'exécutif célèbre huile Harold Hamm, responsable des ressources de Continental. L'Université a poursuivi son don qu'il formait également sa position sur la relation entre les tremblements de terre et puits d'élimination. Une fois terminé, leur position reflète Hamm est assez près, bien qu'il a finalement refusé de faire un don (il est encore un des plus grands donateurs de l'Université). E & E fait remarquer qu'il n'y a rien de spécifiquement reliant la donation à la position de l'Université, mais elles se sont déroulées en même temps.
L'approche sceptique, que l'Université a pris aux tremblements de terre peut retarder l'action. Les nouvelles viennent après des mois de spéculation que l'Oklahoma Geological Survey, qui fait partie de l'Université, assis sur des données de sismologie qui reliait le puits d'élimination à l'augmentation des tremblements de terre parce que cela toucherait l'industrie haut de la page de l'État. Pétrole et gaz représentent 7 % des recettes de l'état de l'Oklahoma. Il y a même eu de spéculation que les sismologues ont été pressés en minimiser la connexion.
Le taux des tremblements de terre est devenu trop difficile d'ignorer. En avril 2015, l'Oklahoma Geological Survey a pris une bien meilleure position sur les tremblements de terre, disant qu'il "estime qu'il est très probable" qu'une grande partie de l'amélioration de l'activité sismique est causée par le puits d'élimination. Le gouvernement de l'Etat a même lancé un site Web avec des données et d'informations sur comment les puits d'élimination contribuent aux tremblements de terre.
Mais la dernière série de tremblements de terre donnent à penser que l'État évolue toujours pas avec assez de force malgré de nouveaux règlements cette année. Pour l'instant, l'État n'a pas opté pour un moratoire sur les puits d'évacuation dans les zones sensibles, comme l'ont fait les autres États. Régulateurs à l'OCC avaient espéré que son toucher léger contribuerait à réduire la fréquence des tremblements de terre au fil du temps, et Pendant ce temps, il pourrait recueillir davantage de données. Cette approche peut ne pas suffire. Mais il n'y a pas beaucoup d'appétit au sein de l'Assemblée législative de tuer la poule aux œufs d'or.
En revanche, s'il y a une plus grande catastrophe, l'État n'aurait pas d'autre choix que de sévir enfin.
« S'il y a des dommages et des pertes en vies humaines, vous verrez le climat politique absolument changer du jour au lendemain, » a mis en garde Jason Murphey, un représentant républicain à la législature de l'État, selon Reuters. « Quand et si cela arrive, vous aurez un nuage qui plane sur le secteur de l'énergie pour le reste de notre vie. »
Cela est bizarre et difficilement prouvable ! Car, les émissions de gaz ou de pétrole, qu'elles soient naturelles ou non, sont issues de leur propre pression (comme le sont les laves de volcan ou eaux de sources). Je veux bien admettre que des tremblements de terre (aussi lointains soient-ils) soient consécutifs à des prèlèvements issus de pressions fabriquées (gaz de shiste) et puissent développer des secousses à très longues distances, mais, que des tremblements de terre viennent des derricks implantés... là, faut voir. Faut voir ce qu'il en est en pays comme l'Iran, Koweit, Arabie Saoudite, Venezuela etc producteurs de pétrole et pourquoi ce sont des pays où le sol ne bouge pas !
Je pense juste que le lobbying (joue le jeu des extracteurs de gaz de shiste) s'abrite juste derrière les preuves que l'extraction de gaz de shiste favorisent des tremblements de terre et que 'par conséquent', pour le pétrole il devrait en être de même ! Donc, pour éviter les tremblements de terre : fermer tous les puits de pétrole ! (Hahahaha !).
Regardez le mal que peut faire le lobbying avec ses marchés truqués: Alors que çà va mal pour tout le monde... le prix de l'or s'effondre ! Hahahaha ! Ainsi, voudraient-ils dire "Achetez vite de l'or avec qu'on viennent chez vous le chercher !!" Hahahaha ! (C'est plus facile à emporter quand la richesse est concentrée)
Droits de l'homme: les USA se croient irréprochables
17:07 26.06.2015
Les Etats-Unis prétendent au titre de "défenseur universel" des droits de l'homme et donnent des leçons aux autres pays, en publiant des rapports annuels sur l'état des droits de l'homme dans le monde, constate un expert chinois.
Le département d'Etat américain a publié jeudi son nouveau rapport sur l'état des droits de l'homme dans le monde qui critique, entre autres, la Chine, Sputnik a demandé à Tao Wenzhao, spécialiste chinois des relations Chine/Etats-Unis, de commenter ce document.
"Le thème des droits de l'homme assombrit depuis longtemps les relations sino-américaines. Il n'existe toutefois pas dans le monde de standards uniques dans ce domaine. Chaque peuple a son système de valeurs et ses propres traditions. Aucun Etat ne peut être considéré comme "défenseur universel des droits de l'homme" ni donner des leçons à d'autres pays. Telle est la position explicite de la Chine", a déclaré le chercheur.
Et de relever que tel n'était cependant pas l'avis des Américains, estimant que tout allait bien aux Etats-Unis.
"Aussi, se permettent-ils de publier ce genre de rapports +critiques+", a souligné M.Tao.
L'expert rappelle qu'au début des années 1990, époque de la présidence de Bill Clinton, tout juste après la fin de la "guerre froide", le problème des droits de l'homme dominait dans les relations entre Washington et Pékin.
"Les Américains ont alors espéré obliger ainsi la Chine à changer de politique, voire de régime, mais en vain. Comprenant qu'ils ne pouvaient pas arriver ainsi à leur objectif, ils ont formellement reconnu la nécessité d'un dialogue d'égal en égal. Pourtant, en réalité, Washington ne renonce toujours pas au statut de "défenseur universel des droits de l'homme" et ne cesse de publier des rapports +critiques+", a indiqué M.Tao.
Selon ce dernier, lesdits rapports omettent de parler des problèmes en matière des droits de l'homme aux Etats-Unis.
"Quoi qu'il en soit, de tels problèmes y sont nombreux, et la Chine a notamment publié aujourd'hui un rapport sur l'état des droits de l'homme aux Etats-Unis. Ce document porte sur des violations des droits de l'homme en Amérique, qu'il s'agisse des inégalités raciales ou des violences auxquelles se livrent les policiers dans l'exercice de leurs fonctions", a-t-il poursuivi.
Et de conclure que personne n'avait donné aux Américains le droit de se comporter de la sorte, et qu'il n'y avait ni loi ni norme du droit international qui les érigent en arbitre mondial du respect des droits de l'homme.
Soumis par Tyler Durden le 26/06/2015 13:37-0400 Soumis par Charles Hugh-Smith de OfTwoMinds blog,
Il est impossible de libérer une économie qui repose sur la dette et l'effet de levier pour sa « croissance » du surendettement et effet de levier.
Comme indiqué plus haut dans cette série, l'effondrement n'est pas un événement, c'est un processus, un processus que nous éprouvons comme choses sont désagrège. L'expression célèbre apparaît dans le poème de William Butler Yeats 1919, The Second Coming:
En tournant et en tournant dans le tourbillon de l'élargissement Le pèlerin ne peut pas entendre le fauconnier ; Choses sont écrouler ; le centre ne peut tenir ; Anarchie simple est délié sur le monde, La marée de sang-grisé est déliée et partout La cérémonie de l'innocence est noyée ; Les meilleurs manquent de toute conviction, alors que le pire Sont pleins d'intensité passionnée.
Pourquoi les choses se désagrègent-elles ? J'ai abordé un certain nombre de dynamique dans les quatre premiers essais de cette série, mais il y a que beaucoup plus exprimés en quelques lignes brèves Yeats.
1. pensée magique domine toutes discussions. La vérité, avoir trop peur de contempler, est mis à l'écart en faveur de la pensée magique:
-- Nous pouvons grandir notre moyen de sortir de la dette en augmentant la dette
-- Si nous imprimons tout simplement assez d'argent, nous pouvons payer pour tout ce que nous voulons
-- une nouvelle technologie miraculeuse (un exemple actuel) fournira l'énergie/nourriture illimitée à un coût presque nul
-- Si nous tordre le système avec quelques réformes mineures, tous les gros problèmes vont disparaître
-- nouvelle technologie toujours crée plus d'emplois qu'elle détruit
et ainsi de suite.
2. toujours identique a été: politique a toujours été corrompu, les humains ont toujours été gourmands, etc.--en d'autres termes,problèmes actuels ne sont pas différents de ceux du passé, qui nous manipulés sans difficulté majeure. La possibilité que les extrêmes d'aujourd'hui de financiarisation et de la décomposition politique pourraient en fait être quantitativement et qualitativement différentes de ces 50 dernières années est rejetée.
3. les élites politiques et financières ont perdu le contact avec les citoyens. Le pèlerin ne peut pas entendre le fauconnier, pour les élites se sont retirés dans les milieux protégés du privilège avec peu de contacts avec le reste d'entre nous. Étant donné que tout est bien dans ces cercles de richesse et de puissance, tous doivent être bien dans le système dans son ensemble.
Et si ce n'est pas, la solution est de retirer encore plus profondément dans les cercles du privilège et rabattre dans un canot de sauvetage de luxe, laissant les citoyens à se débrouiller sur le condamné Titanic.
4. choses stop fonctionne bien ou cesser de fonctionner, période. Les causes sont multiples : manque d'efficacité né de l'intérêt personnel et habitude historique, perte de responsabilisation, l'effet de cliquet, complexité bureaucratique, diminuer les rendements, friction improductif--la liste est longue.
Le résultat net est choses ne fonctionnent pas bien, même lorsque des sommes impressionnantes sont jetés chez eux. Affleure le bounty de recettes fiscales d'une gigantesque bulle dans le logement et les tech startups, la ville et le comté de San Francisco a maintenant un budget annuel de $ 9 milliards--une somme supérieure par les budgets de nombreux États, tous pour une population d'environ 850 000.
On pourrait croire en supposant que tous les systèmes essentiels d'une métropole travailleraient en douceur, avec une étonnante $ 9 milliards. (Ce n'est que longtemps--la fin des années 1990--le budget de que San Francisco était un simple $ 3 milliards).
Mais les citoyens ne sont pas touchés par le système fonctionne bien. Lacunes dans les services publics fiscale San Franciscains patience:
Il y a deux semaines nous a demandé aux lecteurs de la ville initié ce qu'ils pensent du fait que budget de San Francisco a frappé un énorme $ 9 milliards par an, plus que les budgets des États au moins 10.
Maintenant que plus taxes coulent dans les coffres de la ville que jamais auparavant, les résidents pensent qu'ils obtiennent leur argent ?
Nous avons été surpris par le déluge de courriels, qui continuent à rouler, et les réponses très véhémentes. Chaque personne qui a écrit eu plaintes valables, et pas une pensée de services de la ville ont été à la hauteur pour l'une des villes plus riches du monde.
« Une chose est sûre, » écrit Philip Snyder, un ancien inspecteur pour le ministère de la santé publique qui vit au nord de l'enclave. « Si l'argent était sang, San Francisco rendrait Dracula ressemblent à un moustique. »
Que se passe-t-il lorsque le budget diminue de $ 1 milliard dans une récession banale? L'heure actuelle, la pensée magique règne suprême et, d'autre part, l'idée que bulles doivent arrêter seulement en expansion pour déclencher qu'une récession de cycle économique n'est pas dans beaucoup d'esprits. Mais récessions se produisent et ces bulles explosives suivants ont tendance à être plus profond que la moyenne, donc un $ 1 milliard baisse des recettes fiscales doit être prévu.
Dans la même veine, l'état de Californie, également affleure de revenus provenant de ces mêmes bulles, dispose d'un « fonds de jour de pluie » de $ 3,46 milliards et un budget annuel de $ 117 milliards. Dans les précédentes récessions, recettes de l'État baisse de $10 à $ 20 milliards--ce qui signifie que le Fonds de la journée pluvieuse est cruellement défaut.
Ces chiffres de budget sont datés--les chiffres actuels sont bien pires.
Européen le statu Quo est le fait d'épuiser la dernière lie de sa légitimité et sa trésorerie défendant ses élites financières. Il est impossible de « réformer » un statu Quo dont la Fondation est kleptocratie, tout comme il est impossible de libérer une économie qui repose sur la dette et l'effet de levier pour sa « croissance » du surendettement et effet de levier : financiarisation n'est pas une caractéristique de l'économie, c' est l'économie.
Choses sont effondrer pour des raisons systémiques qui sont profondément liées ; quelques réglages mineurs de la politique et l'impression de plus d'argent sont tout simplement des expressions de la pensée magique.
Tant qu'un pays n'importe pas / n'exporte pas, il peut utiliser la planche à billets autant qu'il le peut. C'est pourquoi, dans et pour le commerce international a t-on besoin de complices qui - en pays voisins - appliquent à leur peuple la même escroquerie. (voir CEE !). Mais, les 'hommes de l'ombre' ne sont pas universels et ne s'assoient pas (encore) au siège du NOW. C'est pourquoi existe encore la réticence. Pays qui vivent dans leur jus, font de chaque habitants des riches comme il se doit et, celà, ne plait pas à cette fameuse '5è colonne' qui ne voit pas d'un bon oeil ce trop bon exemple !
et pourquoi dans les 'agences de voyages' il y avait la Tunisie, l'Egypte et pas la Libye ! Cà alors ! Pourquoi ? Parce que si vous êtiez allé là-bas au bon temps de Kadhafi: vous y resteriez ! Et, comme les 'paradis sur Terre' ne courent pas les rues...
Allez faire un tour au Vénézuéla et, vous vous apercevrez que l'actualité est... très diffèrente !
Des beaux pays comme aussi la Côte d'Ivoire où, si vous êtiez allé au bon temps de Bagbo: vous y seriez resté ! C'est pourquoi il a été arrêté, enfermé et, probablement tué avant que la justice du peuple ait combattu celle du nano-groupuscule de dictateurs en place !
SC Cop Fired pour drapeau confédéré Boxer Pic, tandis que d'autres flics tuent des innocents et rien ne se passe
Melissa Dykes Le Quotidien Sheeple 26 juin 2015
Il y a une raison pour laquelle j'ai pris le temps de souligner ce point réel rapide. Selon histoire Raw:
Le chef de la police Eddie Driggers dit que la photo sape la confiance des citoyens ont envers la police parce que le drapeau confédéré "symbolise la haine et de l'oppression à une partie importante des citoyens que nous sommes juré de servir."
Dildine dispose de dix jours pour faire appel.
Ce qui est insultant à propos de cela n'a rien à voir avec le fait que les globes oculaires de chacun ont été agressés avec cette image ringarde de North Charleston Police Sgt. Shannon Dildine dans ses boxeurs.
Ce qui est insultant à ce sujet est que, car il correspond à l'ordre du jour politique avec le moment de la fusillade Charleston et l'intrigue diviser pour régner étant courir contre nous tous, ils ont réellement tiré ce gars sur cette image. Les médias prend beaucoup de temps pour faire le look North Charleston PD comme une organisation de stand-up réel pour prendre des mesures sur ce (ce qu'est un grand coup de pub, par la voie). Une affaire énorme est faite de cela dans la presse grand public.
Pendant ce temps, nous vivons dans un pays où en moyenne plus de deux personnes par jour sont tuées par la police, sans distinction de race, de croyance, l'âge, la religion, le sexe, etc. Donc, beaucoup d'autres officiers qui commettent des actes tellement plus flagrants sont jamais suspendu ou même réprimandé, sans parler réellement lancé.
Donc, ce flic est congédié pour poster une photo de lui-même dans boxeurs de drapeau confédéré sur Facebook ?
Pendant ce temps, les agents peuvent flashbang un bébé dans son berceau après avoir purgé un raid de SWAT sur la mauvaise maison et sans être viré.
Les agents peuvent étouffer un homme à mort pour le crime de haute vente de cigarettes non taxées et pas chargée.
Les agents peuvent tirer et tuer des gens totalement désarmés et pas chargée. Parfois, ces gens sont des adolescents non armés avec des problèmes émotionnels dont les parents avaient appelé les flics de venir aider leur enfant en premier lieu.
En fait, les agents peuvent abattre des personnes innocentes qui ont appelé le 9-1-1 pour l'aide et leurs chiens à trois pattes dans la même visite et sans être viré.
Les agents de ce pays peuvent violemment battre une femme enceinte de huit mois à la terre pour défaut de montrer ID alors qu'elle hurle qu'elle est enceinte et elle a la charge uniquement avec résistance à l'arrestation (arrestation pour quoi? Ne montrant ID lorsque vous n'êtes pas sous la suspicion de un crime est pas illégal) et même pas se réprimandé sur le fait qu'ils ne sont pas autorisés à arrêter des gens simplement pour ne pas montrer ID!
Mais bon, mettre une photo de vous-même vêtu d'un short de boxeur juste au moment politique opportun d'une manière qui va aider à alimenter l'ordre du jour clair et vos fesses est mis en conserve (et votre image de ladite crosse est éclaboussé partout dans les nouvelles).
Si cette histoire ne démontre pas clairement à la police juste ce genre de pions sacrifiables le système considère qu'ils fassent être ... pas sûr de ce que ferait.
Obamacare est enregistré à nouveau - Ensuite - Crony corporatisme
Liberté Outpost www.FreedomOutpost.com 26 juin 2015
La décision est à l'intérieur et les débats ont commencé. Il est un grand jour pour la gauche. Il est un grand jour pour les deux parties. Démocrates obtenu ce qu'ils voulaient et les républicains maintenant ne pas avoir à légiférer. Il est un gagnant-gagnant.
Mais au moins une partie de la droite ne sont pas heureux. La réaction du juge Andrew Napolitano sur Fox Nouvelles a été stupéfait d'étonnement. "Qu'est-ce que [Roberts] a fait était de proposer cette plaine, mots anglais ordinaires, qui ne sont pas ambigus dans leur sens, en quelque sorte à six des juges dans la majorité sont ambigus et donc ils peuvent les interpréter comme ils le veulent", a déclaré Napolitano.
"Si ils avaient suivi la loi, ce aurait été une affaire très simple. La langue dans la loi était très claire - et si elles avaient interprété la langue la façon dont il a été écrit, le gouvernement aurait perdu ", a déclaré Hans von Spakovsky de la Fondation du patrimoine.
Twila Brase du Conseil des citoyens pour la liberté de la Santé a déclaré: «Sans la primauté du droit, il devient la règle du pouvoir - tout à interprétation. Revendications d'intention et les interprétations en dehors d'intention seront désormais gouverner, pas les mots réels écrites dans la loi. Quand nous commençons permettant l'interprétation libre de droit fondé sur après-coup revendications d'intention, le fondement de la règle de droit crumbles ".
Il ya beaucoup plus de perdants que de gagnants qui découleront de cette décision. Évidemment, nous les conservateurs, qui ont mis en garde contre les pièges, perdus. Le peuple américain sont énormes perdants, car ils verront baisse de soins et les prix monter en flèche. La primauté du droit et perdu, certes, tout comme la Constitution. Nous électeurs ont également perdu, car il est évident qu'aucune autre branche du gouvernement va se lever et remettre en question les oligarques en robes noires.
Les gagnants évidents comprennent Obama et les dirigeants de la gauche. Leurs électeurs vont finir par souffrir puissamment, mais pas une larme seront versé pour eux.
Mais un autre grand gagnant est les compagnies d'assurance méga - les corporatistes copinage. IBD demande: «Est-ce que quelqu'un se souvient le président Obama promettant que Obamacare va créer quelques oligopoles géants de la santé? Eh bien il est dirigé de cette façon. "
Fivethirtyeight constaté que le prix d'achat d'actions pour les cinq principaux assureurs Obamacare cotées en bourse, United Health, Anthem, Aetna, Humana, et CIGNA, "ont augmenté en moyenne de 1% par rapport à leur prix d'ouverture de 11 heures jeudi. Le rebond a commencé à environ 10h10, au moment où SCOTUSblog d'abord annoncé la décision de la Cour suprême. Cette hausse équivaut à une augmentation de 3 milliards de dollars en capitalisation boursière combinée des cinq entreprises ".
Donc, aussi bon qu'il semble ces cinq compagnies d'assurance ont maintenant, les choses vont obtenir beaucoup pire - pour tout le monde. Les grands assureurs ont fusion et d'acquisition de la fièvre, ce qui conduira à peu de concurrence et donc moins de services.
"Les compagnies d'assurance ne font que suivre l'exemple des hôpitaux depuis Obamacare passé. En fait, le nombre de fusions d'hôpitaux en 2014 était de 50% supérieur à ce qu'il était l'année précédente Obamacare passé ", écrit l'EIA.
Ciarin McEvoy des MII a rapporté mardi: «Les assureurs santé sont les derniers à prendre le industries de la santé fusion mania. Anthem est d'essayer de reprendre CIGNA. Humana est poursuivi par Aetna, qui à son tour est une cible du groupe United Health. Il pourrait être juste l'hymne et la santé Unies lorsque la poussière sera retombée. "
Et je suis sûr que ce sera d'excellentes nouvelles pour le consommateur. Moins de concurrence est toujours bonne.
À long terme, il n'y aura qu'un seul gagnant parmi le radeau de perdants, et ce sera le gouvernement, sous la forme d'un seul payeur. Le script a été écrit et les acteurs sont tomber dans la ligne. Nous allons nous retrouver avec un ou deux méga assureurs et la même quantité de corporations hospitalières.
Ils deviendront «too big to fail" - alors quand ils le font, et ils seront, le gouvernement seront en attente dans les ailes pour saisir les rênes et les prendre en charge.
Et ça a été Obama et la vision de la gauche socialiste tout au long. Je me demande si ils pensaient que ce serait facile.
Feds de travail Reason.com Editor pour Rat sur commentateurs
Joshua Krause Le Quotidien Sheeple 26 juin 2015
Je pense que nous savons tous comment fou la section commentaire de tout site Web peut obtenir. Si vous avez utilisé l'internet pour plus de cinq minutes dans toute votre vie, vous savez que l'anonymat crée un environnement où les gens peuvent dire ce qu'ils veulent; et parfois, les choses qu'ils disent peut être assez chauffé. Mais peu importe comment vindicatif, fanfaronne, ou de menacer un commentaire peut être, il est assez rare pour l'intervenant d'agir sur elle dans le monde réel.
Mais allez dire cela à la Cour de district des États-Unis pour le district sud de New York. Selon un éditeur pour Reason.com, ils ont été cités à comparaître par le tribunal après avoir publié un article sur la poursuite de Ross Ulbricht. Certains des lecteurs avaient dynamité la juge Katherine Forrest avec des commentaires comme, elle devrait être "prise à l'arrière et coup de feu» et «je l'espère, il est un endroit spécial dans l'enfer réservé à cette horrible femme" entre autres expressions colorées. La cour a ensuite essayé de forcer Reason.com de libérer toutes les informations qui permettraient d'identifier les intervenants "telles que les adresses IP, noms, e-mails et d'autres informations." Ils ont ensuite émis un ordre de bâillon, et n'a pas été autorisé à partager ce fait avec quelqu'un, ou même le fait qu'ils étaient sous le bâillon.
L'éditeur a depuis soutenu qu'aucun des commentaires étaient de vraies menaces, et que la réaction de la Cour a été complètement inutile. Il suggère même que le tribunal a émis l'assignation pour les punir de leurs analyses critiques de l'essai. Je ne voudrais pas mettre devant eux.
La Grèce invoque Option nucléaire : Tsipras appelle pour l'organisation d'un référendum
Soumis par Tyler Durden le 26/06/2015 16:00-0400
Mise à jour : Greek PM Alexis Tsipras vient d'annoncer un référendum dans un discours télévisé à la nation après qu'une autre journée de grincheux négociations avec créanciers fermée sans un accord.
Le coup vient après que Athènes a rejeté une proposition de la troïka vise à garantir certains € 16 milliards dans l'aide à la Grèce dans le cadre d'une extension du deuxième programme de sauvetage du pays.
• TSIPRAS DE LA GRÈCE DIT CRÉANCIERS POSENT UN ULTIMATUM À GOVT • TSIPRAS DE LA GRÈCE DIT PROPOSITIONS CRÉANCIERS SONT CONTRE LES RÈGLES DE L'UE • TSIPRAS DIT CRÉANCIERS AFIN D'HUMILIER LE PEUPLE GREC • TSIPRAS DIT APPELLERA RÉFÉRENDUM GREC DEAL AVEC LES CRÉANCIERS • TSIPRAS GREC RÉFÉRENDUM SE TIENDRA LE 5 JUILLET • TSIPRAS DIT QU'IL AVISÉ MERKEL, DRAGHI SUR LE PLAN DE L'ORGANISATION D'UN RÉFÉRENDUM • TSIPRAS DIT QUE LA GRÈCE EST ET RESTERA UNE PARTIE DE L'EUROPE • TSIPRAS DIT GRÈCE DOIT ENVOYER UNE RÉPONSE DÉMOCRATIQUE À L'UNION EUROPÉENNE
Protothema dit maintenant le Parlement grec se réunira le samedi et un référendum s'appellera dès la semaine prochaine. Si c'est simplement une tentative de dernière minute pour faire pression sur les ministres européens des Finances devant l'Eurogroupe du samedi réunion reste à voir, mais une chose est sûre : Tsipras joue un jeu dangereux avec la BCE avant une semaine difficile qui pourrait très bien voir l'imposition de contrôles des capitaux.
Plus de Kathimerini:
Le gouvernement envisage un référendum sur la substance de l'accord, selon des rapports récents, au cours de la réunion élargie qui se déroulera du vendredi soir au manoir Maximos. Le référendum devrait se tiendra dimanche prochain, alors que le premier ministre a déjà informé les responsables politiques. Le premier ministre après son retour de Bruxelles a convoqué le Conseil d'administration extraordinaire à la Mansion Maximos, qui, après 23:00, transformé en cabinet, en présence des ministres et des cadres pour discuter des derniers développements et les prochaines étapes en vue de l'Eurogroupe de demain.
Plus tôt:
Protothema rapporte que Tsipras a confié à un collègue fonctionnaire EU que si les créanciers du pays insistent pour s'en tenir à la pension et des lignes de TVA rouge et proposition d'extension de renflouement de vendredi (dont le gouvernement grec considère apparemment comme un pis-aller condescendant) est la dernière offre de la troïka, il est prêt à appeler à des élections anticipées.
Les développements dramatiques de ces dernières heures, après le déménagement du gouvernement de rejeter la proposition des créanciers peut dissimuler la préparation à l'utilisation du verdict populaire, une décision qui devrait être finalisé dans les prochaines heures si les prêteurs ne se déplacent pas à partir de ses positions rigides. Selon des informations sécurisées protothema.gr, il y a quelques heures il premier ministre Alexis Tsipras européenne leader a confié à la zone euro membres pays adjacents de l'environnement en Grèce que les données sont à la hauteur de ce moment est même prêt à appeler à des élections anticipées.
Cette révélation de la pensée par le premier ministre grec au leader étranger peut être interprétée de deux façons : soit M. Tsipras est prêt « plan B » si demain la négociation échoue ou répandre délibérément afin d'exercer des pressions indirectes sur les prêteurs pour atténuer leurs exigences. À l'issue de la réunion M. Tsipras avec Angela Merkel et Francois Hollande, la partie grecque a révélé que le premier ministre a souligné aux dirigeants de l'Allemagne et la France qui ne comprend pas pourquoi les institutions insistent sur les mesures si difficiles. Le premier ministre a insisté pour sa décision de rejeter la proposition des créanciers pour une prolongation de cinq mois de l'accord existant avec un financement de 15,5 milliards d'euros. « La proposition ne couvre pas nous, car la partie financière d'à peine répond aux besoins pour le paiement des versements aux prêteurs, pas n'importe où ailleurs aider l'économie, » a souligné un proche collaborateur d'Alexis Tsipras et ajoute: "nous n'accepterons pas la proposition, comme nous l'avons dit, que nous attendions pour nous apporter une autre proposition demain. »
La Grèce a rejeté la proposition de prolongation des créanciers renflouement.
• GRÈCE A DÉCLARÉ REJETER EU15.5B SAUVETAGE EXTENSION PROPOSITION : ANA Gov ' t #Greece rejette la proposition des institutions pour l'extension du programme & financement de 15,5 € bln (via @amna_news) #ec #ecb #imf #eurogroup
— Manos Giakoumis (@ManosGiakoumis) 26 juin 2015
* * *
Vendredi, l'Allemand presse signalé (et Bloomberg a confirmé plus tard) que les créanciers de la Grèce avaient présenté PM Alexis Tsipras hors-ligne (essentiellement un exposant les fonds disponibles suivants qui pourraient théoriquement être partie d'une autre extension du pays deuxième plan de sauvetage ou d'un tiers programme (avec le dernier ayant précédemment infirmée par les législateurs FMI et allemand). Les détails sont les suivants :
• Proposition de créancier de l'UE prévoit EU8.7b fonds FESF : officiel • Proposition de créancier prévoit EU3.3b bénéfices des SMP : fonctionnaire EU • Proposition de créancier prévoit EU3.5b dans les fonds du FMI: fonctionnaire EU Tel qu'indiqué, si la Grèce reçoit € 3,3 milliards de bénéfices SMP, cela signifiera que la BCE a perdu de l'argent, il a fait sur les obligations grecques, elle a acheté dans le passé, permettant une Athènes à rembourser la Banque centrale avec son propre argent. Voici DB avec peu de couleur :
Il peut y avoir une option de paiement plus rapide. EUR1.9bn de la tranche de EUR7.2bn au point mort est les profits SMP. Libérer ces fonds pourrait impliquer seulement une décision prise par les ministres des Finances sans nécessairement consulter les parlements. Décaissement des fonds du FESF, en revanche, exige le processus d'approbation nationales (par exemple, la décision conjointe par le ministre allemand des finances et le Comité du Budget, voire un vote en plénière complet). En d'autres termes, SMP bénéfices pouvaient décaisser à brève échéance. Ceux-ci seraient suffisants pour payer les EUR1.6bn envers le FMI mardi. En ce qui concerne les fonds FESF, il a longtemps été suggéré que recap fonds de la Banque pourraient être acheminé à Athènes dans les 'bonnes' circonstances et apparemment imminente par défaut est aussi bonne excuse que n'importe quel. Citi a plus sur les fonds de la FESF :
La proposition provisoire permettrait probablement de Grèce à utiliser une partie de la 10 €milliards de l'origine hellénique financière stabilité fonds (HFSF) désigné pour la recapitalisation des banques grecques et plus tard transféré à la FESF/mes. Plusieurs médias ont rapporté sur la possibilité que, autour de 9 milliards €, pourrait être utilisée pour des dépenses courantes, conformément à nos estimations des besoins en financement du souverain grec pour 3 q. Même si un accord unanime sera requis à bord du GER à réorienter les ressources de sa recapitalisation bancaire objectif, nous pensons qu'un accord est susceptible d'être découvert. L'octroi de ces fonds permettrait une extension du programme actuel pendant plusieurs mois, tout en donnant plus de temps pour les créanciers et les autorités grecques à conclure les négociations pour un troisième programme d'aide. Il pourrait également convaincre la BCE d'augmenter le plafond de bons du Trésor et le SSM d'élever le plafond de l'exposition des banques grecques pour leur souverain. Cependant, tout cela reste subordonné à l'approbation du paquet « provisoire » par le Parlement grec, ainsi que par les différents parlements nationaux (en Allemagne, les pays-bas et la Finlande entre autres).
La chancelière allemande Angela Merkel a imploré Tsipras d'accepter ce qu'elle appelle une offre « généreuse » et a été catégoriquement qu'un accord doit être conclu au moment où que le marché s'ouvre lundi, ce qui signifie en fait que les ministres européens des Finances vont devoir frapper un accord à la réunion de l'Eurogroupe de demain qui commence à 14:00, heure locale. "J'ai parlé aujourd'hui une offre très généreuse parce que nous avons simplement fait un pas vers la Grèce, également en ce qui concerne l'accord de février," Merkel a dit.
Dans le sillage des nouvelles de ce matin, la rhétorique de Tsipras durci uniquement avec le PM grec s'engageant à respecter les valeurs démocratiques sur lesquels était fondée l'euro et de ne pas accepter le « chantage » (qui est plutôt ironique, considérant Merkel dit exactement la même chose en ce qui concerne le grec jeudi) :
Document de propositions présentées à la partie grecque par les institutions est « pire qu'un mémorandum, » ANA reports, citant des responsables de gouvernement grec à Bruxelles.
Premier ministre grec Alexis Tsipras affirme qu'il défendra les principes fondateurs de l'Union européenne de « démocratie, solidarité, l'égalité, le respect mutuel » qu'il cherche un accord avec les créanciers internationaux pour débloquer l'aide pour le pays.
« Ces principes ne reposaient pas sur les chantages et ultimatum et surtout dans ces crucial fois personne n'a le droit de mettre en danger ces principes, » Tsipras raconte des journalistes à Bruxelles après un sommet européen
"Le gouvernement grec continuera avec détermination donner le combat en faveur de ces principes, de continuer à prêter la lutte au nom du peuple européen et, bien sûr, au nom du peuple grec," dit-il.
- voir graphique sur site -
Source #Greece négociations: « ne va pas bien... Grecs de faire marche arrière de manière significative. Mesures non crédibles. Ne sais pas si il y aura un accord"
— Ed Conway (@EdConwaySky) 26 juin 2015
Grandes préoccupations parmi les créanciers que grec mesures tous les deux sans ambition & croissance inamical. Def sera le document de l'Eurogroupe. Ne peut pas être accepté
— Ed Conway (@EdConwaySky) 26 juin 2015
Pour référence, voici une dégradation de la situation financière de ce que la Grèce (c'est-à-dire le déficit budgétaire) ressemble à l'avenir :
Elites Planification Fall Of America: "Cette réinitialisation est la prochaine étape dans le plan de centralisation économique totale et mondiale"
Brandon Smith 25 juin 2015 Alt Market
Serons-Unis et l'UE Réduire indépendamment de «contagion» économique
Afin de comprendre ce qui se passe réellement dans le monde entier en termes de l'effondrement de l'économie, nous devons mettre de côté les fausses versions grand public de la réalité. Quand il vient à l'UE et ses turbulences financier actuel, il est très important de, à certains égards, la Grèce ignorer entièrement. C'est vrai; oublier tout le drame entourant supposée obligations de la dette grecque. Vont-ils trouver un moyen de payer les créanciers? Vont-ils défaut? Vont-ils faire un accord avec la Russie et les BRICS? Il y aura des concessions de dernière minute pour sauver le système? Peu importe. Il est tout un soap opera, un théâtre Kabuki complexe géré par des financiers et des mondialistes internationales.
Il est très important de se rappeler les fondamentaux. La Grèce fasse défaut sur ses dettes. Période. Il n'y a pas moyen de contourner cela. Peut-être que la Grèce fait une affaire d'aujourd'hui, peut-être il fait une affaire de demain; mais finalement, la capacité du pays à étirer ses ressources afin de répondre à ses engagements exponentielles se terminera. Il est inévitable, et pas la dernière minute "deal" va changer le calcul au cœur de tout cela.
Pourquoi tant de nombreux économistes si inquiet au sujet d'un petit pays comme la Grèce? Tout cela est dû à un grand mensonge: un récit malhonnête est perpétuée par la mise en place que si la Grèce tombe, par défaut ou quitte l'UE, ce qui pourrait déclencher un effet domino des autres nations de frapper un mur de la dette et emboîtent le pas. Le mensonge embarqué dans ce récit est la revendication que la Grèce va provoquer une «contagion» à travers l'acte de défaut de paiement. Soyons clairs - il n'y a pas de contagion. Plusieurs pays de l'UE ont développé leurs propres problèmes de la dette, en dépit de la Grèce au cours des deux dernières décennies, pas à cause de la Grèce. Chacun de ces pays, de l'Italie, à l'Espagne, au Portugal, etc. a ses propres catastrophes de la dette souveraine pour faire face aux causée par sa propre irresponsabilité fiscale. La seule raison légitime pour une contagion dite est le fait que ces pays ont été contraints à l'interdépendance socialiste à travers la structure de l'UE.
Ne jamais oublier ceci: L'UE est en difficulté non pas parce que la Grèce, mais en raison de l'interdépendance supranationale forcé. L'UE par tous les droits ne devrait pas exister, ni ne doit tout système de monnaie unique supranationale centralisée.
Je voudrais également souligner que les institutions mondialistes comme le Fonds monétaire international sont très motivés pour lancer la catastrophe dans l'UE, malgré les hypothèses de certaines personnes que l'UE est une sorte de modèle représentatif de la mondialisation. Ce n'est pas. Si tel était le cas, alors le FMI ne serait pas stiffing Grèce sur l'aide de la dette tout en continuant à aider l'Ukraine, malgré l'incapacité même de l'Ukraine à payer.
Pourquoi les mondialistes veulent une rupture partielle de l'UE? Que feraient-ils gagner d'un tel événement? C'est facile; ils gagnent crise, le chaos et l'occasion de présenter une fausse dialectique.
L'Europe ne sont pas du tout représentatif de ce mondialistes veulent vraiment en termes de structure économique et politique, peu importe ce que beaucoup de gens supposent. Il est un lieu, une sorte de fac-similé; une demi-mesure. Quand l'Europe touche le fond de l'abîme financier et le public perplexe commence demandant ce que l'enfer est arrivé, les élites seront là avec une explication immédiate. Ils prétendent qu'il n'y avait pas de l'interdépendance de l'UE qui était le problème. Au lieu de cela, ils vont affirmer que l'UE a été effectivement pas centralisée ASSEZ. Ils prétendent que, pour une économie et la monnaie supranationale à travailler, nous devons aussi avoir une gouvernance supranationale. En d'autres termes, le système a échoué car elle doit être stabilisée par le gouvernement mondial.
Les socialistes fabiens diront qu'il était l'institution barbare et jour de la souveraineté nationale qui a provoqué la crise à spectre complet. Ils seront complètement gommer les effets négatifs d'un système économique solidaire et le fait que le manque de redondance laisse cultures minaudant et impuissant. Nous sommes tous un grand village humaine après tout, alors nous devons accepter l'idée que nous tous qui réussissons ou échouons ensemble. Les marchés libres et l'innovation individuelle ont apparemment rien à voir avec une structure économique prospère. Qu'est-ce que nous avons vraiment besoin est un amalgame ruche de l'esprit que nous tous se transforme en pièces facilement remplaçables dans une tondeuse à gazon grondement massif qui mâche notre patrimoine, l'histoire et les principes pour le bien de quelque arbitraire plus grand bien et la promesse de villes alchimiques flottant dans le ciel où personne n'a plus à travailler.
La chute de l'Union européenne est un moyen pour une fin pour les mondialistes. Il n'y a presque aucune nation ou institution qu'ils ne sacrifieront pas si ce sacrifice ne peut être exploitée afin de poursuivre leur objectif de domination politique et économique mondiale totale. Ils ne veulent pas seulement un système complètement centralisé; ils veulent nous tous de les supplier de mettre ce système en place. Ils veulent que les masses pensent tout était notre idée. Ceci est la forme la plus répandue et efficace de l'esclavage, quand les esclaves sont manipulés en exigeant leur propre asservissement. Quand les esclaves sont trompés en croyant que leur asservissement est quelque chose d'être fiers de - un insigne d'honneur en service du collectif, si vous voulez.
La chute des États-Unis ne sera pas différent à cet égard. Nous ne devons pas nécessairement une structure supranationale comme l'UE. Donc, notre récit de l'effondrement sera légèrement différente, et la leçon d'ingénierie que nous sommes censés apprendre sera soigneusement élaboré.
Vous voyez, les Américains sont censés jouer le rôle des impérialistes gâtés qui obtiennent finalement ce que nous méritons, un poinçon économique dans nos parties tendres. Nous sommes la nouvelle Rome, pain et des jeux et tout. Et quand les Etats-Unis vient écraser comme l'Europe, les fabiens qu'il y aura encore d'avertir les avidité inhérents à la souveraineté nationale et les aspirations destructeurs de pouvoir qui doit être écrasée par un système politique mondial plus impartiale. Je ne sais pas vraiment combien de gens là-bas savent cela, mais nous sommes censés jouer les méchants dans le théâtre mondial est mis sur pied par les élites. Les Américains sont les méchants, le reste du monde joue le rôle de la victime innocente, et des centres mondialistes comme le FMI et la BRI sont destinés à jouer les héros, venir à la rescousse de l'humanité quand tout semble perdu.
Notre génération de la dette de loin outmatches celle de l'ensemble des pays de l'UE combinés, d'un fait, je décrit dans la partie 3 de ma série One Last Look At l'économie réelle avant qu'il implose. Contrairement à la Grèce, même si, aux États-Unis a la possibilité d'imprimer directement fiat à volonté afin de prolonger punition pour nos dépenses de dette massive. Cependant, comme nous l'avons vu avec les réactions du marché ces dernières à la notion même d'une hausse des taux d'intérêt par la Réserve fédérale en Septembre, un tel événement va déclencher de vastes sorties des marchés boursiers et annoncer la fin de la «nouvelle normalité». Encore une fois, pourquoi seraient les banksters faire cela? Pourquoi ne pas maintenir les taux d'intérêt à un proche de zéro constante? Il est pas comme si il n'y a aucune pression publique à relever les taux; en fait, il est tout le contraire. Pourquoi la Fed ignore les centaines de signaux montrant que les États-Unis sont en récession et poussant de l'avant avec la discussion des hausses de taux d'intérêt, malgré ce que l'on pourrait logiquement conclure serait dans le meilleur intérêt de la Fed?
La Fed sait que les seules choses de soutènement des marchés américains sont de l'argent gratuit et foi aveugle par le public que les banques et le gouvernement vont agir pour faire cesser toute douleur ou souffrance économique, si un tel potentiel de crise devait survenir. Lorsque l'argent gratuit est parti et que la foi disparaît, alors nous aurons une catastrophe épique sur nos mains. Les mondialistes au sein de la Fed le savent, et ils veulent que cela - au moins, ils veulent une version contrôlée de cette. Les élites ont besoin de la chute du système américain actuel exactement parce que cela va faire place à la montée de ce qu'ils appellent souvent le «grand réinitialisation économique." Cette réinitialisation est la prochaine étape dans le plan de centralisation économique mondiale totale.
On ne parle pas la contagion. Il n'y a pas une telle chose. Il est une excuse, un bouc émissaire destiné à détourner l'attention du vrai problème. Cela représente environ un effort concerté au cours des dernières décennies par les internationalistes de manœuvrer les cultures occidentales dans une position de vulnérabilité. Quand les gens sont faibles et effrayés, ils deviennent malléables. Les changements sociaux que vous auriez jamais cru possible aujourd'hui deviennent très possible demain dans le milieu d'une crise. Je crois que nous voyons maintenant le début de la prochaine grande crise, et les fondamentaux de l'économie soutiens mon avis. Lorsque l'ensemble du système européen pend par le fil de la dette grecque et le système américain entières se bloque par le fil de près de zéro taux d'intérêt et la foi aveugle du marché, quelque chose est sur le point de se briser. Il a pas de retour d'une telle condition. Il ya seulement la voie à suivre, et la voie à suivre est pas agréable ou confortable et il ne peut pas être ignoré.
Nous ne pouvons pas oublier que la crise est en soi une distraction ainsi. Quelle que soit la douleur que nous faisons sentir demain, ou le lendemain, ou la prochaine décennie, rappeler qui il était à l'origine de tout cela: les banques internationales et leurs homologues politiques mondialistes. Peu importe ce qui arrive, ne jamais être prêt à accepter un système centralisé. Peu importe la façon raisonnable ou rationnelle cela puisse paraître dans la terreur d'incertitude financière, ne jamais donner la bête ce qu'il veut. Refuser de se conformer à la dialectique. Ceci est la seule chance que nous avons laissé revenir à la vraie prospérité. Une fois que nous traversons la ligne dans le domaine de l'interdépendance dans le monde entier institutionnalisé, nous ne saurons jamais à nouveau la prospérité ou de la liberté.
Soumis par Tyler Durden le 26/06/2015 20:05-0400 Soumis par Pieter Cleppe, du think tank indépendant Open Europe à Bruxelles
Que se passerait-il en cas de discute ?
Afin d' "aider" la Grèce, depuis 2010, nous avons vu des transferts fiscaux et intervention étrangère dans ses politiques économiques nationales. La dette de la Grèce au PIB avoisine maintenant 180 % au PIB, tandis que beaucoup de l'argent de renflouement a simplement servi à renflouer les banques, comme Open Europe déjà averti en 2012.
Maintenant, un certain nombre de responsables politiques veut essayer quelque chose de nouveau : un grec sortent de la zone euro. L'un d'eux est Christian von Stetten, membre du Parlement de l'Allemagne et de la CDU de Merkel. Il Etats ce que la majorité des Allemands croient devrait arriver: "l'expérience avec les Grecs dans la zone euro, qui ne veulent pas mettre en oeuvre des réformes, a échoué et doit prendre fin". Il ajoute qu'il est en faveur de fournir "plusieurs milliards" dans la prise en charge donc la Grèce peut faire la transition sur sa propre monnaie.
Aux termes des présentes, j'explore ce qui se passerait si la Grèce devait quitter la zone euro, à travers un fudge juridique.
1. par défaut
Si la Grèce ne serait pas avoir déjà manqué avant elle introduirait une nouvelle monnaie, discute rendrait pratiquement certain que le pays serait par défaut. Il n'est pas sage de prendre un crédit considérable dans une devise étrangère, mais c'est ce que la Grèce a fait depuis 2001, où elle est entrée dans la zone euro. Si la Grèce introduirait une nouvelle monnaie, qui ensuite probablement perdraient valeur contre l'euro, elle devra encore rembourser sa dette en euro, dont woud apprécier en valeur par rapport à la drachme de nouveau, ce qui rend cette tâche encore plus difficile.
Si la Grèce serait seulement rembourser ce qu'elle doit à une monnaie nouvelle, dévaluée, cela serait considéré un défaut. En conséquence, le gouvernement grec serait confrontés à des taux d'emprunt plus élevés à l'avenir. En théorie, le fait qu'il ne serait pas être alourdi par un endettement excessif de 180 % au PIB peut servir comme un facteur, dans la lutte qui donnant la situation financière du gouvernement se présenterait plus rose. Mais cela ne tient pas compte le second aspect de discute, que j'aborderai ensuite.
2. le système bancaire grec serait coupé du canal d'argent bon marché de la BCE, avec vraie austérité à suivre
Un défaut soulagerait seulement la Grèce de son fardeau de la dette publique extérieure excessive, pas de l'exposition, qu'il faut que son système bancaire. Près de la moitié du "capital" dans les quatre plus grandes banques grecques consiste vraiment "actifs d'impôt différé" ou remises sur factures d'impôts futurs. Lorsque les banques ne tirer aucun bénéfice, ils ne profiter de ces rabais.
Moody a estimé que, à la fin du mois d'avril, 32 % du total des actifs des banques grecques sont dérivées de financement de la Banque centrale. Il s'agissait de 12 % en septembre et mettez-le à près de 50 % les estimations aujourd'hui., avec les dépôts bancaires à leur plus bas niveau en 11 ans, au-dessous de 130 milliards d'euros. Comme grecs retirent les dépôts de leurs banques, à l'aide de l'argent pour acheter des biens durables comme les voitures, dont les ventes ont augmenté, la BCE toujours assure banques grecques profiter d'une liquidité suffisante, en permettant à la Banque centrale grecque créer d'euros elle-même à travers le système de « assistance d'urgence de liquidité » (ELA), qui ne devrait être autorisée à soutenir les banques solvables. Quelque 5 milliards d'euros a été retiré de banques grecques la semaine dernière, avec la course en cours Banque forçant la BCE de décider de l'augmenter ou maintenir l'ELA-bouée de sauvetage pour les banques grecques quotidiennement maintenant.
L'ELA les prêts aux banques grecques sont en théorie un risque pour la Banque centrale grecque et non pour la BCE, mais bien sûr tout nouvel euro qui ne serait pas ont été créée dans des circonstances « normales » réduit la valeur du stock existant d'euros, soit un transfert à ceux qui s'est retiré de l'argent. Aussi ceux qui ne se retirent pas inutile au désespoir, comme une sortie euro grec signifierait un cadeau d'adieu pour l'économie grecque, une « dot », comme l'a dit l'économiste allemand Hans-Werner Sinn. Avec une Europe ouverte, nous avons déjà averti en mars qu'un bankrun peut conduire à la zone euro pour soutenir les contrôles de capitaux, afin d'arrêter cela. Dans un seul veut savoir ce qui se passerait si chaque banque centrale dans la zone euro ne serait ce que fait la Banque centrale grecque, c'est peut-être intéressant de jeter un oeil à la éclatement de la zone Rouble.
ELA n'est pas la voie ordinaire à la BCE aux banques grecques de douche de liquidités. La manière normale de faire des affaires est pour les banques grecques à fournir à la BCE - fragile - garanties, comme la dette publique grecque, en échange d'argent. En conséquence, la BCE a été mise en place importante exposition à la Grèce à travers le système de paiement "Target 2" ce qu'on appelle, ce qui le rend encore moins attrayante pour aller pour discute.
Ce qui est important, la BCE a annoncé en février il – enfin - n'acceptera plus la dette publique grecque comme garantie, obligeant les banques à leur dernier recours - Assistance de liquidité d'urgence. La BCE impose également une remise sur le bien grevé Posté par banques grecques d'obtenir leur ELA d'argent de la Banque centrale grecque - rend plus difficile pour les banques obtenir l'argent. La BCE coupera le financement pour les banques grecques, si la Grèce est par défaut ? Un initié, cité par Reuters, semble croire, disant que "si la Grèce déclarée par défaut, tout changerait. Il serait très difficile pour la BCE d'autoriser le financement avec garantie d'un débiteur en défaut. »
Pour faire une histoire courte : quand un pays entre dans la zone euro, l'accès à la fourniture d'argent bon marché de la BCE est sans aucun doute un des éléments plus importants de la zone euro membres. Que cet argent bon marché pourrait un jour être utilisé par la BCE d'exercer une influence politique, peut être confirmé par l'ancien PM italien Silvio Berlusconi, qui a été renversé par la capacité de la BCE pour influer sur les taux d'emprunt de l'Italie, selon certains. La BCE maintenant aussi utilise pour pression Grèce en s'inclinant à ses demandes, comme il l'a fait à Chypre et en Irlande. Peut-être Paul Krugman ne peut pas d'accord avec elle, mais dans le monde réel, il n'y a rien de tel qu'un déjeuner gratuit.
Après l'euro-adhésion - ou en fait puisqu'il est devenu clair qu'ils rejoindraient la zone euro, compte tenue de l'attente effet-grec, italien, Français, belge, espagnol et irlandais des banques ont été soudainement inondés d'argent bon marché, alors qu'auparavant ils ont affronté des taux d'intérêt plus élevés. En conséquence, les investissements ont été prises qui n'aurait autrement pas été fait, avec des distorsions économiques très importantes en conséquence. Dans le cas de la Grèce, en Italie et en Belgique, une grande partie de l'argent est allé au public dépenses. Dans le cas de l'Irlande et l'Espagne, il est allé et insoutenable des dépenses privées, se retrouver dans une bulle immobilière gigantesque et buste, taux très élevé d'endettement privé et systèmes bancaires brisées qui n'ont que partiellement été nettoyés. La BCE pourrait avoir partiellement contrée, par exemple en desserrant pas progressivement collatéraux de prescriptions pour les banques d'obtenir des liquidités de la BCE au cours des années depuis 2008, mais à la fin de la journée, c'était inavoidable.
Si la BCE serait coupée ou limiter le financement pour les banques grecques jusqu'au point où la course de la Banque ne pouvait pas être traitée, on appellerait un jour férié. Les banques grecques seraient restructurés. Actionnaires perdrait tout, à l'instar de créanciers obligataires, et déposants perdraient soit une partie de leurs dépôts ou elles recevraient en monnaie grecque dévalué. Les solutions de monnaie parallèle peuvent être essayé, sauvetages de transition peuvent être donnés, mais en fin de compte la partie de l'argent bon marché serait plus.
La plupart des analystes de discute sont préoccupés de comment ce « Corralito », comme un épisode similaire en Argentine en 2001-2002 a été surnommé, jouerait, mais qui n'est même pas l'aspect le plus risqué de discute.
L'État grec, fortement tributaire de la BCE, par l'intermédiaire du système bancaire grec, ne serait pas en mesure de payer les salaires et les pensions plus. Licenciements des fonctionnaires, coupes dans leurs salaires à des niveaux de style balkanique, ou les deux, deviendrait nécessaires, si Syriza survivrait au pouvoir ou non. Pour prédire que cela n'arrivera jamais sans protestations très graves n'est pas difficile. Mais selon la taille des plans de sauvetage de transition, il serait possible d'aplanir ce processus au fil du temps. Ceux qui se soucient vraiment de mettre fin au système clientéliste en Grèce, à laquelle Syriza peut prendre part, doivent se réjouir. De la même manière que la Géorgie a réussi à réduire l'altération de l'État et de stimuler la croissance économique en réduisant le nombre de travailleurs de l'Etat de 50 % et réduisant le rôle de l'Etat dans l'économie, la Grèce peut atteindre le même succès. Pourfinir grec accès à de l'argent bon marché de la BCE, canal peut ne pas être une condition suffisante pour ce faire, mais c'est sans doute une condition nécessaire. Taux d'intérêt élevés garantirait que les hommes politiques grecs ne serait plus en mesure d'imposer leurs citoyens avec toujours plus de dette.
3. la dépréciation de la monnaie de grec du nouveau
Comme l'a expliqué, le principal problème de l'adhésion de la Grèce à la zone euro n'était pas tellement le fait qu'elle avait une monnaie surévaluée, mais plutôt que l'euro a servi comme une machine de l'endettement massif du pays. Pourtant, le pays a fait perdre beaucoup de compétitivité, qui contribuent à l'incapacité de servir sa créance, après son entrée dans l'euro. On doit donner crédit de la Grèce pour avoir rétabli partiellement la compétitivité, grâce à la réforme du marché du travail, passant de 48 personnes dans le rapport Doing Business de la Banque mondiale entre 2010 et 2015. Étant donné que la monnaie serait perdre de valeur, peuvent bénéficier des secteurs économiques comme le tourisme, mais cet effet est déjà partiellement réalisé par les efforts pour parvenir à une « dévaluation interne ».
Il est à noter que l'introduction d'une nouvelle monnaie pourrait bien échouer. Cela est arrivé en Equateur, conduisant le pays à adopter le Dollar américain comme monnaie. Monténégro et le Kosovo utilisent déjà l'euro comme monnaie, sans leurs banques ayant accès au canal argent bon marché de la BCE. Si la BCE coupe des banques grecques, la Grèce va devenir comme le Monténégro. Le bon côté est que politiciens alors ne sera pas en mesure d'abuser de l'imprimerie pour financer les dépenses de l'Etat. La mauvaise partie est que la Grèce aurait besoin à dépendre de ces politiciens pour restaurer la compétitivité. Si la Grèce aurait sa propre monnaie, les investisseurs pourraient juste les vendre dans le cas où la compétitivité du pays serait en difficulté. Cela appauvrirait les Grecs, mais il ferait aussi moins cher d'embaucher. Il rendrait moins cher d'aller en vacances en Grèce. C'est vraiment un compromis alors : devenir comme le Monténégro ou la Turquie.
Le processus d'introduction d'une nouvelle monnaie peut en théorie partit de contagion immédiate : la Banque exécute au Portugal, plus élevée pour l'Italie, les taux d'emprunt. Toutefois, la BCE peut simplement imprimer de l'argent pour renflouer les banques portugaises et de manipuler les taux d'emprunt souverain, par le biais de QE ou autres instruments divers.
Un risque plus probable est la contagion à long terme. Discute créerait un précédent. Après discute, une fois qu'un autre État de la zone euro pourrait avoir des ennuis, beaucoup plus d'argent peut être nécessaire pour assurer que le pays allait rester dans, pour le Portugal de l'exemple. Cela peut rendre moins probable que les pays de la zone euro seraient renflouer de Portugal, à son tour augmenter l'attention à l'Italie et l'Espagne, les chances d'une zone euro complete éclatement.
En revanche, renflouer la Grèce une fois de plus aussi vient à un coût. Il s'enhardit ces populistes dans les pays comme Portugal et Espagne qui sont hostiles aux cordes attachaient au renflouer leurs pays ont reçu ou continuent de bénéficier indirectement, par l'intermédiaire de canal argent facile de la BCE. Cela peut à son tour rendre les États plus riches de la zone euro, comme l'Allemagne, moins désireux de fournir des plans de sauvetage plus. Il accroît les risques d'un éclatement de la zone euro.
Conclusion :
Peu importe si on pense à la zone euro devrait être brisée ou non : si il ne peut survivre que par le biais de transferts continues, États se mêlant dans uns et des autres politiques nationales choix, ce qui les souches des relations bénéfiques une fois entre les pays européens, il peut être pas telle une excellente idée de poursuivre avec elle. Ceux qui croient que tout peut tourner tranquille, si seulement nous faire plus de quelques transferts, ont tenté pendant cinq ans. Il y n'aura aucun calme dans une union de transfert qui n'a pas d'unité politique suffisante. Mais peut-être l'euro peut-il survivre, sans transferts. Ceux qui croient, et je doute qu'ils avez raison, essayez maintenant discute pour prouver leur point.
Le journal Le Monde affirme qu’en Grèce, la panique bancaire se poursuit, et qu’au cours de la semaine dernière, près de 5 milliards d’euros auraient quitté les banques grecques pour être placés de préférence en Allemagne.
Lundi 22 juin, on a enregistré 1,5 milliard d’euros de retraits, et le vendredi précédent, ceux-ci avaient même culminé à 2 milliards d’euros. Les fuites de capitaux cumulées depuis janvier 2010 atteignent 80 milliards d’euros.
Les Grecs redoutent les conséquences d’un « Grexit », c’est-à-dire d’une sortie de la Grèce de la zone euro, qui serait accompagnée d’un retour de la drachme, probablement très dévaluée. Elle aurait pour effet d’éroder leur épargne, et c’est pour se prémunir contre ce risque qu’ils retirent leur argent de leur banque, les plus pauvres pour le conserver en espèces chez eux, et les plus favorisés, pour le placer à l’étranger.
Les flux correspondants entre la Grèce et les différents Etats-membres de la zone euro sont visibles au travers du système de paiement appelé « Target 2 », qui gère les règlements des transactions des banques centrales, et ceux des banques commerciales avec leur compte ouvert auprès de la banque centrale de leur pays. Actuellement, le compte de la banque centrale grecque dans le système « Target 2 » présente un déficit de 110 milliards d’euros, un record. A l’automne 2014, ce découvert ne s’élevait encore « qu’à » 40 milliards d’euros.
Les mouvements de fonds les plus fréquents sont opérés à destination de l’Allemagne, puis de la France, des Pays-Bas, du Luxembourg, mais aussi vers le Royaume-Uni. Parfois, ces transferts sont la première étape vers un investissement dans des actifs à l’étranger, souvent dans le domaine de l’immobilier.
Le rythme de ces fuites de capitaux n’est pas sans poser un grave danger pour le système bancaire grec, et pour cette raison, il est l’un des enjeux les plus cruciaux de l’issue des négociations de la Grèce avec ses créanciers, et de la façon dont elle pourra se sortir de cette crise, comme l’a analysé une source proche des autorités de régulation européennes :
À ce niveau, ces transferts d’argent sont dangereux pour le système bancaire. Le contrôle des capitaux devient une option à étudier très sérieusement ».
Soumis par Tyler Durden le 26/06/2015 17:45-0400 Soumis par John Chuckman via ConsortiumNews.com,
Quand je pense de la place de l'Amérique dans le monde aujourd'hui, l'image qui vient à l'esprit est d'un très gros animal, peut-être un éléphant énorme taureau ou même préhistorique mammouth, qui a longtemps erré comme le roi incontesté de son domaine mais a piégé par ses propres erreurs, comme pris dans une fosse à goudron ou des sables mouvants, et il est violemment agitant sur , faire un terrifiant bruits dans ses efforts pour se libérer et de rétablir son autorité.
Tout observateur sait immédiatement l'animal en fin de compte ne peut pas réussir, mais certainement est effrayé par le bruit et de s'écraser qu'il peut subir pendant un temps considérable.
Je pense que c'est la métaphore assez précise de la situation aux Etats-Unis aujourd'hui, encore une société terriblement grande et puissante, mais on se retrouver pris au piège après une longue série de ses propres fautes et erreurs, une société certaine finalement devenir diminuée dans son prestige et le pouvoir relatif avec toutes les difficultés qui qui entraînera pour un peuple arrogant, ayant une foi aveugle dans leur propre justesse.
L'Amérique ne peut pas simplement accepter ses erreurs, ou qu'a toujours eu tort, américanisme beaucoup ressemble à une religion fondamentaliste dont les membres sont incapables de reconnaître ou d'admettre qu'ils ont suivi jamais autre chose que le plan divin.
L'Amérique a fait une série coûteuse d'erreurs au cours du dernier demi-siècle, démontrer aux autres que l'Amérique, ils ont pu dans la crainte de dans, disons, 1950 et peuvent avoir considéré presque divine et incapable d'erreurs, s'est révélée maintenant incontestablement dans le champ après champ, comme souvent, pas même capable de gouverner lui-même. L'ironie d'un peuple qui est considéré comme souvent incapables de se gouverner eux-mêmes d'autres conseils comment gouverner eux-mêmes apporte une note distincte de l'absurdité de la politique étrangère américaine.
Mise en place de l'Amérique, se sentant sa supériorité facile ancienne dans le monde commence à échapper à une centaine de façons différentes, semble déterminé à montrer à tous qu'il a encore ce qu'il faut, bien décidé à faire d'autres sentir sa force, déterminé à affaiblir d'autres à l'étranger qui n'acceptent pas de sa supériorité naturelle, déterminée à s'emparer par brute force et tordus les avantages qui viennent n'est plus à elle par une performance supérieure tout simplement.
Plutôt que d'apprendre de ses erreurs et ajuster ses hypothèses délirantes, Amérique est déterminé à pousser et plier les gens partout dans le monde à sa volonté et l'acceptation de son leadership. Mais vous ne pouvez pas récupérer leadership authentique une fois que vous avez été assez exposés fois dans vos jugements erronés, et il est clair que vous êtes sur le déclin, tout comme vous ne pouvez pas une fois que d'autres se rendent compte qu'ils peuvent faire beaucoup de choses aussi bien ou mieux que vous.
En fin de compte, les politiques qui ne reconnaissent pas les faits scientifiques sont condamnés. Politiques fondées sur les souhaits et l'idéologie ne parviennent pas à long terme, à moins, bien sûr, vous êtes prêt à supprimer tout le monde qui est en désaccord avec vous et exiger leur respect sous la menace. L'obligation pour un État impérial dans une telle situation est un comportement international qui ressemble le comportement interne d'un dirigeant autocratique tels que Staline et dès maintenant, qui est précisément où va aux États-Unis.
Personnalité de Staline avait un certain degré de paranoïa et aucune patience pour les points de vue des autres. Il se sentait constamment menacé par des concurrents potentiels et il a utilisé la terreur systématique pour garder tout le monde intimidé et unifiée sous lui.
Croyance sincère de Staline dans un système économique défectueux qui était condamné depuis sa naissance le placent dans une position similaire à celle des oligarques de l'Amérique aujourd'hui. Ils ont un système impérial de monde qui vient en plus de la souche et défi parce que d'autres sont de plus en plus et ont leurs propres besoins et l'Amérique n'a pas la souplesse pour s'adapter à eux.
Les oligarques de l'Amérique ne servent pas à écouter les opinions des autres. Croyance de Staline dans un système qui était plus une idéologie qu'un modèle économique cohérent est mis en parallèle par les préceptes quasi-religieuse de l'américanisme, un ensemble de croyances qui estime que l'Amérique est particulièrement béni par le créateur et toutes les choses bonnes et grandes sont simplement son dû.
Domination sur la terre ?
Américanisme blurrily suppose promesse que Dieu est dans l'ancien Testament que homme doit avoir la domination sur les créatures de la terre s'applique maintenant uniquement aux américains. Cette pensée a surgi au cours de nombreuses années de supériorité facile, une supériorité qui était moindre en raison des mérites intrinsèques de la société américaine qu'à un ensemble de circonstances fortuites, beaucoup d'entre eux sont maintenant disparu.
Au Vietnam, l'Amérique a gaspillé d'innombrables ressources courir après une chimère ses idéologues a insisté importait mortelle, sans jamais reconnaître les faiblesses fatales intégrée à communisme depuis sa naissance. Le communisme était vouée par la suite à l'échec à cause des mensonges économiques qui faisaient partie de sa conception, autant qu'un enfant né avec certains défauts génétiques est destiné à la mort éventuelle.
Course folle de l'Amérique pour combattre le communisme sur tous les fronts était en accord avec le fanatisme de la Religion civique de l'Amérique, mais il était un jugement pratique énorme et stupide qui a gaspillé les ressources colossales.
Au Vietnam, l'Amérique s'est terminé en quelque chose proche de honte totale – littéralement vaincu sur le champ de bataille par ce qui semblait être un adversaire sans conséquence, ayant également coulé côté traditionnel des valeurs éthiques dans le meurtre de grandes masses de ceux qui ont jamais menacé aux Etats-Unis, meurtre sur une échelle (3 millions) comparable à l'Holocauste.
Les États-Unis ont employé des armes et techniques d'un caractère sauvage : napalm, bombes à fragmentation et des programmes de terreur massive secret. La sauvagerie déchirée dans le tissu social de l'Amérique, divisant la nation presque aussi mal que la guerre civile une fois eu. L'Amérique a pris fin réduit et épuisés à bien des égards et payé ses factures énormes avec une monnaie dévaluée.
Vietnam suivant, il vient d'être une calamité après l'autre révélant l'incapacité même destructrice pour gouverner, la même pensée gouvernée par le fanatisme, jusque dans le financier 2008 d'effondrement qui a été causé en ignorant une gestion financière saine et fondamentalement instituant un système d'avidité illimité. Le monde entier a été tassé et blessé par cette bêtise dont toutes les conséquences sont déroulent loin.
Les guerres en Afghanistan et en Irak ont été complètement inutiles, coûtent des sommes énormes, provoqués l'immense misère et rien ne vaut la réalisation atteint. Nous savons maintenant ce qui était tenu caché, que plus de 1 million d'irakiens sont morts dans une invasion basée entièrement sur le mensonge. Ces guerres définir également déclencher des changements dont les effets à long terme n'ont pas encore à se faire sentir. Irak, par exemple, a peu près ses Kurdes, région productrice de pétrole défaisance comme un État séparé.
Une mauvaise manipulation de Russie
Approche primitive de l'Amérique à l'effondrement de l'URSS, son triomphalisme pure et une insuffisance de considérer la Russie comme suffisamment important pour aider ou permettant de coopérer, a ignoré les intérêts à long terme de l'Amérique. Après tout, les russes sont un grand peuple avec beaucoup de cadeaux, et il était inévitable qu'ils allaient revenir d'une dépression après l'effondrement de revendiquer leur place dans le monde.
Alors, comment les gens qui dirigent les Etats-Unis maintenant traitent une Russie prospère et en pleine croissance, une Russie qui tend la main de façon économique l'homologation traditionnelle pour la coopération et le partenariat dans le commerce et les projets ? La Russie a adopté le libre-échange, un concept Qu'américains claironné pendant des années chaque fois que c'était à leur avantage, mais maintenant pour la Russie est considéré comme sombre et sinistre.
Ici, l'Amérique bat la puissance inévitable des forces économiques, quelque chose de semblable à la lutte contre la marée ou le vent et seulement pour le bien de sa domination continue d'un autre continent. Américains essaient désespérément d'arrêter ce qui peut être appelé uniquement des arrangements économiques naturels entre la Russie et l'Europe, naturel parce que les deux parties ont de nombreux services, de biens et marchandises pour le commerce au profit de tous. Mise en place de l'Amérique veut couper les repousses saines et en permanence à établir sa primauté en Europe même si cela n'a rien de nouveau à offrir.
Interprétation délibérément malhonnête de l'Amérique de réponse mesurée de la Russie à un coup d'État induit en Ukraine est utilisée pour générer un sentiment artificiel de crise, mais malgré les pressions que l'Amérique est capable d'exercer sur l'Europe, nous sentir ne va que jusque l'Europe le long pour éviter une querelle publique et uniquement pour aussi longtemps que les coûts ne sont pas trop élevés.
Les dirigeants plus intelligent en Europe reconnaissent que les États-Unis fait mais ne veulent pas s'affrontent ouvertement, bien que la création de l'accord de Minsk est venue assez proche un refus poli de la demande de l'Amérique pour tactique inflexible.
Le coup d'Etat en Ukraine était destiné à mettre un gouvernement hostile dans le contrôle d'un tronçon long de la frontière russe, un gouvernement qui pourrait coopérer en matière militaire américain et qui servirait comme un irritant à la Russie. Mais vous n'obtenez de bons résultats avec malveillance.
Jusqu'au coup d'État a servi seulement à mal l'économie de l'Ukraine, la sécurité et les intérêts à long terme. Il a un gouvernement qui est largement considéré comme incompétent, un gouvernement qui fomente inutile guerre civile, un gouvernement qui pourrait avoir abattu une avion de ligne et un gouvernement dans lequel personne, y compris en Occident, a beaucoup de foi.
Ses finances sont dans la tourmente, ancien important nombre de connexions économique est rompu, et il n'y a aucune grande volonté de l'Europe, en particulier l'Europe troublée sur le plan économique, pour l'aider. Il n'est pas un endroit avancé ou assez stable pour adhérer à l'UE, car cela signifierait simplement gigantesques subventions étant réalisées pour elle d'une Europe déjà troublée.
Et l'idée de son assemblage OTAN est absolument un non-partant car il ne peut pas porter son propre poids dans une telle organisation et cette loi franchirait une ligne rouge dangereuse pour la Russie.
Kiev est d'avoir des problèmes immenses même tenant le pays ensemble comme il bat autonomes tenues de droite comme le bataillon d'Azov dans le sud-est qui menacent l'accord de Minsk, comme le régime tente de mettre en place un recrutement militaire en Ukraine occidentale avec plus de personnes s'enfuyant à rejoindre, qu'il trouve, qu'il doit protéger son président avec une garde prétorienne des américains contre certaines menaces graves par les milices de droite malheureux avec des pannes de Kiev , car il doit compter avec la sécession de fait de Donetsk et la perte permanente de la Crimée – tout cela comme il se débat avec les dettes colossales et une économie dans un piqué.
L'Amérique est pas en mesure de donner assistance sérieuse à l'Ukraine, juste beaucoup de slogans Boutique-portés sur la liberté et la démocratie. Ces événements fournissent un parfait exemple des dégâts Qu'amérique inflige à un peuple avec malveillance ne destinée qu'à les utiliser pour blesser les autres.
Il y a un tel dossier de ce genre de chose de l'Amérique que je suis toujours surpris quand il n'y a pas preneur là-bas pour le nouveau régime. On souvient de Secrétaire d'État Henry Kissinger en 1975 encourage les Kurdes irakiens à se révolter contre Saddam Hussein et puis en les laissant sur le carreau quand le dictateur a lancé une répression impitoyable.
Je pense aussi des scènes à la fin de la guerre du Vietnam comme des hélicoptères américains ont décollé de façon lâche depuis le toit de l'ambassade, laissant leurs leurs collègues vietnamiens, larmes leurs visages, agrippant vainement pour les trains d'atterrissage d'hélicoptères, une fin de montage et honteuse à une croisade vraiment sans cervelle.
Gâcher l'Ukraine
Je ne sais pas, mais je doute fort que le gouvernement actuel de l'Ukraine peut supporter, et il est toujours possible qu'il glissera dans une guerre civile encore plus grave avec les factions en lutte sur tous les côtés, quelque chose qui ressemble à la pagaille meurtrière Qu'amérique créé en Libye. Bien sûr, une telle guerre sur les frontières de la Russie viendrait avec des risques considérables.
L'aristocratie américaine ne soit pas préoccupé par les catastrophes dans lequel ils se ne sont pas plongés, mais une guerre en Ukraine pourrait facilement faire exactement cela. De façon ironique, conflit accrue pourrait marquer le début de la fin de l'ère d'asservissement européen vers l'Amérique. Chaos en Ukraine pourrait fournir exactement le choc que l'Europe doit cesser de soutenir les régimes américains avant tout le continent ou même que le monde est menacé.
J'ai rappeler aux lecteurs que tandis que l'économie russe n'est pas aussi grand que de l'Amérique, c'est un pays avec une histoire forte en génie et en science, et personne sur la planète partage son expérience terrifiante avec les invasions étrangères. Il a mis au point et tient à jour un certain nombre de systèmes d'armes qui sont sans pareil. Chacun d'eux d'une nouvelle classe de sous-marins lance-missiles balistiques et la Russie est la construction d'un certain nombre d'entre eux, est capable de frapper 96 cibles distinctes avec des ogives thermonucléaire, et que la capacité est en dehors des ICBM sur rail, dur-site missiles balistiques intercontinentaux, missiles montés sur camion, missiles de croisière lancés par air, missiles de croisière lancés à la mer et une variété d'autres armes redoutables.
La Russie moderne n'a pas de menaces avec cette impressionnante puissance, et vous pourriez dire que Poutine suit les conseils de Theodore Roosevelt qu'il marche doucement mais porte un gros bâton, mais je ne pense pas il sage pour chacun d'entre nous de garder ces choses à l'esprit que l'Amérique railleries Russie et littéralement joue à un jeu de poulet avec Armageddon.
Je ne crois pas que l'Amérique a un mandat légitime de n'importe qui de se comporter de cette façon dangereuse. Plus intelligent les dirigeants européens, ayant vécu au centre même de la guerre froide et ont survécu à deux guerres mondiales, ne comprennent pas cela et essayent avec beaucoup d'attention ne pas de laisser les choses aller trop loin, mais l'Amérique a certaines personnes hautement irresponsable et dangereux, travaille dur sur le fichier de l'Ukraine et accidents se produisent lorsque vous poussez les choses trop dur.
L'Obsession d'Israël Dans une autre sphère de l'engagement constant maintenant, au lieu de parrainage et de promotion des dispositions équitables au Moyen Orient, Amérique a poursuivi une relation bizarre avec Israël, une relation qui est certainement contre l'Amérique possèdent depuis longtemps des intérêts à terme, bien que les politiciens américains individuels bénéficient avec des flux de paiements d'intérêts particuliers – être responsable en dernier ressort – en échange d'insister aveuglément Israël a toujours raison de système de financement des campagnes auto-imposées, totalement corrompu de l'Amérique , qui n'est assurément pas. Un segment important de la population d'Israël est américain, et ils simplement reportés à Israël la même myopie, arrogance et la belligérance qui caractérisent l'Amérique tellement ainsi, Israël peut légitimement être considérée comme une colonie américaine au Moyen-Orient, plutôt qu'un État véritablement indépendant.
Son manque d'indépendance véritable se reflète aussi dans sa dépendance constante sur les énormes subventions, sur son besoin de diplomatie américaine fortement polarisés pour la protéger dans de nombreux forums, y compris les Nations Unies et sa dépendance sur les pressions américaines et de pots de vin à n'importe quel nombre de lieux, généreux américain pension annuelle de l'Égypte nécessitant certains comportements étant l'un des exemples plus importants.
Ici, aussi, est inévitable a été bêtement ignoré. Les Palestiniens ne vont pas n'importe où, et ils ont démontré le plus remarquable endurance, mais presque tous les actes d'Israël depuis sa création, chacun pris en charge par l'Amérique, a été un effort pour faire disparaître grâce à des contraintes excessives et abus et violence, regardant vers la création du Grand Israël, une idée dangereuse fantaisie qui ne peut pas réussir, mais il échouera seulement après avoir pris d'immenses ravages.
En dépit diplomatique et financier une pression constante de l'Amérique sur les autres États à soutenir sa politique unilatérale ici, il y a enfin un certain nombre de signes qui vues se détournent la notion absurde qu'Israël a toujours raison et qu'il puisse continuer indéfiniment avec son comportement sauvage.
Récemment, nous avons eu un grand effort dernière en Amérique et secrètes partenaires pour garantir la prééminence absolue d'Israël au Moyen-Orient par le biais de toute une série d'intrusions destructrices dans la région – le « printemps arabe », la marche arrière-révolution en Egypte, le brisement et maintenant le démembrement de l'Irak, la brisant et démembrement efficace de la Libye et l'horrible, artificiellement la guerre civile en Syrie qui emploie certaines des personnes plus violents et lunatic sur terre depuis l'extérieur et leur donne des armes , l'argent et le refuge dans le but de détruire un état stable et relativement paisible.
je pourrais continuer, mais je pense que la situation est claire : dans presque toutes les sphères de gouvernement américain, à l'interne et à l'étranger, institutions politiques pauvres de l'Amérique ont donné les décisions les plus pauvres. L'Amérique a excès elle-même sur tous les fronts, a servi des mythes plutôt que des faits, a laissé la cupidité exécuter ses gouverneurs de presque tout et a gaspillé des ressources sur la réalisation rien de valeur.
Je découvre la position actuelle de l'Amérique dans le monde – Support Sales guerres et coups d'État dans de nombreux endroits dans le même temps et traiter les autres comme des pièces de jeu à déplacer plutôt que de partenaires – comme une tentative désespérée pour secouer le monde pour obtenir des avantages, qu'il ne pouvait pas garantir par des moyens reconnus de gouvernance et de la politique.
L'Amérique est cette grande bête, beuglant et trembler le sol, et pour cette raison, il est extrêmement dangereux.
ARRETEZ ! ARRETEZ de parler du nom d'un pays comme étant fautif ! 'L'Amérique' ! Les étatsuniens ni sont POUR RIEN ! et encore moins les américains du Canada à l'Argentine en passant par les pays de l'arc antillais !
Ce sont SEULEMENT les nano-groupuscules de Dirigeants dictateurs qui se sont succédés qui sont fautifs. Appelons un chat un chat.
Car, certains 'journalistes' déguisés en blogueurs libres pensent qu'en parlant du peuple dans son entier (au travers du nom du pays) ce sera donc le peuple qui est responsable (élection = piège à cons) et doit donc payer !
Reprise économique ? Chaque jour en Espagne, 95 familles sont expulsées de leur logement
par Audrey Duperron 26 juin 2015
Un tiers de toutes les maisons vides de l’UE sont situées en Espagne, montrent des chiffres publiés par le gouvernement espagnol. On recense 3,4 millions de maisons vides dans le pays, c’est-à-dire l’équivalent de 30% de toutes les propriétés vacantes en Europe, et chaque jour, des tribunaux expulsent 95 familles de leur logement.
Selon Ada Colau, le nouveau maire de Barcelone, l’Espagne est confrontée à une «urgence nationale» et le pays devrait réquisitionner les maisons et appartements vacants pour remédier à sa crise du logement. Cependant, en dépit de l’abondance des logements disponibles, les économistes réfutent son idée, expliquant que la plupart des propriétés vides sont situées dans des centres touristiques, loin des zones d’activité économique et des lieux de travail.
Amnesty International exhorte le gouvernement espagnol à assouplir la législation trop sévère sur les prêts hypothécaires. Cette loi oblige les emprunteurs à continuer de payer leurs échéances d’emprunt, même lorsque leur maison a été saisie à la suite de leur défaillance, parce qu'ils ne sont pas en mesure de faire faillite. Depuis le début de la crise en 2008, 346.000 familles ont été expulsées. Ces expulsions ont été accompagnées par une vague de suicides.
La presse financière européenne a annoncé en fanfare la reprise économique en Espagne, mais pour de nombreux Espagnols, c’est encore l’Arlésienne
Les contrôles de sécurité dans les aéroports des États-Unis: une vaste blague
25 juin 2015
Aux États-Unis, le chef de la Transportation Security Administration (TSA) a été licencié par le Département Homeland Security lorsque les examens ont révélé que les scanners utilisés dans les aéroports étaient vains dans 95% des cas.
Des collaborateurs TSA, déguisés en passagers, ont tenté de passer par les contrôles de sécurité de certains aéroports assez fréquentés avec des armes et explosifs factices. Dans 67 cas sur 70, cela n’a posé aucun problème. Plus tôt dans le mois, il s’est également avéré que la NSA avait recruté 73 personnes en lien avec le terrorisme.
3 façons de rendre le trafic aérien plus respectueux de l'environnement
25 juin 2015
L’aviation est responsable de seulement 2% de nos émissions gazcarbonique au niveau planétaire, mais c’est l'un des contributeurs au changement climatique qui se développe le plus rapidement. C’est pour cela que l’EPA (Environmental Protection Agency) a annoncé le 10 juin un renforcement de la réglementation sur les émissions gazcarbonique, ce qui devrait pousser cette industrie à prendre les mesures nécessaires.
Dans cette perspective, 3 scénarios possibles sont pris en compte :
1. Les biocarburants
Les compagnies aériennes testent depuis un certain temps les biocarburants neutres en carbone. Ces combustibles ont un taux d’émissions gazcarbonique plus faible mais ne sont pas encore produits en masse.
2. Contrôle du trafic aérien
Des nouveaux systèmes de navigation plus précis, grâce à l’utilisation de signaux satellites, permettront aux avions de prendre des itinéraires plus courts pour arriver à destination. Un vol plus court signifie une consommation de carburant moins importante et des émissions de gazcarbonique réduites.
3. Efficacité
La conception de nouveaux avions tels que le Boeing Dreamliner permet de faire plus de kilomètres avec un litre de carburant.
Les avions deviennent également plus légers: pour une réduction de poids de 5,5 lb, l'émission de gazcarbonique est réduite d’une tonne par an.
L'escroquerie en fait des tonnes ! Voilà que le gazcarbonique est présenté comme un fautif de tous les maux ! Alors qu'il n'y est pour RIEN dans le faux 'réchauffement climatique/Global Warming' pas plus que dans la pollution !
Or, en parlant en mal de ce bon gazcarbonique, il est donc plus facile d'étendre/d'augmenter/de favoriser l'emploi de 'bio-carburant' encore appelés 'éthanol' qui n'est rentable qu'en subventions de la poche des contribuable et est une merde qui ruine tous les moteurs !
Rapport sur la Grèce: la machine de propagande de Merkel
RépondreSupprimerUne colonne par Georg Diez
Alexis Tsipras a déclaré aux journalistes à Bruxelles: «Le Sauveur est en effet le droit"
Chaque article, qui parle du «sauvetage» de la Grèce visant, moralement. A ces rapports montre comment manipulateur un journalisme fonctionne, qui traite principalement avec les intérêts allemands.
La propagande Colonne dit Edward Bernays, qui a inventé le terme, est la réduction de la réalité complexe à quelques, facile à comprendre des explications, et il est finalement pas d'importance si ces déclarations sont également d'accord.
La "propagande" classique a été publié en 1928, bien avant que la télévision et l'Internet, il est plus d'instructions d'action pour la puissante comme une critique de la manipulation des masses - qui est pourquoi il vaut aujourd'hui, le temps de la relire.
Parce que dans son esprit, par exemple, tout produit qui réduit la crise de l'euro que Merkel et Schäuble ou à Bruxelles ou quelqu'un d'autre "sauvetages" Grèce, rien de plus que de la propagande.
"Merkel va sauver les banques"
Pendant des années, «sauvetage» est le mot utilisé par de nombreux journalistes pour raconter l'histoire de cette crise: un mot est établi, qui fait quelque chose et qui ne fait rien, qui est active et qui est passif, qui est sur le point et avec qui la main se précipite.
En un mot, la dette et la dépendance sont préparés avec un mot de gratitude et d'échec sont déterminés, en un mot, est dirigé moralement - l'analyse est plus tard, lors de la première heure est atteint au niveau émotionnel.
Le Sauveur dans la loi, ce qui suggère que ce mot, il est en possession de la vérité, il a le bon de son côté, il agit pour des motifs plus élevés - "Rescue" est donc un mot qui dans la politique en soi ou dans le journalisme politique n'a rien perdu en tant que tel, car il occulte les motivations et les intérêts qui font la politique.
Par exemple, je ne lis jamais aucun titre qui suit: "Merkel sauve les banques» - ce serait une très plausible le raccourcissement de ce qui est arrivé en Europe depuis 2010 au plus tard.
Et même ce titre est toujours manquant: "UE et le FMI prévoient un coup d'Etat en Grèce." Ici vous pouvez voir la crise de l'euro tout résumer comme suit: Quand il vient à forcer la Grèce à ses genoux, et que est toujours entonné, on aime à prendre une éventuelle défaillance du gouvernement grec dans l'achat.
Le capitalisme primaire est sauvé
"Il est un spectacle étonnant," écrit Ambrose Evans-Pritchard, «Burke-conservateur", comme il l'appelle lui-même, pas de gauche - la Banque centrale européenne et le FMI, a t-il dit, serait "furieusement battre un gouvernement élu qui ne font pas ce qu'ils veulent ".
(suite en dessous:)
Jürgen Habermas a de nouveau constaté cette semaine au déficit démocratique fondamental de l'UE - il sera «sauvé» en Grèce ne sont pas les valeurs européennes et les idéaux démocratiques, ou même des citoyens grecs, il est principalement enregistrés un capitalisme, a besoin de la stabilité et la sécurité.
RépondreSupprimerLa Banque centrale européenne nous a jamais montré comment faire, elle a envoyé en Août 2011 des lettres secrètes pour le gouvernement espagnol et l'italien, dans lesquelles ils demandaient des changements dans les lois et ainsi interféré dans les affaires intérieures de ces pays.
Curieusement, on trouve des textes avec de telles informations mais surtout dans les médias américains et britanniques - la moyenne place des éditorialistes allemands de toute façon, que les Grecs - contre toute expertise économique - pour économiser encore plus, sept années de vaches grasses sont assez.
Le fait que l'UE afin que leur prospérité promesse pauses, l'un des fondements essentiels et la raison d'être du tout de l'UE, ce qui signifie qu'il est la partie de l'UE est un échec patent, qui devrait être abordée, ce qui manque dans l'histoire du «sauvetage» de la Grèce.
Le reportage politique dans l'esprit de soap opera
Au lieu de cela, encore et encore écrit à l'épreuve de force, qui ne la rhétorique de crise de «sauveur» servi qui ont besoin de l'état d'urgence permanent afin de légitimer leurs mesures drastiques - le journalisme impliqués dans un drame escalade qui ne laisse pas de place pour la pensée dans le essoufflement ,
Et dans le même temps est écrit sur les yeux bleus de Schäuble qui ne peut mentir, et dans le «monde» à propos de la femme qui Tsipras vient de faire à l'entêté, qu'il soit d'un point de vue allemand doit dans le "Tagesspiegel" - il est une déclaration de politique Esprit de l'opéra de savon, ce qui, finalement, ne sert à dissimuler les problèmes économiques sous-jacentes.
Complicité entre la politique et les médias
« Tous les mensonges», demande le «temps» dans son histoire de couverture de cette semaine, une réflexion autocritique sur la pression sur les médias au cours des dernières années et les erreurs qui ont été faites - la guerre de 2003 en Irak et de la crise financière de 2008 en sont deux exemples, mais "ont maintenant les éditeurs appris de leurs erreurs."
Mais est pas la Grèce-déclaration juste un exemple de la façon manipulatrice et unilatéralement le journalisme fonctionne, qui traite essentiellement des intérêts allemands et un point de vue allemand propagation qui est bien loin de ce qui est écrit et pensé dans d'autres pays européens est ?
Ce que voit de toute façon Ambrose Evans-Pritchard, de la crise de la dette grecque a expliqué dans le britannique "Telegraph" pour "la guerre en Irak des Finances" - il signifie la complicité entre les politiciens et les médias qu'un "bank run" évoquait littéralement dans la dernière semaine ferait.
«La manipulation consciente et intelligente des comportements collectifs et les opinions des masses est un élément important dans une société démocratique», écrit Edward Bernays. "Il y a un gouvernement invisible qui manipule ces mécanismes sociale cachée, elle est une puissance de décision effective dans notre pays."
Il est un gouvernement qui ne l'a élu et personne ne contrôle.
http://www.spiegel.de/kultur/gesellschaft/georg-diez-ueber-die-berichterstattung-zu-griechenland-a-1040882.html
Effectivement, un journaliste n'a pas la liberté du blogueur et doit s'en tenir à ce que lui dit le rédacteur en chef qui est lui au service du gouvernement (de droite ou de gauche qu'importe !).
SupprimerLorsqu'une personne ou groupe de au gouvernement se dit de 'sauver les banques', ce n'est bien sûr pas de sa poche (auquel cas il demanderait à être remboursé !!), mais de celle des contribuables. Donc, des entreprises PRIVEES sauvées sous la contrainte d'imposition au peuple alors que cet argent (en billet) va se transformer en suite de chiffres à l'ordinateur. Car, avec l'ordi, çà coûte rien de laisser le doigt x temps sur une touche !
Le principal - dans tout ce cirque entretenu - n'est-il pas de ruiner le peuple par tous les moyens ? C'est çà le progrès ! Plus on avance plus on est pauvre !
La non-invasion russe provoque l'inquiétude en Europe
RépondreSupprimerRob Slane
The blog mire
jeu., 18 juin 2015 05:32 UTC
Traduit par bluetonga, relu par Hervé et Diane pour le Saker francophone
Les tensions au sein des États baltes et de la Pologne ont atteint leur paroxysme ces jours derniers alors qu'il est devenu de plus en plus évident que les Russes n'avaient aucun plan d'aucune sorte pour attaquer l'un ou l'autre de ces pays. Pendant l'année écoulée, la Pologne, la Lettonie, la Lituanie et l'Estonie ont lancé un crescendo d'avertissements concernant une invasion russe, et ont tenté de convaincre le reste du monde qu'il devait prendre des mesures radicales afin d'empêcher le président Vladimir Poutine de mener à bien son projet de recréer l'Union soviétique, cette fois de Vladivostok à Johannesburg.
Cependant, malgré ces alertes répétées d'un péril imminent, les Russes n'ont pas encore pointé le bout de leur nez, et semblent même soutenir qu'ils ont mieux à faire de leur temps. Pas plus tard que la semaine passée, Monsieur Poutine a déclaré lors d'une interview avec le quotidien italien Il Corriere della Sera que l'idée d'attaquer un pays de l'Otan ne pouvait se trouver que «dans le cauchemar d'une personne dérangée».
Ce refus d'envahir a causé une grande consternation à Varsovie, Riga et Tallinn, mais il a porté un coup particulièrement rude à la présidente lituanienne Dalia Grybauskaité, qui avait multiplié les déclarations concernant cette menace et avait placé le pays en mode panique pendant quelque temps. Au début de l'année, et en prévision de l'invasion imminente, le gouvernement de Vilnius a sorti une brochure d'information publique de 100 pages - Comment agir dans des situations extrêmes ou des situations de guerre? - qui prodiguait des conseils aux citoyens pour survivre à l'invasion russe, et qui comprenait des chapitres sur l'organisation de la résistance civile et comment agir dans une situation de champ de bataille.
Un porte-parole du ministre de la Défense Juozas Olekas, qui avait présenté la brochure en janvier, était clairement irrité par la réponse russe :
« On s'est donné tout ce mal pour publier une brochure disant ce qu'il fallait faire quand ils nous envahiraient, et voilà qu'ils n'ont même pas la politesse élémentaire de venir nous envahir, a-t-il déclaré. C'est tellement typique des Russes. On ne peut pas leur faire confiance pour quoi que ce soit. »
Il a poursuivi en précisant que le pays fournissait maintenant des conseils aux citoyens sur la manière d'agir en cas de non-invasion russe, et une deuxième brochure - Comment agir dans des situations normales ou en cas de paix ? - est déjà en cours de préparation, au cas où les Russes mettraient à exécution leurs menaces de ne pas envahir. La nouvelle brochure devrait fournir des conseils aux Lituaniens sur la manière de gérer l'idée selon laquelle leur pays ne serait pas si important que ça aux yeux des Russes, après tout, et elle devrait contenir un certain nombre d'autres choses à partir desquelles les gens pourraient se monter le bourrichon contre la Russie, de manière à se détourner des problèmes domestiques au sein même du pays.
A Varsovie, ou l'hostilité envers la Russie s'est amplifiée grâce à un programme gouvernemental de conscientisation active, un porte-parole du gouvernement, qui souhaitait garder l'anonymat, a fait la déclaration suivante :
(suite en dessous:)
« La Russie a envahi l'Ukraine à pas moins de 47 reprises au cours des 12 derniers mois, ou presque. Nous ne savons pas pourquoi ils continuent d'envahir, puis de se retirer, puis d'envahir à nouveau, mais nous savons qu'ils le font parce que nous surveillons de près Twitter et Facebook, et que Arseni Iatseniouk le dit. Bien sûr, nous en avons naturellement conclu que tôt ou tard, ce serait notre tour - du moins, c'est ce que nous racontons à nos concitoyens depuis un an - , aussi l'idée qu'ils pourraient rester chez eux, après tout, n'est certainement pas une bonne nouvelle. S'ils persistent à ne pas venir, les gens pourraient commencer à se dire que ce n'était qu'un canular stupide destiné à détourner leur attention des problèmes intérieurs de la Pologne, et cela pourrait s'avérer désastreux pour nous en tant que nation. »
RépondreSupprimerLa crainte que la Russie puisse ne pas bouger de chez elle est également répercutée à Washington, avec une porte-parole du département d'État, au ton résolument perplexe :
« Nous sommes certains que les Russes veulent recréer l'Union soviétique. C'est ce que notre président a dit l'autre jour, et nous n'avons aucune raison de ne pas le croire. La première escale avant d'atteindre Johannesburg doit certainement être les États baltes et ensuite la Pologne. Alors, pourquoi n'envahissent-ils pas ? C'est un mystère pour nous, mais nous allons continuer avec nos vassaux... Désolée, je voulais dire nos alliés, à effrayer les gens pour qu'ils saisissent la menace, et je crois qu'il est important de noter que même une non-invasion peut être considérée comme faisant partie de leur agression en cours. »
La semaine dernière, l'espoir d'un début d'invasion est né lorsque deux Typhoons britanniques de la RAF stationnés en Estonie ont décollé d'urgence pour intercepter et surveiller deux appareils militaires russes au-dessus de la mer Baltique. Néanmoins, ces espoirs se sont évaporés lorsque deux experts ont fait remarquer, après avoir consulté une carte, que la Russie est limitrophe de la mer Baltique, et sacrément plus proche d'elle que ne l'est la Grande-Bretagne.
http://fr.sott.net/article/25877-La-non-invasion-russe-provoque-l-inquietude-en-Europe
Très récente augmentation d'énormes tremblements, un « changeur de jeu » pour l'Oklahoma Oil & Gas
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 26/06/2015 11:22-0400
Soumis par Nick Cunningham via OilPrice.com,
La récente hausse de tremblements de terre dans l'Oklahoma pourrait présenter un « game changer » pour les régulateurs.
Voilà comment les régulateurs décrit la série de tremblements de terre qui a frappé l'état entre le 17 juin et 24 juin, selon Reuters. L'Oklahoma est devenu l'état plus sismiquement active dans le pays ces dernières années, avec beaucoup de données scientifiques pointant vers la pratique des puits d'élimination comme le coupable. Tremblements de terre d'une magnitude de 3.0 ou supérieur ont passé de 20 en 2009, à 585 en 2014. Mais 2015 pourrait être encore pire – si les tendances actuelles se poursuivent, l'état pouvait se connecter à plus de 800 pour l'année.
- voir graphiques sur site -
L'augmentation rapide de l'activité sismique a incité le nouveau règlement, après une longue période d'hésitation pour le compte de l'État, qui est entré en vigueur il y a deux mois. Les règles interdit foreurs d'injection d'eaux usées au-delà d'une certaine profondeur souterraine, un seuil qui, selon les sismologues contribue aux tremblements de terre.
Mais même avec ces règles en place, tremblements de terre n'ont pas cessé. La semaine dernière, un estimé 35 tremblements de terre d'une magnitude de 3.0 ou plus a frappé l'État.
Qui a le Conseil de Corporation de Oklahoma, qui réglemente le forage pétrolier et gazier, en regardant à nouveau règlement. « Nous avons à nouveau en approche », un porte-parole de l'OCC, Matt Skinner, a déclaré après la dernière série de tremblements de terre, selon l'agence Reuters. "Il y a eu une augmentation énorme. C'est un jeu-changeur. »
La flambée des tremblements de terre la semaine dernière vient sous forme de rapport le 23 juin E & E qui a montré que l'Université de l'Oklahoma a demandé un don de $ 25 millions de l'exécutif célèbre huile Harold Hamm, responsable des ressources de Continental. L'Université a poursuivi son don qu'il formait également sa position sur la relation entre les tremblements de terre et puits d'élimination. Une fois terminé, leur position reflète Hamm est assez près, bien qu'il a finalement refusé de faire un don (il est encore un des plus grands donateurs de l'Université). E & E fait remarquer qu'il n'y a rien de spécifiquement reliant la donation à la position de l'Université, mais elles se sont déroulées en même temps.
L'approche sceptique, que l'Université a pris aux tremblements de terre peut retarder l'action. Les nouvelles viennent après des mois de spéculation que l'Oklahoma Geological Survey, qui fait partie de l'Université, assis sur des données de sismologie qui reliait le puits d'élimination à l'augmentation des tremblements de terre parce que cela toucherait l'industrie haut de la page de l'État. Pétrole et gaz représentent 7 % des recettes de l'état de l'Oklahoma. Il y a même eu de spéculation que les sismologues ont été pressés en minimiser la connexion.
Le taux des tremblements de terre est devenu trop difficile d'ignorer. En avril 2015, l'Oklahoma Geological Survey a pris une bien meilleure position sur les tremblements de terre, disant qu'il "estime qu'il est très probable" qu'une grande partie de l'amélioration de l'activité sismique est causée par le puits d'élimination. Le gouvernement de l'Etat a même lancé un site Web avec des données et d'informations sur comment les puits d'élimination contribuent aux tremblements de terre.
(suite en dessous:)
Mais la dernière série de tremblements de terre donnent à penser que l'État évolue toujours pas avec assez de force malgré de nouveaux règlements cette année. Pour l'instant, l'État n'a pas opté pour un moratoire sur les puits d'évacuation dans les zones sensibles, comme l'ont fait les autres États. Régulateurs à l'OCC avaient espéré que son toucher léger contribuerait à réduire la fréquence des tremblements de terre au fil du temps, et Pendant ce temps, il pourrait recueillir davantage de données. Cette approche peut ne pas suffire. Mais il n'y a pas beaucoup d'appétit au sein de l'Assemblée législative de tuer la poule aux œufs d'or.
RépondreSupprimerEn revanche, s'il y a une plus grande catastrophe, l'État n'aurait pas d'autre choix que de sévir enfin.
« S'il y a des dommages et des pertes en vies humaines, vous verrez le climat politique absolument changer du jour au lendemain, » a mis en garde Jason Murphey, un représentant républicain à la législature de l'État, selon Reuters. « Quand et si cela arrive, vous aurez un nuage qui plane sur le secteur de l'énergie pour le reste de notre vie. »
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-26/very-recent-huge-increase-quakes-game-changer-oklahoma-oil-gas
Cela est bizarre et difficilement prouvable ! Car, les émissions de gaz ou de pétrole, qu'elles soient naturelles ou non, sont issues de leur propre pression (comme le sont les laves de volcan ou eaux de sources). Je veux bien admettre que des tremblements de terre (aussi lointains soient-ils) soient consécutifs à des prèlèvements issus de pressions fabriquées (gaz de shiste) et puissent développer des secousses à très longues distances, mais, que des tremblements de terre viennent des derricks implantés... là, faut voir. Faut voir ce qu'il en est en pays comme l'Iran, Koweit, Arabie Saoudite, Venezuela etc producteurs de pétrole et pourquoi ce sont des pays où le sol ne bouge pas !
SupprimerJe pense juste que le lobbying (joue le jeu des extracteurs de gaz de shiste) s'abrite juste derrière les preuves que l'extraction de gaz de shiste favorisent des tremblements de terre et que 'par conséquent', pour le pétrole il devrait en être de même ! Donc, pour éviter les tremblements de terre : fermer tous les puits de pétrole ! (Hahahaha !).
Regardez le mal que peut faire le lobbying avec ses marchés truqués: Alors que çà va mal pour tout le monde... le prix de l'or s'effondre ! Hahahaha ! Ainsi, voudraient-ils dire "Achetez vite de l'or avec qu'on viennent chez vous le chercher !!" Hahahaha ! (C'est plus facile à emporter quand la richesse est concentrée)
Droits de l'homme: les USA se croient irréprochables
RépondreSupprimer17:07 26.06.2015
Les Etats-Unis prétendent au titre de "défenseur universel" des droits de l'homme et donnent des leçons aux autres pays, en publiant des rapports annuels sur l'état des droits de l'homme dans le monde, constate un expert chinois.
Le département d'Etat américain a publié jeudi son nouveau rapport sur l'état des droits de l'homme dans le monde qui critique, entre autres, la Chine, Sputnik a demandé à Tao Wenzhao, spécialiste chinois des relations Chine/Etats-Unis, de commenter ce document.
"Le thème des droits de l'homme assombrit depuis longtemps les relations sino-américaines. Il n'existe toutefois pas dans le monde de standards uniques dans ce domaine. Chaque peuple a son système de valeurs et ses propres traditions. Aucun Etat ne peut être considéré comme "défenseur universel des droits de l'homme" ni donner des leçons à d'autres pays. Telle est la position explicite de la Chine", a déclaré le chercheur.
Et de relever que tel n'était cependant pas l'avis des Américains, estimant que tout allait bien aux Etats-Unis.
"Aussi, se permettent-ils de publier ce genre de rapports +critiques+", a souligné M.Tao.
L'expert rappelle qu'au début des années 1990, époque de la présidence de Bill Clinton, tout juste après la fin de la "guerre froide", le problème des droits de l'homme dominait dans les relations entre Washington et Pékin.
"Les Américains ont alors espéré obliger ainsi la Chine à changer de politique, voire de régime, mais en vain. Comprenant qu'ils ne pouvaient pas arriver ainsi à leur objectif, ils ont formellement reconnu la nécessité d'un dialogue d'égal en égal. Pourtant, en réalité, Washington ne renonce toujours pas au statut de "défenseur universel des droits de l'homme" et ne cesse de publier des rapports +critiques+", a indiqué M.Tao.
Selon ce dernier, lesdits rapports omettent de parler des problèmes en matière des droits de l'homme aux Etats-Unis.
"Quoi qu'il en soit, de tels problèmes y sont nombreux, et la Chine a notamment publié aujourd'hui un rapport sur l'état des droits de l'homme aux Etats-Unis. Ce document porte sur des violations des droits de l'homme en Amérique, qu'il s'agisse des inégalités raciales ou des violences auxquelles se livrent les policiers dans l'exercice de leurs fonctions", a-t-il poursuivi.
Et de conclure que personne n'avait donné aux Américains le droit de se comporter de la sorte, et qu'il n'y avait ni loi ni norme du droit international qui les érigent en arbitre mondial du respect des droits de l'homme.
http://fr.sputniknews.com/international/20150626/1016737625.html
Effondrement, partie 5: Les choses se désagrègent
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 26/06/2015 13:37-0400
Soumis par Charles Hugh-Smith de OfTwoMinds blog,
Il est impossible de libérer une économie qui repose sur la dette et l'effet de levier pour sa « croissance » du surendettement et effet de levier.
Comme indiqué plus haut dans cette série, l'effondrement n'est pas un événement, c'est un processus, un processus que nous éprouvons comme choses sont désagrège. L'expression célèbre apparaît dans le poème de William Butler Yeats 1919, The Second Coming:
En tournant et en tournant dans le tourbillon de l'élargissement
Le pèlerin ne peut pas entendre le fauconnier ;
Choses sont écrouler ; le centre ne peut tenir ;
Anarchie simple est délié sur le monde,
La marée de sang-grisé est déliée et partout
La cérémonie de l'innocence est noyée ;
Les meilleurs manquent de toute conviction, alors que le pire
Sont pleins d'intensité passionnée.
Pourquoi les choses se désagrègent-elles ? J'ai abordé un certain nombre de dynamique dans les quatre premiers essais de cette série, mais il y a que beaucoup plus exprimés en quelques lignes brèves Yeats.
1. pensée magique domine toutes discussions. La vérité, avoir trop peur de contempler, est mis à l'écart en faveur de la pensée magique:
-- Nous pouvons grandir notre moyen de sortir de la dette en augmentant la dette
-- Si nous imprimons tout simplement assez d'argent, nous pouvons payer pour tout ce que nous voulons
-- une nouvelle technologie miraculeuse (un exemple actuel) fournira l'énergie/nourriture illimitée à un coût presque nul
-- Si nous tordre le système avec quelques réformes mineures, tous les gros problèmes vont disparaître
-- nouvelle technologie toujours crée plus d'emplois qu'elle détruit
et ainsi de suite.
2. toujours identique a été: politique a toujours été corrompu, les humains ont toujours été gourmands, etc.--en d'autres termes,problèmes actuels ne sont pas différents de ceux du passé, qui nous manipulés sans difficulté majeure. La possibilité que les extrêmes d'aujourd'hui de financiarisation et de la décomposition politique pourraient en fait être quantitativement et qualitativement différentes de ces 50 dernières années est rejetée.
3. les élites politiques et financières ont perdu le contact avec les citoyens. Le pèlerin ne peut pas entendre le fauconnier, pour les élites se sont retirés dans les milieux protégés du privilège avec peu de contacts avec le reste d'entre nous. Étant donné que tout est bien dans ces cercles de richesse et de puissance, tous doivent être bien dans le système dans son ensemble.
(suite en dessous:)
Et si ce n'est pas, la solution est de retirer encore plus profondément dans les cercles du privilège et rabattre dans un canot de sauvetage de luxe, laissant les citoyens à se débrouiller sur le condamné Titanic.
RépondreSupprimer4. choses stop fonctionne bien ou cesser de fonctionner, période. Les causes sont multiples : manque d'efficacité né de l'intérêt personnel et habitude historique, perte de responsabilisation, l'effet de cliquet, complexité bureaucratique, diminuer les rendements, friction improductif--la liste est longue.
Le résultat net est choses ne fonctionnent pas bien, même lorsque des sommes impressionnantes sont jetés chez eux. Affleure le bounty de recettes fiscales d'une gigantesque bulle dans le logement et les tech startups, la ville et le comté de San Francisco a maintenant un budget annuel de $ 9 milliards--une somme supérieure par les budgets de nombreux États, tous pour une population d'environ 850 000.
On pourrait croire en supposant que tous les systèmes essentiels d'une métropole travailleraient en douceur, avec une étonnante $ 9 milliards. (Ce n'est que longtemps--la fin des années 1990--le budget de que San Francisco était un simple $ 3 milliards).
Mais les citoyens ne sont pas touchés par le système fonctionne bien. Lacunes dans les services publics fiscale San Franciscains patience:
Il y a deux semaines nous a demandé aux lecteurs de la ville initié ce qu'ils pensent du fait que budget de San Francisco a frappé un énorme $ 9 milliards par an, plus que les budgets des États au moins 10.
Maintenant que plus taxes coulent dans les coffres de la ville que jamais auparavant, les résidents pensent qu'ils obtiennent leur argent ?
Nous avons été surpris par le déluge de courriels, qui continuent à rouler, et les réponses très véhémentes. Chaque personne qui a écrit eu plaintes valables, et pas une pensée de services de la ville ont été à la hauteur pour l'une des villes plus riches du monde.
« Une chose est sûre, » écrit Philip Snyder, un ancien inspecteur pour le ministère de la santé publique qui vit au nord de l'enclave. « Si l'argent était sang, San Francisco rendrait Dracula ressemblent à un moustique. »
Que se passe-t-il lorsque le budget diminue de $ 1 milliard dans une récession banale? L'heure actuelle, la pensée magique règne suprême et, d'autre part, l'idée que bulles doivent arrêter seulement en expansion pour déclencher qu'une récession de cycle économique n'est pas dans beaucoup d'esprits. Mais récessions se produisent et ces bulles explosives suivants ont tendance à être plus profond que la moyenne, donc un $ 1 milliard baisse des recettes fiscales doit être prévu.
Dans la même veine, l'état de Californie, également affleure de revenus provenant de ces mêmes bulles, dispose d'un « fonds de jour de pluie » de $ 3,46 milliards et un budget annuel de $ 117 milliards. Dans les précédentes récessions, recettes de l'État baisse de $10 à $ 20 milliards--ce qui signifie que le Fonds de la journée pluvieuse est cruellement défaut.
(suite en dessous:)
Voici la réalité budgétaire en Grèce :
RépondreSupprimerCes chiffres de budget sont datés--les chiffres actuels sont bien pires.
Européen le statu Quo est le fait d'épuiser la dernière lie de sa légitimité et sa trésorerie défendant ses élites financières. Il est impossible de « réformer » un statu Quo dont la Fondation est kleptocratie, tout comme il est impossible de libérer une économie qui repose sur la dette et l'effet de levier pour sa « croissance » du surendettement et effet de levier : financiarisation n'est pas une caractéristique de l'économie, c' est l'économie.
Choses sont effondrer pour des raisons systémiques qui sont profondément liées ; quelques réglages mineurs de la politique et l'impression de plus d'argent sont tout simplement des expressions de la pensée magique.
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-26/collapse-part-5-things-fall-apart
Tant qu'un pays n'importe pas / n'exporte pas, il peut utiliser la planche à billets autant qu'il le peut. C'est pourquoi, dans et pour le commerce international a t-on besoin de complices qui - en pays voisins - appliquent à leur peuple la même escroquerie. (voir CEE !). Mais, les 'hommes de l'ombre' ne sont pas universels et ne s'assoient pas (encore) au siège du NOW. C'est pourquoi existe encore la réticence. Pays qui vivent dans leur jus, font de chaque habitants des riches comme il se doit et, celà, ne plait pas à cette fameuse '5è colonne' qui ne voit pas d'un bon oeil ce trop bon exemple !
SupprimerVoir: http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/07/jirai-pisser-sur-vos-tombes.html
et pourquoi dans les 'agences de voyages' il y avait la Tunisie, l'Egypte et pas la Libye ! Cà alors ! Pourquoi ? Parce que si vous êtiez allé là-bas au bon temps de Kadhafi: vous y resteriez ! Et, comme les 'paradis sur Terre' ne courent pas les rues...
Allez faire un tour au Vénézuéla et, vous vous apercevrez que l'actualité est... très diffèrente !
Des beaux pays comme aussi la Côte d'Ivoire où, si vous êtiez allé au bon temps de Bagbo: vous y seriez resté ! C'est pourquoi il a été arrêté, enfermé et, probablement tué avant que la justice du peuple ait combattu celle du nano-groupuscule de dictateurs en place !
SC Cop Fired pour drapeau confédéré Boxer Pic, tandis que d'autres flics tuent des innocents et rien ne se passe
RépondreSupprimerMelissa Dykes
Le Quotidien Sheeple
26 juin 2015
Il y a une raison pour laquelle j'ai pris le temps de souligner ce point réel rapide. Selon histoire Raw:
Le chef de la police Eddie Driggers dit que la photo sape la confiance des citoyens ont envers la police parce que le drapeau confédéré "symbolise la haine et de l'oppression à une partie importante des citoyens que nous sommes juré de servir."
Dildine dispose de dix jours pour faire appel.
Ce qui est insultant à propos de cela n'a rien à voir avec le fait que les globes oculaires de chacun ont été agressés avec cette image ringarde de North Charleston Police Sgt. Shannon Dildine dans ses boxeurs.
Ce qui est insultant à ce sujet est que, car il correspond à l'ordre du jour politique avec le moment de la fusillade Charleston et l'intrigue diviser pour régner étant courir contre nous tous, ils ont réellement tiré ce gars sur cette image. Les médias prend beaucoup de temps pour faire le look North Charleston PD comme une organisation de stand-up réel pour prendre des mesures sur ce (ce qu'est un grand coup de pub, par la voie). Une affaire énorme est faite de cela dans la presse grand public.
Pendant ce temps, nous vivons dans un pays où en moyenne plus de deux personnes par jour sont tuées par la police, sans distinction de race, de croyance, l'âge, la religion, le sexe, etc. Donc, beaucoup d'autres officiers qui commettent des actes tellement plus flagrants sont jamais suspendu ou même réprimandé, sans parler réellement lancé.
Donc, ce flic est congédié pour poster une photo de lui-même dans boxeurs de drapeau confédéré sur Facebook ?
Pendant ce temps, les agents peuvent flashbang un bébé dans son berceau après avoir purgé un raid de SWAT sur la mauvaise maison et sans être viré.
Les agents peuvent étouffer un homme à mort pour le crime de haute vente de cigarettes non taxées et pas chargée.
Les agents peuvent tirer et tuer des gens totalement désarmés et pas chargée. Parfois, ces gens sont des adolescents non armés avec des problèmes émotionnels dont les parents avaient appelé les flics de venir aider leur enfant en premier lieu.
En fait, les agents peuvent abattre des personnes innocentes qui ont appelé le 9-1-1 pour l'aide et leurs chiens à trois pattes dans la même visite et sans être viré.
Les agents de ce pays peuvent violemment battre une femme enceinte de huit mois à la terre pour défaut de montrer ID alors qu'elle hurle qu'elle est enceinte et elle a la charge uniquement avec résistance à l'arrestation (arrestation pour quoi? Ne montrant ID lorsque vous n'êtes pas sous la suspicion de un crime est pas illégal) et même pas se réprimandé sur le fait qu'ils ne sont pas autorisés à arrêter des gens simplement pour ne pas montrer ID!
(suite en dessous:)
Mais bon, mettre une photo de vous-même vêtu d'un short de boxeur juste au moment politique opportun d'une manière qui va aider à alimenter l'ordre du jour clair et vos fesses est mis en conserve (et votre image de ladite crosse est éclaboussé partout dans les nouvelles).
RépondreSupprimerSi cette histoire ne démontre pas clairement à la police juste ce genre de pions sacrifiables le système considère qu'ils fassent être ... pas sûr de ce que ferait.
http://www.thedailysheeple.com/sc-cop-fired-for-confederate-flag-boxer-shorts-pic-while-other-cops-kill-innocent-people-and-nothing-happens_062015
Obamacare est enregistré à nouveau - Ensuite - Crony corporatisme
RépondreSupprimerLiberté Outpost
www.FreedomOutpost.com
26 juin 2015
La décision est à l'intérieur et les débats ont commencé. Il est un grand jour pour la gauche. Il est un grand jour pour les deux parties. Démocrates obtenu ce qu'ils voulaient et les républicains maintenant ne pas avoir à légiférer. Il est un gagnant-gagnant.
Mais au moins une partie de la droite ne sont pas heureux. La réaction du juge Andrew Napolitano sur Fox Nouvelles a été stupéfait d'étonnement. "Qu'est-ce que [Roberts] a fait était de proposer cette plaine, mots anglais ordinaires, qui ne sont pas ambigus dans leur sens, en quelque sorte à six des juges dans la majorité sont ambigus et donc ils peuvent les interpréter comme ils le veulent", a déclaré Napolitano.
"Si ils avaient suivi la loi, ce aurait été une affaire très simple. La langue dans la loi était très claire - et si elles avaient interprété la langue la façon dont il a été écrit, le gouvernement aurait perdu ", a déclaré Hans von Spakovsky de la Fondation du patrimoine.
Twila Brase du Conseil des citoyens pour la liberté de la Santé a déclaré: «Sans la primauté du droit, il devient la règle du pouvoir - tout à interprétation. Revendications d'intention et les interprétations en dehors d'intention seront désormais gouverner, pas les mots réels écrites dans la loi. Quand nous commençons permettant l'interprétation libre de droit fondé sur après-coup revendications d'intention, le fondement de la règle de droit crumbles ".
Il ya beaucoup plus de perdants que de gagnants qui découleront de cette décision. Évidemment, nous les conservateurs, qui ont mis en garde contre les pièges, perdus. Le peuple américain sont énormes perdants, car ils verront baisse de soins et les prix monter en flèche. La primauté du droit et perdu, certes, tout comme la Constitution. Nous électeurs ont également perdu, car il est évident qu'aucune autre branche du gouvernement va se lever et remettre en question les oligarques en robes noires.
Les gagnants évidents comprennent Obama et les dirigeants de la gauche. Leurs électeurs vont finir par souffrir puissamment, mais pas une larme seront versé pour eux.
Mais un autre grand gagnant est les compagnies d'assurance méga - les corporatistes copinage. IBD demande: «Est-ce que quelqu'un se souvient le président Obama promettant que Obamacare va créer quelques oligopoles géants de la santé? Eh bien il est dirigé de cette façon. "
Fivethirtyeight constaté que le prix d'achat d'actions pour les cinq principaux assureurs Obamacare cotées en bourse, United Health, Anthem, Aetna, Humana, et CIGNA, "ont augmenté en moyenne de 1% par rapport à leur prix d'ouverture de 11 heures jeudi. Le rebond a commencé à environ 10h10, au moment où SCOTUSblog d'abord annoncé la décision de la Cour suprême. Cette hausse équivaut à une augmentation de 3 milliards de dollars en capitalisation boursière combinée des cinq entreprises ".
Donc, aussi bon qu'il semble ces cinq compagnies d'assurance ont maintenant, les choses vont obtenir beaucoup pire - pour tout le monde. Les grands assureurs ont fusion et d'acquisition de la fièvre, ce qui conduira à peu de concurrence et donc moins de services.
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"Les compagnies d'assurance ne font que suivre l'exemple des hôpitaux depuis Obamacare passé. En fait, le nombre de fusions d'hôpitaux en 2014 était de 50% supérieur à ce qu'il était l'année précédente Obamacare passé ", écrit l'EIA.
RépondreSupprimerCiarin McEvoy des MII a rapporté mardi: «Les assureurs santé sont les derniers à prendre le industries de la santé fusion mania. Anthem est d'essayer de reprendre CIGNA. Humana est poursuivi par Aetna, qui à son tour est une cible du groupe United Health. Il pourrait être juste l'hymne et la santé Unies lorsque la poussière sera retombée. "
Et je suis sûr que ce sera d'excellentes nouvelles pour le consommateur. Moins de concurrence est toujours bonne.
À long terme, il n'y aura qu'un seul gagnant parmi le radeau de perdants, et ce sera le gouvernement, sous la forme d'un seul payeur. Le script a été écrit et les acteurs sont tomber dans la ligne. Nous allons nous retrouver avec un ou deux méga assureurs et la même quantité de corporations hospitalières.
Ils deviendront «too big to fail" - alors quand ils le font, et ils seront, le gouvernement seront en attente dans les ailes pour saisir les rênes et les prendre en charge.
Et ça a été Obama et la vision de la gauche socialiste tout au long. Je me demande si ils pensaient que ce serait facile.
http://www.thedailysheeple.com/obamacare-is-saved-again-next-up-crony-corporatism_062015
Feds de travail Reason.com Editor pour Rat sur commentateurs
RépondreSupprimerJoshua Krause
Le Quotidien Sheeple
26 juin 2015
Je pense que nous savons tous comment fou la section commentaire de tout site Web peut obtenir. Si vous avez utilisé l'internet pour plus de cinq minutes dans toute votre vie, vous savez que l'anonymat crée un environnement où les gens peuvent dire ce qu'ils veulent; et parfois, les choses qu'ils disent peut être assez chauffé. Mais peu importe comment vindicatif, fanfaronne, ou de menacer un commentaire peut être, il est assez rare pour l'intervenant d'agir sur elle dans le monde réel.
Mais allez dire cela à la Cour de district des États-Unis pour le district sud de New York. Selon un éditeur pour Reason.com, ils ont été cités à comparaître par le tribunal après avoir publié un article sur la poursuite de Ross Ulbricht. Certains des lecteurs avaient dynamité la juge Katherine Forrest avec des commentaires comme, elle devrait être "prise à l'arrière et coup de feu» et «je l'espère, il est un endroit spécial dans l'enfer réservé à cette horrible femme" entre autres expressions colorées. La cour a ensuite essayé de forcer Reason.com de libérer toutes les informations qui permettraient d'identifier les intervenants "telles que les adresses IP, noms, e-mails et d'autres informations." Ils ont ensuite émis un ordre de bâillon, et n'a pas été autorisé à partager ce fait avec quelqu'un, ou même le fait qu'ils étaient sous le bâillon.
L'éditeur a depuis soutenu qu'aucun des commentaires étaient de vraies menaces, et que la réaction de la Cour a été complètement inutile. Il suggère même que le tribunal a émis l'assignation pour les punir de leurs analyses critiques de l'essai. Je ne voudrais pas mettre devant eux.
http://www.thedailysheeple.com/feds-force-reason-com-editor-to-rat-out-commenters_062015
La Grèce invoque Option nucléaire : Tsipras appelle pour l'organisation d'un référendum
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 26/06/2015 16:00-0400
Mise à jour : Greek PM Alexis Tsipras vient d'annoncer un référendum dans un discours télévisé à la nation après qu'une autre journée de grincheux négociations avec créanciers fermée sans un accord.
Le coup vient après que Athènes a rejeté une proposition de la troïka vise à garantir certains € 16 milliards dans l'aide à la Grèce dans le cadre d'une extension du deuxième programme de sauvetage du pays.
• TSIPRAS DE LA GRÈCE DIT CRÉANCIERS POSENT UN ULTIMATUM À GOVT
• TSIPRAS DE LA GRÈCE DIT PROPOSITIONS CRÉANCIERS SONT CONTRE LES RÈGLES DE L'UE
• TSIPRAS DIT CRÉANCIERS AFIN D'HUMILIER LE PEUPLE GREC
• TSIPRAS DIT APPELLERA RÉFÉRENDUM GREC DEAL AVEC LES CRÉANCIERS
• TSIPRAS GREC RÉFÉRENDUM SE TIENDRA LE 5 JUILLET
• TSIPRAS DIT QU'IL AVISÉ MERKEL, DRAGHI SUR LE PLAN DE L'ORGANISATION D'UN RÉFÉRENDUM
• TSIPRAS DIT QUE LA GRÈCE EST ET RESTERA UNE PARTIE DE L'EUROPE
• TSIPRAS DIT GRÈCE DOIT ENVOYER UNE RÉPONSE DÉMOCRATIQUE À L'UNION EUROPÉENNE
Protothema dit maintenant le Parlement grec se réunira le samedi et un référendum s'appellera dès la semaine prochaine. Si c'est simplement une tentative de dernière minute pour faire pression sur les ministres européens des Finances devant l'Eurogroupe du samedi réunion reste à voir, mais une chose est sûre : Tsipras joue un jeu dangereux avec la BCE avant une semaine difficile qui pourrait très bien voir l'imposition de contrôles des capitaux.
Plus de Kathimerini:
Le gouvernement envisage un référendum sur la substance de l'accord, selon des rapports récents, au cours de la réunion élargie qui se déroulera du vendredi soir au manoir Maximos. Le référendum devrait se tiendra dimanche prochain, alors que le premier ministre a déjà informé les responsables politiques. Le premier ministre après son retour de Bruxelles a convoqué le Conseil d'administration extraordinaire à la Mansion Maximos, qui, après 23:00, transformé en cabinet, en présence des ministres et des cadres pour discuter des derniers développements et les prochaines étapes en vue de l'Eurogroupe de demain.
Plus tôt:
Protothema rapporte que Tsipras a confié à un collègue fonctionnaire EU que si les créanciers du pays insistent pour s'en tenir à la pension et des lignes de TVA rouge et proposition d'extension de renflouement de vendredi (dont le gouvernement grec considère apparemment comme un pis-aller condescendant) est la dernière offre de la troïka, il est prêt à appeler à des élections anticipées.
Via Protothema (Google traduit) :
(suite en dessous:)
Les développements dramatiques de ces dernières heures, après le déménagement du gouvernement de rejeter la proposition des créanciers peut dissimuler la préparation à l'utilisation du verdict populaire, une décision qui devrait être finalisé dans les prochaines heures si les prêteurs ne se déplacent pas à partir de ses positions rigides. Selon des informations sécurisées protothema.gr, il y a quelques heures il premier ministre Alexis Tsipras européenne leader a confié à la zone euro membres pays adjacents de l'environnement en Grèce que les données sont à la hauteur de ce moment est même prêt à appeler à des élections anticipées.
RépondreSupprimerCette révélation de la pensée par le premier ministre grec au leader étranger peut être interprétée de deux façons : soit M. Tsipras est prêt « plan B » si demain la négociation échoue ou répandre délibérément afin d'exercer des pressions indirectes sur les prêteurs pour atténuer leurs exigences. À l'issue de la réunion M. Tsipras avec Angela Merkel et Francois Hollande, la partie grecque a révélé que le premier ministre a souligné aux dirigeants de l'Allemagne et la France qui ne comprend pas pourquoi les institutions insistent sur les mesures si difficiles. Le premier ministre a insisté pour sa décision de rejeter la proposition des créanciers pour une prolongation de cinq mois de l'accord existant avec un financement de 15,5 milliards d'euros. « La proposition ne couvre pas nous, car la partie financière d'à peine répond aux besoins pour le paiement des versements aux prêteurs, pas n'importe où ailleurs aider l'économie, » a souligné un proche collaborateur d'Alexis Tsipras et ajoute: "nous n'accepterons pas la proposition, comme nous l'avons dit, que nous attendions pour nous apporter une autre proposition demain. »
La Grèce a rejeté la proposition de prolongation des créanciers renflouement.
• GRÈCE A DÉCLARÉ REJETER EU15.5B SAUVETAGE EXTENSION PROPOSITION : ANA
Gov ' t #Greece rejette la proposition des institutions pour l'extension du programme & financement de 15,5 € bln (via @amna_news) #ec #ecb #imf #eurogroup
— Manos Giakoumis (@ManosGiakoumis) 26 juin 2015
* * *
Vendredi, l'Allemand presse signalé (et Bloomberg a confirmé plus tard) que les créanciers de la Grèce avaient présenté PM Alexis Tsipras hors-ligne (essentiellement un exposant les fonds disponibles suivants qui pourraient théoriquement être partie d'une autre extension du pays deuxième plan de sauvetage ou d'un tiers programme (avec le dernier ayant précédemment infirmée par les législateurs FMI et allemand). Les détails sont les suivants :
• Proposition de créancier de l'UE prévoit EU8.7b fonds FESF : officiel
• Proposition de créancier prévoit EU3.3b bénéfices des SMP : fonctionnaire EU
• Proposition de créancier prévoit EU3.5b dans les fonds du FMI: fonctionnaire EU
Tel qu'indiqué, si la Grèce reçoit € 3,3 milliards de bénéfices SMP, cela signifiera que la BCE a perdu de l'argent, il a fait sur les obligations grecques, elle a acheté dans le passé, permettant une Athènes à rembourser la Banque centrale avec son propre argent. Voici DB avec peu de couleur :
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Il peut y avoir une option de paiement plus rapide. EUR1.9bn de la tranche de EUR7.2bn au point mort est les profits SMP. Libérer ces fonds pourrait impliquer seulement une décision prise par les ministres des Finances sans nécessairement consulter les parlements. Décaissement des fonds du FESF, en revanche, exige le processus d'approbation nationales (par exemple, la décision conjointe par le ministre allemand des finances et le Comité du Budget, voire un vote en plénière complet). En d'autres termes, SMP bénéfices pouvaient décaisser à brève échéance. Ceux-ci seraient suffisants pour payer les EUR1.6bn envers le FMI mardi.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne les fonds FESF, il a longtemps été suggéré que recap fonds de la Banque pourraient être acheminé à Athènes dans les 'bonnes' circonstances et apparemment imminente par défaut est aussi bonne excuse que n'importe quel. Citi a plus sur les fonds de la FESF :
La proposition provisoire permettrait probablement de Grèce à utiliser une partie de la 10 €milliards de l'origine hellénique financière stabilité fonds (HFSF) désigné pour la recapitalisation des banques grecques et plus tard transféré à la FESF/mes. Plusieurs médias ont rapporté sur la possibilité que, autour de 9 milliards €, pourrait être utilisée pour des dépenses courantes, conformément à nos estimations des besoins en financement du souverain grec pour 3 q. Même si un accord unanime sera requis à bord du GER à réorienter les ressources de sa recapitalisation bancaire objectif, nous pensons qu'un accord est susceptible d'être découvert. L'octroi de ces fonds permettrait une extension du programme actuel pendant plusieurs mois, tout en donnant plus de temps pour les créanciers et les autorités grecques à conclure les négociations pour un troisième programme d'aide. Il pourrait également convaincre la BCE d'augmenter le plafond de bons du Trésor et le SSM d'élever le plafond de l'exposition des banques grecques pour leur souverain. Cependant, tout cela reste subordonné à l'approbation du paquet « provisoire » par le Parlement grec, ainsi que par les différents parlements nationaux (en Allemagne, les pays-bas et la Finlande entre autres).
La chancelière allemande Angela Merkel a imploré Tsipras d'accepter ce qu'elle appelle une offre « généreuse » et a été catégoriquement qu'un accord doit être conclu au moment où que le marché s'ouvre lundi, ce qui signifie en fait que les ministres européens des Finances vont devoir frapper un accord à la réunion de l'Eurogroupe de demain qui commence à 14:00, heure locale. "J'ai parlé aujourd'hui une offre très généreuse parce que nous avons simplement fait un pas vers la Grèce, également en ce qui concerne l'accord de février," Merkel a dit.
Dans le sillage des nouvelles de ce matin, la rhétorique de Tsipras durci uniquement avec le PM grec s'engageant à respecter les valeurs démocratiques sur lesquels était fondée l'euro et de ne pas accepter le « chantage » (qui est plutôt ironique, considérant Merkel dit exactement la même chose en ce qui concerne le grec jeudi) :
Document de propositions présentées à la partie grecque par les institutions est « pire qu'un mémorandum, » ANA reports, citant des responsables de gouvernement grec à Bruxelles.
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Premier ministre grec Alexis Tsipras affirme qu'il défendra les principes fondateurs de l'Union européenne de « démocratie, solidarité, l'égalité, le respect mutuel » qu'il cherche un accord avec les créanciers internationaux pour débloquer l'aide pour le pays.
RépondreSupprimer« Ces principes ne reposaient pas sur les chantages et ultimatum et surtout dans ces crucial fois personne n'a le droit de mettre en danger ces principes, » Tsipras raconte des journalistes à Bruxelles après un sommet européen
"Le gouvernement grec continuera avec détermination donner le combat en faveur de ces principes, de continuer à prêter la lutte au nom du peuple européen et, bien sûr, au nom du peuple grec," dit-il.
- voir graphique sur site -
Source #Greece négociations: « ne va pas bien... Grecs de faire marche arrière de manière significative. Mesures non crédibles. Ne sais pas si il y aura un accord"
— Ed Conway (@EdConwaySky) 26 juin 2015
Grandes préoccupations parmi les créanciers que grec mesures tous les deux sans ambition & croissance inamical. Def sera le document de l'Eurogroupe. Ne peut pas être accepté
— Ed Conway (@EdConwaySky) 26 juin 2015
Pour référence, voici une dégradation de la situation financière de ce que la Grèce (c'est-à-dire le déficit budgétaire) ressemble à l'avenir :
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-26/tsipras-rejects-ultimatums-says-wont-be-blackmailed
'L'astuce' consiste à dire 'REFERENDUM' et à l'écrire en gros car: c'est un signe de Liberté !
SupprimerOui mais... La question posée est: "Accepterez-vous la dictature d'Athènes ou celle de Bruxelles ?"
Choisissez. Cochez la case.
Elites Planification Fall Of America: "Cette réinitialisation est la prochaine étape dans le plan de centralisation économique totale et mondiale"
RépondreSupprimerBrandon Smith
25 juin 2015
Alt Market
Serons-Unis et l'UE Réduire indépendamment de «contagion» économique
Afin de comprendre ce qui se passe réellement dans le monde entier en termes de l'effondrement de l'économie, nous devons mettre de côté les fausses versions grand public de la réalité. Quand il vient à l'UE et ses turbulences financier actuel, il est très important de, à certains égards, la Grèce ignorer entièrement. C'est vrai; oublier tout le drame entourant supposée obligations de la dette grecque. Vont-ils trouver un moyen de payer les créanciers? Vont-ils défaut? Vont-ils faire un accord avec la Russie et les BRICS? Il y aura des concessions de dernière minute pour sauver le système? Peu importe. Il est tout un soap opera, un théâtre Kabuki complexe géré par des financiers et des mondialistes internationales.
Il est très important de se rappeler les fondamentaux. La Grèce fasse défaut sur ses dettes. Période. Il n'y a pas moyen de contourner cela. Peut-être que la Grèce fait une affaire d'aujourd'hui, peut-être il fait une affaire de demain; mais finalement, la capacité du pays à étirer ses ressources afin de répondre à ses engagements exponentielles se terminera. Il est inévitable, et pas la dernière minute "deal" va changer le calcul au cœur de tout cela.
Pourquoi tant de nombreux économistes si inquiet au sujet d'un petit pays comme la Grèce? Tout cela est dû à un grand mensonge: un récit malhonnête est perpétuée par la mise en place que si la Grèce tombe, par défaut ou quitte l'UE, ce qui pourrait déclencher un effet domino des autres nations de frapper un mur de la dette et emboîtent le pas. Le mensonge embarqué dans ce récit est la revendication que la Grèce va provoquer une «contagion» à travers l'acte de défaut de paiement. Soyons clairs - il n'y a pas de contagion. Plusieurs pays de l'UE ont développé leurs propres problèmes de la dette, en dépit de la Grèce au cours des deux dernières décennies, pas à cause de la Grèce. Chacun de ces pays, de l'Italie, à l'Espagne, au Portugal, etc. a ses propres catastrophes de la dette souveraine pour faire face aux causée par sa propre irresponsabilité fiscale. La seule raison légitime pour une contagion dite est le fait que ces pays ont été contraints à l'interdépendance socialiste à travers la structure de l'UE.
Ne jamais oublier ceci: L'UE est en difficulté non pas parce que la Grèce, mais en raison de l'interdépendance supranationale forcé. L'UE par tous les droits ne devrait pas exister, ni ne doit tout système de monnaie unique supranationale centralisée.
Je voudrais également souligner que les institutions mondialistes comme le Fonds monétaire international sont très motivés pour lancer la catastrophe dans l'UE, malgré les hypothèses de certaines personnes que l'UE est une sorte de modèle représentatif de la mondialisation. Ce n'est pas. Si tel était le cas, alors le FMI ne serait pas stiffing Grèce sur l'aide de la dette tout en continuant à aider l'Ukraine, malgré l'incapacité même de l'Ukraine à payer.
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Pourquoi les mondialistes veulent une rupture partielle de l'UE? Que feraient-ils gagner d'un tel événement? C'est facile; ils gagnent crise, le chaos et l'occasion de présenter une fausse dialectique.
RépondreSupprimerL'Europe ne sont pas du tout représentatif de ce mondialistes veulent vraiment en termes de structure économique et politique, peu importe ce que beaucoup de gens supposent. Il est un lieu, une sorte de fac-similé; une demi-mesure. Quand l'Europe touche le fond de l'abîme financier et le public perplexe commence demandant ce que l'enfer est arrivé, les élites seront là avec une explication immédiate. Ils prétendent qu'il n'y avait pas de l'interdépendance de l'UE qui était le problème. Au lieu de cela, ils vont affirmer que l'UE a été effectivement pas centralisée ASSEZ. Ils prétendent que, pour une économie et la monnaie supranationale à travailler, nous devons aussi avoir une gouvernance supranationale. En d'autres termes, le système a échoué car elle doit être stabilisée par le gouvernement mondial.
Les socialistes fabiens diront qu'il était l'institution barbare et jour de la souveraineté nationale qui a provoqué la crise à spectre complet. Ils seront complètement gommer les effets négatifs d'un système économique solidaire et le fait que le manque de redondance laisse cultures minaudant et impuissant. Nous sommes tous un grand village humaine après tout, alors nous devons accepter l'idée que nous tous qui réussissons ou échouons ensemble. Les marchés libres et l'innovation individuelle ont apparemment rien à voir avec une structure économique prospère. Qu'est-ce que nous avons vraiment besoin est un amalgame ruche de l'esprit que nous tous se transforme en pièces facilement remplaçables dans une tondeuse à gazon grondement massif qui mâche notre patrimoine, l'histoire et les principes pour le bien de quelque arbitraire plus grand bien et la promesse de villes alchimiques flottant dans le ciel où personne n'a plus à travailler.
La chute de l'Union européenne est un moyen pour une fin pour les mondialistes. Il n'y a presque aucune nation ou institution qu'ils ne sacrifieront pas si ce sacrifice ne peut être exploitée afin de poursuivre leur objectif de domination politique et économique mondiale totale. Ils ne veulent pas seulement un système complètement centralisé; ils veulent nous tous de les supplier de mettre ce système en place. Ils veulent que les masses pensent tout était notre idée. Ceci est la forme la plus répandue et efficace de l'esclavage, quand les esclaves sont manipulés en exigeant leur propre asservissement. Quand les esclaves sont trompés en croyant que leur asservissement est quelque chose d'être fiers de - un insigne d'honneur en service du collectif, si vous voulez.
La chute des États-Unis ne sera pas différent à cet égard. Nous ne devons pas nécessairement une structure supranationale comme l'UE. Donc, notre récit de l'effondrement sera légèrement différente, et la leçon d'ingénierie que nous sommes censés apprendre sera soigneusement élaboré.
Vous voyez, les Américains sont censés jouer le rôle des impérialistes gâtés qui obtiennent finalement ce que nous méritons, un poinçon économique dans nos parties tendres. Nous sommes la nouvelle Rome, pain et des jeux et tout. Et quand les Etats-Unis vient écraser comme l'Europe, les fabiens qu'il y aura encore d'avertir les avidité inhérents à la souveraineté nationale et les aspirations destructeurs de pouvoir qui doit être écrasée par un système politique mondial plus impartiale. Je ne sais pas vraiment combien de gens là-bas savent cela, mais nous sommes censés jouer les méchants dans le théâtre mondial est mis sur pied par les élites. Les Américains sont les méchants, le reste du monde joue le rôle de la victime innocente, et des centres mondialistes comme le FMI et la BRI sont destinés à jouer les héros, venir à la rescousse de l'humanité quand tout semble perdu.
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Notre génération de la dette de loin outmatches celle de l'ensemble des pays de l'UE combinés, d'un fait, je décrit dans la partie 3 de ma série One Last Look At l'économie réelle avant qu'il implose. Contrairement à la Grèce, même si, aux États-Unis a la possibilité d'imprimer directement fiat à volonté afin de prolonger punition pour nos dépenses de dette massive. Cependant, comme nous l'avons vu avec les réactions du marché ces dernières à la notion même d'une hausse des taux d'intérêt par la Réserve fédérale en Septembre, un tel événement va déclencher de vastes sorties des marchés boursiers et annoncer la fin de la «nouvelle normalité». Encore une fois, pourquoi seraient les banksters faire cela? Pourquoi ne pas maintenir les taux d'intérêt à un proche de zéro constante? Il est pas comme si il n'y a aucune pression publique à relever les taux; en fait, il est tout le contraire. Pourquoi la Fed ignore les centaines de signaux montrant que les États-Unis sont en récession et poussant de l'avant avec la discussion des hausses de taux d'intérêt, malgré ce que l'on pourrait logiquement conclure serait dans le meilleur intérêt de la Fed?
RépondreSupprimerLa Fed sait que les seules choses de soutènement des marchés américains sont de l'argent gratuit et foi aveugle par le public que les banques et le gouvernement vont agir pour faire cesser toute douleur ou souffrance économique, si un tel potentiel de crise devait survenir. Lorsque l'argent gratuit est parti et que la foi disparaît, alors nous aurons une catastrophe épique sur nos mains. Les mondialistes au sein de la Fed le savent, et ils veulent que cela - au moins, ils veulent une version contrôlée de cette. Les élites ont besoin de la chute du système américain actuel exactement parce que cela va faire place à la montée de ce qu'ils appellent souvent le «grand réinitialisation économique." Cette réinitialisation est la prochaine étape dans le plan de centralisation économique mondiale totale.
On ne parle pas la contagion. Il n'y a pas une telle chose. Il est une excuse, un bouc émissaire destiné à détourner l'attention du vrai problème. Cela représente environ un effort concerté au cours des dernières décennies par les internationalistes de manœuvrer les cultures occidentales dans une position de vulnérabilité. Quand les gens sont faibles et effrayés, ils deviennent malléables. Les changements sociaux que vous auriez jamais cru possible aujourd'hui deviennent très possible demain dans le milieu d'une crise. Je crois que nous voyons maintenant le début de la prochaine grande crise, et les fondamentaux de l'économie soutiens mon avis. Lorsque l'ensemble du système européen pend par le fil de la dette grecque et le système américain entières se bloque par le fil de près de zéro taux d'intérêt et la foi aveugle du marché, quelque chose est sur le point de se briser. Il a pas de retour d'une telle condition. Il ya seulement la voie à suivre, et la voie à suivre est pas agréable ou confortable et il ne peut pas être ignoré.
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Nous ne pouvons pas oublier que la crise est en soi une distraction ainsi. Quelle que soit la douleur que nous faisons sentir demain, ou le lendemain, ou la prochaine décennie, rappeler qui il était à l'origine de tout cela: les banques internationales et leurs homologues politiques mondialistes. Peu importe ce qui arrive, ne jamais être prêt à accepter un système centralisé. Peu importe la façon raisonnable ou rationnelle cela puisse paraître dans la terreur d'incertitude financière, ne jamais donner la bête ce qu'il veut. Refuser de se conformer à la dialectique. Ceci est la seule chance que nous avons laissé revenir à la vraie prospérité. Une fois que nous traversons la ligne dans le domaine de l'interdépendance dans le monde entier institutionnalisé, nous ne saurons jamais à nouveau la prospérité ou de la liberté.
RépondreSupprimerhttp://www.shtfplan.com/headline-news/elites-planning-fall-of-america-this-reset-is-the-next-stage-in-the-plan-for-total-global-economic-centralization_06252015
Que se passerait-il en cas de discute ?
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 26/06/2015 20:05-0400
Soumis par Pieter Cleppe, du think tank indépendant Open Europe à Bruxelles
Que se passerait-il en cas de discute ?
Afin d' "aider" la Grèce, depuis 2010, nous avons vu des transferts fiscaux et intervention étrangère dans ses politiques économiques nationales. La dette de la Grèce au PIB avoisine maintenant 180 % au PIB, tandis que beaucoup de l'argent de renflouement a simplement servi à renflouer les banques, comme Open Europe déjà averti en 2012.
Maintenant, un certain nombre de responsables politiques veut essayer quelque chose de nouveau : un grec sortent de la zone euro. L'un d'eux est Christian von Stetten, membre du Parlement de l'Allemagne et de la CDU de Merkel. Il Etats ce que la majorité des Allemands croient devrait arriver: "l'expérience avec les Grecs dans la zone euro, qui ne veulent pas mettre en oeuvre des réformes, a échoué et doit prendre fin". Il ajoute qu'il est en faveur de fournir "plusieurs milliards" dans la prise en charge donc la Grèce peut faire la transition sur sa propre monnaie.
Aux termes des présentes, j'explore ce qui se passerait si la Grèce devait quitter la zone euro, à travers un fudge juridique.
1. par défaut
Si la Grèce ne serait pas avoir déjà manqué avant elle introduirait une nouvelle monnaie, discute rendrait pratiquement certain que le pays serait par défaut. Il n'est pas sage de prendre un crédit considérable dans une devise étrangère, mais c'est ce que la Grèce a fait depuis 2001, où elle est entrée dans la zone euro. Si la Grèce introduirait une nouvelle monnaie, qui ensuite probablement perdraient valeur contre l'euro, elle devra encore rembourser sa dette en euro, dont woud apprécier en valeur par rapport à la drachme de nouveau, ce qui rend cette tâche encore plus difficile.
Si la Grèce serait seulement rembourser ce qu'elle doit à une monnaie nouvelle, dévaluée, cela serait considéré un défaut. En conséquence, le gouvernement grec serait confrontés à des taux d'emprunt plus élevés à l'avenir. En théorie, le fait qu'il ne serait pas être alourdi par un endettement excessif de 180 % au PIB peut servir comme un facteur, dans la lutte qui donnant la situation financière du gouvernement se présenterait plus rose. Mais cela ne tient pas compte le second aspect de discute, que j'aborderai ensuite.
(suite en dessous:)
2. le système bancaire grec serait coupé du canal d'argent bon marché de la BCE, avec vraie austérité à suivre
RépondreSupprimerUn défaut soulagerait seulement la Grèce de son fardeau de la dette publique extérieure excessive, pas de l'exposition, qu'il faut que son système bancaire. Près de la moitié du "capital" dans les quatre plus grandes banques grecques consiste vraiment "actifs d'impôt différé" ou remises sur factures d'impôts futurs. Lorsque les banques ne tirer aucun bénéfice, ils ne profiter de ces rabais.
Moody a estimé que, à la fin du mois d'avril, 32 % du total des actifs des banques grecques sont dérivées de financement de la Banque centrale. Il s'agissait de 12 % en septembre et mettez-le à près de 50 % les estimations aujourd'hui., avec les dépôts bancaires à leur plus bas niveau en 11 ans, au-dessous de 130 milliards d'euros. Comme grecs retirent les dépôts de leurs banques, à l'aide de l'argent pour acheter des biens durables comme les voitures, dont les ventes ont augmenté, la BCE toujours assure banques grecques profiter d'une liquidité suffisante, en permettant à la Banque centrale grecque créer d'euros elle-même à travers le système de « assistance d'urgence de liquidité » (ELA), qui ne devrait être autorisée à soutenir les banques solvables. Quelque 5 milliards d'euros a été retiré de banques grecques la semaine dernière, avec la course en cours Banque forçant la BCE de décider de l'augmenter ou maintenir l'ELA-bouée de sauvetage pour les banques grecques quotidiennement maintenant.
L'ELA les prêts aux banques grecques sont en théorie un risque pour la Banque centrale grecque et non pour la BCE, mais bien sûr tout nouvel euro qui ne serait pas ont été créée dans des circonstances « normales » réduit la valeur du stock existant d'euros, soit un transfert à ceux qui s'est retiré de l'argent. Aussi ceux qui ne se retirent pas inutile au désespoir, comme une sortie euro grec signifierait un cadeau d'adieu pour l'économie grecque, une « dot », comme l'a dit l'économiste allemand Hans-Werner Sinn. Avec une Europe ouverte, nous avons déjà averti en mars qu'un bankrun peut conduire à la zone euro pour soutenir les contrôles de capitaux, afin d'arrêter cela. Dans un seul veut savoir ce qui se passerait si chaque banque centrale dans la zone euro ne serait ce que fait la Banque centrale grecque, c'est peut-être intéressant de jeter un oeil à la éclatement de la zone Rouble.
ELA n'est pas la voie ordinaire à la BCE aux banques grecques de douche de liquidités. La manière normale de faire des affaires est pour les banques grecques à fournir à la BCE - fragile - garanties, comme la dette publique grecque, en échange d'argent. En conséquence, la BCE a été mise en place importante exposition à la Grèce à travers le système de paiement "Target 2" ce qu'on appelle, ce qui le rend encore moins attrayante pour aller pour discute.
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Ce qui est important, la BCE a annoncé en février il – enfin - n'acceptera plus la dette publique grecque comme garantie, obligeant les banques à leur dernier recours - Assistance de liquidité d'urgence. La BCE impose également une remise sur le bien grevé Posté par banques grecques d'obtenir leur ELA d'argent de la Banque centrale grecque - rend plus difficile pour les banques obtenir l'argent. La BCE coupera le financement pour les banques grecques, si la Grèce est par défaut ? Un initié, cité par Reuters, semble croire, disant que "si la Grèce déclarée par défaut, tout changerait. Il serait très difficile pour la BCE d'autoriser le financement avec garantie d'un débiteur en défaut. »
RépondreSupprimerPour faire une histoire courte : quand un pays entre dans la zone euro, l'accès à la fourniture d'argent bon marché de la BCE est sans aucun doute un des éléments plus importants de la zone euro membres. Que cet argent bon marché pourrait un jour être utilisé par la BCE d'exercer une influence politique, peut être confirmé par l'ancien PM italien Silvio Berlusconi, qui a été renversé par la capacité de la BCE pour influer sur les taux d'emprunt de l'Italie, selon certains. La BCE maintenant aussi utilise pour pression Grèce en s'inclinant à ses demandes, comme il l'a fait à Chypre et en Irlande. Peut-être Paul Krugman ne peut pas d'accord avec elle, mais dans le monde réel, il n'y a rien de tel qu'un déjeuner gratuit.
Après l'euro-adhésion - ou en fait puisqu'il est devenu clair qu'ils rejoindraient la zone euro, compte tenue de l'attente effet-grec, italien, Français, belge, espagnol et irlandais des banques ont été soudainement inondés d'argent bon marché, alors qu'auparavant ils ont affronté des taux d'intérêt plus élevés. En conséquence, les investissements ont été prises qui n'aurait autrement pas été fait, avec des distorsions économiques très importantes en conséquence. Dans le cas de la Grèce, en Italie et en Belgique, une grande partie de l'argent est allé au public dépenses. Dans le cas de l'Irlande et l'Espagne, il est allé et insoutenable des dépenses privées, se retrouver dans une bulle immobilière gigantesque et buste, taux très élevé d'endettement privé et systèmes bancaires brisées qui n'ont que partiellement été nettoyés. La BCE pourrait avoir partiellement contrée, par exemple en desserrant pas progressivement collatéraux de prescriptions pour les banques d'obtenir des liquidités de la BCE au cours des années depuis 2008, mais à la fin de la journée, c'était inavoidable.
Si la BCE serait coupée ou limiter le financement pour les banques grecques jusqu'au point où la course de la Banque ne pouvait pas être traitée, on appellerait un jour férié. Les banques grecques seraient restructurés. Actionnaires perdrait tout, à l'instar de créanciers obligataires, et déposants perdraient soit une partie de leurs dépôts ou elles recevraient en monnaie grecque dévalué. Les solutions de monnaie parallèle peuvent être essayé, sauvetages de transition peuvent être donnés, mais en fin de compte la partie de l'argent bon marché serait plus.
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La plupart des analystes de discute sont préoccupés de comment ce « Corralito », comme un épisode similaire en Argentine en 2001-2002 a été surnommé, jouerait, mais qui n'est même pas l'aspect le plus risqué de discute.
RépondreSupprimerL'État grec, fortement tributaire de la BCE, par l'intermédiaire du système bancaire grec, ne serait pas en mesure de payer les salaires et les pensions plus. Licenciements des fonctionnaires, coupes dans leurs salaires à des niveaux de style balkanique, ou les deux, deviendrait nécessaires, si Syriza survivrait au pouvoir ou non. Pour prédire que cela n'arrivera jamais sans protestations très graves n'est pas difficile. Mais selon la taille des plans de sauvetage de transition, il serait possible d'aplanir ce processus au fil du temps. Ceux qui se soucient vraiment de mettre fin au système clientéliste en Grèce, à laquelle Syriza peut prendre part, doivent se réjouir. De la même manière que la Géorgie a réussi à réduire l'altération de l'État et de stimuler la croissance économique en réduisant le nombre de travailleurs de l'Etat de 50 % et réduisant le rôle de l'Etat dans l'économie, la Grèce peut atteindre le même succès. Pourfinir grec accès à de l'argent bon marché de la BCE, canal peut ne pas être une condition suffisante pour ce faire, mais c'est sans doute une condition nécessaire. Taux d'intérêt élevés garantirait que les hommes politiques grecs ne serait plus en mesure d'imposer leurs citoyens avec toujours plus de dette.
3. la dépréciation de la monnaie de grec du nouveau
Comme l'a expliqué, le principal problème de l'adhésion de la Grèce à la zone euro n'était pas tellement le fait qu'elle avait une monnaie surévaluée, mais plutôt que l'euro a servi comme une machine de l'endettement massif du pays. Pourtant, le pays a fait perdre beaucoup de compétitivité, qui contribuent à l'incapacité de servir sa créance, après son entrée dans l'euro. On doit donner crédit de la Grèce pour avoir rétabli partiellement la compétitivité, grâce à la réforme du marché du travail, passant de 48 personnes dans le rapport Doing Business de la Banque mondiale entre 2010 et 2015. Étant donné que la monnaie serait perdre de valeur, peuvent bénéficier des secteurs économiques comme le tourisme, mais cet effet est déjà partiellement réalisé par les efforts pour parvenir à une « dévaluation interne ».
Il est à noter que l'introduction d'une nouvelle monnaie pourrait bien échouer. Cela est arrivé en Equateur, conduisant le pays à adopter le Dollar américain comme monnaie. Monténégro et le Kosovo utilisent déjà l'euro comme monnaie, sans leurs banques ayant accès au canal argent bon marché de la BCE. Si la BCE coupe des banques grecques, la Grèce va devenir comme le Monténégro. Le bon côté est que politiciens alors ne sera pas en mesure d'abuser de l'imprimerie pour financer les dépenses de l'Etat. La mauvaise partie est que la Grèce aurait besoin à dépendre de ces politiciens pour restaurer la compétitivité. Si la Grèce aurait sa propre monnaie, les investisseurs pourraient juste les vendre dans le cas où la compétitivité du pays serait en difficulté. Cela appauvrirait les Grecs, mais il ferait aussi moins cher d'embaucher. Il rendrait moins cher d'aller en vacances en Grèce. C'est vraiment un compromis alors : devenir comme le Monténégro ou la Turquie.
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4. (long terme) Contagion
RépondreSupprimerLe processus d'introduction d'une nouvelle monnaie peut en théorie partit de contagion immédiate : la Banque exécute au Portugal, plus élevée pour l'Italie, les taux d'emprunt. Toutefois, la BCE peut simplement imprimer de l'argent pour renflouer les banques portugaises et de manipuler les taux d'emprunt souverain, par le biais de QE ou autres instruments divers.
Un risque plus probable est la contagion à long terme. Discute créerait un précédent. Après discute, une fois qu'un autre État de la zone euro pourrait avoir des ennuis, beaucoup plus d'argent peut être nécessaire pour assurer que le pays allait rester dans, pour le Portugal de l'exemple. Cela peut rendre moins probable que les pays de la zone euro seraient renflouer de Portugal, à son tour augmenter l'attention à l'Italie et l'Espagne, les chances d'une zone euro complete éclatement.
En revanche, renflouer la Grèce une fois de plus aussi vient à un coût. Il s'enhardit ces populistes dans les pays comme Portugal et Espagne qui sont hostiles aux cordes attachaient au renflouer leurs pays ont reçu ou continuent de bénéficier indirectement, par l'intermédiaire de canal argent facile de la BCE. Cela peut à son tour rendre les États plus riches de la zone euro, comme l'Allemagne, moins désireux de fournir des plans de sauvetage plus. Il accroît les risques d'un éclatement de la zone euro.
Conclusion :
Peu importe si on pense à la zone euro devrait être brisée ou non : si il ne peut survivre que par le biais de transferts continues, États se mêlant dans uns et des autres politiques nationales choix, ce qui les souches des relations bénéfiques une fois entre les pays européens, il peut être pas telle une excellente idée de poursuivre avec elle. Ceux qui croient que tout peut tourner tranquille, si seulement nous faire plus de quelques transferts, ont tenté pendant cinq ans. Il y n'aura aucun calme dans une union de transfert qui n'a pas d'unité politique suffisante. Mais peut-être l'euro peut-il survivre, sans transferts. Ceux qui croient, et je doute qu'ils avez raison, essayez maintenant discute pour prouver leur point.
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-26/what-would-happen-case-grexit
En Grèce, la panique bancaire se poursuit...
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
25 juin 2015
Le journal Le Monde affirme qu’en Grèce, la panique bancaire se poursuit, et qu’au cours de la semaine dernière, près de 5 milliards d’euros auraient quitté les banques grecques pour être placés de préférence en Allemagne.
Lundi 22 juin, on a enregistré 1,5 milliard d’euros de retraits, et le vendredi précédent, ceux-ci avaient même culminé à 2 milliards d’euros. Les fuites de capitaux cumulées depuis janvier 2010 atteignent 80 milliards d’euros.
Les Grecs redoutent les conséquences d’un « Grexit », c’est-à-dire d’une sortie de la Grèce de la zone euro, qui serait accompagnée d’un retour de la drachme, probablement très dévaluée. Elle aurait pour effet d’éroder leur épargne, et c’est pour se prémunir contre ce risque qu’ils retirent leur argent de leur banque, les plus pauvres pour le conserver en espèces chez eux, et les plus favorisés, pour le placer à l’étranger.
Les flux correspondants entre la Grèce et les différents Etats-membres de la zone euro sont visibles au travers du système de paiement appelé « Target 2 », qui gère les règlements des transactions des banques centrales, et ceux des banques commerciales avec leur compte ouvert auprès de la banque centrale de leur pays. Actuellement, le compte de la banque centrale grecque dans le système « Target 2 » présente un déficit de 110 milliards d’euros, un record. A l’automne 2014, ce découvert ne s’élevait encore « qu’à » 40 milliards d’euros.
Les mouvements de fonds les plus fréquents sont opérés à destination de l’Allemagne, puis de la France, des Pays-Bas, du Luxembourg, mais aussi vers le Royaume-Uni. Parfois, ces transferts sont la première étape vers un investissement dans des actifs à l’étranger, souvent dans le domaine de l’immobilier.
Le rythme de ces fuites de capitaux n’est pas sans poser un grave danger pour le système bancaire grec, et pour cette raison, il est l’un des enjeux les plus cruciaux de l’issue des négociations de la Grèce avec ses créanciers, et de la façon dont elle pourra se sortir de cette crise, comme l’a analysé une source proche des autorités de régulation européennes :
À ce niveau, ces transferts d’argent sont dangereux pour le système bancaire. Le contrôle des capitaux devient une option à étudier très sérieusement ».
http://www.express.be/business/fr/economy/en-grece-la-panique-bancaire-se-poursuit/214258.htm
L'Amérique est une bête agitant dangereuse
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 26/06/2015 17:45-0400
Soumis par John Chuckman via ConsortiumNews.com,
Quand je pense de la place de l'Amérique dans le monde aujourd'hui, l'image qui vient à l'esprit est d'un très gros animal, peut-être un éléphant énorme taureau ou même préhistorique mammouth, qui a longtemps erré comme le roi incontesté de son domaine mais a piégé par ses propres erreurs, comme pris dans une fosse à goudron ou des sables mouvants, et il est violemment agitant sur , faire un terrifiant bruits dans ses efforts pour se libérer et de rétablir son autorité.
Tout observateur sait immédiatement l'animal en fin de compte ne peut pas réussir, mais certainement est effrayé par le bruit et de s'écraser qu'il peut subir pendant un temps considérable.
Je pense que c'est la métaphore assez précise de la situation aux Etats-Unis aujourd'hui, encore une société terriblement grande et puissante, mais on se retrouver pris au piège après une longue série de ses propres fautes et erreurs, une société certaine finalement devenir diminuée dans son prestige et le pouvoir relatif avec toutes les difficultés qui qui entraînera pour un peuple arrogant, ayant une foi aveugle dans leur propre justesse.
L'Amérique ne peut pas simplement accepter ses erreurs, ou qu'a toujours eu tort, américanisme beaucoup ressemble à une religion fondamentaliste dont les membres sont incapables de reconnaître ou d'admettre qu'ils ont suivi jamais autre chose que le plan divin.
L'Amérique a fait une série coûteuse d'erreurs au cours du dernier demi-siècle, démontrer aux autres que l'Amérique, ils ont pu dans la crainte de dans, disons, 1950 et peuvent avoir considéré presque divine et incapable d'erreurs, s'est révélée maintenant incontestablement dans le champ après champ, comme souvent, pas même capable de gouverner lui-même. L'ironie d'un peuple qui est considéré comme souvent incapables de se gouverner eux-mêmes d'autres conseils comment gouverner eux-mêmes apporte une note distincte de l'absurdité de la politique étrangère américaine.
Mise en place de l'Amérique, se sentant sa supériorité facile ancienne dans le monde commence à échapper à une centaine de façons différentes, semble déterminé à montrer à tous qu'il a encore ce qu'il faut, bien décidé à faire d'autres sentir sa force, déterminé à affaiblir d'autres à l'étranger qui n'acceptent pas de sa supériorité naturelle, déterminée à s'emparer par brute force et tordus les avantages qui viennent n'est plus à elle par une performance supérieure tout simplement.
Plutôt que d'apprendre de ses erreurs et ajuster ses hypothèses délirantes, Amérique est déterminé à pousser et plier les gens partout dans le monde à sa volonté et l'acceptation de son leadership. Mais vous ne pouvez pas récupérer leadership authentique une fois que vous avez été assez exposés fois dans vos jugements erronés, et il est clair que vous êtes sur le déclin, tout comme vous ne pouvez pas une fois que d'autres se rendent compte qu'ils peuvent faire beaucoup de choses aussi bien ou mieux que vous.
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En fin de compte, les politiques qui ne reconnaissent pas les faits scientifiques sont condamnés. Politiques fondées sur les souhaits et l'idéologie ne parviennent pas à long terme, à moins, bien sûr, vous êtes prêt à supprimer tout le monde qui est en désaccord avec vous et exiger leur respect sous la menace. L'obligation pour un État impérial dans une telle situation est un comportement international qui ressemble le comportement interne d'un dirigeant autocratique tels que Staline et dès maintenant, qui est précisément où va aux États-Unis.
RépondreSupprimerPersonnalité de Staline avait un certain degré de paranoïa et aucune patience pour les points de vue des autres. Il se sentait constamment menacé par des concurrents potentiels et il a utilisé la terreur systématique pour garder tout le monde intimidé et unifiée sous lui.
Croyance sincère de Staline dans un système économique défectueux qui était condamné depuis sa naissance le placent dans une position similaire à celle des oligarques de l'Amérique aujourd'hui. Ils ont un système impérial de monde qui vient en plus de la souche et défi parce que d'autres sont de plus en plus et ont leurs propres besoins et l'Amérique n'a pas la souplesse pour s'adapter à eux.
Les oligarques de l'Amérique ne servent pas à écouter les opinions des autres. Croyance de Staline dans un système qui était plus une idéologie qu'un modèle économique cohérent est mis en parallèle par les préceptes quasi-religieuse de l'américanisme, un ensemble de croyances qui estime que l'Amérique est particulièrement béni par le créateur et toutes les choses bonnes et grandes sont simplement son dû.
Domination sur la terre ?
Américanisme blurrily suppose promesse que Dieu est dans l'ancien Testament que homme doit avoir la domination sur les créatures de la terre s'applique maintenant uniquement aux américains. Cette pensée a surgi au cours de nombreuses années de supériorité facile, une supériorité qui était moindre en raison des mérites intrinsèques de la société américaine qu'à un ensemble de circonstances fortuites, beaucoup d'entre eux sont maintenant disparu.
Au Vietnam, l'Amérique a gaspillé d'innombrables ressources courir après une chimère ses idéologues a insisté importait mortelle, sans jamais reconnaître les faiblesses fatales intégrée à communisme depuis sa naissance. Le communisme était vouée par la suite à l'échec à cause des mensonges économiques qui faisaient partie de sa conception, autant qu'un enfant né avec certains défauts génétiques est destiné à la mort éventuelle.
Course folle de l'Amérique pour combattre le communisme sur tous les fronts était en accord avec le fanatisme de la Religion civique de l'Amérique, mais il était un jugement pratique énorme et stupide qui a gaspillé les ressources colossales.
Au Vietnam, l'Amérique s'est terminé en quelque chose proche de honte totale – littéralement vaincu sur le champ de bataille par ce qui semblait être un adversaire sans conséquence, ayant également coulé côté traditionnel des valeurs éthiques dans le meurtre de grandes masses de ceux qui ont jamais menacé aux Etats-Unis, meurtre sur une échelle (3 millions) comparable à l'Holocauste.
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Les États-Unis ont employé des armes et techniques d'un caractère sauvage : napalm, bombes à fragmentation et des programmes de terreur massive secret. La sauvagerie déchirée dans le tissu social de l'Amérique, divisant la nation presque aussi mal que la guerre civile une fois eu. L'Amérique a pris fin réduit et épuisés à bien des égards et payé ses factures énormes avec une monnaie dévaluée.
RépondreSupprimerVietnam suivant, il vient d'être une calamité après l'autre révélant l'incapacité même destructrice pour gouverner, la même pensée gouvernée par le fanatisme, jusque dans le financier 2008 d'effondrement qui a été causé en ignorant une gestion financière saine et fondamentalement instituant un système d'avidité illimité. Le monde entier a été tassé et blessé par cette bêtise dont toutes les conséquences sont déroulent loin.
Les guerres en Afghanistan et en Irak ont été complètement inutiles, coûtent des sommes énormes, provoqués l'immense misère et rien ne vaut la réalisation atteint. Nous savons maintenant ce qui était tenu caché, que plus de 1 million d'irakiens sont morts dans une invasion basée entièrement sur le mensonge. Ces guerres définir également déclencher des changements dont les effets à long terme n'ont pas encore à se faire sentir. Irak, par exemple, a peu près ses Kurdes, région productrice de pétrole défaisance comme un État séparé.
Une mauvaise manipulation de Russie
Approche primitive de l'Amérique à l'effondrement de l'URSS, son triomphalisme pure et une insuffisance de considérer la Russie comme suffisamment important pour aider ou permettant de coopérer, a ignoré les intérêts à long terme de l'Amérique. Après tout, les russes sont un grand peuple avec beaucoup de cadeaux, et il était inévitable qu'ils allaient revenir d'une dépression après l'effondrement de revendiquer leur place dans le monde.
Alors, comment les gens qui dirigent les Etats-Unis maintenant traitent une Russie prospère et en pleine croissance, une Russie qui tend la main de façon économique l'homologation traditionnelle pour la coopération et le partenariat dans le commerce et les projets ? La Russie a adopté le libre-échange, un concept Qu'américains claironné pendant des années chaque fois que c'était à leur avantage, mais maintenant pour la Russie est considéré comme sombre et sinistre.
Ici, l'Amérique bat la puissance inévitable des forces économiques, quelque chose de semblable à la lutte contre la marée ou le vent et seulement pour le bien de sa domination continue d'un autre continent. Américains essaient désespérément d'arrêter ce qui peut être appelé uniquement des arrangements économiques naturels entre la Russie et l'Europe, naturel parce que les deux parties ont de nombreux services, de biens et marchandises pour le commerce au profit de tous. Mise en place de l'Amérique veut couper les repousses saines et en permanence à établir sa primauté en Europe même si cela n'a rien de nouveau à offrir.
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Interprétation délibérément malhonnête de l'Amérique de réponse mesurée de la Russie à un coup d'État induit en Ukraine est utilisée pour générer un sentiment artificiel de crise, mais malgré les pressions que l'Amérique est capable d'exercer sur l'Europe, nous sentir ne va que jusque l'Europe le long pour éviter une querelle publique et uniquement pour aussi longtemps que les coûts ne sont pas trop élevés.
RépondreSupprimerLes dirigeants plus intelligent en Europe reconnaissent que les États-Unis fait mais ne veulent pas s'affrontent ouvertement, bien que la création de l'accord de Minsk est venue assez proche un refus poli de la demande de l'Amérique pour tactique inflexible.
Le coup d'Etat en Ukraine était destiné à mettre un gouvernement hostile dans le contrôle d'un tronçon long de la frontière russe, un gouvernement qui pourrait coopérer en matière militaire américain et qui servirait comme un irritant à la Russie. Mais vous n'obtenez de bons résultats avec malveillance.
Jusqu'au coup d'État a servi seulement à mal l'économie de l'Ukraine, la sécurité et les intérêts à long terme. Il a un gouvernement qui est largement considéré comme incompétent, un gouvernement qui fomente inutile guerre civile, un gouvernement qui pourrait avoir abattu une avion de ligne et un gouvernement dans lequel personne, y compris en Occident, a beaucoup de foi.
Ses finances sont dans la tourmente, ancien important nombre de connexions économique est rompu, et il n'y a aucune grande volonté de l'Europe, en particulier l'Europe troublée sur le plan économique, pour l'aider. Il n'est pas un endroit avancé ou assez stable pour adhérer à l'UE, car cela signifierait simplement gigantesques subventions étant réalisées pour elle d'une Europe déjà troublée.
Et l'idée de son assemblage OTAN est absolument un non-partant car il ne peut pas porter son propre poids dans une telle organisation et cette loi franchirait une ligne rouge dangereuse pour la Russie.
Kiev est d'avoir des problèmes immenses même tenant le pays ensemble comme il bat autonomes tenues de droite comme le bataillon d'Azov dans le sud-est qui menacent l'accord de Minsk, comme le régime tente de mettre en place un recrutement militaire en Ukraine occidentale avec plus de personnes s'enfuyant à rejoindre, qu'il trouve, qu'il doit protéger son président avec une garde prétorienne des américains contre certaines menaces graves par les milices de droite malheureux avec des pannes de Kiev , car il doit compter avec la sécession de fait de Donetsk et la perte permanente de la Crimée – tout cela comme il se débat avec les dettes colossales et une économie dans un piqué.
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L'Amérique est pas en mesure de donner assistance sérieuse à l'Ukraine, juste beaucoup de slogans Boutique-portés sur la liberté et la démocratie. Ces événements fournissent un parfait exemple des dégâts Qu'amérique inflige à un peuple avec malveillance ne destinée qu'à les utiliser pour blesser les autres.
RépondreSupprimerIl y a un tel dossier de ce genre de chose de l'Amérique que je suis toujours surpris quand il n'y a pas preneur là-bas pour le nouveau régime. On souvient de Secrétaire d'État Henry Kissinger en 1975 encourage les Kurdes irakiens à se révolter contre Saddam Hussein et puis en les laissant sur le carreau quand le dictateur a lancé une répression impitoyable.
Je pense aussi des scènes à la fin de la guerre du Vietnam comme des hélicoptères américains ont décollé de façon lâche depuis le toit de l'ambassade, laissant leurs leurs collègues vietnamiens, larmes leurs visages, agrippant vainement pour les trains d'atterrissage d'hélicoptères, une fin de montage et honteuse à une croisade vraiment sans cervelle.
Gâcher l'Ukraine
Je ne sais pas, mais je doute fort que le gouvernement actuel de l'Ukraine peut supporter, et il est toujours possible qu'il glissera dans une guerre civile encore plus grave avec les factions en lutte sur tous les côtés, quelque chose qui ressemble à la pagaille meurtrière Qu'amérique créé en Libye. Bien sûr, une telle guerre sur les frontières de la Russie viendrait avec des risques considérables.
L'aristocratie américaine ne soit pas préoccupé par les catastrophes dans lequel ils se ne sont pas plongés, mais une guerre en Ukraine pourrait facilement faire exactement cela. De façon ironique, conflit accrue pourrait marquer le début de la fin de l'ère d'asservissement européen vers l'Amérique. Chaos en Ukraine pourrait fournir exactement le choc que l'Europe doit cesser de soutenir les régimes américains avant tout le continent ou même que le monde est menacé.
J'ai rappeler aux lecteurs que tandis que l'économie russe n'est pas aussi grand que de l'Amérique, c'est un pays avec une histoire forte en génie et en science, et personne sur la planète partage son expérience terrifiante avec les invasions étrangères. Il a mis au point et tient à jour un certain nombre de systèmes d'armes qui sont sans pareil. Chacun d'eux d'une nouvelle classe de sous-marins lance-missiles balistiques et la Russie est la construction d'un certain nombre d'entre eux, est capable de frapper 96 cibles distinctes avec des ogives thermonucléaire, et que la capacité est en dehors des ICBM sur rail, dur-site missiles balistiques intercontinentaux, missiles montés sur camion, missiles de croisière lancés par air, missiles de croisière lancés à la mer et une variété d'autres armes redoutables.
La Russie moderne n'a pas de menaces avec cette impressionnante puissance, et vous pourriez dire que Poutine suit les conseils de Theodore Roosevelt qu'il marche doucement mais porte un gros bâton, mais je ne pense pas il sage pour chacun d'entre nous de garder ces choses à l'esprit que l'Amérique railleries Russie et littéralement joue à un jeu de poulet avec Armageddon.
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Je ne crois pas que l'Amérique a un mandat légitime de n'importe qui de se comporter de cette façon dangereuse. Plus intelligent les dirigeants européens, ayant vécu au centre même de la guerre froide et ont survécu à deux guerres mondiales, ne comprennent pas cela et essayent avec beaucoup d'attention ne pas de laisser les choses aller trop loin, mais l'Amérique a certaines personnes hautement irresponsable et dangereux, travaille dur sur le fichier de l'Ukraine et accidents se produisent lorsque vous poussez les choses trop dur.
RépondreSupprimerL'Obsession d'Israël
Dans une autre sphère de l'engagement constant maintenant, au lieu de parrainage et de promotion des dispositions équitables au Moyen Orient, Amérique a poursuivi une relation bizarre avec Israël, une relation qui est certainement contre l'Amérique possèdent depuis longtemps des intérêts à terme, bien que les politiciens américains individuels bénéficient avec des flux de paiements d'intérêts particuliers – être responsable en dernier ressort – en échange d'insister aveuglément Israël a toujours raison de système de financement des campagnes auto-imposées, totalement corrompu de l'Amérique , qui n'est assurément pas.
Un segment important de la population d'Israël est américain, et ils simplement reportés à Israël la même myopie, arrogance et la belligérance qui caractérisent l'Amérique tellement ainsi, Israël peut légitimement être considérée comme une colonie américaine au Moyen-Orient, plutôt qu'un État véritablement indépendant.
Son manque d'indépendance véritable se reflète aussi dans sa dépendance constante sur les énormes subventions, sur son besoin de diplomatie américaine fortement polarisés pour la protéger dans de nombreux forums, y compris les Nations Unies et sa dépendance sur les pressions américaines et de pots de vin à n'importe quel nombre de lieux, généreux américain pension annuelle de l'Égypte nécessitant certains comportements étant l'un des exemples plus importants.
Ici, aussi, est inévitable a été bêtement ignoré. Les Palestiniens ne vont pas n'importe où, et ils ont démontré le plus remarquable endurance, mais presque tous les actes d'Israël depuis sa création, chacun pris en charge par l'Amérique, a été un effort pour faire disparaître grâce à des contraintes excessives et abus et violence, regardant vers la création du Grand Israël, une idée dangereuse fantaisie qui ne peut pas réussir, mais il échouera seulement après avoir pris d'immenses ravages.
En dépit diplomatique et financier une pression constante de l'Amérique sur les autres États à soutenir sa politique unilatérale ici, il y a enfin un certain nombre de signes qui vues se détournent la notion absurde qu'Israël a toujours raison et qu'il puisse continuer indéfiniment avec son comportement sauvage.
Récemment, nous avons eu un grand effort dernière en Amérique et secrètes partenaires pour garantir la prééminence absolue d'Israël au Moyen-Orient par le biais de toute une série d'intrusions destructrices dans la région – le « printemps arabe », la marche arrière-révolution en Egypte, le brisement et maintenant le démembrement de l'Irak, la brisant et démembrement efficace de la Libye et l'horrible, artificiellement la guerre civile en Syrie qui emploie certaines des personnes plus violents et lunatic sur terre depuis l'extérieur et leur donne des armes , l'argent et le refuge dans le but de détruire un état stable et relativement paisible.
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je pourrais continuer, mais je pense que la situation est claire : dans presque toutes les sphères de gouvernement américain, à l'interne et à l'étranger, institutions politiques pauvres de l'Amérique ont donné les décisions les plus pauvres. L'Amérique a excès elle-même sur tous les fronts, a servi des mythes plutôt que des faits, a laissé la cupidité exécuter ses gouverneurs de presque tout et a gaspillé des ressources sur la réalisation rien de valeur.
RépondreSupprimerJe découvre la position actuelle de l'Amérique dans le monde – Support Sales guerres et coups d'État dans de nombreux endroits dans le même temps et traiter les autres comme des pièces de jeu à déplacer plutôt que de partenaires – comme une tentative désespérée pour secouer le monde pour obtenir des avantages, qu'il ne pouvait pas garantir par des moyens reconnus de gouvernance et de la politique.
L'Amérique est cette grande bête, beuglant et trembler le sol, et pour cette raison, il est extrêmement dangereux.
http://www.zerohedge.com/news/2015-06-26/america-dangerous-flailing-beast
SupprimerARRETEZ ! ARRETEZ de parler du nom d'un pays comme étant fautif ! 'L'Amérique' ! Les étatsuniens ni sont POUR RIEN ! et encore moins les américains du Canada à l'Argentine en passant par les pays de l'arc antillais !
Ce sont SEULEMENT les nano-groupuscules de Dirigeants dictateurs qui se sont succédés qui sont fautifs. Appelons un chat un chat.
Car, certains 'journalistes' déguisés en blogueurs libres pensent qu'en parlant du peuple dans son entier (au travers du nom du pays) ce sera donc le peuple qui est responsable (élection = piège à cons) et doit donc payer !
Reprise économique ? Chaque jour en Espagne, 95 familles sont expulsées de leur logement
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
26 juin 2015
Un tiers de toutes les maisons vides de l’UE sont situées en Espagne, montrent des chiffres publiés par le gouvernement espagnol. On recense 3,4 millions de maisons vides dans le pays, c’est-à-dire l’équivalent de 30% de toutes les propriétés vacantes en Europe, et chaque jour, des tribunaux expulsent 95 familles de leur logement.
Selon Ada Colau, le nouveau maire de Barcelone, l’Espagne est confrontée à une «urgence nationale» et le pays devrait réquisitionner les maisons et appartements vacants pour remédier à sa crise du logement. Cependant, en dépit de l’abondance des logements disponibles, les économistes réfutent son idée, expliquant que la plupart des propriétés vides sont situées dans des centres touristiques, loin des zones d’activité économique et des lieux de travail.
Amnesty International exhorte le gouvernement espagnol à assouplir la législation trop sévère sur les prêts hypothécaires. Cette loi oblige les emprunteurs à continuer de payer leurs échéances d’emprunt, même lorsque leur maison a été saisie à la suite de leur défaillance, parce qu'ils ne sont pas en mesure de faire faillite. Depuis le début de la crise en 2008, 346.000 familles ont été expulsées. Ces expulsions ont été accompagnées par une vague de suicides.
La presse financière européenne a annoncé en fanfare la reprise économique en Espagne, mais pour de nombreux Espagnols, c’est encore l’Arlésienne
http://www.express.be/business/fr/economy/reprise-economique-chaque-jour-en-espagne-95-familles-sont-expulsees-de-leur-logement/214269.htm
Les contrôles de sécurité dans les aéroports des États-Unis: une vaste blague
RépondreSupprimer25 juin 2015
Aux États-Unis, le chef de la Transportation Security Administration (TSA) a été licencié par le Département Homeland Security lorsque les examens ont révélé que les scanners utilisés dans les aéroports étaient vains dans 95% des cas.
Des collaborateurs TSA, déguisés en passagers, ont tenté de passer par les contrôles de sécurité de certains aéroports assez fréquentés avec des armes et explosifs factices. Dans 67 cas sur 70, cela n’a posé aucun problème. Plus tôt dans le mois, il s’est également avéré que la NSA avait recruté 73 personnes en lien avec le terrorisme.
http://www.express.be/sectors/fr/logistics/les-controles-de-securite-dans-les-aroports-des-tats-unis-une-vaste-blague/214264.htm
3 façons de rendre le trafic aérien plus respectueux de l'environnement
RépondreSupprimer25 juin 2015
L’aviation est responsable de seulement 2% de nos émissions gazcarbonique au niveau planétaire, mais c’est l'un des contributeurs au changement climatique qui se développe le plus rapidement. C’est pour cela que l’EPA (Environmental Protection Agency) a annoncé le 10 juin un renforcement de la réglementation sur les émissions gazcarbonique, ce qui devrait pousser cette industrie à prendre les mesures nécessaires.
Dans cette perspective, 3 scénarios possibles sont pris en compte :
1. Les biocarburants
Les compagnies aériennes testent depuis un certain temps les biocarburants neutres en carbone. Ces combustibles ont un taux d’émissions gazcarbonique plus faible mais ne sont pas encore produits en masse.
2. Contrôle du trafic aérien
Des nouveaux systèmes de navigation plus précis, grâce à l’utilisation de signaux satellites, permettront aux avions de prendre des itinéraires plus courts pour arriver à destination. Un vol plus court signifie une consommation de carburant moins importante et des émissions de gazcarbonique réduites.
3. Efficacité
La conception de nouveaux avions tels que le Boeing Dreamliner permet de faire plus de kilomètres avec un litre de carburant.
Les avions deviennent également plus légers: pour une réduction de poids de 5,5 lb, l'émission de gazcarbonique est réduite d’une tonne par an.
http://www.express.be/sectors/fr/logistics/3-faons-de-rendre-le-trafic-aerien-plus-respectueux-de-lenvironnement/214262.htm
L'escroquerie en fait des tonnes ! Voilà que le gazcarbonique est présenté comme un fautif de tous les maux ! Alors qu'il n'y est pour RIEN dans le faux 'réchauffement climatique/Global Warming' pas plus que dans la pollution !
SupprimerOr, en parlant en mal de ce bon gazcarbonique, il est donc plus facile d'étendre/d'augmenter/de favoriser l'emploi de 'bio-carburant' encore appelés 'éthanol' qui n'est rentable qu'en subventions de la poche des contribuable et est une merde qui ruine tous les moteurs !
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/12/aaa-dit-lethanol-carburant-peut.html
http://huemaurice7.blogspot.fr/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/vive-le-gaz-carbonique.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/10/le-changement-climatique-est-dominee.html
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/02/trou-dozone-cfc-et-propagande-climatique.html