Dans le genre innovation on ne pouvait pas faire mieux, le slip pour femmes qui absorbe les règles ! Plus besoin de tampons, plus besoin de balançoires à minettes, tout est dans la petite culotte qui ressemble comme deux gouttes de … à n’importe quelle petite culotte sexy. Et il ne s’agit pas d’un gadget pour obsédée de l’hygiène intime, c’est du vrai, du concret, ça vient de sortir et ça va révolutionner l’hygiène féminine. Justement, parlons-en, l’hygiène féminine réalisera un chiffre d’affaire annuel de 15 milliards de dollars en 2017, business dominé par trois grandes firmes (et quelques autres) Procter&Gamble, Kimberly-Clark et Johnson&Johnson. Il y a bien l’OB à corolle, la Diva Cup et les Tampax vulgaires à ficelle mais ce n’est pas écolo comme par exemple les couches pour bébé lavables dont on est rapidement revenu car elles n’ont rien du tout d’écolo ! Les tampons insérés dans le vagin ont été inventés en 1931 et depuis il n’y a pas eu d’avancées technologiques majeures pour améliorer la qualité de vie des femmes ni faire tomber le tabou des problèmes d’hygiène intime lors des règles. Dans les pays de l’OCDE, 70 % des femmes utilisent des tampons qu’elles doivent insérer dans leur vagin et ce « détail » hygiénique revient à environ 120 dollars par an, aux alentours de 100 euros, et c’est une estimation minimale car certaines femmes doivent utiliser deux tampons par jour, voire plus !
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Alors entrons dans le détail de cette innovation qui va révolutionner le bien-être de peut-être des milliards de femmes, il s’agit du THINX, une ligne de petits dessous chics ultra-absorbants, jusqu’à l’équivalent de la limite d’adsorption de deux tampax de taille normale, sans fuites, sans odeurs, sans avoir de sensation d’être « mouillée » ! Ce sont des super-couches-culottes qui ont l’aspect indéniable des petits dessous dont je raffole personnellement, mais je m’égare …
Comment ça se présente ? Comme ça :
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Comment ça marche ? Comme ça :
Rien qu’aux USA 12 milliards de protège-slip et 7 milliards de tampax se retrouvent dans des décharges d’ordures « ménagères ». La créatrice de ce concept, une dénommée Miki Agrawal, déclare qu’en une année d’utilisation de son invention elle n’a pas contribué d’une ppm à la « carbonisation » de l’atmosphère puisque ses dessous chics magiques peuvent être réutilisés comme n’importe quelle petite culotte chic ou pas chic, une prouesse environnementale ! Entre 24 et 34 dollars par culotte anti-règles, avec sept culottes, soit environ 200 dollars une femme réglée peut non seulement réaliser des économies substantielles puisqu’elle peut aussi porter chaque jour ces dessous chics spéciaux mais contribuer à la sauvegarde de l’environnement ! C’est carrément bluffant de constater que même les femmes modifient le climat avec leurs règles … La nature est vraiment mal faite.
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Non satisfaite de son innovation la Miss Agrawal a imaginé un système de douche intime adaptable à n’importe quel bidet ou siège de chiotte, une très pâle copie de ce que les Japonais font de mieux en matière d’hygiène des orifices naturels sub-abdominaux. Allez sur le site de Tushy, ça vaut le coup, c’est totalement surréaliste, à croire que cette mousmée (voir note) n’a jamais mis les pieds au Japon.
Liens pour les lectrices (réglées) de mon blog intéressées par ces hautes technologies :
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http://www.tushy.me , http://www.shethinx.com , http://www.shethinx.com/pages/how-it-works , illustrations tirées du site Think. Note : mousmée, terme d’origine japonaise signifiant « fille » a été introduit dans la langue française par Pierre Loti dans son très célèbre roman Madame Chrysanthème (1888).
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Cà me rappelle ces pubs à la télé où il y avait une femme à côté d'un chien et, la voix off disait que les 'nouvelles' serviettes hygiéniques luttaient contre les petites mauvaises odeurs" !! Hahahaha ! Si demain des meufs se promènent en couche-culotte-maillot de bain ou short avec... 20 ou 50 chiens qui leur courent après...!
RépondreSupprimerPeur exponentielle du jour : la biodiversité
RépondreSupprimerPublié le 5 juin 2015
par Benoît Rittaud
Ça, si c’est pas une bonne vieille peur exponentielle, je mange ma calculette. L’info, publiée dans les irremplaçables pages « Planète » du Monde, date d’il y a un mois, et a connu une brève résurrection sur la page internet principale du Journalderéférence qui m’a permis de la débusquer. Vous êtes prêts à avoir très très peur ? Alors cliquez, si vous l’osez…
L’article, publié le 3 mai, s’intitule « Biodiversité : une espèce sur six menacée d’extinction par les changements climatiques« . On notera le ton toujours aussi nuancé de nos médias institutionnels pour signaler une énième étude sur le climat-qui-fait-peur. Le Monde ne nous donne pas les détails de cette étude, et c’est fort dommage : le lecteur aurait pu y apprendre qu’il ne s’agit de rien de plus que d’une synthèse d’études antérieures (on passera ici sur les éléments observationnels réels dont ces études disposent pour valider leurs modèles…). Le passage intéressant de l’article est celui-ci :
« Le plus surprenant est-il que le risque d’extinction ne fait pas que s’accroître avec la hausse des températures, il s’accélère », analyse un des auteurs de l’étude, Mark Urban. Selon l’hypothèse d’une augmentation de seulement 2°C des températures mondiales d’ici la fin du siècle par rapport à l’ère pré-industrielle, l’étude a calculé que 5,2 % des espèces seraient menacées d’extinction. Avec une hausse de 3°C sur la même période, ce pourcentage passerait à 8,5 % des espèces. La hausse des températures de 0,9° C enregistrée jusqu’à présent a exposé 2,8 % des espèces à un risque d’extinction, relève cette étude.
Quelque chose d’inquiétant qui « accélère »… typique d’une peur exponentielle.
Sur le site de Science référencé par Le Monde, nous avons l’explication du titre : une espèce sur six disparaîtra(it) avec
+4,3°. Voici donc notre jeu de données :
+0,9°C => 2,8% d’extinction.
+2°C => 5,2% d’extinction.
+3°C => 8,5% d’extinction.
+4,3° => 16,7% d’extinction.
On n’est pas bien loin, avec ces données, d’une vraie fonction exponentielle : en gros, le pourcentage d’extinction double à chaque ajout d’un degré. (Un calcul de coin de table montre que la fonction 2exp(t/2) ne colle pas trop mal avec ces données, où t est l’augmentation de température.)
Si avec tout ça vous n’êtes pas effrayés, voici l’exercice final : à partir de quelle hausse des températures le nombre d’espèces menacées dépassera-t-il les 100% ?
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2015/06/05/peur-exponentielle-du-jour-la-biodiversite/
Rendez-vous compte que TOUTES les bestioles... couchent dehors ! dehors, en plein hiver et, qu'après, arrive... (aïe-aïe-aïe !) : le printemps ! Le temps qui se radoucit ! Puis, arrive l'été ! L'été insupportable s'il demeure encore des bestioles en vie ! Les dernières crèvent en juillet, le mois le plus chaud.
SupprimerPourtant, des bestioles (oiseaux, lapins, chevreuils, sangliers, chevaux sauvages, etc) il y en a toujours autant !! Malgré le 'changement de température' (que des gens bien informés appellent 'saisons') qui dépassent laaaaaargement les 2°C ! (du -10°C en hiver à + 40°C en été !) Cà alors ??!
Et.... l'homme dans tout çà... fait partie des bestioles en voie de disparition !! (Il y en a même des norvégiens/suédois, danois qui l'été vont se suicider sur la côte d'azur !!)
Premier cas de censure de « La Peur exponentielle »
RépondreSupprimerPublié le 2 juin 2015
par Benoît Rittaud
J’aurais sûrement mieux fait d’attendre 2016 pour publier La Peur exponentielle, parce que quand la COP21 sera terminée (et donc l’échec acté du nouvel ultime rendez-vous pour sauver la planète), la pression sur les médias sera sans doute moins forte. Le courrier que j’ai reçu ce matin me laisse penser que, en attendant ce n’est pas du tout le moment de se montrer mal-pensant sur le climat, fût-ce en passant.
Alors que je devais être prochainement l’invité d’une émission en direct à la radio pour parler de mon dernier livre (La Peur exponentielle, donc), j’ai reçu ce matin un courrier m’indiquant que l’émission était annulée. Ne me demandez pas de vous dire le nom de l’émission en question, ni la radio concernée, car mon intention n’est pas de désigner quelqu’un à la vindicte publique mais seulement de lever un petit coin du voile sur ce qui se passe en arrière-cour de certains grands médias. La seule chose que je crois utile d’indiquer est qu’il s’agissait d’une radio de Radio France. Ce point est significatif pour deux raisons :
Radio France a explicitement affiché son désir d’aider la communication gouvernementale des prochains mois de participer activement à la réussite de la conférence Paris Climat de décembre ;
mes positions climatosceptiques m’ont déjà, par le passé, valu l’annulation de deux interviews, sur deux radios différentes de Radio France (là, ce sera la troisième).
Voici donc le courrier que j’ai reçu ce matin :
Bonjour,
Nous venons de terminer la lecture de votre livre, très intéressant, sauf que nous ne pouvons pas, sur une heure d’émission, ne donner la parole qu’à un climato-sceptique. Nous ne sommes pas une émission de débat et pensions que le sujet était purement mathématique et philosophique.
En conséquence nous sommes désolés de devoir annuler cette émission.
Merci pour votre compréhension,
Cordialement,
L’équipe *****.
Ma volonté de préserver leur anonymat m’empêche de démontrer ici que, en réalité, certains des thèmes récents qu’ils ont abordés étaient largement de nature à faire débat. Contentons-nous donc d’observer la tournure de ce passage : « nous ne pouvons pas, sur une heure d’émission, ne donner la parole qu’à un climato-sceptique« . Difficile de ne pas y voir l’affichage d’une interdiction de me laisser m’exprimer pour cause d’opinion non-conforme en général. Selon les propres termes de mon interlocuteur (et j’imagine que, vu les circonstances, il les a bien pesés) ce n’est pas mon livre qui pose problème, mais ma personne. Il est inexcusable pour ces journalistes de Radio France que je sois climatosceptique, même si j’écris par ailleurs un livre considéré comme « très intéressant« .
Toujours confiant en la nature humaine et à la possibilité offerte à chacun de s’amender loyalement, j’ai répondu ceci :
(suite en dessous:)
Bonjour,
RépondreSupprimerSi je suis certes surpris que le climatoscepticisme s’apparente pour vous à un sorte de délit, je suis plus étonné encore que vous en fassiez un motif d’annulation. En effet, ayant lu l’ouvrage qui m’a valu votre invitation, vous savez que le climat est loin d’en être le sujet principal. (Je n’ai pas compté, mais en gros le climat doit occuper l’équivalent d’une vingtaine de pages sur quatre cents. D’ailleurs, sur les cinq conférences que j’ai déjà données sur le sujet de ce livre, pas une seule n’a évoqué le climat.) Nous n’aurons donc aucun mal à trouver une façon de parler de mon « très intéressant » livre (selon vos propres termes) qui évite la question climatique si vous le souhaitez. Nous pouvons, entre autres possibilités, évoquer l’histoire des grains sur l’échiquier et son interprétation au fil des âges, la question démographique depuis les exégètes des XVIIè et XVIIIè siècles, la notion de surfini comme alternative intellectuelle à celle d’infini, la dialectique du temps circulaire et du temps cyclique et les mathématiques qui leur sont liées (notamment en Inde médiévale)… Voilà bien de la philosophie, voilà bien des mathématiques, le tout sans référence aucune au climat.
Je n’ose imaginer que la raison profonde de votre désinvitation serait mon inscription sur quelque « liste noire », c’est-à-dire que mes prises de position sur le climat me frapperaient pour vous du sceau de l’infamie quel que soit le sujet. Je veux croire au contraire que vous savez faire la part des choses entre les opinions diverses que peut exprimer un auteur, et qu’il n’est pas nécessaire d’être en accord total ou même partiel avec ce qu’il dit pour lui reconnaître un intérêt dans le débat public.
Avec respect et cordialité, je me permets donc de vous demander de reconsidérer votre position. Si vous le faites, j’estimerai que l’incident ne s’est jamais produit et ne vous tiendrai pas rigueur de votre hésitation.
Dans l’attente de votre réponse, bien cordialement,
Benoît Rittaud.
Le responsable de l’émission a alors pris la plume pour me répondre ceci :
Cher monsieur,
Je vous remercie d’avoir pris le temps de me répondre, vous n’êtes pas sur une ‘liste noire’ et je ne considère évidemment pas vos prises de position comme un délit.. En revanche ces prises de positions, climato-sceptiques donc, transparaissent très clairement dans cet ouvrage ,même sans mentionner spécifiquement le climat et je ne me sens pas de vous recevoir, en unique invité, sans aucun avis contradictoire dans cette émission en direct sur ******.
Sachez que [je m’en désole],
Très cordialement,
*********
On admirera la qualité de l’argumentation : non non, vous n’êtes pas sur liste noire (qu’allez-vous penser !), c’est juste que votre livre a quelques morceaux de mal-pensance et que « je ne le sens pas« .
J’avoue que l’épisode ne me rassure pas sur l’état de la liberté de la presse.
https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2015/06/02/premier-cas-de-censure-de-la-peur-exponentielle/
Pareillement qu'à la télé ils ne vont pas se risquer d'inviter un scientifique !! Seuls les escrocs faux-scientifiques y sont admis !
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L’UE va financer des agents pour contrer les eurosceptiques sur Internet
By lejournaldusiecle
14 février 2013
Le Parlement européen va débourser environ 2,5 millions d’euros environ pour lancer une armée de "trolls" sur Internet, et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter pour lutter contre l’euroscepticisme en vue des élections de 2014, qui auront lieu entre le 5 et le 8 juin 2014.
C’est le Daily Telegraph qui a révélé l’information le 3 Février 2013. Le journal a eu accès à des documents confidentiels qui révèlent la planification d’une campagne sans précédent de réorientation de l’opinion publique, avant et pendant les élections de juin 2014.
Au cœur de cette nouvelle stratégie : "des outils de contrôle de l’opinion publique" destinés à déterminer si certains débats de nature politique ayant lieu entre participants des médias sociaux et autres blogs sont susceptibles d’attirer l’attention médiatique et publique.
Les communicants des institutions parlementaires devront être capables de décrypter les "sujets tendances" au sein des conversations et d’y réagir rapidement, de manière ciblée et pertinente ; il s’agit pour eux de "se joindre aux conversations et de les influencer, par exemple en fournissant des faits et des chiffres déconstruisant les mythes".
Selon le document mis à jour par le Daily Telegraph, les "trolls" européistes auront pour mission de subvertir le sentiment qu’expriment de plus en plus d’Européens, à savoir que "l’Europe est le problème", et de le retourner, de sorte que chacun en vienne à considérer que la réponse aux défis actuels est "plus d’Europe", et non pas "moins d’Europe".
Une attention toute particulière doit être accordée, nous dit-on, aux pays qui ont connu une montée de l’euroscepticisme. La France, qui a massivement rejeté le Traité constitutionnel européen le 29 mai 2005 (55%), devrait donc être particulièrement ciblée par cette campagne de propagande, visant à redresser les jugements inadaptés – incorrects – sur la construction si prometteuse de ce "premier empire non impérial" qu’est l’UE, dixit Barroso.
En pleine crise économique, et alors que l’austérité est imposée aux États, l’UE ne devrait pas rechigner sur les moyens de sa propagande, puisqu’une augmentation de près de 2 millions d’euros des dépenses en "analyse qualitative des médias" serait prévue, principalement tirée de budgets pré-existants, et plus de 900.000 euros additionnels devraient être collectés l’an prochain.
Nigel Farage a été l’un des premiers députés européens à réagir aux révélations du Telegraph, le 7 février sur Russia Today, estimant que l’UE ne valait pas mieux qu’une "république bananière".
Sources : Daily Telegraph / Agoravox / Russia Today / Le Journal du Siècle
http://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-internet/
Le Complexe de carbone Over-Produit, destruction de l'environnement dans le processus
RépondreSupprimerSaturday, 6 Juin, 2015
Selon le Wall Street Journal, le «monde est inondé de pétrole." Je ne pense pas que la revue signifiait le mot littéralement inondé, mais quand vous regardez les données sur les déversements de pétrole au cours des 9 dernières années, la description semble tout à fait pertinente.
La production de pétrole et de transport aux États-Unis sont coûteuses, les entreprises sales. Pourtant, l'industrie se contente de surproduire afin que chaque entreprise énergétique privée ou appartenant à l'État leur obtient:
La surabondance d'huile: De Dallas à la Sibérie. Le Wall Street Journal (2015, le 5 Juin), C1-C2.
"Le monde est inondé dans l'huile. OPEP a ouvert les robinets. La Russie, l'Irak, le Canada et la Chine sont maintenant pompent à plat, aussi. "
Break-Même Prix: Le prix du baril nécessaire pour pomper l'huile rentable sur le long terme
États-Unis $ 39- $ 65
Canada 49- $ 61 $
Russie $ 46
Chine $ 32
Irak $ 13
Arabie Saoudite $ 7
Trop production beaucoup d'huile est mal ceux avec des points de rentabilité plus élevés, mais le jeu doit continuer, avec l'éco-système comme bouc émissaire sacrificielle:
Jackson, C. Henry et David A. Lieb (AP) (2015). US Oil Pipeline-Fuites augmentation. The Arizona Republic (2015, 26 mai), 1A, 9A.
[Extrait] "La fuite d'un oléoduc qui avait contaminé un tronçon de la Californie côte cette semaine [avec environ 105000 gallons de pétrole brut] reflète une tendance inquiétante dans l'infrastructure de la nation. Comme la production de pétrole des États-Unis a grimpé en flèche, tout comme le nombre d'accidents de pipeline. Depuis 2009, le nombre annuel d'accidents significatifs sur pétrole et des pipelines a grimpé de près de 60 pour cent, correspondant à peu près à la hausse de la production de pétrole brut des États-Unis, selon une analyse des données fédérales par l'Associated Press. Près des deux tiers des fuites au cours de cette période ont été liés à la corrosion ou d'un matériau, la soudure, et les défaillances de l'équipement, des problèmes souvent associés à des pipelines âgés, mais ils peuvent se produire en de nouvelles, aussi. Autres fuites ont été blâmés sur les catastrophes naturelles ou des erreurs humaines ... l'infrastructure vieillissante est une source de préoccupation persistante pour les experts de l'extérieur ".
"Depuis 1995, il y a eu plus de 2.000 accidents graves impliquant des pipelines transportant du pétrole brut et des produits pétroliers raffinés qui ont causé environ 3 milliards de dollars en dommages à la propriété, selon les données de l'office fédéral qui supervise la sécurité des pipelines, le Pipeline et de l'administration dangereux de sécurité"
(suite en dessous:)
[Paraphrase] La société (et ses filiales), qui exploite le pipeline, Plains All American Pipeline LP, a signalé 223 accidents depuis 2006.
RépondreSupprimerDawson, Chester (2015 23 Janvier). Pipeline fuite entache la rivière avec des eaux usées. Le Wall Street Journal, p. A1.
"Salty eaux usées des puits de pétrole a contaminé un ruisseau et coulé dans la rivière Missouri, après une énorme fuite de pipeline dans le Dakota du Nord, fonctionnaires de l'Etat a déclaré jeudi. L'Etat a déclaré la fuite de 3.000.000 gallons est son plus grand déversement jamais de saumure, qui en plus de fortes concentrations de sel contient souvent des traces de métaux lourds qui peuvent être radioactifs. Ces déversements, qui peuvent tuer la végétation et de la ruine des terres agricoles, ont augmenté dans le Dakota du Nord, comme l'état est devenu un producteur de pétrole de premier plan, le pompage de plus d'un million de litres de pétrole brut par jour du Bakken Shale ... La fuite des eaux usées a été détecté pour la première il ya deux semaines, lorsque l'opérateur de pipeline basée au Texas, en privé tenue Sommet Midstream Partners LLC, a déclaré que «montant miné [sic] de saumure avait déversé sur la ligne, qui a été installé en Juin".
Oppostion à l'exploitation et la contamination de l'environnement de l'industrie de carbone se heurte à la répression autoritaire par les législateurs et les gouverneurs des deux partis politiques:
Or, Russell (2015). Texas Outlaws Ban Fracking. Le Wall Street Journal (2015, 31 mai), A3.
«Le lundi, le gouverneur républicain Greg Abbott a signé une loi qui interdit la fracturation hydraulique interdictions de tout et le rend plus difficile pour les gouvernements municipaux et régionaux pour contrôler où les puits de pétrole et de gaz peuvent être percés. Des efforts similaires surgissent dans les Etats, y compris le Nouveau-Mexique, l'Ohio, le Colorado, et de l'Oklahoma ... Tout cela fait partie d'un effort législatif et judiciaire plus large, soutenu par l'industrie pétrolière, de limiter la capacité du gouvernement local pour réglementer les forages ".
Le jeu doit continuer jusqu'à la dernière goutte est parti, l'eau douce est épuisée, et l'éco-système effondré !
http://majiasblog.blogspot.fr/2015/06/the-carbon-complex-over-produces.html