- ENTREE de SECOURS -



lundi 15 juin 2015

Huit-centième anniversaire de la Magna Carta (la Grande Charte, 15 Juin 1215), qu’en reste-t-il ?

le 15 juin 2015
par jacqueshenry
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C’est à son retour de France, lourdement défait à la bataille de Bouvines par Philippe-Auguste, que le Roi Jean Le Premier d’Angleterre se trouva confronté à une fronde des Barons auxquels il avait emprunté de fortes sommes de livres-or pour financer ses campagnes militaires en France. Les Barons – on disait en France à l’époque les Seigneurs – devant l’attitude du Roi qui à l’évidence voulait les spolier, organisèrent une sorte de rébellion et rédigèrent un document fameux avant d’en appeler au Pape (Innocent III) afin d’intercéder dans cette dispute qui s’envenimait. On était en Angleterre en état de guerre, l’Eglise anglaise était romaine et catholique et la situation devenait préoccupante. Bien qu’ayant fait allégeance au Pape afin d’obtenir son soutien, le Roi Jean fut confronté au printemps 1215 à cette rébellion organisée des Barons qui rédigèrent la Magna Carta, la Grande Charte, qui fut rendue publique le 15 juin 1215, il y a 800 ans. Ce document constitue la base de la constitution anglaise (non écrite) mais aussi celle des Etats-Unis reprise des siècles plus tard par les 13 colonies anglaises du continent nord-américain et qui comme pour la Grande Charte débouchèrent sur une guerre. Malgré l’intervention du Pape, la guerre ne put être évitée en Angleterre comme aux Etats-Unis bien plus tard.
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Ce bref rappel de l’histoire paraît de nos jours anecdotique, 800 ans c’est loin, mais la Grande Charte se trouve être l’un des tous premiers documents écrits dans le but de codifier la suprématie du pouvoir de l’argent sur le pouvoir temporel de l’autorité régnante, en l’occurence le Roi et aujourd’hui les assemblées des représentants élus du peuple. Le pouvoir de l’argent était alors celui des Barons qui maintenaient 80 % de la population en servage. Les serfs et les non-propriétaires étaient d’ailleurs exclus des termes et attendus de la Grande Charte. Il est opportun de rappeler que ce 15 juin est donc le huit-centième anniversaire de la Magna Carta mais il est tout aussi opportun de rappeler ce que la signification première du document est devenue au cours des siècles. Il en reste ce qu’il est opportun d’appeler « la liberté individuelle », en réalité celle des dignes descendants des Barons anglais, en d’autres termes la liberté de la caste au pouvoir malgré le fait qu’au XVIIe siècle, quatre siècles plus tard, la Grande Charte fut la base de l’établissement de la suprématie du Parlement Anglais pourtant constitué dans la théorie de représentants du peuple qui les avaient porté au pouvoir. La constitution américaine a largement repris le point primordial et central de la Magna Carta : elle fut rédigée par des riches pour le bien des riches et non pour celui du peuple. Cet usage de la Grande Charte comme d’un alibi pour se protéger par des parlements et des Cours suprêmes interposés est le fait, des siècles plus tard, du règne de politiciens corrompus et vendus au capital, le réel pouvoir comme l’était celui des Barons vis-à-vis du Roi Jean.
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Comble d’ironie les Conventions de Genève ont repris les termes de la Grande Charte. Pour rappel les Conventions de Genève codifient en quelque sorte le droit de faire la guerre et de respecter quelques règles élémentaires concernant les prisonniers de guerre et la protection des civils. Ces conventions, depuis 1949, n’ont jamais été respectées par les Etats-Unis ni par d’autres Etats notoirement impliqués dans des conflits armés. Les civils sont toujours massacrés, bombardés et leurs biens pillés, les prisonniers sont toujours torturés, violés et assassinés.
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Les USA n’ont jamais ratifié les protocoles I et II des Conventions de Genève comme d’ailleurs Israël, l’Iran, le Pakistan, l’Irak et l’Inde ! Autant dire que l’impunité des Etats-Unis comme fauteurs de troubles planétaires a été parfaitement préméditée et ce depuis longtemps, mais ce n’est qu’un détail bien naturellement …
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Quant à la Convention de Vienne (1986) sur la prévention et la condamnation des génocides, encore une fois les USA ne l’ont pas ratifiée de même que les USA ne reconnaissent pas l’autorité de la Cour de Justice Internationale. Et tout ces faits en disent long sur la soif d’hégémonie des USA sur le monde entier.
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Depuis une vingtaine d’années on assiste tant en Grande-Bretagne qu’aux USA à un mépris systématique des principes fondamentaux de la Magna Carta tels que celui de la séparation du pouvoir politique du pouvoir judiciaire ou la soumission du pouvoir et de ses décisions au pouvoir des représentants élus du peuple même si ces peuples d’aujourd’hui étaient des serfs à l’époque de la Magna Carta. Autant dire qu’ils sont restés dans cette situation depuis 800 ans et aujourd’hui, les USA et la Grande-Bretagne dont les systèmes constitutionnels sont issus de la Magna Carta en usent et en abusent. Le pouvoir est aux mains des puissances d’argent de ces pays, des grandes compagnies financières et industrielles, les « barons » contemporains, et les électeurs ne sont plus que de pâles exécutants, approuvant bon gré mal gré tels les serfs du XIIIe siècle les décisions de ceux-là même qu’ils ont choisi pour défendre leurs intérêts mais n’oeuvrent en réalité que pour les « barons ».
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Ce petit rappel historique est nécessaire pour aussi rappeler que la Grande-Bretagne et les Etats-Unis sont en ce XXIe siècle impliqués dans de nombreux conflits guerriers illégaux au sortir des Standards dits de « Nuremberg » qu’ils ont établi à la suite de la défaite de l’Allemagne et qu’ils utilisèrent sciemment pour poursuivre et exécuter les criminels de guerre nazis. Ces deux pays considèrent qu’ils peuvent aller outre les lois internationales qu’ils ont eux-mêmes établi pour punir l’Allemagne vaincue. Washington et Londres peuvent bombarder et assassiner à merci mais pas l’Allemagne ni le Japon. Ces deux pays, à l’encontre de leur constitution – même si celle de la Grande-Bretagne est non-écrite – espionnent leurs citoyens et l’exécutif américain sous Bush puis Obama a outrepassé les pouvoirs du Congrès et des cours fédérales ont outrepassé leurs pouvoirs et laminé et vidé de son contenu la Constitution, à l’exception notoire du Second Amendement (pour les USA) qui est protégé par la National Rifle Association. Et si le second amendement est laminé aussi alors il ne restera rien de la Constitution américaine largement inspirée de la Magna Carta …
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Washington et ses satellites européens (les nouveaux serfs) ont subordonné la loi à un dessein politique et économique. Exactement comme à l’apogée du colonialisme quand l’Ouest organisa le pillage en règle du monde non-blanc, aujourd’hui l’Ouest pille son propre peuple. La Grèce est sur le point d’être pillée comme l’a été l’Irlande et l’Espagne, le Portugal et l’Italie ne peuvent plus échapper à ce sort sauf si ces pays font défaut sur leur dette et quittent l’Union Européenne. Le capitalisme occidental, les « barons » d’aujourd’hui, est un mécanisme de pillage organisé en toute impunité puisque les lois ont été faites pour permettre ce genre d’actions. Avec les accords trans-atlantiques et trans-pacifiques en cours de négociation dans une opacité plus que suspecte le système anglo-saxon bafouera les lois souveraines d’une multitude de pays. Pour donner un exemple que tout le monde a présent à l’esprit mais qui peut tout aussi bien s’appliquer aux fromages français ou hollandais, aux jambons espagnols ou italiens ou encore aux médicaments allemands ou même anglais, les lois françaises et de bien d’autres pays européens interdisant les plantes génétiquement modifiées deviendront des lois « restreignant le commerce » et soumettront la France à des procès punitifs intentés par Monsanto (voir l’addenda en fin de billet à: 'Commentaires'). Et si la France ne se soumet pas et ne paie pas les indemnités que Monsanto lui réclamera elle sera soumise à des sanctions exactement comme c’est le cas actuellement pour la Russie qui refuse de faire ce que Washington lui demande de faire !
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Une nouvelle existence d’esclavage nous est promise et est mise en place progressivement sous nos yeux sans que nous puissions faire quoi que ce soit car la loi ne nous protège plus et est devenue une arme entre les mains des gouvernements anglo-saxons ! Huit siècles de réformes sont en train d’être purement et simplement laminés car Washington et ses vassaux envahissent et bombardent des pays sous le seul prétexte qu’ils ne sont pas au diapason avec les desseins hégémoniques de Washington et dans une moindre mesure de Londres mais aussi des firmes financières et industrielles de ces deux pays. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si la City et Wall Street sont les places financières dominantes dans le monde d’aujourd’hui car il s’agit du même dessein de domination du monde. Partout des groupes de pressions sont privilégiés par ces gouvernements et se placent au dessus des lois. Cette concentration de richesses et de pouvoirs rappelle un peu le règne de l’aristocratie de l’Empire Romain durant lequel on assista à une disparition de la sécurité et de la dignité des citoyens. Si la Magna Carta a aussi débouché sur de « bonnes » lois dont le principe du respect de l’esprit de la loi par le gouvernement, ces gouvernements responsables devant une loi modifiée à leur avantage sont devenus des tyrannies quel que soit le nom ou l’appellation qu’ils ont usurpé et quel que soit l’aspect exceptionnel et indispensable qu’ils se sont approprié.
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Ce lundi 15 juin 2015 à Westminster, le « Tribunal International pour la Justice Naturelle » va être constitué. Si l’on comprend bien cette mission d’un nouveau genre humanitaire on est en droit d’espérer un peu. Peut-être que ce tribunal poursuivra les criminels contemporains, la plupart d’entre eux étant des dirigeants des pays occidentaux, en utilisant Internet avec des jurés et des juges afin que tout un chacun puisse être témoin du caractère diabolique des gouvernement occidentaux. Et une fois que l’Occident sera perçu par une majorité d’individus comme une force vraiment maléfique, alors ces gouvernements et les pouvoirs industriels et financiers avec lesquels ils agissent en complète collusion devront reconnaître la nécessité que l’Occident se réforme de fond en comble ou alors il sombrera dans une terrible décadence alors que le reste du monde continuera son chemin vers des jours meilleurs. En d’autres termes le monde entier sera sauvé quand il cessera de se prosterner au pied des « barons » industriels et financiers anglo-saxons et en particulier américains.
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Note : À la fin de la rédaction de ce billet je suis tombé sur un édito des Échos de Jean-Marc Vittori (voir le lien) titré « Pour en sortir, il nous faudrait une bonne guerre ». De quoi parle ce monsieur dans cet éditorial : de la guerre contre le réchauffement climatique ! C’est insensé d’en arriver à une telle soumission aux pouvoirs de la désinformation systématique orchestrée par les groupes écolo-politiques soumis aux intérêts des lobbys financiers car toute cette histoire de climat, en comparaison des risques géopolitiques actuels qui menacent l’humanité et sa survie, est d’un ridicule achevé. C’est le complexe militaro-industriel américain qui veut la guerre mais pas celle dont parle Vittori, car il s’agira d’une vraie guerre mettant à feu et à sang des dizaines de pays y compris en Europe, il ne faut pas se leurrer ! La récession est installée aux USA et en Europe Occidentale, l’économie chinoise fait en ce moment un gros plongeon, la crise économique mondiale qui se profile ne trouvera de solution pour en sortir, au mépris de toutes les lois patiemment construites par l’Humanité depuis ces 800 ans nous séparant de la Grande Charte, encore une fois que dans une belle guerre bien dévastatrice pour remettre les compteurs à zéro. Ce sera peut-être « la der des der » comme disaient nos anciens, peut-être aussi la fin de l’humanité, mais apparemment tout le monde s’en moque, le changement climatique semble beaucoup plus préoccupant, bonjour l’ambiance dans l’hiver nucléaire qui suivra presque instantanément le tir de la première fusée nucléaire intercontinentale à têtes multiples destinées à vitrifier une dizaine de villes simultanément dans n’importe quel pays du monde …
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36 commentaires:

  1. Et aussi pour l’anecdote:

    Paris proscrit la vente aux particuliers du Roundup de Monsanto

    La ministre française de l’Ecologie Ségolène Royal a annoncé dimanche l’interdiction de la vente libre dans les jardineries du désherbant vedette de Monsanto, le Roundup. Paris veut lutter contre les effets néfastes des pesticides.
    « La France doit être à l’offensive sur l’arrêt des pesticides », a déclaré la ministre sur la chaîne France 3. « Elle doit être aussi à l’offensive sur l’arrêt des pesticides dans les jardins et je vous annonce que j’ai demandé aux jardineries d’arrêter de mettre en vente libre le Roundup de Monsanto », le géant américain des semences et de l’agrochimie, a-t-elle dit.

    Le Roundup avait été remis au centre de l’actualité après le classement en mars du glyphosate, son principe actif, comme cancérogène « probable chez l’homme », même si les « preuves sont limitées », par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) dont le siège est à Lyon (centre-est de la France).

    En Suisse, suivant le principe de précaution, Coop et Migros ont décidé de retirer de ses rayons les herbicides contenant du glyphosate.
    (ats / 14.06.2015 16h09)

    Une décision de ce genre, uniquement prise en fonction de considérations idéologiques, sera bientôt considérée comme une entrave au commerce de libre échange trans-atlantique !

    Et le 15 juin est aussi la fête mondiale des moulins à vent …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/06/15/huit-centieme-anniversaire-de-la-magna-carta-la-grande-charte-15-juin-1215-quen-reste-t-il/

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  2. La guerre sur la trésorerie: Theft officiellement sanctionnée


    Comment les banques et le gouvernement diminuent vos économies

    Par Charles Hugh Smith
    Prospérité pic
    15 juin 2015



    Vous avez probablement lu qu'il y a une «guerre sur la trésorerie" menée sur plusieurs fronts à travers le monde. Que signifie exactement une «guerre sur la trésorerie" signifie ?

    Il signifie que les gouvernements limitent l'utilisation de la trésorerie et une variété d'économistes officiels-embout réclament l'abolition pure et simple de la trésorerie. Les autorités sont à la fois limitent le montant d'argent qui peut être retiré auprès des banques, et de limiter ce qui peut être acheté avec de l'argent.

    Ces limites sont largement appelés contrôles de capitaux.

    La guerre sur la trésorerie: Pourquoi maintenant ?
    Pourquoi les gouvernements agissent tout à coup, comme si l'argent comptant est une mauvaise chose qui doit être sévèrement limitée ou supprimée ?

    Avant d'en arriver là, nous allons distinguer entre le cash-monnaie physique et des pièces de monnaie dans votre trésorerie de possession et numérique dans la banque. La différence est évidente: l'argent en main ne peut pas être confisquée par un "bail-in" (vol-à-dire officiellement sanctionnée) dans laquelle le gouvernement ou de la banque exproprie un pourcentage de l'argent déposé à la banque. Argent dans la main ne peut pas être rogné par des taux d'intérêt négatifs ou frais, comme les liquidités détenues dans une banque.

    Argent à la banque ne peut être retirée dans une situation d'urgence financière que les banques Volets, soit un jour férié.

    Lorsque les experts suggèrent de trésorerie est "obsolète", ils signifient de l'argent et des pièces de monnaie de papier physique, pas encaisser dans une banque. Argent à la banque est parfaitement bien avec le gouvernement et ses yes-men bien rémunérés (paging M. Rogoff et M. Buiter) parce que cet argent peut être expropriée par soit "bail-in" ou par des taux d'intérêt négatifs.

    M. Buiter, par exemple, a récemment estimé que le spot de la peine en 2008-09 (Global Financial Meltdown) auraient pu être évités si les banques avaient facturé seulement un taux d'intérêt négatif de 6% sur la trésorerie: en effet, en prenant 6% de la La trésorerie de déposant pour forcer tout le monde à dépenser ce trésorerie qu'ils pourraient avoir.

    Les deux fonds en caisse et l'argent en banque sont soumis à une méthode privilégiée de l'expropriation, l'inflation. L'inflation l'objectif le plus chéri de tous les centraux de banque vole le pouvoir d'achat de la trésorerie physique et l'argent numérique ressemblent. L'inflation pénalise les détenteurs de liquidités et profite à ceux de la dette, la dette devient moins cher de service.

    L'effet bénéfique de l'inflation sur la dette a été dans le jeu pendant des décennies, de sorte qu'il ne peut pas être la cause de l'intérêt récent de gouvernements dans l'élimination physique de trésorerie.

    (suite en dessous:)

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  3. Alors maintenant, nous revenons à la question: Pourquoi les gouvernements déclarent la guerre à coup sur la trésorerie physique, la plus ancienne forme officiellement émis de l'argent ?

    La première raison: argent comptant physique a le potentiel de se soustraire à la fois les impôts ainsi que le vol officiellement sanctionnée par le cautionnement-ins et des taux d'intérêt négatifs. En bref, argent comptant physique est extrêmement difficile pour les gouvernements de voler.

    Certains d'entre vous peuvent trouver le mot le vol dur ou même offensif. Mais nous devons faire la différence entre les impôts-qui sont prélevés à payer pour les programmes de l'État qui en principe bénéficier tous les citoyens-et cautionnement-ins, à savoir la prise de déposants de la trésorerie pour renflouer les banques qui sont devenues insolvables à travers les actions des banques de la direction , pas les actions des déposants.

    Bail-ins sont le vol pur et simple. Depuis que le gouvernement applique la prise, il est officiellement sanctionné le vol, le vol, mais tout de même.

    Taux d'intérêt négatifs sont une autre forme de vol officiellement sanctionnée. Dans un monde sans la répression financière des taux à taux zéro (politique la plus aimée des banques ZIRP-centrales), les prêteurs pourraient facturer emprunteurs suffisamment d'intérêt pour payer les déposants pour l'utilisation de leur argent et de gagner le prêteur un bénéfice.

    Si les emprunteurs paient des intérêts, des taux d'intérêt négatifs sont le vol pur et simple.

    Pourquoi les gouvernements soudain si désireux d'interdire trésorerie physique ? La réponse semble être que les banques et les autorités gouvernementales anticipent cautionnement-ins, les taux d'intérêt fortement négatives et lourdes taxes sur la trésorerie, et ils veulent fermer toutes les déposants régulières d'ouverture pourrait avoir pour échapper à ces formes de vol officiellement sanctionnée. L'évasion de cautionnement-ins et les frais sur les dépôts en espèces est argent comptant physique, et donc la bourrasque soudaine des appels d'éliminer trésorerie comme une relique d'une époque révolue qui est, un âge où les roturiers avaient une certaine façon de protéger leur argent de Baillarger ins et le contrôle des banquiers.

    Forcer ceux avec l'argent à dépenser leur argent ou de jouer

    Les taux d'intérêt négatifs (et les frais sur la trésorerie, qui sont l'équivalent punitif aux épargnants) soulevent une autre question: pourquoi les gouvernements sont soudain obsédé par forcer les propriétaires d'argent à dépenser soit ou jouer dans les casinos des marchés financiers ?

    La réponse classique exprimé par M. Buiter est que la récession et la contraction du crédit résulte des ménages et des entreprises thésaurisation espèces au lieu de le dépenser. La solution à la récession est donc de forcer tous ces accapareurs de trésorerie avares de dépenser leur argent.

    Il y a trois énormes failles dans cette réflexion.

    La première est que les ménages et les entreprises ont de l'argent à thésauriser. La réalité est en bas de 90% des ménages ont un revenu moins élevé aujourd'hui qu'il y a 15 ans, ce qui signifie leurs dépenses a diminué pas de thésaurisation, mais de baisse des revenus.

    (suite en dessous:)

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  4. Alors que Corporate America a baigné dans la gloire de la forte hausse des profits, la petite entreprise n'a pas prospéré dans le même mode. En effet, mais certaines mesures, la petite entreprise a été dans une récession de 6 ans.

    Le fond 90% a moins de revenus et fait face à des frais de subsistance plus élevés, de sorte que la tranche supérieure des ménages a pas d'argent substantielle. Cette tranche supérieure peut voir quelques possibilités sûr pour investir leurs économies, si elles choisissent de garder leurs économies en espèces plutôt que jouer dans un casino truqué (ie le marché boursier).

    La seconde faille est que la thésaurisation trésorerie est la seule réponse rationnelle prudente dans une ère de répression financière et l'insécurité économique. Qu'est-ce que les banques centrales exigent-que nous dépensons chaque sou de nos bénéfices plutôt que économiser pour les investissements que nous contrôlons ou d'urgences-est contraire à nos intérêts.

    Cela conduit à la troisième faille: le capital - qui commence sa vie que l'épargne - est le fondement du capitalisme. Si vous attaquez l'épargne comme un fléau, vous attaquez le capitalisme et la mobilité ascendante, uniquement pour ceux qui épargnent le capital peut investir afin de créer de la richesse. En attaquant la trésorerie, les banques centrales et les gouvernements attaquent le capital et la mobilité ascendante.

    Ceux qui possèdent déjà la majorité des actifs productifs sont en mesure d'emprunter des sommes illimitées essentiellement au proches de zéro taux d'intérêt, qu'ils peuvent utiliser pour acheter des actifs plus productifs, alors que tout le monde-bas 99,5% -Est réduit au consommateur-servage: vous ne sont pas censés accumuler du capital productif, vous êtes censé passer chaque centime que vous gagnez sur les paiements d'intérêts, des biens et des services.

    Cette inversion du capitalisme condamne une économie à tous les maux que nous vivons dans l'abondance: inégalité croissante des revenus, la réduction des opportunités pour l'entrepreneuriat, un alourdissement du fardeau de la dette et une perspective à court terme qui annule la planification à long terme nécessaire à la construction durable de la productivité et de la richesse.

    Argent comptant physique: Seulement 1,36 billion de dollars

    Selon la Réserve fédérale, le total des liquidités en circulation physique revient à $ 1,36 trillions.

    Étant donné qu'une quantité importante de cet argent a lieu à l'étranger, argent comptant physique est une infime partie de l'économie nationale et l'actif total de la nation. Pour le contexte: l'économie américaine est $ 17500000000000, total des actifs financiers des ménages et des organisations à but non lucratif totalisent $ 68000000000000, la monnaie de base est d'environ 4 milliards de dollars, et de l'argent au total (monnaie dans les dépôts de la circulation et de la demande) est plus de $ 10 milliards de dollars (source).

    Compte tenu de la quantité relativement modeste de trésorerie physique, affirme que l'élimination il stimulera le creux de cycle de l'économie.
    Suivant le principe de cui bono-au profit de qui -Que demandons: Quels sont les avantages de l'élimination physique de trésorerie aux banques et le gouvernement ?

    Avantages pour les banques et le gouvernement de l'élimination physique de trésorerie

    (suite en dessous:)

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  5. Les avantages pour les banques et les gouvernements en éliminant trésorerie sont évidentes:

    1. Toute opération financière peut être taxé
    2.Tout transaction financière peut être facturé des frais
    3.Bank pistes sont éliminés

    Dans les systèmes de réserves fractionnaires comme le nôtre, les banques ne sont tenus de détenir une fraction de leurs actifs en espèces. Ainsi, une banque peut avoir seulement 1% de ses actifs en espèces. Si les clients craignent la banque pourrait être insolvable, ils pressent la banque et réclament leurs dépôts en espèces physique. La banque exécute rapidement de liquidités physique et ferme ses portes, ce qui alimente en outre une panique.

    Le gouvernement fédéral a commencé à assurer des dépôts après la Grande Dépression a déclenché l'effondrement de centaines de banques, et cette garantie limitée paniques bancaires, que les déposants ne sont plus nécessaires à craindre la fermeture d'une banque signifierait leur argent en dépôt a été perdu.

    Mais puisque les gens pourraient éventuellement détecter une perturbation dans la Force financière et décider de transformer l'argent numérique en espèces physique par mesure de précaution, l'élimination physique de trésorerie élimine également la possibilité de paniques bancaires, car il n'y aura aucune forme d'espèces qui ne sont pas contrôlés par banques.

    Bien que les avantages pour les banques et les gouvernements de l'interdiction de trésorerie physique sont évidents, il ya des inconvénients à l'économie réelle et à la résilience des ménages.

    Reproduit avec la permission de la prospérité de pointe

    https://www.lewrockwell.com/2015/06/charles-hugh-smith/confiscating-your-cash/

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  6. L'ultime évasion Doomsday

    Californie entrepreneur construit pour 1 milliard de dollars un bunker pour les millionnaires dans le village allemand en cas d'apocalypse - et où les survivants peuvent vivre un an sans le quitter

    Par Sophie Jane Evans
    Daily Mail
    15 juin 2015



    Il dispose d'une gamme luxueuse de piscines, théâtres, gymnases, restaurants, appartements personnalisés et de son propre service d'hélicoptère.

    Mais dans le même temps, il peut apparemment résister à une explosion nucléaire, les agents chimiques, les séismes, les tsunamis - et pratiquement toute autre catastrophe ou d'attaque.

    Ces photos montrent une opulente, underground bunker de survie, sur invitation seulement, qui est surnommé «évasion apocalyptique ultime» du monde.

    Le Vivos Europa Un refuge cinq étoiles, dans le village allemand de Rothenstein, a été dévoilé par le fondateur et PDG vifs, Robert Vicinio, le vendredi.

    Il dépeint un complexe de survie prévue qui est comparable à la demeure d'un milliardaire ou méga-yacht - mais beaucoup plus grand, et avec des capacités «de sauvetage».

    Bien que le coût par appartement reste incertaine, la propriété est évaluée à environ 1,1 milliard $ - ce qui signifie qu'il sera probablement disponible seulement pour les super-riches.
    Chaque famille dans le complexe sera doté d'un appartement privé de 2500 pieds carrés, dont ils peuvent concevoir et construire leurs propres spécifications.

    Ils peuvent décider d'ajouter une piscine, un théâtre ou une salle de bains de luxe. Ils auront également accès à une zone de l'hôpital, plusieurs restaurants et une boulangerie.

    D'autres équipements aires communes comprendront des routes, une cave à vin, des salles de prière, des salles de classe, une station de télévision et un centre de détention.

    Les familles pourront payer une somme de base pour leur appartement, avec leur part des coûts de gestion et de la dotation en personnel du complexe, et d'autres coûts.

    Mais leurs dépenses pourrait leur sauver la vie, dit vifs, comme le complexe de 76 acres peut survivre à une explosion nucléaire "substantielle" à courte portée ou de catastrophe naturelle.

    En plus de ses 227 904 pieds carrés d'espaces de vie fourneaux à l'épreuve, le bunker possède également 43 906 pieds carrés d'espace au-dessus du sol, Forbes a rapporté.

    https://www.lewrockwell.com/2015/06/no_author/the-billion-dollar-bunker/

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    1. Voilà bien une idiotie qui mérite explications. Premièrement, aujourd'hui un 'bunker' signifie rien du tout because qu'avec la technologie scalaire l'on peut détecter et griller n'importe qui même de l'autre côté de la Terre en passant au travers du globe. Cette haute technologie sert jusqu'à présent à rechercher et estimer au cm près la longueur souterraine d'une nappe de pétrole ou d'eau, sa largeur, sa profondeur et, pour le pétrole, sa qualité. Identiquement peuvent être détectés n'importe quel sous-marins même en mode repos-silence à 6000 pieds sous la mer.

      Secondement, cette invention s'adresse à des riches voire plutôt très riches. Or, ces 'riches' ont plus de connaissances qu'un ouvrier manuel, d'où le doûte quant à la crédibilité du chiffre de vente par le constructeur.

      Troisièmement, sortie après 1 an ? Mais, après un an les choses sont comme au lendemain de l'explosion nucléaire ! et donc: sorti pour mourir ! De plus... question nourriture non-irradiée... hum-hum !

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  7. Les médias Mainstream de Government-Controlled est située sur Snowden nouveau


    Glenn Greenwald
    L'ordonnée à l'origine
    15 juin 2015



    NDLR : soutien public de plus en plus pour Edward Snowden semble se mettre aux pouvoirs-qui-être. Les grands médias lance une nouvelle campagne de dénigrement contre le dénonciateur.

    Ici, Glenn Greenwald explique :

    Les journalistes occidentaux affirment que la grande leçon qu'ils ont appris de leur rôle clé dans la vente au public de la guerre en Irak est qu'il est affreux, corrompu et journalisme souvent dangereux de donner l'anonymat aux représentants du gouvernement de les laisser faire le public, puis accepter aveuglément ces revendications anonymement exprimées comme une vérité. Mais ils n'ont appris aucune telle leçon. Cette tactique continue d'être l'aliment de base des principaux comment américaines et britanniques médias « rapport,"notamment dans le domaine de la sécurité nationale. Et les journalistes qui lisent ces rapports continuent de traiter les décrets intéressées par des fonctionnaires sans nom, invisibles – blanchis par l'intermédiaire de leurs médias – comme parole d'Évangile, peu importe la façon dont douteuses sont les revendications ou factuellement faux, c'est l'établissement de rapports.

    Nous avons maintenant un des exemples plus purs de cette dynamique. Hier soir, le appartenant à Murdoch Sunday Times publié leur article principal première page dimanche, titré "British Betrayed espions russes et chinois." Tout comme les médias classiques récit se déplaçait à un sentiment à la suite d'une décision de justice clés et une nouvelle Loi sur la surveillance, l'article pro-Snowden (derrière un paywall: texte complet ici) revendications dans le premier paragraphe que ces deux adversaires "ont déchiffré le top-secret cache des fichiers volés par dénonciateur fugitif américain Edward Snowden, forçant le MI6 à tirer des agents hors opérations vivent dans des pays hostiles selon de hauts responsables à Downing Street, le ministère de l'intérieur et les services de sécurité. » Il continue :

    Des services de renseignement occidentaux agences disent qu'ils ont été contraints dans les opérations de secours après que Moscou a eu accès à plus de 1 m classé des fichiers détenus par l'entrepreneur de sécurité de l'Amérique ancienne, qui ont fui à demander la protection de Vladimir Poutine, le Président russe, après avoir monté un des fuites plus importantes dans l'histoire américaine.

    Sources de hauts responsables du gouvernement ont confirmé que la Chine avait aussi craqué les documents chiffrés, qui contiennent les détails du service de renseignements secrets techniques et informations qui pourraient permettre à des espions britanniques et américaines d'être identifié.

    Un haut fonctionnaire du ministère de l'intérieur a accusé Snowden d'avoir « du sang sur les mains », même si Downing Street a déclaré qu'il avait « aucune preuve de tout le monde mis à mal ».

    Mis à part les fabrications retraction-worthy graves dont dépend cet article – plus sur ceux en une minute, l'intégralité du rapport est une plaisanterie se rejettent. Il se lit comme une parodie je pourrais concocter rapidement afin d'illustrer la maladie de base du journalisme de l'Ouest.

    (suite en dessous:)

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  8. À moins qu'il a fait cuire un steak juteux extra, comment Snowden » a-t-elle sang sur les mains » s'il n'y a « aucune preuve de tout le monde mis à mal ? » Comme un observateur a dit hier soir en décrivant les instructions du gouvernement ces journalistes du Sunday Times semblent avoir obéi: « il n'y a aucun élément de preuve n'importe qui est subi un préjudice, mais nous aimerions que l'expression "sang sur les mains" quelque part dans la pièce. »

    L'article en entier est littéralement rien d'autre que de citer des responsables britanniques anonymes. Il donne la parole à banales mais inflammatoires des accusations qui sont formulées au sujet de chaque "Whistleblower" de Daniel Ellsberg à Chelsea Manning. Il offre zéro preuve ou la confirmation pour l'une de ses revendications. Les « journalistes » qui l'a écrit ni remise en question des affirmations officielles ni même cité quiconque leur refuse. C'est pure sténographie de la pire espèce : certains fonctionnaires chuchoté ces revendications inflammatoires dans nos oreilles et nous a dit de les imprimer, mais pas révéler qui ils sont, et nous allons obéir à. Brise !

    Stephen Colbert capturés cette pathologie exacte avec une précision untoppable dans son discours de correspondants de la maison blanche de 2006, lorsqu'il moque de journalisme américain sur les visages de ceux qui la pratiquent :

    Mais, écoutez, passons en revue les règles. Voici comment cela fonctionne. Le Président prend des décisions. Il est le décideur. L'attaché de presse annonce de ces décisions, et vous les gens de la presse tapez ces décisions vers le bas. Faire, annoncer, tapez. Il suffit de mettre em par un correcteur orthographique et rentrer à la maison. Apprenez à connaître votre famille à nouveau. Faire l'amour à votre femme. Écrire ce roman que vous a coups de pied autour dans votre tête. Vous savez, celui de l'intrépide reporter de Washington qui a le courage de se lever pour l'administration ? Vous le savez, fiction !

    L'article du Sunday Times est encore pire parce qu'il protège les fonctionnaires ils sont avec l'anonymat. La beauté de cette tactique est que les accusations ne peuvent être contestées. Les accusateurs officiels sont étant cachés par les journalistes, afin que personne ne peut y faire face ou tenir responsables lorsqu'il s'avère être faux. Les éléments de preuve ne peuvent pas être analysées ou disséqués parce qu'il est littéralement aucun : ils font juste l'accusation et, parce qu'ils sont fonctionnaires de l'Etat, leurs médias-serviteurs il publiera sans preuve nécessaire. Et comme c'est toujours vrai, il n'y a aucun moyen de prouver le négatif. C'est comme être sali par un fantôme avec une substance qui ne peut pas toucher.

    C'est la tout le contraire du journalisme. Réfléchir comment muets que quelqu'un doit être à ce stade à une dénonciation anonyme de gouvernement, faite avec zéro preuve, de lire et l'accepter comme vrai.

    Mais ça marche. Autres agences de presse bêtement répété le Sunday Times affirme loin.

    http://www.thedailysheeple.com/the-government-controlled-mainstream-media-is-lying-about-snowden-again_062015

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  9. Pour en sortir, il nous faudrait une bonne guerre

    Jean-Marc Vittori / Editorialiste
    Le 08/06 à 14:30

    Mais qui va payer ? Sur les excès de dettes, les politiques climatiques, le vieillissement des populations, cette question reste sans réponse. Alors pourquoi pas une guerre mondiale ? Il existe un bon combat : sauver notre espèce.

    Mais qui va payer ? La question ne se pose pas seulement au restaurant après un bon repas, dans une copropriété suite à une fuite d’eau, ou pour l’industrie des médias face au défi numérique. Elle se pose partout sur la planète. Sans trouver pour l’instant de réponse.

    C’est évident sur la question du climat. Au-delà des aléas, la température de la planète monte. Cette montée aura des effets désastreux si elle se poursuit. Et l’homme semble avoir une responsabilité majeure dans cette montée, avec les gaz à effet de serre résultant de son activité économique. Il faut agir – c’est l’enjeu de la conférence internationale qui se réunira à Paris en décembre.

    Par une belle matinée de juin, on alla donc écouter des autorités débattre de cette question, dans le bel auditorium du ministère de l’Ecologie. Tout le monde était d’accord : il faut faire payer les pollueurs. L’économiste Christian de Perthuis, qui pilote la chaire « Economie du climat » à l’université Paris Dauphine, proposa un système de bonus-malus. Les pays qui émettent plus de gazcarbonique que la moyenne mondiale paient, les autres reçoivent. Son collègue Jean Tirole, qui préside la Toulouse School of Economics et distingué par le prix Nobel d’économie l’an dernier, souligna l’importance d’avoir un prix unique du carbone dans le monde entier. Il suggère un système de « cap and trade » (on plafonne les émissions de gazcarbonique dans chaque pays, puis on échange des droits à émettre d’un pays à l’autre). Des pénalités commerciales seraient appliquées aux importations venant des pays qui ne participent pas, pour les inciter à entrer dans le système.

    Gérard Mestrallet, le PDG d’Engie, et son collègue de Veolia, Antoine Frérot, réclamèrent chacun à leur manière une tarification du carbone, le premier soulignant non sans malice qu’il était « original » que les entreprises réclament de payer. La ministre Ségolène Royal souligna la « prise de conscience ». Six majors pétrolières viennent de réclamer elles aussi une tarification du carbone. Larry Fink, le patron de la première société mondial d’investissement Blackrock, insiste sur la nécessité des entreprises de voir à plus long terme. Une agence de notation, Beyond Ratings, a été créée pour intégrer les risques climatiques dans l’évaluation des obligations publiques. L’agence Standard & Poor’s travaille sur la question. Et le fonds souverain norvégien a annoncé qu’il allait vendre les actions d’entreprises travaillant dans le charbon, dont la combustion dégage beaucoup de gazcarbonique. Mais au bout du compte, il faudra payer. Jean Tirole : « Le sujet difficile, c’est qui va payer. Le reste, on sait faire. »

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  10. L’après-midi de la même journée de juin, on alla écouter d’autres économistes, à l’autre bout de Paris, dans la Maison de la Tunisie, sur un débat a priori différent : les dettes souveraines en Europe. Pierre Moscovici, le commissaire européen aux Affaires économiques et financières, dénonça le « compteur impitoyable » de la dette, mais préfère la « voie de la raison » (croissance nominale élevée et politique budgétaire adaptée) à la restructuration. Xavier Ragot, le président de l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), répondit avec pratiquement les mêmes mots que Tirole quelques heures plus tôt : « La dette n’est pas un problème économique, mais politique. Qui doit payer ? » Les Grecs aujourd’hui ? Demain ? Les Européens ? Et de distinguer l’Allemagne « qui veut éduquer les emprunteurs » du FMI « qui veut éduquer les prêteurs ».

    La même question reviendra fatalement à propos des retraites, que le système soit public ou privé, par répartition ou par capitalisation. En France, le régime de retraite par répartition des cadres sera à sec dans trois ans. Aux Etats-Unis, nombre de régimes de retraite par capitalisation entendent servir leurs clients avec un rendement du capital de 6 ou 8%, totalement irréaliste. Et la question devient encore plus aiguë quand on ajoute le financement de la santé. Climat, vieillissement, dettes… Partout, la question est éminemment politique. Mais les politiques ont le plus grand mal à s’en saisir. A convaincre les électeurs de payer.

    C’est ici qu’il faudrait une bonne guerre. Car pour financer un conflit, il faut toujours s’évader des règles ordinaires, faire des choix difficiles, transcender les oppositions. Les Etats-Unis sont par exemple réellement sortis de la grande Dépression des années 1930 par l’effort de guerre. Il est alors possible d’accumuler les déficits publics, de faire des emprunts patriotiques ou forcés, de matraquer le contribuable (Franklin Roosevelt monte le taux marginal supérieur de l’impôt sur le revenu à… 91% en 1941). Et de tondre l’épargnant, car ceux qui ont encore de l’argent en poche sont alors mal placés pour se défendre.

    Mais il serait évidemment stupide de se battre les armes à la main. La France l’a fait pendant des siècles sans grand succès. Les Etats-Unis n’ont pas été très heureux de se battre contre eux-mêmes. Et les boucheries du XXe siècle ont laissé un exécrable souvenir. Au siècle du capital humain, il faudra donc trouver une autre forme de guerre. Aussi nécessaire soit-elle, la lutte contre le terrorisme fait petit bras. Aussi juste soit-elle, la croisade contre la pauvreté ne mobilise pas assez les pays riches. Seule une guerre pour notre survie sera assez puissante pour nous faire payer, pour balayer les habitudes, les orthodoxies et les pouvoirs établis. Cette guerre, c’est logiquement le combat pour la planète, pour préserver l’existence de notre espèce, contre les dérèglements climatiques. Il ne reste plus qu’à espérer la tempête parfaite, celle qui déclenchera cette guerre sans faire (trop) de victimes.

    http://www.lesechos.fr/idees-debats/editos-analyses/021119239133-pour-en-sortir-il-nous-faudrait-une-bonne-guerre-1126285.php

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    1. (...) Tout le monde était d’accord : il faut faire payer les pollueurs. (...) !!!??

      'tout le monde' ??! Y a t-il eu un référendum mondial ? Hahahaha ! Ce n'est pas pour rien qu'il y a longtemps que j'ai abandonné la lecture de ce torchon (Les échos) ou les CM1 se disent 'économistes' ! Par contre, il ne va surtout pas citer

      http://huemaurice7.blogspot.fr/2009/12/16-porte-containers-polluent-plus-que.html

      et dire pourquoi aujourd'hui il y a plus de 16 porte-containers ! ou de citer l'Arabie saoudite comme étant le plus gros pollueur de la planète !

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html

      (...) C’est évident sur la question du climat. Au-delà des aléas, la température de la planète monte. Cette montée aura des effets désastreux si elle se poursuit. (...) !!?

      A bon ! Quel est le con qui a dit çà ? A t-il des références ? Le climat se juge sur la planète entière et non sur un quartier chaud de Paris ! Donc, ne parlons pas des froids records cette année comme l'année dernière aux USA (fin avril 2015 il y avait encore 49 Etats sous la neige au sol !), Canada, R-U, pays scandinave et Russie !

      Après, il s'attaque au carbone avec le soutient inconditionnel aux voleurs qui appliquent des taxes sur l'air ! Ne connaissant RIEN sur le gaz carbonique et ses propriétés comme dans 'l'effet de serre' !

      Faut dire aussi que les véritables trolls s'appellent journalistes car, ils ne peuvent dire ce qu'il veulent et doivent être dans la ligne non-libre du journal qui les paye pour cela.

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  11. Les ultra riches ignorent la sécheresse: «Non, nous ne sommes pas tous égaux quand on vient à l'eau"

    Mac Slavo
    15 juin 2015
    SHTFplan.com


    Comme les ressources en eau en Californie près d'un scénario catastrophe où toutes les sources d'eau de surface sont épuisées, les ultra riches ont encore à se retirer de leur utilisation. En réponse, les comtés de tout l'État ont mis en place des restrictions d'eau avec de lourdes amendes pour ceux qui vont sur leurs attributions quotidiennes. Mais ces amendes, qui représentent souvent une petite goutte dans le seau pour les plus aisés, ont peu fait pour réduire l'usage dans les communautés valeur élevée du dollar.

    En outre, bien que les sanctions de la Californie visent prétendument à économiser l'eau, de grandes sociétés méga comme Nestlé et Walmart sont encore tirent l'eau du sol à des fractions de cents sur le dollar et la revente de produits en bouteille pour les bénéfices cent fois ou plus. Il a été rapporté, par exemple, que Nestlé met une majoration de 53 millions de pour cent sur une seule bouteille.

    Ainsi, alors que les législateurs de la Californie font valoir que les nouvelles restrictions rendent l'utilisation de l'eau égale pour tous, le fait est que, comme George Orwell si succinctement le mit dans sa roman classique La Ferme des animaux, «tous les animaux sont égaux, mais certains animaux sont plus égaux que d'autres. "

    Est nulle part plus apparente que dans les bousculant et animés quartiers de l'ultra riche, où les avocats de vie durables comme Barbara Streisand et autres étoiles d'élite ont continué à utiliser des milliers de litres d'eau pour garder leur pelouse verte. Après les photos de leurs modes de vie opulents frappé les médias sociaux ces derniers mois certains ont tiré vers l'arrière, mais d'autres, comme Steve Yuhas, soutiennent que si elles ont l'argent pour payer l'eau, y compris les amendes, ils devraient être en mesure de l'utiliser comme ils voient ajustement.

    Si vous pouvez payer pour cela, soutient-il, vous devriez obtenir votre eau.

    Les gens "ne devraient pas être forcés de vivre sur la propriété avec des pelouses bruns, golf sur les terrains brunes ou des excuses pour vouloir leurs jardins pour être belle," Yuhas fumée récemment sur les médias sociaux. «Nous payons des impôts fonciers importants en fonction de l'endroit où nous vivons», a t-il ajouté dans une interview. "Et, non, nous ne sommes pas tous égaux quand on veut de l'eau."

    Yuhas vit dans l'enclave ultra-riche de Rancho Santa Fe, un hameau sud de la Californie bucolique de ranchs, les gated communities et les country clubs qui engloutit cinq fois plus d'eau par habitant que la moyenne échelle de l'État.

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  12. Il est un débat vieux comme l'Amérique, et qui est difficile d'argumenter avec. Yuhas est pas seul dans ses vues. L'eau est distribuée également quand elle quitte une plante particulière, mais une fois qu'elle passe à travers le compteur d'eau de quelqu'un, il est alors détenue par la personne à payer pour cela. Si elles ont l'argent pour payer, alors quel est le problème ?

    "California utilisé pour être la terre d'opportunité et de la liberté", a déclaré Barbre. "Il est en train de devenir la terre d'un groupe tout le monde dire d'autre comment ils pensent que tout le monde devrait vivre leur vie."

    Jurgen Gramckow, une au nord gazon agriculteur de Los Angeles dans le comté de Ventura, est d'accord. Il compare la liberté d'acheter de l'eau à la liberté d'acheter de l'essence.

    "Certaines personnes ont une Prius; d'autres ont un Suburban ", a déclaré Gramckow. "Une fois que l'eau passe à travers le compteur, elle est à vous."

    Déterminer qui a raison dans cet argument reste une question ouverte.

    Mais ce que la pénurie d'eau en Californie met en évidence est que ceux avec de l'argent aura toujours les premiers sur les ressources.

    Aujourd'hui, il est de l'eau, mais selon les experts, la sécheresse devrait continuer de la Californie l'état sera sec dans un an. Cela peut ne pas sembler une grosse affaire pour les Américains dans les 49 autres États, mais la NASA a averti que l'ensemble de l'offre alimentaire des États-Unis pourrait être menacée:

    Jet Propulsion Laboratory de la NASA a lancé un avertissement frappant sur la sécheresse soutenue de la Californie, la publication de ses derniers résultats, où des enquêtes satellites montrent qu'un approvisionnement en eaux souterraines s'épuise rapidement.

    Et avec la Californie comme État agricole le plus précieux des États-Unis, et donc la clé de l'approvisionnement alimentaire de l'Amérique (et la plupart des pays de même) qui pourrait signifier des conséquences dramatiques pour les prix des matières premières alimentaires et des pénuries potentielles.

    Mais pour l'ultra-riches et ceux dont les moyens, la pénurie potentielle de la population générale sont vides de sens.

    Comme l'a démontré avec les batailles d'eau qui ont lieu maintenant, ceux qui ne disposent pas de suffisamment d'argent pour couvrir la hausse des dépenses, qu'elles soient sous la forme de prix plus élevés ou des pénalités financières, devra faire en raison de leurs attributions mandatés par le gouvernement.

    Si vous ne faites pas assez d'argent pour acquérir ces ressources que nous a si désespérément besoin pour survivre et maintenir notre niveau de vie, alors que ce difficile. Vous aurez juste à traiter avec elle.

    Dans le pire des cas, les plus gros poissons seront sans doute prendre de petits poissons. Considérons une situation où une urgence nationale est déclarée. Quelle que soit la raison, imaginez que l'accès à l'eau potable, de la nourriture, de l'essence, de l'électricité ou d'autres ressources essentielles devient limitée.

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  13. Analyste Greg Mannarino avertit qu'un tel scénario, où les ressources se font rares, pourrait conduire à la mort de millions.

    Des millions et des millions de personnes vont mourir sur une échelle mondiale lorsque la bulle éclate de la dette. Et quand je dis pas si ...

    ...

    Lorsque les ressources deviennent de plus en plus rare, nous allons voir des pays en guerre les uns avec les autres. Les gens seront bousculent ... dans le pire des cas ... de faire tout ce qu'ils peuvent pour survivre ... à fournir pour leur famille et pour eux-mêmes.

    Les riches auront certainement la capacité de payer, même si cela signifie l'acquisition de ces ressources grâce à des accords sur le marché noir. Les représentants du gouvernement, cependant, auront une autre méthode pour prendre ce dont ils ont besoin (ou le désir).

    En 2012, le président Obama a autorisé ce que beaucoup ont surnommé le décret Doomsday, qui donne essentiellement autorité fonctionnaires fédéraux de tout saisi des fermes productrices d'aliments et des puits d'eau, à des industries entières et les forces de travail, qui les rendent possibles.

    Alors que des millions de personnes se préparent à la possibilité d'un événement catastrophique en déménageant dans des fermes ou des fermes rurales, ainsi que le stockage des aliments, de l'eau, de l'armement personnels de la défense et d'autres fournitures essentielles avec l'intention d'utiliser ces préparations, si le pire se produit, la dernière décret signé par le président Obama le 16 Mars, 2012 indique clairement que dans le cas d'une urgence réputée à l'échelle nationale toutes ces ressources tomberont sous l'autorité du gouvernement des États-Unis.

    La signature de l'ordre exécutif Ressources Défense nationale civile accorde le Department of Homeland Security, le ministère de l'Agriculture, le ministère du Travail, le ministère de la Défense et d'autres organismes de contrôle complète de tous les américains ressources, y compris la capacité de saisir, confisquer ou de re -delegate ressources, des matériaux, des services, et des installations jugées nécessaires ou appropriées pour promouvoir la défense nationale comme délégué par les organismes suivants

    Donc, à la fin, si vous êtes d'accord avec Steve Yuhas ou non, son évaluation est exacte.

    Quand il vient à contrôle et d'acquisition, les politiciens et les riches ressources, sera toujours un peu plus égaux que le reste d'entre nous.

    Voilà tout simplement la nature de la bête, préparant ainsi pour les pénuries de ressources aujourd'hui est peut-être le seul point pour la majorité de la population qui sera laissé à eux-mêmes au cours d'une véritable crise. La plupart vont ignorer les avertissements, mais comme Ayn Rand a si bien dit, «Nous ne pouvons ignorer la réalité, mais nous ne pouvons ignorer les conséquences d'ignorer la réalité."

    http://www.shtfplan.com/headline-news/ultra-wealthy-ignore-drought-no-were-not-all-equal-when-it-comes-to-water_06152015

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    1. Pourquoi y a t-il personne qui vie en plein désert du sahara, de gobi ou d'ailleurs ? Parce que il n'y a pas d'eau. Pourquoi Végas a t-elle pu être construite en ce milieu hostile ?

      Tout est une affaire d'intelligence a faire venir l'eau de mer dessalée en des milieux qui ne l'ont jamais vu. La Californie va donc se vider de ses habitants en nivelant d'abord par le bas de l'échelle jusqu'à ce que ceux qui restent aient les moyens de dessaler l'eau du Pacifique alors qu'il n'y aura plus personne pour faire payer des impôts. L'Etat sera devenu (ou redevenu) une affaire de propriété achetée à 1$.

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  14. Quand les multinationales décident qui doit planter quoi

    Lorène Lavocat /Anaïs Cramm
    Reporterre
    lun., 15 juin 2015 11:13 UTC

    Pendant des siècles, les paysans ont utilisé leurs propres semences, créant une biodiversité extraordinaire. Aujourd'hui, cette richesse est mise en danger par la rapacité de quelques multinationales. Leur arme ? Les droits de propriété intellectuelle. Face à cette menace, les paysans exigent que les semences restent ce qu'elles ont toujours été : des biens communs.

    « Ils sont en train de s'emparer de toutes les plantes qui existent sur la planète ! » Guy Kastler ne cache pas son indignation ni son inquiétude. « Ils », ce sont les industriels semenciers. Monsanto, Pioneer, Syngenta. Une poignée de multinationales qui contrôle aujourd'hui le marché de la semence... et l'avenir de notre agriculture. « Ils nous imposent des lois qui interdisent les semences que les paysans reproduisent dans leurs champs, pour les remplacer par quelques génies (Gènes ?) synthétiques marqués du sceau de leur propriété intellectuelle », explique-t-il.

    Syndicaliste aguerri et membre fondateur du Réseau semences paysannes, il défend les droits des paysans, et notamment celui de cultiver, de ressemer et d'échanger des semences. Une pratique millénaire remise en cause depuis près de cinquante ans par l'essor des droits de propriété intellectuelle (DPI).

    Créés à l'origine pour empêcher la contrefaçon et protéger les inventeurs industriels, comme pour les droits d'auteur, ces DPI ont peu à peu investi le monde agricole. Avec un argument, réitéré en 1998 par une directive européenne : « La recherche et le développement exigent une somme considérable d'investissements à haut risque que seule une protection juridique efficace peut permettre de rentabiliser. » A coups de brevets et de certificats d'obtention végétale, les semenciers ont ainsi pu s'approprier des variétés prélevées dans les champs des paysans. Et réclamer ensuite des royalties. C'est une aberration, selon Ananda Guillet, de l'association Kokopelli : « Les semences, comme n'importe quel être vivant, n'appartiennent à personne et à tout le monde en même temps, il ne peut y avoir de droit de propriété ! »
    Les industriels peuvent breveter ce qui existe déjà

    Un accaparement qui s'accélère aujourd'hui via un nouveau type de brevet « sur les caractères natifs ». Jusqu'ici, seules des variétés nouvelles pouvaient faire l'objet d'un titre de propriété. Désormais, « les industriels peuvent breveter ce qui existe déjà », résume Guy Kastler.

    En 2013, tel Christophe Colomb découvrant l'Amérique, la compagnie Syngenta « trouve » un poivron jamaïcain résistant à un parasite, la mouche blanche. En laboratoire, grâce au marquage moléculaire, les chercheurs parviennent à identifier la séquence génétique qui permet à la plante de survivre aux attaques de l'insecte... et la brevettent. Problème, nombre de paysans cultivent déjà des poivrons résistants. « Ça paraît un peu hurluberlu, mais Syngenta pourrait aujourd'hui aller les voir et leur demander de payer des droits de licence », explique Emilie Lapprand, juriste pour le Réseau Semences paysannes. « Ils disent, "cette plante résiste à tel insecte, j'ai trouvé la séquence génétique qui lui permet de faire ça, toutes les plantes qui résistent à cet insecte m'appartiennent donc" », résume Guy Kastler.

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  15. « Toutes les semences devraient être libres de droit et reproductibles », martèle Ananda Guillet. L'association Kokopelli commercialise depuis près de vingt ans des semences pour des jardiniers, sans se soucier d'éventuels droits de propriété. « On est un peu anarchiste, on refuse toute règlementation, même si on demande que les OGM soient interdits. » Pour Ananda Guillet, les semences, comme les logiciels libres, doivent relever du domaine public et être accessibles à tous.
    Une revendication qui laisse sceptique Guy Kastler. « Tout le monde crie liberté, liberté ! Mais le marché libre, c'est la dictature des entreprises, et sans règles et sans barrières, pas de souveraineté alimentaire. » A l'inverse de Kokopelli, le Réseau Semences paysannes revendique ainsi des droits des agriculteurs sur leurs semences. « Dans le monde vivant, les semences libres, ça n'existe pas », dit M. Kastler. « Aucune plante cultivée n'existe sans co-évolution avec un groupe humain, dans la nature, si tu laisses une plante libre, elle redevient sauvage. »

    « Le patrimoine commun de l'humanité est devenu le patrimoine commun des semenciers »

    Si les semences ne sont pas libres, pourraient-elles au moins être communes ? Depuis les années 1980, elles sont reconnues, en tant que « ressources phytogénétiques », comme patrimoine commun de l'humanité. Un statut censé les rendre inappropriables. Problème, dans les faits, il donne « accès à ces ressources aux firmes pharmaceutiques et semencières (des pays riches), sans que ces dernières soient tenues, d'une quelconque manière, de redistribuer une partie des bénéfices qu'elles pourraient en tirer », dit Frédéric Thomas, chercheur à l'Inra.

    L'argument du « ce qui est à toi est à moi » a joué en faveur des multinationales, dont les moyens dépassent largement ceux des petits paysans. « Le patrimoine commun de l'humanité est devenu le patrimoine commun des semenciers », conclut Guy Kastler.

    En 2001, le Traité international sur les ressources pour l'alimentation et l'agriculture (Tirpaa) reconnaît enfin aux agriculteurs et aux communautés autochtones le droit de « protéger leurs connaissances traditionnelles, participer aux décisions nationales concernant les ressources et de conserver, ressemer et échanger leurs semences. » Charge à chaque État de faire respecter ces nouvelles règles... qui sont bien souvent reléguées au placard.

    Faire des semences un bien commun

    Plutôt que de patrimoine commun, les défenseurs des droits paysans préfèrent parler de « commons » ou de biens communs. « Un bien commun est un bien considéré comme un bienfait par tous, et auquel chacun devrait avoir accès », explique l'économiste Laurent Cordonnier. Comme l'eau ou la santé, les semences pourraient relever de cette définition.

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  16. Échanger des savoir-faire, se répartir ou mutualiser certaines activités, participer à des programmes de recherche, conserver ou sélectionner de nouvelles variétés adaptées localement... Pour bon nombre de paysans, s'organiser collectivement pour gérer les semences est devenu une nécessité. Cette gouvernance des communs prend souvent la forme de "Maisons des semences".
    Au début des années 2000, Bertrand Lassaigne, paysan périgourdin, se rend au Brésil, en quête de variétés de maïs. Là-bas, il découvre les Casas de sementes criollas, où les paysans échangent et conservent leurs graines. Il rapporte l'idée dans ses bagages et l'essaime en France. "Le terme désigne une organisation collective de gestion des semences paysannes", précise Remy Lebrun, d'Agrobio Perigord. Au sein d'une de ces maisons, l'association organise la préservation et la multiplication de variétés de maïs. Chaque année, de petites quantités de semences sont confiées à des agriculteurs. Ces derniers les sèment, les récoltent et en restituent une partie à la Maison.

    Pour nombre de mouvements paysans, la seule manière de les préserver d'une privatisation dangereuse pour l'humanité, c'est d'en confier la gestion aux communautés rurales elles-mêmes. Un ensemble de règles décidées collectivement, aussi appelées droits d'usage, permettrait de réguler l'accès à ces ressources. Qui gère le stock de graines, quelles sont les conditions d'échange, que faire contre les plantes invasives... Ainsi, même si les semences n'appartiennent à personne, impossible de les utiliser sans respecter un certain nombre de pratiques, définies par la communauté qui les a conservées. Elle seule pourrait décider si ses semences sont libres ou non.

    S'il était réellement appliqué, le Tirpaa serait un premier pas timide vers cette notion de commons. Mais les mouvements de paysans et de jardiniers n'ont heureusement pas attendu les pouvoirs publics. Depuis près de vingt ans, ils s'organisent, hors du cadre légal, pour troquer, multiplier et essaimer leurs semences. Et ainsi libérer la biodiversité.

    http://fr.sott.net/article/25785-Quand-les-multinationales-decident-qui-doit-planter-quoi

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  17. Lipides : le calamiteux consensus scientifique

    Pierre Gosselin
    Contrepoints
    lun., 15 juin 2015 04:52 UTC

    En ce qui concerne les maladies cardiaques, si des patients du passé avaient ignoré 97% des médecins et suivi le conseil des autres 3%, nombre d'entre eux seraient toujours en vie et en bonne santé aujourd'hui même.

    La science a sa propre façon de se présenter comme l'art des lumières, et cependant, historiquement, elle a la mauvaise habitude de nous entrainer dans des impasses obscures. L'Histoire humaine en est remplie d'exemples. Quand de nouvelles théories deviennent admises comme des faits solides, les politiques suivent habituellement et trompent la communauté des citoyens, les entraînant dans des directions nouvelles, et habituellement désastreuses. Les dissidents sont envoyés en exil académique. Au bout du compte, la société se retrouve entraînée vers des voies sans issue, à des années-lumière de la vérité. Elle ne se réveille, et ne change ses habitudes que lorsque la vraie science est à nouveau autorisée à intervenir.

    Il en a été ainsi de la théorie des lipides, qui a avancé que le cholestérol provenant d'une alimentation riche en gras était un tueur majeur. Aujourd'hui, après six décennies, cela se révèle faux, et de façon frappante.

    Cette théorie des lipides a été propulsée dans les années 1950 par le Dr Ancel Keys et son regrettable et faux tableau d'étude comparative des habitudes alimentaires de sept pays, qui prétendait démontrer un lien direct entre la maladie cardiaque et l'apport de gras dans l'alimentation. Et le résultat, durant une soixantaine d'années, fût la promotion dans les sociétés occidentales de l'adoption de la diète riche en glucides et pauvre en gras, pour une vie en bonne santé. Aujourd'hui, après le décès tragique de dizaines de millions de personnes atteintes de diabète, de maladies cardio-vasculaires et de cancers, la science commence enfin juste à admettre qu'elle s'est gravement trompée. Le consensus scientifique était faux.

    Dans cet article, Dr Dwight Lundell, un chirurgien cardiaque expérimenté, nous explique en quoi cette théorie était fausse, et quelles en ont été les affreuses conséquences.
    Nous, les faiseurs d'opinion insistions sur le fait que les maladies cardiaques avaient pour origine un taux de cholestérol élevé.

    La seule thérapie acceptée était de prescrire des médicaments pour faire baisser ce taux, et un régime restreignant fortement le gras. Les déviations à cette recommandation étaient considérées comme hérétiques, et il est bien possible qu'elles pouvaient mener à des accusations de faute professionnelle.
    Le résultat, tel qu'il le décrit :
    Bien que 25% de la population prend des statines très onéreuses, et bien que nous ayons réduit le gras dans notre alimentation, plus d'Américains que jamais auparavant mourront cette année de maladies cardiaques.

    Les recommandations nutritionnelles longuement établies ont créé des épidémies d'obésité et de diabète, dont les conséquences dépassent de loin toutes les épidémies historiques en termes de mortalité, de souffrance humaine, et de terribles conséquences économiques.

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  18. Imaginez vous qu'il a fallu six décennies pour qu'émerge la vérité.

    Il en sera de même en ce qui concerne la théorie du gazcarbonique et du climat. Les parallèles sont frappants. Comme la théorie des lipides, celle du gazcarbonique et du climat est également basée sur un graphique en crosse de hockey absurde, fabriqué par un scientifique pas tout à fait honnête. Cela va perdurer encore quelques décennies et, là aussi, générer quelques dizaines de millions de morts prématurées.

    Le consensus est la panne de freins de la science

    Ce n'est qu'au début de l'année dernière que j'ai rejeté le vieux consensus sur le cholestérol et la santé, et que je suis passé à une alimentation pauvre en glucides, riche en gras, incluant beaucoup de viandes, d'œufs, de beurre issu de lait de vaches nourries à l'herbe, et de légumes. Depuis lors, j'ai perdu 9 kg, ma tension artérielle est revenue à la normale, et mes tests sanguins sont normaux. Cela fait au moins 20 ans que je ne me suis pas senti mieux. Voilà ce qu'il advient quand on rejette la « science par consensus ».

    Quelle leçon en tirer ? Le consensus est la panne de freins de la science. Quand il se produit, tout ce qu'on peut espérer est qu'il ne nous entraîne pas jusqu'au bord de la falaise. C'est précisément là ce qui est en train se produire avec la science du climat.

    Les 97% auraient du être ignorés.

    En ce qui concerne les maladies cardiaques, si des patients du passé avaient ignoré 97% des médecins et suivi le conseil des 3% restants, nombre d'entre eux seraient toujours en vie et en bonne santé aujourd'hui.

    http://fr.sott.net/article/25790-Lipides-le-calamiteux-consensus-scientifique

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  19. Des dizaines de polluants chimiques à l'intérieur de nos habitats

    Rachida Boughriet
    Actu Environnement
    ven., 12 juin 2015 04:02 UTC


    Phtalates, retardateurs de flamme, BPA figurent parmi les dizaines de substances chimiques semi-volatiles présentes dans les logements en France, suspectées d'avoir des effets sur les systèmes nerveux et hormonal.

    L'Observatoire de la qualité de l'air intérieur (Oqai) a présenté le 11 juin les premiers résultats d'une campagne nationale de mesures des composés organiques semi-volatils (COSV), présents dans l'air et dans les poussières au sol des logements.

    Ces substances chimiques entrent dans la composition de matériaux et de produits de grande consommation. Elles sont issues des matériaux plastiques (phtalates, bisphénol A), des ordinateurs et des textiles d'ameublement (retardateurs de flamme polybromés - PBDE), des produits d'entretien et cosmétiques (muscs de synthèse (galaxolide et la tonalide) et alkylphénols), des traitements insecticides ou anti-poux (pyréthrinoïdes, pesticides organochlorés et organophosphorés). Figurent également les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) provenant des processus de combustion, le triclosan, un antibactérien utilisé dans les produits d'hygiène corporelle, ou encore les PCB (polychlorobiphényles) interdits mais encore présents dans les vieux joints d'étanchéité (ouvrants, revêtements de sol) datant des années 1970.

    Effets sanitaires

    L'ensemble de la population est ainsi exposé à ces molécules via différentes voies : inhalation, ingestion et contact cutané. Les jeunes enfants, qui portent fréquemment leurs mains à la bouche, sont particulièrement vulnérables. Or, "certains COSV sont suspectés d'avoir des effets sur le système nerveux et le système immunitaire. De plus, certains sont suspectés d'être des perturbateurs endocriniens", alerte l'Oqai.

    Cette première étude française a mesuré les concentrations des COSV dans l'air intérieur des habitats (phase particulaire PM10) et dans les poussières au sol contenues dans les sacs d'aspirateurs. Le Centre scientifique et technique du bâtiment (CSTB) a coordonné ces travaux avec l'École des hautes études en santé publique (EHESP).

    Il s'agit d'une analyse "multi-résidus" réalisée par les chercheurs, a précisé Corinne Mandin, ingénieure au CSTB. Ainsi, 145 échantillons de poussières de sacs d'aspirateurs ont été passés au crible. Ces sacs avaient été collectés en 2008-2009 lors de la campagne nationale de mesures "Plomb-Habitat" (CSTB-EHESP, InVS, APHP) menées dans 484 logements abritant des enfants âgés de 6 mois à 6 ans. Les particules dans l'air ont été prélevées au cours de la campagne nationale de l'Oqai, conduite entre 2003 et 2005, dans 567 logements : 285 filtres ont ainsi été analysés.

    Des concentrations "variables" relevées

    Résultats : dans les poussières au sol, 32 des 48 COSV recherchés (67%) sont présents "dans plus d'un logement sur deux". Dans l'air, 35 des 66 COSV recherchés (53%) sont également présents dans plus de la moitié des logements. "Certains COSV, notamment les phtalates [présents dans les câbles électriques, les rideaux de douche, les revêtements muraux..., ndlr] et les HAP [tabac, encens, chauffage au bois, ndlr], sont détectés dans quasiment tous les logements, à la fois dans l'air et dans les poussières", a précisé Corinne Mandin.

    (suite en dessous:)

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  20. D'autres COSV sont peu détectés, comme les pesticides organochlorés et organophosphorés et certains PCB et PBDE.

    Des différences "très importantes" existent entre les concentrations observées en fonction des substances, a-t-elle souligné. Ainsi dans les poussières au sol : des concentrations maximales supérieures à 1 milligramme par gramme (mg/g) ont été relevées pour quatre phtalates (DEHP, DiNP, DiBP, BBP) et la perméthrine, contre quelques dizaines de nanogrammes par gramme (ng/g) pour plusieurs BDE et quelques PCB.

    Dans l'air, les concentrations vont de quelques microgrammes par mètre cube (µg/m3) pour les phtalates (DEHP et le DiNP) à quelques picogrammes (pg/m3) pour les PCB, les PBDE, les alkylphénols et les pesticides organochlorés et organophosphorés.

    S'agissant du bisphénol A (BPA) : dans les poussières au sol, les concentrations médianes s'élèvent à 4,2 µg/g. Elles sont inférieures à 1 ng/ m3 dans l'air.

    Des mesures dans les écoles

    Cette campagne de mesures s'inscrit dans le cadre du projet Ecos-Habitat (Exposition cumulée aux composés organiques semi-volatils) mené par l'Institut de recherche en santé environnement travail (Irset). Il s'agit d'un "point d'étape", a souligné Corinne Mandin. "Afin de réaliser l'évaluation des expositions, les concentrations en phase gazeuse des COSV dans l'air, non mesurées, doivent être déterminées". Les concentrations mesurées seront utilisées pour caractériser les risques associés à une exposition à un mélange des COSV et leurs effets sanitaires communs.

    L'Oqai mesure actuellement 46 COSV dans le cadre de sa campagne nationale menée dans 600 classes d'écoles maternelles et élémentaires, lancée en 2013. Ces substances appartiennent aux mêmes familles chimiques que les COSV étudiés dans les logements : pesticides organochlorés et organophosphorés, pyréthrinoïdes, PCB, PBDE, phtalates, muscs de synthèse et HAP. Les résultats de cette campagne sont attendus en 2017.

    http://fr.sott.net/article/25780-Des-dizaines-de-polluants-chimiques-a-l-interieur-de-nos-habitats

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    1. Non à cette image d'Epinal - que les montagnes seraient des endroits d'air pur - véhiculée encore de nos jours ! Les montagnes constituent des murs qui arrêtent et dévient les courants d'airs. Elles reçoivent donc toutes les pollutions que le ou les vents charrient. Ces particules nocives sont filtrées dans les branches des arbres qui les retiennent.

      Il ne faut donc pas croire que 'parce que il y a des pinèdes et sapinières que çà sent bon les résineux et/ou que l'oxygène manque en altitude' que l'atmosphère est meilleure pour cela !
      Primo, les arbres ont besoin de gazcarbonique pour se développer, ils n'en reçoivent donc que par les vents qui en apportent mais qui ne soufflent pas 24/24 h ni 7/7 j. Or, le gazcarbonique étant un gaz lourd demeure en plaines ou en fonds de vallées. D'où les forêts clairsemées qui n'ont rien à voir avec celles de plaines où les arbres sont en meilleure santé. C'est pourquoi il n'y a plus d'arbres en altitude et non une question de températures sous zéro qui sont d'ailleurs constatables en d'autres régions nordiques où les arbres se développent pourtant très bien et à des températures parfois beaucoup plus loin sous le zéro qu'en haut des montagnes.

      Secundo, oui la neige est forcément polluée et, oui la fonte des glaciers de montagnes n'est pas une eau exempte de pollution.

      Donc, oui encore les bois coupés en montagnes pour en faire des poutres, des murs ou des meubles renferment plus de particules nocives que ceux coupés en des plaines.

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  21. Un robot va imprimer en 3D un pont d’acier à Amsterdam (vidéo)

    par Arnaud Lefebvre
    14 juin 2015

    En septembre, le designer néerlandais Joris Laarman va placer son robot au bord d’un canal dans le centre d’Amsterdam. Il enclenchera ensuite le bouton « on » et son robot, l’imprimante 3D MX3D Metal, équipée d’un bras mécanique multi-axe, va commencer à construire un pont d’acier au-dessus du canal, rapporte Fastcodesign.

    Laarman a fondé une nouvelle société de recherche et de développement, MX3D, qui se spécialise dans la construction de robots 6 axes capables d’imprimer en 3D du métal et de la résine dans l’air. Parmi les partenaires du projet de pont d’acier imprimé en 3D à Amsterdam, MX3D collaborera avec Lenovo, Autodesk et Air Liquide, explique le site 3D Natives qui précise que cette technologie constitue le futur de la construction urbaine capable d’imprimer en temps réel et sans l’intervention de l’homme des édifices de taille importante.

    « Nous nous sommes demandés quelle était la chose la plus emblématique que nous pourrions faire en public afin de montrer de quoi est capable cette technologie. Etant donné qu’il s’agit des Pays-Bas, nous avons conclu qu’un pont au-dessus d’un canal de la vieille ville d’Amsterdam était un très bon choix. Non seulement, il s’agit d’un projet bon pour la publicité mais si MX3D est capable de construire un pont sorti de nulle part, il est possible de tout construire », a expliqué Laarman à Fastcodesign.

    Lors de ce projet, le groupe français Air Liquide assistera MX3D sur le plan R&D, notamment en fournissant ses gaz de soudage, explique 3D Natives. Pour Joris Laarman, ce pont montre la manière dont l’impression 3D est capable de servir dans le monde des constructions à grande échelle, des objets fonctionnels et des éléments durables tout en permettant une liberté de la forme sans précédent.

    - voir clip sur site:

    http://www.express.be/business/fr/technology/un-robot-va-imprimer-en-3d-un-pont-dacier-a-amsterdam-video/214052.htm

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  22. Athènes fait passer une loi pour lutter contre la pauvreté... au nez et à la barbe de l'UE

    par Audrey Duperron
    19 mars 2015

    Mercredi, le gouvernement grec de Syriza a fait voter son premier texte : une loi destinée à aider les victimes de la crise économique qui figurait parmi les promesses électorales du Premier ministre Alexis Tsipras. La nouvelle loi, qui a obtenu une majorité écrasante, est destinée à lutter contre la pauvreté, et à porter secours aux familles privées d’électricité, ou ne parvenant plus à se loger et à se nourrir correctement. On estime que le coût des mesures énoncées se monte à 200 millions d’euros.

    Mais à Bruxelles, cette loi a mis le feu aux poudres alors que les dirigeants européens se préparent à se réunir dans le cadre d’un sommet aujourd’hui.

    Les eurocrates estiment qu’ils auraient dû avoir eu connaissance de cette loi avant sa soumission au vote du parlement. Ils rappellent que les Grecs ont passé un accord avec l’Eurogroupe le 20 février dernier, au terme duquel ils se sont engagés à le consulter avant toute décision à caractère économique qu’ils pourraient prendre, et à ne pas modifier unilatéralement la politique économique.
    Mais dans un discours, le Premier ministre grec Tsipras a expliqué que la Grèce « n’allait plus permettre à des technocrates [étrangers] de définir sa législation ».

    « Nous soutenons totalement l’objectif d’aider les plus vulnérables de la société grecque, ceux qui ont été frappés par la crise. Mais il doit y avoir des consultations sur les nouvelles mesures. Nous devons pouvoir être en mesure d’évaluer l’impact budgétaire des mesures proposées », a dit le commissaire européen aux Affaires économiques et Financières, Pierre Moscovici.

    Ce nouveau rebondissement ajoute de l’huile sur le feu alors que les discussions entre Bruxelles et Athènes sur la question du versement d’une tranche de prêt de 7,2 milliards d’euros se rapportant au dernier plan de sauvetage sont au point mort.

    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras a demandé à avoir une entrevue exceptionnelle avec la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande, le président de la Commission Européenne Jean-Claude Juncker et le président de la BCE, Mario Draghi en marge du sommet de l’UE qui doit se tenir demain et vendredi.

    Tsipras n’a pas indiqué pourquoi il souhaitait cette rencontre, mais selon des officiels, il désapprouve la décision de la Banque Centrale Européenne de maintenir le plafond sur les prêts à court terme que l’Institution octroie au pays. Ces crédits sont devenus nécessaires à Athènes pour couvrir les dépenses publiques du pays, pendant que le gouvernement grec négocie les termes d’un nouvel accord de plan de sauvetage.

    (suite en dessous:)

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  23. Au mois de janvier de cette année, le trésor grec a encaissé 23% de moins d’impôts que les 4,5 milliards d’euros prévus au budget. Du coup, le ministère des Finances rencontre des difficultés pour faire face à ses obligations financières, alors qu’il doit trouver 1,5 milliards d’euros pour payer les salaires des fonctionnaires et les pensions de retraites de ce mois.

    Pour certains, la Grèce pourrait se trouver à court d’argent à la fin de ce mois, avec la possibilité éventuelle d’un défaut du pays. Mais selon des officiels de l’UE, le gouvernement serait parvenu à obtenir des fonds provenant de différentes institutions publiques.

    http://www.express.be/business/fr/economy/athenes-fait-passer-une-loi-pour-lutter-contre-la-pauvrete-au-nez-et-a-la-barbe-de-lue/212139.htm

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  24. Outre les attaques de requins, l'île de la Réunion fait face à d'autres fléaux

    par Arnaud Lefebvre
    14 juin 2015

    Au début du mois de juin, une nouvelle attaque de requin a eu lieu sur le littoral de l'île de la Réunion, la 17e en quatre ans. En ce qui concerne la présence de requins, la côte du pays est considérée comme l’une des plus meurtrières dans le monde et cette réalité a un impact négatif sur le secteur touristique, rapporte Le Figaro dans son édition papier.

    L’industrie touristique de l’île connaît une situation économique difficile, explique le journal qui précise que le nombre de touristes qui visite le pays ne cesse de diminuer. En outre, le taux de chômage de l'île de la Réunion est très élevé : 30% de la population active du pays et 60% des 15-24 ans sont concerné par cette dure réalité.

    Depuis trois ans, la fréquentation touristique diminue. Lors de la récente visite de deux jours du Premier ministre français, Manuel Valls, sur l’île, Armand Apavou, entrepreneur du secteur touristique, a tenu à rappeler la situation économique désastreuse que traverse son pays. Ce dernier a expliqué au Figaro que l'île de la Réunion subissait les affres de nombreuses crises telles que les attaques de requins, l’épidémie de chikungunya et la crise de l’emploi.

    L’an dernier, l'île de la Réunion a enregistré 50% de moins de touristes que l'île Maurice, soit 405.700 visiteurs, contre 900.000 pour l’île voisine. Plusieurs obstacles participent à cette baisse du tourisme et de l’investissement immobilier comme les prix d’avion élevé. En ce qui concerne les attaques de requins, il n’existe pas de remède miracle, explique Apavou. Les autorités envisagent plusieurs stratégies telles que l’installation de filets, de barrières électriques, la présence d’observateurs sur les plages et de patrouilles armées. La pèche « ciblée » de requins a également été autorisées par les responsables de l’île, conclut Le Figaro.

    http://www.express.be/joker/fr/world/outre-les-attaques-de-requins-lile-de-la-reunion-fait-face-a-dautres-fleaux/214053.htm

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    1. (...) En ce qui concerne les attaques de requins, il n’existe pas de remède miracle (...) Il y a aussi l'intelligence d'organiser des 'battues' en mer où sont repérés les requins par satellites.

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  25. Le 15 juin, journée mondiale de l’éolien

    Publié Par Contrepoints,
    le 14 juin 2015 dans Environnement
    Le 15 juin, le lobby du vent célébrera la Journée mondiale de l’éolien, au détriment de celle consacrée à la maltraitance des personnes âgées, …. et des victimes des nuisances éoliennes.

    Par Mark Duchamp
    Un billet du World Council for Nature.

    Demain 15 juin, le lobby du vent célébrera la Journée mondiale de l’éolien. Le choix de cette journée coïncide avec la Journée mondiale de la sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées, selon la résolution A/RES/66-127 des Nations Unies. C’est là un manque de respect pour les personnes du troisième âge, et en particulier pour celles qui sont victimes d’abus. Est-ce surprenant ? Pas vraiment. Les victimes des éoliennes sont également traitées avec mépris. Elles sont ignorées, ou même accusées d’inventer leurs insomnies, maux de tête, nausées, tachycardies, etc.

    Le 15 juin, les personnes âgées maltraitées pourront observer comme leur Journée sera célébrée dans le monde entier, en particulier par des centaines d’événements organisés pour convaincre les gens que les parcs éoliens sont utiles, pas chers, sans danger pour les oiseaux et les humains, bons pour la valorisation des propriétés et fantastiques pour le tourisme et l’économie.

    Mais pourraient-ils demander si les parcs éoliens sont vraiment utiles ?
    Pas le moins du monde, répondraient les ingénieurs indépendants. La bande dessinée suivante explique pourquoi :
    - voir sur site -

    En cette occasion spéciale, les droits d’auteur sont offerts. Nous remercions l’auteur, Josh, de ce geste.

    Des éoliennes sont vendues depuis les années 1980, mais le problème de leur fonctionnement intermittent n’a toujours pas été résolu. Pas davantage que celui de leur coût, rendant l’électricité qu’elles produisent trois fois plus chère que celle produite par les énergies conventionnelles. Cela, et d’autres problèmes non résolus énumérés ci-dessous, incitent de nombreux opposants à affirmer que les éoliennes sont une escroquerie. Le but réel de cette arnaque serait triple :
    - financer les principaux partis politiques, une partie des subventions faisant l’objet de « renvois d’ascenseur »,
    - fournir des profits importants et garantis à une nouvelle classe de « capitalistes de copinage » dits « verts »,
    - affaiblir les économies d’États ou de pays entiers, en commençant par l’Espagne, la Californie, l’Ontario, etc… comme prélude à la prise du pouvoir par des partis politiques anti-capitalistes, comme « Podemos », en Espagne.

    D’où le surnom de Journée de l’arnaque de l’éolien donné par certains à cette manifestation mondiale.
    Autres questions non résolues :

    (suite en dessous:)

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  26. - les infrasons émis par ces machines rendent certains résidents gravement malades
    - les limites du bruit autorisé sont souvent dépassées
    - les effets stroboscopiques à certaines heures du jour sont cause de stress additionnel pour les résidents
    - les maisons qui sont en vue des éoliennes subissent des pertes de valeur d’environ 10% à 50%
    - les pales gigantesques tuent par millions oiseaux et chauves-souris chaque année
    - les éoliennes déprécient les paysages et les sites patrimoniaux, et font horreur à la plupart des touristes
    - les subventions et autres avantages financiers accordés par les gouvernements pour soutenir cette énergie non rentable et non fiable, aggravent les déficits budgétaires
    - contribuables et consommateurs finissent par payer la facture, la pauvreté énergétique augmente alors rapidement
    - le prix élevé de l’électricité pousse les entreprises à se délocaliser à l’étranger
    - les investisseurs préfèrent les pays où l’énergie est moins chère
    - les pays qui parient sur les énergies renouvelables deviennent moins compétitifs, donc ils s’appauvrissent.

    http://www.contrepoints.org/2015/06/14/210934-le-15-juin-journee-mondiale-de-leolien

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  27. La politique de l'anti-Russie d'Obama s'intensifie: DoD dit congrès armes nucléaires sont toujours sur la Table


    Soumis par Tyler Durden le 15/06/2015 21:30-0400

    Soumis par Justin Raimondo via AntiWar.com,


    Le parti de la guerre est une véritable propagande machine, barattage produit 24/7. Armés de ressources presque illimitées, tant de gouvernements et le secteur privé, ils carpet-bomb le public avec un flot de mensonges afin de ramollir vers le haut quand il est temps de rouler. Dans le passé, leur travail a été relativement facile : commandez simplement quelques histoires d'atrocité – allemands baïonnette les bébés, les irakiens dumping sur les bébés en couveuse – et nous avons nous-mêmes une autre guerre glorieuse. Ces jours-ci, cependant, au cours d'une décennie de guerre constante – et d'une longue chaîne d'expédition guerrière fabrications – a laissé le public méfiant.

    Et c'est à l'optimisme. Les gens sont réveillent. La machine de propagande du parti de la guerre a faire des heures supplémentaires afin de surmonter la hausse scepticisme, et il montre des signes de surchauffe – et, dans certains cas, même briser.

    Un signe encourageant est que les néo-nazis ukrainiens ont perdu leur financement du gouvernement américain...

    Dans un coup au mouvement « Let's bras Ukraine » qui semblait être ramasser vapeur au Congrès, une résolution présenté par le représentant John Conyers (Michigan-D) et Rép Ted Yoho (R-Floride) interdiction aide à Azov bataillon de l'Ukraine et interdisant les transferts de missiles antiaériens MANPAD dans la région, adopté par la chambre à l'unanimité.

    C'est important car, jusqu'à présent, il y n'a eu aucune reconnaissance à Washington qui le soi-disant "Pro-démocratie" régime à Kiev contient un élément de néonazis dangereusement influent .

    Comme je l'ai signalé dès le début, les nationalistes de l'Ukraine – utiliser ouvertement la guerre insignes et symboles nazis, valoriser Stepan Bandera, le chef de la guérilla anti-soviétique qui a collaboré avec le troisième Reich – ont été le muscle derrière le mouvement qui a poussé démocratiquement élu président Viktor Yanukovich déchargée. Avec la rébellion dans l'est, les milices paramilitaires d'extrême droite ont été officiellement intégrés dans l'armée ukrainienne : Dmytro Yorash, le leader du secteur de droit et membre du Parlement, est une aide au secteur de droit – et de Viktor Muzhenko, le commandant suprême des forces armées ukrainiennes, une ouvertement organisation néonazie – a été officiellement intégrés dans les forces armées.

    La modification de Conyers-Yoho n'arrête pas de néo-nazis de l'Ukraine de se nourrir à l' U.S. fourni creux, mais, Hé, c'est l'intention qui compte. Ils vont juste abandonner leur existence indépendante et se fondre dans l'armée officielle, effectivement entrer dans la clandestinité, tout comme ils l'ont fait lors des dernières élections ukrainiennes, où les fascistes comme Yarosh a remporté un siège au Parlement avec le soutien tacite des parties "grand public", qui ont retiré leurs candidats dans sa circonscription : Adriy Biletsky, commandant du bataillon Azov, jouissent d'un avantage similaire. Ouverts fascistes détiennent des postes importants dans le gouvernement ukrainien, l'arméeet la police.

    (suite en dessous:)

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  28. Vadim Troyan, le chef adjoint du bataillon Azov, est maintenant le chef régional de la police de district de Kiev, et fascistes ont la course de la ville. Les auteurs d'un incendie criminel à un Kiev théâtre qui a parrainé un festival de films gays ont été inculpés de "atteinte à la paix" et relâcher avec une peine légère – et le théâtre était responsable de ne pas fournir assez de sécurité ! « Je pense que le procureur du gouvernement et ceux qui sont poursuivis pour la même équipe, jouer », explique une militante, et c'est tout à fait vrai : les fascistes imprègnent le régime de Kiev de haut en bas. Quand les militants homosexuels a annoncé une marche de la Gay Pride, le maire de Kiev , a déclaré qu'il ne pouvait pas – ou ne serait pas – de garantir leur sécurité et leur a demandé de l'annuler. Ce qui était une invitation ouverte aux voyous violents a été acceptée lorsque des dizaines de Droit secteur stormtroopers ont attaqué le cortège, qui s'est terminée de l'événement après que trente sanglante minutes.

    Régime comme le Kiev montre ses vraies couleurs, ses plus fervents partisans sont obligés de reconnaître ses lacunes. Oui, même notre ambassadeur à l'ONU, Samantha "responsabilité de protéger" Power...

    Dans un récent discours prononcé à Kiev, l'Ambassadeur Power fait référence oblique à l'ups de glissement gênant la part de nos marionnettes de chaussette à Kiev, gronder doucement pour être plus... discret. Citant Abraham Lincoln, elle a exhorté les Ukrainiens d'écouter "les meilleurs anges de notre nature" et affirmé que « l'Ukraine est plus fort » quand il le fait :

    "Cela signifie que l'Ukraine devrait protéger avec zèle la liberté de la presse, notamment pour ses critiques plus virulents et partiales – en effet, surtout pour les critiques de ses plus virulents et partiales – alors même que les soi-disant séparatistes expulser les journalistes du territoire qu'ils contrôlent, et alors même que la Russie volets médias Tatar en Crimée occupée. Cela signifie que les hommes politiques et la police dans tout le pays devrait reconnaître combien il est crucial que les gens être capable de marcher à exiger le respect des droits des personnes LGBT et les droits des autres groupes vulnérables sans crainte de se faire agresser. »

    Citant Lincoln lors de l'appel pour la liberté de la presse est un peu problématique -Abe ferme les journaux "trahison" et emprisonné ses détracteurs les plus bruyants, mais, Hé, puissance probablement pensé que les Ukrainiens ne sont pas vers le haut sur les détails de l' histoire de la guerre civile, jusqu'à ce que le diable. Tant que les États-Unis demeurent à injecter de l'argent – et l'armement – dans le pays, ils vont écouter poliment les conférences de la puissance et rire tout le chemin à la Banque.

    Au milieu de toute la publicité donnée à ISIS et à la montée de son « califat », la condition volatile des Balkans est resté dans l'ombre. Encore aux États-Unis, lors de l'envoi de conseillers « seulement quelques centaines » vers l'Irak, envoie une énorme cargaison de chars et d'autres armes lourdes à presque tous les pays d'Europe de l'est – assez pour équiper les troupes américaines 5 000.

    (suite en dessous:)

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  29. Ostensiblement proposés en réponse à une Russie qui n'existe pas "menace" d'envahir ses voisins baltes, et/ou de l'Ukraine, il s'agit d'une escalade significative de la nouvelle guerre froide. Et si les réservoirs sont déjà sur le terrain, vous pouvez parier que les troupes ne seront pas long à venir. Comme l'OTAN James Stavridis a dit: « Il fournit un niveau d'assurance raisonnable aux alliés de nervosité, même si rien n'est aussi bon que les troupes stationnées à plein temps sur le terrain, bien sûr. »

    Et nous ne parlons que de troupes ici : le Pentagone envisage également de stationnement des missiles nucléaires à leurs côtés.

    The US joue un jeu dangereux de la corde raide nucléaire. Robert Scher, sous-secrétaire de la défense, a même lancé l'idée d'une première frappe nucléaire contre la Russie. Affirmant que la Russie a violé le traité FNI en testant un missile de croisière lancé au sol interdit, Scher aménagé des options possibles dans son témoignage devant le Congrès :

    " Robert Scher, Secrétaire adjoint de la défense pour la stratégie, des plans et des capacités, a dit politiciens en avril qu'une solution pourrait consister à renforcer les défenses de cibles potentielles du missile de croisière russe.

    "Une deuxième option pourrait « Regardez comment nous pourrions continuer environ et réellement attaquer ce missile où il est en Russie, » Scher dit.

    « Et une troisième option serait "afin d'étudier ce que les choses nous pouvons tenir à risque au sein de la Russie elle-même", a déclaré le CSRSE.

    "Ses commentaires ont semblé signaler employant les forces à la grève à d'autres cibles militaires russes — mis à part les missiles qui auraient été contraires à l'accord de l'INF.

    « Brian McKeon, sous-secrétaire adjoint de la défense pour la politique, dit politiciens en décembre que les Etats-Unis pourraient envisager mettre des missiles de croisière lancés au sol en Europe. Ces armes sont interdits en vertu du traité INF."

    Oui, c'est fou comment les chefs de guerre de Washington sont : dans leur calcul dément, guerre nucléaire est juste une autre « option ».

    Et si ce n'est pas l'argument définitif pour le changement de régime à Washington, alors je ne sais pas ce qui est.

    http://www.zerohedge.com/news/2015-06-15/obamas-anti-russia-policy-escalates-dod-tells-congress-nukes-are-still-table

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  30. La Chine exporte un record $ 120 milliards en nous Treasurys dans deux mois par l'intermédiaire de Belgique

    Soumis par Tyler Durden le 15/06/2015 20:31-0400


    Ceux qui ont suivi la saga des exploitations du Trésor américain « De Belgique » appris le mois dernier que l' « acheteur mystérieux » behind Euroclear Belgium a été, comme certains ont avancé l'hypothèse, Chine tout le long. Nulle part cela était plus évidente que lorsque montrant une superposition de Chine et de la Belgique combinés holdings TSY par rapport aux réserves de change de la Chine.

    - voir graphique sur site -

    C'est ce que nous avons conclu le mois dernier :

    « La Belgique » est, ou était plutôt un front pour la Chine : coffre-fort, CIC ou la PBOC lui-même.

    Exploitations de la Belgique, après la flambée aussi haute que $ 381 milliards un an auparavant, ont depuis dos baratté aux seuls billon 2532 $ comme la Chine a largué la majeure partie de ses avoirs en garde Euroclear, et qu'une fois que ce nombre est revenu à son niveau historique de près de 170 milliards, "Belgique" seront encore une fois vient de Belgique.

    Réserves de change de la Chine ont dégringolé et ceci a été compensé par une la plus forte baisse trimestrielle dans les exploitations de chinois pro-forma du Conseil du Trésor, qui a chuté d'un record $ 72 milliards au mois de mars et un record $ 113 milliards pour le trimestre.

    Il n'était pas précisément clair juste pourquoi la Chine, qui avait historiquement utilisé des banques offshore basée au Royaume-Uni pour effectuer des transactions en papier US en plus de la partie continentale, choisirait la Belgique ou pourquoi elle a choisi de cacher ses opérations de manière brute, cependant la récente accélération fuite des capitaux de Chine se manifestant dans un plongeon dans les réserves de change chinoises, couplée à une liquidation mensuelle record au total des avoirs chinois, exposé juste où s'échangeait à Chine.

    Et bien que nous ayons encore obtenir une mise à jour de Pékin de son forex avril se réserve, nous savons que la liquidation du Trésor de la Chine a continué. Entrez : Belgique, mais cette fois que ce n'est pas un acheteur de « mystère » derrière le petit pays d'Europe centrale, mais un vendeur.

    Le tableau ci-dessous montre, après une baisse record $ 92,5 milliards en mars, "Belgique" fut vendue un autre $ 24 milliards en avril, apportant la liquidation totale à un énorme $ 116,4 milliards pour les mois de mars et avril.

    - voir graphique sur site -

    Cela signifie que, après avoir ajouté la hausse symbolique de la Chine continentale de $ 2 milliards en avril après une $ 37 milliards, augmente le mois précédent, net de liquidation de la Belgique Chine a vendu un record $ 77 milliards en Treasurys dans les deux dernières mois.

    (suite en dessous:)

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  31. Et tandis que nous attendons avec impatience la mise à jour mensuelle du chinois officiel forex réserves, nous pouvons estimer que la baisse sera un autre $ 50 milliards au mois d'avril.

    - voir graphique sur site -

    La bonne nouvelle, pour ceux qui suivi l'histoire des sorties de capitaux sans précédent de la Chine, qui est après vidage de mars record « De Belgique », en avril, les ventes du Trésor chinois a ralenti au rythme plus lent au cours des trois derniers mois.

    - voir graphique sur site -

    En d'autres termes, la Chine peut enfin obtenir son problème de fuite des capitaux sous contrôle, ce qui, soit dit en passant est une mauvaise nouvelle pour le marché boursier chinois parce que si elle est vraie, cela signifie la PBOC peut maintenant écartez-vous de micro-gérer la bulle boursière et ses entrées « bénéfique » compte courant pour compenser le déclin compte de capital.

    Mais ce qui est peut-être plus curieux est que même avec la Chine liquidation telle une quantité massive de papier aux États-Unis dans un marché très peu liquide, le rendement sur le 10Y ne pas souffler beaucoup plus au mois de mars ou avril. Et la dernière question : qui a fait la Chine vendent tout ce papier à ?

    http://www.zerohedge.com/news/2015-06-15/china-dumps-record-120-billion-us-treasurys-two-month-belgium

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