- ENTREE de SECOURS -



mercredi 13 mars 2024

Une fois trans, pas de retour en arrière ! La réalité derrière l'engouement pour les transgenres

 

114 commentaires:

  1. Cette émission donne une voix à ces personnes. A l'aide de quelques exemples, les risques et les problèmes d'une transition sont mis en évidence, tout en jetant un coup d'œil en coulisses sur l'idéologie du genre.

    Source Nele:
    Detrans – Wenn die Geschlechtsangleichung nicht glücklich macht, 30.04.2023, ZDF, https://www.zdf.de/dokumentation/37-grad-leben/detrans-wenn-die-trans-op-nicht-gluecklich-macht-100.html (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Nele – Avant la transition

    Nele : « Oui, comment ça s'est passé. J'y ai passé seulement une heure. Il m'a demandé pourquoi j'étais là. Il a beaucoup parlé lui-même. Je n'ai pas tant parlé que ça. Et ce qui m'a un peu dérangé, c'est que…on pourrait presque dire qu'il a presque un peu insisté pour que je commence la thérapie tout de suite et que je ne cherche pas d'autres thérapeutes. Il a aussi dit qu'en théorie il fallait un an ou six mois pour obtenir des hormones, mais que dans la pratique, ça pouvait être plus rapide. Ça veut dire qu'il était également ouvert à ce que cela puisse aller plus vite. » [...]

    « Peut-être que j'ai en fait un tout autre problème et que j'ai essayé de le fuir. J'ai juste peur de faire tout cela et finalement ne pas être heureuse. Ou que, dans le pire des cas, je puisse même le regretter. » [...]
    Nele – Après la prise d'hormones
    Nele : « Ensuite, j'ai commencé assez rapidement à prendre des hormones - de la testostérone - dans le cadre de cette thérapie. Le thérapeute doit justifier ça devant les caisses d'assurance maladie, c'est en fait la seule directive en Allemagne concernant la rapidité avec laquelle on peut faire une transition, ce sont en fait les caisses d'assurance maladie qui déterminent quand elles payent quelque chose et quand elles ne le font pas. Et il a argumenté qu'il s'agissait d'une urgence particulière et d'un cas de transsexualisme très sûr ou prononcé. En conséquence, ça a été approuvé assez rapidement. Ensuite, il m'a recommandé un de ses collègues, un gynécologue, où on obtient rapidement des rendez-vous ». [...]

    Source Cat C.:
    Identity Crisis: Detransitioner Loses Natural Singing Voice After ‘Gender Affirming Care’, 06.10.22, IWF, https://www.youtube.com/watch?v=yPxt2X_mXsE (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Cat Cattinson – L'entretien préliminaire

    « Je pensais que je devais passer par un processus quelconque pour obtenir la testostérone, une évaluation psychologique ou un certain nombre de visites chez le psychiatre, etc., mais au lieu de cela, j'ai eu une conversation téléphonique de 30 minutes avec un médecin que je n'avais jamais rencontré en personne auparavant, et on m'a prescrit la testostérone par téléphone. »

    RépondreSupprimer
  2. Source Helena:
    A Story Of Detransitioning | Michael Knowles, 25.03.22, Mike's Tom MacDonald Reviews, https://www.youtube.com/watch?v=5HbPzJy9gkY (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Helena – Entretien avec le planning familial

    Interviewer : Donc tu es allé au planning familial et tu as dit, je m'identifie comme garçon, je crois que je suis un garçon, et là ils ont dit : « Ok, tu dois parler à quelques thérapeutes pendant quelques mois ou quelques années », ou ils ont dit : « Voilà les pilules, madame - euh monsieur - voilà les pilules, prenez soin de vous, bonne journée... ? »

    Helena :
    « Oui, à peu près, ce n'était même pas des pilules, ce sont des injections. Voilà les injections, monsieur. - Alors, oui, mon rendez-vous a duré à peu près une heure. Les vingt premières minutes environ c’était un bref échange avec l'assistante sociale que j'avais rencontrée au planning familial. Et si vous lisez mon article Substack - j'ai écrit un article Substack sur mon expérience - j'y cite les questions que m'a posées l'assistante sociale, et le moins qu'on puisse dire, c'est que ce n'est pas un travail psychologique approfondi. J'ai donc eu ce bref entretien d'admission avec l'assistante sociale, puis elle est revenue et m'a dit : « Vous êtes le candidat idéal pour la testostérone, nous pouvons commencer tout de suite. » Je suis donc allée voir l'infirmière, qui a passé en revue avec moi une liste très courte de risques, qui étaient très sous-estimés. C'était des choses comme « vous pourriez avoir des sautes d'humeur » (ce n'est pas vraiment une bonne façon de faire comprendre les conséquences d'un traitement hormonal) mais peu importe, j'ai regardé la courte liste, et ensuite nous avons parlé du dosage [...]. »

    Source Chloe:
    Chloe Cole: 'I‘m Still Recovering' From Hormones, Surgery at 15, 07.02.23, IWF,
    https://www.youtube.com/watch?v=DtItMuCW0vI (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Chloe Cole – Pas d’autre option

    Chloé Cole : « [...] l'équipe de professionnels de la santé qui m'a aidée, m’a en fait poussée vers la transition, ils ne m'ont montré aucune autre option. Ils m'ont dit que le taux de ceux qui regrettent une telle décision était inférieur à un ou deux pour cent. Ils ont même menti à mes parents en leur disant que je risquais de me suicider si je n'étais pas autorisée à faire la transition. Ma transition médicale a duré environ trois ans et demi. Pendant cette période, il n'y avait en fait qu'un seul médecin qui s'y opposait, c'était le premier endocrinologue que j'ai vu pour obtenir des hormones. Il a dit à ma mère et à moi qu'il y aurait des risques pour le développement de mon cerveau. Mais juste après, j'ai vu un autre endocrinologue, et seulement 6 mois après avoir été diagnostiquée avec une dysphorie [dysphorie de genre = sentiment d’inéquation entre le sexe biologique d'une personne et celui qu'elle ressent], on m'a donné des bloqueurs de puberté. Puis de la testostérone, environ un mois plus tard. »

    RépondreSupprimer
  3. Source Janine:
    Detrans – Wenn die Geschlechtsangleichung nicht glücklich macht, 30.04.2023, ZDF, https://www.zdf.de/dokumentation/37-grad-leben/detrans-wenn-die-trans-op-nicht-gluecklich-macht-100.html (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Janine – Changement de sexe en homme

    Janine : « A 21 ans, j'ai subi une mastectomie [ablation de la glande mammaire/des seins]. Ensuite, à 25 ans, j'ai subi une phalloplastie [intervention chirurgicale dont le but est de former ou de fabriquer un pénis], la construction d'un pénoïde, pour laquelle on a prélevé de la peau sur le bras et on l'a ensuite greffée entre les jambes. Et c'est à partir de là que le pénis artificiel devait être formé. J'ai encore subi une dizaine d'opérations par la suite. Où on a aussi fait le raccordement à l'urètre. Les médecins vous disent qu'il faut vider le pénis, mais je trouve que c’est une mauvaise description. Je n'avais vraiment aucune idée de ce que c'était. En réalité, dans ce pénoïde artificiel, l'urine s'écoule comme dans un prolongement. On ne peut pas vraiment tout vider, c'est-à-dire qu'il y a toujours des fuites. Et du coup, on a des infections urinaires à répétition. Et maintenant, cette année, je dois être opérée pour inverser tout ça. C'est vraiment dur, surtout parce que ça m'a pris beaucoup de temps dans ma vie d'être constamment à l'hôpital. C'est ce que je trouve le plus dur en fait. Tout ce temps perdu. Et bien sûr aussi les aspects liés à la santé. »

    Sources Chloe:
    'My Childhood Was RUINED:' Detransitioner Chloe Cole Talks About Trans Procedures, 27.07.23, The Daily Signal, https://www.youtube.com/watch?v=DSGgR3W_jjg (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Chloe Cole – D’énormes cicatrices

    Chloé Cole : « Ma voix sera à jamais plus grave, ma mâchoire plus acérée et mon nez plus long. Mon ossature sera durablement masculine. Ma pomme d'Adam ressort davantage, ma fertilité est inconnue. Parfois, je me regarde dans le miroir et je me sens comme un monstre ».
    « Après avoir été amputée de mes seins, le tissu a été brûlé. Avant d'avoir l'âge de passer le permis de conduire, j'étais privée d'une grande partie de ma future féminité. Je ne pourrai jamais allaiter un enfant. J'ai parfois du mal à me regarder dans le miroir et je lutte encore aujourd'hui contre un dysfonctionnement sexuel. Et j'ai d'énormes cicatrices en travers de la poitrine. Et les greffes de peau qu'ils m'ont prélevées au niveau des mamelons suintent encore aujourd'hui, elles ont été greffées dans une position plus masculine, ont-ils dit. Après l'opération, mes notes à l'école se sont détériorées. Tout ce que j'ai vécu n'a pas contribué à résoudre les problèmes psychologiques sous-jacents que j'avais. Et mes médecins, avec leurs théories sur le genre, pensaient que tous mes problèmes disparaîtraient une fois que je serais chirurgicalement transformée en quelque chose ressemblant vaguement à un garçon. Leurs théories se sont révélées fausses, les médicaments et les opérations ont modifié mon corps, mais ils n'ont pas pu changer le fait fondamental que je suis et serai toujours une femme. »

    RépondreSupprimer
  4. « Je ne me souviens pas exactement du jour où j'ai repris conscience après l'opération. Mais c'était le moment où je me suis levé de mon lit et où le pansement a disparu. Cela devait donc être vers le quatrième ou le cinquième jour. C'était la première fois que je me tenais devant un miroir et que je le voyais : on aurait dit qu'on m'avait attaqué. C'était vraiment brutal. Je me suis senti abattu et j'ai eu l'impression de m'être trahi de la pire des manières. Et c'était le cas, vous savez. »

    « C'est irréversible. L'expérience est terminée pour moi. Il n'y a vraiment pas de retour en arrière. »

    C'est bien là le problème. L'idéologie du genre et la transition sont certes présentées à l'humanité comme respectueuses de l'être humain, mais elles se révèlent exactement le contraire dans la réalité. L'idéologie du genre et la transition qui en découle font partie de l'Agenda 2030 du Forum économique mondial et de l'ONU. Cet agenda vise à une transformation complète de toutes les structures existantes et de tous les domaines de la vie. Prétendument au bénéfice de tous, l'humanité est cependant privée de toutes les beautés et de tous les avantages naturels.

    L'émission "Agenda 2030 : Etiquetage frauduleux. Comment l'ONU entraîne le monde dans l'abîme" [www.kla.tv/19023] revient en détail sur cette tromperie désastreuse.

    C'est pourquoi presque tous les gouvernements occidentaux s'empressent d'implanter l'idéologie du genre chez les plus jeunes. Accessoirement et comme appât, la médecine du genre est une immense source d'argent. Des dizaines de milliers de cliniques du genre ont été créées de toutes pièces ces dernières années dans le monde occidental. Une seule opération de changement de sexe rapporte plusieurs milliers d'euros à ces cliniques. A cela s'ajoute la prise d'hormones à vie, payée dans la plupart des cas par la caisse de maladie, ainsi que les thérapies associées. En fonction de la complexité, de la durée et des mesures prises, il peut en résulter des montants à cinq chiffres dans la fourchette supérieure. Les opérations de changement de sexe représentent donc une source de revenus extrêmement lucrative.

    Une autre conséquence de la transition est que ces personnes deviennent souvent stériles, conformément à l'agenda 2030 hostile à l'être humain. Cela sert à son tour au contrôle de la population, que des stratèges mondiaux de premier plan recherchent ouvertement depuis des décennies. [Bill Gates et le réseau de contrôle démographique, www.kla.tv/17389]

    RépondreSupprimer
  5. Mais l'Agenda 2030 va encore plus loin : avec la technologie transhumaniste, l'homme doit être transformé en biorobot en le reliant à l'intelligence artificielle. Prétendument pour le doter de capacités surhumaines. Mais en réalité, il se produit une mutilation semblable à celle de la transition ; l'homme est dégradé en une machine pilotable, comme l'expliquent clairement les émissions qui s'affichent. [www.kla.tv/18322, www.kla.tv/24066]. Il y a quelques jours, la start-up « Neuralink » d'Elon Musk a utilisé pour la première fois un implant cérébral sur un être humain, comme il l'a annoncé le 29 janvier 2024 sur sa plateforme 'X' anciennement Twitter.

    Conclusion :

    Le fait que l'être humain devienne à ce point la cible de mutilations et de contrôles étrangers montre clairement que seuls des êtres humains dotés de leurs capacités divines redécouvertes et géniales peuvent arrêter cet Agenda 2030 destructif et ses tireurs de ficelles. Et c'est précisément ce qu'il faut faire de toute urgence.

    Vous aussi, vous pouvez y contribuer en diffusant cette émission auprès de vos amis et de vos connaissances, afin que les effets et les dessous de ces agissements soient révélés !
    Écrivez à votre député au Bundestag ou appelez-le. Exprimez votre désaccord avec la loi sur l'autodétermination et citez les faits mentionnés dans cette émission. Regardez également l'émission suivante en allemand, à ce sujet. [La "loi sur l'automutilation" crée le chaos dans la tête des enfants ! https://www.kla.tv/27007]

    Ne laissons pas nos enfants, et donc notre société, être détruits par ces expériences humaines abominables.

    Source Chloe:
    'My Childhood Was RUINED:' Detransitioner Chloe Cole Talks About Trans Procedures, 27.07.23, The Daily Signal, https://www.youtube.com/watch?v=DSGgR3W_jjg (Abrufdatum: 02.02.2024)

    Chloé Cole : « Mon enfance a été ruinée, en même temps que des milliers de personnes en détransition, [inversement - dans la mesure du possible - du changement de sexe] que je connais par nos réseaux. Cela doit cesser ! Vous seul pouvez l'arrêter ! Assez d'enfants ont été victimes de cette pseudo-science barbare. S'il vous plaît, laissez-moi être votre dernier avertissement ! Merci. »

    Sources / Liens :

    Un psychiatre pour adolescents sur la transidentité : « C'est cool d'être trans », TAZ
    https://taz.de/Jugendpsychiater-ueber-Transidentitaet/!5845336/

    Quand le changement de sexe tourne au cauchemar
    Le sujet tabou de la transition,12.08.2022, reitschuster.de
    https://reitschuster.de/post/wenn-die-geschlechtsumwandlung-zum-albtraum-wird/

    La loi sur l'autodétermination : une perte de contact avec la réalité,
    23.08.2023, NZZ,
    https://www.nzz.ch/meinung/der-andere-blick/das-selbstbestimmungsgesetz-macht-das-geschlecht-zur-lifestyle-option-ld.1752856

    RépondreSupprimer
  6. Citations vidéos :

    Detrans - Quand la transition sexuelle ne fait pas le bonheur, 30.04.2023, ZDF
    https://www.zdf.de/dokumentation/37-grad-leben/detrans-wenn-die-trans-op-nicht-gluecklich-macht-100.html
    (Date d'appel: 02.02.2024)
    Crise d'identité : Un détransitionniste perd sa voix de chant naturelle après avoir reçu des « soins visant à affirmer son identité sexuelle », 06.10.22, IWF
    https://www.youtube.com/watch?v=yPxt2X_mXsE
    (Date d'appel: 02.02.2024)
    Une histoire de détransition | Michael Knowles, 25.03.22
    Mike’s Tom MacDonald Reviews
    https://www.youtube.com/watch?v=5HbPzJy9gkY
    Date d'appel: 02.02.2024)
    Chloe Cole « Je ne suis pas encore remise des hormones et de l'opération de mes 15 ans », 07.02.23, IWF
    https://www.youtube.com/watch?v=DtItMuCW0vI
    Date d'appel:: 02.02.2024)
    Mon enfance a été RUINÉE : la transsexuelle Chloe Cole parle des procédures de transsexualité, 27.07.23, The Daily Signal
    https://www.youtube.com/watch?v=DSGgR3W_jjg
    Date d'appel:: 02.02.2024)
    L'histoire de Soren : Comment un détransitionniste a trouvé la paix en dehors de la médicalisation,19.05.23, IWF
    https://www.youtube.com/watch?v=FD_brjpAk2c
    Date d'appel: 02.02.2024)
    « Les enfants subissent de graves préjudices ! - Il n'y a pas de retour en arrière » ICKONIC, A Charlotte Fantelli Film
    https://www.youtube.com/watch?v=v_aKAHRIBq8
    (Vidéo censurée, sauvegardée par Kla.TV)
    Autres sources :
    Opération de changement de sexe : comment les assurances maladie prennent-elles en charge les coûts ?
    https://www.finanzen.de/krankenversicherung/kosten/geschlechtsumwandlung-kosten#/actual-insurance-type

    La « loi sur l'automutilation » crée le chaos dans la tête des enfants ! (15.09.23)
    https://www.kla.tv/27007

    À quoi pourrait ressembler un utérus artificiel ? (04.10.2023)
    https://www.heise.de/hintergrund/Wie-koennte-eine-kuenstliche-Gebaermutter-aussehen-9323685.html

    RépondreSupprimer
  7. Le transhumanisme : le plus grand danger pour l'humanité ? (28.03.13) https://www.sein.de/transhumanismus-die-groesste-gefahr-fuer-die-menschheit/

    Transhumanisme
    https://www.kla.tv/Transhumanismus

    Transhumanisme – un danger sous-estimé pour l'humanité ? (17.09.18)
    https://www.kla.tv/13176

    Neuralink : La start-up d'Elon Musk implante pour la première fois une puce cérébrale chez l'homme, 31.01.24, merkur.de
    https://www.merkur.de/welt/smartphone-elon-musk-neuralink-mensch-gehirn-chip-implantat-telepathie-computer-zr-92804083.html

    Le « battage médiatique transgenre » - Et maintenant, au lieu d'une « loi sur les transsexuels », une « loi sur l'autodétermination »., 02.06.22, reitschuster.de
    https://reitschuster.de/post/der-transgender-hype/

    https://www.kla.tv/fr

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bêh ouais !... Quand tu naît t'es une fille ou un garçon. Si plus tard on te les coupe... bêh... T'ES PLUS UNE FILLE NI UN GARÇON !! Tu ne seras JAMAIS une femme ou un homme !

      Supprimer
  8. Les vaccins COVID ont déclenché un événement de mort massive 12 sigma


    03/12/2024
    than Huff


    Il n’est plus possible de nier que l’Opération Warp Speed, le programme accéléré de déploiement du « vaccin » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) du gouvernement fédéral, était un génocide prémédité du peuple américain – à tel point, en fait, que les vaccins contre le COVID sont désormais considéré comme un événement 12-sigma.

    Un événement 12-sigma est un événement qui a presque zéro pour cent de chances de se produire – un événement cygne noir, si vous préférez. Concernant l’opération Warp Speed, déclenchée par le régime Trump, il s’agit également d’un événement de niveau extinction, ou ELE.

    Outre les milliers de personnes qui sont mortes peu de temps après avoir été « complètement vaccinées », il existe également des millions de cas de blessures graves causées par les injections qui ne disparaîtront jamais pour les personnes qui en souffrent aujourd'hui.

    « Non seulement l’opération Warp Speed a été déployée comme un programme de dépopulation à part entière, mais elle a également été conçue pour affaiblir et neutraliser de manière irréversible autant de victimes du « vaccin » que possible », rapporte l’État de l’Union.

    "En réalité, cela lie la grande majorité des citoyens américains, de sorte qu'ils n'ont ni le temps ni l'énergie de demander des comptes à leur gouvernement meurtrier pour le plus grand crime contre l'humanité de l'histoire du monde."

    Gardez à l’esprit que ce n’est pas seulement le gouvernement qui doit être tenu responsable. Il en va de même pour l’industrie pharmaceutique, l’établissement médical, les grandes technologies, la religion d’entreprise, le système éducatif et tous les autres co-conspirateurs qui ont joué un rôle dans le déclenchement de ce génocide de masse contre l’Amérique.

    (Connexe : Fin 2022, nous avons signalé que la surmortalité était déjà en hausse de 17 % parmi les « entièrement vaccinés ».)

    Un génocide contre le COVID

    Un souscripteur à la retraite affirme que les données d’assurance le prouvent clairement. Depuis que les vaccins contre le COVID ont été lancés fin décembre 2020, les blessures graves et les décès de causes « inconnues » ont grimpé en flèche – sans aucune fin en vue.

    "Au moment où j'écris en février 2024, il ne se passe pratiquement pas un jour sans que des informations plus accablantes ne soient révélées sur les conséquences tragiques de ces injections", déclare l'assureur à la retraite.

    « Les preuves peuvent être trouvées partout, sauf bien sûr dans les grands médias contrôlés qui continuent de propager ce récit frauduleux ; mais les fissures dans le récit des HSH sont désormais partout, et la vérité se dévoile lentement mais sûrement. »

    RépondreSupprimer
  9. Bien qu’il ne soit pas actuaire, le souscripteur à la retraite affirme avoir travaillé quotidiennement avec eux et peut clairement voir à partir des données que la situation est catastrophique en termes de dommages sanitaires étendus et prolifiques causés par les injections de COVID.

    Un problème grave est la croissance des « cancers turbo », c'est-à-dire des cancers qui se développent et se propagent dans le corps d'une personne beaucoup plus rapidement que la normale. Les personnes entièrement vaccinées succombent à un rythme croissant de turbo-cancers.

    Le Dr William Makis, un oncologue et radiologue canadien renommé qui a diagnostiqué 20 000 cas de cancer au cours de sa carrière, a récemment déclaré à The People's Voice que lui et ses collègues se sentaient soudain comme des « enfants de la maternelle » essayant d'expliquer ce nouveau phénomène au monde.

    Certains des turbo-cancers observés par le Dr Makis et ses collègues se propagent si rapidement que les patients meurent quelques jours après avoir été diagnostiqués. De nombreux diagnostics indiquent également dès le départ un statut de stade 4, ce qu’il dit n’avoir jamais vu auparavant au cours de sa carrière.

    « Juste pour donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe de trois sigma ou une catastrophe tous les 200 ans représenterait une augmentation de 10 % par rapport à la situation pré-pandémique, donc 40 % est tout simplement inouï », a commenté Scott Davidson, PDG. de OneAmerica Life Insurance, qui a signalé début 2022 une augmentation de 40 % des sinistres en cas de décès par rapport aux deux trimestres précédents couvrant la seconde moitié de 2021, lorsque la plupart des gens recevaient un vaccin contre le COVID au plus fort de l'opération Warp Speed.

    Le génocide du « vaccin » contre le coronavirus (COVID-19) de Wuhan ne fait que commencer. Pour en savoir plus, visitez ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    ÉtatDeLaNation.co
    NaturalNews.com

    RépondreSupprimer
  10. Grâce à votre généreux soutien, nous construisons l'infrastructure de la liberté humaine et faisons activement don de notre technologie à des éditeurs indépendants, des auteurs et des organisations d'enseignement à domicile. Découvrez notre projet d’IA non commercial révolutionnaire ici. Soutenez nos efforts continus pour préserver et améliorer les connaissances humaines en achetant sur HealthRangerStore.com.

    https://www.naturalnews.com/2024-03-12-covid-jabs-unleashed-12-sigma-mass-death-event.html

    RépondreSupprimer
  11. Plainte ORF : prochaine vérification des faits douteux sur ORF


    13 mars 2024
    par le Dr. Bernhard Strehl


    L’ORF a une nouvelle fois été critiquée pour sa prétendue « vérification des faits ». Le 12 février 2024, l'ORF a diffusé dans l'émission « ORF III aktuell » un reportage intitulé « Faits avec profil » à propos d'un article de tkp.at sur le thème de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Cela conduit désormais à une plainte ORF.

    L'ORF n'a discuté que du traité sur la pandémie et non de la modification prévue du Règlement sanitaire international (IGV), qui a un impact nettement plus important sur la souveraineté de l'Autriche. L'ORF a indiqué que le traité sur la pandémie vise, entre autres, à une distribution équitable des vaccins et veut résoudre le problème des brevets sur les produits pharmaceutiques au profit des pays en développement. Au lieu de cela, c’est précisément la situation des brevets qui constitue l’une des plus grandes critiques du projet actuel de la part des États africains. (tkp.at a signalé d'autres points de critique dans l'article Insurrection africaine contre l'OMS )

    En outre, un article de tkp.at datant de 11 mois est « fact-checké », bien que plusieurs versions plus récentes du contrat pandémique aient été publiées entre-temps, qui ont également été couvertes par les articles de tkp. En outre, les modifications apportées à l’IGV sont devenues de plus en plus l’objet de critiques et ont également été discutées dans les articles du TKP, mais pas dans le cadre du « fact check » de l’ORF. Ceci est important car le RSI restreint la liberté de choix des États encore plus que le Traité sur la pandémie. En outre, le RSI entre automatiquement en vigueur une fois la décision prise au niveau de l'OMS et sera donc également efficace en Autriche, à moins qu'il ne soit évité à temps par un veto autrichien.

    Il convient d'ajouter que la vérification des faits du profil ORF n'a même pas donné à tkp.at deux jours pour répondre à la demande ; et ce pour un article qui, comme déjà mentionné, a été publié il y a 11 mois. Il convient également de s’interroger sur les compétences dont disposent les vérificateurs de faits de profil pour répondre à des questions juridiques et que l’ORF présente comme s’ils étaient en possession de la « vérité objective ».

    RépondreSupprimer
  12. M. Winter, responsable de l'organisme de vérification des faits "faktiv", n'est pas diplômé en droit, mais seulement en "communication politique" de l'université de Krems. La question se pose également de savoir pourquoi les spécialistes du droit international de la santé - par exemple l'ancien conseiller de l'OMS, le Dr. Behrendt – n’a consulté qu’un avocat international autrichien.

    La plainte contre l'ORF est déposée par le Dr. Bernhard Strehl de Graz, représenté par le respecté avocat viennois Dr. Georg Prchlik est représenté. Dr. Prchlik utilisera ses connaissances juridiques approfondies et son expérience dans des procédures similaires pour déterminer exactement si la vérification des faits de M. Winter est réellement étayée par des faits.

    Prenez position contre l'arnaque à la taxe budgétaire qui finance de telles cotisations à l'ORF en signant votre soutien à cette plainte !

    https://tkp.at/2024/03/13/orf-beschwerde-naechster-fragwuerdiger-faktencheck-im-orf/

    RépondreSupprimer
  13. Rapport Health Ranger : Le Dr Sherri Tenpenny explique comment les injections de COVID-19 provoquent des BLESSURES PAR LE VACCIN


    12/03/2024
    Kévin Hughes


    Le Dr Sherri Tenpenny a rejoint le Health Ranger Mike Adams dans le « Health Ranger Report » pour expliquer les mécanismes de dommages causés par les injections du coronavirus de Wuhan (COVID-19) – en d’autres termes, comment les injections dangereuses nuisent au corps.
    Le fondateur de Brighteon.com et de Natural News a commencé par citer les contributions de Tenpenny pour sensibiliser les gens aux dangers liés aux injections de COVID-19. Il a cité une étude de février 2024 publiée dans la revue Vaccine qui expliquait ces mécanismes. Cette étude a également expliqué comment les vaccins contre le COVID-19 provoquent des « cancers turbo » et suppriment le système immunitaire.

    Tenpenny, médecin ostéopathe, a quant à elle déclaré qu'elle étudiait les problèmes liés aux vaccins depuis septembre 2000. Elle a commencé à creuser lorsque les armes biologiques COVID-19 de Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca sont sorties. Le célèbre médecin a finalement découvert les 20 premiers mécanismes de blessures provoqués par les tirs du COVID-19 et comment ils peuvent rendre les gens malades ou les tuer.

    Tenpenny et ses associés ont ensuite organisé un webinaire éducatif en mai 2021 qui a partagé ces 20 premiers mécanismes, auquel des milliers de personnes ont participé. Un deuxième webinaire a suivi en juillet 2021, au cours duquel elle a abordé 20 autres mécanismes de blessures causés par les injections de COVID-19. (En relation : Le Dr Sherri Tenpenny révèle comment lutter contre Covid sans compter sur les vaccins – Brighteon.TV.)

    Selon l'animateur de « The Tenpenny Files : On Your Health » sur Brighteon.TV, ces mécanismes de lésions vaccinales perturbent les cellules humaines. Ils affectent également, entre autres, les systèmes cardiovasculaire, nerveux central et neurologique.

    Elle a également raconté : « Nous avons constaté des changements de personnalité chez les personnes qui ont reçu deux injections et un rappel. » Ces personnes, a-t-elle ajouté, n’étaient plus les mêmes après avoir reçu l’injection. Certains d’entre eux sont devenus incapables de communiquer avec les autres, tandis que d’autres manquaient d’empathie. »

    Tenpenny : les autorités ont SUPPRIMÉ les nouvelles sur les blessures causées par les vaccins
    Tenpenny a également déclaré au Health Ranger que toutes les études et reportages récents qui touchent aux blessures causées par le vaccin COVID-19 n'étaient pas nouveaux, puisque les autorités se sont contentées de les enterrer et d'ignorer la réalité de ce qui s'est passé au cours des trois dernières années. . "Ils étaient juste enterrés, il suffisait de faire des recherches pour les retrouver", a-t-elle poursuivi.

    RépondreSupprimer
  14. Adams a accepté, déclarant que les 40 mécanismes de blessure n'étaient pas seulement des choses imaginées par son invité. Ces mécanismes de lésions vaccinales fondés sur des preuves sont bien documentés et reflétés dans la littérature médicale. Il a également noté que ces 40 mécanismes peuvent créer d’étranges combinaisons de symptômes ou de syndromes dans la manière dont ils prolifèrent dans tout le corps et affectent différents organes et systèmes.

    L'un de ces mécanismes de blessure est la dégénérescence neurologique, et Adams a interrogé Tenpenny sur ses découvertes à ce sujet. Elle a ensuite partagé que les nanoparticules lipidiques, les protéines de pointe et d’autres éléments contenus dans les injections de COVID-19 pourraient traverser la barrière hémato-encéphalique et causer de graves dommages.

    "La barrière hémato-encéphalique est là pour protéger votre cerveau", a-t-elle expliqué. "Le contenu des injections de COVID-19, en particulier les protéines de pointe, [are] capable de traverser la barrière hémato-encéphalique, d'entrer et de provoquer une perturbation des connexions neurologiques, en particulier dans votre lobe frontal.

    Adams a ensuite mentionné que les 40 mécanismes de lésions vaccinales seront discutés dans une présentation entièrement mise à jour à partir du 9 mars. Les gens peuvent regarder la présentation de Tenpenny gratuitement après s'être inscrits sur le site Web de l'Université de Brighteon.

    Nous construisons l’infrastructure de la liberté humaine et donnons aux gens les moyens d’être informés, en bonne santé et conscients. Soutenez-nous sur HealthRangerStore.com et découvrez notre mission « infrastructure de liberté humaine » sur le lien de cet article.

    Regardez ci-dessous la conversation complète entre le Dr Sherri Tenpenny et le Health Ranger Mike Adams sur les blessures causées par les vaccins.

    Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:

    Le programme vaccinal : la Dre Sherri Tenpenny dénonce les mensonges propagés par le gouvernement sur la COVID et les vaccins.

    Dr Sherri Tenpenny : Les vaccins contre la COVID-19 ne sont PAS des vaccins mais des technologies de modification génétique.

    La plus grande étude mondiale sur la sécurité des vaccins contre la COVID-19 établit un lien entre les vaccins et les maladies neurologiques, sanguines et cardiaques.

    Les sources incluent :

    Brighteon.com
    Bloomberg.com
    DrTenpenny.com

    https://www.naturalnews.com/2024-03-12-dr-tenpenny-explains-covid-injections-vaccine-injuries.html

    RépondreSupprimer
  15. La purge de la « science »


    12 mars 2024
    de Thomas Oysmüller


    Parce que le professeur Martin Kulldorff de Harvard n'a pas fait la promotion de la substance ARNm, il a été exclu du comité de vaccination du CDC. Havard l’a purgé pour avoir bafoué les réglementations Covid.

    Martin Kulldorff est l’un des trois auteurs de la Déclaration de Great Barrington, l’intervention scientifique la plus importante contre la politique de confinement du Covid. Il vient de publier un article dans le magazine City qui montre clairement à quel point la liberté existe actuellement dans la science. Probablement aucun. Kulldorf a été renvoyé de son poste à Harvard en raison de son intervention, et le CDC l'a licencié - après 20 ans - pour une raison encore plus absurde.

    exclusion

    L’essai s’intitule « Harvard piétine la vérité », ce qui devrait déjà indiquer clairement de quoi il s’agit. Il a lui-même été biostatisticien et professeur de médecine à la Harvard Medical School de 2003 à 2021. Il n’a pas accepté le Covid en silence ni l’a esquivé. Il a rejoint le Brownstone Institute et a cofondé l'Académie des sciences et de la liberté du Hillsdale College. Martin Kulldorff était occupé. Des mesures sont prises contre cela.

    Dans l'article, Kulldorff décrit comment il a été retiré du groupe de travail sur la sécurité des vaccins du CDC en 2021 : « J'ai été retiré du groupe de travail sur la sécurité des vaccins Covid du CDC - non pas parce que j'étais critique à l'égard des vaccins, mais parce que j'étais en désaccord avec la politique du CDC. La faculté de Harvard l’a licencié pour avoir défié les réglementations Covid.

    L’histoire du CDC est particulièrement absurde. Kuldorff était contre le retrait du marché de la seringue J&J. Il a cité une étude qui montrait qu’il n’y avait aucune preuve que les vaccins à vecteur adénovirus (dont le vaccin J&J) provoquaient des caillots sanguins chez les personnes âgées. Kulldorff a écrit des articles d'opinion et s'est adressé aux médias sociaux pour plaider en faveur du fait que le vaccin J&J devrait rester disponible sur un marché où les seuls autres concurrents en Amérique sont Pfizer et Moderna. Nous le savons désormais : les substances ARNm sont connues pour leur lien avec des caillots sanguins soudains. Mais ils sont toujours sur le marché.

    L’argumentation de Kulldorff en 2021 pouvait évidemment être critiquée à l’époque. Il a déclaré que les vaccinations contre le Covid seraient bénéfiques pour certains groupes d’âge et à risque de la population. Un argument extrêmement controversé. Le journaliste américain Jordan Kasten le dit explicitement :

    « Malheureusement, il n’existe aucune preuve pour étayer cette affirmation et elle s’appuie sur des statistiques falsifiées provenant d’études soutenues par l’industrie pharmaceutique et publiées dans des revues médicales universitaires aux titres ridicules. Il n’existe toujours aucune preuve qu’une seringue étiquetée Covid, qu’elle soit ou non une seringue à ARNm, puisse soulager ou prévenir les symptômes provoqués par une maladie respiratoire.

    Kasten connaît Kulldorff et tient le médecin en haute estime : « Il a clairement fait savoir à plusieurs reprises qu'il était contre les réglementations en matière de vaccination et qu'il n'acceptait aucun argent de l'industrie pharmaceutique. À mon avis, il devrait être applaudi pour son courage et sa bravoure, car il avait tellement à perdre (et en a payé le prix) à l’époque qu’il a été l’un des premiers grands scientifiques à condamner les confinements et autres restrictions draconiennes liées au Covid.

    RépondreSupprimer
  16. Et précisément parce que Kulldorff n’a pas réellement adopté une position anti-vaccin au sujet de la vaccination, son sort révèle une « vérité encore plus puissante » :

    Il a découvert à ses dépens qu’il n’y a aucun moyen de traverser les voies du train de marchandises institutionnel qu’est le système de capture institutionnelle par les grandes sociétés pharmaceutiques et les soins de santé publics qui persiste aujourd’hui en Amérique.

    Compte tenu de ses impressionnants diplômes universitaires et de son très long palmarès de réalisations scientifiques impartiales, il n’était pas facile pour Kulldorff d’être considéré par les grands médias comme un simple radical assez fou pour « faire ses propres recherches » plutôt que « d’écouter les experts ». .» Non, il menaçait le « Gravy Train » qui a fourni à Pfizer et Moderna des centaines de milliards de dollars des contribuables protégés contre les litiges. Et pour ce péché, il a été rapidement démis de ses fonctions au sein du groupe de travail du CDC. La campagne de diffamation de Johnson & Johnson sur les caillots sanguins (qui a inondé tous les médias), probablement lancée par ses concurrents, a été si efficace que J&J a quitté le marché peu de temps après, ne laissant aux Américains que deux options (Pfizer et Moderna) pour les vaccins Covid. depuis.

    Et que conclut Kulldorff lui-même de son expérience ?

    « La science ne peut survivre dans une société qui ne valorise pas la vérité et ne s’efforce pas de la découvrir. Dans une telle culture, la communauté scientifique perdra progressivement le soutien du public et se désintégrera lentement. La recherche de la vérité nécessite la liberté académique avec un discours scientifique ouvert, passionné et civilisé, sans aucune tolérance pour la diffamation, l'intimidation ou le licenciement. J’espère qu’Harvard reviendra un jour à la liberté et à l’indépendance académiques.

    https://tkp.at/2024/03/12/die-saeuberung-der-wissenschaft/

    RépondreSupprimer
  17. Tout cela jette vraiment un tout nouveau jour sur le « suivre la science ». Comment quelqu’un est-il censé suivre la science ou quoi que ce soit d’autre si tout est vide ?

    "Il doit y avoir un procès pour les expurgations dans toutes les réponses FOIA", a écrit quelqu'un sur X sur la façon dont le public américain peut lutter contre cet obstacle évident à la vérité.

    "Il n'y a aucune raison pour qu'une étude sur les effets secondaires d'un vaccin soit expurgée de quelque manière que ce soit."

    Quelqu'un d'autre a plaisanté en disant que la prochaine fois que son médecin évoquera la nécessité d'un « vaccin » contre le COVID, il désignera simplement le rapport entièrement expurgé du CDC comme preuve que les injections sont totalement dangereuses – sinon le CDC diffuserait fièrement partout le contenu complet. de son rapport.

    De nombreuses autres personnes ont écrit que le COVID était évidemment une arnaque totale, tout comme le programme Operation Warp Speed ​​déclenché par le régime Trump pour vacciner autant d’armes que possible, le plus rapidement possible.

    "On ne peut plus faire confiance au CDC et aux chefs du département", a écrit un autre. "Walensky et d'autres devraient être jugés devant un tribunal militaire pour crimes contre l'humanité, conformément au Code de Nuremberg."

    Notre mission est d'autonomiser, d'élever et de défendre la vie de chaque être humain sur notre planète, et nous le faisons en construisant l'infrastructure de la liberté humaine. Découvrez comment nous y parvenons en utilisant une technologie d'IA de pointe sur ce lien. Soutenez nos efforts continus en achetant sur HealthRangerStore.com et merci pour votre soutien !

    Les sources de cet article incluent :

    Twitter.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2024-03-12-cdc-study-myocarditis-covid-vaccination-entirely-redacted.html

    RépondreSupprimer
  18. Exclusif : Les NIH financent un projet pilote visant à administrer le vaccin contre le papillomavirus à des élèves sud-africains de CM2

    L'Institut national de la santé a octroyé 340 000 dollars pour tester des tactiques psychologiques visant à persuader les élèves sud-africains de cinquième année et leurs parents d'accepter le vaccin controversé contre le papillomavirus, selon des documents obtenus par Children's Health Defense à la suite d'une demande au titre de la loi sur la liberté de l'information (Freedom of Information Act).

    Par Brenda Baletti
    Mondialisation.ca,
    12 mars 2024
    The Defender


    Les National Institutes of Health (NIH) financent des recherches sur la manière de stimuler l’adoption du vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) chez les garçons et les filles de cinquième année en Afrique du Sud, comme le révèlent des documents de subvention obtenus par Children’s Health Defense (CHD) dans le cadre d’une demande au titre de la loi sur la liberté d’information (Freedom of Information Act).

    Les NIH ont accordé environ 340 000 dollars aux chercheurs principaux, le Dr Ingrid Katz, médecin au Brigham and Women’s Hospital dans le Massachusetts, et Lisa Michelle Butler, docteur en épidémiologie à l’université du Connecticut.

    La subvention finance un projet visant à développer et à tester des stratégies de communication en milieu scolaire ciblant les enfants et leurs parents dans les écoles de la province de KwaZulu-Natalen Afrique du Sud, afin de déterminer quels types de communication sont les plus susceptibles d’inciter un plus grand nombre d’enfants à se faire vacciner contre le papillomavirus.

    Le financement couvre une étude de faisabilité pilote d’un an dans cinq écoles afin de tester des stratégies que les chercheurs affineront ensuite et testeront sur des centaines d’enfants dans le cadre d’un ” essai hybride de type 2 à grande échelle”.

    Les chercheurs espèrent que les stratégies de communication en milieu scolaire qu’ils élaborent contribueront à augmenter le taux de vaccination contre le VPH des enfants et des adolescents en Afrique du Sud, qui est actuellement de 37 % chez les filles, pour atteindre le taux cible de plus de 80 % chez tous les enfants âgés de 9 à 12 ans.

    Ils espèrent utiliser plus tard la même stratégie dans d’autres pays à revenu faible ou intermédiaire afin d’augmenter également leurs taux.

    “Les vaccins contre le papillomavirus n’ont pas fait l’objet d’une évaluation indépendante de leur sécurité et de leur efficacité”, a déclaré le Dr Shankara Chetty, médecin généraliste et spécialiste des sciences naturelles du KwaZulu-Natal. “Ainsi, aucune stratégie de marketing coercitive ne suffira à informer honnêtement les destinataires dans leur décision de consentement”.

    RépondreSupprimer
  19. “Étant donné que les mineurs sont ciblés, il est impératif que les tuteurs de ces mineurs reçoivent toutes les informations actuelles et, plus important encore, qu’ils soient conscients du manque d’informations sur la sécurité et l’efficacité afin de faire un choix éclairé”, a déclaré M. Chetty. “Cela ne peut pas être fait par l’industrie qui profite de sa mise en marché.

    Dans le cadre d’une initiative de subvention de 40 millions de dollars visant à promouvoir la vaccination contre le papillomavirus
    La CHD de juin 2023 a identifié près de 50 subventions accordées par le ministère américain de la santé et des services sociaux (HHS) et ses sous-agences, y compris les NIH. Ces subventions, d’un montant total de plus de 40 millions de dollars, ont été accordées à des universités, des systèmes de soins de santé et des services de santé publique afin qu’ils utilisent des stratégies de psychologie comportementale pour accroître l’utilisation du vaccin contre le papillomavirus chez les adolescents.

    Il s’agit de la première subvention identifiée par la CHD qui utilise ces mêmes méthodes pour cibler les enfants en Afrique.

    La recherche s’inscrit dans un programme plus large des institutions du HHS qui comprend des centaines de millions de dollars de subventions pour développer et tester des stratégies visant à augmenter l’utilisation de tous les vaccins dans les communautés à faible revenu et les communautés de couleur qui utilisent des messages “culturellement adaptés” au nom de l’”équité en matière de santé”.

    Elle s’inscrit également dans le cadre d’une initiative visant à accorder des subventions substantielles pour augmenter les taux de vaccination contre le papillomavirus en “sensibilisant” et en luttant contre la “désinformation”.

    En plus de répondre aux objectifs du HHS, le projet sud-africain s’inscrit dans le cadre d’un programme mondial défini en 2020 par l’Assemblée mondiale de la santé de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui vise à éradiquer le cancer du col de l’utérus en tant que problème de santé publique dans le monde entier, principalement au moyen de la vaccination contre le papillomavirus.

    Gavi, l’Alliance du vaccin, soutenue par la Fondation Bill & Melinda Gates, a annoncé l’année dernière qu’elle investirait plus de 600 millions de dollars pour atteindre son objectif de vacciner 86 millions de filles contre le papillomavirus dans les pays à revenu faible et intermédiaire d’ici à 2025, principalement par le biais de campagnes de vaccination nationales.

    RépondreSupprimer
  20. Cette annonce a coïncidé avec les campagnes nationales de vaccination soutenues par Gavi en Indonésie, au Nigeria, auBangladesh, en Zambie, en Sierra Leone et en Érythrée au cours des deux dernières années.

    L’Afrique du Sud a été l’un des premiers pays africains à lancer une campagne nationale de vaccination en milieu scolaire ciblant les filles âgées de 9 ans ou plus en 4e année dans les écoles publiques.

    Katz et Butler ont indiqué dans leur demande de subvention que la campagne avait été initialement “couronnée de succès”, mais que les taux s’étaient depuis effondrés, en particulier pendant et après la pandémie de Covid-19.

    Merck, qui fabrique le vaccin Gardasil contre le papillomavirus, a déclaré qu’il ferait don de vaccins pour la nouvelle étude. Merck est l’un des principaux partenaires de Gavi pour la distribution de vaccins dans les pays à faibles et moyens revenus du monde entier.

    Shabnam Palesa Mohamed, directrice exécutive de CHD Africa, a déclaré au Defender qu’elle était déçue de voir des chercheurs sud-africains collaborer à ce projet.

    Elle a dit :

    “Il est difficile de comprendre pourquoi les chercheurs de l’UKZN [University of KwaZulu-Natal] ne considèrent pas que cette expérience de manipulation sur des enfants est raciste et déshumanisante. L’industrie pharmaceutique a un bilan catastrophique en Afrique, où la pharmacovigilance est faible ou inexistante, en grande partie parce que les entreprises pharmaceutiques financent les scientifiques, les autorités réglementaires et les départements de la santé. L’UKZN ne fait pas exception à la règle. Ses bailleurs de fonds comprennent la Fondation Bill et Melinda Gates.

    Cela me rappelle les spécialistes du comportement qui ont aidé le gouvernement britannique à manipuler le public [during the COVID-19 pandemic] et qui ont déclaré par la suite que nous avions été systématiquement “assommés par la militarisation de la psychologie comportementale” tout au long de la pandémie.

    Le projet sud-africain “sent l’impérialisme pharmaceutique”.

    Dans le cadre de la subvention de 340 000 dollars accordée à Katz et Butler, les chercheurs principaux collaboreront avec une équipe de psychologues, un spécialiste de l’éducation, un épidémiologiste et un ingénieur biomédical issus d’universités américaines et de l’UKZN, ainsi qu’avec le département local de la santé et les écoles primaires d’une zone urbaine de la province du KwaZulu-Natal.

    Le nom de la ville et des écoles où le projet sera mis en œuvre a été supprimé des documents FOIA fournis au CHD.

    RépondreSupprimer
  21. Les chercheurs cibleront spécifiquement des “populations diverses” et intégreront “les voix des personnes vivant dans des environnements à faibles ressources” pour tenter de comprendre pourquoi les enfants ne se font pas vacciner contre le papillomavirus et, en particulier, pourquoi leur nombre a diminué après la pandémie de Covid-19.

    “L’équité en matière de santé est au cœur de notre recherche”, écrivent-ils.

    Cependant, Mme Mohamed a déclaré : “Manipuler des enfants et des familles issus de milieux défavorisés est l’essence même du colonialisme médical”.

    Elle a ajouté :

    “Ce n’est pas la première fois qu’il n’y aura pas de consentement éclairé avec ces enfants ou leurs familles, et qu’il n’y aura pas de compensation pour les préjudices ou les décès causés.

    “Le rôle des NIH controversés dans la manipulation comportementale – les mêmes NIH qui n’ont pas dénoncé l’OMS facilitant les expériences de fertilité sur les filles et les femmes kenyanes – a des relents d’impérialisme pharmaceutique.

    Les chercheurs émettent l’hypothèse que la baisse des taux de vaccination contre le VPH pourrait être liée aux interruptions du programme liées au Covid-19, à la “méfiance médicale accrue et à l’hésitation vaccinale liée à la désinformation diffusée sur les médias sociaux”, ce qu’ils tentent de corriger.

    Ils élargissent la population cible du vaccin contre le papillomavirus pour inclure les garçons et les enfants des écoles privées qui n’étaient pas initialement inclus dans le programme national de vaccination en milieu scolaire de l’Afrique du Sud.

    Actuellement, le vaccin bivalent Cervarix de GSK est administré gratuitement par les infirmières scolaires dans les écoles publiques deux jours par an. Les garçons et les enfants des écoles privées doivent payer pour la piqûre.

    Le vaccin contre le papillomavirus n’a pas encore été largement mis à la disposition des garçons dans le pays, et la plupart des campagnes nationales de vaccination à revenu faible ou intermédiaire ne ciblent que les filles.

    RépondreSupprimer
  22. Cependant, depuis que la Food and Drug Administration des États-Unis, a élargi, en 2009, la licence pour l’utilisation chez les patients masculins âgés de 9 à 26 ans pour la prévention de verrues génitales, et que le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination du CDC a recommandé en 2011 l’utilisation systématique de ce vaccin chez les garçons, les campagnes de vaccination, du moins aux États-Unis et en Europe, ont également ciblé les garçons..

    L’OMS a noté que la durabilité du marché pour le médicament nécessitera de cibler également les garçons.

    Pour élaborer le matériel de communication à tester, les chercheurs ont organisé des réunions initiales avec les directeurs d’école et les enseignants, les infirmières et les parents de garçons et de filles inscrits dans des écoles publiques et privées de la zone d’étude. Ils ont indiqué que les personnes interrogées avaient exprimé le souhait de “centrer les connaissances de la communauté”.

    Les personnes interrogées ont également indiqué qu’elles souhaitaient que le programme de vaccination soit “inclusif” pour les garçons et les enfants des écoles privées et qu’elles aient accès à du “matériel éducatif adapté à la culture” pour répondre aux malentendus persistants sur la vaccination – un ensemble d’objectifs qui reflète ceux de tous les autres programmes de recherche sur l’assimilation du VPH financés par le NIH aux États-Unis.

    Le projet pilote réunira un “groupe de travail des parties prenantes” composé de représentants du gouvernement, de la société civile, du monde universitaire et de ceux qui ont des intérêts juridiques, financiers ou éthiques dans le programme de vaccination contre le papillomavirus. Le groupe se réunira périodiquement pour discuter de la recherche.

    Les chercheurs prévoient également d’interroger les enfants, les familles, les enseignants et les infirmières scolaires sur leurs idées et leurs comportements concernant le vaccin.

    Sur la base des informations recueillies lors de ces réunions, ils élaboreront une “stratégie de communication à plusieurs niveaux” pour les écoles, qui comprendra du matériel pédagogique promotionnel destiné aux enfants et des brochures d’information à distribuer aux parents.

    Ils développeront également une stratégie de “carte de conversation” pour les enseignants et les infirmières parlant couramment le zoulou, qu’ils pourront utiliser comme outil pour “faciliter le dialogue” autour de la “désinformation” et de l’efficacité des vaccins.

    Jive Media Africa produira du matériel pédagogique “divertissant”. La société a été sélectionnée sur la base de son travail de production de matériel Covid-19 pour les écoles.

    RépondreSupprimer
  23. Le succès de l’étude sera mesuré en fonction du nombre d’enfants vaccinés deux mois, six mois et douze mois après l’intervention, et selon qu’ils reçoivent une première dose ou la série complète de deux doses. Elle mesurera également si les connaissances, les idées et les croyances des sujets de la recherche sur le vaccin contre le papillomavirus changent.

    Le projet cible les élèves de 5e année et leurs parents, écrivent les chercheurs, car les recherches ont montré que la faible couverture en Afrique du Sud est principalement due à l’absence de consentement parental. Elle vise également les personnes susceptibles d’influencer les parents, comme les enseignants et les infirmières.

    L’étude pilote contrôlée et randomisée menée dans cinq écoles et financée par la subvention s’adressera à 200 parents et enfants et à 16 enseignants et infirmières.

    Dans le cadre de l’essai de phase 2, une étude randomisée portant sur 10 écoles visera environ 1 500 participants.

    Les parents et les élèves seront recrutés dans les écoles sélectionnées par le biais d’une lettre envoyée à la maison avec les élèves de 5e année, leur demandant de consentir à participer aux enquêtes et de partager les carnets de vaccination de leurs enfants. Les personnes interrogées donneront leur accord verbal pour être interrogées.

    Après l’étude pilote, les chercheurs affineront leur matériel et lanceront la phase 2 de l’essai de contrôle randomisé dans un plus grand nombre d’écoles.

    L’essai de phase 2 devrait débuter en janvier 2025, selon le site web du gouvernement américain consacré aux essais cliniques. On ne sait pas si le financement de l’essai de phase 2 a déjà été obtenu.

    Justification : éradication du cancer du col de l’utérus

    Selon Gavi, près de 80 à 90 % des quelque 300 000 décès annuels dus au cancer du col de l’utérus – le quatrième cancer le plus fréquent chez les femmes – surviennent dans les pays à revenu faible ou intermédiaire, et la majorité en Afrique subsaharienne.

    Les taux plus élevés de cancer dans les pays à revenu faible et intermédiaire sont largement attribués à la faible couverture du dépistage du cancer du col de l’utérus et aux options de traitement limitées dans la région, bien que les chiffres réels varient considérablement d’un pays à l’autre.

    Le virus HPV a été associé au cancer du col de l’utérus, bien que la grande majorité des infections à VPH disparaissent d’elles-mêmes.

    RépondreSupprimer
  24. Il existe plus de 150 souches de VPH. Les types de VPH à haut risque peuvent provoquer des anomalies des cellules du col de l’utérus qui sont des précurseurs du cancer, bien que l’infection par le VPH ne soit pas le seul facteur de risque du cancer du col de l’utérus.

    On a constaté que le dépistage régulier du papillomavirus réduisait d’au moins 80 % l’incidence et la mortalité du cancer du col de l’utérus chez les femmes.

    Cependant, selon Gavi, “le cancer du col de l’utérus est presque entièrement évitable par la vaccination, ce qui signifie que, parallèlement au dépistage précoce, la diffusion du vaccin contre le papillomavirus est essentielle pour prévenir les infections”.

    Les documents de subvention utilisent le même langage, bien qu’ils soient moins équivoques, affirmant que le cancer du col de l’utérus est “entièrement évitable” grâce au vaccin contre le papillomavirus. Et ce, bien que les vaccins n’aient pas été testés pour mesurer la prévention du cancer, mais uniquement pour leur capacité à supprimer les souches cibles de VPH.

    Entre 2007 et 2012, plusieurs pays à revenu faible ou intermédiaire ont mené des projets de démonstration à petite échelle avec des vaccins fournis par le Gardasil Access Program de Merck, aujourd’hui abandonné, ou par la Fondation Bill & Melinda Gates dans le cadre de l’initiative PATH.

    En 2012, Gavi a commencé à soutenir l’introduction nationale du vaccin contre le papillomavirus dans les pays à revenu faible ou intermédiaire et continue de le faire aujourd’hui.

    Au total, 122 États membres de l’OMS ont ajouté le vaccin contre le papillomavirus à leur calendrier de vaccination systématique.

    Cependant, selon une étude publiée dans Preventative Medicine, l’acceptation du vaccin est très inégale et les chercheurs affirment que des “stratégies de communication plus efficaces” sont nécessaires.

    Lorsque le programme sud-africain a été lancé en 2012, 86,6 % des filles en âge d’être vaccinées l’ont été au cours de la première année. Mais en 2019, ces chiffres n’étaient plus que de 69 % et en 2021, de 37 %.

    RépondreSupprimer
  25. Les dangers du vaccin contre le papillomavirus ne sont pas pris en compte par les promoteurs du projet
    Le vaccin Gardasil a été associé à une myriade d’effets indésirables dans le monde entier. Parmi les effets caractéristiques observés à la suite de la vaccination contre le papillomavirus, on peut citer des maladies auto-immunes et neurologiques invalidantes, telles que le syndrome de tachycardie orthostatique posturale, la fibromyalgie et l’ encéphalomyélite myalgique/syndrome de fatigue chronique.

    La littérature scientifique évaluée par des pairs aux États-Unis, en Australie, au Danemark, en Suède, en France et au Japon, ainsi que les statistiques publiées par les agences de santé publique de chacun de ces pays, démontrent des associations plausibles entre la vaccination contre le papillomavirus et les maladies auto-immunes.

    Selon un article paru dans le British Journal of Clinical Pharmacology, la plupart des pays à revenu faible ou intermédiaire ont des taux de déclaration très faibles pour les effets indésirables associés aux vaccins ou à d’autres produits pharmaceutiques, de sorte qu’il est difficile de suivre les lésions liées aux vaccinations précédentes.

    https://www.mondialisation.ca/exclusif-les-nih-financent-un-projet-pilote-visant-a-administrer-le-vaccin-contre-le-papillomavirus-a-des-eleves-sud-africains-de-cm2/5687446?doing_wp_cron=1710330411.0694980621337890625000

    RépondreSupprimer
  26. Vous voyez des gens « mourir subitement » ? Ne critiquez pas, allez directement en prison. L’Amérique se réveille, la France se couche


    le 12 mars 2024
    par pgibertie


    Le Mal vient souvent d’Amérique mais la réponse également. L’opinion américaine est bien plus consciente que la notre des désastres vaccinaux , en témoignent un sondage et des réactions à la loi liberticise qu’ils appellent, l’amendement Pfizer

    Aux États-Unis, une enquête menée en octobre 2023 a recueilli les avis sur la mortalité due au coronavirus et celle attribuée au vaccin anti-Covid. Les trois questions essentielles posées par l’institut de sondage Rasmussen indiquent qu’environ un quart des Américains pensent qu’une personne de leur entourage est décédée des effets secondaires du vaccin Covid-19. Près de la moitié envisagent même de se porter partie civile dans le cadre d’une action collective contre les fabricants des vaccins.

    Connaissez-vous personnellement quelqu’un qui est mort du virus de la Covid-19 ?

    oui 47 %- non 49 %- pas sûr 4 %

    Connaissez-vous personnellement quelqu’un qui est mort suite aux effets secondaires d’un vaccin Covid ?

    oui 24 %- non 69 % – pas sûr 7 %

    S’il y avait une plainte collective auprès des compagnies pharmaceutiques concernant les effets secondaires des vaccins, souhaiteriez-vous y participer?

    très probable 24 %, probable 18%, peu probable 22 %, très peu probable 25 %, pas sûr 11 %

    En France, une nouvelle loi appelée « Amendement Pfizer » vise à criminaliser les critiques de la technologie Pfizer à ARNm avec une peine pouvant aller jusqu’à un an de prison ou 15 000 dollars d’amende. Cela montre à quel point le pouvoir des lobbyistes de la Corporation et du complexe industriel pharmaceutique est détenu. Cela suggère également que cette technologie devrait être utilisée à grande échelle dans un avenir pas trop lointain – peut-être de manière obligatoire. Vous voyez des gens « mourir subitement » ? Ne critiquez pas, ne passez pas, allez directement en prison.

    https://pgibertie.com/2024/03/12/vous-voyez-des-gens-mourir-subitement-ne-critiquez-pas-allez-directement-en-prison-lamerique-se-reveille-la-france-se-couche/

    RépondreSupprimer
  27. La vitamine C et son métabolite H2O2 ont un effet vital


    10 mars 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Bien avant les discussions sur le Corona, j’ai toujours été étonné du peu de connaissances sur les composants et les fonctions les plus essentielles du corps humain parmi les « experts », les politiciens, les médias et même les « médecins conventionnels ». Il existe des connaissances rudimentaires selon lesquelles la vitamine C prévient les saignements des gencives et la perte des dents au cours de voyages en bateau d'un mois, mais on ignore comment et pourquoi. Les autres effets bénéfiques, par exemple contre le cancer, sont également absents ou contestés.

    L’effet fondamental de l’acide ascorbique est déjà contenu dans le nom. Parce que lorsque les gens ont étudié pourquoi les citrons prévenaient les problèmes de gencives - le scorbut - lors des voyages en voilier, la substance a reçu le nom d'acide anti-SCURBUTY. À savoir, il permet les réactions d’hydroxylation dans la biosynthèse du collagène. Le collagène est le principal composant fibreux de la peau, des os, des tendons, du cartilage, des vaisseaux sanguins et des dents. Jetons d'abord un coup d'oeil rapide à cela.

    L'utilisation comme cofacteur dans la biosynthèse du collagène est l'une des fonctions biochimiques les plus importantes de l'acide ascorbique. Dans le tissu conjonctif et de soutien du collagène, la vitamine C conduit à l'hydroxylation de la proline en hydroxyproline et de la lysine en hydroxylysine. Ces composants protéiques du collagène contribuent à sa stabilisation grâce à la formation d'une triple hélice ainsi qu'à la formation de liaisons croisées [1, 2, 3]. L'acide ascorbique est donc essentiel à la cicatrisation des plaies, à la formation et à la croissance des cicatrices (formation de nouveaux os, cartilage et dentine) [3].

    Indépendamment de la réaction d'hydroxylation, l'acide L-ascorbique favorise l'expression génique de la formation de collagène dans les fibroblastes [1, 2, 3]. L'implication des aldéhydes réactifs, qui résultent de la réduction dépendante de l'acide ascorbique de Fe3+ (fer non héminique) en Fe2+ (fer héminique), est probablement importante pour ce mécanisme. Ils stimulent la transcription du collagène dans les fibroblastes [1].

    L'acide ascorbique soutient également le développement et la maturation du cartilage. Des études ont montré que sous l'influence de l'acide ascorbique, une augmentation de la phosphatase alcaline (AP, ALP, spécifique aux os également ostase ; est le nom des enzymes qui hydrolysent les esters d'acide phosphorique) ainsi qu'une régulation de la maturation des chondrocytes [1] .

    La question se pose immédiatement de savoir pourquoi les patients hospitalisés ne reçoivent pas automatiquement de la vitamine C après les opérations, alors qu'elle est si importante pour la cicatrisation des plaies. Et pourquoi n’a-t-il pas été donné aux patients Covid ?

    La fonction du peroxyde d'hydrogène H2O2

    H2O2 est un métabolite de la vitamine C. Les métabolites sont les produits de réactions catalysées par des enzymes qui se produisent naturellement dans les cellules.

    RépondreSupprimer
  28. Un rapide coup d’œil au manuel de biochimie nous montre que le H2O2 est présent dans de nombreux processus du corps. Par exemple, dans la biosynthèse de la vitamine C chez les mammifères. La lactone de l'acide gulonique est déshydratée par une flavoprotéine en acide ascorbique (c'est-à-dire la vitamine C), produisant du H2O2. Les humains (et un certain nombre d’espèces de singes) ne possèdent pas le gène Gulo, c’est pourquoi nous ne pouvons pas synthétiser nous-mêmes la vitamine C et devons l’obtenir par notre alimentation.

    Mais il a également un fort effet antiviral. On retrouve le résumé suivant dans PubMed de 1977 :

    " L'effet du H2O2 sur les adénovirus de types 3 et 6, les virus adéno-associés de type 4, les rhinovirus 1A, 1B et de type 7, les myxovirus, la grippe A et B, le virus respiratoire syncytial, la souche longue et la souche de coronavirus 229E a été étudié in vitro en utilisant différentes concentrations de H2O2 et temps d'exposition. Le H2O2 à une concentration de 3 % a inactivé tous les virus examinés en 1 à 30 minutes. Les coronavirus et les virus grippaux se sont révélés particulièrement sensibles. … H2O2 est un agent approprié pour l’inactivation des virus.

    Dans les commentaires sur les articles précédents sur la vitamine C, il y a un certain nombre de références au fonctionnement du H2O2, en voici une .

    Les différents effets de la vitamine C
    Une étude menée à Barcelone et publiée en août 2020 dans Critical Care BioMedCentral (BMC) rapporte mesurer les niveaux de vitamine C chez les patients. Chez les patients corona gravement malades, dans 94,4% des cas... rien n'a été trouvé. Rien du tout.

    Mais que devez-vous faire ? Bien entendu, administrer de fortes doses de vitamine C en infusion. Par exemple, une étude sur l'utilisation de la vitamine C en infusion a été publiée dans PubMed . Ou voici un éditorial intitulé « Le rôle émergent de la vitamine C dans la prévention et le traitement du COVID-19 » sur plusieurs études publiées dans Nutrient , et il y en a aussi beaucoup dans le registre des études Cochrane Covid .

    La vitamine C ne devrait manquer dans aucun protocole de prophylaxie ou de traitement, comme c'est le cas ici avec le FLCCC .

    La vitamine C a fait la une des journaux lorsque le double prix Nobel et chimiste Linus Pauling l'a suggérée à fortes doses pour le traitement du cancer. Dans des études avec Ewan Cameron, il a prouvé son efficacité contre le cancer. Cela a été vérifié dans des études menées par Creagan et Moertel à la clinique Mayo. Cependant, l’administration de fortes doses de vitamine C ne présentait aucun avantage par rapport à l’administration d’un placebo. Cependant, l’étude n’a pas été réalisée correctement : la vitamine C a été administrée par voie orale plutôt que par perfusion. Nous connaissons d’ailleurs également de telles études erronées réalisées par des médecins sur la vitamine D ou l’ivermectine, lorsque leur inefficacité est faussement affirmée.

    RépondreSupprimer
  29. Même aujourd'hui, il existe encore un manque fondamental de compréhension sur les effets de la vitamine C, comme le montre cette étude menée par des médecins de la Eastern Virginia Medical School à Norfolk, qui écrivent ici : « De nombreuses idées fausses sur la vitamine C se sont propagées à deux reprises. Linus Pauling, lauréat du prix Nobel.

    Vitamine C et peroxyde d'hydrogène

    Professeur Dr. Burkhard Kleuser, qui a étudié la chimie et la chimie alimentaire de 1984 à 1988 et la biochimie de 1990 à 1994, c'est-à-dire un naturaliste, explique dans un long article de la Pharmazeutische Zeitung comment fonctionnent les études décrites par Liunus Pauling :

    « … il a été démontré que l'administration orale de la dose la plus élevée tolérée de 3 g toutes les quatre heures conduit à une concentration plasmatique maximale de 0,22 mmol/l. Cependant, des concentrations plasmatiques maximales supérieures à 13 mmol/l ont été atteintes lorsque la dose de vitamine C était administrée par voie intraveineuse. Des résultats similaires peuvent également être trouvés chez les patients atteints de tumeurs.

    Revenons maintenant au peroxyde d'hydrogène :

    " À des concentrations millimolaires élevées, qui ne peuvent être obtenues que par administration intraveineuse, la vitamine C agit comme un prooxydant et conduit à la formation de peroxyde d'hydrogène, capable d'endommager les cellules tumorales. "

    À des concentrations plus faibles, la vitamine C agit comme un puissant antioxydant et à des concentrations élevées, elle agit comme un pro-oxydant. Nous constatons une fois de plus que la dose fait le poison.

    « Tant que la vitamine C circule dans le sang, seule une petite quantité de peroxyde d’hydrogène est produite. ... Ce n'est que lorsque la vitamine C passe de la circulation sanguine à l'interstitium [tissu conjonctif] qu'une formation intensive de peroxyde d'hydrogène se produit, qui peut alors endommager sélectivement les cellules tumorales en tant que molécule cytotoxique... . L’effet semble être spécifique aux cellules tumorales car, contrairement aux cellules saines, celles-ci ont souvent peu ou pas d’activité d’enzymes antioxydantes telles que la catalase, la glutathion peroxydase et la superoxyde dismutase, qui seraient capables de détoxifier le peroxyde d’hydrogène.

    Le docteur moléculaire et auteur Dr. Ulrich Strunz décrit dans son blog le traitement du cancer et les expériences des patients avec les oncologues :

    RépondreSupprimer
  30. » Et ses oncologues lui disent : S'il vous plaît, pas de perfusion de vitamine C.
    Cela « interfère » avec le traitement de chimiothérapie.

    Et plus loin:

    « Allumons notre cerveau un instant et soyons raisonnables :

    La vitamine C a une demi-vie dans le sang de 2,9 heures. Donc, si vous recevez des perfusions de vitamine C aujourd’hui et une chimiothérapie demain, donc tout est échelonné, alors la chimiothérapie ne remarque plus aucune quantité de vitamine C. Quelque chose comme cela s’appelle une simple science naturelle. J'insiste sur le mot « simple ! »
    La considération suivante est bien plus importante : Comment fonctionne la chimiothérapie ? Ce poison produit des quantités massives de radicaux libres dans chaque cellule du corps. Et, espérons-le, davantage de radicaux libres dans la cellule cancéreuse, dont le métabolisme est plus élevé, que dans les cellules saines. Convenu. Les radicaux libres à cette concentration détruisent et tuent les cellules. Les deux : cellules cancéreuses et cellules saines. Espérons que le cancer soit décédé plus tôt que le patient. Je dis cela avec décence et respect. J'ai moi-même ajouté assez souvent de telles infusions...
    Comment fonctionnent les infusions de vitamine C ? La vitamine C à cette dose élevée (et seulement alors) produit des quantités massives de H₂O₂, c'est-à-dire du peroxyde d'hydrogène, un puissant poison cellulaire, un radical libre dans chaque cellule. Seulement : les cellules saines possèdent encore l’enzyme catalase. Et cela décompose ce H₂O₂, ces radicaux libres, à une vitesse fulgurante. La pauvre cellule cancéreuse est désavantagée : elle n’a plus de catalase et est sans défense contre le poison. Meurt. "
    Passionnant. La vitamine C agit d'une part comme un antioxydant, piégeant les radicaux libres, et d'autre part comme un pro-oxydant, produisant du H2O2 dans l'organisme, capable d'oxyder et ainsi d'éliminer les cellules tumorales.

    On peut supposer que la vitamine C peut également agir de plusieurs manières dans les infections virales, notamment lorsqu’elle est administrée à fortes doses sous forme de perfusion. Si les cellules infectées par des virus, comme les cellules tumorales, ne possèdent pas de catalase, alors elles et les virus sont tués par H2O2. À l’inverse, la vitamine C, en tant que puissant antioxydant, neutralise l’inflammation déclenchée par la tempête de cytokines, capte les radicaux libres et régule le système immunitaire.

    RépondreSupprimer
  31. Mais la vitamine C emprunte toute une série d’autres voies. Par exemple, la modulation du facteur HIF induit par l’hypoxie. Dans les cellules tumorales, il soutient l'approvisionnement en énergie via le glucose et la croissance des vaisseaux sanguins dans la tumeur. La vitamine C supprime le HIF et ralentit ainsi la croissance tumorale.

    La vitamine C est également un cofacteur des dioxygénases « Ten-Eleven Translocation » (TET), qui jouent un rôle dans le développement de la leucémie, qui peut être complètement évitée par des doses élevées de vitamine C. Vous en saurez plus à ce sujet dans l'article passionnant du professeur Kleuser.

    Malheureusement, les connaissances en biochimie ne sont pas très répandues parmi les professionnels de la santé, sinon comment pourrait-on produire une telle absurdité que le système immunitaire soit même endommagé par les infections corona et Covid et qu'il doive donc être supprimé avec de la cortisone .

    Littérature:

    1. Biesalski HK, Köhrle J, Schümann K : Vitamines, oligo-éléments et minéraux. 14-18, 57-65, 274, Georg Thieme Verlag; Stuttgart/New York 2002

    2. Biesalski HK, Fürst P, Kasper H, Kluthe R, Pölert W, Puchstein Ch, Stähelin HB : Médecine nutritionnelle. 143-147, Georg Thieme Verlag, Stuttgart 1999

    3. Leitzmann C, Müller C, Michel P, Brehme U, Hahn A, Laube H : Nutrition en prévention et thérapie. 53, 93, Hippokrates Verlag dans MVS Medizinverlage Stuttgart GmbH & Co. KG 2005

    https://tkp.at/2024/03/10/so-wirken-vitamin-c-und-sein-metabolit-h2o2-lebenserhaltend/

    RépondreSupprimer
  32. Le fluorure à l'essai : un produit chimique trop gros pour échouer. L'heure des nouvelles sur la recherche mondiale


    Par Michael Welch et Derrick Broze
    Recherche mondiale,
    10 février 2024


    « Cela pose vraiment la question. Voulez-vous que votre NTP (National Toxicology Program) soit censé être entièrement axé sur la science – une science indépendante – voulez-vous que ces organismes politiques aient une sorte de pouvoir de veto sur eux ? Et c’est ce que nous constatons avec le fluorure. Ce droit de veto des instances politiques sur les scientifiques du NTP ! – Michael Connett , avocat de Fluoride Action Network , extrait de l'interview de cette semaine.

    ÉCOUTEZ LE SPECTACLE

    - voir clip sur site -

    Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)

    Pendant près d’un siècle, on a compris que le fluorure pouvait améliorer considérablement la santé dentaire de millions de personnes partout dans le monde. Presque tout le monde connaît désormais ce principe. [1]

    «Regarde maman! Pas de caries ! » [2]

    Par conséquent, des communautés partout aux États-Unis et au Canada ont commencé à insérer du fluorure sous forme de silicofluorures dans notre eau potable. [3]

    Plus de 70 pour cent des communautés en Amérique et près de 40 pour cent au Canada ont ajouté du fluorure à leur eau du robinet. Or, dans toute l’Europe, la grande majorité de l’eau n’est pas fluorée. Les dents nord-américaines sont-elles bien plus améliorées que les dents européennes ? [4][5][6]

    Non.

    Bien plus inquiétantes sont les recherches scientifiques publiées depuis des décennies, qui indiquent que les substances fluorées, comme le plomb et l'arsenic, pourraient être toxiques. Des études montrent que son utilisation dans l’eau a apparemment entraîné une fluorose dentaire, une faiblesse du squelette, des problèmes de thyroïde et le syndrome du côlon irritable. En particulier, des études ont été publiées établissant un lien entre l'eau fluorée et la baisse du QI des enfants ! [7][8]

    Aujourd'hui, pour la toute première fois, des groupes de citoyens, armés d'études et de recherches, ont poursuivi l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) devant un tribunal fédéral pour non-respect d'une pétition appelant l'agence à interdire l'utilisation d'un produit chimique industriel. s'il présente un risque déraisonnable pour la santé humaine. Le procès a été déposé en 2017. [9]

    RépondreSupprimer
  33. Ce n’est que maintenant, près de sept ans plus tard, que les audiences du tribunal entrent, après un certain retard, dans leur deuxième phase. [dix]

    Qu’est-ce qui se cache derrière les retards dans une affaire qui déterminera en fin de compte le sort de millions de citoyens ? Existe-t-il un facteur extérieur au-delà de la « science » qui pèse sur la balance de la réglementation de la santé humaine ? Et où diable sont les médias grand public dans tout cela ? Ce sont là quelques-uns des nombreux facteurs qui pèsent sur l’épisode de cette semaine du Global Research News Hour.

    Au cours de notre première demi-heure, nous avons une conversation avec le Dr Robert Dickson (Dr Bob) sur l'utilisation et l'histoire de la fluoration artificielle de l'eau au Canada, les études sur les impacts sur la santé et sur certaines des voies à suivre pour les personnes cherchant à se libérer. d’une consommation quasi « compulsive » de cette substance.

    Au cours de notre deuxième demi-heure, l'étonnant journaliste Derrick Broze anime une discussion avec Michael Connett , l'avocat principal représentant les plaignants dans le procès devant la Cour fédérale sur le fluorure dans l'eau. Il discute du contexte et des principes fondamentaux impliqués. Ses arguments vous étonneront !

    Le Dr Robert C Dickson est le fondateur de Safe Water Calgary et le président de Fluoride Free Canada. Il est titulaire d'un diplôme en éducation physique et d'un doctorat en médecine de l'Université de Calgary, ainsi que d'une certification en soins paramédicaux du SAIT de Calgary. Le Dr Dickson a codirigé le programme anti-fluoration à Calgary depuis 1999, qui a abouti à l'arrêt de la fluoration de l'eau en 2011, et continue de s'impliquer activement dans la lutte contre la fluoration artificielle de l'eau. Son site est www.fluoridefreecanada.ca

    M ichael Connett est l'avocat principal de Food & Water Watch, Fluoride Action Network , Moms Against Fluoridation et d'autres groupes de défense et individus poursuivant actuellement l'EPA en justice dans le but de forcer l'agence à interdire la fluoration de l'eau aux États-Unis en raison des effets toxiques du fluorure sur le développement du cerveau des enfants.

    Derrick Broze est journaliste d'investigation indépendant, réalisateur de documentaires, auteur, conférencier et, en 2019, candidat à la mairie de sa ville de Houston. Derrick est l'auteur de 5 livres et auteur de 5 documentaires. Il est actuellement rédacteur pour The Last American Vagabond , co-animateur de Free Thinker Radio sur 90.1 Houston et fondateur de The Conscious Resistance Network et des Houston Free Thinkers .

    RépondreSupprimer
  34. (Global Research News Hour Épisode 421)

    ÉCOUTEZ LE SPECTACLE

    - voir clip sur site -

    Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)

    L' émission Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13 h CT sur CKUW 95.9FM à l'Université de Winnipeg. Le programme est également disponible en podcast sur globalresearch.ca .

    Autres stations diffusant l'émission :

    CIXX 106,9 FM, diffusant depuis le Fanshawe College de London, en Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6 heures du matin.

    WZBC 90,3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. L'Heure d'information sur la recherche mondiale est diffusée sur la radio Vérité et Justice qui commence dimanche à 6 heures du matin.

    La radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, au Nouveau-Brunswick, diffuse l'émission Global Research News Hour le vendredi à 19 h.

    CJMP 90.1 FM, Powell River Community Radio, diffuse l'émission Global Research News Hour tous les samedis à 8 heures du matin.

    Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton , Nouvelle-Écosse diffuse l'émission Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.

    Cowichan Valley Community Radio CICV 98,7 FM desservant la région de Cowichan Lake sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse le programme le jeudi à 9 h, heure du Pacifique.

    Remarques:

    https://www.nidcr.nih.gov/health-info/fluoride/the-story-of-fluoridation
    https://www.youtube.com/watch?v=v72NHYp8KD4
    https://www.britannica.com/technology/fluoridation-of-water
    https://www.cdc.gov/fluoridation/statistics/2020stats.htm
    https://www.cdc.gov/fluoridation/statistics/2020stats.htm
    https://fluoridealert.org/content/water_europe/
    https://www.fluoridefreecanada.ca/history
    https://www.fluoridefreecanada.ca/new-science
    https://childrenshealthdefense.org/defender/fluoride-epa-day-1-landmark-trial/
    ibid

    https://www.globalresearch.ca/fluoride-on-trial-a-chemical-too-big-to-fail/5849132

    RépondreSupprimer
  35. Covid nous a montré qui dirige réellement l’Amérique


    Par Ryan McMaken
    Mises.org
    11 mars 2024


    Ce mois-ci marque le quatrième anniversaire de l’une des attaques les plus désastreuses contre les droits de l’homme dans l’histoire américaine. C’est le 16 mars 2020 que le président Trump a publié des « lignes directrices » de « 15 jours pour ralentir la propagation », qui stipulaient que « les gouverneurs des États ayant des preuves de transmission communautaire devraient fermer les écoles dans les zones touchées et avoisinantes ». L’administration a demandé à tous les membres du public « d’écouter et de suivre les instructions de votre État et des autorités locales ».

    C’est à cette époque qu’un président américain, pour la première fois dans l’histoire américaine, introduit l’idée qu’il était possible – et parfaitement légal – pour les institutions gouvernementales de « fermer » l’économie en fermant par la force, en masse, d’innombrables entreprises. les écoles et les églises. Trump a déclaré à plusieurs reprises lors de conférences de presse qu’il appartenait aux responsables gouvernementaux de décider « si nous ouvrons ». Il est rapidement devenu une procédure courante pour les bureaucrates de la santé, les gouverneurs et les personnalités des médias de parler avec désinvolture de « fermeture de l’économie » ou d’« ouverture » comme s’il s’agissait d’un café décidant de l’heure de fermeture.

    Pendant ce temps, à travers le pays, les forces de l’ordre locales ont volontairement travaillé pour arrêter ou harceler les propriétaires d’entreprises, les fidèles à l’église, les footballeuses dans le parc et toute autre personne ayant la témérité de s’aventurer à l’extérieur pour des activités non approuvées par la classe dirigeante.

    La petite minorité d’Américains qui restent attachés aux droits de l’homme et à la propriété privée a vite découvert à quel point ils sont réellement impuissants. De nombreux dissidents ont été consternés par le manque d’action des tribunaux et par le fait que les élus ne voulaient ou ne pouvaient apparemment pas contrôler les vastes nouveaux pouvoirs des responsables de la « santé ». N’y avait-il rien qui puisse limiter le pouvoir de l’État ? Cela a été déroutant pour beaucoup de gens, car beaucoup ont été (et restent) amoureux de l’idée selon laquelle les constitutions écrites limitent le pouvoir de l’État là où il compte le plus.

    De nombreux dissidents ont cependant tiré une leçon précieuse de cette expérience : lors de la panique du Covid de 2020 et 2021, il est devenu très clair à quel point le gouvernement constitutionnel et le soi-disant « État de droit » limitent réellement le pouvoir d’un régime en période d’urgence perçue. En fait, c’est dans les situations d’urgence que nous apprenons qui détient réellement le pouvoir politique et à quel point les mesures constitutionnelles conçues pour le limiter sont inefficaces.

    RépondreSupprimer
  36. Le vrai pouvoir est révélé par les urgences

    Comme nous l’a révélé la panique du Covid, la véritable classe dirigeante, de facto, est l’État exécutif qui a gouverné sans effort par décret pendant la crise du Covid. Cette clique dirigeante – une oligarchie de gouverneurs, d’« experts » universitaires, de milliardaires des médias et d’innombrables bureaucrates non élus, anonymes et anonymes – a illustré ces dernières années à quel point les législateurs élus peuvent ne pas avoir d’importance dans l’usage du pouvoir politique.

    Ce problème n’est pas nouveau et les chercheurs ne l’ont remarqué que récemment. Les politologues libertaires Carlo Lottieri et Marco Bassani ont noté que le problème du pouvoir d’urgence est depuis longtemps une préoccupation des libéraux radicaux du libre marché, en particulier ceux de l’école italienne de l’élitisme. Ces chercheurs ont reconnu que le pouvoir politique en période d’urgence est exercé par des individus qui ne se soucient pas des limites abstraites de leur pouvoir. Ce fait est fondamentalement en contradiction avec les abstractions des constitutionnalistes qui imaginent que le monopole de l’État sur la coercition peut être rendu relativement inoffensif grâce à des constitutions écrites. Autrement dit, les constitutionnalistes croient que la loi écrite freinera d’une manière ou d’une autre la classe dirigeante, même en cas d’urgence.

    Mais dans la pratique, cela ne se produit pas. Lottieri et Bassani expliquent les erreurs des constitutionnalistes :

    La prétention constitutionnaliste visant à justifier le monopole de l’État sur la violence a été directement contestée par la tradition libertaire radicale (Molinari) et par les anarchistes individualistes (comme Lysander Spooner). Cependant, le réalisme politique européen et, en particulier, Carl Schmitt et les universitaires élitistes italiens (Gaetano Mosca et Vilfredo Pareto) ont également joué un rôle important dans la mise en perspective de l’État moderne.

    L’importance de Schmitt repose en grande partie sur son intuition selon laquelle dans tout État il y a d’abord une dimension politique, puis une décision, qui ne peut être obscurcie par la soi-disant « impersonnalité » du droit et la « super-individualité » des ordres. Au-delà de l’apparente abstraction de l’État… Schmitt a découvert des choix, des intérêts et, en bref, des personnes qui imposent leur volonté aux autres.

    RépondreSupprimer
  37. La pensée constitutionnelle du libéralisme classique et contemporain a constamment tenté de neutraliser la politique, mais sans succès. … [L]e véritable souverain est le groupe politique qui prend la décision finale concernant la situation critique, en cas d'état d'urgence. Le lieu de la souveraineté devient ainsi l'entité politique (qui à notre époque est l'État), et la décision sur l'état d'urgence est le test ultime.

    La pensée constitutionnelle du libéralisme classique et contemporain a constamment tenté de neutraliser la politique, mais sans succès. … [L]e véritable souverain est le groupe politique qui prend la décision finale concernant la situation critique, en cas d'état d'urgence. Le lieu de la souveraineté devient ainsi l’entité politique (qui à notre époque est l’État), et la décision sur l’état d’urgence est le test ultime de la souveraineté. Le positivisme juridique s’est efforcé de réfuter l’importance de cette notion, mais la prise de décision critique est primordiale dans le développement des relations humaines.

    Lottieri note en outre que le fantasme d’un régime neutre limité par de simples barrières juridiques est « tout simplement impossible ». Pourtant, cette vision naïve a souvent fait apparaître l’État comme moins dangereux et a convaincu de nombreuses personnes d’accepter le monopole de l’État sur la violence.

    Cela est illustré par le fait que les efforts visant à mettre en œuvre des mesures de confinement aux États-Unis ont été entièrement bipartites. L’opposition au confinement était pratiquement inexistante au sein des institutions du régime elles-mêmes. L’administration Trump, le CDC, les médias traditionnels, les médias sociaux, les commissions médicales des États, les gouverneurs des États et les responsables locaux de la santé étaient tous plus ou moins au coude à coude en mars et avril 2020. La résistance est venue en grande majorité de non-élites ; de personnes ordinaires qui étaient persécutées par des agents de l’État – c’est-à-dire des agents chargés de l’application des lois et des responsables de la santé – pour avoir ouvert des entreprises et fréquenté l’église. Ce n’est qu’après que l’opposition politique non élitiste a commencé à paraître incontrôlable que certaines institutions étatiques ont commencé à céder.

    Pourtant, même si quelques poches de résistance sont apparues, les élites nationales sont restées pratiquement intactes et « l’état d’urgence » déclaré par le gouvernement fédéral a persisté jusqu’en mai 2023.

    RépondreSupprimer
  38. L’outil peut-être le plus important des élites pendant toute cette période – le pouvoir monopolistique sur la création monétaire – a été renforcé à des niveaux jamais vus auparavant. Dans un monde normal, le pouvoir de détruire par décret les moyens de subsistance d’un nombre incalculable d’Américains se serait heurté à une opposition féroce et immédiate, et peut-être violente. Cependant, la capacité de l’élite à créer de la monnaie par l’intermédiaire de la banque centrale a essentiellement fourni un moyen de soudoyer le public pour qu’il se conforme. Cela a fonctionné, et une grande partie du public ne fait toujours pas de lien entre cette ruse et l’appauvrissement actuel de la population via l’inflation des prix.

    Le régime est toujours aux commandes

    Aujourd’hui, près de quatre ans plus tard, le régime et ses élites n’ont pas vraiment à répondre de leurs attaques quasi incessantes contre les droits de l’homme et la propriété privée. Les tribunaux fédéraux ont été extrêmement prudents pour éviter toute décision susceptible de réduire considérablement les pouvoirs d’urgence du régime. Les tribunaux se sont opposés à la manière dont le régime a mis en œuvre certaines politiques, par exemple lorsqu’ils ont annulé la tentative de l’administration d’imposer un mandat national de vaccination via l’OSHA. Pourtant, la plupart des contestations des mandats gouvernementaux sont restées sans réponse parce que les contestations judiciaires ont été déclarées sans objet lorsque le régime a mis fin à ses mandats – pour le moment. En conséquence, ces pouvoirs resteront à la disposition du régime la prochaine fois qu’il décidera de déclarer l’état d’urgence.

    De plus, en temps de crise, les régimes peuvent justifier pratiquement n’importe quoi en utilisant un système juridique complexe dans lequel les interprétations sont extrêmement flexibles. Nous le voyons, par exemple, dans le moratoire fédéral sur les expulsions qui reposait sur des réclamations juridiques très minces. Que les allégations juridiques semblent plausibles ou non à une personne normale – c’est-à-dire une personne extérieure à la classe dirigeante – n’a pas d’importance. Ce qui compte, c’est que le régime au pouvoir soit capable de détourner les significations et interprétations juridiques pour servir ses propres objectifs afin de gouverner essentiellement par décret pendant la crise.

    RépondreSupprimer
  39. Malheureusement, très peu de pouvoirs conquis et exercés au cours de cette période sont limités de manière convaincante. La plupart de ces pouvoirs – notamment ceux de la banque centrale – reviendront en force lors de la prochaine « urgence », même si le régime doit s’appuyer sur des revendications juridiques et des méthodes légèrement différentes.

    Le régime prendra tout le pouvoir qu’il peut

    Les efforts du régime pour exercer de nouveaux pouvoirs étendus ont été renforcés par le fait que l’opinion publique a offert si peu de résistance. L’« argent gratuit » de la banque centrale y a contribué, mais la corruption n’était qu’une partie de l’équation. Le malheur est qu’une grande partie du public a accepté les affirmations des « experts » de l’élite selon lesquelles les confinements et les mandats étaient tous parfaitement légitimes et pleinement nécessaires.

    Pendant la panique du Covid, nous avons vu se dérouler en temps réel les opinions de Ludwig von Mises sur le pouvoir politique. Mises a compris que le pouvoir politique n’est pas limité par des mots sur parchemin ou des théories juridiques. Le pouvoir n’est limité que par la résistance idéologique à l’État qui se manifeste ensuite par une opposition politique pratique. Mises écrit :

    Ainsi, il n’y a jamais eu de pouvoir politique qui ait volontairement renoncé à entraver le libre développement et le fonctionnement de l’institution de la propriété privée des moyens de production. Les gouvernements tolèrent la propriété privée lorsqu'ils y sont contraints, mais ils ne la reconnaissent pas volontairement en reconnaissance de sa nécessité. Même les politiciens libéraux, lorsqu’ils accèdent au pouvoir, ont généralement relégué leurs principes libéraux plus ou moins au second plan. La tendance à imposer des restrictions oppressives à la propriété privée, à abuser du pouvoir politique et à refuser de respecter ou de reconnaître toute sphère de liberté en dehors ou au-delà de la domination de l'État est trop profondément enracinée dans la mentalité de ceux qui contrôlent l'appareil gouvernemental de contrainte et de coercition pour qu'ils puissent toujours y résister volontairement. Un gouvernement libéral est une contradiction in adjecto. Les gouvernements doivent être contraints à adopter le libéralisme par le pouvoir de l’opinion unanime du peuple ; il ne faut pas s’attendre à ce qu’ils puissent volontairement devenir libéraux.

    Nous avons toutes les raisons de croire que les pouvoirs d’urgence fédéraux, étatiques et locaux liés au Covid auraient été exercés avec beaucoup plus d’enthousiasme par le régime sans la résistance de la minorité bruyante.

    RépondreSupprimer

  40. Si nous voulons savoir ce qui a réellement limité le pouvoir du régime pendant la panique du Covid, nous devons nous tourner vers les militants du « non-respect » qui étaient prêts à perdre leur emploi et leur statut social en raison de leur opposition au régime. Ce sont principalement les gens décrits comme des mécontents fous par le régime qui se sont dressés entre le régime et le plein usage de son pouvoir. La Constitution américaine et la Déclaration des droits n’ont pratiquement joué aucun rôle pour limiter le pouvoir de l’État pendant l’urgence. La vision naïve du constitutionnalisme voudrait nous faire croire que tout fonctionnait comme prévu dans la mesure où « l’équilibre des pouvoirs » maintenait l’État de droit. Ce n’est pas ce qui s’est passé. Ce qui reste de liberté aujourd’hui n’a été sauvé que par la résistance limitée de l’opinion publique qui a amené le régime à réfléchir à deux fois avant de prolonger indéfiniment son expérience de tyrannie.

    Cette victoire partielle ne signifie bien entendu pas la défaite du régime. Les élites ont été légèrement réprimandées, mais elles ont gardé l’essentiel de leur poudre sèche et attendent simplement la prochaine urgence au cours de laquelle ces pouvoirs pourront à nouveau être exercés avec au moins autant de vigueur.

    Note: The views expressed on Mises.org are not necessarily those of the Mises Institute.

    https://www.lewrockwell.com/2024/03/ryan-mcmaken/covid-showed-us-who-really-rules-america/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Comme de partout la 'majorité' et l’opposition' font partie du même parti.
      Mais là vous allez me dire que Trump venait du Peuple, c'est exact, et qu'il recevait donc (enfermée à la Maison Blanche) des informations des bureaux attenants à la Maison Blanche. Et donc qu'il pouvait recevoir la vérité comme des mensonges. C'est exact. Oui mais... Trump n'est plus président ! et donc, dehors... il pourrait parler !... Mais il ne dit RIEN sur l'escroquerie de la FAUSSE poussière appelée virus. Poussière qui n'est PAS DANS L'AIR !! mais UNIQUEMENT offerte (imposée !) en seringues !!

      Il connaît - comme tout autre - le contenu véritable des flacons injectables examinés par les scientifiques Astrid Stuckelberger et Carrie Madej !!
      Il sait donc que les injections sont létales !... Mais... il ne dit rien. RIEN !

      Supprimer
  41. Répondre à Correctiv : Les preuves d'une contamination excessive de l'ADN dans les injections de modRNA sont correctes


    11 mars 2024
    par DI Dr. Monika Henninger-Erber et Thomas H.


    Le média allemand Correctiv, proche du gouvernement, a déjà attiré l'attention à plusieurs reprises pour ses reportages propagandistes, ses demi-informations et ses fausses informations. En 2023, plusieurs groupes de travail scientifiques des États-Unis, du Canada et d’Allemagne ont identifié et confirmé des résidus d’ADN nettement excessifs dans les injections de modRNA de Pfizer/BioNTech et Moderna. Le 29 février 2024, une rédactrice nommée Kimberly Nicolaus a tenté de réfuter cette affirmation. [1] Comme c'est l'habitude pour les soi-disant vérificateurs de faits, la diplômée d'un cours appelé « Édition Crossmedia » [sic] se met dans l'embarras par une ignorance totale de la question.

    L'article fait référence à la lettre de l'Association allemande de traitement médical adressée aux médecins généralistes, qui date déjà de plusieurs mois. Il fournit des informations sur les résidus d'ADN mentionnés ou sur leurs niveaux excessifs et met en garde contre la responsabilité personnelle si le médecin administre les injections de modRNA. Ci-dessous, nous discutons des dispositifs rhétoriques et de la désinformation de l'article de Correctiv. Nous obtenons également des informations techniques à partir de la FAQ que nous avons créée auprès de la GGI (Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information). [2]

    Dévaluation des personnes (argumentum ad hominem)

    Certaines allégations concernent des personnes qui ont détecté des résidus d'ADN excessifs ou qui partagent des informations pertinentes sans rapport avec la question technique. La plupart de ces allégations sont sans fondement. L'objectif est de donner l'impression que l'émetteur d'un argument contraire est douteux ou peu fiable. Pour les lecteurs ou observateurs non avertis, l’argument est donc invraisemblable et réfuté. De telles attaques contre la personne elle-même constituent une technique de propagande bien connue.

    Comme l'a rapporté le Tagesschau , la GmbH a changé de nom à plusieurs reprises ces dernières années et a gagné de l'argent pendant la pandémie de Corona grâce à des modèles commerciaux douteux.

    Il s’agit ici de l’entreprise derrière ladite association de soins médicaux. Que celle-ci soit organisée de droit privé en tant que GmbH et quand et à quelle fréquence le nom a été modifié n'a absolument aucune importance pour la question des résidus d'ADN. L'allégation de modèles économiques douteux n'a pu être étayée ni par Correctiv ni par le Tagesschau lui-même cité. Les deux médias ne fournissent pas non plus de preuve que le groupe de traitement médical ou la société sous-jacente ait jamais généré des revenus grâce à leurs activités.

    RépondreSupprimer
  42. [Prof. Brigitte] König est professeur adjoint à la faculté de médecine de l'université de Magdebourg , mais, selon l'université, n'y mène aucune activité d'enseignement ou de recherche.

    C'est aussi une tactique de diversion. Bien entendu, la question de savoir si et si oui quelles activités d'enseignement sont exercées dans le cadre d'une chaire n'affecte pas les résultats des tests d'une étude analytique.

    Le président (du MWGFD, une association totalement indépendante de l' Association allemande de traitement médical , ndlr) est Sucharit Bhakdi, un opposant bien connu à la vaccination corona qui a attiré l'attention à plusieurs reprises avec des allégations non fondées ou fausses sur le coronavirus.

    L’Association des médecins et scientifiques pour la santé, la liberté et la démocratie (MWGFD) n’a rien à voir avec la question évoquée par Correctiv. Apparemment, l'éditeur voulait utiliser la méthode de l'empoisonnement par puits, mais n'a trouvé aucune preuve de la part des personnes interrogées sur le sujet. L’empoisonnement des puits vise à délégitimer complètement un opposant argumentatif avec des accusations fictives et sérieuses.

    Des plateformes comme Correctiv adoptent ici une approche récursive. Ils commencent par des accusations infondées et continuent ensuite à se citer eux-mêmes, dans le but de donner l'apparence d'une recherche et d'une source d'information. En fait, la déclaration citée est toujours répétée sous une forme différente, parfois avec la participation d’experts en conflit d’intérêts. Les dévaluations et les attaques « contre la personne » sont plus fréquentes dans l'article. Les trois exemples donnés ici démontrent l'intention manipulatrice de l'éditeur.

    Typification idéale

    Il s’agit d’une tentative de réfuter les erreurs et les incohérences d’un processus réel en racontant la théorie qui sous-tend le processus. La théorie est généralement idéale et sans erreur. C’est évidemment une erreur, car selon la même logique, il ne devrait pas y avoir d’accidents de voiture, d’avions, etc. De telles histoires sont censées gagner une apparence de légitimité en étant présentées par des experts bien informés. Il s’agit également d’une astuce courante utilisée par les soi-disant vérificateurs de faits.

    Après avoir réécrit la séquence d'ADN pertinente en ARNm, l'ADN plasmidique est haché et largement épuisé [...]. Concrètement, cela fonctionne via une enzyme, la DNAse […]. « Cette enzyme digère l’ADN en petits fragments. La taille de l’ARN diffère alors de celle des petits fragments d’ADN et ils peuvent être séparés relativement facilement, par exemple par filtration. Donc, vous supprimez la majeure partie de l’ADN et il n’en reste que relativement peu, c’est l’ADN résiduel.

    RépondreSupprimer
  43. En fait, dans le cas spécifique des résidus d’ADN dans les injections de modRNA de Pfizer/BioNTech et Moderna, ni la digestion, ni la filtration, ou les deux, n’ont fonctionné. Selon Kevin McKernan, un biologiste moléculaire américain qui a détecté pour la première fois les résidus d'ADN dans les injections de modRNA en février 2023, le problème réside davantage dans la digestion. En particulier, le problème selon lequel les hybrides ADN/ARN entravent gravement la DNAse a peut-être été négligé ou ignoré par les fabricants. [3]

    Faux et trompeur

    De nombreux aspects du problème sont niés ou banalisés, notamment par l'Île-du-Prince-Édouard et les experts cités. Nous remettrons ensuite les informations présentées dans le bon contexte.

    Valeur limite pour l'ADN résiduel : Moins de dix nanogrammes d'ADN par dose de vaccin autorisée. L' Organisation mondiale de la santé (OMS) a fixé cette limite en 1996 après avoir évalué plusieurs études. Il s’agit de 10 nanogrammes (ng) d’ADN par dose de vaccin.

    Extrait de la FAQ : Le chiffre de 10 ng par dose de vaccin a été fixé par l'OMS en 1998 pour les « résidus d'ADN cellulaire » dans les vaccins produits dans des lignées cellulaires de production d'origine animale (dites « lignées cellulaires continues »).

    Les modRNA destinés aux injections du Covid-19 sont cependant produits dans des bactéries recombinantes. La publication de l'OMS fait également référence à l'ADN libre dans une dose de vaccin. Celui-ci est normalement décomposé dans le corps en quelques minutes. Dans les injections Covid-19 à base de modRNA, les résidus d’ADN sont présents sous forme de fragments en raison du processus de fabrication biotechnique. Ceux-ci sont pour la plupart emballés avec l’ARN dans les nanoparticules lipidiques. Cela signifie qu’ils sont bien protégés de la dégradation et sont transportés dans les cellules humaines. Aucune limite de sécurité du produit n’a jamais été déterminée pour ce scénario. Par conséquent, les résidus d’ADN inférieurs à la valeur limite doivent également être traités avec prudence.

    […] la valeur limite est toujours « relative » – c’est-à-dire que vous mesurez l’ADN restant par rapport à l’ARNm présent.

    C'est trompeur. Il est exact que la dose désigne la quantité d’un ingrédient actif. Une dose de modRNA (en μg) se présente dans un volume de dose défini ( μ l). La seule possibilité pour laquelle le dépassement de la valeur limite d'une impureté basée sur le volume de dose serait toujours correct serait la présence d'un surdosage de la substance active.

    RépondreSupprimer
  44. Et les surdoses ne sont bien sûr pas légitimes, sinon la porte serait ouverte à l’arbitraire le plus complet. Il s’ensuit que préciser une impureté par rapport au volume de dose est légitime. Nota bene, le bien-fondé de la limite elle-même est encore discutable, car à ce jour aucune autorité ou organisation n’a établi ou justifié scientifiquement ou médicalement une limite d’ADN résiduel pour les principes actifs formulés dans les nanoparticules lipidiques (LNP).

    Cependant, l'Institut Paul Ehrlich a désormais validé le test permettant de déterminer l'ADN résiduel indépendamment de BionTech en tant que fabricant. Les résultats sur des échantillons sélectionnés reçus du fabricant dans le cadre des tests par lots et soumis à l'Institut Paul Ehrlich ont été confirmés.

    Extrait de la FAQ : Dans de tels tests de contrôle, des méthodes standards sont généralement utilisées, c'est pourquoi il n'est pas habituel de communiquer la méthodologie comme dans les publications scientifiques. Toutefois, les appareils et procédures utilisés sont généralement mentionnés sur demande.

    Étant donné que la méthode de collecte n’est de toute façon pas fiable (le modRNA est probablement sous-estimé, voir FAQ), cela peut être accepté. Cependant, l’Île-du-Prince-Édouard elle-même s’est déjà plainte du manque de transparence concernant la méthodologie. Il n’y a aucune information sur la méthodologie et le processus de validation ici. Par conséquent, la déclaration citée ne sera valide que lorsque l’Île-du-Prince-Édouard divulguera ses actions.

    La prépublication indique que l'équipe de McKernan a examiné des doses de vaccins de Biontech/Pfizer et Moderna, dont l'origine était inconnue et dont certaines étaient périmées. Les doses de vaccin leur ont été envoyées de manière anonyme et sans pain de glace. Cela indique le « stockage peut-être inapproprié » critiqué par l'Île-du-Prince-Édouard . L'équipe des auteurs explique dans la prépublication elle-même qu'un mauvais stockage pourrait conduire à une dégradation plus rapide de l'ARN, qui est généralement dégradé plus rapidement que l'ADN - cela pourrait influencer le résultat du test[…]. Pour rappel : l'ADN restant est déterminé par rapport à l'ARN.

    Extrait de la FAQ : Plus le temps passe, plus les ingrédients risquent de se décomposer. L'ARN se décompose généralement plus rapidement que l'ADN, ce qui peut durer des semaines, voire des mois, dans des solutions tampons sans enzymes. Concernant l’ADN, les résultats peuvent être considérés comme fiables. En aucun cas l'ADN ne se multiplie tout seul. Lors du test de l'ARN, il est plus probable que la teneur en produit soit sous-estimée.

    McKernan et son équipe ont en fait précisé la relation entre l'ADN et l'ARN dans leur première publication. L'éditeur oublie toutefois que le dépassement significatif de la valeur limite a été confirmé par deux autres méthodes.

    RépondreSupprimer
  45. L'Île-du-Prince-Édouard écrit également sur son site Internet que c'est l'ingrédient actif et non le produit final, c'est-à-dire le vaccin, qui doit être testé pour l'ADN résiduel. C'est le seul moyen d'exclure d'éventuelles distorsions des résultats des tests causées par des nanoparticules lipidiques, qui ne sont présentes que dans le produit final .

    Ceci est soutenu par une publication scientifique de Speicher et al. réfuté, qui montrait dans la deuxième publication connue sur le sujet que les nanoparticules lipidiques pouvaient être complètement décomposées à des fins d'analyse. Le fait que la procédure correspondante soit censée provoquer une augmentation de l'ADN à partir de rien est une spéculation non scientifique de la part de l'Île-du-Prince-Édouard.

    Notre information génétique est située dans le noyau cellulaire . Pour le modifier, l'ADN résiduel contenu dans le vaccin devrait passer du cytoplasme au noyau cellulaire et s'y intégrer dans l'ADN de la cellule. Selon l’EMA et le PEI, personne n’a jusqu’à présent pu prouver un tel processus.

    Extrait de la FAQ : Il existe en effet des publications qui peuvent être utilisées pour argumenter en faveur d'un potentiel de danger (au moins théorique). L’intégration de fragments d’ADN dans le noyau cellulaire, quelle que soit leur longueur, a déjà été démontrée à plusieurs reprises en culture cellulaire.

    conclusion
    Il y a des informations beaucoup plus pertinentes dans la FAQ sur la contamination de l'ADN dans les injections de modRNA Covid-19 mentionnée par l'Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information (GGI). [2] Entre autres choses, la question de savoir quelles méthodes sont utilisées pour déterminer la teneur en ADN résiduel et lesquelles sont sujettes à des erreurs. Vous pouvez également lire des informations sur d'autres dangers possibles, par exemple sur l'amplificateur SV40 et les conséquences de l'intégration de l'ADN dans le matériel génétique d'une cellule.

    Nous avons montré une fois de plus que les tentatives visant à nier les résidus excessifs d’ADN dans les injections de modRNA Covid-19 sont techniquement inefficaces. De plus, nous soulignons l’intention propagandiste de l’article et de l’éditeur. Cela confirme une fois de plus que Correctiv est un média narratif fidèle qui sape un examen honnête des transgressions des dernières années en dévalorisant les gens et en fournissant des informations à moitié ou fausses.

    RépondreSupprimer
  46. Sources

    [1] Nicolaus K. Les preuves présumées d’une « contamination par l’ADN » dans les vaccins à ARNm contre le Covid-19 ne sont pas scientifiquement tenables . CORRECTIV - Recherche pour l'entreprise à but non lucratif GmbH, 2024. en ligne : https://correctiv.org/faktencheck/2024/02/29/angebliche-belege-zu-dna-verunreinigungen-in-mrna-impfstoffen-gegen-covid -19 - scientifiquement non durable

    [2] Anonyme. FAQ PlasmidGate . Association verte pour les droits fondamentaux et la liberté d'information, 2024. en ligne : https://ggi-initiative.at/wp/plasmidgate-faq

    [3] McKernan K. Pourquoi DNAse I échoue-t-il. Substack, 2023. en ligne : https://anandamide.substack.com/p/why-is-dnasei-failing
    littérature
    Lim, S., Yocum, RR, Silver, PA Way, CJ Taux d'intégration spontanée élevés d'ADN linéaires modifiés aux extrémités lors de la transfection de cellules de mammifères. Sci Rep 13, 6835 (2023). https://doi.org/10.1038/s41598-023-33862-0

    Bai H, Lester GMS, Petishnok LC, Dean DA. Transport cytoplasmique et importation nucléaire de l'ADN plasmidique. Représentant Biosci. 29 novembre 2017;37(6):BSR20160616. est ce que je: 10.1042/BSR20160616. PMID : 29054961 ; PMCID : PMC5705778.

    Haraguchi, T., Koujin, T., Shindo, T. et al. L'ADN plasmidique transfecté est incorporé dans le noyau via la reformation de l'enveloppe nucléaire à la télophase. Commun Biol 5, 78 (2022). https://doi.org/10.1038/s42003-022-03021-8

    Radaïc, Allan ; Paula, Eneida De; Jésus, Marcelo Bispo De. Conception factorielle et développement de nanoparticules lipidiques solides (SLN) pour la délivrance de gènes. Journal of Nanoscience and Nanotechnology, Volume 15, Numéro 2, février 2015, pp. 1793-1800(8). DOI : https://doi.org/10.1166/jnn.2015.9002

    Lukacs GL, Haggie P, Seksek O et al. Mobilité de l'ADN dépendante de la taille dans le cytoplasme et le noyau. BIOLOGIE CELLULAIRE ET MÉTABOLISME VOLUME 275 , NUMÉRO 3, P1625-1629, janvier 2000. DOI : https://doi.org/10.1074/jbc.275.3.1625

    https://tkp.at/2024/03/11/replik-auf-correctiv-belege-fuer-ueberhoehte-dna-verunreinigungen-in-modrna-injektionen-sind-korrekt/

    RépondreSupprimer
  47. Comment les industriels ont dissimulé les effets indésirables graves des vaccins anti-Covid.


    Par Nathaniel Mead, Stephanie Seneff, Russ Wolfinger, Jessica Rose, Kris Denhaerynck, Steve Kirsch, et Peter McCullough
    Mondialisation.ca,
    10 mars 2024


    Notre compréhension des vaccins anti-Covid à ARNm et de leur impact sur la santé et la mortalité a considérablement évolué depuis les rapports sur les premiers essais randomisés de phase 3. Des problèmes liés aux méthodes, à l’exécution et aux rapports de ces essais sont apparus. Une nouvelle analyse des données de l’essai Pfizer a mis en évidence une augmentation statistiquement significative des effets indésirables graves (EIG) dans le groupe vacciné. Ces nombreux EIG ont été identifiés depuis l’autorisation d’utilisation d’urgence de ces produits, notamment des décès, des cancers, des incidents cardiaques et divers troubles auto-immunes, hématologiques, reproductifs et neurologiques. Un article censuré à lire sur le blog de Laurent Mucchielli. [Sociologue, directeur de recherches au CNRS (Centre Méditerranéen de Sociologie, de Science Politique et d’Histoire]

    *

    Cet article a été publié le 24 janvier 2024 après avoir passé normalement le processus de contrôle et d’évaluation par les pairs. Devant les pressions reçues en retour, il a ensuite été rétracté unilatéralement par la direction de la revue Cureus le 26 février. Illustration dramatique de la censure sévissant jusque dans les institutions scientifiques (et répétition de ce que nous avions subi en France lors de l’été 2021 lorsque nous avions déjà fait ces constats sur le seul plan statistique).

    Référence initiale : Mead M, Seneff S, Wolfinger R, et al. (2024), “COVID-19 mRNA Vaccines: Lessons Learned from the Registrational Trials and Global Vaccination Campaign”, Cureus, 16 (1), e52876. DOI: 10.7759/cureus.52876

    Les auteurs de cet article ne déclarent aucun conflit d’intérêt avec les industries pharmaceutiques.

    Traduction réalisée par Sylvie Réant et Hélène Banoun.

    Nota bene : compte tenu de la longueur du texte, nous ne reproduisons pas ici les 293 références bibliographiques de l’article, ni ses annexes méthodologiques. Le tout est intégralement consultable en ligne sur le site de la revue.

    * * *

    Par Nathaniel MEAD, Stephanie SENEFF, Russ WOLFINGER, Jessica ROSE, Kris DENHAERYNCK, Steve KIRSCH, Peter A. McCULLOUGH.

    Introduction et contexte

    RépondreSupprimer
  48. Notre compréhension des vaccins à ARNm contre le COVID-19 et de leur impact sur la mortalité a considérablement évolué depuis le déploiement des premiers vaccins en décembre 2020. Les premières études ont révélé le potentiel de ces produits biologiques pour la prévention de l’infection par le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV-2). Sur la base des premiers essais contrôlés randomisés parrainés par Pfizer-BioNTech (New York, États-Unis ; Mayence, Allemagne) et Moderna Inc. (Massachusetts, États-Unis), les chercheurs ont conclu à une réduction notable du risque relatif (RR) de 95 % de l’infection symptomatique par le COVID-19 [1,2]. La concordance des résultats des deux essais a incité la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à autoriser l’utilisation des vaccins à ARNm COVID-19 dans le cadre d’une autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) le 11 décembre 2020, une décision qui a été suivie par la levée de l’aveugle et l’arrêt des essais [3].

    Avant la procédure d’autorisation rapide, aucun vaccin n’avait été autorisé à être commercialisé sans avoir été soumis à une période d’essai d’au moins quatre ans, le record ayant été établi par Merck & Co, Inc. (New Jersey, États-Unis) en 1967 avec le développement du premier vaccin contre les oreillons au monde [4]. Le vaccin de Pfizer (BNT162b2) a achevé le processus en sept mois. Les délais précédents pour les essais de phase 3 étaient en moyenne de 10 ans [5]. Les services de santé ont déclaré que le délai normal pour évaluer la sécurité des vaccins était de 10 à 15 ans [6]. Dans le cas des vaccins COVID-19, l’innocuité n’a jamais été évaluée conformément aux normes scientifiques précédemment établies, car de nombreux tests d’innocuité et protocoles toxicologiques généralement suivis par la FDA ont été contournés [7,8]. Les études précliniques sur la biodistribution du produit ARNm et les toxicités potentielles de doses répétées (pour imiter des vaccinations multiples) ont été contournées pour permettre des essais cliniques accélérés [9]. La période d’observation minimale de 6 à 12 mois habituellement recommandée pour identifier d’éventuels effets indésirables à plus long terme liés au vaccin dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo est peut-être le critère d’essai le plus important qui a été évité grâce à la procédure d’autorisation rapide [9].

    RépondreSupprimer
  49. Le délai de 10 à 15 ans précédemment établi pour l’évaluation clinique des vaccins a été jugé nécessaire pour garantir un temps suffisant pour surveiller le développement d’effets indésirables tels que les cancers et les troubles auto-immuns [10,11]. Par souci de rapidité, les coordinateurs des essais Pfizer et Moderna ont donné la priorité à la réduction des risques symptomatiques liés à COVID-19 plutôt qu’aux EI graves et aux problèmes de mortalité. Rétrospectivement, il s’agit d’une grave erreur. Les récits historiques témoignent de cas où des vaccins ont été introduits prématurément sur le marché sous une pression énorme, pour ensuite révéler des effets indésirables invalidants, voire mortels. Citons par exemple la contamination des vaccins contre la polio en 1955, les cas de syndrome de Guillain-Barré observés chez des personnes vaccinées contre la grippe en 1976, et le lien entre la narcolepsie et un vaccin antigrippal spécifique en 2009 [12-14]. Dans ce contexte, il n’est pas surprenant qu’un si grand nombre d’experts médicaux et de santé publique aient exprimé leurs inquiétudes quant au fait que les vaccins à ARNm COVID-19 contournent le processus normal d’évaluation de la sécurité [15-17].

    Les incitations politiques et financières peuvent avoir joué un rôle clé dans l’affaiblissement du processus d’évaluation scientifique qui a précédé l’EUA. Lalani et ses collègues ont documenté les investissements majeurs réalisés par le gouvernement américain bien avant l’autorisation [18]. Avant même la pandémie, l’Institut national américain de la santé avait investi 116 millions de dollars (35 %) dans la technologie des vaccins à ARNm, la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) avait investi 148 millions de dollars (44 %), tandis que le ministère de la défense (DOD) avait contribué à hauteur de 72 millions de dollars (21 %) au développement de vaccins à ARNm. La BARDA et le DOD ont également collaboré étroitement au codéveloppement du vaccin ARNm de Moderna, en y consacrant plus de 18 milliards de dollars, y compris des achats garantis de vaccins [18]. Cela a impliqué le préachat de centaines de millions de doses de vaccin ARNm, ainsi qu’un soutien financier direct aux essais cliniques et à l’expansion des capacités de production de Moderna.

    RépondreSupprimer
  50. Les fonds publics alloués au développement de ces produits dans le cadre de l’opération Warp Speed ont dépassé les investissements réalisés dans le cadre de toute initiative publique antérieure [19]. Dès le début de la pandémie, 29,2 milliards de dollars (dont 92 % provenant de fonds publics américains) ont été consacrés à l’achat de produits à base d’ARNm COVID-19 ; 2,2 milliards de dollars supplémentaires (7 %) ont été consacrés au soutien des essais cliniques, et 108 millions de dollars (moins de 1 %) ont été alloués à la fabrication et à la recherche fondamentale [18]. Ces dépenses abondantes de l’argent du contribuable se sont poursuivies tout au long de la pandémie : La BARDA a dépensé 40 milliards de dollars supplémentaires pour la seule année 2021 [20].

    L’utilisation de l’argent du contribuable américain pour acheter autant de doses à l’avance suggère qu’avant la procédure d’autorisation de mise sur le marché, les agences fédérales américaines avaient un fort penchant pour la réussite des essais d’homologation. En outre, on peut raisonnablement supposer que des intérêts aussi importants auraient pu influencer la décision d’interrompre prématurément les essais d’homologation. La levée de l’insu a essentiellement annulé l’élément « contrôlé par placebo » des essais, éliminant le groupe de contrôle et compromettant ainsi la capacité d’évaluer objectivement le profil de sécurité des vaccins ARNm et les effets indésirables graves (EIG) potentiels. Ainsi, bien que l’autorisation accélérée ait montré la détermination du gouvernement à fournir ces nouveaux produits, elle a également suscité des inquiétudes chez de nombreux experts concernant les questions de risque et de bénéfice et a effectivement éliminé la possibilité d’en savoir plus sur les effets néfastes potentiels à long terme des inoculations à l’ARNm. Les pressions politiques exercées pour trouver rapidement une solution ont pu compromettre la rigueur et l’intégrité du processus d’évaluation scientifique, tout en minimisant et en occultant les préoccupations scientifiques concernant les risques potentiels associés à la technologie de l’ARNm.

    RépondreSupprimer
  51. Les préoccupations relatives à l’insuffisance des tests de sécurité vont au-delà des normes et pratiques habituelles d’approbation réglementaire. Bien que nous utilisions les termes « vaccin » et « vaccination » tout au long de cet article, les produits à base d’ARNm COVID-19 sont également appelés produits de thérapie génique (GTP gene therapy product), car il s’agit essentiellement d’un cas d’application de la technologie GPT à la vaccination [21]. La réglementation européenne impose l’inclusion d’un antigène dans les vaccins, mais aucune protéine immunogène n’est contenue dans ces vaccins ARNm [22]. La plateforme vaccinale PTG est étudiée depuis plus de 30 ans en tant que traitement expérimental du cancer, les termes thérapie génique et vaccination par ARNm étant souvent utilisés de manière interchangeable [23]. Cela est dû au mode d’action spécifique des produits ARNm : les brins d’ARNm synthétiques, encapsulés dans un véhicule protecteur de nanoparticules lipidiques (LNP), sont traduits dans les cellules en une protéine spécifique qui stimule ensuite le système immunitaire contre une maladie spécifique. On pourrait également parler de promédicaments, car ces produits stimulent la fabrication de la protéine cible par l’organisme du receveur [24]. Comme il n’existait aucune réglementation spécifique à l’époque du processus d’approbation rapide, les organismes de réglementation ont rapidement « adapté » les produits, généralisé la définition du terme « vaccin » pour les prendre en compte, puis les ont autorisés pour la toute première fois dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en Europe contre une maladie virale. Cependant, la raison pour laquelle ces produits sont réglementés en tant que vaccins et exclus de la surveillance réglementaire en tant que GPT manque de justification scientifique et éthique [21]. (Remarque : tout au long de cette étude, les termes « vaccins » et « vaccinations » seront utilisés indifféremment pour désigner les injections, les inoculations, les produits biologiques ou, plus simplement, les produits).

    En raison de la reclassification des PTG en tant que vaccins, aucun de leurs composants n’a fait l’objet d’une évaluation approfondie en termes de sécurité. La principale préoccupation, en bref, est que les produits ARNm de COVID-19 peuvent transformer les cellules du corps en usines de protéines virales qui n’ont pas d’interrupteur (c’est-à-dire pas de mécanisme intégré pour arrêter ou réguler une telle prolifération), la protéine de pointe (protéine S) étant générée pendant des périodes prolongées, provoquant une inflammation systémique chronique et un dysfonctionnement immunitaire [25,26]. Cette protéine S est le dénominateur commun entre le coronavirus et le vaccin, ce qui contribue à expliquer la similitude fréquente des effets indésirables générés par l’infection et l’inoculation [25]. La protéine S induite par le vaccin est plus immunogène que la protéine S induite par le virus.

    RépondreSupprimer
  52. Du coup, la production accrue d’anticorps est également associée à une immuno-pathologie plus sévère et à d’autres effets indésirables [27]. Les produits Pfizer et Moderna contiennent de l’ARNm avec deux codons modifiés qui donnent une version de la protéine S stabilisée dans son état de pré-fusion [28]. Cette technologie d’ARN modifié au niveau des nucléosides vise à prolonger la persistance de l’ARNm synthétique dans l’organisme. Lorsque la protéine S pénètre dans la circulation sanguine et se diffuse dans le système, elle peut devenir un facteur contribuant à divers effets indésirables chez les personnes sensibles [25].

    Dans cet article, nous revenons sur les essais d’enregistrement et passons en revue les analyses des effets indésirables de ces essais et d’autres études pertinentes. La plupart des révélations n’ont été faites que récemment, en raison de la censure généralisée exercée ces dernières années sur les professionnels de la santé et les chercheurs qui remettaient en question le discours dominant de l’industrie du vaccin [29,30]. Nous commencerons par nous concentrer sur les deux essais randomisés en double aveugle contrôlés par placebo qui ont abouti à l’EUA (autorisation d’urgence), puis nous explorerons en profondeur les divers effets indésirables des inoculations d’ARNm, en nous référant fréquemment aux essais originaux. Dans un contexte post-pandémique où l’urgence immédiate s’est estompée, des revues critiques de la littérature comme celle-ci peuvent jouer un rôle important en nous aidant à réévaluer la base scientifique des préoccupations de sécurité bien fondées du grand public concernant les vaccinations à ARNm COVID-19.

    Réexamen des essais d’homologation

    Au début de la pandémie, les responsables américains de la santé publique ont promis que les essais de phase 3 prouveraient que les vaccins à ARNm COVID-19 étaient « sûrs et efficaces », notamment en ce qui concerne la réduction des maladies graves, des hospitalisations et des décès, avec comme critère secondaire la prévention de la transmission et de l’infection (31). Neuf fabricants de vaccins ont publié une déclaration commune sans précédent dans laquelle ils s’engageaient à ne pas demander prématurément un examen réglementaire [32]. Ces deux séries d’assurances ont été données à une population qui souffrait déjà d’une lassitude à l’égard de la pandémie, principalement due aux mesures de confinement, au masquage, à la distanciation sociale et à d’autres restrictions imposées par les mêmes organismes responsables de la mise en place du programme de vaccination. Malgré la rhétorique, aucun grand essai randomisé en double aveugle contrôlé par placebo n’a jamais démontré de réduction de la transmission du SRAS-CoV-2, des hospitalisations ou des décès.

    RépondreSupprimer
  53. Il est important de noter que les plans d’étude des essais pivots qui ont conduit à l’EUA n’ont jamais été conçus pour déterminer si les inoculations d’ARNm pouvaient contribuer à prévenir une maladie grave ou un décès prématuré [31]. Cela était principalement dû à une puissance statistique insuffisante pour évaluer ces résultats [33]. Le calcul de la puissance s’est basé uniquement sur la réduction des symptômes de COVID-19, le résultat principal. Cette limitation s’explique par le recrutement de jeunes participants en bonne santé, âgés de 18 à 55 ans, et par le nombre relativement faible de cas d’infection clinique signalés dans les groupes d’intervention des essais, avec seulement huit cas pour Pfizer et 11 pour Moderna [1,2]. Alors que l’essai de Pfizer n’a enregistré qu’un seul cas de COVID-19 grave, l’essai de Moderna n’en a rapporté aucun, ce qui a conduit l’entreprise à proclamer une efficacité de 100 % contre les maladies graves [34]. Moderna a également rapporté un décès dû au COVID-19, dans le groupe placebo [2]. Ainsi, entre les deux essais, il n’y a eu qu’un seul décès attribué à COVID-19 parmi les plus de 73 000 participants à l’essai [1,2].

    Après avoir annoncé les résultats de l’essai, Pfizer a prolongé l’étude de quatre mois. Les participants à l’essai ont été libérés du double-aveugle à la semaine 20, et les volontaires sous placebo ont été invités à recevoir la vaccination par ARNm. L’annonce par Pfizer de l’efficacité de son produit ARNm était basée sur le fait que 162 des 22 000 personnes ayant reçu un placebo avaient contracté le COVID-19, contre seulement huit des 22 000 personnes ayant reçu le vaccin. Aucun des 162 receveurs de placebo ayant contracté la COVID-19 n’est décédé de la maladie [35]. Ces chiffres sont trop faibles pour que l’on puisse tirer des conclusions significatives, pragmatiques ou générales sur la morbidité et la mortalité liées au COVID-19 [36].

    En outre, le nombre de 170 cas confirmés par la réaction en chaîne de la polymérase (PCR) détourne l’attention d’une autre constatation : un nombre beaucoup plus important de cas identifiés au cours de l’étude relevait de la catégorie « COVID-19 suspect », c’est-à-dire que les personnes présentaient des symptômes de COVID-19 mais n’avaient pas obtenu de résultat positif au test PCR [37]. (Remarque : les tests PCR utilisés dans ces essais étaient ceux largement acceptés pour la détection du SARS-CoV-2 et répondaient ostensiblement à certaines normes de performance et de fiabilité pour la détection précise du coronavirus). Au total, 3 410 cas de COVID-19 suspectés et non confirmés ont été identifiés, soit une différence de 20 fois entre les cas suspectés et confirmés. Ces cas étaient au nombre de 1 594 dans le groupe vacciné et de 1 816 dans le groupe placebo. Si l’on tient compte à la fois des cas confirmés et des cas suspects, l’efficacité du vaccin contre l’apparition de symptômes n’est plus que de 19 %, ce qui est bien inférieur au seuil de réduction de 50 % du RR exigé pour l’obtention d’une autorisation réglementaire [37]. Même si l’on retire les cas survenus dans les sept jours suivant la vaccination pour tenir compte de la réactogénicité à court terme du vaccin (plutôt que des véritables infections), l’efficacité ne serait que de 29 %. Tout faux négatif parmi les cas suspects tendrait à diminuer encore le bénéfice. Ainsi, si l’on tient compte à la fois des cas confirmés et des cas suspects, l’efficacité du vaccin semble avoir été nettement inférieure à l’allégation officielle de 95 %.

    RépondreSupprimer
  54. De même, il est important de souligner que les « cas » pris en compte dans les essais étaient des patients PCR positifs atteints d’infections légères, et non de maladies modérées à graves. Ainsi, une toux ou d’autres symptômes respiratoires bénins ont été considérés comme des critères d’évaluation primaires [38,39]. La conclusion de l’essai reposait sur une centaine de « cas » COVID-19 enregistrés dans le groupe placebo [31]. Une fois l’essai arrivé à ce stade, il était prévu que l’efficacité serait déclarée et que les participants du groupe placebo se verraient proposer le vaccin actif. C’est précisément ce qui s’est produit, la phase en aveugle de Pfizer s’étant achevée au bout de deux mois et Moderna à trois mois, ce qui met fin à la période de suivi randomisé en aveugle et limite considérablement les évaluations du rapport risque-bénéfice.

    L’impossibilité d’évaluer les maladies graves dans un essai qui reflète le contexte réel, à savoir que la probabilité d’une COVID-19 grave, d’une hospitalisation et d’un décès dus à l’infection a toujours été très faible. En stratifiant par âge, le taux de létalité de l’infection (IFR) en 2021 a montré un gradient d’âge avec une augmentation d’environ trois à quatre fois pour chaque décennie, commençant à 0,0003% (presque zéro) chez les enfants et les adolescents, augmentant à 0,5% chez les personnes âgées de 60 à 69 ans [40]. Même dans les groupes plus âgés (>70 ans), l’IFR varie de 1 à 5 % en fonction des comorbidités et de l’accès au traitement. En principe, la mortalité toutes causes confondues (MTC) tend à augmenter avec l’âge. Dans le cas de COVID-19, la présence de comorbidités modifie fortement l’influence de l’âge sur la mortalité [41]. Pour les jeunes générations (<40 ans), la gravité de l’infection par le SRAS-CoV-2 et les taux de mortalité depuis 2020 sont comparables à ceux de la grippe [42]. Même dans les pays qui présentaient une surmortalité en 2020, les taux de mortalité chez les enfants étaient extrêmement faibles [43]. En Suède, où 1,8 million d’enfants ont été autorisés à aller librement à l’école en 2020, aucun décès dû au COVID-19 n’a été enregistré parmi eux à l’été 2021 [44].

    RépondreSupprimer
  55. Bien que les essais contrôlés randomisés soient considérés comme l’étalon-or pour tester la sécurité et l’efficacité des produits médicaux (en raison de la minimisation des biais), les essais de portée limitée peuvent facilement masquer les véritables problèmes de sécurité et d’efficacité concernant différents segments de la population. Dans le cas présent, les essais ont exclu des sous-groupes clés, notamment les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées fragiles et les personnes immunodéprimées, ainsi que les personnes atteintes d’un cancer, d’une maladie auto-immune ou d’autres affections inflammatoires chroniques [45]. Alors que les essais initiaux n’ont pas (selon le protocole) recruté de personnes souffrant de comorbidités, les personnes finalement vaccinées dans le cadre de ces essais ont montré la présence réelle de ces affections sous-jacentes. Plutôt que d’évaluer ces problèmes bien connus de sécurité et de risques de comorbidité, l’accent a été mis sur le risque de lésions pulmonaires inflammatoires, comme cela avait été observé chez les patients du COVID-19 et, bien des années plus tôt, chez des modèles animaux immunisés infectés par le SARS-CoV [46]. Nous commençons maintenant à reconnaître la folie de cette focalisation étroite des études de sécurité, car des millions d’événements graves et potentiellement mortels associés aux vaccins COVID-19 continuent d’être documentés dans la littérature médicale [47-51].

    Que révèlent les essais pivots sur la mortalité globale (toutes causes confondues) ? Après avoir soigneusement analysé l’ACM (all cause mortality – mortalité toute cause) pour les essais Pfizer et Moderna, Benn et ses collègues ont trouvé 61 décès au total (31 dans le vaccin, 30 dans le placebo) et un RR de mortalité de 1,03 en comparant les vaccinés au placebo [52]. Ces résultats peuvent être interprétés comme « aucune différence significative » ou aucune preuve de référence montrant que ces vaccins ARNm réduisent la mortalité. L’absence de différences significatives entre les bras de l’étude en ce qui concerne le nombre de décès mérite d’être soulignée. L’impact réel sur la mortalité reste inconnu dans ce contexte, et seul ce fait est pertinent, car il serait préférable de prendre un vaccin dont les essais ont montré une réduction de la mortalité plutôt qu’un vaccin dont les essais n’ont pas montré de manière convaincante une amélioration de la survie [53]. De même, une analyse ultérieure des données de l’essai Pfizer a conclu que les taux de mortalité étaient comparables entre les groupes vaccinés et les groupes placebo au cours de la période initiale de 20 semaines de l’essai randomisé [54]. Le fait que les vaccinations par ARNm n’aient pas conduit à une réduction de la mortalité globale implique que, si les injections ont effectivement permis d’éviter des décès spécifiquement attribuables à COVID-19, une telle réduction pourrait être compensée par une augmentation de la mortalité due à d’autres causes, telles que les EIG.

    RépondreSupprimer
  56. Même l’essai de six mois de Pfizer n’a pas réussi à montrer une réduction de la mortalité toutes causes confondues [35]. En effet, une nouvelle analyse des données post-commercialisation fournies à la FDA suggère l’effet inverse. La partie étendue de l’essai comprenait une période de quatre mois sans insu, au cours de laquelle la plupart des participants ayant reçu le placebo sont passés dans le groupe vacciné. Au cours de cette phase, cinq décès supplémentaires ont été enregistrés, dont trois dans le groupe vacciné initial et deux parmi les participants au groupe placebo ayant choisi la vaccination [35]. Si l’on inclut ces cinq décès dans la catégorie des « vaccinés », le nombre total de décès devient 20 dans le groupe vacciné et 14 dans le groupe placebo, ce qui représente une augmentation de 43 % du nombre de décès (non statistiquement significative en raison du faible nombre de décès). Dans les documents de la FDA, cependant, un total de 38 décès a été rapporté, dont 21 dans le groupe vacciné et 17 dans le groupe placebo, ce qui représente une augmentation de 23,5 % des décès toutes causes confondues parmi ceux qui ont reçu la série primaire de deux doses de Pfizer [55,56]. Cela suggère que les deux participants du groupe placebo qui sont décédés après la vaccination par l’ARNm ont été comptés deux fois (c’est-à-dire que les deux décès ont été comptés dans chaque bras de l’essai). Cependant, pour tenir compte correctement des cinq décès supplémentaires, il faudrait ajuster l’analyse sur la base des données de l’étude par rapport aux personnes-mois passées dans chaque groupe. En appliquant cette méthode, on obtient un total de 36 décès : 21 dans le groupe vacciné et 16 dans le groupe placebo. En calculant le risque relatif d’ACM, le groupe vacciné avait un taux de mortalité de 0,105 % (21 décès sur 20 030), tandis que le groupe placebo avait un taux de mortalité de 0,0799 % (16 décès sur 20 030). L’équation RR a donné une valeur de 1,3125, indiquant un risque d’ACM 31% plus élevé dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo. Cette estimation peut être considérée comme prudente, car elle ne suppose pas que tous les patients ayant reçu le placebo ont choisi de se faire vacciner pendant la phase ouverte de l’essai.

    RépondreSupprimer
  57. Pour les essais d’enregistrement de Pfizer et de Moderna, Benn et al. ont également rapporté une augmentation non significative de 45 % des décès d’origine cardiovasculaire dans les groupes vaccinaux des essais [52]. Ce résultat est cohérent avec les nombreux rapports faisant état de pathologies cardiovasculaires liées au vaccin COVID-19 dans les segments jeunes et âgés de la population [57-63]. Aucune des estimations de la mortalité issues des essais n’est statistiquement significative. Néanmoins, les tendances à la hausse des décès dus à la ACM et aux maladies cardiovasculaires sont préoccupantes. Si l’essai Pfizer n’avait pas été interrompu prématurément, et en supposant que les taux de mortalité restent les mêmes dans les deux bras comme observé au cours des six premiers mois, la différence ACM atteindrait le seuil standard de signification statistique (p < 0,05) à environ 2,8 ans (34 mois). Ces calculs ont été confirmés de manière indépendante par Masterjohn [64].

    Risque absolu et « nombre de vaccins nécessaires » (NNV)

    L’une des lacunes souvent négligées des essais d’homologation est que les rapports finaux se concentrent exclusivement sur le RR en omettant la réduction du risque absolu. Cette dernière mesure donne une meilleure indication de l’utilité clinique d’un médicament que la première mesure relative, car elle est proportionnelle à la taille de l’échantillon [65]. Le RR est le rapport des taux de symptômes COVID-19 dans le groupe vacciné et dans le groupe placebo, qui a été rapporté à 95 % et 94,5 % pour les produits Pfizer et Moderna [1,2]. Le risque absolu fait référence à la probabilité d’un résultat (dans ce cas, les symptômes d’une infection clinique), basée sur le nombre de personnes subissant le résultat par rapport à l’ensemble de la population. Il est généralement calculé comme le nombre d’événements survenus dans une population étudiée divisé par le nombre de personnes dans cette population. Les deux types d’estimation du risque sont nécessaires pour éviter les biais de déclaration et pour fournir une perspective plus complète de l’efficacité du vaccin [65]. L’omission des statistiques sur le risque absolu entraîne une surestimation des avantages cliniques du vaccin [66]. Contrairement au chiffre du RR à 95 %, les réductions du risque absolu pour les vaccins Pfizer et Moderna étaient respectivement de 0,7 % et de 1,1 % [67]. Ces estimations proviennent de données publiques qui ont finalement permis au Comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques apparentés (VRBPAC) d’accorder l’autorisation d’urgence de mise sur le marché (EUA) pour ces vaccins [68]. Cependant, les données examinées par le VRBPAC n’incluaient pas de mesures de réduction du risque absolu, ce qui s’écarte des lignes directrices de la FDA, qui stipulent que les deux approches sont cruciales pour éviter l’utilisation malencontreuse de produits pharmaceutiques [69]. Une fois de plus, le fait de ne pas fournir le risque absolu et de se concentrer uniquement sur le RR entraîne généralement une surestimation des bénéfices des vaccins. Les statistiques sur le risque absolu sont également utiles pour évaluer et comparer les mesures de sécurité telles que les taux d’EI.

    RépondreSupprimer
  58. Une réduction du risque absolu d’environ 1 % pour les vaccinations par l’ARNm COVID-19 signifiait qu’un nombre substantiel de personnes devrait être injecté afin de prévenir un seul cas léger à modéré de COVID19. Plus précisément, le NNV pour prévenir un cas de COVID-19 serait de 142 pour l’injection Pfizer et de 88 pour l’injection Moderna, respectivement [65]. Ces chiffres augmentent avec l’âge et en fonction du variant [70]. La VNI est une mesure interprétable et pertinente pour évaluer l’impact dans le monde réel, ce qui nous permet de mesurer les avantages potentiels de la vaccination. Pour toute population relativement saine (avec un minimum de comorbidités), le profil risque-bénéfice avec un NNV élevé pourrait facilement indiquer des inconvénients excessifs.

    Il est impératif d’évaluer soigneusement tous les risques potentiels associés aux produits à base d’ARNm COVID-19. Si des effets nocifs importants étaient liés à leur utilisation, la « récompense » perçue que représente la VNI devrait être réévaluée. Par exemple, en supposant une VNI de 119 et un TIF de 0,23 % (deux estimations prudentes), environ 52 000 vaccinations seraient nécessaires pour prévenir un décès lié au COVID-19. Ainsi, pour l’injection du Pfizer, une estimation généreuse serait de deux vies sauvées du COVID-19 pour chaque 100 000 traitements biologiques. Compte tenu des preuves de mauvaise conduite dans les essais et des problèmes d’intégrité des données (voir section suivante), nous supposons que cette estimation est une « limite supérieure » et que, par conséquent, le bénéfice réel est probablement beaucoup plus faible. En ce qui concerne les effets néfastes potentiels, en supposant 30 % de fausses déclarations positives et un facteur modéré de sous-déclaration de 21, nous calculons un risque de 27 décès pour 100 000 doses de Pfizer. Ainsi, en appliquant ces hypothèses raisonnables et prudentes, les inconvénients estimés des vaccins à ARNm COVID-19 l’emportent largement sur les avantages : pour chaque vie sauvée, il y a eu près de 14 fois plus de décès causés par les injections d’ARNm modifié.

    Sous-déclaration des préjudices et problèmes d’intégrité des données

    RépondreSupprimer
  59. La sous-déclaration des préjudices graves, y compris des EIG (effets indésirables graves), est un autre problème important qui ne suscite souvent qu’une attention limitée dans le domaine public. Notamment, les préjudices graves qui entravent considérablement les activités quotidiennes et la qualité de vie sont universellement sous-déclarés dans les essais randomisés, en particulier dans les études parrainées par l’industrie [71]. Ces effets indésirables pourraient être plus fréquents chez les personnes vaccinées avec l’ARNm et qui sont ensuite infectées par le SRAS-CoV-2. Si, en principe, les examens systématiques des essais randomisés constituent une source fiable de données, les rapports d’essais de médicaments ne font invariablement pas état de préjudices graves [72]. Cette sous-notification semble exceptionnellement évidente dans le contexte des essais de vaccins [73-75]. Dans le cas des essais du vaccin COVID-19, la sous-notification était également structurelle, car les participants ont été désaveuglés au cours de la phase ouverte de l’essai Pfizer, et les personnes ayant reçu le placebo se sont vues proposer le vaccin quelques semaines seulement après l’autorisation en urgence (EUA). La levée de l’insu a eu lieu sans laisser suffisamment de temps pour identifier les effets nocifs tardifs ou diagnostiqués associés aux vaccins [15]. Était-ce nécessaire, étant donné qu’aucun des décès survenus dans le cadre de l’essai Pfizer n’a été attribué à la COVID-19 en tant que cause principale, et compte tenu de l’IFR (taux de létalité) très faible pour une population relativement saine [40] ?

    Classen note que les coordinateurs de l’essai ont utilisé une approche aléatoire du suivi des EI et que l’impact potentiellement nocif de ces produits biologiques sur les résultats de santé était donc plus important que ce qui est généralement reconnu [49]. Les investigateurs ont donné la priorité à la documentation des événements liés à la COVID-19 tout en suivant de manière prospective les patients pour les EI « sollicités » pendant une durée d’environ sept jours après la vaccination. Les EI « non sollicités » ont ensuite été signalés pendant une période de 30 à 60 jours. Parmi les participants à l’essai, on comptait des personnes ayant un niveau d’éducation limité et des personnes âgées (éventuellement atteintes de troubles cognitifs) [49]. On peut s’interroger sur la capacité de ces personnes à reconnaître et à signaler les EI graves. De plus, les rapports d’essai originaux ne contenaient pas de données sur les événements non infectieux graves, y compris les décès, survenus au-delà de la période de déclaration de 30 à 60 jours [49]. En revanche, les infections COVID-19 ont fait l’objet d’un suivi continu à partir de la vaccination (une forme de biais d’information). Pfizer et Janssen ont fait preuve de négligence dans l’enregistrement des EI, en limitant la documentation des événements « sollicités » à une cohorte de sécurité représentant moins de 20 % de la population totale de l’étude. Ces résultats concordent avec ceux d’études antérieures montrant que seule une petite proportion, généralement 5 %, des EI est généralement signalée dans les essais parrainés par des sociétés pharmaceutiques [76].

    RépondreSupprimer
  60. Pour aggraver les choses, le public n’a jamais été autorisé à accéder aux données brutes des essais d’homologation, ce qui a empêché la communauté scientifique de procéder à une vérification indépendante des effets indésirables (ceux-ci ont été révélés plus tard, après la distribution à grande échelle des inoculations) [77]. Ce secret a peut-être permis à l’industrie de présenter plus facilement une estimation gonflée et déformée des avantages des injections génétiques, ainsi qu’une sous-estimation flagrante des inconvénients potentiels.

    Une analyse médico-légale récente des données de l’essai de Pfizer sur six mois a révélé que de nombreux décès survenus au cours de l’essai se sont produits après la date limite utilisée pour créer la brochure d’information examinée par la FDA et aboutissant à l’autorisation du vaccin ; cela a en fait dissimulé les données de mortalité dans la partie décisionnelle du processus de l’EUA [54]. La demande initiale de Pfizer pour l’EUA ne décrivait les résultats de l’essai que jusqu’à la date butoir du 14 novembre 2020. Cependant, des décès et d’autres EIG ont continué à se produire par la suite, même avant la réunion définitive du VRBPAC pour autoriser le vaccin à ARNm. Au cours des 33 premières semaines de l’essai clinique de Pfizer-BioNTech, qui s’est déroulé sur 153 sites d’essai clinique dans plus de sept pays différents, 38 sujets au total sont décédés. Les 38 sujets de l’essai ont été répertoriés dans le rapport intermédiaire de Pfizer-BioNTech après six mois [35]. Ces événements se sont produits dans l’ordre chronologique au cours de la période de 33 semaines commençant le 27 juillet 2020 et se terminant le 13 mars 2021. Pour représenter visuellement ces données, Michels et al. ont créé un graphique à barres illustrant le nombre de décès de sujets par semaine (Figure 1). Le nombre de sujets décédés dans le bras « vacciné » et dans le bras placebo de l’essai est représenté séparément. Le graphique comprend également un diagramme illustrant le nombre cumulatif de décès dans chaque bras, mesuré à la fin de chaque semaine. Les barres pleines représentent les sujets qui ont reçu l’injection de Pfizer, tandis que les barres grises représentent ceux qui ont reçu un placebo, et les barres hachurées représentent les sujets qui ont d’abord reçu un placebo, mais dont l’insu a été levé et auxquels on a ensuite administré du Pfizer. En outre, les auteurs ont inclus un graphique linéaire qui montre le nombre cumulé de décès dans chaque bras de l’essai. La ligne continue correspond aux sujets ayant reçu une injection de Pfizer, tandis que la ligne pointillée représente le groupe placebo [54].

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  61. FIGURE 1 : la mortalité hebdomadaire de l’essai Pfizer sur une période de 33 semaines
    Cette représentation de l’essai Pfizer par Michels et al [54] montre le décompte hebdomadaire des décès de sujets du 27 juillet 2020 au 13 mars 2021. Les barres pleines indiquent les sujets ayant reçu le Pfizer, les barres grises indiquent le groupe placebo et les barres hachurées représentent les sujets ayant reçu le Pfizer sans avoir été préalablement soumis à l’aveugle. La ligne continue représente le nombre cumulé de décès dans le groupe vacciné et la ligne pointillée dans le groupe placebo.

    Notamment, les personnes ayant reçu le placebo en aveugle et qui ont ensuite reçu le vaccin Pfizer sont combinées avec le « groupe vaccin » pour cette analyse [54]. Pour situer le contexte, l’essai d’enregistrement peut être divisé en trois périodes distinctes. La première est la « période contrôlée par placebo en aveugle », qui s’est étendue du 27 juillet 2020 au 10 décembre 2020. La deuxième phase est la « période de suivi ouverte », qui s’étend du 11 décembre 2020 au 24 janvier 2021. La dernière période est la « période d’observation ouverte », qui s’étend du 25 janvier 2021 au 13 mai 2021 [35,78]. Le premier décès chez les sujets sous placebo a été enregistré à la semaine 5, tandis que le premier décès chez les sujets sous BNT162b2 est survenu à la semaine 7.

    Au cours des 12 premières semaines de l’essai, très peu de décès ont été enregistrés, probablement en raison du recrutement continu de nouveaux sujets. Les courbes illustrant le nombre cumulé de décès dans les deux groupes semblent s’aligner étroitement jusqu’à la semaine 20 environ, après quoi elles divergent (figure 1). Après la semaine 20, le taux de décès dans le groupe placebo a diminué et s’est finalement stabilisé à la semaine 30. En revanche, le nombre de décès chez les sujets du groupe BNT162b2 a continué à augmenter à un rythme constant. Ce taux réduit dans le groupe placebo est probablement dû à la diminution du nombre de sujets placebo non vaccinés restant dans l’essai, en raison de la levée de l’aveugle et du processus de vaccination lancé après le 11 décembre. Malgré le faible nombre total de décès, il est probable que la perception des vaccins par le grand public aurait été beaucoup moins favorable s’il avait su que le taux de mortalité avait continué à augmenter parmi les participants vaccinés avec l’ARNm [54].

    Les données de Michels et al. [54] ont été obtenues directement à partir du rapport intérimaire de six mois de Pfizer [35]. En outre, Michels et al. [54] ont comparé le nombre de décès rapporté à un nombre estimé, stratifié par âge, basé sur les données américaines de 2019 [79] et a déterminé que le nombre de 38 décès rapporté par Pfizer correspondait à environ 17 % de ce que l’on pourrait attendre de la population américaine.

    RépondreSupprimer
  62. De manière alarmante, en s’appuyant sur le rapport intermédiaire à six mois de Pfizer, Michels et ses collègues ont trouvé des preuves d’une augmentation substantielle du nombre de décès dus à des événements cardiovasculaires chez les sujets vaccinés avec le BNT162b2 de Pfizer, que le fabricant du vaccin n’a pas signalée [54]. Pour leur analyse publiée et évaluée par des pairs, les chercheurs ont pu accéder aux rapports narratifs de quelques sujets critiques qui ont fourni une notification explicite de la date de décès du sujet avant le 14 novembre 2020 [54]. Le protocole C4591001 exigeait la notification immédiate des EIG, y compris le décès ou l’hospitalisation, dans un délai de 24 heures, une directive probablement suivie par le personnel du site de l’essai. Néanmoins, Pfizer a utilisé les dates auxquelles le décès a été enregistré dans les formulaires de rapport de cas des sujets, que Pfizer a conservés. L’enquête de Michels et al. a mis en évidence un schéma cohérent de retards dans la déclaration de la date du décès sur les formulaires de déclaration des sujets pendant toute la durée de l’essai [54]. Ces retards étaient les plus importants chez les sujets vaccinés décédés avant le 14 novembre 2020. Si Pfizer avait utilisé les dates réelles de décès dans sa demande d’EUA, deux sujets vaccinés supplémentaires auraient été inclus dans la demande d’EUA. Cette divergence était cruciale, car tous les décès de sujets vaccinés (quatre sur quatre) et la moitié des décès de sujets sous placebo (deux sur quatre) étaient d’origine cardiaque. L’analyse médico-légale a révélé que 75 % des décès des sujets vaccinés et 33,3 % de ceux du groupe placebo étaient d’origine cardiaque [54].

    Parmi les 14 sujets ayant subi des EIG cardiaques, 11 étaient des personnes ayant reçu le vaccin de Pfizer, et trois provenaient du groupe ayant reçu le placebo seul, soit une augmentation de 3,7 fois [54]. Il convient de noter que ni l’article original de Thomas et al. ni le rapport de synthèse de Pfizer sur la sécurité clinique n’ont reconnu ou commenté ce signal de sécurité crucial [35,78].

    Rétrospectivement, l’observation précédemment non divulguée selon laquelle deux fois plus de décès cardiaques sont survenus proportionnellement chez les sujets vaccinés que chez les sujets non vaccinés dans l’essai Pfizer aurait probablement incité la FDA à réévaluer la situation, en particulier compte tenu des données accumulées plus tard, le 10 décembre 2020, où 17 décès étaient survenus [54]. Les retards dans la documentation des décès de ces patients dans leur dossier, associés à l’omission de la date réelle du décès, ont effectivement dissimulé leurs décès pendant la phase cruciale du processus d’approbation de l’EUA, masquant ainsi le signal de l’EIG cardiaque [54]. En bref, les divers retards et omissions de déclaration, s’ils avaient été ouvertement discutés et pris en compte par le VRBPAC, auraient pu prolonger le processus d’autorisation. Les rapports inappropriés et l’examen insuffisant par le VRBPAC peuvent avoir finalement permis à Pfizer de manipuler les résultats de l’essai et d’obscurcir le signal de décès cardiaque. De récentes études in vivo chez l’animal démontrent que « dans les cardiomyocytes isolés, l’ARNm-1273 (Moderna) et le BNT162b2 (Pfizer) induisent tous deux des dysfonctionnements spécifiques qui sont en corrélation physiopathologique avec la cardiomyopathie » [80]. En principe, les cardiomyocytes ne peuvent donc pas être exclus de la biodistribution des LNP contenant l’ARNm, et tout nouveau produit ARNm a le potentiel de provoquer des problèmes cardiaques potentiellement mortels, y compris la cardiomyopathie et l’arrêt cardiaque.

    RépondreSupprimer
  63. Au-delà de ces omissions dans la déclaration des effets secondaires, la déclaration officielle des résultats de l’essai a également posé problème. Les données de l’essai présentées par Pfizer pour la demande d’autorisation d’utilisation européenne ont révélé une tendance surprenante en comparant l’incidence de COVID-19 entre le groupe ayant reçu l’ARNm et le groupe placebo : une divergence frappante après le 12e jour suivant la première dose du vaccin Pfizer [81,82]. Alors que le groupe placebo a continué à voir apparaître de nouveaux cas, le taux d’infection du groupe vacciné s’est brusquement arrêté, ce qui suggère une immunité soudaine et uniforme au 12ème jour. Une réponse aussi abrupte et complète au 12ème jour contredit la plausibilité biologique, étant donné que de telles réponses immunologiques auraient tendance à s’inscrire de manière plus graduelle dans un contexte de groupe. En outre, Pfizer n’a pas fourni de données pour les personnes n’ayant reçu qu’une seule dose. La figure 2 du même rapport d’essai [83], adaptée par Palmer et al. [82], montrant les titres d’anticorps neutralisants le jour de la première injection (D1) et divers jours suivants, illustre l’augmentation progressive des anticorps neutralisants dirigés contre le SRAS-CoV-2 après l’inoculation de l’ARNm. Cela contredit la notion d’immunité clinique rapide et complète. Au 21e jour, après la première dose, les anticorps neutralisants n’ont que légèrement augmenté, pour atteindre leur maximum au 28e jour, bien après que la plupart des individus aient reçu leur deuxième dose. Cette incohérence entre les données cliniques et les données relatives aux anticorps soulève des doutes quant à la représentation graphique de l’immunité soudaine au 12e jour et jette la suspicion sur sa validité. La figure 2 présente deux graphiques tirés du rapport d’évaluation de l’Agence européenne des médicaments (EMA) sur les données de l’essai de Pfizer [83].

    - voir graph sur site -

    FIGURE 2 : Graphiques illustrant les irrégularités de l’essai Pfizer dans la déclaration des cas de COVID-19 et des réponses immunitaires humorales (titres d’anticorps)
    Ceci indique un schéma inhabituel après le 12ème jour suivant l’injection de BNT162b2. Alors que le groupe placebo a continué à enregistrer des cas, le groupe BNT162b2 a connu une baisse soudaine des taux d’infection, ce qui suggère une immunité immédiate inattendue.

    - voir graph sur site -

    RépondreSupprimer
  64. Lorsque le rapport intermédiaire de Pfizer sur les événements indésirables au bout de six mois a révélé un nombre total de décès de 38 [35], ce chiffre a semblé étonnamment bas pour un essai clinique impliquant 44 060 participants dans un contexte de pandémie. Pour étudier la question, Michels et ses collègues ont estimé le nombre de décès prévus en se basant sur les taux de mortalité aux États-Unis en 2020, en supposant qu’ils soient comparables dans les pays participants [54]. Avec 132 sites d’essai aux États-Unis et 80 % des sujets, ils ont estimé que 222 décès auraient dû survenir entre le 27 juillet 2020 et le 13 mars 2021, ce qui fait que les 38 décès observés ne représentent que 17 % du nombre prévu. La plupart des sites d’essai ont enregistré moins de décès que prévu, ce qui peut être attribué à un pourcentage considérable de sujets « perdus de vue » (4,2 % des sujets randomisés), dont 395 sujets uniques au cours de la période d’étude. Alors que certains sites ont enregistré des pertes négligeables, d’autres ont affiché des chiffres substantiels, allant jusqu’à 5 % des sujets du site [54]. Ces chiffres ont probablement contribué à l’apparente faiblesse du nombre total de décès et auraient dû inciter à redoubler d’efforts pour localiser ces personnes. Le fait d’avoir perdu la trace de près de 400 participants à l’étude au cours de la période d’observation de suivi aurait pu compromettre considérablement la validité et la généralisation des résultats. Les données manquantes peuvent produire des estimations biaisées, conduisant à des conclusions non valides. Il pourrait en résulter une distorsion de l’efficacité du vaccin et une sous-estimation des effets secondaires (y compris les décès), ce qui donnerait une image erronée du profil de sécurité des produits à ARNm. En résumé, le fait que Pfizer n’ait pas réussi à minimiser l’attrition des participants a sérieusement compromis la précision et la fiabilité des conclusions de l’étude de six mois.

    Selon une analyse rétrospective réalisée par Gulbrandsen et ses collègues, les données de l’essai Pfizer ont montré une association significative entre le taux de mortalité et le temps écoulé depuis l’injection, tant dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo [84]. Un nombre minime de décès a été enregistré au cours des 80 premiers jours, mais une augmentation significative de la mortalité a été observée autour de 100 jours après l’injection, ce qui indique une tendance qui ne peut être attribuée au hasard. Des tendances remarquablement irrégulières sont également évidentes dans les EIG cardiaques de l’essai. Près de la moitié de tous les événements cardiaques se sont manifestés dans les 50 premiers jours suivant l’injection, malgré l’exposition constante au risque prévue pendant les 140 premiers jours. Curieusement, une augmentation spectaculaire des EIG cardiaques a été observée autour de 100 jours après la première injection, tant dans le groupe placebo que dans le groupe vacciné, ce qui coïncide avec l’augmentation du taux de mortalité. L’examen des diagnostics médicaux prédominants avant la participation à l’essai a révélé une autre tendance aberrante : les neuf diagnostics préexistants les plus courants étaient plus fréquents chez les participants du groupe placebo. En outre, l’âge des participants décédés présentait un contraste notable entre les deux groupes. Il est peu probable que ces tendances observées se produisent de manière aléatoire. La seule explication plausible qui corresponde à ces tendances anormales est que les enregistrements des EIG chez les vaccinés ont été modifiés, les déplaçant vers le groupe placebo après l’événement [84].

    RépondreSupprimer
  65. Ces préoccupations sont encore aggravées par les révélations concernant les pratiques de recherche non conformes et la gestion inadéquate des données dans les essais pivots. Le rapport d’un ancien employé de l’organisme de recherche sous contrat chargé de recruter les patients pour l’essai pivot de Pfizer soulève des questions importantes concernant l’intégrité des données et la sécurité des participants à l’essai [85]. Parmi les problèmes de conduite de l’essai documentés, on peut citer l’absence de déclaration des écarts par rapport au protocole, le mauvais stockage des vaccins, le mauvais étiquetage des échantillons de laboratoire et l’absence de suivi en temps voulu des patients ayant subi des effets indésirables, ce qui a pu conduire à une sous-déclaration. En termes de surveillance réglementaire, la FDA n’a inspecté que neuf des 153 sites d’étude impliqués dans l’essai Pfizer [86].

    Enfin, une levée du double aveugle des participants a eu lieu au début de l’essai, potentiellement à grande échelle dans les différents sites de l’étude. Les participants n’ont pas reçu d’informations claires sur les effets indésirables potentiels dans les protocoles d’essai et les formulaires de consentement [87]. Certaines parties du formulaire de consentement étaient trompeuses et visaient simplement à susciter une participation qui n’aurait peut-être pas eu lieu si les volontaires avaient été informés que ce qui était promis en théorie ou « sur le papier » avait peu de chances de se produire dans la réalité [87]. En conséquence, les participants n’ont pas reçu un consentement véritablement éclairé ; les lésions potentielles et les effets indésirables les plus susceptibles d’être causés par les vaccinations n’ont jamais été ouvertement mentionnés.

    Cette absence de consentement éclairé s’est répercutée dans le monde réel à la suite de l’autorisation d’usage à des fins thérapeutiques. Par exemple, le fait de ne pas avoir divulgué publiquement l’exclusion des femmes enceintes de l’essai Pfizer est sans doute l’une des erreurs les plus flagrantes du CDC lorsqu’il a affirmé la sécurité de l’administration du vaccin COVID-19 pendant la grossesse [1]. Le Code de Nuremberg a établi le droit des patients à un consentement éclairé volontaire au lendemain de la Seconde Guerre mondiale [88]. Les tribunaux américains soutiennent systématiquement le consentement éclairé comme un droit fondamental à l’autonomie des patients [89]. Les procédures de consentement éclairé doivent établir des distinctions claires entre les risques fréquemment observés, les risques rarement observés et le risque plus évident de manque d’efficacité ou de perte d’immunité, qui est distinct du risque d’effets secondaires graves. Que ce soit dans le cadre d’un essai clinique ou d’une vie libre, le consentement éclairé est essentiel pour bien faire comprendre les risques potentiels associés à l’administration d’un vaccin génétique. Tout au long de la pandémie, les professionnels de la santé avaient le devoir de fournir aux patients des informations claires sur les risques et les avantages. Dans la pratique, cependant, le consentement éclairé n’existait pas, car les fiches d’information étaient vierges [90], et les vaccinés n’étaient jamais informés à l’avance des risques potentiels.

    RépondreSupprimer
  66. Des récits changeants, des illusions de protection

    La capacité à stopper ou à limiter fortement l’infection est généralement considérée comme essentielle à l’efficacité d’un vaccin. Néanmoins, les essais d’homologation menés par Pfizer et Moderna n’ont pas été conçus pour répondre à cette question. Le critère d’évaluation de ces essais était la réduction des symptômes associés à la COVID-19 [1,2], même si les CDC ont ensuite affirmé au public que les produits anti-COVID-19 arrêteraient la transmission [91].

    En outre, la transmission asymptomatique s’est avérée extrêmement minime [92]. Depuis 2021, la communauté scientifique internationale sait que les produits à base d’ARNm anti-COVID-19 ne préviennent ni la transmission ni l’infection [93]. Même les experts parrainés par l’industrie du vaccin ont admis une réduction maximale de la transmission de 61 % en 2021 [94]. Les sous-variants Omicron sont associés à une réduction de 30 à 50 % de la transmission après l’administration des rappels [95-97]. Le bénéfice est progressif et transitoire, la protection contre l’infection Omicron ne durant que quelques mois [93]. Même si les titres d’anticorps contre le SRAS-CoV-2 sont plus élevés après l’injection, ces niveaux diminuent plus rapidement chez les personnes ayant reçu l’ARNm que chez les personnes ayant contracté une infection naturelle [98]. L’impact de la réduction de la gravité de la maladie chez les personnes vaccinées contre la COVID-19 sur le risque de provoquer des infections secondaires n’a jamais été systématiquement étudié dans le cadre d’essais cliniques contrôlés [93].

    La meilleure preuve de l’incapacité du vaccin à ARNm COVID-19 à conférer une protection contre la COVID-19 provient de deux grandes études de cohortes d’employés du Cleveland Clinic Health System (CCHS) après la mise à disposition des vaccins de rappel bivalents à ARNm [99,100]. Dans la première étude (n=51 017), 4 424 (8,7 %) ont contracté le COVID-19 au cours de la période d’observation de 26 semaines [99]. En termes de prévention des infections par les trois sous-variants Omicron dominants, l’efficacité du vaccin était respectivement de 29 %, 20 % et 4 %, ce qui n’est pas significatif [99]. Aucune protection n’a été apportée lorsque les lignées XBB étaient dominantes. Notamment, le risque d’infection post-vaccinale était significativement plus élevé chez les personnes ayant reçu le premier vaccin [en bleu] non adapté aux variants successifs, et une plus grande fréquence des vaccinations entraînait un risque plus élevé de COVID-19 [100]. Dans une deuxième cohorte de l’étude CCHS (n= 48 344), les adultes qui n’étaient pas à jour selon la définition du CDC avaient une incidence de COVID-19 inférieure de 23 % à celle des adultes qui étaient à jour dans leurs vaccinations [100]. Ces résultats sont encore renforcés par de nombreuses études en situation réelle qui montrent que la protection contre l’infection par Omicron diminue rapidement après les rappels [101]. L’efficacité du vaccin contre l’infection à Omicron confirmée en laboratoire et la maladie symptomatique diminue rapidement dans les trois mois qui suivent le cycle de primo-vaccination et la dose de rappel [97].

    RépondreSupprimer
  67. Les figures 3 et 4 présentent les résultats surprenants de ces deux études de la Cleveland Clinic. La figure 3 présente les résultats de l’étude précédente, avec une incidence cumulative de COVID-19 pour les participants à l’étude stratifiés en fonction du nombre de doses de vaccin ARNm reçues précédemment. Le jour 0 correspond au 12 septembre 2022, date à laquelle le vaccin bivalent a été proposé pour la première fois aux employés du CCHS. Les taux de cas ont clairement augmenté en même temps que la fréquence des injections d’ARNm [99]. La figure 4 présente un autre résultat inattendu, tiré cette fois de la deuxième étude de la Cleveland Clinic, avec un diagramme de risque Simon-Makuch comparant l’incidence cumulative de COVID-19 dans les groupes « à jour » et « non à jour » en fonction du statut vaccinal défini par le CDC. Le jour zéro était le 29 janvier 2023, date à laquelle les lignées XBB de la variante Omicron sont devenues dominantes en Ohio. Pour les deux graphiques, les estimations ponctuelles et les IC à 95 % sont indiqués le long de l’axe des x [100].

    - voir graph sur site -

    FIGURE 3 : Étude de la Cleveland Clinic montrant une augmentation des cas de COVID-19 avec l’augmentation des vaccinations par ARNm.
    Étude de la Cleveland Clinic démontrant l’incidence de COVID-19 parmi les participants en fonction du nombre de doses antérieures de vaccin ARNm reçues. L’étude montre une augmentation des taux de cas associée à l’augmentation des doses de vaccin ARNm COVID-19.

    - voir graph sur site -

    FIGURE 4 : Étude de la Cleveland Clinic montrant une augmentation des cas de COVID-19 chez les sujets les plus « à jour » des vaccinations à l’ARNm
    Étude de la Cleveland Clinic comparant l’incidence cumulative de COVID-19 entre les personnes « à jour » [en bleu] et « non à jour » [en rouge] en fonction du statut vaccinal défini par les CDC. Le graphique comprend des estimations ponctuelles et des intervalles de confiance à 95 % le long de l’axe des x.

    Le profil d’efficacité du produit étant désormais fermement remis en question, l’industrie du vaccin a adopté deux récits pour justifier l’utilisation continue des vaccins COVID-19. La première est que si les produits à base d’ARNm COVID-19 ne bloquent pas les infections, ils protègent néanmoins contre les maladies graves, l’hospitalisation et la mortalité. La seconde affirme que la protection associée à l’inoculation d’ARNm, lorsqu’elle est combinée à une infection naturelle, est supérieure à l’infection naturelle (et donc à l’immunité naturelle) seule.

    RépondreSupprimer
  68. Le premier récit pose une dichotomie contre-intuitive entre les deux formes de protection, la protection contre l’infection et la protection contre les maladies graves, et semble impliquer leur indépendance. Pour illustrer cette dichotomie, un rapport d’étude israélien de 2022 indique que « la protection contre une infection confirmée semble de courte durée, alors que la protection contre une maladie grave n’a pas diminué pendant la période étudiée » [102]. Cependant, est-il raisonnable d’affirmer que la protection contre les maladies graves et la mortalité reste intacte même après le déclin rapide de la protection contre les infections ? Pour répondre à cette question, Ophir et ses collègues ont effectué une analyse méticuleuse de données importantes provenant d’essais cliniques, de grandes études d’observation menées en Israël et de tableaux de bord statistiques contemporains [103]. Les auteurs ont noté « de multiples contraintes méthodologiques et de représentation, y compris des périodes de suivi courtes et parfois arbitraires ou inégales, des critères d’exclusion et des niveaux de test COVID-19 inégaux, des biais de sélection et une communication sélective des résultats. Mais surtout, la probabilité conditionnelle documentée de décès et de maladie grave (c’est-à-dire le pourcentage de cas de maladie grave et de décès parmi les personnes infectées par le virus) ne différait pas entre le groupe traité et le groupe témoin dans les diverses études cliniques et d’observation sur l’efficacité » [103]. Les auteurs ont conclu qu’il n’y avait pas de preuves valables pour étayer l’affirmation selon laquelle l’administration d’un deuxième rappel d’ARNm COVID-19 permet de prévenir efficacement les maladies graves et la mortalité [103].

    RépondreSupprimer
  69. Le deuxième scénario alternatif se concentre sur le phénomène de l’immunité hybride, la protection combinée obtenue à partir de l’infection naturelle suivie du rappel. Chez les personnes récemment exposées à des infections par le SRAS-CoV- 2, l’immunité induite par le vaccin COVID-19 surpasserait l’immunité naturelle car elle génèrerait une réponse anticorps plus robuste et élargirait le spectre des anticorps générés [104]. Ces réponses humorales robustes et étendues impliquent la production de cellules B mémoires à des niveaux 5 à 10 fois supérieurs à ceux obtenus par l’infection ou la vaccination seule [105]. À l’heure actuelle, la plupart des habitants des pays développés, si ce n’est tous, ont été infectés par le SRAS-CoV-2. Une fois informés de la protection supplémentaire offerte par l’immunité hybride, les profanes sachant qu’ils ont des antécédents d’infection pourraient être plus enclins à accepter les rappels en cours. Néanmoins, compte tenu de la gravité relativement faible de l’Omicron, la production supplémentaire d’anticorps est-elle vraiment nécessaire ? Il faut également prendre en compte les risques potentiels de cette production accrue d’anticorps. Comme les sous-variants d’Omicron mutent constamment, de nombreux anticorps générés par les vaccins actuels ne sont pas neutralisants. La surproduction potentielle d’anticorps non neutralisants pourrait conduire au phénomène de la maladie renforcée associée au vaccin (VAED), qui repose en partie sur l’aggravation dépendante des anticorps [ADE] [106]. À ce jour, seuls quelques rapports ont fait état d’une légère VAED lors de la vaccination par COVID-19 dans des modèles animaux et aucun cas n’a été documenté chez l’homme [107] [il existe pourtant des publications montrant l’ADE dans des rapports cliniques]. En cas d’administration répétée de boosters la VAED pourrait éventuellement avoir un impact sur la sécurité à long terme des vaccinations à ARNm.

    Dans le contexte de l’immunité hybride, l’écueil immunologique le plus grave concerne l’infection par le SARS-CoV-2 survenant après l’injection de l’ARNm COVID-19, lorsque la production de protéine S a déjà augmenté globalement. À l’origine, on pensait qu’une vaccination préalable pouvait atténuer la gravité de l’infection et réduire le risque de maladie grave liée à la COVID-19. Dans la période post-vaccinale, le système immunitaire serait préparé à réagir plus vigoureusement à une nouvelle infection quelques semaines après la fin de la série complète.

    RépondreSupprimer
  70. Toutefois, le scénario inverse peut également se produire en raison du contournement des réponses immunitaires innées, ainsi que de la surproduction d’anticorps non neutralisants mentionnée ci-dessus et d’une protection inadéquate contre les maladies graves [108]. On sait que les vaccins anti-COVID-19 provoquent une suppression de l’immunité innée par le biais d’une altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I, ainsi qu’une perturbation de la régulation de la synthèse des protéines et de la surveillance du cancer [26]. Une production excessive d’anticorps non neutralisants pourrait accroître le risque de réactions auto-immunes en provoquant une réaction croisée avec les tissus de l’hôte plutôt qu’avec le virus, déclenchant ainsi des réactions auto-immunes inflammatoires par mimétisme moléculaire [109-111]. Ces mécanismes peuvent collectivement augmenter le risque de pathologies inflammatoires auto-immunes, y compris les cancers, les maladies cardiovasculaires et de nombreuses autres maladies ayant une étiologie inflammatoire chronique [112,113]. (Pour une discussion sur la base mécaniste des effets indésirables, voir la section « Mécanismes sous-jacents aux EI »).

    Jusqu’à présent, en ce qui concerne les EIG, nous nous sommes principalement concentrés sur les effets associés au produit à ARNm de Pfizer en nous appuyant sur les données de l’essai de six mois ainsi que sur le document confidentiel de 393 pages publié en août 2022, qui révèle près de 1,6 million d’EIG [114]. Dans le contexte de l’immunité hybride, il est important de noter que le produit Moderna, l’ARNm-1273, génère une réponse immunitaire nettement plus forte, ce qui se traduit par des taux plus faibles d’infection symptomatique et de COVID-19 graves par rapport au vaccin de Pfizer [115]. Ceux qui se focalisent sur ces avantages en matière de prévention des infections ont toutefois tendance à négliger les inconvénients potentiels : le produit de Moderna a présenté des risques d’EIG significativement plus élevés que le Pfizer, selon des essais cliniques, des études basées sur des enquêtes et une étude de surveillance parrainée par le gouvernement [1,2,116-120]. Cela montre le compromis peu recommandable entre une protection accrue contre l’infection par Omicron, d’une part, et un risque substantiel d’effets secondaires induits par le vaccin, d’autre part.

    Dans une étude récente portant sur près de cinq millions d’adultes, ceux qui avaient contracté une infection par le SRAS-CoV-2 dans les 21 jours suivant l’injection présentaient un risque huit fois plus élevé d’accident vasculaire cérébral ischémique et un risque cinq fois plus élevé d’accident vasculaire cérébral hémorragique par rapport aux vaccinés sans infection concomitante [121]. Le risque était le plus élevé chez les personnes ayant reçu les injections d’ARNm-1273. Ainsi, l’infection par le SRAS-CoV-2 à proximité du moment de la vaccination a produit une forte association avec l’incidence précoce des accidents vasculaires cérébraux ischémiques et hémorragiques [121]. Encore une fois, avec une approche d’immunité hybride, les inconvénients potentiels peuvent largement dépasser les avantages.

    RépondreSupprimer
  71. L’immunité naturelle ne comporte aucun de ces risques et est plus que suffisante contre la virulence légère des sous-variants d’Omicron. De nombreux éléments indiquent aujourd’hui que l’immunité naturelle confère une protection robuste, durable et de haut niveau contre les maladies graves [122-126]. Une vaste étude menée au Royaume-Uni sur plus de 30 000 travailleurs de la santé ayant des antécédents d’infection par le SRAS-CoV-2 a montré que le risque de réinfection était réduit de 84 %, avec une période de protection médiane de sept mois [125]. Dans une vaste étude d’observation menée en Israël, les personnes précédemment infectées qui n’avaient pas été vaccinées étaient 6 à 13 fois moins susceptibles de contracter le virus par rapport aux personnes vaccinées [122]. Parmi 32 000 personnes appartenant au même système de santé, les personnes vaccinées présentaient un risque 27 fois plus élevé de développer une COVID-19 symptomatique et un risque huit fois plus élevé d’hospitalisation par rapport à leurs homologues non vaccinés [122].

    Après s’être remis de la COVID-19, l’organisme héberge des cellules immunitaires mémoires à longue durée de vie, ce qui indique une capacité durable à répondre à de nouvelles infections, potentiellement pendant de nombreuses années [127]. Des preuves de plus en plus nombreuses suggèrent que la formation d’anticorps et l’induction d’une mémoire de cellules T résultant d’une infection naturelle répétée par Omicron peuvent augmenter l’atténuation des infections futures [128,129]. Dans une étude de cohorte récente, les enfants ayant subi une infection antérieure ont montré une protection durable contre la réinfection par le SRASCoV-2 pendant au moins 18 mois [130]. Ces enfants, âgés de 5 à 11 ans, n’ont montré aucune baisse de protection pendant toute la durée de l’étude, tandis que ceux âgés de 12 à 18 ans ont connu une baisse légère mais mesurable de leur protection au fil du temps [130]. Pour ces jeunes générations en particulier, l’immunité naturelle est plus que suffisante et bien sûr beaucoup plus sûre que les inoculations d’ARNm.

    RépondreSupprimer
  72. Analyses des dommages graves pour l’être humain

    Nous allons maintenant passer en revue ce que l’on sait des EI et des EIG rapportés dans les essais d’enregistrement, y compris les données que les organismes de réglementation et les études de surveillance de la sécurité des médicaments ont révélées à la suite de l’autorisation de mise sur le marché. Dès 2014, Sahin et ses collègues ont mis en garde contre les dangers potentiels de la technologie des vaccins à ARNm, en précisant que l’antigène codé devait faire l’objet d’une recherche sur les risques de maladies multiples [131]. Les enquêtes montrent que la principale préoccupation exprimée par les parents concernant l’administration des vaccins COVID-19 à leurs enfants n’est pas l’efficacité du vaccin, mais plutôt les effets indésirables potentiels [132,133]. Dans une enquête menée auprès de parents américains, les inquiétudes concernant la rapidité sans précédent du développement des vaccins à ARNm (et, par voie de conséquence, la rapidité du processus d’autorisation) ont été classées juste avant les inquiétudes concernant les effets secondaires nocifs [133]. Les risques peuvent varier en fonction du nombre et de la fréquence des doses de vaccin COVID-19. Alors que certains auteurs ont observé moins d’EI après l’administration de la seconde dose [134], d’autres ont signalé une incidence accrue [116]. Sultana et al. ont rapporté des tendances variables dans les EI après la seconde dose pour les deux produits ARNm, mais avec une fréquence plus élevée d’EI après l’administration de la seconde dose du vaccin Moderna [135].

    Les révélations les plus convaincantes concernant les effets indésirables de ces produits proviennent d’une réanalyse complète des données des essais, avec un accent particulier sur les résultats les plus graves, y compris les décès. En appliquant une méthodologie rigoureuse, Fraiman et ses collègues ont mené une enquête approfondie et analysé les ensembles de données intermédiaires des essais Pfizer et Moderna, couvrant environ quatre mois d’observation après le début des essais [50]. Les EIG ont été définis comme des événements ayant entraîné l’une des conséquences suivantes : décès, mise en danger de la vie du patient, hospitalisation ou prolongation d’une hospitalisation, invalidité/incapacité persistante ou importante, anomalie congénitale ou malformation à la naissance, ou événement médicalement significatif d’après le jugement médical. Le risque d’EIG lié au vaccin a été divisé en EIG généraux et en EIG d’intérêt particulier, tels qu’identifiés par les critères de la Collaboration de Brighton adoptés par l’Organisation mondiale de la santé [136].

    RépondreSupprimer
  73. Pour les essais Pfizer et Moderna combinés, il y a eu environ 125 EIG pour 100 000 vaccinés, ce qui correspond à un EIG pour 800 vaccinés [50]. Étant donné que les essais ont évité les participants les plus fragiles, on peut s’attendre à des proportions encore plus élevées d’EIG dans le déploiement à l’échelle de la population.

    Fait remarquable, l’essai Pfizer a révélé un risque d’EIG 36 % plus élevé dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, avec une différence de risque de 18,0 pour 10 000 vaccinés ; rapport de risque 1,36. Ces résultats contrastent fortement avec l’affirmation initiale de la FDA selon laquelle les EIG rapportés par les deux essais pivots étaient « équilibrés entre les groupes de traitement » [15,50]. Cette divergence peut s’expliquer en partie par le fait que la FDA se concentrait uniquement sur les données individuelles des participants, alors que nombre d’entre eux présentaient de multiples EIG. Au lieu d’analyser les individus, Fraiman et al. se sont concentrés sur le nombre total d’EIG afin de prendre en compte les événements multiples et simultanés [50]. Lorsque les EIG sont considérés collectivement, les risques dans le groupe vacciné sont nettement plus élevés que ceux précédemment déterminés par la FDA.

    Pour leur évaluation du rapport bénéfice/risque, l’équipe de Fraiman a pris en compte l’excès de risque d’EIG dans le groupe vacciné par rapport au risque d’hospitalisation pour COVID-19 dans le groupe placebo [50]. Cette analyse s’est appuyée sur les rapports publiés par les sponsors des fabricants de vaccins et sur les présentations de la FDA. Fait remarquable, selon Fraiman et al, l’essai Pfizer présentait un risque d’EIG quatre fois plus élevé que le risque d’hospitalisation lié à COVID-19 (10,1 EIG contre 2,3 hospitalisations pour 10 000 participants, respectivement), tandis que l’essai Moderna présentait un risque plus de deux fois plus élevé (15,1 EIG contre 6,4 hospitalisations pour 10 000 participants, respectivement) [50]. Ces résultats indiquent un degré beaucoup plus élevé d’effets nocifs liés aux vaccins que ce qui avait été initialement estimé à l’époque de l’EUA. Pour mettre ces résultats en perspective, le taux officiel d’EIG pour d’autres vaccins n’est que de 1 à 2 par million [137]. L’estimation de Fraiman et al. basée sur les données de l’essai Pfizer (1,250 EIG par million) dépasse cette référence d’au moins 600 fois.

    RépondreSupprimer
  74. Les analyses de deux grands systèmes de notification de la sécurité des médicaments aux États-Unis et en Europe ont révélé plus de 7,8 millions d’EI signalés par environ 1,6 million de personnes à la suite de la vaccination par COVID-19 [47]. Par rapport aux personnes âgées de 18 à 64 ans, les groupes plus âgés ont présenté une fréquence plus élevée de décès, d’hospitalisations et de réactions mettant en jeu le pronostic vital, avec des estimations de RR allant de 1,49 à 8,61. Des signaux ont été identifiés pour l’infarctus du myocarde, l’embolie pulmonaire, l’arrêt cardio-respiratoire, l’infarctus cérébral et l’hémorragie cérébrale associés aux deux vaccins ARNm. Ces signaux, ainsi que les accidents vasculaires cérébraux ischémiques, ont été confirmés par une vaste analyse de disproportionnalité [48]. Dans une analyse risque-bénéfice indépendante, le produit de Pfizer a produit 25 fois plus d’EIG que le nombre de cas graves de COVID-19 évités [51]. Cette inégalité dans le calcul des risques et des bénéfices renforce les conclusions de l’enquête Skidmore, qui a estimé que le nombre total de décès aux États-Unis dus aux vaccinations contre l’ARNm COVID-19 pour la seule année 2021 était de 289 789 [138]. Un médecin et un spécialiste en recherche d’enquête ont aidé à valider l’enquête, et l’échantillon (obtenu par Dynata, la plus grande plateforme de données de première source au monde, basée dans le Connecticut, aux États-Unis) a été jugé représentatif de la population américaine [138].

    Enfin, les études d’autopsie ont fourni des preuves supplémentaires de dommages graves. Dans le cadre d’une étude systématique complète avec arbitrage indépendant, 74 % des résultats d’autopsie (240 cas sur 325) ont été jugés comme ayant été causés par les produits à base d’ARNm COVID-19 [139]. Le délai moyen entre l’injection et le décès était de 14,3 jours et, dans la grande majorité des cas, le système cardiovasculaire était le seul organe ayant subi une lésion mortelle. Ces conclusions sont renforcées par celles d’une étude d’autopsie plus récente sur la myocardite induite par les vaccins ARNm (28 décès, tous attribués aux injections) [140], ainsi que par une étude d’autopsie antérieure sur les vaccins ARNm qui n’a pas eu l’avantage d’une évaluation indépendante [141]. Sur la base de multiples études d’autopsie, des pathologistes allemands dirigés par feu Arne Burkhardt ont documenté la présence de protéines S produites par l’ARNm vaccinal dans les parois des vaisseaux sanguins et les tissus cérébraux par coloration immuno-histopathologique [142,143]. Ces résultats contribuent à expliquer le large éventail de toxicités bien documentées induites par le vaccin COVID-19, qui ont un impact sur les systèmes nerveux, gastro-intestinal, hépatique, rénal, hématologique, immunitaire et reproductif [25,144,145]. Les examens post-mortem sont essentiels pour identifier les effets secondaires potentiels des inoculations d’ARNm. Cependant, comme les cliniques et les administrations hospitalières ont un intérêt direct dans la distribution des vaccins COVID-19, la pratique administrative courante consistant à décourager les autopsies et à retarder les rapports d’autopsie ne sert qu’à saper l’évaluation complète des risques, à perpétuer les idées fausses du public concernant la sécurité et à affaiblir l’élaboration des politiques de santé publique [145].

    RépondreSupprimer
  75. Problèmes de contrôle de la qualité et impuretés liées au processus

    Étant donné la nouveauté de la technologie de l’ARNm utilisée dans les vaccins contre le SARS-CoV-2, il serait prudent de mettre en place une inspection régulière de la production et une assurance qualité, ainsi que des protocoles de surveillance de la sécurité à long terme, et de réaliser les études de tumorigénicité, de génotoxicité, de neurotoxicité, d’immunotoxicité et de toxicité pour la reproduction qui s’imposent. Le fait qu’aucune étude de sécurité et de toxicité appropriée pour ces produits à base de gènes ou GTP n’ait jamais été réalisée est préoccupant.

    Le type de vaccin et la variabilité des lots sont des éléments clés qui pourraient expliquer pourquoi certaines personnes succombent et d’autres non. En raison de l’instabilité inhérente à la technologie de l’ARNm, certains lots peuvent contenir des niveaux extrêmement faibles d’ARNm intact [146]. Certains lots ont été contaminés par de l’ARN double brin (ARNdb), comme l’a montré l’EMA pour les produits Pfizer et Moderna [147,148]. L’ARNdb a un fort potentiel de déclenchement de réactions immuno-inflammatoires telles que la myocardite [149].

    Le contrôle de la qualité est au cœur de toute discussion sur la variabilité des lots et les impuretés liées au processus, et pourtant, en termes pratiques, l’évaluation d’un tel contrôle pour des flacons individuels n’est pas réalisable. Dans un article publié en 2021, Yu et al. ont émis l’hypothèse que la variabilité des réactions indésirables pouvait être causée par des différences de qualité entre différents lots ou même différents flacons individuels, en raison de la variabilité des contaminants et de l’historique des manipulations [150]. L’exigence de maintien à des températures extrêmement basses n’est pas toujours pratique, et les conséquences d’une mauvaise manipulation (par exemple, rupture de la chaîne du froid) ne sont pas bien caractérisées.

    La question de la variabilité des lots est encore compliquée par les récentes découvertes de contamination par l’ADN dans les vaccins ARNm [151]. Dans une analyse de plusieurs flacons des produits bivalents Pfizer et Moderna à ARNm, McKernan et al. ont trouvé « des niveaux élevés de contamination par l’ADN dans les vaccins monovalents et bivalents » qui étaient « supérieurs de plusieurs ordres de grandeur à la limite fixée par l’EMA » de 330 nanogrammes d’ADN par milligramme d’ARN [152]. Les impuretés liées au processus de fabrication de l’ADN dépassaient également les limites de sécurité de la FDA (10 ng/dose).

    RépondreSupprimer
  76. Afin de réfuter cette affirmation, Buckhaults et son équipe de recherche en génomique ont examiné deux lots de flacons d’ARNm de Pfizer et ont confirmé la contamination par le vecteur d’ADN plasmidique qui avait été utilisé comme modèle pour la production du vaccin ARNm [8,153]. Lors d’une audition au Sénat de Caroline du Sud, Buckhaults a déclaré avoir séquencé de manière cohérente des quantités substantielles d’ADN plasmidique, soit 200 milliards de fragments d’ADN par flacon [153].

    Une découverte surprenante et potentiellement alarmante a été la présence du promoteur du virus Simien 40 (SV40) dans les échantillons du vaccin Pfizer, qui était notablement absent des échantillons du vaccin Moderna [151]. En octobre 2023, l’agence de réglementation Santé Canada a confirmé la présence de cette séquence génétique dans les échantillons de vaccin ARNm [154]. Le SV40, un virus oncogène à ADN isolé à l’origine en 1960 à partir de vaccins antipoliomyélitiques contaminés, induit des lymphomes, des tumeurs cérébrales et d’autres tumeurs malignes chez les animaux de laboratoire [155].

    Des données immunologiques provenant de patients atteints de cancer ont indiqué que leur sérum présentait une prévalence plus élevée d’anticorps contre le SV40 que celui de sujets sains [156]. Une métaanalyse basée sur la mise en commun de diverses données provenant de 1 793 patients atteints de cancer a identifié un excès de risque significatif de SV40 en association avec des tumeurs cérébrales, des cancers des os, des lymphomes non hodgkiniens et des mésothéliomes malins [157]. Il semble toutefois improbable que l’exposition au SV40 entraîne à elle seule des tumeurs malignes chez l’homme, comme le suggère l’absence d’épidémie de cancer après la distribution de vaccins antipoliomyélitiques contaminés par le SV40. Un scénario plus probable est que le SV40 fonctionne comme un cofacteur dans la genèse et la progression des tumeurs, comme l’indiquent les études de laboratoire révélant son potentiel co-carcinogène avec l’amiante, un carcinogène établi [158].

    Le promoteur du SV40 a trouvé une utilisation potentielle en tant qu’activateur dans les traitements de thérapie génique basés sur des plasmides d’ADN. Une étude réalisée en 2001 sur l’administration somatique de gènes à des cellules musculaires squelettiques a montré que l’incorporation du promoteur SV40 dans des plasmides d’ADN pouvait multiplier par 20 le niveau d’expression du gène exogène [159]. Selon un éditorial perspicace sur les implications des impuretés liées au processus, l’emballage de fragments d’ADN dans des particules lipidiques augmente la possibilité que les fragments d’ADN s’intègrent dans le génome humain [160].

    RépondreSupprimer
  77. Bien qu’absent des flacons utilisés lors des essais d’enregistrement, le promoteur SV40 a été identifié dans tous les flacons BioNTech testés, provenant de lots distribués au public. Le 6 décembre 2023, le ministre de la Santé de Floride, Joseph Ladapo, a contacté la FDA et le CDC pour leur poser des questions sur les évaluations de sécurité et la découverte de milliards de fragments d’ADN par dose de produits vaccinaux à ARNm [161,162]. Une semaine plus tard, la FDA a répondu par écrit en citant des études de génotoxicité (qui sont inadéquates pour évaluer le risque d’intégration de l’ADN) et en brouillant la distinction entre le promoteur/enrichisseur SV40 et les protéines SV40, traitant à tort ces éléments comme interchangeables [162].

    Étant donné que l’agence n’a jusqu’à présent fourni aucune preuve de la réalisation d’évaluations de l’intégration de l’ADN pour traiter les risques mis en évidence par l’agence elle-même en 2007, Ladapo a demandé l’arrêt complet de l’utilisation de tous les vaccins à ARNm COVID-19 [161,162]. Dans un article du Brownstone Institute, Robert Malone, développeur de vaccins à ARNm, a vivement critiqué le manque de volonté de la FDA d’évaluer les risques potentiels de l’ADN contaminant [163].

    Voici la déclaration commune proposée par un groupe consultatif d’experts internationaux parrainé par le Conseil mondial pour la Santé. Il comprenait ce qui suit : « Il existe de multiples séquences génétiques non déclarées dans les flacons Moderna et Pfizer, la séquence SV40 ne se trouvant que dans les flacons Pfizer. Cependant, des infections latentes au SV40 dans une partie importante de la population pourraient présenter le même risque de SV40 pour les receveurs de Moderna. Même en l’absence d’intégration chromosomique, les plasmides d’ADN pourraient générer de l’ARNm pour la toxine de la protéine S et d’autres protéines nocives pendant des périodes prolongées et imprévisibles. L’intégration d’ADN étranger dans le génome humain perturbe les séquences génétiques naturelles existantes, ce qui entraîne un risque accru de maladie, y compris de cancer » [164]. En raison de l’absence d’évaluation formelle et transparente par les autorités de réglementation, les experts ont également noté qu’il est actuellement impossible de donner un consentement éclairé pour ces produits, car leurs risques complets ne sont pas divulgués et ne sont pas entièrement compris.

    RépondreSupprimer
  78. Comment une contamination aussi dangereuse et à grande échelle a-t-elle pu échapper à l’attention des responsables de la santé publique, et les fabricants étaient-ils au courant du problème ? Il est important de noter que les impuretés liées au processus étaient absentes des produits à base d’ARNm COVID-19 utilisés dans les essais d’homologation. Pratiquement toutes les doses utilisées dans ces essais provenaient de « lots cliniques » produits selon ce que l’on appelle le processus 1 [1]. Cependant, en guise de mesure d’urgence post-autorisation pour la distribution mondiale, une méthode beaucoup plus adaptée à la production de masse, connue sous le nom de procédé 2, a été mise au point en utilisant de l’ADN plasmidique bactérien [165]. Les modifications du procédé 2 comprennent des modifications de la matrice d’ADN utilisée pour la transcription de l’ARN, des modifications de la phase de purification et des modifications du processus de fabrication des LNP [165].

    Notamment, les lots produits selon le procédé 2 ont montré une intégrité de l’ARNm significativement réduite [146,166]. Selon l’amendement au protocole, chaque lot du produit Pfizer fabriqué selon le procédé 2 a été administré à environ 250 participants âgés de 16 à 55 ans, et des analyses comparatives ultérieures de l’immunogénicité et de l’innocuité ont été effectuées sur 250 personnes choisies au hasard pour recevoir les lots du procédé 1 [165]. À ce jour, il n’existe aucune analyse publique comparant la sécurité et la réactogénicité des lots des procédés 1 et 2.

    L’impact biologique potentiel du remplacement de toutes les uridines de la molécule d’ARN par de la N1-méthylpseudouridine est une autre préoccupation importante. Cette stratégie est considérée comme un moyen utile d’améliorer l’expression des protéines dans le cadre des thérapies à base d’ARNm [167]. Cette innovation a également été considérée comme une percée, car le vaccin ARNm CureVac (CureVac N.V., Tübingen, Allemagne), dépourvu de cette innovation, était moins efficace que les formulations de Pfizer et de Moderna [168]. Le gain d’efficacité est probablement dû au fait qu’une telle altération retarde le processus de dégradation et prolonge ainsi la durée de vie de l’ARNm. Bien que la N1-méthylpseudouridine soit une molécule naturelle, elle n’est normalement présente comme substitut de l’uridine que dans un faible pourcentage des uridines d’une séquence. Il reste à déterminer quel effet l’introduction massive de N1-méthylpseudouridine dans la cellule pourrait avoir sur sa propre synthèse de nouvelles molécules d’ARNm [169].

    RépondreSupprimer
  79. Mulroney et al. ont fait une découverte remarquable en observant que les vaccins ARNm induisaient chez les souris des anticorps dirigés contre des protéines qui pouvaient être synthétisées à partir du code ARNm s’il était décalé d’un nucléotide. Ce phénomène n’a pas été observé dans les cellules attaquées par la seule protéine S ou chez les souris vaccinées avec le vaccin Astra-Zeneca (AstraZeneca plc, Cambridge, Royaume-Uni), qui est un vaccin à base d’ADN [170]. Ils ont suggéré que c’était la N1-méthylpseduouridylation qui était à l’origine du décalage de trame. De telles protéines non intentionnelles, hors cible, ont, selon les termes de Mulroney et al, « un énorme potentiel de nocivité », en partie en raison d’une homologie potentielle avec des protéines humaines qui pourraient, à leur tour, induire des maladies auto-immunes [170-172]. Sur la base d’une recherche du code MedDRA « Trouble auto-immun » dans le système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System), on a constaté une augmentation de 803 % des troubles auto-immuns par million de doses administrées en comparant l’administration des vaccins antigrippaux de 2018 à 2020 avec les vaccinations COVID-19 de 2021 à 2023 (Figure 5) [173]. Il s’agit là d’un immense signal de sécurité. Ces questions et préoccupations fondamentales concernant la technologie auraient dû être abordées avant que les produits ne soient administrés à des centaines de millions de personnes [174].

    - voir graph sur site -

    FIGURE 5 : Rapports VAERS de maladies auto-immunes par million de doses d’ARNm COVID-19 (2021-2023) par rapport aux vaccinations antigrippales (2018-2020)

    D’après une requête VAERS (https://vaers.hhs.gov/) utilisant le code MedDRA « Trouble auto-immun », il y a eu une augmentation de 803% du taux de notification par million de doses administrées en comparant les vaccins antigrippaux administrés de 2018 à 2020 aux injections d’ARNm COVID-19 administrées de 2021 à 2023. Notamment, les déclarations excluent les personnes ayant des antécédents de troubles auto-immuns.

    Mécanismes sous-jacents aux effets indésirables

    Une discussion complète des mécanismes biologiques susceptibles d’expliquer les divers effets indésirables des vaccins COVID-19 dépasse le cadre du présent document. Nous renvoyons donc les lecteurs à ces articles [26,175-181]. Les mécanismes de mimétisme moléculaire, de réactivité croisée des antigènes, d’amorçage pathogène, de réactivation virale, d’épuisement immunitaire et d’autres facteurs liés au dysfonctionnement immunitaire renforcent tous la plausibilité biologique de la pathogenèse des maladies malignes et auto-immunes induite par les vaccins [26, 182-185]. Le SARS-CoV-2 et les vaccins ARNm peuvent déclencher un dysfonctionnement immunitaire ainsi qu’une série d’effets physiopathologiques, notamment une inflammation chronique, une thrombo-genèse, une dysrégulation liée aux prions et des lésions tissulaires liées à l’endothélite [180].

    RépondreSupprimer
  80. Les vaccins ARNm offrent des mécanismes uniques d’activation immunitaire qui sont tout à fait distincts de la réponse à une infection virale. Ces mécanismes contribuent à expliquer le profil d’EI de ces produits à base de gènes. La protéine S elle-même est sans doute la protéine la plus toxique produite par le virus [180]. La distribution des LNP chargées d’ARNm dans un large éventail de tissus facilite l’expression des protéines S sur les surfaces cellulaires de plusieurs types de cellules [186]. Cela rend les tissus cibles sensibles à l’attaque des lymphocytes T et à la destruction qui s’ensuit [109-111]. Les tissus tels que le muscle cardiaque et les tissus neuronaux sont particulièrement vulnérables [80,144], tous deux caractérisés par une capacité de réparation et de régénération limitée. En outre, les tissus vasculaires sont largement ciblés et attaqués dans l’ensemble de l’organisme [180].

    D’autres composants des vaccins contribuent à des EI complexes, mal compris et imprévisibles. Ces composants comprennent les nanoparticules lipidiques, en particulier les lipides cationiques ionisables, le polyéthylène glycol (PEG) et diverses impuretés liées au processus, telles que les plasmides ADN (abordés dans la section précédente) récemment détectés par des chercheurs indépendants [151,186]. Les lipides cationiques ionisables sont connus pour être toxiques, induisant des cascades pro-apoptotiques et proinflammatoires [187]. Pourtant, ils sont un composant essentiel des vaccins, soutenant la synthèse plus prolifique de l’abondante protéine S à partir de l’ARNm.

    Il y a plus de trente ans, les chercheurs étaient conscients du potentiel inhabituel des nanoparticules synthétiques de lipides cationiques à former des agrégats amphotères, à rompre la membrane cellulaire, à induire une réponse inflammatoire et à supprimer la fonction immunitaire (188). En fait, il y a un intérêt croissant pour une nouvelle théorie émergente de la fonction immunitaire qui peut expliquer l’activation immunitaire en l’absence d’infection manifeste. Les recherches séminales de Matzinger et de son équipe de recherche en immunogénétique à l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses ont ouvert la voie au concept selon lequel les réponses immunitaires sont principalement motivées par le besoin de se défendre contre ce qui est dangereux plutôt que contre ce qui est étranger [189].

    RépondreSupprimer
  81. Le PEG, l’un des principaux adjuvants des vaccins à ARNm COVID-19, est considéré comme un facteur majeur du choc anaphylactique induit par le vaccin, un EIG potentiel immédiat bien établi chez les personnes sensibles [190]. La conjugaison du PEG aux nanoparticules augmente leur immunogénicité, provoquant l’activation du complément et une réaction aiguë subséquente mettant en jeu le pronostic vital [191]. En outre, la combinaison du PEG avec la protéine S générée par le vaccin peut contribuer aux troubles hypophysaires d’apparition soudaine (apoplexie hypophysaire, avec transition vers une hypophysite aiguë) survenant dans la semaine suivant la vaccination par COVID-19 [192,193]. Taieb et ses collègues postulent que ces composants vaccinaux pourraient déclencher une réponse inflammatoire systémique et des problèmes circulatoires associés au purpura thrombo-cytopénique thrombotique induite par le vaccin (PTT), entraînant une hémorragie ou un infarctus de l’hypophyse [192]. Comme les symptômes de l’apoplexie hypophysaire comprennent des maux de tête, des vertiges, de la fièvre et des myalgies (tous les effets indésirables courants des vaccins), les auteurs soupçonnent que le taux réel de troubles hypophysaires post-vaccinaux est beaucoup plus élevé que ce qui a été généralement enregistré. Dans une étude réalisée à Taiwan, le taux de vertiges/étourdissements post-vaccinaux s’est avéré nettement plus élevé chez les personnes ayant reçu le vaccin de Moderna que celui de Pfizer, le délai médian d’apparition des vertiges/étourdissements étant respectivement de 12 jours et de 6 jours [194].

    Une littérature abondante et croissante décrit les effets toxiques remarquables de la protéine S. Sa persistance jusqu’à 30 jours après la vaccination est très préoccupante [195]. La protéine S provoque une réponse inflammatoire aiguë par l’activation de la voie de signalisation NF-κB [196]. Il a été démontré qu’elle induit la sénescence des cellules endothéliales, ce qui contribue probablement aux divers effets indésirables liés aux vaisseaux [197]. Son potentiel amyloïdogène, qui pourrait jouer un rôle important dans le large éventail de symptômes neurologiques, est très préoccupant [198].

    Après la vaccination par l’ARNm COVID-19, en particulier chez les jeunes adultes, de nombreuses études ont mis en évidence des risques accrus de myocardite et d’arythmie cardiaque, conduisant dans certains cas à une mort subite [57,60,140,149,199- 202]. La protéine S persiste dans la circulation chez les jeunes adultes qui ont développé une myocardite après la vaccination, mais pas chez les personnes vaccinées qui n’ont pas développé de myocardite [202]. L’ARNm du vaccin a été isolé dans le cœur humain à l’autopsie jusqu’à 30 jours [195]. La cardiotoxicité directe des vaccins ARNm Pfizer et Moderna sur les cardiomyocytes de rat a été documentée 48 heures après l’injection [80]. Des protéines S et une inflammation active ont été observées à la biopsie chez de jeunes individus hospitalisés pour une myocardite due au vaccin COVID-19 [203]. Cadegiani a proposé qu’une poussée d’adrénaline soit un facteur précipitant majeur dans le déclenchement d’un arrêt cardiaque chez les jeunes qui souffrent d’un arrêt cardiaque dans le cadre d’une myocardite clinique ou subclinique [204]. Un autre mécanisme cardiotoxique peut impliquer la régulation à la baisse de l’expression du récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ECA2) à la suite de sa liaison à la protéine S. Cela peut conduire à une expression dérégulée des récepteurs de l’ECA2, à l’augmentation des niveaux d’angiotensine-2, à l’inflammation et, finalement, à l’apoptose [201]. L’angiotensine-2 élevée provoque une inflammation et un stress oxydatif, qui sont des facteurs majeurs contribuant à l a progression de la cardiomyopathie [205].

    RépondreSupprimer
  82. La suppression immunitaire générique apparaissant après des injections de rappel répétées pose un autre problème majeur. L’épuisement des lymphocytes T désigne un état immunologique dans lequel les lymphocytes T CD8+ présentent une perte progressive de production de cytokines et de potentiel cytotoxique [206]. Un tel dysfonctionnement est connu dans des conditions telles que les infections chroniques, le cancer et les maladies auto-immunes [207,208]. Après trois et quatre doses du vaccin ARNm COVID-19, les chercheurs ont observé une diminution de la réponse des lymphocytes T contre la protéine S, associée à un changement de classe vers les IgG4 [209]. Non seulement les IgG4 ne protègent pas contre l’infection, mais elles bloquent activement les autres IgG pour supprimer leur action, ce qui entraîne une immunosuppression [210]. Notamment, une réponse réduite des lymphocytes T contre le SARS-CoV-2 a été observée un mois après l’administration des troisième et quatrième doses [211]. Un tel épuisement des lymphocytes T à la suite de multiples inoculations d’ARNm COVID-19 pourrait contribuer à expliquer les résultats d’études montrant une augmentation des taux de COVID-19 avec une fréquence accrue de rappels [99,100].

    Loacker et al. ont démontré une augmentation significative de l’expression du ligand 1 de la mort programmée (PD-L1) à la surface des cellules immunitaires, mesurée deux jours après la deuxième injection d’ARNm [212]. La liaison de PD-L1 à PD-1 présent sur les cellules cancéreuses limite la capacité des lymphocytes T à éliminer les cellules cancéreuses, facilitant ainsi l’évasion immunitaire de la tumeur [213]. Des niveaux élevés de PD-L1 sur les cellules immunitaires peuvent prédisposer les patients cancéreux à des résultats défavorables, et les traitements qui ciblent la suppression de PD-L1 (blocage anti-PD1) sont de plus en plus considérés comme des options thérapeutiques viables [214]. La progression rapide de divers lymphomes a été liée aux vaccinations contre l’ARNm COVID-19 [215-218], et le niveau élevé de PD-L1 pourrait jouer un rôle dans ce contexte.

    D’autres facteurs liés au potentiel oncogène et à l’hyper-progression tumorale des vaccins COVID-19 ont fait l’objet de recherches intensives. Une étude récente d’Angues et Bustos explore la capacité hypothétique des vaccins COVID-19 à activer des mécanismes biologiques susceptibles de créer collectivement un micro-environnement propice à la progression du cancer, soit en accélérant la maladie macroscopique existante, soit en réveillant des micro-métastases dormantes [219]. Ces mécanismes sont principalement liés à l’activité pro-inflammatoire de la protéine S et des LNP, les perturbations de la capacité de l’organisme à générer de l’interféron de type I et les perturbations de la régulation des micro-ARN cellulaires causées par la structure altérée de l’ARNm dans les vaccins [219]. En outre, les vaccins à ARNm COVID-19 provoquent des concentrations élevées d’interleukine-17 (IL-17) et une régulation à la hausse des Th17, perturbant ainsi l’immunité Th1-Th2, aggravant l’état inflammatoire chronique des patients cancéreux et amplifiant encore la croissance et la progression des tumeurs [220-222].

    RépondreSupprimer
  83. Base immunologique de l’inefficacité du vaccin

    L’objectif biomédical de la vaccination par l’ARNm COVID-19 est essentiellement double : (1) renforcer les défenses immunitaires de l’organisme contre l’infection par le SRAS-CoV-2 et (2) réduire le risque de maladie grave et ses conséquences. Après injection intramusculaire du produit ARNm, l’ARNm codant pour la protéine S est délivré via les LNP aux cellules humaines qui génèrent des protéines S et/ou des antigènes apparentés qui ressemblent à ceux présents à la surface du coronavirus [25]. Ces antigènes stimulent alors la production de cellules T et B mémoires, ces dernières produisant ensuite des anticorps qui se lient à des épitopes spécifiques du virus. Par conséquent, si une personne vaccinée rencontre le SRAS-CoV-2, son système immunitaire mettra en place une réponse immunitaire adaptative robuste à court terme, réduisant théoriquement la gravité de l’infection. Cette réduction des symptômes du COVID-19 représente le bénéfice clinique escompté de ces produits biologiques.

    L’explication ci-dessus évoque toutefois une déconnexion immunologique entre les effets systémiques de la vaccination COVID-19 et la protection naturellement assurée par l’immunité de la muqueuse pulmonaire. Le SRAS-CoV-2 est avant tout un virus aéroporté qui pénètre dans le corps humain par les voies respiratoires supérieures. Ainsi, la première rencontre du système immunitaire avec l’agent pathogène se produit généralement dans les voies nasales et les amygdales, provoquant la production d’anticorps IgA sécrétoires dans la salive, le liquide nasal, les larmes et d’autres sécrétions dans les quatre jours suivant l’exposition initiale [223]. Le virus est alors confiné avec succès dans les voies respiratoires supérieures, ce qui entraîne une infection asymptomatique ou des symptômes bénins tels qu’une toux ou un éternuement [223]. La combinaison d’IgA sécrétoires et de cellules T résidentes activées dans les muqueuses peut stopper complètement l’infection, plutôt que de la limiter et d’atténuer les symptômes de la maladie [224]. En outre, d’après des études sur le SARS-CoV (prédécesseur présumé du SARS-CoV-2), l’immunité cellulaire qui accompagne l’infection respiratoire initiale peut persister jusqu’à 17 ans, même en l’absence d’une composante humorale détectable [225]. Dans une recherche impliquant des participants humains qui ont consenti à être exposés au virus de la grippe H1N1, les IgA muqueuses préexistantes ont fourni une meilleure protection contre la maladie grave que les IgG systémiques [226], ce qui suggère que des titres élevés d’IgG en circulation pourraient ne pas être en corrélation avec une protection solide. La muqueuse pulmonaire produit un ensemble de facteurs immunitaires innés (par exemple, le complément, les protéases, la lactoferrine et les peptides antimicrobiens) qui agissent en synchronisation avec les anticorps sécrétoires (sIgA et sIgM) pour limiter l’entrée des microbes et des particules étrangères (227). Au cours de l’infection, les neutrophiles sont les principaux acteurs de la réponse, libérant de l’IL-8 et de l’élastase pour favoriser le recrutement de cellules tueuses naturelles, de monocytes et d’éosinophiles dans la circulation [227].

    RépondreSupprimer
  84. Dans ce contexte immunologique, on peut raisonnablement supposer que l’immunité naturelle des muqueuses contre le SRAS-CoV-2 et d’autres virus respiratoires peut typiquement conduire à une protection plus complète et plus durable que les réponses immunitaires systémiques provoquées par les vaccins COVID-19. Alors que l’infection par le SRAS-CoV-2 induit des réponses immunitaires à la fois muqueuses et systémiques, les vaccins ARNm COVID-19, tels qu’ils sont actuellement administrés, sont inefficaces pour ce qui est d’induire une immunité muqueuse [227,228]. Les avantages présumés de l’immunité induite par le vaccin sont en outre contrebalancés par les risques d’EIG évoqués précédemment. On ne saurait trop insister sur le fait que ces risques concernent l’ensemble de la population, dont la grande majorité a la capacité d’éliminer le SRAS-CoV-2 sans souffrir d’une morbidité grave ou d’un décès prématuré.

    Lorsque les autorités fédérales [US] ont déclaré que les vaccins à ARNm COVID-19 étaient « sûrs et efficaces », elles ont souvent ajouté que les produits étaient « efficaces à 95 % contre l’infection ». Néanmoins, des études ultérieures ont montré que tout bénéfice protecteur était de courte durée, l’immunité disparaissant après quelques mois seulement [229,230]. Cette perte d’efficacité s’accentue avec les rappels successifs [231]. Ce phénomène s’explique logiquement. Tout d’abord, en raison de l’évolution virale, les variants du SRAS-CoV-2 mutent constamment, et de nombreuses mutations se sont produites dans la protéine S, la cible prévue pour les anticorps neutralisants. Ces mutations, principalement concentrées à proximité du domaine de liaison au récepteur (RBD), créent des opportunités constantes pour la génération de nouveaux variants d’échappement (c’est-à-dire ceux qui échappent aux anticorps neutralisants), permettant ainsi l’évasion immunitaire lors des vaccinations ultérieures. Deuxièmement, la confrontation avec de nouveaux antigènes sur des variants d’échappement est associée au « péché antigénique originel », c’est-à-dire à la production d’anticorps à réaction croisée qui peuvent ne pas être efficaces contre le nouvel antigène ou le nouveau pathogène en raison d’une exposition antérieure à des souches prédécesseurs [232,233].

    Bien que la neutralisation croisée soit un événement rare, la réactivité croisée dans la liaison des anticorps à la protéine S est fréquente dans le contexte de l’infection par le SRAS-CoV-2 [234]. En outre, d’autres recherches indiquent un certain degré de réactivité croisée entre les coronavirus saisonniers et le SARS-CoV2 [235].

    Lorsque le système immunitaire s’habitue à des variants préexistants du SRAS-CoV-2, la réponse des anticorps aux variants actuels et dominants se réduit progressivement. Ce phénomène d’imprégnation a été démontré à la fois pour l’infection naturelle et pour la vaccination par COVID-19 [236]. Une étude pilote réalisée en 2021 a révélé une forte augmentation des réponses humorales chez les personnes naïves au SRAS-CoV-2 après chaque dose de BNT162b2, alors que les personnes précédemment infectées présentaient de fortes réponses humorales à la première dose de l’injection d’ARNm, mais des réponses atténuées à la deuxième dose [237]. L’empreinte immunitaire a également été identifiée comme le facteur sous-jacent contribuant à la diminution imprévue de l’efficacité du vaccin bivalent COVID-19 car « le système immunitaire des personnes vaccinées avec le vaccin bivalent, qui avaient toutes été vaccinées auparavant, a été préparé à réagir à la souche ancestrale du SRAS-CoV-2 » [238].

    RépondreSupprimer
  85. Une partie au moins de la base immunologique de l’échec du vaccin COVID-19 peut être résumée comme suit. La protéine S du SRAS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2, ce qui crée un scénario dans lequel une forte pression immunitaire sélective incite le gène S à muter et à développer des mécanismes d’échappement viral. Étant donné que la majorité des vaccins contre le SRAS-CoV-2 sont conçus à partir de la séquence de la protéine S de la souche initiale de Wuhan, ces mutants d’échappement peuvent effectivement échapper aux réponses immunitaires déclenchées par ces vaccins. Cela réduit l’efficacité de toutes les injections ultérieures de produits ARNm utilisant la séquence originale de la protéine S [236,239,240]. Les inoculations périodiques d’ARNm COVID-19 peuvent avoir un impact négatif sur l’écologie virale et encourager l’émergence continue de variants échappant au système immunitaire (c’est-à-dire des variants échappant à la pression sélective par mutation) qui finissent par rendre les vaccins inefficaces. De tels rendements décroissants ont été observés dans les études de la Cleveland Clinic évoquées plus haut dans le présent document [99,100]. En outre, les rappels continus sont susceptibles de provoquer un dysfonctionnement immunitaire, diminuant ainsi la protection antivirale et microbienne tout en favorisant les maladies auto-immunes et l’accélération de la progression du cancer.

    Étant donné les changements génétiques en cours dans le SRAS-CoV-2, dus à la fois à l’évolution virale naturelle et à la pression sélective sur le système immunitaire induite par la vaccination, il est probable que des vaccinations fréquentes contre l’ARNm COVID-19 devront être administrées dans les années à venir pour lutter contre les nouveaux variants dominants. Cependant, l’empreinte immunitaire mentionnée ci-dessus pourrait limiter la capacité à obtenir une protection solide et pourrait potentiellement faciliter la transmission virale même avec une vaccination à l’échelle de la population [239]. L’évasion immunitaire par de variants nouveaux ou émergents du SARS-CoV-2 chez les personnes vaccinées contre les anciens variants se poursuivra indéfiniment, en raison de la réactivité croisée des anticorps et de l’imprégnation immunitaire.

    De manière quelque peu ironique, la capacité des vaccins à ARNm à perpétuer l’émergence de nouvelles variantes tend également à donner l’impression au grand public qu’une nouvelle série de rappels est nécessaire. Ceci, à son tour, met en place un cycle sans fin de variant d’évasion au vaccin, une boucle de rétroaction par laquelle les mesures prises pour résoudre le problème (plus de vaccinations) contribuent par inadvertance à l’inefficacité continue. Les mutations de la protéine S du virus offrent une résistance aux réponses des anticorps, et ce processus de sélection sous-tend le phénomène plus large de l’émergence de nouveaux variants dominants [241-243]. Les inoculations massives d’ARNm entraînent la sélection naturelle de variants hautement infectieux du SARS-CoV-2 qui échappent à l’immunité induite par la vaccination, ce qui conduit à une augmentation spectaculaire de la prévalence de ces variants [108].

    RépondreSupprimer
  86. En résumé, l’émergence à grande échelle de variants dominants est une réponse adaptative à la pression de sélection exercée par la campagne de vaccination de masse, une réponse encore renforcée chez les personnes immunodéprimées [244]. Il est important de noter que les mutants échappant à l’immunité se développent principalement chez les personnes vaccinées, et non chez les personnes non vaccinées [245,246][241,242]. Les mécanismes qui sous-tendent le dysfonctionnement immunitaire induit par les vaccins (voir la section précédente) contribuent encore davantage à l’inefficacité. Les principaux facteurs impliqués dans l’inefficacité du vaccin à ARNm COVID-19 sont résumés dans la figure 6 [247].

    - voir schéma sur site -

    FIGURE 6 : Facteurs contribuant à l’inefficacité du vaccin à ARNm COVID-19
    Les vaccins COVID-19 peuvent perdre de leur efficacité en partie en induisant des mutations du SARS-CoV-2 qui conduisent à de nouveaux variants d’échappement immunitaire, ce qui limite en fin de compte la protection vaccinale contre les infections ultérieures par le coronavirus. Des injections périodiques d’ARNm COVID-19 pourraient déclencher une série de mécanismes associés à un dysfonctionnement immunitaire (principalement dû à une subversion de l’immunité innée), entraînant un risque accru de cancers, d’infections et de troubles auto-immuns.

    Discussion

    Dans cette analyse, nous examinons d’autres récits fondés sur une évaluation directe des données disponibles et des études publiées. Ce faisant, notre intention est de favoriser la transparence, la confiance et la prise de décision éclairée, en veillant à ce que les questions légitimes du public concernant la sécurité du vaccin COVID-19 soient prises en compte. Cette approche contribue non seulement au discours actuel sur la sécurité, mais ouvre également la voie à l’amélioration des stratégies de santé publique à l’avenir. Les implications éthiques de notre enquête concernent les inégalités épidémiologiques : alors que le COVID-19 a principalement touché les immunodéprimés, les personnes âgées et les personnes souffrant de multiples comorbidités, les vaccinations COVID-19 peuvent avoir un impact négatif sur des personnes de tous âges, non seulement sur les personnes âgées fragiles (le sous-groupe le plus vulnérable), mais aussi sur les personnes jeunes et relativement saines, dont la plupart ont un risque quasi nul de conséquences graves dues au COVID-19 [40]. Lorsque nous examinons la probabilité d’effets secondaires plus fréquents résultant d’interactions entre la vaccination par l’ARNm anti-COVID-19 et les infections ultérieures par le SRAS-CoV-2, il est important de garder à l’esprit que les infections du sous-variant Omicron qui ont été dominantes depuis le début de l’année 2022 suivent une évolution bénigne et sont invariablement non létales [248]. En outre, alors que les infections sont par nature involontaires et accidentelles, les injections d’ARNm sont un choix dont les répercussions peuvent être mortelles.

    Le rôle essentiel des essais cliniques randomisés contre placebo dans l’évaluation de l’efficacité des vaccins et d’autres interventions est reconnu depuis longtemps par les communautés médicales et de santé publique. La valeur des essais contrôlés bien conçus a été soulignée dans un rapport du groupe d’experts ad hoc de l’OMS sur les prochaines étapes de l’évaluation du vaccin COVID-19, publié en janvier 2021 [249]. Garantir la crédibilité des résultats observés, en particulier dans le contexte de nouveaux médicaments expérimentaux tels que les produits ARN modifié-LNP, implique un processus méticuleux d’affectation aléatoire des sujets répondant à divers critères au groupe traitement ou placebo.

    RépondreSupprimer
  87. La randomisation permet non seulement d’établir une base de comparaison, mais aussi d’attribuer plus facilement toute différence de résultats à l’intervention elle-même. Le contrôle par placebo minimise les risques de conclusions erronées sur les effets de l’intervention. Bien qu’elles soient des outils précieux pour détecter les signaux de sécurité, les bases de données nationales de surveillance de la santé telles que VAERS et Yellow Card ne répondent pas aux normes rigoureuses établies par les essais contrôlés, ce qui souligne la nécessité de cette approche pour l’évaluation des interventions médicales et de santé publique.

    Rétrospectivement, la révélation la plus inquiétante des essais d’homologation qui ont conduit à l’EUA n’était pas la surestimation apparente de l’efficacité à 95 %, mais plutôt l’indication dans ces essais que les vaccins comportaient un risque significatif d’effets secondaires graves et de décès prématuré, même parmi un groupe de participants relativement sains. Sur la base des résultats élargis de l’essai Pfizer, notre estimation des personnes-années a donné une augmentation de 31 % de la mortalité globale chez les personnes vaccinées, ce qui constitue une tendance claire dans la mauvaise direction. En outre, l’analyse de Fraiman et al. a montré un risque significativement plus élevé de 36 % d’effets secondaires graves (y compris des décès et de nombreuses affections potentiellement mortelles) dans le groupe vacciné dans le cadre de l’essai Pfizer [50]. L’analyse de Michels et al. a révélé une multiplication par près de quatre des EIG cardiovasculaires chez les sujets de l’essai Pfizer ayant reçu l’injection de BNT162b2 par rapport au placebo, un fait qui n’a jamais été porté à la connaissance du public au moment de la mise en œuvre du vaccin en décembre 2020 [54].

    En dépit de ces graves préoccupations, le produit Moderna a présenté des effets indésirables encore plus fréquents que son homologue de Pfizer [116-120,135]. Les deux produits ARNm ont été associés à des risques accrus d’accident vasculaire cérébral ischémique, d’hémorragie cérébrale, de syndrome coronarien aigu et d’autres affections connues pour réduire l’espérance de vie.

    Dans ce contexte et, en particulier, compte tenu de la NNV élevée (~52 000 vaccinations nécessaires pour prévenir un décès dû au COVID-19), le raisonnement qui sous-tend la décision de la FDA de déclarer les vaccins à ARNm anti-COVID-19 « sûrs et efficaces » pour une distribution mondiale après seulement 20 semaines d’observation semble pour le moins douteux. En effet, on aurait pu s’attendre à ce que les vaccins à ARNm anti-COVID-19 soient retirés du marché après la révélation par l’étude Fraiman d’un EIG sur 800. Le vaccin contre la grippe porcine de 1976 a été retiré du marché après avoir été associé au syndrome de Guillain-Barré à un taux d’environ un sur 100 000 [250]. Le vaccin contre le rotavirus Rotashield a été retiré du marché à la suite de rapports faisant état d’une intussusception dans un ou deux cas sur 10 000 vaccinés [251]. Dans le cas des vaccins à ARNm, l’équipe de Fraiman a communiqué ses résultats préliminaires à la FDA et à l’EMA. Les responsables des deux agences ont rencontré l’équipe et lui ont fait part de leurs commentaires, ce qui a permis de réviser l’analyse [50]. Néanmoins, les organismes de réglementation n’ont pris aucune mesure pour avertir le public et restreindre l’accès aux injections.

    RépondreSupprimer
  88. Dans le même ordre d’idées, l’analyse médico-légale de Michels et al. a mis en évidence de graves lacunes dans les méthodes utilisées par la FDA, le CDC et le NIH pour le développement et l’évaluation de la sécurité et de l’efficacité des nouveaux produits pharmaceutiques [54]. Les auteurs ont conclu que « la décision d’approuver le vaccin à ARNm BNT162b2 par la FDA américaine et d’autres organismes de réglementation internationaux n’était pas une décision éclairée fondée sur une évaluation impartiale, approfondie et transparente des preuves destinées à démontrer que ce vaccin répondait aux critères d’un moyen « sûr et efficace » de lutte contre la pandémie de COVID-19 » [54]. Pfizer avait la responsabilité éthique de divulguer de manière proactive toute nouvelle information susceptible d’influer sur le processus décisionnel de la FDA. Le fait qu’elle ne l’ait pas fait a été factuellement trompeur. Inversement, il est raisonnable de penser que tous les participants à la réunion du VRBPAC auraient dû savoir que les données de mortalité de l’essai du 14 novembre 2020 étaient devenues obsolètes. Fait remarquable, aucun membre du VRBPAC ne s’est enquis des mises à jour concernant les EI survenues entre la date d’arrêt des données de l’EUA (14 novembre 2020) et la date de la réunion (10 décembre 2020) [54].

    Selon un document confidentiel de 393 pages demandé par l’EMA et publié en août 2022 [114], Pfizer avait alors documenté environ 1,6 million d’EI couvrant presque tous les systèmes organiques [114, 252,253]. Un tiers des EI ont été classés comme graves. Parmi les nombreuses découvertes, on compte 3 711 tumeurs, 264 catégories de troubles vasculaires (73 542 cas au total), plus de 100 000 troubles sanguins et lymphatiques, 127 000 troubles cardiaques (dont 270 catégories de lésions cardiaques en plus de la myocardite et de la péricardite), 77 000 troubles psychiatriques (dont les psychoses, la dépression, le suicide et les comportements suicidaires) et des centaines de catégories de troubles neurologiques (696 508 cas au total), dont beaucoup sont considérés comme très rares, ce qui indique clairement qu’il existe des risques graves. Ces estimations offrent un contraste frappant avec le document officiel de la FDA intitulé « Summary Basis for Regulatory Action » daté du 8 novembre 2021, dans lequel le comité d’examen a voté l’approbation du produit Pfizer-BioNTech [56]. Toute la section « Risk-Benefit Assessment » du rapport consiste en une seule phrase : « Compte tenu des données soumises pour étayer l’innocuité et l’efficacité de COMIRNATY qui ont été présentées et discutées dans ce document, ainsi que de la gravité de COVID-19, le comité de révision est d’accord pour dire que le rapport risques/bénéfices de COMIRNATY est favorable et soutient l’approbation de l’utilisation chez les personnes âgées de 16 ans et plus » [56].

    RépondreSupprimer
  89. Les analyses internationales de la surmortalité indiquent que les vaccinations COVID-19 pourraient avoir eu de graves conséquences à grande échelle. Dans une étude minutieuse des vaccinations de masse dans toute l’Europe en 2021-2022, Aarstad et Kvitastein ont analysé l’interaction potentielle entre la couverture vaccinale COVID-19 en 2021 dans toute l’Europe et la surmortalité mensuelle subséquente jusqu’en 2022 [254]. À l’aide d’un ensemble de données bien sélectionnées englobant 31 pays, les auteurs ont appliqué des analyses pondérées en fonction de la population et ont constaté ce qui suit : (a) les augmentations de la mortalité toutes-causes au cours de la période initiale de neuf mois de 2022 étaient positivement corrélées avec les augmentations de la distribution de la vaccination en 2021 ; et (b) chaque point de pourcentage d’augmentation de la couverture vaccinale en 2021 était associé à une augmentation de 0,105% (95%CI 0,075-0,134) de la mortalité mensuelle au cours de l’année 2022. Une analyse écologique approfondie et multi-pays réalisée par Rancourt et ses collègues a permis d’estimer que la vaccination contre le virus de la COVID-19 entraînait 17 millions de décès en excès, avec un taux mondial de létalité par dose vaccinale (vDFR) d’environ 0,1 % [251]. Le rapport de 180 pages de Rancourt a montré que l’introduction du vaccin COVID-19 a été suivie de manière synchronisée par des pics de mortalité toutes causes confondues dans de nombreux pays [255,256].

    Alors que la plupart des vaccinés présentent un risque extrêmement faible d’hospitalisation et de décès, ils sont confrontés à un risque relativement élevé d’EIG (un EIG pour 800 injections) après la vaccination par l’ARNm COVID-19 [50]. Cette dichotomie inquiétante est plus prononcée dans le contexte des programmes de vaccination des enfants, bien qu’en fait tous les âges inférieurs à 40 ans présentent des IFR proches de zéro. Pezzullo et al. ont calculé des IFR médians de 0,0003 % pour les 0-19 ans, de 0,002 % pour les 20-29 ans et de 0,011 % pour les 30-39 ans [40]. Comme indiqué précédemment, les taux de mortalité chez les enfants ont été extrêmement faibles, même dans les pays ayant connu une surmortalité pendant la pandémie [43], et le fait d’autoriser les enfants à aller librement à l’école, comme cela a été le cas en Suède, n’a entraîné aucun décès dû à la COVID-19 dans ce groupe d’âge plus jeune [44]. Compte tenu de ce risque très faible pour les enfants, nous devons rejeter la politique consistant à administrer un vaccin expérimental à ces groupes d’âge. Contre le sous-variant Omicron (alors dominant), BA.5, les vaccins bivalents à ARNm n’ont été testés que sur huit souris, jamais sur l’homme [257]. Suite à cette autorisation, le célèbre vaccinologue Paul Offit, membre du VRBPAC, a écrit : « Nous devrions cesser d’essayer de prévenir toutes les infections symptomatiques chez les jeunes gens en bonne santé en leur administrant des vaccins contenant de l’ARNm provenant de souches qui pourraient disparaître quelques mois plus tard » [237]. D’après les meilleures données disponibles, les risques potentiels de ces inoculations d’ARNm ont toujours été supérieurs aux avantages pour les jeunes générations [258,259]. La prise en compte d’un calcul dommage/récompense pèse lourdement sur des facteurs tels que les lymphomes [215-218] et de lésions cardiaques [57-63] dans ces groupes d’âge plus jeunes. En ce qui concerne les risques cardiaques, des études prospectives avec des évaluations minutieuses des lésions myocardiques potentielles ont montré que le risque de myocardite chez les jeunes personnes ambulatoires est d’environ 2,5 % (2 500 pour 100 000 receveurs) pour le Pfizer ou le Moderna après la deuxième ou la troisième injection [260,261]. Le risque de myocardite de 2,2 % chez les adolescents après l’injection de l’ARNm est environ 37 fois supérieur au risque associé à l’infection par le SRAS-CoV-2 (0,06 %) dans ce même groupe d’âge [260,262]. Compte tenu de ces estimations, il n’y a aucune raison valable de vacciner ce groupe d’âge.

    RépondreSupprimer
  90. La figure 7 présente un graphique basé sur les rapports de myocardite dans les données domestiques VAERS au 29 septembre 2023, qui donne une indication de la gravité de cette situation. Tous les rapports de myocardite sont représentés en fonction de l’âge et de la dose (dose 1 (rose), dose 2 (vert) et dose 3 (bleu)). Après la deuxième dose, le nombre de cas de myocardite a été multiplié par cinq chez les jeunes hommes de 15 ans. Indépendamment de l’âge, les cas de myocardite étaient plus fréquents après la deuxième dose, ce qui suggère un lien de causalité entre la myocardite et les inoculations d’ARNm anti-COVID-19. Les données présentées dans le tableau sont encore renforcées par une récente analyse de disproportionnalité des données VAERS, qui montre une association statistiquement significative entre les événements cardiovasculaires et les vaccinations par COVID-19 [263].

    - voir graph sur site -

    FIGURE 7 : Rapports de myocardite dans les données nationales VAERS au 29 septembre 2023, par âge et par dose(Dose 1 : rose, Dose 2 : vert, Dose 3 : bleu).
    Les données indiquent une multiplication par cinq des cas de myocardite après la deuxième injection de vaccin anti-COVID19 chez les jeunes hommes de 15 ans et, dans l’ensemble, les deuxièmes doses ont été associées à un plus grand nombre de cas de myocardite [263].

    Les impacts négatifs sur les segments les plus jeunes de la population ont également été reflétés par les rapports extraordinaires des compagnies d’assurance-vie américaines pour la seconde moitié de 2021. Selon les données de l’enquête Group Life, au cours des troisième et quatrième trimestres de 2021, la population générale des États-Unis a connu une augmentation de la mortalité de 32 %, contre 40 % pour la population Group Life (différence de 8 %) [264]. Les titulaires de polices d’assurance-vie de Group Life sont des adultes bien employés, jeunes et généralement en bonne santé, qui mouraient auparavant à un taux inférieur d’environ un tiers à celui de la population américaine, d’après une analyse de 2016 de la Society of Actuaries (SOA) [264]. La mortalité observée dans la cohorte Group Life en 2021 représente donc une inversion des tendances antérieures. Les excès de décès dans les données Group Life ont été déterminés en comparant les taux de décès moyens dans les données Group Life de la base de référence 2017-2019, corrigés de la saisonnalité et combinés avec les données des CDC. Entre le T2 et le T3, soit le début de la deuxième campagne de vaccination aux États-Unis, l’analyse SOA a montré une augmentation de 36 % de la surmortalité pour les 25-34 ans, de 50 % pour les 35-44 ans et de 52 % pour les 45-54 ans [264]. Ces chiffres représentent des augmentations colossales et sans précédent de la surmortalité pour la tranche d’âge 25-54 ans, avec une augmentation moyenne de 46 % (bien que la moyenne des pourcentages tende à masquer la gravité de l’impact sur des cohortes d’âge spécifiques) [264].

    RépondreSupprimer
  91. Comme indiqué plus haut, il s’agissait d’adultes plus jeunes et en très bonne santé, et il est donc illogique de suggérer que la COVID-19 a eu une influence substantielle sur la mortalité, en particulier compte tenu de l’IFR extrêmement faible associé aux tranches d’âge les plus jeunes. En effet, selon le rapport Group Life le plus récent, la surmortalité dans chaque groupe d’âge ne s’appliquait qu’aux décès « non-COVID-19 » ; il n’y avait pas de surmortalité directement attribuée à la COVID-19 [264]. Il est important de noter que l’augmentation de la surmortalité dans la tranche d’âge des 25-54 ans a également été associée à l’introduction de l’obligation de vaccination aux États-Unis pour le personnel militaire et hospitalier entre l’été et l’automne 2021 [265]. De mars 2021 à février 2022, il y a eu environ 61 000 décès en excès chez les Américains de moins de 40 ans, soit l’équivalent de toutes les vies de militaires américains perdues pendant la guerre du Vietnam [266]. Cette tragédie n’a jamais été rapportée par les principaux médias américains.

    Les répercussions sur la santé de ces risques cardiaques liés aux vaccins se manifestent sur la scène publique depuis 2021. Avant cette année-là, le nombre annuel moyen d’arrêts cardiaques sur le terrain pour les athlètes professionnels en Europe était de 29 ; ce nombre est passé à 283 par an, soit une multiplication par 10 environ, sur la base du taux annualisé d’arrêts cardiaques après la mise en place du programme de vaccination pour les joueurs actifs âgés de 35 ans [267]. Deux tiers des joueurs n’ont pas été réanimés [267]. Des recherches récentes suggèrent qu’il pourrait y avoir une base génétique (variants SCN5A) pour les morts subites survenant dans les sept jours suivant l’administration de la vaccination COVID-19 indépendamment du type de vaccin, du nombre de doses et des maladies sous-jacentes [268]. En identifiant les facteurs de risque génétiques (par exemple, les polymorphismes MTHFR) avant de recevoir le vaccin COVID-19, les risques de thrombo-embolie veineuse et d’autres lésions vasculaires liées à la vaccination peuvent être traités plus efficacement [269,270].

    Le Conseil mondial de la santé a exigé un moratoire immédiat sur ces nouveaux produits [164], notamment en raison de la contamination importante par l’ADN. À titre de précaution, nous approuvons les recommandations visant à retirer immédiatement les vaccins COVID-19 du calendrier de vaccination des enfants, à suspendre les rappels et à mener une enquête approfondie sur les fautes commises par l’industrie des vaccins et les agences de réglementation en ce qui concerne les évaluations de sécurité et les données issues des essais fondateurs. Il est contraire à l’éthique et inadmissible d’administrer un vaccin expérimental à un enfant qui a un risque quasi nul de mourir de la COVID-19 (IFR, 0,0003 %) mais un risque bien établi de 2,2 % de lésions cardiaques permanentes sur la base des meilleures données prospectives disponibles. Parmi les autres risques encourus par ces jeunes individus par ailleurs en bonne santé, citons les crises d’épilepsie, les cancers, les troubles auto-immuns et de nombreuses autres affections mortelles après la vaccination.

    RépondreSupprimer
  92. Un autre aspect pertinent de cette tragédie en cours est l’histoire non racontée de la réduction de l’espérance de vie. Dans de nombreux pays développés, les principales causes de réduction de l’espérance de vie (tabagisme, obésité, overdose d’opioïdes, homicides, suicides et mortalité infantile) sont les principales causes de décès prématuré à l’échelle de la population [271]. Néanmoins, il est également clair que plusieurs risques associés aux vaccinations COVID-19 peuvent se traduire par une mort prématurée à long terme. Chez les pauvres, la pneumonie bactérienne non traitée est une cause majeure de réduction de l’espérance de vie et peut être encore aggravée par la vaccination COVID-19 [272]. Les accidents vasculaires cérébraux et les myocardites associés aux vaccinations COVID-19 peuvent entraîner des décès prématurés des années après l’événement initial. Une étude longitudinale portant sur des patients ayant subi un accident vasculaire cérébral a montré que moins de 28 jours après le risque de décès était de 28 % ; ce chiffre est accru à 41 % après un an et à 60 % après cinq ans [273]. Des problèmes cardiaques et de coagulation non diagnostiqués peuvent persister de manière asymptomatique pendant des années. De multiples études d’autopsie fournissent des preuves définitives de graves lésions cardiaques après injection, y compris des arrêts cardiaques soudains et des morts subites, toutes associées aux vaccins à ARNm anti-COVID-19 [140]. Cependant, chez les adolescents de sexe masculin, la myocardite peut avoir une apparence clinique bénigne mais entraîner une fibrose cardiaque sévère (cicatrisation), avec des lésions permanentes du muscle cardiaque [274,275]. Ces lésions peuvent finalement conduire à une insuffisance cardiaque congestive et à la mort plusieurs années plus tard [276]. Les essais d’enregistrement étaient insuffisants pour détecter ces risques à long terme, dont la plupart ne sont devenus évidents qu’après 2,5 ans d’observation et plus d’un milliard d’injections d’ARNm.

    Le phénomène médicalement intraitable connu sous le nom de « COVID long » est également pertinent dans le cadre de cette discussion. Après la phase aiguë d’une infection par le SRAS-CoV-2, certaines personnes présentent des symptômes persistants tels que fatigue, brouillard cérébral, douleurs musculaires, difficultés respiratoires, picotements des extrémités et gêne au niveau de la poitrine et de la gorge pendant de longues périodes. C’est ce que l’on appelle le syndrome post COVID-19 aigu (PACS), une affection multifactorielle et multisystémique qui englobe la dysautonomie, l’encéphalite, le syndrome de fatigue chronique, le dysfonctionnement immunitaire, les anomalies cardiovasculaires et de coagulation, et qui a des répercussions sur de nombreux systèmes organiques [277].

    RépondreSupprimer
  93. Des types spécifiques de PACS peuvent être définis en fonction de la présentation des symptômes [278,279]. Il n’est pas surprenant qu’en raison du dénominateur commun entre l’infection et l’inoculation de l’ARNm (la protéine S), la vaccination anti-COVID-19 produise des symptômes à long terme qui partagent de nombreuses caractéristiques avec le PACS (280,281). L’affection peut être déclenchée par une réaction immunitaire excessive à la protéine S générée par le vaccin [282], qui persiste au moins six mois après l’injection [283]. Des protéines S associées au vaccin ont été trouvées chez des patients atteints de PACS [284,285]. Diexer et al. ont observé que 70 % des cas de PACS survenaient chez des personnes qui avaient reçu une vaccination complète anti-COVID-19, ce qui indique que les injections peuvent exacerber le PACS dans la plupart des cas [286]. Le groupe présentant le risque de PACS le plus faible était celui des personnes non vaccinées ayant contracté Omicron comme première infection. Ainsi, contrairement aux croyances populaires et aux messages véhiculés par les médias, les personnes vaccinées peuvent connaître des conséquences à long terme plus graves de la COVID-19 que les personnes non vaccinées. Plusieurs nouveaux syndromes associés aux inoculations d’ARNm ont été introduits et englobent des conditions très similaires au PACS : le syndrome post-vaccination COVID-19 (PCVS), le syndrome aigu de vaccination COVID-19 (ACVS) et le syndrome post syndrome aigu vaccinal COVID-19 (PACVS) [287]. Il a été proposé que la prochaine version des codes de diagnostic de la Classification internationale des maladies (CIM) intègre un nouveau code spécifique pour le « syndrome post-vaccination COVID-19, non spécifié » [287].

    Outre les conditions complexes liées au vaccin anti-COVID-19 évoquées ci-dessus, il est impératif, d’un point de vue bioéthique, d’examiner attentivement les autres conséquences des injections de rappel continues et répétées. D’une manière générale, ces conséquences peuvent être divisées en deux catégories : (1) les rendements décroissants après les injections en raison de divers effets immunosuppresseurs et de pressions sélectives extrinsèques qui finissent par accélérer l’évolution et la résistance virales ; et (2) les effets secondaires graves, notamment les souffrances profondes et les décès prématurés résultant principalement de troubles auto-immuns, neurologiques, malins et cardio-vasculaires. La prise en compte des impacts immunologiques potentiels des doses de rappel répétées sur l’évolution et la résistance du virus, ainsi que des risques de décès prématuré et d’autres effets secondaires graves, est cruciale pour une évaluation complète des risques et des avantages des vaccinations par l’ARNm anti-COVID-19, afin de prendre des décisions de santé publique en connaissance de cause.

    RépondreSupprimer
  94. Sur la base des recherches présentées dans cette revue narrative, la campagne mondiale de vaccination contre le virus COVID-19 doit être considérée comme une grave erreur médicale. Les erreurs médicales représentent une menace importante pour la sécurité personnelle et publique et constituent depuis longtemps une cause majeure de décès [288-290]. Les erreurs politiques et de décisions réglementaires ont été prises au plus haut niveau et probablement fortement influencées par des incitations financières. Les agences gouvernementales auraient dû prendre en considération toutes les alternatives raisonnables de traitement de substitution et se soustraire aux pressions de l’industrie médico-pharmaceutique plutôt que d’autoriser la distribution de vaccins génétiques expérimentaux à l’ensemble de la population. Si la FDA avait reconnu la multiplication par près de quatre des EIG cardiaques (y compris des décès) identifiés par la suite dans le groupe vacciné de l’essai Pfizer [54], il est peu probable que l’EUA aurait été accordée en décembre 2020. Une enquête approfondie sur le profil de sécurité à long terme du vaccin anti-COVID-19 est désormais nécessaire et urgente. Malgré les nombreuses révélations frappantes présentées dans cette revue, la plupart des pays développés continuent de préconiser l’adoption de rappels d’ARNm anti-COVID-19 pour l’ensemble de la population éligible. Les agences fédérales américaines continuent d’insister sur l’innocuité des vaccins pour réduire les maladies graves et les décès causés par le coronavirus, malgré l’absence d’essais randomisés, en double aveugle et contrôlés par placebo pour étayer ces affirmations. Cette situation témoigne d’une déconnexion déconcertante entre la pensée scientifique fondée sur des preuves et la politique de santé publique.

    RépondreSupprimer
  95. Conclusions

    Une évaluation attentive et objective de la sécurité du produit AERNm anti-COVID-19 est cruciale pour le respect des normes éthiques et la prise de décision fondée sur des données probantes. Notre analyse narrative des essais d’homologation et des suites de l’EUA permet de comprendre comment ces vaccins génétiques ont pu être mis sur le marché. Dans le contexte des deux essais clés, la sécurité n’a jamais été évaluée d’une manière conforme aux normes scientifiques précédemment établies, que ce soit pour les vaccins ou pour les GTP, la classification la plus précise de ces produits. De nombreux résultats clés des essais ont été soit mal rapportés, soit entièrement omis dans les rapports publiés. La FDA et les fabricants de vaccins ont contourné les protocoles habituels de tests de sécurité et les exigences toxicologiques, et l’arrêt prématuré des deux essais a empêché toute évaluation impartiale des effets secondaires potentiels en raison d’un délai insuffisant pour une évaluation correcte de l’essai. Ce n’est qu’après l’EUA que les graves conséquences biologiques de l’interruption des essais sont devenues évidentes, de nombreux effets secondaires cardiovasculaires, neurologiques, reproductifs, hématologiques, malins et auto-immuns ayant été identifiés et publiés dans la littérature médicale évaluée par des pairs. En outre, les vaccins à ARNm anti-COVID-19 produits par le procédé 1 et évalués lors des essais n’étaient pas les mêmes produits que ceux finalement distribués dans le monde entier ; tous les produits à ARNm anti-COVID-19 mis à la disposition du public ont été produits par le procédé 2 et il a été démontré qu’ils présentaient des degrés divers de contamination par l’ADN. Le fait que les autorités réglementaires n’aient pas divulgué jusqu’à présent les impuretés liées au processus (par exemple, le SV40) a encore accru les préoccupations concernant la sécurité et la surveillance du contrôle de la qualité des processus de fabrication des vaccins ARNm.

    Depuis le début de l’année 2021, la surmortalité, les événements cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et d’autres EIG ont souvent été attribués à tort à COVID-19 plutôt qu’aux vaccinations par l’ARNm anti-COVID-19. L’attribution erronée des EIG à la COVID-19 peut souvent être due à l’amplification des effets indésirables lorsque les injections d’ARNm sont suivies d’une infection par un sous-variant du SARS-CoV-2. Les lésions causées par les produits à ARNm sont similaires aux symptômes du Covid long et à la maladie aiguë sévère COVID-19, occultant souvent les contributions étiologiques des vaccins. Les injections de rappel multiples semblent provoquer un dysfonctionnement immunitaire, contribuant ainsi paradoxalement à accroître la susceptibilité aux infections COVID-19 avec des doses successives. Pour la grande majorité des adultes de moins de 50 ans, les avantages perçus des injections de rappel d’ARNm sont largement compensés par leurs inconvénients potentiels, qui peuvent être invalidants ou mettre la vie en danger. Les dommages potentiels pour les adultes plus âgés semblent également excessifs. Compte tenu des effets secondaires bien documentés et du rapport inacceptable entre les avantages et les inconvénients, nous demandons instamment aux gouvernements d’approuver et d’appliquer un moratoire mondial sur ces produits à base d’ARNm modifié jusqu’à ce que toutes les questions pertinentes relatives à la causalité, à l’ADN résiduel et à la production de protéines aberrantes aient trouvé une réponse.

    https://www.mondialisation.ca/comment-les-industriels-ont-dissimule-les-effets-indesirables-graves-des-vaccins-anti-covid/5687377?doing_wp_cron=1710141763.6673920154571533203125

    RépondreSupprimer
  96. Synthese: qu’avons nous appris en trois ans sur les injections ARNm covid ?


    le 10 mars 2024
    par pgibertie


    Très belle synthèse sur ce que nous avons appris en trois ans sur les injections ARN m . C’est de LAURENT MUCCHIELLI et c’est ici:

    https://qg.media/blog/laurent-mucchielli/comment-les-industriels-ont-dissimule-les-effets-indesirables-graves-des-vaccins-anti-covid

    La connaissance des vaccins ARNm et leur impact sur la santé a beaucoup évolué depuis 3 ans. On sait comment Pfizer et Moderna ont dissimulé les effets indésirables graves (décès, cancers, maladies reproductives, cardiaques, auto-immunes, hémato, neuro)

    Une évaluation attentive et objective de la sécurité du produit AERNm anti-COVID-19 est cruciale pour le respect des normes éthiques et la prise de décision fondée sur des données probantes. Notre analyse narrative des essais d’homologation et des suites de l’EUA permet de comprendre comment ces vaccins génétiques ont pu être mis sur le marché.

    Dans le contexte des deux essais clés, la sécurité n’a jamais été évaluée d’une manière conforme aux normes scientifiques précédemment établies, que ce soit pour les vaccins ou pour les GTP, la classification la plus précise de ces produits.

    De nombreux résultats clés des essais ont été soit mal rapportés, soit entièrement omis dans les rapports publiés. La FDA et les fabricants de vaccins ont contourné les protocoles habituels de tests de sécurité et les exigences toxicologiques, et l’arrêt prématuré des deux essais a empêché toute évaluation impartiale des effets secondaires potentiels en raison d’un délai insuffisant pour une évaluation correcte de l’essai.

    Ce n’est qu’après l’EUA que les graves conséquences biologiques de l’interruption des essais sont devenues évidentes, de nombreux effets secondaires cardiovasculaires, neurologiques, reproductifs, hématologiques, malins et auto-immuns ayant été identifiés et publiés dans la littérature médicale évaluée par des pairs.

    En outre, les vaccins à ARNm anti-COVID-19 produits par le procédé 1 et évalués lors des essais n’étaient pas les mêmes produits que ceux finalement distribués dans le monde entier ; tous les produits à ARNm anti-COVID-19 mis à la disposition du public ont été produits par le procédé 2 et il a été démontré qu’ils présentaient des degrés divers de contamination par l’ADN. Le fait que les autorités réglementaires n’aient pas divulgué jusqu’à présent les impuretés liées au processus (par exemple, le SV40) a encore accru les préoccupations concernant la sécurité et la surveillance du contrôle de la qualité des processus de fabrication des vaccins ARNm.

    Depuis le début de l’année 2021, la surmortalité, les événements cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et d’autres EIG ont souvent été attribués à tort à COVID-19 plutôt qu’aux vaccinations par l’ARNm anti-COVID-19.

    L’attribution erronée des EIG à la COVID-19 peut souvent être due à l’amplification des effets indésirables lorsque les injections d’ARNm sont suivies d’une infection par un sous-variant du SARS-CoV-2.

    RépondreSupprimer
  97. Les lésions causées par les produits à ARNm sont similaires aux symptômes du Covid long et à la maladie aiguë sévère COVID-19, occultant souvent les contributions étiologiques des vaccins. Les injections de rappel multiples semblent provoquer un dysfonctionnement immunitaire, contribuant ainsi paradoxalement à accroître la susceptibilité aux infections COVID-19 avec des doses successives.

    Pour la grande majorité des adultes de moins de 50 ans, les avantages perçus des injections de rappel d’ARNm sont largement compensés par leurs inconvénients potentiels, qui peuvent être invalidants ou mettre la vie en danger.

    Les dommages potentiels pour les adultes plus âgés semblent également excessifs. Compte tenu des effets secondaires bien documentés et du rapport inacceptable entre les avantages et les inconvénients, nous demandons instamment aux gouvernements d’approuver et d’appliquer un moratoire mondial sur ces produits à base d’ARNm modifié jusqu’à ce que toutes les questions pertinentes relatives à la causalité, à l’ADN résiduel et à la production de protéines aberrantes aient trouvé une réponse.

    https://pgibertie.com/2024/03/10/synthese-quavons-nous-appris-en-trois-ans-sur-les-injections-arnm-covid/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Dès l'apparition de la 'Piqûre de la mort' (film d'épouvante) en Décembre 2020, les flacons tout frais sortis des laboratoires des Petits Frères d'd'hitler ont été examinés par des scientifiques telles que les Dr Astrid Stuckelberger en Suisse et Carrie Madej aux USA.

      La composition des flacons injectables est effrayantes !!
      Entre 95 et 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène !!
      + des spikes !!
      + des hydres !!
      + diverses maladies animales et (sources naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !!

      Mais, de cela... AUCUN 'professeur', 'docteur' ou 'scientifique' n'en a parlé !! pas plus bien sûr que les politichiens et leurs merdias.

      Supprimer
  98. Comme le dit si cinglant Pierre Kory, c’est la même personne qui a conçu les deux essais :

    « La raison pour laquelle le tableau ci-dessus est si puissant est que les deux conceptions d’essais ont été réalisées par le même chercheur principal dans la même « auguste » institution. Pourquoi des conceptions aussi discordantes ? Pourquoi Butler (remarquez mon refus de l'appeler professeur), lorsqu'il étudiait l'ivermectine, a-t-il utilisé une dose si faible à jeun pendant une durée si courte (aucun autre antiviral n'est jamais utilisé pendant moins de 5 jours), si tard dans la maladie (jusqu’à 14 jours ?), chez des patients plus légèrement malades ?

    Malgré le sabotage, Epoch Times rapporte que les patients traités à l'ivermectine sont décédés à un taux inférieur de moitié :

    Les personnes qui ont été testées positives pour le COVID-19 et ont pris de l’ivermectine comme traitement se sont rétablies plus rapidement qu’un groupe témoin…

    Le temps de récupération auto-déclaré était en moyenne de deux jours plus rapide parmi les receveurs d’ivermectine, selon la grande étude britannique.

    Les personnes ayant reçu de l'ivermectine étaient également moins susceptibles d'être hospitalisées ou de mourir, avec 1,6 pour cent des receveurs d'ivermectine étant hospitalisés ou mourant contre 4 pour cent du groupe de comparaison, qui a reçu des soins typiques, qui au Royaume-Uni sont largement axés sur la gestion des symptômes.

    Environ 2 000 personnes ont reçu de l'ivermectine (sous une sorte) et environ 3 000 ont reçu un « traitement habituel ». 11 personnes sont décédées dans le groupe de traitement normal, mais seulement 2 sont décédées après avoir reçu de l'ivermectine.

    Le plus grand crime a été que pendant trois ans, les gens se sont vu refuser le meilleur traitement possible.

    Jeux statistiques
    Pollution des communications, médias,

    Comme le souligne Pierre Kory, les résultats devaient être si bons qu’il était impossible de les publier. Apparemment, ils ont soudainement dû prolonger l'essai sur une année entière et créer une excuse sur le fait que l'ivermectine n'avait pas atteint une barre de rapport de risque arbitraire qu'ils avaient fixée a posteriori.

    RépondreSupprimer
  99. Kory remarque que dans leurs résultats sur le « temps jusqu'à la récupération », la probabilité que l'ivermectine soit supérieure était > 0,999. Pourtant, leur conclusion était qu’« il est peu probable que l’ivermectine fournisse un traitement cliniquement significatif » (surtout si vous voulez garder les hôpitaux pleins, n’est-ce pas ?). De plus, ils disent que cela ne vaut pas la peine de faire davantage d’essais. (Les grandes sociétés pharmaceutiques en seront ravies).

    La nouvelle « barre de risque » qu’ils ont inventée est de la chicane :

    Les auteurs ont donc conclu qu’il était peu probable que cette découverte fournisse un résultat cliniquement significatif ? Quoi? Je veux être bref ici, mais il s’agit d’une supercherie statistique – pour étayer cette affirmation, ils ont institué une barre presque impossible à franchir, celle d’un « niveau de risque pré-spécifié qui doit être supérieur à 2,0 ». Je n'en ai jamais entendu parler. Un rapport de risque n’a pas besoin d’un niveau prédéfini. Si le HR est > 1,0 et qu’il est statistiquement significatif, il s’agit d’un résultat robuste. Le FC pour l’ivermectine était statistiquement significatif de 1,15 ! Mais ce n'était pas 2.0, alors .. rejeter le résultat ? Peu importe.

    Ouah. juste wow. Une autre façon de dire ce qui précède est qu'ils ont littéralement conçu le seuil statistique d'efficacité de telle manière que, même si l'ivermectine s'avérait efficace (ce qu'ils ont découvert), si ce n'était pas le cas, je suis (arbitraire) « une ampleur extrêmement importante. » d’efficacité, il ne faut pas le recommander ou le penser efficace. Quoi? —Pierre Kory

    Malgré les efforts extraordinaires déployés, l’ivermectine a quand même aidé. Imaginez ce qu’il aurait pu faire s’il avait été utilisé correctement ?

    Dans une autre étude réalisée au Brésil, l'ivermectine réduit les décès de 92 % pour 10 cents par semaine. Cela aurait pu en sauver beaucoup…

    Ivermectin Trials, Studies.

    c19ivm.org

    REFERENCE
    Hayward et al (2024) Ivermectin for COVID-19 in adults in the community (PRINCIPLE): an open, randomised, controlled, adaptive platform trial of short- and longer-term outcomes, Journal of Infection on Feb. 29 2024.

    https://joannenova.com.au/2024/03/people-who-used-ivermectin-get-better-faster-and-were-much-less-likely-to-die/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Non, l'ivermectine ne guérit pas, n'élimine pas les nano-particules d'oxyde de graphène injectées, ni ne combat les hydres, les spikes ni n'efface diverses maladies animales: tout-au-plus elle réduit les souffrance, elle calme mais ELLE N'EST PAS UN ANTI-POISON !
      La personne qui s'est faite inoculer demeure une inoculée.

      Supprimer
  100. Les données sur le changement climatique sont basées sur la FRAUDE, et les scientifiques du monde entier s’opposent à ce récit.


    03/12/2024
    Lance D Johnson


    Dans une tentative de sauver le monde du « changement climatique », le gouvernement des États-Unis dépense des milliards de dollars dans de multiples projets qui s’appuient sur des tactiques de marketing malhonnêtes, des stratagèmes de blanchiment d’argent, des délits d’initiés et un capitalisme de copinage. À l’origine de l’hystérie liée à la crise climatique se trouve la FRAUDE des données, et les scientifiques du monde entier s’opposent au discours sur le changement climatique.
    Les scientifiques détectent des failles dans la collecte de données sur la température mondiale
    Les gouvernements du monde entier luttent contre un problème fictif qui est complètement disproportionné par rapport aux problèmes réels auxquels les gens sont confrontés. Pour aggraver les choses, le régime Biden adhère au dogme et s’appuie sur son dernier rapport d’évaluation nationale du climat pour affirmer que les activités humaines accélèrent le réchauffement climatique. Les politiques émanant de Washington cherchent à restreindre, contrôler ou moduler les activités humaines à grande échelle pour sauver la planète des changements de température qui échappent de toute façon à notre contrôle.

    Le rapport National Climate Assessment (basé sur un programme biaisé et alimenté par les intérêts des entreprises multinationales) utilise la fraude aux données pour alimenter l’hystérie du changement climatique. Le rapport indique que les émissions anthropiques de « gaz à effet de serre » comme le gaz carbonique provoquent une température dangereusement élevée de la Terre. L’EPA des États-Unis et le IPCC partagent ce point de vue, et leurs dirigeants font pression pour des changements politiques mondiaux majeurs pour lutter contre ce phénomène. Mais des scientifiques du monde entier, dans diverses disciplines, ripostent. Ces scientifiques citent des études évaluées par des pairs qui montrent des failles dans les données sur la température mondiale. Certains des problèmes liés aux données de température incluent le manque de données géographiques et historiques, la chaleur des zones urbaines contaminant les enregistrements et la corruption des données due à un processus connu sous le nom d'« homogénéisation ».

    Selon trois scientifiques indépendants du Centre de recherche environnementale et des sciences de la Terre (CERES), ces défauts de données sont si graves qu'ils rendent les données de température – et les modèles qui en dépendent – inutiles. Si l’on considère la corruption des données, la prétendue « crise climatique » disparaît. Alex Newman d'Epoch Times couvre cette corruption de manière très détaillée. Les activités humaines ne sont pas responsables de ces changements de température. Les politiques qui cherchent à contrôler l’activité humaine sont de nature totalitaire et fondées sur la fraude et l’hystérie.

    « L’activisme climatique est devenu la nouvelle religion du 21e siècle – les hérétiques ne sont pas les bienvenus et ne sont pas autorisés à poser des questions », a déclaré Willie Soon, fondateur et astrophysicien du CERES. « Mais une bonne science exige que les scientifiques soient encouragés à remettre en question le dogme du IPCC. La prétendue pureté des relevés de températures mondiales est l’un des dogmes les plus sacrés du IPCC.»

    RépondreSupprimer
  101. Les zones urbaines d’aujourd’hui sont utilisées pour fausser les données historiques de température
    CERES présente le cas selon lequel la variabilité naturelle du climat explique ce qui est observé. « Lorsque les gens posent des questions sur le réchauffement climatique ou le changement climatique, il est essentiel de se demander : « Depuis quand ? » Les données montrent que la situation s’est réchauffée depuis les années 1970, mais que cela fait suite à une période de refroidissement à partir des années 1940 », a-t-il déclaré.

    Lorsque l’on compare les données de température d’aujourd’hui à celles du 19e siècle, la planète semble s’être considérablement réchauffée ; cependant, mis en perspective, le XIXe siècle « a été exceptionnellement froid » et a été historiquement une mini-ère glaciaire. Pour cette raison, les températures du 21e siècle pourraient être considérées comme normales et les niveaux plus élevés de gaz carbonique pourraient être considérés comme plus propices à la régénération des plantes et à l’agriculture.

    En outre, les données historiquement recueillies à partir des stations de température rurales, des mesures océaniques, des ballons météorologiques, des mesures satellitaires, des cernes des arbres, des glaciers et des sédiments lacustres, « montrent que le climat a toujours changé », a déclaré M. Soon. Il a ajouté que le climat en dehors des villes n’est pas inhabituel. C’est la chaleur des zones urbaines qui fausse les données, et ce sont les sources de température qui sont extrapolées pour démontrer que le monde entier est en train de brûler. Mais ce n’est tout simplement pas le cas.

    « Si nous excluons les données sur la température urbaine qui ne représentent que 3 % de la planète, nous obtenons alors une image très différente du climat », a déclaré M. Soon.

    Pour les dernières nouvelles sur la fraude liée au changement climatique, consultez ClimateScienceNews.com

    Sources include:

    TheEpochTimes.com
    NCA2023.globalchange.com

    https://www.naturalnews.com/2024-03-12-climate-change-data-based-on-fraud.html

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Découverte extraordinaire que l'IPCC a vu... des changements de saisons !!! ÔH PUTAING !:!
      Il ferait plus froid en hiver qu'en été !! et (parce que ce n'est pas tout !!), il ferait plus froid le matin... qu'à midi !! ÔHÔH PITAING !! AAAAaappelez la polisse !!

      Supprimer
  102. Instabilité climatique dans le monde : l’armée américaine est-elle « propriétaire de la météo » ? « Armer la météo » comme instrument de guerre moderne ?

    Il y a trop de coïncidences et de contradictions.


    Par le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    4 août 2023


    Bien que les techniques de modification de l’environnement (ENMOD) soient à la disposition de l’armée américaine depuis plus d’un demi-siècle, il n’existe aucune preuve concrète que ces techniques aient été utilisées pour déclencher des conditions météorologiques extrêmes.

    Les vagues de chaleur de l'été 2022 accompagnées d'incendies de forêt dévastateurs en Europe occidentale, en Afrique du Nord, en Californie, en Inde, au Pakistan et dans la vallée chinoise du fleuve Yangtze ont simultanément affecté la vie de millions de personnes dans le monde , avec des conséquences sociales et économiques dévastatrices.

    " Le delta du fleuve Yangtze n'a jamais connu des températures aussi élevées depuis le début des relevés historiques , et des températures élevées comme celle-ci s'accompagnent de sécheresse",

    Selon des rapports d'août 2022, la production hydroélectrique quotidienne sur le Yangtsé a chuté de 51 % , entraînant la suspension de la production dans la région méga-industrielle de Chongqing, qui compte plus de 30 millions d'habitants.

    En mai 2022, le Pakistan figurait parmi les 23 pays les plus touchés au monde par une grave sécheresse et une désertification. Quelques mois plus tard, pendant la période de mousson, la vallée de l’Indus a connu la plus grave inondation de mémoire d’homme. Les précipitations dans les provinces du Sind et du Baloutchistan « étaient au moins sept fois supérieures aux quantités normales ».

    Le « changement climatique d'origine humaine » a été présenté avec désinvolture comme la cause des inondations au Pakistan qui « ont tué 1 508 personnes, inondé des millions d'acres de terre et touché 33 millions de personnes. Plus d’un demi-million de personnes se retrouvent sans abri. »

    C02 ? Causalité des événements météorologiques extrêmes
    S’il n’existe aucune preuve concrète que les vagues de chaleur et les inondations de 2022 aient été provoquées par les techniques ENMOD , la question de la manipulation du climat doit néanmoins être abordée et analysée.

    Des documents militaires américains ainsi que des rapports scientifiques confirment que les « techniques de modification de l’environnement » (ENMOD) sont pleinement opérationnelles.

    D’un autre côté, il n’existe aucune preuve solide , comme le soulignent les grands médias (citant régulièrement des climatologues faisant autorité), que ces conditions météorologiques extrêmes soient le résultat de ce qu’on appelle les « émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine ».

    Par ailleurs, il faut comprendre que ces émissions de gaz à effet de serre – qui seraient à l’origine du « réchauffement climatique » – sont utilisées comme prétexte et justification pour adopter des mesures drastiques et inutiles propices à la déstabilisation pure et simple de l’agriculture. Ces mesures ont été appliquées simultanément dans plusieurs pays. Elles s'inscrivent dans le cadre d'un « consensus climatique » qui consiste également à interdire l'utilisation des énergies fossiles.

    RépondreSupprimer
  103. La procédure sous-jacente est la suivante : « L' agenda climatique » (c'est-à-dire le réchauffement climatique) consiste à restreindre l'utilisation d'engrais en vue de « réduire les émissions d'azote » (par exemple aux Pays-Bas, dans l'ouest du Canada) . « au point qu’il est impossible pour les fermes de continuer à fonctionner. » Cela conduit à son tour à déclencher de vastes pénuries alimentaires ainsi que la famine.

    Il y a trop de coïncidences et de contradictions. Il faut s’attaquer aux causes des conditions météorologiques extrêmes. Une grande partie des informations sur l’utilisation d’ENMOD et ses impacts sont « classifiées ».

    L’affaire devrait faire l’objet d’une enquête intergouvernementale (sous les auspices de l’AGNU) menée conformément aux termes de la Convention internationale historique de 1977 ratifiée par l’Assemblée générale des Nations Unies interdisant « l’utilisation militaire ou autre utilisation hostile de techniques de modification de l’environnement ayant des conséquences néfastes sur l’environnement ». effets étendus, durables ou graves. (Voir AP, 18 mai 1977). Les États-Unis et l’Union soviétique étaient tous deux signataires de la Convention :

    ….Chaque État partie à la présente Convention s'engage à ne pas recourir à des fins militaires… à des techniques de modification de l'environnement ayant des effets étendus, durables ou graves comme moyens de destruction, de dommage ou de blessure envers tout autre État partie. ( Convention sur l'interdiction de l'utilisation militaire ou de toute autre utilisation hostile des techniques de modification de l'environnement, Nations Unies, Genève, 18 mai 1977. Entrée en vigueur : 5 octobre 1978, voir le texte intégral de la Convention en annexe)

    Pour lire le texte intégral de la Convention des Nations Unies, cliquez ici

    Il convient de noter qu'en février 1998, la commission des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense du Parlement européen a tenu des auditions publiques à Bruxelles sur le programme HAARP.(17) La « proposition de résolution » de la commission soumise au Parlement européen :

    « Considère que HAARP… en raison de son impact considérable sur l'environnement, constitue une préoccupation mondiale et demande que ses implications juridiques, écologiques et éthiques soient examinées par un organisme international indépendant… ; [le Comité] regrette le refus répété de l’administration américaine… de témoigner lors de l’audience publique… sur les risques environnementaux et publics [du] programme HAARP.

    RépondreSupprimer
  104. Guerre météorologique
    Les techniques de modification de l’environnement (ENMOD) constituent des instruments de « guerre météorologique ». Ils font partie intégrante de l’arsenal militaire américain.

    « La modification du temps fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires].

    Étude commandée par l'US Air Force : Weather as a Force Multiplier, Owning the Weather in 2025 , août 1996

    Il convient de noter qu'avec la fermeture du programme de recherche aurorale active à haute fréquence ( HAARP) en Alaska en 2014, l'Agence des projets de recherche avancée de défense (DARPA) du Pentagone a été activement impliquée dans la recherche ENMOD, dont la plupart sont classées . Dans un rapport scientifique de 2009 :

    Un groupe consultatif officiel de la Defense Advanced Research Projects Agency convoque [mars 2009] une réunion non classifiée… pour discuter de la géo-ingénierie,… La DARPA est la dernière d’un certain nombre d’agences officielles de financement scientifique ou de sociétés scientifiques de premier plan qui explorent cette idée controversée. …

    Par rapport au contexte actuel et notamment à la guerre en Ukraine , le Pentagone a formulé les contours d'un agenda militaire mondial, une « guerre longue », une guerre sans frontières. La « guerre météorologique » fait partie d’un arsenal militaire diversifié de systèmes d’armes conventionnelles et stratégiques. L'ENMOD est potentiellement une arme de destruction massive (ADM), capable de déstabiliser l'écosystème d'un ennemi, de détruire son agriculture et de désactiver les réseaux de communication.

    La manipulation météorologique est l’arme préventive par excellence. Elle peut être dirigée contre des pays ennemis ou même contre des « nations amies », à leur insu .

    La manipulation du climat peut être utilisée pour déstabiliser l’économie, l’écosystème et l’agriculture d’un ennemi. Les techniques ENMOD peuvent saper toute une économie nationale, appauvrir des millions de personnes et « tuer une nation » sans le déploiement de troupes et de matériel militaire.

    L'article ci-dessous se concentre sur l'histoire et l'analyse d'ENMOD. Il fournit également des citations directes d'un document de l'US Air Force de 1996 accessible au public qui confirme le plan du Pentagone visant à « militariser le temps ».

    Michel Chossudovsky, le 16 septembre 2022

    * * *

    RépondreSupprimer
  105. L’armée américaine « contrôle-t-elle la météo » ? « Armer la météo » comme instrument de guerre moderne ?
    Par Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale, septembre 2017

    Le mathématicien américain John von Neumann, en liaison avec le ministère américain de la Défense, a commencé ses recherches sur la modification du temps à la fin des années 1940, au plus fort de la guerre froide, et prévoyait « des formes de guerre climatique encore inimaginables ». Pendant la guerre du Vietnam, des techniques d'ensemencement de nuages ​​ont été utilisées, à partir de 1967 dans le cadre du projet Popeye, dont l'objectif était de prolonger la saison de la mousson et de bloquer les routes d'approvisionnement ennemies le long de la piste Ho Chi Minh.

    L’armée américaine a développé des capacités avancées qui lui permettent de modifier de manière sélective les conditions météorologiques. La technologie, initialement développée dans les années 1990 dans le cadre du programme de recherche sur les aurores actives à haute fréquence (HAARP) , était un appendice de l'Initiative de défense stratégique – « Guerre des étoiles ». D’un point de vue militaire, HAARP – officiellement aboli en 2014 – est une arme de destruction massive, opérant depuis l’atmosphère extérieure et capable de déstabiliser les systèmes agricoles et écologiques du monde entier.

    Officiellement, le programme HAARP a été fermé sur son site en Alaska. La technologie de modification du temps, entourée de secret, prévaut néanmoins. Les documents HAARP confirment que la technologie était pleinement opérationnelle dès le milieu des années 1990.

    (Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, The Ultimate Weapon of Mass Destruction: Owning the Weather for Military Use , publié pour la première fois par Global Research en 2006).

    Il convient de souligner que même si l’armée américaine confirme que la guerre météorologique est pleinement opérationnelle, il n’existe aucune preuve documentée de son utilisation militaire contre les ennemis des États-Unis . Le sujet est un tabou parmi les analystes de l’environnement. Aucune enquête approfondie n’a été entreprise pour révéler les dimensions opérationnelles de la guerre météorologique.

    L’ironie est que les impacts des techniques ENMOD à usage militaire ont été documentés par la télévision de CBC au milieu des années 1990.

    Le reportage de CBC TV a reconnu que les installations HAARP en Alaska, sous les auspices de l'US Air Force, avaient la capacité de déclencher des typhons, des tremblements de terre, des inondations et des sécheresses : .

    L’énergie dirigée est une technologie si puissante qu’elle pourrait être utilisée pour chauffer l’ionosphère afin de transformer les conditions météorologiques en arme de guerre. Imaginez utiliser une inondation pour détruire une ville ou des tornades pour décimer une armée qui approche dans le désert. L’armée a consacré énormément de temps à la modification des conditions météorologiques en tant que concept d’environnement de combat. Si une impulsion électromagnétique se produisait au-dessus d’une ville, pratiquement tous les appareils électroniques de votre maison clignoteraient et s’éteindraient, et ils seraient définitivement détruits.

    RépondreSupprimer
  106. Reportage télévisé de CBC 1996 sur le projet HAARP

    « La météo comme multiplicateur de force : s’approprier la météo »
    Dans cet article, nous fournirons des citations clés d'un document de l'US Air Force de 1996 qui analyse les techniques de modification du temps à usage militaire.

    L’objectif sous-jacent d’un point de vue militaire est de « s’approprier le climat ».

    Au moment où cette étude a été commandée en 1996, le programme HAARP était déjà pleinement opérationnel, comme le documente le documentaire de la CBC.

    L’objectif déclaré du rapport est décrit ci-dessous :

    Dans cet article, nous montrons qu’une application appropriée de la modification météorologique peut permettre une domination de l’espace de combat à un degré jamais imaginé auparavant. À l’avenir, de telles opérations renforceront la supériorité aérienne et spatiale et offriront de nouvelles options pour façonner et connaître l’espace de combat, en attendant que nous rassemblions tout cela ; » en 2025, nous pouvons « nous approprier la météo ». (Document commandé par l'US Air Force AF 2025 Final Report, (document public)

    Modification météorologique, selon le document AF 2025 Final Report de l'US Air Force,

    « offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire », les capacités, dit-il, s'étendent au déclenchement d'inondations, d'ouragans, de sécheresses et de tremblements de terre :

    « La modification du temps fera partie de la sécurité nationale et internationale et pourrait être effectuée unilatéralement… Elle pourrait avoir des applications offensives et défensives et même être utilisée à des fins de dissuasion. La capacité de générer des précipitations, du brouillard et des tempêtes sur Terre ou de modifier la météo spatiale… et la production de conditions météorologiques artificielles font toutes partie d’un ensemble intégré de technologies [militaires].

    Voir les rapports complets commandés par l'US Air Force

    …. Qu'il s'agisse d'améliorer les opérations amies ou de perturber celles de l'ennemi en passant par l'adaptation à petite échelle des conditions météorologiques naturelles jusqu'à la domination complète des communications mondiales et du contrôle anti-spatial, la modification météorologique offre au combattant un large éventail d'options possibles pour vaincre ou contraindre un adversaire. Certaines des capacités potentielles qu'un système de modification météorologique pourrait fournir à un commandant en chef de guerre (CINC) sont répertoriées dans le tableau 1. (c'est nous qui soulignons)

    Source : Force aérienne américaine

    Pourquoi voudrions-nous jouer avec la météo ? est le sous-titre du chapitre 2 du rapport

    RépondreSupprimer
  107. « Selon le général Gordon Sullivan, ancien chef d'état-major de l'armée, « à mesure que nous entrerons la technologie dans le 21e siècle, nous serons en mesure de voir l'ennemi de jour comme de nuit, par tous les temps, et de le poursuivre sans relâche. » Une capacité globale, précise, en temps réel, robuste et systématique de modification météorologique fournirait aux CINC de guerre un puissant multiplicateur de force pour atteindre leurs objectifs militaires. Étant donné que les conditions météorologiques seront communes à tous les futurs possibles, une capacité de modification des conditions météorologiques serait universellement applicable et utile dans tout le spectre des conflits. La capacité d’influencer la météo, même à petite échelle, pourrait la transformer d’un dégradateur de force en un multiplicateur de force.

    Sous le titre:

    Qu’entendons-nous par « modification météo » ?

    Le rapport précise :

    « Le terme modification du temps peut avoir des connotations négatives pour de nombreuses personnes, civils et militaires. Il est donc important de définir la portée à considérer dans cet article afin que les critiques potentiels ou les partisans de recherches plus approfondies disposent d'une base de discussion commune.

    Au sens le plus large, la modification du temps peut être divisée en deux grandes catégories : la suppression et l'intensification des régimes météorologiques . Dans des cas extrêmes, cela pourrait impliquer la création de régimes météorologiques complètement nouveaux, l’atténuation ou le contrôle de tempêtes violentes, ou même une altération du climat mondial à grande échelle et/ou de longue durée. Dans les cas les plus légers et les moins controversés, cela peut consister à induire ou à supprimer des précipitations, des nuages ​​ou du brouillard pendant de courtes périodes sur une région à petite échelle. D’autres applications de faible intensité pourraient inclure la modification et/ou l’utilisation de l’espace proche comme moyen pour améliorer les communications, perturber la détection active ou passive, ou à d’autres fins. (c'est nous qui soulignons)

    Le déclenchement des tempêtes :

    « Les technologies de modification du temps pourraient impliquer des techniques qui augmenteraient le dégagement de chaleur latente dans l’atmosphère, fourniraient de la vapeur d’eau supplémentaire pour le développement des cellules nuageuses et fourniraient un chauffage supplémentaire à la surface et à la basse atmosphère pour augmenter l’instabilité atmosphérique.

    Les conditions atmosphériques préexistantes aux niveaux local et régional sont essentielles au succès de toute tentative de déclenchement d'une cellule orageuse. L’atmosphère doit déjà être conditionnellement instable et la dynamique à grande échelle doit favoriser le développement vertical des nuages. L’objectif de l’effort de modification du temps serait de créer des « conditions » supplémentaires qui rendraient l’atmosphère suffisamment instable pour générer des nuages ​​et éventuellement le développement de cellules orageuses. La trajectoire des cellules orageuses une fois développées ou améliorées dépend non seulement de la dynamique à méso-échelle de la tempête, mais aussi des modèles de flux de vent atmosphérique à l'échelle régionale et synoptique (globale) dans la zone qui ne sont actuellement pas soumis au contrôle humain. (page 19)

    RépondreSupprimer
  108. La CIA est-elle impliquée dans l’ingénierie climatique ?
    L'implication de la CIA dans les technologies du changement climatique

    En juillet 2013, MSN News rapportait que la CIA avait participé au financement d'un projet de l'Académie nationale des sciences (NAS) axé sur la géo-ingénierie et la manipulation du climat. Le rapport ne se contente pas de reconnaître ces technologies, il confirme également que les services de renseignement américains sont régulièrement impliqués dans la résolution du problème de la manipulation climatique :

    « L’objectif de l’étude NAS soutenue par la CIA est de mener une « évaluation technique d’un nombre limité de techniques de géo-ingénierie proposées », selon le site Web de la NAS. Les scientifiques tenteront de déterminer quelles techniques de géo-ingénierie sont réalisables et tenteront d’évaluer les impacts et les risques de chacune (y compris les « préoccupations en matière de sécurité nationale »). (Voir Slate , juillet 2013)

    "La CIA aide à financer la recherche parce que la NAS prévoit également d'évaluer" les problèmes de sécurité nationale (qui pourraient être) liés aux technologies de géo-ingénierie déployées quelque part dans le monde ", a déclaré Kearney.

    Dans une déclaration envoyée par courrier électronique, Christopher White, porte-parole du bureau des affaires publiques de la CIA, a déclaré à MSN : « Sur un sujet comme le changement climatique, l'agence travaille avec des scientifiques pour mieux comprendre le phénomène et ses implications sur la sécurité nationale. » ( ardoise )

    Bien que la CIA et la NAS restent discrètes sur la nature de ces préoccupations, un chercheur note que la géo-ingénierie a le potentiel de perturber délibérément la météo à des fins terroristes ou militaires.

    Selon un rapport de 2015 du Independent (capture d'écran ci-dessus), citant un scientifique américain renommé, le professeur Alan Robock :

    «Un climatologue américain de haut niveau a parlé de la peur qu'il a ressentie lorsque les services de renseignement américains l'ont apparemment interrogé sur la possibilité de transformer la météo en arme, alors qu'un important rapport sur la géo-ingénierie doit être publié cette semaine.

    Le professeur Alan Robock a déclaré qu'il y a trois ans, deux hommes prétendant appartenir à la CIA l'avaient appelé pour lui demander si des experts seraient en mesure de dire si des forces hostiles avaient commencé à manipuler la météo aux États-Unis, même s'il soupçonnait que le but de cet appel était de trouver On se demandera si les forces américaines pourraient plutôt s'immiscer dans le climat des autres pays.»

    https://www.globalresearch.ca/does-the-us-military-own-the-weather-weaponizing-the-weather-as-an-instrument-of-modern-warfare/5608728

    RépondreSupprimer
  109. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (120 - 1 = 119) !

    RépondreSupprimer