- ENTREE de SECOURS -



samedi 2 mars 2024

Le cas Assange nous concerne tous Une contribution du journaliste Milosz Matuschek

 

54 commentaires:

  1. Le cas Assange nous concerne tous Une contribution du journaliste Milosz Matuschek


    29.02.2024 | www.kla.tv/28321

    Le 22 février 2024, la justice a décidé que le journaliste Julian Assange, actuellement en détention provisoire au Royaume-Uni, pouvait être extradé vers les États-Unis. Il risque d'y être emprisonné pendant 175 ans. Il ne lui reste plus qu'à déposer une plainte auprès de la Cour européenne des droits de l'homme. Julian Assange est poursuivi aux Etats-Unis parce qu'il a publié sur la plate-forme Wikileaks des vidéos et des documents qui témoignent des crimes de guerre américains.
    Ces dernières années, dans de nombreux textes, podcasts et vidéos, le journaliste allemand Milosz Matuschek n'a cessé d'attirer l'attention sur le sort d'Assange et l'importance de son cas pour nous tous. Citation : « On veut faire d'Assange un exemple : voilà ce qui vous attend, chers journalistes, si vous osez révéler des crimes de guerre ou autres saloperies... »

    Dans le rapport suivant, le Dr Matuschek explique pourquoi le cas de Julian Assange nous concerne tous et pourrait notamment servir d'exemple aux journalistes du monde entier.
    Julian Assange, le fondateur de Wikileaks, est aujourd’hui un homme brisé : plusieurs années passées dans un espace exigu de l'ambassade équatorienne à Londres, puis trois ans d'isolement à la prison de Belmarsh, ce qui correspond à un cas de torture psychologique selon le rapporteur spécial de l'ONU, Nils Melzer ; sans oublier un interminable et épuisant procès-spectacle autour de l'extradition vers les Etats-Unis, qui doit désormais être considéré comme perdu. Juridiquement, les voies de recours en Angleterre sont quasiment épuisées, il ne reste plus, après un dernier appel, qu'à se rendre à Strasbourg, devant la Cour européenne des droits de l'homme. Aux Etats-Unis, le procès final menace avec à la clé un verdict de 175 ans de prison pour, entre autres, une accusation d’espionnage. Ce serait une condamnation à mort pour Assange. Combien un être humain peut-il supporter cela

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  2. Mais il faut aussi considérer Julian Assange comme un symbole, un indicateur de la liberté en Occident. Et dans cette fonction de symbole, il est intact. L'état d'Assange nous permet de mesurer l'état de la liberté de la presse. Et c'est là que les gouvernements américain et britannique commettent la plus spectaculaire de toutes les erreurs: ils font actuellement d'Assange un martyr et se transforment eux-mêmes en exécutants et en bourreaux. La manière dont ils traitent Julian Assange - au vu et au su de toute l'opinion publique mondiale - constitue un serment d'allégeance à la communauté de valeurs occidentales : on sacrifie l'humanisme, les droits de l'homme et l'État de droit au profit de calculs politiques de pouvoir.

    Et les gouvernements du monde entier restent silencieux. Mme Baerbock, ministre allemande des Affaires étrangères, issue du droit international et donc familière avec la notion de torture, voulait encore s'engager en faveur d'Assange avant les élections. Maintenant qu'elle est au gouvernement, elle ne voit soudain plus la nécessité d'agir. On veut faire d'Assange un exemple. Voilà ce qui vous attend, chers journalistes, si vous osez révéler des crimes de guerre ou d'autres saloperies que l'on préfère voir cachés derrière la barrière des « Arcana Imperii », les secrets d'Etat.

    Les criminels de guerre en Afghanistan ou en Irak, jusqu'au sommet de la hiérarchie des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne, ne sont toujours pas inquiétés. Les guerres d'agression sont en fait moins risquées que les reportages critiques à leur sujet. Celui qui veut à l'avenir remplir sa mission de journaliste de manière aussi radicalement transparente qu'Assange doit pour cela se faire traiter d'ennemi de l'Etat et est considéré comme un hors-la-loi. L'affaire Assange est le scandale de notre époque, l'injustice brutale la plus visible perpétrée sur un individu, la plus grande trahison possible de nos propres valeurs.

    Plus Julian Assange est transformé en martyr de la liberté de la presse, plus il devient clair pour tout le monde que le champ de la démocratie et de l'État de droit a été abandonné. Dans un Occident véritablement libre, par définition il n’existe pas de dissidents ; quiconque tente de faire tomber d'autres personnes pour avoir publié des faits réels a manifestement changé de camp et troqué la démocratie contre une forme de domination féodale. Ceux qui agissent de la sorte le font par panique, par impuissance et par peur d'être repérés et de devoir rendre des comptes. Qu'ils se souviennent tous de ce qu'Émile Zola savait déjà lorsqu'il a publié son célèbre « J'accuse » : La vérité est en route et rien ne l'arrêtera.

    de ah.
    Sources / Liens :
    Plate-forme du Dr Milosz Matuschek
    https://www.freischwebende-intelligenz.org/p/der-fall-assange-betrifft-uns-alle?utm_source=substack&utm_campaign=post_embed&utm_medium=email

    https://www.kla.tv/fr

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  3. Fécondations in vitro pour sauver la natalité ? Encore une fausse nouvelle !


    le 1 mars 2024


    Au nom de la liberté de la femme de disposer de son corps et par conséquent de sa fécondité sans avoir recours à une faiseuse d’ange, une « libération » de la femme, la recherche pharmaceutique a mis au point des médicaments anticonceptionnels, puis la pilule du lendemain et enfin le législateurs s’est intéressé au stade ultime de la contraception, la légalisation de l’avortement jusqu’à un stade avancé de la grossesse. En parallèle et un peu paradoxalement l’industrie de la fécondation in vitro (IVF) s’est développée au début des années 1980 et le terme « industrie » est approprié car cette activité clinique est particulièrement rentable. En effet cette approche nécessite un préparation hormonale de la femme afin de procéder à une ponction ovarienne pour disposer d’ovocytes (note ci-dessous) matures susceptibles d’être fécondés par le sperme de l’époux ou du compagnon. Enfin après deux ou trois jours de culture in vitro quelques embryons, au moins deux en général, sont introduits dans l’utérus, l’endomètre étant apte à recevoir l’embryon en raison du traitement hormonal ayant pour but de stimuler les ovaires. Le coût global est de l’ordre de 3000 euros mais quand j’ai écrit « industrie » ce terme reflétait que la réussite de cette intervention n’est pas garantie. Cette réussite dépend en effet de la réimplantation de plusieurs embryons simultanément malgré le risque de grossesse gémellaire voire de triplés. Ce manque de garantie de succès ressemble assez précisément aux nouveaux vaccins à ARN messager.

    Note. Les ovocytes récupérés par ponction ovarienne peuvent être congelés afin d’éviter un nouveau traitement hormonal en cas d’échec de la tentative d’IVF. Ils peuvent également être donnés à un couple désireux d’avoir un enfant si toutes les alternatives ont été épuisées. Pour information les ovocytes ne contiennent que « n » chromosomes, l’autre jeu de chromosomes étant apporté par le spermatozoïde au cours de la fécondation in vivo ou in vitro pour un embryon avec « 2n » chromosomes

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  4. Cette industrie, j’insiste sur ce terme, a franchi un nouveau stade. Le cap des 4000 dollars par essai de fécondation in vitro, toujours sans garantie de succès, a été franchi en proposant au couple désireux d’avoir un enfant mais dont l’homme souffre d’un sperme peu abondant ou partiellement défectueux. Il est alors nécessaire de sélectionner quelques spermatozoïdes pour en implanter un dans l’ovocyte. Cette approche est particulièrement risquée puisqu’elle fait appel à une sélection artificielle de cet unique spermatozoïde par analyse d’image à l’aide d’un système dit « expert » comportant un algorithme de sélection. Peu d’informations transparaissent à ce sujet mais il s’agit en réalité d’amplifier la facture. Un articleI paru dans la revue The Lancet critique cette approche ( https://doi.org/10.1016/S0140-6736(23)02416-9 ) et prône un retour à fécondation in vitro traditionnelle avec un tel sperme défectueux car seuls les spermatozoïdes fonctionnels permettront d’atteindre le but recherché. Cependant cette pseudo-sélection d’un seul spermatozoïde implanté par micro-manipulation a pris une ampleur totalement injustifiée dans le seul but d’alourdir la facture finale. Comme si cela ne suffisait pas la naïveté des couples candidats pour une IVF les conduit à accepter des tests génétiques concernant par exemple la trisomie-21. Bientôt ce seront les recherches de gènes liés à des pathologies telles que la prédisposition au développement de cancers ou la présence de maladies génétiques rares. Ce genre de test alourdit encore la note. Au Japon par exemple une naissance sur 12 est le résultat d’une IVF et à Singapour le gouvernement a décidé de réglementer cette « industrie » en limitant le remboursement des IVF par le système public de protection sociale aux seuls hôpitaux publics, considérant qu’il était intolérable que les contribuables enrichissent les investisseurs propriétaires des cliniques privées offrant ce service de fécondation in vitro.

    - voir graph sur site -

    Il y a également une autre cause pour favoriser les IVFs, il s’agit de la chute de la fertilité alarmante. À Singapour le taux de natalité a chuté vers 0,95 enfant par femme fertile âgée de 15 à 49 ans selon le critère international admis malgré le faible pourcentage de couples rencontrant des difficultés pour concevoir un enfant. Il s’agit d’un faux débat largement encouragé par le lobby pharmaceutique, d’une part, avide de vendre ses traitements hormonaux, et le lobby médical qui ne veut pas voir sa poule aux œufs d’or disparaître. La grossesse pour autrui (GPA) entre dans cette même catégorie puisqu’elle requiert une IVF préalable tandis que l’utérus récepteur n’est pas celui de la mère biologique. Les officines impliquées dans la GPA sont souvent contrôlées par des mafias variées, comme par exemple en Espagne mais il ne faut pas en parler, échappent au législateur. Le résultat de toutes ces tentatives pour atteindre un renouvellement des générations sera non significatif car la vraie raison de la chute de la natalité est le résultat d’une émancipation de la femme pour de multiples raisons et parmi celles-ci la plus importante est l’amélioration du niveau d’éducation et la recherche du confort moderne auxquels ont droit tous les êtres humains. Le cas de la chute du taux de naissances en Tunisie en est un exemple, quant à la politique de l’enfant unique chinoise elle a largement démontré que jouer avec la démographie provoque des conséquences déferlant sur les générations futures sans qu’il soit possible de maîtriser ce phénomène. En conclusion voici un article détaillant cette chute mondiale de la fertilité : https://doi.org/10.1093/humupd/dmad028 et la France se caractérise par sa politique nataliste dont le coût représente 3,5 % du PIB du pays.

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/03/01/fecondations-in-vitro-pour-sauver-la-natalite-encore-une-fausse-nouvelle/

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  5. Une victoire explosive : les mandats de vaccination pour la police et les chauffeurs d’ambulance constituent une violation des droits humains


    Par Jo Nova
    February 28th, 2024 |


    Deux ans de retard : deux victoires judiciaires et une enquête du Sénat
    Deux ans après que la police et les ambulanciers ont été contraints de se faire vacciner contre le Covid, la Cour suprême du Queensland a jugé que les mandats de vaccination étaient illégaux. Parce que cette décision concerne les droits de l’homme, elle peut également s’appliquer à d’autres humains (nous l’espérons). Les avocats de tout le pays se mobilisent et prêtent attention.

    Cela fait suite à une décision rendue il y a quelques semaines en Australie du Sud, dans laquelle le tribunal du travail a jugé qu'un employeur (le gouvernement de l'État) était responsable de toute blessure causée au personnel par les injections obligatoires requises sur le lieu de travail.

    Et peut-être en lien avec tout cela, en 2022, 10 000 Australiens sont morts au-delà du taux normal et personne (officiellement) ne sait pourquoi. Le Sénat australien a décidé (à la quatrième tentative, et par un seul vote) qu'il pouvait affirmer avec certitude que quelqu'un devrait absolument se pencher sur cette question. Ce résultat banal, mais bon, était peut-être une première mondiale parlementaire – ce qui en dit long sur l’état des démocraties dans le monde, car les mêmes schémas étranges de décès se produisent dans presque toutes les démocraties.

    Le Parti Travailliste et les Verts ont voté contre, vraisemblablement inquiets des relations industrielles mais satisfaits des cadavres.

    La vaccination forcée finalement jugée illégale
    La Cour suprême du QLD déclare illégales les mandats de vaccination de la police et des ambulances
    Nouvelles rebelles

    Dans une décision historique, la Cour suprême du Queensland a déclaré que les mandats de vaccination contre le Covid-19 pour le personnel de police et d'ambulance étaient illégaux en vertu de la loi sur les droits de l'homme.

    La décision, qui déclare que les mandats enfreignent la loi sur les droits de l'homme, intervient après que 38 membres de la police du Queensland, dont 16 agents, auraient été licenciés pour avoir refusé de se faire vacciner.

    La Cour suprême du Queensland il y a 130 ans, à l'époque où les gens savaient encore comment construire de bons bâtiments.

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  6. L’Australien note que cela a de vastes ramifications :

    Le mandat « illégal » du vaccin Covid-19 du Queensland n’est que la « pointe de l’iceberg » : experts
    par Ellie Dudley et Lydia Lynch

    Une décision juridique historique « justifiant » des dizaines d'ambulanciers paramédicaux et de policiers du Queensland qui ont assumé les mandats du gouvernement de l'État en matière de vaccins contre le Covid-19 n'est que la « pointe de l'iceberg » d'un litige visant à renverser les ordonnances pandémiques, disent les experts, avec des cas dans des juridictions similaires. susceptibles de profiter des suites d’une action réussie.

    Plus de 70 membres du personnel ont engagé des poursuites judiciaires contre le gouvernement de l'État dans le cadre de trois requêtes distinctes, arguant que les exigences en matière de vaccins étaient incompatibles avec leurs droits humains et qu'ils avaient été victimes de discrimination « en raison de leurs convictions ou activités politiques ».

    Le Sénat australien décide que les décès massifs inexpliqués pourraient valoir la peine d’être examinés
    Alors que des milliers d’Australiens commencent à mourir au-dessus de la norme, il ne faut que deux ans à nos élus pour prendre la grande décision de demander une enquête. Le sénateur Babet (UAP) est à féliciter pour sa ténacité, mais sérieusement, jusqu'où notre barre est-elle basse ? L’enquête aurait dû être menée en 2021, lorsque les décès sont devenus détectables et que des vies auraient pu être sauvées.

    Le Sénat australien reconnaît la nécessité d’une enquête sur la surmortalité
    Par Rebekah Barnett

    Alors que la motion d’hier appelant à un accord sur la « nécessité d’une enquête plus approfondie » sur les causes de la surmortalité en Australie est plus symbolique que pratique dans son résultat, la sénatrice Babet affirme que son adoption est un pas important dans la bonne direction.

    « Cette motion symbolise un changement de sentiment autour de cette question, et je ne connais aucun autre parlement dans le monde qui ait admis que la surmortalité mérite une enquête », a déclaré la sénatrice Babet dans un communiqué publié après le vote.

    Droit et justice. Dans le monde dans lequel nous pensions vivre, si un nouveau médicament expérimental majeur était déployé en urgence, dans un pays avec 22 millions de téléphones portables, de satellites et 100 000 bureaucrates, on pourrait penser que des lots auraient été suivis, résultats recueillis et dans quelques mois, notre ministre de la Santé serait en mesure de publier des données de sécurité pour que nous puissions tous les voir. Au lieu de cela, nous n’avons rien obtenu.

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  7. Vous vous souvenez de la grande campagne de vaccination du Queensland qui était censée suivre 10 000 personnes pendant cinq ans ? L’essai QoVax a donné l’illusion que le gouvernement s’en souciait, mais il a mystérieusement manqué de financement après seulement un an. D'une manière ou d'une autre, le gouvernement australien était heureux de dépenser 18 milliards de dollars pour le vaccin australien et le traitement du Covid 19, mais il ne dépenserait pas 0,5 % de cette somme pour vérifier si les vaccins étaient sûrs. [Mise à jour : pour une raison quelconque, le gouvernement australien a perdu cette page en se vantant. sur leurs dépenses. Heureusement, la WayBack Machine en a une copie. ]

    Ils disposaient d'un an de données. Que savaient-ils ?

    h/t another Ian, Stephen Neil, Earl, David of Cooyal, Rebel News. Kesten Green.

    REFERENCE

    URL to the government page on vaccine spending (broken): https://www.health.gov.au/our-work/covid-19-vaccines/about-rollout/vaccine-agreements

    Scales of justice by Ezequiel Octavianoy

    Nurse with needle by Dim Hou

    https://joannenova.com.au/2024/02/some-wins-vaccine-mandates-for-police-and-ambulance-drivers-ruled-a-breach-of-human-rights/

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  8. Les termes « experts » et « consensus » ne fonctionneront pas non plus comme ils l’étaient auparavant.
    Comparez cela avec les nouvelles que vient de publier Nature avec le titre « la confiance dans les scientifiques est élevée », mais attention au petit pois. Ils ne le comparent pas au passé, ne signalent pas de tendance et ne lui donnent aucun contexte. C'est juste un nombre insensé, 3,62, (mais c'est élevé maman !)
    La plus grande enquête post-pandémique révèle que la confiance dans les scientifiques est élevée
    Carissa Wong, Nature

    Les gens du monde entier ont un niveau élevé de confiance dans les scientifiques, et la plupart souhaitent que les chercheurs s’impliquent davantage dans l’élaboration des politiques, révèle une enquête mondiale menée auprès de plus de 70 000 participants. Mais les niveaux de confiance sont influencés par l’orientation politique et diffèrent selon les pays, selon l’étude, décrite dans une prépublication mise en ligne le mois dernier1.

    Il a été demandé aux personnes interrogées d'indiquer dans quelle mesure elles étaient d'accord avec une douzaine d'énoncés concernant l'intégrité, la compétence, la bienveillance et l'ouverture des scientifiques, sur une échelle de 1 à 5. Un score plus élevé indiquait une confiance plus élevée. Parmi tous les participants, le score de confiance moyen était modérément élevé, à 3,62…

    Même le psychologue qu’ils interrogent ne peut se résoudre qu’à dire « assez élevé ».

    La nature ne manque pas de nous dire que la confiance est « liée à l'orientation politique ». Ils en imputent principalement les dirigeants politiques. C’est comme si les électeurs n’étaient que des moutons égarés, et non ceux qui jettent des tomates aux politiciens qui tardent à comprendre.

    C'est la fin d'une ère.

    LES RÉFÉRENCES

    Évaluation publique des avantages et des inconvénients de la recherche scientifique : 1979-2018
    Centre national des statistiques scientifiques et techniques, National Science Foundation, Enquête sur les attitudes du public à l'égard et la compréhension de la science et de la technologie (1979-2001) ; Université du Michigan, Enquête sur les attitudes des consommateurs (2004) ; NORC à l'Université de Chicago, General Social Survey (2006-18). Indicateurs de science et d'ingénierie

    https://joannenova.com.au/2024/02/forty-years-of-trust-in-science-drops-after-pandemic/

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  9. Preuve suédoise : les confinements inutiles mais dévastateurs


    1er mars 2024
    de Thomas Oysmüller


    Jeudi, deux professeurs de l'Université de Lund en Suède sont apparus dans le magazine britannique Spiked ! discuté de leur enquête en cours. Tous deux se sont demandé si la politique de confinement aurait sauvé des vies. Votre résultat : Non. Ce résultat a été obtenu par la Suède. Le pays a clairement montré au monde à quel point une politique de confinement est erronée.

    La Suède avait raison

    La Suède n’est pas le seul pays d’Europe à avoir complètement évité le confinement ; la Biélorussie n’a jamais non plus imposé de couvre-feu, de fermeture d’écoles ou d’interdiction de travailler. Mais comme la Suède fait partie de l’UE et de « l’Occident », les scientifiques utilisent la Suède. Aussi parce qu’il est plus facile d’accéder aux données. Quoi qu’il en soit, les deux scientifiques Fredrik Andersson et Lars Jonung arrivent à une conclusion claire : « Les preuves montrent désormais clairement que la Suède a pris la bonne décision. »

    Vous écrivez dans le magazine :

    Même si nous n’avons pas pu examiner tous les effets possibles des différentes mesures de confinement, nos conclusions étaient claires : les pays qui ont imposé davantage de mesures de confinement n’ont pas connu de taux de mortalité plus faibles. En fait, vers la fin de la pandémie, la Suède avait l’un des taux de surmortalité les plus faibles, avec moins de décès qu’au cours d’une année normale avant la pandémie.

    […]
    En fait, dans nos recherches, nous n’avons trouvé aucun lien entre les confinements et les décès supplémentaires. Nos résultats ne signifient pas que toutes les mesures de fermeture ont été inefficaces. Étant donné que tous les pays européens, y compris la Suède, ont imposé un grand nombre de restrictions sociales, nous ne pouvons que conclure que l’imposition de mesures de fermeture complète et d’ordonnances de maintien à domicile n’a eu que peu, voire aucun impact supplémentaire. (En fait, notre étude a révélé une association positive entre des mesures de confinement plus strictes et davantage de décès, même si cela n’était pas statistiquement significatif).

    À l’inverse, les effets économiques de la politique de confinement ont été dévastateurs, voire « écrasants », selon les scientifiques : « Plus un pays s’isole, plus la baisse du PIB est importante ».

    « Bien sûr, notre étude n’est pas parfaite. Nous ne pouvons pas couvrir chaque aspect de la santé ou chaque indicateur économique. Et pourtant, notre analyse révèle des faits froids et concrets sur le véritable coût des confinements. Il appartient désormais à ceux qui la soutiennent de prouver que leur politique désastreuse en valait la peine.»

    Malheureusement, on pourrait penser que les promoteurs ne font rien de tel. Ceux qui ont introduit et appliqué la politique de confinement restent convaincus de sa justesse. Une nouvelle « pandémie » et le prochain confinement seraient à nouveau imminents.

    Cliquez ici pour consulter l'intégralité de l'enquête, publiée le 11 février.

    https://tkp.at/2024/03/01/schwedischer-beweis-lockdowns-nutzlos-aber-verheerend/

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  10. Abonnement éternel à la vaccination : le CDC donne son feu vert au point neuf


    1er mars 2024
    de Thomas Oysmüller


    Les Américains qui adhèrent aux recommandations de vaccination de l’agence peuvent recevoir le vaccin numéro neuf de Covid.

    Mercredi, la plus haute autorité américaine en matière de pandémie, le CDC, a publié une nouvelle recommandation de vaccination. Les seniors devraient recevoir un nouveau vaccin « de rappel » au printemps. Pour les Américains plus âgés qui satisfont à cette exigence, il s’agira du neuvième vaccin depuis le début de 2021. Mais bien sûr, ce n’est pas la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Cela continuera toujours ainsi.

    Piège d'abonnement

    Il est facile de rester stupéfait : il y a trois ans, le CDC estimait qu'une immunité permanente contre le Covid pouvait exister après deux vaccinations. La troisième astuce, « le booster », a été rapidement ajoutée. Deux ans et demi plus tard, nous nous retrouvons avec neuf (!) seringues.

    Plus personne ne parle d’immunité ou quoi que ce soit de ce genre, pas même le CDC : « La recommandation d’aujourd’hui permet aux personnes âgées de recevoir une dose supplémentaire du vaccin COVID-19 cette saison pour assurer une protection supplémentaire », a déclaré la directrice du CDC, Mandy Cohen. « L’année dernière, la plupart des décès et des hospitalisations liés au COVID-19 concernaient des personnes âgées de 65 ans et plus. Une dose supplémentaire de vaccin peut offrir une protection supplémentaire qui peut avoir diminué avec le temps chez les personnes les plus à risque.

    Heureusement, il n’est pas précisé à quelle fréquence les décès de plus de 65 ans ont été vaccinés. Cela pourrait éventuellement inquiéter les personnes vaccinées restantes. Les responsables gouvernementaux ne mentionnent pas qu’il s’agirait actuellement du neuvième vaccin pour ceux qui ont jusqu’à présent adhéré à toutes les directives du CDC. Le Dossier du journaliste américain Jordan Kasten a fait le calcul.

    Les grands médias aident l’agence à obscurcir les chiffres réels révélant la débâcle de l’ARNm. Le Washington Post, par exemple, ne parle pas du neuvième vaccin, mais du « deuxième vaccin contre le coronavirus avec mise à jour ». Ça a l'air beaucoup mieux. Pour certains peut-être.

    Par ailleurs, le variant contre lequel le vaccin actuel a été mis à jour, le variant « Eris », n’existe pas du tout. Un abonnement est un abonnement. Encore et encore. Passons à la neuvième série de vaccinations.

    https://tkp.at/2024/03/01/ewiges-impf-abo-cdc-gibt-gruenes-licht-fuer-stich-neun/

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  11. Bude, consultant Covid : l’avenir nécessite une « coercition » contre les individus


    29 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Le Covid n’était qu’un premier test ; à l’avenir, la coercition étatique sera à nouveau fréquemment utilisée et rendue possible grâce à des méthodes psychologiques. Le conseiller Covid du gouvernement fédéral choque avec ses déclarations.

    Heinz Bude était sociologue au sein de la task force Covid-19 du ministère fédéral de l'Intérieur. Il a été conseiller central du gouvernement Merkel au cours des premiers mois de Covid. Lors d’une table ronde à Graz, Bude a révélé sans équivoque la vision du monde de l’élite dirigeante. Le Covid n’était qu’un test dans la mesure où les « crises futures » rendraient à nouveau nécessaire d’exercer une « coercition légitime » sur les individus.

    Pour ce faire, il faudra utiliser toutes les méthodes possibles de psychologie sociale, de psychologie de masse ou d’économie comportementale, afin que la « coercition légitime » soit également acceptée dans une « société libérale moderne ». Le sociologue Bude parle ici aussi – consciemment ou inconsciemment – ​​au niveau militaire. Ce sont précisément ces méthodes que l’OTAN travaille et étudie intensivement (la Chine et la Russie font également de même, mais avec beaucoup moins de ressources). C’est ce qu’on appelle la « guerre cognitive » et chaque individu est pris pour cible. Un livre actuel à ce sujet peut être trouvé ici.

    L'intégralité de la discussion peut être trouvée ici . La compilation est de Jürgen Müller.

    A propos des déclarations de Bude, Hennig Rosenbusch a rappelé la phrase de Karl Lauterbach. Celui-ci est étonnamment similaire : c’est la même vision du monde. Lauterbach a déclaré : « Nous entrons désormais dans une phase où l’état d’urgence deviendra la norme. Désormais, nous serons toujours en état d’urgence. La journaliste d'investigation Aya Velázquez a consacré un portrait détaillé à Bude en novembre 2022 .

    Dans son rôle de conseiller du gouvernement, Bude était non seulement en partie responsable du « journal de panique », qui a transformé l'Allemagne de façon permanente par une propagande de peur, mais aussi – comme il l'a déclaré ouvertement au cours de la discussion – de méthodes de propagande telles que « Aplatir la courbe ». ». Il convient également de noter la façon dont il parle de « science » et explique qu’ils ont vendu aux masses quelque chose qui « ressemble tellement à la science ».

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  12. Le journaliste citoyen Jürgen Müller a édité les déclarations de Bude et a résumé sa comparution comme suit :

    Écoute attentivement. Le « sociologue » Heinz Bude se présente enfin comme un partisan de l’économie comportementale fasciste.

    La sociologie est l'étude de l'action collective, c'est-à-dire du comportement humain au sein de (grands) groupes. Elle étudie les conditions et les obstacles à la coopération sociale.

    L’économie comportementale est la science de la manipulation du comportement individuel (« nudge ») dans l’intérêt et les intérêts de ceux qui sont au pouvoir (qui se considèrent comme la « société »). Il s’agit de la soumission de l’individu à la volonté de la classe dirigeante.

    L’économie comportementale est, pour ainsi dire, le jumeau maléfique, ou la perversion, de la sociologie. Comme presque aucun autre intellectuel allemand, Heinz Bude incarne la perversion de la science comme un claqueur du nouveau fascisme allemand.

    Il n’y a pas de place pour de vrais sociologues dans le fascisme. Afin d’imposer une règle absolue, toute forme d’organisation collective libre doit être empêchée. La coopération doit être limitée à la classe dirigeante. Les autres jouent à des jeux de faim.

    https://tkp.at/2024/02/29/covid-berater-bude-zukunft-verlangt-zwang-gegen-individuen/

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  13. Plague X viendra-t-il après le traité sur la pandémie ?


    28 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Premièrement, la structure politique pour la « prochaine pandémie » devrait être renouvelée – y compris avec le traité sur la pandémie. Est-ce que Plague X viendra après ?

    Le « Traité sur la pandémie » de l’OMS est actuellement négocié à huis clos à Genève. Le vote aura lieu en mai – le contrat devrait alors être accepté. Le traité n’est alors pas encore valide – il doit encore être ratifié par les parlements nationaux – mais le plus grand pas aurait été franchi.

    Se préparer à la « prochaine pandémie »

    Le Daily Skeptic a posé une question essentielle peu avant le début des négociations le 19 février : combien de temps faudrait-il – si le traité sur la pandémie était adopté – avant qu’une « pandémie » soit à nouveau déclarée ?

    La question est posée par l'immunologiste britannique Angus Dalgleish. Dans son court essai, il présente des réflexions remarquables qui commencent avec la mort de Sir Anthony Epstein, le découvreur du virus d'Epstein-Barr :

    J'ai été étonné de lire la nécrologie de Sir Anthony Epstein, décédé la semaine dernière à l'âge de 102 ans.

    Il soupçonnait qu'un lymphome (cancer), du nom de Dennis Burkitt (le premier à le décrire), était causé par un virus et était déterminé à découvrir ce virus. Il a reçu de nombreux échantillons régulièrement envoyés par avion depuis l'Ouganda et n'a trouvé aucune preuve à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'un vol soit gravement retardé et lorsque les échantillons sont finalement arrivés, ils semblaient tous troubles.

    Finalement, à l'aide du nouveau microscope électronique, il réussit à trouver un nouveau virus de l'herpès, qu'il appela virus d'Epstein-Barr (Barr était son technicien), ou EBV.

    De nombreux autres virus ont été soupçonnés de provoquer le cancer, mais n’ont pas été cultivés ni observés au microscope. Un exemple célèbre est le virus du papillome humain (VPH), qui provoque le cancer du col de l'utérus (entre autres cancers). Il ne peut être détecté qu'à l'aide de techniques de biologie moléculaire telles que celles utilisées par son découvreur, le prix Nobel Harold zur Hausen.

    La difficulté d’identifier les virus a donné naissance à diverses théories dites du complot, telles que : B. que le VIH ne cause pas le SIDA et que le virus Covid n’existe pas.

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  14. Ce virus est extraordinairement virulent, s’emparant du cerveau de personnes auparavant rationnelles et les forçant à adopter de nouvelles religions et croyances dont ils réfléchiraient normalement aux conséquences grâce à une pensée rationnelle. Une fois la fonction du lobe frontal interrompue, l’hystérie de masse s’installe, accompagnée de pressions en faveur de la diversité, de l’égalité et de l’inclusion, et (en bref) conduisant à une explosion massive de l’exact opposé, avant de se propager à d’autres concepts tels que l’environnement et l’environnement. gouvernance.

    Tout cela a du sens. Comme Anthony Epstein, je continuerai à chercher jusqu'à ce que je le découvre. Pour l’instant, je l’appellerai le virus DEI/ESG. Souhaite moi bonne chance!

    https://tkp.at/2024/02/28/kommt-nach-dem-pandemievertrag-die-seuche-x/

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  15. Australie : l’obligation de vaccination contre le Covid était illégale


    27 février 2024
    de Thomas Oysmüller


    Les policiers et les travailleurs des services d’urgence devaient être vaccinés dans le Queensland, en Australie. La Cour suprême a maintenant décidé que l'instruction officielle était illégale.

    Dans l’État du Queensland en Australie, les vaccinations étaient obligatoires pour les employés de la police et des services d’urgence. Quiconque ne respecterait pas cette consigne s’exposerait à des mesures disciplinaires. Aujourd’hui, en février 2024, la Cour suprême a jugé que l’obligation de vaccination était illégale. Pour beaucoup, ce jugement arrive trop tard.

    Gagner les droits de l'homme

    L'agence de presse australienne a rendu compte mardi de la décision du tribunal. Le Guardian britannique a relayé l'information. Trois procès ont été traités, qui ont été déposés par un total de 86 plaignants. Il s’agissait de demander aux salariés de suivre un traitement ARNm Covid en 2021 et 2022. Le rappel avait également été ordonné, faute de quoi il existe un risque de mesures disciplinaires et de rupture de la relation de travail.

    La Cour suprême a estimé que l'ordonnance du chef de la police ne prenait pas suffisamment en compte les droits de l'homme. L'ordre exigeait que les employés subissent un traitement médical sans leur consentement. Le ministère de la Santé n'a pas non plus été en mesure de prouver qu'il y aurait une condition correspondante dans les contrats de travail des employés des services d'urgence.

    La justice australienne a désormais classé les exigences de vaccination comme illégales et rétroactivement inefficaces.

    Comme le souligne le rapport officiel, l’arrêt ne traite ni de l’efficacité de la vaccination ni de la question de la transmissibilité du Covid. À l'inverse, le tribunal a même déclaré que les instructions visant à restreindre les droits humains des employés auraient été appropriées dans les circonstances. Le juge en chef du droit administratif, Glenn Martin, a expliqué :

    « L’équilibre entre l’importance de l’objectif de la restriction et l’importance de préserver les droits de l’homme […] est compliqué par le fait que ces instructions ont été données dans une situation qui était, à toutes fins utiles, une urgence. »

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  16. En fin de compte, le tribunal s’est néanmoins prononcé en faveur des droits de l’homme et contre la (prétendue) « urgence ». Comparez cette décision avec l’exigence autrichienne en matière de vaccination. Ici, la Cour suprême a même décidé différemment concernant la vaccination obligatoire générale (!).La fameuse loi a ensuite été classée comme constitutionnelle, notamment au motif qu'elle n'avait jamais été appliquée. Le gouvernement autrichien s'est senti justifié par cette décision.

    https://tkp.at/2024/02/27/australien-covid-impfpflicht-war-rechtswidrig/

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  17. 97,5% des victimes de covid longs sont vaccinés… qui disaient que les vaccins protégeaient


    le 2 mars 2024
    par pgibertie


    - voir cadre sur site -

    Parmi les participants, 32,6 % étaient des étudiants et 27,7 % étaient des professionnels de santé. La plupart des participants avaient un IMC normal et aucune comorbidité. Au cours de la maladie,

    96,4 % des participants n’ont pas eu besoin d’oxygénothérapie. L’initiale la plus fréquemment rapportée
    les symptômes de l'infection au COVID-19 étaient la toux (44,9 %), les maux de gorge (35 %) et la rhinorrhée

    - voir cadre sur site -

    jcm-13-01208 (3)Télécharger

    https://pgibertie.com/2024/03/02/975-des-victimes-de-covid-longs-sont-vaccines-qui-disaient-que-les-vaccins-protegeaient/

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    1. Comme la poussière (appelée 'virus') n'est PAS dans l'air... elle ne peut qu'être DAN?S la seringue !

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  18. Les preuves sont claires 311 études démontrent l’extraordinaire efficacité de la vitamide D contre la covid


    le 1 mars 2024
    par pgibertie


    Vitamin D for COVID-19 : real-time meta analysis of 311 studies https://c19early.org/dmeta.html

    - voir cadre sur site -

    À l’origine en anglais et traduit par

    À quel point le monde doit-il se sentir stupide, après avoir dépensé des centaines de milliards en vaccins anti-Covid qui ont échoué, seulement pour qu’une méta-analyse évaluée par des pairs de 7 essais contrôlés randomisés démontre que la prophylaxie à la vitamine D était associée

    à 60 % de cas de COVID-19 en moins,
    Réduction de 68 % des admissions en soins intensifs et
    Réduction de 84 % des décès

    Les preuves sont désormais claires et sans équivoque : une simple prophylaxie vitaminique (s’exposer un peu au soleil ou prendre un supplément) pour s’assurer de ne pas avoir de carence en vitamine D était nettement plus efficace que la « potion magique » que les gens étaient obligés de s‘injecter dans le corps. . Supplémentation préventive en vitamine D et risque d’infection au COVID-19 : une revue systématique et une méta-analyse https://mdpi.com/2072-6643/16/5/679… Vitamine D pour COVID-19 : méta-analyse en temps réel de 311 études

    https://pgibertie.com/2024/03/01/les-preuves-sont-claires-311-etudes-demontrent-lextraordinaire-efficacite-de-la-vitamide-d-contre-la-covid/

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  19. Synthèse de 220 publications scientifiques en faveur des vitamines C et E et l’Ordre veur condamner le DR LABREZE pour une prescription appropriée


    le 1 mars 2024
    par pgibertie


    La condamnation du DR LABREZE apparait invraisemblable après la lecture de cette synthèse

    Accueil

    https://www.aimsib.org/2024/01/28/condamner-le-docteur-labreze-pour-avoir-prone-un-usage-approprie-de-la-vitamine-c/

    https://www.youtube.com/watch?v=QtY71L7WNU0&ab_channel=Soriak

    @Annette_LEXA

    La vitamine C est indispensable à la synthèse du collagène. On pense qu’elle régule le processus physiologique normal de la résolution de l’inflammation au niveau des cellules immunitaires ce qui pourrait justifier la supplémentation en vitamine C chez les personnes ayant un faible statut en vitamine C, par exemple dans les hôpitaux, patients âgés, alcooliques, personnes marginalisées socialement, malades mentaux, et présentant un risque accru d’infection par des bactéries (mais on préfère les vacciner, allez comprendre et même , dans le monde merveilleux de la gauche française, les priver de leur RSA ou de visites de proches en échange d’une piquouze d’ARNmessager, allez comprendre encore une fois).

    Les données suggèrent que le statut en vitamine C devrait être vérifié systématiquement chez les patients âgés admis dans des établissements gériatriques. Le taux plasmatique de vit C diminue fortement dans les cas tels que septicémie, infarctus, cancer, traitement de cancer , prise de médicaments, chirurgie.. Une dose de 75mg/jour protège du scorbut. Une dose de 120 mg/jour est necessaire afin de réduire le risque de maladie cardiovasculaire et de cancer.

    Des doses plus élevées (500 mg/jour) peuvent être nécessaires pour obtenir une vasodilatation et une diminution de la pression artérielle . https://ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3156342/

    La vitamine C exerce ses effets biologiques principalement en agissant comme cofacteur enzymatique et comme antioxydant. D’autres fonctions de la vitamine C font l’objet d’études actives, telles que son rôle dans le développement du cerveau et la signalisation cellulaire via la production de peroxyde d’hydrogène, ainsi que sa participation aux réactions d’addition de Michael pour former des conjugués d’intermédiaires électrophiles. En tant que nutriment essentiel, la vitamine E fonctionne comme un antioxydant en éliminant les radicaux hydroperoxyles lipidiques. À des niveaux élevés, la vitamine E peut compromettre la coagulation sanguine en interférant avec la synthèse de la vitamine K et/ou le cycle redox, ce qui peut être bénéfique chez certaines personnes mais présenter un risque pour la santé chez d’autres. De nombreux essais de supplémentation en vitamines C et E, menés dans le but de réduire le stress oxydatif et la LPO, n’ont pas réussi à montrer d’effets bénéfiques sur les paramètres cliniques des troubles médicaux associés à des niveaux accrus de stress oxydatif. Les explications de l’absence apparente d’effet incluent 1) l’absence de données sur les niveaux de vitamines au départ, 2) l’absence de données sur les biomarqueurs du stress oxydatif et de la LPO, et 3) les doses et la voie d’administration sous-optimales. Alternativement, les sujets peuvent avoir consommé suffisamment d’antioxydants alimentaires pour contrecarrer les avantages potentiels des suppléments, ou être en relativement bonne santé avec de faibles niveaux de stress oxydatif.

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  20. Si la progression de la maladie est plus rapide en cas de faible statut vitaminique, alors peu d’effet est attendu chez les patients présentant des niveaux de vitamines adéquats au départ. La mesure des taux de vitamines serait plus importante chez les patients présentant des taux de vitamines de base plus faibles, notamment les patients âgés et hospitalisés. Un autre facteur important déterminant le succès d’un essai clinique est le choix des critères d’évaluation, en particulier ceux liés aux objectifs de la supplémentation en vitamines. Bon nombre des plus grands essais sur les antioxydants que nous avons examinés n’incluaient pas de mesures des niveaux de vitamines ni de mesures de biomarqueurs du stress oxydatif. De telles mesures fourniraient des informations sur les relations dose-effet et la prédiction des schémas posologiques efficaces pour les essais d’efficacité définitifs utilisant des biomarqueurs et des paramètres cliniques.

    https://pgibertie.com/2024/03/01/synthese-de-220-publications-scientifiques-en-faveur-des-vitamines-c-et-e-et-lordre-veur-condamner-le-dr-labreze-pour-une-prescription-appropriee/

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  21. Les nouveaux poisons sont auto ou trans-amplifiants et en plus avec du graphène


    le 29 février 2024
    par pgibertie


    En novembre 2023, le Japon a approuvé le premier vaccin à ARN messager auto-amplifiant contre le Covid. D’autres vaccins à ARNm trans-amplifiant ou à ARNm couplé à des points quantiques de graphène sont également dans les tiroirs des fabricants. Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et en microbiologie, directeur de recherche au CNRS, tire la sonnette d’alarme sur ces nouveaux produits. Il s’exprime dans Nexus .

    1 LES MÉCANISMES DANGEREUX SONT CONNUS

    Or, cette technologie n’est pas du tout maîtrisée, on en a eu confirmation avec l’étude publiée dans Nature le 6 décembre dernier, montrant des problèmes de lecture et de traduction de l’ARNm vaccinal en protéines. Ces produits, qui ne sont ni des « vaccins » puisqu’ils ne protègent de rien, ni de la « thérapie génique » puisqu’ils ne soignent rien, sont en réalité très dangereux. Et personne ne sait quels seront leurs effets sur le corps humain à long terme.

    Avec les vaccins actuels, on se rend compte que la production de protéine Spike, qui devait être limitée, n’est pas du tout contrôlée. On a détecté de la Spike vaccinale dans le sang de personnes vaccinées jusqu’à 15 mois après leur dernière injection, ce qui suggère qu’elles continuent à en produire. Avec les vaccins à ARNm auto-amplifiant et trans-amplifiant, la protéine Spike sera finalement produite en continu et on ne sait pas quand l’ARNm amplifiant sera effectivement dégradé. Les effets de ces nouveaux « vaccins » sur l’organisme seront assurément très délétères.

    À l’heure actuelle, on ne sait pas exactement quels ribonucléotides modifiés affectent la fidélité de la traduction de l’ARNm et les études existantes se limitent pour la plupart à comprendre les fréquences de lecture erronée uniquement au niveau d’un codon donné. La lecture erronée des codons d’ARNm n’est également qu’un type de mécanisme post-transcriptionnel pouvant modifier une séquence polypeptidique. Jusqu’à présent, aucune étude n’a examiné la question fondamentale de savoir si les ribonucléotides modifiés peuvent affecter le maintien du cadre de lecture correct lors de la traduction d’une transcription synthétique.

    https://www.nature.com/articles/s41586-023-06800-3

    - voir clips sur site -

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  22. 2 LE PIRE POUR DEMAIN

    Les laboratoires visent 500 vaccins à ARNm à l’horizon 2030 en médecine humaine et vétérinaire. Actuellement, 120 sont en développement en médecine humaine pour différentes pathologies.

    Auto-amplifiant

    les concepteurs ont ajouté dans le brin d’ARN une série d’au moins quatre protéines non structurales, qui forment ce qu’on appelle un complexe réplicase. Ces quatre protéines proviennent d’une autre famille de virus

    L’intérêt est que l’on peut ainsi injecter moins de produit pour les mêmes résultats en ce qui concerne la production de la protéine « vaccinale ». Par exemple, avec 50 nanogrammes d’ARNm auto-amplifiant, il serait possible de produire autant de protéines Spike qu’avec les 30 microgrammes d’ARNm du vaccin Pfizer, voire des 100 microgrammes du vaccin Moderna. Donc 600 à 2 000 fois moins d’ARN sont nécessaires. Si la dose est vendue au même prix, les fabricants y gagnent. Et théoriquement, il n’y a plus besoin de doses de rappel.

    L’inconvénient est que l’ARNm auto-amplifiant est trois à cinq fois plus long qu’un ARNm classique, il est donc plus difficile et complexe à fabriquer. C’est pourquoi les laboratoires cherchent à développer en parallèle des vaccins à ARNm trans-amplifiant. C’est le même principe, mais au lieu que tout soit sur le même ARNm, on utilise deux ARNm séparés : l’un qui code la protéine et l’autre qui code le complexe réplicase. L’avantage est d’avoir un ARNm moins long et donc moins complexe à fabriquer.

    Un autre avantage est que l’ARNm du complexe réplicase, une fois mis au point, pourra être utilisé pour n’importe quel vaccin, pas uniquement celui contre le SARS-CoV-2.

    Et le graphène ?

    L’idée est d’utiliser des points quantiques de graphène modifiés pour vectoriser les ARNm, c’est-à-dire pour les piéger et les faire pénétrer dans les cellules. Dans les autres vaccins à ARNm, ce sont des nanoparticules lipidiques qui sont utilisées pour le faire.

    Le problème, c’est qu’il n’est pas fait pour pénétrer dans l’organisme et être au contact des cellules humaines. En effet, les points quantiques de graphène sont des nanocristaux semi-conducteurs, qui peuvent altérer des structures biologiques ou leur fonctionnement et provoquer de gros dégâts. L’autre problème est que ces points quantiques de graphène sont capables de répondre à différents stimuli extérieurs comme les champs magnétiques, les ultrasons, la lumière…

    https://pgibertie.com/2024/02/29/les-nouveaux-poisons-sont-auto-ou-trans-amplifiants-et-en-plus-avec-du-graphene/

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  23. Bill Gates fabrique les moustiques mutants qui multiplient par 4 les cas de Dengue au Brésil puis il vend les vaccins…


    le 29 février 2024
    par pgibertie


    La folie de #BillGates a encore frappé… La dengue fait un bond de 400 % au Brésil après la libération de moustiques génétiquement modifiés à la demande de Bill Gates… L’année dernière, le Programme mondial des moustiques des Nations unies a annoncé son intention de lâcher des milliards de moustiques génétiquement modifiés au Brésil. Ce programme a été partiellement financé par la Fondation Bill et Melinda Gates… https://aubedigitale.com/la-dengue-fait-un-bond-de-400-au-bresil/… via

    @AubeDigitale

    2023

    Les autorités sanitaires brésiliennes de cinq villes ont relâché des nuages ​​de moustiques Aedes aegypti cultivés en laboratoire et infectés par la bactérie Wolbachia , ce qui empêche la transmission du virus de la dengue aux humains. Le pays sera le premier à lancer un programme national visant à relâcher des moustiques modifiés par Wolbachia , qui devraient protéger jusqu’à 70 millions de personnes contre la dengue au cours des 10 prochaines années. Et elle construit une usine pour augmenter la production de moustiques : à partir de 2024, l’usine produira en masse cinq milliards de moustiques par an.

    2024

    Le Brésil lance une vaccination de masse face à une recrudescence de la dengue
    Mesures d’urgence prises : 364 855 cas d’infection transmise par les moustiques ont été signalés cette année, soit une multiplication par quatre par rapport à l’année précédente.

    heguardian.com/world/2024/feb/07/brazil-dengue-fever-mass-vaccination#:~:text=The%20rapid%20spread%20of%20dengue,government%2C%20a%20ministry%20statement%20said

    La dengue a augmenté pendant la chaude saison des pluies au Brésil, obligeant les autorités sanitaires à prendre des mesures d’urgence et à lancer une vaccination de masse contre cette maladie transmise par les moustiques.

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  24. Au cours des cinq premières semaines de cette année, 364.855 cas d’infection ont été signalés, a indiqué le ministère de la Santé, soit quatre fois plus que les cas de dengue enregistrés au cours de la même période de 2023.

    La propagation rapide de la dengue a causé 40 décès confirmés, a indiqué le ministère, et 265 autres font l’objet d’une enquête.

    Le Brésil a acheté 5,2 millions de doses du vaccin contre la dengue Qdenga, développé par le fabricant japonais Takeda, et 1,32 million de doses supplémentaires ont été fournies gratuitement au gouvernement, a indiqué un communiqué du ministère.

    Trois États brésiliens ont déclaré l’état d’urgence, dont le deuxième État le plus peuplé, Minas Gerais, et le District fédéral, où se trouve la capitale, Brasilia, et est confronté à une augmentation sans précédent des infections.

    Brasilia commencera vendredi à vacciner les enfants âgés de 10 à 14 ans avec Qdenga, a annoncé mercredi le gouvernement local.

    Les cas de dengue à Brasilia depuis le début de l’année ont dépassé le total de l’année 2023, avec un taux d’infection de 1.625 cas pour 100.000 habitants, contre une moyenne nationale de seulement 170.

    Des troupes militaires ont été déployées dans la capitale pour aider à localiser les lieux de reproduction du moustique Aedes aegypti qui transporte et propage le virus de la dengue dans les maisons et les cours partout où il y a de l’eau stagnante.

    Lundi, l’armée de l’air brésilienne a installé un hôpital de campagne en prévision d’une augmentation du nombre de cas nécessitant des soins hospitaliers à Ceilândia, une banlieue pauvre densément peuplée de Brasilia.

    Des villes comme Rio de Janeiro, qui se préparent à célébrer le carnaval à partir de samedi, ont pris des mesures pour prévenir une épidémie.

    Le ministère de la Santé a mis en place un centre d’urgence pour coordonner les opérations contre la dengue à travers le Brésil.

    https://pgibertie.com/2024/02/29/bill-gates-fabrique-les-moustiques-mutants-qui-multiplient-par-4-les-cas-de-dengue-au-bresil-puis-il-vend-les-vaccins/

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  25. Moustiques génétiquement modifiés : catastrophe au Brésil, un projet de la Fondation Gates. Est-ce que cela sauvera des vies ?


    Par F. William Engdahl , Jamie White , Amy Mek et le professeur Michel Chossudovsky
    Recherche mondiale,
    2 mars 2024


    Introduction

    La crise des moustiques comporte plusieurs dimensions. Le projet est financé par Bill Gates.

    Dans un bâtiment en briques de deux étages à Medellín, en Colombie, des scientifiques travaillent dans des laboratoires humides et élèvent chaque semaine 30 millions de moustiques génétiquement modifiés.

    Ils répondent à tous les besoins des insectes à mesure qu'ils grandissent, de la larve à la pupe puis à l'adulte, en maintenant la température idéale et en leur donnant de généreuses portions de farine de poisson, de sucre et, bien sûr, de sang. Ils sont ensuite relâchés dans la nature dans 11 pays.

    Le milliardaire Bill Gates , qui finance le projet, assure qu'il ne s'agit pas d'une scène d'un film d'horreur.

    « L'usine est réelle. Et les moustiques lâchés ne terrorisent pas les locaux. Ils contribuent à sauver et à améliorer des millions de vies.

    Tout comme ses « vaccins anti-covid » ont « sauvé » des millions de vies ou ses précédents projets de vaccination ont laissé des milliers de femmes stériles en Inde et au Kenya. Ou même ses vaccins contre la polio ont provoqué des paralysies, des convulsions et des convulsions fébriles en Afrique subsaharienne, en Afghanistan, au Congo et aux Philippines.

    Avertissement d'Amy Mek : une usine financée par Gates élève 30 millions de moustiques par semaine pour les libérer dans 11 pays , Global Research, 2 mars 2024

    Les reportages de CBC (avril 2023)

    « Cela peut ressembler à la prémisse d’un film d’horreur ou d’un fléau biblique, mais le Programme mondial contre les moustiques prévoit de relâcher cinq milliards de moustiques au Brésil. Et nous espérons qu’ils contribueront à sauver des vies.

    Les milliards d’insectes seront libérés grâce à une bactérie appelée Wolbachia, le tout dans le but de ralentir la transmission de la dengue dans le pays.

    « En mars 2023, le Brésil a approuvé un vaccin contre la dengue et est devenu le premier pays au monde à en proposer un via le système de santé publique, selon le ministère de la Santé.

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  26. Plus de 3 millions de personnes devaient recevoir un vaccin en 2024.

    Selon une étude de Jamie White intitulée

    Argent et moustiques armés : la dengue augmente de 400 % au Brésil après la libération de moustiques génétiquement modifiés soutenus par Bill Gates

    « La dengue a quadruplé au Brésil en 2024 suite à la libération de millions de moustiques génétiquement modifiés par le Programme mondial des Nations Unies contre les moustiques. »

    Au cours des cinq premières semaines de 2024, plus de 364 000 cas de dengue ont été signalés, selon le ministère de la Santé du pays, soit 4 fois plus que les cas précédents de la même période de 2023.

    - voir clip sur site -

    L’augmentation spectaculaire des cas de dengue a incité le Brésil à acheter des millions de doses de vaccin contre la dengue.

    Avertissement : une usine financée par Gates élève 30 millions de moustiques par semaine pour les libérer dans 11 pays

    Le vaccin contre la dengue

    « Le Brésil a acheté 5,2 millions de doses du vaccin contre la dengue Qdenga , développé par le fabricant japonais Takeda, et 1,32 million de doses supplémentaires ont été fournies gratuitement au gouvernement, indique un communiqué du ministère.

    Trois États brésiliens ont déclaré l'état d'urgence, dont le deuxième État le plus peuplé, Minas Gerais, et le District fédéral, où se trouve la capitale, Brasilia, et est confronté à une augmentation sans précédent des infections.

    Brasilia commencera vendredi à vacciner les enfants âgés de 10 à 14 ans avec Qdenga, a annoncé mercredi le gouvernement local.

    Les cas de dengue à Brasilia depuis le début de l'année ont dépassé le total de l'année 2023, avec un taux d'infection de 1.625 cas pour 100.000 habitants, contre une moyenne nationale de seulement 170.

    Le Programme mondial des Nations Unies contre les moustiques a annoncé en 2023 un plan visant à relâcher des milliards de moustiques génétiquement modifiés au Brésil sur une période de 10 ans dans le but d'éradiquer la dengue dans le pays.

    « Les responsables de la santé brésiliens de cinq villes ont relâché des nuages ​​de moustiques Aedes aegypti cultivés en laboratoire et infectés par la bactérie Wolbachia , ce qui empêche la transmission du virus de la dengue aux humains », a rapporté Harvard Public Health en août 2023.

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  27. "Le pays sera le premier à lancer un programme national visant à libérer les moustiques modifiés par Wolbachia . Et il construit une usine pour augmenter la production de moustiques : à partir de 2024, l'usine produira en masse cinq milliards de moustiques par an."

    Aujourd’hui, un an après le début de l’initiative contre les moustiques, les cas de dengue ont fortement augmenté au lieu de diminuer.

    Le Programme mondial contre les moustiques a notamment reçu une subvention de 50 millions de dollars de la Fondation Bill & Melinda Gates .

    La Fondation Bill & Melinda Gates finance également la recherche sur le vaccin contre la dengue .

    Le gouvernement brésilien a acheté plus de 5 millions de doses du vaccin contre la dengue Qdenga , fabriqué par le fabricant japonais Takeda, qui a également reçu des millions de dollars de subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates .

    En d’autres termes, l’argent de la Fondation Bill Gates est impliqué dans tous les aspects de la situation, depuis les moustiques génétiquement modifiés – qui ont apparemment exacerbé la crise de la dengue – jusqu’au financement des entreprises qui fournissent au Brésil le vaccin contre la dengue, très demandé.

    À quelle fin?

    Voir

    Argent et moustiques armés : la dengue augmente de 400 % au Brésil après la libération de moustiques génétiquement modifiés soutenus par Bill Gates

    Par Jamie White , 1er mars 2024

    Le vaccin contre la dengue et le paludisme de la Fondation Gates
    Selon The Guardian , « au cours des cinq premières semaines de cette année, 364 855 cas d’infection ont été signalés, a indiqué le ministère de la Santé, soit quatre fois plus que les cas de dengue enregistrés au cours de la même période de 2023 ».

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  28. Le projet sur les moustiques génétiquement modifiés ainsi que le vaccin contre la dengue sont généreusement financés par Bill Gates.

    *

    Michel Chossudovsky, le 2 mars 2024
    Est-ce que cela sauvera des vies ?
    Lire l'analyse incisive de William Engdahl

    Voir également:

    La militarisation des moustiques : l’OMS et Gates Inc. annoncent leur intention d’inonder l’Afrique de « vaccins » ultra dangereux contre le paludisme

    Par Jordan Schachtel , 10 juillet 2023

    Pourquoi Gates et le Pentagone ont-ils relâché des moustiques « génétiquement modifiés » (OGM) dans les Keys de Floride ?

    Par F. William Engdahl , 18 novembre 2023

    ***

    Moustiques génétiquement modifiés : catastrophe au Brésil,
    Un projet de la Fondation Gates. Est-ce que cela sauvera des vies ?
    par

    F. William Engdahl

    Une société anglo-américaine d'édition de gènes a relâché des millions de moustiques génétiquement modifiés contenant un gène mortel dominant, chaque semaine pendant 27 mois dans la région de Bahia, au Brésil, dans le cadre d'un test visant à voir si les moustiques génétiquement modifiés s'accoupleraient avec des moustiques locaux porteurs du Zika. , le paludisme ou d'autres maladies transmises par les moustiques .

    Une nouvelle étude documente le fait alarmant qu’après une réduction initiale de la population cible de moustiques, après quelques mois, « la population qui avait été fortement supprimée a rebondi à des niveaux proches de ceux d’avant la libération ». « À ce jour, les scientifiques n’ont aucune idée des dangers que présentent les nouvelles mutations. Cela met une fois de plus en évidence les dangers d’une modification incontrôlée des gènes d’espèces .

    Selon une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Reports , les moustiques génétiquement modifiés produits par la société de biotechnologie Oxitec, qui fait désormais partie de la société américaine Intrexon, ont échappé au contrôle humain après des essais au Brésil et se propagent désormais dans l'environnement.

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  29. Sur le papier, la théorie était brillante. Des souches de moustiques mâles de la « fièvre jaune » prélevées à Cuba et au Mexique ont été modifiées par modification génétique pour rendre impossible la survie de leur progéniture. Oxitec a alors commencé un lâcher systématique de dizaines de millions de moustiques manipulés pendant plus de deux ans dans la ville de Jacobina, dans la région de Bahia au Brésil. La théorie d'Oxitec était que les moustiques modifiés s'accoupleraient avec des femelles normales du même type, porteuses de maladies infectieuses comme la dengue, et les tueraient ainsi .

    « Résultat imprévu… » Élevage de « super moustiques »
    Une équipe de scientifiques de l'Université de Yale et de plusieurs instituts scientifiques du Brésil a suivi les progrès de l'expérience. Ce qu’ils ont découvert est extrêmement alarmant.

    Après une période initiale au cours de laquelle la population de moustiques cible a nettement diminué , après environ 18 mois, la population de moustiques a retrouvé ses niveaux d'avant la libération.

    De plus, le document note que certains moustiques ont probablement une « vigueur hybride », dans laquelle un hybride du naturel avec le gène modifié a créé « une population plus robuste que la population avant la libération », qui peut être plus résistante. aux insecticides, bref aux « super moustiques » résistants.

    Les scientifiques notent que,

    « L'échantillonnage génétique de la population cible six, 12 et 27 à 30 mois après le début des disséminations fournit des preuves claires que des parties du génome de la souche transgénique ont été incorporées dans la population cible. De toute évidence, les rares descendants hybrides viables entre la souche libérée et la population Jacobina sont suffisamment robustes pour pouvoir se reproduire dans la nature… » Ils poursuivent : « Ainsi, Jacobina Ae. aegypti est désormais un mélange de trois populations. On ne sait pas clairement comment cela pourrait affecter la transmission de la maladie ou affecter d’autres efforts visant à contrôler ces vecteurs dangereux.

    Ils estiment qu'entre 10 et 60 % des Ae naturelles de Bahia. Les moustiques Aegypti possédaient désormais un génome OX513A modifié. Ils concluent que « les trois populations qui forment actuellement la population tri-hybride à Jacobina (Cuba/Mexique/Brésil) sont génétiquement assez distinctes, ce qui donne très probablement lieu à une population plus robuste que la population avant la libération en raison de la vigueur hybride. »

    Ce n'était pas censé arriver. Le professeur d'écologie et de biologie évolutive, Jeffrey Powell, auteur principal de l'étude, a commenté les résultats :

    « L’affirmation était que les gènes de la souche libérée ne pénétreraient pas dans la population générale car la progéniture mourrait. Ce n’est évidemment pas ce qui s’est passé. Powell a poursuivi en notant: "Mais c'est le résultat imprévu qui est préoccupant ."

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  30. Tout aussi alarmant que l’échec de l’expérience brésilienne de modification génétique des moustiques est le fait que cette technologie est diffusée sans pratiquement aucun test préalable de santé ou de sécurité par des institutions gouvernementales véritablement indépendantes. À ce jour, le gouvernement américain s'appuie uniquement sur les garanties de sécurité de l'industrie. L’UE, bien qu’elle soit officiellement chargée de traiter les espèces génétiquement modifiées de la même manière que les plantes OGM, tenterait apparemment d’assouplir la réglementation. La Chine, un centre de recherche majeur sur l’édition génétique, applique des contrôles extrêmement laxistes. Récemment, un scientifique chinois a annoncé une expérience d'édition de gènes humains censée rendre des jumeaux nouveau-nés résistants au VIH. D’autres expériences se multiplient dans le monde avec des animaux génétiquement modifiés et même des saumons. Le principe de précaution a été mis à mal lorsqu’il s’agit de la nouvelle révolution de l’édition génétique, ce qui n’est pas une situation rassurante.

    Oxitec, qui nie que les résultats du Brésil soient un échec, tente actuellement d'obtenir l'approbation réglementaire de l'Agence américaine de protection de l'environnement pour mener une expérience similaire avec les mêmes espèces génétiquement modifiées au Texas et en Floride. L'une des personnes impliquées dans cette tentative, le Texan Roy Bailey, est un lobbyiste de Washington et un ami proche de Randal Kirk, le PDG milliardaire d'Intrexon, propriétaire d'Oxitec. Bailey est également un important collecteur de fonds pour Trump. Espérons que ce soit la prudence réglementaire et non la politique qui décide du résultat .

    https://www.globalresearch.ca/gene-edited-catastrophe-brazil/569091

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  31. La militarisation des moustiques : l’OMS et Gates Inc. annoncent leur intention d’inonder l’Afrique de « vaccins » ultra dangereux contre le paludisme

    La manne pharmaceutique pourrait bientôt représenter un chiffre d’affaires annuel d’un milliard de dollars.


    Par Jordan Schachtel
    Recherche mondiale,
    2 mars 2024


    L’Organisation mondiale de la santé et son organisation partenaire, GAVI, contrôlée par Bill Gates, ont annoncé mercredi qu’elles inonderaient l’Afrique de 18 millions de doses de vaccins contre le paludisme.

    Lors d'une conférence de presse mercredi , le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom, a déclaré que 12 pays africains recevront 18 millions de doses de vaccin contre le paludisme dans les mois à venir, déclarant que le changement climatique est en grande partie responsable du fardeau persistant de la maladie sur le continent.

    Même si, à première vue, cela semble être une excellente nouvelle, compte tenu de l'épidémie de paludisme qui perdure en Afrique, nous nous trouvons à nouveau confrontés à une situation dans laquelle le « remède » semble plus menaçant que la maladie elle-même.

    Le paludisme sévit en effet sur le continent africain. Il serait responsable de la mort annuelle d’environ un demi-million d’enfants en Afrique subsaharienne.

    Et avant le milieu du XXe siècle, il existait peu de moyens médicaux pour vaincre les infestations parasitaires, hormis l’amélioration de l’assainissement et du niveau de vie. Aujourd’hui, il existe plusieurs médicaments qui préviennent et traitent le paludisme, mais ne confèrent pas d’immunité stérilisante contre la maladie.

    Le seul « vaccin » contre le paludisme qui a été déployé jusqu’à présent est une injection appelée Mosquirix (RTS,S/AS01), produite par le géant pharmaceutique GSK.

    Non seulement Mosquirix ne fournit pas d’immunité stérilisante, mais il nécessite 4 injections distinctes et ses prétendus effets préventifs ne durent que quelques mois.

    De plus, le médicament est non seulement apparemment sans valeur, mais particulièrement dangereux.

    Les plus grands essais Mosquirix ont produit des résultats incroyablement médiocres, la cohorte vaccinée ayant des résultats bien pires que le groupe placebo. (Étude de l'Université McGill)

    Le groupe vacciné présentait un risque dix fois plus élevé de méningite et de paludisme cérébral, et un risque de décès doublé par rapport au groupe placebo. Même si les injections « fonctionnent », elles n’obtiennent aucune immunité stérilisante temporaire ou à long terme ni aucun bénéfice efficace significatif, elles ne réduiraient donc en aucun cas le fardeau réel de la maladie.

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  32. Néanmoins, l’Organisation mondiale de la santé, notoirement corrompue et capturée, a donné son approbation au vaccin dangereux, le recommandant aux jeunes à risque. Ils affirment même sans fondement sur le site Internet de l’OMS que pour 200 vaccins contre le paludisme déployés, la vie d’un enfant sera sauvée par le « vaccin ».

    L’année dernière, l’UNICEF a attribué à GSK (qui, encore une fois, est actuellement le seul fournisseur de vaccins contre le paludisme) un contrat de 170 millions de dollars pour 18 millions de doses de ses injections contre le paludisme (9,44 dollars par dose).

    Aujourd'hui, Gates Inc et ses partenaires intermédiaires ont publié un livre blanc détaillant leur feuille de route pour le déploiement de ces tirs. Ils cherchent à établir un système dans lequel 80 à 100 millions de vaccins seraient injectés chaque année dans les bras d’enfants d’Afrique subsaharienne d’ici 2030. Cela créerait une industrie du vaccin contre le paludisme en Afrique qui est sur le point de récolter près d’un milliard de dollars. annuellement.

    Il n'y a aucune preuve que ces injections fonctionnent pour prévenir le paludisme, mais cela n'a pas empêché les grandes sociétés pharmaceutiques et les institutions mondiales de « santé publique » d'exécuter leurs projets sur le continent africain.

    Les nouvelles en provenance d’Afrique coïncident remarquablement avec une série continue d’ histoires alarmantes sur le paludisme en provenance des États-Unis. Ne vous inquiétez pas cependant, les grands médias ne manqueront pas de vous faire savoir que BioNTech, soutenue par Pfizer, travaille sur son propre vaccin contre le paludisme !

    https://www.globalresearch.ca/who-gates-inc-announce-plans-flood-africa-ultra-dangerous-malaria-vaccines/5825189

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  33. Avertissement : une usine financée par Gates élève 30 millions de moustiques par semaine pour les libérer dans 11 pays

    Le milliardaire Bill Gates, qui finance le projet, nous « assure » qu'il ne s'agit pas d'une scène d'un film d'horreur.


    Par Amy Mek
    Recherche mondiale,
    2 mars 2024


    Dans un bâtiment en briques de deux étages à Medellín, en Colombie, des scientifiques travaillent dans des laboratoires humides et élèvent chaque semaine 30 millions de moustiques génétiquement modifiés.

    Ils répondent à tous les besoins des insectes à mesure qu'ils grandissent, de la larve à la pupe puis à l'adulte, en maintenant la température idéale et en leur donnant de généreuses portions de farine de poisson, de sucre et, bien sûr, de sang. Ils sont ensuite relâchés dans la nature dans 11 pays.

    Le milliardaire Bill Gates , qui finance le projet, assure qu'il ne s'agit pas d'une scène de film d'horreur.

    « L'usine est réelle. Et les moustiques lâchés ne terrorisent pas les locaux. Ils contribuent à sauver et à améliorer des millions de vies.

    Tout comme ses « vaccins anti-covid » ont « sauvé » des millions de vies ou ses précédents projets de vaccination ont laissé des milliers de femmes stériles en Inde et au Kenya. Ou même ses vaccins contre la polio ont provoqué des paralysies, des convulsions et des convulsions fébriles en Afrique subsaharienne, en Afghanistan, au Congo et aux Philippines.

    - voir clip sur site -

    Bactérie Wolbachia

    « Les moustiques cultivés dans cette usine sont porteurs de la bactérie Wolbachia, qui les empêche de transmettre la dengue et d’autres virus – dont le Zika, le chikungunya et la fièvre jaune – aux humains. En les relâchant et en les croisant avec des moustiques sauvages, ils propagent la bactérie, réduisant ainsi la transmission du virus et protégeant des millions de personnes contre la maladie », affirme Gates – tout comme ses « vaccins anti-covid » ont « réduit » la transmission du virus et ont « protégé » des millions de personnes. les gens de la maladie.

    Des recherches menées en Indonésie ont montré que les moustiques porteurs de Wolbachia offrent une protection à 77 pour cent contre la dengue et qu'ils sont efficaces à 86 pour cent contre l'hospitalisation. Tout comme ses « vaccins corona » offrent une « protection » à près de 100 % contre le covid et l’hospitalisation.

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  34. 11 pays

    Les moustiques sont relâchés en Colombie, au Brésil, au Mexique, en Indonésie, au Sri Lanka, au Vietnam, en Australie, aux Fidji, à Kiribati, en Nouvelle-Calédonie et à Vanuatu, soit onze pays au total.

    Gates prévoit d'élever des centaines de millions de moustiques Wolbachia.

    Gates et ses chercheurs ont-ils pris en compte toutes les variables susceptibles de se produire avec un programme dans lequel un nouveau vecteur de propagation d'une bactérie est un insecte qui pique les humains et d'autres animaux et, ce faisant, leur injecte cette bactérie ?

    Où sont les rapports sur un, deux, cinq et dix ans sur la sécurité d’un tel programme dans un environnement contrôlé ?

    Qu'est ce qui pourrait aller mal ?

    https://www.globalresearch.ca/warning-gates-funded-factory-breeds-30-million-mosquitoes-week-release-11-countries/5792275

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  35. Pourquoi Gates et le Pentagone ont-ils relâché des moustiques « génétiquement modifiés » (OGM) dans les Keys de Floride ?


    Par F. William Engdahl
    Recherche mondiale,
    1er mars 2024


    Malgré de vives protestations des résidents, l'Agence américaine de protection de l'environnement et les agences de Floride ont approuvé la libération controversée de millions de moustiques tueurs génétiquement modifiés ou « modifiés par des gènes » dans les Keys de Floride. Dans le même temps, le candidat controversé de Biden au poste de conseiller scientifique présidentiel est impliqué dans le développement de la technologie CRISPR utilisée pour tout modifier génétiquement, des moustiques aux « vaccins » à ARNm contre les coronavirus Pfizer et Moderna, en passant par le saumon génétiquement modifié. La manière dont Bill Gates , le Pentagone et le lobby eugénique s’unissent aujourd’hui est, pour le moins, alarmante.

    Le 30 avril, le district de contrôle des moustiques des Keys de Floride et la société de biotechnologie Oxitec ont annoncé qu'ils commenceraient à relâcher ce qui constituera à terme quelque 750 millions de moustiques Aedes Aegypti génétiquement manipulés ou modifiés génétiquement à l'aide de la technologie d'édition génétique CRSPR. L'Aedes Aegypti ne représente qu'environ 4 % de la population de moustiques des Keys. Cette libération est farouchement opposée par les habitants et les groupes environnementaux qui ont exigé un référendum lors du scrutin de l'année dernière, mais ce que le Conseil de contrôle des moustiques a curieusement refusé. Oxitec et le Conseil affirment que cette libération vise à éliminer la présence du moustique Aedes Aegypti, censé être porteur de la dengue, du Zika et d'autres maladies .

    Le projet, qui paraît positif dans les communiqués de presse, est alarmant à bien des égards. Premièrement, le refus de permettre aux citoyens de voter sur la dissémination controversée des OGM. Deuxièmement, il n’existe aucune analyse coûts-avantages des risques et des avantages liés à la libération de millions de moustiques dont les traits génétiques mutent de manière souvent imprévisible. Vaut-il le risque qu’une variété de moustiques toujours plus robuste mute à cause du projet ? Personne ne peut le dire. Les techniques traditionnelles de lutte contre les moustiques ont bien fonctionné jusqu’à présent.

    Le PDG d'Oxitec, Gray Frandsen, a une sombre histoire au sein du Département d'État américain dans les Balkans, en tant que conseiller de la marine américaine et membre de l'International Crisis Group de George Soros qui a joué un rôle clé dans la destruction de La Yougoslavie dans les années 1990. Sans aucune expérience en biotechnologie, Frandsen apparaît comme PDG d'Oxitec en 2017. Oxitec, une société britannique, est désormais détenue par Third Security, une société américaine de capital-risque basée à Radford, en Virginie, dirigée par Randal J. Kirk, qui possède également le gène- producteur de saumon édité, AquaBounty.

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  36. L'échec du Brésil

    Lors d'un autre essai réalisé par Oxitec sur le même moustique génétiquement modifié Aedes Aegypti à Bahia, au Brésil, pour voir si les moustiques génétiquement modifiés s'accoupleraient avec des moustiques locaux porteurs du Zika, du paludisme ou d'autres maladies transmises par les moustiques, après une réduction initiale de la population cible de moustiques, après quelques mois, « la population qui avait été fortement supprimée a rebondi à des niveaux proches de ceux d’avant la libération », selon une étude publiée dans la revue Nature Reports. Une équipe de scientifiques de l'Université de Yale et de plusieurs instituts scientifiques du Brésil a suivi les progrès de l'expérience. Ce qu'ils ont découvert, c'est qu'après une période initiale au cours de laquelle la population de moustiques cible a nettement diminué, après environ 18 mois, la population de moustiques a retrouvé ses niveaux d'avant la libération. De plus, le document note que certains moustiques ont probablement une « vigueur hybride », dans laquelle un hybride du naturel avec le génétiquement modifié a créé « une population plus robuste que la population avant la libération » qui peut être plus résistante aux moustiques. des insecticides, bref des « super moustiques » résistants. Cette étude du Brésil Oxitec concluait : « On ne sait pas clairement comment cela peut affecter la transmission de la maladie ou affecter d’autres efforts visant à contrôler ces vecteurs dangereux. »

    Bref, les mutations génétiques étaient imprévisibles. Une autre étude scientifique de 2020 a révélé que les insectes « stériles » redeviennent fertiles, ce qui entraîne la persistance de populations d’OGM résistantes dans l’environnement. L'étude, publiée par des scientifiques de Chine, d'Allemagne et de l'USDA aux États-Unis, montre que des mutations spontanées chez les mouches de laboratoire peuvent survenir, conduisant à une résistance génétique au trait recherché. En d’autres termes, les « super mouches » ou moustiques .

    De plus, ce n’est pas comme si l’incidence de la dengue ou du Zika dans les Florida Keys constituait un problème grave. Selon le rapport officiel du CDC, il n’y a eu aucun cas de Zika parmi la population indigène aux États-Unis en 2020 et seulement quatre cas provenant de voyageurs étrangers. Quant à la dengue, beaucoup plus bénigne et rarement mortelle, avec des symptômes similaires à ceux de la grippe, il y a eu en 2020 quelque 26 cas dans les Keyes de Floride. Il s’agissait de la première épidémie depuis près de dix ans. Curieusement, c'est lors d'une petite épidémie de dengue en 2010 qu'Oxitec a utilisé son argument en faveur de la dissémination de son moustique génétiquement modifié en Floride. La nouvelle épidémie de 2020 était également étrangement utile aux efforts d'Oxitec visant à disséminer les moustiques génétiquement modifiés en Floride, qui ont été approuvés en 2020.

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  37. La guerre entomologique est un type de guerre biologique qui utilise des insectes pour transmettre des maladies. Le Pentagone, utilisant les recherches de la DARPA, aurait effectué secrètement de tels tests entomologiques en République de Géorgie et en Russie. Le développement par la DARPA, en collaboration avec la fondation Gates et Oxitec, de moustiques génétiquement modifiés est-il un programme secret de guerre entomologique ?

    Le Pentagone dispose actuellement de laboratoires biologiques de sécurité de premier plan dans 25 pays à travers le monde, financés par la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) dans le cadre d’un programme militaire de 2,1 milliards de dollars – le Cooperative Biological Engagement Program (CBEP). Ils se trouvent dans des pays de l’ex-Union soviétique comme la Géorgie et l’Ukraine, au Moyen-Orient, en Asie du Sud-Est et en Afrique. Parmi leurs projets, des espèces de phlébotomes phlébotomes ont été collectées sous le titre « Travail de surveillance des maladies fébriles aiguës », dans le cadre duquel tous les phlébotomes (femelles) ont été testés pour déterminer leur taux d'infectiosité. Un troisième projet, incluant également la collecte de phlébotomes, a étudié les caractéristiques de leurs glandes salivaires. Il s’agit de recherche sur l’armement.

    La personne controversée choisie par l’administration Biden pour devenir le premier conseiller scientifique au niveau du cabinet, Eric Lander, venait du MIT-Harvard Broad Institute. Lander est un spécialiste des technologies de forçage génétique et d’édition génétique et a joué un rôle majeur dans le projet américain défectueux sur le génome humain. Ce n’est pas le genre de science que nous devons soutenir. Cela fait plutôt partie de ce qui est évidemment un programme eugéniste plus vaste et Bill Gates joue là encore un rôle clé.

    https://www.globalresearch.ca/why-gates-pentagon-releasing-gmo-mosquitoes-florida-keys/5745027

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  38. « Jamais l’hôpital n’a été aussi bien accompagné que ces dernières années »déclare Valettoux : le cadavre d’une pauvre vieille dans la benne à ordures des urgences


    le 29 février 2024
    par pgibertie


    « Jamais l’hôpital n’a été aussi bien accompagné que ces dernières années »déclare Valettoux : on retrouve le cadavre d’une pauvre vieille dans la benne à ordures des urgences

    Une femme de 85 ans atteinte d’une forme de démence a été retrouvée morte dans un conteneur à l’hôpital d’Aix-en-Provence dimanche dernier, plus de 24h après sa disparition au sein de l’hôpital, annonce le parquet d’Aix-en-Provence, confirmant une information de La Provence. Selon les premiers éléments de l’enquête, avec notamment l’exploitation de la vidéosurveillance, la femme est entrée seule dans la benne à ordures. L’autopsie révèle qu’elle est décédée d’une pneumopathie, des examens complémentaires vont être réalisés.

    C’est en début de soirée que sa fille, qui s’est absentée pour aller chercher une boisson, ne peut plus se retrouver aux côtés de sa mère, emmenée dans un box de l’hôpital. « On m’a refoulée en me demandant d’attendre à l’accueil (…), j’ai patienté dix minutes en racontant de nouveau mon histoire, que ma mère était démente, qu’elle s’échappait tout le temps et qu’il fallait lui donner son traitement. »

    Claudine affime que le personnel de l’hôpital lui a répondu qu’il avait trop de travail et ne pouvait pas donner le traitement sans l’aval du médecin interne qui ne l’avait pas encore vue, ce qui pouvait prendre plusieurs heures, qu’elle pouvait rentrer chez elle « se reposer » et qu’ils l’appelleraient.

    Claudine rejoint alors son domicile, et explique que deux heures plus tard, elle reçoit un coup de téléphone de l’hôpital lui annonçant que sa mère a disparu et « qu’elle n’est plus dans l’enceinte de l’établissement ».

    Claudine retourne alors sur place et explique qu’elle demande que l’on visionne les caméras de surveillance pour savoir dans quelle direction est partie sa maman. « Ils m’ont répondu qu’ils n’avaient pas le code pour les visionner et que la personne responsable des codes était en vacances. »

    « On a cherché jusqu’à 1h du matin », raconte Claudine, expliquant aussi que la famille a recherché la vieille dame tout le samedi dans le centre-ville d’Aix-en-Provence, ainsi qu’à l’hôpital.

    La vielle dame était portée disparue depuis le vendredi 23 février au soir. Cette femme de 85 ans, atteint d’une forme de démence, la maladie à corps de Lewy, avait été admise aux urgences d’Aix-en-Provence dans l’après-midi.

    Sa fille Claudine, qui témoigne auprès de France Bleu Provence, explique que la vieille dame venait de déclencher une nouvelle crise. C’est à ce moment-là que le médecin psychiatre qui la suit habituellement conseille à la famille de rejoindre les urgences.

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  39. La patiente a été retrouvée morte dimanche vers 15h dans une benne à ordures au sous-sol de l’hôpital.

    Claudine explique : « C’est mon cousin qui l’a trouvée dans un container du sous-sol de l’hôpital ». Selon elle, les vidéos visionnées finalement dimanche soir montrent que sa maman est rentrée elle-même dans le container « à 20h45 le vendredi soir », soit le soir-même de sa disparition, quand « j’étais encore là », se désole Claudine.

    Claudine a porté plainte contre l’hôpital, estimant qu’une faute grave a été commise : « S’ils avaient surveillé ma mère… s’ils m’avaient laissée rentrer avec elle… (…) Je suis partagée entre l’anéantissement total, la tristesse, la colère et la culpabilité de l’avoir laissée », confie-t-elle. « Je porte plainte pour que cela n’arrive plus ».

    Les personnes hospitalisées ces dernières années et bien entendu quotidiennement les soignants ont bien vu l’ « accompagnement » formidable que ce gouvernement accorde aux hôpitaux

    - voir posts sur site -

    https://www.ouest-france.fr/sante/mort-de-lucas-aux-urgences-de-hyeres-deux-enquetes-ouvertes-deroule-des-faits-ce-que-lon-sait-f33660de-c018-11ee-9812-c8f10941541a#

    Alors que l’hôpital de Guingamp (Côtes-d’Armor) rencontre des difficultés, des élus et membres hospitaliers locaux souhaitent faire venir des médecins cubains pour sauver leur maternité, menacée de fermeture depuis des années. Ils ont rencontré vendredi Otto Vaillant, ambassadeur de Cuba en France.

    Faire venir des médecins cubains pour sauver une maternité ? C’est le pari lancé par des défenseurs de l’hôpital de Guingamp (Côtes-d’Armor), en Bretagne, qui ont rencontré vendredi l’ambassadeur de Cuba, dans un territoire marqué par des difficultés d’accès aux soins. Élus locaux, syndicats, représentants des médecins et du comité de défense de l’hôpital, directeur de l’hôpital en ont discuté vendredi après-midi à Guingamp avec l’ambassadeur de Cuba en France, Otto Vaillant.

    Pénurie de soignants

    Pierre Saliou, président du conseil de surveillance de l’hôpital de Guingamp, le constate au quotidien : l’hôpital est à bout de souffle. « Nous sommes en souffrance de personnel dans pratiquement toutes les spécialités », explique-t-il au micro d’Europe 1.

    D’après le président, l’établissement manque de chirurgiens, de cardiologues et de pneumologues. Alors, pour faire appel à Cuba, un pays mondialement reconnu pour la formation des médecins, sonne comme une dernière chance pour l’hôpital de Guingamp. « Nous faisons de la coopération dans le monde entier. Pendant le covid, on a envoyé une brigade en Martinique« , détaille Otto Vaillant.

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  40. Plus de médecins étrangers en France ?

    Cette coopération n’effraie pas du tout les soignants bretons, à l’image d’Arnaud Meunier, infirmier anesthésiste. « On travaille déjà avec des médecins syriens et pas mal de médecins africains. On a bien une dizaine de nationalités sur notre hôpital, donc pourquoi pas demain des médecins cubains ! », explique-t-il.

    https://pgibertie.com/2024/02/29/jamais-lhopital-na-ete-aussi-bien-accompagne-que-ces-dernieres-anneesdeclare-valettoux-le-cadavre-dune-pauvre-vieille-dans-la-benne-a-ordures-des-urgences/

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  41. Blessures causées par les vaccins chez les enfants : blessés par le DTaP et développés par la polio et la paralysie induites par le vaccin


    Par le Dr William Makis
    Recherche mondiale,
    29 février 2024


    « Jour 13 après les vaccins infantiles » (février 2021)

    Photo prise le 20 janvier 2021 à 6 mois (en bonne santé)

    Février 2021

    7h39 avant la garderie 17h10 intubé car il ne peut pas respirer. Un vol de vie vient le chercher. Vol de vie partant avec lui. Lui TERRIFIÉ de ne pas savoir ce qui se passe. Des otites chroniques nécessitant des antibiotiques qui détruisent leurs intestins ? Malade peu de temps après avoir reçu…

    Arrêt. V-Ing. Ton. Enfants.

    Quand je l'ai rencontré ce jour-là, il a commencé à devenir bleu. Je l'ai pris dans mes bras et l'ai tendu devant moi pour ouvrir ses voies respiratoires. À ce moment-là, il bougeait encore toutes les extrémités. Quelques minutes, peut-être même quelques secondes, qui sait, plus tard, ses bras se sont relâchés et sont retombés derrière lui. Le reste de son corps a alors cessé de bouger dans mes bras également. Le 9-1-1 nous a précipités aux urgences.

    Tous les tests, analyses de sang, scanners et radiographies étaient normaux. Ils l’ont intubé parce qu’il avait du mal à respirer par lui-même. Un vol de sauvetage est venu le réintuber car il était mal à l'aise. Nous sommes arrivés au Childrens en même temps qu’eux. Ils l'ont admis et l'ont immédiatement emmené pour son IRM. Le Dr Cullimore savait ce qui se passait avant même notre arrivée.

    Ils venaient d'avoir 2 enfants avec la MÊME chose qui sont partis au cours des deux dernières semaines avec, ils venaient des mêmes urgences l'un que l'autre. Un est parti un jour avant notre arrivée… mais c'est « rare » non ? Ils ont posé toutes sortes de questions. Beaucoup ont essayé de blâmer sa garderie. Je savais que ce ne serait jamais le cas. Après son IRM, elle nous a fait asseoir et nous a spécifiquement dit « cela peut être causé par un vaccin ou un virus » . Mon cœur se serra. Je savais ce qui lui était arrivé. Je suis toujours en colère de ne pas avoir compris ça en vidéo. Si vous pouvez planifier une crèche, vous pouvez prendre le temps de lire un encart pour la sécurité et le bien-être de votre enfant.

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  42. Mon bébé n'était pas malade. ARRÊTEZ DE V-ING VOS ENFANTS !!!

    21 mars 2022

    Cliquez ici pour regarder la vidéo

    Cliquez ici pour lire l'article complet.

    https://www.globalresearch.ca/childhood-vaccine-injury-nash-grim-injured-dtap-developed-vaccine-induced-polio-paralysis/5850768

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  43. Une expo SATANIQUE autorisée, une exposition citoyenne de victimes d’effets secondaires du vaccin Covid au Parlement européen INTERDITE


    le 28 février 2024
    par pgibertie


    Après avoir dûment rempli un dossier pour une exposition citoyenne de victimes d’effets secondaires du vaccin Covid au Parlement européen à Strasbourg, celui -ci refuse cette exposition sous prétexte qu’elle ne respecte pas cet article :

    « Les manifestations et expositions culturelles ne doivent en aucun cas être offensantes ou de nature à caractère incendiaire ou contraire aux valeurs sur lesquelles l’Union est fondée ou susceptible de provoquer des perturbations dans les zones d’exposition désignées. »

    Donc une exposition citoyenne ne correspond pas aux valeurs européennes mais des expositions blasphématoires ou scabreuses https://x.com/aureliabeigneux/status/1620069682291277831?s=46&t=DgoUmFJ0OSoxG2VGVf_B1g… oui !? Soutien à ces victimes ignorées et je reviendrai bientôt sur ce sujet.

    - voir clip sur site -

    Après avoir rappelé à l’EMA qu’elle est a eu un rôle trop favorable pour les laboratoires, je lui lis le témoignage d’une jeune fille qui a dû se faire vacciner pour être infirmière et victime d’effets secondaires. Énième victime classée dans un fichier Excel et dont l’EMA se fiche.

    https://pgibertie.com/2024/02/28/une-expo-satanique-autorisee-une-exposition-citoyenne-de-victimes-deffets-secondaires-du-vaccin-covid-au-parlement-europeen-interdite/

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  44. Cette jeune femme serait peut-être encore en bonne santé! Sans la censure elle aurait pu éviter une injection génique expérimentale toxique et inefficace


    le 28 février 2024
    par pgibertie

    - voir cadre sur site ;

    https://pgibertie.com/2024/02/28/cette-jeune-femme-serait-peut-etre-encore-en-bonne-sante-sans-la-censure-elle-aurait-pu-eviter-une-injection-genique-experimentale-toxique-et-inefficace/

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  45. La source de toutes ces données est le VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) qui enregistre depuis plusieurs années les événements indésirables, les blessures graves et les décès consécutifs aux vaccinations aux États-Unis.

    Il y a eu des critiques, étayées par des études, selon lesquelles ce qui est enregistré dans le VAERS pourrait être des sous-estimations très importantes, mais il s'agit néanmoins de la seule base de données officiellement reconnue dont nous disposons dans le domaine public. Les chiffres du VAERS n’établissent pas de relation de cause à effet. Cette base de données nous indique seulement qu'un certain nombre d'événements indésirables, y compris des décès, ont été signalés et enregistrés dans ce système dans un certain nombre de jours spécifié après la vaccination. Il en va de même pour les données sur les événements indésirables d'autres pays plus loin dans cette revue.

    Les données du VAERS indiquent que sur une période d'environ 16 ans et demi (198 mois) allant de juillet 1997 à décembre 2013, en comptant tous les différents vaccins administrés aux États-Unis, de nombreux événements indésirables ont été enregistrés, dont 2 149 décès.

    Ce chiffre est disponible dans un article intitulé « Décès signalés au système de notification des événements indésirables liés aux vaccins 1997-2013, États-Unis », rédigé par Pedro L. Moro, Jorge Arana, Mario Cano et d'autres. Cet article (Clin. Infect. Dis 2015 Sep.15 ; 61(6)), reproduit par la National Library of Medicine, National Center for Biotechnology Information, est basé sur ce qui a été enregistré dans le VAERS. Ce document indique également que ces décès ont montré une tendance à la baisse.

    En divisant 2 149 par 198, nous constatons qu'en moyenne par mois, 11 décès post-vaccin ont été enregistrés, en comptant tous les différents vaccins administrés aux États-Unis.

    Examinons maintenant les décès post-vaccinaux enregistrés uniquement pour le vaccin COVID-19 aux États-Unis dans le cadre du VAERS depuis le début de cette vaccination en décembre 2020. Au cours de la période d'environ 11 mois allant du 14 décembre 2020 au 1er-12 novembre 2021, au total, 8 664 décès ont été enregistrés. Cela équivaut à une moyenne d’environ 788 décès par mois.

    Ainsi, nous apprenons que le nombre de décès post-vacciaux enregistrés par mois pour le vaccin COVID-19 jusqu'au 12 novembre 2021 (788) est environ 72 fois supérieur aux décès par mois qui ont été enregistrés plus tôt pour tous les vaccins combinés (11), comme révélé dans une étude à plus long terme des dossiers du VAERS sur 198 mois, années 1997-2013.

    Lors de ce calcul, nous avons utilisé l'estimation beaucoup plus basse du VAERS, qui exclut les décès consécutifs au vaccin contre la COVID attribués à des « rapports étrangers ». Cependant, si l'on effectue un calcul basé sur les estimations officielles qui incluent les « rapports étrangers », le nombre de décès enregistrés jusqu'au 12 novembre est de 18 853. Cela signifie une moyenne de 1 714 décès par mois, soit 156 fois les décès enregistrés pour tous les vaccins un mois plus tôt.

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  46. Dans le cas de la Chine, comme dans le cas de l’Inde, la situation réelle dans ce contexte n’est pas claire et davantage de transparence est nécessaire. Cependant, un rapport de Bloomberg daté du 28 mai 2021 intitulé « La Chine déclare avoir environ 0,01 % d'effets indésirables dus aux vaccins contre la COVID-19 » peut être mentionné ici. Ce rapport mentionne le chiffre de 31 434 événements indésirables sur 265 millions de vaccins administrés jusque-là. Si nous extrapolons le même chiffre pour les près de 2 300 millions de vaccins administrés jusqu’aux derniers jours de novembre 2021, nous obtenons alors un chiffre d’environ 280 000 événements indésirables (ceux-ci ne sont pas décrits comme des événements indésirables graves, mais simplement des événements indésirables dans le rapport Bloomberg). . Comparé aux événements indésirables survenus aux États-Unis et dans d’autres pays occidentaux, il s’agit là encore d’une sous-estimation considérable.

    Pour près de 27 pays de l’Union européenne, une analyse des événements indésirables rapportée dans Health Impact News du 28 novembre 2021 fait état de 31 000 décès, 2 890 600 blessés dont 1 355 192 blessés graves.

    La tendance semble donc être à un niveau élevé de déclaration de la part des pays développés et à une faible tendance de la part des pays en développement. Un autre aspect important concerne l’extension de la vaccination contre le COVID-19 aux adolescents et aux enfants et les mises en garde exprimées par plusieurs scientifiques de haut niveau dans ce contexte. En fait, en Inde, presque aussitôt que l'annonce officielle dans ce contexte a été faite, le 6 décembre 2021, un épidémiologiste principal de l'AIIMS, le Dr Sanjay K. Rai, président de l'Association indienne de santé publique et impliqué dans les essais Covaxin en Inde de manière très poste de direction, a déclaré que cela n'entraînerait aucun avantage supplémentaire.

    Au niveau mondial, le Dr Robert Malone , qui a joué un rôle très important dans le débat, a mis en garde contre les risques élevés que cela implique. Il a déclaré que des milliers de scientifiques et de médecins s’y opposent (Déclaration des médecins II – mise à jour le 29 octobre 2021, Sommet mondial sur la COVID, Association internationale des médecins et scientifiques médicaux). Le Dr Malone est le découvreur de la plateforme d'ARN in vitro et in vivo et l'architecte de la plateforme de vaccins à ARNm. Par conséquent, ses opinions et celles de plusieurs autres scientifiques de haut niveau ne doivent pas être ignorées. Afin de garantir la sécurité et d'éviter tout impact négatif, il est important de résoudre ces controverses de manière à ce que les préoccupations en matière de santé et de sécurité de tous, et en particulier des enfants, soient bien protégées.

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  47. Les effets indésirables excessivement élevés des vaccins contre la COVID-19, signalés dans plusieurs pays, ont donné lieu à un débat intense sur ce sujet. Il est important de noter que des impacts négatifs aussi importants ont été signalés principalement dans des pays, comme les États-Unis et certains pays européens, qui disposent de systèmes relativement bien meilleurs pour enregistrer ces impacts négatifs.

    Dans le contexte de ce débat, un article de recherche évalué par des pairs et publié fin janvier 2024 a suscité beaucoup d’attention. Ceci a été publié dans Cureus-Journal of Medical Science, qui a été décrit comme une « revue médicale générale en ligne, à comité de lecture, en libre accès ». Cet article s'intitule « Vaccins à ARNm contre la COVID-19 : leçons tirées des essais d'enregistrement et de la campagne mondiale de vaccination ». Cet article a été rédigé par M. Nathaniel Mead, Stephanie Seneff, Russ Wolfinger, Jessica Ruse, Kris Denhaernck, Steve Kirsh et Peter A. McCullough.

    Les auteurs déclarent,

    « Notre compréhension des vaccinations contre la COVID-19 et de leur impact sur la santé et la mortalité a considérablement évolué depuis les premiers déploiements de vaccins. Les rapports publiés sur les essais randomisés originaux de phase 3 ont conclu que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 pourraient réduire considérablement les symptômes de la COVID-19. Entre-temps, des problèmes sont apparus concernant les méthodes, l’exécution et les rapports de ces essais pivots. Une nouvelle analyse des données de l’essai Pfizer a identifié une augmentation statistiquement significative des événements indésirables graves (EIG) dans le groupe vacciné. De nombreux EIG ont été identifiés à la suite de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA), notamment des décès, des cancers, des événements cardiaques et divers troubles auto-immuns, hématologiques, reproducteurs et neurologiques.

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  48. De plus, cet article dit :

    « De plus, ces produits n’ont jamais été soumis à des tests de sécurité et toxicologiques adéquats, conformément aux normes scientifiques précédemment établies. Parmi les autres sujets majeurs abordés dans cette revue narrative figurent les analyses publiées sur les dommages graves causés aux humains, les problèmes de contrôle qualité et les impuretés liées aux processus, les mécanismes sous-jacents aux événements indésirables (EI), les bases immunologiques de l'inefficacité des vaccins et les tendances de mortalité basées sur les données de l’essai d’enregistrement. Le déséquilibre risque-bénéfice étayé par les preuves à ce jour contre-indique d’autres injections de rappel et suggère qu’au minimum, les injections d’ARNm devraient être retirées du programme de vaccination des enfants jusqu’à ce que des études de sécurité et toxicologiques appropriées soient menées. L’approbation par l’agence fédérale des vaccins à ARNm contre la COVID-19 sur une base de couverture générale à l’échelle de la population ne reposait sur aucune évaluation honnête de toutes les données d’enregistrement pertinentes et sur une considération proportionnelle des risques par rapport aux avantages.

    Les auteurs de cet article recommandent,

    « Compte tenu des effets indésirables graves et bien documentés et du rapport préjudice/récompense inacceptablement élevé, nous exhortons les gouvernements à approuver un moratoire mondial sur les produits à ARNm modifiés jusqu'à ce que toutes les questions pertinentes relatives à la causalité, à l'ADN résiduel et à la production aberrante de protéines soient résolues. »

    Compte tenu des implications très graves de ce qu'affirme cet article, ainsi que du fait que ce qu'il affirme est étayé par un grand nombre de preuves éparses mais importantes, cet article ainsi que ses recommandations méritent une large attention de la part des personnes, du personnel médical. et les autorités de santé publique.

    https://www.globalresearch.ca/covid-vaccine-truth-needs-evidence-based-debate-not-gag-orders/5850789

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  49. ne nouvelle technologie psychotique pour arrêter des virus qui n’existent pas
    Sans le consentement éclairé ou sans connaissance des personnes


    JON RAPPOPORT
    29 FÉVRIER 2024


    On dirait un mauvais film d'horreur. Et c’est le cas, dans la vraie vie.

    Réseau d'action pour le consentement éclairé (14 février 2024) (*) :

    Une nouvelle classe de vaccins « à ARN crypté » est en cours de développement, dans laquelle l’ARN s’ajouterait à un virus sauvage existant et se propagerait d’une personne à l’autre à l’insu ou sans le consentement de quiconque.

    Cette soi-disant « thérapie » utilise une technologie appelée TIP (Therapeutic Interfering Particles), décrites comme des « parasites moléculaires artificiels » qui se greffent sur un virus sauvage. Si vous attrapez le virus, vous attrapez également ces parasites. Une fois à l’intérieur d’une personne infectée, les TIP sont censés se multiplier rapidement, détournant les ressources dont le virus sauvage a besoin pour se multiplier et donc stopper le virus.

    Les partisans de cette technologie affirment qu’elle « résoudra » plusieurs problèmes liés à l’administration traditionnelle des vaccins, notamment les « obstacles comportementaux » comme la non-conformité. Cela signifie que tout le monde se fait vacciner, que cela lui plaise ou non.

    Laissez-moi essayer de démêler cela.

    Certains virus circulant naturellement (qui n’existent pas) seront capturés et équipés de parasites moléculaires créés en laboratoire.

    Le virus (qui n’existe pas) et ses parasites attachés entreront dans le corps, où les parasites « détourneront les ressources » dont le virus (qui n’existe pas) a besoin pour survivre et se multiplier.

    De quelles ressources s’agirait-il ? La circulation sanguine ? Le système nerveux? Le cerveau? L'anus ?

    Et que signifie « détourner » ? Détruire ? Désactiver ? Un mur séparé du reste du corps ?

    Le virus (qui n’existe pas) cesse de se multiplier et meurt. Cette personne est alors immunisée contre une nouvelle infection par ce type de virus (qui n’existe pas).

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  50. Je suppose que lorsque le virus sauvage et les parasites pénètrent dans le corps, même si le virus n’existe pas, il s’agit d’une petite goutte de QUELQUE CHOSE, plutôt que d’une simple idée.

    Quel serait ce quelque chose ? Aucune idée.

    Quoi que les parasites fassent réellement dans le corps, nous savons qu’ils n’aident pas à détruire le virus, car celui-ci n’existe pas.

    Heureux que nous ayons éclairci tout cela.

    https://jonrappoport.substack.com/p/psychotic-tech-to-stop-viruses-that-dont-exist?utm_source=post-email-title&publication_id=806546&post_id=142180704&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email

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  51. Dans la compétition internationale de la plus grosse fraude académique, les français sont des petits joueurs; ils ont voulu prouver l’efficacité des confinements, bidon…


    le 26 février 2024
    par pgibertie


    Plus c’est gros plus les journalistes gobent mais on a l’habitude avec la bande à Molimar Merci à Pierre Chaillot et à F Stalker

    - voir docs sur site -

    @decoder_l

    Efficacité des confinements et des vaccins : une fraude scientifique de plus ! Avec

    @EusebeRioche

    , on prend le temps de démonter entièrement cette étude complètement bidon. On s’amuse même qu’elle comporte sa propre contradiction ! Du grand art.

    - voir clip sur site -

    Nul besoin de produire de nouvelles données pour montrer scientifiquement que leurs résultats sont faux, il suffit de s’appuyer sur les connaissances disponibles depuis de nombreux mois, à savoir:

    -Leur modèle SIR n’a pas un caractère prédictif (comportement chaotique des épidémies de covid), Toutes leurs hypothèses sont fausses: -modèle SIR homogène alors que l’hétérogénéité de la transmission est une réalité,

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  52. -Absence de démonstration de causalité; les études DiD (lien causal) montrant de leur côté une faible voir absence d’efficacité des mesures non pharmaceutiques, -Déclin de l’immunité vaccinale non prise en compte,

    -Endogénéité du système remettant en cause la méthodologie de l’étude (l’épidémie influence les mesures), -Manque de fiabilité des données permettant de calculer le R0 (le virus circulait avant que les tests PCR soient disponibles),

    -Aucune estimation de la surmortalité causée par les effets négatifs des mesures,

    Fred Stalder

    @sudokuvariante

    https://pgibertie.com/2024/02/26/dans-la-competition-internationale-de-la-plus-grosse-fraude-academique-les-francais-sont-des-petits-joueurs-ils-ont-voulu-prouver-lefficacite-des-confinements-bidon/

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  53. ENCORE 1 ! ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59 !)

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