- ENTREE de SECOURS -



mardi 5 mars 2024

Avertissement urgent concernant le dictateur de l'OMS, Tedros !

56 commentaires:

  1. À qui donner cette procuration générale ?
    Il s'agit de cet homme : le directeur général de l'OMS Tedros Adhanom Ghebreyesus
    Le documentaire « Le dossier Tedros » révèle que Tedros a été pendant de nombreuses années l'un des principaux dirigeants du Front de libération du peuple tigréen (TPLF), un parti communiste !
    Le TPLF est officiellement répertorié comme organisation terroriste dans la Global Terrorism Database. Incroyable : cette organisation terroriste, qui a souvent participé à des enlèvements et à des prises d'otages, a aidé Tedros à réaliser son incroyable ascension, jusqu'à être nommé ministre des Affaires étrangères d'Éthiopie !
    Les célèbres organisations de défense des droits de l'homme Amnesty International et Human Rights Watch confirment les violations les plus brutales des droits de l'homme commises au cours de ses 12 années de mandat en tant que ministre de la Santé puis ministre des Affaires étrangères, de 2005 à 2016 :
    - Tortures très graves, même sur des écoliers !
    - Les troupes gouvernementales ont brûlé des villages entiers, violé les femmes et les jeunes filles
    - Assassinat de manifestants pacifiques
    - Nettoyage ethnique et déplacement forcé de centaines de milliers de villageois
    Le portail d'information britannique The Expose constate que le « gouvernement Tedros a commis d'innombrables massacres et n'a maintenu son pouvoir qu'en massacrant tous ceux qui osaient remettre en question sa tactique d'oppression ».
    Je n'ai pas inventé cette horreur. Vous pouvez vérifier par vous-même dans le documentaire « Le dossier Tedros ». Toutes les sources y sont également indiquées.
    Tedros ne s'est jamais distancié publiquement de toutes ces atrocités et ne s'en est jamais détourné !
    En tant que ministre de la Santé, Tedros a en outre tout simplement ignoré plusieurs épidémies de choléra et a été complice du blocage génocidaire des vivres et des médicaments pour la population somalienne de l'Ogaden pendant des années ! Cela a entraîné la mort d'un nombre incalculable de personnes !
    Ma conclusion : à mon avis, Tedros est un criminel de haut vol ! Cet homme n'a rien à faire dans le fauteuil du directeur de l'OMS. Il devrait plutôt être mis sous les verrous !

    Comment Tedros a-t-il pu devenir secrétaire général de l'OMS ?
    Là aussi, « Le dossier Tedros » fait la lumière sur cette affaire ! Tedros avait en effet les meilleures connexions avec les personnalités les plus haut placées, comme par exemple
    - l'ancien président américain Bill Clinton,
    - l'ancien président américain Barak Obama,
    - le milliardaire américain Bill Gates
    - le président du FEM Klaus Schwab.
    Manifestement, ces puissants messieurs ne semblent avoir aucun problème à placer aux plus hauts postes des personnes au passé criminel très lourd !
    Es-tu naïf au point de penser que seules des personnes honorables peuvent occuper des postes aussi élevés ?

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  2. Il est pourtant évident que c'est exactement le contraire qui se produit !
    Réveille-toi enfin et enterre ta croyance en une « bien-pensance » !
    C'est pourquoi je dis que le vote de l'OMS en mai concerne le bien-être de presque tous les peuples et donc de l'humanité entière !
    En effet, si les projets de l'OMS étaient adoptés, Tedros deviendrait « DICTATEUR général de l'OMS » avec des pouvoirs incroyables.
    Il lui suffirait de déclarer un état d'urgence sanitaire potentiel et il pourrait alors décider de ton corps. Il te prescrirait par exemple
    - les médicaments que tu dois prendre
    - l’obligation de te présenter immédiatement pour te faire vacciner.
    - où tu peux encore voyager et où tu ne peux pas, etc.
    Adieu la liberté !
    Il est inadmissible qu'un seul homme ait du pouvoir sur des milliards de personnes !
    Comme celui-ci est en outre un criminel grave, il s'agit là d'un scénario d'horreur !
    Il nous reste maintenant environ 4 mois pour empêcher cela !

    Que peux-tu faire en pratique ?
    Je citerai deux exemples :
    1 Regarde « Le dossier Tedros ». Fais connaître ce documentaire bouleversant sur les plateformes sociales et dans ton entourage personnel ! Tu mettras ainsi en lumière les agissements criminels de Tedros ! Il faut un tollé général ! Il faut que même les médias de masse ne puissent plus couvrir les crimes de Tedros.
    2 Contacte les députés de ta circonscription dans le pays où tu habites.
    Informe-les du passé de cet homme et demande-leur de se distancier de ses crimes contre les droits de l'homme. Demande-leur de s'engager et de promettre de faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher un accord de l'OMS sur une pandémie sous la direction du DICTATEUR général Tedros !

    C'est ce que je voulais aujourd'hui :
    C'est l'orientation que je voulais vous donner pour l'année 2024 : Utilisons ensemble le temps qui nous reste pour stopper cette dictature de l'OMS qui nous menace !
    J'ai fini !
    Cordialement, Klaus de Franconie

    de kaf
    Sources / Liens :
    Le dossier Tedros – Le chef de l'OMS va-t-il devenir l'homme le plus puissant du monde ?
    www.kla.tv/26779

    https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=28264&date=2024-02-22

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  3. Pollution : la France veut enfouir ses émissions de gaz carbonique au Danemark !

    Le ministre de l’Industrie et de l’énergie, Roland Lescure, vient de signer, lundi 4 mars 2024, un accord avec le Danemark en vue d’offrir la possibilité aux entreprises françaises, d’enfouir leurs émissions de gaz carbonique en mer du Nord.


    le 5 mars 2024 à 12h00


    La France veut réduire de 55 % ses émissions de gaz carbonique d'ici à 2030.

    La France signe un accord avec le Danemark pour stocker son gaz carbonique

    En vue d'atteindre son objectif de réduire ses émissions de carbone de 55 % d'ici à 2030, la France vise à stocker 8 millions de tonnes de gaz carbonique par an d'ici à 2030 et 20 millions d'ici à 2050. Problème : elle ne dispose pas de site de stockage. Tout comme la Norvège, le Danemark se positionne sur ce segment. Au travers d'un accord bilatéral, les deux gouvernements ont déposé les premières pierres qui visent à encadrer le transport de gaz carbonique français, par voie maritime jusqu'au Danemark.

    Ce choix n'est pas fortuit. Le Danemark, avec ses projets avancés de stockage de gaz carbonique en mer du Nord, représente un partenaire idéal. Celui-ci dispose, en effet, d'installations pétrolières et gazières dont les gisements sont épuisés, et qui sont, par conséquent, disponibles et adaptés pour le stockage de gaz carbonique.

    Pour une harmonisation des règles à l'échelle européenne

    Le gaz carbonique étant considéré comme un déchet, son transport est strictement encadré par la convention de Londres. Cette convention oblige les deux parties à convenir du transport en amont de l'enfouissement des stocks de gaz carbonique. En revanche, ce n'est pas le pays d'origine qui a la charge du captage du gaz carbonique, ni de son transport, mais bien les entreprises. Cet accord, conclu par la France avec le Danemark, vise ainsi à inciter les entreprises françaises à capter leurs émissions de gaz carbonique en leur offrant la possibilité de les stocker dans une zone qui y est spécifiquement dédiée et adaptée.

    À l'avenir, il n'est pas improbable qu'un carboduc soit construit afin de faciliter et de sécuriser le transport du , c'est du moins ce que vise la France. « De manière générale, nous espérons que ce type de discussions bilatérales va faire bouger Bruxelles pour passer des accords au niveau européen. Cela éviterait de traiter d'État à État », souligne le ministère de l'Économie, faisant référence à la zone de flou induite entre les pays membres et non membres de la zone euro (le Danemark et la Norvège n'en faisant tous deux pas partie).

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    Réponses
    1. (...) La France veut réduire de 55 % ses émissions de gaz carbonique d'ici à 2030. (...)

      1°) Rassurez-vous, ce n'est pas 'la France' mais un nano-groupuscule de dictateurs qui ne connaissent rien à la science.

      2°) Le gaz carbonique est là et il y sera TOUJOURS ! Le gaz carbonique est émis par la combustion de la masse ferrique incandescente (à 30 km sous nos pieds). Il remonte donc dans les eaux maritimes & océanique (comme le font tous les autres gaz) vers la surface où ils s'échappent vers l'atmosphère.

      3°) TOUS les gaz de notre atmosphère se recyclent continuellement (sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue).

      4°) Le gaz carbonique n'est ni un poison, ni un gaz 'réchauffiste' puisqu'il est le gaz le plus lourd de tous (1,8 gr/litre) et demeure donc au ras du sol et est responsable des gelées.

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  4. Snowpocalypse ferme les autoroutes en Californie du Nord


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 04 MARS 2024 - 16H20


    Des images choquantes partagées sur la plateforme de médias sociaux X montrent les conséquences d'un énorme blizzard qui a déversé des pieds de neige sur les montagnes de la Sierra Nevada, entraînant la fermeture des principales autoroutes du nord de la Californie et bloquant des centaines de véhicules au cours des dernières 48 heures.

    Selon le média local 2 News Nevada :

    La I-80 reste fermée de la Nevada State Line à Colfax.

    Selon un message du district 3 de Caltrans sur X, la I-80 restera fermée pour le reste de dimanche. Ils espèrent pouvoir rouvrir la route lundi.

    Ils ont également partagé une photo du trafic quittant le bassin du lac Tahoe sur l'autoroute 50. Ils ont déclaré que le trafic se déplaçait très lentement et que des contrôles de chaîne étaient toujours nécessaires.

    Donner Pass en Californie du Nord pic.twitter.com/Za0Ktl8mL3
    – Coco Ferrara (@CocoReimagined) 3 mars 2024

    La principale tempête n’a même pas encore frappé la Californie.

    Beaucoup de gens ont commis une énorme erreur. L'État aurait dû fermer la I-80.

    Le système de tempête vient d’Alaska, et c’est une vraie salope. pic.twitter.com/TDVMrgeBGa

    – Le dernier Mohican (@TheLastMohicans) 3 mars 2024
    D'autres semi-remorques abandonnés et enterrés sur la I-80 EB à l'est de Truckee.

    Je ne peux pas imaginer à quoi ressemble Donner Pass avec des dizaines de semi-remorques toujours bloqués. #CAwx pic.twitter.com/feVhIjADHz
    – Colin McCarthy (@US_Stormwatch) 3 mars 2024

    Le météorologue du National Weather Service, William Churchill, a mis en garde ce week-end contre des « inquiétudes mettant la vie en danger » pour les habitants près du lac Tahoe, qualifiant la tempête de « blizzard extrême ». Les régions du Nevada, de l’Utah et du Colorado ont également été touchées par les conditions hivernales.

    "Des chutes de neige modérées à fortes ont persisté pendant la nuit dans le nord de la Sierra Nevada", a écrit dimanche le service météorologique national de Sacramento, ajoutant : "Les rafales de vent... continuent de provoquer des conditions de blizzard".

    "Il y a certaines zones aux altitudes les plus élevées où l'on peut encore voir 10 à 12 pieds", a déclaré Alan Reppert, météorologue principal d'AccuWeather, à USA TODAY.

    Rapports sur 24 heures faisant état de 18 à 42 pouces de nouvelle neige au cours des dernières 24 heures, ce qui porte le total des tempêtes sur 3 jours à plus de 5 à 7 pieds jusqu'à présent, avec encore un jour à faire ! pic.twitter.com/2ukUjBewRL

    – Tahoe Daily Snow (@TahoeWeather) 3 mars 2024
    Alors, plus de réchauffement climatique ?

    L'une des choses que cette tempête a fait a été de nous faire sortir des 10 dernières saisons de chutes de neige enregistrées au Snow Lab @UCB_CSSL près du sommet Donner. pic.twitter.com/wUPSSySxiY
    – Tahoe Daily Snow (@TahoeWeather) 3 mars 2024

    C'est sauvage.

    Cela vaut la peine de creuser… pic.twitter.com/T0APOnJeKu
    – Sam 🇺🇸 Croissance des startups (@samclaassen) 3 mars 2024

    Le District 3 du Département des Transports de Californie (Caltrans) a écrit sur X dimanche soir : "Avec une amélioration du temps, nous espérons pouvoir rouvrir la I-80 demain."

    https://www.zerohedge.com/weather/snowpocalypse-closes-highways-northern-california

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  5. LE CANULAR climatique ne fait plus rire personne… et pourtant le conseiller énergie et agriculture de Macron est un écolo fada


    le 24 février 2024
    ar pgibertie


    Il connaît déjà bien les arcanes gouvernementales puisqu’il a conseillé trois membres du gouvernement par le passé. De 2012 à 2014, il est conseiller partenariats et sociétés civiles de Pascal Canfin, alors ministre délégué au Développement. Ensuite, de 2014 à 2016, il est conseiller climat, développement durable et sociétés civiles auprès d’Annick Girardin, secrétaire d’État chargée du Développement et de la Francophonie. De 2017 à 2018, il est le conseiller spécial et chargé des négociations internationales sur le climat de Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire. Il était depuis consultant.

    A t il conseillé à Macron d’inviter les écolos fadas au fameux débat foireux ?

    Également titulaire d’un DEA de science politique, il est d’abord membre du bureau exécutif du réseau Action Climat de 2004 à 2007. Puis il rejoint la Fondation Nicolas-Hulot pour la nature et l’homme dont il est porte-parole de 2009 à 2012.

    Le rechauffement climatique provoqué par le gaz carbonique d'’origine humaine' est un canular couteux

    l’agenda mondialiste est basé sur un canular.

    https://www.aubedigitale.com/des-experts-de-renom-denoncent-limposture-du-programme-anti-carbone-du-fem-de-la-pure-science-de-pacotille

    La « décarbonisation » est l’un des principaux objectifs du programme « Net Zéro » du FEM.

    Pour atteindre ces objectifs, le grand public devra réduire considérablement sa qualité de vie.

    Pour atteindre le « Net Zéro » d’ici 2030, il faudra interdire les voyages en avion et la possession de voitures privées, mettre fin à la protection de la vie privée et introduire des identifiants numériques, des passeports-vaccinaux, des villes de 15 minutes et des « sociétés sans argent liquide » qui n’autorisent que la monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) au lieu de l’argent liquide physique.

    Il faudra également éliminer la majeure partie de l’industrie agricole et imposer des restrictions majeures à l’approvisionnement alimentaire, notamment en interdisant la viande et les produits laitiers et en les remplaçant par des produits de substitution cultivés en laboratoire et des « aliments » à base d’insectes.

    En outre, l’introduction d’importantes taxes mondiales sur le carbone serait nécessaire pour couvrir le coût de l’agenda mondialiste.

    La Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement estime que, de 2023 à 2030, les objectifs de développement durable liés au changement climatique coûteront chaque année 2 026 dollars à chaque habitant d’économies telles que les États-Unis.

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  6. Dans les économies à faible revenu, le coût annuel par personne varie de 332 à 1 864 dollars.

    Au total, le coût global s’élève à environ 5 500 milliards de dollars par an.

    Par ailleurs, un rapport de l’organisation à but non lucratif de gauche Climate Policy Initiative a révélé qu’en 2021 et 2022, les contribuables du monde entier ont dépensé 1,3 billion de dollars chaque année pour des projets liés au climat.

    Le rapport indique également que le « financement annuel nécessaire pour le climat » entre 2031 et 2050 s’élève à plus de 10 000 milliards de dollars par an.

    En annonçant 6 milliards de dollars de nouveaux investissements dans le cadre de la loi sur la réduction de l’inflation (IRA), le président démocrate Joe Biden a déclaré le 14 novembre 2023 :

    « Quiconque nie délibérément l’impact du changement climatique condamne le peuple américain à un avenir très dangereux. »

    Les impacts que nous observons ne feront que s’aggraver, devenir plus fréquents, plus féroces et plus coûteux.

    Lors de sa signature en août 2022, Joe Biden a déclaré que l’IRA « investit 369 milliards de dollars pour prendre les mesures les plus agressives jamais prises – jamais, jamais, jamais – pour faire face à la crise climatique et renforcer notre sécurité économique et énergétique ».

    Un rapport de Goldman Sachs chiffre toutefois ce montant à un niveau bien plus élevé.

    « Le financement essentiel de cette prochaine révolution énergétique devrait provenir de l’IRA, qui offrira des incitations estimées à 1 200 milliards de dollars d’ici à 2032 », a révélé la banque.

    Les milliers de milliards de dollars déversés dans de nouvelles initiatives découlent des objectifs fixés par le FEM dans le traité international juridiquement contraignant de l’Accord de Paris sur le climat de l’ONU.

    L’objectif du FEM et de l’ONU est de « réduire considérablement les émissions mondiales de gaz à effet de serre » dans l’espoir de maintenir une température ne dépassant pas 1,5 degré Celsius par rapport aux niveaux préindustriels.

    Cependant, même une diminution spectaculaire des émissions de gaz carbonique, bien supérieure à l’objectif « Net Zéro », n’aurait aucun effet avant des centaines, voire des milliers d’années.

    Même dans les circonstances les plus restrictives, le « Net Zéro » n’aurait aucun impact, selon d’éminents experts.

    Dans un rapport publié sur son site web, la Royal Society affirme qu’il faudrait « plusieurs milliers d’années » pour annuler la contribution supposée du dioxyde de carbone au « changement climatique », même si l’objectif « Net Zéro » était atteint.

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  7. « Si les émissions de gaz carbonique cessaient complètement, il faudrait plusieurs milliers d’années pour que le gaz carbonique atmosphérique revienne aux niveaux ‘préindustriels’ », affirme la Royal Society.

    L’organisation se décrit comme une « association regroupant un grand nombre des plus éminents scientifiques du monde ».

    « Les températures de surface resteraient élevées pendant au moins un millier d’années, ce qui implique un engagement à long terme en faveur d’une planète plus chaude en raison des émissions passées et actuelles », note le rapport.

    « Le réchauffement actuel de la Terre induit par le gaz carbonique est donc essentiellement irréversible à l’échelle humaine.

    Une page de questions fréquemment posées sur le site web de la NASA défend la même position.

    « Si nous cessions d’émettre des gaz à effet de serre aujourd’hui, l’augmentation des températures mondiales commencerait à s’estomper en quelques années », indique la NASA.

    « Les températures atteindraient ensuite un plateau, mais resteraient élevées pendant de nombreux siècles.

    Cependant, d’autres scientifiques préviennent que la « décarbonisation » ne fera aucune différence car le gaz carbonique n’est pas à l’origine du « réchauffement climatique ».

    D’éminents experts avertissent que les affirmations anti-carbone poussées par le FEM et l’ONU sont un canular conçu pour inaugurer l’agenda mondialiste.

    « Le gaz carbonique n’est pas à l’origine du réchauffement climatique », a déclaré Edwin Berry, physicien théoricien et météorologue consultant agréé.

    « Le réchauffement climatique entraîne une augmentation du gaz carbonique ».

    Il a qualifié les affirmations du FEM sur le gaz carbonique de « pure science de pacotille« .

    Ian Clark, professeur émérite au département des sciences de la terre et de l’environnement de l’université d’Ottawa, reconnaît que si toutes les émissions de gaz à effet de serre cessaient aujourd’hui, la Terre continuerait à se réchauffer.

    Toutefois, ce réchauffement se poursuivrait parce qu’il n’a rien à voir avec le gaz carbonique, fait-il remarquer.

    Selon lui, contrairement à l’opinion générale, la température ne suit pas le gaz carbonique.

    Au contraire, le gaz carbonique suit la température, qui est elle-même due à l’activité solaire.

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  8. L’un des principaux domaines de recherche de Clark est la paléoclimatologie (l’étude des conditions climatiques à l’aide de données indirectes telles que les cernes de croissance des arbres, les carottes de glace et d’autres données indirectes), et en particulier la paléohydrogéologie de l’Arctique, qui est l’étude de l’eau de la Terre au cours de l’histoire.

    « Pendant les périodes glaciaires, nous avons connu de grandes variations de température, et cela est lié, non pas à l’activité solaire proprement dite, mais à la quantité d’activité solaire qui frappe la Terre à certaines latitudes importantes, le tout étant causé par des événements célestes », a déclaré Clark.

    « La Terre, dans notre système solaire, se déplace et est bousculée. »

    « Nous avons différents modèles d’orbite qui influencent l’apport solaire, ce qui crée des périodes glaciaires et interglaciaires, dans lesquelles nous nous trouvons actuellement. »

    « Et le gaz carbonique suit cette évolution », note-t-il.

    « Nous observons donc d’énormes changements de température, des périodes glaciaires aux périodes interglaciaires, et le gaz carbonique devient très faible pendant les périodes glaciaires et très élevé pendant les périodes interglaciaires.

    « Cela donne l’impression que le gaz carbonique détermine le climat, alors qu’en réalité il le suit. »

    « Il a un retard d’environ 800 ans. »

    Selon Clark, pendant les périodes glaciaires, et en particulier au cours des 10 000 dernières années, les scientifiques ont une idée assez précise de la température, grâce à des données indirectes.

    Selon lui, ces données montrent que la période de réchauffement médiéval était probablement beaucoup plus chaude qu’aujourd’hui, et que l’agriculture et la civilisation y étaient florissantes.

    Mais le petit âge glaciaire a suivi, des années 1400 aux années 1800.

    « C’est à ce moment-là que nous avons eu des difficultés avec l’agriculture », a déclaré Clark.

    « La Tamise [rivière de Londres, en Angleterre] a gelé. »

    « Nous avons toutes sortes de souvenirs sur le froid, et certains diraient même la misère, qui régnait à cette époque. »

    « Mais elle a ensuite commencé à se réchauffer. »

    « Ainsi, tous les 1 000 ans environ, nous semblons connaître ces fluctuations. »

    « Cela est dû à l’activité solaire, et c’est là que nous voyons l’importance du soleil, qui est la source d’énergie ultime au-delà de l’énergie géothermique et nucléaire. C’est le soleil qui détermine le climat ».

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  9. Une autre étude évaluée par des pairs, réalisée par le scientifique William Jackson, a examiné la relation entre les niveaux de gaz carbonique et la température au cours des 425 derniers millions d’années.

    Jackson est un éminent chercheur et professeur émérite du département de chimie de l’UC-Davis, spécialisé dans la compréhension du rôle que jouent les molécules telles que le gaz carbonique, l’azote et le monoxyde de carbone dans les atmosphères planétaires.

    Son article, publié en 2017, a révélé que « les changements de concentration de gaz carbonique dans l’atmosphère n’ont pas provoqué de changement de température dans le climat ancien. »

    De même, un groupe de chercheurs dont le rapport a été publié dans la revue à comité de lecture de renommée mondiale Nature Journal a constaté, en examinant les compositions isotopiques du carbone à l’échelle du million d’années, que le gaz carbonique atmosphérique à long terme n’était pas lié à la température.

    Le rapport montre même une tendance inverse, en particulier après des événements majeurs tels que des éruptions volcaniques.

    Les chercheurs ont également constaté que lorsque la température et le gaz carbonique atmosphérique atteignaient un certain niveau, l’enfouissement du carbone organique augmentait considérablement, ce qui entraînait finalement une baisse significative des niveaux de gaz carbonique dans l’atmosphère.

    Selon Berry, cette activité est un processus continu par lequel la nature équilibre les niveaux de gaz carbonique.

    Le gaz carbonique passe de l’atmosphère aux plantes par la photosynthèse et aux sols par la décomposition, est absorbé par les océans et est ensuite libéré par la respiration, l’évaporation et la combustion des combustibles fossiles.

    L’ensemble de ce processus est appelé le cycle du carbone.

    En outre, Berry a déclaré qu’une fois que le gaz carbonique dans l’atmosphère atteint un certain niveau, la nature augmente automatiquement le flux de sortie.

    « C’est un peu comme une baignoire, dont le bec est ouvert pour que l’eau puisse s’écouler si elle atteint un certain niveau », a-t-il expliqué.

    « Un certain réglage du débit entrant fera monter le niveau jusqu’à un certain point. »

    « Plus le niveau [de l’eau] augmente, plus l’eau s’écoule rapidement. »

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  10. « Il existe un niveau d’équilibre pour tout réglage du débit entrant – un niveau d’équilibre où tout reste inchangé. »

    « En d’autres termes, le débit sortant est égal au débit entrant. »

    « Lorsque le débit sortant atteint le débit entrant, il atteint son niveau d’équilibre et ne s’accumule plus. »

    Selon Berry, l’hypothèse selon laquelle l’homme est le seul responsable de l’augmentation du gaz carbonique est problématique.

    Selon l'IPCC Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) des Nations unies, depuis 1750, la concentration de gaz carbonique est passée de 280 parties par million (ppm) à plus de 420 ppm.

    L'IPCC affirme que cette augmentation est due à l’homme.

    « Les concentrations actuelles de gaz carbonique et de CH4 [méthane] dans l’atmosphère dépassent de loin les valeurs préindustrielles relevées dans les carottes de glace polaire sur la composition de l’atmosphère depuis 650 000 ans », affirme le GIEC.

    « Plusieurs sources de données confirment que l’augmentation postindustrielle de ces gaz n’est pas due à des mécanismes naturels. …

    « Les émissions de gaz carbonique provenant de l’utilisation de combustibles fossiles et des effets du changement d’affectation des terres sur le carbone des plantes et des sols sont les principales sources de l’augmentation du gaz carbonique atmosphérique.

    Berry a qualifié la déclaration du IPCC de « totalement absurde ».

    « J’ai utilisé les propres données du IPCC sur le cycle du carbone, qui, selon l'IPCC sont exactes à environ 20 % », a-t-il déclaré.

    « Le modèle ne permet pas aux humains de produire 140 ppm. »

    « Il est plus proche de 30 ppm. »

    « Ce qui signifie essentiellement que l'IPCC a tort. »

    Selon Berry, l’affirmation selon laquelle « une certaine quantité de dioxyde de carbone dans l’air entraîne une certaine augmentation de la température » ne repose sur aucune base scientifique.

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  11. « Ils disent que nous devons réduire (le gaz carbonique) à 350 ppm pour ramener la température à ce qu’elle était il y a quelque temps ? Il n’y a rien de physique là-dedans », a-t-il déclaré.

    « Cette affirmation est totalement absurde. »

    « Le gaz carbonique ne provoque pas un changement de température, c’est la température qui provoque un changement de gaz carbonique. »Si nous supprimions complètement les émissions, le gaz carbonique cesserait d’augmenter à son rythme actuel », a déclaré Clark.

    « Mais il continuerait probablement à augmenter jusqu’à un certain point, avant de redescendre. »

    « Mais c’est la température qui en serait le moteur. »

    Selon Clark, dans différentes parties du monde et à différentes périodes de l’année, le gaz carbonique fluctue « entre 15 et 20 % », en fonction de la température des saisons.

    « Si nous commençons à avoir des étés plus frais et des hivers plus froids, ces fluctuations commenceront à faire baisser le gaz carbonique », a-t-il déclaré.

    « Mais dans l’ensemble, le climat évolue en fonction de ce que le soleil lui dicte. »

    « Nous comprenons assez bien les différents cycles que le soleil peut traverser et la manière dont ils s’accumulent. »

    « Parfois, ils s’amplifient mutuellement. Parfois, ils s’annulent. »

    « Nous obtenons donc une sorte de signal chaotique, mais certains se manifestent assez fortement – ce cycle de 1 000 ans semble être assez fort. »

    « Nous avons eu la période de réchauffement romaine, puis la période de réchauffement médiévale, et maintenant nous avons la période de réchauffement moderne ; un, deux, trois. »

    « L’histoire et les archives nous apprennent qu’elles ne durent que quelques centaines d’années, et nous en sommes déjà à une centaine d’années pour celle-ci. »

    Outre le fait qu’elles n’affectent pas la température, les tentatives de réduction du gaz carbonique sont dangereuses en raison de l’effet anticipé sur les plantes.

    « Les plantes C4, comme le maïs, ont évolué il y a seulement 20 à 30 millions d’années. »

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  12. « Elles ont évolué en réponse à la diminution du gaz carbonique dans l’atmosphère. »

    « Elles sont donc relativement tardives dans notre biosphère et reflètent le danger de la diminution du gaz carbonique. »

    La majorité des plantes, telles que les arbres, le blé et le riz, sont des plantes dites « C3 », qui prospèrent à des niveaux de gaz carbonique plus élevés, compris entre 800 et 1 500 ppm.

    Selon Clark, l’un des avantages de l’augmentation du gaz carbonique est l’amélioration des rendements céréaliers au niveau mondial et le verdissement général de la planète.

    Il a conclu que l’ensemble de l’histoire du « réchauffement climatique » d’origine humaine est un canular.

    « Quiconque est réaliste en matière de climat reconnaît que l’argent que nous dépensons pour l’atténuation – où nous pensons que nous inversons le thermostat du gaz carbonique ou que nous essayons d’inverser le thermostat et de sauver le monde d’un réchauffement de 1,5 degré – sait qu’il s’agit d’une fantaisie », a déclaré Clark.

    « Il est impossible d’influer sur le climat avec ce que nous faisons. »

    https://pgibertie.com/2024/02/24/le-canular-climatique-ne-fait-plus-rire-personne-et-pourtant-le-conseiller-energie-et-agriculture-de-macron-est-un-ecolo-fada/

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    1. (...) Selon l'IPCC Intergovernmental Panel on Climate Change (Comité Intergouvernemental sur le Changement Climatique) des Nations unies, depuis 1750, la concentration de gaz carbonique est passée de 280 parties par million (ppm) à plus de 420 ppm. (...)

      'Oui', et alors ? TOUS les gaz présents dans notre atmosphère proviennent de la combustion de la masse ferrique incandescente à 30 km sous nos pieds. TOUS. (L'eau de mer contient 86 % d'oxygène). TOUS ces gaz se recyclent continuellement 24/24 h (sans quoi la vie sur Terre ne serait jamais apparue).

      Donc: notre magma FAIT CE QU'IL VEUT ! (et nous n(y pouvons rien !).

      Que le gaz carbonique soit en augmentation, cela se pourrait. Mais... il faut voir que TOUS LES AUTRES GAZ le sont aussi ! Donc: il y a beaucoup plus de recyclages.

      Le gaz carbonique (0,041 % de notre atmosphère) est un gaz rare et lourd (1,8 gr/litre). Il est présent au niveau du sol (Air ambiant: 1,2 gr/l. Oxygène: 1,4 gr/l.).

      Le gaz carbonique disparaît, N'EXISTE PLUS à une température supérieure à 30,9°C. Il ne peut donc être 'anthropique' car notre corps est à 37°C et nos poumons aussi ! Pire, les pots d'échappement des voitures et cheminées d'usines qui ont des températures de sorties bien supérieures à 30,9°C !

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  13. Climat : l’hiver 2023-24 parmi les plus chauds jamais enregistrés

    L’hiver 2023-2024 s’inscrit, d’après la publication de Météo-France de ce jeudi 29 février 2024, parmi les plus chauds jamais enregistrés en France.


    le 29 février 2024 à 17h00


    Le mois de février a enregistré des températures de +3,6 °C par rapport à la période 1991-2020.

    Le troisième hiver le plus chaud enregistré depuis 1990

    Météo-France, dans son bilan saisonnier, souligne ce qu'elle interprète comme le signe du réchauffement climatique : « Avec une température moyenne de +3,6 degrés par rapport à la période 1991-2020, février 2024 est le deuxième mois de février le plus chaud jamais enregistré, derrière 1990 (+4 °C). » Un constat qui semble confirmer la trajectoire ascendante des températures en France, le mois de février 2024 étant le 25e mois consécutif ayant enregistré des températures supérieures à celles de saison.

    L'hiver 2023-2024 se hisse ainsi à la troisième place des hivers les plus chauds enregistrés par l'organisme de météorologie. L'hiver de 2020 détient la première place de ce malheureux podium, avec des températures moyennes de +2,3 °C, suivi de l'hiver de 2016 (+2,1 °C).

    Des températures « printanières »

    L’hiver 2023-2024 a souvent flirté avec des températures proches de celles d’une fin de printemps plutôt que d’une saison censée être la plus froide de l’année. Dès le début de la saison, le thermomètre a affiché des valeurs étonnamment élevées, dépassant généralement de deux degrés les normales de saison. Des données qui s'expliquent notamment par les fortes vagues de pluie (+10 % par rapport à l'hiver de 2022) qui ont touché la France ces dernières semaines. Une bonne nouvelle pour les nappes phréatiques dont une partie était asséchée à la suite de la période estivale de 2023. Du fait de ces températures douces, l'enneigement a été déficitaire dans la plupart des massifs montagneux, voire quasi nul comme le souligne Météo France en moyenne et basse montagne.

    Malgré ces températures douces, le soleil a eu de la peine à se montrer dans la plupart des régions de France. D'après Météo-France, le taux d'ensoleillement en France aurait même baissé de 10 à 30 % selon les régions pendant cet hiver, notamment dans le Centre-Ouest, dans les Ardennes, ou encore en région parisienne.

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    1. Bien préciser qu'il ne s'agit QUE de la France ! Car aux USA ou en Russie ce sont toujours des records de basses températures (20°C en dessous de la normale !!).
      D'où vient ce froid ou ce chaud ? Il n'y a pas que 'El Nino' ou 'La Nina' qui sont le même volcan sous-océanique au large du Pérou qui dégaze plus ou moins et donc réchauffe plus ou moins les courants océaniques et atmosphériques ?
      Il y a DES milliers (millions ?) de sources chaudes sous-marines et sous-océaniques sur les 78 % de notre planète couverte par les eaux. Et donc, comme le magma est une 'cocotte-minute' il dégaze de temps en temps. S'il dégaze peu c'est La Nina, donc: temps froid. Actuellement c'est El Nino, temps chaud.
      Mais, le suite islamiste oublie (ou refuse ?) de préciser que notre planète SE REFROIDIT ! Car, il ne faut pas faire ses gros titres avec un thermomètre dans une région du monde et parler de 'réchauffement planétaire' !

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  14. Des milliardaires paient pour diffuser du porno climatique à Hollywood


    Par Jo Nova
    February 29th, 2024


    C'est une chance qu'il y ait autant de milliardaires dans le monde pour nous sauver de la démocratie, hein ?
    Mais au lieu de nous persuader ou de faire des publicités honnêtes pour sauver le monde (ce qu’ils pourraient évidemment se permettre), ils préfèrent l’approche trompeuse.

    Si vous pensez qu’Hollywood est ennuyeux de nos jours, il y a une raison
    Chris Morrison du Daily Skeptic a trouvé le guide incontournable pour cacher la propagande climatique dans les films hollywoodiens où les enfants ne réalisent même pas qu'ils sont nourris à la cuillère avec des produits politiques :

    Des milliardaires verts font pression sur Hollywood pour promouvoir les messages climatiques d’Armageddon dans les films
    Good Energy vise à intégrer l’alarme climatique dans tous les types de réalisation cinématographique, « surtout » s’il ne s’agit pas de climat. Avec le soutien de Bloomberg, l’entreprise a récemment publié « Good Energy – A Playbook for Screenwriting in the Age of Climate Change ». Il affirme que le Playbook est « désormais le guide incontournable de l’industrie pour intégrer le climat dans n’importe quel scénario ou genre ». Comme presque tous les groupes militant pour l’environnement, Good Energy n’existerait pas sans le soutien d’un financement milliardaire. Ces opérations recherchent une solution collectiviste supranationale Net Zero à une prétendue urgence climatique. Good Energy reconnaît qu'elle n'existerait pas sans ce financement, ajoutant : « en tant que collaborateurs et champions, chacun a apporté une contribution unique pour laquelle nous sommes infiniment reconnaissants ».

    Propagande hollywoodienne

    Si l’action contre le changement climatique est intégrée au papier peint culturel, les enfants ne pourront peut-être même pas imaginer un monde sans FakeBurgers et sans moulins à vent. Les mers monteront sans cesse tout en restant au même endroit, comme si nous vivions dans un puzzle d'Escher. Chaque onde de tempête sera alimentée par des combustibles fossiles et chaque retrait sera invisible.

    Êtes-vous à court d’intrigues ? Une bonne énergie peut aider…
    Propagande hollywoodienne, Rolling Stone met les détails sur le fond d’écran du film sur le climat encouragé. Au lieu de statistiques ennuyeuses et de détails déprimants, Hollywood « joue son rôle ». Cela crée des héros qui, ah, font ce que veulent les milliardaires :

    Comment Hollywood élabore un nouveau récit sur le changement climatique

    Prenez par exemple l'émission Netflix, Unstable. Dans la nouvelle série, Rob Lowe incarne un innovateur de génie en biotechnologie, qui a créé une multitude de solutions pour sauver la planète. Le mystère Hulu, Un meurtre à la fin du monde, se concentre sur un milliardaire de la technologie qui veut sauver le monde du changement climatique. La comédie dramatique amérindienne de Hulu, Reservation Dogs, met en vedette Dallas Goldtooth, un défenseur du mouvement pour la souveraineté autochtone Land Back. La sitcom de CBS, Ghosts, a diffusé un épisode intitulé « The Tree », qui plonge dans différentes manières dont quelques-uns des personnages centraux se rapportent à la nature et au changement climatique.

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  15. Et si vous étiez un milliardaire investissant dans les véhicules électriques ou les batteries, vous voudriez que des héros aident également vos investissements à croître, n’est-ce pas ? (Spécialement maintenant).

    Les dons à Hollywood Propaganda Inc constituent une dépense publicitaire déductible des impôts qui n’est pas appelée publicité. C’est quelque chose dont on peut se vanter à Davos !

    Selon une analyse du Media Impact Project du Norman Lear Center et de Good Energy, qui aide les créateurs de télévision et de films à raconter des histoires climatiques convaincantes et précises, moins de 3 % des scénarios de films et de télévision de 2016 à 2020 mentionnaient des termes liés au climat.

    Pour l’instant, l’organisation s’engage à garantir que d’ici 2027, 50 % de la télévision et du cinéma contemporains reconnaissent le changement climatique.

    Ce que cela garantit également, c’est que cela rachètera certains écrivains qui auraient pu se moquer du changement climatique. De facto, cela étouffe la créativité. Cela ne fonctionne cependant que si une unité de production nouvelle ne sélectionne pas les vaches sacrées du meuh climatique moderne et ne passe pas un moment follement drôle à le faire. Cela n’arrivera probablement pas à Hollywood, mais cela pourrait se produire sur Twitter, c’est pourquoi Elon constitue une telle menace. Il suffit d’un rebelle populaire pour briser toute la fausse façade culturelle.

    Cela va bien plus loin qu’une simple publicité pour les énergies renouvelables
    Le Playbook note que « les peuples autochtones sont les premiers climatologues, et ils nous guident à travers cette crise climatique ».

    Si les chamanes danseurs de pluie étaient les premiers climatologues, alors la science elle-même n’est qu’une autre religion, et elle n’a rien de spécial. Toute l’idée des tests d’hypothèses, pffft. Les scientifiques modernes ne sont qu’une amélioration du vaudou original, et non une philosophie totalement nouvelle qui a transformé le monde.

    Vous voyez ce qu'ils ont fait là-bas ? Ils ne se contentent pas de vendre des moulins à vent, ils sapent une civilisation.

    C’est une guerre culturelle, que vous le vouliez ou non.

    Les sponsors derrière le programme de publicité subliminale sont des groupes comme le Sierra Club, qui est ensuite financé par la Tides Foundation, entre autres, elle-même financée par les habituels : les Rockefeller, les Soros, les Hewlett et les Packard, et tous le reste. Il existe une centaine d’autres variantes pour que l’argent coule des Uber Rich afin de protéger leurs investissements et de garder la racaille heureuse de voter pour des présidents et des premiers ministres absurdes et de se contenter de passer ses vacances chez elle avec une pompe à chaleur.

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  16. Les hommes les plus riches du monde façonneront notre culture si nous les laissons faire.

    Dites aux enfants…

    https://joannenova.com.au/2024/02/billionaires-are-paying-to-pump-climate-porn-through-hollywood

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    1. Depuis plus de 20 ans la propagande mensongère bat son plein (oui mais 'Hollywood' fait de la science-fiction !) Oui mais...

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  17. 1000 scientifiques publient une tribune dans le Monde...


    2 Mars 2024
    André Heitz et Alexandre Baumann*


    Le Monde exultait le 26 février 2024 (sur la toile) : « Plus de 1 000 scientifiques : "Les propositions de l’exécutif sur l’agriculture sont une régression pour l’environnement et la santé" », avec en chapô :

    « Dans une tribune au "Monde", un collectif de chercheurs spécialistes des questions d’écologie et de santé, parmi lesquels la Société française d’écologie et d’évolution, le conseil scientifique de l’Office français de la biodiversité et la réserve naturelle nationale du Val de Loire, s’alarme des décisions prises par le gouvernement pour mettre fin aux mobilisations des agriculteurs. »

    Atlantico m'a demandé, ainsi qu'à M. Alexandre Baumann, de répondre à des questions. Voici nos réponses.

    Dans une tribune au « Monde », un collectif de chercheurs spécialistes des questions d’écologie et de santé, parmi lesquels la Société française d’écologie et d’évolution, l’Office français de la biodiversité et la réserve naturelle nationale du Val de Loire, s’alarme des décisions prises par le gouvernement pour mettre fin aux mobilisations des agriculteurs. Ces scientifiques décrivent-ils une vision scientifique ou une vision politique ?

    André Heitz : Le corps de signataires de cette tribune est mixte : cinq entités et « plus de 1000 scientifiques ».

    Parmi les premières, le Conseil scientifique de l'Office français de la biodiversité pose un problème de déontologie de taille : il y a une violation du devoir de réserve et, partant, une atteinte grave à l'obligation de neutralité et d'impartialité. Que le Conseil scientifique expose ses griefs dans le cadre de l'OFB, oui ; dans une tribune, non.

    Cela doit nous interroger aussi sur le fonctionnement de l'OFB, d'autant plus que la tribune a aussi été signée par 18 de ses agents.

    Cette incursion des opinions personnelles dans la gestion des affaires administratives et politiques n'est pas nouvelle ; elle s'inscrit dans un cadre plus large. Ainsi,fondé en 2019, le réseau du Lierre rassemble, dit-il, plus de 1.500 fonctionnaires, agents et décideurs publics, experts, consultants, tous acteurs des politiques publiques, qui se disent « convaincus que la transformation de l’action publique est indispensable pour répondre aux urgences écologiques et sociales ».

    Par ailleurs, en octobre 2022, le gouvernement a lancé un programme de formation de près de 25.000 cadres supérieurs de la fonction publique d’État à la transition écologique. L'identité et le pédigrée de certains membres du groupe d'appui laisse rêveur. On ne s'étonnera donc pas, tout compte fait, d'une dérive militante au sein des administrations françaises et d'un service de l'État assujetti à une cause particulière. Cette tribune nous le rappelle à point nommé.

    Les signataires individuels n'ont pas précisé leurs spécialités. A priori, ils sont plus proches du sujet ou d'une partie de celui-ci que, par exemple, les sociologues qui se sont exprimés dans la Croix sur les pesticides et Écophyto, en prodiguant des conseils sur ce que devrait être la politique agricole.

    Mais qu'une tribune soit signée par des personnes se revendiquant de la qualité de scientifiques n'en fait pas une tribune scientifique. Ce texte est vraiment informe. Il heurte les principes de la rationalité et de la démarche scientifiques. C'est un catalogue de récriminations sur fond de pensée magique. Rien à voir avec une vision scientifique, ni même une vision politique au sens noble.

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  18. Quant aux recommandations pragmatiques, allant au-delà des incantations, on cherchera en vain.

    Alexandre Baumann : Plusieurs énoncés de cette tribune sont purement politiques:

    « Le problème est profondément enraciné et résulte notamment des règles commerciales internationales et de leur mise en œuvre nationale, ainsi que d’une surreprésentation, au sein des instances de décision, d’organisations qui ne représentent qu’une partie du monde agricole. »

    « Cette situation entrave l’adoption nécessaire d’une approche vers une agriculture paysanne soutenable et nourricière, qui concilie les impératifs de subsistance de la population et la préservation des écosystèmes. »

    Par ailleurs, rien dans cet article ne discute de la proportionnalité entre les fins recherchées, les moyens mis en œuvre et leur adéquation. D'autres solutions ne seraient-elles pas plus efficaces ? Par exemple, pourquoi ne pas recourir à l'innovation génétique, si ce n'est pour des raisons bassement politiques ?

    On trouve même d'inquiétantes manipulations. Les agriculteurs sont globalement moins touchés par le cancer, néanmoins les auteurs écrivent « De nombreuses maladies, dont certains cancers, ont une plus forte prévalence chez les agriculteurs ». C'est malhonnêtement tourné pour dramatiser.

    Ce n'est qu'un aperçu des manipulations qu'on peut identifier, mais c'est suffisant pour conclure: il s'agit bien d'une tribune purement politique.

    Ils estiment que plusieurs décisions prises par le gouvernement représentent un recul majeur pour la santé des habitants des zones rurales, ainsi que pour l’ensemble de la population. Ils ciblent selon eux « la pause des inventaires de zones humides », « la remise en cause de l’obligation d’allouer des surfacesan Eau sur la stabilisation des prélèvements en eau agricole » ou encore « la stigmatisation et le désarmement de la police environnementale de l’office français de la biodiversité ». Sur chacun des points cités, qu’en est-il réellement ? Dans quelle mesure ont-ils tort ou raison ?

    André Heitz : Ce catalogue de griefs s'inscrit dans un paysage plus général de catastrophe en cours, prête à s'amplifier et à devenir une apocalypse. C'est aussi lassant qu'injustifié.

    Qu'il y ait des points à améliorer dans le paysage agricole (mais pas que, loin s'en faut) n'empêche pas de constater les améliorations réalisées et en cours. Citons l'extraordinaire réduction du recours aux produits phytosanitaires classés CMR-1 (cancérogènes, mutagènes, toxiques pour la reproduction avérés).

    Mais il faut être honnête et ne pas avoir d'agenda dont on ne peut plus dire qu'il est caché. Il faut aussi, hélas, constater les détériorations dues à des conceptions erronées de l'écologie, comme la destruction inconsidérée des seuils des rivières au nom de la continuité écologique. L'agriculture en est aussi victime, et cette tribune peut s'interpréter comme un appel à persister dans l'erreur.

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  19. En matière de « décisions prises » nous en sommes plutôt, à l'heure actuelle, aux déclarations d'intention dont certaines sont encore floues (et risquent d'être contrecarrées par une administration infiltrée par le militantisme).

    Il est donc difficile de concevoir un « recul majeur ». C'est encore plus vrai à l'examen des griefs.

    De plus, le lien avec « la santé des habitants des zones rurales » et, pire, de « l’ensemble de la population » est plus que ténu. C'est là, du reste, une illustration du fait que la tribune n'a pas bénéficié d'une approche scientifique.

    Dans le détail, et en bref, une pause des inventaires des zones humides est... une pause.

    La problématique des infrastructures agro-écologique et des jachères s'est posée au niveau européen, et non national. Elle illustre en fait l'irresponsabilité d'une politique dictée par un écologisme qu'on peut qualifier de bête et méchant. Quel intérêt y a-t-il, en effet, à imposer une déprise agricole dans des régions déjà pourvues en infrastructures agro-écologiques ? Quel est l'intérêt pour la biodiversité d'une jachère ?

    Cette tribune prétend s'investir pour améliorer le sort des agriculteurs mais exige d'eux, non seulement qu'ils abandonnent une source de revenus sur 4 % de leurs terres, mais encore qu'ils investissent pour y mettre des cultures dans le cas des jachères qui ne leur rapporteront rien.

    S'agissant d'Écophyto, il n'y a plus de pause, le changement d'indicateur (le HRI-1 plutôt que le NODU) ayant été acté. Et, comme nous l'avons exposé précédemment, l'objectif – politicien et démagogique – de réduire de 50 % l'usage des pesticides est ridicule. On pourra aussi lire avec intérêt, à ce sujet, les explications de Mme Alessandra Kirsch.

    Parmi les 53 mesures du plan Eau, il y a : « Un fonds d’investissement hydraulique agricole sera abondé à hauteur de 30 millions d’euros par an pour remobiliser et moderniser les ouvrages existants (curage de retenues, entretien de canaux…) et développer de nouveaux projets dans le respect des équilibres des usages et des écosystèmes. » Cela n'est pas compatible avec la « stabilisation [alléguée] des prélèvements en eau agricole ».

    Du reste, comment peut-on, surtout en tant que scientifiques, s'opposer au déploiement de l'irrigation dans un contexte de réchauffement et de dérèglement climatiques ? Au stockage de l'eau quand elle est abondante et excédentaire pour l'utiliser quand les plantes en ont besoin ?

    Enfin, la question de la police environnementale n'a aucun lien avec la science. Notons toutefois que s'il y a « stigmatisation » alléguée, c'est bien qu'il y a eu des situations posant problème (voir par exemple ici).

    Alexandre Baumann : Dans aucun des cas une « pause » ne représente une sorte de danger mortel. Au contraire, il s'agit surtout de faire une pause après une frénésie réglementaire désordonnée pour réfléchir sur les dispositifs. Faisons un rapide commentaire dans le détail :

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  20. « la pause des inventaires de zones humides » : qu'appelle-on « zone humide » ? Géraldine Woessner l'avait déjà dénoncé il y a un mois : « Les détails des neuf règles BCAE (pour bonnes conditions agricoles et environnementales) de la PAC sont en eux-mêmes un poème. La BCAE2 protège les tourbières et les zones humides. Mais la France envisage de l'étendre aux "zones humides probables" qui, dans les faits, engloberaient de nombreuses plaines et bords de rivières. » (24/01/2024)

    « la remise en cause de l’obligation d’allouer des surfaces aux infrastructures agroécologiques (comme les haies) ou les jachères » : il n'y a pas de preuve que le coût représenté par cette mesure soit proportionné à l'intérêt qu'elle représente. Mais bon, c'est l'agriculteur qui paie, ce n'est pas le problème des militants.

    « la pause du plan Ecophyto » : il s'agit d'une pause pour réévaluer les indicateurs de performance, qui sont incapables de saisir efficacement l'amélioration des pratiques agricoles (je développe ce point dans un précédent article). Voir des « scientifiques » s'alarmer d'une telle démarche est stupéfiant : il faudrait s'arrêter de réfléchir et juste faire n'importe quoi ?

    « le recul sur les décisions prises dans le plan Eau sur la stabilisation des prélèvements en eau agricole » : rappelons que les bassines sont présentées par le 3e chapitre du rapport du GIEC comme un mode légitime d'adaptation aux sécheresses.

    « la stigmatisation et le désarmement de la police environnementale de l’office français de la biodiversité » 1/ En quoi le gouvernement stigmatise l'OFB ? 2/ Est-ce qu'il y a un consensus scientifique sur le fait que les agents de l'OFB devaient être en mesure de menacer les agriculteurs avec des armes ?

    Sur l'absurdité administrative des normes environnementales, j'ai aussi vu passer cet article du Huffington Post.

    La réponse des signataires, qui diabolise même la réflexion la plus élémentaire, n'est simplement pas pertinente et traduit une démarche qui n'a rien de scientifique, à part la plus superficielle apparence.

    « Ces reculs n’apportent aucune réponse satisfaisante aux problèmes de qualité de vie des agriculteurs. Au contraire, ils entraînent des risques majeurs sur la santé humaine, en premier lieu celle des agriculteurs, mais également celle de l’ensemble de la population actuelle et future. Notre communauté scientifique est solidaire du monde agricole avec lequel elle collabore et interagit étroitement », est-il écrit. Dans cette tribune, la place de l’agriculteur est-elle suffisamment légitimée pour la prise de décisions finales ? Ou au contraire les scientifiques ont-ils tendance à parler au nom des agriculteurs ?

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  21. André Heitz : On concédera volontiers aux auteurs de la tribune qu'ils ont raison sur l'insuffisance de ces « reculs » pour répondre aux problèmes de qualité de vie des agriculteurs. Mais les pistes d'action dont il s'agit s'inscrivent dans un cadre plus large, dont il reste à mesurer l'efficacité quand – ou plutôt si – les paroles se seront traduites en actions. Et c'est faire un mauvais procès aux mesures susceptibles d'apporter une partie de la solution que de ne pas résoudre le tout.

    Les « risques majeurs sur la santé humaine » sont aussi un mauvais procès fait à l'agriculture, celle qui nous nourrit. En réalité, la grande cohorte AGRICAN (180.000 personnes suivies depuis 2005) montre que les agriculteurs sont en moyenne en meilleure santé que la population générale.

    Oui, il y a des affections qui sont plus répandues dans cette population, une partie d'entre elles étant inscrites à des tableaux de maladies professionnelles en lien avec les pesticides (incluant les biocides vétérinaires) sur la base de présomptions plus ou moins fortes et étayées par l'épidémiologie. Mais on est loin des « risques majeurs ». La tribune, de ce point de vue, succombe à l'hystérie anti-pesticides et aux manœuvres destinées à faire prospérer une certaine forme d'agriculture par le dénigrement des formes majoritaires.

    Il est du reste significatif que la tribune utilise trois fois le mot « bifurcation », un terme chéri de la France Insoumise (et, on s'en souvient, d'une petite poignée d'ingénieurs agronomes frais émoulus d'AgroParisTech crachant sur leur diplôme). Elle ne critique que les intrants « de synthèse ». Et elle promeut une « agriculture paysanne » qui serait « soutenable et nourricière, qui concilie les impératifs de subsistance de la population et la préservation des écosystèmes ». Le bréviaire est pieusement récité...

    À l'évidence, ces signataires de tribune – qui, incidemment, prétendent exprimer une opinion unanimement partagée, l'« indignation et [la] colère » de « [l]a communauté scientifique qui travaille sur les enjeux environnementaux » – ne sauraient exciper d'une solidarité avec les agriculteurs, et encore moins parler en leur nom.

    Leur propos est du reste clair, même dans son incohérence : d'une part, le problème de nombreuses maladies résulterait « d’une surreprésentation, au sein des instances de décision, d’organisations qui ne représentent qu’une partie du monde agricole » (mais aussi, de manière surprenante, « des règles commerciales internationales et de leur mise en œuvre nationale »). D'autre part, l'envolée finale s'interprète comme un appel pressant à, nominalement, associer « les citoyens et les scientifiques » à la définition de la politique agricole et, en réalité, à confier les clés de cette politique au militantisme écolo-politique.

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  22. Alexandre Baumann : Attention, les auteurs de cette tribune ne représentent pas « les scientifiques ». Et non, ces scientifiques se moquent des agriculteurs. Ce discours est en fait commun de la pseudo-écologie agricole : ils prétendent délivrer les agriculteurs du joug de l'agrochimie. Cela permet de créer le doute, tant chez les observateurs que chez les agriculteurs eux-mêmes. C'est aussi une des stratégies utilisées par Poutine en Ukraine, qu'il prétend libérer des « Ukronazis ».

    Quelles décisions prises ou à prendre pourraient faire consensus entre les scientifiques qui travaillent sur les enjeux environnementaux et les agriculteurs ?

    André Heitz : Les signataires de la tribune ne sauraient en aucun cas se dire représentatifs des scientifiques qui travaillent sur les enjeux environnementaux quand bien même ils expriment des opinions aussi largement répandues qu'erronées.

    Prenons encore l'exemple du recul allégué « sur le relèvement de la redevance pour pollutions diffuses […] alors que le coût associé au traitement de ces pollutions explose ». Le problème prioritaire sur la table est celui d'un revenu décent pour les agriculteurs... et les auteurs de la tribune plaident pour l'application intransigeante du « principe pollueur-payeur ». On marche sur la tête ! Sous-jacent il y a aussi l'idée qu'augmenter le coût des traitements phytosanitaire entraînera mécaniquement une baisse des recours aux pesticides. Cela ne se passe pas comme cela dans la vraie vie !

    J'aurais tendance à dire que la décision principale à prendre consiste à écarter la science militante – les militants se prévalant de l'autorité de la science, en fait de « leur » science – des processus décisionnels.

    Il faut revenir ici aux fondements de la crise actuelle, qui n'est pas seulement française mais européenne. Si des mèches différentes ont été allumées pour mettre le feu aux poudres dans les différents pays, on a partout un empilement de problèmes actuels et de craintes pour le futur dont une partie relève de politiques nominalement environnementalistes et certainement malavisées.

    On rétropédalerait à Bruxelles sur le Green Deal et surtout Farm to Fork ? On a – enfin – compris qu'on fonçait dans un mur. Il serait temps de réaliser que le même problème se pose à Paris.

    Placer l’agriculture au rang des intérêts fondamentaux de la Nation, au même titre que notre sécurité ou notre défense nationale, est de ce point de vue un acte fort, mais il faudra le concrétiser à tous les niveaux.

    *

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  23. Alexandre Baumann : « Les scientifiques qui travaillent sur les enjeux environnementaux » ne décrit pas une entité un tant soit peu homogène et, encore moins, qui ait une représentation et, encore moins, dont la représentation se serait exprimée dans la tribune du Monde. La sphère scientifique environnementale est noyautée par le militantisme, comme on l'a notamment vu avec l'étude Hallman et al. (2017). Il y en aura toujours pour dénigrer les vraies solutions et promouvoir des fadaises

    https://seppi.over-blog.com/2024/03/1000-scientifiques-publient-une-tribune-dans-le-monde.html

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  24. La « transition alimentaire » est une guerre contre l’alimentation, les agriculteurs et le monde entier


    Par Colin Todhunter
    Recherche mondiale,
    4 mars 2024


    Cet article commence par une courte vidéo basée sur un entretien avec la chercheuse Sandi Adams, qui décrit les projets agricoles dans le comté rural de Somerset, dans le sud-ouest de l'Angleterre et au Royaume-Uni en général. C'est un clip important parce que ce qu'elle décrit semble faire partie d'un programme plus large des Nations Unies transmis par une élite extrêmement riche, irresponsable et non élue.

    Cette élite pense qu’elle peut faire un meilleur travail que la nature en modifiant l’essence de la nourriture et le noyau génétique de l’approvisionnement alimentaire (via la biologie synthétique et le génie génétique).

    Le plan implique également de retirer les agriculteurs des terres (fermes sans agriculteurs pilotées par l’IA) et de remplir une grande partie de la campagne de parcs éoliens et de panneaux solaires. Même si le système alimentaire présente des problèmes qui doivent être résolus, ce programme malavisé est une recette pour une insécurité alimentaire pour laquelle personne n’a voté.

    - voir clip sur site -

    Partout dans le monde, des Pays-Bas à l’Inde, les agriculteurs protestent. Les manifestations peuvent sembler avoir peu de points communs. Mais ils le font. Les agriculteurs ont de plus en plus de mal à gagner leur vie, que ce soit, par exemple, à cause des politiques commerciales néolibérales qui conduisent à l’importation de produits qui compromettent la production nationale et font baisser les prix, au retrait du soutien de l’État ou à la mise en œuvre de politiques de zéro émission nette. qui fixent des objectifs irréalistes.

    Le fil conducteur est que, d’une manière ou d’une autre, l’agriculture est délibérément rendue impossible ou financièrement non viable. L’objectif est de chasser la plupart des agriculteurs de leurs terres et d’imposer un programme qui, de par sa nature même, semble susceptible de produire des pénuries et de compromettre la sécurité alimentaire.

    Un programme mondial d'« une agriculture mondiale » est promu par des organismes comme la Fondation Gates et le Forum économique mondial. Cela implique une vision de l'alimentation et de l'agriculture qui voit des entreprises telles que Bayer, Corteva, Syngenta et Cargill travailler avec Microsoft, Google et les géants de la grande technologie pour faciliter les fermes sans agriculteurs pilotées par l'IA, la « nourriture » conçue en laboratoire et la vente au détail dominée par des entreprises comme celles-là. d'Amazon et de Walmart. Un cartel de propriétaires de données, de fournisseurs d’intrants propriétaires et de plateformes de commerce électronique aux sommets de l’économie.

    Ce programme est le fruit d’un complexe numérique-corporatif-financier qui veut transformer et contrôler tous les aspects de la vie et du comportement humain. Ce complexe fait partie d'une élite mondiale autoritaire qui a la capacité de coordonner son agenda à l'échelle mondiale via les Nations Unies, le Forum économique mondial, l'Organisation mondiale du commerce, la Banque mondiale, le Fonds monétaire international et d'autres organisations supranationales, y compris des groupes de réflexion influents. et fondations (Gates, Rockefeller, etc.).

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  25. Manifestations des agriculteurs, hystérie climatique, fausses images d’IA et problème systémique de la dépendance au pétrole


    Par Mark Keenan
    Recherche mondiale,
    4 mars 2024


    Au cours des quatre dernières années, les agriculteurs ont organisé des manifestations dans toute l'Europe.

    Les agriculteurs protestent contre les réglementations environnementales excessives et les formalités administratives de l’UE, contre la hausse des coûts d’exploitation et de carburant, et contre les politiques dites « vertes ».

    Des manifestations ont eu lieu dans des pays comme la France, l'Italie, l'Espagne, la Roumanie, la Pologne, la Grèce, l'Allemagne, le Danemark, le Portugal, l'Irlande, la République tchèque et les Pays-Bas[1]. Par exemple, vous trouverez ci-dessous une photo d'agriculteurs néerlandais protestant contre les mesures gouvernementales qui ont un impact sur leurs moyens de subsistance.

    En 2024, les protestations paysannes continuent de s’étendre à toute l’Europe. Par exemple, en février, des centaines de tracteurs sont arrivés à Prague[2]. En janvier, près de 1 000 agriculteurs ont manifesté à Toulouse, et les agriculteurs belges ont lancé de vastes barrages routiers dans le cadre de leur protestation[3]. En décembre, les agriculteurs allemands ont manifesté à Berlin avec 1 700 tracteurs bloquant la route menant à la porte de Brandebourg.

    Les agriculteurs affirment être aux prises avec certains risques de faillite.

    Il me semble qu’à l’origine de la politique agricole de l’UE se trouve le faux récit de l’UE et de l’ONU selon lequel « le changement climatique est causé par le gaz carbonique d’origine humaine et le méthane provenant des vaches ».

    Ce discours de l'ONU a maintenant été largement dénoncé dans le monde entier comme étant fondé sur de fausses données scientifiques . Consultez cet article pour plus de détails sur la fausse science et sur les 1 850 scientifiques et professionnels du climat qui ont signé une déclaration réfutant le discours de l’ONU sur le climat. Cette information est pertinente pour les producteurs laitiers, car l’UE prévoit d’abattre des millions de vaches laitières en raison de la fausse affirmation selon laquelle le méthane provenant du bétail, comme les vaches, provoque un changement climatique catastrophique.

    L’écart entre l’hystérie climatique et la réalité – Peut-être que les guerriers du climat devraient essayer de travailler dans une ferme ?
    Les guerriers du climat, et nous tous, ferions bien de garder à l’esprit que les aliments que nous achetons dans les supermarchés ne sortent pas d’une boîte magique !

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  26. Il faut le travail acharné des agriculteurs, ainsi que la magie de la terre et du soleil de Dieu, pour produire la nourriture nécessaire aux peuples d'Europe et du monde. Alors que d’innombrables agriculteurs sont touchés par les politiques climatiques et agricoles de l’UE, les guerriers du climat du monde entier protestent (à tort) contre le changement climatique provoqué par l’homme, le bétail et les agriculteurs.

    Quelle situation surréaliste et bizarre. On estime que s’il y avait une grave pénurie de pétrole, la plupart des supermarchés et des ports pourraient se vider en une semaine – quel guerrier du climat affamé et illusoire aurait alors le temps ou l’énergie de bloquer les routes et de protester contre le changement climatique ou les combustibles fossiles ?

    Depuis l’âge de 15 ans, la militante et icône Greta Thunberg appelle les dirigeants du monde et le public à prendre des mesures pour atténuer le changement climatique, en s’appuyant sur le récit du IPCC de l’ONU. Miss Thunberg a manifestement été manipulée et utilisée comme instrument de relations publiques au nom des architectes du faux consensus climatique . Il semble qu’elle ait été commercialisée et utilisée de manière cynique et professionnelle par des organisations, notamment l’ONU et la Commission européenne.

    Comme détaillé dans ce livre, les architectes semblent inclure un réseau plus large lié à l'organisation de l' ancien vice-président Al Gore, qui a été présenté dans le film Une vérité qui dérange. Gore semble être un très riche profiteur du climat, et son partenaire, l'ancien responsable de Goldman Sachs, David Blood, est membre du groupe de travail sur la divulgation financière liée au climat (TCFD), créé par la Banque des règlements internationaux, qui représente 118 000 milliards de dollars de revenus. actifs à l’échelle mondiale[4]. Le documentaire trompeur An Inconvenient Truth a même été rendu obligatoire dans de nombreuses écoles publiques.

    Il semble que rien de ce que nous pouvons dire scientifiquement ne puisse « débrayer » les esprits soumis au lavage de cerveau.

    Avec la montée du « politiquement correct » et du conformisme idéologique, comment peut-on aider les gens à voir la réalité telle qu'elle est et à échapper à la panique mentale induite par le récit de la catastrophe climatique de l'ONU ? Nous devrions tous être en sécurité en sachant que demain est un autre jour, et pouvoir nous réveiller en sachant que la fin du monde ne se produira pas dans 12 ans à cause d’un changement climatique catastrophique !

    Peut-être que sortir à la campagne ferait sourire les guerriers du climat qui semblent souvent froncer les sourcils à cause du climat. Ci-dessous, nous voyons Greta Thunberg profitant d’une rare journée dans une ferme – regardez comme elle semble heureuse.

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  27. Fausse réalité – L’utilisation problématique des images générées par l’IA et des logiciels AVR
    [À part : Avis de non-responsabilité et exclusion de responsabilité.]

    Je souhaite à tous bonne chance et à un sourire ensoleillé, y compris à Miss Thunberg. Notez que l’image ci-dessus de Miss Thunberg conduisant un tracteur est bien sûr fictive, non réelle et a été créée en quelques minutes à l’aide d’un logiciel d’IA gratuit. J'ai simplement tapé les mots « Greta Thunberg souriant en conduisant un tracteur dans une ferme » dans un logiciel d'IA et « cela » a produit l'image ci-dessus.

    Cet exemple simple démontre que n’importe qui peut désormais créer de fausses images grâce à la disponibilité croissante des logiciels d’IA et de réalité virtuelle augmentée (AVR). Le fait que de tels logiciels puissent manipuler des images humaines et créer de fausses images et vidéos constitue en soi un problème distinct extrêmement problématique. Notez cependant qu'il ne s'agit pas simplement d'un phénomène nouveau, de tels logiciels sont utilisés et développés depuis de nombreuses années, par exemple, la NASA utilise le logiciel AVR depuis des années, comme je le prouve dans cet article .

    L'existence de ces outils soulève de nombreuses questions quant à la possibilité d'une falsification de la réalité et quant à l'éthique de la manipulation de l'image de quelqu'un. Les logiciels d’IA peuvent produire de telles manipulations en quelques secondes. Où nous mènera cette voie de l’IA ? Nous pouvons difficilement imaginer quelles manigances trompeuses pourraient être lancées par ces groupes qui utiliseraient les outils d’IA les plus sophistiqués pour faire avancer leurs propres programmes et objectifs. Il semble que les outils d’IA les plus sophistiqués ne soient actuellement pas accessibles au grand public.]

    Sécurité alimentaire – La question systémique de la dépendance pétrolière et la question du « pic pétrolier »
    J’aborde maintenant les sujets de la sécurité alimentaire, de la dépendance pétrolière et de l’avenir de l’agriculture. De nombreuses questions se posent par rapport à ces sujets. Un aspect qui est clair est que le système économique industriel actuel du monde, y compris l’agriculture industrielle et commerciale moderne, est extrêmement dépendant de la disponibilité d’un pétrole à un prix abordable. Il est clair que les agriculteurs accomplissent un travail vital pour la société en matière d’approvisionnement en nourriture et en lait.

    Notez que sans les agriculteurs et sans pétrole abordable, les rayons des supermarchés dont nous dépendons pour la plupart pour nous nourrir se videraient rapidement de nourriture. Ainsi, plutôt que le faux programme climatique, un sujet plus pertinent est sans doute la disponibilité à long terme du pétrole et d’autres combustibles fossiles à forte intensité énergétique. J'ai écrit sur ces sujets sur mon blog il y a 15 ans déjà, lorsque j'étais membre d'une ONG qui se concentrait sur ce domaine de recherche.

    Il semble que les agriculteurs soient confrontés à des temps difficiles. Il existe un véritable éventail de problèmes et de questions à considérer, notamment :

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  28. L’agriculture commerciale dépend de la disponibilité d’un pétrole à un prix abordable – que pourrait-il se passer si le pétrole à un prix abordable devenait indisponible à long terme, ou si les prévisions concernant le pic pétrolier étaient exactes ? Les prévisions du pic pétrolier ne sont-elles que de la désinformation et de l’alarmisme ?
    Le programme de réinitialisation du WEF implique l’Internet des objets (IoT) et l’électrification de tout, y compris le secteur agricole. Quel est l’avenir de l’agriculture ? Et comment sera-t-il alimenté ?
    Les agriculteurs d’aujourd’hui sont nés à une époque de monétisation et d’inflation, de commercialisation et de mondialisation, de taxes gouvernementales et de réglementations gouvernementales excessives, etc.
    Le « système » semble étouffer les petits et moyens exploitants : il semble que des millions de petits et moyens agriculteurs dans le monde sont en difficulté et que dans certains pays, par exemple en Inde, beaucoup ont fait faillite.

    Aspects de l’agriculture commerciale moderne qui sont considérés comme problématiques par de nombreuses personnes, tels que l’utilisation de vaccins, d’hormones de croissance, d’engrais chimiques, de pesticides et d’herbicides chimiques ayant un impact sur la santé, d’OGM, de semences terminator génétiquement modifiées, etc. Les éléments susmentionnés étaient nécessaires dans des milliers d’années de cultures agricoles traditionnelles et semblent avoir été imposés par les forces commerciales et financières, en particulier au cours des deux ou trois dernières générations.
    La perspective historique – la prise de contrôle des terres communes au cours des derniers siècles et la façon dont le début de la monétisation, la mondialisation et l’agriculture industrielle basée sur le pétrole ont progressivement remplacé les cultures et méthodes traditionnelles d’agriculture biologique dans le monde entier. Certains d'entre nous ont encore le souvenir de lait, d'œufs, de légumes, de fromages, de pommes, etc. biologiques, produits sur notre propre parcelle familiale, ou par un voisin, ou du moins largement disponibles localement.
    J'aborde certains de ces sujets dans ce livre . Je tenterai peut-être d'écrire un article sur ces sujets et j'apprécierai les contributions des agriculteurs et des personnes ayant une connaissance spécifique de ces sujets.

    *

    Mark Gerard Keenan est un ancien scientifique du Département de l'énergie et du changement climatique du gouvernement britannique et de la Division de l'environnement des Nations Unies. Il est chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation (CRG). Il est l'auteur des livres suivants disponibles sur amazon.com :

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  29. Transcender la tromperie du changement climatique vers une véritable durabilité
    Canular climatique sur le gaz carbonique – Comment les banquiers ont détourné le véritable mouvement environnemental
    Fausse science impie
    Les mensonges de la politique verte et comment le Parti vert a trahi le peuple irlandais
    Pas de soucis, pas de virus
    L’économie démoniaque et les astuces des banquiers
    Les faux atterrissages sur la Lune et les mensonges de la NASA
    Faites un don pour les articles de Mark Keenan ici via Paypal .

    Remarques

    [1] Sources : https://www.rte.ie/news/ireland/2024/0201/1429809-farmers-protest/

    [2] Source : https://nordictimes.com/europe/czech-farmers-join-protests/

    [3] Source : https://nordictimes.com/europe/french-farmers-protest-against-rising-prices/

    https://nordictimes.com/europe/belgian-farmers-protest-in-brussels/

    [4] Source : https://data.parliament.uk/DepositedPapers/Files/DEP2019-0718/Green_Finance_Strategy.pdf

    https://www.globalresearch.ca/farmers-protests-climate-hysteria-fake-ai-images-systemic-issue-oil-dependency/5851246

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  30. Du laboratoire au terrain : La recherche du BTI aboutit au développement d'un biofongicide révolutionnaire


    24 Février 2024
    Aaron Callahan, Alliance pour la Science*


    Boyce Thompson Institute (BTI) est fier d'annoncer qu'Ascribe Bioscience, une entreprise fondée sur la technologie BTI, s'est associée à Nutrien Ag Solutions pour commercialiser deux produits de protection des cultures contenant le biofongicide phare d'Ascribe, Phytalix®.

    Phytalix a été développé à partir des découvertes de BTI et représente une avancée significative dans la protection biologique des cultures. Le produit est basé sur les ascarosides, une molécule naturelle provenant du microbiome du sol. Les chercheurs de BTI ont découvert que ces molécules déclenchent des réponses immunitaires robustes chez les plantes, ce qui leur permet de lutter efficacement contre divers agents pathogènes.

    Une demande de la part des grands producteurs

    « Cette découverte a de profondes implications pour l'agriculture. Phytalix est l'un des premiers produits biologiques de protection des cultures dont l'efficacité et la facilité d'utilisation sont demandées par les producteurs à grande échelle », explique M. Jay Farmer, directeur général d'Ascribe.

    « Contrairement aux fongicides chimiques traditionnels qui ciblent directement les agents pathogènes, Phytalix agit en renforçant les défenses des plantes. Cela permettra aux producteurs de protéger leurs cultures et d'augmenter les rendements sans nuire aux organismes bénéfiques du sol ou à l'environnement. »

    Quatre années d'essais sur le terrain ont démontré que Phytalix peut égaler ou dépasser l'efficacité des fongicides de synthèse traditionnels.

    Le produit a permis de lutter efficacement contre des agents pathogènes agricoles majeurs tels que la brûlure des feuilles du maïs [Setosphaeria turcica ou Helminthosporium turcicum], la rouille asiatique du soja et la fusariose du blé.

    Transformer la protection des cultures

    Ces résultats sont une aubaine pour la santé des cultures et la durabilité de l'environnement, car ils ouvrent la voie à une réduction de la dépendance à l'égard des produits chimiques de synthèse dans l'agriculture et fournissent un outil indispensable pour lutter contre la résistance croissante des agents pathogènes aux fongicides existants.

    Un accord de développement et d'approvisionnement conjoint entre Ascribe et Nutrien prévoit le lancement de mélanges Phytalix sous la marque Loveland Products de Nutrien pour les cultures en rangs américaines telles que le maïs, le blé et le soja.

    « BTI est ravi d'assister à la transformation de nos recherches scientifiques en une solution pratique qui répond à certains des défis les plus pressants de l'agriculture moderne », a déclaré le Dr Silvia Restrepo, présidente de BTI.

    « Le potentiel de Phytalix à transformer la protection des cultures tout en maintenant l'intégrité environnementale s'aligne parfaitement avec la mission de BTI qui est de faire progresser la compréhension de la biologie végétale pour le bénéfice de l'humanité. »

    *

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  31. * Aaron Callahan est le directeur des technologies de l'information et de la communication de BTI.

    Source : From lab to field: BTI research leads to development in revolutionary biofungicide - Alliance for Science

    Ma note : C'est visiblement un infomercial, à prendre avec une pointe de scepticisme. Mais, qui sait, c'est peut-être un développement au moins important. Ce qu'il signifie en tout cas, c'est que la recherche-développement avance.

    Et puis – contrairement à... suivez mon regard – la recherche fondamentale ne se fait pas un point d'honneur de se claquemurer dans sa tour d'ivoire et de considérer le développement, et l'industrie, comme une abomination.

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/du-laboratoire-au-terrain-la-recherche-du-bti-aboutit-au-developpement-d-un-biofongicide-revolutionnaire.html

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    1. 99,99 % des pesticides que nous ingérons sont produits par les plantes elles-mêmes


      2 Décembre 2018
      par Seppi
      Alex Berezow*


      Le mot « pesticide » est mal compris, presque autant que le mot « chimique ». Les gens ont été amenés à croire, en grande partie par l'industrie des produits biologiques et les activistes environnementaux, que les pesticides ne sont pas naturels, sont dangereux et n'appartiennent pas à l'approvisionnement alimentaire. Mais cela défie une compréhension de base de la biologie.

      Un pesticide est un produit chimique, naturel ou produit par l'homme, conçu pour tuer un autre organisme.

      En utilisant cette définition large, il y a probablement des centaines de milliers de pesticides dans l'environnement naturel. La guerre biologique a été inventée et perfectionnée par Mère Nature.

      Par exemple, certaines bactéries et certains champignons produisent des antibiotiques pour tuer d'autres microbes. Nous n’appelons pas ces antibiotiques « pesticides », mais c’est exactement ce qu’ils sont. Pour une cellule bactérienne, un microbe d'une espèce différente n'est souvent rien de plus qu'un organisme nuisible avec lequel il est en compétition et qui devrait mourir. Donc, elle produit des substances chimiques avec l'intention de le tuer. C’est un pesticide.

      Les plantes font la même chose. Du point de vue de la plante, de nombreux insectes ne sont rien de plus que des parasites dangereux qui mangent les feuilles et qui devraient mourir. Donc, les plantes produisent des insecticides, comme la caféine et la nicotine, pour éloigner ces végétariens odieux à six pattes. (Elles produisent également des pesticides pour éloigner les végétariens à quatre pattes, à poils).

      Et devinez quoi ? Lorsque nous mangeons des plantes, nous mangeons aussi ces pesticides. Un document coécrit en 1990 par le vénérable Bruce Ames a constaté que 99,99 % des pesticides que nous ingérons dans notre alimentation sont produits par les plantes elles-mêmes. Compte tenu de la popularité des produits biologiques et de la mythologie non scientifique qui la sous-tend, ses résultats sont plus pertinents que jamais.

      Les pesticides naturels dans vos aliments

      Selon l’équipe du Dr Ames, chaque plante produit quelques douzaines de toxines, dont certaines (à une dose suffisamment élevée) seraient toxiques pour l’homme. Le chou produit au moins 49 pesticides connus. Compte tenu de l'omniprésence des pesticides naturels, le Dr Ames estime que « les Américains ingèrent environ 1,5 g de pesticides naturels par personne et par jour, soit environ 10.000 fois plus que les résidus de pesticides de synthèse ».

      De plus, le Dr Ames estime que nous consommons chaque jour entre 5.000 et 10.000 pesticides naturels différents, dont beaucoup provoquent des cancers lors d'essais sur des animaux de laboratoire. Le Dr Ames rédige alors probablement le meilleur paragraphe jamais écrit dans la littérature scientifique:

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  32. Des microbes du cotonnier protègent les cultures contre un 'virus' dévastateur


    25 Février 2024
    ISAAA*


    Des chercheurs du Forman Christian College au Pakistan ont découvert le potentiel du microbiome du cotonnier dans la suppression de la maladie de l'enroulement des feuilles du cotonnier (CLCuD – cotton leaf curl disease). Leurs conclusions sont publiées dans la revue Nature.

    Les stratégies de sélection précédentes étaient inefficaces pour combattre la maladie, ce qui a conduit les scientifiques à passer à d'autres moyens qui impliquent l'exploration du microbiome pour moduler les mécanismes de défense des plantes contre la CLCuD. Le microbiome du cotonnier des variétés résistantes à la CLCuD peut abriter une multitude de genres bactériens qui contribuent de manière significative à la résistance à la maladie et fournir des informations sur les voies métaboliques qui diffèrent entre les variétés sensibles et résistantes.

    L'étude a exploré le microbiome de Gossypium hirsutum sensible à la CLCuD et de G. arboreum résistant à la CLCuD en utilisant l'amplification du gène 16 S rRNA pour l'endophyte de la feuille, l'épiphyte de la feuille, la rhizosphère et l'endophyte de la racine des deux espèces de cotonnier. Cela a révélé que Pseudomonas habitait la rhizosphère tandis que Bacillus se trouvait principalement dans la phyllosphère de G. arboreum résistant à la CLCuD. En utilisant des Serratia et des Fictibacillus produisant de l'acide salicylique et isolés à partir de G. arboreum résistant à la CLCuD, et guidés par nos analyses, les chercheurs ont réussi à supprimer la CLCuD dans G. hirsutum sensible dans des essais en pots. Les souches appliquées induisaient une incidence de CLCuD inférieure à 10 % par rapport au groupe témoin, où elle était de 40 % 40 jours après l'inoculation virale. Grâce à des analyses détaillées, l'étude a démontré avec succès que les microbes appliqués servent d'agent de biocontrôle pour supprimer la maladie virale du coton.

    Pour plus de détails, lisez l'article dans Nature.
    _______________

    * Source : Cotton Microbes Protect Crops from Devastating Virus- Crop Biotech Update (December 20, 2023) | Crop Biotech Update - ISAAA.org

    Ma note : Le texte ci-dessus correspond dans une large mesure au résumé de « Cotton microbiome profiling and Cotton Leaf Curl Disease (CLCuD) suppression through microbial consortia associated with Gossypium arboreum » (profilage du microbiome du cotonnier et suppression de la maladie de l'enroulement des feuilles du cotonnier (CLCuD) grâce aux consortiums microbiens associés à Gossypium arboreum) de Rhea Aqueel, et al.

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/des-microbes-du-cotonnier-protegent-les-cultures-contre-un-virus-devastateur.html

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  33. Anatomie d'une alerte aux pesticides : le stratagème du faux dénonciateur


    27 Février 2024
    Cameron English, ACSH*


    Les militants écologistes s'appuient sur plusieurs tactiques pour susciter la peur des pesticides. L'une de leurs méthodes favorites consiste à recruter de faux dénonciateurs, souvent des scientifiques à la retraite, qui répandent des absurdités conspirationnistes sur les agences de réglementation et d'autres chercheurs. Voici un exemple concret du « jeu du faux dénonciateur ».

    Les groupes d'activistes utilisent une série d'outils de propagande bien rodés pour monter le public contre les pesticides. Ces outils vont du financement d'études bidon à l'achat d'une couverture médiatique favorable, en passant par le dépôt de plaintes interminables contre les fabricants de produits chimiques. Mais toutes ces voies d'attaque sont renforcées par un stratagème que j'appelle le « jeu du faux dénonciateur ».

    L'archétype du faux dénonciateur est un scientifique accrédité, généralement un ancien fonctionnaire, qui utilise sa réputation pour aider les avocats prédateurs et les ONG environnementales à vendre des campagnes de peur anti-pesticides aux consommateurs. Soi-disant rebelle universitaire, cette personne suit la science là où elle mène. Bien entendu, « la science » conduit inévitablement à des rémunérations massives pour les avocats spécialisés dans la responsabilité civile et à des restrictions sévères pour des produits chimiques d'une importance vitale.

    Voici un exemple récent et concret de la tactique du faux dénonciateur, tiré du Guardian, dont l'auteur est la journaliste devenue activiste Carey Gillam et qui est financée par l'Open Society Foundation, soutenue par des milliardaires. Sa cible est l'herbicide paraquat, qui fait actuellement l'objet de milliers de poursuites alléguant que ce désherbant est à l'origine de la maladie de Parkinson.

    Démontons ce village Potemkine, maison en carton-pâte par maison en carton-pâte, afin que vous puissiez voir comment fonctionne ce système et pourquoi il est si dangereux.

    Ne faites pas confiance à l'EPA, dit une scientifique de l'EPA

    Selon Mme Gillam, « les régulateurs fédéraux sont incités à ne pas s'exprimer sur les pesticides potentiellement dangereux ». Comment le sait-elle ? Une scientifique de l'EPA a déclaré à un grand média que les scientifiques de l'EPA avaient peur de dire ce qu'ils pensaient :

    Karen McCormack, une scientifique de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) à la retraite qui a passé 40 ans au sein de l'agence [...] a décrit une culture de « capture réglementaire » à l'EPA et a déclaré que les collègues qui se prononçaient en faveur d'une réglementation plus stricte sur les pesticides étaient souvent mis à l'écart.

    Nous avons déjà entendu cette histoire à maintes reprises ; il s'agit de l'histoire « progressiste » classique de la malfaisance des entreprises et elle ne résiste pas à l'examen. Le premier problème est que le CV de Mme McCormack fait tout le travail. Elle n'étaye pas une seule des allégations qu'elle a faites au sujet de l'EPA dans l'article de Gillam. Nous sommes apparemment censés croire que Mme McCormack dit la vérité sur ses collègues mis à l'écart et sur la capacité de l'industrie des pesticides à « s'emparer » de l'agence. Si son ancien employeur est si corrompu, Mme McCormack devrait le prouver. Dans le cas contraire, ses références et son expérience ne sont pas pertinentes.

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  34. Anatomie d'une alerte aux pesticides : le stratagème du faux dénonciateur


    27 Février 2024
    Cameron English, ACSH*


    Les militants écologistes s'appuient sur plusieurs tactiques pour susciter la peur des pesticides. L'une de leurs méthodes favorites consiste à recruter de faux dénonciateurs, souvent des scientifiques à la retraite, qui répandent des absurdités conspirationnistes sur les agences de réglementation et d'autres chercheurs. Voici un exemple concret du « jeu du faux dénonciateur ».

    Les groupes d'activistes utilisent une série d'outils de propagande bien rodés pour monter le public contre les pesticides. Ces outils vont du financement d'études bidon à l'achat d'une couverture médiatique favorable, en passant par le dépôt de plaintes interminables contre les fabricants de produits chimiques. Mais toutes ces voies d'attaque sont renforcées par un stratagème que j'appelle le « jeu du faux dénonciateur ».

    L'archétype du faux dénonciateur est un scientifique accrédité, généralement un ancien fonctionnaire, qui utilise sa réputation pour aider les avocats prédateurs et les ONG environnementales à vendre des campagnes de peur anti-pesticides aux consommateurs. Soi-disant rebelle universitaire, cette personne suit la science là où elle mène. Bien entendu, « la science » conduit inévitablement à des rémunérations massives pour les avocats spécialisés dans la responsabilité civile et à des restrictions sévères pour des produits chimiques d'une importance vitale.

    Voici un exemple récent et concret de la tactique du faux dénonciateur, tiré du Guardian, dont l'auteur est la journaliste devenue activiste Carey Gillam et qui est financée par l'Open Society Foundation, soutenue par des milliardaires. Sa cible est l'herbicide paraquat, qui fait actuellement l'objet de milliers de poursuites alléguant que ce désherbant est à l'origine de la maladie de Parkinson.

    Démontons ce village Potemkine, maison en carton-pâte par maison en carton-pâte, afin que vous puissiez voir comment fonctionne ce système et pourquoi il est si dangereux.

    Ne faites pas confiance à l'EPA, dit une scientifique de l'EPA

    Selon Mme Gillam, « les régulateurs fédéraux sont incités à ne pas s'exprimer sur les pesticides potentiellement dangereux ». Comment le sait-elle ? Une scientifique de l'EPA a déclaré à un grand média que les scientifiques de l'EPA avaient peur de dire ce qu'ils pensaient :

    Karen McCormack, une scientifique de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA) à la retraite qui a passé 40 ans au sein de l'agence [...] a décrit une culture de « capture réglementaire » à l'EPA et a déclaré que les collègues qui se prononçaient en faveur d'une réglementation plus stricte sur les pesticides étaient souvent mis à l'écart.

    Nous avons déjà entendu cette histoire à maintes reprises ; il s'agit de l'histoire « progressiste » classique de la malfaisance des entreprises et elle ne résiste pas à l'examen. Le premier problème est que le CV de Mme McCormack fait tout le travail. Elle n'étaye pas une seule des allégations qu'elle a faites au sujet de l'EPA dans l'article de Gillam. Nous sommes apparemment censés croire que Mme McCormack dit la vérité sur ses collègues mis à l'écart et sur la capacité de l'industrie des pesticides à « s'emparer » de l'agence. Si son ancien employeur est si corrompu, Mme McCormack devrait le prouver. Dans le cas contraire, ses références et son expérience ne sont pas pertinentes.

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  35. Mais l'allégation est doublement absurde, car Mme McCormack utilise sa réputation de scientifique de l'EPA qui a « mené des recherches sur les pesticides » pendant 40 ans, pour saper la confiance dans cette même organisation. Elle ne peut pas vanter son expérience au sein de l'agence et affirmer que tous les autres employés sont des représentants de l'industrie ou des bureaucrates craintifs qui approuvent les pesticides « quel que soit le niveau de risque ». Pourquoi croire quelqu'un qui a travaillé dans un environnement aussi sordide pendant quarante ans ?

    Ignorer les vrais problèmes

    Ironiquement, il existe de nombreuses preuves que l'EPA a succombé aux pressions politiques dans le passé, comme l'a montré mon collègue le Dr Henry Miller. Contrairement aux allégations de Mme McCormack, le problème réside dans la volonté de l'agence de s'associer à des groupes anti-pesticides, explique M. Miller :

    L'EPA a une longue et vilaine histoire de ce que l'on a appelé « poursuivre et transiger », ou « la réglementation par le contentieux », par laquelle les régulateurs encouragent les contestations juridiques de leurs décisions réglementaires par les défenseurs de l'environnement [...] Cela permet à l'EPA de faire des concessions aux plaignants par le biais de règlements et de décrets d'accord sans les contraintes de la réglementation et l'examen minutieux du Bureau de l'information et des affaires réglementaires du Bureau de la Gestion et du Budget.

    Ces dernières années, l'EPA a cédé aux groupes militants devant les tribunaux sur un pesticide après l'autre, y compris les insecticides sulfoxaflor et chlorpyrifos et les herbicides dicamba, atrazine et paraquat. De nombreux agriculteurs ont expliqué à l'EPA pourquoi ces concessions sont si dévastatrices. Le fait de restreindre inutilement l'accès au paraquat et à d'autres désherbants, par exemple, peut accroître l'érosion des sols, la pollution de l'eau et la résistance des mauvaises herbes aux herbicides, a souligné une association d'agriculteurs dans un commentaire public adressé à l'EPA.

    En fin de compte, cela rend la production de nourriture pour nous tous plus coûteuse et plus difficile. Malheureusement, les agriculteurs reçoivent beaucoup moins d'attention que les militants qui mentent sans hésiter sur la sécurité des pesticides.

    Les mensonges sur le paraquat

    Prenons l'analyse du paraquat par Mme Gillam comme exemple de malhonnêteté rampante. Elle prétend avoir « exposé des années d'efforts de la part des entreprises pour dissimuler les liens entre le paraquat et la maladie de Parkinson, tromper le public, contester la littérature scientifique publiée et influencer l'Agence de Protection de l'Environnement ».

    Mais c'est tout simplement faux. Au moins 85 études financées par des gouvernements, des fabricants de pesticides et des organisations à but non lucratif n'ont pas réussi à prouver que l'herbicide était à l'origine de la maladie de Parkinson. Même les travailleurs des usines de fabrication de paraquat, qui sont les plus exposés au produit chimique, ne sont pas plus susceptibles de développer la maladie de Parkinson que le reste de la population.

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  36. Lorsque le paraquat cause des dommages, c'est généralement parce que quelqu'un l'utilise délibérément à mauvais escient (par exemple, lors d'une tentative de suicide) ou ne respecte pas les instructions figurant sur l'étiquette lorsqu'il l'applique. L'EPA, favorable aux activistes, ajoute qu'elle n'a « trouvé aucun risque alimentaire préoccupant associé au paraquat lorsqu'il est utilisé conformément aux instructions figurant sur l'étiquette ». Cela signifie que la grande majorité des gens (qui ne sont exposés qu'à des quantités infimes de pesticides par le biais de l'alimentation) ne peut pas être affectée par le désherbant.

    Mme Gillam invoque des « dossiers secrets » des fabricants de paraquat Syngenta et Chevron pour étayer sa conspiration, mais ce n'est que de la poudre aux yeux. Lorsqu'on lit les documents eux-mêmes au lieu de se fier aux allégations fallacieuses de Mmes Gillam et McCormack, on s'aperçoit qu'ils contiennent en grande partie les mêmes informations que celles que l'on trouve dans les sources accessibles au public. Voici un exemple tiré d'un mémo de Chevron datant de 1974, disponible sur le site web New Lede de Mme Gillam :

    Des conséquences tragiques

    Les gouvernements et les entreprises font parfois des choses malveillantes. Les véritables lanceurs d'alerte qui dénoncent la corruption réelle rendent un service inestimable, mais ce n'est pas ce que fait Mme McCormack. Elle aide des militants malhonnêtes comme Mme Gillam à répandre des absurdités idéologiques qui ont des conséquences dévastatrices.

    Limiter inutilement les produits chimiques utilisés par les agriculteurs pour produire nos aliments entraîne la faim, la pauvreté et l'instabilité politique, comme le Sri Lanka l'a récemment découvert à ses dépens. Tous ceux qui favorisent ces horribles résultats ne méritent que le mépris.

    https://seppi.over-blog.com/2024/02/anatomie-d-une-alerte-aux-pesticides-le-stratageme-du-faux-denonciateur.html

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  37. L'Amérique rurale est sur le point d'être transformée par un plan solaire fédéral pouvant atteindre 55 millions d'acres

    « Nos terres publiques jouent un rôle essentiel dans la transition vers une énergie propre », a déclaré Laura Daniel-Davis, secrétaire adjointe par intérim du ministère de l'Intérieur.
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    Par Kevin Stocklin
    28 février 2024


    L’appétit de l’énergie solaire pour de vastes étendues de terres a incité l’administration Biden à proposer de désigner jusqu’à 55 millions d’acres ( 22 257 710 ha) de terres publiques comme sites potentiels pour des fermes solaires à l’échelle industrielle.

    Il s’agit d’une superficie supérieure à 36 États et d’une taille similaire à celle de l’Idaho ou du Minnesota.

    Une initiative mise à jour du Bureau of Land Management (BLM), appelée Western Solar Plan, propose six alternatives pour le développement de l’énergie solaire.
    Dans le scénario le plus agressif, 55 millions d’acres répartis dans 11 États occidentaux seraient mis à disposition pour l’énergie solaire. L'alternative la moins agressive consisterait à désigner 8 millions d'acres à cette fin.

    L’« alternative privilégiée » du BLM se situe à mi-chemin entre les deux, réservant 22 millions d’acres au développement de l’énergie solaire.

    Au total, le BLM gère 162 millions d’acres de terres publiques désignées comme « polyvalentes ». Ces utilisations multiples comprennent l’agriculture, l’élevage, la chasse et la pêche, la randonnée et le camping, le forage et l’exploitation minière – et plus récemment, les installations éoliennes et solaires et les lignes de transmission pour les connecter au réseau.

    Le BLM, une division du ministère de l'Intérieur, déclare que, afin de réaliser l'objectif de l'administration Biden de produire 25 gigawatts (GW) d'électricité à partir de l'énergie éolienne et solaire sur les terres publiques d'ici 2025 – et de produire 100 % d'électricité « renouvelable ». d’électricité d’ici 2035 – des panneaux solaires devraient être installés sur 700 000 acres de terres publiques.

    Plus de 3 millions de panneaux solaires sont nécessaires pour produire 1 GW d'électricité, selon le ministère de l'Énergie. Un GW peut alimenter en moyenne 500 000 à 750 000 foyers, en supposant un approvisionnement constant en matière de production et d’utilisation d’énergie.

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  38. "Le travail du ministère de l'Intérieur... est crucial pour atteindre l'objectif de l'administration Biden-Harris d'un secteur électrique sans pollution par le carbone d'ici 2035", a déclaré Laura Daniel-Davis, secrétaire adjointe par intérim de l'Intérieur, dans un communiqué du 17 janvier.
    « Et cette feuille de route solaire mise à jour nous aidera à y parvenir dans davantage d’États et sur davantage de terres à travers l’Occident », a-t-elle déclaré.

    « Nos terres publiques jouent un rôle essentiel dans la transition vers une énergie propre. »

    Impact caché des fermes solaires massives : résidents et faune touchés, aquifères menacés
    Les États ciblés pour le développement de l’énergie solaire comprennent l’Arizona, la Californie, le Colorado, l’Idaho, le Montana, le Nevada, le Nouveau-Mexique, l’Oregon, l’Utah, Washington et le Wyoming. Cette initiative fait partie d’un effort plus large visant à satisfaire la demande de terrains des entreprises solaires.

    L’ampleur même du plan BLM – désigner des dizaines de millions d’acres pour le développement de l’énergie solaire alors que l’agence affirme que 700 000 acres suffiraient pour atteindre les objectifs de l’administration Biden – est un signal d’alarme pour de nombreuses communautés.

    Dylan Hoyt, responsable du programme de planification au bureau de coordination de la politique des terres publiques de l'Utah, qualifie cela de « mauvaise optique ».

    « Quand je dis mauvaise optique, je veux dire quand vous me dites que j’ai 17 000 acres dans l’Utah qui sont réservés à l’énergie solaire, et que maintenant nous allons passer à 3,7 ou 1,5 millions », a-t-il déclaré à Epoch Times.

    "Ça a l'air terrible."

    Les groupes environnementaux et les défenseurs de l’énergie éolienne et solaire ont applaudi le plan. La Wilderness Society a publié une déclaration selon laquelle « face à la pression climatique et aux injustices de notre système énergétique actuel basé sur les combustibles fossiles, une transition rapide vers une économie basée sur les énergies renouvelables est nécessaire ».

    Le Los Angeles Times a publié un article d’opinion qui déclarait : « Le plan solaire occidental de Biden semble effrayant, mais il est meilleur que le changement climatique. »
    L’article mentionne Robert Moses, commissaire non élu aux parcs et aux loisirs de New York au milieu du XXe siècle, qui était responsable d’énormes projets d’urbanisme, notamment des parcs, des ponts et des autoroutes qui sillonnaient l’État.

    Parmi les mégaprojets les plus notoires de M. Moses figuraient des réseaux routiers tels que la Cross Bronx Expressway, qui traversait les communautés urbaines et transformait des quartiers autrefois animés en bidonvilles.

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  39. « Détruire l’environnement pour le sauver »

    Certains bénéficiaires du plan solaire du BLM affirment que, malgré les assurances des groupes environnementaux, ils restent préoccupés par la situation.

    « Détruire l’environnement pour le sauver »

    Certains bénéficiaires du plan solaire du BLM affirment que, malgré les assurances des groupes environnementaux, ils restent préoccupés par l’ampleur de ce projet de développement gouvernemental et la quantité de terres qu’il consommerait.
    « Ils disent que nous devons protéger l’environnement, mais ils sont d’accord avec le fait de détruire l’environnement pour le sauver », a déclaré à Epoch Times Gabriella Hoffman, analyste politique et animatrice du podcast « District of Conservation ». "Cela n'a aucun sens si vous êtes un défenseur de l'environnement."

    Un rapport de The Nature Conservancy, publié en mai 2023, indique qu'atteindre l'objectif de zéro émission nette de gaz carbonique d'ici 2050 en utilisant l'énergie éolienne et solaire nécessiterait plus de 250 000 miles carrés, ou 160 millions d'acres, de terres, qui représente une superficie de la taille de l’État du Texas.
    Certaines communautés qui se trouvent sur le chemin des industries éolienne et solaire affirment que c'est un prix trop élevé à payer pour un bénéfice incertain. L'analyste énergétique Robert Bryce tient à ce jour une base de données de plus de 600 communautés locales qui se sont opposées aux installations éoliennes et solaires à travers les États-Unis.
    « Cette idée selon laquelle nous pouvons sauver l’environnement en recouvrant le paysage rural d’océans de panneaux solaires et de forêts d’éoliennes – c’est ahurissant de voir comment les militants du climat peuvent justifier cela », a-t-il déclaré à Epoch Times.

    Pour maîtriser la résistance locale, certains États, notamment le Michigan, rédigent de nouvelles lois qui empêchent les communautés locales de bloquer les projets éoliens et solaires. Cependant, certains États occidentaux déclarent qu’ils s’attendent toujours à un recul important du plan BLM.
    "Cela va certainement avoir un impact sur la faune", a déclaré M. Hoyt. Et pas seulement un impact sur les espèces qui vivent dans les zones solaires désignées mais aussi sur celles qui migrent à travers elles.

    "Il y aura certainement des conflits avec les éleveurs, il pourrait y avoir des conflits avec l'accès aux terres publiques selon l'endroit où ils sont construits, et il pourrait y avoir des conflits potentiels avec l'industrie minière", a-t-il déclaré.

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  40. « Les États n’avaient pas vraiment leur mot à dire sur les objectifs, ce qui me semble déconcertant car les États représentent les citoyens. »

    Du multi-usage au usage unique

    L’un des principaux États cibles du développement solaire est le Nevada, à la fois en raison de la quantité de lumière solaire qu’il reçoit et de sa proximité avec la Californie et Las Vegas, avec leurs demandes en électricité toujours croissantes.
    Le gouvernement fédéral possède 85 % des terres du Nevada, dont la plupart sont désertiques, mais les habitants contestent l’idée selon laquelle ces terres sont dépourvues d’animaux sauvages et se disent préoccupés par l’ampleur du plan solaire de BLM.

    « Le Nevada est un pays minier de roches dures », a déclaré à Epoch Times Andy Rieber, un consultant en terres publiques résidant au Nevada, « mais l'empreinte moyenne au Nevada pour les perturbations minières est inférieure à 1 000 acres.

    « En regardant les projets de développement solaire proposés dans l'État du Nevada, il y en a quelques petits, mais la plupart d'entre eux s'étendent sur environ 4 000 à 5 000 acres », a-t-elle déclaré. « Il existe un projet remarquable qui consiste en un complexe de sept installations contiguës et qui s’étendrait sur environ 62 000 acres (25 090 ha), ce qui représente beaucoup de terrain. »

    Et même si de nombreux militants pour le climat ne verseraient pas une larme face à la perte des activités minières, de forage et d’élevage de bétail, les communautés locales affirment qu’elles en dépendent pour la nourriture, l’énergie, les emplois et les recettes fiscales.

    "Dans l'industrie pétrolière et gazière, il y a une redevance sur tout ce qui sort du sol, et un pourcentage de cette somme finit par revenir aux comtés", a déclaré M. Hoyt. « Avec le solaire, ça n’existe pas. »

    "Ils viennent, ils construisent sur des terres fédérales et paient des frais de permis au Bureau of Land Management, mais l'économie locale ne reçoit rien", a-t-il déclaré.

    Alors que l’initiative BLM vante la « justice environnementale » parmi ses principes directeurs, les habitants des États ciblés craignent que les communautés rurales les plus pauvres ressentent l’impact du développement solaire, mais que l’électricité produite soit livrée aux centres urbains plus riches d’États comme la Californie.

    « Oui, nous devons tenir compte des impacts environnementaux », a déclaré M. Hoyt. "Mais en même temps, nous arrivons et nous installons une énorme ligne de transmission et un champ solaire, et quand cela sera fait, ces gens l'ont toujours là et doivent l'examiner et vivre avec, mais ils n’en tirer aucun profit. »

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  41. Un autre problème que beaucoup citent concernant l’utilisation de terres publiques à usages multiples pour l’énergie solaire est que l’énergie solaire évince les autres utilisations du terrain.

    « L’une des particularités du développement solaire est qu’il ne fonctionne pas vraiment bien avec les autres », a déclaré Mme Rieber.

    "Si vous disposez d'une zone de pâturage, beaucoup de choses peuvent s'y dérouler et autour, y compris des loisirs, voire même une exploitation minière", a-t-elle déclaré. « Mais une grande installation solaire va retirer une grande partie du territoire de la circulation à usages multiples parce qu’on ne peut rien faire d’autre avec ; c’est un usage singulier.

    Étant donné que les installations solaires de grande taille telles que celles envisagées par BLM couvrent des zones entières de panneaux solaires, éliminant souvent la végétation et la faune de ces zones, à la fois au-dessus et en dessous du sol, elles remplacent souvent l'agriculture, le pâturage, la chasse et les loisirs. tout en empêchant également le forage et l’exploitation minière.

    « Nous essayons toujours d'avoir des usages multiples et un rendement soutenu depuis 1976 ; c’est ce que le Congrès nous a dit de faire », a déclaré M. Hoyt. C'est l'année où la loi fédérale sur la politique et la gestion des terres a été adoptée, spécifiant comment les terres fédérales à usages multiples devaient être administrées.

    "Mais lorsque l'énergie solaire arrive sur ces terres publiques gérées par le gouvernement fédéral, vous perdez cette composante à usage multiple", a-t-il déclaré. "Nous voulons que l'énergie solaire fasse partie du portefeuille, et si nous pouvons le faire avec le minimum de conflits possible, ce serait l'idéal."

    Une proposition alternative

    En réponse aux projets solaires du BLM, plusieurs agences des États occidentaux ont développé leur propre proposition, appelée « Smart from the Start ».
    L’idée sous-jacente est essentiellement de limiter le développement solaire aux friches industrielles, telles que les décharges fermées, les sites superfund et les mines fermées.

    Ce plan fournit une définition plus spécifique des « terres perturbées » et limiterait le développement solaire aux terres perturbées et aux « terres à faible conflit » et exclurait les habitats fauniques et les couloirs de migration, les emplacements à proximité de fermes ou de zones résidentielles, ainsi que les terres utilisées à des fins agricoles. l'agriculture, l'élevage, le tourisme, les loisirs ou l'industrie.

    "Je pense que cela crée en fait un modèle pour localiser l'énergie solaire dans les zones les plus raisonnables qui préserveraient l'habitat", a déclaré Mme Rieber. "Cela représente une bonne planification, une planification intelligente."

    Cependant, jusqu’à présent, « le BLM a décidé de ne pas poursuivre cette alternative », a-t-elle déclaré. "Je dirais que c'est une réaction très décevante."

    Selon le plan solaire occidental du BLM, l’alternative Smart From the Start a été rejetée comme étant « substantiellement similaire » aux termes déjà présents dans le plan BLM.

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  42. Mais les responsables de l’État affirment qu’il existe des différences substantielles, arguant que Smart From the Start propose des critères plus précis sur les terres qui devraient être éligibles au développement, et que cela rendrait beaucoup moins de terres disponibles pour le développement que l’alternative préférée du BLM de 22 millions d’acres.

    Epoch Times a contacté le BLM pour commenter ce sujet et d’autres questions concernant son plan solaire occidental. Le BLM a répondu avec des liens vers des fiches d'information et le plan, mais a refusé une interview.

    Les autorités locales affirment que les plans de développement énergétique doivent inclure non seulement un large éventail de sources d’énergie, mais également une part significative de l’énergie « de base », comme le nucléaire, le gaz et le charbon, qui peut être augmentée et réduite selon les besoins pour équilibrer les énergies. éliminer les sources dépendantes des conditions météorologiques comme l’énergie éolienne et solaire. Et ils disent que cela doit être fait tout en minimisant l’impact sur les terres publiques.

    « L’Utah n’a pas beaucoup de pétrole, mais nous disposons de ressources géothermiques assez phénoménales », a déclaré M. Hoyt. "Une centrale géothermique qui pourrait produire la même quantité d'énergie qu'un champ solaire qui occupe peut-être 640 acres, (259 ha pourrait prendre environ 40 acres (16 ha), donc son impact est nettement moindre."

    « Pour le pétrole, grâce aux technologies plus modernes que nous observons avec la fracturation hydraulique, vous n'avez plus besoin d'installer autant de puits qu'avant, vous pouvez donc avoir une empreinte plus petite et vous pouvez également avoir une grande partie de ce que vous pouvez faire. nous appelons une perturbation sans surface », a-t-il déclaré. « La plupart des gens ne réalisent même pas qu’ils sont là. »

    Impact environnemental

    Récemment, ceux qui soutiennent depuis longtemps les industries éolienne et solaire dans l’espoir de réduire les températures mondiales semblent également de plus en plus préoccupés par l’impact environnemental de ces technologies.

    Un article du journal Guardian de mai 2023 indiquait que les fermes solaires de Californie avaient transformé une oasis naturelle en ce qu’un habitant a appelé « une mer solaire morte ». Examinant 150 000 acres de développement solaire dans le désert de Mojave, le rapport a examiné « l’impact dévastateur » sur la faune locale, l’assèchement des puits locaux à cause de la consommation massive d’eau des panneaux solaires et les dommages causés à la santé des communautés voisines.
    Les écologistes ont déclaré que cette partie du désert de Mojave abritait une végétation telle que des forêts vieilles de 1 000 ans qui captaient le carbone de l'atmosphère et le séquestraient dans les systèmes racinaires souterrains. Les habitants ont parlé de tempêtes de poussière qui provoquent des problèmes respiratoires, car la végétation locale qui retenait le sol en place a été détruite.

    Mme Rieber souligne ce qu'elle appelle une « convergence particulière » entre divers groupes d'intérêt de tout le spectre politique, des chasseurs et agriculteurs aux défenseurs de l'environnement, qui ressentiront l'impact du développement solaire.

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  43. « Ils convergent autour de l'idée selon laquelle nous devrions soigneusement implanter ces développements dans des zones où nous n'allons pas sacrifier la santé des communautés, nous n'allons pas sacrifier un habitat faunique important, nous n'allons pas sacrifier la santé des communautés. cela affecterait considérablement les espèces et les zones de protection des sources d’eau et des choses comme ça », a-t-elle déclaré.

    Période de commentaires publics

    Le BLM rapporte qu'il a, en décembre 2022, autorisé plus de 9 GW de développement d'énergie solaire, 3 GW de développement d'énergie éolienne et 1,6 GW de développement d'énergie géothermique sur les terres publiques. Le BLM a également autorisé 17 lignes de transmission, traversant les terres administrées par le BLM, pour connecter ces installations au réseau électrique.
    La période de commentaires publics pour cette dernière initiative se déroule jusqu'au 18 avril et comprend un certain nombre d'audiences en personne et en ligne répertoriées sur le site Web de BLM.

    « Vous aussi, vous pouvez intervenir ; vous n’avez pas besoin d’être un analyste politique, vous pouvez être un citoyen ordinaire », a déclaré Mme Hoffman. « C’est à cela que servent ces périodes de commentaires ; vous pouvez simplement écrire une phrase, aussi simple que cela.

    Pendant ce temps, les responsables publics estiment qu’il existe un moyen de permettre le développement de l’énergie solaire qui soit acceptable pour les communautés locales.

    « La question qui se pose n’est pas de savoir si l’énergie solaire est bonne ou mauvaise ; Je pense que tout le monde reconnaît qu'il y a une place pour cela », a déclaré Mme Rieber. "La question qui se pose est plutôt de poursuivre ce développement d'une manière que nous ne regretterons pas à l'avenir."

    M. Hoyt a déclaré que si le BLM poursuivait le plan solaire occidental tel qu'il est actuellement rédigé, des poursuites judiciaires en résulteraient probablement.

    « Nous ne voulons pas voir de litiges autour du développement de l’énergie solaire », a-t-il déclaré. "Nous entretenons d'excellentes relations dans l'Utah avec nos employés de BLM, et nous voulons que cela continue ainsi."

    https://www.theepochtimes.com/article/rural-america-set-to-be-transformed-by-55-million-acre-federal-solar-plan-5594814?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  44. Des questions vraiment simples pour les changements climatiques


    Par Dan Rabil
    6 mars 2024


    Cher gars de la crise climatique,

    Le climat de l'hémisphère nord était beaucoup plus froid à la fin des années 1700 qu'au 20e siècle, les grands fleuves américains comme le Delaware gelant régulièrement pendant l'hiver. Si vous viviez à l’époque, exigeriez-vous que le climat soit « protégé » dans son état actuel ?

    En référence à ce qui précède, comment déterminez-vous la température « globale » optimale ?

    Au cours de la période d’environ 1100-1700, le Groenland était plus chaud qu’il ne l’a été depuis et a soutenu les colonies européennes pendant des centaines d’années. Après des siècles de températures plus froides et d’expansion des glaciers, pourquoi devrions-nous nous inquiéter si le Groenland est un peu plus chaud aujourd’hui qu’il y a 60 ans ?

    Dans l’atmosphère, il y a quatre parties de gaz carbonique pour 9 996 autres parties. Pensez-vous que des variations mineures dans une molécule de gaz inerte comprenant 0,04 % de quelque chose peuvent à elles seules avoir un effet significatif sur une barrière physique ou thermique ?

    En pensant au soleil, aux courants océaniques, à la vapeur d’eau, aux émissions volcaniques, à la végétation et à d’autres variables naturelles similaires, le gaz carbonique a-t-il une plus grande influence sur le climat ?

    Si les sociétés industrialisées occidentales sont les « pires » émetteurs de gaz carbonique et que des populations plus importantes émettent davantage de gaz carbonique, ne devrions-nous pas mettre un terme à l’immigration massive de consommateurs des pays du tiers monde à faibles émissions de carbone vers les pays développés à forte teneur en carbone ?

    Des couches de glace géantes ont recouvert une grande partie des terres émergées de la Terre au cours de la dernière période glaciaire, qui a pris fin il y a environ 10 000 ans. Pendant ce temps, les immenses glaciers ont fondu rapidement, sans aide humaine. Pourquoi pensez-vous que l’homme, qui ne génère qu’environ 10 % de tout le nouveau gaz carbonique, a un impact majeur sur un climat mondial soumis à des forces naturelles beaucoup plus directes et massives ?

    L’Europe et l’Amérique du Nord sont-elles plus habitables aujourd’hui, ou lorsqu’elles étaient couvertes de glace ?

    Les rendements agricoles mondiaux ont grimpé en flèche au cours des 60 dernières années. Pouvez-vous expliquer comment le « changement climatique » a nui à la production alimentaire ?

    https://www.lewrockwell.com/2024/03/no_author/really-simple-questions-for-climate-changers/

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  45. INVASION ACTIVE : Au moins 7,3 millions d'immigrés clandestins ont traversé la frontière sud-ouest sous Joe Biden


    03/04/2024
    Ava Grace

    Sous l'administration du président Joe Biden, un nombre record de 7,3 millions d'étrangers illégaux ont traversé la frontière sud-ouest.
    Selon les données du Customs and Border Protection (CBP), un total de 7 298 486 interactions ont été enregistrées à la frontière terrestre sud-ouest des États-Unis depuis l'entrée en fonction de Biden en janvier 2021. Cela représente une population d'immigrants clandestins supérieure aux résidents de 36 États américains. .

    Au cours de l'exercice en cours, qui s'étend d'octobre à septembre, l'agence a déjà signalé 961 537 passages à la frontière terrestre du sud-ouest. Si le taux actuel d’immigration illégale ne ralentit pas, l’année fiscale 2024 battra le record de l’année dernière de 2 475 669 rencontres à la frontière sud-ouest, un nombre qui à lui seul dépasse la population du Nouveau-Mexique. (Connexe : DES MOBS d’immigrants illégaux chinois envahissent la frontière californienne.)

    Si tous les immigrants illégaux entrés dans le pays sous Biden se réunissaient pour créer une métropole, celle-ci serait la deuxième plus grande du pays derrière New York.

    La population d'immigrants illégaux aux États-Unis est probablement beaucoup plus élevée en raison des « escapades »
    Les chiffres du CBP ne tiennent pas compte des 1,6 millions d'immigrés illégaux supplémentaires qui seraient entrés illégalement dans le pays, ni des 1,8 millions de « fugitifs » connus qui ont échappé aux autorités.

    Au total, près de 10 millions de personnes sont entrées illégalement dans le pays sous l’administration Biden.

    "Cette augmentation extraordinaire du nombre d'immigrés sans papiers n'est pas une coïncidence. C'est le résultat des décisions politiques intentionnelles de l'administration Biden", selon Eric Ruark, directeur de recherche chez Numbers USA, une organisation qui soutient les restrictions à l'immigration.

    Alors que certains républicains et militants anti-immigration illégale ont reproché à Biden d'avoir permis l'afflux massif de migrants en annulant la politique frontalière de Trump, la Maison Blanche a nié toute responsabilité dans la crise et a blâmé des facteurs externes « d'incitation » comme la violence et l'instabilité économique dans le Sud et le Sud. L'Amérique centrale pour les vagues migratoires massives vers les États-Unis.

    Les opposants au président rétorquent que, parce que les immigrants sont conscients que les lois laxistes sur l’immigration de Biden n’entraîneront pas leur expulsion, ils bénéficient de facteurs d’attraction plus importants sous la forme de subventions gouvernementales et de perspectives d’emploi.

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  46. "L'administration a refusé d'appliquer la loi sur l'immigration en vigueur et a saisi toutes les occasions pour aider et encourager les passages illégaux des frontières – par le biais de politiques telles que la capture et la libération, la libération conditionnelle massive et l'offre de permis de travail temporaires à des dizaines de milliers d'étrangers qui font des demandes douteuses pour l'asile", a déclaré Ruark. "En réalité, le gouvernement des États-Unis achève le processus de trafic et de trafic d'êtres humains au profit des cartels mexicains."

    Le porte-parole de la Fédération américaine pour la réforme de l'immigration, Ira Mehlman, a déclaré qu'au cours des trois dernières années, les immigrants ont été informés qu'ils ne seraient pas expulsés s'ils entraient dans le pays sans autorisation.

    "Ils ont envoyé le signal que si vous venez aux États-Unis illégalement, si vous abusez du système d'asile, vous serez libéré dans le pays et autorisé à rester ici, dans la plupart des cas avec une autorisation de travail", a déclaré Mehlman. "Même si vous négligez de vous présenter à vos audiences, les chances que vous soyez expulsé sont négligeables. Le président prétend qu'il n'a pas le pouvoir d'appliquer nos lois. Il l'a absolument. Il ne fait délibérément pas appliquer ces lois."

    Rendez-vous sur OpenBorders.news pour plus d’histoires sur la crise actuelle des migrants.

    Regardez cette vidéo de « Timcast IRL » expliquant comment les résidents noirs de Chicago craignent d'être remplacés par des immigrants illégaux.

    Cette vidéo provient de la chaîne GalacticStorm sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires connexes:
    Données ICE : les immigrants illégaux ont moins de 5 % de chances d’être expulsés selon les politiques actuelles de l’administration Biden.

    Une entreprise de camionnage chrétienne condamnée à une amende de 700 000 $ pour avoir refusé d'embaucher des immigrants illégaux.

    L'Amérique connaît une augmentation de 550 % du nombre d'immigrants illégaux en provenance du Canada.

    Le maire de New York, Eric Adams, prévient que les immigrants illégaux détruiront la ville.

    Les immigrants illégaux utilisent une CORDE fabriquée à partir de VÊTEMENTS pour traverser le Rio Grande jusqu'au Texas.

    Les sources incluent :

    GreatGameIndia.com
    FoxNews.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-03-04-at-least-7m-illegals-crossed-border-biden.html

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  47. WANTED : 15 millions pour le chef des pirates Lockbit

    Le département d’État américain lance une véritable chasse à l’homme. Celui-ci vient de mettre la tête du chef du groupe de hackers russes, Lockbit à prix : 15 millions de dollars !



    le 23 février 2024 à 16h06


    Le département d'État offre une récompense de 15 millions de dollars pour toute information concernant le chef du groupe de hackers Lockbit ou ses complices.

    Le département d'État américain met la tête des hackers du groupe LockBit à prix
    Le 21 février 2024, les autorités américaines ont annoncé une récompense de 15 millions de dollars pour des renseignements conduisant à l'arrestation ou à la condamnation des membres de LockBit, un groupe de cybercriminels russes. Cette annonce fait suite à la prise de contrôle du site de LockBit par une alliance policière internationale, une opération d'envergure qui, bien que réussie, n'a pas encore permis de procéder à des arrestations. Les États-Unis, en collaboration avec le ministère de la Justice américain, le FBI, et l'Agence nationale contre le crime britannique (NCA), cherchent depuis 2020 à neutraliser ce réseau de hackers.

    Pour toucher cette récompense, les informations fournies doivent mener à l'arrestation ou à la condamnation effective d'un membre de LockBit. Le FBI a même mis en place des canaux de communication spécifiques, via email et les messageries Telegram et Signal, pour faciliter la transmission de renseignements.

    Les ravages de LockBit à l'échelle internationale

    Depuis sa création, LockBit a orchestré plus de 2.000 attaques de ransomware à l'échelle globale, paralysant des entreprises et des institutions en divulguant ou détruisant leurs données. Ces cyberattaques ont non seulement perturbé les opérations quotidiennes des organisations ciblées, mais elles ont également entraîné des pertes financières astronomiques, estimées à plus de 144 millions de dollars pour les seules rançons.

    En France, l'impact de LockBit a été particulièrement ressenti lors de l'attaque de l'hôpital de Corbeil-Essonne, mettant en lumière la vulnérabilité des infrastructures critiques face à la cybercriminalité. Le piratage de Thalès, géant de l'aéronautique et de la défense, a également démontré la capacité de LockBit à s'attaquer à des cibles de grande envergure, soulignant l'urgence d'une réponse coordonnée à l'échelle internationale.

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    1. Le site islamiste se battrait contre... les hackers !!

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  48. Des documents divulgués révèlent les capacités de piratage de la Chine et ses cibles potentielles


    03/04/2024
    Kevin Hughes


    Selon les experts, une énorme quantité de documents récemment divulgués par un entrepreneur chinois en piratage informatique souligne une fois de plus les menaces mondiales en matière de cybersécurité que représente le régime communiste chinois.

    Les documents publiés sur GitHub le 16 février comprenaient des manuels de produits, des supports marketing, des listes d'employés, des enregistrements de discussions, des informations financières et des détails sur l'intrusion étrangère. Un rapport du 21 février de l'Associated Press indique que deux employés du fournisseur de cybersécurité I-Soon ont corroboré l'authenticité des documents.

    Le trésor comprend une liste de contrats signés par I-Soon entre juillet 2016 et juin 2021, montrant que la majorité de ses clients sont des agences de sécurité régionales chinoises. Selon NTD News, cela s'ajoute à la fière promotion par I-Soon du ministère chinois de la Sécurité publique comme l'un de ses partenaires.

    Outre les contrats, une liste de victimes est également incluse dans le trésor divulgué – prouvant qu'I-Soon a ciblé des entreprises de télécommunications, des hôpitaux, des universités, des organisations et des entités gouvernementales de nombreux pays. Ces pays comprennent la France, l'Égypte, l'Inde, l'Indonésie, le Kazakhstan, la Malaisie, la Mongolie, le Népal, la Corée du Sud, Taiwan, la Thaïlande, les Philippines et le Vietnam.

    Un document a même révélé qu'I-Soon facturait plus d'argent pour le piratage du ministère vietnamien de l'Industrie et du Commerce que pour le piratage de deux autres ministères du gouvernement vietnamien. En outre, d’autres documents internes faisaient mention de bases de données d’informations piratées qui auraient été recueillies auprès de réseaux étrangers du monde entier et qui seraient annoncées et vendues aux forces de l’ordre chinoises.

    "L'incident I-Soon devrait une fois de plus rappeler à tout le monde que la sécurité des réseaux est une question de sécurité nationale", a déclaré l'expert en technologie Chiang Ya-chi, président de l'Association du droit et de la technologie de Taiwan. "Il y a une guerre sans poudre, et elle se déroule dans le cyberespace."

    Le Parti communiste chinois finance I-Soon

    Selon Chiang, les documents divulgués montrent que le Parti communiste chinois (PCC) finance I-Soon. En échange, Pékin utilise les outils fabriqués par I-Soon et d’autres sociétés pour envahir les gouvernements et entités étrangers. (Connexe : Des cyberattaques chinoises plus sophistiquées ciblent des entreprises américaines, des agences gouvernementales et des sous-traitants de la défense.)

    Selon les archives du gouvernement chinois, I-Soon a été créée à Shanghai en 2010. Elle possède des succursales dans trois autres villes, notamment à Chengdu, dans le sud-ouest du pays. Des diapositives divulguées ont révélé que la succursale de Chengdu est responsable du piratage informatique, de la recherche et du développement.

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  49. Le site Web de l'entreprise était entièrement hors ligne à la suite de la fuite. Un représentant d'I-Soon a décliné une demande d'entretien et a déclaré que la société publierait une déclaration officielle à une date ultérieure indéterminée.

    Les forces de l'ordre chinoises semblent utiliser les outils d'I-Soon pour contrôler la dissidence sur les réseaux sociaux étrangers et inonder les opposants de contenus pro-Pékin. Si Pékin dispose d’une censure instantanée et d’une surveillance globale au niveau national, il lui manque cette capacité sur les sites étrangers.

    Depuis la récente publication en ligne, plusieurs chercheurs et experts ont publié leur analyse des documents rédigés en chinois simple.

    Selon Mareike Ohlberg, chercheur principal au programme Asie du German Marshall Fund, le contrôle des postes critiques au niveau national est crucial pour gérer l'opinion publique et prévenir les sentiments anti-gouvernementaux. "Les autorités chinoises ont tout intérêt à traquer les utilisateurs basés en Chine", a-t-elle commenté.

    John Hultquist, analyste en chef des menaces de la division de cybersécurité Mandiant de Google, a déclaré que les documents divulgués par I-Soon suggèrent également que le ministère chinois de la Sécurité d'État et l'Armée populaire de libération sont inclus dans la liste des sponsors de l'entreprise. Cependant, il a noté que la source de la fuite pourrait être « un service de renseignement rival, un initié mécontent, ou même un entrepreneur rival ».

    Dakota Cary, analyste chinois au sein de la société californienne de cybersécurité SentinelOne, a quant à lui souligné que les documents semblaient légitimes. Cela, a-t-il expliqué, est dû au fait qu'ils alignent ce qui serait attendu d'un piratage informatique pour le compte de l'appareil de sécurité chinois avec les priorités politiques nationales.

    « Nous constatons de nombreuses attaques contre des organisations liées aux minorités ethniques – Tibétains, Ouïghours. Une grande partie des attaques contre des entités étrangères peuvent être vues à travers le prisme des priorités de sécurité intérieure du gouvernement », a ajouté Cary.

    Suivez CyberWar.news pour plus d’informations sur les pirates informatiques soutenus par Pékin qui attaquent l’Amérique.

    Regardez Tiffany Meier mettre son grain de sel dans la fuite du document révélant les efforts de piratage soutenus par l'État chinois.

    This video is from the Pool Pharmacy channel on Brighteon.com.

    More related stories:

    Pentagon report warns of China's cyber preparations for war following hacking of U.S. military bases.

    Japanese government sources confirm Chinese hackers stole classified diplomatic information during 2020 cyberattack.

    Chinese government-backed hackers steal 60,000 emails from State Department employees by exploiting a Microsoft engineer’s device.

    Sources include:

    NTD.com
    APNews.com
    DailyMail.co.uk
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2024-03-04-leaked-documents-reveal-china-hacking-abilities-targets.html

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  50. ENCORE UN ARTICLE CENSURÉ ! (60-1 =59)

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