Dans de nombreux pays, la mesure drastique consistant à couper Internet est utilisée en réponse à des troubles réels ou potentiels. Les fermetures se produisent généralement lorsqu'une personne (généralement un gouvernement) perturbe intentionnellement Internet ou les réseaux sociaux. Cette mesure a été largement critiquée comme étant une restriction trop drastique de la liberté d'expression et une atteinte à la vie quotidienne des gens, surtout si elle vise à étouffer la dissidence.
Comme le rapporte Katharinia Buchholz de Statista, la révolution égyptienne de 2011 et l'échec du coup d'État militaire turc de 2016 sont d'excellents exemples de coupures d'Internet utilisées de cette manière.
En Inde – le pays qui coupe le plus l’accès à Internet – les coupures se sont par le passé concentrées au Cachemire et au Rajasthan, où elles ont été utilisées lors de manifestations (et de manière préventive lorsque des manifestations étaient attendues), mais aussi lors d’examens. En 2023, les tensions ethniques dans l’État de Manipur ont conduit aux fermetures les plus ciblées mises en œuvre par le gouvernement.
Tous les blocages et coupures d'Internet en Inde en 2023 ont touché environ 59 millions de personnes (sur 1,5 milliard de personnes - soit 25,42 %) pour un total de près de 8 000 heures – le plus élevé au monde une fois combinés selon Top10VPN. En Éthiopie, au Myanmar et en Iran, la répression de la dissidence, des protestations et, en un instant, de l’Église orthodoxe, a provoqué des heures de blocage d’Internet presque aussi longues.
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Infographie : Les pays qui coupent le plus Internet | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Partout dans le monde, les coupures d’Internet et les ralentissements délibérés sont redevenus plus courants.
Compte tenu de l’importance d’Internet dans la vie de tous les jours, en limiter l’accès peut avoir des conséquences financières.
En Russie, en Éthiopie et au Myanmar, le nombre et la durée des fermetures deviennent très coûteux. Top10VPN a constaté qu'environ 1 350 heures d'indisponibilité intentionnelle d'Internet et de blocages ciblés en 2023 ont coûté 4 milliards de dollars à l'économie russe.
L'origine réelle n'est pas clairement expliquée. Mais il est à noter qu'un pays de 1,5 milliard habitants ne se gère pas comme une épicerie !! (et que l'information n'est pas empêchée de circuler malgré tout). Le stratagème de la gestion de chaque pays dépend du dictateur en place. Soiil y a 1,5 milliarde personnes informée qui s'activent dans la recherche (çà fait du monde !), soit il y a un pays où l'information occupe le plus grand bien pour la population à l'exemple de la Chine (1,5 milliard habitants).
ALERTE Piratage France Travail : 43 millions de Français touchés
On pensait que le pire piratage de l’année 2024 avait déjà eu lieu, avec l’attaque, réussie, contre les entreprises spécialisées dans le tiers-payant pour les mutuelles. Mais la nouvelle mouture de Pôle Emploi, France Travail, a fait mieux. Ce sont quasiment 2 Français sur 3 qui ont vu leurs données personnelles être volée par des pirates informatiques. Et pas des moindres : les données sont complètes et en nombre impressionnant.
le 14 mars 2024 à 6h58
En 2024, l'État versera 1,25 milliard d'euros au nouvel opérateur qu'est France Travail.
France Travail commence l’année par un piratage d’une ampleur inédite Alors que le plein emploi s’éloigne pour la France, comme l’a confirmé la Banque de France le 12 mars 2024, le remplaçant de Pôle Emploi, France Travail, fait l’objet d’un piratage d’une ampleur exceptionnelle. Selon les informations diffusées par l’organisme lui-même, ce sont 43 millions de personnes qui sont touchées. Certaines estimations font même monter ce nombre à 48 millions. Sur une France qui compte environ 68 millions d’habitants, le calcul est vite fait : les données personnelles de deux Français sur trois sont dans la nature.
Pire : France Travail prévient qu’il existe effectivement un risque de divulgation des données volées, ce qui laisse penser qu’elles pourraient être mises à disposition d’autres pirates informatiques via des forums de vente et d’échange sur le dark web, par exemple.
France Travail : un piratage qui a duré… un mois ?
Selon les informations fournies par France Travail, le piratage a duré un mois. Repérée la semaine du 11 mars 2024, elle aurait été perpétrée « entre le 6 février et le 5 mars ». Un temps suffisant pour les pirates pour exfiltrer sans trop de problèmes les données personnelles des Français. « Ce qui est perturbant, c’est une déclaration tardive et un vol très significatif en termes de volume. Qu’il n’ait pas été détecté révèle que le hacker était très probablement en place depuis un moment pour effectuer une exfiltration aussi significative », analyse de son côté Frans Imbert-Vier, PDG d’Ubicom, spécialiste des conseils en cybersécurité.
France Travail confirme en outre que l’attaque a utilisé la technique dite « Man on the Middle » qui consiste à usurper l’identité d’une personnes ayant des accès aux données personnelles pour en faire une copie.
« Cette attaque n’est pas préparée pour le lendemain, elle a nécessité une mise en place discrète et techniquement efficace pour échapper aux contrôles supposés de l’administration. Dans la recomposition de Pôle Emploi en France Travail, il y a eu un renouvellement de prestataires et une augmentation des risques », souligne Frans Imbert-Vier.
France Travail : 20 ans de données personnelles volées en quelques semaines Comment les pirates ont pu obtenir les données personnelles de plus de 40 millions de Français alors qu’officiellement on compte environ 6 millions de chômeurs en France ? Simple. Le pirate aurait eu accès aux données personnelles vieilles de 20 ans.
« La base de données qui aurait été extraite de façon illicite contient les données personnelles d’identification des personnes actuellement inscrites, des personnes précédemment inscrites au cours des vingt dernières années ainsi que des personnes non inscrites sur la liste des demandeurs d’emploi mais ayant un espace candidat sur francetravail.fr », explique l’organisme.
Comprendre : si dans les 20 dernières années vous avez été dans le système de Pôle Emploi, pour quelque raison que ce soit, vos données ont été volées. Une situation absurde qui pose la question de la conservation des données personnelles aussi longtemps : quel usage pouvait bien avoir France Travail des données personnelles des chômeurs de 2009 ? De 2012 ?
Il semblerait, de plus, que France Travail ne soit pas du tout réactifs aux alertes qui lui sont signalées par les spécialistes de la cybersécurité et les pirates WhiteHat. S'il est impossible d'assurer que le twittos Bluetouff, de son vrai nom Olivier Laurelli, a identifié la faille utilisée dans ce piratage, force est de constater qu'il a prévenu France Travail de problèmes de sécurité... et qu'il n'a pas reçu de retours. Or, son signalement date du 24 février 2024..
Piratage : quelles données ont été volées ?
La situation se complique encore plus lorsqu’on regarde le détail des données volées. « Compte tenu des investigations techniques menées, les données personnelles d’identification exposées sont les suivantes : nom et prénom, date de naissance, numéro de Sécurité sociale, identifiant France Travail, adresses mail et postale et numéros de téléphone », écrit l’organisme. Des données qui pourraient permettre des attaques par usurpation d’identité, évidemment, et du phishing.
Mais, surtout, des données qui peuvent permettre d’obtenir des documents encore plus importants permettant de réaliser une usurpation d’identité dans la vie réelle, créant aux victimes des problèmes du quotidien qu’il est extrêmement difficile de résoudre. Certaines victimes d’usurpation d’identité se retrouvent avec des crédits à leur nom, des amendes voire des soucis judiciaires… et le traitement des dossiers est long et compliqué.
France Travail après Almerys et Viamedis : les Français sont menacés de toutes parts La confirmation de l’attaque France Travail arrive un peu plus d’un mois après celle ayant touché les prestataires de tiers-payant Almerys et Viamedis qui avaient permis de voler les données de plus de 33 millions de personnes. 33 millions en février 2024, 43 millions en mars 2024… autant dire que les Français sont très menacés et doivent rester sur leurs gardes.
D’autant plus qu’ils ne peuvent pas faire grand-chose. Dans les deux attaques, Cybermalveillance.gouv.fr a mis à disposition une « lettre-plainte » en ligne. Les potentielles victimes sont invitées à remplir les formulaires, ne serait-ce que pour que l’administration ait une trace.
Pour déposer une plainte concernant le piratage de France Travail c’est par ici : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/lettre-plainte-suite-a-la-fuite-de-donnees-france-travail
Pour déposer une plainte concernant le piratage d’Almerys et Viamédis c’est par ici : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/lettre-plainte-suite-a-la-fuite-de-donnees-viamedi-almerys
En limitant puis en bloquant l’accès aux sites de médias sociaux et aux médias à la suite de son invasion de l’Ukraine, la Russie a provoqué les blocages d’Internet les plus coûteux de 2022 et 2023. C’est selon la société technologique Top10VPN. Le service estime le coût économique de l'année écoulée à 4 milliards de dollars, alors qu'il avait coûté plus de 21 milliards de dollars dans le pays entre l'invasion de l'Ukraine en février 2022 et la fin de cette année. Étant donné que les blocages s'étendent à l'échelle nationale, le grand nombre de 113 millions de personnes concernées entraîne un prix élevé.
Le coût estimé de la restriction d'Internet place la Russie devant l'Éthiopie, deuxième au classement, où l'année dernière les tensions religieuses autour de la pratique dans les langues locales ont conduit à des coupures d'Internet visant l'église orthodoxe du pays, le gouvernement ayant exprimé son soutien au nouveau synode dissident. Près de 30 millions de personnes ont été touchées par cette catastrophe, pour un coût économique de 1,6 milliard de dollars. Le Myanmar arrive en troisième position en raison des coupures d'Internet qui ont supprimé la dissidence au niveau régional dans les États de Chin, Kachin, Kayah, Magway et Mandalay, ainsi que de la restriction de l'accès au réseau social X (anciennement Twitter) depuis le dernier coup d'État du pays en 2021. Les coûts économiques de cette situation ont atteint près de 1 dollar. milliards l’année dernière.
Le Myanmar est également le pays qui a coupé Internet le plus longtemps en 2023 : près de 19 000 heures. Toutefois, les blocages ciblés à long terme n’ont touché qu’environ 24 millions de personnes. En additionnant les heures de blocages et de coupures et le nombre de personnes affectées, c'est l'Inde qui a le plus restreint l'accès à Internet l'année dernière, avec plus de 470 milliards d'heures d'utilisation (59 millions de personnes affectées pendant près de 8 000 heures), lorsque le gouvernement a utilisé les pannes pour apaiser les troubles civils au niveau local, principalement à Manipur. État.
La répression des manifestations en faveur des droits de l’homme a également entraîné des pannes généralisées en Iran l’année dernière. Le Pakistan a bloqué l'accès à Internet pendant quatre jours après l'arrestation de l'ancien Premier ministre Imran Khan et a également restreint les médias sociaux - pour une population de plus de 80 millions d'internautes, propulsant le pays dans la liste des coupures d'Internet les plus coûteuses. L'Irak et l'Algérie ont utilisé l'année dernière des blocages d'Internet pour lutter contre la tricherie aux examens, mais le recours à cette pratique dans la région du Kurdistan irakien a soulevé des questions.
Google prévoit de développer des systèmes d'IA spécifiquement pour l'application de la CENSURE
03/12/2024 Ava Grâce
Le PDG de Google, Sundar Pichai, s'est récemment adressé au public mécontent de son chatbot alimenté par l'intelligence artificielle, Gemini, pour son parti pris politique. Il s'est engagé à développer davantage les systèmes d'IA de l'entreprise spécifiquement pour lutter contre les fausses nouvelles. En d’autres termes, Google utilisera davantage l’IA à des fins de censure.
En abordant la controverse entourant Gemini, Pichai a déclaré qu'il comprenait que certaines de ses réponses aient offensé les utilisateurs et fait preuve de parti pris.
"Pour être clair, c'est totalement inacceptable et nous nous sommes trompés", a-t-il déclaré. Notamment, cette déclaration n'aborde pas le fait que les préjugés de Google sont visibles au public depuis des années et étaient particulièrement répandus à partir d'août 2017, lorsque Pichai a licencié un employé de Google nommé James Damore pour avoir écrit une note de 10 pages critiquant la diversité et l'équité de l'entreprise. et les politiques d’inclusion, ou DEI. (Connexe : Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.)
Le parti pris de Google s’est également manifesté lors d’une réunion à tous après l’élection de Donald Trump à la présidence en 2016.
"Je trouve certainement cette élection profondément offensante", avait alors déclaré le cofondateur de Google, Sergey Brin. "Et je sais que beaucoup d'entre vous le font aussi."
Un dirigeant de Google a failli se mettre à pleurer en racontant que Trump avait gagné. "C'était un énorme coup de pied dans le ventre que nous allions perdre", a-t-elle déclaré. "Et c'était vraiment douloureux."
Pichai a adopté un ton politique plus neutre par rapport à ses collègues. "Nous sommes dans un système démocratique", a-t-il déclaré. "Je pense qu'une partie de la raison pour laquelle le résultat a été tel est [parce que] les gens ne se sentent pas entendus des deux côtés."
Google va développer l'IA pour contrôler la parole en ligne
Un employé de Google proche de Pichai aurait suggéré après la victoire de Trump qu'il avait gagné grâce à la "désinformation" et aux "fausses nouvelles provenant de sites Web de fausses informations partagées par des millions d'électeurs peu informés sur les réseaux sociaux", a déclaré Pichai, rappelant la conversation avec le employé. Il a ajouté qu’il pensait que l’IA pouvait être utilisée pour contrer cette soi-disant désinformation.
"Je pense que nos investissements dans l'apprentissage automatique et l'IA constituent ici une grande opportunité", a-t-il déclaré, avant d'ajouter que Google manipule peut-être déjà les résultats de recherche pour décourager la soi-disant désinformation.
"Il existe de très nombreux endroits où nous classons [les résultats de recherche]", a-t-il admis. "Nous faisons des choses de manière algorithmique… comprenons certaines des choses qui se produisent et corrigeons le cap."
Pichai a souligné qu'il y aurait une solution technologique aux informations qui, selon les dirigeants de Google, avaient conduit à la victoire de Trump.
"C'est un problème d'échelle et de ne pas pouvoir suivre le rythme. Les systèmes humains échouent dans beaucoup de ces domaines. Je pense donc qu'investir davantage dans l'apprentissage automatique et l'IA pourrait être un moyen de réellement progresser", a déclaré Pichai.
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Regardez ce sketch de "Catch Up" présentant un portrait satirique d'un porte-parole de Google répondant aux critiques concernant Gemini.
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
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Vers des nanoréseaux térahertz internes sensibles à la localisation avec récupération d'énergie
16 février 2024
Résumé
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— Les réseaux sans fil à l’échelle nanométrique devraient révolutionner une variété de domaines, avec des avancées significatives envisageables dans les 'soins de santé corporels'. Dans le domaine de la santé, ces nanoréseaux consisteront en des nano-dispositifs récupérateurs d'énergie circulant passivement dans la circulation sanguine, prenant des mesures à certains endroits et communiquant les résultats à des nœuds de réseau corporel (BAN) plus puissants. En supposant une telle configuration et une nano-communication électromagnétique dans les fréquences Terahertz (THz), nous proposons une architecture de réseau capable de prendre en charge la localisation fine des nano-nœuds corporels récupérant l'énergie, ainsi que leur communication bidirectionnelle avec le monde extérieur. Les principales nouveautés de notre proposition résident dans l'introduction de paradigmes de nano-communication sans fil basés sur la localisation et basés sur la radio de réveil (WuR), ainsi que de méta-matériaux définis par logiciel (SDM), dans les nanoréseaux corporels de collecte d'énergie THz. Nous soutenons que, à un niveau élevé, l'architecture proposée peut gérer (et bénéficie réellement) d'un grand nombre de nano-nœuds, tout en gérant simultanément une courte plage de propagation du THz dans le corps et des nano-nœuds hautement contraints.
Termes de l'index : nanoréseaux corporels, térahertz, ultrasons, métamatériaux définis par logiciel, localisation, récupération d'énergie
INTRODUCTION
Les développements récents en nanotechnologie mettent en lumière des dispositifs de taille nanométrique qui permettront une variété d’applications révolutionnaires. Les soins de santé corporels font partie des nombreux domaines intéressants dans lesquels la nanotechnologie devrait être bénéfique.
La nanotechnologie devrait permettre la détection des virus et des bactéries au niveau moléculaire, l'administration de médicaments de haute précision, la surveillance ciblée et la neurochirurgie [1]. Pour permettre de telles applications, des nano-dispositifs comprenant un nanoréseau corporel circuleront dans la circulation sanguine, prendront des mesures sur des commandes à des emplacements cibles et communiqueront les résultats à un réseau corporel (BAN) plus puissant [2], [3].
Compte tenu de la petite taille de ces nano-dispositifs, la récupération de l'énergie environnante (par exemple, à partir des courants sanguins) devrait être leur seule option d'alimentation [4]. En raison de leur énergie limitée et de leurs minuscules facteurs de forme, ces nano-dispositifs devraient circuler passivement, c'est-à-dire sans possibilité de direction mécanique vers l'emplacement ciblé. Pour prendre en charge le contrôle des nano-dispositifs lorsqu’ils atteignent leurs emplacements cibles, il est intuitivement nécessaire de connaître leur emplacement actuel. Il existe également un besoin de communication entre le monde extérieur (c'est-à-dire BAN) et le nano-dispositif (par exemple, pour émettre des commandes de contrôle), ainsi qu'entre le nano-dispositif et le monde extérieur (par exemple, pour fournir les lectures de l'appareil). L’un des outils de communication prometteurs dans un tel scénario consiste à utiliser des signaux électromagnétiques dans les fréquences térahertz (THz).
En effet, la communication dans ces fréquences permet d'utiliser de minuscules facteurs de forme d'émetteur-récepteur, condition essentielle pour les nano-dispositifs intégrés au corps. Cependant, la bande THz a ses particularités, liées principalement à des pertes de diffusion et d'étalement élevées. Combiné aux ressources de calcul et de stockage limitées, à la faible portée de propagation du THz dans le corps (c'est-à-dire de l'ordre de 1 cm) et à l'alimentation limitée des nano- nœuds reposant uniquement sur la récupération d'énergie [3], la communication entre le BAN et les intra nano-nœuds corporels ne sont actuellement pas clairs.
Les principaux défis comprennent i) l'atténuation de la forte atténuation de la propagation du THz dans le corps, ii) le maintien d'un profil énergétique et d'une complexité des nano-dispositifs faibles, tandis que iii) la prise en charge d'une évolutivité du réseau sans précédent, et iv) la possibilité d'une localisation fine des nano-nœuds - une exigence pour de nombreuses applications envisagées [5]. Les efforts de recherche actuels dans cette direction sont rares et se concentrent principalement sur la résolution de certains des défis mentionnés ci-dessus.
En termes de localisation dans le corps, les approches existantes se concentrent sur une localisation à gros grains, aboutissant à une détection de la région du corps dans laquelle se trouve un nano-nœud [3], ce qui n'est pas suffisant pour certaines applications comme la neurochirurgie.
En termes de communication, les recherches actuelles se concentrent principalement sur les protocoles de couche liaison basés sur l'accès aléatoire aux canaux et sur les protocoles de couche réseau basés sur l'inondation, tous deux connus pour augmenter les interférences dans le système, rendant les nanoréseaux envisagés avec un grand nombre de nano-nœuds irréalisables dans la pratique. [5].
Enfin, de nombreuses approches supposent que, si les protocoles de nanoréseau sont soigneusement conçus, les nano-nœuds récupérateurs d’énergie pourraient fonctionner en permanence, ce qui, selon nous, est impossible en pratique. Sur la base des lacunes identifiées ci-dessus, nous décrivons une architecture de réseau composée d'un BAN basé sur un méta-matériau défini par logiciel (SDM), d'un contrôleur de réseau basé sur l'apprentissage automatique (ML) et d'un grand nombre de nano-nœuds récupérateurs d'énergie circulant dans la circulation sanguine.
De plus, nous proposons une approche de haut niveau pour localiser les nano-nœuds à l'aide de signaux THz sans avoir recours à des ancres de localisation implantées chirurgicalement, car la procédure de localisation peut être basée sur l'utilisation uniquement des nœuds BAN basés sur SDM. De plus, nous proposons l'utilisation d'une radio de réveil directionnelle à l'échelle nanométrique (WuR) basée sur des ultrasons (pénétrant donc facilement dans le corps humain) pour le réveil basé sur la localisation d'un ensemble souhaité de nano-nœuds uniquement. Cela permet une nano-communication limitée par le bruit (contrairement aux interférences limitées) entre les nano-nœuds et les nœuds BAN basés sur SDM, ce qui profite à son tour à la consommation d'énergie des nano-nœuds.
Enfin, le contrôleur de réseau basé sur ML sert à estimer la qualité de la localisation, ainsi que les niveaux d'énergie des nano-nœuds, qui sont ensuite utilisés pour optimiser la sélection des nano- nœuds à réveiller, ce qui entraîne une sélection optimisée des voies de communication entre les nano- nœuds et le monde extérieur.
TABLEAU I : Résumé des exigences que les applications de soins de santé sont censées poser sur les nanoréseaux de support [5]
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Figure 1 : Architecture de haut niveau
NANORÉSEAUX INTRA-CORPORELS SENSIBLES À LA LOCALISATION ET FONCTIONNANT EN TERAHERTZ AVEC RÉCOLTE D'ÉNERGIE
Les auteurs de [5] discutent des exigences que les applications de soins de santé dans le corps sont susceptibles de poser sur les nanoréseaux de support, qui sont résumées dans le tableau I en indiquant si elles sont prises en compte dans ce travail. En gardant à l'esprit les exigences de conception, l'architecture du réseau de haut niveau est représentée à la figure 1. Un schéma fonctionnel des principaux composants d'un nano-dispositif est également représenté à la figure 1.
Le nano-dispositif se compose d'un module permettant de récolter l'énergie environnementale, avec le plus des approches prometteuses pour une telle récolte à l'échelle nanométrique basées sur des cycles vibrationnels de nano-fils de ZnO générés par les courants sanguins ou les battements cardiaques, ou le transfert de puissance par radiofréquence (RF) [4].
Le nano-dispositif comprend également des modules de calcul, de stockage de données et de prise en charge des applications, comme indiqué sur la figure. Le support d'application peut être défini comme des fonctionnalités de détection et/ou d'actionnement que le nano-dispositif est censé permettre, par exemple la détection et la localisation de cellules cancéreuses (exemple de détection) ou la libération ciblée de médicaments (exemple d'actionnement). Ces fonctionnalités sont bien établies dans la littérature existante, avec plus de détails disponibles par exemple dans [6].
Dans le cadre de ces travaux, les modules les plus intéressants sont la radio THz pour la localisation et la communication des données, et le WuR utilisé pour le réveil des nano-nodes. D'un point de vue technologique, un émetteur-récepteur fonctionnant au THz peut être mis en œuvre à l'échelle nanométrique en utilisant du graphène qui, pour les communications à faible portée, pourrait théoriquement présenter des bandes passantes extrêmement élevées (de l'ordre de centaines de gigahertz (GHz)) pour de courtes distances d'environ 1 cm [7].
Sur la couche physique, nous considérons l'utilisation de la programmation ON-OFF (TS-OOK), car il s'agit d'un schéma de communication standard de facto pour la nano-communication dans les fréquences THz. Dans TS-OOK, les impulsions très courtes (c'est-à-dire d'une durée de 100 fs) représentent des « 1 » logiques, tandis que les « 0 » logiques sont représentés par des silences [8]. Le temps entre l'émission/réception de deux bits consécutifs d'un paquet est caractérisé par 𝛽𝛽 et généralement beaucoup plus long (c'est-à-dire deux à trois ordres de grandeur) que la durée d'une impulsion TS-OOK, qui est une caractéristique de TS-OOK permettant une transmission non synchronisée avec un faible risque d'interférence. La modélisation de la consommation d'énergie dans ce schéma a généralement été réalisée en attribuant une certaine énergie consommée à l'émission et à la réception d'une impulsion TS-OOK. Cependant, on pourrait affirmer que, grâce aux approches de réseau sans fil plus traditionnelles telles que les réseaux de capteurs sans fil (WSN), nous savons que la consommation d'énergie de tout émetteur-récepteur sans fil est dominée par la transmission, la réception et la marche au ralenti.
Cet argument a été exposé dans [9], où les auteurs considèrent l'énergie au ralenti dans la consommation d'énergie globale d'un nano-node basé sur TS-OOK fonctionnant en THz, en plus des énergies consommées en émission et en réception. Ils montrent que ces nano-nœuds n’auront pour la plupart pas assez d’énergie pour la communication, ce qui est le résultat direct du long temps d’inactivité 𝛽𝛽 entre l’émission/réception d’impulsions consécutives ou le silence, ainsi que (plus important encore) du « long temps » (long expected time) attendu entre l’émission/la réception d’impulsions consécutives ou le silence de réception de paquets consécutifs pour le cas attendu de communication à faible débit. Sur la base des travaux présentés dans [9], nous soutenons que les nano-nœuds récupérateurs d'énergie devront rester endormis la plupart du temps afin de ne pas épuiser leurs niveaux d'énergie au ralenti.
Par conséquent, il est intuitivement nécessaire de les réveiller lorsqu’ils sont nécessaires, ce qui ressort de notre conception d’un nano-dispositif (Figure 1) activé via le WuR. Plus précisément, nous envisageons l’utilisation d’un WuR à l’échelle nanométrique basé sur les ultrasons et, par conséquent, pénétrable par le corps humain.
La conception et la mise en œuvre d'un tel système ont été présentées dans [10], qui est basé sur un transducteur piézoélectrique à ultrasons à l'échelle nanométrique (pNUT) générant un signal de tension en captant les changements de pression dus aux ultrasons incidents. Les auteurs démontrent que le WuR est capable de maintenir un transfert de données robuste sur une portée de 0,5 m lorsqu'il fonctionne avec un signal porteur de 40 kHz modulé à 250 Hz, ce qui suffirait intuitivement pour atteindre les nano-nœuds dans n'importe quelle région du corps humain. Avec ses dimensions d’environ 100 μm × 100 μm × 150 nm, la radio ne peut pas être caractérisée comme un appareil à l’échelle nanométrique.
Cependant, le ramener à l’échelle nanométrique est envisageable, étant donné qu’il est envisagé de l’utiliser pour réveiller les nano-nœuds et configurer leur mode de fonctionnement, contrairement à une communication bidirectionnelle à grande échelle, technologiquement plus complexe, avec le monde extérieur.
Figure 2 : Architecture des méta-matériaux définis par logiciel (SDM)
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Au niveau BAN, nous envisageons l'utilisation d'un SDM recouvrant le corps humain sous la forme d'un textile intelligent. Les méta-matériaux présentent des propriétés techniques qui peuvent être exploitées pour la manipulation des ondes ultrasonores en profondeur (par exemple, réflexion, absorption, diffusion), à la fois dans les champs proches et lointains [11]. SDM est un paradigme permettant un niveau de contrôlabilité considérablement plus élevé des éléments méta-matériaux en temps réel, permettant leur réutilisation dans toutes les applications et opérations [12]. Il convient de souligner que les SDM sont considérés comme des entités flexibles avec des possibilités de flexion, d'étirement et de roulage [13]. Par conséquent, ils pourront être intégrés dans des textiles intelligents et opérationnels même en cas de changements structurels, ce qui implique que l'architecture de réseau envisagée pourrait être réalisable même dans le cas d'un environnement mobile (c'est-à-dire que la personne portant le système n'aurait pas besoin d'être immobilisée).
Nous envisageons une architecture SDM telle que représentée sur la figure 2, dans laquelle le SDM est utilisé i) pour contrôler les ondes ultrasonores afin de servir de signaux WuR focalisés pour réveiller les nano-nodes dans le corps, ii) comme ancres pour la localisation des nano-nodes basée sur le THz., et iii) comme relais de données entre les nano-nœuds et le contrôleur de réseau. Comme le montre la figure, le SDM se compose de cellules unitaires, la communication entre les cellules étant activée via une nano-communication basée sur le THz, ce qui est conforme à la littérature existante [12], [14]. Le même type de nano-communication THz est utilisé pour la communication et la localisation des nano-nœuds dans le corps. Les cellules unitaires sont censées servir d'ancrages potentiels pour la localisation des nano-nœuds dans le corps (cf. Figure 2), elles devraient donc être soit fixées sur le corps immobilisé, soit (de manière plus réaliste) localisables les unes par rapport aux autres dans le cas d’un environnement à mobilité.
Notez que la mobilité dans ce contexte fait référence aux mouvements du corps humain qui provoquent des étirements et des déformations du SDM. Dans cette direction, il convient de souligner qu'il existe des approches précoces pour localiser en interne les cellules unitaires, ce qui implique que les emplacements des nœuds BAN sur le corps peuvent être dérivés même en cas de mobilité (14). Enfin, notre architecture contient un contrôleur réseau avec des fonctionnalités prises en charge, comme illustré dans la figure 1.
LOCALISATION DANS DES NANORÉSEAUX INTÉGRÉS DE RÉCOLTE D'ÉNERGIE FONCTIONNANT EN TERAHERTZ
L’objectif de la localisation est d’estimer l’emplacement des nano-nœuds intracorporels récoltant de l’énergie fonctionnant au THz. A ce titre, la localisation peut être considérée comme la première phase (également obligatoire) du fonctionnement de l’architecture proposée. L'approche proposée pour permettre la localisation est fondée sur les travaux de Slottke [15] (n.b., une excellente thèse de doctorat). Dans [15], Slottke envisage un réseau de capteurs composé de centaines ou de milliers de micro- nœuds sans fil de dimensions submillimétriques. Pour une telle configuration, Slottke montre que les micro-nœuds peuvent être localisés avec précision en utilisant un couplage inductif entre eux et les ancres. Il démontre qu'une telle localisation peut être effectuée de manière itérative, de sorte que la « plage » de localisation soit augmentée.
La localisation itérative implique d'abord de localiser les micro-nœuds proches de la peau (c'est-à-dire là où il y a un nombre suffisant d'ancres de localisation), puis d'utiliser (certains des) micro-nœuds nouvellement localisés comme ancres virtuelles dans les itérations suivantes. Dans ce cas, un nombre relativement important d’ancres (réelles ou virtuelles), idéalement positionnées, sont nécessaires pour maintenir de bonnes performances de localisation, ce qui pourrait être irréalisable en pratique, affirme Slottke. Enfin, Slottke montre que la précision d’une telle localisation itérative s’améliore avec l’augmentation de la densité du réseau.
Bien que l’approche décrite ne soit pas directement applicable à l’échelle nanométrique, elle fournit plusieurs lignes directrices sur la manière dont une localisation à l’échelle nanométrique à l’intérieur du corps humain pourrait être réalisée. Tout d’abord, il est important de réaliser que les nanoréseaux dans le corps devraient être extrêmement denses pour de nombreuses applications envisagées (cela pourrait également être considéré comme une exigence de conception pour notre système), ce qui suggère que la précision de la localisation pourrait être très élevée.
Deuxièmement, bien que Slottke déclare que l'estimation du temps de vol (ToF) ne peut pas être effectuée en raison de la nature à bande étroite des candidats de communication sans fil considérés dans ses travaux, ce n'est pas le cas aux fréquences THz pour de petites distances de transmission pouvant atteindre quelques centimètres.
En revanche, pour de telles distances et avec des antennes en graphène fonctionnant en THz, même une nano-communication à l'échelle THz peut être réalisée [14]. Cela implique qu'une estimation ToF bidirectionnelle très précise entre les éléments méta-matériaux et les nano-nœuds, ainsi qu'entre les nano-nœuds, peut être réalisée. En supposant 1 THz de bande passante disponible, la résolution brute d'un tel échantillonnage entraînerait une erreur de télémétrie de l'ordre du mm, ce qui se traduirait approximativement par une précision de localisation du même ordre de grandeur, en supposant une localisation dans un espace tridimensionnel (3D) et le nombre minimum requis d'ancres (c'est-à-dire quatre). Notez que l’estimation ToF bidirectionnelle ne nécessite pas de synchronisation étroite entre les appareils, ce qui serait complexe à réaliser pour la configuration considérée. Notez également que, bien qu'une bande passante de 1 THz (impliquant une fréquence d'échantillonnage comparable au niveau du nano-node) ne soit pas réalisable en pratique, différentes approches existent pour l'échantillonnage ToF bidirectionnel qui peuvent atténuer cette limitation et entraîner effectivement une erreur de télémétrie ToF bidirectionnelle qui pourrait être obtenu pour l’échantillonnage fréquent THz (plus de détails dans [14]).
L’argument de Slottke sur la nécessité d’un grand nombre d’ancres de localisation (idéalement positionnées de manière optimale) justifie l’utilisation d’un SDM porté sur le corps contenant de telles ancres. L'utilisation de signaux THz basés sur le graphène dans le processus de localisation implique des tailles d'émetteur-récepteur minuscules, ce qui implique que de nombreuses ancres de localisation potentielles pourraient être intégrées dans le textile intelligent, offrant ainsi un degré de liberté sans précédent dans l'optimisation de la localisation en termes de nombre et emplacements des ancres de localisation.
Nous soutenons que les considérations ci-dessus illustrent le potentiel de la localisation basée sur le THz, le ToF bidirectionnel et le SDM des nano-nœuds dans le corps. La configuration de localisation envisagée est donnée dans la figure 3. Dans la première étape (non représentée), les ancres basées sur SDM doivent être localisées, au cas où leurs emplacements ne seraient pas fixes et connus.
Pour localiser les ancres, on peut utiliser l'approche de localisation proposée dans [14], qui est comparable à celle décrite ici (c'est-à-dire trilatération bidirectionnelle basée sur ToF), les différences étant l'environnement de propagation (espace libre vs intérieur du corps) et le caractère itératif de la localisation.
Dans la deuxième étape, les ancres devraient effectuer une estimation ToF bidirectionnelle avec les nano-nœuds, une fois que ces nano-nœuds sont réveillés à l’aide de WuR par ultrasons. Le réveil doit être effectué pour tous les nano-nœuds proches de la peau et donc en communication directe avec plusieurs ancres.
Dans l’étape suivante, certains des nano-nœuds dont les emplacements sont désormais estimés peuvent devenir des points d’ancrage « virtuels » dans la localisation des nano-nœuds plus profondément à l’intérieur du corps tandis que d’autres peuvent devenir des relais de données vers le monde extérieur, comme le montre la figure.
Intuitivement, les nano-nœuds devraient être réveillés afin i) d'être localisés, ii) de servir d'ancres virtuelles dans la localisation, iii) de servir de relais dans la transmission des données au monde extérieur (à la fois pour la localisation et la communication), et iv) pour servir les objectifs de l'application (par exemple, lancer la détection ou l'actionnement et communiquer les résultats ou le succès de ces actions).
Apparemment, ce niveau de contrôle à quatre états peut être atteint en transmettant des séquences de signaux WuR soigneusement conçues.
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Figure 4 : Erreurs cumulées dans la localisation itérative Défis ouverts sélectionnés
Nous affirmons que l'approche de localisation décrite aborde intuitivement les problèmes liés à une faible plage de propagation du THz dans le corps dans l'hypothèse d'un nombre et d'une densité élevés d'ancres et de nano-nœuds.
Nous considérons que l'approche est adaptée aux nano-nœuds de récupération d'énergie, principalement parce qu'elle est basée sur l'échange d'un petit nombre seulement d'impulsions TSOOK et ne nécessite pas de synchronisation étroite entre les nanonœuds, ni entre les nano-nœuds et les ancres.
Néanmoins, il reste des défis à résoudre afin de démontrer pleinement la faisabilité de l’approche proposée pour la localisation fine des nano-nœuds internes du corps fonctionnant au THz et récupérant l’énergie.
Nous en abordons ci-dessous plusieurs, que nous considérons comme les plus importants. Réponses multiples : Comme de nombreux nano-nodes sont attendus, leurs impulsions TS-OOK retransmises presque simultanément devront être distinguées au niveau de l’ancre ou du contrôleur, afin que les emplacements des nano-nodes puissent être estimés avec précision. Nous émettons l’hypothèse que, à cet égard, la meilleure façon d’avancer est de considérer les reculs aléatoires, ainsi que les contraintes de trilatération tenant compte du fait que tous les nano-nœuds se trouvent dans le corps. En d’autres termes, le fait que le TS-OOK spécifie le paramètre 𝛽𝛽 beaucoup plus grand que la durée de l’impulsion pourrait être utilisé pour intégrer les retransmissions de plusieurs nano-nœuds via un recul aléatoire. Par conséquent, les chances de réponses multiples peuvent être réduites dans une certaine mesure, même si la question du nombre maximum de retransmissions pouvant être distinguées dans la durée d’un 𝛽𝛽 reste ouverte. Notez que ce nombre doit être limité par la capacité de distinguer le temps d'arrivée des impulsions TS-OOK retransmises, de sorte que les ancres soient capables de distinguer deux réponses différentes en fonction du délai qui les sépare, en tenant compte des différences minimales dans les temps d'attente et les temps nécessaires pour que les signaux se propagent à travers le support. Dans le cas de plusieurs signaux qui ne peuvent pas être distingués en fonction du délai entre eux (c'est-à-dire un recul aléatoire), on pourrait viser à estimer l'emplacement des nano-nodes sur la base de toutes les combinaisons de signaux reçus par différentes ancres, et à éliminer ceux-ci, qui sont estimés être à l’extérieur du corps (c’est-à-dire les contraintes de trilatération).$
Performances de la localisation itérative : il est bien connu que les approches de localisation itératives telles que celle décrite ci-dessus entraîneront des erreurs de localisation aggravées. Les erreurs s'accumulent en fonction de l'augmentation du nombre d'itérations et donc également en fonction de la distance entre les nœuds BAN et les nano-nœuds (Figure 4). Cela suggère que les performances de localisation seront moins bonnes pour les parties les plus profondes du corps. Cependant, on ne sait pas exactement dans quelle mesure les performances de l'approche se dégraderont, étant donné le nombre sans précédent d'ancres et la densité de nano-nœuds dans le corps, ainsi que la quantité sans précédent de bande passante disponible (ce qui suggère une localisation très précise lors de la première itération, à son tour) suggérant également un faible niveau d’erreurs de localisation cumulées). À cet égard, une quantification de la précision en fonction de la distance entre les ancres et les nano-nœuds est nécessaire.
Si l’approche proposée ne parvient finalement pas à atteindre la précision postulée par les applications, on pourrait recourir à l’introduction d’ancrages supplémentaires à des endroits stratégiques à l’intérieur du corps. Bien que cela doive idéalement être évité, au cas où cela serait nécessaire, la question reste ouverte de savoir où positionner ces ancrages, qui devraient être abordés simultanément du point de vue de la localisation (c'est-à-dire pour optimiser les performances de localisation) et du point de vue chirurgical (c'est-à-dire pour minimiser la complexité de l'intervention chirurgicale). Il est également intéressant d’observer que, dans le système de localisation proposé, plusieurs sous-systèmes peuvent être spécifiés en fonction des régions du corps où les SDM sont montés. Par conséquent, plusieurs procédures de localisation itératives pourraient être lancées simultanément (par exemple, un certain nombre de régions peuvent être spécifiées dans la zone du torse, ce qui semble être la plus difficile à localiser). En ce sens, on pourrait obtenir simultanément plusieurs estimations (c’est-à-dire une pour chaque sous-système de localisation) d’un seul nano-noeud, qui pourraient ensuite être utilisées pour améliorer la précision de la localisation, en particulier pour les nano-nodes positionnés en profondeur dans le corps. Notez que la même approche pourrait être utilisée pour les améliorations liées à l’évolutivité ou à la fiabilité. Enfin, la localisation itérative, combinée à la communication avec le monde extérieur lors de l'exécution de chaque itération, pourrait entraîner des latences de localisation élevées, ce qui réduirait à son tour la précision, car le contrôleur ne connaîtrait que les emplacements obsolètes des nano-nœuds circulant passivement. À cet égard, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour établir et potentiellement minimiser la latence de la communication, principalement celle requise pour la localisation.
COMMUNICATION DANS LES NANORÉSEAUX INTÉGRÉS DE RÉCOLTE D'ÉNERGIE À FONCTIONNEMENT THZ
Comme mentionné, les estimations de localisation comporteront certaines erreurs de localisation, qui seront plus élevées pour les estimations "profondément" à l'intérieur du corps par rapport à celles plus proches des ancres basées sur SDM. Dans ce qui suit, nous supposerons que les emplacements des nano-nœuds dans un instant donné sont estimés et que leur qualité (caractérisée par le niveau d'erreur de localisation attendu) de ces estimations est connue. Dans cette optique, nous postulons que le paradigme de communication sans fil géo-localisé est un candidat sérieux pour permettre une communication bidirectionnelle entre le monde extérieur et les nano-nœuds internes du corps, ce qui sera démontré dans cette section.
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Figure 5 : Processus de réveil basé sur la localisation
Figure 6 : Processus de sélection d'itinéraire basé sur la localisation
Deux aspects principaux liés à la communication sont pris en compte dans ce travail, à savoir l'adressage et le routage.
En termes d'adressage, nous postulons que les nano-nœuds peuvent être réveillés et donc adressés individuellement, si leurs emplacements peuvent être estimés et si la qualité d'une telle estimation peut être obtenue.
Notre approche de haut niveau pour réveiller les nano-nodes est basée sur l'émission de signaux WuR directionnels à partir du SDM, comme indiqué dans la figure 5.
Plus précisément, en utilisant un SDM, on pourrait transmettre séquentiellement plusieurs signaux WuR dirigés de telle sorte que seul le nano-node (s) à réveiller, recevez-les tous.
En faisant cela, on pourrait réveiller uniquement un nano-node souhaité et, par conséquent, obtenir un adressage individuel de ce nano-node en fonction de son emplacement pratiquement pertinent. De plus, en réveillant uniquement les nano-nœuds souhaités, au lieu de les réveiller tous dans une région donnée, on pourrait créer un chemin de routage multi-sauts pour la transmission des données d'un nano-nœud particulier vers le monde extérieur, à la fois pour la localisation et la communication. La littérature existante propose diverses approches pour l'estimation de la qualité des liaisons basées sur la localisation à des fins d'établissement de liaisons d'appareil à appareil (D2D), de positionnement d'un relais mobile, de transfert entre stations de base ou technologies de réseau, etc.
Bien que ces approches soient généralement décrites pour les réseaux sans fil à grande échelle, certaines d'entre elles sont intéressantes dans ce contexte car elles supposent la disponibilité d'informations de localisation erronées, où les niveaux d'erreurs de localisation moyennes peuvent être quantifiés (par exemple, [16]).
Sur la base de [16], nous pouvons décrire, à un niveau élevé, notre approche pour la sélection d'itinéraire basée sur l'emplacement et la qualité de l'emplacement. Plus précisément, comme nous le montrons sur la figure 6, sur la base des distances entre les nano-nœuds, des erreurs attendues des emplacements estimés des nano-nœuds et de certaines connaissances de haut niveau sur la perte de trajet dans l'environnement d'intérêt, une métrique caractérisant la qualité de liaison attendue (par ex., le rapport signal/bruit (SNR) attendu entre deux appareils peut être établi. La métrique peut ensuite être utilisée pour sélectionner les nano-nœuds à réveiller sur la base de l’approche WuR décrite précédemment.
Notez que les approches mentionnées peuvent être utilisées dans le cas des deux appareils présentant une erreur de localisation, ainsi que lorsque la localisation d'un appareil est parfaitement précise, ce qui est intuitivement adapté à tous les cas envisagés dans ce travail (c'est-à-dire que les emplacements des ancres sont connus) ou peuvent être estimées avec un certain niveau de précision, alors que les estimations de localisation des nano-nœuds comportent toujours une certaine erreur de localisation).
Nous pensons que notre approche résout l'infaisabilité du routage basé sur l'inondation pour les nanoréseaux de récupération d'énergie, et permet également l'adressage individuel des nano-nœuds de récupération d'énergie. Néanmoins, il existe certainement des défis ouverts, dont certains sont décrits ci-dessous.
Fiabilité des communications : La question du niveau de fiabilité des communications que l’approche proposée peut atteindre reste ouverte. Dans ce contexte, la fiabilité doit être considérée conjointement avec la latence de livraison des données. Cela est principalement dû au fait que les nano-nœuds sont censés circuler passivement. Il est donc plutôt important de fournir les commandes de contrôle souhaitées pour lancer certaines actions à un moment approprié, afin que les actions puissent être exécutées à un emplacement cible. Cependant, cette interaction entre la mobilité des nano-nodes (et potentiellement des ancres), d’une part, et la fiabilité et la latence de la transmission des données, d’autre part, reste à étudier. Notez que l'on pourrait, si nécessaire, envisager de spécifier plusieurs routes pour la livraison des données afin d'augmenter la fiabilité de la communication selon le paradigme de communication ultra-fiable à faible latence (URLLC).
Contrôle du réseau : le système de communication proposé s'appuie sur les emplacements estimés des nano-nœuds et devrait tenir compte intuitivement des erreurs de localisation, en particulier compte tenu du processus de localisation itératif dans lequel les erreurs s'aggravent à chaque nouvelle itération. Cela implique qu’il est nécessaire d’estimer la qualité des estimations de localisation, idéalement sur une base par estimation. Nous ne connaissons qu'une seule tentative de ce type [17], dans laquelle les auteurs proposent un système basé sur le ML pour estimer les erreurs de localisation sur une base par estimation en utilisant uniquement les données brutes (c'est-à-dire la force du signal reçu (RSS)) utilisées pour générer l’estimation de la localisation. Ils démontrent ensuite une précision d’estimation des erreurs de localisation comparativement plus élevée que celle qui peut être obtenue grâce à des références régionales. Néanmoins, la proposition de [17] se concentre sur l'échelle macro et considère une approche de localisation différente (c'est-à-dire, empreinte digitale ou trilatération) et des données brutes (c'est-à-dire, RSS ou ToF bidirectionnel), et des technologies de réseau traditionnelles (c'est-à-dire, SigFox et LoRa par rapport au nanoréseau corporel) et les fréquences (c'est-à-dire sub-GHz par rapport au THz). Par conséquent, l’utilité d’un tel système pour le problème posé reste à établir.
Estimation du niveau d'énergie des nano-nodes : Enfin, la prise en compte des niveaux d'énergie des nano-nodes lors de leur réveil et de la sélection de leur itinéraire est d'une importance primordiale, étant donné que l'alternative pourrait entraîner un réveil inutile des nano-nodes dont les niveaux d'énergie sont presque épuisés. À notre connaissance, il n’existe pas de propositions pour une telle modélisation pour les nano-nœuds supposés dans ce travail (Figure 1). Nous envisageons que cette fonctionnalité soit prise en charge par le contrôleur de réseau, ainsi que la fonctionnalité discutée d'estimation de la qualité de la localisation. De plus, nous pensons que la modélisation du niveau d’énergie devrait être basée sur la région dans laquelle se trouve un nano-nœud à un instant donné. En se basant sur l’emplacement du nano-node, on pourrait postuler la quantité d’énergie environnante récemment récoltée. Par exemple, les quantités d’énergie récupérée par le nano-node augmenteraient intuitivement à mesure que le nano-node se rapproche du cœur, en supposant que l’énergie soit récupérée à partir des battements cardiaques. On pourrait également viser à utiliser des informations historiques localisées pour la caractérisation du niveau d’énergie des nano-nodes. Plus précisément, si l'on pouvait caractériser que dans une période relativement récente, il y avait très peu d'activité pour les nano-nœuds dans une région donnée, on pourrait affirmer que les niveaux d'énergie des nano-nœuds dans la région sont élevés, donc ces nano-nœuds pourraient être réveillé avec plus de succès. Ces considérations démontrent encore une fois plusieurs avantages des nanoréseaux géo- localisés dans ce contexte.
CONCLUSION
Dans ce travail, nous avons décrit une architecture de nano-réseaux pour les nano-réseaux de récupération d'énergie fonctionnant au THz dans le corps. Cela a été fait dans le but de permettre la localisation des nano-nœuds récupérateurs d'énergie, ainsi que leur communication bidirectionnelle avec le monde extérieur. L'architecture proposée peut gérer un grand nombre de nano-nœuds et une très courte distance de propagation du THz dans le corps, tout en étant simultanément prise en charge par des nano-nœuds hautement contraints.
Nous avons posé l'architecture en supposant des nano-nœuds à écoulement passif. Néanmoins, nous pensons que l'architecture est applicable aux nano-robots médicaux pour permettre leur navigation et leur communication avec le monde extérieur [18]. En résumé, les applications envisagées imposent des exigences extrêmes aux nanoréseaux de support, entre autres en termes d'évolutivité, de consommation d'énergie, de fiabilité et de fonctionnalités telles que la localisation.
Nous soutenons que, pour répondre à ces exigences sans précédent, les nanoréseaux devront être hautement optimisés. Dans les optimisations, il convient de considérer et potentiellement d'utiliser les sources d'informations disponibles sur le réseau et ses performances. À cet égard, nous considérons la connaissance de la localisation, de l’énergie ou, d’une manière générale, du contexte en combinaison avec l’apprentissage automatique comme une voie prometteuse pour l’avenir. Nos futurs travaux consisteront à étudier cette hypothèse plus en détail et à tenter de répondre à certaines des questions ouvertes soulignées dans cet article.
Pourquoi doit-on SE MÉFIER comme la peste de ces introduction de nano-matériaux dans notre organisme ?
C'est déjà fait et le cas des injections de nano-particules d'oxydes de graphène (découvertes de la scientifique Astrid Stuckelberger qui a analysé les flacons injectables pour l'expérimentation génique d'essais frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins' !)
Ces nano-matériaux qui circulent dans le sang sont amenés à être regroupés par réceptions d'ondes via le téléphone portable ou par 5G si la victime n'a pas de téléphone, afin de créer des caillots ! qui provoquent les embolies, ou de s'étirer en ligne (de plusieurs mètres !) appelés morgelons.
Le but, comme depuis les dépôts d'écouvillons dans la fosse nasale pour de faux tests 'RT-PCR' est de PRENDRE LE CONTRÔLE TOTAL de votre cerveau afin de vous soumettre docilement à l'expérience tirée du programme 'Dépopulation21' à la direction de 'chefs' externes et donc, de vous soumettre à cet esclavage.
Le but n'est donc pas d'améliorer votre santé ou de vous rendre immortel(le) mais uniquement de vous domestiquer sans que vous ne pouviez réagir à l'expérience !
Ces nano-matériaux auix spécificités mortelles se trouvent donc en seringues, en imprégnations dans les faux masques 'anti virus' et 'anti-microbes' !! ainsi que dans les gels hydroalcooliques et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR'.
La coalition Big Tech travaille avec l'ONU pour mettre fin à l'anonymat sur Internet
12 mars 2024 de Thomas Oysmüller
L’ONU et les Big Tech semblent être d’accord sur la question de la vérification de l’âge. Les principaux services du réseau ne pourront alors être utilisés qu'avec une identification claire de la personne.
Les Big Tech et les gouvernements sont susceptibles de se rapprocher et éventuellement de parvenir à un accord sur un différend concernant l'identification numérique. C’est ce que suggère une nouvelle alliance Big Tech appelée « Digital Trust & Safety Partnership » (DTSP), qui s’est désormais prononcée en faveur de la vérification controversée (et obligatoire par l’ONU) de l’âge sur Internet.
Controle total
DTSP rassemble les géants de l'internet : Google, Meta, TikTok, Microsoft, Amazon (via Twitch), Reddit, Zoom, Discord ne sont que quelques-uns des « réseaux » qui font partie du nouveau « partenariat ». Le groupe s’est désormais déclaré prêt à lutter contre les « contenus en ligne préjudiciables » grâce à la vérification de l’âge (c’est désormais appelé « certitude d’âge » en novlangue). Cependant, cette étape impliquerait très probablement la « collecte de nouvelles données personnelles telles que des images faciales ou des pièces d’identité émises par le gouvernement ».
Reclaim the Net considère cela comme un « accord » entre les Big Tech et les gouvernements. On demande aux Big Tech de jouer un rôle dans les projets d’identification numérique et en retour, elles leur donnent accès à « encore plus de données personnelles qu’elles peuvent exploiter ». Aussi préjudiciable que cela puisse être pour tout le monde, c’est la clé de leurs modèles commerciaux, de leurs énormes profits et du pouvoir qui en découle.
Ils opèrent avec la « carotte et le bâton » contre les Big Tech. Parce qu’il y a aussi le « fouet », sous la forme d’amendes énormes, auxquelles les entreprises technologiques s’exposent si elles ne jouent pas le jeu. La « carotte », ce sont les données pour les Big Tech en retour. Pour les opposants, les projets mondiaux d’identification numérique sont « une passerelle vers davantage de censure, et peut-être la forme la plus dangereuse : des choses comme lier les identités numériques des gens à leurs comptes bancaires ».
La déclaration de cinq pages de la DTSP sur l'initiative de l'ONU « Global Digital Compact » fait l'éloge de « la confiance et de la sécurité » et recommande de s'appuyer sur « les expériences des praticiens ».
Une déclaration de la DTSP sur l'initiative de l'ONU fait référence aux éléments structurels du Pacte numérique mondial, a indiqué le groupe, tout en vantant « l'expérience des praticiens » dans la mise en œuvre de « la confiance et de la sécurité ». Une note des critiques de Reclaim the Net : « Les cyniques diraient que ce sont des expériences de censure intense sur ces plateformes. »
La question de la vérification de l’âge est déjà abordée de manière approfondie dans la déclaration. Par exemple, une capitale est intitulée « Les principes directeurs et les meilleures pratiques en matière de protection de l’âge fournissent un exemple de la manière dont notre cadre peut être appliqué pour identifier des exemples de pratiques qui protègent les jeunes en ligne ».
Diverses options de vérification de l’âge sont discutées. L'ONU recommande une « approche efficace », c'est-à-dire une vérification via un passeport d'État, car de cette manière, les prestataires peuvent « avoir confiance qu'un utilisateur a un certain âge ». L’anonymat (restant) sur Internet disparaîtrait probablement pour de bon.
Délation, censure et corruption, les seuls secteurs dont nos dirigeants favorisent la croissance
Caroline Porteu pour France-Soir le 11 mars 2024 - 16:13
L’Assemblée nationale votait une loi paraissant assez surréaliste dans une société qui se prétend libérale.
TRIBUNE - Mercredi 6 mars dernier, l’Assemblée nationale votait une loi paraissant assez surréaliste dans une société qui se prétend libérale.
Je vous en livre un extrait :
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L’apparition du caractère « non public » est intéressante ! Suffit-il que j’informe les services de police que mon voisin, avec lequel je suis en conflit, a tenu des propos racistes, pour qu’il soit puni ? Réveillons les corbeaux ! On ne peut manquer se rappeler une période où la dénonciation était devenue la norme ! Étonnant d’ailleurs que ne soit pas précisée la rémunération du délateur.
Ce genre de texte est juste l’annonce d’un retour des pratiques totalitaires que nous avons pu connaître par le passé.
Il parait qu’un texte assez similaire serait en cours en Belgique.
Cette censure qui se met en place dans nos pays doit vraiment nous alerter, car les mesures se multiplient.
Nous avons le DSA (Digital Service Act) mis en place par Thierry Breton au niveau de l’Union européenne qui veut régenter les réseaux sociaux, effectif depuis le 17 février dernier. Il faut d’ailleurs savoir à ce sujet que cette loi nous vient directement des USA et de la CIA en particulier et que le cabinet américain Newsguard choisi par Thierry Breton pour l’aider à la mettre en place travaille directement avec ces institutions américaines. Ces informations ont été directement annoncées lors d’une interview entre Tucker Carlson et Mike Benz que je ne peux que vous suggérer d’écouter avec soin.
Il faut également savoir que la DGSI a récemment alerté les pouvoirs publics sur le risque inhérent au recours à des cabinets étrangers :
On peut également évoquer l’article 4 de la Loi sur les dérives Sectaires qui interdit toute critique de la politique sanitaire du gouvernement ou des consignes de l’OMS
Nous avons la mise en œuvre de censure dans différents médias :
France-Soir qui vient de gagner au Conseil d’État concernant le maintien de son agrément de presse.
Cnews qui se voit menacé de se faire retirer son canal d’émission par l’Arcom et je ne peux que recommander aux lecteurs d’écouter l’audience surréaliste de la Commission chargée d’interviewer monsieur Nadjar, Pascal Praud et Laurence Ferrari, séance qui faisait furieusement penser à un tribunal d’inquisition moyen-âgeux.
On peut également évoquer la censure totale de chaînes étrangères comme Sputnik, Russia Today, ou Rumble, la suppression récente de dizaines de comptes Telegram considérés comme pro-russes.
Mais au-delà d’une volonté de museler toute forme d’opposition « réelle », toute pensée qui ne répondrait pas aux normes fixées par nos dirigeants, il existe sans doute d’autres motivations liées au développement de la corruption au plus haut niveau des Etats ou des structures supra-étatiques.
Quelques exemples rapides seront suffisants pour étayer cette hypothèse :
1°) Sur la politique sanitaire, on attend toujours les SMS de Mme Von der Leyen au sujet des vaccins commandés au nom de l’U.E.
2°) Sur l’Ukraine par exemple : 16 Milliards auraient disparu depuis deux ans !!
3°) Sur l’Ukraine toujours, une déclaration assez stupéfiante de Thierry Breton, faisant suite à une déclaration Ukrainienne au sujet du nombre d’obus livrés :
300 000 obus ont été donnés l'année dernière, 550 000 seront donnés à la fin du mois de mars. Il reste deux autres canaux : car l'Ukraine achète directement à notre base industrielle : 350 000 obus à ce jour, ce qui confirme qu’une partie des fonds attribués revient dans les pays émetteurs. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Pourquoi ne pas substituer aux fonds leur valeur équivalente en obus ? Il est vrai que cela rendrait plus difficile le paiement de rétrocommissions à des intermédiaires.
- voir doc sur site -
4°) Un inspecteur Belge qui enquêtait sur le Qatar Gate au niveau de l’Union européenne a porté plainte pour tentative d’assassinat.
5°) La récente démission de Victoria Nuland pourrait également avoir un rapport avec un trou de quelques milliards de dollars sur les budgets alloués à Maidan et à l’Ukraine en 2018. Le FBI enquête :
6°) Nous n’avons pas non plus vraiment d’informations sur les vrais propriétaires actuels d’un pourcentage élevé des terres agricoles ukrainiennes, ce qui pourrait nettement expliquer pourquoi l’U.E. veut voir la Russie en sortir le plus vite possible. Certaines rumeurs prétendent même que la loi promulguée par Zelensky en 2022 aurait donné plein pouvoir à des non Ukrainiens pour acheter les terres en question, et que des sociétés comme Monsanto ou Dupont, filiales de Black Rock et de Vanguard, auraient commencé par les louer avant d’en devenir pleinement propriétaires.
Au regard des chiffres annoncés par l'article de l'Observateur.ch datant de 2002, on peut logiquement se dire que ces pourcentages ont dû largement augmenter depuis. Et cette explication rend très cohérente la volonté de l’UE de maintenir toutes les importations en provenance d’Ukraine, malgré la colère de nos agriculteurs et la non-conformité à nos propres normes.
7°) Il existe aussi d’autres formes de corruption : Par exemple, indexer les honoraires de nos médecins en fonction du nombre de vaccins effectués sur leurs patients, ce qui revient à les transformer en représentants de commerce, commissionnés, en les privant de leur statut de conseils indépendants.
8°) Truquer les élections comme ce qui vient de se passer lors de la Commission présidée par Jean Marc Zulesi , élu Renaissance, lors du vote sur la sûreté nucléaire et la fusion ASN – IRSN.
La vidéo se suffit à elle-même et il faut remercier la députée Clémence Guetté, LFI, qui a exigé le recomptage. La vidéo a déjà été vue par plus de 2 millions de personnes au moment où j’écris cet article.
Tous ces exemples démontrent que notre société est en train d’enterrer définitivement des notions comme l’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme sur la liberté de conscience ou l’article 1 de la Loi de 1905 et que désormais, liberté de conscience et liberté d’expression qui lui sont par définition associées ne font plus partie de la conception de l’État de droit pour les politiques qui nous dirigent.
Pour rappel : Article 1 de la Loi de 905
La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public
« Toute personne a le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites »
Alors qu’il s’agisse de la politique sanitaire, des vaccins, de la guerre en Ukraine, de nos finances publiques, nous devons faire en sorte de faire cesser ces censures multiples destinées à détruire la démocratie et favoriser la montée d’une corruption démentielle.
Alerte : Que signale la présence de la Garde nationale dans tout le pays ?
JON RAPPOPORT 12 MARS 2024
Le gouverneur de New York a envoyé des troupes armées dans les métros de New York pour assurer leur sécurité.
Le gouverneur Newsom de Californie (à qui on ne peut jamais faire confiance) affirme qu'il déploie des troupes le long de la frontière Cali-Mex pour arrêter la contrebande de fentanyl dans le pays.
Le gouverneur DeSantis a envoyé des troupes pour maintenir l'ordre à Miami pendant les vacances de printemps.
Tout cela pour résoudre des problèmes qui auraient dû être résolus depuis longtemps :
Crime séparatiste et immigration clandestine.
Avant qu’ils ne deviennent incontrôlables.
À un niveau plus profond, ce que signale cette nouvelle tendance militaire est le suivant : créer le chaos, puis le résoudre en ramenant l’ordre.
L’ordre peut sembler bon, mais ce n’est pas le cas. Parce que cela signifie que ces troupes seront également utilisées contre des personnes et des causes légitimes, contre des manifestations et contre la LIBERTÉ.
C'est un modèle très ancien.
Encore une fois, créez le chaos (criminalité, afflux d’immigrés illégaux), puis entrez derrière cela et résolvez-le ; mettre de l'ordre.
Exemple : en 1978-1979, un soulèvement populaire contre le Shah d'Iran s'est transformé en une série massive d'émeutes ; et les émeutiers se sont alors mis à l’écoute et se sont tournés vers une solution ultime : faire appel à un grand résolveur, un apporteur d’ordre, l’Ayatollah.
Il était bien plus brutal que le Shah.
Dans ce cas, j’ai appris de deux sources indépendantes que la raison sous-jacente de la révolution était la suivante : le Shah envisageait d’utiliser le pétrole pour construire les plus grandes usines de fabrication de plastique au monde. Ce faisant, il moderniserait le pays. Cette évolution soudaine n’était pas sur l’échiquier planétaire des planificateurs d’élite.
Avec l’aide du Pentagone américain, et peut-être des services de renseignement américains, une opération a été organisée pour ramener l’Iran à un état plus primitif – et l’Ayatollah était l’homme idéal pour y parvenir.
Retour à aujourd’hui et ici aux États-Unis : une présence militaire croissante sur le sol national aurait pour objectif, étape par étape, d’éliminer ce qui reste d’un gouvernement constitutionnel.
L'élimination serait considérée comme nécessaire, compte tenu de la criminalité incontrôlée. Un crime rendu possible par des éléments traîtres du gouvernement actuel, opérant sous les ordres d’élites mondialistes déterminées à niveler l’Amérique, à éliminer toute trace de nationalisme et à soumettre le pays à une gouvernance à l’échelle planétaire : l’objectif à long terme.
"Nous devions le faire pour assurer votre sécurité."
Aujourd'hui, un certain pourcentage de passagers du métro de New York diraient aux sondeurs qu'ils se sentent bien à l'idée de voir des soldats armés de fusils aux tourniquets vérifier leurs sacs. Dans les jours à venir, ce pourcentage augmentera. Finalement, à un moment donné, les sondages ne seront plus nécessaires. Les passagers seront conditionnés ; la présence de militaires armés sera normale.
Peut-être que des troupes seront stationnées dans les quartiers à forte criminalité des villes dans les mois à venir. Ils seront normaux aussi.
Ils seront présents dans les aéroports, les gares ferroviaires et routières, lors de concerts, dans les stades sportifs, dans les hôpitaux, les casinos, les hôtels, les écoles.
"Nous veillons à votre sécurité."
Les gens étaient en sécurité en URSS, en Allemagne de l’Est, en Pologne et en Hongrie.
À l’heure actuelle, aux États-Unis, des efforts sont en cours pour recruter des étrangers illégaux dans l’armée, comme voie légale d’accès à la citoyenneté.
Ainsi, un jour, les soldats normaux que vous verrez incluront ces extraterrestres – jamais élevés dans l’enfance avec la moindre notion de droits inaliénables – jamais fidèles aux États-Unis. Simplement formés pour faire leur travail.
Et quel est leur métier ?
Toi.
- Jon Rappoport
LECTURES COMPLÉMENTAIRES :
« Le plus grand lycée du Massachusetts a besoin de la Garde nationale pour mettre fin à la violence et au chaos » (cliquez ici)
En payant des ouvriers peu ou pas qualifiés, cette invasion étrangère très dangereuse représente un changement de mentalité de fond en comble. Le pays n'est plus ce pays, c'est un autre. Un autre qui ne respectera jamais la terre qu'il foule. Il se contentera de travailler pour être payé d'une soupe ou plat de fayots. Ceux qui voudraient ouvrir leur gueule seraient exécutés par drones.
« Elle » étrangle un chat, puis le dissèque et déchiquete ce qui reste. « Elle » frappe alors un homme avec une bouteille, l'étrangle et finalement le noie. « Elle » se fait appeler Scarlet Blake, et les journaux et médias britanniques se sentent obligés de qualifier cette personne musclée et terrifiante de femme. Mais ce monstre humain est aussi masculin que possible, et seule l'écrivaine J.K. Rowling a le courage de le souligner. J.K. est la cible de la foule réveillée depuis des années, et uniquement parce qu’elle appelle un chat un chat. Des acteurs lâches (Redmayne et Watson) l’ont dénoncée pour avoir souligné que le sexe biologique comptait plus que le sexe déclaré, comme dans le cas récent de « Scarlet » se déclarant femme et espérant visiblement un séjour en douceur dans une prison pour femmes.
La dictature de la minorité règne en maître en Occident, nos enfants étant contraints de suivre une thérapie par des activistes du genre. Lorsque l’Allemagne nazie a lavé le cerveau des enfants, nous avons qualifié cela de crime bouleversant ; maintenant, un lavage de cerveau bien pire a lieu avec notre approbation. Que nous est-il arrivé, et pourquoi permettons-nous à ces monstres de laver le cerveau et de nuire à nos enfants ? Et pourquoi les principaux médias de gauche américains et européens jouent-ils le jeu ?
« Que nous est-il arrivé et pourquoi permettons-nous à ces monstres de laver le cerveau et de nuire à nos enfants ? Si je connaissais la réponse, je la crierais sur les toits, mais ce n’est pas le cas. C’est en partie la lâcheté de notre part (des gens normaux), en partie la concentration de gauchistes dans les médias qui répandent des mensonges et de la propagande contre les gens normaux. La plupart de ceux qui contrôlent l’information et la production culturelle, ainsi que l’élite du monde des affaires et les monstres de la Silicon Valley, ont décrit les États-Unis et le Royaume-Uni comme des forces malignes d’asservissement et d’oppression des personnes noires et brunes. Au moment où j’écris, des commissions sont constituées dans tous les États américains pour étudier les réparations pour l’esclavage, aussi ironique que cela puisse paraître si l’on prend en considération les milliers de milliards déjà dépensés pour soutenir nos cousins afro-américains. Mais alors que les marxistes culturels occupent les sommets de l’éducation, du divertissement, des médias grand public et de la technologie, que peuvent réellement accomplir les voix des citoyens moyens ?
Dans le cas des Afro-Américains, combien de fois avons-nous lu ou entendu dans les informations que les Noirs d'Amérique meurent par homicide huit fois plus que les Blancs non hispaniques, et qu'ils sont en grande majorité tués non pas par des flics, ni par des Blancs, mais par des policiers. d'autres noirs ? La réponse n’est probablement jamais, et certainement pas dans le New York Times ou à la télévision grand public.
Ce qui m’amène à la conclusion que les Américains ordinaires sont devenus inaccessibles à la vérité, et qu’une noblesse aliénante de la part d’organes conservateurs comme celui-ci ne suffira pas. Il est temps de se salir, faute d’une meilleure métaphore. Imaginez simplement comment les musulmans traitent leur problème lorsqu'ils vivent dans les pays chrétiens européens : si je devais écrire une dénonciation de notre Seigneur Jésus, il y aurait quelques lettres de colère qui suivraient, mais si je dénonçais Mahomet, des menaces de mort et bien pire suivraient. . Les journalistes parisiens ont payé de leur vie quelques caricatures du prophète, et des centaines continuent de mourir à chaque fois qu'une plaisanterie apparaît contre lui, mais dans le cas de Notre-Seigneur, la chasse est toujours ouverte.
Alors, que faut-il faire ? Il est facile de répondre à cette question. La liberté d'expression devrait être la première étape. Par exemple, écrivez, filmez ou parlez de l’histoire de bravoure, d’honneur et de bienveillance du Sud, désormais souillée par des gauchistes de bas niveau dont les mensonges sont imprimés par le Times comme des vérités.
Si vous avez envie de faire des blagues sur les gros, faites-le, mais pas en présence de gros, car ce serait du harcèlement. Le politiquement incorrect est aussi bidon que le politiquement correct ; il suffit d'être un gentleman ou une dame, du genre démodé qui n'a jamais insulté involontairement. Résistez et dénoncez ouvertement Woke, qui contrôle désormais les trois branches du gouvernement, domine les médias, possède et contrôle les plateformes sociales et domine la Big Tech.
Le premier acte des dictateurs en pot lorsqu’ils ont pris le pouvoir dans les républiques bananières a été d’abolir la liberté d’expression. Les journaux et les radios sont avertis de suivre les textes qui leur sont remis. Aux États-Unis et dans une moindre mesure au Royaume-Uni, les wokesters ont suivi le scénario de la république bananière en supprimant notre liberté d’expression en rendant notre liberté la plus précieuse politiquement incorrecte au départ, et absolument inadmissible aujourd’hui. En étant offensés et en utilisant la carte d’infraction pour exiger qu’on les empêche de le dire, les éveillés ont réussi à devenir le rêve d’un dictateur, car la prochaine étape est la punition pour avoir dit quelque chose que les éveillés n’aiment pas.
Ah oui, j'avais presque oublié. Après la suppression de la liberté d’expression, il y a la diversité. Elle a désormais remplacé la religion et les nations sont jugées sur leur diversité plutôt que sur leur identité. La nouveauté est que la contribution des migrants et de leurs descendants est ce qui fait un pays. Le mélange d’histoire, d’institutions, de langue, de culture et de règles ne veut rien dire. Seul le mot D compte. La diversité, selon les nazis réveillés, est notre seule force.
Alors, chers lecteurs de Takimag, la liberté d’expression pour dénoncer ces nazis éveillés est primordiale. N’ayez pas peur d’utiliser cette liberté la plus précieuse, le droit d’exprimer haut et fort nos opinions.
Le besoin d'exister dans cette cour de récréation qu'est devenue l'Assemblée Nationale mène à toutes les dérives. Tout comme le besoin de d'exploiter sa présence à l'Assemblée Nationale pour faire du clientélisme.
Pauvre démocratie !
Une palanquée de députés de diveres fractions a déposé une « Proposition de loi visant à reconnaître et à sanctionner la discrimination capillaire ».
En voici, pour la postérité, les auteurs :
M. Olivier Serva, député de Guadeloupe (Régions et Peuples Solidaires – Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (LIOT))
« Olivier SERVA, Bertrand PANCHER, Christophe NAEGELEN, Mathilde PANOT, Stéphane LENORMAND, Nathalie BASSIRE, Estelle YOUSSOUFFA, Paul André COLOMBANI, Michel CASTELLANI, Jean Félix ACQUAVIVA, Paul MOLAC, Jean Louis BRICOUT, David TAUPIAC, Fanta BERETE, Damien ADAM, Cécile RILHAC, Christopher WEISSBERG, Sandrine JOSSO, Mansour KAMARDINE, Danièle OBONO, Rachel KEKE, Caroline FIAT, Jean Hugues RATENON, Matthias TAVEL, Mathilde HIGNET, Emeline K/BIDI, Frédéric MAILLOT, Davy RIMANE, Christian BAPTISTE, Jiovanny WILLIAM, Steve CHAILLOUX, Tematai LE GAYIC, Murielle LEPVRAUD, Hadrien CLOUET, Philippe NAILLET, Perceval GAILLARD, Jean Philippe NILOR, Sandrine ROUSSEAU, Eva SAS, Hubert JULIEN LAFERRIÈRE, Elie CALIFER, Fatiha KELOUA HACHI, Sylvie FERRER, Karine LEBON, Marcellin NADEAU, Jean Victor CASTOR, Farida AMRANI, Florian CHAUCHE, Carlos Martens BILONGO, Léo WALTER, Jean François COULOMME, David GUIRAUD ».
Oui, il est question de couper les cheveux en quatre...
Voici le début de l'exposé des motifs :
« Alors que les discriminations liées au style et à la texture capillaires sont des problématiques largement traitées aux États Unis et au Royaume Uni, ces dernières sont largement ignorées en France. Les différentes décisions de justice rendues récemment corroborent ce constat.
La plus récente concerne un steward salarié chez Air France. En effet, la compagnie Air France, dans son manuel du port de l’uniforme, autorisait les « tresses africaines » pour les femmes à condition d’être retenues en chignon. Or, ce même manuel indiquait que, pour les hommes, "Les cheveux devaient être coiffés de façon extrêmement nette. Limitées en volume, les coiffures doivent garder un aspect naturel et homogène. La longueur est limitée dans la nuque au niveau du bord supérieur de la chemise.". Sur le fondement de ce règlement interne, l’un des stewards de la compagnie qui portait des tresses nouées en chignon, a été sanctionné pour avoir refusé de s’y conformer, puis a été licencié pour inaptitude et impossibilité de reclassement au sein de l’entreprise. »
Déjà, en ce qui me concerne, particulièrement en ces temps de wokisme effréné, se prévaloir de la situation aux États-Unis d'Amérique et au Rpyaume-Uni, ça me fait dresser les cheveux sur la tête...
On y lit encore :
« Par ailleurs, ces constats ne concernent pas uniquement une communauté ethnique. En Grande Bretagne, une étude réalisée en 2009 montrait par exemple qu’une femme blonde sur trois se colorait les cheveux en brun afin d’augmenter ses chances professionnelles et d’ "avoir l’air plus intelligente" en milieu professionnel. »
Une étude réalisée en... 2009... Et quand on sait les blagues anglo-saxonnes sur les blondes (non, il ne s'agit pas des petites amies des Québécois)...
Ces gens proposent – au terme d'un long exposé qui ne manque pas de citer aussi les risques accrus de cancers liés à l'utilisation de produits de défrisage des cheveurs – un article unique tendant à insérer dans divers textes de loi et règlement, après le mot « physique », les mots « notamment la coupe, la couleur, la longueur ou la texture de leurs cheveux ».
Le premier texte cité n'est pas le Code pénal et sa définition de la discrimination – ces gens ont vraiment le sens des priorités... –, mais l’article L. 131 1 du code général de la fonction publique. Cet article se lirait comme suit dans la version révisée proposée (c'est nous qui graissons) :
« Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les agents publics en raison de leurs opinions politiques, syndicales, philosophiques ou religieuses, de leur origine, de leur orientation sexuelle ou identité de genre, de leur âge, de leur patronyme, de leur situation de famille ou de grossesse, de leur état de santé, de leur apparence physique, notamment la coupe, la couleur, la longueur ou la texture de leurs cheveux, de leur handicap, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie ou une race, sous réserve des dispositions des articles L. 131-5, L. 131-6 et L. 131-7.
Qu'est-ce que ça change ? À un cheveu près (la dysenterie législative), rien !
Espérons que les honorables député(e)s ne se feront pas des cheveux blancs et ne se prendront pas aux cheveux lors de l'examen de ce texte.
ÂÂâaah la tonte des moutons ! et ceux aux dents longues et a la laine fraîche ! Tout des hippies de 69 à Woodstock ! ÂpÂâaah ces cons descendants des premiers hommes qui habitaient des cavernes sans payer de loyer ! ou qui - en Afrique - vivaient à poils et bronzaient au soleil !...
Stratégie et mode de fonctionnement des acteurs globalistes du N.O.M.: Prédominance, dictature, esclavage des peuples
Deuxième partie
Par Jean-Yves Jézéquel Mondialisation.ca, 13 mars 2024
La réalité politique a démontré que la prédominance d’un État ne garantit pas la paix pour un autre État dont la puissance est inférieure. Des « docteurs » canadiens en science économique ont pourtant écrit un rapport prétendant prouver le contraire ! La supercherie du Pouvoir, le mensonge manipulateur des masses et le mépris des peuples ont atteint un niveau de perversion jamais atteint dans toute l’histoire de l’humanité. La prépondérance des USA a permis aux USA de dominer et d’exploiter une multitude d’autres États vassalisés et soumis à une organisation en règle de leur pillage… Il suffit de regarder de près l’exemple retentissant du Pérou ou même celui de la Colombie, ou encore du Mexique, ou de l’UE, pour comprendre ce que la « vassalisation » implique en termes de soumission, de pillage, d’hyper-pauvreté pour le peuple (el pobretariado) et de corruption entraînant la criminalité à grande échelle !
La prédominance d’un État s’est toujours traduite par la guerre assurée, la domination, voire le génocide du plus faible, pour son absorption sur tous les plans.
La prédominance d’un État ne garantit absolument pas la paix dans le monde mais la guerre. Nous en avons une démonstration permanente dans l’exemple des États-Unis d’Amérique qui ne peuvent et ne veulent surtout pas perdre leur leadership planétaire. La prédominance engendre la nécessité de la guerre, non seulement pour rester prédominant en soi, mais pour empêcher qu’un autre État ne prenne cette place à son tour !
Il est parfaitement fantaisiste de raisonner aujourd’hui à partir des principes « démocratiques » dont seraient revêtus les pays, surtout « Occidentaux ». Il faut dire et redire clairement, qu’il n’existe actuellement sur Terre, à commencer par l’Occident, aucun État vraiment démocratique, pour la simple raison que le droit fondant la légitimité des Constitutions est un droit non pas d’inspiration démocratique mais d’inspiration théocratique ! (Cf., tome 2 de « La libération de l’homme », JYJezequel, éditions Publibook, 2013) C’est la raison principale qui explique pourquoi la paix n’est toujours pas possible sur Terre. Si la démocratie existait vraiment, les 99 % des personnes interrogées par les sondages, se prononçant pour la paix dans le monde, seraient représentatifs de la situation qui régnerait alors sur la planète. Comment expliquer que 1 % impose aux 99 % de l’humanité la violence, la guerre, le massacre, le pillage, le meurtre, le génocide, l’exploitation, la maltraitance, le Mal endémique… ? La réponse est claire, parce que c’est la dictature qui règne partout et qui est le fait d’une petite oligarchie ayant entre ses mains la totalité d’un pouvoir justifié par la « matrice théocratique du droit » et non pas par la légitimité des Constitutions issues de la « volonté des peuples souverains » !
L’existence, l’organisation et le droit de vote, dans un pays, ne peuvent en aucun cas qualifier ce pays de « démocratique ». Les systèmes électoraux ont d’ailleurs été conçus en faveur d’une oligarchie qui est toujours au pouvoir depuis au moins 5000 ans, qu’elle prenne actuellement, les couleurs du bleu, du rouge ou du rose… etc. Le vote est systématiquement un leurre spectaculaire : il fait croire que le citoyen choisit librement sa destinée politique alors qu’il s’agit toujours de mettre au pouvoir la même caste de prédateurs « caméléons » passant son temps à planifier le pillage et l’esclavage des peuples abusés en permanence sur tous les plans !
Ce n’est pas un hasard si la violence, le meurtre, la guerre, le crime d’État, le Mal, règne en maître sur le Monde entier, alors que l’immense majorité veut le bien !
Le simple fait d’une prédominance du « marchandisme », de l’argent, de l’hégémonie d’une économie de marché avec son idéologie fasciste ultra libérale, garantit par-dessus tout, la nécessité de la guerre, car la guerre est un élément essentiel de l’économie de marché. Il n’y a pas de « marchandisme » possible sans la guerre. Toute l’économie des États-Unis repose sur la guerre, sur l’industrie de l’armement et donc sur la nécessité d’organiser un chaos permanent pour une guerre permanente, pour une économie prospère ! La guerre est le nerf de l’économie de marché. Sans guerre, il n’y a plus de marchandisation possible, il n’y a plus de pillage possible, il n’y a plus de massacres d’envergure possibles, il n’y a plus de menaces possibles, il n’y a plus de terreur possible, il n’y a plus de larmes et de sang à outrance, il n’y a plus de domination possible, il n’y a plus de « plan Marshal » possible et réactualisé dans les TAFTA/TTIP/CETA, il n’y a plus de richesse possible, la richesse démentielle étant toujours le résultat d’un vol, d’un pillage, d’une esclavagisation par la marchandisation même de l’homme en personne, la signature du Sapiens Démens ! Le malheur de la majorité garantit le bonheur de la minorité au pouvoir. La richesse abusive du Nord est assurée par la pauvreté et le pillage abusifs du Sud. Le malheur c’est justement le fruit naturel du Mal.
C’est toujours les États en soi qui représentent la plus grande menace pour la paix dans le monde et qui est donc par « excellence », pour les peuples, le Mal en soi.
La fin des organisations internationales pour justifier la guerre
Les organisations internationales auraient dû avoir une utilité : permettre aux États de se contrôler eux-mêmes réciproquement. Mais on peut constater que ces organisations sont un leurre explicite de plus, compte tenu du fait que la puissance dominante des USA se comporte comme si elle était au-dessus de ces Institutions, pratiquant depuis toujours des guerres illégales, injustifiées, utilisant des prétextes mensongers, opportunistes, (comme l’accusation des « armes de destruction massive », alors que les USA ont été en réalité les seuls à les utiliser!) pratiquant ouvertement le crime contre l’humanité, au nom de ce qu’elle a nommé le « monroïsme », une pratique criminelle qualifiée de « valeur » des États-Unis d’Amérique et exprimant l’un des principes les plus pervers de Machiavel : « la fin justifie (tous) les moyens »!
L’État hégémonique incite toujours à la guerre, car la guerre n’est pas « perturbatrice » pour l’État hégémonique, comme le rapport demandé par JF. Kennedy aux services de la CIA, l’avait démontré. En 1963 le Président Américain posait la question : « quelles conséquences aurait un système mondial fondé sur une paix durable ? »
Réponse du rapport : « En l’état actuel de nos connaissances, le système fondé sur le pouvoir de faire la guerre est trop structurant dans tous les domaines – économique, social, culturel et bien sûr militaire- pour pouvoir envisager de l’abandonner ! »
Ce rapport rendu à JFK disait donc que l’absence de guerre constituerait un grave préjudice pour l’équilibre économique, culturel, social et militaire des USA, au point que l’absence de guerre serait finalement la cause d’une guerre encore plus violente !
La prospérité est à sens unique, car elle est entièrement basée sur le pillage des ressources qu’il ne faut pas partager, mais voler. Sans la guerre cela devient impossible !
Voilà pourquoi l’US Imperium, totalitaire par définition, dirigé par son oligarchie eugéniste, n’a ni alliés ni ennemis : il n’a que des intérêts égocentriques ignorant le reste du monde obligatoirement vassalisé.
Sa manière de faire est « naturellement » criminelle, elle est nécessairement livrée, dévouée à la cause du Mal en soi.
Le modus operandi de l’US Imperium Les assassins économiques (Cf., Les Destructeurs, op.cit., pages 139 à 162)
En 2021-2022, une commission d’enquête du sénat analysait 7300 documents sur l’activité des cabinets de conseil privés américains comme McKinsey, dans les affaires de l’Etat Français. En 2021, l’Etat avait dépensé plus d’un milliard d’euros en prestations de conseil. Ces sociétés au service de l’US Imperium prospèrent grâce au système des « portes tournantes »: les hauts-fonctionnaires deviennent dirigeants des sociétés transnationales et réciproquement… Ainsi, toute la richesse produite par les pays européens est détournée des intérêts du bien commun de chaque Nation et pillée pour l’enrichissement des grands groupes travaillant à l’édification du Nouvel Ordre Mondial, dominant et exclusif, sur l’ensemble des pays développés…
Macron fait partie de ces gens, Young Global leaders, formé dans la French American Foundation, qui est nommé en 2007 comme rapporteur général adjoint de la « Commission Attali ». C’est dans cette commission que Macron rencontre tous les dirigeants de sociétés transnationales : PDG de Nestlé, membres du Conseil d’administration du Forum Economique Mondial de Davos, dirigeant de McKinsey France, le cabinet Accenture, dont certains membres seront à l’origine du développement du mouvement politique LREM (La République En Marche) !
Macron est introduit auprès des propriétaires des grands médias dont il va défendre les intérêts particuliers. La totalité de ces médias ne parlera que de Macron en lui donnant l’omniprésence, effaçant tous les autres traités de « candidats mineurs », lors de la campagne électorale de 2017 !
Après son introduction dans la « Commission Attali » en 2007, Macron est envoyé en stage à la Banque Rothschild & Co, en septembre 2008. Il quitte la Rothschild après y avoir fait ses premières armes de tueur économique et il est placé auprès de François Hollande dans le Pôle Economie et Finance. Dès 2014, il a connaissance du dossier de dépeçage d’Alstom, fleuron de l’industrie française. Il accomplira son travail de tueur économique en bradant cette société bénéficiaire et de haute technologie à la Général Electric Corporation en faillite ! Un chômage de masse s’en suit en France, mais son travail de tueur est accompli scrupuleusement. (Cf., ce dossier détaillé dans « Les destructeurs » op.cit., pages 179 à 210)
Les USA, qui illustrent « brillamment » cette triste réalité, procèdent comme suit, à travers le monde :
1 – Ils commencent par envoyer dans le pays convoité, un “assassin économique” dont le rôle est de pousser à la dette l’État concerné, le tout suivi de l’envoi d’agents de la CIA ayant pour fonction de former des provocateurs infiltrés et de les superviser. Si la corruption par la dette échoue, elle est remplacée par un coup d’état, un « chacal » est envoyé pour « supprimer » l’obstacle ou le système procède à une “révolution colorée”.
2 – Sans perdre de temps, ils commencent dans la foulée une campagne de propagande contre les dirigeants et le pays, campagne de diffamation et de diabolisation (chacun sait la diabolisation typique dont il s’agit, par exemple celle d’Allende qui sera tué par les bombardements du dictateur fasciste Pinochet soutenu par l’État Profond Américain et la CIA ; la diabolisation de Chavez ou de Maduro, de Dilma Rousseff etc… et bien entendu de Vladimir Poutine). La mode actuelle est à l’invention d’accusations « juridiques ». Les agents de la CIA trouvent un « collaborateur » dévoué en mal de pouvoir, comme Alexeï Navalny en Russie et qu’ils vont promotionner à coup de millions de dollars s’il le faut. C’était également l’exemple de Michel Temer au Brésil.
Les médias sont alors massivement mis à contribution pour répandre répétitivement le mensonge et pratiquer avantageusement la manipulation de l’opinion publique. La règle est simple : « Un mensonge répété suffisamment souvent se transforme en vérité !» (Goebbels, ministre de la propagande nazie) La malveillance est la règle et la fin justifie tous les moyens, même criminels. Le coup d’État juridique est une nouvelle pratique dont la perversion n’a jamais été aussi développée ! Les réseaux sociaux qui oseront démentir et faire de la résistance seront à leur tour diabolisés et accusés de pratique des « fakes news » « menaçant la démocratie », alors qu’ils sont au contraire et en grand nombre, les seuls garants actuels d’une information encore possible et honnête !
3 – Si le confort de la perversion du droit ne peut pas être utilisé, ils accusent alors les États de posséder des armes « de destruction massive », comme en Irak et en Syrie, ou par exemple, pour attaquer arbitrairement la Russie via l’affaire Skripal qui disait indirectement l’accusation de fabrication d’armes chimiques redoutables par les militaires Russes. Espérons que chacun soit suffisamment informé aujourd’hui, pour savoir que cette accusation concernant l’Irak, la Syrie ou la Russie était grotesque et clairement mensongère ! Malheureusement, on peut encore se demander si chacun a compris la supercherie de l’Occident, de l’US Imperium, puisque celui-ci, sans complexe, continue de dire « officiellement » que Saddam possédait des « armes de destruction massive » que personne n’a jamais retrouvées; puisque les « élites » de l’État profond américain continuent de dire que Milosevic était un « nouvel Hitler », « le Boucher des Balkans », malgré qu’il ait été innocenté par le TPI ; puisque la CIA et l’État Profond Américain, les agents du Département d’État, continuent de dire que Maduro est le dictateur qui refuse les droits les plus fondamentaux à son peuple ; puisque les anglo-saxons et l’Europe vassalisée continuent de dire que la Russie a agressé l’Occident, dans l’affaire Skripal et a osé envahir l’Ukraine! Tout cela a été monté par les chacals de l’Empire aux abois …
4 – Le cas échéant, ils dépeignent donc les États comme « dictatoriaux », refusant « les droits les plus fondamentaux à leurs peuples » ! Les medias occidentaux dans les mains d’une poignée de milliardaires néo conservateurs et ultra-libéraux, n’ont pas hésité à accuser Bachar El Assad d’être le « bourreau de son peuple », comme Milosevic avait été accusé d’être le « boucher des Balkans », ou le « nouvel Hitler », même après que le TPI ait reconnu son innocence ! Aucun media n’a eu l’honnêteté de reconnaître son odieux mensonge au service de l’OTAN, agresseur de la Serbie pro-Russe, et de rétablir l’honneur à la mémoire de cet homme, car les medias « officiels » risquaient alors d’envoyer à l’opinion publique un signe qui allait les décrédibiliser et ainsi menacer leur existence de salauds et de pervers au service du mensonge, le Mal en soi ! Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui répandent principalement le mensonge à outrance, il peut exister certains d’entre eux, dans les GAFAM , par exemple, qui font circuler des fausses informations dans une intention très étudiée, mais ce sont d’abord et avant tout, les medias tout à fait « officiels » qui se livrent au mensonge et à la manipulation de l’opinion publique, au service exclusif des intérêts des États qui ne manqueront pas de leur renvoyer l’ascenseur d’une complicité engendrant la corruption inévitable d’un tel système. C’est l’exemple retentissant du journal « le Monde », lorsqu’il prend la parole sur le Venezuela. Ceux qui sont vraiment informés, découvrent dans « le Monde » le pur mensonge sur la réalité de ce pays, étalé sans vergogne : c’est un fait avéré ! Le cas avec la Russie de Poutine et avec le décès de Navalny aujourd’hui est encore plus grotesque. Il y a une sorte d’aveuglement qui fonctionne sans le moindre souci pour l’objectivité, parce qu’il y a un parti pris, une cause supérieure à servir : en l’occurrence, celle de l’hégémonie ultra libéral et avec elle un ordolibéralisme qui est un fascisme. Tous ceux qui cautionnent la parole hautement perverse et manipulatrice de ces medias « officiels » dévoués à la cause du mensonge globaliste du N.O.M, sont complices du Mal et les apôtres actifs, souvent inconscients, du malheur du monde… L’ignorance est toujours à l’origine de tous les malheurs.
5 – Si l’adversaire est puissant, comme la Russie, ils poussent le monde entier à pratiquer « l’embargo », à décréter des « sanctions » de plus en plus cruelles, illégitimes, illégales même, injustifiées et sans états d’âme ; des zones d’interdiction de survol sont décrétées pour soi-disant établir « des couloirs humanitaires »… ! La presse étant là pour approuver massivement cette pratique odieuse et criminelle, sans la moindre hésitation, puisqu’elle est entièrement aux mains des milliardaires dont la cause est éminemment ultra libérale et néo conservatrice !
6 – Ils commencent ensuite les bombardements, ainsi que le soutien, l’encadrement, le financement, le recrutement et la formation au sol d’une “opposition” armée : « escadrons de la mort », « Moudjahidin », « djihadistes », « unités néo-nazies » en Ukraine. Ils les protègent de toute accusation au sujet des atrocités commises pour terroriser la population et faire glisser la responsabilité sur les régimes en place dont ils veulent se débarrasser : l’exemple le plus frappant est celui de Milosevic qui a été pourtant innocenté par le TPI, mais que les agents de l’État profond américain se sont arrangés pour faire mourir dans sa prison de la Haye… C’était l’objectif atteint concernant Saddam Hussein et Kadhafi, mais manqué avec Bachar el-Assad… C’était aussi l’objectif visé en organisant la kabbale occidentale contre la Russie pour la mettre à genoux et la disloquer : objectif manqué et qui s’avère catastrophique en plus d’être objectivement impossible !
7 – Puis, ils cherchent rapidement à faire ouvrir une banque centrale pour les Rothschild, sous contrôle de la Banque des Règlements Internationaux – BRI – basée à Bâle en Suisse et dépendante de la City de Londres. Bien entendu, s’ils peuvent placer directement un banquier des Rothschild, comme Emmanuel Macron, sur le trône de la présidence du pays, toutes les étapes précédentes ne sont alors plus utiles. Le pillage et la soumission peuvent commencer sans tarder dans un confort indécent… Le peuple Français est-il anesthésié ou sous hypnose, ou envoûté ou lobotomisé pour avoir permis que Macron se retrouve à cette place de manière tout à fait anachronique, puisque Macron est devenu « président » de la République française par une minorité de voix des Français en droit de voter ? Pendant ce temps, toutes les industries sensibles du pays sont vendues aux USA et la France a totalement perdu son autonomie et son indépendance même en matière de défense : la France ne peut plus construire aujourd’hui un sous-marin nucléaire sans la permission des États-Unis ! Et une fois construit, si l’autorisation a été donnée, il sera aux ordres du commandement unifié de l’OTAN, c’est-à-dire sous l’autorité de l’US Imperium !
8 – Dès que cet objectif est atteint, ils se dépêchent de privatiser à outrance et de piller les ressources naturelles pour les vendre à leurs entreprises transnationales en se servant des « tribunaux d’arbitrages » extra nationaux, imposés par eux et toujours en leur faveur.
9 – Arrivés là, ils prennent grand soin d’établir des bases militaires qui contrôleront le pays, instaureront un climat mafieux de terreur et favoriseront tous les trafics en tout genre générant une masse financière à recycler par les banques et pour soutenir les opérations secrètes ultra juteuses (laboratoires d’armes biologiques loin de chez eux, trafics d’armes, de drogues, d’humains y compris d’enfants pour les pratiques pédophiles des « élites » dégénérées, d’organes… etc.) la splendeur du Mal en soi déclarée comme vertueuse…
L’UE conçue et organisée pour les seuls intérêts de l’US Imperium a déjà fait passer une loi qui autorise les armées d’occupation étasuniennes de l’OTAN à circuler librement sur tout le territoire de l’UE, non seulement sans avoir besoin de demander quelque permission que ce soit, à personne, mais faisant obligation aux États européens d’adapter les routes, voies, ponts chemins de fer, pour permettre le passage des véhicules militaires de grande dimension partout en Europe ! Nos impôts doivent maintenant financer les exigences des mondialistes de l’US Imperium qui font la loi chez nous, sans nous demander notre avis !
10 – Ils terminent le travail de la mise au pas de leur loi, en plaçant dans chaque pays réduit au néant politique, un régime tout dévoué à leur cause et un État vassalisé, obéissant scrupuleusement aux directives de l’Empire. Si la population d’un pays vassalisé montre des comportements récalcitrants, des velléités de libération du joug de l’occupant fasciste ultra libéral US, présent en Europe avec ses armées du 4è Reich, appelées OTAN, on active le réseau terroriste, comme le GLADIO en Europe, pour le massacre de quelques centaines d’innocents afin de dresser les peuples récalcitrants et les États frileux, pour les maintenir dans la crainte sécuritaire et dans leur obligation – s’ils désirent être « protégés » par la puissance de l’US Imperium – de cautionner les directives de Washington ne travaillant que pour son intérêt, même ouvertement avoué! Si l’obéissance est totale de la part d’un pays vassalisé, il n’y a plus la moindre trace d’événements « terroristes » sur son territoire, puisque les organisateurs et financeurs du terrorisme sont des agents de la CIA. Ce sont donc les USA, via ses agents tout-puissants, qui décident, si oui ou non, ils vont envoyer secrètement leurs mercenaires (c’est le principe du GLADIO) hier les « brigades rouge », aujourd’hui les « djihadistes » ou les « néo-nazis », ceux qu’ils ont créés pour cette fin, afin de punir par des crimes odieux et arbitraires les insoumis ! Hier, la cible était les partis communistes dont la popularité grandissante en Europe devait être brisée. Pour cela des gens d’extrême droite étaient recrutés dans le but d’organiser des attentats en se faisant passer pour des gens d’extrême gauche. Aujourd’hui, en Ukraine, il faut briser les populations pro-Russes pour installer les forces d’occupation du 4è Reich, l’OTAN, sur la frontière directe avec la Russie : pour cela le recrutement des néo-nazis mis au pouvoir à Kiev était la solution idéale et la plus efficace pour atteindre l’objectif visé. Dans le reste de l’Union Européenne, les « djihadistes », créés par les USA à travers les « Mondjahidin », formant le groupe Al-Qaïda, puis tous les autres mercenaires « djihadistes » réunis par le Califat « État Islamique d’Irak et du Levant » (EIIL, ISIS, DAECH) sont les nouveaux mercenaires intervenants en Europe pour obliger celle-ci à accepter une militarisation, « OTANISATION » de l’UE, servant les intérêts exclusifs fascistes des États-Unis d’Amérique…
(Cf., « Le djihad et le management de la terreur », JYJézéquel, Vérone éditions, 2017, 445 pages.)
11 – Au besoin, il y a aussi un réseau important de lieux consacrés à la torture, afin d’obtenir les collaborations souhaitées, comme celles des djihadistes fondateurs de Daech qui sont tous passés par un séjour en centre de torture, comme les célèbres Guantanamo, Abu Ghraib, Bagram, Kandahar, Ben Guerir, bref, « l’Archipel du Goulag » étasunien. Dick Marty faisait connaître l’existence de ce réseau, par un célèbre rapport qui a « scandalisé les autorités européennes » apprenant que la Pologne et la Roumanie abritaient ces prisons clandestines dans lesquelles des ressortissants de l’UE, enlevés arbitrairement et illégalement, étaient martyrisés par les agents de la CIA ! G.W. Bush devait reconnaître officiellement, en son temps, l’existence de ce réseau criminel cautionné et financé par l’État Profond Américain et donc par les impôts du peuple Étasunien, nos meilleurs amis et alliés de toujours !
Cette procédure d’invasion, de soumission, de dressage, de vassalisation peut être illustrée par une foule d’interventions illégales et criminelles de l’US Imperium dans le monde, comme : le Guatemala en 1953, l’Iran en 1956, le Congo en 1961, le Vietnam 1962, le Brésil en 1964, la Grèce en 1967, la Thaïlande en 1971, le Chili en 1973, l’Argentine en 1978, le Nicaragua en 1985, le Panama en 1989, l’Irak en 1991, la Yougoslavie en 1991 et très précisément la volonté de s’imposer aux Serbes pro Russes, l’Afghanistan en 2001, l’Irak de nouveau en 2003, la Tunisie-Égypte-Libye en 2011, la Syrie en 2011/2012, le Soudan en 2013, au Yémen en 2015 via l’Arabie Saoudite, de nouveau le Brésil en 2016, la Palestine en 2023, en fournissant toute la logistique militaire à Israël pour procéder méthodiquement au génocide du peuple Palestinien, la Russie via l’Ukraine armée, dirigée, entraînée, financée par la coalition occidentale et les cadres de l’OTAN… Enfin, en préparation : le Venezuela, l’Iran, les Philippines, la Corée du Nord, la Chine… Ce qui se passe actuellement avec l’utilisation odieuse de la minorité musulmane des Rohingyas, dans l’Arakan au Myanmar (ancienne Birmanie) où les Chinois ont massivement investi, c’est une déstabilisation de toute la zone pour briser l’influence et le marché en faveur de la Chine la puissance économique à abattre.
La signature du Mal, c’est que celui-ci impose sa dictature, sa violence, sa barbarie, sa cruauté, son mensonge, sa négation et sa destruction, son désastre, sa criminalité, au nom même du « bien » ! Le Mal en soi considère qu’il est le Bien en soi : il déclare qu’il est « l’axe du bien » ! Le Mal pense qu’il fait « bien » en répandant le malheur…
Destruction artificielle de l’Amérique et de l’Europe. « Des nations de moutons gouvernées par les loups » « Prédit » en 1991 par le Club de Rome
Par Peter Koenig Recherche mondiale, 14 mars 2024
« Une nation de moutons sera gouvernée par les loups. »
Le Club de Rome , créé en 1968, a publié en 1991 son deuxième rapport « d'envergure mondiale », « La première révolution mondiale » . Regarde ça .
Son préambule dit :
« Ah mon amour ! Pourrions-nous, toi et moi, conspirer avec foi, pour saisir tout ce triste schéma de choses, ne le briserions-nous pas en morceaux et ensuite, le remodeler plus près du désir de notre cœur. —Edward Fitzgerald, le Rubaiyat d'Omar Khayyam (Rubáiyát d'Omar Khayyám est le titre qu'Edward Fitzgerald a donné à sa traduction de 1859 du persan vers l'anglais d'une sélection de quatrains [poème de 4 vers] attribué à Omar Khayyam, surnommé « l'astronome- Poète de Perse".)
À la fin de l’avant-propos, on trouve une autre citation remarquable :
« Aucune génération n’a jamais aimé ses prophètes, encore moins ceux qui soulignent les conséquences d’un mauvais jugement et d’un manque de prévoyance.
Le Club de Rome peut se targuer d'être impopulaire depuis vingt ans. J’espère que cela continuera pendant de nombreuses années à exposer des faits désagréables et à troubler la conscience des suffisants et des apathiques. —(feu) Prince Philip, duc d'Édimbourg, Message aux délégués à la Conférence du vingtième anniversaire du Club de Rome, Paris, 1988
Et un autre souligné dans le texte :
« Le culte de la souveraineté est devenu la religion majeure de l'humanité. Son Dieu exige un sacrifice humain. – Arnold Toynbee, historien et philosophe britannique
C'est la teneur du livre tout au long de ses 160 pages. Il est empreint d’arrogance et de supériorité. Avec son précurseur, « Limites à la croissance », il promeut l’eugénisme et constitue aujourd’hui et au-delà – si nous le permettons – le modèle de la Grande Réinitialisation du FEM et de l’Agenda 2030 des Nations Unies.
Ensemble, ces deux rapports promeuvent, ou plutôt dictent la destruction pour reconstruire en mieux (vous vous souvenez du slogan jamais expliqué des néoconservateurs ?) et l’eugénisme. Telles sont les principales priorités dans lesquelles l’humanité vit et souffre aujourd’hui.
C’est pourquoi les guerres sont favorisées au détriment de la paix, pourquoi il faut faire croire aux gens qu’il existe d’innombrables et imprévisibles pandémies – toutes à l’horizon, comme la « maladie « X » – et bien sûr, ne vous inquiétez pas, les vaccins sont sur la planche à dessin. les types d’ARNm qui modifient vos gènes, pour que vous deveniez un meilleur être humain – code pour « pour que vous périssiez plus vite ».
Rappelez-vous le slogan en haut : « Une nation de moutons sera gouvernée par les loups ». Pour l'amour de Dieu – Cessons d'être des moutons.
Ce que nous vivons ces jours-ci. Des semaines, des mois – et au moins depuis quatre ans, à un rythme toujours plus rapide – tel est précisément l'ordre du jour, le diktat du Club de Rome (CdR). La destruction est le nom du jeu .
À commencer par l’Occident, cela implique la destruction de notre économie, de notre industrie, de nos infrastructures, de notre agriculture – la nourriture même dont nous avons besoin pour survivre – des services, des soins de santé, de nos systèmes juridiques, de l’éthique, de la foi, de l’espoir – et enfin de l’humanité elle-même. Nous sommes aujourd’hui environ 8 milliards – ils veulent que nous descendions en dessous d’un milliard.
Quand nous verrons une catastrophe, les bottes de la cabale pourront achever leur ruée.
Destruction – Initiée par Macron ? Il y a quelques jours, le président français Macron a déclaré ouvertement et sans remords : « Il n'y a pas de limites au soutien à l'Ukraine ». Il a ajouté : « La France ne devrait respecter aucune limite ni la « Ligne rouge » russe lorsqu’il s’agit de soutenir Kiev.
C'est quelque chose de fort. Une provocation sans précédent pour la Russie. Macron a déjà déclaré plus tôt que l’envoi de troupes (françaises) de l’OTAN en Ukraine était effectivement une option.
C’est mettre le doigt sur la gâchette d’une explosion nucléaire. Si les marionnettes arrogantes de Washington ne le comprennent pas encore, la ligne rouge russe ne disparaît pas parce que M. Macron le dit. L'arsenal nucléaire russe est bien supérieur à celui des États-Unis, qui sont stationnés au sein de l'OTAN dans toute l'Europe et en Asie, pointant leurs missiles à tête nucléaire vers Moscou.
S’il faut détruire, Monsieur Macron, ce sera bien à nouveau l’Europe, la troisième fois en un peu plus de cent ans. L’Europe, et probablement bien au-delà. Cette fois, personne ne peut même imaginer l’ampleur des destructions – et le coût en vies humaines. Et il est peut-être trop tard pour que les « élites » occidentales – les cerveaux du désastre – se précipitent vers leurs bunkers.
L’ancien président russe et actuel vice-président du Conseil de sécurité nationale, Dmitri Medvedev , a posté sur « X » (ancien Twitter) que cela signifie que « la Russie n’a plus de ligne rouge pour la France ». Il a ajouté que « tout est permis contre les ennemis ». Ici, l'ennemi c'est la France et tous ceux qu'entraîne l'arrogance française.
Le parlementaire européen français Florian Philippot , chef du Parti des Patriotes français, a exhorté les Français à destituer Macron avant qu'il ne soit envoyé mourir en Ukraine.
"Il appartient à chaque Français de résister, à chaque mère de refuser de laisser son fils mourir pour Kiev, l'OTAN et Roche Noire", a déclaré Philippot sur "X". "C'est à nous de nous battre pour sortir de l'UE et de l'OTAN et chasser Macron !"
Regarde ça .
Jamais auparavant un soi-disant « leader » européen n’avait fait des déclarations aussi sévères et provocatrices, pas même Macron. Qui lui a donné l'ordre de le faire MAINTENANT ? QUI LUI A DONNÉ DES COMMANDES ?
Enverra-t-il officiellement des troupes françaises (OTAN) en Ukraine ? Franchissant ainsi la ligne rouge de M. Poutine et provoquant tout ce que la Russie juge nécessaire pour protéger son intégrité, sa terre et son peuple ? Il pourrait s’agir d’un conflit nucléaire – entièrement destructeur. C’est ce que prédisent et craignent de nombreux analystes.
Est-ce ce que veut le pouvoir derrière la France et derrière la cabale obscure – une destruction totale – qui servirait également le programme de dépopulation ?
Peut être. Peut-être que 2024 est le moment.
Le chef du Parti républicain français (Les gaullistes), Eric Ciotti , est plus prudent, estimant que soutenir l'Ukraine en envoyant des troupes serait « irresponsable et dangereux ».
Ayons confiance que l’humanité retrouvera la raison et déposera Macron plutôt que de suivre ses conseils, ses paroles et – Dieu le sait – ses actes incroyablement dangereux.
Moscou est en alerte. Sur un ton plus bas, Moscou prévient que l'OTAN devient de plus en plus agressive.
Le plan est une destruction artificielle de l’humanité ?
Exécuter le mandat du Club de Rome ?
Attention, l’élite n’a pas l’intention de s’autodétruire, bien sûr que non. Avant l’anéantissement total, ils espèrent chercher refuge dans leurs bunkers, où qu’ils soient, peut-être sur une île isolée d’Hawaï, en Nouvelle-Zélande ou simplement dans le Dakota du Sud – voir ceci .
Le discours sur l’état de l’Union du président Joe Biden du 9 mars 2024 est un autre message désastreux de destruction totale, d’anéantissement de la civilisation s’il parvient à ses fins. Mais il ne le fera pas.
Un discours « normal » sur l’état de l’Union concerne les États-Unis, il s’agit de « l’état » des affaires de la nation, de l’économie, de l’emploi, de la croissance et du potentiel de croissance – des prévisions, des perspectives de développement. Il s’agit d’un message de clairvoyance, censé donner de l’espoir aux gens – leur faire connaître les plans du gouvernement pour remédier aux lacunes. Rien de tout cela ne s'est produit.
Les 20 premières minutes du discours ont été consacrées à la seule Ukraine – écrasant le président Poutine et la Russie , et
« Nous ne vous abandonnerons jamais, Ukraine ! Nous serons toujours derrière vous.
Promettant d'envoyer 90 milliards de dollars supplémentaires aux oligarques ukrainiens. L’argent des contribuables, pour rien. Biden le sait. Le Congrès américain le sait. Tout le monde le sait. Cette guerre ne pourra JAMAIS être gagnée contre la Russie. Et pourquoi devrait-il en être ainsi ?
En plus de l'avoir préparé et commencé – compliments de Madame Victoria Nuland [f*ck Europe], maintenant partie, Dieu merci ; un projet de préparation de plus de 10 milliards de dollars – quel intérêt restent les États-Unis à mener une guerre par procuration à quelque 10 000 km de distance, de l’autre côté de l’Atlantique et de l’Europe ? Certainement pas la sécurité nationale .
Augmenter les marges bénéficiaires du complexe militaro-industriel est certainement une bonne raison et parvenir à un « changement de régime » en Russie. Madame Nuland a avoué ses paroles dans une interview accordée à Christiane Amanpour de CNN, quelques jours seulement avant sa démission forcée.
Oui, il a toujours été question de mettre la Russie à genoux devant le futur empereur de Washington, dirigé par un dirigeant fantoche russe. Ils pensaient avoir atteint leur objectif en 1991, avec le président Eltsine de l’époque, plus intelligent qu’on ne le croyait, lorsqu’il présenta M. Vladimir Poutine et le nomma en août 1999 Premier ministre. Il était clair que le président Eltsine préparait M. Poutine pour le Kremlin. Voilà pour la défaite des méthodes sournoises utilisées par l’Occident pour soumettre la Russie.
Le discours de M. Biden était également une diatribe contre les républicains. Dès le début, il a comparé l’ancien président Trump, son seul adversaire lors des élections (encore) prévues de novembre 2024, à Hitler. C'est ainsi qu'il a appelé Donald Trump. Cet homme, Biden, n’a aucune décence. Son visage exprimait de la colère partout – il criait et déclamait. Et devinez quoi, il a reçu des ovations debout. Cela en dit long sur l’état de l’Union des États-Unis.
Tucker Carlson , en réponse au discours sur l'état de l'Union de Joe Biden, a déclaré qu'il s'agissait du pire discours sur l'état de l'Union jamais enregistré aux États-Unis. En plus de décrire le crime que les États-Unis – l’Occident – finançaient en Ukraine, Tucker Carlson a souligné d’autres mesures destructrices promues par Biden comme le transhumanisme et l’avortement gratuit, en d’autres termes le programme Woke financé par Soros – qui ne cache même pas son objectif de réduction de la population.
Immigrants illégaux. Tucker Carlson a également parlé de la politique insensée d'ouverture des frontières de Biden, faisant entrer des clandestins aux États-Unis, même par avion, leur donnant un abri, de la nourriture, des cartes de débit qui ne seront jamais remboursées [voir la vidéo ci-dessous ] – principalement des jeunes hommes qui pourraient et sont attendus. servir dans l'armée américaine.
- voir clip sur site -
Pourquoi Biden ferait-il cela ?
Ces immigrants n’ont aucune allégeance aux États-Unis – et devraient-ils servir dans l’armée américaine ?
Peut-être contre le peuple américain – lors d’un soulèvement provoqué ?
Voir ceci pour l'analyse complète de Tucker (9 mars 2024) :
- voir clip sur site -
Les immigrants « illégaux » sont directement envoyés par avion aux États-Unis, l’administration Biden l’admet ouvertement. Pour l’instant, le chiffre officiel s’élève à 320 000. La raison officielle est en effet de combler les déficits de recrutement militaire.
La vraie raison est certainement ailleurs. Les immigrants, surtout lorsqu’ils arrivent en masse, constituent toujours un bouleversement dans la société dans laquelle ils entrent. C’est la même chose en Europe, et la politique européenne n’est pas très différente de celle des États-Unis. C'est très coordonné .
Voir ceci et cela (Vidéo de 14 min « Expurgée » du 7 mars 2024).
Dans une interview avec Tucker Carlson, le colonel MacGregor met en garde contre le projet de recruter des clandestins dans l'armée américaine . Tucker a déclaré que Rome est tombée parce que des étrangers qui n'étaient pas fidèles à Rome ont peuplé son armée et se sont retournés contre le peuple de Rome. Pour la même raison, le colonel à la retraite Douglas Macgregor a mis en garde les Américains contre le fait de permettre aux étrangers illégaux de servir dans les forces armées. Voir ceci (vidéo 7 min – 4 mars 2024).
En effet, bouleverser la société. Mais pourquoi ? Créer un conflit interne, une lutte interne – peut-être une guerre civile ? C'est un moyen de destruction et les victimes sont les immigrés qui rêvent d'un monde meilleur. Au lieu de cela, ils sont utilisés pour le précepte du Club de Rome de DESTRUCTION – pour finalement reconstruire selon le désir de l'élite.
Ce ne sont là que quelques exemples de destructions planifiées et orchestrées – exactement comme le prévoient les édits du Club de Rome.
Les gens se réveillent. Ce qui se passe aux États-Unis se produit déjà sous une forme différente, peut-être moins visible, en Europe.
L’IA commence à effrayer les gens – et c’est ce qu’elle devrait faire !
Par Julien Rose Recherche mondiale, 11 mars 2024
La race humaine prend conscience de la possibilité qu’elle invoque sa propre disparition.
Le mot « race », selon mon dictionnaire, signifie « les principales divisions du genre humain basées sur des caractéristiques particulières ».
Mais il y a bien sûr un autre sens au mot « course », celui-ci est défini comme « une compétition visant à déterminer le plus rapide sur un parcours déterminé ».
Ce dernier sens semble avoir remplacé le premier. Surtout là où une vision étroite et tunnel de l’avenir est devenue étroitement liée à un monde d’intelligence artificielle dans lequel tout est conçu pour répondre aux exigences sur mesure des nerds informatiques dominés par le cerveau gauche.
Pour ces individus psychotiques, une course est lancée pour développer une entité humaine artificielle essentiellement impossible à distinguer d’un robot. Un transhumain.
Parmi ceux qui sont à l'avant-garde de cette vision techno-humaine figurent le professeur Yuval Noah Harari , conseiller en chef de Klaus Schwab et Sam Altman , fondateur d'Open AI/Chat GPT.
La vision de Harari est largement philosophique, retraçant l’évolution du boom de l’intelligence artificielle et en extrapolant le résultat d’une prise de contrôle cyborgienne de presque toutes les activités planétaires orientées vers le travail.
Il voit généralement cela de manière positive, estimant qu'une nouvelle espèce émergera avec la capacité d'accéder à des volumes d'informations surhumains et d'acquérir ainsi des « connaissances ».
Dans une récente interview, il a déclaré
"L'IA permettra d'améliorer et d'améliorer les humains."
Cela signifie – comme nous le verrons plus tard – les transformer en inhumains/non humains.
indéfini
Altman l'aborde du point de vue de la post-silicon Valley (appelée « vallée cérébrale »). Wikipédia déclare, dans le cadre d'une revue plus longue
« Altman a cofondé Tools For Humanity en 2019, une société qui construit et distribue des systèmes conçus pour scanner les yeux des gens afin de fournir une authentification et de vérifier la preuve de leur identité afin de lutter contre la fraude. Les personnes qui acceptent de se faire scanner les yeux sont rémunérées par une crypto-monnaie appelée Worldcoin. Tools for Humanity décrit sa crypto-monnaie comme similaire au revenu de base universel.
Je suis sûr d'avoir lu cela dans Le meilleur des mondes revisité de Huxley…
Son entreprise se précipite déjà dans le développement de diverses aides de haute technologie pour les programmes de surveillance gouvernementaux, les projets d'extension de l'âge et les formulations instantanées de texte en image.
Altman a proposé qu'un seul homme soit bientôt capable de gérer une entreprise avec un chiffre d'affaires d'un milliard de dollars – aucun autre personnel n'est nécessaire.
Il est sur la même longueur d’onde que Harari lorsqu’il déclare : « De telles entreprises ont besoin d’une nouvelle espèce d’élite pour les diriger. »
Les valorisations boursières d’Open AI/Chat GPT révèlent un taux de croissance astronomique, proche de dépasser la valeur nette de Google et Microsoft réunis.
Cela seul suffit à faire dresser les poils sur la nuque.
Ce n’est pas mon objectif d’entrer dans les ambitions personnelles d’Altman ou d’Harari, je veux simplement montrer où en sont leurs esprits et explorer la psychologie derrière la montée de la fascination pour l’IA ainsi que rechercher les signes d’une contre-réaction à sa domination accélérée.
Il ne fait aucun doute que l'homme a toujours eu un instinct pour l'inventivité matérielle et une fascination pour les progrès technologiques – associés au désir d'aller toujours plus vite.
Mais cela nous amène désormais à un point où, si l’on veut respecter ce que signifie être humain, il ne faut pas oser aller plus loin.
Il faut plutôt être attentif à la nécessité de sélectionner une marche arrière.
Flirter avec la conception d'une nouvelle espèce dont les caractéristiques principales sont aux antipodes de celles jugées les plus bénéfiques pour notre évolution supérieure, était autrefois appelé « jouer à Dieu ».
Mais cette expression ne semble plus appropriée, car ce qui se passe en réalité, c'est que des personnages comme Harari et Altman « jouent au diable ».
Ils articulent et promeuvent le remplacement des qualités humaines spontanées d’amour, de compassion, de douleur et de plaisir – par des états d’esprit robotiques de haute technologie qui ne voient aucune place pour ces instincts profondément humains – et nomment ensuite cela « progrès ».
Ces caractéristiques cyborgiennes sont calquées sur le précepte selon lequel les émotions humaines sont en quelque sorte primitives, bloquant notre capacité à concevoir une existence de certitude linéaire, totalement contrôlable, sans friction.
Pas de hauts, pas de bas, pas de passion, pas de sentiments – à l'exception de ce que Huxley décrit dans « Le Meilleur des Mondes » comme un état acquis après qu'on lui ait prescrit la pilule chimique de docilité « Soma ».
Ainsi, les partisans d'un nouvel ordre mondial/grande réinitialisation peuvent souligner le fait qu'en manipulant l'ADN humain, en installant des puces informatiques nanotechnologiques internes et en utilisant des fréquences de rayonnement EMF ciblées pour contrôler les facultés cognitives de l'humanité, on élimine le danger de toute forme de comportement déstabilisateur ou rebelle. l’influence devient de plus en plus une menace pour le bon fonctionnement d’un statu quo stérilisé et aseptisé (The Matrix).
Cela fait de l’idée d’un homme cyborg IA, pucé et numérisé, complètement prévisible, la solution idéale pour les technocrates calculateurs de chiffres administrant le département de planification centrale de la Grande Réinitialisation/Gouvernement Mondial de la cabale noire.
Cela explique aussi pourquoi Klaus Schwab peut, avec tant de certitude, annoncer qu'en suivant les diktats de la Quatrième Révolution industrielle « vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». Oui, parce que « l'effet Soma » de l'ADN et de la manipulation cérébrale signifie qu'il ne restera plus aucun pouvoir de résistance individuel !
Tout est connecté quand on relie les points. Et c’est lorsqu’une telle adhésion est finalement entreprise que le facteur effrayant intervient soudainement – et à condition qu’il fonctionne comme il le devrait – une impulsion biologique visant à rejeter un tel scénario prend le dessus.
Considérez ceci : la grande escroquerie du réchauffement climatique a été maintenue à plein volume pendant plus de deux décennies afin de s'assurer que les gens ne voient pas d'autre solution pour la vie sur terre – que le « Net Zero ». Ainsi, la vie quotidienne doit se conformer à une série d'impositions dictatoriales conçues pour garantir un avenir zéro carbone « comme seul moyen de sauver le monde ».
Des titres apaisants comme « Agenda 2030 pour le développement durable » et « Green New Deal » ont été inventés pour donner l'impression qu'il s'agit d'une opération de « verdissement » bénigne, au bénéfice assuré des générations présentes et futures.
Mais « jouer au diable » signifie inverser les réalités, un tour diabolique que les responsables de la Grande Réinitialisation connaissent bien. Comme le stratagème nazi consistant à transformer un symbole de paix indien, la croix gammée, en un symbole de répression et de guerre.
Le « renversement » est la principale caractéristique déstabilisante des entités démoniaques.
Alors, le Green New Deal peut-il vraiment être une initiative écologique bénigne pour accroître la biodiversité de la planète et améliorer la qualité des aliments ?
Seulement si vous pensez que ce qui suit en est une description : couvrir le paysage rural d’éoliennes géantes et d’hectares de panneaux photovoltaïques ; l' éradication des agriculteurs et leur remplacement par des robots ; les aliments cultivés à la ferme remplacés par des sosies synthétiques d’OGM en laboratoire ; les vaches sont remplacées par des machines qui produisent du lait synthétique OGM et des viandes médicinales élevées dans des boîtes de Pétri.
Vous voyez donc pourquoi la cabale de l’État profond doit maintenir un barrage de domination à spectre complet de mensonges inavoués sur la raison pour laquelle atteindre le « Net Zéro » est la question la plus importante du millénaire.
La transition vers un Transhumain nécessite évidemment un très vaste processus d’endoctrinement sous fausse bannière pour lui donner une chance de réussir. L’un soutenu par la menace d’amendes ; une surveillance permanente de l'IA liée à une monnaie numérique ; l'emprisonnement dans des « villes intelligentes » alimentées par la 5G et des attaques à longue portée contre la capacité du cerveau humain à rester capable de penser clairement.
Tout cela et bien plus encore, pour étouffer la menace d’une éventuelle rébellion ou dissension à l’égard des règles mises en place pour forcer l’humanité à s’abandonner à son éradication Net Zero soigneusement planifiée. Encore une fois, un programme qui remplace l’humain par une réplique d’espèces programmée par ordinateur et n’ayant aucune capacité à exprimer sa résistance.
Tout cela constitue le programme de l’État profond de la Grande Réinitialisation. Et son raisonnement pour justifier la nécessité de telles actions est qu’il n’existe pas d’autre moyen de mettre fin à l’existence du « gaz vital » bénin appelé CO2. Pas d’autre solution que de transformer la race humaine en une armée de morts-vivants bien entraînée.
Un programme aussi insensé devrait-il faire froid dans le dos ?
Eh bien, si ce n’est pas le cas, alors le statut supposé d’un être humain doit sûrement être mis en doute.
Si l'on a simplement envie de rejeter ces avertissements comme une sorte de fantaisie exotique, considérons l'actualité prémonitoire suivante : une société appelée Aria Advanced Research Invention Agency a récemment été créée au Royaume-Uni sous le slogan « Shaping the Global Future » et avec l'objectif numéro un déclaré de « réduire la menace de réchauffement climatique causée par les émissions de méthane des vaches ». Suivra «le développement de plantes programmables génétiquement modifiées». Mais aussi pour lutter
Dois-je fournir davantage de preuves que le faux programme fasciste vert conçu pour « arrêter le changement climatique » a été choisi comme l’homme de paille essentiel pour faire accepter au public la nécessité de modifier l’ADN de la nature, de repenser l’espèce humaine et de dépeupler la planète ?
Nous avons reçu l’état émotionnel de peur, guidé par les nerfs, comme système d’alerte précoce pour faire face à une situation potentiellement périlleuse. S'arrêter net et jeter un deuxième coup d'œil avant de continuer.
Elon Musk et quelques autres personnes de même statut ont momentanément reçu ce message il y a quelques mois.
Musk, lui-même l’un des principaux représentants de l’IA, souhaitait qu’un groupe de travail examine où va l’intelligence artificielle et si elle est déjà hors de contrôle.
Les sonnettes d’alarme sonnent depuis deux à trois décennies, mais la montée des sentiments de peur cruciaux est assez récente pour la plupart. Ils représentent un salon de la dernière chance – une ligne de vie émotionnelle – et doivent être analysés et mis en œuvre individuellement et collectivement.
Je donnerais la priorité aux enfants comme étant ceux qui ont le plus besoin de protection contre l’IA. La distorsion et l’empoisonnement de leurs beaux esprits innocents par la violence des jeux de guerre en réalité virtuelle alimentés par les EMF numériques, la publicité toxique et la sexualité tordue appartiennent fermement à la catégorie des crimes contre l’humanité.
Et puis l’adoption irréfléchie – on pourrait même dire « imprudente » – d’armes numériques de commodité produites en masse (c’est-à-dire le téléphone portable) par ce qui est censé être des êtres humains intelligents, capables de discernement et de pensée rationnelle, nécessite la création d’une nouvelle catégorie. de maladie sociale et mentale.
Mais ce qui est plus important encore, c'est que ces toxicomanes doivent avoir suffisamment peur de ce qu'ils font à eux-mêmes, aux autres et à l'environnement naturel, pour pouvoir enfin se débarrasser de leur habitude.
Je ne souhaite pas consacrer la majorité de mes écrits à essayer d’effrayer les gens. Ce n’est pas comme s’il n’y avait pas un seau plein de la version déformée pré-planifiée qui se déroule sous les auspices de la cabale du gouvernement fantôme.
Je préfère de loin encourager les extraordinaires qualités créatives qui se cachent juste sous la surface de plusieurs millions d’hommes, de femmes et d’enfants chaleureux, humanitaires et pro-vie, répartis aux quatre coins du monde.
Cependant, je dois exprimer la nature du mal-être détecté par mon système d’alerte précoce personnel. Celui qui appelle à agir pour la préservation de la vie.
C’est parce que je reconnais l’existence d’une énergie vibratoire inconsciente collective qui nous relie tous, que je crois que les lecteurs partageront mes appréhensions, mes clairvoyances et mes croyances les plus profondes. Après tout, ils nous sont tous communs.
C’est pour cette raison que nous pouvons surmonter et surmonterons même les pires menaces qui pèsent sur notre avenir commun. Redécouvrir et rajeunir notre humanité, notre amour de la vie et notre amour les uns pour les autres. Et ce faisant, mettez fin aux constructeurs de réalités virtuelles monstrueuses, sans âme, dépourvues de toutes les qualités qui donnent à la vie un sens si profond – si incalculablement précieux.
Les députés français ont voté pour une troisième guerre de Crimée, en exigeant de retour de la Crimée (3% de la population parle ukrainien), on rend la paix impossible
le 13 mars 2024 par pgibertie
Dans cet accord il est clairement exprimé que la France fera tout pour que l’Ukraine entre dans l’UE, l’OTAN…et retrouve ses frontières de 1991 ( donc avec la Crimée qui ne compte que 3% d’Ukrainiens )
Soutenir un tel accord n’est ni juste ni réaliste. Seul un référendum organisé par des pays NEUTRES peut décider du sort des populations du DONBASS et surtout de Crimée, ça s’appelle le droit des peuples à disposer d’eux mêmes. En aout 2021 le refus de reconnaitre la Crimée russe et même toute possibilité de référendum a entrainé l’escalade…
23 AOUT 2021/Le jour où Poutine a compris que Zélensky avait gagné la bataille diplomatique , l’Occident soutiendrait la dérussification de la Crimée
Savez vous que tout juste un an avant l’attaque russe sur l’Ukraine , Zélensky et les occidentaux fermaient la porte à toutes négociations sur la Crimée? La situation de la péninsule grande comme la Belgique ,russophone à 84%, base de la flotte russe en Mer Noire a toujours été la clef de la paix ou de la guerre .
Le 23 aout 2021 Zélensky obtenait le soutien de l’Occident dans la nouvelle guerre de Crimée SIX MOIS APRES JOUR POUR JOUR l’attaque russe commençait
Le reste, y compris la situation du Donbass était secondaire pour les observateurs sérieux , dans les accords de Minsk la partie russe acceptait le maintien de cette région dans l’Ukraine. Avant 2022 les républiques séparatistes n’étaient pas reconnues par la Russie.
Zélensky élu sur un programme de paix et de défense de russophone a donné des gages aux ultra nationalistes et durci le ton pour récupérer la Crimée quite à mettre en place une purification ethnique
https://twitter.com/i/status/1620439858669056000
1 Le 26 février 2021, le président Zelensky a signé un décret sur certaines mesures visant à la désoccupation et à la réintégration du territoire temporairement occupé de la République autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol, qui a décidé de créer le comité d’organisation pour la préparation et la tenue de la plate-forme de Crimée.
LE DOCUMENT EN FRANCAIS
Le premier sommet de l’initiative diplomatique « Plateforme de Crimée » a eu lieu à Kyiv le 23 août 2021.
Volodymyr Zelensky n’était pas peu fier, ce lundi, en accueillant un par un les 46 délégations ayant fait le voyage pour assister à cette «Plateforme de Crimée». En septembre 2020, lors de l’Assemblée générale de l’ONU à New-York, le président ukrainien avait annoncé la création d’un mécanisme international, spécifiquement consacré au retrait de la Russie en Crimée, alors que pendant la présidence Porochenko, ce dossier, techniquement complexe, avait été mis en arrière-plan de la guerre du Donbass, et se limitait au registre déclaratif et émotionnel.
Dans son discours d’introduction, Zelensky a déclaré que l’occupation de la Crimée durait depuis 2 741 jours et que «nous ne pouvons pas perdre un jour de plus». Il a ajouté que l’Ukraine ne libérerait pas la Crimée à elle seule, sans le soutien international. Zelensky a également déclaré que l’Ukraine « fera tout pour recupérer la Crimée». «L’Ukraine et moi-même ferons tout notre possible pour rendre la Crimée afin que la Crimée, avec l’Ukraine, fasse partie de l’Europe.
Selon le président du Conseil européen Charles Michel, depuis 2014, l’Union européenne a apporté un soutien à l’Ukraine à hauteur de 16 milliards d’euros. Il a ajouté que «notre objectif est de faire en sorte que l’annexion illégale ne soit jamais légitimée». Charles Michel a déclaré que l’Union européenne poursuivrait sa politique de non-reconnaissance de l’annexion illégale de la Crimée et a appelé la Russie à arrêter l’intégration forcée de la péninsule dans ses frontières. Pendant ce temps, le secrétaire général adjoint de l’OTAN, Mircea Geoana, s’exprimant lors du sommet de la Plateforme de Crimée à Kyiv, a déclaré que les Ukrainiens avaient choisi la voie de la liberté, de la démocratie et de l’intégration euro-atlantique, et que l’OTAN était pleinement aux côtés de l’Ukraine. Il a ajouté que l’OTAN condamne fermement et ne reconnaîtra jamais l’annexion illégale de la Crimée par la Russie. «La Crimée est le territoire de l’Ukraine et nous appelons la Russie à rendre le contrôle de la péninsule ukrainienne».
. Selon le président polonais, l’Ukraine a besoin de solidarité. « Nous ne reconnaissons pas l’occupation illégale de la Crimée et de Sébastopol. Nous savons à quel point l’indifférence fait mal. Nous l’avons ressenti en 1945 – lorsque les alliés nous ont trahis et nous ont laissés avec Staline derrière le rideau de fer », a-t-il expliqué. La présidente moldave Maya Sandu a déclaré que la Crimée faisait partie intégrante de l’Ukraine et que son annexion illégale par la Russie constitue une violation flagrante du droit international. Elle a assuré que la Moldavie était et reste un partenaire fiable de l’Ukraine. Le président lituanien Gitanas Nauseda a souligné que son pays s’efforcerait de renforcer les sanctions contre la Russie jusqu’à ce que l’Ukraine retrouve sa souveraineté sur la Crimée.
Frank Riester, a promis de soutenir l’intégrité territoriale de l’Ukraine. «Au nom d’Emmanuel Macron, Président de la République française, qui m’a autorisé à assister à votre événement, je voudrais souligner trois choses importantes. Je tiens à vous rappeler que la France ne reconnaît pas l’annexion illégale de la Crimée et de Sébastopol. Notre soutien à l’intégrité territoriale de l’Ukraine reste constant. Nous pensons vraiment que cette situation menace l’ordre international», a-t-il déclaré.
« Les États-Unis sont fiers de participer et de soutenir la Plateforme de Crimée. Je tiens à préciser que nous, avec l’Ukraine et vous tous, condamnons l’annexion illégale de la Crimée… Et nous continuerons à soutenir la Plateforme de Crimée pour constamment nous rappeler que la Crimée est l’Ukraine et sera toujours l’Ukraine. Et la Russie doit être tenue pour responsable de son agression », a déclaré Grengolm.
dans les six mois suivant la désoccupation, il convient de vérifier si les « ressortissants de l’État agresseur et les autres étrangers et apatrides » séjournent légalement et des « décisions de suivi » seront prises conformément à la loi sur le statut juridique des étrangers et des apatrides. Cette disposition semble problématique au regard de l’article 8 de la CEDH (droit au respect de la vie privée) et de la jurisprudence correspondante de la Cour européenne des droits de l’homme34 et devrait être reconsidérée. En outre, il convient de veiller au respect de l’article 4 du Protocole n° 4 à la CEDH (interdiction des expulsions collectives d’étrangers)
LES INQUIETUDES DES JURISTES
La péninsule de Crimée, longtemps peuplée de Grecs fut envahie par les Tatars à la fin du 15eme siècle ,ils massacrèrent les habitants, elle devint russe au 18eme . De terre d’élevage extensif, elle fut peuplée de Russes qui déportèrent les Tatars et devint terre de cultures.En 1853 les Français et les Anglais débarquent en Crimée. En 1918 les Allemands occupent la Crimée et mettent en place un gouvernement Tatar rapidement renversé par les Russes blancs . Les Français sont de retour, puis la Crimée subit Staline et les nazis … Sommes nous prêts à une guerre mondiale pour offrir le Crimée à l’Ukraine ?
Faut il déporter 97% de la population pour ukrainiser la Crimée? Ou seulement 68% ( les Russes ethniques ) certains distingant les Ukrainiens (3%) des Ukrainiens russophones (la population du Donbass 11%)
Nous ne savons pas quand la libération aura lieu, mais nous savons qu’elle aura lieu. Tout se décide sur le champ de bataille. Une autre partie de la population est désemparée. Pendant 8 ans, la Russie leur a dit que tout allait bien, qu’il n’y avait de guerre, que le pont de Kertch est sécurisé. Les citoyens russes ont bénéficié de programmes pour s’installer en Crimée. Nombre d’entre eux quittent désormais la péninsule. »
Il y a des collaborateurs tatars de Crimée, mais ce sont tous des pro-russes qui étaient connus avant même 2014. Ces personnes ne sont pas soutenues par la majorité de la population tatare, et elles seront tenues pour responsables en vertu du droit ukrainien et international, pour avoir soutenu les revendications du régime d’occupation sur le territoire de la péninsule. Ce point a déjà fait l’objet d’une évaluation juridique en vertu du droit ukrainien. »
Si vous venez sur le territoire d’un autre Etat, en franchissant illégalement la frontière, vous vous exposez à une expulsion. C’est tout. C’est une autre histoire pour ceux qui sont mariés et ont eu un enfant en Crimée. Ils pourront demander à résider sur la péninsule en toute légalité, et l’Etat ukrainien décidera s’il leur pardonne d’avoir enfreint la législation ukrainienne en matière de migration. Si oui, ils recevront un permis de séjour.
À l’origine du conflit, l’on trouve une querelle d’un autre âge entre l’empereur français Napoléon III et le tsar Nicolas Ier. Chacun veut assurer en exclusivité la protection des Lieux Saints de Jérusalem, partie intégrante de l’empire turc.
Nicolas Ier juge le moment venu de régler la «Question d’Orient» posée par la déliquescence de l’empire ottoman. Il propose à l’Angleterre un partage à l’amiable des possessions ottomanes. «La Turquie est l’homme malade de l’Europe», dit-il en substance à l’ambassadeur d’Angleterre. «Il ne faut pas le laisser disparaître sans avoir réglé sa succession». Il lui suggère de prendre l’Égypte et la Crète, lui-même établissant son influence dans les Balkans.
Mais l’Angleterre refuse le partage par crainte que la Russie n’acquière trop d’influence en Méditerranée et en Orient, ainsi qu’en Afghanistan où elle côtoie dangereusement ses possessions des Indes. Elle préfère conserver l’empire ottoman en l’état pour le gérer à sa manière. Dépité, le tsar envahit la Moldavie et la Valachie ottomanes puis détruit la flotte turque de la mer Noire.
Sous le commandement respectif des généraux Saint-Arnaud et lord Raglan, Français et Anglais débarquent dans la presqu’île de Crimée et remportent une victoire sur les bords du fleuve Alma avant de mettre le siège devant Sébastopol, puissante forteresse russe, le 26 septembre 1854.
Bientôt rejoints par une poignée de soldats piémontais, les assiégeants, au nombre de 185.000, découvrent la dureté de l’hiver russe et doivent mener une éprouvante guerre de tranchées autour de la citadelle.
Le tsar accepte finalement le traité de Paris le 30 mars 1856 qui entérine la défaite de la Russie. Ce texte prévoit la reconnaissance de l’indépendance de l’Empire ottoman, l’autonomie retrouvée des principautés de Moldavie et de Valachie, ainsi que la libre circulation sur le Danube.
En tout, la guerre de Crimée aura fait 700 000 morts, dont 460 000 morts de maladie (choléra, typhus, scorbut…). Rien qu’au premier trimestre 1856, près de 40 000 soldats français en sont morts.
En 1919, le fiasco de l’intervention française en Ukraine contre les bolcheviks En 1918 les Allemands occupent la Crimée et mettent en place un gouvernement Tatar rapidement renvensversé par les Russes blancs .
Juste après l’armistice, Georges Clemenceau, le Père la Victoire de 1918, engage ses troupes en Crimée, pour repousser l’Armée rouge de Trotsky et engranger quelques possessions sur la mer Noire. L’envoi de navires de guerre français dans les ports d’Odessa et Sébastopol et d’unités françaises et grecques semble relever du jeu d’enfant : l’armée russe a été vaincue, l’Armée rouge peine à repousser la contre-offensive blanche en Crimée, et l’armée française paraît au sommet de ses capacités de combat, aiguisées au fil de quatre années de guerre intensive. Le sentiment de supériorité date de l’avant-guerre, où les conseillers militaires français s’arrachaient les cheveux face à l’incompétence du commandement russe (11). On verra plus loin que les plans de conquête se sont heurtés à de rudes obstacles.
Depuis le débarquement de quelques maigres contingents le 18 décembre 1918 à Odessa, et le 26 à Sébastopol, les Français ont été mal accueillis par la population, ils n’ont reçu aucun soutien de l’état-major de Denikine et pâtissent des rivalités entre ministères de la Guerre et des Affaires étrangères, Armée de terre et Marine. Alors que Berthelot jugeait, en mai 1918, que cinq à six mille soldats suffiraient à s’imposer en Russie méridionale, il demande vingt divisions pour sauver l’opération du désastre. En vain : l’opinion est tournée vers la paix qui se prépare à Paris, l’armée est fatiguée. Les refus d’obéir se multiplient à terre en février et mars, les hommes ne peuvent résister à la moindre poussée des Rouges : ils abandonnent sans combattre l’important port militaire et commercial de Nikolaïev le 14 mars 1919.
Le général en chef Foch acte le départ, mais le président du Conseil Clemenceau espère encore utiliser Sébastopol comme tête de pont d’une hypothétique reconquête. C’en est trop pour les marins, qui exigent de rentrer et se mutinent, d’abord en Crimée le 16 avril, sous la conduite du mécanicien André Marty qui planifie de livrer un torpilleur aux Rouges, puis à Odessa le 27 avril. Si ces premiers événements ne durent que quelques jours, ceux de l’été et de l’automne s’étendent sur des semaines et affectent profondément les unités françaises cantonnées dans tous les ports, y compris à Toulon. Le pacifisme des jeunes marins et l’action syndicale virulente en France jouent un rôle plus important que le lien, toujours fragile étant donné le danger et la barrière de la langue, avec les communistes russes.
https://fr.obsfr.ru/report/15208/11997
EN 1941 TIGRES ET PANTHERS ALLEMANDS EN CRIMEE
Après la défaite des Soviétiques en octobre 1941, les Allemands envahissent la péninsule et vers la fin de l’occupation, soit en décembre 1943 et en janvier 1944, les Allemands détruisirent complètement 128 villages dans les montagnes de la Crimée.
Puis la Crimée fut reconquise par les Soviétiques en 1944, tandis que les Tatars, au nombre de quelque 200 000 à l’époque, furent accusés collectivement de collaboration avec les nazis. Beaucoup de Tatars de Crimée auraient trahi «la Patrie» en abandonnant les unités de l’Armée rouge qui défendaient la Crimée et en se rangeant du côté des Allemands, puis en exerçant des «représailles sauvages contre des partisans soviétiques» et en infiltrant l’Armée rouge d’espions et de saboteurs.
Les malheureux furent les victimes de cette guerre avec la déportation
Pour comprendre ce qu’il se passe en Ukraine, il est important de ne pas se limiter au point de vue très orienté de la presse française, dont les titres sont sans nuance.
Les États-Unis et l’Union européenne n’ont jamais tenu compte des attentes de la Russie qui espérait un moment voir reconnaître au moins implicitement le droit d’avoir une zone d’influence correspondant à l’ancien espace soviétique, moins les pays baltes. Les dirigeants ukrainiens ont pendant un temps réussi, avec plus ou moins de bonheur, à s’accommoder d’un double tropisme russe et européen, tenant même à distance les projets russes d’intégration régionale (Zhurzhenko, 2009). Mais la montée de l’antagonisme entre la Russie et l’UE a mis le pays dans une situation intenable.
L’Ukraine est donc aujourd’hui forcée de faire un choix : cela ne peut plus être la Russie et l’UE ensemble ; c’est la Russie ou l’UE. Cette situation la déstabilise car la population ukrainienne est traversée par des divisions telles qu’un basculement politique dans un sens ne peut que susciter le rejet d’une part notable des Ukrainiens.
Parmi les trois régions ukrainiennes où une majorité de la population déclarait le russe comme langue principale (Crimée, Donetsk, Luhansk), seule la Crimée avait une majorité nette de personnes qui se définissait comme ethniquement russe. Dans les deux autres, la situation est incertaine : une majorité de la population s’y déclare ukrainienne mais une part notable se sent russe, ce qui peut être lié à la fréquence des mariages inter-ethniques.
Vladimir Poutine annexe la Crimée car il craint que le rapport de force avec les pays dits « occidentaux » ne soit pas en sa faveur sur le moyen et le long terme. Il se hâte ainsi de sécuriser et de sanctuariser ce qui peut encore l’être. Il est vrai que la Crimée présente un intérêt stratégique car c’est une position militaire qui permet à la Russie de jouer un rôle majeur en mer Noire. En annexant cette partie de l’Ukraine, la Russie n’est plus contrainte de payer au gouvernement ukrainien la location de la base de Sébastopol, ce qui lui permet de faire une économie substantielle. On peut rappeler à ce propos que la Russie n’était que locataire des sites où était stationnée sa marine sur le littoral de Crimée, ce qui rendait sa présence précaire.
Vladimir Poutine anticipe la perte de l’Ukraine, si elle doit basculer vers l’UE et les États-Unis. Une éventuelle entrée de l’Ukraine dans l’OTAN serait inévitablement suivie par la fin de la présence militaire russe en Crimée.
Certes, il présente les événements de Crimée de façon biaisée. Selon lui, les forces russes ne sont jamais entrées en Crimée, elles étaient déjà sur place ; il n’y a pas eu d’agression russe car la Russie a répondu à l’appel d’un peuple et il n’y a eu ni mort ni blessé. Son jugement sur les pays occidentaux n’est cependant pas dénué de fondement : le Kosovo est un précédent édifiant de sécession unilatérale acceptée par l’Occident, aux dépens de la Serbie. En pointant du doigt le cynisme des États-Unis et de leurs alliés, il affirme que la fin de l’ordre bipolaire a amené le chaos, permettant aux Occidentaux de violer le droit international et de faire usage de la force sous un semblant de légitimité, interprétant les résolution de l’ONU à leur avantage ou en les ignorant (Yougoslavie, Afghanistan, Irak, Libye). Selon lui, les Occidentaux ont également semé le désordre, au détriment des intérêts de la Russie, en pilotant les révolutions de couleur et le printemps arabe qui ont débouché sur une instabilité politique, en désaccord avec les constitutions des pays concernés. Ce qu’il perd en audience dans certains pays de son voisinage, il espère le regagner ailleurs dans des pays qui font la même analyse et qui souhaitent également l’instauration d’un monde multipolaire.
On peut continuer à vouer la Russie aux gémonies et condamner son régime politique autoritaire. On peut aussi continuer à nier plusieurs évidences : la Russie est située juste à côté de l’Union européenne ; elle joue un rôle dans les affaires européennes ; elle est incontournable dès lors qu’on s’occupe de questions aussi importantes que le commerce, les migrations internationales, la lutte contre la criminalité, l’énergie… dans un espace régional qui couvre tout le voisinage oriental de l’UE. On peut enfin tenir ses intérêts pour quantité négligeable.
Alerte : 100.000 milliards de dette mondiale selon l’OCDE
Le rapport de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) publié le 7 mars 2024 met en lumière l’augmentation de la dette mondiale : à la fin de l’année 2023, le volume total de la dette souveraine et de la dette obligataire des entreprises a frôlé le vertigineux cap des 100 000 milliards de dollars équivalant presque au Produit Intérieur Brut (PIB) global.
le 11 mars 2024 à 9h11
En 2024 la dette des Etats-Unis devrait atteindre 99% du PIB.
La dette mondiale est de plus en plus élevée selon l’OCDE
Le rapport intitulé "Rapport sur la dette mondiale 2024 : Les marchés obligataires dans un contexte de dette élevée" révèle comment l'accessibilité accrue des marchés obligataires a favorisé l'émergence de segments de marché plus risqués. En particulier, elle a permis à des émetteurs moins bien notés, incluant des États et des entreprises, de participer plus largement à ces marchés. Résultat : la dette des administrations centrales rapportée au PIB dans les pays de l’OCDE a atteint 83% à la fin de 2023.
« Un nouveau paysage macroéconomique caractérisé par une inflation plus élevée et des politiques monétaires plus restrictives transforme les marchés obligataires à l’échelle mondiale à un rythme sans précédent depuis des décennies. Cette situation a de profondes répercussions sur les dépenses publiques et la stabilité financière à un moment où les besoins de financement sont de plus en plus pressants », a déclaré le Secrétaire général de l’OCDE Mathias Cormann, cité dans le communiqué de presse.
Le fardeau de la dette dans les pays de l'OCDE
Le ratio de la dette des administrations centrales par rapport au PIB dans les pays membres de l'OCDE a grimpé à 83% à la fin de 2023. Ce chiffre représente une augmentation notable de 30 points de pourcentage par rapport à 2008, malgré une réduction de plus de 10 points au cours des deux dernières années, grâce à une inflation favorisant la croissance du PIB nominal.
Les projections indiquent une poursuite de cette tendance, avec une dette souveraine qui devrait augmenter de 2.000 milliards de dollars en 2024 pour atteindre 56.000 milliards de dollars. Soit 30.000 milliards de plus qu’en 2008, avant la crise économique. « Au cours de la même période, l’encours mondial de la dette obligataire des entreprises est passé de 21.000 milliards de dollars à 34.000 milliards de dollars, et plus de 60% de cette hausse est imputable aux entreprises non financières. »
« Pendant la période prolongée de faibles taux d’intérêt, de nombreux gouvernements et entreprises pouvaient emprunter à bas coût, en allongeant leurs échéances de remboursement et augmentant leur pourcentage d’émissions à taux fixe », écrit l’OCDE. Mais ce temps est bientôt révolu et les créanciers vont devoir composer avec les « hausses brutales de taux d’intérêt observées depuis le début de 2022 ». « Les coûts moyens des emprunts souverains dans la zone OCDE sont passés de 1% en 2021 à 4% en 2023, tandis que les charges d’intérêts des administrations centrales en pourcentage du PIB n’ont augmenté que de 2,3% à 2,9% au cours de la même période. »
La situation est critique. « Plusieurs pays très endettés, y compris des pays de l’OCDE, pourraient être confrontés à une boucle de rétroaction négative associant hausse des taux d’intérêt, ralentissement de la croissance et creusement des déficits, à moins que des mesures audacieuses ne soient prises pour renforcer la résilience budgétaire », écrit l’OCDE.
Les pays ayant la dette publique la plus élevée par rapport au PIB
Le monde repose sur une montagne de dettes : tel est le résumé amer des analyses de divers organismes internationaux traitant de la finance et de l’économie mondiale. Parmi les données les plus récentes, à la date d’octobre 2023, figurent celles du Fonds monétaire international sur le ratio de la dette brute des administrations publiques par rapport au PIB. Précisons, comme l’écrit le FMI, qu’il s’agit de : “tous les engagements qui nécessitent le paiement d’intérêts et/ou du principal par le débiteur (l’État) au créancier à une ou plusieurs dates futures.”
Dans les dix premiers pays suivants, on trouve un mélange de pays développés et de pays plus pauvres.
En 2022, le niveau estimé de la dette nationale de la Russie atteignait environ 18,89 % du PIB, ce qui la plaçait au 16e rang des pays ayant la dette nationale la plus faible.
C'est l'Escroquerie Mondiale de la 'Dette' ! Les 'banques' (sans argent) prêtent donc de ce qu'elles n'ont pas et demandent à être remboursé en... valeurs !! (Je vous donne RIEN et vous me rendez TOUT !).
Peut-on atteindre les 10 000 % du PIB ? OUI !! Lorsqu'un pays emprunte les banques demandent des cautions (aéroports, ports, voies ferrées, autoroutes, monuments, terrains et... habitants). Et donc, lorsque les banques demandent à être remboursées elles prennent... TOUT ! TOUT DE CHEZ TOUT ! "Vous n'aurez rien et vous serez heureux !"
Il est essentiel de mesurer la confiance des consommateurs dans l’économie pour comprendre à la fois la vigueur économique actuelle et la façon dont les consommateurs pourraient agir à l’avenir.
Alors, que pensent les gens du monde entier de l’économie mondiale ?
Cette visualisation, via Niccolo Conte de Visual Capitalist, utilise des données d'enquête collectées du 20 octobre au 3 novembre 2023 par Ipsos. Il a été souligné pour la première fois dans le cadre de notre série de prévisions mondiales 2024.
- voir carte sur site -
Quels pays ont confiance dans l’économie en 2024 ?
À l’approche de 2024, 50 % en moyenne des adultes interrogés étaient convaincus que l’économie mondiale serait plus forte qu’en 2023. Mais la ventilation des réponses par pays montre une grande disparité entre les réponses.
Voici le pourcentage de personnes interrogées qui sont d’accord avec l’affirmation suivante : « L’économie mondiale sera plus forte en 2024 qu’elle ne l’était en 2023. » On note également l'évolution en points de pourcentage (p.p.) par rapport à la même question un an auparavant.
Pays D'accord Changement (d'une année sur l'autre)
Au sommet, l’Inde, l’Indonésie et la Chine se montrent les plus confiantes quant aux perspectives économiques de 2024. 85 % des répondants indiens estiment que l’économie mondiale sera plus forte en 2024 qu’en 2023, tandis que 82 % des répondants chinois et indonésiens pensent la même chose.
Les disparités régionales deviennent également évidentes, les pays asiatiques constituant les cinq pays les plus confiants et sept des neuf premiers. En fait, la Corée du Sud et le Japon sont les seuls pays asiatiques interrogés à ne pas se sentir confiants, les répondants japonais étant les moins confiants (30 %) et les Sud-Coréens à égalité en deuxième position (33 %).
Les pays d'Amérique du Sud vont du Brésil avec un maximum de 60 % des personnes interrogées étant d'accord avec le fait que 2024 soit plus forte que 2023, au Chili avec un « minimum » de 51 %. Les pays d’Amérique du Nord étaient plus divisés, le Mexique se sentant plus confiant et le Canada moins confiant.
Enfin, l'Europe s'est démarquée comme étant la région la moins confiante dans l'économie mondiale en 2024. Seule la Pologne (56 %) est plus de 50 % d'accord sur le fait que cette année serait meilleure que la précédente, tandis que des économies majeures comme l'Allemagne (40 %) et la France (33 %) se situent plus près du bas du tableau.
13 Mars 2024 William El Bulo, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Si les hommes politiques disent ce qu'ils pensent être nécessaire pour se faire élire, alors beaucoup d'entre nous dans le monde entier vont entendre leurs hommes politiques faire de nombreuses promesses en 2024.
En effet, il s'agit de la plus grande année électorale de l'histoire, avec des élections nationales dans plus de 70 pays. Près de la moitié de l'humanité, soit plus de 4 milliards de personnes, vit dans l'un de ces pays.
Le scrutin dans mon pays est le prochain : le 14 février, des Indonésiens comme moi participeront à la plus grande élection d'un jour de la planète. Ces élections ont toujours une influence sur l'agriculture. Les agriculteurs et les éleveurs doivent essayer d'influencer les résultats en s'exprimant et en racontant leur histoire, afin d'avoir une voix forte dans les politiques publiques qui régissent le commerce et la technologie.
La course à la présidence qui se déroulera en novembre aux États-Unis suscite bien entendu l'attention du monde entier, comme c'est toujours le cas. Les élections générales en Inde concerneront des centaines de millions d'électeurs qui se rendront aux urnes en mars et avril. Elles battront probablement des records de participation massive. La deuxième élection la plus importante de l'année, en termes de nombre d'électeurs, aura lieu en juin pour le Parlement Européen. D'autres élections majeures auront lieu au Mexique, en Afrique du Sud et, peut-être, au Royaume-Uni, qui doit organiser des élections d'ici à janvier 2025.
Dans l'ensemble, il s'agit d'une bonne nouvelle pour l'idée de démocratie. Pourtant, les enjeux sont considérables. Les électeurs devront choisir entre l'engagement économique dans le monde et l'autosuffisance. Ils choisiront entre des candidats qui adoptent des technologies prometteuses et d'autres qui rejettent les preuves scientifiques.
Leurs choix nous concerneront tous, quel que soit notre lieu de résidence. Dans un marché mondial, ce qui se passe dans une Nation influence toujours ce qui se passe ailleurs. Les résultats peuvent surprendre. Si l'invasion de l'Ukraine par la Russie peut entraîner une hausse du prix des ignames au Nigeria, une élection au Sri Lanka ou ailleurs peut avoir des répercussions sur votre portefeuille ou menacer la sécurité alimentaire.
Une chose est sûre : le commerce international permet de maintenir une alimentation abondante et abordable. Nous avons besoin d'élus qui comprennent la valeur de réseaux commerciaux solides.
Je gère deux parcs d'engraissement de bovins sur l'île de Sumatra et mon activité dépend de la capacité à faire circuler les biens et les services à travers les frontières.
L'Indonésie compte environ 280 millions d'habitants, ce qui en fait le quatrième pays le plus peuplé du monde. Nous pouvons produire une grande partie de notre nourriture et nous exportons beaucoup d'huile de palme, de café, de noix de coco, de bananes, etc. Nous produisons également beaucoup de riz, mais nous avons dû récemment importer cette culture de base en raison d'El Niño, un phénomène météorologique cyclique.
Notre climat tropical crée des déficits en produits de base comme le bœuf, le blé et le soja, de sorte qu'il est nécessaire d'importer des denrées alimentaires et des intrants agricoles. Je vois cette réalité tous les jours dans mes parcs d'engraissement. Nous recevons des bovins comme matière première d'Australie et des aliments pour animaux d'autres pays. Notre travail consiste à engraisser le bétail. Nous les vendons ensuite sur notre marché intérieur, où la demande de viande bovine est énorme.
Pourtant, nous ne parvenons pas à la satisfaire. Politiquement, l'Indonésie est toujours déficitaire en viande bovine, nous avons besoin de plus que ce que nous pouvons produire. La dernière fois que l'Indonésie a exporté du bétail, c'était dans les années 1980.
Le problème est en grande partie d'ordre réglementaire. On m'empêche d'acquérir autant de bovins que le marché en a besoin. Mes parcs d'engraissement ont une capacité maximale de 35.000 têtes, mais nous n'en nourrissons actuellement que 15.000. Le problème est d'ordre administratif. Le port australien de Darwin a expédié plus de 55.000 bovins vers l'Indonésie en décembre, mais aucun en janvier – tout cela à cause de retards dans l'obtention des permis d'importation, selon ABC.
En outre, nous avons besoin d'un accès plus facile aux céréales nécessaires pour nourrir le bétail et les autres animaux. La chaîne d'approvisionnement des parcs d'engraissement peut avoir un impact sur la vie de plus de 12.000 personnes, du port à l'assiette, de la plantation à la banque d'alimentation.
Il s'agit là de questions politiques. Elles exigent des solutions de la part d'élus qui comprennent l'importance du commerce.
L'Indonésie compte trois candidats majeurs à la présidence, qui ont fait toute une série de promesses et de propositions sur le commerce, qui ne sont pas toutes favorables ou utiles. Pourtant, même les hommes politiques qui succombent à la tentation du protectionnisme ont tendance à l'abandonner lorsqu'ils arrivent au pouvoir. Lorsqu'ils font campagne, ils peuvent parler d'autosuffisance, de protection des industries locales et de limitation des importations, mais lorsqu'ils sont au pouvoir, ils se heurtent à la dure réalité : la prospérité de l'Indonésie dépend de son engagement économique avec le reste du monde.
Si davantage d'électeurs en prenaient conscience, les candidats seraient moins enclins à les séduire en promouvant l'économie d'autosuffisance – et leurs performances en tant que représentants du gouvernement s'amélioreraient.
Les agriculteurs, les éleveurs et toutes les personnes impliquées dans l'agriculture doivent jouer un rôle. Cela commence par le vote, mais nous devons faire plus : nous devons nous exprimer en faveur de la sécurité alimentaire et du commerce international qui la rend possible.
En racontant notre histoire, nous pourrions constater que les électeurs et les personnes qu'ils élisent nous récompensent en nous offrant le personnel politique dont nous avons besoin.
Le Nutri-Score et les biais de publication – lire : « science » orientée
14 Mars 2024
Deux auteurs liés à l'industrie constatent une grande polarisation des études sur le Nutri-Score : celles qui lui sont favorables proviennent majoritairement de ses concepteurs et développeurs, la majorité des études réalisées indépendamment des concepteurs et développeurs lui étant défavorables.
L'équipe EREN (Équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle) réplique sur son blog « Nutri-Score ». C'est ahurissant et en dit long sur la « science » derrière le Nutri-Score.
Une analyse de la littérature
MM. Stephan Peters et Hans Verhagen viennent de publier : « Publication bias and Nutri-Score: A complete literature review of the substantiation of the effectiveness of the front-of-pack logo Nutri-Score » (biais de publication et Nutri-Score : une revue complète de la littérature sur la justification de l'efficacité du logo Nutri-Score sur la face avant des emballages) dans PharmaNutrition. Texte complet ici.
On risque de me rire au nez : l'un est de l'Association Laitière Néerlandaise, notoirement opposée au Nutri-Score, et l'autre, consultant en sécurité alimentaire et nutrition, mais tenant aussi des postes dans des institutions universitaires au Danemark et au Royaume-Uni. Ils sont donc affligés de conflits d'intérêts. Ils écrivent cependant :
« […] S.P. et H.V. étaient tous deux membres du comité scientifique indépendant aux Pays-Bas qui soutenait l'ancien logo "het Vinkje" sur la face avant des emballages. Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l'absence de toute relation commerciale ou financière qui pourrait être interprétée comme un potentiel conflit d'intérêt. L'Association Laitière Néerlandaise participe au débat national aux Pays-Bas sur les logos apposés sur la face avant des emballages en apportant sa contribution aux reformulations des produits, et aux consultations sur la face avant des emballages du ministère néerlandais de la Santé, du Bien-être et des Sports. »
Admettons... sans être convaincu pour ma part.
Mais voici ce qu'ils ont à dire :
« Faits saillants
- Nous avons étudié la validation et l'efficacité du Nutri-Score en fonction de l'affiliation des auteurs et du résultat des études et nous avons constaté un important biais de publication.
- La grande majorité des études qui soutiennent le Nutri-Score sont menées par les développeurs du Nutri-Score.
- La majorité des études réalisées indépendamment des développeurs du Nutri-Score ont montré des résultats défavorables.
- Il n'existe aucune preuve en vie réelle d'un quelconque effet bénéfique du Nutri-Score sur l'algorithme multi-nutriments FSA-NPS.
- Il n'existe pas de preuves scientifiques suffisantes pour soutenir l'utilisation du Nutri-Score en tant qu'outil de santé publique efficace.
- Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ou infirmer l'efficacité du Nutri-Score.
Résumé
Contexte
L'étiquette Nutri-Score sur la face avant des emballages est actuellement proposée comme système de choix dans sept pays de l'UE. Cependant, la validation et l'efficacité du Nutri-Score font encore l'objet de nombreux débats scientifiques, et l'affiliation des auteurs et les résultats des études font l'objet de nombreuses discussions.
Méthodes utilisées
Pour répondre à ces questions, nous avons effectué une recherche complète dans PubMed sur le Nutri-Score qui a donné n = 180 résultats et nous avons sélectionné tous les articles qui traitent de la pertinence des preuves pour la validation du Nutri-Score (n = 104).
Résultats
Nos principales observations sont que la grande majorité des études qui soutiennent le Nutri-Score sont menées par les développeurs du Nutri-Score. En revanche, la majorité (61 %) des études réalisées indépendamment des développeurs du Nutri-Score ont montré des résultats défavorables. Une deuxième observation est que même si l'effet théorique du Nutri-Score est validé sur un algorithme multi-nutriments (FSA-NPS), il n'y a pas de preuve en vie réelle d'effets bénéfiques du Nutri-Score sur cet algorithme dans une gamme complète de supermarchés. En conclusion, les preuves scientifiques sont insuffisantes pour soutenir l'utilisation du Nutri-Score en tant qu'outil de santé publique efficace.
Dans l'ensemble, les données disponibles sont limitées et biaisées, et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ou infirmer l'efficacité du Nutri-Score. »
- voir schéma sur site -
Réponse sur le blog « Nutri-Score »
On attend une dénonciation de cette incroyable agression, évidemment dans le Monde, de M. Serge Hercberg, déjà auteur de « Mange et tais-toi: Un nutritionniste face au lobby agroalimentaire ».
En fait, le coup est déjà parti avec une longue analyse, a priori sur la base d'une pré-publication, sur le blog « Nutri-Score » – des auteurs et promoteurs dudit NutriScore. MM. Peters et Verhagen notent à juste titre dans leur article : « Ce blog est utilisé dans le cadre d'actions de lobbying visant à faire accepter le Nutri-Score comme futur logo obligatoire sur la face avant des emballages dans l'Union européenne. » Et, de fait, nous avons affaire dans la réponse à une équipe qui amalgame recherche et lobbying.
Cette réfutation, c'est : « Rebuttal of the claims against the Nutri-Score made by two lobbyists in PharmaNutrition in an effort to discredit academic research » (réfutation des allégations contre le Nutri-Score faites par deux lobbyistes de PharmaNutrition dans le but de discréditer la recherche académique).
Le titre est déjà tout un poème ! Ne vous attendez pas à une réponse policée d'une équipe du reste coutumière d'un style, disons, enlevé. Voici le premier paragraphe après l'introduction :
« Cet article est truffé d'inexactitudes, d'incohérences et d'erreurs. Le texte présente des arguments biaisés menant à des conclusions erronées. En tant que tel, il ne répond pas aux normes d'un véritable article scientifique. En fait, sous l'apparence d'un article scientifique, il s'agit d'un pamphlet écrit par deux auteurs qui travaillent pour l'industrie et qui tentent de jeter le doute sur la science académique et de porter de graves accusations à l'encontre des équipes de recherche publique pour discréditer le label nutritionnel Nutri-Score qui figure sur la face avant des emballages. »
Le paragraphe suivant se penche sur les très mauvaises fréquentations de MM. Stephan Peters et Hans Verhagen. Ils sont copieusement assaisonnés.
Puis :
« Par conséquent, l'article publié par Peters et Verhagen (avec des problèmes conceptuels et méthodologiques, une mauvaise classification des articles scientifiques, des arguments biaisés, des accusations d'inconduite scientifique et de fausses déclarations,..) vise à jeter la suspicion sur des chercheurs universitaires publics et sur les études qu'ils ont publiées dans des revues à comité de lecture avec l'objectif final de discréditer le Nutri-Score, un outil de santé publique qui dérange l'intérêt des entreprises alimentaires (produits laitiers, en particulier les fromages ; viande transformée ; produits alimentaires et boissons riches en graisses saturées, en sel et en sucre...). [...] »
Notons : nous n'avons rien trouvé dans Peters et Verhagen qui ressemble de près ou de loin à « des accusations d'inconduite scientifique et de fausses déclarations ».
Les auteurs de cette réponse poursuivent en critiquant le traitement infligé à « A study is 21 times more likely to find unfavourable results about the nutrition label Nutri-Score if the authors declare a conflict of interest or the study is funded by the food industry » (une étude a 21 fois plus de chances de trouver des résultats défavorables à l'étiquetage nutritionnel Nutri-Score si les auteurs déclarent un conflit d'intérêt ou si l'étude est financée par l'industrie alimentaire) de Stephane Besançon, David Beran et Malek Batal (c'est nous qui graissons) :
« Cet article [de Peters et Verhagen] vise principalement l'article scientifique [de] Besançon S. et al [...] qui montre que 1) sur 134 articles étudiant l'efficacité du Nutri-Score, 83 % ont des conclusions favorables à cet étiquetage démontrant la pertinence de son algorithme, de meilleures performances par rapport à d'autres étiquetages nutritionnels, un impact sur les choix alimentaires et sur la qualité nutritionnelle des achats alimentaires ; 2) la probabilité qu'un article présente des résultats défavorables au Nutri-Score est 21 fois plus élevée si les auteurs déclarent un conflit d'intérêt ou si l'étude est financée par l'industrie alimentaire et 3) trois organisations privées ont été particulièrement impliquées dans le financement (ou les conflits d'intérêt des auteurs) d'études défavorables au Nutri-Score et parmi elles, l'Association Laitière Néerlandaise (pour laquelle travaille Stephan Peters). »
Voici maintenant les points clés de l'article – en fait un commentaire – de Besançon et al. (c'est nous qui graissons encore) :
« De nombreux scientifiques et professionnels de la santé considèrent que les preuves scientifiques qui soutiennent l'étiquetage nutritionnel sur le devant des emballages, tel que le "Nutri-Score", deviennent obligatoires en Europe afin d'aider les consommateurs à faire des choix plus sains sur le lieu d'achat.
Les politiciens et les partis politiques, les fabricants de produits alimentaires et certains secteurs agricoles sont opposés à l'étiquetage nutritionnel tel que le "Nutri-Score", car ils affirment que les études scientifiques ne soutiennent pas suffisamment la mise en place d'une politique en la matière.
Les conclusions de 83 % des études publiées dans des revues à comité de lecture sont favorables à l'étiquetage nutritionnel tel que le "Nutri-Score".
La probabilité qu'un article présente des résultats défavorables à l'étiquetage nutritionnel tel que le "Nutri-Score" est 21 fois plus élevée si les auteurs déclarent un conflit d'intérêts ou si l'étude est financée par l'industrie alimentaire. »
Il n'est pas nécessaire de s'appesantir sur la dérive entre le commentaire de Besançon et al. et la réponse sur le blog Nutri-Score, soulignée ci-dessus par les textes mis en gras.
« L'article publié par Peters et Verhagen tente de jeter la suspicion sur les études développées par des équipes de recherche académique qu'ils accusent de "conflit d'intérêts" sous prétexte que leurs travaux scientifiques ont conduit au développement du Nutri-Score il y a quelques années (en 2014). Ils étendent cette notion de conflit d'intérêt à toutes les équipes développant des collaborations avec eux ! Leur idée est de tenter de "disqualifier" les travaux scientifiques produits par les équipes de recherche académique en considérant que leur implication dans le développement du Nutri-Score et sa validation ultérieure est un conflit d'intérêt ! C'est particulièrement évident avec les termes qu'ils utilisent pour caractériser les équipes de recherche qu'ils veulent discréditer. [...]
Il n'y a aucune accusation de conflits d'intérêts dans l'article de Peters et Verhagen ! Le mot « conflit » y apparaît cinq fois : quatre fois dans le résumé de Besançon et al. et la référence bibliographique, et une fois dans leur déclaration d'intérêts concurrents.
L'équipe EREN se plaint ensuite de n'avoir pas été correctement référencée et de l'emploi par Peters et Verhagen d'expressions telles que « développeurs du Nutri-Score » ou « le groupe scientifique autour des développeurs du Nutri-Score qui ont publié des articles scientifiques » ou encore « auteurs qui sont employés ou liés à ses développeurs ». Elle trouve cette terminologie trompeuse, voire péjorative sur la base d'une argumentation au mieux fallacieuse.
En fait, la terminologie utilisée par Peters et Verhagen répond tout simplement à un double objectif de précision et de concision.
Mais pour les développeurs du Nutri-Score, « [c]es termes sont délibérément utilisés pour banaliser et discréditer les équipes de recherche publique ».
Petite incursion dans Besançon et al.
Comment Besançon et al. sont-ils parvenus à ce « 21 fois » ? C'est un mystère dans l'article. Peters et Verhagen l'expliquent cependant, et cela nous laisse plutôt songeur.
Besançon et al. relèvent que leur rapport tombe à sept fois « si on exclut toutes les études dans lesquelles l'équipe de recherche universitaire qui a mis au point le Nutri-Score (sans aucun conflit d'intérêts) est impliquée (38 articles publiés par l'équipe de recherche universitaire et 35 articles publiés en collaboration entre l'équipe et d'autres équipes de recherche universitaire). »
C'est bien léger d'affirmer comme ça, de but en blanc, une absence de conflits d'intérêts pour l'équipe EREN (Équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle), conceptrice et promotrice acharnée du Nutri-Score.
Et on n'est pas loin du domaine de l'escroquerie, au moins intellectuelle, quand on balance, à nouveau « comme ça », un chiffre qui dépend majoritairement de l'activité frénétique de cette équipe en matière de publication, et plus généralement de la taille et des caractéristiques de la source bibliographique.
Pourtant, ce chiffre de « 21 fois » – quasiment sorti du chapeau – s'est retrouvé dans le titre de l'article, bien sûr après validation par la revue par les pairs.
Il y a aussi de quoi être stupéfait par la base matérielle de la recherche, les 149 articles dont Besançon et al. n'ont pas précisé comment ils les avaient sélectionnés : Peters et Verhagen ont établi que l'article « n'était pas basé sur une recherche scientifique systématique dans Pubmed, mais uniquement sur la liste de littérature figurant sur le site web des développeurs du Nutri-Score ».
Il eût été préférable que cela fût dit par Besançon et al.. Mais sur le blog « Nutri-Score », on assiste à une avalanche, avec une argumentation que nous ne qualifierons pas ici, parlant d'elle-même :
« Peters et Verhagen attaquent la qualité de l'étude réalisée par Besançon et al. en utilisant des arguments fallacieux. Ils portent de graves accusations sur la qualité et l'exhaustivité de la base de données publiée par Besançon et al, suggérant en particulier que cette base de données ne contient pas d'articles défavorables au Nutri-Score. […] Ils utilisent cet argument pour discréditer l'étude de Besançon, en sous-entendant que Besançon et al. ont intentionnellement exclu ces articles de leur base de données parce qu'ils sont défavorables à Nutri-Score [...] »
Épilogue (provisoire ?)
Peters et Verhagen n'ont peut-être pas produit la meilleures analyse – qui relève au moins en partie d'un jugement de valeur et se prête donc nécessairement à la critique et à la contestation. Mais leur point fondamental, l'existence d'un effarant biais de publication, est inattaquable.
- voir doc sur site -
Et quand M. Serge Hercberg tweete : « Réfutation des affirmations contre le #NutriScore faites par deux lobbyistes dans PharmaNutrition dans le but de discréditer la recherche académique », en mettant le ban et l'arrière-ban des fans du Nutri-Score dans la boucle, on doit conclure qu'on n'est plus dans le domaine de la science et des bonnes mœurs – en fait « pas » car c'est une attitude récurrente, illustrée par le titre sus-mentionné de son livre.
M. Stephan Peters a répondu avec élégance, en présentant un tableau résumé des résultats corrigé sur la base des remarques faites dans la « réfutation » : le problème est toujours là.
C'est du reste implicitement admis par l'équipe du Nutri-Score !
- voir cadre sur site -
Ce problème se situe au niveau des politiques publiques : non, l'opportunité d'introduire le Nutri-Score de manière obligatoire (et, à notre sens, même volontaire) n'a pas été démontrée.
Il serait temps que l'on prenne la mesure de ce problème au niveau de l'Union Européenne, tant dans les milieux décisionnaires que du côté des lobbyistes du Nutri-Score : le « climat », entretenu par les auteurs du système, est délétère.
Et nous pensons qu'il y a un déficit d'études et de publications sur les possibles effets pervers de ce logo bien trop réducteur.
Du reste, on nous l'a vanté comme un système parfait. Et puis on a dû remettre l'ouvrage sur le métier en le modifiant avec des résultats qui nous paraissent surprenants (comme le riz, aliment de base, passant à « B »). La pression venait en particulier des... Pays-Bas. Pas seulement des méchants lobbies de l'agroalimentaire, mais aussi et surtout de 180 scientifiques experts en nutrition. C'est rappelé par Peters et Verhagen dans leur article. Et on nous vante maintenant ce Nutri-Score révisé comme plus que parfait... Dernier exemple dans la littérature scientifique... avec Mme Chantal Julia, de l'EREN, fermant la liste des auteurs..
Un carburant de haute qualité produit des modes de vie de haute qualité.
Les carburants diffus et peu fiables engendrent le chaos et la vulnérabilité. À mesure que les humains redescendent sur l’échelle de la densité énergétique, ils perdent le pouvoir de créer de l’ordre. Construire, voler, réparer et manger des ananas du Costa Rica.
L'entropie vient briser votre frigo et vous donner des rides.
Une superbe vidéo de NetZeroWatch (Energy and the Poverty of Nations)
Dumping céréalier: le blé ukrainien a inondé le marché européen
Par Alexandre Lemoine Mondialisation.ca, 13 mars 2024
Les protestations des agriculteurs ne cessent pas dans l’Union européenne: les producteurs agricoles et les propriétaires fonciers exigent le soutien des autorités face à la crise économique croissante. Le mouvement de protestation a atteint la plus grande ampleur en Pologne, où les agriculteurs ont bloqué la frontière avec l’Ukraine, d’où provient leur principal problème, à savoir les céréales bon marché.
La décision de l’Union européenne d’annuler les droits de douane sur les produits agricoles ukrainiens a entraîné une chute des prix sur le marché européen et une baisse des revenus des agriculteurs locaux. Les manifestants détruisent le blé ukrainien, bloquent la circulation sur les autoroutes, organisent des piquets devant les institutions gouvernementales et appellent les bureaucrates européens à prêter attention à leurs problèmes.
Bien que la Pologne ne soit pas le seul ni le premier pays de l’Union européenne où les protestations agricoles continuent, elles y ont pris une ampleur particulièrement sérieuse. En effet, le pays a accumulé la plus grande quantité de surplus de blé ukrainien, presque la moitié des 20 millions de tonnes qui se sont retrouvées sur le marché européen.
Initialement, le gouvernement polonais a tenté de s’opposer à la politique générale de l’Union européenne: les autorités du pays ont insisté sur la prolongation de l’embargo temporaire sur les céréales ukrainiennes, introduit par la Commission européenne en mai 2023. Cependant, après l’expiration de cette décision en septembre, les bureaucrates européens ont prolongé l’importation sans droits de douane des produits agricoles ukrainiens jusqu’en juin 2025.
Cette décision a été provoqué des manifestations de masse en Pologne, avec une exigence claire des agriculteurs d’arrêter le flux de blé depuis l’Ukraine.
Le rôle des agriculteurs dans l’économie polonaise est assez significatif. Plus de la moitié des terres du pays sont des terres agricoles, environ 14 millions de personnes vivent dans les zones rurales. Un Polonais sur dix est, d’une manière ou d’une autre, employé dans le secteur agricole, et pour beaucoup d’entre eux, l’agriculture est une source importante de revenus.
Les agriculteurs tentent de montrer que le blé ukrainien pose un problème pour toute l’UE et se réfèrent aux normes européennes auxquelles les produits ukrainiens ne sont pas conformes.
« Nous voyons du blé moisi dans les wagons à la frontière », déclarent les agriculteurs aux journalistes de Gazeta Wyborcza, soulignant que les produits bon marché et de faible qualité évincent les produits polonais plus sains.
Les manifestants sont convaincus que l’interdiction d’importer des produits ukrainiens non seulement satisfera les intérêts des agriculteurs, mais sera également bénéfique pour tous les Polonais.
Le 24 janvier, des actions de protestation ont eu lieu dans différentes régions de la Pologne. Les manifestations se sont poursuivies début février: ainsi, le 12 février, les agriculteurs ont pris d’assaut trois camions avec des céréales ukrainiennes et ont vidé environ 9 tonnes de produit des remorques. Le 25 février, les manifestants ont réussi à détruire 160 tonnes de blé, transporté par train depuis l’Ukraine.
Les manifestants exigent l’arrêt de l’importation de produits alimentaires ukrainiens dans l’Union européenne, soulignant que le dumping des producteurs du pays voisin entraîne des pertes pour les agriculteurs de toute l’UE. Le 28 février, le Premier ministre du pays, Donald Tusk, a annoncé la possibilité d’une fermeture temporaire de la frontière avec l’Ukraine.
Plus tard, le gouvernement polonais a décidé d’entamer des négociations avec les agriculteurs pour résoudre la situation. M. Tusk a précisé qu’il n’avait pas l’intention de fermer la frontière avec l’Ukraine, mais a promis de réduire au minimum l’importation sans droits de douane de denrées alimentaires depuis l’Ukraine.
L’ampleur des protestations augmente de jour en jour, elles sont devenues un problème à l’échelle nationale. Les agriculteurs de différents coins du pays viennent aux points de passage frontaliers en tracteurs, où ils installent de véritables camps, allument des feux, installent des générateurs électriques.
Les agriculteurs ont bloqué les points de passage à la frontière avec l’Ukraine, ainsi que les hubs de transport et les voies d’accès aux gares de transbordement et aux ports maritimes.
Les agriculteurs sont mécontents face à la situation sur le marché, qui résulte d’un « afflux incontrôlé de céréales depuis ‘Ukraine », qui entrent en Pologne en échange du carburant fourni à Kiev. Les agriculteurs insistent sur le fait que les céréales devraient être envoyées de Pologne vers d’autres pays, notamment d’Afrique et du Moyen-Orient, et non rester sur le marché intérieur, où les prix des aliments ont déjà chuté, écrit le portail Agropolska.
Des protestations des agriculteurs ont lieu en Pologne depuis le début de février. Les principales revendications des manifestants sont l’arrêt de l’importation en Pologne de produits agricoles d’Ukraine et l’abandon des plans écologiques de l’Union européenne, ce qu’on appelle le pacte vert, qui prévoit d’atteindre zéro émission dans l’atmosphère d’ici 2050. Les participants bloquent les accès aux postes frontaliers et aux routes, et vident les céréales des camions avec des plaques d’immatriculation ukrainiennes. Les agriculteurs polonais se préparent à « arrêter le pays » le 20 mars.
La nouvelle économie doit être dominée par une poignée de géants de la technologie, de conglomérats mondiaux et de plateformes de commerce électronique, et de nouveaux marchés seront également créés grâce à la financiarisation de la nature , qui doit être colonisée, marchandisée et commercialisée dans le cadre de la protection de la nature. environnement.
Ces dernières années, nous avons assisté à une suraccumulation de capital, et la création de tels marchés offrira de nouvelles opportunités d’investissement (y compris des systèmes de Ponzi douteux de compensation des émissions de carbone) permettant aux super-riches de stocker leur richesse et de prospérer.
Cette grande réinitialisation envisage une transformation des sociétés occidentales, entraînant des restrictions permanentes des libertés fondamentales et une surveillance de masse. Déployé sous le terme bienveillant de « Quatrième révolution industrielle », le Forum économique mondial (WEF) affirme que le public finira par « louer » tout ce dont il a besoin (rappelez-vous la vidéo du WEF « Vous ne posséderez rien et serez heureux » ?) : supprimer le droit de propriété sous couvert d’une « économie verte » et soutenu par la rhétorique de la « consommation durable » et de « l’urgence climatique ».
L’alarmisme climatique et le mantra de la durabilité visent à promouvoir des projets lucratifs .
Mais ils servent également un autre objectif : le contrôle social.
Le néolibéralisme a suivi son cours, entraînant l’appauvrissement de larges couches de la population. Mais pour atténuer les dissensions et réduire les attentes, les niveaux de liberté personnelle auxquels nous sommes habitués ne seront pas tolérés. Cela signifie que la population dans son ensemble sera soumise à la discipline d’un État de surveillance émergent.
Pour repousser toute dissidence, on dit aux gens ordinaires qu’ils doivent sacrifier leur liberté personnelle afin de protéger la santé publique, la sécurité de la société (ces terribles Russes, les extrémistes islamiques ou ce croque-mitaine désigné par Sunak, George Galloway) ou le climat. Contrairement à l’ancienne normalité du néolibéralisme, un changement idéologique se produit dans lequel les libertés individuelles sont de plus en plus décrites comme dangereuses parce qu’elles vont à l’encontre du bien collectif.
La véritable raison de ce changement idéologique est de garantir que les masses s'habituent à un niveau de vie inférieur et l'acceptent . Prenons, par exemple, l'économiste en chef de la Banque d'Angleterre, Huw Pill, qui affirme que les gens devraient « accepter » d'être plus pauvres . Et puis il y a Rob Kapito, de BlackRock, la plus grande société de gestion d'actifs au monde, qui affirme qu'une génération « très habilitée » doit faire face à la pénurie pour la première fois de sa vie.
Dans le même temps, pour brouiller les cartes, le message est que la baisse du niveau de vie est le résultat du conflit en Ukraine et provoque les chocs provoqués à la fois par la guerre et par le « virus ».
Le programme de zéro émission nette de carbone contribuera à légitimer la baisse du niveau de vie (en réduisant votre empreinte carbone) tout en renforçant l’idée selon laquelle nos droits doivent être sacrifiés pour le bien commun. Vous ne posséderez rien, non pas parce que les riches et leur programme néolibéral vous ont rendus pauvres, mais parce qu’il vous sera demandé de cesser d’être irresponsable et d’agir pour protéger la planète.
Programme zéro émission nette
Mais qu’en est-il de cette transition vers des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles et du plan visant à réduire notre empreinte carbone ? Est-ce même faisable ou nécessaire ?
Gordon Hughes, ancien économiste de la Banque mondiale et actuel professeur d'économie à l'Université d'Édimbourg, affirme dans un nouveau rapport que les politiques actuelles de zéro émission nette au Royaume-Uni et en Europe conduiront probablement à une nouvelle ruine économique.
Apparemment, le seul moyen viable de réunir les liquidités nécessaires à de nouvelles dépenses d’investissement suffisantes (dans les infrastructures éoliennes et solaires) serait une réduction de la consommation privée pouvant atteindre 10 pour cent sur deux décennies. Un tel choc ne s’est jamais produit au siècle dernier en dehors de la guerre ; même alors, jamais pendant plus d’une décennie.
Mais ce programme entraînera également une grave dégradation de l’environnement. C’est ce que dit Andrew Nikiforuk dans l’article The Rising Chorus of Renewable Energy Skeptics , qui souligne à quel point le rêve de la techno verte est extrêmement destructeur.
Il énumère les impacts environnementaux dévastateurs d’un système encore plus intensif en minéraux et basé sur les énergies renouvelables et met en garde :
« L’ensemble du processus de remplacement d’un système en déclin par une entreprise minière plus complexe est désormais censé se dérouler dans un système bancaire fragile, des démocraties dysfonctionnelles, des chaînes d’approvisionnement brisées, des pénuries critiques de minerais et une géopolitique hostile. »
Tout cela suppose que le réchauffement climatique est réel et anthropique. Tout le monde n’est pas d’accord. Dans l'article Le réchauffement climatique et la confrontation entre l'Occident et le reste du monde , le journaliste Thierry Meyssan soutient que le net zéro repose sur une idéologie politique plutôt que sur la science. Mais affirmer de telles choses est devenu une hérésie dans les pays occidentaux et a été critiqué par des accusations de « déni de la science climatique ».
Indépendamment de ces préoccupations, la marche vers le zéro net se poursuit, et la clé de cette réussite est l’Agenda 2030 des Nations Unies pour les objectifs de développement durable.
Aujourd'hui, presque tous les rapports, sites Web ou brochures d'entreprises ou d'entreprises incluent une multitude de références à « l'empreinte carbone », à la « durabilité », au « zéro net » ou à la « neutralité climatique » et à la manière dont une entreprise ou une organisation entend atteindre ses objectifs de durabilité. Le profilage vert, les obligations vertes et les investissements verts vont de pair avec l'affichage de références et d'ambitions « vertes » partout et chaque fois que cela est possible.
Il semble que tous les acteurs du monde des affaires plantent leur drapeau d’entreprise au sommet du développement durable. Prenez Sainsbury's, par exemple. Il s'agit de l'un des « six grands » supermarchés de vente au détail de produits alimentaires au Royaume-Uni et a publié en 2019 une vision de l' avenir de l'alimentation .
En voici une citation :
« L'optimisation personnalisée est une tendance qui pourrait permettre aux utilisateurs d'être connectés et connectés comme jamais auparavant. Une avancée significative par rapport aux technologies portables utilisées aujourd'hui, l'avènement des micropuces personnelles et des lacets neuronaux a le potentiel de voir toutes nos données génétiques, de santé et situationnelles enregistrées, stockées et analysées par des algorithmes qui pourraient déterminer exactement ce dont nous avons besoin pour nous soutenir. à un moment particulier de notre vie. Les détaillants, comme Sainsbury's, pourraient jouer un rôle essentiel à cet égard, en organisant la livraison des produits alimentaires nécessaires dans un délai de trente minutes, peut-être par drone.»
Toute délibération sérieuse sur l’avenir de l’alimentation tiendrait sûrement compte de questions telles que la souveraineté alimentaire, le rôle de l’agroécologie et le renforcement des exploitations familiales – l’épine dorsale de la production alimentaire mondiale actuelle.
L'article susmentionné d'Andrew Nikiforuk conclut que, si nous prenons vraiment au sérieux nos impacts sur l'environnement, nous devons réduire nos besoins et simplifier la société.
En termes d'alimentation, la solution repose sur une approche à faibles intrants qui renforce les communautés rurales et les marchés locaux et donne la priorité aux petites exploitations agricoles et aux petites entreprises et détaillants indépendants, aux systèmes alimentaires démocratiques localisés et à un concept de souveraineté alimentaire basé sur l'autosuffisance et les principes agroécologiques. et l'agriculture régénérative .
Cela impliquerait de faciliter le droit à une alimentation culturellement appropriée, riche sur le plan nutritionnel en raison de divers modes de culture et exempte de produits chimiques toxiques, tout en garantissant la propriété locale et la gestion des ressources communes telles que la terre, l’eau, le sol et les semences.
C'est là que commence le véritable environnementalisme et l'avenir de l'alimentation.
Pour plus d'informations sur les questions abordées ci-dessus, vous pouvez accéder aux deux livres électroniques gratuits de l'auteur sur le système alimentaire ici et ici .
Il est temps d’installer un poulailler dans votre jardin ? Les prix des œufs dans les supermarchés montent à nouveau en flèche
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 13 MARS 2024 - 23H00
Mercredi, il ne reste que 18 jours avant le début des célébrations de Pâques. Pour ceux qui ont récemment visité le supermarché, les prix des œufs évoluent dans la mauvaise direction, bien qu’ils soient bien en deçà des sommets enregistrés en décembre 2022.
Les données du ministère de l'Agriculture des États-Unis montrent que le prix des œufs de catégorie A par douzaine a bondi de 40 %, passant de 2,13 dollars à 3 dollars ($0,25/l’œuf - 0,23€) entre novembre et février.
La plateforme d'évaluation des clients et d'information sur les consommateurs « ConsumerAffairs » rapporte que les prix des œufs ont « augmenté d'un pourcentage significatif dans certaines régions du pays », indiquant que les plus fortes hausses ont eu lieu dans les supermarchés de Minneapolis et de Buffalo/Rochester, ajoutant que « les prix des œufs à Orlando ont augmenté. aussi. »
ConsumerAffairs a noté que les hausses de prix ont été principalement observées dans « les grandes zones métropolitaines centrales, mais dans les zones rurales périphériques, il y a eu une diminution assez notable ».
"Vous pouvez essayer d'attribuer cela à la cupidité des épiciers, mais c'est une accusation inutile. Les prix plus élevés des œufs aux États-Unis sont en réalité dus à plusieurs facteurs. Il y a eu une réduction significative de l'offre d'œufs à cause de la grippe aviaire. qui a entraîné l'euthanasie de millions de poulets et de canards", a déclaré ConsumerAffairs.
Ce qui nous intrigue, c'est l'écart de prix des œufs que ConsumerAffairs constate dans les villes par rapport aux zones rurales. Cela signifie que quiconque vit dans les grandes villes et souhaite échapper au spectacle d’horreur de l’inflation du système Bidenomics devrait au moins considérer les communautés rurales où la nourriture peut être achetée localement et parfois beaucoup moins chère.
Cela ne ferait probablement pas de mal d’enseigner à la maison les enfants tout en vivant dans l’Amérique rurale.
Cette femme est une pure Americana.
Ses semblables se sont installés dans l’Ouest américain, ont instruit à la maison nos plus grandes générations et ont donné naissance à des fils qui ont combattu vaillamment dans nos guerres.
La féminité est bien plus qu'un salon de manucure. pic.twitter.com/Vjq8V3C1EY – Kingsley Wilson (@KingsleyCortes) 9 mars 2024
Alternativement, démarrer une ferme et prendre le contrôle de son approvisionnement alimentaire est une étape importante vers l’indépendance face à l’État excessif et aux méga-entreprises.
Pour ceux qui ne peuvent pas déménager parce que la Réserve fédérale a paralysé le marché immobilier avec des taux d'intérêt élevés, envisagez un jardin et un poulailler.
Immobilier : Le DPE ne reflète pas la réalité ! La preuve par 3
Artisan et acteur de la réhabilitation lourde depuis plus de 15 ans, Eric Frenkiel est, au quotidien, confronté aux problématiques de la rénovation, avec sa dimension énergétique. Pour lui, à ce jour, le mode de détermination du DPE est effectivement inopérant comme il l’a constaté sur ses récents chantiers : des rénovations de studios dans des combles, affublés de la note F ou G pour la partie consommation énergétique… à remonter donc, pour des besoins locatifs, compte tenu des interdictions visant progressivement les logements notés E, F et G.
le 14 mars 2024 à 5h30
50% des logements d'Ile-de-France sont des passoires thermiques.
1. Un état originel du bâtiment mal connu... qui dégrade automatiquement la note
Lorsque j’interviens sur un chantier, pour effectuer une rénovation dans les règles de l’art, je commence par mettre à nu toutes les pièces à réhabiliter. Cela me permet de savoir exactement comment a été construit le bâtiment et quelles sont les meilleures solutions à mettre en œuvre. J’ai une contrainte pour les petites surfaces (studios et 2 pièces) : un compromis doit être trouvé pour que l’isolation soit la plus performante possible sans trop réduire les m².
Cette connaissance du bâti originel va m’aider à communiquer une information totalement fiable au diagnostiqueur, le moment venu. C’est loin d’être le cas la plupart du temps et c’est là que commencent les ennuis pour les particuliers. En toute honnêteté, ne sachant pas ce qu’il y a derrière la peinture ou la tapisserie, les propriétaires (ayant besoin du DPE pour vendre, sans faire de travaux), répondent « je ne sais pas » à des dizaines de questions intégrées au DPE (plus de 200 critères) et consacrées au bâti. Résultat : par défaut, le logiciel va retenir la plus mauvaise note pour chaque catégorie. C’est la première raison qui explique les très mauvaises notes de certains logements. Avec des informations fiables et justes, les notes au DPE auraient été meilleures…
2. Une consommation énergétique calculée de façon illogique
Les DPE qui ont été réalisés après mes travaux dans deux chantiers de moins de 40 m² ont affiché une note « D » en matière de consommation énergétique. Certes, nous étions partis de loin avec des notes F et G, et un « D » satisfaisait les bailleurs qui voyaient s’éloigner le risque d’interdiction de location. Mais pourquoi une note si basse ? Pourquoi pas C ou même B ? Les travaux réalisés dans ces appartements ont été maximisés ; on ne pouvait pas faire mieux compte tenu des contraintes d’espace et de règlement de copropriété.
Par ailleurs, dans l’un des appartements, alors que nous avions presque terminé le chantier, nous avons installé un radiateur basse consommation de 1.000 W, en attendant la livraison des deux autres, commandés (pour un meilleur confort thermique) mais livrés avec retard. A lui tout seul, cet unique radiateur réussissait à chauffer toute la pièce d’une surface au sol de 45 m² sous combles, de surcroît avec un grand volume, en étant seulement allumé aux heures les plus froides de la journée. L’isolation était donc excellente. Les logements bénéficiant de la note « C » consomment entre 111 et 180 kwh/m²/an. J’ai fait les calculs : le studio allait consommer environ 60 kwh/m²/an car le radiateur fonctionnerait la moitié de l'année, 12h / jour en moyenne...
Pour obtenir une meilleure note, sans doute aurait-il fallu installer une pompe à chaleur, très bien notée par le logiciel du DPE, mais quasi impossible à installer dans une copropriété !
3. Un audit de l’émission de gaz à effet de serre prenant en compte des paramètres « hors logement »
La deuxième échelle du DPE qui concerne la quantité d’émission de gaz à effet de serre a abouti à une note « B » sur le dernier studio mentionné. C’est bien, mais, là encore, pourquoi pas « A », compte tenu du fait qu’il émet 0 gaz à effet de serre, avec les radiateurs électriques ? L’explication est sans doute à chercher du côté d’un calcul qui prendrait en compte des paramètres extérieurs au logement, c'est-à-dire l'énergie primaire produite en France, puisque lui-même n’émet pas de CO². Le DPE intègre-t-il les émissions de gaz à effet de serre produites par les centrales nucléaires qui servent à faire fonctionner les radiateurs électriques ? Pas très juste pour le propriétaire qui n’est pas personnellement responsable de celles-ci...
Ma préconisation pour rendre les notes de DPE plus conformes à la réalité
Avant 2021, l’ancien DPE était basé sur les consommations réelles sur factures, mais était aussi source d’erreurs. Conscient des problèmes liés au DPE, accentués pour les petites surfaces, Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, a annoncé le 31 janvier 2024 une nouvelle révision de son mode de calcul pour les logements de moins de 40 m². Une consultation publique a été lancée pour une modification programmée en juillet prochain.
L’une des solutions pourrait être de faire un DPE probatoire théorique, après travaux, et remettre à jour le DPE un an après le premier, afin de constater, sur factures, la réelle isolation du logement sur un cycle entier de 4 saisons, un peu comme une contre-visite de contrôle technique automobile. Nul doute que la note remonterait pour un certain nombre de logements ! Etant ingénieur de formation, on m’a toujours appris que le plus beau modèle théorique ne fonctionne que s’il est confronté à la réalité expérimentale !
Comme pour tous les logiciels examinés par les incompétents des gouvernements, ils répondent à une qualité 'Gretamoilescouilles'. C'est pour çà qu'ils [analyseurs et analysés] sont choisis
Des « méga camions » débarquent bientôt sur les routes européennes
Le Parlement européen a voté en faveur de la révision de la directive « Poids et dimensions », autorisant potentiellement la circulation des « méga camions » dans toute l’Union européenne. Cette mesure divise, suscitant l’espoir d’une transition écologique pour certains, tandis que d’autres y voient une menace pour la sécurité et l’environnement.
le 13 mars 2024 à 9h12
Des camions pesant jusqu'à 60 tonnes pourront bientôt rouler sur les routes d'Europe.
La France est opposée à la circulation de « méga camions » Le vote, le 12 mars 2024, du Parlement européen en faveur de la circulation des « méga camions » jusqu'à 25 mètres de long et 60 tonnes marque une étape significative dans la révision des normes européennes de transport routier. Avec 330 voix « pour » et 207 « contre », cette décision vise principalement à encourager le développement des véhicules électriques ou à hydrogène, en augmentant le poids maximal autorisé pour favoriser ces technologies plus lourdes. Cependant, elle soulève des inquiétudes quant à l'impact environnemental et sécuritaire de tels véhicules sur les routes européennes. Des figures politiques comme Karima Delli et Manon Aubry ont exprimé leur mécontentement, voyant dans cette mesure un « contresens climatique » et un danger pour la sécurité routière.
La France, par la voix de son ministre des Transports Patrice Vergriete, a réaffirmé son opposition à la libéralisation de la circulation de ces véhicules, mettant en avant la priorité du transfert modal vers le ferroviaire. La controverse ne se limite pas aux préoccupations environnementales et de sécurité ; elle touche également la compétitivité du transport ferroviaire, menacée par cette compétitivité accrue du transport routier. La direction de DB Cargo et l'Alliance 4F ont ouvertement critiqué la directive, craignant qu'elle n'engendre une concurrence déloyale pour le fret ferroviaire, déjà confronté à d'importants défis.
« Méga camions » : vers une impasse ou une solution de compromis ? Alors que la balle est désormais dans le camp des États membres, avec des négociations à venir qui pourraient redéfinir les conditions d'application de cette directive, la France et d'autres pays expriment leurs réserves. L'objectif de décarbonation des transports affiché par le Green Deal européen se heurte à la réalité complexe des enjeux de sécurité, d'environnement et de concurrence entre modes de transport. Le futur des « méga camions » dans l'UE reste incertain, pendu aux résultats des négociations tripartites et à la position finale des États membres, dans un contexte où les tensions entre vision écologique et réalités économiques et sociales sont palpables.
Cette décision ouvre non seulement un débat crucial sur l'avenir du transport en Europe mais soulève également des questions essentielles sur la capacité de l'UE à harmoniser les besoins en matière de mobilité, d'écologie et de sécurité.
Avec ses centaines de millions d'immigrés 'réfugiés climatique' !! le nombre de camions sur les routes a doublé :! triplé ! quadruplé ! puis multiplié par 10, par 15 puis... par 20 !!
Mix générationnel, ou la nécessité d’une collaboration intentionnelle et inclusive en entreprise
Le paysage professionnel français est en perpétuelle mutation, évoluant au rythme de la cohabitation des génération X, Y, Z et des baby-boomers. Chacune de ces générations apporte un ensemble distinct de compétences, de perspectives et d’expériences, créant ainsi une mosaïque complexe et dynamique.
le 13 mars 2024 à 4h30
Pour 77% des employeurs et responsables RH, le télétravail est devenu une carte à jouer pour attirer et fidéliser les générations Z
Dans ce contexte évolutif, la nécessité d’une collaboration intergénérationnelle se dessine comme un impératif majeur, mettant en lumière l’importance croissante d’une intentionnalité accrue et d’une communication efficace pour relever les défis inhérents aux disparités générationnelles.
La dynamique de la collaboration intergénérationnelle La collaboration harmonieuse des différentes générations au sein des entreprises souligne la volonté collective des acteurs professionnels d’embrasser la diversité des expériences, des compétences et de perspectives. Ces alliances intergénérationnelles se révèlent être une clé essentielle pour le développement personnel des individus ainsi que pour l’amélioration des résultats collectifs.
Parallèlement, d’après une récente étude1, l’attitude positive des décideurs à l’égard de la formation délibérée d’équipes diversifiées confirme non seulement la nécessité, mais également les avantages concrets qui émergent de la constitution de groupes de travail représentatifs de différentes générations. Cette approche proactive des décideurs, surtout chez les générations X et Y, reflète la compréhension grandissante de l’impact positif de la diversité générationnelle sur les dynamiques organisationnelles. Les retombées positives incluent l’augmentation de la créativité, une résolution de problèmes plus efficace et une meilleure adaptation aux changements constants du monde professionnel. Ainsi, la collaboration intergénérationnelle émerge comme un pilier fondamental, propulsant les équipes vers un avenir professionnel dynamique et innovant.
Importance des interactions directes et défis de communication
Toujours selon la même étude, les interactions en personne au sein des équipes multigénérationnelles jouent également un rôle essentiel. Cette valorisation de la communication directe va au-delà d’une simple préférence, elle se traduit par des bénéfices tangibles pour la cohésion et l’efficacité au sein des équipes.
La planification de réunions intentionnelles, au-delà de son rôle de synchronisation des tâches, se révèle être une opportunité précieuse pour renforcer les liens sociaux. Ces rencontres régulières, lorsqu’elles sont bien orchestrées, agissent comme des moments privilégiés pour favoriser la compréhension mutuelle et encourager la collaboration intergénérationnelle. L’échange d’idées et d’expériences dans un cadre formel contribue à une intégration profonde des membre d’une équipe, transcendant les barrières générationnelles.
Cependant, pour maximiser l’impact des interactions en personne, il est tout aussi crucial de cultiver des liens sociaux à travers des échanges informels. Les rencontres décontractées et les échanges spontanés, loin d’être des aspects négligeables, sont des catalyseurs essentiels pour stimuler la créativité et renforcer le tissu social de l’équipe. Les moments informels favorisent une atmosphère propice à l’échange d’idées non conventionnelles, créant ainsi un environnement propice à l’innovation.
Malgré ces avantages, des défis de communication persistent, et les employés et décideurs n’ont pas la même perception de l’efficacité de la communication interne. Comment combler cet écart ? En adoptant une approche plus inclusive dans la planification des stratégies de communication. Encourager des canaux de communication variés, adaptés aux préférences de chaque génération, peut contribuer à réduire cet écart et à renforcer l’efficacité globale de la communication interne.
Adopter le changement par la collaboration
La participation des employés à la conduite du changement organisationnel émerge comme un indicateur essentiel de la vitalité d’une entreprise. Les employés ont un désir manifeste de contribuer activement à l’évolution de leur organisation. Cependant, des disparités générationnelles existent dans cette volonté de participation, soulignant la nécessité d’une approche adaptée.
Il est aujourd’hui nécessaire pour les organisations d’aller au-delà de la simple reconnaissance du désir de participation et d’encourager activement la collaboration à travers des structures et des politiques inclusives. La création de mécanismes formels tels que des plateformes de feedback, des groupes de travail intergénérationnels et des sessions de brainstorming inclusives peut catalyser la collaboration et l’innovation organisationnelle.
L’importance d’une approche de collaboration inclusive se révèle essentielle dans la création d’environnements de travail innovant et harmonieux. Cette approche transcende la simple cohabitation des générations pour englober une compréhension approfondie des besoins spécifiques à chaque groupe. Les entreprises qui investissent dans la création d’un environnement où chaque génération se sent valorisée et entendue peuvent bénéficier d’une productivité accrue, d’une créativité stimulée et d’une satisfaction professionnelle renforcée.
Ainsi, l’adoption du changement par la collaboration ne se limite pas à la mise en œuvre de nouvelles technologies ou de nouveaux processus. Elle repose sur la construction de ponts entre les générations au sein de l’entreprise. Cette démarche inclusive et intentionnelle détient le potentiel de créer des espaces de travail résilients, adaptatifs et prêts à prospérer dans le futur.
“Mix de générations au travail”, rapport YouGov pour Atlassian, novembre 2023
Avec l'arrivée plus que massive d'étrangers en entreprises (indépendantes ou celles d'Etat !) le public s'est vite aperçu du 'paquet de merde' que cela représentait ! Ils ne savent rien !: Rien de chez rien !:
Pour de nombreuses personnes dans le monde, la religion joue un rôle important dans leur vie quotidienne, tandis que d’autres adoptent des idées laïques. Selon une enquête Statista Consumer Insights réalisée entre avril 2022 et mars 2023, bon nombre des pays les plus religieux au monde se trouvent en Afrique et au Moyen-Orient. Pourtant, parmi les pays inclus dans l'enquête, les pays asiatiques, le Pakistan et l'Indonésie, ainsi que l'Égypte, ont obtenu les scores les plus élevés, avec 99 % de tous les adultes du groupe d'âge interrogé professant une religion.
Le pays le plus laïc de l’enquête était la Chine, avec seulement 22 % de la population adulte déclarant suivre une religion. Ce chiffre n’est pas surprenant étant donné que la foi religieuse a été marginalisée sous le communisme dans le pays. D’autres pays relativement laïcs en Asie comprennent le Vietnam, le Japon, la Corée du Sud et Hong Kong.
En Europe, la République tchèque (27 % suivent une religion) est le pays qui compte le moins de personnes se déclarant croyantes – un fait qui est également en partie lié au passé communiste du pays. Plus à l’est de l’Europe, la religion n’a pas été autant étouffée malgré un passé socialiste – par exemple en Roumanie, en Serbie ou en Lituanie, mais aussi en Russie. La Pologne, patrie du célèbre pape Jean-Paul II, montrait également plus de tendances religieuses que nombre de ses voisins d’Europe occidentale. À l’ouest du continent, l’Irlande était la plus religieuse, tandis qu’en Europe du Sud, la religion était la plus répandue en Grèce, en Italie et au Portugal.
Le Pérou était le seul pays interrogé sur le continent américain avec plus de 80 pour cent déclarant suivre une religion. La plupart des autres pays – à l’exception du Canada – ont néanmoins obtenu des résultats systématiquement élevés en matière de foi religieuse, avec peu de différence entre le Nord et le Sud.
D'où l'émergence significative dans l'économie des pays cités.
De 20 à 39 % avec une religion en Chine, 40 à 59 % en Australie, Canada, France, 60 à 79 % en USA, Russie, Espagne, Italie, 80 à 99 % dans une minorité comme l'Inde, Pérou, Marc, Afrique du Sud.
Une étude révèle que les véhicules électriques polluent l'environnement 1 850 fois plus que les voitures à essence
03/12/2024 Ava Grace
Une étude a révélé que les véhicules électriques polluent l’environnement au moins 1 850 fois plus que leurs homologues fonctionnant aux combustibles fossiles.
L'étude de 2022 de la société indépendante de test et de recherche sur les émissions mondiales basée au Royaume-Uni, Emissions Analytics, a révélé que, au cours d'un trajet de 1 000 miles (1609,34 km), les véhicules électriques rejettent 1 850 fois plus de polluants dans l'environnement que leurs homologues à essence en raison du poids plus lourd qu'ils consomment. à travers les pneus des véhicules électriques.
Lorsqu’ils parlent d’émissions, la plupart ne considèrent que la fumée et les autres polluants crachés par les voitures à partir de leurs gaz d’échappement. Mais l’usure des pneumatiques joue également un rôle important dans l’émission de polluants. Le caoutchouc synthétique utilisé pour créer les pneus contient certains produits chimiques qui sont rejetés dans l’air, et les véhicules électriques sont nettement plus lourds que les voitures conventionnelles en raison de leurs énormes batteries au lithium. (En relation : EV COLLAPSE : les concessionnaires automobiles rejettent désormais les livraisons de véhicules électriques en raison des faibles ventes.)
Dans l’ensemble, les véhicules électriques pèsent environ 30 % de plus que les véhicules à essence et coûtent des milliers de plus à fabriquer et à acheter. Ces problèmes s’ajoutent au fait qu’ils ne conviennent pas aux climats plus froids comme ceux du Canada et du nord des États-Unis. Ils offrent également une faible autonomie et de longs temps de charge, en particulier par temps froid, et disposent de batteries qui nécessitent d'énormes ressources à fabriquer et sont difficiles à recycler.
Cette révélation intervient alors que de plus en plus de gouvernements locaux et nationaux à travers le monde s’apprêtent à interdire ou à limiter sévèrement la vente de nouvelles voitures à essence au cours de la décennie à venir, malgré les déficiences technologiques très évidentes des voitures électriques.
Le Canada prévoit déjà d'exiger que toutes les nouvelles voitures et camions vendus dans le pays soient électriques d'ici 2035. La Californie travaille à une interdiction tout aussi complète de la vente de tous les nouveaux véhicules à essence dans l'État d'ici 2035.
Les voitures plus lourdes rejettent davantage de microplastiques dans l’environnement Hesham Rakha, professeur à Virginia Tech, a noté que les pneus des véhicules électriques, en raison de leur poids supplémentaire, émettront également davantage de microplastiques dans l'air. Mais cela est également vrai pour les voitures plus lourdes utilisant des combustibles fossiles comme les SUV.
Cela concorde avec un précédent rapport d'Emissions Analytics de 2022 qui avertissait les consommateurs que les voitures plus grosses et plus lourdes, qu'elles soient à combustibles fossiles ou électriques, contribuent davantage « à la pollution marine par les microplastiques, ainsi qu'à la pollution de l'air causée par des particules plus fines ».
Rakha et une équipe de chercheurs de Virginia Tech sont en train de confirmer les résultats de l'étude d'Emissions Analytics. Il s’attend à ce que les véhicules électriques émettent environ 20 % plus de microplastiques dans l’air que les véhicules à essence.
Bien que Rakha ait noté qu'il est très difficile de déterminer la différence entre la quantité de microplastiques émis par les bandes de roulement des pneus des véhicules électriques et celle des véhicules à essence, en raison de la nécessité de séparer les microplastiques déjà présents dans l'air des autres sources avec ce qui sort de l'air. pneus.
Rakha a en outre noté que les personnes envisageant d'acheter un véhicule électrique doivent se rappeler que « cela génère également beaucoup de dioxyde de carbone lors de la recharge de votre véhicule ».
Les batteries des véhicules électriques pèsent environ 1 000 livres et peuvent entraîner des émissions de pneus près de 400 fois supérieures à celles des tuyaux d’échappement.
La pollution par les particules provenant des véhicules électriques peut également augmenter le risque de problèmes de santé, notamment de maladies cardiaques, d’asthme, de maladies pulmonaires et, dans les cas extrêmes, peut même conduire à une hospitalisation, à un cancer ou à un décès prématuré.
Grâce à votre généreux soutien, nous construisons l'infrastructure de la liberté humaine et faisons activement don de notre technologie à des éditeurs indépendants, des auteurs et des organisations d'enseignement à domicile. Découvrez notre projet d’IA non commercial révolutionnaire ici. Soutenez nos efforts continus pour préserver et améliorer les connaissances humaines en achetant sur HealthRangerStore.com.
Regardez ce clip de Fox Business dans lequel l'homme d'affaires canadien Kevin "Mr. Wonderful" O'Leary explique à quel point la promotion des véhicules électriques par Biden est beaucoup trop coûteuse.
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
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Ford perd des milliards sur les véhicules électriques et réduit son objectif de production de véhicules électriques.
Les voitures électriques polluent 1 850 fois plus que les véhicules à carburant, selon une étude
L’étude Emissions Analytics de 2022, basée au Royaume-Uni, a révélé qu’après avoir parcouru 1 000 miles avec une voiture à essence et une voiture électrique, le nombre de particules collectées par le véhicule électrique était bien plus élevé que celui de la voiture à essence.
Par Anthony Murdoch Actualités du site de vie 14 mars 2024
Une étude de 2022 a révélé que les véhicules électriques (VE) que les gouvernements de gauche au Canada, aux États-Unis et ailleurs imposent à la population polluent à un taux bien plus élevé que leurs homologues à essence ou diesel.
L’étude de 2022 du groupe Emissions Analytics basé au Royaume-Uni a révélé qu’au cours d’un trajet de 1 000 miles, les véhicules électriques rejettent 1 850 fois plus de polluants dans l’environnement que les véhicules à essence, en raison du poids plus lourd qui ronge les pneus.
Alors que beaucoup pensent aux émissions provenant des gaz d’échappement, l’usure des pneus joue un rôle important dans l’émission de polluants. Le caoutchouc synthétique utilisé pour créer les pneus contient certains produits chimiques qui sont rejetés dans l’air, et parce que les véhicules électriques sont nettement plus lourds que les voitures conventionnelles en raison des énormes batteries au lithium.
Dans l’ensemble, les véhicules électriques pèsent environ 30 % de plus que les véhicules à essence et coûtent des milliers de plus à fabriquer et à acheter. Ces problèmes s'ajoutent au fait qu'ils ne conviennent pas aux climats plus froids (comme le Canada et le nord des États-Unis), qu'ils offrent une faible autonomie et de longs temps de charge (surtout par temps froid), et qu'ils disposent de batteries qui nécessitent d'énormes ressources pour être fabriquées et utilisées. sont difficiles à recycler.
Le gouvernement du Canada sous la direction du premier ministre Justin Trudeau et le gouvernement des États-Unis sous la direction du président Joe Biden espèrent interdire, ou limiter sévèrement, la vente de nouvelles voitures à essence après 2035 malgré ces lacunes. L’UE (Union européenne) a également mis en place un mandat EV pour la même année.
Le ministre canadien de l'Environnement, Steven Guilbeault, a annoncé juste avant Noël la « Norme de disponibilité des véhicules électriques ». Il s’agit d’un plan qui exigera que toutes les nouvelles voitures et camions soient électriques d’ici 2035, ce qui interdirait en fait la vente de nouveaux véhicules à essence ou diesel après cette année.
Cependant, toutes les provinces canadiennes ne sont pas à bord du train EV.
En janvier, LifeSiteNews a rapporté comment le ministre de l'Énergie de l'Alberta a critiqué la Société Radio-Canada (CBC), financée par le gouvernement fédéral, pour avoir publié un rapport affirmant que les voitures électriques sont mieux à même de gérer le froid que les voitures à essence, tout en étant confrontées à un froid extrême. La crise a frappé une grande partie de l'Ouest canadien et a failli provoquer l'effondrement du réseau électrique de l'Alberta en raison de sa dépendance accrue à l'égard des énergies dites renouvelables.
Lorsque les écologistes parlent de réensauvagement, ils ne parlent pas seulement des parcs, des zones humides et d’autres environnements déjà majoritairement naturels. Ils désignent également votre ferme, et même votre maison, sans parler de l'ensemble du commerce et de l'industrie tels qu'ils occupent actuellement le paysage.
Les pouvoirs en place ont le sentiment qu’eux seuls méritent de vivre. Vous et votre famille devez disparaître pour pouvoir agrandir les habitats naturels et créer un nouvel environnement semblable à celui d’un jardin d’Éden pour leur propre plaisir – sans que vous y soyez.
"Afin de garantir que ni les agriculteurs ni les membres du public n'empiètent sur les terres qui ont été réservées au réensauvagement (et le premier programme de réensauvagement a été introduit par l'Union européenne il y a quelques années dans le cadre d'un programme appelé "mis de côté". ) des animaux sauvages sont relâchés", prévient Coleman.
« Aujourd'hui, la plupart des agriculteurs voient leurs problèmes comme le résultat de la stupidité, de l'ignorance ou d'une incapacité à comprendre leurs besoins. Mais ce qui leur arrive n'a rien à voir avec la stupidité, l'ignorance ou l'incapacité à comprendre – tout cela est délibéré et tout à fait normal. de sang-froid. De plus en plus de pays européens dépendent désormais des importations pour la plupart de leurs approvisionnements alimentaires et énergétiques. Et la plupart de nos aliments seront fabriqués dans des usines appartenant à des milliardaires.
La connaissance humaine est attaquée ! Des efforts mondiaux concertés visent à anéantir la base de connaissances existante de l’humanité sur la nutrition, les herbes, la médecine naturelle, l’immunité naturelle, l’histoire, la science et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Notre objectif est de défendre et de préserver les connaissances humaines tout en donnant aux individus les moyens de contourner la censure de destruction des connaissances actuellement imposée par les entreprises, les gouvernements et l’OMS. Découvrez notre projet AI / LLM gratuit et non commercial ici. Aidez-nous à soutenir nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments, des superaliments, des suppléments nutritionnels et des produits de soins personnels testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Prix de l’électricité : le gouvernement roule les Français dans la farine
Le gouvernement croule sous les critiques. Après la colère des agriculteurs, c’est au tour des associations de consommateurs d’élever leurs voix. UFC-Que Choisir et CLVC ont publié un communiqué, mardi 5 mars 2024, dans lequel elles dénoncent la politique énergétique du gouvernement, et plus particulièrement le cadre régulatoire qui lie EDF à l’État, qu’elles jugent obsolète et défavorable aux Français.
le 7 mars 2024 à 18h10
Le bénéfice d'exploitation d'EDF en 2023 était de 13,2 milliards d'euros.
Prix de l'électricité : les associations demandent au gouvernement de « revoir sa copie » Depuis 2022, les Français ont vu leur facture d'électricité augmenter de près de 40 %. La dernière augmentation date du mois de février 2024 et varie entre 9,8 % et 8,6 % selon les types de contrat. Et depuis deux ans, nous ne comptons plus les déclarations du gouvernement qui justifie ces augmentations successives par la guerre en Ukraine. Mais est-il réellement exempt de toute responsabilité ? Loin de là. C'est du moins ce que dénonce le communiqué de presse conjoint des associations de consommateurs UFC-Que Choisir et CLCV.
Selon ces dernières, les Français payent leur électricité bien plus cher qu'ils ne le devraient. « Comment accepter que les prix de l’électricité sur les marchés internationaux représentent plus de la moitié des coûts d’approvisionnement de l’électricité payée par les consommateurs français, alors que l’électricité consommée en France est produite quasi intégralement dans notre pays (94,6 %) ? Que la production domestique est largement décarbonée, et assurée majoritairement par des moyens de production dont les installations sont amorties de longue date ? » s'interrogent, à juste titre, les deux associations. Pour UFC-Que Choisir et CLCV, il n'y a pas de quiproquo. Ce n'est pas la guerre en Ukraine qui est responsable de la flambée de facture d'électricité des Français, mais bien le cadre régulatoire imposé par le gouvernement qui lie EDF à l'État, et qui exposent de manière « artificielle » les consommateurs à la volatilité des prix internationaux. Pour le dire autrement : l'État contraint EDF à vendre son électricité sur le marché international, elle a même battu son record d'exportation en décembre 2023, alors qu'elle pourrait la vendre à des prix bon marché aux Français.
Pour une régulation plus juste du marché français
UFC-Que choisir et CLVC ont en ligne de mire le prochain projet de régulation qui est actuellement en cours de négociations entre EDF et le gouvernement. Celui-ci sera effectif en 2026, soit un peu moins d'un an après la fin du bouclier tarifaire. Les associations des consommateurs souhaitent ainsi faire pression sur le gouvernement afin que ce dernier les intègre dans le processus de négociation. Pour UFC-Que Choisir et CLCV, le projet de régulation envisagé par le gouvernement est « inflationniste » et poursuivrait les hausses massives et injustifiées des prix de l'électricité. Selon ces dernières, ce mécanisme ne redistribuerait les bénéfices aux consommateurs qu'à partir d'un seuil fixé à 78 €/MWh, ce qui est « totalement déconnecté des coûts réels de la filière nucléaire ».
Les associations des consommateurs proposent par ainsi la création d'un service public de l'électricité qui aurait pour objectif de garantir aux consommateurs un prix juste, basé sur les coûts réels de production de l'électricité nucléaire et hydraulique du pays.
La gigantesque usine Tesla attaquée en Allemagne, non pas par des fans d'essence, mais par des extrémistes écologistes de gauche
Par Jo Nova March 8th, 2024
Les militants du Vulkangruppe (Volcano Group) ont revendiqué la responsabilité du sabotage d'un pylône qui alimentait en électricité la Gigafactory Tesla en Allemagne. L’usine qui fabrique un demi-million de véhicules électriques par an a dû fermer mardi et renvoyer 12 000 travailleurs chez eux. Environ 2 000 foyers locaux ont également perdu l’électricité.
L'électricité pourrait ne pas être rétablie avant le 17 mars et Pierre Goslin de NoTricksZone rapporte que la facture est désormais estimée à « plus d'un demi-milliard d'euros ».
Apparemment, les écologistes radicaux pensaient que mettre le feu à un tas de pneus au pied d'une tour à haute tension était un moyen de libérer la forêt et les travailleurs de la tyrannie capitaliste.
Sabotage de Tesla en Allemagne Peu de temps après, une organisation connue sous le nom de Volcano Group (Vulkangruppe) a revendiqué l'incendie en ligne. "Nous avons saboté Tesla aujourd'hui", a déclaré le groupe environnemental d'extrême gauche dans une lettre ouverte accusant également le PDG de Tesla, Elon Musk, d'être un "techno-fasciste".
La lettre continue en critiquant les implications de Tesla dans la conduite du capitalisme prédateur, de l’exploitation des travailleurs, de la dégradation de l’environnement et des technologies de surveillance modernes, ce qui explique pourquoi. L’objectif déclaré était de « mettre Tesla à genoux ».
Pour une raison quelconque, les groupes de médias n’ont pas fait beaucoup d’histoire à ce sujet. Si les pétroliers de droite brûlaient des infrastructures critiques, cela ferait la une de 1 000 chaînes.
L’incendie criminel était en grande partie un acte terroriste prémédité. Le Vulkangruppe a écrit un essai de 2 500 mots sur l’horreur de Tesla parce qu’elle « consommait à la fois des ressources naturelles et du travail et n’était ni écologique ni durable ».
En effet, The Guardian affirme que les véhicules électriques sont attaqués parce qu'ils ne sont peut-être pas très écologiques :
Les voitures électriques sont de plus en plus attaquées par les militants écologistes, en particulier parce qu'elles craignent que leur production entraîne des émissions plus élevées que la fabrication de voitures à moteur à combustion interne et que la production et la recharge des batteries de voitures électriques constituent un fardeau environnemental. Lors d’attaques ciblées en Europe, notamment en Allemagne, les pneus des voitures électriques ont été crevés ou dégonflés.
C’est un aveu intéressant de la part des éditeurs du Guardian, environ dix ans trop tard. Et ils n’ont pas vraiment beaucoup de preuves. Ils incluent un lien vers les tailleurs de pneus qui ciblaient spécifiquement les SUV pour une « action climatique », mais lors de ces incidents, les seuls pneus de voitures électriques qui ont été crevés l’ont été par accident.
Les habitants du Brandenberg ont protesté contre le projet d'agrandissement de l'usine Tesla, qui nécessiterait la coupe de 100 hectares de forêt. Mais selon un fan de Tesla, les forêts que les terroristes veulent sauver sont de toute façon des arbres de plantation et non des forêts indigènes.
Ce sont soit les écoterroristes les plus stupides de la planète, soit les marionnettes de ceux qui n’ont pas de bons objectifs environnementaux. Arrêter la production de véhicules électriques, plutôt que de véhicules à combustibles fossiles, est extrêmement stupide.
C’est ce qui arrive lorsque les médias promeuvent des mensonges politiques unilatéraux et étouffent les voix sensées pendant 20 ans. Il se pourrait donc bien qu’il s’agisse de fous hippies locaux. Mais n’oublions pas qu’il existe des acteurs étrangers qui vendent des véhicules électriques concurrents et parlent le langage du marxisme. Ils pourraient gagner à liquider la foule locale d’Antifa.
PAR TYLER DURDEN LUNDI 11 MARS 2024 - 14H50 Par Daniel Munch du Farm Bureau
Entre 2017 et 2022, le nombre d'exploitations agricoles aux États-Unis a diminué de 141 733, soit 7 %, selon le recensement de l'agriculture de 2022 de l'USDA, publié le 13 février. Les superficies exploitées par les exploitations agricoles au cours de la même période ont diminué de 20,1 millions (2,2 %). , une perte équivalente à une superficie de la taille du Maine. Seulement 1,88 % des acres exploitées et 1 % des exploitations agricoles étaient classées sous une structure agricole corporative non familiale.
Mené tous les cinq ans, le Recensement de l'agriculture recueille des données sur l'utilisation et la propriété des terres, les caractéristiques des producteurs, les pratiques de production, les revenus et les dépenses. L'USDA définit une ferme comme une exploitation qui a produit et vendu, ou aurait normalement vendu, 1 000 $ ou plus de produits agricoles au cours de l'année de recensement.
Alors que le nombre d'exploitations agricoles et de superficies exploitées a diminué, la valeur de la production agricole a augmenté, passant de 389 milliards de dollars en 2017 à 533 milliards de dollars en 2022 (40 % en valeur nominale et 17 % corrigée de l'inflation). Ces chiffres mis à jour mettent en évidence la tendance continue selon laquelle moins d’exploitations exploitent moins d’acres de terre mais produisent davantage chaque année.
En plus des données du recensement agricole, l'USDA publie une fois par an des estimations basées sur des enquêtes sur le nombre d'exploitations agricoles. En utilisant les données de cette enquête annuelle remontant à 1950, la tendance selon laquelle moins d’exploitations cultivent moins d’acres devient encore plus évidente. Depuis 1950, le nombre d’exploitations agricoles a diminué de 3,75 millions (66 %) et le nombre d’acres cultivés de 323 millions (27 %), soit un peu moins de deux fois la superficie du Texas. Les progrès technologiques qui ont augmenté la productivité, tels que les taux de conversion alimentaire du bétail et le rendement par acre des cultures, ont permis aux agriculteurs et aux éleveurs de produire plus avec moins, alors même que la population américaine a plus que doublé, passant de 159 millions en 1950 à 340 millions en 1950. 2023, et la population mondiale a plus que triplé (de 2,5 milliards à 8 milliards) au cours de la même période.
Entre 2017 et 2022, tous les États sauf cinq (Alaska, Delaware, Iowa, Maryland, New Jersey et Rhode Island) ont perdu leurs fermes. Le Texas a enregistré la perte numérique la plus importante – près de 18 000 exploitations agricoles – suivi de l'Oklahoma (-8 153) et du Missouri (-7 433). L'Iowa a gagné le plus d'exploitations agricoles (+807), suivi de loin par l'Alaska (+183). En termes de pourcentage de perte d'exploitations agricoles, le Nouveau-Mexique a connu la plus forte baisse (-16,2 %), suivi de l'Arizona (-12,5 %) et du Wyoming (-11,7 %). Le gain de 183 fermes de l’Alaska a constitué la plus forte augmentation en pourcentage, soit 18,5 %. Bien que la présence de tendances régionales en matière de pertes d’exploitation agricole semble limitée, les conditions de sécheresse qui ont frappé une grande partie de l’Ouest en 2021 et 2022 pourraient être responsables, en partie, des pourcentages de pertes agricoles plus élevés dans ces États. Dans tous les États qui ont gagné des fermes, la plupart étaient dans la catégorie des ventes dépassant 1 million de dollars, sauf en Alaska où les gains les plus importants ont été enregistrés dans les fermes gagnant entre 5 000 et 50 000 dollars.
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Zone exploitée
Le recensement de 2022 indique également une baisse d’un peu plus de 20 millions d’acres (2,2 % du total) - 8 093 712 ha - des superficies exploitées. Le Colorado est en tête en termes de déclin numérique, avec 1,6 million d'acres de moins cultivés en 2022 par rapport à 2017, suivi du Texas (-1,56 million) et de l'Oklahoma (-1,26 million). Seuls trois États, l’Alabama, l’Alaska et le Rhode Island, ont vu leur superficie exploitée augmenter. En pourcentage de baisse, la carte des superficies exploitées est très différente. Hawaï est en tête avec une perte de 7,2 % de la superficie exploitée, suivi de la Virginie et du Maine qui ont tous deux connu une perte de 6,3 % et de Washington une perte de 5,6 % entre 2017 et 2022. Les comtés de l'Ouest ont connu les plus grandes variations de la superficie exploitée, probablement liées à la taille même des comtés avec une proportion importante de terres ouvertes et non aménagées.
Même une diminution mineure des superficies cultivées peut avoir un impact significatif sur l’identité rurale des États dotés de superficies plus petites et de taux de développement commercial et résidentiel plus élevés. Plus les terres sont retirées de la production agricole, plus il est difficile de les rendre à l’agriculture. La diminution de la capacité de production au sein de certains États et régions accroît la dépendance à l’égard des achats en provenance d’autres États ou pays. Par exemple, Hawaï est confrontée à une situation unique, avec une capacité de production et de stockage alimentaire tout juste suffisante pour subvenir à ses besoins pendant sept jours, exacerbée par une perte de 7 % des terres activement cultivées au cours des cinq dernières années. En Nouvelle-Angleterre, sur la base du poids, les agriculteurs produisent seulement environ 21 % de la quantité de nourriture consommée par les États (une partie de cette quantité étant destinée à des acheteurs extérieurs). Les chercheurs ont estimé que pour atteindre 30 % d’autosuffisance alimentaire, les six États de la Nouvelle-Angleterre devraient maximiser l’utilisation de 401 000 acres sous-utilisés et défricher 588 000 acres supplémentaires. Au lieu de cela, les acres exploitées en Nouvelle-Angleterre ont chuté de 145 000 entre 2017 et 2022. Dynamique de la réglementation locale, pressions et coûts liés à l'utilisation des terres, et variations des intérêts culturels (suite)
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Même une diminution mineure des superficies cultivées peut avoir un impact significatif sur l’identité rurale des États dotés de superficies plus petites et de taux de développement commercial et résidentiel plus élevés. Plus les terres sont retirées de la production agricole, plus il est difficile de les rendre à l’agriculture. La diminution de la capacité de production au sein de certains États et régions accroît la dépendance à l’égard des achats en provenance d’autres États ou pays. Par exemple, Hawaï est confrontée à une situation unique, avec une capacité de production et de stockage alimentaire tout juste suffisante pour subvenir à ses besoins pendant sept jours, exacerbée par une perte de 7 % des terres activement cultivées au cours des cinq dernières années. En Nouvelle-Angleterre, sur la base du poids, les agriculteurs produisent seulement environ 21 % de la quantité de nourriture consommée par les États (une partie de cette quantité étant destinée à des acheteurs extérieurs). Les chercheurs ont estimé que pour atteindre 30 % d’autosuffisance alimentaire, les six États de la Nouvelle-Angleterre devraient maximiser l’utilisation de 401 000 acres sous-utilisés et défricher 588 000 acres supplémentaires. Au lieu de cela, les acres exploitées en Nouvelle-Angleterre ont chuté de 145 000 entre 2017 et 2022. La dynamique de la réglementation locale, les pressions et les coûts d’utilisation des terres, ainsi que les variations des intérêts culturels contribuent à l’évolution du paysage agricole, l’éloignant souvent des centres de population.
Les données du nouveau recensement agricole permettent également d'analyser le nombre d'exploitations agricoles et la superficie exploitée par classe économique ainsi que la valeur marchande des produits agricoles vendus. Les classes de ventes économiques sont définies en additionnant les ventes de produits agricoles et les paiements de programmes gouvernementaux ; et la valeur marchande des produits agricoles vendus représente la valeur marchande brute avant taxes et dépenses de production de tous les produits agricoles vendus ou retirés d'une exploitation en 2022. Entre 2017 et 2022, le nombre de fermes dans la classe économique de 0 $ à 4 999 $ a connu la plus forte baisse, de 120 970 (13 %), suivie de la catégorie 5 000 $ - 49 000 $, qui a perdu 32 215 opérations (5 %). La catégorie des fermes d'une classe économique de plus d'un million a augmenté de 28 566 opérations (36 %). Le nombre d’exploitations agricoles appartenant aux classes économiques inférieures a diminué plus rapidement que celui des classes économiques supérieures. Cela dit, la majeure partie de la production agricole est générée par des exploitations agricoles appartenant aux classes économiques supérieures. En 2017, 69 % de la valeur des produits agricoles vendus provenaient d'exploitations agricoles de la classe économique de plus d'un million de dollars. En 2022, ce chiffre est passé à 79 % (Figure 8).
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Les agriculteurs et les éleveurs sont actuellement confrontés aux dépenses de production les plus élevées jamais enregistrées, en plus de réglementations locales, étatiques et fédérales de plus en plus complexes et d'une concurrence croissante des marchés étrangers à moindre coût. Ces dynamiques réduisent les marges des producteurs et ont souvent un impact plus important sur les exploitations agricoles des classes économiques inférieures. Les exploitations agricoles qui en sont capables s’agrandissent souvent pour capitaliser sur les économies d’échelle, un concept ancré dans l’efficacité souvent gagnée à mesure que la production augmente. Les grandes exploitations agricoles peuvent bénéficier d’une réduction des coûts unitaires grâce à l’achat en gros d’intrants, à des opérations rationalisées et à un pouvoir de négociation accru avec les fournisseurs. La mécanisation et la technologie moderne, qui entraînent souvent des coûts initiaux substantiels, sont plus justifiables économiquement pour les opérations de plus grande envergure, augmentant ainsi encore la productivité. Sans surprise, les dernières données du recensement soulignent que les exploitations qui effectuent de tels investissements ont tendance à mieux s’en sortir. Notamment, les fermes des classes économiques de 0 $ à 4 999 $ et de 5 000 $ à 49 999 $, qui constituent plus de 70 % du total des fermes, dépendent souvent de sources de revenus alternatives. Ceux de la catégorie économique de 0 à 4 999 $, en particulier, sont plus susceptibles d'être des exploitations agricoles qui participent à l'agriculture pour leurs loisirs ou par intérêt personnel plutôt que pour dépendre de leur revenu. La baisse des opérations dans ces catégories peut être liée au coût associé au soutien d’une activité secondaire qui n’est peut-être plus durable mais a un impact limité sur la production alimentaire nationale totale.
L'USDA indique également le nombre de fermes et d'acres exploitées par type de ferme. Cette section du rapport présente les différentes structures de propriété des exploitations agricoles et comprend : les sociétés familiales, les déclarations familiales et individuelles, les sociétés de personnes, les sociétés (à l'exclusion des sociétés familiales) et « autres » qui comprennent les entités institutionnelles, de recherche, de réserve et autres entités propriétaires. Les déclarations familiales et individuelles, les sociétés de personnes et les sociétés familiales représentaient 97 % (1,884 million) de toutes les exploitations agricoles en 2022 (contre 97,2 % en 2017). Les sociétés autres que familiales représentaient 1 % (18 960) de toutes les fermes et la catégorie « autres » représentait les 2,2 % restants (37 480) fermes.
L’analyse en termes de superficie gérée par ces types d’exploitation permet de mieux comprendre la proportion de production agricole dans la catégorie. En 2022, les dépôts familiaux et individuels, les partenariats et les sociétés familiales représentaient 91 % (801 millions) de toutes les superficies exploitées aux États-Unis. Les dépôts familiaux et individuels représentaient à eux seuls 58 % de la superficie exploitée (en légère baisse par rapport à 60 % en 2017). Les sociétés non familiales représentaient 2 % (16,6 millions) des superficies exploitées, contre 1,4 % en 2017. Les « autres » entités exploitaient 7,1 % (62,4 millions) des superficies exploitées en 2022, dont une grande partie était concentrée dans les États occidentaux avec des atterrir dans les réserves amérindiennes. L’écrasante majorité des terres agricoles aux États-Unis continue d’être exploitée par des structures de propriété familiales. Par État, Hawaï avait le pourcentage le plus élevé de superficies exploitées par des sociétés non familiales (28,5 %), suivi du Rhode Island (17,3 %) et de la Floride (7 %). En Alaska et au New Hampshire, aucune superficie agricole n’était gérée par des sociétés non familiales.
Le Recensement de l'agriculture de 2022 fournit un aperçu approfondi du paysage agricole américain au cours des cinq dernières années. Avec une perte de 141 733 exploitations agricoles, soit une baisse de 7 %, et une réduction de 20,1 millions d’acres cultivés, soit l’équivalent de la taille du Maine, le secteur agricole a été confronté à des changements importants. Bien que les données montrent une consolidation continue des exploitations agricoles en un nombre réduit d’exploitations plus grandes, elles mettent également en évidence la capacité d’adaptation des agriculteurs et des éleveurs. Malgré le nombre réduit d'exploitations agricoles et la réduction des superficies, la valeur de la production agricole a augmenté de 40 % (17 % en dollars corrigés de l'inflation), pour atteindre 543 milliards de dollars en 2022. Cette augmentation de la productivité souligne l'impact des progrès technologiques et des gains d'efficacité, permettant aux agriculteurs de produire plus avec moins de ressources. L’ampleur des changements n’est pas uniforme d’un État à l’autre, le Sud-Ouest connaissant un pourcentage de perte d’exploitations agricoles beaucoup plus élevé que les États à l’est du Mississippi. Les défis auxquels sont confrontées les exploitations agricoles de toutes tailles ont suscité des appels en faveur d'un projet de loi agricole solide et complet qui pourrait soutenir les exploitations les plus à risque et celles qui fournissent la part du lion de l'approvisionnement alimentaire américain, aidant à la fois à faire face aux incertitudes économiques et aux complexités réglementaires. , pour adopter des pratiques innovantes et durables et pour promouvoir la viabilité à long terme d'un paysage agricole diversifié à travers le pays. Le Recensement de l’agriculture dresse le portrait de ce que nous avons perdu et de ce que nous pourrions perdre encore sans un soutien ferme.
Un ingénieur transforme un drone à 115 $ en une arme pilotée par l'IA qui pourrait être utilisée pour chasser et tuer des gens
13/03/2024 Richard Brown
Le concept autrefois farfelu de drones assassins pilotés par l’intelligence artificielle est passé du domaine de la science-fiction à une réalité déconcertante, comme l’a démontré l’ingénieur et entrepreneur Luis Wenus.
À l’aide d’un drone relativement bon marché à 115 dollars, Wenus l’a habilement transformé en « drone d’assassinat » grâce à l’intégration de la technologie de reconnaissance faciale de l’IA. (Connexe : une frappe de drone israélien assassine le chef adjoint du Hamas à Beyrouth.)
Bien qu'il ait initialement présenté la création comme faisant partie d'un jeu, Wenus a franchement reconnu son intention profonde de sensibiliser au potentiel alarmant d'exploitation d'une telle technologie pour des attaques terroristes.
Wenus a présenté les capacités du drone alimenté par l'IA dans une vidéo publiée sur X, dans laquelle l'appareil, armé d'un modèle de détection d'objets, identifiait de manière autonome les visages et poursuivait les individus reconnus. Alors que Wenus a présenté la technologie sous couvert d'une activité récréative, la démonstration a pris une tournure qui donne à réfléchir, révélant les dangers potentiels du drone.
Le mode « drone d'assassinat » ciblait de manière sélective des individus spécifiques connus du système d'IA, soulignant les applications préoccupantes de ces technologies.
Bien que Wenus ait souligné que le drone présenté lui-même représentait un danger limité, sa préoccupation majeure s'étendait aux risques plus larges associés à la technologie. Il a souligné la facilité avec laquelle de tels dispositifs pourraient être créés, présentant la possibilité inquiétante de déployer de petits drones chargés d'explosifs en essaims.
Des drones autonomes déjà utilisés dans le conflit en Ukraine
Cette révélation intervient à un moment où les drones autonomes sont déjà utilisés à des fins militaires dans des conflits géopolitiques, renforçant encore l’urgence de mesures réglementaires.
Les drones de taille modeste chargés d’explosifs ont déjà un impact significatif dans le contexte du conflit ukrainien.
Les opérateurs ukrainiens exploitent les drones disponibles dans le commerce et installent des grenades, des mortiers et d’autres engins explosifs pour créer des armes puissantes. Ces drones, contrôlés par des opérateurs humains, ont démontré une efficacité remarquable dans le ciblage et la neutralisation de divers moyens militaires, depuis les troupes individuelles jusqu'aux chars et bunkers.
La distinction cruciale réside dans la surveillance humaine directe de ces drones, par opposition à la perspective potentiellement plus inquiétante d’essaims autonomes contrôlés par l’IA.
Si ces drones à commande humaine suscitent des inquiétudes, le véritable péril réside dans l’émergence potentielle d’essaims de drones autonomes, rentables et simples à produire, déployés sur des théâtres militaires ou des espaces publics.
Wenus a exprimé une sombre prédiction, prévoyant que dans les prochaines années, il pourrait y avoir une attaque terroriste tirant parti de la technologie des drones autonomes. Wenus souligne la facilité croissante de construction de ces appareils, les rendant accessibles aux personnes possédant des connaissances techniques de base.
Le spectre des essaims de drones autonomes ne se limite pas à la spéculation, puisque la Defense Advanced Research Project Agency (DARPA) serait en train de développer une arme d’essaim de drones autonomes multi-domaines adaptatifs en essaims (AMASS).
Alors qu'elle est encore au stade de la planification, la DARPA a lancé un processus de passation de marchés avec des offres pouvant atteindre 78 millions de dollars.
La réalité préoccupante, comme le souligne Wenus, est l’absence de systèmes anti-drones dédiés aux événements importants et aux espaces publics. Cela souligne la nécessité urgente de développer et de mettre en œuvre des technologies anti-drones spécifiquement adaptées aux zones civiles afin d’atténuer les menaces potentielles posées par ces dispositifs autonomes.
À mesure que les progrès technologiques se déroulent, les efforts visant à se prémunir contre les applications malveillantes doivent également progresser, garantissant l’intégration responsable et sécurisée des appareils basés sur l’IA dans la société.
Grâce à votre généreux soutien, nous construisons l'infrastructure de la liberté humaine et faisons activement don de notre technologie à des éditeurs indépendants, des auteurs et des organisations d'enseignement à domicile. Découvrez notre projet d’IA non commercial révolutionnaire ici. Soutenez nos efforts continus pour préserver et améliorer les connaissances humaines en achetant sur HealthRangerStore.com.
Regardez cette vidéo montrant une colonne russe ravagée par des drones ukrainiens.
Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com.
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Les pays qui coupent le plus Internet
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 MARS 2024 - 11H55
Dans de nombreux pays, la mesure drastique consistant à couper Internet est utilisée en réponse à des troubles réels ou potentiels. Les fermetures se produisent généralement lorsqu'une personne (généralement un gouvernement) perturbe intentionnellement Internet ou les réseaux sociaux. Cette mesure a été largement critiquée comme étant une restriction trop drastique de la liberté d'expression et une atteinte à la vie quotidienne des gens, surtout si elle vise à étouffer la dissidence.
Comme le rapporte Katharinia Buchholz de Statista, la révolution égyptienne de 2011 et l'échec du coup d'État militaire turc de 2016 sont d'excellents exemples de coupures d'Internet utilisées de cette manière.
En Inde – le pays qui coupe le plus l’accès à Internet – les coupures se sont par le passé concentrées au Cachemire et au Rajasthan, où elles ont été utilisées lors de manifestations (et de manière préventive lorsque des manifestations étaient attendues), mais aussi lors d’examens. En 2023, les tensions ethniques dans l’État de Manipur ont conduit aux fermetures les plus ciblées mises en œuvre par le gouvernement.
Tous les blocages et coupures d'Internet en Inde en 2023 ont touché environ 59 millions de personnes (sur 1,5 milliard de personnes - soit 25,42 %) pour un total de près de 8 000 heures – le plus élevé au monde une fois combinés selon Top10VPN. En Éthiopie, au Myanmar et en Iran, la répression de la dissidence, des protestations et, en un instant, de l’Église orthodoxe, a provoqué des heures de blocage d’Internet presque aussi longues.
- voir graph sur site -
Infographie : Les pays qui coupent le plus Internet | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Partout dans le monde, les coupures d’Internet et les ralentissements délibérés sont redevenus plus courants.
Compte tenu de l’importance d’Internet dans la vie de tous les jours, en limiter l’accès peut avoir des conséquences financières.
En Russie, en Éthiopie et au Myanmar, le nombre et la durée des fermetures deviennent très coûteux. Top10VPN a constaté qu'environ 1 350 heures d'indisponibilité intentionnelle d'Internet et de blocages ciblés en 2023 ont coûté 4 milliards de dollars à l'économie russe.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/countries-shutting-down-internet-most
L'origine réelle n'est pas clairement expliquée. Mais il est à noter qu'un pays de 1,5 milliard habitants ne se gère pas comme une épicerie !! (et que l'information n'est pas empêchée de circuler malgré tout).
RépondreSupprimerLe stratagème de la gestion de chaque pays dépend du dictateur en place. Soiil y a 1,5 milliarde personnes informée qui s'activent dans la recherche (çà fait du monde !), soit il y a un pays où l'information occupe le plus grand bien pour la population à l'exemple de la Chine (1,5 milliard habitants).
ALERTE Piratage France Travail : 43 millions de Français touchés
RépondreSupprimerOn pensait que le pire piratage de l’année 2024 avait déjà eu lieu, avec l’attaque, réussie, contre les entreprises spécialisées dans le tiers-payant pour les mutuelles. Mais la nouvelle mouture de Pôle Emploi, France Travail, a fait mieux. Ce sont quasiment 2 Français sur 3 qui ont vu leurs données personnelles être volée par des pirates informatiques. Et pas des moindres : les données sont complètes et en nombre impressionnant.
le 14 mars 2024 à 6h58
En 2024, l'État versera 1,25 milliard d'euros au nouvel opérateur qu'est France Travail.
France Travail commence l’année par un piratage d’une ampleur inédite
Alors que le plein emploi s’éloigne pour la France, comme l’a confirmé la Banque de France le 12 mars 2024, le remplaçant de Pôle Emploi, France Travail, fait l’objet d’un piratage d’une ampleur exceptionnelle. Selon les informations diffusées par l’organisme lui-même, ce sont 43 millions de personnes qui sont touchées. Certaines estimations font même monter ce nombre à 48 millions. Sur une France qui compte environ 68 millions d’habitants, le calcul est vite fait : les données personnelles de deux Français sur trois sont dans la nature.
Pire : France Travail prévient qu’il existe effectivement un risque de divulgation des données volées, ce qui laisse penser qu’elles pourraient être mises à disposition d’autres pirates informatiques via des forums de vente et d’échange sur le dark web, par exemple.
France Travail : un piratage qui a duré… un mois ?
Selon les informations fournies par France Travail, le piratage a duré un mois. Repérée la semaine du 11 mars 2024, elle aurait été perpétrée « entre le 6 février et le 5 mars ». Un temps suffisant pour les pirates pour exfiltrer sans trop de problèmes les données personnelles des Français. « Ce qui est perturbant, c’est une déclaration tardive et un vol très significatif en termes de volume. Qu’il n’ait pas été détecté révèle que le hacker était très probablement en place depuis un moment pour effectuer une exfiltration aussi significative », analyse de son côté Frans Imbert-Vier, PDG d’Ubicom, spécialiste des conseils en cybersécurité.
France Travail confirme en outre que l’attaque a utilisé la technique dite « Man on the Middle » qui consiste à usurper l’identité d’une personnes ayant des accès aux données personnelles pour en faire une copie.
« Cette attaque n’est pas préparée pour le lendemain, elle a nécessité une mise en place discrète et techniquement efficace pour échapper aux contrôles supposés de l’administration. Dans la recomposition de Pôle Emploi en France Travail, il y a eu un renouvellement de prestataires et une augmentation des risques », souligne Frans Imbert-Vier.
France Travail : 20 ans de données personnelles volées en quelques semaines
Comment les pirates ont pu obtenir les données personnelles de plus de 40 millions de Français alors qu’officiellement on compte environ 6 millions de chômeurs en France ? Simple. Le pirate aurait eu accès aux données personnelles vieilles de 20 ans.
« La base de données qui aurait été extraite de façon illicite contient les données personnelles d’identification des personnes actuellement inscrites, des personnes précédemment inscrites au cours des vingt dernières années ainsi que des personnes non inscrites sur la liste des demandeurs d’emploi mais ayant un espace candidat sur francetravail.fr », explique l’organisme.
Comprendre : si dans les 20 dernières années vous avez été dans le système de Pôle Emploi, pour quelque raison que ce soit, vos données ont été volées. Une situation absurde qui pose la question de la conservation des données personnelles aussi longtemps : quel usage pouvait bien avoir France Travail des données personnelles des chômeurs de 2009 ? De 2012 ?
Une menace... signalée il y a un mois ?
RépondreSupprimerIl semblerait, de plus, que France Travail ne soit pas du tout réactifs aux alertes qui lui sont signalées par les spécialistes de la cybersécurité et les pirates WhiteHat. S'il est impossible d'assurer que le twittos Bluetouff, de son vrai nom Olivier Laurelli, a identifié la faille utilisée dans ce piratage, force est de constater qu'il a prévenu France Travail de problèmes de sécurité... et qu'il n'a pas reçu de retours. Or, son signalement date du 24 février 2024..
Piratage : quelles données ont été volées ?
La situation se complique encore plus lorsqu’on regarde le détail des données volées. « Compte tenu des investigations techniques menées, les données personnelles d’identification exposées sont les suivantes : nom et prénom, date de naissance, numéro de Sécurité sociale, identifiant France Travail, adresses mail et postale et numéros de téléphone », écrit l’organisme. Des données qui pourraient permettre des attaques par usurpation d’identité, évidemment, et du phishing.
Mais, surtout, des données qui peuvent permettre d’obtenir des documents encore plus importants permettant de réaliser une usurpation d’identité dans la vie réelle, créant aux victimes des problèmes du quotidien qu’il est extrêmement difficile de résoudre. Certaines victimes d’usurpation d’identité se retrouvent avec des crédits à leur nom, des amendes voire des soucis judiciaires… et le traitement des dossiers est long et compliqué.
France Travail après Almerys et Viamedis : les Français sont menacés de toutes parts
La confirmation de l’attaque France Travail arrive un peu plus d’un mois après celle ayant touché les prestataires de tiers-payant Almerys et Viamedis qui avaient permis de voler les données de plus de 33 millions de personnes. 33 millions en février 2024, 43 millions en mars 2024… autant dire que les Français sont très menacés et doivent rester sur leurs gardes.
D’autant plus qu’ils ne peuvent pas faire grand-chose. Dans les deux attaques, Cybermalveillance.gouv.fr a mis à disposition une « lettre-plainte » en ligne. Les potentielles victimes sont invitées à remplir les formulaires, ne serait-ce que pour que l’administration ait une trace.
Pour déposer une plainte concernant le piratage de France Travail c’est par ici : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/lettre-plainte-suite-a-la-fuite-de-donnees-france-travail
Pour déposer une plainte concernant le piratage d’Almerys et Viamédis c’est par ici : https://www.demarches-simplifiees.fr/commencer/lettre-plainte-suite-a-la-fuite-de-donnees-viamedi-almerys
Le coût du blocage d’Internet
RépondreSupprimerpar Katharina Buchholz,
12 mars 2024
En limitant puis en bloquant l’accès aux sites de médias sociaux et aux médias à la suite de son invasion de l’Ukraine, la Russie a provoqué les blocages d’Internet les plus coûteux de 2022 et 2023. C’est selon la société technologique Top10VPN. Le service estime le coût économique de l'année écoulée à 4 milliards de dollars, alors qu'il avait coûté plus de 21 milliards de dollars dans le pays entre l'invasion de l'Ukraine en février 2022 et la fin de cette année. Étant donné que les blocages s'étendent à l'échelle nationale, le grand nombre de 113 millions de personnes concernées entraîne un prix élevé.
Le coût estimé de la restriction d'Internet place la Russie devant l'Éthiopie, deuxième au classement, où l'année dernière les tensions religieuses autour de la pratique dans les langues locales ont conduit à des coupures d'Internet visant l'église orthodoxe du pays, le gouvernement ayant exprimé son soutien au nouveau synode dissident. Près de 30 millions de personnes ont été touchées par cette catastrophe, pour un coût économique de 1,6 milliard de dollars. Le Myanmar arrive en troisième position en raison des coupures d'Internet qui ont supprimé la dissidence au niveau régional dans les États de Chin, Kachin, Kayah, Magway et Mandalay, ainsi que de la restriction de l'accès au réseau social X (anciennement Twitter) depuis le dernier coup d'État du pays en 2021. Les coûts économiques de cette situation ont atteint près de 1 dollar. milliards l’année dernière.
Le Myanmar est également le pays qui a coupé Internet le plus longtemps en 2023 : près de 19 000 heures. Toutefois, les blocages ciblés à long terme n’ont touché qu’environ 24 millions de personnes. En additionnant les heures de blocages et de coupures et le nombre de personnes affectées, c'est l'Inde qui a le plus restreint l'accès à Internet l'année dernière, avec plus de 470 milliards d'heures d'utilisation (59 millions de personnes affectées pendant près de 8 000 heures), lorsque le gouvernement a utilisé les pannes pour apaiser les troubles civils au niveau local, principalement à Manipur. État.
La répression des manifestations en faveur des droits de l’homme a également entraîné des pannes généralisées en Iran l’année dernière. Le Pakistan a bloqué l'accès à Internet pendant quatre jours après l'arrestation de l'ancien Premier ministre Imran Khan et a également restreint les médias sociaux - pour une population de plus de 80 millions d'internautes, propulsant le pays dans la liste des coupures d'Internet les plus coûteuses. L'Irak et l'Algérie ont utilisé l'année dernière des blocages d'Internet pour lutter contre la tricherie aux examens, mais le recours à cette pratique dans la région du Kurdistan irakien a soulevé des questions.
- voir graph sur site :
https://www.statista.com/chart/23864/estimated-cost-of-internet-shutdowns-by-country/
Google prévoit de développer des systèmes d'IA spécifiquement pour l'application de la CENSURE
RépondreSupprimer03/12/2024
Ava Grâce
Le PDG de Google, Sundar Pichai, s'est récemment adressé au public mécontent de son chatbot alimenté par l'intelligence artificielle, Gemini, pour son parti pris politique. Il s'est engagé à développer davantage les systèmes d'IA de l'entreprise spécifiquement pour lutter contre les fausses nouvelles.
En d’autres termes, Google utilisera davantage l’IA à des fins de censure.
En abordant la controverse entourant Gemini, Pichai a déclaré qu'il comprenait que certaines de ses réponses aient offensé les utilisateurs et fait preuve de parti pris.
"Pour être clair, c'est totalement inacceptable et nous nous sommes trompés", a-t-il déclaré. Notamment, cette déclaration n'aborde pas le fait que les préjugés de Google sont visibles au public depuis des années et étaient particulièrement répandus à partir d'août 2017, lorsque Pichai a licencié un employé de Google nommé James Damore pour avoir écrit une note de 10 pages critiquant la diversité et l'équité de l'entreprise. et les politiques d’inclusion, ou DEI. (Connexe : Google a mis à jour sa politique de confidentialité afin de pouvoir utiliser toutes vos données pour entraîner l'IA.)
Le parti pris de Google s’est également manifesté lors d’une réunion à tous après l’élection de Donald Trump à la présidence en 2016.
"Je trouve certainement cette élection profondément offensante", avait alors déclaré le cofondateur de Google, Sergey Brin. "Et je sais que beaucoup d'entre vous le font aussi."
Un dirigeant de Google a failli se mettre à pleurer en racontant que Trump avait gagné. "C'était un énorme coup de pied dans le ventre que nous allions perdre", a-t-elle déclaré. "Et c'était vraiment douloureux."
Pichai a adopté un ton politique plus neutre par rapport à ses collègues. "Nous sommes dans un système démocratique", a-t-il déclaré. "Je pense qu'une partie de la raison pour laquelle le résultat a été tel est [parce que] les gens ne se sentent pas entendus des deux côtés."
Google va développer l'IA pour contrôler la parole en ligne
Un employé de Google proche de Pichai aurait suggéré après la victoire de Trump qu'il avait gagné grâce à la "désinformation" et aux "fausses nouvelles provenant de sites Web de fausses informations partagées par des millions d'électeurs peu informés sur les réseaux sociaux", a déclaré Pichai, rappelant la conversation avec le employé. Il a ajouté qu’il pensait que l’IA pouvait être utilisée pour contrer cette soi-disant désinformation.
"Je pense que nos investissements dans l'apprentissage automatique et l'IA constituent ici une grande opportunité", a-t-il déclaré, avant d'ajouter que Google manipule peut-être déjà les résultats de recherche pour décourager la soi-disant désinformation.
"Il existe de très nombreux endroits où nous classons [les résultats de recherche]", a-t-il admis. "Nous faisons des choses de manière algorithmique… comprenons certaines des choses qui se produisent et corrigeons le cap."
RépondreSupprimerPichai a souligné qu'il y aurait une solution technologique aux informations qui, selon les dirigeants de Google, avaient conduit à la victoire de Trump.
"C'est un problème d'échelle et de ne pas pouvoir suivre le rythme. Les systèmes humains échouent dans beaucoup de ces domaines. Je pense donc qu'investir davantage dans l'apprentissage automatique et l'IA pourrait être un moyen de réellement progresser", a déclaré Pichai.
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Regardez ce sketch de "Catch Up" présentant un portrait satirique d'un porte-parole de Google répondant aux critiques concernant Gemini.
Cette vidéo provient de la chaîne The Prisoner sur Brighteon.com.
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Les sources incluent :
Public.Substack.com
ZeroHedge.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-12-google-to-develop-ai-systems-for-censorship.html
Vers des nanoréseaux térahertz internes sensibles à la localisation avec récupération d'énergie
RépondreSupprimer16 février 2024
Résumé
- voir schéma sur site -
— Les réseaux sans fil à l’échelle nanométrique devraient révolutionner une variété de domaines, avec des avancées significatives envisageables dans les 'soins de santé corporels'. Dans le domaine de la santé, ces nanoréseaux consisteront en des nano-dispositifs récupérateurs d'énergie circulant
passivement dans la circulation sanguine, prenant des mesures à certains endroits et communiquant
les résultats à des nœuds de réseau corporel (BAN) plus puissants. En supposant une telle configuration et une nano-communication électromagnétique dans les fréquences Terahertz (THz), nous proposons une architecture de réseau capable de prendre en charge la localisation fine des nano-nœuds corporels récupérant l'énergie, ainsi que leur communication bidirectionnelle avec le monde extérieur. Les principales nouveautés de notre proposition résident dans l'introduction de paradigmes de nano-communication sans fil basés sur la localisation et basés sur la radio de réveil (WuR), ainsi que de méta-matériaux définis par logiciel (SDM), dans les nanoréseaux corporels de collecte d'énergie THz. Nous soutenons que, à un niveau élevé, l'architecture proposée peut gérer (et bénéficie réellement) d'un grand nombre de nano-nœuds, tout en gérant simultanément une courte plage de propagation du THz dans le corps et des nano-nœuds hautement contraints.
Termes de l'index : nanoréseaux corporels, térahertz, ultrasons, métamatériaux définis par logiciel, localisation, récupération d'énergie
INTRODUCTION
Les développements récents en nanotechnologie mettent en lumière des dispositifs de taille
nanométrique qui permettront une variété d’applications révolutionnaires. Les soins de santé
corporels font partie des nombreux domaines intéressants dans lesquels la nanotechnologie devrait
être bénéfique.
La nanotechnologie devrait permettre la détection des virus et des bactéries au niveau moléculaire,
l'administration de médicaments de haute précision, la surveillance ciblée et la neurochirurgie [1].
Pour permettre de telles applications, des nano-dispositifs comprenant un nanoréseau corporel
circuleront dans la circulation sanguine, prendront des mesures sur des commandes à des
emplacements cibles et communiqueront les résultats à un réseau corporel (BAN) plus puissant [2],
[3].
Compte tenu de la petite taille de ces nano-dispositifs, la récupération de l'énergie environnante (par
exemple, à partir des courants sanguins) devrait être leur seule option d'alimentation [4]. En raison de
leur énergie limitée et de leurs minuscules facteurs de forme, ces nano-dispositifs devraient circuler
passivement, c'est-à-dire sans possibilité de direction mécanique vers l'emplacement ciblé.
Pour prendre en charge le contrôle des nano-dispositifs lorsqu’ils atteignent leurs emplacements
cibles, il est intuitivement nécessaire de connaître leur emplacement actuel. Il existe également un
besoin de communication entre le monde extérieur (c'est-à-dire BAN) et le nano-dispositif (par
exemple, pour émettre des commandes de contrôle), ainsi qu'entre le nano-dispositif et le monde
extérieur (par exemple, pour fournir les lectures de l'appareil).
L’un des outils de communication prometteurs dans un tel scénario consiste à utiliser des signaux
électromagnétiques dans les fréquences térahertz (THz).
En effet, la communication dans ces fréquences permet d'utiliser de minuscules facteurs de forme
RépondreSupprimerd'émetteur-récepteur, condition essentielle pour les nano-dispositifs intégrés au corps.
Cependant, la bande THz a ses particularités, liées principalement à des pertes de diffusion et
d'étalement élevées. Combiné aux ressources de calcul et de stockage limitées, à la faible portée de
propagation du THz dans le corps (c'est-à-dire de l'ordre de 1 cm) et à l'alimentation limitée des nano-
nœuds reposant uniquement sur la récupération d'énergie [3], la communication entre le BAN et les
intra nano-nœuds corporels ne sont actuellement pas clairs.
Les principaux défis comprennent i) l'atténuation de la forte atténuation de la propagation du THz dans
le corps, ii) le maintien d'un profil énergétique et d'une complexité des nano-dispositifs faibles, tandis
que iii) la prise en charge d'une évolutivité du réseau sans précédent, et iv) la possibilité d'une
localisation fine des nano-nœuds - une exigence pour de nombreuses applications envisagées [5].
Les efforts de recherche actuels dans cette direction sont rares et se concentrent principalement sur
la résolution de certains des défis mentionnés ci-dessus.
En termes de localisation dans le corps, les approches existantes se concentrent sur une localisation à
gros grains, aboutissant à une détection de la région du corps dans laquelle se trouve un nano-nœud
[3], ce qui n'est pas suffisant pour certaines applications comme la neurochirurgie.
En termes de communication, les recherches actuelles se concentrent principalement sur les
protocoles de couche liaison basés sur l'accès aléatoire aux canaux et sur les protocoles de couche
réseau basés sur l'inondation, tous deux connus pour augmenter les interférences dans le système,
rendant les nanoréseaux envisagés avec un grand nombre de nano-nœuds irréalisables dans la
pratique. [5].
Enfin, de nombreuses approches supposent que, si les protocoles de nanoréseau sont soigneusement
conçus, les nano-nœuds récupérateurs d’énergie pourraient fonctionner en permanence, ce qui, selon
nous, est impossible en pratique.
Sur la base des lacunes identifiées ci-dessus, nous décrivons une architecture de réseau composée d'un BAN basé sur un méta-matériau défini par logiciel (SDM), d'un contrôleur de réseau basé sur
l'apprentissage automatique (ML) et d'un grand nombre de nano-nœuds récupérateurs d'énergie
circulant dans la circulation sanguine.
De plus, nous proposons une approche de haut niveau pour localiser les nano-nœuds à l'aide de
signaux THz sans avoir recours à des ancres de localisation implantées chirurgicalement, car la
procédure de localisation peut être basée sur l'utilisation uniquement des nœuds BAN basés sur SDM.
De plus, nous proposons l'utilisation d'une radio de réveil directionnelle à l'échelle nanométrique
(WuR) basée sur des ultrasons (pénétrant donc facilement dans le corps humain) pour le réveil basé
sur la localisation d'un ensemble souhaité de nano-nœuds uniquement.
Cela permet une nano-communication limitée par le bruit (contrairement aux interférences limitées)
entre les nano-nœuds et les nœuds BAN basés sur SDM, ce qui profite à son tour à la consommation
d'énergie des nano-nœuds.
Enfin, le contrôleur de réseau basé sur ML sert à estimer la qualité de la localisation, ainsi que les
RépondreSupprimerniveaux d'énergie des nano-nœuds, qui sont ensuite utilisés pour optimiser la sélection des nano-
nœuds à réveiller, ce qui entraîne une sélection optimisée des voies de communication entre les nano-
nœuds et le monde extérieur.
TABLEAU I : Résumé des exigences que les applications de soins de santé sont censées poser sur les
nanoréseaux de support [5]
- voir cadre sur site -
Figure 1 : Architecture de haut niveau
NANORÉSEAUX INTRA-CORPORELS SENSIBLES À LA LOCALISATION ET FONCTIONNANT EN
TERAHERTZ AVEC RÉCOLTE D'ÉNERGIE
Les auteurs de [5] discutent des exigences que les applications de soins de santé dans le corps sont
susceptibles de poser sur les nanoréseaux de support, qui sont résumées dans le tableau I en indiquant
si elles sont prises en compte dans ce travail. En gardant à l'esprit les exigences de conception,
l'architecture du réseau de haut niveau est représentée à la figure 1.
Un schéma fonctionnel des principaux composants d'un nano-dispositif est également représenté à la
figure 1.
Le nano-dispositif se compose d'un module permettant de récolter l'énergie environnementale, avec
le plus des approches prometteuses pour une telle récolte à l'échelle nanométrique basées sur des
cycles vibrationnels de nano-fils de ZnO générés par les courants sanguins ou les battements
cardiaques, ou le transfert de puissance par radiofréquence (RF) [4].
Le nano-dispositif comprend également des modules de calcul, de stockage de données et de prise en
charge des applications, comme indiqué sur la figure. Le support d'application peut être défini comme
des fonctionnalités de détection et/ou d'actionnement que le nano-dispositif est censé permettre, par
exemple la détection et la localisation de cellules cancéreuses (exemple de détection) ou la libération
ciblée de médicaments (exemple d'actionnement). Ces fonctionnalités sont bien établies dans la
littérature existante, avec plus de détails disponibles par exemple dans [6].
Dans le cadre de ces travaux, les modules les plus intéressants sont la radio THz pour la localisation et
la communication des données, et le WuR utilisé pour le réveil des nano-nodes. D'un point de vue
technologique, un émetteur-récepteur fonctionnant au THz peut être mis en œuvre à l'échelle
nanométrique en utilisant du graphène qui, pour les communications à faible portée, pourrait
théoriquement présenter des bandes passantes extrêmement élevées (de l'ordre de centaines de
gigahertz (GHz)) pour de courtes distances d'environ 1 cm [7].
Sur la couche physique, nous considérons l'utilisation de la programmation ON-OFF (TS-OOK), car il
RépondreSupprimers'agit d'un schéma de communication standard de facto pour la nano-communication dans les
fréquences THz. Dans TS-OOK, les impulsions très courtes (c'est-à-dire d'une durée de 100 fs)
représentent des « 1 » logiques, tandis que les « 0 » logiques sont représentés par des silences [8].
Le temps entre l'émission/réception de deux bits consécutifs d'un paquet est caractérisé par 𝛽𝛽 et
généralement beaucoup plus long (c'est-à-dire deux à trois ordres de grandeur) que la durée d'une
impulsion TS-OOK, qui est une caractéristique de TS-OOK permettant une transmission non
synchronisée avec un faible risque d'interférence. La modélisation de la consommation d'énergie dans
ce schéma a généralement été réalisée en attribuant une certaine énergie consommée à l'émission et
à la réception d'une impulsion TS-OOK. Cependant, on pourrait affirmer que, grâce aux approches de
réseau sans fil plus traditionnelles telles que les réseaux de capteurs sans fil (WSN), nous savons que
la consommation d'énergie de tout émetteur-récepteur sans fil est dominée par la transmission, la
réception et la marche au ralenti.
Cet argument a été exposé dans [9], où les auteurs considèrent l'énergie au ralenti dans la
consommation d'énergie globale d'un nano-node basé sur TS-OOK fonctionnant en THz, en plus des
énergies consommées en émission et en réception.
Ils montrent que ces nano-nœuds n’auront pour la plupart pas assez d’énergie pour la communication,
ce qui est le résultat direct du long temps d’inactivité 𝛽𝛽 entre l’émission/réception d’impulsions
consécutives ou le silence, ainsi que (plus important encore) du « long temps » (long expected time)
attendu entre l’émission/la réception d’impulsions consécutives ou le silence de réception de paquets
consécutifs pour le cas attendu de communication à faible débit.
Sur la base des travaux présentés dans [9], nous soutenons que les nano-nœuds récupérateurs
d'énergie devront rester endormis la plupart du temps afin de ne pas épuiser leurs niveaux d'énergie
au ralenti.
Par conséquent, il est intuitivement nécessaire de les réveiller lorsqu’ils sont nécessaires, ce qui ressort de notre conception d’un nano-dispositif (Figure 1) activé via le WuR.
Plus précisément, nous envisageons l’utilisation d’un WuR à l’échelle nanométrique basé sur les
ultrasons et, par conséquent, pénétrable par le corps humain.
La conception et la mise en œuvre d'un tel système ont été présentées dans [10], qui est basé sur un
transducteur piézoélectrique à ultrasons à l'échelle nanométrique (pNUT) générant un signal de
tension en captant les changements de pression dus aux ultrasons incidents.
Les auteurs démontrent que le WuR est capable de maintenir un transfert de données robuste sur une
portée de 0,5 m lorsqu'il fonctionne avec un signal porteur de 40 kHz modulé à 250 Hz, ce qui suffirait
intuitivement pour atteindre les nano-nœuds dans n'importe quelle région du corps humain. Avec ses
dimensions d’environ 100 μm × 100 μm × 150 nm, la radio ne peut pas être caractérisée comme un
appareil à l’échelle nanométrique.
Cependant, le ramener à l’échelle nanométrique est envisageable, étant donné qu’il est envisagé de
RépondreSupprimerl’utiliser pour réveiller les nano-nœuds et configurer leur mode de fonctionnement, contrairement à
une communication bidirectionnelle à grande échelle, technologiquement plus complexe, avec le
monde extérieur.
Figure 2 : Architecture des méta-matériaux définis par logiciel (SDM)
- voir cadre sur site -
Au niveau BAN, nous envisageons l'utilisation d'un SDM recouvrant le corps humain sous la forme d'un
textile intelligent.
Les méta-matériaux présentent des propriétés techniques qui peuvent être exploitées pour la
manipulation des ondes ultrasonores en profondeur (par exemple, réflexion, absorption, diffusion), à
la fois dans les champs proches et lointains [11].
SDM est un paradigme permettant un niveau de contrôlabilité considérablement plus élevé des
éléments méta-matériaux en temps réel, permettant leur réutilisation dans toutes les applications et
opérations [12].
Il convient de souligner que les SDM sont considérés comme des entités flexibles avec des possibilités
de flexion, d'étirement et de roulage [13].
Par conséquent, ils pourront être intégrés dans des textiles intelligents et opérationnels même en cas
de changements structurels, ce qui implique que l'architecture de réseau envisagée pourrait être
réalisable même dans le cas d'un environnement mobile (c'est-à-dire que la personne portant le
système n'aurait pas besoin d'être immobilisée).
Nous envisageons une architecture SDM telle que représentée sur la figure 2, dans laquelle le SDM est
utilisé i) pour contrôler les ondes ultrasonores afin de servir de signaux WuR focalisés pour réveiller les
nano-nodes dans le corps, ii) comme ancres pour la localisation des nano-nodes basée sur le THz., et
iii) comme relais de données entre les nano-nœuds et le contrôleur de réseau. Comme le montre la
figure, le SDM se compose de cellules unitaires, la communication entre les cellules étant activée via
une nano-communication basée sur le THz, ce qui est conforme à la littérature existante [12], [14].
Le même type de nano-communication THz est utilisé pour la communication et la localisation des
nano-nœuds dans le corps.
Les cellules unitaires sont censées servir d'ancrages potentiels pour la localisation des nano-nœuds
dans le corps (cf. Figure 2), elles devraient donc être soit fixées sur le corps immobilisé, soit (de manière plus réaliste) localisables les unes par rapport aux autres dans le cas d’un environnement à mobilité.
Notez que la mobilité dans ce contexte fait référence aux mouvements du corps humain qui
provoquent des étirements et des déformations du SDM.
Dans cette direction, il convient de souligner qu'il existe des approches précoces pour localiser en
interne les cellules unitaires, ce qui implique que les emplacements des nœuds BAN sur le corps
peuvent être dérivés même en cas de mobilité (14).
Enfin, notre architecture contient un contrôleur réseau avec des fonctionnalités prises en charge,
comme illustré dans la figure 1.
LOCALISATION DANS DES NANORÉSEAUX INTÉGRÉS DE RÉCOLTE D'ÉNERGIE
RépondreSupprimerFONCTIONNANT EN TERAHERTZ
L’objectif de la localisation est d’estimer l’emplacement des nano-nœuds intracorporels récoltant de
l’énergie fonctionnant au THz. A ce titre, la localisation peut être considérée comme la première phase (également obligatoire) du fonctionnement de l’architecture proposée. L'approche proposée pour permettre la localisation est fondée sur les travaux de Slottke [15] (n.b., une excellente thèse de
doctorat).
Dans [15], Slottke envisage un réseau de capteurs composé de centaines ou de milliers de micro-
nœuds sans fil de dimensions submillimétriques.
Pour une telle configuration, Slottke montre que les micro-nœuds peuvent être localisés avec précision
en utilisant un couplage inductif entre eux et les ancres.
Il démontre qu'une telle localisation peut être effectuée de manière itérative, de sorte que la « plage
» de localisation soit augmentée.
La localisation itérative implique d'abord de localiser les micro-nœuds proches de la peau (c'est-à-dire
là où il y a un nombre suffisant d'ancres de localisation), puis d'utiliser (certains des) micro-nœuds
nouvellement localisés comme ancres virtuelles dans les itérations suivantes.
Dans ce cas, un nombre relativement important d’ancres (réelles ou virtuelles), idéalement
positionnées, sont nécessaires pour maintenir de bonnes performances de localisation, ce qui pourrait
être irréalisable en pratique, affirme Slottke. Enfin, Slottke montre que la précision d’une telle
localisation itérative s’améliore avec l’augmentation de la densité du réseau.
Bien que l’approche décrite ne soit pas directement applicable à l’échelle nanométrique, elle fournit
plusieurs lignes directrices sur la manière dont une localisation à l’échelle nanométrique à l’intérieur
du corps humain pourrait être réalisée. Tout d’abord, il est important de réaliser que les nanoréseaux
dans le corps devraient être extrêmement denses pour de nombreuses applications envisagées (cela
pourrait également être considéré comme une exigence de conception pour notre système), ce qui
suggère que la précision de la localisation pourrait être très élevée.
Deuxièmement, bien que Slottke déclare que l'estimation du temps de vol (ToF) ne peut pas être
effectuée en raison de la nature à bande étroite des candidats de communication sans fil considérés
dans ses travaux, ce n'est pas le cas aux fréquences THz pour de petites distances de transmission
pouvant atteindre quelques centimètres.
En revanche, pour de telles distances et avec des antennes en graphène fonctionnant en THz, même
une nano-communication à l'échelle THz peut être réalisée [14].
Cela implique qu'une estimation ToF bidirectionnelle très précise entre les éléments méta-matériaux
et les nano-nœuds, ainsi qu'entre les nano-nœuds, peut être réalisée.
En supposant 1 THz de bande passante disponible, la résolution brute d'un tel échantillonnage
entraînerait une erreur de télémétrie de l'ordre du mm, ce qui se traduirait approximativement par
une précision de localisation du même ordre de grandeur, en supposant une localisation dans un
espace tridimensionnel (3D) et le nombre minimum requis d'ancres (c'est-à-dire quatre).
Notez que l’estimation ToF bidirectionnelle ne nécessite pas de synchronisation étroite entre les
appareils, ce qui serait complexe à réaliser pour la configuration considérée.
Notez également que, bien qu'une bande passante de 1 THz (impliquant une fréquence
d'échantillonnage comparable au niveau du nano-node) ne soit pas réalisable en pratique, différentes
approches existent pour l'échantillonnage ToF bidirectionnel qui peuvent atténuer cette limitation et
entraîner effectivement une erreur de télémétrie ToF bidirectionnelle qui pourrait être obtenu pour
l’échantillonnage fréquent THz (plus de détails dans [14]).
Figure 3 : Schéma de localisation itérative
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
L’argument de Slottke sur la nécessité d’un grand nombre d’ancres de localisation (idéalement
positionnées de manière optimale) justifie l’utilisation d’un SDM porté sur le corps contenant de telles
ancres.
L'utilisation de signaux THz basés sur le graphène dans le processus de localisation implique des tailles
d'émetteur-récepteur minuscules, ce qui implique que de nombreuses ancres de localisation
potentielles pourraient être intégrées dans le textile intelligent, offrant ainsi un degré de liberté sans
précédent dans l'optimisation de la localisation en termes de nombre et emplacements des ancres de
localisation.
Nous soutenons que les considérations ci-dessus illustrent le potentiel de la localisation basée sur le
THz, le ToF bidirectionnel et le SDM des nano-nœuds dans le corps.
La configuration de localisation envisagée est donnée dans la figure 3. Dans la première étape (non
représentée), les ancres basées sur SDM doivent être localisées, au cas où leurs emplacements ne
seraient pas fixes et connus.
Pour localiser les ancres, on peut utiliser l'approche de localisation proposée dans [14], qui est
comparable à celle décrite ici (c'est-à-dire trilatération bidirectionnelle basée sur ToF), les différences
étant l'environnement de propagation (espace libre vs intérieur du corps) et le caractère itératif de la
localisation.
Dans la deuxième étape, les ancres devraient effectuer une estimation ToF bidirectionnelle avec les
nano-nœuds, une fois que ces nano-nœuds sont réveillés à l’aide de WuR par ultrasons. Le réveil doit être effectué pour tous les nano-nœuds proches de la peau et donc en communication directe avec
plusieurs ancres.
Dans l’étape suivante, certains des nano-nœuds dont les emplacements sont désormais estimés
peuvent devenir des points d’ancrage « virtuels » dans la localisation des nano-nœuds plus
profondément à l’intérieur du corps tandis que d’autres peuvent devenir des relais de données vers le
monde extérieur, comme le montre la figure.
Intuitivement, les nano-nœuds devraient être réveillés afin i) d'être localisés, ii) de servir d'ancres
virtuelles dans la localisation, iii) de servir de relais dans la transmission des données au monde
extérieur (à la fois pour la localisation et la communication), et iv) pour servir les objectifs de
l'application (par exemple, lancer la détection ou l'actionnement et communiquer les résultats ou le
succès de ces actions).
Apparemment, ce niveau de contrôle à quatre états peut être atteint en transmettant des séquences
de signaux WuR soigneusement conçues.
- voir cadre sur site -
Figure 4 : Erreurs cumulées dans la localisation itérative
Défis ouverts sélectionnés
Nous affirmons que l'approche de localisation décrite aborde intuitivement les problèmes liés à une
faible plage de propagation du THz dans le corps dans l'hypothèse d'un nombre et d'une densité élevés d'ancres et de nano-nœuds.
Nous considérons que l'approche est adaptée aux nano-nœuds de récupération d'énergie,
principalement parce qu'elle est basée sur l'échange d'un petit nombre seulement d'impulsions TSOOK
et ne nécessite pas de synchronisation étroite entre les nanonœuds, ni entre les nano-nœuds et les
ancres.
Néanmoins, il reste des défis à résoudre afin de démontrer pleinement la faisabilité de l’approche
RépondreSupprimerproposée pour la localisation fine des nano-nœuds internes du corps fonctionnant au THz et
récupérant l’énergie.
Nous en abordons ci-dessous plusieurs, que nous considérons comme les plus importants.
Réponses multiples : Comme de nombreux nano-nodes sont attendus, leurs impulsions TS-OOK
retransmises presque simultanément devront être distinguées au niveau de l’ancre ou du contrôleur,
afin que les emplacements des nano-nodes puissent être estimés avec précision. Nous émettons
l’hypothèse que, à cet égard, la meilleure façon d’avancer est de considérer les reculs aléatoires, ainsi
que les contraintes de trilatération tenant compte du fait que tous les nano-nœuds se trouvent dans
le corps. En d’autres termes, le fait que le TS-OOK spécifie le paramètre 𝛽𝛽 beaucoup plus grand que la durée de l’impulsion pourrait être utilisé pour intégrer les retransmissions de plusieurs nano-nœuds
via un recul aléatoire. Par conséquent, les chances de réponses multiples peuvent être réduites dans
une certaine mesure, même si la question du nombre maximum de retransmissions pouvant être
distinguées dans la durée d’un 𝛽𝛽 reste ouverte. Notez que ce nombre doit être limité par la capacité
de distinguer le temps d'arrivée des impulsions TS-OOK retransmises, de sorte que les ancres soient
capables de distinguer deux réponses différentes en fonction du délai qui les sépare, en tenant compte
des différences minimales dans les temps d'attente et les temps nécessaires pour que les signaux se
propagent à travers le support. Dans le cas de plusieurs signaux qui ne peuvent pas être distingués en
fonction du délai entre eux (c'est-à-dire un recul aléatoire), on pourrait viser à estimer l'emplacement
des nano-nodes sur la base de toutes les combinaisons de signaux reçus par différentes ancres, et à
éliminer ceux-ci, qui sont estimés être à l’extérieur du corps (c’est-à-dire les contraintes de
trilatération).$
Performances de la localisation itérative : il est bien connu que les approches de localisation itératives
telles que celle décrite ci-dessus entraîneront des erreurs de localisation aggravées. Les erreurs
s'accumulent en fonction de l'augmentation du nombre d'itérations et donc également en fonction de
la distance entre les nœuds BAN et les nano-nœuds (Figure 4). Cela suggère que les performances de
localisation seront moins bonnes pour les parties les plus profondes du corps. Cependant, on ne sait
pas exactement dans quelle mesure les performances de l'approche se dégraderont, étant donné le
nombre sans précédent d'ancres et la densité de nano-nœuds dans le corps, ainsi que la quantité sans
précédent de bande passante disponible (ce qui suggère une localisation très précise lors de la
première itération, à son tour) suggérant également un faible niveau d’erreurs de localisation
cumulées). À cet égard, une quantification de la précision en fonction de la distance entre les ancres
et les nano-nœuds est nécessaire.
Si l’approche proposée ne parvient finalement pas à atteindre la précision postulée par les
RépondreSupprimerapplications, on pourrait recourir à l’introduction d’ancrages supplémentaires à des endroits
stratégiques à l’intérieur du corps. Bien que cela doive idéalement être évité, au cas où cela serait
nécessaire, la question reste ouverte de savoir où positionner ces ancrages, qui devraient être abordés simultanément du point de vue de la localisation (c'est-à-dire pour optimiser les performances de localisation) et du point de vue chirurgical (c'est-à-dire pour minimiser la complexité de l'intervention chirurgicale). Il est également intéressant d’observer que, dans le système de localisation proposé, plusieurs sous-systèmes peuvent être spécifiés en fonction des régions du corps où les SDM sont montés. Par conséquent, plusieurs procédures de localisation itératives pourraient être lancées simultanément (par exemple, un certain nombre de régions peuvent être spécifiées dans la zone du torse, ce qui semble être la plus difficile à localiser). En ce sens, on pourrait obtenir simultanément plusieurs estimations (c’est-à-dire une pour chaque sous-système de localisation) d’un seul nano-noeud, qui pourraient ensuite être utilisées pour améliorer la précision de la localisation, en particulier pour les nano-nodes positionnés en profondeur dans le corps. Notez que la même approche pourrait être utilisée pour les améliorations liées à l’évolutivité ou à la fiabilité. Enfin, la localisation itérative, combinée à la communication avec le monde extérieur lors de l'exécution de chaque itération, pourrait entraîner des latences de localisation élevées, ce qui réduirait à son tour la précision, car le contrôleur ne connaîtrait que les emplacements obsolètes des nano-nœuds circulant passivement. À cet égard, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour établir et potentiellement minimiser la latence de la communication, principalement celle requise pour la localisation.
COMMUNICATION DANS LES NANORÉSEAUX INTÉGRÉS DE RÉCOLTE
D'ÉNERGIE À FONCTIONNEMENT THZ
Comme mentionné, les estimations de localisation comporteront certaines erreurs de localisation, qui
seront plus élevées pour les estimations "profondément" à l'intérieur du corps par rapport à celles plus
proches des ancres basées sur SDM.
Dans ce qui suit, nous supposerons que les emplacements des nano-nœuds dans un instant donné sont
estimés et que leur qualité (caractérisée par le niveau d'erreur de localisation attendu) de ces
estimations est connue.
Dans cette optique, nous postulons que le paradigme de communication sans fil géo-localisé est un
candidat sérieux pour permettre une communication bidirectionnelle entre le monde extérieur et les
nano-nœuds internes du corps, ce qui sera démontré dans cette section.
- voir cadre sur site -
Figure 5 : Processus de réveil basé sur la localisation
- voir cadre sur site -
Figure 6 : Processus de sélection d'itinéraire basé sur la localisation
RépondreSupprimerDeux aspects principaux liés à la communication sont pris en compte dans ce travail, à savoir
l'adressage et le routage.
En termes d'adressage, nous postulons que les nano-nœuds peuvent être réveillés et donc adressés
individuellement, si leurs emplacements peuvent être estimés et si la qualité d'une telle estimation
peut être obtenue.
Notre approche de haut niveau pour réveiller les nano-nodes est basée sur l'émission de signaux WuR
directionnels à partir du SDM, comme indiqué dans la figure 5.
Plus précisément, en utilisant un SDM, on pourrait transmettre séquentiellement plusieurs signaux
WuR dirigés de telle sorte que seul le nano-node (s) à réveiller, recevez-les tous.
En faisant cela, on pourrait réveiller uniquement un nano-node souhaité et, par conséquent, obtenir
un adressage individuel de ce nano-node en fonction de son emplacement pratiquement pertinent.
De plus, en réveillant uniquement les nano-nœuds souhaités, au lieu de les réveiller tous dans une
région donnée, on pourrait créer un chemin de routage multi-sauts pour la transmission des données
d'un nano-nœud particulier vers le monde extérieur, à la fois pour la localisation et la communication.
La littérature existante propose diverses approches pour l'estimation de la qualité des liaisons basées
sur la localisation à des fins d'établissement de liaisons d'appareil à appareil (D2D), de positionnement
d'un relais mobile, de transfert entre stations de base ou technologies de réseau, etc.
Bien que ces approches soient généralement décrites pour les réseaux sans fil à grande échelle,
certaines d'entre elles sont intéressantes dans ce contexte car elles supposent la disponibilité
d'informations de localisation erronées, où les niveaux d'erreurs de localisation moyennes peuvent
être quantifiés (par exemple, [16]).
Sur la base de [16], nous pouvons décrire, à un niveau élevé, notre approche pour la sélection
d'itinéraire basée sur l'emplacement et la qualité de l'emplacement. Plus précisément, comme nous le
montrons sur la figure 6, sur la base des distances entre les nano-nœuds, des erreurs attendues des
emplacements estimés des nano-nœuds et de certaines connaissances de haut niveau sur la perte de
trajet dans l'environnement d'intérêt, une métrique caractérisant la qualité de liaison attendue (par
ex., le rapport signal/bruit (SNR) attendu entre deux appareils peut être établi.
La métrique peut ensuite être utilisée pour sélectionner les nano-nœuds à réveiller sur la base de
l’approche WuR décrite précédemment.
Notez que les approches mentionnées peuvent être utilisées dans le cas des deux appareils présentant
une erreur de localisation, ainsi que lorsque la localisation d'un appareil est parfaitement précise, ce
qui est intuitivement adapté à tous les cas envisagés dans ce travail (c'est-à-dire que les emplacements des ancres sont connus) ou peuvent être estimées avec un certain niveau de précision, alors que les estimations de localisation des nano-nœuds comportent toujours une certaine erreur de localisation).
Défis ouverts sélectionnés
RépondreSupprimerNous pensons que notre approche résout l'infaisabilité du routage basé sur l'inondation pour les
nanoréseaux de récupération d'énergie, et permet également l'adressage individuel des nano-nœuds
de récupération d'énergie. Néanmoins, il existe certainement des défis ouverts, dont certains sont
décrits ci-dessous.
Fiabilité des communications : La question du niveau de fiabilité des communications que l’approche
proposée peut atteindre reste ouverte. Dans ce contexte, la fiabilité doit être considérée
conjointement avec la latence de livraison des données. Cela est principalement dû au fait que les
nano-nœuds sont censés circuler passivement. Il est donc plutôt important de fournir les commandes
de contrôle souhaitées pour lancer certaines actions à un moment approprié, afin que les actions
puissent être exécutées à un emplacement cible. Cependant, cette interaction entre la mobilité des
nano-nodes (et potentiellement des ancres), d’une part, et la fiabilité et la latence de la transmission
des données, d’autre part, reste à étudier. Notez que l'on pourrait, si nécessaire, envisager de spécifier plusieurs routes pour la livraison des données afin d'augmenter la fiabilité de la communication selon le paradigme de communication ultra-fiable à faible latence (URLLC).
Contrôle du réseau : le système de communication proposé s'appuie sur les emplacements estimés
des nano-nœuds et devrait tenir compte intuitivement des erreurs de localisation, en particulier
compte tenu du processus de localisation itératif dans lequel les erreurs s'aggravent à chaque nouvelle itération. Cela implique qu’il est nécessaire d’estimer la qualité des estimations de localisation, idéalement sur une base par estimation. Nous ne connaissons qu'une seule tentative de ce type [17], dans laquelle les auteurs proposent un système basé sur le ML pour estimer les erreurs de localisation sur une base par estimation en utilisant uniquement les données brutes (c'est-à-dire la force du signal reçu (RSS)) utilisées pour générer l’estimation de la localisation. Ils démontrent ensuite une précision d’estimation des erreurs de localisation comparativement plus élevée que celle qui peut être obtenue grâce à des références régionales. Néanmoins, la proposition de [17] se concentre sur l'échelle macro et considère une approche de localisation différente (c'est-à-dire, empreinte digitale ou trilatération) et des données brutes (c'est-à-dire, RSS ou ToF bidirectionnel), et des technologies de réseau traditionnelles (c'est-à-dire, SigFox et LoRa par rapport au nanoréseau corporel) et les fréquences (c'est-à-dire sub-GHz par rapport au THz). Par conséquent, l’utilité d’un tel système pour le problème posé reste à établir.
Estimation du niveau d'énergie des nano-nodes : Enfin, la prise en compte des niveaux d'énergie des
RépondreSupprimernano-nodes lors de leur réveil et de la sélection de leur itinéraire est d'une importance primordiale,
étant donné que l'alternative pourrait entraîner un réveil inutile des nano-nodes dont les niveaux
d'énergie sont presque épuisés. À notre connaissance, il n’existe pas de propositions pour une telle
modélisation pour les nano-nœuds supposés dans ce travail (Figure 1). Nous envisageons que cette
fonctionnalité soit prise en charge par le contrôleur de réseau, ainsi que la fonctionnalité discutée
d'estimation de la qualité de la localisation. De plus, nous pensons que la modélisation du niveau
d’énergie devrait être basée sur la région dans laquelle se trouve un nano-nœud à un instant donné.
En se basant sur l’emplacement du nano-node, on pourrait postuler la quantité d’énergie environnante
récemment récoltée. Par exemple, les quantités d’énergie récupérée par le nano-node
augmenteraient intuitivement à mesure que le nano-node se rapproche du cœur, en supposant que
l’énergie soit récupérée à partir des battements cardiaques. On pourrait également viser à utiliser des
informations historiques localisées pour la caractérisation du niveau d’énergie des nano-nodes. Plus
précisément, si l'on pouvait caractériser que dans une période relativement récente, il y avait très peu
d'activité pour les nano-nœuds dans une région donnée, on pourrait affirmer que les niveaux d'énergie
des nano-nœuds dans la région sont élevés, donc ces nano-nœuds pourraient être réveillé avec plus
de succès. Ces considérations démontrent encore une fois plusieurs avantages des nanoréseaux géo-
localisés dans ce contexte.
CONCLUSION
Dans ce travail, nous avons décrit une architecture de nano-réseaux pour les nano-réseaux de
récupération d'énergie fonctionnant au THz dans le corps.
Cela a été fait dans le but de permettre la localisation des nano-nœuds récupérateurs d'énergie, ainsi
que leur communication bidirectionnelle avec le monde extérieur.
L'architecture proposée peut gérer un grand nombre de nano-nœuds et une très courte distance de
propagation du THz dans le corps, tout en étant simultanément prise en charge par des nano-nœuds
hautement contraints.
Nous avons posé l'architecture en supposant des nano-nœuds à écoulement passif.
Néanmoins, nous pensons que l'architecture est applicable aux nano-robots médicaux pour permettre
leur navigation et leur communication avec le monde extérieur [18].
En résumé, les applications envisagées imposent des exigences extrêmes aux nanoréseaux de support, entre autres en termes d'évolutivité, de consommation d'énergie, de fiabilité et de fonctionnalités telles que la localisation.
Nous soutenons que, pour répondre à ces exigences sans précédent, les nanoréseaux devront être
hautement optimisés.
Dans les optimisations, il convient de considérer et potentiellement d'utiliser les sources
d'informations disponibles sur le réseau et ses performances.
À cet égard, nous considérons la connaissance de la localisation, de l’énergie ou, d’une manière
générale, du contexte en combinaison avec l’apprentissage automatique comme une voie
prometteuse pour l’avenir.
Nos futurs travaux consisteront à étudier cette hypothèse plus en détail et à tenter de répondre à
certaines des questions ouvertes soulignées dans cet article.
- voir références sur site -
https://odysee.com/@justicecomingsoon204:c/nanor%C3%A9seauxt%C3%A9rahertz:5
Pourquoi doit-on SE MÉFIER comme la peste de ces introduction de nano-matériaux dans notre organisme ?
SupprimerC'est déjà fait et le cas des injections de nano-particules d'oxydes de graphène (découvertes de la scientifique Astrid Stuckelberger qui a analysé les flacons injectables pour l'expérimentation génique d'essais frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins' !)
Ces nano-matériaux qui circulent dans le sang sont amenés à être regroupés par réceptions d'ondes via le téléphone portable ou par 5G si la victime n'a pas de téléphone, afin de créer des caillots ! qui provoquent les embolies, ou de s'étirer en ligne (de plusieurs mètres !) appelés morgelons.
Le but, comme depuis les dépôts d'écouvillons dans la fosse nasale pour de faux tests 'RT-PCR' est de PRENDRE LE CONTRÔLE TOTAL de votre cerveau afin de vous soumettre docilement à l'expérience tirée du programme 'Dépopulation21' à la direction de 'chefs' externes et donc, de vous soumettre à cet esclavage.
Le but n'est donc pas d'améliorer votre santé ou de vous rendre immortel(le) mais uniquement de vous domestiquer sans que vous ne pouviez réagir à l'expérience !
Ces nano-matériaux auix spécificités mortelles se trouvent donc en seringues, en imprégnations dans les faux masques 'anti virus' et 'anti-microbes' !! ainsi que dans les gels hydroalcooliques et les cotons d'écouvillons pour les faux tests 'RT-PCR'.
La coalition Big Tech travaille avec l'ONU pour mettre fin à l'anonymat sur Internet
RépondreSupprimer12 mars 2024
de Thomas Oysmüller
L’ONU et les Big Tech semblent être d’accord sur la question de la vérification de l’âge. Les principaux services du réseau ne pourront alors être utilisés qu'avec une identification claire de la personne.
Les Big Tech et les gouvernements sont susceptibles de se rapprocher et éventuellement de parvenir à un accord sur un différend concernant l'identification numérique. C’est ce que suggère une nouvelle alliance Big Tech appelée « Digital Trust & Safety Partnership » (DTSP), qui s’est désormais prononcée en faveur de la vérification controversée (et obligatoire par l’ONU) de l’âge sur Internet.
Controle total
DTSP rassemble les géants de l'internet : Google, Meta, TikTok, Microsoft, Amazon (via Twitch), Reddit, Zoom, Discord ne sont que quelques-uns des « réseaux » qui font partie du nouveau « partenariat ». Le groupe s’est désormais déclaré prêt à lutter contre les « contenus en ligne préjudiciables » grâce à la vérification de l’âge (c’est désormais appelé « certitude d’âge » en novlangue). Cependant, cette étape impliquerait très probablement la « collecte de nouvelles données personnelles telles que des images faciales ou des pièces d’identité émises par le gouvernement ».
Reclaim the Net considère cela comme un « accord » entre les Big Tech et les gouvernements. On demande aux Big Tech de jouer un rôle dans les projets d’identification numérique et en retour, elles leur donnent accès à « encore plus de données personnelles qu’elles peuvent exploiter ». Aussi préjudiciable que cela puisse être pour tout le monde, c’est la clé de leurs modèles commerciaux, de leurs énormes profits et du pouvoir qui en découle.
Ils opèrent avec la « carotte et le bâton » contre les Big Tech. Parce qu’il y a aussi le « fouet », sous la forme d’amendes énormes, auxquelles les entreprises technologiques s’exposent si elles ne jouent pas le jeu. La « carotte », ce sont les données pour les Big Tech en retour. Pour les opposants, les projets mondiaux d’identification numérique sont « une passerelle vers davantage de censure, et peut-être la forme la plus dangereuse : des choses comme lier les identités numériques des gens à leurs comptes bancaires ».
La déclaration de cinq pages de la DTSP sur l'initiative de l'ONU « Global Digital Compact » fait l'éloge de « la confiance et de la sécurité » et recommande de s'appuyer sur « les expériences des praticiens ».
Une déclaration de la DTSP sur l'initiative de l'ONU fait référence aux éléments structurels du Pacte numérique mondial, a indiqué le groupe, tout en vantant « l'expérience des praticiens » dans la mise en œuvre de « la confiance et de la sécurité ». Une note des critiques de Reclaim the Net : « Les cyniques diraient que ce sont des expériences de censure intense sur ces plateformes. »
RépondreSupprimerLa question de la vérification de l’âge est déjà abordée de manière approfondie dans la déclaration. Par exemple, une capitale est intitulée « Les principes directeurs et les meilleures pratiques en matière de protection de l’âge fournissent un exemple de la manière dont notre cadre peut être appliqué pour identifier des exemples de pratiques qui protègent les jeunes en ligne ».
Diverses options de vérification de l’âge sont discutées. L'ONU recommande une « approche efficace », c'est-à-dire une vérification via un passeport d'État, car de cette manière, les prestataires peuvent « avoir confiance qu'un utilisateur a un certain âge ». L’anonymat (restant) sur Internet disparaîtrait probablement pour de bon.
https://tkp.at/2024/03/12/big-tech-koalition-arbeitet-mit-un-am-ende-der-anonymitaet-im-internet/
Publication des noms et adresse et n° de téléphones de chaque internaute !
SupprimerDélation, censure et corruption, les seuls secteurs dont nos dirigeants favorisent la croissance
RépondreSupprimerCaroline Porteu pour France-Soir
le 11 mars 2024 - 16:13
L’Assemblée nationale votait une loi paraissant assez surréaliste dans une société qui se prétend libérale.
TRIBUNE - Mercredi 6 mars dernier, l’Assemblée nationale votait une loi paraissant assez surréaliste dans une société qui se prétend libérale.
Je vous en livre un extrait :
- voir doc sur site -
L’apparition du caractère « non public » est intéressante ! Suffit-il que j’informe les services de police que mon voisin, avec lequel je suis en conflit, a tenu des propos racistes, pour qu’il soit puni ? Réveillons les corbeaux ! On ne peut manquer se rappeler une période où la dénonciation était devenue la norme ! Étonnant d’ailleurs que ne soit pas précisée la rémunération du délateur.
Ce genre de texte est juste l’annonce d’un retour des pratiques totalitaires que nous avons pu connaître par le passé.
Il parait qu’un texte assez similaire serait en cours en Belgique.
Cette censure qui se met en place dans nos pays doit vraiment nous alerter, car les mesures se multiplient.
Nous avons le DSA (Digital Service Act) mis en place par Thierry Breton au niveau de l’Union européenne qui veut régenter les réseaux sociaux, effectif depuis le 17 février dernier. Il faut d’ailleurs savoir à ce sujet que cette loi nous vient directement des USA et de la CIA en particulier et que le cabinet américain Newsguard choisi par Thierry Breton pour l’aider à la mettre en place travaille directement avec ces institutions américaines. Ces informations ont été directement annoncées lors d’une interview entre Tucker Carlson et Mike Benz que je ne peux que vous suggérer d’écouter avec soin.
Il faut également savoir que la DGSI a récemment alerté les pouvoirs publics sur le risque inhérent au recours à des cabinets étrangers :
On peut également évoquer l’article 4 de la Loi sur les dérives Sectaires qui interdit toute critique de la politique sanitaire du gouvernement ou des consignes de l’OMS
Nous avons la mise en œuvre de censure dans différents médias :
France-Soir qui vient de gagner au Conseil d’État concernant le maintien de son agrément de presse.
Cnews qui se voit menacé de se faire retirer son canal d’émission par l’Arcom et je ne peux que recommander aux lecteurs d’écouter l’audience surréaliste de la Commission chargée d’interviewer monsieur Nadjar, Pascal Praud et Laurence Ferrari, séance qui faisait furieusement penser à un tribunal d’inquisition moyen-âgeux.
RépondreSupprimerOn peut également évoquer la censure totale de chaînes étrangères comme Sputnik, Russia Today, ou Rumble, la suppression récente de dizaines de comptes Telegram considérés comme pro-russes.
Mais au-delà d’une volonté de museler toute forme d’opposition « réelle », toute pensée qui ne répondrait pas aux normes fixées par nos dirigeants, il existe sans doute d’autres motivations liées au développement de la corruption au plus haut niveau des Etats ou des structures supra-étatiques.
Quelques exemples rapides seront suffisants pour étayer cette hypothèse :
1°) Sur la politique sanitaire, on attend toujours les SMS de Mme Von der Leyen au sujet des vaccins commandés au nom de l’U.E.
2°) Sur l’Ukraine par exemple : 16 Milliards auraient disparu depuis deux ans !!
3°) Sur l’Ukraine toujours, une déclaration assez stupéfiante de Thierry Breton, faisant suite à une déclaration Ukrainienne au sujet du nombre d’obus livrés :
300 000 obus ont été donnés l'année dernière, 550 000 seront donnés à la fin du mois de mars. Il reste deux autres canaux : car l'Ukraine achète directement à notre base industrielle : 350 000 obus à ce jour, ce qui confirme qu’une partie des fonds attribués revient dans les pays émetteurs. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ? Pourquoi ne pas substituer aux fonds leur valeur équivalente en obus ? Il est vrai que cela rendrait plus difficile le paiement de rétrocommissions à des intermédiaires.
- voir doc sur site -
4°) Un inspecteur Belge qui enquêtait sur le Qatar Gate au niveau de l’Union européenne a porté plainte pour tentative d’assassinat.
5°) La récente démission de Victoria Nuland pourrait également avoir un rapport avec un trou de quelques milliards de dollars sur les budgets alloués à Maidan et à l’Ukraine en 2018. Le FBI enquête :
- voir doc sur site -
6°) Nous n’avons pas non plus vraiment d’informations sur les vrais propriétaires actuels d’un pourcentage élevé des terres agricoles ukrainiennes, ce qui pourrait nettement expliquer pourquoi l’U.E. veut voir la Russie en sortir le plus vite possible. Certaines rumeurs prétendent même que la loi promulguée par Zelensky en 2022 aurait donné plein pouvoir à des non Ukrainiens pour acheter les terres en question, et que des sociétés comme Monsanto ou Dupont, filiales de Black Rock et de Vanguard, auraient commencé par les louer avant d’en devenir pleinement propriétaires.
RépondreSupprimerAu regard des chiffres annoncés par l'article de l'Observateur.ch datant de 2002, on peut logiquement se dire que ces pourcentages ont dû largement augmenter depuis. Et cette explication rend très cohérente la volonté de l’UE de maintenir toutes les importations en provenance d’Ukraine, malgré la colère de nos agriculteurs et la non-conformité à nos propres normes.
7°) Il existe aussi d’autres formes de corruption : Par exemple, indexer les honoraires de nos médecins en fonction du nombre de vaccins effectués sur leurs patients, ce qui revient à les transformer en représentants de commerce, commissionnés, en les privant de leur statut de conseils indépendants.
8°) Truquer les élections comme ce qui vient de se passer lors de la Commission présidée par Jean Marc Zulesi , élu Renaissance, lors du vote sur la sûreté nucléaire et la fusion ASN – IRSN.
La vidéo se suffit à elle-même et il faut remercier la députée Clémence Guetté, LFI, qui a exigé le recomptage. La vidéo a déjà été vue par plus de 2 millions de personnes au moment où j’écris cet article.
Tous ces exemples démontrent que notre société est en train d’enterrer définitivement des notions comme l’article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme sur la liberté de conscience ou l’article 1 de la Loi de 1905 et que désormais, liberté de conscience et liberté d’expression qui lui sont par définition associées ne font plus partie de la conception de l’État de droit pour les politiques qui nous dirigent.
Pour rappel : Article 1 de la Loi de 905
La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions édictées ci-après dans l’intérêt de l’ordre public
Article 18 de la DUDH
RépondreSupprimer« Toute personne a le droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction, ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites »
Alors qu’il s’agisse de la politique sanitaire, des vaccins, de la guerre en Ukraine, de nos finances publiques, nous devons faire en sorte de faire cesser ces censures multiples destinées à détruire la démocratie et favoriser la montée d’une corruption démentielle.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/delation-censure-et-corruption-les-seuls-secteurs-dont-nos-dirigeants-favorisent
Alerte : Que signale la présence de la Garde nationale dans tout le pays ?
RépondreSupprimerJON RAPPOPORT
12 MARS 2024
Le gouverneur de New York a envoyé des troupes armées dans les métros de New York pour assurer leur sécurité.
Le gouverneur Newsom de Californie (à qui on ne peut jamais faire confiance) affirme qu'il déploie des troupes le long de la frontière Cali-Mex pour arrêter la contrebande de fentanyl dans le pays.
Le gouverneur DeSantis a envoyé des troupes pour maintenir l'ordre à Miami pendant les vacances de printemps.
Tout cela pour résoudre des problèmes qui auraient dû être résolus depuis longtemps :
Crime séparatiste et immigration clandestine.
Avant qu’ils ne deviennent incontrôlables.
À un niveau plus profond, ce que signale cette nouvelle tendance militaire est le suivant : créer le chaos, puis le résoudre en ramenant l’ordre.
L’ordre peut sembler bon, mais ce n’est pas le cas. Parce que cela signifie que ces troupes seront également utilisées contre des personnes et des causes légitimes, contre des manifestations et contre la LIBERTÉ.
C'est un modèle très ancien.
Encore une fois, créez le chaos (criminalité, afflux d’immigrés illégaux), puis entrez derrière cela et résolvez-le ; mettre de l'ordre.
Exemple : en 1978-1979, un soulèvement populaire contre le Shah d'Iran s'est transformé en une série massive d'émeutes ; et les émeutiers se sont alors mis à l’écoute et se sont tournés vers une solution ultime : faire appel à un grand résolveur, un apporteur d’ordre, l’Ayatollah.
Il était bien plus brutal que le Shah.
Dans ce cas, j’ai appris de deux sources indépendantes que la raison sous-jacente de la révolution était la suivante : le Shah envisageait d’utiliser le pétrole pour construire les plus grandes usines de fabrication de plastique au monde. Ce faisant, il moderniserait le pays. Cette évolution soudaine n’était pas sur l’échiquier planétaire des planificateurs d’élite.
Avec l’aide du Pentagone américain, et peut-être des services de renseignement américains, une opération a été organisée pour ramener l’Iran à un état plus primitif – et l’Ayatollah était l’homme idéal pour y parvenir.
RépondreSupprimerRetour à aujourd’hui et ici aux États-Unis : une présence militaire croissante sur le sol national aurait pour objectif, étape par étape, d’éliminer ce qui reste d’un gouvernement constitutionnel.
L'élimination serait considérée comme nécessaire, compte tenu de la criminalité incontrôlée. Un crime rendu possible par des éléments traîtres du gouvernement actuel, opérant sous les ordres d’élites mondialistes déterminées à niveler l’Amérique, à éliminer toute trace de nationalisme et à soumettre le pays à une gouvernance à l’échelle planétaire : l’objectif à long terme.
"Nous devions le faire pour assurer votre sécurité."
Aujourd'hui, un certain pourcentage de passagers du métro de New York diraient aux sondeurs qu'ils se sentent bien à l'idée de voir des soldats armés de fusils aux tourniquets vérifier leurs sacs. Dans les jours à venir, ce pourcentage augmentera. Finalement, à un moment donné, les sondages ne seront plus nécessaires. Les passagers seront conditionnés ; la présence de militaires armés sera normale.
Peut-être que des troupes seront stationnées dans les quartiers à forte criminalité des villes dans les mois à venir. Ils seront normaux aussi.
Ils seront présents dans les aéroports, les gares ferroviaires et routières, lors de concerts, dans les stades sportifs, dans les hôpitaux, les casinos, les hôtels, les écoles.
"Nous veillons à votre sécurité."
Les gens étaient en sécurité en URSS, en Allemagne de l’Est, en Pologne et en Hongrie.
À l’heure actuelle, aux États-Unis, des efforts sont en cours pour recruter des étrangers illégaux dans l’armée, comme voie légale d’accès à la citoyenneté.
Ainsi, un jour, les soldats normaux que vous verrez incluront ces extraterrestres – jamais élevés dans l’enfance avec la moindre notion de droits inaliénables – jamais fidèles aux États-Unis. Simplement formés pour faire leur travail.
Et quel est leur métier ?
Toi.
- Jon Rappoport
LECTURES COMPLÉMENTAIRES :
« Le plus grand lycée du Massachusetts a besoin de la Garde nationale pour mettre fin à la violence et au chaos » (cliquez ici)
https://jonrappoport.substack.com/p/presence-of-national-guard-around-the-country?utm_source=post-email-title&publication_id=806546&post_id=142543199&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
En payant des ouvriers peu ou pas qualifiés, cette invasion étrangère très dangereuse représente un changement de mentalité de fond en comble. Le pays n'est plus ce pays, c'est un autre. Un autre qui ne respectera jamais la terre qu'il foule. Il se contentera de travailler pour être payé d'une soupe ou plat de fayots. Ceux qui voudraient ouvrir leur gueule seraient exécutés par drones.
SupprimerLa dictature de la minorité
RépondreSupprimerTaki
07 mars 2024
« Elle » étrangle un chat, puis le dissèque et déchiquete ce qui reste. « Elle » frappe alors un homme avec une bouteille, l'étrangle et finalement le noie. « Elle » se fait appeler Scarlet Blake, et les journaux et médias britanniques se sentent obligés de qualifier cette personne musclée et terrifiante de femme. Mais ce monstre humain est aussi masculin que possible, et seule l'écrivaine J.K. Rowling a le courage de le souligner. J.K. est la cible de la foule réveillée depuis des années, et uniquement parce qu’elle appelle un chat un chat. Des acteurs lâches (Redmayne et Watson) l’ont dénoncée pour avoir souligné que le sexe biologique comptait plus que le sexe déclaré, comme dans le cas récent de « Scarlet » se déclarant femme et espérant visiblement un séjour en douceur dans une prison pour femmes.
La dictature de la minorité règne en maître en Occident, nos enfants étant contraints de suivre une thérapie par des activistes du genre. Lorsque l’Allemagne nazie a lavé le cerveau des enfants, nous avons qualifié cela de crime bouleversant ; maintenant, un lavage de cerveau bien pire a lieu avec notre approbation. Que nous est-il arrivé, et pourquoi permettons-nous à ces monstres de laver le cerveau et de nuire à nos enfants ? Et pourquoi les principaux médias de gauche américains et européens jouent-ils le jeu ?
« Que nous est-il arrivé et pourquoi permettons-nous à ces monstres de laver le cerveau et de nuire à nos enfants ?
Si je connaissais la réponse, je la crierais sur les toits, mais ce n’est pas le cas. C’est en partie la lâcheté de notre part (des gens normaux), en partie la concentration de gauchistes dans les médias qui répandent des mensonges et de la propagande contre les gens normaux. La plupart de ceux qui contrôlent l’information et la production culturelle, ainsi que l’élite du monde des affaires et les monstres de la Silicon Valley, ont décrit les États-Unis et le Royaume-Uni comme des forces malignes d’asservissement et d’oppression des personnes noires et brunes. Au moment où j’écris, des commissions sont constituées dans tous les États américains pour étudier les réparations pour l’esclavage, aussi ironique que cela puisse paraître si l’on prend en considération les milliers de milliards déjà dépensés pour soutenir nos cousins afro-américains. Mais alors que les marxistes culturels occupent les sommets de l’éducation, du divertissement, des médias grand public et de la technologie, que peuvent réellement accomplir les voix des citoyens moyens ?
Dans le cas des Afro-Américains, combien de fois avons-nous lu ou entendu dans les informations que les Noirs d'Amérique meurent par homicide huit fois plus que les Blancs non hispaniques, et qu'ils sont en grande majorité tués non pas par des flics, ni par des Blancs, mais par des policiers. d'autres noirs ? La réponse n’est probablement jamais, et certainement pas dans le New York Times ou à la télévision grand public.
Ce qui m’amène à la conclusion que les Américains ordinaires sont devenus inaccessibles à la vérité, et qu’une noblesse aliénante de la part d’organes conservateurs comme celui-ci ne suffira pas. Il est temps de se salir, faute d’une meilleure métaphore. Imaginez simplement comment les musulmans traitent leur problème lorsqu'ils vivent dans les pays chrétiens européens : si je devais écrire une dénonciation de notre Seigneur Jésus, il y aurait quelques lettres de colère qui suivraient, mais si je dénonçais Mahomet, des menaces de mort et bien pire suivraient. . Les journalistes parisiens ont payé de leur vie quelques caricatures du prophète, et des centaines continuent de mourir à chaque fois qu'une plaisanterie apparaît contre lui, mais dans le cas de Notre-Seigneur, la chasse est toujours ouverte.
RépondreSupprimerAlors, que faut-il faire ? Il est facile de répondre à cette question. La liberté d'expression devrait être la première étape. Par exemple, écrivez, filmez ou parlez de l’histoire de bravoure, d’honneur et de bienveillance du Sud, désormais souillée par des gauchistes de bas niveau dont les mensonges sont imprimés par le Times comme des vérités.
Si vous avez envie de faire des blagues sur les gros, faites-le, mais pas en présence de gros, car ce serait du harcèlement. Le politiquement incorrect est aussi bidon que le politiquement correct ; il suffit d'être un gentleman ou une dame, du genre démodé qui n'a jamais insulté involontairement. Résistez et dénoncez ouvertement Woke, qui contrôle désormais les trois branches du gouvernement, domine les médias, possède et contrôle les plateformes sociales et domine la Big Tech.
Le premier acte des dictateurs en pot lorsqu’ils ont pris le pouvoir dans les républiques bananières a été d’abolir la liberté d’expression. Les journaux et les radios sont avertis de suivre les textes qui leur sont remis. Aux États-Unis et dans une moindre mesure au Royaume-Uni, les wokesters ont suivi le scénario de la république bananière en supprimant notre liberté d’expression en rendant notre liberté la plus précieuse politiquement incorrecte au départ, et absolument inadmissible aujourd’hui. En étant offensés et en utilisant la carte d’infraction pour exiger qu’on les empêche de le dire, les éveillés ont réussi à devenir le rêve d’un dictateur, car la prochaine étape est la punition pour avoir dit quelque chose que les éveillés n’aiment pas.
Ah oui, j'avais presque oublié. Après la suppression de la liberté d’expression, il y a la diversité. Elle a désormais remplacé la religion et les nations sont jugées sur leur diversité plutôt que sur leur identité. La nouveauté est que la contribution des migrants et de leurs descendants est ce qui fait un pays. Le mélange d’histoire, d’institutions, de langue, de culture et de règles ne veut rien dire. Seul le mot D compte. La diversité, selon les nazis réveillés, est notre seule force.
Alors, chers lecteurs de Takimag, la liberté d’expression pour dénoncer ces nazis éveillés est primordiale. N’ayez pas peur d’utiliser cette liberté la plus précieuse, le droit d’exprimer haut et fort nos opinions.
https://www.takimag.com/article/the-dictatorship-of-the-minority/
Une proposition de loi capillotractée...
RépondreSupprimer13 Mars 2024
Le besoin d'exister dans cette cour de récréation qu'est devenue l'Assemblée Nationale mène à toutes les dérives. Tout comme le besoin de d'exploiter sa présence à l'Assemblée Nationale pour faire du clientélisme.
Pauvre démocratie !
Une palanquée de députés de diveres fractions a déposé une « Proposition de loi visant à reconnaître et à sanctionner la discrimination capillaire ».
En voici, pour la postérité, les auteurs :
M. Olivier Serva, député de Guadeloupe (Régions et Peuples Solidaires – Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (LIOT))
« Olivier SERVA, Bertrand PANCHER, Christophe NAEGELEN, Mathilde PANOT, Stéphane LENORMAND, Nathalie BASSIRE, Estelle YOUSSOUFFA, Paul André COLOMBANI, Michel CASTELLANI, Jean Félix ACQUAVIVA, Paul MOLAC, Jean Louis BRICOUT, David TAUPIAC, Fanta BERETE, Damien ADAM, Cécile RILHAC, Christopher WEISSBERG, Sandrine JOSSO, Mansour KAMARDINE, Danièle OBONO, Rachel KEKE, Caroline FIAT, Jean Hugues RATENON, Matthias TAVEL, Mathilde HIGNET, Emeline K/BIDI, Frédéric MAILLOT, Davy RIMANE, Christian BAPTISTE, Jiovanny WILLIAM, Steve CHAILLOUX, Tematai LE GAYIC, Murielle LEPVRAUD, Hadrien CLOUET, Philippe NAILLET, Perceval GAILLARD, Jean Philippe NILOR, Sandrine ROUSSEAU, Eva SAS, Hubert JULIEN LAFERRIÈRE, Elie CALIFER, Fatiha KELOUA HACHI, Sylvie FERRER, Karine LEBON, Marcellin NADEAU, Jean Victor CASTOR, Farida AMRANI, Florian CHAUCHE, Carlos Martens BILONGO, Léo WALTER, Jean François COULOMME, David GUIRAUD ».
Oui, il est question de couper les cheveux en quatre...
Voici le début de l'exposé des motifs :
« Alors que les discriminations liées au style et à la texture capillaires sont des problématiques largement traitées aux États Unis et au Royaume Uni, ces dernières sont largement ignorées en France. Les différentes décisions de justice rendues récemment corroborent ce constat.
La plus récente concerne un steward salarié chez Air France. En effet, la compagnie Air France, dans son manuel du port de l’uniforme, autorisait les « tresses africaines » pour les femmes à condition d’être retenues en chignon. Or, ce même manuel indiquait que, pour les hommes, "Les cheveux devaient être coiffés de façon extrêmement nette. Limitées en volume, les coiffures doivent garder un aspect naturel et homogène. La longueur est limitée dans la nuque au niveau du bord supérieur de la chemise.". Sur le fondement de ce règlement interne, l’un des stewards de la compagnie qui portait des tresses nouées en chignon, a été sanctionné pour avoir refusé de s’y conformer, puis a été licencié pour inaptitude et impossibilité de reclassement au sein de l’entreprise. »
Déjà, en ce qui me concerne, particulièrement en ces temps de wokisme effréné, se prévaloir de la situation aux États-Unis d'Amérique et au Rpyaume-Uni, ça me fait dresser les cheveux sur la tête...
On y lit encore :
« Par ailleurs, ces constats ne concernent pas uniquement une communauté ethnique. En Grande Bretagne, une étude réalisée en 2009 montrait par exemple qu’une femme blonde sur trois se colorait les cheveux en brun afin d’augmenter ses chances professionnelles et d’ "avoir l’air plus intelligente" en milieu professionnel. »
Une étude réalisée en... 2009... Et quand on sait les blagues anglo-saxonnes sur les blondes (non, il ne s'agit pas des petites amies des Québécois)...
Ces gens proposent – au terme d'un long exposé qui ne manque pas de citer aussi les risques accrus de cancers liés à l'utilisation de produits de défrisage des cheveurs – un article unique tendant à insérer dans divers textes de loi et règlement, après le mot « physique », les mots « notamment la coupe, la couleur, la longueur ou la texture de leurs cheveux ».
RépondreSupprimerLe premier texte cité n'est pas le Code pénal et sa définition de la discrimination – ces gens ont vraiment le sens des priorités... –, mais l’article L. 131 1 du code général de la fonction publique. Cet article se lirait comme suit dans la version révisée proposée (c'est nous qui graissons) :
« Aucune distinction, directe ou indirecte, ne peut être faite entre les agents publics en raison de leurs opinions politiques, syndicales, philosophiques ou religieuses, de leur origine, de leur orientation sexuelle ou identité de genre, de leur âge, de leur patronyme, de leur situation de famille ou de grossesse, de leur état de santé, de leur apparence physique, notamment la coupe, la couleur, la longueur ou la texture de leurs cheveux, de leur handicap, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie ou une race, sous réserve des dispositions des articles L. 131-5, L. 131-6 et L. 131-7.
Qu'est-ce que ça change ? À un cheveu près (la dysenterie législative), rien !
Espérons que les honorables député(e)s ne se feront pas des cheveux blancs et ne se prendront pas aux cheveux lors de l'examen de ce texte.
https://seppi.over-blog.com/2024/03/une-proposition-de-loi-capillotractee.html
ÂÂâaah la tonte des moutons ! et ceux aux dents longues et a la laine fraîche ! Tout des hippies de 69 à Woodstock ! ÂpÂâaah ces cons descendants des premiers hommes qui habitaient des cavernes sans payer de loyer ! ou qui - en Afrique - vivaient à poils et bronzaient au soleil !...
SupprimerStratégie et mode de fonctionnement des acteurs globalistes du N.O.M.: Prédominance, dictature, esclavage des peuples
RépondreSupprimerDeuxième partie
Par Jean-Yves Jézéquel
Mondialisation.ca,
13 mars 2024
La réalité politique a démontré que la prédominance d’un État ne garantit pas la paix pour un autre État dont la puissance est inférieure. Des « docteurs » canadiens en science économique ont pourtant écrit un rapport prétendant prouver le contraire ! La supercherie du Pouvoir, le mensonge manipulateur des masses et le mépris des peuples ont atteint un niveau de perversion jamais atteint dans toute l’histoire de l’humanité. La prépondérance des USA a permis aux USA de dominer et d’exploiter une multitude d’autres États vassalisés et soumis à une organisation en règle de leur pillage… Il suffit de regarder de près l’exemple retentissant du Pérou ou même celui de la Colombie, ou encore du Mexique, ou de l’UE, pour comprendre ce que la « vassalisation » implique en termes de soumission, de pillage, d’hyper-pauvreté pour le peuple (el pobretariado) et de corruption entraînant la criminalité à grande échelle !
La prédominance d’un État s’est toujours traduite par la guerre assurée, la domination, voire le génocide du plus faible, pour son absorption sur tous les plans.
La prédominance d’un État ne garantit absolument pas la paix dans le monde mais la guerre. Nous en avons une démonstration permanente dans l’exemple des États-Unis d’Amérique qui ne peuvent et ne veulent surtout pas perdre leur leadership planétaire. La prédominance engendre la nécessité de la guerre, non seulement pour rester prédominant en soi, mais pour empêcher qu’un autre État ne prenne cette place à son tour !
Il est parfaitement fantaisiste de raisonner aujourd’hui à partir des principes « démocratiques » dont seraient revêtus les pays, surtout « Occidentaux ». Il faut dire et redire clairement, qu’il n’existe actuellement sur Terre, à commencer par l’Occident, aucun État vraiment démocratique, pour la simple raison que le droit fondant la légitimité des Constitutions est un droit non pas d’inspiration démocratique mais d’inspiration théocratique ! (Cf., tome 2 de « La libération de l’homme », JYJezequel, éditions Publibook, 2013) C’est la raison principale qui explique pourquoi la paix n’est toujours pas possible sur Terre. Si la démocratie existait vraiment, les 99 % des personnes interrogées par les sondages, se prononçant pour la paix dans le monde, seraient représentatifs de la situation qui régnerait alors sur la planète. Comment expliquer que 1 % impose aux 99 % de l’humanité la violence, la guerre, le massacre, le pillage, le meurtre, le génocide, l’exploitation, la maltraitance, le Mal endémique… ? La réponse est claire, parce que c’est la dictature qui règne partout et qui est le fait d’une petite oligarchie ayant entre ses mains la totalité d’un pouvoir justifié par la « matrice théocratique du droit » et non pas par la légitimité des Constitutions issues de la « volonté des peuples souverains » !
L’existence, l’organisation et le droit de vote, dans un pays, ne peuvent en aucun cas qualifier ce pays de « démocratique ». Les systèmes électoraux ont d’ailleurs été conçus en faveur d’une oligarchie qui est toujours au pouvoir depuis au moins 5000 ans, qu’elle prenne actuellement, les couleurs du bleu, du rouge ou du rose… etc. Le vote est systématiquement un leurre spectaculaire : il fait croire que le citoyen choisit librement sa destinée politique alors qu’il s’agit toujours de mettre au pouvoir la même caste de prédateurs « caméléons » passant son temps à planifier le pillage et l’esclavage des peuples abusés en permanence sur tous les plans !
RépondreSupprimerCe n’est pas un hasard si la violence, le meurtre, la guerre, le crime d’État, le Mal, règne en maître sur le Monde entier, alors que l’immense majorité veut le bien !
Le simple fait d’une prédominance du « marchandisme », de l’argent, de l’hégémonie d’une économie de marché avec son idéologie fasciste ultra libérale, garantit par-dessus tout, la nécessité de la guerre, car la guerre est un élément essentiel de l’économie de marché. Il n’y a pas de « marchandisme » possible sans la guerre. Toute l’économie des États-Unis repose sur la guerre, sur l’industrie de l’armement et donc sur la nécessité d’organiser un chaos permanent pour une guerre permanente, pour une économie prospère ! La guerre est le nerf de l’économie de marché. Sans guerre, il n’y a plus de marchandisation possible, il n’y a plus de pillage possible, il n’y a plus de massacres d’envergure possibles, il n’y a plus de menaces possibles, il n’y a plus de terreur possible, il n’y a plus de larmes et de sang à outrance, il n’y a plus de domination possible, il n’y a plus de « plan Marshal » possible et réactualisé dans les TAFTA/TTIP/CETA, il n’y a plus de richesse possible, la richesse démentielle étant toujours le résultat d’un vol, d’un pillage, d’une esclavagisation par la marchandisation même de l’homme en personne, la signature du Sapiens Démens ! Le malheur de la majorité garantit le bonheur de la minorité au pouvoir. La richesse abusive du Nord est assurée par la pauvreté et le pillage abusifs du Sud. Le malheur c’est justement le fruit naturel du Mal.
C’est toujours les États en soi qui représentent la plus grande menace pour la paix dans le monde et qui est donc par « excellence », pour les peuples, le Mal en soi.
La fin des organisations internationales pour justifier la guerre
Les organisations internationales auraient dû avoir une utilité : permettre aux États de se contrôler eux-mêmes réciproquement. Mais on peut constater que ces organisations sont un leurre explicite de plus, compte tenu du fait que la puissance dominante des USA se comporte comme si elle était au-dessus de ces Institutions, pratiquant depuis toujours des guerres illégales, injustifiées, utilisant des prétextes mensongers, opportunistes, (comme l’accusation des « armes de destruction massive », alors que les USA ont été en réalité les seuls à les utiliser!) pratiquant ouvertement le crime contre l’humanité, au nom de ce qu’elle a nommé le « monroïsme », une pratique criminelle qualifiée de « valeur » des États-Unis d’Amérique et exprimant l’un des principes les plus pervers de Machiavel : « la fin justifie (tous) les moyens »!
L’État hégémonique incite toujours à la guerre, car la guerre n’est pas « perturbatrice » pour l’État hégémonique, comme le rapport demandé par JF. Kennedy aux services de la CIA, l’avait démontré. En 1963 le Président Américain posait la question : « quelles conséquences aurait un système mondial fondé sur une paix durable ? »
Réponse du rapport : « En l’état actuel de nos connaissances, le système fondé sur le pouvoir de faire la guerre est trop structurant dans tous les domaines – économique, social, culturel et bien sûr militaire- pour pouvoir envisager de l’abandonner ! »
RépondreSupprimerCe rapport rendu à JFK disait donc que l’absence de guerre constituerait un grave préjudice pour l’équilibre économique, culturel, social et militaire des USA, au point que l’absence de guerre serait finalement la cause d’une guerre encore plus violente !
La prospérité est à sens unique, car elle est entièrement basée sur le pillage des ressources qu’il ne faut pas partager, mais voler. Sans la guerre cela devient impossible !
Voilà pourquoi l’US Imperium, totalitaire par définition, dirigé par son oligarchie eugéniste, n’a ni alliés ni ennemis : il n’a que des intérêts égocentriques ignorant le reste du monde obligatoirement vassalisé.
Sa manière de faire est « naturellement » criminelle, elle est nécessairement livrée, dévouée à la cause du Mal en soi.
Le modus operandi de l’US Imperium
Les assassins économiques (Cf., Les Destructeurs, op.cit., pages 139 à 162)
En 2021-2022, une commission d’enquête du sénat analysait 7300 documents sur l’activité des cabinets de conseil privés américains comme McKinsey, dans les affaires de l’Etat Français. En 2021, l’Etat avait dépensé plus d’un milliard d’euros en prestations de conseil. Ces sociétés au service de l’US Imperium prospèrent grâce au système des « portes tournantes »: les hauts-fonctionnaires deviennent dirigeants des sociétés transnationales et réciproquement… Ainsi, toute la richesse produite par les pays européens est détournée des intérêts du bien commun de chaque Nation et pillée pour l’enrichissement des grands groupes travaillant à l’édification du Nouvel Ordre Mondial, dominant et exclusif, sur l’ensemble des pays développés…
Macron fait partie de ces gens, Young Global leaders, formé dans la French American Foundation, qui est nommé en 2007 comme rapporteur général adjoint de la « Commission Attali ». C’est dans cette commission que Macron rencontre tous les dirigeants de sociétés transnationales : PDG de Nestlé, membres du Conseil d’administration du Forum Economique Mondial de Davos, dirigeant de McKinsey France, le cabinet Accenture, dont certains membres seront à l’origine du développement du mouvement politique LREM (La République En Marche) !
Macron est introduit auprès des propriétaires des grands médias dont il va défendre les intérêts particuliers. La totalité de ces médias ne parlera que de Macron en lui donnant l’omniprésence, effaçant tous les autres traités de « candidats mineurs », lors de la campagne électorale de 2017 !
Après son introduction dans la « Commission Attali » en 2007, Macron est envoyé en stage à la Banque Rothschild & Co, en septembre 2008. Il quitte la Rothschild après y avoir fait ses premières armes de tueur économique et il est placé auprès de François Hollande dans le Pôle Economie et Finance. Dès 2014, il a connaissance du dossier de dépeçage d’Alstom, fleuron de l’industrie française. Il accomplira son travail de tueur économique en bradant cette société bénéficiaire et de haute technologie à la Général Electric Corporation en faillite ! Un chômage de masse s’en suit en France, mais son travail de tueur est accompli scrupuleusement. (Cf., ce dossier détaillé dans « Les destructeurs » op.cit., pages 179 à 210)
RépondreSupprimerLes USA, qui illustrent « brillamment » cette triste réalité, procèdent comme suit, à travers le monde :
1 – Ils commencent par envoyer dans le pays convoité, un “assassin économique” dont le rôle est de pousser à la dette l’État concerné, le tout suivi de l’envoi d’agents de la CIA ayant pour fonction de former des provocateurs infiltrés et de les superviser. Si la corruption par la dette échoue, elle est remplacée par un coup d’état, un « chacal » est envoyé pour « supprimer » l’obstacle ou le système procède à une “révolution colorée”.
2 – Sans perdre de temps, ils commencent dans la foulée une campagne de propagande contre les dirigeants et le pays, campagne de diffamation et de diabolisation (chacun sait la diabolisation typique dont il s’agit, par exemple celle d’Allende qui sera tué par les bombardements du dictateur fasciste Pinochet soutenu par l’État Profond Américain et la CIA ; la diabolisation de Chavez ou de Maduro, de Dilma Rousseff etc… et bien entendu de Vladimir Poutine). La mode actuelle est à l’invention d’accusations « juridiques ». Les agents de la CIA trouvent un « collaborateur » dévoué en mal de pouvoir, comme Alexeï Navalny en Russie et qu’ils vont promotionner à coup de millions de dollars s’il le faut. C’était également l’exemple de Michel Temer au Brésil.
Les médias sont alors massivement mis à contribution pour répandre répétitivement le mensonge et pratiquer avantageusement la manipulation de l’opinion publique. La règle est simple : « Un mensonge répété suffisamment souvent se transforme en vérité !» (Goebbels, ministre de la propagande nazie) La malveillance est la règle et la fin justifie tous les moyens, même criminels. Le coup d’État juridique est une nouvelle pratique dont la perversion n’a jamais été aussi développée ! Les réseaux sociaux qui oseront démentir et faire de la résistance seront à leur tour diabolisés et accusés de pratique des « fakes news » « menaçant la démocratie », alors qu’ils sont au contraire et en grand nombre, les seuls garants actuels d’une information encore possible et honnête !
3 – Si le confort de la perversion du droit ne peut pas être utilisé, ils accusent alors les États de posséder des armes « de destruction massive », comme en Irak et en Syrie, ou par exemple, pour attaquer arbitrairement la Russie via l’affaire Skripal qui disait indirectement l’accusation de fabrication d’armes chimiques redoutables par les militaires Russes. Espérons que chacun soit suffisamment informé aujourd’hui, pour savoir que cette accusation concernant l’Irak, la Syrie ou la Russie était grotesque et clairement mensongère ! Malheureusement, on peut encore se demander si chacun a compris la supercherie de l’Occident, de l’US Imperium, puisque celui-ci, sans complexe, continue de dire « officiellement » que Saddam possédait des « armes de destruction massive » que personne n’a jamais retrouvées; puisque les « élites » de l’État profond américain continuent de dire que Milosevic était un « nouvel Hitler », « le Boucher des Balkans », malgré qu’il ait été innocenté par le TPI ; puisque la CIA et l’État Profond Américain, les agents du Département d’État, continuent de dire que Maduro est le dictateur qui refuse les droits les plus fondamentaux à son peuple ; puisque les anglo-saxons et l’Europe vassalisée continuent de dire que la Russie a agressé l’Occident, dans l’affaire Skripal et a osé envahir l’Ukraine! Tout cela a été monté par les chacals de l’Empire aux abois …
RépondreSupprimer4 – Le cas échéant, ils dépeignent donc les États comme « dictatoriaux », refusant « les droits les plus fondamentaux à leurs peuples » ! Les medias occidentaux dans les mains d’une poignée de milliardaires néo conservateurs et ultra-libéraux, n’ont pas hésité à accuser Bachar El Assad d’être le « bourreau de son peuple », comme Milosevic avait été accusé d’être le « boucher des Balkans », ou le « nouvel Hitler », même après que le TPI ait reconnu son innocence ! Aucun media n’a eu l’honnêteté de reconnaître son odieux mensonge au service de l’OTAN, agresseur de la Serbie pro-Russe, et de rétablir l’honneur à la mémoire de cet homme, car les medias « officiels » risquaient alors d’envoyer à l’opinion publique un signe qui allait les décrédibiliser et ainsi menacer leur existence de salauds et de pervers au service du mensonge, le Mal en soi ! Ce ne sont pas les réseaux sociaux qui répandent principalement le mensonge à outrance, il peut exister certains d’entre eux, dans les GAFAM , par exemple, qui font circuler des fausses informations dans une intention très étudiée, mais ce sont d’abord et avant tout, les medias tout à fait « officiels » qui se livrent au mensonge et à la manipulation de l’opinion publique, au service exclusif des intérêts des États qui ne manqueront pas de leur renvoyer l’ascenseur d’une complicité engendrant la corruption inévitable d’un tel système. C’est l’exemple retentissant du journal « le Monde », lorsqu’il prend la parole sur le Venezuela. Ceux qui sont vraiment informés, découvrent dans « le Monde » le pur mensonge sur la réalité de ce pays, étalé sans vergogne : c’est un fait avéré ! Le cas avec la Russie de Poutine et avec le décès de Navalny aujourd’hui est encore plus grotesque. Il y a une sorte d’aveuglement qui fonctionne sans le moindre souci pour l’objectivité, parce qu’il y a un parti pris, une cause supérieure à servir : en l’occurrence, celle de l’hégémonie ultra libéral et avec elle un ordolibéralisme qui est un fascisme. Tous ceux qui cautionnent la parole hautement perverse et manipulatrice de ces medias « officiels » dévoués à la cause du mensonge globaliste du N.O.M, sont complices du Mal et les apôtres actifs, souvent inconscients, du malheur du monde… L’ignorance est toujours à l’origine de tous les malheurs.
5 – Si l’adversaire est puissant, comme la Russie, ils poussent le monde entier à pratiquer « l’embargo », à décréter des « sanctions » de plus en plus cruelles, illégitimes, illégales même, injustifiées et sans états d’âme ; des zones d’interdiction de survol sont décrétées pour soi-disant établir « des couloirs humanitaires »… ! La presse étant là pour approuver massivement cette pratique odieuse et criminelle, sans la moindre hésitation, puisqu’elle est entièrement aux mains des milliardaires dont la cause est éminemment ultra libérale et néo conservatrice !
RépondreSupprimer6 – Ils commencent ensuite les bombardements, ainsi que le soutien, l’encadrement, le financement, le recrutement et la formation au sol d’une “opposition” armée : « escadrons de la mort », « Moudjahidin », « djihadistes », « unités néo-nazies » en Ukraine. Ils les protègent de toute accusation au sujet des atrocités commises pour terroriser la population et faire glisser la responsabilité sur les régimes en place dont ils veulent se débarrasser : l’exemple le plus frappant est celui de Milosevic qui a été pourtant innocenté par le TPI, mais que les agents de l’État profond américain se sont arrangés pour faire mourir dans sa prison de la Haye… C’était l’objectif atteint concernant Saddam Hussein et Kadhafi, mais manqué avec Bachar el-Assad… C’était aussi l’objectif visé en organisant la kabbale occidentale contre la Russie pour la mettre à genoux et la disloquer : objectif manqué et qui s’avère catastrophique en plus d’être objectivement impossible !
7 – Puis, ils cherchent rapidement à faire ouvrir une banque centrale pour les Rothschild, sous contrôle de la Banque des Règlements Internationaux – BRI – basée à Bâle en Suisse et dépendante de la City de Londres. Bien entendu, s’ils peuvent placer directement un banquier des Rothschild, comme Emmanuel Macron, sur le trône de la présidence du pays, toutes les étapes précédentes ne sont alors plus utiles. Le pillage et la soumission peuvent commencer sans tarder dans un confort indécent… Le peuple Français est-il anesthésié ou sous hypnose, ou envoûté ou lobotomisé pour avoir permis que Macron se retrouve à cette place de manière tout à fait anachronique, puisque Macron est devenu « président » de la République française par une minorité de voix des Français en droit de voter ? Pendant ce temps, toutes les industries sensibles du pays sont vendues aux USA et la France a totalement perdu son autonomie et son indépendance même en matière de défense : la France ne peut plus construire aujourd’hui un sous-marin nucléaire sans la permission des États-Unis ! Et une fois construit, si l’autorisation a été donnée, il sera aux ordres du commandement unifié de l’OTAN, c’est-à-dire sous l’autorité de l’US Imperium !
8 – Dès que cet objectif est atteint, ils se dépêchent de privatiser à outrance et de piller les ressources naturelles pour les vendre à leurs entreprises transnationales en se servant des « tribunaux d’arbitrages » extra nationaux, imposés par eux et toujours en leur faveur.
9 – Arrivés là, ils prennent grand soin d’établir des bases militaires qui contrôleront le pays, instaureront un climat mafieux de terreur et favoriseront tous les trafics en tout genre générant une masse financière à recycler par les banques et pour soutenir les opérations secrètes ultra juteuses (laboratoires d’armes biologiques loin de chez eux, trafics d’armes, de drogues, d’humains y compris d’enfants pour les pratiques pédophiles des « élites » dégénérées, d’organes… etc.) la splendeur du Mal en soi déclarée comme vertueuse…
RépondreSupprimerL’UE conçue et organisée pour les seuls intérêts de l’US Imperium a déjà fait passer une loi qui autorise les armées d’occupation étasuniennes de l’OTAN à circuler librement sur tout le territoire de l’UE, non seulement sans avoir besoin de demander quelque permission que ce soit, à personne, mais faisant obligation aux États européens d’adapter les routes, voies, ponts chemins de fer, pour permettre le passage des véhicules militaires de grande dimension partout en Europe ! Nos impôts doivent maintenant financer les exigences des mondialistes de l’US Imperium qui font la loi chez nous, sans nous demander notre avis !
10 – Ils terminent le travail de la mise au pas de leur loi, en plaçant dans chaque pays réduit au néant politique, un régime tout dévoué à leur cause et un État vassalisé, obéissant scrupuleusement aux directives de l’Empire. Si la population d’un pays vassalisé montre des comportements récalcitrants, des velléités de libération du joug de l’occupant fasciste ultra libéral US, présent en Europe avec ses armées du 4è Reich, appelées OTAN, on active le réseau terroriste, comme le GLADIO en Europe, pour le massacre de quelques centaines d’innocents afin de dresser les peuples récalcitrants et les États frileux, pour les maintenir dans la crainte sécuritaire et dans leur obligation – s’ils désirent être « protégés » par la puissance de l’US Imperium – de cautionner les directives de Washington ne travaillant que pour son intérêt, même ouvertement avoué! Si l’obéissance est totale de la part d’un pays vassalisé, il n’y a plus la moindre trace d’événements « terroristes » sur son territoire, puisque les organisateurs et financeurs du terrorisme sont des agents de la CIA. Ce sont donc les USA, via ses agents tout-puissants, qui décident, si oui ou non, ils vont envoyer secrètement leurs mercenaires (c’est le principe du GLADIO) hier les « brigades rouge », aujourd’hui les « djihadistes » ou les « néo-nazis », ceux qu’ils ont créés pour cette fin, afin de punir par des crimes odieux et arbitraires les insoumis ! Hier, la cible était les partis communistes dont la popularité grandissante en Europe devait être brisée. Pour cela des gens d’extrême droite étaient recrutés dans le but d’organiser des attentats en se faisant passer pour des gens d’extrême gauche. Aujourd’hui, en Ukraine, il faut briser les populations pro-Russes pour installer les forces d’occupation du 4è Reich, l’OTAN, sur la frontière directe avec la Russie : pour cela le recrutement des néo-nazis mis au pouvoir à Kiev était la solution idéale et la plus efficace pour atteindre l’objectif visé. Dans le reste de l’Union Européenne, les « djihadistes », créés par les USA à travers les « Mondjahidin », formant le groupe Al-Qaïda, puis tous les autres mercenaires « djihadistes » réunis par le Califat « État Islamique d’Irak et du Levant » (EIIL, ISIS, DAECH) sont les nouveaux mercenaires intervenants en Europe pour obliger celle-ci à accepter une militarisation, « OTANISATION » de l’UE, servant les intérêts exclusifs fascistes des États-Unis d’Amérique…
(Cf., « Le djihad et le management de la terreur », JYJézéquel, Vérone éditions, 2017, 445 pages.)
11 – Au besoin, il y a aussi un réseau important de lieux consacrés à la torture, afin d’obtenir les collaborations souhaitées, comme celles des djihadistes fondateurs de Daech qui sont tous passés par un séjour en centre de torture, comme les célèbres Guantanamo, Abu Ghraib, Bagram, Kandahar, Ben Guerir, bref, « l’Archipel du Goulag » étasunien. Dick Marty faisait connaître l’existence de ce réseau, par un célèbre rapport qui a « scandalisé les autorités européennes » apprenant que la Pologne et la Roumanie abritaient ces prisons clandestines dans lesquelles des ressortissants de l’UE, enlevés arbitrairement et illégalement, étaient martyrisés par les agents de la CIA ! G.W. Bush devait reconnaître officiellement, en son temps, l’existence de ce réseau criminel cautionné et financé par l’État Profond Américain et donc par les impôts du peuple Étasunien, nos meilleurs amis et alliés de toujours !
RépondreSupprimerCette procédure d’invasion, de soumission, de dressage, de vassalisation peut être illustrée par une foule d’interventions illégales et criminelles de l’US Imperium dans le monde, comme : le Guatemala en 1953, l’Iran en 1956, le Congo en 1961, le Vietnam 1962, le Brésil en 1964, la Grèce en 1967, la Thaïlande en 1971, le Chili en 1973, l’Argentine en 1978, le Nicaragua en 1985, le Panama en 1989, l’Irak en 1991, la Yougoslavie en 1991 et très précisément la volonté de s’imposer aux Serbes pro Russes, l’Afghanistan en 2001, l’Irak de nouveau en 2003, la Tunisie-Égypte-Libye en 2011, la Syrie en 2011/2012, le Soudan en 2013, au Yémen en 2015 via l’Arabie Saoudite, de nouveau le Brésil en 2016, la Palestine en 2023, en fournissant toute la logistique militaire à Israël pour procéder méthodiquement au génocide du peuple Palestinien, la Russie via l’Ukraine armée, dirigée, entraînée, financée par la coalition occidentale et les cadres de l’OTAN… Enfin, en préparation : le Venezuela, l’Iran, les Philippines, la Corée du Nord, la Chine… Ce qui se passe actuellement avec l’utilisation odieuse de la minorité musulmane des Rohingyas, dans l’Arakan au Myanmar (ancienne Birmanie) où les Chinois ont massivement investi, c’est une déstabilisation de toute la zone pour briser l’influence et le marché en faveur de la Chine la puissance économique à abattre.
La signature du Mal, c’est que celui-ci impose sa dictature, sa violence, sa barbarie, sa cruauté, son mensonge, sa négation et sa destruction, son désastre, sa criminalité, au nom même du « bien » ! Le Mal en soi considère qu’il est le Bien en soi : il déclare qu’il est « l’axe du bien » ! Le Mal pense qu’il fait « bien » en répandant le malheur…
A suivre …
https://www.mondialisation.ca/strategie-et-mode-de-fonctionnement-des-acteurs-globalistes-du-n-o-m-predominance-dictature-esclavage-des-peuples/5687462?doing_wp_cron=1710419814.0015060901641845703125
Destruction artificielle de l’Amérique et de l’Europe. « Des nations de moutons gouvernées par les loups »
RépondreSupprimer« Prédit » en 1991 par le Club de Rome
Par Peter Koenig
Recherche mondiale,
14 mars 2024
« Une nation de moutons sera gouvernée par les loups. »
Le Club de Rome , créé en 1968, a publié en 1991 son deuxième rapport « d'envergure mondiale », « La première révolution mondiale » . Regarde ça .
Son préambule dit :
« Ah mon amour ! Pourrions-nous, toi et moi, conspirer avec foi,
pour saisir tout ce triste schéma de choses,
ne le briserions-nous pas en morceaux et ensuite,
le remodeler plus près du désir de notre cœur.
—Edward Fitzgerald, le Rubaiyat d'Omar Khayyam (Rubáiyát d'Omar Khayyám est le titre qu'Edward Fitzgerald a donné à sa traduction de 1859 du persan vers l'anglais d'une sélection de quatrains [poème de 4 vers] attribué à Omar Khayyam, surnommé « l'astronome- Poète de Perse".)
À la fin de l’avant-propos, on trouve une autre citation remarquable :
« Aucune génération n’a jamais aimé ses prophètes, encore moins ceux qui soulignent les conséquences d’un mauvais jugement et d’un manque de prévoyance.
Le Club de Rome peut se targuer d'être impopulaire depuis vingt ans. J’espère que cela continuera pendant de nombreuses années à exposer des faits désagréables et à troubler la conscience des suffisants et des apathiques.
—(feu) Prince Philip, duc d'Édimbourg, Message aux délégués à la Conférence du vingtième anniversaire du Club de Rome, Paris, 1988
Et un autre souligné dans le texte :
« Le culte de la souveraineté est devenu la religion majeure de l'humanité. Son Dieu exige un sacrifice humain. – Arnold Toynbee, historien et philosophe britannique
C'est la teneur du livre tout au long de ses 160 pages. Il est empreint d’arrogance et de supériorité. Avec son précurseur, « Limites à la croissance », il promeut l’eugénisme et constitue aujourd’hui et au-delà – si nous le permettons – le modèle de la Grande Réinitialisation du FEM et de l’Agenda 2030 des Nations Unies.
Ensemble, ces deux rapports promeuvent, ou plutôt dictent la destruction pour reconstruire en mieux (vous vous souvenez du slogan jamais expliqué des néoconservateurs ?) et l’eugénisme. Telles sont les principales priorités dans lesquelles l’humanité vit et souffre aujourd’hui.
RépondreSupprimerC’est pourquoi les guerres sont favorisées au détriment de la paix, pourquoi il faut faire croire aux gens qu’il existe d’innombrables et imprévisibles pandémies – toutes à l’horizon, comme la « maladie « X » – et bien sûr, ne vous inquiétez pas, les vaccins sont sur la planche à dessin. les types d’ARNm qui modifient vos gènes, pour que vous deveniez un meilleur être humain – code pour « pour que vous périssiez plus vite ».
Rappelez-vous le slogan en haut : « Une nation de moutons sera gouvernée par les loups ». Pour l'amour de Dieu – Cessons d'être des moutons.
Ce que nous vivons ces jours-ci. Des semaines, des mois – et au moins depuis quatre ans, à un rythme toujours plus rapide – tel est précisément l'ordre du jour, le diktat du Club de Rome (CdR). La destruction est le nom du jeu .
À commencer par l’Occident, cela implique la destruction de notre économie, de notre industrie, de nos infrastructures, de notre agriculture – la nourriture même dont nous avons besoin pour survivre – des services, des soins de santé, de nos systèmes juridiques, de l’éthique, de la foi, de l’espoir – et enfin de l’humanité elle-même. Nous sommes aujourd’hui environ 8 milliards – ils veulent que nous descendions en dessous d’un milliard.
Quand nous verrons une catastrophe, les bottes de la cabale pourront achever leur ruée.
Destruction – Initiée par Macron ?
Il y a quelques jours, le président français Macron a déclaré ouvertement et sans remords : « Il n'y a pas de limites au soutien à l'Ukraine ». Il a ajouté : « La France ne devrait respecter aucune limite ni la « Ligne rouge » russe lorsqu’il s’agit de soutenir Kiev.
C'est quelque chose de fort. Une provocation sans précédent pour la Russie. Macron a déjà déclaré plus tôt que l’envoi de troupes (françaises) de l’OTAN en Ukraine était effectivement une option.
C’est mettre le doigt sur la gâchette d’une explosion nucléaire. Si les marionnettes arrogantes de Washington ne le comprennent pas encore, la ligne rouge russe ne disparaît pas parce que M. Macron le dit. L'arsenal nucléaire russe est bien supérieur à celui des États-Unis, qui sont stationnés au sein de l'OTAN dans toute l'Europe et en Asie, pointant leurs missiles à tête nucléaire vers Moscou.
S’il faut détruire, Monsieur Macron, ce sera bien à nouveau l’Europe, la troisième fois en un peu plus de cent ans. L’Europe, et probablement bien au-delà. Cette fois, personne ne peut même imaginer l’ampleur des destructions – et le coût en vies humaines. Et il est peut-être trop tard pour que les « élites » occidentales – les cerveaux du désastre – se précipitent vers leurs bunkers.
L’ancien président russe et actuel vice-président du Conseil de sécurité nationale, Dmitri Medvedev , a posté sur « X » (ancien Twitter) que cela signifie que « la Russie n’a plus de ligne rouge pour la France ». Il a ajouté que « tout est permis contre les ennemis ». Ici, l'ennemi c'est la France et tous ceux qu'entraîne l'arrogance française.
RépondreSupprimerLe parlementaire européen français Florian Philippot , chef du Parti des Patriotes français, a exhorté les Français à destituer Macron avant qu'il ne soit envoyé mourir en Ukraine.
"Il appartient à chaque Français de résister, à chaque mère de refuser de laisser son fils mourir pour Kiev, l'OTAN et Roche Noire", a déclaré Philippot sur "X". "C'est à nous de nous battre pour sortir de l'UE et de l'OTAN et chasser Macron !"
Regarde ça .
Jamais auparavant un soi-disant « leader » européen n’avait fait des déclarations aussi sévères et provocatrices, pas même Macron. Qui lui a donné l'ordre de le faire MAINTENANT ? QUI LUI A DONNÉ DES COMMANDES ?
Enverra-t-il officiellement des troupes françaises (OTAN) en Ukraine ? Franchissant ainsi la ligne rouge de M. Poutine et provoquant tout ce que la Russie juge nécessaire pour protéger son intégrité, sa terre et son peuple ? Il pourrait s’agir d’un conflit nucléaire – entièrement destructeur. C’est ce que prédisent et craignent de nombreux analystes.
Est-ce ce que veut le pouvoir derrière la France et derrière la cabale obscure – une destruction totale – qui servirait également le programme de dépopulation ?
Peut être. Peut-être que 2024 est le moment.
Le chef du Parti républicain français (Les gaullistes), Eric Ciotti , est plus prudent, estimant que soutenir l'Ukraine en envoyant des troupes serait « irresponsable et dangereux ».
Ayons confiance que l’humanité retrouvera la raison et déposera Macron plutôt que de suivre ses conseils, ses paroles et – Dieu le sait – ses actes incroyablement dangereux.
Moscou est en alerte. Sur un ton plus bas, Moscou prévient que l'OTAN devient de plus en plus agressive.
Le plan est une destruction artificielle de l’humanité ?
Exécuter le mandat du Club de Rome ?
Attention, l’élite n’a pas l’intention de s’autodétruire, bien sûr que non. Avant l’anéantissement total, ils espèrent chercher refuge dans leurs bunkers, où qu’ils soient, peut-être sur une île isolée d’Hawaï, en Nouvelle-Zélande ou simplement dans le Dakota du Sud – voir ceci .
Le discours sur l’état de l’Union du président Joe Biden du 9 mars 2024 est un autre message désastreux de destruction totale, d’anéantissement de la civilisation s’il parvient à ses fins. Mais il ne le fera pas.
RépondreSupprimerUn discours « normal » sur l’état de l’Union concerne les États-Unis, il s’agit de « l’état » des affaires de la nation, de l’économie, de l’emploi, de la croissance et du potentiel de croissance – des prévisions, des perspectives de développement. Il s’agit d’un message de clairvoyance, censé donner de l’espoir aux gens – leur faire connaître les plans du gouvernement pour remédier aux lacunes. Rien de tout cela ne s'est produit.
Les 20 premières minutes du discours ont été consacrées à la seule Ukraine – écrasant le président Poutine et la Russie , et
« Nous ne vous abandonnerons jamais, Ukraine ! Nous serons toujours derrière vous.
Promettant d'envoyer 90 milliards de dollars supplémentaires aux oligarques ukrainiens. L’argent des contribuables, pour rien. Biden le sait. Le Congrès américain le sait. Tout le monde le sait. Cette guerre ne pourra JAMAIS être gagnée contre la Russie. Et pourquoi devrait-il en être ainsi ?
En plus de l'avoir préparé et commencé – compliments de Madame Victoria Nuland [f*ck Europe], maintenant partie, Dieu merci ; un projet de préparation de plus de 10 milliards de dollars – quel intérêt restent les États-Unis à mener une guerre par procuration à quelque 10 000 km de distance, de l’autre côté de l’Atlantique et de l’Europe ? Certainement pas la sécurité nationale .
Augmenter les marges bénéficiaires du complexe militaro-industriel est certainement une bonne raison et parvenir à un « changement de régime » en Russie. Madame Nuland a avoué ses paroles dans une interview accordée à Christiane Amanpour de CNN, quelques jours seulement avant sa démission forcée.
Oui, il a toujours été question de mettre la Russie à genoux devant le futur empereur de Washington, dirigé par un dirigeant fantoche russe. Ils pensaient avoir atteint leur objectif en 1991, avec le président Eltsine de l’époque, plus intelligent qu’on ne le croyait, lorsqu’il présenta M. Vladimir Poutine et le nomma en août 1999 Premier ministre. Il était clair que le président Eltsine préparait M. Poutine pour le Kremlin. Voilà pour la défaite des méthodes sournoises utilisées par l’Occident pour soumettre la Russie.
Le discours de M. Biden était également une diatribe contre les républicains. Dès le début, il a comparé l’ancien président Trump, son seul adversaire lors des élections (encore) prévues de novembre 2024, à Hitler. C'est ainsi qu'il a appelé Donald Trump. Cet homme, Biden, n’a aucune décence. Son visage exprimait de la colère partout – il criait et déclamait. Et devinez quoi, il a reçu des ovations debout. Cela en dit long sur l’état de l’Union des États-Unis.
Voir ceci pour le discours complet :
- voir clip sur site -
Tucker Carlson , en réponse au discours sur l'état de l'Union de Joe Biden, a déclaré qu'il s'agissait du pire discours sur l'état de l'Union jamais enregistré aux États-Unis. En plus de décrire le crime que les États-Unis – l’Occident – finançaient en Ukraine, Tucker Carlson a souligné d’autres mesures destructrices promues par Biden comme le transhumanisme et l’avortement gratuit, en d’autres termes le programme Woke financé par Soros – qui ne cache même pas son objectif de réduction de la population.
RépondreSupprimerImmigrants illégaux. Tucker Carlson a également parlé de la politique insensée d'ouverture des frontières de Biden, faisant entrer des clandestins aux États-Unis, même par avion, leur donnant un abri, de la nourriture, des cartes de débit qui ne seront jamais remboursées [voir la vidéo ci-dessous ] – principalement des jeunes hommes qui pourraient et sont attendus. servir dans l'armée américaine.
- voir clip sur site -
Pourquoi Biden ferait-il cela ?
Ces immigrants n’ont aucune allégeance aux États-Unis – et devraient-ils servir dans l’armée américaine ?
Peut-être contre le peuple américain – lors d’un soulèvement provoqué ?
Voir ceci pour l'analyse complète de Tucker (9 mars 2024) :
- voir clip sur site -
Les immigrants « illégaux » sont directement envoyés par avion aux États-Unis, l’administration Biden l’admet ouvertement. Pour l’instant, le chiffre officiel s’élève à 320 000. La raison officielle est en effet de combler les déficits de recrutement militaire.
La vraie raison est certainement ailleurs. Les immigrants, surtout lorsqu’ils arrivent en masse, constituent toujours un bouleversement dans la société dans laquelle ils entrent. C’est la même chose en Europe, et la politique européenne n’est pas très différente de celle des États-Unis. C'est très coordonné .
Voir ceci et cela (Vidéo de 14 min « Expurgée » du 7 mars 2024).
Dans une interview avec Tucker Carlson, le colonel MacGregor met en garde contre le projet de recruter des clandestins dans l'armée américaine . Tucker a déclaré que Rome est tombée parce que des étrangers qui n'étaient pas fidèles à Rome ont peuplé son armée et se sont retournés contre le peuple de Rome. Pour la même raison, le colonel à la retraite Douglas Macgregor a mis en garde les Américains contre le fait de permettre aux étrangers illégaux de servir dans les forces armées. Voir ceci (vidéo 7 min – 4 mars 2024).
En effet, bouleverser la société. Mais pourquoi ? Créer un conflit interne, une lutte interne – peut-être une guerre civile ? C'est un moyen de destruction et les victimes sont les immigrés qui rêvent d'un monde meilleur. Au lieu de cela, ils sont utilisés pour le précepte du Club de Rome de DESTRUCTION – pour finalement reconstruire selon le désir de l'élite.
Ce ne sont là que quelques exemples de destructions planifiées et orchestrées – exactement comme le prévoient les édits du Club de Rome.
Les gens se réveillent. Ce qui se passe aux États-Unis se produit déjà sous une forme différente, peut-être moins visible, en Europe.
Arrêtez d'être des nations de moutons gouvernées par des loups .
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/engineered-destruction-america-europe/5851789
L’IA commence à effrayer les gens – et c’est ce qu’elle devrait faire !
RépondreSupprimerPar Julien Rose
Recherche mondiale,
11 mars 2024
La race humaine prend conscience de la possibilité qu’elle invoque sa propre disparition.
Le mot « race », selon mon dictionnaire, signifie « les principales divisions du genre humain basées sur des caractéristiques particulières ».
Mais il y a bien sûr un autre sens au mot « course », celui-ci est défini comme « une compétition visant à déterminer le plus rapide sur un parcours déterminé ».
Ce dernier sens semble avoir remplacé le premier. Surtout là où une vision étroite et tunnel de l’avenir est devenue étroitement liée à un monde d’intelligence artificielle dans lequel tout est conçu pour répondre aux exigences sur mesure des nerds informatiques dominés par le cerveau gauche.
Pour ces individus psychotiques, une course est lancée pour développer une entité humaine artificielle essentiellement impossible à distinguer d’un robot. Un transhumain.
Parmi ceux qui sont à l'avant-garde de cette vision techno-humaine figurent le professeur Yuval Noah Harari , conseiller en chef de Klaus Schwab et Sam Altman , fondateur d'Open AI/Chat GPT.
La vision de Harari est largement philosophique, retraçant l’évolution du boom de l’intelligence artificielle et en extrapolant le résultat d’une prise de contrôle cyborgienne de presque toutes les activités planétaires orientées vers le travail.
Il voit généralement cela de manière positive, estimant qu'une nouvelle espèce émergera avec la capacité d'accéder à des volumes d'informations surhumains et d'acquérir ainsi des « connaissances ».
Dans une récente interview, il a déclaré
"L'IA permettra d'améliorer et d'améliorer les humains."
Cela signifie – comme nous le verrons plus tard – les transformer en inhumains/non humains.
indéfini
Altman l'aborde du point de vue de la post-silicon Valley (appelée « vallée cérébrale »). Wikipédia déclare, dans le cadre d'une revue plus longue
« Altman a cofondé Tools For Humanity en 2019, une société qui construit et distribue des systèmes conçus pour scanner les yeux des gens afin de fournir une authentification et de vérifier la preuve de leur identité afin de lutter contre la fraude. Les personnes qui acceptent de se faire scanner les yeux sont rémunérées par une crypto-monnaie appelée Worldcoin. Tools for Humanity décrit sa crypto-monnaie comme similaire au revenu de base universel.
Je suis sûr d'avoir lu cela dans Le meilleur des mondes revisité de Huxley…
Son entreprise se précipite déjà dans le développement de diverses aides de haute technologie pour les programmes de surveillance gouvernementaux, les projets d'extension de l'âge et les formulations instantanées de texte en image.
Altman a proposé qu'un seul homme soit bientôt capable de gérer une entreprise avec un chiffre d'affaires d'un milliard de dollars – aucun autre personnel n'est nécessaire.
RépondreSupprimerIl est sur la même longueur d’onde que Harari lorsqu’il déclare : « De telles entreprises ont besoin d’une nouvelle espèce d’élite pour les diriger. »
Les valorisations boursières d’Open AI/Chat GPT révèlent un taux de croissance astronomique, proche de dépasser la valeur nette de Google et Microsoft réunis.
Cela seul suffit à faire dresser les poils sur la nuque.
Ce n’est pas mon objectif d’entrer dans les ambitions personnelles d’Altman ou d’Harari, je veux simplement montrer où en sont leurs esprits et explorer la psychologie derrière la montée de la fascination pour l’IA ainsi que rechercher les signes d’une contre-réaction à sa domination accélérée.
Il ne fait aucun doute que l'homme a toujours eu un instinct pour l'inventivité matérielle et une fascination pour les progrès technologiques – associés au désir d'aller toujours plus vite.
Mais cela nous amène désormais à un point où, si l’on veut respecter ce que signifie être humain, il ne faut pas oser aller plus loin.
Il faut plutôt être attentif à la nécessité de sélectionner une marche arrière.
Flirter avec la conception d'une nouvelle espèce dont les caractéristiques principales sont aux antipodes de celles jugées les plus bénéfiques pour notre évolution supérieure, était autrefois appelé « jouer à Dieu ».
Mais cette expression ne semble plus appropriée, car ce qui se passe en réalité, c'est que des personnages comme Harari et Altman « jouent au diable ».
Ils articulent et promeuvent le remplacement des qualités humaines spontanées d’amour, de compassion, de douleur et de plaisir – par des états d’esprit robotiques de haute technologie qui ne voient aucune place pour ces instincts profondément humains – et nomment ensuite cela « progrès ».
Ces caractéristiques cyborgiennes sont calquées sur le précepte selon lequel les émotions humaines sont en quelque sorte primitives, bloquant notre capacité à concevoir une existence de certitude linéaire, totalement contrôlable, sans friction.
Pas de hauts, pas de bas, pas de passion, pas de sentiments – à l'exception de ce que Huxley décrit dans « Le Meilleur des Mondes » comme un état acquis après qu'on lui ait prescrit la pilule chimique de docilité « Soma ».
RépondreSupprimerAinsi, les partisans d'un nouvel ordre mondial/grande réinitialisation peuvent souligner le fait qu'en manipulant l'ADN humain, en installant des puces informatiques nanotechnologiques internes et en utilisant des fréquences de rayonnement EMF ciblées pour contrôler les facultés cognitives de l'humanité, on élimine le danger de toute forme de comportement déstabilisateur ou rebelle. l’influence devient de plus en plus une menace pour le bon fonctionnement d’un statu quo stérilisé et aseptisé (The Matrix).
Cela fait de l’idée d’un homme cyborg IA, pucé et numérisé, complètement prévisible, la solution idéale pour les technocrates calculateurs de chiffres administrant le département de planification centrale de la Grande Réinitialisation/Gouvernement Mondial de la cabale noire.
Cela explique aussi pourquoi Klaus Schwab peut, avec tant de certitude, annoncer qu'en suivant les diktats de la Quatrième Révolution industrielle « vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». Oui, parce que « l'effet Soma » de l'ADN et de la manipulation cérébrale signifie qu'il ne restera plus aucun pouvoir de résistance individuel !
Tout est connecté quand on relie les points. Et c’est lorsqu’une telle adhésion est finalement entreprise que le facteur effrayant intervient soudainement – et à condition qu’il fonctionne comme il le devrait – une impulsion biologique visant à rejeter un tel scénario prend le dessus.
Considérez ceci : la grande escroquerie du réchauffement climatique a été maintenue à plein volume pendant plus de deux décennies afin de s'assurer que les gens ne voient pas d'autre solution pour la vie sur terre – que le « Net Zero ». Ainsi, la vie quotidienne doit se conformer à une série d'impositions dictatoriales conçues pour garantir un avenir zéro carbone « comme seul moyen de sauver le monde ».
Des titres apaisants comme « Agenda 2030 pour le développement durable » et « Green New Deal » ont été inventés pour donner l'impression qu'il s'agit d'une opération de « verdissement » bénigne, au bénéfice assuré des générations présentes et futures.
Mais « jouer au diable » signifie inverser les réalités, un tour diabolique que les responsables de la Grande Réinitialisation connaissent bien. Comme le stratagème nazi consistant à transformer un symbole de paix indien, la croix gammée, en un symbole de répression et de guerre.
Le « renversement » est la principale caractéristique déstabilisante des entités démoniaques.
RépondreSupprimerAlors, le Green New Deal peut-il vraiment être une initiative écologique bénigne pour accroître la biodiversité de la planète et améliorer la qualité des aliments ?
Seulement si vous pensez que ce qui suit en est une description : couvrir le paysage rural d’éoliennes géantes et d’hectares de panneaux photovoltaïques ; l' éradication des agriculteurs et leur remplacement par des robots ; les aliments cultivés à la ferme remplacés par des sosies synthétiques d’OGM en laboratoire ; les vaches sont remplacées par des machines qui produisent du lait synthétique OGM et des viandes médicinales élevées dans des boîtes de Pétri.
Vous voyez donc pourquoi la cabale de l’État profond doit maintenir un barrage de domination à spectre complet de mensonges inavoués sur la raison pour laquelle atteindre le « Net Zéro » est la question la plus importante du millénaire.
La transition vers un Transhumain nécessite évidemment un très vaste processus d’endoctrinement sous fausse bannière pour lui donner une chance de réussir. L’un soutenu par la menace d’amendes ; une surveillance permanente de l'IA liée à une monnaie numérique ; l'emprisonnement dans des « villes intelligentes » alimentées par la 5G et des attaques à longue portée contre la capacité du cerveau humain à rester capable de penser clairement.
Tout cela et bien plus encore, pour étouffer la menace d’une éventuelle rébellion ou dissension à l’égard des règles mises en place pour forcer l’humanité à s’abandonner à son éradication Net Zero soigneusement planifiée. Encore une fois, un programme qui remplace l’humain par une réplique d’espèces programmée par ordinateur et n’ayant aucune capacité à exprimer sa résistance.
Tout cela constitue le programme de l’État profond de la Grande Réinitialisation. Et son raisonnement pour justifier la nécessité de telles actions est qu’il n’existe pas d’autre moyen de mettre fin à l’existence du « gaz vital » bénin appelé CO2. Pas d’autre solution que de transformer la race humaine en une armée de morts-vivants bien entraînée.
Un programme aussi insensé devrait-il faire froid dans le dos ?
Eh bien, si ce n’est pas le cas, alors le statut supposé d’un être humain doit sûrement être mis en doute.
Si l'on a simplement envie de rejeter ces avertissements comme une sorte de fantaisie exotique, considérons l'actualité prémonitoire suivante : une société appelée Aria Advanced Research Invention Agency a récemment été créée au Royaume-Uni sous le slogan « Shaping the Global Future » et avec l'objectif numéro un déclaré de « réduire la menace de réchauffement climatique causée par les émissions de méthane des vaches ». Suivra «le développement de plantes programmables génétiquement modifiées». Mais aussi pour lutter
contre le réchauffement climatique, bien entendu.
RépondreSupprimerDois-je fournir davantage de preuves que le faux programme fasciste vert conçu pour « arrêter le changement climatique » a été choisi comme l’homme de paille essentiel pour faire accepter au public la nécessité de modifier l’ADN de la nature, de repenser l’espèce humaine et de dépeupler la planète ?
Nous avons reçu l’état émotionnel de peur, guidé par les nerfs, comme système d’alerte précoce pour faire face à une situation potentiellement périlleuse. S'arrêter net et jeter un deuxième coup d'œil avant de continuer.
Elon Musk et quelques autres personnes de même statut ont momentanément reçu ce message il y a quelques mois.
Musk, lui-même l’un des principaux représentants de l’IA, souhaitait qu’un groupe de travail examine où va l’intelligence artificielle et si elle est déjà hors de contrôle.
Les sonnettes d’alarme sonnent depuis deux à trois décennies, mais la montée des sentiments de peur cruciaux est assez récente pour la plupart. Ils représentent un salon de la dernière chance – une ligne de vie émotionnelle – et doivent être analysés et mis en œuvre individuellement et collectivement.
Je donnerais la priorité aux enfants comme étant ceux qui ont le plus besoin de protection contre l’IA. La distorsion et l’empoisonnement de leurs beaux esprits innocents par la violence des jeux de guerre en réalité virtuelle alimentés par les EMF numériques, la publicité toxique et la sexualité tordue appartiennent fermement à la catégorie des crimes contre l’humanité.
Et puis l’adoption irréfléchie – on pourrait même dire « imprudente » – d’armes numériques de commodité produites en masse (c’est-à-dire le téléphone portable) par ce qui est censé être des êtres humains intelligents, capables de discernement et de pensée rationnelle, nécessite la création d’une nouvelle catégorie. de maladie sociale et mentale.
Mais ce qui est plus important encore, c'est que ces toxicomanes doivent avoir suffisamment peur de ce qu'ils font à eux-mêmes, aux autres et à l'environnement naturel, pour pouvoir enfin se débarrasser de leur habitude.
RépondreSupprimerJe ne souhaite pas consacrer la majorité de mes écrits à essayer d’effrayer les gens. Ce n’est pas comme s’il n’y avait pas un seau plein de la version déformée pré-planifiée qui se déroule sous les auspices de la cabale du gouvernement fantôme.
Je préfère de loin encourager les extraordinaires qualités créatives qui se cachent juste sous la surface de plusieurs millions d’hommes, de femmes et d’enfants chaleureux, humanitaires et pro-vie, répartis aux quatre coins du monde.
Cependant, je dois exprimer la nature du mal-être détecté par mon système d’alerte précoce personnel. Celui qui appelle à agir pour la préservation de la vie.
C’est parce que je reconnais l’existence d’une énergie vibratoire inconsciente collective qui nous relie tous, que je crois que les lecteurs partageront mes appréhensions, mes clairvoyances et mes croyances les plus profondes. Après tout, ils nous sont tous communs.
C’est pour cette raison que nous pouvons surmonter et surmonterons même les pires menaces qui pèsent sur notre avenir commun. Redécouvrir et rajeunir notre humanité, notre amour de la vie et notre amour les uns pour les autres. Et ce faisant, mettez fin aux constructeurs de réalités virtuelles monstrueuses, sans âme, dépourvues de toutes les qualités qui donnent à la vie un sens si profond – si incalculablement précieux.
https://www.globalresearch.ca/ai-starting-scare-people-so-it-damn-well-should/5851863
Les députés français ont voté pour une troisième guerre de Crimée, en exigeant de retour de la Crimée (3% de la population parle ukrainien), on rend la paix impossible
RépondreSupprimerle 13 mars 2024
par pgibertie
Dans cet accord il est clairement exprimé que la France fera tout pour que l’Ukraine entre dans l’UE, l’OTAN…et retrouve ses frontières de 1991 ( donc avec la Crimée qui ne compte que 3% d’Ukrainiens )
Soutenir un tel accord n’est ni juste ni réaliste. Seul un référendum organisé par des pays NEUTRES peut décider du sort des populations du DONBASS et surtout de Crimée, ça s’appelle le droit des peuples à disposer d’eux mêmes. En aout 2021 le refus de reconnaitre la Crimée russe et même toute possibilité de référendum a entrainé l’escalade…
23 AOUT 2021/Le jour où Poutine a compris que Zélensky avait gagné la bataille diplomatique , l’Occident soutiendrait la dérussification de la Crimée
Savez vous que tout juste un an avant l’attaque russe sur l’Ukraine , Zélensky et les occidentaux fermaient la porte à toutes négociations sur la Crimée? La situation de la péninsule grande comme la Belgique ,russophone à 84%, base de la flotte russe en Mer Noire a toujours été la clef de la paix ou de la guerre .
Le 23 aout 2021 Zélensky obtenait le soutien de l’Occident dans la nouvelle guerre de Crimée SIX MOIS APRES JOUR POUR JOUR l’attaque russe commençait
Le reste, y compris la situation du Donbass était secondaire pour les observateurs sérieux , dans les accords de Minsk la partie russe acceptait le maintien de cette région dans l’Ukraine. Avant 2022 les républiques séparatistes n’étaient pas reconnues par la Russie.
Zélensky élu sur un programme de paix et de défense de russophone a donné des gages aux ultra nationalistes et durci le ton pour récupérer la Crimée quite à mettre en place une purification ethnique
https://twitter.com/i/status/1620439858669056000
1 Le 26 février 2021, le président Zelensky a signé un décret sur certaines mesures visant à la désoccupation et à la réintégration du territoire temporairement occupé de la République autonome de Crimée et de la ville de Sébastopol, qui a décidé de créer le comité d’organisation pour la préparation et la tenue de la plate-forme de Crimée.
LE DOCUMENT EN FRANCAIS
Le premier sommet de l’initiative diplomatique « Plateforme de Crimée » a eu lieu à Kyiv le 23 août 2021.
Volodymyr Zelensky n’était pas peu fier, ce lundi, en accueillant un par un les 46 délégations ayant fait le voyage pour assister à cette «Plateforme de Crimée». En septembre 2020, lors de l’Assemblée générale de l’ONU à New-York, le président ukrainien avait annoncé la création d’un mécanisme international, spécifiquement consacré au retrait de la Russie en Crimée, alors que pendant la présidence Porochenko, ce dossier, techniquement complexe, avait été mis en arrière-plan de la guerre du Donbass, et se limitait au registre déclaratif et émotionnel.
Dans son discours d’introduction, Zelensky a déclaré que l’occupation de la Crimée durait depuis 2 741 jours et que «nous ne pouvons pas perdre un jour de plus». Il a ajouté que l’Ukraine ne libérerait pas la Crimée à elle seule, sans le soutien international. Zelensky a également déclaré que l’Ukraine « fera tout pour recupérer la Crimée». «L’Ukraine et moi-même ferons tout notre possible pour rendre la Crimée afin que la Crimée, avec l’Ukraine, fasse partie de l’Europe.
Selon le président du Conseil européen Charles Michel, depuis 2014, l’Union européenne a apporté un soutien à l’Ukraine à hauteur de 16 milliards d’euros. Il a ajouté que «notre objectif est de faire en sorte que l’annexion illégale ne soit jamais légitimée». Charles Michel a déclaré que l’Union européenne poursuivrait sa politique de non-reconnaissance de l’annexion illégale de la Crimée et a appelé la Russie à arrêter l’intégration forcée de la péninsule dans ses frontières. Pendant ce temps, le secrétaire général adjoint de l’OTAN, Mircea Geoana, s’exprimant lors du sommet de la Plateforme de Crimée à Kyiv, a déclaré que les Ukrainiens avaient choisi la voie de la liberté, de la démocratie et de l’intégration euro-atlantique, et que l’OTAN était pleinement aux côtés de l’Ukraine. Il a ajouté que l’OTAN condamne fermement et ne reconnaîtra jamais l’annexion illégale de la Crimée par la Russie. «La Crimée est le territoire de l’Ukraine et nous appelons la Russie à rendre le contrôle de la péninsule ukrainienne».
RépondreSupprimer. Selon le président polonais, l’Ukraine a besoin de solidarité. « Nous ne reconnaissons pas l’occupation illégale de la Crimée et de Sébastopol. Nous savons à quel point l’indifférence fait mal. Nous l’avons ressenti en 1945 – lorsque les alliés nous ont trahis et nous ont laissés avec Staline derrière le rideau de fer », a-t-il expliqué. La présidente moldave Maya Sandu a déclaré que la Crimée faisait partie intégrante de l’Ukraine et que son annexion illégale par la Russie constitue une violation flagrante du droit international. Elle a assuré que la Moldavie était et reste un partenaire fiable de l’Ukraine. Le président lituanien Gitanas Nauseda a souligné que son pays s’efforcerait de renforcer les sanctions contre la Russie jusqu’à ce que l’Ukraine retrouve sa souveraineté sur la Crimée.
Frank Riester, a promis de soutenir l’intégrité territoriale de l’Ukraine. «Au nom d’Emmanuel Macron, Président de la République française, qui m’a autorisé à assister à votre événement, je voudrais souligner trois choses importantes. Je tiens à vous rappeler que la France ne reconnaît pas l’annexion illégale de la Crimée et de Sébastopol. Notre soutien à l’intégrité territoriale de l’Ukraine reste constant. Nous pensons vraiment que cette situation menace l’ordre international», a-t-il déclaré.
« Les États-Unis sont fiers de participer et de soutenir la Plateforme de Crimée. Je tiens à préciser que nous, avec l’Ukraine et vous tous, condamnons l’annexion illégale de la Crimée… Et nous continuerons à soutenir la Plateforme de Crimée pour constamment nous rappeler que la Crimée est l’Ukraine et sera toujours l’Ukraine. Et la Russie doit être tenue pour responsable de son agression », a déclaré Grengolm.
dans les six mois suivant la désoccupation, il convient de vérifier si les « ressortissants de l’État agresseur et les autres étrangers et apatrides » séjournent légalement et des « décisions de suivi » seront prises conformément à la loi sur le statut juridique des étrangers et des apatrides. Cette disposition semble problématique au regard de l’article 8 de la CEDH (droit au respect de la vie privée) et de la jurisprudence correspondante de la Cour européenne des droits de l’homme34 et devrait être reconsidérée. En outre, il convient de veiller au respect de l’article 4 du Protocole n° 4 à la CEDH (interdiction des expulsions collectives d’étrangers)
LES INQUIETUDES DES JURISTES
La péninsule de Crimée, longtemps peuplée de Grecs fut envahie par les Tatars à la fin du 15eme siècle ,ils massacrèrent les habitants, elle devint russe au 18eme . De terre d’élevage extensif, elle fut peuplée de Russes qui déportèrent les Tatars et devint terre de cultures.En 1853 les Français et les Anglais débarquent en Crimée. En 1918 les Allemands occupent la Crimée et mettent en place un gouvernement Tatar rapidement renversé par les Russes blancs . Les Français sont de retour, puis la Crimée subit Staline et les nazis … Sommes nous prêts à une guerre mondiale pour offrir le Crimée à l’Ukraine ?
Quelle est la composition linguistique de la Crimée actuellement?
RépondreSupprimerGroupe majoritaire: russe (84,1 %)
Groupes minoritaires: tatar de Crimée (7,8 %), tatar (3,6 %), ukrainien (3,2 %), arménien (0,2 %), azéri (1,1 %)
Faut il déporter 97% de la population pour ukrainiser la Crimée? Ou seulement 68% ( les Russes ethniques ) certains distingant les Ukrainiens (3%) des Ukrainiens russophones (la population du Donbass 11%)
Nous ne savons pas quand la libération aura lieu, mais nous savons qu’elle aura lieu. Tout se décide sur le champ de bataille. Une autre partie de la population est désemparée. Pendant 8 ans, la Russie leur a dit que tout allait bien, qu’il n’y avait de guerre, que le pont de Kertch est sécurisé. Les citoyens russes ont bénéficié de programmes pour s’installer en Crimée. Nombre d’entre eux quittent désormais la péninsule. »
Il y a des collaborateurs tatars de Crimée, mais ce sont tous des pro-russes qui étaient connus avant même 2014. Ces personnes ne sont pas soutenues par la majorité de la population tatare, et elles seront tenues pour responsables en vertu du droit ukrainien et international, pour avoir soutenu les revendications du régime d’occupation sur le territoire de la péninsule. Ce point a déjà fait l’objet d’une évaluation juridique en vertu du droit ukrainien. »
Si vous venez sur le territoire d’un autre Etat, en franchissant illégalement la frontière, vous vous exposez à une expulsion. C’est tout. C’est une autre histoire pour ceux qui sont mariés et ont eu un enfant en Crimée. Ils pourront demander à résider sur la péninsule en toute légalité, et l’Etat ukrainien décidera s’il leur pardonne d’avoir enfreint la législation ukrainienne en matière de migration. Si oui, ils recevront un permis de séjour.
https://www.lesechos.fr/monde/europe/ukraine-nous-savons-que-la-liberation-de-la-crimee-aura-lieu-1867382
La désoccupation de la Crimée commence à Kyiv: comment s’est déroulé le sommet fondateur de la Plateforme de Crimée
https://uacrisis.org/fr/deoccupation-of-crimea-begins-in-kyiv-overview-of-crimea-platform-s-inaugural-summit/embed#?secret=FjrAv9cFOI
Savoir en finir avec les guerres de Crimée! Il y en a une par siècle et pour la troisième fois la France ferait la guerre à la Russie pour la Crimée.
1853/700 000 MORTS POUR RIEN
RépondreSupprimerÀ l’origine du conflit, l’on trouve une querelle d’un autre âge entre l’empereur français Napoléon III et le tsar Nicolas Ier. Chacun veut assurer en exclusivité la protection des Lieux Saints de Jérusalem, partie intégrante de l’empire turc.
Nicolas Ier juge le moment venu de régler la «Question d’Orient» posée par la déliquescence de l’empire ottoman. Il propose à l’Angleterre un partage à l’amiable des possessions ottomanes. «La Turquie est l’homme malade de l’Europe», dit-il en substance à l’ambassadeur d’Angleterre. «Il ne faut pas le laisser disparaître sans avoir réglé sa succession». Il lui suggère de prendre l’Égypte et la Crète, lui-même établissant son influence dans les Balkans.
Mais l’Angleterre refuse le partage par crainte que la Russie n’acquière trop d’influence en Méditerranée et en Orient, ainsi qu’en Afghanistan où elle côtoie dangereusement ses possessions des Indes. Elle préfère conserver l’empire ottoman en l’état pour le gérer à sa manière. Dépité, le tsar envahit la Moldavie et la Valachie ottomanes puis détruit la flotte turque de la mer Noire.
Sous le commandement respectif des généraux Saint-Arnaud et lord Raglan, Français et Anglais débarquent dans la presqu’île de Crimée et remportent une victoire sur les bords du fleuve Alma avant de mettre le siège devant Sébastopol, puissante forteresse russe, le 26 septembre 1854.
Bientôt rejoints par une poignée de soldats piémontais, les assiégeants, au nombre de 185.000, découvrent la dureté de l’hiver russe et doivent mener une éprouvante guerre de tranchées autour de la citadelle.
Le tsar accepte finalement le traité de Paris le 30 mars 1856 qui entérine la défaite de la Russie. Ce texte prévoit la reconnaissance de l’indépendance de l’Empire ottoman, l’autonomie retrouvée des principautés de Moldavie et de Valachie, ainsi que la libre circulation sur le Danube.
https://www.herodote.net/Francais_et_Anglais_cote_a_cote-synthese-154.php
En tout, la guerre de Crimée aura fait 700 000 morts, dont 460 000 morts de maladie (choléra, typhus, scorbut…). Rien qu’au premier trimestre 1856, près de 40 000 soldats français en sont morts.
En 1919, le fiasco de l’intervention française en Ukraine contre les bolcheviks
En 1918 les Allemands occupent la Crimée et mettent en place un gouvernement Tatar rapidement renvensversé par les Russes blancs .
Juste après l’armistice, Georges Clemenceau, le Père la Victoire de 1918, engage ses troupes en Crimée, pour repousser l’Armée rouge de Trotsky et engranger quelques possessions sur la mer Noire.
L’envoi de navires de guerre français dans les ports d’Odessa et Sébastopol et d’unités françaises et grecques semble relever du jeu d’enfant : l’armée russe a été vaincue, l’Armée rouge peine à repousser la contre-offensive blanche en Crimée, et l’armée française paraît au sommet de ses capacités de combat, aiguisées au fil de quatre années de guerre intensive. Le sentiment de supériorité date de l’avant-guerre, où les conseillers militaires français s’arrachaient les cheveux face à l’incompétence du commandement russe (11). On verra plus loin que les plans de conquête se sont heurtés à de rudes obstacles.
Depuis le débarquement de quelques maigres contingents le 18 décembre 1918 à Odessa, et le 26 à Sébastopol, les Français ont été mal accueillis par la population, ils n’ont reçu aucun soutien de l’état-major de Denikine et pâtissent des rivalités entre ministères de la Guerre et des Affaires étrangères, Armée de terre et Marine. Alors que Berthelot jugeait, en mai 1918, que cinq à six mille soldats suffiraient à s’imposer en Russie méridionale, il demande vingt divisions pour sauver l’opération du désastre. En vain : l’opinion est tournée vers la paix qui se prépare à Paris, l’armée est fatiguée. Les refus d’obéir se multiplient à terre en février et mars, les hommes ne peuvent résister à la moindre poussée des Rouges : ils abandonnent sans combattre l’important port militaire et commercial de Nikolaïev le 14 mars 1919.
RépondreSupprimerLe général en chef Foch acte le départ, mais le président du Conseil Clemenceau espère encore utiliser Sébastopol comme tête de pont d’une hypothétique reconquête. C’en est trop pour les marins, qui exigent de rentrer et se mutinent, d’abord en Crimée le 16 avril, sous la conduite du mécanicien André Marty qui planifie de livrer un torpilleur aux Rouges, puis à Odessa le 27 avril. Si ces premiers événements ne durent que quelques jours, ceux de l’été et de l’automne s’étendent sur des semaines et affectent profondément les unités françaises cantonnées dans tous les ports, y compris à Toulon. Le pacifisme des jeunes marins et l’action syndicale virulente en France jouent un rôle plus important que le lien, toujours fragile étant donné le danger et la barrière de la langue, avec les communistes russes.
https://fr.obsfr.ru/report/15208/11997
EN 1941 TIGRES ET PANTHERS ALLEMANDS EN CRIMEE
Après la défaite des Soviétiques en octobre 1941, les Allemands envahissent la péninsule et vers la fin de l’occupation, soit en décembre 1943 et en janvier 1944, les Allemands détruisirent complètement 128 villages dans les montagnes de la Crimée.
Puis la Crimée fut reconquise par les Soviétiques en 1944, tandis que les Tatars, au nombre de quelque 200 000 à l’époque, furent accusés collectivement de collaboration avec les nazis. Beaucoup de Tatars de Crimée auraient trahi «la Patrie» en abandonnant les unités de l’Armée rouge qui défendaient la Crimée et en se rangeant du côté des Allemands, puis en exerçant des «représailles sauvages contre des partisans soviétiques» et en infiltrant l’Armée rouge d’espions et de saboteurs.
Les malheureux furent les victimes de cette guerre avec la déportation
2014 COMMENT EN EST ON ARRIVE LA ?
https://journals.openedition.org/echogeo/13917#tocto2n6
Pour comprendre ce qu’il se passe en Ukraine, il est important de ne pas se limiter au point de vue très orienté de la presse française, dont les titres sont sans nuance.
Les États-Unis et l’Union européenne n’ont jamais tenu compte des attentes de la Russie qui espérait un moment voir reconnaître au moins implicitement le droit d’avoir une zone d’influence correspondant à l’ancien espace soviétique, moins les pays baltes. Les dirigeants ukrainiens ont pendant un temps réussi, avec plus ou moins de bonheur, à s’accommoder d’un double tropisme russe et européen, tenant même à distance les projets russes d’intégration régionale (Zhurzhenko, 2009). Mais la montée de l’antagonisme entre la Russie et l’UE a mis le pays dans une situation intenable.
RépondreSupprimerL’Ukraine est donc aujourd’hui forcée de faire un choix : cela ne peut plus être la Russie et l’UE ensemble ; c’est la Russie ou l’UE. Cette situation la déstabilise car la population ukrainienne est traversée par des divisions telles qu’un basculement politique dans un sens ne peut que susciter le rejet d’une part notable des Ukrainiens.
Parmi les trois régions ukrainiennes où une majorité de la population déclarait le russe comme langue principale (Crimée, Donetsk, Luhansk), seule la Crimée avait une majorité nette de personnes qui se définissait comme ethniquement russe. Dans les deux autres, la situation est incertaine : une majorité de la population s’y déclare ukrainienne mais une part notable se sent russe, ce qui peut être lié à la fréquence des mariages inter-ethniques.
Vladimir Poutine annexe la Crimée car il craint que le rapport de force avec les pays dits « occidentaux » ne soit pas en sa faveur sur le moyen et le long terme. Il se hâte ainsi de sécuriser et de sanctuariser ce qui peut encore l’être. Il est vrai que la Crimée présente un intérêt stratégique car c’est une position militaire qui permet à la Russie de jouer un rôle majeur en mer Noire. En annexant cette partie de l’Ukraine, la Russie n’est plus contrainte de payer au gouvernement ukrainien la location de la base de Sébastopol, ce qui lui permet de faire une économie substantielle. On peut rappeler à ce propos que la Russie n’était que locataire des sites où était stationnée sa marine sur le littoral de Crimée, ce qui rendait sa présence précaire.
Vladimir Poutine anticipe la perte de l’Ukraine, si elle doit basculer vers l’UE et les États-Unis. Une éventuelle entrée de l’Ukraine dans l’OTAN serait inévitablement suivie par la fin de la présence militaire russe en Crimée.
Certes, il présente les événements de Crimée de façon biaisée. Selon lui, les forces russes ne sont jamais entrées en Crimée, elles étaient déjà sur place ; il n’y a pas eu d’agression russe car la Russie a répondu à l’appel d’un peuple et il n’y a eu ni mort ni blessé. Son jugement sur les pays occidentaux n’est cependant pas dénué de fondement : le Kosovo est un précédent édifiant de sécession unilatérale acceptée par l’Occident, aux dépens de la Serbie. En pointant du doigt le cynisme des États-Unis et de leurs alliés, il affirme que la fin de l’ordre bipolaire a amené le chaos, permettant aux Occidentaux de violer le droit international et de faire usage de la force sous un semblant de légitimité, interprétant les résolution de l’ONU à leur avantage ou en les ignorant (Yougoslavie, Afghanistan, Irak, Libye). Selon lui, les Occidentaux ont également semé le désordre, au détriment des intérêts de la Russie, en pilotant les révolutions de couleur et le printemps arabe qui ont débouché sur une instabilité politique, en désaccord avec les constitutions des pays concernés. Ce qu’il perd en audience dans certains pays de son voisinage, il espère le regagner ailleurs dans des pays qui font la même analyse et qui souhaitent également l’instauration d’un monde multipolaire.
On peut continuer à vouer la Russie aux gémonies et condamner son régime politique autoritaire. On peut aussi continuer à nier plusieurs évidences : la Russie est située juste à côté de l’Union européenne ; elle joue un rôle dans les affaires européennes ; elle est incontournable dès lors qu’on s’occupe de questions aussi importantes que le commerce, les migrations internationales, la lutte contre la criminalité, l’énergie… dans un espace régional qui couvre tout le voisinage oriental de l’UE. On peut enfin tenir ses intérêts pour quantité négligeable.
RépondreSupprimerhttps://pgibertie.com/2024/03/13/les-deputes-francais-ont-vote-pour-une-troisieme-guerre-de-crimee-en-exigeant-de-retour-de-la-crimee-3-de-la-population-parle-ukrainien-on-rend-la-paix-impossible/
Alerte : 100.000 milliards de dette mondiale selon l’OCDE
RépondreSupprimerLe rapport de l’Organisation de Coopération et de Développement Économiques (OCDE) publié le 7 mars 2024 met en lumière l’augmentation de la dette mondiale : à la fin de l’année 2023, le volume total de la dette souveraine et de la dette obligataire des entreprises a frôlé le vertigineux cap des 100 000 milliards de dollars équivalant presque au Produit Intérieur Brut (PIB) global.
le 11 mars 2024 à 9h11
En 2024 la dette des Etats-Unis devrait atteindre 99% du PIB.
La dette mondiale est de plus en plus élevée selon l’OCDE
Le rapport intitulé "Rapport sur la dette mondiale 2024 : Les marchés obligataires dans un contexte de dette élevée" révèle comment l'accessibilité accrue des marchés obligataires a favorisé l'émergence de segments de marché plus risqués. En particulier, elle a permis à des émetteurs moins bien notés, incluant des États et des entreprises, de participer plus largement à ces marchés. Résultat : la dette des administrations centrales rapportée au PIB dans les pays de l’OCDE a atteint 83% à la fin de 2023.
« Un nouveau paysage macroéconomique caractérisé par une inflation plus élevée et des politiques monétaires plus restrictives transforme les marchés obligataires à l’échelle mondiale à un rythme sans précédent depuis des décennies. Cette situation a de profondes répercussions sur les dépenses publiques et la stabilité financière à un moment où les besoins de financement sont de plus en plus pressants », a déclaré le Secrétaire général de l’OCDE Mathias Cormann, cité dans le communiqué de presse.
Le fardeau de la dette dans les pays de l'OCDE
Le ratio de la dette des administrations centrales par rapport au PIB dans les pays membres de l'OCDE a grimpé à 83% à la fin de 2023. Ce chiffre représente une augmentation notable de 30 points de pourcentage par rapport à 2008, malgré une réduction de plus de 10 points au cours des deux dernières années, grâce à une inflation favorisant la croissance du PIB nominal.
Les projections indiquent une poursuite de cette tendance, avec une dette souveraine qui devrait augmenter de 2.000 milliards de dollars en 2024 pour atteindre 56.000 milliards de dollars. Soit 30.000 milliards de plus qu’en 2008, avant la crise économique. « Au cours de la même période, l’encours mondial de la dette obligataire des entreprises est passé de 21.000 milliards de dollars à 34.000 milliards de dollars, et plus de 60% de cette hausse est imputable aux entreprises non financières. »
Dette mondiale : le pire est à venir...
« Pendant la période prolongée de faibles taux d’intérêt, de nombreux gouvernements et entreprises pouvaient emprunter à bas coût, en allongeant leurs échéances de remboursement et augmentant leur pourcentage d’émissions à taux fixe », écrit l’OCDE. Mais ce temps est bientôt révolu et les créanciers vont devoir composer avec les « hausses brutales de taux d’intérêt observées depuis le début de 2022 ». « Les coûts moyens des emprunts souverains dans la zone OCDE sont passés de 1% en 2021 à 4% en 2023, tandis que les charges d’intérêts des administrations centrales en pourcentage du PIB n’ont augmenté que de 2,3% à 2,9% au cours de la même période. »
RépondreSupprimerLa situation est critique. « Plusieurs pays très endettés, y compris des pays de l’OCDE, pourraient être confrontés à une boucle de rétroaction négative associant hausse des taux d’intérêt, ralentissement de la croissance et creusement des déficits, à moins que des mesures audacieuses ne soient prises pour renforcer la résilience budgétaire », écrit l’OCDE.
Les pays ayant la dette publique la plus élevée par rapport au PIB
SupprimerLe monde repose sur une montagne de dettes : tel est le résumé amer des analyses de divers organismes internationaux traitant de la finance et de l’économie mondiale. Parmi les données les plus récentes, à la date d’octobre 2023, figurent celles du Fonds monétaire international sur le ratio de la dette brute des administrations publiques par rapport au PIB. Précisons, comme l’écrit le FMI, qu’il s’agit de : “tous les engagements qui nécessitent le paiement d’intérêts et/ou du principal par le débiteur (l’État) au créancier à une ou plusieurs dates futures.”
Dans les dix premiers pays suivants, on trouve un mélange de pays développés et de pays plus pauvres.
1 Soudan : 256 %
2 Japon : 255,2 %
3 Singapour : 168,3 %
4 Grèce : 168 %
5 Italie : 143,7 %
6 Bhoutan : 123,4 %
7 Etats Unis : 123,3 %
8 Laos : 121,7 %
9 France : 110 %
10 Portugal : 108,3 %
En 2022, le niveau estimé de la dette nationale de la Russie atteignait environ 18,89 % du PIB, ce qui la plaçait au 16e rang des pays ayant la dette nationale la plus faible.
C'est l'Escroquerie Mondiale de la 'Dette' !
Les 'banques' (sans argent) prêtent donc de ce qu'elles n'ont pas et demandent à être remboursé en... valeurs !! (Je vous donne RIEN et vous me rendez TOUT !).
Peut-on atteindre les 10 000 % du PIB ? OUI !! Lorsqu'un pays emprunte les banques demandent des cautions (aéroports, ports, voies ferrées, autoroutes, monuments, terrains et... habitants). Et donc, lorsque les banques demandent à être remboursées elles prennent... TOUT ! TOUT DE CHEZ TOUT ! "Vous n'aurez rien et vous serez heureux !"
Confiance dans l'économie mondiale, par pays
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 MARS 2024 - 22H55
Il est essentiel de mesurer la confiance des consommateurs dans l’économie pour comprendre à la fois la vigueur économique actuelle et la façon dont les consommateurs pourraient agir à l’avenir.
Alors, que pensent les gens du monde entier de l’économie mondiale ?
Cette visualisation, via Niccolo Conte de Visual Capitalist, utilise des données d'enquête collectées du 20 octobre au 3 novembre 2023 par Ipsos. Il a été souligné pour la première fois dans le cadre de notre série de prévisions mondiales 2024.
- voir carte sur site -
Quels pays ont confiance dans l’économie en 2024 ?
À l’approche de 2024, 50 % en moyenne des adultes interrogés étaient convaincus que l’économie mondiale serait plus forte qu’en 2023. Mais la ventilation des réponses par pays montre une grande disparité entre les réponses.
Voici le pourcentage de personnes interrogées qui sont d’accord avec l’affirmation suivante : « L’économie mondiale sera plus forte en 2024 qu’elle ne l’était en 2023. » On note également l'évolution en points de pourcentage (p.p.) par rapport à la même question un an auparavant.
Pays D'accord Changement (d'une année sur l'autre)
🇮🇳 Inde 85% +12 p.p.
🇮🇩 Indonésie 82% +14 p.p.
🇨🇳 Chine 82% +4 p.p.
🇵🇭 Philippines 74% N/A
🇹🇭 Thaïlande 68% +4 p.p.
🇲🇾 Malaisie 62% +8 p.p.
🇲🇽 Mexique 62% +6 p.p.
🇧🇷 Brésil 60% -13 p.p.
🇸🇬 Singapour 59% +4 p.p.
🇵🇱 Pologne 56% +20 p.p.
🇳🇿 Nouvelle-Zélande 56% N/A
🇨🇴 Colombie 54% +5 p.p.
🇨🇱 Chili 51% +8 p.p.
🇵🇪 Pérou 51% -3 p.p.
🇦🇷 Argentine 51% +3 p.p.
🇿🇦 Afrique du Sud 49% +2 p.p.
🇦🇺 Australie 48% +7 p.p.
🇭🇺 Hongrie 46% +15 p.p.
🇷🇴 Roumanie 45% +8 p.p.
🇺🇸 États-Unis 45% +3 p.p.
🇪🇸 Espagne 44% +8 p.p.
🇳🇱 Pays-Bas 44% +12 p.p.
🇹🇷 Turquie 43% 0 p.p.
🇫🇷 Grande-Bretagne 43% +11 p.p.
🇨🇭 Suisse 43% +8 p.p.
🇮🇹 Italie 40% +8 p.p.
🇩🇪 Allemagne 40% +3 p.p.
🇨🇦 Canada 39% +2 p.p.
🇸🇪 Suède 34% +1 p.p.
🇫🇷 France 33% +4 p.p.
🇰🇷 Corée du Sud 33% -5 p.p.
🇵🇹 Portugal 33% N/A
🇯🇵 Japon 30% 0 p.p.
🌍 Moyenne mondiale 50% +4 p.p.
Au sommet, l’Inde, l’Indonésie et la Chine se montrent les plus confiantes quant aux perspectives économiques de 2024. 85 % des répondants indiens estiment que l’économie mondiale sera plus forte en 2024 qu’en 2023, tandis que 82 % des répondants chinois et indonésiens pensent la même chose.
RépondreSupprimerLes disparités régionales deviennent également évidentes, les pays asiatiques constituant les cinq pays les plus confiants et sept des neuf premiers. En fait, la Corée du Sud et le Japon sont les seuls pays asiatiques interrogés à ne pas se sentir confiants, les répondants japonais étant les moins confiants (30 %) et les Sud-Coréens à égalité en deuxième position (33 %).
Les pays d'Amérique du Sud vont du Brésil avec un maximum de 60 % des personnes interrogées étant d'accord avec le fait que 2024 soit plus forte que 2023, au Chili avec un « minimum » de 51 %. Les pays d’Amérique du Nord étaient plus divisés, le Mexique se sentant plus confiant et le Canada moins confiant.
Enfin, l'Europe s'est démarquée comme étant la région la moins confiante dans l'économie mondiale en 2024. Seule la Pologne (56 %) est plus de 50 % d'accord sur le fait que cette année serait meilleure que la précédente, tandis que des économies majeures comme l'Allemagne (40 %) et la France (33 %) se situent plus près du bas du tableau.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/confidence-global-economy-country
L'impact des élections en Indonésie (et ailleurs)
RépondreSupprimer13 Mars 2024
William El Bulo, Réseau Mondial d'Agriculteurs*
Si les hommes politiques disent ce qu'ils pensent être nécessaire pour se faire élire, alors beaucoup d'entre nous dans le monde entier vont entendre leurs hommes politiques faire de nombreuses promesses en 2024.
En effet, il s'agit de la plus grande année électorale de l'histoire, avec des élections nationales dans plus de 70 pays. Près de la moitié de l'humanité, soit plus de 4 milliards de personnes, vit dans l'un de ces pays.
Le scrutin dans mon pays est le prochain : le 14 février, des Indonésiens comme moi participeront à la plus grande élection d'un jour de la planète. Ces élections ont toujours une influence sur l'agriculture. Les agriculteurs et les éleveurs doivent essayer d'influencer les résultats en s'exprimant et en racontant leur histoire, afin d'avoir une voix forte dans les politiques publiques qui régissent le commerce et la technologie.
La course à la présidence qui se déroulera en novembre aux États-Unis suscite bien entendu l'attention du monde entier, comme c'est toujours le cas. Les élections générales en Inde concerneront des centaines de millions d'électeurs qui se rendront aux urnes en mars et avril. Elles battront probablement des records de participation massive. La deuxième élection la plus importante de l'année, en termes de nombre d'électeurs, aura lieu en juin pour le Parlement Européen. D'autres élections majeures auront lieu au Mexique, en Afrique du Sud et, peut-être, au Royaume-Uni, qui doit organiser des élections d'ici à janvier 2025.
Dans l'ensemble, il s'agit d'une bonne nouvelle pour l'idée de démocratie. Pourtant, les enjeux sont considérables. Les électeurs devront choisir entre l'engagement économique dans le monde et l'autosuffisance. Ils choisiront entre des candidats qui adoptent des technologies prometteuses et d'autres qui rejettent les preuves scientifiques.
Leurs choix nous concerneront tous, quel que soit notre lieu de résidence. Dans un marché mondial, ce qui se passe dans une Nation influence toujours ce qui se passe ailleurs. Les résultats peuvent surprendre. Si l'invasion de l'Ukraine par la Russie peut entraîner une hausse du prix des ignames au Nigeria, une élection au Sri Lanka ou ailleurs peut avoir des répercussions sur votre portefeuille ou menacer la sécurité alimentaire.
Une chose est sûre : le commerce international permet de maintenir une alimentation abondante et abordable. Nous avons besoin d'élus qui comprennent la valeur de réseaux commerciaux solides.
Je gère deux parcs d'engraissement de bovins sur l'île de Sumatra et mon activité dépend de la capacité à faire circuler les biens et les services à travers les frontières.
L'Indonésie compte environ 280 millions d'habitants, ce qui en fait le quatrième pays le plus peuplé du monde. Nous pouvons produire une grande partie de notre nourriture et nous exportons beaucoup d'huile de palme, de café, de noix de coco, de bananes, etc. Nous produisons également beaucoup de riz, mais nous avons dû récemment importer cette culture de base en raison d'El Niño, un phénomène météorologique cyclique.
Notre climat tropical crée des déficits en produits de base comme le bœuf, le blé et le soja, de sorte qu'il est nécessaire d'importer des denrées alimentaires et des intrants agricoles. Je vois cette réalité tous les jours dans mes parcs d'engraissement. Nous recevons des bovins comme matière première d'Australie et des aliments pour animaux d'autres pays. Notre travail consiste à engraisser le bétail. Nous les vendons ensuite sur notre marché intérieur, où la demande de viande bovine est énorme.
RépondreSupprimerPourtant, nous ne parvenons pas à la satisfaire. Politiquement, l'Indonésie est toujours déficitaire en viande bovine, nous avons besoin de plus que ce que nous pouvons produire. La dernière fois que l'Indonésie a exporté du bétail, c'était dans les années 1980.
Le problème est en grande partie d'ordre réglementaire. On m'empêche d'acquérir autant de bovins que le marché en a besoin. Mes parcs d'engraissement ont une capacité maximale de 35.000 têtes, mais nous n'en nourrissons actuellement que 15.000. Le problème est d'ordre administratif. Le port australien de Darwin a expédié plus de 55.000 bovins vers l'Indonésie en décembre, mais aucun en janvier – tout cela à cause de retards dans l'obtention des permis d'importation, selon ABC.
En outre, nous avons besoin d'un accès plus facile aux céréales nécessaires pour nourrir le bétail et les autres animaux. La chaîne d'approvisionnement des parcs d'engraissement peut avoir un impact sur la vie de plus de 12.000 personnes, du port à l'assiette, de la plantation à la banque d'alimentation.
Il s'agit là de questions politiques. Elles exigent des solutions de la part d'élus qui comprennent l'importance du commerce.
L'Indonésie compte trois candidats majeurs à la présidence, qui ont fait toute une série de promesses et de propositions sur le commerce, qui ne sont pas toutes favorables ou utiles. Pourtant, même les hommes politiques qui succombent à la tentation du protectionnisme ont tendance à l'abandonner lorsqu'ils arrivent au pouvoir. Lorsqu'ils font campagne, ils peuvent parler d'autosuffisance, de protection des industries locales et de limitation des importations, mais lorsqu'ils sont au pouvoir, ils se heurtent à la dure réalité : la prospérité de l'Indonésie dépend de son engagement économique avec le reste du monde.
Si davantage d'électeurs en prenaient conscience, les candidats seraient moins enclins à les séduire en promouvant l'économie d'autosuffisance – et leurs performances en tant que représentants du gouvernement s'amélioreraient.
Les agriculteurs, les éleveurs et toutes les personnes impliquées dans l'agriculture doivent jouer un rôle. Cela commence par le vote, mais nous devons faire plus : nous devons nous exprimer en faveur de la sécurité alimentaire et du commerce international qui la rend possible.
RépondreSupprimerEn racontant notre histoire, nous pourrions constater que les électeurs et les personnes qu'ils élisent nous récompensent en nous offrant le personnel politique dont nous avons besoin.
https://seppi.over-blog.com/2024/03/l-impact-des-elections-en-indonesie-et-ailleurs.html
La zérologie est une politique qui administre le rien. C'est-à-dire l'application du programme 'Dépopuilation21'.
SupprimerLe Nutri-Score et les biais de publication – lire : « science » orientée
RépondreSupprimer14 Mars 2024
Deux auteurs liés à l'industrie constatent une grande polarisation des études sur le Nutri-Score : celles qui lui sont favorables proviennent majoritairement de ses concepteurs et développeurs, la majorité des études réalisées indépendamment des concepteurs et développeurs lui étant défavorables.
L'équipe EREN (Équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle) réplique sur son blog « Nutri-Score ». C'est ahurissant et en dit long sur la « science » derrière le Nutri-Score.
Une analyse de la littérature
MM. Stephan Peters et Hans Verhagen viennent de publier : « Publication bias and Nutri-Score: A complete literature review of the substantiation of the effectiveness of the front-of-pack logo Nutri-Score » (biais de publication et Nutri-Score : une revue complète de la littérature sur la justification de l'efficacité du logo Nutri-Score sur la face avant des emballages) dans PharmaNutrition. Texte complet ici.
On risque de me rire au nez : l'un est de l'Association Laitière Néerlandaise, notoirement opposée au Nutri-Score, et l'autre, consultant en sécurité alimentaire et nutrition, mais tenant aussi des postes dans des institutions universitaires au Danemark et au Royaume-Uni. Ils sont donc affligés de conflits d'intérêts. Ils écrivent cependant :
« […] S.P. et H.V. étaient tous deux membres du comité scientifique indépendant aux Pays-Bas qui soutenait l'ancien logo "het Vinkje" sur la face avant des emballages. Les auteurs déclarent que la recherche a été menée en l'absence de toute relation commerciale ou financière qui pourrait être interprétée comme un potentiel conflit d'intérêt. L'Association Laitière Néerlandaise participe au débat national aux Pays-Bas sur les logos apposés sur la face avant des emballages en apportant sa contribution aux reformulations des produits, et aux consultations sur la face avant des emballages du ministère néerlandais de la Santé, du Bien-être et des Sports. »
Admettons... sans être convaincu pour ma part.
Mais voici ce qu'ils ont à dire :
« Faits saillants
- Nous avons étudié la validation et l'efficacité du Nutri-Score en fonction de l'affiliation des auteurs et du résultat des études et nous avons constaté un important biais de publication.
- La grande majorité des études qui soutiennent le Nutri-Score sont menées par les développeurs du Nutri-Score.
- La majorité des études réalisées indépendamment des développeurs du Nutri-Score ont montré des résultats défavorables.
RépondreSupprimer- Il n'existe aucune preuve en vie réelle d'un quelconque effet bénéfique du Nutri-Score sur l'algorithme multi-nutriments FSA-NPS.
- Il n'existe pas de preuves scientifiques suffisantes pour soutenir l'utilisation du Nutri-Score en tant qu'outil de santé publique efficace.
- Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ou infirmer l'efficacité du Nutri-Score.
Résumé
Contexte
L'étiquette Nutri-Score sur la face avant des emballages est actuellement proposée comme système de choix dans sept pays de l'UE. Cependant, la validation et l'efficacité du Nutri-Score font encore l'objet de nombreux débats scientifiques, et l'affiliation des auteurs et les résultats des études font l'objet de nombreuses discussions.
Méthodes utilisées
Pour répondre à ces questions, nous avons effectué une recherche complète dans PubMed sur le Nutri-Score qui a donné n = 180 résultats et nous avons sélectionné tous les articles qui traitent de la pertinence des preuves pour la validation du Nutri-Score (n = 104).
Résultats
Nos principales observations sont que la grande majorité des études qui soutiennent le Nutri-Score sont menées par les développeurs du Nutri-Score. En revanche, la majorité (61 %) des études réalisées indépendamment des développeurs du Nutri-Score ont montré des résultats défavorables. Une deuxième observation est que même si l'effet théorique du Nutri-Score est validé sur un algorithme multi-nutriments (FSA-NPS), il n'y a pas de preuve en vie réelle d'effets bénéfiques du Nutri-Score sur cet algorithme dans une gamme complète de supermarchés. En conclusion, les preuves scientifiques sont insuffisantes pour soutenir l'utilisation du Nutri-Score en tant qu'outil de santé publique efficace.
Discussion
RépondreSupprimerDans l'ensemble, les données disponibles sont limitées et biaisées, et des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ou infirmer l'efficacité du Nutri-Score. »
- voir schéma sur site -
Réponse sur le blog « Nutri-Score »
On attend une dénonciation de cette incroyable agression, évidemment dans le Monde, de M. Serge Hercberg, déjà auteur de « Mange et tais-toi: Un nutritionniste face au lobby agroalimentaire ».
En fait, le coup est déjà parti avec une longue analyse, a priori sur la base d'une pré-publication, sur le blog « Nutri-Score » – des auteurs et promoteurs dudit NutriScore. MM. Peters et Verhagen notent à juste titre dans leur article : « Ce blog est utilisé dans le cadre d'actions de lobbying visant à faire accepter le Nutri-Score comme futur logo obligatoire sur la face avant des emballages dans l'Union européenne. » Et, de fait, nous avons affaire dans la réponse à une équipe qui amalgame recherche et lobbying.
Cette réfutation, c'est : « Rebuttal of the claims against the Nutri-Score made by two lobbyists in PharmaNutrition in an effort to discredit academic research » (réfutation des allégations contre le Nutri-Score faites par deux lobbyistes de PharmaNutrition dans le but de discréditer la recherche académique).
Le titre est déjà tout un poème ! Ne vous attendez pas à une réponse policée d'une équipe du reste coutumière d'un style, disons, enlevé. Voici le premier paragraphe après l'introduction :
« Cet article est truffé d'inexactitudes, d'incohérences et d'erreurs. Le texte présente des arguments biaisés menant à des conclusions erronées. En tant que tel, il ne répond pas aux normes d'un véritable article scientifique. En fait, sous l'apparence d'un article scientifique, il s'agit d'un pamphlet écrit par deux auteurs qui travaillent pour l'industrie et qui tentent de jeter le doute sur la science académique et de porter de graves accusations à l'encontre des équipes de recherche publique pour discréditer le label nutritionnel Nutri-Score qui figure sur la face avant des emballages. »
Le paragraphe suivant se penche sur les très mauvaises fréquentations de MM. Stephan Peters et Hans Verhagen. Ils sont copieusement assaisonnés.
Puis :
« Par conséquent, l'article publié par Peters et Verhagen (avec des problèmes conceptuels et méthodologiques, une mauvaise classification des articles scientifiques, des arguments biaisés, des accusations d'inconduite scientifique et de fausses déclarations,..) vise à jeter la suspicion sur des chercheurs universitaires publics et sur les études qu'ils ont publiées dans des revues à comité de lecture avec l'objectif final de discréditer le Nutri-Score, un outil de santé publique qui dérange l'intérêt des entreprises alimentaires (produits laitiers, en particulier les fromages ; viande transformée ; produits alimentaires et boissons riches en graisses saturées, en sel et en sucre...). [...] »
Notons : nous n'avons rien trouvé dans Peters et Verhagen qui ressemble de près ou de loin à « des accusations d'inconduite scientifique et de fausses déclarations ».
Autopsie d'une dérive
RépondreSupprimerLes auteurs de cette réponse poursuivent en critiquant le traitement infligé à « A study is 21 times more likely to find unfavourable results about the nutrition label Nutri-Score if the authors declare a conflict of interest or the study is funded by the food industry » (une étude a 21 fois plus de chances de trouver des résultats défavorables à l'étiquetage nutritionnel Nutri-Score si les auteurs déclarent un conflit d'intérêt ou si l'étude est financée par l'industrie alimentaire) de Stephane Besançon, David Beran et Malek Batal (c'est nous qui graissons) :
« Cet article [de Peters et Verhagen] vise principalement l'article scientifique [de] Besançon S. et al [...] qui montre que 1) sur 134 articles étudiant l'efficacité du Nutri-Score, 83 % ont des conclusions favorables à cet étiquetage démontrant la pertinence de son algorithme, de meilleures performances par rapport à d'autres étiquetages nutritionnels, un impact sur les choix alimentaires et sur la qualité nutritionnelle des achats alimentaires ; 2) la probabilité qu'un article présente des résultats défavorables au Nutri-Score est 21 fois plus élevée si les auteurs déclarent un conflit d'intérêt ou si l'étude est financée par l'industrie alimentaire et 3) trois organisations privées ont été particulièrement impliquées dans le financement (ou les conflits d'intérêt des auteurs) d'études défavorables au Nutri-Score et parmi elles, l'Association Laitière Néerlandaise (pour laquelle travaille Stephan Peters). »
Voici maintenant les points clés de l'article – en fait un commentaire – de Besançon et al. (c'est nous qui graissons encore) :
« De nombreux scientifiques et professionnels de la santé considèrent que les preuves scientifiques qui soutiennent l'étiquetage nutritionnel sur le devant des emballages, tel que le "Nutri-Score", deviennent obligatoires en Europe afin d'aider les consommateurs à faire des choix plus sains sur le lieu d'achat.
Les politiciens et les partis politiques, les fabricants de produits alimentaires et certains secteurs agricoles sont opposés à l'étiquetage nutritionnel tel que le "Nutri-Score", car ils affirment que les études scientifiques ne soutiennent pas suffisamment la mise en place d'une politique en la matière.
Les conclusions de 83 % des études publiées dans des revues à comité de lecture sont favorables à l'étiquetage nutritionnel tel que le "Nutri-Score".
La probabilité qu'un article présente des résultats défavorables à l'étiquetage nutritionnel tel que le "Nutri-Score" est 21 fois plus élevée si les auteurs déclarent un conflit d'intérêts ou si l'étude est financée par l'industrie alimentaire. »
Il n'est pas nécessaire de s'appesantir sur la dérive entre le commentaire de Besançon et al. et la réponse sur le blog Nutri-Score, soulignée ci-dessus par les textes mis en gras.
Autopsie d'une dérive (2)
RépondreSupprimerVoici encore le début d'un long paragraphe :
« L'article publié par Peters et Verhagen tente de jeter la suspicion sur les études développées par des équipes de recherche académique qu'ils accusent de "conflit d'intérêts" sous prétexte que leurs travaux scientifiques ont conduit au développement du Nutri-Score il y a quelques années (en 2014). Ils étendent cette notion de conflit d'intérêt à toutes les équipes développant des collaborations avec eux ! Leur idée est de tenter de "disqualifier" les travaux scientifiques produits par les équipes de recherche académique en considérant que leur implication dans le développement du Nutri-Score et sa validation ultérieure est un conflit d'intérêt ! C'est particulièrement évident avec les termes qu'ils utilisent pour caractériser les équipes de recherche qu'ils veulent discréditer. [...]
Il n'y a aucune accusation de conflits d'intérêts dans l'article de Peters et Verhagen ! Le mot « conflit » y apparaît cinq fois : quatre fois dans le résumé de Besançon et al. et la référence bibliographique, et une fois dans leur déclaration d'intérêts concurrents.
L'équipe EREN se plaint ensuite de n'avoir pas été correctement référencée et de l'emploi par Peters et Verhagen d'expressions telles que « développeurs du Nutri-Score » ou « le groupe scientifique autour des développeurs du Nutri-Score qui ont publié des articles scientifiques » ou encore « auteurs qui sont employés ou liés à ses développeurs ». Elle trouve cette terminologie trompeuse, voire péjorative sur la base d'une argumentation au mieux fallacieuse.
En fait, la terminologie utilisée par Peters et Verhagen répond tout simplement à un double objectif de précision et de concision.
Mais pour les développeurs du Nutri-Score, « [c]es termes sont délibérément utilisés pour banaliser et discréditer les équipes de recherche publique ».
Petite incursion dans Besançon et al.
Comment Besançon et al. sont-ils parvenus à ce « 21 fois » ? C'est un mystère dans l'article. Peters et Verhagen l'expliquent cependant, et cela nous laisse plutôt songeur.
Besançon et al. relèvent que leur rapport tombe à sept fois « si on exclut toutes les études dans lesquelles l'équipe de recherche universitaire qui a mis au point le Nutri-Score (sans aucun conflit d'intérêts) est impliquée (38 articles publiés par l'équipe de recherche universitaire et 35 articles publiés en collaboration entre l'équipe et d'autres équipes de recherche universitaire). »
- voir schéma sur site -
C'est bien léger d'affirmer comme ça, de but en blanc, une absence de conflits d'intérêts pour l'équipe EREN (Équipe de Recherche en Épidémiologie Nutritionnelle), conceptrice et promotrice acharnée du Nutri-Score.
RépondreSupprimerEt on n'est pas loin du domaine de l'escroquerie, au moins intellectuelle, quand on balance, à nouveau « comme ça », un chiffre qui dépend majoritairement de l'activité frénétique de cette équipe en matière de publication, et plus généralement de la taille et des caractéristiques de la source bibliographique.
Pourtant, ce chiffre de « 21 fois » – quasiment sorti du chapeau – s'est retrouvé dans le titre de l'article, bien sûr après validation par la revue par les pairs.
Il y a aussi de quoi être stupéfait par la base matérielle de la recherche, les 149 articles dont Besançon et al. n'ont pas précisé comment ils les avaient sélectionnés : Peters et Verhagen ont établi que l'article « n'était pas basé sur une recherche scientifique systématique dans Pubmed, mais uniquement sur la liste de littérature figurant sur le site web des développeurs du Nutri-Score ».
Il eût été préférable que cela fût dit par Besançon et al.. Mais sur le blog « Nutri-Score », on assiste à une avalanche, avec une argumentation que nous ne qualifierons pas ici, parlant d'elle-même :
« Peters et Verhagen attaquent la qualité de l'étude réalisée par Besançon et al. en utilisant des arguments fallacieux. Ils portent de graves accusations sur la qualité et l'exhaustivité de la base de données publiée par Besançon et al, suggérant en particulier que cette base de données ne contient pas d'articles défavorables au Nutri-Score. […] Ils utilisent cet argument pour discréditer l'étude de Besançon, en sous-entendant que Besançon et al. ont intentionnellement exclu ces articles de leur base de données parce qu'ils sont défavorables à Nutri-Score [...] »
Épilogue (provisoire ?)
Peters et Verhagen n'ont peut-être pas produit la meilleures analyse – qui relève au moins en partie d'un jugement de valeur et se prête donc nécessairement à la critique et à la contestation. Mais leur point fondamental, l'existence d'un effarant biais de publication, est inattaquable.
- voir doc sur site -
Et quand M. Serge Hercberg tweete : « Réfutation des affirmations contre le #NutriScore faites par deux lobbyistes dans PharmaNutrition dans le but de discréditer la recherche académique », en mettant le ban et l'arrière-ban des fans du Nutri-Score dans la boucle, on doit conclure qu'on n'est plus dans le domaine de la science et des bonnes mœurs – en fait « pas » car c'est une attitude récurrente, illustrée par le titre sus-mentionné de son livre.
M. Stephan Peters a répondu avec élégance, en présentant un tableau résumé des résultats corrigé sur la base des remarques faites dans la « réfutation » : le problème est toujours là.
- voir cadre sur site -
C'est du reste implicitement admis par l'équipe du Nutri-Score !
RépondreSupprimer- voir cadre sur site -
Ce problème se situe au niveau des politiques publiques : non, l'opportunité d'introduire le Nutri-Score de manière obligatoire (et, à notre sens, même volontaire) n'a pas été démontrée.
Il serait temps que l'on prenne la mesure de ce problème au niveau de l'Union Européenne, tant dans les milieux décisionnaires que du côté des lobbyistes du Nutri-Score : le « climat », entretenu par les auteurs du système, est délétère.
Et nous pensons qu'il y a un déficit d'études et de publications sur les possibles effets pervers de ce logo bien trop réducteur.
Du reste, on nous l'a vanté comme un système parfait. Et puis on a dû remettre l'ouvrage sur le métier en le modifiant avec des résultats qui nous paraissent surprenants (comme le riz, aliment de base, passant à « B »). La pression venait en particulier des... Pays-Bas. Pas seulement des méchants lobbies de l'agroalimentaire, mais aussi et surtout de 180 scientifiques experts en nutrition. C'est rappelé par Peters et Verhagen dans leur article. Et on nous vante maintenant ce Nutri-Score révisé comme plus que parfait... Dernier exemple dans la littérature scientifique... avec Mme Chantal Julia, de l'EREN, fermant la liste des auteurs..
https://seppi.over-blog.com/2024/03/le-nutri-score-et-les-biais-de-publication-lire-science-orientee.html
La bougie s'éteint…
RépondreSupprimerPar Jo Nova
March 13th, 2024 |
Un carburant de haute qualité produit des modes de vie de haute qualité.
Les carburants diffus et peu fiables engendrent le chaos et la vulnérabilité. À mesure que les humains redescendent sur l’échelle de la densité énergétique, ils perdent le pouvoir de créer de l’ordre. Construire, voler, réparer et manger des ananas du Costa Rica.
L'entropie vient briser votre frigo et vous donner des rides.
Une superbe vidéo de NetZeroWatch (Energy and the Poverty of Nations)
https://www.youtube.com/watch?v=scYlWiunJo4&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fjoannenova.com
.au%2F&source_ve_path=OTY3MTQ&feature=emb_imp_woyt
https://joannenova.com.au/2024/03/the-candle-is-going-out/
Dumping céréalier: le blé ukrainien a inondé le marché européen
RépondreSupprimerPar Alexandre Lemoine
Mondialisation.ca,
13 mars 2024
Les protestations des agriculteurs ne cessent pas dans l’Union européenne: les producteurs agricoles et les propriétaires fonciers exigent le soutien des autorités face à la crise économique croissante. Le mouvement de protestation a atteint la plus grande ampleur en Pologne, où les agriculteurs ont bloqué la frontière avec l’Ukraine, d’où provient leur principal problème, à savoir les céréales bon marché.
La décision de l’Union européenne d’annuler les droits de douane sur les produits agricoles ukrainiens a entraîné une chute des prix sur le marché européen et une baisse des revenus des agriculteurs locaux. Les manifestants détruisent le blé ukrainien, bloquent la circulation sur les autoroutes, organisent des piquets devant les institutions gouvernementales et appellent les bureaucrates européens à prêter attention à leurs problèmes.
Bien que la Pologne ne soit pas le seul ni le premier pays de l’Union européenne où les protestations agricoles continuent, elles y ont pris une ampleur particulièrement sérieuse. En effet, le pays a accumulé la plus grande quantité de surplus de blé ukrainien, presque la moitié des 20 millions de tonnes qui se sont retrouvées sur le marché européen.
Initialement, le gouvernement polonais a tenté de s’opposer à la politique générale de l’Union européenne: les autorités du pays ont insisté sur la prolongation de l’embargo temporaire sur les céréales ukrainiennes, introduit par la Commission européenne en mai 2023. Cependant, après l’expiration de cette décision en septembre, les bureaucrates européens ont prolongé l’importation sans droits de douane des produits agricoles ukrainiens jusqu’en juin 2025.
Cette décision a été provoqué des manifestations de masse en Pologne, avec une exigence claire des agriculteurs d’arrêter le flux de blé depuis l’Ukraine.
Le rôle des agriculteurs dans l’économie polonaise est assez significatif. Plus de la moitié des terres du pays sont des terres agricoles, environ 14 millions de personnes vivent dans les zones rurales. Un Polonais sur dix est, d’une manière ou d’une autre, employé dans le secteur agricole, et pour beaucoup d’entre eux, l’agriculture est une source importante de revenus.
Les agriculteurs tentent de montrer que le blé ukrainien pose un problème pour toute l’UE et se réfèrent aux normes européennes auxquelles les produits ukrainiens ne sont pas conformes.
« Nous voyons du blé moisi dans les wagons à la frontière », déclarent les agriculteurs aux journalistes de Gazeta Wyborcza, soulignant que les produits bon marché et de faible qualité évincent les produits polonais plus sains.
Les manifestants sont convaincus que l’interdiction d’importer des produits ukrainiens non seulement satisfera les intérêts des agriculteurs, mais sera également bénéfique pour tous les Polonais.
Le 24 janvier, des actions de protestation ont eu lieu dans différentes régions de la Pologne. Les manifestations se sont poursuivies début février: ainsi, le 12 février, les agriculteurs ont pris d’assaut trois camions avec des céréales ukrainiennes et ont vidé environ 9 tonnes de produit des remorques. Le 25 février, les manifestants ont réussi à détruire 160 tonnes de blé, transporté par train depuis l’Ukraine.
Les manifestants exigent l’arrêt de l’importation de produits alimentaires ukrainiens dans l’Union européenne, soulignant que le dumping des producteurs du pays voisin entraîne des pertes pour les agriculteurs de toute l’UE. Le 28 février, le Premier ministre du pays, Donald Tusk, a annoncé la possibilité d’une fermeture temporaire de la frontière avec l’Ukraine.
RépondreSupprimerPlus tard, le gouvernement polonais a décidé d’entamer des négociations avec les agriculteurs pour résoudre la situation. M. Tusk a précisé qu’il n’avait pas l’intention de fermer la frontière avec l’Ukraine, mais a promis de réduire au minimum l’importation sans droits de douane de denrées alimentaires depuis l’Ukraine.
L’ampleur des protestations augmente de jour en jour, elles sont devenues un problème à l’échelle nationale. Les agriculteurs de différents coins du pays viennent aux points de passage frontaliers en tracteurs, où ils installent de véritables camps, allument des feux, installent des générateurs électriques.
Les agriculteurs ont bloqué les points de passage à la frontière avec l’Ukraine, ainsi que les hubs de transport et les voies d’accès aux gares de transbordement et aux ports maritimes.
Les agriculteurs sont mécontents face à la situation sur le marché, qui résulte d’un « afflux incontrôlé de céréales depuis ‘Ukraine », qui entrent en Pologne en échange du carburant fourni à Kiev. Les agriculteurs insistent sur le fait que les céréales devraient être envoyées de Pologne vers d’autres pays, notamment d’Afrique et du Moyen-Orient, et non rester sur le marché intérieur, où les prix des aliments ont déjà chuté, écrit le portail Agropolska.
Des protestations des agriculteurs ont lieu en Pologne depuis le début de février. Les principales revendications des manifestants sont l’arrêt de l’importation en Pologne de produits agricoles d’Ukraine et l’abandon des plans écologiques de l’Union européenne, ce qu’on appelle le pacte vert, qui prévoit d’atteindre zéro émission dans l’atmosphère d’ici 2050. Les participants bloquent les accès aux postes frontaliers et aux routes, et vident les céréales des camions avec des plaques d’immatriculation ukrainiennes. Les agriculteurs polonais se préparent à « arrêter le pays » le 20 mars.
https://www.mondialisation.ca/dumping-cerealier-le-ble-ukrainien-a-inonde-le-marche-europeen/5687485?doing_wp_cron=1710418794.9737460613250732421875
Passage à l’autoritarisme
RépondreSupprimerLa nouvelle économie doit être dominée par une poignée de géants de la technologie, de conglomérats mondiaux et de plateformes de commerce électronique, et de nouveaux marchés seront également créés grâce à la financiarisation de la nature , qui doit être colonisée, marchandisée et commercialisée dans le cadre de la protection de la nature. environnement.
Ces dernières années, nous avons assisté à une suraccumulation de capital, et la création de tels marchés offrira de nouvelles opportunités d’investissement (y compris des systèmes de Ponzi douteux de compensation des émissions de carbone) permettant aux super-riches de stocker leur richesse et de prospérer.
Cette grande réinitialisation envisage une transformation des sociétés occidentales, entraînant des restrictions permanentes des libertés fondamentales et une surveillance de masse. Déployé sous le terme bienveillant de « Quatrième révolution industrielle », le Forum économique mondial (WEF) affirme que le public finira par « louer » tout ce dont il a besoin (rappelez-vous la vidéo du WEF « Vous ne posséderez rien et serez heureux » ?) : supprimer le droit de propriété sous couvert d’une « économie verte » et soutenu par la rhétorique de la « consommation durable » et de « l’urgence climatique ».
L’alarmisme climatique et le mantra de la durabilité visent à promouvoir des projets lucratifs .
Mais ils servent également un autre objectif : le contrôle social.
Le néolibéralisme a suivi son cours, entraînant l’appauvrissement de larges couches de la population. Mais pour atténuer les dissensions et réduire les attentes, les niveaux de liberté personnelle auxquels nous sommes habitués ne seront pas tolérés. Cela signifie que la population dans son ensemble sera soumise à la discipline d’un État de surveillance émergent.
Pour repousser toute dissidence, on dit aux gens ordinaires qu’ils doivent sacrifier leur liberté personnelle afin de protéger la santé publique, la sécurité de la société (ces terribles Russes, les extrémistes islamiques ou ce croque-mitaine désigné par Sunak, George Galloway) ou le climat. Contrairement à l’ancienne normalité du néolibéralisme, un changement idéologique se produit dans lequel les libertés individuelles sont de plus en plus décrites comme dangereuses parce qu’elles vont à l’encontre du bien collectif.
La véritable raison de ce changement idéologique est de garantir que les masses s'habituent à un niveau de vie inférieur et l'acceptent . Prenons, par exemple, l'économiste en chef de la Banque d'Angleterre, Huw Pill, qui affirme que les gens devraient « accepter » d'être plus pauvres . Et puis il y a Rob Kapito, de BlackRock, la plus grande société de gestion d'actifs au monde, qui affirme qu'une génération « très habilitée » doit faire face à la pénurie pour la première fois de sa vie.
RépondreSupprimerDans le même temps, pour brouiller les cartes, le message est que la baisse du niveau de vie est le résultat du conflit en Ukraine et provoque les chocs provoqués à la fois par la guerre et par le « virus ».
Le programme de zéro émission nette de carbone contribuera à légitimer la baisse du niveau de vie (en réduisant votre empreinte carbone) tout en renforçant l’idée selon laquelle nos droits doivent être sacrifiés pour le bien commun. Vous ne posséderez rien, non pas parce que les riches et leur programme néolibéral vous ont rendus pauvres, mais parce qu’il vous sera demandé de cesser d’être irresponsable et d’agir pour protéger la planète.
Programme zéro émission nette
Mais qu’en est-il de cette transition vers des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles et du plan visant à réduire notre empreinte carbone ? Est-ce même faisable ou nécessaire ?
Gordon Hughes, ancien économiste de la Banque mondiale et actuel professeur d'économie à l'Université d'Édimbourg, affirme dans un nouveau rapport que les politiques actuelles de zéro émission nette au Royaume-Uni et en Europe conduiront probablement à une nouvelle ruine économique.
Apparemment, le seul moyen viable de réunir les liquidités nécessaires à de nouvelles dépenses d’investissement suffisantes (dans les infrastructures éoliennes et solaires) serait une réduction de la consommation privée pouvant atteindre 10 pour cent sur deux décennies. Un tel choc ne s’est jamais produit au siècle dernier en dehors de la guerre ; même alors, jamais pendant plus d’une décennie.
Mais ce programme entraînera également une grave dégradation de l’environnement. C’est ce que dit Andrew Nikiforuk dans l’article The Rising Chorus of Renewable Energy Skeptics , qui souligne à quel point le rêve de la techno verte est extrêmement destructeur.
Il énumère les impacts environnementaux dévastateurs d’un système encore plus intensif en minéraux et basé sur les énergies renouvelables et met en garde :
« L’ensemble du processus de remplacement d’un système en déclin par une entreprise minière plus complexe est désormais censé se dérouler dans un système bancaire fragile, des démocraties dysfonctionnelles, des chaînes d’approvisionnement brisées, des pénuries critiques de minerais et une géopolitique hostile. »
RépondreSupprimerTout cela suppose que le réchauffement climatique est réel et anthropique. Tout le monde n’est pas d’accord. Dans l'article Le réchauffement climatique et la confrontation entre l'Occident et le reste du monde , le journaliste Thierry Meyssan soutient que le net zéro repose sur une idéologie politique plutôt que sur la science. Mais affirmer de telles choses est devenu une hérésie dans les pays occidentaux et a été critiqué par des accusations de « déni de la science climatique ».
Indépendamment de ces préoccupations, la marche vers le zéro net se poursuit, et la clé de cette réussite est l’Agenda 2030 des Nations Unies pour les objectifs de développement durable.
Aujourd'hui, presque tous les rapports, sites Web ou brochures d'entreprises ou d'entreprises incluent une multitude de références à « l'empreinte carbone », à la « durabilité », au « zéro net » ou à la « neutralité climatique » et à la manière dont une entreprise ou une organisation entend atteindre ses objectifs de durabilité. Le profilage vert, les obligations vertes et les investissements verts vont de pair avec l'affichage de références et d'ambitions « vertes » partout et chaque fois que cela est possible.
Il semble que tous les acteurs du monde des affaires plantent leur drapeau d’entreprise au sommet du développement durable. Prenez Sainsbury's, par exemple. Il s'agit de l'un des « six grands » supermarchés de vente au détail de produits alimentaires au Royaume-Uni et a publié en 2019 une vision de l' avenir de l'alimentation .
En voici une citation :
« L'optimisation personnalisée est une tendance qui pourrait permettre aux utilisateurs d'être connectés et connectés comme jamais auparavant. Une avancée significative par rapport aux technologies portables utilisées aujourd'hui, l'avènement des micropuces personnelles et des lacets neuronaux a le potentiel de voir toutes nos données génétiques, de santé et situationnelles enregistrées, stockées et analysées par des algorithmes qui pourraient déterminer exactement ce dont nous avons besoin pour nous soutenir. à un moment particulier de notre vie. Les détaillants, comme Sainsbury's, pourraient jouer un rôle essentiel à cet égard, en organisant la livraison des produits alimentaires nécessaires dans un délai de trente minutes, peut-être par drone.»
Toute délibération sérieuse sur l’avenir de l’alimentation tiendrait sûrement compte de questions telles que la souveraineté alimentaire, le rôle de l’agroécologie et le renforcement des exploitations familiales – l’épine dorsale de la production alimentaire mondiale actuelle.
RépondreSupprimerL'article susmentionné d'Andrew Nikiforuk conclut que, si nous prenons vraiment au sérieux nos impacts sur l'environnement, nous devons réduire nos besoins et simplifier la société.
En termes d'alimentation, la solution repose sur une approche à faibles intrants qui renforce les communautés rurales et les marchés locaux et donne la priorité aux petites exploitations agricoles et aux petites entreprises et détaillants indépendants, aux systèmes alimentaires démocratiques localisés et à un concept de souveraineté alimentaire basé sur l'autosuffisance et les principes agroécologiques. et l'agriculture régénérative .
Cela impliquerait de faciliter le droit à une alimentation culturellement appropriée, riche sur le plan nutritionnel en raison de divers modes de culture et exempte de produits chimiques toxiques, tout en garantissant la propriété locale et la gestion des ressources communes telles que la terre, l’eau, le sol et les semences.
C'est là que commence le véritable environnementalisme et l'avenir de l'alimentation.
Pour plus d'informations sur les questions abordées ci-dessus, vous pouvez accéder aux deux livres électroniques gratuits de l'auteur sur le système alimentaire ici et ici .
https://www.globalresearch.ca/net-zero-digital-panopticon-future-food/5851840
Il est temps d’installer un poulailler dans votre jardin ? Les prix des œufs dans les supermarchés montent à nouveau en flèche
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 13 MARS 2024 - 23H00
Mercredi, il ne reste que 18 jours avant le début des célébrations de Pâques. Pour ceux qui ont récemment visité le supermarché, les prix des œufs évoluent dans la mauvaise direction, bien qu’ils soient bien en deçà des sommets enregistrés en décembre 2022.
Les données du ministère de l'Agriculture des États-Unis montrent que le prix des œufs de catégorie A par douzaine a bondi de 40 %, passant de 2,13 dollars à 3 dollars ($0,25/l’œuf - 0,23€) entre novembre et février.
La plateforme d'évaluation des clients et d'information sur les consommateurs « ConsumerAffairs » rapporte que les prix des œufs ont « augmenté d'un pourcentage significatif dans certaines régions du pays », indiquant que les plus fortes hausses ont eu lieu dans les supermarchés de Minneapolis et de Buffalo/Rochester, ajoutant que « les prix des œufs à Orlando ont augmenté. aussi. »
ConsumerAffairs a noté que les hausses de prix ont été principalement observées dans « les grandes zones métropolitaines centrales, mais dans les zones rurales périphériques, il y a eu une diminution assez notable ».
"Vous pouvez essayer d'attribuer cela à la cupidité des épiciers, mais c'est une accusation inutile. Les prix plus élevés des œufs aux États-Unis sont en réalité dus à plusieurs facteurs. Il y a eu une réduction significative de l'offre d'œufs à cause de la grippe aviaire. qui a entraîné l'euthanasie de millions de poulets et de canards", a déclaré ConsumerAffairs.
Ce qui nous intrigue, c'est l'écart de prix des œufs que ConsumerAffairs constate dans les villes par rapport aux zones rurales. Cela signifie que quiconque vit dans les grandes villes et souhaite échapper au spectacle d’horreur de l’inflation du système Bidenomics devrait au moins considérer les communautés rurales où la nourriture peut être achetée localement et parfois beaucoup moins chère.
Crédit : @TheCarpRunner pic.twitter.com/HrZL6tcscY
– Rothmus 🏴 (@Rothmus) 11 mars 2024
Cela ne ferait probablement pas de mal d’enseigner à la maison les enfants tout en vivant dans l’Amérique rurale.
Cette femme est une pure Americana.
Ses semblables se sont installés dans l’Ouest américain, ont instruit à la maison nos plus grandes générations et ont donné naissance à des fils qui ont combattu vaillamment dans nos guerres.
La féminité est bien plus qu'un salon de manucure. pic.twitter.com/Vjq8V3C1EY
– Kingsley Wilson (@KingsleyCortes) 9 mars 2024
Alternativement, démarrer une ferme et prendre le contrôle de son approvisionnement alimentaire est une étape importante vers l’indépendance face à l’État excessif et aux méga-entreprises.
Pour ceux qui ne peuvent pas déménager parce que la Réserve fédérale a paralysé le marché immobilier avec des taux d'intérêt élevés, envisagez un jardin et un poulailler.
https://www.zerohedge.com/commodities/time-backyard-chicken-coop-supermarket-egg-prices-soaring-once-again
Immobilier : Le DPE ne reflète pas la réalité ! La preuve par 3
RépondreSupprimerArtisan et acteur de la réhabilitation lourde depuis plus de 15 ans, Eric Frenkiel est, au quotidien, confronté aux problématiques de la rénovation, avec sa dimension énergétique. Pour lui, à ce jour, le mode de détermination du DPE est effectivement inopérant comme il l’a constaté sur ses récents chantiers : des rénovations de studios dans des combles, affublés de la note F ou G pour la partie consommation énergétique… à remonter donc, pour des besoins locatifs, compte tenu des interdictions visant progressivement les logements notés E, F et G.
le 14 mars 2024 à 5h30
50% des logements d'Ile-de-France sont des passoires thermiques.
1. Un état originel du bâtiment mal connu... qui dégrade automatiquement la note
Lorsque j’interviens sur un chantier, pour effectuer une rénovation dans les règles de l’art, je commence par mettre à nu toutes les pièces à réhabiliter. Cela me permet de savoir exactement comment a été construit le bâtiment et quelles sont les meilleures solutions à mettre en œuvre. J’ai une contrainte pour les petites surfaces (studios et 2 pièces) : un compromis doit être trouvé pour que l’isolation soit la plus performante possible sans trop réduire les m².
Cette connaissance du bâti originel va m’aider à communiquer une information totalement fiable au diagnostiqueur, le moment venu. C’est loin d’être le cas la plupart du temps et c’est là que commencent les ennuis pour les particuliers. En toute honnêteté, ne sachant pas ce qu’il y a derrière la peinture ou la tapisserie, les propriétaires (ayant besoin du DPE pour vendre, sans faire de travaux), répondent « je ne sais pas » à des dizaines de questions intégrées au DPE (plus de 200 critères) et consacrées au bâti. Résultat : par défaut, le logiciel va retenir la plus mauvaise note pour chaque catégorie. C’est la première raison qui explique les très mauvaises notes de certains logements. Avec des informations fiables et justes, les notes au DPE auraient été meilleures…
2. Une consommation énergétique calculée de façon illogique
RépondreSupprimerLes DPE qui ont été réalisés après mes travaux dans deux chantiers de moins de 40 m² ont affiché une note « D » en matière de consommation énergétique. Certes, nous étions partis de loin avec des notes F et G, et un « D » satisfaisait les bailleurs qui voyaient s’éloigner le risque d’interdiction de location. Mais pourquoi une note si basse ? Pourquoi pas C ou même B ? Les travaux réalisés dans ces appartements ont été maximisés ; on ne pouvait pas faire mieux compte tenu des contraintes d’espace et de règlement de copropriété.
Par ailleurs, dans l’un des appartements, alors que nous avions presque terminé le chantier, nous avons installé un radiateur basse consommation de 1.000 W, en attendant la livraison des deux autres, commandés (pour un meilleur confort thermique) mais livrés avec retard. A lui tout seul, cet unique radiateur réussissait à chauffer toute la pièce d’une surface au sol de 45 m² sous combles, de surcroît avec un grand volume, en étant seulement allumé aux heures les plus froides de la journée. L’isolation était donc excellente. Les logements bénéficiant de la note « C » consomment entre 111 et 180 kwh/m²/an. J’ai fait les calculs : le studio allait consommer environ 60 kwh/m²/an car le radiateur fonctionnerait la moitié de l'année, 12h / jour en moyenne...
Pour obtenir une meilleure note, sans doute aurait-il fallu installer une pompe à chaleur, très bien notée par le logiciel du DPE, mais quasi impossible à installer dans une copropriété !
3. Un audit de l’émission de gaz à effet de serre prenant en compte des paramètres « hors logement »
La deuxième échelle du DPE qui concerne la quantité d’émission de gaz à effet de serre a abouti à une note « B » sur le dernier studio mentionné. C’est bien, mais, là encore, pourquoi pas « A », compte tenu du fait qu’il émet 0 gaz à effet de serre, avec les radiateurs électriques ? L’explication est sans doute à chercher du côté d’un calcul qui prendrait en compte des paramètres extérieurs au logement, c'est-à-dire l'énergie primaire produite en France, puisque lui-même n’émet pas de CO². Le DPE intègre-t-il les émissions de gaz à effet de serre produites par les centrales nucléaires qui servent à faire fonctionner les radiateurs électriques ? Pas très juste pour le propriétaire qui n’est pas personnellement responsable de celles-ci...
Ma préconisation pour rendre les notes de DPE plus conformes à la réalité
Avant 2021, l’ancien DPE était basé sur les consommations réelles sur factures, mais était aussi source d’erreurs. Conscient des problèmes liés au DPE, accentués pour les petites surfaces, Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, a annoncé le 31 janvier 2024 une nouvelle révision de son mode de calcul pour les logements de moins de 40 m². Une consultation publique a été lancée pour une modification programmée en juillet prochain.
L’une des solutions pourrait être de faire un DPE probatoire théorique, après travaux, et remettre à jour le DPE un an après le premier, afin de constater, sur factures, la réelle isolation du logement sur un cycle entier de 4 saisons, un peu comme une contre-visite de contrôle technique automobile. Nul doute que la note remonterait pour un certain nombre de logements ! Etant ingénieur de formation, on m’a toujours appris que le plus beau modèle théorique ne fonctionne que s’il est confronté à la réalité expérimentale !
Comme pour tous les logiciels examinés par les incompétents des gouvernements, ils répondent à une qualité 'Gretamoilescouilles'. C'est pour çà qu'ils [analyseurs et analysés] sont choisis
SupprimerDes « méga camions » débarquent bientôt sur les routes européennes
RépondreSupprimerLe Parlement européen a voté en faveur de la révision de la directive « Poids et dimensions », autorisant potentiellement la circulation des « méga camions » dans toute l’Union européenne. Cette mesure divise, suscitant l’espoir d’une transition écologique pour certains, tandis que d’autres y voient une menace pour la sécurité et l’environnement.
le 13 mars 2024 à 9h12
Des camions pesant jusqu'à 60 tonnes pourront bientôt rouler sur les routes d'Europe.
La France est opposée à la circulation de « méga camions »
Le vote, le 12 mars 2024, du Parlement européen en faveur de la circulation des « méga camions » jusqu'à 25 mètres de long et 60 tonnes marque une étape significative dans la révision des normes européennes de transport routier. Avec 330 voix « pour » et 207 « contre », cette décision vise principalement à encourager le développement des véhicules électriques ou à hydrogène, en augmentant le poids maximal autorisé pour favoriser ces technologies plus lourdes. Cependant, elle soulève des inquiétudes quant à l'impact environnemental et sécuritaire de tels véhicules sur les routes européennes. Des figures politiques comme Karima Delli et Manon Aubry ont exprimé leur mécontentement, voyant dans cette mesure un « contresens climatique » et un danger pour la sécurité routière.
La France, par la voix de son ministre des Transports Patrice Vergriete, a réaffirmé son opposition à la libéralisation de la circulation de ces véhicules, mettant en avant la priorité du transfert modal vers le ferroviaire. La controverse ne se limite pas aux préoccupations environnementales et de sécurité ; elle touche également la compétitivité du transport ferroviaire, menacée par cette compétitivité accrue du transport routier. La direction de DB Cargo et l'Alliance 4F ont ouvertement critiqué la directive, craignant qu'elle n'engendre une concurrence déloyale pour le fret ferroviaire, déjà confronté à d'importants défis.
« Méga camions » : vers une impasse ou une solution de compromis ?
Alors que la balle est désormais dans le camp des États membres, avec des négociations à venir qui pourraient redéfinir les conditions d'application de cette directive, la France et d'autres pays expriment leurs réserves. L'objectif de décarbonation des transports affiché par le Green Deal européen se heurte à la réalité complexe des enjeux de sécurité, d'environnement et de concurrence entre modes de transport. Le futur des « méga camions » dans l'UE reste incertain, pendu aux résultats des négociations tripartites et à la position finale des États membres, dans un contexte où les tensions entre vision écologique et réalités économiques et sociales sont palpables.
Cette décision ouvre non seulement un débat crucial sur l'avenir du transport en Europe mais soulève également des questions essentielles sur la capacité de l'UE à harmoniser les besoins en matière de mobilité, d'écologie et de sécurité.
Avec ses centaines de millions d'immigrés 'réfugiés climatique' !! le nombre de camions sur les routes a doublé :! triplé ! quadruplé ! puis multiplié par 10, par 15 puis... par 20 !!
SupprimerMix générationnel, ou la nécessité d’une collaboration intentionnelle et inclusive en entreprise
RépondreSupprimerLe paysage professionnel français est en perpétuelle mutation, évoluant au rythme de la cohabitation des génération X, Y, Z et des baby-boomers. Chacune de ces générations apporte un ensemble distinct de compétences, de perspectives et d’expériences, créant ainsi une mosaïque complexe et dynamique.
le 13 mars 2024 à 4h30
Pour 77% des employeurs et responsables RH, le télétravail est devenu une carte à jouer pour attirer et fidéliser les générations Z
Dans ce contexte évolutif, la nécessité d’une collaboration intergénérationnelle se dessine comme un impératif majeur, mettant en lumière l’importance croissante d’une intentionnalité accrue et d’une communication efficace pour relever les défis inhérents aux disparités générationnelles.
La dynamique de la collaboration intergénérationnelle
La collaboration harmonieuse des différentes générations au sein des entreprises souligne la volonté collective des acteurs professionnels d’embrasser la diversité des expériences, des compétences et de perspectives. Ces alliances intergénérationnelles se révèlent être une clé essentielle pour le développement personnel des individus ainsi que pour l’amélioration des résultats collectifs.
Parallèlement, d’après une récente étude1, l’attitude positive des décideurs à l’égard de la formation délibérée d’équipes diversifiées confirme non seulement la nécessité, mais également les avantages concrets qui émergent de la constitution de groupes de travail représentatifs de différentes générations. Cette approche proactive des décideurs, surtout chez les générations X et Y, reflète la compréhension grandissante de l’impact positif de la diversité générationnelle sur les dynamiques organisationnelles. Les retombées positives incluent l’augmentation de la créativité, une résolution de problèmes plus efficace et une meilleure adaptation aux changements constants du monde professionnel. Ainsi, la collaboration intergénérationnelle émerge comme un pilier fondamental, propulsant les équipes vers un avenir professionnel dynamique et innovant.
Importance des interactions directes et défis de communication
Toujours selon la même étude, les interactions en personne au sein des équipes multigénérationnelles jouent également un rôle essentiel. Cette valorisation de la communication directe va au-delà d’une simple préférence, elle se traduit par des bénéfices tangibles pour la cohésion et l’efficacité au sein des équipes.
La planification de réunions intentionnelles, au-delà de son rôle de synchronisation des tâches, se révèle être une opportunité précieuse pour renforcer les liens sociaux. Ces rencontres régulières, lorsqu’elles sont bien orchestrées, agissent comme des moments privilégiés pour favoriser la compréhension mutuelle et encourager la collaboration intergénérationnelle. L’échange d’idées et d’expériences dans un cadre formel contribue à une intégration profonde des membre d’une équipe, transcendant les barrières générationnelles.
Cependant, pour maximiser l’impact des interactions en personne, il est tout aussi crucial de cultiver des liens sociaux à travers des échanges informels. Les rencontres décontractées et les échanges spontanés, loin d’être des aspects négligeables, sont des catalyseurs essentiels pour stimuler la créativité et renforcer le tissu social de l’équipe. Les moments informels favorisent une atmosphère propice à l’échange d’idées non conventionnelles, créant ainsi un environnement propice à l’innovation.
RépondreSupprimerMalgré ces avantages, des défis de communication persistent, et les employés et décideurs n’ont pas la même perception de l’efficacité de la communication interne. Comment combler cet écart ? En adoptant une approche plus inclusive dans la planification des stratégies de communication. Encourager des canaux de communication variés, adaptés aux préférences de chaque génération, peut contribuer à réduire cet écart et à renforcer l’efficacité globale de la communication interne.
Adopter le changement par la collaboration
La participation des employés à la conduite du changement organisationnel émerge comme un indicateur essentiel de la vitalité d’une entreprise. Les employés ont un désir manifeste de contribuer activement à l’évolution de leur organisation. Cependant, des disparités générationnelles existent dans cette volonté de participation, soulignant la nécessité d’une approche adaptée.
Il est aujourd’hui nécessaire pour les organisations d’aller au-delà de la simple reconnaissance du désir de participation et d’encourager activement la collaboration à travers des structures et des politiques inclusives. La création de mécanismes formels tels que des plateformes de feedback, des groupes de travail intergénérationnels et des sessions de brainstorming inclusives peut catalyser la collaboration et l’innovation organisationnelle.
L’importance d’une approche de collaboration inclusive se révèle essentielle dans la création d’environnements de travail innovant et harmonieux. Cette approche transcende la simple cohabitation des générations pour englober une compréhension approfondie des besoins spécifiques à chaque groupe. Les entreprises qui investissent dans la création d’un environnement où chaque génération se sent valorisée et entendue peuvent bénéficier d’une productivité accrue, d’une créativité stimulée et d’une satisfaction professionnelle renforcée.
Ainsi, l’adoption du changement par la collaboration ne se limite pas à la mise en œuvre de nouvelles technologies ou de nouveaux processus. Elle repose sur la construction de ponts entre les générations au sein de l’entreprise. Cette démarche inclusive et intentionnelle détient le potentiel de créer des espaces de travail résilients, adaptatifs et prêts à prospérer dans le futur.
RépondreSupprimer“Mix de générations au travail”, rapport YouGov pour Atlassian, novembre 2023
https://www.economiematin.fr/generation-collaboration-entreprise-emploi-gache?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
Avec l'arrivée plus que massive d'étrangers en entreprises (indépendantes ou celles d'Etat !) le public s'est vite aperçu du 'paquet de merde' que cela représentait ! Ils ne savent rien !: Rien de chez rien !:
SupprimerUne question de foi
RépondreSupprimerpar Katharina Buchholz,
11 mars 2024
Pour de nombreuses personnes dans le monde, la religion joue un rôle important dans leur vie quotidienne, tandis que d’autres adoptent des idées laïques. Selon une enquête Statista Consumer Insights réalisée entre avril 2022 et mars 2023, bon nombre des pays les plus religieux au monde se trouvent en Afrique et au Moyen-Orient. Pourtant, parmi les pays inclus dans l'enquête, les pays asiatiques, le Pakistan et l'Indonésie, ainsi que l'Égypte, ont obtenu les scores les plus élevés, avec 99 % de tous les adultes du groupe d'âge interrogé professant une religion.
Le pays le plus laïc de l’enquête était la Chine, avec seulement 22 % de la population adulte déclarant suivre une religion. Ce chiffre n’est pas surprenant étant donné que la foi religieuse a été marginalisée sous le communisme dans le pays. D’autres pays relativement laïcs en Asie comprennent le Vietnam, le Japon, la Corée du Sud et Hong Kong.
En Europe, la République tchèque (27 % suivent une religion) est le pays qui compte le moins de personnes se déclarant croyantes – un fait qui est également en partie lié au passé communiste du pays. Plus à l’est de l’Europe, la religion n’a pas été autant étouffée malgré un passé socialiste – par exemple en Roumanie, en Serbie ou en Lituanie, mais aussi en Russie. La Pologne, patrie du célèbre pape Jean-Paul II, montrait également plus de tendances religieuses que nombre de ses voisins d’Europe occidentale. À l’ouest du continent, l’Irlande était la plus religieuse, tandis qu’en Europe du Sud, la religion était la plus répandue en Grèce, en Italie et au Portugal.
Le Pérou était le seul pays interrogé sur le continent américain avec plus de 80 pour cent déclarant suivre une religion. La plupart des autres pays – à l’exception du Canada – ont néanmoins obtenu des résultats systématiquement élevés en matière de foi religieuse, avec peu de différence entre le Nord et le Sud.
https://www.statista.com/chart/27033/share-religious-people-by-country/
D'où l'émergence significative dans l'économie des pays cités.
SupprimerDe 20 à 39 % avec une religion en Chine,
40 à 59 % en Australie, Canada, France,
60 à 79 % en USA, Russie, Espagne, Italie,
80 à 99 % dans une minorité comme l'Inde, Pérou, Marc, Afrique du Sud.
Une étude révèle que les véhicules électriques polluent l'environnement 1 850 fois plus que les voitures à essence
RépondreSupprimer03/12/2024
Ava Grace
Une étude a révélé que les véhicules électriques polluent l’environnement au moins 1 850 fois plus que leurs homologues fonctionnant aux combustibles fossiles.
L'étude de 2022 de la société indépendante de test et de recherche sur les émissions mondiales basée au Royaume-Uni, Emissions Analytics, a révélé que, au cours d'un trajet de 1 000 miles (1609,34 km), les véhicules électriques rejettent 1 850 fois plus de polluants dans l'environnement que leurs homologues à essence en raison du poids plus lourd qu'ils consomment. à travers les pneus des véhicules électriques.
Lorsqu’ils parlent d’émissions, la plupart ne considèrent que la fumée et les autres polluants crachés par les voitures à partir de leurs gaz d’échappement. Mais l’usure des pneumatiques joue également un rôle important dans l’émission de polluants. Le caoutchouc synthétique utilisé pour créer les pneus contient certains produits chimiques qui sont rejetés dans l’air, et les véhicules électriques sont nettement plus lourds que les voitures conventionnelles en raison de leurs énormes batteries au lithium. (En relation : EV COLLAPSE : les concessionnaires automobiles rejettent désormais les livraisons de véhicules électriques en raison des faibles ventes.)
Dans l’ensemble, les véhicules électriques pèsent environ 30 % de plus que les véhicules à essence et coûtent des milliers de plus à fabriquer et à acheter. Ces problèmes s’ajoutent au fait qu’ils ne conviennent pas aux climats plus froids comme ceux du Canada et du nord des États-Unis. Ils offrent également une faible autonomie et de longs temps de charge, en particulier par temps froid, et disposent de batteries qui nécessitent d'énormes ressources à fabriquer et sont difficiles à recycler.
Cette révélation intervient alors que de plus en plus de gouvernements locaux et nationaux à travers le monde s’apprêtent à interdire ou à limiter sévèrement la vente de nouvelles voitures à essence au cours de la décennie à venir, malgré les déficiences technologiques très évidentes des voitures électriques.
Le Canada prévoit déjà d'exiger que toutes les nouvelles voitures et camions vendus dans le pays soient électriques d'ici 2035. La Californie travaille à une interdiction tout aussi complète de la vente de tous les nouveaux véhicules à essence dans l'État d'ici 2035.
Les voitures plus lourdes rejettent davantage de microplastiques dans l’environnement
Hesham Rakha, professeur à Virginia Tech, a noté que les pneus des véhicules électriques, en raison de leur poids supplémentaire, émettront également davantage de microplastiques dans l'air. Mais cela est également vrai pour les voitures plus lourdes utilisant des combustibles fossiles comme les SUV.
Cela concorde avec un précédent rapport d'Emissions Analytics de 2022 qui avertissait les consommateurs que les voitures plus grosses et plus lourdes, qu'elles soient à combustibles fossiles ou électriques, contribuent davantage « à la pollution marine par les microplastiques, ainsi qu'à la pollution de l'air causée par des particules plus fines ».
RépondreSupprimerRakha et une équipe de chercheurs de Virginia Tech sont en train de confirmer les résultats de l'étude d'Emissions Analytics. Il s’attend à ce que les véhicules électriques émettent environ 20 % plus de microplastiques dans l’air que les véhicules à essence.
Bien que Rakha ait noté qu'il est très difficile de déterminer la différence entre la quantité de microplastiques émis par les bandes de roulement des pneus des véhicules électriques et celle des véhicules à essence, en raison de la nécessité de séparer les microplastiques déjà présents dans l'air des autres sources avec ce qui sort de l'air. pneus.
Rakha a en outre noté que les personnes envisageant d'acheter un véhicule électrique doivent se rappeler que « cela génère également beaucoup de dioxyde de carbone lors de la recharge de votre véhicule ».
Les batteries des véhicules électriques pèsent environ 1 000 livres et peuvent entraîner des émissions de pneus près de 400 fois supérieures à celles des tuyaux d’échappement.
La pollution par les particules provenant des véhicules électriques peut également augmenter le risque de problèmes de santé, notamment de maladies cardiaques, d’asthme, de maladies pulmonaires et, dans les cas extrêmes, peut même conduire à une hospitalisation, à un cancer ou à un décès prématuré.
Grâce à votre généreux soutien, nous construisons l'infrastructure de la liberté humaine et faisons activement don de notre technologie à des éditeurs indépendants, des auteurs et des organisations d'enseignement à domicile. Découvrez notre projet d’IA non commercial révolutionnaire ici. Soutenez nos efforts continus pour préserver et améliorer les connaissances humaines en achetant sur HealthRangerStore.com.
Regardez ce clip de Fox Business dans lequel l'homme d'affaires canadien Kevin "Mr. Wonderful" O'Leary explique à quel point la promotion des véhicules électriques par Biden est beaucoup trop coûteuse.
RépondreSupprimerCette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Les grands constructeurs automobiles admettent que les ventes de véhicules électriques sont menacées.
Effondrement des véhicules électriques : le constructeur de véhicules électriques Lordstown Motors dépose son bilan.
Apple se retire du marché des véhicules électriques et se concentre sur l’IA.
Le secrétaire aux Transports, Buttigieg, admet qu'il est DIFFICILE de trouver des bornes de recharge pour véhicules électriques fiables.
Ford perd des milliards sur les véhicules électriques et réduit son objectif de production de véhicules électriques.
Les sources incluent :
LifeSiteNews.com
DailyMail.co.uk
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-12-evs-pollute-environment-more-than-gas-powered-vehicles.html
Les voitures électriques polluent 1 850 fois plus que les véhicules à carburant, selon une étude
RépondreSupprimerL’étude Emissions Analytics de 2022, basée au Royaume-Uni, a révélé qu’après avoir parcouru 1 000 miles avec une voiture à essence et une voiture électrique, le nombre de particules collectées par le véhicule électrique était bien plus élevé que celui de la voiture à essence.
Par Anthony Murdoch
Actualités du site de vie
14 mars 2024
Une étude de 2022 a révélé que les véhicules électriques (VE) que les gouvernements de gauche au Canada, aux États-Unis et ailleurs imposent à la population polluent à un taux bien plus élevé que leurs homologues à essence ou diesel.
L’étude de 2022 du groupe Emissions Analytics basé au Royaume-Uni a révélé qu’au cours d’un trajet de 1 000 miles, les véhicules électriques rejettent 1 850 fois plus de polluants dans l’environnement que les véhicules à essence, en raison du poids plus lourd qui ronge les pneus.
Alors que beaucoup pensent aux émissions provenant des gaz d’échappement, l’usure des pneus joue un rôle important dans l’émission de polluants. Le caoutchouc synthétique utilisé pour créer les pneus contient certains produits chimiques qui sont rejetés dans l’air, et parce que les véhicules électriques sont nettement plus lourds que les voitures conventionnelles en raison des énormes batteries au lithium.
Dans l’ensemble, les véhicules électriques pèsent environ 30 % de plus que les véhicules à essence et coûtent des milliers de plus à fabriquer et à acheter. Ces problèmes s'ajoutent au fait qu'ils ne conviennent pas aux climats plus froids (comme le Canada et le nord des États-Unis), qu'ils offrent une faible autonomie et de longs temps de charge (surtout par temps froid), et qu'ils disposent de batteries qui nécessitent d'énormes ressources pour être fabriquées et utilisées. sont difficiles à recycler.
Le gouvernement du Canada sous la direction du premier ministre Justin Trudeau et le gouvernement des États-Unis sous la direction du président Joe Biden espèrent interdire, ou limiter sévèrement, la vente de nouvelles voitures à essence après 2035 malgré ces lacunes. L’UE (Union européenne) a également mis en place un mandat EV pour la même année.
Le ministre canadien de l'Environnement, Steven Guilbeault, a annoncé juste avant Noël la « Norme de disponibilité des véhicules électriques ». Il s’agit d’un plan qui exigera que toutes les nouvelles voitures et camions soient électriques d’ici 2035, ce qui interdirait en fait la vente de nouveaux véhicules à essence ou diesel après cette année.
RépondreSupprimerCependant, toutes les provinces canadiennes ne sont pas à bord du train EV.
En janvier, LifeSiteNews a rapporté comment le ministre de l'Énergie de l'Alberta a critiqué la Société Radio-Canada (CBC), financée par le gouvernement fédéral, pour avoir publié un rapport affirmant que les voitures électriques sont mieux à même de gérer le froid que les voitures à essence, tout en étant confrontées à un froid extrême. La crise a frappé une grande partie de l'Ouest canadien et a failli provoquer l'effondrement du réseau électrique de l'Alberta en raison de sa dépendance accrue à l'égard des énergies dites renouvelables.
https://www.lewrockwell.com/2024/03/no_author/electric-cars-pollute-1850-times-more-than-fuel-based-vehicles-study-finds/
Lorsque les écologistes parlent de réensauvagement, ils ne parlent pas seulement des parcs, des zones humides et d’autres environnements déjà majoritairement naturels. Ils désignent également votre ferme, et même votre maison, sans parler de l'ensemble du commerce et de l'industrie tels qu'ils occupent actuellement le paysage.
RépondreSupprimerLes pouvoirs en place ont le sentiment qu’eux seuls méritent de vivre. Vous et votre famille devez disparaître pour pouvoir agrandir les habitats naturels et créer un nouvel environnement semblable à celui d’un jardin d’Éden pour leur propre plaisir – sans que vous y soyez.
"Afin de garantir que ni les agriculteurs ni les membres du public n'empiètent sur les terres qui ont été réservées au réensauvagement (et le premier programme de réensauvagement a été introduit par l'Union européenne il y a quelques années dans le cadre d'un programme appelé "mis de côté". ) des animaux sauvages sont relâchés", prévient Coleman.
« Aujourd'hui, la plupart des agriculteurs voient leurs problèmes comme le résultat de la stupidité, de l'ignorance ou d'une incapacité à comprendre leurs besoins. Mais ce qui leur arrive n'a rien à voir avec la stupidité, l'ignorance ou l'incapacité à comprendre – tout cela est délibéré et tout à fait normal. de sang-froid. De plus en plus de pays européens dépendent désormais des importations pour la plupart de leurs approvisionnements alimentaires et énergétiques. Et la plupart de nos aliments seront fabriqués dans des usines appartenant à des milliardaires.
La connaissance humaine est attaquée ! Des efforts mondiaux concertés visent à anéantir la base de connaissances existante de l’humanité sur la nutrition, les herbes, la médecine naturelle, l’immunité naturelle, l’histoire, la science et bien plus encore. Nous préservons les connaissances humaines grâce à la technologie de l’IA tout en construisant l’infrastructure de la liberté humaine. Notre objectif est de défendre et de préserver les connaissances humaines tout en donnant aux individus les moyens de contourner la censure de destruction des connaissances actuellement imposée par les entreprises, les gouvernements et l’OMS. Découvrez notre projet AI / LLM gratuit et non commercial ici. Aidez-nous à soutenir nos efforts pour construire l’infrastructure de la liberté humaine en achetant sur HealthRangerStore.com, proposant des aliments, des superaliments, des suppléments nutritionnels et des produits de soins personnels testés en laboratoire et certifiés biologiques, sans OGM.
Les sources de cet article incluent :
RépondreSupprimerSHTFplan.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-13-globalist-plan-eliminate-farms-no-real-food.html
Prix de l’électricité : le gouvernement roule les Français dans la farine
RépondreSupprimerLe gouvernement croule sous les critiques. Après la colère des agriculteurs, c’est au tour des associations de consommateurs d’élever leurs voix. UFC-Que Choisir et CLVC ont publié un communiqué, mardi 5 mars 2024, dans lequel elles dénoncent la politique énergétique du gouvernement, et plus particulièrement le cadre régulatoire qui lie EDF à l’État, qu’elles jugent obsolète et défavorable aux Français.
le 7 mars 2024 à 18h10
Le bénéfice d'exploitation d'EDF en 2023 était de 13,2 milliards d'euros.
Prix de l'électricité : les associations demandent au gouvernement de « revoir sa copie »
Depuis 2022, les Français ont vu leur facture d'électricité augmenter de près de 40 %. La dernière augmentation date du mois de février 2024 et varie entre 9,8 % et 8,6 % selon les types de contrat. Et depuis deux ans, nous ne comptons plus les déclarations du gouvernement qui justifie ces augmentations successives par la guerre en Ukraine. Mais est-il réellement exempt de toute responsabilité ? Loin de là. C'est du moins ce que dénonce le communiqué de presse conjoint des associations de consommateurs UFC-Que Choisir et CLCV.
Selon ces dernières, les Français payent leur électricité bien plus cher qu'ils ne le devraient. « Comment accepter que les prix de l’électricité sur les marchés internationaux représentent plus de la moitié des coûts d’approvisionnement de l’électricité payée par les consommateurs français, alors que l’électricité consommée en France est produite quasi intégralement dans notre pays (94,6 %) ? Que la production domestique est largement décarbonée, et assurée majoritairement par des moyens de production dont les installations sont amorties de longue date ? » s'interrogent, à juste titre, les deux associations. Pour UFC-Que Choisir et CLCV, il n'y a pas de quiproquo. Ce n'est pas la guerre en Ukraine qui est responsable de la flambée de facture d'électricité des Français, mais bien le cadre régulatoire imposé par le gouvernement qui lie EDF à l'État, et qui exposent de manière « artificielle » les consommateurs à la volatilité des prix internationaux. Pour le dire autrement : l'État contraint EDF à vendre son électricité sur le marché international, elle a même battu son record d'exportation en décembre 2023, alors qu'elle pourrait la vendre à des prix bon marché aux Français.
Pour une régulation plus juste du marché français
UFC-Que choisir et CLVC ont en ligne de mire le prochain projet de régulation qui est actuellement en cours de négociations entre EDF et le gouvernement. Celui-ci sera effectif en 2026, soit un peu moins d'un an après la fin du bouclier tarifaire. Les associations des consommateurs souhaitent ainsi faire pression sur le gouvernement afin que ce dernier les intègre dans le processus de négociation. Pour UFC-Que Choisir et CLCV, le projet de régulation envisagé par le gouvernement est « inflationniste » et poursuivrait les hausses massives et injustifiées des prix de l'électricité. Selon ces dernières, ce mécanisme ne redistribuerait les bénéfices aux consommateurs qu'à partir d'un seuil fixé à 78 €/MWh, ce qui est « totalement déconnecté des coûts réels de la filière nucléaire ».
Les associations des consommateurs proposent par ainsi la création d'un service public de l'électricité qui aurait pour objectif de garantir aux consommateurs un prix juste, basé sur les coûts réels de production de l'électricité nucléaire et hydraulique du pays.
La gigantesque usine Tesla attaquée en Allemagne, non pas par des fans d'essence, mais par des extrémistes écologistes de gauche
RépondreSupprimerPar Jo Nova
March 8th, 2024
Les militants du Vulkangruppe (Volcano Group) ont revendiqué la responsabilité du sabotage d'un pylône qui alimentait en électricité la Gigafactory Tesla en Allemagne. L’usine qui fabrique un demi-million de véhicules électriques par an a dû fermer mardi et renvoyer 12 000 travailleurs chez eux. Environ 2 000 foyers locaux ont également perdu l’électricité.
L'électricité pourrait ne pas être rétablie avant le 17 mars et Pierre Goslin de NoTricksZone rapporte que la facture est désormais estimée à « plus d'un demi-milliard d'euros ».
Apparemment, les écologistes radicaux pensaient que mettre le feu à un tas de pneus au pied d'une tour à haute tension était un moyen de libérer la forêt et les travailleurs de la tyrannie capitaliste.
Sabotage de Tesla en Allemagne
Peu de temps après, une organisation connue sous le nom de Volcano Group (Vulkangruppe) a revendiqué l'incendie en ligne. "Nous avons saboté Tesla aujourd'hui", a déclaré le groupe environnemental d'extrême gauche dans une lettre ouverte accusant également le PDG de Tesla, Elon Musk, d'être un "techno-fasciste".
La lettre continue en critiquant les implications de Tesla dans la conduite du capitalisme prédateur, de l’exploitation des travailleurs, de la dégradation de l’environnement et des technologies de surveillance modernes, ce qui explique pourquoi. L’objectif déclaré était de « mettre Tesla à genoux ».
Pour une raison quelconque, les groupes de médias n’ont pas fait beaucoup d’histoire à ce sujet. Si les pétroliers de droite brûlaient des infrastructures critiques, cela ferait la une de 1 000 chaînes.
L’incendie criminel était en grande partie un acte terroriste prémédité. Le Vulkangruppe a écrit un essai de 2 500 mots sur l’horreur de Tesla parce qu’elle « consommait à la fois des ressources naturelles et du travail et n’était ni écologique ni durable ».
En effet, The Guardian affirme que les véhicules électriques sont attaqués parce qu'ils ne sont peut-être pas très écologiques :
Les voitures électriques sont de plus en plus attaquées par les militants écologistes, en particulier parce qu'elles craignent que leur production entraîne des émissions plus élevées que la fabrication de voitures à moteur à combustion interne et que la production et la recharge des batteries de voitures électriques constituent un fardeau environnemental. Lors d’attaques ciblées en Europe, notamment en Allemagne, les pneus des voitures électriques ont été crevés ou dégonflés.
C’est un aveu intéressant de la part des éditeurs du Guardian, environ dix ans trop tard. Et ils n’ont pas vraiment beaucoup de preuves. Ils incluent un lien vers les tailleurs de pneus qui ciblaient spécifiquement les SUV pour une « action climatique », mais lors de ces incidents, les seuls pneus de voitures électriques qui ont été crevés l’ont été par accident.
Les habitants du Brandenberg ont protesté contre le projet d'agrandissement de l'usine Tesla, qui nécessiterait la coupe de 100 hectares de forêt. Mais selon un fan de Tesla, les forêts que les terroristes veulent sauver sont de toute façon des arbres de plantation et non des forêts indigènes.
Elon Musk a déclaré :
RépondreSupprimerCe sont soit les écoterroristes les plus stupides de la planète, soit les marionnettes de ceux qui n’ont pas de bons objectifs environnementaux. Arrêter la production de véhicules électriques, plutôt que de véhicules à combustibles fossiles, est extrêmement stupide.
C’est ce qui arrive lorsque les médias promeuvent des mensonges politiques unilatéraux et étouffent les voix sensées pendant 20 ans. Il se pourrait donc bien qu’il s’agisse de fous hippies locaux. Mais n’oublions pas qu’il existe des acteurs étrangers qui vendent des véhicules électriques concurrents et parlent le langage du marxisme. Ils pourraient gagner à liquider la foule locale d’Antifa.
https://joannenova.com.au/2024/03/tesla-gigafactory-attacked-in-germany-not-by-fans-of-petrol-but-left-wing-eco-extremists/
Plus de 140 000 fermes perdues en 5 ans
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 11 MARS 2024 - 14H50
Par Daniel Munch du Farm Bureau
Entre 2017 et 2022, le nombre d'exploitations agricoles aux États-Unis a diminué de 141 733, soit 7 %, selon le recensement de l'agriculture de 2022 de l'USDA, publié le 13 février. Les superficies exploitées par les exploitations agricoles au cours de la même période ont diminué de 20,1 millions (2,2 %). , une perte équivalente à une superficie de la taille du Maine. Seulement 1,88 % des acres exploitées et 1 % des exploitations agricoles étaient classées sous une structure agricole corporative non familiale.
Mené tous les cinq ans, le Recensement de l'agriculture recueille des données sur l'utilisation et la propriété des terres, les caractéristiques des producteurs, les pratiques de production, les revenus et les dépenses. L'USDA définit une ferme comme une exploitation qui a produit et vendu, ou aurait normalement vendu, 1 000 $ ou plus de produits agricoles au cours de l'année de recensement.
Alors que le nombre d'exploitations agricoles et de superficies exploitées a diminué, la valeur de la production agricole a augmenté, passant de 389 milliards de dollars en 2017 à 533 milliards de dollars en 2022 (40 % en valeur nominale et 17 % corrigée de l'inflation). Ces chiffres mis à jour mettent en évidence la tendance continue selon laquelle moins d’exploitations exploitent moins d’acres de terre mais produisent davantage chaque année.
En plus des données du recensement agricole, l'USDA publie une fois par an des estimations basées sur des enquêtes sur le nombre d'exploitations agricoles. En utilisant les données de cette enquête annuelle remontant à 1950, la tendance selon laquelle moins d’exploitations cultivent moins d’acres devient encore plus évidente. Depuis 1950, le nombre d’exploitations agricoles a diminué de 3,75 millions (66 %) et le nombre d’acres cultivés de 323 millions (27 %), soit un peu moins de deux fois la superficie du Texas. Les progrès technologiques qui ont augmenté la productivité, tels que les taux de conversion alimentaire du bétail et le rendement par acre des cultures, ont permis aux agriculteurs et aux éleveurs de produire plus avec moins, alors même que la population américaine a plus que doublé, passant de 159 millions en 1950 à 340 millions en 1950. 2023, et la population mondiale a plus que triplé (de 2,5 milliards à 8 milliards) au cours de la même période.
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Opérations agricoles
RépondreSupprimerEntre 2017 et 2022, tous les États sauf cinq (Alaska, Delaware, Iowa, Maryland, New Jersey et Rhode Island) ont perdu leurs fermes. Le Texas a enregistré la perte numérique la plus importante – près de 18 000 exploitations agricoles – suivi de l'Oklahoma (-8 153) et du Missouri (-7 433). L'Iowa a gagné le plus d'exploitations agricoles (+807), suivi de loin par l'Alaska (+183). En termes de pourcentage de perte d'exploitations agricoles, le Nouveau-Mexique a connu la plus forte baisse (-16,2 %), suivi de l'Arizona (-12,5 %) et du Wyoming (-11,7 %). Le gain de 183 fermes de l’Alaska a constitué la plus forte augmentation en pourcentage, soit 18,5 %. Bien que la présence de tendances régionales en matière de pertes d’exploitation agricole semble limitée, les conditions de sécheresse qui ont frappé une grande partie de l’Ouest en 2021 et 2022 pourraient être responsables, en partie, des pourcentages de pertes agricoles plus élevés dans ces États. Dans tous les États qui ont gagné des fermes, la plupart étaient dans la catégorie des ventes dépassant 1 million de dollars, sauf en Alaska où les gains les plus importants ont été enregistrés dans les fermes gagnant entre 5 000 et 50 000 dollars.
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Zone exploitée
Le recensement de 2022 indique également une baisse d’un peu plus de 20 millions d’acres (2,2 % du total) - 8 093 712 ha - des superficies exploitées. Le Colorado est en tête en termes de déclin numérique, avec 1,6 million d'acres de moins cultivés en 2022 par rapport à 2017, suivi du Texas (-1,56 million) et de l'Oklahoma (-1,26 million). Seuls trois États, l’Alabama, l’Alaska et le Rhode Island, ont vu leur superficie exploitée augmenter. En pourcentage de baisse, la carte des superficies exploitées est très différente. Hawaï est en tête avec une perte de 7,2 % de la superficie exploitée, suivi de la Virginie et du Maine qui ont tous deux connu une perte de 6,3 % et de Washington une perte de 5,6 % entre 2017 et 2022. Les comtés de l'Ouest ont connu les plus grandes variations de la superficie exploitée, probablement liées à la taille même des comtés avec une proportion importante de terres ouvertes et non aménagées.
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Même une diminution mineure des superficies cultivées peut avoir un impact significatif sur l’identité rurale des États dotés de superficies plus petites et de taux de développement commercial et résidentiel plus élevés. Plus les terres sont retirées de la production agricole, plus il est difficile de les rendre à l’agriculture. La diminution de la capacité de production au sein de certains États et régions accroît la dépendance à l’égard des achats en provenance d’autres États ou pays. Par exemple, Hawaï est confrontée à une situation unique, avec une capacité de production et de stockage alimentaire tout juste suffisante pour subvenir à ses besoins pendant sept jours, exacerbée par une perte de 7 % des terres activement cultivées au cours des cinq dernières années. En Nouvelle-Angleterre, sur la base du poids, les agriculteurs produisent seulement environ 21 % de la quantité de nourriture consommée par les États (une partie de cette quantité étant destinée à des acheteurs extérieurs). Les chercheurs ont estimé que pour atteindre 30 % d’autosuffisance alimentaire, les six États de la Nouvelle-Angleterre devraient maximiser l’utilisation de 401 000 acres sous-utilisés et défricher 588 000 acres supplémentaires. Au lieu de cela, les acres exploitées en Nouvelle-Angleterre ont chuté de 145 000 entre 2017 et 2022. Dynamique de la réglementation locale, pressions et coûts liés à l'utilisation des terres, et variations des intérêts culturels (suite)
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Même une diminution mineure des superficies cultivées peut avoir un impact significatif sur l’identité rurale des États dotés de superficies plus petites et de taux de développement commercial et résidentiel plus élevés. Plus les terres sont retirées de la production agricole, plus il est difficile de les rendre à l’agriculture. La diminution de la capacité de production au sein de certains États et régions accroît la dépendance à l’égard des achats en provenance d’autres États ou pays. Par exemple, Hawaï est confrontée à une situation unique, avec une capacité de production et de stockage alimentaire tout juste suffisante pour subvenir à ses besoins pendant sept jours, exacerbée par une perte de 7 % des terres activement cultivées au cours des cinq dernières années. En Nouvelle-Angleterre, sur la base du poids, les agriculteurs produisent seulement environ 21 % de la quantité de nourriture consommée par les États (une partie de cette quantité étant destinée à des acheteurs extérieurs). Les chercheurs ont estimé que pour atteindre 30 % d’autosuffisance alimentaire, les six États de la Nouvelle-Angleterre devraient maximiser l’utilisation de 401 000 acres sous-utilisés et défricher 588 000 acres supplémentaires. Au lieu de cela, les acres exploitées en Nouvelle-Angleterre ont chuté de 145 000 entre 2017 et 2022. La dynamique de la réglementation locale, les pressions et les coûts d’utilisation des terres, ainsi que les variations des intérêts culturels contribuent à l’évolution du paysage agricole, l’éloignant souvent des centres de population.
Classe économique
RépondreSupprimerLes données du nouveau recensement agricole permettent également d'analyser le nombre d'exploitations agricoles et la superficie exploitée par classe économique ainsi que la valeur marchande des produits agricoles vendus. Les classes de ventes économiques sont définies en additionnant les ventes de produits agricoles et les paiements de programmes gouvernementaux ; et la valeur marchande des produits agricoles vendus représente la valeur marchande brute avant taxes et dépenses de production de tous les produits agricoles vendus ou retirés d'une exploitation en 2022. Entre 2017 et 2022, le nombre de fermes dans la classe économique de 0 $ à 4 999 $ a connu la plus forte baisse, de 120 970 (13 %), suivie de la catégorie 5 000 $ - 49 000 $, qui a perdu 32 215 opérations (5 %). La catégorie des fermes d'une classe économique de plus d'un million a augmenté de 28 566 opérations (36 %). Le nombre d’exploitations agricoles appartenant aux classes économiques inférieures a diminué plus rapidement que celui des classes économiques supérieures. Cela dit, la majeure partie de la production agricole est générée par des exploitations agricoles appartenant aux classes économiques supérieures. En 2017, 69 % de la valeur des produits agricoles vendus provenaient d'exploitations agricoles de la classe économique de plus d'un million de dollars. En 2022, ce chiffre est passé à 79 % (Figure 8).
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Les agriculteurs et les éleveurs sont actuellement confrontés aux dépenses de production les plus élevées jamais enregistrées, en plus de réglementations locales, étatiques et fédérales de plus en plus complexes et d'une concurrence croissante des marchés étrangers à moindre coût. Ces dynamiques réduisent les marges des producteurs et ont souvent un impact plus important sur les exploitations agricoles des classes économiques inférieures. Les exploitations agricoles qui en sont capables s’agrandissent souvent pour capitaliser sur les économies d’échelle, un concept ancré dans l’efficacité souvent gagnée à mesure que la production augmente. Les grandes exploitations agricoles peuvent bénéficier d’une réduction des coûts unitaires grâce à l’achat en gros d’intrants, à des opérations rationalisées et à un pouvoir de négociation accru avec les fournisseurs. La mécanisation et la technologie moderne, qui entraînent souvent des coûts initiaux substantiels, sont plus justifiables économiquement pour les opérations de plus grande envergure, augmentant ainsi encore la productivité. Sans surprise, les dernières données du recensement soulignent que les exploitations qui effectuent de tels investissements ont tendance à mieux s’en sortir. Notamment, les fermes des classes économiques de 0 $ à 4 999 $ et de 5 000 $ à 49 999 $, qui constituent plus de 70 % du total des fermes, dépendent souvent de sources de revenus alternatives. Ceux de la catégorie économique de 0 à 4 999 $, en particulier, sont plus susceptibles d'être des exploitations agricoles qui participent à l'agriculture pour leurs loisirs ou par intérêt personnel plutôt que pour dépendre de leur revenu. La baisse des opérations dans ces catégories peut être liée au coût associé au soutien d’une activité secondaire qui n’est peut-être plus durable mais a un impact limité sur la production alimentaire nationale totale.
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Typologie de ferme
RépondreSupprimerL'USDA indique également le nombre de fermes et d'acres exploitées par type de ferme. Cette section du rapport présente les différentes structures de propriété des exploitations agricoles et comprend : les sociétés familiales, les déclarations familiales et individuelles, les sociétés de personnes, les sociétés (à l'exclusion des sociétés familiales) et « autres » qui comprennent les entités institutionnelles, de recherche, de réserve et autres entités propriétaires. Les déclarations familiales et individuelles, les sociétés de personnes et les sociétés familiales représentaient 97 % (1,884 million) de toutes les exploitations agricoles en 2022 (contre 97,2 % en 2017). Les sociétés autres que familiales représentaient 1 % (18 960) de toutes les fermes et la catégorie « autres » représentait les 2,2 % restants (37 480) fermes.
L’analyse en termes de superficie gérée par ces types d’exploitation permet de mieux comprendre la proportion de production agricole dans la catégorie. En 2022, les dépôts familiaux et individuels, les partenariats et les sociétés familiales représentaient 91 % (801 millions) de toutes les superficies exploitées aux États-Unis. Les dépôts familiaux et individuels représentaient à eux seuls 58 % de la superficie exploitée (en légère baisse par rapport à 60 % en 2017). Les sociétés non familiales représentaient 2 % (16,6 millions) des superficies exploitées, contre 1,4 % en 2017. Les « autres » entités exploitaient 7,1 % (62,4 millions) des superficies exploitées en 2022, dont une grande partie était concentrée dans les États occidentaux avec des atterrir dans les réserves amérindiennes. L’écrasante majorité des terres agricoles aux États-Unis continue d’être exploitée par des structures de propriété familiales. Par État, Hawaï avait le pourcentage le plus élevé de superficies exploitées par des sociétés non familiales (28,5 %), suivi du Rhode Island (17,3 %) et de la Floride (7 %). En Alaska et au New Hampshire, aucune superficie agricole n’était gérée par des sociétés non familiales.
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Conclusion
RépondreSupprimerLe Recensement de l'agriculture de 2022 fournit un aperçu approfondi du paysage agricole américain au cours des cinq dernières années. Avec une perte de 141 733 exploitations agricoles, soit une baisse de 7 %, et une réduction de 20,1 millions d’acres cultivés, soit l’équivalent de la taille du Maine, le secteur agricole a été confronté à des changements importants. Bien que les données montrent une consolidation continue des exploitations agricoles en un nombre réduit d’exploitations plus grandes, elles mettent également en évidence la capacité d’adaptation des agriculteurs et des éleveurs. Malgré le nombre réduit d'exploitations agricoles et la réduction des superficies, la valeur de la production agricole a augmenté de 40 % (17 % en dollars corrigés de l'inflation), pour atteindre 543 milliards de dollars en 2022. Cette augmentation de la productivité souligne l'impact des progrès technologiques et des gains d'efficacité, permettant aux agriculteurs de produire plus avec moins de ressources. L’ampleur des changements n’est pas uniforme d’un État à l’autre, le Sud-Ouest connaissant un pourcentage de perte d’exploitations agricoles beaucoup plus élevé que les États à l’est du Mississippi. Les défis auxquels sont confrontées les exploitations agricoles de toutes tailles ont suscité des appels en faveur d'un projet de loi agricole solide et complet qui pourrait soutenir les exploitations les plus à risque et celles qui fournissent la part du lion de l'approvisionnement alimentaire américain, aidant à la fois à faire face aux incertitudes économiques et aux complexités réglementaires. , pour adopter des pratiques innovantes et durables et pour promouvoir la viabilité à long terme d'un paysage agricole diversifié à travers le pays. Le Recensement de l’agriculture dresse le portrait de ce que nous avons perdu et de ce que nous pourrions perdre encore sans un soutien ferme.
https://www.zerohedge.com/markets/over-140000-farms-lost-5-years
Un ingénieur transforme un drone à 115 $ en une arme pilotée par l'IA qui pourrait être utilisée pour chasser et tuer des gens
RépondreSupprimer13/03/2024
Richard Brown
Le concept autrefois farfelu de drones assassins pilotés par l’intelligence artificielle est passé du domaine de la science-fiction à une réalité déconcertante, comme l’a démontré l’ingénieur et entrepreneur Luis Wenus.
À l’aide d’un drone relativement bon marché à 115 dollars, Wenus l’a habilement transformé en « drone d’assassinat » grâce à l’intégration de la technologie de reconnaissance faciale de l’IA. (Connexe : une frappe de drone israélien assassine le chef adjoint du Hamas à Beyrouth.)
Bien qu'il ait initialement présenté la création comme faisant partie d'un jeu, Wenus a franchement reconnu son intention profonde de sensibiliser au potentiel alarmant d'exploitation d'une telle technologie pour des attaques terroristes.
Wenus a présenté les capacités du drone alimenté par l'IA dans une vidéo publiée sur X, dans laquelle l'appareil, armé d'un modèle de détection d'objets, identifiait de manière autonome les visages et poursuivait les individus reconnus. Alors que Wenus a présenté la technologie sous couvert d'une activité récréative, la démonstration a pris une tournure qui donne à réfléchir, révélant les dangers potentiels du drone.
Le mode « drone d'assassinat » ciblait de manière sélective des individus spécifiques connus du système d'IA, soulignant les applications préoccupantes de ces technologies.
Bien que Wenus ait souligné que le drone présenté lui-même représentait un danger limité, sa préoccupation majeure s'étendait aux risques plus larges associés à la technologie. Il a souligné la facilité avec laquelle de tels dispositifs pourraient être créés, présentant la possibilité inquiétante de déployer de petits drones chargés d'explosifs en essaims.
Des drones autonomes déjà utilisés dans le conflit en Ukraine
Cette révélation intervient à un moment où les drones autonomes sont déjà utilisés à des fins militaires dans des conflits géopolitiques, renforçant encore l’urgence de mesures réglementaires.
Les drones de taille modeste chargés d’explosifs ont déjà un impact significatif dans le contexte du conflit ukrainien.
Les opérateurs ukrainiens exploitent les drones disponibles dans le commerce et installent des grenades, des mortiers et d’autres engins explosifs pour créer des armes puissantes. Ces drones, contrôlés par des opérateurs humains, ont démontré une efficacité remarquable dans le ciblage et la neutralisation de divers moyens militaires, depuis les troupes individuelles jusqu'aux chars et bunkers.
La distinction cruciale réside dans la surveillance humaine directe de ces drones, par opposition à la perspective potentiellement plus inquiétante d’essaims autonomes contrôlés par l’IA.
Si ces drones à commande humaine suscitent des inquiétudes, le véritable péril réside dans l’émergence potentielle d’essaims de drones autonomes, rentables et simples à produire, déployés sur des théâtres militaires ou des espaces publics.
Wenus a exprimé une sombre prédiction, prévoyant que dans les prochaines années, il pourrait y avoir une attaque terroriste tirant parti de la technologie des drones autonomes. Wenus souligne la facilité croissante de construction de ces appareils, les rendant accessibles aux personnes possédant des connaissances techniques de base.
RépondreSupprimerLe spectre des essaims de drones autonomes ne se limite pas à la spéculation, puisque la Defense Advanced Research Project Agency (DARPA) serait en train de développer une arme d’essaim de drones autonomes multi-domaines adaptatifs en essaims (AMASS).
Alors qu'elle est encore au stade de la planification, la DARPA a lancé un processus de passation de marchés avec des offres pouvant atteindre 78 millions de dollars.
La réalité préoccupante, comme le souligne Wenus, est l’absence de systèmes anti-drones dédiés aux événements importants et aux espaces publics. Cela souligne la nécessité urgente de développer et de mettre en œuvre des technologies anti-drones spécifiquement adaptées aux zones civiles afin d’atténuer les menaces potentielles posées par ces dispositifs autonomes.
À mesure que les progrès technologiques se déroulent, les efforts visant à se prémunir contre les applications malveillantes doivent également progresser, garantissant l’intégration responsable et sécurisée des appareils basés sur l’IA dans la société.
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Regardez cette vidéo montrant une colonne russe ravagée par des drones ukrainiens.
Cette vidéo provient de la chaîne High Hopes sur Brighteon.com.
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Sources include:
DailyMail.co.uk
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-13-engineer-turns-cheap-drone-ai-driven-weapon.html
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