Canada : la mort sur demande s'applique désormais aussi aux bébés
19.03.2024 www.kla.tv/28515
En 2021, une loi sur la légalisation de l'euthanasie a été introduite au Canada. Depuis cette révision de la loi, le Canada détient le record des cas d'euthanasie. La mort sur demande a augmenté de 60% depuis lors, et nulle part ailleurs dans le monde on ne tue médicalement autant de personnes « sur demande » qu'au Canada.
MédicalcalAssistance in Dying en abrégé MaiD, (euthanasie médicalement assistée) , est un programme du gouvernement canadien qui n'a été conçu à l'origine que pour de rares cas d'adultes gravement malades. Kla.TV a déjà rapporté (kla.tv/26472) que les personnes pauvres et souffrant de troubles psychiques - et même les enfants à partir de 12 ans, ceux qu'on appelle les « mineurs émancipés » - devraient également avoir la possibilité de mourir « volontairement » afin de ne plus être une charge pour la société.
Seule la forte opposition de la population à l'extension de l'euthanasie aux personnes souffrant « uniquement » de troubles psychiques a incité le ministre de la Santé canadien Mark Holland à repousser le projet à mars 2027. Sa justification fallacieuse est qu'il n'y a pas assez de médecins au Canada, notamment de psychiatres, pour évaluer les malades mentaux qui veulent mourir. Mais les projets récemment annoncés par le Canada de légaliser « l'euthanasie » des jeunes enfants et des nourrissons montrent clairement où l'on va : MAiD réalise ce que beaucoup craignaient : Il semble s'agir d'un programme visant à étendre l'infanticide au lieu de l'euthanasie, également connue sous le nom de « mort dans la dignité », selon une citation tirée du rapport de naturalnews.com. Petit à petit, tous les autres groupes de population « gênants », tels que les toxicomanes ou les dépressifs, font également l'objet de discussions. Les plans de suicide imposé vont-ils être étendus ?
Certains critiques affirment que le système actuel d'euthanasie est défectueux, car il pousse vers l'euthanasie des personnes qui souffrent d'un manque de traitement ou de soutien. Les nouvelles locales ont fait état de certaines personnes qui, selon leurs propres dires, ont recours à l'euthanasie parce qu'elles manquent d'un logement adéquat ou d'un autre soutien et qui ont justifié leur demande d'euthanasie par un besoin financier et une contrainte. Un exemple : « Grâce à la réglementation de l'euthanasie au Canada, j'ai appris que je n'avais pas les soins et le soutien dont j'avais besoin pour vivre. (...) J'ai été contraint à l'euthanasie par l'abus, la négligence, le manque de soins et les menaces. »
Devant la commission permanente de la justice et des droits de l'homme, un homme a déclaré : « Le gouvernement me considère comme une ordure superflue, un râleur, un inutile et un emmerdeur ». Au cours du débat, il y a eu des accusations encore plus drastiques et amères contre les soins de santé. Au-delà de la représentativité de telles déclarations sur la loi sur l'euthanasie au Canada, elles abordent des points délicats. « Un débat sur les abîmes », pouvait-on lire dans un autre article. À quel moment la société trace-t-elle une limite à l'abîme et au consentement à l'euthanasie ? Car le fait est qu'une limite est clairement franchie ici. En étendant l'euthanasie aux nourrissons, le Canada devient un régime d'homicide. « Un nourrisson n'a pas conscience de lui-même et ne peut pas "se suicider" », selon naturalnews.com. Plus loin, on peut lire : « Les nourrissons veulent vivre, manger et être tenus dans les bras de leurs parents ». Comment un bébé pourrait-il consentir à un suicide assisté ?
Louis Roy, du Collège des médecins de la province de Québec, a expliqué son idéologie devant la Commission spéciale sur l'aide médicale à mourir de la Chambre des communes. Le Dr Roy estime que dans les cas où un enfant naît avec de « graves malformations », il n'est pas exclu que cet enfant préfère mourir plutôt que de devoir vivre toute sa vie avec de tels problèmes. Selon lui, les nouveau-nés qui naissent avec de graves malformations ou des syndromes graves et sévères devraient avoir droit à une mort médicalement assistée. Mais puisqu'un tel nourrisson ne peut pas décider s'il veut vivre ou mourir, qui prendra cette décision pour lui ? Les médecins ou même les parents « inquiets » ? Sans parler du risque que, sous couvert d'« euthanasie », on se débarrasse de personnes qui ne font que coûter de l'argent à l'État et au système de santé au lieu de payer des impôts. Qui peut alors répondre à la question de savoir si une vie vaut la peine d'être vécue ou non ? Et qui veut assumer le poids de cette décision avec toutes ses conséquences ?
Stefanie Green, une fervente du programme MAiD qui a déjà accompagné plus de 300 personnes vers la mort, est l'un de ces médecins qui pratiquent le suicide assisté. Auparavant, le Dr Green s'occupait des soins en début de vie, elle s'est spécialisée dans la santé des nourrissons et des mères, mais elle s'est maintenant tournée vers les « soins » en fin de vie. « L'un est l'admission, l'autre la sortie », a plaisanté le Dr Green à CTV News en avril 2022. « Ils se ressemblent en ce sens qu'il s'agit dans les deux cas de moments incroyablement intimes. Ce sont des étapes importantes dans la vie d'une personne. Ils sont très intenses. » Elle décrit le moment où elle administre les médicaments de la mort comme un « sentiment fort ». Cette déclaration troublante fait dresser l'oreille. Et on se demande si elle ne cache pas une jouissance de la mort ? Quoi qu'il en soit, la confession du Dr Green rappelle aussi fortement ce qu'on appelle les « anges de la mort », des personnes qui étaient généralement infirmières ou médecins dans des professions médicales et qui « délivraient » leurs patients de leur propre chef. Lorsque ces meurtres ont été découverts, les criminels ont souvent été condamnés comme tueurs en série !
Une autre question se pose alors : les « rédempteurs » autoproclamés de l'époque sont-ils devenus les « assistants » d'aujourd'hui ?
Le lien établi par le portail en ligne Bioedge.org sur l'augmentation significative du nombre de dons d'organes après la légalisation de l'euthanasie au Canada en 2016 n'est pas non plus anodin. Désormais, le Canada est déjà le leader mondial du don d'organes après euthanasie. Bioedge.org a fait état d'une étude américaine publiée en septembre 2022, avec des recherches sur les chiffres concrets de cette pratique controversée. Néanmoins, sur recommandation de l'Ordre des médecins du Québec, le programme canadien MAiD doit maintenant être étendu aux jeunes enfants. La possibilité de prélever et de vendre les organes d'un nourrisson - qui ne peut pas s'opposer à son euthanasie - est un business très lucratif et peu scrupuleux, et la demande ne cesse d'augmenter.
En conclusion, il ne reste plus qu'à conclure que le programme canadien n'est plus depuis longtemps une euthanasie pour les personnes gravement malades, et que le pire de tout est que ce programme fait le jeu des plans globaux de réduction de la population, [voir à ce sujet : Les Gorgia Guidestones kla.tv/5419 et Eugénisme 2.0 kla.tv/23307 (en allemand] dont la mise en pratique, pour le dire crûment, fait penser à une éviscération de personnes sans défense, dont peuvent s'enivrer tous ceux qui sont littéralement tombés dans le culte de Satan. [voir à ce sujet : La secte du sang II kla.tv/27305]
Ce projet ne doit jamais être accepté par la société : Chaque enfant et chaque être humain a un droit absolu à la vie, et aucun d'entre nous n'a le droit de le leur retirer.
de abu./ tt. Sources / Liens : Extension du programme d'euthanasie aux nourrissons https://www.naturalnews.com/2023-11-14-canada-expands-assisted-suicide-killing-infants-profit.html (Original-Artikel in Englisch)
Don/commerce d'organes après euthanasie https://legitim.ch/die-ausweitung-des-kanadischen-euthanasie-programms-fuer-behinderte-kinder-ist-ein-vorwand-um-den-organhandel-zu-legalisieren/
Augmentation des cas d'euthanasie https://www.livenet.ch/news/international/51838_kanada_starke_zunahme_der_euthanasiefaelle
https://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/701471/Kanada-startet-Sterbehilfe-fuer-psychisch-Kranke (60%-iger Anstieg für Tod auf Verlangen) Euthanasie pour les toxicomanes https://www.telepolis.de/features/Kanada-Sterbehilfe-fuer-Drogenabhaengige-9341592.html
Report du projet d'euthanasie des malades mentaux https://transition-news.org/kanada-erweiterung-der-euthanasie-gesetze-auf-2024-verschoben (Widerstand in der Bevölkerung)
Le système de castes COVID-19 – Arrive-t-il sur un plateau près de chez vous ?
27 DÉCEMBRE 2020 Par Maryam Henein
Comment se passe la vie sur un plateau hollywoodien après le COVID-19 ? À la lumière de la récente panique de Tom Cruise lors du tournage de Mission : Impossible 7, j’ai décidé de le découvrir.
Cruise, 58 ans, a fait la une des journaux le mardi 15 décembre lorsque The Sun a publié un enregistrement de lui criant à l'équipe du film pour ne pas avoir suivi les protocoles COVID-19.
"Ils sont de retour à Hollywood pour faire des films en ce moment grâce à nous", aurait-il déclaré dans le clip audio. «Je suis au téléphone avec tous les putains de studios la nuit, les compagnies d'assurance, les producteurs. Ils nous regardent et nous utilisent pour faire leurs films. Nous créons des milliers d’emplois, vous, les mères.
Coup de pub pour remettre les salariés en forme ? Ou peur exagérée d’un virus moins mortel que la grippe ?
Tinseltown, qui a été en grande partie fermé de mars à juin, a reçu environ 3 552 demandes de permis de tournage couvrant 2 514 projets uniques au cours des 20 dernières semaines pour des tournages en extérieur dans la seule région de Los Angeles.
Bien que de nombreuses productions télévisuelles et cinématographiques notables soient désormais de retour sur les plateaux de tournage, les choses sont très différentes sous le régime Rona. Pensez à de nouveaux protocoles qui impliquent des tests rapides, des équipes socialement éloignées, des contrôles de thermomètres, l'utilisation d'EPI, des mesures sanitaires régulières comme le fait que les membres de l'équipe se précipitent pour arroser un spritzer à base d'alcool autour des acteurs et des agents de conformité COVID-19, entre autres mesures.
Différent est un mot pour cela.
"Tout cela est tellement étrange, étrange et déconcertant", a récemment déclaré Meryl Streep à Stephen Colbert lors de son Late Show.
Zones, bracelets et pods, oh mon Dieu
« Il y a toujours eu une hiérarchie mais rien de tel. Maintenant, c'est fou », déclare Reet Tarted, une machiniste chevronnée depuis 15 ans qui a travaillé sur une émission Netflix produite par Lions Gate.
Non seulement il existe différentes zones avec leurs propres bracelets à code couleur, mais chaque zone possède également ses propres salles de bains et espaces de rassemblement. Les capsules à bulles en plastique servent de « zones de rétention » pour, disons, les extras.
"C'est comme traîner dans une maison de poupée bouillonnante", explique Tarted.
La « Zone Orange » regroupe la plupart des personnes qui montent sur le plateau une fois le talent libéré. Les Oranges se font tester trois fois par semaine. Pendant ce temps, la Zone Bleue est destinée aux travailleurs non essentiels qui n’ont pas besoin de se rendre régulièrement sur le plateau ; ils ne sont testés qu’une fois par semaine.
"C'est pour les gens qui sont jetables, comme le peintre de décors", plaisante Tarted.
La « zone violette » est composée de membres principaux de l'équipe, comme le réalisateur, ainsi que de toute personne ayant besoin d'entrer en « contact étroit » avec des artistes, comme un maquilleur ou un costumier. Contrairement à la plupart, les acteurs peuvent retirer leur masque littéral lorsque le réalisateur appelle « Action » pour un masque proverbial. Parce qu’après tout, le coronavirus est si intelligent qu’il sait quand entrer en animation suspendue.
Parce que Tarted a été infecté par un cas bénin de Covid19 alors qu’il était sur le tournage, il est désormais considéré comme « sûr » pour entrer dans la « zone violette » pour les trois prochains mois. Son bracelet à code couleur lui donne accès.
« Avant, je me faisais tester cinq jours par semaine en tant que personne de la zone violette, mais maintenant que j'ai des anticorps, je ne me fais plus jamais tester. Je suis imperméable. Je suis content d'avoir attrapé le virus. Ils utilisaient initialement des écouvillons nasaux mais ils étaient trop invasifs ; ils nous mettent maintenant un tampon dans la gorge.
Tarted a été infecté avec une actrice principale et 10 autres membres de l'équipe, ce qui a entraîné la fermeture de la production pendant trois semaines. Il pense que c'est la présence de figurants qui les a rendus malades, mais personnellement, je pense que c'était le test PCR sur écouvillon, car je connais une poignée de personnes qui sont tombées malades APRÈS avoir été testées. Considérez que les premiers tests initiaux effectués par l’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont été entachés.
Tarted m'a dit que cette production particulière de Lions Gate dépensait 175 000 $ par semaine en tests.
Ryan Hodges, un manipulateur chevronné de 20 ans, soupçonne que les personnes au sommet manipulent les tests pour s'assurer que les membres essentiels de l'équipage obtiennent un laissez-passer pour la zone violette. Parce qu’il manipule la caméra, il est considéré comme essentiel à un tournage.
"Compte tenu du niveau de faux positifs de cet outil non diagnostique appelé test RT PCR, ils peuvent modifier les cycles pour obtenir les résultats qu'ils souhaitent", explique Hodges.
Dans un communiqué publié le 14 décembre 2020, l'Organisation mondiale de la santé a finalement reconnu ce que des centaines de milliers de médecins et de professionnels de la santé disaient depuis des mois : le test de réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. est un processus aléatoire, avec beaucoup trop de faux positifs.
« L'organisme de l'ONU cherche désormais clairement à se démarquer de ce test fatalement erroné alors qu'un nombre croissant de procès sont en cours devant les tribunaux, révélant la folie de s'appuyer sur un test que même son inventeur, le professeur Kary B. Mullis, a déclaré qu'il n'avait jamais été possible. conçu pour diagnostiquer les maladies », écrit Principia Scientific.
Une science d'Oxford
« L'organisme de l'ONU cherche désormais clairement à se démarquer de ce test fatalement erroné alors qu'un nombre croissant de procès sont en cours devant les tribunaux, révélant la folie de s'appuyer sur un test que même son inventeur, le professeur Kary B. Mullis, a déclaré qu'il n'avait jamais été possible. conçu pour diagnostiquer les maladies », écrit Principia Scientific.
Un article d'Oxford Science et d'autres affirment que « si une personne a un test PCR positif à un seuil de cycles de 35 ou plus (ce qui se produit dans la plupart des laboratoires aux États-Unis et en Europe), les chances qu'une personne soit infectée sont inférieures à 3 %. La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97 % ou plus.
Quelle que soit l’exactitude des tests, aucun responsable de la conformité ne vit sur le plateau pour s’assurer que les gens respectent les règles.
« Je les appelle les « Covid Karens » du ministère de la Vérité », taquine Hodges. «En gros, ils font le tour du plateau, criant après des gens qui ne sont pas distants de six pieds ou qui ne portent pas de masques. Sur ce tournage Sony, je dois porter deux masques et lorsque les acteurs arrivent sur le plateau, je dois également mettre un écran facial. C’est de la folie.
Alors que les membres de l'équipe que j'ai interviewés ont été confrontés à diverses contraintes liées au COVID, Pamela Greenwalt, directrice des communications et du marketing de SAG-AFTRA, atteste qu'il n'existe qu'une seule norme pour les productions industrielles. Elle m'a renvoyé à l'accord sur les protocoles de retour au travail négocié avec l'industrie du cinéma et de la télévision.
"La grande majorité des membres du SAG-AFTRA travaillant sur le plateau se protègent systématiquement et consciencieusement, ainsi que leurs collègues, en suivant les protocoles de pandémie énoncés dans l'accord de retour au travail", a fait remarquer Duncan Crabtree-Ireland, qui dirige la sécurité et le retour en cas de pandémie du SAG. au travail.
Compte tenu des mesures élaborées et parfois absurdes visant à « arrêter la propagation », il n’est pas étonnant que tout le monde à Hollywood n’ait pas mis au point ce nouveau système. Encore.
Oiseau chanteur
«Je suis immunisé. Je suis immunisé », crie Nico Price, un coursier à moto de Los Angeles, à un groupe de flics qui pointent des armes sur lui. La « munie » (individu immunisé) agite un poignet orné d’un bracelet d’immunité jaune.
Nous sommes en 2024. Et voici une scène de Songbird, un thriller de science-fiction (pas vraiment de science-fiction) de Michael Bay qui vient de sortir. Le virus COVID-19 s’est transformé en COVID-23, entraînant des restrictions brutales. Le monde vit sa quatrième année de pandémie.
Aux États-Unis, les gens sont tenus de prendre leur température sur leur téléphone portable, tandis que les personnes infectées par le COVID-23 sont violemment arrachées de leur domicile contre leur gré et forcées dans des camps de quarantaine, également connus sous le nom de « Q-Zones » ou camps de concentration. .
Ce film m'a rappelé grâce aux zones, aux bracelets, aux individus immunisés et au système de castes qui se forme sans doute sur les plateaux de tournage.
Le film a été tourné en mai, alors que la plupart des productions étaient encore arrêtées. Aucun acteur sur le plateau ne s’est engagé en personne. C’était socialement éloigné au maximum. Film magique, style COVID-19.
Peut-être que les protocoles actuellement mis en œuvre sont considérés comme une amélioration. Mais que se passerait-il si cette classification des personnes liée au COVID-19 était modifiée ? Et si cela était combiné à un score de crédit social pour vous garder en ligne ? Les gens sont-ils si reconnaissants d’avoir un travail qu’ils sont prêts à accepter une nouvelle situation anormale qui implique des tests constants, un lavage au jet de produits chimiques et un travail toute la journée sans voir les visages des membres de votre équipe ?
NOTIFICATION GOOGLE-BLOGGER: (pouce blog 'LE VERT BAVOIR')
Contenu réservé aux adultes !!!!
Le blog est en cours d'examen. Il a été placé derrière un message d'avertissement destiné aux lecteurs, car Google a détecté du contenu sensible.
Si vous êtes d'accord avec cette classification, vous pouvez activer/désactiver le paramètre "Afficher l'avertissement pour les lecteurs du blog" ci-dessous. Avec cette auto-identification du contenu réservé aux adultes, vous vous assurez que votre blog sera indexé par les robots d'exploration de la recherche.
Afficher l'avertissement pour les lecteurs du blog ID de mesure Google Analytics
Top 5 des moments les plus bizarres de Covid : le souvenir d’un étudiant
Par Jack Plimpton Mises.org 20 mars 2024
En reconnaissance du quatrième anniversaire de la réponse du gouvernement américain au covid, un apprenti Mises partage son expérience en tant qu'étudiant pendant cette période tumultueuse, en soulignant cinq dates qu'il n'oubliera jamais.
5.) Avril 2022 : « Malgré la politique de l’Université visant à assouplir les obligations en matière de masques et à ne plus exiger de masques, nous aurons un vote ouvert dans notre classe la semaine prochaine si nous nous engageons tous à maintenir les exigences en matière de masques pendant ce cours. » C'est ce que m'a dit mon professeur le 1er jour de cours. Notamment, c'était après une année d'enseignement entièrement à distance (2020-2021), suivie de deux trimestres d'enseignement entièrement masqué mais en personne (certains professeurs exigeaient même deux masques) pour l'automne 2021 et l'hiver 2022. De plus, c'était après un double COVID. la dose était également nécessaire. À ce stade, toute personne « non vaccinée » devait prendre contact directement avec un médecin de la faculté de médecine pour expliquer notre justification individuelle pour ne pas recevoir de double dose et de rappel. De plus, ils ont essayé de garantir que nous soyons testés chaque semaine, sinon nos cartes d'accès étudiants seraient signalées et invalidées ; si nous étions positifs ou même dans une classe avec un cas positif, nous devrions manquer 1 à 2 semaines. Oui, même si vous avez eu le COVID le mois précédent et que vous étiez désormais complètement asymptomatique (c'est-à-dire que vous n'êtes pas malade). Pas d’accès à la bibliothèque… pas d’entrée aux amphithéâtres… rien… vous êtes rejeté comme une classe impure et intouchable.
4.) Janvier 2022 : « La variante sud-africaine est particulièrement préoccupante… Je m'attends à ce que tout le monde porte un masque N95 recouvert d'un masque en tissu supplémentaire lorsque nous reprendrons les cours en personne ». J'ai entendu mon professeur sur Zoom expliquer pourquoi nous devions à nouveau nous éloigner pendant quatre semaines après les vacances d'hiver du mois de janvier 2022. Alors que la plupart des universités vivaient une vie complètement revenue à la normale et n'avaient qu'un semestre ou peut-être un an d'interruptions. , les villes bleues des États bleus comme Chicago ont continué à intensifier leurs protocoles. Après les échecs flagrants et les divisions des passeports vaccinaux à New York et dans le monde entier, Lori Lightfoot a délivré des passeports vaccinaux à Chicago à cette époque. De plus, l’Université de Chicago nous a assuré que quatre semaines de cours Zoom en ligne « ralentiraient la propagation » après les vacances, au milieu du retour des étudiants sur le campus. Inutile de vous dire que j'ai abandonné le cours car je ne pouvais plus respecter le professeur malgré sa force intellectuelle en philosophie. Ensuite, j'ai pris l'avion pour l'État libre de Floride et je suis parti dans ce quartier pour échapper aux fous tyranniques et aux perturbations continuelles de la recherche de la vérité. Après plus de 2 ans à le supporter, j’avais fini.
3.) Juin 2020 : Lors de notre déménagement à Chicago, nous avons été accueillis par des chars de la Garde nationale et des équipes SWAT dans des camionnettes banalisées, et tous les ponts de la rivière autour du centre-ville (« The Loop ») ont été surélevés avec des tourelles montées sur des véhicules militaires. De façon hilarante, j'ai pensé : « Mec ! Le COVID doit être vraiment grave ici, et les gens s’opposent aux confinements. J’ai rapidement entendu, puisque je n’étais pas un grand « gars de l’information », qu’il y avait une autre « urgence » à portée de main, qui a mis le COVID en pause. Malgré ces exceptions autorisées aux protocoles COVID pour permettre les manifestations, les pillages, la violence et l'activation d'un mouvement national visant à renverser un président sortant, l'université a décidé de rester en ligne pendant toute l'année scolaire.
2.) Octobre 2021 : « La « liberté » de ne pas être vacciné contre le COVID est la même « liberté » de tirer sur une école avec un AR-15 ». Un professeur titulaire d'éthique a dit cela à notre classe en octobre 2021. À ce moment précis, Israël, le Canada et l'Europe étaient *hautement vaccinés* et connaissaient des épidémies massives malgré (beaucoup) avaient un protocole à double injection de plus de 90 % et un masque N95. mandats. Rachel Maddow de MSNBC répétait de tels arguments, mais quiconque jetait un coup d’œil à la moindre donnée savait qu’il s’agissait d’une propagande trompeuse et farfelue. Je ne m’attendais pas à un amalgame superficiel de termes, surtout sur un principe qui me tient à cœur, comme la liberté. Utiliser de telles tactiques pour brouiller les discours est attendu dans les médias, mais j’ai été surpris de l’entendre sur le campus d’une université prestigieuse et extrêmement rigoureuse.
1.) Printemps 2021 : « La politique officielle de notre hôpital doit être de recommander à tout le monde de recevoir la double dose de COVID, quelle que soit la situation ou les circonstances… cela dit, si vous me demandez un avis personnel… étant donné que vous avez des anticorps démontrables comme nous venons de le faire. détectés ainsi que les lymphocytes T pour le COVID issus de votre exposition naturelle… une personne de votre groupe démographique ne tirera aucun bénéfice démontrable d’une injection d’ARNm pour le moment, ce qui, comme vous l’avez noté, peut également entraîner de graves effets secondaires ». Pourquoi une infirmière devrait-elle se calmer et me donner des conseils médicaux déguisés en conseils « personnels » ? Comme je le soupçonnais, quelque chose se préparait… surtout. J'ai pu voir les fissures dans le récit alors que les politiques officielles essayaient de garder intacts les mensonges trompeurs via la censure, la pression sociale et la coercition pure et simple.
Le progressisme est l’idéologie de l’étatisme, de la crédentialisme et de l’abandon sans vergogne des positions politiques, et s’appuie sur un autoritarisme externalisé et irresponsable. En raison de la nature collective de cette coercition, elle est simultanément partout, et pourtant l’autorité dirigeante est insaisissable et « nulle part » pour rendre des comptes. Les critiques sont redirigées vers un autre département ; cela est « hors de notre contrôle » et vous devriez avoir honte même de poser des questions.
La gauche récupérera votre langage et vos valeurs, les portera comme une peau, puis vous réprimandera pour votre résistance. Ils n’ont aucun intérêt intellectuel à comprendre le point de vue d’autrui. La dissidence est une violence. La gauche comprend le pouvoir et la rhétorique. Soumettez, soumettez, soumettez. Acceptez les platitudes vides de sens et les euphémismes concernant les soins, sinon ils rendront votre vie misérable.
La banalité du mal est réelle d'Hannah Arendt : « Faites confiance aux experts » devrait être considéré comme l'équivalent de « Faites confiance au parti ». Il faut se moquer de cela comme si votre professeur grinçant venait de dire : « Faites-moi confiance, mon frère ». Le mal bureaucratique est ennuyeux et ennuyeux. extrêmement cruel, progressif et dépourvu de toute réflexion personnelle et de toute responsabilité ; les décisions sont toujours « hors de votre contrôle ». L’application irrationnelle et cruelle de mandats illogiques se fait sur le dos de ceux qui les appliquent, qui dorment profondément la nuit.
Le syndrome de l’imposteur sévit parmi l’Intelligentsia. La lâcheté, la haine de soi et l’envie sont tout aussi présentes, sinon plus, aux plus hauts niveaux de prouesse intellectuelle. Le désir d’acceptation, de sécurité d’emploi, de respect et de reconnaissance sont les principales motivations des personnes ayant un QI très élevé. Le nectar de ces motivations pourrait être si doux qu’il neutralise la sagesse contenue dans les livres sur lesquels ces intellectuels réfléchissent tout au long de leur vie. Ces livres deviennent un jouet de l’intellect plutôt que d’être incorporés à des vertus réelles et vivantes incarnées simultanément dans la poursuite enivrante de la vérité. Le fardeau de la dette personnelle (hypothèques, factures de carte de crédit, dette étudiante) associé au désir de cohésion sociale et d’acceptation l’emporte régulièrement sur la raison, la logique ou l’amour de la vérité.
Santé : Les pénuries de médicaments ne sont pas une fatalité !
Douze heures par semaine. C’est le temps que passe en moyenne un pharmacien d’officine à chercher des médicaments disponibles pour ses patients. En cause ? La pénurie récurrente de médicaments qui concerne de nombreuses molécules dans notre pays.
le 20 mars 2024 à 5h30
Le gouvernement a fait augmenter le reste à charge pour les médicaments à 1 euro par boîte.
Si nous alertons sur cette situation, c’est parce qu’elle n’a rien d’une fatalité. L’une des raisons est la forte augmentation de la consommation de médicaments au niveau mondial. Hausse à laquelle les outils de production ne parviennent pas à répondre, mais ce n’est pas la seule explication.
Acheter au juste prix
Il y a aussi ce « match » qui se joue entre des industriels à la recherche de la meilleure équation économique ; et des politiques qui privilégient des modèles de santé, exclusivement axés sur les économies budgétaires. En France, nos politiques achètent les médicaments à trop bas prix auprès de laboratoires qui, selon toute logique commerciale, préfèrent vendre aux plus offrants : la Suisse ou l’Allemagne par exemple. Dans ces pays qui leur garantissent de meilleures conditions tarifaires, étonnamment, la pénurie de médicaments n’est pas d’actualité.
Des économies immédiates à portée de main
Nous vivons dans un pays qui se dit en avance, mais ne fait pas cas de nos officines aujourd’hui en danger. Pourtant des solutions existent et il devient urgent de prendre des décisions fortes. La relocalisation de la production de médicaments en fait partie, avec un effort à fournir pour relocaliser des molécules techniques. Une bonne chose serait de parvenir à favoriser l’implantation d’industries pharmaceutiques qui jusqu’à présent, nous ont préféré l’étranger.
Nous nous sommes battus aussi pour l’inclusion effective des médicaments biosimilaires au projet de loi de financement de la sécurité sociale. Cette mesure, pourtant inscrite dans le PLFSS, semble tarder à se mettre en place. Elle est soumise à l’autorisation de l’agence nationale de sécurité du médicament et à des discussions avec des associations de patients. Mais il faut craindre une logique protectionniste et un lobbying bien huilé qui font traîner sa mise en place. Pourtant, les médicaments biosimilaires sont des produits essentiels aux soins curatifs de nombreux patients. Ils coûtent cher et les substituer par des produits biosimilaires « génériqués », 30% moins chers, aurait un effet immédiat sur le budget de la Sécurité Sociale : une économie immédiate de 3 milliards d’euros.
Actuellement seules les grilles de correspondances qui autorisent les pharmaciens à proposer d’autres médicaments et ajuster les grammages des médicaments, donnent des alternatives face aux pénuries. Mais ce n’est pas sans susciter des interrogations de la part des patients.
La loi Rabault un premier pas qui reste insuffisant
Quant à la récente proposition de loi portée par la députée Valérie Rabault sur l’obligation pour les industriels de constituer des hausses de stocks et des sanctions en cas de pénuries. Bien sûr, elle va dans le bon sens, mais elle passe malheureusement par la sanction, un mode de fonctionnement très « culturel » en France. Or le commerce contraint ne va jamais dans le bon sens, et nous plaidons plutôt pour une modification du modèle d’économie budgétaire.
L’« expérience Covid » était une classe magistrale dans l’utilisation de l’autorité pour contraindre, intimider et contraindre les masses ignorantes à se conformer à des règles et réglementations inventées concernant le confinement, les masques, la distanciation sociale, l’utilisation de médicaments sûrs et efficaces comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. , et finalement en forçant une toxine dangereuse, non testée et dangereuse altérant les gènes à être injectée dans leur corps. (Article republié depuis TheBurningPlatform.com)
Le régime totalitaire qui a infligé ce spectacle d’horreur mondial à l’humanité n’hésite pas à falsifier des données afin de faire avancer son programme maléfique, de sorte que ses statistiques montrant que 81 % des Américains ont reçu au moins une injection semblent suspectes. Surestimer le nombre de moutons qui se sont soumis est une méthode pour convaincre davantage de moutons de le faire. J’estime que près de 60 % des adultes ont reçu le vaccin, sous la menace de sanctions, de perte d’emploi et/ou de privilèges.
Le diagramme de Venn ci-dessous est une représentation précise des techniques utilisées par les « autorités » pour mener cette expérience mondiale visant à déterminer jusqu’où elles pouvaient pousser les gens avant de les repousser. Du point de vue de nos suzerains, cette expérience a été un énorme succès, ouvrant la voie à leur prochain exercice de menace existentielle planifié pour s’enfuir avec une plus grande part de notre richesse, tout en augmentant leur pouvoir et leur contrôle sur nos vies. La soumission continue à leurs demandes entraînera une perte continue de nos libertés et de nos droits civils.
« La disparition du sens des responsabilités est la conséquence la plus grave de la soumission à l’autorité. » ? Stanley Milgram
« Contrôlez la manière dont un homme interprète son monde, et vous avez parcouru un long chemin vers le contrôle de son comportement. C’est pourquoi l’idéologie, tentative d’interprétation de la condition humaine, est toujours un élément marquant des révolutions, des guerres et d’autres circonstances dans lesquelles les individus sont appelés à accomplir des actions extraordinaires. ? Stanley Milgram, Obéissance à l'autorité
La seule chose qui manque dans le diagramme de Venn est une superposition de la propagande d’Edward Bernays, fournissant le modèle sur la manière d’utiliser les médias de propagande du régime pour faire respecter le message nécessaire pour soutenir le récit autoritaire particulier de l’époque. Des aspects clés des trois expériences ont été utilisés pendant la plandémie de covid pour obtenir les résultats souhaités par la classe dirigeante, en utilisant des mesures autoritaires pour forcer les masses à faire ce qu'on leur disait, ou bien. La peur et la haine envers notre gouvernement ont été le résultat de cette expérience covid. Je me tiens résolument du côté de la haine. Les brèves descriptions ci-dessous capturent l’essentiel des expériences :
Une série d'expériences de psychologie sociale ont été menées par le psychologue Stanley Milgram de l'Université de Yale, dans le but de mesurer la volonté des participants à l'étude d'obéir à une figure d'autorité qui leur a demandé d'accomplir des actes incompatibles avec leur conscience personnelle. Les participants ont été amenés à croire qu'ils assistaient à une expérience sans rapport avec celle-ci, dans laquelle ils devaient administrer des chocs électriques à un « apprenant ». Ces fausses décharges électriques ont progressivement augmenté jusqu'à atteindre des niveaux qui auraient été mortels s'ils avaient été réels.
Expérience dans la prison de Stanford
L'expérience de la prison de Stanford visait à examiner les effets psychologiques de l'autorité et de l'impuissance en milieu carcéral. L'étude, dirigée par le professeur de psychologie Philip G. Zimbardo, a recruté des étudiants de Stanford à l'aide d'une annonce dans un journal local. Vingt-quatre étudiants ont été soigneusement sélectionnés et répartis au hasard en groupes de prisonniers et de gardiens. L'expérience, qui devait durer une à deux semaines, a finalement dû être interrompue le sixième jour seulement, car l'expérience a pris une ampleur incontrôlable lorsque les prisonniers ont été contraints d'endurer des abus cruels et déshumanisants de la part de leurs pairs. L’expérience a montré, selon les mots du Dr Zimbardo, comment « des étudiants ordinaires pouvaient faire des choses terribles ».
Expérience de conformité Asch
Les expériences de conformité Asch étaient une série d'expériences psychologiques menées par Solomon Asch dans les années 1950. Les expériences ont révélé à quel point les opinions d’une personne sont influencées par celles d’un groupe. Asch a découvert que les gens étaient prêts à ignorer la réalité et à donner une réponse incorrecte afin de se conformer au reste du groupe.
Diverses adaptations de l’expérience de la Milgram Authority ont été utilisées au cours de « l’expérience Covid » pour atteindre leurs objectifs. Nous avons vu des vidéos d’autoritaires covid infligeant de la douleur à des Américains moyens, les arrêtant de force pour avoir nagé seuls dans l’océan, surfé, assis dans un parc public, fait du jogging et pris une balle dans leur jardin avec leurs enfants. Infliger de la souffrance à ceux qui ne respectent pas les « règles du Covid » a été adopté par les Karens et les Chad à travers le pays. Ils voulaient que les non-conformistes (c’est-à-dire les penseurs critiques) soient licenciés de leur emploi, censurés sur les réseaux sociaux, condamnés à une amende, emprisonnés et transformés en parias sociaux. Ils ont souhaité la mort aux personnes non vaccinées et ont fait des danses de la victoire lorsqu’une personne non vaccinée mourait. Milgram aurait été fier de ces petits tyrans psychopathes.
L’expérience de la prison de Stanford a montré que des gens ordinaires pouvaient devenir des sociopathes fascistes et cruels presque sur ordre, infligeant douleur et torture à ceux qui, à leur avis, méritaient d’être traités de manière inhumaine. Des gouverneurs autoritaires comme Cuomo, Murphy, Whitmer, Wolf et Newsom ont assassiné des personnes âgées en plaçant des patients infectés dans des centres de résidence pour personnes âgées. Des médecins, des administrateurs d’hôpitaux et des infirmières ont assassiné des patients en les mettant sous respirateur, en leur administrant du Remdesivir et en refusant aux patients de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. Biden, Fauci, Trump, Walensky et le complexe industriel Big Pharma ont assassiné et blessé des millions de personnes en déployant leur vaccin mortel de plusieurs milliards de dollars. L'emprisonnement en cours le 6 janvier des touristes de la capitale dans les cachots de DC sans procès est une punition cruelle et inhumaine comme un message pour tous les penseurs critiques exerçant leurs droits au titre du Premier Amendement.
Manifestant de Cuomo
L’expérience Asch Conformity s’est clairement confirmée lors de l’arnaque du covid. Les gens se conforment à la volonté de la foule, même si leur cerveau leur dit que la foule a tort. Ils ne veulent pas être le mouton noir perturbateur dans un troupeau de moutons blancs soumis. Pratiquement tout le monde, lorsqu’on lui a dit de porter un masque, l’a fait sans réticence, même si des études scientifiques ont prouvé que les masques NE FONCTIONNENT PAS. Les masses se sont conformées parce qu'elles croyaient Fauci (alias The Science), Biden, Trump, les faux experts en matière de tubes de seins, les compères d'Hollywood à faible QI, les athlètes au QI inférieur payés par Big Pharma et les têtes parlantes/bimbos débitant le récit de propagande covid sur le médias du régime. Plutôt que de faire leurs propres recherches, les idiots intellectuellement paresseux, distraits par les gadgets, accros aux médias sociaux et endoctrinés par les écoles publiques ont décidé de se conformer, d'obéir et de croire tout ce qu'on leur disait.
Si vous ne croyez pas que nous sommes gouvernés par un gouvernement invisible (alias Deep State) composé d’hommes qui tirent les ficelles de la société et manipulent l’esprit des masses pour obtenir le résultat qui leur profite, alors « l’expérience Covid » devrait lever tout doute. . L’ensemble de l’épisode covid a été planifié à l’avance (Événement 201) avec de multiples objectifs, le tout au bénéfice de ceux qui mènent cette expérience, avec nous comme cobayes jetables dans leur intrigue diabolique. L’orgueil de ces tyrans a pris des proportions épiques, car ils considèrent leur « expérience » comme un triomphe absolu de mesures autoritaire
Nous savons qu’entre 20 et 30 % de la population ont résisté aux mesures imposées par la classe dirigeante de l’État profond, se distinguant ainsi comme la seule ombre au tableau de « l’expérience Covid ». Il ne fait aucun doute qu’ils lanceront leur prochaine « expérience » de totalitarisme dans les neuf prochains mois, alors que l’élection présidentielle risque de faire dérailler leurs efforts en cours pour piller et piller les richesses restantes accumulées par la plèbe. S'agira-t-il d'un effondrement financier machiné, d'une invasion de cannibales haïtiens, d'une maladie créée par un autre laboratoire, de l'activation de millions d'envahisseurs illégaux pour créer le chaos, d'un démantèlement coordonné du réseau électrique et d'Internet, de l'assassinat de Trump et du déclenchement d'une guerre civile, ou enfin de la traversée La ligne rouge de Poutine en Ukraine et le déclenchement d'un conflit mondial ?
Alamy L'image montre une Maria Chappelle-Nadal debout portant une veste rouge avec le commentaire qui dit "No. Je vais. J'espère que Trump est assassiné !'
Résister pendant « l’expérience Covid » signifiait ne pas suivre leur récit et leurs directives. Il s’agissait plutôt d’une résistance passive. Cela ne les a pas empêchés d’atteindre leurs objectifs. Ils ont utilisé cette expérience pour augmenter les dépenses fédérales de 4 400 milliards de dollars à plus de 7 000 milliards de dollars, la majeure partie de l’augmentation allant directement dans les poches de l’État profond, tout en laissant la plèbe avec une inflation galopante, une énorme augmentation de son endettement et un niveau de norme considérablement réduit. de vie.
Pour résister à leur prochaine « expérience » de destruction de notre société, il faudra utiliser ces 300 millions d’armes à feu dispersées parmi les 20 à 30 % de foyers capables et disposés à dire NON. Cela peut sembler trop désastreux et apocalyptique, mais ces psychopathes en costume ne s'arrêteront pas tant qu'ils n'auront pas peur pour leur propre vie. Le temps des approches d’action et de leurs « expérimentations » doit prendre fin si nous espérons avoir un semblant de République qui nous a été donnée il y a 235 ans.
Les principales inquiétudes des scientifiques de Pfizer concernant les dangers des « boosters » de vaccination contre le COVID et de la technologie de l’ARNm SUPPRIMÉES
19/03/2024 Ethan Huff
Des enregistrements inédits du Projet Veritas ont fait surface, exposant les principaux scientifiques de Pfizer discutant de leurs préoccupations concernant les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) de leur entreprise.
Justin Leslie, analyste en formulation chez Pfizer, a envoyé les enregistrements au Projet Veritas fin 2021, mais pour une raison quelconque, ils n'ont jamais été publiés. Maintenant, pour la première fois, vous pouvez les entendre ci-dessous :
Scientifique principal chez Pfizer, Kanwall Gill en 2021 :
« Nous n’avions aucune idée de ce à quoi cela allait ressembler. Les vaccins à ARNm existent depuis 50 ans, mais aucun n’a fait l’objet d’essais cliniques car on sait que les ARNm ont des effets secondaires.
Merci au lanceur d'alerte @justintegrity_ pic.twitter.com/RZXrRReMxz – Liam Cosgrove (@cosgrove_iv) 12 mars 2024
L’un des scientifiques entendu parler dans l’enregistrement ci-dessus est Kanwal Gill, scientifique principal chez Pfizer. Gill a exprimé son inquiétude quant à l'utilisation par son entreprise de la technologie de l'ARNm (modRNA) compte tenu de sa longue histoire de tests sans aucune utilisation commerciale réellement approuvée.
Gill a décrit les injections d'ARNm de Pfizer comme « sournoises », avertissant que les effets secondaires latents du vaccin pourraient apparaître longtemps après qu'une personne ait reçu l'injection. Elle a également averti que le processus de formulation des injections d'ARNm de Pfizer avait été considérablement précipité par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis au moyen d'une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), le tout reposant sur le programme Operation Warp Speed du régime Trump pour une libération rapide.
Le scientifique principal de Pfizer en 2021 :
« Il faut 10 ans pour qu’un vaccin soit disponible. Cela prend des années d’observations… nous faisons tout en même temps. »
"Même le PDG de Pfizer et même [le PDG de BioNTech] n'auront pas de réponses... cela devient aussi un jeu d'argent."
"Avant de modifier cette dernière étape de la formulation, la formule devait être maintenue à -80 degrés Celsius", a confirmé Leslie à propos du changement. "Après avoir changé la dernière étape, nous les avons maintenus entre 2 et 8 degrés Celsius."
RUPTURE : @Pfizer explore le virus COVID-19 « en mutation » pour de nouveaux vaccins
"Ne dites cela à personne... Il y a un risque... il faut être très contrôlé pour s'assurer que ce virus que vous mutez ne crée pas quelque chose... de la même manière que le virus a commencé à Wuhan, pour être honnête. "#DirectedEvolution pic.twitter.com/xaRvlD5qTo – Projet Veritas (@Project_Veritas) 26 janvier 2023
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur BadMedicine.news.
La médecin légiste vedette du Colorado, Yvonne « Missy » Woods, EXPOSÉE pour fraude présumée aux données – ceux qu’elle a envoyés en prison veulent maintenant que leurs condamnations soient réexaminées
19/03/2024 Ethan Huff
L'un des plus grands scandales dans le domaine des tests ADN médico-légaux se déroule dans le Colorado, où une médecin légiste chevronnée a brusquement quitté son poste l'automne dernier, suite à des allégations selon lesquelles ses méthodes de compilation de données étaient frauduleuses. Yvonne « Missy » Woods a travaillé comme médecin légiste vedette du Colorado pendant près de trois décennies, fournissant à la police et aux procureurs des données de tests ADN sur certains des crimes les plus médiatisés et les plus déroutants de l’histoire de l’État – jusqu’à ce qu’elle démissionne fin 2023.
Un examen interne du travail de Woods a révélé des anomalies si graves qu'une enquête criminelle a été lancée. Beaucoup se demandent maintenant : le système de justice pénale du Colorado est-il légitime ?
Afin de répondre à cette question, l’État affirme qu’il doit examiner et retester environ 3 000 échantillons d’ADN manipulés par Woods. Le résultat final pourrait être que des milliers de cas considérés comme résolus devraient être réexaminés, préviennent les défenseurs publics.
Les personnes reconnues coupables sur la base des résultats ADN potentiellement corrompus de Woods pourraient finir par poursuivre l'État en justice, et les procureurs se préparent désormais à cette attaque. L’État a également alloué près de 7,5 millions de dollars pour préparer ces éventuels nouveaux procès et révisions de cas, ainsi que les nouveaux tests.
"C'est un gâchis énorme et sans précédent", a déclaré George Brauchler, un ancien procureur de la banlieue de Denver dont le bureau a supervisé de nombreuses affaires dans lesquelles Woods a témoigné. "Je veux savoir : qu'est-ce qu'elle a fait ?"
(Connexe : Saviez-vous que les premiers « vaccins » contre Ebola au monde ont été injectés à des patients du Colorado ?)
Faire rapidement au dépens de la qualité ?
De toute évidence, Woods a pris des raccourcis majeurs dans ses analyses de données. Et cette coupe au coin semble avoir mis derrière les barreaux de nombreuses personnes qui n’auraient peut-être pas leur place là-bas, car les données réelles, si elles avaient été compilées et analysées correctement, ne les incriminent pas.
D'un autre côté, de nombreux vrais criminels ont peut-être été libérés à cause des méfaits de Woods, ce qui constitue une très mauvaise image pour l'État du Colorado et son système de justice pénale.
"Elle continue de garantir la fiabilité et l'intégrité de son travail sur les affaires déposées devant le tribunal, et en particulier dans les affaires dans lesquelles elle a témoigné sous serment", a ajouté Brauchler.
Bien que l’on ignore actuellement quelle révélation a motivé l’examen qui a conduit à ces conclusions, nous savons que les enquêteurs creusent profondément car l’enquête prend beaucoup de temps sans aucune indication quant au moment où elle pourrait être terminée. On ne sait pas non plus si des accusations criminelles seront déposées une fois que tout sera dit et fait.
Nous savons cependant que Woods a commis une fraude en modifiant des données dans certains cas, selon un e-mail du 5 décembre envoyé aux procureurs de tout l'État. Woods a également analysé certains échantillons à plusieurs reprises, dans certains cas, mais n'a rapporté qu'un seul résultat.
Au 5 décembre, les enquêteurs n'avaient découvert aucune preuve que les preuves ADN fournies par Woods étaient inexactes.
"Les services médico-légaux du CBI continuent d'examiner tous les cas traités par Mme Woods au cours de ses 29 ans de carrière", a écrit le directeur du laboratoire Shawn West dans l'e-mail. "La CBI utilise toutes les ressources disponibles pour accélérer ce processus."
La plus grande crainte des procureurs du Colorado est que le travail de mauvaise qualité et frauduleux de Woods puisse aboutir à l'un des deux scénarios cauchemardesques suivants : l'un étant la possibilité que les affaires de Woods aboutissent à une condamnation injustifiée, et l'autre étant que les criminels soient correctement mis derrière les barreaux. a réessayé en raison de ses mauvaises méthodes de test ADN.
« L'impact sur la confiance et l'intégrité du système judiciaire – et sur le travail qui sera requis dans ces affaires – est vraiment important », a commenté Michael Dougherty, procureur du comté de Boulder.
"Nous verrons sans aucun doute des accusés qui ont été condamnés à juste titre essayer d'utiliser cette affaire à leur avantage."
L'usine de fabrication de vaccins Pfizer déverse plus de 1 000 gallons de produit chimique nocif CHLORURE DE MÉTHYLÈNE
19/03/2024 Ava Grace
Une usine de fabrication de vaccins dans le Michigan appartenant au géant pharmaceutique Pfizer a déversé plus de 1 000 gallons d'un produit chimique nocif, incitant les autorités à émettre un avis. L'usine de Pfizer à Kalamazoo aurait déversé environ 1 057 gallons de chlorure de méthylène dans la zone de traitement de l'usine de fabrication, a rapporté FOX 17. Le liquide incolore déversé a été placé dans un drain dédié qui se dirige vers l'usine de récupération d'eau de Kalamazoo (KWRP) pour traitement. Le KWRP est conçu et autorisé pour traiter un maximum de 291 gallons de chlorure de méthylène par jour, soit environ un quart de la quantité de chlorure de méthylène déversée.
Selon la société pharmaceutique basée à New York, l'usine de Kalamazoo est « le plus grand site de fabrication du réseau Pfizer ». D'une superficie de 1 300 acres, l'installation est chargée de fabriquer des ingrédients pharmaceutiques actifs, des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux. (Connexe : La FDA rejette la dangereuse contamination de l’ADN des vaccins COVID après avoir autorisé Pfizer à modifier son processus de fabrication.)
Compte tenu de cela, les responsables de la ville ont averti les résidents de rester à l'écart de la rivière Kalamazoo sous la forme d'un avis de non-contact (NCA). Ladite NCA a conseillé aux gens d'éviter tout contact avec le tronçon de la rivière allant du pont de la rue Paterson au pont de l'avenue Davis dans le canton de Cooper.
"Nous avons décidé d'émettre [une] NCA pour le tronçon de rivière touché par le rejet de chlorure de méthylène par mesure de précaution", a déclaré Jim Rutherford, responsable de la santé du comté de Kalamazoo. "Cet avis restera en vigueur jusqu'à ce qu'une enquête plus approfondie et un échantillonnage indiquent qu'il n'y a aucun risque pour la santé publique."
Cependant, il est très peu probable que le déversement de chlorure de méthylène ne présente pas de risque pour les résidents de Kalamazoo. Selon l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA), le produit chimique est considéré comme « un cancérigène professionnel potentiel ». Il ajoute : "Le moyen d'exposition le plus courant au chlorure de méthylène est l'inhalation et l'exposition cutanée."
L'usine de Kalamazoo a également réalisé des injections contre le COVID-19 Par ailleurs, l’usine de Kalamazoo a également fabriqué les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour Pfizer, comme l’a révélé le journaliste indépendant Texas Lindsay. Elle a cité un article sur le site Web de la grande société pharmaceutique comme preuve.
Selon l'article de Pfizer, deux installations – le site de Kalamazoo et un autre à Puurs, en Belgique – ont été « rapidement sélectionnées pour développer les processus et fabriquer » les injections du COVID-19 après que Pfizer et son partenaire allemand BioNTech ont accepté de collaborer sur le vaccin. "Les deux usines disposaient de l'espace, du savoir-faire, du personnel et de l'équipement nécessaires pour se mettre au travail immédiatement", ajoute le communiqué.
« En travaillant en tandem, les équipes de Puurs et de Kalamazoo ont commandé les équipements et les récipients dont elles pensaient avoir besoin. [Ils ont également] commencé à modifier les lignes de remplissage existantes ; à construire des cabines de formulation et de nouvelles lignes de remplissage ; à construire des lignes de conditionnement et une « ferme de congélation » ; tout en recrutant et en formant de nouveaux collègues.
L'article racontait également que l'usine de Kalamazoo disposait déjà d'une zone de formulation déjà utilisée pour produire deux médicaments vitaux. Pour éviter toute pénurie de ces deux médicaments, Pfizer s’est mis en quatre pour les fabriquer avant que ladite zone ne soit convertie pour la production de vaccins.
Depuis cet accord de 2020, le site de Kalamazoo a été agrandi. Pfizer a acheté près de 600 grands congélateurs pour stocker des lots de vaccins contre la COVID-19. Elle a également construit deux suites de formulation supplémentaires pour le vaccin en utilisant 13 000 pieds carrés de salles modulaires expédiées du Texas.
Rendez-vous sur BigPharmaNews.com pour plus d’histoires sur Pfizer.
Regardez cette vidéo sur l'ADN reptilien trouvé dans les vaccins COVID-19 de Pfizer, attestant des affirmations selon lesquelles les injections seraient contaminées par des corps étrangers.
Cette vidéo provient de la chaîne Bradley Bravo 1 sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Quand Hollywood se souciait des déversements de produits chimiques.
Les actions Pfizer PLONGEENT alors que de sombres perspectives économiques pour 2024 émergent.
Le Texas poursuit Pfizer pour « complot visant à censurer les critiques du vaccin »
Un nouveau procès affirme que Pfizer « a sciemment distribué » des médicaments dangereux aux enfants.
Le Sénat australien interroge les représentants de Pfizer et Moderna au sujet du génocide du « vaccin » contre le covid.
Bret Weinstein du Brownstone Institute atteste que les agences fédérales de santé et les membres du cartel COVID-19 trompent systématiquement le public
20/03/2024 Belle Carter
Le biologiste évolutionniste et membre du Brownstone Institute, le Dr Bret Weinstein, a partagé une déclaration sous serment lors d'une table ronde sur le coronavirus (COVID-19) à Wuhan intitulée « Les agences fédérales de santé et le cartel du COVID : que cachent-elles ? au Sénat américain, accueilli par le sénateur Ron Johnson, le lundi 26 février.
"Je pense que nous devons faire un zoom arrière si nous voulons comprendre le modèle que nous sommes réunis pour explorer, car ce modèle est plus vaste que les agences fédérales de la santé et le cartel du COVID. Si nous faisons un zoom arrière et demandons 'Qu'est-ce qu'ils cachent ?' la réponse devient aussi évidente qu'inquiétante : ils cachent tout", a-t-il déclaré en ouvrant sa déposition. Selon lui, il était choquant pour lui, en tant que scientifique, de parler avec une telle certitude, car ils sont formés à présenter des idées avec prudence, comme des hypothèses nécessitant un test. Cependant, il s'est dit assez sûr et a testé l'idée selon laquelle "nous sommes systématiquement aveuglés" par les "autorités sanitaires".
Il a appuyé son accusation par une explication. "Le schéma est simple. Vous pouvez le tester vous-même : chaque institution dédiée à la recherche publique de la vérité est attaquée simultanément. Elles sont toutes dans un état d'effondrement. Chaque groupe d'experts échoue complètement. Des experts individuels qui résistent, ou Pire encore, ceux qui tentent de ramener leurs institutions à la raison sont contraints à la soumission", a-t-il expliqué. Il a fait valoir qu'ils sont marginalisés ou forcés de partir s'ils ne cèdent pas.
"Nous nous retrouvons dans un paradis pour les imbéciles", a-t-il poursuivi. "Nos universités de recherche dépensent d'énormes sommes d'argent public pour parvenir à des conclusions prédéterminées. Les professeurs n'enseignent que des leçons qui sont cohérentes avec la sagesse que les étudiants ont acquise sur TikTok – même lorsque ces leçons contredisent les principes fondamentaux de leur discipline. Des journaux autrefois fiers comme le New York Le Times et le Washington Post ne rapportent les histoires importantes qu'une fois qu'elles sont devenues de notoriété publique. Les pompes funèbres doivent désormais tirer la sonnette d'alarme sur les schémas manqués par les médecins légistes.
Il a également ajouté que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont devenus un excellent guide pour protéger votre santé, mais uniquement pour les personnes qui réalisent que vous devriez faire le contraire de ce qu'ils conseillent. Enfin, il a souligné comment le Département de la Sécurité intérieure a tenté de mettre en place un ministère de la vérité et de présenter une critique précise du gouvernement comme une sorte de terrorisme.
"Mais je peux vous dire que l'on nous refuse systématiquement les outils des Lumières et les droits garantis par notre Constitution. Nous, qui restons attachés aux valeurs de l'Occident, devons mener cette bataille avec courage. Nous devons gagner, car si "Nous n'endiguons pas la marée, le résultat sera un âge sombre qui ne différera des âges sombres précédents que par la puissance et la sophistication des instruments coercitifs qui seront utilisés par ceux qui nous gouverneront", a-t-il conclu son discours.
Johnson : La corruption est désormais révélée en raison de l’échec de la réponse à la pandémie Au cours du forum, Johnson et d'autres ont parlé de problèmes signalés avec le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données gérée par deux agences, le CDC et la Food and Drug Administration (FDA).
Johnson a reçu un e-mail d'un homme récemment marié qui a appris que sa femme de 36 ans ne pouvait pas avoir d'enfants après avoir reçu sa deuxième injection de COVID-19. Il a lu la correspondance à haute voix lors dudit forum. "Elle a choisi une carrière, a attrapé le virus du bébé/de la famille et maintenant elle ne peut plus avoir d'enfants", a déclaré le mari. "Elle pleure tout le temps. Elle s'excuse comme si c'était de sa faute. Quelqu'un doit les faire payer. Et nous avons besoin de garanties pour que cela ne se reproduise plus."
Dans une déclaration faite en février au Daily Signal, un porte-parole de la FDA a fait valoir que le système VAERS contient des données brutes et n'est pas concluant en soi. "Le site Web du VAERS est transparent sur les limites du système", a déclaré le porte-parole de la FDA. "Lorsqu'un membre du public ouvre le site Web, l'utilisateur doit alors reconnaître avoir lu et compris des informations spécifiques qui incluent, entre autres détails importants, les données du VAERS accessibles au public incluent uniquement les données du rapport initial au VAERS. Données mises à jour qui contiennent des données Les dossiers médicaux et les corrections signalées lors du suivi sont utilisés par le gouvernement à des fins d'analyse. Cependant, pour de nombreuses raisons, notamment la cohérence des données, ces données modifiées ne sont pas accessibles au public.'" (Connexe : L'enquête du BMJ révèle que le VAERS est en panne, CDC ne respecte pas les normes d'entretien.)
Johnson a fait valoir que les institutions d’élite ont porté atteinte à leur crédibilité pendant la pandémie. "Je crois que la corruption croissante de la science, de la recherche scientifique, des revues médicales, des agences fédérales de santé et, par conséquent, de la pratique de la médecine, a été révélée par l'échec de la réponse à la pandémie", a déclaré Johnson. "Pour réparer les dégâts qui ont été causés, nous devons rechercher la vérité honnêtement et sans relâche."
Regardez ci-dessous la partie des débats du Sénat du 26 février, où Weinstein a partagé son témoignage.
Suivez Deception.news et apprenez-en davantage sur les mensonges pandémiques des autorités sanitaires implantés dans l’esprit du public.
Nouvel acquittement d'un médecin dans un procès sur les certificats de masques
20 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Les opérateurs et les profiteurs de la « pandémie » du Corona ont pris des mesures massives contre les médecins qui ont invoqué leur serment d’Hippocrate et prescrit le meilleur traitement à leurs patients. Cela comprenait principalement des certificats d’exemption de masque. Après tout, il n’y a jamais eu de preuve scientifique de l’effet protecteur des masques contre les virus, mais il existe des preuves claires de leurs nombreux effets nocifs.
Depuis le début, les masques ont été l’un des moyens psychologiques pour susciter la peur dans la population et lui rappeler constamment le prétendu danger de transmettre un virus. D'ailleurs, des avocats israéliens avaient affirmé et prouvé cette intention à partir des protocoles des autorités sanitaires. Néanmoins, les poursuites se poursuivent contre les médecins qui ont délivré des certificats de masques. Le TKP a fait état lundi d'un cas particulièrement flagrant de persécution et d'acquittement à Bochum .
L'avocat Dr. Dr. fait état d'un acquittement tout aussi réjouissant en provenance d'Autriche. Dieter Rautnig, dont le client, le docteur Dr. Franz G. a été acquitté lundi devant le BG Fürstenfeld (en première instance) de l'accusation de falsification de preuves dans 588 cas (!) lors de la troisième audience principale, car la preuve de culpabilité n'a pas pu être apportée.
Ni les faits objectifs (faux certificats) ni les faits subjectifs (intention) de produire Lugurcus au sens de l'article 293 du Code pénal ne peuvent être considérés par le juge comme prouvés.
Un excellent rapport de l'expert allemand Dr. Kai Kisielinski a finalement été décisif dans la décision du juge. En tant qu'auteur principal, le scientifique a écrit et publié un certain nombre d'études et de méta-études dont TKP a fait état à plusieurs reprises au cours des dernières années .
Un autre facteur décisif pour l'acquittement a été le fait que le juge a suivi, entre autres, la ligne de défense selon laquelle une violation de l'article 55 de la loi médicale ne constitue qu'une infraction administrative mais n'a aucune pertinence pénale au sens du Code pénal. En raison de sa très longue expérience en tant que médecin, de ses travaux de recherche spécifiques aux masques et de la conviction médicale personnelle qui en a découlé, son avis médical sur les masques (pas de protection contre les virus mais un risque pour la santé au quotidien) a été considéré comme un avis médical justifiable, et donc une expression légale d'opinion sous forme de confirmations d'exemption de masque (confirmations d'exception) et de les accepter.
La conviction personnelle de ce médecin est de toute façon fidèle à la réalité, car en seulement 10 secondes de réflexion concentrée, on arrive à la conclusion que les masques ne protègent pas, mais sont clairement nocifs. Le processus de réflexion simple requis pour cela peut être lu ici .
La procureure a néanmoins déposé un recours complet (bien qu'elle ait expressément accepté que le rapport soit lu à haute voix et l'ait donc accepté). Le jugement écrit sera disponible dans environ 4 semaines.
Le public était présent au procès sous la forme de 10 observateurs, mais pas les médias de propagande.
(...) Les opérateurs et les profiteurs de la « pandémie » du Corona ont pris des mesures massives contre les médecins qui ont invoqué leur serment d’Hippocrate et prescrit le meilleur traitement à leurs patients. Cela comprenait principalement des certificats d’exemption de masque. Après tout, il n’y a jamais eu de preuve scientifique de l’effet protecteur des masques contre les virus, mais il existe des preuves claires de leurs nombreux effets nocifs. (...)
N'importe quel établissement qui possède un microscope peut observer un masque sous la lentille. Il y découvre un écart de mailles qui laisse forcément passer des millions de microbes et nano-poussières (TOTALEMENT INOFFENSIVES sauf les poussières radioactives) !
Faut vraiment être LE ROI DES CONS pour soutenir le port du masque hors blocs opératoires !
L'infection au COVID-19 augmente le risque de maladies auto-immunes jusqu'à 30 % : étude
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 20 MARS 2024 - 07H45 Écrit par George Citroner via The Epoch Times
Selon de nouvelles recherches, survivre au COVID-19 peut vous exposer à un risque accru de développer des maladies auto-immunes débilitantes comme la polyarthrite rhumatoïde et le lupus jusqu'à un an après l'infection.
Cependant, l’étude a également révélé que la vaccination contre le virus pourrait réduire considérablement les risques de développer ces maladies inflammatoires potentiellement mortelles.
La gravité de l’infection au COVID-19 joue un rôle important
L'étude, publiée dans Annals of Internal Medicine, a analysé les données nationales sur les réclamations de plus de 10 millions de patients coréens et de 12 millions de patients japonais âgés de 20 ans et plus diagnostiqués avec le COVID-19 entre janvier 2020 et décembre 2021. Les souches dominantes étaient le virus de type sauvage et la variante delta pendant cette période. Les patients atteints de COVID-19 ont été comparés à des patients grippés appariés et à des témoins non infectés.
Un peu moins de 4 % des participants coréens avaient des antécédents de COVID-19, et environ 1 % avaient des antécédents de grippe. Parmi les participants japonais, environ 8 % ont été infectés par le COVID-19 et un peu moins de 1 % ont été infectés par la grippe.
Les chercheurs ont découvert que les patients atteints de COVID-19 présentaient un risque accru de 25 à 30 pour cent de développer une nouvelle maladie rhumatismale auto-immune (AIRD) 30 jours après l’infection par rapport aux individus non infectés.
Un COVID-19 plus grave était lié à un risque plus élevé d’apparition d’AIRD nouvelle, non traitée et traitée, avec des variantes de type sauvage et delta associées au risque d’AIRD. Le risque d’apparition d’une nouvelle AIRD a semblé diminuer avec le temps et a diminué après la première année.
L’infection au COVID-19 est associée à de nombreuses maladies auto-immunes, a déclaré à Epoch Times le Dr Jacob Teitelbaum, interniste certifié spécialisé dans le traitement du syndrome de fatigue chronique et de la fibromyalgie. « Par exemple, il y a une augmentation marquée de l’hyperthyroïdie après le COVID, causée par une attaque auto-immune de la glande thyroïde », a-t-il déclaré. Le système immunitaire étant déjà en état d’alerte face au virus et « ayant du mal à s’arrêter », il n’est pas surprenant que les propres tissus du corps deviennent souvent des dommages collatéraux, a-t-il noté.
"Cette nouvelle étude confirme donc simplement ce qui était déjà attendu", a ajouté le Dr Teitelbaum.
Les vaccins réduisent le risque auto-immun, mais seulement dans les cas bénins Les résultats suggèrent également que la vaccination contre le COVID-19 a réduit le taux d’AIRD chez les patients ayant reçu une à deux doses ou plus. Ce risque réduit a été observé que le vaccin utilisé soit de type à base d’ARNm ou à vecteur viral.
Cependant, le risque réduit d’AIRD n’était lié qu’aux patients présentant une infection légère au COVID-19, et non à ceux présentant une infection modérée ou grave.
Ceci est remarquable, étant donné les preuves croissantes suggérant que la vaccination contre le COVID-19 pourrait provoquer l’apparition de nouvelles maladies auto-immunes, notamment la glomérulonéphrite auto-immune, l’hépatite auto-immune et les AIRD.
Les AIRD augmentent le risque d’autres conditions graves Les AIRD impliquent une inflammation des articulations ou du tissu conjonctif causée par des attaques du système immunitaire de l’organisme. Ces maladies peuvent affecter plusieurs organes et systèmes, entraînant un large éventail de symptômes et de complications.
Certains AIRD courants incluent :
Polyarthrite rhumatoïde (PR) : La PR est une maladie auto-immune chronique qui affecte principalement les articulations, provoquant une inflammation, une douleur, une raideur et un gonflement. La PR non traitée peut entraîner des lésions articulaires, des déformations, un handicap, des maladies cardiovasculaires, l'ostéoporose et des problèmes pulmonaires au fil du temps. Lupus érythémateux systémique (LED) : le LED est une maladie auto-immune systémique affectant divers organes et tissus comme la peau, les articulations, les reins, le cœur, les poumons et le cerveau. Les symptômes peuvent inclure de la fatigue, des douleurs articulaires, des éruptions cutanées, de la fièvre et une inflammation des organes. Les complications impliquent des lésions rénales, des maladies cardiovasculaires, des troubles neurologiques et une susceptibilité accrue aux infections. Spondylarthrite ankylosante (SA) : La SA affecte principalement la colonne vertébrale et les articulations sacro-iliaques, provoquant une inflammation et éventuellement une fusion des vertèbres, entraînant une raideur de la colonne vertébrale et une mobilité limitée. Cela peut également avoir un impact sur d’autres articulations, yeux et organes. Les complications peuvent inclure des déformations de la colonne vertébrale, une inflammation des yeux et des problèmes cardiovasculaires. Arthrite psoriasique (RPs) : Le PSA est une maladie auto-immune caractérisée par une inflammation des articulations et des lésions cutanées (psoriasis). En plus des douleurs, des gonflements et des raideurs articulaires, le PSA peut provoquer des modifications des ongles, une inflammation des yeux et une inflammation des tendons (enthésite). Les complications pourraient inclure le diabète et l’hypertension artérielle.
Syndrome de Sjögren : Le syndrome de Sjögren affecte principalement les glandes productrices d'humidité, entraînant une sécheresse des yeux et de la bouche. Cependant, cela peut également provoquer des problèmes systémiques tels que des douleurs articulaires, de la fatigue et une atteinte des organes des reins, des poumons ou du système nerveux. Cela augmente le risque de lymphome et d’autres maladies auto-immunes.
Sclérose systémique (sclérodermie) : La sclérodermie se caractérise par une production excessive de collagène, provoquant un épaississement et un durcissement de la peau et des tissus conjonctifs. Elle peut également affecter les organes internes comme les poumons, le cœur, les reins et le tractus gastro-intestinal. Les complications peuvent inclure des saignements gastro-intestinaux, des problèmes pulmonaires et cardiaques et une occlusion intestinale.
Traitement peu coûteux disponible mais ignoré : expert
Les AIRD ont un impact significatif sur la qualité de vie et nécessitent une prise en charge à long terme avec des médicaments, une thérapie physique et des modifications du mode de vie. Une surveillance régulière et des soins complets prodigués par des professionnels de la santé sont essentiels pour gérer ces conditions et minimiser les risques pour la santé.
Cependant, les traitements efficaces mais peu coûteux pour ces affections sont largement ignorés, a déclaré le Dr Teitelbaum.
Il a été démontré que la naltrexone à faible dose, coûtant moins de 1 dollar par jour, soulage la douleur chronique ou les maladies auto-immunes, a-t-il ajouté. De plus, la curcumine hautement absorbée et le Boswellia serrata, présents dans la curcumine, se sont révélés aussi efficaces que Celebrex dans le traitement de la polyarthrite rhumatismale dans une étude comparative, a-t-il noté.
Tranfusions sanguines, donneurs injectés ARNm et covid longs : un nouveau scandale du sang contaminé…
le 20 mars 2024 par pgibertie
Cette étude japonaise propose de tester les donneurs de sangs contaminés par la spike car les produits sanguins obtenus de leur sang sont dangereux. Ces donneurs sont victimes de « covid longs », voient leur état de santé se dégrader. Problème 97% sont vaaccinés… ET SI LE VACCIN ÉTAIT RESPONSABLE
97,5% des victimes de covid longs sont vaccinés… qui disait que les vaccins protégeaient Publié le 2 mars 2024 par pgibertie
Parmi les participants, 32,6 % étaient des étudiants et 27,7 % étaient des professionnels de santé. La plupart de les participants avaient un IMC normal et aucune comorbidité. Au cours de la maladie, 96,4 % des participants n’ont pas eu … Lire la suite →
La pandémie de coronavirus a été déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2020, et un programme mondial de vaccination génétique a été rapidement mis en œuvre comme solution fondamentale.
Cependant, de nombreux pays à travers le monde ont signalé que les vaccins dits génétiques, tels que ceux utilisant un ARNm modifié codant pour la protéine de pointe et des nanoparticules lipidiques comme système d’administration du médicament, ont entraîné une thrombose post-vaccination et des dommages cardiovasculaires ultérieurs, ainsi que une grande variété de maladies touchant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux.
Dans cet article, sur la base de ces circonstances et du volume de preuves récemment apparues, nous attirons l’attention des professionnels de la santé sur les différents risques associés aux transfusions sanguines utilisant des produits sanguins provenant de personnes ayant souffert d’une longue COVID et de maladies génétiques.les vaccinés, y compris ceux qui ont reçu des vaccins à ARNm, et nous faisons des propositions concernant des tests spécifiques, des méthodes de test et des réglementations pour faire face à ces risques. Nous espérons que cette proposition servira de base à une discussion sur la manière de traiter le syndrome post-vaccinal et ses conséquences suite à ces programmes de vaccination génétique.
Heureusement que les journalistes et les politiques ne lisent pas le Vidal, la mise à jour n ‘est pas rassurante
le 20 mars 2024 par pgibertie
Mise à jour Vidal (guide de référence des professionnels de la santé) au 21 février 2024 au sujet des vaccins Covid
@MartinZ_uncut
Nous apprenons donc que : le vaccin n’a pas été testé ni sur les personnes immunodéprimées ni sur les personnes en traitement avec des immunosuppresseurs. [C’est à dire celles que nous étions sensées protéger, les tests d’efficacité et de SÉCURITÉ non plus…] on ne connaît toujours pas la durée de protection [No comment – surtout après 3 ans!] il existe un risque ACCRU de myo et péricardites [Et non pas de très rares cas comme annoncé et dit en large et en travers par les médias et les faux matheux] pas de test effectué sur les risques de génotoxicité ni de cancérogénicité (!!!) [bizarre et INCOMPRÉHENSIBLE pour un composé à ARNm…] on ne sait pas si le vaccin passe dans le lait maternel ni dans le placenta [En fait on le sait, les papiers existent amis ils ont sans doute pas osé l’ecrire] les études cliniques ne sont tjs pas terminées [Wow. Comprenez donc bien que TOUS les politiciens et experts télés vous ont menti à ce sujet. Donc que vous avez été TOUS traités comem sujets d’expérimentées station humaine au profit des firmes et ce SANS consentement éclairé – c’est pour CELA que l’on jug´´et condamné MENGELÉ ! 2.
Je vous mets les autres détails Texte du Vidal. – Personnes immunodéprimées L’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été évaluées chez les sujets immunodéprimés, y compris ceux recevant un traitement immunosuppresseur. L’efficacité de Comirnaty peut être diminuée chez les sujets immunodéprimés. [Commentaire perso pour mes collègues, et amis BE- Donc quand le prof Dognée (Namur et la Ministre Moréale font thumbs up pour ce genre de patients de qui se moquent-ils? De plus nous savons que ce produit peut lui-même donner une immuno-dépression ] -Durée de protection La durée de protection conférée par le vaccin n’est pas établie et est toujours en cours d’évaluation dans les essais cliniques. [Commentaire perso – Nous sommes bien dans la phase d’essais cliniques] – Myocardite et péricardite Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite après vaccination [Commentaire perso le CDC US l’a rapporté le 18 Aout 2021! Je svt posté le tableau récapitulatif du CDC.!] – Génotoxicité/cancérogénicité Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée. Il n’est pas attendu que les composants du vaccin (lipides et ARNm) présentent un potentiel génotoxique. [Commentaire perso – well les lipides du LNP sont sur la liste déconseillé pour usage humain!] – Toxicité sur la reproduction Il n’y a pas de donnée disponible concernant le transfert placentaire du vaccin Comirnaty ou son excrétion dans le lait maternel. [Commentaire perso – inexact – la mesure dans le lait maternel est faite] Partagez car le déni est tjs bine présent autour de bous tous! Merci Voici le lien https://vidal.fr/medicaments/comirnaty-30-mcg-dose-dispers-inj-231482.html…
Les médiocres ont toujours la vengeance tenace, ils veulent se débarrasser du PR Parola
le 19 mars 2024 par pgibertie
@Philippe_Parola
« Oui, L’herbe est bleue ! » Morale: La pire perte de temps est de se disputer avec le fou et le fanatique qui ne se soucient pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de leurs croyances et de leurs illusions… Quand l’ignorance crie, l’intelligence se tait
@BanounHelene
Le biopouvoir s’attaque à 1 médecin exemplaire Pr@Philippe_Parola
On lui reproche quoi? D’avoir soigné en toute légalité! Quelle sanction? Lui retirer ses fonctions de chef de service des maladies infectieuses @aphm_actu Voilà comment on traite les hommes courageux en France
Projet de loi français : les citoyens qui s'expriment contre le vaccin contre le Covid-19. « 3 ans de prison et 45 000 € d'amende » ?
Oups : « Le rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin anti-Covid dit la vérité
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 20 mars 2024
Tous les articles de Global Research peuvent être lus dans 51 langues en activant le menu déroulant « Traduire le site Web » sur la bannière supérieure de notre page d'accueil (version de bureau).
Pour recevoir la newsletter quotidienne de Global Research (articles sélectionnés), cliquez ici .
Visitez-nous et suivez-nous sur Instagram , Twitter et Facebook . N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
Mis à jour le 25 novembre 2024
Récemment, le projet de loi a été adopté par le Sénat français.
5 mars 2024
Introduction Le 14 février 2024, l'Assemblée nationale française a adopté un projet de loi controversé « visant à renforcer la lutte contre la « dérive sectaire » .
Cliquez ici pour voir la vidéo de l'Assemblée nationale, le 14 février 2024
- voir clip sur site -
Le projet de loi est une initiative du gouvernement français d' Emmanuel Macron qui sera présenté au Sénat par le ministre de l'Intérieur au nom de la Première ministre Elizabeth Borne.
- voir doc sur site -
Traduction de l'auteur du français
Arrêté de présentation
Le Premier ministre,
Sur le rapport du Ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer,
Ce projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires, délibéré en Conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat, sera présenté au Sénat par le ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer, qui sera chargé de fixer les raisons et alimentant la discussion, avec le concours du secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer, chargé de la citoyenneté et du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la ville.
Paris, le 15 novembre 2023
Signé : Élisabeth BORNE Par le Premier ministre :
Le ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer Signé : Gérald DARMANIN
Le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer, chargé de la citoyenneté et auprès du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la ville
Signé : Sabrina AGRESTI-ROUBACHE
Débat parlementaire sur « Dérive Sectaire » Le projet de loi avait été débattu pour la première fois le 13 février 2024.
« Une coalition d'oppositions a rejeté l'article [IV] mardi soir [13 février], comme l'a fait le Sénat fin 2023. Les députés LFI, LR et RN dénoncent une menace pour les « libertés publiques » et pour les « lanceurs d'alerte » qui critiquent l'article. l'industrie pharmaceutique.
Le lendemain (14 février 2024), tard dans la nuit, à l'issue de la période des questions , un vote serré a eu lieu (116-108) annulant le vote de la veille. Environ 40 % des 577 membres de l'Assemblée nationale étaient présents au moment du vote.
Après de longs débats, les députés ont adopté le 14 février en première lecture le projet de loi contre les « abominations sectaires », dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à s'abstenir de soins médicaux ». (« provocation à l'abstention de soins »)
… L'article 4 du chapitre III, propose de modifier le Code pénal pour punir la « provocation » d'une personne malade à « abandonner ou s'abstenir de suivre un traitement médical », si cet abandon est présenté comme bénéfique alors qu'il pourrait entraîner des conséquences dangereuses.
( France Info , traduction de l'auteur, italiques ajoutés)
Selon France Info :
L'article IV, « vise à lutter contre les « charlatans » et les « gourous 2.0 » , qui promeuvent sur Internet des méthodes présentées comme des « solutions miracles » pour guérir des maladies graves comme les cancers. Souvent sans formation scientifique et au mépris de la science, ils peuvent dériver vers des comportements d’influence sectaire.
La « dérive sectaire » se serait considérablement accrue, « notamment à cause de l’épidémie de Covid-19 et de l’utilisation des réseaux sociaux ».
En punissant ces comportements, le délit de « provocation à l'abstention de soins » servirait donc à « combler une réelle lacune de notre arsenal en nous dotant de moyens efficaces pour lutter contre les dérives thérapeutiques d'un sectaire »… Jusqu'à trois ans de prison pour ces « provocations »
Après de longs débats, les députés ont adopté en première lecture le 14 février le projet de loi contre les « abominations sectaires » [dérive sectaire], dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à l'abstention de soins médicaux » . ( « provocation à l'abstention de soins ») ( France Info , italiques ajoutés)
Voir l'interview vidéo. Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
« Dérive sectaire » et le projet de loi Dérive séctaire pointe du doigt la non-conformité en réponse à un discours officiel du gouvernement.
C'est un concept totalitaire.
Il fait référence à la Miviludes, une agence gouvernementale française chargée des mouvements sectaires .
- voir doc sur site -
Le terme aberration est également utilisé pour identifier les groupes.
lien vers le site du gouvernement français
Traduction:
À partir de l'expérience de la Miviludes , qui reçoit quelque 2 000 signalements par an, la dérive sectaire peut être définie ainsi :
Il s'agit d'une détournement de la liberté de pensée, d'opinion ou de religion qui porte atteinte à l'ordre public, aux lois ou règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l'intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques visant à créer, entretenir ou exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d'une partie de ses capacités. son libre arbitre, avec des conséquences néfastes pour cette personne, son entourage ou pour la société. (c'est nous qui soulignons)
Le projet de loi étend le concept de « dérive sectaire » Quel est l’objet du projet de loi :
« …renforcer la lutte contre les dérives sectaires, délibéré en Conseil des ministres
Cela implique de renforcer et d’étendre le concept de dérive sectaire totalitaire à la santé et à la médecine.
Le projet de loi :
» crée un nouveau délit de « provocation à l'abstention de soins ».
Le texte de ce projet de loi est chaotique, avec des propos confus. Il reconnaît que la dérive sectaire s’est considérablement accrue pendant la crise du coronavirus.
Le vaccin Covid-19 est une intention tacite Le projet de loi ne fait pas explicitement référence au vaccin Covid-19, qui est en fin de compte la bombe. Cela constitue une menace abominable. Il criminalise le mouvement de protestation contre le vaccin Covid-19.
Cela confère une légitimité à un vaccin qui a entraîné une augmentation de la surmortalité.
Ce qu’il laisse entendre, c’est une peine pouvant aller jusqu’à « trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende » pour les citoyens français qui osent s’exprimer contre le vaccin contre le Covid-19.
Il s’agit non seulement de milliers de scientifiques et de médecins, mais également de personnes de tous horizons dans les villes et communautés de France.
En même temps, cela porte atteinte aux droits humains fondamentaux. Cela souligne également la criminalisation de la démocratie parlementaire.
Le vaccin Covid-19 tue nos enfants Pfizer tue nos enfants. Et nos gouvernements sont soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.
Selon le nouveau projet de loi français, peut-on être arrêté pour avoir déclaré la vérité :
N os enfants et adolescents meurent dans le monde entier
Étudiante au Lycée Valabre de Luynes-Gardannem, Aix-en-Provence, France, Sofia Benharira, 16 ans est décédée le 21 septembre 2021, 7 jours après avoir reçu le vaccin mortel Pfizer. Crises cardiaques et thrombose.
Cela se produit partout dans le monde.
Des enfants et des adolescents meurent.
- voir photo sur site -
17h06 · 25 septembre 2021
Soit les médias omettent de signaler les décès liés au vaccin, soit ils déclarent (avec autorité) que les décès sont imputables au Covid-19.
Quelle est la vérité. Examinez les preuves. « Surmortalité » Les preuves qui ont été ouvertement ignorées tant par le gouvernement français que par l’Assemblée nationale sont accablantes :
De nombreuses études confirment que le vaccin Covid-19 a déclenché une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
Visiblement, l’Assemblée Nationale n’a pas reconnu les données provenant de sources officielles qui confirment une tendance à la hausse de la mortalité liée au vaccin Covid-19.
Voir l’importante étude sur la surmortalité intitulée :
Mortalité associée au vaccin COVID-19 dans l’hémisphère sud
Par Pr Denis Rancourt , Dr Marine Baudin , Dr Joseph Hickey , et Dr Jérémie Mercier , le 13 février 2024
- voir doc sur site -
Ce qui est affiché ci-dessous sont des graphiques pour 6 pays, pour consulter tous les graphiques (section 5.1), cliquez ici
Ce qui est révélateur est que pour la plupart des pays, la même tendance caractérise la relation entre la mortalité toutes causes confondues et le nombre de doses administrées.
- voir doc sur site -
Mortalité liée au vaccin : pays sélectionnés. ( Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier)
ACM Toutes causes de mortalité. Nombre de décès par mois
Doses Vax administrées par semaine
Mortalité. Moyenne mobile sur 1 an
- voir graph sur site -
L'administration du vaccin par semaine (par exemple, orange, figure 2) , pour les analyses tous âges dans le présent article, est obtenue à partir des données cumulatives originales (OWID, 2023a) en interpolant pour obtenir toutes les dates, puis en additionnant par semaine. Par conséquent, lorsqu’il y a des sauts soudains dans les données cumulées, cela peut produire une valeur hebdomadaire importante en tant qu’artefact, comme pour les Philippines (Figure 2). De même, les baisses des valeurs cumulées peuvent produire des valeurs hebdomadaires négatives artificielles, comme le montrent quelques cas ci-dessous.
- voir graph sur site -
Morbidité liée au vaccin La mortalité liée au vaccin Covid-19 s'accompagne d' une morbidité liée au vaccin.
Une récente étude britannique portant sur la surmortalité et la morbidité liées au cancer en Angleterre et au Pays de Galles souligne ce qui suit :
Le tableau ci-dessous concerne les décès excédentaires liés à une tumeur maligne (tumeur cancéreuse) en Angleterre et au Pays de Galles, enregistrés sur trois années consécutives : 2020, 2021 et 2022 par rapport à une tendance sur 10 ans (2010-2019).
Les données de surmortalité en 2020 (l’année précédant le vaccin) sont négatives à l’exception des « tumeurs malignes sans précision de localisation ».
Le vaccin a été lancé au Royaume-Uni en décembre 2020. Le vaccin contre la COVID-19 a été déployé en plusieurs phases en Angleterre et au Pays de Galles à partir du 8 décembre 2020 et jusqu’en mars-avril 2021.
Le mouvement ascendant de la surmortalité (%) commence en 2021. L’augmentation de la surmortalité liée aux tumeurs malignes est comptabilisée pour les deux premières années du vaccin.
Preuve de cas individuels de mortalité et d’événements indésirables liés au vaccin Consultez les plus de 300 cas individuels documentés de mortalité et d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19 par le Dr William Makis.
Pour consulter cliquez ci-dessous
- voir doc sur site -
Oups : « Le rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin contre le Covid-19 « dit la vérité » Que se passe-t-il si vous citez le rapport Pfizer ?
Pouvez-vous être arrêté et emprisonné pour avoir révélé les données sur la mortalité et les événements indésirables contenues dans le rapport confidentiel de Pfizer , rendu public au titre de la liberté d'information ? Ce rapport devrait être consulté et mis à la disposition de millions de personnes :
Le rapport confidentiel fait l'effet d'une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’effets indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés survenus survenus à la mi-décembre 2020. » 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques.
Ce Rapport Confidentiel Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet vaccinal en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au maximum deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « un homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 ne constitue plus un « acte d'homicide involontaire ».
Le meurtre, par opposition à l’homicide involontaire, implique une « intention criminelle ».
Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte pénal. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes. Jusqu'à présent, plus de 60 % de la population mondiale a été vaccinée contre le Covid-19.
Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier
Par Pr Michel Chossudovsky , 17 février 2024
Voir également
J'accuse ! Les « vaccins » basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent, à vous les peuples, aux populations qu’ils sont censés servir
Par Médecins pour l’éthique du COVID , 22 octobre 2022
Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer. Extrait du rapport Pfizer, figure 1
- voir doc sur site -
Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer.
Remarques finales Le gouvernement français, l'Assemblée nationale et le Sénat doivent être interpellés par un mouvement de masse à travers la France et l'Union européenne,
Ce à quoi nous assistons est une véritable « criminalisation de l’appareil d’État » par laquelle des politiciens, des parlementaires et de hauts fonctionnaires sont régulièrement soudoyés, cooptés ou menacés pour se conformer à un projet diabolique qui détruit littéralement la vie des gens dans le monde entier.
Nous appelons le Sénat à rejeter l'adoption par l'Assemblée nationale du projet de loi intitulé
Le Projet de Loi visant à renforcer la lutte contre les « Dérivés Sectaires »
Pfizer devrait-il être condamné à une amende de 45 000 euros et à trois ans de prison ? Ce que contient le rapport « confidentiel » de Pfizer, ce sont des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, l'OMS et les médias.
Les membres de l'Assemblée nationale française doivent prendre connaissance de ce rapport. Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel des Big Pharma ( associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et non les nôtres.
Il s’agit de facto d’un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui, c'est un vaccin tueur
Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part des Big Pharma.
Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.
Il s’agit également d’un Mea Culpa et d’une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.
Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.
À tous les blessés du vaccin COVID, regardez cette vidéo. Une fraude est identifiée, on vous a trompé et on vous a menti pour prendre un vaccin dangereux
Par Mark Sexton Recherche mondiale, 19 mars 2024
Merci de partager largement :
À tous les blessés du vaccin COVID. Veuillez regarder cette vidéo.
La fraude est identifiée et, par conséquent, vous avez été trompé et menti afin de prendre un vaccin dangereux.
Si vous aviez obtenu votre consentement éclairé, comme le prévoit la loi, il est probable que vous ne l'auriez pas obtenu.
Vous avez subi un préjudice inutile et évitable résultant directement de la fraude et des autres actes criminels déjà identifiés.
Il existe des traitements éprouvés, sûrs et efficaces, qui ont fonctionné, mais ils ont été délibérément retenus par la politique gouvernementale et par d'autres preuves des crimes commis contre vous.
Veuillez également voir ma précédente vidéo sur la loi et le consentement éclairé datée du 14/3/24.
Je crois que sans la fraude, vous n'auriez pas été blessé. Ces blessures constituent une agression contre votre personne et un crime en vertu de la loi de 1861 sur les infractions contre la personne.
Pour cette raison, regardez la vidéo et je vous suggère de prendre contact avec la police métropolitaine en indiquant que vous souhaitez déposer une plainte pénale pour agression et d'ajouter vos coordonnées au numéro de crime 01/62447/24.
- voir clip sur site -
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
Source d'images en vedette
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité par Michel Chossudovsky
Michel Chossudovsky revient en détail sur la façon dont ce projet insidieux « détruit la vie des gens ». Il fournit une analyse complète de tout ce que vous devez savoir sur la « pandémie » – des dimensions médicales aux répercussions économiques et sociales, en passant par les fondements politiques et les impacts mentaux et psychologiques.
« Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le discours officiel qui a été utilisé comme justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du « vaccin » « mortel » contre le COVID-19. Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.
Commentaires
Il s’agit d’une ressource approfondie d’un grand intérêt si c’est la perspective plus large que vous souhaitez comprendre un peu mieux, l’auteur connaît très bien la géopolitique et cela se reflète dans la manière dont Covid est contextualisé. — Dr Mike Yeadon
Dans cette guerre contre l'humanité dans laquelle nous nous trouvons, dans cet assaut singulier, irrégulier et massif contre la liberté et la bonté des peuples, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. – Dr Emmanuel Garcia
En quinze chapitres scientifiques concis, Michel retrace la fausse pandémie de covid, expliquant comment un test PCR, produisant jusqu'à 97 % de faux positifs prouvés, combiné à une campagne de peur incessante 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, a pu créer une panique mondiale. plandémique » ; que cette plandémie n’aurait jamais été possible sans le fameux test de réaction en chaîne par polymérase modifiant l’ADN – qui à ce jour est imposé à une majorité de personnes innocentes qui n’en ont aucune idée. Ses conclusions sont étayées par des scientifiques de renom. — Peter Koenig
Le professeur Chossudovsky expose la vérité selon laquelle « il n’y a aucune relation causale entre le virus et les variables économiques ». En d’autres termes, ce n’est pas la COVID-19 mais plutôt la mise en œuvre délibérée de mesures de confinement illogiques et sans fondement scientifique qui ont provoqué l’arrêt de l’économie mondiale. – David Skripac
La lecture du livre de Chossudovsky fournit une leçon complète sur la façon dont un coup d'État mondial est en cours appelé « La Grande Réinitialisation » qui, s'il n'est pas résisté et vaincu par les gens épris de liberté partout dans le monde, entraînera un avenir dystopique inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu'il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d’informations et d’analyses précieuses au même endroit. -Edward Curtin
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres Prix : 11,50 $ COPIE GRATUITE ! Cliquez ici (docsend) et téléchargez .
Vous pouvez également accéder à la version en ligne du livre électronique en cliquant ici .
Nous vous encourageons à soutenir le projet de livre électronique en faisant un don via la page de campagne DonorBox « Worldwide Corona Crisis » de Global Research .
Conduire sous l’influence de l’ARNm : effondrer et écraser votre voiture pendant que vous êtes vacciné contre le COVID-19
25 cas tragiques
Par le Dr William Makis Recherche mondiale, 21 mars 2024
- voir photo sur site -
2 février 2024 (photo ci-dessus) – Emily Bigham Unkle conduisait lorsqu'elle a eu une crise. On lui a diagnostiqué une tumeur au cerveau.
18 mars 2021 : « Je suis très reconnaissant pour la science et pour l’opportunité d’obtenir ce vaccin.
19 avril 2021 : « Il est si facile de se faire vacciner dans le comté de Hamilton. Ma deuxième dose a pris 10 minutes du début à la fin. Vous ne quittez jamais votre voiture et le processus est si simple. La tendance à l’effondrement des vaccinés contre le COVID-19 au volant se poursuit (voici 25 cas récents) :
15 février 2024 – Baltimore, MD – Shaney Warehime, ambulancier paramédical de 38 ans, s'est effondré dans sa voiture et a cessé de respirer vers 2 h 20 du matin. La RCR a échoué. En tant qu'ambulancière, elle devait être vaccinée contre la COVID-19.
- voir photo sur site -
5 février 2024 – Brandon, MB, Canada – Le policier Lucien Ethier, 46 ans, est décédé subitement le 5 février 2024. Il « conduisait son véhicule personnel lorsqu'il a eu un problème médical qui a conduit à cet événement tragique ».
- voir photo sur site -
30 janvier 2024 – Coventry, Royaume-Uni – Irene Mayunga Disala, 53 ans, « s'est sentie inconsciente » alors qu'elle conduisait à Coventry et est décédée subitement.
- voir photo sur site -
24 janvier 2024 – Trois personnes sont décédées en une seule journée d’une « crise cardiaque silencieuse » alors qu’elles conduisaient à Madhya, Pradesh, en Inde, âgées de 41, 42 et 57 ans.
- voir photo sur site -
18 janvier 2024 – Queen Creek, Arizona – Sara Bacon, hygiéniste dentaire de 36 ans, est décédée subitement le 18 janvier 2024 (on pense qu'elle a subi une crise cardiaque alors qu'elle rentrait du travail en voiture).
16 décembre 2023 – 2 sergents instructeurs de l’armée américaine retrouvés morts en 8 jours à Fort Jackson, Caroline du Sud. Allen Burtram, 34 ans, a été retrouvé mort le 8 décembre, Zachary Melton, 30 ans, a été retrouvé mort dans sa voiture le 16 décembre 2023.
- voir photo sur site -
8 décembre 2023 – Tiffany Gilliam, 44 ans, a eu une crise cardiaque alors qu'elle conduisait le 8 décembre 2023 ; « sa voiture s'est dirigée vers la circulation venant en sens inverse », « trois infirmières sont intervenues et l'ont sauvée ».
- voir photo sur site -
12 novembre 2023 – Le producteur de HBO TV, Kevin Turen, âgé de 45 ans, est décédé le 12 novembre 2023. Il revenait d'un tournoi de tennis avec son fils de 10 ans et s'est effondré au volant. Son fils de 10 ans a pris la direction et a arrêté la voiture.
RÉSULTATS DE L'AUTOPSIE – Le producteur de HBO, Kevin Turen, s'est effondré au volant de sa Tesla et son enfant de 10 ans dirigeait la voiture. Il est décédé le 12 novembre 2023.
11 novembre 2023 – Liverpool, Royaume-Uni – John McKeown, 37 ans, s'est effondré à Liverpool le 11 novembre 2023 au volant de sa voiture suite à un arrêt cardiaque. Il a été sauvé par une étudiante infirmière.
- voir photo sur site -
10 novembre 2023 – Chicago, Illinois – Jay Carroll a joué une partie de pickleball, s'est dirigé vers la voiture, a ouvert la portière, s'est effondré et est décédé subitement le 10 novembre 2023. « Tellement béni ! Vaccin n°1 contre la COVID.
- voir photo sur site -
9 novembre 2023 – La star de télé-réalité Brandi Mallory, 40 ans, a été retrouvée morte dans sa voiture le 9 novembre 2023, sur le parking d'un centre commercial après avoir mangé au Chipotle la veille.
- voir photo sur site -
5 novembre 2023 – Granbury, Texas – Tony Monroe a eu un épisode médical alors qu'il conduisait. Il s'est simplement arrêté et est mort.
- voir photo sur site -
Cliquez ici pour lire l'article complet.
*
Le Dr William Makis est un médecin canadien possédant une expertise en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursière de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.
Des chercheurs mettent en garde contre les transfusions sanguines provenant de donneurs vaccinés
21 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Des chercheurs japonais ont publié une étude mettant en garde contre les risques associés à l’utilisation du sang de personnes vaccinées contre le Covid pour les transfusions. Ils affirment également que les professionnels de santé doivent être sensibilisés à ces risques. « Les dommages sanitaires causés par les vaccinations génétiques sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations compétentes prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier, contrôler et éliminer les risques », ont déclaré les scientifiques.
L' étude de Jun Ueda et al a été publiée en prépublication sous le titre « Préoccupations concernant les transfusions de produits sanguins dérivés de receveurs de vaccins génétiques et propositions de mesures spécifiques ». Préoccupations concernant les transfusions de produits sanguins dérivés de receveurs de vaccins génétiques et propositions de
Les injections, qui utilisent un ARNm modifié codant pour la protéine de pointe et des nanoparticules lipidiques comme système d'administration, ont entraîné une thrombose et des dommages cardiovasculaires ultérieurs après la vaccination. Ils ont également été associés à diverses maladies affectant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux.
Sur la base de ces rapports et de la richesse des preuves mises au jour grâce à leurs travaux, les chercheurs alertent les professionnels de la santé sur les différents risques associés aux transfusions sanguines utilisant du sang contaminé par l’ARNm.
Ils demandent désormais la suspension de l’utilisation du sang de personnes ayant reçu des injections d’ARNm de Covid. Mais le problème ne touche pas seulement le sang, comme l’ont découvert les scientifiques.
Les chercheurs mettent en garde les professionnels de la santé : "Il faut également souligner que les questions abordées ici concernent toutes les transplantations d'organes, y compris les greffes de moelle osseuse, et pas seulement les produits sanguins."
Le tableau 1 de l’article résume les six principales préoccupations identifiées par les chercheurs concernant l’utilisation de produits sanguins provenant de receveurs du vaccin à ARNm Covid.
La protéine Spike, l'antigène du SRAS-CoV-2 et du vaccin génétique, a déjà montré divers effets toxiques, notamment sur les globules rouges et l'agrégation plaquettaire, la formation d'amyloïde et la neurotoxicité, écrivent les chercheurs dans leur article.
Il est important de savoir que la protéine Spike elle-même est toxique pour l’homme. Il a également été rapporté que la protéine Spike peut traverser la barrière hémato-encéphalique. Il est donc essentiel que la protéine Spike dérivée du vaccin génétique soit éliminée des produits sanguins.
2. Contamination par des agrégats amyloïdes et des microthrombus formés par des protéines de pointe
On ne sait pas encore comment les agrégats amyloïdes et les microthrombus formés par les protéines de pointe se transforment en thrombus visibles. Cependant, une fois formés, les agrégats amyloïdes ne peuvent pas être facilement décomposés et doivent donc être éliminés des produits sanguins.
3. Événements dus à un système immunitaire affaibli du donneur et à des anomalies immunitaires dues à une empreinte immunitaire ou à un changement de classe vers les IgG4, etc. résultant de l'administration de plusieurs vaccins génétiques
Si la fonction immunitaire d'un donneur est altérée par la vaccination génétique, il existe un risque que le donneur souffre d'une maladie infectieuse (subclinique) ou soit infecté par un virus pathogène et développe une virémie ou d'autres conditions, même si le donneur ne présente aucun symptôme subjectif.
Pour cette raison, les professionnels de la santé qui effectuent des interventions chirurgicales, notamment des prélèvements sanguins et des transplantations d’organes, et qui utilisent des produits sanguins doivent manipuler le sang des receveurs de vaccins génétiques avec précaution afin de prévenir les infections transmissibles par le sang.
De plus, tous les professionnels de santé doivent être informés de ces risques.
4. Nanoparticules lipidiques (« LNP ») et ARNm pseudouridine (vaccins à ARNm uniquement)
Dans le cas des vaccins à ARNm, les LNP et les ARNm pseudouridés peuvent rester dans le sang des receveurs si le sang est prélevé sans délai suffisant après la vaccination génétique.
Les LNP sont hautement inflammatoires et se sont révélées elles-mêmes thrombogènes, posant un risque pour les receveurs de transfusion. Les LNP elles-mêmes ont une forte activité adjuvante et peuvent déclencher un syndrome auto-immun induit par un adjuvant (« syndrome ASIA »).
Un risque supplémentaire est que si l'ARNm pseudouridiné est absorbé dans le sang du receveur alors qu'il est encore conditionné dans des LNP, une protéine de pointe supplémentaire peut être produite dans le corps du receveur.
5. Contamination par des globules rouges ou des plaquettes agrégés
La protéine Spike provoque l'agrégation des globules rouges et des plaquettes, de sorte que ces agrégats entreront dans le sang du receveur s'ils ne sont pas retirés du produit sanguin.
6. Cellules B mémoire produisant des IgG4 et IgG4 produites par elles
De grandes quantités (concentration sérique généralement supérieure à 1,25-1,4 g/L) de plasmocytes non inflammatoires IgG4-positifs peuvent provoquer une inflammation chronique telle que des maladies fibro-inflammatoires.
IgG4 est un anticorps et l'acronyme d'immunoglobuline G4.
Plus tôt, les auteurs ont écrit qu '«une exposition à long terme à un antigène spécifique identique (dans ce cas, la protéine Spike) provoque la transformation des immunoglobulines en IgG4, et certaines des cellules B [ou lymphocytes] qui les produisent sont susceptibles de se différencier en cellules B mémoire. qui survivent dans l'organisme pendant une période plus longue, on s'attend donc à ce que le dysfonctionnement immunitaire chez les receveurs du vaccin génétique dure plus longtemps (Tableau 1, éléments 3 et 6). On s'attend à ce que davantage de détails sur ces points soient révélés à l'avenir.
Les chercheurs proposent également des tests, des méthodes de test et des réglementations spécifiques pour faire face à ces risques.
Dans leur conclusion, les auteurs écrivent :
« Les effets de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils causent sont actuellement inconnus.
« Par conséquent, afin d’éviter ces risques et d’éviter une nouvelle propagation de la contamination sanguine et une aggravation de la situation, nous demandons instamment que la campagne de vaccination avec des vaccins génétiques soit suspendue et qu’une évaluation des avantages et des inconvénients soit réalisée le plus tôt possible.
« Comme nous l’avons répété à plusieurs reprises, les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves et il est grand temps que les pays et les organisations compétentes prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les éliminer.
Les rumeurs selon lesquelles la Croix-Rouge américaine trierait les dons de sang en fonction du statut vaccinal seraient fausses . En Europe également, rien n’indique que les principales organisations de don de sang fassent une distinction. Il existe cependant des initiatives privées.
Canada : la mort sur demande s'applique désormais aussi aux bébés
RépondreSupprimer19.03.2024
www.kla.tv/28515
En 2021, une loi sur la légalisation de l'euthanasie a été introduite au Canada. Depuis cette révision de la loi, le Canada détient le record des cas d'euthanasie. La mort sur demande a augmenté de 60% depuis lors, et nulle part ailleurs dans le monde on ne tue médicalement autant de personnes « sur demande » qu'au Canada.
MédicalcalAssistance in Dying en abrégé MaiD, (euthanasie médicalement assistée) , est un programme du gouvernement canadien qui n'a été conçu à l'origine que pour de rares cas d'adultes gravement malades. Kla.TV a déjà rapporté (kla.tv/26472) que les personnes pauvres et souffrant de troubles psychiques - et même les enfants à partir de 12 ans, ceux qu'on appelle les « mineurs émancipés » - devraient également avoir la possibilité de mourir « volontairement » afin de ne plus être une charge pour la société.
Seule la forte opposition de la population à l'extension de l'euthanasie aux personnes souffrant « uniquement » de troubles psychiques a incité le ministre de la Santé canadien Mark Holland à repousser le projet à mars 2027. Sa justification fallacieuse est qu'il n'y a pas assez de médecins au Canada, notamment de psychiatres, pour évaluer les malades mentaux qui veulent mourir.
Mais les projets récemment annoncés par le Canada de légaliser « l'euthanasie » des jeunes enfants et des nourrissons montrent clairement où l'on va : MAiD réalise ce que beaucoup craignaient : Il semble s'agir d'un programme visant à étendre l'infanticide au lieu de l'euthanasie, également connue sous le nom de « mort dans la dignité », selon une citation tirée du rapport de naturalnews.com.
Petit à petit, tous les autres groupes de population « gênants », tels que les toxicomanes ou les dépressifs, font également l'objet de discussions. Les plans de suicide imposé vont-ils être étendus ?
Certains critiques affirment que le système actuel d'euthanasie est défectueux, car il pousse vers l'euthanasie des personnes qui souffrent d'un manque de traitement ou de soutien. Les nouvelles locales ont fait état de certaines personnes qui, selon leurs propres dires, ont recours à l'euthanasie parce qu'elles manquent d'un logement adéquat ou d'un autre soutien et qui ont justifié leur demande d'euthanasie par un besoin financier et une contrainte. Un exemple : « Grâce à la réglementation de l'euthanasie au Canada, j'ai appris que je n'avais pas les soins et le soutien dont j'avais besoin pour vivre. (...) J'ai été contraint à l'euthanasie par l'abus, la négligence, le manque de soins et les menaces. »
Devant la commission permanente de la justice et des droits de l'homme, un homme a déclaré : « Le gouvernement me considère comme une ordure superflue, un râleur, un inutile et un emmerdeur ».
RépondreSupprimerAu cours du débat, il y a eu des accusations encore plus drastiques et amères contre les soins de santé.
Au-delà de la représentativité de telles déclarations sur la loi sur l'euthanasie au Canada, elles abordent des points délicats. « Un débat sur les abîmes », pouvait-on lire dans un autre article.
À quel moment la société trace-t-elle une limite à l'abîme et au consentement à l'euthanasie ? Car le fait est qu'une limite est clairement franchie ici. En étendant l'euthanasie aux nourrissons, le Canada devient un régime d'homicide. « Un nourrisson n'a pas conscience de lui-même et ne peut pas "se suicider" », selon naturalnews.com. Plus loin, on peut lire : « Les nourrissons veulent vivre, manger et être tenus dans les bras de leurs parents ». Comment un bébé pourrait-il consentir à un suicide assisté ?
Louis Roy, du Collège des médecins de la province de Québec, a expliqué son idéologie devant la Commission spéciale sur l'aide médicale à mourir de la Chambre des communes.
Le Dr Roy estime que dans les cas où un enfant naît avec de « graves malformations », il n'est pas exclu que cet enfant préfère mourir plutôt que de devoir vivre toute sa vie avec de tels problèmes. Selon lui, les nouveau-nés qui naissent avec de graves malformations ou des syndromes graves et sévères devraient avoir droit à une mort médicalement assistée. Mais puisqu'un tel nourrisson ne peut pas décider s'il veut vivre ou mourir, qui prendra cette décision pour lui ? Les médecins ou même les parents « inquiets » ? Sans parler du risque que, sous couvert d'« euthanasie », on se débarrasse de personnes qui ne font que coûter de l'argent à l'État et au système de santé au lieu de payer des impôts. Qui peut alors répondre à la question de savoir si une vie vaut la peine d'être vécue ou non ? Et qui veut assumer le poids de cette décision avec toutes ses conséquences ?
Stefanie Green, une fervente du programme MAiD qui a déjà accompagné plus de 300 personnes vers la mort, est l'un de ces médecins qui pratiquent le suicide assisté. Auparavant, le Dr Green s'occupait des soins en début de vie, elle s'est spécialisée dans la santé des nourrissons et des mères, mais elle s'est maintenant tournée vers les « soins » en fin de vie. « L'un est l'admission, l'autre la sortie », a plaisanté le Dr Green à CTV News en avril 2022. « Ils se ressemblent en ce sens qu'il s'agit dans les deux cas de moments incroyablement intimes. Ce sont des étapes importantes dans la vie d'une personne. Ils sont très intenses. » Elle décrit le moment où elle administre les médicaments de la mort comme un « sentiment fort ». Cette déclaration troublante fait dresser l'oreille. Et on se demande si elle ne cache pas une jouissance de la mort ? Quoi qu'il en soit, la confession du Dr Green rappelle aussi fortement ce qu'on appelle les « anges de la mort », des personnes qui étaient généralement infirmières ou médecins dans des professions médicales et qui « délivraient » leurs patients de leur propre chef. Lorsque ces meurtres ont été découverts, les criminels ont souvent été condamnés comme tueurs en série !
Une autre question se pose alors : les « rédempteurs » autoproclamés de l'époque sont-ils devenus les « assistants » d'aujourd'hui ?
RépondreSupprimerLe lien établi par le portail en ligne Bioedge.org sur l'augmentation significative du nombre de dons d'organes après la légalisation de l'euthanasie au Canada en 2016 n'est pas non plus anodin. Désormais, le Canada est déjà le leader mondial du don d'organes après euthanasie. Bioedge.org a fait état d'une étude américaine publiée en septembre 2022, avec des recherches sur les chiffres concrets de cette pratique controversée. Néanmoins, sur recommandation de l'Ordre des médecins du Québec, le programme canadien MAiD doit maintenant être étendu aux jeunes enfants. La possibilité de prélever et de vendre les organes d'un nourrisson - qui ne peut pas s'opposer à son euthanasie - est un business très lucratif et peu scrupuleux, et la demande ne cesse d'augmenter.
En conclusion, il ne reste plus qu'à conclure que le programme canadien n'est plus depuis longtemps une euthanasie pour les personnes gravement malades, et que le pire de tout est que ce programme fait le jeu des plans globaux de réduction de la population, [voir à ce sujet : Les Gorgia Guidestones kla.tv/5419 et Eugénisme 2.0 kla.tv/23307 (en allemand] dont la mise en pratique, pour le dire crûment, fait penser à une éviscération de personnes sans défense, dont peuvent s'enivrer tous ceux qui sont littéralement tombés dans le culte de Satan. [voir à ce sujet : La secte du sang II kla.tv/27305]
Ce projet ne doit jamais être accepté par la société : Chaque enfant et chaque être humain a un droit absolu à la vie, et aucun d'entre nous n'a le droit de le leur retirer.
de abu./ tt.
Sources / Liens :
Extension du programme d'euthanasie aux nourrissons
https://www.naturalnews.com/2023-11-14-canada-expands-assisted-suicide-killing-infants-profit.html
(Original-Artikel in Englisch)
https://fsspx.news/de/news/kanadische-regierung-prueft-zulassung-von-euthanasie-bei-kindern-16257
https://unwiderlegbarefakt.wixsite.com/wahrheitsiegt/post/kanada-legalisiert-euthanasie-zu-erwerbszwecken-f%C3%BCr-eltern-die-die-geburt-ihres-kindes-bereuen
Don/commerce d'organes après euthanasie
https://legitim.ch/die-ausweitung-des-kanadischen-euthanasie-programms-fuer-behinderte-kinder-ist-ein-vorwand-um-den-organhandel-zu-legalisieren/
https://www.sterbehilfe-debatte.de/neues/aktuell-2023/24-01-23-studie-organspende-sterbehilfe/
Augmentation des cas d'euthanasie
https://www.livenet.ch/news/international/51838_kanada_starke_zunahme_der_euthanasiefaelle
https://deutsche-wirtschafts-nachrichten.de/701471/Kanada-startet-Sterbehilfe-fuer-psychisch-Kranke
(60%-iger Anstieg für Tod auf Verlangen)
Euthanasie pour les toxicomanes
https://www.telepolis.de/features/Kanada-Sterbehilfe-fuer-Drogenabhaengige-9341592.html
Report du projet d'euthanasie des malades mentaux
https://transition-news.org/kanada-erweiterung-der-euthanasie-gesetze-auf-2024-verschoben
(Widerstand in der Bevölkerung)
https://legitim.ch/kanada-stoppt-umstrittenes-euthanasie-programm-fuer-psychisch-kranke-da-es-an-teilnehmenden-aerzten-mangelt/
(Zitat Gesundheitsminister Holland)
Meurtres en série des anges de la mort
https://www.stern.de/panorama/wissen/mensch/mord-im-krankenhaus-die-psychologie-der--todesengel--3885216.html
Kla.TV sur MAiD
https://www.kla.tv/26354
https://www.kla.tv/fr
Le système de castes COVID-19 – Arrive-t-il sur un plateau près de chez vous ?
RépondreSupprimer27 DÉCEMBRE 2020
Par Maryam Henein
Comment se passe la vie sur un plateau hollywoodien après le COVID-19 ? À la lumière de la récente panique de Tom Cruise lors du tournage de Mission : Impossible 7, j’ai décidé de le découvrir.
Cruise, 58 ans, a fait la une des journaux le mardi 15 décembre lorsque The Sun a publié un enregistrement de lui criant à l'équipe du film pour ne pas avoir suivi les protocoles COVID-19.
"Ils sont de retour à Hollywood pour faire des films en ce moment grâce à nous", aurait-il déclaré dans le clip audio. «Je suis au téléphone avec tous les putains de studios la nuit, les compagnies d'assurance, les producteurs. Ils nous regardent et nous utilisent pour faire leurs films. Nous créons des milliers d’emplois, vous, les mères.
Coup de pub pour remettre les salariés en forme ? Ou peur exagérée d’un virus moins mortel que la grippe ?
Tinseltown, qui a été en grande partie fermé de mars à juin, a reçu environ 3 552 demandes de permis de tournage couvrant 2 514 projets uniques au cours des 20 dernières semaines pour des tournages en extérieur dans la seule région de Los Angeles.
Bien que de nombreuses productions télévisuelles et cinématographiques notables soient désormais de retour sur les plateaux de tournage, les choses sont très différentes sous le régime Rona. Pensez à de nouveaux protocoles qui impliquent des tests rapides, des équipes socialement éloignées, des contrôles de thermomètres, l'utilisation d'EPI, des mesures sanitaires régulières comme le fait que les membres de l'équipe se précipitent pour arroser un spritzer à base d'alcool autour des acteurs et des agents de conformité COVID-19, entre autres mesures.
Différent est un mot pour cela.
"Tout cela est tellement étrange, étrange et déconcertant", a récemment déclaré Meryl Streep à Stephen Colbert lors de son Late Show.
Zones, bracelets et pods, oh mon Dieu
« Il y a toujours eu une hiérarchie mais rien de tel. Maintenant, c'est fou », déclare Reet Tarted, une machiniste chevronnée depuis 15 ans qui a travaillé sur une émission Netflix produite par Lions Gate.
Non seulement il existe différentes zones avec leurs propres bracelets à code couleur, mais chaque zone possède également ses propres salles de bains et espaces de rassemblement. Les capsules à bulles en plastique servent de « zones de rétention » pour, disons, les extras.
"C'est comme traîner dans une maison de poupée bouillonnante", explique Tarted.
La « Zone Orange » regroupe la plupart des personnes qui montent sur le plateau une fois le talent libéré. Les Oranges se font tester trois fois par semaine. Pendant ce temps, la Zone Bleue est destinée aux travailleurs non essentiels qui n’ont pas besoin de se rendre régulièrement sur le plateau ; ils ne sont testés qu’une fois par semaine.
RépondreSupprimer"C'est pour les gens qui sont jetables, comme le peintre de décors", plaisante Tarted.
La « zone violette » est composée de membres principaux de l'équipe, comme le réalisateur, ainsi que de toute personne ayant besoin d'entrer en « contact étroit » avec des artistes, comme un maquilleur ou un costumier. Contrairement à la plupart, les acteurs peuvent retirer leur masque littéral lorsque le réalisateur appelle « Action » pour un masque proverbial. Parce qu’après tout, le coronavirus est si intelligent qu’il sait quand entrer en animation suspendue.
Parce que Tarted a été infecté par un cas bénin de Covid19 alors qu’il était sur le tournage, il est désormais considéré comme « sûr » pour entrer dans la « zone violette » pour les trois prochains mois. Son bracelet à code couleur lui donne accès.
« Avant, je me faisais tester cinq jours par semaine en tant que personne de la zone violette, mais maintenant que j'ai des anticorps, je ne me fais plus jamais tester. Je suis imperméable. Je suis content d'avoir attrapé le virus. Ils utilisaient initialement des écouvillons nasaux mais ils étaient trop invasifs ; ils nous mettent maintenant un tampon dans la gorge.
Tarted a été infecté avec une actrice principale et 10 autres membres de l'équipe, ce qui a entraîné la fermeture de la production pendant trois semaines. Il pense que c'est la présence de figurants qui les a rendus malades, mais personnellement, je pense que c'était le test PCR sur écouvillon, car je connais une poignée de personnes qui sont tombées malades APRÈS avoir été testées. Considérez que les premiers tests initiaux effectués par l’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont été entachés.
Tarted m'a dit que cette production particulière de Lions Gate dépensait 175 000 $ par semaine en tests.
Ryan Hodges, un manipulateur chevronné de 20 ans, soupçonne que les personnes au sommet manipulent les tests pour s'assurer que les membres essentiels de l'équipage obtiennent un laissez-passer pour la zone violette. Parce qu’il manipule la caméra, il est considéré comme essentiel à un tournage.
RépondreSupprimer"Compte tenu du niveau de faux positifs de cet outil non diagnostique appelé test RT PCR, ils peuvent modifier les cycles pour obtenir les résultats qu'ils souhaitent", explique Hodges.
Dans un communiqué publié le 14 décembre 2020, l'Organisation mondiale de la santé a finalement reconnu ce que des centaines de milliers de médecins et de professionnels de la santé disaient depuis des mois : le test de réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. est un processus aléatoire, avec beaucoup trop de faux positifs.
« L'organisme de l'ONU cherche désormais clairement à se démarquer de ce test fatalement erroné alors qu'un nombre croissant de procès sont en cours devant les tribunaux, révélant la folie de s'appuyer sur un test que même son inventeur, le professeur Kary B. Mullis, a déclaré qu'il n'avait jamais été possible. conçu pour diagnostiquer les maladies », écrit Principia Scientific.
Une science d'Oxford
« L'organisme de l'ONU cherche désormais clairement à se démarquer de ce test fatalement erroné alors qu'un nombre croissant de procès sont en cours devant les tribunaux, révélant la folie de s'appuyer sur un test que même son inventeur, le professeur Kary B. Mullis, a déclaré qu'il n'avait jamais été possible. conçu pour diagnostiquer les maladies », écrit Principia Scientific.
Un article d'Oxford Science et d'autres affirment que « si une personne a un test PCR positif à un seuil de cycles de 35 ou plus (ce qui se produit dans la plupart des laboratoires aux États-Unis et en Europe), les chances qu'une personne soit infectée sont inférieures à 3 %. La probabilité qu’une personne reçoive un faux positif est de 97 % ou plus.
Quelle que soit l’exactitude des tests, aucun responsable de la conformité ne vit sur le plateau pour s’assurer que les gens respectent les règles.
« Je les appelle les « Covid Karens » du ministère de la Vérité », taquine Hodges. «En gros, ils font le tour du plateau, criant après des gens qui ne sont pas distants de six pieds ou qui ne portent pas de masques. Sur ce tournage Sony, je dois porter deux masques et lorsque les acteurs arrivent sur le plateau, je dois également mettre un écran facial. C’est de la folie.
Alors que les membres de l'équipe que j'ai interviewés ont été confrontés à diverses contraintes liées au COVID, Pamela Greenwalt, directrice des communications et du marketing de SAG-AFTRA, atteste qu'il n'existe qu'une seule norme pour les productions industrielles. Elle m'a renvoyé à l'accord sur les protocoles de retour au travail négocié avec l'industrie du cinéma et de la télévision.
RépondreSupprimer"La grande majorité des membres du SAG-AFTRA travaillant sur le plateau se protègent systématiquement et consciencieusement, ainsi que leurs collègues, en suivant les protocoles de pandémie énoncés dans l'accord de retour au travail", a fait remarquer Duncan Crabtree-Ireland, qui dirige la sécurité et le retour en cas de pandémie du SAG. au travail.
Compte tenu des mesures élaborées et parfois absurdes visant à « arrêter la propagation », il n’est pas étonnant que tout le monde à Hollywood n’ait pas mis au point ce nouveau système. Encore.
Oiseau chanteur
«Je suis immunisé. Je suis immunisé », crie Nico Price, un coursier à moto de Los Angeles, à un groupe de flics qui pointent des armes sur lui. La « munie » (individu immunisé) agite un poignet orné d’un bracelet d’immunité jaune.
Nous sommes en 2024. Et voici une scène de Songbird, un thriller de science-fiction (pas vraiment de science-fiction) de Michael Bay qui vient de sortir. Le virus COVID-19 s’est transformé en COVID-23, entraînant des restrictions brutales. Le monde vit sa quatrième année de pandémie.
Aux États-Unis, les gens sont tenus de prendre leur température sur leur téléphone portable, tandis que les personnes infectées par le COVID-23 sont violemment arrachées de leur domicile contre leur gré et forcées dans des camps de quarantaine, également connus sous le nom de « Q-Zones » ou camps de concentration. .
Ce film m'a rappelé grâce aux zones, aux bracelets, aux individus immunisés et au système de castes qui se forme sans doute sur les plateaux de tournage.
Le film a été tourné en mai, alors que la plupart des productions étaient encore arrêtées. Aucun acteur sur le plateau ne s’est engagé en personne. C’était socialement éloigné au maximum. Film magique, style COVID-19.
Peut-être que les protocoles actuellement mis en œuvre sont considérés comme une amélioration. Mais que se passerait-il si cette classification des personnes liée au COVID-19 était modifiée ? Et si cela était combiné à un score de crédit social pour vous garder en ligne ? Les gens sont-ils si reconnaissants d’avoir un travail qu’ils sont prêts à accepter une nouvelle situation anormale qui implique des tests constants, un lavage au jet de produits chimiques et un travail toute la journée sans voir les visages des membres de votre équipe ?
Comme on dit, le spectacle doit continuer…
RépondreSupprimer** Dans ce nouveau monde censuré, les noms ont été modifiés pour préserver l'anonymat. Big Brother regarde peut-être.
https://www.activistpost.com/2020/12/covid19-caste-system-coming-to-a-set-near-you.html
NOTIFICATION GOOGLE-BLOGGER: (pouce blog 'LE VERT BAVOIR')
RépondreSupprimerContenu réservé aux adultes !!!!
Le blog est en cours d'examen. Il a été placé derrière un message d'avertissement destiné aux lecteurs, car Google a détecté du contenu sensible.
Si vous êtes d'accord avec cette classification, vous pouvez activer/désactiver le paramètre "Afficher l'avertissement pour les lecteurs du blog" ci-dessous. Avec cette auto-identification du contenu réservé aux adultes, vous vous assurez que votre blog sera indexé par les robots d'exploration de la recherche.
Afficher l'avertissement pour les lecteurs du blog
ID de mesure Google Analytics
Top 5 des moments les plus bizarres de Covid : le souvenir d’un étudiant
RépondreSupprimerPar Jack Plimpton
Mises.org
20 mars 2024
En reconnaissance du quatrième anniversaire de la réponse du gouvernement américain au covid, un apprenti Mises partage son expérience en tant qu'étudiant pendant cette période tumultueuse, en soulignant cinq dates qu'il n'oubliera jamais.
5.) Avril 2022 : « Malgré la politique de l’Université visant à assouplir les obligations en matière de masques et à ne plus exiger de masques, nous aurons un vote ouvert dans notre classe la semaine prochaine si nous nous engageons tous à maintenir les exigences en matière de masques pendant ce cours. » C'est ce que m'a dit mon professeur le 1er jour de cours. Notamment, c'était après une année d'enseignement entièrement à distance (2020-2021), suivie de deux trimestres d'enseignement entièrement masqué mais en personne (certains professeurs exigeaient même deux masques) pour l'automne 2021 et l'hiver 2022. De plus, c'était après un double COVID. la dose était également nécessaire. À ce stade, toute personne « non vaccinée » devait prendre contact directement avec un médecin de la faculté de médecine pour expliquer notre justification individuelle pour ne pas recevoir de double dose et de rappel. De plus, ils ont essayé de garantir que nous soyons testés chaque semaine, sinon nos cartes d'accès étudiants seraient signalées et invalidées ; si nous étions positifs ou même dans une classe avec un cas positif, nous devrions manquer 1 à 2 semaines. Oui, même si vous avez eu le COVID le mois précédent et que vous étiez désormais complètement asymptomatique (c'est-à-dire que vous n'êtes pas malade). Pas d’accès à la bibliothèque… pas d’entrée aux amphithéâtres… rien… vous êtes rejeté comme une classe impure et intouchable.
4.) Janvier 2022 : « La variante sud-africaine est particulièrement préoccupante… Je m'attends à ce que tout le monde porte un masque N95 recouvert d'un masque en tissu supplémentaire lorsque nous reprendrons les cours en personne ». J'ai entendu mon professeur sur Zoom expliquer pourquoi nous devions à nouveau nous éloigner pendant quatre semaines après les vacances d'hiver du mois de janvier 2022. Alors que la plupart des universités vivaient une vie complètement revenue à la normale et n'avaient qu'un semestre ou peut-être un an d'interruptions. , les villes bleues des États bleus comme Chicago ont continué à intensifier leurs protocoles. Après les échecs flagrants et les divisions des passeports vaccinaux à New York et dans le monde entier, Lori Lightfoot a délivré des passeports vaccinaux à Chicago à cette époque. De plus, l’Université de Chicago nous a assuré que quatre semaines de cours Zoom en ligne « ralentiraient la propagation » après les vacances, au milieu du retour des étudiants sur le campus. Inutile de vous dire que j'ai abandonné le cours car je ne pouvais plus respecter le professeur malgré sa force intellectuelle en philosophie. Ensuite, j'ai pris l'avion pour l'État libre de Floride et je suis parti dans ce quartier pour échapper aux fous tyranniques et aux perturbations continuelles de la recherche de la vérité. Après plus de 2 ans à le supporter, j’avais fini.
3.) Juin 2020 : Lors de notre déménagement à Chicago, nous avons été accueillis par des chars de la Garde nationale et des équipes SWAT dans des camionnettes banalisées, et tous les ponts de la rivière autour du centre-ville (« The Loop ») ont été surélevés avec des tourelles montées sur des véhicules militaires. De façon hilarante, j'ai pensé : « Mec ! Le COVID doit être vraiment grave ici, et les gens s’opposent aux confinements. J’ai rapidement entendu, puisque je n’étais pas un grand « gars de l’information », qu’il y avait une autre « urgence » à portée de main, qui a mis le COVID en pause. Malgré ces exceptions autorisées aux protocoles COVID pour permettre les manifestations, les pillages, la violence et l'activation d'un mouvement national visant à renverser un président sortant, l'université a décidé de rester en ligne pendant toute l'année scolaire.
RépondreSupprimer2.) Octobre 2021 : « La « liberté » de ne pas être vacciné contre le COVID est la même « liberté » de tirer sur une école avec un AR-15 ». Un professeur titulaire d'éthique a dit cela à notre classe en octobre 2021. À ce moment précis, Israël, le Canada et l'Europe étaient *hautement vaccinés* et connaissaient des épidémies massives malgré (beaucoup) avaient un protocole à double injection de plus de 90 % et un masque N95. mandats. Rachel Maddow de MSNBC répétait de tels arguments, mais quiconque jetait un coup d’œil à la moindre donnée savait qu’il s’agissait d’une propagande trompeuse et farfelue. Je ne m’attendais pas à un amalgame superficiel de termes, surtout sur un principe qui me tient à cœur, comme la liberté. Utiliser de telles tactiques pour brouiller les discours est attendu dans les médias, mais j’ai été surpris de l’entendre sur le campus d’une université prestigieuse et extrêmement rigoureuse.
1.) Printemps 2021 : « La politique officielle de notre hôpital doit être de recommander à tout le monde de recevoir la double dose de COVID, quelle que soit la situation ou les circonstances… cela dit, si vous me demandez un avis personnel… étant donné que vous avez des anticorps démontrables comme nous venons de le faire. détectés ainsi que les lymphocytes T pour le COVID issus de votre exposition naturelle… une personne de votre groupe démographique ne tirera aucun bénéfice démontrable d’une injection d’ARNm pour le moment, ce qui, comme vous l’avez noté, peut également entraîner de graves effets secondaires ». Pourquoi une infirmière devrait-elle se calmer et me donner des conseils médicaux déguisés en conseils « personnels » ? Comme je le soupçonnais, quelque chose se préparait… surtout. J'ai pu voir les fissures dans le récit alors que les politiques officielles essayaient de garder intacts les mensonges trompeurs via la censure, la pression sociale et la coercition pure et simple.
RépondreSupprimerLeçons radicalisantes
Le progressisme est l’idéologie de l’étatisme, de la crédentialisme et de l’abandon sans vergogne des positions politiques, et s’appuie sur un autoritarisme externalisé et irresponsable. En raison de la nature collective de cette coercition, elle est simultanément partout, et pourtant l’autorité dirigeante est insaisissable et « nulle part » pour rendre des comptes. Les critiques sont redirigées vers un autre département ; cela est « hors de notre contrôle » et vous devriez avoir honte même de poser des questions.
La gauche récupérera votre langage et vos valeurs, les portera comme une peau, puis vous réprimandera pour votre résistance. Ils n’ont aucun intérêt intellectuel à comprendre le point de vue d’autrui. La dissidence est une violence. La gauche comprend le pouvoir et la rhétorique. Soumettez, soumettez, soumettez. Acceptez les platitudes vides de sens et les euphémismes concernant les soins, sinon ils rendront votre vie misérable.
La banalité du mal est réelle d'Hannah Arendt : « Faites confiance aux experts » devrait être considéré comme l'équivalent de « Faites confiance au parti ». Il faut se moquer de cela comme si votre professeur grinçant venait de dire : « Faites-moi confiance, mon frère ». Le mal bureaucratique est ennuyeux et ennuyeux. extrêmement cruel, progressif et dépourvu de toute réflexion personnelle et de toute responsabilité ; les décisions sont toujours « hors de votre contrôle ». L’application irrationnelle et cruelle de mandats illogiques se fait sur le dos de ceux qui les appliquent, qui dorment profondément la nuit.
Le syndrome de l’imposteur sévit parmi l’Intelligentsia. La lâcheté, la haine de soi et l’envie sont tout aussi présentes, sinon plus, aux plus hauts niveaux de prouesse intellectuelle. Le désir d’acceptation, de sécurité d’emploi, de respect et de reconnaissance sont les principales motivations des personnes ayant un QI très élevé. Le nectar de ces motivations pourrait être si doux qu’il neutralise la sagesse contenue dans les livres sur lesquels ces intellectuels réfléchissent tout au long de leur vie. Ces livres deviennent un jouet de l’intellect plutôt que d’être incorporés à des vertus réelles et vivantes incarnées simultanément dans la poursuite enivrante de la vérité. Le fardeau de la dette personnelle (hypothèques, factures de carte de crédit, dette étudiante) associé au désir de cohésion sociale et d’acceptation l’emporte régulièrement sur la raison, la logique ou l’amour de la vérité.
Santé : Les pénuries de médicaments ne sont pas une fatalité !
RépondreSupprimerDouze heures par semaine. C’est le temps que passe en moyenne un pharmacien d’officine à chercher des médicaments disponibles pour ses patients. En cause ? La pénurie récurrente de médicaments qui concerne de nombreuses molécules dans notre pays.
le 20 mars 2024 à 5h30
Le gouvernement a fait augmenter le reste à charge pour les médicaments à 1 euro par boîte.
Si nous alertons sur cette situation, c’est parce qu’elle n’a rien d’une fatalité. L’une des raisons est la forte augmentation de la consommation de médicaments au niveau mondial. Hausse à laquelle les outils de production ne parviennent pas à répondre, mais ce n’est pas la seule explication.
Acheter au juste prix
Il y a aussi ce « match » qui se joue entre des industriels à la recherche de la meilleure équation économique ; et des politiques qui privilégient des modèles de santé, exclusivement axés sur les économies budgétaires. En France, nos politiques achètent les médicaments à trop bas prix auprès de laboratoires qui, selon toute logique commerciale, préfèrent vendre aux plus offrants : la Suisse ou l’Allemagne par exemple. Dans ces pays qui leur garantissent de meilleures conditions tarifaires, étonnamment, la pénurie de médicaments n’est pas d’actualité.
Des économies immédiates à portée de main
Nous vivons dans un pays qui se dit en avance, mais ne fait pas cas de nos officines aujourd’hui en danger. Pourtant des solutions existent et il devient urgent de prendre des décisions fortes. La relocalisation de la production de médicaments en fait partie, avec un effort à fournir pour relocaliser des molécules techniques. Une bonne chose serait de parvenir à favoriser l’implantation d’industries pharmaceutiques qui jusqu’à présent, nous ont préféré l’étranger.
Nous nous sommes battus aussi pour l’inclusion effective des médicaments biosimilaires au projet de loi de financement de la sécurité sociale. Cette mesure, pourtant inscrite dans le PLFSS, semble tarder à se mettre en place. Elle est soumise à l’autorisation de l’agence nationale de sécurité du médicament et à des discussions avec des associations de patients. Mais il faut craindre une logique protectionniste et un lobbying bien huilé qui font traîner sa mise en place. Pourtant, les médicaments biosimilaires sont des produits essentiels aux soins curatifs de nombreux patients. Ils coûtent cher et les substituer par des produits biosimilaires « génériqués », 30% moins chers, aurait un effet immédiat sur le budget de la Sécurité Sociale : une économie immédiate de 3 milliards d’euros.
Actuellement seules les grilles de correspondances qui autorisent les pharmaciens à proposer d’autres médicaments et ajuster les grammages des médicaments, donnent des alternatives face aux pénuries. Mais ce n’est pas sans susciter des interrogations de la part des patients.
La loi Rabault un premier pas qui reste insuffisant
RépondreSupprimerQuant à la récente proposition de loi portée par la députée Valérie Rabault sur l’obligation pour les industriels de constituer des hausses de stocks et des sanctions en cas de pénuries. Bien sûr, elle va dans le bon sens, mais elle passe malheureusement par la sanction, un mode de fonctionnement très « culturel » en France. Or le commerce contraint ne va jamais dans le bon sens, et nous plaidons plutôt pour une modification du modèle d’économie budgétaire.
« L’expérience COVID »
RépondreSupprimer19/03/2024
Rédacteurs de l'actualité
L’« expérience Covid » était une classe magistrale dans l’utilisation de l’autorité pour contraindre, intimider et contraindre les masses ignorantes à se conformer à des règles et réglementations inventées concernant le confinement, les masques, la distanciation sociale, l’utilisation de médicaments sûrs et efficaces comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine. , et finalement en forçant une toxine dangereuse, non testée et dangereuse altérant les gènes à être injectée dans leur corps.
(Article republié depuis TheBurningPlatform.com)
Le régime totalitaire qui a infligé ce spectacle d’horreur mondial à l’humanité n’hésite pas à falsifier des données afin de faire avancer son programme maléfique, de sorte que ses statistiques montrant que 81 % des Américains ont reçu au moins une injection semblent suspectes. Surestimer le nombre de moutons qui se sont soumis est une méthode pour convaincre davantage de moutons de le faire. J’estime que près de 60 % des adultes ont reçu le vaccin, sous la menace de sanctions, de perte d’emploi et/ou de privilèges.
Le diagramme de Venn ci-dessous est une représentation précise des techniques utilisées par les « autorités » pour mener cette expérience mondiale visant à déterminer jusqu’où elles pouvaient pousser les gens avant de les repousser. Du point de vue de nos suzerains, cette expérience a été un énorme succès, ouvrant la voie à leur prochain exercice de menace existentielle planifié pour s’enfuir avec une plus grande part de notre richesse, tout en augmentant leur pouvoir et leur contrôle sur nos vies. La soumission continue à leurs demandes entraînera une perte continue de nos libertés et de nos droits civils.
« La disparition du sens des responsabilités est la conséquence la plus grave de la soumission à l’autorité. » ? Stanley Milgram
« Contrôlez la manière dont un homme interprète son monde, et vous avez parcouru un long chemin vers le contrôle de son comportement. C’est pourquoi l’idéologie, tentative d’interprétation de la condition humaine, est toujours un élément marquant des révolutions, des guerres et d’autres circonstances dans lesquelles les individus sont appelés à accomplir des actions extraordinaires. ? Stanley Milgram, Obéissance à l'autorité
La seule chose qui manque dans le diagramme de Venn est une superposition de la propagande d’Edward Bernays, fournissant le modèle sur la manière d’utiliser les médias de propagande du régime pour faire respecter le message nécessaire pour soutenir le récit autoritaire particulier de l’époque. Des aspects clés des trois expériences ont été utilisés pendant la plandémie de covid pour obtenir les résultats souhaités par la classe dirigeante, en utilisant des mesures autoritaires pour forcer les masses à faire ce qu'on leur disait, ou bien. La peur et la haine envers notre gouvernement ont été le résultat de cette expérience covid. Je me tiens résolument du côté de la haine. Les brèves descriptions ci-dessous capturent l’essentiel des expériences :
Expérience de l'autorité Milgram
RépondreSupprimerUne série d'expériences de psychologie sociale ont été menées par le psychologue Stanley Milgram de l'Université de Yale, dans le but de mesurer la volonté des participants à l'étude d'obéir à une figure d'autorité qui leur a demandé d'accomplir des actes incompatibles avec leur conscience personnelle. Les participants ont été amenés à croire qu'ils assistaient à une expérience sans rapport avec celle-ci, dans laquelle ils devaient administrer des chocs électriques à un « apprenant ». Ces fausses décharges électriques ont progressivement augmenté jusqu'à atteindre des niveaux qui auraient été mortels s'ils avaient été réels.
Expérience dans la prison de Stanford
L'expérience de la prison de Stanford visait à examiner les effets psychologiques de l'autorité et de l'impuissance en milieu carcéral. L'étude, dirigée par le professeur de psychologie Philip G. Zimbardo, a recruté des étudiants de Stanford à l'aide d'une annonce dans un journal local. Vingt-quatre étudiants ont été soigneusement sélectionnés et répartis au hasard en groupes de prisonniers et de gardiens. L'expérience, qui devait durer une à deux semaines, a finalement dû être interrompue le sixième jour seulement, car l'expérience a pris une ampleur incontrôlable lorsque les prisonniers ont été contraints d'endurer des abus cruels et déshumanisants de la part de leurs pairs. L’expérience a montré, selon les mots du Dr Zimbardo, comment « des étudiants ordinaires pouvaient faire des choses terribles ».
Expérience de conformité Asch
Les expériences de conformité Asch étaient une série d'expériences psychologiques menées par Solomon Asch dans les années 1950. Les expériences ont révélé à quel point les opinions d’une personne sont influencées par celles d’un groupe. Asch a découvert que les gens étaient prêts à ignorer la réalité et à donner une réponse incorrecte afin de se conformer au reste du groupe.
Diverses adaptations de l’expérience de la Milgram Authority ont été utilisées au cours de « l’expérience Covid » pour atteindre leurs objectifs. Nous avons vu des vidéos d’autoritaires covid infligeant de la douleur à des Américains moyens, les arrêtant de force pour avoir nagé seuls dans l’océan, surfé, assis dans un parc public, fait du jogging et pris une balle dans leur jardin avec leurs enfants. Infliger de la souffrance à ceux qui ne respectent pas les « règles du Covid » a été adopté par les Karens et les Chad à travers le pays. Ils voulaient que les non-conformistes (c’est-à-dire les penseurs critiques) soient licenciés de leur emploi, censurés sur les réseaux sociaux, condamnés à une amende, emprisonnés et transformés en parias sociaux. Ils ont souhaité la mort aux personnes non vaccinées et ont fait des danses de la victoire lorsqu’une personne non vaccinée mourait. Milgram aurait été fier de ces petits tyrans psychopathes.
L’expérience de la prison de Stanford a montré que des gens ordinaires pouvaient devenir des sociopathes fascistes et cruels presque sur ordre, infligeant douleur et torture à ceux qui, à leur avis, méritaient d’être traités de manière inhumaine. Des gouverneurs autoritaires comme Cuomo, Murphy, Whitmer, Wolf et Newsom ont assassiné des personnes âgées en plaçant des patients infectés dans des centres de résidence pour personnes âgées. Des médecins, des administrateurs d’hôpitaux et des infirmières ont assassiné des patients en les mettant sous respirateur, en leur administrant du Remdesivir et en refusant aux patients de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine. Biden, Fauci, Trump, Walensky et le complexe industriel Big Pharma ont assassiné et blessé des millions de personnes en déployant leur vaccin mortel de plusieurs milliards de dollars. L'emprisonnement en cours le 6 janvier des touristes de la capitale dans les cachots de DC sans procès est une punition cruelle et inhumaine comme un message pour tous les penseurs critiques exerçant leurs droits au titre du Premier Amendement.
RépondreSupprimerManifestant de Cuomo
L’expérience Asch Conformity s’est clairement confirmée lors de l’arnaque du covid. Les gens se conforment à la volonté de la foule, même si leur cerveau leur dit que la foule a tort. Ils ne veulent pas être le mouton noir perturbateur dans un troupeau de moutons blancs soumis. Pratiquement tout le monde, lorsqu’on lui a dit de porter un masque, l’a fait sans réticence, même si des études scientifiques ont prouvé que les masques NE FONCTIONNENT PAS. Les masses se sont conformées parce qu'elles croyaient Fauci (alias The Science), Biden, Trump, les faux experts en matière de tubes de seins, les compères d'Hollywood à faible QI, les athlètes au QI inférieur payés par Big Pharma et les têtes parlantes/bimbos débitant le récit de propagande covid sur le médias du régime. Plutôt que de faire leurs propres recherches, les idiots intellectuellement paresseux, distraits par les gadgets, accros aux médias sociaux et endoctrinés par les écoles publiques ont décidé de se conformer, d'obéir et de croire tout ce qu'on leur disait.
Si vous ne croyez pas que nous sommes gouvernés par un gouvernement invisible (alias Deep State) composé d’hommes qui tirent les ficelles de la société et manipulent l’esprit des masses pour obtenir le résultat qui leur profite, alors « l’expérience Covid » devrait lever tout doute. . L’ensemble de l’épisode covid a été planifié à l’avance (Événement 201) avec de multiples objectifs, le tout au bénéfice de ceux qui mènent cette expérience, avec nous comme cobayes jetables dans leur intrigue diabolique. L’orgueil de ces tyrans a pris des proportions épiques, car ils considèrent leur « expérience » comme un triomphe absolu de mesures autoritaire
Nous savons qu’entre 20 et 30 % de la population ont résisté aux mesures imposées par la classe dirigeante de l’État profond, se distinguant ainsi comme la seule ombre au tableau de « l’expérience Covid ». Il ne fait aucun doute qu’ils lanceront leur prochaine « expérience » de totalitarisme dans les neuf prochains mois, alors que l’élection présidentielle risque de faire dérailler leurs efforts en cours pour piller et piller les richesses restantes accumulées par la plèbe. S'agira-t-il d'un effondrement financier machiné, d'une invasion de cannibales haïtiens, d'une maladie créée par un autre laboratoire, de l'activation de millions d'envahisseurs illégaux pour créer le chaos, d'un démantèlement coordonné du réseau électrique et d'Internet, de l'assassinat de Trump et du déclenchement d'une guerre civile, ou enfin de la traversée La ligne rouge de Poutine en Ukraine et le déclenchement d'un conflit mondial ?
RépondreSupprimerAlamy L'image montre une Maria Chappelle-Nadal debout portant une veste rouge avec le commentaire qui dit "No. Je vais. J'espère que Trump est assassiné !'
Résister pendant « l’expérience Covid » signifiait ne pas suivre leur récit et leurs directives. Il s’agissait plutôt d’une résistance passive. Cela ne les a pas empêchés d’atteindre leurs objectifs. Ils ont utilisé cette expérience pour augmenter les dépenses fédérales de 4 400 milliards de dollars à plus de 7 000 milliards de dollars, la majeure partie de l’augmentation allant directement dans les poches de l’État profond, tout en laissant la plèbe avec une inflation galopante, une énorme augmentation de son endettement et un niveau de norme considérablement réduit. de vie.
Pour résister à leur prochaine « expérience » de destruction de notre société, il faudra utiliser ces 300 millions d’armes à feu dispersées parmi les 20 à 30 % de foyers capables et disposés à dire NON. Cela peut sembler trop désastreux et apocalyptique, mais ces psychopathes en costume ne s'arrêteront pas tant qu'ils n'auront pas peur pour leur propre vie. Le temps des approches d’action et de leurs « expérimentations » doit prendre fin si nous espérons avoir un semblant de République qui nous a été donnée il y a 235 ans.
Read more at: TheBurningPlatform.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-19-the-covid-experiment.html
Les principales inquiétudes des scientifiques de Pfizer concernant les dangers des « boosters » de vaccination contre le COVID et de la technologie de l’ARNm SUPPRIMÉES
RépondreSupprimer19/03/2024
Ethan Huff
Des enregistrements inédits du Projet Veritas ont fait surface, exposant les principaux scientifiques de Pfizer discutant de leurs préoccupations concernant les « vaccins » contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) de leur entreprise.
Justin Leslie, analyste en formulation chez Pfizer, a envoyé les enregistrements au Projet Veritas fin 2021, mais pour une raison quelconque, ils n'ont jamais été publiés. Maintenant, pour la première fois, vous pouvez les entendre ci-dessous :
Scientifique principal chez Pfizer, Kanwall Gill en 2021 :
« Nous n’avions aucune idée de ce à quoi cela allait ressembler. Les vaccins à ARNm existent depuis 50 ans, mais aucun n’a fait l’objet d’essais cliniques car on sait que les ARNm ont des effets secondaires.
Merci au lanceur d'alerte @justintegrity_ pic.twitter.com/RZXrRReMxz
– Liam Cosgrove (@cosgrove_iv) 12 mars 2024
L’un des scientifiques entendu parler dans l’enregistrement ci-dessus est Kanwal Gill, scientifique principal chez Pfizer. Gill a exprimé son inquiétude quant à l'utilisation par son entreprise de la technologie de l'ARNm (modRNA) compte tenu de sa longue histoire de tests sans aucune utilisation commerciale réellement approuvée.
Gill a décrit les injections d'ARNm de Pfizer comme « sournoises », avertissant que les effets secondaires latents du vaccin pourraient apparaître longtemps après qu'une personne ait reçu l'injection. Elle a également averti que le processus de formulation des injections d'ARNm de Pfizer avait été considérablement précipité par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis au moyen d'une autorisation d'utilisation d'urgence (EUA), le tout reposant sur le programme Operation Warp Speed du régime Trump pour une libération rapide.
Le scientifique principal de Pfizer en 2021 :
« Il faut 10 ans pour qu’un vaccin soit disponible. Cela prend des années d’observations… nous faisons tout en même temps. »
"Même le PDG de Pfizer et même [le PDG de BioNTech] n'auront pas de réponses... cela devient aussi un jeu d'argent."
"Avant de modifier cette dernière étape de la formulation, la formule devait être maintenue à -80 degrés Celsius", a confirmé Leslie à propos du changement. "Après avoir changé la dernière étape, nous les avons maintenus entre 2 et 8 degrés Celsius."
RépondreSupprimerRUPTURE : @Pfizer explore le virus COVID-19 « en mutation » pour de nouveaux vaccins
"Ne dites cela à personne... Il y a un risque... il faut être très contrôlé pour s'assurer que ce virus que vous mutez ne crée pas quelque chose... de la même manière que le virus a commencé à Wuhan, pour être honnête. "#DirectedEvolution pic.twitter.com/xaRvlD5qTo
– Projet Veritas (@Project_Veritas) 26 janvier 2023
Des nouvelles plus connexes peuvent être trouvées sur BadMedicine.news.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-19-pfizer-scientists-concerns-suppressed-dangers-mrna-covid.html
La médecin légiste vedette du Colorado, Yvonne « Missy » Woods, EXPOSÉE pour fraude présumée aux données – ceux qu’elle a envoyés en prison veulent maintenant que leurs condamnations soient réexaminées
RépondreSupprimer19/03/2024
Ethan Huff
L'un des plus grands scandales dans le domaine des tests ADN médico-légaux se déroule dans le Colorado, où une médecin légiste chevronnée a brusquement quitté son poste l'automne dernier, suite à des allégations selon lesquelles ses méthodes de compilation de données étaient frauduleuses.
Yvonne « Missy » Woods a travaillé comme médecin légiste vedette du Colorado pendant près de trois décennies, fournissant à la police et aux procureurs des données de tests ADN sur certains des crimes les plus médiatisés et les plus déroutants de l’histoire de l’État – jusqu’à ce qu’elle démissionne fin 2023.
Un examen interne du travail de Woods a révélé des anomalies si graves qu'une enquête criminelle a été lancée. Beaucoup se demandent maintenant : le système de justice pénale du Colorado est-il légitime ?
Afin de répondre à cette question, l’État affirme qu’il doit examiner et retester environ 3 000 échantillons d’ADN manipulés par Woods. Le résultat final pourrait être que des milliers de cas considérés comme résolus devraient être réexaminés, préviennent les défenseurs publics.
Les personnes reconnues coupables sur la base des résultats ADN potentiellement corrompus de Woods pourraient finir par poursuivre l'État en justice, et les procureurs se préparent désormais à cette attaque. L’État a également alloué près de 7,5 millions de dollars pour préparer ces éventuels nouveaux procès et révisions de cas, ainsi que les nouveaux tests.
"C'est un gâchis énorme et sans précédent", a déclaré George Brauchler, un ancien procureur de la banlieue de Denver dont le bureau a supervisé de nombreuses affaires dans lesquelles Woods a témoigné. "Je veux savoir : qu'est-ce qu'elle a fait ?"
(Connexe : Saviez-vous que les premiers « vaccins » contre Ebola au monde ont été injectés à des patients du Colorado ?)
Faire rapidement au dépens de la qualité ?
De toute évidence, Woods a pris des raccourcis majeurs dans ses analyses de données. Et cette coupe au coin semble avoir mis derrière les barreaux de nombreuses personnes qui n’auraient peut-être pas leur place là-bas, car les données réelles, si elles avaient été compilées et analysées correctement, ne les incriminent pas.
D'un autre côté, de nombreux vrais criminels ont peut-être été libérés à cause des méfaits de Woods, ce qui constitue une très mauvaise image pour l'État du Colorado et son système de justice pénale.
RépondreSupprimer"Elle continue de garantir la fiabilité et l'intégrité de son travail sur les affaires déposées devant le tribunal, et en particulier dans les affaires dans lesquelles elle a témoigné sous serment", a ajouté Brauchler.
Bien que l’on ignore actuellement quelle révélation a motivé l’examen qui a conduit à ces conclusions, nous savons que les enquêteurs creusent profondément car l’enquête prend beaucoup de temps sans aucune indication quant au moment où elle pourrait être terminée. On ne sait pas non plus si des accusations criminelles seront déposées une fois que tout sera dit et fait.
Nous savons cependant que Woods a commis une fraude en modifiant des données dans certains cas, selon un e-mail du 5 décembre envoyé aux procureurs de tout l'État. Woods a également analysé certains échantillons à plusieurs reprises, dans certains cas, mais n'a rapporté qu'un seul résultat.
Au 5 décembre, les enquêteurs n'avaient découvert aucune preuve que les preuves ADN fournies par Woods étaient inexactes.
"Les services médico-légaux du CBI continuent d'examiner tous les cas traités par Mme Woods au cours de ses 29 ans de carrière", a écrit le directeur du laboratoire Shawn West dans l'e-mail. "La CBI utilise toutes les ressources disponibles pour accélérer ce processus."
La plus grande crainte des procureurs du Colorado est que le travail de mauvaise qualité et frauduleux de Woods puisse aboutir à l'un des deux scénarios cauchemardesques suivants : l'un étant la possibilité que les affaires de Woods aboutissent à une condamnation injustifiée, et l'autre étant que les criminels soient correctement mis derrière les barreaux. a réessayé en raison de ses mauvaises méthodes de test ADN.
« L'impact sur la confiance et l'intégrité du système judiciaire – et sur le travail qui sera requis dans ces affaires – est vraiment important », a commenté Michael Dougherty, procureur du comté de Boulder.
"Nous verrons sans aucun doute des accusés qui ont été condamnés à juste titre essayer d'utiliser cette affaire à leur avantage."
D’autres nouvelles connexes peuvent être trouvées sur ScienceFraud.news.
RépondreSupprimerLes sources de cet article incluent :
WSJ.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-19-colorado-yvonne-woods-data-fraud-prison-convictions.html
L'usine de fabrication de vaccins Pfizer déverse plus de 1 000 gallons de produit chimique nocif CHLORURE DE MÉTHYLÈNE
RépondreSupprimer19/03/2024
Ava Grace
Une usine de fabrication de vaccins dans le Michigan appartenant au géant pharmaceutique Pfizer a déversé plus de 1 000 gallons d'un produit chimique nocif, incitant les autorités à émettre un avis.
L'usine de Pfizer à Kalamazoo aurait déversé environ 1 057 gallons de chlorure de méthylène dans la zone de traitement de l'usine de fabrication, a rapporté FOX 17. Le liquide incolore déversé a été placé dans un drain dédié qui se dirige vers l'usine de récupération d'eau de Kalamazoo (KWRP) pour traitement. Le KWRP est conçu et autorisé pour traiter un maximum de 291 gallons de chlorure de méthylène par jour, soit environ un quart de la quantité de chlorure de méthylène déversée.
Selon la société pharmaceutique basée à New York, l'usine de Kalamazoo est « le plus grand site de fabrication du réseau Pfizer ». D'une superficie de 1 300 acres, l'installation est chargée de fabriquer des ingrédients pharmaceutiques actifs, des produits pharmaceutiques et des dispositifs médicaux. (Connexe : La FDA rejette la dangereuse contamination de l’ADN des vaccins COVID après avoir autorisé Pfizer à modifier son processus de fabrication.)
Compte tenu de cela, les responsables de la ville ont averti les résidents de rester à l'écart de la rivière Kalamazoo sous la forme d'un avis de non-contact (NCA). Ladite NCA a conseillé aux gens d'éviter tout contact avec le tronçon de la rivière allant du pont de la rue Paterson au pont de l'avenue Davis dans le canton de Cooper.
"Nous avons décidé d'émettre [une] NCA pour le tronçon de rivière touché par le rejet de chlorure de méthylène par mesure de précaution", a déclaré Jim Rutherford, responsable de la santé du comté de Kalamazoo. "Cet avis restera en vigueur jusqu'à ce qu'une enquête plus approfondie et un échantillonnage indiquent qu'il n'y a aucun risque pour la santé publique."
Cependant, il est très peu probable que le déversement de chlorure de méthylène ne présente pas de risque pour les résidents de Kalamazoo. Selon l'Occupational Safety and Health Administration (OSHA), le produit chimique est considéré comme « un cancérigène professionnel potentiel ». Il ajoute : "Le moyen d'exposition le plus courant au chlorure de méthylène est l'inhalation et l'exposition cutanée."
L'usine de Kalamazoo a également réalisé des injections contre le COVID-19
Par ailleurs, l’usine de Kalamazoo a également fabriqué les vaccins contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) pour Pfizer, comme l’a révélé le journaliste indépendant Texas Lindsay. Elle a cité un article sur le site Web de la grande société pharmaceutique comme preuve.
Selon l'article de Pfizer, deux installations – le site de Kalamazoo et un autre à Puurs, en Belgique – ont été « rapidement sélectionnées pour développer les processus et fabriquer » les injections du COVID-19 après que Pfizer et son partenaire allemand BioNTech ont accepté de collaborer sur le vaccin. "Les deux usines disposaient de l'espace, du savoir-faire, du personnel et de l'équipement nécessaires pour se mettre au travail immédiatement", ajoute le communiqué.
« En travaillant en tandem, les équipes de Puurs et de Kalamazoo ont commandé les équipements et les récipients dont elles pensaient avoir besoin. [Ils ont également] commencé à modifier les lignes de remplissage existantes ; à construire des cabines de formulation et de nouvelles lignes de remplissage ; à construire des lignes de conditionnement et une « ferme de congélation » ; tout en recrutant et en formant de nouveaux collègues.
RépondreSupprimerL'article racontait également que l'usine de Kalamazoo disposait déjà d'une zone de formulation déjà utilisée pour produire deux médicaments vitaux. Pour éviter toute pénurie de ces deux médicaments, Pfizer s’est mis en quatre pour les fabriquer avant que ladite zone ne soit convertie pour la production de vaccins.
Depuis cet accord de 2020, le site de Kalamazoo a été agrandi. Pfizer a acheté près de 600 grands congélateurs pour stocker des lots de vaccins contre la COVID-19. Elle a également construit deux suites de formulation supplémentaires pour le vaccin en utilisant 13 000 pieds carrés de salles modulaires expédiées du Texas.
Rendez-vous sur BigPharmaNews.com pour plus d’histoires sur Pfizer.
Regardez cette vidéo sur l'ADN reptilien trouvé dans les vaccins COVID-19 de Pfizer, attestant des affirmations selon lesquelles les injections seraient contaminées par des corps étrangers.
Cette vidéo provient de la chaîne Bradley Bravo 1 sur Brighteon.com.
Plus d'histoires connexes:
Quand Hollywood se souciait des déversements de produits chimiques.
Les actions Pfizer PLONGEENT alors que de sombres perspectives économiques pour 2024 émergent.
Le Texas poursuit Pfizer pour « complot visant à censurer les critiques du vaccin »
Un nouveau procès affirme que Pfizer « a sciemment distribué » des médicaments dangereux aux enfants.
Le Sénat australien interroge les représentants de Pfizer et Moderna au sujet du génocide du « vaccin » contre le covid.
Les sources incluent :
100PercentFedUp.com
FOX17Online.com
OSHA.gov
Pfizer.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-19-pfizer-plant-spills-harmful-methylene-chloride-chemical.html
Bret Weinstein du Brownstone Institute atteste que les agences fédérales de santé et les membres du cartel COVID-19 trompent systématiquement le public
RépondreSupprimer20/03/2024
Belle Carter
Le biologiste évolutionniste et membre du Brownstone Institute, le Dr Bret Weinstein, a partagé une déclaration sous serment lors d'une table ronde sur le coronavirus (COVID-19) à Wuhan intitulée « Les agences fédérales de santé et le cartel du COVID : que cachent-elles ? au Sénat américain, accueilli par le sénateur Ron Johnson, le lundi 26 février.
"Je pense que nous devons faire un zoom arrière si nous voulons comprendre le modèle que nous sommes réunis pour explorer, car ce modèle est plus vaste que les agences fédérales de la santé et le cartel du COVID. Si nous faisons un zoom arrière et demandons 'Qu'est-ce qu'ils cachent ?' la réponse devient aussi évidente qu'inquiétante : ils cachent tout", a-t-il déclaré en ouvrant sa déposition. Selon lui, il était choquant pour lui, en tant que scientifique, de parler avec une telle certitude, car ils sont formés à présenter des idées avec prudence, comme des hypothèses nécessitant un test. Cependant, il s'est dit assez sûr et a testé l'idée selon laquelle "nous sommes systématiquement aveuglés" par les "autorités sanitaires".
Il a appuyé son accusation par une explication. "Le schéma est simple. Vous pouvez le tester vous-même : chaque institution dédiée à la recherche publique de la vérité est attaquée simultanément. Elles sont toutes dans un état d'effondrement. Chaque groupe d'experts échoue complètement. Des experts individuels qui résistent, ou Pire encore, ceux qui tentent de ramener leurs institutions à la raison sont contraints à la soumission", a-t-il expliqué. Il a fait valoir qu'ils sont marginalisés ou forcés de partir s'ils ne cèdent pas.
"Nous nous retrouvons dans un paradis pour les imbéciles", a-t-il poursuivi. "Nos universités de recherche dépensent d'énormes sommes d'argent public pour parvenir à des conclusions prédéterminées. Les professeurs n'enseignent que des leçons qui sont cohérentes avec la sagesse que les étudiants ont acquise sur TikTok – même lorsque ces leçons contredisent les principes fondamentaux de leur discipline. Des journaux autrefois fiers comme le New York Le Times et le Washington Post ne rapportent les histoires importantes qu'une fois qu'elles sont devenues de notoriété publique. Les pompes funèbres doivent désormais tirer la sonnette d'alarme sur les schémas manqués par les médecins légistes.
RépondreSupprimerIl a également ajouté que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) sont devenus un excellent guide pour protéger votre santé, mais uniquement pour les personnes qui réalisent que vous devriez faire le contraire de ce qu'ils conseillent. Enfin, il a souligné comment le Département de la Sécurité intérieure a tenté de mettre en place un ministère de la vérité et de présenter une critique précise du gouvernement comme une sorte de terrorisme.
"Mais je peux vous dire que l'on nous refuse systématiquement les outils des Lumières et les droits garantis par notre Constitution. Nous, qui restons attachés aux valeurs de l'Occident, devons mener cette bataille avec courage. Nous devons gagner, car si "Nous n'endiguons pas la marée, le résultat sera un âge sombre qui ne différera des âges sombres précédents que par la puissance et la sophistication des instruments coercitifs qui seront utilisés par ceux qui nous gouverneront", a-t-il conclu son discours.
Johnson : La corruption est désormais révélée en raison de l’échec de la réponse à la pandémie
Au cours du forum, Johnson et d'autres ont parlé de problèmes signalés avec le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), une base de données gérée par deux agences, le CDC et la Food and Drug Administration (FDA).
Johnson a reçu un e-mail d'un homme récemment marié qui a appris que sa femme de 36 ans ne pouvait pas avoir d'enfants après avoir reçu sa deuxième injection de COVID-19. Il a lu la correspondance à haute voix lors dudit forum. "Elle a choisi une carrière, a attrapé le virus du bébé/de la famille et maintenant elle ne peut plus avoir d'enfants", a déclaré le mari. "Elle pleure tout le temps. Elle s'excuse comme si c'était de sa faute. Quelqu'un doit les faire payer. Et nous avons besoin de garanties pour que cela ne se reproduise plus."
Dans une déclaration faite en février au Daily Signal, un porte-parole de la FDA a fait valoir que le système VAERS contient des données brutes et n'est pas concluant en soi. "Le site Web du VAERS est transparent sur les limites du système", a déclaré le porte-parole de la FDA. "Lorsqu'un membre du public ouvre le site Web, l'utilisateur doit alors reconnaître avoir lu et compris des informations spécifiques qui incluent, entre autres détails importants, les données du VAERS accessibles au public incluent uniquement les données du rapport initial au VAERS. Données mises à jour qui contiennent des données Les dossiers médicaux et les corrections signalées lors du suivi sont utilisés par le gouvernement à des fins d'analyse. Cependant, pour de nombreuses raisons, notamment la cohérence des données, ces données modifiées ne sont pas accessibles au public.'" (Connexe : L'enquête du BMJ révèle que le VAERS est en panne, CDC ne respecte pas les normes d'entretien.)
Johnson a fait valoir que les institutions d’élite ont porté atteinte à leur crédibilité pendant la pandémie. "Je crois que la corruption croissante de la science, de la recherche scientifique, des revues médicales, des agences fédérales de santé et, par conséquent, de la pratique de la médecine, a été révélée par l'échec de la réponse à la pandémie", a déclaré Johnson. "Pour réparer les dégâts qui ont été causés, nous devons rechercher la vérité honnêtement et sans relâche."
RépondreSupprimerRegardez ci-dessous la partie des débats du Sénat du 26 février, où Weinstein a partagé son témoignage.
Suivez Deception.news et apprenez-en davantage sur les mensonges pandémiques des autorités sanitaires implantés dans l’esprit du public.
Sources for this article include:
Brownstone.org
DailySignal.com
Rumble.com
https://www.naturalnews.com/2024-03-20-weinstein-attests-covid19-cartel-systematically-blinding-public.html
Nouvel acquittement d'un médecin dans un procès sur les certificats de masques
RépondreSupprimer20 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les opérateurs et les profiteurs de la « pandémie » du Corona ont pris des mesures massives contre les médecins qui ont invoqué leur serment d’Hippocrate et prescrit le meilleur traitement à leurs patients. Cela comprenait principalement des certificats d’exemption de masque. Après tout, il n’y a jamais eu de preuve scientifique de l’effet protecteur des masques contre les virus, mais il existe des preuves claires de leurs nombreux effets nocifs.
Depuis le début, les masques ont été l’un des moyens psychologiques pour susciter la peur dans la population et lui rappeler constamment le prétendu danger de transmettre un virus. D'ailleurs, des avocats israéliens avaient affirmé et prouvé cette intention à partir des protocoles des autorités sanitaires. Néanmoins, les poursuites se poursuivent contre les médecins qui ont délivré des certificats de masques. Le TKP a fait état lundi d'un cas particulièrement flagrant de persécution et d'acquittement à Bochum .
L'avocat Dr. Dr. fait état d'un acquittement tout aussi réjouissant en provenance d'Autriche. Dieter Rautnig, dont le client, le docteur Dr. Franz G. a été acquitté lundi devant le BG Fürstenfeld (en première instance) de l'accusation de falsification de preuves dans 588 cas (!) lors de la troisième audience principale, car la preuve de culpabilité n'a pas pu être apportée.
Ni les faits objectifs (faux certificats) ni les faits subjectifs (intention) de produire Lugurcus au sens de l'article 293 du Code pénal ne peuvent être considérés par le juge comme prouvés.
Un excellent rapport de l'expert allemand Dr. Kai Kisielinski a finalement été décisif dans la décision du juge. En tant qu'auteur principal, le scientifique a écrit et publié un certain nombre d'études et de méta-études dont TKP a fait état à plusieurs reprises au cours des dernières années .
Un autre facteur décisif pour l'acquittement a été le fait que le juge a suivi, entre autres, la ligne de défense selon laquelle une violation de l'article 55 de la loi médicale ne constitue qu'une infraction administrative mais n'a aucune pertinence pénale au sens du Code pénal. En raison de sa très longue expérience en tant que médecin, de ses travaux de recherche spécifiques aux masques et de la conviction médicale personnelle qui en a découlé, son avis médical sur les masques (pas de protection contre les virus mais un risque pour la santé au quotidien) a été considéré comme un avis médical justifiable, et donc une expression légale d'opinion sous forme de confirmations d'exemption de masque (confirmations d'exception) et de les accepter.
La conviction personnelle de ce médecin est de toute façon fidèle à la réalité, car en seulement 10 secondes de réflexion concentrée, on arrive à la conclusion que les masques ne protègent pas, mais sont clairement nocifs. Le processus de réflexion simple requis pour cela peut être lu ici .
RépondreSupprimerLa procureure a néanmoins déposé un recours complet (bien qu'elle ait expressément accepté que le rapport soit lu à haute voix et l'ait donc accepté). Le jugement écrit sera disponible dans environ 4 semaines.
Le public était présent au procès sous la forme de 10 observateurs, mais pas les médias de propagande.
https://tkp.at/2024/03/20/wieder-freispruch-eines-arztes-in-prozess-wegen-maskenattesten/
(...) Les opérateurs et les profiteurs de la « pandémie » du Corona ont pris des mesures massives contre les médecins qui ont invoqué leur serment d’Hippocrate et prescrit le meilleur traitement à leurs patients. Cela comprenait principalement des certificats d’exemption de masque. Après tout, il n’y a jamais eu de preuve scientifique de l’effet protecteur des masques contre les virus, mais il existe des preuves claires de leurs nombreux effets nocifs. (...)
SupprimerN'importe quel établissement qui possède un microscope peut observer un masque sous la lentille. Il y découvre un écart de mailles qui laisse forcément passer des millions de microbes et nano-poussières (TOTALEMENT INOFFENSIVES sauf les poussières radioactives) !
Faut vraiment être LE ROI DES CONS pour soutenir le port du masque hors blocs opératoires !
L'infection au COVID-19 augmente le risque de maladies auto-immunes jusqu'à 30 % : étude
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 20 MARS 2024 - 07H45
Écrit par George Citroner via The Epoch Times
Selon de nouvelles recherches, survivre au COVID-19 peut vous exposer à un risque accru de développer des maladies auto-immunes débilitantes comme la polyarthrite rhumatoïde et le lupus jusqu'à un an après l'infection.
Cependant, l’étude a également révélé que la vaccination contre le virus pourrait réduire considérablement les risques de développer ces maladies inflammatoires potentiellement mortelles.
La gravité de l’infection au COVID-19 joue un rôle important
L'étude, publiée dans Annals of Internal Medicine, a analysé les données nationales sur les réclamations de plus de 10 millions de patients coréens et de 12 millions de patients japonais âgés de 20 ans et plus diagnostiqués avec le COVID-19 entre janvier 2020 et décembre 2021. Les souches dominantes étaient le virus de type sauvage et la variante delta pendant cette période. Les patients atteints de COVID-19 ont été comparés à des patients grippés appariés et à des témoins non infectés.
Un peu moins de 4 % des participants coréens avaient des antécédents de COVID-19, et environ 1 % avaient des antécédents de grippe. Parmi les participants japonais, environ 8 % ont été infectés par le COVID-19 et un peu moins de 1 % ont été infectés par la grippe.
Les chercheurs ont découvert que les patients atteints de COVID-19 présentaient un risque accru de 25 à 30 pour cent de développer une nouvelle maladie rhumatismale auto-immune (AIRD) 30 jours après l’infection par rapport aux individus non infectés.
Un COVID-19 plus grave était lié à un risque plus élevé d’apparition d’AIRD nouvelle, non traitée et traitée, avec des variantes de type sauvage et delta associées au risque d’AIRD. Le risque d’apparition d’une nouvelle AIRD a semblé diminuer avec le temps et a diminué après la première année.
L’infection au COVID-19 est associée à de nombreuses maladies auto-immunes, a déclaré à Epoch Times le Dr Jacob Teitelbaum, interniste certifié spécialisé dans le traitement du syndrome de fatigue chronique et de la fibromyalgie. « Par exemple, il y a une augmentation marquée de l’hyperthyroïdie après le COVID, causée par une attaque auto-immune de la glande thyroïde », a-t-il déclaré. Le système immunitaire étant déjà en état d’alerte face au virus et « ayant du mal à s’arrêter », il n’est pas surprenant que les propres tissus du corps deviennent souvent des dommages collatéraux, a-t-il noté.
"Cette nouvelle étude confirme donc simplement ce qui était déjà attendu", a ajouté le Dr Teitelbaum.
RépondreSupprimerLes vaccins réduisent le risque auto-immun, mais seulement dans les cas bénins
Les résultats suggèrent également que la vaccination contre le COVID-19 a réduit le taux d’AIRD chez les patients ayant reçu une à deux doses ou plus. Ce risque réduit a été observé que le vaccin utilisé soit de type à base d’ARNm ou à vecteur viral.
Cependant, le risque réduit d’AIRD n’était lié qu’aux patients présentant une infection légère au COVID-19, et non à ceux présentant une infection modérée ou grave.
Ceci est remarquable, étant donné les preuves croissantes suggérant que la vaccination contre le COVID-19 pourrait provoquer l’apparition de nouvelles maladies auto-immunes, notamment la glomérulonéphrite auto-immune, l’hépatite auto-immune et les AIRD.
Les AIRD augmentent le risque d’autres conditions graves
Les AIRD impliquent une inflammation des articulations ou du tissu conjonctif causée par des attaques du système immunitaire de l’organisme. Ces maladies peuvent affecter plusieurs organes et systèmes, entraînant un large éventail de symptômes et de complications.
Certains AIRD courants incluent :
Polyarthrite rhumatoïde (PR) : La PR est une maladie auto-immune chronique qui affecte principalement les articulations, provoquant une inflammation, une douleur, une raideur et un gonflement. La PR non traitée peut entraîner des lésions articulaires, des déformations, un handicap, des maladies cardiovasculaires, l'ostéoporose et des problèmes pulmonaires au fil du temps.
Lupus érythémateux systémique (LED) : le LED est une maladie auto-immune systémique affectant divers organes et tissus comme la peau, les articulations, les reins, le cœur, les poumons et le cerveau. Les symptômes peuvent inclure de la fatigue, des douleurs articulaires, des éruptions cutanées, de la fièvre et une inflammation des organes. Les complications impliquent des lésions rénales, des maladies cardiovasculaires, des troubles neurologiques et une susceptibilité accrue aux infections.
Spondylarthrite ankylosante (SA) : La SA affecte principalement la colonne vertébrale et les articulations sacro-iliaques, provoquant une inflammation et éventuellement une fusion des vertèbres, entraînant une raideur de la colonne vertébrale et une mobilité limitée. Cela peut également avoir un impact sur d’autres articulations, yeux et organes. Les complications peuvent inclure des déformations de la colonne vertébrale, une inflammation des yeux et des problèmes cardiovasculaires.
Arthrite psoriasique (RPs) : Le PSA est une maladie auto-immune caractérisée par une inflammation des articulations et des lésions cutanées (psoriasis). En plus des douleurs, des gonflements et des raideurs articulaires, le PSA peut provoquer des modifications des ongles, une inflammation des yeux et une inflammation des tendons (enthésite). Les complications pourraient inclure le diabète et l’hypertension artérielle.
Syndrome de Sjögren : Le syndrome de Sjögren affecte principalement les glandes productrices d'humidité, entraînant une sécheresse des yeux et de la bouche. Cependant, cela peut également provoquer des problèmes systémiques tels que des douleurs articulaires, de la fatigue et une atteinte des organes des reins, des poumons ou du système nerveux. Cela augmente le risque de lymphome et d’autres maladies auto-immunes.
RépondreSupprimerSclérose systémique (sclérodermie) : La sclérodermie se caractérise par une production excessive de collagène, provoquant un épaississement et un durcissement de la peau et des tissus conjonctifs. Elle peut également affecter les organes internes comme les poumons, le cœur, les reins et le tractus gastro-intestinal. Les complications peuvent inclure des saignements gastro-intestinaux, des problèmes pulmonaires et cardiaques et une occlusion intestinale.
Traitement peu coûteux disponible mais ignoré : expert
Les AIRD ont un impact significatif sur la qualité de vie et nécessitent une prise en charge à long terme avec des médicaments, une thérapie physique et des modifications du mode de vie. Une surveillance régulière et des soins complets prodigués par des professionnels de la santé sont essentiels pour gérer ces conditions et minimiser les risques pour la santé.
Cependant, les traitements efficaces mais peu coûteux pour ces affections sont largement ignorés, a déclaré le Dr Teitelbaum.
Il a été démontré que la naltrexone à faible dose, coûtant moins de 1 dollar par jour, soulage la douleur chronique ou les maladies auto-immunes, a-t-il ajouté. De plus, la curcumine hautement absorbée et le Boswellia serrata, présents dans la curcumine, se sont révélés aussi efficaces que Celebrex dans le traitement de la polyarthrite rhumatismale dans une étude comparative, a-t-il noté.
https://www.zerohedge.com/political/covid-19-infection-increases-risk-autoimmune-diseases-30-percent-study
Tranfusions sanguines, donneurs injectés ARNm et covid longs : un nouveau scandale du sang contaminé…
RépondreSupprimerle 20 mars 2024
par pgibertie
Cette étude japonaise propose de tester les donneurs de sangs contaminés par la spike car les produits sanguins obtenus de leur sang sont dangereux. Ces donneurs sont victimes de « covid longs », voient leur état de santé se dégrader. Problème 97% sont vaaccinés… ET SI LE VACCIN ÉTAIT RESPONSABLE
97,5% des victimes de covid longs sont vaccinés… qui disait que les vaccins protégeaient
Publié le 2 mars 2024 par pgibertie
Parmi les participants, 32,6 % étaient des étudiants et 27,7 % étaient des professionnels de santé. La plupart de les participants avaient un IMC normal et aucune comorbidité. Au cours de la maladie, 96,4 % des participants n’ont pas eu … Lire la suite →
La pandémie de coronavirus a été déclarée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2020, et un programme mondial de vaccination génétique a été rapidement mis en œuvre comme solution fondamentale.
Cependant, de nombreux pays à travers le monde ont signalé que les vaccins dits génétiques, tels que ceux utilisant un ARNm modifié codant pour la protéine de pointe et des nanoparticules lipidiques comme système d’administration du médicament, ont entraîné une thrombose post-vaccination et des dommages cardiovasculaires ultérieurs, ainsi que une grande variété de maladies touchant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux.
Dans cet article, sur la base de ces circonstances et du volume de preuves récemment apparues, nous attirons l’attention des professionnels de la santé sur les différents risques associés aux transfusions sanguines utilisant des produits sanguins provenant de personnes ayant souffert d’une longue COVID et de maladies génétiques.les vaccinés, y compris ceux qui ont reçu des vaccins à ARNm, et nous faisons des propositions concernant des tests spécifiques, des méthodes de test et des réglementations pour faire face à ces risques. Nous espérons que cette proposition servira de base à une discussion sur la manière de traiter le syndrome post-vaccinal et ses conséquences suite à ces programmes de vaccination génétique.
https://www.preprints.org/manuscript/202403.0881/v1
https://pgibertie.com/2024/03/20/tranfusions-sanguines-donneurs-injectes-arnm-et-covid-longs-un-nouveau-scandale-du-sang-contamine/
Heureusement que les journalistes et les politiques ne lisent pas le Vidal, la mise à jour n ‘est pas rassurante
RépondreSupprimerle 20 mars 2024
par pgibertie
Mise à jour Vidal (guide de référence des professionnels de la santé) au 21 février 2024 au sujet des vaccins Covid
@MartinZ_uncut
Nous apprenons donc que : le vaccin n’a pas été testé ni sur les personnes immunodéprimées ni sur les personnes en traitement avec des immunosuppresseurs. [C’est à dire celles que nous étions sensées protéger, les tests d’efficacité et de SÉCURITÉ non plus…] on ne connaît toujours pas la durée de protection [No comment – surtout après 3 ans!] il existe un risque ACCRU de myo et péricardites [Et non pas de très rares cas comme annoncé et dit en large et en travers par les médias et les faux matheux] pas de test effectué sur les risques de génotoxicité ni de cancérogénicité (!!!) [bizarre et INCOMPRÉHENSIBLE pour un composé à ARNm…] on ne sait pas si le vaccin passe dans le lait maternel ni dans le placenta [En fait on le sait, les papiers existent amis ils ont sans doute pas osé l’ecrire] les études cliniques ne sont tjs pas terminées [Wow. Comprenez donc bien que TOUS les politiciens et experts télés vous ont menti à ce sujet. Donc que vous avez été TOUS traités comem sujets d’expérimentées station humaine au profit des firmes et ce SANS consentement éclairé – c’est pour CELA que l’on jug´´et condamné MENGELÉ ! 2.
Je vous mets les autres détails Texte du Vidal. – Personnes immunodéprimées L’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été évaluées chez les sujets immunodéprimés, y compris ceux recevant un traitement immunosuppresseur. L’efficacité de Comirnaty peut être diminuée chez les sujets immunodéprimés. [Commentaire perso pour mes collègues, et amis BE- Donc quand le prof Dognée (Namur et la Ministre Moréale font thumbs up pour ce genre de patients de qui se moquent-ils? De plus nous savons que ce produit peut lui-même donner une immuno-dépression ] -Durée de protection La durée de protection conférée par le vaccin n’est pas établie et est toujours en cours d’évaluation dans les essais cliniques. [Commentaire perso – Nous sommes bien dans la phase d’essais cliniques] – Myocardite et péricardite Il existe un risque accru de myocardite et de péricardite après vaccination [Commentaire perso le CDC US l’a rapporté le 18 Aout 2021! Je svt posté le tableau récapitulatif du CDC.!] – Génotoxicité/cancérogénicité Aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée. Il n’est pas attendu que les composants du vaccin (lipides et ARNm) présentent un potentiel génotoxique. [Commentaire perso – well les lipides du LNP sont sur la liste déconseillé pour usage humain!] – Toxicité sur la reproduction Il n’y a pas de donnée disponible concernant le transfert placentaire du vaccin Comirnaty ou son excrétion dans le lait maternel. [Commentaire perso – inexact – la mesure dans le lait maternel est faite] Partagez car le déni est tjs bine présent autour de bous tous! Merci Voici le lien https://vidal.fr/medicaments/comirnaty-30-mcg-dose-dispers-inj-231482.html…
- voir doc sur site -
https://pgibertie.com/2024/03/20/heureusement-que-les-journalistes-et-les-politiques-ne-lisent-pas-le-vidal-la-mise-a-jour-n-est-pas-rassurante/
Les médiocres ont toujours la vengeance tenace, ils veulent se débarrasser du PR Parola
RépondreSupprimerle 19 mars 2024
par pgibertie
@Philippe_Parola
« Oui, L’herbe est bleue ! » Morale: La pire perte de temps est de se disputer avec le fou et le fanatique qui ne se soucient pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de leurs croyances et de leurs illusions… Quand l’ignorance crie, l’intelligence se tait
@BanounHelene
Le biopouvoir s’attaque à 1 médecin exemplaire Pr@Philippe_Parola
On lui reproche quoi? D’avoir soigné en toute légalité! Quelle sanction? Lui retirer ses fonctions de chef de service des maladies infectieuses @aphm_actu Voilà comment on traite les hommes courageux en France
- voir doc sur site -
https://pgibertie.com/2024/03/19/les-mediocres-ont-toujours-la-vengeance-tenace-ils-veulent-se-debarrasser-du-pr-parola/
Projet de loi français : les citoyens qui s'expriment contre le vaccin contre le Covid-19. « 3 ans de prison et 45 000 € d'amende » ?
RépondreSupprimerOups : « Le rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin anti-Covid dit la vérité
Par le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
20 mars 2024
Tous les articles de Global Research peuvent être lus dans 51 langues en activant le menu déroulant « Traduire le site Web » sur la bannière supérieure de notre page d'accueil (version de bureau).
Pour recevoir la newsletter quotidienne de Global Research (articles sélectionnés), cliquez ici .
Visitez-nous et suivez-nous sur Instagram , Twitter et Facebook . N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
Mis à jour le 25 novembre 2024
Récemment, le projet de loi a été adopté par le Sénat français.
5 mars 2024
Introduction
Le 14 février 2024, l'Assemblée nationale française a adopté un projet de loi controversé « visant à renforcer la lutte contre la « dérive sectaire » .
Cliquez ici pour voir la vidéo de l'Assemblée nationale, le 14 février 2024
- voir clip sur site -
Le projet de loi est une initiative du gouvernement français d' Emmanuel Macron qui sera présenté au Sénat par le ministre de l'Intérieur au nom de la Première ministre Elizabeth Borne.
- voir doc sur site -
Traduction de l'auteur du français
Arrêté de présentation
Le Premier ministre,
Sur le rapport du Ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer,
Vu l'article 39 de la Constitution,
Décret:
Ce projet de loi visant à renforcer la lutte contre les dérives sectaires, délibéré en Conseil des ministres après avis du Conseil d'Etat, sera présenté au Sénat par le ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer, qui sera chargé de fixer les raisons et alimentant la discussion, avec le concours du secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer, chargé de la citoyenneté et du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la ville.
RépondreSupprimerParis, le 15 novembre 2023
Signé : Élisabeth BORNE
Par le Premier ministre :
Le ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer
Signé : Gérald DARMANIN
Le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer, chargé de la citoyenneté et auprès du ministre de l'Intérieur et de l'Outre-mer et du ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, chargé de la ville
Signé : Sabrina AGRESTI-ROUBACHE
Débat parlementaire sur « Dérive Sectaire »
Le projet de loi avait été débattu pour la première fois le 13 février 2024.
« Une coalition d'oppositions a rejeté l'article [IV] mardi soir [13 février], comme l'a fait le Sénat fin 2023. Les députés LFI, LR et RN dénoncent une menace pour les « libertés publiques » et pour les « lanceurs d'alerte » qui critiquent l'article. l'industrie pharmaceutique.
Le lendemain (14 février 2024), tard dans la nuit, à l'issue de la période des questions , un vote serré a eu lieu (116-108) annulant le vote de la veille. Environ 40 % des 577 membres de l'Assemblée nationale étaient présents au moment du vote.
Après de longs débats, les députés ont adopté le 14 février en première lecture le projet de loi contre les « abominations sectaires », dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à s'abstenir de soins médicaux ». (« provocation à l'abstention de soins »)
… L'article 4 du chapitre III, propose de modifier le Code pénal pour punir la « provocation » d'une personne malade à « abandonner ou s'abstenir de suivre un traitement médical », si cet abandon est présenté comme bénéfique alors qu'il pourrait entraîner des conséquences dangereuses.
RépondreSupprimer( France Info , traduction de l'auteur, italiques ajoutés)
Selon France Info :
L'article IV, « vise à lutter contre les « charlatans » et les « gourous 2.0 » , qui promeuvent sur Internet des méthodes présentées comme des « solutions miracles » pour guérir des maladies graves comme les cancers. Souvent sans formation scientifique et au mépris de la science, ils peuvent dériver vers des comportements d’influence sectaire.
La « dérive sectaire » se serait considérablement accrue, « notamment à cause de l’épidémie de Covid-19 et de l’utilisation des réseaux sociaux ».
En punissant ces comportements, le délit de « provocation à l'abstention de soins » servirait donc à « combler une réelle lacune de notre arsenal en nous dotant de moyens efficaces pour lutter contre les dérives thérapeutiques d'un sectaire »… Jusqu'à trois ans de prison pour ces « provocations »
Après de longs débats, les députés ont adopté en première lecture le 14 février le projet de loi contre les « abominations sectaires » [dérive sectaire], dans lequel ils ont réintégré le controversé article 4, qui crée un nouveau délit de « provocation à l'abstention de soins médicaux » . ( « provocation à l'abstention de soins ») ( France Info , italiques ajoutés)
Voir l'interview vidéo. Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
« Dérive sectaire » et le projet de loi
Dérive séctaire pointe du doigt la non-conformité en réponse à un discours officiel du gouvernement.
C'est un concept totalitaire.
Il fait référence à la Miviludes, une agence gouvernementale française chargée des mouvements sectaires .
- voir doc sur site -
Le terme aberration est également utilisé pour identifier les groupes.
lien vers le site du gouvernement français
Traduction:
À partir de l'expérience de la Miviludes , qui reçoit quelque 2 000 signalements par an, la dérive sectaire peut être définie ainsi :
La dérive sectaire
Il s'agit d'une détournement de la liberté de pensée, d'opinion ou de religion qui porte atteinte à l'ordre public, aux lois ou règlements, aux droits fondamentaux, à la sécurité ou à l'intégrité des personnes. Elle se caractérise par la mise en œuvre, par un groupe organisé ou par un individu isolé, quelle que soit sa nature ou son activité, de pressions ou de techniques visant à créer, entretenir ou exploiter chez une personne un état de sujétion psychologique ou physique, la privant d'une partie de ses capacités. son libre arbitre, avec des conséquences néfastes pour cette personne, son entourage ou pour la société. (c'est nous qui soulignons)
RépondreSupprimerLe projet de loi étend le concept de « dérive sectaire »
Quel est l’objet du projet de loi :
« …renforcer la lutte contre les dérives sectaires, délibéré en Conseil des ministres
Cela implique de renforcer et d’étendre le concept de dérive sectaire totalitaire à la santé et à la médecine.
Le projet de loi :
» crée un nouveau délit de « provocation à l'abstention de soins ».
Le texte de ce projet de loi est chaotique, avec des propos confus. Il reconnaît que la dérive sectaire s’est considérablement accrue pendant la crise du coronavirus.
Le vaccin Covid-19 est une intention tacite
Le projet de loi ne fait pas explicitement référence au vaccin Covid-19, qui est en fin de compte la bombe. Cela constitue une menace abominable. Il criminalise le mouvement de protestation contre le vaccin Covid-19.
Cela confère une légitimité à un vaccin qui a entraîné une augmentation de la surmortalité.
Ce qu’il laisse entendre, c’est une peine pouvant aller jusqu’à « trois ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende » pour les citoyens français qui osent s’exprimer contre le vaccin contre le Covid-19.
Il s’agit non seulement de milliers de scientifiques et de médecins, mais également de personnes de tous horizons dans les villes et communautés de France.
En même temps, cela porte atteinte aux droits humains fondamentaux. Cela souligne également la criminalisation de la démocratie parlementaire.
Le vaccin Covid-19 tue nos enfants
RépondreSupprimerPfizer tue nos enfants. Et nos gouvernements sont soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.
Selon le nouveau projet de loi français, peut-on être arrêté pour avoir déclaré la vérité :
N os enfants et adolescents meurent dans le monde entier
Étudiante au Lycée Valabre de Luynes-Gardannem, Aix-en-Provence, France, Sofia Benharira, 16 ans est décédée le 21 septembre 2021, 7 jours après avoir reçu le vaccin mortel Pfizer. Crises cardiaques et thrombose.
Cela se produit partout dans le monde.
Des enfants et des adolescents meurent.
- voir photo sur site -
17h06 · 25 septembre 2021
Soit les médias omettent de signaler les décès liés au vaccin, soit ils déclarent (avec autorité) que les décès sont imputables au Covid-19.
Quelle est la vérité. Examinez les preuves. « Surmortalité »
Les preuves qui ont été ouvertement ignorées tant par le gouvernement français que par l’Assemblée nationale sont accablantes :
De nombreuses études confirment que le vaccin Covid-19 a déclenché une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
Visiblement, l’Assemblée Nationale n’a pas reconnu les données provenant de sources officielles qui confirment une tendance à la hausse de la mortalité liée au vaccin Covid-19.
Voir l’importante étude sur la surmortalité intitulée :
Mortalité associée au vaccin COVID-19 dans l’hémisphère sud
Par Pr Denis Rancourt , Dr Marine Baudin , Dr Joseph Hickey , et Dr Jérémie Mercier , le 13 février 2024
- voir doc sur site -
Ce qui est affiché ci-dessous sont des graphiques pour 6 pays, pour consulter tous les graphiques (section 5.1), cliquez ici
Ce qui est révélateur est que pour la plupart des pays, la même tendance caractérise la relation entre la mortalité toutes causes confondues et le nombre de doses administrées.
RépondreSupprimer- voir doc sur site -
Mortalité liée au vaccin : pays sélectionnés.
( Pr Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier)
ACM Toutes causes de mortalité. Nombre de décès par mois
Doses Vax administrées par semaine
Mortalité. Moyenne mobile sur 1 an
- voir graph sur site -
L'administration du vaccin par semaine (par exemple, orange, figure 2) , pour les analyses tous âges dans le présent article, est obtenue à partir des données cumulatives originales (OWID, 2023a) en interpolant pour obtenir toutes les dates, puis en additionnant par semaine. Par conséquent, lorsqu’il y a des sauts soudains dans les données cumulées, cela peut produire une valeur hebdomadaire importante en tant qu’artefact, comme pour les Philippines (Figure 2). De même, les baisses des valeurs cumulées peuvent produire des valeurs hebdomadaires négatives artificielles, comme le montrent quelques cas ci-dessous.
- voir graph sur site -
Morbidité liée au vaccin
La mortalité liée au vaccin Covid-19 s'accompagne d' une morbidité liée au vaccin.
Une récente étude britannique portant sur la surmortalité et la morbidité liées au cancer en Angleterre et au Pays de Galles souligne ce qui suit :
Le tableau ci-dessous concerne les décès excédentaires liés à une tumeur maligne (tumeur cancéreuse) en Angleterre et au Pays de Galles, enregistrés sur trois années consécutives : 2020, 2021 et 2022 par rapport à une tendance sur 10 ans (2010-2019).
Les données de surmortalité en 2020 (l’année précédant le vaccin) sont négatives à l’exception des « tumeurs malignes sans précision de localisation ».
Le vaccin a été lancé au Royaume-Uni en décembre 2020. Le vaccin contre la COVID-19 a été déployé en plusieurs phases en Angleterre et au Pays de Galles à partir du 8 décembre 2020 et jusqu’en mars-avril 2021.
Le mouvement ascendant de la surmortalité (%) commence en 2021. L’augmentation de la surmortalité liée aux tumeurs malignes est comptabilisée pour les deux premières années du vaccin.
- voir doc sur site -
Preuve de cas individuels de mortalité et d’événements indésirables liés au vaccin
RépondreSupprimerConsultez les plus de 300 cas individuels documentés de mortalité et d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19 par le Dr William Makis.
Pour consulter cliquez ci-dessous
- voir doc sur site -
Oups : « Le rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin contre le Covid-19 « dit la vérité »
Que se passe-t-il si vous citez le rapport Pfizer ?
Pouvez-vous être arrêté et emprisonné pour avoir révélé les données sur la mortalité et les événements indésirables contenues dans le rapport confidentiel de Pfizer , rendu public au titre de la liberté d'information ? Ce rapport devrait être consulté et mis à la disposition de millions de personnes :
Le rapport confidentiel fait l'effet d'une bombe. Le vaccin a été lancé à la mi-décembre 2020. Fin février 2021, « Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’effets indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés survenus survenus à la mi-décembre 2020. » 270 grossesses et plus de 2 000 signalements de troubles cardiaques.
Ce Rapport Confidentiel Pfizer fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet vaccinal en décembre 2020 jusqu'à fin février 2021, soit une période très courte (au maximum deux mois et demi).
Les données de mi-décembre 2020 à fin février 2021 confirment sans équivoque « un homicide involontaire ». Sur la base des preuves, Pfizer avait la responsabilité d’annuler et de retirer immédiatement le « vaccin ».
La commercialisation mondiale par Pfizer du vaccin Covid-19 au-delà du 28 février 2021 ne constitue plus un « acte d'homicide involontaire ».
Le meurtre, par opposition à l’homicide involontaire, implique une « intention criminelle ».
Le vaccin Covid 19 de Pfizer constitue un acte pénal. D’un point de vue juridique, il s’agit d’un « acte de meurtre » appliqué dans le monde entier à une population cible de 8 milliards de personnes. Jusqu'à présent, plus de 60 % de la population mondiale a été vaccinée contre le Covid-19.
Pour plus de détails, consultez :
Rapport « secret » de Pfizer sur le vaccin Covid. Au-delà de l'homicide involontaire. Les preuves sont accablantes. Le vaccin devrait être immédiatement retiré dans le monde entier
RépondreSupprimerPar Pr Michel Chossudovsky , 17 février 2024
Voir également
J'accuse ! Les « vaccins » basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent, à vous les peuples, aux populations qu’ils sont censés servir
Par Médecins pour l’éthique du COVID , 22 octobre 2022
Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer.
Extrait du rapport Pfizer, figure 1
- voir doc sur site -
Cliquez ici pour lire le rapport complet de Pfizer.
Remarques finales
Le gouvernement français, l'Assemblée nationale et le Sénat doivent être interpellés par un mouvement de masse à travers la France et l'Union européenne,
Ce à quoi nous assistons est une véritable « criminalisation de l’appareil d’État » par laquelle des politiciens, des parlementaires et de hauts fonctionnaires sont régulièrement soudoyés, cooptés ou menacés pour se conformer à un projet diabolique qui détruit littéralement la vie des gens dans le monde entier.
Nous appelons le Sénat à rejeter l'adoption par l'Assemblée nationale du projet de loi intitulé
Le Projet de Loi visant à renforcer la lutte contre les « Dérivés Sectaires »
Pfizer devrait-il être condamné à une amende de 45 000 euros et à trois ans de prison ?
Ce que contient le rapport « confidentiel » de Pfizer, ce sont des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, l'OMS et les médias.
Les membres de l'Assemblée nationale française doivent prendre connaissance de ce rapport. Devant un tribunal, les preuves contenues dans ce rapport confidentiel des Big Pharma ( associées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales) sont irréfutables : car ce sont leurs données et leurs estimations et non les nôtres.
Il s’agit de facto d’un Mea Culpa de la part de Pfizer. #Oui, c'est un vaccin tueur
RépondreSupprimerPfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part des Big Pharma.
Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.
Il s’agit également d’un Mea Culpa et d’une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.
Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.
Michel Chossudovsky, le 18 février 2024
https://www.globalresearch.ca/frances-draft-law-citizens-who-speak-out-against-the-covid-19-vaccine-3-years-prison-and-e45000-fine/5849818
À tous les blessés du vaccin COVID, regardez cette vidéo. Une fraude est identifiée, on vous a trompé et on vous a menti pour prendre un vaccin dangereux
RépondreSupprimerPar Mark Sexton
Recherche mondiale,
19 mars 2024
Merci de partager largement :
À tous les blessés du vaccin COVID. Veuillez regarder cette vidéo.
La fraude est identifiée et, par conséquent, vous avez été trompé et menti afin de prendre un vaccin dangereux.
Si vous aviez obtenu votre consentement éclairé, comme le prévoit la loi, il est probable que vous ne l'auriez pas obtenu.
Vous avez subi un préjudice inutile et évitable résultant directement de la fraude et des autres actes criminels déjà identifiés.
Il existe des traitements éprouvés, sûrs et efficaces, qui ont fonctionné, mais ils ont été délibérément retenus par la politique gouvernementale et par d'autres preuves des crimes commis contre vous.
Veuillez également voir ma précédente vidéo sur la loi et le consentement éclairé datée du 14/3/24.
Je crois que sans la fraude, vous n'auriez pas été blessé. Ces blessures constituent une agression contre votre personne et un crime en vertu de la loi de 1861 sur les infractions contre la personne.
Pour cette raison, regardez la vidéo et je vous suggère de prendre contact avec la police métropolitaine en indiquant que vous souhaitez déposer une plainte pénale pour agression et d'ajouter vos coordonnées au numéro de crime 01/62447/24.
- voir clip sur site -
Note aux lecteurs : veuillez cliquer sur le bouton de partage ci-dessus. Suivez-nous sur Instagram et Twitter et abonnez-vous à notre chaîne Telegram. N'hésitez pas à republier et à partager largement les articles de Global Research.
Source d'images en vedette
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
par Michel Chossudovsky
Michel Chossudovsky revient en détail sur la façon dont ce projet insidieux « détruit la vie des gens ». Il fournit une analyse complète de tout ce que vous devez savoir sur la « pandémie » – des dimensions médicales aux répercussions économiques et sociales, en passant par les fondements politiques et les impacts mentaux et psychologiques.
« Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le discours officiel qui a été utilisé comme justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du « vaccin » « mortel » contre le COVID-19. Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant.
RépondreSupprimerCommentaires
Il s’agit d’une ressource approfondie d’un grand intérêt si c’est la perspective plus large que vous souhaitez comprendre un peu mieux, l’auteur connaît très bien la géopolitique et cela se reflète dans la manière dont Covid est contextualisé. — Dr Mike Yeadon
Dans cette guerre contre l'humanité dans laquelle nous nous trouvons, dans cet assaut singulier, irrégulier et massif contre la liberté et la bonté des peuples, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. – Dr Emmanuel Garcia
En quinze chapitres scientifiques concis, Michel retrace la fausse pandémie de covid, expliquant comment un test PCR, produisant jusqu'à 97 % de faux positifs prouvés, combiné à une campagne de peur incessante 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, a pu créer une panique mondiale. plandémique » ; que cette plandémie n’aurait jamais été possible sans le fameux test de réaction en chaîne par polymérase modifiant l’ADN – qui à ce jour est imposé à une majorité de personnes innocentes qui n’en ont aucune idée. Ses conclusions sont étayées par des scientifiques de renom. — Peter Koenig
Le professeur Chossudovsky expose la vérité selon laquelle « il n’y a aucune relation causale entre le virus et les variables économiques ». En d’autres termes, ce n’est pas la COVID-19 mais plutôt la mise en œuvre délibérée de mesures de confinement illogiques et sans fondement scientifique qui ont provoqué l’arrêt de l’économie mondiale. – David Skripac
La lecture du livre de Chossudovsky fournit une leçon complète sur la façon dont un coup d'État mondial est en cours appelé « La Grande Réinitialisation » qui, s'il n'est pas résisté et vaincu par les gens épris de liberté partout dans le monde, entraînera un avenir dystopique inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu'il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d’informations et d’analyses précieuses au même endroit. -Edward Curtin
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres
Prix : 11,50 $ COPIE GRATUITE ! Cliquez ici (docsend) et téléchargez .
Vous pouvez également accéder à la version en ligne du livre électronique en cliquant ici .
RépondreSupprimerNous vous encourageons à soutenir le projet de livre électronique en faisant un don via la page de campagne DonorBox « Worldwide Corona Crisis » de Global Research .
https://www.globalresearch.ca/to-all-covid-vaccine-injured-watch-this-video-fraud-is-identified-you-were-tricked-and-lied-to-to-take-an-unsafe-vaccine/5852608
Conduire sous l’influence de l’ARNm : effondrer et écraser votre voiture pendant que vous êtes vacciné contre le COVID-19
RépondreSupprimer25 cas tragiques
Par le Dr William Makis
Recherche mondiale,
21 mars 2024
- voir photo sur site -
2 février 2024 (photo ci-dessus) – Emily Bigham Unkle conduisait lorsqu'elle a eu une crise. On lui a diagnostiqué une tumeur au cerveau.
18 mars 2021 : « Je suis très reconnaissant pour la science et pour l’opportunité d’obtenir ce vaccin.
19 avril 2021 : « Il est si facile de se faire vacciner dans le comté de Hamilton. Ma deuxième dose a pris 10 minutes du début à la fin. Vous ne quittez jamais votre voiture et le processus est si simple.
La tendance à l’effondrement des vaccinés contre le COVID-19 au volant se poursuit (voici 25 cas récents) :
15 février 2024 – Baltimore, MD – Shaney Warehime, ambulancier paramédical de 38 ans, s'est effondré dans sa voiture et a cessé de respirer vers 2 h 20 du matin. La RCR a échoué. En tant qu'ambulancière, elle devait être vaccinée contre la COVID-19.
- voir photo sur site -
5 février 2024 – Brandon, MB, Canada – Le policier Lucien Ethier, 46 ans, est décédé subitement le 5 février 2024. Il « conduisait son véhicule personnel lorsqu'il a eu un problème médical qui a conduit à cet événement tragique ».
- voir photo sur site -
30 janvier 2024 – Coventry, Royaume-Uni – Irene Mayunga Disala, 53 ans, « s'est sentie inconsciente » alors qu'elle conduisait à Coventry et est décédée subitement.
- voir photo sur site -
24 janvier 2024 – Trois personnes sont décédées en une seule journée d’une « crise cardiaque silencieuse » alors qu’elles conduisaient à Madhya, Pradesh, en Inde, âgées de 41, 42 et 57 ans.
- voir photo sur site -
18 janvier 2024 – Queen Creek, Arizona – Sara Bacon, hygiéniste dentaire de 36 ans, est décédée subitement le 18 janvier 2024 (on pense qu'elle a subi une crise cardiaque alors qu'elle rentrait du travail en voiture).
- voir photo sur site -
16 décembre 2023 – 2 sergents instructeurs de l’armée américaine retrouvés morts en 8 jours à Fort Jackson, Caroline du Sud. Allen Burtram, 34 ans, a été retrouvé mort le 8 décembre, Zachary Melton, 30 ans, a été retrouvé mort dans sa voiture le 16 décembre 2023.
RépondreSupprimer- voir photo sur site -
8 décembre 2023 – Tiffany Gilliam, 44 ans, a eu une crise cardiaque alors qu'elle conduisait le 8 décembre 2023 ; « sa voiture s'est dirigée vers la circulation venant en sens inverse », « trois infirmières sont intervenues et l'ont sauvée ».
- voir photo sur site -
12 novembre 2023 – Le producteur de HBO TV, Kevin Turen, âgé de 45 ans, est décédé le 12 novembre 2023. Il revenait d'un tournoi de tennis avec son fils de 10 ans et s'est effondré au volant. Son fils de 10 ans a pris la direction et a arrêté la voiture.
RÉSULTATS DE L'AUTOPSIE – Le producteur de HBO, Kevin Turen, s'est effondré au volant de sa Tesla et son enfant de 10 ans dirigeait la voiture. Il est décédé le 12 novembre 2023.
Autopsie : « dysfonctionnement cardiaque aigu » et « cardiopathie hypertrophique »
- voir photo sur site -
11 novembre 2023 – Liverpool, Royaume-Uni – John McKeown, 37 ans, s'est effondré à Liverpool le 11 novembre 2023 au volant de sa voiture suite à un arrêt cardiaque. Il a été sauvé par une étudiante infirmière.
- voir photo sur site -
10 novembre 2023 – Chicago, Illinois – Jay Carroll a joué une partie de pickleball, s'est dirigé vers la voiture, a ouvert la portière, s'est effondré et est décédé subitement le 10 novembre 2023. « Tellement béni ! Vaccin n°1 contre la COVID.
- voir photo sur site -
9 novembre 2023 – La star de télé-réalité Brandi Mallory, 40 ans, a été retrouvée morte dans sa voiture le 9 novembre 2023, sur le parking d'un centre commercial après avoir mangé au Chipotle la veille.
- voir photo sur site -
5 novembre 2023 – Granbury, Texas – Tony Monroe a eu un épisode médical alors qu'il conduisait. Il s'est simplement arrêté et est mort.
- voir photo sur site -
Cliquez ici pour lire l'article complet.
*
Le Dr William Makis est un médecin canadien possédant une expertise en radiologie, oncologie et immunologie. Médaille du Gouverneur général, boursière de l'Université de Toronto. Auteur de plus de 100 publications médicales évaluées par des pairs.
https://www.globalresearch.ca/driving-under-influence-mrna-collapsing-crashing-your-car-while-covid-19-vaccinated/5852662
Des chercheurs mettent en garde contre les transfusions sanguines provenant de donneurs vaccinés
RépondreSupprimer21 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Des chercheurs japonais ont publié une étude mettant en garde contre les risques associés à l’utilisation du sang de personnes vaccinées contre le Covid pour les transfusions. Ils affirment également que les professionnels de santé doivent être sensibilisés à ces risques.
« Les dommages sanitaires causés par les vaccinations génétiques sont déjà extrêmement graves, et il est grand temps que les pays et les organisations compétentes prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier, contrôler et éliminer les risques », ont déclaré les scientifiques.
L' étude de Jun Ueda et al a été publiée en prépublication sous le titre « Préoccupations concernant les transfusions de produits sanguins dérivés de receveurs de vaccins génétiques et propositions de mesures spécifiques ». Préoccupations concernant les transfusions de produits sanguins dérivés de receveurs de vaccins génétiques et propositions de
Les injections, qui utilisent un ARNm modifié codant pour la protéine de pointe et des nanoparticules lipidiques comme système d'administration, ont entraîné une thrombose et des dommages cardiovasculaires ultérieurs après la vaccination. Ils ont également été associés à diverses maladies affectant tous les organes et systèmes, y compris le système nerveux.
Sur la base de ces rapports et de la richesse des preuves mises au jour grâce à leurs travaux, les chercheurs alertent les professionnels de la santé sur les différents risques associés aux transfusions sanguines utilisant du sang contaminé par l’ARNm.
Ils demandent désormais la suspension de l’utilisation du sang de personnes ayant reçu des injections d’ARNm de Covid. Mais le problème ne touche pas seulement le sang, comme l’ont découvert les scientifiques.
Les chercheurs mettent en garde les professionnels de la santé : "Il faut également souligner que les questions abordées ici concernent toutes les transplantations d'organes, y compris les greffes de moelle osseuse, et pas seulement les produits sanguins."
Le tableau 1 de l’article résume les six principales préoccupations identifiées par les chercheurs concernant l’utilisation de produits sanguins provenant de receveurs du vaccin à ARNm Covid.
1. Contamination des protéines Spike
RépondreSupprimerLa protéine Spike, l'antigène du SRAS-CoV-2 et du vaccin génétique, a déjà montré divers effets toxiques, notamment sur les globules rouges et l'agrégation plaquettaire, la formation d'amyloïde et la neurotoxicité, écrivent les chercheurs dans leur article.
Il est important de savoir que la protéine Spike elle-même est toxique pour l’homme. Il a également été rapporté que la protéine Spike peut traverser la barrière hémato-encéphalique. Il est donc essentiel que la protéine Spike dérivée du vaccin génétique soit éliminée des produits sanguins.
2. Contamination par des agrégats amyloïdes et des microthrombus formés par des protéines de pointe
On ne sait pas encore comment les agrégats amyloïdes et les microthrombus formés par les protéines de pointe se transforment en thrombus visibles. Cependant, une fois formés, les agrégats amyloïdes ne peuvent pas être facilement décomposés et doivent donc être éliminés des produits sanguins.
3. Événements dus à un système immunitaire affaibli du donneur et à des anomalies immunitaires dues à une empreinte immunitaire ou à un changement de classe vers les IgG4, etc. résultant de l'administration de plusieurs vaccins génétiques
Si la fonction immunitaire d'un donneur est altérée par la vaccination génétique, il existe un risque que le donneur souffre d'une maladie infectieuse (subclinique) ou soit infecté par un virus pathogène et développe une virémie ou d'autres conditions, même si le donneur ne présente aucun symptôme subjectif.
Pour cette raison, les professionnels de la santé qui effectuent des interventions chirurgicales, notamment des prélèvements sanguins et des transplantations d’organes, et qui utilisent des produits sanguins doivent manipuler le sang des receveurs de vaccins génétiques avec précaution afin de prévenir les infections transmissibles par le sang.
De plus, tous les professionnels de santé doivent être informés de ces risques.
4. Nanoparticules lipidiques (« LNP ») et ARNm pseudouridine (vaccins à ARNm uniquement)
Dans le cas des vaccins à ARNm, les LNP et les ARNm pseudouridés peuvent rester dans le sang des receveurs si le sang est prélevé sans délai suffisant après la vaccination génétique.
Les LNP sont hautement inflammatoires et se sont révélées elles-mêmes thrombogènes, posant un risque pour les receveurs de transfusion. Les LNP elles-mêmes ont une forte activité adjuvante et peuvent déclencher un syndrome auto-immun induit par un adjuvant (« syndrome ASIA »).
Un risque supplémentaire est que si l'ARNm pseudouridiné est absorbé dans le sang du receveur alors qu'il est encore conditionné dans des LNP, une protéine de pointe supplémentaire peut être produite dans le corps du receveur.
5. Contamination par des globules rouges ou des plaquettes agrégés
La protéine Spike provoque l'agrégation des globules rouges et des plaquettes, de sorte que ces agrégats entreront dans le sang du receveur s'ils ne sont pas retirés du produit sanguin.
6. Cellules B mémoire produisant des IgG4 et IgG4 produites par elles
RépondreSupprimerDe grandes quantités (concentration sérique généralement supérieure à 1,25-1,4 g/L) de plasmocytes non inflammatoires IgG4-positifs peuvent provoquer une inflammation chronique telle que des maladies fibro-inflammatoires.
IgG4 est un anticorps et l'acronyme d'immunoglobuline G4.
Plus tôt, les auteurs ont écrit qu '«une exposition à long terme à un antigène spécifique identique (dans ce cas, la protéine Spike) provoque la transformation des immunoglobulines en IgG4, et certaines des cellules B [ou lymphocytes] qui les produisent sont susceptibles de se différencier en cellules B mémoire. qui survivent dans l'organisme pendant une période plus longue, on s'attend donc à ce que le dysfonctionnement immunitaire chez les receveurs du vaccin génétique dure plus longtemps (Tableau 1, éléments 3 et 6). On s'attend à ce que davantage de détails sur ces points soient révélés à l'avenir.
Les chercheurs proposent également des tests, des méthodes de test et des réglementations spécifiques pour faire face à ces risques.
Dans leur conclusion, les auteurs écrivent :
« Les effets de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dommages réels qu’ils causent sont actuellement inconnus.
« Par conséquent, afin d’éviter ces risques et d’éviter une nouvelle propagation de la contamination sanguine et une aggravation de la situation, nous demandons instamment que la campagne de vaccination avec des vaccins génétiques soit suspendue et qu’une évaluation des avantages et des inconvénients soit réalisée le plus tôt possible.
« Comme nous l’avons répété à plusieurs reprises, les dommages sanitaires causés par la vaccination génétique sont déjà extrêmement graves et il est grand temps que les pays et les organisations compétentes prennent ensemble des mesures concrètes pour identifier les risques, les contrôler et les éliminer.
Les rumeurs selon lesquelles la Croix-Rouge américaine trierait les dons de sang en fonction du statut vaccinal seraient fausses . En Europe également, rien n’indique que les principales organisations de don de sang fassent une distinction. Il existe cependant des initiatives privées.
https://tkp.at/2024/03/21/forscher-warnen-vor-blut-transfusionen-von-geimpften-spendern/