L'humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n'est épargné. Qu'il s'agisse d'économie, de finance, de politique, d'éthique, de médecine ou de tout ce que l'on peut nommer, c'est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu'est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l'on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.
Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l'association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.
AGENDA 2030 de l‘ONU
L'Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un " traité mondial pour l'avenir " auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 "objectifs de durabilité" qui semblent bons à première vue. Si l'on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu'un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l'asservissement de tous les peuples. Afin d'exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa "Grande Réinitialisation". Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l'école du WEF en tant que "Young Global Leaders". Il n'est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l'une des personnalités les plus influentes aujourd'hui. L’agenda 2030 des Nations Unies - un programme en 17points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !
Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.
2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE
L'agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d'entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’humanité.
3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE
L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L'Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d'amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.
4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS
Égalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation » , c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d'une nouvelle religion mondiale, d'un tribunal mondial, d'une police mondiale, d'une banque mondiale, d'une organisation mondiale de la santé et d'un contrôle de la monnaie numérique mondiale.
5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES
La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l'objectif est de mettre l'accent sur l'État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.
6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU
Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l'eau permet aussi d'avoir la mainmise sur la santé des gens, car l'eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d'intoxication, ce qui fait le jeu de l'industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d'eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l'homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d'eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d'interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l'eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l'utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.
7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE
Pour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d'emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s'installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l'économie s'effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d'énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l'intelligence artificielle l'ordonne. L'énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d'accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.
8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS
Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l'étranger, tant qu'ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d'œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d'origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu'une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d'origine des migrants menacera de se désintégrer, l'élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d'œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l'économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l'approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d'imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l'énergie ou la nourriture tributaires de l'obéissance ou du budget carbone.
9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION
Les peuples doivent tous être mis sur un même pied d'égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L'ensemble de l'économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l'introduction d'instances de gouvernance et de contrôle telles que l'identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L'accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d'accès et d'identification numériques. L'habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l'on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d'espace de vie.
10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE
L'objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l'argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l'agenda du Forum économique mondial et de l'ONU. Un revenu de base universel doté d'instances de contrôle appropriées via des comptes gaz carbonique et des monnaies numériques permettra d'influencer directement la consommation ou de l'empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d'éliminer toute individualité culturelle et religieuse. A cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d'autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d'entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.
11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES
Les conflits délibérément créés et provoqués par l'immigration de masse et de main-d'œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n'existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d'assurer la sécurité d'une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l'agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l'agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l'égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d'agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n'auront aucune chance de se défendre contre l'agenda totalitaire. L'État adoptera de nouvelles lois d'expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d'expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d'atteindre les objectifs climatiques. S'ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d'expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l'occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l'État et ne trouveront plus d'alternatives aux villes de 15 minutes.
12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES
Il y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l'attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l'agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu'à présent, tels que le permis de conduire, la carte d'identité, le passeport, l'acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d'identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l'identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l'IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d'utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l'individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu'il peut manger et les substances qu'il doit se faire injecter. L'unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l'obéissance au système. Le moyen de paiement numériques inclura une date d'expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de gaz carbonique et les Nations unies pourront décider comment l'argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l'ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d'autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d'autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l'immobilisation du véhicule si l'infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone.
Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l'expropriation future, l'enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l'or et de l'argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l'achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L'expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d'autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n'ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l'habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.
13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS
La religion pseudo-scientifique d'un changement climatique soi-disant d'origine humaine et l'alarmisme qui l'accompagne visent à permettre l'uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L'expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l'humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l'aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l'atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture de l'ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l'extérieur via des suppléments, afin d'accroître encore la dépendance vis-à-vis de l'industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d'influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l'industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l'énergie, l'eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu'à la mobilité, recevront une empreinte carbone (gaz carbonique) qui sera enregistrée numériquement et associée à l'identité numérique imposée par l'État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu'en fonction du nombre de points de gaz carbonique. C'est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l'environnement, mais ne sert qu'à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d'opposition qui ne croient pas au changement climatique d'origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l'Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.
14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
Les eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l'accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l'utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l'offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d'énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l'acidification des mers sera aggravée par l'industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.
15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L'INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ
Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d'interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L'utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu'avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l'extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l'un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèce végétales à l'aide de produits chimique et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d'elles-mêmes et qui, non seulement n'apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l'équilibre de la nature.
16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
Les monopoles de la violence sont étendus afin d'imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu'une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d'art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d'éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L'individu ne doit plus pouvoir s'appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d'égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l'intérêt supérieur de l'enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.
17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER
La structure derrière les Nations Unies est l'instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d'exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d'intelligence artificielle.
Le plan des élites a été percé à jour : Ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n'est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C'est à nous, en tant qu'humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu'il ne soit trop tard.
de hm. Sources / Liens : Agenda 2030 https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
Le développement du transport électrique pourrait coûter des milliards de dollars aux Américains
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 16 MARS 2024 - 23H40 Rédigé par Bernard L. McNamee via RealClear Wire,
Même si les éoliennes et les panneaux solaires font la une des journaux, le grand sujet énergétique à Washington est le transport d’électricité. Qu'il s'agisse du nouvel intérêt du Congrès pour une réforme des permis, du nouveau Grid Deployment Office du Département américain de l'énergie ou de la prochaine règle finale de la Federal Energy Regulatory Commission (FERC) sur la planification du transport et la répartition des coûts, comment construire et payer le transport à longue distance pour connecter les générateurs aux clients est considéré comme la dernière étape de la quête pour atteindre les objectifs de zéro émission nette.
Comme c’est souvent le cas à Washington, la nécessité de construire davantage de lignes de transmission est acceptée sans conteste et les coûts ne sont pas pris en compte. Mais pour les consommateurs américains, en particulier les personnes âgées et à faible revenu, ainsi que les petites entreprises et les fabricants à forte consommation énergétique, la construction de nouvelles lignes de transmission pourrait entraîner des factures mensuelles beaucoup plus élevées et les laisser obligés de payer des actifs bloqués.
Traditionnellement, les lignes de transmission à haute tension, constituées de pylônes en treillis de 150 pieds traversant le paysage sur des centaines de kilomètres, étaient planifiées par les services publics locaux pour répondre aux besoins énergétiques de leurs clients et soumises à l'approbation des commissions des services publics de l'État. Mais les objectifs des politiques publiques visant à promouvoir les énergies renouvelables modifient la manière dont le réseau est développé.
Au cours des dernières années, les États ont établi des mandats en matière d'énergies renouvelables ; Le Congrès a adopté plus de 1 000 milliards de dollars de subventions publiques pour les énergies renouvelables ; et le président Biden a publié un décret fixant des objectifs de production d’électricité nette zéro d’ici 2035. Pour mettre en œuvre ces politiques, le réseau a besoin de nouvelles lignes de transport à haute tension – en grand nombre – et elles seront coûteuses.
Selon l’analyse « Net-Zero America » publiée par des chercheurs de Princeton, atteindre les objectifs de zéro émission nette avec 100 % d’énergie éolienne et solaire d’ici 2050 nécessitera 3 500 milliards de dollars supplémentaires en dépenses d’investissement pour de nouvelles lignes de transmission. Si les objectifs de zéro émission nette sont poursuivis avec une combinaison de production d’énergies renouvelables, de nucléaire et de gaz naturel (ce qui peut inclure le captage du carbone), alors une partie importante de cet investissement dans le transport serait inutile. En outre, une combinaison équilibrée de ressources distribuables et renouvelables améliorerait la fiabilité du réseau sans surcharger les énergies renouvelables ou le transport.
Ce coût est également dû au fait que les projets d'énergies renouvelables sont souvent construits loin du lieu où l'électricité sera consommée. Par exemple, le Midwest est un endroit idéal pour construire des éoliennes, mais des lignes de transmission longue distance sont nécessaires pour acheminer leur électricité vers les grands centres de population situés sur les côtes. Non seulement ces lignes sont à forte intensité de capital, mais elles nécessitent également l'achat ou la condamnation de propriétés privées pour les implanter. Pour couronner le tout, bon nombre de ces lignes de transmission ne desserviront pas les personnes dont les terres sont utilisées.
Les promoteurs d’énergies renouvelables voient le potentiel de vendre leur électricité dans des systèmes électriques plus chers à proximité des centres urbains, tout en étant en mesure de récolter de généreuses subventions des contribuables. Mais devoir payer pour le transport réduit les bénéfices. De plus, les propriétaires fonciers touchés par les lignes de transmission s’y opposent. La solution : une vague de lobbyistes et d’intérêts particuliers pressant les décideurs politiques d’éliminer les barrières en matière d’autorisation et de socialiser le coût de 3 500 milliards de dollars lié à la construction de nouvelles lignes de transmission pour un plus grand nombre d’Américains.
En réponse, la FERC s'est engagée dans l'élaboration de règles visant à modifier la planification du transport et la répartition des coûts. Parmi les propositions, on demande aux planificateurs de réseaux de prendre en compte des facteurs tels que les « zones géographiques », comme le potentiel éolien dans le Midwest ; les « objectifs de politique publique » étatiques et fédéraux ; et les « tendances » technologiques. S’ils étaient adoptés, ces facteurs fourniraient des moyens plus subjectifs pour justifier la construction de grands projets de transmission coûteux et à longue portée qui seraient financés par un plus grand nombre d’Américains.
Face aux inquiétudes du public concernant les coûts, les partisans du transport affirment désormais qu’il faut davantage de transport pour assurer la fiabilité du réseau. Pourtant, la menace de coupures de courant est le résultat des politiques de zéro émission nette qui nécessitent désormais davantage de transmission. Par exemple, la récente décision du Maryland de fermer la centrale au charbon de Brandon Shores obligera les clients de 12 États et du District de Columbia à payer 796 millions de dollars pour de nouveaux projets de transmission afin de garantir la fiabilité.
Les clients peuvent également devoir payer pour des projets de transport qui ne sont plus nécessaires. Les nouvelles technologies, telles que les petits réacteurs nucléaires modulaires qui peuvent être construits dans les centrales électriques existantes qui ont déjà accès au transport, pourraient éliminer le besoin de nouvelles lignes de transport pour alimenter les générateurs renouvelables. La pression actuelle en faveur d’une réforme du transport pourrait être un autre exemple coûteux de la tentative de Washington de résoudre le problème d’hier. Il ne s’agit pas d’une simple spéculation puisqu’en 2008, les clients ont payé 250 millions de dollars pour la ligne de transmission PATH qui traversait trois États, même si elle n’a jamais été construite et n’a jamais desservi les clients.
Il est temps que les décideurs politiques réaffirment que le réseau électrique existe pour servir les clients, et non les promoteurs et les investisseurs. La planification du transport et la répartition des coûts doivent être guidées par les besoins des clients et supervisées par les régulateurs nationaux les mieux placés pour protéger leurs citoyens. À une époque où l’inflation rend plus difficile la prospérité des familles et des entreprises, imposer des coûts supplémentaires pour le développement du réseau de transport à des intérêts particuliers n’a pas de sens.
Bernard L. McNamee was a Commissioner on the Federal Energy Regulatory Commission from 2018-2020.
Ce n'est pas de changer les câbles ou d'en multiplier le nombre qui va résoudre l'éclairage chez le consommateur mais d'adapter le pays à l'intelligence scientifique.
Qu'est-ce que le transport de l'électricité ?
Le premier tiers va servir uniquement à pousser l'électricité sur les câbles. (Pareil que pour un tuyau d'arrosage qui va permettre d'arroser le jardin jusqu'à 50 m mais pas jusqu'à 100 m car le moteur-pompe manque de puissance pour pousser ces kilos d'eau dans le tuyau). Le deuxième tiers lui, il va se perdre en cours de route ! (Ne pas s'approcher des lignes à hautes tensions. Danger de mort). Et, le troisième tiers lui, il arrive chez le consommateur.
Il est donc important de diviser par 3 la puissance d'une centrale électrique.
- Un kWh = 3,6 MJ ou mégaJoules (3,6 millions de Joules). 1 mégajoule (un million de joules)
😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg (3,61 KW/h à 8,33 KW/h) Feu de bois.......................16 Mj/kg (4,44 KW/h) Gaz naturel......................39 MJ/m³ (10,83 KW/h) Pétrole brut......................45-46 MJ/kg (12,5 KW/h à 12,77 KW/h) Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg (138 888,88 KW/h).
Plus il y a de l'énergie produite plus il y a de perte (çà, c'est certain), mais plus il y aura de consommateur au bout ! C'est pourquoi il est très important de choisir sa centrale électrique plutôt que de se tourner vers des idioties comme l'éolien ou le solaire qui se contentent (par intermittence) à ne produire que de l'énergie sur place.
Le climat est-il perturbé par l’activité humaine ? La réponse est non !
le 16 mars 2024
Lorsque James Hansen arriva à la conclusion que la température de la surface de Vénus était de 461 °C avec une pression atmosphérique au sol de 92 bars alors que l’atmosphère de Vénus est constituée dans une proportion de plus de 92 % de gaz carbonique il en conclut que le gaz carbonique était le candidat pouvant expliquer l’échauffement du climat terrestre que les relevés des stations météorologiques indiquaient relayées par les évaluations de cette température par l’analyse dans les longueurs d’onde infra-rouges à l’aide de satellites. L’accélération de la pesanteur pour la planète Vénus est égale à 8,87 m/s2. Quant à la Terre la température moyenne au sol est égale à 14,85 °C, la pression atmosphérique au sol est de 1 bar ou 1kg/cm² (10 tonnes/m²) et l’accélération de la pesanteur de 9,81 m/s². Hansen raisonna avec son épiderme plutôt qu’avec son cerveau, en d’autres termes il eut comme l’impression que cette différence de température au sol entre les deux planètes ne pouvait s’expliquer que par la présence de gaz carbonique. Or Hansen disposait de toutes les données énumérées ci-dessus et pour un physicien ce ne fut pas très glorieux d’affirmer que tout s’expliquait par cette présence de gaz carbonique comme principal constituant de l’atmosphère vénusienne. Or indépendamment de toute radiation infra-rouge provenant du Soleil la température moyenne au sol ne dépend que du champ gravitationnel de la planète considérée, qu’il s’agisse de Vénus, de la Terre ou même de Mars dont la composition de l’atmosphère est sensiblement identique à celle de Vénus à une différence près : la masse de l’atmosphère de Mars est 30 000 fois inférieure à celle de Vénus et la pression au sol est de 6,36 millibars avec une température au sol à l’équateur qui atteint péniblement 0 °C.
Toutes ces données sont cohérentes car elles s’expliquent par la présence du champ gravitationnel de chacune de ces planètes et la température au sol est décrite par la même équation qui décrit le gradient adiabatique auquel sont soumises ces trois atmosphères : la conclusion est irréfutable, pour un flux solaire entrant et un albedo donné ce n’est pas la composition de l’atmosphère qui importe mais la masse de cette atmosphère et par conséquent la pression au sol qui détermine la température moyenne au sol.
Hansen puis tous les autres climatologues qui se sont précipité sur l’origine anthropique du réchauffement global du climat ont commis la même erreur : ils ont délibérément ignoré l’effet du champ gravitationnel planétaire sur l’atmosphère. Cette erreur est d’une portée considérable car pour bien faire comprendre à tous ceux qui se campent sur leur position frauduleuse de négation de l’effet du champ gravitationnel de la Terre sur l’atmosphère en privilégiant l’effet de serre du gaz carbonique que se passerait-il si l’atmosphère de la Terre était composée de 100 % de ce gaz carbonique ?
Il faut pour apporter une réponse à cette hypothèse tenir compte de la capacité thermique à pression constante du mélange de gaz constituant d’une part l’atmosphère, azote, oxygène, gaz rares, vapeur d’eau et des gaz à l’état de traces comme le krypton, le gaz carbonique, … la valeur de cette capacité thermique est 1005 J/kg/°K [elle peut également s’exprimer en calories/gramme/°C] et d’autre part celle du gaz carbonique pur est de 850 J/kg/°K. Il s’agit d’une expérience de pensée comme le fit Galilée pour montrer que tous les corps tombent au sol à la même vitesse dans le vide. La première conséquence serait un augmentation du gradient adiabatique de – 6,5 °K/km à – 7,2 °K/km et la température au sol diminuerait de 7 °C ! Jamais cet exemple de l’effet du gaz carbonique sur la température moyenne au sol n’a été évoqué par les spécialistes auto-proclamés de l’IPCC. Il existe enfin une menace décrite dans cet article : http://doi.org/10.1007/s00254-008-1615-3 qui fait état d’un refroidissement du climat en raison de l’augmentation de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère telle que mesurée à l’observatoire d’Hawaii.
Il est donc légitime, en abandonnant toute la propagande non seulement mensongère mais contraire aux principes les plus basiques de la thermodynamique du réchauffement du climat d’origine anthropique, de se rendre à l’évidence : le climat de la Terre s’achemine-t-il vers un nouvel épisode du genre « petit âge glaciaire » dont souffrit l’Europe de la fin du dix-septième siècle à la fin du dix-neuvième siècle en raison de cette accumulation de gaz carbonique ou alors un nouvel âge glaciaire de 100 000 ans ? Dans les deux cas l’humanité ne dispose d’aucun pouvoir pour infléchir l’évolution naturelle du climat malgré le fait qu’il s’agit, parait-il, d’un grave problème existentiel. Rassurez-vous car ce seront vos arrières-petits-enfants qui en souffriront … Après nous le déluge … de glace ! Source : « The Rational Climate e-Book » Patrice Poyet, 2022.
Chaque planète A son pouvoir de rétention. Il est donc évident que les gaz qui l'entourent subissent cette gravité d'approcher l'élément aimanté. Le gaz carbonique étant le gaz le plus lourd de l’immensité inter-galactique il se rapproche donc de l’aimant ferrique qui constitue une étoile qui - deviendra - si il y a collision d'une masse d'eau qui voyage entre les étoiles - une planète telle qu'est devenue la notre. L'obtention de vies sur l'une de ces masses ferriques incandescentes dépend donc de l'addition décrite ci-dessus.
Le changement climatique ne provoque pas plus d’événements météorologiques extrêmes qu’auparavant
17 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
TKP a fait état hier de l'intention de la Banque centrale européenne de s'impliquer dans la politique climatique. Cela est justifié par toute une série de désinformations, notamment l’affirmation fausse selon laquelle les conditions météorologiques extrêmes sont désormais plus nombreuses en raison du changement climatique. Comme expliqué dans l'article, même la base de données Our World in Data maintenue par l'Université Johns Hopkins réfute cette affirmation. Mais de nombreuses études le font également.
Les médias d’entreprise et gouvernementaux ne se lassent jamais de répandre des affirmations selon lesquelles il y aurait davantage de chaleur/froid, de sécheresse/inondations, de tempêtes/calme, d’incendies de forêt et leur contraire à cause du changement climatique et du réchauffement de la planète. Le TKP a fait état à plusieurs reprises d’études montrant que les phénomènes météorologiques extrêmes sont en réalité en baisse. Les périodes de sécheresse tendent à se réduire, les ouragans aussi , et les tornades fortes et violentes depuis 1950, pour n'en citer que quelques-unes.
Un autre mensonge souvent répété concerne l’augmentation des épisodes de fortes pluies ou l’augmentation générale des précipitations. NoTricksZone a récemment cité trois études publiées cette année qui ne montrent aucun changement .
Parmi eux se trouve un nouveau document de recherche de Mitchell et Knapp intitulé « Reconstructing Historical Intense and Total Summer Rainfall in Central North Carolina Using Tree-ring Data (1770-2020) ». 1770-2020). Dans un site d'étude du sud-est des États-Unis , les auteurs montrent qu'il n'y a eu aucune tendance significative ni dans les précipitations totales ni dans les événements de pluies intenses (IRE) au cours des 250 dernières années (1770-2020).
Cependant, il y a eu plus de précipitations IRE de 1936 à 1959 que de 1960 à 2020. Les 60 dernières années ont en effet les valeurs de précipitations extrêmes les plus basses de l'étude, avec des valeurs moyennes de 81,20 mm pour 1770-1935 et 230,45 mm pour 1936-1959, mais seulement 168,27 mm pour 1960-2020.
"Malgré la variabilité interannuelle, les précipitations IRE (précipitations intenses) et les précipitations totales ne montrent pas de tendance significative (p < 0,05) avec le temps (année) au cours de la période d'étude observée de 1940 à 2020."
« De même, les valeurs reconstruites des précipitations totales et des précipitations IRE sont restées stables sur la période reconstruite à plus long terme (c'est-à-dire 1770-2020) et ne montrent aucune corrélation significative avec le temps (année). Les reconstitutions des précipitations totales et des précipitations IRE montrent les mêmes changements de régime significatifs au cours de la période de reconstruction (Figure 3) : 1770-1935, 1936-1959 (humidité supérieure à la moyenne) et 1960-2020 (humidité inférieure à la moyenne). Les valeurs moyennes des précipitations totales pour chaque régime sont de 347,45 mm (1770-1935), 409,70 mm (1936-1959) et 331,11 mm (1960-2020), tandis que les valeurs moyennes des précipitations IRE pour chaque régime sont de 181,20 mm ( 1770-1935), 230,45 mm (1936-1959) et 168,27 mm (1960-2020), indiquant que l'IRE et les précipitations totales sont restées largement stables depuis 1770, à l'exception de la période de régime 1936-1959.
- voir graph sur site -
Figure 1. Précipitations totales (a) et précipitations IRE (b) entre 1940 et 2020 (lignes violettes observées) et 1770-2020 (lignes vertes reconstruites). Les précipitations IRE représentent 52% des précipitations totales pendant la période instrumentale observée et 52% pendant la période de reconstruction.
- voir graph sur site -
Figure 4. Fréquence IRE (axe Y) par an (axe X) sur la période 1940-2020. Au cours de la première période d'analyse 1940-1980 (barres violettes), la fréquence IRE a dépassé le seuil de 5 IRE/été (ligne noire) 10 fois, tandis qu'au cours de la période tardive 1981-2020 (barres vertes), la fréquence IRE a dépassé le seuil (ligne noire). ligne) dépassé 9 fois, les valeurs maximales étant plus petites.
Les deux autres articles montrent des résultats similaires pour le nord-ouest de la Turquie entre 1858 et 2015 ( Irdem et Coskun, 2024 ) et pour l'est de la Chine depuis 1896 ( Sun et al., 2024 ).
ANSES et nouvelles techniques génomiques : chronique d'une (possible) manipulation médiatique du Monde de M. S...
17 Mars 2024
La publication d'un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) sur les NGT a-t-elle été bloquée sur pression politique, comme l'a affirmé M. Stéphane Foucart – dans une chronique, pas un article d'information – dans le Monde ? L'allégation est invérifiable. Mais les circonstances de des publications du Monde interrogent...
J'ai du retard dans mes vitupérations. Mais c'est peut-être une bonne chose dans le cas présent.
Le 18 février 2024, le Monde publiait sur la toile une chronique de M. Stéphane Foucart, « Sur l’environnement, le divorce entre la Macronie et la communauté scientifique est désormais consommé » (c'est une citation extraite de l'article).
Une production dans la norme : méandreuse, filandreuse et un tantinet fielleuse.
En chapô :
« Un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail sur les plantes issues des nouvelles techniques génomiques a été bloqué, sur pression politique. Un signe, parmi d’autres, de la rupture entre la communauté scientifique et l’exécutif, affirme, dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au "Monde". »
Dans l'édition papier, le titre est raccourci pour s'étaler sur les deux colonnes attribuées traditionnellement aux chroniques : « La pilule amère pour les chercheurs ». Et il y a, comme d'usage, deux pavés : « Sur l'environnement, le divorce entre la Macronie et la communauté scientifique est consommé » et « Un rapport de l'ANSES sur les "nouveaux OGM" a été bloqué sur pression politique »
« La Communauté scientifique » ?
Commençons, comme il se doit, par le hors-d'œuvre, la question de « la communauté scientifique ».
L'auteur de la chronique se prévaut de lettres ouvertes, tribunes, etc. signées par des personnes se prévalant de leur statut de scientifiques et publiées notamment dans le Monde, L'Obs et la Croix à propos d'Écophyto et du projet d'autoroute A69 entre Castres et Toulouse.
Bien entendu, ces écrits – aussi abondamment signés soient-ils pour certains – ne sauraient autoriser l'article défini employé par un auteur de chroniques orfèvre en matière de sculpture d'opinions et aux connaissances grammaticales et sémantiques avérées.
En outre, on peut trouver pathétique le « Pesticides : "Nous, chercheurs et chercheuses, dénonçons une mise au placard des connaissances scientifiques" » éructé par des auteurs/contributeurs d'expertises collectives de l'INSERM, de l'INRAE et de l'IFREMER.
Ils étaient mécontents de la « mise en pause » du volet d'Écophyto fixant un objectif de 50 % de réduction de l'usage des pesticides (nouvelle date cible : 2030) ? Pourtant, ils savaient pertinemment que c'était le temps de définir (officiellement) un nouvel indicateur, qui était du reste déjà connu. Cela interroge sur l'impartialité des signataires et, partant, sur le produit de leurs travaux.
« Nos expertises scientifiques collectives ont démontré l’ampleur des impacts des pesticides sur la santé humaine et l’environnement, et mis en évidence des alternatives agroécologiques capables de répondre aux enjeux environnementaux tout en préservant la production agricole. Nos travaux ont aussi identifié les verrous socio-économiques et institutionnels qui limitent le déploiement des alternatives, et les leviers pour les dépasser. »
À lire cela, nous devons conclure que nous sommes dans une situation catastrophique, voire apocalyptique... Il s'agit pourtant d'une situation gérée et étroitement encadrée.
Dans l'Obs, on voit mal la science s'exprimer dans « Normes, Ecophyto… Les réponses du gouvernement à la colère agricole risquent d’être contreproductives ». On ne déniera pas aux signataires le droit de donner des avis, mais impliquer la communauté scientifique, dans son ensemble, dans ces avis est particulièrement audacieux.
Dans la Croix, « Pesticides, l’appel de 140 scientifiques : "La science n’est pas une option" », 140 « scientifiques » – en fait des milieux de la sociologie – nous « rappellent que la nocivité des pesticides est un fait scientifique ». Merci bien ! Ils nous rebattent aussi les oreilles avec un « déni de la recherche scientifique ». Ah oui ?
« Les travaux de sciences sociales ont montré que les industries des pesticides ont, tout au long du 20ème siècle et jusqu’à aujourd’hui, développé de nombreuses stratégies pour maintenir l’ignorance sur les effets sanitaires des pesticides et fabriquer volontairement du doute. »
Formidable constat... Mais il y a aussi (c'est nous qui graissons) :
« Une agriculture moins dépendante des pesticides peut être une agriculture qui dégage plus de revenus pour les agriculteurs si les soutiens publics et les règles de marché sont mieux pensés. Une agriculture moins dépendante des pesticides est peut-être une agriculture qui renforce certaines contraintes physiques (mais pas toujours), mais c’est aussi une agriculture qui, parce qu’elle implique une réappropriation du travail et des savoirs agronomiques, peut redonner du sens et de l’autonomie au travail. [...] »
Et l'A69 ? À ce jour où j'écris, 1.881 signataires d'un texte des Scientifiques en Rébellion. La Cour des Miracles... fermez le ban. Euh non ! On cherche la science derrière ce catalogue de récriminations.
M. Stéphane Foucart nous a même annoncé que « [d]'autres prises de position collectives, sur la gestion de l'eau notamment, ne devraient pas tarder ». Quel rôle joue-il dans ces affaires ?
Un rapport de l'ANSES bloqué sur pression politique ?
Ce serait un scoop ! Or, curieusement, la « révélation » est faite dans une chronique – l'expression d'une opinion – et sous un titre qui ne l'annonce pas.
Le chapô de la version électronique est tout aussi curieux :
« Un rapport de l’[ANSES] a été bloqué, sur pression politique. Un signe, parmi d’autres, de la rupture entre la communauté scientifique et l’exécutif [...] »
Voilà donc l'ANSES – si souvent vilipendée, comme l'EFSA, quand ses avis ne plaisent pas à la bien-pensance – intégrée dans la communauté scientifique !
On aurait aussi pu penser qu'une telle « information » aurait déclenché un tir nourri dans les médias contre le gouvernement. Ce ne fut pas le cas...
L'histoire commence par une affirmation péremptoire :
« Que le pouvoir en place bloque la publication d’un rapport d’expertise n’est jamais anodin. [...] »
Le fait est/serait donc acquis. Mais la suite est plus prudente. Les démarches entreprises pour étayer l'allégation aboutissent en effet à ceci :
« Interrogé le 8 février par Le Monde, le cabinet de M. Fesneau n’a pas démenti le blocage du rapport de l’Anses, se bornant à répondre, deux relances et quarante-huit heures plus tard : "Pas de commentaires pour nous pour l’instant." »
Autrement dit, c'est fort léger (et invérifiable tant du point de vue de la véracité du propos que de sa source et son contexte).
C'est toutefois conforté par un sophisme du déshonneur par association :
« A l’automne 1997, on se souvient que Nature avait consacré une couverture sans concession aux tentatives de Claude Allègre, alors ministre de la recherche, de bloquer la publication du rapport d’expertise de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) sur l’amiante. »
« On se souvient... » ? Il y a 26 ans... « [U]ne couverture sans concession... » ? C'est vraiment exagéré, l'article en cause étant aussi du style méandreux. Et, cerise sur le gâteau, ce dont il s'agissait, c'était la publication sous forme de livre, le rapport ayant été disponible sous une autre forme, largement médiatisée par une annonce dans INSERM Actualités.
La chronique n'est pas diserte sur l'identité de ce rapport de l'ANSES. Pour démentir ou mettre en doute l'allégation de blocage, les premiers commentateurs se sont précipités sur un rapport déjà publié, l'« Avis de l'Anses relatif à l’analyse scientifique de l’annexe I de la proposition de règlement de la Commission européenne du 5 juillet 2023 relative aux nouvelles techniques génomiques (NTG) – Examen des critères d’équivalence proposés pour définir les plantes NTG de catégorie 1 ».
Certains en ont pris plein la carafe, mais c'est une autre histoire.
Il est daté du 29 novembre 2023. Selon les conclusions et recommandations,
« L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) rappelle qu’elle a engagé, sur saisine des ministères chargés de l’environnement et de l’agriculture et alors que la proposition de règlement n’était pas encore parue, une expertise sur les méthodes d’évaluation des risques des plantes NTG et leur impact socio-économique, qui devrait être disponible au premier trimestre 2024. Cette expertise en cours s’attache notamment à identifier les adaptations à apporter à la méthodologie l’évaluation des risques (sanitaires et environnementaux) des plantes issues de transgénèse lorsque l’évaluation va porter sur des plantes issues de mutagénèse dirigée réalisée à l’aide de CRISPR-Cas9 et techniques dérivées. »
Mais, selon la chronique de M. Stéphane Foucart,
« De longue date, l’Anses avait annoncé la publication de cette expertise pour début février, c’est-à-dire avant que les députés européens ne se prononcent sur les conditions d’un assouplissement réglementaire de ces nouvelles cultures (ce qu’ils ont fait le 7 février).
Cela pose trois problèmes non négligeables : le « début février » de la chronique, ce n'est pas le « premier trimestre 2024 » de l'ANSES ; celle-ci ne pouvait pas savoir « de longue date » quand le Parlement Européen allait voter sur un projet de résolution ; et une opinion de l'ANSES qui critiquait le texte de la Commission avait été rendu disponible bien avant le vote, le 21 décembre 2013, de sorte que le rapport prétendument bloqué, c'eut été en quelque sorte ceinture et bretelles.
M. Stéphane Foucart disserte ensuite sur le rapport, dont on (et lui) n'aurait pas connu le contenu à l'époque, mais qui aurait pu être peu favorable à la position de notre gouvernement, partisan d'un assouplissement de la réglementation :
« […] Dès lors, donner accès à une expertise en bonne et due forme sur le sujet aurait été nécessaire à un vote éclairé des eurodéputés. Cela n’a pas été le cas. »
C'est là une création fort artistique du doute et de la suspicion...
Comme il est dit plus haut, l'expertise avait été demandée par les ministères en charge de l'environnement et de l'agriculture. À l'évidence, le ministère de la Transition Écologique n'a pas été contacté pour s'assurer de la réalité d'un blocage gouvernemental ou, s'il l'a été, cela n'a pas été rapporté dans la chronique. C'est donc le ministère de l'Agriculture qui est en première ligne, en fait seul, comme « bad boy »...
Le jour d'avant...
Le 5 mars 2024 (date sur la toile), le Monde publie, sous la signature de M. Stéphane Foucart, « Risques liés aux "nouveaux OGM" : l’Anses recommande une évaluation au cas par cas, dans un avis resté confidentiel ».
En chapô :
« "Le Monde" a pu consulter l’avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail sur les nouvelles techniques génomiques. Contrairement à la position du gouvernement, il préconise une surveillance étroite des plantes concernées. »
C'est plutôt de bonne facture, nous semble-t-il, mais avec quelques ficelles. L'ANSES est ainsi citée pour des situations où il y aurait des « risques potentiels »... mais pas pour celles où aucun risque n'est identifié. Quant à l'illustration, elle est franchement malveillante... C'est aussi une méthode de formatage des opinions !
Ce rapport, « Risques et enjeux socio-économiques liés aux plantes NTG – Avis de l’Anses – Rapport d’expertise collective », qui porte la date du 22 janvier 2024, sera publié (mis en ligne) le lendemain, 6 mars 2024 (communiqué de presse)...
« Gorge profonde » – l'informateur (ou manipulateur) anonyme – aura donc donné, d'une manière ou d'une autre, un jour d'avance à M. Stéphane Foucart pour, d'une part, remettre une pièce dans le bastringue s'agissant d'« un avis resté confidentiel » et, d'autre part, définir l'angle des articles de presse à venir.
De plus, ce serait grâce à un valeureux journaliste, ardent défenseur de la transparance et de la rectitude démocratique, que ce rapport aurait été publié. Ou tourné autrement : confronté à une publication issue d'une fuite, le gouvernement aurait été en quelque sorte pris de panique et se serait empressé de publier le rapport... confirmant implicitement qu'il l'avait bloqué.
Question basique : le gouvernement avait-il le pouvoir de bloquer la publication du rapport, qu'il avait commandé et dont la publication avait été annoncée par l'ANSES – compte tenu de la répartition des pouvoirs, et aussi des règles de transparence de la vie publique ? Il pouvait aussi s'attendre à la flak des oppositions politiques, ainsi que des mouvances anti-OGM, etc.
Il n'y a pas eu de flak.
On peut cependant penser qu'il y a eu des surprises et des mécontentements au sein du gouvernement. Peut-être s'agissant des recommandations opérationnelles, sans doute de la teneur générale.
Une « mise en débat la plus ouverte et la plus éclairée possible » ? Il ne nous semble pas que c'était l'objectif de la saisine.
- voir cadre sur site -
La chronologie est aussi intéressante.
L'avis issu de l'autosaisine a été daté du 29 novembre 2023 et mis en ligne le 21 décembre avec, selon cette fiche, une date de publication prévue du 13 décembre et un visa du DG du 11 décembre.
L'avis prétendument bloqué – beaucoup plus long et comportant deux volumineuses annexes – est daté du 22 janvier 2024 et a été publié le 6 mars.
Le rapport aurait été – selon M. Stéphane Foucart – finalisé le 11 décembre 2023, et l’avis formel (donc signé le 22 janvier 2024) aurait été immédiatement transmis au gouvernement.
M. Stéphane Foucart n'en démord pas dans son article du 5 mars 2024 (mais notez qu'il prend de la distance) :
« L’Anses avait prévu de publier le rapport et l’avis au début de février – de source proche du dossier, la publication a été bloquée sur "pression politique". »
Dans le cas de l'avis issu de l'autosaisine, la publication avait aussi eu lieu après la date prévue – l'adverbe « aussi » ne se justifiant que si l'information obtenue de « Gorge Profonde » est exacte. L'écart est certes plus important... le volume du rapport également.
« Mardi 5 mars, l’Anses n’avait toujours rien rendu public, ne donne pas d’explication à ces atermoiements, ne fait aucun commentaire et assure que tout sera publié prochainement. »
Il y a une contradiction évidente dans cette phrase... et cela alimente les suspicions, en tout cas les nôtres.
Et cette phrase donne à croire que, le 5 mars 2024, « Gorge Profonde » n'avait pas informé M. Stéphane Foucart de la publication imminente de l'avis. Mais elle lui avait fait parvenir cet avis... à un moment où la fuite n'allait pas susciter de gros remous.
Mais...
Le 13 mars 2024, lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale, Mme Lisa Belluco (EÉLV) a interrogé très rudement : « Avez-vous, en guise de cadeau à Bayer, Monsanto, et Corteva, retardé la publication » d'un avis de l'ANSES sur les NTG ?
Mme Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire, a répondu très calmement : l'ANSES « a choisi de publier à sa convenance [l'avis des?] travaux qu'il mène et que nous avons sollicités ».
Finalement, ce rapport a-t-il été bloqué ou non ? Ami lecteur, faites-vous votre propre opinion...
Post scriptum
M. Stéphane Foucart insiste dans sa chronique de ce jour, « Ecologie : "Le gouvernement n’hésite pas à dissimuler ou à retenir des informations cruciales pour le débat démocratique" ».
Le rapport de l'ANSES, aurait été bloqué – c'est maintenant spécifique – par le ministère de l'agriculture.
Il aurait du « éclairer le vote du 7 février des zurodéputés appelés à s'exprimer sur la dérégulation de ces plantes » (les « nouveaux OGM »).
Et d'insister encore, avec une dose de vantardise : « [Le rapport] a dû attendre que la presse en donne les conclusions pour être publié – mais bien après le vote du Parlement de Strasbourg. »
La fille du fermier : Les tragédies du passé doivent inspirer notre avenir (republié pour la St Patrick)
17 Mars 2024 Amanda Zaluckyj, AGDAILY*
Mauvaise récolte. Disette. Famine.
Pour la plupart des Américains, ces mots ont une certaine signification, mais surtout dans un contexte historique. Grâce à l'abondance de l'approvisionnement alimentaire, nous ne connaissons guère la réalité de tels événements et considérons qu'ils ne se produisent que dans d'autres parties du monde. Même en 2012, lorsque de nombreux agriculteurs ont souffert de la sécheresse, la plupart des consommateurs ne l'ont probablement pas remarquée, si ce n'est qu'ils ont dû arroser leur pelouse plus souvent. Ils ont même pu constater des hausses de prix négligeables au magasin d'alimentation.
Mais pendant une grande partie de l'histoire de l'humanité, la réalité des mauvaises récoltes, de la disette et de la famine a été au premier plan, et de nombreux événements historiques importants qui ont façonné la politique et les gouvernements du monde ont résulté de pénuries alimentaires.
Bien entendu, la Saint-Patrick étant célébrée aujourd'hui [le 17 mars], c'est l'occasion idéale de revenir sur l'une de ces mauvaises récoltes qui a changé le cours de l'histoire : la grande famine de la pomme de terre.
La vie en Irlande au milieu des années 1800 ne peut être décrite autrement que comme difficile, en particulier pour les masses majoritairement analphabètes qui tentaient de survivre en vivant de la terre. Les terres appartenaient généralement à de riches aristocrates britanniques, qui vivaient généralement loin de leurs domaines, à la Cour. Leurs terres étaient divisées en régions et gérées par des intermédiaires, qui les divisaient encore davantage et louaient des parcelles à des familles irlandaises. À l'époque, la ferme familiale moyenne ne comptait que 4 hectares.
Ces familles irlandaises en difficulté se tournaient vers la pomme de terre pour leur alimentation de base, car elle est riche en protéines, en hydrates de carbone, en minéraux et en vitamines telles que la riboflavine, la niacine et la vitamine C. En fait, il est possible de subsister uniquement grâce à la pomme de terre, ce qui était probablement le cas pour bon nombre de ces familles pauvres. Si la pomme de terre semble aujourd'hui synonyme d'Irlande, elle est en fait originaire d'Amérique du Sud et a probablement trouvé son chemin vers l'Europe à la fin du XVIe siècle. La tradition veut qu'elle a été introduite en Irlande vers 1585 par Sir Walter Raleigh. Mais les agriculteurs irlandais ont découvert qu'elle poussait bien dans le climat irlandais, qu'elle produisait plus par acre que d'autres cultures et qu'elle permettait (en grande partie) de nourrir leurs familles.
C'est alors que les choses se sont passées. En septembre 1845, les agriculteurs irlandais ont remarqué que leurs plants de pommes de terre commençaient mystérieusement à se dessécher et à mourir. Lorsque les pommes de terre étaient arrachées du sol, elles semblaient assez comestibles, mais elles se flétrissaient et devenaient immangeables en l'espace de quelques jours. Ce que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de Phytophthora infestans, un champignon, était à l'origine du mildiou qui s'est répandu dans tout le pays. Bien sûr, des récoltes déficitaires avaient déjà eu lieu avant l'arrivée de P. infestans, mais cette fois-ci, c'était différent. Elle s'est produite dans tout le pays et s'est poursuivie année après année.
Les scènes étaient dévastatrices. La description d'un magistrat qui a vu des familles affamées décrit l'horreur :
« Je suis entré dans certaines des masures et les scènes qui s'y sont déroulées étaient telles qu'aucune langue ni aucune plume ne peut en donner la moindre idée. Dans la première, six squelettes affamés et épouvantables, apparemment morts, étaient blottis dans un coin sur de la paille sale, leur seule couverture semblant être une couverture de cheval en lambeaux, leurs misérables jambes pendantes, nues au-dessus des genoux. Je m'approchai avec horreur et découvris, grâce à un faible gémissement, qu'ils étaient vivants – ils avaient la fièvre, quatre enfants, une femme et ce qui avait été un homme. Il est impossible d'entrer dans les détails. Il suffit de dire qu'en quelques minutes, j'ai été entouré d'au moins 200 fantômes, des spectres effrayants qu'aucun mot ne peut décrire, [souffrant] soit de la famine, soit de la fièvre. Leurs cris démoniaques résonnent encore à mes oreilles et leurs images horribles sont fixées dans mon cerveau. »
Dans l'ensemble, le fléau a duré six ans. Plus d'un million d'hommes, de femmes et d'enfants sont morts de faim et de maladie. Un autre million d'Irlandais ont émigré vers d'autres pays, n'ayant que peu ou pas d'autres choix à leur disposition.
Fait remarquable, en 2013, les scientifiques ont pu déterminer exactement quelle souche de P. infestans avait été responsable des mauvaises récoltes. Contrairement aux idées reçues, des échantillons d'ADN extraits de spécimens botaniques conservés ont révélé que c'était une souche inconnue jusqu'alors, HERB-1, qui avait été à l'origine de toutes les destructions. On pense qu'elle est apparue au Mexique au début du XIXe siècle et qu'elle a fini par atteindre l'Europe dans les années 1840. Grâce à de meilleures techniques d'amélioration des plantes, des pommes de terre résistantes à HERB-1 ont été sélectionnées, ce qui a entraîné l'extinction de la souche.
Bien que cela nous paraisse inimaginable, de telles choses se produisent encore aujourd'hui dans notre monde. Le mildiou de la pomme de terre existe toujours et les producteurs de pommes de terre utilisent des outils de protection des cultures pour le combattre. En fait, la pomme de terre Innate de Simplot a été génétiquement modifiée pour résister au mildiou. Imaginez que vous disiez à ces familles irlandaises confrontées à la maladie, à la famine et à la mort que nous pouvons leur donner des pommes de terre qui ne se flétriront pas et ne pourriront pas, même si elles entrent en contact avec la maladie qui ruine leurs récoltes. Certes, elles ne comprendraient peut-être pas exactement ce que nous voulons dire par nos explications scientifiques, mais je suis sûr qu'elles préféreraient la technologie plutôt que d'entendre leurs enfants hurler la nuit à cause de la faim.
Aujourd'hui encore, il y a des gens qui souffrent d'insécurité alimentaire, des agriculteurs qui luttent pour protéger leurs cultures des parasites et des enfants qui souffrent de maladies. Nous disposons des outils, de la science et de la technologie nécessaires pour résoudre ces problèmes, mais nous devons avoir la possibilité de le faire. Malheureusement, alors que ces problèmes semblent si éloignés de nos tables, les gens ont tendance à adhérer aux messages qui dénigrent et entravent notre capacité à trouver des solutions.
Il faut que les opposants s'écartent du chemin pour que ces solutions aient une chance de fonctionner.
Pour une très bonne source d'information et de lecture sur la famine irlandaise, veuillez consulter The History Place (en anglais). ______________
* Amanda Zaluckyj tient un blog sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de la filière agroalimentaire américaine.
Source : Farmer’s Daughter: Tragedies of past should inform our future | AGDAILY
Se rappeler aussi l'époque où la population agricole attreignait presque les 100 % ! et... c'était la 'disette' ! LA famine !! La famine ??! Pourquoi ? Parce que en ces temps éloignés il n'existait ni engrais (seuls le fumier de quelques animaux couvrait quelques m² !), ni médicaments contre les maladies qui touchent toutes les plantes, ni insecticides pour empêcher les bestioles de bouffer les plantes !
Ces temps là... sont en perspectives de revenir !!
La France ne compte que... 400 000 paysans !!! pour nourrir...
CRISPR augmente la longueur et le poids des grains de blé panifiable
18 Mars 2024 ISAAA*
Des scientifiques chinois ont utilisé l'édition de gènes sur du blé panifiable pour augmenter la longueur et le poids des grains. Ils ont également identifié les mécanismes moléculaires qui affectent le développement des grains.
Le blé tendre est un aliment de base consommé par 40 % de la population mondiale. Compte tenu de l'augmentation de la demande alimentaire et de la diminution des terres agricoles, il est essentiel d'améliorer le rendement du blé.
Des chercheurs de diverses institutions chinoises ont utilisé CRISPR-Cas9 dans le blé tendre pour stimuler le développement de ses grains. Ils ont trouvé que TabHLH489, un facteur de transcription bHLH (basic helix-loop-helix), est associé à la longueur des grains de la plante. Les résultats ont montré que l'inactivation de TabHLH489 augmentait la longueur et le poids des grains, tandis que la surexpression avait l'effet inverse. L'équipe a également trouvé que le module de régulation TaSnRK1α1-TabHLH489 utilise la signalisation des brassinostéroïdes et des sucres pour contrôler la longueur des grains.
Pour plus d'informations, lisez l'article dans le Plant Biotechnology Journal. _______________
Ma note : Voici le résumé (découpé) de « The TaSnRK1-TabHLH489 module integrates brassinosteroid and sugar signalling to regulate the grain length in bread wheat » (le module TaSnRK1-TabHLH489 intègre la signalisation des brassinostéroïdes et des sucres pour réguler la longueur des grains dans le blé tendre) de Jinyang Lyu et al. :
« La régulation de la taille des grains est une stratégie cruciale pour améliorer le rendement des cultures et constitue également un aspect fondamental de la biologie du développement.
Cependant, les mécanismes moléculaires sous-jacents qui régissent le développement des grains chez le blé restent largement inconnus.
Dans cette étude, nous avons identifié un facteur de transcription bHLH (basic helix-loop-helix) atypique du blé, TabHLH489, qui est étroitement associé à la longueur des grains, par le biais d'une étude d'association à l'échelle du génome et d'un clonage basé sur une carte.
L'inactivation de TabHLH489 et de ses gènes homologues a entraîné une augmentation de la longueur et du poids des grains, tandis que la surexpression a entraîné une diminution de la longueur et du poids des grains.
TaSnRK1α1, la sous-unité α-catalytique du capteur d'énergie SnRK1, a interagi avec TabHLH489 et l'a phosphorylé pour induire sa dégradation, favorisant ainsi le développement du grain de blé.
Le traitement au sucre a induit l'accumulation de la protéine TaSnRK1α1 tout en réduisant les niveaux de protéine TabHLH489.
De plus, le brassinostéroïde (BR) favorise le développement des grains en diminuant l'expression de TabHLH489 par l'intermédiaire du facteur de transcription BRASSINAZOLE RESISTANT1 (BZR1).
Il est important de noter que les variations naturelles dans la région promotrice de TabHLH489 affectent la capacité de liaison de TaBZR1, influençant ainsi l'expression de TabHLH489.
Dans l'ensemble, nos résultats révèlent que le module de régulation TaSnRK1α1-TabHLH489 intègre la signalisation du BR et du sucre pour réguler la longueur des grains, ce qui présente des cibles potentielles pour améliorer la taille des grains de blé. »
Allemagne : l'oligopole des quatre grands de la distribution
18 Mars 2024 Willi l'agriculteur*
M. Dominik Guggemos, de la société de rédaction berlinoise Berliner Redaktionsgesellschaft (Märkische Oderzeitung, Südwest-Presse, Lausitzer Rundschau, Badische Neueste Nachrichten), m'a demandé comment le commerce alimentaire de détail traitait les producteurs.
Malheureusement, l'article se trouve derrière un péage. Voici quelques citations de ma part, mais aussi d'autres acteurs du secteur.
« Avant la Covid, le kilo de farine coûtait 39 centimes chez Aldi, pour un prix des céréales de 190 euros la tonne. Maintenant, il coûte 79 centimes chez Aldi-Sud, avec des prix à la production inférieurs de 30 % pour les agriculteurs. »
La réponse du Handelsverband Deutschland (HDE – fédération allemande du commerce) peut être qualifiée de carrément effrontée :
Je cite : « Que répond le commerce à ces accusations ? Interrogé à ce sujet, Stefan Genth, directeur général de la Fédération Allemande du Commerce (HDE), indique qu'il n'existe pratiquement pas de relations commerciales directes entre les agriculteurs et les entreprises commerciales. "De plus, pour de nombreux produits alimentaires, une grande partie de la production de l'agriculture nationale est destinée à l'exportation". C'est pourquoi, pour une grande partie des produits, le commerce ne joue aucun rôle dans la rémunération des agriculteurs. » Fin de citation
Et, plus loin :
« Que dit la Commission des Monopoles sur le pouvoir de marché des géants de la distribution ? Le ministre de l'Economie Robert Habeck (Verts) a demandé à l'organe consultatif indépendant d'examiner de plus près la situation de la concurrence. Dans son rapport, la Commission des Monopoles écrit que les chaînes d'approvisionnement alimentaire allemandes présentent des "signes de problèmes de concurrence et de pouvoir de marché".
La politique aide-t-elle les agriculteurs ?
Le ministre de l'Économie Habeck veut faire en sorte que les agriculteurs aient à l'avenir une position plus forte dans la détermination des prix de leurs produits. "Le principal problème de l'agriculture est souvent qu'elle ne peut pas répercuter ses coûts de production", explique Habeck. Selon lui, le marché n'est pas équitable. »
Le fait est que la grande majorité des producteurs n'a aucune chance face à l'oligopole des quatre grands tant que l'Office des Cartels n'intervient pas pour veiller à ce que les négociations se déroulent sur un pied d'égalité. ______________
* Source : Das Oligopol der Big Four - Bauer Willi
(...) « Avant la Covid, le kilo de farine coûtait 39 centimes chez Aldi, pour un prix des céréales de 190 euros la tonne. Maintenant, il coûte 79 centimes chez Aldi-Sud, avec des prix à la production inférieurs de 30 % pour les agriculteurs. » (...)
'190 euros la tonne' c'est (:1000 kg:) 19 centimes le kilo. Donc: passage en 4 ans de 19 cts à 80 !!
Extrait du livre de Jean-Marc, Esnault, L’Homme face aux défis du monde contemporain : une réflexion sur notre avenir, aux Éditions L’Harmattan, 2024.
Dans ce nouvel essai, Jean-Marc Esnault explore les défis auxquels notre société est confrontée, tels que la crise économique, la fracture sociale, les enjeux environnementaux et les mutations du travail. Il examine les opportunités qui se présentent à nous, telles que l’évolution des modes de production et de consommation, ainsi que les enjeux de transition sociétale et environnementale. L’auteur rêve d’un avenir meilleur, où les gens vivent en harmonie avec la nature et les uns avec les autres. Cet essai est un appel à l’action pour tous ceux qui souhaitent contribuer à la construction d’une société plus juste et plus durable.
le 17 mars 2024 à 12h00
Le présent est toujours le fruit de l'Histoire Le moment est venu d’écrire un nouveau récit national et un nouveau récit planétaire, l’un devant chapitrer l’autre. Pour cela, il est essentiel de créer du lien entre passé, présent et avenir.
Aujourd’hui dans un monde qui va très vite où avant-hier, c’est déjà le passé, nous avons tendance à cloisonner, voire opposer les époques. Or, le présent est toujours le fruit de l’Histoire, d’une expérience accumulée en quelque sorte, qu’elle nous ait emmenés sur des chemins heureux ou sinueux, et c’est de cette expérience, autrement dit du passé, dont on s’inspire pour poursuivre un chemin tout tracé ou au contraire pour changer de voie.
Il n’y a d’incertitude, de risque, mais aussi de nouvelles voies possibles qu’au regard d’une situation donnée, d’un état présent dont on accepte ou dont on décide de s’écarter plus ou moins. C’est ce qui vaut pour tout, l’entrepreneuriat, la culture, l’art... Certes, il y a bien des ruptures, mais ces ruptures-là, volontaires ou non, n’ont elles-mêmes de sens que par rapport au passé et au présent, on est dans l’impossibilité de rompre avec son avenir.
L’état de l’art est la ligne de départ, le fondement à partir duquel on est susceptible de se renouveler. La difficulté réside bien souvent dans le fait que l’Homme regarde le passé avec les yeux du présent sans parvenir, sans même parfois essayer de le recontextualiser, et c’est ainsi qu’on attribue parfois la faute du dérèglement climatique aux générations nées après-guerre. Or, si on ne peut pas nier que c’est l’action du passé qui nous a conduits en partie dans cette situation qui peut mettre en péril la vie sur terre, être fautif aujourd’hui, n’est pas nécessairement être coupable hier.
Quand dans les années 60 l’agriculture devient intensive, les agriculteurs répondent à une demande de la société, on oublie souvent de le dire, et si on produit en effet de manière intensive alors, c’est sans réelle conscience des atteintes à l’environnement.
Au premier avis je dirais non, tant il y a d'inuformités dans les contextes exposés. Nous avons toutes & tous vécu dans ce que l'on appelle la dictature des personnes armées non-intelligentes au travers des siècles des impérialismes, de monarchies et de républiques qui sont un même terme d'autorités sur l'esclavage. Nos souvenirs - aussi peu soient-ils - nous décrivent des êtres 'hors du commun' qui dans ces anciens temps avaient 'découvert le feu' (suite aux orages et foudres tombées), puis l'Âge de pierre, du fer (et d'autres métaux) puis, l'Âge de l'Agriculture qui a permis à chacune et chacun de survivre. Belle avancée. Mais, il faudra attendre (quelques 20 siècles plus tard !) comment peut-on boire de l'eau sale (eau de mer, eau noire, urines, etc) en copiant - sans le savoir encore - ce que nous donne le magma gratuitement chaque jour !
Qu'est-ce que l'histoire du monde nous enseigne t-elle ?
L'histoire même 'Pré-histoire' HAHAHAHA ! qui ne ferait pas partie de l'histoire !!) est une suite d'évènements d'additions et d'analyses qui apportent des solutions. La population terrestre est constituée d'éléments de faibles valeurs et d’éléments qualifiés de surdoués. Ces derniers ont fait évoluer le monde vers une intelligence qui s'appelle intelligence. C'est-à-dire d'être soi-même. Pouvoir se décrire, instruire, le pouvoir de réfléchir, le pouvoir de dialoguer, d'échanger des intelligences.
Un document contemporain du conseiller fédéral suisse Dr. méd. Ignazio Cassis
17 mars 2024 par Alain Vannod
Dans la guerre mondiale pour nos esprits, il vaut toujours la peine de jeter un regard prudent sur le passé. Pour moi, un type particulier de document contemporain est un extrait d'un entretien avec le président fédéral suisse de l'époque, le Dr. méd. Cassis.
Dans « TalkTäglich » de « TeleZüri », le conseiller fédéral FDP s'est exprimé sur son propre état de santé il y a exactement deux ans, le 17 mars 2022, après que lui et deux autres conseillers fédéraux ont été testés positifs au Covid-19.
Des affirmations logiques, qui ne sont par la suite pas contestées scientifiquement, deux questions se posent pour moi : sous quelle lumière devons-nous classer les événements survenus dans l'ensemble de la société au cours des deux années précédant cet entretien et des deux années qui se sont écoulées depuis ? Et quelle fonction ont eu les médias depuis leurs débuts au printemps 2020 jusqu’à aujourd’hui ? Beaucoup de choses me semblent très simples et claires. Pour moi, d'une part, apaisant et fortifiant, mais d'autre part, effrayant et effrayant à la fois !
Quiconque souhaite aborder le sujet plus en détail à l'époque de la « pensée supervisée » des médias est invité à lire le livre récemment publié « Pandemic Errors - Critical Remarks on the Successful Proselytization of Corona Believers » (Background Publisher). L’historien Ronald Bilik ne se contente pas de présenter des erreurs pandémiques. Il donne des conseils pratiques pour le traitement. Et il veut surmonter les divisions de la société avec un message simple : « Ne perdons pas notre temps et notre énergie à nous attaquer les uns les autres, mais tenons ensemble responsables ceux qui veulent nous diviser !
« Investir dans les femmes : accélérer les progrès »
Par Tina Rénier Recherche mondiale, 15 mars 2024
Alors que nous célébrons le Mois international de l'histoire des femmes 2024 sous le thème : « Investir dans les femmes : accélérer le progrès », nous ne devrions pas seulement réfléchir aux voix et aux contributions inestimables des femmes et des mouvements de femmes dans la défense et la mise en œuvre de politiques critiques, législatives, communautaires, nationales. , les changements du développement régional et international au cours des dernières décennies.
Même si les femmes ont réalisé des progrès notables dans l'accès à l'enseignement supérieur et ont accédé aux rangs des cadres intermédiaires en Jamaïque et dans la communauté caribéenne au sens large, il existe encore plusieurs obstacles institutionnels, structurels et systémiques qui limitent les choix, l'autonomisation, l'autonomie, l'accès aux opportunités, mobilité sociale et économique et participation politique. Ces obstacles reposent sur des systèmes de croyances, des idées, des normes, des valeurs, des sous-cultures et des institutions étatiques et non étatiques androcentriques qui perpétuent l’inégalité entre les sexes.
Un débat sur l’inégalité entre les sexes sans une interrogation critique sur les manifestations multiples et croisées du patriarcat relègue le débat à des analyses simplistes et binaires du « man shaming » ou se concentre uniquement sur la « victimisation des femmes ». En raison de la modification de mon examen pour qu'il soit plus nuancé et plus complet, tout en observant les statistiques alarmantes du rapport mondial sur l'écart entre les sexes du Forum économique mondial de 2023 et du rapport d'Oxfam International de 2024, qui expliquent qu'il en faudra cent trente et un supplémentaires (131). ans pour parvenir à l’égalité des sexes et deux cent trente ans supplémentaires (230) pour éradiquer la pauvreté mondiale, respectivement, l’importance d’investir dans les femmes et les stratégies visant à accélérer le progrès devient encore plus pertinente et cruciale dans le développement contemporain.
Il y a deux semaines, la Fondation Odem, une organisation à but non lucratif basée en Jamaïque dont la mission est de promouvoir l'édification de la communauté et de la nation par le biais d'initiatives caritatives, a organisé sa table ronde annuelle sur le thème de la Journée internationale de la femme 2024. En tant qu'intervenante, je me suis concentrée sur les questions d'éradication de la pauvreté et de protection sociale, car les femmes et les filles sont touchées de manière plus disproportionnée par ces questions, sur la base des résultats qualitatifs et quantitatifs et de mon expérience vécue en tant que jeune femme rurale de la Jamaïque. En outre, les études de l'Institut de planification de la Jamaïque sur les conditions de vie montrent que la majorité des ménages dirigés par des femmes dans les zones rurales sont les plus grands demandeurs du programme de protection sociale du gouvernement jamaïcain, le Programme de promotion par la santé et l'éducation (PATH) et trois (3 ) sur cinq (5) ménages jamaïcains ont exprimé que leurs revenus ne sont pas suffisants pour répondre à leurs besoins de base et à leurs dépenses familiales en raison de l'augmentation du coût de la vie.
D'un autre côté, le Caribbean Policy Research Institute (CAPRI) affirme que l'écart salarial entre hommes et femmes continue d'être un obstacle majeur à l'autonomisation économique des femmes dans les Caraïbes, utilisant la Jamaïque comme étude de cas où le revenu moyen par habitant des femmes est de 6 729 dollars américains. tandis que le revenu moyen par habitant des hommes est de 11 044 dollars américains. Par conséquent, l’un des mécanismes les plus importants pour investir dans les femmes et accélérer les progrès, dans le cadre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, consiste à consacrer davantage d’allocations budgétaires nationales aux interventions, aux initiatives et à la protection sociale en faveur de l’égalité des sexes pour les femmes et les filles issues de communautés marginalisées, sur la base de race, origine ethnique, groupe d’âge, classe sociale, niveau d’éducation, nationalité/statut de citoyenneté, identité de genre, orientation sexuelle et situation géographique.
En termes de révolutionner la collecte et l’analyse des données pour soutenir des analyses intersectionnelles et sexospécifiques plus solides en matière de protection sociale, le gouvernement de la Jamaïque et la communauté caribéenne au sens large pourraient capitaliser sur la coopération Sud-Sud/Nord-Sud pour fournir des ressources techniques et financières pour collecter des données. davantage de données ventilées par sexe pour permettre aux chercheurs et aux décideurs politiques d'examiner les différences et les points communs dans la participation économique, socioculturelle et politique des hommes et des femmes et d'élaborer des politiques plus sensibles au genre et plus transformatrices pour ceux qui sont les plus touchés par les implications multidimensionnelles de crises généralisées, notamment les effets durables de la pandémie de COVID-19 et des guerres géopolitiques. Cela devrait également s'accompagner du développement et de l'application de techniques de suivi et d'évaluation en temps réel pour générer des enseignements tirés des résultats et des impacts des programmes et des politiques mis en œuvre qui façonnent et affectent profondément la vie et les moyens de subsistance des femmes. Il convient de noter que les politiques et programmes ne sont pas neutres en matière de genre, de par leurs origines conceptuelles et leurs ramifications.
L’investissement dans les femmes n’est pas seulement financier ou économique. L'investissement dans les femmes est également social et culturel et cela commence par un défi au gouvernement jamaïcain de réimaginer et d'aborder ses impératifs de développement au-delà de la croissance économique ou de la seule focalisation sur le produit intérieur brut (PIB) par habitant comme principale mesure du développement et de répondre aux besoins des femmes. croyances, normes et attentes néfastes associées aux masculinités et féminités dominantes.
Au-delà du produit intérieur brut (PIB) par habitant, on prend en compte des mesures non économétriques du développement telles que le niveau de vie, la santé et le bien-être de la population et la protection de l'environnement. Selon la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (2023), la seule focalisation sur le PIB par habitant exclut une discussion sur ceux qui bénéficient de la croissance économique. Jusqu'à présent, l'Institut de planification de la Jamaïque doit être vivement félicité pour le lancement d'un cadre d'indice de croissance inclusif en février 2024. L'investissement social en faveur des femmes devrait englober une plus grande collaboration entre les secteurs public et privé, le monde universitaire et la société civile avec les communautés marginalisées et leur engagement. dans des interventions communautaires, sexospécifiques et axées sur les jeunes qui s'attaquent aux causes profondes de la pauvreté et des déficits de protection sociale, tout en mettant en œuvre des initiatives à plus long terme pour garantir le mentorat des femmes et un meilleur accès à des opportunités fondées sur des valeurs de justice sociale et économique.
Enfin, nous devrions repenser et repenser les approches visant à parvenir à des économies nationales de « bien-être » en examinant les meilleures pratiques trouvées au Canada et en Nouvelle-Zélande si nous voulons sérieusement non seulement atteindre les objectifs du Programme de développement durable à l'horizon 2030 des Nations Unies. Développement mais aussi réalisation de notre objectif de développement national consistant à faire de la Jamaïque le lieu où vivre, élever une famille et faire des affaires. Investir dans les femmes et accélérer les progrès sont à la base du pourquoi et de la manière dont nous envisageons un présent et un avenir plus inclusifs et résilients.
Dans l'individu humain l'on distingue deux types: La femme et l'homme. La femme sera attachée à des tâches coutumière de faire le ménage, de servir la nourriture et d'élever ses enfants. Tandis que l'homme sera dirigé vers des carrières de maçonneries, d’ingénieuries, de plomberie, d'électricité, moteurs, etc. La différence n'est donc pas intellectuelle mais uniquement physique. La femme d'aujourd'hui peut conduire de gros engins de chantier, de camions, bateaux, avions, comme celles d'être professeure, ingénieure, etc. Il n'y a donc plus de différence entre l'homme et la femme sinon celle de la forme musculaire qui classe l'homme au-dessus de celle de la femme.
Procès d'un médecin à cause de certificats de masques : le juge de Bochum s'exprime
18 mars 2024 par Dominique Schmidt
Alors que les mesures corona semblent avoir été oubliées depuis longtemps dans toute la république, le temps s'est apparemment arrêté au parquet de Bochum. Réticente à toute acquisition de connaissances, elle continue de poursuivre un médecin de Bochum qui a accordé à ses patients des exemptions de l'obligation de porter un masque qui prévalait en 2020. Mais un juge courageux du tribunal de district a mis un terme à cette situation pour le moment.
Il y a trois ans, à Bochum , l'ancienne capitale du Reichsgau , des mesures rigoureuses ont été prises contre quiconque remettait en question l'exigence du masque. Cela a été particulièrement ressenti par le médecin de Bochum Andreas Triebel et ses patients. La ville a vu ses certificats confisqués par la police et a obligé les patients concernés à porter des masques.
Le ministère public, dirigé par le procureur général responsable, Andreas Bachmann, a accusé les titulaires de certificats d'avoir utilisé des certificats de santé incorrects et a immédiatement déposé un recours, même si l'acquittement du juge de district était clair.
La situation a été encore pire pour le médecin lui-même : la police a perquisitionné son domicile et son cabinet cinq fois au total. Deux ans et demi plus tard, le tribunal régional de Bochum, où le procureur a porté plainte, a finalement mis fin à cette histoire d'effroi. Après 13 jours de procès, il ne restait plus que des affirmations non fondées, de fausses accusations et de nombreux préjugés - le médecin de Bochum a été entièrement acquitté et indemnisé (a rapporté le TKP ).
Nouvelle édition du procès du masque contre un médecin
On pourrait penser que cela aurait été une leçon pour le parquet de Bochum. Mais au lieu de repenser la procédure, le procureur général Bachmann a préparé le prochain acte d'accusation, cette fois parce que Triebel aurait délivré un certificat à une femme de 59 ans de Detmold sans examen après un appel téléphonique. La preuve en était une ordonnance de sanction du StA de Detmold pour « incitation à la délivrance d'un certificat de santé erroné », dans laquelle l'avocat de la femme déclarait que son client avait reçu le certificat après un entretien téléphonique.
Le procès a débuté le 19 février 2024 au tribunal de district de Bochum, et le procureur général Bachmann n'est pas prêt d'oublier. Dès le début, il y avait du vent contraire. Au cours de l'interrogatoire du médecin, le juge Gerlach a souligné à plusieurs reprises le devoir de confidentialité du médecin et la déclaration du médecin a également rendu l'accusation inutile : la femme avait exercé le cabinet avec sa fille, qui étudiait à Bochum, et avait été examinée par Lui Au début, je ne voulais pas emporter le certificat avec moi, mais j'ai ensuite demandé qu'il soit envoyé par téléphone.
Et puis c'est une gifle retentissante pour le procureur général : la procédure n'a pas été initiée par le tribunal de district, mais par Bachmann personnellement. L'accusé Andreas Triebel est resté irréprochable toute sa vie et avait déjà été acquitté dans une affaire similaire. Il considère personnellement qu'il est douteux que des accusations auraient dû être portées dans l'affaire actuellement entendue. La façon dont le procureur général s'est adressé au témoin et à lui-même n'était pas non plus acceptable. La sentence était prononcée, la procédure était terminée. Mais il est douteux que le procureur général Bachmann ait appris quoi que ce soit. Il est plus probable qu’il fasse à nouveau appel cette fois-ci. Les horloges tournent différemment à Bochum.
TOUS les docteurs, infirmiers, chirurgiens connaissent depuis longtemps et depuis les débuts d'études que les masques médicaux ne servent qu'à empêcher des micro-gouttelettes exprimées par la bouche d'aller vers quelqu'un. Mais ils savent aussi que ces masques ne sont pas anti nano-poussières ('virus') ni anti microbes? D'ailleurs ces masques ne peuvent exister car ils empêcheraient de respirer. Notons au passage que les juges le savent aussi.
Mais comme le souligne l'auteur "Nous sommes en république", donc, il ne peut exister de tribunal indépendant dans une dictature où existe même le 'ministère de la justice' !!!
Des études prouvent que les particules lipidiques utilisées dans les vaccins ARNm type Pfizer favorisent la migration des cellules cancereuses
le 17 mars 2024 par pgibertie
« Tous ces rapports conduisent à la conclusion qu’il existe des soupçons raisonnables selon lesquels les injections d’ARN mod « provoquent des effets nocifs qui vont au-delà de ce qui est acceptable sur la base des connaissances de la science médicale »…
« (1) …depuis quand êtes-vous conscient du problème de migration des cellules cancéreuses lors des injections à base de #modRNA ? (2) Ce problème apparent a-t-il déjà été discuté plus tôt dans #PEI et si oui, pourquoi n’a-t-il pas été ouvertement communiqué ?
Il s’agit d’une nouvelle lettre adressée à l’Île-du-Prince-Édouard en Allemagne posant d’autres questions sur la sécurité du vaccin covid de la part d’un groupe de physiciens/chimistes. À propos d’un nouvel article montrant un article du LNP in vitro augmentant la migration des cellules cancéreuses de la prostate https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38300021/
Cependant, peu d’attention a été accordée aux impacts néfastes du SLN sur l’environnement cellulaire, en particulier à son influence sur les voies de signalisation intracellulaires.
Dans ce travail, nous étudions les effets déclenchés par le SLN cationique sur les cellules non tumorales de la prostate humaine (PNT1A) et les cellules tumorales (PC-3). Nos résultats démontrent que le SLN cationique améliore la migration des cellules cancéreuses de la prostate PC-3, mais pas des cellules prostatiques non tumorales PNT1A, un développement inattendu et sans précédent.
De plus, nous avons observé que l’augmentation de la vitesse de migration cellulaire est un effet dépendant de la concentration et des nanoparticules, et n’est lié à aucun composant individuel des nanoparticules. De plus, le SLN cationique a augmenté l’expression de la vimentine ( p <0, 05), mais le SLN n’a pas affecté la translocation nucléaire de Smad2. Pendant ce temps, les protéines liées à l’EMT (transition épithéliale à mésenchymateuse), telles que ZEB1, ont subi une translocation nucléaire lorsqu’elles ont été traitées avec du SLN cationique, affectant ainsi la motilité des cellules PC-3 via la modulation de ZEB1 et de la vimentine.
D’un point de vue thérapeutique, le SLN cationique pourrait potentiellement aggraver l’état d’un patient si ces résultats étaient reproduits in vivo . Comprendre les mécanismes moléculaires in vitro déclenchés par les nanomatériaux et leurs implications sur le fonctionnement cellulaire est crucial pour définir leur utilisation sûre et efficace.
Les avantages et les inconvénients de la supplémentation en cétone
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 18 mars 2024
Dans cette interview, Frank Llosa, fondateur et PDG de KetoneAid Inc., et moi discutons des avantages et des inconvénients des cétones exogènes (cétones supplémentaires). Votre corps produit des cétones sous certaines conditions (appelées cétones endogènes), mais vous pouvez également les prendre par voie orale.
J'avais l'habitude de prendre des cétones, mais au cours de la dernière année, j'ai changé ma position à ce sujet. Je crois maintenant qu’il est relativement malsain pour votre corps de créer des cétones de manière chronique. Non pas que vous ne devriez jamais le faire, mais c’est un mécanisme d’urgence qui nécessite l’activation des hormones du stress.
Cela a une grande valeur et cela peut vous maintenir en vie. Mais c’est une réponse d’urgence. Vous allez devoir activer le cortisol, l’adrénaline et le glucagon, et ce choix aggravera, et non améliorera, votre biologie au fil du temps. Cela ne veut pas dire que les cétones sont dangereuses. Il s’agit d’un outil puissant qui, utilisé de manière sélective, peut effectivement améliorer votre santé. Nous en discutons dans cette interview.
Mais si vous choisissez de permettre à votre corps de produire des niveaux élevés de cétones, sachez qu’il existe un autre aspect rarement évoqué, à savoir l’activation des hormones du stress. Si vous le faites rarement, il n'y a pas de problème, car il s'agit d'un mécanisme de sauvetage conçu pour vous maintenir en vie en période de pénurie alimentaire. Mais si vous le faites tous les jours, je pense que vous cherchez des ennuis.
Llosa a commencé à explorer le secteur des cétones exogènes par l'intermédiaire du regretté Dr Richard Veech, un éminent expert en cétones. Veech était le parrain de sa femme. Veech était assis sur un ester cétonique depuis 10 ans et ne pouvait pas le commercialiser. C’est donc là que Llosa s’est impliqué.
Avantages et inconvénients des cétones
Bien que les cétones soient généralement connues pour être bonnes pour votre cerveau et réduire l’inflammation, votre cerveau ne peut pas fonctionner uniquement avec des cétones. C’est biologiquement impossible. Cela nécessite du glucose. Llosa cite des recherches des années 1970 selon lesquelles des personnes jeûnaient avec de l'eau pendant 60 jours maximum et, à la fin, ils étaient capables de produire de l'énergie uniquement grâce aux cétones endogènes.
Cependant, une fois que l’on comprend comment fonctionne la glucogenèse, il est clair qu’il y avait encore du glucose dans le cerveau. Votre corps a absolument besoin de glucose, mais vous n’êtes pas obligé d’en manger. Cependant, cela en nécessite tellement que si vous ne consommez pas de glucose, vos muscles seront sacrifiés pour le créer de manière endogène.
Votre corps décomposera le tissu musculaire et le convertira en glucose en libérant les hormones du stress, l'adrénaline, le glucagon et le cortisol. C’est ce qui active la destruction de la masse musculaire maigre et des os. Même certains tissus cérébraux peuvent être sacrifiés pour créer du glucose. Donc, vous devez avoir du glucose. Si jamais votre glycémie descend à zéro, vous mourrez.
Les cétones sont en effet un excellent carburant, elles font beaucoup de bonnes choses pour votre corps, mais vous avez quand même besoin de glucose. Et si vous souhaitez vraiment optimiser votre biologie, l’idéal est de donner à votre corps le glucose dont il a besoin, ainsi qu’une plus petite quantité de cétones. Deux façons d’y parvenir sont de jeûner (qui active les hormones du stress) ou de prendre des cétones exogènes.
Au cours d'une expérience personnelle, Llosa a atteint des niveaux de cétones très élevés, mais les gens ont commencé à dire qu'il avait l'air maladif. Même s'il se sentait bien, il avait un poids insuffisant. Sa femme a également expérimenté un régime cétogène et a contracté la « grippe céto ».
« Elle était au lit en position fœtale, les yeux exorbités et le cœur battant à tout rompre », dit-il. Llosa a fini par faire appel à quelques experts, qui lui ont recommandé de lui donner 10 gélules de sel pur. Alors qu'il était sceptique, le sel lui a permis de se sentir bien en 10 minutes. «C'était juste une pénurie de sel», dit-il.
Il s’agit généralement d’un problème très courant et c’est l’une des raisons pour lesquelles les gens disent que le régime céto n’a pas fonctionné pour eux. Les régimes cétogènes entraînent d’énormes pertes de sel et, dans la plupart des cas, n’ajoutent tout simplement pas suffisamment de sel. Cela dit, les cétones présentent certainement des avantages. Le principal étant les effets anti-inflammatoires. Certains bénéficient également de bénéfices cognitifs considérables. Comme l'explique Llosa :
« Pour la cognition, plus vous avez de problèmes avec le glucose atteignant le cerveau, plus vous en bénéficiez. Ainsi, certaines personnes en boivent, qu’il s’agisse de l’une de ces cétones exogènes, et ne ressentent rien dans le cerveau. Mais votre cerveau est alimenté à 100 ou 95 % de [glucose], il n’y a aucune amélioration à obtenir.
Le scientifique Steve Koonin a parlé du déficit énergétique du cerveau. Donc, plus l'écart est grand, plus le pourcentage du cerveau qui peut être alimenté par le glucose, il pourrait être de 60 à 70 %. Lorsque vous ajoutez des cétones exogènes, elles empruntent une voie différente, atteignent le cerveau et vous rapprochent de ces 100 %.
Ainsi, certaines personnes, par exemple les personnes traumatisées cérébrales, ont un brouillard cérébral, elles prennent l'ester cétonique et c'est instantané, immédiat et prévisible, dans les 15 minutes. Ainsi, plus l’écart [énergétique] est grand, plus vous le ressentez.
À l’heure actuelle, il existe plusieurs types de produits cétoniques disponibles, notamment les suivants :
• Huile MCT-C8 — L'huile MCT est une graisse alimentaire, elle compte donc dans vos macronutriments. Cependant, 10 à 15 % de celui-ci passe par le foie et crée des cétones (D-bêta-hydroxybutyrate). Comme l'a noté Llosa, en théorie, vous pourriez prendre de l'huile MCT avec un morceau de gâteau du commerce tout en augmentant vos cétones. Cette augmentation n’est cependant pas une indication que vous brûlez des graisses.
• Sels de cétone racémiques (bêta-hydroxybutyrate) — Ce furent les premières cétones exogènes sur le marché, mais elles ne valent guère l'investissement, car elles augmentent à peine vos niveaux de cétones. "Vous auriez une portion entière de sels cétoniques et vous seriez chanceux si vous obteniez une augmentation de 0,3 de vos millimolaires", explique Llosa.
"Si vous preniez les gélules de sels racémiques, peut-être que si vous preniez la moitié de la bouteille, 15 des 30 gélules, vous pourriez avoir une augmentation de 0,2, 0,3." L’une des raisons pour lesquelles les gens prétendent avoir travaillé pour prévenir la grippe céto est que les sels cétoniques sont très riches en sel. Mais vous pouvez obtenir le même effet simplement en prenant du sel rose de l’Himalaya et économiser beaucoup d’argent.
• Sels de cétone chiraux (D-bêta-hydroxybutyrate) — La version chirale des sels, qui est plus coûteuse à produire et donc vendue au détail à un prix plus élevé.
• Ester cétonique — Il s'agit du D-bêta-hydroxybutyrate, la forme acide libre, liée au R 1,3-butanediol (également connu sous le nom de D 1,3-butanediol). Cela permet à l’ester de pénétrer intact dans votre circulation sanguine. Comme l'explique Llosa, « une fois dans votre circulation sanguine, les enzymes le sépareront, vous donnant une libération rapide de D-bêta-hydroxybutyrate, la même molécule que votre corps produit lorsqu'il brûle les graisses.
Ensuite, le R 1,3-butanediol passe par le foie et 80 % de celui-ci se transforme en cétone. Donc, vous avez une version rapide et une version lente.
Au sein du groupe des esters, il existe plusieurs versions différentes, dont le monoester (développé par Veech) ; Le D-bêta-hydroxybutyrate lié à deux ou trois molécules de glycérol (ce qui est loin d'être aussi efficace) ; et les esters à base de C8, qui fonctionnent mieux lorsqu'ils sont pris avec de la nourriture. Le monoester cétonique n’est pas bien absorbé lorsqu’il est pris avec de la nourriture.
Ainsi, si vous devez le prendre avec de la nourriture pour limiter les pics de glycémie, l’ester C8 peut être un meilleur choix. Mais pour un entraînement à jeun, le monoester est de loin supérieur. Il existe également un ester cétonique à base de C8 lié au R 1,3-butanediol, mais il n’est pas aussi biodisponible, tout en étant l’un des plus chers.
• R 1,3-butanediol — Il s'agit de la moitié de la molécule de l'ester cétonique (D-bêta-hydroxybutyrate lié à R 1,3). Techniquement, le 1,3-butanediol est un alcool (mais pas de l'éthanol), il peut donc vous donner du buzz. Llosa a lancé une société appelée Hard Ketones qui se concentre sur le R 1,3-butanediol comme alternative à l'alcool qui agit sur vos récepteurs GABA.
Ce produit vise principalement à aider les gens à arrêter de boire de l'alcool. Comme l'explique Llosa, « ce qui est bizarre avec cette boisson, c'est qu'en raison de l'effet ghréline, elle diminue le désir d'elle-même. Donc normalement, avec une bière, vous désirez une autre bière, et une autre bière.
Mais avec cela, les gens en ont un ou deux et ils n’ont tout simplement pas envie d’en avoir un troisième, un quatrième ou un cinquième. Le cerveau a besoin d'acide acétique dans le cadre du cycle de l'éthanol. Le R 1,3-butanediol se convertit en une version à quatre carbones de l'acétaldéhyde qui n'est pas aussi biodisponible, de sorte que le corps ne peut pas l'utiliser comme toxine, puis il se convertit rapidement en bêta-hydroxybutyrate cétones.
Sels de cétone racémiques et chiraux
Pour comprendre la différence entre les sels racémiques et chiraux, imaginez que vous avez une paire de gants, un pour votre main gauche et un pour votre main droite. Dans un sel de cétone racémique, vous avez un mélange égal de ces molécules « gauchers » et « droitières », également appelées « D » (ou R, pour « droite ») et « L » pour « gauche ». »
Tout comme vos gants, ces molécules se ressemblent mais sont des images miroir les unes des autres et ne peuvent pas se superposer les unes aux autres. En chimie, on dit que le mélange est racémique car il contient des parts égales de ces formes en image miroir.
Maintenant, imaginez si vous aviez une paire de gants mais qu’ils étaient tous deux pour la même main – disons deux gants pour la main gauche. Dans les sels de cétone chiraux, au lieu d’avoir un mélange, vous avez des molécules qui sont toutes « gauchers » (ou toutes « droites »). Le terme « chiral » fait référence à une substance qui n’a pas une image miroir identique – tout comme votre paire de gants pour gauchers.
Dans le contexte des sels cétoniques, cela signifie que le produit est constitué principalement d’un seul type de molécule, soit la version « gauche » ou « droite », et non un mélange des deux.
Dans notre corps, ces différences peuvent être importantes. Tout comme un seul de vos gants peut tenir sur chaque main, une seule forme de molécule cétonique peut être utilisée efficacement par le corps. Alors que les sels de cétone racémiques offrent un mélange qui pourrait ne pas être pleinement utilisé, les sels de cétone chiraux fournissent une forme spécifique qui peut être reconnue et utilisée par votre corps.
Les esters cétoniques protègent contre le stress oxydatif
Selon Llosa, l'ester cétonique est meilleur pour l'acuité cérébrale et les performances sportives, tandis que les cétones dures induisent la relaxation. À mon avis, l’une des meilleures applications thérapeutiques des cétones exogènes est lorsque vous devez réduire le stress oxydatif, par exemple lors d’un scanner, d’une radiographie ou d’une chimiothérapie, ou lorsque vous prenez l’avion. Tous ces éléments provoquent un stress oxydatif contre lequel les esters cétoniques peuvent protéger. Llosa commente :
« Il va y avoir un article qui sortira d’ici un mois ; cela a pris sept ans de préparation, et cela a été brièvement évoqué dans un livre de chimie, c'est pourquoi je peux le mentionner, où ils ont donné aux souris suffisamment de radiations pour que 70 % d'entre elles meurent.
Ils ont pris un autre groupe et leur ont donné de l'ester cétonique soit avant et après, soit juste après. Lorsqu’ils l’ont pris avant et après, 100 % d’entre eux ont survécu et ont vécu aussi longtemps [que les souris non exposées]. S'ils prenaient juste après, 90 % d'entre eux survivaient. Ce sera, je pense, un document révolutionnaire. Cela va ouvrir tellement de possibilités.
En ce qui concerne le cancer, ce dont nous avons vraiment besoin… c’est de nous assurer que les radiations ne protègent que les bonnes cellules et ne protègent pas accidentellement les mauvaises cellules. Travis Christofferson qui a écrit le livre « Les cétones sont le quatrième carburant ». Excellent livre pour approfondir ce sujet. Il m’a expliqué, mais pas d’une manière que je puisse réexpliquer, que les bonnes cellules cancéreuses sont protégées et que les mauvaises cellules cancéreuses ne devraient pas l’être.
Ainsi, en cas de cancer potentiel, vous devez vous assurer qu’il protège uniquement les bonnes cellules et non accidentellement les mauvaises cellules. Parce que cette étude sur les souris montre simplement qu’elle protège tout le corps, elle ne montre pas la différence dont vous avez besoin.
Dans le domaine des radiations cancéreuses, il s’agit d’un équilibre délicat entre la quantité de radiations que vous donnez pour tuer le cancer et celle qui tue l’hôte. Vous ne voulez pas tuer la personne avec trop de radiations. Donc, si vous avez la possibilité d’être plus agressif face aux radiations, ou de vous en protéger, cela offre de nombreuses perspectives.
Je déconseille fermement la chimiothérapie contre le cancer, car vous sabotez votre capacité à survivre. Cependant, dans les rares cas où une radiothérapie ou une chimiothérapie peuvent être justifiées, vous seriez insensé de ne pas envisager de fortes doses d’esters cétoniques, car elles protégeront probablement les cellules saines contre les dommages, en particulier vos cellules immunitaires.
Lorsque vous affaiblissez votre système immunitaire, votre capacité à combattre le cancer disparaît presque. Donc, vous devez être prudent. À titre général, Llosa suggère de précharger avant la chimiothérapie, en prenant deux à quatre portions par jour (10 à 20 millimolaires) pendant deux ou trois jours. Cela dit, Llosa prévient qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour étayer des dosages ou des fréquences spécifiques, c’est donc quelque chose que vous devrez expérimenter.
Encore une fois, pour être clair, même si je pense qu’augmenter vos cétones endogènes peut faire plus de mal que de bien pour la plupart des gens, prendre un produit cétonique exogène est une autre histoire, car vous n’activez pas les hormones du stress.
Pourquoi je ne recommande pas Chronic Keto
Bien que Llosa pense que le régime idéal est un régime non cétogène à faible indice glycémique avec des cétones exogènes, je suis fortement en désaccord avec cela. La raison en est que le glucose est le principal carburant de vos mitochondries. Malheureusement, le microbiome de la plupart des gens souffre de graves dysfonctionnements en raison d’une consommation excessive de sucre raffiné.
Le sucre raffiné nourrit les bactéries à Gram négatif qui produisent des endotoxines. Si votre charge bactérienne pathogène dans votre côlon est élevée, même les glucides sains comme les fruits mûrs peuvent causer des problèmes, car les fibres nourriront les mauvaises bactéries. Cependant, si votre microbiome est sain, vous pouvez manger des fruits et même des féculents sans problème.
Je mange généralement entre 400 et 500 grammes de glucides par jour, et j'en connais beaucoup qui en mangent 600 grammes par jour, mais qui ont pourtant une glycémie tout à fait normale et une glycohémoglobine normale, car nos mitochondries peuvent brûler efficacement le glucose. Nous avons un métabolisme très actif, nous pouvons donc brûler ce carburant.
Beaucoup, comme Llosa, se concentrent sur un indice glycémique faible, car c’est ainsi que la plupart des gens atteignent une glycémie normale. Mais je pense que c’est loin d’être idéal, car si vous suivez un régime à faible indice glycémique, vous courez toujours le risque d’activer les hormones du stress. Si votre apport en glucides est trop faible, vous allez activer l’adrénaline et le cortisol, et si vous les activez tout le temps, vous allez avoir des ennuis.
L’autre élément est que vous devez être sensible à l’insuline. Idéalement, vous voudriez un taux d’insuline à jeun inférieur à 2, voire 1,5. Si votre insuline à jeun est de 5 ou 10, alors le pic de glycémie provoqué, par exemple, par un verre de jus d'orange, va être problématique. Si votre fonction mitochondriale et votre métabolisme sont bons, votre taux de glucose augmentera temporairement puis redescendra.
Plus d'information
Pour en savoir plus sur les produits Llosa, visitez ketoneaid.com et hardketones.com. En conclusion, Llosa commente :
« Je pense que ce qu’il faut retenir, c’est que ce n’est pas un supplément. Nous appelons cela un aliment. Les gens doivent prendre des suppléments pendant 10 à 30 jours pour ressentir quelque chose. C’est quelque chose que l’on ressent immédiatement, ou en un ou deux jours.
Campagne de peur résultant de « cas confirmés » de Covid-19 totalement invalides, de données erronées sur la mortalité du SRAS-CoV-2 et de falsification des certificats de décès
Chapitre III du livre électronique, The Worldwide Corona Crisis: Global Coup d'État contre l'humanité, par Global Research Publishers, 2022
MICHEL CHOSSUDOVSKI 16 MARS 2024
Le texte suivant constitue le chapitre III de :
La crise mondiale du coronavirus, un coup d’État mondial contre l’humanité par Michel Chossudovsky ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres
« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. —Dr. Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourrait être due à ce qu’on appelle des tests faussement positifs. » —Dr. Michael Yeadon, scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cet usage abusif de la technique RT-PCR est appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs. -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients. —Dr. Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste de santé publique reconnu.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en réétiquetant les patients atteints de cancer, les victimes d’accidents vasculaires cérébraux et toutes sortes de décès réguliers normaux comme Covid, en fait pratiquement toute personne montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement erronées, des tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles dont nous savons tous qu'ils ne valent rien, et pourtant des personnes sont euthanasiées sur cette base et parfois uniquement sur la base d'une radiographie pulmonaire. —John O'Looney, directeur des funérailles, Milton Keynes, Royaume-Uni
Le nombre de cycles d'amplification [devrait être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détectent uniquement les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten)21
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. C’est pourtant ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en concertation avec l’équipe de virologie de l’hôpital de la Charité à Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les « cas confirmés de COVID-19 » compilées dans le monde entier au cours des deux dernières années et demie sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al., le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».22
Le Mea Culpa de l’OMS Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS.
« Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire (1). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (c'est nous qui soulignons)
L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. »23
De plus, à partir de fin 2021, plusieurs milliards de kits de tests d’antigènes et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d’un milliard de kits de tests ont été distribués aux États-Unis.
Au Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de test d’antigène COVID-19 à domicile. Cette décision a non seulement contribué à alimenter la campagne de peur, mais elle a également créé une situation de chaos social. Cela a contribué à faire augmenter le nombre de « cas confirmés ».36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d'un diagnostic médical du patient.
Annexe Texte intégral de la directive de l'OMS du 20 janvier 202137
- voir doc sur site -
Capture d'écran de l'OMS
Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2 Type de produit : technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l’OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS destiné aux utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (IVD) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L'OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d'utilisation (IFU) lors de l'interprétation des résultats des échantillons testés à l'aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d'emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité PCR est recommandé par le fabricant.
Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire (1). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent prendre en compte tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Actions à entreprendre par les utilisateurs du DIV :
Veuillez lire attentivement le mode d'emploi dans son intégralité.
Contactez votre représentant local si un aspect du mode d'emploi n'est pas clair pour vous.
Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter tout changement dans le mode d'emploi.
Fournissez la valeur Ct dans le rapport au fournisseur de soins de santé demandeur.
28 H. Ealy, M. McEvoy, et al., July 24, 2020. Covid-19: Questionable Policies, Manipulated Rules of Data Collection and Reporting. Is It Safe for Students to Return to School? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264
29 National Vital Statistics System, March 24, 2020. New ICD code introduced for COVID-19 deaths. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M
30 Ibid.
31 Ibid.
32 Ibid.
33 Prof Michel Chossudovsky, February 14, 2021. Quebec: Falsification of Mortality Data Pertaining to Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290
34 See this: https://amol.ca/wp-content/uploads/2020/04/19_avril_20-AU-00603_LET_Opatrny-Codirecteurs_Orientations_ministerielle….pdf
35 Ibid.
36 Prof. Michel Chossudovsky, July 19, 2022. Biggest Lie in World History: There Never Was A Pandemic. The Data Base is Flawed. The Covid Mandates including the Vaccine are Invalid. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-including-the-vaccine-are-invalid/5772008
37 WHO, January 20, 2021. Nucleic acid testing (NAT) technologies that use polymerase chain reaction (PCR) for detection of SARS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
Campagne de vente de vaccins contre la rougeole dans les ÖRR et HSH – sans fondement ?
18 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Une campagne massive de vente de vaccins contre la rougeole est actuellement en cours dans les médias gouvernementaux et institutionnels. Cela suggère qu’il y a une véritable vague de maladies. Si nous ne vaccinons pas, cette vague va nous submerger. Mais existe-t-il des données à ce sujet ? Ou est-ce comme à cette époque de 2020 avec la « vague Corona » qui a conduit à des hôpitaux vides ?
La vague de rougeole est présente dans presque tous les médias. Un exemple est l' ORF particulièrement enthousiaste , qui titrait vendredi : « La vague de rougeole ne disparaît pas ». Cela n'a pas suffi et ils ont continué sur la mauvaise voie du Corona, bien sûr non sans citer un virologue : « La vague de rougeole en Autriche roule et roule. En une semaine, le nombre de cas a augmenté de près de 50 pour atteindre 267 cas. Le taux de complications est de 20 %. Le virologue Lukas Weseslindtner recommande la vaccination « avant que cela nous explose au visage ».
Avons-nous vraiment une nouvelle vague dangereuse ? Et combien de malades ont été vaccinés contre la rougeole ? Et combien ont reçu des injections de préparations d’ARN mod affaiblissant le système immunitaire ?
Mais jetons un coup d'œil aux données publiées par le bioinformaticien Ben sur X :
- voir graph sur site -
Les chiffres et graphiques sont issus du rapport actuel de février 2024 de l'agence européenne responsable ECDC pour les pays de l'UE/EEE. On constate qu’il y a eu des pics nets entre 2009 et 2013, puis une baisse, et un peu plus encore en 2016 et 2019. En 2020, il n’y avait presque rien en 2022, même si la question se pose de savoir si rien n’a été signalé car personne n’a osé aller chez le médecin.
Il n’y aura qu’une augmentation relativement minime en 2023, ce qui coïncide généralement avec une diminution des niveaux de vitamine D en hiver. En haut à droite, les données pour 2023 sont affichées légèrement agrandies, avec une légère diminution en novembre et décembre.
Dans un autre graphique, Ben montre l’évolution globale du nombre de cas de 1974 à 2022 :
- voir graph sur site -
La vaccination multiple ROR est utilisée depuis un certain temps comme vaccination contre la rougeole. Il n’existe aucune preuve épidémiologique de l’efficacité de la vaccination, comme le montrent les données allemandes :
- voir cadre sur site -
Le Bade-Wurtemberg et la Saxe ont des taux de vaccination nettement inférieurs, mais les incidences ne sont pas différentes de celles des autres Länder.
Prophylaxie au lieu de vaccination
Dans l'interview du TKP, le pape de la médecine orthomoléculaire, le médecin et scientifique de Rostock, Dr. Sc. Med. Bodo Kuklinski en mai 2020 au sujet de la rougeole :
« La carence en vitamine A est endémique dans les pays pauvres. Les cas de rougeole y sont dramatiques et mortels. L'évaluation de 47 études chez des enfants âgés de 1 à 5 ans (1,2 million d'enfants) a réduit la fréquence de la rougeole de 50 % et la mortalité de 12 % lorsqu'on leur donnait de la vitamine A seule (sans vitamine D).
Et plus loin:
«Le déséquilibre se reflète également dans la vaccination contre la rougeole prévue par la loi, sinon une amende de 2 500 euros. En Allemagne, la rougeole a toujours été une maladie bénigne. Parfois, ils apparaissaient dans les classes de l'école sans que les autres ne tombent malades. Aujourd’hui, des cas graves sont connus chez les enfants et les adultes sous-alimentés ou non nourris, notamment les migrants. Ici aussi, au lieu de vacciner, de prophylaxie !
Il en va de même pour la rougeole et, en général, pour les recommandations complètes de vaccination des enfants, qui ont déjà atteint des proportions complètement irrationnelles, comme pour les vaccinations corona : elles font nettement plus de mal que de bien.
Comme indiqué précédemment en détail, aucun des vaccins contre la rougeole n’a jamais démontré son efficacité (cas/décès) contre la maladie clinique qu’est la rougeole. Au lieu de cela, ces produits s’appuient uniquement sur les taux sériques d’anticorps et sur des études antérieures, qui n’ont pas non plus montré d’efficacité clinique.
Points clés sur l’instauration d’une dictature sanitaire internationale de l’OMS
18 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La 77e Assemblée mondiale de la santé (AMS) est prévue du 27 mai au 1er juin 2024. Deux traités importants doivent être adoptés, accordant à l'OMS des pouvoirs presque illimités inscrits dans le droit international. Il s’agit principalement des modifications apportées au Règlement sanitaire international (RSI) ainsi que d’un nouveau traité complémentaire appelé Traité sur la pandémie.
Surtout, les modifications apportées au RSI confèrent à l’OMS des pouvoirs autoritaires étendus. Le RSI existe déjà et les changements ne doivent plus être spécifiquement décidés par les États membres. Elles entrent en vigueur de manière contraignante à moins qu'un veto ne soit opposé à leur encontre dans les 10 mois suivant la décision.
Le contrat pandémie est différent. C’est nouveau et aussi beaucoup moins ambitieux. Il doit d'abord être ratifié par les différents États membres avant de devenir valide.
L'analyste et journaliste James Roguski a compilé les principaux points inacceptables, que nous reproduisons ici :
Les 10 principaux points INACCEPTABLES dans les modifications proposées au Règlement sanitaire international
1. Trois niveaux d’alarmisme : (articles 1, 5, 8 et 12) Il est INACCEPTABLE de donner au Directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer unilatéralement une alerte d’action précoce (EAA) et une urgence pandémique (EP) en plus d’une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) sans aucune surveillance et sans aucun contrôle. ou balance sur sa puissance.
2. Quarantaine : (articles 24, 27 et annexes 4 et 8) La menace supplémentaire de quarantaine pour les voyageurs est INACCEPTABLE.
3. Documents requis pour le voyage : (articles 35, 36, 37 et annexes 3 et 8) Il est INACCEPTABLE d'exiger des documents de santé supplémentaires tels que des certificats de test pour restreindre la liberté de voyager.
4. Vaccins approuvés pour une utilisation d'urgence par l'OMS : (Annexe 6) La demande de « vaccins », en particulier ceux autorisés pour une utilisation d’urgence uniquement, est INACCEPTABLE.
5. Exiger des acteurs non étatiques qu’ils respectent les mesures de santé publique : (Article 42) Il est INACCEPTABLE de forcer les « acteurs non étatiques » à se soumettre aux diktats du gouvernement.
6. Surveillance : (Annexe 1-ci) La violation continue et toujours croissante de notre vie privée est INSÉCENTe.
7. Propagation d'agents pathogènes à potentiel pandémique : (article 44 et annexe 1) Faciliter la propagation d’agents pathogènes à potentiel pandémique et de données sur leur séquence génétique grâce à un système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages est absolument INACCEPTABLE.
8. Autorité nationale RSI : (Article 4 et Article 44-e) Il est INACCEPTABLE d’exiger que nous allouions des ressources humaines et financières et adaptions nos lois nationales en créant une autorité nationale chargée des réglementations sanitaires internationales.
9. Divulgation des données personnelles : (article 45) Il est INACCEPTABLE de permettre que des informations privées soient divulguées publiquement.
10. Censure : (Annexe 1-c-vi et Annexe 1-5-vii) Tenter de restreindre la liberté d’expression sous couvert de lutter contre la désinformation et la désinformation est INACCEPTABLE.
Le projet actualisé du traité sur la pandémie, dont les pires points ont été supprimés, peut être consulté ici : https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb9/A_inb9_3-en.pdf
Roguski a publié la dernière version des modifications proposées au Règlement sanitaire international dans ce document :
Amendements mis à jour au Règlement sanitaire international Quitter l'OMS est la meilleure solution, car sa politique est désormais déterminée pratiquement uniquement par la clique des milliardaires et les grandes sociétés pharmaceutiques ainsi que par leurs propriétaires, les gestionnaires d'actifs et les grandes banques.
Témoignage du cardiologue Dr. Peter McCullough : les hôpitaux ont assassiné des patients de Covid
18 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Cardiologue et scientifique de renommée mondiale, le Dr. Dans un témoignage explosif, Peter McCullough a révélé la véritable cause de la mort de patients qui seraient morts du « Covid ». Il a témoigné devant le Comité intergouvernemental du Sud-Ouest sur le nouveau coronavirus au sujet du nombre stupéfiant de décès signalés dans les hôpitaux pendant et après la pandémie.
McCullough a provoqué la surprise lorsqu'il a déclaré qu'aucun patient n'était mort du virus. Au lieu de cela, McCullough a déclaré au panel que chaque patient dont la cause du décès était répertoriée comme « Covid » avait en fait été « assassiné » par l’hôpital en les « traitant ».
Selon McCullough, plus ils tuaient de patients, plus les hôpitaux gagnaient d’argent. Les hôpitaux ont reçu d’énormes incitations financières pour adopter des protocoles mortels. C'est pourquoi "presque tous les décès sont survenus à l'hôpital", a témoigné McCullough.
Le médicament remdesivir est si mortel qu’il a été surnommé « la mort proche » après avoir commencé à tuer des milliers de patients hospitalisés pour Covid. Les experts ont affirmé que le Remdesivir arrêterait le Covid. Cependant, au lieu de cela, il a stoppé la fonction rénale et a ensuite détruit le foie et d’autres organes.
Les ventilateurs ont également été largement utilisés dans les hôpitaux pendant la pandémie, et les hôpitaux et les autorités sanitaires se sont efforcés d’en acheter davantage. Cependant, quelques semaines seulement après que l’OMS a déclaré la pandémie, il est devenu clair que la pratique courante consistant à ventiler mécaniquement les patients atteints de Covid était une condamnation à mort.
À New York, 76,4 % des patients Covid âgés de 18 à 65 ans placés sous respirateur sont décédés. Parmi les patients de plus de 65 ans sous respirateur, le taux de mortalité était stupéfiant de 97,2 %. La recommandation de ventiler principalement mécaniquement les patients Covid est venue de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Cependant, la ventilation des patients Covid n’était pas recommandée comme mesure pour sauver le patient. Cela a été fait pour protéger le personnel médical en isolant le virus dans le ventilateur.
La déclaration de McCullough intervient après qu'il a été récemment révélé que le personnel hospitalier avait reçu l'ordre d'euthanasier les patients pendant la pandémie afin d'augmenter le nombre de « décès dus à Covid ». Comme l’ a rapporté le TKP , des documents explosifs ont été divulgués montrant que les hôpitaux avaient reçu l’ordre d’euthanasier les patients testés positifs au COVID-19. Les documents officiels proviennent du National Health Service (NHS) britannique, financé par le gouvernement.
Les données explosives du rapport ont été publiées par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party. Les documents confirment les informations précédentes de Slay News selon lesquelles des patients étaient euthanasiés pour augmenter le nombre de « décès dus à Covid ». Les preuves montrent que des dizaines de milliers de personnes âgées ont été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.
La cause du décès a ensuite été donnée comme « Covid », suggérant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était en réalité.
On peut quantifier la détérioration de la santé de la population depuis 2020 avec la covid et les vaccinations :triplement des pneumonies et grippes
le 18 mars 2024 par pgibertie
Protéine spike virale ou vaccinale, l’article ne répond pas mais dans des pays où 90% des plus de douze ans ont été injectés et où sans doute autant ont eu la covid une ou plusieurs fois il serait utile de savoir quelle est la nature de la protéine à l’origine de la dégradation de la santé de la population …
Les doses successives de Spike ( virale et vaccinale) ont clairement dégadé la résistance aux infection
Les articles portent sur des personnes infectées et sans doute vaccinées mais il n’y a jamais de comparaison entre vaccinés et non vaccinés
La surmortalité est considérable porte pour l’essentiel sur la période post vaccinale avec des variants réputés moins agressifs.
La grippe et les pneumonies sont multipliées par trois, les séquelles par 15
- voir graph et liste sur site -
Les vagues d’infections au COVID-19 se sont poursuivies partout dans le monde avec l’apparition de nouveaux variants. L’attente selon laquelle des infections antérieures et la vaccination réduiraient la probabilité ou la gravité de la maladie s’est avérée incorrecte.
Alors que les décès pendant la phase aiguë ont diminué, en partie grâce à l’amélioration du traitement de la maladie la surmortalité reste élevée et les preuves montrent que les infections répétées détériorent la santé et augmentent de nombreux risques pour la santé, y compris le COVID long, les maladies auto-immunes , les mortinaissances d’autres infections, dont le RSV , et bien d’autres .
Certains de ces effets indésirables ont été liés à une détérioration du système immunitaire après une infection par le SRAS-CoV-2 [9,10]. La probabilité de COVID long et d’effets néfastes sur la santé augmente avec les infections répétées.[11]
Deux articles mentionnés ci-dessous (parmi bien d’autres) montrent qu’un risque significativement plus élevé d’autres infections se produit chez ceux qui ont souffert du COVID, ce qui concorde avec de nombreuses études montrant que le système immunitaire se détériore à cause de l’infection.[12]
Le premier article [7] évaluait le risque d’infection par le RSV chez les enfants. Il a révélé qu’en comparant les enfants âgés de 0 à 5 ans avec ou sans infection au COVID et par ailleurs semblables les uns aux autres, la fréquence d’une infection par le VRS était 40 % plus élevée pour ceux qui avaient une infection au COVID. Les mêmes résultats ont été obtenus en examinant deux années distinctes.
Le deuxième article [8], de 2021, démontre clairement l’augmentation de la fréquence de divers types d’infections chez les adultes, comme le souligne le tableau 1. Il est préoccupant de constater que les infections respiratoires, des sinus, de la peau, des voies urinaires ou intestinales étaient entre 1,24 et 1,5 fois supérieures. plus élevé, tandis que les infections bactériennes, fongiques et parasitaires étaient 1,2 à 1,8 fois plus élevées. Cependant, ce qui est vraiment alarmant, c’est l’augmentation des taux d’infections virales, 4,4 fois plus élevés, ainsi que les taux plus élevés de MST (à l’exclusion du VIH et de l’hépatite), de la grippe et de la pneumonie en général. Une indication des impacts globaux des infections peut être observée dans une multiplication par près de 15 des rapports sur le suivi des effets des maladies infectieuses.
1 Kuang, S., Earl, S., Clarke J., Zakaria, D., Demers, A, Aziz, S., Expériences des Canadiens présentant des symptômes à long terme suite à la COVID-19, Regards sur la société canadienne. Décembre. No. au catalogue de Statistique Canada 75-006-X. https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/75-006-x/2023001/article/00015-fra.htm 2 Mortalité, par semaine : excédent de décès par semaine, 2020-2023 https://stats.oecd.org/index.aspx?queryid=104676 3 DeVries, A., Shambhu, S., Sloop, S. et Overhage, JM (2023, mars), Résultats indésirables sur un an chez les adultes américains atteints d’un état post-COVID-19 par rapport à ceux sans COVID-19 dans une grande publicité Base de données sur l’assurance, JAMA Health Forum. 2023;4(3):e230010. https://doi.org/10.1001/jamahealthforum.2023.0010 4 Sharma, C., Bayry, J. Risque élevé de maladies auto-immunes après COVID-19. Nat Rev Rheumatol 19, 399-400 (2023). https://doi.org/10.1038/s41584-023-00964-y 5 Špela Šalamon Andrew Ewing Greta Fox Stéphane Bilodeau Carlos Gershenson Matti TJ Heino Yaneer Bar-Yam SARS-CoV-2 et COVID-19 : de la crise à la solution. Communications scientifiques du WHN 2024 ; 5 (1) : 1-1. https://doi.org/10.59454/whn-2401-334
6 Magnus, MC, Örtqvist, AK, Urhoj, SK, Aabakke, A., Mortensen, LH, Gjessing, H.,… & Håberg, SE (2023). Infection par le SRAS-CoV-2 pendant la grossesse et risque de mortinatalité : une étude de registre scandinave. Santé publique BMJ , 1 (1). https://doi.org/10.1136/bmjph-2023-000314 7 Wang L, Davis PB, Berger N et al. Association du COVID-19 avec les infections par le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les enfants âgés de 0 à 5 ans aux États-Unis en 2022 : une étude de cohorte rétrospective multicentrique Médecine familiale et santé communautaire 2023 ;11 :e002456. http://doi.org/10.1136/fmch-2023-002456 8 Tableau supplémentaire 2 dans Al-Aly, Z., Xie, Y. & Bowe, B. Caractérisation de grande dimension des séquelles post-aiguës du COVID-19. Nature 594, 259-264 (2021). https://doi.org/10.1038/s41586-021-03553-9 9 Phetsouphanh, C., Darley, DR, Wilson, DB et al. Le dysfonctionnement immunologique persiste pendant 8 mois après l’infection initiale légère à modérée par le SRAS-CoV-2. Nat Immunol 23, 210-216 (2022). https://doi.org/10.1038/s41590-021-01113-x 10 Chattopadhyay P, Khare K, Kumar M, Mishra P, Anand A, Maurya R, Gupta R, Sahni S, Gupta A, Wadhwa S, Yadav A, Devi P, Tardalkar K, Joshi M, Sethi T et Pandey R (2022) La multiomique unicellulaire a révélé la dynamique de la présentation de l’antigène, de la réponse immunitaire et de l’activation des lymphocytes T chez les individus positifs et guéris du COVID-19. Devant. Immunol. 13:1034159. http://doi.org/10.3389/fimmu.2022.1034159 11 Bowe, B., Xie, Y. et Al-Aly, Z. Séquelles aiguës et post-aiguës associées à la réinfection par le SRAS-CoV-2. Nat Med 28, 2398-2405 (2022). https://doi.org/10.1038/s41591-022-02051-3 12 Ewing, A., COVID-19 et dérégulation immunitaire, un résumé et une ressource. Communications scientifiques du WHN 2023 ; 4 (3) : 1-1. https://doi.org/10.59454/whn-2303-765 13 Destatis, Population, Décès, Espérance de vie https://www.destatis.de/EN/Themes/Society-Environment/Population/Deaths-Life-Expectancy/_node.html
Un rapport critique les « erreurs catastrophiques » des confinements liés au COVID et met en garde contre une répétition
PAR TYLER DURDEN MARDI 19 MARS 2024 - 04:00 Rédigé par Kevin Stocklin via The Epoch Times
Il y a quatre ans, en mars 2020, les autorités sanitaires ont déclaré le COVID-19 pandémie et l’Amérique a commencé à fermer les écoles, à fermer les petites entreprises, à restreindre les rassemblements et les déplacements, ainsi qu’à prendre d’autres mesures de confinement pour « ralentir la propagation » du virus.
Pour marquer ce sombre anniversaire, un groupe d’experts médicaux et politiques a publié un rapport intitulé « COVID Lessons Learned », qui évalue la réponse du gouvernement à la pandémie. Selon le rapport, cette réponse s’est accompagnée de quelques succès notables, ainsi que d’une litanie d’échecs qui ont eu de lourdes conséquences sur la population.
Pendant la pandémie, de nombreux gouvernements à travers le monde ont agi de concert pour mettre en œuvre des politiques faisant autorité en réponse à la maladie, en confinant les populations, en fermant les écoles, en fermant les entreprises, en scellant les frontières, en interdisant les rassemblements et en appliquant diverses obligations en matière de masques et de vaccins. Ce qui était initialement imposé comme des mandats à court terme et des pouvoirs d’urgence accordés aux présidents, aux ministres, aux gouverneurs et aux responsables de la santé s’est rapidement étendu à une expansion à plus long terme du pouvoir officiel.
« Même si le but initial des confinements temporaires était de « ralentir la propagation », ce qui signifiait permettre aux hôpitaux de fonctionner sans être submergés, ils se sont rapidement transformés en un arrêt à tout prix des cas de COVID », Dr Scott Atlas, médecin, ancien Un membre du groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche et l'un des auteurs du rapport, a déclaré lors d'une conférence de presse le 15 mars.
Publié par le Comité pour libérer la prospérité (CTUP), le rapport a été co-écrit par Steve Hanke, professeur d'économie et directeur de l'Institut Johns Hopkins d'économie appliquée ; Casey Mulligan, ancien économiste en chef du Conseil des conseillers économiques de la Maison Blanche ; et le président du CTUP, Philip Kerpen.
Selon le rapport, l’une des premières erreurs a été l’autorité sans précédent que les responsables publics ont assumée pour faire respecter les mandats de santé des Américains.
« Accorder des pouvoirs extraordinaires aux agences de santé publique a été une erreur majeure », a déclaré M. Hanke à Epoch Times. « En fait, cela a accordé à ces agences le droit de tromper le public. »
Les auteurs soutiennent que les mesures faisant autorité ont été largement inefficaces dans la lutte contre le virus, mais se sont souvent révélées très préjudiciables à la santé publique.
Le rapport quantifie le coût des confinements, à la fois en termes de coûts économiques et de nombre de décès excédentaires non liés au COVID qui se sont produits et continuent de se produire après la pandémie. Il estime que le nombre de décès excédentaires non liés au COVID, définis comme des décès dépassant les taux normaux, est d’environ 100 000 par an aux États-Unis.
« Ils vont essayer de recommencer » « Les confinements, les fermetures d’écoles et les mandats ont été des erreurs catastrophiques, poussées avec une ferveur remarquable par les autorités de santé publique à tous les niveaux », indique le rapport. Les auteurs doutent toutefois que les autorités sanitaires tirent des leçons de cette expérience.
"Ce qui m'inquiète, c'est que si nous avons une autre pandémie ou un autre virus, je pense que Washington va quand même essayer de mettre en œuvre ces politiques qui ont échoué", a déclaré Steve Moore, économiste du CTUP. « Nous ne sommes pas ici pour dire « tel type s'est trompé » ou « tel type ou s'est trompé », mais nous devrions tirer les leçons de ces erreurs très, très graves qui auront des conséquences non seulement sur des années, mais sur des décennies. viens.
"Je vous garantis qu'ils essaieront de recommencer", a déclaré M. Moore. "Et ce qui me dérange vraiment, c'est que les gens qui ont commis ces erreurs n'ont toujours pas vraiment admis qu'ils avaient tort."
M. Hanke était tout aussi pessimiste.
« Malheureusement, l’établissement public de santé s’inscrit dans un modèle d’État autoritaire », a-t-il déclaré. «Leur édifice tout entier est un édifice dans lequel l’État, et non l’individu, devrait régner en maître.»
Les auteurs critiquent également ce qu’ils considèrent comme une campagne à multiples facettes dans laquelle des fonctionnaires, les médias et les sociétés de médias sociaux ont coopéré pour effrayer la population et l’amener à se conformer aux mandats du COVID.
« Pendant la pandémie de COVID, les établissements de santé publique… ont intentionnellement attisé et amplifié la peur, ce qui a ajouté d’énormes dommages économiques, sociaux, éducatifs et sanitaires aux méfaits du virus lui-même », indique le rapport.
Les auteurs ont comparé la réponse autoritaire de nombreux États américains aux politiques suédoises, qui, selon eux, reposaient davantage sur la fourniture de conseils et d'informations au public plutôt que sur la tentative de forcer les comportements.
La constitution suédoise, appelée « Regeringsform », garantit la liberté des Suédois de se déplacer librement dans le pays et interdit les confinements sévères, a déclaré M. Hanke.
"En suivant le Regeringsform pendant la pandémie de COVID, les Suédois se sont retrouvés avec l'un des taux de surmortalité les plus bas au monde", a-t-il déclaré.
Parce que le gouvernement suédois a évité les mandats stricts et s'est montré plus direct dans le partage d'informations avec sa population, de nombreux citoyens ont volontairement modifié leur comportement pour se protéger.
« Une stratégie bien plus sage que d’émettre des ordres de confinement aurait été de dire la vérité au peuple américain, de s’en tenir aux faits, d’éduquer les citoyens sur l’équilibre des risques et de laisser les individus prendre leurs propres décisions quant à savoir s’ils doivent garder leurs entreprises ouvertes, s’ils doivent ou non garder leurs entreprises ouvertes. s’isoler socialement, aller à l’église, envoyer leurs enfants à l’école, etc. », indique le rapport.
« Un prétexte pour accroître leur pouvoir » Le rapport du CTUP cite une étude de 2021 sur le pouvoir gouvernemental et les situations d’urgence réalisée par les économistes Christian Bjornskov et Stefan Voigt, qui a révélé que plus un gouvernement accumule de pouvoir d’urgence en temps de crise, « plus le nombre de personnes tuées à la suite d’une catastrophe naturelle est élevé ». , en contrôlant sa gravité.
"Comme il s'agit d'un résultat inattendu, nous discutons d'un certain nombre d'explications potentielles, la plus plausible étant que les gouvernements utilisent les catastrophes naturelles comme prétexte pour renforcer leur pouvoir", déclarent les auteurs de l'étude. « En outre, plus il est facile de déclarer l’état d’urgence, plus les effets négatifs sur les droits humains fondamentaux sont importants. »
«Toutes les choses que les gens font dans leur vie… ils ont un but», a déclaré M. Mulligan. « Et quand quelqu’un à Washington D.C. leur dit d’arrêter de faire toutes ces choses, ils ne peuvent même pas comprendre les perturbations et les pertes.
"Nous constatons dans les certificats de décès une forte augmentation du nombre de personnes mourant de maladies cardiaques, de diabète ou d'obésité", a-t-il déclaré, tandis que les décès dus à l'alcoolisme et aux surdoses de drogues "ont grimpé en flèche et n'ont pas diminué".
Le rapport remet également en question l’idée selon laquelle la plupart des hôpitaux étaient submergés par l’augmentation des cas de COVID.
« Presque toutes les mesures d’utilisation des hôpitaux ont été très faibles, historiquement, tout au long de la période pandémique, même si nous avons fait tous les gros titres selon lesquels nos hôpitaux étaient débordés », a déclaré M. Kerpen. « La vérité était en réalité le contraire, et cela était probablement le résultat de messages de santé publique et d’ordres politiques, annulant des procédures médicales et attisant intentionnellement la peur, poussant les gens à annuler leurs rendez-vous. »
Le Dr Vinay Prasad – médecin, épidémiologiste, professeur à la faculté de médecine de l’Université de Californie à San Francisco et auteur de plus de 350 articles et lettres universitaires – a formulé des allégations similaires de censure de la part de revues médicales.
« Plus précisément, MedRxiv et SSRN ont été réticents à publier des articles critiquant le CDC, les mandats en matière de masques et de vaccins, ainsi que les politiques de soins de santé de l’administration Biden », a déclaré le Dr Prasad.
Le « projet zéro » de traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) actuellement en cours de diffusion pour approbation par les États membres, y compris les États-Unis, accroît les inquiétudes concernant la censure médicale. Il engage ses membres à rechercher et à « s’attaquer » ensemble à ce que l’OMS considère comme de la « désinformation et de la désinformation ».
L’une des conséquences durables des années COVID est une perte générale de confiance du public dans les agents publics, les experts de la santé et les discours officiels.
« L’opération Warp Speed a été un formidable succès avec une rapidité de développement très inattendue [of vaccines] », a déclaré le Dr Atlas. « Mais les graves défauts résidaient dans le fait de ne pas être ouvert au public sur les incertitudes, en particulier concernant l’efficacité et la sécurité des vaccins. »
« L’un des résultats de la réponse erronée du gouvernement au COVID a été que les Américains ont, à juste titre, perdu confiance dans les institutions de santé publique », indique le rapport. Selon les auteurs, si les responsables de la santé veulent regagner la confiance du public, ils devraient commencer par une évaluation précise de leurs actions pendant la pandémie.
« La meilleure façon de rétablir la confiance est d'admettre que vous aviez tort », a déclaré le Dr Atlas. « Je pense que nous le savons tous dans notre vie personnelle, mais ici, c’est très important car il y a aujourd’hui un manque massif de confiance dans les institutions, dans les experts, dans les données, dans la science elle-même.
"Je pense qu'il sera très difficile de restaurer cela sans reconnaître une erreur", a-t-il déclaré.
Recommandations pour une future pandémie Le rapport du CTUP recommande que le Congrès et les législatures des États fixent des limites strictes aux pouvoirs conférés au pouvoir exécutif, y compris aux responsables de la santé, et fixent des délais qui nécessiteraient la prolongation de la législation. Cela donnerait au public une voix dans les mesures d’urgence sanitaire par l’intermédiaire de ses représentants élus.
Il recommande en outre que les subventions de recherche soient indépendantes des positions politiques et que le financement des NIH soit décentralisé ou accordé en bloc aux États pour qu'ils les distribuent.
Le Congrès devrait exiger la divulgation publique de toutes les discussions et décisions de la FDA, du CDC et du NIH, y compris les déclarations de toute personne fournissant des conseils à ces agences. Le Congrès devrait également préciser que les orientations du CDC sont consultatives et ne constituent pas des lois ou des mandats.
Le rapport recommande également que les États-Unis arrêtent immédiatement les négociations d’accords avec l’OMS « jusqu’à ce qu’une transparence et une responsabilité satisfaisantes soient atteintes ».
Après le 'gag' du 11 Septembre où TOUTES les chaînes de télés du monde étaient coupées pour présenter en direct un accident d'avion, voici qu'arrive la deuxième terntative de contrôler le monde avec l'emprisonnement à domicile !!
Il y a 4 ans : je ne suis plus seul. L’arrêt du coronavirus pourrait être le pire fiasco jamais vu.
JUSTIN HART 18 MARS 2024
Il y a 4 ans, le 17 mars 2020, John Ioannidis, le scientifique médical vivant le plus cité, publiait son article extraordinairement courageux dans le magazine en ligne STAT de Stanford : « Un fiasco en préparation ? Alors que la pandémie de coronavirus s’installe, nous prenons des décisions sans données fiables. »
J'ai publié ce qui suit sur Medium le même jour :
- voir graph sur site -
Ce soir — John Ioannidis, professeur en prévention des maladies à Stanford a écrit la chose la plus importante que vous lirez sur cette question.
L'article touche presque tous les points, moi-même et quelques autres personnes l'ont dit ici. Quelques extraits intitulés avec les mêmes questions que celles que j’ai posées :
Est-ce une erreur ?
« La maladie actuelle à coronavirus, le Covid-19, a été qualifiée de pandémie qui ne se produit qu’une fois par siècle. Mais il pourrait aussi s’agir d’un fiasco de preuves qui ne se produit qu’une fois par siècle.»
Plus de bien que de mal ?
« Des contre-mesures draconiennes ont été adoptées dans de nombreux pays…. Cependant, combien de temps faudra-t-il maintenir des mesures comme celles-ci si la pandémie se propage sans relâche à travers le monde ? Comment les décideurs politiques peuvent-ils savoir s’ils font plus de bien que de mal ? »
Des chiffres peu fiables. Une gamme effroyable de préjugés terribles.
« Ce fiasco des preuves crée une énorme incertitude quant au risque de mourir du Covid-19. Les taux de létalité signalés, comme le taux officiel de 3,4 % de l’Organisation mondiale de la santé, provoquent l’horreur – et n’ont aucun sens. Les patients qui ont été testés pour le SRAS-CoV-2 sont de manière disproportionnée ceux qui présentent des symptômes graves et de mauvais résultats. Comme la plupart des systèmes de santé ont une capacité de test limitée, les biais de sélection pourraient même s’aggraver dans un avenir proche.
« Cette vaste gamme affecte considérablement la gravité de la pandémie et ce qui doit être fait. Un taux de mortalité de 0,05 % à l’échelle de la population est inférieur à celui de la grippe saisonnière. Si tel est le cas, un confinement mondial, avec des conséquences sociales et financières potentiellement énormes, pourrait s’avérer totalement irrationnel. C’est comme si un éléphant était attaqué par un chat domestique. Frustré et essayant d’éviter le chat, l’éléphant saute accidentellement d’une falaise et meurt.
Le véritable impact du COVID-19 ne pourrait pas être pire que celui de la grippe
« Le taux de létalité du Covid-19 pourrait-il être si bas ? Non, disent certains, en soulignant le taux élevé chez les personnes âgées. Cependant, même certains coronavirus dits bénins ou de type rhume, connus depuis des décennies, peuvent avoir des taux de létalité allant jusqu'à 8 % lorsqu'ils infectent des personnes âgées dans des maisons de retraite. En fait, ces coronavirus « bénins » infectent des dizaines de millions de personnes chaque année et représentent 3 à 11 % des personnes hospitalisées aux États-Unis pour des infections des voies respiratoires inférieures chaque hiver.
Prophétie auto-réalisatrice de surcharger le système.
« Aplatir la courbe pour éviter de surcharger le système de santé est conceptuellement judicieux – en théorie… Pourtant, si le système de santé est effectivement débordé, la majorité des décès supplémentaires pourraient ne pas être dus au coronavirus mais à d’autres maladies et affections courantes telles que les crises cardiaques. les accidents vasculaires cérébraux, les traumatismes, les saignements et autres qui ne sont pas traités de manière adéquate. Si le niveau de l’épidémie submerge le système de santé et que les mesures extrêmes n’ont qu’une efficacité modeste, alors aplanir la courbe pourrait aggraver la situation. »
La vie doit continuer.
« On ne peut qu’espérer que, comme en 1918, la vie continue. À l’inverse, avec des confinements de plusieurs mois, voire années, la vie s’arrête en grande partie, les conséquences à court et à long terme sont totalement inconnues, et des milliards, et non seulement des millions, de vies pourraient éventuellement être en jeu. »
"Si nous décidons de sauter du haut de la falaise, nous avons besoin de données pour nous informer sur la justification d'une telle action et sur les chances d'atterrir dans un endroit sûr."
Je vais continuer à parler de ce sujet… et maintenant ce type est à peu près mon héros :)
Lorsque les forces vives d'une nation migrent vers une autre c'est le transfert du flacon injectable vers un organisme extérieur. D'un côté le flacon vide part à la poubelle et, de l'autre le contenu merdique empoisonne les victimes qui les ont accueillis. C'est alors que la dictature au pouvoir décide d'un commun accord avec elle-même de distribuer du papier-cul à tous le monde ce qui ne fait que déplacer la merde sans l'éliminer !
Le « vaccin tueur » du Covid. Des gens meurent partout dans le monde. C'est une entreprise criminelle
Par le professeur Michel Chossudovsky Recherche mondiale, 19 mars 2024
Nous sommes accusés de « diffuser de la désinformation » concernant le vaccin contre le Covid-19.
Les « traqueurs » et les « vérificateurs de faits » des médias de Reuters et de l’AP s’efforceront de salir les témoignages des parents qui ont perdu leurs enfants.
« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’est plus possible de revenir en arrière. La folie prévaut. Le monde est bouleversé. »
Ne nous faisons pas d'illusions, le Covid Jab n'est pas seulement « expérimental », c'est un « vaccin tueur » Big Pharma qui modifie le génome humain. Les preuves de mortalité et de morbidité résultant de l'inoculation du vaccin, tant présentes (données officielles) que futures (par exemple caillots sanguins microscopiques non détectés), sont accablantes.
Les données officielles (mortalité et morbidité) ainsi que de nombreuses études scientifiques confirment la nature du vaccin Covid-19 à ARNm qui s’impose à toute l’humanité.
Des rapports examinés par des pairs confirment les causes des décès et des « événements indésirables » (blessures) liés au vaccin, notamment les caillots sanguins, la thrombose, la myocardite et les arrêts cardiaques.
L’objectif affiché est d’imposer la vaccination mondiale de 8 milliards de personnes dans plus de 190 pays, suivie de l’imposition d’un « passeport vaccinal » numérisé. Inutile de dire qu’il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma. C'est un crime contre l'humanité.
Le projet mondial de vaccin intitulé COVAX est coordonné à l'échelle mondiale par l'OMS, GAVI, la CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates en liaison avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome Trust, la DARPA et les grandes entreprises pharmaceutiques de plus en plus dominées par Pfizer. Partenariat GSK établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19 début janvier 2020.
Le « vaccin » contre le Covid 19 a été dès le début en janvier 2021 propice à une hausse mondiale de la mortalité.
Ce n’est pas un homicide involontaire. C'est un meurtre Oui, c'est un vaccin qui tue . Ce message doit être fort et clair.
Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.
Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants.
Moins de deux mois après le lancement du « vaccin à ARNm » de Pfizer, une manifestation funéraire de masse a eu lieu pour les enfants décédés après avoir reçu le vaccin à Genève, en Suisse (29 janvier 2021).
Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle La Vaccine Safety Research Foundation a récemment publié Jusqu'à preuve du contraire , un court documentaire vidéo sur les conclusions corroborantes de deux éminents cardiologues.
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Nos enfants sont les victimes Partagez largement les vidéos suivantes montrant ce que les parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.
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Sofia Benharira, 16 ans, décède suite à la vaccination Pfizer.
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Mères enceintes vaxxées par Covid. Fausses couches. « De précieux bébés qui ne vivent plus »
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Nos athlètes meurent Vidéo ci-dessous qui documente les reportages sur « 1 000 athlètes s’effondrant, mourant, problèmes cardiaques, caillots sanguins – de mars 2021 à juin 2022 ».
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La criminalité de Pfizer ne fait aucun doute Mais saviez-vous que Pfizer a déjà un casier judiciaire auprès du DOJ américain pour « marketing frauduleux ».
Et personne ne connaît le casier judiciaire de Pfizer parce que les médias ne le signalent pas.
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Pouvons-nous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui, en 2009, a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), notamment pour « marketing frauduleux » et « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?
En 2009, Pfizer a été mis en « probation » par le ministère américain de la Justice : « Dans le cadre du règlement, Pfizer a également accepté de conclure un vaste accord d'intégrité d'entreprise avec le Bureau de l'inspecteur général du ministère de la Santé et des Services sociaux. Cet accord prévoit la mise en place de procédures et de contrôles pour éviter et détecter rapidement des comportements similaires à celui qui a donné lieu à cette affaire.
Intégrité d'entreprise ??? Où sont les procédures et les examens ?
Ce « comportement similaire » de Pfizer se répète en 2020-2022 à une échelle bien plus grande que celle de 2009.
Ce qui se déroule est une « commercialisation frauduleuse » mondiale d’un « vaccin tueur » , qui constitue un crime contre l’humanité.
Bombe. Le Mea Culpa de Pfizer Pfizer révèle dans un rapport secret (déclassifié sous liberté d’information) que son vaccin à ARNm est un « vaccin tueur ». La preuve vient de la « Bouche du Cheval »
« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.
Gardez à l’esprit qu’il s’agit des propres données de Pfizer.
Ironie du sort, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le discours officiel sur les vaccins colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également les analyses de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.
Ce que contient le rapport « confidentiel » de Pfizer, ce sont des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, l'OMS et les médias.
Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part des Big Pharma.
Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.
Il s’agit également d’un Mea Culpa et d’une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.
Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.
On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies. ( Michel Chossudovsky )
Cliquez ici pour lire le rapport « confidentiel » de Pfizer.
Figure 1. Nombre total d'EI BNT162b2 par classes de systèmes d'organes et gravité de l'événement
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Page 8 du « Rapport confidentiel » de Pfizer Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » contre le Covid-19 sauvera des vies. C'est un mensonge. « Si vous autorisez ce vaccin, je vous le garantis, il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves dix fois plus nombreuses. Et sans aucun bénéfice possible. Sachant ce que je sais de 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet extraordinaire abus sur des enfants innocents dont nous avons la garde ne peut être classé d'autre manière que le meurtre » - Dr Michael Yeadon , éminent scientifique, ancien vice-président. Président de Pfizer
« Cette campagne vaccinale sera considérée comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine… et elle sera en outre connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » – Députée Christine Anderson , députée européenne, juillet 2022
Ce qui est présenté ci-dessus n’est que la « pointe de l’iceberg » de ce qui se passe dans le monde. Tout ce processus est « axé sur le profit » par milliards, soutenu par la fraude scientifique et la désinformation.
Opération Vaxx mondiale « à gros budget » Sur une période de deux ans, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).
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Enregistré le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi-décembre 2020-21 septembre 2022)
En juillet 2023, le nombre estimé de doses administrées dans le monde (OMS) est de l'ordre de 14 milliards , pour une population mondiale totale de 8 milliards de personnes. (1,75 doses par personne pour une population mondiale de 8 milliards).
L’ampleur et l’impact social de cette opération de vaccination sont indescriptibles. C'est une guerre contre l'humanité dans son ensemble.
La vérité tacite : Nous avons affaire à une opération très rentable de plusieurs milliards de dollars qui repose sur des niveaux croissants de mortalité et de morbidité liées aux vaccins.
NE VOUS FAITES PAS VACCINER. SOYEZ SOLIDAIRES AVEC CEUX QUI ONT ÉTÉ VACCINÉS. INFORMER LES GENS À PARTIR DU TERRAIN SUR LES RISQUES SANITAIRES. PRENDRE UNE POSITION FERME CONTRE LE PASSEPORT VACCIN.
La légitimité des hommes politiques et de leurs sponsors Big Money doit être remise en question. Nous devons agir d’une seule voix à l’échelle nationale et internationale.
Notre première tâche est de désactiver la campagne de peur Le programme de « vaccination » contre le COVID-19 devrait être immédiatement interrompu dans le monde entier. Veuillez transmettre cet article à vos amis, collègues et famille. Global Research fait l’objet de censure. Les moteurs de recherche ne le capteront pas.
Pour une analyse plus détaillée et complète. Voir le livre récemment publié de Michel Chossudovsky sur la crise mondiale du coronavirus . Cliquez ici : Téléchargement GRATUIT
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité Détruire la société civile et provoquer une dépression économique
Par Michel Chossudovsky
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, Type de produit : Fichier PDF, Pages : 164 (15 chapitres) Des traductions en plusieurs langues sont prévues. Le livre est disponible sous forme imprimée en japonais .
Afin d'atteindre les millions de personnes dans le monde dont la vie a été affectée par la crise du coronavirus, nous avons décidé de distribuer le livre électronique GRATUITEMENT .
Prix : 11,50$. COPIE GRATUITE Cliquez ici pour télécharger .
Dans cette interview de septembre, Michel Chossudovsky revient sur les développements récents concernant le vaccin à ARNm contre le Covid-19.
Vidéo : Pr Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
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Le vaccin est-il sûr ? Si vous n'êtes pas convaincu des dangers du Vaxx de Big Pharma, jetez un œil à la vidéo suivante soigneusement étudiée qui, selon le Dr Gary G Kohl, est :
" Une vidéo incontournable, totalement véridique, fondée sur la science et possédant des connaissances en vaccinologie pour tous ceux qui envisagent de recevoir un rappel (ou même un premier vaccin)".
Vidéo, cliquez sur le coin inférieur droit pour agrandir l'écran
(...) Ce n’est pas un homicide involontaire. C'est un meurtre Oui, c'est un vaccin qui tue . Ce message doit être fort et clair.
Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.
Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants. (...)
OUI c'est UN MEURTRE. Un assassinat organisé. Un massacre programmé qui - en premier lieu - a fait croire (aux incultes) qu'un méchant virus (nano-poussière inoffensive sauf si elle était radioactive) était dans l'air ! Or, il existe au monde des milliers de laboratoires qui tous les jours examinent la qualité de l'air et n'ont... JAMAIS trouvé de 'virus' !!! Cà alors !! Seule la dictature au pouvoir et leurs merdias l'auraient vu !! Puis, a y regarder plus près... on s'aperçoit que les masques chirurgicaux proposés ne sont d'une part ni anti nano-poussières ni anti microbes mais qu'ils sont infectés !!! Infectés de nano partiocules d'oxyde de graphène !!! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' !! Pareil pour les cotons d'écouvillons utilisés dans les FAUX tests 'RT-PCR' !! et... et aussi dans la seringue !! 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène PAR DOSE !!
Si là c'est pas un crime perpétré qu'est-ce que c'est ??!
IMPORTANT: une étude comparative de la surmortalité et des mortinaissances dans les landers allemands prouve qu’elles sont déterminées par le taux de vaccccxx
le 19 mars 2024 par pgibertie
Contexte : La présente étude examine l’influence du COVID-19 sur la mortalité dans les seize Länder allemands.
Pour examiner cette question, nous estimons le fardeau de la pandémie de COVID-19 séparément pour chaque État fédéral en calculant la surmortalité spécifique à chaque État pour les trois années de pandémie
Parmi les grandeurs explorées figurent des aspects liés à la pandémie (force des mesures, infections au COVID-19 et taux de vaccination) et des aspects non liés à la pandémie (âge moyen, produit intérieur brut, taux de pauvreté, proportions de personnes ayant besoin de soins).
Méthodes : Pour estimer la surmortalité, nous comparons dans chaque État fédéral le nombre observé de décès toutes causes confondues avec le nombre de décès toutes causes statistiquement attendus. Pour estimer le nombre attendu de décès, nous utilisons les tables de mortalité et les tendances de longévité allemandes, ainsi que les tables de population et les facteurs d’État spécifiques aux États.
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. Résultats : La surmortalité variait considérablement selon les États fédéraux au cours de chacune des années pandémiques.
Dans presque tous les États, la surmortalité était faible au cours de la première année pandémique, a augmenté au cours de la deuxième et encore plus au cours de la troisième année pandémique.
L’augmentation varie également considérablement selon les Länder. En ce qui concerne les covariations avec les quantités spécifiques à l’état explorées, deux modèles de corrélation sont perceptibles.
Au cours des deux premières années de la pandémie, mais pas au cours de la troisième, il y avait une forte corrélation entre la surmortalité et le nombre de décès dus au COVID signalés, ce qui suggère que les différences de surmortalité observées plus tôt dans la pandémie sont dues à des différences dans les niveaux de mortalité. d’exposition au COVID-19.
Cependant, cela ne peut pas expliquer l’augmentation de la surmortalité au cours des deuxième et troisième années de pandémie, car le nombre de décès dus au COVID-19 a diminué au lieu d’augmenter dans presque tous les Länder.
En ce qui concerne l’augmentation de la surmortalité, on observe une corrélation positive de plus en plus forte avec le taux de vaccination d’un État fédéral, qui atteint une valeur de r = 0,85 au cours de la troisième année pandémique, ce qui indique que la surmortalité a augmenté d’autant plus que le taux de vaccination est élevé.
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Une analyse des mortinaissances a montré exactement le même schéma. Aucun autre modèle de corrélation systématique n’a été observé. Conclusions : La surmortalité pendant la pandémie variait considérablement entre les États fédéraux, un résultat qui nécessite une explication.
Bien que la corrélation positive entre la surmortalité et les infections au COVID-19 et les décès au cours de la phase de la pandémie sans vaccination suggère une explication par différents niveaux d’exposition au COVID-19, le COVID-19 ne peut pas expliquer l’augmentation de la surmortalité après le début des vaccinations.
Vaccination indirecte obligatoire contre la rougeole. Suspicion dans l'environnement : vache à lait pour les pharmaceutiques et les médecins ?
19 mars 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Corona n’est plus efficace parce que la rumeur circule selon laquelle les préparations d’ARNm rendent plus de personnes malades qu’elles n’en protègent. Mais avant que les nouveaux contrats de l’OMS ne soient conclus, il ne sera pas si facile de traverser une nouvelle « pandémie ». Comme pour Corona, la campagne de vente contre la rougeole se déroule à l’échelle internationale et sans aucune raison épidémiologique ou médicale.
J'ai reçu des informations de nos lecteurs sur ce qui se passe. Les parents et les grands-parents vivent actuellement des cas comme celui-ci : le médecin d'une jeune fille de 15 ans a appelé après que la jeune fille ait consulté le médecin et lui ait signalé un cas suspect. La jeune personne se voit désormais offrir la possibilité de se faire vacciner contre la rougeole, sinon elle devrait rester à la maison pendant 21 jours.
La nouvelle vache à lait des médecins ? En tant que médecin, je n'ai qu'à affirmer que j'ai un cas suspect et je peux ensuite faire chanter tous les jeunes qui étaient avec moi pour qu'ils se fassent vacciner pendant 3 semaines. Et cela grâce à des procédures intelligentes de la part des ministères de la Santé respectifs, expliquées ici en prenant l'exemple de l'Autriche.
Alors, avons-nous déjà une vaccination obligatoire contre la rougeole ? Voir l' organigramme du Ministère de la Santé :
L'explication du ministère de la Santé :
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Il suffit d’un cas confirmé ; le second – dans le cadre du lien épidémiologique supposé avec le premier – peut être imaginaire. Cool. Le nombre se réfère aux États fédéraux et comme on peut le voir ici sur AGES , il y en a assez avec un seul cas :
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Il semble que les gens essaient actuellement de rendre la vaccination obligatoire pour quelque chose, pour ensuite l'étendre par habitude. Si nous n'avions pas un niveau d'immunité très élevé, cette maladie hautement contagieuse ne se comporterait sûrement pas ainsi !?
D’ailleurs, les choses sont similaires dans les écoles, comme le montre la lettre d’un directeur d’il y a un an :
« …il faut fournir une preuve d'anticorps (prélèvement sanguin) » (sic) ! Ou simplement un certificat de vaccination. Je dois prouver que je suis libre. Là aussi, cela revient à une vaccination obligatoire, sans aucune raison épidémiologique ou médicale. Avec des vaccins qui n’ont jamais été sérieusement testés, comme expliqué ci-dessous.
Bill Gates impliqué dans le développement d'un vaccin
La fondation du milliardaire Microsoft s'est impliquée très tôt en finançant le développement de nouveaux produits. Dans l’ étude « Un essai randomisé et contrôlé d’un vaccin en aérosol contre la rougeole », nous lisons sous Conclusions :
« Le vaccin en aérosol contre la rougeole était immunogène, mais à la marge donnée, le vaccin en aérosol était inférieur au vaccin sous-cutané en termes de taux de séropositivité. (Financé par la Fondation Bill et Melinda Gates ; Registre des essais cliniques du projet de vaccin contre la rougeole en aérosol, numéro indien, CTRI/2009/091/000673. »
Ce qui est typique de toutes ces études, c’est qu’aucun résultat clinique tel que la prévention d’une maladie grave ou autre n’est testé, mais que seul le « taux de séropositivité » insignifiant a été comparé aux études précédentes. L’étude originale de 1967 ne comptait que 100 sujets chacun dans les groupes vaccinés et témoins et n’a duré que trois semaines. Il n’y a donc jamais eu de données sérieuses sur l’efficacité et les effets secondaires.
La rougeole à l'exemple du Japon
La campagne contre la rougeole ne se limite en aucun cas à l'Allemagne ou à l'Autriche. Semblable à Corona, les opérations ici sont également internationales et mondiales. Voir l'exemple du Japon :
Au Japon, la menace de la rougeole est rapportée quotidiennement à la télévision et les gens afflueraient vers les cliniques pour se faire vacciner. Cependant, comme vous pouvez le constater, les chiffres sont inférieurs à ceux des autres pays.
Les Allemands ou les Autrichiens ont-ils infecté les Japonais – ou vice versa ? Vous pouvez le constater partout dans le monde : le faible nombre de cas de rougeole est compensé par une vaste campagne de propagande. Ici, nous voyons des produits pharmaceutiques lors d'un autre raid. Quelqu’un a dû investir massivement en actions.
Aucune raison épidémiologique ou médicale pour la vaccination obligatoire Le nombre de cas de rougeole est faible, nettement inférieur à celui des années précédentes, comme le montrent les données officielles de l'autorité européenne ECDC :
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Plus d'informations à ce sujet dans l'article d'hier du TKP l. J'y ai également appris lors de mon entretien avec le médecin orthomoléculaire, le médecin et scientifique de Rostock, le Dr. sc.méd. Bodo Kuklinski cite des faits scientifiquement étayés sur le thème de la prophylaxie et du traitement de la rougeole.
Sur le plan épidémiologique, les mêmes incidences peuvent également être observées malgré des taux de vaccination différents dans les Länder allemands.
D’ailleurs, nous savons, grâce à des études menées auprès des ultra-orthodoxes en Israël, que les mères non vaccinées transmettent l’immunité à leurs enfants, alors que les mères vaccinées ne le font pas.
Nous n'avons même pas parlé du nombre croissant de maladies comme l'autisme chez les enfants grâce au nombre croissant de vaccins recommandés. Cela contraste fortement avec les groupes de population qui rejettent généralement la vaccination, comme les Amish, où l'autisme n'est pas du tout présent.
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Campagne de vente de vaccins contre la rougeole dans les ÖRR et HSH – sans fondement ?
Dans quelle mesure l’efficacité et la sécurité des vaccins contre la rougeole sont-elles testées ?
L'OMS tire la sonnette d'alarme sur les cas de rougeole - à tort en Allemagne
Jugement du tribunal administratif bavarois : les amendes pour défaut de preuve de vaccination contre la rougeole sont illégales
Après la chute des ventes de vaccins contre le coronavirus, les autorités font pression pour que les enfants soient vaccinés contre la rougeole
Les activateurs efficaces des vaccins provoquent l'autisme et des troubles neurologiques
L'autisme chez les enfants aux États-Unis est déjà une situation d'urgence – sauf pour les enfants Amish non vaccinés
"'Elle (l'évaluation des risques, ndlr) doit être renforcée cette semaine' – une décision apparemment politique et non scientifique, et aussi abrupte et surprenante, sans aucune indication dans les protocoles précédents et sans aucun changement significatif dans la clé fondamentale. Les figures."
L’équipe éditoriale publiera désormais des « articles informatifs pour les citoyens intéressés » à des intervalles de plus de 200 minutes totalisant plus de mille pages entre janvier 2020 et avril 2021. Cela suscite également des critiques sur le média en ligne. De nombreuses voix s'élèvent pour exiger que le média publie tous les protocoles sans exception, à la manière de Wikileaks. Mais apparemment, on suit la voie journalistique classique, dans laquelle le rédacteur en chef décide de ce qui est pertinent pour le public.
Les protocoles traités jusqu’à présent par Multipolar prouvent en fin de compte que le RKI avait fondamentalement une évaluation similaire à celle de Sucharit Bhakdi : le Covid-19 est une « vague de grippe modérée ». Mais l’intérêt politique a écarté cette évaluation et en a fait une crise unique en son genre, qui ne pouvait être mise en scène que grâce au pouvoir des médias.
Mais cette histoire du siècle n’est pas encore terminée. Les protocoles poursuivis ont certainement le potentiel de donner une nouvelle base à ce que l’on appelle la « réévaluation du coronavirus ». Paul Schreyer dit :
«La conclusion de tout cela : l'affirmation selon laquelle le RKI aurait procédé à la mise à niveau - et donc à la base du confinement et de l'état d'urgence - sur la base d'avis scientifiques n'est plus tenable. La mise à niveau s’est produite brusquement, sans discussion ni processus de consultation documentés, sous la direction d’un acteur anonyme.
Cela signifie également : il est désormais clair que les tribunaux allemands, qui dans leurs jugements sur la légalité des mesures Corona se sont appuyés sur le fait que l'évaluation des risques du RKI était scientifiquement fondée - et n'ont pas examiné de manière critique cette évaluation des risques dans les procédures respectives - , ont commis une erreur qui doit encore être reconnue et corrigée.
"'Elle (l'évaluation des risques, ndlr) doit être renforcée cette semaine' – une décision apparemment politique et non scientifique, et aussi abrupte et surprenante, sans aucune indication dans les protocoles précédents et sans aucun changement significatif dans la clé fondamentale. Les figures."
L’équipe éditoriale publiera désormais des « articles informatifs pour les citoyens intéressés » à des intervalles de plus de 200 minutes totalisant plus de mille pages entre janvier 2020 et avril 2021. Cela suscite également des critiques sur le média en ligne. De nombreuses voix s'élèvent pour exiger que le média publie tous les protocoles sans exception, à la manière de Wikileaks. Mais apparemment, on suit la voie journalistique classique, dans laquelle le rédacteur en chef décide de ce qui est pertinent pour le public.
Les protocoles traités jusqu’à présent par Multipolar prouvent en fin de compte que le RKI avait fondamentalement une évaluation similaire à celle de Sucharit Bhakdi : le Covid-19 est une « vague de grippe modérée ». Mais l’intérêt politique a écarté cette évaluation et en a fait une crise unique en son genre, qui ne pouvait être mise en scène que grâce au pouvoir des médias.
Mais cette histoire du siècle n’est pas encore terminée. Les protocoles poursuivis ont certainement le potentiel de donner une nouvelle base à ce que l’on appelle la « réévaluation du coronavirus ». Paul Schreyer dit :
«La conclusion de tout cela : l'affirmation selon laquelle le RKI aurait procédé à la mise à niveau - et donc à la base du confinement et de l'état d'urgence - sur la base d'avis scientifiques n'est plus tenable. La mise à niveau s’est produite brusquement, sans discussion ni processus de consultation documentés, sous la direction d’un acteur anonyme.
Cela signifie également : il est désormais clair que les tribunaux allemands, qui dans leurs jugements sur la légalité des mesures Corona se sont appuyés sur le fait que l'évaluation des risques du RKI était scientifiquement fondée - et n'ont pas examiné de manière critique cette évaluation des risques dans les procédures respectives - , ont commis une erreur qui doit encore être reconnue et corrigée.
Le premier tour de l'élection présidentielle en Russie se déroule ce week-end de vendredi à dimanche.
Il s'agira de la huitième élection présidentielle du pays et plus de 112 millions d'électeurs seront appelés aux urnes.
Alors que quatre candidats sont en lice, Katharina Buchholz de Statista rapporte qu'il n'y a presque aucun doute parmi les observateurs que Vladimir Poutine sera réélu pour un cinquième mandat dès le premier tour.
La seule véritable inconnue est la part des voix qu’il obtiendra.
Lors de la dernière élection présidentielle en 2018, ce chiffre s'élevait à environ 77 pour cent.
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Infographie : Poutine pour toujours ? | Statiste Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Au pouvoir depuis environ un quart de siècle – répartis sur quatre mandats présidentiels et deux mandats de Premier ministre entre 1999 et 2000 et entre 2008 et 2012 – Poutine a passé au total près de 9 000 jours à la tête du pays. S'il est réélu ce week-end, le prochain mandat de six ans, d'environ 2 190 jours, fera probablement de lui le dirigeant russe le plus ancien depuis le début du XXe siècle. Ce record est actuellement détenu par Joseph Staline, qui a dirigé le pays entre 1924 et 1953 pendant un total de 10 636 jours. Poutine est devenu le deuxième dirigeant russe le plus ancien, dépassant Brejnev en 2017, à la fin de son troisième mandat présidentiel.
Sous la présidence de Dmitri Medvedev, de 2008 à 2012, la loi russe a été modifiée pour prolonger le mandat présidentiel de deux mandats de quatre ans à deux mandats de six ans.
Ce changement visait également à réinitialiser les mandats accomplis et a donc permis à Poutine de remporter deux autres mandats.
Une décennie plus tard, en 2021, Poutine a signé une autre loi fixant la limite à deux mandats présidentiels par personne au cours d’une vie, réinitialisant là aussi paradoxalement les mandats déjà accomplis et l’exonérant ainsi une seconde fois.
Réactions mondiales à la victoire électorale de Poutine
18 mars 2024 de Thomas Oysmüller
Le gouvernement Scholz ne reconnaîtra pas la légalité des élections russes. Mais Poutine reçoit des félicitations du monde entier : des voix et des réactions du monde entier face aux élections russes.
Vladimir Poutine a remporté ce week-end une victoire écrasante à l'élection présidentielle. Toute autre victoire qu’une victoire dominante était hors de question : le candidat libéral le plus populaire n’a pas remporté l’élection. L'opposant le plus fervent était Nikolaï Kharitonov, du Parti communiste de la Fédération de Russie. Il a obtenu 13,7 % des voix lors de l'élection présidentielle de 2004. Cette fois, il n’a même pas atteint 5 %.
Félicitations et autres choses
Les choses ne deviennent vraiment passionnantes qu’après les élections. La première bombe politique est tombée lundi : le gouvernement allemand ne reconnaîtra pas les élections, ont initialement rapporté les médias russes. Cette étape interviendrait après qu’Olaf Scholz ait récemment agi comme un facteur de désescalade et rejeté catégoriquement les troupes de l’OTAN et les missiles Taurus pour l’Ukraine. Mais en dehors de l’UE, l’ambiance est sensiblement différente.
L'un des premiers corps diplomatiques fut le ministère chinois des Affaires étrangères. Les gens ont félicité pour la victoire électorale : « Nous sommes convaincus que les relations entre la Russie et la Chine continueront à se développer. » La Corée du Nord aurait été plus rapide dans ses félicitations.
La télévision d'État chinoise a rapporté plus tard que Xi Jinping avait également félicité Poutine pour sa réélection à la présidence. Xi Jinping a déclaré dans son message de félicitations à Poutine que sa réélection reflétait le plein soutien du peuple russe, ajoute le rapport.
Nicolas Maduro, président du Venezuela, s'est exprimé en détail dimanche :
«Avec plus de 87 % des voix, Poutine a complètement gagné la bataille contre l’ensemble de l’empire occidental collectif et a démontré les valeurs du peuple russe. C’est l’aspiration de la nouvelle Grande Russie à un monde multipolaire, un monde équilibré. Notre vieux frère Vladimir Poutine a gagné. Ce sont de bons signes pour le monde en cette année 2024. Félicitations à Poutine et à la Russie.»
Le ministère cubain des Affaires étrangères a également réagi très rapidement et a adressé ses félicitations. On espère que les liens entre les Etats pourront être encore renforcés, a-t-on déclaré depuis La Havane. Le président du Nicaragua lui a également souhaité bonne chance et a déclaré que la victoire électorale contribuerait à « stabiliser le monde ».
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a personnellement décroché le téléphone pour féliciter Poutine pour sa victoire électorale.
Milorad Dodik, président de la République Srpska et « témoin de Poutine dans les Balkans occidentaux », a été particulièrement clair :
Agenda 2030 – 17 objectifs de destruction durable
RépondreSupprimer16.03.2024
www.kla.tv/28498
L'humanité est secouée par des crises existentielles. Aucun domaine de la vie n'est épargné. Qu'il s'agisse d'économie, de finance, de politique, d'éthique, de médecine ou de tout ce que l'on peut nommer, c'est comme si aucune pierre ne devait rester en place. Mais comment cela se fait-il ? Qu'est-ce ou plutôt qui se cache derrière tout cela ? Un regard investigateur et une réflexion cohérente sont ici nécessaires si l'on ne veut pas se noyer dans la tempête qui ne cesse de s’intensifier.
Le documentaire de 30 minutes qui suit, réalisé par l'association suisse WIR, fait la lumière sur ce chaos qui prend des proportions dramatiques : les criminels les plus malfaisants se sont infiltrés dans les postes de direction de tous les secteurs de notre communauté et poursuivent de manière orchestrée leur Agenda 2030 One World, qui méprise les êtres humains et asservit les peuples.
AGENDA 2030 de l‘ONU
L'Agenda 2030 des Nations Unies, annoncé lors du sommet des Nations Unies à New York en 2015, est un " traité mondial pour l'avenir " auquel les gouvernements nationaux devraient adhérer. Cet agenda comprend 17 "objectifs de durabilité" qui semblent bons à première vue. Si l'on y regarde de plus près, on revient toujours aux mêmes acteurs qui ne veulent en réalité rien de moins qu'un contrôle total sur les ressources de notre planète, un gouvernement central mondial unique et donc l'asservissement de tous les peuples. Afin d'exercer une influence dans tous les domaines de la vie et toutes les structures, ces objectifs sont défendus non seulement par les Nations Unies mais aussi par des partenaires influents tels que le Forum économique mondial avec sa "Grande Réinitialisation". Depuis plus de 50 ans, le WEF met en relation les personnalités les plus influentes de la politique, des affaires, de la science, des médias, des syndicats, des ONG, de la culture et des églises et les rassemble avec les personnes les plus riches du monde. Elle éduque également les élites politiques et économiques du monde entier depuis plus de 30 ans. Que ce soit Bill Gates, Jeff Bezos, Angela Merkel, Emmanuel Macron, Viktor Orban ou Vladimir Poutine, ils sont tous passés par l'école du WEF en tant que "Young Global Leaders". Il n'est donc pas étonnant que le fondateur du forum, le professeur allemand Klaus Schwab, soit considéré comme l'une des personnalités les plus influentes aujourd'hui.
L’agenda 2030 des Nations Unies - un programme en 17points pour la domination mondiale et l’asservissement de tous les peuples !
RépondreSupprimer1. COMBATTRE LA PAUVRETÉ SOUS TOUTES SES FORMES
Des peuples entiers et leurs économies sont délibérément détruits et rendus dépendants des gouvernements afin de conduire les victimes vers un mélange de socialisme numérique et de communisme. L’objectif est de centraliser tous les actifs et ressources, de les enregistrer numériquement et de ne les diffuser ou de les rendre accessibles que sous certaines conditions. Pour y parvenir, les gens doivent être prêts à se soumettre complètement au complexe industriel numérique.
2. ÉLIMINER LA FAIM, ASSURER LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE, AMÉLIORER LA NUTRITION ET PROMOUVOIR L’AGRICULTURE DURABLE
L'agriculture devrait être détruite. Depuis que les agriculteurs sont devenus dépendants des subventions, les mondialistes ont désormais la vie facile. De nouvelles exigences sont constamment créées auxquelles les agriculteurs ne peuvent pas répondre, ne leur laissant aucune option pour gérer leur entreprise. De plus en plus d'entreprises disparaissent. L’objectif est que l’ensemble du secteur agricole d’un pays soit repris par de grandes sociétés et investisseurs internationaux. Ils pourraient recourir au génie génétique et à d’autres méthodes néfastes, produire uniquement des aliments de qualité inférieure ou simplement laisser les terres en jachère pour créer des pénuries alimentaires. Celui qui détient la souveraineté sur la nourriture contrôle l’humanité.
3. PERMETTRE À TOUS DE VIVRE EN BONNE SANTÉ ET PROMOUVOIR LE BIEN-ÊTRE DE TOUS À TOUT ÂGE
L’accent est mis sur la numérisation et la centralisation de toutes les normes médicales par l’OMS. L'Organisation mondiale de la santé peut imposer des mesures médicales au monde entier sous la menace d'amendes et de sanctions. À cette fin, la responsabilité des mesures médicales de toutes sortes est retirée aux gouvernements nationaux. L’OMS utilisera le soi-disant traité sur la pandémie pour décider dans le monde entier quand et où quelles mesures obligatoires telles que masques, vaccinations, tests, confinements et quarantaine seront ordonnées. De plus, toutes les données de santé devraient être stockées dans une base de données internationale et liées à l’identité numérique de tous les citoyens. Le secteur de la santé devrait être mis au pas à l’échelle mondiale. Toutes les opinions et résultats de recherche en médecine qui s’écartent de ceux de l’OMS sont systématiquement réprimés, persécutés et criminalisés. Les procédures naturopathiques devraient être interdites dans le secteur de la santé et remplacées par des offres éducatives, des produits et des services des industries pharmaceutique et chimique. La santé des personnes est alors entièrement entre les mains de l’OMS, car elle peut également intervenir pour réguler les comportements non conformes des personnes grâce à des données de santé ouvertement visibles. Cela peut avoir pour conséquence que la personne suspecte se voit refuser l’accès à la nourriture et aux médicaments nécessaires.
4. GARANTIR UNE ÉDUCATION INCLUSIVE, ÉQUITABLE ET DE HAUTE QUALITÉ ET PROMOUVOIR LES OPPORTUNITÉS D’APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE POUR TOUS
RépondreSupprimerÉgalisation globale des systèmes éducatifs et standardisation de la propagande afin de pouvoir garantir partout le même niveau d’endoctrinement pour les enfants et les jeunes. À cette fin, il devrait y avoir un « tronc commun d’éducation » , c’est-à-dire une réglementation avec un contenu idéologique obligatoire qui devrait être programmée pour tous. Cela conduit à une rééducation totalitaire dans l’esprit des élites, dans laquelle il ne devrait plus y avoir de valeurs culturellement déterminées. Les idéologies de genre telles que les LGBTQ, le terrorisme climatique et la prétendue santé via la consommation de produits pharmaceutiques chimiques devraient être utilisées pour diviser plus efficacement les gens et les protéger sous le couvert d'une nouvelle religion mondiale, d'un tribunal mondial, d'une police mondiale, d'une banque mondiale, d'une organisation mondiale de la santé et d'un contrôle de la monnaie numérique mondiale.
5. PARVENIR À L’ÉGALITÉ DES SEXES ET AUTONOMISER TOUTES LES FEMMES ET LES FILLES
La diversité des genres et les LGBTQ visent à normaliser toutes les anomalies créées artificiellement, y compris les tendances pédophiles. Non seulement pour parvenir à la famille traditionnelle et donc à une dissolution et à une décomposition des peuples, mais aussi pour assurer davantage de divisions et de conflits interpersonnels. De cette manière, les femmes salariées peuvent être exploitées encore plus efficacement par les entreprises mondiales, tandis que les enfants peuvent entre-temps être élevés par l’État dans des institutions permanentes et ainsi être endoctrinés idéologiquement beaucoup plus tôt. En détruisant le lien familial, l'objectif est de mettre l'accent sur l'État numérique qui, sous certaines conditions, fournit de la nourriture et un logement, remplaçant ainsi le rôle de la famille.
6. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À L’EAU ET À L’ASSAINISSEMENT ET ASSURER UNE GESTION DURABLE DES RESSOURCES EN EAU
Les ressources en eau doivent être gérées de manière centralisée. Les États sont poussés à privatiser leurs infrastructures d’eau et à devenir dépendants des entreprises qui peuvent ensuite vendre l’eau aux citoyens à des prix excessifs. La suprématie sur l'eau permet aussi d'avoir la mainmise sur la santé des gens, car l'eau du robinet est déjà enrichie en de nombreux endroits avec des produits chimiques comme le fluor. Cette pratique pourrait être étendue et entraîner de nombreuses maladies chroniques et des symptômes d'intoxication, ce qui fait le jeu de l'industrie pharmaceutique qui peut ainsi distribuer avec profit des substances qui diminuent les symptômes. Comme ils attribueront le manque d'eau créé artificiellement au changement climatique provoqué par l'homme, ils prendront aussi des mesures pour réduire au minimum la consommation d'eau, en particulier dans le domaine sanitaire. Il sera donc possible d'interdire les toilettes traditionnelles et de les remplacer par des variantes sans eau. Celui qui a le pouvoir sur l'eau contrôle en fin de compte, par le biais de son rationnement, qui peut l'utiliser, dans quelle mesure et à quelles fins.
7. GARANTIR L’ACCÈS DE TOUS À DES SERVICES ÉNERGÉTIQUES FIABLES, DURABLES ET MODERNES, À UN COÛT ABORDABLE
RépondreSupprimerPour des raisons idéologiques, les énergies dites renouvelables, souvent immatures, devraient être soutenues par l’argent des impôts, ce qui entraînerait une hausse considérable des prix de l’électricité. De cette manière, les gens sont obligés de financer des développements qui les plongeront encore plus dans la pauvreté et donc dans la dépendance à l’égard de l’État. Les gens seront obligés d’utiliser et d’installer de nouvelles technologies énergétiques. Comme cela coûte très cher, les gens seront obligés d'emprunter et donc de dépendre du système financier des monopoles ou de céder leurs biens immobiliers à ces mêmes structures mondialistes à un prix inférieur à leur valeur et de s'installer dans des villes de 15 minutes. Des secteurs entiers de l'économie s'effondreront et les petites entreprises et les entreprises familiales disparaîtront de la scène. De cette manière, la domination du marché par les grands groupes pourra être renforcée. Toutes les sources de distribution d'énergie doivent être numérisées afin de pouvoir analyser la consommation de tous les ménages en temps réel. Grâce aux compteurs intelligents, aux thermomètres IOT et autres appareils de mesure connectés, il sera possible de surveiller et de sanctionner les ménages si le gouvernement ou l'intelligence artificielle l'ordonne. L'énergie peut ainsi être rationnée ou totalement coupée à distance. La pénurie entraînera non seulement des profits gigantesques pour les sociétés énergétiques, mais rendra également les gens vulnérables au chantage et contrôlables en permanence. Si les groupes technologiques et les gouvernements continuent d'accroître leur pouvoir et leur influence, les black-out et le rationnement deviendront monnaie courante.
8. PROMOUVOIR UNE CROISSANCE ÉCONOMIQUE SOUTENUE, PARTAGÉE ET DURABLE, LE PLEIN EMPLOI PRODUCTIF ET UN TRAVAIL DÉCENT POUR TOUS
Les effets secondaires des campagnes de vaccination entraînent des pénuries de personnel. Les pays riches feront appel à des travailleurs qualifiés venus de l'étranger, tant qu'ils en auront besoin, et encourageront ainsi la migration de main-d'œuvre. Cela aura un effet négatif sur les pays d'origine de ces migrants, car le manque de personnel qualifié affaiblira leur pays et les laissera livrés à eux-mêmes. Une fois qu'une grande partie des dits travailleurs qualifiés aura migré et que le pays d'origine des migrants menacera de se désintégrer, l'élite mondiale commencera à piller et à brader les pays affaiblis. Mais la migration de main-d'œuvre peut aussi être utilisée comme prétexte pour détruire l'économie du pays de destination. Il suffit d’importer suffisamment de travailleurs non qualifiés pour causer le plus de dégâts possible par manque de compétence professionnelle car les normes ou procédures de qualité en vigueur ne sont pas maîtrisées. Pour provoquer des troubles, il suffit d’inonder un pays de travailleurs migrants. Cela entraînera des conflits entre les habitants et les migrants, conduisant à des guerres civiles et déstabilisant le pays. Le surplus de personnel artificiellement créé sera exploité par les grandes entreprises pour dicter les conditions de travail. Ainsi, les gens pourront être exploités encore plus efficacement, avec l'approbation des gouvernements. Les valeurs de liberté et de dignité humaine appartiendront alors au passé. Après avoir systématiquement détruit les petites et moyennes entreprises locales et mis au chômage une grande partie de la population, il est facile d'imposer aux victimes une structure en partie socialiste et communiste. De cette manière, on peut rendre le logement, l'énergie ou la nourriture tributaires de l'obéissance ou du budget carbone.
9. BÂTIR UNE INFRASTRUCTURE RÉSILIENTE, PROMOUVOIR UNE INDUSTRIALISATION DURABLE QUI PROFITE À TOUS ET ENCOURAGER L’INNOVATION
RépondreSupprimerLes peuples doivent tous être mis sur un même pied d'égalité. Cela entraînera un abaissement du niveau des pays les plus développés, plongeant ainsi toutes les nations dans une pauvreté sans précédent. La prospérité de la population active sera détruite par une expropriation rampante, tandis que les profits de la classe dirigeante mondiale augmenteront de manière incommensurable. L'ensemble de l'économie et toutes les ressources sont centralisés et surveillés grâce à l'introduction d'instances de gouvernance et de contrôle telles que l'identité numérique, le budget carbone et les monnaies numériques. Toutes les autorités, commissariats de police et tribunaux sont pris en charge par l’intelligence artificielle et les processus numériques automatisés. Les économies nationales sont détruites au profit de grandes sociétés internationales qui agissent conformément à la stratégie communiste à long terme. L’automatisation et la robotique conduisent les gens au chômage et donc à la dépendance à l’égard des gouvernements et conduisent à l’abolition de la propriété privée et à des droits d’usage et de propriété limités en fonction du budget carbone et des monnaies numériques. Les emplois et les écoles existants seront transférés vers la réalité virtuelle. L'accès aux bâtiments physiques ou aux zones de 15 minutes est subordonné à des systèmes d'accès et d'identification numériques. L'habitat est transféré dans des villes modulaires de 15 minutes et des giga-cités à la chinoise, numérisées et entièrement surveillées, dans lesquelles les personnes ne peuvent plus se déplacer librement en raison de la limitation des émissions de CO2, de sorte que l'on peut parler de prisons à ciel ouvert plutôt que d'espace de vie.
10. RÉDUIRE LES INÉGALITÉS DANS LES PAYS ET D’UN PAYS À L’AUTRE
L'objectif est de briser toute indépendance économique et financière en détruisant les secteurs économiques à forte intensité de carbone, en supprimant l'argent liquide et en éliminant toutes les structures qui ne correspondent pas à l'agenda du Forum économique mondial et de l'ONU. Un revenu de base universel doté d'instances de contrôle appropriées via des comptes gaz carbonique et des monnaies numériques permettra d'influencer directement la consommation ou de l'empêcher. Les ethnies seront mélangées afin d'éliminer toute individualité culturelle et religieuse. A cette fin, les partenariats multiculturels seront encouragés. Le renforcement des conflits culturels et religieux conduit à des situations extrêmes qui créent les conditions nécessaires à la restriction d'autres libertés par le gouvernement. Les systèmes éducatif, financier et de santé sont centralisés et uniformisés. Une religion et une culture mondiales sont également introduites sous couvert de paix et d'entente entre les peuples. Pour égaliser les niveaux, la concurrence économique est criminalisée et la propriété privée nationalisée. Les droits sur les ressources seront distribués selon les directives du nouveau gouvernement mondial.
11. FAIRE EN SORTE QUE LES VILLES ET LES ÉTABLISSEMENTS HUMAINS SOIENT OUVERTS À TOUS, SÛRS, RÉSILIENTS ET DURABLES
RépondreSupprimerLes conflits délibérément créés et provoqués par l'immigration de masse et de main-d'œuvre ne vont pas seulement alimenter le chômage et la concurrence qui en découle, mais aussi augmenter la criminalité à un niveau sans précédent. Les protestations des citoyens et les guerres civiles serviront de base pour continuer à restreindre les droits fondamentaux et la liberté de mouvement au niveau local et confiner les gens dans des villes de 15 minutes comme dans un centre de détention. La liberté de mouvement n'existera plus. Elle dépendra du budget carbone et ne permettra de séjourner que dans certaines parties de la ville ou du quartier, afin de protéger le climat et d'assurer la sécurité d'une zone. Les villes et les cités seront transformées en giga-cités de 15 minutes avec une numérisation et une surveillance radicales. Les habitants seront surveillés en temps réel 24 heures sur 24 et les infractions sanctionnées par des amendes, des restrictions du budget carbone ou la détention. Toutes les prestations en espèces seront versées exclusivement sous forme numérique, mais uniquement à ceux qui acceptent le nouveau système et adaptent leur comportement à l'agenda. Les monopoles de la force seront étendus de manière radicale et dotés de droits spéciaux pour pouvoir intervenir dans tous les domaines de la vie en cas de violation de l'agenda. Ainsi, tout citoyen critique à l'égard du gouvernement peut être détenu indéfiniment, ou même tué, sans procès ni inculpation. Des attaques terroristes brutales et des descentes de police impressionnantes sont mises en scène pour intimider les critiques, les réduire au silence et les empêcher d'agir. Avant que la situation ne dégénère complètement, les gens seront désarmés et les lois sur les armes seront adaptées de telle sorte que les victimes n'auront aucune chance de se défendre contre l'agenda totalitaire. L'État adoptera de nouvelles lois d'expropriation afin de pouvoir confisquer les biens de manière arbitraire. Au cours de la première phase d'expropriation, les gens sont soumis à un chantage pour effectuer toutes sortes de travaux de rénovation dans leurs maisons afin d'atteindre les objectifs climatiques. S'ils ne se plient pas aux exigences des autorités et refusent, la deuxième phase d'expropriation criminalisera et interdira la vente, la location et l'occupation de ces logements. Des millions de personnes perdront leurs maisons et leurs terrains, vivront sous la dépendance de l'État et ne trouveront plus d'alternatives aux villes de 15 minutes.
12. ÉTABLIR DES MODES DE CONSOMMATION ET DE PRODUCTION DURABLES
RépondreSupprimerIl y aura des budgets carbone inspirés du système de points de crédit social du modèle chinois, où chacun pourra être puni ou récompensé individuellement pour sa consommation ou son comportement. Une identité numérique sera introduite dans le monde entier. Elle servira de base à l'attribution de portefeuilles numériques. De plus, au cours de l'agenda, des identités numériques implantables seront attribuées à chaque individu dès sa naissance. Tous les documents délivrés jusqu'à présent, tels que le permis de conduire, la carte d'identité, le passeport, l'acte de naissance, les inscriptions au registre foncier, les dossiers médicaux, les brevets, le numéro d'identification fiscale, seront fusionnés en un seul enregistrement numérique pour l'identité numérique. Une instance mondiale de contrat intelligent numérique basée sur l'IA sera créée et régira tous les droits de nutrition, d'utilisation, de santé, de mouvement et de propriété temporaire. Cela détermine qui peut posséder ou utiliser quelque chose temporairement et pour combien de temps. Octroi de droits de mobilité, qui déterminent si l'individu peut se déplacer, avec quels véhicules et dans quel rayon. En outre, on réglemente ce qu'il peut manger et les substances qu'il doit se faire injecter. L'unité monétaire universelle, devise numérique mondiale basée sur une monnaie numérique de banque centrale, sera le seul moyen de paiement. Elle garantit en premier lieu des transactions illimitées entre les gouvernements, les banques et les entreprises. Les fonds des bénéficiaires du revenu de base seront en revanche soumis à conditions et constamment réajustés en fonction de l'obéissance au système. Le moyen de paiement numériques inclura une date d'expiration et sera programmable. Chacun pourra être contrôlé par des points de gaz carbonique et les Nations unies pourront décider comment l'argent numérique peut être dépensé. Les autorités fiscales et de contrôle subordonnées à l'ONU, les services de santé, les médecins et les hôpitaux ainsi que d'autres institutions, auront accès à toutes les données en temps réel et de manière semi-automatisée, afin de pouvoir intervenir dans le comportement de consommation de tous les individus par des interdictions et des sanctions. La délivrance de vaccins, de médicaments et d'autres actes médicaux sera liée au portefeuille, de sorte que les récompenses et les sanctions pourront être appliquées automatiquement si nécessaire. Tous les véhicules seront surveillés en temps réel. En cas de non-respect des zones et des portées autorisées pour le véhicule, les conducteurs se verront dans un premier temps avertis puis sanctionnés par l'immobilisation du véhicule si l'infraction se poursuit. Tous les produits et services, ainsi que le mode de vie, se voient attribuer une empreinte carbone.
Celle-ci sera évaluée numériquement et récompensée ou pénalisée par des points, ce qui aura aussi un impact sur le revenu de base. Les entreprises pourront être contrôlées, afin de leur interdire de fabriquer certains produits ou de fournir certains services si ceux-ci ne respectent pas les objectifs climatiques. Pour faciliter l'expropriation future, l'enregistrement et la justification des métaux précieux et des valeurs de toute nature seront obligatoires. Ceux qui possèdent de l'or et de l'argent et qui ne les ont pas enregistrés ne pourront pas les vendre à des organismes officiels, car l'achat ne sera légal que pour les stocks enregistrés. L'expropriation des terres, par exemple pour construire des éoliennes, des fermes solaires ou d'autres systèmes de régénération, sera facilement rendue possible sur la base des objectifs climatiques. Les personnes qui n'ont pas les moyens de transformer leur maison selon les dernières normes climatiques ne pourront pas la louer, la vendre ou l'habiter. En cas de non-respect, les victimes risquent de voir leur crédit CBDC chuter au point de ne plus pouvoir se nourrir. La conception de bâtiments purement utilitaires, dans lesquels les gens vont soit dormir, manger, travailler ou se divertir, sert à isoler davantage les gens les uns des autres. La famille doit être divisée et séparée autant que possible afin de pouvoir contrôler plus facilement les individus. Tandis que les citoyens ordinaires sont dépossédés et privés de toutes leurs libertés, l’élite continuera de gouverner sans restrictions et de bénéficier de toutes les commodités.
RépondreSupprimer13. PRENDRE D’URGENCE DES MESURES POUR LUTTER CONTRE LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET LEURS RÉPERCUSSIONS
RépondreSupprimerLa religion pseudo-scientifique d'un changement climatique soi-disant d'origine humaine et l'alarmisme qui l'accompagne visent à permettre l'uniformisation mondiale et la prise de pouvoir des élites et des sectes de la fin du monde. L'expropriation et le rationnement de toutes les ressources de ce monde doivent être imposés à l'humanité par une dictature écologique socio-communiste totalitaire à l'aide de la manipulation, de la violence et du chantage. Afin de déséquilibrer complètement les processus naturels de la nature, l'atmosphère est délibérément contaminée par des produits chimiques toxiques. Sous prétexte de pénurie alimentaire, les pesticides, herbicides et fongicides sont de plus en plus utilisés. À cet effet, les aliments naturels sont assimilés aux aliments artificiels et l’obligation d’étiquetage des aliments génétiquement modifiés est abolie. Cela se fait sous le couvert du Codex Alimentarius, de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture de l'ONU. Les aliments végétaux sont modifiés au point que les ingrédients essentiels ne sont plus présents et doivent être apportés de l'extérieur via des suppléments, afin d'accroître encore la dépendance vis-à-vis de l'industrie pharmaceutique. Il y aura une alimentation à deux vitesses en fonction du budget carbone et du contrôle de la consommation par les monnaies numériques. Des substances psychoactives seront transformées en aliments ou administrées sous forme de vaccins afin d'influencer et de contrôler davantage la pensée et les actions des gens. Les plantes médicinales qui pourraient favoriser notre santé ou soulager les souffrances des malades et qui concurrencent actuellement les produits de l'industrie pharmaceutique seront interdites et leur utilisation punie. Tous les aliments, l'énergie, l'eau et les produits de la vie quotidienne, jusqu'à la mobilité, recevront une empreinte carbone (gaz carbonique) qui sera enregistrée numériquement et associée à l'identité numérique imposée par l'État. Pour atteindre ces objectifs climatiques impossibles à réaliser, on supprime le transport individuel et on le remplace par des véhicules qui roulent tout seuls qui ne seront disponibles à la location ou par abonnement qu'en fonction du nombre de points de gaz carbonique. C'est présenté aux gens comme plus sûr et plus respectueux de l'environnement, mais ne sert qu'à restreindre la liberté de mouvement et à exercer un contrôle total. Les critiques et les mouvements d'opposition qui ne croient pas au changement climatique d'origine humaine ou qui remettent en question les 17 objectifs de l'Agenda 2030 des Nations Unies sont pourchassés et réduits au silence.
14. ET LES RESSOURCES MARINES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
RépondreSupprimerLes eaux et leurs ressources seront enregistrées et gérées de manière centralisée ; l'accès ne sera possible que pour des entreprises sélectionnées. Le trafic maritime et donc l'utilisation privée et commerciale des mers, des lacs intérieurs et des rivières seront encore plus restreints et autorisés uniquement sous certaines conditions que les petits pêcheurs peuvent rarement se permettre. Cependant, les grandes entreprises continueront à être autorisées à pêcher car elles reçoivent le capital nécessaire sous forme de subventions pour se conformer aux nouvelles normes, telles que la numérisation des quotas de capture ou la conversion aux moteurs électriques. Cela rend la pêche moins attrayante, l'offre est réduite et les quelques grands titulaires de licences réalisent d'énormes profits. À l’inverse, cela entraînera une pauvreté encore plus grande dans les pays du tiers monde et une migration massive, ce qui déstabilisera également les pays les plus riches. En outre, l'acidification des mers sera aggravée par l'industrie chimique, ce qui entraînera des conséquences incalculables, notamment la mort de poissons.
15. FORÊTS DE MANIÈRE DURABLE, LUTTER CONTRE LA DÉSERTIFICATION, METTRE FIN À LA DÉGRADATION DES SOLS ET L'INVERSER, ET METTRE FIN À LA PERTE DE BIODIVERSITÉ
Toutes les terres et ressources seront numérisées, les zones environnementales et de protection seront étendues afin de pousser les gens vers les villes de 15 minutes. Les terres agricoles seront gérées et contrôlées de manière centralisée, ce qui permettra d'interdire leur utilisation à tout moment, empêchant ainsi les agriculteurs de cultiver des aliments. Cela provoquera des pénuries alimentaires artificielles. Les commerçants devront acheter les licences correspondantes. L'utilisation des zones naturelles telles que les forêts, les parcs, les montagnes, les prairies, les zones humides et sèches sera davantage réglementée et limitée ou ne sera autorisée qu'avec un certain crédit de carbone. Pour soi-disant éviter les sécheresses et l'extension des zones arides, des moyens chimiques et techniques seront utilisés pour interférer avec les cycles et processus naturels de cette terre. Cela détruira encore plus la biosphère, ce qui est l'un des objectifs des technocrates. Éliminer de façon ciblée des espèce végétales à l'aide de produits chimique et les remplacer par des plantes génétiquement modifiées qui ne se reproduisent pas d'elles-mêmes et qui, non seulement n'apportent aucune valeur ajoutée, mais détruisent aussi l'équilibre de la nature.
16. PROMOUVOIR L’AVÈNEMENT DE SOCIÉTÉS PACIFIQUES ET OUVERTES AUX FINS DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
RépondreSupprimerLes monopoles de la violence sont étendus afin d'imposer aux peuples de la planète des concepts de société destructeurs et artificiels par la force et le chantage. Cela conduira à des exodes et à des guerres civiles. Les traditions et toute individualité des peuples seront supprimées afin qu'une société mondiale uniformisée puisse voir le jour. Les monuments historiques et les œuvres d'art disparaîtront de la sphère publique. De même, on poussera une religion mondiale dans laquelle les gens devront se soumettre à des pratiques sataniques. Le mélange obligatoire des races sera imposé afin d'éliminer à long terme toute individualité des ethnies. Les mariages mixtes sont récompensés par des points et un statut social plus élevé. L'individu ne doit plus pouvoir s'appuyer sur ses fondements culturels. Pour maximiser la confusion, les robots à intelligence artificielle ainsi que des variants de genre créés artificiellement sont mis sur un pied d'égalité dans la société et encouragés. Sous prétexte de l'intérêt supérieur de l'enfant, les organes exécutifs pourront plus facilement retirer les enfants aux familles critiques envers le gouvernement.
17. MONDIAL POUR LE DÉVELOPPEMENT DURABLE ET LE REVITALISER
La structure derrière les Nations Unies est l'instance dirigeante et détient tous les pouvoirs de décision et d'exécution. Les États nationaux disparaissent après que les gouvernements infiltrés ont servi de paratonnerre face au peuple et de facilitateur, puis ont fait leur temps. Toutes les lois et juridictions nationales deviendront superflues, car elles ne proviendront plus que de la structure centrale unique sous forme d'intelligence artificielle.
Le plan des élites a été percé à jour : Ils veulent nous conduire vers un avenir dystopique dans lequel nous serons privés de toute liberté. Les structures nationales censées nous protéger ne se rebellent pas contre cet agenda et se mettent ainsi contre les populations. Ce n'est pas étonnant, puisque tous les gouvernements sont déjà infiltrés et dépendent énormément des structures mondialistes, qui contrôlent aussi le système monétaire. Ils voudraient que les gens renoncent complètement à leurs propres libertés et livrent leur propre avenir à la destruction en acceptant le nouvel ordre mondial. C'est à nous, en tant qu'humanité tout entière, de nous opposer à cet agenda. Et ce, avant qu'il ne soit trop tard.
de hm.
Sources / Liens :
Agenda 2030
https://rumble.com/embed/v3tc9zg/?pub=1r1v2m
https://www.vereinwir.ch/un-agenda-2030/
https://www.kla.tv/fr
L''État numérique' ! = HAARP.
SupprimerL'intelligence n'existera plus ! Le contrôle mondial sera LIA !
Le développement du transport électrique pourrait coûter des milliards de dollars aux Américains
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 16 MARS 2024 - 23H40
Rédigé par Bernard L. McNamee via RealClear Wire,
Même si les éoliennes et les panneaux solaires font la une des journaux, le grand sujet énergétique à Washington est le transport d’électricité. Qu'il s'agisse du nouvel intérêt du Congrès pour une réforme des permis, du nouveau Grid Deployment Office du Département américain de l'énergie ou de la prochaine règle finale de la Federal Energy Regulatory Commission (FERC) sur la planification du transport et la répartition des coûts, comment construire et payer le transport à longue distance pour connecter les générateurs aux clients est considéré comme la dernière étape de la quête pour atteindre les objectifs de zéro émission nette.
Comme c’est souvent le cas à Washington, la nécessité de construire davantage de lignes de transmission est acceptée sans conteste et les coûts ne sont pas pris en compte. Mais pour les consommateurs américains, en particulier les personnes âgées et à faible revenu, ainsi que les petites entreprises et les fabricants à forte consommation énergétique, la construction de nouvelles lignes de transmission pourrait entraîner des factures mensuelles beaucoup plus élevées et les laisser obligés de payer des actifs bloqués.
Traditionnellement, les lignes de transmission à haute tension, constituées de pylônes en treillis de 150 pieds traversant le paysage sur des centaines de kilomètres, étaient planifiées par les services publics locaux pour répondre aux besoins énergétiques de leurs clients et soumises à l'approbation des commissions des services publics de l'État. Mais les objectifs des politiques publiques visant à promouvoir les énergies renouvelables modifient la manière dont le réseau est développé.
Au cours des dernières années, les États ont établi des mandats en matière d'énergies renouvelables ; Le Congrès a adopté plus de 1 000 milliards de dollars de subventions publiques pour les énergies renouvelables ; et le président Biden a publié un décret fixant des objectifs de production d’électricité nette zéro d’ici 2035. Pour mettre en œuvre ces politiques, le réseau a besoin de nouvelles lignes de transport à haute tension – en grand nombre – et elles seront coûteuses.
Selon l’analyse « Net-Zero America » publiée par des chercheurs de Princeton, atteindre les objectifs de zéro émission nette avec 100 % d’énergie éolienne et solaire d’ici 2050 nécessitera 3 500 milliards de dollars supplémentaires en dépenses d’investissement pour de nouvelles lignes de transmission. Si les objectifs de zéro émission nette sont poursuivis avec une combinaison de production d’énergies renouvelables, de nucléaire et de gaz naturel (ce qui peut inclure le captage du carbone), alors une partie importante de cet investissement dans le transport serait inutile. En outre, une combinaison équilibrée de ressources distribuables et renouvelables améliorerait la fiabilité du réseau sans surcharger les énergies renouvelables ou le transport.
Ce coût est également dû au fait que les projets d'énergies renouvelables sont souvent construits loin du lieu où l'électricité sera consommée. Par exemple, le Midwest est un endroit idéal pour construire des éoliennes, mais des lignes de transmission longue distance sont nécessaires pour acheminer leur électricité vers les grands centres de population situés sur les côtes. Non seulement ces lignes sont à forte intensité de capital, mais elles nécessitent également l'achat ou la condamnation de propriétés privées pour les implanter. Pour couronner le tout, bon nombre de ces lignes de transmission ne desserviront pas les personnes dont les terres sont utilisées.
RépondreSupprimerLes promoteurs d’énergies renouvelables voient le potentiel de vendre leur électricité dans des systèmes électriques plus chers à proximité des centres urbains, tout en étant en mesure de récolter de généreuses subventions des contribuables. Mais devoir payer pour le transport réduit les bénéfices. De plus, les propriétaires fonciers touchés par les lignes de transmission s’y opposent. La solution : une vague de lobbyistes et d’intérêts particuliers pressant les décideurs politiques d’éliminer les barrières en matière d’autorisation et de socialiser le coût de 3 500 milliards de dollars lié à la construction de nouvelles lignes de transmission pour un plus grand nombre d’Américains.
En réponse, la FERC s'est engagée dans l'élaboration de règles visant à modifier la planification du transport et la répartition des coûts. Parmi les propositions, on demande aux planificateurs de réseaux de prendre en compte des facteurs tels que les « zones géographiques », comme le potentiel éolien dans le Midwest ; les « objectifs de politique publique » étatiques et fédéraux ; et les « tendances » technologiques. S’ils étaient adoptés, ces facteurs fourniraient des moyens plus subjectifs pour justifier la construction de grands projets de transmission coûteux et à longue portée qui seraient financés par un plus grand nombre d’Américains.
Face aux inquiétudes du public concernant les coûts, les partisans du transport affirment désormais qu’il faut davantage de transport pour assurer la fiabilité du réseau. Pourtant, la menace de coupures de courant est le résultat des politiques de zéro émission nette qui nécessitent désormais davantage de transmission. Par exemple, la récente décision du Maryland de fermer la centrale au charbon de Brandon Shores obligera les clients de 12 États et du District de Columbia à payer 796 millions de dollars pour de nouveaux projets de transmission afin de garantir la fiabilité.
Les clients peuvent également devoir payer pour des projets de transport qui ne sont plus nécessaires. Les nouvelles technologies, telles que les petits réacteurs nucléaires modulaires qui peuvent être construits dans les centrales électriques existantes qui ont déjà accès au transport, pourraient éliminer le besoin de nouvelles lignes de transport pour alimenter les générateurs renouvelables. La pression actuelle en faveur d’une réforme du transport pourrait être un autre exemple coûteux de la tentative de Washington de résoudre le problème d’hier. Il ne s’agit pas d’une simple spéculation puisqu’en 2008, les clients ont payé 250 millions de dollars pour la ligne de transmission PATH qui traversait trois États, même si elle n’a jamais été construite et n’a jamais desservi les clients.
Il est temps que les décideurs politiques réaffirment que le réseau électrique existe pour servir les clients, et non les promoteurs et les investisseurs. La planification du transport et la répartition des coûts doivent être guidées par les besoins des clients et supervisées par les régulateurs nationaux les mieux placés pour protéger leurs citoyens. À une époque où l’inflation rend plus difficile la prospérité des familles et des entreprises, imposer des coûts supplémentaires pour le développement du réseau de transport à des intérêts particuliers n’a pas de sens.
RépondreSupprimerBernard L. McNamee was a Commissioner on the Federal Energy Regulatory Commission from 2018-2020.
https://www.zerohedge.com/energy/electric-transmission-buildout-could-cost-americans-trillions-dollars
Ce n'est pas de changer les câbles ou d'en multiplier le nombre qui va résoudre l'éclairage chez le consommateur mais d'adapter le pays à l'intelligence scientifique.
SupprimerQu'est-ce que le transport de l'électricité ?
Le premier tiers va servir uniquement à pousser l'électricité sur les câbles. (Pareil que pour un tuyau d'arrosage qui va permettre d'arroser le jardin jusqu'à 50 m mais pas jusqu'à 100 m car le moteur-pompe manque de puissance pour pousser ces kilos d'eau dans le tuyau).
Le deuxième tiers lui, il va se perdre en cours de route ! (Ne pas s'approcher des lignes à hautes tensions. Danger de mort).
Et, le troisième tiers lui, il arrive chez le consommateur.
Il est donc important de diviser par 3 la puissance d'une centrale électrique.
- Un kWh = 3,6 MJ ou mégaJoules (3,6 millions de Joules).
1 mégajoule (un million de joules)
😎 CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES
Charbon...........................13-30 Mj/kg (3,61 KW/h à 8,33 KW/h)
Feu de bois.......................16 Mj/kg (4,44 KW/h)
Gaz naturel......................39 MJ/m³ (10,83 KW/h)
Pétrole brut......................45-46 MJ/kg (12,5 KW/h à 12,77 KW/h)
Uranium (réacteur REP) : 500 000 Mj/kg (138 888,88 KW/h).
Plus il y a de l'énergie produite plus il y a de perte (çà, c'est certain), mais plus il y aura de consommateur au bout ! C'est pourquoi il est très important de choisir sa centrale électrique plutôt que de se tourner vers des idioties comme l'éolien ou le solaire qui se contentent (par intermittence) à ne produire que de l'énergie sur place.
Le climat est-il perturbé par l’activité humaine ? La réponse est non !
RépondreSupprimerle 16 mars 2024
Lorsque James Hansen arriva à la conclusion que la température de la surface de Vénus était de 461 °C avec une pression atmosphérique au sol de 92 bars alors que l’atmosphère de Vénus est constituée dans une proportion de plus de 92 % de gaz carbonique il en conclut que le gaz carbonique était le candidat pouvant expliquer l’échauffement du climat terrestre que les relevés des stations météorologiques indiquaient relayées par les évaluations de cette température par l’analyse dans les longueurs d’onde infra-rouges à l’aide de satellites. L’accélération de la pesanteur pour la planète Vénus est égale à 8,87 m/s2. Quant à la Terre la température moyenne au sol est égale à 14,85 °C, la pression atmosphérique au sol est de 1 bar ou 1kg/cm² (10 tonnes/m²) et l’accélération de la pesanteur de 9,81 m/s². Hansen raisonna avec son épiderme plutôt qu’avec son cerveau, en d’autres termes il eut comme l’impression que cette différence de température au sol entre les deux planètes ne pouvait s’expliquer que par la présence de gaz carbonique. Or Hansen disposait de toutes les données énumérées ci-dessus et pour un physicien ce ne fut pas très glorieux d’affirmer que tout s’expliquait par cette présence de gaz carbonique comme principal constituant de l’atmosphère vénusienne. Or indépendamment de toute radiation infra-rouge provenant du Soleil la température moyenne au sol ne dépend que du champ gravitationnel de la planète considérée, qu’il s’agisse de Vénus, de la Terre ou même de Mars dont la composition de l’atmosphère est sensiblement identique à celle de Vénus à une différence près : la masse de l’atmosphère de Mars est 30 000 fois inférieure à celle de Vénus et la pression au sol est de 6,36 millibars avec une température au sol à l’équateur qui atteint péniblement 0 °C.
Toutes ces données sont cohérentes car elles s’expliquent par la présence du champ gravitationnel de chacune de ces planètes et la température au sol est décrite par la même équation qui décrit le gradient adiabatique auquel sont soumises ces trois atmosphères : la conclusion est irréfutable, pour un flux solaire entrant et un albedo donné ce n’est pas la composition de l’atmosphère qui importe mais la masse de cette atmosphère et par conséquent la pression au sol qui détermine la température moyenne au sol.
Hansen puis tous les autres climatologues qui se sont précipité sur l’origine anthropique du réchauffement global du climat ont commis la même erreur : ils ont délibérément ignoré l’effet du champ gravitationnel planétaire sur l’atmosphère. Cette erreur est d’une portée considérable car pour bien faire comprendre à tous ceux qui se campent sur leur position frauduleuse de négation de l’effet du champ gravitationnel de la Terre sur l’atmosphère en privilégiant l’effet de serre du gaz carbonique que se passerait-il si l’atmosphère de la Terre était composée de 100 % de ce gaz carbonique ?
Que voilà une excellente question !
RépondreSupprimerIl faut pour apporter une réponse à cette hypothèse tenir compte de la capacité thermique à pression constante du mélange de gaz constituant d’une part l’atmosphère, azote, oxygène, gaz rares, vapeur d’eau et des gaz à l’état de traces comme le krypton, le gaz carbonique, … la valeur de cette capacité thermique est 1005 J/kg/°K [elle peut également s’exprimer en calories/gramme/°C] et d’autre part celle du gaz carbonique pur est de 850 J/kg/°K. Il s’agit d’une expérience de pensée comme le fit Galilée pour montrer que tous les corps tombent au sol à la même vitesse dans le vide. La première conséquence serait un augmentation du gradient adiabatique de – 6,5 °K/km à – 7,2 °K/km et la température au sol diminuerait de 7 °C ! Jamais cet exemple de l’effet du gaz carbonique sur la température moyenne au sol n’a été évoqué par les spécialistes auto-proclamés de l’IPCC. Il existe enfin une menace décrite dans cet article : http://doi.org/10.1007/s00254-008-1615-3 qui fait état d’un refroidissement du climat en raison de l’augmentation de la teneur en gaz carbonique dans l’atmosphère telle que mesurée à l’observatoire d’Hawaii.
Il est donc légitime, en abandonnant toute la propagande non seulement mensongère mais contraire aux principes les plus basiques de la thermodynamique du réchauffement du climat d’origine anthropique, de se rendre à l’évidence : le climat de la Terre s’achemine-t-il vers un nouvel épisode du genre « petit âge glaciaire » dont souffrit l’Europe de la fin du dix-septième siècle à la fin du dix-neuvième siècle en raison de cette accumulation de gaz carbonique ou alors un nouvel âge glaciaire de 100 000 ans ? Dans les deux cas l’humanité ne dispose d’aucun pouvoir pour infléchir l’évolution naturelle du climat malgré le fait qu’il s’agit, parait-il, d’un grave problème existentiel. Rassurez-vous car ce seront vos arrières-petits-enfants qui en souffriront … Après nous le déluge … de glace ! Source : « The Rational Climate e-Book » Patrice Poyet, 2022.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2024/03/16/le-climat-est-il-perturbe-par-lactivite-humaine-la-reponse-est-non/
Chaque planète A son pouvoir de rétention. Il est donc évident que les gaz qui l'entourent subissent cette gravité d'approcher l'élément aimanté. Le gaz carbonique étant le gaz le plus lourd de l’immensité inter-galactique il se rapproche donc de l’aimant ferrique qui constitue une étoile qui - deviendra - si il y a collision d'une masse d'eau qui voyage entre les étoiles - une planète telle qu'est devenue la notre.
SupprimerL'obtention de vies sur l'une de ces masses ferriques incandescentes dépend donc de l'addition décrite ci-dessus.
Le changement climatique ne provoque pas plus d’événements météorologiques extrêmes qu’auparavant
RépondreSupprimer17 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
TKP a fait état hier de l'intention de la Banque centrale européenne de s'impliquer dans la politique climatique. Cela est justifié par toute une série de désinformations, notamment l’affirmation fausse selon laquelle les conditions météorologiques extrêmes sont désormais plus nombreuses en raison du changement climatique. Comme expliqué dans l'article, même la base de données Our World in Data maintenue par l'Université Johns Hopkins réfute cette affirmation. Mais de nombreuses études le font également.
Les médias d’entreprise et gouvernementaux ne se lassent jamais de répandre des affirmations selon lesquelles il y aurait davantage de chaleur/froid, de sécheresse/inondations, de tempêtes/calme, d’incendies de forêt et leur contraire à cause du changement climatique et du réchauffement de la planète. Le TKP a fait état à plusieurs reprises d’études montrant que les phénomènes météorologiques extrêmes sont en réalité en baisse. Les périodes de sécheresse tendent à se réduire, les ouragans aussi , et les tornades fortes et violentes depuis 1950, pour n'en citer que quelques-unes.
Un autre mensonge souvent répété concerne l’augmentation des épisodes de fortes pluies ou l’augmentation générale des précipitations. NoTricksZone a récemment cité trois études publiées cette année qui ne montrent aucun changement .
Parmi eux se trouve un nouveau document de recherche de Mitchell et Knapp intitulé « Reconstructing Historical Intense and Total Summer Rainfall in Central North Carolina Using Tree-ring Data (1770-2020) ». 1770-2020). Dans un site d'étude du sud-est des États-Unis , les auteurs montrent qu'il n'y a eu aucune tendance significative ni dans les précipitations totales ni dans les événements de pluies intenses (IRE) au cours des 250 dernières années (1770-2020).
Cependant, il y a eu plus de précipitations IRE de 1936 à 1959 que de 1960 à 2020. Les 60 dernières années ont en effet les valeurs de précipitations extrêmes les plus basses de l'étude, avec des valeurs moyennes de 81,20 mm pour 1770-1935 et 230,45 mm pour 1936-1959, mais seulement 168,27 mm pour 1960-2020.
"Malgré la variabilité interannuelle, les précipitations IRE (précipitations intenses) et les précipitations totales ne montrent pas de tendance significative (p < 0,05) avec le temps (année) au cours de la période d'étude observée de 1940 à 2020."
RépondreSupprimer« De même, les valeurs reconstruites des précipitations totales et des précipitations IRE sont restées stables sur la période reconstruite à plus long terme (c'est-à-dire 1770-2020) et ne montrent aucune corrélation significative avec le temps (année). Les reconstitutions des précipitations totales et des précipitations IRE montrent les mêmes changements de régime significatifs au cours de la période de reconstruction (Figure 3) : 1770-1935, 1936-1959 (humidité supérieure à la moyenne) et 1960-2020 (humidité inférieure à la moyenne). Les valeurs moyennes des précipitations totales pour chaque régime sont de 347,45 mm (1770-1935), 409,70 mm (1936-1959) et 331,11 mm (1960-2020), tandis que les valeurs moyennes des précipitations IRE pour chaque régime sont de 181,20 mm ( 1770-1935), 230,45 mm (1936-1959) et 168,27 mm (1960-2020), indiquant que l'IRE et les précipitations totales sont restées largement stables depuis 1770, à l'exception de la période de régime 1936-1959.
- voir graph sur site -
Figure 1. Précipitations totales (a) et précipitations IRE (b) entre 1940 et 2020 (lignes violettes observées) et 1770-2020 (lignes vertes reconstruites). Les précipitations IRE représentent 52% des précipitations totales pendant la période instrumentale observée et 52% pendant la période de reconstruction.
- voir graph sur site -
Figure 4. Fréquence IRE (axe Y) par an (axe X) sur la période 1940-2020. Au cours de la première période d'analyse 1940-1980 (barres violettes), la fréquence IRE a dépassé le seuil de 5 IRE/été (ligne noire) 10 fois, tandis qu'au cours de la période tardive 1981-2020 (barres vertes), la fréquence IRE a dépassé le seuil (ligne noire). ligne) dépassé 9 fois, les valeurs maximales étant plus petites.
Les deux autres articles montrent des résultats similaires pour le nord-ouest de la Turquie entre 1858 et 2015 ( Irdem et Coskun, 2024 ) et pour l'est de la Chine depuis 1896 ( Sun et al., 2024 ).
https://tkp.at/2024/03/17/klimawandel-verursacht-nicht-mehr-extremwetter-ereignisse-als-frueher/
ANSES et nouvelles techniques génomiques : chronique d'une (possible) manipulation médiatique du Monde de M. S...
RépondreSupprimer17 Mars 2024
La publication d'un rapport de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’Alimentation, de l’Environnement et du Travail (ANSES) sur les NGT a-t-elle été bloquée sur pression politique, comme l'a affirmé M. Stéphane Foucart – dans une chronique, pas un article d'information – dans le Monde ? L'allégation est invérifiable. Mais les circonstances de des publications du Monde interrogent...
J'ai du retard dans mes vitupérations. Mais c'est peut-être une bonne chose dans le cas présent.
Le 18 février 2024, le Monde publiait sur la toile une chronique de M. Stéphane Foucart, « Sur l’environnement, le divorce entre la Macronie et la communauté scientifique est désormais consommé » (c'est une citation extraite de l'article).
Une production dans la norme : méandreuse, filandreuse et un tantinet fielleuse.
En chapô :
« Un rapport de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail sur les plantes issues des nouvelles techniques génomiques a été bloqué, sur pression politique. Un signe, parmi d’autres, de la rupture entre la communauté scientifique et l’exécutif, affirme, dans sa chronique, Stéphane Foucart, journaliste au "Monde". »
Dans l'édition papier, le titre est raccourci pour s'étaler sur les deux colonnes attribuées traditionnellement aux chroniques : « La pilule amère pour les chercheurs ». Et il y a, comme d'usage, deux pavés : « Sur l'environnement, le divorce entre la Macronie et la communauté scientifique est consommé » et « Un rapport de l'ANSES sur les "nouveaux OGM" a été bloqué sur pression politique »
« La Communauté scientifique » ?
Commençons, comme il se doit, par le hors-d'œuvre, la question de « la communauté scientifique ».
L'auteur de la chronique se prévaut de lettres ouvertes, tribunes, etc. signées par des personnes se prévalant de leur statut de scientifiques et publiées notamment dans le Monde, L'Obs et la Croix à propos d'Écophyto et du projet d'autoroute A69 entre Castres et Toulouse.
Bien entendu, ces écrits – aussi abondamment signés soient-ils pour certains – ne sauraient autoriser l'article défini employé par un auteur de chroniques orfèvre en matière de sculpture d'opinions et aux connaissances grammaticales et sémantiques avérées.
En outre, on peut trouver pathétique le « Pesticides : "Nous, chercheurs et chercheuses, dénonçons une mise au placard des connaissances scientifiques" » éructé par des auteurs/contributeurs d'expertises collectives de l'INSERM, de l'INRAE et de l'IFREMER.
RépondreSupprimerIls étaient mécontents de la « mise en pause » du volet d'Écophyto fixant un objectif de 50 % de réduction de l'usage des pesticides (nouvelle date cible : 2030) ? Pourtant, ils savaient pertinemment que c'était le temps de définir (officiellement) un nouvel indicateur, qui était du reste déjà connu. Cela interroge sur l'impartialité des signataires et, partant, sur le produit de leurs travaux.
« Nos expertises scientifiques collectives ont démontré l’ampleur des impacts des pesticides sur la santé humaine et l’environnement, et mis en évidence des alternatives agroécologiques capables de répondre aux enjeux environnementaux tout en préservant la production agricole. Nos travaux ont aussi identifié les verrous socio-économiques et institutionnels qui limitent le déploiement des alternatives, et les leviers pour les dépasser. »
À lire cela, nous devons conclure que nous sommes dans une situation catastrophique, voire apocalyptique... Il s'agit pourtant d'une situation gérée et étroitement encadrée.
Dans l'Obs, on voit mal la science s'exprimer dans « Normes, Ecophyto… Les réponses du gouvernement à la colère agricole risquent d’être contreproductives ». On ne déniera pas aux signataires le droit de donner des avis, mais impliquer la communauté scientifique, dans son ensemble, dans ces avis est particulièrement audacieux.
Dans la Croix, « Pesticides, l’appel de 140 scientifiques : "La science n’est pas une option" », 140 « scientifiques » – en fait des milieux de la sociologie – nous « rappellent que la nocivité des pesticides est un fait scientifique ». Merci bien ! Ils nous rebattent aussi les oreilles avec un « déni de la recherche scientifique ». Ah oui ?
« Les travaux de sciences sociales ont montré que les industries des pesticides ont, tout au long du 20ème siècle et jusqu’à aujourd’hui, développé de nombreuses stratégies pour maintenir l’ignorance sur les effets sanitaires des pesticides et fabriquer volontairement du doute. »
Formidable constat... Mais il y a aussi (c'est nous qui graissons) :
« Une agriculture moins dépendante des pesticides peut être une agriculture qui dégage plus de revenus pour les agriculteurs si les soutiens publics et les règles de marché sont mieux pensés. Une agriculture moins dépendante des pesticides est peut-être une agriculture qui renforce certaines contraintes physiques (mais pas toujours), mais c’est aussi une agriculture qui, parce qu’elle implique une réappropriation du travail et des savoirs agronomiques, peut redonner du sens et de l’autonomie au travail. [...] »
Et l'A69 ? À ce jour où j'écris, 1.881 signataires d'un texte des Scientifiques en Rébellion. La Cour des Miracles... fermez le ban. Euh non ! On cherche la science derrière ce catalogue de récriminations.
RépondreSupprimerM. Stéphane Foucart nous a même annoncé que « [d]'autres prises de position collectives, sur la gestion de l'eau notamment, ne devraient pas tarder ». Quel rôle joue-il dans ces affaires ?
Un rapport de l'ANSES bloqué sur pression politique ?
Ce serait un scoop ! Or, curieusement, la « révélation » est faite dans une chronique – l'expression d'une opinion – et sous un titre qui ne l'annonce pas.
Le chapô de la version électronique est tout aussi curieux :
« Un rapport de l’[ANSES] a été bloqué, sur pression politique. Un signe, parmi d’autres, de la rupture entre la communauté scientifique et l’exécutif [...] »
Voilà donc l'ANSES – si souvent vilipendée, comme l'EFSA, quand ses avis ne plaisent pas à la bien-pensance – intégrée dans la communauté scientifique !
On aurait aussi pu penser qu'une telle « information » aurait déclenché un tir nourri dans les médias contre le gouvernement. Ce ne fut pas le cas...
L'histoire commence par une affirmation péremptoire :
« Que le pouvoir en place bloque la publication d’un rapport d’expertise n’est jamais anodin. [...] »
Le fait est/serait donc acquis. Mais la suite est plus prudente. Les démarches entreprises pour étayer l'allégation aboutissent en effet à ceci :
« Interrogé le 8 février par Le Monde, le cabinet de M. Fesneau n’a pas démenti le blocage du rapport de l’Anses, se bornant à répondre, deux relances et quarante-huit heures plus tard : "Pas de commentaires pour nous pour l’instant." »
Autrement dit, c'est fort léger (et invérifiable tant du point de vue de la véracité du propos que de sa source et son contexte).
C'est toutefois conforté par un sophisme du déshonneur par association :
« A l’automne 1997, on se souvient que Nature avait consacré une couverture sans concession aux tentatives de Claude Allègre, alors ministre de la recherche, de bloquer la publication du rapport d’expertise de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) sur l’amiante. »
« On se souvient... » ? Il y a 26 ans... « [U]ne couverture sans concession... » ? C'est vraiment exagéré, l'article en cause étant aussi du style méandreux. Et, cerise sur le gâteau, ce dont il s'agissait, c'était la publication sous forme de livre, le rapport ayant été disponible sous une autre forme, largement médiatisée par une annonce dans INSERM Actualités.
RépondreSupprimerLa chronique n'est pas diserte sur l'identité de ce rapport de l'ANSES. Pour démentir ou mettre en doute l'allégation de blocage, les premiers commentateurs se sont précipités sur un rapport déjà publié, l'« Avis de l'Anses relatif à l’analyse scientifique de l’annexe I de la proposition de règlement de la Commission européenne du 5 juillet 2023 relative aux nouvelles techniques génomiques (NTG) – Examen des critères d’équivalence proposés pour définir les plantes NTG de catégorie 1 ».
Certains en ont pris plein la carafe, mais c'est une autre histoire.
Il est daté du 29 novembre 2023. Selon les conclusions et recommandations,
« L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) rappelle qu’elle a engagé, sur saisine des ministères chargés de l’environnement et de l’agriculture et alors que la proposition de règlement n’était pas encore parue, une expertise sur les méthodes d’évaluation des risques des plantes NTG et leur impact socio-économique, qui devrait être disponible au premier trimestre 2024. Cette expertise en cours s’attache notamment à identifier les adaptations à apporter à la méthodologie l’évaluation des risques (sanitaires et environnementaux) des plantes issues de transgénèse lorsque l’évaluation va porter sur des plantes issues de mutagénèse dirigée réalisée à l’aide de CRISPR-Cas9 et techniques dérivées. »
Mais, selon la chronique de M. Stéphane Foucart,
« De longue date, l’Anses avait annoncé la publication de cette expertise pour début février, c’est-à-dire avant que les députés européens ne se prononcent sur les conditions d’un assouplissement réglementaire de ces nouvelles cultures (ce qu’ils ont fait le 7 février).
Cela pose trois problèmes non négligeables : le « début février » de la chronique, ce n'est pas le « premier trimestre 2024 » de l'ANSES ; celle-ci ne pouvait pas savoir « de longue date » quand le Parlement Européen allait voter sur un projet de résolution ; et une opinion de l'ANSES qui critiquait le texte de la Commission avait été rendu disponible bien avant le vote, le 21 décembre 2013, de sorte que le rapport prétendument bloqué, c'eut été en quelque sorte ceinture et bretelles.
M. Stéphane Foucart disserte ensuite sur le rapport, dont on (et lui) n'aurait pas connu le contenu à l'époque, mais qui aurait pu être peu favorable à la position de notre gouvernement, partisan d'un assouplissement de la réglementation :
« […] Dès lors, donner accès à une expertise en bonne et due forme sur le sujet aurait été nécessaire à un vote éclairé des eurodéputés. Cela n’a pas été le cas. »
RépondreSupprimerC'est là une création fort artistique du doute et de la suspicion...
Comme il est dit plus haut, l'expertise avait été demandée par les ministères en charge de l'environnement et de l'agriculture. À l'évidence, le ministère de la Transition Écologique n'a pas été contacté pour s'assurer de la réalité d'un blocage gouvernemental ou, s'il l'a été, cela n'a pas été rapporté dans la chronique. C'est donc le ministère de l'Agriculture qui est en première ligne, en fait seul, comme « bad boy »...
Le jour d'avant...
Le 5 mars 2024 (date sur la toile), le Monde publie, sous la signature de M. Stéphane Foucart, « Risques liés aux "nouveaux OGM" : l’Anses recommande une évaluation au cas par cas, dans un avis resté confidentiel ».
En chapô :
« "Le Monde" a pu consulter l’avis de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail sur les nouvelles techniques génomiques. Contrairement à la position du gouvernement, il préconise une surveillance étroite des plantes concernées. »
C'est plutôt de bonne facture, nous semble-t-il, mais avec quelques ficelles. L'ANSES est ainsi citée pour des situations où il y aurait des « risques potentiels »... mais pas pour celles où aucun risque n'est identifié. Quant à l'illustration, elle est franchement malveillante... C'est aussi une méthode de formatage des opinions !
Ce rapport, « Risques et enjeux socio-économiques liés aux plantes NTG – Avis de l’Anses – Rapport d’expertise collective », qui porte la date du 22 janvier 2024, sera publié (mis en ligne) le lendemain, 6 mars 2024 (communiqué de presse)...
« Gorge profonde » – l'informateur (ou manipulateur) anonyme – aura donc donné, d'une manière ou d'une autre, un jour d'avance à M. Stéphane Foucart pour, d'une part, remettre une pièce dans le bastringue s'agissant d'« un avis resté confidentiel » et, d'autre part, définir l'angle des articles de presse à venir.
De plus, ce serait grâce à un valeureux journaliste, ardent défenseur de la transparance et de la rectitude démocratique, que ce rapport aurait été publié. Ou tourné autrement : confronté à une publication issue d'une fuite, le gouvernement aurait été en quelque sorte pris de panique et se serait empressé de publier le rapport... confirmant implicitement qu'il l'avait bloqué.
Bloqué ou pas bloqué ?
RépondreSupprimerQuestion basique : le gouvernement avait-il le pouvoir de bloquer la publication du rapport, qu'il avait commandé et dont la publication avait été annoncée par l'ANSES – compte tenu de la répartition des pouvoirs, et aussi des règles de transparence de la vie publique ? Il pouvait aussi s'attendre à la flak des oppositions politiques, ainsi que des mouvances anti-OGM, etc.
Il n'y a pas eu de flak.
On peut cependant penser qu'il y a eu des surprises et des mécontentements au sein du gouvernement. Peut-être s'agissant des recommandations opérationnelles, sans doute de la teneur générale.
Une « mise en débat la plus ouverte et la plus éclairée possible » ? Il ne nous semble pas que c'était l'objectif de la saisine.
- voir cadre sur site -
La chronologie est aussi intéressante.
L'avis issu de l'autosaisine a été daté du 29 novembre 2023 et mis en ligne le 21 décembre avec, selon cette fiche, une date de publication prévue du 13 décembre et un visa du DG du 11 décembre.
L'avis prétendument bloqué – beaucoup plus long et comportant deux volumineuses annexes – est daté du 22 janvier 2024 et a été publié le 6 mars.
Le rapport aurait été – selon M. Stéphane Foucart – finalisé le 11 décembre 2023, et l’avis formel (donc signé le 22 janvier 2024) aurait été immédiatement transmis au gouvernement.
M. Stéphane Foucart n'en démord pas dans son article du 5 mars 2024 (mais notez qu'il prend de la distance) :
« L’Anses avait prévu de publier le rapport et l’avis au début de février – de source proche du dossier, la publication a été bloquée sur "pression politique". »
Dans le cas de l'avis issu de l'autosaisine, la publication avait aussi eu lieu après la date prévue – l'adverbe « aussi » ne se justifiant que si l'information obtenue de « Gorge Profonde » est exacte. L'écart est certes plus important... le volume du rapport également.
Voici encore un élément :
RépondreSupprimer« Mardi 5 mars, l’Anses n’avait toujours rien rendu public, ne donne pas d’explication à ces atermoiements, ne fait aucun commentaire et assure que tout sera publié prochainement. »
Il y a une contradiction évidente dans cette phrase... et cela alimente les suspicions, en tout cas les nôtres.
Et cette phrase donne à croire que, le 5 mars 2024, « Gorge Profonde » n'avait pas informé M. Stéphane Foucart de la publication imminente de l'avis. Mais elle lui avait fait parvenir cet avis... à un moment où la fuite n'allait pas susciter de gros remous.
Mais...
Le 13 mars 2024, lors de la séance de questions au gouvernement à l'Assemblée Nationale, Mme Lisa Belluco (EÉLV) a interrogé très rudement : « Avez-vous, en guise de cadeau à Bayer, Monsanto, et Corteva, retardé la publication » d'un avis de l'ANSES sur les NTG ?
Mme Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée auprès du ministre de l'Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire, a répondu très calmement : l'ANSES « a choisi de publier à sa convenance [l'avis des?] travaux qu'il mène et que nous avons sollicités ».
Finalement, ce rapport a-t-il été bloqué ou non ? Ami lecteur, faites-vous votre propre opinion...
Post scriptum
M. Stéphane Foucart insiste dans sa chronique de ce jour, « Ecologie : "Le gouvernement n’hésite pas à dissimuler ou à retenir des informations cruciales pour le débat démocratique" ».
Le rapport de l'ANSES, aurait été bloqué – c'est maintenant spécifique – par le ministère de l'agriculture.
Il aurait du « éclairer le vote du 7 février des zurodéputés appelés à s'exprimer sur la dérégulation de ces plantes » (les « nouveaux OGM »).
Et d'insister encore, avec une dose de vantardise : « [Le rapport] a dû attendre que la presse en donne les conclusions pour être publié – mais bien après le vote du Parlement de Strasbourg. »
https://seppi.over-blog.com/2024/03/anses-et-nouvelles-techniques-genomiques-chronique-d-une-possible-manipulation-mediatique-du-monde-de-m.s.html
La fille du fermier : Les tragédies du passé doivent inspirer notre avenir (republié pour la St Patrick)
RépondreSupprimer17 Mars 2024
Amanda Zaluckyj, AGDAILY*
Mauvaise récolte. Disette. Famine.
Pour la plupart des Américains, ces mots ont une certaine signification, mais surtout dans un contexte historique. Grâce à l'abondance de l'approvisionnement alimentaire, nous ne connaissons guère la réalité de tels événements et considérons qu'ils ne se produisent que dans d'autres parties du monde. Même en 2012, lorsque de nombreux agriculteurs ont souffert de la sécheresse, la plupart des consommateurs ne l'ont probablement pas remarquée, si ce n'est qu'ils ont dû arroser leur pelouse plus souvent. Ils ont même pu constater des hausses de prix négligeables au magasin d'alimentation.
Mais pendant une grande partie de l'histoire de l'humanité, la réalité des mauvaises récoltes, de la disette et de la famine a été au premier plan, et de nombreux événements historiques importants qui ont façonné la politique et les gouvernements du monde ont résulté de pénuries alimentaires.
Bien entendu, la Saint-Patrick étant célébrée aujourd'hui [le 17 mars], c'est l'occasion idéale de revenir sur l'une de ces mauvaises récoltes qui a changé le cours de l'histoire : la grande famine de la pomme de terre.
La vie en Irlande au milieu des années 1800 ne peut être décrite autrement que comme difficile, en particulier pour les masses majoritairement analphabètes qui tentaient de survivre en vivant de la terre. Les terres appartenaient généralement à de riches aristocrates britanniques, qui vivaient généralement loin de leurs domaines, à la Cour. Leurs terres étaient divisées en régions et gérées par des intermédiaires, qui les divisaient encore davantage et louaient des parcelles à des familles irlandaises. À l'époque, la ferme familiale moyenne ne comptait que 4 hectares.
Ces familles irlandaises en difficulté se tournaient vers la pomme de terre pour leur alimentation de base, car elle est riche en protéines, en hydrates de carbone, en minéraux et en vitamines telles que la riboflavine, la niacine et la vitamine C. En fait, il est possible de subsister uniquement grâce à la pomme de terre, ce qui était probablement le cas pour bon nombre de ces familles pauvres. Si la pomme de terre semble aujourd'hui synonyme d'Irlande, elle est en fait originaire d'Amérique du Sud et a probablement trouvé son chemin vers l'Europe à la fin du XVIe siècle. La tradition veut qu'elle a été introduite en Irlande vers 1585 par Sir Walter Raleigh. Mais les agriculteurs irlandais ont découvert qu'elle poussait bien dans le climat irlandais, qu'elle produisait plus par acre que d'autres cultures et qu'elle permettait (en grande partie) de nourrir leurs familles.
C'est alors que les choses se sont passées. En septembre 1845, les agriculteurs irlandais ont remarqué que leurs plants de pommes de terre commençaient mystérieusement à se dessécher et à mourir. Lorsque les pommes de terre étaient arrachées du sol, elles semblaient assez comestibles, mais elles se flétrissaient et devenaient immangeables en l'espace de quelques jours. Ce que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de Phytophthora infestans, un champignon, était à l'origine du mildiou qui s'est répandu dans tout le pays. Bien sûr, des récoltes déficitaires avaient déjà eu lieu avant l'arrivée de P. infestans, mais cette fois-ci, c'était différent. Elle s'est produite dans tout le pays et s'est poursuivie année après année.
Les scènes étaient dévastatrices. La description d'un magistrat qui a vu des familles affamées décrit l'horreur :
RépondreSupprimer« Je suis entré dans certaines des masures et les scènes qui s'y sont déroulées étaient telles qu'aucune langue ni aucune plume ne peut en donner la moindre idée. Dans la première, six squelettes affamés et épouvantables, apparemment morts, étaient blottis dans un coin sur de la paille sale, leur seule couverture semblant être une couverture de cheval en lambeaux, leurs misérables jambes pendantes, nues au-dessus des genoux. Je m'approchai avec horreur et découvris, grâce à un faible gémissement, qu'ils étaient vivants – ils avaient la fièvre, quatre enfants, une femme et ce qui avait été un homme. Il est impossible d'entrer dans les détails. Il suffit de dire qu'en quelques minutes, j'ai été entouré d'au moins 200 fantômes, des spectres effrayants qu'aucun mot ne peut décrire, [souffrant] soit de la famine, soit de la fièvre. Leurs cris démoniaques résonnent encore à mes oreilles et leurs images horribles sont fixées dans mon cerveau. »
Dans l'ensemble, le fléau a duré six ans. Plus d'un million d'hommes, de femmes et d'enfants sont morts de faim et de maladie. Un autre million d'Irlandais ont émigré vers d'autres pays, n'ayant que peu ou pas d'autres choix à leur disposition.
Fait remarquable, en 2013, les scientifiques ont pu déterminer exactement quelle souche de P. infestans avait été responsable des mauvaises récoltes. Contrairement aux idées reçues, des échantillons d'ADN extraits de spécimens botaniques conservés ont révélé que c'était une souche inconnue jusqu'alors, HERB-1, qui avait été à l'origine de toutes les destructions. On pense qu'elle est apparue au Mexique au début du XIXe siècle et qu'elle a fini par atteindre l'Europe dans les années 1840. Grâce à de meilleures techniques d'amélioration des plantes, des pommes de terre résistantes à HERB-1 ont été sélectionnées, ce qui a entraîné l'extinction de la souche.
Bien que cela nous paraisse inimaginable, de telles choses se produisent encore aujourd'hui dans notre monde. Le mildiou de la pomme de terre existe toujours et les producteurs de pommes de terre utilisent des outils de protection des cultures pour le combattre. En fait, la pomme de terre Innate de Simplot a été génétiquement modifiée pour résister au mildiou. Imaginez que vous disiez à ces familles irlandaises confrontées à la maladie, à la famine et à la mort que nous pouvons leur donner des pommes de terre qui ne se flétriront pas et ne pourriront pas, même si elles entrent en contact avec la maladie qui ruine leurs récoltes. Certes, elles ne comprendraient peut-être pas exactement ce que nous voulons dire par nos explications scientifiques, mais je suis sûr qu'elles préféreraient la technologie plutôt que d'entendre leurs enfants hurler la nuit à cause de la faim.
Aujourd'hui encore, il y a des gens qui souffrent d'insécurité alimentaire, des agriculteurs qui luttent pour protéger leurs cultures des parasites et des enfants qui souffrent de maladies. Nous disposons des outils, de la science et de la technologie nécessaires pour résoudre ces problèmes, mais nous devons avoir la possibilité de le faire. Malheureusement, alors que ces problèmes semblent si éloignés de nos tables, les gens ont tendance à adhérer aux messages qui dénigrent et entravent notre capacité à trouver des solutions.
Il faut que les opposants s'écartent du chemin pour que ces solutions aient une chance de fonctionner.
RépondreSupprimerPour une très bonne source d'information et de lecture sur la famine irlandaise, veuillez consulter The History Place (en anglais).
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* Amanda Zaluckyj tient un blog sous le nom The Farmer's Daughter USA. Son objectif est de promouvoir les agriculteurs et de lutter contre la désinformation qui tourbillonne autour de la filière agroalimentaire américaine.
Source : Farmer’s Daughter: Tragedies of past should inform our future | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2024/03/la-fille-du-fermier-les-tragedies-du-passe-doivent-inspirer-notre-avenir-republie-pour-la-st-patrick.html
Se rappeler aussi l'époque où la population agricole attreignait presque les 100 % ! et... c'était la 'disette' ! LA famine !!
SupprimerLa famine ??! Pourquoi ?
Parce que en ces temps éloignés il n'existait ni engrais (seuls le fumier de quelques animaux couvrait quelques m² !), ni médicaments contre les maladies qui touchent toutes les plantes, ni insecticides pour empêcher les bestioles de bouffer les plantes !
Ces temps là... sont en perspectives de revenir !!
La France ne compte que... 400 000 paysans !!! pour nourrir...
CRISPR augmente la longueur et le poids des grains de blé panifiable
RépondreSupprimer18 Mars 2024
ISAAA*
Des scientifiques chinois ont utilisé l'édition de gènes sur du blé panifiable pour augmenter la longueur et le poids des grains. Ils ont également identifié les mécanismes moléculaires qui affectent le développement des grains.
Le blé tendre est un aliment de base consommé par 40 % de la population mondiale. Compte tenu de l'augmentation de la demande alimentaire et de la diminution des terres agricoles, il est essentiel d'améliorer le rendement du blé.
Des chercheurs de diverses institutions chinoises ont utilisé CRISPR-Cas9 dans le blé tendre pour stimuler le développement de ses grains. Ils ont trouvé que TabHLH489, un facteur de transcription bHLH (basic helix-loop-helix), est associé à la longueur des grains de la plante. Les résultats ont montré que l'inactivation de TabHLH489 augmentait la longueur et le poids des grains, tandis que la surexpression avait l'effet inverse. L'équipe a également trouvé que le module de régulation TaSnRK1α1-TabHLH489 utilise la signalisation des brassinostéroïdes et des sucres pour contrôler la longueur des grains.
Pour plus d'informations, lisez l'article dans le Plant Biotechnology Journal.
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* Source : CRISPR Boosts Grain Length and Weight of Bread Wheat- Crop Biotech Update (February 28, 2024) | Gene Editing Supplement - ISAAA.org
Ma note : Voici le résumé (découpé) de « The TaSnRK1-TabHLH489 module integrates brassinosteroid and sugar signalling to regulate the grain length in bread wheat » (le module TaSnRK1-TabHLH489 intègre la signalisation des brassinostéroïdes et des sucres pour réguler la longueur des grains dans le blé tendre) de Jinyang Lyu et al. :
« La régulation de la taille des grains est une stratégie cruciale pour améliorer le rendement des cultures et constitue également un aspect fondamental de la biologie du développement.
Cependant, les mécanismes moléculaires sous-jacents qui régissent le développement des grains chez le blé restent largement inconnus.
Dans cette étude, nous avons identifié un facteur de transcription bHLH (basic helix-loop-helix) atypique du blé, TabHLH489, qui est étroitement associé à la longueur des grains, par le biais d'une étude d'association à l'échelle du génome et d'un clonage basé sur une carte.
L'inactivation de TabHLH489 et de ses gènes homologues a entraîné une augmentation de la longueur et du poids des grains, tandis que la surexpression a entraîné une diminution de la longueur et du poids des grains.
TaSnRK1α1, la sous-unité α-catalytique du capteur d'énergie SnRK1, a interagi avec TabHLH489 et l'a phosphorylé pour induire sa dégradation, favorisant ainsi le développement du grain de blé.
RépondreSupprimerLe traitement au sucre a induit l'accumulation de la protéine TaSnRK1α1 tout en réduisant les niveaux de protéine TabHLH489.
De plus, le brassinostéroïde (BR) favorise le développement des grains en diminuant l'expression de TabHLH489 par l'intermédiaire du facteur de transcription BRASSINAZOLE RESISTANT1 (BZR1).
Il est important de noter que les variations naturelles dans la région promotrice de TabHLH489 affectent la capacité de liaison de TaBZR1, influençant ainsi l'expression de TabHLH489.
Dans l'ensemble, nos résultats révèlent que le module de régulation TaSnRK1α1-TabHLH489 intègre la signalisation du BR et du sucre pour réguler la longueur des grains, ce qui présente des cibles potentielles pour améliorer la taille des grains de blé. »
https://seppi.over-blog.com/2024/03/crispr-augmente-la-longueur-et-le-poids-des-grains-de-ble-panifiable.html
Allemagne : l'oligopole des quatre grands de la distribution
RépondreSupprimer18 Mars 2024
Willi l'agriculteur*
M. Dominik Guggemos, de la société de rédaction berlinoise Berliner Redaktionsgesellschaft (Märkische Oderzeitung, Südwest-Presse, Lausitzer Rundschau, Badische Neueste Nachrichten), m'a demandé comment le commerce alimentaire de détail traitait les producteurs.
https://www.swp.de/politik/bauern-gegen-handel-welchen-einfluss-haben-die-supermarktriesen-auf-die-preise-fuer-die-landwirte_-73090575.html
Malheureusement, l'article se trouve derrière un péage. Voici quelques citations de ma part, mais aussi d'autres acteurs du secteur.
« Avant la Covid, le kilo de farine coûtait 39 centimes chez Aldi, pour un prix des céréales de 190 euros la tonne. Maintenant, il coûte 79 centimes chez Aldi-Sud, avec des prix à la production inférieurs de 30 % pour les agriculteurs. »
La réponse du Handelsverband Deutschland (HDE – fédération allemande du commerce) peut être qualifiée de carrément effrontée :
Je cite : « Que répond le commerce à ces accusations ? Interrogé à ce sujet, Stefan Genth, directeur général de la Fédération Allemande du Commerce (HDE), indique qu'il n'existe pratiquement pas de relations commerciales directes entre les agriculteurs et les entreprises commerciales. "De plus, pour de nombreux produits alimentaires, une grande partie de la production de l'agriculture nationale est destinée à l'exportation". C'est pourquoi, pour une grande partie des produits, le commerce ne joue aucun rôle dans la rémunération des agriculteurs. » Fin de citation
Et, plus loin :
« Que dit la Commission des Monopoles sur le pouvoir de marché des géants de la distribution ? Le ministre de l'Economie Robert Habeck (Verts) a demandé à l'organe consultatif indépendant d'examiner de plus près la situation de la concurrence. Dans son rapport, la Commission des Monopoles écrit que les chaînes d'approvisionnement alimentaire allemandes présentent des "signes de problèmes de concurrence et de pouvoir de marché".
La politique aide-t-elle les agriculteurs ?
Le ministre de l'Économie Habeck veut faire en sorte que les agriculteurs aient à l'avenir une position plus forte dans la détermination des prix de leurs produits. "Le principal problème de l'agriculture est souvent qu'elle ne peut pas répercuter ses coûts de production", explique Habeck. Selon lui, le marché n'est pas équitable. »
Le fait est que la grande majorité des producteurs n'a aucune chance face à l'oligopole des quatre grands tant que l'Office des Cartels n'intervient pas pour veiller à ce que les négociations se déroulent sur un pied d'égalité.
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* Source : Das Oligopol der Big Four - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2024/03/allemagne-l-oligopole-des-quatre-grands-de-la-distribution.html
(...) « Avant la Covid, le kilo de farine coûtait 39 centimes chez Aldi, pour un prix des céréales de 190 euros la tonne. Maintenant, il coûte 79 centimes chez Aldi-Sud, avec des prix à la production inférieurs de 30 % pour les agriculteurs. » (...)
Supprimer'190 euros la tonne' c'est (:1000 kg:) 19 centimes le kilo.
Donc: passage en 4 ans de 19 cts à 80 !!
Il nous faut écrire l’histoire dans l’Histoire
RépondreSupprimerExtrait du livre de Jean-Marc, Esnault, L’Homme face aux défis du monde contemporain : une réflexion sur notre avenir, aux Éditions L’Harmattan, 2024.
Dans ce nouvel essai, Jean-Marc Esnault explore les défis auxquels notre société est confrontée, tels que la crise économique, la fracture sociale, les enjeux environnementaux et les mutations du travail. Il examine les opportunités qui se présentent à nous, telles que l’évolution des modes de production et de consommation, ainsi que les enjeux de transition sociétale et environnementale. L’auteur rêve d’un avenir meilleur, où les gens vivent en harmonie avec la nature et les uns avec les autres. Cet essai est un appel à l’action pour tous ceux qui souhaitent contribuer à la construction d’une société plus juste et plus durable.
le 17 mars 2024 à 12h00
Le présent est toujours le fruit de l'Histoire
Le moment est venu d’écrire un nouveau récit national et un nouveau récit planétaire, l’un devant chapitrer l’autre. Pour cela, il est essentiel de créer du lien entre passé, présent et avenir.
Aujourd’hui dans un monde qui va très vite où avant-hier, c’est déjà le passé, nous avons tendance à cloisonner, voire opposer les époques. Or, le présent est toujours le fruit de l’Histoire, d’une expérience accumulée en quelque sorte, qu’elle nous ait emmenés sur des chemins heureux ou sinueux, et c’est de cette expérience, autrement dit du passé, dont on s’inspire pour poursuivre un chemin tout tracé ou au contraire pour changer de voie.
Il n’y a d’incertitude, de risque, mais aussi de nouvelles voies possibles qu’au regard d’une situation donnée, d’un état présent dont on accepte ou dont on décide de s’écarter plus ou moins. C’est ce qui vaut pour tout, l’entrepreneuriat, la culture, l’art... Certes, il y a bien des ruptures, mais ces ruptures-là, volontaires ou non, n’ont elles-mêmes de sens que par rapport au passé et au présent, on est dans l’impossibilité de rompre avec son avenir.
L’état de l’art est la ligne de départ, le fondement à partir duquel on est susceptible de se renouveler.
La difficulté réside bien souvent dans le fait que l’Homme regarde le passé avec les yeux du présent sans parvenir, sans même parfois essayer de le recontextualiser, et c’est ainsi qu’on attribue parfois la faute du dérèglement climatique aux générations nées après-guerre. Or, si on ne peut pas nier que c’est l’action du passé qui nous a conduits en partie dans cette situation qui peut mettre en péril la vie sur terre, être fautif aujourd’hui, n’est pas nécessairement être coupable hier.
Quand dans les années 60 l’agriculture devient intensive, les agriculteurs répondent à une demande de la société, on oublie souvent de le dire, et si on produit en effet de manière intensive alors, c’est sans réelle conscience des atteintes à l’environnement.
'L'histoire est-elle le devenir du présent' ?
RépondreSupprimerAu premier avis je dirais non, tant il y a d'inuformités dans les contextes exposés. Nous avons toutes & tous vécu dans ce que l'on appelle la dictature des personnes armées non-intelligentes au travers des siècles des impérialismes, de monarchies et de républiques qui sont un même terme d'autorités sur l'esclavage.
Nos souvenirs - aussi peu soient-ils - nous décrivent des êtres 'hors du commun' qui dans ces anciens temps avaient 'découvert le feu' (suite aux orages et foudres tombées), puis l'Âge de pierre, du fer (et d'autres métaux) puis, l'Âge de l'Agriculture qui a permis à chacune et chacun de survivre. Belle avancée.
Mais, il faudra attendre (quelques 20 siècles plus tard !) comment peut-on boire de l'eau sale (eau de mer, eau noire, urines, etc) en copiant - sans le savoir encore - ce que nous donne le magma gratuitement chaque jour !
Qu'est-ce que l'histoire du monde nous enseigne t-elle ?
L'histoire même 'Pré-histoire' HAHAHAHA ! qui ne ferait pas partie de l'histoire !!) est une suite d'évènements d'additions et d'analyses qui apportent des solutions. La population terrestre est constituée d'éléments de faibles valeurs et d’éléments qualifiés de surdoués. Ces derniers ont fait évoluer le monde vers une intelligence qui s'appelle intelligence. C'est-à-dire d'être soi-même. Pouvoir se décrire, instruire, le pouvoir de réfléchir, le pouvoir de dialoguer, d'échanger des intelligences.
Cette arrivée s'appelle la Démocratie. L'Internet
Un document contemporain du conseiller fédéral suisse Dr. méd. Ignazio Cassis
RépondreSupprimer17 mars 2024
par Alain Vannod
Dans la guerre mondiale pour nos esprits, il vaut toujours la peine de jeter un regard prudent sur le passé. Pour moi, un type particulier de document contemporain est un extrait d'un entretien avec le président fédéral suisse de l'époque, le Dr. méd. Cassis.
Dans « TalkTäglich » de « TeleZüri », le conseiller fédéral FDP s'est exprimé sur son propre état de santé il y a exactement deux ans, le 17 mars 2022, après que lui et deux autres conseillers fédéraux ont été testés positifs au Covid-19.
Des affirmations logiques, qui ne sont par la suite pas contestées scientifiquement, deux questions se posent pour moi : sous quelle lumière devons-nous classer les événements survenus dans l'ensemble de la société au cours des deux années précédant cet entretien et des deux années qui se sont écoulées depuis ? Et quelle fonction ont eu les médias depuis leurs débuts au printemps 2020 jusqu’à aujourd’hui ? Beaucoup de choses me semblent très simples et claires. Pour moi, d'une part, apaisant et fortifiant, mais d'autre part, effrayant et effrayant à la fois !
Quiconque souhaite aborder le sujet plus en détail à l'époque de la « pensée supervisée » des médias est invité à lire le livre récemment publié « Pandemic Errors - Critical Remarks on the Successful Proselytization of Corona Believers » (Background Publisher). L’historien Ronald Bilik ne se contente pas de présenter des erreurs pandémiques. Il donne des conseils pratiques pour le traitement. Et il veut surmonter les divisions de la société avec un message simple : « Ne perdons pas notre temps et notre énergie à nous attaquer les uns les autres, mais tenons ensemble responsables ceux qui veulent nous diviser !
https://tkp.at/2024/03/17/ein-zeitdokument-des-schweizer-bundesrats-dr-med-ignazio-cassis/
« Investir dans les femmes : accélérer les progrès »
RépondreSupprimerPar Tina Rénier
Recherche mondiale,
15 mars 2024
Alors que nous célébrons le Mois international de l'histoire des femmes 2024 sous le thème : « Investir dans les femmes : accélérer le progrès », nous ne devrions pas seulement réfléchir aux voix et aux contributions inestimables des femmes et des mouvements de femmes dans la défense et la mise en œuvre de politiques critiques, législatives, communautaires, nationales. , les changements du développement régional et international au cours des dernières décennies.
Même si les femmes ont réalisé des progrès notables dans l'accès à l'enseignement supérieur et ont accédé aux rangs des cadres intermédiaires en Jamaïque et dans la communauté caribéenne au sens large, il existe encore plusieurs obstacles institutionnels, structurels et systémiques qui limitent les choix, l'autonomisation, l'autonomie, l'accès aux opportunités, mobilité sociale et économique et participation politique. Ces obstacles reposent sur des systèmes de croyances, des idées, des normes, des valeurs, des sous-cultures et des institutions étatiques et non étatiques androcentriques qui perpétuent l’inégalité entre les sexes.
Un débat sur l’inégalité entre les sexes sans une interrogation critique sur les manifestations multiples et croisées du patriarcat relègue le débat à des analyses simplistes et binaires du « man shaming » ou se concentre uniquement sur la « victimisation des femmes ». En raison de la modification de mon examen pour qu'il soit plus nuancé et plus complet, tout en observant les statistiques alarmantes du rapport mondial sur l'écart entre les sexes du Forum économique mondial de 2023 et du rapport d'Oxfam International de 2024, qui expliquent qu'il en faudra cent trente et un supplémentaires (131). ans pour parvenir à l’égalité des sexes et deux cent trente ans supplémentaires (230) pour éradiquer la pauvreté mondiale, respectivement, l’importance d’investir dans les femmes et les stratégies visant à accélérer le progrès devient encore plus pertinente et cruciale dans le développement contemporain.
Il y a deux semaines, la Fondation Odem, une organisation à but non lucratif basée en Jamaïque dont la mission est de promouvoir l'édification de la communauté et de la nation par le biais d'initiatives caritatives, a organisé sa table ronde annuelle sur le thème de la Journée internationale de la femme 2024. En tant qu'intervenante, je me suis concentrée sur les questions d'éradication de la pauvreté et de protection sociale, car les femmes et les filles sont touchées de manière plus disproportionnée par ces questions, sur la base des résultats qualitatifs et quantitatifs et de mon expérience vécue en tant que jeune femme rurale de la Jamaïque. En outre, les études de l'Institut de planification de la Jamaïque sur les conditions de vie montrent que la majorité des ménages dirigés par des femmes dans les zones rurales sont les plus grands demandeurs du programme de protection sociale du gouvernement jamaïcain, le Programme de promotion par la santé et l'éducation (PATH) et trois (3 ) sur cinq (5) ménages jamaïcains ont exprimé que leurs revenus ne sont pas suffisants pour répondre à leurs besoins de base et à leurs dépenses familiales en raison de l'augmentation du coût de la vie.
D'un autre côté, le Caribbean Policy Research Institute (CAPRI) affirme que l'écart salarial entre hommes et femmes continue d'être un obstacle majeur à l'autonomisation économique des femmes dans les Caraïbes, utilisant la Jamaïque comme étude de cas où le revenu moyen par habitant des femmes est de 6 729 dollars américains. tandis que le revenu moyen par habitant des hommes est de 11 044 dollars américains. Par conséquent, l’un des mécanismes les plus importants pour investir dans les femmes et accélérer les progrès, dans le cadre du Programme de développement durable à l’horizon 2030, consiste à consacrer davantage d’allocations budgétaires nationales aux interventions, aux initiatives et à la protection sociale en faveur de l’égalité des sexes pour les femmes et les filles issues de communautés marginalisées, sur la base de race, origine ethnique, groupe d’âge, classe sociale, niveau d’éducation, nationalité/statut de citoyenneté, identité de genre, orientation sexuelle et situation géographique.
RépondreSupprimerEn termes de révolutionner la collecte et l’analyse des données pour soutenir des analyses intersectionnelles et sexospécifiques plus solides en matière de protection sociale, le gouvernement de la Jamaïque et la communauté caribéenne au sens large pourraient capitaliser sur la coopération Sud-Sud/Nord-Sud pour fournir des ressources techniques et financières pour collecter des données. davantage de données ventilées par sexe pour permettre aux chercheurs et aux décideurs politiques d'examiner les différences et les points communs dans la participation économique, socioculturelle et politique des hommes et des femmes et d'élaborer des politiques plus sensibles au genre et plus transformatrices pour ceux qui sont les plus touchés par les implications multidimensionnelles de crises généralisées, notamment les effets durables de la pandémie de COVID-19 et des guerres géopolitiques. Cela devrait également s'accompagner du développement et de l'application de techniques de suivi et d'évaluation en temps réel pour générer des enseignements tirés des résultats et des impacts des programmes et des politiques mis en œuvre qui façonnent et affectent profondément la vie et les moyens de subsistance des femmes. Il convient de noter que les politiques et programmes ne sont pas neutres en matière de genre, de par leurs origines conceptuelles et leurs ramifications.
L’investissement dans les femmes n’est pas seulement financier ou économique. L'investissement dans les femmes est également social et culturel et cela commence par un défi au gouvernement jamaïcain de réimaginer et d'aborder ses impératifs de développement au-delà de la croissance économique ou de la seule focalisation sur le produit intérieur brut (PIB) par habitant comme principale mesure du développement et de répondre aux besoins des femmes. croyances, normes et attentes néfastes associées aux masculinités et féminités dominantes.
Au-delà du produit intérieur brut (PIB) par habitant, on prend en compte des mesures non économétriques du développement telles que le niveau de vie, la santé et le bien-être de la population et la protection de l'environnement. Selon la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (2023), la seule focalisation sur le PIB par habitant exclut une discussion sur ceux qui bénéficient de la croissance économique. Jusqu'à présent, l'Institut de planification de la Jamaïque doit être vivement félicité pour le lancement d'un cadre d'indice de croissance inclusif en février 2024. L'investissement social en faveur des femmes devrait englober une plus grande collaboration entre les secteurs public et privé, le monde universitaire et la société civile avec les communautés marginalisées et leur engagement. dans des interventions communautaires, sexospécifiques et axées sur les jeunes qui s'attaquent aux causes profondes de la pauvreté et des déficits de protection sociale, tout en mettant en œuvre des initiatives à plus long terme pour garantir le mentorat des femmes et un meilleur accès à des opportunités fondées sur des valeurs de justice sociale et économique.
RépondreSupprimerEnfin, nous devrions repenser et repenser les approches visant à parvenir à des économies nationales de « bien-être » en examinant les meilleures pratiques trouvées au Canada et en Nouvelle-Zélande si nous voulons sérieusement non seulement atteindre les objectifs du Programme de développement durable à l'horizon 2030 des Nations Unies. Développement mais aussi réalisation de notre objectif de développement national consistant à faire de la Jamaïque le lieu où vivre, élever une famille et faire des affaires. Investir dans les femmes et accélérer les progrès sont à la base du pourquoi et de la manière dont nous envisageons un présent et un avenir plus inclusifs et résilients.
https://www.globalresearch.ca/investing-in-women-accelerating-progress/5852229
Dans l'individu humain l'on distingue deux types: La femme et l'homme.
SupprimerLa femme sera attachée à des tâches coutumière de faire le ménage, de servir la nourriture et d'élever ses enfants.
Tandis que l'homme sera dirigé vers des carrières de maçonneries, d’ingénieuries, de plomberie, d'électricité, moteurs, etc.
La différence n'est donc pas intellectuelle mais uniquement physique.
La femme d'aujourd'hui peut conduire de gros engins de chantier, de camions, bateaux, avions, comme celles d'être professeure, ingénieure, etc.
Il n'y a donc plus de différence entre l'homme et la femme sinon celle de la forme musculaire qui classe l'homme au-dessus de celle de la femme.
Procès d'un médecin à cause de certificats de masques : le juge de Bochum s'exprime
RépondreSupprimer18 mars 2024
par Dominique Schmidt
Alors que les mesures corona semblent avoir été oubliées depuis longtemps dans toute la république, le temps s'est apparemment arrêté au parquet de Bochum. Réticente à toute acquisition de connaissances, elle continue de poursuivre un médecin de Bochum qui a accordé à ses patients des exemptions de l'obligation de porter un masque qui prévalait en 2020. Mais un juge courageux du tribunal de district a mis un terme à cette situation pour le moment.
Il y a trois ans, à Bochum , l'ancienne capitale du Reichsgau , des mesures rigoureuses ont été prises contre quiconque remettait en question l'exigence du masque. Cela a été particulièrement ressenti par le médecin de Bochum Andreas Triebel et ses patients. La ville a vu ses certificats confisqués par la police et a obligé les patients concernés à porter des masques.
Le ministère public, dirigé par le procureur général responsable, Andreas Bachmann, a accusé les titulaires de certificats d'avoir utilisé des certificats de santé incorrects et a immédiatement déposé un recours, même si l'acquittement du juge de district était clair.
La situation a été encore pire pour le médecin lui-même : la police a perquisitionné son domicile et son cabinet cinq fois au total. Deux ans et demi plus tard, le tribunal régional de Bochum, où le procureur a porté plainte, a finalement mis fin à cette histoire d'effroi. Après 13 jours de procès, il ne restait plus que des affirmations non fondées, de fausses accusations et de nombreux préjugés - le médecin de Bochum a été entièrement acquitté et indemnisé (a rapporté le TKP ).
Nouvelle édition du procès du masque contre un médecin
On pourrait penser que cela aurait été une leçon pour le parquet de Bochum. Mais au lieu de repenser la procédure, le procureur général Bachmann a préparé le prochain acte d'accusation, cette fois parce que Triebel aurait délivré un certificat à une femme de 59 ans de Detmold sans examen après un appel téléphonique. La preuve en était une ordonnance de sanction du StA de Detmold pour « incitation à la délivrance d'un certificat de santé erroné », dans laquelle l'avocat de la femme déclarait que son client avait reçu le certificat après un entretien téléphonique.
Le procès a débuté le 19 février 2024 au tribunal de district de Bochum, et le procureur général Bachmann n'est pas prêt d'oublier. Dès le début, il y avait du vent contraire. Au cours de l'interrogatoire du médecin, le juge Gerlach a souligné à plusieurs reprises le devoir de confidentialité du médecin et la déclaration du médecin a également rendu l'accusation inutile : la femme avait exercé le cabinet avec sa fille, qui étudiait à Bochum, et avait été examinée par Lui Au début, je ne voulais pas emporter le certificat avec moi, mais j'ai ensuite demandé qu'il soit envoyé par téléphone.
Et puis c'est une gifle retentissante pour le procureur général : la procédure n'a pas été initiée par le tribunal de district, mais par Bachmann personnellement. L'accusé Andreas Triebel est resté irréprochable toute sa vie et avait déjà été acquitté dans une affaire similaire. Il considère personnellement qu'il est douteux que des accusations auraient dû être portées dans l'affaire actuellement entendue. La façon dont le procureur général s'est adressé au témoin et à lui-même n'était pas non plus acceptable. La sentence était prononcée, la procédure était terminée. Mais il est douteux que le procureur général Bachmann ait appris quoi que ce soit. Il est plus probable qu’il fasse à nouveau appel cette fois-ci. Les horloges tournent différemment à Bochum.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2024/03/18/arzt-prozess-wegen-maskenattesten-bochumer-richter-spricht-machtwort/
TOUS les docteurs, infirmiers, chirurgiens connaissent depuis longtemps et depuis les débuts d'études que les masques médicaux ne servent qu'à empêcher des micro-gouttelettes exprimées par la bouche d'aller vers quelqu'un. Mais ils savent aussi que ces masques ne sont pas anti nano-poussières ('virus') ni anti microbes? D'ailleurs ces masques ne peuvent exister car ils empêcheraient de respirer.
SupprimerNotons au passage que les juges le savent aussi.
Mais comme le souligne l'auteur "Nous sommes en république", donc, il ne peut exister de tribunal indépendant dans une dictature où existe même le 'ministère de la justice' !!!
Des études prouvent que les particules lipidiques utilisées dans les vaccins ARNm type Pfizer favorisent la migration des cellules cancereuses
RépondreSupprimerle 17 mars 2024
par pgibertie
« Tous ces rapports conduisent à la conclusion qu’il existe des soupçons raisonnables selon lesquels les injections d’ARN mod « provoquent des effets nocifs qui vont au-delà de ce qui est acceptable sur la base des connaissances de la science médicale »…
« (1) …depuis quand êtes-vous conscient du problème de migration des cellules cancéreuses lors des injections à base de #modRNA ? (2) Ce problème apparent a-t-il déjà été discuté plus tôt dans #PEI et si oui, pourquoi n’a-t-il pas été ouvertement communiqué ?
Il s’agit d’une nouvelle lettre adressée à l’Île-du-Prince-Édouard en Allemagne posant d’autres questions sur la sécurité du vaccin covid de la part d’un groupe de physiciens/chimistes. À propos d’un nouvel article montrant un article du LNP in vitro augmentant la migration des cellules cancéreuses de la prostate https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/38300021/
Cependant, peu d’attention a été accordée aux impacts néfastes du SLN sur l’environnement cellulaire, en particulier à son influence sur les voies de signalisation intracellulaires.
Dans ce travail, nous étudions les effets déclenchés par le SLN cationique sur les cellules non tumorales de la prostate humaine (PNT1A) et les cellules tumorales (PC-3). Nos résultats démontrent que le SLN cationique améliore la migration des cellules cancéreuses de la prostate PC-3, mais pas des cellules prostatiques non tumorales PNT1A, un développement inattendu et sans précédent.
De plus, nous avons observé que l’augmentation de la vitesse de migration cellulaire est un effet dépendant de la concentration et des nanoparticules, et n’est lié à aucun composant individuel des nanoparticules. De plus, le SLN cationique a augmenté l’expression de la vimentine ( p <0, 05), mais le SLN n’a pas affecté la translocation nucléaire de Smad2. Pendant ce temps, les protéines liées à l’EMT (transition épithéliale à mésenchymateuse), telles que ZEB1, ont subi une translocation nucléaire lorsqu’elles ont été traitées avec du SLN cationique, affectant ainsi la motilité des cellules PC-3 via la modulation de ZEB1 et de la vimentine.
D’un point de vue thérapeutique, le SLN cationique pourrait potentiellement aggraver l’état d’un patient si ces résultats étaient reproduits in vivo . Comprendre les mécanismes moléculaires in vitro déclenchés par les nanomatériaux et leurs implications sur le fonctionnement cellulaire est crucial pour définir leur utilisation sûre et efficace.
https://pgibertie.com/2024/03/17/des-etudes-prouvent-que-les-particules-lipidiques-utilisees-dans-les-vaccins-arnm-type-pfizer-favorisent-la-migration-des-cellules-cancereuses/
Les avantages et les inconvénients de la supplémentation en cétone
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
18 mars 2024
Dans cette interview, Frank Llosa, fondateur et PDG de KetoneAid Inc., et moi discutons des avantages et des inconvénients des cétones exogènes (cétones supplémentaires). Votre corps produit des cétones sous certaines conditions (appelées cétones endogènes), mais vous pouvez également les prendre par voie orale.
J'avais l'habitude de prendre des cétones, mais au cours de la dernière année, j'ai changé ma position à ce sujet. Je crois maintenant qu’il est relativement malsain pour votre corps de créer des cétones de manière chronique. Non pas que vous ne devriez jamais le faire, mais c’est un mécanisme d’urgence qui nécessite l’activation des hormones du stress.
Cela a une grande valeur et cela peut vous maintenir en vie. Mais c’est une réponse d’urgence. Vous allez devoir activer le cortisol, l’adrénaline et le glucagon, et ce choix aggravera, et non améliorera, votre biologie au fil du temps. Cela ne veut pas dire que les cétones sont dangereuses. Il s’agit d’un outil puissant qui, utilisé de manière sélective, peut effectivement améliorer votre santé. Nous en discutons dans cette interview.
Mais si vous choisissez de permettre à votre corps de produire des niveaux élevés de cétones, sachez qu’il existe un autre aspect rarement évoqué, à savoir l’activation des hormones du stress. Si vous le faites rarement, il n'y a pas de problème, car il s'agit d'un mécanisme de sauvetage conçu pour vous maintenir en vie en période de pénurie alimentaire. Mais si vous le faites tous les jours, je pense que vous cherchez des ennuis.
Llosa a commencé à explorer le secteur des cétones exogènes par l'intermédiaire du regretté Dr Richard Veech, un éminent expert en cétones. Veech était le parrain de sa femme. Veech était assis sur un ester cétonique depuis 10 ans et ne pouvait pas le commercialiser. C’est donc là que Llosa s’est impliqué.
Avantages et inconvénients des cétones
Bien que les cétones soient généralement connues pour être bonnes pour votre cerveau et réduire l’inflammation, votre cerveau ne peut pas fonctionner uniquement avec des cétones. C’est biologiquement impossible. Cela nécessite du glucose. Llosa cite des recherches des années 1970 selon lesquelles des personnes jeûnaient avec de l'eau pendant 60 jours maximum et, à la fin, ils étaient capables de produire de l'énergie uniquement grâce aux cétones endogènes.
Cependant, une fois que l’on comprend comment fonctionne la glucogenèse, il est clair qu’il y avait encore du glucose dans le cerveau. Votre corps a absolument besoin de glucose, mais vous n’êtes pas obligé d’en manger. Cependant, cela en nécessite tellement que si vous ne consommez pas de glucose, vos muscles seront sacrifiés pour le créer de manière endogène.
Votre corps décomposera le tissu musculaire et le convertira en glucose en libérant les hormones du stress, l'adrénaline, le glucagon et le cortisol. C’est ce qui active la destruction de la masse musculaire maigre et des os. Même certains tissus cérébraux peuvent être sacrifiés pour créer du glucose. Donc, vous devez avoir du glucose. Si jamais votre glycémie descend à zéro, vous mourrez.
RépondreSupprimerLes cétones sont en effet un excellent carburant, elles font beaucoup de bonnes choses pour votre corps, mais vous avez quand même besoin de glucose. Et si vous souhaitez vraiment optimiser votre biologie, l’idéal est de donner à votre corps le glucose dont il a besoin, ainsi qu’une plus petite quantité de cétones. Deux façons d’y parvenir sont de jeûner (qui active les hormones du stress) ou de prendre des cétones exogènes.
Au cours d'une expérience personnelle, Llosa a atteint des niveaux de cétones très élevés, mais les gens ont commencé à dire qu'il avait l'air maladif. Même s'il se sentait bien, il avait un poids insuffisant. Sa femme a également expérimenté un régime cétogène et a contracté la « grippe céto ».
« Elle était au lit en position fœtale, les yeux exorbités et le cœur battant à tout rompre », dit-il. Llosa a fini par faire appel à quelques experts, qui lui ont recommandé de lui donner 10 gélules de sel pur. Alors qu'il était sceptique, le sel lui a permis de se sentir bien en 10 minutes. «C'était juste une pénurie de sel», dit-il.
Il s’agit généralement d’un problème très courant et c’est l’une des raisons pour lesquelles les gens disent que le régime céto n’a pas fonctionné pour eux. Les régimes cétogènes entraînent d’énormes pertes de sel et, dans la plupart des cas, n’ajoutent tout simplement pas suffisamment de sel. Cela dit, les cétones présentent certainement des avantages. Le principal étant les effets anti-inflammatoires. Certains bénéficient également de bénéfices cognitifs considérables. Comme l'explique Llosa :
« Pour la cognition, plus vous avez de problèmes avec le glucose atteignant le cerveau, plus vous en bénéficiez. Ainsi, certaines personnes en boivent, qu’il s’agisse de l’une de ces cétones exogènes, et ne ressentent rien dans le cerveau. Mais votre cerveau est alimenté à 100 ou 95 % de [glucose], il n’y a aucune amélioration à obtenir.
Le scientifique Steve Koonin a parlé du déficit énergétique du cerveau. Donc, plus l'écart est grand, plus le pourcentage du cerveau qui peut être alimenté par le glucose, il pourrait être de 60 à 70 %. Lorsque vous ajoutez des cétones exogènes, elles empruntent une voie différente, atteignent le cerveau et vous rapprochent de ces 100 %.
Ainsi, certaines personnes, par exemple les personnes traumatisées cérébrales, ont un brouillard cérébral, elles prennent l'ester cétonique et c'est instantané, immédiat et prévisible, dans les 15 minutes. Ainsi, plus l’écart [énergétique] est grand, plus vous le ressentez.
Les différents types de cétones exogènes
RépondreSupprimerÀ l’heure actuelle, il existe plusieurs types de produits cétoniques disponibles, notamment les suivants :
• Huile MCT-C8 — L'huile MCT est une graisse alimentaire, elle compte donc dans vos macronutriments. Cependant, 10 à 15 % de celui-ci passe par le foie et crée des cétones (D-bêta-hydroxybutyrate). Comme l'a noté Llosa, en théorie, vous pourriez prendre de l'huile MCT avec un morceau de gâteau du commerce tout en augmentant vos cétones. Cette augmentation n’est cependant pas une indication que vous brûlez des graisses.
• Sels de cétone racémiques (bêta-hydroxybutyrate) — Ce furent les premières cétones exogènes sur le marché, mais elles ne valent guère l'investissement, car elles augmentent à peine vos niveaux de cétones. "Vous auriez une portion entière de sels cétoniques et vous seriez chanceux si vous obteniez une augmentation de 0,3 de vos millimolaires", explique Llosa.
"Si vous preniez les gélules de sels racémiques, peut-être que si vous preniez la moitié de la bouteille, 15 des 30 gélules, vous pourriez avoir une augmentation de 0,2, 0,3." L’une des raisons pour lesquelles les gens prétendent avoir travaillé pour prévenir la grippe céto est que les sels cétoniques sont très riches en sel. Mais vous pouvez obtenir le même effet simplement en prenant du sel rose de l’Himalaya et économiser beaucoup d’argent.
• Sels de cétone chiraux (D-bêta-hydroxybutyrate) — La version chirale des sels, qui est plus coûteuse à produire et donc vendue au détail à un prix plus élevé.
• Ester cétonique — Il s'agit du D-bêta-hydroxybutyrate, la forme acide libre, liée au R 1,3-butanediol (également connu sous le nom de D 1,3-butanediol). Cela permet à l’ester de pénétrer intact dans votre circulation sanguine. Comme l'explique Llosa, « une fois dans votre circulation sanguine, les enzymes le sépareront, vous donnant une libération rapide de D-bêta-hydroxybutyrate, la même molécule que votre corps produit lorsqu'il brûle les graisses.
Ensuite, le R 1,3-butanediol passe par le foie et 80 % de celui-ci se transforme en cétone. Donc, vous avez une version rapide et une version lente.
Au sein du groupe des esters, il existe plusieurs versions différentes, dont le monoester (développé par Veech) ; Le D-bêta-hydroxybutyrate lié à deux ou trois molécules de glycérol (ce qui est loin d'être aussi efficace) ; et les esters à base de C8, qui fonctionnent mieux lorsqu'ils sont pris avec de la nourriture. Le monoester cétonique n’est pas bien absorbé lorsqu’il est pris avec de la nourriture.
RépondreSupprimerAinsi, si vous devez le prendre avec de la nourriture pour limiter les pics de glycémie, l’ester C8 peut être un meilleur choix. Mais pour un entraînement à jeun, le monoester est de loin supérieur. Il existe également un ester cétonique à base de C8 lié au R 1,3-butanediol, mais il n’est pas aussi biodisponible, tout en étant l’un des plus chers.
• R 1,3-butanediol — Il s'agit de la moitié de la molécule de l'ester cétonique (D-bêta-hydroxybutyrate lié à R 1,3). Techniquement, le 1,3-butanediol est un alcool (mais pas de l'éthanol), il peut donc vous donner du buzz. Llosa a lancé une société appelée Hard Ketones qui se concentre sur le R 1,3-butanediol comme alternative à l'alcool qui agit sur vos récepteurs GABA.
Ce produit vise principalement à aider les gens à arrêter de boire de l'alcool. Comme l'explique Llosa, « ce qui est bizarre avec cette boisson, c'est qu'en raison de l'effet ghréline, elle diminue le désir d'elle-même. Donc normalement, avec une bière, vous désirez une autre bière, et une autre bière.
Mais avec cela, les gens en ont un ou deux et ils n’ont tout simplement pas envie d’en avoir un troisième, un quatrième ou un cinquième. Le cerveau a besoin d'acide acétique dans le cadre du cycle de l'éthanol. Le R 1,3-butanediol se convertit en une version à quatre carbones de l'acétaldéhyde qui n'est pas aussi biodisponible, de sorte que le corps ne peut pas l'utiliser comme toxine, puis il se convertit rapidement en bêta-hydroxybutyrate cétones.
Sels de cétone racémiques et chiraux
Pour comprendre la différence entre les sels racémiques et chiraux, imaginez que vous avez une paire de gants, un pour votre main gauche et un pour votre main droite. Dans un sel de cétone racémique, vous avez un mélange égal de ces molécules « gauchers » et « droitières », également appelées « D » (ou R, pour « droite ») et « L » pour « gauche ». »
Tout comme vos gants, ces molécules se ressemblent mais sont des images miroir les unes des autres et ne peuvent pas se superposer les unes aux autres. En chimie, on dit que le mélange est racémique car il contient des parts égales de ces formes en image miroir.
Maintenant, imaginez si vous aviez une paire de gants mais qu’ils étaient tous deux pour la même main – disons deux gants pour la main gauche. Dans les sels de cétone chiraux, au lieu d’avoir un mélange, vous avez des molécules qui sont toutes « gauchers » (ou toutes « droites »). Le terme « chiral » fait référence à une substance qui n’a pas une image miroir identique – tout comme votre paire de gants pour gauchers.
RépondreSupprimerDans le contexte des sels cétoniques, cela signifie que le produit est constitué principalement d’un seul type de molécule, soit la version « gauche » ou « droite », et non un mélange des deux.
Dans notre corps, ces différences peuvent être importantes. Tout comme un seul de vos gants peut tenir sur chaque main, une seule forme de molécule cétonique peut être utilisée efficacement par le corps. Alors que les sels de cétone racémiques offrent un mélange qui pourrait ne pas être pleinement utilisé, les sels de cétone chiraux fournissent une forme spécifique qui peut être reconnue et utilisée par votre corps.
Les esters cétoniques protègent contre le stress oxydatif
Selon Llosa, l'ester cétonique est meilleur pour l'acuité cérébrale et les performances sportives, tandis que les cétones dures induisent la relaxation. À mon avis, l’une des meilleures applications thérapeutiques des cétones exogènes est lorsque vous devez réduire le stress oxydatif, par exemple lors d’un scanner, d’une radiographie ou d’une chimiothérapie, ou lorsque vous prenez l’avion. Tous ces éléments provoquent un stress oxydatif contre lequel les esters cétoniques peuvent protéger. Llosa commente :
« Il va y avoir un article qui sortira d’ici un mois ; cela a pris sept ans de préparation, et cela a été brièvement évoqué dans un livre de chimie, c'est pourquoi je peux le mentionner, où ils ont donné aux souris suffisamment de radiations pour que 70 % d'entre elles meurent.
Ils ont pris un autre groupe et leur ont donné de l'ester cétonique soit avant et après, soit juste après. Lorsqu’ils l’ont pris avant et après, 100 % d’entre eux ont survécu et ont vécu aussi longtemps [que les souris non exposées]. S'ils prenaient juste après, 90 % d'entre eux survivaient. Ce sera, je pense, un document révolutionnaire. Cela va ouvrir tellement de possibilités.
En ce qui concerne le cancer, ce dont nous avons vraiment besoin… c’est de nous assurer que les radiations ne protègent que les bonnes cellules et ne protègent pas accidentellement les mauvaises cellules. Travis Christofferson qui a écrit le livre « Les cétones sont le quatrième carburant ». Excellent livre pour approfondir ce sujet. Il m’a expliqué, mais pas d’une manière que je puisse réexpliquer, que les bonnes cellules cancéreuses sont protégées et que les mauvaises cellules cancéreuses ne devraient pas l’être.
RépondreSupprimerAinsi, en cas de cancer potentiel, vous devez vous assurer qu’il protège uniquement les bonnes cellules et non accidentellement les mauvaises cellules. Parce que cette étude sur les souris montre simplement qu’elle protège tout le corps, elle ne montre pas la différence dont vous avez besoin.
Dans le domaine des radiations cancéreuses, il s’agit d’un équilibre délicat entre la quantité de radiations que vous donnez pour tuer le cancer et celle qui tue l’hôte. Vous ne voulez pas tuer la personne avec trop de radiations. Donc, si vous avez la possibilité d’être plus agressif face aux radiations, ou de vous en protéger, cela offre de nombreuses perspectives.
Je déconseille fermement la chimiothérapie contre le cancer, car vous sabotez votre capacité à survivre. Cependant, dans les rares cas où une radiothérapie ou une chimiothérapie peuvent être justifiées, vous seriez insensé de ne pas envisager de fortes doses d’esters cétoniques, car elles protégeront probablement les cellules saines contre les dommages, en particulier vos cellules immunitaires.
Lorsque vous affaiblissez votre système immunitaire, votre capacité à combattre le cancer disparaît presque. Donc, vous devez être prudent. À titre général, Llosa suggère de précharger avant la chimiothérapie, en prenant deux à quatre portions par jour (10 à 20 millimolaires) pendant deux ou trois jours. Cela dit, Llosa prévient qu’il n’existe aucune preuve scientifique pour étayer des dosages ou des fréquences spécifiques, c’est donc quelque chose que vous devrez expérimenter.
Encore une fois, pour être clair, même si je pense qu’augmenter vos cétones endogènes peut faire plus de mal que de bien pour la plupart des gens, prendre un produit cétonique exogène est une autre histoire, car vous n’activez pas les hormones du stress.
Pourquoi je ne recommande pas Chronic Keto
Bien que Llosa pense que le régime idéal est un régime non cétogène à faible indice glycémique avec des cétones exogènes, je suis fortement en désaccord avec cela. La raison en est que le glucose est le principal carburant de vos mitochondries. Malheureusement, le microbiome de la plupart des gens souffre de graves dysfonctionnements en raison d’une consommation excessive de sucre raffiné.
Le sucre raffiné nourrit les bactéries à Gram négatif qui produisent des endotoxines. Si votre charge bactérienne pathogène dans votre côlon est élevée, même les glucides sains comme les fruits mûrs peuvent causer des problèmes, car les fibres nourriront les mauvaises bactéries. Cependant, si votre microbiome est sain, vous pouvez manger des fruits et même des féculents sans problème.
RépondreSupprimerJe mange généralement entre 400 et 500 grammes de glucides par jour, et j'en connais beaucoup qui en mangent 600 grammes par jour, mais qui ont pourtant une glycémie tout à fait normale et une glycohémoglobine normale, car nos mitochondries peuvent brûler efficacement le glucose. Nous avons un métabolisme très actif, nous pouvons donc brûler ce carburant.
Beaucoup, comme Llosa, se concentrent sur un indice glycémique faible, car c’est ainsi que la plupart des gens atteignent une glycémie normale. Mais je pense que c’est loin d’être idéal, car si vous suivez un régime à faible indice glycémique, vous courez toujours le risque d’activer les hormones du stress. Si votre apport en glucides est trop faible, vous allez activer l’adrénaline et le cortisol, et si vous les activez tout le temps, vous allez avoir des ennuis.
L’autre élément est que vous devez être sensible à l’insuline. Idéalement, vous voudriez un taux d’insuline à jeun inférieur à 2, voire 1,5. Si votre insuline à jeun est de 5 ou 10, alors le pic de glycémie provoqué, par exemple, par un verre de jus d'orange, va être problématique. Si votre fonction mitochondriale et votre métabolisme sont bons, votre taux de glucose augmentera temporairement puis redescendra.
Plus d'information
Pour en savoir plus sur les produits Llosa, visitez ketoneaid.com et hardketones.com. En conclusion, Llosa commente :
« Je pense que ce qu’il faut retenir, c’est que ce n’est pas un supplément. Nous appelons cela un aliment. Les gens doivent prendre des suppléments pendant 10 à 30 jours pour ressentir quelque chose. C’est quelque chose que l’on ressent immédiatement, ou en un ou deux jours.
https://www.lewrockwell.com/2024/03/joseph-mercola/the-pros-and-cons-of-ketone-supplementation/
Campagne de peur résultant de « cas confirmés » de Covid-19 totalement invalides, de données erronées sur la mortalité du SRAS-CoV-2 et de falsification des certificats de décès
RépondreSupprimerChapitre III du livre électronique, The Worldwide Corona Crisis: Global Coup d'État contre l'humanité, par Global Research Publishers, 2022
MICHEL CHOSSUDOVSKI
16 MARS 2024
Le texte suivant constitue le chapitre III de :
La crise mondiale du coronavirus, un coup d’État mondial contre l’humanité
par Michel Chossudovsky
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, PDF Ebook, Pages : 164, 15 chapitres
« Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. —Dr. Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.
« … La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourrait être due à ce qu’on appelle des tests faussement positifs. » —Dr. Michael Yeadon, scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer
« Cet usage abusif de la technique RT-PCR est appliqué comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements pour justifier des mesures excessives telles que la violation d'un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d'une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs. -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients. —Dr. Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste de santé publique reconnu.
« J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès dus au Covid en réétiquetant les patients atteints de cancer, les victimes d’accidents vasculaires cérébraux et toutes sortes de décès réguliers normaux comme Covid, en fait pratiquement toute personne montant dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour ce faire étaient totalement erronées, des tests PCR par exemple étant effectués sur 45 cycles dont nous savons tous qu'ils ne valent rien, et pourtant des personnes sont euthanasiées sur cette base et parfois uniquement sur la base d'une radiographie pulmonaire. —John O'Looney, directeur des funérailles, Milton Keynes, Royaume-Uni
Le nombre de cycles d'amplification [devrait être] inférieur à 35 ; de préférence 25 à 30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détectent uniquement les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l'isolement en culture cellulaire… (Critique de l'étude Drosten)21
RépondreSupprimerL’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. C’est pourtant ce qu’ils ont recommandé en janvier 2020, en concertation avec l’équipe de virologie de l’hôpital de la Charité à Berlin.
Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui a été recommandé par l'OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les « cas confirmés de COVID-19 » compilées dans le monde entier au cours des deux dernières années et demie sont invalides.
Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon et al., le Ct > 35 est la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».22
Le Mea Culpa de l’OMS
Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS.
« Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire (1). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (c'est nous qui soulignons)
L'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée. »23
De plus, à partir de fin 2021, plusieurs milliards de kits de tests d’antigènes et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d’un milliard de kits de tests ont été distribués aux États-Unis.
RépondreSupprimerAu Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de test d’antigène COVID-19 à domicile. Cette décision a non seulement contribué à alimenter la campagne de peur, mais elle a également créé une situation de chaos social. Cela a contribué à faire augmenter le nombre de « cas confirmés ».36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d'un diagnostic médical du patient.
Annexe
Texte intégral de la directive de l'OMS du 20 janvier 202137
- voir doc sur site -
Capture d'écran de l'OMS
Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2
Type de produit : technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2
Date : 13 janvier 2021
Identifiant OMS : 2020/5, version 2
Public cible : professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.
Objectif de cet avis : clarifier les informations précédemment fournies par l’OMS. Cet avis remplace l'avis d'information de l'OMS destiné aux utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (IVD) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.
Description du problème : L'OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d'utilisation (IFU) lors de l'interprétation des résultats des échantillons testés à l'aide de la méthodologie PCR.
Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d'emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité PCR est recommandé par le fabricant.
Les directives de l'OMS sur les tests de diagnostic du SRAS-CoV-2 indiquent qu'une interprétation prudente des résultats faiblement positifs est nécessaire (1). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.
RépondreSupprimerL'OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant un résultat positif (SRAS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SRAS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.
La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic. Par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent prendre en compte tout résultat en combinaison avec le moment de l'échantillonnage, le type d'échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.
Actions à entreprendre par les utilisateurs du DIV :
Veuillez lire attentivement le mode d'emploi dans son intégralité.
Contactez votre représentant local si un aspect du mode d'emploi n'est pas clair pour vous.
Vérifiez le mode d'emploi de chaque envoi entrant pour détecter tout changement dans le mode d'emploi.
Fournissez la valeur Ct dans le rapport au fournisseur de soins de santé demandeur.
28 H. Ealy, M. McEvoy, et al., July 24, 2020. Covid-19: Questionable Policies, Manipulated Rules of Data Collection and Reporting. Is It Safe for Students to Return to School? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264
RépondreSupprimer29 National Vital Statistics System, March 24, 2020. New ICD code introduced for COVID-19 deaths. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M
30 Ibid.
31 Ibid.
32 Ibid.
33 Prof Michel Chossudovsky, February 14, 2021. Quebec: Falsification of Mortality Data Pertaining to Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290
34 See this: https://amol.ca/wp-content/uploads/2020/04/19_avril_20-AU-00603_LET_Opatrny-Codirecteurs_Orientations_ministerielle….pdf
35 Ibid.
36 Prof. Michel Chossudovsky, July 19, 2022. Biggest Lie in World History: There Never Was A Pandemic. The Data Base is Flawed. The Covid Mandates including the Vaccine are Invalid. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates-including-the-vaccine-are-invalid/5772008
37 WHO, January 20, 2021. Nucleic acid testing (NAT) technologies that use polymerase chain reaction (PCR) for detection of SARS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05
https://michelchossudovsky.substack.com/p/covid-19-sars-cov-2-how-tested-measured?utm_source=post-email-title&publication_id=1910355&post_id=142614070&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
Campagne de vente de vaccins contre la rougeole dans les ÖRR et HSH – sans fondement ?
RépondreSupprimer18 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Une campagne massive de vente de vaccins contre la rougeole est actuellement en cours dans les médias gouvernementaux et institutionnels. Cela suggère qu’il y a une véritable vague de maladies. Si nous ne vaccinons pas, cette vague va nous submerger. Mais existe-t-il des données à ce sujet ? Ou est-ce comme à cette époque de 2020 avec la « vague Corona » qui a conduit à des hôpitaux vides ?
La vague de rougeole est présente dans presque tous les médias. Un exemple est l' ORF particulièrement enthousiaste , qui titrait vendredi : « La vague de rougeole ne disparaît pas ». Cela n'a pas suffi et ils ont continué sur la mauvaise voie du Corona, bien sûr non sans citer un virologue : « La vague de rougeole en Autriche roule et roule. En une semaine, le nombre de cas a augmenté de près de 50 pour atteindre 267 cas. Le taux de complications est de 20 %. Le virologue Lukas Weseslindtner recommande la vaccination « avant que cela nous explose au visage ».
Avons-nous vraiment une nouvelle vague dangereuse ? Et combien de malades ont été vaccinés contre la rougeole ? Et combien ont reçu des injections de préparations d’ARN mod affaiblissant le système immunitaire ?
Mais jetons un coup d'œil aux données publiées par le bioinformaticien Ben sur X :
- voir graph sur site -
Les chiffres et graphiques sont issus du rapport actuel de février 2024 de l'agence européenne responsable ECDC pour les pays de l'UE/EEE. On constate qu’il y a eu des pics nets entre 2009 et 2013, puis une baisse, et un peu plus encore en 2016 et 2019. En 2020, il n’y avait presque rien en 2022, même si la question se pose de savoir si rien n’a été signalé car personne n’a osé aller chez le médecin.
Il n’y aura qu’une augmentation relativement minime en 2023, ce qui coïncide généralement avec une diminution des niveaux de vitamine D en hiver. En haut à droite, les données pour 2023 sont affichées légèrement agrandies, avec une légère diminution en novembre et décembre.
RépondreSupprimerDans un autre graphique, Ben montre l’évolution globale du nombre de cas de 1974 à 2022 :
- voir graph sur site -
La vaccination multiple ROR est utilisée depuis un certain temps comme vaccination contre la rougeole. Il n’existe aucune preuve épidémiologique de l’efficacité de la vaccination, comme le montrent les données allemandes :
- voir cadre sur site -
Le Bade-Wurtemberg et la Saxe ont des taux de vaccination nettement inférieurs, mais les incidences ne sont pas différentes de celles des autres Länder.
Prophylaxie au lieu de vaccination
Dans l'interview du TKP, le pape de la médecine orthomoléculaire, le médecin et scientifique de Rostock, Dr. Sc. Med. Bodo Kuklinski en mai 2020 au sujet de la rougeole :
« La carence en vitamine A est endémique dans les pays pauvres. Les cas de rougeole y sont dramatiques et mortels. L'évaluation de 47 études chez des enfants âgés de 1 à 5 ans (1,2 million d'enfants) a réduit la fréquence de la rougeole de 50 % et la mortalité de 12 % lorsqu'on leur donnait de la vitamine A seule (sans vitamine D).
Et plus loin:
«Le déséquilibre se reflète également dans la vaccination contre la rougeole prévue par la loi, sinon une amende de 2 500 euros. En Allemagne, la rougeole a toujours été une maladie bénigne. Parfois, ils apparaissaient dans les classes de l'école sans que les autres ne tombent malades. Aujourd’hui, des cas graves sont connus chez les enfants et les adultes sous-alimentés ou non nourris, notamment les migrants. Ici aussi, au lieu de vacciner, de prophylaxie !
Il en va de même pour la rougeole et, en général, pour les recommandations complètes de vaccination des enfants, qui ont déjà atteint des proportions complètement irrationnelles, comme pour les vaccinations corona : elles font nettement plus de mal que de bien.
Comme indiqué précédemment en détail, aucun des vaccins contre la rougeole n’a jamais démontré son efficacité (cas/décès) contre la maladie clinique qu’est la rougeole. Au lieu de cela, ces produits s’appuient uniquement sur les taux sériques d’anticorps et sur des études antérieures, qui n’ont pas non plus montré d’efficacité clinique.
https://tkp.at/2024/03/18/verkaufskampagne-fuer-masernimpfstoffe-in-oerr-und-msm-grundlos/
Points clés sur l’instauration d’une dictature sanitaire internationale de l’OMS
RépondreSupprimer18 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La 77e Assemblée mondiale de la santé (AMS) est prévue du 27 mai au 1er juin 2024. Deux traités importants doivent être adoptés, accordant à l'OMS des pouvoirs presque illimités inscrits dans le droit international. Il s’agit principalement des modifications apportées au Règlement sanitaire international (RSI) ainsi que d’un nouveau traité complémentaire appelé Traité sur la pandémie.
Surtout, les modifications apportées au RSI confèrent à l’OMS des pouvoirs autoritaires étendus. Le RSI existe déjà et les changements ne doivent plus être spécifiquement décidés par les États membres. Elles entrent en vigueur de manière contraignante à moins qu'un veto ne soit opposé à leur encontre dans les 10 mois suivant la décision.
Le contrat pandémie est différent. C’est nouveau et aussi beaucoup moins ambitieux. Il doit d'abord être ratifié par les différents États membres avant de devenir valide.
L'analyste et journaliste James Roguski a compilé les principaux points inacceptables, que nous reproduisons ici :
Les 10 principaux points INACCEPTABLES dans les modifications proposées au Règlement sanitaire international
1. Trois niveaux d’alarmisme : (articles 1, 5, 8 et 12)
Il est INACCEPTABLE de donner au Directeur général de l’OMS le pouvoir de déclarer unilatéralement une alerte d’action précoce (EAA) et une urgence pandémique (EP) en plus d’une urgence de santé publique de portée internationale (PHEIC) sans aucune surveillance et sans aucun contrôle. ou balance sur sa puissance.
2. Quarantaine : (articles 24, 27 et annexes 4 et 8)
La menace supplémentaire de quarantaine pour les voyageurs est INACCEPTABLE.
3. Documents requis pour le voyage : (articles 35, 36, 37 et annexes 3 et 8)
Il est INACCEPTABLE d'exiger des documents de santé supplémentaires tels que des certificats de test pour restreindre la liberté de voyager.
4. Vaccins approuvés pour une utilisation d'urgence par l'OMS : (Annexe 6)
La demande de « vaccins », en particulier ceux autorisés pour une utilisation d’urgence uniquement, est INACCEPTABLE.
5. Exiger des acteurs non étatiques qu’ils respectent les mesures de santé publique : (Article 42)
Il est INACCEPTABLE de forcer les « acteurs non étatiques » à se soumettre aux diktats du gouvernement.
6. Surveillance : (Annexe 1-ci)
RépondreSupprimerLa violation continue et toujours croissante de notre vie privée est INSÉCENTe.
7. Propagation d'agents pathogènes à potentiel pandémique : (article 44 et annexe 1)
Faciliter la propagation d’agents pathogènes à potentiel pandémique et de données sur leur séquence génétique grâce à un système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages est absolument INACCEPTABLE.
8. Autorité nationale RSI : (Article 4 et Article 44-e)
Il est INACCEPTABLE d’exiger que nous allouions des ressources humaines et financières et adaptions nos lois nationales en créant une autorité nationale chargée des réglementations sanitaires internationales.
9. Divulgation des données personnelles : (article 45)
Il est INACCEPTABLE de permettre que des informations privées soient divulguées publiquement.
10. Censure : (Annexe 1-c-vi et Annexe 1-5-vii)
Tenter de restreindre la liberté d’expression sous couvert de lutter contre la désinformation et la désinformation est INACCEPTABLE.
Le projet actualisé du traité sur la pandémie, dont les pires points ont été supprimés, peut être consulté ici : https://apps.who.int/gb/inb/pdf_files/inb9/A_inb9_3-en.pdf
Roguski a publié la dernière version des modifications proposées au Règlement sanitaire international dans ce document :
Amendements mis à jour au Règlement sanitaire international
Quitter l'OMS est la meilleure solution, car sa politique est désormais déterminée pratiquement uniquement par la clique des milliardaires et les grandes sociétés pharmaceutiques ainsi que par leurs propriétaires, les gestionnaires d'actifs et les grandes banques.
https://tkp.at/2024/03/18/wichtigste-punkte-zur-errichtung-internationaler-who-gesundheitsdiktatur/
Témoignage du cardiologue Dr. Peter McCullough : les hôpitaux ont assassiné des patients de Covid
RépondreSupprimer18 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Cardiologue et scientifique de renommée mondiale, le Dr. Dans un témoignage explosif, Peter McCullough a révélé la véritable cause de la mort de patients qui seraient morts du « Covid ». Il a témoigné devant le Comité intergouvernemental du Sud-Ouest sur le nouveau coronavirus au sujet du nombre stupéfiant de décès signalés dans les hôpitaux pendant et après la pandémie.
McCullough a provoqué la surprise lorsqu'il a déclaré qu'aucun patient n'était mort du virus. Au lieu de cela, McCullough a déclaré au panel que chaque patient dont la cause du décès était répertoriée comme « Covid » avait en fait été « assassiné » par l’hôpital en les « traitant ».
Selon McCullough, plus ils tuaient de patients, plus les hôpitaux gagnaient d’argent. Les hôpitaux ont reçu d’énormes incitations financières pour adopter des protocoles mortels. C'est pourquoi "presque tous les décès sont survenus à l'hôpital", a témoigné McCullough.
Le médicament remdesivir est si mortel qu’il a été surnommé « la mort proche » après avoir commencé à tuer des milliers de patients hospitalisés pour Covid. Les experts ont affirmé que le Remdesivir arrêterait le Covid. Cependant, au lieu de cela, il a stoppé la fonction rénale et a ensuite détruit le foie et d’autres organes.
Les ventilateurs ont également été largement utilisés dans les hôpitaux pendant la pandémie, et les hôpitaux et les autorités sanitaires se sont efforcés d’en acheter davantage. Cependant, quelques semaines seulement après que l’OMS a déclaré la pandémie, il est devenu clair que la pratique courante consistant à ventiler mécaniquement les patients atteints de Covid était une condamnation à mort.
À New York, 76,4 % des patients Covid âgés de 18 à 65 ans placés sous respirateur sont décédés. Parmi les patients de plus de 65 ans sous respirateur, le taux de mortalité était stupéfiant de 97,2 %. La recommandation de ventiler principalement mécaniquement les patients Covid est venue de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Cependant, la ventilation des patients Covid n’était pas recommandée comme mesure pour sauver le patient. Cela a été fait pour protéger le personnel médical en isolant le virus dans le ventilateur.
La déclaration de McCullough intervient après qu'il a été récemment révélé que le personnel hospitalier avait reçu l'ordre d'euthanasier les patients pendant la pandémie afin d'augmenter le nombre de « décès dus à Covid ». Comme l’ a rapporté le TKP , des documents explosifs ont été divulgués montrant que les hôpitaux avaient reçu l’ordre d’euthanasier les patients testés positifs au COVID-19. Les documents officiels proviennent du National Health Service (NHS) britannique, financé par le gouvernement.
RépondreSupprimerLes données explosives du rapport ont été publiées par le politicien australien Craig Kelly, directeur national du United Australia Party. Les documents confirment les informations précédentes de Slay News selon lesquelles des patients étaient euthanasiés pour augmenter le nombre de « décès dus à Covid ». Les preuves montrent que des dizaines de milliers de personnes âgées ont été assassinées pour augmenter les taux de mortalité.
La cause du décès a ensuite été donnée comme « Covid », suggérant que le virus tuait beaucoup plus de personnes âgées qu’il ne l’était en réalité.
https://tkp.at/2024/03/18/zeugenaussage-des-kardiologen-dr-peter-mccullough-spitaeler-ermordeten-covid-patienten/
(...) À New York, 76,4 % des patients Covid âgés de 18 à 65 ans placés sous respirateur sont décédés. (...)
Supprimer76,4 % !!!
On peut quantifier la détérioration de la santé de la population depuis 2020 avec la covid et les vaccinations :triplement des pneumonies et grippes
RépondreSupprimerle 18 mars 2024
par pgibertie
Protéine spike virale ou vaccinale, l’article ne répond pas mais dans des pays où 90% des plus de douze ans ont été injectés et où sans doute autant ont eu la covid une ou plusieurs fois il serait utile de savoir quelle est la nature de la protéine à l’origine de la dégradation de la santé de la population …
Les doses successives de Spike ( virale et vaccinale) ont clairement dégadé la résistance aux infection
Les articles portent sur des personnes infectées et sans doute vaccinées mais il n’y a jamais de comparaison entre vaccinés et non vaccinés
La surmortalité est considérable porte pour l’essentiel sur la période post vaccinale avec des variants réputés moins agressifs.
La grippe et les pneumonies sont multipliées par trois, les séquelles par 15
- voir graph et liste sur site -
Les vagues d’infections au COVID-19 se sont poursuivies partout dans le monde avec l’apparition de nouveaux variants. L’attente selon laquelle des infections antérieures et la vaccination réduiraient la probabilité ou la gravité de la maladie s’est avérée incorrecte.
Alors que les décès pendant la phase aiguë ont diminué, en partie grâce à l’amélioration du traitement de la maladie la surmortalité reste élevée et les preuves montrent que les infections répétées détériorent la santé et augmentent de nombreux risques pour la santé, y compris le COVID long, les maladies auto-immunes , les mortinaissances d’autres infections, dont le RSV , et bien d’autres .
Certains de ces effets indésirables ont été liés à une détérioration du système immunitaire après une infection par le SRAS-CoV-2 [9,10]. La probabilité de COVID long et d’effets néfastes sur la santé augmente avec les infections répétées.[11]
Deux articles mentionnés ci-dessous (parmi bien d’autres) montrent qu’un risque significativement plus élevé d’autres infections se produit chez ceux qui ont souffert du COVID, ce qui concorde avec de nombreuses études montrant que le système immunitaire se détériore à cause de l’infection.[12]
Le premier article [7] évaluait le risque d’infection par le RSV chez les enfants. Il a révélé qu’en comparant les enfants âgés de 0 à 5 ans avec ou sans infection au COVID et par ailleurs semblables les uns aux autres, la fréquence d’une infection par le VRS était 40 % plus élevée pour ceux qui avaient une infection au COVID. Les mêmes résultats ont été obtenus en examinant deux années distinctes.
RépondreSupprimerLe deuxième article [8], de 2021, démontre clairement l’augmentation de la fréquence de divers types d’infections chez les adultes, comme le souligne le tableau 1. Il est préoccupant de constater que les infections respiratoires, des sinus, de la peau, des voies urinaires ou intestinales étaient entre 1,24 et 1,5 fois supérieures. plus élevé, tandis que les infections bactériennes, fongiques et parasitaires étaient 1,2 à 1,8 fois plus élevées. Cependant, ce qui est vraiment alarmant, c’est l’augmentation des taux d’infections virales, 4,4 fois plus élevés, ainsi que les taux plus élevés de MST (à l’exclusion du VIH et de l’hépatite), de la grippe et de la pneumonie en général. Une indication des impacts globaux des infections peut être observée dans une multiplication par près de 15 des rapports sur le suivi des effets des maladies infectieuses.
1
Kuang, S., Earl, S., Clarke J., Zakaria, D., Demers, A, Aziz, S., Expériences des Canadiens présentant des symptômes à long terme suite à la COVID-19, Regards sur la société canadienne. Décembre. No. au catalogue de Statistique Canada 75-006-X. https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/75-006-x/2023001/article/00015-fra.htm
2
Mortalité, par semaine : excédent de décès par semaine, 2020-2023 https://stats.oecd.org/index.aspx?queryid=104676
3
DeVries, A., Shambhu, S., Sloop, S. et Overhage, JM (2023, mars), Résultats indésirables sur un an chez les adultes américains atteints d’un état post-COVID-19 par rapport à ceux sans COVID-19 dans une grande publicité Base de données sur l’assurance, JAMA Health Forum. 2023;4(3):e230010. https://doi.org/10.1001/jamahealthforum.2023.0010
4
Sharma, C., Bayry, J. Risque élevé de maladies auto-immunes après COVID-19. Nat Rev Rheumatol 19, 399-400 (2023). https://doi.org/10.1038/s41584-023-00964-y
5
Špela Šalamon Andrew Ewing Greta Fox Stéphane Bilodeau Carlos Gershenson Matti TJ Heino Yaneer Bar-Yam SARS-CoV-2 et COVID-19 : de la crise à la solution. Communications scientifiques du WHN 2024 ; 5 (1) : 1-1. https://doi.org/10.59454/whn-2401-334
6
RépondreSupprimerMagnus, MC, Örtqvist, AK, Urhoj, SK, Aabakke, A., Mortensen, LH, Gjessing, H.,… & Håberg, SE (2023). Infection par le SRAS-CoV-2 pendant la grossesse et risque de mortinatalité : une étude de registre scandinave. Santé publique BMJ , 1 (1). https://doi.org/10.1136/bmjph-2023-000314
7
Wang L, Davis PB, Berger N et al. Association du COVID-19 avec les infections par le virus respiratoire syncytial (VRS) chez les enfants âgés de 0 à 5 ans aux États-Unis en 2022 : une étude de cohorte rétrospective multicentrique Médecine familiale et santé communautaire 2023 ;11 :e002456. http://doi.org/10.1136/fmch-2023-002456
8
Tableau supplémentaire 2 dans Al-Aly, Z., Xie, Y. & Bowe, B. Caractérisation de grande dimension des séquelles post-aiguës du COVID-19. Nature 594, 259-264 (2021). https://doi.org/10.1038/s41586-021-03553-9
9
Phetsouphanh, C., Darley, DR, Wilson, DB et al. Le dysfonctionnement immunologique persiste pendant 8 mois après l’infection initiale légère à modérée par le SRAS-CoV-2. Nat Immunol 23, 210-216 (2022). https://doi.org/10.1038/s41590-021-01113-x
10
Chattopadhyay P, Khare K, Kumar M, Mishra P, Anand A, Maurya R, Gupta R, Sahni S, Gupta A, Wadhwa S, Yadav A, Devi P, Tardalkar K, Joshi M, Sethi T et Pandey R (2022) La multiomique unicellulaire a révélé la dynamique de la présentation de l’antigène, de la réponse immunitaire et de l’activation des lymphocytes T chez les individus positifs et guéris du COVID-19. Devant. Immunol. 13:1034159. http://doi.org/10.3389/fimmu.2022.1034159
11
Bowe, B., Xie, Y. et Al-Aly, Z. Séquelles aiguës et post-aiguës associées à la réinfection par le SRAS-CoV-2. Nat Med 28, 2398-2405 (2022). https://doi.org/10.1038/s41591-022-02051-3
12
Ewing, A., COVID-19 et dérégulation immunitaire, un résumé et une ressource. Communications scientifiques du WHN 2023 ; 4 (3) : 1-1. https://doi.org/10.59454/whn-2303-765
13
Destatis, Population, Décès, Espérance de vie https://www.destatis.de/EN/Themes/Society-Environment/Population/Deaths-Life-Expectancy/_node.html
https://pgibertie.com/2024/03/18/on-peut-quantifier-la-deterioration-de-la-sante-de-la-population-depuis-2020-avec-la-covid-et-les-vaccinations-triplement-des-pneumonies-et-grippes/
Un rapport critique les « erreurs catastrophiques » des confinements liés au COVID et met en garde contre une répétition
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 19 MARS 2024 - 04:00
Rédigé par Kevin Stocklin via The Epoch Times
Il y a quatre ans, en mars 2020, les autorités sanitaires ont déclaré le COVID-19 pandémie et l’Amérique a commencé à fermer les écoles, à fermer les petites entreprises, à restreindre les rassemblements et les déplacements, ainsi qu’à prendre d’autres mesures de confinement pour « ralentir la propagation » du virus.
Pour marquer ce sombre anniversaire, un groupe d’experts médicaux et politiques a publié un rapport intitulé « COVID Lessons Learned », qui évalue la réponse du gouvernement à la pandémie. Selon le rapport, cette réponse s’est accompagnée de quelques succès notables, ainsi que d’une litanie d’échecs qui ont eu de lourdes conséquences sur la population.
Pendant la pandémie, de nombreux gouvernements à travers le monde ont agi de concert pour mettre en œuvre des politiques faisant autorité en réponse à la maladie, en confinant les populations, en fermant les écoles, en fermant les entreprises, en scellant les frontières, en interdisant les rassemblements et en appliquant diverses obligations en matière de masques et de vaccins. Ce qui était initialement imposé comme des mandats à court terme et des pouvoirs d’urgence accordés aux présidents, aux ministres, aux gouverneurs et aux responsables de la santé s’est rapidement étendu à une expansion à plus long terme du pouvoir officiel.
« Même si le but initial des confinements temporaires était de « ralentir la propagation », ce qui signifiait permettre aux hôpitaux de fonctionner sans être submergés, ils se sont rapidement transformés en un arrêt à tout prix des cas de COVID », Dr Scott Atlas, médecin, ancien Un membre du groupe de travail sur le coronavirus de la Maison Blanche et l'un des auteurs du rapport, a déclaré lors d'une conférence de presse le 15 mars.
Publié par le Comité pour libérer la prospérité (CTUP), le rapport a été co-écrit par Steve Hanke, professeur d'économie et directeur de l'Institut Johns Hopkins d'économie appliquée ; Casey Mulligan, ancien économiste en chef du Conseil des conseillers économiques de la Maison Blanche ; et le président du CTUP, Philip Kerpen.
Selon le rapport, l’une des premières erreurs a été l’autorité sans précédent que les responsables publics ont assumée pour faire respecter les mandats de santé des Américains.
« Accorder des pouvoirs extraordinaires aux agences de santé publique a été une erreur majeure », a déclaré M. Hanke à Epoch Times. « En fait, cela a accordé à ces agences le droit de tromper le public. »
Les auteurs soutiennent que les mesures faisant autorité ont été largement inefficaces dans la lutte contre le virus, mais se sont souvent révélées très préjudiciables à la santé publique.
RépondreSupprimerLe rapport quantifie le coût des confinements, à la fois en termes de coûts économiques et de nombre de décès excédentaires non liés au COVID qui se sont produits et continuent de se produire après la pandémie. Il estime que le nombre de décès excédentaires non liés au COVID, définis comme des décès dépassant les taux normaux, est d’environ 100 000 par an aux États-Unis.
« Ils vont essayer de recommencer »
« Les confinements, les fermetures d’écoles et les mandats ont été des erreurs catastrophiques, poussées avec une ferveur remarquable par les autorités de santé publique à tous les niveaux », indique le rapport. Les auteurs doutent toutefois que les autorités sanitaires tirent des leçons de cette expérience.
"Ce qui m'inquiète, c'est que si nous avons une autre pandémie ou un autre virus, je pense que Washington va quand même essayer de mettre en œuvre ces politiques qui ont échoué", a déclaré Steve Moore, économiste du CTUP. « Nous ne sommes pas ici pour dire « tel type s'est trompé » ou « tel type ou s'est trompé », mais nous devrions tirer les leçons de ces erreurs très, très graves qui auront des conséquences non seulement sur des années, mais sur des décennies. viens.
"Je vous garantis qu'ils essaieront de recommencer", a déclaré M. Moore. "Et ce qui me dérange vraiment, c'est que les gens qui ont commis ces erreurs n'ont toujours pas vraiment admis qu'ils avaient tort."
M. Hanke était tout aussi pessimiste.
« Malheureusement, l’établissement public de santé s’inscrit dans un modèle d’État autoritaire », a-t-il déclaré. «Leur édifice tout entier est un édifice dans lequel l’État, et non l’individu, devrait régner en maître.»
Les auteurs critiquent également ce qu’ils considèrent comme une campagne à multiples facettes dans laquelle des fonctionnaires, les médias et les sociétés de médias sociaux ont coopéré pour effrayer la population et l’amener à se conformer aux mandats du COVID.
« Pendant la pandémie de COVID, les établissements de santé publique… ont intentionnellement attisé et amplifié la peur, ce qui a ajouté d’énormes dommages économiques, sociaux, éducatifs et sanitaires aux méfaits du virus lui-même », indique le rapport.
Les auteurs ont comparé la réponse autoritaire de nombreux États américains aux politiques suédoises, qui, selon eux, reposaient davantage sur la fourniture de conseils et d'informations au public plutôt que sur la tentative de forcer les comportements.
La constitution suédoise, appelée « Regeringsform », garantit la liberté des Suédois de se déplacer librement dans le pays et interdit les confinements sévères, a déclaré M. Hanke.
"En suivant le Regeringsform pendant la pandémie de COVID, les Suédois se sont retrouvés avec l'un des taux de surmortalité les plus bas au monde", a-t-il déclaré.
RépondreSupprimerParce que le gouvernement suédois a évité les mandats stricts et s'est montré plus direct dans le partage d'informations avec sa population, de nombreux citoyens ont volontairement modifié leur comportement pour se protéger.
« Une stratégie bien plus sage que d’émettre des ordres de confinement aurait été de dire la vérité au peuple américain, de s’en tenir aux faits, d’éduquer les citoyens sur l’équilibre des risques et de laisser les individus prendre leurs propres décisions quant à savoir s’ils doivent garder leurs entreprises ouvertes, s’ils doivent ou non garder leurs entreprises ouvertes. s’isoler socialement, aller à l’église, envoyer leurs enfants à l’école, etc. », indique le rapport.
« Un prétexte pour accroître leur pouvoir »
Le rapport du CTUP cite une étude de 2021 sur le pouvoir gouvernemental et les situations d’urgence réalisée par les économistes Christian Bjornskov et Stefan Voigt, qui a révélé que plus un gouvernement accumule de pouvoir d’urgence en temps de crise, « plus le nombre de personnes tuées à la suite d’une catastrophe naturelle est élevé ». , en contrôlant sa gravité.
"Comme il s'agit d'un résultat inattendu, nous discutons d'un certain nombre d'explications potentielles, la plus plausible étant que les gouvernements utilisent les catastrophes naturelles comme prétexte pour renforcer leur pouvoir", déclarent les auteurs de l'étude. « En outre, plus il est facile de déclarer l’état d’urgence, plus les effets négatifs sur les droits humains fondamentaux sont importants. »
«Toutes les choses que les gens font dans leur vie… ils ont un but», a déclaré M. Mulligan. « Et quand quelqu’un à Washington D.C. leur dit d’arrêter de faire toutes ces choses, ils ne peuvent même pas comprendre les perturbations et les pertes.
"Nous constatons dans les certificats de décès une forte augmentation du nombre de personnes mourant de maladies cardiaques, de diabète ou d'obésité", a-t-il déclaré, tandis que les décès dus à l'alcoolisme et aux surdoses de drogues "ont grimpé en flèche et n'ont pas diminué".
Le rapport remet également en question l’idée selon laquelle la plupart des hôpitaux étaient submergés par l’augmentation des cas de COVID.
« Presque toutes les mesures d’utilisation des hôpitaux ont été très faibles, historiquement, tout au long de la période pandémique, même si nous avons fait tous les gros titres selon lesquels nos hôpitaux étaient débordés », a déclaré M. Kerpen. « La vérité était en réalité le contraire, et cela était probablement le résultat de messages de santé publique et d’ordres politiques, annulant des procédures médicales et attisant intentionnellement la peur, poussant les gens à annuler leurs rendez-vous. »
Le Dr Vinay Prasad – médecin, épidémiologiste, professeur à la faculté de médecine de l’Université de Californie à San Francisco et auteur de plus de 350 articles et lettres universitaires – a formulé des allégations similaires de censure de la part de revues médicales.
RépondreSupprimer« Plus précisément, MedRxiv et SSRN ont été réticents à publier des articles critiquant le CDC, les mandats en matière de masques et de vaccins, ainsi que les politiques de soins de santé de l’administration Biden », a déclaré le Dr Prasad.
Le « projet zéro » de traité sur la pandémie de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) actuellement en cours de diffusion pour approbation par les États membres, y compris les États-Unis, accroît les inquiétudes concernant la censure médicale. Il engage ses membres à rechercher et à « s’attaquer » ensemble à ce que l’OMS considère comme de la « désinformation et de la désinformation ».
L’une des conséquences durables des années COVID est une perte générale de confiance du public dans les agents publics, les experts de la santé et les discours officiels.
« L’opération Warp Speed a été un formidable succès avec une rapidité de développement très inattendue [of vaccines] », a déclaré le Dr Atlas. « Mais les graves défauts résidaient dans le fait de ne pas être ouvert au public sur les incertitudes, en particulier concernant l’efficacité et la sécurité des vaccins. »
« L’un des résultats de la réponse erronée du gouvernement au COVID a été que les Américains ont, à juste titre, perdu confiance dans les institutions de santé publique », indique le rapport. Selon les auteurs, si les responsables de la santé veulent regagner la confiance du public, ils devraient commencer par une évaluation précise de leurs actions pendant la pandémie.
« La meilleure façon de rétablir la confiance est d'admettre que vous aviez tort », a déclaré le Dr Atlas. « Je pense que nous le savons tous dans notre vie personnelle, mais ici, c’est très important car il y a aujourd’hui un manque massif de confiance dans les institutions, dans les experts, dans les données, dans la science elle-même.
"Je pense qu'il sera très difficile de restaurer cela sans reconnaître une erreur", a-t-il déclaré.
Recommandations pour une future pandémie
Le rapport du CTUP recommande que le Congrès et les législatures des États fixent des limites strictes aux pouvoirs conférés au pouvoir exécutif, y compris aux responsables de la santé, et fixent des délais qui nécessiteraient la prolongation de la législation. Cela donnerait au public une voix dans les mesures d’urgence sanitaire par l’intermédiaire de ses représentants élus.
Il recommande en outre que les subventions de recherche soient indépendantes des positions politiques et que le financement des NIH soit décentralisé ou accordé en bloc aux États pour qu'ils les distribuent.
RépondreSupprimerLe Congrès devrait exiger la divulgation publique de toutes les discussions et décisions de la FDA, du CDC et du NIH, y compris les déclarations de toute personne fournissant des conseils à ces agences. Le Congrès devrait également préciser que les orientations du CDC sont consultatives et ne constituent pas des lois ou des mandats.
Le rapport recommande également que les États-Unis arrêtent immédiatement les négociations d’accords avec l’OMS « jusqu’à ce qu’une transparence et une responsabilité satisfaisantes soient atteintes ».
https://www.zerohedge.com/political/report-criticizes-catastrophic-errors-covid-lockdowns-warns-repeat
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Après le 'gag' du 11 Septembre où TOUTES les chaînes de télés du monde étaient coupées pour présenter en direct un accident d'avion, voici qu'arrive la deuxième terntative de contrôler le monde avec l'emprisonnement à domicile !!
SupprimerIl y a 4 ans : je ne suis plus seul. L’arrêt du coronavirus pourrait être le pire fiasco jamais vu.
RépondreSupprimerJUSTIN HART
18 MARS 2024
Il y a 4 ans, le 17 mars 2020, John Ioannidis, le scientifique médical vivant le plus cité, publiait son article extraordinairement courageux dans le magazine en ligne STAT de Stanford : « Un fiasco en préparation ? Alors que la pandémie de coronavirus s’installe, nous prenons des décisions sans données fiables. »
J'ai publié ce qui suit sur Medium le même jour :
- voir graph sur site -
Ce soir — John Ioannidis, professeur en prévention des maladies à Stanford a écrit la chose la plus importante que vous lirez sur cette question.
https://www.statnews.com/2020/03/17/a-fiasco-in-the-making-as-the-coronavirus-pandemic-takes-hold-we-are-making-decisions-without-reliable- données/
L'article touche presque tous les points, moi-même et quelques autres personnes l'ont dit ici. Quelques extraits intitulés avec les mêmes questions que celles que j’ai posées :
Est-ce une erreur ?
« La maladie actuelle à coronavirus, le Covid-19, a été qualifiée de pandémie qui ne se produit qu’une fois par siècle. Mais il pourrait aussi s’agir d’un fiasco de preuves qui ne se produit qu’une fois par siècle.»
Plus de bien que de mal ?
« Des contre-mesures draconiennes ont été adoptées dans de nombreux pays…. Cependant, combien de temps faudra-t-il maintenir des mesures comme celles-ci si la pandémie se propage sans relâche à travers le monde ? Comment les décideurs politiques peuvent-ils savoir s’ils font plus de bien que de mal ? »
Des chiffres peu fiables. Une gamme effroyable de préjugés terribles.
« Ce fiasco des preuves crée une énorme incertitude quant au risque de mourir du Covid-19. Les taux de létalité signalés, comme le taux officiel de 3,4 % de l’Organisation mondiale de la santé, provoquent l’horreur – et n’ont aucun sens. Les patients qui ont été testés pour le SRAS-CoV-2 sont de manière disproportionnée ceux qui présentent des symptômes graves et de mauvais résultats. Comme la plupart des systèmes de santé ont une capacité de test limitée, les biais de sélection pourraient même s’aggraver dans un avenir proche.
L’erreur des taux de mortalité
RépondreSupprimer« Cette vaste gamme affecte considérablement la gravité de la pandémie et ce qui doit être fait. Un taux de mortalité de 0,05 % à l’échelle de la population est inférieur à celui de la grippe saisonnière. Si tel est le cas, un confinement mondial, avec des conséquences sociales et financières potentiellement énormes, pourrait s’avérer totalement irrationnel. C’est comme si un éléphant était attaqué par un chat domestique. Frustré et essayant d’éviter le chat, l’éléphant saute accidentellement d’une falaise et meurt.
Le véritable impact du COVID-19 ne pourrait pas être pire que celui de la grippe
« Le taux de létalité du Covid-19 pourrait-il être si bas ? Non, disent certains, en soulignant le taux élevé chez les personnes âgées. Cependant, même certains coronavirus dits bénins ou de type rhume, connus depuis des décennies, peuvent avoir des taux de létalité allant jusqu'à 8 % lorsqu'ils infectent des personnes âgées dans des maisons de retraite. En fait, ces coronavirus « bénins » infectent des dizaines de millions de personnes chaque année et représentent 3 à 11 % des personnes hospitalisées aux États-Unis pour des infections des voies respiratoires inférieures chaque hiver.
Prophétie auto-réalisatrice de surcharger le système.
« Aplatir la courbe pour éviter de surcharger le système de santé est conceptuellement judicieux – en théorie… Pourtant, si le système de santé est effectivement débordé, la majorité des décès supplémentaires pourraient ne pas être dus au coronavirus mais à d’autres maladies et affections courantes telles que les crises cardiaques. les accidents vasculaires cérébraux, les traumatismes, les saignements et autres qui ne sont pas traités de manière adéquate. Si le niveau de l’épidémie submerge le système de santé et que les mesures extrêmes n’ont qu’une efficacité modeste, alors aplanir la courbe pourrait aggraver la situation. »
La vie doit continuer.
« On ne peut qu’espérer que, comme en 1918, la vie continue. À l’inverse, avec des confinements de plusieurs mois, voire années, la vie s’arrête en grande partie, les conséquences à court et à long terme sont totalement inconnues, et des milliards, et non seulement des millions, de vies pourraient éventuellement être en jeu. »
"Si nous décidons de sauter du haut de la falaise, nous avons besoin de données pour nous informer sur la justification d'une telle action et sur les chances d'atterrir dans un endroit sûr."
RépondreSupprimerJe vais continuer à parler de ce sujet… et maintenant ce type est à peu près mon héros :)
https://covidreason.substack.com/p/4-years-ago-i-am-not-alone-anymore?utm_source=post-email-title&publication_id=64295&post_id=142728594&utm_campaign=email-post-title&isFreemail=true&r=9atnc&triedRedirect=true&utm_medium=email
Lorsque les forces vives d'une nation migrent vers une autre c'est le transfert du flacon injectable vers un organisme extérieur. D'un côté le flacon vide part à la poubelle et, de l'autre le contenu merdique empoisonne les victimes qui les ont accueillis.
SupprimerC'est alors que la dictature au pouvoir décide d'un commun accord avec elle-même de distribuer du papier-cul à tous le monde ce qui ne fait que déplacer la merde sans l'éliminer !
Le « vaccin tueur » du Covid. Des gens meurent partout dans le monde. C'est une entreprise criminelle
RépondreSupprimerPar le professeur Michel Chossudovsky
Recherche mondiale,
19 mars 2024
Nous sommes accusés de « diffuser de la désinformation » concernant le vaccin contre le Covid-19.
Les « traqueurs » et les « vérificateurs de faits » des médias de Reuters et de l’AP s’efforceront de salir les témoignages des parents qui ont perdu leurs enfants.
« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’est plus possible de revenir en arrière. La folie prévaut. Le monde est bouleversé. »
Ne nous faisons pas d'illusions, le Covid Jab n'est pas seulement « expérimental », c'est un « vaccin tueur » Big Pharma qui modifie le génome humain. Les preuves de mortalité et de morbidité résultant de l'inoculation du vaccin, tant présentes (données officielles) que futures (par exemple caillots sanguins microscopiques non détectés), sont accablantes.
Les données officielles (mortalité et morbidité) ainsi que de nombreuses études scientifiques confirment la nature du vaccin Covid-19 à ARNm qui s’impose à toute l’humanité.
Des rapports examinés par des pairs confirment les causes des décès et des « événements indésirables » (blessures) liés au vaccin, notamment les caillots sanguins, la thrombose, la myocardite et les arrêts cardiaques.
L’objectif affiché est d’imposer la vaccination mondiale de 8 milliards de personnes dans plus de 190 pays, suivie de l’imposition d’un « passeport vaccinal » numérisé. Inutile de dire qu’il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma. C'est un crime contre l'humanité.
Le projet mondial de vaccin intitulé COVAX est coordonné à l'échelle mondiale par l'OMS, GAVI, la CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates en liaison avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome Trust, la DARPA et les grandes entreprises pharmaceutiques de plus en plus dominées par Pfizer. Partenariat GSK établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19 début janvier 2020.
Le « vaccin » contre le Covid 19 a été dès le début en janvier 2021 propice à une hausse mondiale de la mortalité.
Ce n’est pas un homicide involontaire. C'est un meurtre
Oui, c'est un vaccin qui tue . Ce message doit être fort et clair.
Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.
Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants.
Moins de deux mois après le lancement du « vaccin à ARNm » de Pfizer, une manifestation funéraire de masse a eu lieu pour les enfants décédés après avoir reçu le vaccin à Genève, en Suisse (29 janvier 2021).
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Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle
RépondreSupprimerLa Vaccine Safety Research Foundation a récemment publié Jusqu'à preuve du contraire , un court documentaire vidéo sur les conclusions corroborantes de deux éminents cardiologues.
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Nos enfants sont les victimes
Partagez largement les vidéos suivantes montrant ce que les parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.
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Sofia Benharira, 16 ans, décède suite à la vaccination Pfizer.
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Mères enceintes vaxxées par Covid. Fausses couches. « De précieux bébés qui ne vivent plus »
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Nos athlètes meurent
Vidéo ci-dessous qui documente les reportages sur « 1 000 athlètes s’effondrant, mourant, problèmes cardiaques, caillots sanguins – de mars 2021 à juin 2022 ».
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La criminalité de Pfizer ne fait aucun doute
Mais saviez-vous que Pfizer a déjà un casier judiciaire auprès du DOJ américain pour « marketing frauduleux ».
Et personne ne connaît le casier judiciaire de Pfizer parce que les médias ne le signalent pas.
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Pouvons-nous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui, en 2009, a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la Justice (DoJ), notamment pour « marketing frauduleux » et « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?
En 2009, Pfizer a été mis en « probation » par le ministère américain de la Justice :
« Dans le cadre du règlement, Pfizer a également accepté de conclure un vaste accord d'intégrité d'entreprise avec le Bureau de l'inspecteur général du ministère de la Santé et des Services sociaux. Cet accord prévoit la mise en place de procédures et de contrôles pour éviter et détecter rapidement des comportements similaires à celui qui a donné lieu à cette affaire.
Intégrité d'entreprise ??? Où sont les procédures et les examens ?
RépondreSupprimerCe « comportement similaire » de Pfizer se répète en 2020-2022 à une échelle bien plus grande que celle de 2009.
Ce qui se déroule est une « commercialisation frauduleuse » mondiale d’un « vaccin tueur » , qui constitue un crime contre l’humanité.
Bombe. Le Mea Culpa de Pfizer
Pfizer révèle dans un rapport secret (déclassifié sous liberté d’information) que son vaccin à ARNm est un « vaccin tueur ». La preuve vient de la « Bouche du Cheval »
« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés , dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.
Gardez à l’esprit qu’il s’agit des propres données de Pfizer.
Ironie du sort, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le discours officiel sur les vaccins colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également les analyses de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » à ARNm.
Ce que contient le rapport « confidentiel » de Pfizer, ce sont des preuves détaillées des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « Bouche du Cheval » peuvent désormais être utilisées pour affronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, l'OMS et les médias.
Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part des Big Pharma.
Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.
Il s’agit également d’un Mea Culpa et d’une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par les grandes sociétés pharmaceutiques.
Aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.
On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies. ( Michel Chossudovsky )
Cliquez ici pour lire le rapport « confidentiel » de Pfizer.
Figure 1. Nombre total d'EI BNT162b2 par classes de systèmes d'organes et gravité de l'événement
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Page 8 du « Rapport confidentiel » de Pfizer
Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » contre le Covid-19 sauvera des vies. C'est un mensonge.
« Si vous autorisez ce vaccin, je vous le garantis, il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves dix fois plus nombreuses. Et sans aucun bénéfice possible. Sachant ce que je sais de 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet extraordinaire abus sur des enfants innocents dont nous avons la garde ne peut être classé d'autre manière que le meurtre » - Dr Michael Yeadon , éminent scientifique, ancien vice-président. Président de Pfizer
« Cette campagne vaccinale sera considérée comme le plus grand scandale de l’histoire de la médecine… et elle sera en outre connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » – Députée Christine Anderson , députée européenne, juillet 2022
Ce qui est présenté ci-dessus n’est que la « pointe de l’iceberg » de ce qui se passe dans le monde.
Tout ce processus est « axé sur le profit » par milliards, soutenu par la fraude scientifique et la désinformation.
Opération Vaxx mondiale « à gros budget »
Sur une période de deux ans, plus de 12,9 milliards de doses de vaccin ont été administrées dans 184 pays (Bloomberg, 21 septembre 2022 , voir graphique ci-dessous).
- voir graph sur site -
Enregistré le 21 septembre 2022 : 12,9 millions de doses administrées (mi-décembre 2020-21 septembre 2022)
En juillet 2023, le nombre estimé de doses administrées dans le monde (OMS) est de l'ordre de 14 milliards , pour une population mondiale totale de 8 milliards de personnes. (1,75 doses par personne pour une population mondiale de 8 milliards).
L’ampleur et l’impact social de cette opération de vaccination sont indescriptibles. C'est une guerre contre l'humanité dans son ensemble.
La vérité tacite : Nous avons affaire à une opération très rentable de plusieurs milliards de dollars qui repose sur des niveaux croissants de mortalité et de morbidité liées aux vaccins.
NE VOUS FAITES PAS VACCINER.
RépondreSupprimerSOYEZ SOLIDAIRES AVEC CEUX QUI ONT ÉTÉ VACCINÉS.
INFORMER LES GENS À PARTIR DU TERRAIN SUR LES RISQUES SANITAIRES.
PRENDRE UNE POSITION FERME CONTRE LE PASSEPORT VACCIN.
La légitimité des hommes politiques et de leurs sponsors Big Money doit être remise en question.
Nous devons agir d’une seule voix à l’échelle nationale et internationale.
Notre première tâche est de désactiver la campagne de peur
Le programme de « vaccination » contre le COVID-19 devrait être immédiatement interrompu dans le monde entier.
Veuillez transmettre cet article à vos amis, collègues et famille. Global Research fait l’objet de censure. Les moteurs de recherche ne le capteront pas.
Pour une analyse plus détaillée et complète. Voir le livre récemment publié de Michel Chossudovsky sur la crise mondiale du coronavirus . Cliquez ici : Téléchargement GRATUIT
La crise mondiale du coronavirus, un coup d'État mondial contre l'humanité
Détruire la société civile et provoquer une dépression économique
Par Michel Chossudovsky
ISBN : 978-0-9879389-3-0, Année : 2022, Type de produit : Fichier PDF, Pages : 164 (15 chapitres)
Des traductions en plusieurs langues sont prévues. Le livre est disponible sous forme imprimée en japonais .
Afin d'atteindre les millions de personnes dans le monde dont la vie a été affectée par la crise du coronavirus, nous avons décidé de distribuer le livre électronique GRATUITEMENT .
Prix : 11,50$. COPIE GRATUITE Cliquez ici pour télécharger .
Dans cette interview de septembre, Michel Chossudovsky revient sur les développements récents concernant le vaccin à ARNm contre le Covid-19.
Vidéo : Pr Michel Chossudovsky et Caroline Mailloux
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Version Odysée actuellement indisponible
Pour accéder à Odysée, laissez un commentaire
Le vaccin est-il sûr ?
Si vous n'êtes pas convaincu des dangers du Vaxx de Big Pharma, jetez un œil à la vidéo suivante soigneusement étudiée qui, selon le Dr Gary G Kohl, est :
" Une vidéo incontournable, totalement véridique, fondée sur la science et possédant des connaissances en vaccinologie pour tous ceux qui envisagent de recevoir un rappel (ou même un premier vaccin)".
Vidéo, cliquez sur le coin inférieur droit pour agrandir l'écran
- voir clip sur site -
Source : Studio JRickey Productions
RépondreSupprimerhttps://www.globalresearch.ca/the-covid-killer-vaccine-people-are-dying-all-over-the-world-its-a-criminal-undertaking/5800358
(...) Ce n’est pas un homicide involontaire. C'est un meurtre
SupprimerOui, c'est un vaccin qui tue . Ce message doit être fort et clair.
Cela se produit partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.
Crimes contre l'humanité, crimes contre nos enfants. (...)
OUI c'est UN MEURTRE. Un assassinat organisé. Un massacre programmé qui - en premier lieu - a fait croire (aux incultes) qu'un méchant virus (nano-poussière inoffensive sauf si elle était radioactive) était dans l'air ! Or, il existe au monde des milliers de laboratoires qui tous les jours examinent la qualité de l'air et n'ont... JAMAIS trouvé de 'virus' !!! Cà alors !!
Seule la dictature au pouvoir et leurs merdias l'auraient vu !!
Puis, a y regarder plus près... on s'aperçoit que les masques chirurgicaux proposés ne sont d'une part ni anti nano-poussières ni anti microbes mais qu'ils sont infectés !!! Infectés de nano partiocules d'oxyde de graphène !!! Pareil pour les 'gels hydroalcooliques' !! Pareil pour les cotons d'écouvillons utilisés dans les FAUX tests 'RT-PCR' !! et... et aussi dans la seringue !! 40 000 milliards de nano-particules d'oxyde de graphène PAR DOSE !!
Si là c'est pas un crime perpétré qu'est-ce que c'est ??!
IMPORTANT: une étude comparative de la surmortalité et des mortinaissances dans les landers allemands prouve qu’elles sont déterminées par le taux de vaccccxx
RépondreSupprimerle 19 mars 2024
par pgibertie
Contexte : La présente étude examine l’influence du COVID-19 sur la mortalité dans les seize Länder allemands.
- voir graph sur site -
https://www.researchgate.net/publication
/378124684_Differential_Increases_in_Excess_Mortality_in_the_German_Federal_States_During_the_COVID-19_Pandemic
Pour examiner cette question, nous estimons le fardeau de la pandémie de COVID-19 séparément pour chaque État fédéral en calculant la surmortalité spécifique à chaque État pour les trois années de pandémie
Parmi les grandeurs explorées figurent des aspects liés à la pandémie (force des mesures, infections au COVID-19 et taux de vaccination) et des aspects non liés à la pandémie (âge moyen, produit intérieur brut, taux de pauvreté, proportions de personnes ayant besoin de soins).
Méthodes : Pour estimer la surmortalité, nous comparons dans chaque État fédéral le nombre observé de décès toutes causes confondues avec le nombre de décès toutes causes statistiquement attendus. Pour estimer le nombre attendu de décès, nous utilisons les tables de mortalité et les tendances de longévité allemandes, ainsi que les tables de population et les facteurs d’État spécifiques aux États.
- voir graph sur site -
. Résultats : La surmortalité variait considérablement selon les États fédéraux au cours de chacune des années pandémiques.
Dans presque tous les États, la surmortalité était faible au cours de la première année pandémique, a augmenté au cours de la deuxième et encore plus au cours de la troisième année pandémique.
L’augmentation varie également considérablement selon les Länder. En ce qui concerne les covariations avec les quantités spécifiques à l’état explorées, deux modèles de corrélation sont perceptibles.
Au cours des deux premières années de la pandémie, mais pas au cours de la troisième, il y avait une forte corrélation entre la surmortalité et le nombre de décès dus au COVID signalés, ce qui suggère que les différences de surmortalité observées plus tôt dans la pandémie sont dues à des différences dans les niveaux de mortalité. d’exposition au COVID-19.
Cependant, cela ne peut pas expliquer l’augmentation de la surmortalité au cours des deuxième et troisième années de pandémie, car le nombre de décès dus au COVID-19 a diminué au lieu d’augmenter dans presque tous les Länder.
RépondreSupprimerEn ce qui concerne l’augmentation de la surmortalité, on observe une corrélation positive de plus en plus forte avec le taux de vaccination d’un État fédéral, qui atteint une valeur de r = 0,85 au cours de la troisième année pandémique, ce qui indique que la surmortalité a augmenté d’autant plus que le taux de vaccination est élevé.
- voir graph sur site -
Une analyse des mortinaissances a montré exactement le même schéma. Aucun autre modèle de corrélation systématique n’a été observé. Conclusions : La surmortalité pendant la pandémie variait considérablement entre les États fédéraux, un résultat qui nécessite une explication.
Bien que la corrélation positive entre la surmortalité et les infections au COVID-19 et les décès au cours de la phase de la pandémie sans vaccination suggère une explication par différents niveaux d’exposition au COVID-19, le COVID-19 ne peut pas expliquer l’augmentation de la surmortalité après le début des vaccinations.
https://pgibertie.com/2024/03/19/important-une-etude-comparative-de-la-surmortalite-et-des-mortinaissances-dans-les-landers-allemands-prouve-quelles-sont-determinees-par-le-taux-de-vaccccxx/
Vaccination indirecte obligatoire contre la rougeole. Suspicion dans l'environnement : vache à lait pour les pharmaceutiques et les médecins ?
RépondreSupprimer19 mars 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Corona n’est plus efficace parce que la rumeur circule selon laquelle les préparations d’ARNm rendent plus de personnes malades qu’elles n’en protègent. Mais avant que les nouveaux contrats de l’OMS ne soient conclus, il ne sera pas si facile de traverser une nouvelle « pandémie ». Comme pour Corona, la campagne de vente contre la rougeole se déroule à l’échelle internationale et sans aucune raison épidémiologique ou médicale.
J'ai reçu des informations de nos lecteurs sur ce qui se passe. Les parents et les grands-parents vivent actuellement des cas comme celui-ci : le médecin d'une jeune fille de 15 ans a appelé après que la jeune fille ait consulté le médecin et lui ait signalé un cas suspect. La jeune personne se voit désormais offrir la possibilité de se faire vacciner contre la rougeole, sinon elle devrait rester à la maison pendant 21 jours.
La nouvelle vache à lait des médecins ? En tant que médecin, je n'ai qu'à affirmer que j'ai un cas suspect et je peux ensuite faire chanter tous les jeunes qui étaient avec moi pour qu'ils se fassent vacciner pendant 3 semaines. Et cela grâce à des procédures intelligentes de la part des ministères de la Santé respectifs, expliquées ici en prenant l'exemple de l'Autriche.
Alors, avons-nous déjà une vaccination obligatoire contre la rougeole ? Voir l' organigramme du Ministère de la Santé :
L'explication du ministère de la Santé :
- voir graph sur site -
Il suffit d’un cas confirmé ; le second – dans le cadre du lien épidémiologique supposé avec le premier – peut être imaginaire. Cool. Le nombre se réfère aux États fédéraux et comme on peut le voir ici sur AGES , il y en a assez avec un seul cas :
- voir graph sur site -
Il semble que les gens essaient actuellement de rendre la vaccination obligatoire pour quelque chose, pour ensuite l'étendre par habitude. Si nous n'avions pas un niveau d'immunité très élevé, cette maladie hautement contagieuse ne se comporterait sûrement pas ainsi !?
D’ailleurs, les choses sont similaires dans les écoles, comme le montre la lettre d’un directeur d’il y a un an :
- voir doc sur site -
« …il faut fournir une preuve d'anticorps (prélèvement sanguin) » (sic) ! Ou simplement un certificat de vaccination. Je dois prouver que je suis libre. Là aussi, cela revient à une vaccination obligatoire, sans aucune raison épidémiologique ou médicale. Avec des vaccins qui n’ont jamais été sérieusement testés, comme expliqué ci-dessous.
RépondreSupprimerBill Gates impliqué dans le développement d'un vaccin
La fondation du milliardaire Microsoft s'est impliquée très tôt en finançant le développement de nouveaux produits. Dans l’ étude « Un essai randomisé et contrôlé d’un vaccin en aérosol contre la rougeole », nous lisons sous Conclusions :
« Le vaccin en aérosol contre la rougeole était immunogène, mais à la marge donnée, le vaccin en aérosol était inférieur au vaccin sous-cutané en termes de taux de séropositivité. (Financé par la Fondation Bill et Melinda Gates ; Registre des essais cliniques du projet de vaccin contre la rougeole en aérosol, numéro indien, CTRI/2009/091/000673. »
Ce qui est typique de toutes ces études, c’est qu’aucun résultat clinique tel que la prévention d’une maladie grave ou autre n’est testé, mais que seul le « taux de séropositivité » insignifiant a été comparé aux études précédentes. L’étude originale de 1967 ne comptait que 100 sujets chacun dans les groupes vaccinés et témoins et n’a duré que trois semaines. Il n’y a donc jamais eu de données sérieuses sur l’efficacité et les effets secondaires.
La rougeole à l'exemple du Japon
La campagne contre la rougeole ne se limite en aucun cas à l'Allemagne ou à l'Autriche. Semblable à Corona, les opérations ici sont également internationales et mondiales. Voir l'exemple du Japon :
Au Japon, la menace de la rougeole est rapportée quotidiennement à la télévision et les gens afflueraient vers les cliniques pour se faire vacciner. Cependant, comme vous pouvez le constater, les chiffres sont inférieurs à ceux des autres pays.
Les Japonais ne semblent pas apprendre.
- voir doc sur site -
Les Allemands ou les Autrichiens ont-ils infecté les Japonais – ou vice versa ? Vous pouvez le constater partout dans le monde : le faible nombre de cas de rougeole est compensé par une vaste campagne de propagande. Ici, nous voyons des produits pharmaceutiques lors d'un autre raid. Quelqu’un a dû investir massivement en actions.
RépondreSupprimerAucune raison épidémiologique ou médicale pour la vaccination obligatoire
Le nombre de cas de rougeole est faible, nettement inférieur à celui des années précédentes, comme le montrent les données officielles de l'autorité européenne ECDC :
- voir graph sur site -
Plus d'informations à ce sujet dans l'article d'hier du TKP l. J'y ai également appris lors de mon entretien avec le médecin orthomoléculaire, le médecin et scientifique de Rostock, le Dr. sc.méd. Bodo Kuklinski cite des faits scientifiquement étayés sur le thème de la prophylaxie et du traitement de la rougeole.
Sur le plan épidémiologique, les mêmes incidences peuvent également être observées malgré des taux de vaccination différents dans les Länder allemands.
D’ailleurs, nous savons, grâce à des études menées auprès des ultra-orthodoxes en Israël, que les mères non vaccinées transmettent l’immunité à leurs enfants, alors que les mères vaccinées ne le font pas.
Nous n'avons même pas parlé du nombre croissant de maladies comme l'autisme chez les enfants grâce au nombre croissant de vaccins recommandés. Cela contraste fortement avec les groupes de population qui rejettent généralement la vaccination, comme les Amish, où l'autisme n'est pas du tout présent.
*
Campagne de vente de vaccins contre la rougeole dans les ÖRR et HSH – sans fondement ?
Dans quelle mesure l’efficacité et la sécurité des vaccins contre la rougeole sont-elles testées ?
L'OMS tire la sonnette d'alarme sur les cas de rougeole - à tort en Allemagne
Jugement du tribunal administratif bavarois : les amendes pour défaut de preuve de vaccination contre la rougeole sont illégales
Après la chute des ventes de vaccins contre le coronavirus, les autorités font pression pour que les enfants soient vaccinés contre la rougeole
Les activateurs efficaces des vaccins provoquent l'autisme et des troubles neurologiques
L'autisme chez les enfants aux États-Unis est déjà une situation d'urgence – sauf pour les enfants Amish non vaccinés
https://tkp.at/2024/03/19/indirekter-impfzwang-bei-masern-verdacht-im-umfeld-cashcow-fuer-pharma-und-aerzte/
Quintessence de l'article détaillé donc :
RépondreSupprimer"'Elle (l'évaluation des risques, ndlr) doit être renforcée cette semaine' – une décision apparemment politique et non scientifique, et aussi abrupte et surprenante, sans aucune indication dans les protocoles précédents et sans aucun changement significatif dans la clé fondamentale. Les figures."
L’équipe éditoriale publiera désormais des « articles informatifs pour les citoyens intéressés » à des intervalles de plus de 200 minutes totalisant plus de mille pages entre janvier 2020 et avril 2021. Cela suscite également des critiques sur le média en ligne. De nombreuses voix s'élèvent pour exiger que le média publie tous les protocoles sans exception, à la manière de Wikileaks. Mais apparemment, on suit la voie journalistique classique, dans laquelle le rédacteur en chef décide de ce qui est pertinent pour le public.
Les protocoles traités jusqu’à présent par Multipolar prouvent en fin de compte que le RKI avait fondamentalement une évaluation similaire à celle de Sucharit Bhakdi : le Covid-19 est une « vague de grippe modérée ». Mais l’intérêt politique a écarté cette évaluation et en a fait une crise unique en son genre, qui ne pouvait être mise en scène que grâce au pouvoir des médias.
Mais cette histoire du siècle n’est pas encore terminée. Les protocoles poursuivis ont certainement le potentiel de donner une nouvelle base à ce que l’on appelle la « réévaluation du coronavirus ». Paul Schreyer dit :
«La conclusion de tout cela : l'affirmation selon laquelle le RKI aurait procédé à la mise à niveau - et donc à la base du confinement et de l'état d'urgence - sur la base d'avis scientifiques n'est plus tenable. La mise à niveau s’est produite brusquement, sans discussion ni processus de consultation documentés, sous la direction d’un acteur anonyme.
Cela signifie également : il est désormais clair que les tribunaux allemands, qui dans leurs jugements sur la légalité des mesures Corona se sont appuyés sur le fait que l'évaluation des risques du RKI était scientifiquement fondée - et n'ont pas examiné de manière critique cette évaluation des risques dans les procédures respectives - , ont commis une erreur qui doit encore être reconnue et corrigée.
https://tkp.at/2024/03/19/neue-rki-protokolle-belegen-politische-inszenierung-der-covid-krise/
Quintessence de l'article détaillé donc :
RépondreSupprimer"'Elle (l'évaluation des risques, ndlr) doit être renforcée cette semaine' – une décision apparemment politique et non scientifique, et aussi abrupte et surprenante, sans aucune indication dans les protocoles précédents et sans aucun changement significatif dans la clé fondamentale. Les figures."
L’équipe éditoriale publiera désormais des « articles informatifs pour les citoyens intéressés » à des intervalles de plus de 200 minutes totalisant plus de mille pages entre janvier 2020 et avril 2021. Cela suscite également des critiques sur le média en ligne. De nombreuses voix s'élèvent pour exiger que le média publie tous les protocoles sans exception, à la manière de Wikileaks. Mais apparemment, on suit la voie journalistique classique, dans laquelle le rédacteur en chef décide de ce qui est pertinent pour le public.
Les protocoles traités jusqu’à présent par Multipolar prouvent en fin de compte que le RKI avait fondamentalement une évaluation similaire à celle de Sucharit Bhakdi : le Covid-19 est une « vague de grippe modérée ». Mais l’intérêt politique a écarté cette évaluation et en a fait une crise unique en son genre, qui ne pouvait être mise en scène que grâce au pouvoir des médias.
Mais cette histoire du siècle n’est pas encore terminée. Les protocoles poursuivis ont certainement le potentiel de donner une nouvelle base à ce que l’on appelle la « réévaluation du coronavirus ». Paul Schreyer dit :
«La conclusion de tout cela : l'affirmation selon laquelle le RKI aurait procédé à la mise à niveau - et donc à la base du confinement et de l'état d'urgence - sur la base d'avis scientifiques n'est plus tenable. La mise à niveau s’est produite brusquement, sans discussion ni processus de consultation documentés, sous la direction d’un acteur anonyme.
Cela signifie également : il est désormais clair que les tribunaux allemands, qui dans leurs jugements sur la légalité des mesures Corona se sont appuyés sur le fait que l'évaluation des risques du RKI était scientifiquement fondée - et n'ont pas examiné de manière critique cette évaluation des risques dans les procédures respectives - , ont commis une erreur qui doit encore être reconnue et corrigée.
https://tkp.at/2024/03/19/neue-rki-protokolle-belegen-politische-inszenierung-der-covid-krise/
Plus tôt:
RépondreSupprimerLe premier tour de l'élection présidentielle en Russie se déroule ce week-end de vendredi à dimanche.
Il s'agira de la huitième élection présidentielle du pays et plus de 112 millions d'électeurs seront appelés aux urnes.
Alors que quatre candidats sont en lice, Katharina Buchholz de Statista rapporte qu'il n'y a presque aucun doute parmi les observateurs que Vladimir Poutine sera réélu pour un cinquième mandat dès le premier tour.
La seule véritable inconnue est la part des voix qu’il obtiendra.
Lors de la dernière élection présidentielle en 2018, ce chiffre s'élevait à environ 77 pour cent.
- voir graph sur site -
Infographie : Poutine pour toujours ? | Statiste
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
Au pouvoir depuis environ un quart de siècle – répartis sur quatre mandats présidentiels et deux mandats de Premier ministre entre 1999 et 2000 et entre 2008 et 2012 – Poutine a passé au total près de 9 000 jours à la tête du pays. S'il est réélu ce week-end, le prochain mandat de six ans, d'environ 2 190 jours, fera probablement de lui le dirigeant russe le plus ancien depuis le début du XXe siècle. Ce record est actuellement détenu par Joseph Staline, qui a dirigé le pays entre 1924 et 1953 pendant un total de 10 636 jours. Poutine est devenu le deuxième dirigeant russe le plus ancien, dépassant Brejnev en 2017, à la fin de son troisième mandat présidentiel.
Sous la présidence de Dmitri Medvedev, de 2008 à 2012, la loi russe a été modifiée pour prolonger le mandat présidentiel de deux mandats de quatre ans à deux mandats de six ans.
Ce changement visait également à réinitialiser les mandats accomplis et a donc permis à Poutine de remporter deux autres mandats.
Une décennie plus tard, en 2021, Poutine a signé une autre loi fixant la limite à deux mandats présidentiels par personne au cours d’une vie, réinitialisant là aussi paradoxalement les mandats déjà accomplis et l’exonérant ainsi une seconde fois.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/putin-forever
Réactions mondiales à la victoire électorale de Poutine
RépondreSupprimer18 mars 2024
de Thomas Oysmüller
Le gouvernement Scholz ne reconnaîtra pas la légalité des élections russes. Mais Poutine reçoit des félicitations du monde entier : des voix et des réactions du monde entier face aux élections russes.
Vladimir Poutine a remporté ce week-end une victoire écrasante à l'élection présidentielle. Toute autre victoire qu’une victoire dominante était hors de question : le candidat libéral le plus populaire n’a pas remporté l’élection. L'opposant le plus fervent était Nikolaï Kharitonov, du Parti communiste de la Fédération de Russie. Il a obtenu 13,7 % des voix lors de l'élection présidentielle de 2004. Cette fois, il n’a même pas atteint 5 %.
Félicitations et autres choses
Les choses ne deviennent vraiment passionnantes qu’après les élections. La première bombe politique est tombée lundi : le gouvernement allemand ne reconnaîtra pas les élections, ont initialement rapporté les médias russes. Cette étape interviendrait après qu’Olaf Scholz ait récemment agi comme un facteur de désescalade et rejeté catégoriquement les troupes de l’OTAN et les missiles Taurus pour l’Ukraine. Mais en dehors de l’UE, l’ambiance est sensiblement différente.
L'un des premiers corps diplomatiques fut le ministère chinois des Affaires étrangères. Les gens ont félicité pour la victoire électorale : « Nous sommes convaincus que les relations entre la Russie et la Chine continueront à se développer. » La Corée du Nord aurait été plus rapide dans ses félicitations.
La télévision d'État chinoise a rapporté plus tard que Xi Jinping avait également félicité Poutine pour sa réélection à la présidence. Xi Jinping a déclaré dans son message de félicitations à Poutine que sa réélection reflétait le plein soutien du peuple russe, ajoute le rapport.
Nicolas Maduro, président du Venezuela, s'est exprimé en détail dimanche :
«Avec plus de 87 % des voix, Poutine a complètement gagné la bataille contre l’ensemble de l’empire occidental collectif et a démontré les valeurs du peuple russe. C’est l’aspiration de la nouvelle Grande Russie à un monde multipolaire, un monde équilibré. Notre vieux frère Vladimir Poutine a gagné. Ce sont de bons signes pour le monde en cette année 2024. Félicitations à Poutine et à la Russie.»
Le ministère cubain des Affaires étrangères a également réagi très rapidement et a adressé ses félicitations. On espère que les liens entre les Etats pourront être encore renforcés, a-t-on déclaré depuis La Havane. Le président du Nicaragua lui a également souhaité bonne chance et a déclaré que la victoire électorale contribuerait à « stabiliser le monde ».
Le président biélorusse Alexandre Loukachenko a personnellement décroché le téléphone pour féliciter Poutine pour sa victoire électorale.
Milorad Dodik, président de la République Srpska et « témoin de Poutine dans les Balkans occidentaux », a été particulièrement clair :
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