- ENTREE de SECOURS -



mardi 18 octobre 2022

Nucléaire durable : le temps des surgénérateurs est venu !

Il est temps de lancer en France la nouvelle filière nucléaire surgénérateurs durables dits « à neutrons rapides » (RNR) de quatrième génération.


 le 18 octobre 2022

Par Dominique Grenêche et Michel Gay.



Avant de perdre nos compétences acquises depuis 30 ans, et afin d’utiliser 100 à 150 fois (!) mieux l’uranium naturel (Unat) en produisant moins de déchets hautement radioactifs, le temps est venu de lancer en France la nouvelle filière nucléaire surgénérateurs durables dits « à neutrons rapides » (RNR) de quatrième génération.

Pourquoi des RNR ?

Bien qu’aujourd’hui encore abondantes, les réserves d’Unat pour les réacteurs dits « à neutrons lents » (RNL) de la deuxième et troisième génération actuelle pourraient s’amenuiser vers 2050 car cette technologie en gaspille 99 %. Elle utilise en effet moins de 1 % de l’Unat, alors que les surgénérateurs en utilisent 100 %.

Ainsi, ces surgénérateurs (fonctionnant avec de l’uranium ou éventuellement du thorium, mais moins performant pour la surgénération) rendraient durables et abondantes pendant des milliers d’années la production d’électricité nucléaire française et mondiale.

Pourquoi maintenant ?

Il est nécessaire de lancer maintenant cette nouvelle filière de « RNR » afin d’être prêt vers 2050 pour au moins trois raisons principales :

1) Cette nouvelle génération (à l’uranium ou au thorium) qui prendra la suite des RNL nécessitera une transition (un tuilage) d’environ un siècle avec les RNL qui fourniront le combustible de démarrage des surgénérateurs (le plutonium) en quantité suffisante. Il faut donc commencer maintenant pour être prêt… pour la fin du siècle.

2) s’agit de conserver en France le savoir-faire industriel de cette filière, ou de le recréer, suite aux arrêts politiques des précédents RNR existants (Phénix en 2009 et Superphénix en 1997) et en projet (ASTRID en 2019).

Or, la production massive et durable d’électricité à bas coût sans hydrocarbures reposera de plus en plus sur les réacteurs nucléaires surgénérateurs à la fin de ce siècle, et non sur les éoliennes et autres panneaux solaires dont la fourniture d’énergie restera toujours intermittente.

3) Les RNR brûlent une grande partie de leurs propres déchets radioactifs à haute activité. Ils en produisent donc beaucoup moins pour une même quantité d’électricité produite et leur gestion en est facilitée.

Suite à la décision d’arrêter le projet ASTRID en janvier 2019, Yves Bréchet, ancien Haut-commissaire à l’énergie atomique, membre de l’Académie des sciences, déclarait en septembre 2019 :

« … il faut avoir une idée bien singulière de ce qu’est une filière industrielle pour penser qu’on pourra se positionner dans cette course en se contentant d’études papier qui par miracle s’incarneraient dans un objet industriel le moment venu. ».

La décision de réalisation du prototype de réacteurs à neutrons rapides (RNR) ASTRID avait été prise en 2010 sous l’impulsion initiale de Jacques Chirac, formulée dans ses Vœux aux forces vives de la nation prononcés le 5 janvier 2006 :

« Il faut travailler sur une nouvelle génération de réacteurs, celle des années 2030-2040, qui produira moins de déchets et exploitera mieux les matières fissiles […] et qui devra entrer en service en 2020 ».

C’était bien vu, mais ses successeurs ont tué le projet en 2019.

La régénération et la surgénération

En utilisant une image simple, la régénération pour une voiture consisterait à fabriquer autant de carburant qu’elle en consomme à partir de l’essence de son propre réservoir, et la surgénération à en fabriquer encore plus pour alimenter d’autres véhicules.

Un RNR, c’est pareil. Il fabrique littéralement autant, ou même plus, de matière fissile (le plutonium) qu’il n’en consomme à partir de l’Unat inerte contenu dans son cœur, et la partie excédentaire peut être utilisée pour démarrer d’autres RNR.

Et sa consommation d’Unat est si faible au regard de l’énergie dégagée (un million de fois plus que l’énergie chimique) que les réserves mondiales actuelles d’Unat soudain multipliées par 100 permettraient des milliers d’années de production de chaleur et d’électricité bon marché pour le monde entier.

Un autre intérêt des RNR provient de leur capacité à réduire fortement les quantités des produits radioactifs à vie longue (ceux qui restent radioactifs au-delà de 500 ans)

C’est donc une excellente filière pour réduire la radiotoxicité à long terme des déchets radioactifs.

La France a été le leader mondial du développement des RNR jusqu’au début des années 2000 avec les réacteurs Phénix et Superphénix. Elle a perdu ce rang aujourd’hui, mais elle dispose encore d’une place de premier plan dans le secteur du recyclage des combustibles pour en extraire le plutonium sans lequel le déploiement de RNR n’est pas envisageable.

Il convient donc de développer ce domaine stratégique pour assurer un développement durable de l’énergie nucléaire.

Il y a uranium et uranium…

L’uranium naturel (Unat) extrait des mines se compose de deux types d’uranium aux capacités physiques différentes : l’uranium 238 (U238) et l’uranium 235 (U235). Le premier majoritaire à 99,3 % dans l’Unat n’est pas (ou peu) fissile, le deuxième est fissile et dégage de la chaleur en fissionnant mais ne représente que 0,7 % de l’Unat.

Cependant, cet U235 est un don de Dieu qui permet d’utiliser l’énergie nucléaire. C’est en effet l’unique élément naturellement utilisable sur Terre qui permet d’initier les réactions nucléaires ! Sans lui, sans ce 0,7 % d’U235 contenu dans l’Unat, il n’y aurait aucun réacteur nucléaire.

Il faut donc actuellement importer environ 8700 tonnes d’Unat par an pour confectionner les 1200 tonnes de combustibles dont seulement environ 50 tonnes fissionnent chaque année pour produire 70 % de l’électricité en France.

Donc seulement 0,6 % de l’Unat (50/8700) extrait du sol est utilisé directement ou indirectement pour faire de l’électricité ! (Une partie s’est transformée auparavant en d’autres éléments avant de fissionner).

Or, pour améliorer radicalement ce piètre rendement, il n’existe qu’une seule voie : la régénération, ou mieux encore la surgénération, réalisable uniquement avec des RNR ou éventuellement des réacteurs au thorium. Et les deux utilisent initialement comme combustible le plutonium produit dans les RNL, pendant presque un siècle en parallèle, avant de devenir autonomes.

La technologie RNR existe déjà depuis longtemps puisque le premier réacteur nucléaire au monde qui produisit de l’électricité en 1951 était un RNR ! Il a été arrêté en 1964.

Jusqu’à présent, 15 RNR expérimentaux et 17 RNR électrogènes ont fonctionné dans le monde.

Aujourd’hui, trois RNR électrogènes fonctionnent et trois sont en construction dans le monde (Russie, Inde, Chine).

Mais l’uranium étant abondant et bon marché (100 dollars/kg) au siècle précédent, cette technologie a été supplantée par les RNL adaptables aux sous-marins et produisant une électricité environ 30 % moins chère. Environ 430 RNL sont opérationnels aujourd’hui dans le monde et une cinquantaine sont en construction.

Disponibilité de l’Unat

Les ressources économiquement exploitables d’Unat pour les RNL s’épuiseront probablement avant le siècle prochain entrainant une extinction progressive de l’énergie nucléaire si rien n’est entrepris.

Sur le long terme (après 2100), si les RNR commencent à être déployés industriellement avant 2050 et avec une croissance modérée du nucléaire (1,6 % annuel), la demande cumulée en Unat correspondrait juste à la totalité des ressources identifiées, ou raisonnablement assurées aujourd’hui à un coût inférieur à 130 dollars/kg.

De plus, le développement de l’énergie nucléaire pourrait-être accru par la mise en œuvre d’applications non électrogènes (chauffage urbain, production d’hydrogène…).

Mais les surgénérateurs nécessitent de disposer de plutonium.

Des stocks de plutonium déjà séparé existent seulement en France et au Royaume-Uni et ils peuvent servir à initier le développement des RNR. Pour les autres pays, seul le traitement des combustibles usés des RNL pour en extraire le plutonium permettra le démarrage des RNR. Quelques-uns pourraient être démarrés avec de l’uranium enrichi (RNR-U235) pour pallier le manque provisoire de plutonium, mais cet artifice n’est pas suffisant pour être à la hauteur des besoins.

Des ressources « non conventionnelles » ?

Il existe aussi des ressources dites non conventionnelles et secondaires d’Unat dont l’apport à l’approvisionnement mondial en uranium serait marginal et coûteux.

L’extraction théoriquement possible de l’Unat contenu dans l’eau de mer (dont la concentration moyenne d’uranium est de trois microgrammes par kilogramme) restera une chimère compte tenu des quantités faramineuses d’eau de mer à traiter et de matériaux à mettre en œuvre dans les procédés pour pouvoir approvisionner le parc mondial de réacteurs. A titre d’exemple, pour récupérer les 60 000 tonnes d’uranium consommée annuellement dans le monde actuellement, il faudrait récupérer 100 % de tout l’uranium contenu dans un volume égal à 5 fois celui de la manche, et cela tous les ans !

Des ressources insoupçonnées apparaîtront peut-être en redynamisant les efforts de prospection, mais il serait bien imprudent et même dangereux de miser sur des découvertes susceptibles de modifier radicalement cette échéance de raréfaction de l’Unat pour la fin du siècle.

D’autant plus que les producteurs d’électricité ne se lanceront pas dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires s’ils n’ont pas l’assurance de pouvoir les alimenter en combustible à des prix raisonnables pendant leur durée de fonctionnement.

Un réacteur EPR, par exemple, est conçu pour produire de l’électricité pendant au moins 60 ans (peut-être 80 ou 100 ans) et doit avoir la garantie de pouvoir s’alimenter en uranium.

Si un programme de déploiement de surgénérateurs à une échelle industrielle n’est pas mis en place dès maintenant, des tensions pourraient donc apparaître sur l’approvisionnement en Unat au tournant de ce siècle.

Des RNR : à quelle échéance ?

En France, il s’est écoulé 20 ans entre le démarrage du premier réacteur expérimental Rapsodie en janvier 1967 et la mise en service du premier grand RNR industriel Superphénix en janvier 1987, malgré un programme ambitieux réalisé grâce à l’impulsion volontariste des grands décideurs de l’époque, et un contexte réglementaire et économique meilleur qu’aujourd’hui.

Malgré les progrès dans les méthodes et outils de conception, il faudrait aujourd’hui probablement davantage de temps pour effectuer le même parcours.

Or, la période de coexistence (tuilage) pour assurer la transition entre les RNL et les RNR sera au minimum de 70 ans pour acquérir le plutonium nécessaire.

Le rythme de déploiement des RNR sera limité par les capacités de traitement des combustibles et par la disponibilité du plutonium. Ce goulot d’étranglement pourrait conduire à poursuivre la mise en service de RNL à la place de RNR, faute de quantités suffisantes de plutonium pour les alimenter.

La France possède aujourd’hui un stock important de plutonium séparé (environ 60 tonnes) et dispose de capacités industrielles de traitement-recyclage performant. Elle tirerait un grand bénéfice à engager dès maintenant un programme ambitieux de développement des RNR à une échelle industrielle, avec pour objectif un début de mise en service des premiers grands réacteurs électrogène avant 2050.

Cela passe par le lancement d’un démonstrateur au plus tôt et sa réalisation à brève échéance, ainsi que par la préparation du traitement des combustibles usés des futurs RNR.

Une vision stratégique de l’énergie

Le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) préconise « de ne pas différer trop au-delà de 2040 le déploiement des premiers RNR » dans la conclusion de son étude de décembre 2012.

Les RNR surgénérateurs déployés industriellement avant 2050 constituent l’unique possibilité de maintenir durablement la production d’énergie nucléaire qui deviendra progressivement le socle mondial de la production d’électricité à la fin de ce siècle.

Or, la grande inertie qui caractérise la mise à l’équilibre de ces systèmes et les constantes de temps liées la mise en œuvre industrielle des installations nucléaires plaident pour un déploiement au plus tôt des RNR.

A défaut de prendre conscience de cette urgence malgré les échéances lointaines, la France ne sera pas au rendez-vous du futur énergétique du monde, alors qu’elle possède encore aujourd’hui trois excellents atouts pour se lancer maintenant dans un programme volontariste de RNR surgénérateurs :

Sa grande maitrise de la technologie des RNR au sodium parmi les plus étendues au monde.

Son expérience unique acquise depuis plus de 30 ans sur le traitement des combustibles usés et le recyclage du plutonium.

La possession sur son sol non seulement de plutonium séparé en quantités suffisantes pour démarrer 4 ou 5 RNR, mais aussi son « carburant » avec un remarquable stock d’uranium appauvri (plus de 450 000 tonnes prévues en 2040) qui assurera la production autonome d’électricité nucléaire en France pour plusieurs milliers d’années.

En doublant sa consommation actuelle de seulement 50 tonnes d’Unat par an, et donc en doublant aussi la production d’électricité, la France serait encore autonome pendant plus de 4000 ans !…

Aucun pays au monde ne rassemble de tels atouts. La technologie existe, les compétences aussi (pour le moment).

Reste la volonté politique.

« Pourvu que nous vienne un homme (d’État) aux portes de la cité » (chanson de Jacques Brel)

(Paroles)

[…]

Pourvu que nous vienne un homme

Aux portes de la cité

Et qui ne soit pas un baume

Mais une force, une clarté

[…]

Et qu’il rechasse du temple

L’écrivain sans opinion

Marchand de riens

Marchand d’émotions

Cet article a été écrit à partir du document de Dominique Grenèche « Les réacteurs à neutrons rapides : pourquoi, comment, quand. Synthèse historique et technique. Perspectives de développement » beaucoup plus complet (18 pages). Ce document peut être librement obtenu en s’adressant directement à l’auteur : dgreneche.nuclearconsulting@orange.fr

Dominique Grenêche est aussi l’auteur du livre Histoire et techniques des réacteurs nucléaires et de leurs combustibles (750 pages). 

https://www.contrepoints.org/2022/10/18/440966-nucleaire-durable-le-temps-des-surgenerateurs-est-venu 

58 commentaires:

  1. La Chine arrête les reventes de GNL russe aux acheteurs européens


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 17 OCTOBRE 2022 - 23:00


    Il y a un mois et demi, nous avons fait une découverte surprenante : la Chine revendait de manière agressive les importations de GNL en provenance de Russie, le quatrième fournisseur de GNL du pays jusqu'à présent en 2022, après avoir dépassé à la fois l'Indonésie et les États-Unis, à l'Europe et grâce à la croissance sans précédent du continent désespéré pour le gaz, il facturait à peu près tout ce qu'il voulait.

    Mais peut-être plus maintenant.

    Selon Bloomberg, les géants chinois de l'énergie appartenant à l'État ont récemment reçu l'ordre des autorités de cesser de revendre des cargaisons de gaz naturel liquéfié (certainement celles en provenance de Russie) à l'Europe en manque de gaz, ce qui pourrait porter un coup aux espoirs européens d'afflux élevés et continus de GNL à l'approche de l'hiver.

    La Commission nationale chinoise pour le développement et la réforme (NDRC), le principal organisme de planification du pays, a déclaré aux importateurs publics de GNL du pays, dont Sinopec, PetroChina et CNOOC, qu'ils devraient cesser de revendre les cargaisons de GNL et les conserver pour assurer l'approvisionnement en gaz chinois cet hiver, Le prix du pétrole a rapporté citant des sources de Bloomberg.

    Ces derniers mois, comme nous l'avons signalé pour la première fois en août, les importateurs chinois de GNL ont vendu leurs stocks excédentaires en Europe et ont tiré des bénéfices substantiels de ces ventes en raison d'une demande atone en Chine. La demande intérieure chinoise a été écrasée par des vagues successives de fermetures de Covid à l'échelle de la ville et un ralentissement de la croissance économique.

    En conséquence, les ventes chinoises de GNL ont été un soulagement pour le marché européen jusqu'à présent cette année. Mais alors que la Chine s'apprête à assurer sa propre sécurité énergétique cet hiver, l'approvisionnement précaire en GNL de l'Europe - dont une grande partie était fonction de la revente chinoise continue de gaz russe sous embargo - pourrait diminuer juste avant la saison de chauffage hivernale.

    Les prix du gaz en Europe ont chuté par rapport à des sommets records et ont atteint lundi le niveau le plus bas en trois mois après que l'UE aurait cherché à introduire des mesures pour limiter la volatilité du marché des prix de référence du gaz naturel européen au hub néerlandais TTF. Selon un projet de document que Bloomberg News a vu, la Commission européenne est sur le point de proposer des mesures pour limiter les pics de prix extrêmes dans le commerce des produits dérivés ; on ne sait pas exactement comment l'Europe - qui est désespérément à court de toutes les matières premières à l'approche de l'hiver - appliquera réellement des plafonds de prix ou de volatilité.

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  2. Les sites européens de stockage de gaz étaient remplis à 92 % au 16 octobre, selon les données de Gas Infrastructure Europe. Les sites de stockage ont été remplis plus rapidement que l'UE et de nombreux membres individuels l'avaient initialement prévu. Bien que le gaz stocké à lui seul ne suffira pas à faire vivre une économie comme celle de l'Allemagne pendant l'hiver, le remplissage plus rapide que prévu du stockage de gaz a quelque peu atténué les problèmes d'approvisionnement, pour l'instant. De plus, comme la plupart des observateurs de l'industrie l'ont compris, le grand risque n'est pas cet hiver mais celui de 2023.

    https://www.zerohedge.com/commodities/china-halts-resales-russian-lng-european-buyers

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  3. Après la bénédiction de Greta, l'Allemagne prolonge la durée de vie de trois centrales nucléaires restantes


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 17 OCTOBRE 2022 - 18:34


    Cinq jours après que la militante climatique suédoise Greta Thunberg a rompu les rangs avec le Parti vert allemand et a exhorté le pays à ne pas fermer ses centrales nucléaires restantes, le chancelier Olaf Scholz a annoncé lundi que le pays ferait exactement cela - en prolongeant la durée de vie de ses trois centrales nucléaires restantes. installations.

    Scholz créera la "base juridique" nécessaire pour faire fonctionner les trois centrales jusqu'à au moins la mi-avril, alors que l'Allemagne fait face à une crise énergétique cet hiver.

    "La base juridique sera créée pour permettre l'exploitation des centrales nucléaires Isar 2, Neckarwestheim 2 et Emsland au-delà du 31 décembre 2022 jusqu'au 15 avril 2023", a déclaré Scholz dans un communiqué.

    Cette décision intervient après que le ministre allemand de l'Economie verte, Robert Habeck, a défendu les fermetures d'usines, affirmant que l'énergie nucléaire avait contribué à la crise énergétique actuelle. Haback voulait notamment démanteler une centrale nucléaire et maintenir les deux autres en veille l'année prochaine.

    Cette décision intervient alors que l'Allemagne - septième consommateur mondial d'énergie - fait face à une pénurie de gaz paralysante en raison de la guerre en Ukraine, en raison de sa dépendance à la Russie pour plus de 50 % de son gaz (en 2021), que l'ancien président américain Donald Trump a averti que c'était une idée stupide.

    La semaine dernière, Thunberg a fait la une des journaux en annonçant ce que les gens rationnels soutiennent depuis des décennies - que le nucléaire est une meilleure option que le charbon, et que c'est une "mauvaise idée" d'éteindre les centrales nucléaires si cela signifie passer au charbon, selon Politico mardi.

    "Cela dépend. S'ils fonctionnent déjà, je pense que ce serait une erreur de les fermer et de se tourner vers le charbon", a-t-elle déclaré à propos des centrales nucléaires.

    Cette décision intervient également alors que le Japon envisage de supprimer une limite de 60 ans sur l'exploitation des centrales nucléaires.

    https://www.zerohedge.com/political/after-gretas-blessing-germany-extends-life-three-remaining-nuclear-plants

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  4. La véritable transition des 700 dernières années a été * vers * les combustibles fossiles


    October 17th, 2022


    Ne vous méprenez pas, l'histoire de notre vie est que nous avons eu énormément de chance. Ce n'est pas seulement que la majeure partie de notre économie n'est plus consacrée à trouver du carburant (pour nos corps corporels ou nos machines), mais qu'une grande partie de nos vies n'est pas consommée à ramasser du bois ou de la bouse, à rouler du foin ou à cueillir des baies.

    Le graphique ci-dessous montre une transformation remarquable d'un mode de vie où 80% de tout le travail effectué était simplement la tâche quotidienne de trouver du carburant. L'avènement de la révolution industrielle a réduit cet effort de moitié, mais le succès fou de l'énergie et de la technologie au charbon dans les années 1800 l'a divisé par dix. Il semble presque que le charbon n'a pas seulement alimenté le 19e siècle, mais a également créé le 20e siècle. C'était le grand perturbateur...

    - voir graph sur site -

    Consommation d'énergie 1300 -2000. Graphique. Pourcentage de l'économie consommée pour l'achat de nourriture et de carburant.
    La vraie transition énergétique des 700 dernières années

    Ce fut la transformation économique du Royaume-Uni

    Dans les années 1990, la chasse à toute l'énergie dont nous avions besoin ne représentait qu'un infime 7 % de l'économie. Et la chose la plus remarquable à propos de ce qui n'est pas montré dans le graphique, c'est que l'énergie totale consommée n'avait pas du tout diminué, elle avait explosé.

    Il y a quatre cents ans, une personne au Royaume-Uni s'attendait à utiliser environ 20 kWh par jour. Aujourd'hui, chaque personne consomme près de 200 kWh d'énergie. Et la population totale était alors d'environ 4 millions de personnes, donc il y a 15 fois plus de personnes, toutes consommant dix fois plus d'énergie. Comme nous sommes riches…

    - voir graph sur site -

    Le graphique que Mark Mills a récemment utilisé dans Energy Transition Delusion (ci-dessus) a été adapté de l'étude antérieure de John W. Day de 2018 (ci-dessous).

    De ce papier:

    Avant le milieu du XVIIe siècle, la société britannique dépensait entre 50 et 80 % ou plus de son PIB pour obtenir l'énergie de base nécessaire à sa survie. MacKay (2009) estime qu'un Britannique aisé consomme actuellement environ 195 kWh par jour et par personne alors que l'Américain moyen consomme 250 kWh par jour et par personne. Il estime qu'il y a 400 ans, en Europe, la personne moyenne consommait de manière durable environ 20 kWh par jour et par personne, principalement à partir de nourriture et de bois, ce qui nécessitait environ un hectare de forêt par personne. À l'évidence, il n'y a pas assez de forêts pour soutenir les densités de population actuelles (Field et al. 2008).

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  5. La révolution industrielle a considérablement augmenté l'efficacité grâce à l'exploitation généralisée des combustibles fossiles, à l'automatisation et à l'utilisation de l'électricité. Cela s'est traduit par des dépenses énergétiques au Royaume-Uni atteignant un minimum d'environ 7 % du PIB à la fin du XXe siècle (King et al. 2015), et des ratios énergétiques nets annuels pour les dépenses énergétiques culminant à l'échelle mondiale à la fin des années 1990 (King et al. 2015 ). La nourriture et le fourrage, qui avaient historiquement un rendement énergétique net pour la société et sous-tendaient presque toute l'activité économique, sont aujourd'hui pour la plupart devenus des puits d'énergie nets dans la société industrielle moderne (Heller et Keoleian 2000). Les réalisations remarquables des sociétés fonctionnant sur la productivité des ressources naturelles grâce à l'énergie solaire reflètent le rendement énergétique net élevé de la production alimentaire dans les sociétés agraires traditionnelles avec des valeurs EROI [rendement énergétique de l'investissement (énergétique)] de 10: 1 à 50: 1 ( Lee 1969 ; Glaub et Hall 2017). En l'absence de la technologie soutenue par des combustibles fossiles abondants, l'EROI sociétal était d'environ 5:1 (Lambert et al. 2014). Jusqu'à ce que la technologie de pointe se développe, encouragée par des combustibles fossiles à haut EROI, tout le travail dans la société était effectué avec des humains et des animaux de trait utilisant du bois de chauffage, de la tourbe et du fumier complétés par de modestes énergies éolienne et hydraulique.

    Transformer rapidement le système énergétique pour réduire l'EROI des énergies renouvelables afin d'atteindre les objectifs climatiques signifiera que la société devra allouer beaucoup plus de PIB à l'investissement dans les centrales d'énergie renouvelable, les réseaux électriques, le stockage de l'énergie et les substituts de combustibles liquides. Ceux-ci sont en concurrence avec d'autres moteurs économiques. La transition proposée vers 100 % d'énergies renouvelables (Jacobson et al. 2015a, b) nécessiterait que jusqu'à 5 % du PIB américain de 2016 soient alloués aux investissements dans les énergies renouvelables entre 2025 et 2040 (SI-4), en plus des investissements dans le démantèlement les infrastructures et la production de combustibles fossiles pour répondre aux besoins énergétiques nets restants de la société (SI-3). Cela pourrait limiter considérablement les investissements discrétionnaires de la société, qui facilitent la croissance économique (par exemple, l'éducation, les soins de santé avancés, les musées) (Hall 2017).

    À titre de comparaison, le graphique de l'article de 2018 était légèrement plus détaillé. La peur du pétrole des années 1970 fait une bosse, puis il y a le début d'un autre pic d'inefficacité à venir dans les années les plus récentes sur le graphique.

    - voir graph sur site -

    Consommation d'énergie 1300 -2000. Graphique. Pourcentage de l'économie consommée pour l'achat de nourriture et de carburant.

    Fig. 3 Pourcentage du PIB alloué aux dépenses énergétiques au Royaume-Uni de 1300 à 2008. Les sources d'énergie sont étiquetées en noir ; les innovations clés sont étiquetées en rouge et les paradigmes intellectuels sont en bleu (reproduit avec la permission de Fizaine et Court 2016). (Figure en couleur en ligne)

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  6. REFERENCES

    Mark Mills The Energy Transition Delusion, Manhattan Institute [PDF]

    John W. Day & Christopher F. D’Elia & Adrian R. H. Wiegman & Jeffrey S. Rutherford & Charles A. S. Hall & Robert R. Lane & David E. Dismukes, 2018. “The Energy Pillars of Society: Perverse Interactions of Human Resource Use, the Economy, and Environmental Degradation,” Biophysical Economics and Resource Quality, Springer, vol. 3(1), pages 1-16, March.

    Fizaine F, Court V (2016) Energy expenditure, economic growth, and the minimum EROI of society. Energy Policy 95:172–186

    https://joannenova.com.au/2022/10/the-real-transition-of-the-last-700-years-was-to-fossil-fuels/#more-86862

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  7. L’Allemagne prolonge le fonctionnement de ses trois dernières centrales nucléaires


    L’Allemagne va prolonger le fonctionnement de ses trois dernières centrales nucléaires, au moins jusqu’en avril 2023, a annoncé lundi le chancelier Olaf Scholz, dans le contexte de crise énergétique mondiale.

    «Les bases légales seront créées pour permettre le fonctionnement des centrales nucléaires Isar 2, Neckarwestheim 2 et Emsland au-delà du 31 décembre 2022 et jusqu’au 15 avril 2023», précise une lettre du chancelier au gouvernement.

    Le gouvernement n’avait auparavant annoncé que le maintien de deux des trois centrales au-delà de fin 2022.

    https://www.lematin.ch/story/wall-street-rebondit-527977861256

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  8. ZURICH: Électrifier les véhicules de la Ville: un projet critiqué en temps de pénurie

    La Ville de Zurich veut que l’ensemble de son parc de véhicules, dont les voitures de police et ambulances fonctionnent à l’électricité d’ici à 2035. Mais ce qui réjouit certains, donne des sueurs froides à d’autres.


    16 octobre 2022, 21:44


    Le 13 avril dernier, la Municipalité de Zurich annonçait l’ambitieux projet de faire fonctionner l’ensemble de la flotte de véhicules uniquement avec des énergies alternatives, dont les voitures de police, les ambulances, des véhicules des services de secours et de la voirie. Un projet qui s’inscrit dans les objectifs de neutralité climatique de la Ville d’ici à 2040 et de son administration municipale d’ici à 2035, rappelle la «NZZ am Sonntag».

    Sueurs froides à l’État-major de crise

    Ce qui réjouit les protecteurs du climat donne des «sueurs froides» au chef de l’État-major de crise de la ville, Markus Meile. Ce d’autant dans l’actuel contexte de menace de pénurie d’électricité. Il craint en effet que l’approvisionnement de base en cas de panne de courant prolongé ne soit plus assuré si on se cantonne à la seule propulsion électrique. Dès lors, des services vitaux – assurés par des véhicules de police, de protection civile et des urgences – ne pourraient plus être assurés.

    La Verte Karin Rykart, cheffe du Département de l’économie et de la sécurité de la ville riposte à son subordonné que la pénurie d’électricité qu’on craint actuellement ne remet pas en cause la stratégie municipale. Selon elle, l’électrification n’est qu’une alternative parmi d’autres aux moteurs à essence. Les services de secours de la ville par exemple, disposent non seulement de véhicules électriques, mais aussi de véhicules hybrides et au gaz naturel.

    Des solutions de secours

    Néanmoins, elle reconnaît qu’au vu d’éventuelles pénuries d’électricité, il faut agir. Ce qui a déjà été fait selon elle, notamment sous forme de plans de secours pour les véhicules électriques de la police municipale à importance systémique. Elle ne donne toutefois pas plus de détails à ce propos.

    Pour l’avenir, elle estime qu’il faudra des groupes électrogènes de secours à moteur diesel sur des sites décentralisés pour la recharge des véhicules de police, des services sanitaires et de nettoyage en cas de black-out. Markus Meile s’en réjouit mais objecte que l’acquisition de tels générateurs «n’est pas prévue dans un avenir prévisible».

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  9. Les polices cantonales «s’électrifient» plus ou moins

    Diverses polices cantonales ont déjà pour objectif de remplacer leur parc de voitures de police par des véhicules électriques.

    - À Berne, une porte-parole note que, si actuellement il n’est pas possible de se passer de moteurs à essence, à moyen terme le changement est incontournable. Le Canton veut un changement complet vers l’e-mobilité d’ici à 2035. Alors, le 70% de la mobilité de la police devra être basé sur des énergies renouvelables.

    - À Bâle, la police cantonale a commencé à remplacer les moteurs à combustion et a aujourd’hui sept voitures de marque Tesla.

    - Dans le canton de Vaud, la police cantonale a équipé il y a peu un premier poste d’un véhicule électrique. Elle veut y tester s’il peut faire ses preuves dans le quotidien exigeant de la police.

    - À Genève, la police cantonale est sceptique encore et teste diverses solutions non fossiles. Mais, «pour l’heure, le marché ne propose pas encore de solution électrique satisfaisante pour les voitures de patrouille», écrit une porte-parole.

    - En Valais, une voiture électrique de police est actuellement en circulation dans la région sédunoise, comme l’a indiqué la police valaisanne en juin dernier. Elle aura valeur de test afin de s’assurer qu’un tel véhicule soit compatible avec les missions des agents intervenants.

    https://www.lematin.ch/story/electrifier-les-vehicules-de-la-ville-un-projet-critique-en-temps-de-penurie-636502921403

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    1. Aussi con que d'implanter un million d'éoliennes plutôt qu'une (s'il n'y a pas de vent pas d'électricité !), voici que les Nouveau Cons (les inoculés) se ruent sur les appareils électriques en prévision de pannes d'électricité !!

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  10. Le Canada deviendra la capitale mondiale du SUICIDE ASSISTE


    lundi 17 octobre 2022
    par : Belle Carter


    (Natural News) Il est constitutionnel de pratiquer le suicide médicalement assisté au Canada, grâce au projet de loi C-14, également connu sous le nom de Loi sur l'aide médicale à mourir (AMM). Tout Canadien qui pourrait prouver que son décès est « raisonnablement prévisible » serait considéré comme admissible.

    En 2017, la première année complète suivant le décès de l'AMM, une étude gouvernementale a rapporté que 2 838 personnes avaient opté pour le suicide assisté. Les chiffres ont grimpé en flèche pour atteindre 10 064 en 2021, représentant plus de trois pour cent de tous les décès au Canada cette année-là.

    Au total, 31 664 décès par AMM avaient été enregistrés et la grande majorité se trouvaient dans la tranche d'âge de 65 à 80 ans au moment de leur décès.

    En 2017, seuls 34 décès par AMM concernaient le groupe des 18 à 45 ans. Il est passé à 49 en 2018 ; 103 en 2019 ; 118 en 2022 ; et 139 en 2021. Aujourd'hui, des milliers de personnes qui pourraient vivre de nombreuses années demandent à se suicider. Les médecins adoptant une vision de plus en plus libérale lorsqu'il s'agit de définir la mort «raisonnablement prévisible» peuvent avoir contribué à l'augmentation des demandes.

    Selon Rupa Subramanya, chroniqueuse indépendante pour National Post et Nikkei Asia, le gouvernement a modifié la législation initiale en 2021, déclarant que l'on pouvait demander l'AMM même si son décès n'était pas raisonnablement prévisible. "Cette deuxième piste de candidats devait simplement démontrer qu'ils avaient une condition qui leur était" intolérable "et ne pouvait pas" être soulagé dans des conditions qu'ils jugeaient acceptables ".

    En mars 2023, le gouvernement du premier ministre Justin Trudeau devrait élargir le bassin de demandeurs de suicide admissibles pour inclure les malades mentaux et les «mineurs matures». Cette décision a suscité diverses réactions négatives. Le médecin en soins palliatifs, le Dr Dawn Davies, partisane de l'AMM lors de sa conception, a déclaré qu'elle s'inquiétait de savoir où cela pourrait mener. Elle pouvait imaginer des enfants souffrant de troubles de la personnalité ou d'autres problèmes de santé mentale disant qu'ils voulaient mourir.

    "Certains d'entre eux le penseront, d'autres non", a-t-elle déclaré. "Et nous ne pourrons pas nécessairement discerner qui est qui."

    L'avocat Hugh Scher, fondateur de Scher Law Professional Corporation, a déclaré à Subramanya que si d'autres pays ont envisagé d'étendre le suicide assisté aux mineurs, ces gouvernements ont insisté sur des garanties substantielles, notamment la notification et le consentement des parents.

    "Le Canada est sur le point de devenir le régime d'euthanasie le plus permissif au monde, y compris pour les mineurs et les personnes atteintes uniquement de maladies psychiatriques, ayant déjà supprimé la prévisibilité de la mort ou d'une maladie en phase terminale comme condition essentielle pour accéder à l'euthanasie ou au suicide assisté", a déclaré Scher. (Connexe: un groupe canadien de soins palliatifs pousse à normaliser l'euthanasie des enfants qui «souffrent» - beaucoup en raison de blessures causées par le vaccin.)

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  11. Une mère sauve son fils du suicide assisté

    Scher est consultant auprès de Margaret Marsilla, une mère qui a découvert que son fils avait rendez-vous avec un médecin qui faciliterait sa mort. Marsilla fait tout ce qu'elle peut pour le sauver.

    Selon LifeSiteNews, son fils Kiano Vafaeian a confirmé que le Dr Joshua Tepper avait retiré son soutien à la tentative du jeune homme de mettre fin à ses jours grâce à l'AMM - grâce à la campagne de médias sociaux de sa mère Margaret, qui comprenait une pétition publiée sur Change.org et CitizenGo. .

    Marsilla a déclaré: "Nous avons réussi à mettre un peu de peur dans [the doctor], mais un autre médecin pourrait reprendre la situation."

    Kiano, 23 ans, était déprimé, diabétique et avait perdu la vue d'un œil. Il n'avait ni travail ni petite amie. Marsilla a pu accéder au courrier électronique de son fils le 7 septembre et a appris que sa mort était prévue le 22 septembre.

    "Je confirme l'horaire suivant : Veuillez arriver à 8h30. Je demanderai l'infirmière à 8h45 et je commencerai la procédure vers 9h00. La procédure sera terminée quelques minutes après son début », a déclaré le médecin dans l'e-mail. La procédure impliquait l'administration de deux médicaments : premièrement, un agent induisant le coma ; puis, un bloqueur neuromusculaire arrêterait la respiration de Kiano. Il serait mort dans 5 à 10 minutes.

    Le 16 septembre, Tepper a envoyé un texto à Marsilla pour dire qu'il avait reporté la mort de son fils au 28 septembre. Après cinq jours, le médecin lui a de nouveau envoyé un texto pour dire qu'il n'allait pas jusqu'au bout. Il ne voulait apparemment plus rien avoir à faire avec Kiano.

    Euthanasia.news a plus d'histoires sur le suicide assisté.

    Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment l'administration Trudeau offre le suicide assisté à un ancien combattant aux prises avec le SSPT.

    - voir clip sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Prisoner sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    La Nouvelle-Zélande paie désormais 1 000 dollars par personne aux médecins euthanasiteurs pour assassiner des patients covid.

    Sauver des vies ? La Nouvelle-Zélande donne son feu vert à l'euthanasie des patients covid.

    Un philosophe qui promeut l'euthanasie et l'infanticide remporte le prix Berggruen d'un million de dollars.

    Sources include:

    CommonSense.news
    LifeSiteNews.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-17-canada-assisted-suicide-capital-of-the-world.html

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  12. L'université de Boston crée une souche COVID avec 80 % de mortalité chez les souris


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 18 OCTOBRE 2022 - 10:20


    Des chercheurs de l'Université de Boston ont créé une nouvelle souche de Covid-19 qui a un taux de mortalité de 80 % chez les souris humanisées.

    Dans un effort pour rechercher ce qui rend Omicron si transmissible - et financé en partie par des subventions du NIH et du NIAID d'Anthony Fauci, les chercheurs ont bricolé la protéine de pointe d'Omicron à la souche originale de Covid-19. Le virus résultant était cinq fois plus infectieux qu'Omicron.

    « La protéine Omicron spike (S), avec un nombre inhabituellement élevé de mutations, est considérée comme le principal moteur de ces phénotypes. -2 a isolé et comparé ce virus avec la variante Omicron circulant naturellement", lit-on dans la prépublication.

    La nouvelle recherche, qui n'a pas été évaluée par des pairs, a été menée par une équipe de Boston et de Floride.

    "Chez … les souris, alors qu'Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d'Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80%", ont écrit les chercheurs, ajoutant que si la protéine de pointe est responsable de l'infectiosité, les modifications apportées à d'autres parties de sa structure sont responsables de son actualité.

    Les chercheurs ont attaché la pointe d'Omicron à la souche originale de type sauvage qui est apparue pour la première fois à Wuhan au début de la pandémie.

    Les chercheurs ont examiné comment les souris se comportaient contre la nouvelle souche hybride par rapport à la variante originale d'Omicron. -Courrier quotidien

    Les chercheurs ont également examiné l'effet de différentes souches sur les cellules pulmonaires humaines cultivées en laboratoire - auxquelles Covid s'accroche avant de demander aux cellules saines de se copier. Ils ont découvert que la souche modifiée produit cinq fois plus de particules virales que la souche Omicron originale (à laquelle tous les rongeurs ont survécu).

    Cette étude fournit des informations importantes sur la pathogénicité d'Omicron. Nous montrons que la pointe, la protéine la plus mutée d'Omicron, a un rôle incomplet dans l'atténuation d'Omicron. Dans les tests d'infection in vitro, le SRAS-CoV-2 ancestral porteur de pointes d'Omicron (Omi-S) présente une efficacité de réplication beaucoup plus élevée par rapport à Omicron. De même, chez les souris K18-hACE2, Omi-S contraste avec Omicron non mortel et provoque une maladie grave entraînant une mortalité d'environ 80 %. Cela suggère que les mutations en dehors de la pointe sont des déterminants majeurs de la pathogénicité atténuée d'Omicron chez les souris K18-hACE2. D'autres études sont nécessaires pour identifier ces mutations et déchiffrer leurs mécanismes d'action. -Biorxiv

    Selon les scientifiques, cependant, il est peu probable que leur virus chimérique soit aussi mortel chez l'homme que chez la souris, car la race spécifique utilisée dans les tests est plus sensible au Covid sévère.

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  13. L'année dernière, nous avons signalé que 18 mois avant la pandémie, des scientifiques de Wuhan, en Chine, ont soumis une proposition visant à libérer des coronavirus aéroportés améliorés dans la nature dans le but de les inoculer contre des maladies qui auraient autrement pu se propager aux humains, selon The Telegraph, citant des fuites propositions de subventions à partir de 2018.

    L'offre a été soumise par le zoologiste Peter Daszak de la société américaine EcoHealth Alliance, qui espérait utiliser le génie génétique pour bricoler des "sites de clivage spécifiques à l'homme" sur la chauve-souris Covid "ce qui faciliterait l'entrée du virus dans les cellules humaines" – un méthode qui répondrait par coïncidence à une question de longue date au sein de la communauté scientifique sur la façon dont le SRAS-CoV-2 a évolué pour devenir si infectieux pour les humains.

    La proposition de Daszak comprenait également des plans pour mélanger des souches de coronavirus naturels à haut risque avec des versions plus infectieuses, mais moins mortelles. Son «équipe de chauves-souris» de chercheurs comprenait le Dr Shi Zhengli de l'Institut de virologie de Wuhan, ainsi que des chercheurs américains de l'Université de Caroline du Nord et du US Geological Survey National Wildlife Health Center.

    La Darpa a refusé le contrat - déclarant "Il est clair que le projet proposé dirigé par Peter Daszak aurait pu mettre les communautés locales en danger", tout en avertissant que Daszak n'avait pas pleinement pris en compte les dangers liés à l'amélioration du virus via la recherche de gain de fonction , ou en libérant un vaccin dans l'air.

    https://www.zerohedge.com/covid-19/boston-university-engineers-sars-cov-2-chimera-80-mortality-rate-mice

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    1. Si 80 % des souris inoculées par le poison létal 'cocovide19' meurent c'est que les 20 % restant n'ont eu qu'un placebo ! Ce qui est vrai chez les humains l'est aussi chez les souris ! Çà alors ! Et les chiens, les chats, les moutons, éléphants, etc c'est pour après ? HAHAHAHA !

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  14. Coup de théâtre aux USA : des scientifiques créent un virus Covid et provoquent l’immense colère du gouvernement


    By Cheikh Dieng
    18 octobre 2022


    Des scientifiques américains de l’université de Boston ont confirmé avoir créé une nouvelle souche du Covid, de quoi déclencher l’immense colère du National Institute of Allergy and Infectious Diseases qui a financé l’étude

    Une information qui embarrasse le gouvernement américain. Alors que les laboratoires accélèrent la cadence pour enrayer la pandémie à Coronavirus partout à travers le monde, à Boston, aux Etats-Unis, des chercheurs américains irritent le gouvernement. C’est du moins ce que nous a appris le média Boston.com.

    En effet, d’après cette source, la communauté scientifique américaine est particulièrement divisée par la récente création d’un virus Covid hybrid par des chercheurs basés à Boston. La recherche en question a été menée par des scientifiques du National Emerging Infectious Diseases Laboratories. A en croire le média Boston.com, les chercheurs voulaient surtout savoir pourquoi Omicron a un taux d’infection plus bas.

    Toujours selon la même source, le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) qui a financé cette étude est très en colère contre les chercheurs et ne digèrent pas que ces derniers ne lui aient pas informé de leur projet de créer un virus hybride du Coronavirus.

    Ainsi, contactée par la presse, Emily Erbelding, directrice du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, a promis qu’il y aura des explications dans les jours à venir.

    Vous pouvez avoir accès à la recherche en cliquant sur le lien suivant : Boston

    L’affaire a suscité, ce 17 octobre, une vague de réactions sur les réseaux sociaux.

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-aux-usa-des-scientifiques-creent-un-virus-covid-et-declenchent-limmense-colere-du-gouvernement/

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  15. Les responsables médicaux sont parmi les personnes les plus corrompues et les plus criminelles sur Terre


    De Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    18 octobre 2022


    Le conseil des licences médicales incompétent ou corrompu du Maine, à mon avis un shill embauché pour Big Pharma, a suspendu le Dr Meryl Nass, un expert de haut niveau sur les virus Corona, pour avoir guéri les patients Covid avec du HCQ et de l'ivermectine approuvés par la FDA. Le conseil des licences du Maine, manifestement incompétent, considère que Nass est en violation du protocole de Fauci qui obligeait les médecins à laisser les patients mourir plutôt que de les traiter avec de l'ivermectine et de l'HCQ. Un procureur général du Maine a interrogé le Dr Nass et a tenté de créer la fausse impression qu'elle avait violé le consentement éclairé. Le Dr Nass et son avocat n'auraient aucune de ses insinuations. Le comportement du procureur général me suggère qu'il est également un compère rémunéré pour Fauci et Big Pharma. Je considère son interrogatoire comme malhonnête, et cela me suggère qu'il n'a aucune intégrité.

    Ce qui semble être le processus, c'est qu'un employé de Big Pharma dépose une plainte selon laquelle un médecin, qui guérit des patients ou fournit des informations correctes dans des entretiens et sur des sites Internet sur la façon de prévenir et de guérir Covid, répand de la désinformation. La fausse information alléguée n'est ni précisée ni identifiée. C'est une plainte vague et indéfinie. Quoi qu'il en soit, les commissions des licences médicales acceptent la plainte par ouï-dire, convoquent et suspendent la licence médicale du médecin, arrêtant ainsi la guérison des patients et maximisant le taux de mortalité de Covid. C'est ce qui s'est passé pendant toute la période Covid. En d'autres termes, les responsables médicaux ont contribué à maximiser le taux de mortalité, donc le taux de peur, donc le taux de vaccination, donc le taux de profit de Big Pharma. C'est de cela qu'il s'agit avec la pandémie de Covid. Cela signifie que nous pouvons avoir une CONFIANCE ZÉRO DANS LES OFFICIELS MÉDICAUX.

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  16. Voici une vidéo du Dr Nass interrogée par un procureur général du Maine essayant de la calomnier, puis par son propre avocat afin de faire ressortir les faits réels. Si le peuple américain supporte ce niveau de pratiques corrompues par les commissions de licences médicales, le peuple américain est de la viande morte.

    Le Dr Nass et son avocat pensent que les faits l'emporteront, mais les faits n'ont pas plus à voir avec les résultats de la justice américaine qu'ils ne l'ont fait dans les condamnations à mort prononcées contre des généticiens soviétiques et contre Boukharine dont les procès-spectacles ont été utilisés pour faire respecter un faux récit. Dans le monde occidental d'aujourd'hui, les faux récits règnent tandis que les personnes qui énoncent des faits et assistent à des rassemblements sont poursuivies.

    https://www.lewrockwell.com/2022/10/paul-craig-roberts/medical-officials-are-among-the-most-corrupt-and-most-criminal-people-on-earth/

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  17. Les États cherchent à déposer Fauci et d'autres hauts responsables dans une affaire de censure Big Tech-Government


    Par Zachary Stieber
    17 octobre 2022


    Les plaignants dans une affaire très médiatisée qui a révélé des preuves de collusion entre Big Tech et des responsables gouvernementaux pour censurer les utilisateurs cherchent à déposer 10 hauts responsables, dont le Dr Anthony Fauci.

    Les procureurs généraux de la Louisiane et du Missouri et d'autres plaignants ont demandé à un tribunal américain dans une récente requête de leur permettre de déposer Fauci, le conseiller médical en chef du président Joe Biden; l'agent spécial du FBI Elvis Chan ; Jen Psaki, ancienne attachée de presse de la Maison Blanche et actuelle experte de MSNBC ; le chirurgien général Vivek Murthy, une personne nommée par Biden ; et Rob Flaherty, assistant adjoint du président.

    Ils veulent également interroger cinq autres responsables, dont Carol Crawford, chef de la branche des médias numériques des Centers for Disease Control and Prevention (CDC).

    Alors que les e-mails et autres documents découverts lors de la découverte ont révélé une entreprise de censure "énorme et de grande envergure", la découverte "indique très clairement que les fonctionnaires fédéraux se sont fréquemment engagés dans leurs communications les plus révélatrices et les plus probantes avec les entreprises de médias sociaux oralement, et non par écrit, », ont déclaré les plaignants dans un communiqué conjoint avec les défendeurs.

    "Il n'est peut-être pas surprenant que plus le fonctionnaire fédéral impliqué soit haut placé, plus il semble qu'il se soit appuyé sur des communications orales plutôt qu'écrites pour faire pression sur les plateformes de médias sociaux pour qu'elles censurent", indique également le communiqué.

    Fauci, par exemple, a communiqué lors d'un long appel téléphonique avec des scientifiques qui ont ensuite écrit un article fustigant d'autres qui étaient ouverts à la théorie selon laquelle le virus COVID-19 provenait d'un laboratoire à Wuhan, en Chine, où le premier COVID -19 cas ont été détectés.

    Fauci était également en contact avec le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, bien que le contenu des communications orales entre les deux "n'ait pas encore été révélé", indique le nouveau dossier, daté du 14 octobre.

    Fauci n'a fait aucune déclaration sous serment au sujet de ses communications avec de grandes entreprises technologiques telles que Facebook, bien que le juge chargé de l'affaire ait ordonné au gouvernement de fournir des réponses de Fauci aux questions, ont déclaré les plaignants.

    Le procureur général du Missouri, Eric Schmitt, et le procureur général de la Louisiane, Jeff Landry, les principaux plaignants et les deux républicains, ont annoncé récemment qu'ils prévoyaient de demander des dépositions, mais n'avaient identifié aucun fonctionnaire qu'ils chercheraient à déposer.

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  18. Calendrier proposé

    Les plaignants veulent que le juge de district américain Terry Doughty, une personne nommée par Trump pour superviser l'affaire, donne son feu vert aux 10 dépositions demandées. Si Doughty est d'accord, les dépositions auraient lieu pendant une fenêtre de 30 jours.

    Doughty a déjà accepté la demande du demandeur d'accélérer la découverte. Cela a conduit à la production de centaines de pages de documents, ce qui a renforcé les allégations des plaignants concernant la collusion Big Tech-gouvernement.

    Dans cette ordonnance, Doughty a déclaré que les plaignants pourraient alerter les défendeurs de toute déposition que les plaignants souhaitaient prendre, et que les parties se réuniraient ensuite pour se concerter sur toute demande de déposition.

    Si les parties n'étaient pas d'accord sur les dépositions, une déclaration commune serait soumise pour souligner leurs différences.

    Doughty a sept jours pour se prononcer sur le nouveau dossier, qui comprenait des objections du gouvernement.

    Les avocats du ministère de la Justice ont déclaré que les plaignants ne prennent généralement pas plus de 10 dépositions lors d'une découverte normale, et qu'en prendre autant lors d'une découverte accélérée serait trop contraignant.

    "Bien qu'un plaignant ait rarement droit à une découverte accélérée, les plaignants ici ont reçu un montant substantiel. Les accusés ont produit plus de 15 000 pages d'e-mails réactifs non privilégiés et ont répondu à de nombreux interrogatoires. Les plaignants ne peuvent pas démontrer qu'encore plus de découvertes - en particulier des dépositions lourdes - sont justifiées à ce stade de l'affaire », ont-ils déclaré.

    Si des dépositions sont autorisées, Doughty devrait exclure les fonctionnaires qui n'ont pas reçu à l'origine de demandes de découverte, les hauts fonctionnaires et certains autres fonctionnaires, ont déclaré les avocats du gouvernement.

    Les plaignants ont déclaré que les arguments en opposition sont sans fondement et doivent être rejetés.

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  19. Les descriptions de certains fonctionnaires comme étant trop "de haut niveau" pour être déposés sont compensées par le fait que les fonctionnaires ont tous une connaissance directe de l'affaire et que les informations qu'ils détiennent ne peuvent être obtenues ailleurs, ont déclaré les plaignants, se référant à une décision dans une affaire distincte, États-Unis c. Newman.

    Même si les arguments étaient fondés, Psaki est la seule personne qui correspondrait à la désignation de "haut niveau", et elle n'occupe plus de poste d'administration, ont déclaré les plaignants.

    10 autres
    Les plaignants voulaient à l'origine destituer 20 fonctionnaires actuels et anciens, mais après des discussions, ils ont réduit leur demande à 10.

    La demande initiale avait inclus Eric Waldo, conseiller principal de Murthy ; Max Lesko, chef de cabinet au Bureau du médecin général ; Jay Dempsey, chef d'équipe des médias sociaux du CDC ; Robert Silvers, un fonctionnaire du Département de la sécurité intérieure ; Matthew Masterson, ancien conseiller principal à la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency (CISA); et Nina Jankowicz, ancienne chef du Conseil de gouvernance de la désinformation fermé.

    Étaient également inclus Jennifer Shopkorn, directrice du Census Bureau; Zachary Henry Schwartz, conseiller principal du chef de cabinet du secrétaire au commerce ; Samaruddin Stewart, ancien conseiller du Global Engagement Center du Département d'État ; et Laura Dehmlow, un haut responsable du FBI.

    Les plaignants veulent toujours déposer quatre autres personnes en plus de Fauci, Chan, Psaki, Murthy, Flaherty et Crawford.

    Il s'agit de la directrice du CISA, Jen Easterly ; Lauren Protentis, un responsable de l'agence de sécurité ; Andrew Slavitt, ancien conseiller COVID-19 de la Maison Blanche ; et Daniel Kimmage, coordinateur par intérim du Global Engagement Center du Département d'État.

    https://www.theepochtimes.com/states-seek-to-depose-fauci-other-top-officials-in-big-tech-government-censorship-case_4799980.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge

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  20. Le nouveau médicament antiviral Paxlovid de Pfizer est une imitation dangereuse de l'ivermectine qui provoque des "effets indésirables graves"


    Lundi 17 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Certains des médicaments pharmaceutiques les plus courants pour les maladies cardiovasculaires peuvent avoir des interactions dangereuses avec le nouveau médicament Paxlovid de Pfizer contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Selon un nouvel article publié dans le Journal of the American College of Cardiology (JACC), la combinaison de nirmatrelvir et de ritonavir de Paxlovid interagit négativement avec la voie CYP450, qui est impliquée dans la métabolisation d'un certain nombre de médicaments pharmaceutiques.

    Le ritonavir, qui a été approuvé pour la première fois en 1996 par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour traiter le VIH, est coupable de dommages au CYP450, ainsi que de dommages à la pompe d'efflux de médicaments à glycoprotéine P.

    "La co-administration de [Paxlovid] avec des médicaments couramment utilisés pour gérer les maladies cardiovasculaires peut potentiellement provoquer des interactions médicamenteuses importantes et entraîner des effets indésirables graves", indique le résumé de l'étude.

    "Il est crucial d'être conscient de ces interactions et de prendre les mesures appropriées pour les éviter."

    Paxlovid interfère également avec certains anticoagulants, augmentant le risque de saignements graves et potentiellement mortels. Nous savons également que le médicament antiviral peut rendre les statines plus toxiques qu'elles ne le sont déjà.

    "La sensibilisation à la présence d'interactions médicamenteuses de Paxlovid avec des médicaments cardiovasculaires courants est essentielle", a déclaré l'auteur principal, le Dr Saru Ganatra, M.D., qui travaille au Lahey Hospital and Medical Center à Burlington, Mass.

    "Les interventions au niveau du système en intégrant les interactions médicamenteuses dans les dossiers médicaux électroniques pourraient aider à éviter les événements indésirables associés."

    Paxlovid est une arnaque (tout comme covid)

    Ganatra a poursuivi dans un communiqué pour avertir les médecins qu'ils doivent porter une attention très particulière aux patients auxquels est prescrit Paxlovid en raison des risques très graves liés à la prise du médicament.

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  21. Les patients qui prennent déjà d'autres médicaments potentiellement interactifs doivent savoir qu'ils ne doivent pas prendre Paxlovid - ou à tout le moins qu'ils doivent avoir une "consultation" avec des prestataires de soins de santé et des pharmaciens pour minimiser leur risque.

    La fiche d'information de la FDA pour Paxlovid indique également tout cela, avertissant que les patients pourraient mourir s'ils prenaient le médicament en même temps que d'autres médicaments interactifs, y compris les médicaments anti-épileptiques, les médicaments pour les rythmes cardiaques irréguliers, les médicaments pour l'hypertension artérielle et l'hypercholestérolémie, les antidépresseurs et les anxiolytiques, les stéroïdes, les traitements contre le VIH, les anticoagulants et les médicaments contre la dysfonction érectile.

    "L'importance du bilan comparatif des médicaments avant l'initiation du nirmatrelvir / ritonavir (Paxlovid) ne peut être surestimée pour éviter de graves interactions médicamenteuses", met fortement en garde le nouvel article.

    Le fait que Paxlovid contienne un composant médicamenteux anti-VIH ne fait qu'affirmer davantage que les «vaccins» covid donnent aux gens le SIDA induit par le vaccin, également connu sous le nom de VAIDS. Des politiciens comme Tony Fauci et Joe Biden, qui auraient été vaccinés et ont ensuite pris Paxlovid, suggèrent davantage ce lien.

    "N'oubliez pas que la fraude annule l'immunité", a écrit un commentateur sur ce à quoi le PDG de Pfizer, Albert Bourla, et les autres chefs de file de Big Pharma impliqués dans cette arnaque doivent s'attendre. "Ça arrive, b *** ards."

    "J'espère certainement que c'est Fauci en premier", a répondu un autre.

    "Si vous prenez un produit Pfizer, vous êtes fou", a déclaré un autre, soulignant la longue histoire de fraude et de criminalité du géant de la drogue.

    "Si vous faites confiance à Big Pharma, vous êtes fou", a lancé un autre sur le fait qu'ils sont tous indignes de confiance et coupables de crimes graves contre l'humanité.

    Quelqu'un d'autre a souligné que Paxlovid est une arnaque à l'ivermectine qui a manifestement échoué, au moins dans le sens d'être bénéfique pour la santé humaine.

    "Tu te souviens quand ces mêmes personnes te disaient que l'ivermectine te tuerait ?" cette personne a encore écrit. "Ironie."

    "Ne vous inquiétez pas : ils testent actuellement un nouveau médicament pour contrer toute réaction indésirable au Paxlovid", a plaisanté un autre à propos du manège de médicaments que Big Pharma continue de distribuer.

    "Jusqu'à présent, seules quatre des huit souris de l'essai sont mortes", a-t-il ajouté en plaisantant. "L'approbation de la FDA est attendue la semaine prochaine."

    Les dernières nouvelles sur l'escroquerie covid peuvent être trouvées sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    ZeroHedge.com
    JACC.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-17-pfizer-paxlovid-dangerous-ivermectin-knockoff-severe-effects.html

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  22. Un général français dit que les citoyens non vaccinés sont des "super-héros" qui "incarnent le meilleur de l'humanité"


    lundi 17 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le général Christian Blanchon de France a écrit une lettre puissante dans laquelle il loue les non vaccinés pour aller à contre-courant en préservant leur immunité donnée par Dieu.

    Les personnes qui ont refusé de se faire «vacciner» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont des «super-héros», dit-il, pour avoir refusé de céder aux exigences des mondialistes alliés à Big Pharma qui essaient toutes les astuces du livre pour convaincre tout le monde se conformer.

    Contrairement à French Pres. Emmanuel Macron, qui a fièrement persécuté les non-vaccinés dans son pays pour avoir refusé d'endommager de façon permanente leur ADN avec l'expérience d'édition de gènes, le général Blanchon estime que ceux qui ont suivi l'exemple de Nancy Reagan ne disent tout simplement pas de conseil en résistant aux injections de drogue "incarnent le meilleur de l'humanité".

    "Même si j'étais complètement vacciné, j'admirerais les non vaccinés pour avoir résisté à la plus grande pression que j'aie jamais vue, y compris de la part des conjoints, des parents, des enfants, des amis, des collègues et des médecins", a-t-il écrit, ajoutant que les non vaccinés sont des personnes de « personnalité » et de « courage ».

    Au lieu de suivre le troupeau directement du haut de la falaise, les non-vaccinés ont utilisé la pensée critique, les amenant à la conclusion que les médicaments expérimentaux de Big Pharma ne sont probablement pas un bon pari, en particulier pour un virus présumé qui n'a même jamais été isolé.

    "Ils sont d'un genre particulier", dit le général Blanchon à propos des non-vaccinés, ajoutant que "ce sont les soldats que toute armée de lumière souhaite avoir dans ses rangs".

    « Ce sont des êtres au-dessus de la moyenne de leurs sociétés ; ils sont l'essence des peuples qui ont construit toutes les cultures et conquis les horizons. Ils sont là, à tes côtés, ils ont l'air normaux, mais ce sont des super-héros."

    Ceux qui ont résisté aux piqûres de covid sont "les élus de l'arche invisible"

    Il faut un certain type de conviction et de persévérance pour rester ferme face à cette agression incessante, surtout lorsque son travail ou sa famille sont en jeu. Les personnes qui ont quitté un travail sous pression et qui ont fait confiance à Dieu pour la provision méritent plutôt d'être félicitées.

    Selon le général Blanchon, ces personnes, ainsi que tous ceux qui ont résisté, "ont fait ce que les autres ne pouvaient pas faire", les décrivant en outre comme "l'arbre qui a résisté à l'ouragan des insultes, de la discrimination et de l'exclusion sociale".

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  23. "Et ils l'ont fait parce qu'ils pensaient qu'ils étaient seuls et croyaient qu'ils étaient seuls", écrit-il en outre.

    Certaines personnes non vaccinées ont même été exclues de la table de Thanksgiving et de Noël de leur famille. Ils ont subi « une discrimination incommensurable, des dénonciations, des trahisons et des humiliations… mais ils ont continué », dit le général Blanchon.

    Il est maintenant clair comme le jour qui a des convictions qu'ils défendent vraiment et qui obéit simplement à tout ce que le gouvernement et les grandes entreprises leur disent de faire - même lorsque les ordres sont illégaux, n'ont aucun sens scientifique et mettent leur santé et leur vie en danger.

    En choisissant de ne pas se faire piquer avec le reste du troupeau, les "sang-purs" non vaccinés représentent "les élus de l'arche invisible, les seuls qui ont réussi à résister quand tout s'est effondré".

    "Vous avez passé un test inimaginable que bon nombre des marines, commandos, bérets verts, astronautes et génies les plus coriaces n'ont pas pu réussir", a déclaré le général Blanchon à la conclusion de sa lettre.

    "Vous êtes fait de l'étoffe des plus grands qui aient jamais vécu, ces héros nés parmi les hommes ordinaires qui brillent dans le noir."

    À tous nos lecteurs qui viennent de dire non aux médicaments expérimentaux de Big Pharma : restez forts.

    "Le vaccin était un test de QI", a suggéré un commentateur, ajoutant aux sentiments du général Blanchon.

    "Vous ne pouvez jamais vraiment connaître le calibre d'un homme tant que sa résilience n'est pas mise à l'épreuve", a écrit un autre.

    Pour en savoir plus sur les dangers et l'inefficacité des injections de virus chinois, visitez ChemicalViolence.com.

    Les sources de cet article incluent :

    Newspunch.com
    NaturalNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-17-french-general-unvaccinated-citizens-superheroes-best-humanity.html

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  24. Un documentaire «brillant» expose pleinement comment le gouvernement et Big Pharma se sont associés pour promouvoir des vaccins COVID finalement nocifs


    lundi 17 octobre 2022
    par : JD Heyes


    (Natural News) Un nouveau documentaire est décrit comme "brillant" pour son exposition méticuleuse de la coordination entre les principales agences gouvernementales et Big Pharma pour pousser les vaccins COVID-19 nocifs sur un public effrayé et sans méfiance.

    Alors que le pays se remet encore des fermetures massives et d'autres perturbations de la vie quotidienne, la pandémie semble maintenant s'être produite il y a si longtemps. Mais les séquelles du vaccin continuent de nuire au public à ce jour et le feront probablement dans un avenir prévisible.

    Le film, "Safe and Effective: A Second Opinion", est principalement axé sur le Royaume-Uni, mais, selon Lifesite News, "l'un de ses sous-récits les plus puissants est pertinent dans le monde entier : comment les fabricants de produits pharmaceutiques ont contourné les obstacles à la sécurité et induit en erreur le public concernant l’efficacité et les méfaits potentiels des jabs COVID.

    Vous pouvez regarder le documentaire complet sur YouTube à ce lien.

    Il est également disponible sur ce lien sur le site Web d'Oracle Films.

    Le documentaire comprend des experts capables de montrer comment les données des essais de vaccins étaient erronées et comment les fabricants de "vaccins" ont utilisé des chiffres "très, très trompeurs" pour pousser les coups. L'un de ces experts, le Dr Aseem Malhotra, cardiologue et consultant qui a été "l'un des premiers à prendre le vaccin Pfizer", a expliqué comment Pfizer a promu son jab en utilisant la réduction du risque relatif et non la norme de l'industrie, la réduction du risque absolu, qui a ensuite conduit à la perception largement répandue que l'ARNm vax était beaucoup plus efficace pour prévenir les infections qu'il ne l'était réellement.

    « La recommandation est depuis de nombreuses années que nous devons toujours utiliser la réduction du risque absolu dans les conversations avec les patients, et pas seulement la réduction du risque relatif uniquement. Sinon, c'est considéré comme contraire à l'éthique », a expliqué Malhotra, selon LifeSite News.

    "L'accusation est que les gouvernements ont agi sur le chiffre de risque relatif de Pfizer de 95% d'efficacité, alors que le risque absolu n'était que de 0,84%. En d'autres termes, il faudrait vacciner 119 personnes pour en empêcher une seule d'attraper le COVID », a ajouté John Bowe, fondateur de C.O.V.I.D. Organisation caritative pour le vaccin InjureD.

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  25. La sortie ajoute:

    Le film a ensuite mis en évidence les "allégations choquantes" de la spécialiste de la recherche en essais cliniques Alexandra Latypova, qui a étudié les documents d'essai de Pfizer qui ont été rendus publics aux États-Unis après une demande de la Freedom of Information Act (FOIA).

    Ses conclusions comprennent les éléments suivants :

    — Pfizer a complètement ignoré les principales catégories de tests de sécurité.

    — La toxicité de l'ingrédient actif ARNm des vaccins COVID-19 n'a jamais été étudiée.

    — La FDA et Pfizer étaient au courant des toxicités majeures associées à la classe de médicaments de thérapie génique.

    — Le CDC, la FDA et Pfizer ont menti au sujet des vaccins restant au site d'injection.

    — Mon examen des documents divulgués de Moderna a également révélé que la maladie renforcée par les anticorps induite par le vaccin était identifiée comme un risque sérieux.

    Selon Bowe, le problème des essais et des études totalement inadéquats sur le vaccin était encore pire. June Raine, directrice générale de l'Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), "a admis que l'agence était passée de Watchdog à Enabler".

    Le documentaire contenait également des clips vidéo présentant une confession de Raine selon laquelle les garanties normales pendant les essais cliniques des vaccins n'ont pas du tout été suivies pour les injections COVID.

    « Nous avons déchiré le livre de règles et nous avons permis aux entreprises de commencer immédiatement à juxtaposer des phases d'essais cliniques non pas séquentielles, mais qui se chevauchent. Commencer le suivant avant que le précédent ne soit terminé », a-t-il déclaré, selon LifeSite News.

    En outre, le documentaire contient plusieurs exemples de Britanniques blessés de façon permanente après avoir pris un vaccin, comme leurs cousins ​​américains, beaucoup ne pouvant plus prendre soin d'eux-mêmes et devenant entièrement dépendants des autres pour leurs soins.

    Un ministre du Parlement britannique a pris la parole dans la chambre pour dénoncer les médecins du pays qui ont affirmé que les coups de feu n'avaient rien à voir avec ces résultats.

    "Ceux qui étaient en parfaite santé avant leur vaccin ont rencontré trop d'ignorance et de scepticisme lorsqu'ils ont demandé de l'aide médicale. Pour certains, leurs médecins généralistes ont refusé de s'engager et cela a atteint le point où ils se sentent aveuglés, madame la vice-présidente, leur douleur physique étant rejetée ou expliquée comme une maladie mentale. À quel point est-ce insultant et humiliant ? » a déclaré le député Sir Christopher Ghope.

    Sources include:

    LifeSiteNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-17-brilliant-documentary-fully-exposes-government-big-pharma-collusion.html

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  26. Tromperie profonde de l'État : la FEMA a soudoyé son père pour qu'il falsifie le certificat de décès lors de la dernière dissimulation de vaccin contre le covid


    Mardi 18 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le père d'un garçon de 16 ans qui a été «vacciné» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) avec l'injection d'ARNm (ARN messager) de Pfizer et est décédé cinq jours plus tard s'exprime sur la façon dont le gouvernement fédéral est essayant maintenant de le soudoyer pour changer la cause du décès sur le certificat de décès du garçon.

    Si Ernest Ramirez accepte de changer la cause du décès de son fils Ernesto Jr. d'une inflammation cardiaque à "covid", l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA) est prête à lui verser des dizaines de milliers de dollars en paiement de ses services à l'appui de Opération Warp Speed.

    Ramirez est apparu sur "The Absolute Truth" avec Emerald Robinson pour parler de son fils et de la tentative de manipulation par le gouvernement de sa cause de décès. Ramirez a expliqué qu'il n'avait pas accepté l'offre de la FEMA car il ne s'agissait pas d'argent, mais plutôt d'honnêteté et d'aider les autres à éviter ce qui est arrivé à son fils.

    Le segment a débuté avec la responsable des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis, Rochelle Walensky, expliquant comment des enfants encore plus jeunes que le fils de Ramirez devraient se faire injecter des germes chinois, le tout avec un sourire de «plaisir du duper» sur son visage.

    Ramirez a ensuite semblé parler de la façon dont la santé de son fils avait empiré après avoir été poignardé avec l'aiguille de Pfizer, vraisemblablement pour continuer à fréquenter l'école.

    Dis juste non aux drogues covid, Amérique
    Nous savons d'après le récit de Ramirez que le cœur de son fils est devenu le double de la taille normale d'un enfant de son âge après s'être fait tirer dessus avec le poison de l'ARNm. Cinq jours plus tard, il est décédé et une autopsie a révélé une hypertrophie cardiaque comme cause du décès.

    Ramirez a écrit ce qui suit en l'honneur de son fils décédé :

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  27. VOUS AVEZ UNE CARDITE DE CAILLOTS ? La publicité sur la myocardite pour les ENFANTS omet commodément la cause la plus probable


    Tuesday, October 18, 2022
    by: S.D. Wells


    (Natural News) Votre enfant souffre-t-il de la cardite de Pfizer ? Il n'est pas seul. En fait, des millions d'enfants dans le monde développent soudainement un cœur gravement enflammé après avoir été vaccinés contre la grippe Fauci, et l'industrie médicale n'arrive tout simplement pas à comprendre pourquoi. En fait, ils le savent, et c'est plus qu'évident avec la dernière publicité sur le nombre croissant d'enfants dont le cœur est soudainement enflé et enflammé, mais ne vous inquiétez pas, car cela ne ruinera pas leurs rêves. Les parents n'ont qu'à ramener leurs enfants chez le médecin pour de nombreux tests de diagnostic effectués par les mêmes personnes qui leur ont injecté des millions de prions de protéines de pointe toxiques qui ont obstrué leur sang et enflammé leur muscle cardiaque. Aussi simple que cela.

    Selon la publicité du complexe industriel du vaccin, il n'y a aucun lien entre les injections de caillots Covid-19 et la myocardite, juste un nouveau phénomène étrange des deux dernières années où le muscle cardiaque des enfants et les tissus environnants deviennent gravement enflammés et ils ont besoin de médicaments, contre- traitement de choc (cardioversion pédiatrique), stimulateurs cardiaques et éventuellement chirurgie critique pour survivre.

    Voici la publicité qui ignore complètement la myocardite induite par le vaccin contre laquelle les inserts du vaccin mettent en garde (que personne ne lit, y compris les médecins et les infirmières à leurs patients) :

    - voir clip sur site -

    Pfizer-carditis balaie maintenant la nation et le monde, affectant même les adultes, les adolescents et les enfants en bonne santé
    Vous avez une cardite induite par un caillot, également connue sous le nom de cardite de Pfizer ? Lorsqu'un être humain a de longs caillots caoutchouteux contenant du sang, du sodium et des métaux lourds obstruant son système vasculaire, le cœur devient tendu et peut battre de manière irrégulière. Les fabricants de caillots ne peuvent pas l'admettre à la télévision ou sur YouTube, car c'est là que tout leur « trafic » de lavage de cerveau allopathique va chercher leurs informations. Suivez la balle qui rebondit, comme un petit enfant dopé aux injections de caillots.

    Oui, la VSRF (Vaccine Safety Research Foundation) met en lumière la dernière pandémie qui a balayé le pays - Clot Shot Carditis. Votre enfant s'est-il plaint de CSC et de "maux d'estomac ?"

    La publicité dit qu'il vaut mieux les conduire à l'hôpital pour des tests de diagnostic, afin qu'ils puissent vous dire plus tard qu'il s'agit d'un problème génétique héréditaire. Attachons l'enfant sur la table et commençons ce traitement de cardioversion pédiatrique. Peut-être faire une piqûre de rappel contre le coronavirus pendant que vous y êtes et «faire d'une pierre deux coups» (ou peut-être deux oiseaux et un enfant).

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  28. L'année dernière, Pfizer a lancé une publicité recrutant des enfants pour leurs essais cliniques sur les injections de caillots, et maintenant, un an plus tard, il y a une publicité qui traite mystérieusement d'une augmentation massive des cas d'inflammation cardiaque pédiatrique, sans même mentionner les piqûres de Fauci Flu chacun d'entre eux le plus vraisemblablement reçu. Bonjour, éléphant dans la chambre.

    Pourtant, il s'agit d'être «courageux» et «d'aider les autres» lorsque vous êtes dans un lit d'hôpital, en vous demandant pourquoi votre cœur ne fonctionne soudainement plus correctement et que vous n'êtes qu'un enfant ou un adolescent. Quel genre de rêve est-ce ? Cela ressemble beaucoup plus à un vrai cauchemar.

    Hé les enfants, avez-vous le « courage » de ruiner votre cœur, votre système immunitaire et vos organes de nettoyage vitaux en les remplissant de prions de protéines de pointe imitant les virus ? Levez-vous et retroussez votre manche, cela ne vous fera pas mal, jusqu'à ce que votre cardite de Pfizer se développe et que vous ayez besoin d'un traitement de choc pour vivre.

    Qu'est-il arrivé au fait que la FDA retire du marché des produits nocifs dont il est prouvé qu'ils causent des dommages à la santé, des effets secondaires graves et la mort ? Ajoutez Vaccines.news à vos sites Web indépendants préférés pour obtenir des mises à jour sur les « vaccins » expérimentaux qui causent une grave inflammation du cœur chez les enfants, les adolescents et les adultes.

    Les sources de cet article incluent :

    Pandemic.news
    Expose-news.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-18-myocarditis-commercial-conveniently-leaves-out-most-likely-cause.html

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  29. AUCUNE PREUVE n'existe pour suggérer que le covid "a émergé naturellement", déclare l'ancien vice-président de l'EcoHealth Alliance


    mardi 18 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Le Dr Andrew Huff, ancien vice-président de la tristement célèbre EcoHealth Alliance, s'exprime sur le coronavirus de Wuhan (Covid-19), qui, selon lui, n'était pas un phénomène naturel.

    Le vétéran de l'armée a récemment comparu pour une interview sur "Liz Collin Reports" pour discuter de la façon dont il a été "piraté à plusieurs reprises", placé sous surveillance et suivi pour avoir dit ce qu'il prétend être la vérité sur l'arnaque.

    Diplômé de l'Université du Minnesota, Huff deviendrait un scientifique principal en technologie des données chez EcoHealth, qui a joué un rôle majeur dans le déclenchement de la grippe Fauci.

    Huff travaille depuis longtemps dans la guerre biologique et le bioterrorisme, deux choses qui occupent une grande partie de son curriculum vitae. Au fil du temps, cependant, il dit qu'il est arrivé à la conclusion que son travail pourrait conduire à une «condamnation à mort» métaphorique pour un scientifique, car avant d'arriver à EcoHealth, il était de plus en plus tenu, sous statut classifié, de ne pas parler de son travail.

    En 2014, il a accepté un poste chez EcoHealth où il a aidé à construire un appareil de biosurveillance avancé pour le ministère de la Défense (DoD).

    "Je savais que [je ferais du travail pour le DoD] en y allant, et je ne pensais pas vraiment qu'il y avait quoi que ce soit de néfaste derrière ça", dit Huff.

    Peter Daszak, le patron de Huff, dit qu'il a examiné la proposition de "gain de fonction" pour la recherche qui était déjà en cours
    Le supérieur direct de Huff n'était autre que Peter Daszak, dont le nom a fait la une des journaux en tant que chef de file de la recherche sur le « gain de fonction » qui se déroulait à l'Institut de technologie de Wuhan dans la Chine communiste.

    À l'époque, de telles recherches étaient déjà en cours et Huff a reçu une proposition scientifique universitaire à ce sujet pour examen.

    "J'atteste que j'ai examiné la proposition qui a été soumise au NIH qui détaillait le travail de virologie à gain de fonction qui était mené pour créer l'agent connu sous le nom de SARS-CoV-2, qui cause la maladie connue sous le nom de COVID-19", dit Huff.

    Gardez à l'esprit que c'était en 2014, des années avant que la grippe Fauci n'apparaisse dans des circonstances mystérieuses sur la scène mondiale comme une «pandémie».

    Dans sa déclaration, Huff a déclaré qu'il s'oppose à la recherche sur le gain de fonction car elle est utilisée pour rendre les maladies plus nocives - ou transmissibles des animaux aux humains, dans le cas du virus chinois, alors qu'une telle transmission ne serait autrement pas possible.

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  30. Huff a étudié pour son doctorat sous la direction du Dr Michael T. Osterholm, qui se trouve être le conseiller covid du faux «président» Joe Biden. Il dit que l'influence d'Osterholm l'a amené à s'opposer par principe à la recherche sur le gain de fonction.

    Le but, dit-il, est de "développer une contre-mesure médicale" à une maladie avant que cette maladie ne devienne un problème. En d'autres termes, il s'agit de donner à Big Pharma les clés pour développer des médicaments « blockbusters » pour la prochaine grande « peur » de la santé.

    "Le pire, c'est qu'ils délèguent leur responsabilité de ce qu'on appelle un agent de biosécurité ou un comité de biosécurité institutionnel à un sous-traitant", a ajouté Huff. "Ce sous-traitant est l'Institut de virologie de Wuhan."

    Huff continuerait à confronter Daszak à ce sujet, bien que légèrement parce qu'il était nouveau dans son poste. Daszak aurait répondu que le problème serait « pris en charge », bien que Huff ait noté que Daszak « avait toujours une attitude désinvolte envers tout ce qui concernait la sécurité ».

    Huff finirait par quitter EcoHealth en 2016 après que des problèmes avec un autre programme connu sous le nom de Predict soient apparus. C'est à peu près au même moment que Huff apprendrait que Daszak lui avait menti au sujet des activités commerciales quotidiennes de l'entreprise.

    "Il n'y a pas la moindre preuve que cela soit apparu naturellement", a déclaré Huff à Alpha News à propos du SARS-CoV-2. "Aucun."

    Les dernières nouvelles sur le virus chinois peuvent être trouvées sur Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    AlphaNews.org
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-18-no-evidence-covid-naturally-emerged-ecohealth-alliance.html

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  31. L'université de Boston défend une étude controversée sur la souche hybride COVID avec un taux de mortalité de 80 % chez les souris


    PAR TYLER DURDEN
    MARDI 18 OCTOBRE 2022 - 23:00
    Écrit par Jack Phillips via The Epoch Times


    L'Université de Boston a publié mardi une déclaration défendant ses recherches sur une souche COVID-19 Omicron lorsqu'elle a pris la protéine de pointe de la variante et l'a attachée à la souche COVID-19 d'origine, entraînant un taux de mortalité plus élevé chez certaines espèces de souris, suscitant des inquiétudes parmi législateurs.

    «Le virus porteur d'Omicron S échappe de manière robuste à l'immunité humorale induite par le vaccin, principalement en raison de mutations dans le motif de liaison au récepteur… alors qu'Omicron provoque une infection bénigne et non mortelle, le virus porteur d'Omicron S inflige une maladie grave avec un taux de mortalité de 80 % », a déclaré l'étude pré-imprimée.

    Un législateur, le sénateur Roger Marshall (R-Kan.), A déclaré que la recherche impliquait un "gain mortel de recherche sur les virus fonctionnels" qui crée le "potentiel de tuer plus de personnes que n'importe quelle arme nucléaire singulière". Marshal, un médecin, a ajouté que "les virus ont réussi à s'échapper même des laboratoires les plus sécurisés" et a déclaré que ces "recherches doivent s'arrêter immédiatement pendant que les risques et les avantages peuvent être étudiés".

    Pendant ce temps, Emily Erbelding, directrice de la division de microbiologie et des maladies infectieuses de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré à Stat News que la demande de subvention de l'Université de Boston ne spécifiait pas que les chercheurs souhaitaient effectuer ce travail et le groupe n'a pas dit que c'était effectuer des expériences pour éventuellement améliorer une variante de COVID-19. Une enquête est actuellement en cours, a-t-elle précisé.

    L'Université de Boston a publié une longue déclaration défendant ses recherches et a déclaré que les critiques avaient déformé les objectifs de l'étude tout en réfutant les allégations selon lesquelles l'étude impliquait une recherche sur le gain de fonction, ce qui peut rendre un agent pathogène plus mortel ou transmissible.

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  32. "La recherche a été examinée et approuvée par le Comité institutionnel de biosécurité (IBC), qui se compose de scientifiques ainsi que de membres de la communauté locale", indique le communiqué de l'Université de Boston. « La Commission de la santé publique de Boston a également approuvé la recherche. En outre, cette recherche reflète et renforce les conclusions d'autres recherches similaires menées par d'autres organisations, y compris la FDA. En fin de compte, cette recherche offrira un avantage public en menant à de meilleures interventions thérapeutiques ciblées pour aider à lutter contre les futures pandémies.

    Certains rapports sur l'étude étaient "faux et inexacts", a déclaré le responsable de l'Université de Boston, Ronald Corley, dans un communiqué. Un rapport du Daily Mail, a-t-il allégué, a sorti la ligne «80%» de son contexte.

    "Nous voulons remédier aux informations fausses et inexactes sur la recherche COVID-19 de l'Université de Boston, qui sont apparues aujourd'hui dans le Daily Mail", indique le communiqué. "Premièrement, cette recherche n'est pas une recherche sur le gain de fonction, ce qui signifie qu'elle n'a pas amplifié la souche du virus SARS-CoV-2 de l'État de Washington ni ne l'a rendue plus dangereuse. En fait, cette recherche a rendu le virus se répliquer moins dangereux.

    Escapade du laboratoire ?

    Répondant aux inquiétudes selon lesquelles la souche manipulée COVID-19 Omicron pourrait s'échapper du laboratoire de l'Université de Boston, Corley a déclaré que l'école prenait la sécurité au sérieux.

    "Nous prenons au sérieux notre sécurité et notre façon de traiter les agents pathogènes, et le virus ne quitte pas le laboratoire dans lequel il est étudié", a-t-il déclaré. « Tout notre objectif est la santé publique. Et cette étude en faisait partie, trouvant quelle partie du virus est responsable de la maladie grave. Si nous pouvons comprendre cela, nous pourrons alors développer les outils dont nous avons besoin pour développer de meilleures thérapies.

    Cependant, un médecin interrogé par le Daily Mail a exprimé son inquiétude face à la recherche.

    "Le problème est de savoir pourquoi vous allez utiliser [les laboratoires]. S'ils sont à des fins de diagnostic, vous en avez besoin. Mais je ne pense pas que tous les pays aient besoin d'un BSL-4 », a déclaré le Dr Paul Hunter, expert en maladies infectieuses à l'Université d'East Anglia en Angleterre, faisant référence au niveau de biosécurité le plus élevé utilisé dans les laboratoires.

    "S'ils commencent à avoir un double objectif pour la recherche qui a des implications militaires offensives, c'est le problème", a-t-il déclaré.

    Il y a eu de nombreuses spéculations selon lesquelles des scientifiques d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, auraient contribué à l'épidémie initiale de COVID-19 à Wuhan. Bien que les responsables du Parti communiste chinois aient officiellement blâmé l'émergence du virus sur un marché humide de la ville chinoise, certains responsables du renseignement américain en 2021 ont déclaré qu'ils pensaient que le COVID-19 avait été créé à l'intérieur du laboratoire ou s'était échappé de l'installation.

    https://www.theepochtimes.com/boston-university-defends-controversial-study-on-covid-hybrid-strain-with-80-percent-mortality-rate-in-mice_4803917.html

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    Réponses
    1. (...) Marshal, un médecin, a ajouté que "les virus ont réussi à s'échapper même des laboratoires les plus sécurisés" et a déclaré que ces "recherches doivent s'arrêter immédiatement pendant que les risques et les avantages peuvent être étudiés". (...)

      NE PRENONS PAS LES GENS POUR DES CONS !! Ladite poussière (virus) ne s’échappe pas dans l'air (à laquelle seule une personne serait touchée dans le monde) mais 's’écharperait' sous forme de millions de flacons vers des hégémonistes-seringues-en-main surpayés pour fermer leur gueule.

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  33. Documentaire convaincant


    Mardi 18 octobre 2022


    Comme je l'ai expliqué précédemment, le vaccin moderne a causé des blessures mortelles dans la moitié de ma famille.

    Sur la base de mon expérience personnelle et de mes recherches savantes, je recommande fortement de consulter le film documentaire du livre "The Real Anthony Fauci" Free Viewing du 18 octobre pour 10 jours seulement. Faites votre propre esprit plutôt que de l'avoir fait pour vous.
    Liens vers la vidéo:

    https://tinyurl.com/3s62aa8j

    https://www.therealanthonyfaumovie.com/trailer?sub4=fd34275e33bd4c41af237cbdb970338d&afid=362

    http://majiasblog.blogspot.com/2022/10/compelling-documentary.html

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  34. Fauci sur les fermetures d'écoles COVID: "Je n'ai rien à voir avec ça"


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 19 OCTOBRE 2022 - 11:44
    Écrit par Jack Phillips via The Epoch Times


    Depuis qu'il a annoncé en août qu'il quitterait son poste à la Maison Blanche, le Dr Anthony Fauci a déclaré qu'il n'avait "rien à voir" avec les fermetures d'écoles liées au COVID et la perte d'apprentissage accompagnée signalée chez les élèves des écoles publiques.

    S'adressant à ABC News dimanche, Fauci a nié être responsable d'avoir poussé le consensus public sur la fermeture des écoles en raison de la propagation du virus. Aux États-Unis, de nombreuses écoles publiques et privées ont été contraintes de fermer et d'utiliser l'apprentissage virtuel, ce qui, selon de nombreux experts et études, a entraîné une baisse spectaculaire des compétences de base.

    L'animateur d'ABC News, Jonathan Karl, a demandé: "Était-ce une erreur dans tant d'États, dans tant de localités, de voir des écoles fermées aussi longtemps qu'elles l'ont été?"

    "Je ne veux pas utiliser le mot" erreur "John parce que si je le fais, il est sorti du contexte sur lequel vous me posez la question", a déclaré Fauci en réponse. « Pourrait-il y avoir un prix trop élevé ? Karl a précisé, faisant probablement référence à la chute des performances scolaires, à l'isolement social et à la crise de santé mentale que les fermetures d'écoles ont alimentées.

    "Ce que nous devrions réaliser, et avons réalisé, [est] qu'il y aura des conséquences collatérales délétères lorsque vous faites quelque chose comme ça", a ajouté Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses depuis 1984. "L'idée que cela le virus n'affecte pas les enfants n'est pas le cas. Nous avons déjà perdu près de 1 500 enfants jusqu'à présent.

    Une étude qui gonflait le nombre de décès dus au COVID-19 chez les enfants a été corrigée en juillet.

    L'agence de Fauci n'a pas le pouvoir de forcer la fermeture d'écoles, d'entreprises ou d'autres entités, bien que les républicains et d'autres critiques aient déclaré que lors de ses fréquents entretiens à partir du début de 2020, Fauci avait recommandé des verrouillages généralisés. Ces fermetures et ordonnances de maintien à domicile ont été émises soit par les États, les comtés ou les municipalités, car le gouvernement fédéral – à savoir les Centers for Disease Control and Prediction – a principalement émis des recommandations.

    Fauci a également souvent fait des déclarations désastreuses sur la trajectoire de la pandémie, faisant même une sombre prédiction cette semaine que de nouvelles variantes du virus réapparaîtraient cet automne et cet hiver.

    Plus tard dans l'interview d'ABC, Fauci a affirmé qu'il avait appelé à plusieurs reprises les écoles à rester ouvertes le plus longtemps possible, bien qu'il n'ait fourni aucune preuve ni aucun exemple pour cette affirmation.

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  35. « Personne ne joue ce clip. Ils reviennent toujours et disent "Fauci était responsable de la fermeture des écoles". Je n'avais rien à voir [avec ça]. Je veux dire, passons aux faits », a-t-il déclaré.

    Déclarations

    En mai 2020, lorsque le sénateur Rand Paul (R-Ky.) Lui a dit que les données montrent que les enfants ne courent pas un risque sérieux de complications graves du COVID-19, Fauci a déclaré : « Je pense que nous ferions mieux de faire attention à ne pas cavalière, en pensant que les enfants sont totalement immunisés contre les effets délétères.

    Dans d'autres lieux publics et lors d'entretiens, Fauci a également continuellement mis en garde contre la levée des restrictions pour les écoles, ce qui a probablement contribué à alimenter des extensions ou davantage de fermetures d'écoles. En mars 2020, Fauci a déclaré qu'il serait favorable à un verrouillage national et a déclaré que "le pire est à venir" pour COVID-19.

    Fauci à la fin de 2020 a exprimé son soutien au maintien des écoles ouvertes, mais a souhaité la fermeture de nombreuses entreprises.


    Fauci recommence. Prétend qu'il n'a RIEN à voir avec les fermetures. Doit-on rejouer cette compilation ? Apparemment oui. pic.twitter.com/73L2pDpABS

    – Justin Hart – GoneViralBook.com (@justin_hart) 16 octobre 2022
    Au cours d'un cas en décembre de cette année-là, Fauci a déclaré qu'il voulait "fermer les bars et garder les écoles ouvertes".

    "La position par défaut devrait être d'essayer, du mieux que possible dans des limites raisonnables, de garder les enfants à l'école ou de les ramener à l'école", a déclaré Fauci. "Si vous regardez les données, la propagation parmi les enfants et par les enfants n'est pas vraiment très importante du tout, pas comme on aurait pu le soupçonner", a-t-il ajouté.

    Plus de questions

    "Beaucoup d'écoles ont été fermées", a également déclaré Karl dimanche. «[T]il y avait beaucoup d'apprentissage à distance… Cela a duré – dans certaines juridictions pendant près de deux ans… Et nous avons vu l'impact. Nous avons vu ce qui s'est passé en termes de scores inférieurs en lecture, en mathématiques inférieurs… Et qui sait l'impact psychologique… Je veux dire que c'était un coût élevé.

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  36. "C'était le cas", a déclaré Fauci, ajoutant que "le plus important est de protéger les enfants".

    Des mois auparavant, lors d'un segment de Fox News, il avait été interrogé sur l'impact que les confinements avaient sur les enfants.

    « Rétrospectivement, docteur, regrettez-vous que cela soit allé trop loin ? un animateur de Fox News lui a posé des questions sur les verrouillages, ajoutant "en particulier pour les enfants qui ne pouvaient pas aller à l'école sauf à distance, que cela les a endommagés à jamais?"

    "Eh bien, je ne pense pas que cela ait à jamais causé des dommages irréparables à qui que ce soit", a répondu Fauci, ajoutant que "les gens de manière sélective … tirent des choses sur moi".

    https://www.theepochtimes.com/fauci-on-covid-school-shutdowns-i-had-nothing-to-do-with-it_4803507.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  37. Coup de tonnerre : les USA sont en train de tester des médicaments expérimentaux sur des Africains en Ouganda


    By Cheikh Dieng
    19 octobre 2022


    L’Afrique est-elle devenue le nouveau terrain d’expérimentation des médicaments de Big Pharma? La question se pose au moment où l’Ouganda se bat contre l’épidémie Ebola qui a déjà fait plus de 35 morts. Et c’est dans ce contexte que Lecourrier-du-soir.com a appris de l’agence de presse Reuters une information qui risque de déclencher une vive polémique.

    En effet, dans un article paru ce 17 octobre sur son site et intégralement lu par notre rédaction, Reuters nous apprend que les Etats-Unis ont envoyé à ce pays d’Afrique des anticorps expérimentaux à savoir le Remdesevir (médicament qui a connu un échec cuisant dans la lutte contre le Covid) et un médicament nommé MBP134 fabriqué par le laboratoire Mapp Biopharmaceutical Inc’s.

    D’après l’agence de presse Reuters, l’information a été révélée par Jane Ruth, ministre ougandais de la Santé lors d’une rencontre à Kampala avec les autorités africaines en charge de gérer les épidémies et pandémies dans cette partie du continent africain. Lors de cette rencontre, la ministre a refusé de dévoiler le nom d’un autre médicament expérimental qui a été administré aux soignants.

    Contacté par la presse, le laboratoire Gilead (qui a fabriqué le Remdesivir) a refusé de répondre. Quant au labo Mapp Biopharmaceutical Inc’s, l’agence Reuters nous apprend qu’il a récemment signé avec le gouvernement américain, ce 4 octobre, un contrat de 110 millions de dollars pour développer ce médicament MBP134.

    Joint par la presse, PDG du labo Mapp Biopharmaceutical Inc’s, Larry Zeitlin, a confirmé que son médicament MBP134 est en phase de test et que les données sont en train d’être analysées.

    A peine révélée, l’affaire suscite une vague indignation sur les réseaux sociaux, notamment sur Twitter.

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-tonnerre-les-usa-sont-en-train-de-tester-des-medicaments-experimentaux-sur-des-africains-en-ouganda/

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  38. Peut-on être « libéral-conservateur » ?

    Quelle est la part de libéralisme dans le « libéral-conservateur » ?


    le 19 octobre 2022
    Nathalie MP Meyer


    Au détour des conversations que j’ai pu avoir avec différents membres de la famille libérale, il arrive souvent que mon interlocuteur me dise en substance : « Pour ma part, je suis libéral-conservateur, c’est-à-dire libéral en économie et conservateur sur le plan sociétal. »

    Et il me demande ensuite où je me situe selon cette variante particulière du libéralisme.

    Les libéraux, une petite famille tout en nuances

    La famille libérale est certes petite en nombre, mais il est vrai qu’elle se rattrape largement quand on en vient à faire la liste extensive de ses mille et une nuances. À supposer que vous vous sentiez une petite inclination libérale, savez-vous si vous êtes anarcho-capitaliste, libéral-libertaire, minarchiste, libertarien, libéral classique, ordo-libéral… ?

    La multiplication des étiquettes qualifiant les libéraux tient d’abord au fait que le mot anglais liberal a été progressivement préempté par la gauche américaine, rendant nécessaire l’adoption de nouveaux vocables, notamment celui de libertarian. Mais en règle générale, les différences entre ces termes s’expliquent par la place plus ou moins grande – quoique toujours limitée – accordée à L’État.

    Libéral dans un domaine seulement ?

    Avec « libéral-conservateur », rien de tel. L’ampleur étatique n’est pas en cause. Elle est naturellement souhaitée la plus réduite possible, notamment dans le domaine économique, par opposition à l’interventionnisme et au dirigisme propres au socialisme ou même à la social-démocratie. Nombreuses sont les personnes qui souhaiteraient que l’État les laisse travailler en paix, sans les harasser de contraintes absurdes et sans leur prendre en impôt des portions confiscatoires de leurs revenus. Mais le terme renvoie plutôt à un tri effectué dans les activités humaines afin de voir quels domaines peuvent relever ou pas du libéralisme.

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  39. À la question posée ci-dessus, je réponds ainsi :

    « Je suis totalement libérale, donc sur le plan sociétal, je suis ravie que des personnes puissent bénéficier de la liberté de fumer, divorcer ou avorter (par exemple). Mais à titre personnel, je mène une vie des plus classiques ; je trouve que fumer est idiot car dangereux, et serais-je confrontée à une situation d’avortement ou de divorce, que je me trouverais face à un grave problème de conscience. »

    Le choix personnel du libéral

    À titre personnel. Voilà le petit détail qui fait, je crois, que le terme « libéral-conservateur » associe deux qualificatifs qui ne sont pas situés au même niveau. « Libéral » renvoie au principe général de responsabilité et de liberté des personnes dans une société qui valorise les droits naturels, c’est-à-dire la liberté, la propriété et la sécurité, tandis que « conservateur » donne une indication sur les préférences spécifiques de la personne qui parle. Préférences que, dans un contexte libéral, elle est parfaitement en droit d’avoir, mais qui ne sauraient s’imposer à tout le monde.

    Il est certain que nous vivons dans une société où s’épanouit chaque jour un peu plus un constructivisme progressiste rampant. Par exemple, il faut désormais se déclarer officiellement opposé au don d’organe pour ne pas être considéré comme donneur d’office, et il existe maintenant un délit d’entrave numérique à l’IVG qui consiste à pénaliser les sites internet coupables, aux yeux du gouvernement, de diffuser de « fausses informations » dans le but de décourager les femmes d’avorter.

    Si « conservateur » signifie qu’on refuse, à titre personnel, d’être entraîné à marche forcée par décision gouvernementale dans les valeurs obligatoires du progressisme et qu’on souhaite avoir le droit d’adopter un mode de vie qu’on pourrait qualifier de « classique » ou « traditionnel », tout en reconnaissant aux autres le droit de faire des choix différents, il devient inutile d’accoler ce mot à « libéral » dans la mesure où le libéralisme est justement l’environnement qui laisse la société évoluer par elle-même et permet à chacun de vivre à sa façon dès lors qu’il n’y a pas d’atteintes aux personnes et aux biens.

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  40. Le libéral-conservateur selon Hayek

    Mais l’on peut songer à une autre définition du « conservateur ». Pour Friedrich Hayek dans son texte « Why I am not a conservative »1-, il s’agit de quiconque se montre hostile aux changements radicaux. Dès lors, le « conservateur » sera enclin à protéger l’ordre établi, y compris en recourant à l’autorité de l’État, afin de ralentir la marche de la société et graver dans le marbre de la loi l’ordre ancien qui lui est cher contre le « déplorable relativisme » qu’il attribue à toute personne qui se déclare ouverte aux valeurs qui ne sont pas les siennes.

    Cette attitude n’est pas libérale, mais le contexte socialiste (au sens large) dans lequel nous vivons depuis plusieurs décennies a contribué à créer une confusion et une forme d’assimilation erronée entre le libéralisme et le conservatisme.

    Dans un précédent article, je notais que lorsque le gouvernement est de gauche, il pratique avec enthousiasme une politique typiquement socialiste selon la trilogie « lubies écolo-sociétales, dépenses, impôts », ce qui déclenche chez le blogueur libéral des réflexions peu amènes sur le sujet qui lui attirent la sympathie de personnes qui détestent les socialistes mais qui ne sont pas nécessairement très libérales.

    De façon conjoncturelle, libéralisme et conservatisme se rejoignent dans leur opposition au progressisme à marche forcée dont je parlais plus haut, mais ces deux approches sont cependant à l’opposé dans leurs valeurs essentielles. Car dans cette configuration, le libéral refuse le terme « marche forcée » tandis que le conservateur refuse le terme « progressisme », quitte à imposer d’en haut son conservatisme.

    Le libéral ayant des préférences personnelles conservatrices rejettera éventuellement l’avortement pour lui-même, mais il ne l’interdira pas aux autres. Dans la formulation de Hayek, que je partage totalement, cela donne :

    Il y a maintes valeurs des conservateurs qui me conviennent mieux que celles des socialistes ; mais aux yeux d’un libéral, l’importance qu’il attache personnellement à certains objectifs n’est pas une justification suffisante pour obliger autrui à les poursuivre aussi.

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  41. À l’inverse, le conservateur tel que défini par Hayek n’aura de cesse de mettre en place un gouvernement qui l’interdira. Notre conservateur n’est certes pas progressiste, bien au contraire, mais il est néanmoins tout autant « constructiviste » que le socialiste et use des mêmes coercitions pour faire advenir, ou plutôt revenir l’ordre social auquel il aspire. Hayek à nouveau :

    Comme le socialiste, il (le conservateur) est moins soucieux de la façon dont les pouvoirs du gouvernement devraient être limités, que du choix de qui les exercera, et comme le socialiste il se considère autorisé à imposer aux autres par la force les valeurs qu’il révère.

    Dans cette seconde acception du terme « conservateur », il y a bien un mot de trop dans la formule « libéral-conservateur », mais contrairement à la première définition, c’est le mot « libéral », le mot le plus important, qui n’a plus sa place.

    Alors, peut-on être « libéral-conservateur » ?

    Le mot composé « libéral-conservateur » a-t-il un sens ? J’ai tendance à répondre que non. Soit le conservateur est conservateur pour lui-même sans chercher à voir ses opinions prévaloir pour l’ensemble de la société, et dans ce cas il n’a pas besoin d’ajouter le terme conservateur à libéral dans la mesure où son cas est prévu dans le libéralisme.

    Soit le conservateur ne sera satisfait dans ses convictions que si celles-ci s’imposent à tous. Pour ne pas être progressiste, il n’en est pas moins constructiviste selon ses propres valeurs. Cela l’écarte à tout jamais de la philosophie libérale qui appelle à la tolérance et à l’esprit de responsabilité des individus, dans l’unique limite du respect des personnes et des biens. Dans ce cas, le terme libéral est non seulement de trop : il est incompatible avec le conservatisme en question.

    C’est pourquoi, comme Hayek avant moi, « I am not a conservative ».



    Sur le web

    Un article publié initialement le 15 janvier 2018 .

    « Why I am not a conservative » a été publié en postface de The Constitution of Liberty (p. 397), Friedrich Hayek, The University of Chicago Press, 1960. Version française de l’Institut Coppet ici. ↩

    https://www.contrepoints.org/2022/10/19/307423-on-etre-liberal-conservateur

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    1. La presse permet et a toujours permis de faire passer l'idée nano-groupusculaire comme étant celle de la majorité (ajoutez-y quelques faux sondages d'opinion pour faire plus vrai et le tour est joué).
      C'est ainsi que les putains de dictateurs des siècles précédents sont toujours honorés aujourd'hui et représentés comme étant des exemples !!! Ce n'est pas pour rien car c'est seulement le nom qui a changé ! Êh oui ! De l'impérialisme Charlemagniesque en passant par les merdes couronnées on en est arrivé à s'appeler 'président' et de gouverner une raie publique !
      Tout cela sans jamais, surtout jamais ! s'appeler 'Démocratie' ! Parce que si vous commencez à demander l'avis du Peuple où va-t-on ? Mais où va-t-on je vous le demande ! Mais en liberté mon bon monsieur, en paix, en liberté, en Démocratie ! Parce que la Démocratie c'est Par le Peuple Pour le Peuple. (comme en Suisse).

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  42. Le chaos conceptuel allemand
    Voici, en bonus et en complément d’un article précédent, une partie du gloubiboulga allemand à l’appui de son intention de faire capoter à terme la réautorisation du glyphosate, intention annoncée dans le titre de son communiqué, « Obtenir la sortie du glyphosate en toute sécurité juridique » :

    « Le gouvernement fédéral s’en tient à l’objectif européen déclaré, à savoir rendre le secteur agricole plus durable, plus écologique et donc plus apte à affronter l’avenir. C’est précisément dans le contexte de la guerre d’agression menée par la Russie contre l’Ukraine, en violation du droit international, et des secousses qu’elle a provoquées dans les systèmes agricoles et alimentaires mondiaux, qu’il convient de garder une vue d’ensemble de toutes les crises. La sécurité alimentaire ne peut être atteinte qu’en préservant la biodiversité, un environnement intact et une véritable protection du climat. C’est pourquoi le gouvernement fédéral mise – en accord avec l’European Green Deal – sur une politique agricole qui reconnaît et prend en compte la protection du climat et la biodiversité comme des conditions fondamentales pour une agriculture durable. »

    https://www.contrepoints.org/2022/10/19/441015-renouvellement-de-lautorisation-du-glyphosate-le-barnum-a-bruxelles

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    1. Tous les médicaments contiennent un poison (volume infinitésimal) mais il deviennent mortels si l'on ne respecte pas les prescriptions de dosage. Le Round'Up vient de la terre et retourne... dans la terre ! Çà alors !!
      Oui mais, comme l'objectif est à la dépopulation si on commence à leur dire qu'il faudrait manger 100 kg de patates par jour pour s'empoisonner l'histoire tomberait à l'eau tandis que si vous insistez sur le fait qu'il s'agit d'un poison...
      Imaginez qu'après avoir inventé que le gaz carbonique est un poison soit supprimé tous les sodas, vins mousseux et eaux pétillantes !!

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  43. L'agence de Fauci examine maintenant l'étude universitaire de la souche hybride de COVID qui a tué « 80 % » des souris


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 19 OCTOBRE 2022 - 18:25
    Écrit par Jack Phillips via The Epoch Times


    Un responsable de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses a déclaré que l'agence évaluerait plus avant une étude controversée de préimpression commandée par l'Université de Boston qui a développé un hybride COVID-19 qui a tué "80%" des souris de laboratoire, affirmant que l'équipe impliquée n'avait pas effacé le travail avec l'agence fédérale.

    S'adressant à STAT News, Emily Erbelding, chef de la division de la microbiologie et des maladies infectieuses du NIAID, a suggéré que les chercheurs de BU n'avaient pas correctement divulgué ce que leur étude impliquerait et n'ont pas dit qu'ils effectueraient ce travail spécifique. La proposition de subvention, a déclaré Erbelding, n'indiquait pas non plus clairement que les scientifiques amélioreraient peut-être une souche de COVID-19 dans les rapports qui ont été remis au NIAID, l'agence dirigée par le Dr Anthony Fauci.

    Cette semaine, les laboratoires nationaux des maladies infectieuses émergentes de BU ont suscité la condamnation et la controverse lorsqu'ils ont publié (pdf) l'article non évalué par des pairs montrant que les chercheurs ont pris la protéine de pointe pour la souche COVID-19 Omicron et l'ont greffée à l'original, Wuhan COVID-19 souche. Ils ont découvert que lorsqu'elle était testée sur des souris de laboratoire, la souche nouvellement créée était plus mortelle que la variante originale d'Omicron, tuant 80 % des souris, bien qu'Erbelding ait noté que la souche originale de Wuhan avait tué 100 % de ces souris.

    "Je pense que nous allons avoir des conversations au cours des prochains jours", a déclaré Erbelding à STAT mardi, suggérant que l'équipe BU n'a pas informé le NIAID de ce qu'ils prévoyaient de faire. "Nous souhaitons qu'ils l'aient, oui."

    Réfutation

    En réponse à une demande de commentaires d'Epoch Times mardi, un porte-parole de l'Université de Boston a souligné une déclaration mise à jour publiée par l'université mardi. Epoch Times a également contacté le NIAID pour un commentaire.

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  44. L'université a défendu la recherche et mis au pilori ce qu'elle a décrit comme des rapports trompeurs et faux sur l'étude, affirmant qu'aucune recherche sur le gain de fonction, qui pourrait améliorer la létalité ou la transmissibilité d'un agent pathogène, n'a été effectuée pendant la recherche.

    Sur cette photo d'archive, des étudiants et des passants passent devant une entrée du Boston University College of Arts and Sciences à Boston, le 29 novembre 2018. (Steven Senne, File/AP Photo)
    Il a également réfuté les affirmations d'Erbelding et du NIAID dans les articles de STAT News, affirmant qu'il "remplissait toutes les obligations et protocoles réglementaires requis" et "conformément aux directives et protocoles du NIAID, nous n'avions pas l'obligation de divulguer cette recherche pour deux raisons. ”

    "Les expériences rapportées dans ce manuscrit ont été réalisées avec des fonds de l'Université de Boston. Le financement du NIAID a été reconnu car il a été utilisé pour aider à développer les outils et les plateformes qui ont été utilisés dans cette recherche ; ils n'ont pas financé cette recherche directement », indique le communiqué. «Le financement [des National Institutes of Health] a également été reconnu pour une subvention d'instrumentation partagée qui a aidé à soutenir les études de pathologie. Nous pensons que les flux de financement des outils ne nécessitent pas d'obligation de déclaration.

    Et "deuxièmement, il n'y a eu aucun gain de fonction avec cette recherche", a déclaré l'université, ajoutant que s'il "y avait des preuves que la recherche gagnait en fonction, sous le NIAID et nos propres protocoles, nous arrêterions immédiatement et signalerions. Toutes les recherches à l'Université de Boston, qu'elles soient financées par le NIAID ou non, suivent ce même protocole. Nous sommes en conversation continue avec la direction et les responsables de programme du NIAID. »

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  45. Critique

    Cependant, à la suite de rapports sur l'étude, certains groupes et législateurs conservateurs ont exprimé leur inquiétude.

    Le laboratoire P4, désigné comme le plus haut niveau de sécurité biologique, à l'Institut de virologie de Wuhan à Wuhan, en Chine, le 17 avril 2020. (AFP via Getty Images/Hector Retamal)
    Le sénateur Roger Marshall (R-Kan.), un médecin, a publié une déclaration selon laquelle de telles recherches ne devraient pas être menées dans des «zones densément peuplées» car elles créent le «potentiel de tuer plus de personnes que n'importe quelle arme nucléaire singulière».

    « L'histoire nous a appris que les virus ont réussi à s'échapper même des laboratoires les plus sécurisés. Ce n'est pas un risque que seuls les scientifiques devraient pouvoir prendre sans l'assentiment du public américain. Cette recherche doit s'arrêter immédiatement pendant que les risques et les avantages peuvent être étudiés », a-t-il déclaré dans un communiqué.

    Le sénateur a fait référence au gouvernement fédéral ayant fourni un financement à un groupe tiers pour effectuer d'éventuelles recherches sur le gain de fonction dans un laboratoire de haute sécurité à Wuhan, en Chine, situé dans la même ville où les premiers cas de COVID-19 ont été enregistrés en 2019. Certains responsables du renseignement américain ont publié un rapport en 2021 selon lequel le virus pourrait s'être échappé d'un laboratoire.

    https://www.theepochtimes.com/faucis-agency-now-scrutinizing-university-study-of-hybrid-covid-strain-that-killed-80-percent-of-mice_4806320.html

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  46. La « misère » au Royaume-Uni augmente alors que l'inflation atteint de manière inattendue son plus haut niveau de 40 ans


    PAR TYLER DURDEN
    MERCREDI 19 OCTOBRE 2022 - 16:20


    Avec chaque développement dans le cas du panier politique et budgétaire qu'est le Royaume-Uni sous le microscope, la nouvelle d'aujourd'hui selon laquelle l'inflation au Royaume-Uni a atteint de manière inattendue un nouveau sommet de 40 ans de 10,10 % n'a pas été très bien accueillie par les marchés.

    L'inflation sous-jacente de l'IPC au Royaume-Uni est passée de 6,26 % en glissement annuel en août à 6,54 % en glissement annuel en septembre, au-dessus des attentes du consensus. Mais c'est l'inflation globale de l'IPC qui a volé la vedette, bien au-dessus des attentes du consensus, et passant de 9,87 % en glissement annuel en août à 10,10 % en glissement annuel en septembre, tirée par les plus fortes hausses des prix alimentaires depuis des décennies.

    - voir graph sur site -

    L'Office des statistiques nationales a déclaré que l'indice global des prix à la consommation avait augmenté de 0,5% en septembre par rapport à août, une augmentation plus importante au cours du mois qu'en 2021, lorsque l'indice n'avait augmenté que de 0,3%.

    La composition de la vigueur était généralisée, la catégorie des hôtels et restaurants contribuant le plus à l'augmentation de l'inflation sous-jacente. Parmi les composantes non essentielles, les prix de l'essence ont connu une baisse séquentielle en septembre, tandis que l'inflation séquentielle des prix des produits alimentaires a légèrement ralenti mais a explosé sur une base annuelle.

    - voir graph sur site -

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  47. L'augmentation du taux d'inflation global d'une année sur l'autre a été principalement attribuable à une augmentation de l'inflation sous-jacente. Dans l'ensemble des composantes de base, l'augmentation a été généralisée, la plus grande contribution provenant des prix des hôtels et des restaurants. Bien que l'ONS note que le changement de tendance saisonnière de cette année a contribué à l'augmentation, les restaurants et les hôtels sont également l'une des catégories les plus sensibles aux coûts de main-d'œuvre. Parmi les composantes non essentielles, les prix séquentiels de l'essence ont chuté en septembre, mais cela a été largement compensé par la vigueur séquentielle continue de l'inflation alimentaire.

    - voir graph sur site -

    Paul Dales, économiste en chef du Royaume-Uni chez Capital Economics, a déclaré que le taux d'inflation passerait à 10,5% en octobre et à 11% en avril une fois la garantie gouvernementale sur les prix de l'énergie expirée.

    "La publication d'aujourd'hui met en évidence le danger que l'inflation sous-jacente reste forte même si l'économie s'affaiblit", a-t-il déclaré.

    À plus de cinq fois l'objectif de 2% de la Banque d'Angleterre, le taux d'inflation à deux chiffres ajoutera également à la pression sur la banque centrale pour une forte hausse des taux d'intérêt le 3 novembre. Cela dit, la BoE devra peser le prix supplémentaire pressions contre les volte-face du gouvernement sur les baisses d'impôts non financées et les allégements moins généreux sur les coûts énergétiques des ménages, qui réduiront les pressions à moyen terme sur les prix.

    Samuel Tombs, économiste en chef du Royaume-Uni chez Pantheon Macroeconomics, a déclaré que "le MPC est encore loin de pouvoir revendiquer la victoire" sur l'inflation, mais a exhorté la banque centrale à s'inquiéter davantage de "l'affaiblissement de la demande des consommateurs et de l'émergence d'un relâchement du marché du travail". que le niveau élevé d'inflation actuel.

    La résurgence de l'inflation au Royaume-Uni a renvoyé l'indice de misère à son plus haut niveau depuis 1992...

    - voir graph sur site -

    La nouvelle a déclenché une forte baisse de la livre sterling, au milieu des craintes que la récession stagflationniste à venir soit particulièrement douloureuse, car la BOE est maintenant obligée de continuer à augmenter alors qu'elle immobilise l'économie. C'était également assez grave pour déclencher une vente agressive des TSY américains, qui avaient flirté avec le niveau de 4% pendant toute la session, pour ensuite franchir de manière décisive le dessus après les données britanniques.

    - voir graph sur site :

    https://www.zerohedge.com/markets/uk-inflation-unexpectedly-hits-40-year-high-sending-yields-sharply-higher

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  48. Le climat est-il conçu ?


    Mardi 18 octobre 2022
    Par: éditeurs de nouvelles


    (Nouvelles naturelles) Celui qui contrôle le temps contrôle le monde. » Ces mots inquiétants ont été prononcés en 1962, à la Southwest Texas State University, alors vice-président Lyndon B. Johnson. Dans ce discours de l'ère de la guerre froide, il faisait allusion à ce qui pourrait arriver après le «développement d'un satellite météorologique qui permettra à l'homme de déterminer la couche de nuage mondiale et de contrôler finalement la météo».

    (Article de Janet Levy republié de Americanthinker.com)

    Plus tard, en tant que président, LBJ autoriserait l'opération Popeye, la pulvérisation de l'argent et conduirait l'iodure dans les nuages ​​de tempête de mousson au Cambodge, au Laos et au Vietnam pour faciliter les opérations militaires américaines en provoquant des glissements de terrain et en lavant les traversées de la rivière. Cela a été exposé par le journaliste Jack Anderson (dans une chronique du 18 mars 1971 au Washington Post), Seymour Hersh et les Pentagone Papers du New York Times. L'Amérique et le monde se sont réveillés sur la possibilité que l'ingénierie météorologique puisse faire partie de la guerre invisible, produisant une couverture nuageuse, des sécheresses, des tempêtes ou des inondations.

    La manipulation météorologique à grande échelle peut être une réalité aujourd'hui. Et, tandis que le monde est profondément divisé sur le changement climatique, Dane Wigington, le fondateur et chercheur principal de Geoengineering Watch (GEW), est déterminé à exposer l'immense danger à l'avenir de notre planète qui allègue.

    Il étudie les opérations climatiques secrètes depuis plus de 20 ans, parcourant les documents du gouvernement et militaires, examinant des images de films et effectuant des tests de données atmosphériques. Le plus préoccupant, dit-il, est le fait que l'enquête scientifique sur le sujet est censurée et les données critiques supprimées.

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  49. Wiginton a récemment produit la gradation: exposer la dissimulation de l'ingénierie mondiale, un documentaire alertant le public sur les graves implications pour l'atmosphère, la santé humaine et les écosystèmes. Il allègue que les géo-ingénieurs visent à mettre chaque année des tonnes de 10m à 20 m de nanoparticules dans le ciel. Comme les cendres fines des grands volcans, ces particules bloquent le soleil.

    Wigington déclare qu'ils sont pulvérisés dans l'atmosphère des avions, comme les iodures utilisés pour les pluies artificielles, et laissent des chemtrails omniprésents, qui sont expliqués par des scientifiques complices et des médias comme des trails (ou des sentiers de vapeur condensés des avions). Mais Wigington, qui dit qu'il a étudié le contenu des sentiers, rejette l'explication: il dit que la condensation est limitée à des altitudes en raison d'une faible humidité, et il est impossible pour les condensats de bloquer autant d'énergie solaire. Chemtrails, dit-il, jouent un rôle majeur dans cette interférence continue avec l'atmosphère.

    Au cours des dernières années, Wigington et ses collègues ont collecté des séquences vidéo d'avions avec des buses visibles en cours de désactivation et même de découverts de films de la Seconde Guerre mondiale B-17 éteignant une dispersion pulvérisée. Ils ont échantillonné des particules d'en bas, au-dessus, et à travers la couche confluente de brume émise par de gros jets à 40 000 pieds. Ils ont détecté des quantités importantes et croissantes d'aluminium, de baryum et de strontium qui persistent et se développent dans la couverture nuageuse.

    Les micro-ondes radiofréquences extraordinairement puissants sont ensuite utilisés pour manipuler la couverture nuageuse chargée de nanoparticules, explique Wigington. Des fréquences plus élevées chauffent la couverture nuageuse chargée, créant des zones de pression dans les niveaux supérieurs de l'atmosphère qui dirige les courants de vent pour déplacer les masses d'air et les systèmes météorologiques de manœuvre. Les fréquences plus basses refroidissent l'air et le calment.

    Ces opérations d'ingénierie climatique saturent également notre atmosphère avec des particules de diffusion légère qui modifient le spectre lumineux, sa qualité et son intensité. Cela affecte la photosynthèse et la santé des plantes. Avec la couche d'ozone endommagée en conséquence, cela expose également la Terre et ses habitants à des niveaux élevés de rayonnement - UVA, UVB et UVC.

    Wigington explique que les particules en aluminium sont très réfléchies et réduisent la lumière directe du soleil. Ce sont également des dessiccants qui réduisent l'humidité atmosphérique et l'humidité relative, perturbant le cycle hydrologique. Les chercheurs GEW allèguent que ces aérosols de sulfate stratosphérique ont provoqué une accumulation de particules de diffusion légère dans l'atmosphère, créant un effet de gradation. Ces expériences téméraires - une entreprise mondiale - causent des dommages inédits à la planète et à la santé humaine. Les précipitations auraient augmenté de 10 à 30 %.

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  50. Plus de 50 pays sont impliqués indépendamment dans la création de ce monstre de Frankenstein - Australie, Inde, Russie, Thaïlande, Afrique du Sud et bien sûr la Chine. Wigington souligne l'apparition de tempêtes de neige paralysantes à Pékin en 2009, le premier enregistrement de la neige en 22 ans. Apparemment, le bureau de modification météorologique de la ville avait eu recours à l'ensemencement des nuages ​​en déposant l'iodure d'argent dans l'atmosphère pour provoquer la cristallisation de la vapeur d'eau à des températures plus basses que la normale.

    GEW a recherché la manipulation des ouragans par transmission de fréquence, des processus brevetés qui existent depuis un certain temps. En fait, les brevets de modification météorologique se heurtent aux centaines. Ils appellent à l'ensemencement des tempêtes d'en haut par les avions, après quoi les installations de transmission de fréquence au sol peuvent augmenter les précipitations dans certaines régions et la diminuer dans d'autres.

    Project Cirrus dès 1947, a tenté de modifier un ouragan. Le projet était une collaboration entre General Electric, l'US Army Signal Corps, l'Office of Naval Research et l'US Air Force. Lors de cette première tentative, le 53e groupe de reconnaissance météorologique a volé le long des bandes de pluie d'un ouragan et a perdu 180 livres de glace sèche écrasée dans les nuages. Le changement ultérieur dans la direction de l'ouragan a été imputé à l'ensemencement, mais plus tard, face aux poursuites, l'intervention humaine en tant que facteur causal a été refusée.

    Il y a eu plus de projets depuis, essayant d'affaiblir les cyclones et de perturber les ouragans, mais pour couvrir, ils ont été rejetés comme inefficaces. Gew, cependant, a capturé des images d'ouragans dirigées en utilisant des émetteurs radiofréquences pour manipuler des particules pulvérisées à partir d'avions. Il a également des images satellites de la NASA montrant la manipulation des cyclones au large de la côte ouest de l'Afrique.

    Le programme de recherche aurorale active haute fréquence (HAARP), un projet militaire de 330 millions de dollars visant à explorer les capacités de guerre électromagnétique, a été conçue pour atteindre les objectifs fixés dans la domination à spectre complet (2020) et la possession de la météo en 2025. Initialement, son site Web répertorié indiqué (2020) et possédant la météo en 2025. L'objectif du programme: «Haarp est une entreprise scientifique visant à étudier les propriétés et le comportement de l'ionosphère, avec un accent particulier sur la capacité de le comprendre et de l'utiliser pour améliorer les communications et les systèmes de surveillance à des fins civiles et de défense.» La partie après la virgule a depuis été abandonnée. Le gouvernement prétend avoir fermé le projet en 2013, mais beaucoup soupçonnent qu'il est toujours en activité pour le contrôle des intempéries - pour provoquer des tremblements de terre, des ouragans, des tsunamis et des systèmes de communication perturbés.

    Tout cela ressemble à de la science-fiction - des êtres humains jouant D.ieu pour contrôler la météo. L'ingénierie du climat détruit-elle le cycle climatique, la couche d'ozone et les forêts bombardantes avec un rayonnement UV intense qui tue la flore de la planète de haut en bas? A-t-il été responsable de la modification des courants de vent de niveau supérieur qui modifient les courants océaniques? La planète est-elle plus électriquement conductrice parce que l'ionisation interventionnelle de l'atmosphère provoque plus de foudre et allume plus d'incendie ?

    Wigington et ses chercheurs de GEW croient fermement que tout cela est vrai. Est-ce que ses chercheurs sont crédibles ? Ils croient que c'est l'ingénierie du climat - pas le changement climatique par rapport à l'activité humaine - qui détruit la planète.

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    https://www.naturalnews.com/2022-10-18-is-the-climate-being-engineered.html

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    1. La dissimulation de l'objectif réel est de faire croire que la dispersion en haute altitude de nano-particules empêchera les rayons du soleil d'arriver sur Terre ! HAHAHAHAHAHA ! Et çà maaaaaaarche !
      La preuve a déjà été apporté par les camps de concentration où du fluor était ajouté à l'eau afin... afin de lutter contre les caries dentaires ! HAHAHAHAHAHA !
      Çà y est ? Vous avez compris ?
      Car si les cons à l'armée s'apercevaient du but exterminatoire des dictateurs... ils se sentiraient peut-être aussi un peu visés !

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  51. ENCORE 2 COMMENTAIRES DE CENSURÉS ! (60 - 2 = 58)

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