- ENTREE de SECOURS -



mercredi 12 octobre 2022

La demande mondiale en gigawatts est insatiable : fabriquer un smartphone nécessite presque autant d'énergie qu'un réfrigérateur

 

October 12th, 2022

Par Jo Nova


Un rapport de Mark Mills intitulé The "Energy Transition" Delusion est sorti en août avec des statistiques meurtrières. Malgré l'adoption glorieuse et effrénée des énergies renouvelables étincelantes, l'éolien et le solaire fournissent moins de 5% de la demande énergétique mondiale totale, tandis que les hydrocarbures détestés fournissent toujours 84%. Et cette demande énergétique ne cesse de croître et sans fin en vue.

Les économies mondiales sont confrontées à un choc énergétique potentiel, le troisième choc de ce type depuis un demi-siècle. Les coûts et la sécurité de l'énergie sont revenus sur le devant de la scène, tout comme la prise de conscience que le monde reste profondément dépendant d'approvisionnements fiables en pétrole, gaz naturel et charbon.

C'est un trou noir d'énergie de haute technologie

Comme l'a noté James Freeman du Wall Street Journal, certaines des statistiques les plus révolutionnaires du rapport concernent les téléphones portables. Notre besoin de gadgets, de téléphones et d'Internet signifie que nous avons besoin de plus d'énergie que jamais :

Historiquement, les coûts énergétiques de fabrication d'un produit suivaient à peu près le poids de la chose produite. Un réfrigérateur pèse environ 200 fois plus qu'un sèche-cheveux et nécessite près de 100 fois plus d'énergie pour sa fabrication. Mais il faut presque autant d'énergie pour fabriquer un smartphone qu'un réfrigérateur, même si ce dernier pèse 1 000 fois plus. Le monde produit près de 10 fois plus de smartphones par an que de réfrigérateurs. Ainsi, la fabrication mondiale de smartphones consomme désormais 15 % d'énergie en plus que l'ensemble de l'industrie automobile, alors même qu'une voiture pèse 10 000 fois plus qu'un smartphone. Le Cloud mondial, la plus récente et la plus grande infrastructure de la société, utilise deux fois plus d'électricité que l'ensemble de la nation japonaise.

La plupart des pays du monde ne possèdent pas (encore) de voiture

Les partisans d'un monde sans carbone sous-estiment non seulement la quantité d'énergie que le monde utilise déjà, mais aussi la quantité d'énergie supplémentaire que le monde exigera encore. Il y a plus de personnes, plus de richesses et plus de types de technologies et de services qu'il n'en existait lorsque le président John F. Kennedy a fait face à la crise des missiles de Cuba en 1962, et 60 ans plus tard, la consommation mondiale d'énergie a augmenté de plus de 300 %. À l'avenir, il y aura encore plus d'innovations et plus de personnes, dont beaucoup seront plus prospères et voudront ce que d'autres ont déjà, de meilleurs soins médicaux aux voitures et aux vacances. Aux États-Unis, il y a presque autant de véhicules que d'habitants, alors que dans la majeure partie du monde, moins d'une personne sur 20 possède une voiture. Plus de 80 % de la population mondiale n'a pas encore pris un seul vol.[25] La fabrication de médicaments consomme beaucoup plus d'énergie que la fabrication de voitures ou d'avions, et les hôpitaux utilisent 250 % d'énergie en plus par pied carré que les bâtiments commerciaux.

Peu importe la volonté d'obtenir des nattes roses sur le toit, les chiffres mondiaux sont colossaux, et seulement au début de la courbe exponentielle.

Comme je l'ai indiqué en juin, le monde utilise plus de combustibles fossiles que jamais

La transition énergétique n'a aucune chance de suivre la croissance de la demande énergétique mondiale, et encore moins d'évincer les énergies fossiles :

Sources d'énergie, global, Graphique. OWID.

https://ourworldindata.org/energy-mix

h/t à Rafe Champion, Paul Miskelly, Jim Simpson, Neville, Dave B.

RÉFÉRENCES

Institut de Manhattan, Mark Mills

Le délire de la transition énergétique [PDF]

https://www.youtube.com/watch?v=wDOI-uLvTnY&feature=emb_imp_woyt

https://joannenova.com.au/2022/10/global-demand-for-gigawatts-is-insatiable-to-make-one-smartphone-takes-almost-as-much-energy-as-a-fridge/

55 commentaires:

  1. INFLUENCE & PANDÉMIES : intégrité de la décision publique & corruption


    by Jean-Dominique Michel
    10 octobre 2022


    CORRUPTION SYSTÉMIQUE

    La question de la fraude et de la corruption au sein des politiques de santé, dont je me prévaux sans fausse modestie d’être un des bons experts actuels, est centrale à la compréhension de la gestion désastreuse de la pandémie de Covid-19. Je n’ai aucun mérite particulier quant à cette compétence : détestant l’injustice, la […]

    La question de la fraude et de la corruption au sein des politiques de santé, dont je me prévaux sans fausse modestie d’être un des bons experts actuels, est centrale à la compréhension de la gestion désastreuse de la pandémie de Covid-19. Je n’ai aucun mérite particulier quant à cette compétence : détestant l’injustice, la malhonnêteté et par-dessus tout la crapulerie institutionnalisée, cela faisait 15 ans que je rassemblais patiemment les ressources documentaires (foisonnantes) à ce sujet.
    Je l’ai souvent relevé : alors qu’il s’agit d’un des problèmes (graves) les mieux documentés, paradoxalement reconnu par toutes les instances qui comptent dans le domaine, les responsables politiques et médicaux comme les « journalistes » sont frappés d’amnésie à chaque flambée de corruption. Singeant alors le fameux singe : « je n’ai rien vu, je n’ai rien entendu et je ne parlerai pas ». Ce qui donne au passage une idée assez précise de la confiance qu’on peut leur accorder.

    Imaginez : les mêmes « journalistes scientifiques » qui couvrent les scandales sanitaires à répétition (comme le Mediator, le sang contaminé ou le Vioxx) au long des années, qui pondent par beau temps des papiers relevant la systématicité des conflits d’intérêts tout au long de la chaîne d’autorisation, de recommandation et de prescription, les voilà tout soudain, alors que de nouvelles inconduites criminelles font rage, garder la tête plantée dans le sable en une sorte de coma intellectuel et moral.

    La fraude et la corruption aujourd’hui infestent et pourrissent tous les pouvoirs et systèmes concernés : gouvernements et agences de santé, revues et comités « scientifiques », hôpitaux universitaires et sociétés médicales, parlements et partis, mass médias évidemment, mais aussi justice, influenceurs et syndicats. Le tableau est holistique – c’est pour cela que l’on parle (il s’agit de l’expression consacrée) de « corruption systémique » : elle est devenue le mode par défaut de ces « élites ».

    Les lectrices et lecteurs intéressés découvriront prochainement sur cet espace une série de contributions consacrée à ce grave et douloureux sujet, dans la foulée des colloques organisés récemment à Lisbonne et Peyrolles-en-Provence.

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  2. Des experts au fait de ces réalités et n’ayant (contrairement aux autres) pas d’intérêts à les dénier ont rassemblé les preuves écrasantes des inconduites en la matière comme de la duplicité lamentable des autorités médico-politiques. Passant en revue tour à tour les fraudes statistiques relatives au Covid, les fraudes mathématiques et scientifiques dans la pseudo-recherche, les fraudes dans l’enseignement et la pratique médicale, les fraudes dans la politique « vaccinale », la fraude philosophique et éthique, la fraude journalistique, la fraude judiciaire et enfin bien sûr la fraude désormais endémique au sein des systèmes de santé.

    Tout fin connaisseur de ces réalités que je sois par la force des choses, je dois en toute bonne foi m’incliner devant la vastitude et la précision de l’expertise du Dr Michel Cucchi. Celui-ci, docteur en médecine spécialisé en biologie médicale et docteur en sociologie mais aussi cadre hospitalier, nous a gratifiés au Conseil scientifique indépendant de deux analyses absolument magistrales – la première portant sur la première gestion désastreuse de la crise H1N1 (- nous reviendrons prochainement sur le seconde, portant sur les biais dans les études relatives aux « vaccins » anti-Covid).

    Pour voir CSI n°46 du 7 mars 2022 « »Gestion de la grippe H1N1, l’industrie du médicament et la décision publique » : cliquer ici.
    Il vient par ailleurs de publier aux éditions Marco Pietteur un livre intitulé « INFLUENCE & PANDÉMIES, Expériences hasardeuses et tentations autoritaires » qui est une véritable somme. Tout professionnel ou penseur honnête intéressé à ces questions sera avisé de s’y plonger : c’est de la très belle ouvrage, avec une pertinence et une précision dans l’analyse ainsi qu’une somme de références documentaires spectaculaire. Ce livre constitue un véritable ouvrage de référence dans la perspective d’une défense de l’intégrité de la décision publique -tellement mise à mal depuis trois ans et, au-delà, quelques décennies. En voici la présentation :

    « Partout dans le monde, la prévalence de l’intérêt public sur celui de quelques-uns est remise en question, au point que nous ne parvenons plus à traiter nos problèmes vitaux fondamentaux de façon efficiente. La gestion de la pandémie de covid n’a pas échappé à cette malédiction, avec des avis, des recommandations et des décisions étranges de la part des autorités publiques qui n’étaient cohérents ni avec l’intérêt général, ni avec l’état de la connaissance scientifique. A quelle cohérence, à quelles influences cette série de décisions pouvait-elle correspondre ? Pour ouvrir cette question au débat et tenter de préserver l’intégrité de la décision publique, nous avons moins besoin de trouver des coupables que de cerner de quelle manière ces influences parviennent à s’immiscer dans les institutions et conduire à une décision dégradée.

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  3. Les faits et événements traités dans cet ouvrage s’inscrivent dans la période des trente à quarante dernières années marquées par la financiarisation de l’économie et par l’implication croissante des services de défense et de sécurité dans le champ de la décision sanitaire publique. Dans une première partie, nous identifions deux influenceurs principaux, l’industrie du médicament et le complexe militaro-industriel, les multinationales du conseil et le philanthrocapitalisme étasunien apparaissant comme les vecteurs de leurs influences mêlées. Dans une seconde partie, nous nous attachons à leurs modes d’influence, de la corruption des organisations professionnelles à la manipulation de l’autorité scientifique, qui conduisent à une capture efficace de la décision publique. La troisième partie s’attache à décrire de quelle manière les infl uenceurs sont parvenus à cette capture dans le champ le plus important de la santé mondiale, celui de la lutte contre les pandémies.

    Devant les difficultés considérables qui s’annoncent, nous avons d’abord besoin d’institutions opérationnelles. Restaurer leur intégrité et celle de la décision publique est une condition préalable au succès de toutes les politiques et stratégiques publiques que nous pourrons imaginer. »

    Avec leur aimable accord (dont je les remercie chaleureusement), MM. Cucchi et Pietteur ont accepté que je partage avec les lectrices et lecteurs de ce blog l’introduction de cet ouvrage ainsi qu’un chapitre essentiel consacré aux modes d’influence sur la décision publique, que vous trouverez en fichier pdf en bas de page. A connaître et à faire connaître tant l’intelligibilité que fournissent ces analyses aident à comprendre ce à quoi nous nous affrontons et entretiennent la juste motivation à les dénoncer !

    Ce blog connaitra par ailleurs une nouvelle évolution dont je vous entretiendrai prochainement. Mais place sans tarder à la salutaire intelligence des choses…

    ____________

    INFLUENCE & PANDÉMIES, Expériences hasardeuses et tentations autoritaires
    par Michel Cucchi, aux éditions Marco Pietteur

    Introduction
    « Les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple […] permet un jour que des banques privées contrôlent sa monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession ». Les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot ont exhumé ce texte de Thomas Jefferson, le troisième Président des Etats-Unis, pour illustrer leur étude de L’Argent sans foi ni loi et des dispositifs par lesquels « une petite oligarchie s’attribue l’essentiel des revenus » au prix de la dégradation des conditions de vie du plus grand nombre.

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  4. L’influence de l’argent sur l’intégrité de la décision publique est d’ailleurs loin de se limiter aux seules institutions bancaires, ainsi qu’en témoigne la situation que le président démocrate Franklin D. Roosevelt a dû affronter lors de son accession à la Maison Blanche en 1932, une situation qu’il décrit dans son dernier discours en vue de sa réélection en 1936 : « Le monopole industriel et financier, la spéculation, la banque véreuse, l’antagonisme de classe, l’esprit de clan, le profiteur de guerre […] avaient commencé à considérer le gouvernement des États-Unis comme un simple appendice à leurs affaires privées. Nous savons maintenant [après la crise financière de 1929] qu’il est tout aussi dangereux d’être gouverné par l’argent organisé que par le crime organisé ».

    L’influence de l’argent sur la décision publique n’est pas non plus le seul à devoir être considéré. Le pouvoir accumulé par quelques-uns et leurs efforts soutenus pour le conserver entrent aussi en ligne de compte. A la suite de la publication de l’ouvrage fondateur du sociologue Charles Wright Mills en 1956, L’élite au pouvoir ou du pouvoir, selon les traductions possibles, c’est au tour du président Eisenhower de nous mettre en garde, à l’issue de son unique mandat de président des États-Unis : « Nous ne devons jamais laisser le poids du complexe militaro-industriel mettre en danger nos libertés ou nos processus démocratiques. […] Nous devons également être attentifs au danger égal et opposé que la politique publique puisse elle-même devenir la captive d’une élite scientifique et technologique ».

    Avec l’expansion financière incontrôlée des années 1990, nous assistons au retour de la confusion entre les affaires publiques et privées et à la captation des systèmes de décision publique au bénéfice d’un petit nombre d’oligarques, des nouveaux « barons-voleurs» qui auraient intégré dans leur cartel les seigneurs de la guerre et de l’ordre public. Leur capacité de façonner la décision collective à leur profit met en péril, d’une part, l’exercice de la souveraineté des peuples, et d’autre part, la confiance du citoyen dans l’action publique. Ni l’un ni l’autre ne peuvent tolérer qu’il existe au sein des institutions des modes d’exercice du pouvoir reposant sur des arrangements auxquels la société civile n’aurait pas accès – l’existence de telles règles tacites n’étant que la traduction d’une forme nouvelle de servitude.

    Ce mouvement de concentration oligarchique a bien entendu pénétré le domaine de la santé, ses industries comme ses processus de décision. L’ouvrage que vous tenez entre vos mains propose une compréhension des chemins par lesquels les intérêts particuliers se sont imposés au cours des deux pandémies déclarées au XXIe siècle. Deux batailles remportées par l’oligarchie contre la science, contre la démocratie et contre l’intérêt général. Nous voulons ainsi inciter nos concitoyens à se saisir urgemment de ces questions vitales. Si nous devions tolérer un tel noyautage de nos institutions sans réagir, il serait à craindre que la pression de la désinformation et du dénigrement organisés s’accroisse tandis que les moyens de revenir à une décision publique intègre s’amenuisent, au détriment de notre santé et de la permanence de nos institutions. Or, devant les difficultés considérables qui s’annoncent pour préserver notre santé comme l’inspiration démocratique de nos sociétés, nous avons grandement besoin d’institutions robustes et opérationnelles. Restaurer leur intégrité et celle de la décision publique est une condition préalable au succès de toutes les politiques et stratégies publiques que nous pourrons imaginer.

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  5. * * * * *

    Début du chapitre « Les modes d’influence sur la décision publique »
    (texte complet en bas de page)

    Sur un fond de corruption « ordinaire», nous avons vu que les industries du médicament exercent une influence directe sur le fonctionnement interne des institutions de santé, induisant une corruption systémique s’étendant de la production de connaissances à la prescription médicale en passant par l’enseignement, la communication scientifique, l’organisation de conférences, la médiatisation des connaissances, les carrières et la surface médiatique des leaders ainsi asservis.

    A un niveau plus élevé de la décision publique, les méthodes d’influence doivent être plus « professionnelles» pour parvenir à des objectifs plus élevés, tels que le recrutement de l’autorité scientifique à des fins de défense d’intérêts particuliers, le contournement méthodique des réglementations, l’imposition du silence sur leurs conséquences délétères, le sabotage du débat public, etc. Selon Omar Tello, procureur et coordinateur des bureaux anticorruption au Pérou, un des pays où le mal est des plus préoccupants, « le problème n’est pas uniquement des achats chers, mais de mauvais achats. Le plus préoccupant est l’achat d’équipements inutiles, comme du gel qui n’a pas le degré d’alcoolisation suffisant pour combattre le virus ou des masques qui ne protègent pas ». Ou des médicaments, des vaccins, etc. Le Dr Philippe Foucras ne dit pas autre chose en 2011 à propos de conflits d’intérêts au sein des institutions sanitaires de la République française (ici, la Haute autorité de santé) : « ce n’est pas une question de morale des experts, mais de facteur de risque de mauvaise information et de mauvais soins ». Il faut enfin parvenir à imposer à la population les contreparties délétères qui pèseront sur elle en termes d’altération des pratiques et de dégradation du service de santé tout en limitant la détérioration de la confiance des patients qui pourrait compromettre la continuité des affaires, ce qui impose une maîtrise des techniques de fabrique du consentement.

    Nous examinons ci-après quelques modes privilégiés d’influence sur la décision publique: la corruption des institutions et des organisations professionnelles, la manipulation de l’autorité scientifique, enfin la capture de la décision publique.

    La corruption des institutions et des organisations professionnelles
    L’industrie du médicament est devenue un groupe de pression omniprésent, versant des sommes gigantesques bien au-delà des seuls acteurs du système de santé: aux agences gouvernementales, aux sociétés savantes et à leurs « honorables correspondants», enfin aux leaders d’opinion à son service.

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  6. Achat de la crédibilité scientifique

    Les sommes faramineuses placées dans le lobbying servent d’abord à acheter les scientifiques des National Institutes of Health. Selon Adam Andrzejewski, ces derniers ont perçu plus de 350 millions de dollars de l’industrie du médicament entre 2010 et 2020, une industrie que ces scientifiques sont censés réguler, chaque commission étant susceptible de constituer un conflit d’intérêts. Des dizaines de millions de dollars sont ainsi versés chaque année par l’industrie pharmaceutique, notamment à Anthony Fauci (23 commissions), au directeur des NIH, Francis Collins (14 commissions) et à l’adjoint de Fauci, Clifford Lane (8 commissions). Le mécanisme est particulièrement pervers : lorsqu’un médicament arrive sur le marché, « le scientifique du NIH qui a travaillé sur son développement a droit à une revendication de brevet sur ce médicament… Ainsi, la société pharmaceutique qu’il est censé réglementer le rétribue chaque fois qu’un médicament est vendu ». Adam Andrzejewski appelle cet arrangement « une alliance impie ». En 2005, The Associated Press avait mis en évidence des flux plus modestes: 9 millions de dollars par an pour 918 scientifiques, soit 9’800 dollars par scientifique cette année-là. En mai 2022, les flux dévoilés sont bien plus conséquents: ce sont désormais 1700 scientifiques qui ont reçu 134 millions de dollars entre septembre 2009 et septembre 2014, soit une moyenne annuelle de 15’800 $ par scientifique. Ainsi, demande Adam Andrzejewski, « Lorsqu’un bureaucrate fédéral apparaît à la télévision pour nous donner des instructions sanitaires, qui les a payées, pour quelle recherche et pour quelle technologie? Lorsqu’un patient accepte un essai clinique ou un traitement expérimental, quels sont les intérêts financiers en jeu ?».

    Financement des sociétés savantes et de leurs membres
    D’une façon générale, les sociétés savantes ont des liens d’intérêt puissants avec l’industrie du médicament. En France, selon le site EurosforDocs, la Société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF) par exemple a perçu 758’300 € de l’industrie depuis 2012, dont 80’000 € de Gilead et 10’000 € d’Abbvie (contre 156’000 € de MSD, 130’000 € de Johnson&Johnson, 120’000 € de GSK). Leurs ressources ne proviennent pas des cotisations, mais des enseignes qui sponsorisent les congrès. « Nous travaillons effectivement avec l’industrie pharmaceutique. Mais ce n’est pas une honte, il est indispensable qu’il y ait des collaborations entre les médecins, qui ont besoin de nouveaux traitements pour les patients, et les laboratoires. C’est la règle partout dans le monde », répond Pierre Tattevin au soupçon de conflit d’intérêts.

    Ces financements sont-ils de nature à influer sur le positionnement des médecins adhérents de la SPILF ? Il apparaît par exemple que de nombreux médecins qui se sont prononcés contre la chloroquine ou l’hydroxychloroquine, publiquement ou dans divers cénacles, ont des liens d’intérêts avec des labo- ratoires ayant des projets de valorisation du traitement du covid, notamment Gilead Sciences (l’hydroxychloroquine est le concurrent le plus sérieux de la molécule promue par Gilead, le remdésivir). Cette enseigne a financé 97 des 114 membres du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT), sous forme de rémunération (comme des prestations de formation) et d’avantages en nature (hébergement, transport, repas lors de congrès scientifiques ou de réunions diverses, défraiements divers), davantage que « l’influenceur traditionnel» (Sanofi). Ces sommes ne sont naturellement pas déboursées en vain: elles influent sur le positionnement public de ces médecins quant aux bénéfices et risques éventuels des produits promus par ces enseignes.

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  7. Selon Yannis Roussel et Didier Raoult [86], celles-ci ont déboursé 4’603’098 € entre 2013 et 2019 en avantages au bénéfice des 98 médecins recensés au sein du Collège des Universitaires des Maladies Infectieuses et Tropicales (CMIT). Le laboratoire Gilead a dépensé 678’527 €, soit une moyenne de 6 924 € par médecin, et il existe une stricte corrélation (p=0,017) entre la position de ces médecins envers l’hydroxychloroquine et les avantages accordés sur la période 2013-2019 : sur les 13 médecins n’ayant perçu aucun avantage, 7 sont « très favorables» à l’hydroxychloroquine, 1 « favorable», 1 « neutre», 4 ne se sont pas exprimés. Parmi les 13 médecins ayant perçu les plus gros avantages, 6 sont « très défavorables», 1 est « défavorable», 3 « neutres» et 3 ne se sont pas exprimés.

    La Collaboration Cochrane est fondée en 1993 par des scientifiques bri- tanniques et scandinaves pour lutter contre la corruption de l’industrie du médicament, alors déjà omniprésente. En 2021, 53 institutions et 30’000 chercheurs y collaborent de façon volontaire et gracieuse pour examiner les données produites par l’industrie en se fondant sur « la médecine fondée sur les faits (ou la preuve) » (evidence based medicine) dans une perspective de conseil des autorités en charge de la réglementation et du contrôle. Grâce à l’un de ses co-fondateurs, le Professeur Peter C. Gøtzsche, l’Union européenne a l’obligation de rendre publiques les données à partir desquelles l’au- torisation de mise sur le marché d’un médicament est accordée (jusqu’alors, ces données étaient couvertes par le secret commercial).

    Cependant, comme l’exprime Didier Raoult, « la Cochrane Library est deve- nue une cible, elle aussi. Dès que quelque chose a une audience suffisante, ça devient une cible du marketing» [18, volume 2, 202]. Sous l’impulsion de son P-DG, Mark Wilson, la Collaboration Cochrane s’engage à partir de 2012 selon les termes du journaliste Stéphane Foucart – dans « une stratégie de marque, à la recherche de nouveaux financements » visant à « monnayer sa crédibilité scientifique ». En septembre 2016, elle perçoit un don de 1,15 million de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates109, et les prises de position de Peter Gøtzsche, assimilant notamment l’industrie du médicament au « crime organisé » , apparaissent incompatibles avec cette nouvelle « stratégie de marque ». De plus, il publie un article critiquant une forme de complaisance de la Collaboration Cochrane à l’égard des vaccins contre le papillomavirus (placebos contenant des adjuvants, auteurs présentant des conflits d’intérêts, etc.), une publication suivie le 3 septembre d’une justification laborieuse de « Cochrane» (un nom plus conforme à la nouvelle « stratégie de marque»). Dix jours plus tard, le 13 septembre, Gøtzsche est exclu non seulement de la direction mais de l’organisation pour des faits mal établis mais dont il ressort que ses prises de position « discréditent » l’organisation. Mais la réputation d’intégrité de Cochrane s’effiloche et les subventions fondent, entraînant une dépendance de plus en plus forte à l’égard d’une poignée de financeurs: les gouvernements britannique, danois et allemand, ainsi que les NIH111. Mais le gouvernement britannique annonce en août 2019 qu’il cesse ses subventions en mars 2023, lesquelles couvrent 21 des 52 groupes de relecteurs (reviewers), tandis que le maintien de la subvention danoise apparaît comme un héritage de Gøtzsche.

    Pour lire la suite et télécharger le chapitre au format pdf : cliquer ici.
    Lien vers la page du livre sur le site de l’éditeur : cliquer ici.

    https://anthropo-logiques.org/influence-pandemies-experiences-hasardeuses-et-tentations-autoritaires/

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  8. Ne jamais céder devant la perversité !


    by Jean-Dominique Michel
    1 septembre 2022


    ACTIONS DE RÉSISTANCE

    DÉRIVE TOTALITAIRE
    Les personnes qui s’illusionnaient un peu vite que, le Covid passé, les choses se calmeraient n’auront pas été excessivement sagaces. L’agenda des élites psychopathes est hélas clair : il vise la destruction pure et simple de nos sociétés. Les pénuries qui se profilent ainsi que l’inflation-massue qui a déjà commencé à prendre son envol continueront […]

    Les personnes qui s’illusionnaient un peu vite que, le Covid passé, les choses se calmeraient n’auront pas été excessivement sagaces. L’agenda des élites psychopathes est hélas clair : il vise la destruction pure et simple de nos sociétés. Les pénuries qui se profilent ainsi que l’inflation-massue qui a déjà commencé à prendre son envol continueront de détruire les entreprises par centaines de milliers.
    Après avoir délibérément provoqué l’intervention russe en Ukraine (en ne respectant pas les engagement pris ni les accords conclus et en laissant les milices néo-nazies multiplier les agressions militaires contre les populations civiles du Dombass), puis après avoir tout fait pour empêcher un accord négocié, voilà-t-il pas que nos « gouvernants » nous annoncent de la sueur, du sang et des larmes comme « prix de notre liberté »… en nous entraînant sur une pente dangereuse-issime.

    La réalité sera dans un premier temps pour nous des hausses du prix des énergies insupportables (et donc meurtrières) pour l’économie réelle. Tout ceci gambadant joyeusement dans la direction du Great Reset désiré avec passion par les élites perverses qui mènent la danse. Les récentes contorsions de la Conseillère fédérale suisse en charge de cette question, expliquant devant la presse que la hausse du prix du gaz avait pour cause que la Russie utilisait ses exportations comme une arme sont caractéristiques du délire actuel : la socialiste occultant totalement le fait que notre pays, neutre à ce que l’on sache, s’est aligné avec un zèle choquant sur les positions européennes…

    Nous devons continuer à nommer la réalité de ce délire morbide. Les élites alternent dans une sorte de danse de Saint-Guy l’énonciation de mensonges éhontés et d’odieuses vérités lâchées avec une obscène candeur… Comme Yuval Harari expliquant que sans le Covid il eût été impossible d’imposer la surveillance de masse,

    - voir cadre sur site -

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  9. ou le très sociopathe Jacques Attali déroulant avec délectation ses scénarii dystopiques comme autant d’inévitables évidences…

    - voir cadre sur site -

    Cette combinaison du mensonge le plus tordu et de la vérité les plus débridée est une arme de destruction massive pour le psychisme humain, en particulier celui des foules.

    Que faire devant autant d’ignominie ? Eh bien, continuer notre travail d’être humain ! Comme nous y invite le Pr Mattias Desmet, grand spécialiste des psychoses de masse : celles-ci ne durent qu’un temps car elles n’ont pas la ressource d’entretenir leur propre vitalité dans la durée. Elles finissent toujours par s’épuiser avant de s’effondrer sur elles-mêmes, non sans bien sûr causer des destructions de grande ampleur à la masse qui s’est laissée entraîner. Notre responsabilité est de tenir en ne lâchant rien. Mais en intégrant nécessairement hélas que le pouvoir politique est devenu profondément malsain.

    Pour voir « Pourquoi le pouvoir politique est-il malade?« , entretien avec Ariane Bilheran : cliquer ici.
    En attendant, la persécution des opposants bat donc son plein, avec son cortège d’agressions, à ce stade surtout institutionnelles.

    L’ordre des médecins poursuit de manière parfaitement abusive (évidemment !) les médecins qui ont osé soigner leurs patients atteints du Covid. Le Pr Christian Perronne est convoqué une nouvelle fois, ainsi que le Dr Olivier Soulier.

    Amine Umlil, Emmanuelle Darles et Vincent Pavan, trois scientifiques membres du Conseil scientifique indépendant auditionnés par la Commission d’enquête du Sénat au sujet de la réalité des effets indésirables, subissent un véritable harcèlement de la part de leurs institutions respectives et des campagnes de lynchage médiatique ignobles.

    Au Québec, le Dr Patrick Provost, Professeur titulaire au Département de Microbiologie-infectiologie et immunologie de la Faculté de médecine de l’Université Laval, grand spécialiste de l’ARN non-codant, a subi le même sort lorsqu’il a commencé à questionner la très questionnable sécurité des injections géniques expérimentales à base d’ARN messager, comme il s’en est expliqué hier soir dans le cadre du Conseil scientifique indépendant.

    Pour voir l’émission du CSI du 1er septembre avec les présentations du Dr Provost et d’Emmanuelle Darles : cliquer ici.
    Pour lire l’article du Dr Patrick Provost et al. « Objection de conscience potentielle à la technologie ARNm comme traitement préventif pour le COVID-19« : cliquer ici.

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  10. Partout les mêmes campagnes de dénigrement obscènes, ayant évidemment pour but de faire des exemples pour dissuader les vocations.

    Pourtant, se coucher face au totalitarisme est une erreur -évidemment courante dans de telles situations.

    Pour la raison suivante : d’une part, vous y perdez inévitablement une partie de votre âme et de votre respect envers vous-mêmes. Cela peut paraître secondaire mais ne l’est aucunement.

    La seconde raison est presque pire : c’est un mauvais calcul !

    Les personnes qui se couchent s’imaginent s’assurer une tranquillité, mais ce n’est vrai qu’à très court terme. Car le propre du déferlement totalitaire n’est pas de laisser les gens tranquilles – même et surtout pas les serviteurs de la dérive !

    L’histoire nous enseigne que si les pouvoirs psychopathes s’acharnent d’abord sur les résistants, ils s’attaquent ensuite inévitablement sur leurs propres troupes. Aucun proche conseiller de Staline n’a été épargné par les purges successives… Et dès lors qu’une personne a perdu le respect de ses abuseurs en courbant l’échine, elle se prédispose en réalité à être encore plus maltraitée que ceux qui sont restés debout.

    Il ne s’agit pas de faire la morale à qui que ce soit. Il est évident que les mesures abusives mettent tout un chacun dans une série de cas de conscience, et j’ai souvent souligné combien nous avons besoin de personnes qui restent inscrits dans les lieux du pouvoir et ses institutions.

    Choisir en son âme et conscience de garder par exemple un poste au sein d’une institution dévoyée peut aussi avoir tout son sens – l’important étant de ne pas se compromettre ou se soumettre !

    Ariane Bilheran vient de donner un exemple magnifique de cela : confrontée à une présentation calomnieuse de sa personne sur un site de propagande comme il en fleurit hélas (les ressources sont généreuses pour ce type d’entreprises…) elle s’est fendue d’une première réponse (relayée sur ce blog) que sa destinataire a traitée avec condescendance.

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  11. Renvoyant la balle aussitôt en nommant explicitement qu’elle était prête à défendre son droit à la protection de sa personnalité par les voies judiciaires à disposition, elle a obtenu le retrait immédiat de la notice diffamatoire en question.

    Voici le courrier envoyé par Ariane suite à une première réponse irrecevable de la rédactrice :

    *****

    Le 27 août 2022,

    Madame, Monsieur

    Je fais suite à votre réponse du 26 août à mon courrier du 24 août 2022, qui demandait de rectifier la « fiche » que vous avez commise à mon sujet, truffée d’erreurs et de mensonges. Vous m’indiquez que vous ne rectifierez rien à ce jour, car une psychologue clinicienne m’aurait dénoncée (« alerté de mes dérives »).

    Je vous ai pourtant donné la preuve que mes diplômes ne sont pas des diplômes fantoches, comme vous le laissez entendre, vous devez donc rectifier cette partie sans attendre.

    D’autre part, comme stipulé sur votre site, vous vous appuyez sur la Charte de Münich, ainsi que sur la « charte des devoirs des journalistes » (j’apprends donc que vous usurpez de fait le rôle de journaliste, puisque vous invoquez cette charte sans en avoir la légitimité) et vous prétendez distinguer « les faits des opinions ». Vous dites aussi que vous ne confondez pas votre « rôle avec celui de la police », mais alors, à quel titre et sur quelle légitimité professionnelle (vous n’êtes ni journaliste ni policier) faites-vous des « enquêtes » sur les gens ? Vous ne semblez pas perturbé par le fait de diffuser publiquement des fausses informations, alors que vous dites vous-mêmes que « l’enquête suit son cours » et que par voie de conclusions, vous n’avez pas vérifié la véracité de vos sources.

    Vous indiquez tenir « la calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits ou le mensonge pour les plus graves fautes professionnelles »[1]. Si vous persistez à ne pas publier mon droit de réponse dans son intégralité, et à ne pas corriger les éléments précités, au regard des informations et des faits que je vous apporte, je considérerai que c’est tout à fait intentionnellement que vous pratiquez le mensonge et la déformation des faits, donc que vous portez atteinte à mon honneur, à ma dignité, à ma probité et à la considération de ma personne, ce qui est susceptible de constituer des infractions pénales d’injures ou de diffamation, réprimées par les articles 29 à 35 quater de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse.

    Par ailleurs, puisque vous invoquez « un accès universel à une information exacte, transparente et de qualité », il me paraît sérieux que vous puissiez communiquer le nom de votre informateur-dénonciateur, dont vous préférez croire les ragots et les rumeurs, plutôt que de vérifier les faits en question, et ce, d’autant que cette psychologue semble contrevenir aux articles 27 et 29 du Code de Déontologie des psychologues :

    Article 27 : Le psychologue respecte la pluralité des références théoriques et les pratiques de ses pairs, pour autant qu’elles ne contreviennent pas aux principes généraux du présent Code. Cela n’exclut pas l’éventualité d’une critique argumentée.

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  12. À vous de voir. J’accepte la bien veillance et c’est ce que je vous propose en échange de cet « égarement ». J’efface. Je m’excuse. Et… ma machine n’a même pas eu le temps de la conserver en mémoire. Si je réécris un jour, ce sera pour dire autre chose.

    CR

    Cela dit, il suffit de lire les autres notices de ce site, dont la suivante, consacrée à Covidhub.ch, un site que j’avais créé avec différents partenaires et géré par des journalistes intègres et compétents, pour comprendre si besoin était à qui on a affaire ! La fiche est tellement mensongère et malveillante que cela en devient comique. On frôle dans la stupidité et la bassesse Heidi News, 24Heures ou les émissions les plus haineuses de la RTS !

    - voir cadre sur site -

    Emmanuelle Darles et Vincent Pavan saisissent quant à eux la justice. Certes, celle-ci est largement absorbée actuellement dans le champ de la corruption systémique, les petits notables que sont les juges de la justice administrative ou de première instance donnant très rarement raison aux justiciables quelle que soit la qualité de leur cause.

    Mais plus on monte dans la chaîne des instances judiciaires, plus les juges sont cultivés, rigoureux et même parfois intègres.

    Quoi qu’il en soit, il importe, il urge, il est vital de ne pas courber l’échine. Je l’explique avec un certain détail dans la vidéo qui suit, introductive au Module 8 de ma Master Class en ligne. J’y aborde également le déplacement d’une conférence que je donnerai la semaine prochaine en Suisse romande du fait d’un harcèlement médiatique contre le lieu qui devait l’héberger – parfait exemple du péril à se coucher devant les procédés honteux, j’y reviendrai tout prochainement.

    Je rappelle ici au passage que je propose ce programme gratuit, sur mon site professionnel (renseignements et inscriptions : https://www.jdmichel.com/master-class… ).

    Elle comprend désormais huit modules consacrés aux thèmes suivants :

    1. Principes de la résilience et de la salutogenèse

    2. Déjouer le business de la peur

    3. Transformer le stress et la colère en énergie vitale

    4. Vivre pleinement

    5. Faire face à la dérive totalitaire

    6. Agir dès maintenant

    7. Comment prendre soin de notre santé ?

    8. Se tenir debout face à la perversité

    - voir clip sur site -

    Get up stand up et courage !

    https://anthropo-logiques.org/ne-pas-ceder-devant-la-perversite/

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  13. L’attaque inattendue sur les gazoducs de Gazprom en mer Baltique

    Nord Stream fait l’objet de tensions politiques depuis des années, mais à présent c’est de sûreté dont il est question. Le 27 septembre, deux fuites de gaz se sont produites sur le gazoduc Nord Stream 1 et une sur le gazoduc Nord Stream 2, appartenant tous deux à la société russe Gazprom. Une deuxième fuite a été détectée un peu plus tard sur Nord Stream 2.

    Il est probable qu’il s’agisse de fuites causées par des charges explosives placées à cet effet près des canalisations.

    Depuis 2012, Nord Stream 1, composé de deux tuyaux de 1,4 mètre de diamètre, transporte un total de 55 milliards de m³ par an (Gm³/a) sur plus de 1200 km. Nord Stream 2, avec également deux tuyaux totalisant également 55 milliards de Gm³/an, a été achevé en 2021, mais n’a jamais été mis en service, l’Allemagne n’ayant pas encore délivré les autorisations nécessaires. Ces gazoducs partent d’endroits voisins dans le golfe de Saint-Pétersbourg, traversent la mer Baltique dans des eaux relativement peu profondes, entre 70 et 90 mètres de profondeur. Après avoir longé les États baltes, la Suède et le Danemark, les gazoducs aboutissent à Greifswald, dans le Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale, près de la frontière germano-polonaise. Comme l’UE importe environ 170 Gm³/an de Russie, la capacité de ces pipelines représente deux tiers de ses importations.

    Du point de vue de l’approvisionnement, la perte de Nord Stream 1 ne perturbe pas la dynamique des flux, puisque la Russie avait déjà suspendu son débit depuis la fin du mois d’août, invoquant des raisons techniques et juridiques.

    Les inconnus de la nouvelle guerre hybride

    N’attendez pas de moi que je vous dise qui a réalisé cet « acte de terrorisme international », comme l’a qualifié le service de sécurité russe FSB.

    Ces explosions sous-marines n’ont pu être organisées que par des services secrets agissant de concert avec du personnel navigant doté de compétences particulières. Les charges explosives ont pu être larguées par des drones marins à partir de navires militaires, puis déclenchées à distance à partir de vecteurs aériens. On dit aussi que si ce sont les Russes qui ont mené cette opération, ils auraient pu placer les charges explosives sur les robots inspecteurs qui se déplacent à l’intérieur des tuyaux. Mais ce ne sont que des suppositions.

    Ceux qui ont le plus intérêt à créer des difficultés à la Russie sont bien sûr les Ukrainiens, mais comme ils n’ont pas de façade maritime sur la mer Baltique, on est en droit de mettre en doute leur implication dans une opération aussi délicate. Les Britanniques ont certainement la capacité de réaliser un tel coup, mais un gouvernement nouvellement installé et en proie à des difficultés budgétaires se lancerait-il dans une aventure aux lourdes conséquences si le coupable devait être découvert ? D’autres pays ou groupes de pays ont la capacité de mener à bien une telle opération. Certains disent que les États-Unis et la Russie savent qui est le coupable, car, soit ils l’ont fait et savent qu’ils l’ont fait, soit ils ne l’ont pas fait et savent que l’autre l’a réalisé.

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  14. Un collègue américain m’a expliqué qu’il se pourrait que ce soient les Russes qui aient commis cet acte, car — de manière stupide — ils ont fait sauter leur gazoduc à la place du nouveau gazoduc Baltic Pipe reliant le Danemark à la Pologne pour alimenter cette dernière en gaz norvégien (la liaison entre les deux pays scandinaves existant depuis longtemps). Baltic Pipe, qui a reçu un soutien financier de la Commission européenne lorsqu’elle était encore autorisée à s’occuper de gazoducs, a été officiellement inauguré… le jour même de la première explosion. Les Russes peuvent-ils envoyer des hommes dans l’espace alors qu’ils seraient incapables d’identifier leurs propres installations sous-marines ?

    L’Allemagne, privée de gaz russe, sera contrainte de passer un hiver sans confort pour ses citoyens et avec des pans entiers de l’industrie chimique à l’arrêt par manque de matière première (le gaz naturel est du méthane, molécule de base de cette industrie). Il y a un risque de graves difficultés en cas de pics de froid cet hiver avec des ruptures de stock en mars si la demande n’est pas réduite de manière significative. La situation sera encore plus préoccupante pour l’hiver 2023/24 puisque les stocks ne seront pas renouvelés l’été prochain. Face à ce désastre social et économique, certains Allemands ont envisagé de se faire livrer du gaz russe par Nord Stream 1. Ces explosions mettent un terme à cette hypothèse, aussi improbable soit-elle.

    Certains disent qu’il était dans l’intérêt des États-Unis de mettre fin au gazoduc Nord Stream afin de promouvoir leur futur marché du gaz et de couper l’approvisionnement en gaz russe de l’Allemagne. Je pense que le marché mondial du gaz connaît une croissance si rapide que les producteurs américains de gaz de schiste n’ont pas besoin de s’inquiéter de la vente de leur production. Nicolas Gosset, un expert militaire belge, ajoute que cela est peu probable, les États-Unis ne pouvant pas faire un tel coup de Jarnac à l’Allemagne, un de leurs fidèles alliés. Sans doute, mais rappelons que Lord Palmerston a dit « Nous n’avons pas d’alliés éternels ni d’ennemis perpétuels. Nos intérêts sont éternels et perpétuels, et il est de notre devoir de suivre ces intérêts. »

    Il faut espérer que les enquêtes lancées par les autorités suédoises, danoises et par les Nations unies permettront de déterminer les conditions de ces fuites et d’identifier les coupables. Pour des raisons de transparence, il est souhaitable que les Russes participent à cette enquête internationale.

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  15. Ces quatre gazoducs ont été mis hors service en quelques jours. Il faudra beaucoup de temps pour les colmater, puis pour évacuer toute l’eau qui les a remplis, provoquant des dégâts dont on ne sait s’ils sont irréversibles. Gazprom ne sera pas en mesure de livrer du gaz par les gazoducs Nord Stream avant longtemps. De plus, on ne peut exclure l’hypothèse d’un sabordage pour permettre à Gazprom d’invoquer la cause de la force majeure lorsque, dans quelques années, un tribunal d’arbitrage devra se prononcer sur des pénalités à l’encontre de Gazprom pour non-respect des contrats de livraison de gaz « take or pay »2 à des entreprises en Allemagne, en France et aux Pays-Bas.

    Sûreté et sécurité

    Dans le domaine de l’énergie, la sécurité est un terme générique qui désigne les moyens techniques, voire humains ou opérationnels pour prévenir les risques de nature accidentelle ou les actes de négligence. Par exemple, on sait particulièrement bien comment prendre en charge la sécurité des centrales nucléaires.

    Le terme sécurité est également largement utilisé pour désigner le besoin impératif de disponibilité de l’énergie par une gestion attentive des approvisionnements afin d’éviter toute rupture de ceux-ci, puisque comme on l’a rappelé au début, l’énergie est vitale. Sureté est un terme relatif à la protection contre des actes délibérés de malveillance — incluant le « terrorisme international » — visant des installations, des personnes, des entreprises ou des pays pour nuire à leurs intérêts.

    L’acte terroriste international à l’encontre des gazoducs Nord Stream met en évidence notre vulnérabilité énergétique dans un monde de plus en plus dépendant des importations de combustibles fossiles. Les oléoducs, gazoducs, terminaux gaziers, terminaux flottants, câbles électriques sont les cibles potentielles d’un nouveau type de conflit. Il en va de même pour les câbles de transmission de données numériques, en particulier à travers l’Atlantique. Une cyberattaque sur les moyens de transmission de données aura bien lieu ; la seule inconnue est quand ?

    Il est pratiquement impossible de sécuriser de telles infrastructures sur des milliers de kilomètres. Mais il est entendu qu’il faut surveiller les gazoducs qui alimentent l’UE, et l’Allemagne en particulier, qui est la plus vulnérable en raison de sa politique énergétique naïve. Par exemple, en l’absence de la fourniture de gaz russe, si l’approvisionnement en provenance de Norvège devait être interrompu, la situation serait catastrophique.

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  16. Le projet Desertec, promu en 2009 par l’armada industrielle allemande avec le soutien d’Angela Merkel, était considéré comme un « projet d’avenir ». Il était censé produire de l’électricité solaire dans le Sahara. Son corollaire français, le projet Medgrid, imaginé par Nicolas Sarkozy pour ne pas laisser l’Allemagne seule dans ce succès annoncé, visait à exporter cette énergie renouvelable vers l’UE à travers la Méditerranée. Ces deux projets étaient des aberrations économiques et ont donc été abandonnés en catimini. Ils étaient également insoutenables sur le plan éthique, étant donné que moins de la moitié de la population africaine a accès à l’électricité. Nous assistons aujourd’hui à une répétition de cette aberration avec la détermination de l’Allemagne à produire de l’hydrogène — explosif — en Afrique. Ces fantasmes n’auraient jamais dû être envisagés, compte tenu des risques et des conséquences gigantesques que nous subirions tous en cas d’« acte de terrorisme international ». Avec les puissances qui étaient envisagées, un acte de sabotage aurait plongé toute l’UE dans un blackout électrique aux conséquences mortelles (plus d’électricité pendant des jours dans les hôpitaux et EHPAD), la paralysie des transports, des activités industrielles et le froid dans les maisons si cela devait arriver en hiver puisque même les systèmes de chauffage au fioul ou au gaz ont besoin d’électricité pour fonctionner).

    Il est étonnant qu’il y ait encore des propositions de construction de méga-réseaux d’approvisionnement en électricité ou de transport d’hydrogène…

    Les solutions qui nous ont permis de sortir des crises pétrolières des années 1970 sont toujours valables. Il est urgent de réhabiliter la production d’hydrocarbures dans l’UE et de promouvoir l’énergie nucléaire. Produire nos propres hydrocarbures et notre propre électricité nucléaire est à la fois le meilleur moyen de garantir notre sécurité d’approvisionnement énergétique et protéger la sûreté de nos infrastructures.

    Si nous n’avions pas plongé dans la stratégie du tout renouvelable avec un enthousiasme inconsidéré, Vladimir Poutine n’aurait pas pu mener sa sale guerre en Ukraine et sa guerre énergétique contre l’UE. Il a compris que, comme dans la fable d’Andersen sur les beaux habits neufs de l’empereur, nous qui nous vantons d’être sages sommes nus. Et en plus, nous sommes devenus vulnérables. Échec sur la sécurité énergétique, échec sur la sûreté énergétique ; l’UE paie un lourd tribut à son désarmement énergétique unilatéral.

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  17. Certaines des déclarations de l’auteur dans ce texte peuvent sembler iconoclastes pour le non-spécialiste de l’énergie. Elles sont étayées dans son ouvrage de référence The changing world of energy and the geopolitical challenges en deux volumes.

    Les derniers ouvrages de Samuele Furfari sont Énergie tout va changer demain. Analyser le passé, comprendre l’avenir et L’utopie hydrogène.



    Sur le web

    1 - Résolution de Messine, 2 juin 1955. ↩

    2 - Les contrats de livraison de gaz sont souvent à long terme (15 à 25 ans) ; afin d’assurer le remboursement des milliards d’euros empruntés pour construire les infrastructures nécessaires, les contrats obligent le fournisseur et le client à fournir et à payer le gaz, ce dernier même s’il ne le prend pas, d’où l’expression « prendre ou payer ». ↩

    3 - La Suède compte six réacteurs nucléaires en activité : trois unités à Forsmark, au nord de Stockholm sur la mer Baltique, une à Oskarshamn, également au sud de Stockholm sur la mer Baltique, et deux à Ringhals, au sud de Göteborg sur la mer du Nord. ↩

    https://www.contrepoints.org/2022/10/12/440565-apres-lexplosion-de-nord-stream-le-defi-de-la-securite

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    Réponses
    1. Si les merdias gouvernementaux n'avaient pas caché la vérité sur Fukushima on en serait pas là !
      Le 11 Mars 2011 un tremblement de terre (venu du ciel) a brisé les tuyaux qui approvisionnent en eaux les réacteurs. Quand la marmite est sèche çà pète. C'est tout, mais n'a jamais été expliqué afin de mettre en place la vermarq.

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  18. Conformez-vous ou soyez chassé ! Le nouveau modèle de journalisme en temps de guerre


    Par Michael Welch, Max Blumenthal et John Pilger
    Recherche mondiale
    12 octobre 2022


    "Je suggère que la politique étrangère américaine peut toujours être définie comme" embrasse-moi le cul ou je te casse la tête. Mais bien sûr, ça ne se dit pas comme ça. Il parle de "conflit de faible intensité...". Tout cela équivaut à une maladie au centre même du langage, de sorte que le langage devient une mascarade permanente, une tapisserie de mensonges.
    – Harold Pinter (1990) [1]

    « Cela fait plus d'un siècle qu'Edward Bernays, le père du spin, a inventé les « relations publiques » comme couverture pour la propagande de guerre. Ce qui est nouveau, c'est l'élimination virtuelle de la dissidence dans le courant dominant.
    – John Pilger (février 2022) [2]

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    Dans l'esprit du pasteur allemand Martin Niemöller, dont la célèbre citation "First They Came" est maintenant exposée dans l'exposition permanente du United States Holocaust Memorial Museum, je me demande combien d'autres médias indépendants ont connu le même sort après InfoWars a été coupé de YouTube, Apple et Facebook en août 2018. [3]

    En effet, lorsque le monde a été témoin d'une « opération militaire spéciale » menée contre l'Ukraine en février de cette année, nous avons commencé à voir les victimes de la rafle des médias indépendants passer à la vitesse supérieure.

    Consortiumnews, Mint Press News, The Corbett Report, TheGrayZone et même Global Research sont ciblés pour avoir osé – pour avoir le GALL absolu – pour corriger toutes les hypothèses sur la politique étrangère américaine, en particulier en Ukraine ! Et à des niveaux que je n'ai personnellement pas vus en 14 ans en tant que journaliste !

    Les agences privées et publiques se rapprochent de ces infâmes «diseurs de vérité» sur Internet en menaçant non seulement de fermer l'accès aux principaux canaux de médias sociaux, mais aussi en les calomniant et en menaçant de les dé-plateformer complètement.

    Bien que l'appétit du public pour les médias grand public soit proche de son plus bas niveau historique, ce sera un exploit majeur pour la propagande de la presse de rester pratiquement incontestée, vraiment pour la première fois depuis la Seconde Guerre mondiale ! Au moins ! [4]

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  19. Pour les journalistes qui voient leur métier mourir, nous devons en savoir plus sur les forces à l'œuvre et savoir si leurs jours sont comptés ou non. Sur cette note, nous vous présentons un épisode très spécial de la Global Research News Hour axé sur la volonté de faire de TOUS LES MÉDIAS des véhicules de propagande brute alors que nous nous dirigeons vers ce qui pourrait être un moment terminal pour l'histoire de l'humanité.

    Au cours de notre première demi-heure, nous accueillons le journaliste et cinéaste très vénéré John Pilger qui couvre les guerres depuis le Vietnam, a fait des reportages pour un certain nombre de médias grand public et a amassé une vaste série de récompenses depuis 1966. Il donnera son évaluer à quel point les reportages d'aujourd'hui sont tombés en disgrâce, à quel point les informations d'aujourd'hui sont contaminées par la propagande et jusqu'à quel point les journalistes honnêtes d'aujourd'hui devront aller pour inverser ce voyage amer.

    Dans notre deuxième demi-heure, nous sommes à nouveau rejoints par Max Blumenthal de TheGrayZone. Pendant la durée de l'émission, il parlera du travail de son point de vente non seulement soumis à des pressions, mais aussi du bilan avéré de certains des « gardiens de la désinformation » mis en réseau avec les services de renseignement britanniques, des liens avec l'attaque contre Jeremy Corbyn et Stop The War, et les efforts de sa propre équipe pour corriger les dossiers des journalistes bien intentionnés encore dans les médias grand public.

    John Pilger est un journaliste et cinéaste de renommée mondiale. Auteur de plusieurs livres et réalisateur de plus de 60 documentaires (le dernier étant The Coming War on China et The Dirty War on the NHS), Pilger a remporté des dizaines de prix prestigieux et a été honoré par plusieurs universités.

    Max Blumenthal est le fondateur et rédacteur en chef de The Grey Zone. Il est un journaliste primé et l'auteur de plusieurs livres, dont le best-seller Republican Gomorrah, Goliath, The Fifty One Day War et The Management of Savagery.

    (Global Research News Hour Épisode 364)

    ÉCOUTEZ LE SPECTACLE

    Cliquez pour télécharger l'audio (format MP3)

    Transcription de John Pilger. 5 octobre 2022.

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  20. Recherche mondiale : La presse grand public est passée de la priorité aux faits nécessaires pour propulser les guerres à l'élimination totale des opinions de l'opposition. Certains journalistes primés très établis ont également commenté et déploré la spirale descendante de l'actualité qui a été prise au cours de la dernière décennie. John Pilger est un journaliste et cinéaste australo-britannique basé à Londres. En 2017, la British Library a annoncé une archive John Pilger de tout son travail écrit et filmé. Le British Film Institute a inclus son film de 1979 Year Zero: The Silent Death of Cambodia parmi les 10 documentaires les plus importants du XXe siècle. John Pilger a remporté deux fois la plus haute distinction britannique pour le journalisme et a été journaliste international de l'année, journaliste de presse de l'année et bref descriptif.

    Recherche mondiale : La presse grand public est passée de la priorité aux faits nécessaires pour propulser les guerres à l'élimination totale des opinions de l'opposition. Certains journalistes primés très établis ont également commenté et déploré la spirale descendante de l'actualité qui a été prise au cours de la dernière décennie. John Pilger est un journaliste et cinéaste australo-britannique basé à Londres. En 2017, la British Library a annoncé une archive John Pilger de tout son travail écrit et filmé. Le British Film Institute a inclus son film de 1979 Year Zero: The Silent Death of Cambodia parmi les 10 documentaires les plus importants du XXe siècle. John Pilger a remporté deux fois la plus haute distinction britannique pour le journalisme et a été journaliste international de l'année, journaliste de l'année et écrivain descriptif de l'année. Il a réalisé 61 films documentaires et a remporté un Emmy, un BAFTA et le prix de la Royal Television Society. Il a contribué à BBC Television Australia, BBC Radio, BBC World Service, Londres et Broadcasting, ainsi qu'à The Guardian, The Independent, New Statesman, The New York Times. Et bien sûr, il a également contribué aux sites d'information indépendants, notamment : Information Clearing House, Truthout, CNET, Common Cause, Truthdig et, bien sûr, Global Research.

    John Pilger, bienvenue à la Global Research News Hour.

    John Pilger : Merci, Michael. Intéressant, dans cette biographie de moi que vous avez lue, vraiment les journaux pour lesquels j'écrivais, je n'écris plus, -

    GR : Euh, euh.

    JP : – parce qu'ils ne sont pas – ils sont juste – ils font partie de notre – je pense que ce dont nous allons discuter. Ils ne sont plus ouverts aux journalistes comme moi, et mon travail est maintenant presque exclusivement sur le Net. Et je pense que ce changement en dit long sur, tout d'abord, le fait qu'Internet a fourni – lui-même – des opportunités extraordinaires au journalisme. Mais c'est aussi un refuge pour ceux qui, comme moi, ont passé toute leur carrière dans les médias grand public et découvrent qu'ils ne sont plus recherchés dans les médias grand public. C'est vraiment, je pense, probablement une indication de la gravité de la fermeture d'un média pluraliste - un média véritablement démocratique, s'il a jamais existé - qu'autre chose. Vous ne pouvez tout simplement plus avoir votre mot à dire.

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  21. GR : Je me souviens de certains aspects de la guerre en Irak et de la guerre en Afghanistan. Et ils relayaient des informations trompeuses, mais ce n'est rien comparé à ce que nous vivons aujourd'hui en ce qui concerne la guerre OTAN-Ukraine-Russie. Vous avez rapporté à travers, quoi, sept ou huit guerres différentes, des guerres de tir, si je ne me trompe pas. Je pense que vous avez dit que la distorsion est maintenant pire que jamais. Pourriez-vous expliquer pourquoi ces rapports sont devenus si mauvais ? Est-ce un produit des censeurs du gouvernement qui cherchent à changer les médias à leur satisfaction, ou est-ce quelque chose d'autre qui se passe complètement ?

    JP : Les voix sont réduites au silence, comme je le disais. Je veux dire, même aussi récemment que l'invasion de l'Irak en 2003, l'invasion encore plus récemment, l'invasion et la destruction de la Libye en 2011, ou même le vrai début de la guerre d'Ukraine, qui était en 2014, il y avait des journalistes dans le courant dominant , à travers le courant dominant, très peu, petite minorité, mais qui remettaient en question le récit officiel. Le récit officiel règne désormais en maître. Il n'y a plus de dissidents. Ceux qui lèvent la main à la dissidence sont rapidement réduits au silence. Le cas le plus extrême de cela, bien sûr, est Julian Assange. Julian Assange, l'impact de Wikileaks et de ses révélations sur le soi-disant récit, ont été si dramatiques, si traumatisants, qu'ils l'ont bouleversé. Cette expression plutôt banale "la vérité au pouvoir", eh bien là, vous aviez la vérité comme un tsunami au pouvoir. Et bien sûr, le résultat en a été la persécution de Julian Assange au point qu'il attend maintenant son extradition vers les États-Unis où il sera jugé pour de fausses accusations. Jugé pour crime de journalisme, en fait.

    GR : Nous entendons dire que nos reportages se tournent essentiellement vers - diriez-vous - peut-être la propagande des années 1930 en Allemagne ? Je pensais que nous avions surmonté cela, mais vous savez, comme nous avions du racisme, de l'antisémitisme et du sexisme dans d'autres domaines, il semble que nous reculons, ou peut-être que nous vivons une sorte de cycle. Je veux dire, pensez-vous que la peur du public, et je suppose, la peur des journalistes, est essentiellement complice de l'État. Et si oui, quels sont les événements clés qui ont contribué à nous façonner dans ce nouveau paradigme maccarthysme ?

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  22. JP : Je vais vous donner un exemple. Quelqu'un que je connais et avec qui je suis assez ami m'a envoyé un article qu'il a écrit, il en est très content. Je ne pense pas qu'il écoutera ça. Mais j'ai lu cet article avec consternation. C'était à propos de la guerre en Ukraine et comment elle a commencé. Et c'est une collection de toutes les hypothèses qui ont été acceptées sans véritable discussion critique en Occident sur la guerre en Ukraine. Le fait est que cela n'a pas commencé avec l'invasion de Vladimir Poutine en février, cela a commencé en 2014, cela ne fait aucun doute. Et à moins que nous ne comprenions le contexte dans lequel cela a commencé, alors presque toute opinion à ce sujet n'a pas beaucoup de valeur. Mais les médias d'aujourd'hui en regorgent - avec bien pire que l'article que je viens de lire, je dois dire. Enfin, comme une sorte de patriotisme débridé, puéril, tout droit sorti du XIXe siècle. Vous pouvez imaginer des gens assis là dans leurs plumes de casque colonial en train de l'écrire. Juste - certains d'entre eux sont risibles. Mais le sens anti-russe – qui a lui-même une histoire très puissante, très intéressante et très tragique – mais la haine de la Russie a presque atteint son paroxysme. Et cette haine russe, bien sûr, remonte à 1917. En parlant d'invasions, c'était l'invasion dans l'autre sens, en 1918, 1919. Mais le sens de - c'est presque comme si l'Occident réclamait l'histoire qu'il ressentait plutôt peu sûr de. C'est-à-dire, qui a gagné la Seconde Guerre mondiale ? Le vainqueur décisif de la Seconde Guerre mondiale a été l'Armée rouge. Je ne pense pas qu'il y ait le moindre doute statistiquement et dans tous les autres sens. Sans la victoire de l'Armée rouge sur Hitler, la guerre n'aurait pas été gagnée de manière aussi concluante. Comme une pause, ce n'est pas ce qu'on nous dit en Occident. Et depuis 1945, une grande partie de la couverture des guerres des politiciens occidentaux, en particulier des politiciens anglo-américains, a été tirée de cette autre grande invention éthique, que c'était la guerre pure qui a été gagnée par les États-Unis et gagnée par la Grande-Bretagne, et en quelque sorte, le véritable ennemi était l'Union soviétique, et c'est aujourd'hui la Russie. Cette haine de la Russie, qui a un ton raciste, ne peut jamais être sous-estimée. Et ça traverse tout maintenant, au point où c'est juste irrationnel. Une grande partie de la couverture.

    GR : Le regretté Robert Parry, de son vivant, était un journaliste étonnant. Mais le matériel qu'il a soumis avec Consortium News sur l'Ukraine, bien qu'exact, a été la source de beaucoup de controverses, et les identifiants de désinformation là-bas, les agences et autres, ont ciblé le travail de Consortium News et d'autres médias indépendants comme étant soit désinformation ou être un propagandiste de Vladimir Poutine. Je veux dire, c'est le degré de contrôle qu'ils ont maintenant. Je veux dire, oserais-je demander à quel point cela peut empirer ? Je veux dire, verrons-nous des journalistes indépendants, vous savez, je veux dire, peut-être même vous-même en désaccord avec le récit occidental sur l'emprisonnement de l'Ukraine ?

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  23. JP: Eh bien, je pense que nous avons affaire à un qui est en prison en ce moment. Et le faire sortir de prison est vraiment là où se situent nos efforts. Mais oui, c'est au bout du chemin, que des gens comme moi et d'autres qui font simplement notre travail se retrouvent menacés comme ça. Eh bien, nous sommes menacés en ce moment, bien sûr, nous sommes menacés par le silence. C'est très difficile de faire publier des travaux, et il n'y a pas de plus grande sanction que cela. Donc, vous savez, Parry a dit la vérité et les gens que vous - vous, eh bien, vous ne les avez pas cités mais vous y faites référence - ne sont rien. Parry était un journaliste très distingué qui était en grande partie responsable des révélations sur l'Irangate, et fondé dans les années 1990, Consortium News, qui suivait sa mort sous la direction de son rédacteur en chef, Joe Lauria, a perpétué cette tradition. Et oui, il a été menacé parce que nous avons une forme de maccarthysme insidieux qui traverse tout aujourd'hui. Les journalistes sont surveillés, et à moins qu'ils n'obéissent, à moins qu'ils ne publient le soi-disant récit, ils se découvriront probablement au premier instant. Ou sinon, ils seront harcelés comme l'a fait Consortium News. C'est une très mauvaise situation, et qui devrait être sortie du domaine des médias. Et je pense que le public doit comprendre que cela les concerne, car il s'agit d'un pouvoir illégitime, d'un pouvoir obscur, d'un pouvoir venant de derrière la façade des démocraties, de la sensibilisation et du silence. L'histoire a beaucoup de précédents à ce sujet.

    GR : Enfin, je veux dire avec tout ce que - je veux dire, vous avez l'incarcération de Julian Assange, et il ne publiait rien de ce que Daniel Ellsberg a fait, ne fait rien de ce que Daniel Ellsberg a fait - n'a pas fait. Il ne faisait que publier des informations divulguées, mais il est en train de vivre l'enfer. Maintenant, je me demande, par exemple, comment pouvons-nous renverser la vapeur en tant que journalistes ou comment pouvons-nous recréer une société plus civile et – une société dans laquelle le journalisme, le vrai journalisme, est pratiqué et pas seulement la propagande ?

    JP: Eh bien, Robert Parry ne l'a pas fait - il n'était pas seulement un joueur secondaire, il a également interprété ces événements. Et certains de ses meilleurs travaux ont été une interprétation, une explication, qui est le travail d'un journaliste. Pas simplement pour être le porteur du message, mais aussi pour l'expliquer. Et c'est ce qu'a fait Robert Parry qui a fait de lui un excellent journaliste. Et une réponse à votre question plus large : écoutez, depuis que je suis en vie, les médias ont été une arme de l'ordre dominant, du pouvoir. Quand je suis allé travailler pour la première fois comme correspondant aux États-Unis dans les années 1960, j'ai été frappé par la façon dont tous les journaux, qui étaient alors issus de la télévision et il n'y avait pas de médias sociaux, bien sûr. Et ils étaient tous d'accord les uns avec les autres. Et il y a une histoire plutôt amusante de beaucoup de Russes arrivant d'Union soviétique, absolument stupéfaits qu'ils - qu'aux États-Unis ils puissent réussir cette uniformité sans mettre les gens en prison, comme ils ne le faisaient pas à l'époque. C'est la même chose dans ce pays et en Grande-Bretagne, les médias ont toujours été un empire d'intérêts puissants et riches, de sociétés. Et c'est vrai aujourd'hui, tout comme les réseaux sociaux. Ainsi, à bien des égards, le vrai journalisme est une aberration. Ça casse le moule. Donc, un système était déjà configuré, et ce n'était pas le cas - ce n'était pas un bon système qui a mal tourné. Le système a toujours été tel qu'il est aujourd'hui, mais ce sont les lacunes dans lesquelles les voix des journalistes indépendants pouvaient se faire entendre qui se sont refermées. C'est le but.

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  24. GR : M. Pilger, nous n'avons plus de temps, mais votre voix est rare et essentielle. Je vous remercie, encore une fois, beaucoup, beaucoup d'avoir partagé vos réflexions sur ce sujet avec Global Research News Hour.

    JP : Vous êtes les bienvenus. Au revoir.

    Transcription de Max Blumenthal. 27 septembre 2022.

    Global Research : Mon invité est Max Blumenthal. Il est le fondateur et rédacteur en chef de The Grey Zone. Il est un journaliste primé et l'auteur de plusieurs livres, dont le best-seller "Republic Gomorrah", "Goliath", "The 51-Day War" et "The Management of Savagery". Ces derniers mois, son groupe, The Grey Zone, a fait face à une campagne pour les dé-plateformer, aux côtés de MintPress News, Consortium News et d'autres médias indépendants présentant des faits alternatifs dans une guerre de mensonges. Les autorités affirment que, consciemment ou non, ces médias publient de « faux faits » et de la « désinformation » à la demande du président russe Vladimir Poutine. Ainsi, l'art de les présenter ainsi est la meilleure méthode pour faire fondre leurs découvertes sans faire l'objet d'un bon débat à l'ancienne. Max Blumenthal, cependant, va encore plus loin dans la mesure où il expose les dénonciateurs et découvre que ces journalistes transparents et détecteurs de désinformation gèrent leurs informations en contact avec - et, en fait, à la demande des services de renseignement britanniques. Max Blumenthal se joint à nous maintenant pour décrire ce qu'il a trouvé. C'est un plaisir de vous revoir, Max. Bienvenue à l'Heure mondiale de l'information sur la recherche.

    Max Blumenthal : Merci de me revoir, Michael.

    GR : Maintenant, il y a combien de temps avez-vous réalisé que ces personnes ciblaient votre journalisme ?

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  25. MB : Eh bien, nous avons été ciblés depuis la sale guerre syrienne, à peu près au moment où nous sommes sortis sous le nom de The Grey Zone Project sur Alternet sous l'égide d'une publication progressiste plus grand public. Cette publication a échoué, elle a coulé comme tant d'institutions progressistes à cause d'une culture dysfonctionnelle à l'intérieur de l'institution, pour le dire à la légère. Et nous sommes devenus indépendants, avons continué à défier la sale guerre syrienne, et je suis devenu la cible de ce qui était, évidemment, une campagne coordonnée qui impliquait des sous-traitants du renseignement britannique qui étaient impliqués dans la sale guerre. Et nous continuons à expliquer cela en détail dans The Grey Zone. Mais, ce que nous avons pu faire, finalement, et ce que j'avais toujours rêvé de faire, c'est - comme vous l'avez dit - dénoncer les exposants, obtenir des preuves tangibles de coordination et de collusion entre des individus qui semblaient agir de manière indépendante en tant que journalistes et influenceurs des médias sociaux, et les services de renseignement. Et nous avons eu cette preuve tangible sous la forme d'une série d'e-mails. Cela faisait en fait suite à une tranche distincte sur les intrigues du renseignement britannique et les activités illégales de personnes occupant des postes élevés dans l'État britannique ainsi que dans l'OTAN. Nous avons obtenu – nous avons obtenu une tranche par le biais d'un compte e-mail anonyme qui appartenait au journaliste britannique prétendument de gauche Paul Mason, un vétéran trotskyste, qui coordonnait une campagne, selon ses propres termes, pour « dé-plateformer sans relâche la zone grise ». C'était en fait - ce sont - non, je suis désolé. Ce sont en fait les mots de quelqu'un avec qui il travaillait, nommé Amil Khan, qui était l'un de ces entrepreneurs. Il dirigeait une entreprise qui avait passé un contrat avec le ministère britannique des Affaires étrangères et s'était même intégrée à des éléments djihadistes en Syrie, et était profondément impliqué dans la création de fronts médiatiques à l'intérieur de la Syrie pour pousser le discours anti-Assad et mener la campagne pour un changement de régime pendant plusieurs années. Nous l'avons exposé pour une opération séparée. Et donc, il s'est réuni avec Paul Mason, puis ils sont allés voir une personne qui semble avoir été le gestionnaire de Paul Mason, nommé Andy Price, qui existe au sein du ministère des Affaires étrangères, qui - comme le savent les spécialistes du renseignement britannique - est essentiellement le parapluie manifeste , ou organisation mère du MI5, MI6 et héberge de nombreuses personnes qui travaillent au sein des services de renseignement. Et Andy Price, occupait en fait un poste dédié aux supposées opérations de contre-désinformation. C'étaient des opérations de renseignement, absolument, et c'est quelqu'un qui a le pouvoir d'aller sur YouTube, d'aller sur les plateformes de médias sociaux et de leur dire qui retirer de la plateforme. Je vais arriver à la façon dont je pense que cela s'est déroulé. Mais ce que nous avons découvert, c'est que, tout d'abord, Paul Mason et Amil Khan, l'entrepreneur britannique, l'entrepreneur du renseignement britannique, ont proposé d'organiser un sommet anti-zone grise à Londres avec des personnalités et des organisations, dont Bellingcat, qui se présente comme un média open source de base organisation s'attaquant à de mauvais acteurs en Russie, en Syrie, mais que Paul Mason a correctement identifiée comme des "services de renseignement par procuration". En d'autres termes, ils sont une découpe pour les services de renseignement britanniques et américains. Et comme nous le savons, ce n'est qu'un fait établi, c'est sur les divulgations financières de Bellingcat.

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  26. Ils sont financés principalement par le gouvernement américain par le biais du National Endowment for Democracy, le bras de changement de régime du gouvernement américain. Donc, ils proposent également ce sommet avec une personne de la BBC nommée Chloe Hadjimatheou, qui était productrice de plusieurs émissions spéciales attaquant ceux qui ont dénoncé les Casques blancs syriens, m'attaquant, me dépeignant comme un agent russe, etc. Je ne pense pas que ce sommet ait jamais eu lieu, mais il a été très révélateur. Et ce qu'ils prévoyaient de faire, c'était de déterrer les véritables liens russes entre la zone grise et, vous savez, le FSB de Poutine ou le GRU du renseignement militaire. Ils avaient cette théorie – Paul Mason, principalement, l'a identifiée – selon laquelle quiconque le critiquait, ou qui critiquait publiquement la guerre par procuration ukrainienne, devait être un agent russe. Et donc, ils pensaient que s'ils tenaient ce sommet, ils découvriraient la vérité sur nous, qui était en fait un gigantesque mensonge et une diffamation. Et puis, ils allaient - selon les mots d'Amil Khan - nous déstabiliser sans relâche, intenter des poursuites contre nous, et ils avaient également prévu une opération de piqûre bidon pour me mettre dans l'embarras, ainsi que d'autres personnes affiliées à The Grey Zone, qui -

    GR : (inaudible) —

    MB : - Je pense - je vais juste en quelque sorte éluder vaguement, je pense qu'ils ont déjà tenté cela et qu'ils ne sont pas très intelligents. Mais, - donc, c'est l'attaque globale contre nous et vous savez, cela s'est déroulé de différentes manières après que nous les avons exposés.

    GR : Je veux dire, vous avez mentionné Amil Khan. Y a-t-il une histoire particulière sur laquelle vous travailliez qui semble avoir provoqué la colère, et ils disent: "Hé, nous devons poursuivre ce type." Je veux dire, ce n'est pas seulement - je veux dire, ce n'est pas seulement qu'ils sont - la zone grise est ciblée entre autres, je veux dire, ils semblent mettre un accent particulier sur la zone grise. Alors, quelle était l'histoire sur laquelle vous travailliez diriez-vous ?

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  27. MB: Eh bien, nous avons exposé beaucoup de personnages louches au fil des ans, alors ils ont tous sorti leurs couteaux pour nous. Paul Mason était en fait quelqu'un que nous venons – moi et Aaron Mate – de critiquer ou de moquer sur Twitter. Il a organisé ce rassemblement de gauche pour soutenir la guerre par procuration ukrainienne exigeant une intervention militaire directe de l'OTAN avec, vous savez, des syndicalistes, et nous nous sommes en quelque sorte moqués de lui et cela l'a déclenché. Mais ensuite, il y a Amil Khan, que nous avons réellement exposé - pas nous, mais Kit Klarenberg et moi-même. Kit est l'un des meilleurs journalistes travaillant aujourd'hui sur les affaires de renseignement britanniques sous un angle critique. Contrairement à d'autres journalistes britanniques, il n'est pas sténographe pour les services de renseignement, il expose en fait ce qu'ils font. Et nous avons signalé qu'Amil Khan avait été engagé par l'intermédiaire de la Royal Institution, qui a été financée sous la surveillance du prince Charles de l'époque, aujourd'hui roi Charles, pour AstroTurf, une campagne de propagande médiatique pour s'attaquer aux critiques des restrictions COVID et des mandats de vaccination. Et ils ont recruté un soi-disant influenceur socialiste sur YouTube qui était très populaire et a fait ces leçons d'histoire à haute production et à haute valeur de production et aussi ce qui était considéré comme des séminaires de déradicalisation pour aider à éloigner les gens de l'extrême gauche et de l'extrême droite, notamment l'extrême droite. Et Amil Khan, avec de l'argent par l'intermédiaire de la Royal Institution, qui était elle-même financée par l'État britannique sous la surveillance du prince Charles de l'époque, a créé une chaîne entière pour que cet influenceur YouTube se présente comme populaire et organique et ils sont fondamentalement – ​​donc, fondamentalement le L'État britannique finançait des influenceurs YouTube pour attaquer les critiques des restrictions COVID à l'intérieur du Royaume-Uni et les présenter comme des extrémistes et essayer de détourner les gens de cette ligne de pensée. Et nous avons obtenu les documents – Kit Klarenberg avait les documents, il avait tous les dossiers montrant que cela avait eu lieu. C'est - je veux dire, ce n'est pas illégal, mais c'est évidemment une sorte de manipulation du public par l'État, à la manière de l'Opération Mockingbird, travaillant à travers une série de coupures, donnant l'impression: "Oh, nous sommes juste en train d'être influencé par des personnes qui ne sont pas incitées d'une manière particulière et qui n'ont aucun lien avec un gouvernement. Et cela l'a déclenché, c'est donc ce qui l'a rapproché, en quelque sorte, de Paul Mason. Nous ne savons pas comment ils se sont réunis. Mais c'est juste - il y a juste des couches et des couches ici d'activités illicites de renseignement, d'intrigues et, fondamentalement, de subversion secrète du public par des gens qui se font passer pour des journalistes et des acteurs démocratiques et qui sont tout sauf cela.

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  28. GR : Oui, j'ai lu une grande partie de votre travail. Je veux dire, je sais que dans son propre récit, Paul Mason a présenté une liste épique de connexions qui ressemblent à une toile d'araignée de sources, d'associations et d'influences. Je note que Jeremy Corbyn, l'ancien dirigeant travailliste maintenant - maintenant il est avec Stop the War - il est une immense cible sur cet écran radar. Selon vous, où se situe-t-il dans tout cela ?

    MB : Eh bien, il est au centre de cette carte mentale de Paul Mason que Kit Klarenberg a découverte dans l'un des e-mails que nous avons obtenus. Paul Mason a dessiné, ce qu'il a appelé, une carte mentale illustrant l'influence russe et chinoise sur la gauche anti-guerre, en particulier la gauche britannique. Et c'est un tableau absolument dingue. Cela commence par l'État russe et chinois à gauche, puis se déplace à travers le mouvement anti-guerre à travers une série de lignes et de connexions. Je ne sais pas qui l'a dessiné, je ne pense pas que Paul Mason ait les moyens techniques pour le faire, mais il a demandé à quelqu'un de le produire comme une sorte de document d'aspect professionnel. Et vous verriez des personnalités comme Medea Benjamin ou le Morningstar UK, qui est un journal socialiste au Royaume-Uni, connecté entre l'État russe ou chinois, puis une autre ligne pointant vers Dianne Abbott, qui est l'une des principales partisanes de Jeremy Corbyn au Royaume-Uni. Parlement. Et lorsque vous vous déplacez vers la droite, il se déplace vers le centre et Jeremy Corbyn est assis juste là au centre, ce qui est très troublant et révélateur car Paul Mason s'est fait passer pour l'un des principaux partisans de Corbyn et du corbynisme dans les médias britanniques. Et tout au long, il a vu Jeremy Corbyn comme un agent d'influence russe, apparemment. Alors, infiltrait-il la campagne de Jeremy Corbyn ? Ensuite, la carte se déplace plus à droite pour montrer qui cela influence au sein de la société britannique, et tout à droite, vous avez la communauté noire. Vous avez la jeune gauche en réseau, vous savez, la classe des ordinateurs portables de la gauche – les socialistes de gauche dont, vous savez, derrière la Corbyn-mania. Vous avez des nationalistes écossais, des syndicats. Et fondamentalement, Paul Mason indiquait toutes ces circonscriptions clés de Jeremy Corbyn – et du Parti travailliste en général – comme des véhicules de l'influence russe et de l'influence chinoise. C'est ce qu'il pense de la gauche. Alors, Paul Mason était-il un infiltré depuis le début ? Et il semble assez clair qu'il est, à tout le moins, un collaborateur de l'État de sécurité, d'après ces e-mails. Et il y a un autre e-mail très révélateur, dans lequel Paul Mason informe la personne qui semble être son responsable au ministère des Affaires étrangères, Andy Price, d'une conférence de Podemos, le genre de parti social-démocrate espagnol qu'ils ont convoqué avec de nombreux plus d'éléments de gauche ou marxistes contre la guerre par procuration ukrainienne. Et Mason a fourni un briefing qu'il a trouvé encourageant, que la conférence a échoué, que leurs appels à, vous savez, ne pas envoyer d'armes à l'Ukraine sont tombés dans l'oreille d'un sourd du gouvernement espagnol et qu'il n'y avait rien à craindre. Mais, je ne pense pas que quiconque à cette conférence qui a rencontré Paul Mason savait qu'il était là pour rendre compte à l'un des pays qui est engagé dans une guerre par procuration avec la Russie à un responsable de ce pays. Donc, il semble qu'il s'infiltrait.

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  29. GR : Je ne sais pas s'il croit réellement tout cela ou non. Mais, en tout cas, il a toutes ces connexions. Et je note qu'il s'en prend également aux universitaires anti-guerre. Peut-être que vous pouvez peut-être décrire son, comme - ou, avons-nous déjà vu ce genre d'attaque auparavant ? Est-ce comme le retour – qu'est-ce que c'était – du maccarthysme ?

    MB : Eh bien, c'est du maccarthysme, mais pas au grand jour. Joseph McCarthy et Roy Cohn et leur équipe à HUAC ne cachaient pas exactement ce qu'ils essayaient de faire. Paul Mason l'est, et il dit en privé à Andy Price, qui semble être son gestionnaire, qu'il - ce sont les "universitaires voyous" qu'il recherche, ce sont ses mots. Et par "universitaires voyous", il entend le groupe de - le groupe de travail sur la propagande qui était composé d'une poignée d'universitaires britanniques qui critiquaient la sale guerre syrienne et qui ont publié des exposés sur les diverses machinations de propagande menées par les services de renseignement britanniques. cultiver le soutien du public britannique pour la guerre et créer essentiellement les Casques blancs syriens comme une opération d'information. Ils ont examiné les diverses allégations d'attaques chimiques en Syrie et ont révélé des trous dans le récit officiel, et ils ont subi d'énormes attaques. La première page du Times de Londres présentait une attaque fulgurante et pleine de mensonges contre ces universitaires. Et Mason a apparemment prolongé l'attaque avec divers collaborateurs comme Kit Klarenberg l'a exposé à The Grey Zone, s'appuyant sur des fuites d'e-mails, des preuves tangibles, montrant que Mason travaillait à travers ce pipeline de chiffres qui sont allés jusqu'à la BBC pour attaquer les universitaires qui ont critiqué la guerre par procuration ukrainienne, dont Justin Schlosberg, qui a en fait réussi à forcer la BBC à présenter des excuses et diverses corrections dans son rapport chargé de diffamation. Maintenant qui a produit ça ? C'est la productrice dont j'ai parlé précédemment qui m'a sali en tant qu'agent russe sur la Syrie, qui a sali tous les détracteurs de la sale guerre syrienne, elle s'appelle Chloé Hadjimatheou. Et c'est quelqu'un que Kit Klarenberg a également révélé comme ayant une relation de travail étroite et à long terme avec ARK, qui est un sous-traitant du renseignement britannique qui a été actif dans la sale guerre syrienne. Donc, ce que nous exposons ici est bien plus important que tous les noms que vous entendez. Nous exposons un nouveau type d'opération Mockingbird où les médias agissent comme le bras publicitaire des services de renseignement qui mènent ces diverses guerres par procuration et guerres secrètes et déstabilisent des régions entières du Moyen-Orient. Et c'est une guerre contre l'esprit des - contre la cognition, contre la pensée critique de nous-mêmes, de nos amis et de nos voisins et c'est pourquoi je pense qu'il est si important de les exposer. Et c'est quand même une guerre.

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  30. GR : Pourquoi pensez-vous que le renseignement britannique – cela semble être très, vous savez, au cœur de tout cela. Mais savez-vous quoi que ce soit sur les opérations aux États-Unis où - font-ils quelque chose de similaire ?

    MB : Ouais, ça s'appelait « Collision », et – moi, en fait, quand mon séminaire a eu lieu avec Aaron Mate, on a eu environ 15 minutes sur scène. Nous avons dû manquer une séance de questions-réponses avec Eric Schmidt, l'un des fondateurs d'Alphabet Google, qui travaille avec le Pentagone sur son quatrième décalage pour produire une arme d'IA à utiliser contre la Chine. Et je l'avais vu parler plus tôt dans la journée, et Eric Schmidt prédisait - et vantait en fait un avenir dans lequel nous aurons tous un jumeau d'IA qui nous guidera tout au long de nos vies. Conférence profondément dystopique, mais très instructive pour moi et intéressante. Et, vous savez, la Fondation Obama a également poussé son programme de contre-désinformation la veille. Vous aviez des gens de l'Institut pour le dialogue stratégique qui avaient qualifié mon collègue, Aaron Mate, de «propagateur numéro un de la désinformation sur la Syrie». Ils sont financés par le Département d'État du ministère britannique des Affaires étrangères. C'est le genre de personnes sur scène à la conférence. Donc, Aaron et moi avons eu 15 minutes pour devenir fous avec eux. Et nous avons emballé autant que nous le pouvions, avec un appel à la liberté de Julian Assange et en soulignant l'importance de sa - de combattre sa persécution. Et j'ai prévenu les personnes qui ont assisté à notre séminaire qui étaient - beaucoup d'entre eux étaient des jeunes qui cherchaient des investissements pour leurs start-ups. D'autres cherchaient juste des concerts pour coder. Et tout le monde n'était pas une élite transnationale reptilienne. Je leur ai dit que les politiques de gens comme Eric Schmidt ou l'administration Biden et l'administration Trudeau étaient en cours, que ce soit à Taïwan ou en Ukraine, nous allons les faire, et leurs start-up ne démarreraient pas et elles ne pourront être propriétaires et ils n'auront pas les moyens de chauffer leur logement, de toute façon, et ils en souffriront. Et qu'ils doivent arrêter de suivre les médias d'entreprise qui tentent de rediriger leur indignation face à leur propre situation vers de faux méchants, et de voir que leur ennemi n'était pas un Trumper dans le bar. C'était un costume sans cœur dans la salle de réunion. C'était un peu le message que je voulais envoyer là-bas. Nous - parce que les sessions duraient environ 15 minutes, vous avez eu une autre session avec les meilleurs dirigeants d'ABC, des gens de Reuters pour parler, je ne sais pas, de "désinformation". Le panel devant nous était environ le 6 janvier, et c'était le producteur principal d'ABC qui discutait de la façon dont il faisait tout ce qui était en son pouvoir pour maximiser l'impact des audiences du 6 janvier, afin que le public l'absorbe autant que possible. Et je disais : 'Pourquoi nous concentrons-nous toujours sur le 6 janvier alors que les États-Unis font le pari du 6 janvier sur les stéroïdes à travers le monde ? Comme, en entendons-nous jamais parler? ' Et cela a vraiment offensé les gens. La salle verte par la suite était tendue, j'ai reçu des regards glacials de la part de collègues des médias grand public. Une personne d'ABC, j'ai entendu son genre de diatribe à propos de nous dans le coin de la pièce et nous avons été chassés immédiatement. Ensuite, un certain nombre de membres du personnel des médias sont allés voir les organisateurs de la conférence et se sont plaints de nous et étaient vraiment contrariés. Donc, ça m'a fait du bien, c'était un (inaudible, 24:38).

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  31. GR : Hé hé !

    MB : Et à l'extérieur de la salle, j'ai invité tout le monde à l'extérieur de la salle à venir avoir une séance de questions-réponses informelle avec moi, tous ceux qui voulaient me crier dessus ou exprimer leur désaccord, je les attendais dans le couloir. Et ce que nous avons eu, c'est une poignée de jeunes qui ont assisté à la conférence. Tous étaient issus de l'immigration, principalement du Moyen-Orient, également d'Asie du Sud, qui nous ont dit qu'ils s'identifiaient à notre point de vue et c'est vraiment, vous savez, bouleversant de voir ce qui se passe dans ces pays que leurs familles appellent maintenant chez eux.

    GR : Wow, c'est intéressant. Vous savez, Gandhi a dit : "D'abord ils vous ignorent, puis ils se moquent de vous, puis ils vous combattent, et ensuite vous gagnez." Il semble donc que ces personnes voulant préserver le récit médiatique favorable à l'Occident en soient à l'étape 3. Max, —

    MB : Ouais.

    GR : - ça a été - ça a été un plaisir de vous avoir, détails techniques mis à part. Merci de vous joindre à nous pour la Global Research News Hour.

    MB : Eh bien, j'ai hâte de vous rejoindre à nouveau lorsque nous serons encore à l'étape 3 !

    La Global Research News Hour est diffusée tous les vendredis à 13h CT sur CKUW 95.9FM à partir de l'Université de Winnipeg. Le programme est également balado sur globalresearch.ca .

    Autres stations diffusant l'émission :

    CIXX 106.9 FM, diffusant du Fanshawe College à London, Ontario. Il est diffusé le dimanche à 6h du matin.

    WZBC 90.3 FM à Newton Massachusetts est Boston College Radio et diffuse dans la grande région de Boston. La Global Research News Hour est diffusée pendant Truth and Justice Radio qui commence dimanche à 6 heures du matin.

    Radio universitaire et communautaire CFMH 107.3fm à Saint John, N.-B. diffuse le Global Research News Hour les vendredis à 19 heures.

    CJMP 90.1 FM, la radio communautaire de Powell River, diffuse la Global Research News Hour tous les samedis à 8h.

    Caper Radio CJBU 107.3FM à Sydney, Cap-Breton, Nouvelle-Écosse diffuse la Global Research News Hour à partir de mercredi après-midi de 15h à 16h.

    La radio communautaire de Cowichan Valley CICV 98,7 FM desservant la région du lac Cowichan sur l'île de Vancouver, en Colombie-Britannique, diffuse l'émission les jeudis à 9 h, heure du Pacifique.

    Remarques:

    "Oh, Superman", diffusé pour Opinion, Channel 4, 31 mai 1990; Voix diverses : prose, poésie, politique 1948-2005, rév. éd. (1998 ; Londres : Faber et Faber, 2005) 198-99.
    https://johnpilger.com/articles/war-in-europe-and-the-rise-of-raw-propaganda
    https://www.npr.org/2018/08/06/636030043/youtube-apple-and-facebook-ban-infowars-which-decries-mega-purge
    https://consortiumnews.com/2022/02/17/war-in-europe-the-rise-of-raw-propaganda/
    La source originale de cet article est Global Research.

    https://www.lewrockwell.com/2022/10/no_author/conform-or-be-cast-out-the-new-model-of-journalism-during-a-time-of-war/

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  32. La règle du pouvoir


    De Paul Craig Roberts
    PaulCraigRoberts.org
    12 octobre 2022


    La semaine dernière, PayPal, un service en ligne permettant d'effectuer et de recevoir des paiements, a annoncé qu'à la « seule discrétion » de PayPal, 2 500 $ seraient saisis sur les comptes des personnes jugées coupables par PayPal de diffusion de fausses informations. La "désinformation" est tout ce que certains bureaux de contrôle de la parole de PayPal n'aiment pas ou ne sont pas d'accord avec les récits officiels. En d'autres termes, PayPal a annoncé une politique de contrôle de la pensée telle que décrite dans 1984 de George Orwell. Voir ceci et cela.

    De plus, 2 500 $ seraient saisis pour chaque élément de désinformation, apparemment même pour les erreurs résultant d'une mauvaise information ou d'un malentendu. Si un titulaire de compte diffuse deux fois de fausses informations, 5 000 $ sont saisis ; dix éléments de désinformation coûtent 25 000 $ au titulaire du compte. Étant donné que la définition de la désinformation est à la seule discrétion de PayPal, il ne faudrait pas longtemps avant que PayPal, confronté à la perte de ses bénéfices trimestriels attendus, augmente ses revenus en saisissant les comptes des personnes.

    On ne sait pas comment une personne diffuse de la "désinformation" sur un mécanisme de paiement. Cela signifie-t-il que "répandre la désinformation" signifie faire un don à une organisation qui conteste les récits officiels ? Cela signifie-t-il que PayPal aurait une armée d'employés surveillant les commentaires des titulaires de comptes sur les réseaux sociaux et lisant leurs e-mails ?

    La première saisie a eu lieu en Angleterre où le compte volé était celui de la Free Speech Union. Cela a provoqué un tollé et des protestations de la part des députés et de l'ancien président de PayPal, et quelques jours plus tard, PayPal a déclaré que l'annonce par PayPal qu'elle allait saisir l'argent des comptes des clients pour avoir diffusé de fausses informations était elle-même de la désinformation.

    Pensez à cela pendant un moment. Si PayPal peut saisir 2 500 $ sur votre compte parce qu'un monstre éveillé de la police de contrôle de la pensée de PayPal trouve votre opinion "offensante", votre banque, votre 401k, votre IRA, votre compte d'investissement le peuvent aussi. Votre compagnie de carte de crédit peut vous facturer 2 500 $ pour chaque relevé refusé et confier votre compte aux agents de recouvrement lorsque vous ne payez pas. Peut-être que votre voiture et votre maison seront saisies. Une fois que les banques centrales imposent l'argent numérique à leurs populations insouciantes, les gens peuvent être volés à volonté par chaque partie approuvée pour chaque infraction imaginable.

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  33. Un poisson pourrit par la tête

    D'où PayPal a-t-il eu l'idée qu'il pouvait saisir l'argent des personnes dont il désapprouve les déclarations ? De toute évidence, ils l'ont obtenu du gouvernement américain. Le gouvernement américain a saisi la propriété des gens parce que la propriété « a facilité un crime », ce qui signifie qu'un crime a eu lieu sur la propriété par quelqu'un, pas nécessairement le propriétaire (The Tyranny of Good Intentions de Paul Craig Roberts). Le gouvernement américain a saisi l'or du Venezuela parce qu'il désapprouvait la politique vénézuélienne. Le gouvernement américain a saisi les réserves de la banque centrale russe lorsque la Russie est intervenue en Ukraine pour protéger la population russe de l'ancien territoire russe. Les législateurs américains veulent punir l'Arabie saoudite pour avoir servi ses propres intérêts au lieu de ceux de Washington. Le gouvernement californien veut voler les licences médicales des médecins qui ont ignoré les protocoles médicaux conçus pour servir les profits de Big Pharma et ont plutôt sauvé la vie de leurs patients.

    Il devrait être évident que la civilisation occidentale n'existe plus. Une civilisation est définie par ses valeurs, telles que la liberté d'expression, et lorsque ces valeurs ne sont plus honorées, la civilisation n'existe plus.

    Pensez à ce que le gouvernement américain a fait à Julian Assange. Son incarcération d'une décennie en l'absence d'accusations, de procès et de condamnation viole tous les principes juridiques qui comprennent nos protections constitutionnelles contre les traitements arbitraires et injustes de la part du gouvernement. Cela montre à quel point nous sommes allés loin que le traitement illégal et inconstitutionnel d'Assange se poursuit année après année et ne provoque aucune indignation de la part du Congrès, des médias, des facultés de droit, des barreaux, des tribunaux ou de la population américaine. Le récit officiel est qu'il est un espion russe et que nous devons l'avoir à tout prix, y compris l'établissement de précédents qui détruisent notre sécurité contre une oppression arbitraire et impitoyable. L'affirmation selon laquelle Assange est un espion russe est un mensonge intentionnel, et pour soutenir un mensonge, nous nous privons de nos protections constitutionnelles.

    La politique du gouvernement américain consistant à saisir les biens de quiconque qu'il souhaite saisir se répand dans le monde entier. Si la patrie de la démocratie et de l'état de droit peut arbitrairement faire ce qu'elle veut, le gouvernement sud-africain le peut aussi, qui dit envisager de saisir les fermes des Blancs sans compensation. Autrement dit, il n'y a plus d'État de droit. Il y a une règle de pouvoir.

    Poutine, Xi, Maduro et les peuples américains et européens s'opposent à la règle du pouvoir, et ils semblent très lents à s'en rendre compte.

    https://www.lewrockwell.com/2022/10/paul-craig-roberts/the-rule-of-power/

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  34. Italie : plus de 70 000 clandestins ont débarqué en 2022, le total de 2021 déjà dépassé


    11/10/2022 11:04


    Conséquence des débarquements massifs et successifs de migrants sur ses côtes, l’Italie a déjà accueilli plus de clandestins en 2022 que durant toute l’année 2021.

    De plus en plus de clandestins débarquent en Italie

    En Italie aussi, les arrivées de migrants depuis le début de l’année 2022 ont augmenté par rapport aux années précédentes. Des données récemment publiées par le ministère italien de l’Intérieur indiquaient qu’au 7 octobre, le pays avait vu débarquer sur ses côtes 72 000 clandestins depuis le début de l’année. À la même période l’année dernière, les autorités avaient enregistré un peu moins de 48 000 arrivées. Ce qui représentait déjà presque le double des chiffres de 2020.

    Autre comparaison éloquente, ces plus de 70 000 migrants illégaux débarqués sur les côtes italiennes, notamment en Sicile, ont d’ores et déjà dépassé le nombre de clandestins dénombrés sur l’ensemble de l’année 2021, à savoir 67 000 individus.

    En 2021 justement, la majorité des migrants parvenus à gagner le littoral italien avait pris la mer depuis la Libye (38 000 personnes), la Tunisie (18 000) et la Turquie (12 000). Les autres pays de départ étaient ensuite l’Algérie, le Liban et la Syrie.

    [...]

    La proportion de musulmans augmente en Italie

    Autre élément à relever, parmi ces étrangers se trouvant en Italie (en situation régulière ou non), la part des musulmans a augmenté tandis que celle des chrétiens a diminué. Au 1er janvier 2022, plus de 29 % des étrangers résidant en Italie étaient de confession musulmane lorsqu’on y ajoute les mineurs. Ce qui représente un total de 1,5 million de personnes. Ce chiffre est également en hausse par rapport à l’année dernière, où l’on comptait moins de 1,4 million musulmans venus de l’étranger (27,1 % du total).

    Dans le même temps, le nombre d’étrangers chrétiens en Italie a diminué, passant de près de 2,9 millions en 2020 à moins de 2,8 millions en 2021. Bien qu’en baisse de 56,2 % à 53,0 % du total, les chrétiens constituent toujours la majorité absolue de la présence étrangère résidant en Italie. Parmi les chrétiens, la composante orthodoxe représente 28,9 % du total. La majorité de ces citoyens est originaire de Roumanie. Les catholiques représentent la deuxième confession la plus importante : leur nombre est estimé à 892 000 personnes (17,2 % des citoyens étrangers dans le pays), contre 866 000 il y a un an. Il s’agit principalement de citoyens des Philippines, d’Albanie, de Pologne, du Pérou et de l’Équateur.

    Les graphiques et l'intégralité de l'article à retrouver sur Breizh-Info

    https://tvl.fr/actus/nouvelle-zelande-le-gouvernement-veut-taxer-les-pets-de-vaches-pour-lutter-contre-le-rechauffement-climatique

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  35. Maison squattée à Marseille depuis deux ans : la famille Garcia réintègre leur logement, la locataire expulsée


    10/10/2022 14:11


    Victoire pour Pierre et Maryse Garcia. Les époux vont pouvoir reprendre possession de leur domicile situé dans le quartier de l'Estaque, dans le 16 arrondissement de Marseille, après plus de deux années passées à vivre dans leur camping-car.Nadia, la locataire qui occupait illégalement leur logement avec sa fille de 15 ans, a été expulsée ce lundi matin avec le concours de la force publique, a indiqué la préfecture des Bouches-du-Rhône.

    "Conformément aux engagements pris par la préfecture, l'ancienne locataire s'est vu proposer une solution de mise à l'abri dans un hôtel à proximité de son ancien logement en attendant qu'elle trouve une habitation pérenne", est-il précisé.

    [...]

    Les Garcia disent avoir dû consentir à 18.000 euros de frais, de procès et d'huissiers notamment, depuis le début de cette affaire.

    BFMTV

    https://tvl.fr/actus/nouvelle-zelande-le-gouvernement-veut-taxer-les-pets-de-vaches-pour-lutter-contre-le-rechauffement-climatique

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  36. Hausse des taxes sur le tabac : une fausse bonne idée

    Dans une optique de lutte contre le tabagisme, la France aurait beaucoup à apprendre d’autres pays étrangers.


    le 12 octobre 2022
    Élodie Messéant


    Le gouvernement l’a annoncé fin septembre : une énième augmentation du prix des cigarettes va avoir lieu d’ici à 2024.

    Entre autres, une taxation spécifique pour le « tabac à chauffer » sera prévue (les sticks de cigarette qui s’insèrent dans un appareil électronique pour vaporiser le tabac). Si le projet s’inscrit dans le Programme national de lutte contre le tabac (PNLT), prévu de 2018 à 2022, il traduit surtout une volonté d’indexer le prix du paquet sur l’inflation, et ainsi compenser le manque à gagner pour les caisses de l’État.

    Le prix du paquet devrait atteindre 11 euros en 2024 – contre 15 euros pour le tabac à rouler – en relevant le minimum de perception. Cela signifie que les produits les moins chers du marché vont être impactés. Or, ce sont précisément les catégories sociales les plus défavorisées qui constituent la grande majorité de fumeurs (soit deux fois plus chez les ouvriers que chez les cadres).

    Bien que cette mesure s’inscrit dans l’augmentation continue du prix des cigarettes depuis une vingtaine d’années – avec un prix moyen de moins de 4 euros en 2002, à un peu moins de 10 euros en 2020, il existe un grand nombre de raisons pour douter de son efficacité.

    Des politiques inefficaces

    En apparence, l’impact d’une telle fiscalité comportementale peut paraître efficace. On constate une baisse progressive de la vente de cigarettes par rapport à la hausse des taxes (composées actuellement de 55 % d’accise proportionnelle et environ 16,7 % de TVA pour un paquet).

    Pour autant, ces données sont à relativiser face au développement inévitable du marché noir – conséquence indirecte de ces politiques paternalistes. En effet, la baisse des ventes officielles de cigarettes ne préjuge rien du niveau de consommation. Ainsi, le commerce parallèle a explosé en Europe depuis les restrictions sanitaires liées au covid. Selon le rapport annuel de KPMG, les ventes de cigarettes non fiscalisées ont atteint 35 % de la consommation totale au sein de l’UE – un niveau record en 2021. C’est également en France que la part de consommation illégale est la plus élevée (29 %).

    Par ailleurs, la France compte parmi les plus gros consommateurs d’Europe – plus d’un Français sur quatre fume tous les jours -, alors qu’il s’agit du deuxième pays à la fiscalité la plus prohibitive de l’UE après l’Irlande, et le deuxième pays au monde à avoir mis en place le paquet neutre (là où le marketing de l’État se substitue à celui de l’industrie du tabac dans une optique de désincitation à l’achat).

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  37. L’ignorance de l’histoire économique

    Il est pourtant des leçons économiques connues depuis près de deux siècles, mais passablement ignorées par la classe politique.

    Au XIXe siècle, Bastiat théorise l’existence de coûts cachés par une formule simple : en économie, il y a ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas. L’intervention de l’État au nom de la poursuite d’un bien commun se traduit le plus souvent par des conséquences délétères qui se manifestent indirectement, et entretiennent l’illusion qu’une telle intervention est bénéfique. C’est bien là tout le problème : les hommes politiques anticipent rarement les conséquences négatives de leurs actions. L’échec de la prohibition aux États-Unis, de 1920 à 1933, est une illustration concrète de cette théorie. À défaut de réduire la consommation d’alcool à long terme, elle a favorisé le développement du marché noir et de la violence. De facto, le gouvernement protège les cartels.

    Ce précédent historique n’est pas substantiellement différent de la situation actuelle : en matière de tabac, une fiscalité prohibitive incite les consommateurs à se tourner vers des moyens illégaux. Bien entendu, les dernières statistiques sur le marché noir du tabac en France ont été remises en cause par l’organisme gouvernemental Comité de lutte contre le tabagisme.

    Selon ce dernier :

    « La hantise du développement d’un marché parallèle ne doit pas être un prétexte pour renoncer aux politiques de prévention ».

    Même lorsqu’elles sont inefficaces ?

    Les leçons des pays étrangers

    Dans une optique de lutte contre le tabagisme, la France aurait beaucoup à apprendre d’autres pays étrangers.

    À ce titre, le Royaume-Uni a vu son taux de fumeurs considérablement diminuer en 10 ans – de 24,1 % en 2010 à 15,4 % en 2020 -, notamment grâce à l’adoption d’une fiscalité proportionnelle au risque. L’idée consiste à créer une incitation économique à la consommation de produits moins dangereux pour la santé, tels que les cigarettes électroniques. Cette politique de bon sens semble porter ses fruits puisqu’on estime, rien qu’en 2017, que plus de 500 000 personnes sont parvenues à cesser de fumer grâce à la cigarette électronique.

    D’autres pays, comme l’Allemagne, préfèrent traiter leurs citoyens pour ce qu’ils sont : des adultes responsables. Bien entendu, il existe toujours un certain nombre de restrictions – notamment au niveau de la publicité -, mais le niveau de tolérance générale semble plus élevé que dans la plupart des autres pays européens : les taxes sur le tabac et les cigarettes électroniques sont parmi les plus faibles de l’UE.

    Mais au vu du commerce juteux que le tabagisme représente pour l’État français, il est difficile d’imaginer un revirement drastique dans les années à venir.

    https://www.contrepoints.org/2022/10/12/440496-hausse-des-taxes-sur-le-tabac-une-fausse-bonne-idee

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  38. Le rapport Zelenko: l'offre de 2 millions de barils de l'OPEP a coupé une déclaration politique, déclare Ann Vandersteel - Brighteon.TV


    Mercredi 12 octobre 2022
    par : Mary Villareal


    (Natural News) Ann Vandersteel, coprésidente de la Zelenko Freedom Foundation (ZFF), a déclaré que la réduction de l'offre annoncée par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) était une déclaration politique.

    Elle a fait cette affirmation lors de l'épisode du 6 octobre de "The Zelenko Report" sur Brighteon.TV. Un jour avant la diffusion de l'épisode, l'OPEP et ses alliés - sous la bannière OPEP+ - ont convenu de réduire la production de pétrole de deux millions de barils par jour (bpj).

    La réduction de la production, qui devrait commencer en novembre 2022, a été mise en place pour stimuler une reprise des prix du brut. Cette décision n'a pas surpris les acteurs du marché de l'énergie, qui s'attendaient à ce que l'OPEP+ réduise la production de pétrole entre 500 000 et 2 millions de bpj. Ce fut cependant une mauvaise surprise pour les États-Unis car ils appelaient le géant pétrolier saoudien à pomper plus de pétrole.

    L'OPEP+ avait réduit sa production d'un record de 10 millions de bpj au début de 2020, au début de la pandémie. Le cartel pétrolier a depuis annulé ces réductions d'approvisionnement, bien que certains pays membres aient encore du mal à rattraper leur retard.

    Vandersteel a rapidement souligné les mauvaises décisions du président Joe Biden concernant la réduction de l'offre et l'augmentation imminente des prix à la pompe. Elle s'est concentrée sur les décrets du directeur général sortant qui ont paralysé l'indépendance énergétique de l'Amérique.

    "Rappelez-vous, au fait, les amis, quand il n'y a pas si longtemps, les États-Unis étaient en fait un exportateur de pétrole et un exportateur de gaz naturel, et que notre prix de l'essence était en fait inférieur à 2,50 $ le gallon ?"

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  39. Biden aurait été "déçu" par la décision de l'OPEP+
    Selon les rapports, Biden a été "déçu" par la réduction de l'offre de l'OPEP+. Le président avait fait pression sur le groupe - l'Arabie saoudite en particulier - pour augmenter l'offre afin de faire baisser les prix avant les élections de mi-mandat de novembre.

    Lorsque la Russie a envahi l'Ukraine en février, le prix du brut a grimpé à plus de 100 dollars le baril. Cela inquiète les marchés que les sanctions mondiales pourraient entraîner une pénurie de pétrole russe, ce qui pourrait conduire les pays européens à réduire considérablement leurs approvisionnements en pétrole. La Lituanie et la Finlande, par exemple, ont importé environ 80 % de leur pétrole de Russie en novembre de l'année dernière.

    Dans un communiqué, Biden a déclaré qu'il avait ordonné au ministère de l'Énergie de libérer 10 millions de barils supplémentaires de la réserve stratégique de pétrole à la suite de la décision de l'OPEP+. L'administration consultera également le Congrès concernant des outils et des autorités supplémentaires pour réduire le contrôle du cartel sur les prix de l'énergie, a-t-il ajouté. (Connexe : le prix du pétrole brut dépasse 120 dollars le baril pendant une courte période ; les experts mettent en garde contre des prix du pétrole encore plus élevés dans les mois à venir.)

    De plus, le communiqué ajoute que l'annonce de l'OPEP+ a rappelé pourquoi il est essentiel que les États-Unis réduisent leur dépendance à l'égard des sources étrangères de combustibles fossiles. Cela, en substance, impliquait que le cartel s'aligne désormais sur la Russie.

    "Même s'il était basé sur des raisons techniques et purement sur l'offre et la demande, ce n'est pas ainsi qu'il est interprété par les États-Unis. La perception est de 90% de la loi, et la perception est que les Saoudiens ne tiennent pas leur part du marché », a déclaré Michael Stephens du groupe de réflexion basé à Londres Royal United Services Institute.

    "L'ère dans laquelle nous nous trouvons montre clairement que même si les Saoudiens se coordonnent avec la Russie sur les prix du pétrole, cela sera considéré comme un soutien manifeste à la Russie."

    Visitez FuelSupply.news pour plus d'histoires sur les répercussions de la coupure de l'offre de l'OPEP+.

    Regardez l'épisode complet du 6 octobre de "The Zelenko Report" avec Ann Vandersteel ci-dessous. "The Zelenko Report" est diffusé du lundi au vendredi, de 13h à 14h. sur Brighteon.TV.

    - voir sur site -

    Plus d'histoires liées :

    Les prix du pétrole devraient à nouveau monter en flèche après que les Saoudiens et l'OPEP ont repoussé Biden et annoncé des réductions de production.

    Angry Biden s'apprête à contenir la production d'énergie nationale après que l'OPEP+ lui ait dit de faire un pas en avant sur la demande d'augmentation de la production.

    Les géants pétroliers mettent en garde contre la diminution de l'approvisionnement énergétique dans le monde alors que les prix du carburant atteignent des niveaux record.

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    CNBC.com 1
    CNBC.com 2

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-opec-supply-cut-political-statement-ann-vandersteel.html

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  40. Le gouvernement américain a la capacité de manipuler les ouragans, selon une documentation vieille de 50 ans


    Mercredi 12 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Croyez-le ou non, il existe des preuves suggérant que le gouvernement des États-Unis – ou du moins ceux qui l'ont coopté et le contrôlent maintenant – a la capacité de créer et de diriger les conditions météorologiques, y compris les ouragans.

    L'éducatrice et militante Peggy Hall a mis en ligne une vidéo – regardez ci-dessous – discutant de ce qu'elle a pu découvrir dans les archives gouvernementales. Des documents datant de 50 ans ou plus indiquent des technologies capables de manipuler de grandes tempêtes.

    Le Département de la Marine, le Département de l'Armée de l'Air et General Electric ont tous un rôle à jouer là-dedans, dit Hall. Un article publié par General Electric intitulé "Histoire du projet Cirrus de 1947 à 1952" décrit comment les particules et les modifications des nuages ​​​​sont utilisées pour affecter les ouragans.

    Hall parle souvent de géo-ingénierie et de chemtrails sur sa chaîne, ainsi que d'incendies de forêt, dont certains, selon elle, sont manipulés à l'aide d'armes à énergie dirigée, ou DEW.

    Dans cette vidéo particulière, elle explique que la manipulation météorologique du gouvernement est utilisée pour instiller la peur, l'incertitude et les difficultés sur les gens afin de les mettre sous le contrôle de l'Agence fédérale de gestion des urgences (FEMA).

    Dans certains cas, le gouvernement pourrait même diriger des ouragans vers certaines régions en guise de représailles politiques. Serait-ce la raison pour laquelle l'ouragan Ian a frappé la Floride, un État qui a résisté à l'arnaque du coronavirus de Wuhan (Covid-19), y compris les soi-disant « vaccins » ?

    Plusieurs liens supplémentaires vers plus d'informations sur le projet Cirrus et d'autres programmes gouvernementaux de modification du temps peuvent être trouvés sur NeedToKnow.news.

    La manipulation de la météo semble se produire dans le monde entier*

    L'ensemencement des nuages ​​et l'injection d'aérosols dans le ciel est quelque chose qui occupe de plus en plus le devant de la scène, même dans les rapports officiels des sources grand public.

    Tout récemment, nous avons rapporté comment le Forum économique mondial (WEF) a été surpris en train de se vanter d'opérations de « chemtrails » d'ensemencement de nuages ​​dans la Chine communiste.

    Plus tôt dans l'année, nous avons signalé comment des opérations nationales d'ensemencement de nuages ​​​​étaient déployées au Nouveau-Mexique pour essayer de créer plus de pluie sur des terres sèches.

    Il n'est pas exclu de conclure que si les pouvoirs en place sont capables de faire tout cela, ils sont aussi capables de renforcer, voire d'affaiblir les tempêtes, ou de les diriger vers certains endroits.

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  41. Peut-être y a-t-il même des armes météorologiques utilisées par un pays contre un autre à des fins de guerre. Au lieu de lancer des missiles ou des attaques au sol comme autrefois, les armes modernes d'aujourd'hui sont peut-être utilisées pour priver une nation cible de pluie pour ses cultures et ses réservoirs - ou peut-être pour la faire exploser avec trop de pluie pour créer des inondations.

    "Je pense qu'ils peuvent diriger un ouragan en semant tactiquement certains quadrants de la tempête", a écrit un commentateur dans la spéculation. "Ils peuvent le faire virer à gauche ou à droite et le bloquer dans une certaine mesure."

    "Apparemment, l'armée américaine faisait cela aux Vietcongs pendant la saison de la mousson pour leur déverser des quantités impies de pluie sur le sentier. Ils ne pouvaient pas créer de mousson mais ils pouvaient lui faire déverser sa pluie là où ils le voulaient.

    Un autre a écrit qu'il existe la capacité de diriger et de créer des tempêtes à l'aide d'oxyde d'argent, et que cela est possible depuis au moins 50 ans - tout cela n'est que spéculation, bien sûr.

    "C'est un secret de polichinelle : en 2005, l'ouragan Katrina s'est renforcé sur des eaux plus froides", a suggéré quelqu'un d'autre.

    "La plupart des climatologues savent que la technologie existe pour manipuler le temps", a écrit un autre.

    Cependant, tout le monde ne croit pas que tout cela est vrai. Une personne a exprimé son scepticisme quant aux technologies apparemment «toutes puissantes» du gouvernement, suggérant qu'il pourrait s'agir simplement d'une ruse pour maintenir le contrôle sur les masses grâce au pouvoir de la suggestion.

    Plus d'informations sur le contrôle météorologique peuvent être trouvées sur Geoengineering.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Newspunch.com
    YouTube.com
    NeedToKnow.news
    NaturalNews.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-us-government-manipulates-hurricanes-documentation-shows.html

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    1. * Si vous en doutiez...

      https://nwohaarp.wordpress.com/2017/10/05/haarp-the-day-after-tomorrow/

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  42. STATISTIQUES DU FBI : Plus de 60 % des meurtriers connus en 2021 étaient NOIRS


    Mercredi 12 octobre 2022
    par : Ethan Huff



    (Natural News) Bien qu'ils ne représentent que 13,6 % de la population générale, les Noirs d'ascendance africaine sont responsables de 60,4 % de tous les meurtres à travers l'Amérique, selon les dernières données.

    Le Federal Bureau of Investigation (FBI) l'a révélé dans ses statistiques officielles de déclaration uniforme de la criminalité pour 2021, qui auraient pris plus de temps à compiler en raison d'une énorme baisse de la coopération des services de police locaux.

    En 2020, environ 85 % des forces de l'ordre locales ont accepté de fournir des données au FBI pour ce rapport. En 2021, cependant, ce chiffre est tombé à environ 64 %, dans certains cas en raison de changements de formatage plus compliqués qu'auparavant.

    Même ainsi, il est clair que le nombre de meurtres causés par des Noirs a augmenté de façon assez spectaculaire de 2020 à 2021. En 2020, les Noirs représentaient 56,5 % des meurtres. Un an plus tard, ce chiffre a grimpé à 60,4 %.

    L'une des raisons présumées de cette augmentation est le "calcul racial" promu par les médias contrôlés par les entreprises à la suite de l'incident sous fausse bannière de George Floyd qui s'est produit le 25 mai 2020.

    "Gardez à l'esprit que les taux de fermeture des enquêtes sur les meurtres sont plus faibles dans les communautés noires en raison des" mouchards qui se font piquer ", donc 60,4 % pourrait encore être un euphémisme modeste", explique l'un d'eux.

    "Comme toujours avec les statistiques du FBI, contrairement aux statistiques du CDC, la catégorie blanche comprend beaucoup d'Hispaniques… Dans l'ensemble, l'Amérique de l'année en cours a un gigantesque problème de meurtre par arme à feu noire."

    Près de 60 % de toutes les victimes de meurtres aux États-Unis sont également noires

    De loin, l'arme de meurtre la plus couramment utilisée par les meurtriers en Amérique est une arme de poing, suivie d'un couteau, d'un fusil, d'une arme de poing automatique, d'un fusil de chasse et d'un fusil automatique.

    Les victimes de meurtre les plus courantes sont les Noirs, les données montrent en outre, donnant du poids aux affirmations de Jason D. Hill, professeur noir à l'Université DePaul de Chicago, selon lesquelles la plupart des meurtres noirs sont commis par d'autres Noirs.

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  43. Les personnes «blanches ou hispaniques» sont les deuxièmes meurtriers et victimes de meurtre les plus courants, les hispaniques étant toujours, pour une raison quelconque, regroupés avec les blancs en tant que même groupe démographique.

    En regardant les données, il devient indéniablement clair que l'Amérique a un sérieux problème de violence noire, un fait qui pourrait être politiquement incorrect à dire à haute voix mais qui est néanmoins factuel.

    L'Amérique a également un problème de meurtre illégal par arme de poing, que plus de contrôle des armes à feu ne résoudra pas parce que les criminels ne respectent pas les lois en premier lieu - d'où la raison pour laquelle ils sont des criminels.

    « Pourquoi pas de catégorie distincte pour les hispaniques ? » a demandé à un commentateur la méthode de reportage problématique consistant à regrouper les Hispaniques avec les Blancs. "Le FBI classe-t-il le crime hispanique dans la catégorie des Blancs ?"

    Un autre a écrit que la plupart des crimes noirs sont vraisemblablement commis par des hommes noirs plus jeunes, qui représentent un pourcentage encore plus faible des 13,6 % de Noirs qui composent la population américaine.

    "Je suppose que les hommes noirs entre 14 et 49 ans ne représentent pas plus de 4% de la population totale", a ajouté cette personne.

    "Les services de police doutent de la catégorie hispanique", a écrit quelqu'un d'autre.

    "L'hispanique n'est pas une catégorie sur la carte d'empreintes digitales du FBI", a déclaré quelqu'un d'autre. "Pratiquement tous les Hispaniques, les Moyen-Orientaux, les Nord-Africains et une grande partie de la population d'Asie centrale sont répertoriés comme blancs sur la carte d'empreintes digitales."

    "Pour rappel, lorsque NYC rapporte que les écoles sont à 15 % blanches, cela signifie que les personnes de Turquie, de Syrie et d'Irak sont comptées comme blanches."

    Le département de police de Los Angeles (LAPD) et le département de police de New York (NYPD), deux départements majeurs qui n'ont pas contribué aux données du FBI, ne coopèrent pas non plus avec le projet annuel de collecte de données sur la surveillance de l'avortement du CDC, a noté un autre.

    "Les données sur les phénomènes inconfortables deviennent de plus en plus difficiles à obtenir", a ajouté cette personne.

    Plus d'histoires comme celle-ci peuvent être trouvées sur Violence.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Census.gov
    UNZ.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-60-percent-murder-offenders-2021-black.html

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  44. La pénurie de tomates se profile alors que la sécheresse menace les cultures d'été de la Californie


    mercredi 12 octobre 2022
    par : Arsenio Toledo

    (Natural News) Moins de précipitations dans le centre de la Californie et des réserves d'eau restreintes provenant du fleuve Colorado vers les parties les plus méridionales de l'État ont flétri de nombreuses cultures d'été comme les tomates et les oignons.

    Les tomates sont parmi les plus durement touchées par les précipitations inférieures à la moyenne de cette année et la réduction des allocations d'eau. Les conditions de sécheresse, associées à l'ouragan Ian qui ravage les cultures de tomates en Floride et aux conditions inflationnistes existantes qui poussent les prix à la hausse, rendront probablement les tomates beaucoup plus chères. (Connexe: FOOD COLLAPSE: La sécheresse en cours en Californie a laissé plus d'un demi-million d'acres de terres agricoles non plantées.)

    "Il n'y a tout simplement pas assez d'eau pour faire pousser tout ce que nous cultivons normalement", a déclaré Don Cameron, président du California State Board of Food and Agriculture. Cameron cultive des tomates, des oignons, de l'ail et une douzaine d'autres cultures près de Fresno.

    Depuis le début de la sécheresse actuelle en Californie en 2020, les conditions dans la vallée centrale de la Californie n'ont fait qu'empirer. Il a connu ses mois de janvier et février les plus secs plus tôt cette année. Le manteau neigeux, qui alimente en eau de surface une grande partie de la vallée centrale, n'a fourni que 38% de sa moyenne historique en avril.

    "Je ne pense pas que l'agriculture en Californie ait jamais été plus complexe et plus difficile, et la sécheresse en est une grande partie", a déclaré Aaron Barcellos, un agriculteur près de Firebaugh. Il n'a planté qu'un quart des 2 000 acres de la ferme de quatrième génération de sa famille. Cet été, il a dû récolter ses tomates deux semaines plus tôt pour éviter d'autres dégâts dus à la sécheresse.

    Quatre-vingt-quinze pour cent de la production américaine de tomates transformées se trouve en Californie. Cela représente environ 35 pour cent de l'approvisionnement mondial en tomates transformées.

    En août, le département américain de l'Agriculture (USDA) a réduit ses prévisions annuelles de récolte de tomates de 10 %, passant de 12,2 millions de tonnes métriques (13,45 millions de tonnes) à 10,5 millions de tonnes métriques (11,57 millions de tonnes). C'est 10% de moins que ce qui avait été prévu en mai et 2% de moins que le total de production de l'année précédente.

    Dans une estimation différente, le Processing Tomato Advisory Board estime que les producteurs ne pourront atteindre que 82% de cet objectif cible déjà abaissé.

    La Californie cultive plus d'un tiers des légumes américains et les trois quarts de ses fruits et noix.

    En raison du manque à gagner massif, les agriculteurs ont négocié des prix plus élevés pour les tomates, les oignons, l'ail et d'autres cultures.

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  45. "Ce que vous voyez récolté cet été, qui n'a même pas atteint les rayons des épiceries, c'est une augmentation de 25% du coût du produit pour les transformateurs - les conserveries, les acheteurs en aval", a déclaré Cameron. "Les oignons et l'ail ont déjà été négociés pour 2023, avec une autre augmentation de 25%."

    Cameron a déclaré que les prix des tomates subiront une augmentation de prix similaire, entraînant une augmentation de 50% des coûts pour les conserveries et les transformateurs jusqu'en 2023.

    Le prix des fruits et légumes a déjà augmenté de 9,4% par rapport à il y a un an et de 0,5% par rapport à juillet. Les prix des tomates ont augmenté de 2,3 pour cent de juillet à août.

    Les conditions de sécheresse en Californie persistent
    L'USDA a déclaré dans un rapport fin août que les conditions de sécheresse et les températures élevées en Californie "ont rendu difficile pour les producteurs de répondre à la demande".

    Le U.S. Drought Monitor – une collaboration entre l'USDA, la National Oceanic and Atmospheric Administration et l'Université du Nebraska-Lincoln – a rapporté que 94% de la Californie pouvait être classée comme étant dans des conditions de sécheresse sévère, extrême ou exceptionnelle dès la première semaine de Octobre.

    Ce n'est que légèrement inférieur à celui de début juillet, lorsque 97,5% de la Californie se trouvaient dans de telles conditions de sécheresse.

    En savoir plus sur les sécheresses en Amérique sur Climate.news.

    Regardez cet épisode du "Health Ranger Report" alors que Mike Adams, le Health Ranger, parle de l'avertissement du chef de l'alimentation des Nations Unies concernant "l'enfer sur terre" en raison de la famine.

    Ceci provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

    Articles plus connexes :

    Les niveaux d'eau baissent rapidement dans le fleuve Mississippi, menaçant les exportations de maïs et de soja pendant cette saison de récolte cruciale.

    L'imagerie satellite montre des « friches agricoles » à travers la capitale du riz de Californie.

    NETTOYAGE ALIMENTAIRE : Plus d'un tiers des agriculteurs américains tuent leurs propres récoltes et vendent du bétail en raison de la sécheresse.

    Le coût de l'eau en Californie atteint un niveau record dans un contexte de sécheresse persistante qui menace les villes et l'industrie agricole massive.

    Approvisionnement alimentaire MENACE : Si la Californie coupe l'eau aux fermes, TOUTE l'Amérique sera confrontée à des pénuries alimentaires.

    Sources include:

    Reuters.com
    Axios.com
    Gizmodo.com
    FoxBusiness.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-tomato-shortage-drought-threatens-california-summer-crops.html

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  46. Les mondialistes sont de connivence avec Big Tech pour manipuler Internet sous couvert de «combattre la désinformation»


    mercredi 12 octobre 2022
    par : Belle Carter


    (Natural News) Les mondialistes qui prétendent « posséder la science » ont admis avoir collaboré avec plusieurs entreprises de Big Tech pour lutter contre la désinformation, en particulier sur le coronavirus de Wuhan (COVID-19) et le changement climatique,

    Melissa Fleming, sous-secrétaire générale des Nations Unies pour les communications mondiales, a fait cet aveu lors des réunions du Forum économique mondial (WEF) «Lutter contre la désinformation lors des réunions sur l'impact du développement durable» qui se sont tenues du 19 au 23 septembre. organisation "possède la science" et a appelé à ce que ce fait soit diffusé dans le monde entier.

    "Nous devenons beaucoup plus proactifs", a admis Fleming. "Nous possédons la science et nous pensons que le monde devrait le savoir et les plateformes elles-mêmes le savent aussi." (Connexe: "Nous possédons la science", se vante le représentant de l'ONU au Forum économique mondial.)

    Elle a expliqué que l'ONU s'est associée à des sociétés Big Tech telles que Google et Tiktok pour éliminer les informations qui vont à l'encontre des récits de l'organisation sur le changement climatique et la pandémie.

    « Par exemple, si vous recherchez « changement climatique » sur Google, vous obtiendrez, en haut de votre recherche, toutes sortes de ressources de l'ONU. Nous avons commencé ce partenariat lorsque nous avons été choqués de voir que lorsque nous cherchions "changement climatique" sur Google, nous obtenions des informations incroyablement déformées tout en haut.

    Fleming a également parlé de l'initiative Team Halo, qui impliquait des scientifiques et des médecins formés aux bases de la plate-forme de médias sociaux basée sur la vidéo. "Nous avions TikTok qui travaillait avec nous", a-t-elle souligné.

    De plus, Fleming s'est également vanté de travailler avec des influenceurs pour faire avancer ces récits. Elle a expliqué que "les influenceurs qui étaient vraiment enthousiastes, qui ont d'énormes adeptes, mais vraiment désireux d'aider à transmettre des messages qui allaient servir leurs communautés... étaient beaucoup plus dignes de confiance que l'ONU leur disait quelque chose depuis le siège de New York".

    Les analystes craignent que les reportages sur les "fausses nouvelles" ne prolifèrent en utilisant les organisations technocratiques sur les réseaux sociaux qui peuvent manipuler les algorithmes et censurer le contenu ainsi que les "influenceurs", qui peuvent être biaisés ou payés.

    "Internet est un lieu pour les gens, comme les parcs, les bibliothèques, les musées et les lieux historiques. L'élite mondialiste doit être arrêtée dans sa mission de priver l'humanité de cet endroit précieux », a déclaré l'écrivain de NewsPunch, Baxter Dmitry.

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  47. Bill Gates possède la science et le MSM

    Avec la récente affirmation de l'ONU selon laquelle ils possèdent la science, les penseurs profonds et les logiques peuvent relier les points quant à savoir qui finance "l'autorité de direction et de coordination sur la santé internationale" de l'organisation - sous la forme de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les principaux contributeurs à l'OMS sont Gavi, la Vaccine Alliance et la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF).

    Le directeur général du WEF, Adrian Monck, qui a animé la réunion au cours de laquelle Fleming s'est exprimé, a décrit le réseau de fausses informations CNN comme faisant partie de la stratégie de guerre politique visant à "s'approprier le récit". Il a déclaré que CNN "est à la fois une organisation qui essaie de donner un sens au monde et d'établir les faits".

    Selon un rapport de 2021, le BMGF a fait plus de 300 millions de dollars de dons pour financer des projets médiatiques. Le réseau de fausses nouvelles fait partie des principaux bénéficiaires, recevant 3,6 millions de dollars. Parmi les autres organes de presse américains qui ont reçu de l'argent de la fondation figurent NBC, NPR, PBS et l'Atlantique.

    L'argent de la BMGF est également allé sur les comptes de plusieurs médias britanniques tels que la BBC, le Guardian, le Daily Telegraph et le Financial Times. La chaîne d'information qatarie Al Jazeera et des publications européennes comme Le Monde français, Der Spiegel allemand et El Pais espagnol ont également reçu un financement de la fondation.

    Écrivant pour le site Web Sociable, Tim Hinchliffe a fait remarquer qu'en s'associant à des entreprises technologiques pour éclairer et influencer l'opinion publique et en versant des millions de dollars dans les médias, les mondialistes non élus montrent une fois de plus leurs vraies couleurs aux yeux de tous.

    Il a écrit : « Posséder la science conduit à posséder le récit. Posséder le récit signifie contrôler la pensée et la parole. Le contrôle de la pensée et de la parole signifie la fin d'une société libre. Bienvenue dans la grande réinitialisation.

    Regardez Fleming admettre travailler avec des entreprises Big Tech et "posséder la science" ci-dessous.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Willow sur Brighteon.com.

    More related stories:

    German economist: WEF plans to impose SOCIAL CREDIT system under the guise of “humanitarian act.”

    NEW WORLD ORDER UNITES: Clinton Global Initiative, UN General Assembly, WEF ‘climate crisis’ summit kick off simultaneously in NYC.

    WEF claims that “billions” who obeyed lockdowns and mask mandates will also comply with new globalist “social credit scheme.”

    Sources include:

    Newspunch.com
    WEForum.org
    TheGatewayPundit.com
    NationalReview.com
    MintPressNews.com
    Sociable.co
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-globalists-colluding-with-big-tech-manipulate-internet.html

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  48. BRÛLEZ LA SCIENCE : l'Allemagne annonce un plan de "recyclage thermique" de 800 millions de masques covid en tant que COMBUSTIBLE dans un contexte de crise énergétique


    Mercredi 12 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) Près de 800 millions de couvre-visages scellés qui ont été fabriqués pour l'arnaque du coronavirus de Wuhan (Covid-19) seront bientôt incinérés comme carburant pour garder les gens au chaud en Allemagne cet hiver sombre à venir.

    Les rapports indiquent que la puissance économique de l'Europe a du mal à rester à flot au milieu de l'altercation en cours entre la Russie et l'Ukraine-OTAN. Cela a empêché le pays d'obtenir ou de produire suffisamment d'énergie pour traverser la saison froide.

    Beaucoup en Allemagne paniquent et essaient d'acheter du bois de chauffage, des poêles, des granulés de bois et tout ce sur quoi ils peuvent mettre la main pour créer de la chaleur en raison de la perte imminente de réserves de pétrole et de gaz.

    Le récent sabotage des pipelines Nord Stream 1 (NS1) et Nord Stream 2 (NS2) reliant la Russie à l'Allemagne via la mer Baltique n'a fait qu'empirer les choses, aggravant encore une situation déjà difficile. (En relation: L'énergie devra bientôt être rationnée en Allemagne en raison de l'inflation et des pénuries.)

    Alors que l'automne arrive et que les feuilles commencent à tomber, apportant avec cette mort le frisson du froid, le peuple allemand commence à paniquer parce que, tout comme les constructeurs du Titanic qui ont dit que même Dieu lui-même ne pouvait pas couler ce navire, ils n'ont jamais pensé ce genre de chose pourrait leur arriver, en Allemagne de tous les endroits.

    Brûler des masques ne génère pas d'énergie «propre» - désolé, Allemagne!
    Les 800 millions de masques, nous dit-on, ont dépassé leur date de péremption (qui savait qu'un morceau de papier et de plastique fabriqué en Chine avait une durée de vie ?). Ils ont été achetés à l'origine par le gouvernement allemand pour la somme incroyable de 5,9 milliards de dollars - parler d'un gaspillage d'argent.

    Non seulement la combustion des masques générera de l'électricité, a déclaré le ministère fédéral allemand de l'Environnement, de la Conservation de la nature, de la Sûreté nucléaire et de la Protection des consommateurs, mais elle générera également la chaleur indispensable pour maintenir les gens en vie tout au long de l'hiver.

    La combustion des masques ne sera pas une énergie «propre» comme l'Allemagne s'enorgueillit depuis longtemps d'être le fer de lance. La fumée et les cendres qu'ils laissent derrière eux produiront une pollution similaire à celle des combustibles fossiles, dont l'Allemagne s'est moquée dans sa transition vers une économie «verte».

    D'ici 2030, l'Allemagne avait prévu d'atteindre une production nationale d'énergie propre de 80 %, une augmentation par rapport à son engagement initial de 65 %. Actuellement – ​​ou du moins jusqu'à cette année – l'Allemagne revendique un «mix énergétique» d'un peu moins de 41% de production d'énergie propre.

    La perspective de brûler 800 millions de masques pour l'énergie cet hiver freinera considérablement la transition verte de l'Allemagne, car les masques sont très polluants lorsqu'ils sont brûlés. Afin de produire ces masques en Chine, des combustibles fossiles ont également dû être brûlés.

    On nous dit que l'Allemagne prévoit de redémarrer au moins 20 centrales électriques au charbon à travers le pays qui ont été fermées au cours des dernières années pour "sauver la planète". Maintenant, ils doivent être utilisés à nouveau pour sauver des vies de l'hypothermie et de la mort.

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  49. Malheureusement pour l'Allemagne, le pays a eu des difficultés ces derniers temps à obtenir et à livrer du charbon auxdites centrales électriques. Le Rhin était à un niveau prohibitif pendant un certain temps, empêchant les navires de passer, et les coûts associés à l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement ont explosé.

    Début 2021, selon Heiko Mennerich, responsable de l'énergie chez Evonik, l'une des plus grandes centrales au charbon d'Allemagne, le charbon ne coûtait que 64 dollars la tonne. L'été dernier, cette même tonne métrique de charbon a augmenté de prix à 400 $ - une augmentation de plus de 600 %.

    "Que l'Allemagne soit un exemple pour le peuple américain, si notre propre gouvernement se trouvait trop dépendant de l'énergie étrangère et se tournait vers la combustion de fournitures médicales pour se réchauffer en hiver", a averti un rapport.

    Les dernières nouvelles sur la crise énergétique en Europe sont disponibles sur Collapse.news.

    Les sources de cet article incluent :

    WesternJournal.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-germany-thermally-recycle-covid-masks-fuel-energy.html

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    1. Face au virus (poussières empoisonnée de laboratoires en seringues) de 0,1 à 0,5 micron les faux 'masques anti virus' d'écart de mailles de 150 microns (Hahaha !) ont finalement été jetés au feu !

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  50. Un politicien français qui a failli devenir président dit que le «vaccin» COVID l'a presque tué


    Mercredi 12 octobre 2022
    par : Ethan Huff


    (Natural News) L'ancien candidat à la présidence française, Jean Lassalle, a récemment déclaré à NTD qu'Emmanuel Macron et d'autres membres du parlement français mentaient sur leur statut de "vaccination" contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19).

    L'accusation est que Macron et les autres ne se sont jamais fait piquer mais continuent de dire au monde qu'ils l'ont fait – ce qui n'est guère un choc. Lassalle a également déclaré qu'il s'était vraiment fait piquer l'année dernière et que cela l'avait presque tué.

    "J'ai reçu le vaccin Johnson (& Johnson) qui m'a presque tué, qui m'a déformé le cœur", a déclaré Lassalle, qui a représenté la 4e circonscription du département des Pyrénées-Atlantiques à l'Assemblée nationale de 2002 au 21 juin 2022.

    « J'ai subi quatre interventions chirurgicales depuis le 3 janvier de cette année. Et puis là, c'est à la clinique Ambroise Paré que le chirurgien qui s'est formé avec un autre à l'ailleurs, a réussi à me mettre les oreillettes en place, sauf à les faire fonctionner normalement », a-t-il ajouté dans une traduction anglaise grossière – vous obtenez le point.

    "Sinon, je serais certainement mort."

    Les piqûres COVID sont le plus grand canular perpétré dans le monde, peut-être jamais

    Lorsque le journaliste de NTD, Ying Huang, lui a demandé pourquoi il avait accepté de prendre le vaccin COVID en premier lieu, Lassalle a répondu qu'il ne faisait que son travail et pensait que tous ses collègues politiciens, y compris Macron, l'avaient également fait parce qu'ils affirmaient tous qu'ils a fait.

    "Parce que j'étais député et que je ne voulais pas donner l'impression que je ne faisais pas mon travail", a déclaré Lassalle.

    « Mais je ne savais pas qu'Emmanuel Macron n'était pas vacciné. Je ne savais pas que la plupart des membres du gouvernement ne l'étaient pas, et je ne le savais pas, comme beaucoup de mes collègues députés non plus. Je voulais montrer l'exemple. »

    À cette époque, Macron, Boris Johnson du Royaume-Uni et d'autres figures de marionnettes ne se taisaient pas sur les mérites allégués de se faire injecter pour la grippe Fauci. Ils poussaient agressivement le monde à se faire piquer à toute vitesse, et beaucoup ont obéi.

    "Je suis tombé malade et je l'ai dit pendant la campagne électorale, personne n'a écouté et ils ont voulu me faire taire", a ajouté Lassalle - regardez la vidéo ci-dessous :

    - voir sur site -

    Les Français sont en colère contre la bombe du politicien John Lassalles qui affirme que "l'injection" qui l'a presque tué n'a pas été prise par Macron et d'autres.

    Beaucoup demandent une enquête complète sur les allégations. pic.twitter.com/inMPmyFBrU
    — Kat A ? (@ SaiKate108) 11 octobre 2022

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  51. Comme vous vous en souvenez peut-être plus tôt dans l'année, Macron s'est vanté à la télévision d'avoir fièrement espéré « faire chier » les non-vaccinés en France en leur rendant la vie aussi misérable que possible.

    « Et nous allons continuer ainsi jusqu'à la fin. C'est la stratégie », a déclaré Macron aux journalistes du Parisien à l'époque.

    « Je n'enverrai pas (les non vaccinés) en prison, je ne vaccinerai pas de force. Alors il faut leur dire, à partir du 15 janvier, vous ne pourrez plus aller au restaurant, vous ne pourrez plus en descendre un, vous ne pourrez plus prendre un café, aller au théâtre, au cinéma."

    Il s'avère que Macron pourrait très bien être l'un des non vaccinés si le récit de Lassalle mérite une quelconque vérité. Cela a du sens, et de nombreux sceptiques se sont demandé si Macron, Joe Biden, Donald Trump, Rochelle Walensky et les nombreux autres politiciens qui prétendent avoir été injectés l'ont vraiment fait.

    "Le sang pur sera peut-être un jour en bourse", a écrit un commentateur.

    L'escroquerie COVID est terminée depuis longtemps, mais pas pour les politiciens qui essaient toujours de la pousser. Pour vous tenir au courant des dernières nouvelles, visitez Pandemic.news.

    Les sources de cet article incluent :

    TheGatewayPundit.com
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-12-french-politician-covid-vaccine-nearly-killed-him.html

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  52. ENCORE 4 COMMENTAIRES DE CENSURÉS ! 60 - 4 = 56

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