Quatrième bombe à retardement : le système de santé
S’il fallait un exemple de dysfonctionnement de notre système de santé c’est bien la gestion de l’arrivée du covid en France.
le 17 octobre 2022 Claude Goudron
Jusqu’à l’arrivée du covid, une majorité de Français pensaient disposer du meilleur système de santé au monde. Si un jour ça a été le cas, cela remonte à de nombreuses années. S’il fallait un exemple de dysfonctionnement du système de santé français, c’est bien la gestion de l’arrivée du covid.
En effet, cette crise a démontré combien l’administration était incompétente aussi bien dans la gestion des masques et du matériel de réanimation que dans l’organisation de la campagne vaccinale qui a fait perdre plusieurs mois de protection aux Français fragiles.
La prise de pouvoir de l’administration
La part des personnels non soignants dans les effectifs hospitaliers est de 34 % en France contre 25 % en Allemagne, Italie ou Espagne.
C’est sans compter les effectifs des ARS, soit environ 10 000 personnes, qui ont un pouvoir de décision souvent hors de leur champ de compétences. Elles sont critiquées par une grande majorité du personnel soignant, à tel point que ce dernier lui a intimé l’ordre de rentrer dans leur bureau et de ne plus en sortir. C’est à partir de ce moment que la situation s’est améliorée dans les cellules de réanimation covid.
L’administratif occupe plus de 30 % du temps de travail des infirmiers et empiète sur leur temps de soin.
Le directeur d’un grand hôpital de Paris a même déclaré à la télévision que dans son service la partie administrative pouvait atteindre 50 %.
Il faut donc revenir à une organisation plus performante qui dégagerait davantage de temps pour le soin.
Notre système de santé : beaucoup de dépenses pour des résultats très insuffisants
Avec des dépenses de santé équivalentes à 11,3 % du PIB (chiffres 2019) la France se situe dans le haut de la fourchette européenne dont la moyenne est de 10 %.
Malgré un budget de 234 milliards d’euros le système de santé français fait beaucoup moins bien que ses voisins. En effet, les délais pour obtenir des rendez-vous chez un spécialiste ou pour un examen sont devenus catastrophiques. C’est ce que j’ai pu constater dans ma région : deux à trois semaines pour une simple radiographie, jusqu’à six mois, voire davantage pour un bilan cardiaque.
Malgré la prise de conscience de nos dirigeants l’avenir reste encore moins rose avec l’envolée des prix de l’énergie (+50 % en un an), l’augmentation moyenne du prix des médicaments de 12,6 %, de la restauration de 2,9 % et du nettoyage des linges de 6,4 % (témoignage de Xavier Vaillant dans L’Express du 8/09/2022).
Le coût prohibitif de l’administration pénalise également les hôpitaux dans leurs investissements de matériel de pointe qui sont, dans le meilleur des cas, reportés ou tout simplement annulés ou remplacés par du matériel moins performant.
Le résultat est que la France dispose de 15,4 appareils IRM par million d’habitants quand nos voisins allemands en possèdent 34,7 !
Dans l’accès aux nouveaux médicaments mis sur le marché, là encore le patient français est pénalisé par un délai de 530 jours contre 106 en Allemagne et 111 au Royaume-Uni.
Le taux d’endettement des hôpitaux est passé de 33 % de leurs capitaux en 2002 à plus de 50 % en 2018. C’est une envolée des intérêts qui va s’abattre sur eux, sachant que 30 % de leur endettement est à taux variable.
Largesses et fraudes de l’aide médicale L’aide médicale d’État
La France peut-elle faire preuve d’autant de largesses lorsqu’une partie de plus en plus importante des citoyens français n’ont pas accès à autant d’avantages que ceux dont bénéficie un étranger sur notre territoire ?
Elle constitue par ailleurs un appel d’air. Selon l’iFRAP, son coût est en augmentation régulière jusqu’à atteindre 1,5 milliard d’euros.
La Complémentaire santé solidaire
Elle est accordée, après demande, à toute personne percevant moins de 9203 euros pour 2022. C’est aussi une avancée à saluer, mais comme tout système gratuit elle engendre des abus : près de 7,3 millions de personnes en ont bénéficié en 2018 pour un coût total de 2,3 milliards.
CORONAVIRUS: Près de la moitié des infectés souffrent ensuite de Covid long
6 % des personnes atteintes ne sont pas du tout remises entre 6 et 18 mois après et 42 % que partiellement, selon une nouvelle étude portant sur 33’000 personnes en Écosse.
par Michel Pralong 14 octobre 2022, 18:05
Pour éviter une confusion avec des symptômes qui ne seraient pas directement liés au Covid, l’étude a questionné à la fois des Écossais infectés et des non infectés.
Pour comprendre les effets à long terme du Covid, l’Écosse a entrepris en mai 2021 une vaste étude appelée Long-CISS (Long Covid in Scotland Study). Un questionnaire a été envoyé à 33’281 personnes testées positives au Covid, questions renouvelées 6, 12 et 18 mois après la date de l’infection. Les mêmes questionnaires ont été envoyés à 62’957 personnes jamais infectées pour savoir si certains symptômes ressentis étaient dus au Covid ou pas.
Pas de Covid long chez les asymptomatiques
Première constatation, dans les résultats publiés le 12 octobre dans «Nature Communications», les personnes infectées qui n’ont eu aucun symptôme (asymptomatiques) continuent à n’avoir aucun effet indésirable par la suite. En revanche, sur les 31’486 personnes ayant présenté des symptômes, 6 % (1856) n’avaient pas guéri lors de leur dernier questionnaire (donc entre 6 et 18 mois après l’infection) et 42 % (13 350) ne l’étaient que partiellement.
Les personnes qui n’ont pas du tout guéri se retrouvent surtout chez celles qui avaient été hospitalisées suite au Covid, chez les personnes âgées, davantage chez les femmes que chez les hommes, chez celles atteintes de maladie respiratoires, dépression et comorbidités, ainsi que chez les personnes socialement défavorisées.
Au fil des questionnaires, la majorité des personnes ont vu une amélioration constante de leur état, 4 % aucune évolution, 11 % une détérioration et 13 % une amélioration, mais qui n’a débuté que tardivement.
Les infectés cumulent les symptômes
Les symptômes persistants les plus courants sont la fatigue, les maux de tête et les douleurs et faiblesses musculaires. Mais ces symptômes se retrouvent également fréquemment chez les personnes qui n’ont pas été infectées par le Covid. Ce sont d’autres symptômes qui se retrouvent essentiellement chez les personnes infectées, en premier lieu la perte d’odorat et du goût, suivi des symptômes cardiovasculaires (essoufflement, douleurs thoraciques et palpitations) et de la confusion. De plus, si certains symptômes sont communs aux infectés et non infectés, les personnes qui ont eu le Covid ont bien plus de risques de présenter plusieurs symptômes, qui engendrent une moins bonne qualité de vie et une altération étendue de leurs activités quotidiennes. Ce qui ne peut s’expliquer par la confusion avec des maux qui ne seraient pas dus au Covid.
«L’inclusion d’un groupe de comparaison non infecté nous a permis de démontrer que les résultats n’étaient pas dus à une confusion. Il s’agit d’une force majeure de notre étude par rapport à d’autres études de cohorte de population», écrivent les auteurs.
Le vaccin réduit le risque de certains symptômes
Si la perte de goût et d’odorat est l’un des symptômes qui diminue le plus entre 6 et 12 mois, en revanche celui de toux sèche augmente entre 6 et 18 mois. Si peu de personnes avaient eu une vaccination complète avant l’infection, bon nombre avaient reçu au moins une dose. Il a été constaté chez les vaccinés un moins grand risque de développer certains symptômes, principalement la perte de goût et d’odorat, des problèmes d’audition, un manque d’appétit, des problèmes d’équilibre, de la confusion et de l’anxiété et dépression.
«Notre étude est importante car elle ajoute à notre compréhension du Covid long dans la population générale, pas seulement chez les personnes qui doivent être hospitalisées après avoir été infectées, a déclaré le directeur de l’étude, le professeur Jill Pell, de l’Université de Glasgow, dans un communiqué. En comparant les symptômes avec ceux qui ne sont pas infectés, nous avons pu faire la distinction entre les problèmes de santé dus au Covid-19 et les problèmes de santé qui se seraient produits de toute façon».
Cette étude complète et affine de précédentes recherches, dont l’une menée à Genève qui avait déjà lié les symptômes de Covid long à l’infection principalement.
Près de la moitié des gros cons qui se sont faits inoculer le poison en redemandent pour en finir et passer à Super gros con ! Non ! Il n'existe pas de vaccin anti-super-gros-con ! (ni 'anti-covid' puisqu'il EST DANS la seringue !).
Elisabeth Dancet, pour FranceSoir le 16 octobre 2022 - 20:50
CHRONIQUE - Jour après jour, tel un barrage, le rempart de mensonges ayant caractérisé cette crise dite sanitaire se lézarde et se fend ; ce qui semble devoir suivre risque de noyer les endormis dans des vagues de vérités trop puissantes pour celles et ceux qui n’ont pas encore réalisé que, depuis le début, la pandémie et les mesures qui ont suivi ont été orchestrées sur la base de mystifications.
Lorsqu'on regarde la situation de l'information aux États-Unis et qu'on la compare à celle de la France, on s'aperçoit que les médias en ligne dits alternatifs attirent une audience beaucoup plus large que celle de notre pays. En effet, de plus en plus de voix légitimes et fortes s'élèvent pour demander des comptes, malgré la censure, et ce, pour dénoncer l’échec retentissant de cette politique de « santé publique » imposée à marche forcée aux quatre coins de la planète, et pour pointer toutes les conséquences délétères que ces décisions iniques ont entraînées. En voici les points patents établis par les lanceurs d’alerte et les groupes de recherche indépendants et confirmés actuellement.
Mesures inefficaces aux répercussions désastreuses
Les tests RT-PCR sont des outils de laboratoire extraordinaires. Cependant, lorsque les cycles d'amplifications de ces tests sont trop poussés, le risque est grand d'obtenir des résultats qui ne rendent pas compte de la réalité infectieuse d'un patient. En effet, selon le Dr Mina, « des tests avec des seuils si élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants, mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent pas de risque particulier – un peu comme trouver un cheveu dans une pièce longtemps après le départ d’une personne ».
Le mot "faux positif" a souvent été employé. Cependant, il n'est pas exact. Il faut plutôt comprendre que des tests trop sensibles peuvent rendre un résultat positif alors que l'ARN du virus est « si peu présent que la personne pourrait ne jamais développer de symptômes ou être contagieux ».
Dans certains laboratoires, hôpitaux ou maison de soins, le nombre de cycles, parfois poussé jusqu'à 50, aurait provoqué une épidémie « de faux cas », exagérant ainsi mécaniquement les chiffres de la pandémie. Ces résultats auraient conduit aux mesures coercitives mises en place en urgence par de nombreux gouvernements. Si plusieurs scientifiques et médecins ont alerté sur ces dérives, leur mise en garde est restée lettre morte. Pourtant, aujourd'hui et avec un recul de deux ans, il apparaît que ces mesures ont été très préjudiciables, provoquant plus de dégâts que de bénéfices en termes de contrôle de la propagation de l'épidémie.
La fermeture des écoles et le port du masque ont été une catastrophe humaine pour la santé physique et mentale des enfants ; ces mesures ont affecté durablement leur développement psychique et cognitif.
L’arrêt des activités humaines dû aux confinements généralisés a été un désastre économique et social qui a conduit à la fermeture de millions de petits commerces, PME et entreprises locales, affectant avant tout la classe moyenne et menant aux faillites d'un très grand nombre d'entreprises, pendant que les Big Tech et les sites de ventes en ligne tel Amazon ont continué à prospérer.
Anthony Fauci, grand manitou de la santé publique aux États-Unis, directeur du NIAID, a affirmé tout et son contraire tout au long de cette pandémie, entretenant la peur et la confusion dans les esprits, notamment sur la question des masques puis celle du confinement, où par deux fois, il s'est opposé avant de se rétracter.
Lire aussi : Antony Fauci: d'une gestion de crise controversée à une démission inattendue
Pourtant, dès octobre 2020, certains experts épidémiologistes sans conflits d’intérêt, ont alerté sur le non-sens de ces mesures et demandé à revenir aux stratégies éprouvées : isoler et protéger les plus fragiles (personnes âgées et celles souffrant de comorbidités) tout en laissant l’épidémie se répandre dans la population pour induire une immunité collective naturelle face au virus. La Suède, critiquée pour cette stratégie, a fait aujourd’hui la preuve de la réussite de cette approche pragmatique. Suite aux mesures de restrictions jugées préjudiciables pour la population par une partie de la communauté scientifique, les Dr Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’Université de Stanford, le Dr Sunetra Gupta, professeur d’épidémiologie à l’Université d’Oxford et le Dr Martin Kulldorff, biostatisticien, professeur à l’Université Médicale de Harvard, trois scientifiques respectés et reconnus par la communauté scientifique internationale, ont rédigé la Déclaration de Great Barrington (ici en anglais) pour arrêter ces mesures coercitives et les effets dévastateurs de ces décisions pour la population et pour l’économie du pays.
Face à ces critiques légitimes, Francis Collins, alors directeur du National Institutes of Health (NIH) et Anthony Fauci, n’ont pas adapté leur réponse à ladite « pandémie » en s’associant avec ces experts ; au contraire, ils ont mis tout en œuvre pour les discréditer et empêcher que le débat contradictoire soit porté à la connaissance du grand public. Malgré l’acharnement à leur encontre et les tentatives d'étouffer des informations de premier plan, leur démarche est soutenue ce jour par près d’un million de personnes venues de tous horizons.
Réponse unique imposant des injections expérimentales
Fauci, ses collaborateurs et les scientifiques qui ont suivi sa stratégie, notamment ceux qui travaillent dans les institutions qu'il contrôle, ont poussé à la vaccination en population générale, avançant que ces injections géniques étaient la seule réponse possible pour prévenir le virus du Sars-CoV-2. Peu à peu, ces injections géniques expérimentales insuffisamment testées ont été généralisées à une population qui s'est laissée imposer la plus grande vaccination de masse jamais entreprise depuis que cette technique d'immunisation a été mise en point. Certains spécialistes de santé publique, opposés à ces mesures, ont été réduits au silence, d'autres ont été chassés de leurs responsabilités. De son côté, suite au mandat du Président Biden qui instaura l'obligation vaccinale dans les institutions publiques et les entreprises de plus de 100 personnes (la mesure pour les entreprises a depuis été suspendue par la justice américaine), une partie de la population a dû prendre ces injections pour pouvoir continuer à travailler ou à se déplacer. Le principe du consentement libre et éclairé, obligatoire lorsqu’on utilise une procédure d’urgence pour introduire un nouveau médicament sur le marché, a été bafoué.
Selon la loi, pour imposer ces injections par voie d’urgence, il fallait qu’aucun médicament existant ne démontre son efficacité pour traiter le Covid-19. Pour ce faire, A. Fauci et F. Collins ont tout mis en œuvre pour empêcher et discrédité tous les traitements précoces proposés par certains médecins et biologistes dès le début de l'épidémie, notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, associés à certains antibiotiques, ont permis de soigner avec succès de nombreux patients atteints du covid.
Pourtant, dès le début de ladite « pandémie », ces traitements ont été prescrits avec succès dans de nombreux pays. En France, le Pr Didier Raoult et le Pr Christian Perronne, ont tous deux soigné de nombreux patients avec l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine. Aux États-Unis, une centaine de médecins, regroupé dans l'organisation America’s Frontline Doctors, a osé se confronter à la doxa covidienne en apportant des preuves d'efficacité et de bonne tolérance de ces molécules peu toxiques par des études observationnelles ou randomisées ainsi qu'en rendant compte de leurs expériences de médecin soignant des patients touchés par le covid.
Parmi les médecins qui ont prescrit ces traitements, on peut citer les Drs Pierre Kori, Peter McCullough, Paul Marik, Harvey Risch, Valdimir Zelenko, George Fareed, Paul Alexander, Robert Malone, Ryan Cole, Simone Gold, Richard Flemming, Meryl Nass. Tous ces praticiens exempts de conflit d'intérêt ont soigné des centaines de patients avec les molécules précoces.
La mise à disposition de ces médicaments auprès des médecins et des hôpitaux pour traiter les malades en phase précoce aurait-elle changé l’évolution de cette pandémie ? Même si les comparaisons ne sont jamais aisées à établir entre des pays dont la géographie, la démographie, l'âge de la population sont différentes, certaines peuvent néanmoins être pertinentes lorsque les données sont proches. En Inde, l'analyse de certaines courbes a fait apparaître des différences significatives entre les États comme l'Uttarakhand et l'Uttar Pradesh qui ont peu vacciné la population, privilégiant les traitements précoces comme l'ivermectine et un État comme le Kerala où le virus a beaucoup plus circulé alors que la quasi-totalité de la population adulte était vacciné et que le traitement précoce était proscrit.
Lire aussi : Inde : une vaste enquête sur les conflits d'intérêts autour de l'épidémie de Covid-19
Le court métrage sur l’Ivermectine constitue une anthologie de la propagande que Heinrich Himmler, directeur de la communication d’Adolf Hitler, aurait salué avec force, car tout y est : ridiculiser ceux qui vont à l'encontre la doxa, les isoler, éventuellement, leur interdire d'exercer leur profession ou encore couper les fonds qui financent leurs recherches.
À cela, ajoutons une puissante propagande médiatique destinée à maintenir la peur et la confusion au sein du grand public avec des messages répétés ad nauseam par les médias dominants : ces vaccins sont sûrs et efficaces, ces vaccins sont sûrs et efficaces, ces vaccins sont sûrs et efficaces. Cette litanie diffusée dans tous les pays occidentaux encore aujourd'hui n'a qu'un seul but : faire accepter à la population le tout vaccinal. Quant aux molécules autorisés, il faut croire que seules celles qui sont toxiques peuvent être prescrites. Ainsi, le traitement par remdesivir est toujours autorisé malgré la parution d'un communiqué de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) paru le 20 novembre 2020 dans lequel il était écrit : « le médicament antiviral remdesivir n'est pas recommandé pour les patients admis à l'hôpital avec la Covid-19, quelle que soit la gravité de la maladie. Car il n'y a actuellement pas de preuve qu'il améliore la survie ni qu'il permette d'éviter d'être placé sous ventilation artificielle ».
Tout a été fait pour disqualifier l'ivermectine. Usant de l'argumentation la plus ridicule, la FDA n'a pas hésité à sortir l'artillerie lourde en sortant un communiqué qui restera comme l'une des défenses les plus ridicules des opposants aux traitements précoces : « Vous n'êtes pas un cheval. Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, arrêtez tout maintenant ».
Si la forme vétérinaire existe, cette molécule a été inventée pour soigner les humains et ses premières utilisations ont été pour soigner les maladies parasitaires comme l'onchocercose ou cécité des rivières. Moquer ce médicament est assez honteux surtout lorsqu'on sait que trois chercheurs, Satoshi Ômura (Japon), William Campbell (Irlande) et Youyou Tu (Chine) ont conjointement reçu le prix Nobel en 2015 pour leurs découvertes tandis que la molécule figure sur la liste des médicaments essentiels établie par l'OMS et que plusieurs études concluent à une efficacité de la molécule pour réduire l'infection du Covid.
Aussi ridicule qu'elle puisse paraître, cette propagande avait sa raison d'être : il fallait disqualifier, à n'importe quel prix, ces molécules peu chères. En effet, reconnaître que ces molécules peuvent soigner aurait empêché d'autoriser les vaccins en urgence. Par conséquent, il fallait faire croire qu'aucune autre alternative thérapeutique n'était possible. Dont acte.
Les études cliniques n’ont démontré ni leur sécurité ni leur efficacité dans le temps. L'administration en population générale a été accélérée au mépris des bonnes pratiques cliniques, entérinant la politique vaccinale menée par Anthony Fauci, Francis Collins et leurs réseaux. Cette politique vaccinale, loin de se limiter aux États-Unis, s’est disséminée dans la majeure partie du monde.
Le 6 janvier dernier, le juge Mark Pittman, a ordonné à la FDA de déclassifier l'ensemble des données de sécurité du vaccin anti-covid de Pfizer et de tout publier avant la fin de l'été 2022. Ces données ont fait apparaître des erreurs, des malfaçons et des fraudes.
Ces mauvaises pratiques cliniques ont été dénoncées par la directrice médicale et lanceuse d'alerte Brook Jackson, à l’origine de ce que l’on a appelé « le Pfizergate », cette fraude de grande ampleur qui a impliqué la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Administration (FDA).
Employée de Ventavia, Brook Jackson a pointé de très nombreux dysfonctionnements dont l’absence de sérieux dans la manipulation des vaccins qui ne sont pas conservés à la bonne température et l’absence de suivi des patients, notamment pour ceux qui avaient effectué un signalement d’effets secondaires ou une suspicion de covid-19 et qui n’ont jamais été recontactées par téléphone afin de déterminer si une visite sur le site était nécessaire ou non.
Un manque de rigueur également mis en évidence par des photos, des documents internes de l’entreprise, mais également des enregistrements audios emportés par Brook Jackson.
Des photos ont révélé les principales anomalies : aiguilles jetées dans un sac en plastique au lieu d’une boîte réservée aux objets tranchants, matériaux d’emballage de vaccins sur lesquels sont inscrits les numéros d’identification, soulevant le problème de l’anonymat. Un problème qui se retrouve également au niveau des dossiers des patients accessibles aux membres du personnel censé « être en aveugle » et dans lesquels l’attribution du produit a été inscrite par le personnel « non aveugle » chargé de l’administration du vaccin.
Après avoir signalé toutes ces violations aux bonnes pratiques cliniques identifiées sur le site Ventavia, la directrice médicale a envoyé une plainte à la FDA. Quelques heures plus tard, elle a reçu un courriel de la FDA qui l’informe qu’elle ne peut pas faire de commentaires sur une éventuelle enquête. Le même jour, elle est licenciée par Ventavia.
Quelques semaines plus tard, Pfizer a soumis sa demande d’autorisation d’urgence à la FDA. La réunion qui s’est tenue le 10 décembre 2020 n’a fait aucune mention des problèmes rencontrés sur le site de Ventavia et la FDA a délivré son feu vert le lendemain.
Aujourd’hui, Brook Jackson qui a constitué avec ses avocats un dossier solide, attaque la FDA.
Lire aussi : "PfizerGate" ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer - Ventavia - FDA
De son côté, la biostatisticienne, Christine Cotton, a écrit un rapport qui a consisté à réaliser une évaluation des pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer pour le développement de son vaccin ARN messager contre le Covid-19, au regard des bonnes pratiques cliniques.
Au fur et à mesure de son analyse, Christine Cotton a repéré de très nombreux biais et en conclut que l'on ne peut pas faire confiance aux résultats de 95 % d’efficacité annoncée par le géant pharmaceutique pour son critère principal, à savoir, la première apparition de Covid-19 symptomatique à partir de sept jours après la deuxième dose.
Cette efficacité aurait, selon la biostatisticienne, été faussée par plusieurs facteurs :
— Le participant a la responsabilité de signaler ses symptômes aux personnes du site l’ayant recruté, afin de déterminer s’il est cas Covid-19 symptomatique. Tout report incomplet ou mauvaise appréciation par le participant qui n’a pas la compétence de juger de son état de santé est susceptible de modifier les résultats.
— L'utilisation autorisée d’antipyrétiques qui suppriment les symptômes, fièvre et douleur plus importante dans le groupe vaccin mène à une sous-estimation du nombre de cas symptomatiques, puisque seuls les participants signalant les symptômes doivent réaliser un test PCR dans le cadre de cet essai. Autrement dit, pas de symptôme signifie, pas de test PCR et pas de test PCR, pas de Covid. Pour bien faire, la biostatisticienne pense qu’il aurait été plus approprié de réaliser des tests PCR à l’ensemble de la population incluse dans l’essai clinique ou d’utiliser un autre critère permettant de compter les covid-19, qu’ils soient symptomatiques ou pas, tel que la sérologie anti-nucléocapside.
L’autre problème est l’évaluation de la tolérance au vaccin puisque l’analyse intermédiaire a été réalisée sur des participants ayant été suivis maximum trois mois avec deux mois médian après la seconde dose. Cela signifie que 50 % des participants suivis moins de deux mois et 50 % suivis plus de deux mois : une durée d’observation trop courte pour recueillir la tolérance à moyen et long terme. La chute des anticorps neutralisants avait déjà été observée dans l’étude préclinique sur les macaques. Cette absence de mesure a donc masqué la chute des anticorps, ce qui a été reconnu quelques mois plus tard par le laboratoire Pfizer.
À ces inconnues déjà nombreuses viennent s’ajouter des informations capitales manquantes (aucune donnée sur l’utilisation du vaccin pendant la grossesse et l’allaitement, aucune donnée sur les patients immunodéprimés ou présentant des comorbidités), aucune information non plus sur les interactions avec d’autres vaccins et sur la sécurité à long terme, non-report d’effets indésirables graves dans les rapports cliniques.
Lire aussi : Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton
La vaccination des femmes enceintes avec ces injections expérimentales est une aberration médicale. En effet, il faut rappeler que la décision de vacciner les femmes enceintes contre le Sars-CoV-2 et le discours sur l’absence de dangerosité qui accompagnait la campagne vaccinale, a été l’une des mesures les plus surprenantes, puisqu’il n’existait aucune donnée associée à l'utilisation de ces nouvelles thérapies géniques pendant la grossesse et l'allaitement.
Cette absence de données clinique s’explique par le seul fait qu’il s’agit d’une population protégée par les lois de protections des patients et que les femmes enceintes sont d’office sorties des essais cliniques.
Il a cependant été signalé que des femmes enceintes vaccinées pendant les essais cliniques de phase 2 auraient fait une fausse couche ou un avortement spontané. Il faut néanmoins expliquer que ces femmes n'étaient pas enceintes lorsqu'elles ont été acceptées dans l'essai clinique, mais sont tombées enceintes pendant l'essai clinique.
Il faut également rappeler que dans son Plan de Gestion des Risques, Pfizer ne s'est pas caché qu'il existait des données manquantes pour certaines catégories de personnes et que le profil de tolérance des vaccins n'est pas chez les femmes enceintes ou allaitantes du fait de leurs exclusions de l’étude de phase 3.
Plan de gestion de risques de Pfizer, informations manquantes Informations manquantes extraites du Plan de Gestion de Risques de Pfizer Pourtant, des cas d’effets indésirables ont été rapportés dans le premier rapport de la FDA sur la première déclassification des données de Pfizer. Bien que les femmes enceintes aient été exclues des essais cliniques, elles ont, elles aussi, fait l’objet de vaccinations en vie réelle, et le rapport fait état d’effets indésirables pour 270 grossesses rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).
On ne sait pas si depuis ces événements, le lien de causalité a été établi. Cependant, on peut néanmoins s’étonner de trouver des femmes enceintes vaccinées dans la population.
Plus grave encore, alors que le 16 juin dernier, la FDA a autorisé la vaccination pour les jeunes enfants à partir de six mois, le Dr. Robert Malone, co-inventeur de la technologie m-RNA a fait une déclaration solennelle enjoignant les parents à ne pas faire vacciner leurs enfants, car les dommages peuvent être irréversibles. Les chiffres parlent déjà : selon Euromomo, la base de données européenne qui enregistrent les décès, l’excès de mortalité chez les enfants de 0 à 14 ans a grimpé en flèche en 2022, sans explication… Cette constatation vaut également pour les tranches d’âge de 18 à 65 ans dès 2021, date de début de vaccination dans ces tranches d’âge.
Par ailleurs, le bénéfice vaccinal pour les enfants, les adolescents et les personnes jeunes en général n'existe pas puisqu'à l'exception de celles qui présentent des comorbidités, il y a peu de formes létales pour cette tranche d'âge.
Baisse de l'immunité, augmentation des effets secondaires et excès de la mortalité
Aujourd’hui enfin, la grande majorité des scientifiques et des médecins s'accordent pour reconnaître que ces injections n'ont ni arrêté l'infection ni empêché la transmission. Concernant les formes graves, la communauté médicale est encore très partagée même si les patriciens sont de moins en moins nombreux à défendre l'idée que ces injections protègent les patients vaccinés des formes graves, de l'hospitalisation et des décès. Par ailleurs, au fur et à mesure que les pharmacovigilances enregistrent des effets secondaires et même si l'imputabilité de la preuve doit encore être faite pour chaque cas enregistré, l'enthousiasme et la confiance dans cette thérapie expérimentale est en train de s'effondrer.
Chaque mois, les Britanniques présentent les données de sécurité sanitaire. En août 2021, le rapport de l’UKHSA (United Kingdom Health Security Agency) exposait des chiffres qui montraient que les vaccinés étaient plus à risques que les non-vaccinés, faisant craindre un affaiblissement du système immunitaire. Six mois plus tard, les données de février-mars montraient une dégradation alarmante du système immunitaire chez les personnes qui ont reçu des rappels de vaccins contre le Covid. Ce rapport détaille l’évolution des cas de Covid en fonction de l’âge, mais également du statut vaccinal (1, 2 ou 3 doses). En effet, l’étude montre que l’immunité des triples vaccinés chute plus rapidement face au Sars-CoV-2, que celle des doubles vaccinés ou des simples vaccinés. Cependant, un phénomène encore plus étonnant encore montre que la protection des vaccinés n’atteint même pas le seuil de protection des non vaccinés, mais se situe à des seuils bien en dessous.
Par ailleurs, Israël, pionnier de la vaccination anti-Covid, n'a pas de bons résultats à afficher, comme le montre le tableau récemment publié ci-dessous. Ces chiffres qui, dans les prochaines années, feront certainement l'objet de multiples analyses approfondies, ne disent cependant rien de bon.
Surmortalité en Israël pendant les vagues de Covid-19
À partir de 2022, des sociétés d’assurance européennes et américaines ont comptabilisé une augmentation significative des effets secondaires des personnes qu'elles assuraient. C'est le cas de l'Allemagne où le recueil d’information des Caisses Maladie privées est très performant. Dans ce pays, en février dernier, le président de la caisse BKK ProVita a publié des chiffres alarmants, en se fondant sur la facturation des médecins. Des chiffres qui montrent la sous-estimation des événements indésirables par le Paul Ehrlich Institut, censé recueillir les signalements.
Aux États-Unis, selon Scott Davison, le PDG des assurances OneAmerica, les taux de mortalité chez les personnes en âge de travailler — c'est-à-dire âgées de 18 à 64 ans — ont augmenté de 40 % au cours des troisième et quatrième trimestres de 2021 par rapport aux niveaux enregistrés avant la pandémie.
Si le lien avec la vaccination n'a pas été établi, cette forte augmentation de la mortalité qui frappe également une population jeune qui ne meurt pas ou peu du Covid interroge de plus en plus.
Le virus du Sars-CoV-2 est-il une arme biologique ? Il est difficile de répondre par l'affirmative à cette question encore aujourd'hui. Cependant, des soupçons s'accumulent depuis bientôt deux ans, autour du laboratoire de Wuhan et de la société d'EcoHealth Alliance présidée par Peter Daszak et financée par Antony Fauci. En effet, suite aux emails de Fauci, la thèse de l'origine du laboratoire désormais dominante ne peut plus être considérée comme une théorie conspirationniste. Il a également été découvert que Peter Daszak a financé les recherches du chef du laboratoire de virologie de Wuhan (WIV) avec qui il était en lien ; des recherches qui porteraient sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.
Devant les soupçons qui pesaient sur lui, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus, a été accusé de conflits d'intérêts avec l'Institut de virologie de Wuhan, puis évincé de l'enquête du journal The Lancet, soutenue par l'ONU et enquêtant sur les origines du virus.
Lors d'une audition devant le Sénat américain, le sénateur du Kentucky Rand Paul avait laissé entendre qu'Antony Fauci aurait menti devant le Congrès, le 11 mai 2022, lorsqu'il s'était défendu d'avoir financé, par le biais de l'Institut américain pour la santé (National Institute of Health), la recherche de gain de fonction dans le laboratoire de virologie de Wuhan. S'il a été admis que des fonds américains ont été versés au laboratoire de virologie de Wuhan, le désaccord porte sur la question de savoir si cette dotation a servi ou non à financer la recherche de « gains de fonction ».
La recherche de gain de fonction qui vise à « augmenter la capacité des agents infectieux à causer des maladies en renforçant sa pathogénicité ou en augmentant sa transmissibilité », a été démentie par le Dr Fauci qui a refusé de rétracter sa déclaration du 11 mai devant le congrès, affirmant à nouveau sous serment que la recherche subventionnée au laboratoire de Wuhan "a été jugée par du personnel qualifié en amont et en aval de la chaîne comme n'étant pas un gain de fonction".
Pourtant, le sénateur Paul a affirmé qu'un document émanant du laboratoire de virologie de Wuhan intitulé "Discovery of a rich pool of bat Sars-related coronaviruses provides new insights into the origin of Sars coronavirus" montrait que le Dr Shi remerciait les NIH et énumérait le numéro de la subvention qui lui a été accordée par le NIH.
Dans ce document, selon les dires de Rand Paul, le docteur Shi "aurait pris deux gènes de coronavirus de chauve-souris, les gènes de la Spike et les aurait combinés avec un Sars apparenté pour créer de nouveaux virus qui ne sont pas présents dans la nature. Ces virus créés en laboratoire peuvent se répliquer chez les humains. Des virus qui, dans la nature, n'infectent que les animaux, ont été manipulés dans le laboratoire de Wuhan pour obtenir la fonction d'infecter les humains. Cette recherche correspond à la définition de la recherche que le NIH a déclaré être sous réserve de la pause de 2014 à 2017, une pause dans le financement sur le gain de fonction. Mais le NIH n'a pas reconnu ceci, le définit différemment et ça n'a jamais fait l'objet d'un examen minutieux. Le Dr Richard Ebright, un biologiste moléculaire de Rutgers, a décrit cette recherche à Wuhan comme "le laboratoire de Wuhan a utilisé les fonds du NIH pour construire une nouvelle chimère liée au Sars coronavirus capable d'infecter les cellules humaines et des animaux de laboratoire". C'est une recherche à haut risque qui crée de nouveaux agents pathogènes potentiels de pandémie qui existent seulement en laboratoire, pas dans la nature. Cette recherche correspond, ce sont les mots du Dr Ebright, cette recherche correspond, voire incarne la définition du gain de fonction, recherche entièrement effectuée à Wuhan, pour laquelle s'appliquait normalement une pause fédérale.
En avril 2020, le Professeur Luc Montagnier, suite à l'analyse du génome, a conclu lui aussi à un virus qui ne pouvait pas être naturel. Pour ce prix Nobel de médecine, co-découvreur du virus du Sida, l'origine du Sars-CoV-2 viendrait du laboratoire de virologie Wuhan. Son hypothèse est que « des recherches sur les vaccins contre le Sida auraient échappé à leurs auteurs : le nouveau coronavirus contiendrait, en effet, des séquences d'un autre virus qu'il connaît bien, le VIH, une combinaison impossible à obtenir par le seul hasard de la nature ».
Va-t-on aller vers une politique des injections à vie ?
Certains pensent que l'épidémie de coronavirus est là pour rester. Les chercheurs financés par NIAID et par la Fondation Gates commencent à préparer la population en affirmant publiquement qu’il faudra prendre des rappels covid à vie, et ce, au mépris d’arguments scientifiques valides. En France, une partie de la population (les plus de 60 ans et les personnes présentant des comorbidités) ont déjà reçu la quatrième dose de vaccin. Une petite catégorie de la population, généralement les personnes les plus fragiles, en seraient même à la cinquième dose.
Cet automne, des vaccins nouvelles générations contre le Covid-19 vont être déployés sur le marché européen. Il s'agit de vaccins bivalents. Deux nouveaux vaccins, l'un de la biotech Moderna, l'autre de l'entreprise Pfizer / BioNTech, contiennent tous deux la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan à laquelle a été ajoutée la séquence ARN du variant BA.1. L'autre vaccin fabriqué par la firme Pfizer / BioNTech contient, lui aussi, la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan, à laquelle les chercheurs ont ajouté les séquences ARN de la protéine Spike des nouveaux sous-lignages BA.4 et BA.5.
Les rats quittent le navire
L’influence de Fauci sur la politique relative à la COVID-19 fait suite à des décennies de travail au sein du gouvernement fédéral au cours desquelles il a acquis une énorme influence grâce aux six milliards de dollars de fonds dont il dispose chaque année du centre de recherche NIAID.
Cet obsédé du tout vaccinal (vaccin universel contre la grippe, vaccin contre le sida…), a fait l’objet d’un réquisitoire sans appel de Robert Kennedy Jr. Avocat de renom ayant gagné des procès majeurs contre Big Pharma, Robert Kennedy est également le fondateur de Children’s Health Defense, une association qui œuvre pour la défense de centaines de milliers d’enfants atteints d’autisme, de maladies chroniques ou de pathologies auto-immunes et qui doivent se soumettre à un programme vaccinal totalisant 68 injections de 0 à 18 ans lorsque celui-ci est appliqué à la lettre. Il est l’auteur de "Anthony Fauci, Bill Gates Big Pharma : leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique", paru en français en mars 2022 aux éditions Résurgence. Malgré la censure, ce livre très documenté s’est vendu à plus d'un million d’exemplaires aux États-Unis depuis novembre 2021. Interviewé par France Soir en avril dernier, Robert Kennedy est revenu sur le rôle prépondérant des médias dans la propagation de la censure, une situation qu'il explique par le fait que les médias tirent la majorité de leurs ressources publicitaires de l’industrie pharmaceutique, devenant la branche « communication » de leur stratégie marketing. La Fondation Gates, premier financeur de l’OMS, a quant à elle distribué de l'argent à la presse.
Le 22 août 2022, Anthony Fauci a annoncé son départ du NIAID pour la fin de l’année. Espère-t-il éviter d’être poursuivi si les élections de mi-mandat changent les majorités au Sénat et à l’Assemblée du Congrès ?
Deborah Birx, coordinatrice du groupe de travail sur le covid pendant l’année 2020, a encouragé l'idée de la vaccination. Elle a depuis avoué devant le Sénat ne pas disposer de données attestant que les vaccins allaient protéger de l'infection. Elle reconnait également avoir utilisé des subterfuges au sein de l’administration Trump, tout comme Robert Redfield directeur du CDC, pour pousser la politique vaccinale, imposer les confinements et la fermeture des écoles, mentant à Trump et à son entourage, notamment le Dr. Scott Atlas, conseiller de Trump qui était opposé à ces mesures. Tente-t-elle elle aussi de se dédouaner ?
Robert Redfield, directeur du CDC, a quitté son poste le 20 janvier 2021. Quant à Francis Collins, directeur du NIH pendant 12 ans, il a démissionné fin décembre 2021…
Robert Kennedy a brillamment démontré que les actions prises pour faire face à la crise du covid n’étaient pas des réponses de santé publique, mais une prise de contrôle totalitaire des démocraties par les grandes entreprises : Big Tech, Big Pharma et les agences publiques qui sont désormais sous leur coupe.
Primo les merdias affichaient: "Arrivée d'un nouveau virus' !" Comprendre poussière. Oui mais, il y a (au monde) DES MILLIERS de stations d'observation de la qualité de l'air et... PAS UNE N'A TROUVÉ DE POUSSIÈRE PORTANT LE MAILLOT 'ÉQUIPE COCOVIDE19' !!
Secundo, des 'docteurs' voire pharmaciens-infirmiers-jardiniers-amateurs ont tous soutenu le meilleur grimpeur en lui imaginant ses variants, ses petits, ses merdes, bref tout son fan-club !
Tertio, arrivé ex aequo avec les politichiens de trottoirs, la voie de son mètre
Quarto: FEU ! (il n'y aurait que 20 millions de morts alors qu'on approche les 2 milliards !).
(...) Les tests RT-PCR sont des outils de laboratoire extraordinaires. Cependant, lorsque les cycles d'amplifications de ces tests sont trop poussés, le risque est grand d'obtenir des résultats qui ne rendent pas compte de la réalité infectieuse d'un patient. (...)
Au-delà de 25 le test ne sert à rien. En France (et Allemagne) le 'test' est poussé à 50 ! HAHAHAHA !
TRANS-WOMB ? Les bébés savent « dès le ventre » quel sexe ils « vont être » selon la vidéo de l’hôpital pour enfants mettant en vedette un pharma shill
Monday, October 17, 2022 by: S.D. Wells
(Natural News) Selon les gauchistes fous qui poussent la fluidité des genres dans tout le pays, les bébés savent quel genre ils veulent être quand ils sortent de l'utérus. Une nouvelle publicité de l'hôpital pour enfants présente un complice pharmaceutique qui nous informe tous que… "une bonne partie des enfants le savent déjà apparemment dès l'utérus." Alors maintenant, selon la gauche, la première fois qu'un enfant prononce le mot "femme" ou "homme", cela signifie que c'est ce qu'il veut devenir, parce que nous sommes tous censés être "fluides", oscillant d'avant en arrière à tout moment. moment donné de notre genre biologique à tous les autres genres (préférences sexuelles et identités de jeu de rôle) qui existent.
La publicité trans de l'utérus informe les parents d'amener leurs enfants à la clinique pour voir un psychiatre qui leur parlera et les encouragera à essayer tous les différents genres immédiatement, y compris bigender, genderqueer, pangender, intergender, agenre, genre cis, cishet, non binaire, vide de genre, omni-genre, genre expansif, genre non conforme (mystérieux), sexe anatomique, et bien plus encore.
Le magazine Women's Health affirme que le genre n'est que "ce que vous ressentez" Selon le très populaire magazine Women's Health, le terme genre n'a rien à voir avec la biologie, mais tout à voir avec "ce que nous ressentons pour nous-mêmes". Donc, que vous soyez né avec un pénis ou un vagin, nous sommes tous des « fluides de genre », car nous pouvons décider à tout moment de tomber enceinte ou non, d'avoir nos règles ou de produire du sperme à l'intérieur de notre corps. C'est juste une chose émotionnelle, et ce que vous ressentez pour les autres avec qui vous voulez avoir des relations sexuelles ou pour lesquelles vous êtes sexuellement attirant. Comprendre?
En d'autres termes, le psychiatre s'adressera directement à votre enfant ou adolescent, vous demandant probablement de quitter la pièce et l'encourageant à prendre des médicaments hormonaux induisant le cancer et à subir une dangereuse «chirurgie du bas» qui pourrait mettre fin à sa capacité de reproduction. pour toujours et causer des problèmes (éventuellement permanents) de miction et de libido.
Disney encourage également cette vague de folie liée au genre concernant les enfants et les adolescents prenant des hormones et subissant une chirurgie de mutation génitale. Les hôpitaux, les cliniques et les universités font une tuerie avec ce type de chirurgie de mutilation, qu'ils coupent des pénis pour faire des lèvres et un clitoris, ou qu'ils coupent les seins des filles et ajoutent un faux pénis et une fausse pomme d'Adam.
Selon la gauche sans genre et fluide entre les sexes, le monde entier est une scène de drague pour les actes de strip-tease et la pédophilie. C'est comme si les camps et les écoles n'étaient que des clubs de strip-tease où les adultes confus entraînent les enfants à penser au sexe, à la sexualité et à l'homosexualité toute la journée.
Selon la gauche et les gender-queers, tous les enfants sont « trans » à la naissance, donc les parents devraient commencer à les conseiller en tant que tels Selon le mouvement anti-genre en Amérique, tout le monde est gay à la naissance, a soif de sexe et identifie déjà le genre qu'il « veut » être, pour plaire aux autres gays « fluides de genre » non conformes. Les enfants, c'est l'heure de Drag Queen Story Hour, où un homme qui veut être une femme s'habille avec un maillot de bain une pièce pour femme, un string, des talons hauts, une perruque et beaucoup de maquillage de clown, et caracole autour du place à chacun pour caresser son colis. Ensuite, il y aura peut-être une lecture à haute voix, si vous avez de la chance. C'est ce qu'on appelle le toilettage des enfants, et la gauche déteste dire autant qu'elle déteste les mots «femme», «homme», «garçon» et «fille».
Selon la gauche confuse entre les sexes, lorsqu'un bébé commence à parler, s'il dit «maman», cela signifie qu'il a vu un homme habillé en femme et qu'il veut faire de même. Si un garçon attrape un jouet rose, cela signifie qu'il est gay ou qu'il veut être une fille. Si une fille entre dans une pièce peinte en bleu, cela signifie qu'elle veut subir une intervention chirurgicale pour ajouter un pénis (cela ne fonctionnera probablement pas) et prendre des médicaments cancérigènes pour rendre sa voix plus profonde et faire pousser les poils du visage. Vous ne voudrez peut-être PAS laisser votre enfant seul dans une pièce avec un psychiatre qui croit aussi tout cela.
- voir clip sur site -
Réglez votre fréquence Internet sur Gender.news pour des mises à jour sur les enfants qui crient quel sexe ils veulent être lorsqu'ils sortent de l'utérus.
Le procureur de l'UE ouvre une enquête sur les achats de vaccins COVID
PAR TYLER DURDEN LUNDI 17 OCTOBRE 2022 - 08:45
Deux semaines après que le PDG de Pfizer a renfloué le témoignage de l'UE à la suite d'un rapport mettant en évidence un accord de vaccin «secret» entre lui-même et la présidente de la Commission européenne Ursula «textes manquants» von der Leyen, le Parquet européen (OEPP) a ouvert une enquête sur les achats de vaccins Covid-19 de l'UE, rapporte Politico.
Le Parquet européen, et organe indépendant de l'UE, est chargé d'enquêter et de poursuivre les crimes financiers, y compris la fraude, le blanchiment d'argent et la corruption, selon le rapport. Dans son annonce de vendredi, l'organisme n'a pas précisé qui faisait l'objet d'une enquête, ni quels contrats faisaient l'objet d'une enquête.
Cela dit, deux autres agences de surveillance ont attiré l'attention sur l'accord von der Leyen - Bourla.
"Cette confirmation exceptionnelle intervient après l'intérêt extrêmement élevé du public. Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade", a déclaré le Parquet européen.
En avril 2021, le New York Times a rendu compte pour la première fois des messages texte échangés entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, à l'approche du plus grand contrat d'approvisionnement en vaccins de l'UE - jusqu'à 1,8 milliard de doses de vaccin BioNTech/Pfizer. L'accord vaudrait jusqu'à 35 milliards d'euros s'il était pleinement exercé, selon les prix divulgués des vaccins.
En janvier de cette année, le médiateur de l'UE a accusé la Commission de mauvaise administration pour ne pas avoir recherché les SMS en réponse à une demande d'accès à l'information. Sans confirmer l'existence des textes, la Commission a fait valoir dans sa réponse que "les documents éphémères et éphémères ne sont pas conservés". Il a déclaré qu'une recherche des messages texte n'avait donné aucun résultat. -Politique
Le mois dernier, la Cour des comptes européenne a publié le rapport susmentionné dans lequel elle a déclaré que la Commission avait refusé la transparence concernant les détails du rôle personnel de von der Leyen dans le contrat Pfizer.
Dans ce document, le chien de garde du budget a découvert que le chef de l'UE était devenu un voyou afin de conclure personnellement un accord préliminaire avec Pfizer, au lieu de s'appuyer sur des équipes de négociation conjointes. Bien que la Commission ait été ouverte avec d'autres contrats de vaccins, elle a refusé de fournir au tribunal tout document concernant ces négociations préliminaires.
Selon l'eurodéputée socialiste belge Kathleen van Brempt, "plusieurs aspects" du contrat Pfizer devraient être examinés, notamment "les SMS entre le président de la Commission et le fait qu'il n'existe aucune trace écrite des négociations préliminaires en première instance".
Selon Politico, "le député européen préside la commission spéciale du Parlement européen sur le COVID-19", ajoutant que le médiateur de l'UE et un membre de la Cour des comptes européenne ont comparu devant la commission.
"Le comité [COVID-19] suivra ce cas avec une grande attention", a déclaré Van Brempt.
Ma réponse à la censure: le livre Dépossession est en ligne pour une lecture libre.
OCTOBRE 16, 2022 PAR LHK
Ami lecteur, j’en suis venue à me résoudre à poster le PDF de Dépossession en lecture libre sur ce site. Pourquoi ? Parce que mes travaux dérangent plus que jamais une micro-élite qui fait ce qu’elle peut pour empêcher mon travail d’atteindre le public. Souvenez-vous de cette publication de 2020…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/22/au-sujet-de-la-censure-et-du-plagiat-de-mes-livres/ Par conséquent, mettre Dépossession en ligne est un acte de rébellion soft face à des dinosaures qui ne m’impressionnent pas.
DépossessionTélécharger Cliquer pour accéder à De%CC%81possession-Annexes.pdf
Les annexes du livre se trouvent ici. Si un ouvrage comme Dépossession dérange tant une ultra minorité, c’est qu’il est d’utilité publique
Les méthodes de censure, pour ne pas dire d’embargo, sont telles que je me dis qu’il y a des choses dans les ouvrages que le public doit connaître. Slobodan Despot, qui a rédigé la 4 ème de couverture, précisait que ce livre devait être lu avant qu’il ne soit trop tard. Voilà probablement pourquoi ce livre dérange tant !
Une recension de l’ouvrage m’avait beaucoup touchée en son temps. Les mots de l’auteur sont encore plus vrais aujourd’hui qu’en 2019! Vous la trouvez ici.
https://lilianeheldkhawam.com/2019/02/08/le-pire-des-mondes-est-il-certain-claude-mineraud/ Il n’y a pas que les livres qui dérangent. Le site aussi…
Ce site a été censuré pendant quasi une journée le 6 septembre 2022. Le moment où un lecteur m’a informée que mon site avait été bloqué fut un des plus gros chocs que j’ai eu à vivre. Pourtant, j’ai une résilience assez importante acquise suite à une sorte d’exode que ma famille a eu à vivre alors que je n’avais pas 2 ans (Egypte), et à la guerre libanaise. Dans ces 2 cas, nous étions nombreux à partager ces moments compliqués.
Mais quand vous vivez une censure de pareille ampleur (je n’avais même plus accès à mes brouillons et à mes archives d’infos !), vous vous sentez ciblée à titre personnel malgré le fait d’être affiliée au syndicat suisse des journalistes…
Je partage cette mésaventure avec vous pour vous donner aussi une idée de ce qui peut attendre tout un chacun avec le crédit social. On vous met Offline et vous perdez toutes vos données car sur la blockchain liée à la cryptomonnaie et aux smart contrats, c’est toute votre vie socio-économique qui s’arrête. Comme celle d’un serf ou d’un esclave.
La censure est une des premières manifestations de l’esclavage, ou au minimum du servage.
L’équipe WordPress a fini par s’excuser pour le dérangement sans toutefois le remettre en ligne. Ce n’est qu’à 23 heures que j’ai pu récupérer mon espace sur leur serveur que je paie presque 1000 euros par an ! Ce n’est pas une simple censure Facebook. C’est très probablement un avertissement. Ma boîte mail chez Swisscom piratée Je ne vais pas trop développer, mais sachez que nombre de mails envoyés-reçus n’arrivent pas à destination.
Des centaines de mails ont disparu simultanément de ma boîte chez Swisscom ET de mon Outlook! En revanche on me bourre la boîte avec des milliers de mails de 2020.
Un responsable de la technique (genre un chef) n’arrivait même pas à poser une déviation vers une autre adresse mail!
Les livres, entre censure et embargo. La description de la liste des méthodes de censure plus raffinée l’une que l’autre serait trop longue, fastidieuse et finalement inutile. Cependant, je vais vous en citer quelques-unes.
Dés 2018, Amazon a bloqué Dépossession.
A droite, Amazon s’est mis en tant que revendeur (!) d’un livre qu’ils n’ont pas. Puis ils ont ajouté que le livre était en rupture de stock. Faussement donc! Cependant, ils ont ajouté « temporaire » à rupture. Donc, les gens commandaient mais notre éditeur n’en était pas informé!
Les commandes sont « refusées par le destinataire »
Tous les quelques temps, des livres expédiés vers la France sont retournés avec la mention « refusé » par le destinataire. La chose n’étant pas systématique, personne n’y a fait attention. Subitement depuis le mois de juillet, il y a eu plusieurs commandes qui ont été retournées simultanément. Au même moment, les libraires ont relancé l’éditeur pour savoir pourquoi les commandes n’avaient pas été honorées.
Non bien sûr. Aucun document puisque les paquets ne sont pas ouverts ! Là nous avons compris que les retours ne venaient pas de clients qui avaient changé d’avis, mais d’une main qui s’immisçait dans le processus.
Il n’y a pas de systématique dans ce que j’ai appelé embargo, autrement la Poste (suisse ou française?) serait en infraction sur un certains nombre de points de leur Constitution…
Voici 2 exemples d’actualité:
Une commande de Decitre refusée. Pire nous devons payer 11 euros de « taxe »pour récupérer le paquet.
Le paquet n’a pas été ouvert. Aucune trace du moindre document du libraire. Dans le prochain cas, il s’agit d’un paquet de 9 livres commandés par la FNAC. 20 euros de frais de douane à payer pour récupérer ce paquet.
Paquet refusé, non ouvert. Aucun communiqué du libraire. Les coûts d’envoi
La Poste suisse responsable d’acheminer à bon port nos paquets nous facture 12 euros pour un Dépossession et 14 pour Coup d’Etat planétaire. Donc si vous enlevez le rabais libraire, il ne reste rien à l’éditeur pour payer sa logistique, la production, etc. Alors, s’il faut payer taxes, douanes, et 2èmes envois, il est inutile de continuer. Pour l’instant, les achats en direct via le site de l’éditeur passe entre les gouttes. Probablement, plus compliqué de mettre une logistique sophistiquée pour des achats individuels.
Comment obtenir les livres ? Vous pouvez passer vos commandes sur le site de l’éditeur. Ca fonctionne encore. Je vous avertirai si cela devait se modifier.
https://reorganisationdumonde.com/ Le problème est limité à la FNAC et à Decitre.
Comme dit, les envois ne sont pas systématiquement interceptés. Nous continuons de répondre aux commandes venant des gros libraires de France. Cependant, nous ne ré-éxpédions pas une 2ème fois sans qu’ils n’aient accepté de prendre en charge les frais qui vont avec.
Nous soutenir
Je n’ai jamais demandé de dons sur ce site ou ailleurs, et je n’ai aucune intention de le faire.
En revanche, je suis impliquée personnellement dans le soutien vital d’un certain nombre de familles libanaises (une cinquantaine), et de divers projets au Liban (panneaux solaires pex) et en Afrique.
Bref, si vous aidez l’association que je soutiens, vous m’aidez aussi.
https://sarmentsdelavaux.org/
https://sarmentsdelavaux.org/comment-nous-rejoindre/ Pour le plaisir, je vous remets ici encore une fois le fichier..
T'as quand même plus de chance que moi car LE VERT BAVOIR a TOUT son courrier effacé et abonnement interdit depuis toujours ! (en plus de la censure quotidienne des articles ou carrément des blogs de 60 ou 120 articles !).
Quel navigateur respecte le plus (et le moins) votre vie privée ?
Gabriel Manceau 3 oct. 2022 13:05 UTC
Quel navigateur web protège le mieux votre vie privée ? C'est une question légitime à laquelle le site PrivacyTest tente de répondre en faisant passer aux navigateurs différents tests automatisés qui sont ensuite rendus publics. Sans surprise, on constate de fortes disparités.
De Chrome en passant par Edge, Firefox, Brave ou encore Opéra, les navigateurs web ne manquent pas. Mais savez-vous lesquels sont les plus respectueux de votre vie privée ? Le site PrivacyTests.org tente d'apporter une réponse objective à cette question brûlante.
Des résultats qui se veulent impartiaux
PrivacyTests.org est un projet indépendant créé par Arthur Edelstein en 2021. Après l'avoir lancé, il a été embauché par l'entreprise qui édite le navigateur web Brave pour travailler sur la question de la confidentialité. Il a choisi de continuer son projet, indépendamment de l'entreprise pour laquelle il travaille, et assure que Brave n'intervient d'aucune manière dans les résultats des tests présentés.
Vous l'avez compris, Edelstein est un fervent défenseur de la confidentialité en ligne, qui passe en grande partie par les navigateurs web. Ces derniers ne respectent malheureusement pas tous la vie privée des utilisateurs. Une faille dans laquelle se sont engouffrées les agences publicitaires pour collecter énormément de données privées afin d'afficher des publicités ciblées.
Il n'hésite pas non plus à affirmer sur la page À propos de son site que « les gouvernements ont également saisi cette occasion pour surveiller les gens en masse à leur insu. » Il ajoute que « la vie privée est un droit humain fondamental, car elle est nécessaire pour préserver l'autonomie, la sécurité et la dignité des êtres humains. »
Voilà pour les présentations, passons maintenant aux résultats des tests.
10 navigateurs web passés au crible
La liste de PrivacyTests permet de voir d'un coup d'œil les navigateurs web qui collectent le plus, et le moins, de données privées. Trois résultats sont possibles : « Test de confidentialité réussi », « Échec du test de confidentialité » et « Aucune donnée de ce type ». Le site analyse les versions web, Android et iOS, ainsi que les modes de navigation privée.
Le navigateur qui respecte le plus votre vie privée est Brave (version 1.42), suivi de près par Librewolf (105) et Tor (11.5). Firefox (104) est Safari (16) sont aussi de bons élèves, en fonction des résultats observés. Les cartons rouges sont distribués à Chrome (106), Edge (106), Opéra (91), Vivaldi et Ungoogled (106).
En faisant un tour dans l'onglet « navigation privée », on constate que tous les navigateurs font mieux (heureusement), mais que le classement initial ne change pas vraiment. Dans le classement des versions mobiles, d'autres navigateurs sont testés comme Duckduckgo, Bromite, Yandex ou encore le navigateur web de Samsung.
Sur iOS, les navigateurs sont, de manière générale, plus respectueux de la vie privée, à l'exception de Brave et Bromite qui tirent leur épingle du jeu sur Android et sur mobile en général. On vous invite à découvrir l'ensemble des résultats de ces tests très intéressants en cliquant sur le lien source ci-dessous.
Le réseau électrique américain risque une panne catastrophique ?
(Il est peut-être exagéré de dire que le réseau électrique américain s'effondre, mais dans de nombreuses régions du pays, c'est exactement le cas. Le réseau électrique nord-américain est vieux.)
parMadge Waggy 15 octobre 2022
Beaucoup d'entre nous ont subi une panne de courant à un moment ou à un autre. La plupart du temps, la durée de la panne est mesurée en heures, peut-être un jour et, dans de rares cas, une semaine ou plus.
Les pannes ont également tendance à être localisées et les réparations sont rapides ou l'électricité est « empruntée » à un service public ou à un réseau à proximité et redirigée vers la zone touchée. L'expérience est généralement un inconvénient frustrant et la plupart des hôpitaux et des systèmes critiques disposent d'une alimentation de secours pour traverser la panne.
Mais si…?
Et si le réseau national tombe en panne ?
Cela ne s'est jamais produit aux États-Unis, mais certains pays ont connu des pannes de courant généralisées affectant la majeure partie de leur territoire. La cyberattaque de la Russie sur le réseau ukrainien en 2015 a mis hors ligne environ 60 sous-stations, laissant 230 000 personnes dans le noir. C'était une menace inquiétante, mais encore une fois, la panne n'a duré que 1 à 6 heures.
Il semble que la plupart des pannes de courant, quelle que soit leur ampleur, soient de courte durée et ne soient qu'un inconvénient. Mais il y a un problème.
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Grille nord-américaine la nuit Infrastructure en ruine
Il est peut-être exagéré de dire que le réseau électrique américain s'effondre, mais dans de nombreuses régions du pays, c'est exactement le cas. Le réseau électrique nord-américain est vieux.
La conception originale a été conçue pour ne durer que 50 ans en supposant que les générations futures moderniseraient et amélioreraient le système. Cela s'est rarement produit à moins qu'un système ou une station ne subisse une panne importante, et même dans ce cas, le correctif relève de la catégorie des réparations, et non du remplacement.
Par conséquent, certaines parties du réseau nord-américain ont environ 100 ans. Dans une étude réalisée par l'American Society of Engineers, le réseau électrique a été classé D+ pour sa fiabilité. Il est troublant de penser qu'un système aussi essentiel à notre survie se situe dans la fourchette d'une note d'échec. Pire encore, certaines estimations évaluent une réparation critique du réseau nord-américain à 5 000 milliards de dollars !
L'échec des systèmes complexes Le réseau électrique nord-américain est peut-être l'un des systèmes les plus complexes sur Terre. Et il est important de noter que le réseau électrique ne concerne tout simplement pas les États-Unis.
Le réseau s'étend à travers les États-Unis et jusqu'au Canada, alimentant et affectant finalement toute l'Amérique du Nord.
L'échec des systèmes complexes
A la base, le réseau est composé de 3 interconnexions desservant de nombreux états et provinces à l'exception d'une seule interconnexion au Texas. La fragilité de toute interconnexion a été démontrée à l'hiver 2021 lorsque des conditions météorologiques extrêmes induites par le changement climatique ont presque fait tomber toute l'interconnexion du Texas.
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Les 3 interconnexions américaines Mais alors que 3 interconnexions de réseau de base peuvent sembler simples, elles s'aggravent.
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Sous-régions du réseau américain Les fournisseurs de services d'électricité locaux sont répartis en sous-régions au sein des intersections. Ces sous-régions sont desservies par des services publics locaux qui ont divers degrés d'intégrité en termes d'âge et d'état de leur équipement et de leurs centrales électriques. Mais cela devient plus complexe.
- voir carte sur site -
Réseau coopératif électrique américain
Le réseau électrique qui existe aujourd'hui a été construit pour la première fois après la Seconde Guerre mondiale à partir de conceptions remontant à Thomas Edison, en utilisant une technologie qui remonte principalement aux années 60 et 70. Ses 7 000 centrales électriques sont reliées par des lignes électriques avec un total combiné de plus de 8 millions de kilomètres, toutes gérées par 3 300 services publics desservant 150 millions de clients.
Selon le groupe industriel Edison Electric Institute. L'ensemble du système est évalué à 876 milliards de dollars. Personne ne la possède ou ne la contrôle. Ce sont 3 300 entreprises différentes, tant publiques que privées, qui possèdent ou exploitent de petits morceaux du réseau électrique. Le résultat est qu'aucune entité gouvernementale ou autre n'a la capacité ou l'autorité de le gérer.
À quel point le réseau est-il critique ?
Selon un rapport de la Commission EMP financée par le Congrès, une panne du réseau électrique pendant un an entraînerait la mort de neuf Américains sur 10. Les premiers à mourir seraient les personnes dépendantes de l'assistance médicale, la majorité mourant de faim.
Si la panne du réseau était unique en Amérique du Nord, cela ferait également des États-Unis une cible de choix et facile pour toute nation voyou cherchant à en profiter.
Nous le prenons pour acquis
Il ne s'agit pas seulement de perdre les lumières la nuit, d'emballer de la nourriture du réfrigérateur et du congélateur dans une glacière ou de porter des vêtements chauds et beaucoup de couvertures en hiver.
Les systèmes et les services qui nous entourent dépendent de l'électricité et sans électricité, il n'y a pas d'épiceries ou de pharmacies, pas de stations-service ou de quincailleries, pas de médecins ou de dentistes locaux, pas de feux de circulation, de banques, de communication de base, d'eau et de tout ce que nous supposons. être toujours disponible.
Vous voulez vous préparer mais vous ne savez pas par où commencer ?
Les hôpitaux et les médecins seront débordés ; la police et les pompiers sont débordés, et l'obscurité continue de chaque nuit apportera une incertitude et des craintes persistantes quant à ce qui va arriver le matin.
Signes inquiétants
Selon les statistiques recueillies par le ministère de l'Énergie, les pannes majeures sont en augmentation. Au cours des deux dernières décennies, les pannes affectant au moins 50 000 clients aux États-Unis ont augmenté de 124 %, selon les données du DOE.
Alors que les clients au Japon perdent de l'électricité en moyenne 4 minutes par an, les clients du Haut-Midwest américain perdent de l'électricité en moyenne 92 minutes par an, et les clients du Haut-Nord-Ouest perdent de l'électricité en moyenne 214 minutes par an. Ces estimations excluent les événements extrêmes comme les violentes tempêtes et les incendies et ceux-ci ont augmenté au cours des deux dernières décennies.
Les durées sont toujours mesurées en minutes et en heures, mais avec le temps, la tendance peut facilement conduire à des jours et des semaines. Pire encore, la vulnérabilité de notre réseau augmente en raison de menaces nouvelles et émergentes.
Les 7 plus grandes menaces pour le réseau
Ceux-ci ne sont pas classés dans l'ordre. N'importe lequel d'entre eux pourrait se produire et tous se sont en fait produits dans le passé. Certains auraient des impacts mondiaux tandis que d'autres se produiraient comme des événements hautement ciblés et intentionnels ou non intentionnels affectant un continent, un pays ou une région.
La Chine a inventé la cyberattaque et la Russie, la Corée du Nord et l'Iran se sont également livrés à divers degrés de cyberattaques au cours de la dernière décennie. Certaines de ces cyberattaques ont été lancées contre divers services publics dans le monde, y compris aux États-Unis.
Certaines de ces attaques étaient criminellement motivées en utilisant des rançongiciels pour extorquer de l'argent. D'autres relevaient de la catégorie des opérations militaires. Voici quelques-unes des cyberattaques les plus récentes contre les services publics.
Pipeline colonial – 6 mai 2021
Colonial Pipeline est le plus grand pipeline de carburant aux États-Unis et l'attaque par ransomware a entraîné le paiement d'une rançon de 4,4 millions de dollars à un gang de ransomwares.
Le FBI a ensuite aidé à récupérer une partie importante de la rançon, mais c'était un autre signe de la vulnérabilité d'un service public aux cyberattaques. La panne a entraîné des pénuries d'essence, la fermeture de services, la promotion d'achats de panique parmi les automobilistes et une augmentation des coûts de l'essence.
L'attaque s'est produite à cause du mot de passe compromis d'un employé. Il semble que l'entreprise ait peut-être manqué l'authentification multifacteur, un outil de cybersécurité de base, pour se protéger.
OPEL et Electrobras – Février 2021
Les sociétés de services publics brésiliennes COPEL et Electrobras ont été attaquées par apparemment le même gang de rançongiciels qui a attaqué Colonial Pipelines. Le «DarkSide» a extrait 1 000 Go de données des systèmes de COPEL, tandis qu'un rançongiciel non identifié a frappé Electrobras. Les deux fournisseurs d'électricité ont dû se déconnecter du système national interconnecté, ce qui a causé des pannes à de nombreuses personnes dans le pays.
Association électrique Delta-Montrose (DMEA) – janvier 2022
La société énergétique du Colorado a dû fermer 90 % de ses contrôles internes en janvier 2022 en raison de cyberwares malveillants qui ont effacé 25 ans de données historiques. L'entreprise énergétique devait alors informer ses clients des multiples factures d'énergie qu'ils pourraient recevoir.
Amsterdam-Rotterdam-Anvers (ARA)- février 2022
La cyberattaque de l'ARA s'est produite quelques mois seulement après une attaque mineure mais similaire contre deux entreprises allemandes qui a entraîné la perturbation de l'approvisionnement en pétrole dans le nord de l'Allemagne. Cette fois, cela a eu des implications plus importantes et a créé une crise énergétique continentale momentanée.
Chaque jour, notre réseau électrique est testé par des pirates étrangers qui tentent de s'infiltrer et de trouver des moyens de prendre le contrôle et de couper l'alimentation. La pointe de la cyber-guerre continue d'être la Chine. Malheureusement, nos défenses contre les cyberattaques restent faibles. On pense en fait au plus haut niveau de notre communauté du renseignement que la Chine pourrait fermer notre réseau électrique à tout moment.
2. Attaque physique
Une attaque physique implique l'utilisation d'explosifs ou d'armes pour attaquer physiquement et détruire l'équipement de production d'électricité. Ce qui est inquiétant, c'est que tant de sous-stations et de transformateurs sont situés dans des endroits éloignés avec peu ou pas de sécurité autre qu'une clôture à mailles losangées. Aucun membre du personnel ne se trouve à proximité de bon nombre de ces endroits et même quelque chose d'aussi basique qu'une caméra de sécurité manque souvent.
La preuve de cette vulnérabilité a eu lieu le 16 avril 2013. Peu avant 1h30 du matin, une ou plusieurs personnes ont méthodiquement coupé des câbles de communication près d'une sous-station Pacific Gas & Electric à San Jose, ont pulvérisé plus de 100 balles de fusil et assommé 17 des 23 de la station. transformateurs avant de fuir et d'éviter d'être capturés.
Le service public a pu empêcher une panne de courant en détournant l'électricité d'autres zones, mais il a fallu 27 jours pour réparer les dégâts. Le Federal Bureau of Investigation a enquêté sur l'attaque, mais à ce jour, il n'a aucun suspect.
Les transformateurs sont le maillon faible du réseau. Ils coûtent des millions de dollars et prennent des mois voire des années à produire. En conséquence, les services publics n'ont pas de pièces de rechange et des dommages à un nombre suffisant de transformateurs dans des endroits clés feraient tomber tout le réseau.
3. EMP (impulsion électromagnétique)
Les IEM proviennent de l'espace extra-atmosphérique ou résultent d'une explosion nucléaire. Les EMP cosmiques sont rares mais la menace nucléaire est importante. Une seule détonation nucléaire à haute altitude au-dessus de l'Amérique du Nord pourrait non seulement fermer tout le réseau, mais causer des dommages permanents à tout appareil électronique non protégé, y compris… tout ce qui est électronique.
Cela signifie des ordinateurs, des téléphones portables, des téléviseurs, des radios, des véhicules et même des appareils électroménagers. À ce jour, peu ou rien dans le dossier public n'a été fait pour protéger le réseau d'un PEM.
4. Éruptions solaires
Des éruptions solaires jaillissent régulièrement de la surface du soleil. Il y a eu des occasions où ces éruptions ont été si importantes qu'elles ont entraîné une tempête solaire. C'est en fait un phénomène courant et se traduit souvent par des affichages lumineux des aurores boréales et a également un effet sur les transmissions radio.
Malheureusement, une éruption solaire extrêmement importante pourrait non seulement détruire le réseau, mais avoir le même effet destructeur sur l'électronique qu'un EMP. En fait, ils sont étroitement liés.
La pire tempête solaire jamais enregistrée s'est produite en 1859. À l'époque, les seuls appareils électroniques touchés étaient les stations télégraphiques. On pense que si une tempête similaire se produisait aujourd'hui, elle détruirait les réseaux des pays faisant face au soleil et détruirait les appareils électroniques non protégés. C'est un fait peu connu qu'une éruption solaire évitée de justesse en 2012 aurait pu avoir le même impact que l'événement de 1859.
Il ne faut pas le drame d'une attaque ou d'une catastrophe pour faire tomber la grille. L'âge du réseau nord-américain combiné aux réparations intermittentes et souvent aléatoires compromettent et compliquent davantage un système désuet qui pourrait tout simplement s'effondrer sur lui-même.
Tout ce qu'il faut, c'est une défaillance massive d'un service public pour provoquer le partage d'énergie avec d'autres services publics afin de tenter de fournir une puissance supplémentaire. Au fur et à mesure que les demandes augmentent, un effet de cascade ou de domino prédit pour la première fois pendant la peur de l'an 2000 pourrait provoquer l'effondrement de l'ensemble du réseau, en grande partie en raison de son infrastructure défaillante en permanence.
6. Changement climatique
Les effets des extrêmes climatiques n'ont pas été pris en compte lorsque le réseau a été conçu et a continué à s'étendre. L'hypothèse standard était que les étés seraient chauds dans une fourchette traditionnelle et qu'il en serait de même pour l'hiver.
L'idée d'indices de chaleur d'une centaine ou plus se produisant régulièrement ne faisait pas partie de l'équation de conception. Un vortex polaire était quelque chose qui s'est produit dans l'Arctique, et son apparition aux latitudes méridionales était considérée comme un hasard plutôt qu'un événement courant. Les tempêtes ont toujours été un problème pour le réseau, mais la fréquence et l'intensité des tempêtes et des ouragans ont également été reléguées aux normes conventionnelles plutôt qu'aux extrêmes que nous voyons actuellement. Les inondations, les glissements de terrain et les incendies de forêt ont également été mal calculés avant que les réalités du changement climatique ne les rendent à la fois fréquents et répandus. Le résultat est un stress continu et croissant sur un système électrique vieillissant, entraînant des baisses de tension, des pannes de courant et un modèle continu de réparation rapide plutôt que de remplacement intelligent et de mises à niveau.
7. Catastrophes géologiques (tremblement de terre, éruptions volcaniques, tsunamis)
Le 11 mars 2011, un tremblement de terre au large du Japon a provoqué un tsunami qui a frappé la côte est du Japon. La destruction a été dévastatrice et l'échec de la centrale nucléaire de Fukushima a non seulement révélé la vulnérabilité des centrales électriques aux événements désastreux, mais continue d'avoir des impacts au Japon à ce jour.
Même sans tsunami aggravant l'impact d'un tremblement de terre, les dégâts d'un tremblement de terre à eux seuls peuvent être dévastateurs et d'une grande portée. Les conditions météorologiques affectent généralement les lignes électriques et les sous-stations, mais un tremblement de terre affecte tous les composants du réseau. Pire encore, les débris des glissements de terrain et des bâtiments effondrés compliquent tout effort de réparation du réseau tandis que les efforts sont dirigés vers le nettoyage des débris.
Jusqu'à présent, les catastrophes ont eu des impacts qui pourraient être réparés en quelques jours, voire quelques semaines, bien que Fukushima ne se remette jamais complètement. Ce sont les catastrophes vraiment catastrophiques des super éruptions volcaniques, des méga-tsunamis et des tremblements de terre de catégorie 9 qui pourraient détruire le réseau pendant des années, voire plus.
Graves dommages causés par le tremblement de terre
Se préparer à une panne totale du réseau Bienvenue au XIXe siècle. Ce sera essentiellement le mode de vie de tout le monde après une panne de réseau national de longue durée. La propriété familiale sera la nouvelle norme et l'autonomie la seule solution dans une société avec peu de ressources manufacturées, pas d'eau potable facilement accessible, peu de sources de nourriture, des soins médicaux rares et peu d'options de communication.
Voici quelques priorités et préparations, mais la considération la plus critique est la durabilité. Stockez tout ce que vous voulez, mais tout stock s'épuisera un jour. Un bon approvisionnement en graines bien emballé et la connaissance de la façon de récolter les graines des cultures futures peuvent vous donner une meilleure chance à long terme qu'un garde-manger plein d'aliments en conserve. Voici les priorités.
Eau
Vous ne pouvez pas vivre 3 jours sans eau. Sans le réseau, l'eau deviendra rare, surtout si vous dépendez d'une pompe de puits. Même les châteaux d'eau municipaux s'épuiseront bientôt car les pompes qui les remplissent restent inactives sans électricité. Voici quelques choses à faire et à rechercher pour trouver, purifier et stocker l'eau :
Équipement: Des bidons d'eau ou le savoir-faire pour les improviser à partir de poubelles ou d'autres contenants. L'eau de pluie peut être votre source d'eau trouvée la plus fiable et la capacité de la capter et de la contenir depuis votre toit ou vos bâches peut non seulement vous donner de l'eau potable, mais aussi des options pour arroser des légumes dans des jardins ou des pots, de l'eau pour le bain, la cuisine et le nettoyage.
Filtres de purification d'eau ou savoir comment les improviser à partir de tissu, de sable et de charbon de bois. Les sources d'eau naturelles sont notoirement polluées dans certaines régions, et il y a toujours la menace de bactéries et d'autres agents pathogènes dans toute source d'eau naturelle. Des contenants d'eau qui vous permettront de transporter de l'eau, que ce soit en traversant la rue ou simplement en l'amenant de votre stockage d'eau à votre évier. Divers tuyaux de différentes tailles et vannes simples. Les tuyaux sont le système de transport de l'eau et si vous avez besoin d'acheminer, de diriger ou de canaliser l'eau d'un endroit à un autre, vous pouvez le faire mieux avec un tuyau. Une piscine de n'importe quelle taille facilite le stockage de l'eau, en particulier pour arroser les jardins ou faire la lessive ou la vaisselle. Une cuve de lavage en métal galvanisé est le meilleur moyen de faire la lessive à la main ou de faire la vaisselle. Savoir trouver, filtrer, purifier et stocker de l'eau provenant de diverses sources. Vous pouvez avoir tout l'équipement du monde, mais si vous ne savez pas où chercher ou quoi faire lorsque vous le trouverez, vous serez un net désavantage.
Dans une période de grande incertitude, une chose est certaine : chaque jour, il fait noir la nuit. Il existe de nombreuses solutions pionnières et certaines solutions du 21e siècle également :
Les bougies sont la version la plus ancienne de la lumière hors réseau. Stockez-en beaucoup. Achetez-les à bas prix. Pensez aux lanternes à bougies pour augmenter la lumière et les rendre un peu plus sûres. À la rigueur, vous pouvez les fabriquer à partir de boîtes de conserve. Kérosène ou lampes qui utilisent d'autres huiles. N'oubliez pas de vous procurer des mèches supplémentaires.
Les lanternes à gaz Duel Fuel dégagent beaucoup de lumière, mais comme le kérosène ou d'autres lampes à huile, vous pouvez manquer de carburant à un moment donné. Assurez-vous que la zone est ventilée. Ils dégagent du monoxyde de carbone.
Lampes solaires du Dollar Store ou Walmart. Laissez-les dehors ou près d'une fenêtre pendant la journée et vous aurez de la lumière toute la nuit. Mieux encore, ils ne dégagent ni odeurs ni gaz. Une banque d'énergie solaire avec une lampe de poche intégrée. Vous pouvez les utiliser pour recharger un téléphone portable ou d'autres appareils électroniques et la lampe de poche sera toujours alimentée si elle est rechargée.
Un chargeur de batterie solaire peut vous fournir une alimentation par batterie pour une gamme d'appareils électroniques alimentés par batterie. Les lumières LED consomment très peu d'énergie et sont les meilleures lorsque vous utilisez des piles. Pensez solaire. Espérons que le soleil brillera toujours et que l'énergie solaire est gratuite et facile si vous avez les panneaux solaires pour la capter. Vous aurez également besoin de batteries au plomb / acide ou de certaines des batteries les plus avancées comme la batterie Tesla pour collecter et stocker l'énergie solaire générée. Ils peuvent alimenter une gamme de choses, y compris des lumières.
Communication
En cas de catastrophe, les gens cherchent désespérément à rester en contact. Internet peut toujours fonctionner et les téléphones portables peuvent avoir des connexions intermittentes, mais vous ne pouvez pas compter sur quoi que ce soit lorsque l'alimentation est coupée. Voici quelques options à considérer :
Les talkies-walkies peuvent fonctionner pour une communication à courte portée. Les radios CB sont toujours là et peuvent fonctionner sur une batterie de voiture (rechargée avec) ou sur une autre batterie.
Votre téléphone portable peut fonctionner alors n'abandonnez pas si au début vous ne réussissez pas. La radio HAM est la méthode de communication de survie par excellence. C'est un investissement et vous avez besoin d'une licence, mais vous serez certainement en contact. Il existe également des options portables.
Les anciennes lignes terrestres peuvent être l'une des rares formes d'électronique fonctionnelle. Les fils et branchements dont vous avez besoin pour connecter un ordinateur à une ancienne ligne terrestre. Si les anciennes lignes terrestres fonctionnent, vous pourrez peut-être accéder à Internet, même si les vitesses de connexion et de téléchargement seront très lentes. Là encore, certaines choses peuvent encore fonctionner après la panne de la grille.
Une antenne TV au cas où vous voudriez voir s'il y a des transmissions TV. Les antennes utilisant ce qu'on appelle la technologie "mud flap" développée par l'armée sont un bon pari. Une radio à énergie solaire/à manivelle. Il est tout à fait possible que les transmissions radio finissent par revenir et c'est le moyen le plus simple de savoir ce qui se passe. N'oubliez pas de réfléchir à la façon dont vous pourriez avoir besoin d'alimenter certains de ces appareils de communication et d'avoir des options hors réseau comme des banques d'énergie solaire ou des générateurs à manivelle.
Chaleur
La plupart d'entre nous ont des degrés variables de temps hivernal. Avec le changement climatique, la rigueur des conditions hivernales peut s'aggraver. Sans électricité, la plupart des options de chauffage traditionnelles ne fonctionneront pas.
Vous devez considérer certaines méthodes pionnières pour le chauffage. L'une de leurs approches consistait à utiliser plusieurs sources de chaleur hors réseau dans l'espoir que la combinaison compenserait les mauvaises performances de n'importe quelle option de chauffage.
Un poêle à bois est une recommandation standard, mais cela suppose que vous disposiez d'un bon approvisionnement en bois de chauffage. Et là encore, lorsque tout le monde brûle du bois pour se chauffer, l'approvisionnement peut être mince. Les poêles à granulés sont une autre option, mais vous devez acheter les granulés et les stocker. En moyenne, un sac de granules de 40 livres peut faire fonctionner un poêle à granules pendant 1 à 2 jours en hiver. Ce ne sera pas durable sur une longue période. Assurez-vous d'avoir un poêle à granulés non électrique alimenté par gravité.
Les tuiles solaires qui captent la lumière du soleil à travers une fenêtre pendant la journée et libèrent la chaleur la nuit peuvent aider, mais de quelques degrés seulement. Les poêles au propane et au gaz naturel sont une autre option. Il est possible que le gaz naturel continue de fonctionner malgré une panne de courant, car la pression du gaz le fait passer par les conduites de gaz. Il est impossible de déterminer combien de temps cela peut continuer. En ce qui concerne le propane liquide, vous devrez en avoir beaucoup en stock car tout propane à vendre sera bientôt épuisé.
L'isolation, en particulier autour des portes et des fenêtres, est une autre étape pour garder la chaleur à l'intérieur et le froid à l'extérieur. Beaucoup de couvertures, de couettes et de vêtements d'hiver ont du sens. Il en va de même pour dormir en groupe, il est donc temps de remettre les enfants dans votre lit. Maison endommagée par une tornade Rester au frais
Les climatiseurs sont énergivores et lorsque le réseau est en panne, l'époque de la climatisation est révolue. Il existe de nombreuses solutions pour rester au frais et certaines vont au-delà des pionniers des temps et des cultures antiques. Là encore, plusieurs approches combinées aident à vous garder, vous et votre maison, au frais.
Des rideaux, des stores, des stores bloquant la lumière ou tout autre moyen d'empêcher la lumière du soleil d'entrer dans la maison l'après-midi sont une bonne première étape. Les vêtements légers en coton ou en soie ont du sens. Les techniques anciennes qui encouragent la circulation de l'air à partir du sol valent la peine d'être essayées. L'idée est d'aspirer l'air plus frais au niveau du sol à travers les évents et de permettre aux évents vers le plafond d'évacuer l'air chaud.
Les ventilateurs à piles ou à énergie solaire ont du sens. Toute brise par une chaude journée aide. Une piscine ou simplement une douche froide ou un plongeon dans un lac peuvent aider. Une piscine constitue également une excellente option de stockage de l'eau. Les poudres d'électrolytes que vous ajoutez à l'eau vous donneront un pas supplémentaire vers une hydratation efficace. Habitez au sous-sol si vous en avez un. Le sol agit comme un isolant naturel et le sous-sol est toujours l'endroit le plus frais de la maison en été. Restez à l'intérieur lorsque l'indice de chaleur est élevé. Les gens qui vivent sous les latitudes tropicales se terrent essentiellement à l'intérieur l'après-midi. Réservez les activités de plein air aux premières heures du matin ou du soir. Considérations médicales
Il y a pas mal d'écrits sur la médecine de survie. Parfois, vous pouvez être totalement seul lorsqu'il s'agit de faire face à une condition médicale. Voici quelques pistes de réflexion :
Une trousse de premiers soins de niveau expédition. Ils coûtent cher, mais il y a fort à parier qu'ils auront tout ce dont vous pourriez avoir besoin pour toute urgence médicale. Trousses de premiers soins spécialisées avec l'équipement pour traiter les blessures aux yeux, les sutures simples, les brûlures ou toute condition unique à votre famille. Une pharmacie de survie avec des médicaments en vente libre et des médicaments pour une gamme de maux et n'oubliez pas les dosages pour enfants. Une banque de connaissances médicales de livres sélectionnés pour traiter une gamme de conditions et de blessures. Prenez le temps d'apprendre certaines techniques de secourisme en faisant vos propres recherches ou même en suivant des cours dans un collège communautaire ou par l'intermédiaire de votre service d'incendie local.
Des compétences de Bushcraft qui vous permettront d'improviser des solutions lorsque la nature sauvage s'invite en ville et en banlieue. Cela comprend l'improvisation de dépendances, la fabrication d'objets de tous les jours à partir de matériaux naturels et trouvés, la construction de clôtures pionnières et tout ce que vous devrez faire maintenant parce que vous ne pouvez pas l'acheter.
Collectionnez, stockez et découvrez les outils à main. Sans électricité, vous ferez beaucoup de choses à l'ancienne. Vous pouvez également adopter une approche d'outil alimenté par batterie en supposant que vous avez la capacité solaire de recharger les batteries, mais les outils électriques ne durent que des années. Les outils à main durent des siècles.
Compétences de troc et capacité à fabriquer et à créer des objets à troquer. Sans électricité, le commerce changera radicalement. Si vous pensez qu'il y a une pénurie de pièces maintenant, il y aura une pénurie totale de devises si le réseau est en panne et oubliez les cartes de débit et de crédit. Une économie de troc deviendra rapidement la nouvelle monnaie pour l'achat et le commerce de nombreux objets du quotidien.
Combien de temps cela pourrait-il durer ?
Selon un rapport de la Commission EMP du Congrès, une panne d'électricité à l'échelle nationale du réseau électrique et des infrastructures critiques dépendant du réseau - c'est-à-dire les communications, les transports, l'assainissement, la nourriture et l'approvisionnement en eau - pourrait durer un an ou plus.
Cela suppose qu'une nation voyou ne profite pas des effets paralysants d'une panne de réseau et n'aggrave pas les choses. Là encore, c'est peut-être cette même nation voyou qui a causé l'effondrement en premier lieu.
Vous trouverez ci-dessous l'un des sites les plus populaires avec les dernières nouvelles et des centaines d'articles dans tous les domaines…
La panne c'est quoi ? Plus de lumière, de chauffage, de frigo-congélo, plus d'eau, plus d'ascenseur.
Comment soutenir votre pire assassin ? Envoyez lui un chèque et marquez au dos l'heure où vous êtes chez vous !
(...) Selon un rapport de la Commission EMP financée par le Congrès, une panne du réseau électrique pendant un an entraînerait la mort de neuf Américains sur 10. Les premiers à mourir seraient les personnes dépendantes de l'assistance médicale, la majorité mourant de faim. (...)
Hum-hum ! Je ne pense pas que 9 sur 10 ne pensent pas à couper du bois ou s'échapper vers les Tropiques !
Crise énergétique: la Russie propose un "hub gazier" vers l'Europe, le gouvernement Macron dit non
le 16 octobre 2022 - 15:30
L'Elysée rejette cette proposition.
Lors d’une rencontre avec son homologue turc le 13 octobre, le président russe a suggéré la création d’un "hub gazier" en Turquie, faisant valoir que cela permettrait aux Européens de recevoir du gaz à des prix moins "exorbitants", rapporte TF1. Le gouvernement français s’est aussitôt opposé à cette idée, mettant en avant sa volonté de se passer du gaz russe.
Pour pallier la crise énergétique en Europe, qui laisse craindre des pénuries d’énergie cet hiver et l’impossibilité pour de nombreux ménages de pouvoir procéder au règlement de leur facteur énergétique en raison de l’envolée des prix dans ce secteur, Vladimir Poutine a proposé de créer un "hub gazier" en Turquie à l’occasion d’une rencontre avec Recep Tayyip Erdogan, en marge d'un forum régional au Kazakhstan jeudi 13 octobre. Le président russe a estimé que cela leur donnerait aux Européens l'opportunité de bénéficier de gaz à des prix moins « exorbitants ».
Voir aussi : Hausse des coûts de l'énergie de 500 %: Zartoshte Bakhtiari, maire, dénonce "un racket organisé" des communes
Une idée qui n'a aucun sens, pour Paris
Le gouvernement français s’est immédiatement opposé à cette idée : « Il n’y a pour nous aucun sens à créer de nouvelles infrastructures qui permettraient d’importer davantage de gaz russe », justifie-t-il. Et d’ajouter : « Il y a quelques mois encore, presque 40 % du gaz livré à l'Union européenne venait de Russie. Aujourd'hui, cette part du gaz russe est de 7,5 % seulement et elle a encore vocation à diminuer. »
Depuis le début de la guerre, l’Union européenne œuvre, malgré les conséquences pour les populations, à diminuer rapidement et drastiquement sa dépendance au gaz russe. La présidence française a estimé : « Il se peut que la Russie et la Turquie décident ensemble d'exporter davantage de gaz, mais ça ne peut pas être vers l'Union européenne qui a des engagements de souveraineté, de réduction de ses dépendances et par ailleurs de transition climatique qui sont incompatibles avec ce genre de raisonnement ».
Voir aussi : “Si on continue la transition énergétique, ça va très mal finir“ Philippe Herlin
L'UE diminue sa dépendance face à la Russie et augmente sa dépendance vis-à-vis des États-Unis
Pour faire face à la diminution du gaz russe, l’Union européenne a décidé d’augmenter ses importations de gaz de schiste en provenance des États-Unis, pays sur lequel plane de nombreux soupçons quant à sa responsabilité dans le sabotage des gazoducs Nord Stream. Pour le secrétaire d’État américain Anthony Blinken, l’équivalent en France du ministre des Affaires étrangère, le sabotage contre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 constitue une « opportunité formidable » pour « éliminer une fois pour toutes la dépendance à l’énergie russe », avait-il déclaré suite au sabotage des conduits d'énergie.
Le PDG de Gazprom déclare que tout Nord Stream NatGas pourrait être redirigé vers la Turquie
PAR TYLER DURDEN LUNDI 17 OCTOBRE 2022 - 17:00
Les approvisionnements en gaz naturel de la Russie vers l'Europe via le réseau de gazoducs Nord Stream ne seront probablement pas rétablis et pourraient être redirigés dans des gazoducs via la mer Noire vers la Turquie.
Le PDG du géant énergétique russe Gazprom PJSC, Alexei Miller, a déclaré dimanche à la télévision russe que les approvisionnements de NatGas via Nord Stream seront redirigés vers la Turquie si l'infrastructure nécessaire est construite. Il a dit, "Tu sais, rien n'est impossible":
"Nous parlons de ces volumes que nous avons perdus grâce aux actes de terrorisme international contre les pipelines Nord Stream, donc ceux-ci peuvent être des volumes importants", a déclaré Miller à la télévision russe, cité par l'agence de presse publique russe Sputnik.
"Je voudrais vous rappeler que nous avons l'expérience de la préparation de la mise en œuvre du projet South Stream, qui devait initialement avoir une capacité de 63 milliards de mètres cubes [par an]. Par conséquent, si nous parlons même sur la documentation technique pour le développement de l'itinéraire, pour South Stream - tout cela a déjà été fait à un moment donné », a poursuivi Miller.
South Stream était un projet qui a commencé la construction en 2012 mais a été annulé en 2014 en raison des sanctions européennes et des restrictions imposées par Bruxelles. Le réseau de pipelines de 20 milliards de dollars et long de 1 500 milles aurait pu transporter 63 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an via la mer Noire vers la Bulgarie. Il a finalement été remplacé par TurkStream, qui est devenu opérationnel en 2020.
- voir carte sur site -
La semaine dernière, Miller a pris la parole lors du forum Russian Energy Week à Moscou, où il a déclaré qu'il n'y avait aucune urgence à réparer les pipelines Nord Stream 1 et 2 après les attentats à la bombe. Il a dit que les réparations pourraient prendre des années.
Le président russe Vladimir Poutine était également présent au forum la semaine dernière et a déclaré :
"Nous pourrions transférer vers la mer Noire les volumes perdus du Nord Stream qui transitaient auparavant par la mer Baltique."
Le président turc Recep Tayyip Erdogan et Poutine se sont rencontrés plus tard dans la semaine pour discuter d'un nouveau pipeline de la mer Noire utilisant la Turquie pour exporter du NatGas vers l'Europe.
La semaine dernière, Miller a déclaré que les pipelines de la mer Noire sont moins vulnérables aux "actes terroristes" que ceux de la mer Baltique.
Le ministre turc de l'Énergie, Fatih Donmez, a déclaré la semaine dernière que des liaisons supplémentaires de gaz naturel vers la Turquie depuis la Russie et une plaque tournante commerciale à la frontière UE-Turquie pourraient être "techniquement possibles".
Des jours sombres s'annoncent pour l'Europe, car la perte du pétrole russe pourrait déclencher la « pire crise énergétique depuis des décennies »
Jade Aube Digitale dim., 16 oct. 2022 19:30 UTC
L'interdiction européenne de la plupart des importations de pétrole brut en provenance de Russie entrera en vigueur en décembre. Pour les dirigeants européens, la prochaine tâche à accomplir est de trouver de nouvelles sources de pétrole brut avant ce qui pourrait être un hiver très sombre et froid.
La décision des pays de l'UE de sanctionner sans cesse la Russie pour la guerre du président Vladimir Poutine contre l'Ukraine en interrompant les importations de pétrole brut dans le courant de l'année est une tentative de « faire payer le Kremlin » pour l'invasion, a récemment déclaré Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne.
Mais cela n'a fait que se retourner contre le Kremlin, qui a vu son trésor de guerre gonfler de plusieurs dizaines de milliards de dollars avec l'hyperinflation des prix de l'énergie et la découverte de nouveaux acheteurs en Asie.
Les dirigeants européens ont redoublé d'efforts pour assurer la transition de l'énergie russe vers d'autres pays riches en énergie, même s'il pourrait être difficile d'augmenter les importations d'énergie en raison de la capacité de réserve limitée dans le monde.
Monica Malik, économiste en chef à la Abu Dhabi Commercial Bank, a déclaré lundi à l'audience d'un panel sur la sécurité énergétique organisé par l'Institute of International Finance à Washington, DC, que les États du Golfe, Bahreïn, le Koweït, Oman, le Qatar, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, ne seront pas en mesure d'augmenter leur production pour remplacer le pétrole russe en Europe.
Après tout, le monde se dirige vers un marché pétrolier beaucoup plus serré pour le reste de l'année après les réductions de l'OPEP+. Cela pourrait involontairement déclencher un supercycle des prix, le brent se rapprochant de 100 dollars le baril.
Alors, où l'Europe s'approvisionnera-t-elle en brut cet hiver si la capacité de réserve mondiale est limitée ? Le responsable du pétrole européen chez Morgan Stanley, Martijn Rats, a écrit dans une note récente : « Le marché pétrolier est là où il est parce qu'il est si difficile de répondre à cette question. Si nous le savions, nous pourrions tous respirer un peu plus facilement ». Sans capacité de réserve — les dirigeants de l'UE auront du mal à s'approvisionner en brut dans le monde entier, car la production ne peut pas être augmentée rapidement.
Helima Croft, directrice générale de RBC Capital Markets LLC, a prévenu : « Je pense que nous sommes confrontés à la pire crise énergétique depuis des décennies. »
Mme Croft craint une réaction populiste en Europe, les sanctions contre la Russie ayant provoqué une crise du coût de la vie. Cela pourrait obliger certains gouvernements de l'UE à se concentrer sur l'accessibilité financière. Selon elle, il est peu probable que les États-Unis concluent des accords avec le Venezuela ou l'Iran pour compenser la pénurie d'énergie.
Un haut diplomate européen a admis : « Notre prospérité a été fondée sur une énergie bon marché en provenance de Russie. »
La sécurité énergétique de l'Europe est en grande difficulté à l'approche de la saison froide. Le problème de la capacité mondiale limitée et de la hausse des coûts de l'énergie ne fera que mettre l'Europe à rude épreuve. Cet hiver, il y a des risques de pannes d'électricité dans toute l'Union européenne en raison de la diminution de l'approvisionnement en énergie en provenance de Russie et de l'incapacité d'augmenter rapidement les importations de l'étranger. Le Royaume-Uni a mis en garde contre ce scénario il y a quelques jours.
Le jour où tous les guichets automatiques ont manqué d'argent (L'effondrement soudain des prix.
La Grande Dépression a commencé avec l'effondrement des cours boursiers en 1929. Cela a été précédé par l'effondrement des prix agricoles aux États-Unis dans les années 1920.)
Milan Adams 16 octobre 2022
L'argent joue un rôle si important dans nos vies que la plupart d'entre nous ne pourraient pas imaginer survivre sans lui. Pourtant, c'est exactement ce que vous devez faire si vous voulez vous préparer à une situation économique appelée déflation.
La déflation est le terme que les économistes utilisent pour décrire une "baisse générale des prix, souvent causée par une réduction de l'offre de monnaie ou de crédit". Une bonne façon de penser à la déflation est comme le contraire de l'inflation. L'inflation se produit lorsqu'il y a trop d'argent en circulation, ce qui détruit sa valeur et fait monter les prix. En cas de déflation, il y a trop peu d'argent disponible, ce qui provoque souvent l'effondrement des prix et la fermeture de l'économie.
Dans les cas graves de déflation, il ne peut y avoir d'argent disponible du tout, même dans les banques. Ce cauchemar s'est en fait produit pendant la Grande Dépression des années 1930, alors qu'il y avait des endroits aux États-Unis où il n'y avait pas du tout d'argent liquide. Plus récemment, cela s'est produit en Grèce, où les distributeurs automatiques de billets ont manqué d'argent et où les banques ont imposé des limites au montant d'argent pouvant être retiré.
Les gens n'avaient pas d'argent pour payer leurs factures ou acheter de la nourriture pour leur famille. Les employeurs n'avaient pas d'argent pour payer les employés, les clients n'avaient pas d'argent pour acheter des marchandises et de nombreuses personnes étaient réduites au troc pour survivre. Pendant la Grande Dépression, les agriculteurs payaient des professionnels tels que des mécaniciens et des médecins avec de la nourriture parce qu'ils n'avaient ni argent ni crédit.
La situation s'est tellement détériorée que dans certaines régions du pays, les gouvernements locaux, les chambres de commerce et les entreprises ont émis leur propre monnaie – le soi-disant certificat de dépression. Le certificat prenait souvent la forme de morceaux de papier que les gens utilisaient comme monnaie parce qu'il n'y avait pas de monnaie gouvernementale disponible. Le scrip servait à payer les travailleurs ou à acheter des marchandises.
À un moment donné pendant la Grande Dépression, la pénurie d'argent est devenue si grave que le gouvernement américain a envisagé d'émettre un certificat national comme alternative au dollar. Ce plan a finalement été abandonné et le gouvernement a résolu la crise en imprimant simplement plus de dollars.
Beaucoup de gens ont connu des survivants de la Grande Dépression qui aimaient garder de grosses sommes d'argent sous la main. D'autres amasseraient de la nourriture et d'autres articles. Ces gens ont développé cette habitude parce qu'ils se souvenaient de ce qu'était la vie sans argent. La peur de la déflation qui s'est produite dans les années 1930 les a hantés toute leur vie.
La réalité effrayante est que la menace de déflation est toujours réelle. Certaines personnes bien informées, telles que les experts en préservation de la richesse Will et Bill Bonner, pensent qu'une déflation soudaine conduisant à une pénurie d'argent nationale ou internationale est encore possible aujourd'hui.
Les Bonners, qui ont étudié certains des investisseurs avertis du monde tels que George Soros, pensent que la prochaine crise financière commencera par un "choc monétaire violent" similaire à celui qui s'est produit pendant la Grande Dépression. Ils prédisent que l'argent pourrait soudainement disparaître du jour au lendemain, provoquant un arrêt brutal de l'économie.
Que se passe-t-il lorsque l'argent disparaît
Les récits historiques de la Grande Dépression nous montrent certains des effets possibles d'un choc monétaire aussi violent. Les dommages causés par une déflation aussi violente peuvent inclure :
L'effondrement soudain des prix. La Grande Dépression a commencé avec l'effondrement des cours boursiers en 1929. Cela a été précédé par l'effondrement des prix agricoles aux États-Unis dans les années 1920. Pendant cette crise, les prix des terrains dans les zones rurales se sont effondrés, entraînant la faillite d'un grand nombre de banques rurales. Lorsque les banques ont fait faillite, le gouvernement les a liquidées ainsi que leurs actifs, qui comprenaient de nombreuses terres agricoles saisies, une action qui a encore fait grimper les prix et aggravé la crise.
Tout ce que vous avez - vos investissements, votre maison et vos biens - pourrait soudainement perdre toute sa valeur. Nous avons vu cela se produire pendant la bulle hypothécaire de 2007-2008, lorsque de nombreuses personnes se sont retrouvées «sous l'eau». Cela se produit lorsque le montant pour lequel une maison est hypothéquée dépasse la valeur de la propriété.
L'effondrement des prix pendant la Grande Dépression a particulièrement touché les agriculteurs qui dépendaient des prix des matières premières. Des films d'actualités du début des années 1930 montrent des agriculteurs jetant du grain sur le sol et versant du lait parce qu'ils ne pouvaient pas le vendre.
Les paniques bancaires et l'effondrement des institutions financières. Une panique bancaire ou panique bancaire se produit lorsque tous les déposants d'une banque tentent de retirer leur argent en même temps. Les paniques bancaires déclenchent souvent l'effondrement des institutions financières, ce qui entraîne encore plus de paniques bancaires. Entre 1930 et 1933, près de 10 000 banques ont fait faillite ou ont été suspendues. La panique s'est tellement aggravée que le président Franklin D. Roosevelt a en fait suspendu toutes les transactions bancaires aux États-Unis entre le 6 et le 10 mars 1933 pour empêcher de nouvelles ruées pendant son soi-disant «jour férié».
Pendant la crise bancaire des années 1930, de nombreux Américains ont perdu leurs économies tout simplement parce qu'ils n'ont pas pu se rendre à la banque assez rapidement et retirer leur argent. Même certaines personnes fortunées se sont retrouvées dans la rue et dans les files d'attente parce qu'elles ne pouvaient pas obtenir d'argent de la banque.
Chômage massif. C'est un fait simple et évident que lorsqu'il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'emplois. Au plus fort de la Grande Dépression en 1933, 24,75 % de la population active du pays, soit un travailleur sur quatre, étaient au chômage. Environ 12,83 millions de personnes étaient sans emploi à une époque où la population totale de l'Amérique n'était que d'environ 93 millions de personnes. Ce chômage a persisté pendant des années, avec 8,1 millions d'Américains toujours sans emploi en 1940, au cours de la 11e année de la Grande Dépression. Le chômage créé par la Dépression n'a pris fin que lorsque la Seconde Guerre mondiale a créé des « emplois » sous la forme de la conscription et de la production de guerre.
Faim et Famine. Sans surprise, la faim et, dans certains cas, la mort par famine peuvent devenir un problème après la déflation. Les historiens ne sont pas d'accord sur le nombre de personnes décédées pendant la Grande Dépression.
Expansion massive du gouvernement et de son pouvoir. Au cours de ses 100 premiers jours au pouvoir en 1933, Roosevelt a signé 15 textes législatifs majeurs, dont plusieurs ont établi de nouvelles bureaucraties massives. Au cours des années 1920, il y avait 553 000 employés civils du gouvernement fédéral, mais en 1940, le gouvernement fédéral comptait plus d'un million d'employés civils. Pour la première fois dans l'histoire américaine, le gouvernement fédéral a même tenté de fixer les prix des produits en vertu du National Recovery Act. Le gouvernement a également dit aux agriculteurs ce qu'il fallait cultiver en vertu de la loi sur l'ajustement agricole. Ces lois étaient si manifestement inconstitutionnelles que la Cour suprême des États-Unis les a annulées en 1935 et 1936.
Fiscalité accrue. Lorsque l'argent disparaît, le gouvernement devient désespéré et impose davantage d'impôts dans le but d'extraire plus d'argent de l'économie. Pendant la Dépression, le taux d'imposition maximum sur le revenu est passé de 20 % à 55 %, les taxes sur les donations sont passées de 0,75 % à 33,5 % et de nouvelles taxes ont été prélevées sur les automobiles, l'essence, les télégrammes, les appels téléphoniques et même les chèques. En 1934, les États-Unis avaient les taux d'imposition les plus élevés au monde. En 1935, les impôts ont de nouveau été augmentés. L'historien Murray Rothbard estime que le taux d'imposition effectif aux États-Unis est passé de 16 % à 29 % pendant la Dépression.
Si un tel événement devait se produire dans le monde d'aujourd'hui, il pourrait être bien pire que la Grande Dépression.
Les gens étaient beaucoup plus autonomes dans les années 1930, car un grand nombre de familles vivaient dans des fermes et cultivaient leur propre nourriture. Même de nombreux Américains qui vivaient en ville entretenaient des jardins et des poulaillers. À cette époque, les gens chassaient aussi pour la viande, mettaient et conservaient leur propre nourriture et cuisaient leur propre pain. Les gens ont également cousu leurs propres vêtements et réparé leurs propres voitures, ce qui leur a donné un haut niveau d'autonomie.
Aujourd'hui, la plupart des Américains dépendent uniquement des supermarchés pour se nourrir, et de nombreuses familles ne cuisinent même plus. Peu de gens prennent la peine de coudre, et la plupart d'entre nous ne changeons même pas l'huile de nos voitures. Si notre argent venait à disparaître, nous serions aussi impuissants que des enfants.
Il est temps que nous apprenions les leçons des Américains qui ont survécu à la Grande Dépression. Cette leçon était d'être aussi autonome que possible afin de pouvoir survivre, quoi qu'il arrive.
Biden publie un décret pour promouvoir la biotechnologie agricole et alimentaire
17 Octobre 2022 Gregory Jaffe*
Le 12 septembre 2022, le président Biden a publié un « décret sur la promotion de l'innovation en biotechnologie et en biofabrication pour une bioéconomie américaine durable, sûre et sécurisée ». Cette « Initiative Nationale en Matière de Biotechnologie et de Biofabrication » vise à faire progresser la biotechnologie et la biofabrication aux États-Unis afin de fournir des solutions innovantes dans les domaines suivants : « santé, changement climatique, énergie, sécurité alimentaire, agriculture, résilience de la chaîne d'approvisionnement et sécurité nationale et économique ».
Certains de ses objectifs sont d'accroître la capacité de biofabrication aux États-Unis (ce qui, espérons-le, entraînera une baisse du prix des médicaments), de stimuler la production de biomasse (c'est-à-dire de matières biologiques renouvelables ou récurrentes telles que les matières végétales et arboricoles et les déchets animaux et alimentaires) et de former la prochaine génération de scientifiques et d'ingénieurs dans les disciplines de la bioéconomie. Si une grande partie du décret met l'accent sur la santé, la médecine, l'énergie et les données biologiques, certaines sections spécifiques s'appliquent à l'agriculture et à l'alimentation. Voici mes observations sur ces sections spécifiques.
Des informations utiles seront générées et pourront éclairer la politique fédérale
Le décret donne 180 jours au Secrétaire à l'Agriculture pour soumettre un rapport sur la manière dont la biotechnologie et la biofabrication peuvent être utilisées pour l'innovation alimentaire et agricole. Si l'USDA mène une enquête approfondie, le rapport pourrait être une feuille de route identifiant le potentiel des produits biotechnologiques pour améliorer la durabilité, aider l'agriculture à s'adapter aux effets du changement climatique et à les atténuer, augmenter la qualité des aliments et leur contenu nutritionnel, et produire des sources alimentaires alternatives.
Dans le même temps, le directeur de l'OMB est tenu d'identifier les niveaux existants de dépenses de l'USDA en matière de biotechnologie et d'activités liées à la biofabrication. Un inventaire budgétaire détaillé de ce que les différentes agences et bureaux de l'USDA investissent dans la biotechnologie, en particulier s'il est ventilé en catégories telles que la recherche fondamentale, le développement de produits, l'évaluation et la gestion des risques, permettrait aux décideurs politiques de déterminer si l'investissement public dans la biotechnologie est suffisant pour réaliser le potentiel qui sera exposé dans le rapport du Secrétaire.
Le rôle de la FDA dans l'approvisionnement alimentaire et l'innovation biotechnologique n'est pas explicitement reconnu
Si l'USDA est le responsable désigné pour l'alimentation et l'agriculture, le Département de la Santé et des Services Sociaux est également mentionné à plusieurs reprises dans le décret et est désigné comme responsable de la santé et de la médecine. La Food and Drug Administration n'est mentionnée qu'une seule fois, à propos de l'examen de la nécessité d'améliorer la clarté et l'efficacité du processus réglementaire pour les produits biotechnologiques. La FDA joue un rôle important dans de nombreux domaines alimentaires, y compris les produits alimentaires innovants (par exemple, la viande cultivée sur cellules et les nouveaux ingrédients de fermentation), la nutrition, l'étiquetage des aliments et l'aquaculture. La FDA devrait être co-responsable avec l'USDA de toutes les questions relatives à la biotechnologie alimentaire.
Au lieu de cela, le décret charge le Secrétaire à l'Agriculture de consulter les agences appropriées sur toutes les innovations alimentaires et agricoles. Il sera essentiel que l'USDA ne se contente pas de s'engager auprès de la FDA, mais qu'il tienne compte de l'expertise et de la perspective de la FDA, qui diffère parfois des positions adoptées par l'USDA. On pourrait dire la même chose de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA), qui est impliquée dans de nombreux produits de la bioéconomie (par exemple, les biopesticides et les micro-organismes fixateurs d'azote) qui affectent l'agriculture et l'environnement.
La section sur la réglementation – Nous avons déjà lu la même chose auparavant
Le décret est pertinent lorsqu'il affirme que « la complexité du système réglementaire actuel des produits biotechnologiques peut être source de confusion et créer des difficultés pour les entreprises » (ainsi que pour les parties prenantes et les consommateurs). Une déclaration très similaire se trouve dans le décret émis par le président Trump en 2019 et dans des documents gouvernementaux antérieurs.
Le décret exige que l'USDA (Département de l'Agriculture des États-Unis), l'EPA (L'Agence de protection de l'environnement des États-Unis) et la FDA (Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux) identifient les « domaines d'ambiguïté, de lacunes et d'incertitudes », puis fournissent un plan de réforme réglementaire. Pour ceux d'entre nous qui ont étudié le système réglementaire américain, les « ambiguïtés, lacunes et incertitudes » sont bien connues depuis des années et découlent de la réglementation de produits nouveaux et inédits à l'aide de lois qui n'ont jamais envisagé de tels produits (c'est-à-dire comme faire entrer une cheville carrée dans un trou rond).
Le décret souligne également la nécessité de « prendre des mesures concrètes pour réduire les risques biologiques liés aux progrès de la biotechnologie » et d'investir dans la biosûreté et la biosécurité. La question sera de savoir comment l'administration Biden parviendra à équilibrer ces deux mandats. Comment garantira-t-elle la sécurité des produits biotechnologiques (ce qui est essentiel pour la confiance et l'acceptation des consommateurs) tout en mettant en place un système réglementaire fondé sur la science, proportionné, transparent et participatif.
Pendant que le gouvernement fédéral travaille à la réforme de la réglementation (qui, nous le savons tous, est un long processus), le décret identifie certaines actions à court terme qui pourraient être très bénéfiques. Il s'agit notamment de fournir au public des « informations en langage clair sur les rôles, les responsabilités et les processus réglementaires de chaque agence » et des études de cas sur les agences qui réglementent différents produits biotechnologiques nouveaux. Le décret prévoit également la création d'un site web unifié où les demandes de renseignements sur un produit particulier pourront être soumises et où les demandeurs recevront une réponse fédérale coordonnée.
Dans l'ensemble, le décret souligne la valeur de la bioéconomie et la nécessité d'une politique coordonnée et d'un plan de mise en œuvre pour que les États-Unis restent un leader dans ce domaine. Cependant, comme c'est toujours le cas, le diable se cache dans les détails et ce sont ces détails qui détermineront si l'impact final de cette initiative est positif, négatif ou neutre. ______________
* Source : Biden Issues Executive Order Promoting Agriculture and Food Biotechnology - Alliance for Science (cornell.edu)
« Printemps silencieux » de Rachel Carson, automne babillard de Stéphane Foucart
17 Octobre 2022
Le 9 octobre 2022, le Monde publiait sur son site Web une chronique de M. Stéphane Foucart, « “Printemps silencieux” permet de mesurer l’étendue de la victoire de l’industrie chimique contre les sciences de l’environnement ».
En chapô :
« Il y a soixante ans, le livre de la biologiste américaine Rachel Carson lançait le mouvement environnementaliste moderne. Le relire montre que l’usage massif des pesticides dont il dénonçait alors les ravages est aujourd’hui devenu la norme. »
Dans l'édition papier des 9 et 10 octobre 2022, le titre a été raccourci en : « "Printemps silencieux", si actuel », mise en page sur deux colonnes oblige.
On ne saurait nier l'importance de « Printemps silencieux », fréquemment décrit comme l'acte de naissance du mouvement environnementaliste contemporain aux États-Unis d'Amérique, pour ce qui concerne les effets délétères de l'utilisation des pesticides dangereux sur la santé publique et l'environnement.
Pour le reste, une chronique est une chronique... L'auteur peut y exprimer ses opinions à sa guise... sous le regard scrutateur, en principe, du rédacteur en chef.
Or cela commence mal dès le titre, qui relève du casse-tête : comment un ouvrage de 1962 peut-il permettre de mesurer une « victoire » qui, à l'évidence, est une fiction ?
De même, on ne peut qu'être stupéfait devant l'audace du chapô.
C'est faire un monstrueux anachronisme que de déclarer que « [l]e relire montre que l’usage massif des pesticides dont il dénonçait alors les ravages est aujourd’hui devenu la norme ». Ce n'était pas un ouvrage d'anticipation !
Il est tout aussi indécent, à notre sens, de prétendre que « l'usage massif » est la « norme ».
C'est, franchement, prendre les agriculteurs pour des idiots, tout comme d'autres acteurs de la vie économique et sociale, en particulier les agences d'évaluation et les autorités de réglementation.
Faut-il être aussi aveuglé par l'idéologie pour refuser de constater que les molécules préoccupantes qui étaient autorisées dans les années 1960 et suivantes – selon des procédures qui laissaient effectivement à désirer – ont été retirées du marché ? Que sont en passe de l'être celles qui sont encore sur le marché mais qui sont devenues préoccupantes à la lumière des nouvelles connaissances – issues, notamment, des progrès des « sciences de l'environnement » évoquées dans le titre de l'article – et dans le contexte d'une attention grandissante aux risques réels, et même suspectés, voire imaginés ?
En outre, pour la France, les statistiques montrent une baisse tendancielle sur le long terme. Du reste, elle finira un jour par s'arrêter lorsqu'on aura atteint le minimum en-deçà duquel la protection phytosanitaire ne sera plus suffisamment assurée, voire par s'inverser si, les molécules efficaces ayant été supprimées, les agriculteurs seront obligés de recourir à des produits qui le sont moins.
Les années 2018 et 2019 sont des anomalies, les agriculteurs ayant procédé à des achats anticipés en 2018 à cause de l'augmentation de la taxe pour pollutions diffuses intervenues au 1er janvier 2019. (Source)
Et, pour le monde, quoi de plus normal que le recours aux produits de protection des plantes augmente avec le développement de l'agriculture et la nécessité de nourrir une population en croissance et globalement plus exigeante ?
Selon les statistiques de la FAO, on utilisait quelque 1,7 millions de tonnes en 1990, et 2,7 millions de tonnes en 2020... un chiffre relativement stable depuis 2010 !
La dissonance cognitive ne s'arrange pas dans le texte !
« Pour autant, avec six décennies de recul, il fait peu de doute que l’industrie chimique est sortie globalement gagnante de la bataille engagée au printemps 1962. [...] »
Cela fait écho au titre de la version électronique de la chronique, et cela relève de la psychose !
La boîte à outils de la protection des plantes se vide, y compris ensuite de manœuvres frauduleuses de milieux anti-pesticides (de synthèse...), d'un recours abusif à un « principe de précaution » mal interprété ou encore de décisions démagogiques. Les conditions et restrictions d'usages se font aussi plus contraignantes.
Il n'y a qu'à voir les « débats » sur le glyphosate, emblématique victime de la désinformation... et aussi l'utilisation du système judiciaire américain pour rançonner les fabricants.
Et ça continue...
« […] Pour le comprendre, il ne suffit pas de constater que l’agriculture industrielle dopée aux intrants reste maîtresse du globe, que toutes les molécules interdites sont aussitôt remplacées par d’autres souvent plus problématiques, que l’intensité de leur usage ne cesse de s’accroître, ou que l’essentiel des subventions publiques à l’agriculture continuent de nourrir cette spirale. »
Comment ne pas avoir la nausée devant ce dérapage intellectuel qui aligne les mots et formules les plus dénigrants possibles ?
- voir cadre sur site -
L'agriculture « industrielle » – forcément « dopée aux intrants » pour ceux, notamment, qui ont le privilège de pouvoir recourir à des aliments issus d'un autre mode de production faussement estampillé « vertueux » – fournit l'essentiel de l'alimentation mondiale.
Ouvrons une parenthèse : avec la guerre en Ukraine, une partie de notre monde politique qui succombait aux sirènes de l'agriculture « biologique », le cas échéant déguisée en « agro-écologie », découvre avec stupeur que nous risquons de manquer d'« intrants » essentiels, les engrais.
La réglementation des produits de protection des plantes est de plus en plus stricte et c'est, au mieux, une grossière erreur que d'affirmer qu'une substance interdite est illico remplacée par une autre plus problématique.
- voir graph sur site - (Source)
Pour l'usage, nous avons déjà vu ci-dessus. Et, toutes autres choses étant égales par ailleurs, l'agriculture/agriculteur biologique touche plus que l'agriculteur conventionnel... et beaucoup, beaucoup plus par unité de denrée produite.
Il y a encore, dans le registre dénigrant et outrancier :
« les usages massifs, systématiques et indiscriminés, de produits destinés à détruire le vivant ».
Recourant au sophisme de l'appel à l'autorité – « grand résistant et président de l'Académie des sciences en 1963 » –, l'auteur cite la préface de la première édition de « Printemps silencieux » du biologiste Roger Heim (la préface de l'édition de 1968, a priori, la même est ici ; la dernière édition est préfacée par... Al Gore) :
« Qui mettra en prison les empoisonneurs publics instillant chaque jour les produits que la chimie de synthèse livre à leurs profits et à leurs imprudences ? »
Et d'opiner, après nous avoir servi le bobard des 75 % d'insectes qui auraient disparu « dans les campagnes occidentales » (c'est le fruit, largement diffusé, d'une étude pourrie) et d'autres billevesées :
« Aujourd'hui [...], aucun homme de science ne pourrait se risquer à de tels propos. »
On tombe là dans le grotesque. Il faut peut-être entendre que l'industrie agrochimique dispose de tels pouvoirs qu'elle peut museler des scientifiques. Une simple recherche avec votre moteur préféré vous montrera que la phrase en cause est très largement citée.
Mais M. Stéphane Foucart se doit d'enfoncer le clou :
« Les "empoisonneurs publics" fustigés dans les années 1960 par Roger Heim sont devenus des léviathans qui imposent leur volonté aux Etats ; ce qui était craint ou bien vécu comme scandaleux et insupportable au mitan du siècle passé est peu à peu devenu la norme. C'est ce que Rachel Carson redoutait le plus. »
Nous n'oserons pas prêter des pensées ou des sentiments à Rachel Carson. En revanche, nous avons – tous, M. Stéphane Foucart et les gens de même obédience exceptés – une expérience de première main sur la puissance et les nuisances alléguées des « léviathans »...
Bien-sûr que c'est là une parenthèse dérangeante mais je veux l'exprimer: (rappel:) "Nous respirons toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 virus (poussières) ou microbes PAR MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance" ! Çà alors ! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !!
C'est tout dire des éléments toxiques (pisse et merde) que notre organisme rejette ! (Ne croyez pas que les plantes s'en accommodent !) C'est aussi tout dire de la valeur des 'examens' menés sur la toxicité des intrants (engrais, herbicides, etc) !
C'est aussi se demander à l'automne du pourquoi les feuilles tombent. Les arbres présentent parfois des branches mortes ! (Çà alors ! mais pourquoi ?!). Ils évacuent (c'est leurs choix) les éléments toxiques absorbés dans le sol ! D'où l'imbécilité de conserver ses feuilles et branches pour en faire de l'engrais !
« Nouveaux OGM » : les scientifiques insultés par un eurodéputé
16 Octobre 2022
Le 29 septembre 2022, la fraction des Verts/ALE du Parlement Européen a publié un « rapport » intitulé « Behind the Smokescreen » (derrière l'écran de fumée) avec en sous-titre, « Les intérêts particuliers des scientifiques de l'UE qui font pression pour la déréglementation des OGM ».
Nous l'avons analysé dans « "Nouveaux OGM" : les Verts/ALE du Parlement Européen sombrent dans le maccarthysme ».
Mme Michèle Rivasi, l'une des eurodéputés « responsables » du rapport a cru bon de publier le 3 octobre 2022 un billet sur son site, « [Communiqué] "Les scientifiques favorables à la déréglementation des OGM sont empêtrés dans des conflits d’intérêts" ».
Son texte ne pose pas de problèmes majeurs, étant essentiellement une description du rapport et de son contenu. Sa propre déclaration personnelle, certes plus incisive, reste dans les limites du salonfähig.
Mais voici, brute de décoffrage, la déclaration de M. Benoît Biteau, « paysan, agronome et député européen Verts/ALE, vice-président de la Commission Agriculture » – un « paysan » qui oublie du reste de déclarer ses conflits d'intérêts en sa qualité de pratiquant de l'agriculture biologique :
« Les remparts établis en matière de réglementation sur les organismes génétiquement modifiés établie par l’Union Européenne se fragilisent considérablement à la veille d’une proposition de la commission européenne sur les nouveaux OGM. Manipuler la science, corrompre nos démocraties et la science, dévaster notre environnement et nos santés, les multinationales de l’agrochimie et des biotechnologies sont prêtes à tout pour gonfler leurs profits.
En se faisant, les avocats des biotechnologies afin de servir au mieux leurs intérêts personnels, ces pseudos-scientifiques, bardés de diplômes, jettent un discrédit sur la science en général. Ces conflits d’intérêts font un tort considérable à l’ensemble de la communauté scientifique.
Dans le contexte actuel de réchauffement climatique, l’agriculture, les paysan·nes ont besoin d’une connaissance scientifique renouvelée que les industriels, BASF en tête, est incapable de fournir. Nous avons besoin d’une science de la nature qui nous permet de mieux comprendre les sols, qui soit en mesure d’augmenter le stockage du carbone et de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
La Commission européenne ne doit pas céder face aux lobbys. Elle doit maintenir la législation actuelle sur les OGM et interdire également les nouvelles variétés de plantes manipulées. Ces variétés trafiquées ne doivent ni être semées dans les pays de l’UE ni être importées. Nous ne voulons toujours pas d’OGM dans nos champs ou dans nos assiettes ! »
On est là, dans le registre habituel des outrances haineuses à l'égard des « multinationales... », du complotisme primaire et de l'illogisme argumentatif.
Mais un palier nous semble franchi avec la mise en cause des scientifiques qui s'expriment en faveur de l'utilisation des « nouvelles techniques génomiques » et de l'adaptation de la législation européenne sur les OGM aux nouvelles réalités – aux perspectives de progrès ainsi qu'aux défis multiples à relever.
C'est une accusation grave que d'affirmer que ces scientifiques – déclassés en « pseudo-scientifiques », mais tout de même « bardés de diplômes » – s'expriment et se positionnent « afin de servir au mieux leurs intérêts personnels ». En bref, ils sont – tous – malhonnêtes.
Il serait vain de demander que ce dérapage suivi d'un vol plané fasse l'objet de sanctions dans le cadre de son groupe ou du Parlement Européen dans son ensemble. On peut au contraire défendre sa liberté d'expression... qui finira par convaincre de plus en plus de monde que, décidément, il y a un problème.
Additif du 17 octobre 2022
Des Verts/ALE se sont opposés au Parlement Européen à un amendement oral présenté en plénière par M. François-Xavier Bellamy à l'effet d'interdire à l'Union Européenne de faire la promotion du hijab.
On reconnaît, quasiment au centre... M. Benoît Biteau. Il y a aussi, debout, Mme Marie Toussaint (tournant la tête), M. Damien Carême (derrière M. Benoît Biteau)
Dans la deuxième capture, M. François Alfonsi, Mme Karima Delli, M. David Cormand, M. Claude Gruffat, M. Yannick Jadot, Mme Michèle Rivasi, M. Mounir Satouri... bref, tous (sauf erreur).
Mais il y a aussi eu des oppositions sur les bancs Renew (par exemple Mme Sophia In 'T Veld – N° 399).
La politique européenne de réduction des rejets d’élevage
16 Octobre 2022 Robert Pinot
(Source)
« Les pénuries alimentaires sont programmées avec maestria dans l'Union Européenne : le cas des Pays-Bas » a attiré un commentaire d'un personnage qui, en d'autres temps, fut aux avant-postes de la politique européenne de réduction des rejets d'élevage. Je le reproduis avec plaisir.
L'auteur, M. Robert Pinot, est ingénieur agronome, sorti de l'Institut National Agronomique, devenu AgroParisTech.
Au début des années 90, différents États européens se sont inquiétés de l’augmentation régulière de la teneur en nitrates des eaux de surface, qui rendait difficile le respect de la norme de potabilité de 50 mg par litre. Par ailleurs cette augmentation était rendue responsable de la prolifération locale d’algues vertes, particulièrement en Bretagne. L’origine de cette situation était généralement attribuée à l’augmentation importante des élevages, en particulier des élevages hors sol.
Parmi les actions entreprises, il y eut un programme de recherches européennes associant différents instituts de recherche, dont en France l’INRA, et des industriels, pour étudier la possibilité de réduire ces rejets d’azote en modifiant la conception des aliments des porcs.
A la fin des années 90, une réglementation fut adoptée au niveau européen sous l’intitulé résumé Directive Nitrates, limitant les épandages d’azote à 210 kg par ha, plafond qu’il était prévu de ramener au bout de quelques années à 170 kg. En France, et particulièrement bien sûr en Bretagne, de nombreux éleveurs modifièrent leur conduite d’élevage, et aussi s’équipèrent de stations d’épuration, efficaces mais coûteuses.
Cette politique fut positive, puisque le niveau de nitrates dans les eaux de surface de Bretagne était nettement en baisse à la fin des années 2010, et que la prolifération des algues vertes a été limitée à certains sites favorables à leur développement naturel.
Le cas des Pays Bas
Les promoteurs de cette politique étaient bien entendu conscients qu’elle poserait des problèmes sérieux dans les pays où la densité des élevages étaient la plus forte, soit les Pays Bas et certaines provinces belges. On ne peut rejeter la pensée que cette perspective n’était pas prise en compte par certains de leurs concurrents. Aussi le fait que, vers le milieu des années 2000, lors de la suppression des quotas laitiers, le marché laitier européen ait été complètement déstabilisé par une augmentation massive de la production laitière néerlandaise, n’a pas manqué de surprendre. Il est vrai qu’elle a été partiellement compensée par une réduction de la production porcine, au profit de l’Allemagne voisine.
La clef de l’énigme a été trouvée vers l’an 2010 par une organisation professionnelle française du secteur bovin (et non par l’Administration dont c’était pourtant la mission) : au début des années 2000, les Pays-Bas ont négocié en catimini avec l’administration européenne une exception à la directive nitrates leur permettant d’élever leur plafond de rejets à 250 kg d’azote à l’hectare, soit quelque 50 % de plus que le plafond existant dans les autres pays (170 kg). On peut supposer que les négociateurs néerlandais ont invoqué la difficulté particulière pour leurs éleveurs de respecter le plafond général, et que leurs partenaires de la Commission Européenne ont donné leur accord en demandant un effort progressif sur une période que les événements actuels amènent à fixer à 20 ans.
Que s’est-il passé ? Les politiques néerlandais (mais il en aurait été de même sous d’autres cieux) ont profité de cette souplesse obtenue pour encourager le développement de l’élevage laitier, mais bien entendu sans dire aux éleveurs qu’au bout, il y avait le mur de la politique européenne, mur qui se concrétise maintenant, et qui n’est pas une décision propre aux Pays Bas. Il serait intéressant de savoir ce qu’il en a été de la qualité de l’eau. Par ailleurs, il faudrait analyser de près la réglementation actuelle aux Pays-Bas, qui porte sur l’ammoniac et les ions nitreux, pour faire la relation avec la directive nitrates.
En toute justice, il ne convient donc pas de fustiger une soi-disant politique écologique des autorités publiques néerlandaises, mais d’exiger des agriculteurs et des organisations professionnelles des Pays-Bas qu’ils assument les contraintes et les investissements que leur collègues européens (et en particulier bretons) ont réalisé il y a maintenant vingt ans.
TOUS les vivants (humains, animaux et végétation) reversent à la terre ce qui lui ont pris ! Çà alors !!
Depuis TOUJOURS les mers & océans sont DES BASSINS DE MERDES ! (les poissons chient dedans !!) et, malgré cela... l'eau infiltrée aux fonds des mers & océans vers le magma ressort... toute propre !! aux sources de montagnes et nappes phréatiques !!! Çà alors !!
Rappel que le pauvre Christopho Colombo (contemporain de Léonard de Vinci) emportait 'vers les Indes' des tonneau d'eaux !! (croyait-il que l'eau devant lui allait manquer ?). Car en ce 12 octobre 1492 (y a 530 ans) ils ne savaient encore boire l'eau de mer !! (Ses caravelles avaient un foyer pour cuire la pêche et, il suffit donc de prendre un récipient et de le remplir d'eau sale, noire, urine, etc, et de le poser dans une poêle sur le feu. Mettre un récipient plus grand dessus-dessous sur la boite centrale dans la poêle. L'eau bout, émettant de la condensation qui s'écoule dans la poêle. Cette eau est pure, sans odeur, ni couleur, ni goût et sans bactérie).
Donc, de parler d'eaux sales n'est PAS un problème pour quelqu'un d'intelligent qui se passera des 'stations d'épuration' (HAHAHAHA !), qui n'épurent que les porte-feuilles !
Bon et mauvais en même temps ? Oui, c'est possible...
15 Octobre 2022 Fritz l'agriculteur chez Willi l'agriculteur*
Fritz l'agriculteur, mon collègue de Haute-Autriche, a découvert une chose étrange...
...L'Allemagne face au dilemme d'Ulysse...
...ou comment j'ai appris à aimer Charybde et Scylla.
Nous savons, grâce aux médias et aux informations se fondant sur les ONG, que le gaz carbonique est très mauvais. Si nous avons trop de gaz carbonique, le monde ne fonctionnera bientôt plus. C'est grave.
Ceux qui ont suivi ces mêmes médias et actualités se fondant sur les ONG ces derniers temps ont dû constater avec étonnement que le gaz carbonique n'est pas un problème : si nous n'avons pas assez de gaz carbonique, rien ne va plus dans le monde. Et c'est grave aussi.
Comment ? se demandent certains Ulysse pleins de ruses. Alors que le monde des ONG est habituellement si simple : 1 problème – 1 coupable – 1 solution. Comme le citoyen lambda le constate avec un étonnement croissant, les « experts » du gouvernement allemand ont de plus en plus de mal à résoudre deux problèmes en même temps (par exemple, la transition énergétique sans énergie venant de quelque part).
Il en va de même (uniquement pour les non-agriculteurs) pour le mot-clé « transition agricole ». Jusqu'à présent, les unidimensionnels (1 problème – 1 coupable – 1 solution) pouvaient se rassembler derrière les platitudes du genre « Pas de vaches – pas de méthane », ou « Pas d'engrais chimiques – 100 % bio », ou « Plus de rotation des cultures – mais d'urgence plus de blé ».
Au plus tard depuis la crise ukraino-russe, beaucoup lisent de temps en temps que tout est bêtement lié à tout. C'est le cas même pour ce qui était jusqu'à présent si mal et ce qui était, disons, tout à fait agréable et pas si mal.
Prenons l'exemple du gaz carbonique :
Les Britanniques manquent de gaz carbonique, et des pénuries de viande fraîche et de bière menaçaient déjà en 2021. Et ces jours-ci, on a même entendu dire que la pénurie de gaz carbonique met en danger l'industrie alimentaire.
La raison presque incroyable est donc la suivante : on manque de gaz carbonique ! ! !
Et sans gaz carbonique, il n'y a pas de gaz carbonique dans la bière, les sodas et les boissons rafraîchissantes. Et il n'y en a pas pour conserver les produits emballés comme la charcuterie et le fromage (bio et conventionnel). Il n'y a pas de glace carbonique pour les produits surgelés très appréciés (bio et conventionnels). Il se peut même qu'il n'y ait bientôt plus assez de gaz carbonique pour la fabrication du pain. C'est vraiment stupide.
Et le contexte est encore plus incroyable : ce gaz carbonique soudain si apprécié provient de la fabrication d'engrais, si mal vue. Imaginez un peu : la pauvre humanité allemande absorbe jour après jour un déchet de la production d'engrais artificiels – par litres et par kilos. Et c'est précisément à cause de ce gaz carbonique que tout le monde aime sa bière, son pain et son soda pour accompagner sa pizza surgelée.
On peut se faire livrer cela jusqu'à sept fois par semaine par des services de livraison. Mais voici le coup de grâce. Bringbutler, eGourmery, foodora, Lieferando, Lieferheld, pizza.de et tous les autres ne pourront peut-être bientôt plus faire cela avec la nourriture et les boissons. Et encore moins tous les autres services de livraison de marchandises.
Car, malheureusement, l'AdBlue est un « déchet » de la production d'engrais, si malfaisante. L'AdBlue est nécessaire pour purifier les gaz d'échappement des moteurs diesel des voitures et des camions, et s'il n'est plus disponible en quantité suffisante, de larges pans de la chaîne logistique pourraient tomber en panne. Les rayons seraient alors vides. Plus vides qu'au début de l'ère Covid. Et surtout vides plus longtemps. Alors nous aurons vraiment un problème (pas seulement en Allemagne).
Mais le meilleur est toujours à la fin. Vous souvenez-vous de l'atlas des pesticides ? Il a de toute façon été diffusé en boucle dans tous les médias « informatifs-de droit public » avec ou sans mission éducative. Depuis que, en 2016, les statistiques sur les produits phytosanitaires pour l'agriculture ont intégré l'une des substances actives les plus toxiques (devinez : le CO2 = gaz carbonique), les « vérificateurs de faits » des ONG qui se fondent sur des « faits » ne lisent plus qu'une seule tendance : une consommation accrue chaque année. Pouah, l'agriculture, cette vilaine disséminatrice de poison. (voir : « Der “Hirn-Aus”-Reflex » (le réflexe « arrêt du cerveau ») de Willi l'agriculteur.
Il faut bien se rendre compte de cela : le même gaz carbonique, dont tout le monde écrit qu'il est un PESTICIDE très dangereux dès lors qu'il est utilisé dans l'agriculture, devient en un rien de temps – dès lors qu'il est utilisé dans le reste de l'économie – une denrée rare irremplaçable et très convoitée, sans laquelle rien ne va plus en Allemagne (et en Europe).
Le gaz carbonique est donc un pesticide qui, en tant que « déchet » issu de la production d'engrais réprouvée, peut arrêter le monde. Parfois parce qu'il y en a trop, parfois parce qu'il n'y en a pas assez. Avec du gaz carbonique, rien ne va plus, mais sans gaz carbonique, rien ne va plus non plus. Un dilemme d'Ulysse entre Charybde et Scylla.
Et tout cela se passe même AVANT l'entrée en vigueur du Green Deal de l'UE, selon lequel toute l'Europe doit pouvoir utiliser (et donc produire) 50 % d'engrais en moins.
C'est donc une bonne chose que les quantités d'engrais et de pesticides soient réduites de moitié. Les gens n'auront enfin plus de soucis.
Ils auront moins à manger, ils auront moins à boire (surtout de la bière et des sodas), ils auront moins de provisions, ils auront moins de services de livraison...
Ah, c'est une époque merveilleuse qui s'annonce en Europe.
Ou alors, nous apprenons à vivre avec un dilemme et à organiser le « tant l'un que l'autre » avec bon sens.
Pour ne pas finir dans un dilemme comme l'âne de Buridan.
Complément de Willi : Dans le langage courant [allemand], Charybde apparaît dans l'expression « entre Scylla et Charybde ». Cela désigne un dilemme dans lequel on est confronté à un choix sans issue entre deux maux, dans lequel on doit décider entre deux dangers incontournables. Il est impossible de sortir de ce dilemme sans dommage. (Source : Wikipedia)
Même si Berlin devait maintenant voter contre l'autorisation avec la participation des Verts au sein du gouvernement fédéral, il est peu probable que la proposition de la Commission soit rejetée. La disparition du Royaume-Uni en tant que partisan de la matière active ne devrait pas non plus changer la donne.
Choc de coalitions lors de la décision de 2017
Comme on le sait, lors de la dernière autorisation en 2017, l'Allemagne avait voté pour une réautorisation de la substance active herbicide pour cinq ans sous la direction de Christian Schmidt, alors ministre fédéral de l'Agriculture de la CSU, au grand dam de son partenaire de coalition, le SPD, assurant ainsi une majorité qualifiée de « oui ».
En 2017, lors de la réunion du comité qui devait décider, 17 autres pays de l'UE, en plus de l'Allemagne, s'étaient prononcés pour la réautorisation du glyphosate, dont l'Espagne, la Pologne, les Pays-Bas, le Danemark et la Roumanie. Neuf pays avaient voté contre, dont la France, l'Italie et l'Autriche. Le Portugal était le seul pays de l'UE à s'être abstenu.
Avec du matériel de AgE ______________
* Source : Glyphosat: Verlängerung in Sicht – für ein Jahr | agrarheute.com
Ma note : On se souvra qua la position française a été largement due à l'activisme de Mme Ségolène Royal, « récompensé » par un bouquet de fleurs, dont elle s'est vantée.
(Source)
Quant au vote allemand en faveur du renouvellement de l'autorisation du glyphosate, il a trouvé pour partie son motif dans des bisbilles entre le ministre de l'Agriculture Christian Schmidt (CSU) et la ministre de l'Environnement Barbara Hendricks (SPD).
ALIMENTATION : VERS UNE PÉNURIE DE RIZ EN FRANCE À CAUSE DU CLIMAT ?
par PAOLO GAROSCIO 17/10/2022
L'Insee a annoncé une hausse du prix du riz de 12 % sur un an en septembre 2022.
Les événements climatiques exceptionnels de 2022 on eu l’effet escompté sur la production de riz mondiale : elle est en forte baisse. Que la production soit européenne ou asiatique, elle a été touchée par la sécheresse et d’autres problèmes majeurs. Résultat : le risque de pénurie est réel, et ce dès la fin de l’hiver 2022-2023.
Le climat met à mal la production de riz
Pour produire du riz… il faut d’énormes quantité d’eau. Les rizières sont en effet inondées pour faire pousser la plante, ensuite récoltée. Sauf que, sans surprise, quand une sécheresse record frappe les zones productrices, la production baisse. Et c’est bien ce qu’il s’est passé en 2022.
L’Italie, notamment, premier producteur de riz européen avec plus d'1,5 million de tonnes par an (contre 50.000 pour la France, en comparaison) s’attend à une année horrible. La production pourrait chuter de 30 à 50 %, selon les estimations de l’Ente Risi qui surveille le secteur. Espagne et Grèce n’ont pas été non plus épargnées.
Et l’Asie n’est pas en reste : Inde et Pakistan ont été frappés par une sécheresse record suivie de fortes pluies. La production reculerait de plus de 250.000 tonnes dans les deux pays qui pourraient fortement réduire l’offre proposée à l’exportation.
Le riz risque d’être compliqué à trouver sur les étals en France
Le Syndicat de la Rizerie Française, interrogé par BFMTV, craint donc déjà le pire : au printemps 2023, lorsque la nouvelle production est censée arriver dans les supermarchés, les tensions pourraient être au rendez-vous. « S'il n'y a pas de ruptures complètes, il y aura au moins de fortes perturbations d'approvisionnement », juge Thierry Levin, président du Syndicat de la Rizerie Française.
Naturellement, qui dit pénurie et tensions sur les exportations, dit hausse des prix. Outre une production en baisse, la hausse des prix de l’énergie et du coût du transport feront également grimper la facture, déjà en hausse en septembre 2022 par rapport à septembre 2021 (+12 %). Le prix devrait donc coûter encore plus cher, lorsqu’il sera disponible...
LES MÉTAUX INDUSTRIELS BAISSENT, LE FRET MARITIME AUSSI. FIN DE L'INFLATION ?
par CHARLES SANNAT 18/10/2022
Le coût du frêt maritime avait dépassé les 10.000 dollars en 2021
Les métaux industriels et le fret maritime voient leur prix baisser fortement cette année. Est-ce un effet collatéral de la peur d’une récession qui se dessine à l’horizon ? Est-ce une bonne nouvelle pour l’économie mondiale ? Voilà le sujet d’Ecorama de ce lundi 17 octobre 2022 sur lequel nous avons échangé avec David Jacquot.
Alors que dire ?
D’abord que l’inflation des prix à la production est très forte, et qu’effectivement avec la baisse des matières premières et du fret, nous pourrions espérer que ces prix à la production augmentent moins vite ce qui ferait baisser la hausse de l’inflation des prix tout court. Mais pour que cela fonctionne vraiment, il faudrait que les prix de l’énergie cessent aussi d’être délirants, particulièrement en Europe où nous faisons n’importe quoi dans le mode de calcul.
Pour que vous puissiez visualiser la décrue des cours évoqués pendant cette vidéo je vous fais copie de quelques graphiques ci-dessous.
Ci-dessous vous avez les cours du fret maritime qui s’établissent à 3 540 $ soit quelques dizaines de dollars de plus que la moyenne des cours à 5 ans qui est de 3 469 $. En clair la récession n’est pas dans les cours. Vous avez pour le moment la correction du choc d’offre occasionné par les deux années Covid et les terribles perturbations qui ont touché l’économie mondiale.
- voir graph sur site -
Ci-dessous les cours de l’aluminium. Comme vous pouvez le voir, ils sont largement plus hauts que les points bas que nous retrouvons dans les 10 dernières années.
Là encore, une éventuelle récession n’est pas dans les cours !
- voir graph sur site -
Enfin, ci-dessous les cours du cuivre. Ils sont en forte baisse par rapport aux points hauts des années Covid, mais largement plus hauts que les points bas. Là encore le potentiel de baisse des métaux industriels est important en cas de récession forte début 2023.
- voir graph sur site -
Ce sont donc toutes ces réflexions que je vous propose dans cette vidéo de la semaine d’Ecorama.
Biden se prépare à arrêter la fabrication américaine avec l'interdiction d'importer tout l'aluminium russe
lundi 17 octobre 2022 par : JD Heyes
(Natural News) Joe Biden est en train de mettre la touche finale à un décret qui, une fois promulgué, fera chuter la fabrication américaine et fera baisser davantage l'économie américaine, mais bien sûr, il prévoit de blâmer ses actions sur la Russie, la Russie, la Russie.
Les agents de l'État profond qui dirigent le régime de Biden lui feront bientôt signer un décret qu'ils ont rédigé interdisant l'importation d'aluminium de Russie. Selon Bloomberg News, les gestionnaires de Biden envisagent trois options : une interdiction pure et simple, l'extension des tarifs à des niveaux qui imposeraient une interdiction effective et/ou la sanction du premier producteur de métaux du pays, United Co. Rusal International PJSC.
Parce que la gauche mondialiste de l'État profond a depuis longtemps fait le plein de fabrication américaine de métaux lourds, la Russie est le deuxième producteur d'aluminium derrière (attendez-le) la Chine. Alors naturellement, la nouvelle que Biden pourrait imposer une interdiction totale d'importer de l'aluminium russe sera une aubaine pour la Chine, où le fils de Joe, Hunter, et certains de ses amis ont conclu des accords commerciaux lucratifs tout au long des années 2010.
Bloomberg News a rapporté que la Russie fournissait environ 10% de l'aluminium américain par an, mais aussi, les données indiquent que la Russie était le troisième exportateur de métal vers les États-Unis en août.
En plus de devenir une aubaine pour la Chine, Zero Hedge a rapporté : « Alcoa Corp., le plus grand producteur d'aluminium des États-Unis, a récemment envoyé une lettre au LME indiquant que le métal russe pourrait être déversé sur les marchés mondiaux et faire baisser les prix », ce qui signifie que notre industrie les travailleurs et ceux des autres pays occidentaux en souffriront beaucoup.
«L'administration Biden a retardé la sanction de l'aluminium russe de peur de perturber les marchés mondiaux, mais maintenant cela pourrait ne pas être le cas car la guerre en cours, maintenant dans ses huit mois, se poursuit sans fin en vue. Pendant ce temps, les sanctions américaines / européennes contre la Russie pour limiter les flux d'énergie vers les marchés mondiaux se sont retournées contre eux », a poursuivi le média en ajoutant:« Les sources ont déclaré que les discussions de haut niveau sur l'interdiction de l'aluminium russe duraient depuis des semaines.
Il est difficile de voir comment des dommages supplémentaires aux travailleurs américains, à l'industrie américaine et aux fournisseurs occidentaux au profit de la Chine seront une contre-attaque efficace contre la Russie, étant donné que les sanctions n'ont jusqu'à présent rien fait pour dissuader Vladimir Poutine.
Cela dit, les forces de Poutine sont clairement sous le choc, en grande partie grâce aux armes occidentales et à la volonté ukrainienne de se battre, selon The Drive :
L'armée russe devrait recevoir quelque 800 chars T-62 remis à neuf et éventuellement améliorés au cours des trois prochaines années pour tenter de compenser les graves pertes qu'elle a déjà subies lors de son invasion totale de l'Ukraine. Bon nombre des T-62 presque antiques ont déjà été retirés du stockage profond et envoyés en Ukraine, où ils se sont révélés d'une utilité discutable.
Si la situation est telle qu'elle est rapportée, la décision de réactiver des centaines de ces chars remarquablement anciens datant de la guerre froide offre de nouvelles preuves que les sanctions occidentales et d'autres facteurs entravent l'industrie russe de l'armement. Cela fournit également plus de preuves du mauvais état du blindage plus avancé de la Russie, avec plusieurs centaines de chars détruits, endommagés ou capturés et d'autres mis à l'écart en raison de leur usure ou de l'absence de pièces de rechange de haute technologie après près de neuf mois de combats continus.
Le rapport indique qu'Andrey Gurulyov, un général russe à la retraite devenu politicien, qui est actuellement député de la chambre basse du parlement russe, ou Douma, a expliqué pourquoi Poutine s'appuyait désormais sur les anciens chars de l'usine de réparation d'armures 103 », selon une vidéo mise en ligne. L'usine est située dans l'Extrême-Orient russe, dans la région de Transbaikal Krai.
Alors que les rapports affirment que les améliorations rendent les chars plus résistants, des clips vidéo publiés en ligne suggèrent le contraire. De plus, il y a d'autres indications que des équipages entiers appartenant à des unités entières de chars russes abandonnent les T-62 dans leur hâte de battre en retraite, signalant un moral et un esprit combatif médiocres.
Un bataillon entier de chars T-62 intact a été abandonné par les #Russes dans la région de #Kherson.
Le prêt-bail russe à son meilleur!#Ukraine #SlavaUkrainii pic.twitter.com/zSa7v2tq3h
– Stepan Gronk (@StepanGronk) 12 octobre 2022
Trois secondes emblématiques de la défaite russe à Kherson.
Les troupes ukrainiennes avancent devant un char russe T-62 incendié. La "cage à copeaux" au-dessus de la tourelle s'est avérée inutile. Le char obsolète - conçu il y a plus de 60 ans - n'a pas bien servi les Russes. pic.twitter.com/f8rpHKg6m5 — Michael MacKay (@mhmck) October 5, 2022
Le surcoût pour les transports est de 17 % pour les ménages modestes.
Cela peut sembler paradoxal, mais une étude démontre que les ménages modestes paient plus cher bon nombre de biens et de services par rapport aux classes moyennes.
Les foyers aux revenus modestes sont touchés par un phénomène qui les maintient la tête sous l'eau : le surcoût de la vie. Logement, déplacements, et même électroménagers, tout coûte plus cher selon l'association Action Tank Entreprise et Pauvreté. Une étude Boston Consulting Group pour le compte de la Banque Postale a calculé qu'en moyenne, ces ménages subissait un surcoût annuel de 1.500 euros… Un « phénomène insidieux touche beaucoup de catégories de dépenses », déplore le directeur de l'association, Jacques Berger. Et qui commence par le logement.
Un surcoût de la vie de 1.500 euros en moyenne
Les ménages aux revenus modestes paient en général leur logement 13 % plus cher. Ils habitent en effet dans des surfaces plus petites dont le prix au mètre carré est plus élevé. Idem pour les transports : ces foyers utilisent souvent des véhicules anciens, qui consomment donc davantage de carburant. Résultat : un surcoût de 17 % pour le budget déplacements. Enfin, même le linge est plus coûteux à cause d'un électroménager lui aussi plus ancien ou de l'utilisation d'une laverie (+28%).
Transports, logement, tout est plus cher
« Le marché fait que les ménages en situation de pauvreté achètent un certain nombre de biens dans des conditions moins favorables que pour d'autres ménages », indique Jacques Berger. Ce surcoût de 1.500 euros peut néanmoins être compensé grâce aux aides sociales, comme par exemple l'aide personnalisée au logement. En fait, il peut même être ramené à une centaine d'euros par an… Mais encore faut-il avoir connaissance de ces aides d'une part, et les demander d'autre part. Les démarches pour les obtenir peuvent être complexes et longues, et cela peut décourager.
Même si rien ne vaut l'utilisation d'une application de sécurité directement installée sur son smartphone ou sa tablette, il y a tout de même certaines mesures de sécurité à connaître pour protéger ses données mobiles.
1. Maintenir le système à jour
Une des fonctions principales des mises-à-jour est de corriger les vulnérabilités du système. Les hackers se tiennent informés des failles des anciennes versions d'OS quand les mises-à-jour sont publiées. Ensuite, ils attaquent les terminaux n’ayant pas été mis-à-jour pour en extraire des données personnelles et d’entreprise. Lorsqu’une mise-à-jour du système est disponible, il faut l’installer immédiatement.
2. Ne pas télécharger d’applications hors stores officiels
L’App Store et Google Play effectuent un premier niveau de vérification des applications qu’ils mettent à disposition de leurs utilisateurs, ce qui n’est pas le cas des stores tiers. Une grande partie des applications disponibles sur ces derniers sont des malwares ou des clones d’applications payantes qui sous couvert d’offrir un service gratuit (freemium) siphonnent les données de leurs utilisateurs
3. Vérifier les permissions des applications
Lors du lancement et au cours de l’utilisation d’une application, des permissions sont demandées à l’utilisateur. Il est essentiel de s’assurer que les permissions demandées par une application soient légitimes, et de refuser celles qui semblent inutiles ou suspectes. Aujourd’hui, certains appareils proposent de supprimer les autorisations données aux applications, quand elles ne sont pas utilisées depuis longtemps. L’objectif étant, à la fois, de limiter l’envoi des données et d’assurer la sécurité de celles-ci dans le temps. Cette fonctionnalité permet dans une certaine mesure de minimiser l’exfiltration des données personnelles, cependant elle n’assure pas de protection face aux malwares qui performent ces vols de données en outrepassant les demandes de permission.
4. Ne pas se connecter à des réseaux non sécurisés
Certains appareils mobiles sont paramétrés pour identifier les réseaux publics et s’y connecter automatiquement. Une fois connectés au WiFi de l’hôtel ou du restaurant par exemple, les pirates peuvent intercepter les données qui transitent de l’appareil (ex : attaque du type "man-in-the-middle"). Il est conseillé de ne pas se connecter aux réseaux publics et surtout, de ne pas manipuler de données sensibles ou réaliser de transaction si vous vous y connectez.
5. Ne pas rooter / jailbreaker son terminal
Un appareil « cracké » donne plus facilement accès aux informations qu’il contient et augmente sa vulnérabilité. À éviter ! Bien que cela procure une plus grande liberté à l’utilisateur (du choix des applications installables ou supprimables, à la personnalisation de l’interface, en passant par des ROMs custom…), autoriser le droit administrateur revient également à ouvrir des brèches de sécurité majeures. Outre le fait que certaines manipulations peuvent endommager l’appareil et que les mises à jour ne seront plus proposées automatiquement, en cas d’infection par un malware par exemple, le cybercriminel aura accès à l’ensemble des droits et du système de l’appareil.
6. S’équiper de solutions de sécurité
Pour une protection complète, il est recommandé d'utiliser une solution de sécurité mobile qui assure la légitimité des applications et contrôle l’intégrité des connexions et du système. Avoir une solution de nettoyage de l’appareil ou s’appuyer uniquement sur la sécurité constructeur n’est pas suffisant, surtout lorsque l’on travaille avec des données sensibles. Bien que la sécurité embarquée (security by design) des appareils couvrent certains aspects de la cybersécurité, il est important de compléter sa protection mobile avec une solution spécialisée, qui garantit aux entreprises et aux utilisateurs des appareils complètement sécurisés.
Jean-Noël Barrot, le ministre qui va couper nos box internet la nuit
La Transition énergétique dévoile son vrai visage
lundi 17 octobre 2022
Le journaliste – Dimitri Pavlenko – qui reçoit une fois par semaine Gaspard Proust pour sa chronique rigolote n’a pas jugé bon d’attaquer le ministre de la Transition énergétique, c’est-à-dire des coupures de courant et de l’explosion des factures d’électricité. Il y avait pourtant de quoi.
On ne parle pas d’attaquer le pauvre Jean-No avec un marteau, mais avec des questions qui auraient pu le coller au mur, tant les européistes néolibéraux ont tout fait pour détruire l’indépendance française en matière énergétique, ce secteur stratégique s’il en est.
Avant d’écouter la communication bien comprise de ce couple journaliste-politique, on va s’intéresser au cas des barrages hydroélectriques français, littéralement abandonnés depuis 20 ans : une fonte des investissements (comme dans le nucléaire), alors qu’ils pourraient produire 25 % en plus.
L’expert : « Non mais à un moment il faut se poser la question anglaise. »
L’animateur : « La quoi, question anglaise ? »
L’expert : « La question anglaise, c’est-à-dire que si on a un ensemble de contraintes insupportables au niveau européen, il faut dire aux technocrates européens qu’on ne continue plus de jouer le jeu. »
Merci l’Union européenne, le fossoyeur des intérêts des peuples européens ! Un jour, on va devoir se demander si l’UE n’est pas le 51e État américain...
Revenons maintenant sur le Barrot : pour lui, le secteur du numérique étant énergivore, il faut aussi en réduire de 10 % la consommation, afin d’éviter, au cours des deux prochains hivers, « d’avoir à prendre des mesures de dernier recours ».
Pavlenko pose la question en riant : « Est-ce que ce sera transparent pour le consommateur, est-ce que lui va voir une différence dans l’utilisation de sa box internet, est-ce qu’elle va s’éteindre toute seule la nuit, pilotée à distance par l’opérateur ? »
Barrot répond sans rire : « C’est l’objectif, l’objectif c’est de réduire la consommation énergétique sans aller demander des efforts trop importants aux Français. »
Le message est clair : les box vont être coupées un certain temps, la nuit. Des complotistes – ceux qui croient que la Terre est plate – avaient prédit un black-out de l’Internet mondial un jour, tout le monde avait rigolé. Là, on aura des petites coupures. Espérons qu’elles ne seront pas ciblées, par exemple via le pass carbone qui recoupera le pass vaccinal...
Un petit Non, rien sur Barrot ?
Petit-fils du résistant démocrate-chrétien puis député de la Haute-Loire Noël Barrot et le fils de Jacques Barrot et de Florence Cattani, Jean-Noël Barrot naît le 13 mai 1983 à Paris. Son père a été député centriste de Haute-Loire pendant une trentaine d’années, ministre de plusieurs gouvernements de droite, vice-président de la Commission européenne de 2004 à 2009 et membre du Conseil constitutionnel de 2010 à 2014. Sa sœur cadette Hélène Barrot est directrice de la communication de Uber pour les marchés ouest et sud européens. (Wikipédia)
Droite libérale, Commission européenne, Uber...Comme dirait Staline, la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre.
Les tarifs d'expédition chutent de 75 % dans un contexte de chute de la demande de détail aux États-Unis
Lundi 17 octobre 2022 par : Cassie B.
(Natural News) Les armateurs de cargos ont annulé des départs sur certaines des routes les plus fréquentées au monde au milieu de ce qui est normalement leur haute saison, illustrant le grave impact de l'inflation sur les dépenses de consommation.
Cet été, les volumes d'importation aux États-Unis ont commencé à chuter de façon spectaculaire, ce qui est un signe fort que l'inflation pèse sur la demande des consommateurs. Avec des tarifs d'expédition transpacifiques en baisse d'au moins 75 % par rapport à il y a un an, il est maintenant clair que les gens réduisent considérablement leurs dépenses.
Les annulations observées en ce moment représentent un renversement spectaculaire de la situation d'il y a quelques mois, lorsque le manque d'espace d'expédition a entraîné une montée en flèche des taux de fret et des bénéfices records pour les transporteurs. Il y a à peine un an, des entreprises telles que Home Depot et Walmart ont dû affréter leurs propres navires pour surmonter les goulots d'étranglement portuaires et répondre à la demande croissante.
Cette baisse importante des tarifs d'expédition survient alors que la demande faiblit et que les grands détaillants annulent leurs commandes auprès des fournisseurs et cherchent à réduire leurs stocks. Nike a récemment annoncé qu'elle disposait de 65 % de stocks en plus qu'il y a un an et qu'elle devra utiliser des démarques pour commencer à déplacer des stocks, tandis que FedEx a annoncé qu'elle annulerait des vols et garerait des avions cargo à mesure que les volumes d'expédition baisseraient.
La hausse rapide des prix à la consommation due à une inflation record a un impact important sur l'économie mondiale, les fermetures d'usines en Chine et le conflit en Ukraine pesant également sur l'activité commerciale. En septembre, la capacité de conteneurs fournie par les exploitants de navires de l'océan Pacifique avait chuté de 13 % par rapport à un an plus tôt, ce qui représente une baisse égale à 21 navires capables de déplacer 8 000 conteneurs par voyage.
Les annulations de navigation pendant la haute saison suscitent des inquiétudes
Pendant les deux semaines commençant le 3 octobre, 40 traversées prévues de l'Asie vers la côte ouest américaine et 21 traversées de l'Asie vers la côte est ont été annulées ; le nombre moyen de départs normalement annulés à cette période de l'année n'est que de deux à quatre.
L'analyste en chef du fournisseur de données d'expédition Xeneta, Peter Sand, a déclaré : « Au cours de la première semaine d'octobre, un tiers de la capacité annoncée précédemment sera annulée et pour la deuxième semaine, ce sera environ la moitié. Le rythme de ralentissement de ces dernières semaines a été très rapide et il semble que les transporteurs aient mal interprété les faibles volumes d'une saison de pointe inexistante.
Les transporteurs voient généralement leur demande la plus forte dans les semaines entre la fin de l'été et le début de l'automne, alors que les détaillants et les importateurs commencent à constituer leurs stocks pour se préparer à la saison des fêtes qui approche. Les données du gouvernement montrent que les dépenses de consommation pour des articles plus volumineux tels que les appareils électroménagers et les meubles qui doivent généralement être importés aux États-Unis ont diminué après une période de forte demande au début de la pandémie, lorsque les gens passaient plus de temps à la maison et amélioraient leurs maisons.
Les tarifs de fret quotidiens, qui s'élevaient à 19 000 dollars pour le déplacement d'un seul conteneur à travers l'océan Pacifique en 2021, s'élèvent désormais à seulement 3 900 dollars.
Un transporteur britannique a déclaré à The Loadstar: "À part au début de la pandémie, je ne me souviens pas d'un autre moment où le marché a tourné si rapidement, et il semble que cela va empirer avant de s'améliorer."
Le suivi des tendances des ventes au détail globales peut être délicat en période de forte inflation comme nous le constatons en ce moment, car l'inflation peut parfois donner l'impression que les ventes augmentent alors même que les bénéfices chutent. Par conséquent, les tarifs et le volume d'expédition sont souvent de meilleurs indicateurs de la performance actuelle du commerce de détail dans un contexte d'inflation.
El Paso lance un tableau de bord des migrants en ligne pour suivre l'afflux d'illégaux
lundi 17 octobre 2022 par: Mary Villareal
(Natural News) Un nouveau tableau de bord des migrants en ligne a été lancé à El Paso, au Texas, alors que plus de 60 000 immigrants illégaux ont traversé la ville débordée au cours des six derniers mois.
Le "Migrant Situational Awareness Dashboard" fournit des statistiques hebdomadaires sur le nombre de rencontres avec des migrants signalées par les agences fédérales, avec des données sur ceux qui ont été libérés dans la communauté et le nombre de migrants qui ont reçu des services au centre d'accueil des migrants d'El Paso.
Ce nouveau centre de données a été introduit alors qu'El Paso prolongeait une déclaration d'urgence dans sa lutte pour gérer la crise migratoire en cours.
Le directeur adjoint de la ville, Mario D'Agostino, a déclaré que l'outil "apporte de la transparence à la communauté concernant la crise humanitaire actuelle et la manière dont elle est gérée au quotidien.
Il a également noté que dès le premier jour, ils ont été ouverts sur la façon dont "nous servons respectueusement les migrants qui traversent notre communauté et nos efforts d'urgence substantiels pour faire face à la crise humanitaire en cours".
Plus de 62 000 personnes sont passées par El Paso d'avril à mi-septembre. Rien qu'en septembre, plus de 13 000 personnes sont passées par El Paso - le nombre le plus élevé que la ville ait connu.
Les données ont montré que les agents des douanes et de la protection des frontières rencontrent désormais une moyenne hebdomadaire de 2 100 migrants par jour, avec environ 70 % des individus et des unités familiales venant du Venezuela. D'autres pays avec des nombres élevés sont l'Équateur, El Salvador, Haïti, le Nicaragua et Cuba.
Les clandestins représentent un fardeau économique majeur pour El Paso et les villes sanctuaires La ville aurait servi plus de 16 600 immigrants illégaux dans son centre d'accueil, où ils reçoivent de la nourriture, de l'eau et de l'aide avant de se diriger vers leur prochaine destination.
L'afflux est devenu un fardeau économique majeur pour El Paso, car il coûte désormais à la ville jusqu'à 10 millions de dollars par mois. Cela a conduit les autorités à envoyer des migrants dans des villes sanctuaires.
Le mois dernier, la ville aurait dépensé 300 000 dollars par jour pour héberger, nourrir et envoyer des immigrants demandeurs d'asile à New York, avec la bénédiction du maire Eric Adams. D'autres ont été envoyés à Chicago.
Pour les envoyer dans ces villes, les responsables ont déclaré qu'El Paso affrétait neuf à 14 bus par jour. La ville s'attend à 2 millions de dollars d'aide fédérale pour faire face à la situation.
Jusqu'à présent, la ville a facturé le voyage de plus de 12 000 migrants – dont 9 350 ont été envoyés à New York, tandis que 2 664 autres à Chicago.
Incidemment, Adams a déclaré l'état d'urgence pour répondre à la crise des migrants dans la ville, qui, selon Adams, coûtera 1 milliard de dollars à New York au cours de cet exercice.
"Nous avons maintenant une situation où plus de personnes arrivent à New York que nous ne pouvons en accueillir immédiatement, y compris des familles avec des bébés et de jeunes enfants."
La ville de New York compte désormais plus de 61 000 personnes dans son système de refuges, dont des milliers de sans-abrisme et des milliers de demandeurs d'asile qui ont été envoyés ces derniers mois depuis d'autres régions du pays.
D'Agostino a précédemment déclaré que l'augmentation sans précédent de la migration testait leur infrastructure alors que les frontières rencontraient en moyenne 1 500 migrants dans la région d'El Paso, créant un problème d'abri et entraînant l'envoi de certains migrants dans des hôtels.
El Paso a ouvert son centre de répit pour migrants après que les abris ont atteint leur capacité maximale et que les gens ont commencé à planter des tentes dans les rues. Dans le secteur de la patrouille frontalière, les autorités ont également érigé un centre de traitement de type triage en plein air pour traiter les migrants plus rapidement. Cela comprend des sections pour l'accueil, les soins médicaux et une zone d'attente, ainsi que des bus déjà équipés de la technologie de traitement stationnés sur place.
Le commissaire aux douanes et à la protection des frontières, Chris Magnus, a déclaré que la dernière vague de migration était motivée par des personnes fuyant les "régimes communistes défaillants" du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba qui ne sont pas soumis au titre 42, ou à l'ordre de santé publique pandémique qui a permis aux autorités d'expulser certains migrants au Mexique ou dans leur pays d'origine. (Connexe : Les cartels de la drogue mexicains utilisent l'afflux d'immigrants illégaux comme couverture pour faire passer clandestinement des agents et des drogues dures aux États-Unis.)
Visitez BorderPatrol.news pour plus d'informations sur la crise des migrants en cours.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les immigrants illégaux qui traversent la frontière à El Paso, au Texas.
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Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
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Les caméras thermiques, nouvelle méthode pour voler des informations confidentielles
le 17 octobre 2022 - 14:35
Selon les chercheurs, il est très probable que des personnes du monde entier développent des systèmes similaires à ThermoSecure afin de voler des mots de passe
Des chercheurs de l'université de Glasgow ont démontré que des caméras thermiques sont capables de retrouver des mots de passe à partir de la chaleur que le bout des doigts d'une personne laisse sur les claviers ou écrans tactiles au moment de les composer.
Un système “d'attaque thermique” guidé par l’intelligence artificielle
Les résultats de l'étude, publiés dans la revue ACM Transactions on Privacy and Security montrent comment, aidés par l'IA, des informaticiens peuvent déchiffrer les images thermiques de claviers et deviner correctement des mots de passe en quelques secondes. Appelée ThermoSecure, cette technologie montre comment, équipées de caméras facilement accessibles sur le marché, des pirates informatiques peuvent mettre en place de véritables '"attaques thermiques". En effet, lorsqu'une personne écrit sur un appareil électronique (un clavier d'ordinateur, un écran de smartphone ou un clavier de guichet automatique), prendre une photo du clavier en question permet de dresser une carte thermique qui dévoile des informations : les zones claires de l'image thermique sont celles touchées récemment.
En mesurant l'intensité relative des zones les plus chaudes, il est possible de déterminer les lettres, chiffres ou symboles spécifiques qui composent le mot de passe d’une personne et d'estimer l'ordre dans lequel ils ont été utilisés. À partir de là, les attaquants peuvent essayer différentes combinaisons pour déchiffrer les mots de passe des utilisateurs. Avec cette technologie d’intelligence artificielle qui permet de traduire les images thermiques en mot de passe, il suffit d'avoir laissé brièvement sans surveillance son clavier, pour qu’un malfaiteur puisse prendre une photo révélant ainsi la signature thermique de l'endroit où les doigts ont touché l'appareil.
Une technologie assez efficace pour qu’elle soit dangereuse
Plus l’image est prise tôt, plus la technologie est efficace. Elle est même performante dans 62 % des cas, lorsque la photo thermique est prise une minute après que les surfaces ont été touchées. Lorsque les images thermiques sont prises dans les 20 secondes, les chercheurs ont un pourcentage de 86% de réussite et de 76 % dans les 30 secondes. Plus les mots de passe sont courts, plus les taux de réussite augmentent.
Une technologie qui risque de se généraliser avec la mise sur le marché des caméras thermiques Selon les chercheurs, il est très probable que des personnes du monde entier développent des systèmes similaires à ThermoSecure afin de voler des mots de passe, particulièrement en raison de l'accès aux caméras thermiques plus abordable que jamais (on les trouve sur le Web pour 250 euros). Il est donc nécessaire que la recherche en sécurité informatique suive le rythme de ces développements pour trouver de nouvelles façons d'atténuer les risques, et d’essayer de garder une longueur d'avance sur les attaquants, déclarent les chercheurs. "Nous tenons également à informer les décideurs politiques des risques que ce type d'attaques thermiques posent pour la sécurité informatique. Une voie potentielle de réduction des risques pourrait être de rendre illégale la vente de caméras thermiques”, proposent les auteurs de l'étude.
Par Jeff Thomas Homme international 18 octobre 2022
Imaginez ceci : un chef tribal d'un pays lointain visite les États-Unis. Il est amené dans un grand immeuble à New York. Quand il sort de la voiture, il lève les yeux vers le grand bâtiment et est très impressionné. Un portier en uniforme sort du hall et sort sur le trottoir. Le membre de la tribu voit le tressage d'or et les boutons en laiton de son manteau et décide immédiatement qu'il s'agit d'une personne très importante. De nouveau, il lève les yeux vers le bâtiment et dit au portier : « C'est une très belle maison que vous avez. Vous devez vraiment être très important.
Bien sûr, si nous étions présents, nous pourrions rire de la naïveté du membre de la tribu. Les propriétaires d'un si grand bâtiment ne salueraient jamais les gens à l'entrée. Ils laissent ces tâches insignifiantes à des domestiques embauchés, tandis qu'ils dirigent les vraies affaires sans jamais avoir besoin de contact direct avec les visiteurs lorsqu'ils entrent dans le bâtiment. Et, en plus, les portiers vont et viennent – ils sont, après tout, jetables. Les propriétaires – ceux qui contrôlent ce qui se passe dans l'immeuble – conservent leurs fonctions sur le long terme… et peuvent rester anonymes, s'ils le souhaitent.
Nous trouvons ce concept simple assez facile à comprendre, et pourtant nous avons chroniquement du mal à comprendre que, dans la plupart des pays, le président, ou le premier ministre, n'est en aucun cas l'homme qui prend les grandes décisions dans la gestion du pays.
Nous supposons que, parce que nous avons été autorisés à voter pour notre chef, il doit en fait être notre chef. Mais, comme Mark Twain a parfois été crédité d'avoir dit: "Si voter faisait une différence, ils ne nous laisseraient pas le faire."
De même, l'homme dont la famille a repris le financement de l'Europe, Meyer Rothschild, a déclaré : "Permettez-moi d'émettre et de contrôler l'argent d'une nation et peu m'importe qui fait ses lois". Sa famille est aux commandes depuis des siècles, mais comme les propriétaires de l'immeuble, ils font profil bas.
Remarquablement, la plupart des gens hochent la tête aux citations ci-dessus, mais imaginent toujours que leur chef élu est aux commandes.
La plupart des gens accepteront que le système électoral de leur pays ait été corrompu d'une manière ou d'une autre et il est encore plus probable qu'ils reconnaîtront que les banques centrales contrôlent les flux d'argent. Pourtant, ils persistent à croire que, même si les élections sont financées par les grandes banques, le complexe militaro-industriel, Big Pharma, etc., d'une manière ou d'une autre, ceux qui sont élus restent fidèles aux électeurs, pas à ceux qui ont payé leur élection.
Et, ils imaginent que ces élus dirigent le spectacle.
De plus, alors qu'ils reconnaissent souvent que le parti politique auquel ils s'opposent est acheté et payé, ils préfèrent penser que celui qu'ils favorisent ne l'est pas.
À ce stade, l'UE et les États-Unis sont dirigés par l'État profond. En Europe, c'est un peu plus évident, car l'UE est un organe visible et non élu qui domine tous les développements les plus importants en Europe.
Aux États-Unis, c'est un peu moins évident, mais il est généralement entendu que la CIA, le FBI et d'autres organisations similaires fonctionnent indépendamment du président. (Il a le pouvoir de renvoyer un directeur, mais n'a pas le pouvoir d'éliminer ces organisations ou de modifier leur ordre du jour.)
Les États-Unis sont dirigés comme un organisme corporatiste - un gouvernement conjoint des grandes entreprises et de l'État. Les élus sont, comme les portiers, temporaires. Ils sont, bien sûr, très visibles, ce qu'ils sont censés être, car ils sont destinés à détourner l'attention du public de ceux qui sont vraiment en charge.
Et, comme les portiers, ils sont jetables. Ils peuvent être non élus tous les quatre ans et l'ordre du jour se poursuit comme prévu. Ils sont, en fait, largement sans rapport avec la direction que prend le pays.
Le président en particulier entre dans cette catégorie. Il y a eu pas mal de présidents qui ont accédé à ce poste avec peu ou pas d'expérience antérieure dans les fonctions électives. Leur élection est le résultat de la popularité. S'ils font un meilleur travail de création de promesses de campagne que leurs adversaires, ils sortent gagnants, même s'ils n'ont pas de liens politiques, d'associations avec d'autres législateurs ou d'expérience antérieure dans le travail.
Et pourtant, nous supposons d'une manière ou d'une autre que ceux qui tirent vraiment les ficelles dépenseraient des centaines de millions de dollars en élections, puis toléreraient qu'un étranger nouvellement élu lave leur investissement en prenant réellement en charge.
Certes, il y a eu des présidents qui ont résisté au Deep State, mais ils ont tendance à changer de ton assez rapidement et à se remettre dans le droit chemin. Ceux qui ont refusé se sont parfois retrouvés du côté des affaires, même si, plus récemment, la tactique préférée a été d'inventer des accusations de corruption et d'indécence, puis de produire des témoins douteux pour discréditer le dirigeant. (Un dirigeant qui a été expulsé en disgrâce est tout aussi mort qu'un dirigeant qui a été assassiné.)
Ce coup d'État et l'ingérence inadmissible et inutile de Washington en Ukraine étaient entièrement facultatifs. Il s'agissait d'une activité parascolaire, d'une série de décisions politiques délibérées, dont la justification reste incertaine.
Je suggère que c'est encore un autre exemple d'agitation folle à Washington, déguisée en noble cause.
Les néocons et les néolibéraux de Washington sont en mission privée. Des politiciens de carrière embarrassants, incompétents et ignorants comme Papa Joe Biden sont de la partie. Le public est dans le même bateau.
Il s'agit là d'une tangente dans l'histoire américaine, qui s'est jouée très longtemps, avant l'émergence de l'actuel crew de réprouvés, depuis 1898 et la guerre hispano-américaine.
Il y avait une bifurcation sur la route à l'époque. Quel chemin emprunter ? La situation a été comprise et débattue dans les couloirs du Congrès et dans la presse. La Maison Blanche McKinley et Capitol Hill ont finalement choisi la guerre et l'empire.
Le concept original de "Manifest Destiny" a été élargi. Après avoir annexé les Philippines, Guam et Porto Rico, Washington était parti pour les courses. La piste a conduit à la Grande Guerre de Woodrow Wilson et à la Seconde Guerre mondiale de FDR. Voir entre autres, The Irony of Manifest Destiny de William Pfaff.
Manifest Destiny s'est écrasé sur les côtes ouest et est de l'Amérique du Nord… pour embrasser la planète Terre elle-même, que le Pentagone a divisée en différentes zones de commandement. Au sud, l'ensemble du continent sud-américain était considéré comme une sphère d'influence américaine.
Cet étrange phénomène est une folie, me semble-t-il, un faux virage. La république de 1789 s'est métamorphosée en un empire américain mondial, fondé sur le statut du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et sur un réseau militaire mondial de bases et d'alliances créées pendant la guerre froide.
Immédiatement après la guerre froide, les néocons et les néolibéraux - ayant pris le contrôle de Washington - ont dû inventer, mélanger, comploter et tromper.
Pourquoi? Parce que le but légitime de l'empire existant vers 1990 était très douteux. L'Union soviétique n'était plus. Et ensuite ?
Le dollar, les sanctions économiques et la puissance militaire sont devenus les exécutants du "Nouvel Ordre Mondial" - annoncé pour la première fois par le président H.W. Bush en 1991.
Les sanctions mortelles implacables et les interventions militaires de la Maison Blanche sont devenues la norme. C'est de l'intimidation à grande échelle, peu importe comment ils l'habillent.
La cabale néoconservatrice-néolibérale qui a détourné l'USG a-t-elle fait quelque chose de positif ? Ont-ils dissous l'OTAN, après l'implosion de l'Union soviétique et la dissolution du Pacte de Varsovie ? Cela aurait été logique et honnête.
Non. Au contraire, Washington a élargi l'OTAN vers l'est pour renforcer l'hégémonie américaine en Europe et menacer la Russie non communiste.
L'Américain moyen a-t-il reçu le fameux « dividende de la paix » pour avoir survécu à l'Union soviétique ? Non.
Les Américains ont été immédiatement induits en erreur dans une direction différente, dans une autre croisade soi-disant pour sauver le monde mais en fait pour créer de nouveaux ennemis déterminés.
Est-ce que le 11 septembre vous dit quelque chose ? Certaines personnes se demandent encore, ou font semblant de se demander, pourquoi nous avons été frappés à l'époque. Les choses ne se produisent pas à l'improviste.
L'acolyte de Dick Cheney a expliqué que la raison en était simplement que les terroristes détestaient notre démocratie, notre mode de vie. Peu comprenaient le concept de Blowback à l'époque. Ou avait lu le livre de Chalmers Johnson.
Les néocons et les néolibéraux se sont-ils ralliés au projet de bannir ou de limiter sévèrement les armes nucléaires, comme le voulaient les visionnaires Reagan et Gorbatchev ?
Non. Au lendemain de la guerre froide, ils ont déchiré les accords existants entre l'Amérique et la Russie et ont refusé d'en envisager de nouveaux. Ce devait être un jeu à somme nulle. Demandez à Dick Cheney.
La justification de Washington ? L'Amérique était la nation exceptionnelle, dont le monde avait besoin de l'empire bienfaisant, pour garder le monde "correctement constitué" pour ainsi dire.
Par conséquent, le statu quo devait être maintenu par la force et la chicane. Sinon, le monde allait tourner hors de son axe. Le modèle de Washington était l'Empire britannique.
Au fil des ans, cette vision orgueilleuse a été vantée le plus efficacement par Robert Kagan, mari de la sous-secrétaire d'État américaine susmentionnée, Victoria "fuck the EU !" Nuland.
Elle est l'agent en charge de la politique étrangère américaine pour l'Europe et la Russie. Selon Andrew Bacevich, Kagan est « le principal théoricien néoconservateur de la politique étrangère ». Bref, nous avons une équipe mari et femme aux commandes.
Le résultat final est un cauchemar. Tant pour les gens sur le terrain que pour ceux qui sont sur la touche et qui essaient de lui donner un sens. Non, le monde n'est décidément pas correctement constitué.
Les crues oubliées de Victoria il y a 150 ans… quand Melbourne devenait « Venise »
par Jo Nova October 18th, 2022
Il y a eu des inondations extraordinaires à Victoria ces derniers temps au pays des sécheresses et des pluies torrentielles. L'ABC australien nous dit que "les inondations à Victoria sont rares". Mais une recherche de dix secondes sur Trove Australia a révélé les inondations oubliées de 1870, juste à titre d'exemple, avec ces magnifiques dessins (ci-dessous). Ces inondations d'il y a 152 ans semblaient affecter bon nombre des mêmes endroits que les inondations de 2022 : la rivière Murray était un « vaste lac intérieur » et presque toute la distance entre Sandhurst et Echuca, environ soixante milles, était sous l'eau. Melbourne est devenue une « Venise des antipodes ». Une pluie-bombe larguée sur les plaines de Keilor et un mètre d'eau tomba « en quelques minutes ». Les lignes de train sont restées suspendues dans les airs et des hommes, des femmes, des enfants, des chevaux, des bovins et des moutons se sont malheureusement noyés. Et à Echuca, l'eau est restée haute pendant deux mois entiers, commençant le 9 septembre mais n'atteignant finalement son maximum que le 7 novembre.
Imaginez ce que l'ABC pourrait faire pour l'Australie si elle avait un milliard de dollars et un accès à Internet ?
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Inondations à Victoria, 1870. Inondations à Victoria — Sandhurst, du haut de Bridge Street
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Pour mémoire, voici l'effet de tout ce gaz carbonique sur les précipitations de Melbourne depuis 1860
Repérez la tendance :
Précipitations du bureau régional de Melbourne Voir La pluie en Australie reste la même. Source :Bureau régional de Melbourne 1855 – 2015 .
Les inondations de 1870 à Victoria
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Inondations à Victoria, 1870. The Wharf’s Echuca, familles se retirant des terres basses | Cliquez pour agrandir
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J'ai vu le Murray pour la première fois, le fleuve le plus important d'Australie ; mais son aspect n'était pas celui d'un fleuve, mais d'un vaste lac intérieur, débordant ses rives dans toutes les directions, portant la mort et la destruction partout où il s'étendait. Les maisons de la rive de la Nouvelle-Galles du Sud ont été enterrées jusqu'aux avant-toits. Les palissades entourant les jardins étaient à peine perceptibles.
Inondations victoriennes, 1870, Echuca Echuca lors de l'inondation de novembre 1870
Les niveaux d'inondation à Echuca sur la rivière Murray allaient et venaient en septembre, culminant deux ou trois fois à 32 à 34 pieds. Mais ce n'était pas la fin. Des pluies encore plus fortes sont arrivées fin octobre et l'eau a de nouveau monté. Le point culminant ne s'est produit que le 7 novembre lorsque la rivière a atteint 38 pieds.
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High Street inondée à Echuca en 1870 Source : Trove
Une fois de plus, Victoria a été visitée par de très graves inondations, et toutes les parties du pays ont plus ou moins souffert. En effet, depuis 1859, il n'y a pas eu d'inondation aussi destructrice dans les campagnes que celle du 9 septembre. Presque toute la distance de Sandhurst à Echuca, environ soixante miles, a été recouverte d'eau, et bien sûr beaucoup de dégâts ont été causés à la propriété. Dans les districts de Ballarat et de Geelong, il y eut aussi de grandes pertes. Nous présentons une série d'illustrations, dont les deux premières sont des esquisses prises au Murray, où les vastes plaines de chaque côté de la rivière se sont soudainement transformées en un vaste lac. Une autre vue représente le pont près de Rochester sur le chemin de fer d'Echuca. Inondations à Victoria, 1870. …
Melbourne est devenue une « Venise des antipodes »
Une partie de la ville a été transférée pour l'occasion dans une Venise antipode, et des bateaux auraient pu sillonner la rue principale. Notre artiste, … a été envoyé à Echuca : - "J'ai quitté Melbourne avec la rivière Yarra à la hauteur des inondations ... à peine avais-je été assis dans le train que toute la zone entre Spencer-street et la rivière Saltwater s'est étendue devant moi comme une seule vaste mer, et alors que nous approchions de Footscray, aucune trace de la rivière ne pouvait être vue, mais des maisons à moitié enterrées, des cheminées noires s'élevant isolées hors de l'eau, et le pont avec à peine la forme de l'arche visible. Plus loin à droite, le pont de l'hippodrome s'était envolé et s'appuyait à demi contre des chaumières dont on ne voyait que les toits. Inondations à Victoria, 1870.
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Inondations au pont ferroviaire, près de Runnymede
Une bombe de pluie primitive : 3 pieds de pluie en « minutes » … Sur les plaines de Keilor, a-t-il dit, la pluie est tombée dans une nappe d'eau positive, contrairement à tout ce qu'il avait jamais vu auparavant, et comme le vent soufflait aussi fort, il était impossible de lui faire face.
En quelques minutes, la ligne a été recouverte à une profondeur de [trois pieds et demi], entièrement causée par l'averse. L'effet était si terrible et écrasant que les ouvriers restèrent impressionnés. L'un de ses hommes, un Écossais, il s'est approché: "Eh bien, Sandy, qu'est-ce que tu penses de ça?" "Eh, mec," s'exclama-t-il, "sûrement que la fin du monde est enfin arrivée." Ken Stewart a énuméré d'autres bombes de pluie des années 1800 idylliques. Les gens se sont sauvés ou sont morts en essayant : L'histoire la plus poignante de toutes vient de Coleraine dans l'ouest de Victoria (ces inondations semblent plus répandues en 1870). Ici, au moins deux hommes se sont noyés en essayant de sauver des enfants, qui ont également péri.
Vers 12 h 30, une tentative de sauvetage a été faite sur les habitants du terrain bas, dont ceux de la résidence de Robert Wright, le briquetier des berges du ruisseau, et de la couturière Betsy Gillies. En un rien de temps, la famille Wright a traversé le déluge en terrain sûr. Mlle Gillies a été réveillée de son sommeil et s'est également échappée. Dans les deux cas, encore quelques minutes, et le résultat aurait été désastreux.
L'attention se tourna alors vers les deux cottages derrière le bureau d'Albion, celui des Drummond et des Laird. À ce moment-là, l'eau était jusqu'aux genoux et le courant était trop rapide pour traverser en toute sécurité. L'agent James Mahon s'est précipité mais a été emporté. Heureusement, il a réussi à atterrir au sommet d'une porcherie et a pu se remettre en sécurité. Il a essayé à nouveau et a pu sauver l'un des enfants. Le magasinier Louis Lesser a également traversé l'eau et a sauvé un autre enfant. Il a également pu soulever Mme Margaret Drummond hors de l'eau et sur le toit d'une étable. Son mari, David Drummond, a mis trois enfants en sécurité et est retourné pour trois autres, James et Margeret Jr et sa nièce Janet. Il en avait un sur le dos et un dans chaque bras alors qu'il traversait. Soudain, le courant l'a rattrapé, et tous les quatre ont été emportés.
Charles Loxton, le jeune comptable de la National Bank of Australasia (ci-dessous). tenté de traverser sur son cheval. Ils ont tous deux été emportés, et c'est alors que le sauvetage a été abandonné.
…Mais en regardant autour de la ville, c'était tout sauf normal. C'était dévastateur. « La scène où le matin s'est levé était déchirante. Des hommes, des femmes et des enfants ont été retrouvés sur les cheminées et les toits des maisons; et toutes sortes de biens flottaient.
Toute l'histoire de Coleraine est ici. Charles Loxton n'avait que 22 ans. Un monument lui reste aujourd'hui. Margaret Drummond, qui a perdu tant de personnes dans sa famille, survivra jusqu'en 1914.
Dans le CBD de Melbourne, les gens utilisaient des ferries pour se déplacer, les usines étaient sous l'eau : … les parties centrales de la ville ont été rapidement inondées, et les torrents qui ont balayé les rues Elizabeth et Swanston se sont étendus sur la chaussée et ont atteint les pas de porte des deux côtés de la rue. Les routes de St. Kilda et de Sandridge ont toutes deux été submergées de plusieurs pieds par endroits, et toutes les approches de la colline d'Emerald ont disparu pendant un certain temps. Depuis le chemin de fer jusqu'à l'Immigrant's Home dans un sens, et depuis le Jardin Botanique jusqu'au-delà d'Emerald-hill dans l'autre, tous les appartements étaient recouverts d'une nappe d'eau. Les bacs étaient en réquisition, et sans l'aide de ceux-ci, toute communication piétonne à travers le pont du Prince était entièrement coupée. L'ensemble des basses terres entre la rivière et Clarendon-street, Emerald-hill, était entièrement couvert. Les usines des appartements ont toutes beaucoup souffert, tandis que de nombreux petits fabricants ont subi des pertes qui, dans certains cas, peuvent les paralyser dans leurs opérations.
Un courrier de lecteur au sujet de la réaffirmation par Özdemir de l'objectif de 30 % de bio chez Willi l'agriculteur*
Apparemment, M. Özdemir n'a plus conscience de la réalité depuis longtemps.
RÉVEILLEZ-VOUS MONSIEUR ÖZDEMIR ! ÇA SUFFIT !
⫸ 1. Le consommateur ne veut pas de 30 % de bio. Un bon 10 % est déjà trop pour le marché et entraîne des faillites.
⫸ 2. Nous sommes confrontés à une crise alimentaire mondiale qui n'est pas prête de s'arrêter. Le bio n'y a pas sa place. Chaque nouvelle pénurie alimentaire signifie au final encore plus de faim et plus de morts de faim (quelqu'un a-t-il déjà dit à Özdemir que le bio ne permet de récolter qu'environ la moitié de la nourriture, ou ne le sait-il tout simplement pas encore ?).
⫸ 3. À l'échelle mondiale, les surfaces cultivables sont si rares que la forêt tropicale est défrichée à une vitesse record pour créer de nouvelles surfaces cultivées. Plus il y a de bio, plus la culture sur les surfaces déjà existantes est inefficace, plus le défrichage s'accélère.
⫸ 4. Les effets de transfert (moins de production sur les surfaces existantes, mais transformation de la nature intacte riche en espèces en nouvelles surfaces cultivées pour combler les lacunes de production ouvertes) coûtent en fin de compte, d'un point de vue global, bien plus de biodiversité qu'ils n'en apportent ou sauvent localement.
⫸ 5. La crise climatique s'aggrave plus rapidement que ne le laissaient prévoir les prévisions. L'agriculture doit devenir plus efficace et contribuer encore plus à la protection du climat (économiser de la surface, avec beaucoup de photosynthèse par hectare, c'est-à-dire fixer le CO2 grâce à beaucoup de végétation ; énergie et carburants des champs). Le bio fait le contraire.
⫸ 6. De plus en plus d'années sèches obligent à orienter les cultures vers l'efficience de l'eau (le plus de récolte possible par litre d'eau de pluie ou d'irrigation). Le bio, avec ses récoltes deux fois moins importantes pour une même quantité d'eau, va à l'encontre de cette tendance.
⫸ 7. L'Allemagne est dangereusement dépendante des importations. Nous l'avons douloureusement constaté pour les matières premières, les médicaments, les composants, les panneaux solaires et l'énergie. Il ne faut pas être aussi stupide et aggraver encore davantage la dépendance aux importations de nourriture. Aujourd'hui déjà (avec 80 % seulement d'autosuffisance), 17 millions de personnes dans le pays ne mangent que des produits importés. Avec le bio, ce sera encore plus et nous deviendrons aussi vulnérables au chantage face à Bolsonaro que face à Poutine.
⫸ 8. Nous devons nous éloigner du pétrole. L'agriculture doit fournir davantage de matières premières à l'industrie. Que ce soit de l'amidon, des fibres, de la glycérine, de la paraffine, de l'éthylène, de l'éthanol ou autre. Le bio ne peut pas y contribuer de manière significative.
⫸ 9. Il y a trop peu de céréales (c'est bien, potentiellement, de la nourriture) pour les utiliser pour nourrir inefficacement des « coqs frères », des poussins mâles non euthanasiés (indice de consommation de nourriture double par kg de production de viande par rapport au poulet de chair), pour avoir ensuite un produit (de la viande dure) que personne ne veut manger en Europe, qui finit donc en Afrique de l'Ouest et qui casse le marché des éleveurs de volaille là-bas.
⫸ 10. Nous sommes en 2022 et il nous a fallu plus de 40 ans pour atteindre 11 % de bio, malgré les milliards de subventions, les campagnes publicitaires et le dénigrement systématique de la concurrence conventionnelle. Transformer l'agriculture du pays en seulement 8 ans de telle sorte qu'il y ait 19 points de pourcentage de plus est totalement utopique.
⫸ ⫸ Monsieur Özdemir, jetez enfin votre vieux discours dépassé, quittez enfin la voie de garage et cessez enfin d'opposer les crises entre elles !
Exit l'objectif des 30 % ! Place à la raison !
Les articles invités représentent l'opinion de l'auteur. ________________
* Source : 30 % Bio bis 2030 - ein Holzweg? - Bauer Willi
Même 1 % de bio c'est 1 % de trop ! Pourquoi ? Parce que le ce qui est appelé 'bio' c'est LA famine dans le monde avant la découverte d'insecticides et produits de traitement contre les maladies des plantes (et des humains et des animaux). Celui qui ne traite pas représente un danger pour tous les jardins et champs aux alentours car c'est chez lui que se multiplient les insectes ravageurs et c'est grâce à lui que les gens meurent dans le monde.
Les pénuries alimentaires sont programmées avec maestria : le cas de l'Allemagne
18 Octobre 2022 André Heitz*
(Source)
Sourds, aveugles et (en partie) muets, ignorant les avertissements climatiques, géopolitiques et sociétaux, l'Union Européenne et certains de ses États membres planifient des pénuries alimentaires pour « sauver » la planète. Voici le cas de l'Allemagne.
Ce qui distingue la gouvernance allemande de la française est que la première est fondée sur une coalition incluant les Verts, alors que dans la seconde, le vert est en quelque sorte dans le fruit.
L'accord de coalition entre le SPD, l'Alliance 90/les Verts et le FDP (la coalition « feux tricolores ») a le mérite d'annoncer le programme, alors que notre majorité présidentielle minoritaire semble sortir chaque jour ou presque une nouvelle ineptie.
(Source)
Deux pour cent de la superficie terrestre pour les moulins à vent
Il ne faut pas en conclure qu'il y a aussi un gradient de rationalité. Le suprême mépris pour les incontournables lois de la physique et les lois plus molles de l'économie règne des deux côtés du Rhin, avec des nuances. Rive droite, il est question de fermer les dernières centrales nucléaires, rive gauche on a annoncé de nouveaux chantiers... et on est passé à la promotion hystérique du renouvelable intermittent et non pilotable, malgré l'échec patent des expériences allemande et danoise.
La leçon n'a pas été apprise non plus en Allemagne :
« Deux pour cent des surfaces du pays doivent être affectées à l'énergie éolienne terrestre. Les détails de l'objectif en matière de surface seront précisés dans le code de la construction. Nous renforçons le comité de coopération entre l'État fédéral et les Länder. »
Quelle sera la surface soustraite à la production agricole et alimentaire ?
En admettant que la réaffectation des terres serait uniformément répartie (ce qui n'est pas le cas, on ne met pas d'éoliennes en ville), l'agriculture allemande perdrait 340.000 hectares.
En 2019/2020, le taux d'autosuffisance alimentaire s'était établi à 88 %. On ne saurait dire de combien ce taux serait réduit en l'absence de données plus précises.
(Source du premier)
La renaturation jusqu'où ?
La ministre de l'Environnement Steffi Lembke a présenté son programme d'action pour la « protection naturelle du climat » – ça ne s'invente pas ! – le 31 août 2022.
Il s'agit de renforcer, restaurer et préserver les écosystèmes afin qu'ils restent des protecteurs du climat, ainsi que des habitats pour les plantes et les animaux. « Je veux rendre la nature forte pour qu'elle nous aide à lutter contre la crise climatique », a expliqué la ministre.
Parmi les 64 mesures envisagées : arrêter l'exploitation de certaines forêts et reboiser 10.000 hectares par an ; remettre d'anciens marais en eau et en faire sortir l'agriculture ; restaurer des prairies humides.
Effets sur la production agricole et alimentaire – et industrielle et énergétique dans le cas des forêts laissées à leur propre sort ? Cela dépendra des incitations financières qui seront mises sur la table. Il est prévu d'investir 4 milliards d'euros jusqu'en 2026.
Trente pour cent des terres agricoles affectées à l'agriculture biologique
L'Union Européenne a adopté une stratégie « de la ferme à la table » – appelée ironiquement « de la ferme à la famine » – prévoyant notamment de convertir 25 % de la surface agricole à l'agriculture dite « biologique ». Les écolos ont fait monter le curseur en Allemagne à 30 pour cent ! Voici le morceau de bravoure du programme de la coalition :
« Nous allons orienter l'ensemble de l'agriculture, dans sa diversité, vers les objectifs de protection de l'environnement et des ressources (agriculture écologique). Nous voulons continuer à développer une agriculture en harmonie avec la nature et l'environnement. Nous voulons atteindre 30 pour cent d'agriculture biologique d'ici 2030. Pour ce faire, nous voulons augmenter les fonds fédéraux destinés au programme fédéral d'agriculture biologique et, conformément à l'objectif de développement, mettre à disposition des fonds de recherche agricole pour les besoins de la recherche en agriculture biologique. Nous élargissons la stratégie d'avenir de l'agriculture biologique à l'ensemble de la chaîne de création de valeur bio. »
L'objectif – passer d'un peu plus de 10 à 30 pour cent de « bio » – est sans doute aussi illusoire que celui des 20 pour cent, à partir d'un niveau de départ plus bas, que s'étaient fixé des gouvernements précédents. Il l'est d'autant plus qu'en Allemagne, le secteur est dans une crise dont on voit mal la sortie dans une situation économique où chaque euro compte et où l'alimentation, déjà soumise à une forte inflation, devient de plus en plus une variable d'ajustement.
Notons que c'est aussi la crise en France... ce qui n'a pas empêché notre Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires de titrer en juin 2022 : « Le bio, un secteur résilient au cœur de la transition alimentaire » ! Manifestement, la pensée magique et le hors-solisme opèrent de Paris à Berlin.
Cette pensée magique, accouplée à une extraordinaire naïveté à propos des réalités de l'agriculture et de la nature, accepte d'amputer la production agricole et alimentaire de quelque 10 pour cent en Allemagne. Au moins.
Mais sera-ce vraiment le cas ? La lecture d'un compte rendu de la célébration des 40 ans de Bioland, à laquelle avait participé le ministre de l'Agriculture Cem Özdemeir nous plonge dans la perplexité. S'est-il montré évasif et à la hauteur de son incompétence comme c'est devenu une habitude, ou se rend-il compte que la coalition « feux tricolores » entend foncer dans le mur des réalités en klaxonnant ?
- voir graph sue site -
(Source – source originale)
Interdiction du glyphosate et réduction de l'utilisation des pesticides
C'est acté pour la fin 2023... quand – normalement, sauf décision politique constituant un affront à la science et la rationalité – l'Union Européenne aura renouvelé l'autorisation de l'herbicide le plus utile à l'agriculture et à la gestion de l'environnement.
Relevons cependant que le Ministère Fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture s'interroge sur la légalité d'une telle décision au regard du droit européen.
Une récente analyse de la littérature a conclu à des résultats dévastateurs du retrait du glyphosate sur l'agriculture européenne : des pertes de rendement de 7 à 30 pour cent en blé et de 5 à 20 pour cent en pommes de terre.
Selon SEGES, une entreprise danoise de services à l'agriculture à but non lucratif, le retrait du glyphosate ajouterait aussi 120 euros aux frais de culture à l'hectare, jusqu'à 270 euros dans le cas de la vertueuse agriculture de conservation... et une utilisation d'herbicides accrue de 20 pour cent.
Il va de soi que l'Allemagne est favorablement disposée à l'égard du projet de règlement de la Commission qui ambitionne de réduire de moitié le recours aux produits de protection des plantes d'ici 2030.
Un tel programme de réduction de la boîte à outils phytosanitaires se traduira inéluctablement par une baisse des rendements ainsi qu'une hausse de l'instabilité des rendements au gré des conditions météorologiques changeantes et des attaques des parasites et maladies.
Amélioration des plantes et béate bien-pensance
Entrons dans le domaine qui serait de l'anecdote s'il n'y avait pas quelques effets à la marge :
« Nous voulons soutenir la culture de variétés végétales résistantes au climat. Pour ce faire, nous améliorons les conditions-cadres, y compris pour les variétés-populations, nous encourageons des projets modèles tels que la sélection participative, la numérisation, nous assurons la transparence sur les méthodes de sélection et renforçons la recherche sur les risques et la détection. »
Au-delà de la première phrase – une déclaration d'intention qui ne mange pas de pain et donne bonne conscience –, la première partie de ce texte relève du charabia des promoteurs des « semences paysannes ».
Cela resterait risible si cela ne s'accompagnait pas par du gaspillage financier – que l'INRAE, en France, nous fasse du reste la preuve des travaux de « sélection participative » largement fondés sur les théories lyssenkistes.
Il y a aussi le démantèlement progressif de la législation sur les variétés (le catalogue) et les semences (la certification) dont l'objectif est de garantir à la filière agricole et alimentaire des semences de qualité, saines et marchandes, et de la protéger des accidents et surtout des margoulins.
Quant à la fin du paragraphe, c'est : « sus aux technologies modernes d'amélioration des plantes ! »
L'élevage doublement victime de la bien-pensance nutritionnelle et climato-environnementale
Cette déclaration qui fait se sentir bien relève aussi grandement de l'anecdote :
« Nous renforçons les alternatives végétales et nous nous engageons pour l'autorisation des innovations telles que les sources de protéines alternatives et les substituts de viande dans l'UE. »
Le marché – le palais des consommateurs et leur porte-monnaie – se chargera de faire le tri. Il commence à parler aux États-Unis d'Amérique. Le géant de la viande brésilien JBS vient de fermer sa filiale de substituts végans. Notons cependant cette manie – qui n'est pas seulement allemande – d'exporter les lubies nationales au niveau européen.
Bien plus sérieux sont les discours sur la réduction de l'élevage – ce qui serait bon pour le climat – et le bien-être animal. Ce bien-être est censé ne pas être au rendez-vous aujourd'hui puisque le coalition veut « aider les agriculteurs à transformer l'élevage d'animaux de rente en Allemagne dans le respect de l'espèce ».
La partie « protection des animaux » est la plus longue du chapitre « agriculture et alimentation » du programme de la coalition.
Mais si les intentions – certaines sans conteste bonnes comme la décentralisation des abattoirs et la promotion des abattoirs mobiles – sont nombreuses et formulées avec vigueur, l'intendance ne suit pas. Il y a bien des déclarations générales, mais pour le concret, le ministère de M. Cem Özdemir – cet homme est un végétarien – est évasif sinon évanescent.
S'agissant du projet de marquage de l'origine de la viande, censé profiter à la viande allemande, M. Markus Rücker, ancien directeur de Foodwatch, résume chez le blogueur à très forte audience Willi l'agriculteur : « un ministère veut promouvoir les ventes sans promouvoir les ventes ».
Le drame est que ce no man's land politique et administratif n'incite pas aux investissements, bien au contraire. S'y ajoute l'incapacité – à moins que ce ne soit de l'indifférence – du gouvernement à répondre à la crise, notamment de la production porcine prise en tenaille par la baisse des cours et la hausse des prix à la production.
L'Allemagne est en train de vivre une « Höfesterben », une mort des fermes. Elle touche en premier lieu – surprise, surprise – ceux qui ont investi dans le bien-être animal, leurs coûts de production étant supérieurs. De mai 2021 à mai 2022, les effectifs ont baissé de 10 pour cent tant chez les producteurs de porcs que dans le cheptel.
Plan national stratégique pour la nouvelle politique agricole commune
« Nous veillons sans délai à ce que les règlements d'accompagnement du plan national stratégique de la Politique Agricole Commune (PAC) soient alignés sur l'objectif de la protection de l'environnement et du climat et de la garantie des revenus. »
Le plan national stratégique (PNS) pour la PAC de 2023 et des années suivantes n'a été envoyé à la Commission que le 30 septembre 2022. Les agriculteurs attendront jusqu'à la mi-novembre – si la réponse de la Commission est positive – pour savoir comment organiser leurs exploitations... les saisons n'attendent pas.
Terminons sur une note plus légère, non sans avoir rappelé que M. Cem Özdemir s'est fait tirer l'oreille pour accepter – avec des limitations – la dérogation temporaire accordée en mars 2022 par Bruxelles aux obligations en matière de rotation des cultures et de mise en jachère de 4 pour cent des terres cultivées, pour répondre aux effets de la crise générée par la guerre en Ukraine.
Dans « Weniger Tiere, mehr Hanf » (moins d'animaux, plus de chanvre), un titre un brin sarcastique, le Spiegel avait écrit le 26 décembre 2021 :
« Chez les agriculteurs en Allemagne, Cem Özdemir voit un grand intérêt pour la légalisation du cannabis. "De nombreux agriculteurs et agricultrices sont dans les starting-blocks pour cultiver du chanvre", a-t-il déclaré au journal [Bild am Sonntag]. »
Dans une vidéo d'avril 2022, M. Cem Özdemir avait commencé à montrer une veste de sécurité pour poules – contre les rapaces, pas pour traverser la route – avant d'être interpellé au sujet de la légalisation du cannabis prévue dans le programme de la coalition. Il a fait enregistrer une autre vidéo, plus précise, par la suite.
Commentaire de Willi l'agriculteur : « Quand on fait preuve d'un désintérêt aussi manifeste pour les agriculteurs, il ne faut pas s'étonner que ces derniers se mettent en colère. »
Il y a un motif de colère bien plus important : le désintérêt pour la situation agricole et alimentaire, bref économique et partant sociale, en Allemagne, en Europe et dans le monde. ______________
* André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.
Une version de cet article a été publiée sur Contrepoints.
Le verdict d'Alex Jones montre le danger des lois sur la diffamation
lundi 17 octobre 2022 par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Dans la dernière démonstration de l'absurdité des lois sur la diffamation, l'animateur d'une émission de radio Alex Jones a été condamné à payer 965 millions de dollars à des personnes qui n'aimaient pas les propos de Jones à propos du 'massacre de Sandy Hook' en 2012 à Newtown, dans le Connecticut.
(Article de Ryan McMaken republié de Mises.org)
Dans les années qui ont suivi le massacre, Jones a déclaré à plusieurs reprises qu'il pensait que les fusillades avaient été mises en scène et que les prétendus parents étaient des soi-disant acteurs de crise. (Il a depuis dit qu'il pensait que les fusillades étaient réelles.) Certains des auditeurs de Jones ont choisi d'être d'accord avec les affirmations de Jones selon lesquelles les fusillades n'ont pas eu lieu, et cela aurait informé les décisions de certains auditeurs de se livrer au harcèlement de certains des parents de enfants assassinés.
Essentiellement, Jones a été reconnu coupable d'avoir dit des choses qui auraient inspiré d'autres personnes à dire des choses cruelles et irrespectueuses aux parents des victimes de Sandy Hook. Le harcèlement comprendrait également la profanation des tombes des victimes.
Jones est condamné à payer des centaines de millions de dollars parce que d'autres personnes - qui n'agissaient sous aucun ordre de Jones - auraient commis des crimes par elles-mêmes. Il est difficile de voir, alors, comment Jones a réellement infligé des dommages réels à ses supposées "victimes" dans cette affaire. Si des personnes ont harcelé les parents, bien sûr, c'est un crime dont les véritables harceleurs sont responsables. Les vrais coupables ici sont les personnes qui ont commis des actes de harcèlement. Mais il semble que Jones ait été condamné ici pour avoir simplement dit des choses que le jury et les plaignants ont jugées répréhensibles.
Dans une société libre, un citoyen privé qui dit des choses que d'autres personnes sont libres d'ignorer n'est pas puni par la loi. Dans une société qui ne respecte pas la liberté d'expression, cependant, le simple fait de dire des mots est apparemment un motif d'amendes de centaines de millions de dollars. (Les menaces réelles de violence dirigées contre des personnes spécifiques sont dangereuses, mais ce n'est pas ce dont nous parlons ici, et ce n'est pas de cela que Jones a été accusé.)
L'idée que Jones est en quelque sorte coupable des actes de tiers qu'il ne connaît même pas découle de la logique tordue de base des lois sur la diffamation. L'idée de la diffamation en tant que matière juridique punissable est basée sur la notion que les gens n'ont pas de libre arbitre et ne sont pas responsables de leurs propres actions.
Par exemple, si un inconnu me dit que mon voisin est un pédophile, je n'ai aucune raison de croire automatiquement l'accusateur. C'est pourtant ce que suppose la logique de la diffamation. Si la Personne A dit des choses désagréables sur la Personne B, nous sommes censés supposer que les gens n'ont pas la liberté de rejeter les accusations et de les ignorer. Nous devons plutôt supposer que les gens sont des robots qui croient tout ce qu'on leur dit. De même, il n'y a aucune raison pour que quiconque croie aux dernières théories d'Alex Jones.
De plus, étant donné que les gens sont libres d'ignorer les accusations de la Personne A, il est particulièrement absurde de supposer que la Personne A est en quelque sorte responsable si la Personne C utilise ensuite l'opinion de la Personne A comme raison pour infliger une sorte de préjudice à la Personne B.
La réalité est que les gens ont le choix et n'ont pas à croire toutes les choses désagréables qu'une autre personne dit. Les gens ne sont pas non plus obligés d'agir d'une manière particulière parce que quelqu'un a dit des choses cruelles sur quelqu'un d'autre.
L'idée que les gens sont responsables de leurs propres actions n'avait apparemment pas sa place dans la procédure judiciaire contre Alex Jones, et le jugement contre lui est une menace permanente pour les gens ordinaires qui disent des choses impopulaires.
À une époque où quiconque n'est pas d'accord avec les récits officiels du régime est qualifié de raciste, de terroriste domestique, ou pire, il s'agit en effet d'une évolution dangereuse. Les gouvernements ont utilisé les lois sur la diffamation pour faire taire les critiques, et les riches ont longtemps utilisé des menaces de poursuites en diffamation pour faire de même. Naturellement, Murray Rothbard s'est opposé aux lois sur la diffamation et a reconnu qu'elles sont un moyen pour les puissants de faire taire les faibles :
Le système actuel [qui autorise les poursuites en diffamation] discrimine les personnes les plus pauvres d'une autre manière ; car leur propre discours est limité, car ils sont moins susceptibles de diffuser des informations vraies mais désobligeantes sur les riches de peur d'avoir des poursuites en diffamation coûteuses intentées contre eux.
L'affaire Jones est connue et notable en partie parce qu'il a les moyens de monter une défense juridique importante. Les personnes impopulaires aux moyens modestes s'en tireront encore plus mal et seront beaucoup plus facilement et rapidement menacées de silence.
La réponse à tout cela est la liberté d'expression totale dans laquelle les gens sont explicitement censés tirer leurs propres conclusions et être responsables de leurs propres actions. Comme Rothbard l'a noté : dans un système de liberté d'expression illimitée, « tout le monde saurait que les fausses histoires sont légales, il y aurait beaucoup plus de scepticisme de la part du public qui lit ou écoute, qui insisterait pour avoir beaucoup plus de preuves et croire moins d'histoires désobligeantes. qu'ils ne le font maintenant.
Le jury de Sandy Hook inflige à Alex Jones une amende de près d'un milliard de dollars alors que l'attaque contre la liberté d'expression s'intensifie
vendredi 14 octobre 2022 par : JD Heyes
(Natural News) Que vous soyez ou non un fan de l'animateur de radio Alex Jones, le prix le plus récent du jury pour les remarques qu'il a faites à la suite des FAUX meurtres horribles en 2012 de 20 élèves de deuxième année et de six enseignants à l'école élémentaire Sandy Hook dans le Connecticut est, à son cœur, la destruction du premier amendement.
Au lendemain de cette horrible attaque, Jones a affirmé, quoique à tort, que "la fusillade avait été mise en scène et que les familles étaient des acteurs de la crise dans un effort du gouvernement pour confisquer les armes des Américains", a rapporté mercredi le Daily Wire après un jury à Le Connecticut a ordonné à Jones de payer aux familles de Sandy Hook plus de 950 millions de dollars de dommages et intérêts. Le prix fait suite à "une décision d'un jury distinct au Texas a ordonné à Jones de payer 4,1 millions de dollars de dommages-intérêts compensatoires et 45,2 millions de dollars de dommages-intérêts punitifs, un montant qui pourrait bientôt être réduit en raison des lois de l'État plafonnant le montant des dommages-intérêts", a ajouté le point de vente.
Le prix est venu après trois semaines de témoignages de membres de la famille des jeunes victimes et d'un agent du FBI qui ont répondu aux tirs, qui ont été commis par Adam Lanza, qui s'est suicidé alors que la police se rapprochait de lui. L'affaire était une consolidation de trois autres affaires intentées par des parents, des membres de la famille et l'agent du FBI.
« Vous pouvez dire que c'est astronomique. C'est le cas », a déclaré Christopher Mattei, un avocat des plaignants, en s'adressant aux jurés après leur avoir demandé d'accorder aux plaignants 550 millions de dollars. "C'est exactement ce qu'Alex Jones s'est mis en place pour faire. C'est ce qu'il a construit. Il a construit une machine à mensonges qui pourrait faire sortir ce truc. Vous récoltez ce que vous semez."
Cependant, selon une analyse d'une affaire texane contre Jones par Revolver News en août, "au milieu de toute la fanfare et de la controverse, il est facile d'oublier à quel point l'affaire de diffamation contre Jones était vraiment faible".
L'analyse note que si un jury d'Austin a accordé aux plaignants Scarlett Lewis et Neil Heslin 4,1 millions de dollars, ils avaient réclamé 150 millions de dollars de dommages et intérêts :
Les parents de Sandy Hook mentionnés ci-dessus ont fondé leur plainte en diffamation sur une interview NBC de 2017 où Heslin a déclaré qu'il tenait le corps de son fils après son meurtre. Dans un segment contemporain d'Infowars, le journaliste Owen Shroyer a déclaré que, "selon une chronologie des événements et le témoignage d'un coroner, ce n'est pas possible", et Jones a répondu en appelant Heslin pour "clarifier" ses déclarations. Sinon, tout le comportement "diffamatoire" de Jones repose sur le fait qu'il fait des allégations sauvages mais vagues d'un faux drapeau de Sandy Hook par des forces inconnues. Pratiquement tous les dommages, quant à eux, sont basés sur le fait de blâmer Jones pour les actions de personnes qu'il ne connaît même pas.
«Sur la base du traumatisme présumé causé par les réclamations de Jones et du harcèlement de diverses personnes qui ne sont ni Jones lui-même ni n'agissent sur ses ordres, les plaignants ont demandé 150 millions de dollars de dommages et intérêts. Le jugement de 4,1 millions de dollars est heureusement inférieur à cela, mais après l'arrivée des dommages-intérêts punitifs, Jones paiera toujours une somme énorme », a noté Revolver News, ajoutant que peu de temps après, Jones a mis son entreprise en faillite en vertu du chapitre 11.
Le point de vente a reconnu que les accusations de Jones de faux drapeau étaient en effet très controversées et arrivaient à un mauvais moment – lorsque les parents pleuraient la perte de leurs enfants qui ont été assassinés de manière horrible. Jones a admis plus tard qu'il n'aurait pas dû couvrir l'histoire comme il l'a fait.
"En même temps, c'est un précédent très dangereux à créer lorsque les sentiments des familles en deuil peuvent être utilisés pour faire taire les reportages - même les reportages" complotistes et fous "- sur des tragédies d'importance nationale", a poursuivi Revolver News.
« La tragédie de Sandy Hook a été un événement très public et très politisé dès le début, et a presque immédiatement été enveloppée dans un débat national sur le contrôle des armes à feu. Quelques mois seulement après la tragédie de Sandy Hook, le Connecticut a adopté une amélioration spectaculaire de sa soi-disant "interdiction des armes d'assaut." New York et le Maryland ont pris des mesures similaires, tandis que la sénatrice Diane Feinstein a proposé une interdiction sévère des armes d'assaut au niveau national, qui n'a jamais été adoptée", a ajouté le point de vente.
"Compte tenu des enjeux politiques impliqués, il semble conforme à l'esprit du premier amendement et à l'esprit d'une société libre de permettre un maximum de discussions et de délibérations sur une tragédie majeure servant de catalyseur à la législation, même si une partie de cette discussion s'avère être stupide, grossier, cruel, irresponsable ou même nuisible à l'état émotionnel des familles touchées par cette tragédie », a poursuivi Revolver News.
Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Au lieu de cela, nous avons maintenant un prix du jury très controversé dans des circonstances qui vont refroidir, et non protéger, la liberté d'expression, aussi farfelue soit-elle.
Après tout, nos fondateurs se sont prononcés contre la couronne britannique à un moment où cela pourrait vous faire emprisonner et exécuter.
Qu'une inhumation soit faite et autopsie pratiquée sur le corps des 'victimes' ! (afin de prouver que les cercueils sont vides et les faux-parents des acteurs loués.
Le Royaume-Uni parti pour deux décennies perdues de niveau de vie
Le Royaume-Uni est parti pour deux décennies perdues de niveau de vie, a estimé la secrétaire générale de la fédération syndicale britannique TUC, mardi, appelant à des élections pour remplacer le gouvernement conservateur de Liz Truss.
«Nous traversons la plus longue période de baisse des salaires réels depuis les temps napoléoniens» et, sous les gouvernements conservateurs qui se succèdent depuis 2010, «les pauvres se sont appauvris mais les riches se sont enrichis», a affirmé la dirigeante de la TUC, Frances O’Grady, dans un discours à l’ouverture de la conférence annuelle de la TUC, mardi, à Brighton.
«Si les ministres et employeurs continuent à taper sur les enveloppes de salaires au même rythme, les travailleurs britanniques sont partis pour deux décennies perdues de niveau de vie», a-t-elle ajouté.
TOULON: La dangereuse «fourmi électrique» détectée en France
Surnommée ainsi en raison de sa piqûre douloureuse, l’envahissante colonie a été repérée dans le sud du pays.
18 octobre 2022, 17:05
Des «fourmis électriques», appelées aussi «petites fourmis de feu», ici photographiées dans une forêt équatorienne.
Elle mesure seulement 1,5 millimètre mais représente une menace pour la biodiversité: la «fourmi électrique», espèce envahissante surnommée ainsi en raison de sa piqûre douloureuse, a été détectée pour la première fois sur le territoire métropolitain français, a révélé un chercheur à l’AFP.
C’est dans le sud de la France, à Toulon, que Wasmannia auropunctata, «fourmi électrique» ou «petite fourmi de feu», originaire d’Amérique du Sud, a été repérée par un passionné de fourmis, dans une résidence fermée de bord de mer.
Originaire d’Amérique du Sud
Jusqu’à présent, cette espèce originaire d’Amérique du Sud n’avait été observée qu’une fois en Europe, dans la région de Malaga en Espagne.
Quand Olivier Blight, chercheur à l’Institut méditerranéen de biodiversité et d’écologie à l’Université d’Avignon l’a formellement identifiée à Toulon, «on avait déjà affaire à une super-colonie, donc on pense qu’elle est là depuis plus d’un an».
Transport de plantes soupçonné
Probablement introduite «lors d’un transport de plantes», la fourmi a déjà été observée jusqu’à 100 mètres de la résidence.
Wasmannia auropunctata est extrêmement envahissante, même si elle se déplace lentement, car elle cumule «un système de reproduction classique sexuée et une production de reines et de mâles par clonage», explique Olivier Blight.
«Sa force c’est son nombre», insiste le chercheur, qui a fait placer l’espèce sur la liste des espèces préoccupantes pour l’Union européenne.
Sa piqûre provoque «une sensation d’ortie, en plus fort et plus long, puisque ça dure 2-3 heures», et avec cette arme redoutable la fourmi électrique peut anéantir des insectes, provoquer la cécité d’autres animaux, et les faire fuir durablement.
En Nouvelle-Calédonie, «dans les forêts qu’elle a envahies, on n’entend plus aucun son d’insecte».
Chez l’homme, outre des piqûres douloureuses, la fourmi électrique peut provoquer des chocs anaphylactiques chez les personnes allergiques.
Coûteuse éradication
Dans les régions qu’elle a envahies, remarque Olivier Blight, «son éradication a des coûts énormes». Ainsi, dans le Queensland, en Australie, qu’elle a colonisé depuis 2006, 30 millions de dollars ont déjà été dédiés à la lutte contre Wasmannia auropunctata.
Après avoir déclaré sa présence aux autorités début septembre, le chercheur souhaite «communiquer au maximum pour sensibiliser le grand public», notamment pour accéder aux résidences voisines du premier foyer détecté.
«On doit faire très rapidement une délimitation précise de la zone d’invasion pour élaborer un plan d’éradication», plaide M. Blight, comparant la stratégie à celle mise en place par les autorités en présence de moustiques-tigre.
Là encore faute d'avoir un insecticide approprié... 'la nature reprend ses droits' comme disent les gros cons qui préfèrent protéger les bestioles plutôt que les humains !
La voiture jugée comme un «luxe» nécessaire dans de nombreux pays
13 octobre 2022, 18:30
Près de deux tiers des personnes interrogées dans 18 pays estiment ne pas pouvoir s’en passer et redoutent de ne plus avoir les moyens d’en posséder une à l’avenir.
Utiliser sa voiture coûte de plus en plus cher mais de nombreux automobilistes ne voient pas comment s’en passer, indique le baromètre annuel de l’observatoire Cetelem publié jeudi. Selon cette enquête réalisée dans 18 pays, 7 automobilistes sur 10 estiment que rouler en voiture nécessite des sacrifices financiers, mais 72 % (75 % en France) déclarent ne pas pouvoir s’en passer.
Près de deux tiers des personnes interrogées craignent ne plus avoir les moyens de posséder un véhicule à l’avenir, notamment en Turquie, au Mexique, au Portugal ou au Brésil. C’est aussi le cas pour 59 % des Français.
Coût rédhibitoire dans certains pays
Les automobilistes voient d’abord cette perte de façon négative, avec la peur de ne plus pouvoir se déplacer comme ils le souhaitent. Seulement 20% y voient au contraire un geste positif pour l’environnement. Près de 6 personnes sur 10 déclarent avoir déjà renoncé à se déplacer en raison du coût induit, notamment dans les pays aux économies les plus fragiles, comme la Turquie ou l’Afrique du Sud.
Pour économiser, une majorité de Français déclarent réduire leurs déplacements, 46 % comparent les prix afin d’acheter l’essence le moins cher possible et 44 % essayent d’optimiser leur conduite pour consommer moins de carburant. Un tiers d’automobilistes disent également se déplacer plus souvent à pied, à vélo ou en trottinette.
De l’Allemagne au Brésil en passant par la France, plus d’une personne sur deux s’est séparée d’un des véhicules du foyer ou est décidée à le faire prochainement.
Les moins de 35 ans sont plus enclins à se passer totalement de voiture, à hauteur de 34 %, contre 26 % pour les générations plus âgées. «Ce qui ne passe pas, ce sont les coûts d’usage», souligne Flavien Neuvy, directeur de l’observatoire Cetelem. «Le fait de passer tout le temps à la caisse renforce ce sentiment très négatif.» Les automobilistes estiment leur budget annuel pour la voiture (carburant, assurance, réparations) à 2753 euros, soit quasi autant en francs, l’essence étant de loin le poste considéré comme le plus onéreux.
Achats de voitures neuves plus rares
Parallèlement, les coûts de l’assurance et de l’entretien sont jugés raisonnables par une majorité de ménages, même s’ils sont en forte augmentation. De même, le prix des voitures à l’achat est jugé raisonnable par de nombreux automobilistes, notamment pour la grande majorité qui achètent sur le marché de l’occasion. Du côté du neuf, le prix des voitures a pourtant fortement augmenté ces dernières années dans l’UE, deux fois plus vite que l’inflation entre 2000 et 2020. Les acheteurs de voitures neuves se font ainsi de plus en plus rares, à hauteur de 2 % des ménages français en 2022, Les acheteurs ont en moyenne 55 ans, contre 44 ans en 1990.
Voitures électriques chères
Avec la multiplication des voitures électriques, plus chères que les thermiques, «la tendance va s’accélérer au cours des prochaines années», prévoit Flavien Neuvy. «Il y a un risque que la voiture devienne un objet de luxe, inaccessible, rejetant à la marge les personnes qui en ont le plus besoin dans leur vie quotidienne», prévient l’expert.
Cette enquête a été réalisée en ligne du 23 juin au 8 juillet par Harris Interactive, auprès de 16’600 personnes âgées de 18 à 65 ans, selon la méthode des quotas. 3000 entretiens ont été réalisés en France et 800 dans chacun des autres pays.
Quatrième bombe à retardement : le système de santé
RépondreSupprimerS’il fallait un exemple de dysfonctionnement de notre système de santé c’est bien la gestion de l’arrivée du covid en France.
le 17 octobre 2022
Claude Goudron
Jusqu’à l’arrivée du covid, une majorité de Français pensaient disposer du meilleur système de santé au monde. Si un jour ça a été le cas, cela remonte à de nombreuses années. S’il fallait un exemple de dysfonctionnement du système de santé français, c’est bien la gestion de l’arrivée du covid.
En effet, cette crise a démontré combien l’administration était incompétente aussi bien dans la gestion des masques et du matériel de réanimation que dans l’organisation de la campagne vaccinale qui a fait perdre plusieurs mois de protection aux Français fragiles.
La prise de pouvoir de l’administration
La part des personnels non soignants dans les effectifs hospitaliers est de 34 % en France contre 25 % en Allemagne, Italie ou Espagne.
C’est sans compter les effectifs des ARS, soit environ 10 000 personnes, qui ont un pouvoir de décision souvent hors de leur champ de compétences. Elles sont critiquées par une grande majorité du personnel soignant, à tel point que ce dernier lui a intimé l’ordre de rentrer dans leur bureau et de ne plus en sortir. C’est à partir de ce moment que la situation s’est améliorée dans les cellules de réanimation covid.
L’administratif occupe plus de 30 % du temps de travail des infirmiers et empiète sur leur temps de soin.
Le directeur d’un grand hôpital de Paris a même déclaré à la télévision que dans son service la partie administrative pouvait atteindre 50 %.
Il faut donc revenir à une organisation plus performante qui dégagerait davantage de temps pour le soin.
Notre système de santé : beaucoup de dépenses pour des résultats très insuffisants
Avec des dépenses de santé équivalentes à 11,3 % du PIB (chiffres 2019) la France se situe dans le haut de la fourchette européenne dont la moyenne est de 10 %.
Malgré un budget de 234 milliards d’euros le système de santé français fait beaucoup moins bien que ses voisins. En effet, les délais pour obtenir des rendez-vous chez un spécialiste ou pour un examen sont devenus catastrophiques. C’est ce que j’ai pu constater dans ma région : deux à trois semaines pour une simple radiographie, jusqu’à six mois, voire davantage pour un bilan cardiaque.
Malgré la prise de conscience de nos dirigeants l’avenir reste encore moins rose avec l’envolée des prix de l’énergie (+50 % en un an), l’augmentation moyenne du prix des médicaments de 12,6 %, de la restauration de 2,9 % et du nettoyage des linges de 6,4 % (témoignage de Xavier Vaillant dans L’Express du 8/09/2022).
Le coût prohibitif de l’administration pénalise également les hôpitaux dans leurs investissements de matériel de pointe qui sont, dans le meilleur des cas, reportés ou tout simplement annulés ou remplacés par du matériel moins performant.
Le résultat est que la France dispose de 15,4 appareils IRM par million d’habitants quand nos voisins allemands en possèdent 34,7 !
RépondreSupprimerDans l’accès aux nouveaux médicaments mis sur le marché, là encore le patient français est pénalisé par un délai de 530 jours contre 106 en Allemagne et 111 au Royaume-Uni.
Le taux d’endettement des hôpitaux est passé de 33 % de leurs capitaux en 2002 à plus de 50 % en 2018. C’est une envolée des intérêts qui va s’abattre sur eux, sachant que 30 % de leur endettement est à taux variable.
Largesses et fraudes de l’aide médicale
L’aide médicale d’État
La France peut-elle faire preuve d’autant de largesses lorsqu’une partie de plus en plus importante des citoyens français n’ont pas accès à autant d’avantages que ceux dont bénéficie un étranger sur notre territoire ?
Elle constitue par ailleurs un appel d’air. Selon l’iFRAP, son coût est en augmentation régulière jusqu’à atteindre 1,5 milliard d’euros.
La Complémentaire santé solidaire
Elle est accordée, après demande, à toute personne percevant moins de 9203 euros pour 2022. C’est aussi une avancée à saluer, mais comme tout système gratuit elle engendre des abus : près de 7,3 millions de personnes en ont bénéficié en 2018 pour un coût total de 2,3 milliards.
https://www.contrepoints.org/2022/10/17/440617-quatrieme-bombe-a-retardement-le-systeme-de-sante
CORONAVIRUS: Près de la moitié des infectés souffrent ensuite de Covid long
RépondreSupprimer6 % des personnes atteintes ne sont pas du tout remises entre 6 et 18 mois après et 42 % que partiellement, selon une nouvelle étude portant sur 33’000 personnes en Écosse.
par Michel Pralong
14 octobre 2022, 18:05
Pour éviter une confusion avec des symptômes qui ne seraient pas directement liés au Covid, l’étude a questionné à la fois des Écossais infectés et des non infectés.
Pour comprendre les effets à long terme du Covid, l’Écosse a entrepris en mai 2021 une vaste étude appelée Long-CISS (Long Covid in Scotland Study). Un questionnaire a été envoyé à 33’281 personnes testées positives au Covid, questions renouvelées 6, 12 et 18 mois après la date de l’infection. Les mêmes questionnaires ont été envoyés à 62’957 personnes jamais infectées pour savoir si certains symptômes ressentis étaient dus au Covid ou pas.
Pas de Covid long chez les asymptomatiques
Première constatation, dans les résultats publiés le 12 octobre dans «Nature Communications», les personnes infectées qui n’ont eu aucun symptôme (asymptomatiques) continuent à n’avoir aucun effet indésirable par la suite. En revanche, sur les 31’486 personnes ayant présenté des symptômes, 6 % (1856) n’avaient pas guéri lors de leur dernier questionnaire (donc entre 6 et 18 mois après l’infection) et 42 % (13 350) ne l’étaient que partiellement.
Les personnes qui n’ont pas du tout guéri se retrouvent surtout chez celles qui avaient été hospitalisées suite au Covid, chez les personnes âgées, davantage chez les femmes que chez les hommes, chez celles atteintes de maladie respiratoires, dépression et comorbidités, ainsi que chez les personnes socialement défavorisées.
Au fil des questionnaires, la majorité des personnes ont vu une amélioration constante de leur état, 4 % aucune évolution, 11 % une détérioration et 13 % une amélioration, mais qui n’a débuté que tardivement.
RépondreSupprimerLes infectés cumulent les symptômes
Les symptômes persistants les plus courants sont la fatigue, les maux de tête et les douleurs et faiblesses musculaires. Mais ces symptômes se retrouvent également fréquemment chez les personnes qui n’ont pas été infectées par le Covid. Ce sont d’autres symptômes qui se retrouvent essentiellement chez les personnes infectées, en premier lieu la perte d’odorat et du goût, suivi des symptômes cardiovasculaires (essoufflement, douleurs thoraciques et palpitations) et de la confusion. De plus, si certains symptômes sont communs aux infectés et non infectés, les personnes qui ont eu le Covid ont bien plus de risques de présenter plusieurs symptômes, qui engendrent une moins bonne qualité de vie et une altération étendue de leurs activités quotidiennes. Ce qui ne peut s’expliquer par la confusion avec des maux qui ne seraient pas dus au Covid.
«L’inclusion d’un groupe de comparaison non infecté nous a permis de démontrer que les résultats n’étaient pas dus à une confusion. Il s’agit d’une force majeure de notre étude par rapport à d’autres études de cohorte de population», écrivent les auteurs.
Le vaccin réduit le risque de certains symptômes
Si la perte de goût et d’odorat est l’un des symptômes qui diminue le plus entre 6 et 12 mois, en revanche celui de toux sèche augmente entre 6 et 18 mois. Si peu de personnes avaient eu une vaccination complète avant l’infection, bon nombre avaient reçu au moins une dose. Il a été constaté chez les vaccinés un moins grand risque de développer certains symptômes, principalement la perte de goût et d’odorat, des problèmes d’audition, un manque d’appétit, des problèmes d’équilibre, de la confusion et de l’anxiété et dépression.
«Notre étude est importante car elle ajoute à notre compréhension du Covid long dans la population générale, pas seulement chez les personnes qui doivent être hospitalisées après avoir été infectées, a déclaré le directeur de l’étude, le professeur Jill Pell, de l’Université de Glasgow, dans un communiqué. En comparant les symptômes avec ceux qui ne sont pas infectés, nous avons pu faire la distinction entre les problèmes de santé dus au Covid-19 et les problèmes de santé qui se seraient produits de toute façon».
Cette étude complète et affine de précédentes recherches, dont l’une menée à Genève qui avait déjà lié les symptômes de Covid long à l’infection principalement.
https://www.lematin.ch/story/pres-de-la-moitie-des-infectes-souffrent-ensuite-de-covid-long-874006951864
Près de la moitié des gros cons qui se sont faits inoculer le poison en redemandent pour en finir et passer à Super gros con !
SupprimerNon ! Il n'existe pas de vaccin anti-super-gros-con ! (ni 'anti-covid' puisqu'il EST DANS la seringue !).
Une pandémie d’impostures ?
RépondreSupprimerElisabeth Dancet,
pour FranceSoir
le 16 octobre 2022 - 20:50
CHRONIQUE - Jour après jour, tel un barrage, le rempart de mensonges ayant caractérisé cette crise dite sanitaire se lézarde et se fend ; ce qui semble devoir suivre risque de noyer les endormis dans des vagues de vérités trop puissantes pour celles et ceux qui n’ont pas encore réalisé que, depuis le début, la pandémie et les mesures qui ont suivi ont été orchestrées sur la base de mystifications.
Lorsqu'on regarde la situation de l'information aux États-Unis et qu'on la compare à celle de la France, on s'aperçoit que les médias en ligne dits alternatifs attirent une audience beaucoup plus large que celle de notre pays. En effet, de plus en plus de voix légitimes et fortes s'élèvent pour demander des comptes, malgré la censure, et ce, pour dénoncer l’échec retentissant de cette politique de « santé publique » imposée à marche forcée aux quatre coins de la planète, et pour pointer toutes les conséquences délétères que ces décisions iniques ont entraînées. En voici les points patents établis par les lanceurs d’alerte et les groupes de recherche indépendants et confirmés actuellement.
Mesures inefficaces aux répercussions désastreuses
Les tests RT-PCR sont des outils de laboratoire extraordinaires. Cependant, lorsque les cycles d'amplifications de ces tests sont trop poussés, le risque est grand d'obtenir des résultats qui ne rendent pas compte de la réalité infectieuse d'un patient. En effet, selon le Dr Mina, « des tests avec des seuils si élevés peuvent détecter non seulement des virus vivants, mais aussi des fragments génétiques, des restes d’infection qui ne présentent pas de risque particulier – un peu comme trouver un cheveu dans une pièce longtemps après le départ d’une personne ».
Le mot "faux positif" a souvent été employé. Cependant, il n'est pas exact. Il faut plutôt comprendre que des tests trop sensibles peuvent rendre un résultat positif alors que l'ARN du virus est « si peu présent que la personne pourrait ne jamais développer de symptômes ou être contagieux ».
Dans certains laboratoires, hôpitaux ou maison de soins, le nombre de cycles, parfois poussé jusqu'à 50, aurait provoqué une épidémie « de faux cas », exagérant ainsi mécaniquement les chiffres de la pandémie. Ces résultats auraient conduit aux mesures coercitives mises en place en urgence par de nombreux gouvernements. Si plusieurs scientifiques et médecins ont alerté sur ces dérives, leur mise en garde est restée lettre morte. Pourtant, aujourd'hui et avec un recul de deux ans, il apparaît que ces mesures ont été très préjudiciables, provoquant plus de dégâts que de bénéfices en termes de contrôle de la propagation de l'épidémie.
La fermeture des écoles et le port du masque ont été une catastrophe humaine pour la santé physique et mentale des enfants ; ces mesures ont affecté durablement leur développement psychique et cognitif.
RépondreSupprimerL’arrêt des activités humaines dû aux confinements généralisés a été un désastre économique et social qui a conduit à la fermeture de millions de petits commerces, PME et entreprises locales, affectant avant tout la classe moyenne et menant aux faillites d'un très grand nombre d'entreprises, pendant que les Big Tech et les sites de ventes en ligne tel Amazon ont continué à prospérer.
Anthony Fauci, grand manitou de la santé publique aux États-Unis, directeur du NIAID, a affirmé tout et son contraire tout au long de cette pandémie, entretenant la peur et la confusion dans les esprits, notamment sur la question des masques puis celle du confinement, où par deux fois, il s'est opposé avant de se rétracter.
Lire aussi : Antony Fauci: d'une gestion de crise controversée à une démission inattendue
Pourtant, dès octobre 2020, certains experts épidémiologistes sans conflits d’intérêt, ont alerté sur le non-sens de ces mesures et demandé à revenir aux stratégies éprouvées : isoler et protéger les plus fragiles (personnes âgées et celles souffrant de comorbidités) tout en laissant l’épidémie se répandre dans la population pour induire une immunité collective naturelle face au virus. La Suède, critiquée pour cette stratégie, a fait aujourd’hui la preuve de la réussite de cette approche pragmatique. Suite aux mesures de restrictions jugées préjudiciables pour la population par une partie de la communauté scientifique, les Dr Jay Bhattacharya, professeur de médecine à l’Université de Stanford, le Dr Sunetra Gupta, professeur d’épidémiologie à l’Université d’Oxford et le Dr Martin Kulldorff, biostatisticien, professeur à l’Université Médicale de Harvard, trois scientifiques respectés et reconnus par la communauté scientifique internationale, ont rédigé la Déclaration de Great Barrington (ici en anglais) pour arrêter ces mesures coercitives et les effets dévastateurs de ces décisions pour la population et pour l’économie du pays.
Face à ces critiques légitimes, Francis Collins, alors directeur du National Institutes of Health (NIH) et Anthony Fauci, n’ont pas adapté leur réponse à ladite « pandémie » en s’associant avec ces experts ; au contraire, ils ont mis tout en œuvre pour les discréditer et empêcher que le débat contradictoire soit porté à la connaissance du grand public. Malgré l’acharnement à leur encontre et les tentatives d'étouffer des informations de premier plan, leur démarche est soutenue ce jour par près d’un million de personnes venues de tous horizons.
Réponse unique imposant des injections expérimentales
RépondreSupprimerFauci, ses collaborateurs et les scientifiques qui ont suivi sa stratégie, notamment ceux qui travaillent dans les institutions qu'il contrôle, ont poussé à la vaccination en population générale, avançant que ces injections géniques étaient la seule réponse possible pour prévenir le virus du Sars-CoV-2. Peu à peu, ces injections géniques expérimentales insuffisamment testées ont été généralisées à une population qui s'est laissée imposer la plus grande vaccination de masse jamais entreprise depuis que cette technique d'immunisation a été mise en point. Certains spécialistes de santé publique, opposés à ces mesures, ont été réduits au silence, d'autres ont été chassés de leurs responsabilités. De son côté, suite au mandat du Président Biden qui instaura l'obligation vaccinale dans les institutions publiques et les entreprises de plus de 100 personnes (la mesure pour les entreprises a depuis été suspendue par la justice américaine), une partie de la population a dû prendre ces injections pour pouvoir continuer à travailler ou à se déplacer. Le principe du consentement libre et éclairé, obligatoire lorsqu’on utilise une procédure d’urgence pour introduire un nouveau médicament sur le marché, a été bafoué.
Selon la loi, pour imposer ces injections par voie d’urgence, il fallait qu’aucun médicament existant ne démontre son efficacité pour traiter le Covid-19. Pour ce faire, A. Fauci et F. Collins ont tout mis en œuvre pour empêcher et discrédité tous les traitements précoces proposés par certains médecins et biologistes dès le début de l'épidémie, notamment l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, associés à certains antibiotiques, ont permis de soigner avec succès de nombreux patients atteints du covid.
Pourtant, dès le début de ladite « pandémie », ces traitements ont été prescrits avec succès dans de nombreux pays. En France, le Pr Didier Raoult et le Pr Christian Perronne, ont tous deux soigné de nombreux patients avec l'hydroxychloroquine associée à l'azithromycine. Aux États-Unis, une centaine de médecins, regroupé dans l'organisation America’s Frontline Doctors, a osé se confronter à la doxa covidienne en apportant des preuves d'efficacité et de bonne tolérance de ces molécules peu toxiques par des études observationnelles ou randomisées ainsi qu'en rendant compte de leurs expériences de médecin soignant des patients touchés par le covid.
Parmi les médecins qui ont prescrit ces traitements, on peut citer les Drs Pierre Kori, Peter McCullough, Paul Marik, Harvey Risch, Valdimir Zelenko, George Fareed, Paul Alexander, Robert Malone, Ryan Cole, Simone Gold, Richard Flemming, Meryl Nass. Tous ces praticiens exempts de conflit d'intérêt ont soigné des centaines de patients avec les molécules précoces.
Suppression des traitements
RépondreSupprimerLa mise à disposition de ces médicaments auprès des médecins et des hôpitaux pour traiter les malades en phase précoce aurait-elle changé l’évolution de cette pandémie ? Même si les comparaisons ne sont jamais aisées à établir entre des pays dont la géographie, la démographie, l'âge de la population sont différentes, certaines peuvent néanmoins être pertinentes lorsque les données sont proches. En Inde, l'analyse de certaines courbes a fait apparaître des différences significatives entre les États comme l'Uttarakhand et l'Uttar Pradesh qui ont peu vacciné la population, privilégiant les traitements précoces comme l'ivermectine et un État comme le Kerala où le virus a beaucoup plus circulé alors que la quasi-totalité de la population adulte était vacciné et que le traitement précoce était proscrit.
Lire aussi : Inde : une vaste enquête sur les conflits d'intérêts autour de l'épidémie de Covid-19
Le court métrage sur l’Ivermectine constitue une anthologie de la propagande que Heinrich Himmler, directeur de la communication d’Adolf Hitler, aurait salué avec force, car tout y est : ridiculiser ceux qui vont à l'encontre la doxa, les isoler, éventuellement, leur interdire d'exercer leur profession ou encore couper les fonds qui financent leurs recherches.
À cela, ajoutons une puissante propagande médiatique destinée à maintenir la peur et la confusion au sein du grand public avec des messages répétés ad nauseam par les médias dominants : ces vaccins sont sûrs et efficaces, ces vaccins sont sûrs et efficaces, ces vaccins sont sûrs et efficaces. Cette litanie diffusée dans tous les pays occidentaux encore aujourd'hui n'a qu'un seul but : faire accepter à la population le tout vaccinal. Quant aux molécules autorisés, il faut croire que seules celles qui sont toxiques peuvent être prescrites. Ainsi, le traitement par remdesivir est toujours autorisé malgré la parution d'un communiqué de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) paru le 20 novembre 2020 dans lequel il était écrit : « le médicament antiviral remdesivir n'est pas recommandé pour les patients admis à l'hôpital avec la Covid-19, quelle que soit la gravité de la maladie. Car il n'y a actuellement pas de preuve qu'il améliore la survie ni qu'il permette d'éviter d'être placé sous ventilation artificielle ».
Tout a été fait pour disqualifier l'ivermectine. Usant de l'argumentation la plus ridicule, la FDA n'a pas hésité à sortir l'artillerie lourde en sortant un communiqué qui restera comme l'une des défenses les plus ridicules des opposants aux traitements précoces : « Vous n'êtes pas un cheval. Vous n'êtes pas une vache. Sérieusement, arrêtez tout maintenant ».
Si la forme vétérinaire existe, cette molécule a été inventée pour soigner les humains et ses premières utilisations ont été pour soigner les maladies parasitaires comme l'onchocercose ou cécité des rivières. Moquer ce médicament est assez honteux surtout lorsqu'on sait que trois chercheurs, Satoshi Ômura (Japon), William Campbell (Irlande) et Youyou Tu (Chine) ont conjointement reçu le prix Nobel en 2015 pour leurs découvertes tandis que la molécule figure sur la liste des médicaments essentiels établie par l'OMS et que plusieurs études concluent à une efficacité de la molécule pour réduire l'infection du Covid.
Aussi ridicule qu'elle puisse paraître, cette propagande avait sa raison d'être : il fallait disqualifier, à n'importe quel prix, ces molécules peu chères. En effet, reconnaître que ces molécules peuvent soigner aurait empêché d'autoriser les vaccins en urgence. Par conséquent, il fallait faire croire qu'aucune autre alternative thérapeutique n'était possible. Dont acte.
Études cliniques bâclées
RépondreSupprimerLes études cliniques n’ont démontré ni leur sécurité ni leur efficacité dans le temps. L'administration en population générale a été accélérée au mépris des bonnes pratiques cliniques, entérinant la politique vaccinale menée par Anthony Fauci, Francis Collins et leurs réseaux. Cette politique vaccinale, loin de se limiter aux États-Unis, s’est disséminée dans la majeure partie du monde.
Le 6 janvier dernier, le juge Mark Pittman, a ordonné à la FDA de déclassifier l'ensemble des données de sécurité du vaccin anti-covid de Pfizer et de tout publier avant la fin de l'été 2022. Ces données ont fait apparaître des erreurs, des malfaçons et des fraudes.
Ces mauvaises pratiques cliniques ont été dénoncées par la directrice médicale et lanceuse d'alerte Brook Jackson, à l’origine de ce que l’on a appelé « le Pfizergate », cette fraude de grande ampleur qui a impliqué la société pharmaceutique Pfizer, son sous-traitant, la société Ventavia Research Group chargée des essais cliniques, et la Food and Drug Administration (FDA).
Employée de Ventavia, Brook Jackson a pointé de très nombreux dysfonctionnements dont l’absence de sérieux dans la manipulation des vaccins qui ne sont pas conservés à la bonne température et l’absence de suivi des patients, notamment pour ceux qui avaient effectué un signalement d’effets secondaires ou une suspicion de covid-19 et qui n’ont jamais été recontactées par téléphone afin de déterminer si une visite sur le site était nécessaire ou non.
Un manque de rigueur également mis en évidence par des photos, des documents internes de l’entreprise, mais également des enregistrements audios emportés par Brook Jackson.
Des photos ont révélé les principales anomalies : aiguilles jetées dans un sac en plastique au lieu d’une boîte réservée aux objets tranchants, matériaux d’emballage de vaccins sur lesquels sont inscrits les numéros d’identification, soulevant le problème de l’anonymat. Un problème qui se retrouve également au niveau des dossiers des patients accessibles aux membres du personnel censé « être en aveugle » et dans lesquels l’attribution du produit a été inscrite par le personnel « non aveugle » chargé de l’administration du vaccin.
Après avoir signalé toutes ces violations aux bonnes pratiques cliniques identifiées sur le site Ventavia, la directrice médicale a envoyé une plainte à la FDA. Quelques heures plus tard, elle a reçu un courriel de la FDA qui l’informe qu’elle ne peut pas faire de commentaires sur une éventuelle enquête. Le même jour, elle est licenciée par Ventavia.
Quelques semaines plus tard, Pfizer a soumis sa demande d’autorisation d’urgence à la FDA. La réunion qui s’est tenue le 10 décembre 2020 n’a fait aucune mention des problèmes rencontrés sur le site de Ventavia et la FDA a délivré son feu vert le lendemain.
Aujourd’hui, Brook Jackson qui a constitué avec ses avocats un dossier solide, attaque la FDA.
Lire aussi : "PfizerGate" ? Révélations sur des essais cliniques falsifiés par le triptyque Pfizer - Ventavia - FDA
De son côté, la biostatisticienne, Christine Cotton, a écrit un rapport qui a consisté à réaliser une évaluation des pratiques méthodologiques mises en œuvre dans les essais Pfizer pour le développement de son vaccin ARN messager contre le Covid-19, au regard des bonnes pratiques cliniques.
RépondreSupprimerAu fur et à mesure de son analyse, Christine Cotton a repéré de très nombreux biais et en conclut que l'on ne peut pas faire confiance aux résultats de 95 % d’efficacité annoncée par le géant pharmaceutique pour son critère principal, à savoir, la première apparition de Covid-19 symptomatique à partir de sept jours après la deuxième dose.
Cette efficacité aurait, selon la biostatisticienne, été faussée par plusieurs facteurs :
— Le participant a la responsabilité de signaler ses symptômes aux personnes du site l’ayant recruté, afin de déterminer s’il est cas Covid-19 symptomatique. Tout report incomplet ou mauvaise appréciation par le participant qui n’a pas la compétence de juger de son état de santé est susceptible de modifier les résultats.
— L'utilisation autorisée d’antipyrétiques qui suppriment les symptômes, fièvre et douleur plus importante dans le groupe vaccin mène à une sous-estimation du nombre de cas symptomatiques, puisque seuls les participants signalant les symptômes doivent réaliser un test PCR dans le cadre de cet essai. Autrement dit, pas de symptôme signifie, pas de test PCR et pas de test PCR, pas de Covid. Pour bien faire, la biostatisticienne pense qu’il aurait été plus approprié de réaliser des tests PCR à l’ensemble de la population incluse dans l’essai clinique ou d’utiliser un autre critère permettant de compter les covid-19, qu’ils soient symptomatiques ou pas, tel que la sérologie anti-nucléocapside.
L’autre problème est l’évaluation de la tolérance au vaccin puisque l’analyse intermédiaire a été réalisée sur des participants ayant été suivis maximum trois mois avec deux mois médian après la seconde dose. Cela signifie que 50 % des participants suivis moins de deux mois et 50 % suivis plus de deux mois : une durée d’observation trop courte pour recueillir la tolérance à moyen et long terme. La chute des anticorps neutralisants avait déjà été observée dans l’étude préclinique sur les macaques. Cette absence de mesure a donc masqué la chute des anticorps, ce qui a été reconnu quelques mois plus tard par le laboratoire Pfizer.
À ces inconnues déjà nombreuses viennent s’ajouter des informations capitales manquantes (aucune donnée sur l’utilisation du vaccin pendant la grossesse et l’allaitement, aucune donnée sur les patients immunodéprimés ou présentant des comorbidités), aucune information non plus sur les interactions avec d’autres vaccins et sur la sécurité à long terme, non-report d’effets indésirables graves dans les rapports cliniques.
Lire aussi : Essais Pfizer sur le vaccin anti-covid : le rapport explosif de Christine Cotton
Vacciner les femmes enceintes et les enfants
RépondreSupprimerLa vaccination des femmes enceintes avec ces injections expérimentales est une aberration médicale. En effet, il faut rappeler que la décision de vacciner les femmes enceintes contre le Sars-CoV-2 et le discours sur l’absence de dangerosité qui accompagnait la campagne vaccinale, a été l’une des mesures les plus surprenantes, puisqu’il n’existait aucune donnée associée à l'utilisation de ces nouvelles thérapies géniques pendant la grossesse et l'allaitement.
Cette absence de données clinique s’explique par le seul fait qu’il s’agit d’une population protégée par les lois de protections des patients et que les femmes enceintes sont d’office sorties des essais cliniques.
Il a cependant été signalé que des femmes enceintes vaccinées pendant les essais cliniques de phase 2 auraient fait une fausse couche ou un avortement spontané. Il faut néanmoins expliquer que ces femmes n'étaient pas enceintes lorsqu'elles ont été acceptées dans l'essai clinique, mais sont tombées enceintes pendant l'essai clinique.
Il faut également rappeler que dans son Plan de Gestion des Risques, Pfizer ne s'est pas caché qu'il existait des données manquantes pour certaines catégories de personnes et que le profil de tolérance des vaccins n'est pas chez les femmes enceintes ou allaitantes du fait de leurs exclusions de l’étude de phase 3.
Plan de gestion de risques de Pfizer, informations manquantes
Informations manquantes extraites du Plan de Gestion de Risques de Pfizer
Pourtant, des cas d’effets indésirables ont été rapportés dans le premier rapport de la FDA sur la première déclassification des données de Pfizer. Bien que les femmes enceintes aient été exclues des essais cliniques, elles ont, elles aussi, fait l’objet de vaccinations en vie réelle, et le rapport fait état d’effets indésirables pour 270 grossesses rapportés comme suit : avortement spontané (23), résultat en attente (5), naissance prématurée avec décès néonatal, avortement spontané avec décès intra-utérin (2 chacun), avortement spontané avec décès néonatal et résultat normal (1 chacun).
On ne sait pas si depuis ces événements, le lien de causalité a été établi. Cependant, on peut néanmoins s’étonner de trouver des femmes enceintes vaccinées dans la population.
Plus grave encore, alors que le 16 juin dernier, la FDA a autorisé la vaccination pour les jeunes enfants à partir de six mois, le Dr. Robert Malone, co-inventeur de la technologie m-RNA a fait une déclaration solennelle enjoignant les parents à ne pas faire vacciner leurs enfants, car les dommages peuvent être irréversibles. Les chiffres parlent déjà : selon Euromomo, la base de données européenne qui enregistrent les décès, l’excès de mortalité chez les enfants de 0 à 14 ans a grimpé en flèche en 2022, sans explication… Cette constatation vaut également pour les tranches d’âge de 18 à 65 ans dès 2021, date de début de vaccination dans ces tranches d’âge.
Par ailleurs, le bénéfice vaccinal pour les enfants, les adolescents et les personnes jeunes en général n'existe pas puisqu'à l'exception de celles qui présentent des comorbidités, il y a peu de formes létales pour cette tranche d'âge.
RépondreSupprimerBaisse de l'immunité, augmentation des effets secondaires et excès de la mortalité
Aujourd’hui enfin, la grande majorité des scientifiques et des médecins s'accordent pour reconnaître que ces injections n'ont ni arrêté l'infection ni empêché la transmission. Concernant les formes graves, la communauté médicale est encore très partagée même si les patriciens sont de moins en moins nombreux à défendre l'idée que ces injections protègent les patients vaccinés des formes graves, de l'hospitalisation et des décès. Par ailleurs, au fur et à mesure que les pharmacovigilances enregistrent des effets secondaires et même si l'imputabilité de la preuve doit encore être faite pour chaque cas enregistré, l'enthousiasme et la confiance dans cette thérapie expérimentale est en train de s'effondrer.
Chaque mois, les Britanniques présentent les données de sécurité sanitaire. En août 2021, le rapport de l’UKHSA (United Kingdom Health Security Agency) exposait des chiffres qui montraient que les vaccinés étaient plus à risques que les non-vaccinés, faisant craindre un affaiblissement du système immunitaire. Six mois plus tard, les données de février-mars montraient une dégradation alarmante du système immunitaire chez les personnes qui ont reçu des rappels de vaccins contre le Covid. Ce rapport détaille l’évolution des cas de Covid en fonction de l’âge, mais également du statut vaccinal (1, 2 ou 3 doses). En effet, l’étude montre que l’immunité des triples vaccinés chute plus rapidement face au Sars-CoV-2, que celle des doubles vaccinés ou des simples vaccinés. Cependant, un phénomène encore plus étonnant encore montre que la protection des vaccinés n’atteint même pas le seuil de protection des non vaccinés, mais se situe à des seuils bien en dessous.
Par ailleurs, Israël, pionnier de la vaccination anti-Covid, n'a pas de bons résultats à afficher, comme le montre le tableau récemment publié ci-dessous. Ces chiffres qui, dans les prochaines années, feront certainement l'objet de multiples analyses approfondies, ne disent cependant rien de bon.
Surmortalité en Israël pendant les vagues de Covid-19
À partir de 2022, des sociétés d’assurance européennes et américaines ont comptabilisé une augmentation significative des effets secondaires des personnes qu'elles assuraient. C'est le cas de l'Allemagne où le recueil d’information des Caisses Maladie privées est très performant. Dans ce pays, en février dernier, le président de la caisse BKK ProVita a publié des chiffres alarmants, en se fondant sur la facturation des médecins. Des chiffres qui montrent la sous-estimation des événements indésirables par le Paul Ehrlich Institut, censé recueillir les signalements.
Aux États-Unis, selon Scott Davison, le PDG des assurances OneAmerica, les taux de mortalité chez les personnes en âge de travailler — c'est-à-dire âgées de 18 à 64 ans — ont augmenté de 40 % au cours des troisième et quatrième trimestres de 2021 par rapport aux niveaux enregistrés avant la pandémie.
Si le lien avec la vaccination n'a pas été établi, cette forte augmentation de la mortalité qui frappe également une population jeune qui ne meurt pas ou peu du Covid interroge de plus en plus.
Le Sars-CoV-2 est-il une arme biologique ?
RépondreSupprimerLe virus du Sars-CoV-2 est-il une arme biologique ? Il est difficile de répondre par l'affirmative à cette question encore aujourd'hui. Cependant, des soupçons s'accumulent depuis bientôt deux ans, autour du laboratoire de Wuhan et de la société d'EcoHealth Alliance présidée par Peter Daszak et financée par Antony Fauci. En effet, suite aux emails de Fauci, la thèse de l'origine du laboratoire désormais dominante ne peut plus être considérée comme une théorie conspirationniste. Il a également été découvert que Peter Daszak a financé les recherches du chef du laboratoire de virologie de Wuhan (WIV) avec qui il était en lien ; des recherches qui porteraient sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.
Devant les soupçons qui pesaient sur lui, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus, a été accusé de conflits d'intérêts avec l'Institut de virologie de Wuhan, puis évincé de l'enquête du journal The Lancet, soutenue par l'ONU et enquêtant sur les origines du virus.
Lors d'une audition devant le Sénat américain, le sénateur du Kentucky Rand Paul avait laissé entendre qu'Antony Fauci aurait menti devant le Congrès, le 11 mai 2022, lorsqu'il s'était défendu d'avoir financé, par le biais de l'Institut américain pour la santé (National Institute of Health), la recherche de gain de fonction dans le laboratoire de virologie de Wuhan. S'il a été admis que des fonds américains ont été versés au laboratoire de virologie de Wuhan, le désaccord porte sur la question de savoir si cette dotation a servi ou non à financer la recherche de « gains de fonction ».
La recherche de gain de fonction qui vise à « augmenter la capacité des agents infectieux à causer des maladies en renforçant sa pathogénicité ou en augmentant sa transmissibilité », a été démentie par le Dr Fauci qui a refusé de rétracter sa déclaration du 11 mai devant le congrès, affirmant à nouveau sous serment que la recherche subventionnée au laboratoire de Wuhan "a été jugée par du personnel qualifié en amont et en aval de la chaîne comme n'étant pas un gain de fonction".
Pourtant, le sénateur Paul a affirmé qu'un document émanant du laboratoire de virologie de Wuhan intitulé "Discovery of a rich pool of bat Sars-related coronaviruses provides new insights into the origin of Sars coronavirus" montrait que le Dr Shi remerciait les NIH et énumérait le numéro de la subvention qui lui a été accordée par le NIH.
Dans ce document, selon les dires de Rand Paul, le docteur Shi "aurait pris deux gènes de coronavirus de chauve-souris, les gènes de la Spike et les aurait combinés avec un Sars apparenté pour créer de nouveaux virus qui ne sont pas présents dans la nature. Ces virus créés en laboratoire peuvent se répliquer chez les humains. Des virus qui, dans la nature, n'infectent que les animaux, ont été manipulés dans le laboratoire de Wuhan pour obtenir la fonction d'infecter les humains. Cette recherche correspond à la définition de la recherche que le NIH a déclaré être sous réserve de la pause de 2014 à 2017, une pause dans le financement sur le gain de fonction. Mais le NIH n'a pas reconnu ceci, le définit différemment et ça n'a jamais fait l'objet d'un examen minutieux. Le Dr Richard Ebright, un biologiste moléculaire de Rutgers, a décrit cette recherche à Wuhan comme "le laboratoire de Wuhan a utilisé les fonds du NIH pour construire une nouvelle chimère liée au Sars coronavirus capable d'infecter les cellules humaines et des animaux de laboratoire". C'est une recherche à haut risque qui crée de nouveaux agents pathogènes potentiels de pandémie qui existent seulement en laboratoire, pas dans la nature. Cette recherche correspond, ce sont les mots du Dr Ebright, cette recherche correspond, voire incarne la définition du gain de fonction, recherche entièrement effectuée à Wuhan, pour laquelle s'appliquait normalement une pause fédérale.
En avril 2020, le Professeur Luc Montagnier, suite à l'analyse du génome, a conclu lui aussi à un virus qui ne pouvait pas être naturel. Pour ce prix Nobel de médecine, co-découvreur du virus du Sida, l'origine du Sars-CoV-2 viendrait du laboratoire de virologie Wuhan. Son hypothèse est que « des recherches sur les vaccins contre le Sida auraient échappé à leurs auteurs : le nouveau coronavirus contiendrait, en effet, des séquences d'un autre virus qu'il connaît bien, le VIH, une combinaison impossible à obtenir par le seul hasard de la nature ».
RépondreSupprimerVa-t-on aller vers une politique des injections à vie ?
Certains pensent que l'épidémie de coronavirus est là pour rester. Les chercheurs financés par NIAID et par la Fondation Gates commencent à préparer la population en affirmant publiquement qu’il faudra prendre des rappels covid à vie, et ce, au mépris d’arguments scientifiques valides. En France, une partie de la population (les plus de 60 ans et les personnes présentant des comorbidités) ont déjà reçu la quatrième dose de vaccin. Une petite catégorie de la population, généralement les personnes les plus fragiles, en seraient même à la cinquième dose.
Cet automne, des vaccins nouvelles générations contre le Covid-19 vont être déployés sur le marché européen. Il s'agit de vaccins bivalents. Deux nouveaux vaccins, l'un de la biotech Moderna, l'autre de l'entreprise Pfizer / BioNTech, contiennent tous deux la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan à laquelle a été ajoutée la séquence ARN du variant BA.1. L'autre vaccin fabriqué par la firme Pfizer / BioNTech contient, lui aussi, la séquence ARN de la protéine Spike de la souche sauvage de Wuhan, à laquelle les chercheurs ont ajouté les séquences ARN de la protéine Spike des nouveaux sous-lignages BA.4 et BA.5.
Les rats quittent le navire
L’influence de Fauci sur la politique relative à la COVID-19 fait suite à des décennies de travail au sein du gouvernement fédéral au cours desquelles il a acquis une énorme influence grâce aux six milliards de dollars de fonds dont il dispose chaque année du centre de recherche NIAID.
Cet obsédé du tout vaccinal (vaccin universel contre la grippe, vaccin contre le sida…), a fait l’objet d’un réquisitoire sans appel de Robert Kennedy Jr. Avocat de renom ayant gagné des procès majeurs contre Big Pharma, Robert Kennedy est également le fondateur de Children’s Health Defense, une association qui œuvre pour la défense de centaines de milliers d’enfants atteints d’autisme, de maladies chroniques ou de pathologies auto-immunes et qui doivent se soumettre à un programme vaccinal totalisant 68 injections de 0 à 18 ans lorsque celui-ci est appliqué à la lettre. Il est l’auteur de "Anthony Fauci, Bill Gates Big Pharma : leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique", paru en français en mars 2022 aux éditions Résurgence. Malgré la censure, ce livre très documenté s’est vendu à plus d'un million d’exemplaires aux États-Unis depuis novembre 2021. Interviewé par France Soir en avril dernier, Robert Kennedy est revenu sur le rôle prépondérant des médias dans la propagation de la censure, une situation qu'il explique par le fait que les médias tirent la majorité de leurs ressources publicitaires de l’industrie pharmaceutique, devenant la branche « communication » de leur stratégie marketing. La Fondation Gates, premier financeur de l’OMS, a quant à elle distribué de l'argent à la presse.
Le 22 août 2022, Anthony Fauci a annoncé son départ du NIAID pour la fin de l’année. Espère-t-il éviter d’être poursuivi si les élections de mi-mandat changent les majorités au Sénat et à l’Assemblée du Congrès ?
RépondreSupprimerDeborah Birx, coordinatrice du groupe de travail sur le covid pendant l’année 2020, a encouragé l'idée de la vaccination. Elle a depuis avoué devant le Sénat ne pas disposer de données attestant que les vaccins allaient protéger de l'infection. Elle reconnait également avoir utilisé des subterfuges au sein de l’administration Trump, tout comme Robert Redfield directeur du CDC, pour pousser la politique vaccinale, imposer les confinements et la fermeture des écoles, mentant à Trump et à son entourage, notamment le Dr. Scott Atlas, conseiller de Trump qui était opposé à ces mesures. Tente-t-elle elle aussi de se dédouaner ?
Robert Redfield, directeur du CDC, a quitté son poste le 20 janvier 2021. Quant à Francis Collins, directeur du NIH pendant 12 ans, il a démissionné fin décembre 2021…
Robert Kennedy a brillamment démontré que les actions prises pour faire face à la crise du covid n’étaient pas des réponses de santé publique, mais une prise de contrôle totalitaire des démocraties par les grandes entreprises : Big Tech, Big Pharma et les agences publiques qui sont désormais sous leur coupe.
https://www.francesoir.fr/une-pandemie-d-impostures
Après (presque) 3 ans arrive le mea-culpa !!
SupprimerPrimo les merdias affichaient: "Arrivée d'un nouveau virus' !" Comprendre poussière.
Oui mais, il y a (au monde) DES MILLIERS de stations d'observation de la qualité de l'air et... PAS UNE N'A TROUVÉ DE POUSSIÈRE PORTANT LE MAILLOT 'ÉQUIPE COCOVIDE19' !!
Secundo, des 'docteurs' voire pharmaciens-infirmiers-jardiniers-amateurs ont tous soutenu le meilleur grimpeur en lui imaginant ses variants, ses petits, ses merdes, bref tout son fan-club !
Tertio, arrivé ex aequo avec les politichiens de trottoirs, la voie de son mètre
Quarto: FEU ! (il n'y aurait que 20 millions de morts alors qu'on approche les 2 milliards !).
(...) Les tests RT-PCR sont des outils de laboratoire extraordinaires. Cependant, lorsque les cycles d'amplifications de ces tests sont trop poussés, le risque est grand d'obtenir des résultats qui ne rendent pas compte de la réalité infectieuse d'un patient. (...)
Au-delà de 25 le test ne sert à rien. En France (et Allemagne) le 'test' est poussé à 50 ! HAHAHAHA !
TRANS-WOMB ? Les bébés savent « dès le ventre » quel sexe ils « vont être » selon la vidéo de l’hôpital pour enfants mettant en vedette un pharma shill
RépondreSupprimerMonday, October 17, 2022
by: S.D. Wells
(Natural News) Selon les gauchistes fous qui poussent la fluidité des genres dans tout le pays, les bébés savent quel genre ils veulent être quand ils sortent de l'utérus. Une nouvelle publicité de l'hôpital pour enfants présente un complice pharmaceutique qui nous informe tous que… "une bonne partie des enfants le savent déjà apparemment dès l'utérus." Alors maintenant, selon la gauche, la première fois qu'un enfant prononce le mot "femme" ou "homme", cela signifie que c'est ce qu'il veut devenir, parce que nous sommes tous censés être "fluides", oscillant d'avant en arrière à tout moment. moment donné de notre genre biologique à tous les autres genres (préférences sexuelles et identités de jeu de rôle) qui existent.
La publicité trans de l'utérus informe les parents d'amener leurs enfants à la clinique pour voir un psychiatre qui leur parlera et les encouragera à essayer tous les différents genres immédiatement, y compris bigender, genderqueer, pangender, intergender, agenre, genre cis, cishet, non binaire, vide de genre, omni-genre, genre expansif, genre non conforme (mystérieux), sexe anatomique, et bien plus encore.
Le magazine Women's Health affirme que le genre n'est que "ce que vous ressentez"
Selon le très populaire magazine Women's Health, le terme genre n'a rien à voir avec la biologie, mais tout à voir avec "ce que nous ressentons pour nous-mêmes". Donc, que vous soyez né avec un pénis ou un vagin, nous sommes tous des « fluides de genre », car nous pouvons décider à tout moment de tomber enceinte ou non, d'avoir nos règles ou de produire du sperme à l'intérieur de notre corps. C'est juste une chose émotionnelle, et ce que vous ressentez pour les autres avec qui vous voulez avoir des relations sexuelles ou pour lesquelles vous êtes sexuellement attirant. Comprendre?
En d'autres termes, le psychiatre s'adressera directement à votre enfant ou adolescent, vous demandant probablement de quitter la pièce et l'encourageant à prendre des médicaments hormonaux induisant le cancer et à subir une dangereuse «chirurgie du bas» qui pourrait mettre fin à sa capacité de reproduction. pour toujours et causer des problèmes (éventuellement permanents) de miction et de libido.
Disney encourage également cette vague de folie liée au genre concernant les enfants et les adolescents prenant des hormones et subissant une chirurgie de mutation génitale. Les hôpitaux, les cliniques et les universités font une tuerie avec ce type de chirurgie de mutilation, qu'ils coupent des pénis pour faire des lèvres et un clitoris, ou qu'ils coupent les seins des filles et ajoutent un faux pénis et une fausse pomme d'Adam.
Selon la gauche sans genre et fluide entre les sexes, le monde entier est une scène de drague pour les actes de strip-tease et la pédophilie. C'est comme si les camps et les écoles n'étaient que des clubs de strip-tease où les adultes confus entraînent les enfants à penser au sexe, à la sexualité et à l'homosexualité toute la journée.
Selon la gauche et les gender-queers, tous les enfants sont « trans » à la naissance, donc les parents devraient commencer à les conseiller en tant que tels
RépondreSupprimerSelon le mouvement anti-genre en Amérique, tout le monde est gay à la naissance, a soif de sexe et identifie déjà le genre qu'il « veut » être, pour plaire aux autres gays « fluides de genre » non conformes. Les enfants, c'est l'heure de Drag Queen Story Hour, où un homme qui veut être une femme s'habille avec un maillot de bain une pièce pour femme, un string, des talons hauts, une perruque et beaucoup de maquillage de clown, et caracole autour du place à chacun pour caresser son colis. Ensuite, il y aura peut-être une lecture à haute voix, si vous avez de la chance. C'est ce qu'on appelle le toilettage des enfants, et la gauche déteste dire autant qu'elle déteste les mots «femme», «homme», «garçon» et «fille».
Selon la gauche confuse entre les sexes, lorsqu'un bébé commence à parler, s'il dit «maman», cela signifie qu'il a vu un homme habillé en femme et qu'il veut faire de même. Si un garçon attrape un jouet rose, cela signifie qu'il est gay ou qu'il veut être une fille. Si une fille entre dans une pièce peinte en bleu, cela signifie qu'elle veut subir une intervention chirurgicale pour ajouter un pénis (cela ne fonctionnera probablement pas) et prendre des médicaments cancérigènes pour rendre sa voix plus profonde et faire pousser les poils du visage. Vous ne voudrez peut-être PAS laisser votre enfant seul dans une pièce avec un psychiatre qui croit aussi tout cela.
- voir clip sur site -
Réglez votre fréquence Internet sur Gender.news pour des mises à jour sur les enfants qui crient quel sexe ils veulent être lorsqu'ils sortent de l'utérus.
Sources for this article include:
TheGatewayPundit.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-10-17-babies-know-from-the-womb-which-gender-they-will-be.html
Le procureur de l'UE ouvre une enquête sur les achats de vaccins COVID
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 17 OCTOBRE 2022 - 08:45
Deux semaines après que le PDG de Pfizer a renfloué le témoignage de l'UE à la suite d'un rapport mettant en évidence un accord de vaccin «secret» entre lui-même et la présidente de la Commission européenne Ursula «textes manquants» von der Leyen, le Parquet européen (OEPP) a ouvert une enquête sur les achats de vaccins Covid-19 de l'UE, rapporte Politico.
Le Parquet européen, et organe indépendant de l'UE, est chargé d'enquêter et de poursuivre les crimes financiers, y compris la fraude, le blanchiment d'argent et la corruption, selon le rapport. Dans son annonce de vendredi, l'organisme n'a pas précisé qui faisait l'objet d'une enquête, ni quels contrats faisaient l'objet d'une enquête.
Cela dit, deux autres agences de surveillance ont attiré l'attention sur l'accord von der Leyen - Bourla.
"Cette confirmation exceptionnelle intervient après l'intérêt extrêmement élevé du public. Aucun autre détail ne sera rendu public à ce stade", a déclaré le Parquet européen.
En avril 2021, le New York Times a rendu compte pour la première fois des messages texte échangés entre von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, à l'approche du plus grand contrat d'approvisionnement en vaccins de l'UE - jusqu'à 1,8 milliard de doses de vaccin BioNTech/Pfizer. L'accord vaudrait jusqu'à 35 milliards d'euros s'il était pleinement exercé, selon les prix divulgués des vaccins.
En janvier de cette année, le médiateur de l'UE a accusé la Commission de mauvaise administration pour ne pas avoir recherché les SMS en réponse à une demande d'accès à l'information. Sans confirmer l'existence des textes, la Commission a fait valoir dans sa réponse que "les documents éphémères et éphémères ne sont pas conservés". Il a déclaré qu'une recherche des messages texte n'avait donné aucun résultat. -Politique
Le mois dernier, la Cour des comptes européenne a publié le rapport susmentionné dans lequel elle a déclaré que la Commission avait refusé la transparence concernant les détails du rôle personnel de von der Leyen dans le contrat Pfizer.
Dans ce document, le chien de garde du budget a découvert que le chef de l'UE était devenu un voyou afin de conclure personnellement un accord préliminaire avec Pfizer, au lieu de s'appuyer sur des équipes de négociation conjointes. Bien que la Commission ait été ouverte avec d'autres contrats de vaccins, elle a refusé de fournir au tribunal tout document concernant ces négociations préliminaires.
Selon l'eurodéputée socialiste belge Kathleen van Brempt, "plusieurs aspects" du contrat Pfizer devraient être examinés, notamment "les SMS entre le président de la Commission et le fait qu'il n'existe aucune trace écrite des négociations préliminaires en première instance".
Selon Politico, "le député européen préside la commission spéciale du Parlement européen sur le COVID-19", ajoutant que le médiateur de l'UE et un membre de la Cour des comptes européenne ont comparu devant la commission.
"Le comité [COVID-19] suivra ce cas avec une grande attention", a déclaré Van Brempt.
https://www.zerohedge.com/political/eu-prosecutor-opens-probe-covid-vaccine-purchases
Ma réponse à la censure: le livre Dépossession est en ligne pour une lecture libre.
RépondreSupprimerOCTOBRE 16, 2022
PAR LHK
Ami lecteur, j’en suis venue à me résoudre à poster le PDF de Dépossession en lecture libre sur ce site. Pourquoi ? Parce que mes travaux dérangent plus que jamais une micro-élite qui fait ce qu’elle peut pour empêcher mon travail d’atteindre le public. Souvenez-vous de cette publication de 2020…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/22/au-sujet-de-la-censure-et-du-plagiat-de-mes-livres/
Par conséquent, mettre Dépossession en ligne est un acte de rébellion soft face à des dinosaures qui ne m’impressionnent pas.
DépossessionTélécharger
Cliquer pour accéder à De%CC%81possession-Annexes.pdf
Les annexes du livre se trouvent ici.
Si un ouvrage comme Dépossession dérange tant une ultra minorité, c’est qu’il est d’utilité publique
Les méthodes de censure, pour ne pas dire d’embargo, sont telles que je me dis qu’il y a des choses dans les ouvrages que le public doit connaître. Slobodan Despot, qui a rédigé la 4 ème de couverture, précisait que ce livre devait être lu avant qu’il ne soit trop tard. Voilà probablement pourquoi ce livre dérange tant !
Une recension de l’ouvrage m’avait beaucoup touchée en son temps. Les mots de l’auteur sont encore plus vrais aujourd’hui qu’en 2019! Vous la trouvez ici.
https://lilianeheldkhawam.com/2019/02/08/le-pire-des-mondes-est-il-certain-claude-mineraud/
Il n’y a pas que les livres qui dérangent. Le site aussi…
Ce site a été censuré pendant quasi une journée le 6 septembre 2022.
Le moment où un lecteur m’a informée que mon site avait été bloqué fut un des plus gros chocs que j’ai eu à vivre. Pourtant, j’ai une résilience assez importante acquise suite à une sorte d’exode que ma famille a eu à vivre alors que je n’avais pas 2 ans (Egypte), et à la guerre libanaise. Dans ces 2 cas, nous étions nombreux à partager ces moments compliqués.
Mais quand vous vivez une censure de pareille ampleur (je n’avais même plus accès à mes brouillons et à mes archives d’infos !), vous vous sentez ciblée à titre personnel malgré le fait d’être affiliée au syndicat suisse des journalistes…
Je partage cette mésaventure avec vous pour vous donner aussi une idée de ce qui peut attendre tout un chacun avec le crédit social. On vous met Offline et vous perdez toutes vos données car sur la blockchain liée à la cryptomonnaie et aux smart contrats, c’est toute votre vie socio-économique qui s’arrête. Comme celle d’un serf ou d’un esclave.
La censure est une des premières manifestations de l’esclavage, ou au minimum du servage.
RépondreSupprimerL’équipe WordPress a fini par s’excuser pour le dérangement sans toutefois le remettre en ligne. Ce n’est qu’à 23 heures que j’ai pu récupérer mon espace sur leur serveur que je paie presque 1000 euros par an ! Ce n’est pas une simple censure Facebook. C’est très probablement un avertissement.
Ma boîte mail chez Swisscom piratée
Je ne vais pas trop développer, mais sachez que nombre de mails envoyés-reçus n’arrivent pas à destination.
Des centaines de mails ont disparu simultanément de ma boîte chez Swisscom ET de mon Outlook! En revanche on me bourre la boîte avec des milliers de mails de 2020.
Un responsable de la technique (genre un chef) n’arrivait même pas à poser une déviation vers une autre adresse mail!
Les livres, entre censure et embargo.
La description de la liste des méthodes de censure plus raffinée l’une que l’autre serait trop longue, fastidieuse et finalement inutile. Cependant, je vais vous en citer quelques-unes.
Dés 2018, Amazon a bloqué Dépossession.
A droite, Amazon s’est mis en tant que revendeur (!) d’un livre qu’ils n’ont pas. Puis ils ont ajouté que le livre était en rupture de stock. Faussement donc! Cependant, ils ont ajouté « temporaire » à rupture. Donc, les gens commandaient mais notre éditeur n’en était pas informé!
Les commandes sont « refusées par le destinataire »
Tous les quelques temps, des livres expédiés vers la France sont retournés avec la mention « refusé » par le destinataire. La chose n’étant pas systématique, personne n’y a fait attention. Subitement depuis le mois de juillet, il y a eu plusieurs commandes qui ont été retournées simultanément. Au même moment, les libraires ont relancé l’éditeur pour savoir pourquoi les commandes n’avaient pas été honorées.
Non bien sûr. Aucun document puisque les paquets ne sont pas ouverts !
RépondreSupprimerLà nous avons compris que les retours ne venaient pas de clients qui avaient changé d’avis, mais d’une main qui s’immisçait dans le processus.
Il n’y a pas de systématique dans ce que j’ai appelé embargo, autrement la Poste (suisse ou française?) serait en infraction sur un certains nombre de points de leur Constitution…
Voici 2 exemples d’actualité:
Une commande de Decitre refusée. Pire nous devons payer 11 euros de « taxe »pour récupérer le paquet.
Le paquet n’a pas été ouvert. Aucune trace du moindre document du libraire.
Dans le prochain cas, il s’agit d’un paquet de 9 livres commandés par la FNAC. 20 euros de frais de douane à payer pour récupérer ce paquet.
Paquet refusé, non ouvert. Aucun communiqué du libraire.
Les coûts d’envoi
La Poste suisse responsable d’acheminer à bon port nos paquets nous facture 12 euros pour un Dépossession et 14 pour Coup d’Etat planétaire. Donc si vous enlevez le rabais libraire, il ne reste rien à l’éditeur pour payer sa logistique, la production, etc. Alors, s’il faut payer taxes, douanes, et 2èmes envois, il est inutile de continuer. Pour l’instant, les achats en direct via le site de l’éditeur passe entre les gouttes. Probablement, plus compliqué de mettre une logistique sophistiquée pour des achats individuels.
Comment obtenir les livres ?
Vous pouvez passer vos commandes sur le site de l’éditeur. Ca fonctionne encore. Je vous avertirai si cela devait se modifier.
https://reorganisationdumonde.com/
Le problème est limité à la FNAC et à Decitre.
Comme dit, les envois ne sont pas systématiquement interceptés. Nous continuons de répondre aux commandes venant des gros libraires de France. Cependant, nous ne ré-éxpédions pas une 2ème fois sans qu’ils n’aient accepté de prendre en charge les frais qui vont avec.
Nous soutenir
Je n’ai jamais demandé de dons sur ce site ou ailleurs, et je n’ai aucune intention de le faire.
En revanche, je suis impliquée personnellement dans le soutien vital d’un certain nombre de familles libanaises (une cinquantaine), et de divers projets au Liban (panneaux solaires pex) et en Afrique.
Bref, si vous aidez l’association que je soutiens, vous m’aidez aussi.
https://sarmentsdelavaux.org/
https://sarmentsdelavaux.org/comment-nous-rejoindre/
Pour le plaisir, je vous remets ici encore une fois le fichier..
DépossessionTélécharger
https://lilianeheldkhawam.com/2022/10/16/ma-reponse-a-la-censure-le-livre-depossession-est-en-ligne-pour-une-lecture-libre/
T'as quand même plus de chance que moi car LE VERT BAVOIR a TOUT son courrier effacé et abonnement interdit depuis toujours ! (en plus de la censure quotidienne des articles ou carrément des blogs de 60 ou 120 articles !).
SupprimerQuel navigateur respecte le plus (et le moins) votre vie privée ?
RépondreSupprimerGabriel Manceau
3 oct. 2022 13:05 UTC
Quel navigateur web protège le mieux votre vie privée ? C'est une question légitime à laquelle le site PrivacyTest tente de répondre en faisant passer aux navigateurs différents tests automatisés qui sont ensuite rendus publics. Sans surprise, on constate de fortes disparités.
De Chrome en passant par Edge, Firefox, Brave ou encore Opéra, les navigateurs web ne manquent pas. Mais savez-vous lesquels sont les plus respectueux de votre vie privée ? Le site PrivacyTests.org tente d'apporter une réponse objective à cette question brûlante.
Des résultats qui se veulent impartiaux
PrivacyTests.org est un projet indépendant créé par Arthur Edelstein en 2021. Après l'avoir lancé, il a été embauché par l'entreprise qui édite le navigateur web Brave pour travailler sur la question de la confidentialité. Il a choisi de continuer son projet, indépendamment de l'entreprise pour laquelle il travaille, et assure que Brave n'intervient d'aucune manière dans les résultats des tests présentés.
Vous l'avez compris, Edelstein est un fervent défenseur de la confidentialité en ligne, qui passe en grande partie par les navigateurs web. Ces derniers ne respectent malheureusement pas tous la vie privée des utilisateurs. Une faille dans laquelle se sont engouffrées les agences publicitaires pour collecter énormément de données privées afin d'afficher des publicités ciblées.
Il n'hésite pas non plus à affirmer sur la page À propos de son site que « les gouvernements ont également saisi cette occasion pour surveiller les gens en masse à leur insu. » Il ajoute que « la vie privée est un droit humain fondamental, car elle est nécessaire pour préserver l'autonomie, la sécurité et la dignité des êtres humains. »
Voilà pour les présentations, passons maintenant aux résultats des tests.
10 navigateurs web passés au crible
La liste de PrivacyTests permet de voir d'un coup d'œil les navigateurs web qui collectent le plus, et le moins, de données privées. Trois résultats sont possibles : « Test de confidentialité réussi », « Échec du test de confidentialité » et « Aucune donnée de ce type ». Le site analyse les versions web, Android et iOS, ainsi que les modes de navigation privée.
Le navigateur qui respecte le plus votre vie privée est Brave (version 1.42), suivi de près par Librewolf (105) et Tor (11.5). Firefox (104) est Safari (16) sont aussi de bons élèves, en fonction des résultats observés. Les cartons rouges sont distribués à Chrome (106), Edge (106), Opéra (91), Vivaldi et Ungoogled (106).
RépondreSupprimerEn faisant un tour dans l'onglet « navigation privée », on constate que tous les navigateurs font mieux (heureusement), mais que le classement initial ne change pas vraiment. Dans le classement des versions mobiles, d'autres navigateurs sont testés comme Duckduckgo, Bromite, Yandex ou encore le navigateur web de Samsung.
Sur iOS, les navigateurs sont, de manière générale, plus respectueux de la vie privée, à l'exception de Brave et Bromite qui tirent leur épingle du jeu sur Android et sur mobile en général. On vous invite à découvrir l'ensemble des résultats de ces tests très intéressants en cliquant sur le lien source ci-dessous.
Source : PrivacyTests.org
https://www.01net.com/actualites/quel-navigateur-respecte-le-plus-et-le-moins-votre-vie-privee.html
Le réseau électrique américain risque une panne catastrophique ?
RépondreSupprimer(Il est peut-être exagéré de dire que le réseau électrique américain s'effondre, mais dans de nombreuses régions du pays, c'est exactement le cas. Le réseau électrique nord-américain est vieux.)
parMadge Waggy
15 octobre 2022
Beaucoup d'entre nous ont subi une panne de courant à un moment ou à un autre. La plupart du temps, la durée de la panne est mesurée en heures, peut-être un jour et, dans de rares cas, une semaine ou plus.
Les pannes ont également tendance à être localisées et les réparations sont rapides ou l'électricité est « empruntée » à un service public ou à un réseau à proximité et redirigée vers la zone touchée. L'expérience est généralement un inconvénient frustrant et la plupart des hôpitaux et des systèmes critiques disposent d'une alimentation de secours pour traverser la panne.
Mais si…?
Et si le réseau national tombe en panne ?
Cela ne s'est jamais produit aux États-Unis, mais certains pays ont connu des pannes de courant généralisées affectant la majeure partie de leur territoire. La cyberattaque de la Russie sur le réseau ukrainien en 2015 a mis hors ligne environ 60 sous-stations, laissant 230 000 personnes dans le noir. C'était une menace inquiétante, mais encore une fois, la panne n'a duré que 1 à 6 heures.
Il semble que la plupart des pannes de courant, quelle que soit leur ampleur, soient de courte durée et ne soient qu'un inconvénient. Mais il y a un problème.
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Grille nord-américaine la nuit
Infrastructure en ruine
Il est peut-être exagéré de dire que le réseau électrique américain s'effondre, mais dans de nombreuses régions du pays, c'est exactement le cas. Le réseau électrique nord-américain est vieux.
La conception originale a été conçue pour ne durer que 50 ans en supposant que les générations futures moderniseraient et amélioreraient le système. Cela s'est rarement produit à moins qu'un système ou une station ne subisse une panne importante, et même dans ce cas, le correctif relève de la catégorie des réparations, et non du remplacement.
Par conséquent, certaines parties du réseau nord-américain ont environ 100 ans. Dans une étude réalisée par l'American Society of Engineers, le réseau électrique a été classé D+ pour sa fiabilité. Il est troublant de penser qu'un système aussi essentiel à notre survie se situe dans la fourchette d'une note d'échec. Pire encore, certaines estimations évaluent une réparation critique du réseau nord-américain à 5 000 milliards de dollars !
RépondreSupprimerL'échec des systèmes complexes
Le réseau électrique nord-américain est peut-être l'un des systèmes les plus complexes sur Terre. Et il est important de noter que le réseau électrique ne concerne tout simplement pas les États-Unis.
Le réseau s'étend à travers les États-Unis et jusqu'au Canada, alimentant et affectant finalement toute l'Amérique du Nord.
L'échec des systèmes complexes
A la base, le réseau est composé de 3 interconnexions desservant de nombreux états et provinces à l'exception d'une seule interconnexion au Texas. La fragilité de toute interconnexion a été démontrée à l'hiver 2021 lorsque des conditions météorologiques extrêmes induites par le changement climatique ont presque fait tomber toute l'interconnexion du Texas.
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Les 3 interconnexions américaines
Mais alors que 3 interconnexions de réseau de base peuvent sembler simples, elles s'aggravent.
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Sous-régions du réseau américain
Les fournisseurs de services d'électricité locaux sont répartis en sous-régions au sein des intersections. Ces sous-régions sont desservies par des services publics locaux qui ont divers degrés d'intégrité en termes d'âge et d'état de leur équipement et de leurs centrales électriques. Mais cela devient plus complexe.
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Réseau coopératif électrique américain
Le réseau électrique qui existe aujourd'hui a été construit pour la première fois après la Seconde Guerre mondiale à partir de conceptions remontant à Thomas Edison, en utilisant une technologie qui remonte principalement aux années 60 et 70. Ses 7 000 centrales électriques sont reliées par des lignes électriques avec un total combiné de plus de 8 millions de kilomètres, toutes gérées par 3 300 services publics desservant 150 millions de clients.
Selon le groupe industriel Edison Electric Institute. L'ensemble du système est évalué à 876 milliards de dollars. Personne ne la possède ou ne la contrôle. Ce sont 3 300 entreprises différentes, tant publiques que privées, qui possèdent ou exploitent de petits morceaux du réseau électrique. Le résultat est qu'aucune entité gouvernementale ou autre n'a la capacité ou l'autorité de le gérer.
À quel point le réseau est-il critique ?
Selon un rapport de la Commission EMP financée par le Congrès, une panne du réseau électrique pendant un an entraînerait la mort de neuf Américains sur 10. Les premiers à mourir seraient les personnes dépendantes de l'assistance médicale, la majorité mourant de faim.
Si la panne du réseau était unique en Amérique du Nord, cela ferait également des États-Unis une cible de choix et facile pour toute nation voyou cherchant à en profiter.
RépondreSupprimerNous le prenons pour acquis
Il ne s'agit pas seulement de perdre les lumières la nuit, d'emballer de la nourriture du réfrigérateur et du congélateur dans une glacière ou de porter des vêtements chauds et beaucoup de couvertures en hiver.
Les systèmes et les services qui nous entourent dépendent de l'électricité et sans électricité, il n'y a pas d'épiceries ou de pharmacies, pas de stations-service ou de quincailleries, pas de médecins ou de dentistes locaux, pas de feux de circulation, de banques, de communication de base, d'eau et de tout ce que nous supposons. être toujours disponible.
Vous voulez vous préparer mais vous ne savez pas par où commencer ?
Les hôpitaux et les médecins seront débordés ; la police et les pompiers sont débordés, et l'obscurité continue de chaque nuit apportera une incertitude et des craintes persistantes quant à ce qui va arriver le matin.
Signes inquiétants
Selon les statistiques recueillies par le ministère de l'Énergie, les pannes majeures sont en augmentation. Au cours des deux dernières décennies, les pannes affectant au moins 50 000 clients aux États-Unis ont augmenté de 124 %, selon les données du DOE.
Alors que les clients au Japon perdent de l'électricité en moyenne 4 minutes par an, les clients du Haut-Midwest américain perdent de l'électricité en moyenne 92 minutes par an, et les clients du Haut-Nord-Ouest perdent de l'électricité en moyenne 214 minutes par an. Ces estimations excluent les événements extrêmes comme les violentes tempêtes et les incendies et ceux-ci ont augmenté au cours des deux dernières décennies.
Les durées sont toujours mesurées en minutes et en heures, mais avec le temps, la tendance peut facilement conduire à des jours et des semaines. Pire encore, la vulnérabilité de notre réseau augmente en raison de menaces nouvelles et émergentes.
Les 7 plus grandes menaces pour le réseau
Ceux-ci ne sont pas classés dans l'ordre. N'importe lequel d'entre eux pourrait se produire et tous se sont en fait produits dans le passé. Certains auraient des impacts mondiaux tandis que d'autres se produiraient comme des événements hautement ciblés et intentionnels ou non intentionnels affectant un continent, un pays ou une région.
1. Cyberattaque
RépondreSupprimerLa Chine a inventé la cyberattaque et la Russie, la Corée du Nord et l'Iran se sont également livrés à divers degrés de cyberattaques au cours de la dernière décennie. Certaines de ces cyberattaques ont été lancées contre divers services publics dans le monde, y compris aux États-Unis.
Certaines de ces attaques étaient criminellement motivées en utilisant des rançongiciels pour extorquer de l'argent. D'autres relevaient de la catégorie des opérations militaires. Voici quelques-unes des cyberattaques les plus récentes contre les services publics.
Pipeline colonial – 6 mai 2021
Colonial Pipeline est le plus grand pipeline de carburant aux États-Unis et l'attaque par ransomware a entraîné le paiement d'une rançon de 4,4 millions de dollars à un gang de ransomwares.
Le FBI a ensuite aidé à récupérer une partie importante de la rançon, mais c'était un autre signe de la vulnérabilité d'un service public aux cyberattaques. La panne a entraîné des pénuries d'essence, la fermeture de services, la promotion d'achats de panique parmi les automobilistes et une augmentation des coûts de l'essence.
L'attaque s'est produite à cause du mot de passe compromis d'un employé. Il semble que l'entreprise ait peut-être manqué l'authentification multifacteur, un outil de cybersécurité de base, pour se protéger.
OPEL et Electrobras – Février 2021
Les sociétés de services publics brésiliennes COPEL et Electrobras ont été attaquées par apparemment le même gang de rançongiciels qui a attaqué Colonial Pipelines. Le «DarkSide» a extrait 1 000 Go de données des systèmes de COPEL, tandis qu'un rançongiciel non identifié a frappé Electrobras. Les deux fournisseurs d'électricité ont dû se déconnecter du système national interconnecté, ce qui a causé des pannes à de nombreuses personnes dans le pays.
Association électrique Delta-Montrose (DMEA) – janvier 2022
La société énergétique du Colorado a dû fermer 90 % de ses contrôles internes en janvier 2022 en raison de cyberwares malveillants qui ont effacé 25 ans de données historiques. L'entreprise énergétique devait alors informer ses clients des multiples factures d'énergie qu'ils pourraient recevoir.
Amsterdam-Rotterdam-Anvers (ARA)- février 2022
La cyberattaque de l'ARA s'est produite quelques mois seulement après une attaque mineure mais similaire contre deux entreprises allemandes qui a entraîné la perturbation de l'approvisionnement en pétrole dans le nord de l'Allemagne. Cette fois, cela a eu des implications plus importantes et a créé une crise énergétique continentale momentanée.
Et ça ne s'arrêtera pas
Chaque jour, notre réseau électrique est testé par des pirates étrangers qui tentent de s'infiltrer et de trouver des moyens de prendre le contrôle et de couper l'alimentation. La pointe de la cyber-guerre continue d'être la Chine. Malheureusement, nos défenses contre les cyberattaques restent faibles. On pense en fait au plus haut niveau de notre communauté du renseignement que la Chine pourrait fermer notre réseau électrique à tout moment.
RépondreSupprimer2. Attaque physique
Une attaque physique implique l'utilisation d'explosifs ou d'armes pour attaquer physiquement et détruire l'équipement de production d'électricité. Ce qui est inquiétant, c'est que tant de sous-stations et de transformateurs sont situés dans des endroits éloignés avec peu ou pas de sécurité autre qu'une clôture à mailles losangées. Aucun membre du personnel ne se trouve à proximité de bon nombre de ces endroits et même quelque chose d'aussi basique qu'une caméra de sécurité manque souvent.
La preuve de cette vulnérabilité a eu lieu le 16 avril 2013. Peu avant 1h30 du matin, une ou plusieurs personnes ont méthodiquement coupé des câbles de communication près d'une sous-station Pacific Gas & Electric à San Jose, ont pulvérisé plus de 100 balles de fusil et assommé 17 des 23 de la station. transformateurs avant de fuir et d'éviter d'être capturés.
Le service public a pu empêcher une panne de courant en détournant l'électricité d'autres zones, mais il a fallu 27 jours pour réparer les dégâts. Le Federal Bureau of Investigation a enquêté sur l'attaque, mais à ce jour, il n'a aucun suspect.
Les transformateurs sont le maillon faible du réseau. Ils coûtent des millions de dollars et prennent des mois voire des années à produire. En conséquence, les services publics n'ont pas de pièces de rechange et des dommages à un nombre suffisant de transformateurs dans des endroits clés feraient tomber tout le réseau.
3. EMP (impulsion électromagnétique)
Les IEM proviennent de l'espace extra-atmosphérique ou résultent d'une explosion nucléaire. Les EMP cosmiques sont rares mais la menace nucléaire est importante. Une seule détonation nucléaire à haute altitude au-dessus de l'Amérique du Nord pourrait non seulement fermer tout le réseau, mais causer des dommages permanents à tout appareil électronique non protégé, y compris… tout ce qui est électronique.
Cela signifie des ordinateurs, des téléphones portables, des téléviseurs, des radios, des véhicules et même des appareils électroménagers. À ce jour, peu ou rien dans le dossier public n'a été fait pour protéger le réseau d'un PEM.
4. Éruptions solaires
Des éruptions solaires jaillissent régulièrement de la surface du soleil. Il y a eu des occasions où ces éruptions ont été si importantes qu'elles ont entraîné une tempête solaire. C'est en fait un phénomène courant et se traduit souvent par des affichages lumineux des aurores boréales et a également un effet sur les transmissions radio.
Malheureusement, une éruption solaire extrêmement importante pourrait non seulement détruire le réseau, mais avoir le même effet destructeur sur l'électronique qu'un EMP. En fait, ils sont étroitement liés.
La pire tempête solaire jamais enregistrée s'est produite en 1859. À l'époque, les seuls appareils électroniques touchés étaient les stations télégraphiques. On pense que si une tempête similaire se produisait aujourd'hui, elle détruirait les réseaux des pays faisant face au soleil et détruirait les appareils électroniques non protégés. C'est un fait peu connu qu'une éruption solaire évitée de justesse en 2012 aurait pu avoir le même impact que l'événement de 1859.
5. Défaillance des infrastructures
RépondreSupprimerIl ne faut pas le drame d'une attaque ou d'une catastrophe pour faire tomber la grille. L'âge du réseau nord-américain combiné aux réparations intermittentes et souvent aléatoires compromettent et compliquent davantage un système désuet qui pourrait tout simplement s'effondrer sur lui-même.
Tout ce qu'il faut, c'est une défaillance massive d'un service public pour provoquer le partage d'énergie avec d'autres services publics afin de tenter de fournir une puissance supplémentaire. Au fur et à mesure que les demandes augmentent, un effet de cascade ou de domino prédit pour la première fois pendant la peur de l'an 2000 pourrait provoquer l'effondrement de l'ensemble du réseau, en grande partie en raison de son infrastructure défaillante en permanence.
6. Changement climatique
Les effets des extrêmes climatiques n'ont pas été pris en compte lorsque le réseau a été conçu et a continué à s'étendre. L'hypothèse standard était que les étés seraient chauds dans une fourchette traditionnelle et qu'il en serait de même pour l'hiver.
L'idée d'indices de chaleur d'une centaine ou plus se produisant régulièrement ne faisait pas partie de l'équation de conception.
Un vortex polaire était quelque chose qui s'est produit dans l'Arctique, et son apparition aux latitudes méridionales était considérée comme un hasard plutôt qu'un événement courant.
Les tempêtes ont toujours été un problème pour le réseau, mais la fréquence et l'intensité des tempêtes et des ouragans ont également été reléguées aux normes conventionnelles plutôt qu'aux extrêmes que nous voyons actuellement.
Les inondations, les glissements de terrain et les incendies de forêt ont également été mal calculés avant que les réalités du changement climatique ne les rendent à la fois fréquents et répandus.
Le résultat est un stress continu et croissant sur un système électrique vieillissant, entraînant des baisses de tension, des pannes de courant et un modèle continu de réparation rapide plutôt que de remplacement intelligent et de mises à niveau.
7. Catastrophes géologiques (tremblement de terre, éruptions volcaniques, tsunamis)
Le 11 mars 2011, un tremblement de terre au large du Japon a provoqué un tsunami qui a frappé la côte est du Japon. La destruction a été dévastatrice et l'échec de la centrale nucléaire de Fukushima a non seulement révélé la vulnérabilité des centrales électriques aux événements désastreux, mais continue d'avoir des impacts au Japon à ce jour.
Même sans tsunami aggravant l'impact d'un tremblement de terre, les dégâts d'un tremblement de terre à eux seuls peuvent être dévastateurs et d'une grande portée. Les conditions météorologiques affectent généralement les lignes électriques et les sous-stations, mais un tremblement de terre affecte tous les composants du réseau. Pire encore, les débris des glissements de terrain et des bâtiments effondrés compliquent tout effort de réparation du réseau tandis que les efforts sont dirigés vers le nettoyage des débris.
Jusqu'à présent, les catastrophes ont eu des impacts qui pourraient être réparés en quelques jours, voire quelques semaines, bien que Fukushima ne se remette jamais complètement. Ce sont les catastrophes vraiment catastrophiques des super éruptions volcaniques, des méga-tsunamis et des tremblements de terre de catégorie 9 qui pourraient détruire le réseau pendant des années, voire plus.
Graves dommages causés par le tremblement de terre
RépondreSupprimerSe préparer à une panne totale du réseau
Bienvenue au XIXe siècle. Ce sera essentiellement le mode de vie de tout le monde après une panne de réseau national de longue durée. La propriété familiale sera la nouvelle norme et l'autonomie la seule solution dans une société avec peu de ressources manufacturées, pas d'eau potable facilement accessible, peu de sources de nourriture, des soins médicaux rares et peu d'options de communication.
Voici quelques priorités et préparations, mais la considération la plus critique est la durabilité. Stockez tout ce que vous voulez, mais tout stock s'épuisera un jour. Un bon approvisionnement en graines bien emballé et la connaissance de la façon de récolter les graines des cultures futures peuvent vous donner une meilleure chance à long terme qu'un garde-manger plein d'aliments en conserve. Voici les priorités.
Eau
Vous ne pouvez pas vivre 3 jours sans eau. Sans le réseau, l'eau deviendra rare, surtout si vous dépendez d'une pompe de puits. Même les châteaux d'eau municipaux s'épuiseront bientôt car les pompes qui les remplissent restent inactives sans électricité. Voici quelques choses à faire et à rechercher pour trouver, purifier et stocker l'eau :
Équipement:
Des bidons d'eau ou le savoir-faire pour les improviser à partir de poubelles ou d'autres contenants. L'eau de pluie peut être votre source d'eau trouvée la plus fiable et la capacité de la capter et de la contenir depuis votre toit ou vos bâches peut non seulement vous donner de l'eau potable, mais aussi des options pour arroser des légumes dans des jardins ou des pots, de l'eau pour le bain, la cuisine et le nettoyage.
Filtres de purification d'eau ou savoir comment les improviser à partir de tissu, de sable et de charbon de bois. Les sources d'eau naturelles sont notoirement polluées dans certaines régions, et il y a toujours la menace de bactéries et d'autres agents pathogènes dans toute source d'eau naturelle.
Des contenants d'eau qui vous permettront de transporter de l'eau, que ce soit en traversant la rue ou simplement en l'amenant de votre stockage d'eau à votre évier.
Divers tuyaux de différentes tailles et vannes simples. Les tuyaux sont le système de transport de l'eau et si vous avez besoin d'acheminer, de diriger ou de canaliser l'eau d'un endroit à un autre, vous pouvez le faire mieux avec un tuyau.
Une piscine de n'importe quelle taille facilite le stockage de l'eau, en particulier pour arroser les jardins ou faire la lessive ou la vaisselle.
Une cuve de lavage en métal galvanisé est le meilleur moyen de faire la lessive à la main ou de faire la vaisselle.
Savoir trouver, filtrer, purifier et stocker de l'eau provenant de diverses sources. Vous pouvez avoir tout l'équipement du monde, mais si vous ne savez pas où chercher ou quoi faire lorsque vous le trouverez, vous serez un net désavantage.
Lumière
RépondreSupprimerDans une période de grande incertitude, une chose est certaine : chaque jour, il fait noir la nuit. Il existe de nombreuses solutions pionnières et certaines solutions du 21e siècle également :
Les bougies sont la version la plus ancienne de la lumière hors réseau. Stockez-en beaucoup. Achetez-les à bas prix. Pensez aux lanternes à bougies pour augmenter la lumière et les rendre un peu plus sûres. À la rigueur, vous pouvez les fabriquer à partir de boîtes de conserve.
Kérosène ou lampes qui utilisent d'autres huiles. N'oubliez pas de vous procurer des mèches supplémentaires.
Les lanternes à gaz Duel Fuel dégagent beaucoup de lumière, mais comme le kérosène ou d'autres lampes à huile, vous pouvez manquer de carburant à un moment donné. Assurez-vous que la zone est ventilée. Ils dégagent du monoxyde de carbone.
Lampes solaires du Dollar Store ou Walmart. Laissez-les dehors ou près d'une fenêtre pendant la journée et vous aurez de la lumière toute la nuit. Mieux encore, ils ne dégagent ni odeurs ni gaz.
Une banque d'énergie solaire avec une lampe de poche intégrée. Vous pouvez les utiliser pour recharger un téléphone portable ou d'autres appareils électroniques et la lampe de poche sera toujours alimentée si elle est rechargée.
Un chargeur de batterie solaire peut vous fournir une alimentation par batterie pour une gamme d'appareils électroniques alimentés par batterie.
Les lumières LED consomment très peu d'énergie et sont les meilleures lorsque vous utilisez des piles.
Pensez solaire. Espérons que le soleil brillera toujours et que l'énergie solaire est gratuite et facile si vous avez les panneaux solaires pour la capter. Vous aurez également besoin de batteries au plomb / acide ou de certaines des batteries les plus avancées comme la batterie Tesla pour collecter et stocker l'énergie solaire générée. Ils peuvent alimenter une gamme de choses, y compris des lumières.
Communication
En cas de catastrophe, les gens cherchent désespérément à rester en contact. Internet peut toujours fonctionner et les téléphones portables peuvent avoir des connexions intermittentes, mais vous ne pouvez pas compter sur quoi que ce soit lorsque l'alimentation est coupée. Voici quelques options à considérer :
Les talkies-walkies peuvent fonctionner pour une communication à courte portée.
Les radios CB sont toujours là et peuvent fonctionner sur une batterie de voiture (rechargée avec) ou sur une autre batterie.
Votre téléphone portable peut fonctionner alors n'abandonnez pas si au début vous ne réussissez pas.
RépondreSupprimerLa radio HAM est la méthode de communication de survie par excellence. C'est un investissement et vous avez besoin d'une licence, mais vous serez certainement en contact. Il existe également des options portables.
Les anciennes lignes terrestres peuvent être l'une des rares formes d'électronique fonctionnelle.
Les fils et branchements dont vous avez besoin pour connecter un ordinateur à une ancienne ligne terrestre. Si les anciennes lignes terrestres fonctionnent, vous pourrez peut-être accéder à Internet, même si les vitesses de connexion et de téléchargement seront très lentes. Là encore, certaines choses peuvent encore fonctionner après la panne de la grille.
Une antenne TV au cas où vous voudriez voir s'il y a des transmissions TV. Les antennes utilisant ce qu'on appelle la technologie "mud flap" développée par l'armée sont un bon pari.
Une radio à énergie solaire/à manivelle. Il est tout à fait possible que les transmissions radio finissent par revenir et c'est le moyen le plus simple de savoir ce qui se passe.
N'oubliez pas de réfléchir à la façon dont vous pourriez avoir besoin d'alimenter certains de ces appareils de communication et d'avoir des options hors réseau comme des banques d'énergie solaire ou des générateurs à manivelle.
Chaleur
La plupart d'entre nous ont des degrés variables de temps hivernal. Avec le changement climatique, la rigueur des conditions hivernales peut s'aggraver. Sans électricité, la plupart des options de chauffage traditionnelles ne fonctionneront pas.
Vous devez considérer certaines méthodes pionnières pour le chauffage. L'une de leurs approches consistait à utiliser plusieurs sources de chaleur hors réseau dans l'espoir que la combinaison compenserait les mauvaises performances de n'importe quelle option de chauffage.
Un poêle à bois est une recommandation standard, mais cela suppose que vous disposiez d'un bon approvisionnement en bois de chauffage. Et là encore, lorsque tout le monde brûle du bois pour se chauffer, l'approvisionnement peut être mince.
Les poêles à granulés sont une autre option, mais vous devez acheter les granulés et les stocker. En moyenne, un sac de granules de 40 livres peut faire fonctionner un poêle à granules pendant 1 à 2 jours en hiver. Ce ne sera pas durable sur une longue période. Assurez-vous d'avoir un poêle à granulés non électrique alimenté par gravité.
Les tuiles solaires qui captent la lumière du soleil à travers une fenêtre pendant la journée et libèrent la chaleur la nuit peuvent aider, mais de quelques degrés seulement.
Les poêles au propane et au gaz naturel sont une autre option. Il est possible que le gaz naturel continue de fonctionner malgré une panne de courant, car la pression du gaz le fait passer par les conduites de gaz. Il est impossible de déterminer combien de temps cela peut continuer. En ce qui concerne le propane liquide, vous devrez en avoir beaucoup en stock car tout propane à vendre sera bientôt épuisé.
L'isolation, en particulier autour des portes et des fenêtres, est une autre étape pour garder la chaleur à l'intérieur et le froid à l'extérieur.
RépondreSupprimerBeaucoup de couvertures, de couettes et de vêtements d'hiver ont du sens. Il en va de même pour dormir en groupe, il est donc temps de remettre les enfants dans votre lit.
Maison endommagée par une tornade
Rester au frais
Les climatiseurs sont énergivores et lorsque le réseau est en panne, l'époque de la climatisation est révolue. Il existe de nombreuses solutions pour rester au frais et certaines vont au-delà des pionniers des temps et des cultures antiques. Là encore, plusieurs approches combinées aident à vous garder, vous et votre maison, au frais.
Des rideaux, des stores, des stores bloquant la lumière ou tout autre moyen d'empêcher la lumière du soleil d'entrer dans la maison l'après-midi sont une bonne première étape.
Les vêtements légers en coton ou en soie ont du sens.
Les techniques anciennes qui encouragent la circulation de l'air à partir du sol valent la peine d'être essayées. L'idée est d'aspirer l'air plus frais au niveau du sol à travers les évents et de permettre aux évents vers le plafond d'évacuer l'air chaud.
Les ventilateurs à piles ou à énergie solaire ont du sens. Toute brise par une chaude journée aide.
Une piscine ou simplement une douche froide ou un plongeon dans un lac peuvent aider. Une piscine constitue également une excellente option de stockage de l'eau.
Les poudres d'électrolytes que vous ajoutez à l'eau vous donneront un pas supplémentaire vers une hydratation efficace.
Habitez au sous-sol si vous en avez un. Le sol agit comme un isolant naturel et le sous-sol est toujours l'endroit le plus frais de la maison en été.
Restez à l'intérieur lorsque l'indice de chaleur est élevé. Les gens qui vivent sous les latitudes tropicales se terrent essentiellement à l'intérieur l'après-midi. Réservez les activités de plein air aux premières heures du matin ou du soir.
Considérations médicales
Il y a pas mal d'écrits sur la médecine de survie. Parfois, vous pouvez être totalement seul lorsqu'il s'agit de faire face à une condition médicale. Voici quelques pistes de réflexion :
Une trousse de premiers soins de niveau expédition. Ils coûtent cher, mais il y a fort à parier qu'ils auront tout ce dont vous pourriez avoir besoin pour toute urgence médicale.
Trousses de premiers soins spécialisées avec l'équipement pour traiter les blessures aux yeux, les sutures simples, les brûlures ou toute condition unique à votre famille.
Une pharmacie de survie avec des médicaments en vente libre et des médicaments pour une gamme de maux et n'oubliez pas les dosages pour enfants.
Une banque de connaissances médicales de livres sélectionnés pour traiter une gamme de conditions et de blessures.
Prenez le temps d'apprendre certaines techniques de secourisme en faisant vos propres recherches ou même en suivant des cours dans un collège communautaire ou par l'intermédiaire de votre service d'incendie local.
Des compétences de Bushcraft qui vous permettront d'improviser des solutions lorsque la nature sauvage s'invite en ville et en banlieue. Cela comprend l'improvisation de dépendances, la fabrication d'objets de tous les jours à partir de matériaux naturels et trouvés, la construction de clôtures pionnières et tout ce que vous devrez faire maintenant parce que vous ne pouvez pas l'acheter.
RépondreSupprimerCollectionnez, stockez et découvrez les outils à main. Sans électricité, vous ferez beaucoup de choses à l'ancienne. Vous pouvez également adopter une approche d'outil alimenté par batterie en supposant que vous avez la capacité solaire de recharger les batteries, mais les outils électriques ne durent que des années. Les outils à main durent des siècles.
Compétences de troc et capacité à fabriquer et à créer des objets à troquer. Sans électricité, le commerce changera radicalement. Si vous pensez qu'il y a une pénurie de pièces maintenant, il y aura une pénurie totale de devises si le réseau est en panne et oubliez les cartes de débit et de crédit. Une économie de troc deviendra rapidement la nouvelle monnaie pour l'achat et le commerce de nombreux objets du quotidien.
Combien de temps cela pourrait-il durer ?
Selon un rapport de la Commission EMP du Congrès, une panne d'électricité à l'échelle nationale du réseau électrique et des infrastructures critiques dépendant du réseau - c'est-à-dire les communications, les transports, l'assainissement, la nourriture et l'approvisionnement en eau - pourrait durer un an ou plus.
Cela suppose qu'une nation voyou ne profite pas des effets paralysants d'une panne de réseau et n'aggrave pas les choses. Là encore, c'est peut-être cette même nation voyou qui a causé l'effondrement en premier lieu.
Vous trouverez ci-dessous l'un des sites les plus populaires avec les dernières nouvelles et des centaines d'articles dans tous les domaines…
https://sevenwop.home.blog/2022/10/15/the-u-s-power-grid-is-at-risk-of-catastrophic-failure-it-may-be-an-over-statement-to-refer-to-the-u-s-power-grid-as-crumbling-but-in-many-parts-of-the-country-thats-exactly-the-case-the/
La panne c'est quoi ?
SupprimerPlus de lumière, de chauffage, de frigo-congélo, plus d'eau, plus d'ascenseur.
Comment soutenir votre pire assassin ?
Envoyez lui un chèque et marquez au dos l'heure où vous êtes chez vous !
(...) Selon un rapport de la Commission EMP financée par le Congrès, une panne du réseau électrique pendant un an entraînerait la mort de neuf Américains sur 10. Les premiers à mourir seraient les personnes dépendantes de l'assistance médicale, la majorité mourant de faim. (...)
Hum-hum ! Je ne pense pas que 9 sur 10 ne pensent pas à couper du bois ou s'échapper vers les Tropiques !
Passez l'hiver à poêle !
RépondreSupprimerÂÂâah depuis les 'Flintstones' que du temps passé !
Crise énergétique: la Russie propose un "hub gazier" vers l'Europe, le gouvernement Macron dit non
RépondreSupprimerle 16 octobre 2022 - 15:30
L'Elysée rejette cette proposition.
Lors d’une rencontre avec son homologue turc le 13 octobre, le président russe a suggéré la création d’un "hub gazier" en Turquie, faisant valoir que cela permettrait aux Européens de recevoir du gaz à des prix moins "exorbitants", rapporte TF1. Le gouvernement français s’est aussitôt opposé à cette idée, mettant en avant sa volonté de se passer du gaz russe.
Pour pallier la crise énergétique en Europe, qui laisse craindre des pénuries d’énergie cet hiver et l’impossibilité pour de nombreux ménages de pouvoir procéder au règlement de leur facteur énergétique en raison de l’envolée des prix dans ce secteur, Vladimir Poutine a proposé de créer un "hub gazier" en Turquie à l’occasion d’une rencontre avec Recep Tayyip Erdogan, en marge d'un forum régional au Kazakhstan jeudi 13 octobre. Le président russe a estimé que cela leur donnerait aux Européens l'opportunité de bénéficier de gaz à des prix moins « exorbitants ».
Voir aussi : Hausse des coûts de l'énergie de 500 %: Zartoshte Bakhtiari, maire, dénonce "un racket organisé" des communes
Une idée qui n'a aucun sens, pour Paris
Le gouvernement français s’est immédiatement opposé à cette idée : « Il n’y a pour nous aucun sens à créer de nouvelles infrastructures qui permettraient d’importer davantage de gaz russe », justifie-t-il. Et d’ajouter : « Il y a quelques mois encore, presque 40 % du gaz livré à l'Union européenne venait de Russie. Aujourd'hui, cette part du gaz russe est de 7,5 % seulement et elle a encore vocation à diminuer. »
Depuis le début de la guerre, l’Union européenne œuvre, malgré les conséquences pour les populations, à diminuer rapidement et drastiquement sa dépendance au gaz russe. La présidence française a estimé : « Il se peut que la Russie et la Turquie décident ensemble d'exporter davantage de gaz, mais ça ne peut pas être vers l'Union européenne qui a des engagements de souveraineté, de réduction de ses dépendances et par ailleurs de transition climatique qui sont incompatibles avec ce genre de raisonnement ».
Voir aussi : “Si on continue la transition énergétique, ça va très mal finir“ Philippe Herlin
L'UE diminue sa dépendance face à la Russie et augmente sa dépendance vis-à-vis des États-Unis
Pour faire face à la diminution du gaz russe, l’Union européenne a décidé d’augmenter ses importations de gaz de schiste en provenance des États-Unis, pays sur lequel plane de nombreux soupçons quant à sa responsabilité dans le sabotage des gazoducs Nord Stream. Pour le secrétaire d’État américain Anthony Blinken, l’équivalent en France du ministre des Affaires étrangère, le sabotage contre les gazoducs Nord Stream 1 et 2 constitue une « opportunité formidable » pour « éliminer une fois pour toutes la dépendance à l’énergie russe », avait-il déclaré suite au sabotage des conduits d'énergie.
https://www.francesoir.fr/politique-france/crise-energetique-la-russie-propose-un-hub-gazier-vers-l-europe-le-gouvernement
'Chiottes-à-la-turque', 'tête de turc', on ne pète pas à table !
Supprimer"Vous n'aurez plus rien et serez heureux" !
(Demandez à ce que la hache du bourreau soit bien aiguisée pour ne pas recommencer 36 fois !).
Le PDG de Gazprom déclare que tout Nord Stream NatGas pourrait être redirigé vers la Turquie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 17 OCTOBRE 2022 - 17:00
Les approvisionnements en gaz naturel de la Russie vers l'Europe via le réseau de gazoducs Nord Stream ne seront probablement pas rétablis et pourraient être redirigés dans des gazoducs via la mer Noire vers la Turquie.
Le PDG du géant énergétique russe Gazprom PJSC, Alexei Miller, a déclaré dimanche à la télévision russe que les approvisionnements de NatGas via Nord Stream seront redirigés vers la Turquie si l'infrastructure nécessaire est construite. Il a dit, "Tu sais, rien n'est impossible":
"Nous parlons de ces volumes que nous avons perdus grâce aux actes de terrorisme international contre les pipelines Nord Stream, donc ceux-ci peuvent être des volumes importants", a déclaré Miller à la télévision russe, cité par l'agence de presse publique russe Sputnik.
"Je voudrais vous rappeler que nous avons l'expérience de la préparation de la mise en œuvre du projet South Stream, qui devait initialement avoir une capacité de 63 milliards de mètres cubes [par an]. Par conséquent, si nous parlons même sur la documentation technique pour le développement de l'itinéraire, pour South Stream - tout cela a déjà été fait à un moment donné », a poursuivi Miller.
South Stream était un projet qui a commencé la construction en 2012 mais a été annulé en 2014 en raison des sanctions européennes et des restrictions imposées par Bruxelles. Le réseau de pipelines de 20 milliards de dollars et long de 1 500 milles aurait pu transporter 63 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an via la mer Noire vers la Bulgarie. Il a finalement été remplacé par TurkStream, qui est devenu opérationnel en 2020.
- voir carte sur site -
La semaine dernière, Miller a pris la parole lors du forum Russian Energy Week à Moscou, où il a déclaré qu'il n'y avait aucune urgence à réparer les pipelines Nord Stream 1 et 2 après les attentats à la bombe. Il a dit que les réparations pourraient prendre des années.
Le président russe Vladimir Poutine était également présent au forum la semaine dernière et a déclaré :
"Nous pourrions transférer vers la mer Noire les volumes perdus du Nord Stream qui transitaient auparavant par la mer Baltique."
Le président turc Recep Tayyip Erdogan et Poutine se sont rencontrés plus tard dans la semaine pour discuter d'un nouveau pipeline de la mer Noire utilisant la Turquie pour exporter du NatGas vers l'Europe.
La semaine dernière, Miller a déclaré que les pipelines de la mer Noire sont moins vulnérables aux "actes terroristes" que ceux de la mer Baltique.
Le ministre turc de l'Énergie, Fatih Donmez, a déclaré la semaine dernière que des liaisons supplémentaires de gaz naturel vers la Turquie depuis la Russie et une plaque tournante commerciale à la frontière UE-Turquie pourraient être "techniquement possibles".
https://www.zerohedge.com/commodities/gazprom-ceo-says-all-nord-stream-natgas-could-be-redirected-turkey
Des jours sombres s'annoncent pour l'Europe, car la perte du pétrole russe pourrait déclencher la « pire crise énergétique depuis des décennies »
RépondreSupprimerJade
Aube Digitale
dim., 16 oct. 2022 19:30 UTC
L'interdiction européenne de la plupart des importations de pétrole brut en provenance de Russie entrera en vigueur en décembre. Pour les dirigeants européens, la prochaine tâche à accomplir est de trouver de nouvelles sources de pétrole brut avant ce qui pourrait être un hiver très sombre et froid.
La décision des pays de l'UE de sanctionner sans cesse la Russie pour la guerre du président Vladimir Poutine contre l'Ukraine en interrompant les importations de pétrole brut dans le courant de l'année est une tentative de « faire payer le Kremlin » pour l'invasion, a récemment déclaré Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne.
Mais cela n'a fait que se retourner contre le Kremlin, qui a vu son trésor de guerre gonfler de plusieurs dizaines de milliards de dollars avec l'hyperinflation des prix de l'énergie et la découverte de nouveaux acheteurs en Asie.
Les dirigeants européens ont redoublé d'efforts pour assurer la transition de l'énergie russe vers d'autres pays riches en énergie, même s'il pourrait être difficile d'augmenter les importations d'énergie en raison de la capacité de réserve limitée dans le monde.
Monica Malik, économiste en chef à la Abu Dhabi Commercial Bank, a déclaré lundi à l'audience d'un panel sur la sécurité énergétique organisé par l'Institute of International Finance à Washington, DC, que les États du Golfe, Bahreïn, le Koweït, Oman, le Qatar, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, ne seront pas en mesure d'augmenter leur production pour remplacer le pétrole russe en Europe.
Après tout, le monde se dirige vers un marché pétrolier beaucoup plus serré pour le reste de l'année après les réductions de l'OPEP+. Cela pourrait involontairement déclencher un supercycle des prix, le brent se rapprochant de 100 dollars le baril.
Alors, où l'Europe s'approvisionnera-t-elle en brut cet hiver si la capacité de réserve mondiale est limitée ? Le responsable du pétrole européen chez Morgan Stanley, Martijn Rats, a écrit dans une note récente :
« Le marché pétrolier est là où il est parce qu'il est si difficile de répondre à cette question. Si nous le savions, nous pourrions tous respirer un peu plus facilement ».
Sans capacité de réserve — les dirigeants de l'UE auront du mal à s'approvisionner en brut dans le monde entier, car la production ne peut pas être augmentée rapidement.
Helima Croft, directrice générale de RBC Capital Markets LLC, a prévenu : « Je pense que nous sommes confrontés à la pire crise énergétique depuis des décennies. »
RépondreSupprimerMme Croft craint une réaction populiste en Europe, les sanctions contre la Russie ayant provoqué une crise du coût de la vie. Cela pourrait obliger certains gouvernements de l'UE à se concentrer sur l'accessibilité financière. Selon elle, il est peu probable que les États-Unis concluent des accords avec le Venezuela ou l'Iran pour compenser la pénurie d'énergie.
Un haut diplomate européen a admis : « Notre prospérité a été fondée sur une énergie bon marché en provenance de Russie. »
La sécurité énergétique de l'Europe est en grande difficulté à l'approche de la saison froide. Le problème de la capacité mondiale limitée et de la hausse des coûts de l'énergie ne fera que mettre l'Europe à rude épreuve. Cet hiver, il y a des risques de pannes d'électricité dans toute l'Union européenne en raison de la diminution de l'approvisionnement en énergie en provenance de Russie et de l'incapacité d'augmenter rapidement les importations de l'étranger. Le Royaume-Uni a mis en garde contre ce scénario il y a quelques jours.
https://www.aubedigitale.com/des-jours-sombres-sannoncent-pour-leurope-car-la-perte-du-petrole-russe-pourrait-declencher-la-pire-crise-energetique-depuis-des-decennies/
Le jour où tous les guichets automatiques ont manqué d'argent (L'effondrement soudain des prix.
RépondreSupprimerLa Grande Dépression a commencé avec l'effondrement des cours boursiers en 1929. Cela a été précédé par l'effondrement des prix agricoles aux États-Unis dans les années 1920.)
Milan Adams
16 octobre 2022
L'argent joue un rôle si important dans nos vies que la plupart d'entre nous ne pourraient pas imaginer survivre sans lui. Pourtant, c'est exactement ce que vous devez faire si vous voulez vous préparer à une situation économique appelée déflation.
La déflation est le terme que les économistes utilisent pour décrire une "baisse générale des prix, souvent causée par une réduction de l'offre de monnaie ou de crédit". Une bonne façon de penser à la déflation est comme le contraire de l'inflation. L'inflation se produit lorsqu'il y a trop d'argent en circulation, ce qui détruit sa valeur et fait monter les prix. En cas de déflation, il y a trop peu d'argent disponible, ce qui provoque souvent l'effondrement des prix et la fermeture de l'économie.
Dans les cas graves de déflation, il ne peut y avoir d'argent disponible du tout, même dans les banques. Ce cauchemar s'est en fait produit pendant la Grande Dépression des années 1930, alors qu'il y avait des endroits aux États-Unis où il n'y avait pas du tout d'argent liquide. Plus récemment, cela s'est produit en Grèce, où les distributeurs automatiques de billets ont manqué d'argent et où les banques ont imposé des limites au montant d'argent pouvant être retiré.
Les gens n'avaient pas d'argent pour payer leurs factures ou acheter de la nourriture pour leur famille. Les employeurs n'avaient pas d'argent pour payer les employés, les clients n'avaient pas d'argent pour acheter des marchandises et de nombreuses personnes étaient réduites au troc pour survivre. Pendant la Grande Dépression, les agriculteurs payaient des professionnels tels que des mécaniciens et des médecins avec de la nourriture parce qu'ils n'avaient ni argent ni crédit.
La situation s'est tellement détériorée que dans certaines régions du pays, les gouvernements locaux, les chambres de commerce et les entreprises ont émis leur propre monnaie – le soi-disant certificat de dépression. Le certificat prenait souvent la forme de morceaux de papier que les gens utilisaient comme monnaie parce qu'il n'y avait pas de monnaie gouvernementale disponible. Le scrip servait à payer les travailleurs ou à acheter des marchandises.
À un moment donné pendant la Grande Dépression, la pénurie d'argent est devenue si grave que le gouvernement américain a envisagé d'émettre un certificat national comme alternative au dollar. Ce plan a finalement été abandonné et le gouvernement a résolu la crise en imprimant simplement plus de dollars.
Beaucoup de gens ont connu des survivants de la Grande Dépression qui aimaient garder de grosses sommes d'argent sous la main. D'autres amasseraient de la nourriture et d'autres articles. Ces gens ont développé cette habitude parce qu'ils se souvenaient de ce qu'était la vie sans argent. La peur de la déflation qui s'est produite dans les années 1930 les a hantés toute leur vie.
RépondreSupprimerLa réalité effrayante est que la menace de déflation est toujours réelle. Certaines personnes bien informées, telles que les experts en préservation de la richesse Will et Bill Bonner, pensent qu'une déflation soudaine conduisant à une pénurie d'argent nationale ou internationale est encore possible aujourd'hui.
Les Bonners, qui ont étudié certains des investisseurs avertis du monde tels que George Soros, pensent que la prochaine crise financière commencera par un "choc monétaire violent" similaire à celui qui s'est produit pendant la Grande Dépression. Ils prédisent que l'argent pourrait soudainement disparaître du jour au lendemain, provoquant un arrêt brutal de l'économie.
Que se passe-t-il lorsque l'argent disparaît
Les récits historiques de la Grande Dépression nous montrent certains des effets possibles d'un choc monétaire aussi violent. Les dommages causés par une déflation aussi violente peuvent inclure :
L'effondrement soudain des prix. La Grande Dépression a commencé avec l'effondrement des cours boursiers en 1929. Cela a été précédé par l'effondrement des prix agricoles aux États-Unis dans les années 1920. Pendant cette crise, les prix des terrains dans les zones rurales se sont effondrés, entraînant la faillite d'un grand nombre de banques rurales. Lorsque les banques ont fait faillite, le gouvernement les a liquidées ainsi que leurs actifs, qui comprenaient de nombreuses terres agricoles saisies, une action qui a encore fait grimper les prix et aggravé la crise.
Tout ce que vous avez - vos investissements, votre maison et vos biens - pourrait soudainement perdre toute sa valeur. Nous avons vu cela se produire pendant la bulle hypothécaire de 2007-2008, lorsque de nombreuses personnes se sont retrouvées «sous l'eau». Cela se produit lorsque le montant pour lequel une maison est hypothéquée dépasse la valeur de la propriété.
L'effondrement des prix pendant la Grande Dépression a particulièrement touché les agriculteurs qui dépendaient des prix des matières premières. Des films d'actualités du début des années 1930 montrent des agriculteurs jetant du grain sur le sol et versant du lait parce qu'ils ne pouvaient pas le vendre.
Les paniques bancaires et l'effondrement des institutions financières. Une panique bancaire ou panique bancaire se produit lorsque tous les déposants d'une banque tentent de retirer leur argent en même temps. Les paniques bancaires déclenchent souvent l'effondrement des institutions financières, ce qui entraîne encore plus de paniques bancaires. Entre 1930 et 1933, près de 10 000 banques ont fait faillite ou ont été suspendues. La panique s'est tellement aggravée que le président Franklin D. Roosevelt a en fait suspendu toutes les transactions bancaires aux États-Unis entre le 6 et le 10 mars 1933 pour empêcher de nouvelles ruées pendant son soi-disant «jour férié».
Pendant la crise bancaire des années 1930, de nombreux Américains ont perdu leurs économies tout simplement parce qu'ils n'ont pas pu se rendre à la banque assez rapidement et retirer leur argent. Même certaines personnes fortunées se sont retrouvées dans la rue et dans les files d'attente parce qu'elles ne pouvaient pas obtenir d'argent de la banque.
RépondreSupprimerChômage massif. C'est un fait simple et évident que lorsqu'il n'y a pas d'argent, il n'y a pas d'emplois. Au plus fort de la Grande Dépression en 1933, 24,75 % de la population active du pays, soit un travailleur sur quatre, étaient au chômage. Environ 12,83 millions de personnes étaient sans emploi à une époque où la population totale de l'Amérique n'était que d'environ 93 millions de personnes. Ce chômage a persisté pendant des années, avec 8,1 millions d'Américains toujours sans emploi en 1940, au cours de la 11e année de la Grande Dépression. Le chômage créé par la Dépression n'a pris fin que lorsque la Seconde Guerre mondiale a créé des « emplois » sous la forme de la conscription et de la production de guerre.
Faim et Famine. Sans surprise, la faim et, dans certains cas, la mort par famine peuvent devenir un problème après la déflation. Les historiens ne sont pas d'accord sur le nombre de personnes décédées pendant la Grande Dépression.
Expansion massive du gouvernement et de son pouvoir. Au cours de ses 100 premiers jours au pouvoir en 1933, Roosevelt a signé 15 textes législatifs majeurs, dont plusieurs ont établi de nouvelles bureaucraties massives. Au cours des années 1920, il y avait 553 000 employés civils du gouvernement fédéral, mais en 1940, le gouvernement fédéral comptait plus d'un million d'employés civils. Pour la première fois dans l'histoire américaine, le gouvernement fédéral a même tenté de fixer les prix des produits en vertu du National Recovery Act. Le gouvernement a également dit aux agriculteurs ce qu'il fallait cultiver en vertu de la loi sur l'ajustement agricole. Ces lois étaient si manifestement inconstitutionnelles que la Cour suprême des États-Unis les a annulées en 1935 et 1936.
Fiscalité accrue. Lorsque l'argent disparaît, le gouvernement devient désespéré et impose davantage d'impôts dans le but d'extraire plus d'argent de l'économie. Pendant la Dépression, le taux d'imposition maximum sur le revenu est passé de 20 % à 55 %, les taxes sur les donations sont passées de 0,75 % à 33,5 % et de nouvelles taxes ont été prélevées sur les automobiles, l'essence, les télégrammes, les appels téléphoniques et même les chèques. En 1934, les États-Unis avaient les taux d'imposition les plus élevés au monde. En 1935, les impôts ont de nouveau été augmentés. L'historien Murray Rothbard estime que le taux d'imposition effectif aux États-Unis est passé de 16 % à 29 % pendant la Dépression.
Pourquoi ça pourrait être pire aujourd'hui
RépondreSupprimerSi un tel événement devait se produire dans le monde d'aujourd'hui, il pourrait être bien pire que la Grande Dépression.
Les gens étaient beaucoup plus autonomes dans les années 1930, car un grand nombre de familles vivaient dans des fermes et cultivaient leur propre nourriture. Même de nombreux Américains qui vivaient en ville entretenaient des jardins et des poulaillers. À cette époque, les gens chassaient aussi pour la viande, mettaient et conservaient leur propre nourriture et cuisaient leur propre pain. Les gens ont également cousu leurs propres vêtements et réparé leurs propres voitures, ce qui leur a donné un haut niveau d'autonomie.
Aujourd'hui, la plupart des Américains dépendent uniquement des supermarchés pour se nourrir, et de nombreuses familles ne cuisinent même plus. Peu de gens prennent la peine de coudre, et la plupart d'entre nous ne changeons même pas l'huile de nos voitures. Si notre argent venait à disparaître, nous serions aussi impuissants que des enfants.
Il est temps que nous apprenions les leçons des Américains qui ont survécu à la Grande Dépression. Cette leçon était d'être aussi autonome que possible afin de pouvoir survivre, quoi qu'il arrive.
https://preppgroup.home.blog/2022/10/16/the-day-all-the-atms-ran-out-of-cash-the-sudden-collapse-of-prices-the-great-depression-began-with-the-collapse-of-stock-market-prices-in-1929-that-was-preceded-by-the-collapse-of-agricultural-pric/
Biden publie un décret pour promouvoir la biotechnologie agricole et alimentaire
RépondreSupprimer17 Octobre 2022
Gregory Jaffe*
Le 12 septembre 2022, le président Biden a publié un « décret sur la promotion de l'innovation en biotechnologie et en biofabrication pour une bioéconomie américaine durable, sûre et sécurisée ». Cette « Initiative Nationale en Matière de Biotechnologie et de Biofabrication » vise à faire progresser la biotechnologie et la biofabrication aux États-Unis afin de fournir des solutions innovantes dans les domaines suivants : « santé, changement climatique, énergie, sécurité alimentaire, agriculture, résilience de la chaîne d'approvisionnement et sécurité nationale et économique ».
Certains de ses objectifs sont d'accroître la capacité de biofabrication aux États-Unis (ce qui, espérons-le, entraînera une baisse du prix des médicaments), de stimuler la production de biomasse (c'est-à-dire de matières biologiques renouvelables ou récurrentes telles que les matières végétales et arboricoles et les déchets animaux et alimentaires) et de former la prochaine génération de scientifiques et d'ingénieurs dans les disciplines de la bioéconomie. Si une grande partie du décret met l'accent sur la santé, la médecine, l'énergie et les données biologiques, certaines sections spécifiques s'appliquent à l'agriculture et à l'alimentation. Voici mes observations sur ces sections spécifiques.
Des informations utiles seront générées et pourront éclairer la politique fédérale
Le décret donne 180 jours au Secrétaire à l'Agriculture pour soumettre un rapport sur la manière dont la biotechnologie et la biofabrication peuvent être utilisées pour l'innovation alimentaire et agricole. Si l'USDA mène une enquête approfondie, le rapport pourrait être une feuille de route identifiant le potentiel des produits biotechnologiques pour améliorer la durabilité, aider l'agriculture à s'adapter aux effets du changement climatique et à les atténuer, augmenter la qualité des aliments et leur contenu nutritionnel, et produire des sources alimentaires alternatives.
Dans le même temps, le directeur de l'OMB est tenu d'identifier les niveaux existants de dépenses de l'USDA en matière de biotechnologie et d'activités liées à la biofabrication. Un inventaire budgétaire détaillé de ce que les différentes agences et bureaux de l'USDA investissent dans la biotechnologie, en particulier s'il est ventilé en catégories telles que la recherche fondamentale, le développement de produits, l'évaluation et la gestion des risques, permettrait aux décideurs politiques de déterminer si l'investissement public dans la biotechnologie est suffisant pour réaliser le potentiel qui sera exposé dans le rapport du Secrétaire.
Le rôle de la FDA dans l'approvisionnement alimentaire et l'innovation biotechnologique n'est pas explicitement reconnu
Si l'USDA est le responsable désigné pour l'alimentation et l'agriculture, le Département de la Santé et des Services Sociaux est également mentionné à plusieurs reprises dans le décret et est désigné comme responsable de la santé et de la médecine. La Food and Drug Administration n'est mentionnée qu'une seule fois, à propos de l'examen de la nécessité d'améliorer la clarté et l'efficacité du processus réglementaire pour les produits biotechnologiques. La FDA joue un rôle important dans de nombreux domaines alimentaires, y compris les produits alimentaires innovants (par exemple, la viande cultivée sur cellules et les nouveaux ingrédients de fermentation), la nutrition, l'étiquetage des aliments et l'aquaculture. La FDA devrait être co-responsable avec l'USDA de toutes les questions relatives à la biotechnologie alimentaire.
Au lieu de cela, le décret charge le Secrétaire à l'Agriculture de consulter les agences appropriées sur toutes les innovations alimentaires et agricoles. Il sera essentiel que l'USDA ne se contente pas de s'engager auprès de la FDA, mais qu'il tienne compte de l'expertise et de la perspective de la FDA, qui diffère parfois des positions adoptées par l'USDA. On pourrait dire la même chose de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA), qui est impliquée dans de nombreux produits de la bioéconomie (par exemple, les biopesticides et les micro-organismes fixateurs d'azote) qui affectent l'agriculture et l'environnement.
RépondreSupprimerLa section sur la réglementation – Nous avons déjà lu la même chose auparavant
Le décret est pertinent lorsqu'il affirme que « la complexité du système réglementaire actuel des produits biotechnologiques peut être source de confusion et créer des difficultés pour les entreprises » (ainsi que pour les parties prenantes et les consommateurs). Une déclaration très similaire se trouve dans le décret émis par le président Trump en 2019 et dans des documents gouvernementaux antérieurs.
Le décret exige que l'USDA (Département de l'Agriculture des États-Unis), l'EPA (L'Agence de protection de l'environnement des États-Unis) et la FDA (Agence fédérale américaine des produits alimentaires et médicamenteux) identifient les « domaines d'ambiguïté, de lacunes et d'incertitudes », puis fournissent un plan de réforme réglementaire. Pour ceux d'entre nous qui ont étudié le système réglementaire américain, les « ambiguïtés, lacunes et incertitudes » sont bien connues depuis des années et découlent de la réglementation de produits nouveaux et inédits à l'aide de lois qui n'ont jamais envisagé de tels produits (c'est-à-dire comme faire entrer une cheville carrée dans un trou rond).
Le décret souligne également la nécessité de « prendre des mesures concrètes pour réduire les risques biologiques liés aux progrès de la biotechnologie » et d'investir dans la biosûreté et la biosécurité. La question sera de savoir comment l'administration Biden parviendra à équilibrer ces deux mandats. Comment garantira-t-elle la sécurité des produits biotechnologiques (ce qui est essentiel pour la confiance et l'acceptation des consommateurs) tout en mettant en place un système réglementaire fondé sur la science, proportionné, transparent et participatif.
Pendant que le gouvernement fédéral travaille à la réforme de la réglementation (qui, nous le savons tous, est un long processus), le décret identifie certaines actions à court terme qui pourraient être très bénéfiques. Il s'agit notamment de fournir au public des « informations en langage clair sur les rôles, les responsabilités et les processus réglementaires de chaque agence » et des études de cas sur les agences qui réglementent différents produits biotechnologiques nouveaux. Le décret prévoit également la création d'un site web unifié où les demandes de renseignements sur un produit particulier pourront être soumises et où les demandeurs recevront une réponse fédérale coordonnée.
Dans l'ensemble, le décret souligne la valeur de la bioéconomie et la nécessité d'une politique coordonnée et d'un plan de mise en œuvre pour que les États-Unis restent un leader dans ce domaine. Cependant, comme c'est toujours le cas, le diable se cache dans les détails et ce sont ces détails qui détermineront si l'impact final de cette initiative est positif, négatif ou neutre.
RépondreSupprimer______________
* Source : Biden Issues Executive Order Promoting Agriculture and Food Biotechnology - Alliance for Science (cornell.edu)
https://seppi.over-blog.com/2022/10/biden-publie-un-decret-pour-promouvoir-la-biotechnologie-agricole-et-alimentaire.html
« Printemps silencieux » de Rachel Carson, automne babillard de Stéphane Foucart
RépondreSupprimer17 Octobre 2022
Le 9 octobre 2022, le Monde publiait sur son site Web une chronique de M. Stéphane Foucart, « “Printemps silencieux” permet de mesurer l’étendue de la victoire de l’industrie chimique contre les sciences de l’environnement ».
En chapô :
« Il y a soixante ans, le livre de la biologiste américaine Rachel Carson lançait le mouvement environnementaliste moderne. Le relire montre que l’usage massif des pesticides dont il dénonçait alors les ravages est aujourd’hui devenu la norme. »
Dans l'édition papier des 9 et 10 octobre 2022, le titre a été raccourci en : « "Printemps silencieux", si actuel », mise en page sur deux colonnes oblige.
On ne saurait nier l'importance de « Printemps silencieux », fréquemment décrit comme l'acte de naissance du mouvement environnementaliste contemporain aux États-Unis d'Amérique, pour ce qui concerne les effets délétères de l'utilisation des pesticides dangereux sur la santé publique et l'environnement.
Pour le reste, une chronique est une chronique... L'auteur peut y exprimer ses opinions à sa guise... sous le regard scrutateur, en principe, du rédacteur en chef.
Or cela commence mal dès le titre, qui relève du casse-tête : comment un ouvrage de 1962 peut-il permettre de mesurer une « victoire » qui, à l'évidence, est une fiction ?
De même, on ne peut qu'être stupéfait devant l'audace du chapô.
C'est faire un monstrueux anachronisme que de déclarer que « [l]e relire montre que l’usage massif des pesticides dont il dénonçait alors les ravages est aujourd’hui devenu la norme ». Ce n'était pas un ouvrage d'anticipation !
Il est tout aussi indécent, à notre sens, de prétendre que « l'usage massif » est la « norme ».
C'est, franchement, prendre les agriculteurs pour des idiots, tout comme d'autres acteurs de la vie économique et sociale, en particulier les agences d'évaluation et les autorités de réglementation.
Faut-il être aussi aveuglé par l'idéologie pour refuser de constater que les molécules préoccupantes qui étaient autorisées dans les années 1960 et suivantes – selon des procédures qui laissaient effectivement à désirer – ont été retirées du marché ? Que sont en passe de l'être celles qui sont encore sur le marché mais qui sont devenues préoccupantes à la lumière des nouvelles connaissances – issues, notamment, des progrès des « sciences de l'environnement » évoquées dans le titre de l'article – et dans le contexte d'une attention grandissante aux risques réels, et même suspectés, voire imaginés ?
En outre, pour la France, les statistiques montrent une baisse tendancielle sur le long terme. Du reste, elle finira un jour par s'arrêter lorsqu'on aura atteint le minimum en-deçà duquel la protection phytosanitaire ne sera plus suffisamment assurée, voire par s'inverser si, les molécules efficaces ayant été supprimées, les agriculteurs seront obligés de recourir à des produits qui le sont moins.
- voir graph sur site -
(Source)
Les années 2018 et 2019 sont des anomalies, les agriculteurs ayant procédé à des achats anticipés en 2018 à cause de l'augmentation de la taxe pour pollutions diffuses intervenues au 1er janvier 2019. (Source)
RépondreSupprimerEt, pour le monde, quoi de plus normal que le recours aux produits de protection des plantes augmente avec le développement de l'agriculture et la nécessité de nourrir une population en croissance et globalement plus exigeante ?
Selon les statistiques de la FAO, on utilisait quelque 1,7 millions de tonnes en 1990, et 2,7 millions de tonnes en 2020... un chiffre relativement stable depuis 2010 !
La dissonance cognitive ne s'arrange pas dans le texte !
« Pour autant, avec six décennies de recul, il fait peu de doute que l’industrie chimique est sortie globalement gagnante de la bataille engagée au printemps 1962. [...] »
Cela fait écho au titre de la version électronique de la chronique, et cela relève de la psychose !
La boîte à outils de la protection des plantes se vide, y compris ensuite de manœuvres frauduleuses de milieux anti-pesticides (de synthèse...), d'un recours abusif à un « principe de précaution » mal interprété ou encore de décisions démagogiques. Les conditions et restrictions d'usages se font aussi plus contraignantes.
Il n'y a qu'à voir les « débats » sur le glyphosate, emblématique victime de la désinformation... et aussi l'utilisation du système judiciaire américain pour rançonner les fabricants.
Et ça continue...
« […] Pour le comprendre, il ne suffit pas de constater que l’agriculture industrielle dopée aux intrants reste maîtresse du globe, que toutes les molécules interdites sont aussitôt remplacées par d’autres souvent plus problématiques, que l’intensité de leur usage ne cesse de s’accroître, ou que l’essentiel des subventions publiques à l’agriculture continuent de nourrir cette spirale. »
Comment ne pas avoir la nausée devant ce dérapage intellectuel qui aligne les mots et formules les plus dénigrants possibles ?
- voir cadre sur site -
L'agriculture « industrielle » – forcément « dopée aux intrants » pour ceux, notamment, qui ont le privilège de pouvoir recourir à des aliments issus d'un autre mode de production faussement estampillé « vertueux » – fournit l'essentiel de l'alimentation mondiale.
Ouvrons une parenthèse : avec la guerre en Ukraine, une partie de notre monde politique qui succombait aux sirènes de l'agriculture « biologique », le cas échéant déguisée en « agro-écologie », découvre avec stupeur que nous risquons de manquer d'« intrants » essentiels, les engrais.
Même pas six mois d'écart...(Source et source)
RépondreSupprimer- voir photos sur site -
La réglementation des produits de protection des plantes est de plus en plus stricte et c'est, au mieux, une grossière erreur que d'affirmer qu'une substance interdite est illico remplacée par une autre plus problématique.
- voir graph sur site -
(Source)
Pour l'usage, nous avons déjà vu ci-dessus. Et, toutes autres choses étant égales par ailleurs, l'agriculture/agriculteur biologique touche plus que l'agriculteur conventionnel... et beaucoup, beaucoup plus par unité de denrée produite.
Il y a encore, dans le registre dénigrant et outrancier :
« les usages massifs, systématiques et indiscriminés, de produits destinés à détruire le vivant ».
Recourant au sophisme de l'appel à l'autorité – « grand résistant et président de l'Académie des sciences en 1963 » –, l'auteur cite la préface de la première édition de « Printemps silencieux » du biologiste Roger Heim (la préface de l'édition de 1968, a priori, la même est ici ; la dernière édition est préfacée par... Al Gore) :
« Qui mettra en prison les empoisonneurs publics instillant chaque jour les produits que la chimie de synthèse livre à leurs profits et à leurs imprudences ? »
Et d'opiner, après nous avoir servi le bobard des 75 % d'insectes qui auraient disparu « dans les campagnes occidentales » (c'est le fruit, largement diffusé, d'une étude pourrie) et d'autres billevesées :
« Aujourd'hui [...], aucun homme de science ne pourrait se risquer à de tels propos. »
On tombe là dans le grotesque. Il faut peut-être entendre que l'industrie agrochimique dispose de tels pouvoirs qu'elle peut museler des scientifiques. Une simple recherche avec votre moteur préféré vous montrera que la phrase en cause est très largement citée.
Mais M. Stéphane Foucart se doit d'enfoncer le clou :
« Les "empoisonneurs publics" fustigés dans les années 1960 par Roger Heim sont devenus des léviathans qui imposent leur volonté aux Etats ; ce qui était craint ou bien vécu comme scandaleux et insupportable au mitan du siècle passé est peu à peu devenu la norme. C'est ce que Rachel Carson redoutait le plus. »
Nous n'oserons pas prêter des pensées ou des sentiments à Rachel Carson. En revanche, nous avons – tous, M. Stéphane Foucart et les gens de même obédience exceptés – une expérience de première main sur la puissance et les nuisances alléguées des « léviathans »...
RépondreSupprimerLe Monde a publié...
https://seppi.over-blog.com/2022/10/printemps-silencieux-de-rachel-carson-automne-babillard-de-stephane-foucart.html
Bien-sûr que c'est là une parenthèse dérangeante mais je veux l'exprimer: (rappel:) "Nous respirons toutes et tous (avec ou sans masque) 200 000 virus (poussières) ou microbes PAR MINUTE ! soit DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance" ! Çà alors ! ET NOUS NE SOMMES PAS MOOOOOORT(E)S !!
SupprimerC'est tout dire des éléments toxiques (pisse et merde) que notre organisme rejette ! (Ne croyez pas que les plantes s'en accommodent !)
C'est aussi tout dire de la valeur des 'examens' menés sur la toxicité des intrants (engrais, herbicides, etc) !
C'est aussi se demander à l'automne du pourquoi les feuilles tombent. Les arbres présentent parfois des branches mortes ! (Çà alors ! mais pourquoi ?!). Ils évacuent (c'est leurs choix) les éléments toxiques absorbés dans le sol ! D'où l'imbécilité de conserver ses feuilles et branches pour en faire de l'engrais !
« Nouveaux OGM » : les scientifiques insultés par un eurodéputé
RépondreSupprimer16 Octobre 2022
Le 29 septembre 2022, la fraction des Verts/ALE du Parlement Européen a publié un « rapport » intitulé « Behind the Smokescreen » (derrière l'écran de fumée) avec en sous-titre, « Les intérêts particuliers des scientifiques de l'UE qui font pression pour la déréglementation des OGM ».
Nous l'avons analysé dans « "Nouveaux OGM" : les Verts/ALE du Parlement Européen sombrent dans le maccarthysme ».
Mme Michèle Rivasi, l'une des eurodéputés « responsables » du rapport a cru bon de publier le 3 octobre 2022 un billet sur son site, « [Communiqué] "Les scientifiques favorables à la déréglementation des OGM sont empêtrés dans des conflits d’intérêts" ».
Son texte ne pose pas de problèmes majeurs, étant essentiellement une description du rapport et de son contenu. Sa propre déclaration personnelle, certes plus incisive, reste dans les limites du salonfähig.
Mais voici, brute de décoffrage, la déclaration de M. Benoît Biteau, « paysan, agronome et député européen Verts/ALE, vice-président de la Commission Agriculture » – un « paysan » qui oublie du reste de déclarer ses conflits d'intérêts en sa qualité de pratiquant de l'agriculture biologique :
« Les remparts établis en matière de réglementation sur les organismes génétiquement modifiés établie par l’Union Européenne se fragilisent considérablement à la veille d’une proposition de la commission européenne sur les nouveaux OGM. Manipuler la science, corrompre nos démocraties et la science, dévaster notre environnement et nos santés, les multinationales de l’agrochimie et des biotechnologies sont prêtes à tout pour gonfler leurs profits.
En se faisant, les avocats des biotechnologies afin de servir au mieux leurs intérêts personnels, ces pseudos-scientifiques, bardés de diplômes, jettent un discrédit sur la science en général. Ces conflits d’intérêts font un tort considérable à l’ensemble de la communauté scientifique.
Dans le contexte actuel de réchauffement climatique, l’agriculture, les paysan·nes ont besoin d’une connaissance scientifique renouvelée que les industriels, BASF en tête, est incapable de fournir. Nous avons besoin d’une science de la nature qui nous permet de mieux comprendre les sols, qui soit en mesure d’augmenter le stockage du carbone et de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
La Commission européenne ne doit pas céder face aux lobbys. Elle doit maintenir la législation actuelle sur les OGM et interdire également les nouvelles variétés de plantes manipulées. Ces variétés trafiquées ne doivent ni être semées dans les pays de l’UE ni être importées. Nous ne voulons toujours pas d’OGM dans nos champs ou dans nos assiettes ! »
On est là, dans le registre habituel des outrances haineuses à l'égard des « multinationales... », du complotisme primaire et de l'illogisme argumentatif.
Mais un palier nous semble franchi avec la mise en cause des scientifiques qui s'expriment en faveur de l'utilisation des « nouvelles techniques génomiques » et de l'adaptation de la législation européenne sur les OGM aux nouvelles réalités – aux perspectives de progrès ainsi qu'aux défis multiples à relever.
C'est une accusation grave que d'affirmer que ces scientifiques – déclassés en « pseudo-scientifiques », mais tout de même « bardés de diplômes » – s'expriment et se positionnent « afin de servir au mieux leurs intérêts personnels ». En bref, ils sont – tous – malhonnêtes.
RépondreSupprimerIl serait vain de demander que ce dérapage suivi d'un vol plané fasse l'objet de sanctions dans le cadre de son groupe ou du Parlement Européen dans son ensemble. On peut au contraire défendre sa liberté d'expression... qui finira par convaincre de plus en plus de monde que, décidément, il y a un problème.
Additif du 17 octobre 2022
Des Verts/ALE se sont opposés au Parlement Européen à un amendement oral présenté en plénière par M. François-Xavier Bellamy à l'effet d'interdire à l'Union Européenne de faire la promotion du hijab.
On reconnaît, quasiment au centre... M. Benoît Biteau. Il y a aussi, debout, Mme Marie Toussaint (tournant la tête), M. Damien Carême (derrière M. Benoît Biteau)
Dans la deuxième capture, M. François Alfonsi, Mme Karima Delli, M. David Cormand, M. Claude Gruffat, M. Yannick Jadot, Mme Michèle Rivasi, M. Mounir Satouri... bref, tous (sauf erreur).
Mais il y a aussi eu des oppositions sur les bancs Renew (par exemple Mme Sophia In 'T Veld – N° 399).
- voir clips sur site :
https://seppi.over-blog.com/2022/10/nouveaux-ogm-les-scientifiques-insultes-par-un-eurodepute.html
(...) Dans le contexte actuel de réchauffement climatique, (...)
SupprimerHAHAHAHA ! du REFROIDISSEMENT climatique !
La politique européenne de réduction des rejets d’élevage
RépondreSupprimer16 Octobre 2022
Robert Pinot
(Source)
« Les pénuries alimentaires sont programmées avec maestria dans l'Union Européenne : le cas des Pays-Bas » a attiré un commentaire d'un personnage qui, en d'autres temps, fut aux avant-postes de la politique européenne de réduction des rejets d'élevage. Je le reproduis avec plaisir.
L'auteur, M. Robert Pinot, est ingénieur agronome, sorti de l'Institut National Agronomique, devenu AgroParisTech.
Au début des années 90, différents États européens se sont inquiétés de l’augmentation régulière de la teneur en nitrates des eaux de surface, qui rendait difficile le respect de la norme de potabilité de 50 mg par litre. Par ailleurs cette augmentation était rendue responsable de la prolifération locale d’algues vertes, particulièrement en Bretagne. L’origine de cette situation était généralement attribuée à l’augmentation importante des élevages, en particulier des élevages hors sol.
Parmi les actions entreprises, il y eut un programme de recherches européennes associant différents instituts de recherche, dont en France l’INRA, et des industriels, pour étudier la possibilité de réduire ces rejets d’azote en modifiant la conception des aliments des porcs.
A la fin des années 90, une réglementation fut adoptée au niveau européen sous l’intitulé résumé Directive Nitrates, limitant les épandages d’azote à 210 kg par ha, plafond qu’il était prévu de ramener au bout de quelques années à 170 kg. En France, et particulièrement bien sûr en Bretagne, de nombreux éleveurs modifièrent leur conduite d’élevage, et aussi s’équipèrent de stations d’épuration, efficaces mais coûteuses.
Cette politique fut positive, puisque le niveau de nitrates dans les eaux de surface de Bretagne était nettement en baisse à la fin des années 2010, et que la prolifération des algues vertes a été limitée à certains sites favorables à leur développement naturel.
Le cas des Pays Bas
Les promoteurs de cette politique étaient bien entendu conscients qu’elle poserait des problèmes sérieux dans les pays où la densité des élevages étaient la plus forte, soit les Pays Bas et certaines provinces belges. On ne peut rejeter la pensée que cette perspective n’était pas prise en compte par certains de leurs concurrents. Aussi le fait que, vers le milieu des années 2000, lors de la suppression des quotas laitiers, le marché laitier européen ait été complètement déstabilisé par une augmentation massive de la production laitière néerlandaise, n’a pas manqué de surprendre. Il est vrai qu’elle a été partiellement compensée par une réduction de la production porcine, au profit de l’Allemagne voisine.
La clef de l’énigme a été trouvée vers l’an 2010 par une organisation professionnelle française du secteur bovin (et non par l’Administration dont c’était pourtant la mission) : au début des années 2000, les Pays-Bas ont négocié en catimini avec l’administration européenne une exception à la directive nitrates leur permettant d’élever leur plafond de rejets à 250 kg d’azote à l’hectare, soit quelque 50 % de plus que le plafond existant dans les autres pays (170 kg). On peut supposer que les négociateurs néerlandais ont invoqué la difficulté particulière pour leurs éleveurs de respecter le plafond général, et que leurs partenaires de la Commission Européenne ont donné leur accord en demandant un effort progressif sur une période que les événements actuels amènent à fixer à 20 ans.
RépondreSupprimerQue s’est-il passé ? Les politiques néerlandais (mais il en aurait été de même sous d’autres cieux) ont profité de cette souplesse obtenue pour encourager le développement de l’élevage laitier, mais bien entendu sans dire aux éleveurs qu’au bout, il y avait le mur de la politique européenne, mur qui se concrétise maintenant, et qui n’est pas une décision propre aux Pays Bas. Il serait intéressant de savoir ce qu’il en a été de la qualité de l’eau. Par ailleurs, il faudrait analyser de près la réglementation actuelle aux Pays-Bas, qui porte sur l’ammoniac et les ions nitreux, pour faire la relation avec la directive nitrates.
En toute justice, il ne convient donc pas de fustiger une soi-disant politique écologique des autorités publiques néerlandaises, mais d’exiger des agriculteurs et des organisations professionnelles des Pays-Bas qu’ils assument les contraintes et les investissements que leur collègues européens (et en particulier bretons) ont réalisé il y a maintenant vingt ans.
https://seppi.over-blog.com/2022/10/la-politique-europeenne-de-reduction-des-rejets-d-elevage.html
TOUS les vivants (humains, animaux et végétation) reversent à la terre ce qui lui ont pris ! Çà alors !!
SupprimerDepuis TOUJOURS les mers & océans sont DES BASSINS DE MERDES ! (les poissons chient dedans !!) et, malgré cela... l'eau infiltrée aux fonds des mers & océans vers le magma ressort... toute propre !! aux sources de montagnes et nappes phréatiques !!! Çà alors !!
Rappel que le pauvre Christopho Colombo (contemporain de Léonard de Vinci) emportait 'vers les Indes' des tonneau d'eaux !! (croyait-il que l'eau devant lui allait manquer ?). Car en ce 12 octobre 1492 (y a 530 ans) ils ne savaient encore boire l'eau de mer !! (Ses caravelles avaient un foyer pour cuire la pêche et, il suffit donc de prendre un récipient et de le remplir d'eau sale, noire, urine, etc, et de le poser dans une poêle sur le feu. Mettre un récipient plus grand dessus-dessous sur la boite centrale dans la poêle. L'eau bout, émettant de la condensation qui s'écoule dans la poêle. Cette eau est pure, sans odeur, ni couleur, ni goût et sans bactérie).
Donc, de parler d'eaux sales n'est PAS un problème pour quelqu'un d'intelligent qui se passera des 'stations d'épuration' (HAHAHAHA !), qui n'épurent que les porte-feuilles !
Bon et mauvais en même temps ? Oui, c'est possible...
RépondreSupprimer15 Octobre 2022
Fritz l'agriculteur chez Willi l'agriculteur*
Fritz l'agriculteur, mon collègue de Haute-Autriche, a découvert une chose étrange...
...L'Allemagne face au dilemme d'Ulysse...
...ou comment j'ai appris à aimer Charybde et Scylla.
Nous savons, grâce aux médias et aux informations se fondant sur les ONG, que le gaz carbonique est très mauvais. Si nous avons trop de gaz carbonique, le monde ne fonctionnera bientôt plus. C'est grave.
Ceux qui ont suivi ces mêmes médias et actualités se fondant sur les ONG ces derniers temps ont dû constater avec étonnement que le gaz carbonique n'est pas un problème : si nous n'avons pas assez de gaz carbonique, rien ne va plus dans le monde. Et c'est grave aussi.
Comment ? se demandent certains Ulysse pleins de ruses. Alors que le monde des ONG est habituellement si simple : 1 problème – 1 coupable – 1 solution. Comme le citoyen lambda le constate avec un étonnement croissant, les « experts » du gouvernement allemand ont de plus en plus de mal à résoudre deux problèmes en même temps (par exemple, la transition énergétique sans énergie venant de quelque part).
Il en va de même (uniquement pour les non-agriculteurs) pour le mot-clé « transition agricole ». Jusqu'à présent, les unidimensionnels (1 problème – 1 coupable – 1 solution) pouvaient se rassembler derrière les platitudes du genre « Pas de vaches – pas de méthane », ou « Pas d'engrais chimiques – 100 % bio », ou « Plus de rotation des cultures – mais d'urgence plus de blé ».
Au plus tard depuis la crise ukraino-russe, beaucoup lisent de temps en temps que tout est bêtement lié à tout. C'est le cas même pour ce qui était jusqu'à présent si mal et ce qui était, disons, tout à fait agréable et pas si mal.
Prenons l'exemple du gaz carbonique :
Les Britanniques manquent de gaz carbonique, et des pénuries de viande fraîche et de bière menaçaient déjà en 2021. Et ces jours-ci, on a même entendu dire que la pénurie de gaz carbonique met en danger l'industrie alimentaire.
La raison presque incroyable est donc la suivante : on manque de gaz carbonique ! ! !
RépondreSupprimerEt sans gaz carbonique, il n'y a pas de gaz carbonique dans la bière, les sodas et les boissons rafraîchissantes. Et il n'y en a pas pour conserver les produits emballés comme la charcuterie et le fromage (bio et conventionnel). Il n'y a pas de glace carbonique pour les produits surgelés très appréciés (bio et conventionnels). Il se peut même qu'il n'y ait bientôt plus assez de gaz carbonique pour la fabrication du pain. C'est vraiment stupide.
Et le contexte est encore plus incroyable : ce gaz carbonique soudain si apprécié provient de la fabrication d'engrais, si mal vue. Imaginez un peu : la pauvre humanité allemande absorbe jour après jour un déchet de la production d'engrais artificiels – par litres et par kilos. Et c'est précisément à cause de ce gaz carbonique que tout le monde aime sa bière, son pain et son soda pour accompagner sa pizza surgelée.
On peut se faire livrer cela jusqu'à sept fois par semaine par des services de livraison. Mais voici le coup de grâce. Bringbutler, eGourmery, foodora, Lieferando, Lieferheld, pizza.de et tous les autres ne pourront peut-être bientôt plus faire cela avec la nourriture et les boissons. Et encore moins tous les autres services de livraison de marchandises.
Car, malheureusement, l'AdBlue est un « déchet » de la production d'engrais, si malfaisante. L'AdBlue est nécessaire pour purifier les gaz d'échappement des moteurs diesel des voitures et des camions, et s'il n'est plus disponible en quantité suffisante, de larges pans de la chaîne logistique pourraient tomber en panne. Les rayons seraient alors vides. Plus vides qu'au début de l'ère Covid. Et surtout vides plus longtemps. Alors nous aurons vraiment un problème (pas seulement en Allemagne).
Mais le meilleur est toujours à la fin. Vous souvenez-vous de l'atlas des pesticides ? Il a de toute façon été diffusé en boucle dans tous les médias « informatifs-de droit public » avec ou sans mission éducative. Depuis que, en 2016, les statistiques sur les produits phytosanitaires pour l'agriculture ont intégré l'une des substances actives les plus toxiques (devinez : le CO2 = gaz carbonique), les « vérificateurs de faits » des ONG qui se fondent sur des « faits » ne lisent plus qu'une seule tendance : une consommation accrue chaque année. Pouah, l'agriculture, cette vilaine disséminatrice de poison. (voir : « Der “Hirn-Aus”-Reflex » (le réflexe « arrêt du cerveau ») de Willi l'agriculteur.
Il faut bien se rendre compte de cela : le même gaz carbonique, dont tout le monde écrit qu'il est un PESTICIDE très dangereux dès lors qu'il est utilisé dans l'agriculture, devient en un rien de temps – dès lors qu'il est utilisé dans le reste de l'économie – une denrée rare irremplaçable et très convoitée, sans laquelle rien ne va plus en Allemagne (et en Europe).
Le gaz carbonique est donc un pesticide qui, en tant que « déchet » issu de la production d'engrais réprouvée, peut arrêter le monde. Parfois parce qu'il y en a trop, parfois parce qu'il n'y en a pas assez. Avec du gaz carbonique, rien ne va plus, mais sans gaz carbonique, rien ne va plus non plus. Un dilemme d'Ulysse entre Charybde et Scylla.
Et tout cela se passe même AVANT l'entrée en vigueur du Green Deal de l'UE, selon lequel toute l'Europe doit pouvoir utiliser (et donc produire) 50 % d'engrais en moins.
RépondreSupprimerC'est donc une bonne chose que les quantités d'engrais et de pesticides soient réduites de moitié. Les gens n'auront enfin plus de soucis.
Ils auront moins à manger, ils auront moins à boire (surtout de la bière et des sodas), ils auront moins de provisions, ils auront moins de services de livraison...
Ah, c'est une époque merveilleuse qui s'annonce en Europe.
Ou alors, nous apprenons à vivre avec un dilemme et à organiser le « tant l'un que l'autre » avec bon sens.
Pour ne pas finir dans un dilemme comme l'âne de Buridan.
Complément de Willi : Dans le langage courant [allemand], Charybde apparaît dans l'expression « entre Scylla et Charybde ». Cela désigne un dilemme dans lequel on est confronté à un choix sans issue entre deux maux, dans lequel on doit décider entre deux dangers incontournables. Il est impossible de sortir de ce dilemme sans dommage. (Source : Wikipedia)
https://seppi.over-blog.com/2022/10/bon-et-mauvais-en-meme-temps-oui-c-est-possible.html
Même si Berlin devait maintenant voter contre l'autorisation avec la participation des Verts au sein du gouvernement fédéral, il est peu probable que la proposition de la Commission soit rejetée. La disparition du Royaume-Uni en tant que partisan de la matière active ne devrait pas non plus changer la donne.
RépondreSupprimerChoc de coalitions lors de la décision de 2017
Comme on le sait, lors de la dernière autorisation en 2017, l'Allemagne avait voté pour une réautorisation de la substance active herbicide pour cinq ans sous la direction de Christian Schmidt, alors ministre fédéral de l'Agriculture de la CSU, au grand dam de son partenaire de coalition, le SPD, assurant ainsi une majorité qualifiée de « oui ».
En 2017, lors de la réunion du comité qui devait décider, 17 autres pays de l'UE, en plus de l'Allemagne, s'étaient prononcés pour la réautorisation du glyphosate, dont l'Espagne, la Pologne, les Pays-Bas, le Danemark et la Roumanie. Neuf pays avaient voté contre, dont la France, l'Italie et l'Autriche. Le Portugal était le seul pays de l'UE à s'être abstenu.
Avec du matériel de AgE
______________
* Source : Glyphosat: Verlängerung in Sicht – für ein Jahr | agrarheute.com
Ma note : On se souvra qua la position française a été largement due à l'activisme de Mme Ségolène Royal, « récompensé » par un bouquet de fleurs, dont elle s'est vantée.
(Source)
Quant au vote allemand en faveur du renouvellement de l'autorisation du glyphosate, il a trouvé pour partie son motif dans des bisbilles entre le ministre de l'Agriculture Christian Schmidt (CSU) et la ministre de l'Environnement Barbara Hendricks (SPD).
https://seppi.over-blog.com/2022/10/glyphosate-prolongation-en-vue-pour-un-an.html
Pas de Round'Up = pas de blé = pas de pains !
SupprimerALIMENTATION : VERS UNE PÉNURIE DE RIZ EN FRANCE À CAUSE DU CLIMAT ?
RépondreSupprimerpar PAOLO GAROSCIO
17/10/2022
L'Insee a annoncé une hausse du prix du riz de 12 % sur un an en septembre 2022.
Les événements climatiques exceptionnels de 2022 on eu l’effet escompté sur la production de riz mondiale : elle est en forte baisse. Que la production soit européenne ou asiatique, elle a été touchée par la sécheresse et d’autres problèmes majeurs. Résultat : le risque de pénurie est réel, et ce dès la fin de l’hiver 2022-2023.
Le climat met à mal la production de riz
Pour produire du riz… il faut d’énormes quantité d’eau. Les rizières sont en effet inondées pour faire pousser la plante, ensuite récoltée. Sauf que, sans surprise, quand une sécheresse record frappe les zones productrices, la production baisse. Et c’est bien ce qu’il s’est passé en 2022.
L’Italie, notamment, premier producteur de riz européen avec plus d'1,5 million de tonnes par an (contre 50.000 pour la France, en comparaison) s’attend à une année horrible. La production pourrait chuter de 30 à 50 %, selon les estimations de l’Ente Risi qui surveille le secteur. Espagne et Grèce n’ont pas été non plus épargnées.
Et l’Asie n’est pas en reste : Inde et Pakistan ont été frappés par une sécheresse record suivie de fortes pluies. La production reculerait de plus de 250.000 tonnes dans les deux pays qui pourraient fortement réduire l’offre proposée à l’exportation.
Le riz risque d’être compliqué à trouver sur les étals en France
Le Syndicat de la Rizerie Française, interrogé par BFMTV, craint donc déjà le pire : au printemps 2023, lorsque la nouvelle production est censée arriver dans les supermarchés, les tensions pourraient être au rendez-vous. « S'il n'y a pas de ruptures complètes, il y aura au moins de fortes perturbations d'approvisionnement », juge Thierry Levin, président du Syndicat de la Rizerie Française.
Naturellement, qui dit pénurie et tensions sur les exportations, dit hausse des prix. Outre une production en baisse, la hausse des prix de l’énergie et du coût du transport feront également grimper la facture, déjà en hausse en septembre 2022 par rapport à septembre 2021 (+12 %). Le prix devrait donc coûter encore plus cher, lorsqu’il sera disponible...
https://www.economiematin.fr/news-penurie-riz-france-hausse-prix-climat
LES MÉTAUX INDUSTRIELS BAISSENT, LE FRET MARITIME AUSSI. FIN DE L'INFLATION ?
RépondreSupprimerpar CHARLES SANNAT
18/10/2022
Le coût du frêt maritime avait dépassé les 10.000 dollars en 2021
Les métaux industriels et le fret maritime voient leur prix baisser fortement cette année. Est-ce un effet collatéral de la peur d’une récession qui se dessine à l’horizon ? Est-ce une bonne nouvelle pour l’économie mondiale ? Voilà le sujet d’Ecorama de ce lundi 17 octobre 2022 sur lequel nous avons échangé avec David Jacquot.
Alors que dire ?
D’abord que l’inflation des prix à la production est très forte, et qu’effectivement avec la baisse des matières premières et du fret, nous pourrions espérer que ces prix à la production augmentent moins vite ce qui ferait baisser la hausse de l’inflation des prix tout court. Mais pour que cela fonctionne vraiment, il faudrait que les prix de l’énergie cessent aussi d’être délirants, particulièrement en Europe où nous faisons n’importe quoi dans le mode de calcul.
Pour que vous puissiez visualiser la décrue des cours évoqués pendant cette vidéo je vous fais copie de quelques graphiques ci-dessous.
Ci-dessous vous avez les cours du fret maritime qui s’établissent à 3 540 $ soit quelques dizaines de dollars de plus que la moyenne des cours à 5 ans qui est de 3 469 $. En clair la récession n’est pas dans les cours. Vous avez pour le moment la correction du choc d’offre occasionné par les deux années Covid et les terribles perturbations qui ont touché l’économie mondiale.
- voir graph sur site -
Ci-dessous les cours de l’aluminium. Comme vous pouvez le voir, ils sont largement plus hauts que les points bas que nous retrouvons dans les 10 dernières années.
Là encore, une éventuelle récession n’est pas dans les cours !
- voir graph sur site -
Enfin, ci-dessous les cours du cuivre. Ils sont en forte baisse par rapport aux points hauts des années Covid, mais largement plus hauts que les points bas. Là encore le potentiel de baisse des métaux industriels est important en cas de récession forte début 2023.
- voir graph sur site -
Ce sont donc toutes ces réflexions que je vous propose dans cette vidéo de la semaine d’Ecorama.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
https://www.economiematin.fr/news-inflation-tendance-marche-matiere-premiere-baisse-sannat
Biden se prépare à arrêter la fabrication américaine avec l'interdiction d'importer tout l'aluminium russe
RépondreSupprimerlundi 17 octobre 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Joe Biden est en train de mettre la touche finale à un décret qui, une fois promulgué, fera chuter la fabrication américaine et fera baisser davantage l'économie américaine, mais bien sûr, il prévoit de blâmer ses actions sur la Russie, la Russie, la Russie.
Les agents de l'État profond qui dirigent le régime de Biden lui feront bientôt signer un décret qu'ils ont rédigé interdisant l'importation d'aluminium de Russie. Selon Bloomberg News, les gestionnaires de Biden envisagent trois options : une interdiction pure et simple, l'extension des tarifs à des niveaux qui imposeraient une interdiction effective et/ou la sanction du premier producteur de métaux du pays, United Co. Rusal International PJSC.
Parce que la gauche mondialiste de l'État profond a depuis longtemps fait le plein de fabrication américaine de métaux lourds, la Russie est le deuxième producteur d'aluminium derrière (attendez-le) la Chine. Alors naturellement, la nouvelle que Biden pourrait imposer une interdiction totale d'importer de l'aluminium russe sera une aubaine pour la Chine, où le fils de Joe, Hunter, et certains de ses amis ont conclu des accords commerciaux lucratifs tout au long des années 2010.
Bloomberg News a rapporté que la Russie fournissait environ 10% de l'aluminium américain par an, mais aussi, les données indiquent que la Russie était le troisième exportateur de métal vers les États-Unis en août.
En plus de devenir une aubaine pour la Chine, Zero Hedge a rapporté : « Alcoa Corp., le plus grand producteur d'aluminium des États-Unis, a récemment envoyé une lettre au LME indiquant que le métal russe pourrait être déversé sur les marchés mondiaux et faire baisser les prix », ce qui signifie que notre industrie les travailleurs et ceux des autres pays occidentaux en souffriront beaucoup.
«L'administration Biden a retardé la sanction de l'aluminium russe de peur de perturber les marchés mondiaux, mais maintenant cela pourrait ne pas être le cas car la guerre en cours, maintenant dans ses huit mois, se poursuit sans fin en vue. Pendant ce temps, les sanctions américaines / européennes contre la Russie pour limiter les flux d'énergie vers les marchés mondiaux se sont retournées contre eux », a poursuivi le média en ajoutant:« Les sources ont déclaré que les discussions de haut niveau sur l'interdiction de l'aluminium russe duraient depuis des semaines.
Il est difficile de voir comment des dommages supplémentaires aux travailleurs américains, à l'industrie américaine et aux fournisseurs occidentaux au profit de la Chine seront une contre-attaque efficace contre la Russie, étant donné que les sanctions n'ont jusqu'à présent rien fait pour dissuader Vladimir Poutine.
Cela dit, les forces de Poutine sont clairement sous le choc, en grande partie grâce aux armes occidentales et à la volonté ukrainienne de se battre, selon The Drive :
RépondreSupprimerL'armée russe devrait recevoir quelque 800 chars T-62 remis à neuf et éventuellement améliorés au cours des trois prochaines années pour tenter de compenser les graves pertes qu'elle a déjà subies lors de son invasion totale de l'Ukraine. Bon nombre des T-62 presque antiques ont déjà été retirés du stockage profond et envoyés en Ukraine, où ils se sont révélés d'une utilité discutable.
Si la situation est telle qu'elle est rapportée, la décision de réactiver des centaines de ces chars remarquablement anciens datant de la guerre froide offre de nouvelles preuves que les sanctions occidentales et d'autres facteurs entravent l'industrie russe de l'armement. Cela fournit également plus de preuves du mauvais état du blindage plus avancé de la Russie, avec plusieurs centaines de chars détruits, endommagés ou capturés et d'autres mis à l'écart en raison de leur usure ou de l'absence de pièces de rechange de haute technologie après près de neuf mois de combats continus.
Le rapport indique qu'Andrey Gurulyov, un général russe à la retraite devenu politicien, qui est actuellement député de la chambre basse du parlement russe, ou Douma, a expliqué pourquoi Poutine s'appuyait désormais sur les anciens chars de l'usine de réparation d'armures 103 », selon une vidéo mise en ligne. L'usine est située dans l'Extrême-Orient russe, dans la région de Transbaikal Krai.
Alors que les rapports affirment que les améliorations rendent les chars plus résistants, des clips vidéo publiés en ligne suggèrent le contraire. De plus, il y a d'autres indications que des équipages entiers appartenant à des unités entières de chars russes abandonnent les T-62 dans leur hâte de battre en retraite, signalant un moral et un esprit combatif médiocres.
Un bataillon entier de chars T-62 intact a été abandonné par les #Russes dans la région de #Kherson.
Le prêt-bail russe à son meilleur!#Ukraine #SlavaUkrainii pic.twitter.com/zSa7v2tq3h
– Stepan Gronk (@StepanGronk) 12 octobre 2022
Trois secondes emblématiques de la défaite russe à Kherson.
Les troupes ukrainiennes avancent devant un char russe T-62 incendié. La "cage à copeaux" au-dessus de la tourelle s'est avérée inutile. Le char obsolète - conçu il y a plus de 60 ans - n'a pas bien servi les Russes. pic.twitter.com/f8rpHKg6m5
— Michael MacKay (@mhmck) October 5, 2022
Sources include:
MSN.com
Bloomberg.com
https://www.naturalnews.com/2022-10-17-biden-preparing-tank-us-manufacturing-ban-russian-aluminum.html
LES MÉNAGES MODESTES PAIENT TOUT PLUS CHER
RépondreSupprimerpar OLIVIER SANCERRE
17/10/2022
Le surcoût pour les transports est de 17 % pour les ménages modestes.
Cela peut sembler paradoxal, mais une étude démontre que les ménages modestes paient plus cher bon nombre de biens et de services par rapport aux classes moyennes.
Les foyers aux revenus modestes sont touchés par un phénomène qui les maintient la tête sous l'eau : le surcoût de la vie. Logement, déplacements, et même électroménagers, tout coûte plus cher selon l'association Action Tank Entreprise et Pauvreté. Une étude Boston Consulting Group pour le compte de la Banque Postale a calculé qu'en moyenne, ces ménages subissait un surcoût annuel de 1.500 euros… Un « phénomène insidieux touche beaucoup de catégories de dépenses », déplore le directeur de l'association, Jacques Berger. Et qui commence par le logement.
Un surcoût de la vie de 1.500 euros en moyenne
Les ménages aux revenus modestes paient en général leur logement 13 % plus cher. Ils habitent en effet dans des surfaces plus petites dont le prix au mètre carré est plus élevé. Idem pour les transports : ces foyers utilisent souvent des véhicules anciens, qui consomment donc davantage de carburant. Résultat : un surcoût de 17 % pour le budget déplacements. Enfin, même le linge est plus coûteux à cause d'un électroménager lui aussi plus ancien ou de l'utilisation d'une laverie (+28%).
Transports, logement, tout est plus cher
« Le marché fait que les ménages en situation de pauvreté achètent un certain nombre de biens dans des conditions moins favorables que pour d'autres ménages », indique Jacques Berger. Ce surcoût de 1.500 euros peut néanmoins être compensé grâce aux aides sociales, comme par exemple l'aide personnalisée au logement. En fait, il peut même être ramené à une centaine d'euros par an… Mais encore faut-il avoir connaissance de ces aides d'une part, et les demander d'autre part. Les démarches pour les obtenir peuvent être complexes et longues, et cela peut décourager.
https://www.economiematin.fr/news-les-menages-modestes-paient-tout-plus-cher
6 CONSEILS POUR PROTÉGER VOS APPAREILS MOBILES
RépondreSupprimerpar CAROLINE BORRIELLO
18/10/2022
80 % des Européens détiennent un smartphone
Même si rien ne vaut l'utilisation d'une application de sécurité directement installée sur son smartphone ou sa tablette, il y a tout de même certaines mesures de sécurité à connaître pour protéger ses données mobiles.
1. Maintenir le système à jour
Une des fonctions principales des mises-à-jour est de corriger les vulnérabilités du système. Les hackers se tiennent informés des failles des anciennes versions d'OS quand les mises-à-jour sont publiées. Ensuite, ils attaquent les terminaux n’ayant pas été mis-à-jour pour en extraire des données personnelles et d’entreprise. Lorsqu’une mise-à-jour du système est disponible, il faut l’installer immédiatement.
2. Ne pas télécharger d’applications hors stores officiels
L’App Store et Google Play effectuent un premier niveau de vérification des applications qu’ils mettent à disposition de leurs utilisateurs, ce qui n’est pas le cas des stores tiers. Une grande partie des applications disponibles sur ces derniers sont des malwares ou des clones d’applications payantes qui sous couvert d’offrir un service gratuit (freemium) siphonnent les données de leurs utilisateurs
3. Vérifier les permissions des applications
Lors du lancement et au cours de l’utilisation d’une application, des permissions sont demandées à l’utilisateur. Il est essentiel de s’assurer que les permissions demandées par une application soient légitimes, et de refuser celles qui semblent inutiles ou suspectes. Aujourd’hui, certains appareils proposent de supprimer les autorisations données aux applications, quand elles ne sont pas utilisées depuis longtemps. L’objectif étant, à la fois, de limiter l’envoi des données et d’assurer la sécurité de celles-ci dans le temps. Cette fonctionnalité permet dans une certaine mesure de minimiser l’exfiltration des données personnelles, cependant elle n’assure pas de protection face aux malwares qui performent ces vols de données en outrepassant les demandes de permission.
4. Ne pas se connecter à des réseaux non sécurisés
RépondreSupprimerCertains appareils mobiles sont paramétrés pour identifier les réseaux publics et s’y connecter automatiquement. Une fois connectés au WiFi de l’hôtel ou du restaurant par exemple, les pirates peuvent intercepter les données qui transitent de l’appareil (ex : attaque du type "man-in-the-middle"). Il est conseillé de ne pas se connecter aux réseaux publics et surtout, de ne pas manipuler de données sensibles ou réaliser de transaction si vous vous y connectez.
5. Ne pas rooter / jailbreaker son terminal
Un appareil « cracké » donne plus facilement accès aux informations qu’il contient et augmente sa vulnérabilité. À éviter ! Bien que cela procure une plus grande liberté à l’utilisateur (du choix des applications installables ou supprimables, à la personnalisation de l’interface, en passant par des ROMs custom…), autoriser le droit administrateur revient également à ouvrir des brèches de sécurité majeures. Outre le fait que certaines manipulations peuvent endommager l’appareil et que les mises à jour ne seront plus proposées automatiquement, en cas d’infection par un malware par exemple, le cybercriminel aura accès à l’ensemble des droits et du système de l’appareil.
6. S’équiper de solutions de sécurité
Pour une protection complète, il est recommandé d'utiliser une solution de sécurité mobile qui assure la légitimité des applications et contrôle l’intégrité des connexions et du système. Avoir une solution de nettoyage de l’appareil ou s’appuyer uniquement sur la sécurité constructeur n’est pas suffisant, surtout lorsque l’on travaille avec des données sensibles. Bien que la sécurité embarquée (security by design) des appareils couvrent certains aspects de la cybersécurité, il est important de compléter sa protection mobile avec une solution spécialisée, qui garantit aux entreprises et aux utilisateurs des appareils complètement sécurisés.
https://www.economiematin.fr/news-appareil-mobile-securite-protection-applications-donnees-borriello
Jean-Noël Barrot, le ministre qui va couper nos box internet la nuit
RépondreSupprimerLa Transition énergétique dévoile son vrai visage
lundi 17 octobre 2022
Le journaliste – Dimitri Pavlenko – qui reçoit une fois par semaine Gaspard Proust pour sa chronique rigolote n’a pas jugé bon d’attaquer le ministre de la Transition énergétique, c’est-à-dire des coupures de courant et de l’explosion des factures d’électricité. Il y avait pourtant de quoi.
On ne parle pas d’attaquer le pauvre Jean-No avec un marteau, mais avec des questions qui auraient pu le coller au mur, tant les européistes néolibéraux ont tout fait pour détruire l’indépendance française en matière énergétique, ce secteur stratégique s’il en est.
Avant d’écouter la communication bien comprise de ce couple journaliste-politique, on va s’intéresser au cas des barrages hydroélectriques français, littéralement abandonnés depuis 20 ans : une fonte des investissements (comme dans le nucléaire), alors qu’ils pourraient produire 25 % en plus.
L’expert : « Non mais à un moment il faut se poser la question anglaise. »
L’animateur : « La quoi, question anglaise ? »
L’expert : « La question anglaise, c’est-à-dire que si on a un ensemble de contraintes insupportables au niveau européen, il faut dire aux technocrates européens qu’on ne continue plus de jouer le jeu. »
Merci l’Union européenne, le fossoyeur des intérêts des peuples européens ! Un jour, on va devoir se demander si l’UE n’est pas le 51e État américain...
Revenons maintenant sur le Barrot : pour lui, le secteur du numérique étant énergivore, il faut aussi en réduire de 10 % la consommation, afin d’éviter, au cours des deux prochains hivers, « d’avoir à prendre des mesures de dernier recours ».
Pavlenko pose la question en riant : « Est-ce que ce sera transparent pour le consommateur, est-ce que lui va voir une différence dans l’utilisation de sa box internet, est-ce qu’elle va s’éteindre toute seule la nuit, pilotée à distance par l’opérateur ? »
Barrot répond sans rire : « C’est l’objectif, l’objectif c’est de réduire la consommation énergétique sans aller demander des efforts trop importants aux Français. »
Le message est clair : les box vont être coupées un certain temps, la nuit. Des complotistes – ceux qui croient que la Terre est plate – avaient prédit un black-out de l’Internet mondial un jour, tout le monde avait rigolé. Là, on aura des petites coupures. Espérons qu’elles ne seront pas ciblées, par exemple via le pass carbone qui recoupera le pass vaccinal...
Un petit Non, rien sur Barrot ?
Petit-fils du résistant démocrate-chrétien puis député de la Haute-Loire Noël Barrot et le fils de Jacques Barrot et de Florence Cattani, Jean-Noël Barrot naît le 13 mai 1983 à Paris. Son père a été député centriste de Haute-Loire pendant une trentaine d’années, ministre de plusieurs gouvernements de droite, vice-président de la Commission européenne de 2004 à 2009 et membre du Conseil constitutionnel de 2010 à 2014. Sa sœur cadette Hélène Barrot est directrice de la communication de Uber pour les marchés ouest et sud européens. (Wikipédia)
Droite libérale, Commission européenne, Uber...Comme dirait Staline, la pomme ne tombe jamais loin de l’arbre.
https://www.egaliteetreconciliation.fr/Jean-Noel-Barrot-le-ministre-qui-va-couper-nos-box-internet-la-nuit-69928.html
Les tarifs d'expédition chutent de 75 % dans un contexte de chute de la demande de détail aux États-Unis
RépondreSupprimerLundi 17 octobre 2022
par : Cassie B.
(Natural News) Les armateurs de cargos ont annulé des départs sur certaines des routes les plus fréquentées au monde au milieu de ce qui est normalement leur haute saison, illustrant le grave impact de l'inflation sur les dépenses de consommation.
Cet été, les volumes d'importation aux États-Unis ont commencé à chuter de façon spectaculaire, ce qui est un signe fort que l'inflation pèse sur la demande des consommateurs. Avec des tarifs d'expédition transpacifiques en baisse d'au moins 75 % par rapport à il y a un an, il est maintenant clair que les gens réduisent considérablement leurs dépenses.
Les annulations observées en ce moment représentent un renversement spectaculaire de la situation d'il y a quelques mois, lorsque le manque d'espace d'expédition a entraîné une montée en flèche des taux de fret et des bénéfices records pour les transporteurs. Il y a à peine un an, des entreprises telles que Home Depot et Walmart ont dû affréter leurs propres navires pour surmonter les goulots d'étranglement portuaires et répondre à la demande croissante.
Cette baisse importante des tarifs d'expédition survient alors que la demande faiblit et que les grands détaillants annulent leurs commandes auprès des fournisseurs et cherchent à réduire leurs stocks. Nike a récemment annoncé qu'elle disposait de 65 % de stocks en plus qu'il y a un an et qu'elle devra utiliser des démarques pour commencer à déplacer des stocks, tandis que FedEx a annoncé qu'elle annulerait des vols et garerait des avions cargo à mesure que les volumes d'expédition baisseraient.
La hausse rapide des prix à la consommation due à une inflation record a un impact important sur l'économie mondiale, les fermetures d'usines en Chine et le conflit en Ukraine pesant également sur l'activité commerciale. En septembre, la capacité de conteneurs fournie par les exploitants de navires de l'océan Pacifique avait chuté de 13 % par rapport à un an plus tôt, ce qui représente une baisse égale à 21 navires capables de déplacer 8 000 conteneurs par voyage.
Les annulations de navigation pendant la haute saison suscitent des inquiétudes
Pendant les deux semaines commençant le 3 octobre, 40 traversées prévues de l'Asie vers la côte ouest américaine et 21 traversées de l'Asie vers la côte est ont été annulées ; le nombre moyen de départs normalement annulés à cette période de l'année n'est que de deux à quatre.
L'analyste en chef du fournisseur de données d'expédition Xeneta, Peter Sand, a déclaré : « Au cours de la première semaine d'octobre, un tiers de la capacité annoncée précédemment sera annulée et pour la deuxième semaine, ce sera environ la moitié. Le rythme de ralentissement de ces dernières semaines a été très rapide et il semble que les transporteurs aient mal interprété les faibles volumes d'une saison de pointe inexistante.
RépondreSupprimerLes transporteurs voient généralement leur demande la plus forte dans les semaines entre la fin de l'été et le début de l'automne, alors que les détaillants et les importateurs commencent à constituer leurs stocks pour se préparer à la saison des fêtes qui approche. Les données du gouvernement montrent que les dépenses de consommation pour des articles plus volumineux tels que les appareils électroménagers et les meubles qui doivent généralement être importés aux États-Unis ont diminué après une période de forte demande au début de la pandémie, lorsque les gens passaient plus de temps à la maison et amélioraient leurs maisons.
Les tarifs de fret quotidiens, qui s'élevaient à 19 000 dollars pour le déplacement d'un seul conteneur à travers l'océan Pacifique en 2021, s'élèvent désormais à seulement 3 900 dollars.
Un transporteur britannique a déclaré à The Loadstar: "À part au début de la pandémie, je ne me souviens pas d'un autre moment où le marché a tourné si rapidement, et il semble que cela va empirer avant de s'améliorer."
Le suivi des tendances des ventes au détail globales peut être délicat en période de forte inflation comme nous le constatons en ce moment, car l'inflation peut parfois donner l'impression que les ventes augmentent alors même que les bénéfices chutent. Par conséquent, les tarifs et le volume d'expédition sont souvent de meilleurs indicateurs de la performance actuelle du commerce de détail dans un contexte d'inflation.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
HellenicShippingNews.com
CIPS.org
https://www.naturalnews.com/2022-10-17-shipping-rates-drop-plummeting-retail-demand.html
El Paso lance un tableau de bord des migrants en ligne pour suivre l'afflux d'illégaux
RépondreSupprimerlundi 17 octobre 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Un nouveau tableau de bord des migrants en ligne a été lancé à El Paso, au Texas, alors que plus de 60 000 immigrants illégaux ont traversé la ville débordée au cours des six derniers mois.
Le "Migrant Situational Awareness Dashboard" fournit des statistiques hebdomadaires sur le nombre de rencontres avec des migrants signalées par les agences fédérales, avec des données sur ceux qui ont été libérés dans la communauté et le nombre de migrants qui ont reçu des services au centre d'accueil des migrants d'El Paso.
Ce nouveau centre de données a été introduit alors qu'El Paso prolongeait une déclaration d'urgence dans sa lutte pour gérer la crise migratoire en cours.
Le directeur adjoint de la ville, Mario D'Agostino, a déclaré que l'outil "apporte de la transparence à la communauté concernant la crise humanitaire actuelle et la manière dont elle est gérée au quotidien.
Il a également noté que dès le premier jour, ils ont été ouverts sur la façon dont "nous servons respectueusement les migrants qui traversent notre communauté et nos efforts d'urgence substantiels pour faire face à la crise humanitaire en cours".
Plus de 62 000 personnes sont passées par El Paso d'avril à mi-septembre. Rien qu'en septembre, plus de 13 000 personnes sont passées par El Paso - le nombre le plus élevé que la ville ait connu.
Les données ont montré que les agents des douanes et de la protection des frontières rencontrent désormais une moyenne hebdomadaire de 2 100 migrants par jour, avec environ 70 % des individus et des unités familiales venant du Venezuela. D'autres pays avec des nombres élevés sont l'Équateur, El Salvador, Haïti, le Nicaragua et Cuba.
Les clandestins représentent un fardeau économique majeur pour El Paso et les villes sanctuaires
La ville aurait servi plus de 16 600 immigrants illégaux dans son centre d'accueil, où ils reçoivent de la nourriture, de l'eau et de l'aide avant de se diriger vers leur prochaine destination.
L'afflux est devenu un fardeau économique majeur pour El Paso, car il coûte désormais à la ville jusqu'à 10 millions de dollars par mois. Cela a conduit les autorités à envoyer des migrants dans des villes sanctuaires.
Le mois dernier, la ville aurait dépensé 300 000 dollars par jour pour héberger, nourrir et envoyer des immigrants demandeurs d'asile à New York, avec la bénédiction du maire Eric Adams. D'autres ont été envoyés à Chicago.
Pour les envoyer dans ces villes, les responsables ont déclaré qu'El Paso affrétait neuf à 14 bus par jour. La ville s'attend à 2 millions de dollars d'aide fédérale pour faire face à la situation.
Jusqu'à présent, la ville a facturé le voyage de plus de 12 000 migrants – dont 9 350 ont été envoyés à New York, tandis que 2 664 autres à Chicago.
Incidemment, Adams a déclaré l'état d'urgence pour répondre à la crise des migrants dans la ville, qui, selon Adams, coûtera 1 milliard de dollars à New York au cours de cet exercice.
RépondreSupprimer"Nous avons maintenant une situation où plus de personnes arrivent à New York que nous ne pouvons en accueillir immédiatement, y compris des familles avec des bébés et de jeunes enfants."
La ville de New York compte désormais plus de 61 000 personnes dans son système de refuges, dont des milliers de sans-abrisme et des milliers de demandeurs d'asile qui ont été envoyés ces derniers mois depuis d'autres régions du pays.
D'Agostino a précédemment déclaré que l'augmentation sans précédent de la migration testait leur infrastructure alors que les frontières rencontraient en moyenne 1 500 migrants dans la région d'El Paso, créant un problème d'abri et entraînant l'envoi de certains migrants dans des hôtels.
El Paso a ouvert son centre de répit pour migrants après que les abris ont atteint leur capacité maximale et que les gens ont commencé à planter des tentes dans les rues. Dans le secteur de la patrouille frontalière, les autorités ont également érigé un centre de traitement de type triage en plein air pour traiter les migrants plus rapidement. Cela comprend des sections pour l'accueil, les soins médicaux et une zone d'attente, ainsi que des bus déjà équipés de la technologie de traitement stationnés sur place.
Le commissaire aux douanes et à la protection des frontières, Chris Magnus, a déclaré que la dernière vague de migration était motivée par des personnes fuyant les "régimes communistes défaillants" du Venezuela, du Nicaragua et de Cuba qui ne sont pas soumis au titre 42, ou à l'ordre de santé publique pandémique qui a permis aux autorités d'expulser certains migrants au Mexique ou dans leur pays d'origine. (Connexe : Les cartels de la drogue mexicains utilisent l'afflux d'immigrants illégaux comme couverture pour faire passer clandestinement des agents et des drogues dures aux États-Unis.)
Visitez BorderPatrol.news pour plus d'informations sur la crise des migrants en cours.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les immigrants illégaux qui traversent la frontière à El Paso, au Texas.
- voir sur site -
Cette vidéo provient de la chaîne NewsClips sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Venezuela emptying prisons, CRIMINALS blending in with migrants trying to cross US border.
Ex-DHS head warns of immigration and border security crisis following Biden’s executive orders.
Study: U.S. is ALREADY home to one-fifth of the world’s migrant population, but that’s not enough for open borders advocates.
Sources include:
NYPost.com
KFoxTV.com
ElPasoTexas.gov
Edition.CNN.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-10-17-el-paso-launches-online-migrant-dashboard.html
Les caméras thermiques, nouvelle méthode pour voler des informations confidentielles
RépondreSupprimerle 17 octobre 2022 - 14:35
Selon les chercheurs, il est très probable que des personnes du monde entier développent des systèmes similaires à ThermoSecure afin de voler des mots de passe
Des chercheurs de l'université de Glasgow ont démontré que des caméras thermiques sont capables de retrouver des mots de passe à partir de la chaleur que le bout des doigts d'une personne laisse sur les claviers ou écrans tactiles au moment de les composer.
Un système “d'attaque thermique” guidé par l’intelligence artificielle
Les résultats de l'étude, publiés dans la revue ACM Transactions on Privacy and Security montrent comment, aidés par l'IA, des informaticiens peuvent déchiffrer les images thermiques de claviers et deviner correctement des mots de passe en quelques secondes. Appelée ThermoSecure, cette technologie montre comment, équipées de caméras facilement accessibles sur le marché, des pirates informatiques peuvent mettre en place de véritables '"attaques thermiques". En effet, lorsqu'une personne écrit sur un appareil électronique (un clavier d'ordinateur, un écran de smartphone ou un clavier de guichet automatique), prendre une photo du clavier en question permet de dresser une carte thermique qui dévoile des informations : les zones claires de l'image thermique sont celles touchées récemment.
En mesurant l'intensité relative des zones les plus chaudes, il est possible de déterminer les lettres, chiffres ou symboles spécifiques qui composent le mot de passe d’une personne et d'estimer l'ordre dans lequel ils ont été utilisés. À partir de là, les attaquants peuvent essayer différentes combinaisons pour déchiffrer les mots de passe des utilisateurs. Avec cette technologie d’intelligence artificielle qui permet de traduire les images thermiques en mot de passe, il suffit d'avoir laissé brièvement sans surveillance son clavier, pour qu’un malfaiteur puisse prendre une photo révélant ainsi la signature thermique de l'endroit où les doigts ont touché l'appareil.
Une technologie assez efficace pour qu’elle soit dangereuse
Plus l’image est prise tôt, plus la technologie est efficace. Elle est même performante dans 62 % des cas, lorsque la photo thermique est prise une minute après que les surfaces ont été touchées. Lorsque les images thermiques sont prises dans les 20 secondes, les chercheurs ont un pourcentage de 86% de réussite et de 76 % dans les 30 secondes. Plus les mots de passe sont courts, plus les taux de réussite augmentent.
Une technologie qui risque de se généraliser avec la mise sur le marché des caméras thermiques
Selon les chercheurs, il est très probable que des personnes du monde entier développent des systèmes similaires à ThermoSecure afin de voler des mots de passe, particulièrement en raison de l'accès aux caméras thermiques plus abordable que jamais (on les trouve sur le Web pour 250 euros). Il est donc nécessaire que la recherche en sécurité informatique suive le rythme de ces développements pour trouver de nouvelles façons d'atténuer les risques, et d’essayer de garder une longueur d'avance sur les attaquants, déclarent les chercheurs. "Nous tenons également à informer les décideurs politiques des risques que ce type d'attaques thermiques posent pour la sécurité informatique. Une voie potentielle de réduction des risques pourrait être de rendre illégale la vente de caméras thermiques”, proposent les auteurs de l'étude.
https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/les-cameras-thermiques-nouvelle-methode-pour-voler-des-informations
Le portier très important
RépondreSupprimerPar Jeff Thomas
Homme international
18 octobre 2022
Imaginez ceci : un chef tribal d'un pays lointain visite les États-Unis. Il est amené dans un grand immeuble à New York. Quand il sort de la voiture, il lève les yeux vers le grand bâtiment et est très impressionné. Un portier en uniforme sort du hall et sort sur le trottoir. Le membre de la tribu voit le tressage d'or et les boutons en laiton de son manteau et décide immédiatement qu'il s'agit d'une personne très importante. De nouveau, il lève les yeux vers le bâtiment et dit au portier : « C'est une très belle maison que vous avez. Vous devez vraiment être très important.
Bien sûr, si nous étions présents, nous pourrions rire de la naïveté du membre de la tribu. Les propriétaires d'un si grand bâtiment ne salueraient jamais les gens à l'entrée. Ils laissent ces tâches insignifiantes à des domestiques embauchés, tandis qu'ils dirigent les vraies affaires sans jamais avoir besoin de contact direct avec les visiteurs lorsqu'ils entrent dans le bâtiment. Et, en plus, les portiers vont et viennent – ils sont, après tout, jetables. Les propriétaires – ceux qui contrôlent ce qui se passe dans l'immeuble – conservent leurs fonctions sur le long terme… et peuvent rester anonymes, s'ils le souhaitent.
Nous trouvons ce concept simple assez facile à comprendre, et pourtant nous avons chroniquement du mal à comprendre que, dans la plupart des pays, le président, ou le premier ministre, n'est en aucun cas l'homme qui prend les grandes décisions dans la gestion du pays.
Nous supposons que, parce que nous avons été autorisés à voter pour notre chef, il doit en fait être notre chef. Mais, comme Mark Twain a parfois été crédité d'avoir dit: "Si voter faisait une différence, ils ne nous laisseraient pas le faire."
De même, l'homme dont la famille a repris le financement de l'Europe, Meyer Rothschild, a déclaré : "Permettez-moi d'émettre et de contrôler l'argent d'une nation et peu m'importe qui fait ses lois". Sa famille est aux commandes depuis des siècles, mais comme les propriétaires de l'immeuble, ils font profil bas.
Remarquablement, la plupart des gens hochent la tête aux citations ci-dessus, mais imaginent toujours que leur chef élu est aux commandes.
La plupart des gens accepteront que le système électoral de leur pays ait été corrompu d'une manière ou d'une autre et il est encore plus probable qu'ils reconnaîtront que les banques centrales contrôlent les flux d'argent. Pourtant, ils persistent à croire que, même si les élections sont financées par les grandes banques, le complexe militaro-industriel, Big Pharma, etc., d'une manière ou d'une autre, ceux qui sont élus restent fidèles aux électeurs, pas à ceux qui ont payé leur élection.
Et, ils imaginent que ces élus dirigent le spectacle.
RépondreSupprimerDe plus, alors qu'ils reconnaissent souvent que le parti politique auquel ils s'opposent est acheté et payé, ils préfèrent penser que celui qu'ils favorisent ne l'est pas.
À ce stade, l'UE et les États-Unis sont dirigés par l'État profond. En Europe, c'est un peu plus évident, car l'UE est un organe visible et non élu qui domine tous les développements les plus importants en Europe.
Aux États-Unis, c'est un peu moins évident, mais il est généralement entendu que la CIA, le FBI et d'autres organisations similaires fonctionnent indépendamment du président. (Il a le pouvoir de renvoyer un directeur, mais n'a pas le pouvoir d'éliminer ces organisations ou de modifier leur ordre du jour.)
Les États-Unis sont dirigés comme un organisme corporatiste - un gouvernement conjoint des grandes entreprises et de l'État. Les élus sont, comme les portiers, temporaires. Ils sont, bien sûr, très visibles, ce qu'ils sont censés être, car ils sont destinés à détourner l'attention du public de ceux qui sont vraiment en charge.
Et, comme les portiers, ils sont jetables. Ils peuvent être non élus tous les quatre ans et l'ordre du jour se poursuit comme prévu. Ils sont, en fait, largement sans rapport avec la direction que prend le pays.
Le président en particulier entre dans cette catégorie. Il y a eu pas mal de présidents qui ont accédé à ce poste avec peu ou pas d'expérience antérieure dans les fonctions électives. Leur élection est le résultat de la popularité. S'ils font un meilleur travail de création de promesses de campagne que leurs adversaires, ils sortent gagnants, même s'ils n'ont pas de liens politiques, d'associations avec d'autres législateurs ou d'expérience antérieure dans le travail.
Et pourtant, nous supposons d'une manière ou d'une autre que ceux qui tirent vraiment les ficelles dépenseraient des centaines de millions de dollars en élections, puis toléreraient qu'un étranger nouvellement élu lave leur investissement en prenant réellement en charge.
Certes, il y a eu des présidents qui ont résisté au Deep State, mais ils ont tendance à changer de ton assez rapidement et à se remettre dans le droit chemin. Ceux qui ont refusé se sont parfois retrouvés du côté des affaires, même si, plus récemment, la tactique préférée a été d'inventer des accusations de corruption et d'indécence, puis de produire des témoins douteux pour discréditer le dirigeant. (Un dirigeant qui a été expulsé en disgrâce est tout aussi mort qu'un dirigeant qui a été assassiné.)
Ce coup d'État et l'ingérence inadmissible et inutile de Washington en Ukraine étaient entièrement facultatifs. Il s'agissait d'une activité parascolaire, d'une série de décisions politiques délibérées, dont la justification reste incertaine.
RépondreSupprimerJe suggère que c'est encore un autre exemple d'agitation folle à Washington, déguisée en noble cause.
Les néocons et les néolibéraux de Washington sont en mission privée. Des politiciens de carrière embarrassants, incompétents et ignorants comme Papa Joe Biden sont de la partie. Le public est dans le même bateau.
Il s'agit là d'une tangente dans l'histoire américaine, qui s'est jouée très longtemps, avant l'émergence de l'actuel crew de réprouvés, depuis 1898 et la guerre hispano-américaine.
Il y avait une bifurcation sur la route à l'époque. Quel chemin emprunter ? La situation a été comprise et débattue dans les couloirs du Congrès et dans la presse. La Maison Blanche McKinley et Capitol Hill ont finalement choisi la guerre et l'empire.
Le concept original de "Manifest Destiny" a été élargi. Après avoir annexé les Philippines, Guam et Porto Rico, Washington était parti pour les courses. La piste a conduit à la Grande Guerre de Woodrow Wilson et à la Seconde Guerre mondiale de FDR. Voir entre autres, The Irony of Manifest Destiny de William Pfaff.
Manifest Destiny s'est écrasé sur les côtes ouest et est de l'Amérique du Nord… pour embrasser la planète Terre elle-même, que le Pentagone a divisée en différentes zones de commandement. Au sud, l'ensemble du continent sud-américain était considéré comme une sphère d'influence américaine.
Cet étrange phénomène est une folie, me semble-t-il, un faux virage. La république de 1789 s'est métamorphosée en un empire américain mondial, fondé sur le statut du dollar américain en tant que monnaie de réserve mondiale et sur un réseau militaire mondial de bases et d'alliances créées pendant la guerre froide.
Immédiatement après la guerre froide, les néocons et les néolibéraux - ayant pris le contrôle de Washington - ont dû inventer, mélanger, comploter et tromper.
Pourquoi? Parce que le but légitime de l'empire existant vers 1990 était très douteux. L'Union soviétique n'était plus. Et ensuite ?
Le dollar, les sanctions économiques et la puissance militaire sont devenus les exécutants du "Nouvel Ordre Mondial" - annoncé pour la première fois par le président H.W. Bush en 1991.
RépondreSupprimerLes sanctions mortelles implacables et les interventions militaires de la Maison Blanche sont devenues la norme. C'est de l'intimidation à grande échelle, peu importe comment ils l'habillent.
La cabale néoconservatrice-néolibérale qui a détourné l'USG a-t-elle fait quelque chose de positif ? Ont-ils dissous l'OTAN, après l'implosion de l'Union soviétique et la dissolution du Pacte de Varsovie ? Cela aurait été logique et honnête.
Non. Au contraire, Washington a élargi l'OTAN vers l'est pour renforcer l'hégémonie américaine en Europe et menacer la Russie non communiste.
L'Américain moyen a-t-il reçu le fameux « dividende de la paix » pour avoir survécu à l'Union soviétique ? Non.
Les Américains ont été immédiatement induits en erreur dans une direction différente, dans une autre croisade soi-disant pour sauver le monde mais en fait pour créer de nouveaux ennemis déterminés.
Est-ce que le 11 septembre vous dit quelque chose ? Certaines personnes se demandent encore, ou font semblant de se demander, pourquoi nous avons été frappés à l'époque. Les choses ne se produisent pas à l'improviste.
L'acolyte de Dick Cheney a expliqué que la raison en était simplement que les terroristes détestaient notre démocratie, notre mode de vie. Peu comprenaient le concept de Blowback à l'époque. Ou avait lu le livre de Chalmers Johnson.
Les néocons et les néolibéraux se sont-ils ralliés au projet de bannir ou de limiter sévèrement les armes nucléaires, comme le voulaient les visionnaires Reagan et Gorbatchev ?
Non. Au lendemain de la guerre froide, ils ont déchiré les accords existants entre l'Amérique et la Russie et ont refusé d'en envisager de nouveaux. Ce devait être un jeu à somme nulle. Demandez à Dick Cheney.
La justification de Washington ? L'Amérique était la nation exceptionnelle, dont le monde avait besoin de l'empire bienfaisant, pour garder le monde "correctement constitué" pour ainsi dire.
Par conséquent, le statu quo devait être maintenu par la force et la chicane. Sinon, le monde allait tourner hors de son axe. Le modèle de Washington était l'Empire britannique.
Au fil des ans, cette vision orgueilleuse a été vantée le plus efficacement par Robert Kagan, mari de la sous-secrétaire d'État américaine susmentionnée, Victoria "fuck the EU !" Nuland.
Elle est l'agent en charge de la politique étrangère américaine pour l'Europe et la Russie. Selon Andrew Bacevich, Kagan est « le principal théoricien néoconservateur de la politique étrangère ». Bref, nous avons une équipe mari et femme aux commandes.
Le résultat final est un cauchemar. Tant pour les gens sur le terrain que pour ceux qui sont sur la touche et qui essaient de lui donner un sens. Non, le monde n'est décidément pas correctement constitué.
https://www.lewrockwell.com/2022/10/no_author/the-manifest-destiny-nightmare/
Les crues oubliées de Victoria il y a 150 ans… quand Melbourne devenait « Venise »
RépondreSupprimerpar Jo Nova
October 18th, 2022
Il y a eu des inondations extraordinaires à Victoria ces derniers temps au pays des sécheresses et des pluies torrentielles. L'ABC australien nous dit que "les inondations à Victoria sont rares". Mais une recherche de dix secondes sur Trove Australia a révélé les inondations oubliées de 1870, juste à titre d'exemple, avec ces magnifiques dessins (ci-dessous). Ces inondations d'il y a 152 ans semblaient affecter bon nombre des mêmes endroits que les inondations de 2022 : la rivière Murray était un « vaste lac intérieur » et presque toute la distance entre Sandhurst et Echuca, environ soixante milles, était sous l'eau. Melbourne est devenue une « Venise des antipodes ». Une pluie-bombe larguée sur les plaines de Keilor et un mètre d'eau tomba « en quelques minutes ». Les lignes de train sont restées suspendues dans les airs et des hommes, des femmes, des enfants, des chevaux, des bovins et des moutons se sont malheureusement noyés. Et à Echuca, l'eau est restée haute pendant deux mois entiers, commençant le 9 septembre mais n'atteignant finalement son maximum que le 7 novembre.
Imaginez ce que l'ABC pourrait faire pour l'Australie si elle avait un milliard de dollars et un accès à Internet ?
- voir photo sur site -
Inondations à Victoria, 1870.
Inondations à Victoria — Sandhurst, du haut de Bridge Street
- voir graph sur site -
Pour mémoire, voici l'effet de tout ce gaz carbonique sur les précipitations de Melbourne depuis 1860
Repérez la tendance :
Précipitations du bureau régional de Melbourne
Voir La pluie en Australie reste la même. Source :Bureau régional de Melbourne 1855 – 2015 .
Les inondations de 1870 à Victoria
- voir photo sur site -
Inondations à Victoria, 1870.
The Wharf’s Echuca, familles se retirant des terres basses | Cliquez pour agrandir
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J'ai vu le Murray pour la première fois, le fleuve le plus important d'Australie ; mais son aspect n'était pas celui d'un fleuve, mais d'un vaste lac intérieur, débordant ses rives dans toutes les directions, portant la mort et la destruction partout où il s'étendait. Les maisons de la rive de la Nouvelle-Galles du Sud ont été enterrées jusqu'aux avant-toits. Les palissades entourant les jardins étaient à peine perceptibles.
Inondations victoriennes, 1870, Echuca
Echuca lors de l'inondation de novembre 1870
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Imaginez deux mois d'inondations ?
RépondreSupprimerLes niveaux d'inondation à Echuca sur la rivière Murray allaient et venaient en septembre, culminant deux ou trois fois à 32 à 34 pieds. Mais ce n'était pas la fin. Des pluies encore plus fortes sont arrivées fin octobre et l'eau a de nouveau monté. Le point culminant ne s'est produit que le 7 novembre lorsque la rivière a atteint 38 pieds.
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High Street inondée à Echuca en 1870 Source : Trove
Une fois de plus, Victoria a été visitée par de très graves inondations, et toutes les parties du pays ont plus ou moins souffert. En effet, depuis 1859, il n'y a pas eu d'inondation aussi destructrice dans les campagnes que celle du 9 septembre. Presque toute la distance de Sandhurst à Echuca, environ soixante miles, a été recouverte d'eau, et bien sûr beaucoup de dégâts ont été causés à la propriété. Dans les districts de Ballarat et de Geelong, il y eut aussi de grandes pertes. Nous présentons une série d'illustrations, dont les deux premières sont des esquisses prises au Murray, où les vastes plaines de chaque côté de la rivière se sont soudainement transformées en un vaste lac. Une autre vue représente le pont près de Rochester sur le chemin de fer d'Echuca.
Inondations à Victoria, 1870.
…
Melbourne est devenue une « Venise des antipodes »
Une partie de la ville a été transférée pour l'occasion dans une Venise antipode, et des bateaux auraient pu sillonner la rue principale. Notre artiste, … a été envoyé à Echuca : - "J'ai quitté Melbourne avec la rivière Yarra à la hauteur des inondations ... à peine avais-je été assis dans le train que toute la zone entre Spencer-street et la rivière Saltwater s'est étendue devant moi comme une seule vaste mer, et alors que nous approchions de Footscray, aucune trace de la rivière ne pouvait être vue, mais des maisons à moitié enterrées, des cheminées noires s'élevant isolées hors de l'eau, et le pont avec à peine la forme de l'arche visible. Plus loin à droite, le pont de l'hippodrome s'était envolé et s'appuyait à demi contre des chaumières dont on ne voyait que les toits.
Inondations à Victoria, 1870.
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Inondations au pont ferroviaire, près de Runnymede
Une bombe de pluie primitive : 3 pieds de pluie en « minutes »
… Sur les plaines de Keilor, a-t-il dit, la pluie est tombée dans une nappe d'eau positive, contrairement à tout ce qu'il avait jamais vu auparavant, et comme le vent soufflait aussi fort, il était impossible de lui faire face.
En quelques minutes, la ligne a été recouverte à une profondeur de [trois pieds et demi], entièrement causée par l'averse. L'effet était si terrible et écrasant que les ouvriers restèrent impressionnés. L'un de ses hommes, un Écossais, il s'est approché: "Eh bien, Sandy, qu'est-ce que tu penses de ça?" "Eh, mec," s'exclama-t-il, "sûrement que la fin du monde est enfin arrivée."
RépondreSupprimerKen Stewart a énuméré d'autres bombes de pluie des années 1800 idylliques.
Les gens se sont sauvés ou sont morts en essayant :
L'histoire la plus poignante de toutes vient de Coleraine dans l'ouest de Victoria (ces inondations semblent plus répandues en 1870). Ici, au moins deux hommes se sont noyés en essayant de sauver des enfants, qui ont également péri.
Vers 12 h 30, une tentative de sauvetage a été faite sur les habitants du terrain bas, dont ceux de la résidence de Robert Wright, le briquetier des berges du ruisseau, et de la couturière Betsy Gillies. En un rien de temps, la famille Wright a traversé le déluge en terrain sûr. Mlle Gillies a été réveillée de son sommeil et s'est également échappée. Dans les deux cas, encore quelques minutes, et le résultat aurait été désastreux.
L'attention se tourna alors vers les deux cottages derrière le bureau d'Albion, celui des Drummond et des Laird. À ce moment-là, l'eau était jusqu'aux genoux et le courant était trop rapide pour traverser en toute sécurité. L'agent James Mahon s'est précipité mais a été emporté. Heureusement, il a réussi à atterrir au sommet d'une porcherie et a pu se remettre en sécurité. Il a essayé à nouveau et a pu sauver l'un des enfants. Le magasinier Louis Lesser a également traversé l'eau et a sauvé un autre enfant. Il a également pu soulever Mme Margaret Drummond hors de l'eau et sur le toit d'une étable. Son mari, David Drummond, a mis trois enfants en sécurité et est retourné pour trois autres, James et Margeret Jr et sa nièce Janet. Il en avait un sur le dos et un dans chaque bras alors qu'il traversait. Soudain, le courant l'a rattrapé, et tous les quatre ont été emportés.
Charles Loxton, le jeune comptable de la National Bank of Australasia (ci-dessous). tenté de traverser sur son cheval. Ils ont tous deux été emportés, et c'est alors que le sauvetage a été abandonné.
…Mais en regardant autour de la ville, c'était tout sauf normal. C'était dévastateur. « La scène où le matin s'est levé était déchirante. Des hommes, des femmes et des enfants ont été retrouvés sur les cheminées et les toits des maisons; et toutes sortes de biens flottaient.
Toute l'histoire de Coleraine est ici. Charles Loxton n'avait que 22 ans. Un monument lui reste aujourd'hui. Margaret Drummond, qui a perdu tant de personnes dans sa famille, survivra jusqu'en 1914.
Dans le CBD de Melbourne, les gens utilisaient des ferries pour se déplacer, les usines étaient sous l'eau :
… les parties centrales de la ville ont été rapidement inondées, et les torrents qui ont balayé les rues Elizabeth et Swanston se sont étendus sur la chaussée et ont atteint les pas de porte des deux côtés de la rue. Les routes de St. Kilda et de Sandridge ont toutes deux été submergées de plusieurs pieds par endroits, et toutes les approches de la colline d'Emerald ont disparu pendant un certain temps. Depuis le chemin de fer jusqu'à l'Immigrant's Home dans un sens, et depuis le Jardin Botanique jusqu'au-delà d'Emerald-hill dans l'autre, tous les appartements étaient recouverts d'une nappe d'eau. Les bacs étaient en réquisition, et sans l'aide de ceux-ci, toute communication piétonne à travers le pont du Prince était entièrement coupée. L'ensemble des basses terres entre la rivière et Clarendon-street, Emerald-hill, était entièrement couvert. Les usines des appartements ont toutes beaucoup souffert, tandis que de nombreux petits fabricants ont subi des pertes qui, dans certains cas, peuvent les paralyser dans leurs opérations.
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RépondreSupprimerInondations à Victoria, 1870.
La rivière Murray près de Balma
Illustrated Australian News for Home Readers (Melbourne, Vic. : 1867 – 1875)
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Carte des inondations de 2022 :
Pensées et meilleurs vœux aux personnes touchées cette année.
Carte des inondations 1870
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C'est la zone au nord et autour de Melbourne sur 250 kilomètres (160 miles).
Avertissements d'inondation Victoria, 2022
Cliquez pour agrandir. Vic d'urgence
REFERENCES
The Floods of 1870 in Victoria
The Great Flood of 1870 (The story of Coleraine)
Linden AshcroftabDavid J.KarolyacAndrew J.Dowdyb(2019) Historical extreme rainfall events in southeastern Australia, Weather and Climate Extremes , 100210
And even more droughts and trends graphs here.
https://joannenova.com.au/2022/10/the-forgotten-floods-of-victoria-from-150-years-ago/
30 % de bio d'ici 2030 – un chemin de croix ?
RépondreSupprimer18 Octobre 2022
Un courrier de lecteur au sujet de la réaffirmation par Özdemir de l'objectif de 30 % de bio chez Willi l'agriculteur*
Apparemment, M. Özdemir n'a plus conscience de la réalité depuis longtemps.
RÉVEILLEZ-VOUS MONSIEUR ÖZDEMIR ! ÇA SUFFIT !
⫸ 1. Le consommateur ne veut pas de 30 % de bio. Un bon 10 % est déjà trop pour le marché et entraîne des faillites.
⫸ 2. Nous sommes confrontés à une crise alimentaire mondiale qui n'est pas prête de s'arrêter. Le bio n'y a pas sa place. Chaque nouvelle pénurie alimentaire signifie au final encore plus de faim et plus de morts de faim (quelqu'un a-t-il déjà dit à Özdemir que le bio ne permet de récolter qu'environ la moitié de la nourriture, ou ne le sait-il tout simplement pas encore ?).
⫸ 3. À l'échelle mondiale, les surfaces cultivables sont si rares que la forêt tropicale est défrichée à une vitesse record pour créer de nouvelles surfaces cultivées. Plus il y a de bio, plus la culture sur les surfaces déjà existantes est inefficace, plus le défrichage s'accélère.
⫸ 4. Les effets de transfert (moins de production sur les surfaces existantes, mais transformation de la nature intacte riche en espèces en nouvelles surfaces cultivées pour combler les lacunes de production ouvertes) coûtent en fin de compte, d'un point de vue global, bien plus de biodiversité qu'ils n'en apportent ou sauvent localement.
⫸ 5. La crise climatique s'aggrave plus rapidement que ne le laissaient prévoir les prévisions. L'agriculture doit devenir plus efficace et contribuer encore plus à la protection du climat (économiser de la surface, avec beaucoup de photosynthèse par hectare, c'est-à-dire fixer le CO2 grâce à beaucoup de végétation ; énergie et carburants des champs). Le bio fait le contraire.
⫸ 6. De plus en plus d'années sèches obligent à orienter les cultures vers l'efficience de l'eau (le plus de récolte possible par litre d'eau de pluie ou d'irrigation). Le bio, avec ses récoltes deux fois moins importantes pour une même quantité d'eau, va à l'encontre de cette tendance.
⫸ 7. L'Allemagne est dangereusement dépendante des importations. Nous l'avons douloureusement constaté pour les matières premières, les médicaments, les composants, les panneaux solaires et l'énergie. Il ne faut pas être aussi stupide et aggraver encore davantage la dépendance aux importations de nourriture. Aujourd'hui déjà (avec 80 % seulement d'autosuffisance), 17 millions de personnes dans le pays ne mangent que des produits importés. Avec le bio, ce sera encore plus et nous deviendrons aussi vulnérables au chantage face à Bolsonaro que face à Poutine.
⫸ 8. Nous devons nous éloigner du pétrole. L'agriculture doit fournir davantage de matières premières à l'industrie. Que ce soit de l'amidon, des fibres, de la glycérine, de la paraffine, de l'éthylène, de l'éthanol ou autre. Le bio ne peut pas y contribuer de manière significative.
RépondreSupprimer⫸ 9. Il y a trop peu de céréales (c'est bien, potentiellement, de la nourriture) pour les utiliser pour nourrir inefficacement des « coqs frères », des poussins mâles non euthanasiés (indice de consommation de nourriture double par kg de production de viande par rapport au poulet de chair), pour avoir ensuite un produit (de la viande dure) que personne ne veut manger en Europe, qui finit donc en Afrique de l'Ouest et qui casse le marché des éleveurs de volaille là-bas.
⫸ 10. Nous sommes en 2022 et il nous a fallu plus de 40 ans pour atteindre 11 % de bio, malgré les milliards de subventions, les campagnes publicitaires et le dénigrement systématique de la concurrence conventionnelle. Transformer l'agriculture du pays en seulement 8 ans de telle sorte qu'il y ait 19 points de pourcentage de plus est totalement utopique.
⫸ ⫸ Monsieur Özdemir, jetez enfin votre vieux discours dépassé, quittez enfin la voie de garage et cessez enfin d'opposer les crises entre elles !
Exit l'objectif des 30 % ! Place à la raison !
Les articles invités représentent l'opinion de l'auteur.
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* Source : 30 % Bio bis 2030 - ein Holzweg? - Bauer Willi
https://seppi.over-blog.com/2022/10/30-de-bio-d-ici-2030-un-chemin-de-croix.html
Même 1 % de bio c'est 1 % de trop ! Pourquoi ? Parce que le ce qui est appelé 'bio' c'est LA famine dans le monde avant la découverte d'insecticides et produits de traitement contre les maladies des plantes (et des humains et des animaux).
SupprimerCelui qui ne traite pas représente un danger pour tous les jardins et champs aux alentours car c'est chez lui que se multiplient les insectes ravageurs et c'est grâce à lui que les gens meurent dans le monde.
Les pénuries alimentaires sont programmées avec maestria : le cas de l'Allemagne
RépondreSupprimer18 Octobre 2022
André Heitz*
(Source)
Sourds, aveugles et (en partie) muets, ignorant les avertissements climatiques, géopolitiques et sociétaux, l'Union Européenne et certains de ses États membres planifient des pénuries alimentaires pour « sauver » la planète. Voici le cas de l'Allemagne.
Ce qui distingue la gouvernance allemande de la française est que la première est fondée sur une coalition incluant les Verts, alors que dans la seconde, le vert est en quelque sorte dans le fruit.
L'accord de coalition entre le SPD, l'Alliance 90/les Verts et le FDP (la coalition « feux tricolores ») a le mérite d'annoncer le programme, alors que notre majorité présidentielle minoritaire semble sortir chaque jour ou presque une nouvelle ineptie.
(Source)
Deux pour cent de la superficie terrestre pour les moulins à vent
Il ne faut pas en conclure qu'il y a aussi un gradient de rationalité. Le suprême mépris pour les incontournables lois de la physique et les lois plus molles de l'économie règne des deux côtés du Rhin, avec des nuances. Rive droite, il est question de fermer les dernières centrales nucléaires, rive gauche on a annoncé de nouveaux chantiers... et on est passé à la promotion hystérique du renouvelable intermittent et non pilotable, malgré l'échec patent des expériences allemande et danoise.
La leçon n'a pas été apprise non plus en Allemagne :
« Deux pour cent des surfaces du pays doivent être affectées à l'énergie éolienne terrestre. Les détails de l'objectif en matière de surface seront précisés dans le code de la construction. Nous renforçons le comité de coopération entre l'État fédéral et les Länder. »
Quelle sera la surface soustraite à la production agricole et alimentaire ?
En admettant que la réaffectation des terres serait uniformément répartie (ce qui n'est pas le cas, on ne met pas d'éoliennes en ville), l'agriculture allemande perdrait 340.000 hectares.
En 2019/2020, le taux d'autosuffisance alimentaire s'était établi à 88 %. On ne saurait dire de combien ce taux serait réduit en l'absence de données plus précises.
(Source du premier)
La renaturation jusqu'où ?
La ministre de l'Environnement Steffi Lembke a présenté son programme d'action pour la « protection naturelle du climat » – ça ne s'invente pas ! – le 31 août 2022.
Il s'agit de renforcer, restaurer et préserver les écosystèmes afin qu'ils restent des protecteurs du climat, ainsi que des habitats pour les plantes et les animaux. « Je veux rendre la nature forte pour qu'elle nous aide à lutter contre la crise climatique », a expliqué la ministre.
Parmi les 64 mesures envisagées : arrêter l'exploitation de certaines forêts et reboiser 10.000 hectares par an ; remettre d'anciens marais en eau et en faire sortir l'agriculture ; restaurer des prairies humides.
RépondreSupprimerEffets sur la production agricole et alimentaire – et industrielle et énergétique dans le cas des forêts laissées à leur propre sort ? Cela dépendra des incitations financières qui seront mises sur la table. Il est prévu d'investir 4 milliards d'euros jusqu'en 2026.
Trente pour cent des terres agricoles affectées à l'agriculture biologique
L'Union Européenne a adopté une stratégie « de la ferme à la table » – appelée ironiquement « de la ferme à la famine » – prévoyant notamment de convertir 25 % de la surface agricole à l'agriculture dite « biologique ». Les écolos ont fait monter le curseur en Allemagne à 30 pour cent ! Voici le morceau de bravoure du programme de la coalition :
« Nous allons orienter l'ensemble de l'agriculture, dans sa diversité, vers les objectifs de protection de l'environnement et des ressources (agriculture écologique). Nous voulons continuer à développer une agriculture en harmonie avec la nature et l'environnement. Nous voulons atteindre 30 pour cent d'agriculture biologique d'ici 2030. Pour ce faire, nous voulons augmenter les fonds fédéraux destinés au programme fédéral d'agriculture biologique et, conformément à l'objectif de développement, mettre à disposition des fonds de recherche agricole pour les besoins de la recherche en agriculture biologique. Nous élargissons la stratégie d'avenir de l'agriculture biologique à l'ensemble de la chaîne de création de valeur bio. »
L'objectif – passer d'un peu plus de 10 à 30 pour cent de « bio » – est sans doute aussi illusoire que celui des 20 pour cent, à partir d'un niveau de départ plus bas, que s'étaient fixé des gouvernements précédents. Il l'est d'autant plus qu'en Allemagne, le secteur est dans une crise dont on voit mal la sortie dans une situation économique où chaque euro compte et où l'alimentation, déjà soumise à une forte inflation, devient de plus en plus une variable d'ajustement.
Notons que c'est aussi la crise en France... ce qui n'a pas empêché notre Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires de titrer en juin 2022 : « Le bio, un secteur résilient au cœur de la transition alimentaire » ! Manifestement, la pensée magique et le hors-solisme opèrent de Paris à Berlin.
Cette pensée magique, accouplée à une extraordinaire naïveté à propos des réalités de l'agriculture et de la nature, accepte d'amputer la production agricole et alimentaire de quelque 10 pour cent en Allemagne. Au moins.
RépondreSupprimerMais sera-ce vraiment le cas ? La lecture d'un compte rendu de la célébration des 40 ans de Bioland, à laquelle avait participé le ministre de l'Agriculture Cem Özdemeir nous plonge dans la perplexité. S'est-il montré évasif et à la hauteur de son incompétence comme c'est devenu une habitude, ou se rend-il compte que la coalition « feux tricolores » entend foncer dans le mur des réalités en klaxonnant ?
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(Source – source originale)
Interdiction du glyphosate et réduction de l'utilisation des pesticides
C'est acté pour la fin 2023... quand – normalement, sauf décision politique constituant un affront à la science et la rationalité – l'Union Européenne aura renouvelé l'autorisation de l'herbicide le plus utile à l'agriculture et à la gestion de l'environnement.
Relevons cependant que le Ministère Fédéral de l'Alimentation et de l'Agriculture s'interroge sur la légalité d'une telle décision au regard du droit européen.
Une récente analyse de la littérature a conclu à des résultats dévastateurs du retrait du glyphosate sur l'agriculture européenne : des pertes de rendement de 7 à 30 pour cent en blé et de 5 à 20 pour cent en pommes de terre.
Selon SEGES, une entreprise danoise de services à l'agriculture à but non lucratif, le retrait du glyphosate ajouterait aussi 120 euros aux frais de culture à l'hectare, jusqu'à 270 euros dans le cas de la vertueuse agriculture de conservation... et une utilisation d'herbicides accrue de 20 pour cent.
Il va de soi que l'Allemagne est favorablement disposée à l'égard du projet de règlement de la Commission qui ambitionne de réduire de moitié le recours aux produits de protection des plantes d'ici 2030.
Un tel programme de réduction de la boîte à outils phytosanitaires se traduira inéluctablement par une baisse des rendements ainsi qu'une hausse de l'instabilité des rendements au gré des conditions météorologiques changeantes et des attaques des parasites et maladies.
Amélioration des plantes et béate bien-pensance
Entrons dans le domaine qui serait de l'anecdote s'il n'y avait pas quelques effets à la marge :
« Nous voulons soutenir la culture de variétés végétales résistantes au climat. Pour ce faire, nous améliorons les conditions-cadres, y compris pour les variétés-populations, nous encourageons des projets modèles tels que la sélection participative, la numérisation, nous assurons la transparence sur les méthodes de sélection et renforçons la recherche sur les risques et la détection. »
Au-delà de la première phrase – une déclaration d'intention qui ne mange pas de pain et donne bonne conscience –, la première partie de ce texte relève du charabia des promoteurs des « semences paysannes ».
Cela resterait risible si cela ne s'accompagnait pas par du gaspillage financier – que l'INRAE, en France, nous fasse du reste la preuve des travaux de « sélection participative » largement fondés sur les théories lyssenkistes.
Il y a aussi le démantèlement progressif de la législation sur les variétés (le catalogue) et les semences (la certification) dont l'objectif est de garantir à la filière agricole et alimentaire des semences de qualité, saines et marchandes, et de la protéger des accidents et surtout des margoulins.
RépondreSupprimerQuant à la fin du paragraphe, c'est : « sus aux technologies modernes d'amélioration des plantes ! »
L'élevage doublement victime de la bien-pensance nutritionnelle et climato-environnementale
Cette déclaration qui fait se sentir bien relève aussi grandement de l'anecdote :
« Nous renforçons les alternatives végétales et nous nous engageons pour l'autorisation des innovations telles que les sources de protéines alternatives et les substituts de viande dans l'UE. »
Le marché – le palais des consommateurs et leur porte-monnaie – se chargera de faire le tri. Il commence à parler aux États-Unis d'Amérique. Le géant de la viande brésilien JBS vient de fermer sa filiale de substituts végans. Notons cependant cette manie – qui n'est pas seulement allemande – d'exporter les lubies nationales au niveau européen.
Bien plus sérieux sont les discours sur la réduction de l'élevage – ce qui serait bon pour le climat – et le bien-être animal. Ce bien-être est censé ne pas être au rendez-vous aujourd'hui puisque le coalition veut « aider les agriculteurs à transformer l'élevage d'animaux de rente en Allemagne dans le respect de l'espèce ».
La partie « protection des animaux » est la plus longue du chapitre « agriculture et alimentation » du programme de la coalition.
Mais si les intentions – certaines sans conteste bonnes comme la décentralisation des abattoirs et la promotion des abattoirs mobiles – sont nombreuses et formulées avec vigueur, l'intendance ne suit pas. Il y a bien des déclarations générales, mais pour le concret, le ministère de M. Cem Özdemir – cet homme est un végétarien – est évasif sinon évanescent.
S'agissant du projet de marquage de l'origine de la viande, censé profiter à la viande allemande, M. Markus Rücker, ancien directeur de Foodwatch, résume chez le blogueur à très forte audience Willi l'agriculteur : « un ministère veut promouvoir les ventes sans promouvoir les ventes ».
Le drame est que ce no man's land politique et administratif n'incite pas aux investissements, bien au contraire. S'y ajoute l'incapacité – à moins que ce ne soit de l'indifférence – du gouvernement à répondre à la crise, notamment de la production porcine prise en tenaille par la baisse des cours et la hausse des prix à la production.
L'Allemagne est en train de vivre une « Höfesterben », une mort des fermes. Elle touche en premier lieu – surprise, surprise – ceux qui ont investi dans le bien-être animal, leurs coûts de production étant supérieurs. De mai 2021 à mai 2022, les effectifs ont baissé de 10 pour cent tant chez les producteurs de porcs que dans le cheptel.
Plan national stratégique pour la nouvelle politique agricole commune
« Nous veillons sans délai à ce que les règlements d'accompagnement du plan national stratégique de la Politique Agricole Commune (PAC) soient alignés sur l'objectif de la protection de l'environnement et du climat et de la garantie des revenus. »
Le plan national stratégique (PNS) pour la PAC de 2023 et des années suivantes n'a été envoyé à la Commission que le 30 septembre 2022. Les agriculteurs attendront jusqu'à la mi-novembre – si la réponse de la Commission est positive – pour savoir comment organiser leurs exploitations... les saisons n'attendent pas.
La veste de sécurité pour les poules
RépondreSupprimerTerminons sur une note plus légère, non sans avoir rappelé que M. Cem Özdemir s'est fait tirer l'oreille pour accepter – avec des limitations – la dérogation temporaire accordée en mars 2022 par Bruxelles aux obligations en matière de rotation des cultures et de mise en jachère de 4 pour cent des terres cultivées, pour répondre aux effets de la crise générée par la guerre en Ukraine.
Dans « Weniger Tiere, mehr Hanf » (moins d'animaux, plus de chanvre), un titre un brin sarcastique, le Spiegel avait écrit le 26 décembre 2021 :
« Chez les agriculteurs en Allemagne, Cem Özdemir voit un grand intérêt pour la légalisation du cannabis. "De nombreux agriculteurs et agricultrices sont dans les starting-blocks pour cultiver du chanvre", a-t-il déclaré au journal [Bild am Sonntag]. »
Dans une vidéo d'avril 2022, M. Cem Özdemir avait commencé à montrer une veste de sécurité pour poules – contre les rapaces, pas pour traverser la route – avant d'être interpellé au sujet de la légalisation du cannabis prévue dans le programme de la coalition. Il a fait enregistrer une autre vidéo, plus précise, par la suite.
Commentaire de Willi l'agriculteur : « Quand on fait preuve d'un désintérêt aussi manifeste pour les agriculteurs, il ne faut pas s'étonner que ces derniers se mettent en colère. »
Il y a un motif de colère bien plus important : le désintérêt pour la situation agricole et alimentaire, bref économique et partant sociale, en Allemagne, en Europe et dans le monde.
______________
* André Heitz est ingénieur agronome et fonctionnaire international du système des Nations Unies à la retraite. Il a servi l’Union internationale pour la protection des obtentions végétales (UPOV) et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI). Dans son dernier poste, il a été le directeur du Bureau de coordination de l’OMPI à Bruxelles.
Une version de cet article a été publiée sur Contrepoints.
https://seppi.over-blog.com/2022/10/les-penuries-alimentaires-sont-programmees-avec-maestria-le-cas-de-l-allemagne.html
Le verdict d'Alex Jones montre le danger des lois sur la diffamation
RépondreSupprimerlundi 17 octobre 2022
par : Rédacteurs en chef
(Natural News) Dans la dernière démonstration de l'absurdité des lois sur la diffamation, l'animateur d'une émission de radio Alex Jones a été condamné à payer 965 millions de dollars à des personnes qui n'aimaient pas les propos de Jones à propos du 'massacre de Sandy Hook' en 2012 à Newtown, dans le Connecticut.
(Article de Ryan McMaken republié de Mises.org)
Dans les années qui ont suivi le massacre, Jones a déclaré à plusieurs reprises qu'il pensait que les fusillades avaient été mises en scène et que les prétendus parents étaient des soi-disant acteurs de crise. (Il a depuis dit qu'il pensait que les fusillades étaient réelles.) Certains des auditeurs de Jones ont choisi d'être d'accord avec les affirmations de Jones selon lesquelles les fusillades n'ont pas eu lieu, et cela aurait informé les décisions de certains auditeurs de se livrer au harcèlement de certains des parents de enfants assassinés.
Essentiellement, Jones a été reconnu coupable d'avoir dit des choses qui auraient inspiré d'autres personnes à dire des choses cruelles et irrespectueuses aux parents des victimes de Sandy Hook. Le harcèlement comprendrait également la profanation des tombes des victimes.
Jones est condamné à payer des centaines de millions de dollars parce que d'autres personnes - qui n'agissaient sous aucun ordre de Jones - auraient commis des crimes par elles-mêmes. Il est difficile de voir, alors, comment Jones a réellement infligé des dommages réels à ses supposées "victimes" dans cette affaire. Si des personnes ont harcelé les parents, bien sûr, c'est un crime dont les véritables harceleurs sont responsables. Les vrais coupables ici sont les personnes qui ont commis des actes de harcèlement. Mais il semble que Jones ait été condamné ici pour avoir simplement dit des choses que le jury et les plaignants ont jugées répréhensibles.
Dans une société libre, un citoyen privé qui dit des choses que d'autres personnes sont libres d'ignorer n'est pas puni par la loi. Dans une société qui ne respecte pas la liberté d'expression, cependant, le simple fait de dire des mots est apparemment un motif d'amendes de centaines de millions de dollars. (Les menaces réelles de violence dirigées contre des personnes spécifiques sont dangereuses, mais ce n'est pas ce dont nous parlons ici, et ce n'est pas de cela que Jones a été accusé.)
L'idée que Jones est en quelque sorte coupable des actes de tiers qu'il ne connaît même pas découle de la logique tordue de base des lois sur la diffamation. L'idée de la diffamation en tant que matière juridique punissable est basée sur la notion que les gens n'ont pas de libre arbitre et ne sont pas responsables de leurs propres actions.
RépondreSupprimerPar exemple, si un inconnu me dit que mon voisin est un pédophile, je n'ai aucune raison de croire automatiquement l'accusateur. C'est pourtant ce que suppose la logique de la diffamation. Si la Personne A dit des choses désagréables sur la Personne B, nous sommes censés supposer que les gens n'ont pas la liberté de rejeter les accusations et de les ignorer. Nous devons plutôt supposer que les gens sont des robots qui croient tout ce qu'on leur dit. De même, il n'y a aucune raison pour que quiconque croie aux dernières théories d'Alex Jones.
De plus, étant donné que les gens sont libres d'ignorer les accusations de la Personne A, il est particulièrement absurde de supposer que la Personne A est en quelque sorte responsable si la Personne C utilise ensuite l'opinion de la Personne A comme raison pour infliger une sorte de préjudice à la Personne B.
La réalité est que les gens ont le choix et n'ont pas à croire toutes les choses désagréables qu'une autre personne dit. Les gens ne sont pas non plus obligés d'agir d'une manière particulière parce que quelqu'un a dit des choses cruelles sur quelqu'un d'autre.
L'idée que les gens sont responsables de leurs propres actions n'avait apparemment pas sa place dans la procédure judiciaire contre Alex Jones, et le jugement contre lui est une menace permanente pour les gens ordinaires qui disent des choses impopulaires.
À une époque où quiconque n'est pas d'accord avec les récits officiels du régime est qualifié de raciste, de terroriste domestique, ou pire, il s'agit en effet d'une évolution dangereuse. Les gouvernements ont utilisé les lois sur la diffamation pour faire taire les critiques, et les riches ont longtemps utilisé des menaces de poursuites en diffamation pour faire de même. Naturellement, Murray Rothbard s'est opposé aux lois sur la diffamation et a reconnu qu'elles sont un moyen pour les puissants de faire taire les faibles :
Le système actuel [qui autorise les poursuites en diffamation] discrimine les personnes les plus pauvres d'une autre manière ; car leur propre discours est limité, car ils sont moins susceptibles de diffuser des informations vraies mais désobligeantes sur les riches de peur d'avoir des poursuites en diffamation coûteuses intentées contre eux.
L'affaire Jones est connue et notable en partie parce qu'il a les moyens de monter une défense juridique importante. Les personnes impopulaires aux moyens modestes s'en tireront encore plus mal et seront beaucoup plus facilement et rapidement menacées de silence.
La réponse à tout cela est la liberté d'expression totale dans laquelle les gens sont explicitement censés tirer leurs propres conclusions et être responsables de leurs propres actions. Comme Rothbard l'a noté : dans un système de liberté d'expression illimitée, « tout le monde saurait que les fausses histoires sont légales, il y aurait beaucoup plus de scepticisme de la part du public qui lit ou écoute, qui insisterait pour avoir beaucoup plus de preuves et croire moins d'histoires désobligeantes. qu'ils ne le font maintenant.
RépondreSupprimerRead more at: Mises.org
https://www.naturalnews.com/2022-10-17-alex-jones-verdict-shows-danger-defamation-laws.html
Çà, c'est du '9-11 II'! où des avions en aluminium pourraient traverser et couper des poutrelles verticales d'acier de 80 cm ! HAHAHAHAHAHAHA !
SupprimerLe jury de Sandy Hook inflige à Alex Jones une amende de près d'un milliard de dollars alors que l'attaque contre la liberté d'expression s'intensifie
RépondreSupprimervendredi 14 octobre 2022
par : JD Heyes
(Natural News) Que vous soyez ou non un fan de l'animateur de radio Alex Jones, le prix le plus récent du jury pour les remarques qu'il a faites à la suite des FAUX meurtres horribles en 2012 de 20 élèves de deuxième année et de six enseignants à l'école élémentaire Sandy Hook dans le Connecticut est, à son cœur, la destruction du premier amendement.
Au lendemain de cette horrible attaque, Jones a affirmé, quoique à tort, que "la fusillade avait été mise en scène et que les familles étaient des acteurs de la crise dans un effort du gouvernement pour confisquer les armes des Américains", a rapporté mercredi le Daily Wire après un jury à Le Connecticut a ordonné à Jones de payer aux familles de Sandy Hook plus de 950 millions de dollars de dommages et intérêts. Le prix fait suite à "une décision d'un jury distinct au Texas a ordonné à Jones de payer 4,1 millions de dollars de dommages-intérêts compensatoires et 45,2 millions de dollars de dommages-intérêts punitifs, un montant qui pourrait bientôt être réduit en raison des lois de l'État plafonnant le montant des dommages-intérêts", a ajouté le point de vente.
Le prix est venu après trois semaines de témoignages de membres de la famille des jeunes victimes et d'un agent du FBI qui ont répondu aux tirs, qui ont été commis par Adam Lanza, qui s'est suicidé alors que la police se rapprochait de lui. L'affaire était une consolidation de trois autres affaires intentées par des parents, des membres de la famille et l'agent du FBI.
« Vous pouvez dire que c'est astronomique. C'est le cas », a déclaré Christopher Mattei, un avocat des plaignants, en s'adressant aux jurés après leur avoir demandé d'accorder aux plaignants 550 millions de dollars. "C'est exactement ce qu'Alex Jones s'est mis en place pour faire. C'est ce qu'il a construit. Il a construit une machine à mensonges qui pourrait faire sortir ce truc. Vous récoltez ce que vous semez."
Cependant, selon une analyse d'une affaire texane contre Jones par Revolver News en août, "au milieu de toute la fanfare et de la controverse, il est facile d'oublier à quel point l'affaire de diffamation contre Jones était vraiment faible".
L'analyse note que si un jury d'Austin a accordé aux plaignants Scarlett Lewis et Neil Heslin 4,1 millions de dollars, ils avaient réclamé 150 millions de dollars de dommages et intérêts :
Les parents de Sandy Hook mentionnés ci-dessus ont fondé leur plainte en diffamation sur une interview NBC de 2017 où Heslin a déclaré qu'il tenait le corps de son fils après son meurtre. Dans un segment contemporain d'Infowars, le journaliste Owen Shroyer a déclaré que, "selon une chronologie des événements et le témoignage d'un coroner, ce n'est pas possible", et Jones a répondu en appelant Heslin pour "clarifier" ses déclarations. Sinon, tout le comportement "diffamatoire" de Jones repose sur le fait qu'il fait des allégations sauvages mais vagues d'un faux drapeau de Sandy Hook par des forces inconnues. Pratiquement tous les dommages, quant à eux, sont basés sur le fait de blâmer Jones pour les actions de personnes qu'il ne connaît même pas.
RépondreSupprimer«Sur la base du traumatisme présumé causé par les réclamations de Jones et du harcèlement de diverses personnes qui ne sont ni Jones lui-même ni n'agissent sur ses ordres, les plaignants ont demandé 150 millions de dollars de dommages et intérêts. Le jugement de 4,1 millions de dollars est heureusement inférieur à cela, mais après l'arrivée des dommages-intérêts punitifs, Jones paiera toujours une somme énorme », a noté Revolver News, ajoutant que peu de temps après, Jones a mis son entreprise en faillite en vertu du chapitre 11.
Le point de vente a reconnu que les accusations de Jones de faux drapeau étaient en effet très controversées et arrivaient à un mauvais moment – lorsque les parents pleuraient la perte de leurs enfants qui ont été assassinés de manière horrible. Jones a admis plus tard qu'il n'aurait pas dû couvrir l'histoire comme il l'a fait.
"En même temps, c'est un précédent très dangereux à créer lorsque les sentiments des familles en deuil peuvent être utilisés pour faire taire les reportages - même les reportages" complotistes et fous "- sur des tragédies d'importance nationale", a poursuivi Revolver News.
« La tragédie de Sandy Hook a été un événement très public et très politisé dès le début, et a presque immédiatement été enveloppée dans un débat national sur le contrôle des armes à feu. Quelques mois seulement après la tragédie de Sandy Hook, le Connecticut a adopté une amélioration spectaculaire de sa soi-disant "interdiction des armes d'assaut." New York et le Maryland ont pris des mesures similaires, tandis que la sénatrice Diane Feinstein a proposé une interdiction sévère des armes d'assaut au niveau national, qui n'a jamais été adoptée", a ajouté le point de vente.
"Compte tenu des enjeux politiques impliqués, il semble conforme à l'esprit du premier amendement et à l'esprit d'une société libre de permettre un maximum de discussions et de délibérations sur une tragédie majeure servant de catalyseur à la législation, même si une partie de cette discussion s'avère être stupide, grossier, cruel, irresponsable ou même nuisible à l'état émotionnel des familles touchées par cette tragédie », a poursuivi Revolver News.
Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Au lieu de cela, nous avons maintenant un prix du jury très controversé dans des circonstances qui vont refroidir, et non protéger, la liberté d'expression, aussi farfelue soit-elle.
RépondreSupprimerAprès tout, nos fondateurs se sont prononcés contre la couronne britannique à un moment où cela pourrait vous faire emprisonner et exécuter.
Sources include:
Revolver.news
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-10-14-sandy-hook-jury-hits-alex-jones-1-billion-fine.html
Qu'une inhumation soit faite et autopsie pratiquée sur le corps des 'victimes' ! (afin de prouver que les cercueils sont vides et les faux-parents des acteurs loués.
SupprimerLe Royaume-Uni parti pour deux décennies perdues de niveau de vie
RépondreSupprimerLe Royaume-Uni est parti pour deux décennies perdues de niveau de vie, a estimé la secrétaire générale de la fédération syndicale britannique TUC, mardi, appelant à des élections pour remplacer le gouvernement conservateur de Liz Truss.
«Nous traversons la plus longue période de baisse des salaires réels depuis les temps napoléoniens» et, sous les gouvernements conservateurs qui se succèdent depuis 2010, «les pauvres se sont appauvris mais les riches se sont enrichis», a affirmé la dirigeante de la TUC, Frances O’Grady, dans un discours à l’ouverture de la conférence annuelle de la TUC, mardi, à Brighton.
«Si les ministres et employeurs continuent à taper sur les enveloppes de salaires au même rythme, les travailleurs britanniques sont partis pour deux décennies perdues de niveau de vie», a-t-elle ajouté.
https://www.lematin.ch/story/wall-street-rebondit-527977861256
TOULON: La dangereuse «fourmi électrique» détectée en France
RépondreSupprimerSurnommée ainsi en raison de sa piqûre douloureuse, l’envahissante colonie a été repérée dans le sud du pays.
18 octobre 2022, 17:05
Des «fourmis électriques», appelées aussi «petites fourmis de feu», ici photographiées dans une forêt équatorienne.
Elle mesure seulement 1,5 millimètre mais représente une menace pour la biodiversité: la «fourmi électrique», espèce envahissante surnommée ainsi en raison de sa piqûre douloureuse, a été détectée pour la première fois sur le territoire métropolitain français, a révélé un chercheur à l’AFP.
C’est dans le sud de la France, à Toulon, que Wasmannia auropunctata, «fourmi électrique» ou «petite fourmi de feu», originaire d’Amérique du Sud, a été repérée par un passionné de fourmis, dans une résidence fermée de bord de mer.
Originaire d’Amérique du Sud
Jusqu’à présent, cette espèce originaire d’Amérique du Sud n’avait été observée qu’une fois en Europe, dans la région de Malaga en Espagne.
Quand Olivier Blight, chercheur à l’Institut méditerranéen de biodiversité et d’écologie à l’Université d’Avignon l’a formellement identifiée à Toulon, «on avait déjà affaire à une super-colonie, donc on pense qu’elle est là depuis plus d’un an».
Transport de plantes soupçonné
Probablement introduite «lors d’un transport de plantes», la fourmi a déjà été observée jusqu’à 100 mètres de la résidence.
Wasmannia auropunctata est extrêmement envahissante, même si elle se déplace lentement, car elle cumule «un système de reproduction classique sexuée et une production de reines et de mâles par clonage», explique Olivier Blight.
«Sa force c’est son nombre»
RépondreSupprimer«Sa force c’est son nombre», insiste le chercheur, qui a fait placer l’espèce sur la liste des espèces préoccupantes pour l’Union européenne.
Sa piqûre provoque «une sensation d’ortie, en plus fort et plus long, puisque ça dure 2-3 heures», et avec cette arme redoutable la fourmi électrique peut anéantir des insectes, provoquer la cécité d’autres animaux, et les faire fuir durablement.
En Nouvelle-Calédonie, «dans les forêts qu’elle a envahies, on n’entend plus aucun son d’insecte».
Chez l’homme, outre des piqûres douloureuses, la fourmi électrique peut provoquer des chocs anaphylactiques chez les personnes allergiques.
Coûteuse éradication
Dans les régions qu’elle a envahies, remarque Olivier Blight, «son éradication a des coûts énormes». Ainsi, dans le Queensland, en Australie, qu’elle a colonisé depuis 2006, 30 millions de dollars ont déjà été dédiés à la lutte contre Wasmannia auropunctata.
Après avoir déclaré sa présence aux autorités début septembre, le chercheur souhaite «communiquer au maximum pour sensibiliser le grand public», notamment pour accéder aux résidences voisines du premier foyer détecté.
«On doit faire très rapidement une délimitation précise de la zone d’invasion pour élaborer un plan d’éradication», plaide M. Blight, comparant la stratégie à celle mise en place par les autorités en présence de moustiques-tigre.
https://www.lematin.ch/story/la-dangereuse-fourmi-electrique-detectee-en-france-267192453781
Là encore faute d'avoir un insecticide approprié... 'la nature reprend ses droits' comme disent les gros cons qui préfèrent protéger les bestioles plutôt que les humains !
SupprimerLa voiture jugée comme un «luxe» nécessaire dans de nombreux pays
RépondreSupprimer13 octobre 2022, 18:30
Près de deux tiers des personnes interrogées dans 18 pays estiment ne pas pouvoir s’en passer et redoutent de ne plus avoir les moyens d’en posséder une à l’avenir.
Utiliser sa voiture coûte de plus en plus cher mais de nombreux automobilistes ne voient pas comment s’en passer, indique le baromètre annuel de l’observatoire Cetelem publié jeudi. Selon cette enquête réalisée dans 18 pays, 7 automobilistes sur 10 estiment que rouler en voiture nécessite des sacrifices financiers, mais 72 % (75 % en France) déclarent ne pas pouvoir s’en passer.
Près de deux tiers des personnes interrogées craignent ne plus avoir les moyens de posséder un véhicule à l’avenir, notamment en Turquie, au Mexique, au Portugal ou au Brésil. C’est aussi le cas pour 59 % des Français.
Coût rédhibitoire dans certains pays
Les automobilistes voient d’abord cette perte de façon négative, avec la peur de ne plus pouvoir se déplacer comme ils le souhaitent. Seulement 20% y voient au contraire un geste positif pour l’environnement. Près de 6 personnes sur 10 déclarent avoir déjà renoncé à se déplacer en raison du coût induit, notamment dans les pays aux économies les plus fragiles, comme la Turquie ou l’Afrique du Sud.
Pour économiser, une majorité de Français déclarent réduire leurs déplacements, 46 % comparent les prix afin d’acheter l’essence le moins cher possible et 44 % essayent d’optimiser leur conduite pour consommer moins de carburant. Un tiers d’automobilistes disent également se déplacer plus souvent à pied, à vélo ou en trottinette.
De l’Allemagne au Brésil en passant par la France, plus d’une personne sur deux s’est séparée d’un des véhicules du foyer ou est décidée à le faire prochainement.
Coûts d’usage en hausse
RépondreSupprimerLes moins de 35 ans sont plus enclins à se passer totalement de voiture, à hauteur de 34 %, contre 26 % pour les générations plus âgées. «Ce qui ne passe pas, ce sont les coûts d’usage», souligne Flavien Neuvy, directeur de l’observatoire Cetelem. «Le fait de passer tout le temps à la caisse renforce ce sentiment très négatif.» Les automobilistes estiment leur budget annuel pour la voiture (carburant, assurance, réparations) à 2753 euros, soit quasi autant en francs, l’essence étant de loin le poste considéré comme le plus onéreux.
Achats de voitures neuves plus rares
Parallèlement, les coûts de l’assurance et de l’entretien sont jugés raisonnables par une majorité de ménages, même s’ils sont en forte augmentation. De même, le prix des voitures à l’achat est jugé raisonnable par de nombreux automobilistes, notamment pour la grande majorité qui achètent sur le marché de l’occasion. Du côté du neuf, le prix des voitures a pourtant fortement augmenté ces dernières années dans l’UE, deux fois plus vite que l’inflation entre 2000 et 2020. Les acheteurs de voitures neuves se font ainsi de plus en plus rares, à hauteur de 2 % des ménages français en 2022, Les acheteurs ont en moyenne 55 ans, contre 44 ans en 1990.
Voitures électriques chères
Avec la multiplication des voitures électriques, plus chères que les thermiques, «la tendance va s’accélérer au cours des prochaines années», prévoit Flavien Neuvy. «Il y a un risque que la voiture devienne un objet de luxe, inaccessible, rejetant à la marge les personnes qui en ont le plus besoin dans leur vie quotidienne», prévient l’expert.
Cette enquête a été réalisée en ligne du 23 juin au 8 juillet par Harris Interactive, auprès de 16’600 personnes âgées de 18 à 65 ans, selon la méthode des quotas. 3000 entretiens ont été réalisés en France et 800 dans chacun des autres pays.
https://www.lematin.ch/story/la-voiture-jugee-comme-un-luxe-necessaire-dans-de-nombreux-pays-521224200557
Partez en vacances à pieds ! à cheval ou à bicyclette ! Whôaw !
Supprimer"2000 km à pieds çà use, çà use ! 2000 km à pieds çà use les souliers ! 2001 km çà..."
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