OPACITÉ DU MARCHÉ: Pour un concombre à 1,80 fr.suisse (1,85 €) , les producteurs gagnent 2 centimes
6 octobre 2022, 13:56
La Fédération romande des consommateurs a mené une enquête sur les marges dans le commerce maraîcher en Suisse. Elle pointe les différences entre coûts et prix de vente.
Difficile de savoir si le prix des légumes dans les rayons des magasins est justifié par rapport aux coûts de production.
Payer plus pour un panier de fruits et légumes bios et locaux en grande surface ne va pas forcément récompenser les efforts des producteurs. Ce sont, en résumé, les conclusions d’une enquête publiée jeudi et menée pendant une année par la Fédération romande des consommateurs (FRC). «Le bilan est consternant», estiment les auteurs de l’étude. «Le premier et le dernier maillon de la chaîne – producteurs et clients – sont les grands perdants d’un marché où règnent opacité et loi du silence», poursuivent-ils.
Pour se faire une idée du fonctionnement d’une partie de la filière maraîchère en Suisse, la FRC a réussi à convaincre des producteurs de leur confier leurs coûts de production et leur prix de ventes, puis a comparé ces derniers avec les prix affichés dans les rayons de Coop et de Migros. Ainsi, la marge nette d’un producteur de concombre est par exemple passée de 13 centimes l’an dernier à 2 centimes cette année alors qu’il est vendu 1 fr. 80 en magasin selon la FRC, qui constate que les prix payés aux producteurs varient mais dans une mesure bien moindre que les prix à la consommation.
Légumes de saison plus chers
L’enquête révèle aussi que la clientèle paie paradoxalement plus cher les légumes de saison. Explication: durant certains mois, les importations sont limitées par des barrières tarifaires. Les maraîchers bénéficient alors d’un meilleur pouvoir de négociation et peuvent augmenter le prix de leurs produits et corriger ainsi les marges basses qu’ils subissent lorsqu’ils font face à la concurrence internationale. La FRC explique également que si les légumes bios coûtent effectivement en moyenne 30 % de plus à la production que ceux issus de la culture «conventionnelle», le prix final est 50 % plus élevé selon des chiffres de L’Office fédéral de l’agriculture. «Une différence difficile à expliquer et justifier», estime la FRC.
«Les marges ne peuvent être le résultat de la position dominante de la grande distribution sur le marché», affirme Jean Busché, responsable Économie à la FRC, cité dans un communiqué. «Elles doivent être calculées proportionnellement au travail fourni et aux risques encourus par chaque acteur.»
L’association de défense des consommateurs dit «revendiquer» des produits de saison à meilleur prix, «non gonflés par les marges des distributeurs». L’association encourage aussi la grande distribution à mettre fin à une «opacité délibérément entretenue» et estime que «dans les faits, son pouvoir est disproportionné».
«Opacité et loi du silence»
La FRC revendique davantage de transparence dans la branche car en menant son enquête entre l’automne 2021 et aujourd’hui, l’association dit s’être retrouvée «devant une succession de portes closes» dans un marché «où règnent opacité et loi du silence». Autant des groupes d’intérêt que la Centrale suisse des cultures maraîchères ou l’Union maraîchère suisse ne livrent aucun chiffre. La Confédération ne s’est pas montré plus bavarde sur les marges pratiquées dans la branche, apprend-on. Quant à Coop et Migros, «qui représentent à eux seuls 80 % du commerce des fruits et légumes à destination des particuliers», leurs réponses sur les marges a été jugée «extrêmement laconiques» par la FRC.
Le pillage "va s'aggraver progressivement" au milieu de l'ouragan Ian Chaos, prévient le shérif
PAR TYLER DURDEN MERCREDI 05 OCTOBRE 2022 - 15:45 Écrit par Lorenz Duschamps via The Epoch Times,
Alors que certaines parties de la Floride sont confrontées à un long chemin de rétablissement suite aux dégâts extraordinaires causés par l'ouragan Ian, certaines personnes ont déjà profité de la situation et ont commencé à piller au milieu du chaos.
William Snyder, le shérif du comté de Martin, a déclaré à TCPalm qu'il ne s'attend pas à ce que les pillards se calment, craignant le pire. Il a déclaré que les pillards avaient déjà volé et saccagé des structures «très tôt» après que la tempête de catégorie 4 ait touché terre dans l'ouest de la Floride la semaine dernière.
"C'était très tôt et une partie du pillage commençait déjà, mais cela va s'aggraver progressivement, je pense, à mesure que les gens deviennent plus désespérés", a déclaré Snyder, qui a été envoyé dans le cadre d'une équipe d'intervention rapide de 15 personnes le 30 septembre. pour aider à la suite de l'ouragan Ian dans le comté de Charlotte, a déclaré à la publication.
Peu de temps après l'arrivée de l'équipe à Charlotte, les responsables ont rencontré des habitants "hébétés", ainsi que plusieurs "gens assez sommaires" à la recherche d'eau, de nourriture et de carburant, mais personne n'a été arrêté à ce moment-là.
Cependant, quelque temps plus tard, Snyder a reçu des informations faisant état de personnes volant des générateurs à essence censés alimenter des dispositifs de contrôle de la circulation.
"Quand ils les ont verrouillés, ils les ont enchaînés, ils ont commencé à voler le gaz des générateurs", a déclaré le shérif à TCPalm.
Un jour après l'arrivée de l'équipe, ils ont reçu un rapport sur une maison qui brûlait après que le propriétaire ait installé un générateur dans le garage parce qu'il avait tellement peur que des pillards volent leur générateur de secours. La maison était une perte totale, a déclaré Snyder.
"Le défi qui m'a le plus marqué était à quel point la société est fragile lorsque l'électricité et l'eau disparaissent", a ajouté le shérif.
"Pas de gaz, pas d'électricité, pas d'eau, et tout commence à s'arrêter."
"Nous avons la loi et l'ordre" Dans le comté voisin de Lee, le shérif Carmine Marceno a lancé un avertissement sévère aux pilleurs potentiels après qu'un groupe de quatre personnes, dont trois immigrants illégaux, aient été arrêtés le 29 septembre pour avoir profité de la situation.
Un avertissement aux pillards est peint sur le côté d'une voiture détruite lors de l'ouragan Ian à Pine Island, en Floride, le 3 octobre 2022. (Win McNamee/Getty Images)
« En ce qui concerne le pillage, nous avons la loi et l'ordre dans le comté de Lee. Nous avons la loi et l'ordre dans notre grand État de Floride, et nous le ferons toujours », a déclaré Marceno.
"En ce moment, nous avons quatre cas de pillage, et je suis fier de dire qu'ils sont derrière les barreaux à leur place. Nos résidents seront en sécurité.
Marceno a ajouté que trois des personnes arrêtées - Robert Mena, Brandon Araya et Stephen Araya - se trouvaient illégalement aux États-Unis alors qu'elles étaient prises en train de piller dans le comté de Lee.
Les dossiers de la prison du comté de Lee montrent que Brandon Mauricio Araya, 20 ans ; Stephen Eduardo Sanchez Araya, 20 ans; Valérie Céleste Salcedo Mena, 26 ans ; et Omar Mejia Ortiz, 33 ans, ont été arrêtés pour cambriolage d'une structure inoccupée pendant l'état d'urgence. Ortiz fait également face à des accusations de petit larcin.
Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, entre autres responsables, a envoyé des messages similaires aux pillards potentiels après que des informations ont révélé que des personnes auraient commencé à voyager vers des îles sinistrées et à saccager des propriétés.
"Je peux vous dire que dans l'État de Floride, vous ne savez jamais ce qui peut se cacher derrière la maison de quelqu'un, et je ne voudrais pas risquer cela si j'étais vous, étant donné que nous sommes un État du deuxième amendement", a déclaré DeSantis, qui a noté que certains Floridiens ont des armes à feu.
Certains résidents ont également "fermé toutes les entreprises, et il y a des gens qui ont écrit sur leur contreplaqué, 'vous pillez, nous tirons'", a ajouté DeSantis. "En fin de compte, nous n'allons pas permettre à l'anarchie de profiter de cette situation."
Pénurie de gaz hivernale inévitable alors que les Allemands allument le chauffage tôt en raison de la vague de froid de septembre
mercredi 05 octobre 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) Les Allemands ont allumé le chauffage tôt en raison d'une vague de froid inattendue en septembre, consommant environ 14,5 % de gaz en plus que les années précédentes. Cela fait craindre qu'une pénurie de gaz en hiver soit inévitable.
Avec l'arrêt de l'approvisionnement en gaz de la Russie vers l'Europe, les autorités allemandes ont demandé à leurs citoyens de réduire immédiatement leur consommation de gaz naturel. "Avec un peu de chance, nous passerons l'hiver", a déclaré le ministre allemand de l'Economie, Robert Habeck.
La température de septembre en Allemagne a fini par être inférieure de près d'un demi-degré à la normale sur la base des conclusions préliminaires du DWD, le service météorologique national allemand.
Le DWD a rapporté que "la température moyenne en septembre 2022 était de 13,4 degrés Celsius (56,12 Fahrenheit)". En comparaison avec la période de référence de 1991 à 2020, l'écart négatif était de 0,4 C (32,7 F).
La mauvaise nouvelle est que le dernier froid a entraîné une augmentation de la consommation de gaz de 14,5 % par rapport aux années précédentes.
"Alors qu'une partie de la consommation de gaz résidentielle et commerciale était bien inférieure aux niveaux de consommation moyens des années précédentes jusqu'à la mi-septembre, les 483 GWh/semaine de la semaine dernière étaient bien au-dessus de la moyenne de 2018-2021 (422 GWh/semaine ; +14,5 %)", a déclaré le pays. Agence fédérale des réseaux a déclaré.
« Des économies devront avoir lieu même si les températures continuent de baisser. Sans économies importantes dans le secteur résidentiel également, il sera difficile d'éviter une pénurie de gaz en hiver », a déclaré Klaus Müller, de l'Agence fédérale des réseaux (FNA).
Mais le mois de septembre humide n'est pas si mauvais pour l'Allemagne frappée par la sécheresse. Le pays a enregistré environ 100 litres par mètre carré (l/m²) de précipitations en moyenne, soit environ 155 % de la période de référence de 1991 à 2020 (64,5 l/m²).
« En conséquence, il y a finalement eu une nette amélioration de la situation dans les régions frappées par la sécheresse. C'est le mois de septembre le plus pluvieux depuis 2001, avec des cumuls mensuels de plus de 200 l/m² en moyenne montagne et dans les Alpes. Aux altitudes les plus élevées, les premiers flocons sont même tombés », a déclaré le DWD dans un communiqué de presse.
Les Allemands doivent réduire leur consommation de gaz pour éviter une pénurie cet hiver Selon la FNA, les Allemands consomment trop de gaz naturel et doivent réduire leur consommation pour éviter une pénurie cet hiver. Pour éviter une éventuelle pénurie de gaz, une réduction d'au moins 20 % de la consommation est nécessaire. Les modes de consommation évoluant rapidement, « des économies doivent également être réalisées lorsque les températures continuent de baisser et ce n'est pas un succès infaillible », a déclaré Müller.
L'avertissement est venu alors que l'Allemagne continue d'accumuler du gaz avec des niveaux de stockage à 91,5% de sa capacité. La fermeture du pipeline Nord Stream a contraint les Européens à se précipiter pour s'approvisionner suffisamment pour survivre à l'hiver à venir. (Connexe : l'Europe occidentale contrainte d'abandonner l'énergie "verte" défaillante alors que les flux de gaz russes s'arrêtent ; l'Allemagne redémarre les centrales électriques au charbon)
Pendant ce temps, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré le 29 septembre dernier qu'il y aurait un plafonnement des prix du gaz naturel, déclarant que les prix pour les consommateurs devaient baisser. Cela pourrait rendre plus difficile pour les ménages d'économiser du gaz, car des prix plus bas encouragent une plus grande consommation d'énergie.
Le gouvernement allemand accordera également un financement pouvant atteindre 200 milliards d'euros (196 milliards de dollars) pour un "bouclier de différence économique".
Habeck a déclaré que le frein du prix du gaz en Allemagne ne couvrira que 80% de l'utilisation normale des ménages pour inciter les consommateurs à économiser de l'énergie et à éviter une éventuelle pénurie.
"Pour les 20% supérieurs de la consommation normale, vous devrez certainement payer la totalité de la facture", a déclaré Habeck à la radio Deutschlandfunk le vendredi 30 septembre. "Malgré le" bouclier défensif économique "déclaré par le gouvernement, nous ne sommes pas va subventionner le prix du gaz jusqu'à ce qu'il était en 2021, pas pour très longtemps.
Suivez FuelSupply.news pour plus d'informations sur la crise énergétique en Allemagne et dans le reste de l'Europe.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi l'Allemagne a approuvé l'arrêt du chauffage et de l'éclairage cet hiver pour limiter l'utilisation du gaz.
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Cette vidéo provient de la chaîne In Search Of Truth sur Brighteon.com.
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L'industrie américaine des fruits de mer sous le choc des tarifs élevés et de l'inflation
By Autumn Spredemann September 30, 2022
Confrontée aux tarifs de la guerre commerciale et à une inflation vertigineuse, l'industrie de la pêche américaine est actuellement « écrasée ».
Cela est dû en grande partie à la quantité de transformation en mer effectuée en Chine après la capture du poisson dans les eaux américaines - ce qui signifie que les entreprises américaines qui les capturent paient des taux de droits élevés sur divers types de fruits de mer, notamment le saumon, le tilapia et le thon, le crabe et crevettes, selon Epoch Times, qui note que les entreprises américaines envoient leurs récoltes océaniques en Chine pour transformation depuis plus d'une décennie afin de profiter de coûts de main-d'œuvre et d'exploitation historiquement moins chers.
En fait, environ 65 % des quelque 6,3 milliards de livres de fruits de mer consommés chaque année par les Américains sont réimportés, une mesure qui permet aux entreprises américaines d'économiser environ 80 cents par livre de poisson en coûts de main-d'œuvre. Compte tenu des quelque 30 millions de livres de saumon envoyées aux usines de transformation chinoises, les économies s'additionnent.
Les chalutiers de l'industrie - lancés depuis des ports pittoresques au cours de la dernière décennie - représentent 1,8 million d'emplois, 255 milliards de dollars de ventes et 117 milliards de dollars d'impacts à valeur ajoutée. -Epoch Times
Cela dit, malgré les économies, il y a des leçons coûteuses à tirer de la dépendance à une main-d'œuvre bon marché.
En 2018, lorsque l'administration Trump a imposé un droit de douane de 25% sur les importations chinoises, Pékin a frappé 128 importations américaines avec des tarifs de rétorsion - dont la plupart étaient des produits d'épicerie, y compris des fruits de mer. En conséquence, certaines expéditions de fruits de mer sont actuellement frappées par des taux de droits allant jusqu'à 45 %.
Et qu'ont fait certains fournisseurs américains de fruits de mer après les tarifs chinois ? Ils se sont tournés vers les importations de poisson russe en 2018. La Russie, à l'heure actuelle, est le cinquième plus grand producteur de poissons sauvages et le premier producteur mondial de fruits de mer. Il exporte une quantité massive de Pollock - utilisé dans des choses comme les sandwichs de restauration rapide et les bâtonnets de poisson.
En 2021, les États-Unis ont importé pour 1,2 milliard de dollars de produits de la mer russes.
Offrant des prix moins chers sur plusieurs espèces de corégone et d'autres prises fraîches, la Russie est devenue un concurrent majeur pour les fruits de mer nationaux américains.
En mars, le président Joe Biden a interdit les importations de fruits de mer russes dans le cadre du train de sanctions contre Moscou pour son invasion de l'Ukraine en février.
Pourtant, certains experts affirment que le poisson russe continue de se retrouver dans les assiettes américaines cette année grâce à l'essor de la réexportation en Chine.
À cela s'ajoute l'inflation cette année. Les fruits de mer ont dépassé les autres produits d'épicerie sur des étiquettes de prix gonflées, atteignant une augmentation de près de 17 % en juillet.
L'expert financier et PDG de The Smart Investor, Baruch Silvermann, a déclaré à Epoch Times que la flambée de l'inflation pèse sur toutes les industries, y compris la pêche et les fruits de mer aux États-Unis.
« Cela est particulièrement visible dans les exportations car le dollar est plus fort par rapport aux autres devises. Comme le dollar est plus fort, cela signifie que les exportations sont moins compétitives et que la demande peut rester faible », a-t-il expliqué.
« Par exemple, alors qu'un euro pouvait rapporter 1,20 $ l'an dernier, il rapporte aujourd'hui moins de 1 $. Il s'agit d'une baisse potentielle des bénéfices de 20 % », a noté Silvermann.
Lorsqu'il s'agit d'importations et d'exportations, Salvatore "Sal" Stile II connaît son chemin autour de la cour. Il est président de la société de transport et de dédouanement basée à Valley Stream, Alba Wheels Up International à New York.
Stile dit que l'industrie de la pêche américaine est "absolument écrasée" par une combinaison de tarifs, d'inflation et de logistique portuaire.
«En gros, ça marche dans les deux sens. Les tarifs chinois ont un impact sur les pêcheries américaines parce que la plupart des poissons américains sont envoyés en Chine pour y être transformés », a déclaré Stile à Epoch Times.
Après avoir payé les droits d'importation à leur arrivée en Chine, les fruits de mer américains sont ensuite renvoyés à la vente après transformation. Une fois qu'il atteint à nouveau les côtes américaines, le poisson est soumis à une deuxième taxe.
Et tandis que les consommateurs voient une partie de ce fardeau financier dans les épiceries, la grande majorité est absorbée par les travailleurs de l'industrie.
« Nos pêcheurs pêchent à bord de petits bateaux familiaux ici dans le Pacifique Nord. Le coût du carburant, des appâts, de la glace et des frais de transport est astronomique », a déclaré James Johnson, directeur exécutif de l'Union des pêcheurs en haute mer du Pacifique, à Epoch Times.
Le syndicat est le plus ancien du genre aux États-Unis - fondé en 1912 - et revendique la distinction d'être le seul syndicat maritime américain qui représente les préoccupations des membres d'équipage.
Inflation et tarifs mis à part, Johnson a expliqué que les frais généraux et les coûts d'exploitation des équipages de bateaux sont extrêmement élevés pour commencer.
"Et ensuite, le produit qui reste est reversé à l'équipage et s'il y a un profit à la fin, il est divisé par l'équipage et la propriété.
La pêche est un peu comme un modèle bizarre », a-t-il déclaré.
«Chaque pêcheur est un entrepreneur indépendant, ce ne sont pas des employés… ils assument donc directement une grande partie des coûts et de la responsabilité. Je pense donc que lorsque nous voyons le coût des pressions inflationnistes, c'est parce qu'il est supporté par les pêcheurs.
Ce phénomène est exacerbé par les complications logistiques en cours dans les terminaux maritimes.
Le problème du stationnement
Selon Stile, même lorsque les pêcheurs américains ont la possibilité de vendre leurs produits, ils sont confrontés à des obstacles tels que de longs temps d'attente, un manque d'espace et des ports d'escale sautés.
Le manque d'espace pour les conteneurs et la congestion dans les ports américains ont retenu l'attention depuis le début de la pandémie en raison de la capacité opérationnelle réduite et de la capacité d'exporter ou de recevoir des conteneurs de l'étranger.
La situation s'est quelque peu améliorée cette année, mais les mêmes défis demeurent.
« Certains ports de la côte ouest souffrent encore de ce problème. Certains ne sont pas seulement sautés ; les conteneurs vides ne sont pas remis sur les navires », a expliqué Stile.
Le dilemme de la disponibilité de l'espace pour les conteneurs vides dans les ports américains crée une réaction en chaîne qui a également un impact sur l'industrie des produits de la mer en difficulté. Stile a expliqué que le problème des conteneurs vides fonctionne essentiellement comme un parking.
"Si vous n'avez pas assez de voitures qui sortent, vous ne pouvez pas vous garer."
La débâcle des conteneurs vides devient également coûteuse rapidement, entraînant l'annulation totale des arrêts pour éviter de lourds frais de «détention».
« Vous êtes facturé pour les conteneurs non retournés. J'ai eu un client qui ne pouvait pas retourner les conteneurs, cela lui a coûté des dizaines de milliers de dollars », a-t-il déclaré.
Rester local Alors que la pêche commerciale souffre en grande partie de droits de douane élevés, les quelque 35 % de l'industrie qui maintiennent sa production locale ne connaissent aucun lien entre la Chine et les États-Unis. retombées commerciales.
En Alaska, la pêche fait autant partie de la vie que les vues panoramiques sur les montagnes et les grizzlis.
En 2020, l'industrie de la pêche a généré plus de 13 milliards de dollars par an en production économique pour l'État et emploie près de 100 000 personnes à plein temps. Cela représente près de 14 % de la population de l'Alaska.
Charlene Jones conduit un camion au propane dans la ville de Haines, située le long du magnifique et isolé canal Lynn, dans la région côtière du sud-est. Lorsqu'on lui a demandé quelle était l'importance de l'industrie de la pêche dans sa région, Jones a déclaré à Epoch Times : « C'est essentiel.
Haines est le genre d'endroit où les magasins familiaux locaux bordent les rues et où l'autonomie est un mode de vie.
Il n'y a pas une seule "arche dorée" ou station-service de marque en vue.
De plus, la ville n'est pas non plus écrasée par les tarifs puisque leur transformation des fruits de mer est effectuée en ville et vendue pour la consommation locale.
"Haines Packing gère tous les poissons commerciaux localement", a déclaré Jones.
Desservant d'autres villes côtières comme Skagway et Whitehorse, Haines Packing protège efficacement l'industrie locale des produits de la mer des droits de douane internationaux depuis 1917.
En revanche, Kodiak est la plaque tournante de la pêche commerciale en Alaska et le troisième plus grand port de pêche des États-Unis. Plus de 40 % du saumon, 54 % de la morue et un tiers de tous les fruits de mer de l'État sont exportés vers la Chine chaque année.
Bien que locale ou exportée, la pêche reste une industrie délicate en Alaska.
«Je connais peut-être 10 personnes qui sont des pêcheurs commerciaux et c'est ce qu'ils font, mais cela n'existe que l'été. C'est quelque chose de saisonnier. »
Jones admet "Il est difficile de trouver un emploi qui paie vos factures de manière cohérente."
Bien que malgré le succès de la conservation des fruits de mer locaux à Haines, Stile dit qu'il est peu probable que l'industrie américaine des fruits de mer puisse introduire la transformation commerciale en interne à plus grande échelle.
"Entre les lois de l'OSHA, la main-d'œuvre et les coûts des installations d'entreposage, ce n'est tout simplement pas possible", a-t-il déclaré.
Le poisson n'est pas une plante qui demande de l'engrais, des produits de traitements contre les maladies et arrosages, il fait çà tout seul ! Il y a qu'à se baisser !
Oui mais le gratuit est disponible que si vous le payez ! alors pour le moins-que-gratuit...
L'augmentation des énergies renouvelables ne peut pas fournir suffisamment d'énergie thermique en hiver
PAR TYLER DURDEN JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 02:40 Rédigé par Gail Tverberg via le blog Our Finite World,
Nous ne pensons généralement pas aux merveilleux services que fournissent les combustibles fossiles en tant que réservoir d'énergie thermique pour l'hiver, le moment où les besoins en énergie thermique sont les plus importants. La figure 1 montre de façon spectaculaire comment, aux États-Unis, l'utilisation résidentielle de combustibles de chauffage atteint des sommets pendant les mois d'hiver.
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Figure 1. Consommation d'énergie résidentielle aux États-Unis, d'après les données de l'EIA. La catégorie « Gaz naturel, etc. comprend tous les combustibles achetés directement par les ménages et brûlés. Il s'agit principalement de gaz naturel, mais comprend également de petites quantités de propane et de diesel brûlés comme mazout. Les copeaux de bois ou autres bois commerciaux achetés pour être brûlés font également partie de cette catégorie.
L'énergie solaire est plus abondamment disponible dans la période mai-juin-juillet, ce qui en fait un mauvais candidat pour résoudre le problème du besoin de chaleur en hiver.
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Figure 2. Production d'électricité solaire en Californie par mois jusqu'au 30 juin 2022, sur la base des données de l'EIA. Les montants sont pour l'échelle des services publics et l'énergie solaire à petite échelle combinées.
À certains égards, le manque de disponibilité de carburants pour l'hiver est un canari dans la mine de charbon en ce qui concerne les futures pénuries d'énergie. Les gens se sont inquiétés des pénuries de pétrole, mais les pénuries de carburant en hiver sont, à bien des égards, tout aussi graves. Ils peuvent faire en sorte que les gens «se figent dans le noir».
Dans cet article, je vais examiner certains des problèmes en cause.
[1] Les batteries conviennent pour régler avec précision l'heure précise pendant une période de 24 heures d'utilisation de l'électricité solaire. Ils ne peuvent pas être agrandis pour stocker l'énergie solaire de l'été à l'hiver. Dans le monde d'aujourd'hui, les batteries peuvent être utilisées pour retarder l'utilisation de l'électricité solaire de quelques heures au maximum. Dans des situations exceptionnelles, la période de détention peut être portée à quelques jours.
La Californie est connue à la fois pour son haut niveau de stockage de batteries et son haut niveau d'énergies renouvelables. Ces énergies renouvelables comprennent à la fois l'énergie solaire et éolienne, ainsi que de plus petites quantités d'électricité générées dans des centrales géothermiques et de l'électricité générée par la combustion de la biomasse. Le problème rencontré est que l'électricité produite par les panneaux solaires a tendance à commencer et à finir trop tôt dans la journée, par rapport au moment où les citoyens veulent utiliser cette électricité. Une fois que les citoyens sont rentrés chez eux après le travail, ils aimeraient cuisiner leurs dîners et utiliser leur climatisation, ce qui entraîne une demande considérable après le coucher du soleil.
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Figure 3. Illustration par Inside Climate News montrant la combinaison des ressources utilisées le 9 juillet 2022, qui était un jour de pic de consommation d'électricité. Les importations font référence à l'électricité achetée en dehors de l'État de Californie.
La figure 3 illustre comment les batteries en combinaison avec la production hydroélectrique (hydroélectricité) sont utilisées pour économiser la production d'électricité tôt dans la journée pour une utilisation en soirée. Bien que l'utilisation de la batterie permette de régler précisément le moment où, sur une période de 24 heures, l'énergie solaire sera utilisée, la quantité de batteries ne peut pas être suffisamment augmentée pour économiser l'électricité de l'été à l'hiver. Le monde serait à court de matériaux de fabrication de batteries, si rien d'autre.
[2] Augmenter l'hydroélectricité n'est pas une solution à notre problème d'énergie inadéquate pour le chauffage en hiver. Un problème est que, dans les économies industrialisées depuis longtemps, les capacités hydroélectriques ont été construites il y a des années.
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Figure 4. Production hydroélectrique annuelle basée sur les données de l'examen statistique 2022 de BP sur l'énergie mondiale.
Il est difficile de croire que beaucoup plus de constructions sont disponibles dans ces pays.
Un autre problème est que l'hydroélectricité a tendance à être assez variable d'une année à l'autre, même sur une zone aussi vaste que les États-Unis, comme le montre la figure 4 ci-dessus. Lorsque la variabilité est observée sur une zone plus petite, la variabilité d'une année à l'autre est encore plus élevée, comme l'illustre la figure 5 ci-dessous.
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Figure 5. Production hydroélectrique mensuelle en Californie jusqu'au 30 juin 2022, sur la base des données de l'EIA.
Le schéma illustré reflète la production maximale au printemps, lorsque la banquise fond. La faible génération se produit généralement pendant l'hiver, lorsque la banquise est gelée. Ainsi, l'hydroélectricité n'est généralement pas utile pour augmenter les approvisionnements énergétiques en hiver. Un schéma similaire a tendance à se produire dans d'autres régions tempérées.
Un troisième problème est que la variabilité de l'approvisionnement en électricité cause déjà des problèmes. La Norvège a récemment signalé qu'elle devra peut-être limiter ses exportations d'hydroélectricité dans les mois à venir car les réservoirs d'eau sont bas. Les exportations d'électricité de la Norvège sont utilisées pour aider à équilibrer l'électricité éolienne et solaire de l'Europe. Ainsi, cette question peut conduire à un autre problème énergétique pour l'Europe.
Autre exemple, la Chine signale une grave crise d'électricité dans sa province du Sichuan, liée à de faibles précipitations et à des températures élevées. La production de combustibles fossiles n'est pas disponible pour combler le vide.
[3] L'énergie éolienne n'est pas beaucoup mieux que l'hydroélectricité et le solaire, en termes de variabilité et de mauvaise synchronisation de l'approvisionnement. Par exemple, l'Europe a connu une crise d'électricité au troisième trimestre 2021 liée à des vents faibles. Les plus grands producteurs éoliens européens (Grande-Bretagne, Allemagne et France) n'ont produit que 14 % de leur capacité nominale au cours de cette période, contre une moyenne de 20 % à 26 % les années précédentes. Personne n'avait prévu ce genre de manque à gagner de trois mois.
En 2021, la Chine a connu un temps sec et sans vent, ce qui a entraîné une faible production d'énergie éolienne et hydraulique. Le pays a constaté qu'il avait besoin d'utiliser des pannes de courant pour faire face à la situation. Cela a entraîné la panne des feux de circulation et de nombreuses familles ont dû manger des dîners aux chandelles.
Même vue à l'échelle nationale, la production éolienne aux États-Unis varie considérablement d'un mois à l'autre.
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Figure 6. Production totale d'électricité éolienne aux États-Unis jusqu'au 20 juin 2022, sur la base des données de l'EIA.
La production totale d'électricité éolienne aux États-Unis a tendance à être la plus élevée en avril ou en mai. Cela peut entraîner des problèmes d'offre excédentaire, car la production d'hydroélectricité a tendance à être élevée à peu près au même moment. La demande d'électricité a tendance à être faible en raison d'un temps généralement doux. Le résultat est que même aux niveaux renouvelables d'aujourd'hui, un printemps humide et venteux peut conduire à une situation dans laquelle la combinaison de l'approvisionnement en électricité hydroélectrique et éolienne dépasse la demande locale totale d'électricité.
[4] À mesure que de plus en plus d'énergie éolienne et solaire s'ajoutent au réseau, les défis et les coûts deviennent de plus en plus importants. Il existe un grand nombre de problèmes techniques associés à la tentative d'ajouter une grande quantité d'énergie éolienne et solaire au réseau. Certains d'entre eux sont décrits dans la figure 7.
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Figure 7. Diapositive d'introduction d'une présentation par des ingénieurs en électricité présentée dans cette vidéo YouTube.
L'un des problèmes est la distorsion de couple, en particulier liée à l'énergie éolienne.
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Figure 8. Diapositive décrivant les problèmes de distorsion de couple de la même présentation aux ingénieurs électriques que la figure 7. Vidéo YouTube.
Il existe également de nombreux autres problèmes, dont certains sont décrits sur ce site Web de Drax. L'éolien et le solaire ne fournissent aucune « inertie » au système. Cela me fait me demander si le réseau pourrait même fonctionner sans une quantité substantielle de combustible fossile ou de production nucléaire fournissant une inertie suffisante.
De plus, le vent et le soleil ont tendance à faire fluctuer la tension, ce qui oblige les systèmes à absorber et à décharger ce qu'on appelle la "puissance réactive".
[5] Le mot « durable » a créé des attentes irréalistes en ce qui concerne l'électricité éolienne et solaire intermittente. Une personne de l'industrie de la réparation d'éoliennes m'a dit un jour : "Les éoliennes fonctionnent avec un approvisionnement régulier en pièces de rechange." Les pièces individuelles peuvent être conçues pour durer 20 ans, voire plus, mais il y a tellement de pièces que certaines devront probablement être remplacées bien avant cette date. Un article de Windpower Engineering indique : « Les réducteurs de turbine ont généralement une durée de vie de 20 ans, mais peu dépassent la barre des 10 ans.
Il y a aussi le problème des dommages causés par le vent, surtout en cas de violente tempête.
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Figure 9. Panneaux solaires endommagés par l'ouragan à Porto Rico. La source.
De plus, la durée de vie opérationnelle des centrales à combustible fossile et des centrales nucléaires est généralement beaucoup plus longue que celle des centrales éoliennes et solaires. Aux États-Unis, certaines centrales nucléaires sont autorisées à fonctionner pendant 60 ans. Des efforts sont en cours pour étendre certaines licences à 80 ans.
Avec la courte durée de vie de l'éolien et du solaire, la reconstruction constante des éoliennes et de la production solaire est nécessaire, en utilisant des combustibles fossiles. Entre la question de la reconstruction et le besoin d'énergies fossiles pour maintenir le réseau électrique, on ne peut s'attendre à ce que la production des éoliennes et des panneaux solaires dure plus longtemps que l'approvisionnement en énergies fossiles.
[6] La modélisation énergétique a conduit à des attentes irréalistes pour l'éolien et le solaire. Les modèles énergétiques ne tiennent pas compte de tous les nombreux ajustements du système de transmission qui sont nécessaires pour soutenir l'éolien et le solaire, et les coûts supplémentaires qui en résultent. Outre le coût direct de la transmission supplémentaire requise, il existe un besoin continu d'inspecter les pièces pour détecter des signes d'usure. Les broussailles autour des lignes de transmission doivent également être réduites. Si un entretien adéquat n'est pas effectué, les lignes de transmission peuvent provoquer des incendies. L'enfouissement des lignes de transmission est parfois une option, mais cela coûte cher, à la fois en termes de consommation d'énergie et de coût.
Les modèles énergétiques ne tiennent pas non plus compte de la façon dont les éoliennes et les panneaux solaires fonctionnent dans la « vraie vie ». En particulier, la plupart des chercheurs ne comprennent pas que l'on ne peut pas s'attendre à ce que l'électricité provenant de panneaux solaires soit très utile pour répondre à nos besoins en énergie thermique en hiver. Si nous voulons ajouter plus de climatisation en été, les panneaux solaires peuvent "en quelque sorte" soutenir cet effort, surtout si des batteries sont également ajoutées pour aider à régler avec précision quand, pendant la journée de 24 heures, l'électricité solaire sera utilisée. Malheureusement, nous n'avons aucun moyen réaliste d'économiser la production des panneaux solaires d'été en hiver.
Le résultat est qu'environ un tiers du gain de l'énergie éolienne et solaire a été compensé par la baisse de la production d'électricité nucléaire. Bien sûr, le nucléaire est une autre forme d'électricité à faible émission de carbone. C'est beaucoup plus fiable que l'éolien ou le solaire. Il peut même aider à prévenir le gel dans l'obscurité car il est susceptible d'être disponible en hiver, lorsque plus d'électricité pour le chauffage est susceptible d'être nécessaire.
Un autre problème est que la tarification concurrentielle a découragé la construction d'installations de stockage adéquates pour le gaz naturel. De plus, cela avait tendance à décourager l'achat de gaz naturel dans le cadre de contrats à long terme. La réflexion était la suivante : "Plutôt que de construire un stockage, pourquoi ne pas attendre que le gaz naturel soit nécessaire, puis l'acheter au prix du marché ?"
Malheureusement, la production de gaz naturel nécessite des investissements à long terme. Les entreprises qui produisent du gaz naturel exploitent des puits qui produisent des quantités à peu près égales tout au long de l'année. Le même schéma de forte consommation hivernale de gaz naturel tend à se produire presque simultanément dans de nombreuses régions de l'hémisphère Nord avec des hivers froids. Pour que le système fonctionne, les clients doivent acheter du gaz naturel toute l'année et le ranger pour l'hiver.
La production de gaz naturel a diminué en Europe, tout comme la production de charbon (non illustrée), ce qui a nécessité davantage d'importations de combustible de remplacement, souvent du gaz naturel.
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Figure 11. Production de gaz naturel en Europe, sur la base des données de la revue statistique 2022 de BP sur l'énergie mondiale.
Avec une tarification compétitive et des navires GNL semblant vendre du gaz naturel « selon les besoins », il y a eu une tendance en Europe à négliger la nécessité de contrats à long terme et de stockage supplémentaire pour accompagner l'augmentation des importations de gaz naturel. Aujourd'hui, l'Europe commence à découvrir la folie de cette approche. Le solaire est presque sans valeur pour fournir de l'électricité en hiver ; on ne peut pas compter sur le vent. Il ne s'accélère pas assez rapidement, dans un délai raisonnable. Le danger est que les pays risquent de voir leurs citoyens gelés dans le noir en raison d'une disponibilité insuffisante d'importations de gaz naturel.
[8] Le monde est très loin de produire suffisamment d'énergie éolienne et solaire pour résoudre ses problèmes énergétiques, notamment son besoin de chaleur en hiver. L'approvisionnement énergétique que le monde utilise comprend bien plus que l'électricité. Il contient du pétrole et des combustibles brûlés directement, comme le gaz naturel. La part en pourcentage de cet approvisionnement énergétique total que la production éolienne et solaire fournit dépend de la façon dont elle est comptée. L'Agence internationale de l'énergie considère l'éolien et le solaire comme s'ils ne remplaçaient que le carburant, plutôt que de remplacer l'électricité dispatchable.
Figure 12 Production éolienne et solaire pour une catégorie appelée « éolienne, solaire, etc. par l'AIE. Les montants sont pour 2020 pour l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Australie, la Norvège, les États-Unis et le Japon. Pour les autres groupes présentés dans ce graphique, les montants sont calculés à partir des données de 2019.
Sur cette base, la part de l'énergie totale fournie par la catégorie Éolien et Solaire est très faible, seulement 2,2 % pour l'ensemble du monde. L'Allemagne arrive en tête des groupes analysés, mais même elle ne remplace que 6,0 % de son énergie totale consommée. Il est difficile d'imaginer comment la terre et l'eau autour de l'Allemagne pourraient tolérer que les éoliennes et les panneaux solaires soient suffisamment alimentés pour couvrir un tel déficit. D'autres parties du monde sont encore plus loin de remplacer les approvisionnements énergétiques actuels par l'éolien et le solaire.
De toute évidence, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que l'énergie éolienne et solaire soit un jour renforcée pour répondre à nos besoins énergétiques, même en combinaison avec l'hydroélectricité.
Certains pays ont construits des barrages sur des rivières à faible débit (!) mais alimentent ses rétentions d'eau par le pompage d'eaux plus bas grâce à des éoliennes qui tournent quand elles veulent et des panneaux solaires qui fournissent de l'électricité quand ils veulent. C'est bien là le seul bénéfice que l'on peut en tirer !
"Le monde risque de vivre avec une pénurie de pétrole pendant un certain temps", prévient le PDG d'Occidental
PAR TYLER DURDEN JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 01:40
Dernièrement, la société énergétique préférée de Warren Buffett était Occidental Petroleum. Il a augmenté la participation de Berkshire Hathaway dans la société avec des opérations pétrolières/gazières aux États-Unis, au Moyen-Orient et dans d'autres parties du monde à 21 % et a reçu l'approbation réglementaire pour acquérir jusqu'à 50 %.
L'achat agressif d'Occidental par Buffett intervient alors que la PDG Vicki Hollub a averti qu'un écart massif entre l'offre et la demande de pétrole avait été masqué par les libérations historiques de la réserve stratégique de pétrole sous l'administration Biden.
"Le manque d'approvisionnement continuera de se manifester alors que la Chine commence à s'ouvrir à partir de Covid", a expliqué Hollub dans une interview en marge de l'Energy Intelligence Forum à Londres, cité par Bloomberg.
Elle a averti que le monde risquait de "vivre avec une pénurie pendant un certain temps" qui ferait grimper les prix, ajoutant que le manque d'approvisionnement deviendra plus évident au premier trimestre 2023.
Pour avoir une idée du vidage politique du SPR par Biden … il ne reste plus que 22 jours d'approvisionnement.
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Les publications historiques du SPR précèdent la tentative de l'administration Biden d'arrêter les prix de l'essence à la pompe, mais une résurgence des prix de l'essence brute et de gros signifie que leurs efforts sont sur le point d'échouer.
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Et si l'OPEP+ décide de réduire la production mercredi de 1 à 2 millions de barils par jour, cela pourrait obliger l'administration à prendre des mesures plus drastiques pour arrêter les prix. Nous expliquons plus ici: Paniques à la Maison Blanche alors que les prix de l'essence rebondissent, interdiction d'exportation de Mulls, explosions d'"actes hostiles" de l'OPEP +.
Hollub d'Occidental a raison à propos des problèmes de capacité de réserve qui affligent presque tous les coins du monde producteur de brut. C'est à cause d'un sous-investissement chronique dans le secteur pétrolier depuis plusieurs années dû à l'idée lumineuse des gens qui dirigent le monde qui pensaient qu'une transition verte se ferait sans heurt...
Ce n'est pas seulement Hollub qui met en garde contre les problèmes de capacité et l'incapacité d'augmenter la production. Nous avons souligné en juin que le président français Emmanuel Macron avait affirmé que l'Arabie saoudite n'aurait pas la capacité supplémentaire dans les six prochains mois.
Puis en juillet, le correspondant énergétique du WSJ, Summer Said, a rapporté que les Saoudiens avaient un plafond de capacité de production de 12 millions de barils par jour. Cela signifie que l'augmentation potentielle de la production n'est que de 1,5 million de barils par jour. Et il n'y a pas beaucoup d'espoir de dépasser la barre des 12 millions de sitôt.
Infographie : La production pétrolière saoudienne est-elle à pleine capacité ? | Statistique
Et rappelez-vous une réunion de l'OPEP+ début août qui a augmenté la production de septembre de seulement 100 000 barils par jour. La réunion a noté "une capacité excédentaire très limitée" pour augmenter l'offre, ce qui à l'époque était une gifle pour Biden, qui s'est rendu en Saoudien pour demander une augmentation de la production.
Puis fin août, le secrétaire général de l'OPEP, Haitham Al-Ghais, s'est entretenu avec Bloomberg Television et a averti :
"Nous roulons sur de la glace mince, si je peux utiliser ce terme, car la capacité de réserve se raréfie. La probabilité d'une compression est là."
Ce n'est que mardi que le PDG de Saudi Aramco, Amin Nasser, a déclaré au Energy Intelligence Forum à Londres : "Lorsque la Chine s'ouvrira, [l']économie commencera à s'améliorer ou que l'industrie aéronautique commencera à demander plus de kérosène, vous éroderez cette capacité de réserve".
"Et lorsque vous érodez cette capacité de réserve, le monde devrait s'inquiéter. Il n'y aura pas de place pour un hoquet - une interruption, un événement imprévu partout dans le monde", a déclaré Nasser.
Revenons donc à Hollub d'Occidental, le dernier à mettre en garde contre les problèmes de capacité de production mondiale de pétrole inutilisés en raison d'années de sous-investissement, ce qui pourrait augmenter les prix du brut. Peut-être que les perspectives de prix du brut plus élevés expliquent pourquoi Buffett est tombé amoureux d'Occidental.
Tarifs d'expédition de GNL "Shooting For The Stars" à 500 000 $ par jour
PAR TYLER DURDEN JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 01:20 Par Greg Miller de FreightWaves
Le 26 septembre, l'analyste de Pareto Eirik Haavaldsen a prédit que les tarifs d'expédition de gaz naturel liquéfié pourraient dépasser 1 million de dollars par jour au quatrième trimestre. Au moins certaines transactions sont déjà à mi-chemin, selon un rapport publié lundi.
Payer un million par jour peut sembler fou. Mais tout se résume au profit qu'un expéditeur peut réaliser sur une cargaison. Si un expéditeur peut réaliser 200 millions de dollars de bénéfices en déplaçant une seule cargaison de GNL, il paiera six chiffres par jour en fret. Ou si Pareto a raison, sept.
Nouveau record pour les tarifs d'expédition de GNL
Ce n'est même pas encore l'hiver et les tarifs de transport de GNL à court terme sont déjà en territoire record, non seulement pour le transport de GNL, mais pour tout secteur de transport commercial. Et ces taux devraient continuer à grimper.
Clarksons Securities a fixé les tarifs de voyage moyens pour les transporteurs de GNL les plus efficaces – ceux à propulsion à deux temps connus sous le nom de transporteurs MEGI ou XDF – à 313 000 $ par jour à partir de lundi. Les tarifs de référence des transporteurs de moteurs diesel tricarburant (TFDE) ont été évalués à 276 700 $ par jour.
« Les méthaniers visent les étoiles. Les bénéfices au comptant ont atteint des sommets vertigineux », a écrit Frode Mørkedal, analyste chez Clarksons Securities. «Selon les courtiers, les propriétaires peuvent désormais réaliser des économies à trois, ce qui signifie qu'ils sont rémunérés non seulement pour un aller-retour régulier, mais également pour des voyages de positionnement. En conséquence, les revenus sur une base aller-retour pourraient être d'environ 500 000 $ par jour.
Même sans l'économie à trois, les taux d'affrètement au voyage montent en flèche.
S&P Global Commodity Insights a déclaré à American Shipper qu'au cours de la semaine dernière, le transporteur de GNL Yiannis aurait été fixé à Shell à 400 000 dollars par jour pour un voyage intra-atlantique et que le Schneeweisschen a été réservé pour début novembre à 360 000 dollars par jour par le GAIL indien.
Effet de guerre
Les tarifs ont atteint les 300 000 $ par jour à l'occasion au cours des deux derniers hivers. Mais la situation actuelle du marché est sans précédent. Le fournisseur de gaz russe est en guerre, il a coupé l'approvisionnement de l'Allemagne et quelqu'un vient de saboter deux pipelines dans la Baltique.
Le nombre de navires GNL disponibles pour les transactions au comptant est exceptionnellement limité. En conséquence, le marché au comptant est extrêmement mince. La quasi-totalité de la flotte mondiale de GNL est bloquée sur des affrètements à long terme. Dans le passé, un plus grand nombre de ces navires ont peut-être été «reloués» sur le marché au comptant pour profiter de la flambée des taux. Cette fois-ci, les bénéfices de l'achat et de la vente de la cargaison elle-même sont plus attractifs.
Selon Mørkedal, "les courtiers notent que les affréteurs et la conservation du tonnage au lieu de sous-louer en raison des bénéfices de fret exceptionnellement élevés, ce qui rend l'option d'avoir un navire prêt plus lucrative que de sous-louer le navire sur le marché au comptant".
Pendant ce temps, une plus grande capacité de navire est liée au stockage flottant. "De début octobre à fin novembre, les marchés du fret GNL ont une structure de contango solide de 10 $ par million de Btu", a expliqué Morkedal. « Cela suscite un intérêt croissant pour le stockage flottant. En conséquence, un grand nombre de méthaniers chargés attendraient désormais au large du sud de l'Europe.
Des tarifs journaliers extraordinairement élevés ont été observés sur plusieurs marchés de transport de marchandises en vrac au fil des ans.
Les tarifs des très gros transporteurs de brut ont atteint 200 000 $ par jour à l'automne 2019 et au printemps 2020. Les tarifs des vraquiers Capesize auraient dépassé 200 000 $ par jour en juin 2008.
Dans le transport par conteneurs, les tarifs de fret au comptant ont dépassé 30 000 $ par unité équivalente de quarante pieds l'an dernier. C'est environ 30 fois plus élevé que les taux pendant certaines années avant la COVID. Cela a déclenché un tollé parmi les expéditeurs de fret conteneurisé, conduisant à des accusations selon lesquelles les tarifs étaient «inéquitables» et représentaient une «tarification des prix».
Dans le transport de marchandises en vrac – qui a beaucoup plus d'expérience avec les pics de taux causés par les déséquilibres entre l'offre et la demande – il n'y a pas un tel recul. Lorsque le taux de fret atteint le point où il efface la marge bénéficiaire sur la marchandise, l'expéditeur refuse tout simplement de réserver le voyage.
Interrogé sur le niveau théorique des tarifs des pétroliers, le PDG de Hafnia Tankers, Mikael Skov, a déclaré aux participants au Capital Link New York Maritime Forum le 21 septembre : si le fret devient tellement important dans le total qu'il le tue. Il n'y a vraiment pas de plafond jusqu'à ce que le fret devienne vraiment, vraiment élevé.
Le président de Scorpio Tankers, Robert Bugbee, a noté que sa société avait fixé des pétroliers pour des voyages individuels cet été à plus de 100 000 dollars par jour "et pas une seule fois nous n'avons reçu d'appels téléphoniques des chefs de BP ou de Shell qui nous ont dit : 'Qu'est-ce que tu fous ? baiser nos gars ?
La dette publique américaine dépasse les 31 000 milliards de dollars
PAR TYLER DURDEN JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 01:00
Pour les anciens ici, il semble que c'était hier encore que la dette nationale américaine ne poussait "que" 6 000 milliards de dollars. Ensuite, entre la «guerre contre le terrorisme» et le QE qui se moquait de l'aléa moral, l'Amérique a maintenant franchi une sombre étape financière – alors que la dette nationale dépasse 31 billions de dollars pour la première fois, selon un nouveau rapport du département du Trésor.
La dette record survient alors que les taux d'intérêt historiquement bas se sont transformés en coûts d'emprunt plus élevés, alors que la Fed tente de maîtriser l'inflation qu'elle-même, les banques et les dinosaures du "chèque en blanc" à la tête du pays ont provoquée.
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Et, bien sûr, la seule raison pour laquelle ils ont pu y parvenir sans (jusqu'à récemment) une inflation massive et brûlante pour les consommateurs est que le dollar est toujours la monnaie de réserve mondiale.
"Un grand nombre des inquiétudes que nous avons eues au sujet de notre dette croissante commencent à se manifester alors que nous augmentons à la fois notre dette et nos taux d'intérêt", a déclaré Michael Peterson, PDG de la Fondation Peter G. Peterson, dans un communiqué. au New York Times. "Trop de gens étaient satisfaits de notre trajectoire d'endettement, en partie parce que les taux étaient si bas."
Des taux plus élevés pourraient ajouter 1 billion de dollars supplémentaires à ce que le gouvernement fédéral dépense en paiements d'intérêts cette décennie, selon les estimations de la Fondation Peterson. Cela s'ajoute au coût record de 8,1 billions de dollars de la dette que le Bureau du budget du Congrès a prévu en mai. Les dépenses en intérêts pourraient dépasser ce que les États-Unis dépensent pour la défense nationale d'ici 2029, si les taux d'intérêt sur la dette publique n'augmentent que d'un point de pourcentage de plus que ce que le C.B.O. estimée au cours des prochaines années.
La Fed, qui a réduit ses taux à près de zéro pendant la pandémie, a depuis commencé à les relever pour tenter de maîtriser l'inflation la plus rapide en 40 ans. Les taux sont désormais fixés dans une fourchette comprise entre 3 et 3,25%, et les projections les plus récentes de la banque centrale les ont vus grimper à 4,6% d'ici la fin de l'année prochaine, contre 3,8% dans une prévision précédente. -NYT
Comme le note Michael Maharrey de SchiffGold; Et alors?
[T]il n'y a pas de fin aux emprunts et aux dépenses en vue. Rien qu'en août, le gouvernement américain a enregistré un énorme déficit budgétaire de 219,6 milliards de dollars.
Alors que les dépenses ont quelque peu ralenti avec la fin des programmes de l'ère de la pandémie, l'administration Biden continue de dépenser environ un demi-billion de dollars chaque mois. Alors qu'il reste un mois à l'exercice budgétaire, le gouvernement a dépensé un peu plus de 5,35 billions de dollars.
Le gouvernement américain distribue toujours des mesures de relance COVID et il en veut plus. Le Congrès a récemment fait passer un autre projet de loi de dépenses massives. Pendant ce temps, les États-Unis continuent de déverser de l'argent sur l'Ukraine et d'autres pays du monde. Et nous n'avons pas commencé à voir l'impact de l'annulation des prêts étudiants.
En plus de l'augmentation des dépenses, la hausse des taux d'intérêt gonflera encore plus la dette.
Chaque augmentation des taux d'intérêt augmente les frais d'intérêt du gouvernement fédéral. Jusqu'à présent, au cours de l'exercice 2022, le Trésor américain a déboursé 471 milliards de dollars uniquement pour financer les paiements d'intérêts du gouvernement.
Pour mettre ce chiffre en contexte, à ce stade de l'exercice 2021, les charges d'intérêts du Trésor s'élevaient à 356 milliards de dollars. Cela représente une augmentation de 30 % d'une année sur l'autre. Les charges d'intérêts se classent au sixième rang des catégories de dépenses budgétaires, environ 250 milliards de dollars en dessous de Medicare. Si les taux d'intérêt restent élevés ou continuent d'augmenter, les charges d'intérêts pourraient grimper rapidement parmi les trois principales dépenses fédérales. (Vous pouvez lire une analyse plus approfondie de la dette nationale ICI.
Selon le Congressional Budget Office, c'est exactement ce qui va se passer. Il prévoit que les paiements d'intérêts tripleront, passant de près de 400 milliards de dollars au cours de l'exercice 2022 à 1,2 billion de dollars en 2032. Et c'est pire que cela. Le CBO a fait cette estimation en mai. Les taux d'intérêt sont déjà plus élevés que ceux utilisés dans son analyse.
La plupart des gens ignorent simplement la dette nationale qui ne cesse de croître. Lorsque nous parlons de la dette qui monte en flèche, la réponse est : « Et alors ? Ils pensent que si cela n'a pas encore d'importance, cela n'aura pas d'importance demain. Mais vous ne pouvez éliminer la dette que jusqu'à présent avant de manquer de route.
Le problème de la dette
James Madison considérait la dette comme faisant partie d'un trifecta d'outils que le gouvernement utilise pour opprimer le peuple.
Les armées, les dettes et les impôts sont les INSTRUMENTS CONNUS pour mettre le plus grand nombre sous la domination de quelques-uns.
Alors, comment cette énorme dette massive affectera-t-elle réellement nos vies ?
En premier lieu, une dette nationale importante freine la croissance économique.
Selon le National Debt Clock, le ratio dette/PIB est de 125,12 %. Des études ont montré qu'un ratio dette/PIB de plus de 90 % retarde la croissance économique d'environ 30 %. Cela jette de l'eau froide sur le mantra conventionnel «dépenser maintenant, s'inquiéter de la dette plus tard», ainsi que sur l'affirmation fréquente selon laquelle «nous pouvons nous sortir de la dette» désormais populaire des deux côtés de l'allée à DC.
Plus immédiatement, la dette nationale est un gros problème pour la Réserve fédérale car elle fait monter les taux d'intérêt dans l'espoir de maîtriser l'inflation.
Le gouvernement américain ne peut pas continuer à emprunter et à dépenser sans que la Fed ne monétise la dette. Il a besoin que la banque centrale achète des bons du Trésor pour soutenir la demande. Sans l'intervention de la Fed sur le marché obligataire, les prix chuteront, faisant monter encore les taux d'intérêt sur la dette américaine.
Cela signifie que la Fed ne peut pas gagner ce combat contre l'inflation. Et cela signifie que vous feriez mieux de vous habituer à dépenser plus pour tout.
Un article publié par la Banque fédérale de réserve de Kansas City a reconnu que la banque centrale ne peut pas réduire l'inflation à moins que le gouvernement américain ne maîtrise ses dépenses. En un mot, les auteurs soutiennent que la Fed ne peut pas contrôler l'inflation seule. La politique budgétaire du gouvernement américain contribue aux pressions inflationnistes et empêche la Fed de faire son travail.
L'inflation tendancielle n'est pleinement maîtrisée par l'autorité monétaire que lorsque la dette publique peut être stabilisée avec succès par des plans budgétaires futurs crédibles. Lorsque l'autorité budgétaire n'est pas perçue comme entièrement responsable de la couverture des déséquilibres budgétaires existants, le secteur privé s'attend à ce que l'inflation augmente pour assurer la viabilité de la dette nationale. En conséquence, un important déséquilibre budgétaire combiné à un affaiblissement de la crédibilité budgétaire pourrait conduire l'inflation tendancielle à s'éloigner de l'objectif à long terme choisi par l'autorité monétaire.
Ce n'est clairement pas dans les cartes.
En d'autres termes, lorsqu'il s'agit de lutter contre l'inflation, la Fed bluffe parce qu'elle a la main perdante. La hausse des intérêts sur la dette forcera la dette nationale forcera la banque centrale à céder à l'inflation.
À long terme, les emprunts et les dépenses débridés conduiront l'inflation au point que les gens perdront confiance dans le dollar. On parle déjà d'un monde « post-dollar ».
En fin de compte, la dette n'est pas sans conséquences. Et les conséquences seront graves lorsque les poules rentreront se percher.
Les prix de l'essence continuent de grimper, mais les marges des stations-service au détail plongent, beaucoup étant désormais « sous l'eau »
PAR TYLER DURDEN JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 00:00 Écrit par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Malgré la hausse des prix de l'essence au cours des dernières semaines, les stations-service au détail voient leurs marges diminuer, ce qui met à rude épreuve ces entreprises.
Le prix moyen national de l'essence ordinaire, au 5 octobre, était de 3,831 dollars le gallon, en hausse de 0,26 dollar par rapport à la veille, de 0,66 dollar il y a une semaine et de 0,45 dollar il y a un mois, selon les données de l'American Automobile Association (AAA). En revanche, les marges bénéficiaires des stations-service ont diminué.
"OPIS MarginPro montre que les marges sur le gaz au détail sont d'environ 18 cts/gal à l'échelle nationale. C'est une baisse de 17 cts/gal en une semaine ; 25 cts/gal par mois ; et 54cts/gal de moins qu'à la fin du premier trimestre 2022. Lorsque l'on considère les coûts d'exploitation (main-d'œuvre, frais de carte de crédit, etc.), de nombreux magasins sont sous l'eau », a noté Tom Kloza, un expert des marchés nord-américains des carburants, dans un tweet. le 4 octobre.
En 2021, la marge brute sur l'essence était de 0,309 $ le gallon, soit 10,2 % du prix moyen de 3,03 $ le gallon, selon l'association commerciale mondiale NACS. Au cours des cinq années précédentes, les marges brutes de détail sur l'essence étaient en moyenne de 0,272 $ le gallon, ce qui représente 10,7 % du prix de l'essence.
Une analyse de la marge bénéficiaire moyenne mobile hebdomadaire de 30 000 stations-service américaines publiée sur Fortune a révélé qu'elles ne réalisent qu'un bénéfice net d'environ 0,03 à 0,07 $ par gallon après avoir pris en compte des coûts tels que la main-d'œuvre, les frais de transaction par carte de crédit, les assurances et les services publics.
Le bénéfice net des stations-service est inférieur à 2 %, ce qui est très faible par rapport à d'autres secteurs à forte rentabilité comme le secteur bancaire, qui est estimé à environ 30 % de marges nettes.
Blâmer les stations-service et les entreprises, libération de la réserve stratégique Alors que les stations-service font face à de faibles marges bénéficiaires, l'administration Biden impute la hausse des prix de l'essence à ces entreprises.
Lors d'une réunion à la Maison Blanche le 26 septembre, le président Joe Biden a insisté sur le fait que les stations-service et les compagnies pétrolières réalisent "beaucoup de bénéfices" grâce auxquels le public paie le prix d'une inflation élevée.
«Aux entreprises qui gèrent des stations-service et fixent ces prix à la pompe: réduisez les prix que vous facturez à la pompe pour refléter le coût que vous payez pour le produit. Faites-le maintenant », a déclaré le président.
Pendant ce temps, deux grands groupes de l'industrie pétrolière ont fait part de leurs inquiétudes quant au fait que l'administration Biden pourrait limiter ou interdire l'exportation de produits pétroliers raffinés pour constituer des stocks nationaux d'essence.
Si elle est mise en œuvre, une telle décision limitera les marchés des raffineurs, réduira la capacité et fera grimper les prix du gaz à long terme, a noté Patrick De Haan, un expert du pétrole, dans un tweet du 5 octobre.
Sous l'administration Biden, la réserve stratégique de pétrole est tombée à 422,858 millions de barils de pétrole, au 23 septembre, contre 617 millions de barils le 1er octobre 2021. Il s'agit du niveau le plus bas depuis 1984.
Dans une interview avec Just the News, Tim Stewart, le chef de l'U.S. Oil and Gas Association, a souligné que les États-Unis vendent plus de pétrole de leurs réserves que la production de pays de taille moyenne de l'OPEP comme l'Angola ou l'Algérie n'en vend.
« Nous vendons deux fois plus par jour que nous ne produisons en Alaska. Cela nous place quelque part entre Exxon et Conoco en termes de… l'impact que nous avons sur l'approvisionnement quotidien - et cela se produit sans que du nouveau pétrole ne le remplace », a-t-il déclaré.
En Allemagne, les engrais se font rares – Et qui aide les agriculteurs ?
6 Octobre 2022 Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
Le manque d'engrais entraîne une baisse des rendements et une diminution de la production. Cela met non seulement en péril l'approvisionnement en Allemagne et en Europe, mais alimente également la crise alimentaire mondiale. Des solutions rapides ne sont pas en vue.
En Allemagne, les engrais se font rares. Cela a des conséquences massives sur la production agricole et sur l'approvisionnement de la population.
En 2022, les agriculteurs allemands ont utilisé nettement moins d'engrais. Il y a plusieurs raisons à cela : d'une part, les engrais minéraux sont extrêmement chers en raison des coûts de production élevés (prix du gaz). De nombreuses entreprises réduisent leur production ou ferment leurs usines en Europe. De cette manière, la production et l'offre sont massivement réduites.
À cela s'ajoutent des contraintes supplémentaires concernant l'utilisation d'engrais minéraux et de produits phytosanitaires dans le cadre du Green Deal européen. Les conséquences pourraient être non seulement un manque d'approvisionnement en engrais – mais pire encore, le manque d'engrais entraîne une baisse des rendements et une diminution de la production.
Non seulement l'approvisionnement est menacé en Allemagne et en Europe, mais la crise alimentaire mondiale s'en trouve également alimentée. Il en va d'ailleurs de même pour l'utilisation de produits phytosanitaires, qui sont également extrêmement importants pour garantir les rendements.
Mais la politique fixe actuellement d'autres priorités. On ne se réveillera probablement que lorsque les conséquences se feront sentir au niveau de l'approvisionnement de la population. Les importations d'ammoniac annoncées par les grands fabricants d'engrais proviennent probablement de pays où la production est soumise à des contraintes environnementales moins strictes et surtout beaucoup moins chère.
Cela pourrait d'ailleurs être un scénario pour d'autres industries. Ou alors elles produisent carrément ailleurs. Seuls les agriculteurs ne peuvent pas partir. Ils doivent continuer à produire en Allemagne dans leurs exploitations.
L'industrie des engrais tire la sonnette d'alarme – nouvelles fermetures d'usines
L'association industrielle Agrar a également attiré avec force l'attention sur les conséquences de la crise énergétique actuelle. Le responsable de la nutrition des plantes et des biostimulants au sein de l'Industrieverband Agrar e. V. (IVA), Sven Hartmann, a déclaré : « Face à la hausse record des prix de l'énergie et du gaz en particulier, l'industrie allemande et européenne des engrais est confrontée à un défi qui menace son existence – avec des conséquences négatives prévisibles pour l'ensemble de la société. »
« En tant que secteur particulièrement énergivore, qui utilise le gaz naturel non seulement comme source d'énergie mais aussi comme matière première importante, il est particulièrement exposé aux augmentations de coûts et à la pression concurrentielle des importations en provenance de régions favorisées sur le plan énergétique. Les derniers chiffres prouvent que la demande, tous nutriments confondus, s'est effondrée massivement, principalement en raison des prix élevés », explique M. Hartmann.
La semaine dernière, Yara, le plus grand fabricant européen d'engrais azotés, a annoncé la fermeture de son usine en Belgique, près de la frontière française. Cela réduirait l'approvisionnement du marché européen – surtout en France – de plusieurs centaines de milliers de tonnes d'engrais et d'ammoniac.
Auparavant, d'autres grands fabricants comme Piesteritz et BASF avaient déjà réduit drastiquement leur production.
Les agriculteurs achètent beaucoup moins d'engrais – cher et rare
Selon les données de l'Office Fédéral des Statistiques (Destatis), les ventes d'engrais ont fortement baissé en Allemagne au deuxième trimestre 2022. Les chiffres de vente comprennent à la fois les engrais produits en Allemagne et les engrais importés. Pour les engrais azotés, 238.000 tonnes d'azote ont été vendues au total, soit 18,5 % de moins qu'au même trimestre de l'année précédente.
Parallèlement, les ventes intérieures d'engrais phosphatés ont diminué de moitié. Les ventes d'engrais potassiques ont également diminué de moitié environ. Les statisticiens estiment que cette baisse des ventes est également due au fait que la production de la plupart des engrais est très gourmande en énergie. Le gaz naturel est utilisé dans la production d'engrais à la fois comme matière première et comme source d'énergie. C'est pourquoi les prix élevés du gaz se sont davantage répercutés sur les prix des engrais.
Selon les statisticiens, le commerce extérieur d'engrais a également diminué récemment : de janvier à juillet 2022, ce sont 2,1 millions de tonnes d'engrais qui ont été importées en Allemagne. C'était 11,0 % de moins que l'année précédente à la même période (2,4 millions de tonnes). Les exportations ont diminué de 3,9 % au cours de la même période pour atteindre 4,6 millions de tonnes.
Mais tout cela n'est qu'un instantané. Comme le montrent les fermetures d'usines et les réductions de production, la pénurie de l'offre continue de s'aggraver. Et cela a d'énormes conséquences sur les prix des engrais et des denrées alimentaires – et aussi sur la production de céréales et d'autres produits agricoles. ____________
* Olaf Zinke travaille pour agrarheute en tant que rédacteur cross-média pour les opérations et les marchés. Il analyse les marchés agricoles et des produits de base nationaux et internationaux depuis trois décennies et a travaillé à ce titre pour diverses institutions.
Source : In Deutschland wird der Dünger knapp – Und wer hilft den Bauern? | agrarheute.com
Après la pénurie d'animaux (mode 'vegan' et éoliennes qui massacrent des millions d'oiseaux et d'abeilles chaque jour), c'est la pénurie de fumier qui succède à la pénurie d'engrais !
Les services écosystémiques fournis par l'agriculture
6 Octobre 2022 Michelle Miller, AGDAILY*
« Wide-open spaces », les grands espaces – c'est une expression que The Chicks ont rendue populaire mais qui me fait penser à tout ce que l'agriculture a à offrir. Quand je pense aux villes, je ne pense pas particulièrement aux animaux sauvages, à l'exception de ceux qui cherchent des restes de nourriture ou de ceux qui sont tués sur la route. En revanche, quand je pense à l'agriculture, je pense à une quantité importante d'animaux sauvages qui profitent des grands espaces qui leur sont réservés.
Plus de 28 millions d'hectares de terre sont considérés comme des zones « urbaines » et, bien que cela ne représente qu'un peu plus de 3,5 % des terres américaines, cela a tout de même un impact important sur les zones et l'environnement alentour. Nous ajoutons environ 400.000 hectares de zones urbaines chaque année, recouvrant les terres de béton et supprimant des sources de nourriture et des habitats vitaux pour la faune.
C'est là que l'agriculture intervient et sauve la situation.
Aux États-Unis, près de 650 millions d'hectares de terres sont utilisés pour les pâturages, les forêts et les cultures. Ces grandes étendues de terre fournissent un habitat, des couloirs pour se déplacer d'un territoire à l'autre et des zones pour échapper aux interactions humaines. En plus d'offrir des espaces ouverts, les zones agricoles fournissent également des sources de nourriture pour la faune sauvage, au grand dam des agriculteurs, mais cela fait partie du jeu.
La végétation naturelle est présente dans presque toutes les exploitations agricoles. Il y a inévitablement des zones qui ne peuvent pas être cultivées, que ce soit en raison de l'état du sol (comme les zones humides) ou de coins morts que l'équipement ne peut atteindre. Dans ces zones, la végétation indigène a la possibilité de se développer. Les portions de terre de ce type sont très importantes pour la faune et l'ensemble de notre écosystème.
Ne pensez pas seulement aux grands animaux comme les cerfs – même les plus petits insectes comme les abeilles bénéficient considérablement des corridors existants.
Les services écosystémiques sont la valeur que les activités fournissent à notre environnement du simple fait d'exister et de fonctionner de manière positive. Ces services peuvent être regroupés en quatre catégories : approvisionnement, régulation, soutien et culture [au sens de « culturel »]. Les opérations peuvent fournir de la nourriture et de l'eau à la faune, contrôler le climat et les maladies, soutenir les cycles de nutriments ou la pollinisation, ou avoir des avantages récréatifs. Tous ces services profitent à notre environnement au niveau local, régional et même national, car ils sont tous interconnectés.
Il est quelque peu difficile d'attribuer un avantage mesurable, comme des dollars monétaires, à ces services, mais la National Cattlemen's Beef Association a calculé la valeur que l'élevage fournit à travers l'Amérique.
À lui seul, l'élevage [extensif] représente une valeur économique de plus de 14 milliards de dollars par an pour le pays. Cette valeur comprend les allocations monétaires pour les jours de chasse, les jours de pêche, l'observation de la faune sauvage et l'habitat. Ce sont 14 milliards de dollars qui ne seront jamais payés aux éleveurs ; c'est ce qu'ils fournissent gratuitement à l'écosystème américain. Pour chaque livre de bœuf produite, 0,86 $ de services écosystémiques sont fournis. Et il ne s'agit là que de l'élevage bovin – ce chiffre augmente considérablement si l'on ajoute les avantages fournis par la sylviculture, les terres cultivées, les cultures spéciales, les autres exploitations d'élevage et toutes les autres entités agricoles.
Les services écosystémiques ne sont pas simplement liés à la protection de la faune et de la flore ; il existe un lien profond entre les avantages de la production de nourriture, de carburant et de fibres et notre climat et notre environnement. L'agriculture permet d'assainir l'air au niveau local, car les plantes en croissance éliminent le dioxyde de carbone de l'air et libèrent de l'oxygène. Les contaminants du sol et de l'air sont filtrés par les plantes en croissance et les zones dont la productivité était auparavant faible ou nulle peuvent être transformées en environnements prospères grâce à l'introduction de l'agriculture. Il y a tellement de variables qui peuvent être influencées positivement par l'agriculture et l'élevage, et parfois c'est la seule façon d'avoir ces impacts tout en fournissant des avantages et des services à la vie humaine.
Nous vous rappelons constamment de remercier un agriculteur lorsque vous vous asseyez pour manger, mais en réalité, nous devrions remercier les agriculteurs pour presque tous les aspects de nos vies. C'est grâce à l'agriculture, l'épine dorsale de notre société, que nous sommes en mesure de réussir comme nous le faisons. L'agriculture subvient à nos besoins au-delà de toute mesure. ____________
* Michelle Miller, la « Farm Babe », est une agricultrice, une conférencière et une autrice qui a travaillé pendant des années avec des cultures en ligne, des bovins et des moutons. Elle pense que l'éducation est essentielle pour combler le fossé entre les agriculteurs et les consommateurs.
Source : Ecosystem services provided by agriculture | AGDAILY
Des qualités humaines essentielles sont-elles détruites par les graisses industrielles enrobées de PEG ?
Par Dr Naomi Wolf 6 octobre 2022
Certains de mes essais sont ancrés dans la politique, l'économie, le monde matériel. D'autres font référence aux connaissances médicales et scientifiques des volontaires de recherche de War Room / DailyClout Pfizer Documents, ainsi qu'à d'autres experts médicaux et scientifiques de principe.
Celui-ci pose des questions. Veuillez le lire dans cet esprit.
La protéine de pointe hante certains des bons "médecins dissidents" et des scientifiques honnêtes. Les fragments d'ARNm, quant à eux, perturbent profondément les autres ; et tout cela pour de bonnes raisons.
Mais ce sont les nanoparticules lipidiques (LNP) dans les injections d'ARNm qui m'empêchent de dormir la nuit, le sentiment que la dystopie sur terre est maintenant pleinement arrivée. Et les raisons en sont des questions qui frôlent la métaphysique ; car les TNL, me semble-t-il, sont capables d'affecter négativement l'essence même de notre humanité.
J'ai récemment eu l'expérience bizarre d'aller à Manhattan après qu'une vague de "boosters" ait été déployée. Je me souviens d'être debout sur un bar sur le toit bondé au sommet d'un hôtel-boutique; des couples séduisants flirtaient sur des tables ; les célibataires envahissaient la zone des cocktails; le soleil brillait et tout semblait normal. Mais j'avais toujours la sensation déconcertante d'être à l'intérieur d'un hologramme. Je ne pouvais pas comprendre ce qui n'allait pas, jusqu'à ce que je réalise - cela ressemblait à une foule, mais cela ne ressemblait pas à une foule. Je pouvais voir les gens, bien sûr, tout autour de moi, mais je ne pouvais pas ressentir cette énergie dense, joyeuse, passionnée, pétillante et agitée d'une foule humaine, avant 2020.
J'ai vérifié ce que ça faisait en marchant dans les rues de la ville, et mon impression a été confirmée. Ils étaient là, les foules habituelles de Manhattan, déferlant le long des trottoirs – mais ils ressemblaient à des images, à des fantômes vêtus de couleurs vives. L'énorme champ d'énergie - ce sentiment d'une île comme un générateur humain pulsant, l'électricité qui avait galvanisé des générations de nouveaux arrivants à Manhattan - avait tout simplement disparu.
Non seulement cette énergie globale avait disparu. J'ai aussi remarqué que, comme Jamie Glazov et moi en avons discuté récemment sur son podcast, le "mojo", l'énergie sexuelle, des foules de Manhattan, avait également disparu.
Autrefois, l'île était rythmée par les rythmes des gens dont le croisement ressemblait à une danse coquette. Il y avait un rythme dans la ville - le rythme humain de la sexualité, de la créativité et de la joie.
Hommes et femmes – femmes et femmes, hommes et hommes – se regardaient à peine. Cette danse d'attraction, cet éclair de flirt, ce regard de côté que les rues de Manhattan ont toujours cédé entre les étrangers de passage et ont fait depuis le début de la ville - le jeu de la sexualité elle-même - était si atténué ou dilué qu'il était difficile à sentir ou à voir du tout.
Je suis entré dans des restaurants et des hôtels, et les jeunes femmes autrefois belles chargées d'accueillir les visiteurs ressemblaient à des danseuses dans une scène d'une danse macabre du XIXe siècle. Ils étaient uniformément pâles, ou jaunâtres, ou avaient un teint grisâtre ; ils avaient des cernes sous les yeux. La lueur d'une bonne circulation, l'éclat de la santé et de l'énergie sexuelle, qui ont tous été considérés comme attirants depuis que les humains font la cour, avaient disparu.
Les foules elles-mêmes ont été modifiées. Les jeunes adultes boitaient, à grande échelle. Des hommes et des femmes dans la quarantaine et la cinquantaine, qui semblaient être en bonne santé depuis peu, bougeaient maintenant comme des octogénaires. Des gens en grand nombre, de tous âges, marchaient comme si ça leur faisait mal de bouger. Même les adolescents et les enfants plus âgés se déplaçaient comme des zombies ou des robots - à la dérive, sans apparemment avoir d'énergie à revendre. Les enfants plus petits ne se tortillaient pas et ne couraient pas. Ils s'asseyaient sans rien faire sur des bancs publics ou dans des restaurants. Ou ils dérivaient comme de petits spectres à côté de leurs parents, concentrés sur rien.
Qu'est-il arrivé ? Qu'est-il arrivé à l'humanité ?
Beaucoup ont décrit leurs proches altérés de manière indéfinissable, après avoir reçu des injections d'ARNm.
Les gens m'ont parlé avec détresse de la façon dont ils ne semblent pas ressentir la présence physique de leurs proches après la vaccination.
Il ressemble à la même personne, disent-ils avec chagrin, bien qu'un peu plus pâle, un peu plus fatigué et éthéré.
Mais ça ne ressemble pas à la même personne.
Leur pensée peut être plus rigide, rapportent tristement leurs proches. Ils peuvent être émotionnellement brutaux. Les attachements peuvent sembler moins passionnés. Câlins plus froids.
Les travailleurs du corps et les kinésithérapeutes ont parlé de la modification de la température de leurs patients vaccinés, de la modification de leurs schémas de circulation sanguine, même de leurs «champs d'énergie», comme ils le disent, drainés ou affaiblis (hé, je viens de Californie).
Cet essai pose des questions sur ce qui pourrait éventuellement provoquer des changements incohérents chez les personnes après la vaccination par l'ARNm et demande si les nanoparticules lipidiques elles-mêmes peuvent modifier profondément les êtres humains. Encore une fois, je ne propose pas de réponses ici, mais j'explore simplement des possibilités.
Nous connaissons le coût physique des nanoparticules lipidiques, grâce à certaines recherches pionnières récentes.
Nous savons, par exemple, que les nanoparticules lipidiques provoquent une inflammation. Le Dr Robert Chandler du War Room/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers a rétabli cela, et c'est aussi un fait connu depuis des années. [https://www.globalresearch.ca/pfizer-used-dangerous-assumptions-rather-than-research-guess-outcomes/5788718].
Nous savons que les LNP, dont leurs fabricants se vantent de pouvoir traverser toutes les membranes du corps humain, traversent le placenta, comme l'a démontré la médecine fœto-maternelle OB/GYN Dr James Thorp. [https://www.bitchute.com/video/yWNotidgaGfO/]. C'est l'une des raisons pour lesquelles les mensonges aux femmes enceintes des porte-parole pharmaceutiques, médicaux et gouvernementaux, en jurant que les ingrédients d'injection d'ARNm ne pourraient pas traverser le placenta, sont si odieux.
Nous savons que les LNP traversent la barrière hémato-encéphalique - en effet, ils ont été conçus pour le faire : certaines de leurs premières utilisations médicales impliquaient l'administration de médicaments à travers la barrière hémato-encéphalique, pour cibler les tumeurs cérébrales. [https://news.feinberg.northwestern.edu/2017/07/12/nanomedicine-opens-door-to-precision-medicine-for-brain-tumors]
Nous savons que Pfizer s'est associé cette année à Acuitas Therapeutics, une société privée basée à Vancouver, au Canada, qui fabriquait des nanoparticules lipidiques, pour mettre sur le marché dix autres vaccins à base d'ARNm-LNP :
"Notre livraison rapide du premier vaccin à base d'ARNm-LNP au monde a rendu claire la promesse de la technologie ARNm-LNP", a déclaré Mikael Dolsten, M.D., Ph.D., directeur scientifique et président, Worldwide Research, Development and Medical of Pfizer Inc. « Nous réalisons des investissements importants pour exploiter la puissance de la technologie ARNm-LNP et proposer de nouveaux vaccins et traitements révolutionnaires potentiels qui répondent à d'importants besoins non satisfaits des patients. Cet accord étend nos capacités LNP et nous permet d'explorer davantage de projets dans notre domaine des vaccins existant et de nouveaux domaines thérapeutiques où la technologie ARNm-LNP a un potentiel de succès. « Acuitas est extrêmement fière que sa technologie LNP contribue au succès de COMIRNATY® et est ravie de travailler avec Pfizer pour faire progresser de nouveaux vaccins », a déclaré le PDG d'Acuitas Therapeutics, le Dr Thomas Madden.
Ma propre aversion pour les LNP - une aversion qui m'a amené à ne pas choisir de recevoir une injection d'ARNm - est née de la simple lecture sur divers sites Web de production et de distribution de LNP, à quel point ce matériel est encore expérimental et étrangement prêt à l'emploi : vous pouvez commander des nanoparticules lipidiques, tout comme vous pouvez commander du polyéthylène glycol, auprès de diverses sociétés d'approvisionnement qui «s'associeront» avec des fabricants, quelques questions posées, dans la formulation de médicaments ou d'expériences. « Creative Biolabs » en fait partie :
« Caractéristiques de nos services
Préparation de TNL à guichet unique et personnalisable Le processus de fabrication propriétaire évolutif Performances à coût élevé Veuillez nous contacter pour plus d'informations."
Je suis une majeure en anglais. Je ne suis pas médecin.
Mais même moi, je vois d'éventuels problèmes graves liés à la saturation de l'humanité, via chaque membrane, en nanoparticules lipidiques. Les êtres humains sont plus que nos corps. Il s'agit donc d'une expérience massive sur l'essence même de ce qui fait de nous des êtres humains.
Les nanoparticules lipidiques ne sont pas des médicaments. Ils sont un système de livraison.
Depuis des décennies la population reçoit des chemtrails qui se seraient avérés inefficaces ou tout-au-moins pas bons à 100 %, alors, Stade II: LA piqûre (létale) ! LA piqûre létale avec 'couloir de la mort' en nano-particules lipidiques ! LA trouvaille pour obliger les personnes qui se sont faites inoculer à pousser d'autres personnes à se faire inoculer profond encore et encore ! Les inoculés reçoivent des ordres ils sont dirigés, téléguidés, et peuvent même (cerise sur le gâteau !): tuer ! Ouais ! Assassiner n'importe qui puisqu'elles ont reçu l'ordre !
Si vous ne pouvez pas traiter un médecin comme votre serviteur sur le problème du masque, vous ne pourrez pas le faire en ce qui concerne vos soins de santé
Par Allan Stevo 6 octobre 2022
La relation médecin patient est très particulière. Le médecin dit la vérité au patient, difficile d'entendre la vérité. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Depuis les Ides de mars 2020, la relation médecin patient n'a plus rien à voir avec ça.
Le mensonge du masque facial est là comme une distraction imposée à la relation qui ne ressemble en rien à la vérité. Comme je l'ai écrit précédemment en mai 2020, nous avions à notre disposition 14 essais contrôlés randomisés qui montraient clairement qu'un masque facial n'allait pas vous protéger de Covid.
Au lieu de la science, les médecins se sont inclinés devant l'autorité, seulement ils portaient encore leur blouse blanche et l'appelaient encore la science.
Comme peuvent en témoigner de nombreuses personnes qui ont interagi profondément avec le système médical avant les Ides de mars 2020 - c'est ainsi que la plupart des médecins ont toujours agi : au lieu de la science, se prosterner devant l'autorité mais porter toujours leur blouse blanche de "laboratoire" et l'appeler toujours la science.
Pourquoi un médecin porte-t-il vraiment une blouse de laboratoire de toute façon ? Ils ne sont pas dans un laboratoire. Ils pourraient le laisser accroché à la porte de leur labo. Leurs vêtements de ville sont couverts des mêmes germes que leurs blouses de laboratoire, donc la blouse de laboratoire n'est pas là pour protéger beaucoup leurs vêtements, pour vous protéger beaucoup ou pour protéger beaucoup leur maison. Ce ne sont donc pas de bonnes raisons pour tout cela.
Les tabliers jetables à usage unique standard de qualité hospitalière à 75 cents rempliraient parfaitement ce rôle. Leur blouse de laboratoire sale ne fait tout simplement pas cela.
Le médecin porte la blouse de laboratoire car cela lui donne un air d'autorité sur vous, vous permettant d'être plus docile et plus facile à traiter.
Encore une fois, cela n'a pas grand-chose à voir avec cela : le médecin dit la vérité au patient, la vérité difficile à entendre. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et de répondre clairement et sobrement au médecin.
En fait, la blouse blanche, comme le masque facial, est l'exact opposé de cela. C'est plus comme ça : au lieu de la science, les médecins se sont inclinés devant l'autorité mais portaient toujours leur blouse blanche et l'appelaient toujours la science.
Et la blouse de laboratoire les aide à vous incliner devant leur source d'autorité. Cela rend leurs affirmations sur leur source d'autorité plus convaincantes pour vous, quelle que soit leur véracité réelle.
Vous saisissez ? La blouse de laboratoire est un mensonge. Le masque facial est un mensonge. C'est le même non-sens.
Il s'agit de contrôle, pas de ceci : le médecin dit la vérité au patient, la vérité difficile à entendre. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Un médecin qui se soucie de vous voudra ceci : le médecin dit la vérité au patient, difficile d'entendre la vérité. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Et y a-t-il d'autres bonnes raisons pour qu'un médecin porte un masque facial et pour qu'un médecin porte une blouse de laboratoire ? Absolument! Mais ce ne sont pas les raisons pour lesquelles la plupart des médecins le font. Et une partie de votre travail consiste à être capable de voir la différence et soit de garder ces mauvais penchants de ce médecin captifs dans votre relation, soit de sortir de cette relation.
La plupart des gens ne savent pas quoi faire. La plupart des gens fuient cette relation, qui est une option, une option peu conflictuelle qui vous décourage et peut vous priver de soins de santé pendant un certain temps. La plupart des gens, en choisissant de courir, ratent l'occasion de prendre le contrôle d'une mauvaise situation. La conséquence de cela est probablement la suivante : cette même confrontation que vous fuyez vous suivra pendant des années jusqu'à ce que vous vous arrêtiez, que vous la regardiez en face et que vous preniez une autorité calme mais ferme sur elle.
Pouvez-vous imaginer dire cela à un médecin qui vous demande de porter un masque ?
« Nous ne ferons pas cela. En fait, j'ai besoin que vous enleviez votre masque, ainsi que lorsque vous me parlez, à moins qu'il n'y ait une procédure qui l'exige.
Si vous ne pouvez pas imaginer dire cela à un médecin, il y a probablement bien pire pour vous. Probablement bien pire.
Si vous ne pouvez pas parler honnêtement au médecin que vous avez connu pendant 20 ans et qui a vu vos régions inférieures, à qui exactement pensiez-vous que c'était dans votre vie que vous alliez pouvoir trouver le courage de parler honnêtement ?
La réponse du marché libre est souvent « votez avec vos pieds ». Ouais. C'est certainement une option. Mais c'est une option qui fournit très peu de commentaires à votre médecin et, plus important encore, qui ne vous aide absolument pas à affronter les défis de votre vie. C'est aussi par coïncidence la bonne réponse du Parti vert, la réponse hippie, la réponse conservatrice, la réponse démocrate, la réponse républicaine, et c'est vraiment la réponse lâche commode des gens de tout le spectre politique.
Est-ce toujours lâche ? Bien sûr que non. C'est un grand principe. Mais à cette époque, c'est lâche un solide 99 fois sur 100, probablement plus.
C'est là que vous devez être : le médecin dit la vérité au patient, difficile d'entendre la vérité. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Vous pouvez investir dans l'autre personne et dans votre relation, ou vous pouvez fuir l'autre personne et constater que le même conflit continuera de vous trouver dans la vie jusqu'à ce que vous appreniez à le gérer.
Lequel sera-t-il ?
Parfois, la fuite est plus facile. Je comprends. Parfois, fuir a plus de sens. Je comprends. Mais souvent, il y a tellement de récompenses à payer en apprenant à parler dans une situation. Et ce n'est peut-être pas une chose ponctuelle ou immédiate. Vous devrez peut-être faire preuve de créativité. Je ne sais pas exactement à quoi cela ressemble, mais si vous y réfléchissez bien, ou si vous mettez votre tête avec un groupe d'autres lions, ou si vous priez dessus, ou quelle que soit la façon dont vous arrivez à vos réponses dans la vie, vous pourriez arriver à un joli bon ensemble d'options.
Vous pourriez acheter à votre médecin une bouteille de vin pour le beurrer. Vous devrez peut-être lui crier dessus. Vous pourriez parler à sa femme, que vous connaissez depuis le lycée. Vous devrez peut-être l'inviter à déjeuner. Vous pourriez lui envoyer une lettre manuscrite de trois phrases insistant pour qu'il continue à vous voir démasqué.
Je n'ai pas la solution pour toutes les choses qui doivent arriver, mais j'ai ceci : votre volonté de ne plus jamais porter de masque est requise, et je dis bien jamais. Votre volonté d'essayer quelque chose de nouveau pour négocier une vie normale au milieu de cela est requise. Votre courage pour sortir de votre zone de confort est requis, tout en restant concentré sur vos valeurs. Une capacité, est requise, à entendre et à être entendu par votre médecin afin que la conversation puisse aller quelque part.
C'est tout ce dont vous avez besoin.
Le reste est un souci mineur.
Et je comprends que vous ne soyez peut-être pas un professionnel du tout. C'est bon. C'est simplement ainsi que fonctionne la vie : nous ne sommes jamais experts dans toutes les compétences dont nous avons besoin lorsque nous vivons une vie de croissance, de défis et d'aventures. Et nous grandissons dans les domaines dans lesquels nous voulons être meilleurs. Avant longtemps, vous vous sentirez beaucoup plus comme un pro. Vous avez probablement quelques années voire quelques décennies de rouille derrière vous au cours desquelles vous avez pris vos libertés pour acquises.
Lentement, vous et moi pouvons reconstruire les communautés dans le monde qui nous entoure qui feront de la place pour ces libertés. Mais vous savez quoi, ce ne sera pas aussi lent que vous l'imaginez, ce ne sera pas aussi impossible que vous l'imaginez.
Twain a écrit qu'un seul homme courageux peut crier contre une foule de lynchage de 10 000 personnes. Cette ère manque de leadership, en particulier de leadership avisé, et un peu de cela de votre part, injecté dans le monde qui vous entoure, entraînera un épanouissement de la liberté comme vous n'auriez pu l'imaginer auparavant.
C'est du moins ce que j'ai vécu dans ma propre vie et ce que j'ai entendu de milliers de braves guerriers depuis l'époque où le communisme corona est entré dans nos vies.
Il est temps d'avancer avec sagesse et courage et de le faire avec résilience. Faites cela et beaucoup de personnes autour de vous suivront alors que vous ramènerez le monde autour de vous sur la voie d'une plus grande liberté.
Le Dr Michael Rectenwald dénonce les élites subversives qui empoisonnent les institutions dans le monde
Par Alexandra Bruce La télé du savoir interdit 6 octobre 2022
L'ancien professeur de la NYU, Michael Rectenwald, auteur de "Springtime for Snowflakes" et "The Google Archipelago", rejoint Steve Bannon pour parler de l'histoire du socialisme d'entreprise et de sa propre odyssée, d'un universitaire bolchevique autoproclamé à aujourd'hui, un intellectuel public de la libre entreprise.
- voir clip sur site -
Il dit à Steve: «Quand je me suis prononcé contre la folie de la justice sociale à NYU, non seulement la faculté, mais la haute administration de l'université m'est tombée dessus comme une tonne de briques. Alors j'ai reconnu que j'avais touché un troisième rail… et qu'il y avait beaucoup de puissance derrière ce que je critiquais.
"Et puis, j'ai reconnu que c'était l'idéologie de l'élite - de ce que j'appelle les" élites subversives ".
"Alors, je me suis lancé sur un chemin pour découvrir au juste ce qui était à la base de tout cela ? Qui sont ces gens? Quel est leur objectif ? Quels sont leurs objectifs et comment pouvons-nous les arrêter ?
« Parce qu'il s'agit d'un ensemble subversif d'élites qui tentent de renverser les États-Unis et… la civilisation occidentale, en général.
"Donc, c'est essentiellement, en un mot, comment je suis passé du statut de professeur, enseignant la laïcité britannique du XIXe siècle et l'histoire des sciences, à l'étude des élites subversives."
Steve Bannon lui demande alors : « Qui sont les élites subversives ? à quoi, Rectenwald répond: «Ils sont tous mondialistes. Certains d'entre eux sont stationnés aux États-Unis; l'ensemble du Parti démocrate et de nombreux républicains également, comme vous l'avez si souvent souligné. Mais nous regardons le Forum économique mondial et tous ses sous-fifres, les Nations Unies et tous leurs sous-fifres.
«Ce sont les élites subversives. Ils incluent des gens comme Schwab, bien sûr, Klaus Schwab. Ils incluent des gens comme George Soros. Mais ils ont une histoire profonde qui remonte aux années 1930.
« Je le reprendrai dans les années 1970. Vous avez des gens comme Maurice Strong, qui poussait le catastrophisme climatique dès 1972. "Nous examinons un groupe de personnes qui cherchent à renverser la civilisation occidentale depuis plus de 50 ans."
Il dit qu'ils veulent promouvoir des attentes réduites à tous les niveaux, à travers la planète, en disant: «Ils veulent se débarrasser de toute sorte d'aspiration à la richesse individuelle et indépendante et créer un nivellement des attentes réduites, à travers le monde et en particulier dans des endroits comme les États-Unis, où l'on s'attend à une mobilité ascendante et à une production entrepreneuriale.
C'est toujours excitant pour moi de voir quelqu'un comme Rectenwald se détacher du gauchisme monolithique oppressant du monde universitaire et défendre la logique occidentale de base. C'est un vrai régal d'entendre un vrai universitaire avec une solide compréhension de l'histoire et de l'idéologie articuler ce qui se passe dans notre culture.
Beaucoup d'entre nous commencent à comprendre à quel point notre culture a été en proie à une campagne de démoralisation, à une échelle et avec une granularité qui dépasse vraiment l'entendement.
J'ai personnellement été confronté à l'effet corrosif de mon ancienne vision du monde de gauche sur ma vie et je suis reconnaissant qu'au moins, je puisse le voir maintenant. C'est pourquoi je pense que c'est si important pour moi de partager à ce sujet.
L’Euthanasie des personnes en Maison de Retraite en 2020 !
5 octobre 2022
Pendant la « Plandémie » les Gouverne-Ment on mis au point des Protocoles pour Euthanasier les « Bouches Inutiles Âgées » !
Pendant que vous « restiez à la maison pour protéger le NHS » (Système de Santé), votre gouvernement a tué des personnes âgées et vulnérables, puis a menti en vous disant qu’il s’agissait de décès dus au COVID !
Les documents prouvent qu’il a fallu des années de planification !
Alors que vous restiez chez vous et pensiez que vous protégiez le NHS, votre gouvernement prenait délibérément des décisions qui garantiraient que des milliers de personnes âgées et vulnérables subiraient des décès prématurés dans des maisons de soins. Sans ces morts, vous auriez remis en question la logique de rester à la maison pour décimer l’économie et détruire des vies.
Ce que votre gouvernement a fait équivaut à un meurtre.
Mais ils l’ont couvert de mensonges selon lesquels ils étaient tous morts de Covid-19. Désormais, des documents officiels qui devaient rester secrets ont été publiés en vertu de la loi sur la liberté d’information, et ils révèlent que l’euthanasie forcée des personnes âgées et vulnérables en réponse à une pandémie avait mis des années à être planifiée. Dès que le verrouillage a été déclaré au Royaume-Uni le 23 mars 2020, les décès survenus dans les maisons de soins dans les semaines qui ont suivi ont explosé par rapport à ce qui s’était produit au cours des cinq années précédentes.
Vous avez été amené à croire que c’était à cause de Covid-19, mais les preuves montrent le contraire. Les chiffres officiels fournis par l’Office for National Statistics (ONS) montrent que les maisons de soins ont enregistré une augmentation de 21% des décès toutes causes confondues en 2020, avec près de 25.000 décès de plus que prévu.
- voir graph sur site -
La source
Près de 19.000 de ces décès ont été étiquetés comme étant dus au Covid-19.
Mais à l’exclusion du coronavirus présumé, les autres décès dans les foyers de soins ont augmenté de 5% par rapport à la moyenne quinquennale. Les chiffres de l’ONS ci-dessous montrent qu’au cours de la semaine se terminant le 17 avril 2020, 7.028 décès ont été enregistrés dans les maisons de soins, dont 2.438 étaient dus au Covid-19.
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Mais avancez rapidement d’un an et comme le montrent les chiffres de l’ONS ci-dessous, la semaine se terminant le 16 avril 2021 a vu 1.640 décès enregistrés dans des maisons de soins, dont 51 seraient dus à Covid-19.
Lorsque nous supprimons les décès présumés de Covid-19 des chiffres de la semaine se terminant le 17 avril 2020, nous pouvons voir que 4.590 décès dus à toutes les autres causes sont survenus dans les maisons de soins. Il s’agit d’une augmentation de 3.001 décès par rapport au nombre enregistré dans les maisons de retraite toutes causes confondues au cours de la même semaine de l’année suivante (semaine se terminant le 16 avril 2021).
Cette tendance est constante tout au long des 3 prochains mois de 2020 par rapport à la même période en 2021.
Mais pourquoi y a-t-il eu tant de décès dans les maisons de retraite dus à d’autres causes au plus fort de la prétendue première vague ? La réponse est simple, le gouvernement et ses conseillers médicaux et scientifiques, et les chefs du NHS avaient un plan, et ce plan était de retirer les soins, de refuser le traitement et de mettre les personnes âgées et vulnérables sur le chemin de la fin de vie. Une voie qui impliquait le retrait de tous les médicaments, de la nourriture et de l’eau, et l’administration d’un cocktail de midazolam (du Rivotril en France a été utilisé) et de morphine.
Une voie qui les a vus mourir à cause d’une surdose de médicaments aux côtés de la famine et de la déshydratation. Plusieurs choses se sont produites au début de la prétendue pandémie, et elles étaient toutes planifiées des années à l’avance.
Le gouvernement a modifié la loi sous le couvert de la loi sur les coronavirus sur la certification des décès . La loi sur les crémations a également changé La loi sur l’indemnisation de l’activité des services de santé a également changé La loi sur les visites aux proches dans les maisons de retraite a également changé.
Pendant que tout cela se passait, Matt Hancock (le secrétaire à la Santé à l’époque) et Chris Whitty (le médecin-chef) ont demandé aux hôpitaux de renvoyer autant de patients que possible dans des maisons de soins , l’endroit même où les proches des patients étaient désormais interdits de visite, l’endroit même où un médecin n’était pas tenu de se rendre pour certifier un décès, l’endroit même où les soignants ne pouvaient être tenus responsables d’un décès tant qu’il était simplement soupçonné d’être le Covid-19. Ils ont également acheté un approvisionnement de deux ans d’un médicament appelé midazolam.
Une offre épuisée en octobre 2020.
Le midazolam est un médicament dont on peut douter qu’il soit utilisé dans les soins de fin de vie, et il a également été utilisé dans les soins de fin de vie pour le Covid-19 , malgré le fait qu’il provoque une dépression respiratoire et un arrêt respiratoire.
Le graphique ci-dessus montre le nombre total de prescriptions hors hôpital pour le midazolam et il montre également les décès excédentaires toutes causes confondues au Royaume-Uni de janvier 2020 à mars 2021.
Nous vous avons dit que pendant que vous restiez à la maison pour protéger le NHS, ils donnaient du midazolam aux personnes âgées et vulnérables, et vous disaient qu’il s’agissait de décès de Covid-19, le graphique ci-dessus montre certainement une forte corrélation, mais maintenant des documents sensibles et confidentiels qui le NHS ne voulait pas que quiconque voie prouver la causalité. En 2016, le NHS a élaboré des plans pour retirer les soins hospitaliers aux résidents des maisons de retraite en cas de pandémie. Les documents montrent qu’en cas de pandémie, les soins seraient priorisés en fonction du nombre d’années de vie perdues.
Cela signifiait qu’un adolescent qui souffrait d’appendicite se verrait offrir un lit à l’hôpital et être traité au besoin.
Cependant, les documents indiquent clairement que les personnes âgées se verraient refuser un traitement et seraient placées sur le chemin de la fin de vie.
Source – Page 13 Les documents soulignent également que l’estimation par le NHS des décès dans les maisons de soins en raison de leurs actions prévues en réponse à une pandémie était une sous-estimation massive de ce qui a été vu une fois qu’il a été mis en pratique en réponse à la prétendue pandémie de Covid-19. Dans un résumé du document, le NHS déclare que pendant la durée d’une vague, il estime que 5.500 à 5.800 décès se produiront dans les maisons de soins.
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En réalité, il y a eu 2.000 décès de plus enregistrés en une seule semaine lors de la première vague présumée de Covid-19, que ce que le NHS s’attendait à se produire pendant l’intégralité d’une vague. Les documents confidentiels montrent également que le NHS prévoyait de réduire les services en réponse à une pandémie et de ne maintenir que les services vitaux.
Cela signifiait qu’ils passeraient aux soins palliatifs et aux soins de fin de vie.
En 2017, le NHS a reconnu qu’il ne disposait pas de suffisamment de personnel qualifié pour fournir des soins de fin de vie, il a donc développé des modules de formation qui pourraient être rapidement déployés pendant une pandémie et formé du personnel « intéressé » entre-temps.
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Les documents confidentiels du NHS montrent clairement que les personnes âgées et vulnérables devaient se voir refuser un traitement et être placées sur le chemin de la fin de vie en réponse à une pandémie, et les preuves montrent clairement que cela a été mis en pratique.Les lits d’hôpitaux en avril 2020 étaient en baisse de 30% par rapport à l’année précédente. La fréquentation des A&E a diminué de 57 % en avril 2020 par rapport à l’année précédente. Les décès dans les foyers de soins ont augmenté de 205% en avril 2020 par rapport à avril 2019. Trois décès présumés de Covid-19 sur cinq sont survenus chez des personnes souffrant de difficultés d’apprentissage et de handicaps ( voir ici ).
En ce qui concerne les décès de personnes ayant des difficultés d’apprentissage, l’ONS a déclaré que « l’effet le plus important était associé au fait de vivre dans une maison de soins ou un autre établissement communal. » Avoir des difficultés d’apprentissage et être pris en charge ne signifie pas que vous êtes plus susceptible de mourir du Covid-19.
Plus tard, il s’est effondré sur le sol de la salle de bain et la maison de soins ont appelé l’ambulancier qui a établi qu’il n’avait aucune blessure et l’a remis au lit et a dit aux soignants de ne pas les rappeler pour tout symptôme lié à Covid car ils ne reviendraient pas.
Il est mort une semaine plus tard. Il n’a jamais été testé.
Aucun médecin n’est jamais venu à la maison de retraite.
Le médecin généraliste l’a évalué par téléphone.
Dans une situation identique pour une personne vivant à domicile plutôt qu’en maison de retraite, le conseil était « d’aller à l’hôpital ».
Le certificat de décès indique pneumonie et COVID, mais la pneumonie ne nous a jamais été mentionnée. ‘Un responsable d’une maison de retraite du Yorkshire a déclaré à Amnesty International : En mars, j’ai essayé d’emmener [un résident] à l’hôpital.
L’ambulance avait engagé un médecin pour faire le triage, mais ils ont dit : « Eh bien, il est en fin de vie de toute façon, donc nous ne le ferons pas.
Il va renvoyer l’ambulance « …
Dans des circonstances normales, il serait allé à l’hôpital…
Je pense qu’il avait le droit d’être admis à l’hôpital.
Ce sont des personnes qui ont contribué à la société toute leur vie et qui se sont vu refuser le respect et la dignité que l’on accorderait à un homme de 42 ans; ils étaient [considérés] consommables. ‘
Le CQC a jugé nécessaire de publier une déclaration en août 2020 sur le problème des DNR inappropriés placés sur les résidents des foyers de soins sans en informer le résident ou sa famille – « Il est d’une importance vitale que les personnes âgées et handicapées vivant dans des maisons de soins et dans la communauté puissent accéder aux soins et aux traitements hospitaliers pour COVID-19 et d’autres conditions lorsqu’elles en ont besoin pendant la pandémie…
Les prestataires doivent toujours travailler pour prévenir les dommages évitables ou la mort pour tous ceux dont ils s’occupent.
Les protocoles, les lignes directrices et les systèmes de tri doivent être fondés sur l’égalité d’accès aux soins et au traitement.
S’ils sont fondés sur l’hypothèse que certains groupes ont moins droit aux soins et au traitement que d’autres, cela serait discriminatoire.
Cela violerait également potentiellement les droits de l’homme, y compris le droit à la vie, même si l’on craignait que la capacité des hôpitaux ou des soins intensifs ne soit atteinte. Cette déclaration a été publiée parce que le CQC a constaté que 34% des personnes travaillant dans le domaine de la santé et des services sociaux ont été contraintes de placer des ordonnances de « ne pas tenter de réanimation cardiorespiratoire (DNACPR) sur les patients Covid-19 qui souffraient de handicaps et de difficultés d’apprentissage, sans impliquer le patient ou leurs familles dans la décision. » Les preuves suggèrent qu’en réalité, on vous a ordonné de rester à la maison, pour protéger le NHS, afin qu’il puisse mettre fin prématurément à la vie des personnes âgées et vulnérables et vous dire qu’il s’agissait de décès de Covid-19. Les documents confidentiels finalement dévoilés par le NHS viennent de le prouver.
Partagé par The Exposé le 2 octobre 2022 : https://expose-news.com/2022/10/02/your-government-killed-the-elderly-blamed-covid/
Source : Changera3
A noter que Profession-Gendarme a publié de nombreux articles sur l’euthanasie des « Bouches Inutiles Âgées », suivre ces liens :
Bronchiolite : le premier vaccin au monde injectable chez tous les bébés de moins d’un an autorisé
Une avancée médicale sans précédent : le Français Sanofi annonce vendredi 16 septembre que l’Agence européenne du médicament vient de donner un premier feu vert à son vaccin contre la bronchiolite chez les nourrissons. Un précédent vaccin existait déjà mais il était réservé aux prématurés et aux bébés très à risque.
Solenne Le Hen Radio France le 16/09/2022 10:38
Le laboratoire français Sanofi a élaboré en partenariat avec le Suédo-Britannique AstraZeneca un vaccin contre la bronchiolite injectable chez tous les bébés de moins d’un an. Une première mondiale qui a reçu vendredi 16 septembre le feu vert de l’Agence européenne du médicament (EMA).
Les laboratoires étaient lancés dans une course de vitesse, une trentaine de projets similaires étant en cours dans le monde entier. Le vaccin injectable de Sanofi et AstraZeneca arrive donc en tête. Un enjeu énorme car chaque année, 500 000 bébés sont infectés en France par le virus respiratoire syncytial (VRS) responsable de la bronchiolite. L’épidémie l’an dernier a été sans précédent, et les hôpitaux débordés. Au niveau mondial, on déplore 60 000 décès de nourrissons par an.
Un anticorps plus qu'un vaccin
Plutôt qu’un vaccin, la solution injectable de Sanofi-AstraZeneca est un traitement préventif, un anticorps monoclonal qui va protéger les bébés de moins d’un an durant toute la période épidémique, c’est-à-dire l’automne et l’hiver. Il réduit les infections de 75%. L’idée c’est que les bébés n’ont pas encore un système de défense naturel très développé, donc on le remplace par cet anticorps. Un vaccin contre la bronchiolite existait déjà mais son efficacité était moindre et il était réservé uniquement aux prématurés et aux bébés très à risque. Là, ce sera pour tous les bébés de moins d’un an.
Malheureusement, le traitement ne sera pas disponible cet hiver car les délais sont trop justes, l’épidémie débutant en général à l’automne, d’ici quelques semaines. Et il faut maintenant plusieurs mois de procédures règlementaires, il n'y aura donc pas de mise sur le marché possible en Europe avant l’épidémie de l’an prochain.
Dernière précision : quand on parle de bronchiolite, on pense généralement aux enfants, aux nourrissons. Mais sachez que l’épidémie touche aussi sérieusement chaque année les personnes âgées. Ce nouveau traitement préventif ne leur est pas destiné. Mais de nombreux laboratoires pharmaceutiques sont en train d’élaborer justement des vaccins contre la bronchiolite spécifiques aux personnes âgées.
Des données précédemment cachées du CDC montrent que 7,7% des 10 millions de personnes avaient besoin de soins médicaux après la vaccination
Par Jo Nova October 6th, 2022
Un groupe dédié appelé ICAN a finalement obtenu les données du CDC pour v-safe, l'application pour smartphone qui a permis à 10 millions d'utilisateurs enregistrés de signaler des effets secondaires après avoir reçu un vaccin Covid.
Il y a plusieurs choses à considérer à propos de la publication forcée tardive des données v-safe américaines :
Que si nos ministères de la santé voulaient réellement savoir si un vaccin est sûr, ce serait facile. Si les données montraient à quel point les vaccins étaient bons, il n'aurait pas fallu deux procès et 463 jours pour l'obtenir du CDC. Pourquoi a-t-il fallu un seul procès ? Cacher ces données blesse les gens. Sur les dix millions de personnes inscrites au registre VSafe, près de 1 personne sur 12 devait consulter un médecin après avoir été vaccinée. Wow, juste wow. Quel signe.
Pourquoi le CDC n'a-t-il pas arrêté les 'vaccins' ?
«Parmi de nombreux résultats alarmants, sur les quelque 10 millions de personnes qui se sont enregistrées et ont soumis des données à v-safe, 782 913 personnes, soit plus de 7,7% des utilisateurs de v-safe, ont eu un problème de santé nécessitant des soins médicaux, une intervention en salle d'urgence et / ou une hospitalisation. Plus de 25 % ont eu un événement qui les a obligés à manquer l'école ou le travail et/ou a empêché leurs activités normales. » - JE PEUX
- voir clip sur site -
Des centaines de milliers d'Américains ont demandé des soins médicaux après la vaccination contre le COVID-19 : données du CDC Zachary Steiber, Epoch Times
«Il a fallu de nombreuses demandes légales, des appels et deux poursuites judiciaires, et plus d'un an, mais le CDC a finalement capitulé et accepté une ordonnance du tribunal les obligeant à faire ce qu'ils auraient dû faire dès le premier jour, à divulguer les données V-safe au public », a déclaré Aaron Siri, un avocat représentant l'ICAN dans l'affaire, à Epoch Times dans un e-mail.
Environ 10 millions de personnes ont utilisé V-safe pendant la période couverte par les données : du 14 décembre 2020 au 31 juillet 2022. Environ 231 millions d'Américains ont reçu au moins une dose de vaccin pendant cette période.
Les utilisateurs de V-safe ont signalé environ 71 millions de symptômes… Environ 4,2 millions de symptômes étaient de gravité grave.
L'ICAN vient tout juste de commencer à analyser ces données. Ils invitent les gens à "faire vos propres recherches": les données sont volumineuses (l'un des fichiers, à lui seul, dépasse 23 gigaoctets) et ICAN a donc travaillé avec diligence et 24 heures sur 24 pour les mettre dans un format convivial pour que vous puissiez les examiner , ce que vous pouvez faire ici.
10 000 mystérieux décès excessifs en Australie dont personne ne veut parler
October 5th, 2022
Vous pensez que ce serait une grande nouvelle? Les décès en Australie sont beaucoup plus élevés que prévu. Après avoir coché comme un métronome pendant des années, ils ont soudainement bondi de 12 % ou même plus. C'est au-delà des décès normaux et des décès répertoriés comme "Covid". Quelque chose de mystérieux ou de nouveau a tué environ 10 000 Australiens au cours du premier semestre de cette année ces douze derniers mois*. C'est huit fois pire que le péage routier national, mais ce phénomène a à peine été mentionné dans nos reportages.
Quand un accident de voiture tue trois personnes, on en entend parler au journal de 18 heures. Mais quand 10 000 perdent la vie… des grillons.
L'intérêt total des médias pour ce tueur mystérieux s'élève à trois mentions tangentielles sur 100 médias. L'un d'eux, dans l'Australian Financial Review, a qualifié cela de changement "marqué" et a "utilement" déclaré que ce n'était pas dû au suicide. Le Guardian, quant à lui, s'est demandé si Covid tuait vraiment plus de personnes que nous ne le pensons. Le troisième, NewsGP pour les médecins, était la seule discussion sérieuse, mais même ce n'était que des questions et pas de réponses. Le mot vaccin n'a été mentionné que pour que nous sachions que des analystes anonymes pensent que "l'influence probable des décès liés au vaccin... est" négligeable ". Non pas qu'ils aient des raisons.
Les actuaires australiens estiment que l'augmentation des décès au cours des cinq premiers mois de l'année était de 12% supérieure aux prévisions. Ce sont les plus conservateurs. Le Bureau australien des statistiques (ABS) calcule cependant que jusqu'à présent, au premier semestre 2022, il y a eu quelque 13 500 décès de plus que la moyenne historique. S'ils sont corrects, ce serait 17% au-dessus de la normale.
Parmi les décès excédentaires, 5 292 étaient des décès positifs à Covid, dont beaucoup au plus fort de la première grande vague de Covid généralisée en Australie en janvier 2022. Mais vers septembre de l'année dernière, il y a eu une forte augmentation des décès inattendus qui ne sont pas officiellement dus à Covid . Ce groupe (marqué en jaune) était bien au-dessus de la fourchette normale attendue et est resté plus élevé depuis.
*MISE À JOUR : Pour clarifier, sur les 10 300 décès excédentaires de janvier à juin, environ 5 300 étaient dus à Covid. Il y a donc eu 5 000 morts mystérieuses inexpliquées, soit 830 Australiens qui meurent chaque mois (selon l'estimation la plus conservatrice des actuaires, et plus dans les chiffres de l'ABS). Au cours des douze derniers mois, cela représente 10 000 personnes. Évidemment, les chiffres ne peuvent être confirmés avant quelques mois.
ABS, Surmortalité, Covid, 2022, statistiques. Australie. Une mystérieuse augmentation des décès s'est produite à partir de septembre 2021 et se poursuit jusqu'aux derniers chiffres.
Les doses maximales de vaccins en Australie ont eu lieu d'août à octobre en 2021. L'absence de décès à l'hiver 2021 était en grande partie due au fait que les frontières étaient fermées et qu'il n'y avait pas de grippe.
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Les chiffres pour 2022 sont extraordinaires
Ci-dessous, Actuaries Australia trace les décès enregistrés jusqu'à présent en 2022 par rapport aux années précédentes.
- voir graph sur site -
Décès excédentaires Australie
Les décès excessifs par Actuaries Australia étaient de 12 % plus élevés que prévu (de janvier à mai de cette année).
La ligne grise est ce à quoi ils se seraient attendus en 2022. La ligne bleue est ce que l'ABS estime que les décès auraient dû être en 2022. L'ABS fait la moyenne d'une base de référence de cinq ans avant le début de la pandémie. Les actuaires incluent certains chiffres de la pandémie et permettent à notre population de vieillir un peu, ce qui ferait légèrement augmenter les décès chaque année.
Les actuaires expliquent les raisons pour lesquelles leur estimation des décès excédentaires était inférieure à l'ABS : Nous avons tenu compte dans notre estimation des décès enregistrés tardivement alors que l'ABS ne le fait pas. Cela permet de sous-estimer le nombre « réel » de décès utilisé par l'ABS, sous-estimant ainsi la mesure des décès excédentaires d'environ 2 %.
Cependant, la différence la plus significative réside dans la détermination du niveau de référence, où l'ABS utilise une moyenne simple du nombre de décès de 2017, 2018, 2019 et 2021, sans tenir compte des tendances de la mortalité ou des changements démographiques. À notre avis, cela sous-estime la valeur de référence et surestime donc la mesure des décès excédentaires d'environ 6 %.
Ces deux impacts fonctionnent dans des directions opposées, ce qui entraîne une différence dans les estimations des décès excédentaires d'environ 4 %.
Les causes de la surmortalité :
Actuaries Australia déclare essentiellement que la plupart des décès excédentaires sont probablement dus à des risques persistants plus longs après une infection à Covid. Une partie de l'excédent peut être un «rebond» de la réduction des décès causés en 2020 lorsque la grippe a disparu. (Mais pourquoi ce «rebond» a-t-il attendu jusqu'en septembre 2021 pour commencer?) Une partie de l'excès pourrait être due au fait que les médecins, les hôpitaux et les services d'urgence étaient débordés et que les gens n'ont pas été examinés. Mais ce n'était certainement pas dû aux vaccins car, attendez, l'Australie a un bon processus d'approbation des vaccins. (Oui, nous signons des contrats secrets et utilisons des données secrètes. Comment quelqu'un pourrait-il être en désaccord ?)
Étonnamment, ils citent même le rapport australien sur la sécurité des vaccins qui comprend 931 décès signalés après la vaccination. Cela représente près de 10% du décompte des décès mystérieux, et s'il était sous-déclaré de 10 à 1 (comme c'est le cas au Royaume-Uni - voir la référence 39/40 dans l'article de Malhotra), le véritable décompte pourrait facilement être presque tous les morts mystérieuses. Au lieu de cela, les actuaires sont à l'aise d'ignorer 918 de ces 931 décès signalés. Seuls 13 décès ont été « causés » par un vaccin. Incroyable le pouvoir des bureaucrates sans visage de supprimer tous ces gens. Annulé, même après la mort.
Pour mémoire, voici une partie de la discussion des actuaires :
Qu'est-ce qui pourrait causer les décès de Covid ? 1. Séquelles post-COVID-19 ou interactions avec d'autres causes de décès : impact possible en Australie : élevé
Une maladie COVID-19 antérieure pourrait entraîner une maladie et un décès ultérieurs, et/ou COVID-19 pourrait avoir aggravé d'autres maladies qui ont finalement causé la mort. Des études ont montré que le COVID-19 est associé à un risque de mortalité ultérieur plus élevé dû aux maladies cardiaques et à d'autres causes. Dans une certaine mesure, cela apparaît sur les certificats de décès dans les 999 décès au cours des quatre premiers mois de 2022 où COVID-19 est répertorié comme cause contributive, et 77 autres décès ont été identifiés comme étant dus à Long COVID. Cependant, nous comprenons que la science médicale n'a pas encore établi de lien de causalité qui permettrait, par exemple, qu'une crise cardiaque plusieurs mois après une infection au COVID-19 soit attribuée au COVID-19. En tant que tel, il semble probable qu'il y aurait plus de ces décès que ceux identifiés.
2. Décès différés dus à d'autres causes : modéré
3. Retard dans les soins d'urgence : faible à modéré
4. Retard dans les soins de routine : faible à modéré
5. Changements de style de vie influencés par la pandémie : faible
Bien qu'il y ait eu des décès en Australie causés par l'administration de vaccins COVID-19, le nombre de ces décès a été faible. L'Australie a de très bons processus d'approbation et de surveillance de la sécurité des vaccins, administrés par la Therapeutic Goods Administration. Le dernier rapport sur la sécurité des vaccins (au 25 août) montre que 136 000 événements indésirables ont été signalés pour 63 millions de vaccins administrés (soit un taux de 0,2 % par vaccin administré). Parmi ces événements indésirables, 931 étaient des rapports de décès après la vaccination. Parmi ces décès, 13 se sont avérés avoir été causés par l'administration du vaccin, et tous faisaient suite à une première dose d'AstraZeneca, qui est maintenant d'un usage limité en Australie.
Impact possible en Australie : Négligeable
7. COVID-19 non diagnostiqué : impact possible en Australie : négligeable
Si les actuaires étaient vraiment intéressés à savoir si les vaccins ou les séquelles tardives de Covid étaient le problème, ils pourraient disséquer les données au niveau de l'État. Il y a eu une expérience idéale en Australie où au moins un État (WA) n'a eu pratiquement aucun cas de covid pendant toute l'année 2021, mais les vaccinations étaient en cours. Là, nous pourrions sûrement comparer les morts mystérieuses en excès avec, disons, NSW, et voir s'il s'agissait du virus ou des vaccins… ___________
* Les 10 000 décès dans le titre commencent par l'estimation prudente de 8 500 des actuaires de janvier à mai et la multiplient par 6/5 pour en faire une estimation sur six mois. La MISE À JOUR au milieu du message précise que la moitié de ces décès étaient liés à Covid, de sorte que les 10 000 décès mystérieux s'appliquent aux 12 derniers mois. (2h du matin WST le 6 octobre.)
Notre monde en données : " Naissances et décès en Australie
Aseem Malhotra, (2022) Guérir la pandémie de désinformation sur les vaccins à ARNm COVID-19 grâce à une médecine factuelle réelle - Partie 1, Journal of Insulin Resistance, ISSN: (En ligne) 2519-7533, (Imprimé) 2412-2785
OPACITÉ DU MARCHÉ: Pour un concombre à 1,80 fr.suisse (1,85 €) , les producteurs gagnent 2 centimes
RépondreSupprimer6 octobre 2022, 13:56
La Fédération romande des consommateurs a mené une enquête sur les marges dans le commerce maraîcher en Suisse. Elle pointe les différences entre coûts et prix de vente.
Difficile de savoir si le prix des légumes dans les rayons des magasins est justifié par rapport aux coûts de production.
Payer plus pour un panier de fruits et légumes bios et locaux en grande surface ne va pas forcément récompenser les efforts des producteurs. Ce sont, en résumé, les conclusions d’une enquête publiée jeudi et menée pendant une année par la Fédération romande des consommateurs (FRC). «Le bilan est consternant», estiment les auteurs de l’étude. «Le premier et le dernier maillon de la chaîne – producteurs et clients – sont les grands perdants d’un marché où règnent opacité et loi du silence», poursuivent-ils.
Pour se faire une idée du fonctionnement d’une partie de la filière maraîchère en Suisse, la FRC a réussi à convaincre des producteurs de leur confier leurs coûts de production et leur prix de ventes, puis a comparé ces derniers avec les prix affichés dans les rayons de Coop et de Migros. Ainsi, la marge nette d’un producteur de concombre est par exemple passée de 13 centimes l’an dernier à 2 centimes cette année alors qu’il est vendu 1 fr. 80 en magasin selon la FRC, qui constate que les prix payés aux producteurs varient mais dans une mesure bien moindre que les prix à la consommation.
Légumes de saison plus chers
L’enquête révèle aussi que la clientèle paie paradoxalement plus cher les légumes de saison. Explication: durant certains mois, les importations sont limitées par des barrières tarifaires. Les maraîchers bénéficient alors d’un meilleur pouvoir de négociation et peuvent augmenter le prix de leurs produits et corriger ainsi les marges basses qu’ils subissent lorsqu’ils font face à la concurrence internationale. La FRC explique également que si les légumes bios coûtent effectivement en moyenne 30 % de plus à la production que ceux issus de la culture «conventionnelle», le prix final est 50 % plus élevé selon des chiffres de L’Office fédéral de l’agriculture. «Une différence difficile à expliquer et justifier», estime la FRC.
«Les marges ne peuvent être le résultat de la position dominante de la grande distribution sur le marché», affirme Jean Busché, responsable Économie à la FRC, cité dans un communiqué. «Elles doivent être calculées proportionnellement au travail fourni et aux risques encourus par chaque acteur.»
L’association de défense des consommateurs dit «revendiquer» des produits de saison à meilleur prix, «non gonflés par les marges des distributeurs». L’association encourage aussi la grande distribution à mettre fin à une «opacité délibérément entretenue» et estime que «dans les faits, son pouvoir est disproportionné».
«Opacité et loi du silence»
La FRC revendique davantage de transparence dans la branche car en menant son enquête entre l’automne 2021 et aujourd’hui, l’association dit s’être retrouvée «devant une succession de portes closes» dans un marché «où règnent opacité et loi du silence». Autant des groupes d’intérêt que la Centrale suisse des cultures maraîchères ou l’Union maraîchère suisse ne livrent aucun chiffre. La Confédération ne s’est pas montré plus bavarde sur les marges pratiquées dans la branche, apprend-on. Quant à Coop et Migros, «qui représentent à eux seuls 80 % du commerce des fruits et légumes à destination des particuliers», leurs réponses sur les marges a été jugée «extrêmement laconiques» par la FRC.
https://www.lematin.ch/story/pour-un-concombre-a-1-80-fr-les-producteurs-gagnent-2-centimes-752858858512
Ce sont les centrales d'achats (nourriture, fournitures, etc) qui dirigent le monde !
SupprimerLe pillage "va s'aggraver progressivement" au milieu de l'ouragan Ian Chaos, prévient le shérif
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MERCREDI 05 OCTOBRE 2022 - 15:45
Écrit par Lorenz Duschamps via The Epoch Times,
Alors que certaines parties de la Floride sont confrontées à un long chemin de rétablissement suite aux dégâts extraordinaires causés par l'ouragan Ian, certaines personnes ont déjà profité de la situation et ont commencé à piller au milieu du chaos.
William Snyder, le shérif du comté de Martin, a déclaré à TCPalm qu'il ne s'attend pas à ce que les pillards se calment, craignant le pire. Il a déclaré que les pillards avaient déjà volé et saccagé des structures «très tôt» après que la tempête de catégorie 4 ait touché terre dans l'ouest de la Floride la semaine dernière.
"C'était très tôt et une partie du pillage commençait déjà, mais cela va s'aggraver progressivement, je pense, à mesure que les gens deviennent plus désespérés", a déclaré Snyder, qui a été envoyé dans le cadre d'une équipe d'intervention rapide de 15 personnes le 30 septembre. pour aider à la suite de l'ouragan Ian dans le comté de Charlotte, a déclaré à la publication.
Peu de temps après l'arrivée de l'équipe à Charlotte, les responsables ont rencontré des habitants "hébétés", ainsi que plusieurs "gens assez sommaires" à la recherche d'eau, de nourriture et de carburant, mais personne n'a été arrêté à ce moment-là.
Cependant, quelque temps plus tard, Snyder a reçu des informations faisant état de personnes volant des générateurs à essence censés alimenter des dispositifs de contrôle de la circulation.
"Quand ils les ont verrouillés, ils les ont enchaînés, ils ont commencé à voler le gaz des générateurs", a déclaré le shérif à TCPalm.
Un jour après l'arrivée de l'équipe, ils ont reçu un rapport sur une maison qui brûlait après que le propriétaire ait installé un générateur dans le garage parce qu'il avait tellement peur que des pillards volent leur générateur de secours. La maison était une perte totale, a déclaré Snyder.
"Le défi qui m'a le plus marqué était à quel point la société est fragile lorsque l'électricité et l'eau disparaissent", a ajouté le shérif.
"Pas de gaz, pas d'électricité, pas d'eau, et tout commence à s'arrêter."
"Nous avons la loi et l'ordre"
Dans le comté voisin de Lee, le shérif Carmine Marceno a lancé un avertissement sévère aux pilleurs potentiels après qu'un groupe de quatre personnes, dont trois immigrants illégaux, aient été arrêtés le 29 septembre pour avoir profité de la situation.
Un avertissement aux pillards est peint sur le côté d'une voiture détruite lors de l'ouragan Ian à Pine Island, en Floride, le 3 octobre 2022. (Win McNamee/Getty Images)
RépondreSupprimer« En ce qui concerne le pillage, nous avons la loi et l'ordre dans le comté de Lee. Nous avons la loi et l'ordre dans notre grand État de Floride, et nous le ferons toujours », a déclaré Marceno.
"En ce moment, nous avons quatre cas de pillage, et je suis fier de dire qu'ils sont derrière les barreaux à leur place. Nos résidents seront en sécurité.
Marceno a ajouté que trois des personnes arrêtées - Robert Mena, Brandon Araya et Stephen Araya - se trouvaient illégalement aux États-Unis alors qu'elles étaient prises en train de piller dans le comté de Lee.
Les dossiers de la prison du comté de Lee montrent que Brandon Mauricio Araya, 20 ans ; Stephen Eduardo Sanchez Araya, 20 ans; Valérie Céleste Salcedo Mena, 26 ans ; et Omar Mejia Ortiz, 33 ans, ont été arrêtés pour cambriolage d'une structure inoccupée pendant l'état d'urgence. Ortiz fait également face à des accusations de petit larcin.
Le gouverneur de Floride, Ron DeSantis, entre autres responsables, a envoyé des messages similaires aux pillards potentiels après que des informations ont révélé que des personnes auraient commencé à voyager vers des îles sinistrées et à saccager des propriétés.
"Je peux vous dire que dans l'État de Floride, vous ne savez jamais ce qui peut se cacher derrière la maison de quelqu'un, et je ne voudrais pas risquer cela si j'étais vous, étant donné que nous sommes un État du deuxième amendement", a déclaré DeSantis, qui a noté que certains Floridiens ont des armes à feu.
Certains résidents ont également "fermé toutes les entreprises, et il y a des gens qui ont écrit sur leur contreplaqué, 'vous pillez, nous tirons'", a ajouté DeSantis. "En fin de compte, nous n'allons pas permettre à l'anarchie de profiter de cette situation."
https://www.zerohedge.com/personal-finance/looting-will-get-progressively-worse-amid-hurricane-ian-chaos-sheriff-warns
Pénurie de gaz hivernale inévitable alors que les Allemands allument le chauffage tôt en raison de la vague de froid de septembre
RépondreSupprimermercredi 05 octobre 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) Les Allemands ont allumé le chauffage tôt en raison d'une vague de froid inattendue en septembre, consommant environ 14,5 % de gaz en plus que les années précédentes. Cela fait craindre qu'une pénurie de gaz en hiver soit inévitable.
Avec l'arrêt de l'approvisionnement en gaz de la Russie vers l'Europe, les autorités allemandes ont demandé à leurs citoyens de réduire immédiatement leur consommation de gaz naturel. "Avec un peu de chance, nous passerons l'hiver", a déclaré le ministre allemand de l'Economie, Robert Habeck.
La température de septembre en Allemagne a fini par être inférieure de près d'un demi-degré à la normale sur la base des conclusions préliminaires du DWD, le service météorologique national allemand.
Le DWD a rapporté que "la température moyenne en septembre 2022 était de 13,4 degrés Celsius (56,12 Fahrenheit)". En comparaison avec la période de référence de 1991 à 2020, l'écart négatif était de 0,4 C (32,7 F).
La mauvaise nouvelle est que le dernier froid a entraîné une augmentation de la consommation de gaz de 14,5 % par rapport aux années précédentes.
"Alors qu'une partie de la consommation de gaz résidentielle et commerciale était bien inférieure aux niveaux de consommation moyens des années précédentes jusqu'à la mi-septembre, les 483 GWh/semaine de la semaine dernière étaient bien au-dessus de la moyenne de 2018-2021 (422 GWh/semaine ; +14,5 %)", a déclaré le pays. Agence fédérale des réseaux a déclaré.
« Des économies devront avoir lieu même si les températures continuent de baisser. Sans économies importantes dans le secteur résidentiel également, il sera difficile d'éviter une pénurie de gaz en hiver », a déclaré Klaus Müller, de l'Agence fédérale des réseaux (FNA).
Mais le mois de septembre humide n'est pas si mauvais pour l'Allemagne frappée par la sécheresse. Le pays a enregistré environ 100 litres par mètre carré (l/m²) de précipitations en moyenne, soit environ 155 % de la période de référence de 1991 à 2020 (64,5 l/m²).
« En conséquence, il y a finalement eu une nette amélioration de la situation dans les régions frappées par la sécheresse. C'est le mois de septembre le plus pluvieux depuis 2001, avec des cumuls mensuels de plus de 200 l/m² en moyenne montagne et dans les Alpes. Aux altitudes les plus élevées, les premiers flocons sont même tombés », a déclaré le DWD dans un communiqué de presse.
Les Allemands doivent réduire leur consommation de gaz pour éviter une pénurie cet hiver
Selon la FNA, les Allemands consomment trop de gaz naturel et doivent réduire leur consommation pour éviter une pénurie cet hiver. Pour éviter une éventuelle pénurie de gaz, une réduction d'au moins 20 % de la consommation est nécessaire. Les modes de consommation évoluant rapidement, « des économies doivent également être réalisées lorsque les températures continuent de baisser et ce n'est pas un succès infaillible », a déclaré Müller.
L'avertissement est venu alors que l'Allemagne continue d'accumuler du gaz avec des niveaux de stockage à 91,5% de sa capacité. La fermeture du pipeline Nord Stream a contraint les Européens à se précipiter pour s'approvisionner suffisamment pour survivre à l'hiver à venir. (Connexe : l'Europe occidentale contrainte d'abandonner l'énergie "verte" défaillante alors que les flux de gaz russes s'arrêtent ; l'Allemagne redémarre les centrales électriques au charbon)
RépondreSupprimerPendant ce temps, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré le 29 septembre dernier qu'il y aurait un plafonnement des prix du gaz naturel, déclarant que les prix pour les consommateurs devaient baisser. Cela pourrait rendre plus difficile pour les ménages d'économiser du gaz, car des prix plus bas encouragent une plus grande consommation d'énergie.
Le gouvernement allemand accordera également un financement pouvant atteindre 200 milliards d'euros (196 milliards de dollars) pour un "bouclier de différence économique".
Habeck a déclaré que le frein du prix du gaz en Allemagne ne couvrira que 80% de l'utilisation normale des ménages pour inciter les consommateurs à économiser de l'énergie et à éviter une éventuelle pénurie.
"Pour les 20% supérieurs de la consommation normale, vous devrez certainement payer la totalité de la facture", a déclaré Habeck à la radio Deutschlandfunk le vendredi 30 septembre. "Malgré le" bouclier défensif économique "déclaré par le gouvernement, nous ne sommes pas va subventionner le prix du gaz jusqu'à ce qu'il était en 2021, pas pour très longtemps.
Suivez FuelSupply.news pour plus d'informations sur la crise énergétique en Allemagne et dans le reste de l'Europe.
Regardez la vidéo ci-dessous pour savoir pourquoi l'Allemagne a approuvé l'arrêt du chauffage et de l'éclairage cet hiver pour limiter l'utilisation du gaz.
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Cette vidéo provient de la chaîne In Search Of Truth sur Brighteon.com.
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Les prix du gaz naturel devraient TRIPLER en Allemagne alors que l'Europe de l'Ouest coupe son propre approvisionnement énergétique en provenance de Russie.
En prévision de pénuries généralisées de gaz, l'Allemagne annonce des "espaces de réchauffement" pour les citoyens gelés.
Les ministres de l'énergie de l'UE conviennent de réduire la consommation d'électricité du bloc de 10 %.
Sources include:
WattsUpWithtThat.com
BusinessInsider.com
Reuters.com
https://www.naturalnews.com/2022-10-05-energy-shortage-inevitable-germans-turn-on-heat-early.html
L'industrie américaine des fruits de mer sous le choc des tarifs élevés et de l'inflation
RépondreSupprimerBy Autumn Spredemann
September 30, 2022
Confrontée aux tarifs de la guerre commerciale et à une inflation vertigineuse, l'industrie de la pêche américaine est actuellement « écrasée ».
Cela est dû en grande partie à la quantité de transformation en mer effectuée en Chine après la capture du poisson dans les eaux américaines - ce qui signifie que les entreprises américaines qui les capturent paient des taux de droits élevés sur divers types de fruits de mer, notamment le saumon, le tilapia et le thon, le crabe et crevettes, selon Epoch Times, qui note que les entreprises américaines envoient leurs récoltes océaniques en Chine pour transformation depuis plus d'une décennie afin de profiter de coûts de main-d'œuvre et d'exploitation historiquement moins chers.
En fait, environ 65 % des quelque 6,3 milliards de livres de fruits de mer consommés chaque année par les Américains sont réimportés, une mesure qui permet aux entreprises américaines d'économiser environ 80 cents par livre de poisson en coûts de main-d'œuvre. Compte tenu des quelque 30 millions de livres de saumon envoyées aux usines de transformation chinoises, les économies s'additionnent.
Les chalutiers de l'industrie - lancés depuis des ports pittoresques au cours de la dernière décennie - représentent 1,8 million d'emplois, 255 milliards de dollars de ventes et 117 milliards de dollars d'impacts à valeur ajoutée. -Epoch Times
Cela dit, malgré les économies, il y a des leçons coûteuses à tirer de la dépendance à une main-d'œuvre bon marché.
En 2018, lorsque l'administration Trump a imposé un droit de douane de 25% sur les importations chinoises, Pékin a frappé 128 importations américaines avec des tarifs de rétorsion - dont la plupart étaient des produits d'épicerie, y compris des fruits de mer. En conséquence, certaines expéditions de fruits de mer sont actuellement frappées par des taux de droits allant jusqu'à 45 %.
Et qu'ont fait certains fournisseurs américains de fruits de mer après les tarifs chinois ? Ils se sont tournés vers les importations de poisson russe en 2018. La Russie, à l'heure actuelle, est le cinquième plus grand producteur de poissons sauvages et le premier producteur mondial de fruits de mer. Il exporte une quantité massive de Pollock - utilisé dans des choses comme les sandwichs de restauration rapide et les bâtonnets de poisson.
En 2021, les États-Unis ont importé pour 1,2 milliard de dollars de produits de la mer russes.
RépondreSupprimerOffrant des prix moins chers sur plusieurs espèces de corégone et d'autres prises fraîches, la Russie est devenue un concurrent majeur pour les fruits de mer nationaux américains.
En mars, le président Joe Biden a interdit les importations de fruits de mer russes dans le cadre du train de sanctions contre Moscou pour son invasion de l'Ukraine en février.
Pourtant, certains experts affirment que le poisson russe continue de se retrouver dans les assiettes américaines cette année grâce à l'essor de la réexportation en Chine.
À cela s'ajoute l'inflation cette année. Les fruits de mer ont dépassé les autres produits d'épicerie sur des étiquettes de prix gonflées, atteignant une augmentation de près de 17 % en juillet.
L'expert financier et PDG de The Smart Investor, Baruch Silvermann, a déclaré à Epoch Times que la flambée de l'inflation pèse sur toutes les industries, y compris la pêche et les fruits de mer aux États-Unis.
« Cela est particulièrement visible dans les exportations car le dollar est plus fort par rapport aux autres devises. Comme le dollar est plus fort, cela signifie que les exportations sont moins compétitives et que la demande peut rester faible », a-t-il expliqué.
« Par exemple, alors qu'un euro pouvait rapporter 1,20 $ l'an dernier, il rapporte aujourd'hui moins de 1 $. Il s'agit d'une baisse potentielle des bénéfices de 20 % », a noté Silvermann.
Lorsqu'il s'agit d'importations et d'exportations, Salvatore "Sal" Stile II connaît son chemin autour de la cour. Il est président de la société de transport et de dédouanement basée à Valley Stream, Alba Wheels Up International à New York.
Stile dit que l'industrie de la pêche américaine est "absolument écrasée" par une combinaison de tarifs, d'inflation et de logistique portuaire.
«En gros, ça marche dans les deux sens. Les tarifs chinois ont un impact sur les pêcheries américaines parce que la plupart des poissons américains sont envoyés en Chine pour y être transformés », a déclaré Stile à Epoch Times.
Après avoir payé les droits d'importation à leur arrivée en Chine, les fruits de mer américains sont ensuite renvoyés à la vente après transformation. Une fois qu'il atteint à nouveau les côtes américaines, le poisson est soumis à une deuxième taxe.
Et tandis que les consommateurs voient une partie de ce fardeau financier dans les épiceries, la grande majorité est absorbée par les travailleurs de l'industrie.
« Nos pêcheurs pêchent à bord de petits bateaux familiaux ici dans le Pacifique Nord. Le coût du carburant, des appâts, de la glace et des frais de transport est astronomique », a déclaré James Johnson, directeur exécutif de l'Union des pêcheurs en haute mer du Pacifique, à Epoch Times.
Le syndicat est le plus ancien du genre aux États-Unis - fondé en 1912 - et revendique la distinction d'être le seul syndicat maritime américain qui représente les préoccupations des membres d'équipage.
Inflation et tarifs mis à part, Johnson a expliqué que les frais généraux et les coûts d'exploitation des équipages de bateaux sont extrêmement élevés pour commencer.
"Et ensuite, le produit qui reste est reversé à l'équipage et s'il y a un profit à la fin, il est divisé par l'équipage et la propriété.
La pêche est un peu comme un modèle bizarre », a-t-il déclaré.
RépondreSupprimer«Chaque pêcheur est un entrepreneur indépendant, ce ne sont pas des employés… ils assument donc directement une grande partie des coûts et de la responsabilité. Je pense donc que lorsque nous voyons le coût des pressions inflationnistes, c'est parce qu'il est supporté par les pêcheurs.
Ce phénomène est exacerbé par les complications logistiques en cours dans les terminaux maritimes.
Le problème du stationnement
Selon Stile, même lorsque les pêcheurs américains ont la possibilité de vendre leurs produits, ils sont confrontés à des obstacles tels que de longs temps d'attente, un manque d'espace et des ports d'escale sautés.
Le manque d'espace pour les conteneurs et la congestion dans les ports américains ont retenu l'attention depuis le début de la pandémie en raison de la capacité opérationnelle réduite et de la capacité d'exporter ou de recevoir des conteneurs de l'étranger.
La situation s'est quelque peu améliorée cette année, mais les mêmes défis demeurent.
« Certains ports de la côte ouest souffrent encore de ce problème. Certains ne sont pas seulement sautés ; les conteneurs vides ne sont pas remis sur les navires », a expliqué Stile.
Le dilemme de la disponibilité de l'espace pour les conteneurs vides dans les ports américains crée une réaction en chaîne qui a également un impact sur l'industrie des produits de la mer en difficulté. Stile a expliqué que le problème des conteneurs vides fonctionne essentiellement comme un parking.
"Si vous n'avez pas assez de voitures qui sortent, vous ne pouvez pas vous garer."
La débâcle des conteneurs vides devient également coûteuse rapidement, entraînant l'annulation totale des arrêts pour éviter de lourds frais de «détention».
« Vous êtes facturé pour les conteneurs non retournés. J'ai eu un client qui ne pouvait pas retourner les conteneurs, cela lui a coûté des dizaines de milliers de dollars », a-t-il déclaré.
Rester local
Alors que la pêche commerciale souffre en grande partie de droits de douane élevés, les quelque 35 % de l'industrie qui maintiennent sa production locale ne connaissent aucun lien entre la Chine et les États-Unis. retombées commerciales.
En Alaska, la pêche fait autant partie de la vie que les vues panoramiques sur les montagnes et les grizzlis.
En 2020, l'industrie de la pêche a généré plus de 13 milliards de dollars par an en production économique pour l'État et emploie près de 100 000 personnes à plein temps. Cela représente près de 14 % de la population de l'Alaska.
Charlene Jones conduit un camion au propane dans la ville de Haines, située le long du magnifique et isolé canal Lynn, dans la région côtière du sud-est. Lorsqu'on lui a demandé quelle était l'importance de l'industrie de la pêche dans sa région, Jones a déclaré à Epoch Times : « C'est essentiel.
Haines est le genre d'endroit où les magasins familiaux locaux bordent les rues et où l'autonomie est un mode de vie.
Il n'y a pas une seule "arche dorée" ou station-service de marque en vue.
De plus, la ville n'est pas non plus écrasée par les tarifs puisque leur transformation des fruits de mer est effectuée en ville et vendue pour la consommation locale.
"Haines Packing gère tous les poissons commerciaux localement", a déclaré Jones.
Desservant d'autres villes côtières comme Skagway et Whitehorse, Haines Packing protège efficacement l'industrie locale des produits de la mer des droits de douane internationaux depuis 1917.
RépondreSupprimerEn revanche, Kodiak est la plaque tournante de la pêche commerciale en Alaska et le troisième plus grand port de pêche des États-Unis. Plus de 40 % du saumon, 54 % de la morue et un tiers de tous les fruits de mer de l'État sont exportés vers la Chine chaque année.
Bien que locale ou exportée, la pêche reste une industrie délicate en Alaska.
«Je connais peut-être 10 personnes qui sont des pêcheurs commerciaux et c'est ce qu'ils font, mais cela n'existe que l'été. C'est quelque chose de saisonnier. »
Jones admet "Il est difficile de trouver un emploi qui paie vos factures de manière cohérente."
Bien que malgré le succès de la conservation des fruits de mer locaux à Haines, Stile dit qu'il est peu probable que l'industrie américaine des fruits de mer puisse introduire la transformation commerciale en interne à plus grande échelle.
"Entre les lois de l'OSHA, la main-d'œuvre et les coûts des installations d'entreposage, ce n'est tout simplement pas possible", a-t-il déclaré.
https://www.theepochtimes.com/americas-seafood-industry-getting-crushed-by-high-tariffs-and-inflation_4762472.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge
Moins cher que le gratuit c'est quoi ?
SupprimerLe poisson n'est pas une plante qui demande de l'engrais, des produits de traitements contre les maladies et arrosages, il fait çà tout seul ! Il y a qu'à se baisser !
Oui mais le gratuit est disponible que si vous le payez ! alors pour le moins-que-gratuit...
L'augmentation des énergies renouvelables ne peut pas fournir suffisamment d'énergie thermique en hiver
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 02:40
Rédigé par Gail Tverberg via le blog Our Finite World,
Nous ne pensons généralement pas aux merveilleux services que fournissent les combustibles fossiles en tant que réservoir d'énergie thermique pour l'hiver, le moment où les besoins en énergie thermique sont les plus importants. La figure 1 montre de façon spectaculaire comment, aux États-Unis, l'utilisation résidentielle de combustibles de chauffage atteint des sommets pendant les mois d'hiver.
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Figure 1. Consommation d'énergie résidentielle aux États-Unis, d'après les données de l'EIA. La catégorie « Gaz naturel, etc. comprend tous les combustibles achetés directement par les ménages et brûlés. Il s'agit principalement de gaz naturel, mais comprend également de petites quantités de propane et de diesel brûlés comme mazout. Les copeaux de bois ou autres bois commerciaux achetés pour être brûlés font également partie de cette catégorie.
L'énergie solaire est plus abondamment disponible dans la période mai-juin-juillet, ce qui en fait un mauvais candidat pour résoudre le problème du besoin de chaleur en hiver.
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Figure 2. Production d'électricité solaire en Californie par mois jusqu'au 30 juin 2022, sur la base des données de l'EIA. Les montants sont pour l'échelle des services publics et l'énergie solaire à petite échelle combinées.
À certains égards, le manque de disponibilité de carburants pour l'hiver est un canari dans la mine de charbon en ce qui concerne les futures pénuries d'énergie. Les gens se sont inquiétés des pénuries de pétrole, mais les pénuries de carburant en hiver sont, à bien des égards, tout aussi graves. Ils peuvent faire en sorte que les gens «se figent dans le noir».
Dans cet article, je vais examiner certains des problèmes en cause.
[1] Les batteries conviennent pour régler avec précision l'heure précise pendant une période de 24 heures d'utilisation de l'électricité solaire. Ils ne peuvent pas être agrandis pour stocker l'énergie solaire de l'été à l'hiver.
Dans le monde d'aujourd'hui, les batteries peuvent être utilisées pour retarder l'utilisation de l'électricité solaire de quelques heures au maximum. Dans des situations exceptionnelles, la période de détention peut être portée à quelques jours.
La Californie est connue à la fois pour son haut niveau de stockage de batteries et son haut niveau d'énergies renouvelables. Ces énergies renouvelables comprennent à la fois l'énergie solaire et éolienne, ainsi que de plus petites quantités d'électricité générées dans des centrales géothermiques et de l'électricité générée par la combustion de la biomasse. Le problème rencontré est que l'électricité produite par les panneaux solaires a tendance à commencer et à finir trop tôt dans la journée, par rapport au moment où les citoyens veulent utiliser cette électricité. Une fois que les citoyens sont rentrés chez eux après le travail, ils aimeraient cuisiner leurs dîners et utiliser leur climatisation, ce qui entraîne une demande considérable après le coucher du soleil.
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Figure 3. Illustration par Inside Climate News montrant la combinaison des ressources utilisées le 9 juillet 2022, qui était un jour de pic de consommation d'électricité. Les importations font référence à l'électricité achetée en dehors de l'État de Californie.
La figure 3 illustre comment les batteries en combinaison avec la production hydroélectrique (hydroélectricité) sont utilisées pour économiser la production d'électricité tôt dans la journée pour une utilisation en soirée. Bien que l'utilisation de la batterie permette de régler précisément le moment où, sur une période de 24 heures, l'énergie solaire sera utilisée, la quantité de batteries ne peut pas être suffisamment augmentée pour économiser l'électricité de l'été à l'hiver. Le monde serait à court de matériaux de fabrication de batteries, si rien d'autre.
RépondreSupprimer[2] Augmenter l'hydroélectricité n'est pas une solution à notre problème d'énergie inadéquate pour le chauffage en hiver.
Un problème est que, dans les économies industrialisées depuis longtemps, les capacités hydroélectriques ont été construites il y a des années.
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Figure 4. Production hydroélectrique annuelle basée sur les données de l'examen statistique 2022 de BP sur l'énergie mondiale.
Il est difficile de croire que beaucoup plus de constructions sont disponibles dans ces pays.
Un autre problème est que l'hydroélectricité a tendance à être assez variable d'une année à l'autre, même sur une zone aussi vaste que les États-Unis, comme le montre la figure 4 ci-dessus. Lorsque la variabilité est observée sur une zone plus petite, la variabilité d'une année à l'autre est encore plus élevée, comme l'illustre la figure 5 ci-dessous.
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Figure 5. Production hydroélectrique mensuelle en Californie jusqu'au 30 juin 2022, sur la base des données de l'EIA.
Le schéma illustré reflète la production maximale au printemps, lorsque la banquise fond. La faible génération se produit généralement pendant l'hiver, lorsque la banquise est gelée. Ainsi, l'hydroélectricité n'est généralement pas utile pour augmenter les approvisionnements énergétiques en hiver. Un schéma similaire a tendance à se produire dans d'autres régions tempérées.
Un troisième problème est que la variabilité de l'approvisionnement en électricité cause déjà des problèmes. La Norvège a récemment signalé qu'elle devra peut-être limiter ses exportations d'hydroélectricité dans les mois à venir car les réservoirs d'eau sont bas. Les exportations d'électricité de la Norvège sont utilisées pour aider à équilibrer l'électricité éolienne et solaire de l'Europe. Ainsi, cette question peut conduire à un autre problème énergétique pour l'Europe.
Autre exemple, la Chine signale une grave crise d'électricité dans sa province du Sichuan, liée à de faibles précipitations et à des températures élevées. La production de combustibles fossiles n'est pas disponible pour combler le vide.
[3] L'énergie éolienne n'est pas beaucoup mieux que l'hydroélectricité et le solaire, en termes de variabilité et de mauvaise synchronisation de l'approvisionnement.
RépondreSupprimerPar exemple, l'Europe a connu une crise d'électricité au troisième trimestre 2021 liée à des vents faibles. Les plus grands producteurs éoliens européens (Grande-Bretagne, Allemagne et France) n'ont produit que 14 % de leur capacité nominale au cours de cette période, contre une moyenne de 20 % à 26 % les années précédentes. Personne n'avait prévu ce genre de manque à gagner de trois mois.
En 2021, la Chine a connu un temps sec et sans vent, ce qui a entraîné une faible production d'énergie éolienne et hydraulique. Le pays a constaté qu'il avait besoin d'utiliser des pannes de courant pour faire face à la situation. Cela a entraîné la panne des feux de circulation et de nombreuses familles ont dû manger des dîners aux chandelles.
Même vue à l'échelle nationale, la production éolienne aux États-Unis varie considérablement d'un mois à l'autre.
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Figure 6. Production totale d'électricité éolienne aux États-Unis jusqu'au 20 juin 2022, sur la base des données de l'EIA.
La production totale d'électricité éolienne aux États-Unis a tendance à être la plus élevée en avril ou en mai. Cela peut entraîner des problèmes d'offre excédentaire, car la production d'hydroélectricité a tendance à être élevée à peu près au même moment. La demande d'électricité a tendance à être faible en raison d'un temps généralement doux. Le résultat est que même aux niveaux renouvelables d'aujourd'hui, un printemps humide et venteux peut conduire à une situation dans laquelle la combinaison de l'approvisionnement en électricité hydroélectrique et éolienne dépasse la demande locale totale d'électricité.
[4] À mesure que de plus en plus d'énergie éolienne et solaire s'ajoutent au réseau, les défis et les coûts deviennent de plus en plus importants.
Il existe un grand nombre de problèmes techniques associés à la tentative d'ajouter une grande quantité d'énergie éolienne et solaire au réseau. Certains d'entre eux sont décrits dans la figure 7.
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Figure 7. Diapositive d'introduction d'une présentation par des ingénieurs en électricité présentée dans cette vidéo YouTube.
L'un des problèmes est la distorsion de couple, en particulier liée à l'énergie éolienne.
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Figure 8. Diapositive décrivant les problèmes de distorsion de couple de la même présentation aux ingénieurs électriques que la figure 7. Vidéo YouTube.
Il existe également de nombreux autres problèmes, dont certains sont décrits sur ce site Web de Drax. L'éolien et le solaire ne fournissent aucune « inertie » au système. Cela me fait me demander si le réseau pourrait même fonctionner sans une quantité substantielle de combustible fossile ou de production nucléaire fournissant une inertie suffisante.
De plus, le vent et le soleil ont tendance à faire fluctuer la tension, ce qui oblige les systèmes à absorber et à décharger ce qu'on appelle la "puissance réactive".
[5] Le mot « durable » a créé des attentes irréalistes en ce qui concerne l'électricité éolienne et solaire intermittente.
RépondreSupprimerUne personne de l'industrie de la réparation d'éoliennes m'a dit un jour : "Les éoliennes fonctionnent avec un approvisionnement régulier en pièces de rechange." Les pièces individuelles peuvent être conçues pour durer 20 ans, voire plus, mais il y a tellement de pièces que certaines devront probablement être remplacées bien avant cette date. Un article de Windpower Engineering indique : « Les réducteurs de turbine ont généralement une durée de vie de 20 ans, mais peu dépassent la barre des 10 ans.
Il y a aussi le problème des dommages causés par le vent, surtout en cas de violente tempête.
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Figure 9. Panneaux solaires endommagés par l'ouragan à Porto Rico. La source.
De plus, la durée de vie opérationnelle des centrales à combustible fossile et des centrales nucléaires est généralement beaucoup plus longue que celle des centrales éoliennes et solaires. Aux États-Unis, certaines centrales nucléaires sont autorisées à fonctionner pendant 60 ans. Des efforts sont en cours pour étendre certaines licences à 80 ans.
Avec la courte durée de vie de l'éolien et du solaire, la reconstruction constante des éoliennes et de la production solaire est nécessaire, en utilisant des combustibles fossiles. Entre la question de la reconstruction et le besoin d'énergies fossiles pour maintenir le réseau électrique, on ne peut s'attendre à ce que la production des éoliennes et des panneaux solaires dure plus longtemps que l'approvisionnement en énergies fossiles.
[6] La modélisation énergétique a conduit à des attentes irréalistes pour l'éolien et le solaire.
Les modèles énergétiques ne tiennent pas compte de tous les nombreux ajustements du système de transmission qui sont nécessaires pour soutenir l'éolien et le solaire, et les coûts supplémentaires qui en résultent. Outre le coût direct de la transmission supplémentaire requise, il existe un besoin continu d'inspecter les pièces pour détecter des signes d'usure. Les broussailles autour des lignes de transmission doivent également être réduites. Si un entretien adéquat n'est pas effectué, les lignes de transmission peuvent provoquer des incendies. L'enfouissement des lignes de transmission est parfois une option, mais cela coûte cher, à la fois en termes de consommation d'énergie et de coût.
Les modèles énergétiques ne tiennent pas non plus compte de la façon dont les éoliennes et les panneaux solaires fonctionnent dans la « vraie vie ». En particulier, la plupart des chercheurs ne comprennent pas que l'on ne peut pas s'attendre à ce que l'électricité provenant de panneaux solaires soit très utile pour répondre à nos besoins en énergie thermique en hiver. Si nous voulons ajouter plus de climatisation en été, les panneaux solaires peuvent "en quelque sorte" soutenir cet effort, surtout si des batteries sont également ajoutées pour aider à régler avec précision quand, pendant la journée de 24 heures, l'électricité solaire sera utilisée. Malheureusement, nous n'avons aucun moyen réaliste d'économiser la production des panneaux solaires d'été en hiver.
Le résultat est qu'environ un tiers du gain de l'énergie éolienne et solaire a été compensé par la baisse de la production d'électricité nucléaire. Bien sûr, le nucléaire est une autre forme d'électricité à faible émission de carbone. C'est beaucoup plus fiable que l'éolien ou le solaire. Il peut même aider à prévenir le gel dans l'obscurité car il est susceptible d'être disponible en hiver, lorsque plus d'électricité pour le chauffage est susceptible d'être nécessaire.
RépondreSupprimerUn autre problème est que la tarification concurrentielle a découragé la construction d'installations de stockage adéquates pour le gaz naturel. De plus, cela avait tendance à décourager l'achat de gaz naturel dans le cadre de contrats à long terme. La réflexion était la suivante : "Plutôt que de construire un stockage, pourquoi ne pas attendre que le gaz naturel soit nécessaire, puis l'acheter au prix du marché ?"
Malheureusement, la production de gaz naturel nécessite des investissements à long terme. Les entreprises qui produisent du gaz naturel exploitent des puits qui produisent des quantités à peu près égales tout au long de l'année. Le même schéma de forte consommation hivernale de gaz naturel tend à se produire presque simultanément dans de nombreuses régions de l'hémisphère Nord avec des hivers froids. Pour que le système fonctionne, les clients doivent acheter du gaz naturel toute l'année et le ranger pour l'hiver.
La production de gaz naturel a diminué en Europe, tout comme la production de charbon (non illustrée), ce qui a nécessité davantage d'importations de combustible de remplacement, souvent du gaz naturel.
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Figure 11. Production de gaz naturel en Europe, sur la base des données de la revue statistique 2022 de BP sur l'énergie mondiale.
Avec une tarification compétitive et des navires GNL semblant vendre du gaz naturel « selon les besoins », il y a eu une tendance en Europe à négliger la nécessité de contrats à long terme et de stockage supplémentaire pour accompagner l'augmentation des importations de gaz naturel. Aujourd'hui, l'Europe commence à découvrir la folie de cette approche. Le solaire est presque sans valeur pour fournir de l'électricité en hiver ; on ne peut pas compter sur le vent. Il ne s'accélère pas assez rapidement, dans un délai raisonnable. Le danger est que les pays risquent de voir leurs citoyens gelés dans le noir en raison d'une disponibilité insuffisante d'importations de gaz naturel.
[8] Le monde est très loin de produire suffisamment d'énergie éolienne et solaire pour résoudre ses problèmes énergétiques, notamment son besoin de chaleur en hiver.
L'approvisionnement énergétique que le monde utilise comprend bien plus que l'électricité. Il contient du pétrole et des combustibles brûlés directement, comme le gaz naturel. La part en pourcentage de cet approvisionnement énergétique total que la production éolienne et solaire fournit dépend de la façon dont elle est comptée. L'Agence internationale de l'énergie considère l'éolien et le solaire comme s'ils ne remplaçaient que le carburant, plutôt que de remplacer l'électricité dispatchable.
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RépondreSupprimerFigure 12 Production éolienne et solaire pour une catégorie appelée « éolienne, solaire, etc. par l'AIE. Les montants sont pour 2020 pour l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Australie, la Norvège, les États-Unis et le Japon. Pour les autres groupes présentés dans ce graphique, les montants sont calculés à partir des données de 2019.
Sur cette base, la part de l'énergie totale fournie par la catégorie Éolien et Solaire est très faible, seulement 2,2 % pour l'ensemble du monde. L'Allemagne arrive en tête des groupes analysés, mais même elle ne remplace que 6,0 % de son énergie totale consommée. Il est difficile d'imaginer comment la terre et l'eau autour de l'Allemagne pourraient tolérer que les éoliennes et les panneaux solaires soient suffisamment alimentés pour couvrir un tel déficit. D'autres parties du monde sont encore plus loin de remplacer les approvisionnements énergétiques actuels par l'éolien et le solaire.
De toute évidence, nous ne pouvons pas nous attendre à ce que l'énergie éolienne et solaire soit un jour renforcée pour répondre à nos besoins énergétiques, même en combinaison avec l'hydroélectricité.
https://www.zerohedge.com/energy/ramping-renewables-cant-provide-enough-heat-energy-winter-0
Certains pays ont construits des barrages sur des rivières à faible débit (!) mais alimentent ses rétentions d'eau par le pompage d'eaux plus bas grâce à des éoliennes qui tournent quand elles veulent et des panneaux solaires qui fournissent de l'électricité quand ils veulent.
SupprimerC'est bien là le seul bénéfice que l'on peut en tirer !
"Le monde risque de vivre avec une pénurie de pétrole pendant un certain temps", prévient le PDG d'Occidental
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 01:40
Dernièrement, la société énergétique préférée de Warren Buffett était Occidental Petroleum. Il a augmenté la participation de Berkshire Hathaway dans la société avec des opérations pétrolières/gazières aux États-Unis, au Moyen-Orient et dans d'autres parties du monde à 21 % et a reçu l'approbation réglementaire pour acquérir jusqu'à 50 %.
L'achat agressif d'Occidental par Buffett intervient alors que la PDG Vicki Hollub a averti qu'un écart massif entre l'offre et la demande de pétrole avait été masqué par les libérations historiques de la réserve stratégique de pétrole sous l'administration Biden.
"Le manque d'approvisionnement continuera de se manifester alors que la Chine commence à s'ouvrir à partir de Covid", a expliqué Hollub dans une interview en marge de l'Energy Intelligence Forum à Londres, cité par Bloomberg.
Elle a averti que le monde risquait de "vivre avec une pénurie pendant un certain temps" qui ferait grimper les prix, ajoutant que le manque d'approvisionnement deviendra plus évident au premier trimestre 2023.
Pour avoir une idée du vidage politique du SPR par Biden … il ne reste plus que 22 jours d'approvisionnement.
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Les publications historiques du SPR précèdent la tentative de l'administration Biden d'arrêter les prix de l'essence à la pompe, mais une résurgence des prix de l'essence brute et de gros signifie que leurs efforts sont sur le point d'échouer.
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Et si l'OPEP+ décide de réduire la production mercredi de 1 à 2 millions de barils par jour, cela pourrait obliger l'administration à prendre des mesures plus drastiques pour arrêter les prix. Nous expliquons plus ici: Paniques à la Maison Blanche alors que les prix de l'essence rebondissent, interdiction d'exportation de Mulls, explosions d'"actes hostiles" de l'OPEP +.
Hollub d'Occidental a raison à propos des problèmes de capacité de réserve qui affligent presque tous les coins du monde producteur de brut. C'est à cause d'un sous-investissement chronique dans le secteur pétrolier depuis plusieurs années dû à l'idée lumineuse des gens qui dirigent le monde qui pensaient qu'une transition verte se ferait sans heurt...
RépondreSupprimerCe n'est pas seulement Hollub qui met en garde contre les problèmes de capacité et l'incapacité d'augmenter la production. Nous avons souligné en juin que le président français Emmanuel Macron avait affirmé que l'Arabie saoudite n'aurait pas la capacité supplémentaire dans les six prochains mois.
Puis en juillet, le correspondant énergétique du WSJ, Summer Said, a rapporté que les Saoudiens avaient un plafond de capacité de production de 12 millions de barils par jour. Cela signifie que l'augmentation potentielle de la production n'est que de 1,5 million de barils par jour. Et il n'y a pas beaucoup d'espoir de dépasser la barre des 12 millions de sitôt.
Infographie : La production pétrolière saoudienne est-elle à pleine capacité ? | Statistique
Et rappelez-vous une réunion de l'OPEP+ début août qui a augmenté la production de septembre de seulement 100 000 barils par jour. La réunion a noté "une capacité excédentaire très limitée" pour augmenter l'offre, ce qui à l'époque était une gifle pour Biden, qui s'est rendu en Saoudien pour demander une augmentation de la production.
Puis fin août, le secrétaire général de l'OPEP, Haitham Al-Ghais, s'est entretenu avec Bloomberg Television et a averti :
"Nous roulons sur de la glace mince, si je peux utiliser ce terme, car la capacité de réserve se raréfie. La probabilité d'une compression est là."
Ce n'est que mardi que le PDG de Saudi Aramco, Amin Nasser, a déclaré au Energy Intelligence Forum à Londres : "Lorsque la Chine s'ouvrira, [l']économie commencera à s'améliorer ou que l'industrie aéronautique commencera à demander plus de kérosène, vous éroderez cette capacité de réserve".
"Et lorsque vous érodez cette capacité de réserve, le monde devrait s'inquiéter. Il n'y aura pas de place pour un hoquet - une interruption, un événement imprévu partout dans le monde", a déclaré Nasser.
Revenons donc à Hollub d'Occidental, le dernier à mettre en garde contre les problèmes de capacité de production mondiale de pétrole inutilisés en raison d'années de sous-investissement, ce qui pourrait augmenter les prix du brut. Peut-être que les perspectives de prix du brut plus élevés expliquent pourquoi Buffett est tombé amoureux d'Occidental.
https://www.zerohedge.com/markets/world-risks-living-oil-shortage-while-warns-occidental-ceo
Si t'as pas chez toi ton stock de bois t'es mort !
SupprimerTarifs d'expédition de GNL "Shooting For The Stars" à 500 000 $ par jour
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 01:20
Par Greg Miller de FreightWaves
Le 26 septembre, l'analyste de Pareto Eirik Haavaldsen a prédit que les tarifs d'expédition de gaz naturel liquéfié pourraient dépasser 1 million de dollars par jour au quatrième trimestre. Au moins certaines transactions sont déjà à mi-chemin, selon un rapport publié lundi.
Payer un million par jour peut sembler fou. Mais tout se résume au profit qu'un expéditeur peut réaliser sur une cargaison. Si un expéditeur peut réaliser 200 millions de dollars de bénéfices en déplaçant une seule cargaison de GNL, il paiera six chiffres par jour en fret. Ou si Pareto a raison, sept.
Nouveau record pour les tarifs d'expédition de GNL
Ce n'est même pas encore l'hiver et les tarifs de transport de GNL à court terme sont déjà en territoire record, non seulement pour le transport de GNL, mais pour tout secteur de transport commercial. Et ces taux devraient continuer à grimper.
Clarksons Securities a fixé les tarifs de voyage moyens pour les transporteurs de GNL les plus efficaces – ceux à propulsion à deux temps connus sous le nom de transporteurs MEGI ou XDF – à 313 000 $ par jour à partir de lundi. Les tarifs de référence des transporteurs de moteurs diesel tricarburant (TFDE) ont été évalués à 276 700 $ par jour.
« Les méthaniers visent les étoiles. Les bénéfices au comptant ont atteint des sommets vertigineux », a écrit Frode Mørkedal, analyste chez Clarksons Securities. «Selon les courtiers, les propriétaires peuvent désormais réaliser des économies à trois, ce qui signifie qu'ils sont rémunérés non seulement pour un aller-retour régulier, mais également pour des voyages de positionnement. En conséquence, les revenus sur une base aller-retour pourraient être d'environ 500 000 $ par jour.
Même sans l'économie à trois, les taux d'affrètement au voyage montent en flèche.
S&P Global Commodity Insights a déclaré à American Shipper qu'au cours de la semaine dernière, le transporteur de GNL Yiannis aurait été fixé à Shell à 400 000 dollars par jour pour un voyage intra-atlantique et que le Schneeweisschen a été réservé pour début novembre à 360 000 dollars par jour par le GAIL indien.
Effet de guerre
Les tarifs ont atteint les 300 000 $ par jour à l'occasion au cours des deux derniers hivers. Mais la situation actuelle du marché est sans précédent. Le fournisseur de gaz russe est en guerre, il a coupé l'approvisionnement de l'Allemagne et quelqu'un vient de saboter deux pipelines dans la Baltique.
Le nombre de navires GNL disponibles pour les transactions au comptant est exceptionnellement limité. En conséquence, le marché au comptant est extrêmement mince. La quasi-totalité de la flotte mondiale de GNL est bloquée sur des affrètements à long terme. Dans le passé, un plus grand nombre de ces navires ont peut-être été «reloués» sur le marché au comptant pour profiter de la flambée des taux. Cette fois-ci, les bénéfices de l'achat et de la vente de la cargaison elle-même sont plus attractifs.
Selon Mørkedal, "les courtiers notent que les affréteurs et la conservation du tonnage au lieu de sous-louer en raison des bénéfices de fret exceptionnellement élevés, ce qui rend l'option d'avoir un navire prêt plus lucrative que de sous-louer le navire sur le marché au comptant".
Pendant ce temps, une plus grande capacité de navire est liée au stockage flottant. "De début octobre à fin novembre, les marchés du fret GNL ont une structure de contango solide de 10 $ par million de Btu", a expliqué Morkedal. « Cela suscite un intérêt croissant pour le stockage flottant. En conséquence, un grand nombre de méthaniers chargés attendraient désormais au large du sud de l'Europe.
Les plafonds des taux spot
RépondreSupprimerDes tarifs journaliers extraordinairement élevés ont été observés sur plusieurs marchés de transport de marchandises en vrac au fil des ans.
Les tarifs des très gros transporteurs de brut ont atteint 200 000 $ par jour à l'automne 2019 et au printemps 2020. Les tarifs des vraquiers Capesize auraient dépassé 200 000 $ par jour en juin 2008.
Dans le transport par conteneurs, les tarifs de fret au comptant ont dépassé 30 000 $ par unité équivalente de quarante pieds l'an dernier. C'est environ 30 fois plus élevé que les taux pendant certaines années avant la COVID. Cela a déclenché un tollé parmi les expéditeurs de fret conteneurisé, conduisant à des accusations selon lesquelles les tarifs étaient «inéquitables» et représentaient une «tarification des prix».
Dans le transport de marchandises en vrac – qui a beaucoup plus d'expérience avec les pics de taux causés par les déséquilibres entre l'offre et la demande – il n'y a pas un tel recul. Lorsque le taux de fret atteint le point où il efface la marge bénéficiaire sur la marchandise, l'expéditeur refuse tout simplement de réserver le voyage.
Interrogé sur le niveau théorique des tarifs des pétroliers, le PDG de Hafnia Tankers, Mikael Skov, a déclaré aux participants au Capital Link New York Maritime Forum le 21 septembre : si le fret devient tellement important dans le total qu'il le tue. Il n'y a vraiment pas de plafond jusqu'à ce que le fret devienne vraiment, vraiment élevé.
Le président de Scorpio Tankers, Robert Bugbee, a noté que sa société avait fixé des pétroliers pour des voyages individuels cet été à plus de 100 000 dollars par jour "et pas une seule fois nous n'avons reçu d'appels téléphoniques des chefs de BP ou de Shell qui nous ont dit : 'Qu'est-ce que tu fous ? baiser nos gars ?
https://www.zerohedge.com/economics/lng-shipping-rates-shooting-stars-500000-day
La dette publique américaine dépasse les 31 000 milliards de dollars
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 01:00
Pour les anciens ici, il semble que c'était hier encore que la dette nationale américaine ne poussait "que" 6 000 milliards de dollars. Ensuite, entre la «guerre contre le terrorisme» et le QE qui se moquait de l'aléa moral, l'Amérique a maintenant franchi une sombre étape financière – alors que la dette nationale dépasse 31 billions de dollars pour la première fois, selon un nouveau rapport du département du Trésor.
La dette record survient alors que les taux d'intérêt historiquement bas se sont transformés en coûts d'emprunt plus élevés, alors que la Fed tente de maîtriser l'inflation qu'elle-même, les banques et les dinosaures du "chèque en blanc" à la tête du pays ont provoquée.
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Et, bien sûr, la seule raison pour laquelle ils ont pu y parvenir sans (jusqu'à récemment) une inflation massive et brûlante pour les consommateurs est que le dollar est toujours la monnaie de réserve mondiale.
"Un grand nombre des inquiétudes que nous avons eues au sujet de notre dette croissante commencent à se manifester alors que nous augmentons à la fois notre dette et nos taux d'intérêt", a déclaré Michael Peterson, PDG de la Fondation Peter G. Peterson, dans un communiqué. au New York Times. "Trop de gens étaient satisfaits de notre trajectoire d'endettement, en partie parce que les taux étaient si bas."
Des taux plus élevés pourraient ajouter 1 billion de dollars supplémentaires à ce que le gouvernement fédéral dépense en paiements d'intérêts cette décennie, selon les estimations de la Fondation Peterson. Cela s'ajoute au coût record de 8,1 billions de dollars de la dette que le Bureau du budget du Congrès a prévu en mai. Les dépenses en intérêts pourraient dépasser ce que les États-Unis dépensent pour la défense nationale d'ici 2029, si les taux d'intérêt sur la dette publique n'augmentent que d'un point de pourcentage de plus que ce que le C.B.O. estimée au cours des prochaines années.
La Fed, qui a réduit ses taux à près de zéro pendant la pandémie, a depuis commencé à les relever pour tenter de maîtriser l'inflation la plus rapide en 40 ans. Les taux sont désormais fixés dans une fourchette comprise entre 3 et 3,25%, et les projections les plus récentes de la banque centrale les ont vus grimper à 4,6% d'ici la fin de l'année prochaine, contre 3,8% dans une prévision précédente. -NYT
Comme le note Michael Maharrey de SchiffGold; Et alors?
[T]il n'y a pas de fin aux emprunts et aux dépenses en vue. Rien qu'en août, le gouvernement américain a enregistré un énorme déficit budgétaire de 219,6 milliards de dollars.
Alors que les dépenses ont quelque peu ralenti avec la fin des programmes de l'ère de la pandémie, l'administration Biden continue de dépenser environ un demi-billion de dollars chaque mois. Alors qu'il reste un mois à l'exercice budgétaire, le gouvernement a dépensé un peu plus de 5,35 billions de dollars.
Et il y a plus de dépenses à venir.
RépondreSupprimerLe gouvernement américain distribue toujours des mesures de relance COVID et il en veut plus. Le Congrès a récemment fait passer un autre projet de loi de dépenses massives. Pendant ce temps, les États-Unis continuent de déverser de l'argent sur l'Ukraine et d'autres pays du monde. Et nous n'avons pas commencé à voir l'impact de l'annulation des prêts étudiants.
En plus de l'augmentation des dépenses, la hausse des taux d'intérêt gonflera encore plus la dette.
Chaque augmentation des taux d'intérêt augmente les frais d'intérêt du gouvernement fédéral. Jusqu'à présent, au cours de l'exercice 2022, le Trésor américain a déboursé 471 milliards de dollars uniquement pour financer les paiements d'intérêts du gouvernement.
Pour mettre ce chiffre en contexte, à ce stade de l'exercice 2021, les charges d'intérêts du Trésor s'élevaient à 356 milliards de dollars. Cela représente une augmentation de 30 % d'une année sur l'autre. Les charges d'intérêts se classent au sixième rang des catégories de dépenses budgétaires, environ 250 milliards de dollars en dessous de Medicare. Si les taux d'intérêt restent élevés ou continuent d'augmenter, les charges d'intérêts pourraient grimper rapidement parmi les trois principales dépenses fédérales. (Vous pouvez lire une analyse plus approfondie de la dette nationale ICI.
Selon le Congressional Budget Office, c'est exactement ce qui va se passer. Il prévoit que les paiements d'intérêts tripleront, passant de près de 400 milliards de dollars au cours de l'exercice 2022 à 1,2 billion de dollars en 2032. Et c'est pire que cela. Le CBO a fait cette estimation en mai. Les taux d'intérêt sont déjà plus élevés que ceux utilisés dans son analyse.
La plupart des gens ignorent simplement la dette nationale qui ne cesse de croître. Lorsque nous parlons de la dette qui monte en flèche, la réponse est : « Et alors ? Ils pensent que si cela n'a pas encore d'importance, cela n'aura pas d'importance demain. Mais vous ne pouvez éliminer la dette que jusqu'à présent avant de manquer de route.
Le problème de la dette
James Madison considérait la dette comme faisant partie d'un trifecta d'outils que le gouvernement utilise pour opprimer le peuple.
Les armées, les dettes et les impôts sont les INSTRUMENTS CONNUS pour mettre le plus grand nombre sous la domination de quelques-uns.
Alors, comment cette énorme dette massive affectera-t-elle réellement nos vies ?
En premier lieu, une dette nationale importante freine la croissance économique.
Selon le National Debt Clock, le ratio dette/PIB est de 125,12 %. Des études ont montré qu'un ratio dette/PIB de plus de 90 % retarde la croissance économique d'environ 30 %. Cela jette de l'eau froide sur le mantra conventionnel «dépenser maintenant, s'inquiéter de la dette plus tard», ainsi que sur l'affirmation fréquente selon laquelle «nous pouvons nous sortir de la dette» désormais populaire des deux côtés de l'allée à DC.
Plus immédiatement, la dette nationale est un gros problème pour la Réserve fédérale car elle fait monter les taux d'intérêt dans l'espoir de maîtriser l'inflation.
Le gouvernement américain ne peut pas continuer à emprunter et à dépenser sans que la Fed ne monétise la dette. Il a besoin que la banque centrale achète des bons du Trésor pour soutenir la demande. Sans l'intervention de la Fed sur le marché obligataire, les prix chuteront, faisant monter encore les taux d'intérêt sur la dette américaine.
Cela signifie que la Fed ne peut pas gagner ce combat contre l'inflation. Et cela signifie que vous feriez mieux de vous habituer à dépenser plus pour tout.
Un article publié par la Banque fédérale de réserve de Kansas City a reconnu que la banque centrale ne peut pas réduire l'inflation à moins que le gouvernement américain ne maîtrise ses dépenses. En un mot, les auteurs soutiennent que la Fed ne peut pas contrôler l'inflation seule. La politique budgétaire du gouvernement américain contribue aux pressions inflationnistes et empêche la Fed de faire son travail.
RépondreSupprimerL'inflation tendancielle n'est pleinement maîtrisée par l'autorité monétaire que lorsque la dette publique peut être stabilisée avec succès par des plans budgétaires futurs crédibles. Lorsque l'autorité budgétaire n'est pas perçue comme entièrement responsable de la couverture des déséquilibres budgétaires existants, le secteur privé s'attend à ce que l'inflation augmente pour assurer la viabilité de la dette nationale. En conséquence, un important déséquilibre budgétaire combiné à un affaiblissement de la crédibilité budgétaire pourrait conduire l'inflation tendancielle à s'éloigner de l'objectif à long terme choisi par l'autorité monétaire.
Ce n'est clairement pas dans les cartes.
En d'autres termes, lorsqu'il s'agit de lutter contre l'inflation, la Fed bluffe parce qu'elle a la main perdante. La hausse des intérêts sur la dette forcera la dette nationale forcera la banque centrale à céder à l'inflation.
À long terme, les emprunts et les dépenses débridés conduiront l'inflation au point que les gens perdront confiance dans le dollar. On parle déjà d'un monde « post-dollar ».
En fin de compte, la dette n'est pas sans conséquences. Et les conséquences seront graves lorsque les poules rentreront se percher.
https://www.zerohedge.com/economics/us-national-debt-blows-past-31-trillion
Les prix de l'essence continuent de grimper, mais les marges des stations-service au détail plongent, beaucoup étant désormais « sous l'eau »
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 00:00
Écrit par Naveen Athrappully via The Epoch Times
Malgré la hausse des prix de l'essence au cours des dernières semaines, les stations-service au détail voient leurs marges diminuer, ce qui met à rude épreuve ces entreprises.
Le prix moyen national de l'essence ordinaire, au 5 octobre, était de 3,831 dollars le gallon, en hausse de 0,26 dollar par rapport à la veille, de 0,66 dollar il y a une semaine et de 0,45 dollar il y a un mois, selon les données de l'American Automobile Association (AAA). En revanche, les marges bénéficiaires des stations-service ont diminué.
"OPIS MarginPro montre que les marges sur le gaz au détail sont d'environ 18 cts/gal à l'échelle nationale. C'est une baisse de 17 cts/gal en une semaine ; 25 cts/gal par mois ; et 54cts/gal de moins qu'à la fin du premier trimestre 2022. Lorsque l'on considère les coûts d'exploitation (main-d'œuvre, frais de carte de crédit, etc.), de nombreux magasins sont sous l'eau », a noté Tom Kloza, un expert des marchés nord-américains des carburants, dans un tweet. le 4 octobre.
En 2021, la marge brute sur l'essence était de 0,309 $ le gallon, soit 10,2 % du prix moyen de 3,03 $ le gallon, selon l'association commerciale mondiale NACS. Au cours des cinq années précédentes, les marges brutes de détail sur l'essence étaient en moyenne de 0,272 $ le gallon, ce qui représente 10,7 % du prix de l'essence.
Une analyse de la marge bénéficiaire moyenne mobile hebdomadaire de 30 000 stations-service américaines publiée sur Fortune a révélé qu'elles ne réalisent qu'un bénéfice net d'environ 0,03 à 0,07 $ par gallon après avoir pris en compte des coûts tels que la main-d'œuvre, les frais de transaction par carte de crédit, les assurances et les services publics.
Le bénéfice net des stations-service est inférieur à 2 %, ce qui est très faible par rapport à d'autres secteurs à forte rentabilité comme le secteur bancaire, qui est estimé à environ 30 % de marges nettes.
Blâmer les stations-service et les entreprises, libération de la réserve stratégique
Alors que les stations-service font face à de faibles marges bénéficiaires, l'administration Biden impute la hausse des prix de l'essence à ces entreprises.
Lors d'une réunion à la Maison Blanche le 26 septembre, le président Joe Biden a insisté sur le fait que les stations-service et les compagnies pétrolières réalisent "beaucoup de bénéfices" grâce auxquels le public paie le prix d'une inflation élevée.
«Aux entreprises qui gèrent des stations-service et fixent ces prix à la pompe: réduisez les prix que vous facturez à la pompe pour refléter le coût que vous payez pour le produit. Faites-le maintenant », a déclaré le président.
RépondreSupprimerPendant ce temps, deux grands groupes de l'industrie pétrolière ont fait part de leurs inquiétudes quant au fait que l'administration Biden pourrait limiter ou interdire l'exportation de produits pétroliers raffinés pour constituer des stocks nationaux d'essence.
Si elle est mise en œuvre, une telle décision limitera les marchés des raffineurs, réduira la capacité et fera grimper les prix du gaz à long terme, a noté Patrick De Haan, un expert du pétrole, dans un tweet du 5 octobre.
Sous l'administration Biden, la réserve stratégique de pétrole est tombée à 422,858 millions de barils de pétrole, au 23 septembre, contre 617 millions de barils le 1er octobre 2021. Il s'agit du niveau le plus bas depuis 1984.
Dans une interview avec Just the News, Tim Stewart, le chef de l'U.S. Oil and Gas Association, a souligné que les États-Unis vendent plus de pétrole de leurs réserves que la production de pays de taille moyenne de l'OPEP comme l'Angola ou l'Algérie n'en vend.
« Nous vendons deux fois plus par jour que nous ne produisons en Alaska. Cela nous place quelque part entre Exxon et Conoco en termes de… l'impact que nous avons sur l'approvisionnement quotidien - et cela se produit sans que du nouveau pétrole ne le remplace », a-t-il déclaré.
https://www.zerohedge.com/political/gasoline-prices-keep-climbing-retail-gas-station-margins-plunge-many-now-under-water
En Allemagne, les engrais se font rares – Et qui aide les agriculteurs ?
RépondreSupprimer6 Octobre 2022
Olaf Zinke, AGRARHEUTE*
Le manque d'engrais entraîne une baisse des rendements et une diminution de la production. Cela met non seulement en péril l'approvisionnement en Allemagne et en Europe, mais alimente également la crise alimentaire mondiale. Des solutions rapides ne sont pas en vue.
En Allemagne, les engrais se font rares. Cela a des conséquences massives sur la production agricole et sur l'approvisionnement de la population.
En 2022, les agriculteurs allemands ont utilisé nettement moins d'engrais. Il y a plusieurs raisons à cela : d'une part, les engrais minéraux sont extrêmement chers en raison des coûts de production élevés (prix du gaz). De nombreuses entreprises réduisent leur production ou ferment leurs usines en Europe. De cette manière, la production et l'offre sont massivement réduites.
À cela s'ajoutent des contraintes supplémentaires concernant l'utilisation d'engrais minéraux et de produits phytosanitaires dans le cadre du Green Deal européen. Les conséquences pourraient être non seulement un manque d'approvisionnement en engrais – mais pire encore, le manque d'engrais entraîne une baisse des rendements et une diminution de la production.
Non seulement l'approvisionnement est menacé en Allemagne et en Europe, mais la crise alimentaire mondiale s'en trouve également alimentée. Il en va d'ailleurs de même pour l'utilisation de produits phytosanitaires, qui sont également extrêmement importants pour garantir les rendements.
Mais la politique fixe actuellement d'autres priorités. On ne se réveillera probablement que lorsque les conséquences se feront sentir au niveau de l'approvisionnement de la population. Les importations d'ammoniac annoncées par les grands fabricants d'engrais proviennent probablement de pays où la production est soumise à des contraintes environnementales moins strictes et surtout beaucoup moins chère.
Cela pourrait d'ailleurs être un scénario pour d'autres industries. Ou alors elles produisent carrément ailleurs. Seuls les agriculteurs ne peuvent pas partir. Ils doivent continuer à produire en Allemagne dans leurs exploitations.
L'industrie des engrais tire la sonnette d'alarme – nouvelles fermetures d'usines
L'association industrielle Agrar a également attiré avec force l'attention sur les conséquences de la crise énergétique actuelle. Le responsable de la nutrition des plantes et des biostimulants au sein de l'Industrieverband Agrar e. V. (IVA), Sven Hartmann, a déclaré : « Face à la hausse record des prix de l'énergie et du gaz en particulier, l'industrie allemande et européenne des engrais est confrontée à un défi qui menace son existence – avec des conséquences négatives prévisibles pour l'ensemble de la société. »
« En tant que secteur particulièrement énergivore, qui utilise le gaz naturel non seulement comme source d'énergie mais aussi comme matière première importante, il est particulièrement exposé aux augmentations de coûts et à la pression concurrentielle des importations en provenance de régions favorisées sur le plan énergétique. Les derniers chiffres prouvent que la demande, tous nutriments confondus, s'est effondrée massivement, principalement en raison des prix élevés », explique M. Hartmann.
RépondreSupprimerLa semaine dernière, Yara, le plus grand fabricant européen d'engrais azotés, a annoncé la fermeture de son usine en Belgique, près de la frontière française. Cela réduirait l'approvisionnement du marché européen – surtout en France – de plusieurs centaines de milliers de tonnes d'engrais et d'ammoniac.
Auparavant, d'autres grands fabricants comme Piesteritz et BASF avaient déjà réduit drastiquement leur production.
Les agriculteurs achètent beaucoup moins d'engrais – cher et rare
Selon les données de l'Office Fédéral des Statistiques (Destatis), les ventes d'engrais ont fortement baissé en Allemagne au deuxième trimestre 2022. Les chiffres de vente comprennent à la fois les engrais produits en Allemagne et les engrais importés. Pour les engrais azotés, 238.000 tonnes d'azote ont été vendues au total, soit 18,5 % de moins qu'au même trimestre de l'année précédente.
Parallèlement, les ventes intérieures d'engrais phosphatés ont diminué de moitié. Les ventes d'engrais potassiques ont également diminué de moitié environ. Les statisticiens estiment que cette baisse des ventes est également due au fait que la production de la plupart des engrais est très gourmande en énergie. Le gaz naturel est utilisé dans la production d'engrais à la fois comme matière première et comme source d'énergie. C'est pourquoi les prix élevés du gaz se sont davantage répercutés sur les prix des engrais.
Selon les statisticiens, le commerce extérieur d'engrais a également diminué récemment : de janvier à juillet 2022, ce sont 2,1 millions de tonnes d'engrais qui ont été importées en Allemagne. C'était 11,0 % de moins que l'année précédente à la même période (2,4 millions de tonnes). Les exportations ont diminué de 3,9 % au cours de la même période pour atteindre 4,6 millions de tonnes.
Mais tout cela n'est qu'un instantané. Comme le montrent les fermetures d'usines et les réductions de production, la pénurie de l'offre continue de s'aggraver. Et cela a d'énormes conséquences sur les prix des engrais et des denrées alimentaires – et aussi sur la production de céréales et d'autres produits agricoles.
____________
* Olaf Zinke travaille pour agrarheute en tant que rédacteur cross-média pour les opérations et les marchés. Il analyse les marchés agricoles et des produits de base nationaux et internationaux depuis trois décennies et a travaillé à ce titre pour diverses institutions.
Source : In Deutschland wird der Dünger knapp – Und wer hilft den Bauern? | agrarheute.com
https://seppi.over-blog.com/2022/10/en-allemagne-les-engrais-se-font-rares-et-qui-aide-les-agricultehttps://seppi.over-blog.com/2022/10/en-allemagne-les-engrais-se-font-rares-et-qui-aide-les-agriculteurs.htmlurs.html
Après la pénurie d'animaux (mode 'vegan' et éoliennes qui massacrent des millions d'oiseaux et d'abeilles chaque jour), c'est la pénurie de fumier qui succède à la pénurie d'engrais !
SupprimerLes services écosystémiques fournis par l'agriculture
RépondreSupprimer6 Octobre 2022
Michelle Miller, AGDAILY*
« Wide-open spaces », les grands espaces – c'est une expression que The Chicks ont rendue populaire mais qui me fait penser à tout ce que l'agriculture a à offrir. Quand je pense aux villes, je ne pense pas particulièrement aux animaux sauvages, à l'exception de ceux qui cherchent des restes de nourriture ou de ceux qui sont tués sur la route. En revanche, quand je pense à l'agriculture, je pense à une quantité importante d'animaux sauvages qui profitent des grands espaces qui leur sont réservés.
Plus de 28 millions d'hectares de terre sont considérés comme des zones « urbaines » et, bien que cela ne représente qu'un peu plus de 3,5 % des terres américaines, cela a tout de même un impact important sur les zones et l'environnement alentour. Nous ajoutons environ 400.000 hectares de zones urbaines chaque année, recouvrant les terres de béton et supprimant des sources de nourriture et des habitats vitaux pour la faune.
C'est là que l'agriculture intervient et sauve la situation.
Aux États-Unis, près de 650 millions d'hectares de terres sont utilisés pour les pâturages, les forêts et les cultures. Ces grandes étendues de terre fournissent un habitat, des couloirs pour se déplacer d'un territoire à l'autre et des zones pour échapper aux interactions humaines. En plus d'offrir des espaces ouverts, les zones agricoles fournissent également des sources de nourriture pour la faune sauvage, au grand dam des agriculteurs, mais cela fait partie du jeu.
La végétation naturelle est présente dans presque toutes les exploitations agricoles. Il y a inévitablement des zones qui ne peuvent pas être cultivées, que ce soit en raison de l'état du sol (comme les zones humides) ou de coins morts que l'équipement ne peut atteindre. Dans ces zones, la végétation indigène a la possibilité de se développer. Les portions de terre de ce type sont très importantes pour la faune et l'ensemble de notre écosystème.
Ne pensez pas seulement aux grands animaux comme les cerfs – même les plus petits insectes comme les abeilles bénéficient considérablement des corridors existants.
Les services écosystémiques sont la valeur que les activités fournissent à notre environnement du simple fait d'exister et de fonctionner de manière positive. Ces services peuvent être regroupés en quatre catégories : approvisionnement, régulation, soutien et culture [au sens de « culturel »]. Les opérations peuvent fournir de la nourriture et de l'eau à la faune, contrôler le climat et les maladies, soutenir les cycles de nutriments ou la pollinisation, ou avoir des avantages récréatifs. Tous ces services profitent à notre environnement au niveau local, régional et même national, car ils sont tous interconnectés.
Il est quelque peu difficile d'attribuer un avantage mesurable, comme des dollars monétaires, à ces services, mais la National Cattlemen's Beef Association a calculé la valeur que l'élevage fournit à travers l'Amérique.
À lui seul, l'élevage [extensif] représente une valeur économique de plus de 14 milliards de dollars par an pour le pays. Cette valeur comprend les allocations monétaires pour les jours de chasse, les jours de pêche, l'observation de la faune sauvage et l'habitat. Ce sont 14 milliards de dollars qui ne seront jamais payés aux éleveurs ; c'est ce qu'ils fournissent gratuitement à l'écosystème américain. Pour chaque livre de bœuf produite, 0,86 $ de services écosystémiques sont fournis. Et il ne s'agit là que de l'élevage bovin – ce chiffre augmente considérablement si l'on ajoute les avantages fournis par la sylviculture, les terres cultivées, les cultures spéciales, les autres exploitations d'élevage et toutes les autres entités agricoles.
- voir cadre sur site -
RépondreSupprimerLes services écosystémiques ne sont pas simplement liés à la protection de la faune et de la flore ; il existe un lien profond entre les avantages de la production de nourriture, de carburant et de fibres et notre climat et notre environnement. L'agriculture permet d'assainir l'air au niveau local, car les plantes en croissance éliminent le dioxyde de carbone de l'air et libèrent de l'oxygène. Les contaminants du sol et de l'air sont filtrés par les plantes en croissance et les zones dont la productivité était auparavant faible ou nulle peuvent être transformées en environnements prospères grâce à l'introduction de l'agriculture. Il y a tellement de variables qui peuvent être influencées positivement par l'agriculture et l'élevage, et parfois c'est la seule façon d'avoir ces impacts tout en fournissant des avantages et des services à la vie humaine.
Nous vous rappelons constamment de remercier un agriculteur lorsque vous vous asseyez pour manger, mais en réalité, nous devrions remercier les agriculteurs pour presque tous les aspects de nos vies. C'est grâce à l'agriculture, l'épine dorsale de notre société, que nous sommes en mesure de réussir comme nous le faisons. L'agriculture subvient à nos besoins au-delà de toute mesure.
____________
* Michelle Miller, la « Farm Babe », est une agricultrice, une conférencière et une autrice qui a travaillé pendant des années avec des cultures en ligne, des bovins et des moutons. Elle pense que l'éducation est essentielle pour combler le fossé entre les agriculteurs et les consommateurs.
Source : Ecosystem services provided by agriculture | AGDAILY
https://seppi.over-blog.com/2022/10/les-services-ecosystemiques-fournis-par-l-agriculture.html
Nanoparticules lipidiques : modifient-elles subtilement l'être humain ?
RépondreSupprimerDes qualités humaines essentielles sont-elles détruites par les graisses industrielles enrobées de PEG ?
Par Dr Naomi Wolf
6 octobre 2022
Certains de mes essais sont ancrés dans la politique, l'économie, le monde matériel. D'autres font référence aux connaissances médicales et scientifiques des volontaires de recherche de War Room / DailyClout Pfizer Documents, ainsi qu'à d'autres experts médicaux et scientifiques de principe.
Celui-ci pose des questions. Veuillez le lire dans cet esprit.
La protéine de pointe hante certains des bons "médecins dissidents" et des scientifiques honnêtes. Les fragments d'ARNm, quant à eux, perturbent profondément les autres ; et tout cela pour de bonnes raisons.
Mais ce sont les nanoparticules lipidiques (LNP) dans les injections d'ARNm qui m'empêchent de dormir la nuit, le sentiment que la dystopie sur terre est maintenant pleinement arrivée. Et les raisons en sont des questions qui frôlent la métaphysique ; car les TNL, me semble-t-il, sont capables d'affecter négativement l'essence même de notre humanité.
J'ai récemment eu l'expérience bizarre d'aller à Manhattan après qu'une vague de "boosters" ait été déployée. Je me souviens d'être debout sur un bar sur le toit bondé au sommet d'un hôtel-boutique; des couples séduisants flirtaient sur des tables ; les célibataires envahissaient la zone des cocktails; le soleil brillait et tout semblait normal. Mais j'avais toujours la sensation déconcertante d'être à l'intérieur d'un hologramme. Je ne pouvais pas comprendre ce qui n'allait pas, jusqu'à ce que je réalise - cela ressemblait à une foule, mais cela ne ressemblait pas à une foule. Je pouvais voir les gens, bien sûr, tout autour de moi, mais je ne pouvais pas ressentir cette énergie dense, joyeuse, passionnée, pétillante et agitée d'une foule humaine, avant 2020.
J'ai vérifié ce que ça faisait en marchant dans les rues de la ville, et mon impression a été confirmée. Ils étaient là, les foules habituelles de Manhattan, déferlant le long des trottoirs – mais ils ressemblaient à des images, à des fantômes vêtus de couleurs vives. L'énorme champ d'énergie - ce sentiment d'une île comme un générateur humain pulsant, l'électricité qui avait galvanisé des générations de nouveaux arrivants à Manhattan - avait tout simplement disparu.
Non seulement cette énergie globale avait disparu. J'ai aussi remarqué que, comme Jamie Glazov et moi en avons discuté récemment sur son podcast, le "mojo", l'énergie sexuelle, des foules de Manhattan, avait également disparu.
Autrefois, l'île était rythmée par les rythmes des gens dont le croisement ressemblait à une danse coquette. Il y avait un rythme dans la ville - le rythme humain de la sexualité, de la créativité et de la joie.
Hommes et femmes – femmes et femmes, hommes et hommes – se regardaient à peine. Cette danse d'attraction, cet éclair de flirt, ce regard de côté que les rues de Manhattan ont toujours cédé entre les étrangers de passage et ont fait depuis le début de la ville - le jeu de la sexualité elle-même - était si atténué ou dilué qu'il était difficile à sentir ou à voir du tout.
RépondreSupprimerJe suis entré dans des restaurants et des hôtels, et les jeunes femmes autrefois belles chargées d'accueillir les visiteurs ressemblaient à des danseuses dans une scène d'une danse macabre du XIXe siècle. Ils étaient uniformément pâles, ou jaunâtres, ou avaient un teint grisâtre ; ils avaient des cernes sous les yeux. La lueur d'une bonne circulation, l'éclat de la santé et de l'énergie sexuelle, qui ont tous été considérés comme attirants depuis que les humains font la cour, avaient disparu.
Les foules elles-mêmes ont été modifiées. Les jeunes adultes boitaient, à grande échelle. Des hommes et des femmes dans la quarantaine et la cinquantaine, qui semblaient être en bonne santé depuis peu, bougeaient maintenant comme des octogénaires. Des gens en grand nombre, de tous âges, marchaient comme si ça leur faisait mal de bouger. Même les adolescents et les enfants plus âgés se déplaçaient comme des zombies ou des robots - à la dérive, sans apparemment avoir d'énergie à revendre. Les enfants plus petits ne se tortillaient pas et ne couraient pas. Ils s'asseyaient sans rien faire sur des bancs publics ou dans des restaurants. Ou ils dérivaient comme de petits spectres à côté de leurs parents, concentrés sur rien.
Qu'est-il arrivé ? Qu'est-il arrivé à l'humanité ?
Beaucoup ont décrit leurs proches altérés de manière indéfinissable, après avoir reçu des injections d'ARNm.
Les gens m'ont parlé avec détresse de la façon dont ils ne semblent pas ressentir la présence physique de leurs proches après la vaccination.
Il ressemble à la même personne, disent-ils avec chagrin, bien qu'un peu plus pâle, un peu plus fatigué et éthéré.
Mais ça ne ressemble pas à la même personne.
Leur pensée peut être plus rigide, rapportent tristement leurs proches. Ils peuvent être émotionnellement brutaux. Les attachements peuvent sembler moins passionnés. Câlins plus froids.
Les travailleurs du corps et les kinésithérapeutes ont parlé de la modification de la température de leurs patients vaccinés, de la modification de leurs schémas de circulation sanguine, même de leurs «champs d'énergie», comme ils le disent, drainés ou affaiblis (hé, je viens de Californie).
Cet essai pose des questions sur ce qui pourrait éventuellement provoquer des changements incohérents chez les personnes après la vaccination par l'ARNm et demande si les nanoparticules lipidiques elles-mêmes peuvent modifier profondément les êtres humains. Encore une fois, je ne propose pas de réponses ici, mais j'explore simplement des possibilités.
RépondreSupprimerNous connaissons le coût physique des nanoparticules lipidiques, grâce à certaines recherches pionnières récentes.
Nous savons, par exemple, que les nanoparticules lipidiques provoquent une inflammation. Le Dr Robert Chandler du War Room/DailyClout Pfizer Documents Research Volunteers a rétabli cela, et c'est aussi un fait connu depuis des années. [https://www.globalresearch.ca/pfizer-used-dangerous-assumptions-rather-than-research-guess-outcomes/5788718].
Nous savons que les LNP, dont leurs fabricants se vantent de pouvoir traverser toutes les membranes du corps humain, traversent le placenta, comme l'a démontré la médecine fœto-maternelle OB/GYN Dr James Thorp. [https://www.bitchute.com/video/yWNotidgaGfO/]. C'est l'une des raisons pour lesquelles les mensonges aux femmes enceintes des porte-parole pharmaceutiques, médicaux et gouvernementaux, en jurant que les ingrédients d'injection d'ARNm ne pourraient pas traverser le placenta, sont si odieux.
Nous savons que les LNP traversent la barrière hémato-encéphalique - en effet, ils ont été conçus pour le faire : certaines de leurs premières utilisations médicales impliquaient l'administration de médicaments à travers la barrière hémato-encéphalique, pour cibler les tumeurs cérébrales. [https://news.feinberg.northwestern.edu/2017/07/12/nanomedicine-opens-door-to-precision-medicine-for-brain-tumors]
Nous savons que Pfizer s'est associé cette année à Acuitas Therapeutics, une société privée basée à Vancouver, au Canada, qui fabriquait des nanoparticules lipidiques, pour mettre sur le marché dix autres vaccins à base d'ARNm-LNP :
"Notre livraison rapide du premier vaccin à base d'ARNm-LNP au monde a rendu claire la promesse de la technologie ARNm-LNP", a déclaré Mikael Dolsten, M.D., Ph.D., directeur scientifique et président, Worldwide Research, Development and Medical of Pfizer Inc. « Nous réalisons des investissements importants pour exploiter la puissance de la technologie ARNm-LNP et proposer de nouveaux vaccins et traitements révolutionnaires potentiels qui répondent à d'importants besoins non satisfaits des patients. Cet accord étend nos capacités LNP et nous permet d'explorer davantage de projets dans notre domaine des vaccins existant et de nouveaux domaines thérapeutiques où la technologie ARNm-LNP a un potentiel de succès. « Acuitas est extrêmement fière que sa technologie LNP contribue au succès de COMIRNATY® et est ravie de travailler avec Pfizer pour faire progresser de nouveaux vaccins », a déclaré le PDG d'Acuitas Therapeutics, le Dr Thomas Madden.
[https://acuitastx.com/wp-content/uploads/2022/01/Acuitas-Pfizer-Agreement-Release.pdf].
Alors:
Les graisses industrielles traitées au polyéthylène glycol (PEG) peuvent traverser toutes les membranes du corps humain. Y compris le cerveau.
Qu'est ce qui pourrait aller mal ?
RépondreSupprimerMa propre aversion pour les LNP - une aversion qui m'a amené à ne pas choisir de recevoir une injection d'ARNm - est née de la simple lecture sur divers sites Web de production et de distribution de LNP, à quel point ce matériel est encore expérimental et étrangement prêt à l'emploi : vous pouvez commander des nanoparticules lipidiques, tout comme vous pouvez commander du polyéthylène glycol, auprès de diverses sociétés d'approvisionnement qui «s'associeront» avec des fabricants, quelques questions posées, dans la formulation de médicaments ou d'expériences. « Creative Biolabs » en fait partie :
« Caractéristiques de nos services
Préparation de TNL à guichet unique et personnalisable
Le processus de fabrication propriétaire évolutif
Performances à coût élevé
Veuillez nous contacter pour plus d'informations."
[https://mrna.creative-biolabs.com/lipid-nanoparticle.htm]
Je suis une majeure en anglais. Je ne suis pas médecin.
Mais même moi, je vois d'éventuels problèmes graves liés à la saturation de l'humanité, via chaque membrane, en nanoparticules lipidiques. Les êtres humains sont plus que nos corps. Il s'agit donc d'une expérience massive sur l'essence même de ce qui fait de nous des êtres humains.
Les nanoparticules lipidiques ne sont pas des médicaments. Ils sont un système de livraison.
https://www.lewrockwell.com/2022/10/no_author/lipid-nanoparticles-are-they-subtly-changing-human-beings/
Depuis des décennies la population reçoit des chemtrails qui se seraient avérés inefficaces ou tout-au-moins pas bons à 100 %, alors, Stade II: LA piqûre (létale) !
SupprimerLA piqûre létale avec 'couloir de la mort' en nano-particules lipidiques ! LA trouvaille pour obliger les personnes qui se sont faites inoculer à pousser d'autres personnes à se faire inoculer profond encore et encore !
Les inoculés reçoivent des ordres ils sont dirigés, téléguidés, et peuvent même (cerise sur le gâteau !): tuer ! Ouais ! Assassiner n'importe qui puisqu'elles ont reçu l'ordre !
Si vous ne pouvez pas traiter un médecin comme votre serviteur sur le problème du masque, vous ne pourrez pas le faire en ce qui concerne vos soins de santé
RépondreSupprimerPar Allan Stevo
6 octobre 2022
La relation médecin patient est très particulière. Le médecin dit la vérité au patient, difficile d'entendre la vérité. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Depuis les Ides de mars 2020, la relation médecin patient n'a plus rien à voir avec ça.
Le mensonge du masque facial est là comme une distraction imposée à la relation qui ne ressemble en rien à la vérité. Comme je l'ai écrit précédemment en mai 2020, nous avions à notre disposition 14 essais contrôlés randomisés qui montraient clairement qu'un masque facial n'allait pas vous protéger de Covid.
Au lieu de la science, les médecins se sont inclinés devant l'autorité, seulement ils portaient encore leur blouse blanche et l'appelaient encore la science.
Comme peuvent en témoigner de nombreuses personnes qui ont interagi profondément avec le système médical avant les Ides de mars 2020 - c'est ainsi que la plupart des médecins ont toujours agi : au lieu de la science, se prosterner devant l'autorité mais porter toujours leur blouse blanche de "laboratoire" et l'appeler toujours la science.
Pourquoi un médecin porte-t-il vraiment une blouse de laboratoire de toute façon ? Ils ne sont pas dans un laboratoire. Ils pourraient le laisser accroché à la porte de leur labo. Leurs vêtements de ville sont couverts des mêmes germes que leurs blouses de laboratoire, donc la blouse de laboratoire n'est pas là pour protéger beaucoup leurs vêtements, pour vous protéger beaucoup ou pour protéger beaucoup leur maison. Ce ne sont donc pas de bonnes raisons pour tout cela.
Les tabliers jetables à usage unique standard de qualité hospitalière à 75 cents rempliraient parfaitement ce rôle. Leur blouse de laboratoire sale ne fait tout simplement pas cela.
Le médecin porte la blouse de laboratoire car cela lui donne un air d'autorité sur vous, vous permettant d'être plus docile et plus facile à traiter.
Encore une fois, cela n'a pas grand-chose à voir avec cela : le médecin dit la vérité au patient, la vérité difficile à entendre. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et de répondre clairement et sobrement au médecin.
En fait, la blouse blanche, comme le masque facial, est l'exact opposé de cela. C'est plus comme ça : au lieu de la science, les médecins se sont inclinés devant l'autorité mais portaient toujours leur blouse blanche et l'appelaient toujours la science.
Et la blouse de laboratoire les aide à vous incliner devant leur source d'autorité. Cela rend leurs affirmations sur leur source d'autorité plus convaincantes pour vous, quelle que soit leur véracité réelle.
RépondreSupprimerVous saisissez ?
La blouse de laboratoire est un mensonge.
Le masque facial est un mensonge.
C'est le même non-sens.
Il s'agit de contrôle, pas de ceci : le médecin dit la vérité au patient, la vérité difficile à entendre. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Un médecin qui se soucie de vous voudra ceci : le médecin dit la vérité au patient, difficile d'entendre la vérité. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
Et y a-t-il d'autres bonnes raisons pour qu'un médecin porte un masque facial et pour qu'un médecin porte une blouse de laboratoire ? Absolument! Mais ce ne sont pas les raisons pour lesquelles la plupart des médecins le font. Et une partie de votre travail consiste à être capable de voir la différence et soit de garder ces mauvais penchants de ce médecin captifs dans votre relation, soit de sortir de cette relation.
La plupart des gens ne savent pas quoi faire. La plupart des gens fuient cette relation, qui est une option, une option peu conflictuelle qui vous décourage et peut vous priver de soins de santé pendant un certain temps. La plupart des gens, en choisissant de courir, ratent l'occasion de prendre le contrôle d'une mauvaise situation. La conséquence de cela est probablement la suivante : cette même confrontation que vous fuyez vous suivra pendant des années jusqu'à ce que vous vous arrêtiez, que vous la regardiez en face et que vous preniez une autorité calme mais ferme sur elle.
Pouvez-vous imaginer dire cela à un médecin qui vous demande de porter un masque ?
« Nous ne ferons pas cela. En fait, j'ai besoin que vous enleviez votre masque, ainsi que lorsque vous me parlez, à moins qu'il n'y ait une procédure qui l'exige.
Si vous ne pouvez pas imaginer dire cela à un médecin, il y a probablement bien pire pour vous. Probablement bien pire.
Si vous ne pouvez pas parler honnêtement au médecin que vous avez connu pendant 20 ans et qui a vu vos régions inférieures, à qui exactement pensiez-vous que c'était dans votre vie que vous alliez pouvoir trouver le courage de parler honnêtement ?
La réponse du marché libre est souvent « votez avec vos pieds ». Ouais. C'est certainement une option. Mais c'est une option qui fournit très peu de commentaires à votre médecin et, plus important encore, qui ne vous aide absolument pas à affronter les défis de votre vie. C'est aussi par coïncidence la bonne réponse du Parti vert, la réponse hippie, la réponse conservatrice, la réponse démocrate, la réponse républicaine, et c'est vraiment la réponse lâche commode des gens de tout le spectre politique.
Est-ce toujours lâche ? Bien sûr que non. C'est un grand principe. Mais à cette époque, c'est lâche un solide 99 fois sur 100, probablement plus.
C'est là que vous devez être : le médecin dit la vérité au patient, difficile d'entendre la vérité. Le patient prend le fardeau de peser les possibilités et répond clairement et sobrement au médecin.
RépondreSupprimerVous pouvez investir dans l'autre personne et dans votre relation, ou vous pouvez fuir l'autre personne et constater que le même conflit continuera de vous trouver dans la vie jusqu'à ce que vous appreniez à le gérer.
Lequel sera-t-il ?
Parfois, la fuite est plus facile. Je comprends. Parfois, fuir a plus de sens. Je comprends. Mais souvent, il y a tellement de récompenses à payer en apprenant à parler dans une situation. Et ce n'est peut-être pas une chose ponctuelle ou immédiate. Vous devrez peut-être faire preuve de créativité. Je ne sais pas exactement à quoi cela ressemble, mais si vous y réfléchissez bien, ou si vous mettez votre tête avec un groupe d'autres lions, ou si vous priez dessus, ou quelle que soit la façon dont vous arrivez à vos réponses dans la vie, vous pourriez arriver à un joli bon ensemble d'options.
Vous pourriez acheter à votre médecin une bouteille de vin pour le beurrer. Vous devrez peut-être lui crier dessus. Vous pourriez parler à sa femme, que vous connaissez depuis le lycée. Vous devrez peut-être l'inviter à déjeuner. Vous pourriez lui envoyer une lettre manuscrite de trois phrases insistant pour qu'il continue à vous voir démasqué.
Je n'ai pas la solution pour toutes les choses qui doivent arriver, mais j'ai ceci : votre volonté de ne plus jamais porter de masque est requise, et je dis bien jamais. Votre volonté d'essayer quelque chose de nouveau pour négocier une vie normale au milieu de cela est requise. Votre courage pour sortir de votre zone de confort est requis, tout en restant concentré sur vos valeurs. Une capacité, est requise, à entendre et à être entendu par votre médecin afin que la conversation puisse aller quelque part.
C'est tout ce dont vous avez besoin.
Le reste est un souci mineur.
Et je comprends que vous ne soyez peut-être pas un professionnel du tout. C'est bon. C'est simplement ainsi que fonctionne la vie : nous ne sommes jamais experts dans toutes les compétences dont nous avons besoin lorsque nous vivons une vie de croissance, de défis et d'aventures. Et nous grandissons dans les domaines dans lesquels nous voulons être meilleurs. Avant longtemps, vous vous sentirez beaucoup plus comme un pro. Vous avez probablement quelques années voire quelques décennies de rouille derrière vous au cours desquelles vous avez pris vos libertés pour acquises.
Lentement, vous et moi pouvons reconstruire les communautés dans le monde qui nous entoure qui feront de la place pour ces libertés. Mais vous savez quoi, ce ne sera pas aussi lent que vous l'imaginez, ce ne sera pas aussi impossible que vous l'imaginez.
Twain a écrit qu'un seul homme courageux peut crier contre une foule de lynchage de 10 000 personnes. Cette ère manque de leadership, en particulier de leadership avisé, et un peu de cela de votre part, injecté dans le monde qui vous entoure, entraînera un épanouissement de la liberté comme vous n'auriez pu l'imaginer auparavant.
C'est du moins ce que j'ai vécu dans ma propre vie et ce que j'ai entendu de milliers de braves guerriers depuis l'époque où le communisme corona est entré dans nos vies.
Votre rôle est nécessaire.
Vous êtes nécessaire.
RépondreSupprimerIl est temps d'avancer avec sagesse et courage et de le faire avec résilience. Faites cela et beaucoup de personnes autour de vous suivront alors que vous ramènerez le monde autour de vous sur la voie d'une plus grande liberté.
https://www.lewrockwell.com/2022/10/allan-stevo/if-you-cant-treat-a-doctor-like-your-servant-on-the-mask-issue-you-wont-be-able-to-do-it-when-it-comes-to-your-healthcare/
Le Dr Michael Rectenwald dénonce les élites subversives qui empoisonnent les institutions dans le monde
RépondreSupprimerPar Alexandra Bruce
La télé du savoir interdit
6 octobre 2022
L'ancien professeur de la NYU, Michael Rectenwald, auteur de "Springtime for Snowflakes" et "The Google Archipelago", rejoint Steve Bannon pour parler de l'histoire du socialisme d'entreprise et de sa propre odyssée, d'un universitaire bolchevique autoproclamé à aujourd'hui, un intellectuel public de la libre entreprise.
- voir clip sur site -
Il dit à Steve: «Quand je me suis prononcé contre la folie de la justice sociale à NYU, non seulement la faculté, mais la haute administration de l'université m'est tombée dessus comme une tonne de briques. Alors j'ai reconnu que j'avais touché un troisième rail… et qu'il y avait beaucoup de puissance derrière ce que je critiquais.
"Et puis, j'ai reconnu que c'était l'idéologie de l'élite - de ce que j'appelle les" élites subversives ".
"Alors, je me suis lancé sur un chemin pour découvrir au juste ce qui était à la base de tout cela ? Qui sont ces gens? Quel est leur objectif ? Quels sont leurs objectifs et comment pouvons-nous les arrêter ?
« Parce qu'il s'agit d'un ensemble subversif d'élites qui tentent de renverser les États-Unis et… la civilisation occidentale, en général.
"Donc, c'est essentiellement, en un mot, comment je suis passé du statut de professeur, enseignant la laïcité britannique du XIXe siècle et l'histoire des sciences, à l'étude des élites subversives."
Steve Bannon lui demande alors : « Qui sont les élites subversives ? à quoi, Rectenwald répond: «Ils sont tous mondialistes. Certains d'entre eux sont stationnés aux États-Unis; l'ensemble du Parti démocrate et de nombreux républicains également, comme vous l'avez si souvent souligné. Mais nous regardons le Forum économique mondial et tous ses sous-fifres, les Nations Unies et tous leurs sous-fifres.
«Ce sont les élites subversives. Ils incluent des gens comme Schwab, bien sûr, Klaus Schwab. Ils incluent des gens comme George Soros. Mais ils ont une histoire profonde qui remonte aux années 1930.
« Je le reprendrai dans les années 1970. Vous avez des gens comme Maurice Strong, qui poussait le catastrophisme climatique dès 1972. "Nous examinons un groupe de personnes qui cherchent à renverser la civilisation occidentale depuis plus de 50 ans."
Il dit qu'ils veulent promouvoir des attentes réduites à tous les niveaux, à travers la planète, en disant: «Ils veulent se débarrasser de toute sorte d'aspiration à la richesse individuelle et indépendante et créer un nivellement des attentes réduites, à travers le monde et en particulier dans des endroits comme les États-Unis, où l'on s'attend à une mobilité ascendante et à une production entrepreneuriale.
C'est toujours excitant pour moi de voir quelqu'un comme Rectenwald se détacher du gauchisme monolithique oppressant du monde universitaire et défendre la logique occidentale de base. C'est un vrai régal d'entendre un vrai universitaire avec une solide compréhension de l'histoire et de l'idéologie articuler ce qui se passe dans notre culture.
Beaucoup d'entre nous commencent à comprendre à quel point notre culture a été en proie à une campagne de démoralisation, à une échelle et avec une granularité qui dépasse vraiment l'entendement.
RépondreSupprimerJ'ai personnellement été confronté à l'effet corrosif de mon ancienne vision du monde de gauche sur ma vie et je suis reconnaissant qu'au moins, je puisse le voir maintenant. C'est pourquoi je pense que c'est si important pour moi de partager à ce sujet.
Réimprimé avec la permission de l'auteur.
https://www.lewrockwell.com/2022/10/no_author/dr-michael-rectenwald-calls-out-the-subversive-elites-poisoning-institutions-globally/
L’Euthanasie des personnes en Maison de Retraite en 2020 !
RépondreSupprimer5 octobre 2022
Pendant la « Plandémie » les Gouverne-Ment on mis au point des Protocoles pour Euthanasier les « Bouches Inutiles Âgées » !
Pendant que vous « restiez à la maison pour protéger le NHS » (Système de Santé), votre gouvernement a tué des personnes âgées et vulnérables, puis a menti en vous disant qu’il s’agissait de décès dus au COVID !
Les documents prouvent qu’il a fallu des années de planification !
Alors que vous restiez chez vous et pensiez que vous protégiez le NHS, votre gouvernement prenait délibérément des décisions qui garantiraient que des milliers de personnes âgées et vulnérables subiraient des décès prématurés dans des maisons de soins.
Sans ces morts, vous auriez remis en question la logique de rester à la maison pour décimer l’économie et détruire des vies.
Ce que votre gouvernement a fait équivaut à un meurtre.
Mais ils l’ont couvert de mensonges selon lesquels ils étaient tous morts de Covid-19.
Désormais, des documents officiels qui devaient rester secrets ont été publiés en vertu de la loi sur la liberté d’information, et ils révèlent que l’euthanasie forcée des personnes âgées et vulnérables en réponse à une pandémie avait mis des années à être planifiée.
Dès que le verrouillage a été déclaré au Royaume-Uni le 23 mars 2020, les décès survenus dans les maisons de soins dans les semaines qui ont suivi ont explosé par rapport à ce qui s’était produit au cours des cinq années précédentes.
Vous avez été amené à croire que c’était à cause de Covid-19, mais les preuves montrent le contraire.
Les chiffres officiels fournis par l’Office for National Statistics (ONS) montrent que les maisons de soins ont enregistré une augmentation de 21% des décès toutes causes confondues en 2020, avec près de 25.000 décès de plus que prévu.
- voir graph sur site -
La source
Près de 19.000 de ces décès ont été étiquetés comme étant dus au Covid-19.
Mais à l’exclusion du coronavirus présumé, les autres décès dans les foyers de soins ont augmenté de 5% par rapport à la moyenne quinquennale.
Les chiffres de l’ONS ci-dessous montrent qu’au cours de la semaine se terminant le 17 avril 2020, 7.028 décès ont été enregistrés dans les maisons de soins, dont 2.438 étaient dus au Covid-19.
- téléchargez le document -
Mais avancez rapidement d’un an et comme le montrent les chiffres de l’ONS ci-dessous, la semaine se terminant le 16 avril 2021 a vu 1.640 décès enregistrés dans des maisons de soins, dont 51 seraient dus à Covid-19.
- téléchargez le document -
RépondreSupprimerLorsque nous supprimons les décès présumés de Covid-19 des chiffres de la semaine se terminant le 17 avril 2020, nous pouvons voir que 4.590 décès dus à toutes les autres causes sont survenus dans les maisons de soins.
Il s’agit d’une augmentation de 3.001 décès par rapport au nombre enregistré dans les maisons de retraite toutes causes confondues au cours de la même semaine de l’année suivante (semaine se terminant le 16 avril 2021).
Cette tendance est constante tout au long des 3 prochains mois de 2020 par rapport à la même période en 2021.
Mais pourquoi y a-t-il eu tant de décès dans les maisons de retraite dus à d’autres causes au plus fort de la prétendue première vague ?
La réponse est simple, le gouvernement et ses conseillers médicaux et scientifiques, et les chefs du NHS avaient un plan, et ce plan était de retirer les soins, de refuser le traitement et de mettre les personnes âgées et vulnérables sur le chemin de la fin de vie.
Une voie qui impliquait le retrait de tous les médicaments, de la nourriture et de l’eau, et l’administration d’un cocktail de midazolam (du Rivotril en France a été utilisé) et de morphine.
Une voie qui les a vus mourir à cause d’une surdose de médicaments aux côtés de la famine et de la déshydratation.
Plusieurs choses se sont produites au début de la prétendue pandémie, et elles étaient toutes planifiées des années à l’avance.
Le gouvernement a modifié la loi sous le couvert de la loi sur les coronavirus sur la certification des décès .
La loi sur les crémations a également changé
La loi sur l’indemnisation de l’activité des services de santé a également changé
La loi sur les visites aux proches dans les maisons de retraite a également changé.
Pendant que tout cela se passait, Matt Hancock (le secrétaire à la Santé à l’époque) et Chris Whitty (le médecin-chef) ont demandé aux hôpitaux de renvoyer autant de patients que possible dans des maisons de soins , l’endroit même où les proches des patients étaient désormais interdits de visite, l’endroit même où un médecin n’était pas tenu de se rendre pour certifier un décès, l’endroit même où les soignants ne pouvaient être tenus responsables d’un décès tant qu’il était simplement soupçonné d’être le Covid-19.
Ils ont également acheté un approvisionnement de deux ans d’un médicament appelé midazolam.
Une offre épuisée en octobre 2020.
Le midazolam est un médicament dont on peut douter qu’il soit utilisé dans les soins de fin de vie, et il a également été utilisé dans les soins de fin de vie pour le Covid-19 , malgré le fait qu’il provoque une dépression respiratoire et un arrêt respiratoire.
- voir graph sur site -
Le graphique ci-dessus montre le nombre total de prescriptions hors hôpital pour le midazolam et il montre également les décès excédentaires toutes causes confondues au Royaume-Uni de janvier 2020 à mars 2021.
RépondreSupprimerNous vous avons dit que pendant que vous restiez à la maison pour protéger le NHS, ils donnaient du midazolam aux personnes âgées et vulnérables, et vous disaient qu’il s’agissait de décès de Covid-19, le graphique ci-dessus montre certainement une forte corrélation, mais maintenant des documents sensibles et confidentiels qui le NHS ne voulait pas que quiconque voie prouver la causalité.
En 2016, le NHS a élaboré des plans pour retirer les soins hospitaliers aux résidents des maisons de retraite en cas de pandémie.
Les documents montrent qu’en cas de pandémie, les soins seraient priorisés en fonction du nombre d’années de vie perdues.
Cela signifiait qu’un adolescent qui souffrait d’appendicite se verrait offrir un lit à l’hôpital et être traité au besoin.
Cependant, les documents indiquent clairement que les personnes âgées se verraient refuser un traitement et seraient placées sur le chemin de la fin de vie.
Source – Page 13
Les documents soulignent également que l’estimation par le NHS des décès dans les maisons de soins en raison de leurs actions prévues en réponse à une pandémie était une sous-estimation massive de ce qui a été vu une fois qu’il a été mis en pratique en réponse à la prétendue pandémie de Covid-19.
Dans un résumé du document, le NHS déclare que pendant la durée d’une vague, il estime que 5.500 à 5.800 décès se produiront dans les maisons de soins.
- voir cadre sur site -
En réalité, il y a eu 2.000 décès de plus enregistrés en une seule semaine lors de la première vague présumée de Covid-19, que ce que le NHS s’attendait à se produire pendant l’intégralité d’une vague.
Les documents confidentiels montrent également que le NHS prévoyait de réduire les services en réponse à une pandémie et de ne maintenir que les services vitaux.
Cela signifiait qu’ils passeraient aux soins palliatifs et aux soins de fin de vie.
En 2017, le NHS a reconnu qu’il ne disposait pas de suffisamment de personnel qualifié pour fournir des soins de fin de vie, il a donc développé des modules de formation qui pourraient être rapidement déployés pendant une pandémie et formé du personnel « intéressé » entre-temps.
- voir cadre sur site -
Les documents confidentiels du NHS montrent clairement que les personnes âgées et vulnérables devaient se voir refuser un traitement et être placées sur le chemin de la fin de vie en réponse à une pandémie, et les preuves montrent clairement que cela a été mis en pratique.Les lits d’hôpitaux en avril 2020 étaient en baisse de 30% par rapport à l’année précédente.
La fréquentation des A&E a diminué de 57 % en avril 2020 par rapport à l’année précédente.
Les décès dans les foyers de soins ont augmenté de 205% en avril 2020 par rapport à avril 2019.
Trois décès présumés de Covid-19 sur cinq sont survenus chez des personnes souffrant de difficultés d’apprentissage et de handicaps ( voir ici ).
En ce qui concerne les décès de personnes ayant des difficultés d’apprentissage, l’ONS a déclaré que « l’effet le plus important était associé au fait de vivre dans une maison de soins ou un autre établissement communal. »
Avoir des difficultés d’apprentissage et être pris en charge ne signifie pas que vous êtes plus susceptible de mourir du Covid-19.
Plus tard, il s’est effondré sur le sol de la salle de bain et la maison de soins ont appelé l’ambulancier qui a établi qu’il n’avait aucune blessure et l’a remis au lit et a dit aux soignants de ne pas les rappeler pour tout symptôme lié à Covid car ils ne reviendraient pas.
RépondreSupprimerIl est mort une semaine plus tard.
Il n’a jamais été testé.
Aucun médecin n’est jamais venu à la maison de retraite.
Le médecin généraliste l’a évalué par téléphone.
Dans une situation identique pour une personne vivant à domicile plutôt qu’en maison de retraite, le conseil était « d’aller à l’hôpital ».
Le certificat de décès indique pneumonie et COVID, mais la pneumonie ne nous a jamais été mentionnée.
‘Un responsable d’une maison de retraite du Yorkshire a déclaré à Amnesty International :
En mars, j’ai essayé d’emmener [un résident] à l’hôpital.
L’ambulance avait engagé un médecin pour faire le triage, mais ils ont dit : « Eh bien, il est en fin de vie de toute façon, donc nous ne le ferons pas.
Il va renvoyer l’ambulance « …
Dans des circonstances normales, il serait allé à l’hôpital…
Je pense qu’il avait le droit d’être admis à l’hôpital.
Ce sont des personnes qui ont contribué à la société toute leur vie et qui se sont vu refuser le respect et la dignité que l’on accorderait à un homme de 42 ans; ils étaient [considérés] consommables. ‘
Le CQC a jugé nécessaire de publier une déclaration en août 2020 sur le problème des DNR inappropriés placés sur les résidents des foyers de soins sans en informer le résident ou sa famille –
« Il est d’une importance vitale que les personnes âgées et handicapées vivant dans des maisons de soins et dans la communauté puissent accéder aux soins et aux traitements hospitaliers pour COVID-19 et d’autres conditions lorsqu’elles en ont besoin pendant la pandémie…
Les prestataires doivent toujours travailler pour prévenir les dommages évitables ou la mort pour tous ceux dont ils s’occupent.
Les protocoles, les lignes directrices et les systèmes de tri doivent être fondés sur l’égalité d’accès aux soins et au traitement.
S’ils sont fondés sur l’hypothèse que certains groupes ont moins droit aux soins et au traitement que d’autres, cela serait discriminatoire.
Cela violerait également potentiellement les droits de l’homme, y compris le droit à la vie, même si l’on craignait que la capacité des hôpitaux ou des soins intensifs ne soit atteinte.
RépondreSupprimerCette déclaration a été publiée parce que le CQC a constaté que 34% des personnes travaillant dans le domaine de la santé et des services sociaux ont été contraintes de placer des ordonnances de « ne pas tenter de réanimation cardiorespiratoire (DNACPR) sur les patients Covid-19 qui souffraient de handicaps et de difficultés d’apprentissage, sans impliquer le patient ou leurs familles dans la décision. »
Les preuves suggèrent qu’en réalité, on vous a ordonné de rester à la maison, pour protéger le NHS, afin qu’il puisse mettre fin prématurément à la vie des personnes âgées et vulnérables et vous dire qu’il s’agissait de décès de Covid-19.
Les documents confidentiels finalement dévoilés par le NHS viennent de le prouver.
Partagé par The Exposé le 2 octobre 2022 :
https://expose-news.com/2022/10/02/your-government-killed-the-elderly-blamed-covid/
Source : Changera3
A noter que Profession-Gendarme a publié de nombreux articles sur l’euthanasie des « Bouches Inutiles Âgées », suivre ces liens :
https://www.profession-gendarme.com//?s=Rivotril
https://www.profession-gendarme.com/page/2/?s=Rivotril
https://www.profession-gendarme.com/leuthanasie-des-personnes-en-maison-de-retraite-en-2020/
Bronchiolite : le premier vaccin au monde injectable chez tous les bébés de moins d’un an autorisé
RépondreSupprimerUne avancée médicale sans précédent : le Français Sanofi annonce vendredi 16 septembre que l’Agence européenne du médicament vient de donner un premier feu vert à son vaccin contre la bronchiolite chez les nourrissons. Un précédent vaccin existait déjà mais il était réservé aux prématurés et aux bébés très à risque.
Solenne Le Hen
Radio France
le 16/09/2022 10:38
Le laboratoire français Sanofi a élaboré en partenariat avec le Suédo-Britannique AstraZeneca un vaccin contre la bronchiolite injectable chez tous les bébés de moins d’un an. Une première mondiale qui a reçu vendredi 16 septembre le feu vert de l’Agence européenne du médicament (EMA).
Les laboratoires étaient lancés dans une course de vitesse, une trentaine de projets similaires étant en cours dans le monde entier. Le vaccin injectable de Sanofi et AstraZeneca arrive donc en tête. Un enjeu énorme car chaque année, 500 000 bébés sont infectés en France par le virus respiratoire syncytial (VRS) responsable de la bronchiolite. L’épidémie l’an dernier a été sans précédent, et les hôpitaux débordés. Au niveau mondial, on déplore 60 000 décès de nourrissons par an.
Un anticorps plus qu'un vaccin
Plutôt qu’un vaccin, la solution injectable de Sanofi-AstraZeneca est un traitement préventif, un anticorps monoclonal qui va protéger les bébés de moins d’un an durant toute la période épidémique, c’est-à-dire l’automne et l’hiver. Il réduit les infections de 75%. L’idée c’est que les bébés n’ont pas encore un système de défense naturel très développé, donc on le remplace par cet anticorps. Un vaccin contre la bronchiolite existait déjà mais son efficacité était moindre et il était réservé uniquement aux prématurés et aux bébés très à risque. Là, ce sera pour tous les bébés de moins d’un an.
Malheureusement, le traitement ne sera pas disponible cet hiver car les délais sont trop justes, l’épidémie débutant en général à l’automne, d’ici quelques semaines. Et il faut maintenant plusieurs mois de procédures règlementaires, il n'y aura donc pas de mise sur le marché possible en Europe avant l’épidémie de l’an prochain.
Dernière précision : quand on parle de bronchiolite, on pense généralement aux enfants, aux nourrissons. Mais sachez que l’épidémie touche aussi sérieusement chaque année les personnes âgées. Ce nouveau traitement préventif ne leur est pas destiné. Mais de nombreux laboratoires pharmaceutiques sont en train d’élaborer justement des vaccins contre la bronchiolite spécifiques aux personnes âgées.
RépondreSupprimerhttps://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/bronchiolite-le-premier-vaccin-au-monde-injectable-chez-tous-les-bebes-de-moins-dun-an-autorise_5364172.html?fbclid=IwAR0EMAMG15lcdVABjDh-bFGBfU5qWudCkn-z2XArUTbGTnJ68hTOpkIUOKs
Voir le film des enfants piqués où qui ont reçu le poison de leurs parents:
SupprimerBÉBÉ PANDÉMIQUE Tous les yeux noirs, bébés à évolution accélérée - Dr Delgado & Dr Brunet (2022) Bébés aux yeux noirs
lundi 26 septembre 2022
https://huemaurice5.blogspot.com/2022/09/bebe-pandemique-tous-les-yeux-noirs.html
Des données précédemment cachées du CDC montrent que 7,7% des 10 millions de personnes avaient besoin de soins médicaux après la vaccination
RépondreSupprimerPar Jo Nova
October 6th, 2022
Un groupe dédié appelé ICAN a finalement obtenu les données du CDC pour v-safe, l'application pour smartphone qui a permis à 10 millions d'utilisateurs enregistrés de signaler des effets secondaires après avoir reçu un vaccin Covid.
Il y a plusieurs choses à considérer à propos de la publication forcée tardive des données v-safe américaines :
Que si nos ministères de la santé voulaient réellement savoir si un vaccin est sûr, ce serait facile.
Si les données montraient à quel point les vaccins étaient bons, il n'aurait pas fallu deux procès et 463 jours pour l'obtenir du CDC. Pourquoi a-t-il fallu un seul procès ? Cacher ces données blesse les gens.
Sur les dix millions de personnes inscrites au registre VSafe, près de 1 personne sur 12 devait consulter un médecin après avoir été vaccinée. Wow, juste wow. Quel signe.
Pourquoi le CDC n'a-t-il pas arrêté les 'vaccins' ?
«Parmi de nombreux résultats alarmants, sur les quelque 10 millions de personnes qui se sont enregistrées et ont soumis des données à v-safe, 782 913 personnes, soit plus de 7,7% des utilisateurs de v-safe, ont eu un problème de santé nécessitant des soins médicaux, une intervention en salle d'urgence et / ou une hospitalisation. Plus de 25 % ont eu un événement qui les a obligés à manquer l'école ou le travail et/ou a empêché leurs activités normales. » - JE PEUX
- voir clip sur site -
Des centaines de milliers d'Américains ont demandé des soins médicaux après la vaccination contre le COVID-19 : données du CDC
Zachary Steiber, Epoch Times
«Il a fallu de nombreuses demandes légales, des appels et deux poursuites judiciaires, et plus d'un an, mais le CDC a finalement capitulé et accepté une ordonnance du tribunal les obligeant à faire ce qu'ils auraient dû faire dès le premier jour, à divulguer les données V-safe au public », a déclaré Aaron Siri, un avocat représentant l'ICAN dans l'affaire, à Epoch Times dans un e-mail.
Environ 10 millions de personnes ont utilisé V-safe pendant la période couverte par les données : du 14 décembre 2020 au 31 juillet 2022. Environ 231 millions d'Américains ont reçu au moins une dose de vaccin pendant cette période.
Les utilisateurs de V-safe ont signalé environ 71 millions de symptômes… Environ 4,2 millions de symptômes étaient de gravité grave.
RépondreSupprimerL'ICAN vient tout juste de commencer à analyser ces données. Ils invitent les gens à "faire vos propres recherches": les données sont volumineuses (l'un des fichiers, à lui seul, dépasse 23 gigaoctets) et ICAN a donc travaillé avec diligence et 24 heures sur 24 pour les mettre dans un format convivial pour que vous puissiez les examiner , ce que vous pouvez faire ici.
https://joannenova.com.au/2022/10/new-cdc-data-shows-7-7-of-10-million-people-needed-medical-care-after-vaccination/
10 000 mystérieux décès excessifs en Australie dont personne ne veut parler
RépondreSupprimerOctober 5th, 2022
Vous pensez que ce serait une grande nouvelle? Les décès en Australie sont beaucoup plus élevés que prévu. Après avoir coché comme un métronome pendant des années, ils ont soudainement bondi de 12 % ou même plus. C'est au-delà des décès normaux et des décès répertoriés comme "Covid". Quelque chose de mystérieux ou de nouveau a tué environ 10 000 Australiens au cours du premier semestre de cette année ces douze derniers mois*. C'est huit fois pire que le péage routier national, mais ce phénomène a à peine été mentionné dans nos reportages.
Quand un accident de voiture tue trois personnes, on en entend parler au journal de 18 heures. Mais quand 10 000 perdent la vie… des grillons.
L'intérêt total des médias pour ce tueur mystérieux s'élève à trois mentions tangentielles sur 100 médias. L'un d'eux, dans l'Australian Financial Review, a qualifié cela de changement "marqué" et a "utilement" déclaré que ce n'était pas dû au suicide. Le Guardian, quant à lui, s'est demandé si Covid tuait vraiment plus de personnes que nous ne le pensons. Le troisième, NewsGP pour les médecins, était la seule discussion sérieuse, mais même ce n'était que des questions et pas de réponses. Le mot vaccin n'a été mentionné que pour que nous sachions que des analystes anonymes pensent que "l'influence probable des décès liés au vaccin... est" négligeable ". Non pas qu'ils aient des raisons.
Les actuaires australiens estiment que l'augmentation des décès au cours des cinq premiers mois de l'année était de 12% supérieure aux prévisions. Ce sont les plus conservateurs. Le Bureau australien des statistiques (ABS) calcule cependant que jusqu'à présent, au premier semestre 2022, il y a eu quelque 13 500 décès de plus que la moyenne historique. S'ils sont corrects, ce serait 17% au-dessus de la normale.
Parmi les décès excédentaires, 5 292 étaient des décès positifs à Covid, dont beaucoup au plus fort de la première grande vague de Covid généralisée en Australie en janvier 2022. Mais vers septembre de l'année dernière, il y a eu une forte augmentation des décès inattendus qui ne sont pas officiellement dus à Covid . Ce groupe (marqué en jaune) était bien au-dessus de la fourchette normale attendue et est resté plus élevé depuis.
*MISE À JOUR : Pour clarifier, sur les 10 300 décès excédentaires de janvier à juin, environ 5 300 étaient dus à Covid. Il y a donc eu 5 000 morts mystérieuses inexpliquées, soit 830 Australiens qui meurent chaque mois (selon l'estimation la plus conservatrice des actuaires, et plus dans les chiffres de l'ABS). Au cours des douze derniers mois, cela représente 10 000 personnes. Évidemment, les chiffres ne peuvent être confirmés avant quelques mois.
ABS, Surmortalité, Covid, 2022, statistiques. Australie.
Une mystérieuse augmentation des décès s'est produite à partir de septembre 2021 et se poursuit jusqu'aux derniers chiffres.
Les doses maximales de vaccins en Australie ont eu lieu d'août à octobre en 2021. L'absence de décès à l'hiver 2021 était en grande partie due au fait que les frontières étaient fermées et qu'il n'y avait pas de grippe.
- voir graph sur site -
Les chiffres pour 2022 sont extraordinaires
Ci-dessous, Actuaries Australia trace les décès enregistrés jusqu'à présent en 2022 par rapport aux années précédentes.
- voir graph sur site -
Décès excédentaires Australie
Les décès excessifs par Actuaries Australia étaient de 12 % plus élevés que prévu (de janvier à mai de cette année).
La ligne grise est ce à quoi ils se seraient attendus en 2022. La ligne bleue est ce que l'ABS estime que les décès auraient dû être en 2022. L'ABS fait la moyenne d'une base de référence de cinq ans avant le début de la pandémie. Les actuaires incluent certains chiffres de la pandémie et permettent à notre population de vieillir un peu, ce qui ferait légèrement augmenter les décès chaque année.
Les actuaires expliquent les raisons pour lesquelles leur estimation des décès excédentaires était inférieure à l'ABS :
RépondreSupprimerNous avons tenu compte dans notre estimation des décès enregistrés tardivement alors que l'ABS ne le fait pas. Cela permet de sous-estimer le nombre « réel » de décès utilisé par l'ABS, sous-estimant ainsi la mesure des décès excédentaires d'environ 2 %.
Cependant, la différence la plus significative réside dans la détermination du niveau de référence, où l'ABS utilise une moyenne simple du nombre de décès de 2017, 2018, 2019 et 2021, sans tenir compte des tendances de la mortalité ou des changements démographiques. À notre avis, cela sous-estime la valeur de référence et surestime donc la mesure des décès excédentaires d'environ 6 %.
Ces deux impacts fonctionnent dans des directions opposées, ce qui entraîne une différence dans les estimations des décès excédentaires d'environ 4 %.
Les causes de la surmortalité :
Actuaries Australia déclare essentiellement que la plupart des décès excédentaires sont probablement dus à des risques persistants plus longs après une infection à Covid. Une partie de l'excédent peut être un «rebond» de la réduction des décès causés en 2020 lorsque la grippe a disparu. (Mais pourquoi ce «rebond» a-t-il attendu jusqu'en septembre 2021 pour commencer?) Une partie de l'excès pourrait être due au fait que les médecins, les hôpitaux et les services d'urgence étaient débordés et que les gens n'ont pas été examinés. Mais ce n'était certainement pas dû aux vaccins car, attendez, l'Australie a un bon processus d'approbation des vaccins. (Oui, nous signons des contrats secrets et utilisons des données secrètes. Comment quelqu'un pourrait-il être en désaccord ?)
Étonnamment, ils citent même le rapport australien sur la sécurité des vaccins qui comprend 931 décès signalés après la vaccination. Cela représente près de 10% du décompte des décès mystérieux, et s'il était sous-déclaré de 10 à 1 (comme c'est le cas au Royaume-Uni - voir la référence 39/40 dans l'article de Malhotra), le véritable décompte pourrait facilement être presque tous les morts mystérieuses. Au lieu de cela, les actuaires sont à l'aise d'ignorer 918 de ces 931 décès signalés. Seuls 13 décès ont été « causés » par un vaccin. Incroyable le pouvoir des bureaucrates sans visage de supprimer tous ces gens. Annulé, même après la mort.
Pour mémoire, voici une partie de la discussion des actuaires :
Qu'est-ce qui pourrait causer les décès de Covid ?
1. Séquelles post-COVID-19 ou interactions avec d'autres causes de décès : impact possible en Australie : élevé
Une maladie COVID-19 antérieure pourrait entraîner une maladie et un décès ultérieurs, et/ou COVID-19 pourrait avoir aggravé d'autres maladies qui ont finalement causé la mort. Des études ont montré que le COVID-19 est associé à un risque de mortalité ultérieur plus élevé dû aux maladies cardiaques et à d'autres causes. Dans une certaine mesure, cela apparaît sur les certificats de décès dans les 999 décès au cours des quatre premiers mois de 2022 où COVID-19 est répertorié comme cause contributive, et 77 autres décès ont été identifiés comme étant dus à Long COVID. Cependant, nous comprenons que la science médicale n'a pas encore établi de lien de causalité qui permettrait, par exemple, qu'une crise cardiaque plusieurs mois après une infection au COVID-19 soit attribuée au COVID-19. En tant que tel, il semble probable qu'il y aurait plus de ces décès que ceux identifiés.
2. Décès différés dus à d'autres causes : modéré
3. Retard dans les soins d'urgence : faible à modéré
4. Retard dans les soins de routine : faible à modéré
5. Changements de style de vie influencés par la pandémie : faible
6. Décès liés au vaccin :
Bien qu'il y ait eu des décès en Australie causés par l'administration de vaccins COVID-19, le nombre de ces décès a été faible. L'Australie a de très bons processus d'approbation et de surveillance de la sécurité des vaccins, administrés par la Therapeutic Goods Administration. Le dernier rapport sur la sécurité des vaccins (au 25 août) montre que 136 000 événements indésirables ont été signalés pour 63 millions de vaccins administrés (soit un taux de 0,2 % par vaccin administré). Parmi ces événements indésirables, 931 étaient des rapports de décès après la vaccination. Parmi ces décès, 13 se sont avérés avoir été causés par l'administration du vaccin, et tous faisaient suite à une première dose d'AstraZeneca, qui est maintenant d'un usage limité en Australie.
RépondreSupprimerImpact possible en Australie : Négligeable
7. COVID-19 non diagnostiqué : impact possible en Australie : négligeable
Si les actuaires étaient vraiment intéressés à savoir si les vaccins ou les séquelles tardives de Covid étaient le problème, ils pourraient disséquer les données au niveau de l'État. Il y a eu une expérience idéale en Australie où au moins un État (WA) n'a eu pratiquement aucun cas de covid pendant toute l'année 2021, mais les vaccinations étaient en cours. Là, nous pourrions sûrement comparer les morts mystérieuses en excès avec, disons, NSW, et voir s'il s'agissait du virus ou des vaccins…
___________
* Les 10 000 décès dans le titre commencent par l'estimation prudente de 8 500 des actuaires de janvier à mai et la multiplient par 6/5 pour en faire une estimation sur six mois. La MISE À JOUR au milieu du message précise que la moitié de ces décès étaient liés à Covid, de sorte que les 10 000 décès mystérieux s'appliquent aux 12 derniers mois. (2h du matin WST le 6 octobre.)
Notre monde en données : " Naissances et décès en Australie
Aseem Malhotra, (2022) Guérir la pandémie de désinformation sur les vaccins à ARNm COVID-19 grâce à une médecine factuelle réelle - Partie 1, Journal of Insulin Resistance, ISSN: (En ligne) 2519-7533, (Imprimé) 2412-2785
https://joannenova.com.au/2022/10/10000-mysterious-excess-deaths-in-australia-that-no-one-wants-to-talk-about/
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