- ENTREE de SECOURS -



jeudi 6 octobre 2022

Énergies renouvelables : coûteuses et inutiles

 

Les énergies renouvelables ont des caractéristiques qui les rendent difficilement utilisables sur un réseau électrique interconnecté de haute densité.



Michel Negynas

 le 6 octobre 2022


La presque totalité de ce qu’on nomme « énergies renouvelables » sont intermittentes et subies. L’éolien et le solaire dépendent de la météo, l’hydraulique au fil de l’eau dépend du débit des fleuves, les hydroliennes des courants et des marées. On dit qu’elles ne sont pas pilotables à la demande comme le sont les centrales thermiques, nucléaires ou à combustibles fossiles. Mais elles ont d’autres caractéristiques qui les rendent difficilement utilisables sur un réseau électrique interconnecté de haute densité.

L’intermittence 

Contrairement à une idée reçue, nous avons des épisodes sans vent et sans soleil plusieurs fois par an sur l’ensemble du territoire européen, même en hiver. Au mois de janvier de cette année, c’est arrivé trois fois. On peut même dire que pendant 15 jours de janvier, l’activité éolienne et solaire a été très faible. Chacun peut le constater sur les sites dédiés des différents pays européens (eCO2mix en France, Energycharts.de en Allemagne par exemple).

Si, dans la plupart des cas, on peut le prévoir quelques jours par avance, à l’échelle de l’année voire de la décennie, c’est aléatoire. Comme l’électricité ne se stocke pas, et que les moyens de conversion de l’énergie électrique en vue de stockage ne seront jamais à hauteur des besoins (rappelons que la pointe de puissance appelée historique de la France et l’Allemagne réunies est de l’ordre de 180 millions de  kW), dans une planification à long terme, l’apport des énergies renouvelables à la pointe de consommation compte pour zéro. Une accélération de la construction d’éoliennes et de panneaux  solaires ne change donc rien à notre situation actuelle de risques de black out. 

Le coût environnemental

Un des critères qui permet d’évaluer le coût environnemental de production de l’énergie est la densité énergétique. En effet, elle détermine les surfaces géographiques et les ressources utilisées pour produire une unité d’énergie.

On observe qu’il y a un facteur 4 de densité d’énergie entre centrales thermiques et l’éolien/solaire.

Pour prendre l’exemple de l’éolien, la puissance appelée en pointe citée ci-dessus, 180 000 MW, nécessite 60 000 éoliennes ou 112 EPR.  Mais les 112 EPR peuvent produire 4 fois plus d’énergie du fait de l’intermittence des éoliennes, et pendant 60 ans au lieu de 20 ans (durées de vie contractuelles). On coulera 100 millions de tonnes de béton pour les EPR, et 360 millions de tonnes pour les 3 générations d’éoliennes, mais en produisant potentiellement quatre fois moins d’énergie.

C’est pour cette raison que lorsqu’on calcule l’empreinte carbone des différents modes de production d’électricité qui émettent peu à la production on trouve (Chiffre de L’Ademe) :

14 grammes de gaz carbonique par kWh pour l’éolien,

44 grammes pour les panneaux solaires,

6 grammes pour le nucléaire.

Cela reflète les impacts environnementaux à l’investissement.

Mais il y a pire. En effet, les fluctuations des énergies renouvelables à très court terme (de l’ordre d’une heure) sont parfois très brutales. C’est évident pour le solaire, qui monte en puissance de zéro à son maximum en 6 heures, et redescend aussi vite. Mais c’est vrai aussi pour les éoliennes car le vent souffle généralement en rafales. Il faut donc des moyens pilotables suffisamment souples, rapides et locaux pour ajuster l’offre et la demande. Au-delà de 20 % de part d’énergies intermittentes dans un réseau, il faut des outils dédiés pour pallier ces fluctuations. L’hydraulique ne suffit pas. Seules des centrales à gaz peuvent le faire. Plus on installe d’éoliennes et de panneaux solaires, plus c’est nécessaire.

Ce phénomène a bien été compris par les fournisseurs de gaz, qui sont les premiers militants lobbyistes pour les énergies renouvelables, et même poussent à fermer des centrales nucléaires. En fait, pour connaître la vraie empreinte carbone des énergies renouvelables, il faudrait leur associer les émissions de centrales à gaz dédiées à leur variabilité. Or, ces centrales, auxquelles sont imposées une marche chaotique, ont un très mauvais rendement (au moins la moitié du rendement nominal !)

Une aberration économique

Sur un marché libre, les énergies intermittentes sont intrinsèquement non rentables. En effet, dès que la capacité installée est supérieure à la demande, lorsqu’il y a du vent et du soleil, tout le monde produit en même temps, conduisant à un prix proche de zéro. Comme en plus ce n’est pas simple d’interrompre la production des éoliennes et des panneaux solaires, car c’est une production diffuse, on a souvent intérêt à vendre à prix négatif !

Inversement, sans vent et sans soleil, les prix montent… mais personne ne produit.

En fait, en même temps que l’Europe prône une libéralisation du marché de l’électricité, elle impose un marché complètement artificiel qui ne fait que perturber le marché libre. Elle le fait soit par des subventions directes, soit par des conditions de marché qui imposent de fait d’appeler en premier les productions des énergies renouvelables au détriment des autres moyens de production. Or, on a vu que ces moyens là, pilotables, sont indispensables pour la sécurité du réseau. Ils produisent donc moins que ce qu’ils devraient, et sont moins rentables. C’est peut-être là le plus grave, car cela conduit de facto à ce que les investisseurs se désintéressent des moyens indispensables pour se tourner vers les moyens subventionnés.

Le système conduit donc intrinsèquement au black out.

Enfin, l’autre aberration économique est que l’investissement en énergie intermittente ne délivre sa puissance nominale que 25 % de son temps pour l’éolien on shore, 35 % pour l’off shore et 15% pour le solaire : toute utilisation en aval de ces producteurs ne sera donc, elle aussi, utilisée que partiellement, et mal rentabilisée. C’est vrai pour tout les réseaux électriques de liaison, mais aussi pour des applications telles que la production d’hydrogène, car il sera bien moins coûteux d’alimenter des électrolyseurs avec le taux de marche du nucléaire que de l’éolien !

Alors, à quoi servent les énergies renouvelables ?

À cette question, les institutions répondent : « À avoir une deuxième filière en cas de risque systémique sur la filière nucléaire. » Étant donné que cette filière est aléatoire, on ne voit pas bien ce qu’elle peut secourir.

En réalité, les énergies renouvelables ne servent à rien si on a du nucléaire et un peu d’hydraulique.

https://www.contrepoints.org/2022/10/06/440022-energies-renouvelables-couteuses-et-inutiles

60 commentaires:

  1. Rappel que pour être vendeur sont annoncés des pics ! (mais ces 'pics' n'y sont pas tout le temps !).
    De plus, le premier tiers de l'électricité produite sert à pousser l'énergie sur les câbles (comme le ferait un moteur-pompe pour pousser les kilo d'eau dans un tuyau). Le deuxième tiers de l'électricité produite, lui, il se perd en cours de route ! (Ne jamais s'approcher de lignes à hautes tensions). Et, le troisième tiers lui, il arrive chez le consommateurs.
    Donc: toujours diviser par trois le succès annoncé !

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  2. Coup de tonnerre : une revue scientifique européenne confirme la hausse des cas de myocardite liés au vaccin Covid


    By Cheikh Dieng
    6 octobre 2022


    Une étude scientifique consultée par Lecourrier-du-soir.com et menée par la revue scientifique ACP (Asmospherics Chemistry and Physics) confirme que de plus en plus d’adolescents souffrent de myocardite et de pércardite après avoir pris une dose de vaccin

    Les effets secondaires du vaccin, l’autre talon d’Achilles qui tracasse les laboratoires. En tout cas, en pleine résurgence des cas de Covid, des risques de myocardite et de péricardite liés au vaccin sont confirmés par des scientifiques qui ont mené des études sérieuses sur la question.

    Et la dernière en date a été relayée ce 04 octobre par le média InsidePrecisionMedecine.com, média spécialisé en médecine. En effet, d’après cette source qui cite une étude de ACP Journals (revue scientifique à comité de lecture publiée par l’Union Européenne), le risque de myocardite a connu une hausse avec le nombre de doses reçues. Les hommes ont été les plus affectés par cet incident.

    Dans son travail d’investigation, Lecourrier-du-soir.com a pu consulter l’étude en question pour en savoir un peu plus. Ainsi, les chercheurs nous apprennent qu’entre le 14 décembre 2020 et 31 mai 2022, 320 cas potentiels de myocardite et de péricardite ont été notés après l’administration de 6 992 340 doses de vaccin.

    L’étude ajoute que 224 cas ont été confirmés et les 137 ont eu lieu entre 0 et 7 jours après la vaccination. 18 cas ont été confirmés après la première dose et 119 cas après la seconde dose. Les scientifiques ayant mené l’étude nous ont aussi appris que les incidents s’étant produits entre 0 et 7 jours ont été particulièrement élevés chez les hommes et les adolescents âgés entre 12 et 15 ans et 16 et 17 ans ont été les plus exposés.

    Les doses de rappel n’ont pas été épargnés. Car, à en croire les chercheurs, entre le 24 septembre 2021 et le 20 août 2022, 101 cas potentiels de myocardite et péricardite ont été identifiés 1 à 98 jours après l’administration de 1 848 723 premières doses de rappel. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes : 77 cas ont été confirmés 4,5 jours après la vaccination, 39 cas ont été confirmés lors de la première semaine et 38 cas ont été confirmés 13 semaines plus tard.

    Les scientifiques ayant mené l’étude ont tout de même tenu à préciser que ces quelques incidents ne remettent en aucun cas l’efficacité du vaccin ainsi que ses bénéfices dans la lutte contre le Covid

    Pour consulter l’étude dans sa version originale, cliquez ici : ACP Journals :

    https://www.acpjournals.org/doi/10.7326/M22-2274

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-tonnerre-une-etude-scientifique-europeenne-confirme-la-hausse-des-cas-de-myocardite-lies-au-vaccin-covid/

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  3. La Suisse perd sa Démocratie !!

    CORONAVIRUS: Berne recommande le masque dans les intérieurs très fréquentés
    Avec la vague automnale, chacun est appelé à prendre ses responsabilités dans les transports publics ou magasins.


    6 octobre 2022, 14:23
    par Renaud Michiels


    Alors que la vague automnale se confirme, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) a communiqué ce jeudi sur la nouvelle campagne de vaccination contre le Covid, qui débute le 10 octobre partout en Suisse. Mais l’OFSP en a également profité pour glisser une recommandation de port du masque dans les situations les plus propices aux contaminations.

    «Parallèlement à la vaccination, le comportement individuel est aussi important pour se protéger et protéger les autres. À l’intérieur, où de nombreuses personnes issues de différents ménages se rassemblent, il est recommandé de porter un masque, d’aérer régulièrement, de tousser et d’éternuer en se couvrant la bouche et le nez, et de se laver les mains régulièrement et soigneusement», peut-on lire.

    Outre de grands rassemblements en intérieur, doit-on comprendre que Berne recommande le masque dans les trains, bus ou commerces s’ils sont très fréquentés ? «Les endroits où un masque pourrait être porté sont sans doute effectivement les transports publics ou les magasins», nous confirme Simon Ming, porte-parole de l’OFSP. Et de préciser qu’il s’agit de «conseils d’hygiène et de comportement» qui n’ont évidemment rien d’obligatoire. Mais que «suite à la levée des mesures, la responsabilité individuelle gagne en importance».

    «Nette augmentation» des cas
    Si les hospitalisations en soins intensifs et les décès restent «à un niveau très bas», l’OFSP note que le nombre d’infections au coronavirus est actuellement en «nette augmentation» et que cette hausse devrait se poursuivre.

    Dans ce cadre, certains spécialistes se sont aussi prononcés pour un retour du masque dans certaines situations. «Si vous voulez vous protéger, il est logique de porter à nouveau un masque dans les transports en commun ou dans d’autres lieux très fréquentés», a commenté dans «Blick» l’infectiologue zurichois Huldrych Günthard. L’épidémiologiste bâlois Marcel Tanner a émis le même avis tandis qu’Andreas Cerny, infectiologue à Lugano, se dit même pour le retour du masque obligatoire dans les transports publics et hôpitaux.

    Quoi qu’il en soit on en reste pour l’instant à une recommandation, et à chacun de se positionner.

    https://www.lematin.ch/story/berne-recommande-le-masque-dans-les-interieurs-tres-frequentes-978458501420

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    1. Alors qu'aujourd'hui tout le monde sait (même les suisses !) qu'IL N'EXISTE PAS de masques anti-virus ou anti-microbes, l'OFSP (sorte de 'GIEC' européen), qui ne compte AUCUN scientifique cherche à terroriser le Peuple !

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  4. Le monde de la santé est malade

    Le monde de la santé en France est désormais mis à mal par de nombreux problèmes.


    Denis Dupuy
    le 6 octobre 2022


    J’ai le souvenir d’avoir échangé, sur LinkedIn, avec un confrère. C’était en 2021 et un directeur m’avait confié ses craintes, quant au recrutement de personnel soignant. J’annonçais dans mon post les 15 000 démissions à venir, sujet encore peu traité par la presse et le confrère me qualifiait de complotiste, d’extrême machin bidulosceptique… Bref, ces anathèmes en vogue chez les ados des forums… Je me souviens qu’il était réanimateur urgentiste dans l’est de la France. J’ai cherché, depuis, dans mon historique mais impossible de déterminer s’il s’agissait bien de notre ministre. Point de calomnie, en l’absence de preuve mais l’hypothèse d’un ministre pareillement déconnecté serait-elle crédible ?

    Un directeur de clinique, ayant intégré le ministère de la Santé, la fameuse rue de Ségur, dernier choix des énarques qui se rêvent inspecteurs des finances, a assisté à cette scène singulière. Deux hauts personnages échangeaient, deux technocrates qui s’étonnaient que l’Assurance maladie verse des millions à des groupes de santé étrangers. Ces deux prodiges, supposés guider la stratégie, ignoraient jusqu’à l’écologie de notre système de santé.

    Quand j’ai débuté mes études, en 1984, le système français trônait au sommet des classements et le citoyen français gagnait l’équivalent de son homologue suisse. Aujourd’hui, nous sommes au-delà de la dixième place et une infirmière suisse peut être rémunérée à hauteur de 4000 euros quand une française plafonne des années au SMIC.

    Des évolutions du milieu de la santé

    Le constat est alarmant mais dans ce pays n’est-ce pas la routine dans les domaines de la justice, la police, l’armée et la santé ?

    Contrairement aux affirmations de mon confrère, les démissions ont été massives. La durée de vie professionnelle d’une infirmière est passée de 7 à 5 ans. Dans notre établissement, nous tenons chaque semaine des réunions de crise afin de déterminer si nous disposons de l’effectif nécessaire pour opérer et soigner. Récemment, j’écoutais, amusé, une amie de ma fille, que j’ai connue adolescente. Elle est aujourd’hui infirmière et, à 26 ans, elle a décidé de devenir mixologue. Si j’ai appris, à cette occasion, le nom de baptême de ce précieux métier, je n’ai rien découvert concernant les démissions.

    L’état d’esprit de notre jeunesse, sujet hautement sensible, a également évolué. Les infirmières le répètent, certaines, en tout cas : elles ne sont pas des bonnes sœurs. Soit, mais un dimanche récent, l’une d’elles, intérimaire supposée assurer la garde, ne s’est pas présentée et son téléphone est resté sur répondeur. Personne dans le service : je n’avais jamais vécu cela. La surveillante a dû se coltiner les soins et oublier l’organisation des blocs en urgence, reléguant la tâche à ceux qui restaient.

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  5. Durant la covid je me suis accroché avec une collègue réanimatrice hospitalière. Elle me reprochait mon manque d’empathie vis-à-vis des collègues. Mère célibataire, elle ne pouvait être à l’heure pour aller chercher sa gamine à l’école maternelle. Toute la communauté des confrères y allait de ses j’aime ou de sa furie, me clouant au pilori pour avoir fait remarquer que mon empathie allait aux 15 patients en train de mourir dans son service. Une paille… La féminisation, si elle n’est évidemment pas contestable, apporte ses spécificités, ne serait-ce que par le biais des grossesses. Plus de la moitié de l’effectif est constituée de femmes. Si leurs revendications sont légitimes et leur liberté absolue, lesdites spécificités influent sur l’organisation du système de santé. Un grenelle va-t-il faire évoluer l’état d’esprit de ceux à qui on rappelle, depuis la maternelle, qu’ils ont tous les droits, y compris celui de changer de sexe mais relativement peu de devoir en contrepartie ? Pas certain.

    Le poids de la technocratie

    Évidemment, autre problématique, l’administration française ou plutôt la myriade d’administrations et de fonctionnaires que je serais bien en peine de citer sont supposées tracer la route et les fameuses ARS en sont l’étendard. Dans les années 1980 les urgences étaient le plus souvent assumées par les confrères généralistes. La haute fonction publique a pris la situation en main. On a commencé par dégommer les mandarins, tyrans des services… Eux, au moins, connaissaient la médecine. On a imposé ces technocrates méprisants, à l’occasion issus de la grande distribution et ils n’ont eu de cesse de rappeler qu’ils détenaient autorité. L’heure de la vengeance des rageux et des esclaves du ressentiment sonnait. Ah, la lutte des classes. Certes, les mandarins étaient parfois mauvais gestionnaires. Ils restaient sur l’élan des sweet sixties et de l’argent facile.

    L’idéal eut été de combiner gestion scrupuleuse et maîtrise médicale mais non…

    En France, le technocrate est l’envoyé du seigneur. Les hôpitaux ont eu droit à leur gestion façon supérette, tout comme les établissements privés non patrimoniaux, soit l’essentiel. Vous vous souvenez, ces fonds de pension étrangers que découvraient nos technocrates quinze ans après la bataille… Nos prodiges de fonctionnaires ont décrété dans les années 1990 que les urgences relevaient de l’hôpital public. Aujourd’hui vous pouvez apprécier les effets concrets de leurs choix calamiteux. La ministre Touraine a voulu imposer une organisation identique concernant la cancérologie, alors que les confrères du public ne le souhaitent nullement. Nous verrons, mais je n’ose imaginer les conséquences. Le privé assume plus de la moitié de la cancérologie.

    Hélas, autre problématique fondamentale, le pays s’enfonce dans la dette.

    L’équipe du président actuel a dépensé, tenez-vous bien, 424 milliards d’euros pour la covid. Aucun mandarin n’aurait osé se lâcher ainsi. Je pense qu’un médecin aussi incompétent que le président serait privé de patientèle. Mais lui a été réélu. 230 000 entreprises maintenues artificiellement sous perfusion d’argent public, soit notre argent, devront être liquidées, avant que ne suivent les victimes de la politique énergétique. Pas d’argent, pas de santé, évidemment. Le fameux Grenelle va peut-être nous inventer des milliards… Ils serviront à payer davantage d’agents, de commissions, d’administrations…

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  6. Sincèrement, je suis inquiet, non comme professionnel de santé, mais en tant que futur patient, car nous le serons tous un jour.

    J’espère que la crise covid a démontré combien l’administration était incompétente en médecine. On attendait l’intendance, que l’on n’a jamais eue, et le pouvoir est tombé dans tous les pièges qu’un étudiant en médecine apprend à éviter. Mais quant à l’intendance… L’administration a parfois suivi des confrères qui avançaient au jugé, puisque ne disposant d’aucune publication. Elle a également prétexté agir selon les recommandations que ces confrères n’avaient jamais approuvées. Bref, un chaos, une population démoralisée, des pathologies sévères négligées et les cancers historiques qui pleuvent, aujourd’hui, le tout pour une addition de 424 milliards d’euros. En répartissant intelligemment les rôles, l’État à l’intendance et les médecins au front et à la manœuvre, on aurait peut-être fait mieux. Trop tard…

    Une fois encore, le privé a réagi plus efficacement que le pataud État, proposant tests, immunoglobulines, vaccins… Ces derniers sont décevants mais l’épidémie s’achève et voilà l’essentiel. Comme annoncé depuis deux à trois ans, comme toutes les autres, l’épidémie a duré deux à trois ans, faisant un nombre de victimes proche de celles de 1957 et 1969 aujourd’hui oubliées.

    Le fantasme BigPharma

    Je profite de cette tribune pour glisser deux mots au sujet du monstrueux BigPharma.

    Sachez que les dirigeants français réputés pour leur intégrité ont depuis lurette coupé les ponts pourtant essentiels entre médecins et industries pharmaceutique. Aucun contact entre le fabricant de la chimiothérapie et le prescripteur : elle est là, leur idée de génie ? Les célèbres congrès à Tahiti relèvent du fantasme, et pas d’hier. Nous les praticiens de base n’avons droit à rien venant d’un labo, ni post-it, ni stylo en plastique. Si je me rends au congrès français d’urologie aux frais d’un labo, ce que je fais rarement, ma femme n’a pas le droit de prendre le même avion ou de passer une nuit dans la chambre d’un hôtel alors que nous acquittons ses frais, bien évidemment.

    Chaque collaboration avec un labo est signalée à l’Ordre. Les universitaires hospitaliers, supposés vendus à BigPharma, sont effectivement parfois rémunérés pour des études à hauteur de quelques milliers d’euros. Les résultats ne sont aucunement bidouillés pour faire plaisir et les comités d’éthique veillent. Pensez-vous que pour de telles sommes ou un voyage à l’étranger, ces professeurs universitaires mettraient en péril une réputation professionnelle qu’ils ont mis des années à bâtir ? Et, enfin, comment vous soigneriez-vous sans les laboratoires médicaux ? Avec la recherche publique qui ne produit rien ?

    Certes, les dirigeants des labos ne sont pas des philanthropes mais l’êtes-vous dans votre activité ?

    J’ai le souvenir de visiteuses en larmes, dans les années 1990-2000, alors qu’elles avaient perdu leur job. Des milliers d’emplois avaient été supprimés sous les applaudissements de la presse et des citoyens… Était-ce vraiment mérité ? Si, poussé par quelques illuminés, on en fait de même avec les salariés de l’automobile ou l’aéronautique, vous réjouirez-vous tout autant ? Moi pas…

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  7. Ne faites pas ce métier pour l’argent

    Les médecins, enfin… Le numerus clausus revient souvent, dans les commentaires : il a été supprimé après 1968 et on a dû inventer le MICA, afin de faire partir plus rapidement à la retraite les dizaines de médecins smicards. Je suis libéral. Je crois en une régulation issue des sociétés savantes et de la société civile. J’ai participé à une émission sur le burn-out des médecins, 50 victimes par an. Une jeune femme qui avait abandonné la chirurgie en onzième année, le disait : ne faites pas ce métier pour l’argent ou le prestige ou ça finira mal. Je le constate souvent. La tâche est insupportable dès que l’on perd la foi et les occasions de sombrer sont innombrables.

    Financièrement, la comparaison des revenus du chirurgien français avec ceux de ses confrères de pays de même niveau est parlante. J’exerce en secteur un, zéro supplément. Les vasectomies ont augmenté de 270 % et un grand bravo, messieurs. Chiffre d’affaires pour le praticien : moins de 100 euros soit une trentaine d’euros de revenus, charges actées. Les vasectomies encombrent les programmes opératoires mais je soigne sans m’attarder sur les considérations financières. Un confrère m’a même demandé par quelle sorte de perversion j’agissais ainsi…

    Idem pour ces actes pour lesquels nous sommes tant sollicités, à savoir les circoncisions. Trente euros de revenus : ce n’est pas pour cela que je les pratique mais pour soigner. La cystoscopie, élément clé du dépistage de cancer de vessie : moins de 30 euros de chiffre d’affaires soit un tiers de revenus. Je ne vais pas faire pleurer dans les chaumières mais vous l’aurez compris : l’argent n’est pas le moteur. La pression des administrations publiques ou des fonds de pension, puisque les cliniques patrimoniales font exception, s’accroît. La rentabilité est leur seule boussole.

    Les patients sont-ils irréprochables ? 200 000 consultations non honorées, soit 200 000 PVPP par an, ces fameux « pas venus pas prévenu » à l’heure où communiquer est si simple. On prend trois rendez-vous chez des gynécologues, on se rend chez le plus accessible et les autres n’ont qu’à se débrouiller avec leurs agendas. Hé non, ça n’a pas débuté avec Doctolib… Au début de mon exercice dans le Jura, l’oublieux appelait le lendemain pour s’excuser. Autre siècle… Les patients deviennent des clients, prompts à vous maudire sur les réseaux sociaux pour un malheureux retard ou pour ce qu’ils estiment anormal, le secret vous interdisant de leur répondre. Ou à porter plainte pour à peu près n’importe quoi. Gare : je trouve essentiel qu’un patient ait connaissance de faits et soit indemnisé en cas de faute mais encore faut-il qu’il y ait eu faute.

    Ne rêvons pas

    Voilà… Je vieillis et je râle comme un vieux mais croyez-moi, j’ai gardé la foi. Si un passant s’effondre, mains sur la poitrine, le rictus de la mort aux lèvres, la foule radine et le cercle des hommes se forme, sans autre considération que la vie de ce malheureux. C’est précisément cet élan qui m’a fait médecin mais tout le reste pèse et aucune réunion n’y mettra un terme avant ma retraite. Il faudrait établir un diagnostic clair, porter une vision libérale, basée sur la confiance vis-à-vis des acteurs, soignants comme membres des laboratoires pharmaceutiques. Il faudrait dix ans d’efforts, des milliards et la coopération de tous, patients PVPP inclus, ce qui supposerait la révision des méthodes d’enseignement et d’éducation.

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  8. Ne rêvons pas…

    Je ne sais pas si le ministre, qui n’en a certainement cure, fut celui qui m’a qualifié de complotiste alors que j’énonçais une vérité. Je gage que mon sort indiffère grandement l’intéressé. Chacun s’égare, moi le premier, mais je ne m’égarerai jamais au point de penser que cette grand-messe, prétexte aux guerres de chapelles et à l’habituelle exécration du « système privé pour les riches », débouche sur quoi que ce soit d‘utile…

    https://www.contrepoints.org/2022/10/06/440122-le-monde-de-la-sante-est-malade

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  9. Le gouvernement allemand a gaspillé 2,47 milliards de dollars sur des boosters COVID-19 dont personne ne veut


    jeudi 06 octobre 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) Le gouvernement allemand a récemment commandé 100 millions de doses de vaccins bivalents BA.1 et BA.4/5, ce qui leur a coûté 2,5 milliards d'euros (2,47 milliards de dollars). Mais personne ne semble en vouloir.

    À Furth en Moyenne-Franconie, seuls 85 se sont présentés pour obtenir leur booster. Le quartier compte 120 000 habitants.

    "Nous avons essayé de le rendre aussi simple que possible pour les gens", a déclaré Michael Hubmann, un pédiatre qui coordonne la campagne de vaccination.

    Il a expliqué que les vaccinations étaient proposées simultanément dans deux centres commerciaux, un bus, une maison de retraite et un ancien magasin de la zone piétonne, mais presque personne ne voulait avoir la quatrième dose.

    Markus Beier, président de l'Association allemande des médecins généralistes, a déclaré: "Malheureusement, l'intérêt pour la quatrième dose avait été faible."

    Il a insisté sur le fait qu'il est important que les personnes de plus de 60 ans et ces comorbidités se protègent en obtenant leur deuxième rappel. « Il y a une incertitude au sein de la population quant à ce que les nouvelles vaccinations permettront d'accomplir. Mais ils renforcent toujours la protection contre les conséquences graves », a-t-il déclaré.

    Pendant ce temps, de grandes quantités de vaccins expirent. Fin août, 3,9 millions de doses de Moderna et 700 000 autres doses de Novavax ont dû être jetées.

    Les mandats entraînent des inégalités et une diminution de l'utilisation des vaccins
    Lorsque les mandats de vaccination contre la rougeole sont entrés en vigueur en Allemagne en mars 2020, les écoles ont exigé une preuve de vaccination pour les enfants fréquentant l'école et le personnel dans différents établissements. S'ils sont mis en œuvre avec soin et d'une manière sensible au contexte, les mandats peuvent être couronnés de succès.

    Cependant, cela peut également entraîner des inégalités et une diminution de l'utilisation d'autres vaccins.

    Une étude a enquêté sur l'acceptation et les conséquences imprévues des mandats de vaccination contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) en Allemagne. L'étude peut fournir des informations précieuses aux décideurs politiques dans leurs discussions sur la nécessité de rendre obligatoire la vaccination contre la COVID-19. (Connexe: Résistance allemande: les Allemands non vaccinés maintiennent leur décision de ne pas recevoir de vaccins COVID-19.)

    Par exemple, les chercheurs ont constaté que six mois après l'introduction du mandat, les parents de statut socio-économique faible en savaient moins sur le mandat et le vaccin contre la rougeole que les parents de statut socio-économique moyen à élevé.

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  10. Il en va de même pour l'éducation et le revenu en tant que domaines du statut socio-économique. Les citoyens doivent être également bien informés sur le mandat du vaccin et sur le vaccin lui-même, car ceux qui ne respectent pas la loi se verront infliger des sanctions.

    En septembre, les médecins généralistes allemands ont reçu des vaccins de rappel dirigés contre la version omicron BA.1 et le virus original détecté à Wuhan, en Chine. Cependant, selon l'association des médecins généralistes, la demande de vaccinations de rappel reste faible car certains patients attendent un rappel destiné à lutter contre les sous-variantes BA.4/5 actuellement en circulation.

    "Nous n'avons pas vu de forte augmentation de la demande au cours des quelques jours où nous avons vacciné BA.1", a déclaré aux journalistes Jens Lassen, président de l'Association du Schleswig-Holstein.

    L'Agence européenne des médicaments (EMA) a recommandé le rappel COVID-19, qui a été conçu pour combattre les sous-variantes Omicron BA.4/5, quelques jours seulement après avoir approuvé une paire de rappels adaptés pour cibler l'ancienne variante BA.1 Omicron.

    Quel que soit le vaccin, le directeur exécutif de l'EMA, Emer Cooke, a déclaré que les gens devraient prendre n'importe quel rappel à leur disposition dans les mois à venir, bien que le président de l'association allemande des médecins généralistes, Ulrich Weigeldt, estime qu'il est déroutant pour les citoyens de choisir leur vaccin. avec trois injections de rappel différentes mises à leur disposition.

    Global Research, cependant, estime que le désintérêt pour les vaccins ne concerne pas le nombre d'options parmi lesquelles choisir. C'est plutôt l'expérience des gens après la vaccination. La demande pour le vaccin, selon la publication, était à son apogée au début, avant que quiconque n'ait une expérience directe de ses effets indésirables.

    Lorsque moins de personnes ont décidé de se faire vacciner à l'automne, le gouvernement a lié la vaccination à des privilèges sociaux spécifiques. Cependant, à mesure que de plus en plus de personnes se faisaient vacciner, l'intérêt pour les vaccins et les rappels s'est pratiquement évaporé - ce qui en fait la justification ultime pour ceux qui disaient que les vaccins sont des produits pharmaceutiques surmédiatisés avec de mauvais effets secondaires.

    « Un produit sûr et efficace ne ferait que gagner du terrain auprès de la population. Il a fallu moins de deux ans pour que ceux-ci usent de leur accueil », indique la publication.

    Visitez Vaccines.news pour plus d'informations sur les nouveaux rappels de vaccins COVID-19.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les effets indésirables des vaccins COVID-19.

    Cette vidéo provient de la chaîne Puretrauma357 sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :
    Le gouvernement allemand admet que les vaccins COVID provoquent de graves effets secondaires.

    Les législateurs allemands font pression pour un tir OBLIGATOIRE, blâment les non vaccinés pour le maintien des restrictions COVID-19.

    Le parlement allemand REJETTE le mandat proposé pour le vaccin COVID après des mois de débat.

    Sources include:

    GlobalResearch.ca
    BMCPublicHealth.BioMedCentral.com
    Reuters.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-06-germany-wasted-billions-covid-boosters-nobody-wants.html

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  11. ARNm de piqûre de Covid détecté dans le lait maternel humain

    La directrice du CDC, Rochelle Walensky, continue d'affirmer "qu'il n'y a pas de mauvais moment pour se faire vacciner contre le COVID", mais cette nouvelle étude prouve le contraire.


    Par le Dr Joseph Mercola
    Bibliothèque censurée du Dr Mercola
    7 octobre 2022


    Malgré des montagnes de preuves montrant que les piqûres COVID sont une catastrophe mortelle qui ne devrait être administrée à personne, sans parler des femmes enceintes, la directrice des Centers for Disease Control and Prevention, le Dr Rochelle Walensky, continue de répandre l'évangile du culte de la mort, affirmant avec audace : 1 2

    "Il n'y a PAS de mauvais moment pour se faire vacciner contre la COVID. Que vous envisagiez d'avoir un bébé, que vous soyez enceinte, que vous veniez d'accoucher ou que vous allaitiez, vous pouvez vous faire vacciner en toute sécurité. Protégez-vous et votre famille grandissante.

    Dans cette même interview, Walensky a également parlé des deux côtés de sa bouche lorsqu'elle a ajouté que les femmes enceintes qui développent des symptômes de COVID devraient obtenir des anticorps monoclonaux pour prévenir une infection grave. Si tel est le cas, pourquoi ont-ils besoin de piqûre d'ARNm, dont nous savons qu'il n'empêche pas l'infection ?

    Couverture criminelle

    Le fait que Walensky continue d'insister pour que les femmes enceintes reçoivent cette injection expérimentale est plus qu'inadmissible. Dans son interview3, elle insiste sur le fait que les données le confirment, mais où sont ces données ? Ils doivent être cachés quelque part, car les données qui sont réellement accessibles au public racontent une histoire très différente.

    Les propres données de Pfizer montrent que le risque de fausse couche pourrait atteindre 87,5 % – une conclusion choquante examinée dans un article Substack du 20 août 20224 par le Dr Pierre Kory.

    Kory, après avoir plongé dans l'une des décharges de données de Pfizer, a attiré l'attention sur la section 5.3.6, page 12, d'un document intitulé "Analyse cumulative des rapports d'événements indésirables post-autorisation", qui indique qu'il y a eu 270 grossesses chez les femmes vaccinées au cours de la 12 premières semaines de la campagne de vaccination.

    Aucun résultat n'a été fourni pour 238 de ces femmes, ce qui laisse 32 grossesses pour lesquelles le résultat a été signalé. Cependant, même pour ces 32, les résultats n'ont été spécifiés que pour 29 : 26 se sont terminées par une forme de fausse couche, deux étaient des naissances prématurées avec décès néonatal (ce qui signifie que les bébés sont morts peu de temps après être nés prématurément) et une naissance était normale.

    Kory souligne que le rapport est nébuleux et peu clair sur les trois autres résultats de grossesse, mais si nous devions les compter comme des naissances vivantes, nous aurions 28 décès sur 32 grossesses, ce qui signifie que 87,5 % des femmes enceintes (pour qui elles avaient des données) ont perdu leurs bébés.

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  12. Pour mémoire, le défaut d'enregistrer et de rapporter les résultats de 238 grossesses sur 274 au cours d'un essai de médicament est tout simplement inouï. C'est scandaleusement contraire à l'éthique et criminellement frauduleux. Et le fait que la Food and Drug Administration et le CDC aient accepté cela et prétendent qu'il n'y a "aucune preuve" de préjudice pour les femmes enceintes et leurs bébés est la preuve positive d'un méfait répréhensible.

    2021 — « Aucun ARNm trouvé dans le lait maternel »

    Je doute aussi sincèrement que la FDA et le CDC aient des données corroborantes pour soutenir le vaccin COVID pour les mères allaitantes, vu que cela ne faisait pas partie des premiers essais cliniques et que le suivi a été rare.

    À la mi-juillet 2021, Reuters a rapporté5 qu'"aucune trace de vaccin à ARNm" ne pouvait être trouvée dans le lait maternel, selon une petite étude.6 Sur la base de l'analyse de 13 échantillons de lait maternel obtenus auprès de sept femmes allaitantes qui avaient reçu une injection les chercheurs ont conclu que même si les anticorps sont connus pour passer de la mère à l'enfant via le lait maternel, aucun ARNm n'est transféré par cette voie. Tel que rapporté par Reuters à l'époque :7

    "L'Organisation mondiale de la santé recommande que les mères qui allaitent soient vaccinées contre le COVID-19 et ne conseille pas d'arrêter l'allaitement par la suite.

    De nombreuses mères ont refusé la vaccination ou ont interrompu l'allaitement parce qu'elles craignaient que le vaccin n'altère le lait maternel. Écrivant dans JAMA Pediatrics8, les auteurs de la nouvelle étude ont déclaré que davantage de données sont nécessaires pour mieux estimer l'effet des vaccins sur l'allaitement.

    Mais les nouveaux résultats "renforcent les recommandations actuelles selon lesquelles les vaccins à ARNm sont sans danger pendant l'allaitement et que les personnes allaitantes qui reçoivent le vaccin COVID ne doivent pas arrêter d'allaiter", a déclaré la co-auteure, le Dr Stephanie Gaw de l'Université de Californie à San Francisco, dans un communiqué. .”

    2022 — ARNm trouvé dans le lait maternel

    Avance rapide jusqu'au 22 septembre 2022, et l'ARNm a été - vous l'avez deviné - détecté dans le lait maternel ou 48 heures après l'injection. L'étude, également publiée dans JAMA Pediatrics, note :9

    « Les Centers for Disease Control and Prevention recommandent d'offrir les vaccins à ARNm COVID-19 aux personnes qui allaitent, bien que le passage possible des ARNm du vaccin dans le lait maternel entraînant une exposition des nourrissons de moins de 6 mois n'ait pas été étudié.

    Cette étude a examiné si l'ARNm du vaccin COVID-19 peut être détecté dans le lait maternel exprimé (EBM) des personnes allaitantes recevant le vaccin dans les 6 mois suivant l'accouchement.

    Ici, 11 mères allaitantes ont été inscrites. Les premiers échantillons de lait maternel ont été prélevés avant l'injection, afin d'établir un contrôle de base. Des échantillons ont ensuite été prélevés après avoir reçu les injections de Moderna ou de Pfizer, jusqu'à six mois après la livraison. Comme l'expliquent les auteurs :

    « Au total, 131 échantillons d'EBM [lait maternel exprimé] ont été prélevés 1 heure à 5 jours après l'administration du vaccin. Les vésicules extracellulaires (EV) ont été isolées dans EBM en utilisant une centrifugation séquentielle, et les concentrations d'EV ont été déterminées par ZetaView (Analytik).

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  13. La présence d'ARNm du vaccin COVID-19 dans différentes fractions de lait (EBM entier, graisse, cellules et VE surnageant) a été dosée à l'aide d'une réaction en chaîne quantitative en 2 étapes de la transcriptase inverse et de la polymérase. La limite de détection du vaccin était de 1 pg/mL d'EBM.

    Sur 11 personnes allaitantes inscrites, des traces de vaccins à ARNm BNT162b2 et ARNm-1273 COVID-19 ont été détectées dans 7 échantillons de 5 participants différents à divers moments jusqu'à 45 heures après la vaccination.

    Le rendement moyen (ET) des véhicules électriques isolés à partir d'EBM était de 9,110 (5,010) particules/mL, et la taille moyenne des particules (ET) était de 110,0 (3,0) nm. L'ARNm du vaccin apparaît à des concentrations plus élevées dans les véhicules électriques que dans le lait entier. Aucun ARNm de vaccin n'a été détecté dans les échantillons EBM de pré-vaccination ou de post-vaccination au-delà de 48 heures de collecte…

    Les limites de cette étude comprennent la taille relativement petite de l'échantillon et le manque d'études fonctionnelles démontrant si l'ARNm du vaccin détecté est actif sur le plan de la traduction. De plus, nous n'avons pas testé l'éventuelle exposition cumulative à l'ARNm du vaccin après un allaitement fréquent chez les nourrissons.

    Nous pensons qu'il est sûr d'allaiter après la vaccination maternelle contre le COVID-19. Cependant, la prudence s'impose en ce qui concerne l'allaitement des enfants de moins de 6 mois dans les 48 premières heures après la vaccination maternelle jusqu'à ce que d'autres études de sécurité soient menées.

    De plus, l'interférence potentielle de l'ARNm du vaccin COVID-19 avec la réponse immunitaire à plusieurs vaccins de routine administrés aux nourrissons au cours des 6 premiers mois doit être prise en compte. Il est essentiel que les personnes allaitantes soient incluses dans les futurs essais de vaccination afin de mieux évaluer l'effet des vaccins à ARNm sur les résultats de la lactation.

    Est-ce que les protéines Spike sont transférées dans le lait maternel ?

    Maintenant, il est important de garder à l'esprit que l'ARNm et la protéine de pointe sont deux choses différentes. L'ARNm est ce qui ordonne à vos cellules de produire la protéine de pointe. Lorsqu'une mère allaite dans les jours qui suivent son injection, elle peut transférer l'ARNm réel à son nouveau-né, dont les cellules pourraient alors commencer à produire des protéines de pointe.

    Cependant, cette étude n'a pas analysé le lait maternel pour la présence de protéines de pointe. Même si l'ARNm n'est transférable que pendant les 48 premières heures après l'injection, cela ne signifie pas qu'il est sécuritaire d'allaiter par la suite.

    Le lait maternel pourrait également transférer la protéine de pointe produite par le corps de la mère, et cette production, nous le savons, peut se poursuivre pendant au moins quatre mois, et probablement plus longtemps.

    Spike Antibodies Transfer et cela pourrait être une mauvaise chose

    Des études10 ont montré que les anticorps du SRAS-CoV-2, c'est-à-dire les anticorps contre la protéine de pointe produite par la piqûre de COVID, se transfèrent par le lait maternel et, contrairement à la croyance populaire, cela n'est peut-être pas une bonne chose. Pourquoi ?

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  14. Parce que cela peut déclencher une empreinte immunitaire. Comme discuté dans "Original Antigenic Sin - The Hidden Danger of COVID Shots", l'empreinte immunitaire, également connue sous le nom de péché antigénique originel, décrit un processus dans lequel les premiers anticorps produits contre un virus donné commencent à prédominer, rendant les anticorps contre les nouvelles souches moins et moins efficace pour neutraliser le virus.11

    En bref, la crainte est que des boosters répétitifs vous rendent de moins en moins capable de repousser de nouvelles variantes, et donc plus enclins à une infection symptomatique. Si un bébé est exposé quotidiennement à des anticorps anti-spike pendant des mois, cela le rendra-t-il plus vulnérable à l'infection à mesure que le virus SARS-CoV-2 mute ? Nous ne savons pas, mais c'est une préoccupation qui ne peut pas être simplement écartée avec un haussement d'épaules.

    La fertilité est clairement affectée

    Walensky continue également de s'accrocher à l'affirmation selon laquelle les injections de COVID n'ont aucun effet néfaste sur la fertilité, même si les données du monde réel du monde entier crient que quelque chose a terriblement mal tourné. Les taux de natalité ont chuté depuis le déploiement des vaccins, sonnant l'alarme dans le monde entier.

    En Allemagne, les taux de natalité étaient de 10 % inférieurs à la norme annuelle au cours du premier trimestre de 2022.12 La Suède a enregistré une baisse de 14 % au cours du même trimestre.13 14 Selon Gunnar Anderson, professeur suédois de démographie à l'Université de Stockholm, "Nous n'avons jamais rien vu comme ça avant, que le fond tombe en un seul trimestre. »15

    Entre janvier et avril 2022, le taux de natalité de la Suisse était inférieur de 15 % aux attentes, celui du Royaume-Uni de 10 % et celui de Taïwan de 23 %.16 17 18 La Hongrie a enregistré une baisse de 20 % de son taux de natalité en janvier 2022, par rapport à janvier 2021.19

    Dans un article de Counter Signal du 5 juillet 2022, Mike Campbell a rapporté que dans les cinq pays où l'utilisation de piqûre COVID est la plus élevée, la fécondité a chuté en moyenne de 15,2 %, alors que les cinq pays où l'utilisation d'inoculation de COVID est la plus faible ont connu une moyenne réduction de seulement 4,66 %. Vous trouverez ci-dessous un graphique de Birth Gauge20 sur Twitter comparant les données sur les naissances vivantes pour 2021 et 2022 dans un grand nombre de pays.

    Des tendances similaires sont également observées aux États-Unis, ce dont Walensky devrait être bien conscient. Les données provisoires du Dakota du Nord montrent une baisse de 10 % en février 2022, une réduction de 13 % en mars et une réduction de 11 % en avril, par rapport aux mois correspondants en 2021.21

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  15. Autres preuves troublantes

    En plus des données du monde réel montrant que la fertilité est soudainement en chute libre, il existe des preuves scientifiques suggérant que les injections pourraient affecter la fertilité chez les femmes et les hommes.

    "Une étude sur des rats Pfizer-BioNTech a révélé que l'injection faisait plus que doubler l'incidence de l'infertilité."

    Par exemple, une étude japonaise sur la biodistribution pour l'inoculation de Pfizer a montré que la protéine de pointe des injections s'accumule dans les ovaires féminins et les testicules masculins,22 23 et il existe une inquiétude crédible que les injections de COVID réagissent de manière croisée avec la syncytine (une protéine d'enveloppe rétrovirale) et les gènes reproducteurs dans les spermatozoïdes, les ovules et le placenta d'une manière qui peut nuire à la fertilité et aux résultats de la reproduction.

    Une étude menée par Pfizer-BioNTech chez le rat24 a révélé que l'injection faisait plus que doubler l'incidence de la perte préimplantatoire (c'est-à-dire le risque d'infertilité) et entraînait des malformations de la bouche/de la mâchoire, un gastroschisis (une anomalie congénitale de la paroi abdominale) et des anomalies du côté droit. arc aortique latéral et vertèbres cervicales.25 26

    Nous assistons également à une augmentation soudaine de la mortalité infantile. L'Exposé27 a récemment mis en évidence des données écossaises, montrant que les décès néonatals en mars 2022 étaient supérieurs de 119 % à la norme annuelle.

    La fertilité masculine est également menacée par ces armes biologiques. Des recherches israéliennes28 29 publiées dans la revue Andrology ont révélé que le piqûres de COVID de Pfizer altère temporairement mais significativement la fertilité masculine, faisant chuter la concentration de spermatozoïdes de 15,4 % et le nombre total de motiles de 22,1 %, par rapport au pré-jab de base.

    Les deux ont finalement récupéré, environ trois mois après le dernier coup, mais si vous détruisez le sperme d'un homme pendant trois mois à chaque fois qu'il reçoit un 'vaccin' COVID, vous réduisez considérablement la probabilité qu'il engendre un enfant pendant une bonne partie d'une année donnée. et les statistiques examinées ci-dessus le confirment.

    N'oubliez pas que les injections d'ARNm sont recommandées à des intervalles de trois mois pour la série originale, et les rappels sont maintenant recommandés à des intervalles variables par la suite. Dans la vidéo ci-dessous, Amy Kelly, directrice de projet pour l'équipe d'analyse de documents Pfizer du Daily Clout, passe en revue cette étude et d'autres problèmes de fertilité masculine post-piqûre.30

    Mettez fin aux injections COVID maintenant, avant qu'il ne soit trop tard pour récupérer

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  16. Comme l'a noté Kory dans son article du 20 août 2022, Substack : 31

    "... lorsqu'un nouveau médicament ou dispositif est introduit, vous devez d'abord supposer que tout effet indésirable ou décès signalé comme étant lié à l'intervention jusqu'à preuve du contraire...

    Nous devons supposer que les vaccins ont un impact sur la fertilité à moins d'autres explications prouvables ou crédibles pour une baisse soudaine des taux de natalité d'un mois à l'autre. Alors arrêtez les piqûres jusqu'à ce que vous puissiez prouver qu'ils ne le sont pas...

    Trop de jeunes meurent32, trop de personnes deviennent handicapées, trop de grossesses aboutissent à la mort fœtale ou néonatale… et maintenant nous découvrons que si nous continuons avec cette obsession vaccinale, ils ne seront pas remplacés. Il s'agit d'une catastrophe humanitaire qui s'ajoute à celle causée par la dangereuse recherche de gain de fonction.

    Quand le monde se réveillera-t-il face à cette horreur qui se déroule rapidement ? Pour ceux d'entre nous qui savent ce qui se passe, il est difficile de ne pas se sentir impuissant alors que nous sommes obligés d'assister à une mort inutile de plus en plus apparente et généralisée. Mais nous continuerons à essayer de faire connaître ces vérités malgré la censure et la propagande massives qui envahissent le monde.

    Nous avons une obligation morale et éthique et prenons cette responsabilité au sérieux, peu importe ce qui nous arrive. Arrêtez les vaccins, maintenant. Et si on ne peut pas les arrêter, il faut essayer de convaincre tous ceux qu'on connaît de ne plus accepter de se faire vacciner. Leur vie et notre avenir en dépendent.

    À ce stade, il semble que nous envisageons un certain événement de dépeuplement. La question est alors, êtes-vous prêt à accepter les risques ? Êtes-vous prêt à risquer votre fertilité, même si ce n'est que temporairement ? Êtes-vous prêt à risquer la vie de votre bébé ? Êtes-vous prêt à risquer le vôtre ? Sinon, la réponse est simple. Ne prenez pas le jab, et si vous en avez déjà pris un ou deux (ou trois), n'en prenez jamais un autre.

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  17. La « science » traditionnelle commence à remettre en question les affirmations des fabricants sur l'ARNm, car les géants pharmaceutiques REFUSENT de partager les données sous-jacentes


    Jeudi 06 octobre 2022
    par : Ethan Huff



    (Natural News) Le média allemand Welt affirme que de plus en plus de scientifiques traditionnels remettent en question la sécurité et l'efficacité présumées des «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19).

    Parce que les fabricants de vaccins refusent toujours de permettre toute vérification indépendante des données, il est impossible de dire ce que ces injections font vraiment aux gens, explique un article de Welt. (En relation: Nous savons que des protéines de pointe d'ARNm se trouvent dans le cerveau et le cœur des receveurs décédés.)

    "Dans les cercles scientifiques, des doutes surgissent quant à l'exactitude des informations fournies par les fabricants sur le vaccin à ARNm", lit-on dans l'article. "BioNtech / Pfizer et Moderna ont jusqu'à présent refusé de vérifier les données de manière indépendante."

    Il poursuit en déclarant que des compagnons de lit improbables – virologues, épidémiologistes et pharmacologues – se réunissent par frustration pour exiger que toutes les données internes sur les injections soient publiées pour une étude appropriée.

    "Les études sont publiées", poursuit l'article.

    « Cependant, les données primaires, scientifiquement les documents décisifs, manquent. Toutes les évaluations des expérimentations géniques d'essais des études d'enregistrement sont basées sur eux. Jusqu'à présent, les documents ont été gardés sous clé par les fabricants, et ils refusent les demandes de les voir.

    Où est la science, Big Pharma ?

    L'essentiel de la pièce est que la science n'est pas réglée sur les plans parce que personne n'a jamais pu voir ladite science - en supposant qu'elle existe même comme on le prétend.

    Il y a de fortes chances que Big Pharma ait rassemblé un méli-mélo d'absurdités sous le couvert de l'obscurité et l'a présenté à la Food and Drug Administration (FDA) américaine corrompue comme preuve, et le tour est joué : une autorisation instantanée suivie d'une approbation.

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis sont également complices, ayant travaillé aux côtés de la FDA pour précipiter les piqûres sur le marché à une vitesse fulgurante, tout comme Donald Trump le voulait.

    Ce qui a été publié dans Welt à ce sujet n'apparaîtra jamais dans aucun média grand public ici aux États-Unis. C'est parce que nos médias sont complètement achetés quand il s'agit de tout ce qui concerne les produits pharmaceutiques et les vaccins.

    "Il semble que choisir de rester dans le groupe de contrôle était une bonne décision", a écrit un commentateur sur la façon dont il se sent plus en sécurité que jamais après avoir rejeté les piqûres.

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  18. "Chaque jour, je suis plus heureux de mon choix de rester sans piqûre", a ajouté un autre. "Dieu merci, ma femme et mes enfants sont également restés sans piqûre."

    Un autre s'est demandé si la raison pour laquelle les «entièrement vaccinés» sont en colère contre les non vaccinés est parce qu'ils savent au fond d'eux-mêmes qu'ils ont commis une erreur monumentale qui ne peut être réparée.

    "Je pense qu'une grande partie de la haine qui est venue des vaxxés envers les non-vaxxés était motivée par une prise de conscience intérieure qu'ils (les vaxxés) avaient fait une erreur, et ils ont exigé que d'autres se joignent à eux dans leur erreur", a écrit cette personne.

    "Comme la misère, la peur et l'incertitude aiment la compagnie."

    Les soi-disant «sangs purs», a écrit un autre, ont quelque chose de spécial en ce sens que leur sang pur est précieux et donne la vie, par opposition au sang impur de ceux qui sont complètement piqués.

    "Sang-pur ici : je me rends compte que certains n'aiment pas ce terme mais ils peuvent bourdonner", a déclaré quelqu'un d'autre.

    Une autre personne a souligné qu'il est totalement insensé de faire confiance à une entreprise, pharmaceutique ou autre, qui refuse d'être tenue responsable de ses propres produits. Big Pharma est le plus grand contrevenant lorsqu'il s'agit de maintenir une responsabilité zéro pour tout ce qu'il fait.

    "Et ne faites jamais confiance à un gouvernement qui accorde une décharge de responsabilité à une société pharmaceutique", a ajouté quelqu'un d'autre. « Si le produit est sûr, expérimental ou non, pour une utilisation massive, il ne doit pas être blindé. Le niveau d'actes répréhensibles ici était épique.

    Vous trouverez plus d'informations sur les vaccins contre la grippe Fauci sur Vaccines.news.

    Les sources de cet article incluent :

    Revolver.news
    NaturalNews.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-06-mainstream-science-questioning-mrna-claims-covid-vaccines.html
    __________________________________________________

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  19. Les e-mails récemment obtenus jettent plus de lumière sur les fausses déclarations de surveillance de la sécurité des vaccins du CDC


    PAR TYLER DURDEN
    JEUDI 06 OCTOBRE 2022 - 20:25
    Écrit par Zachary Stieber via The Epoch Times


    Des e-mails récemment obtenus montrent que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont fait une fausse déclaration sur la surveillance de la sécurité des vaccins COVID-19 en 2021, des mois avant que les responsables de l'agence ne fassent de fausses déclarations à ce sujet à Epoch Times.

    Les e-mails montrent également de hauts responsables de l'agence discutant de la surveillance de la sécurité d'une base de données clé pour la myocardite, une forme d'inflammation cardiaque liée aux vaccins de Pfizer et Moderna.

    Le CDC a promis en 2021 dans un ensemble de procédures opérationnelles d'effectuer un type d'analyse appelé Proportional Reporting Ratio (PRR) sur les rapports d'effets indésirables suite à la vaccination contre le COVID-19. Les rapports sont soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), que les responsables ont décrit comme «le système d'alerte précoce du pays» pour les événements indésirables post-vaccination. Le CDC a également déclaré dans un ensemble de procédures opérationnelles mis à jour en 2022 qu'il effectuerait l'analyse.

    Mais le CDC a fait trois fois cette année de fausses déclarations sur les PRR, affirmant initialement qu'une telle analyse ne relevait pas de la compétence de l'agence, puis affirmant que l'analyse avait été effectuée à partir de 2021, puis affirmant que l'analyse n'avait commencé qu'en 2022. Les e-mails nouvellement obtenus montrent que un responsable a faussement déclaré que le CDC n'effectuerait pas d'analyse PRR à un éditeur en 2021.

    John Gregory, rédacteur en chef de la santé chez NewsGuard, a écrit au CDC le 19 octobre 2021, demandant un commentaire concernant une affirmation selon laquelle l'analyse PRR du CDC ne peut pas identifier avec précision quand un vaccin provoque des événements indésirables, montre l'un des e-mails. Martha Sharan, une porte-parole du CDC, a envoyé la requête au Dr John Su, qui dirige l'équipe VAERS du CDC, et au Dr Tom Shimabukuro, qui travaille également sur la sécurité des vaccins.

    Leurs réponses ont été expurgées à l'exception d'un commentaire sur NewsGuard. Sharan a ensuite écrit qu'elle avait parlé à Gregory.

    "J'ai parlé au journaliste et lui ai expliqué que le CDC ne faisait pas d'analyse PPR. Le journaliste ne va pas poursuivre cela plus loin ! elle a écrit, ajoutant plus tard qu'elle voulait dire PRR.

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  20. Cela contredit les procédures opérationnelles, qui stipulent que le CDC "effectuera une analyse du rapport proportionnel de déclaration (PRR)" sur les rapports du VAERS.

    « Nous avons laissé notre contenu publié parler de lui-même », a déclaré Gregory à Epoch Times dans un e-mail lorsqu'il a été informé que le CDC effectuait effectivement des PRR.

    En juin 2022, le CDC a faussement déclaré à Children’s Health Defence, une organisation à but non lucratif, que l’analyse PRR était « en dehors de la compétence de l’agence ». Un journaliste de l'Associated Press, Angelo Fichera, a signalé un article de Children's Health Defence sur la déclaration au CDC, demandant si le CDC avait déjà effectué l'analyse, selon les courriels nouvellement obtenus.

    Kristen Nordlund, une autre porte-parole du CDC, a transmis la question à Sharan. "Martha - des pensées sur celui-ci ?" elle a demandé.

    L'Associated Press et NewsGuard n'ont jamais publié d'articles sur le sujet. Après qu'Epoch Times ait rapporté des déclarations contradictoires du CDC, l'examinateur a publié un article sur les développements.

    Fichera, Sharan et Su n'ont pas répondu aux demandes de commentaires pour cet article.

    Les e-mails ont été obtenus par Epoch Times et un chercheur indépendant via des demandes FOIA.

    "Le CDC prétend surveiller de manière vigilante et transparente la sécurité des 'vaccins' COVID-19, mais en ce qui concerne l'analyse du rapport proportionnel de notification (PRR), les promesses non tenues du CDC, les déclarations incohérentes, les blocages et les doubles standards racontent une histoire différente", Mary Holland, présidente et avocate générale de Children's Health Defence, a déclaré à Epoch Times par e-mail.

    « Interrogé sur l'analyse PRR en rapport avec les vaccins COVID - par le biais de la FOIA, des médias et des demandes du Congrès - le CDC a fait des déclarations contradictoires, dont certaines sont fausses. Lorsqu'il a été confronté aux déclarations, le CDC a affirmé, essentiellement, que l'analyse PRR ne valait pas la peine d'être effectuée. Et pour les quelques mois de PRR que le CDC dit maintenant avoir terminé, le CDC n'a pas rendu publics les résultats, malgré les demandes de plusieurs sources.

    "Children's Health Defence appelle le CDC à faire ce qu'il faut : faire l'analyse et rendre les résultats disponibles", a-t-elle ajouté.

    Chronologie des e-mails et des déclarations du CDC. Certains sont signalés pour la première fois dans cette histoire, qui se poursuit ci-dessous.

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  21. "J'ai parlé au journaliste et lui ai expliqué que le CDC ne faisait pas d'analyse PPR. Le journaliste ne va pas poursuivre cela plus loin ! – Martha Sharan aux collègues du CDC, 19 octobre 2021. (source : réponse de la FOIA à un chercheur indépendant)
    "Correction - cela devrait dire PRR." – Martha Sharan aux collègues du CDC, 19 octobre 2021. (Réponse de la FOIA à un chercheur indépendant)
    « Le personnel du programme au sein du Bureau de la vaccination et de la sécurité m'informe qu'aucun PRR n'a été effectué par le CDC. De plus, l'exploration de données ne relève pas de la compétence de l'agence. – Roger Andoh, 16 juin 2022. (lettre à Children’s Health Defence)
    "C'est un nouveau pour moi - les ratios de rapport proportionnels - je dois envoyer celui-ci à John." – Martha Sharan aux collègues du CDC, 22 juin 2022 (réponse de la FOIA à The Epoch Times)
    « Le personnel du programme au sein du Bureau de la vaccination et de la sécurité m'informe qu'aucun PRR n'a été effectué par le CDC. De plus, l'exploration de données ne relève pas de la compétence de l'agence. – Bruno Viana à Roger Andoh, 30 juin 2022 (réponse de la FOIA à The Epoch Times)
    "Le CDC effectue des PRR depuis février 2021 et continue de le faire à ce jour." – Dr John Su, 18 juillet 2022 (déclaration à Epoch Times)
    «Le CDC a réexaminé plusieurs demandes FOIA et à la suite de son examen, le CDC publie des corrections. … En référence aux ratios de déclaration proportionnels (PRR) - le CDC a effectué des PRR du 25 mars 2022 au 31 juillet 2022. » – Martha Sharan, 8 août 2022. (déclaration à Epoch Times)
    « Le CDC a effectué une analyse PRR entre le 25 mars 2022 et le 31 juillet 2022. Le CDC a également récemment adressé une déclaration précédente faite à Epoch Times pour clarifier que le PRR n'avait pas été exécuté entre le 26 février 2021 et le 30 septembre 2021. » – Dr Rochelle Walensky, 12 septembre 2022 (lettre au sénateur Ron Johnson (R-Wis.))

    Autres e-mails

    Plusieurs autres messages s'ajoutent à la chronologie des déclarations internes et externes du CDC concernant le PRR.

    Deux semaines après qu'Andoh ait faussement dit à Children's Health Defence que l'exploration de données ne relevait pas du CDC, Bruno Viana, un employé des archives du CDC, a envoyé des e-mails à Andoh au sujet de la réponse.

    Viana a cité mot pour mot des parties de la lettre qu'Andoh a envoyée au groupe.

    Le contexte des e-mails n'est pas clair.

    Un e-mail à Viana demandant plus d'informations a renvoyé un message d'absence. Le bureau des archives du CDC a refusé de commenter, affirmant qu'une nouvelle demande FOIA serait nécessaire pour obtenir les informations.

    Une autre série de courriels internes a montré que Su et Shimabukuro étaient impliqués dans la réponse à l'Associated Press et au Washington Examiner.

    "Avec le contexte ci-dessus, je pourrais suggérer la réponse suivante", a déclaré Su dans un e-mail fortement expurgé.

    "Les modifications de John me conviennent. Merci », a écrit Shimabukuro plus tard.

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  22. Et d’autres e-mails présentaient Su et Sharan parlant aux requêtes d’Epoch Times, y compris une requête de suivi notant qu’une réponse initiale n’indiquait pas clairement si le CDC avait, en fait, effectué des PRR.

    Su s'est vu attribuer la fausse déclaration selon laquelle le CDC avait lancé des PRR en février 2021. L'une des missives indique que la déclaration est venue de lui. Cette partie de l'e-mail est expurgée, mais la longueur du texte correspond à la réponse réelle.

    Analyse sur la myocardite

    Les essais cliniques pour les vaccins n'ont révélé aucune preuve de myocardite, une forme d'inflammation cardiaque ou une affection connexe appelée péricardite. Mais des preuves concrètes des conditions ont commencé à apparaître au début de 2021.

    Après que le ministère de la Défense au printemps 2021 a déclaré avoir identifié la myocardite comme un effet secondaire possible des vaccins, le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC, a affirmé que le CDC n'avait vu aucun signal de myocardite après avoir examiné ses données sur la sécurité des vaccins.

    «Après avoir entendu parler de ces rapports, nous avons, encore une fois, regardé en arrière dans nos données sur la sécurité des vaccins, et nous n'avons vu aucun rapport à ce sujet. Ceux-ci nous ont été signalés depuis, et donc ces enquêtes sont en cours », a-t-elle déclaré lors d'un point de presse, ajoutant plus tard : « Nous n'avons pas vu de signal, et nous avons en fait recherché intentionnellement le signal dans les plus de 200 millions de doses. nous avons donné.

    Le CDC a refusé de rendre publics les résultats de cet examen. On ne sait pas quels systèmes le CDC a examinés.

    "Au moment de la conférence de presse du directeur, le CDC n'avait pas suffisamment de preuves pour conclure qu'il y avait un signal de sécurité pour la myocardite après la vaccination par l'ARNm COVID-19. Une surveillance continue a ensuite détecté un signal de sécurité, et une évaluation plus approfondie a vérifié ce signal », a déclaré Sharan à Epoch Times dans un récent e-mail. Les vaccins Pfizer et Moderna sont tous deux basés sur la technologie de l'ARN messager (ARNm).

    Un échange à peine deux semaines plus tard, inclus dans les courriels nouvellement publiés, a montré que les responsables du CDC discutaient de la surveillance de la myocardite.

    Shimabukuro a écrit le 13 mai 2021 à Su et Paige Marquez, un autre responsable du CDC, avec pour objet "PRR pour la myocardite". Cet e-mail a été entièrement expurgé.

    « Êtes-vous en train de dire… », a répondu Marquez. Le reste de son e-mail a été expurgé.

    Le prochain e-mail de Shimabukuro a été complètement expurgé, tout comme un e-mail de Su en dehors de sa signature.

    "Non Janssen", a ensuite écrit Shimabukuro.

    "D'accord, merci d'avoir précisé !" Su a écrit.

    L'échange s'est terminé là.

    https://www.theepochtimes.com/exclusive-newly-obtained-emails-shed-more-light-on-cdcs-false-vaccine-safety-monitoring-statements_4768562.html?utm_source=partner&utm_campaign=ZeroHedge&src_src=partner&src_cmp=ZeroHedge

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  23. D’ici 2040, le nombre de cancers du foie devrait augmenter de 55 %


    6 octobre 2022, 17:44


    Au rythme actuel, 1,3 million de personnes vont mourir d’un cancer du foie d’ici vingt ans, alerte une étude. La maladie est pourtant souvent évitable.

    En 2020, 830’200 personnes sont mortes d’un cancer du foie dans le monde, selon une nouvelle étude réalisée par des scientifiques du Centre international de recherche sur le cancer.

    Le nombre de personnes qui développent ou meurent d’un cancer du foie dans le monde augmentera de plus de 55% d’ici 2040 à moins qu’on n’en fasse plus pour lutter contre cette maladie souvent évitable, révèle jeudi une nouvelle étude. Selon cette recherche, le cancer du foie est l’une des trois principales causes de décès par cancer dans 46 pays – et figure parmi les cinq premières dans près de 100 pays.

    Quelque 905’700 personnes ont reçu un diagnostic de cancer du foie et 830’200 sont décédées de cette maladie dans le monde en 2020, selon la nouvelle analyse réalisée par des scientifiques du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), une branche de l’Organisation mondiale de la santé basée à Lyon.

    Au rythme actuel, 1,4 million de personnes seront diagnostiquées et 1,3 million mourront d’un cancer du foie d’ici 2040, selon l’étude. Cela représenterait une augmentation de quelque 500’000, tant pour le nombre de cas que pour le nombre de décès par an, «à moins que nous n’obtenions une diminution substantielle des taux de cancer du foie grâce à la prévention primaire», a déclaré l’épidémiologiste du CIRC Harriet Rumgay, auteure principale de l’étude publiée dans le «Journal of Hepatology».

    Diabète de type 2, alcool, virus et surpoids au ban des accusés

    «Ce cancer est largement évitable si des efforts de contrôle sont faits – les principaux facteurs de risque étant le virus de l’hépatite B, le virus de l’hépatite C, la consommation d’alcool, l’excès de poids et les conditions métaboliques, y compris le diabète de type 2», déclare dans un communiqué la coauteure de l’étude, Isabelle Soerjomataram.

    La sombre prédiction de l’étude illustre la nécessité de renforcer les progrès pour lutter contre les hépatites B et C, qui ont été freinés par la pandémie de Covid-19, avancent les chercheurs, appelant à davantage de vaccination, de tests et de traitement. Harriet Rumgay plaide également pour «des mesures visant à réduire la consommation d’alcool de la population et freiner l’augmentation de la prévalence du diabète et de l’obésité».

    https://www.lematin.ch/story/dici-2040-les-morts-dun-cancer-du-foie-devraient-augmenter-de-55-950238199580

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  24. Les décès de nouveau-nés en Écosse ont atteint des niveaux inquiétants DEUX FOIS en six mois


    jeudi 06 octobre 2022
    par : Belle Carter


    (Natural News) Le gouvernement écossais a chargé Healthcare Improvement Scotland d'approfondir la raison pour laquelle les décès de nouveau-nés ont été plus élevés que prévu deux fois en six mois – en septembre 2021 et en mars de cette année.

    «L'examen couvrira tous les décès signalés à travers l'Écosse entre le 1er avril 2021 et le 31 mars 2022 pour savoir s'il y a quelque chose qui aurait pu contribuer à l'augmentation. Tout ce qui sera identifié alimentera les recommandations et les actions visant à améliorer la qualité des soins pour la mère et les bébés », a déclaré le communiqué de presse officiel du gouvernement.

    Selon Gateway Pundit, les décès chez les nourrissons de moins de quatre semaines sont passés à au moins 18 en mars, soit 4,6 pour 1 000 naissances et jusqu'à 21 en septembre 2021, soit 4,9 pour 1 000 naissances. Le taux moyen de mortalité chez les nouveau-nés est légèrement supérieur à deux pour mille naissances.

    "Chaque décès est une tragédie pour les familles impliquées, c'est pourquoi plus tôt cette année, je me suis engagé à cet examen pour savoir s'il y a une raison à l'augmentation", a déclaré la ministre de la Santé publique, Maree Todd.

    "Je comprends à quel point cette période est difficile pour les personnes concernées et je les encouragerais à accéder à une assistance si elles le souhaitent. Des informations sur les organisations et l'aide sont disponibles sur National Bereavement Care Pathways Scotland ainsi que sur le site Web du gouvernement écossais.

    Le coronavirus de Wuhan (COVID-19) est le principal suspect dans la cause des décès infantiles. Cependant, les experts locaux de la santé n'ont pas pu lier directement les chiffres troublants au virus. (Connexe : Pourquoi les bébés en Écosse meurent-ils soudainement à un taux 300 % plus élevé que la normale ?)

    "Ce que nous savons, ce n'est pas le COVID néonatal - les taux d'infection au COVID-19 chez les bébés sont très faibles et les décès dus au COVID sont heureusement très, très faibles, donc ce n'est pas le virus qui affecte les bébés", a déclaré le Dr Sarah Stock, un expert en médecine maternelle et fœtale à l'Université d'Édimbourg, a déclaré à un journal national plus tôt dans l'année.

    Les expérimentations géniques d'essais COVID-19 pourraient également être le coupable.

    Le nouveau-né d'une mère entièrement vaxxée a subi un accident vasculaire cérébral dans l'utérus
    En 2021, un nouveau-né de Hull, dans le Yorkshire de l'Est, a survécu à des caillots sanguins dans son cerveau et a été accouché par césarienne d'urgence avec un bras gauche "meurtri et boursouflé". À 10 jours, le membre a été amputé.

    Une IRM a révélé que le bébé nommé Zack Reilly avait également subi un accident vasculaire cérébral dans l'utérus avant sa naissance, causant des lésions cérébrales qui pourraient affecter sa mobilité, son contrôle musculaire et sa parole au fur et à mesure de son développement.

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  25. Le garçon a maintenant un an et s'est brillamment adapté au plus grand plaisir de ses parents - Libby Francis, 29 ans, conseiller de carrière adjoint de la Royal Navy entièrement vacciné et ingénieur en télécommunications Owen Reilly, 28 ans. La mère du garçon a accepté la piqûre de COVID-19 alors qu'elle était enceinte parce qu'elle était requise par la force de guerre navale britannique.

    Après l'opération l'année dernière, les médecins ont rencontré les parents pour leur annoncer la mauvaise nouvelle. «Ils ont dit qu'il avait des dommages au cerveau en raison d'un caillot présumé et bien que nous ne sachions pas exactement comment il a été affecté jusqu'à ce qu'il soit plus âgé, il y a de fortes chances qu'il ne puisse pas utiliser certains muscles et ne marche pas et parler », se souvient Francis.

    Au cours des premiers mois après leur renvoi à la maison, l'enfant souriait et commençait à atteindre des jouets avec son bras valide et a commencé à lever la tête. Mais la mère au cœur brisé a ajouté qu'à cinq mois, il avait cessé de sourire et avait commencé à avoir des convulsions.

    Le bébé a également été diagnostiqué avec un type rare d'épilepsie appelé spasmes infantiles, qui est associé à un schéma d'ondes cérébrales très anormal. Il a connu environ cinq épisodes de crises par jour pendant quatre jours.

    Il a également échoué initialement à son test auditif, mais les médecins ont confirmé plus tard qu'il n'avait qu'une légère perte auditive. "Cela semble bizarre, mais nous étions si heureux, car une légère perte auditive signifiait qu'il pouvait toujours nous entendre", a déclaré Francis.

    Visitez VaccineDeaths.com pour plus d'informations sur les taux de mortalité de la population vaccinée contre le COVID-19.

    Regardez la vidéo ci-dessous qui parle de la mort subite du fils nouveau-né d'une femme vaccinée.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne OnlyTruth4Me sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Le bras du nouveau-né AMPUTÉ après que maman ait pris des vaccins covid et que le bébé ait souffert de caillots sanguins dans l'utérus.

    Un médecin révèle que les vaccins COVID-19 entraînent plus de décès chez les enfants et les adultes.

    La surmortalité chez les enfants en Europe monte en flèche suite au déploiement du vaccin pour les groupes d'âge plus jeunes.

    Les décès dus au vaccin font leur apparition : la base de données PHS montre que les décès de nouveau-nés dépassent les niveaux critiques pour la deuxième fois en sept mois.

    Sources include:

    NewsPunch.com 1
    Gov.scot
    TheGatewayPundit.com
    NewsPunch.com 2
    HullDailyMail.co.uk
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-06-newborn-deaths-scotland-reached-worrying-levels-twice.html

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  26. Les forces de l'ordre exploitent l'ADN "volontairement partagé" pour résoudre des crimes sans "consentement éclairé"


    jeudi 06 octobre 2022
    par : Belle Carter


    (Natural News) Des tests ADN apparemment innocents et amusants directement au consommateur ont été largement utilisés sur le World Wide Web. Le public ne savait pas que les forces de l'ordre utilisaient les informations contenues dans leur "généalogie génétique d'enquête" - sans le consentement des propriétaires.

    Selon le New York Post, environ 100 millions de personnes dans le monde partagent leurs informations génétiques avec des sociétés comme AncestryDNA, 23andMe et FamilyTreeDNA.

    Les utilisateurs téléchargent leurs profils génétiques sur des sites Web, où des milliers d'utilisateurs ont librement partagé leurs informations ADN pour en savoir plus sur leur ascendance. En les utilisant, les détectives peuvent librement tracer l'arbre généalogique complet d'un criminel et se concentrer sur son identité.

    Pendant ce temps, une étude de Pew Research de juin 2020, a indiqué que les Américains sont majoritairement favorables à ce nouvel outil de résolution de crimes, 48% ont déclaré qu'il était acceptable pour les sociétés d'ADN de partager les données génétiques des clients avec la police et seulement un troisième s'oppose au " idée d'empiètement sur la vie privée ».

    "Il n'y a pas d'uniformité entre les États concernant la durée de conservation de l'ADN et des données connexes", a déclaré Sonia Suter, professeur à la faculté de droit de l'Université George Washington. Elle a ajouté que certains États "exigent des efforts actifs de la part de la personne reconnue innocente afin d'effacer les dossiers et de détruire l'ADN".

    Parce que les enquêtes ADN ont été si fructueuses et qu'il y a si peu de réglementation, la police utilise et conserve de plus en plus les informations ADN "de personnes qui n'ont pas été condamnées ou même arrêtées pour un crime", a déclaré Suter. "Si nous nous soucions de limiter la surveillance gouvernementale, nous devrions être très préoccupés par cela."

    CeCe Moore, la généalogiste génétique en chef de Parabon NanoLabs à Reston, en Virginie, a aidé à résoudre plus de 230 crimes violents. Mais il y a 10 ans, lorsqu'elle a commencé à approcher des sociétés commerciales d'ADN pour partager leurs données avec la police, elle avait des doutes quant à savoir si c'était la bonne chose à faire.

    "Chacun devrait avoir le droit de décider comment il souhaite que son ADN personnel soit utilisé", a-t-elle déclaré.

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  27. Le FBI a votre ADN dans une base de données pratique à toutes fins utiles

    Les médias grand public et le gouvernement ont énuméré un certain nombre de réussites qui ont émergé de cette tactique de « surveillance ». L'un des plus célèbres est celui de Joseph James DeAngelo, le soi-disant "Golden State Killer".

    Il était un tueur en série et un violeur qui a terrorisé la Californie à la fin des années 70 et au début des années 80 et a finalement été arrêté en 2018 lorsque l'ADN de la scène du crime a été partiellement apparié aux arrière-arrière-arrière-grands-parents du tueur avec la base de données généalogique en ligne GEDmatch. Récemment, ces bases de données publiques ont aidé à résoudre le meurtre d'une éclaireuse dans le Colorado, âgé de 60 ans, un coup de couteau à Lancaster en 1975 et ont révélé l'identité d'un tueur et de sa victime à partir de 1988.

    "En ce moment, l'ADN est utilisé pour attraper de vieux tueurs et d'autres trucs et c'est génial. Mais combien de temps avant que les flics ne s'emballent trop avec ça ? » a souligné le cinéaste à petit budget Michael Usry. (Connexe : surveillance génétique de masse : la police cherche maintenant à accéder à des échantillons de sang de nouveau-nés pour créer une base de données ADN pour de futures enquêtes criminelles.)

    Usry a appris qu'il était suspect dans le meurtre en 1996 d'Angie Dodge, 18 ans. En décembre 2014, il n'avait aucune idée de la raison pour laquelle deux policiers de l'État de Louisiane se sont présentés à son domicile de la Nouvelle-Orléans et l'ont invité au commissariat pour un interrogatoire. Un agent du FBI a également demandé de lui tamponner la joue pour l'ADN.

    Il était le suspect dudit meurtre parce qu'il s'était rendu à Idaho Falls, où la victime a été tuée, au cours de la même période du meurtre. Il a également réalisé un film de 2010 intitulé "Murderabilia". Le mandat de perquisition indiquait que le film "traitait d'une sorte d'homicide ou de meurtre".

    Mais plus particulièrement, lorsque les preuves génétiques de la scène du crime ne correspondaient à rien dans la base de données nationale des forces de l'ordre, la police a effectué une recherche ADN familiale sur Ancestry.com et a trouvé une correspondance étroite entre le sperme trouvé sur la scène du crime et le ADN du père d'Usry.

    Le père a fait don de sa salive à Ancestry dans le cadre d'un projet de généalogie avec son église et comme l'aîné Usry semblait trop vieux pour être un suspect, les détectives se sont concentrés sur le jeune Usry et cela a suffi pour qu'un juge délivre un mandat. Il a finalement été innocenté après que son ADN ait été testé et son nom effacé des semaines plus tard. Mais depuis lors, il est devenu mal à l'aise.

    "Je sais que mes informations génétiques personnelles sont toujours dans la base de données criminelle du FBI", a-t-il déclaré. «Ils ne vont pas simplement le jeter à cause de leur erreur. Mais qu'est-ce qu'ils en font ?"

    Visitez PrivacyWatch.news pour plus d'informations sur les efforts des forces de l'ordre pour surveiller les données personnelles sans consentement éclairé.

    Regardez la vidéo ci-dessous qui parle du DOJ qui poursuit les services de police pour avoir utilisé des bases de données ADN.

    Cette vidéo provient de la chaîne Zoon Politikon sur Brighteon.com.

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  28. Plus d'histoires liées :

    La police de l'État du New Jersey est accusée d'avoir perquisitionné et saisi sans mandat le sang et l'ADN d'un nouveau-né.

    La Chine RÉCOLTE l'ADN des Tibétains pour créer une base de données génétiques et contrôler la population.

    La juge maléfique de la Cour suprême Sonia Sotomayor défend le mandat covid jab de NYC, forçant les travailleurs à subir une reprogrammation ADN.

    Sources include:

    NYPost.com
    PEWTrusts.org
    LATimes.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-06-dna-used-to-solve-crimes-without-informed-consent.html

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  29. Association AMETIST – Retrouver la liberté de soigner et d’être soigné


    Par Collectif
    Mondialisation.ca,
    06 octobre 2022


    Le 9 septembre 2022

    Madame, Mademoiselle, Monsieur, chers amis, chers parents, chers adhérents

    Pendant ces deux années et demie de vie hors du réel, les membres de l’association Ametist disponibles ont tenté de poursuivre les buts de nos combats communs en informant le plus souvent directement par mail ou/et téléphones les parents et patients en déshérence, ne sachant plus à qui s’adresser. Nous avons dû adresser quelques patients à l’étranger pour avoir d’autres avis thérapeutiques et en particulier éviter une amputation.

    Mme Line Patras, notre présidente depuis 2019 a, en particulier, beaucoup parlé et discuté avec les parents ainsi que nos secrétaires, trésorière, et médecins conseillers fort sollicités par la pub médiatique sur le covid et le traitement de leurs enfants et adolescents.

    Nous écrivions en 2019 que le combat que mène AMETIST depuis sa création en 1990 pour la liberté de soigner en oncologie pédiatrique est de plus en plus d’actualité, car le monopole de traitement instauré par les plans cancer successifs (depuis 2003 ) rend encore plus difficile pour les médecins de choisir pour leur patient un traitement individualisé en fonction des données actuelles de la science et pour les malades d’obtenir un véritable choix entre les schémas éprouvés, et les traitements basés sur la recherche et les nouvelles molécules..

    Les établissements et les médecins sont soumis aux autorisations des agences régionales de santé dont le pouvoir s’est raffermi depuis 2009 et certains praticiens compétents et expérimentés se voient interdits d’opérer les enfants ou de les traiter par radiothérapie, alors que c’était leur pratique depuis de nombreuses années. S’en suivent des pertes de chances en chirurgie conservatrice dans les cancers osseux entre autres, comme en chimiothérapie. Ces autorisations s’imposent à tous les établissements qu’ils soient publics ou privés, conventionnés ou non. Cette autorisation ne s’obtient que s’ils appliquent chez la majorité des malades les « protocoles » imposés par l’institut du cancer.

    « Quel drame de savoir que des possibilités existent et de ne pas y avoir accès alors que les résultats sont là des décennies plus tard sous forme de témoignages d’anciens patients ayant à l’époque pu échapper au chemin tracé imposé. Ils ont pu sauver leur membre et leur vie grâce à des traitements haute couture adaptés de très près à chacun ».

    Tout cela reste plus que jamais vrai car comme nous l’avons tous vécu depuis février 2020 les médecins ont de moins en moins le droit de choisir le traitement le plus efficace pour leurs patients, le conseil de l’ordre poursuivant de plus en plus ceux qui ne suivent pas rigoureusement la doxa gouvernementale.

    Notre combat se poursuit plus que jamais afin que chaque médecin dans toute structure puisse avoir la liberté d’utiliser des traitements éprouvés publiés si c’est le choix éclairé des parents.

    Malheureusement d’autres obligations existent et/ou menacent nos enfants.

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  30. La volonté ouverte de nos gouvernants d’imposer l’injection génique expérimentale anticovid aux enfants y compris les plus jeunes est combattue par de nombreux collectifs de parents auxquels nous apportons notre aide. Nous avons participé à des campagnes d’information sur le mésusage du masque et ses dangers et sur les dramatiques effets secondaires des pseudovax chez les jeunes, pourtant à risque zéro du covid et ne transmettant pas le virus, donc chez lesquels l’injection est à bénéfice zéro et à risques importants (myocardites, troubles menstruels, maladie auto-immune, lymphomes etc… )

    Nous avons participé à des campagnes d’information sur le mésusage du masque et ses dangers et sur les dramatiques effets secondaires des pseudovax chez les jeunes, pourtant à risque zéro du covid et ne transmettant pas le virus, donc chez lesquels l’injection est à bénéfice zéro et à risques importants (myocardites, troubles menstruels, maladie auto-immune, lymphomes etc… )

    Grâce à un gros don ciblé d’une de nos bénévoles nous avons pu distribuer le livre « les enfants sacrifiés du covid ed fauves de G et N Delépine, à de nombreux députés et sénateurs, élus, par courrier en juillet 22 et par rencontre directe avec d’autres membres de l’association dans diverses régions de France, le livre permettant d’amorcer le dialogue.

    Le projet de loi visant à imposer la vaccination par Gardasil aux filles et garçons, alors que les résultats sont inquiétants, est un exemple du poids des autorités sur notre santé et notre libre arbitre. Sur les plans administratif et judiciaire, l’association se bat en France et en Europe pour faire valoir les droits des patients et des médecins.

    Ainsi, AMETIST continue à combattre pour que les enfants soient soignés en fonction des progrès réels, prouvés de la science. Nous continuons inlassablement à informer à travers les différentes conférences et réponses individuelles nombreuses par mail ou téléphone ou posées à travers les réseaux (http://association.ametist.org/ et Facebook AMETIST).

    Nous avons besoin de vous, de votre mobilisation auprès de vos amis, et connaissances, et de votre soutien financier aussi petit soit-il en ces temps difficiles . Soutenez-nous en adhérant à l’association, en la faisant connaître, en nous donnant les moyens de faire les recours juridiques qui feront bouger les choses, et d’aider les familles dont les enfants sont touchés à trouver des solutions pour avoir droit aux traitements éprouvés.

    La présidente Line Turco-Patras et le bureau

    https://www.mondialisation.ca/association-ametist-retrouver-la-liberte-de-soigner-et-detre-soigne/5671789

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  31. Coup de théâtre : des milliers d’Écossais se révoltent et refusent de payer 334 0000 dollars d’amende Covid


    By Cheikh Dieng
    7 octobre 2022


    En Ecosse, des milliers de citoyens en colère contre les mesures sanitaires refusent de payer les amendes qu’ils doivent à leur État. La somme due est estimée environ 300 000 pounds (soit 334 000 dollars)

    En Écosse, des citoyens en colère refusent catégoriquement de payer des amendes Covid qu’ils doivent à l’Etat. Une première en Europe sauf peut-être en Espagne où la Cour Constitutionnelle avait déclaré, en 2021, le confinement anti-constitutionnel avant d’exiger de l’Etat central qu’il rembourse toutes les amendes perçues.

    En Ecosse, ce n’est pas une décision de la justice, mais plutôt une initiative des citoyens de ne rien céder. C’est du moins l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue ces dernières heures du média écossais Scotsman.com. En effet, à en croire cette source, le nombre de personnes refusant de payer les amendes Covid est supérieur à 1 000.

    Par leur refus, ces derniers laissent l’Etat régional écossais dans une situation assez embarrassante car le montant colossal est estimé à environ 334 000 dollars. D’après le média écossais, environ 1 million d’amendes avaient été infligées aux citoyens, mais jusqu’ici, 1/3 de cette somme n’est toujours pas rentrée dans les caisses de l’Etat.

    D’après les informations obtenues par Scotsman.com, la question des amendes impayées, à ce jour, tracasse les tribunaux écossais qui ont été plombés par les retards dans le traitement de plusieurs dossiers en raison de la pandémie à Coronavirus. Pour le SCTS (Scottish Courts and Tribunals Services), il faudra attendre 2026 pour espérer un retour à la normale.

    Pour rappel, le gouvernement écossais avait, à l’instard de beaucoup de gouvernements en Occident, décrété un confinement dans le cadre de la lutte contre le Coronavirus. Ainsi, une amende de 480 pounds (environ 534 dollars) avait été infligée aux citoyens réfractaires qui refusaient de respecter les règles.

    Il convient de rappeler qu’en Espagne, en 2021, c’était la Cour Constitutionnelle qui s’était révoltée contre les amendes infligées aux citoyens durant la pandémie à Coronavirus, exigeant le remboursement de toutes les sommes encaissées par l’Etat. C’est du moins l’information relayée, en octobre dernier, par plusieurs sources dont El Pais.

    En effet, d’après les infirmations fournies par le journal El Pais, le verdict de la Cour Constitutionnelle avait été approuvée par 6 voix pour contre 4. Il faut dire que l’information avait été relayée le 10 septembre dernier par Lecourrier-du-soir.com, mais le verdict de la Cour n’avait été officialisé que le mercredi 27 octobre.

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  32. L’information avait été confirmée par d’autres sources dont le média espagnol, Infobae. A en croire ce média, ce verdict rendu le 27 octobre par la Cour était un coup de massue asséné au gouvernement espagnol dirigé par Pedro Sanchez, après une première invalidation du 1er Etat d’urgence par la même Cour.

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-des-milliers-decossais-se-revoltent-et-refusent-de-payer-334-0000-dollars-damende-covid/

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  33. Gros scandale sanitaire en Afrique : des sirops contre la toux tuent 66 enfants en Gambie, l’OMS ouvre une enquête


    By Cheikh Dieng
    6 octobre 2022



    Un scandale sanitaire qui commence à attiser l’intérêt tout particulier des médias occidentaux. L’affaire a commencé, il y a à peine un mois, en Gambie, pays situé en Afrique de l’Ouest où la mort de plusieurs enfants avait été constatée après l’administration d’un médicament contre la toux.

    Un mois après, l’affaire prend une nouvelle tournure après le décès de 66 ans enfants. Relayé par plusieurs sources locales et africaines, le scandale finit par faire réagir l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) qui a annoncé une enquête à ce sujet ce 05 octobre 2022.

    En effet, dans un communiqué rendu public ce mercredi et lu par Lecourrier-du-soir.com, l’OMS fait état de l’administration de 4 produits qui auraient été à l’origine de ces décès. Les produits en question sont censés lutter contre la toux et ont tous été fabriqués par un laboratoire basé en Inde et connu sous le nom de Maiden Pharmaceuticals Limited. Le plus scandaleux dans cette affaire, c’est que l’OMS confirme que le fabricant ne leur a, à ce jour, founi aucune garantie sur l’efficacité et la sûreté de ses médicaments.

    Une affaire d’autant plus grave que l’OSM confirme également qu’une analyse des échantillons a permis de confirmer que les produits contiennent des quantités inacceptables de Diéthylène glycol et d’Ethylène glycol considérés comme des contaminants. Les produits ont été identifiés en Gambie mais pourraient être retrouvés dans des marchés informels situés dans les pays voisins.

    En attendant les conclusions de l’enquête, le bilan humain est déjà très lourd : 66 enfants sont morts et en Inde, les langues se délient. Ainsi, dans une série de twittes publiés ces dernières heures, les journalistes indiens ont massivement partagé l’information avec leurs compatriotes.

    https://lecourrier-du-soir.com/gros-scandale-sanitaire-en-afrique-des-sirops-contre-la-toux-tuent-66-enfants-en-gambie-loms-ouvre-une-enquete/

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    1. Suite aux révélations des docteures Carrie Madej et Astrid Stückelberger sur la composition effroyable des expérimentations géniques d'essais frauduleusement et criminellement appelées 'vaccins' ! se pose l’inquiétante question du 'où cela s'arrêtera t-il ?! Les eaux vendues en bouteilles contiennent-elles aussi des nano-particules d'oxyde de graphène ? Le pain, le fromage, la viande, les légumes sont-ils eux aussi porteurs de mort certaine des consommateurs ?
      Comment savoir sans avoir chez soi son propre microscope a balayage électronique ?
      Après tout, ne sommes-nous pas chemtraillés tous les jours ?

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  34. Nous ne pouvons pas créer plus d'atomes, mais nous pouvons créer infiniment plus de connaissances qui rendent les atomes précieux.

    La connaissance grandit lorsque nous la consommons


    6 OCTOBRE 2022
    Par Gale Pooley


    Thanos avait raison de dire qu'il y a un nombre fini d'atomes dans l'univers. Mais il avait tout à fait tort de dire que les ressources étaient limitées. Les ressources sont des atomes qui ont été organisés de manière à créer de la valeur. Les ressources sont des atomes « intelligisés ». La connaissance est ce qui rend les atomes précieux. Le nombre d'atomes est fini, mais la croissance de la connaissance ne l'est pas. Comme le note l'économiste américain George Gilder, "la différence entre notre époque et l'âge de pierre est entièrement due à la croissance des connaissances". Consommer des connaissances crée des connaissances. Lorsque nous apprenons, nous consommons et créons des connaissances en même temps.

    Gilder propose trois principes beaux et simples : la richesse, c'est la connaissance, la croissance, c'est l'apprentissage, et l'argent, c'est le temps. De ceux-ci, nous pouvons déduire un théorème : la croissance des connaissances peut être mesurée avec le temps. Le psychologue canadien Jordan Peterson a reconnu ce théorème lorsqu'il a observé : « Si vous pouvez produire la même quantité en deux fois moins de temps, vous êtes deux fois plus intelligent. Vous avez doublé vos connaissances.

    Nous avons constaté que le prix au temps de 50 produits de base a chuté en moyenne de 75,2 % entre 1980 et 2020. Cela signifie que pour le temps nécessaire pour gagner de l'argent pour acheter un article en 1980, vous obtiendriez 4,03 en 2020. C'est 303 %. augmenter en 40 ans. Au cours de cette période, l'abondance des ressources personnelles a augmenté à un taux annuel composé de 3,55 %, doublant tous les 20 ans. Cela s'est produit au même moment où la population mondiale a augmenté de 75,8 %. Plus de gens signifient plus d'abondance parce que plus de gens découvrent, partagent, consomment et accroissent leurs connaissances.

    La connaissance n'est limitée que par le nombre d'humains libres d'agir selon leurs idées créatrices de valeur. L'économie est l'étude de la façon dont les humains créent de la valeur les uns pour les autres en découvrant et en partageant des connaissances précieuses sur les marchés libres.

    Certains pensent que notre objectif devrait être la durabilité, mais la durabilité, c'est penser, comme l'a fait Thanos, en termes d'atomes finis. La créativité, c'est penser en connaissance. Nous ne pouvons pas créer plus d'atomes, mais nous pouvons créer beaucoup plus de connaissances. Tout comme il n'y a pas de limites au nombre de chansons que vous pouvez créer avec 88 touches sur un piano, il n'y a vraiment pas de limites à la croissance des connaissances nécessaires pour de nouvelles façons d'organiser le nombre abondant, mais fini, d'atomes de notre planète.

    Vous pouvez en savoir plus sur ces faits et idées économiques dans notre nouveau livre, Superabondance, disponible sur Amazon. Jason Furman, professeur à Harvard et ancien président du Conseil des conseillers économiques, écrit que "la surabondance réussit l'exploit remarquable d'être à la fois exhaustive et divertissante". Nous espérons que vous l'apprécierez vous aussi.

    Le professeur Gale L. Pooley enseigne l'économie à l'Université Brigham Young d'Hawaï. Il est chercheur principal au Discovery Institute et membre du conseil d'administration de HumanProgress.org

    https://www.humanprogress.org/knowledge-grows-when-we-consume-it/

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    1. C'est ce que je dis depuis toujours: On ne fait pas la science on la découvre.

      (...) La connaissance n'est limitée que par le nombre d'humains libres d'agir selon leurs idées créatrices de valeur. (...)

      Effectivement chaque personne qui naît apporte une connaissance que les autres n'ont pas.

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  35. La science est sans doute la solution, mais son imaginaire est en crise

    Les jeunes se désintéressent de la science. Pourtant, comme le rappelle Alain Aspect, elle est une alliée extraordinaire pour résoudre les problèmes actuels.


    le 7 octobre 2022
    Justine Colinet


    Alain Aspect, couronné ce mardi Prix Nobel de physique 2022, est en colère.

    Il est atterré par l’extension du complotisme dans la population, y compris parmi la communauté scientifique. Interrogé sur France Inter, le physicien a exprimé son inquiétude et il a souligné en s’adressant aux jeunes :

    « La science n’est pas l’ennemie des problèmes actuels […] La science est la solution. Lancez-vous dans la science avec l’objectif de résoudre ces problèmes qui vous intéressent. »

    « La science est la solution »

    Pour lui, il est clair que la France ne manque pas de talents, mais de moyens attribués à la recherche.

    La Société mathématique de France a publié ce 4 octobre un rapport sur la réforme du lycée général, plus précisément sur le nombre d’élèves scientifiques en terminale depuis la réforme. Le rapport est axé sur une comparaison entre élèves filles et garçons, mais même sans prendre en compte cette distinction, le résultat de l’étude est sans appel : les jeunes se désintéressent de la science.

    En effet, de 2019 à 2021, le nombre d’élèves scientifiques suivant 6 heures de maths ou plus a chuté de 37 % pour les garçons et de 61 % pour les filles. La formation intensive en mathématiques a diminué de 1 % pour les garçons et de 25 % pour les filles.

    Quels sont les coupables ?

    L’effondrement de l’Éducation nationale joue bien entendu son rôle dans le désintérêt des jeunes pour la science. Emmanuel Macron veut transformer l’école mais patauge pour mettre en place des réformes réellement efficaces et pas seulement des solutions de surface.

    Pourtant, il existe des solutions.

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  36. Nelly Guet le rappelle régulièrement dans nos colonnes :

    « Il faut avoir le courage de s’attaquer au cœur de cible, la volonté de faire de l’innovation un principe organisationnel et non une fioriture. […] Il faut déclencher une transformation structurelle ascendante des programmes formels d’enseignement primaire et secondaire, notamment en sciences, grâce au développement de compétences en matière d’innovation, impliquant directement les entreprises dans le programme scientifique officiel. »

    Au déclin de l’Éducation nationale vient s’ajouter l’extension du complotisme via les réseaux sociaux. Les exemples sont nombreux, qu’il s’agisse de la crise sanitaire, du réchauffement climatique, de la guerre en Ukraine. Chaque sujet d’actualité est susceptible de faire l’objet de théories du complot plus ou moins loufoques.

    Le catastrophisme ambiant présente l’activité scientifique sous un jour particulièrement anxiogène. Nous avons connu l’alarmisme sanitaire, l’alarmisme climatique, l’alarmisme des pénuries… Tous les jours dans les médias, nous est vendue une vision particulièrement négative, morose et pessimiste de la vie et des problèmes que la recherche se propose de résoudre.

    Susciter la peur permet de promouvoir aisément un programme idéologique. Selon le psychologue Tom Stafford, les humains ont évolué vers la tendance à réagir rapidement aux menaces potentielles. Installer une culture de la peur conduit à ne pas prendre en compte les arguments rationnels et scientifiques.

    À elle seule la crise sanitaire a eu un impact important sur la perception de la science pour les individus. Ainsi, au nom de la science et de la raison, on nous a vendu les masques, les confinements, les restrictions, les interdictions et les sanctions. En instrumentalisant le discours scientifique, on a enfermé les gens chez eux, on a mis des entreprises en faillite, on a créé une crise économique. On nous a finalement vendu un projet carcéral généralisé au lieu du paradis promis par le progrès et l’innovation technologique.

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  37. Il faut cesser d’instrumentaliser la science

    La science n’enthousiasme plus les foules et la jeunesse, les acteurs de la vie de demain s’y intéressent de moins en moins. Nous connaissons aujourd’hui une crise de l’imaginaire scientifique, qui met à mal la compréhension des réels bénéfices de la science et des progrès indéniables de l’humanité. Les progrès technologiques et l’innovation permettent aujourd’hui des avancées parfois incroyables il y a quelques années, dans tous les domaines qui nous entourent.

    Qu’il s’agisse de la recherche en santé, de la technologie que vous tenez entre vos mains et que vous utilisez quotidiennement, de l’impact de l’innovation dans le domaine du marché et de l’économie, ou encore des solutions pouvant être apportés par la technologie pour le climat, la science est la solution, comme l’a souligné très justement Alain Aspect.

    Pour résoudre cette crise de l’imaginaire scientifique, il faut tout mettre en œuvre pour éviter l’instrumentalisation de la science par l’État dans le but d’accroître son pouvoir sur la société. Il faut rendre son rôle et son importance à la science, attirer la jeunesse vers ce secteur à travers l’éducation, et ne pas se laisser tenter par la voie de l’idéologie politique. La science et l’innovation sont la clé d’une société épanouie et croissante, elles doivent être au service du progrès humain et de la prospérité, pas du contrôle social et de la planification politique.

    https://www.contrepoints.org/2022/10/07/440250-la-science-est-sans-doute-la-solution-mais-son-imaginaire-est-en-crise

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    1. On ne fait pas la science, on la découvre.

      Par contre, l'expérimentation génique d'essais (frauduleusement et criminellement appelée 'vaccin') est un eugénisme comploté par les dictateurs en place.

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  38. Les pénuries alimentaires programmées : le cas des Pays-Bas

    Avec une assiduité et une constance remarquables, faisant fi des avertissements climatiques, géopolitiques et sociétaux, l’Union européenne et certains de ses États membres planifient des pénuries alimentaires pour « sauver » la planète. Voici le cas des Pays-Bas.


    le 7 octobre 2022
    André Heitz


    Des manifestations paysannes à bas bruit dans certains pays

    Il y a ce que l’on peut appeler les manifestations conjoncturelles, essentiellement liées à l’augmentation des coûts de production et l’insuffisance des mesures compensatoires gouvernementales.

    Ce fut le cas en Espagne, où les agriculteurs ont manifesté à Albacete, Bajadoz, Murcie, etc. Il y a eu des « tractorades » ; mais le mois d’août n’a, semble-t-il, pas été aussi « chaud » qu’annoncé.

    En Italie, la sécheresse et les pertes de production sont un facteur aggravant. C’est Milan qui a été bloqué en juillet, et les agriculteurs ont menacé de rouler sur Rome.

    Des manifestations ont également eu lieu en Allemagne, en particulier le 31 août 2022 à l’appel de l’organisation Landwirtschaft verbindet Deutschland (l’agriculture crée des liens en Allemagne).

    Tout cela se déroule à bas bruit. Les grands médias ne prêtent guère attention à ces événements, contrairement aux réseaux alternatifs et protestataires qui tentent visiblement de monter un mécontentement plus généralisé.

    Manifestation paysanne à la Haye, 2 octobre 2022

    Le drapeau est arboré à l’envers (le rouge est normalement en haut). Dans la marine néerlandaise, ce montage signalait autrefois un appel de détresse.

    L’État stratège a frappé aux Pays-Bas

    Ce sont les Pays-Bas qui présentent la situation la plus préoccupante. La presse française ne s’y est guère intéressée, alors même que le pays a connu des manifestations massives et parfois violentes. Signalons tout de même un article du journal Le Monde, de bonne facture, du 13 juillet 2022.

    Répondant à des objectifs européens de rétablissement de la virginité écologique, le gouvernement de M. Mark Rutte a annoncé le 10 juin 2022 un plan de réduction des émissions d’azote de 50 % à l’horizon 2030. À sa décharge – partielle – un tribunal avait décidé en 2019 que le pays devait faire beaucoup plus dans ce domaine.

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  39. S’illustre ici une dérive inquiétante de nos systèmes démocratiques : des gouvernements et Parlements incapables de gérer le présent adoptent des lois fixant des objectifs ambitieux, que l’on sait irréalistes. C’est pour camoufler leur inaction et leur incompétence, ou encore complaire à des franges influentes de l’électorat et de l’opinion dite publique. Rien de sérieux ne se produisant, les activistes saisissent des tribunaux forcément liés par les textes des lois, et aussi sous l’emprise du discours apocalyptique ambiant. Et les gouvernements – souvent nouveaux – sont sommés de prendre des mesures dévastatrices (ou trouver une autre échappatoire).

    Nous avons du reste connu le même phénomène en France avec l’Affaire du Siècle… les activistes trouvent intérêt à saisir la justice dans les pays démocratiques, pas dans les États autoritaires ou à gouvernement illibéral…

    Tous les secteurs économiques devront contribuer à l’effort, mais c’est l’agriculture, à l’origine de 46 % des émissions – de protoxyde d’azote, d’ammoniac ou de nitrates issus des engrais azotés et des effluents d’élevage – qui a été plus particulièrement visée.

    L’annonce s’est accompagnée de la publication d’une carte détaillée des objectifs et d’un budget de 24,3 milliards d’euros utilisable pour, notamment, racheter les fermes qui seraient contraintes de mettre la clé sous la porte. Cela a, du reste, ravi les populistes, les extrêmes droites et les complotistes qui y ont vu une manœuvre en faveur du Great Reset, de la grande réinitialisation ou de la soviétisation de l’économie. Même Donald Trump a apporté son soutien aux agriculteurs, certes dans un discours à l’adresse de ses compatriotes qui seraient les suivants dans la liste des victimes des « faucons de la crise climatique »…

    Des objectifs délirants de réduction des émissions d’azote

    Le plan de la ministre de l’Environnement et de l’Azote (ça ne s’invente pas !), Christianne van der Wal, et du ministre de l’Agriculture, Henk Staghouwer, prévoit des réductions pouvant aller jusqu’à 97 % dans les zones Natura 2000 et 70 % dans 131 zones adjacentes, avec un minimum de 12 %. Les provinces sont chargées de mettre au point les plans détaillés d’ici le 1er juillet 2023.

    Un premier effet de ce plan a été la démission du ministre Henk Staghouwer, qui aura été en poste pendant à peine huit mois. « Je me suis demandé si j’étais la bonne personne pour superviser les tâches qui m’incombent », a-t-il déclaré. « Je suis arrivé à la conclusion que je ne suis pas cette personne. »

    L’effet majeur porte évidemment sur l’agriculture mais aussi sur les industries d’amont et d’aval et, par voie de conséquence, sur la production agricole et alimentaire du deuxième exportateur mondial ; mais aussi sur l’ensemble du tissu social en zones rurales.

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  40. Quand un agriculteur meurt, la faim naît.

    On a avancé un objectif de réduction de… 30 % du cheptel !

    Tout aussi dévastatrice est l’incertitude que les agriculteurs subissent quant à leur avenir et à l’avenir de fermes qui sont parfois entre les mains de la même famille depuis plusieurs générations. À quoi bon investir – y compris dans les pratiques et technologies de réduction des émissions d’azote – si l’avenir n’est pas assuré ?

    Le « message honnête » du gouvernement et le cynisme bruxellois

    Selon une déclaration du gouvernement sur les nouvelles réglementations, « le message honnête […] est que les agriculteurs ne pourront pas tous poursuivre leur activité ». Le Premier ministre Mark Rutte a déclaré quant à lui qu’elles auraient « d’énormes conséquences. Je comprends cela et c’est tout simplement terrible ».

    On peut créditer M. Mark Rutte d’honnêteté face à des décisions communautaires entérinées par des juridictions européennes et nationales et quasiment gravées dans le marbre.

    Pour le cynisme, on se tournera vers Bruxelles, quartier européen (traduction) :

    « Natura 2000 n’est pas un système de réserves naturelles strictes dont toutes les activités humaines seraient exclues. Bien qu’il comprenne des réserves naturelles strictement protégées, la plupart des terres demeurent des propriétés privées. L’approche de la conservation et de l’utilisation durable des zones Natura 2000 est beaucoup plus large, largement centrée sur les personnes travaillant avec la nature plutôt que contre elle. Les États membres doivent toutefois veiller à ce que les sites soient gérés de manière durable, tant sur le plan écologique qu’économique. »

    « Les États membres doivent toutefois veiller »… quasiment sans émissions d’azote au Pays-Bas, autant exiger la quadrature du cercle.

    Mme Christianne van der Wal-Zeggelink :

    « Je viens de recevoir le plan d’attaque du paysage. Un plan axé sur un paysage diversifié avec des canaux, des fossés, des berges boisées et des rangées d’arbres. C’est important pour relier l’agriculture et la nature. Il est bon que nous travaillions ensemble avec un grand nombre de parties sur ce sujet. »

    Gerrie Kleene-Jager :

    « C’est l’extinction de l’agriculture et de ses agriculteurs au lieu de connecter l’agriculture et la nature. Tu ne comprends vraiment pas, hein ! Faire des politiques sans tenir compte des conséquences… »

    https://www.contrepoints.org/2022/10/07/440087-les-penuries-alimentaires-programmees-le-cas-des-pays-bas

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    1. (...) Des objectifs délirants de réduction des émissions d’azote

      Le plan de la ministre de l’Environnement et de l’Azote (ça ne s’invente pas !), Christianne van der Wal, et du ministre de l’Agriculture, Henk Staghouwer, prévoit des réductions pouvant aller jusqu’à 97 % dans les zones Natura 2000 et 70 % dans 131 zones adjacentes, avec un minimum de 12 %. Les provinces sont chargées de mettre au point les plans détaillés d’ici le 1er juillet 2023. (...)

      Ordre de supprimer ... l'air !! 78,06 % de notre atmosphère est composé d'azote !!

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  41. Je suis donc bien un complotiste !


    le 6 octobre 2022


    Ce billet est une retranscription de mémoire de la conversation que j’ai eu ce soir mardi avec ce jeune diplômé d’une école belge de formation de conseillers auprès des décideurs politiques que j’avais déjà rencontré. Ce jeune homme se trouvait à Moorea dans le même petit hôtel en bord de mer mais nous n’avions pas eu l’occasion de reprendre la discussion que nous avions entamé plusieurs jours auparavant au sujet du “changement climatique”. Ce mardi soir je suis donc revenu à la charge quand ce jeune homme dont j’ignore le prénom a abordé à nouveau le sujet en commençant par la montée des eaux océaniques qui menacent de nombreux pays dans le monde. Je lui ai alors rappelé que la barrière de corail entourant partiellement l’île de Tahiti datait de moins de 30 000 ans et qu’elle s’est formée grâce à la montée du niveau des mers consécutive à la fin de la dernière glaciation ayant eu pour conséquence une fonte rapide des calottes glaciaires de Scandinavie, des Alpes, du Canada et de bien d’autres régions.

    Oui, mais 99 % des scientifiques sont d’accord pour admettre que le niveau des eaux océaniques va encore monter à cause du gaz carbonique !
    Pourquoi pas, ai-je rétorqué, mais il ne faut pas oublier que le gaz carbonique est le principal nutriment des plantes et du phytoplancton. Malgré cette augmentation du taux de gaz carbonique l’atmosphère terrestre est paradoxalement beaucoup plus pauvre en ce gaz que du temps du carbonifère ou des dinosaures, ai-je dit.

    Oui, mais le gaz carbonique contribue au réchauffement du climat !

    Cette affirmation est fausse : les bandes d’absorption du gaz carbonique dans le domaine infra-rouge sont noyées par celles de la vapeur d’eau que les éminents membres du GIEC (IPCC) ont oublié d’inclure dans leurs simulations. De plus il y a infiniment plus de vapeur d’eau que de gaz carbonique dans les basses couches de l’atmosphère, par conséquent l’effet du gaz carbonique est négligeable.

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  42. Oui, mais il y a l’effet de serre !

    J’attendais cette remarque. L’effet de serre du gaz carbonique est une pure propagande car s’il existait il contredirait les principes fondamentaux de la thermodynamique. Je t’explique. Pour que le gaz carbonique présent dans l’atmosphère en quantités infinitésimales en regard de la vapeur d’eau soit capable de réchauffer les basses couches de cet atmosphère il faudrait qu’il se trouve dans un état excité après avoir absorbé des photons infra-rouges tel que les photons réémis soient suffisamment énergétique pour chauffer ces basses couches de l’atmosphère. L’IPCC n’a jamais précisé dans ses schémas à quelle altitude ces molécules de gaz carbonique se trouvaient pour présenter cet effet de serre. Curieux, non ? De plus les photons réémis par les molécules de ce gaz sont toujours et systématiquement moins énergétiques que ceux provenant du Soleil et affirmer le contraire est une violation du deuxième principe de la thermodynamique.

    Là j’ai senti que mon interlocuteur était à cours d’argument. Il a alors dévié la conversation sur la grande barrière de corail australienne. Merveilleux jeune homme trop convaincu de son savoir acquis dans son école et pourtant un savoir inexistant. Je lui ai tout de suite asséné une sorte de coup de grâce en lui rappelant ce que l’on s’était bien gardé de lui enseigner : les images de coraux blanchis ont été soigneusement choisies pour renforcer la propagande climatique. Il s’agit de coraux soit meurtris par des rejets d’eaux usées et polluées qui ne peuvent se diluer rapidement avec les courants. Le cas emblématique est celui de l’île de Mayotte entourée d’un lagon, une île qui ne possède aucun système de traitement des eaux usées. La principale cause du blanchiment des coraux est l’attaque virale qu’ils subissent, phénomène bien identifié mais encore mal connu et totalement hors de contrôle dans de petites zones coralliennes réparties dans le monde. Ni le soit-disant réchauffement du climat ni la tout aussi soit-disante acidification des océans ne sont responsables de ce phénomène qui existe probablement depuis que les coraux existent.

    Puisque je niais systématiquement ses arguments il fut décidé, après avoir été traité de complotiste, de mettre un terme à cette discussion. Voilà ce que l’on enseigne aux étudiants promis à un rôle de conseillers des décideurs politiques : si on ose remettre en question la propagande relative au climat, à la dégradation des conditions de vie des loutres de mer, que sais-je encore, on est traité de complotiste …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2022/10/06/je-suis-donc-bien-un-complotiste/

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  43. SOBRIÉTÉ ÉNERGÉTIQUE : LE PLAN DU GOUVERNEMENT DÉVOILÉ


    par VICTOIRE DE FONCLARE
    06/10/2022


    Le gouvernement vise la neutralité carbone d'ici 2050.

    Jeudi 4 octobre, plusieurs membres du gouvernement se retrouvent Porte de Versailles pour présenter le plan de sobriété énergétique. L'hiver s'annonce difficile mais le gouvernement est confiant.
    Baisser de 10 % la consommation totale d’énergie en 2 ans

    « La sobriété est une nouvelle manière de penser et d’agir, qui sera une des clés de notre transition écologique et de notre souveraineté énergétique. », clame Elisabeth Borne, cheffe du gouvernement. Le plan de sobriété est présenté jeudi 4 octobre et des ateliers sont prévus tout l’après-midi avec différents ministres et intervenants pour développer les aspects du projet. Parmi les objectifs phares du gouvernement, c’est la neutralité carbone en 2050. Mais avant, il faut réduire la consommation totale d’énergie de 10 % sur deux ans, et faire des économies de l’ordre de 40 %, tout cela sans succomber à des coupures de gaz ou d’électricité. Un projet ambitieux qui nécessitera une « mobilisation générale », déjà un mot d’ordre.

    De fortes réductions d’énergie pour les entreprises

    Coupures d’eau chaude dans les sanitaires, incitation au télétravail, covoiturage, réduction du chauffage dans les bâtiments vides, de nombreuses mesures sont prises pour les entreprises, et l’administration se veut « exemplaire » dans ce domaine. Du côté des transports en commun, la prise en charge par l’employeur sera exonérée d’impôt sur le revenu jusqu’à « 75 % ». Quant aux publicités lumineuses, qui avaient fait débat à la rentrée, elles sont désormais interdites entre 1h et 6h du matin, excepté dans les gares, métros, et aéroports. Confiant, Emmanuel Macron assure qu’on « passera l’hiver si on se mobilise tous ».

    https://www.economiematin.fr/news-le-gouvernement-dévoile-son-plan-de-sobriété-énergétique

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    1. D'abord 10 % (soit 2 h 24 mn sans électricité), après on passera à 50 et 100 % en 2024 ! Youpie !

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  44. La chaîne d’approvisionnement approche de son point de rupture

    « La chaîne d’approvisionnement des transports du Canada est une pierre angulaire de notre économie qui a une incidence directe et indirecte sur notre prospérité et notre qualité de vie », affirme un groupe de travail chargé d’étudier la question dans son rapport de 56 pages.

    (Ottawa ) La chaîne d’approvisionnement des transports au pays a été tellement malmenée depuis deux ans par la pandémie de COVID-19, des désastres naturels causés par les changements climatiques et la guerre en Ukraine qu’elle approche de son point de rupture.


    Joël-Denis Bellavance
    JOËL-DENIS BELLAVANCE
    LA PRESSE
    jeudi 06 octobre 2022


    Un important redressement s’impose de la part de tous les acteurs – le gouvernement fédéral, les provinces et les entreprises du secteur privé – pour éviter que la réputation du Canada comme partenaire commercial fiable soit encore plus ternie auprès des investisseurs, des clients et des pays comme les États-Unis.

    C’est le constat brutal que fait le groupe de travail national sur la chaîne d’approvisionnement qui a remis son rapport final au ministre des Transports Omar Alghabra jeudi. Ce groupe, qui a été mis sur pied en janvier, propose un train de mesures qui doivent être mises en œuvre rapidement pour que la chaîne d’approvisionnement « puisse résister aux chocs et s’adapter aux fluctuations de la demande et de la dynamique du commerce international ».

    Pour les membres de ce groupe de travail, coprésidé par Jean Gattuso, l’ancien PDG des Industries Lassonde, et Louise Yako, ancien PDG de la BC Trucking Association, il en va de la prospérité du pays. D’autant que les perturbations surviennent au moment où les ressources naturelles du Canada, notamment les minéraux critiques, sont en forte demande à l’échelle mondiale.

    La chaîne d’approvisionnement des transports du Canada est une pierre angulaire de notre économie qui a une incidence directe et indirecte sur notre prospérité et notre qualité de vie.

    Le groupe de travail national sur la chaîne d’approvisionnement

    « Le niveau de vie du Canada est directement lié à notre succès en matière de commerce international et, par conséquent, au rendement de notre système de transport. »

    Les secteurs public et privé devront d’ailleurs effectuer des investissements colossaux dans les actifs de transport maritime, routier, ferroviaire et aérien d’ici 2070. Selon une étude menée par Deloitte pour le groupe du travail, les investissements requis au cours des 50 prochaines années devront friser les 4400 milliards de dollars, soit l’équivalent de 88 milliards par année.

    Mesures immédiates

    Dans l’immédiat, des mesures peuvent être mises en œuvre pour consolider la chaîne. Entre autres choses, Ottawa doit prendre les moyens pour réduire la congestion des conteneurs dans les ports, quitte à subventionner le coût de leur transport jusqu’à ce que les terminaux de conteneurs puissent reprendre leurs activités normales.

    La congestion actuelle, qui pourrait entraîner des fermetures, s’explique par le volume très élevé de conteneurs d’importation dans les ports canadiens qui n’ont pas l’espace d’entreposage suffisant. Le groupe recommande aussi d’étendre la distance d’interconnexion de 30 km à l’échelle du pays afin de donner aux expéditeurs plus d’options ferroviaires.

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  45. La pénurie de main-d’œuvre frappe aussi ce secteur de l’économie. La solution repose en partie sur l’immigration. Ottawa devrait ainsi accélérer le traitement des demandes de statut de réfugié et d’immigration des personnes ayant de l’expérience dans les entreprises liées à la chaîne d’approvisionnement.

    Le secteur des transports souffre d’une grave pénurie de main-d’œuvre, surtout dans les secteurs ferroviaire et routier.

    Extrait du rapport

    Un nombre record de 25 560 postes de conducteurs de camion étaient vacants entre janvier et mars 2022, selon le Trucking HR Canada.

    Le groupe recommande aussi de numériser la chaîne d’approvisionnement de sorte qu’un client puisse savoir à tout moment où se trouve la marchandise. Le Canada accuse un retard dans l’utilisation de la technologie pour améliorer le transport des marchandises. « Il est urgent de mettre l’accent sur la numérisation pour être concurrentiel à l’échelle internationale et devenir un chef de file mondial ».

    De son côté, le gouvernement fédéral devrait créer et financer un Bureau de la chaîne d’approvisionnement qui veillerait à surveiller les progrès réalisés dans la mise en œuvre des changements nécessaires.

    On recommande aussi de terminer le plus rapidement possible l’élargissement à quatre voies de la route 185 reliant les provinces de Québec et du Nouveau-Brunswick. Le projet est en cours, mais sa réalisation permettra de créer un lien entre deux parties de la route qui sont ouvertes aux longs véhicules combinés.

    Dans une entrevue accordée à La Presse, le ministre des Transports Omar Alghabra a affirmé que ce dossier était la priorité absolue des prochains mois. Il a indiqué qu’il déposerait notamment cet automne un projet de loi pour moderniser la gouvernance des ports au pays et mettra l’accent sur la numérisation de la chaîne d’approvisionnement à brève échéance.

    https://www.lapresse.ca/affaires/2022-10-06/canada/la-chaine-d-approvisionnement-approche-de-son-point-de-rupture.php

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  46. Les élites mondialistes poussent leur programme de mangeur d'insectes au nom de sauver le monde du changement climatique


    jeudi 06 octobre 2022
    par: Mary Villareal


    (Natural News) À mesure que la population humaine augmente, la demande de nourriture augmente également. Et pour résoudre ce problème, le Forum économique mondial (WEF) et d'autres militants du changement climatique poussent leur programme de mangeurs d'insectes.

    L'agenda de la consommation d'insectes n'est pas une question de rire : il s'infiltre maintenant dans les médias de masse et le système éducatif comme un moyen de normaliser et même de glorifier la consommation d'insectes.

    Mais pourquoi ces superpuissances se concentrent-elles sur le fait de forcer le grand public à manger des grillons, des vers de farine et des cafards ? Un initié du WEF a déclaré qu'ils prévoyaient de briser suffisamment les gens pour détruire l'âme humaine.

    Une question très importante pour le WEF est que les humains ont trop de libertés et qu'ils consomment trop de ressources - ils veulent donc redéfinir ce que signifie être humain.

    Sur le site Web du WEF, l'organisation présente des études divertissantes qui disent qu'une bonne vie n'a pas besoin d'être heureuse ou significative. En d'autres termes, ils voient les gens comme du bétail qui devrait consommer moins de ressources.

    C'est là qu'intervient leur programme anti-insectes : avec l'utilisation de mots à la mode tels que « durabilité » et « respectueux de l'environnement », l'élite mondiale définit ce qu'est un « régime responsable » tout en faisant honte à ceux qui consomment de la viande.

    Le WEF et d'autres élites sont en plein mode de propagande pour promouvoir les régimes anti-insectes, des célébrités mangeant désormais des insectes devant la caméra et des journalistes grand public écrivant des articles pour promouvoir "l'inévitabilité" de manger ce qu'ils appellent maintenant le "micro-bétail".

    Des célébrités comme Nicole Kidman et Robert Downey Jr. font la promotion de régimes anti-insectes en mangeant des insectes vivants devant la caméra et en faisant la promotion de la « protéine de cricket » dans les émissions de fin de soirée.

    Les élites utilisent également des articles de presse pour pousser leur propagande à peine voilée, y compris la promotion de la viande synthétique, qui fait partie du même programme. Ces articles ont été classés sous des sujets liés au changement climatique pour contraindre et faire honte au monde d'adopter un régime alimentaire non naturel à base d'insectes et d'aliments synthétiques.

    Si cela ne suffit pas, le WEF pousse le même programme sur les plus influençables : les écoliers.

    Les écoles publiques de Californie utilisent maintenant des affiches qui encouragent les enfants à manger des insectes et à éduquer les autres, en disant que beaucoup de gens les mangent. Ils disent aussi que les insectes ne peuvent pas rendre les gens malades car, contrairement aux porcs et aux vaches, ils ne sont pas porteurs de maladies. (Connexe : vous mangerez les insectes : les grandes marques glissent discrètement des insectes dans votre nourriture.)

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  47. Les habitudes que les humains adoptent dans leurs années de formation les suivent généralement pour le reste de leur vie, c'est pourquoi les élites infiltrent les écoles avec leur agenda.

    Les insectes sont porteurs de maladies parasitaires
    Les élites ne parviennent pas à dire aux gens qu'il existe des études qui contredisent leur propagande. Une étude de 2019 a révélé que la consommation d'insectes pose de graves risques pour la santé humaine en raison de la transmission de maladies parasitaires.

    Dans une étude portant sur 300 élevages d'insectes, des parasites ont été détectés dans 81,33 % d'entre eux. Dans 206 ou 68,67 % des cas, les parasites identifiés étaient pathogènes pour les insectes uniquement, tandis que dans 106 ou 35,33 % des cas, les parasites étaient également potentiellement parasitaires chez les animaux.

    Dans 91 ou 30,33 % des cas, les parasites étaient potentiellement pathogènes pour l'homme, ce qui signifie que les « insectes comestibles » sont en réalité des réservoirs sous-estimés de parasites humains et animaux.

    En 2007, une autre étude portant sur la chitine (le composant structurel naturel présent dans les exosquelettes d'insectes) a révélé qu'elle pouvait provoquer des réactions allergiques chez l'homme. Il a également été démontré que le chitosane, un composé chimique à base de chitine, entraîne l'épuisement des vitamines dans le corps humain.

    Cela signifie que si les insectes peuvent montrer une bonne valeur nutritionnelle sur papier, ils peuvent être toxiques pour les humains car ils peuvent héberger des parasites, affecter le système immunitaire, déclencher des allergies et même épuiser les vitamines du corps.

    Mais malgré ces problèmes criants, les élites vont de l'avant avec leur programme, créant de fausses crises pour pousser le public à consommer des insectes et des produits synthétiques. Les élites planifient leurs plans en conduisant les gens vers une offre «diminuée» de viande et une offre croissante d'insectes et de produits alimentaires synthétiques.

    Visitez ClimateAlarmism.news pour une propagande plus extrême diffusée au nom de l'arrêt du changement climatique.

    Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur les dangers de manger des insectes.

    Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Les chercheurs sur le réchauffement climatique disent que manger des insectes est meilleur pour l'environnement que manger de la viande.

    OBEY : les Européens mangeront bientôt des insectes après que les vers de farine auront obtenu le feu vert des régulateurs alimentaires.

    Counterfeit News Network (CNN) promeut la consommation de dangereuses cigales chargées de mercure qui sont sous terre depuis 17 ans comme «l'avenir de la nourriture».

    Sources include:

    NewsPunch.com
    DailyTelegraph.com.au
    NCBI.NLM.NIH.gov
    Nature.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-06-elites-pushing-bug-eating-agenda-climate-change.html

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  48. Arnaque mondialiste meurtrière : "Le réchauffement climatique au profit des sources d'énergie alternatives, tout cela n'est qu'un gros canular"


    jeudi 06 octobre 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) « Le gouvernement mondial veut des profits massifs pour le secteur éolien et solaire. Ils veulent nous priver de beaucoup de nos libertés. – Scientifique Tom Harris

    (Article de Miranda Sellick republié de RairFoundation.com)

    Rien n'est ce qu'il semble être.

    Cette vague de chaleur qui a frappé l'Europe l'été dernier ? Il y a vingt ans, ce n'était qu'une vague de chaleur. Maintenant, vous seriez amené à croire que tout cela fait partie de l'urgence climatique que l'humanité s'est imposée.

    Une récente déclaration mondiale sur le climat, signée par 1 100 scientifiques, a fait le tour des médias sociaux, affirmant qu'il n'y a pas d'urgence climatique. Mais une étude de l'Université Cornell de 2019 a révélé que 99,9 % des études s'accordent à dire que les humains ont causé le changement climatique.

    Cependant, de plus en plus de scientifiques s'expriment pour déclarer que tout le récit du changement climatique est basé sur une science erronée et une modélisation incorrecte. Tom Harris, le directeur exécutif de l'International Climate Science Coalition, basée à Ottawa, est l'un d'entre eux. Il se décrit comme étant en train de passer "d'un climat alarmiste à un climat réaliste". Il a récemment accordé une large interview à la RAIR Foundation USA.

    Comme bon point de départ, Harris recommande la publication non gouvernementale du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat qui se concentre sur les sciences physiques. Il compte près de 1 000 pages et contient des milliers d'articles évalués par des pairs. « Celui-ci montre précisément qu'il n'y a pas d'urgence climatique. C'est le genre d'information qui est en fait censurée par le gouvernement et par les médias », déclare Harris. "J'ai rencontré Catherine McKenna, qui, bien sûr, était l'ancienne ministre de l'Environnement, et je lui ai donné une copie de ce document et d'autres documents, et son principal commentaire était que c'était lourd à rapporter à sa voiture. Et en une semaine, elle nous attaquait en tant que négationnistes du changement climatique.

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  49. Harris affirme que la hausse de température de 1,2 degré et le changement des niveaux de gaz carbonique, de méthane et d'oxyde nitreux dans le monde depuis 1880 sont mineurs et ne représentent pas une menace pour la planète. Mais la Ville d'Ottawa a utilisé ces mesures pour déclarer une urgence climatique. Tous les membres du conseil sauf deux ont voté pour supprimer la structure énergétique existante d'Ottawa et la remplacer par l'énergie éolienne et solaire. C'est le plan directeur sur le changement climatique et l'évolution énergétique. «Ce que la plupart des gens à Ottawa ne réalisent pas, c'est que selon la ville elle-même, et leurs estimations sont probablement basses, ils disent que cela va coûter 57,4 milliards de dollars. Cela représente près de 60 000 $ pour chaque homme, femme et enfant à Ottawa », explique Harris. "Pour ce faire, ils vont commencer à nous facturer, par exemple, pour se rendre au centre-ville, quiconque conduit dans le centre-ville devra payer des frais de 20 $, vous aurez des frais annuels, vous aurez des augmentations massives de l'impôt foncier et, bien sûr, les prix de l'électricité exploseront parce qu'ils veulent remplacer notre gaz naturel, qui est un combustible très propre et efficace. Ils veulent le remplacer par l'énergie éolienne et solaire.

    Le plan indique une intention de construire 710 éoliennes industrielles plus hautes que la Tour de la Paix et d'installer 36 kilomètres carrés d'énergie solaire photovoltaïque. C'est plus grand que la Ferme expérimentale d'Ottawa. Les batteries fourniront une alimentation de secours lorsque l'énergie solaire est faible, comme les nombreux mois d'ensoleillement limité en hiver et lorsque la neige recouvre les panneaux.

    "Et ils veulent faire ça soi-disant, pour sauver la planète?" dit Harris. "Le problème est que non seulement cela va coûter une fortune absolue, mais ces batteries sont très destructrices pour l'environnement. Ces batteries utilisent du cobalt. Et le cobalt est extrait par des entreprises chinoises employant des enfants au Congo, respirant de la poussière radioactive dans des conditions de travail horribles. Et puis le cobalt est expédié en Chine, où encore une fois, avec de terribles contrôles environnementaux, les batteries sont fabriquées pour les signaleurs occidentaux de la vertu verte. "Vous devez vous demander, eh bien, qu'est-ce que ce sacrifice accomplirait réellement dans le monde réel ?"

    La réponse n'est pas beaucoup. Les éoliennes tuent les oiseaux et les chauves-souris en grand nombre. Avec la croissance de l'Ontario et les éoliennes, certaines espèces de chauves-souris seront entièrement conduites à l'extinction. En Californie, des milliers d'aigles royaux ont été tués dans un seul parc éolien. Et ils ne sont pas très fiables, ne produisant de l'électricité qu'environ 30 % du temps.

    Mais le résultat net ? Vous devez vous demander quelle quantité d'émissions de gaz à effet de serre de l'humanité Ottawa produit-elle ? "Il s'avère; c'est point 0,014 pour cent. C'est environ 100e de un pour cent. Le changement réel de température si Ottawa devait maintenir ce plan incroyablement coûteux jusqu'en 2100 serait d'un millième de degré Celsius pour 60 milliards de dollars », selon Harris. « C’est bien moins que ce que nous pourrions jamais détecter. Cela va coûter 60 000 $ pour chaque homme, femme et enfant de la ville ; cela va nous rendre très vulnérables aux conditions météorologiques extrêmes, et nous aurons un système énergétique très fragile dépendant de l'énergie éolienne et solaire intermittente. Pourquoi Ottawa ferait-il cela ?

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  50. Apparemment, la Ville d'Ottawa aspire à donner l'exemple pour diriger le monde. Si le monde suivait l'exemple d'Ottawa, combien cela coûterait-il ? "Si vous faites juste des calculs simples, cela représenterait 600 billions de dollars, pour un degré", dit Harris, "mais les militants écologistes veulent éviter cinq degrés de réchauffement. Ainsi, le nombre réel est de 3000 billions de dollars. Et je ne sais pas s'il y a assez d'argent dans le monde entier. Nous devons espérer que les pays ne suivront pas l'exemple d'Ottawa.

    La Chine, qui produit deux fois plus d'émissions que les États-Unis, continue de construire des centrales électriques au charbon. Leur priorité générale est la réduction de la pauvreté et le développement. Le moyen le moins cher d'atteindre ces objectifs est d'utiliser l'énergie au charbon. En 2030, la Chine l'utilisera comme clause de sortie du traité de Paris. "Et ainsi, nous, en Occident, allons nous handicaper, nous paralyser, affaiblir notre infrastructure énergétique, affaiblir notre système économique pour rien", déclare Harris. «Parce que même si vous croyez la science de l'ONU, la situation est comme si nous perforions ce radeau de sauvetage avec une épingle. Et la Chine utilise une tronçonneuse. Et nous ignorons simplement la tronçonneuse et critiquons les gens d'Ottawa pour l'épinglette.

    Avec ce plan de la Ville d'Ottawa, l'alimentation de secours fournie par le gaz naturel serait essentielle. Mais comme un moteur de voiture qui produit moins d'émissions s'il tourne à une vitesse constante, sans s'arrêter ni accélérer, la nature intermittente de l'alimentation de secours au gaz ou au charbon produirait en fait plus d'émissions de gaz à effet de serre, selon Harris.

    Devrions-nous même nous soucier de réduire les gaz à effet de serre ? Les alarmistes climatiques parlent de dioxyde de carbone, de méthane et d'oxyde nitreux. Quelle est l'ampleur du changement climatique provoqué par ces gaz ? Selon Harris, à de très faibles concentrations, ils provoquent un réchauffement assez important. Mais au moment où vous atteignez le niveau auquel nous sommes actuellement, ces gaz provoquent un réchauffement supplémentaire minime. "C'est un peu comme peindre une grange en rouge", explique Harris. « La première couche de peinture couvre assez bien la grange; lorsque vous appliquez plus de couches, il n'y a presque aucun changement dans la couleur réelle de votre grange car la majeure partie a déjà été recouverte de peinture. Cela ne fait tout simplement pas grand-chose.

    Actuellement, le niveau est de 420 parties par million de dioxyde de carbone dans l'atmosphère, soit 0,042 %. L'azote représente 60 % de l'atmosphère. Harris et son équipe ont interviewé le professeur William Happer, un éminent physicien de l'Université de Princeton qui étudie les effets du rayonnement de l'augmentation du dioxyde de carbone, de l'oxyde nitreux et du méthane. "Ce qu'il montre, c'est qu'au niveau actuel de ces trois gaz, le réchauffement supplémentaire qui se produirait en raison d'un doublement, par exemple, du dioxyde de carbone est négligeable, moins d'un degré Celsius."

    Autrement dit, si on passait de 420 parties par million à 840, les militants du climat vous diront que ce sera une catastrophe. Mais le professeur Happer dit : "Non".

    "C'est assez évident", dit Harris, "parce que depuis 1880, le gaz carbonique dans l'atmosphère a augmenté de 50% et la température a augmenté de 1,2 degrés. C'est une augmentation si faible que si vous n'aviez pas de météorologues et de climatologues pour vous en parler, vous ne sauriez même pas que cela s'est produit.

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  51. Un regard rétrospectif sur l'histoire géologique révèle des moments où le gaz carbonique était de 840 parties par million, ou beaucoup plus. Nous sommes actuellement à l'un des niveaux de gaz carbonique les plus bas de l'histoire de la Terre, dit Harris. "Nous avons vu des moments dans le passé où le gaz carbonique était 13 fois supérieur aux niveaux d'aujourd'hui. Et c'est intéressant parce qu'à cette époque, il y a 440 millions d'années, la Terre était dans sa période la plus froide du dernier demi-milliard d'années. Ainsi, le fait qu'il y ait eu une augmentation récente de la température et une augmentation récente du gaz carbonique n'est qu'un phénomène récent. Mais il n'y a aucune corrélation qui montre que le gaz carbonique entraîne le réchauffement.

    Selon Harris et nombre de ses collègues, le gaz carbonique n'est pas à l'origine d'un changement climatique dangereux, mais d'une augmentation massive de la productivité des cultures. Les forêts se densifient et nous assistons à un verdissement de la terre. "Même la NASA - dont beaucoup sont des alarmistes climatiques - dit que notre utilisation des combustibles fossiles verdit la terre." Elle stimule également la productivité et aide à nourrir le monde. Plus il y a de gaz carbonique pompé dans une serre, plus les plantes poussent rapidement et en hauteur, consommant moins d'eau.

    L'oxyde nitreux est la prochaine pomme de discorde. Des pays comme la Hollande ont récemment introduit toutes sortes de réglementations rigides sur la réduction de l'oxyde nitreux, ce qui signifie effectivement une réduction de 30 % de l'utilisation d'engrais. Des règles similaires arriveront bientôt au Canada. Les experts disent que cela entraînera la fermeture d'environ un tiers de toutes les fermes néerlandaises. "Parce que si vous faites ce double coup dur, en réduisant l'engrais aérien, qui est le gaz carbonique, et que vous réduisez l'engrais, vous allez avoir une réduction massive du rendement des cultures. C'est vraiment un gros problème. Ces deux actions sont motivées par la peur du climat », déclare Harris.

    Harris encourage toute personne intéressée par le sujet du changement climatique à visiter un site Web appelé climatechangereconsidered.org . Vous y trouverez des informations qui soutiennent l'idée que les combustibles fossiles ont, en fait, été une bonne chose pour la société. Non seulement ils ont massivement augmenté notre niveau de vie - on ne peut le nier d'aucun côté de l'argument - mais ils ont également contribué à notre protection de l'environnement en empêchant la destruction complète des forêts britanniques, par exemple, une fois que le charbon est devenu le source d'énergie pour le pays. Il recommande également aux lecteurs de regarder le film Planet of the Humans du documentariste Michael Moore. "Les gens ont été assez choqués quand il a révélé les dégâts incroyables causés par l'énergie éolienne et solaire."

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  52. Selon Harris, nous devrions nous concentrer sur la réduction de l'énergie là où elle est rare ; nous devrions nous concentrer sur la réduction de la pollution là où c'est un problème, et le gaz carbonique n'est pas cela. "Nous avons appris à l'école primaire que c'est de la nourriture végétale. Donc toute l'idée que c'est de la pollution par le carbone, je leur dis toujours, c'est quoi ce carbone dont vous parlez ?

    Au sujet des voitures électriques, Harris a beaucoup à dire.

    "Si vous pensez qu'il est important de réduire le gaz carbonique et les autres gaz à effet de serre, restez avec votre voiture à essence." Ron Stein, ingénieur californien et auteur de Clean Energy Exploitations, nominé pour le prix Pulitzer en 2022, a effectué une analyse du cycle de vie pour montrer la quantité de gaz à effet de serre produite lorsque vous extrayez le cobalt et les divers matériaux nécessaires aux véhicules électriques, puis expédiez-les en Chine, puis chargez votre voiture, puis jetez ces matériaux hautement toxiques en fin de vie. "Il a constaté que l'analyse du cycle de vie montre clairement que cela augmente les gaz à effet de serre si vous passez aux véhicules électriques. Ce n'est qu'une des nombreuses escroqueries qui existent. Ils disent qu'ils sauvent la planète, alors qu'en réalité, ils causent beaucoup plus de dommages environnementaux », déclare Harris.

    De la panne d'électricité au Texas en février 2021 qui a tué 700 personnes aux pannes d'électricité continues auxquelles une ville froide comme Ottawa peut s'attendre si le plan vert est mis en œuvre, la vie deviendra bientôt infiniment moins confortable. «Catherine McKenney, qui est conseillère en ce moment et est la promotrice du traité de non-prolifération des combustibles fossiles, a approuvé l'évolution énergétique et les autres plans. Ottawa à moins 30, vous allez voir des milliers de personnes mourir si nous avons une panne d'électricité majeure comme eux. Nous allons en avoir un aperçu en Europe cet hiver parce que l'Europe a fait deux choses, qui vont vraiment donner très froid et faim à beaucoup de gens. L'Europe a fermé bon nombre de ses sources d'énergie les plus fiables, nucléaire, charbon, pétrole.

    Harris approuve l'énergie nucléaire comme étant propre et sûre. "Vous devez réaliser que dans l'ensemble des choses, lorsque vous comparez le nucléaire au charbon ou au gaz naturel, il y a en fait beaucoup moins d'accidents et beaucoup moins de personnes tuées à cause de tout ce qui a trait à l'énergie nucléaire. L'énergie nucléaire est probablement la source d'énergie la plus sûre de la planète.

    «Tout ce malheur et cette tristesse, nous entendons de la ville, il y a une urgence climatique; où est-il ? Pas ici maintenant ? Savez-vous sur quoi il est basé ? Il est basé sur des modèles informatiques. C'est tout ce sur quoi il est basé.

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  53. Les climatologues utilisent des modèles informatiques pour prévoir ce qu'ils pensent que sera le climat dans 50 ou 100 ans. La peur du climat n'est pas basée sur ce qui se passe dans le monde réel. Alors, qu'est-ce qui est à l'origine de la peur du climat ? «Il y a beaucoup d'intérêts acquis», dit Harris. «Gouvernement mondial, ils veulent avoir des profits massifs pour le secteur éolien et solaire. Ils veulent nous priver de beaucoup de nos libertés.

    Quelle est la qualité des modèles pour prévoir le climat si nous utilisons ce que nous savons déjà ? Assez pauvre est la réponse. "Si nous revenons 30 ans dans le passé et que nous intégrons les conditions dont nous savons qu'elles existaient, la température, la densité, la pression, tout ce genre de choses, et que nous exécutons des modèles informatiques jusqu'au présent, obtenons-nous les conditions d'aujourd'hui ?" Pas tellement.

    Ils l'appellent rétrospective, contrairement à la prévision. L'analyse rétrospective montre que l'augmentation de la température au cours des 30 dernières années devrait être trois fois plus élevée qu'elle ne l'est en réalité. "Ils sont en retard de 200 %", déclare Harris. « Et pourtant, ce sont les modèles qui sont utilisés par l'ONU, par les militants du climat par les gouvernements, par la Ville d'Ottawa, ils s'appuient sur ces modèles qui ont massivement échoué.

    Selon Harris, aucune des idées des scientifiques sur le changement climatique n'est juste. Ce qui soulève la question - où sont tous les scientifiques qui ne sont pas d'accord avec cela ? «Ils sont partout; à l'Université d'Ottawa, nous avons Ian Clark, et à l'Université Carleton, mon mentor Tim Patterson et Fred Michael. Ces personnes sont locales, mais elles ne sont pas couvertes par les médias.

    Nous ne sommes pas financés par le gouvernement, nous sommes donc autorisés à faire face à la vérité.

    Du réchauffement climatique aux sources d'énergie alternatives, tout cela n'est qu'un gros canular, dit Harris. « Si vous voulez vraiment tuer ça, vous savez, vous devez vous attaquer à la science. Parce que si vous ne le faites pas, c'est la mort par 1000 coupures.

    Read more at: RairFoundation.com

    https://www.naturalnews.com/2022-10-06-global-warming-alternative-energy-sources-big-hoax.html

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  54. ENCORE UN COMMENTAIRE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59 !)

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