PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 05:30 Écrit par CJ Hopkins via The Consent Factory,
Je sais, vous en avez probablement marre d'entendre parler de la montée du nouveau Reich normal. Vous voulez que ce soit fini. Moi aussi. Ce n'est pas fini… pas de loin. Il peut sembler que c'est fini là où vous êtes. J'imagine que c'est le cas si vous vivez en Floride, ou au Texas, ou au Royaume-Uni, ou en Suède, ou en Croatie, ou dans un autre pays ou état dans lequel la majorité des «restrictions Covid» ont été levées, ou peut-être n'ont jamais été introduites en premier lieu. Si c'est le cas, je suis content pour toi.
Il se trouve que je vis dans la New Normal Germany, la pointe actuelle de la lance New Normal, ou l'une des pointes de l'une de ses lances (ou aiguilles hypodermiques à ARNm), les autres étant des pays et des États comme le Canada, la Chine, l'Australie, New York, Californie et divers autres foyers du nouveau normalisme. Si vous vivez dans l'un de ces bastions de la Nouvelle Normalité, comme moi, vous êtes parfaitement conscient du fait que ce n'est pas fini.
Oui, le Covidian Cult est kaput. Le charme est rompu. Seuls les cultistes les plus fanatiques de la Nouvelle Normalité continuent de se promener en public avec leurs masques de peste et leurs combinaisons de matières dangereuses faites maison. Mais le Nouveau Reich Normal n'est pas kaput. Le Nouveau Reich Normal est en train d'être… eh bien, normalisé. Les masses sont systématiquement conditionnées à accepter l'État policier de biosécurité que les classes dirigeantes capitalistes mondiales ont mis en place au cours des trois dernières années. Malgré les preuves désormais irréfutables que les "vaccins" n'empêchent pas la transmission du virus, "les non vaccinés" sont toujours isolés, interdits de travail, d'aller à l'école, de participer à de grands événements sportifs, etc. Les gens sont toujours obligés de porter des masques – le symbole du nouveau Reich normal – dans les avions, les trains, les transports publics, dans les cabinets médicaux, les hôpitaux, etc. Ici, là-bas et partout, les symboles et les rituels sociaux de la nouvelle normalité s'intègrent en permanence dans la vie quotidienne.
Ces symboles et rituels sont plus que la façade du Nouveau Reich Normal. Ils sont la façon dont notre nouvelle «réalité» est créée et maintenue. Les masses sont comme des acteurs obligés d'investir émotionnellement dans la «réalité» d'une pièce de théâtre absurde. Plus ils répètent la performance, plus la « réalité » fictive devient convaincante, même si elle est manifestement absurde… et elle devient de plus en plus absurde.
Par exemple, dans les aéroports de New Normal Canada, les citoyens qui tentent d'entrer dans leur propre pays sans l'application dite "ArriveCAN" sur leur smartphone pour fournir une preuve de leur "statut vaccinal" (y compris les octogénaires qui ne possèdent pas de smartphone) sont soumis au harcèlement absurde prolongé par des clowns imbéciles de la Nouvelle Normale en gilets rouges. Ici, dans l'Allemagne de la nouvelle normalité, le gouvernement se prépare à obliger tout le monde à porter des masques d'apparence médicale en public chaque automne et chaque hiver, non seulement à cause de la «peste apocalyptique», mais aussi à cause de la grippe hivernale normale. Le prétexte n'a plus vraiment d'importance. Le point est l'affichage de l'uniformité idéologique.
Pendant ce temps, le ministère fédéral allemand de la Santé a été contraint de publier un lieu de rencontre limité concernant les blessures et les décès liés à la « vaccination ». Ils l'ont fait à la manière classique de Goebbels.
Apparemment, ils n'aimaient pas les données réelles sur le nombre d'effets indésirables graves, alors ils ont décidé de mentir à leur sujet sur Twitter.
(Des effets indésirables graves ont été signalés chez environ 1 dose sur 5 000, et non 1 personne «vaccinée» sur 5 000. Environ 184 000 000 doses ont été administrées à des personnes en Allemagne et… eh bien, vous pouvez faire le calcul.)
Naturellement, la Twitter Corporation a giflé son faux avertissement "trompeur" sur les retweets soulignant le mensonge du ministère de la Santé, parce que la vérité est ce que dit la Corporatocratie, et tout le reste est de la "désinformation".
Si vous pensez que je suis dur ou hyperbolique en qualifiant le mensonge du ministère de mensonge, gardez à l'esprit que le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, ment à plusieurs reprises au public allemand depuis plus de deux ans maintenant. Ici, il ment sur les «vaccins sans effets secondaires» en août 2021, juste au moment où il a ordonné la ségrégation des «non vaccinés» et fomenté la haine de quiconque refusait de se conformer à l'idéologie de la nouvelle normalité…
Et maintenant, des dizaines de milliers de personnes en Allemagne – au minimum, car les effets indésirables des vaccins ont toujours été considérablement sous-déclarés – ont été gravement blessées ou… vous savez, tuées, parce que Karl et ses copains fascistes de la Nouvelle Normalité ont menti à tout le monde, maintes et maintes fois, et les médias allemands ont répété ces mensonges, et les masses de la Nouvelle Normalité ont répété ces mensonges, et le gouvernement et les entreprises mondiales ont censuré, déformé et diabolisé ceux d'entre nous qui ont contesté ces mensonges en les traitant d'« extrémistes d'extrême droite », de « scientifiques négationnistes », « anti-vaccins », etc.
Et ce ne sont là que quelques exemples récents. Je ne pense pas avoir besoin de fournir une liste exhaustive. À ce stade, soit vous êtes bien conscient et capable de faire face à ce qui se passe, soit vous ne l'êtes pas, auquel cas vous vous dites tout ce que vous devez vous dire pour prétendre que ce qui se passe ne se passe pas.
Si c'est ce que vous faites, je ne peux pas vous aider. Rien de ce que j'écris ou dis ne te parviendra. Les faits ne feront aucune différence pour vous. Les responsables du gouvernement et de la santé et les têtes pensantes des médias vous mentiront, encore et encore, et se feront prendre en train de mentir, et vous continuerez à répéter catégoriquement leurs mensonges, non pas parce que vous ne comprenez pas que ce sont des mensonges, mais parce que vous ne vous en souciez pas. que ce sont des mensonges. Vous ne vous souciez pas de tuer et de blesser d'innombrables personnes avec vos mensonges officiellement approuvés, avec votre lâcheté, avec votre obéissance aveugle. Votre objectif est de rester dans les limites de la « normalité » et de ne pas être traité de beaucoup de noms et d'être ostracisé de votre cercle social, et si beaucoup de gens doivent mourir et que vous devez abandonner tout semblant d'intégrité et d'honnêteté intellectuelle pour y parvenir, qu'il en soit ainsi.
Quant au reste d'entre nous, ceux qui sont conscients de ce qui se passe et font de leur mieux pour faire face à ce qui se passe, même si nous ne comprenons pas ce qui se passe, ou si nous ne sommes pas d'accord sur la raison pour laquelle cela se passe, j'aimerais avoir quelque chose d'intelligent à offrir dans termes de la façon de le faire cesser de se produire.
Je ne le fais pas, à part ce que je préconise, c'est-à-dire une désobéissance civile organisée et non violente, comme ce que les camionneurs canadiens ont fait à Ottawa, comme ce que font les agriculteurs néerlandais aux Pays-Bas. Des colonnes comme celle-ci, des mèmes sur les réseaux sociaux, des manifestations de masse sporadiques le dimanche et des actes individuels de non-conformité ne vont pas arrêter le mastodonte de la nouvelle normalité. La normalisation de la nouvelle normalité se poursuivra, la pathologisation de la société se poursuivra, la déstabilisation et la restructuration de l'économie mondiale se poursuivront, à moins que quelque chose de vraiment historique ne se produise et que les travailleurs du monde ne s'unissent (ou si les individus souverains du monde s'unissent si "travailleurs" sonne trop coco pour vous) et enfoncez une clé à molette dans la machinerie New Normal.
Les chances que cela se produise sont minces. Au cours de mes 60 années d'existence corporelle, je n'ai jamais connu une époque où les gens étaient aussi aliénés, désespérés et à la gorge les uns des autres. Je ne me souviens pas d'une époque où les gens étaient aussi dépourvus d'humour, moralisateurs et vicieux… et je parle des gens qui pouvaient faire la différence, pas des masses New Normal qui suivaient l'ordre. S'il y a jamais eu un moment où les classes ouvrières ont dû mettre de côté leurs différences politiques et fléchir leurs muscles collectifs, c'est bien celui-ci, mais la plupart d'entre nous sont trop occupés à se pisser dessus pour marquer des points bon marché sur Twitter, ou Gettr, ou Telegram , ou, vous savez, n'importe où.
Je suis désolé de terminer sur une note aussi pessimiste… Je me remets de la peste apocalyptique, alors peut-être que je me sens trop sombre.
Probablement que tout ira bien, et les gens finiront par reprendre leurs esprits, et les classes dirigeantes capitalistes mondiales annuleront toute la nouvelle normalité, et personne n'a besoin d'organiser une quelconque campagne internationale non violente de désobéissance civile, et , un jour, nous nous réveillerons et vérifierons nos téléphones et découvrirons qu'il n'y a pas eu de nouveau Reich normal, et que personne n'est jamais mort à cause d'un vaccin, et nous vérifierons notre statut de crédit social et dirons à nos cuisines intelligentes de commencez à cuisiner nos grillons et affichez la guerre du jour sur nos ViewScreens afin que nous puissions nous enraciner pour qui nous a dit de nous enraciner… et tout redeviendra enfin «normal».
Mappé : les principales exportations et importations américaines par État
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 05:00
Les principales exportations américaines par État Les États-Unis ont exporté plus de 1,3 billion de dollars de marchandises en 2020, le deuxième montant le plus élevé au monde.
Alors que le pétrole raffiné était la principale exportation globale avec 58,4 milliards de dollars, Dorothy Neufeld de Visual Capitalist détaille ci-dessous que les exportations d'avions étaient en fait les plus élevées dans 14 États - plus que toute autre forme d'exportation.
Cette infographie d'OnDeck montre les principales exportations américaines par État, en utilisant les données de janvier 2022 du U.S. Census Bureau.
Les principales exportations américaines, par catégorie Comme indiqué ci-dessous, la Floride, le Kansas et de nombreux autres États ont tous des avions (et des pièces connexes) comme principale exportation.
Voici la première catégorie d'exportation pour chaque État, en utilisant les chiffres de 2020.
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Alors que la grande majorité de l'industrie aérospatiale et de la défense consiste en des exportations d'aérospatiale civile, l'Amérique a également joué un rôle important dans les exportations d'avions militaires. Entre 2000 et 2020, ceux-ci valaient 99,6 milliards de dollars, le plus élevé au monde devant les 61,5 milliards de dollars d'exportations militaires de la Russie. Cela devient moins surprenant si l'on considère qu'un nouvel avion de chasse peut souvent coûter 100 millions de dollars.
Mais il y avait beaucoup d'exportations différentes et plus intéressantes. La principale exportation du Dakota du Sud n'est autre que la lie de brassage, qui est le sédiment trouvé dans le brassage de la bière. Les plus gros importateurs de ces lies sont le Mexique, le Vietnam et la Corée du Sud. Souvent, la lie est vendue aux agriculteurs pour être utilisée dans l'alimentation animale.
Pendant ce temps, la principale exportation de la Pennsylvanie, de l'Indiana et de l'Illinois est la médecine, tandis que la Caroline du Nord a des vaccins et des anticorps comme principale exportation. En 2020, les États-Unis ont exporté pour plus de 46 milliards de dollars de biens essentiels à la lutte contre le COVID-19, le deuxième plus élevé après la Chine (105 milliards de dollars).
En tant que plus grand exportateur de pétrole en Amérique, le Texas produit plus de 5 millions de barils de pétrole chaque jour, soit 1,7 milliard par an. La principale exportation du Mississippi était également le pétrole, tandis que le pétrole léger était la principale exportation du Minnesota et du Dakota du Nord. Dans l'ensemble, le pétrole représente environ 10 % des exportations américaines annuelles.
Les exportations les plus uniques, par État Alors que le pétrole, les médicaments et les avions sont les suspects habituels des principales exportations américaines, voici les exportations les plus idiosyncratiques pour chaque État. Ceux-ci sont définis comme ceux qui sont exportés par le plus petit nombre d'autres États.
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L'Arkansas est le premier exportateur de riz en Amérique, avec une industrie évaluée à 722 millions de dollars. L'industrie du riz dans l'Arkansas a commencé à se développer considérablement au début des années 1900 et s'est développée encore plus rapidement pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale.
New York, en revanche, exporte plus de sculptures que tout autre État grâce à son épicentre du monde de l'art. Les États-Unis ont exporté plus de 12 milliards de dollars d'art et d'antiquités en 2019.
Le homard est l'exportation la plus unique du Maine, connue pour ses grandes pinces caractéristiques. La côte nord du Maine offre des eaux fraîches qui se prêtent à des plats de homard plus tendres et plus sucrés.
Enfin, le Massachusetts exporte des perles de quahog, connues pour leur texture inégale et leur motif en mosaïque, trouvées à Cape Cod.
Les principales importations américaines par État En 2021, les États-Unis ont importé pour environ 2,83 billions de dollars de marchandises de leurs divers partenaires commerciaux internationaux.
Mais comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist (et répond ci-dessous), quels types de marchandises sont le plus souvent importés dans différentes parties de l'Amérique ? Ce graphique d'OnDeck montre la principale importation dans chaque État américain, en utilisant les données de janvier 2022 du US Census Bureau.
Les catégories les plus populaires d'importations américaines Le pétrole est l'importation la plus populaire dans 12 États, ce qui en fait l'importation la plus courante à travers l'Amérique. En 2021, environ 72 % du pétrole importé était du pétrole brut, qui a ensuite été raffiné au niveau national en produits comme l'essence, le diesel ou le carburéacteur.
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La majorité de ce pétrole importé provenait du Canada, tandis qu'environ 11 % étaient importés des pays de l'OPEP et 8 % provenaient de la Russie. Bien sûr, ce dernier chiffre baissera probablement en 2022 en raison de l'interdiction des importations russes mise en place par l'administration Biden en réponse au conflit russo-ukrainien.
Après le pétrole, les véhicules et les médicaments étaient à égalité au deuxième rang des biens les plus importés, les deux catégories étant les importations les plus populaires dans six États chacune.
Un peu liés à la médecine sont les acides nucléiques, qui étaient les principales importations en Floride et au Nebraska. Les acides nucléiques sont des polymères naturels qui sont utilisés dans des processus biologiques tels que la synthèse des protéines ou la traduction de l'ARN messager (ARNm). Il convient de noter que plusieurs vaccins COVID-19, y compris ceux produits par Moderna et Pfizer-BioNTech, sont des vaccins à ARNm.
Les importations américaines les plus uniques En plus de décrire les importations les plus populaires dans chaque État américain, OnDeck met en évidence l'importation la plus unique de chaque État, visualisée dans le graphique ci-dessous.
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OnDeck définit l'importation "la plus unique" de chaque État comme la catégorie de marchandises qui a été importée par le moins d'autres États.
Le saumon était l'importation la plus unique de la Floride. Cela a du sens étant donné que le Sunshine State abrite certains des plus grands grossistes de fruits de mer du pays, notamment North Star Seafood (propriété de Sysco) et Tampa Bay Fisheries.
Un autre exemple est les importations élevées d'ananas du Delaware, totalisant environ 60,2 millions de dollars d'ananas par an. Cette fois, le coupable est Dole plc (anciennement Dole Food Company), le plus grand producteur de fruits et légumes au monde. Jusqu'en 2021, le siège social de la société était basé dans le Delaware, et elle reçoit toujours des importations d'ananas vers le port de Wilmington, dans la plus grande ville de l'État.
Chaque Américain produit 1 700 livres de déchets chaque année, faisant des États-Unis le pays le plus gaspilleur au monde.
Comme le détaille Bruno Venditti de Visual Capitalist ci-dessous, environ la moitié des déchets annuels du pays rencontreront leur sort dans l'une des plus de 2 000 décharges actives à travers le pays.
Dans ce graphique de Northstar Clean Technologies, nous cartographions et comparons les déchets d'enfouissement de différents États par habitant, en utilisant les données de l'Agence américaine de protection de l'environnement.
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États avec les tonnes de déchets les plus élevées par personne Les États industriels du Haut-Midwest et de l'Est se classent en bonne place sur la liste des déchets par habitant, le Michigan, l'Indiana, la Pennsylvanie, l'Illinois et l'Ohio occupant les cinq premières places.
La disponibilité d'espaces d'enfouissement bon marché dans le Michigan attire les déchets transportés par camion de l'extérieur de l'État et même du Canada. En effet, en vertu de la clause de commerce de la Constitution américaine, les déchets sont considérés comme une marchandise et les États et les comtés ne peuvent pas restreindre son importation ou son exportation depuis d'autres États ou même d'autres pays.
L'État est également confronté à des défis en matière de recyclage. Le taux de recyclage à l'échelle de l'État du Michigan est d'environ 18 %, tandis que le taux de recyclage national est de 32 %.
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Certains États accumulent de nouveaux déchets de décharge plus rapidement que d'autres. L'Indiana est en tête du pays avec un «taux d'acceptation des déchets d'enfouissement» annuel de 2,35 tonnes par an et par habitant.
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États avec le moins de tonnes de déchets par personne Les États moins peuplés tels que le Wyoming, l'Idaho, le Maine, le Vermont et le Dakota du Nord et du Sud se classent tous parmi les États avec le moins de déchets de décharge par habitant.
En grande partie parce qu'il accepte considérablement moins de déchets en volume que la plupart des autres États, le Connecticut héberge les déchets les moins enfouis par personne, avec seulement 8,7 tonnes par habitant.
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Les déchets alimentaires, les plastiques et les produits en papier représentent plus de la moitié des déchets dans les décharges américaines, mais d'autres produits comme le verre et les métaux, par exemple, peuvent avoir un impact significatif sur l'environnement.
Une opportunité de plusieurs milliards de dollars
L'industrie de la construction est l'une des principales sources de déchets. Chaque année, environ 12 millions de tonnes de bardeaux d'asphalte usagés sont déversés dans des décharges à travers l'Amérique du Nord.
Cependant, ce matériau peut être réutilisé pour créer de nouveaux matériaux comme la fibre, l'asphalte liquide et les granulats de construction, générant des revenus tout en luttant contre le changement climatique. Chez le voisin canadien, par exemple, la récupération et le retraitement des bardeaux représentent déjà un marché de 1,3 milliard de dollars.
Dans ce contexte, la réutilisation des déchets est non seulement devenue essentielle pour minimiser les déchets, mais aussi pour créer de nouvelles opportunités commerciales à l'avenir.
Comment les planificateurs centraux sèment les graines de la ruine économique
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 23 JUILLET 2022 - 20:30 Rédigé par MN Gordon via EconomicPrism.com,
Aujourd'hui, sous la forme d'un prédicateur du dimanche, nous commençons par quelques lignes du Bon Livre. La version King James est utilisée pour ajouter de la rhétorique.
« Et il leur dit beaucoup de choses en paraboles, disant : Voici, un semeur est sorti pour semer ; Et quand il sema, quelques graines tombèrent le long du chemin, et les oiseaux vinrent et les dévorèrent. Quelques-uns tombèrent sur des lieux pierreux, où ils n'avaient pas beaucoup de terre, et aussitôt ils poussèrent, parce qu'ils n'avaient pas de profondeur de terre. Et quand le soleil était levé, ils étaient brûlés; et parce qu'ils n'avaient pas de racine, ils se sont desséchés. Et certains sont tombés parmi les épines; et les épines poussèrent et les étouffèrent. Mais d'autres tombèrent dans la bonne terre et produisirent du fruit, les uns au centuple, les autres soixante, les autres trente. Qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende. (Matthieu 13:3-9)
Pour nos besoins, le sens dérivé de la parabole est ajusté de ce que Jésus voulait. Avec des intentions honnêtes, nous le reconnaissons dès le départ. Et nous procédons avec réflexion et humilité.
La terre, sans aucun doute, offre une puissante métaphore. Nous avons l'intention de l'utiliser pour mieux comprendre la folie financière destructrice qui s'est produite au cours des 50 dernières années.
Alors que le semeur dans la parabole peut être un prédicateur, les graines peuvent être la vérité, et la récolte peut être la réceptivité variée au Royaume des Cieux. Le semeur peut également être représenté par les imprimeurs de monnaie du gouvernement, les graines par les dollars américains et la récolte par la croissance économique.
Dans les meilleures conditions, une récolte de blé n'est pas produite en un jour. Cela nécessite de la préparation, de la culture et de l'eau. Il faut du travail, de la patience et finalement un peu de chance pour récolter une récolte abondante.
Les raccourcis et la léthargie sont punis. Une graine ne fleurira pas si elle est semée dans l'asphalte. Une graine ne fleurira pas non plus si les champs ne sont pas entretenus. Lorsqu'elles ne sont pas correctement cultivées, les graines peuvent être consommées par les oiseaux, leur croissance précoce étant étouffée par les mauvaises herbes ou brûlée par le soleil.
Mais dans de bonnes conditions, une graine peut pousser systématiquement et sans relâche. Et offrez l'abondance aux multitudes.
Les imprimeurs de billets américains ont imprudemment semé des dollars dans des endroits stériles au cours des 50 dernières années. Ils ont gaspillé des opportunités de plus grande croissance économique en saupoudrant de l'argent basé sur la dette dans des domaines avec peu ou pas de potentiel de productivité.
La richesse accumulée par la nation, accumulée au cours de plusieurs siècles, a été dilapidée. À l'exception de l'itinérance endémique, des masses de personnes à charge, d'un gouvernement fédéral colossal, d'une armée gonflée, d'institutions en disgrâce, de niveaux d'endettement impossibles à rembourser honnêtement et de tout le reste, les imprimeurs d'argent ont du squat pour montrer leurs efforts.
Lorsque l'hystérie du coronavirus a contraint les intervenants du gouvernement à bloquer l'économie en 2020, les imprimeurs de billets ont répandu des graines de déchets avec un enthousiasme accru. Plus de 5 000 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres adossés à des créances hypothécaires ont été achetés avec un crédit créé à partir de rien.
D'abord, une énorme bulle boursière et obligataire s'est gonflée. Suivie d'une autre bulle immobilière résidentielle monstre. Au fur et à mesure que ces bulles d'actifs se dégonflent, la mauvaise allocation flagrante du capital et des déchets devient horriblement claire.
Les imprimeurs d'argent ont également dirigé le capital, sous forme de chèques stimmy, vers le peuple. Ces chèques stimmy étaient des cacahuètes par rapport à l'argent qui a été injecté dans les marchés financiers. Mais, néanmoins, ils ont permis aux gens de réclamer des biens et des services sans production proportionnée. Le taux officiel d'inflation des prix à la consommation de 9,1 % d'aujourd'hui ne devrait pas être une surprise.
Il y avait aussi le programme de protection des chèques de paie (PPP), qui accordait aux petites entreprises des prêts pouvant atteindre 10 millions de dollars qui étaient remboursables s'ils étaient utilisés pour la paie et d'autres dépenses. Des estimations récentes ont déterminé que plus de 117 milliards de dollars sur les 780 milliards de dollars de ces prêts fédéraux sont allés à des entreprises non éligibles. De plus, sur les centaines de milliards de dollars qui sont allés aux entreprises éligibles, combien sont allés à des efforts productifs ?
Selon notre estimation, presque tout a été gaspillé…
Main invisible "Ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous attendons notre dîner", notait Adam Smith dans La richesse des nations, "mais de leur souci de leur propre intérêt".
Les planificateurs centraux refusent d'accepter cela. Ils peuvent consommer du café cultivé, fourni, torréfié, moulu et brassé par une entreprise privée à profit pendant qu'ils se dirigent vers le bâtiment du Capitole. Pourtant, une fois arrivés, ils se mettent au travail avec leurs programmes pour intervenir dans l'économie et diriger le flux de capitaux vers leurs programmes préférés.
Après deux ans d'intervention gouvernementale la plus extrême de l'histoire des États-Unis, l'économie se contracte. Le produit intérieur brut (PIB) du premier trimestre 2022 a affiché un taux de croissance annualisé de moins 1,6 %. Les résultats du PIB du deuxième trimestre seront publiés la semaine prochaine. Ils seront probablement négatifs aussi.
En fait, selon les prévisions GDPNow du 19 juillet 2022 de la Fed d'Atlanta, le PIB du deuxième trimestre 2022 s'est contracté à un taux annuel négatif de 1,6 %. Ce qui donne?
Très franchement, la planification centrale ne parvient pas à diriger le capital là où il est le plus apprécié. Pour qu'une économie puisse récolter les bénéfices de l'argent dépensé, l'argent doit être dépensé par quelqu'un qui assume la responsabilité de la façon dont il est dépensé.
Lorsque les gens échangent entre eux, ils le font dans la perspective d'être mieux lotis qu'avant. Sinon, ils ne commerceraient pas en premier lieu.
Les transactions de biens et de services, libres d'intervention gouvernementale, encouragent des décisions compatibles avec l'utilisation prudente des ressources. Au fur et à mesure que ces décisions prudentes se reproduisent, de haut en bas de l'économie, guidées par une main invisible, comme l'a d'abord élaboré Adam Smith, l'abondance est créée. Et les gens vivent mieux.
Comment les planificateurs centraux sèment les graines de la ruine économique Lorsque la main visible des planificateurs centraux est imposée à une économie par le biais d'édits et de diktats, l'argent n'est plus dirigé là où il est le plus apprécié. Au contraire, il est gaspillé sur des choses qui ont peu de valeur économique. Et l'abondance est soustraite à l'économie.
Pour que des bénéfices soient générés dans une économie de marché, un vendeur doit fournir des produits ou des services que les gens veulent à des prix qu'ils trouvent favorables. Les entreprises profitent dans la mesure où elles servent le public et répondent à ses besoins et à ses désirs.
Les planificateurs centraux peuvent dire qu'ils favorisent la croissance des économies et la prospérité. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, un grand étatiste du gouvernement, soutient la croissance économique. Il pense simplement que le grand gouvernement fournit les meilleurs moyens et méthodes pour y parvenir.
Peut-être que Newsom et ses semblables devraient tenter de mieux comprendre les conditions qui rendent réellement la prospérité possible.
Les économies ne peuvent pas croître lorsqu'elles sont étouffées par les mauvaises herbes des réglementations et des taxes confiscatoires. Ils ne peuvent se développer dans un environnement où les droits de propriété privée ne sont pas respectés et protégés par l'État de droit. De même, ils ne peuvent pas fonctionner efficacement lorsque l'argent de la presse à imprimer est semé dans des activités inutiles par la main lourde des planificateurs centraux.
Le fait est que toute prospérité dont vous avez joui n'est pas due au gouvernement. C'est malgré ça.
La main visible du gouvernement sème les graines de la ruine économique.
Les planificateurs centraux ont récolté une économie contrôlée, avec un assemblage stagnant et immuable d'obstructions qui restreignent le potentiel de développement, de productivité et d'ingéniosité. Quelle que soit la créativité tentée, elle est rapidement étouffée car il n'y a pas de sol dans lequel elle est autorisée à se développer et à s'épanouir.
Si les politiciens voulaient vraiment faire quelque chose pour améliorer l'économie, ils cesseraient d'être aussi intelligents. Ils supprimeraient les mesures de relance dirigées par le gouvernement et permettraient aux capitaux de circuler librement vers les entreprises les plus productives. Ils réduiraient les réglementations gouvernementales, réduiraient les impôts et laisseraient les citoyens les plus productifs s'épanouir et créer de vrais emplois.
Hélas, personne à Washington n'a la sagesse, la retenue, l'humilité et le sacrifice politique pour laisser cela se produire. Ainsi, la récolte économique sera maigre cette année. Et l'année prochaine aussi.
Nous sommes au 21 ème siècle et AUCUNE dette n'est validée ! L’essor de la machinerie, ordinateurs ont fait que 'le travail se fait seul' et crée de l'abondance. De plus il n'y a AUCUNE pénurie de quoi que ce soit mais seulement des rétentions de produits pour créer de la rareté et les prix de monter. Résultat des courses: alors que nous devrions être TOUS riches à millions nous sommes 'TOUS' pauvres.
D'un côté il y a les pays producteurs-exportateurs de blé qui s'enrichissent à l'exportation (comme pour le pétrole), et d'autre part le prix du blé aux pays producteurs est cher aux consommateurs locaux ! (bien sûr c'est une bouffée d'air pur pour les céréaliers oui mais... le prix du gasoil (tracteurs, moissonneuses-batteuses, etc) est à la hausse comme celui des pièces détachées pour matériel agricole et le prix plafond pour les engrais et produits de traitements contre les maladies des plantes et insectes destructeurs.
Le bouleversement de l'inflation au Panama provoque des pénuries de nourriture et de carburant
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 23 JUILLET 2022 - 17:00
Cela a commencé comme une grève des enseignants pour protester contre le coût élevé du gaz, mais c'est maintenant le plus grand trouble civil au Panama depuis la fin du règne du dictateur Manuel Noriega en 1989.
Avec des barrages routiers enflammés perturbant le commerce et provoquant des pénuries de nourriture, de carburant et d'autres fournitures, le gouvernement panaméen a entamé une nouvelle série de pourparlers destinés à apaiser les masses et à éviter de nouveaux dommages économiques, que certains évaluent à 500 millions de dollars et plus.
Le président Laurentino Cortizo avait déjà pris deux mesures majeures pour apaiser les troubles, seulement pour qu'ils se poursuivent.
Le 11 juin, il a élargi les subventions pour étendre le gel des prix de l'essence à tous les consommateurs, plafonnant le prix à 3,95 dollars le gallon, soit 24 % de moins que le prix de fin juin. Il a également promis de poursuivre le plafonnement des prix sur 10 produits de base, dont les pâtes, la longe de bœuf, l'huile végétale et les sardines en conserve.
Alors que les manifestants réclamaient des réductions de prix à l'échelle de l'économie et une augmentation des dépenses d'éducation et de santé, les manifestations se sont poursuivies, non seulement sous la forme de marches et de grèves, mais également sous la forme de barrages routiers sur les principales autoroutes, y compris l'autoroute panaméricaine d'importance internationale. Le canal de Panama a jusqu'à présent échappé aux perturbations ; les grèves des travailleurs du canal sont illégales.
Le week-end dernier, Cortizo a annoncé un accord par lequel le gouvernement réduirait à nouveau le prix de l'essence, cette fois à 3,25 $. Cette réduction de prix a été offerte en échange de l'assurance que les barrages routiers seraient levés pendant que les discussions sur l'allégement des prix des médicaments et d'autres produits essentiels se poursuivaient.
Cependant, lundi, les dirigeants de l'Alliance nationale pour les droits des peuples (Anadepo), une coalition de manifestants représentant les syndicats, les organisations civiques et les peuples autochtones, ont annoncé qu'ils rompaient leur engagement, affirmant qu'ils avaient conclu l'accord sous la pression. Certains groupes ont dit qu'ils n'étaient pas représentés dans les négociations.
L'administration Cortizo a accepté de revenir à la table des négociations hier, avec d'autres pourparlers négociés par l'archevêque catholique de Panama. Toribio García, un dirigeant d'une région semi-autonome, a déclaré que tout prix du gaz supérieur à 3,00 $ n'était "pas négociable".
L'inflation des prix n'est pas le seul moteur des protestations. Comme le rapporte l'agence de presse internationale espagnole EFE :
Les manifestants ont également concentré une grande partie de leur colère sur la corruption, criant des slogans exigeant la fin du « vol » de l'argent public ; pour sa part, le célèbre auteur-compositeur-interprète et activiste panaméen Ruben Blades a écrit dans un communiqué que le problème est omniprésent au sein d'un appareil d'État qui a « institutionnalisé la corruption ».
Dans des remarques à l'Efe, Jose Eugenio Stoute, membre de l'organisation Poder Ciudadano, a fait écho à ces sentiments, affirmant que des familles entières de législateurs bénéficient de contrats publics gonflés et reçoivent des salaires exorbitants.
En même temps qu'il annonçait la première réduction du prix de l'essence, le président Cortizo a déclaré que les institutions publiques commenceraient à réduire la masse salariale de 10 %, tout en instituant des réductions budgétaires et des restrictions sur les voyages à l'étranger des employés du gouvernement.
Cela ne suffira peut-être pas à empêcher le bouleversement de se transformer en une révolution totale contre un gouvernement considéré comme vivant bien sur le dos des gens ordinaires. Plus tôt, des membres du Parti révolutionnaire démocrate au pouvoir ont jeté de l'huile sur le feu lorsque des photos les ont capturés en train de boire 340 dollars de bouteilles de whisky Macallan tout en célébrant le début d'une nouvelle session législative.
Cette semaine, le maire de Panama City, José Luis Fábrega, est sous le feu des critiques après avoir été photographié en train de faire du shopping dans un magasin cher d'un quartier exclusif de Madrid, alors que des troubles se sont emparés de sa ville. Plus tôt dans la semaine, un journaliste a déclaré avoir contacté le bureau du maire pour lui demander de confirmer qu'il quittait le pays. Le personnel lui a dit : « C'était le frère. Il lui ressemble beaucoup. Maintenant, le bureau du maire dit que Fábrega est en effet en Espagne – pour voir un médecin.
Avec une monnaie indexée sur le dollar américain et des revenus stables provenant de son canal vital, le Panama est un pays stable depuis des décennies. Maintenant, cependant, le Panama est un canari dans une mine de charbon, ce qui montre que des troubles mondiaux beaucoup plus larges pourraient bientôt être sur nous.
Contes amusants d'un goulot d'étranglement du charbon en Allemagne et de l'échec de la planification
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 15:20 Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
L'Allemagne est de plus en plus dépendante du charbon, mais le niveau des rivières est trop bas pour le transporter. Comparons également l'échec de l'Allemagne à planifier avec le manque de planification de Biden.
Nouvelles de la navigation, édition charbon Voici une histoire amusante sur la dépendance croissante de l'Allemagne au charbon via Eurointelligence.
L'une des statistiques les plus choquantes sur la production d'électricité allemande est que le charbon représentait environ 32 % au troisième trimestre 2021. Le charbon n'est pas seulement la plus grande source de production d'électricité en Allemagne. Sa part a augmenté, passant de 26,4 % à l'année précédente. La raison en est l'augmentation du prix de l'essence. Le retrait de trois centrales nucléaires au début de cette année, et des trois autres au début de l'année prochaine, entraînera une nouvelle augmentation de la part du charbon dans la production d'énergie. Robert Habeck [vice-chancelier d'Allemagne] veut que le charbon devienne la solution de repli au cas où la Russie couperait le gaz. Il pourrait donc y avoir une augmentation massive à court terme de la production de charbon.
Sauf que l'industrie n'est pas prête pour cela. Un gros problème est le transport. Nous avons rendu compte de la baisse du niveau du Rhin et de son rôle majeur dans la chaîne d'approvisionnement allemande. C'est là que sont transportés tous les objets lourds, comme le charbon. L'Allemagne n'a aucun problème à importer du charbon, mais a du mal à acheminer le charbon vers les centrales électriques. Outre les faibles niveaux d'eau, la capacité de l'industrie logistique allemande est utilisée pour transporter du blé et d'autres céréales depuis l'Ukraine. Le système ferroviaire est également surchargé. Les infrastructures de transport sont fixes à court terme. Et puisque la production de charbon est finalement vouée à l'échec, personne n'a investi dans des projets d'infrastructure de transport à long terme, et nous présumons que personne ne le fera.
La raison du manque d'investissement est le plan du gouvernement visant à éliminer progressivement la production de charbon d'ici 2030. Ce qu'ils n'ont pas vu venir, c'est l'inversion de la tendance à la baisse de la production mondiale qui a commencé l'année dernière et qui, nous le supposons, se poursuivra cette année. . Le projet de Habeck d'étendre davantage la production de charbon en cas d'embargo russe sur le gaz a été un choc pour l'industrie, comme le rapporte Bild. Ils n'étaient pas préparés à cela. Cela signifie que les centrales au charbon désaffectées devraient être dépoussiérées et rallumées. Ils n'ont pas non plus investi dans le personnel.
Remarquablement stupide à bien des égards Angela Merkel a mis sous cocon les centrales nucléaires pour apaiser les Verts.
Le gazoduc Nord Stream II est prêt à livrer du gaz mais est totalement fermé en raison des sanctions
Nord Stream I a besoin de réparations mais sanctionne la disponibilité limitée des pièces
Plutôt que de remettre les centrales nucléaires en production, l'Allemagne a recours à davantage de charbon, mais les contraintes d'approvisionnement entravent l'acheminement du charbon vers les centrales.
Les Verts allemands préféreraient utiliser plus de charbon que de nucléaire.
Les sanctions ont tellement fait grimper le prix du gaz naturel que l'Allemagne envisage de rationner le gaz naturel.
Le charbon est la principale méthode de production d'électricité en Allemagne, 32 % au troisième trimestre 2021 contre 26,4 %. Son utilisation est sans aucun doute plus élevée aujourd'hui.
Bravo l'Allemagne ! Notez également que le ministre allemand de la protection du climat demande plus de charbon pour produire de l'électricité
Et examinons les progrès allégués de l'UE en matière d'environnement et de changement climatique
C'est ce qui se passe lorsque vous demandez de l'énergie verte et que vous n'avez aucun plan légitime pour y parvenir.
États-Unis contre l'Allemagne Aux États-Unis, le président Biden n'avait aucun plan réaliste pour éliminer progressivement les combustibles fossiles, mais a quand même cherché à fixer des objectifs.
Heureusement, le 15 juillet, j'ai eu le plaisir de signaler Hourra ! Le sénateur Manchin tue enfin l'initiative Build Back Better de Biden
Malheureusement, Biden déclare l'urgence climatique pour exiger plus d'énergie verte.
Heureusement, je m'attends à ce que la Cour suprême annule toutes les absurdités progressistes que Biden concocte pour faire face au changement climatique. Voir le lien ci-dessus pour la discussion.
"La chaleur intense et les conditions sèches" menacent les cultures et les troupeaux américains
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 00:00
Au pire moment possible, la chaleur torride et les conditions sèches mettent en péril l'agriculture américaine - menaçant le soja, le maïs et d'autres cultures.
Selon le Wall Street Journal, la chaleur intense de la semaine dernière a mis en danger de grandes parties des États-Unis – en particulier le sud et l'ouest – pendant une période importante de la saison de croissance des cultures du Midwest.
Dans certaines parties du Kansas, de l'Oklahoma, du Texas et d'autres États, la chaleur exacerbe les conditions de sécheresse de longue durée, ce qui exerce un stress immense sur le bétail et des pâturages desséchés, et oblige les éleveurs à dépenser davantage pour l'alimentation complémentaire du bétail.
Dans l'Iowa, qui produit plus de maïs que tout autre État américain, les températures devraient atteindre 100 degrés (38°C) dans la partie ouest de l'État, selon le National Weather Service. Les principaux États producteurs de bétail, dont le Texas et l'Oklahoma, devraient voir les températures atteindre 104 degrés (42°C) au cours du week-end. Certains endroits de la région ont eu un temps extrêmement chaud et sec pendant des périodes prolongées. -WSJ
L'éleveur de bétail de l'Oklahoma, Charlie Swanson, a déclaré que les températures avaient dépassé 100 degrés chaque jour ce mois-ci, y compris une torréfaction de 114 degrés (47°C) mardi. Lorsqu'elle est combinée avec pratiquement aucune pluie, la chaleur « grille ses pâturages » - et tue l'herbe et le fourrage qu'il fait pousser pour faire paître son bétail.
Les températures élevées surviennent alors que les éleveurs de l'Oklahoma payaient déjà plus pour les aliments, les engrais, le carburant et d'autres coûts. Les coûts d'alimentation de Swanson ont grimpé d'environ 100 $ la tonne par rapport à l'année dernière, tandis que les engrais sont également plus chers. Il a récemment vendu 80 vaches à un emballeur de bœuf au Texas parce qu'il n'avait pas les moyens de continuer à les nourrir.
"Tout le monde réduit ses dépenses s'il le peut", a déclaré Swanson.
Les prix que les éleveurs reçoivent pour leur bétail ont augmenté d'environ 15 % par rapport à il y a un an, selon l'USDA, mais les producteurs ont encore du mal à atteindre le seuil de rentabilité. Les prix du foin, qui est largement utilisé pour nourrir le bétail, étaient 56 % plus élevés en avril qu'en 2021, selon un rapport de juin de la Federal Reserve Bank de Kansas City. On estime que les éleveurs de bovins ont perdu de l'argent au cours des deux derniers mois, selon une analyse des coûts et des rendements de l'Iowa State University. -WSJ
Là où il y a des problèmes, des opportunités se présentent.
Panorama Organic Grass-Fed Meats, une division de l'entreprise avicole Perdue Farms Inc., aide les éleveurs de bétail à faire face à la situation. "Par exemple, l'entreprise pourrait mettre en relation un éleveur de Bakersfield, en Californie, aux prises avec un temps sec, avec un producteur du Nebraska cherchant à acheter du bétail."
"Nous sommes l'entremetteur", a déclaré Kay Cornelius, directeur général de Panorama.
Selon les analystes de l'industrie, si la chaleur persiste à travers le pays et que la récolte de maïs de cette année ne peut pas la supporter, les coûts des aliments pour animaux augmenteront encore, ce qui fera grimper les coûts des intrants pour les éleveurs.
Eddie Sanders, un producteur de maïs de quatrième génération à Franklin, dans le Tennessee, a déclaré qu'il s'attendait à ne récolter qu'environ un tiers à la moitié de sa récolte de maïs cette année, en raison du temps chaud et sec. Il a dit qu'il espérait pouvoir sauver sa récolte de soja, mais si le temps chaud persiste en août, cela pourrait également être en danger.
"Nous sommes brûlés ici", a-t-il déclaré. "Nous sommes à la merci d'une pluie tous les 10 jours." -WSJ
Et grâce à un printemps humide, de nombreux agriculteurs du Midwest ont commencé tard à planter du maïs et d'autres cultures. Maintenant, il fait trop sec pour soutenir leur croissance dans de nombreuses régions. Selon le US Drought Monitor, près de 30 % de la production de maïs aux États-Unis et 26 % de la production de soja se trouvent dans des zones touchées par la sécheresse. Comme le note le Journal : « Le maïs pollinise maintenant dans de nombreuses parties de la ceinture céréalière, une période où les plantes ont le plus besoin d'eau. Une grave sécheresse et un stress thermique pendant la pollinisation du maïs peuvent se traduire par des pertes de rendement d'environ 9 % par jour », a déclaré Dan Quinn, agronome à l'Université Purdue et spécialiste du maïs qui travaille avec les agriculteurs de la région."
Qu'est-ce qui va bien en ce moment ?
Certaines parties de l'Illinois, de l'Indiana et de l'Iowa ont récemment reçu de la pluie, tandis que le rapport de l'USDA du 18 juillet a montré des conditions de maïs stables – et les contrats à terme sur le maïs au Chicago Board of Trade ont chuté d'environ 7 % au cours de la semaine dernière. De plus, des pluies ont été prévues pour certaines parties du Midwest, ce qui devrait apaiser certaines préoccupations concernant les récoltes.
Selon Rick Dusek, responsable des opérations nationales de la coopérative agricole CHS Inc., basée au Minnesota, « en ce moment, de nombreux yeux regardent la production nord-américaine ».
Dans les pays dits 'intelligents' il ne devrait PAS Y AVOIR un litre d'eau venu des fleuves ou des rivières qui se jette à la mer ou dans l'océan ! Car, dans un pays intelligent les canalisations devraient être faites (même depuis DES siècles) pour irriguer toutes les cultures.
Il n'y aurait donc PLUS AUCUNE SÉCHERESSE et donc plus aucune pénurie ou famine dans le monde. Oui mais, comme il en est pour l'économie (et leurs ministères) ce sont des bons à rien, des incompétents qui dirigent !
Et, tous les jours (24 h s/24) ce sont des milliers de km³ d'eau qui vont se gaspiller dans les mers & océans !
Comme il en est pour l'acheminement du gaz ou du pétrole par pipelines il devrait y avoir de l'eau qui circule.
"Tout d'un coup, ça s'est arrêté" : après avoir publié de nouveaux records quelques mois plus tôt, l'industrie du VR s'est arrêtée
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 23 JUILLET 2022 - 20:00
Il y a quelques mois à peine, les expéditions de VR (véhicules récréatifs - caravanes, mobil-home) atteignaient des sommets mensuels sans précédent, augmentant à deux chiffres par rapport aux impressions record de l'année précédente.
- voir graph sur site -
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui où, comme tout le reste de l'économie américaine qui est maintenant en récession, il y a de plus en plus de signes que le marché brûlant du VR semble se refroidir. Ces signes incluent deux fermetures d'usines prévues.
"Ouais, tout allait très bien, et il semblait que, tout à coup, c'était juste, nous avons laissé tomber des unités, et, mais c'était quand même suffisant pour nous garder, nous faire avancer et tout", Keystone RV Company Usine 41 travailleur Robert Davis a déclaré à 16 News Now. "Mais ensuite, tout d'un coup, ça s'est arrêté."
Le 23 septembre, Keystone RV Company prévoit de fermer les usines Goshen 41 et 705, éliminant 334 emplois de la production à la gestion de l'usine, du contrôle qualité à la réception, rapporte WNDU.
Lorsqu'on lui a demandé si les responsables de l'entreprise avaient expliqué pourquoi, Davis a déclaré: «Les prix élevés du carburant et les concessionnaires ne veulent pas acheter, achetez les unités que nous produisons. Donc, je suppose que beaucoup d'entre eux sont juste assis. Et donc, avec les prix du carburant comme ils sont, nous n'avons plus de commandes.
Pendant que Keystone marche le pas, Winnebago Industries parle de la conversation.
Lors d'un appel aux résultats en juin, le président et chef de la direction de Winnebago, Michael Happe, a mis en garde contre les vents contraires macroéconomiques persistants, notamment les fluctuations des taux d'intérêt, les prix de l'essence, l'inflation et le sentiment des consommateurs.
Winnebago s'attend à ce que les ventes au détail de VR chutent probablement de 17% cette année par rapport à l'année dernière. L'entreprise veillera à ce que ses expéditions soient alignées sur ces ventes. La société a identifié des jours ou des semaines "nous allons décoller ou baisser".
La RV Industry Association a révisé ses prévisions pour les expéditions en gros, prévoyant une baisse de 8,4% en 2022 par rapport à 2021, lorsque les expéditions ont atteint un niveau record l'année dernière.
78 % des eaux en bouteille analysées contaminées par des microplastiques ; soit 8 bouteilles d’eau sur 10 sont impurs
23/07/2022 par Aphadolie
Time : 1 mn 06 / [1/1]
On vous dit quelles marques en contiennent le plus.
78% des eaux en bouteille contiennent des microparticules de plastique, selon une étude
L’association « Agir pour l’Environnement » tire la sonnette d’alarme sur une matière qui « ne se dégrade pas », mais « se fragmente en microdébris, en microplastiques ».
Mettre en garde :
C’est l’objectif de l’association « Agir pour l’Environnement » qui vient de publier une étude intitulée « Eaux embouteillées – Nous buvons du plastique ! » [1].
Pour l’association, « Le plastique génère des quantités astronomiques de microplastiques qui contaminent les écosystèmes et les corps humains. Le plastique ne se dégrade pas : il se fragmente en microdébris, en microplastiques ». Partant de ce constat, « Agir pour l’Environnement » a voulu vérifier si les principales eaux en bouteille vendues en France étaient impactées.
Vittel, Cristalline, Evian, Volvic ou encore Perrier sont ainsi concernés.
Conclusion :
78% des eaux testées contiennent des microplastiques. Pour la « Vittel Kids » de 33 cl, indique l’enquête, leur nombre atteint même 121 microparticules par litre. Si l’association considère que l’origine principale de ces contaminations pourrait être industrielle, « Les sources de microplastiques ne sont pas encore bien élucidées ». Elles proviendraient ainsi de « la dégradation de l’emballage » ou « des fragments qui se détachent du bouchon ».
En 2019, l’OMS s’était déjà saisie du dossier en publiant un rapport dans lequel elle reconnaissait le phénomène de contamination généralisée des eaux, comme les rivières, les océans ou les eaux de boisson. Le tout, en ne sachant pas encore mesurer les risques sanitaires « en raison du nombre très insuffisant d’études ». L’association tire également la sonnette d’alarme quant au produit de la bouteille en plastique jetable en lui-même, qui est « Le déchet plastique le plus retrouvé dans l’ensemble des eaux d’Europe ».
Ces microparticules sont aussi bien détectées dans les selles que dans le sang et peuvent aussi bien atteindre d’autres organes comme le cerveau, les poumons ou le placenta.
L’association rappelle une des données essentielles du problème : « La pollution devient imperceptible, mais demeure bien réelle » et elle contamine « la biodiversité, le cycle de l’eau, les sols, la chaîne alimentaire et in fine nos organismes ».
Selon « Agir pour l’Environnement », 8,3 milliards de tonnes de plastiques ont été produites depuis 1950.
Dont la moitié ces quinze dernières années.
« Nous en mangeons, nous en buvons et nous en respirons. Chaque semaine, nous en ingérons en moyenne 5 grammes, l’équivalent d’une carte de crédit. », souligne l’étude.
« Le plastique provient de ressources fossiles, pétrole et gaz, qui subissent des transformations chimiques dangereuses pour fabriquer les polymères. (…) L’industrie du plastique contribue aussi fortement aux émissions de gaz à effet de serre (production, transport, incinération…) », poursuit « Agir pour l’Environnement ».
L’occasion également de détailler ses propositions face à un recyclage qui est, selon l’association, trop faible. Cette dernière propose ainsi d’organiser une sortie du plastique d’ici 2030, d’interdire les plastiques à usage unique ou encore de refuser que le plastique soit en contact avec un aliment susceptible d’être chauffé.
HAHAHAHA ! L'eau en bouteilles ne provient pas de sources... mais de laboratoires (où peuvent être ajoutés des 'cocovide19', des 'cocoronas', des 'DeltaTangoCharlieOmicron' ?).
Car l'eau de sources EST PURE et provient de la masse ferrique incandescente qui brûle l'eau infiltrée des bassins maritimes & océaniques et l'envoie en galeries souterraines vers les nappes phréatques et sources de montagnes.
NOTA: Les 'microplastiques' sont parfaitement inoffensifs et n'apportent aucun rejet ni maladie.
«Nous restons pour l’instant dépendants de l’énergie nucléaire»
Le président du PLR Thierry Burkart plaide pour investir dans les centrales nucléaires existantes pour lutter contre la pénurie d’électricité tant que le développement des énergies renouvelables n’est pas réalisé.
Dans une interview au SonntagsBlick du jour, le président du PLR Thierry Burkart (AG), estime qu’en matière d’approvisionnement d’énergie «il est urgent d’aller de l’avant!». De son avis, «si nous voulons un approvisionnement en électricité sûr, nous dépendrons encore pendant des années de l'énergie nucléaire existante.»
Comme le rappelle l’Argovien, si on ne peut plus construire de nouvelles centrales, celles qui existent peuvent être exploitées tant que leur sécurité est garantie. Il souhaite donc la création d’ un cadre réglementaire «conçu de manière à ce que les investissements nécessaires à la sécurité de ces centrales soient rentables pour les exploitants».
Projets d’énergie renouvelable : accélérer les procédures de recours
Quant au développement des énergies renouvelables, le conseiller national estime qu’il faut identifier de manière ciblée les projets les plus importants pour la sécurité d’approvisionnement de la Suisse. A cette fin, il souhaite une simplification et accélération des procédures de recours au niveau de la loi afin de permettre la réalisation plus rapide de ces projets. Actuellement, construire une grande centrale hydroélectrique prend environ 20 ans. C’est «beaucoup trop long!», selon Thierry Burkart, qui ajoute que le pays a néanmoins besoin «de toutes les technologies, y compris de l'énergie nucléaire, sinon nous serons bientôt dans le noir.»
Besoin urgent de centrales à gaz
De plus, la Suisse a besoin «le plus vite possible, pour une phase de transition, de centrales à gaz de pointe, mais qui peuvent également fonctionner au pétrole», selon le PLR. D’où l’urgence de supprimer les obstacles légaux au développement rapide de projets d’énergies renouvelables. Thierry Burkart appelle donc les partis de gauche à de mettre fin «à leur politique d'obstruction» qui a pour conséquence «qu'il n'y a toujours pas de grandes installations photovoltaïques en montagne et que différents barrages existants n'ont pas pu être aménagés.»
«Une panne d'électricité de longue durée aurait des conséquences catastrophiques pour la société et notre économie, conclut-il. Les exploitants ont beaucoup investi dans ces centrales au cours des dernières années. Ils continueront à le faire si les obstacles législatifs sont levés.»
Le gouvernement britannique offre aux agriculteurs des paiements «forfaitaires» pour arrêter de cultiver des aliments et vendre leurs terres
dimanche 24 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Le Royaume-Uni a introduit un nouveau programme qui offre des paiements forfaitaires en espèces aux agriculteurs qui acceptent d'arrêter l'agriculture et de vendre leurs terres familiales souvent multigénérationnelles au gouvernement.
Selon les rapports, les agriculteurs qui acceptent l'argent doivent soit prendre leur retraite, soit occuper un autre emploi approuvé par le gouvernement. Le gouvernement britannique appelle le programme un "Basic Payment Scheme" (BPS).
"Le but est prétendument de remplir les programmes politiques verts", écrit Mike Campbell pour The Counter Signal.
« Les agriculteurs plus âgés, qui ne veulent pas changer leurs méthodes agricoles, sont invités à quitter ou à vendre leurs terres. À leur tour, les nouveaux agriculteurs peuvent adopter des techniques agricoles alternatives et respectueuses de l'environnement.
Les Pays-Bas essaient également de sortir de l'agriculture pour passer au « vert », bien qu'ils le fassent par la force plutôt que de taquiner le secteur agricole pour qu'il se conforme en faisant miroiter de l'argent devant les agriculteurs comme incitation.
Selon le secrétaire anglais à l'environnement, le Royaume-Uni ne peut pas aller de l'avant avec son programme vert parce que les agriculteurs plus âgés "font obstacle au changement". En d'autres termes, pour passer au vert, l'agriculture en Angleterre doit cesser, ce qui affamera la population et se traduira par un nouvel ordre mondial dont l'élite pourra profiter.
De nombreux agriculteurs britanniques sont tellement endettés en raison de la corruption du gouvernement et du marché qu'ils n'ont peut-être pas d'autre choix que de fermer boutique Grâce à la pandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19), la Grande-Bretagne est déjà bien avancée vers l'abolition de l'agriculture. Les problèmes de la chaîne d'approvisionnement, associés à la corruption du marché et à la montée en flèche de l'inflation, poussent déjà de nombreux agriculteurs à quitter l'entreprise contre leur gré.
James Melville, un consultant en communication et en parrainage du Royaume-Uni, a tweeté que le diesel rouge, qui est utilisé dans les machines agricoles telles que les tracteurs, est maintenant le double de ce qu'il était avant la situation inflationniste actuelle.
"Les agriculteurs sont obligés de se rationner sur le diesel rouge", a ajouté Melville. « Les prix des engrais ont explosé. Les agriculteurs utilisent moins d'engrais. Moins d'engrais signifie un rendement inférieur des cultures = Crise agricole #NoFarmsNoFood.
En d'autres termes, les agriculteurs sont contraints de quitter l'entreprise, qui est souvent une entreprise familiale, par les seigneurs de la banque centrale et les autres architectes mondialistes qui ont créé une situation de tempête parfaite avec des prix qui montent en flèche, une offre faible et un chaos général sur les marchés.
Soit dit en passant, tout cela fait partie de la «grande réinitialisation», dans laquelle tous les peons «ne posséderont rien et seront heureux» tandis que les gros chats au sommet profiteront de toute leur richesse et de leur excès aux dépens de tous les autres.
"La hausse des prix des engrais, du gaz et à peu près tout ce qui est nécessaire pour faire leur travail a rendu l'offre du gouvernement tentante", ajoute Campbell à propos des paiements en espèces actuellement offerts aux agriculteurs familiaux par le gouvernement britannique.
Un sondage suggère que 75% des agriculteurs britanniques sont "sérieusement intéressés" à fermer leurs fermes pour 30 pièces d'argent du gouvernement BBC News, qui rapporte souvent de fausses nouvelles, a publié les résultats d'un sondage mené par la Tenant Farmer's Association of England suggérant que la plupart des agriculteurs envisagent fortement de prendre l'argent et de courir.
Quelque 75 % des agriculteurs britanniques ont déclaré à l'Association qu'ils étaient « fortement intéressés » à quitter l'agriculture, à vendre leurs terres et à prendre l'argent du gouvernement.
Les Pays-Bas auraient également proposé d'acheter des terres agricoles, dans certains cas, tout comme le Canada. L'ancien ministre canadien de l'Agriculture, Devin Dreeshen, s'est dit préoccupé par le fait que le premier ministre Justin Trudeau suive les traces de la Grande-Bretagne en proposant de racheter les agriculteurs canadiens.
Melville, dans un tweet séparé, appelle cette tendance "l'accaparement des actifs de tout", ce qui signifie que des gouvernements compromis et infiltrés dans tout l'Occident proposent des monnaies fiduciaires très gonflées qui sont sur le point de se déverser et de devenir sans valeur en échange d'actifs tangibles comme des terres agricoles.
"Pendant ce temps, en Amérique, Bill Gates a acheté 242 000 acres de terres agricoles dans 18 États – et 268 984 de terres à usages multiples dans 19 États au total, faisant de lui le plus grand propriétaire foncier agricole des États-Unis", a ajouté Melville sur Twitter.
Quelqu'un d'autre avec le compte Twitter de "Gmewizard.loopring.eth" (@GmeWizard) a tweeté en réponse aux tweets de Melville que les entreprises achètent des terres agricoles "pour planter des arbres et les louer à d'autres entreprises pour compenser leurs crédits carbone".
"Le manque d'engrais sur les terres herbeuses et la sécheresse épuiseront sérieusement l'alimentation du stock d'hiver, de sorte que le nombre de stocks diminuera, ce qui signifie moins de disponibilité et un prix plus élevé", a ajouté cette personne.
"Ce n'est pas du capitalisme, c'est du copinage, de la manipulation, des réglementations strictes sur les agriculteurs pour les faire démissionner et vendre", a écrit un autre du nom de "Gee" (@CuriousMacaron). "C'est ce qui se passe lorsque les régulateurs sont financés par les institutions qu'ils réglementent."
Une autre personne avec la poignée de "TechSavvy" (@PointClickDigi1) a lié un article sur la façon dont le régime Biden propose de la même manière de payer aux agriculteurs américains encore plus d'argent que d'habitude pour ne pas cultiver.
Les dernières nouvelles sur le démantèlement artificiel des économies occidentales sont disponibles sur Collapse.news.
Après çà (Programme 'Famine pour tous') ils s'attaqueront à celles ou ceux qui ont un jardin ou des pots de fleurs sur le balcon ! La queen ne veut PAS crever toute seule !
Analyse : Les grandes sociétés pharmaceutiques ont augmenté les prix des médicaments 1 186 fois rien qu'en 2022
dimanche 24 juillet 2022 par : Ramon Tomey
(Natural News) Une analyse effectuée par un groupe de défense a révélé que les sociétés pharmaceutiques ont augmenté les prix des médicaments de plus de mille fois rien qu'en 2022.
Patients For Affordable Drugs (PFAD) a rédigé le rapport du 20 juillet, qui a révélé que l'industrie pharmaceutique américaine avait augmenté les prix de divers médicaments 1 186 fois cette année. P4AD cherche à freiner la montée en flèche du coût des médicaments sur ordonnance.
Entre le 24 juin et le 5 juillet, les entreprises pharmaceutiques ont augmenté les prix de 133 produits – avec une augmentation médiane des prix de 5 %. La PFAD a ajouté que pour le seul mois de juillet, 64 sociétés pharmaceutiques ont augmenté les prix de leurs produits.
Le fabricant de médicaments Amgen a augmenté le prix de son médicament contre les maladies auto-immunes Enbrel deux fois cette année, pour une augmentation totale de 9,4 %. Depuis l'acquisition des droits du médicament en 2002, la société californienne a multiplié par 27 le prix d'Enbrel, portant son coût mensuel à 5 554,96 $ en 2020. Le prix du médicament a augmenté de 457 % entre 2002 et 2020.
Kip Burgess, un résident de Chicago, qui prend Enbrel pour son rhumatisme psoriasique, a déclaré : "Personne ne devrait avoir à se soucier de la façon dont il va payer les médicaments dont il a besoin pour vivre." Il a déclaré à P4AD qu'il ne ressent aucun symptôme et qu'il peut vivre pleinement sa vie en prenant Enbrel.
GSK a également augmenté le prix de son médicament contre le lupus Benlysta quatre fois depuis la pandémie, portant son prix mensuel à 4 282 $. Grâce à 7,4% des hausses de prix totales cette année, plus de 3 500 $ ont été ajoutés au prix de Benlysta.
Le prix plus élevé de Benlysta a été une mauvaise nouvelle pour Ashley Suder, résidente de Morgantown, en Virginie-Occidentale.
"Sans ce médicament, mon système immunitaire attaque mes tissus sains, entraînant une inflammation douloureuse qui endommage ma peau, mes articulations, mes vaisseaux sanguins et mon cerveau", a-t-elle déclaré à la PFAD. "J'ai dû dépenser tout mon salaire pour mes médicaments et, avec le prix qui augmente à nouveau, je m'inquiète de la façon dont je vais joindre les deux bouts tout en continuant à payer mes médicaments."
Pfizer fait grimper les prix des médicaments malgré des bénéfices records
Pfizer a également augmenté les prix de 23 de ses médicaments sur ordonnance au cours du seul mois de juillet. Le fabricant de médicaments basé à New York a déjà enregistré des bénéfices records en 2021, grâce à son vaccin à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) fabriqué en partenariat avec la société allemande BioNTech. (Connexe: BÉNÉFICES DE LA PESTE: Le dirigeant de Pfizer admet que la société veut tirer profit des vaccins et augmentera bientôt les prix.)
Selon un rapport de février du Guardian, Pfizer a réalisé près de 37 milliards de dollars de ventes du vaccin COVID-19 en 2021. Les contrats pour le vaccin ont contribué au chiffre d'affaires global de 81,3 milliards de dollars de l'entreprise pour cette année-là. Les revenus prévus de Pfizer cette année se situent entre 98 et 102 milliards de dollars.
Le traitement de la leucémie Besponsa faisait partie des médicaments inclus dans les hausses de prix de Pfizer. Depuis le début de la pandémie de COVID-19, la société a augmenté son prix quatre fois par rapport à un seul flacon de Besponsa qui se vend désormais à 21 056 $.
« Les Américains sont aux prises avec une inflation record et les défis persistants de [la] pandémie. Pourtant, Big Pharma continue d'augmenter les prix des médicaments sans se soucier de la santé et du bien-être financier [des gens] », a déclaré le fondateur de la PFAD, David Mitchell. "Nous devons mettre un terme à la capacité illimitée des sociétés pharmaceutiques à dicter les prix aux dépens des patients."
Mitchell est un représentant approprié pour ceux qui militent pour une baisse des prix des médicaments, car il souffre lui-même d'un cancer du sang incurable. Les médicaments dont il a besoin pour traiter son état l'obligent à débourser plus de 900 000 $ par année.
Un rapport de Russia Today a décrit la cupidité flagrante de Big Pharma dans un article du 20 juillet : « Les États-Unis ont les soins de santé les plus chers au monde, malgré des résultats de santé pires que tout autre pays développé. Il a également souligné que "l'espérance de vie des Américains est inférieure à celle de tous leurs pairs industrialisés, même si leurs médecins sont mieux payés que les médecins des autres pays développés".
Visitez BigPharmaNews.com pour plus d'histoires sur la cupidité des compagnies pharmaceutiques.
Regardez la représentante californienne Katie Porter ci-dessous réprimander un dirigeant de Big Pharma pour avoir fait passer les bénéfices avant la santé.
This video is from the Civil Slave channel on Brighteon.com.
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La Covid repart, échec absolu d’une folie à 600 milliards
Pierre-Antoine Pontoizeau, pour FranceSoir le 30 juin 2022 - 16:45
"L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre."
TRIBUNE — Toutes les décisions de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron ont coûté plus de 600 milliards, pour quel résultat ?
Les coûts de la politique sanitaire
Le confinement des premiers mois a été évalué par Laurent Cappelletti, professeur au CNAM. Dès avril 2020, il l’estimait à un coût mensuel de 150 milliards d’euros. Il avait raison. L’accroissement de l’endettement de la France de 700 milliards résulte bien de cette première folie, même s’il tient marginalement à quelques autres facteurs. L’ardoise sanitaire, c’est environ 600 milliards. En plus du confinement, les vaccinations représentent quelques milliards aussi. 146 millions de doses ont été administrées pour un prix compris en 15 et 20 euros la dose selon les périodes. La seule vaccination a coûté entre 2,3 et 2,8 milliards d’euros. Concernant les tests, bien mal nommés anti-Covid, le simple mois de décembre et ses 28 millions de tests ont coûté un milliard d’euros à l’assurance maladie. Le ministre des Comptes publics reconnaissait un mois plus tard que les tests anti-Covid coutaient 1,5 milliard pour le mois de janvier. Deux mois de tests ont couté 2,5 milliards, pour quoi faire ? La politique sanitaire représente donc une hystérie de plus de 600 milliards d’euros.
Un ministre des Finances amnésique
Et nous entendons un ministre des Finances parler de « côte d’alerte » avec près de 3 000 milliards d’euros de dette, soit 114,5 % du PIB. Peut-il rendre des comptes sur sa responsabilité et ses résultats puisqu’il a contribué à son accroissement abyssal ? Nous étions en 2017 à 2 200 milliards et 98 % du PIB. Peut-il expliquer le ratio d’efficacité de cette dépense inédite dans l’histoire économique de la France ?
Lire aussi : Port du masque, vaccination, certificat covid de l'UE: une histoire sans fin?
La valeur concrète de cette folle dépense
Prenons la mesure de cette dépense sanitaire faramineuse. Rappelons que le fonctionnement annuel d’un hôpital départemental s’estime dans une fourchette de 250 à 350 millions d’euros. Ce sont donc 2 000 hôpitaux fonctionnant pendant un an où 100 hôpitaux départementaux fonctionnant pendant 20 ans. 600 milliards, c’est 15 ans du budget de la défense (un peu moins de 40 milliards en 2021) ou dix ans du budget de l’éducation nationale (55 milliards en 2021). Un tel sacrifice jamais engagé dans les dépenses publiques de la France exige un résultat rapide et parfait, à la hauteur de la dépense et des promesses exposées comme des certitudes de foi par tous les spécialistes, non ? Nous avons tous en mémoire l’agressivité, le scientisme des certitudes, l’arrogance et le mépris du ministre Véran en particulier. 600 milliards pour quoi faire ?
Or, cette dépense inouïe a-t-elle obtenu un résultat à la hauteur, soit l’éradication rapide du virus ? Non, puisque nous parlons d’une 7e vague, que des personnes meurent encore de cette maladie, même si fort heureusement, ce ne sont pas des milliers par jours. Mais ce confinement initial nous a-t-il libéré de la maladie ? Non. Le 2e confinement ? Non. La vaccination a-t-elle fonctionné ? Non, puisque aujourd'hui les chiffres démontrent que les malades sont des vaccinés ainsi que les hospitalisés. Charlatanisme, escroquerie ? Et les tests ont-ils été utiles ? Non plus, puisque la maladie demeure. Alors à quoi ont servi ces 600 milliards de dépenses publiques ? Et nous n’avons pas aujourd’hui la capacité de mesurer le cout des effets indésirables. Il risque d’être élevé.
La liberté démocratique d’inventaire des responsabilités
Est-il possible dans une société libre et démocratique de demander à nos nouveaux élus d’ouvrir une commission d’enquête transparente, voire populaire, pour exiger des réponses sur les responsabilités de ces engagements de dépenses faramineuses ? Il y a là plusieurs enjeux. Celui de ne jamais reproduire une telle folie. Celui de sanctionner les ministres, voire le Président à la hauteur de cette absolue folie. Celui enfin de solder cette dépense par des mesures et sanctions financières à l’encontre de ceux qui ont profité, voire corrompus : Union européenne, laboratoires, actionnaires des laboratoires, États complices, etc.
Voir aussi : "Nous contredisons des forces politiques et financières extrêmement puissantes" Laurent Mucchielli
L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre. Ils ont démontré qu’ils ne savaient rien. Nous avons maintenant la preuve que la dépense était irrationnelle, non pertinente et aujourd’hui sans résultat. Il est urgent de changer radicalement de paradigme. C’est cela le progrès, non ? Du moins, c’est une obligation avant de demander au Français de se sacrifier encore alors qu’il faut solder cette dette en la recouvrant auprès des auteurs de cette hystérie.
La pédale, le dépravé, l'innocent voire le trisomique, autant d'adjectifs tirés comme des casserole bling-bling. Il ne sait rien, demande rien, n'écoute rien, c'est un con. Un abruti, un moins que rien, bref: une merde.
Le vaccin Covid tue des gens. Ce n'est pas un secret, et la question se pose naturellement, pourquoi les gens nous poussent-ils à nous faire vacciner ? Pourquoi poussent-ils cette drogue mortelle sur de jeunes enfants ? Répondre à cette question nous amène à la racine des forces obscures qui contrôlent le monde.
Il est clair que ceux qui poussent le vaccin connaissent ses effets mortels. Comme le fait remarquer la grande Dr Naomi Wolf, « Je suis resté silencieuse pendant quelques semaines. Pardonne-moi.
La vérité, c'est que j'ai été presque sans voix — ou l'équivalent littéraire de cela — parce que récemment j'ai eu la tâche peu enviable d'essayer d'annoncer au monde qu'en effet, un génocide — ou ce que j'ai appelé, maladroitement mais de toute urgence, une «mortalité de bébés» - est en cours.
Les volontaires de recherche WarRoom / DailyClout Pfizer Documents, un groupe de 3000 médecins hautement qualifiés, IA, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce qui est dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans. Sur ordonnance du tribunal, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts servent l'humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Les mensonges révélés sont stupéfiants.
Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé : que Pfizer (et donc la FDA) savaient en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas - qu'ils "avaient perdu de leur efficacité" et présentaient un "échec vaccinal". ils savaient qu'un mois après le déploiement massif de 2020, c'était "COVID".
Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 mineurs avait été endommagé une semaine après l'injection d'ARNm - mais la FDA a quand même déployé l'EUA pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n'ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques jusqu'à ce que août 2021, après que des milliers d'adolescents ont été vaccinés.
Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents indiquent « FDA : CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole hautement rémunérés et les médecins achetés assuraient aux gens, l'ARNm, les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques faisaient pas rester au site d'injection dans le deltoïde, mais plutôt, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, de là pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.
Pfizer (et donc la FDA) savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d'ARNM, des nanoparticules lipidiques et des protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer ; les documents internes de l'entreprise montrent un taux plus élevé d'événements indésirables avec la dose de 100 mcg, ils ont donc cessé d'expérimenter cette quantité en interne en raison de sa "réactogénicité" - les mots de Pfizer - mais personne ne l'a dit à tous les millions d'Américains qui ont tous reçu le premier et deuxième dose de 100 mcg Moderna, et les rappels.
Pfizer a faussé les sujets de l'essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes - un sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu'il est advenu de centaines de leurs sujets d'essai.
Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées. Quatre des personnes décédées sont décédées le jour où elles ont été injectées.
Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires (myalgies), des masses d'effets neurologiques comme la sclérose en plaques, la paralysie de Guillain Barre et de Bell, l'encéphalie, toutes les itérations possibles de coagulation sanguine, la thrombocytopénie à grande échelle, les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Les effets secondaires dont Pfizer et la FDA étaient au courant, mais pas vous, comprennent des problèmes de cloques, des éruptions cutanées, des bardeaux et des conditions herpétiques (en fait, une gamme de conditions de cloques annonçant étrangement les symptômes du monkeypox).
Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l'urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole dans les ingrédients du vaccin - un allergène que vous n'êtes certainement pas censé ingérer. En effet, le PEG est un allergène si sévère que de nombreuses personnes peuvent faire un choc anaphylactique si elles y sont exposées. Mais les personnes allergiques au PEG n'ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées attentivement par leurs médecins, EpiPen à la main. Ils ont été laissés à leur choc.
Pfizer savait que «l'exposition» au vaccin était définie - selon ses propres termes - comme un contact sexuel (en particulier au moment de la conception), un contact cutané, une inhalation ou un allaitement. Les «vérificateurs des faits» peuvent nier tout ce qu'ils veulent. Les documents parlent d'eux-mêmes.
Bien sûr, les personnes qui ont tenté de soulever l'un de ces problèmes ont été déformées, réprimandées par le président, traitées de fous et sévèrement punies.
Les athlètes, les étudiants et les adolescents s'effondrent sur les terrains de football et de soccer. Les médecins se tordent les mains et expriment leur mystification. Mais le dossier SEC de BioNTech montre un fait dont le CDC et l'AMA ne soufflent pas un mot: s'évanouir si violemment que vous pourriez vous blesser est l'un des effets secondaires suffisamment importants pour que BioNTech le souligne auprès de la SEC.
Mais pourquoi les forces du mal nous font-elles ces choses terribles ? Paul Craig Roberts a des choses importantes à dire sur ce sujet : « Les preuves médicales et scientifiques sont tout à fait claires que tout le récit de Covid est contrefactuel et que les autorités le savent. Pourtant, ils poussent toujours, en utilisant la coercition, pour plus de vaccination.
La vaccination ne protège pas. Ça nuit. Donc, la seule raison de l'appliquer est de tuer des gens.
L'incapacité des gens à se méfier des «autorités» et l'incapacité des gens à s'informer et à penser par eux-mêmes garantissent que des millions de personnes mourront après avoir été vaccinées. Lorsque vous voyez des milliers de médecins indépendants et de scientifiques médicaux condamner le vaccin pour être ignorés par les organisations bureaucratiques de « santé publique », vous avez des preuves claires que la véritable autorité ne parle pas. Il est supprimé.
Chaque fois que le débat et l'information sont supprimés, vous savez que quelque chose est caché et qu'un programme secret est en marche.
La « pandémie de Covid » orchestrée est un crime massif contre l’humanité. Allons-nous leur permettre de s'en tirer? Ou y aura-t-il trop peu d'entre nous pour y faire quoi que ce soit ?
Addenda:
Un expert m'a fait remarquer qu'il est clair que les autorités médicales ne se soucient pas de savoir si le vaccin tue des gens, et les décès sont conformes à l'intention de Bill Gates/Forum économique mondial de réduire la population mondiale. Cependant, un objectif intermédiaire est de passer au passeport vaccinal comme en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Grèce, et avec la France, la Belgique et les Pays-Bas sur le point de se joindre à l'exigence d'une identification numérique qui permet de suivre tout le monde et chaque interaction et, ainsi, le contrôle de la population avec des récompenses et des punitions comme le système de crédit social chinois. Cela permet aux populations contrôlées d'être les boucs émissaires du chaos causé par le dépeuplement.
C'est une explication raisonnable de l'accent mis sur les passeports Covid. Comme il est connu et admis que le vaccin est inefficace comme protection contre le virus, et que le virus est dangereux principalement pour les patients non traités présentant des comorbidités, le passeport est inutile à toute autre fin que le contrôle. Le passeport n'offre aucune protection contre la propagation du virus et l'attaque du système immunitaire contre les organes vitaux du corps.
Je voudrais suivre la clé de toute l'opération. Les forces obscures qui visent à tuer une grande partie de la population mondiale avaient leur programme en place bien avant la prétendue « pandémie » de Covid. Comme Brandon Smith l'a souligné dans un article écrit quelques mois avant que Covid ne devienne un problème, «Le contrôle de la population a également été constamment évoqué comme un problème dans la course à l'élection présidentielle de 2020. Bernie Sanders a plaidé pour des mesures de contrôle des naissances dans les pays pauvres. Elizabeth Warren a promu l'avortement en disant que c'était aussi sûr que de "se faire enlever les amygdales". Elle a toujours promu le programme de contrôle du carbone de l'ONU et a été, fait intéressant, membre du centre de recherche sur la population de l'Université du Texas dans les années 1980. Et les politiciens du Green New Deal apportent leur soutien aux déclarations du Worthy Garden Club sur la réduction de la population.
C'est la première fois que je vois l'argument de la réduction de la population utilisé de manière aussi flagrante et répandue dans les médias grand public, et cela me suggère qu'une tendance se dessine. Pendant des années, j'ai prévenu mes lecteurs qu'ils sauront quand les globalistes sont sur le point de débrancher le système actuel lorsqu'ils commenceront à parler ouvertement de leur criminalité. Lorsqu'ils admettent leur agenda de manière libre, cela signifie qu'ils sont proches d'une réinitialisation globale et ne se soucient plus de qui le sait. L'ouverture du plan de réduction de la population mondiale devient évidente.
Curieusement, on a peu mentionné le fait que la population mondiale, à l'ouest surtout, est en fait en déclin. Loin d'exploser au-delà de la capacité de la Terre, les gens ont à peine assez d'enfants pour maintenir la population actuelle stable. Il semblerait que l'agenda mondialiste soit déjà en marche. Grâce à une désintégration économique artificielle, la population se réduit lentement. Cependant, ce lent déclin pourrait ne pas suffire à satisfaire les mondialistes.
Combien de personnes les mondialistes aimeraient-ils tuer pour réaliser leurs aspirations utopiques ? Eh bien, le mondialiste Ted Turner, dans un moment d'honnêteté, a déclaré lorsqu'il a été confronté à We Are Change que la population devrait être réduite à 2 milliards contre 7 milliards.
La principale question ici, au-delà du spectacle d'horreur morale de l'eugénisme, est de savoir qui est coupé ? Et en plus, qui décide qui sera coupé ? Qui décide si vous pouvez avoir des enfants ou non ? Qui décide si vous êtes autorisé à accéder aux ressources pour produire et gagner votre vie ou non ? Qui décide si l'économie mondiale soutiendra ou non la population ? Qui appuie sur la gâchette de l'abattage de la population ?
Comme l'histoire nous l'a montré, ce sont toujours les élites qui finissent par décider du sort de millions ou de milliards. Des programmes de stérilisation de la Fondation Rockefeller aux États-Unis au début des années 1900 à l'ONU aujourd'hui, les mondialistes, véritable culte de la mort, cherchent désespérément à expliquer pourquoi ils devraient être ceux qui autorisent ou refusent la vie humaine sur la base de mensonges comme changement climatique d'origine humaine. Ils ne croient pas à la menace du changement climatique, ILS sont ceux qui l'ont fabriquée. Alors, quelle est la raison principale derrière tout cela ?
Une population réduite entièrement dépendante de sources d'énergie limitées pourrait être plus facile à dominer. Mais j'ai une autre théorie - ce sont des psychopathes à la recherche d'un moyen socialement justifiable de tuer autant de personnes que possible. Pourquoi ? parce qu'ils aiment ça.
Nous devons arrêter ces monstres avant qu'il ne soit trop tard !
Nous sommes en guerre ! Nous sommes toutes et tous en guerre contre celles et ceux qui tiennent la seringue de mort. Ce sont des assassins de millions d'enfants, de femmes et d'hommes, non pas des dizaines de millions ni des centaines mais proche aujourd'hui des 2 milliards de morts dans le monde !
Ce 15 Novembre 2022 nous devrions être 8 milliards, nous ne serons que 6 milliards. Et c'est pas fini ! Il reste encore des cons à piquer ! Des cons qui en redemandent !!
C'est le plus grand génocide de tous les temps qui se déroule sur Terre !
Tedros annule son panel et déclare Monkeypox une urgence de santé publique de portée internationale
Robert W Malone MD, MS 24 juillet 2022
Dans un mouvement qui ne manquera pas de déclencher un large débat sur l'indépendance, l'objectivité et la sagesse d'accorder à l'OMS le pouvoir de gérer les réponses mondiales aux maladies infectieuses, l'épidémie de monkeypox a été déclarée urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par le World Health Organisme. La déclaration a été faite unilatéralement, en contradiction directe avec l'avis d'un comité d'examen indépendant, par le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Tedros a fait la déclaration malgré l'absence de consensus parmi les membres du comité d'urgence de l'OMS sur l'épidémie de monkeypox et, ce faisant, a annulé son propre comité d'examen, qui avait voté 9 contre, 6 pour déclarer l'USPPI. Tedros a affirmé que ce comité d'experts (qui s'est réuni jeudi) n'était pas parvenu à un consensus, il lui incombait donc de décider s'il devait déclencher l'alerte la plus élevée possible. Tout observateur extérieur objectif conclurait que le comité n'a pas approuvé le passage à une USPPI. Lorsqu'une réunion similaire s'est tenue précédemment le 23 juin 2022, le comité a décidé par consensus d'aviser le directeur général de l'OMS qu'à ce stade, il devrait être déterminé que l'épidémie ne constitue pas une USPPI. Un article officiel des Nations Unies résumant cela peut être trouvé ici. Lorsque le groupe s'est réuni en juin, la répartition était de 11 contre et 3 pour. On ne sait pas ce qui a changé au cours des quatre semaines qui ont suivi pour justifier le changement de position de Tedros, bien que les commentaires des experts d'Internet soulèvent des inquiétudes quant au fait que l'action unilatérale a été prise en réponse à la pression de groupes de défense d'intérêts spéciaux.
Il y a également eu une explosion soudaine de publications coordonnées sur les réseaux sociaux soulevant des inquiétudes concernant les risques de Monkeypox pour les enfants, ce qui soulève la question « Si Monkeypox est une maladie sexuellement transmissible, pourquoi les enfants l'attrapent-ils ?
Vendredi, les États-Unis ont confirmé les deux premiers cas de monkeypox chez les enfants, a déclaré vendredi la directrice des Centers for Disease Control, Prevention and Control (CDC), Rochelle Walensky. Le CDC a déclaré que les enfants, en particulier ceux de moins de 8 ans, font partie des personnes à "risque particulièrement accru" de maladie grave du monkeypox.
Lors d'un événement virtuel avec le Washington Post vendredi axé sur les nouvelles variantes de coronavirus, Walensky a déclaré que :
"Ces deux enfants sont issus d'individus issus de la communauté des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, la communauté des hommes homosexuels",
De toute évidence, le comité de l'OMS n'a pas pris la décision souhaitée de déclarer une USPPI, et donc pour une raison extraordinaire, Tedros est intervenu.
Bien que le comité ne vote pas officiellement, une enquête auprès des membres a révélé que neuf pensaient qu'une USPPI ne devrait pas être déclarée et six soutenaient une déclaration. "Neuf et six, c'est très, très proche", a déclaré Tedros lors d'une conférence de presse convoquée pour annoncer la décision. "Puisque le rôle du comité est de conseiller, j'ai ensuite dû jouer le rôle de briseur d'égalité."
Tedros a fait cette déclaration malgré l'absence de consensus parmi les membres du comité d'urgence de l'OMS sur l'épidémie de monkeypox. C'est la première fois qu'un dirigeant d'une agence de santé des Nations Unies prend une telle décision unilatéralement.
En cas d'épidémie mortelle, un groupe d'experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) peut déclarer une « urgence de santé publique de portée internationale », ou PHEIC, pour déclencher une action mondiale. Depuis que les procédures de déclaration d'une USPPI ont été mises en place en 2005, l'OMS ne l'a fait que six fois. La dernière fois que l'OMS a déclaré une urgence internationale, c'était début 2020, pour le Covid-19.
La désignation d'une urgence de santé publique de portée internationale est le niveau d'alerte le plus élevé de l'OMS. Il est basé sur le règlement sanitaire international établi en 2005, pour définir les droits et obligations des pays dans la gestion des événements de santé publique transfrontaliers.
L'OMS définit une USPPI comme "un événement extraordinaire qui est déterminé à constituer un risque pour la santé publique d'autres États par la propagation internationale d'une maladie et à nécessiter potentiellement une réponse internationale coordonnée".
L'OMS explique en outre comment cette définition implique une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue ; a des implications pour la santé publique au-delà des frontières d'un pays touché et peut nécessiter une action internationale immédiate.
Les déclarations de Tedros démontrent clairement qu'il a unilatéralement substitué ses propres opinions à celles du panel convoqué, soulevant des questions sur son objectivité, son engagement envers le processus et le protocole, et s'il a été indûment influencé par des agents externes :
"J'ai décidé que l'épidémie mondiale de monkeypox représente une urgence de santé publique de portée internationale"
"L'évaluation de l'OMS est que le risque de monkeypox est modéré à l'échelle mondiale et dans toutes les régions, sauf dans la région européenne où nous évaluons le risque comme élevé"
"Nous avons une épidémie qui s'est propagée rapidement dans le monde grâce à de nouveaux modes de transmission que nous comprenons trop peu et qui répondent aux critères des réglementations sanitaires internationales", a déclaré Tedros.
"Je sais que cela n'a pas été un processus facile ou direct et qu'il existe des points de vue divergents parmi les membres" du comité ", a-t-il ajouté.
"Bien que je déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s'agit d'une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels", a poursuivi Tedros. "Cela signifie qu'il s'agit d'une épidémie qui peut être stoppée avec les bonnes stratégies dans les bons groupes."
Alors que l'épidémie continue de croître, les épidémiologistes sont divisés quant à savoir si la décision de l'OMS était correcte. La réunion était la deuxième fois que le comité d'urgence se réunissait, après une réunion le 23 juin au cours de laquelle il avait décidé que l'épidémie n'avait pas atteint ce seuil.
Dr Jimmy Whitworth, professeur de santé publique internationale à la London School of Hygiene & Tropical Medicine.
"C'est une décision délicate pour le comité, à certains égards, elle répond à la définition - il s'agit d'une épidémie sans précédent répandue dans de nombreux pays et bénéficierait d'une coordination internationale accrue.
En revanche, il semble s'agir d'une infection pour laquelle nous disposons des outils de contrôle nécessaires ; la plupart des cas sont bénins et le taux de mortalité est extrêmement faible"
La désignation PHEIC provient du Règlement sanitaire international (RSI) créé en 2005 et représente un « accord » international pour aider à prévenir et à répondre aux risques pour la santé publique qui ont le potentiel de se propager dans le monde entier.
Les Centers for Disease Control and Prevention (US CDC) des États-Unis décrivent la réglementation du RSI comme « un accord juridiquement contraignant de 196 pays visant à renforcer la capacité de détecter et de signaler les urgences potentielles de santé publique dans le monde entier. Le RSI exige que tous les pays aient la capacité de détecter, évaluer, signaler et répondre aux événements de santé publique ».
Il s'agit du même RSI que l'administration Biden a cherché à renforcer davantage, mais la tentative de mise en œuvre des modifications proposées a été suspendue après un tollé international dans plusieurs pays concernant la perte de l'autonomie nationale. Les actions unilatérales de Tedros dans la situation actuelle démontrent clairement que ces préoccupations étaient justifiées.
Malgré la déclaration du CDC américain, le RSI de l'OMS n'est pas un traité qui a été approuvé par le Sénat américain, et l'affirmation selon laquelle il est juridiquement contraignant a été contestée.
Dans un article favorable à la déclaration, Vox news a fourni un résumé des bénéficiaires financiers potentiels de cette déclaration ; c'est-à-dire les fabricants de vaccins et les holdings qui y ont investi.
L'urgence devrait amener les pays à partager les vaccins. Mais ce n'est pas garanti.
La vaccination joue un rôle clé dans le contrôle de la transmission du monkeypox lors d'une épidémie et, surtout, ces vaccins existent déjà.
La pandémie de Covid-19 a enseigné au monde des leçons douloureuses sur l'importance de la coordination mondiale pour assurer une distribution rapide et équitable des vaccins. Espérons que la sonnette d'alarme PHEIC stimulera l'action afin que les mêmes erreurs ne se répètent pas.
L'une des principales raisons pour lesquelles les experts mondiaux de la santé s'inquiètent de l'opportunité d'une déclaration d'urgence de l'OMS pour le monkeypox est le potentiel de la déclaration à fournir rapidement des vaccins aux groupes les plus vulnérables.
Il existe des vaccins pour prévenir la variole du singe, et bien que de nombreux pays disposent d'une quantité de ces vaccins dans le cadre de leurs stocks nationaux, la demande américaine a largement dépassé l'offre et l'offre mondiale de vaccins est relativement faible. vaccins, et bien que le producteur du vaccin le plus populaire contre la variole du singe n'ait pas révélé quels pays ont passé des commandes, les pays qui ont annoncé des achats de vaccins sont généralement des pays à revenu plus élevé, comme l'Allemagne, la Grande-Bretagne et le Canada.
Cela laisse présager un modèle d'iniquité vaccinale qui s'est déroulée avec un effet tragique lors du déploiement du vaccin Covid-19, les pays les plus pauvres luttant pour acquérir des vaccins et coupés des efforts de production de vaccins. Dans son annonce du plan du comité d'urgence de l'OMS de se réunir en juin, le directeur de l'OMS Europe, Hans Kluge, a déclaré que suivre un plan plus équitable pour la distribution du vaccin monkeypox serait une étape clé dans le contrôle de l'épidémie.
"Une approche" moi d'abord "pourrait avoir des conséquences néfastes sur la route si nous n'employons pas une approche véritablement collaborative et réfléchie", a déclaré Kluge. "J'implore les gouvernements de s'attaquer au monkeypox sans répéter les erreurs de la pandémie - et en gardant l'équité au cœur de tout ce que nous faisons."
Lorsque l'OMS déclare une urgence, elle fait également des recommandations aux pays touchés, qui portent souvent sur les stratégies de vaccination. Cela incite les pays à coordonner leurs stratégies vaccinales pour accroître l'approvisionnement en vaccins dans les pays les moins riches. Cela peut également inciter les donateurs à financer des efforts de vaccination qui donnent la priorité à un accès équitable aux vaccins. Cependant, les recommandations de l'OMS face à une urgence ne sont finalement que des recommandations.
"Il n'y a aucun moyen de faire appliquer cela à l'échelle mondiale", a déclaré Heymann.
L'ACT Accelerator, une collaboration visant à collecter des fonds pour distribuer des tests, des thérapies et des vaccins Covid-19 aux pays à faibles ressources, était une tentative de solution équitable à la pandémie. Cependant, aux yeux de beaucoup, cela n'a pas réussi. Les experts en santé publique espèrent qu'une action plus précoce sur le monkeypox pourrait éviter certains des pièges de l'accélérateur ACT.
Dans son annonce d'aujourd'hui, les représentants de l'OMS ont déclaré qu'ils encourageaient les pays disposant d'importants stocks de vaccins à partager et à donner des vaccins à d'autres pays qui n'ont actuellement pas accès aux vaccins.
Veuillez consulter la couverture précédente de ce problème dans les sous-articles suivants, qui démontrent clairement l'effort concerté pour militariser la peur par une variété de parties prenantes, y compris les médias d'entreprise et les organisations affiliées à Bill et Melinda Gates.
Monkey Pox Truth versus Fearporn. Monkey Pox Update May 31, 2022. There has been a significant development.
C'est la maladie des pédés. Çà, on le sait. Moins y en a c'est tant mieux. Oui mais ils disent qu'il y a 8 milliards de pédés sur Terre ! Ce sont des 'pédés asymptomatiques' !! Ils ne savent pas qu'ils sont des enculés, et vont être inoculer profond !
Le but ultime : l'abêtissement perpétuel de toute la société afin de créer un État esclave gouverné par quelques-uns
De Gary D. Barnett 25 juillet 2022
« La désobéissance est le vrai fondement de la liberté. Les obéissants doivent être des esclaves. ~ Henri David Thoreau
À quoi cela doit-il ressembler de vivre dans un état d'esprit où tout ce qui se passe dans cette vie humaine est considéré comme naturel, imprévu, une coïncidence ou, d'une manière ou d'une autre, inévitable ? L'exigence pour cet état d'inconscience vide, est d'exister dans un monde de clichés et de régurgitation des pensées des autres ; majoritairement des étrangers. C'est la croyance des masses, non pas parce qu'elles n'avaient pas le choix en la matière, ou qu'elles ont spontanément choisi d'être aussi confiantes, mais parce qu'elles ont été conditionnées pendant des générations à agir et à accepter les mensonges propagandisés qui leur ont été transmis tout au long de leur vie par ceux de l'État. joueurs avec des agendas très néfastes.
Toute cette tromperie n'est qu'un marketing de masse programmé de la désinformation, un endoctrinement du plus grand nombre au profit de quelques-uns, à travers une pléthore de techniques de lavage de cerveau. Le seul remède à une telle circonstance est d'apprendre d'abord à accepter que quelque chose ne va pas du tout, puis de trouver le courage de rechercher la vérité. Cela nécessite une véritable recherche et une véritable éducation, et non la « scolarisation » à laquelle presque tous ont été soumis depuis leur naissance, et c'est pourquoi ceux qui n'acceptent jamais et remettent toujours en question la fausse autorité, continuent d'écrire, de parler et de plaider avec leurs semblables d'une manière tenter de réveiller le géant endormi qu'est la population générale.
Tout ce qu'il faut pour voir de la lumière, si l'on veut vraiment voir la lumière, c'est de comprendre que le mal existe, et qu'il existe presque partout. Certains maux sont brutaux et manifestement évidents, d'autres sont sournois et silencieux, et beaucoup de mal peut être attribué à l'homme ordinaire en raison de son indifférence envers le sort des autres en faveur de lui-même. Mais le mal le plus dangereux est drapé sous la couverture de faire le bien ; revendiquer la haute place de ce qui est faussement présenté comme le "plus grand bien". C'est ainsi que fonctionne le gouvernement, car il joue sur les faiblesses de l'humanité en utilisant la vieille méthode du problème, de la réaction, de la solution, pour créer la peur et ensuite faire semblant de protéger face à cette fausse peur. C'est le pilier de tous les efforts du souverain pour contrôler le troupeau humain de moutons. Les exemples de cette tactique abondent et ont traversé l'histoire. Aux États-Unis, cette pratique trompeuse est répandue depuis le tout début.
Cette tromperie a été particulièrement réussie du point de vue de l'État concernant la guerre, toutes les guerres, et la volonté de gagner le soutien du peuple contre des monstres inexistants et non menaçants de loin. Cela revient à dire que l'État utilise les masses pour se détruire, afin que les puissants puissent s'enrichir, prendre le contrôle et continuer à éliminer ce qu'ils croient être les classes inférieures. Cela a toujours été le cas, car aucune attaque contre ce pays n'a jamais eu lieu sur le continent, et la seule véritable attaque contre Pearl Harbor s'est produite sur une île volée occupée de force par des soldats américains ; utilisant un complot pour organiser délibérément des actes de guerre flagrants contre le Japon afin de lancer cette attaque. Ce n'était rien de plus qu'un événement sous fausse bannière organisé par les États-Unis et créé dans le seul but d'attiser la peur dans le cœur des gens afin de les amener à soutenir une autre guerre mondiale basée uniquement sur l'agression de l'Occident. Peu de choses étaient différentes dans toutes les guerres avancées par l'État-nation américain, y compris les guerres indiennes, la soi-disant guerre civile, la guerre hispano-américaine, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la guerre de Corée, la guerre du Vietnam, la ridicule "guerre". contre le terrorisme », et toutes les autres guerres tracées et planifiées par la classe dirigeante et ses marionnettes au sein du gouvernement américain depuis le XVIIIe siècle et avant.
Aujourd'hui, la menace de guerre et d'anéantissement nucléaire reste intacte, toutes planifiées à l'avance, complotées et mises en scène pour que tout le monde puisse les voir. Le problème cependant, c'est que le grand public est encore muet et aveugle à cette stratégie évidente mise en œuvre par le mal qui contrôle ce pays. Le travail interne qu'a été "l'attaque" du 11 septembre a donné à ce gouvernement et à ses maîtres deux décennies de munitions afin de poursuivre le plan d'un gouvernement mondial et de prendre le contrôle de toute l'humanité, jusqu'à la prochaine étape de la terreur d'État. pourrait se déchaîner sur le public.
Cette prochaine étape est et a été la menace fausse et illusoire d'une pandémie de « virus » qui n'existe pas et n'a jamais existé. La véritable menace, comme c'est presque toujours le cas, est la prétendue solution de l'État à cette menace inexistante, créée à dessein une fois de plus pour instiller une grande peur dans le public malheureux et endoctriné. Une fois que cette peur s'est solidifiée, l'arme biologique très toxique et activement toxique appelée «vaccin covid» a été lâchée sur tous les membres sans méfiance de la grande majorité qui est la population commune, entre autres. Aussi difficile que ce soit à avaler, des centaines de millions ici et des milliards dans le monde ont succombé à l'idée frauduleuse et absurde que tout le monde pourrait mourir d'un mystérieux « virus » ; celui qui n'a jamais été isolé ni identifié. La réponse de l'État à cette « menace » fabriquée était que nos libertés devaient être sacrifiées, l'auto-emprisonnement devait devenir universel, les confinements et les quarantaines devaient être mis en place, l'économie devait être systématiquement détruite, la famille devait être évitée, et seulement ceux injectés avec un poison mystérieux seraient en sécurité et autorisés à se déplacer dans un monde agissant tous à la fois comme un de concert avec chacun; juste pour le contrôle totalitaire sur tout. De quel fantasme s'agit-il ?
Tous ceux qui ont pris le poison de l'État doivent être conscients qu'ils ont volontairement laissé leur esprit et leur corps être modifiés d'un nombre incalculable de façons qui causeront probablement des effets néfastes majeurs maintenant et à l'avenir, y compris la maladie, la mutilation, l'incapacité mentale, la maladie, et la mort. Cette réalité est déjà évidente, car les dommages et les décès causés par des causes « inconnues » montent en flèche ici ; sur une grande partie du monde occidental, et à travers la planète dans certaines régions. Ce n'est pas accidentel ou naturel; c'est un résultat prévu.
Cette mise en place est nécessaire pour que les «élites» dirigeantes et leurs hommes de main au gouvernement revendiquent la propriété de tous les biens, de l'argent et des personnes dans le monde. Comme cela a été dit à plusieurs reprises, ceux qui contrôlent la nourriture, l'argent et les approvisionnements énergétiques contrôleront le monde. C'est exactement ce qui se passe sous nos yeux, et seuls un éveil et une prise de conscience de ce fait peuvent changer suffisamment les esprits pour que ce mastodonte tyrannique puisse être arrêté à temps. Il appartient à chacun de reconnaître ce risque, et de décider de ne pas participer à cette destruction de l'humanité.
Ouvrez vos esprits et cherchez la vérité au lieu de rester les esclaves et les marionnettes de ce système de domination mondiale planifiée. C'est mon opinion étudiée qu'il reste peu de temps avant que cet assaut contre l'humanité n'atteigne un niveau de non-retour. Abandonnez le récit dominant et tirez vos propres conclusions avant qu'il ne soit trop tard. Bien que cela puisse sembler intimidant et même impossible, ne vous fiez pas à l'idiotie stupide qu'est la pensée de groupe, la politique, le vote et la recherche d'écume fausse et fourbe appelée «leaders». Cessez de vous cacher face à des complots aussi évidents. Pour faire face à cet ennemi, il faut d'abord se faire face, accepter les défauts que vous trouverez et s'efforcer de corriger sa propre maison au lieu de condamner ou de se fier aux caprices des autres.
Nous pouvons surmonter cette folie et cette folie, mais seulement si et quand un grand nombre d'individus se lèvent et défient l'état actuel des choses. N'oubliez pas qu'obéir au gouvernement signifie seulement que vous êtes devenu un esclave, tandis que la désobéissance à ce même état vous rendra libre.
« Au début, l'homme était asservi par les dieux. Mais il a brisé leurs chaînes. Puis il fut asservi par les rois. Mais il a brisé leurs chaînes. Il était asservi par sa naissance, par sa parenté, par sa race. Mais il a brisé leurs chaînes. Il a déclaré à tous ses frères qu'un homme a des droits que ni dieu ni roi ni les autres hommes ne peuvent lui enlever, quel que soit leur nombre, car c'est le droit de l'homme, et il n'y a pas de droit sur la terre au-dessus de ce droit. Et il se tenait sur le seuil de la liberté pour laquelle le sang des siècles derrière lui avait été versé.
Nolte: Il y a un an aujourd'hui, Joe Biden a déclaré que les vaccinés ne peuvent pas attraper le COVID
JOHN NOLTE 21 juil. 20222
Alors que nous souhaitons tous à Joe Biden un rétablissement rapide et complet du coronavirus, n'oublions pas toute la désinformation COVID qu'il diffuse depuis des années.
En fait, dans un accès d'ironie, personne ne croirait à la fiction ; c'était il y a exactement un an - il y a un an jour pour jour - que Biden a dit au pays que la vaccination COVID vous protégerait contre l'infection.
Le 21 juillet 2022, la Maison Blanche a annoncé que Joe Biden, deux fois vacciné et deux fois boosté, était atteint du coronavirus.
Le 21 juillet 2021, Joe Biden a déclaré au pays que les vaccinés ne pouvaient pas attraper le coronavirus.
Mais encore une fois, une dernière chose. Je... on ne vous en parle pas assez, je ne pense pas. Une dernière chose qui est vraiment importante est la suivante : nous ne sommes pas dans une position où nous pensons que n'importe quel virus - y compris le virus Delta, qui est beaucoup plus transmissible et plus mortel en termes de personnes non - non vaccinées - le vi- - les différents coups que les gens reçoivent maintenant couvrent cela. Ils sont - tu vas bien. Vous n'allez pas - vous n'allez pas attraper le COVID si vous avez ces vaccins. [soulignement ajouté]
Biden a répandu cette désinformation flagrante lors d'un événement à la mairie de CNN.
Naturellement, le modérateur du CNNLOL, Don Lemon, n'a pas contesté ni corrigé Biden.
Plus tôt dans l'événement, Biden a admis que les vaccinés pourraient contracter le COVID, mais a ensuite diffusé cette désinformation :
Et donc, ce que je dis aux gens qui s'inquiètent d'une nouvelle pandémie, c'est : faites-vous vacciner. Si vous êtes vacciné, même si vous attrapez le «virus», entre guillemets, sans guillemets - comme les gens en parlent en termes normaux - vous êtes submergé - - peu de gens le font. Si vous le faites, vous ne risquez pas de tomber malade. Vous allez probablement être asymptomatique. Vous n'allez pas être dans une position où vous - où votre vie est en danger. [soulignement ajouté]
S'il est vrai que le vaccin atténue les symptômes du coronavirus et votre risque d'hospitalisation et de décès (je suis complètement vacciné), il n'était pas exact pour Biden d'affirmer directement que "Vous n'allez pas être dans une position où vous – où votre vie est en danger.
Trois mois après avoir fait cette affirmation, 10 587 Américains entièrement vaccinés sont morts du coronavirus.
Ce n'était pas la fin de la campagne de désinformation de Biden. En décembre 2021, il a faussement affirmé que les vaccinés ne pouvaient pas propager le coronavirus. Le fait que la Maison Blanche mette maintenant Biden en quarantaine prouve que c'est faux. Bien sûr, les vaccinés peuvent attraper et propager la grippe chinoise.
Pendant la campagne présidentielle de 2020, Biden a menti à plusieurs reprises sur le vaccin contre le coronavirus de Trump… Que le vaccin était précipité, que nous ne pouvions pas lui faire confiance, etc.
Biden est entré en fonction avec le vaccin miracle déjà développé et expédié dans tout le pays. Néanmoins, plus de personnes (en moins de temps) sont mortes sous la surveillance de Biden que sous celle de Trump.
La désinformation de Biden n'est – comme Biden lui-même pourrait le dire – pas une blague.
Le nouveau long métrage "Consentement non informé" salué comme le documentaire le plus puissant de l'ère Covid
jeudi 21 juillet 2022 par : Cassie B.
(Natural News) L'un des principes de base de la médecine moderne est le droit au consentement éclairé, mais tout cela a semblé disparaître alors que COVID-19 s'est installé dans le monde entier et que les sociétés de vaccins ont vu d'énormes opportunités de profit.
On peut maintenant dire sans se tromper que la maladie a été complètement exploitée et que ses effets peuvent se faire sentir dans presque tous les aspects de la vie quotidienne, que vous ayez personnellement contracté le virus ou non. Il y a eu une tromperie généralisée de la part des gouvernements, des agents de santé publique, des plateformes de médias sociaux et des médias de masse, et les gens ont perdu leur liberté à chaque tournant pour ne pas se conformer aux mandats de masquage et de vaccination ou simplement pour exprimer leurs opinions sur la situation.
C'est le sujet d'un nouveau long métrage documentaire intitulé Consentement non informé, et ce week-end marque sa première mondiale exclusive en direct. Le réseau de médias sociaux Librti du Canada accueillera la première sur sa plateforme de diffusion en direct non censurée samedi.
Le film promet un regard approfondi sur le récit entourant COVID-19. Il explore non seulement qui le contrôle, mais aussi comment il a été utilisé pour injecter à presque tout le monde sur Terre une nouvelle technologie non testée.
C'est un regard qui donne à réfléchir sur la destruction des droits de l'homme, non seulement à plus grande échelle mais à un niveau plus personnel à travers l'histoire de la perte dévastatrice d'une personne - une histoire à laquelle beaucoup trop de gens peuvent s'identifier de nos jours.
Le film présente également des commentaires de médecins et de scientifiques qui ont eu le courage de prendre position et de dénoncer Big Pharma et d'autres élites qui profitent des mandats mondiaux de vaccination. Il a été produit par Todd Harris de Matador Films en collaboration avec le groupe Vaccine Choice Canada, dont la mission est d'aider les familles à prendre des décisions éclairées concernant leur immunité.
La bande-annonce du film commence par une citation de Mark Twain : "Il est beaucoup plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils ont été dupés." C'est un sentiment qui résonne beaucoup trop pour quiconque a déjà essayé de convaincre un être cher que les dangers de ces vaccins sont réels.
Le film aborde également les attaques contre la liberté d'expression qui ont été vues sur les plateformes de médias sociaux à la suite des mandats de vaccination. Des accusations de "désinformation" ont été lancées contre quiconque ose parler des effets négatifs, même s'ils les ont personnellement vécus, et la situation a été utilisée comme excuse pour une censure généralisée.
Les premières critiques du film sont extrêmement positives, Amanda Forbes de Children’s Health Defence notant : « Le consentement non éclairé est la VÉRITÉ la plus scientifique et factuelle qui soit sortie du Canada au cours des 3 dernières années. Si vous êtes un parent, cela devrait figurer en haut de votre liste de visionnage. C'est VRAIMENT une révélation. Tout le monde doit voir ce film !
Sherry Strong de Children's Health Defence Canada a déclaré: "C'est le documentaire le plus puissant de l'ère covid."
Le samedi 23 juillet à 16h PT / 19h HE, vous pouvez rejoindre les producteurs et créateurs du film, ainsi que les médecins derrière le film, lors d'un événement spécial sur Librti. Les téléspectateurs intéressés peuvent réserver leurs places pour la diffusion en direct limitée de la première en suivant le lien sur la page de Librti.
Un véritable consentement éclairé sur les vaccins COVID-19 aurait pu sauver d'innombrables vies Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), plus de 12 000 décès liés au vaccin ont été signalés jusqu'à présent aux États-Unis seulement. Cependant, le système est connu pour son retard en temps réel et ne représente qu'une petite fraction des le vrai nombre de cas, dû en grande partie au fait que tout le monde ne fait pas le lien entre les décès et le coup. Bien sûr, 12 000, c'est déjà 12 000 de trop, mais le nombre réel est probablement beaucoup, beaucoup plus élevé.
Combien de vies auraient pu être sauvées si le principe du consentement éclairé avait été respecté, les personnes étant honnêtement informées des dangers du vaccin et libres de choisir d'assumer ou non les risques sans craindre de perdre leur emploi, famille ou libertés ?
L’OMS lance un appel « urgent » à la mise au point de vaccins contre la résistance aux antibiotiques, alors que les CDC imputent le problème à une pandémie
Les décès aux États-Unis dus à la résistance aux antimicrobiens ont augmenté de 15 % en 2020, en raison de l'utilisation de médicaments pour traiter la COVID-19, selon un rapport publié le 12 juillet par les Centers for Disease Control and Prevention. Le 12 juillet également, l'Organisation mondiale de la santé a lancé un appel « urgent » à développer plus de 150 vaccins pour faire face à la menace sanitaire mondiale.
Par Children's Health Defense Mondialisation.ca, 24 juillet 2022 The Defender
Dans un rapport publié le 12 juillet, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré que les décès aux États-Unis dus à des bactéries résistantes aux antibiotiques – communément appelées « superbactéries » – ont augmenté de 15 % en 2020.
Le rapport de 44 pages examine l’impact de la COVID-19 sur la résistance aux antimicrobiens (RAM) en 2020, lorsque – selon les CDC – les médicaments étaient largement distribués pour traiter la COVID-19 et remédier aux infections bactériennes pendant les hospitalisations.
Le même jour – le 12 juillet – où les CDC ont publié leur rapport, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a également publié un rapport sur la RAM, qui mettait l’accent sur le développement de vaccins pour lutter contre ce problème.
Dans un communiqué de presse sur le rapport, le directeur du département de Vaccination, vaccins et produits biologiques de l’OMS a demandé à l’agence « de tirer les leçons du développement du vaccin contre la COVID et d’accélérer notre recherche de vaccins pour lutter contre la RAM ».
Le rapport de 94 pages de l’OMS identifie 155 candidats vaccins – 61 à « divers stades de développement clinique » et 94 en « développement préclinique » – qui, selon l’agence, devraient être développés « de toute urgence » pour combattre la RAM.
Les rapports des CDC et de l’OMS ne traitent pas de ce qui, de l’avis de la plupart des scientifiques, est l’une des principales causes de la résistance aux antibiotiques : l’utilisation excessive d’antibiotiques dans les élevages industriels.
Classée parmi les dix principales menaces pour la santé publique de l’humanité par l’OMS, la RAM se produit « lorsque des germes comme les bactéries et les champignons déjouent les médicaments conçus pour les tuer », a déclaré le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC.
Une étude publiée en janvier par The Lancet a estimé que 4,95 millions de décès dans le monde étaient liés à la RAM bactérienne, dont 1,27 million attribués à la RAM bactérienne.
80 % des patients de COVID on reçu des antibiotiques en 2020, selon les CDC
Selon les CDC, « au cours de la première année de la pandémie, plus de 29 400 personnes sont mortes d’infections résistantes aux antimicrobiens communément associées aux soins de santé. Parmi elles, près de 40 % ont contracté l’infection alors qu’elles étaient à l’hôpital ».
Près de 80 % des patients hospitalisés avec la COVID-19 ont reçu un antibiotique – même si les antibiotiques ne sont pas utiles pour les infections virales – en raison de la difficulté à distinguer la COVID-19 de la pneumonie lorsque les patients arrivent à l’hôpital, a indiqué le CDC.
« Les gains historiques réalisés en matière de bonne gestion des antibiotiques ont été annulés car les antibiotiques étaient souvent la première option », a déclaré Mme Walensky dans le rapport.
Le rapport des CDC fait état d’une augmentation de six infections bactériennes « superbactéries » et de deux infections fongiques, avec une augmentation globale de 15 % :
Acinetobacter résistant aux carbapénèmes : augmentation de 78 % des infections. Entérobactéries résistantes aux carbapénèmes : augmentation de 35 % des infections. Pseudomonas aeruginosa multirésistant : augmentation de 32 % des infections. Enterococcus résistant à la vancomycine (ERV) : Augmentation de 14 % des infections. Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) : augmentation de 13 % des infections. Enterobacterales productrices de BLSE : augmentation de 32 % des infections. Candida auris résistant aux antifongiques : augmentation de 60 % des infections. Candida résistant aux antifongiques (à l’exclusion de Candida auris) : augmentation de 26 % des infections.
Les CDC ont souligné qu’ils « restent engagé » dans le plan d’action national américain de lutte contre les bactéries résistantes aux antibiotiques et qu’ils iront de l’avant pour combler les lacunes du système de santé publique en « explorant les investissements » dans l’infrastructure sanitaire américaine dans les domaines suivants :
Amélioration des systèmes et du partage des données. Utilisation et accès aux antibiotiques/antifongiques. Environnement et assainissement. Vaccins, thérapies et diagnostics. L’OMS encourage l’utilisation de vaccins pour prévenir la RAM et identifie 155 candidats vaccins
L’OMS a qualifié son rapport de 94 pages de « tout premier… sur les vaccins actuellement en cours de développement pour prévenir les infections causées par des agents pathogènes bactériens résistants aux antimicrobiens (AMR) ».
Les vaccins peuvent être des « outils très efficaces » pour lutter contre la RAM en prévenant les infections, ce qui permet de réduire la consommation d’antibiotiques, a déclaré l’OMS.
« Pourtant, sur les six principaux agents pathogènes bactériens responsables des décès dus à la RAM, un seul, le pneumocoque (streptococcus pneumoniae), dispose d’un vaccin », a déclaré le Dr Hanan Balkhy, sous-directeur général de l’OMS chargé de la résistance aux antimicrobiens.
Le rapport de l’OMS a identifié quatre groupes d’agents pathogènes pour lesquels des vaccins « candidats » sont à divers stades de développement clinique.
Le rapport se concentre exclusivement sur les vaccins – et non sur les nouveaux antibiotiques – en tant qu’outils permettant d’atténuer le problème de la RAM. Mais ce n’est pas surprenant, a rapporté Kaiser Health News (KHN).
« Les grandes entreprises pharmaceutiques ont pour la plupart abandonné le développement d’antibiotiques, et sept des douze sociétés qui ont réussi à mettre un médicament sur le marché au cours de la dernière décennie ont fait faillite ou ont quitté le secteur des antibiotiques en raison de mauvaises ventes », indique KHN.
En effet, plus un antibiotique est administré, plus les bactéries évoluent rapidement pour le surmonter. Les professionnels de la santé réduisent donc l’utilisation de ces médicaments, 90 % des hôpitaux mettant en place des programmes d’intendance qui limitent l’utilisation des antibiotiques, y compris les nouveaux.
Cela suggère que les investisseurs potentiels pourraient perdre leur intérêt pour l’industrie des antibiotiques. Cependant, le marché mondial des antibiotiques devrait passer de 38,08 milliards de dollars en 2021 à 45,30 milliards de dollars en 2028, selon Fortune Business Insights.
Les CDC et l’OMS ignorent la principale cause de la RAM : l’utilisation d’antibiotiques dans la production industrielle de viande
Les préoccupations du public à l’égard de la RAM ne sont pas nouvelles. Selon l’OMS, la RAM est une priorité de santé mondiale depuis 2015.
De même, les CDC ont déclaré avoir « tiré la sonnette d’alarme sur cette pandémie potentielle » depuis 2013.
Si l’administration excessive d’antibiotiques chez l’homme est un facteur clé de la RAM, le principal coupable – précédemment identifié par les CDC et l’OMS – était l’utilisation d’antibiotiques chez les animaux destinés à l’alimentation.
En mai 2015, la 68e Assemblée mondiale de la santé de l’OMS a adopté un « plan d’action mondial » qui proposait des interventions pour enrayer la RAM. Ce plan visait à réduire l’utilisation inutile d’antimicrobiens chez l’homme et l’animal.
À partir de ce plan, l’OMS a élaboré un ensemble de lignes directrices et de bonnes pratiques, qu’elle a publiées en 2017, sur l’utilisation d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux destinés à l’alimentation.
« L’utilisation d’antimicrobiens chez les animaux destinés à l’alimentation peut conduire à la sélection et à la dissémination de bactéries résistantes aux antimicrobiens chez les animaux destinés à l’alimentation, qui peuvent ensuite être transmises à l’homme par les aliments et d’autres voies de transmission », a déclaré l’OMS.
« L’élaboration de ces lignes directrices a été motivée par la nécessité d’atténuer les conséquences négatives sur la santé humaine de l’utilisation d’antimicrobiens médicalement importants (c’est-à-dire utilisés chez l’homme) chez les animaux destinés à l’alimentation. »
Une réduction globale de l’utilisation de toutes les classes d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux producteurs d’aliments. Une restriction complète de l’utilisation de toutes les classes d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux producteurs d’aliments pour favoriser leur croissance. Une restriction complète de l’utilisation de toutes les classes d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux producteurs d’aliments pour la prévention des maladies infectieuses qui n’ont pas encore été diagnostiquées cliniquement. Que les antimicrobiens classés comme « d’importance critique » pour la médecine humaine ne doivent pas être utilisés pour contrôler la dissémination d’une maladie infectieuse diagnostiquée cliniquement et identifiée au sein d’un groupe d’animaux producteurs d’aliments. Les antimicrobiens classés comme étant « de la plus haute priorité et d’une importance critique » pour la médecine humaine ne doivent pas être utilisés pour le traitement d’animaux destinés à l’alimentation atteints d’une maladie infectieuse cliniquement diagnostiquée. L’OMS a également établi deux « meilleures pratiques » :
Toute nouvelle classe d’antimicrobiens ou toute nouvelle association d’antimicrobiens mise au point pour être utilisée chez l’homme sera considérée comme étant d’une importance capitale pour la médecine humaine, sauf si l’OMS la catégorise autrement. Les antimicrobiens médicalement importants qui ne sont pas actuellement utilisés dans la production alimentaire ne devraient pas être utilisés à l’avenir dans la production alimentaire, y compris chez les animaux ou les plantes producteurs d’aliments. En 2017, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a interdit l’utilisation d’antibiotiques pour favoriser la croissance et a restreint l’utilisation en vente libre d’antimicrobiens chez les animaux destinés à la consommation.
Cependant, les nouvelles règles de la FDA étaient « complexes et n’interdisent pas toute utilisation d’antibiotiques », rapportait Newsweek en janvier 2017.
(...) 80 % des patients de COVID on reçu des antibiotiques en 2020, selon les CDC
Selon les CDC, « au cours de la première année de la pandémie, plus de 29 400 personnes sont mortes d’infections résistantes aux antimicrobiens communément associées aux soins de santé. Parmi elles, près de 40 % ont contracté l’infection alors qu’elles étaient à l’hôpital ».
Près de 80 % des patients hospitalisés avec la COVID-19 ont reçu un antibiotique – même si les antibiotiques ne sont pas utiles pour les infections virales – en raison de la difficulté à distinguer la COVID-19 de la pneumonie lorsque les patients arrivent à l’hôpital, a indiqué le CDC. (...)
Il n'EXISTE PAS d'antibiotique contre un poison. Il existe des antidotes.
- (Un antidote est une substance chimique ou un élément chimique pouvant guérir une personne ou un animal d'un poison ou d'une maladie (pouvant provoquer un empoisonnement, une maladie...). Le plus souvent, l'antidote consiste à neutraliser une ou plusieurs formes données d'empoisonnement.) -
La normalisation du nouveau Reich normal
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 05:30
Écrit par CJ Hopkins via The Consent Factory,
Je sais, vous en avez probablement marre d'entendre parler de la montée du nouveau Reich normal. Vous voulez que ce soit fini. Moi aussi. Ce n'est pas fini… pas de loin. Il peut sembler que c'est fini là où vous êtes. J'imagine que c'est le cas si vous vivez en Floride, ou au Texas, ou au Royaume-Uni, ou en Suède, ou en Croatie, ou dans un autre pays ou état dans lequel la majorité des «restrictions Covid» ont été levées, ou peut-être n'ont jamais été introduites en premier lieu. Si c'est le cas, je suis content pour toi.
Il se trouve que je vis dans la New Normal Germany, la pointe actuelle de la lance New Normal, ou l'une des pointes de l'une de ses lances (ou aiguilles hypodermiques à ARNm), les autres étant des pays et des États comme le Canada, la Chine, l'Australie, New York, Californie et divers autres foyers du nouveau normalisme. Si vous vivez dans l'un de ces bastions de la Nouvelle Normalité, comme moi, vous êtes parfaitement conscient du fait que ce n'est pas fini.
Oui, le Covidian Cult est kaput. Le charme est rompu. Seuls les cultistes les plus fanatiques de la Nouvelle Normalité continuent de se promener en public avec leurs masques de peste et leurs combinaisons de matières dangereuses faites maison. Mais le Nouveau Reich Normal n'est pas kaput. Le Nouveau Reich Normal est en train d'être… eh bien, normalisé. Les masses sont systématiquement conditionnées à accepter l'État policier de biosécurité que les classes dirigeantes capitalistes mondiales ont mis en place au cours des trois dernières années. Malgré les preuves désormais irréfutables que les "vaccins" n'empêchent pas la transmission du virus, "les non vaccinés" sont toujours isolés, interdits de travail, d'aller à l'école, de participer à de grands événements sportifs, etc. Les gens sont toujours obligés de porter des masques – le symbole du nouveau Reich normal – dans les avions, les trains, les transports publics, dans les cabinets médicaux, les hôpitaux, etc. Ici, là-bas et partout, les symboles et les rituels sociaux de la nouvelle normalité s'intègrent en permanence dans la vie quotidienne.
Ces symboles et rituels sont plus que la façade du Nouveau Reich Normal. Ils sont la façon dont notre nouvelle «réalité» est créée et maintenue. Les masses sont comme des acteurs obligés d'investir émotionnellement dans la «réalité» d'une pièce de théâtre absurde. Plus ils répètent la performance, plus la « réalité » fictive devient convaincante, même si elle est manifestement absurde… et elle devient de plus en plus absurde.
Par exemple, dans les aéroports de New Normal Canada, les citoyens qui tentent d'entrer dans leur propre pays sans l'application dite "ArriveCAN" sur leur smartphone pour fournir une preuve de leur "statut vaccinal" (y compris les octogénaires qui ne possèdent pas de smartphone) sont soumis au harcèlement absurde prolongé par des clowns imbéciles de la Nouvelle Normale en gilets rouges. Ici, dans l'Allemagne de la nouvelle normalité, le gouvernement se prépare à obliger tout le monde à porter des masques d'apparence médicale en public chaque automne et chaque hiver, non seulement à cause de la «peste apocalyptique», mais aussi à cause de la grippe hivernale normale. Le prétexte n'a plus vraiment d'importance. Le point est l'affichage de l'uniformité idéologique.
Pendant ce temps, le ministère fédéral allemand de la Santé a été contraint de publier un lieu de rencontre limité concernant les blessures et les décès liés à la « vaccination ». Ils l'ont fait à la manière classique de Goebbels.
Apparemment, ils n'aimaient pas les données réelles sur le nombre d'effets indésirables graves, alors ils ont décidé de mentir à leur sujet sur Twitter.
RépondreSupprimer(Des effets indésirables graves ont été signalés chez environ 1 dose sur 5 000, et non 1 personne «vaccinée» sur 5 000. Environ 184 000 000 doses ont été administrées à des personnes en Allemagne et… eh bien, vous pouvez faire le calcul.)
Naturellement, la Twitter Corporation a giflé son faux avertissement "trompeur" sur les retweets soulignant le mensonge du ministère de la Santé, parce que la vérité est ce que dit la Corporatocratie, et tout le reste est de la "désinformation".
Si vous pensez que je suis dur ou hyperbolique en qualifiant le mensonge du ministère de mensonge, gardez à l'esprit que le ministre allemand de la Santé, Karl Lauterbach, ment à plusieurs reprises au public allemand depuis plus de deux ans maintenant. Ici, il ment sur les «vaccins sans effets secondaires» en août 2021, juste au moment où il a ordonné la ségrégation des «non vaccinés» et fomenté la haine de quiconque refusait de se conformer à l'idéologie de la nouvelle normalité…
Et maintenant, des dizaines de milliers de personnes en Allemagne – au minimum, car les effets indésirables des vaccins ont toujours été considérablement sous-déclarés – ont été gravement blessées ou… vous savez, tuées, parce que Karl et ses copains fascistes de la Nouvelle Normalité ont menti à tout le monde, maintes et maintes fois, et les médias allemands ont répété ces mensonges, et les masses de la Nouvelle Normalité ont répété ces mensonges, et le gouvernement et les entreprises mondiales ont censuré, déformé et diabolisé ceux d'entre nous qui ont contesté ces mensonges en les traitant d'« extrémistes d'extrême droite », de « scientifiques négationnistes », « anti-vaccins », etc.
Et ce ne sont là que quelques exemples récents. Je ne pense pas avoir besoin de fournir une liste exhaustive. À ce stade, soit vous êtes bien conscient et capable de faire face à ce qui se passe, soit vous ne l'êtes pas, auquel cas vous vous dites tout ce que vous devez vous dire pour prétendre que ce qui se passe ne se passe pas.
Si c'est ce que vous faites, je ne peux pas vous aider. Rien de ce que j'écris ou dis ne te parviendra. Les faits ne feront aucune différence pour vous. Les responsables du gouvernement et de la santé et les têtes pensantes des médias vous mentiront, encore et encore, et se feront prendre en train de mentir, et vous continuerez à répéter catégoriquement leurs mensonges, non pas parce que vous ne comprenez pas que ce sont des mensonges, mais parce que vous ne vous en souciez pas. que ce sont des mensonges. Vous ne vous souciez pas de tuer et de blesser d'innombrables personnes avec vos mensonges officiellement approuvés, avec votre lâcheté, avec votre obéissance aveugle. Votre objectif est de rester dans les limites de la « normalité » et de ne pas être traité de beaucoup de noms et d'être ostracisé de votre cercle social, et si beaucoup de gens doivent mourir et que vous devez abandonner tout semblant d'intégrité et d'honnêteté intellectuelle pour y parvenir, qu'il en soit ainsi.
Quant au reste d'entre nous, ceux qui sont conscients de ce qui se passe et font de leur mieux pour faire face à ce qui se passe, même si nous ne comprenons pas ce qui se passe, ou si nous ne sommes pas d'accord sur la raison pour laquelle cela se passe, j'aimerais avoir quelque chose d'intelligent à offrir dans termes de la façon de le faire cesser de se produire.
RépondreSupprimerJe ne le fais pas, à part ce que je préconise, c'est-à-dire une désobéissance civile organisée et non violente, comme ce que les camionneurs canadiens ont fait à Ottawa, comme ce que font les agriculteurs néerlandais aux Pays-Bas. Des colonnes comme celle-ci, des mèmes sur les réseaux sociaux, des manifestations de masse sporadiques le dimanche et des actes individuels de non-conformité ne vont pas arrêter le mastodonte de la nouvelle normalité. La normalisation de la nouvelle normalité se poursuivra, la pathologisation de la société se poursuivra, la déstabilisation et la restructuration de l'économie mondiale se poursuivront, à moins que quelque chose de vraiment historique ne se produise et que les travailleurs du monde ne s'unissent (ou si les individus souverains du monde s'unissent si "travailleurs" sonne trop coco pour vous) et enfoncez une clé à molette dans la machinerie New Normal.
Les chances que cela se produise sont minces. Au cours de mes 60 années d'existence corporelle, je n'ai jamais connu une époque où les gens étaient aussi aliénés, désespérés et à la gorge les uns des autres. Je ne me souviens pas d'une époque où les gens étaient aussi dépourvus d'humour, moralisateurs et vicieux… et je parle des gens qui pouvaient faire la différence, pas des masses New Normal qui suivaient l'ordre. S'il y a jamais eu un moment où les classes ouvrières ont dû mettre de côté leurs différences politiques et fléchir leurs muscles collectifs, c'est bien celui-ci, mais la plupart d'entre nous sont trop occupés à se pisser dessus pour marquer des points bon marché sur Twitter, ou Gettr, ou Telegram , ou, vous savez, n'importe où.
Je suis désolé de terminer sur une note aussi pessimiste… Je me remets de la peste apocalyptique, alors peut-être que je me sens trop sombre.
Probablement que tout ira bien, et les gens finiront par reprendre leurs esprits, et les classes dirigeantes capitalistes mondiales annuleront toute la nouvelle normalité, et personne n'a besoin d'organiser une quelconque campagne internationale non violente de désobéissance civile, et , un jour, nous nous réveillerons et vérifierons nos téléphones et découvrirons qu'il n'y a pas eu de nouveau Reich normal, et que personne n'est jamais mort à cause d'un vaccin, et nous vérifierons notre statut de crédit social et dirons à nos cuisines intelligentes de commencez à cuisiner nos grillons et affichez la guerre du jour sur nos ViewScreens afin que nous puissions nous enraciner pour qui nous a dit de nous enraciner… et tout redeviendra enfin «normal».
https://www.zerohedge.com/geopolitical/normalization-new-normal-reich
Mappé : les principales exportations et importations américaines par État
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 05:00
Les principales exportations américaines par État
Les États-Unis ont exporté plus de 1,3 billion de dollars de marchandises en 2020, le deuxième montant le plus élevé au monde.
Alors que le pétrole raffiné était la principale exportation globale avec 58,4 milliards de dollars, Dorothy Neufeld de Visual Capitalist détaille ci-dessous que les exportations d'avions étaient en fait les plus élevées dans 14 États - plus que toute autre forme d'exportation.
Cette infographie d'OnDeck montre les principales exportations américaines par État, en utilisant les données de janvier 2022 du U.S. Census Bureau.
Les principales exportations américaines, par catégorie
Comme indiqué ci-dessous, la Floride, le Kansas et de nombreux autres États ont tous des avions (et des pièces connexes) comme principale exportation.
Voici la première catégorie d'exportation pour chaque État, en utilisant les chiffres de 2020.
- voir carte illustrée sur site -
Alors que la grande majorité de l'industrie aérospatiale et de la défense consiste en des exportations d'aérospatiale civile, l'Amérique a également joué un rôle important dans les exportations d'avions militaires. Entre 2000 et 2020, ceux-ci valaient 99,6 milliards de dollars, le plus élevé au monde devant les 61,5 milliards de dollars d'exportations militaires de la Russie. Cela devient moins surprenant si l'on considère qu'un nouvel avion de chasse peut souvent coûter 100 millions de dollars.
Mais il y avait beaucoup d'exportations différentes et plus intéressantes. La principale exportation du Dakota du Sud n'est autre que la lie de brassage, qui est le sédiment trouvé dans le brassage de la bière. Les plus gros importateurs de ces lies sont le Mexique, le Vietnam et la Corée du Sud. Souvent, la lie est vendue aux agriculteurs pour être utilisée dans l'alimentation animale.
Pendant ce temps, la principale exportation de la Pennsylvanie, de l'Indiana et de l'Illinois est la médecine, tandis que la Caroline du Nord a des vaccins et des anticorps comme principale exportation. En 2020, les États-Unis ont exporté pour plus de 46 milliards de dollars de biens essentiels à la lutte contre le COVID-19, le deuxième plus élevé après la Chine (105 milliards de dollars).
En tant que plus grand exportateur de pétrole en Amérique, le Texas produit plus de 5 millions de barils de pétrole chaque jour, soit 1,7 milliard par an. La principale exportation du Mississippi était également le pétrole, tandis que le pétrole léger était la principale exportation du Minnesota et du Dakota du Nord. Dans l'ensemble, le pétrole représente environ 10 % des exportations américaines annuelles.
Les exportations les plus uniques, par État
RépondreSupprimerAlors que le pétrole, les médicaments et les avions sont les suspects habituels des principales exportations américaines, voici les exportations les plus idiosyncratiques pour chaque État. Ceux-ci sont définis comme ceux qui sont exportés par le plus petit nombre d'autres États.
- voir carte illustrée sur site -
L'Arkansas est le premier exportateur de riz en Amérique, avec une industrie évaluée à 722 millions de dollars. L'industrie du riz dans l'Arkansas a commencé à se développer considérablement au début des années 1900 et s'est développée encore plus rapidement pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale.
New York, en revanche, exporte plus de sculptures que tout autre État grâce à son épicentre du monde de l'art. Les États-Unis ont exporté plus de 12 milliards de dollars d'art et d'antiquités en 2019.
Le homard est l'exportation la plus unique du Maine, connue pour ses grandes pinces caractéristiques. La côte nord du Maine offre des eaux fraîches qui se prêtent à des plats de homard plus tendres et plus sucrés.
Enfin, le Massachusetts exporte des perles de quahog, connues pour leur texture inégale et leur motif en mosaïque, trouvées à Cape Cod.
Les principales importations américaines par État
En 2021, les États-Unis ont importé pour environ 2,83 billions de dollars de marchandises de leurs divers partenaires commerciaux internationaux.
Mais comme le demande Carmen Ang de Visual Capitalist (et répond ci-dessous), quels types de marchandises sont le plus souvent importés dans différentes parties de l'Amérique ? Ce graphique d'OnDeck montre la principale importation dans chaque État américain, en utilisant les données de janvier 2022 du US Census Bureau.
Les catégories les plus populaires d'importations américaines
Le pétrole est l'importation la plus populaire dans 12 États, ce qui en fait l'importation la plus courante à travers l'Amérique. En 2021, environ 72 % du pétrole importé était du pétrole brut, qui a ensuite été raffiné au niveau national en produits comme l'essence, le diesel ou le carburéacteur.
- voir carte illustrée sur site -
La majorité de ce pétrole importé provenait du Canada, tandis qu'environ 11 % étaient importés des pays de l'OPEP et 8 % provenaient de la Russie. Bien sûr, ce dernier chiffre baissera probablement en 2022 en raison de l'interdiction des importations russes mise en place par l'administration Biden en réponse au conflit russo-ukrainien.
Après le pétrole, les véhicules et les médicaments étaient à égalité au deuxième rang des biens les plus importés, les deux catégories étant les importations les plus populaires dans six États chacune.
Un peu liés à la médecine sont les acides nucléiques, qui étaient les principales importations en Floride et au Nebraska. Les acides nucléiques sont des polymères naturels qui sont utilisés dans des processus biologiques tels que la synthèse des protéines ou la traduction de l'ARN messager (ARNm). Il convient de noter que plusieurs vaccins COVID-19, y compris ceux produits par Moderna et Pfizer-BioNTech, sont des vaccins à ARNm.
Les importations américaines les plus uniques
RépondreSupprimerEn plus de décrire les importations les plus populaires dans chaque État américain, OnDeck met en évidence l'importation la plus unique de chaque État, visualisée dans le graphique ci-dessous.
- voir carte illustrée sur site -
OnDeck définit l'importation "la plus unique" de chaque État comme la catégorie de marchandises qui a été importée par le moins d'autres États.
Le saumon était l'importation la plus unique de la Floride. Cela a du sens étant donné que le Sunshine State abrite certains des plus grands grossistes de fruits de mer du pays, notamment North Star Seafood (propriété de Sysco) et Tampa Bay Fisheries.
Un autre exemple est les importations élevées d'ananas du Delaware, totalisant environ 60,2 millions de dollars d'ananas par an. Cette fois, le coupable est Dole plc (anciennement Dole Food Company), le plus grand producteur de fruits et légumes au monde. Jusqu'en 2021, le siège social de la société était basé dans le Delaware, et elle reçoit toujours des importations d'ananas vers le port de Wilmington, dans la plus grande ville de l'État.
https://www.zerohedge.com/economics/mapped-top-us-exports-imports-state
Terre de déchets : décharges américaines par État
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 01:00
Chaque Américain produit 1 700 livres de déchets chaque année, faisant des États-Unis le pays le plus gaspilleur au monde.
Comme le détaille Bruno Venditti de Visual Capitalist ci-dessous, environ la moitié des déchets annuels du pays rencontreront leur sort dans l'une des plus de 2 000 décharges actives à travers le pays.
Dans ce graphique de Northstar Clean Technologies, nous cartographions et comparons les déchets d'enfouissement de différents États par habitant, en utilisant les données de l'Agence américaine de protection de l'environnement.
- voir carte sur site -
États avec les tonnes de déchets les plus élevées par personne
Les États industriels du Haut-Midwest et de l'Est se classent en bonne place sur la liste des déchets par habitant, le Michigan, l'Indiana, la Pennsylvanie, l'Illinois et l'Ohio occupant les cinq premières places.
La disponibilité d'espaces d'enfouissement bon marché dans le Michigan attire les déchets transportés par camion de l'extérieur de l'État et même du Canada. En effet, en vertu de la clause de commerce de la Constitution américaine, les déchets sont considérés comme une marchandise et les États et les comtés ne peuvent pas restreindre son importation ou son exportation depuis d'autres États ou même d'autres pays.
L'État est également confronté à des défis en matière de recyclage. Le taux de recyclage à l'échelle de l'État du Michigan est d'environ 18 %, tandis que le taux de recyclage national est de 32 %.
- voir liste sur site -
Certains États accumulent de nouveaux déchets de décharge plus rapidement que d'autres. L'Indiana est en tête du pays avec un «taux d'acceptation des déchets d'enfouissement» annuel de 2,35 tonnes par an et par habitant.
- voir liste sur site -
États avec le moins de tonnes de déchets par personne
Les États moins peuplés tels que le Wyoming, l'Idaho, le Maine, le Vermont et le Dakota du Nord et du Sud se classent tous parmi les États avec le moins de déchets de décharge par habitant.
En grande partie parce qu'il accepte considérablement moins de déchets en volume que la plupart des autres États, le Connecticut héberge les déchets les moins enfouis par personne, avec seulement 8,7 tonnes par habitant.
- voir liste sur site -
Les déchets alimentaires, les plastiques et les produits en papier représentent plus de la moitié des déchets dans les décharges américaines, mais d'autres produits comme le verre et les métaux, par exemple, peuvent avoir un impact significatif sur l'environnement.
Une opportunité de plusieurs milliards de dollars
L'industrie de la construction est l'une des principales sources de déchets. Chaque année, environ 12 millions de tonnes de bardeaux d'asphalte usagés sont déversés dans des décharges à travers l'Amérique du Nord.
Cependant, ce matériau peut être réutilisé pour créer de nouveaux matériaux comme la fibre, l'asphalte liquide et les granulats de construction, générant des revenus tout en luttant contre le changement climatique. Chez le voisin canadien, par exemple, la récupération et le retraitement des bardeaux représentent déjà un marché de 1,3 milliard de dollars.
Dans ce contexte, la réutilisation des déchets est non seulement devenue essentielle pour minimiser les déchets, mais aussi pour créer de nouvelles opportunités commerciales à l'avenir.
https://www.zerohedge.com/commodities/land-waste-american-landfills-state
TOUT ce qui sort de terre y retourne ! (dans le MÊME état !).
SupprimerComment les planificateurs centraux sèment les graines de la ruine économique
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 23 JUILLET 2022 - 20:30
Rédigé par MN Gordon via EconomicPrism.com,
Aujourd'hui, sous la forme d'un prédicateur du dimanche, nous commençons par quelques lignes du Bon Livre. La version King James est utilisée pour ajouter de la rhétorique.
« Et il leur dit beaucoup de choses en paraboles, disant : Voici, un semeur est sorti pour semer ; Et quand il sema, quelques graines tombèrent le long du chemin, et les oiseaux vinrent et les dévorèrent. Quelques-uns tombèrent sur des lieux pierreux, où ils n'avaient pas beaucoup de terre, et aussitôt ils poussèrent, parce qu'ils n'avaient pas de profondeur de terre. Et quand le soleil était levé, ils étaient brûlés; et parce qu'ils n'avaient pas de racine, ils se sont desséchés. Et certains sont tombés parmi les épines; et les épines poussèrent et les étouffèrent. Mais d'autres tombèrent dans la bonne terre et produisirent du fruit, les uns au centuple, les autres soixante, les autres trente. Qui a des oreilles pour entendre, qu'il entende. (Matthieu 13:3-9)
Pour nos besoins, le sens dérivé de la parabole est ajusté de ce que Jésus voulait. Avec des intentions honnêtes, nous le reconnaissons dès le départ. Et nous procédons avec réflexion et humilité.
La terre, sans aucun doute, offre une puissante métaphore. Nous avons l'intention de l'utiliser pour mieux comprendre la folie financière destructrice qui s'est produite au cours des 50 dernières années.
Alors que le semeur dans la parabole peut être un prédicateur, les graines peuvent être la vérité, et la récolte peut être la réceptivité variée au Royaume des Cieux. Le semeur peut également être représenté par les imprimeurs de monnaie du gouvernement, les graines par les dollars américains et la récolte par la croissance économique.
Dans les meilleures conditions, une récolte de blé n'est pas produite en un jour. Cela nécessite de la préparation, de la culture et de l'eau. Il faut du travail, de la patience et finalement un peu de chance pour récolter une récolte abondante.
Les raccourcis et la léthargie sont punis. Une graine ne fleurira pas si elle est semée dans l'asphalte. Une graine ne fleurira pas non plus si les champs ne sont pas entretenus. Lorsqu'elles ne sont pas correctement cultivées, les graines peuvent être consommées par les oiseaux, leur croissance précoce étant étouffée par les mauvaises herbes ou brûlée par le soleil.
Mais dans de bonnes conditions, une graine peut pousser systématiquement et sans relâche. Et offrez l'abondance aux multitudes.
Graines de déchets
RépondreSupprimerLes imprimeurs de billets américains ont imprudemment semé des dollars dans des endroits stériles au cours des 50 dernières années. Ils ont gaspillé des opportunités de plus grande croissance économique en saupoudrant de l'argent basé sur la dette dans des domaines avec peu ou pas de potentiel de productivité.
La richesse accumulée par la nation, accumulée au cours de plusieurs siècles, a été dilapidée. À l'exception de l'itinérance endémique, des masses de personnes à charge, d'un gouvernement fédéral colossal, d'une armée gonflée, d'institutions en disgrâce, de niveaux d'endettement impossibles à rembourser honnêtement et de tout le reste, les imprimeurs d'argent ont du squat pour montrer leurs efforts.
Lorsque l'hystérie du coronavirus a contraint les intervenants du gouvernement à bloquer l'économie en 2020, les imprimeurs de billets ont répandu des graines de déchets avec un enthousiasme accru. Plus de 5 000 milliards de dollars de bons du Trésor et de titres adossés à des créances hypothécaires ont été achetés avec un crédit créé à partir de rien.
D'abord, une énorme bulle boursière et obligataire s'est gonflée. Suivie d'une autre bulle immobilière résidentielle monstre. Au fur et à mesure que ces bulles d'actifs se dégonflent, la mauvaise allocation flagrante du capital et des déchets devient horriblement claire.
Les imprimeurs d'argent ont également dirigé le capital, sous forme de chèques stimmy, vers le peuple. Ces chèques stimmy étaient des cacahuètes par rapport à l'argent qui a été injecté dans les marchés financiers. Mais, néanmoins, ils ont permis aux gens de réclamer des biens et des services sans production proportionnée. Le taux officiel d'inflation des prix à la consommation de 9,1 % d'aujourd'hui ne devrait pas être une surprise.
Il y avait aussi le programme de protection des chèques de paie (PPP), qui accordait aux petites entreprises des prêts pouvant atteindre 10 millions de dollars qui étaient remboursables s'ils étaient utilisés pour la paie et d'autres dépenses. Des estimations récentes ont déterminé que plus de 117 milliards de dollars sur les 780 milliards de dollars de ces prêts fédéraux sont allés à des entreprises non éligibles. De plus, sur les centaines de milliards de dollars qui sont allés aux entreprises éligibles, combien sont allés à des efforts productifs ?
Selon notre estimation, presque tout a été gaspillé…
RépondreSupprimerMain invisible
"Ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous attendons notre dîner", notait Adam Smith dans La richesse des nations, "mais de leur souci de leur propre intérêt".
Les planificateurs centraux refusent d'accepter cela. Ils peuvent consommer du café cultivé, fourni, torréfié, moulu et brassé par une entreprise privée à profit pendant qu'ils se dirigent vers le bâtiment du Capitole. Pourtant, une fois arrivés, ils se mettent au travail avec leurs programmes pour intervenir dans l'économie et diriger le flux de capitaux vers leurs programmes préférés.
Après deux ans d'intervention gouvernementale la plus extrême de l'histoire des États-Unis, l'économie se contracte. Le produit intérieur brut (PIB) du premier trimestre 2022 a affiché un taux de croissance annualisé de moins 1,6 %. Les résultats du PIB du deuxième trimestre seront publiés la semaine prochaine. Ils seront probablement négatifs aussi.
En fait, selon les prévisions GDPNow du 19 juillet 2022 de la Fed d'Atlanta, le PIB du deuxième trimestre 2022 s'est contracté à un taux annuel négatif de 1,6 %. Ce qui donne?
Très franchement, la planification centrale ne parvient pas à diriger le capital là où il est le plus apprécié. Pour qu'une économie puisse récolter les bénéfices de l'argent dépensé, l'argent doit être dépensé par quelqu'un qui assume la responsabilité de la façon dont il est dépensé.
Lorsque les gens échangent entre eux, ils le font dans la perspective d'être mieux lotis qu'avant. Sinon, ils ne commerceraient pas en premier lieu.
Les transactions de biens et de services, libres d'intervention gouvernementale, encouragent des décisions compatibles avec l'utilisation prudente des ressources. Au fur et à mesure que ces décisions prudentes se reproduisent, de haut en bas de l'économie, guidées par une main invisible, comme l'a d'abord élaboré Adam Smith, l'abondance est créée. Et les gens vivent mieux.
Comment les planificateurs centraux sèment les graines de la ruine économique
Lorsque la main visible des planificateurs centraux est imposée à une économie par le biais d'édits et de diktats, l'argent n'est plus dirigé là où il est le plus apprécié. Au contraire, il est gaspillé sur des choses qui ont peu de valeur économique. Et l'abondance est soustraite à l'économie.
Pour que des bénéfices soient générés dans une économie de marché, un vendeur doit fournir des produits ou des services que les gens veulent à des prix qu'ils trouvent favorables. Les entreprises profitent dans la mesure où elles servent le public et répondent à ses besoins et à ses désirs.
RépondreSupprimerLes planificateurs centraux peuvent dire qu'ils favorisent la croissance des économies et la prospérité. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, un grand étatiste du gouvernement, soutient la croissance économique. Il pense simplement que le grand gouvernement fournit les meilleurs moyens et méthodes pour y parvenir.
Peut-être que Newsom et ses semblables devraient tenter de mieux comprendre les conditions qui rendent réellement la prospérité possible.
Les économies ne peuvent pas croître lorsqu'elles sont étouffées par les mauvaises herbes des réglementations et des taxes confiscatoires. Ils ne peuvent se développer dans un environnement où les droits de propriété privée ne sont pas respectés et protégés par l'État de droit. De même, ils ne peuvent pas fonctionner efficacement lorsque l'argent de la presse à imprimer est semé dans des activités inutiles par la main lourde des planificateurs centraux.
Le fait est que toute prospérité dont vous avez joui n'est pas due au gouvernement. C'est malgré ça.
La main visible du gouvernement sème les graines de la ruine économique.
Les planificateurs centraux ont récolté une économie contrôlée, avec un assemblage stagnant et immuable d'obstructions qui restreignent le potentiel de développement, de productivité et d'ingéniosité. Quelle que soit la créativité tentée, elle est rapidement étouffée car il n'y a pas de sol dans lequel elle est autorisée à se développer et à s'épanouir.
Si les politiciens voulaient vraiment faire quelque chose pour améliorer l'économie, ils cesseraient d'être aussi intelligents. Ils supprimeraient les mesures de relance dirigées par le gouvernement et permettraient aux capitaux de circuler librement vers les entreprises les plus productives. Ils réduiraient les réglementations gouvernementales, réduiraient les impôts et laisseraient les citoyens les plus productifs s'épanouir et créer de vrais emplois.
Hélas, personne à Washington n'a la sagesse, la retenue, l'humilité et le sacrifice politique pour laisser cela se produire. Ainsi, la récolte économique sera maigre cette année. Et l'année prochaine aussi.
https://www.zerohedge.com/political/how-central-planners-sow-seeds-economic-ruin
Nous sommes au 21 ème siècle et AUCUNE dette n'est validée ! L’essor de la machinerie, ordinateurs ont fait que 'le travail se fait seul' et crée de l'abondance. De plus il n'y a AUCUNE pénurie de quoi que ce soit mais seulement des rétentions de produits pour créer de la rareté et les prix de monter. Résultat des courses: alors que nous devrions être TOUS riches à millions nous sommes 'TOUS' pauvres.
SupprimerD'un côté il y a les pays producteurs-exportateurs de blé qui s'enrichissent à l'exportation (comme pour le pétrole), et d'autre part le prix du blé aux pays producteurs est cher aux consommateurs locaux ! (bien sûr c'est une bouffée d'air pur pour les céréaliers oui mais... le prix du gasoil (tracteurs, moissonneuses-batteuses, etc) est à la hausse comme celui des pièces détachées pour matériel agricole et le prix plafond pour les engrais et produits de traitements contre les maladies des plantes et insectes destructeurs.
Le bouleversement de l'inflation au Panama provoque des pénuries de nourriture et de carburant
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 23 JUILLET 2022 - 17:00
Cela a commencé comme une grève des enseignants pour protester contre le coût élevé du gaz, mais c'est maintenant le plus grand trouble civil au Panama depuis la fin du règne du dictateur Manuel Noriega en 1989.
Avec des barrages routiers enflammés perturbant le commerce et provoquant des pénuries de nourriture, de carburant et d'autres fournitures, le gouvernement panaméen a entamé une nouvelle série de pourparlers destinés à apaiser les masses et à éviter de nouveaux dommages économiques, que certains évaluent à 500 millions de dollars et plus.
Le président Laurentino Cortizo avait déjà pris deux mesures majeures pour apaiser les troubles, seulement pour qu'ils se poursuivent.
Le 11 juin, il a élargi les subventions pour étendre le gel des prix de l'essence à tous les consommateurs, plafonnant le prix à 3,95 dollars le gallon, soit 24 % de moins que le prix de fin juin. Il a également promis de poursuivre le plafonnement des prix sur 10 produits de base, dont les pâtes, la longe de bœuf, l'huile végétale et les sardines en conserve.
Alors que les manifestants réclamaient des réductions de prix à l'échelle de l'économie et une augmentation des dépenses d'éducation et de santé, les manifestations se sont poursuivies, non seulement sous la forme de marches et de grèves, mais également sous la forme de barrages routiers sur les principales autoroutes, y compris l'autoroute panaméricaine d'importance internationale. Le canal de Panama a jusqu'à présent échappé aux perturbations ; les grèves des travailleurs du canal sont illégales.
Le week-end dernier, Cortizo a annoncé un accord par lequel le gouvernement réduirait à nouveau le prix de l'essence, cette fois à 3,25 $. Cette réduction de prix a été offerte en échange de l'assurance que les barrages routiers seraient levés pendant que les discussions sur l'allégement des prix des médicaments et d'autres produits essentiels se poursuivaient.
Cependant, lundi, les dirigeants de l'Alliance nationale pour les droits des peuples (Anadepo), une coalition de manifestants représentant les syndicats, les organisations civiques et les peuples autochtones, ont annoncé qu'ils rompaient leur engagement, affirmant qu'ils avaient conclu l'accord sous la pression. Certains groupes ont dit qu'ils n'étaient pas représentés dans les négociations.
L'administration Cortizo a accepté de revenir à la table des négociations hier, avec d'autres pourparlers négociés par l'archevêque catholique de Panama. Toribio García, un dirigeant d'une région semi-autonome, a déclaré que tout prix du gaz supérieur à 3,00 $ n'était "pas négociable".
L'inflation des prix n'est pas le seul moteur des protestations. Comme le rapporte l'agence de presse internationale espagnole EFE :
RépondreSupprimerLes manifestants ont également concentré une grande partie de leur colère sur la corruption, criant des slogans exigeant la fin du « vol » de l'argent public ; pour sa part, le célèbre auteur-compositeur-interprète et activiste panaméen Ruben Blades a écrit dans un communiqué que le problème est omniprésent au sein d'un appareil d'État qui a « institutionnalisé la corruption ».
Dans des remarques à l'Efe, Jose Eugenio Stoute, membre de l'organisation Poder Ciudadano, a fait écho à ces sentiments, affirmant que des familles entières de législateurs bénéficient de contrats publics gonflés et reçoivent des salaires exorbitants.
En même temps qu'il annonçait la première réduction du prix de l'essence, le président Cortizo a déclaré que les institutions publiques commenceraient à réduire la masse salariale de 10 %, tout en instituant des réductions budgétaires et des restrictions sur les voyages à l'étranger des employés du gouvernement.
Cela ne suffira peut-être pas à empêcher le bouleversement de se transformer en une révolution totale contre un gouvernement considéré comme vivant bien sur le dos des gens ordinaires. Plus tôt, des membres du Parti révolutionnaire démocrate au pouvoir ont jeté de l'huile sur le feu lorsque des photos les ont capturés en train de boire 340 dollars de bouteilles de whisky Macallan tout en célébrant le début d'une nouvelle session législative.
Cette semaine, le maire de Panama City, José Luis Fábrega, est sous le feu des critiques après avoir été photographié en train de faire du shopping dans un magasin cher d'un quartier exclusif de Madrid, alors que des troubles se sont emparés de sa ville. Plus tôt dans la semaine, un journaliste a déclaré avoir contacté le bureau du maire pour lui demander de confirmer qu'il quittait le pays. Le personnel lui a dit : « C'était le frère. Il lui ressemble beaucoup. Maintenant, le bureau du maire dit que Fábrega est en effet en Espagne – pour voir un médecin.
Avec une monnaie indexée sur le dollar américain et des revenus stables provenant de son canal vital, le Panama est un pays stable depuis des décennies. Maintenant, cependant, le Panama est un canari dans une mine de charbon, ce qui montre que des troubles mondiaux beaucoup plus larges pourraient bientôt être sur nous.
https://www.zerohedge.com/economics/panamas-inflation-upheaval-causing-food-fuel-shortages
Contes amusants d'un goulot d'étranglement du charbon en Allemagne et de l'échec de la planification
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 15:20
Écrit par Mike Shedlock via MishTalk.com,
L'Allemagne est de plus en plus dépendante du charbon, mais le niveau des rivières est trop bas pour le transporter. Comparons également l'échec de l'Allemagne à planifier avec le manque de planification de Biden.
Nouvelles de la navigation, édition charbon
Voici une histoire amusante sur la dépendance croissante de l'Allemagne au charbon via Eurointelligence.
L'une des statistiques les plus choquantes sur la production d'électricité allemande est que le charbon représentait environ 32 % au troisième trimestre 2021. Le charbon n'est pas seulement la plus grande source de production d'électricité en Allemagne. Sa part a augmenté, passant de 26,4 % à l'année précédente. La raison en est l'augmentation du prix de l'essence. Le retrait de trois centrales nucléaires au début de cette année, et des trois autres au début de l'année prochaine, entraînera une nouvelle augmentation de la part du charbon dans la production d'énergie. Robert Habeck [vice-chancelier d'Allemagne] veut que le charbon devienne la solution de repli au cas où la Russie couperait le gaz. Il pourrait donc y avoir une augmentation massive à court terme de la production de charbon.
Sauf que l'industrie n'est pas prête pour cela. Un gros problème est le transport. Nous avons rendu compte de la baisse du niveau du Rhin et de son rôle majeur dans la chaîne d'approvisionnement allemande. C'est là que sont transportés tous les objets lourds, comme le charbon. L'Allemagne n'a aucun problème à importer du charbon, mais a du mal à acheminer le charbon vers les centrales électriques. Outre les faibles niveaux d'eau, la capacité de l'industrie logistique allemande est utilisée pour transporter du blé et d'autres céréales depuis l'Ukraine. Le système ferroviaire est également surchargé. Les infrastructures de transport sont fixes à court terme. Et puisque la production de charbon est finalement vouée à l'échec, personne n'a investi dans des projets d'infrastructure de transport à long terme, et nous présumons que personne ne le fera.
La raison du manque d'investissement est le plan du gouvernement visant à éliminer progressivement la production de charbon d'ici 2030. Ce qu'ils n'ont pas vu venir, c'est l'inversion de la tendance à la baisse de la production mondiale qui a commencé l'année dernière et qui, nous le supposons, se poursuivra cette année. . Le projet de Habeck d'étendre davantage la production de charbon en cas d'embargo russe sur le gaz a été un choc pour l'industrie, comme le rapporte Bild. Ils n'étaient pas préparés à cela. Cela signifie que les centrales au charbon désaffectées devraient être dépoussiérées et rallumées. Ils n'ont pas non plus investi dans le personnel.
Remarquablement stupide à bien des égards
RépondreSupprimerAngela Merkel a mis sous cocon les centrales nucléaires pour apaiser les Verts.
Le gazoduc Nord Stream II est prêt à livrer du gaz mais est totalement fermé en raison des sanctions
Nord Stream I a besoin de réparations mais sanctionne la disponibilité limitée des pièces
Plutôt que de remettre les centrales nucléaires en production, l'Allemagne a recours à davantage de charbon, mais les contraintes d'approvisionnement entravent l'acheminement du charbon vers les centrales.
Les Verts allemands préféreraient utiliser plus de charbon que de nucléaire.
Les sanctions ont tellement fait grimper le prix du gaz naturel que l'Allemagne envisage de rationner le gaz naturel.
Le charbon est la principale méthode de production d'électricité en Allemagne, 32 % au troisième trimestre 2021 contre 26,4 %. Son utilisation est sans aucun doute plus élevée aujourd'hui.
Bravo l'Allemagne !
Notez également que le ministre allemand de la protection du climat demande plus de charbon pour produire de l'électricité
Et examinons les progrès allégués de l'UE en matière d'environnement et de changement climatique
C'est ce qui se passe lorsque vous demandez de l'énergie verte et que vous n'avez aucun plan légitime pour y parvenir.
États-Unis contre l'Allemagne
Aux États-Unis, le président Biden n'avait aucun plan réaliste pour éliminer progressivement les combustibles fossiles, mais a quand même cherché à fixer des objectifs.
Heureusement, le 15 juillet, j'ai eu le plaisir de signaler Hourra ! Le sénateur Manchin tue enfin l'initiative Build Back Better de Biden
Malheureusement, Biden déclare l'urgence climatique pour exiger plus d'énergie verte.
Heureusement, je m'attends à ce que la Cour suprême annule toutes les absurdités progressistes que Biden concocte pour faire face au changement climatique. Voir le lien ci-dessus pour la discussion.
https://www.zerohedge.com/political/amusing-tales-coal-bottleneck-germany-failure-plan
"La chaleur intense et les conditions sèches" menacent les cultures et les troupeaux américains
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 24 JUILLET 2022 - 00:00
Au pire moment possible, la chaleur torride et les conditions sèches mettent en péril l'agriculture américaine - menaçant le soja, le maïs et d'autres cultures.
Selon le Wall Street Journal, la chaleur intense de la semaine dernière a mis en danger de grandes parties des États-Unis – en particulier le sud et l'ouest – pendant une période importante de la saison de croissance des cultures du Midwest.
Dans certaines parties du Kansas, de l'Oklahoma, du Texas et d'autres États, la chaleur exacerbe les conditions de sécheresse de longue durée, ce qui exerce un stress immense sur le bétail et des pâturages desséchés, et oblige les éleveurs à dépenser davantage pour l'alimentation complémentaire du bétail.
Dans l'Iowa, qui produit plus de maïs que tout autre État américain, les températures devraient atteindre 100 degrés (38°C) dans la partie ouest de l'État, selon le National Weather Service. Les principaux États producteurs de bétail, dont le Texas et l'Oklahoma, devraient voir les températures atteindre 104 degrés (42°C) au cours du week-end. Certains endroits de la région ont eu un temps extrêmement chaud et sec pendant des périodes prolongées. -WSJ
L'éleveur de bétail de l'Oklahoma, Charlie Swanson, a déclaré que les températures avaient dépassé 100 degrés chaque jour ce mois-ci, y compris une torréfaction de 114 degrés (47°C) mardi. Lorsqu'elle est combinée avec pratiquement aucune pluie, la chaleur « grille ses pâturages » - et tue l'herbe et le fourrage qu'il fait pousser pour faire paître son bétail.
Les températures élevées surviennent alors que les éleveurs de l'Oklahoma payaient déjà plus pour les aliments, les engrais, le carburant et d'autres coûts. Les coûts d'alimentation de Swanson ont grimpé d'environ 100 $ la tonne par rapport à l'année dernière, tandis que les engrais sont également plus chers. Il a récemment vendu 80 vaches à un emballeur de bœuf au Texas parce qu'il n'avait pas les moyens de continuer à les nourrir.
"Tout le monde réduit ses dépenses s'il le peut", a déclaré Swanson.
Les prix que les éleveurs reçoivent pour leur bétail ont augmenté d'environ 15 % par rapport à il y a un an, selon l'USDA, mais les producteurs ont encore du mal à atteindre le seuil de rentabilité. Les prix du foin, qui est largement utilisé pour nourrir le bétail, étaient 56 % plus élevés en avril qu'en 2021, selon un rapport de juin de la Federal Reserve Bank de Kansas City. On estime que les éleveurs de bovins ont perdu de l'argent au cours des deux derniers mois, selon une analyse des coûts et des rendements de l'Iowa State University. -WSJ
Là où il y a des problèmes, des opportunités se présentent.
RépondreSupprimerPanorama Organic Grass-Fed Meats, une division de l'entreprise avicole Perdue Farms Inc., aide les éleveurs de bétail à faire face à la situation. "Par exemple, l'entreprise pourrait mettre en relation un éleveur de Bakersfield, en Californie, aux prises avec un temps sec, avec un producteur du Nebraska cherchant à acheter du bétail."
"Nous sommes l'entremetteur", a déclaré Kay Cornelius, directeur général de Panorama.
Selon les analystes de l'industrie, si la chaleur persiste à travers le pays et que la récolte de maïs de cette année ne peut pas la supporter, les coûts des aliments pour animaux augmenteront encore, ce qui fera grimper les coûts des intrants pour les éleveurs.
Eddie Sanders, un producteur de maïs de quatrième génération à Franklin, dans le Tennessee, a déclaré qu'il s'attendait à ne récolter qu'environ un tiers à la moitié de sa récolte de maïs cette année, en raison du temps chaud et sec. Il a dit qu'il espérait pouvoir sauver sa récolte de soja, mais si le temps chaud persiste en août, cela pourrait également être en danger.
"Nous sommes brûlés ici", a-t-il déclaré. "Nous sommes à la merci d'une pluie tous les 10 jours." -WSJ
Et grâce à un printemps humide, de nombreux agriculteurs du Midwest ont commencé tard à planter du maïs et d'autres cultures. Maintenant, il fait trop sec pour soutenir leur croissance dans de nombreuses régions. Selon le US Drought Monitor, près de 30 % de la production de maïs aux États-Unis et 26 % de la production de soja se trouvent dans des zones touchées par la sécheresse. Comme le note le Journal : « Le maïs pollinise maintenant dans de nombreuses parties de la ceinture céréalière, une période où les plantes ont le plus besoin d'eau. Une grave sécheresse et un stress thermique pendant la pollinisation du maïs peuvent se traduire par des pertes de rendement d'environ 9 % par jour », a déclaré Dan Quinn, agronome à l'Université Purdue et spécialiste du maïs qui travaille avec les agriculteurs de la région."
Qu'est-ce qui va bien en ce moment ?
Certaines parties de l'Illinois, de l'Indiana et de l'Iowa ont récemment reçu de la pluie, tandis que le rapport de l'USDA du 18 juillet a montré des conditions de maïs stables – et les contrats à terme sur le maïs au Chicago Board of Trade ont chuté d'environ 7 % au cours de la semaine dernière. De plus, des pluies ont été prévues pour certaines parties du Midwest, ce qui devrait apaiser certaines préoccupations concernant les récoltes.
Selon Rick Dusek, responsable des opérations nationales de la coopérative agricole CHS Inc., basée au Minnesota, « en ce moment, de nombreux yeux regardent la production nord-américaine ».
https://www.zerohedge.com/commodities/intense-heat-and-dry-conditions-threatening-us-crops-herds
Dans les pays dits 'intelligents' il ne devrait PAS Y AVOIR un litre d'eau venu des fleuves ou des rivières qui se jette à la mer ou dans l'océan ! Car, dans un pays intelligent les canalisations devraient être faites (même depuis DES siècles) pour irriguer toutes les cultures.
SupprimerIl n'y aurait donc PLUS AUCUNE SÉCHERESSE et donc plus aucune pénurie ou famine dans le monde.
Oui mais, comme il en est pour l'économie (et leurs ministères) ce sont des bons à rien, des incompétents qui dirigent !
Et, tous les jours (24 h s/24) ce sont des milliers de km³ d'eau qui vont se gaspiller dans les mers & océans !
Comme il en est pour l'acheminement du gaz ou du pétrole par pipelines il devrait y avoir de l'eau qui circule.
"Tout d'un coup, ça s'est arrêté" : après avoir publié de nouveaux records quelques mois plus tôt, l'industrie du VR s'est arrêtée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 23 JUILLET 2022 - 20:00
Il y a quelques mois à peine, les expéditions de VR (véhicules récréatifs - caravanes, mobil-home) atteignaient des sommets mensuels sans précédent, augmentant à deux chiffres par rapport aux impressions record de l'année précédente.
- voir graph sur site -
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui où, comme tout le reste de l'économie américaine qui est maintenant en récession, il y a de plus en plus de signes que le marché brûlant du VR semble se refroidir. Ces signes incluent deux fermetures d'usines prévues.
"Ouais, tout allait très bien, et il semblait que, tout à coup, c'était juste, nous avons laissé tomber des unités, et, mais c'était quand même suffisant pour nous garder, nous faire avancer et tout", Keystone RV Company Usine 41 travailleur Robert Davis a déclaré à 16 News Now. "Mais ensuite, tout d'un coup, ça s'est arrêté."
Le 23 septembre, Keystone RV Company prévoit de fermer les usines Goshen 41 et 705, éliminant 334 emplois de la production à la gestion de l'usine, du contrôle qualité à la réception, rapporte WNDU.
Lorsqu'on lui a demandé si les responsables de l'entreprise avaient expliqué pourquoi, Davis a déclaré: «Les prix élevés du carburant et les concessionnaires ne veulent pas acheter, achetez les unités que nous produisons. Donc, je suppose que beaucoup d'entre eux sont juste assis. Et donc, avec les prix du carburant comme ils sont, nous n'avons plus de commandes.
Pendant que Keystone marche le pas, Winnebago Industries parle de la conversation.
Lors d'un appel aux résultats en juin, le président et chef de la direction de Winnebago, Michael Happe, a mis en garde contre les vents contraires macroéconomiques persistants, notamment les fluctuations des taux d'intérêt, les prix de l'essence, l'inflation et le sentiment des consommateurs.
Winnebago s'attend à ce que les ventes au détail de VR chutent probablement de 17% cette année par rapport à l'année dernière. L'entreprise veillera à ce que ses expéditions soient alignées sur ces ventes. La société a identifié des jours ou des semaines "nous allons décoller ou baisser".
RépondreSupprimerLa RV Industry Association a révisé ses prévisions pour les expéditions en gros, prévoyant une baisse de 8,4% en 2022 par rapport à 2021, lorsque les expéditions ont atteint un niveau record l'année dernière.
https://www.zerohedge.com/economics/all-sudden-it-came-halt-after-posting-fresh-records-just-months-earlier-rv-industry
78 % des eaux en bouteille analysées contaminées par des microplastiques ; soit 8 bouteilles d’eau sur 10 sont impurs
RépondreSupprimer23/07/2022
par Aphadolie
Time : 1 mn 06 / [1/1]
On vous dit quelles marques en contiennent le plus.
78% des eaux en bouteille contiennent des microparticules de plastique, selon une étude
L’association « Agir pour l’Environnement » tire la sonnette d’alarme sur une matière qui « ne se dégrade pas », mais « se fragmente en microdébris, en microplastiques ».
Mettre en garde :
C’est l’objectif de l’association « Agir pour l’Environnement » qui vient de publier une étude intitulée « Eaux embouteillées – Nous buvons du plastique ! » [1].
Pour l’association, « Le plastique génère des quantités astronomiques de microplastiques qui contaminent les écosystèmes et les corps humains. Le plastique ne se dégrade pas : il se fragmente en microdébris, en microplastiques ». Partant de ce constat, « Agir pour l’Environnement » a voulu vérifier si les principales eaux en bouteille vendues en France étaient impactées.
Vittel, Cristalline, Evian, Volvic ou encore Perrier sont ainsi concernés.
Conclusion :
78% des eaux testées contiennent des microplastiques. Pour la « Vittel Kids » de 33 cl, indique l’enquête, leur nombre atteint même 121 microparticules par litre. Si l’association considère que l’origine principale de ces contaminations pourrait être industrielle, « Les sources de microplastiques ne sont pas encore bien élucidées ». Elles proviendraient ainsi de « la dégradation de l’emballage » ou « des fragments qui se détachent du bouchon ».
En 2019, l’OMS s’était déjà saisie du dossier en publiant un rapport dans lequel elle reconnaissait le phénomène de contamination généralisée des eaux, comme les rivières, les océans ou les eaux de boisson. Le tout, en ne sachant pas encore mesurer les risques sanitaires « en raison du nombre très insuffisant d’études ». L’association tire également la sonnette d’alarme quant au produit de la bouteille en plastique jetable en lui-même, qui est « Le déchet plastique le plus retrouvé dans l’ensemble des eaux d’Europe ».
Un trop faible recyclage
RépondreSupprimerCes microparticules sont aussi bien détectées dans les selles que dans le sang et peuvent aussi bien atteindre d’autres organes comme le cerveau, les poumons ou le placenta.
L’association rappelle une des données essentielles du problème : « La pollution devient imperceptible, mais demeure bien réelle » et elle contamine « la biodiversité, le cycle de l’eau, les sols, la chaîne alimentaire et in fine nos organismes ».
Selon « Agir pour l’Environnement », 8,3 milliards de tonnes de plastiques ont été produites depuis 1950.
Dont la moitié ces quinze dernières années.
« Nous en mangeons, nous en buvons et nous en respirons. Chaque semaine, nous en ingérons en moyenne 5 grammes, l’équivalent d’une carte de crédit. », souligne l’étude.
« Le plastique provient de ressources fossiles, pétrole et gaz, qui subissent des transformations chimiques dangereuses pour fabriquer les polymères. (…) L’industrie du plastique contribue aussi fortement aux émissions de gaz à effet de serre (production, transport, incinération…) », poursuit « Agir pour l’Environnement ».
L’occasion également de détailler ses propositions face à un recyclage qui est, selon l’association, trop faible. Cette dernière propose ainsi d’organiser une sortie du plastique d’ici 2030, d’interdire les plastiques à usage unique ou encore de refuser que le plastique soit en contact avec un aliment susceptible d’être chauffé.
121 microparticules de plastique par litre.
L’équivalent d’une carte de crédit par semaine !
Source :
https://www.lefigaro.fr/sciences/78-des-eaux-en-bouteille-contiennent-des-microparticules-de-plastique-selon-une-etude-20220721
https://www.agirpourlenvironnement.org/communiques-presse/etude-exclusive-78-des-eaux-en-bouteille-analysees-contaminees-par-des-microplastiques/
Article :
Le Figaro
Note personnelle :
L’eau du robinet… Pas si sûr !
Référence :
[1] Eaux embouteillées – Nous buvons du plastique ! : https://directus.media/dcp5tOxIWtG1gqPX/17dc51ec-173f-4bfd-9b9c-88f7d0458c26.pdf
Analyses de microplastiques dans les eaux embouteillées :
https://petition.agirpourlenvironnement.org/wp-content/uploads/2022/07/Rapport-Labocéa-Agir-pour-lenvironnement-Juillet-2022_v2022-07-19.pdf
HAHAHAHA ! L'eau en bouteilles ne provient pas de sources... mais de laboratoires (où peuvent être ajoutés des 'cocovide19', des 'cocoronas', des 'DeltaTangoCharlieOmicron' ?).
SupprimerCar l'eau de sources EST PURE et provient de la masse ferrique incandescente qui brûle l'eau infiltrée des bassins maritimes & océaniques et l'envoie en galeries souterraines vers les nappes phréatques et sources de montagnes.
NOTA: Les 'microplastiques' sont parfaitement inoffensifs et n'apportent aucun rejet ni maladie.
PÉNURIE EN VUE ?
RépondreSupprimer24 juillet 2022, 11:07
«Nous restons pour l’instant dépendants de l’énergie nucléaire»
Le président du PLR Thierry Burkart plaide pour investir dans les centrales nucléaires existantes pour lutter contre la pénurie d’électricité tant que le développement des énergies renouvelables n’est pas réalisé.
Dans une interview au SonntagsBlick du jour, le président du PLR Thierry Burkart (AG), estime qu’en matière d’approvisionnement d’énergie «il est urgent d’aller de l’avant!». De son avis, «si nous voulons un approvisionnement en électricité sûr, nous dépendrons encore pendant des années de l'énergie nucléaire existante.»
Comme le rappelle l’Argovien, si on ne peut plus construire de nouvelles centrales, celles qui existent peuvent être exploitées tant que leur sécurité est garantie. Il souhaite donc la création d’ un cadre réglementaire «conçu de manière à ce que les investissements nécessaires à la sécurité de ces centrales soient rentables pour les exploitants».
Projets d’énergie renouvelable : accélérer les procédures de recours
Quant au développement des énergies renouvelables, le conseiller national estime qu’il faut identifier de manière ciblée les projets les plus importants pour la sécurité d’approvisionnement de la Suisse. A cette fin, il souhaite une simplification et accélération des procédures de recours au niveau de la loi afin de permettre la réalisation plus rapide de ces projets. Actuellement, construire une grande centrale hydroélectrique prend environ 20 ans. C’est «beaucoup trop long!», selon Thierry Burkart, qui ajoute que le pays a néanmoins besoin «de toutes les technologies, y compris de l'énergie nucléaire, sinon nous serons bientôt dans le noir.»
Besoin urgent de centrales à gaz
De plus, la Suisse a besoin «le plus vite possible, pour une phase de transition, de centrales à gaz de pointe, mais qui peuvent également fonctionner au pétrole», selon le PLR. D’où l’urgence de supprimer les obstacles légaux au développement rapide de projets d’énergies renouvelables. Thierry Burkart appelle donc les partis de gauche à de mettre fin «à leur politique d'obstruction» qui a pour conséquence «qu'il n'y a toujours pas de grandes installations photovoltaïques en montagne et que différents barrages existants n'ont pas pu être aménagés.»
«Une panne d'électricité de longue durée aurait des conséquences catastrophiques pour la société et notre économie, conclut-il. Les exploitants ont beaucoup investi dans ces centrales au cours des dernières années. Ils continueront à le faire si les obstacles législatifs sont levés.»
https://www.lematin.ch/story/nous-restons-pour-linstants-dependants-de-lenergie-nucleaire-914731905589
Le gouvernement britannique offre aux agriculteurs des paiements «forfaitaires» pour arrêter de cultiver des aliments et vendre leurs terres
RépondreSupprimerdimanche 24 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Le Royaume-Uni a introduit un nouveau programme qui offre des paiements forfaitaires en espèces aux agriculteurs qui acceptent d'arrêter l'agriculture et de vendre leurs terres familiales souvent multigénérationnelles au gouvernement.
Selon les rapports, les agriculteurs qui acceptent l'argent doivent soit prendre leur retraite, soit occuper un autre emploi approuvé par le gouvernement. Le gouvernement britannique appelle le programme un "Basic Payment Scheme" (BPS).
"Le but est prétendument de remplir les programmes politiques verts", écrit Mike Campbell pour The Counter Signal.
« Les agriculteurs plus âgés, qui ne veulent pas changer leurs méthodes agricoles, sont invités à quitter ou à vendre leurs terres. À leur tour, les nouveaux agriculteurs peuvent adopter des techniques agricoles alternatives et respectueuses de l'environnement.
Les Pays-Bas essaient également de sortir de l'agriculture pour passer au « vert », bien qu'ils le fassent par la force plutôt que de taquiner le secteur agricole pour qu'il se conforme en faisant miroiter de l'argent devant les agriculteurs comme incitation.
Selon le secrétaire anglais à l'environnement, le Royaume-Uni ne peut pas aller de l'avant avec son programme vert parce que les agriculteurs plus âgés "font obstacle au changement". En d'autres termes, pour passer au vert, l'agriculture en Angleterre doit cesser, ce qui affamera la population et se traduira par un nouvel ordre mondial dont l'élite pourra profiter.
De nombreux agriculteurs britanniques sont tellement endettés en raison de la corruption du gouvernement et du marché qu'ils n'ont peut-être pas d'autre choix que de fermer boutique
Grâce à la pandémie du coronavirus de Wuhan (Covid-19), la Grande-Bretagne est déjà bien avancée vers l'abolition de l'agriculture. Les problèmes de la chaîne d'approvisionnement, associés à la corruption du marché et à la montée en flèche de l'inflation, poussent déjà de nombreux agriculteurs à quitter l'entreprise contre leur gré.
James Melville, un consultant en communication et en parrainage du Royaume-Uni, a tweeté que le diesel rouge, qui est utilisé dans les machines agricoles telles que les tracteurs, est maintenant le double de ce qu'il était avant la situation inflationniste actuelle.
RépondreSupprimer"Les agriculteurs sont obligés de se rationner sur le diesel rouge", a ajouté Melville. « Les prix des engrais ont explosé. Les agriculteurs utilisent moins d'engrais. Moins d'engrais signifie un rendement inférieur des cultures = Crise agricole #NoFarmsNoFood.
En d'autres termes, les agriculteurs sont contraints de quitter l'entreprise, qui est souvent une entreprise familiale, par les seigneurs de la banque centrale et les autres architectes mondialistes qui ont créé une situation de tempête parfaite avec des prix qui montent en flèche, une offre faible et un chaos général sur les marchés.
Soit dit en passant, tout cela fait partie de la «grande réinitialisation», dans laquelle tous les peons «ne posséderont rien et seront heureux» tandis que les gros chats au sommet profiteront de toute leur richesse et de leur excès aux dépens de tous les autres.
"La hausse des prix des engrais, du gaz et à peu près tout ce qui est nécessaire pour faire leur travail a rendu l'offre du gouvernement tentante", ajoute Campbell à propos des paiements en espèces actuellement offerts aux agriculteurs familiaux par le gouvernement britannique.
Un sondage suggère que 75% des agriculteurs britanniques sont "sérieusement intéressés" à fermer leurs fermes pour 30 pièces d'argent du gouvernement
BBC News, qui rapporte souvent de fausses nouvelles, a publié les résultats d'un sondage mené par la Tenant Farmer's Association of England suggérant que la plupart des agriculteurs envisagent fortement de prendre l'argent et de courir.
Quelque 75 % des agriculteurs britanniques ont déclaré à l'Association qu'ils étaient « fortement intéressés » à quitter l'agriculture, à vendre leurs terres et à prendre l'argent du gouvernement.
Les Pays-Bas auraient également proposé d'acheter des terres agricoles, dans certains cas, tout comme le Canada. L'ancien ministre canadien de l'Agriculture, Devin Dreeshen, s'est dit préoccupé par le fait que le premier ministre Justin Trudeau suive les traces de la Grande-Bretagne en proposant de racheter les agriculteurs canadiens.
Melville, dans un tweet séparé, appelle cette tendance "l'accaparement des actifs de tout", ce qui signifie que des gouvernements compromis et infiltrés dans tout l'Occident proposent des monnaies fiduciaires très gonflées qui sont sur le point de se déverser et de devenir sans valeur en échange d'actifs tangibles comme des terres agricoles.
"Pendant ce temps, en Amérique, Bill Gates a acheté 242 000 acres de terres agricoles dans 18 États – et 268 984 de terres à usages multiples dans 19 États au total, faisant de lui le plus grand propriétaire foncier agricole des États-Unis", a ajouté Melville sur Twitter.
RépondreSupprimerQuelqu'un d'autre avec le compte Twitter de "Gmewizard.loopring.eth" (@GmeWizard) a tweeté en réponse aux tweets de Melville que les entreprises achètent des terres agricoles "pour planter des arbres et les louer à d'autres entreprises pour compenser leurs crédits carbone".
"Le manque d'engrais sur les terres herbeuses et la sécheresse épuiseront sérieusement l'alimentation du stock d'hiver, de sorte que le nombre de stocks diminuera, ce qui signifie moins de disponibilité et un prix plus élevé", a ajouté cette personne.
"Ce n'est pas du capitalisme, c'est du copinage, de la manipulation, des réglementations strictes sur les agriculteurs pour les faire démissionner et vendre", a écrit un autre du nom de "Gee" (@CuriousMacaron). "C'est ce qui se passe lorsque les régulateurs sont financés par les institutions qu'ils réglementent."
Une autre personne avec la poignée de "TechSavvy" (@PointClickDigi1) a lié un article sur la façon dont le régime Biden propose de la même manière de payer aux agriculteurs américains encore plus d'argent que d'habitude pour ne pas cultiver.
Les dernières nouvelles sur le démantèlement artificiel des économies occidentales sont disponibles sur Collapse.news.
Sources for this article include:
Gov.uk
TheCounterSignal.com
NaturalNews.com
Governing.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-24-british-government-paying-farmers-sell-land-stop.html
Après çà (Programme 'Famine pour tous') ils s'attaqueront à celles ou ceux qui ont un jardin ou des pots de fleurs sur le balcon ! La queen ne veut PAS crever toute seule !
SupprimerAnalyse : Les grandes sociétés pharmaceutiques ont augmenté les prix des médicaments 1 186 fois rien qu'en 2022
RépondreSupprimerdimanche 24 juillet 2022
par : Ramon Tomey
(Natural News) Une analyse effectuée par un groupe de défense a révélé que les sociétés pharmaceutiques ont augmenté les prix des médicaments de plus de mille fois rien qu'en 2022.
Patients For Affordable Drugs (PFAD) a rédigé le rapport du 20 juillet, qui a révélé que l'industrie pharmaceutique américaine avait augmenté les prix de divers médicaments 1 186 fois cette année. P4AD cherche à freiner la montée en flèche du coût des médicaments sur ordonnance.
Entre le 24 juin et le 5 juillet, les entreprises pharmaceutiques ont augmenté les prix de 133 produits – avec une augmentation médiane des prix de 5 %. La PFAD a ajouté que pour le seul mois de juillet, 64 sociétés pharmaceutiques ont augmenté les prix de leurs produits.
Le fabricant de médicaments Amgen a augmenté le prix de son médicament contre les maladies auto-immunes Enbrel deux fois cette année, pour une augmentation totale de 9,4 %. Depuis l'acquisition des droits du médicament en 2002, la société californienne a multiplié par 27 le prix d'Enbrel, portant son coût mensuel à 5 554,96 $ en 2020. Le prix du médicament a augmenté de 457 % entre 2002 et 2020.
Kip Burgess, un résident de Chicago, qui prend Enbrel pour son rhumatisme psoriasique, a déclaré : "Personne ne devrait avoir à se soucier de la façon dont il va payer les médicaments dont il a besoin pour vivre." Il a déclaré à P4AD qu'il ne ressent aucun symptôme et qu'il peut vivre pleinement sa vie en prenant Enbrel.
GSK a également augmenté le prix de son médicament contre le lupus Benlysta quatre fois depuis la pandémie, portant son prix mensuel à 4 282 $. Grâce à 7,4% des hausses de prix totales cette année, plus de 3 500 $ ont été ajoutés au prix de Benlysta.
Le prix plus élevé de Benlysta a été une mauvaise nouvelle pour Ashley Suder, résidente de Morgantown, en Virginie-Occidentale.
"Sans ce médicament, mon système immunitaire attaque mes tissus sains, entraînant une inflammation douloureuse qui endommage ma peau, mes articulations, mes vaisseaux sanguins et mon cerveau", a-t-elle déclaré à la PFAD. "J'ai dû dépenser tout mon salaire pour mes médicaments et, avec le prix qui augmente à nouveau, je m'inquiète de la façon dont je vais joindre les deux bouts tout en continuant à payer mes médicaments."
Pfizer fait grimper les prix des médicaments malgré des bénéfices records
RépondreSupprimerPfizer a également augmenté les prix de 23 de ses médicaments sur ordonnance au cours du seul mois de juillet. Le fabricant de médicaments basé à New York a déjà enregistré des bénéfices records en 2021, grâce à son vaccin à ARNm contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) fabriqué en partenariat avec la société allemande BioNTech. (Connexe: BÉNÉFICES DE LA PESTE: Le dirigeant de Pfizer admet que la société veut tirer profit des vaccins et augmentera bientôt les prix.)
Selon un rapport de février du Guardian, Pfizer a réalisé près de 37 milliards de dollars de ventes du vaccin COVID-19 en 2021. Les contrats pour le vaccin ont contribué au chiffre d'affaires global de 81,3 milliards de dollars de l'entreprise pour cette année-là. Les revenus prévus de Pfizer cette année se situent entre 98 et 102 milliards de dollars.
Le traitement de la leucémie Besponsa faisait partie des médicaments inclus dans les hausses de prix de Pfizer. Depuis le début de la pandémie de COVID-19, la société a augmenté son prix quatre fois par rapport à un seul flacon de Besponsa qui se vend désormais à 21 056 $.
« Les Américains sont aux prises avec une inflation record et les défis persistants de [la] pandémie. Pourtant, Big Pharma continue d'augmenter les prix des médicaments sans se soucier de la santé et du bien-être financier [des gens] », a déclaré le fondateur de la PFAD, David Mitchell. "Nous devons mettre un terme à la capacité illimitée des sociétés pharmaceutiques à dicter les prix aux dépens des patients."
Mitchell est un représentant approprié pour ceux qui militent pour une baisse des prix des médicaments, car il souffre lui-même d'un cancer du sang incurable. Les médicaments dont il a besoin pour traiter son état l'obligent à débourser plus de 900 000 $ par année.
Un rapport de Russia Today a décrit la cupidité flagrante de Big Pharma dans un article du 20 juillet : « Les États-Unis ont les soins de santé les plus chers au monde, malgré des résultats de santé pires que tout autre pays développé. Il a également souligné que "l'espérance de vie des Américains est inférieure à celle de tous leurs pairs industrialisés, même si leurs médecins sont mieux payés que les médecins des autres pays développés".
Visitez BigPharmaNews.com pour plus d'histoires sur la cupidité des compagnies pharmaceutiques.
RépondreSupprimerRegardez la représentante californienne Katie Porter ci-dessous réprimander un dirigeant de Big Pharma pour avoir fait passer les bénéfices avant la santé.
This video is from the Civil Slave channel on Brighteon.com.
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Sources include:
RT.com
PatientsForAffordableDrugs.org
TheGuardian.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-24-big-pharma-raised-drug-prices-1186-times.html
La Covid repart, échec absolu d’une folie à 600 milliards
RépondreSupprimerPierre-Antoine Pontoizeau,
pour FranceSoir
le 30 juin 2022 - 16:45
"L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre."
TRIBUNE — Toutes les décisions de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron ont coûté plus de 600 milliards, pour quel résultat ?
Les coûts de la politique sanitaire
Le confinement des premiers mois a été évalué par Laurent Cappelletti, professeur au CNAM. Dès avril 2020, il l’estimait à un coût mensuel de 150 milliards d’euros. Il avait raison. L’accroissement de l’endettement de la France de 700 milliards résulte bien de cette première folie, même s’il tient marginalement à quelques autres facteurs. L’ardoise sanitaire, c’est environ 600 milliards. En plus du confinement, les vaccinations représentent quelques milliards aussi. 146 millions de doses ont été administrées pour un prix compris en 15 et 20 euros la dose selon les périodes. La seule vaccination a coûté entre 2,3 et 2,8 milliards d’euros. Concernant les tests, bien mal nommés anti-Covid, le simple mois de décembre et ses 28 millions de tests ont coûté un milliard d’euros à l’assurance maladie. Le ministre des Comptes publics reconnaissait un mois plus tard que les tests anti-Covid coutaient 1,5 milliard pour le mois de janvier. Deux mois de tests ont couté 2,5 milliards, pour quoi faire ? La politique sanitaire représente donc une hystérie de plus de 600 milliards d’euros.
Un ministre des Finances amnésique
Et nous entendons un ministre des Finances parler de « côte d’alerte » avec près de 3 000 milliards d’euros de dette, soit 114,5 % du PIB. Peut-il rendre des comptes sur sa responsabilité et ses résultats puisqu’il a contribué à son accroissement abyssal ? Nous étions en 2017 à 2 200 milliards et 98 % du PIB. Peut-il expliquer le ratio d’efficacité de cette dépense inédite dans l’histoire économique de la France ?
Lire aussi : Port du masque, vaccination, certificat covid de l'UE: une histoire sans fin?
La valeur concrète de cette folle dépense
Prenons la mesure de cette dépense sanitaire faramineuse. Rappelons que le fonctionnement annuel d’un hôpital départemental s’estime dans une fourchette de 250 à 350 millions d’euros. Ce sont donc 2 000 hôpitaux fonctionnant pendant un an où 100 hôpitaux départementaux fonctionnant pendant 20 ans. 600 milliards, c’est 15 ans du budget de la défense (un peu moins de 40 milliards en 2021) ou dix ans du budget de l’éducation nationale (55 milliards en 2021). Un tel sacrifice jamais engagé dans les dépenses publiques de la France exige un résultat rapide et parfait, à la hauteur de la dépense et des promesses exposées comme des certitudes de foi par tous les spécialistes, non ? Nous avons tous en mémoire l’agressivité, le scientisme des certitudes, l’arrogance et le mépris du ministre Véran en particulier. 600 milliards pour quoi faire ?
La nullité du résultat
RépondreSupprimerOr, cette dépense inouïe a-t-elle obtenu un résultat à la hauteur, soit l’éradication rapide du virus ? Non, puisque nous parlons d’une 7e vague, que des personnes meurent encore de cette maladie, même si fort heureusement, ce ne sont pas des milliers par jours. Mais ce confinement initial nous a-t-il libéré de la maladie ? Non. Le 2e confinement ? Non. La vaccination a-t-elle fonctionné ? Non, puisque aujourd'hui les chiffres démontrent que les malades sont des vaccinés ainsi que les hospitalisés. Charlatanisme, escroquerie ? Et les tests ont-ils été utiles ? Non plus, puisque la maladie demeure. Alors à quoi ont servi ces 600 milliards de dépenses publiques ? Et nous n’avons pas aujourd’hui la capacité de mesurer le cout des effets indésirables. Il risque d’être élevé.
La liberté démocratique d’inventaire des responsabilités
Est-il possible dans une société libre et démocratique de demander à nos nouveaux élus d’ouvrir une commission d’enquête transparente, voire populaire, pour exiger des réponses sur les responsabilités de ces engagements de dépenses faramineuses ? Il y a là plusieurs enjeux. Celui de ne jamais reproduire une telle folie. Celui de sanctionner les ministres, voire le Président à la hauteur de cette absolue folie. Celui enfin de solder cette dépense par des mesures et sanctions financières à l’encontre de ceux qui ont profité, voire corrompus : Union européenne, laboratoires, actionnaires des laboratoires, États complices, etc.
Voir aussi : "Nous contredisons des forces politiques et financières extrêmement puissantes" Laurent Mucchielli
L’enjeu majeur est de se libérer de cette emprise irrationnelle de quelques-uns sur le destin du plus grand nombre. Ils ont démontré qu’ils ne savaient rien. Nous avons maintenant la preuve que la dépense était irrationnelle, non pertinente et aujourd’hui sans résultat. Il est urgent de changer radicalement de paradigme. C’est cela le progrès, non ? Du moins, c’est une obligation avant de demander au Français de se sacrifier encore alors qu’il faut solder cette dette en la recouvrant auprès des auteurs de cette hystérie.
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-covid-repart-echec-absolu-d-une-folie-600-milliards
La pédale, le dépravé, l'innocent voire le trisomique, autant d'adjectifs tirés comme des casserole bling-bling. Il ne sait rien, demande rien, n'écoute rien, c'est un con. Un abruti, un moins que rien, bref: une merde.
SupprimerLe complot du vaccin Covid
RépondreSupprimerPar Llewellyn H. Rockwell, Jr.
25 juillet 2022
Le vaccin Covid tue des gens. Ce n'est pas un secret, et la question se pose naturellement, pourquoi les gens nous poussent-ils à nous faire vacciner ? Pourquoi poussent-ils cette drogue mortelle sur de jeunes enfants ? Répondre à cette question nous amène à la racine des forces obscures qui contrôlent le monde.
Il est clair que ceux qui poussent le vaccin connaissent ses effets mortels. Comme le fait remarquer la grande Dr Naomi Wolf, « Je suis resté silencieuse pendant quelques semaines. Pardonne-moi.
La vérité, c'est que j'ai été presque sans voix — ou l'équivalent littéraire de cela — parce que récemment j'ai eu la tâche peu enviable d'essayer d'annoncer au monde qu'en effet, un génocide — ou ce que j'ai appelé, maladroitement mais de toute urgence, une «mortalité de bébés» - est en cours.
Les volontaires de recherche WarRoom / DailyClout Pfizer Documents, un groupe de 3000 médecins hautement qualifiés, IA, biostatisticiens, enquêteurs sur la fraude médicale, cliniciens de laboratoire et chercheurs, ont produit rapport après rapport, comme vous le savez peut-être, pour dire au monde ce qui est dans les 55 000 documents internes de Pfizer que la FDA avait demandé à un tribunal de garder secrets pendant 75 ans. Sur ordonnance du tribunal, ces documents ont été divulgués de force. Et nos experts servent l'humanité en lisant ces documents et en les expliquant en termes simples. Les mensonges révélés sont stupéfiants.
Les bénévoles de WarRoom/DailyClout ont confirmé : que Pfizer (et donc la FDA) savaient en décembre 2020 que les vaccins à ARNm ne fonctionnaient pas - qu'ils "avaient perdu de leur efficacité" et présentaient un "échec vaccinal". ils savaient qu'un mois après le déploiement massif de 2020, c'était "COVID".
Pfizer savait en mai 2021 que le cœur de 35 mineurs avait été endommagé une semaine après l'injection d'ARNm - mais la FDA a quand même déployé l'EUA pour les adolescents un mois plus tard, et les parents n'ont pas reçu de communiqué de presse du gouvernement américain sur les dommages cardiaques jusqu'à ce que août 2021, après que des milliers d'adolescents ont été vaccinés.
Pfizer (et donc la FDA ; de nombreux documents indiquent « FDA : CONFIDENTIEL » à la limite inférieure) savait que, contrairement à ce que les porte-parole hautement rémunérés et les médecins achetés assuraient aux gens, l'ARNm, les protéines de pointe et les nanoparticules lipidiques faisaient pas rester au site d'injection dans le deltoïde, mais plutôt, dans les 48 heures, dans la circulation sanguine, de là pour se loger dans le foie, la rate, les surrénales, les ganglions lymphatiques et, si vous êtes une femme, dans les ovaires.
RépondreSupprimerPfizer (et donc la FDA) savait que le vaccin Moderna contenait 100 mcg d'ARNM, des nanoparticules lipidiques et des protéines de pointe, soit plus de trois fois les 30 mcg de la dose adulte de Pfizer ; les documents internes de l'entreprise montrent un taux plus élevé d'événements indésirables avec la dose de 100 mcg, ils ont donc cessé d'expérimenter cette quantité en interne en raison de sa "réactogénicité" - les mots de Pfizer - mais personne ne l'a dit à tous les millions d'Américains qui ont tous reçu le premier et deuxième dose de 100 mcg Moderna, et les rappels.
Pfizer a faussé les sujets de l'essai de sorte que près des trois quarts étaient des femmes - un sexe moins sujet aux lésions cardiaques. Pfizer a perdu les archives de ce qu'il est advenu de centaines de leurs sujets d'essai.
Dans les essais internes, il y a eu plus de 42 000 événements indésirables et plus de 1 200 personnes sont décédées. Quatre des personnes décédées sont décédées le jour où elles ont été injectées.
Les événements indésirables répertoriés dans les documents internes de Pfizer sont complètement différents de ceux signalés sur le site Web du CDC ou annoncés par des médecins, des organisations médicales et des hôpitaux corrompus. Ceux-ci comprennent de vastes colonnes de douleurs articulaires, des douleurs musculaires (myalgies), des masses d'effets neurologiques comme la sclérose en plaques, la paralysie de Guillain Barre et de Bell, l'encéphalie, toutes les itérations possibles de coagulation sanguine, la thrombocytopénie à grande échelle, les accidents vasculaires cérébraux, les hémorragies et de nombreux types de ruptures de membranes dans tout le corps humain. Les effets secondaires dont Pfizer et la FDA étaient au courant, mais pas vous, comprennent des problèmes de cloques, des éruptions cutanées, des bardeaux et des conditions herpétiques (en fait, une gamme de conditions de cloques annonçant étrangement les symptômes du monkeypox).
Les documents internes montrent que Pfizer (et donc la FDA) savait que les zébrures rouges ou l'urticaire étaient une réaction courante au PEG, un allergène dérivé du pétrole dans les ingrédients du vaccin - un allergène que vous n'êtes certainement pas censé ingérer. En effet, le PEG est un allergène si sévère que de nombreuses personnes peuvent faire un choc anaphylactique si elles y sont exposées. Mais les personnes allergiques au PEG n'ont pas été mises en garde contre les vaccins ni même surveillées attentivement par leurs médecins, EpiPen à la main. Ils ont été laissés à leur choc.
RépondreSupprimerPfizer savait que «l'exposition» au vaccin était définie - selon ses propres termes - comme un contact sexuel (en particulier au moment de la conception), un contact cutané, une inhalation ou un allaitement. Les «vérificateurs des faits» peuvent nier tout ce qu'ils veulent. Les documents parlent d'eux-mêmes.
Bien sûr, les personnes qui ont tenté de soulever l'un de ces problèmes ont été déformées, réprimandées par le président, traitées de fous et sévèrement punies.
Les athlètes, les étudiants et les adolescents s'effondrent sur les terrains de football et de soccer. Les médecins se tordent les mains et expriment leur mystification. Mais le dossier SEC de BioNTech montre un fait dont le CDC et l'AMA ne soufflent pas un mot: s'évanouir si violemment que vous pourriez vous blesser est l'un des effets secondaires suffisamment importants pour que BioNTech le souligne auprès de la SEC.
Mais pourquoi les forces du mal nous font-elles ces choses terribles ? Paul Craig Roberts a des choses importantes à dire sur ce sujet : « Les preuves médicales et scientifiques sont tout à fait claires que tout le récit de Covid est contrefactuel et que les autorités le savent. Pourtant, ils poussent toujours, en utilisant la coercition, pour plus de vaccination.
La vaccination ne protège pas. Ça nuit. Donc, la seule raison de l'appliquer est de tuer des gens.
L'incapacité des gens à se méfier des «autorités» et l'incapacité des gens à s'informer et à penser par eux-mêmes garantissent que des millions de personnes mourront après avoir été vaccinées. Lorsque vous voyez des milliers de médecins indépendants et de scientifiques médicaux condamner le vaccin pour être ignorés par les organisations bureaucratiques de « santé publique », vous avez des preuves claires que la véritable autorité ne parle pas. Il est supprimé.
Chaque fois que le débat et l'information sont supprimés, vous savez que quelque chose est caché et qu'un programme secret est en marche.
RépondreSupprimerLa « pandémie de Covid » orchestrée est un crime massif contre l’humanité. Allons-nous leur permettre de s'en tirer? Ou y aura-t-il trop peu d'entre nous pour y faire quoi que ce soit ?
Addenda:
Un expert m'a fait remarquer qu'il est clair que les autorités médicales ne se soucient pas de savoir si le vaccin tue des gens, et les décès sont conformes à l'intention de Bill Gates/Forum économique mondial de réduire la population mondiale. Cependant, un objectif intermédiaire est de passer au passeport vaccinal comme en Allemagne, en Autriche, en Italie, en Grèce, et avec la France, la Belgique et les Pays-Bas sur le point de se joindre à l'exigence d'une identification numérique qui permet de suivre tout le monde et chaque interaction et, ainsi, le contrôle de la population avec des récompenses et des punitions comme le système de crédit social chinois. Cela permet aux populations contrôlées d'être les boucs émissaires du chaos causé par le dépeuplement.
C'est une explication raisonnable de l'accent mis sur les passeports Covid. Comme il est connu et admis que le vaccin est inefficace comme protection contre le virus, et que le virus est dangereux principalement pour les patients non traités présentant des comorbidités, le passeport est inutile à toute autre fin que le contrôle. Le passeport n'offre aucune protection contre la propagation du virus et l'attaque du système immunitaire contre les organes vitaux du corps.
Je voudrais suivre la clé de toute l'opération. Les forces obscures qui visent à tuer une grande partie de la population mondiale avaient leur programme en place bien avant la prétendue « pandémie » de Covid. Comme Brandon Smith l'a souligné dans un article écrit quelques mois avant que Covid ne devienne un problème, «Le contrôle de la population a également été constamment évoqué comme un problème dans la course à l'élection présidentielle de 2020. Bernie Sanders a plaidé pour des mesures de contrôle des naissances dans les pays pauvres. Elizabeth Warren a promu l'avortement en disant que c'était aussi sûr que de "se faire enlever les amygdales". Elle a toujours promu le programme de contrôle du carbone de l'ONU et a été, fait intéressant, membre du centre de recherche sur la population de l'Université du Texas dans les années 1980. Et les politiciens du Green New Deal apportent leur soutien aux déclarations du Worthy Garden Club sur la réduction de la population.
C'est la première fois que je vois l'argument de la réduction de la population utilisé de manière aussi flagrante et répandue dans les médias grand public, et cela me suggère qu'une tendance se dessine. Pendant des années, j'ai prévenu mes lecteurs qu'ils sauront quand les globalistes sont sur le point de débrancher le système actuel lorsqu'ils commenceront à parler ouvertement de leur criminalité. Lorsqu'ils admettent leur agenda de manière libre, cela signifie qu'ils sont proches d'une réinitialisation globale et ne se soucient plus de qui le sait. L'ouverture du plan de réduction de la population mondiale devient évidente.
RépondreSupprimerCurieusement, on a peu mentionné le fait que la population mondiale, à l'ouest surtout, est en fait en déclin. Loin d'exploser au-delà de la capacité de la Terre, les gens ont à peine assez d'enfants pour maintenir la population actuelle stable. Il semblerait que l'agenda mondialiste soit déjà en marche. Grâce à une désintégration économique artificielle, la population se réduit lentement. Cependant, ce lent déclin pourrait ne pas suffire à satisfaire les mondialistes.
Combien de personnes les mondialistes aimeraient-ils tuer pour réaliser leurs aspirations utopiques ? Eh bien, le mondialiste Ted Turner, dans un moment d'honnêteté, a déclaré lorsqu'il a été confronté à We Are Change que la population devrait être réduite à 2 milliards contre 7 milliards.
La principale question ici, au-delà du spectacle d'horreur morale de l'eugénisme, est de savoir qui est coupé ? Et en plus, qui décide qui sera coupé ? Qui décide si vous pouvez avoir des enfants ou non ? Qui décide si vous êtes autorisé à accéder aux ressources pour produire et gagner votre vie ou non ? Qui décide si l'économie mondiale soutiendra ou non la population ? Qui appuie sur la gâchette de l'abattage de la population ?
Comme l'histoire nous l'a montré, ce sont toujours les élites qui finissent par décider du sort de millions ou de milliards. Des programmes de stérilisation de la Fondation Rockefeller aux États-Unis au début des années 1900 à l'ONU aujourd'hui, les mondialistes, véritable culte de la mort, cherchent désespérément à expliquer pourquoi ils devraient être ceux qui autorisent ou refusent la vie humaine sur la base de mensonges comme changement climatique d'origine humaine. Ils ne croient pas à la menace du changement climatique, ILS sont ceux qui l'ont fabriquée. Alors, quelle est la raison principale derrière tout cela ?
Une population réduite entièrement dépendante de sources d'énergie limitées pourrait être plus facile à dominer. Mais j'ai une autre théorie - ce sont des psychopathes à la recherche d'un moyen socialement justifiable de tuer autant de personnes que possible. Pourquoi ? parce qu'ils aiment ça.
Nous devons arrêter ces monstres avant qu'il ne soit trop tard !
https://www.lewrockwell.com/2022/07/lew-rockwell/the-covid-vaccine-plot/
Nous sommes en guerre ! Nous sommes toutes et tous en guerre contre celles et ceux qui tiennent la seringue de mort. Ce sont des assassins de millions d'enfants, de femmes et d'hommes, non pas des dizaines de millions ni des centaines mais proche aujourd'hui des 2 milliards de morts dans le monde !
SupprimerCe 15 Novembre 2022 nous devrions être 8 milliards, nous ne serons que 6 milliards. Et c'est pas fini ! Il reste encore des cons à piquer ! Des cons qui en redemandent !!
C'est le plus grand génocide de tous les temps qui se déroule sur Terre !
Monkeypox ou Moneypox ?
RépondreSupprimerTedros annule son panel et déclare Monkeypox une urgence de santé publique de portée internationale
Robert W Malone MD, MS
24 juillet 2022
Dans un mouvement qui ne manquera pas de déclencher un large débat sur l'indépendance, l'objectivité et la sagesse d'accorder à l'OMS le pouvoir de gérer les réponses mondiales aux maladies infectieuses, l'épidémie de monkeypox a été déclarée urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par le World Health Organisme. La déclaration a été faite unilatéralement, en contradiction directe avec l'avis d'un comité d'examen indépendant, par le directeur de l'OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus. Tedros a fait la déclaration malgré l'absence de consensus parmi les membres du comité d'urgence de l'OMS sur l'épidémie de monkeypox et, ce faisant, a annulé son propre comité d'examen, qui avait voté 9 contre, 6 pour déclarer l'USPPI. Tedros a affirmé que ce comité d'experts (qui s'est réuni jeudi) n'était pas parvenu à un consensus, il lui incombait donc de décider s'il devait déclencher l'alerte la plus élevée possible. Tout observateur extérieur objectif conclurait que le comité n'a pas approuvé le passage à une USPPI. Lorsqu'une réunion similaire s'est tenue précédemment le 23 juin 2022, le comité a décidé par consensus d'aviser le directeur général de l'OMS qu'à ce stade, il devrait être déterminé que l'épidémie ne constitue pas une USPPI. Un article officiel des Nations Unies résumant cela peut être trouvé ici. Lorsque le groupe s'est réuni en juin, la répartition était de 11 contre et 3 pour. On ne sait pas ce qui a changé au cours des quatre semaines qui ont suivi pour justifier le changement de position de Tedros, bien que les commentaires des experts d'Internet soulèvent des inquiétudes quant au fait que l'action unilatérale a été prise en réponse à la pression de groupes de défense d'intérêts spéciaux.
Il y a également eu une explosion soudaine de publications coordonnées sur les réseaux sociaux soulevant des inquiétudes concernant les risques de Monkeypox pour les enfants, ce qui soulève la question « Si Monkeypox est une maladie sexuellement transmissible, pourquoi les enfants l'attrapent-ils ?
Vendredi, les États-Unis ont confirmé les deux premiers cas de monkeypox chez les enfants, a déclaré vendredi la directrice des Centers for Disease Control, Prevention and Control (CDC), Rochelle Walensky. Le CDC a déclaré que les enfants, en particulier ceux de moins de 8 ans, font partie des personnes à "risque particulièrement accru" de maladie grave du monkeypox.
Lors d'un événement virtuel avec le Washington Post vendredi axé sur les nouvelles variantes de coronavirus, Walensky a déclaré que :
"Ces deux enfants sont issus d'individus issus de la communauté des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, la communauté des hommes homosexuels",
De toute évidence, le comité de l'OMS n'a pas pris la décision souhaitée de déclarer une USPPI, et donc pour une raison extraordinaire, Tedros est intervenu.
RépondreSupprimerBien que le comité ne vote pas officiellement, une enquête auprès des membres a révélé que neuf pensaient qu'une USPPI ne devrait pas être déclarée et six soutenaient une déclaration. "Neuf et six, c'est très, très proche", a déclaré Tedros lors d'une conférence de presse convoquée pour annoncer la décision. "Puisque le rôle du comité est de conseiller, j'ai ensuite dû jouer le rôle de briseur d'égalité."
Tedros a fait cette déclaration malgré l'absence de consensus parmi les membres du comité d'urgence de l'OMS sur l'épidémie de monkeypox. C'est la première fois qu'un dirigeant d'une agence de santé des Nations Unies prend une telle décision unilatéralement.
En cas d'épidémie mortelle, un groupe d'experts de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) peut déclarer une « urgence de santé publique de portée internationale », ou PHEIC, pour déclencher une action mondiale. Depuis que les procédures de déclaration d'une USPPI ont été mises en place en 2005, l'OMS ne l'a fait que six fois. La dernière fois que l'OMS a déclaré une urgence internationale, c'était début 2020, pour le Covid-19.
La désignation d'une urgence de santé publique de portée internationale est le niveau d'alerte le plus élevé de l'OMS. Il est basé sur le règlement sanitaire international établi en 2005, pour définir les droits et obligations des pays dans la gestion des événements de santé publique transfrontaliers.
L'OMS définit une USPPI comme "un événement extraordinaire qui est déterminé à constituer un risque pour la santé publique d'autres États par la propagation internationale d'une maladie et à nécessiter potentiellement une réponse internationale coordonnée".
L'OMS explique en outre comment cette définition implique une situation grave, soudaine, inhabituelle ou inattendue ; a des implications pour la santé publique au-delà des frontières d'un pays touché et peut nécessiter une action internationale immédiate.
Les déclarations de Tedros démontrent clairement qu'il a unilatéralement substitué ses propres opinions à celles du panel convoqué, soulevant des questions sur son objectivité, son engagement envers le processus et le protocole, et s'il a été indûment influencé par des agents externes :
"J'ai décidé que l'épidémie mondiale de monkeypox représente une urgence de santé publique de portée internationale"
"L'évaluation de l'OMS est que le risque de monkeypox est modéré à l'échelle mondiale et dans toutes les régions, sauf dans la région européenne où nous évaluons le risque comme élevé"
"Nous avons une épidémie qui s'est propagée rapidement dans le monde grâce à de nouveaux modes de transmission que nous comprenons trop peu et qui répondent aux critères des réglementations sanitaires internationales", a déclaré Tedros.
RépondreSupprimer"Je sais que cela n'a pas été un processus facile ou direct et qu'il existe des points de vue divergents parmi les membres" du comité ", a-t-il ajouté.
"Bien que je déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s'agit d'une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels", a poursuivi Tedros. "Cela signifie qu'il s'agit d'une épidémie qui peut être stoppée avec les bonnes stratégies dans les bons groupes."
Alors que l'épidémie continue de croître, les épidémiologistes sont divisés quant à savoir si la décision de l'OMS était correcte. La réunion était la deuxième fois que le comité d'urgence se réunissait, après une réunion le 23 juin au cours de laquelle il avait décidé que l'épidémie n'avait pas atteint ce seuil.
Dr Jimmy Whitworth, professeur de santé publique internationale à la London School of Hygiene & Tropical Medicine.
"C'est une décision délicate pour le comité, à certains égards, elle répond à la définition - il s'agit d'une épidémie sans précédent répandue dans de nombreux pays et bénéficierait d'une coordination internationale accrue.
En revanche, il semble s'agir d'une infection pour laquelle nous disposons des outils de contrôle nécessaires ; la plupart des cas sont bénins et le taux de mortalité est extrêmement faible"
La désignation PHEIC provient du Règlement sanitaire international (RSI) créé en 2005 et représente un « accord » international pour aider à prévenir et à répondre aux risques pour la santé publique qui ont le potentiel de se propager dans le monde entier.
Les Centers for Disease Control and Prevention (US CDC) des États-Unis décrivent la réglementation du RSI comme « un accord juridiquement contraignant de 196 pays visant à renforcer la capacité de détecter et de signaler les urgences potentielles de santé publique dans le monde entier. Le RSI exige que tous les pays aient la capacité de détecter, évaluer, signaler et répondre aux événements de santé publique ».
Il s'agit du même RSI que l'administration Biden a cherché à renforcer davantage, mais la tentative de mise en œuvre des modifications proposées a été suspendue après un tollé international dans plusieurs pays concernant la perte de l'autonomie nationale. Les actions unilatérales de Tedros dans la situation actuelle démontrent clairement que ces préoccupations étaient justifiées.
RépondreSupprimerMalgré la déclaration du CDC américain, le RSI de l'OMS n'est pas un traité qui a été approuvé par le Sénat américain, et l'affirmation selon laquelle il est juridiquement contraignant a été contestée.
Dans un article favorable à la déclaration, Vox news a fourni un résumé des bénéficiaires financiers potentiels de cette déclaration ; c'est-à-dire les fabricants de vaccins et les holdings qui y ont investi.
L'urgence devrait amener les pays à partager les vaccins. Mais ce n'est pas garanti.
La vaccination joue un rôle clé dans le contrôle de la transmission du monkeypox lors d'une épidémie et, surtout, ces vaccins existent déjà.
La pandémie de Covid-19 a enseigné au monde des leçons douloureuses sur l'importance de la coordination mondiale pour assurer une distribution rapide et équitable des vaccins. Espérons que la sonnette d'alarme PHEIC stimulera l'action afin que les mêmes erreurs ne se répètent pas.
L'une des principales raisons pour lesquelles les experts mondiaux de la santé s'inquiètent de l'opportunité d'une déclaration d'urgence de l'OMS pour le monkeypox est le potentiel de la déclaration à fournir rapidement des vaccins aux groupes les plus vulnérables.
Il existe des vaccins pour prévenir la variole du singe, et bien que de nombreux pays disposent d'une quantité de ces vaccins dans le cadre de leurs stocks nationaux, la demande américaine a largement dépassé l'offre et l'offre mondiale de vaccins est relativement faible. vaccins, et bien que le producteur du vaccin le plus populaire contre la variole du singe n'ait pas révélé quels pays ont passé des commandes, les pays qui ont annoncé des achats de vaccins sont généralement des pays à revenu plus élevé, comme l'Allemagne, la Grande-Bretagne et le Canada.
Cela laisse présager un modèle d'iniquité vaccinale qui s'est déroulée avec un effet tragique lors du déploiement du vaccin Covid-19, les pays les plus pauvres luttant pour acquérir des vaccins et coupés des efforts de production de vaccins. Dans son annonce du plan du comité d'urgence de l'OMS de se réunir en juin, le directeur de l'OMS Europe, Hans Kluge, a déclaré que suivre un plan plus équitable pour la distribution du vaccin monkeypox serait une étape clé dans le contrôle de l'épidémie.
"Une approche" moi d'abord "pourrait avoir des conséquences néfastes sur la route si nous n'employons pas une approche véritablement collaborative et réfléchie", a déclaré Kluge. "J'implore les gouvernements de s'attaquer au monkeypox sans répéter les erreurs de la pandémie - et en gardant l'équité au cœur de tout ce que nous faisons."
RépondreSupprimerLorsque l'OMS déclare une urgence, elle fait également des recommandations aux pays touchés, qui portent souvent sur les stratégies de vaccination. Cela incite les pays à coordonner leurs stratégies vaccinales pour accroître l'approvisionnement en vaccins dans les pays les moins riches. Cela peut également inciter les donateurs à financer des efforts de vaccination qui donnent la priorité à un accès équitable aux vaccins. Cependant, les recommandations de l'OMS face à une urgence ne sont finalement que des recommandations.
"Il n'y a aucun moyen de faire appliquer cela à l'échelle mondiale", a déclaré Heymann.
L'ACT Accelerator, une collaboration visant à collecter des fonds pour distribuer des tests, des thérapies et des vaccins Covid-19 aux pays à faibles ressources, était une tentative de solution équitable à la pandémie. Cependant, aux yeux de beaucoup, cela n'a pas réussi. Les experts en santé publique espèrent qu'une action plus précoce sur le monkeypox pourrait éviter certains des pièges de l'accélérateur ACT.
Dans son annonce d'aujourd'hui, les représentants de l'OMS ont déclaré qu'ils encourageaient les pays disposant d'importants stocks de vaccins à partager et à donner des vaccins à d'autres pays qui n'ont actuellement pas accès aux vaccins.
Veuillez consulter la couverture précédente de ce problème dans les sous-articles suivants, qui démontrent clairement l'effort concerté pour militariser la peur par une variété de parties prenantes, y compris les médias d'entreprise et les organisations affiliées à Bill et Melinda Gates.
Monkey Pox
Truth versus Fearporn.
Monkey Pox Update
May 31, 2022. There has been a significant development.
https://rwmalonemd.substack.com/p/monkeypox-or-moneypox?utm_source=substack&utm_medium=email
C'est la maladie des pédés. Çà, on le sait. Moins y en a c'est tant mieux. Oui mais ils disent qu'il y a 8 milliards de pédés sur Terre !
SupprimerCe sont des 'pédés asymptomatiques' !! Ils ne savent pas qu'ils sont des enculés, et vont être inoculer profond !
Le but ultime : l'abêtissement perpétuel de toute la société afin de créer un État esclave gouverné par quelques-uns
RépondreSupprimerDe Gary D. Barnett
25 juillet 2022
« La désobéissance est le vrai fondement de la liberté. Les obéissants doivent être des esclaves.
~ Henri David Thoreau
À quoi cela doit-il ressembler de vivre dans un état d'esprit où tout ce qui se passe dans cette vie humaine est considéré comme naturel, imprévu, une coïncidence ou, d'une manière ou d'une autre, inévitable ? L'exigence pour cet état d'inconscience vide, est d'exister dans un monde de clichés et de régurgitation des pensées des autres ; majoritairement des étrangers. C'est la croyance des masses, non pas parce qu'elles n'avaient pas le choix en la matière, ou qu'elles ont spontanément choisi d'être aussi confiantes, mais parce qu'elles ont été conditionnées pendant des générations à agir et à accepter les mensonges propagandisés qui leur ont été transmis tout au long de leur vie par ceux de l'État. joueurs avec des agendas très néfastes.
Toute cette tromperie n'est qu'un marketing de masse programmé de la désinformation, un endoctrinement du plus grand nombre au profit de quelques-uns, à travers une pléthore de techniques de lavage de cerveau. Le seul remède à une telle circonstance est d'apprendre d'abord à accepter que quelque chose ne va pas du tout, puis de trouver le courage de rechercher la vérité. Cela nécessite une véritable recherche et une véritable éducation, et non la « scolarisation » à laquelle presque tous ont été soumis depuis leur naissance, et c'est pourquoi ceux qui n'acceptent jamais et remettent toujours en question la fausse autorité, continuent d'écrire, de parler et de plaider avec leurs semblables d'une manière tenter de réveiller le géant endormi qu'est la population générale.
Tout ce qu'il faut pour voir de la lumière, si l'on veut vraiment voir la lumière, c'est de comprendre que le mal existe, et qu'il existe presque partout. Certains maux sont brutaux et manifestement évidents, d'autres sont sournois et silencieux, et beaucoup de mal peut être attribué à l'homme ordinaire en raison de son indifférence envers le sort des autres en faveur de lui-même. Mais le mal le plus dangereux est drapé sous la couverture de faire le bien ; revendiquer la haute place de ce qui est faussement présenté comme le "plus grand bien". C'est ainsi que fonctionne le gouvernement, car il joue sur les faiblesses de l'humanité en utilisant la vieille méthode du problème, de la réaction, de la solution, pour créer la peur et ensuite faire semblant de protéger face à cette fausse peur. C'est le pilier de tous les efforts du souverain pour contrôler le troupeau humain de moutons. Les exemples de cette tactique abondent et ont traversé l'histoire. Aux États-Unis, cette pratique trompeuse est répandue depuis le tout début.
Cette tromperie a été particulièrement réussie du point de vue de l'État concernant la guerre, toutes les guerres, et la volonté de gagner le soutien du peuple contre des monstres inexistants et non menaçants de loin. Cela revient à dire que l'État utilise les masses pour se détruire, afin que les puissants puissent s'enrichir, prendre le contrôle et continuer à éliminer ce qu'ils croient être les classes inférieures. Cela a toujours été le cas, car aucune attaque contre ce pays n'a jamais eu lieu sur le continent, et la seule véritable attaque contre Pearl Harbor s'est produite sur une île volée occupée de force par des soldats américains ; utilisant un complot pour organiser délibérément des actes de guerre flagrants contre le Japon afin de lancer cette attaque. Ce n'était rien de plus qu'un événement sous fausse bannière organisé par les États-Unis et créé dans le seul but d'attiser la peur dans le cœur des gens afin de les amener à soutenir une autre guerre mondiale basée uniquement sur l'agression de l'Occident. Peu de choses étaient différentes dans toutes les guerres avancées par l'État-nation américain, y compris les guerres indiennes, la soi-disant guerre civile, la guerre hispano-américaine, la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, la guerre de Corée, la guerre du Vietnam, la ridicule "guerre". contre le terrorisme », et toutes les autres guerres tracées et planifiées par la classe dirigeante et ses marionnettes au sein du gouvernement américain depuis le XVIIIe siècle et avant.
RépondreSupprimerAujourd'hui, la menace de guerre et d'anéantissement nucléaire reste intacte, toutes planifiées à l'avance, complotées et mises en scène pour que tout le monde puisse les voir. Le problème cependant, c'est que le grand public est encore muet et aveugle à cette stratégie évidente mise en œuvre par le mal qui contrôle ce pays. Le travail interne qu'a été "l'attaque" du 11 septembre a donné à ce gouvernement et à ses maîtres deux décennies de munitions afin de poursuivre le plan d'un gouvernement mondial et de prendre le contrôle de toute l'humanité, jusqu'à la prochaine étape de la terreur d'État. pourrait se déchaîner sur le public.
Cette prochaine étape est et a été la menace fausse et illusoire d'une pandémie de « virus » qui n'existe pas et n'a jamais existé. La véritable menace, comme c'est presque toujours le cas, est la prétendue solution de l'État à cette menace inexistante, créée à dessein une fois de plus pour instiller une grande peur dans le public malheureux et endoctriné. Une fois que cette peur s'est solidifiée, l'arme biologique très toxique et activement toxique appelée «vaccin covid» a été lâchée sur tous les membres sans méfiance de la grande majorité qui est la population commune, entre autres. Aussi difficile que ce soit à avaler, des centaines de millions ici et des milliards dans le monde ont succombé à l'idée frauduleuse et absurde que tout le monde pourrait mourir d'un mystérieux « virus » ; celui qui n'a jamais été isolé ni identifié. La réponse de l'État à cette « menace » fabriquée était que nos libertés devaient être sacrifiées, l'auto-emprisonnement devait devenir universel, les confinements et les quarantaines devaient être mis en place, l'économie devait être systématiquement détruite, la famille devait être évitée, et seulement ceux injectés avec un poison mystérieux seraient en sécurité et autorisés à se déplacer dans un monde agissant tous à la fois comme un de concert avec chacun; juste pour le contrôle totalitaire sur tout. De quel fantasme s'agit-il ?
Tous ceux qui ont pris le poison de l'État doivent être conscients qu'ils ont volontairement laissé leur esprit et leur corps être modifiés d'un nombre incalculable de façons qui causeront probablement des effets néfastes majeurs maintenant et à l'avenir, y compris la maladie, la mutilation, l'incapacité mentale, la maladie, et la mort. Cette réalité est déjà évidente, car les dommages et les décès causés par des causes « inconnues » montent en flèche ici ; sur une grande partie du monde occidental, et à travers la planète dans certaines régions. Ce n'est pas accidentel ou naturel; c'est un résultat prévu.
RépondreSupprimerCette mise en place est nécessaire pour que les «élites» dirigeantes et leurs hommes de main au gouvernement revendiquent la propriété de tous les biens, de l'argent et des personnes dans le monde. Comme cela a été dit à plusieurs reprises, ceux qui contrôlent la nourriture, l'argent et les approvisionnements énergétiques contrôleront le monde. C'est exactement ce qui se passe sous nos yeux, et seuls un éveil et une prise de conscience de ce fait peuvent changer suffisamment les esprits pour que ce mastodonte tyrannique puisse être arrêté à temps. Il appartient à chacun de reconnaître ce risque, et de décider de ne pas participer à cette destruction de l'humanité.
Ouvrez vos esprits et cherchez la vérité au lieu de rester les esclaves et les marionnettes de ce système de domination mondiale planifiée. C'est mon opinion étudiée qu'il reste peu de temps avant que cet assaut contre l'humanité n'atteigne un niveau de non-retour. Abandonnez le récit dominant et tirez vos propres conclusions avant qu'il ne soit trop tard. Bien que cela puisse sembler intimidant et même impossible, ne vous fiez pas à l'idiotie stupide qu'est la pensée de groupe, la politique, le vote et la recherche d'écume fausse et fourbe appelée «leaders». Cessez de vous cacher face à des complots aussi évidents. Pour faire face à cet ennemi, il faut d'abord se faire face, accepter les défauts que vous trouverez et s'efforcer de corriger sa propre maison au lieu de condamner ou de se fier aux caprices des autres.
Nous pouvons surmonter cette folie et cette folie, mais seulement si et quand un grand nombre d'individus se lèvent et défient l'état actuel des choses. N'oubliez pas qu'obéir au gouvernement signifie seulement que vous êtes devenu un esclave, tandis que la désobéissance à ce même état vous rendra libre.
« Au début, l'homme était asservi par les dieux. Mais il a brisé leurs chaînes. Puis il fut asservi par les rois. Mais il a brisé leurs chaînes. Il était asservi par sa naissance, par sa parenté, par sa race. Mais il a brisé leurs chaînes. Il a déclaré à tous ses frères qu'un homme a des droits que ni dieu ni roi ni les autres hommes ne peuvent lui enlever, quel que soit leur nombre, car c'est le droit de l'homme, et il n'y a pas de droit sur la terre au-dessus de ce droit. Et il se tenait sur le seuil de la liberté pour laquelle le sang des siècles derrière lui avait été versé.
~ Ayn Rand, Anthem
https://www.lewrockwell.com/2022/07/gary-d-barnett/the-ultimate-goal-perpetual-dumbing-down-of-all-society-in-order-to-create-a-slave-state-ruled-by-the-few/
Nolte: Il y a un an aujourd'hui, Joe Biden a déclaré que les vaccinés ne peuvent pas attraper le COVID
RépondreSupprimerJOHN NOLTE
21 juil. 20222
Alors que nous souhaitons tous à Joe Biden un rétablissement rapide et complet du coronavirus, n'oublions pas toute la désinformation COVID qu'il diffuse depuis des années.
En fait, dans un accès d'ironie, personne ne croirait à la fiction ; c'était il y a exactement un an - il y a un an jour pour jour - que Biden a dit au pays que la vaccination COVID vous protégerait contre l'infection.
Le 21 juillet 2022, la Maison Blanche a annoncé que Joe Biden, deux fois vacciné et deux fois boosté, était atteint du coronavirus.
Le 21 juillet 2021, Joe Biden a déclaré au pays que les vaccinés ne pouvaient pas attraper le coronavirus.
Mais encore une fois, une dernière chose. Je... on ne vous en parle pas assez, je ne pense pas. Une dernière chose qui est vraiment importante est la suivante : nous ne sommes pas dans une position où nous pensons que n'importe quel virus - y compris le virus Delta, qui est beaucoup plus transmissible et plus mortel en termes de personnes non - non vaccinées - le vi- - les différents coups que les gens reçoivent maintenant couvrent cela. Ils sont - tu vas bien. Vous n'allez pas - vous n'allez pas attraper le COVID si vous avez ces vaccins. [soulignement ajouté]
Biden a répandu cette désinformation flagrante lors d'un événement à la mairie de CNN.
Naturellement, le modérateur du CNNLOL, Don Lemon, n'a pas contesté ni corrigé Biden.
Plus tôt dans l'événement, Biden a admis que les vaccinés pourraient contracter le COVID, mais a ensuite diffusé cette désinformation :
Et donc, ce que je dis aux gens qui s'inquiètent d'une nouvelle pandémie, c'est : faites-vous vacciner. Si vous êtes vacciné, même si vous attrapez le «virus», entre guillemets, sans guillemets - comme les gens en parlent en termes normaux - vous êtes submergé - - peu de gens le font. Si vous le faites, vous ne risquez pas de tomber malade. Vous allez probablement être asymptomatique. Vous n'allez pas être dans une position où vous - où votre vie est en danger. [soulignement ajouté]
S'il est vrai que le vaccin atténue les symptômes du coronavirus et votre risque d'hospitalisation et de décès (je suis complètement vacciné), il n'était pas exact pour Biden d'affirmer directement que "Vous n'allez pas être dans une position où vous – où votre vie est en danger.
Trois mois après avoir fait cette affirmation, 10 587 Américains entièrement vaccinés sont morts du coronavirus.
RépondreSupprimerCe n'était pas la fin de la campagne de désinformation de Biden. En décembre 2021, il a faussement affirmé que les vaccinés ne pouvaient pas propager le coronavirus. Le fait que la Maison Blanche mette maintenant Biden en quarantaine prouve que c'est faux. Bien sûr, les vaccinés peuvent attraper et propager la grippe chinoise.
Pendant la campagne présidentielle de 2020, Biden a menti à plusieurs reprises sur le vaccin contre le coronavirus de Trump… Que le vaccin était précipité, que nous ne pouvions pas lui faire confiance, etc.
Biden est entré en fonction avec le vaccin miracle déjà développé et expédié dans tout le pays. Néanmoins, plus de personnes (en moins de temps) sont mortes sous la surveillance de Biden que sous celle de Trump.
La désinformation de Biden n'est – comme Biden lui-même pourrait le dire – pas une blague.
https://www.breitbart.com/politics/2022/07/21/nolte-one-year-ago-today-joe-biden-said-vaccinated-cannot-get-covid/
Le nouveau long métrage "Consentement non informé" salué comme le documentaire le plus puissant de l'ère Covid
RépondreSupprimerjeudi 21 juillet 2022
par : Cassie B.
(Natural News) L'un des principes de base de la médecine moderne est le droit au consentement éclairé, mais tout cela a semblé disparaître alors que COVID-19 s'est installé dans le monde entier et que les sociétés de vaccins ont vu d'énormes opportunités de profit.
On peut maintenant dire sans se tromper que la maladie a été complètement exploitée et que ses effets peuvent se faire sentir dans presque tous les aspects de la vie quotidienne, que vous ayez personnellement contracté le virus ou non. Il y a eu une tromperie généralisée de la part des gouvernements, des agents de santé publique, des plateformes de médias sociaux et des médias de masse, et les gens ont perdu leur liberté à chaque tournant pour ne pas se conformer aux mandats de masquage et de vaccination ou simplement pour exprimer leurs opinions sur la situation.
C'est le sujet d'un nouveau long métrage documentaire intitulé Consentement non informé, et ce week-end marque sa première mondiale exclusive en direct. Le réseau de médias sociaux Librti du Canada accueillera la première sur sa plateforme de diffusion en direct non censurée samedi.
Le film promet un regard approfondi sur le récit entourant COVID-19. Il explore non seulement qui le contrôle, mais aussi comment il a été utilisé pour injecter à presque tout le monde sur Terre une nouvelle technologie non testée.
C'est un regard qui donne à réfléchir sur la destruction des droits de l'homme, non seulement à plus grande échelle mais à un niveau plus personnel à travers l'histoire de la perte dévastatrice d'une personne - une histoire à laquelle beaucoup trop de gens peuvent s'identifier de nos jours.
Le film présente également des commentaires de médecins et de scientifiques qui ont eu le courage de prendre position et de dénoncer Big Pharma et d'autres élites qui profitent des mandats mondiaux de vaccination. Il a été produit par Todd Harris de Matador Films en collaboration avec le groupe Vaccine Choice Canada, dont la mission est d'aider les familles à prendre des décisions éclairées concernant leur immunité.
La bande-annonce du film commence par une citation de Mark Twain : "Il est beaucoup plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils ont été dupés." C'est un sentiment qui résonne beaucoup trop pour quiconque a déjà essayé de convaincre un être cher que les dangers de ces vaccins sont réels.
Le film aborde également les attaques contre la liberté d'expression qui ont été vues sur les plateformes de médias sociaux à la suite des mandats de vaccination. Des accusations de "désinformation" ont été lancées contre quiconque ose parler des effets négatifs, même s'ils les ont personnellement vécus, et la situation a été utilisée comme excuse pour une censure généralisée.
Les premières critiques du film sont extrêmement positives, Amanda Forbes de Children’s Health Defence notant : « Le consentement non éclairé est la VÉRITÉ la plus scientifique et factuelle qui soit sortie du Canada au cours des 3 dernières années. Si vous êtes un parent, cela devrait figurer en haut de votre liste de visionnage. C'est VRAIMENT une révélation. Tout le monde doit voir ce film !
RépondreSupprimerSherry Strong de Children's Health Defence Canada a déclaré: "C'est le documentaire le plus puissant de l'ère covid."
Le samedi 23 juillet à 16h PT / 19h HE, vous pouvez rejoindre les producteurs et créateurs du film, ainsi que les médecins derrière le film, lors d'un événement spécial sur Librti. Les téléspectateurs intéressés peuvent réserver leurs places pour la diffusion en direct limitée de la première en suivant le lien sur la page de Librti.
Un véritable consentement éclairé sur les vaccins COVID-19 aurait pu sauver d'innombrables vies
Selon les données du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), plus de 12 000 décès liés au vaccin ont été signalés jusqu'à présent aux États-Unis seulement. Cependant, le système est connu pour son retard en temps réel et ne représente qu'une petite fraction des le vrai nombre de cas, dû en grande partie au fait que tout le monde ne fait pas le lien entre les décès et le coup. Bien sûr, 12 000, c'est déjà 12 000 de trop, mais le nombre réel est probablement beaucoup, beaucoup plus élevé.
Combien de vies auraient pu être sauvées si le principe du consentement éclairé avait été respecté, les personnes étant honnêtement informées des dangers du vaccin et libres de choisir d'assumer ou non les risques sans craindre de perdre leur emploi, famille ou libertés ?
Les sources de cet article incluent :
LibrtiPremiere.com
VAERS.HHS.gov
https://www.naturalnews.com/2022-07-21-uninformed-consent-film-covid-powerful-documentary.html
L’OMS lance un appel « urgent » à la mise au point de vaccins contre la résistance aux antibiotiques, alors que les CDC imputent le problème à une pandémie
RépondreSupprimerLes décès aux États-Unis dus à la résistance aux antimicrobiens ont augmenté de 15 % en 2020, en raison de l'utilisation de médicaments pour traiter la COVID-19, selon un rapport publié le 12 juillet par les Centers for Disease Control and Prevention. Le 12 juillet également, l'Organisation mondiale de la santé a lancé un appel « urgent » à développer plus de 150 vaccins pour faire face à la menace sanitaire mondiale.
Par Children's Health Defense
Mondialisation.ca, 24 juillet 2022
The Defender
Dans un rapport publié le 12 juillet, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont déclaré que les décès aux États-Unis dus à des bactéries résistantes aux antibiotiques – communément appelées « superbactéries » – ont augmenté de 15 % en 2020.
Le rapport de 44 pages examine l’impact de la COVID-19 sur la résistance aux antimicrobiens (RAM) en 2020, lorsque – selon les CDC – les médicaments étaient largement distribués pour traiter la COVID-19 et remédier aux infections bactériennes pendant les hospitalisations.
Le même jour – le 12 juillet – où les CDC ont publié leur rapport, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a également publié un rapport sur la RAM, qui mettait l’accent sur le développement de vaccins pour lutter contre ce problème.
Dans un communiqué de presse sur le rapport, le directeur du département de Vaccination, vaccins et produits biologiques de l’OMS a demandé à l’agence « de tirer les leçons du développement du vaccin contre la COVID et d’accélérer notre recherche de vaccins pour lutter contre la RAM ».
Le rapport de 94 pages de l’OMS identifie 155 candidats vaccins – 61 à « divers stades de développement clinique » et 94 en « développement préclinique » – qui, selon l’agence, devraient être développés « de toute urgence » pour combattre la RAM.
Les rapports des CDC et de l’OMS ne traitent pas de ce qui, de l’avis de la plupart des scientifiques, est l’une des principales causes de la résistance aux antibiotiques : l’utilisation excessive d’antibiotiques dans les élevages industriels.
Classée parmi les dix principales menaces pour la santé publique de l’humanité par l’OMS, la RAM se produit « lorsque des germes comme les bactéries et les champignons déjouent les médicaments conçus pour les tuer », a déclaré le Dr Rochelle Walensky, directrice du CDC.
RépondreSupprimerUne étude publiée en janvier par The Lancet a estimé que 4,95 millions de décès dans le monde étaient liés à la RAM bactérienne, dont 1,27 million attribués à la RAM bactérienne.
80 % des patients de COVID on reçu des antibiotiques en 2020, selon les CDC
Selon les CDC, « au cours de la première année de la pandémie, plus de 29 400 personnes sont mortes d’infections résistantes aux antimicrobiens communément associées aux soins de santé. Parmi elles, près de 40 % ont contracté l’infection alors qu’elles étaient à l’hôpital ».
Près de 80 % des patients hospitalisés avec la COVID-19 ont reçu un antibiotique – même si les antibiotiques ne sont pas utiles pour les infections virales – en raison de la difficulté à distinguer la COVID-19 de la pneumonie lorsque les patients arrivent à l’hôpital, a indiqué le CDC.
« Les gains historiques réalisés en matière de bonne gestion des antibiotiques ont été annulés car les antibiotiques étaient souvent la première option », a déclaré Mme Walensky dans le rapport.
Le rapport des CDC fait état d’une augmentation de six infections bactériennes « superbactéries » et de deux infections fongiques, avec une augmentation globale de 15 % :
Acinetobacter résistant aux carbapénèmes : augmentation de 78 % des infections.
Entérobactéries résistantes aux carbapénèmes : augmentation de 35 % des infections.
Pseudomonas aeruginosa multirésistant : augmentation de 32 % des infections.
Enterococcus résistant à la vancomycine (ERV) : Augmentation de 14 % des infections.
Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline (SARM) : augmentation de 13 % des infections.
Enterobacterales productrices de BLSE : augmentation de 32 % des infections.
Candida auris résistant aux antifongiques : augmentation de 60 % des infections.
Candida résistant aux antifongiques (à l’exclusion de Candida auris) : augmentation de 26 % des infections.
Les CDC ont souligné qu’ils « restent engagé » dans le plan d’action national américain de lutte contre les bactéries résistantes aux antibiotiques et qu’ils iront de l’avant pour combler les lacunes du système de santé publique en « explorant les investissements » dans l’infrastructure sanitaire américaine dans les domaines suivants :
Amélioration des systèmes et du partage des données.
Utilisation et accès aux antibiotiques/antifongiques.
Environnement et assainissement.
Vaccins, thérapies et diagnostics.
L’OMS encourage l’utilisation de vaccins pour prévenir la RAM et identifie 155 candidats vaccins
L’OMS a qualifié son rapport de 94 pages de « tout premier… sur les vaccins actuellement en cours de développement pour prévenir les infections causées par des agents pathogènes bactériens résistants aux antimicrobiens (AMR) ».
Les vaccins peuvent être des « outils très efficaces » pour lutter contre la RAM en prévenant les infections, ce qui permet de réduire la consommation d’antibiotiques, a déclaré l’OMS.
« Pourtant, sur les six principaux agents pathogènes bactériens responsables des décès dus à la RAM, un seul, le pneumocoque (streptococcus pneumoniae), dispose d’un vaccin », a déclaré le Dr Hanan Balkhy, sous-directeur général de l’OMS chargé de la résistance aux antimicrobiens.
RépondreSupprimerLe rapport de l’OMS a identifié quatre groupes d’agents pathogènes pour lesquels des vaccins « candidats » sont à divers stades de développement clinique.
Le rapport se concentre exclusivement sur les vaccins – et non sur les nouveaux antibiotiques – en tant qu’outils permettant d’atténuer le problème de la RAM. Mais ce n’est pas surprenant, a rapporté Kaiser Health News (KHN).
« Les grandes entreprises pharmaceutiques ont pour la plupart abandonné le développement d’antibiotiques, et sept des douze sociétés qui ont réussi à mettre un médicament sur le marché au cours de la dernière décennie ont fait faillite ou ont quitté le secteur des antibiotiques en raison de mauvaises ventes », indique KHN.
En effet, plus un antibiotique est administré, plus les bactéries évoluent rapidement pour le surmonter. Les professionnels de la santé réduisent donc l’utilisation de ces médicaments, 90 % des hôpitaux mettant en place des programmes d’intendance qui limitent l’utilisation des antibiotiques, y compris les nouveaux.
Cela suggère que les investisseurs potentiels pourraient perdre leur intérêt pour l’industrie des antibiotiques. Cependant, le marché mondial des antibiotiques devrait passer de 38,08 milliards de dollars en 2021 à 45,30 milliards de dollars en 2028, selon Fortune Business Insights.
Les CDC et l’OMS ignorent la principale cause de la RAM : l’utilisation d’antibiotiques dans la production industrielle de viande
Les préoccupations du public à l’égard de la RAM ne sont pas nouvelles. Selon l’OMS, la RAM est une priorité de santé mondiale depuis 2015.
De même, les CDC ont déclaré avoir « tiré la sonnette d’alarme sur cette pandémie potentielle » depuis 2013.
Si l’administration excessive d’antibiotiques chez l’homme est un facteur clé de la RAM, le principal coupable – précédemment identifié par les CDC et l’OMS – était l’utilisation d’antibiotiques chez les animaux destinés à l’alimentation.
En mai 2015, la 68e Assemblée mondiale de la santé de l’OMS a adopté un « plan d’action mondial » qui proposait des interventions pour enrayer la RAM. Ce plan visait à réduire l’utilisation inutile d’antimicrobiens chez l’homme et l’animal.
À partir de ce plan, l’OMS a élaboré un ensemble de lignes directrices et de bonnes pratiques, qu’elle a publiées en 2017, sur l’utilisation d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux destinés à l’alimentation.
« L’utilisation d’antimicrobiens chez les animaux destinés à l’alimentation peut conduire à la sélection et à la dissémination de bactéries résistantes aux antimicrobiens chez les animaux destinés à l’alimentation, qui peuvent ensuite être transmises à l’homme par les aliments et d’autres voies de transmission », a déclaré l’OMS.
« L’élaboration de ces lignes directrices a été motivée par la nécessité d’atténuer les conséquences négatives sur la santé humaine de l’utilisation d’antimicrobiens médicalement importants (c’est-à-dire utilisés chez l’homme) chez les animaux destinés à l’alimentation. »
A l’époque, l’OMS recommandait :
RépondreSupprimerUne réduction globale de l’utilisation de toutes les classes d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux producteurs d’aliments.
Une restriction complète de l’utilisation de toutes les classes d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux producteurs d’aliments pour favoriser leur croissance.
Une restriction complète de l’utilisation de toutes les classes d’antimicrobiens médicalement importants chez les animaux producteurs d’aliments pour la prévention des maladies infectieuses qui n’ont pas encore été diagnostiquées cliniquement.
Que les antimicrobiens classés comme « d’importance critique » pour la médecine humaine ne doivent pas être utilisés pour contrôler la dissémination d’une maladie infectieuse diagnostiquée cliniquement et identifiée au sein d’un groupe d’animaux producteurs d’aliments.
Les antimicrobiens classés comme étant « de la plus haute priorité et d’une importance critique » pour la médecine humaine ne doivent pas être utilisés pour le traitement d’animaux destinés à l’alimentation atteints d’une maladie infectieuse cliniquement diagnostiquée.
L’OMS a également établi deux « meilleures pratiques » :
Toute nouvelle classe d’antimicrobiens ou toute nouvelle association d’antimicrobiens mise au point pour être utilisée chez l’homme sera considérée comme étant d’une importance capitale pour la médecine humaine, sauf si l’OMS la catégorise autrement.
Les antimicrobiens médicalement importants qui ne sont pas actuellement utilisés dans la production alimentaire ne devraient pas être utilisés à l’avenir dans la production alimentaire, y compris chez les animaux ou les plantes producteurs d’aliments.
En 2017, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a interdit l’utilisation d’antibiotiques pour favoriser la croissance et a restreint l’utilisation en vente libre d’antimicrobiens chez les animaux destinés à la consommation.
Cependant, les nouvelles règles de la FDA étaient « complexes et n’interdisent pas toute utilisation d’antibiotiques », rapportait Newsweek en janvier 2017.
https://www.mondialisation.ca/loms-lance-un-appel-urgent-a-la-mise-au-point-de-vaccins-contre-la-resistance-aux-antibiotiques-alors-que-les-cdc-imputent-le-probleme-a-une-pandemie/5670023
(...) 80 % des patients de COVID on reçu des antibiotiques en 2020, selon les CDC
SupprimerSelon les CDC, « au cours de la première année de la pandémie, plus de 29 400 personnes sont mortes d’infections résistantes aux antimicrobiens communément associées aux soins de santé. Parmi elles, près de 40 % ont contracté l’infection alors qu’elles étaient à l’hôpital ».
Près de 80 % des patients hospitalisés avec la COVID-19 ont reçu un antibiotique – même si les antibiotiques ne sont pas utiles pour les infections virales – en raison de la difficulté à distinguer la COVID-19 de la pneumonie lorsque les patients arrivent à l’hôpital, a indiqué le CDC. (...)
Il n'EXISTE PAS d'antibiotique contre un poison. Il existe des antidotes.
- (Un antidote est une substance chimique ou un élément chimique pouvant guérir une personne ou un animal d'un poison ou d'une maladie (pouvant provoquer un empoisonnement, une maladie...). Le plus souvent, l'antidote consiste à neutraliser une ou plusieurs formes données d'empoisonnement.) -