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samedi 30 juillet 2022

Allez nager et pêcher - Les filles rurales pratiquent la natation et le résultat...(étranges poissons)

 

59 commentaires:

  1. Crise alimentaire mondiale: BlackRock et Bill Gates sonnent l'alerte


    FranceSoir
    le 29 juillet 2022 - 16:40


    Larry Fink, directeur général de BlackRock, a récemment alerté quant aux fortes hausses des prix du pétrole et des métaux, dues à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Aujourd'hui, c'est l'impact durable et plus dangereux de l'inflation alimentaire qui retient son attention, ainsi que celle de Bill Gates. Vont-ils sauver le monde d'une grave crise alimentaire ?

    Un signal d'alerte de BlackRock

    BlackRock est un immense fonds d'investissement américain, le plus important gestionnaire d'actifs au monde. Créé en 1988 et implanté dans 38 pays avec près de 16 000 salariés, BlackRock gère aujourd'hui près de 7 000 milliards de dollars d'actifs dans le monde. Ce fonds d’investissement souhaiterait notamment voir instaurer en France un système de retraite par capitalisation, aux côtés du système par répartition.

    Le PDG de BlackRock déclarait récemment : "La seule chose qui m'inquiète et dont on ne parle pas assez, c'est l'alimentation", dans une interview au Financial Times. Et d'ajouter : "Ce n'est pas seulement une préoccupation liée à l'inflation. Il y a aussi des préoccupations géopolitiques qui en découlent."

    Les prix du pétrole, de l'essence, des engrais et des produits agricoles ont grimpé en flèche au début de l'année, lorsque les pays occidentaux ont imposé des sanctions à la Russie, après son invasion de l'Ukraine.

    Lire aussi : Pétrole : Macron signe des accords énergétiques avec les Émirats arabes unis

    Une crise économique, énergétique et alimentaire
    Les coûts du blé et de l'huile de tournesol ont également grimpé en flèche, l'Ukraine étant un grand exportateur. Cette semaine, les prix du pétrole ont commencé à retomber à leur niveau d'avant l'invasion, les négociants se préparant à une forte baisse de la demande, mais l'inflation des prix alimentaires reste quant à elle élevée.

    Les chiffres de l'indice des prix à la consommation américain, pour juin, montrent que le prix du poulet et de la farine ont chacun augmenté de près de 20 % par rapport à l'année précédente, et que la margarine a bondi de 34 %.

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  2. "Nous parlons beaucoup du prix de l'essence parce que c'est ce qui touche les Américains, mais le problème le plus important est la nourriture", a déclaré M. Fink. "Il y a eu une énorme destruction de terres arables en Ukraine. [...] Au niveau mondial, le coût des engrais a augmenté de près de 100 % et ce coût supplémentaire réduit la quantité d'engrais utilisée dans l'agriculture. Cela nuit à la qualité des récoltes dans le monde entier", a-t-il expliqué.

    Bien que la baisse des prix du pétrole brut ait commencé à se répercuter sur le prix à la pompe pour les automobilistes, les entreprises de biens de consommation continuent de voir les coûts des intrants élevés. Toute baisse des prix des engrais risque d'arriver trop tard pour stimuler les récoltes alimentaires de cette année.

    Pour rappel, après l'invasion, la Banque mondiale prévoyait que les prix mondiaux des denrées alimentaires augmenteraient de 20 % cette année, dépassant de loin ceux des matières premières.

    Les États-Unis et Bill Gates veulent "aider"
    Janet Yellen, secrétaire d'État américaine au Trésor, a déclaré vendredi 29 juillet que le monde était confronté à "une période extrêmement difficile pour la sécurité alimentaire mondiale", et a exhorté les principales nations du G20 à mettre fin au stockage et aux restrictions à l'exportation de denrées alimentaires, ainsi qu'à fournir une aide financière supplémentaire aux pays et aux personnes confrontés à l'insécurité alimentaire.

    Bill Gates, milliardaire et cofondateur de Microsoft — qui a eu un rôle controversé durant la crise du Covid, étant l’un des plus gros financeurs de l’OMS et de producteurs de vaccins via sa fondation Gavi — a fait part de préoccupations similaires cette semaine. Il a déclaré que la réduction des approvisionnements en blé, en huiles comestibles et en autres denrées alimentaires causée par la guerre en Ukraine faisait "grimper les prix des aliments, ce qui augmentera la malnutrition et l'instabilité dans les pays à faible revenu".

    Il a noté dans un billet de blog que l'amélioration de la productivité agricole en Afrique nécessitait "beaucoup plus d'investissements." Un projet qu'Emmanuel Macron entreprend depuis le mois d'octobre 2021, avec le Sommet Afrique-France et le programme "FARM".

    Lire aussi : France-Afrique: Macron fait la leçon pour contrer l'influence de la Russie

    De son côté, Bill Gates ne possède rien de moins que des centaines de milliers d'hectares répartis dans 18 états aux États-Unis. Comme le rapporte France Inter, "ses plus grandes propriétés se trouvent en Louisiane (28.000 hectares), en Arkansas (19.000 hectares) et au Nebraska (8.300 hectares). L’ensemble de ces terres représente un capital d’environ 700 millions de dollars". Va-t-il devenir le premier fermier du monde ? Une nouvelle fois, il semble en tout cas avoir un coup d'avance...

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/BlackRock-Bill-Gates-alerte-crise-alimentaire-mondiale

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    1. Les engrais se fabriquent avec (entr'autres) de l'azote et du gaz carbonique (taxés), d'où les prix excessifs pour donner à manger aux plantes et qui se retrouvent chez les consommateurs.

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  3. Les Allemands ont mis en garde contre la PÉNURIE de papier toilette alors que la crise énergétique oblige les papeteries à fermer


    Vendredi 29 juillet 2022
    par : Ramon Tomey


    (Natural News) L'Allemagne pourrait faire face à une pénurie de papier hygiénique et d'autres produits en papier, car les pénuries d'énergie dans le pays ont forcé les papeteries à cesser leurs activités.

    Le journal allemand Zeit Online a rapporté le 27 juillet que le papier hygiénique, le carton et d'autres produits pourraient ne pas être disponibles dans les magasins si l'approvisionnement en gaz naturel russe diminue dans les mois à venir. Il a cité Jurgen Schaller, président du conseil d'administration des Associations bavaroises du papier (BPA).

    Selon Schaller, le processus de fabrication du papier nécessite beaucoup d'eau, d'électricité et de gaz – ce dernier étant en pénurie au moment de la rédaction. La technologie actuelle de production de papier a fait ses preuves et ne peut pas être modifiée rapidement.

    "Beaucoup d'employés de mon entreprise sont déjà très inquiets. Je ne peux pas leur en vouloir parce que si nous ne pouvons produire que 50 ou 60 %, l'opération ne vaut pas la peine pour nous », a-t-il déclaré. "Pour être honnête, je m'inquiète aussi."

    Le gazoduc Nord Stream 1 (NS1), qui fournit du gaz naturel à l'Allemagne et à l'Union européenne (UE), ne fonctionne qu'à 20 % de sa capacité en raison de problèmes techniques avec les turbines à gaz de la station de compression de Portovaya, près de la frontière entre la Russie et la Finlande. Une de ces turbines fabriquées par Siemens Energy a été transportée à l'usine de l'entreprise au Canada pour des travaux de maintenance.

    La société énergétique publique russe Gazprom, qui exploite le gazoduc NS1, a auparavant réduit ses flux de gaz à 40 % de sa capacité. Il a également déclaré un cas de force majeure pour les livraisons de gaz naturel, ce qui signifie qu'il n'y a aucune garantie que l'Allemagne verra un approvisionnement supplémentaire en gaz à l'avenir. (Connexe : le russe Gazprom a réduit de 60 % les flux de gaz naturel vers l'Allemagne - l'Europe occidentale est sur le point d'obtenir le cauchemar de « l'énergie verte » qu'elle a toujours voulu.)

    En guise d'alternative, Gazprom a suggéré d'utiliser une autre voie de transit – via l'Ukraine – à pleine capacité. Cependant, la société gazière russe a déclaré qu'elle n'était pas en mesure d'utiliser cette route car le pays assiégé a rejeté ses demandes de transit.

    L'Autriche voisine met en garde contre les émeutes énergétiques à l'automne

    Les remarques du président de la BPA faisaient suite à une prédiction du vice-chancelier allemand Robert Habeck, qui a mis en garde contre une "grave récession" si les flux de gaz NS1 diminuaient et finissaient par s'arrêter.

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  4. « Les entreprises devraient arrêter la production [et] licencier leurs travailleurs. Les chaînes d'approvisionnement s'effondreraient. Les gens s'endetteraient pour payer leurs factures de chauffage… [et ils] deviendraient plus pauvres », a-t-il déclaré à la chaîne publique allemande DW.

    Habeck, qui est également ministre allemand de l'économie, a mis en garde contre "une sorte d'effet Lehman Brothers sur le marché de l'énergie" suivi d'un "effet domino qui conduirait à une grave récession". Son avertissement faisait référence à la crise financière de 2008 impliquant la société d'investissement américaine, qui a déposé son bilan cette année-là.

    Pendant ce temps, le chef de la direction générale autrichienne de la sécurité publique (GDfoS) a mis en garde contre de possibles émeutes résultant de pénuries d'approvisionnement énergétique. Le directeur du GDfoS, Omar Haijawi-Pirchner, a déclaré le 28 juillet qu'il n'excluait pas la possibilité que des émeutes éclatent au milieu de l'effondrement de l'énergie dans le bloc de l'UE.

    « Nous [n'avons] pas encore vu d'émeutes dans les rues. Mais la haine sur Internet a clairement augmenté », a-t-il déclaré au journal autrichien Kronen Zeitung.

    "Chaque crise signifie que le désespoir de certaines personnes peut d'abord se transformer en actions verbales, puis même en violence", a ajouté Haijawi-Pirchner, qui a répondu à la question de la publication de savoir si le GDfoS s'attend à ce que des émeutes surviennent.

    Visitez Collapse.news pour plus d'histoires sur les répercussions des coupures d'approvisionnement en gaz naturel en Allemagne et dans d'autres pays européens.

    Regardez ce reportage de Russia Today sur un avertissement officiel allemand selon lequel le pays ne survivra pas sans gaz russe.

    - voir sur site -

    Cette vidéo provient de la chaîne Pursuit to Truth de Cynthia sur Brighteon.com.

    Plus d'histoires liées :

    Les prix du gaz naturel devraient TRIPLER en Allemagne alors que l'Europe de l'Ouest coupe son propre approvisionnement énergétique en provenance de Russie.

    DAOMSDAY pour l'Europe de l'Ouest ? Gazprom déclare ne plus pouvoir garantir les livraisons de gaz à l'Allemagne.

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  5. Le ministre allemand de l'Economie met en garde contre un effondrement économique catastrophique dû à la pénurie d'énergie.

    CHANTAGE : Le Canada pourrait retenir la turbine à gaz Nord Stream jusqu'à ce que l'Allemagne signe un contrat de GNL.

    Les pénuries de gaz en Allemagne pourraient forcer le gouvernement à fermer des écoles.

    Les sources comprennent :

    InfoWars.com 1
    Breitbart.com
    InfoWars.com 2
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-07-29-germans-warned-of-toilet-paper-shortage.html

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  6. Agriculture : l’échec de l’écologie politique

    Depuis juin dernier, les Pays-Bas sont le théâtre de blocages et manifestations. Agriculteurs et éleveurs s’opposent à un plan de réduction drastique des rejets d’azote.


    le 30 juillet 2022
    Élodie Keyah


    Depuis juin dernier, les Pays-Bas sont le théâtre de blocages et manifestations. Agriculteurs et éleveurs s’opposent à un plan de réduction drastique des rejets d’azote, annoncé par le gouvernement. Pour atteindre l’objectif ambitieux de réduction des émissions – 70 % d’ici 2030 -, ce dernier prévoit de réduire l’utilisation des pesticides, ainsi que le nombre de têtes de bétail.

    En effet, l’élevage contribue aux émissions d’azote par le biais de l’engrais, des effluents d’élevage ou encore des déjections animales. Selon le gouvernement néerlandais, les oxydes d’azote dans l’atmosphère contribuent à la formation des pluies acides, tandis que les engrais rejetés dans les lacs peuvent provoquer la prolifération d’algues qui tuent la vie marine.

    Les Pays-Bas sont l’un des plus gros émetteurs de gaz à effet de serre par habitant en Europe. Il s’agit du second pays exportateur de produits agricoles dans le monde – bien que cette donnée mériterait d’être nuancée. Or, la nouvelle réglementation aurait pour effet de réduire drastiquement la production au point de détruire économiquement certaines zones agricoles, selon l’association LTO. Ainsi, une baisse de 40 % des émissions d’azote impliquerait une réduction de 30 % du bétail, avec des expropriations en l’absence de respect des règles.

    L’influence de la politique nocive de l’UE

    Ces nouvelles restrictions s’inscrivent dans le cadre des objectifs fixés par la politique climatique de l’UE. D’ici 2050, il est prévu d’atteindre la neutralité carbone avec 0 % d’émissions de gaz carbonique net par habitant. Les États membres sont donc tenus d’élaborer des stratégies nationales à long terme pour respecter leurs engagements et ceux de l’UE. À ce titre, les Pays-Bas ont adopté un accord sur le climat en 2019, le Klimaatakkoord, qui s’attaque notamment à l’agriculture et à l’utilisation des terres.

    La difficulté est telle que l’approche de l’UE relève intrinsèquement de la planification centralisée. En matière d’agriculture, la PAC (Politique Agricole Commune) l’illustre parfaitement. Ainsi, la guerre en Ukraine a rendu nécessaire de prolonger la dérogation sur les jachères jusqu’en 2023. Initialement, les agriculteurs devaient préserver au moins 5 % de leurs exploitations de plus de 15 hectares à des « surfaces d’intérêt écologique ». Contrairement à ce qui avait été dicté par Bruxelles, ces derniers pourront finalement les consacrer à l’alimentation.

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  7. L’échec de l’expérimentation sri lankaise

    Plus récemment, l’European Green Deal prévoit, en matière d’agriculture, la réduction de moitié de l’utilisation des pesticides d’ici 2030 et l’obligation de consacrer au moins un quart des terres au bio. L’expérimentation au Sri Lanka depuis 2021 devrait pourtant alerter. De manière plus radicale, le pays s’est enfoncé dans la planification du tout bio. Sous la pression de militants anti OGM – à l’instar de Vandana Shiva -, il a été décidé d’interdire l’importation de pesticides et engrais de synthèse pour une agriculture 100 % biologique.

    Pour la population, les conséquences se sont révélées désastreuses.

    De fait, il n’était plus possible de protéger suffisamment les plantes et d’éliminer les organismes nuisibles aux récoltes. Cela a engendré une baisse des rendements, au point de détruire des exploitations entières. Jayavardhana Pridarshani, mère de quatre enfants, affirme que sa famille avait l’habitude de manger du poisson ou des œufs tous les jours. Aujourd’hui, elle ne peut se permettre de manger ces aliments qu’une fois par mois : « Les enfants ici, y compris les miens, souffrent de fatigue et de faiblesse », précisant qu’il s’agit de carence en protéines.

    Malgré les preuves scientifiques de la non viabilité économique de l’agriculture biologique – à moins de bénéficier de subventions massives pour combler le manque de rentabilité – et les avertissements de scientifiques agronomes, cela n’a pas suffi pour alerter le gouvernement.

    Persuadé que le bio permet d’augmenter les revenus des agriculteurs en leur fournissant des alternatives durables et moins chères, ce dernier s’est empressé d’accuser les « riches » de thésauriser les denrées de base, et de mettre en place un contrôle des prix – ce qui n’a fait qu’exacerber les pénuries. Avec un tiers des terres agricoles abandonnées, des faillites d’exploitations ou encore des pénuries de denrées de première nécessité (riz, sucre, lait), les résultats de l’expérimentation sri lankaise inquiètent légitimement les agriculteurs néerlandais.

    Un avertissement pour la bureaucratie européenne

    Ce qu’il se passe actuellement aux Pays-Bas et au Sri Lanka devrait avertir la bureaucratie européenne. La planification agricole centralisée en matière d’agriculture (et dans tout autre domaine) ne fonctionne pas, et ne fonctionnera jamais. Le gouvernement n’a pas accès à l’information nécessaire pour dicter aux agriculteurs ce qu’il faut produire, ni comment le produire – pour la simple et bonne raison qu’il n’est pas omniscient. Seuls les acteurs concernés sont en mesure de s’adapter aux mécanismes du marché.

    Les éleveurs néerlandais n’ont d’ailleurs pas attendu les directives de Bruxelles pour réduire les émissions d’azote. Jeroen van Maanen, fermier néelandais, témoigne :

    « Aucun autre secteur n’a réduit l’azote au cours des 30 dernières années [autant que] nous. C’est pourquoi il y a beaucoup d’émotion et de souffrance ».

    Couverture des structures de stockage de lisier, ajustement des rations alimentaires, diminution du nombre d’animaux par hectare… De nombreux leviers techniques ont été développés.

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  8. L’insuffisance de ces mesures révèle surtout des objectifs déconnectés de la réalité des éleveurs et agriculteurs. Or, ce n’est pas à la classe productrice de s’adapter aux désirs des bureaucrates ; mais bien à la bureaucratie de s’adapter à la réalité complexe du marché. Plus de 70 ans après sa publication, la théorie hayékienne de l’information n’a jamais été autant d’actualité.

    https://www.contrepoints.org/2022/07/30/435992-agriculture-lechec-de-lecologie-politique

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    1. C'est à se demander si nous avons à faire à des gens ignobles, idiots, attardés mentaux ou à des personnes intelligentes qui se moquent de nous et nous escroquent.

      J'hésite.

      Parler de l'irréalisable est une définition du QI, et là, jargonner sur le gaz carbonique qui serait trop est encore une maladresse triste à pleurer. Car, le plus gros émetteur de gaz carbonique est le magma. La masse ferrique incandescente produit tous les gaz qui se trouvent dans notre atmosphère. L'oxygène en particulier est présent à 86 % dans l'eau de mer sans quoi il n'y aurait pas de vie marine.
      Le magma émet des milliards de fois plus de gaz (jusqu'aux plus toxiques) que tous les humains, les animaux et industries réunis. Et nous ne sommes pas morts ! Çà alors !! Because que TOUS les gaz se recyclent continuellement et, parler de retirer du gaz carbonique de l'air (HAHAHAHA !) c'est comme de dire qu'il faut vider les océans pour pouvoir aller à pieds d'un continent à l'autre !

      C'est aussi con et pourtant çà existe et est dit par les chefs d’États, ministres et autres roulures sans esprit !

      A quoi ajoutent-ils aujourd'hui l'azote qui représente 78 % des gaz de notre atmosphère !
      Ainsi, après avoir lancé le 'bio' pour totaliser le nombre de cons qui suivent, où les plantes pourraient pousser sans eau ! sans engrais ! et sans produit de traitement contre les maladies et bestioles qui les ravagent ! les voici qui du haut de leur merde ces mêmes dirigeants nous parlent de poussières terroristes ! LA poussière qui attaque, LA poussière qui tue et qui - pour faire plus méchante - est appelée 'virus' ! Whôaw ! (imaginez le virus dans l'ordinateur qui vous attaque !).

      Bon, effectivement, un point pour eux, il ne s'agit pas d'un microbe (porteur de maladies) mais d'une poussière. Cela a été dit il y a 2 ans ½, c'est un virus. Soit. Oui mais... un virus est (par définition) inoffensif ! C'est une poussière de terre, de sable, de ciment ou de talc, et est sans danger (çà fait tousser c'est tout). Oui mais là il ne s'agit pas d'une poussière qui se trouve dans l'air ou déposée sur des meubles ou cachée sous le lit mais d'une poussière rare (çà existe çà ?) sortie de Laboratoires (comme une tête sortie d'Université) et qui de plus est appelée 'poussière intelligente' ! Whoaw ! (rassurez-vous elle est sans cervelle !). Il s'agit là d'une poussière empoisonnée enveloppée et proposée uniquement en seringues ! Si t'es piqué tu l'as, si tu l'as t'es mort !
      Çà, c'est LA dernière blague sortie de chez Dirigeants and Co. Mais une blague à faire mourir de rire ! Pensez donc, il y a déjà des centaines de millions de morts dans le monde !

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  9. Comment nos pénuries généralisées à l'image de l'Allemagne de l'Est peuvent être résolues


    Par Walter Block
    29 juillet 2022


    Toutes sortes de pénuries apparaissent maintenant dans notre économie.
    Toutes sortes de pénuries apparaissent maintenant dans notre économie. En tête de liste se trouve sans aucun doute les préparations pour nourrissons, mais il y a littéralement des dizaines d'autres articles en pénurie. Il y en a tellement que je me sens obligé de les mentionner par ordre alphabétique, de peur d'en manquer un par inadvertance ou de faire un double comptage.

    Les voici, du mieux que je peux les énumérer : aluminium, avocat, bicyclettes, tubes de prélèvement sanguin, sang pour transfusions, légumes en conserve, nourriture pour chat, chlore, arbres de Noël, charbon, pièces de monnaie, billets d'avion commerciaux, puces informatiques, fromage à la crème, colorant utilisé dans les tomodensitogrammes, les œufs, le mazout, les portes de garage, l'essence, les biscuits éclaireuses, le désinfectant pour les mains, les tests covid à domicile, les préparations pour nourrissons, les boîtes de jus, l'alcool, le lithium, le bois, le sirop d'érable, la viande, les motos, le gaz naturel, le papier serviettes, aliments pour animaux, pommes de terre, semi-conducteurs, savon, soda, huile de tournesol, papier hygiénique, pâte de tomate et vin. Le beurre de cacahuète n'a pas encore été mentionné à cet égard mais sera bientôt, sans aucun doute, ajouté en bonne place à cette liste.

    Je ne plaisante pas : chacun de ces éléments a été mentionné à cet égard dans les grands médias. Qu'est-ce qui se passe ici
    ? L'économie est-elle devenue folle, ou quoi ? Selon plusieurs gros titres, c'est à peu près ce qui se passe. En voici quelques-unes : « Le monde manque encore de tout ; s'y habituer. » "L'Amérique manque de tout." "Les pénuries de produits et la flambée des prix révèlent la fragilité de la chaîne d'approvisionnement américaine."

    Si la liste des pénuries est longue, les causes présumées de ce dysfonctionnement économique sont presque aussi importantes.
    Si la liste des pénuries est longue, les causes présumées de ce dysfonctionnement économique sont presque aussi importantes. Pour le beurre de cacahuète, ce sera un rappel pour cause de contamination : une épidémie de salmonelle. Mais c'est un intrant dans de nombreux autres produits, tels que le fudge, les chocolats et les sandwichs au beurre de cacahuète, qui seront également bientôt difficiles à trouver. Pour de nombreux articles de la liste, l'antécédent est le coronavirus, qui a entraîné des problèmes de chaîne d'approvisionnement. Payer les travailleurs pour qu'ils restent à la maison et gagnent autant ou plus que leur salaire, il y a quelques mois, a également contribué. Le blâme a également été porté à un hiver rigoureux. Les importations en provenance de l'étranger ont fait l'objet de fermetures soudaines des frontières. Les navires bloqués dans les ports de la côte ouest ont été vulnérables aux pénuries de camionneurs et aux réglementations. Les puces informatiques ont été susceptibles de fournir une inélasticité ; les nouvelles offres résultant de prix plus élevés mettent beaucoup de temps à se concrétiser. Les consommateurs ont été fustigés pour thésaurisation. Les problèmes de personnel ont été tenus pour responsables des perturbations du transport aérien commercial. La sécheresse, la grippe aviaire et la guerre d'Ukraine ont été jugées coupables.

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  10. Mais nous avons eu toutes ces choses - guerre, peste, maladie, mauvais temps, mauvaise santé, réglementations gouvernementales - avant. Cependant, des pénuries massives, pas de tout sous le soleil, mais assez proches, n'ont jamais auparavant perturbé l'économie à un degré comparable à celui que nous connaissons actuellement (à part les deux guerres mondiales, bien sûr).

    Où est le système de libre entreprise tant vanté dans tout cela ? Nulle part, c'est là. A-t-il succombé à la soi-disant « défaillance du marché » ? Même pas un peu. La difficulté est plutôt que la politique publique a fait fonctionner le capitalisme avec un bras lié dans le dos, et qu'il n'a pas été en mesure de fonctionner lorsqu'il était enfermé par une pléthore de restrictions, de limitations et de réglementations.

    L'introduction à l'économie de base 101 nous enseigne qu'une pénurie se produit lorsque la demande d'un article dépasse son offre. Que se passe-t-il alors invariablement ? Pourquoi, les prix augmentent. Lorsque cela se produit, les entreprises sont incitées à produire plus, les acheteurs à acheter moins. Voila, la pénurie prend fin. Pourquoi cela ne se produit-il pas sous l'administration Biden ? Pourquoi avons-nous tant de pénuries ?

    Une possibilité qui n'est pas du tout connue du public est que les entreprises commerciales craignent d'augmenter les prix de peur d'être accusées de prix abusifs. Et pourquoi à son tour cela pourrait-il être le cas? Les bidénites ne sont pas exactement des amis du système de la libre entreprise. Oui, bien sûr, les prix ont en effet augmenté. Mais augmentent-ils assez vite pour résorber les pénuries ? Évidemment non. Pourquoi pas ? Cela est peut-être dû à la peur d'être accusé d'escroquerie et de faire l'objet d'attentions antitrust. Les salaires aussi sont en baisse. Mais probablement pas suffisamment pour surmonter la difficulté d'inélasticité de l'offre. Pourquoi pas ? Les entreprises pourraient bien hésiter à le faire, au cas où elles devraient être réduites plus tard, et seraient accusées d'exploiter ou de victimiser les travailleurs, ou quelque chose du genre.

    Les prix et les salaires sont généralement quelque peu rigides ; c'est-à-dire qu'ils ne sont pas instantanément et totalement flexibles. Mais une philosophie anti-entreprise du type qui prévaut actuellement à Washington D.C. les rend encore moins capables d'accomplir les tâches pour lesquelles nous avons besoin d'eux, ce qui ne serait pas le cas autrement.

    Il y a de nombreux navires dans plusieurs ports californiens qui attendent patiemment d'être déchargés.
    Que se passe-t-il avec nos chaînes d'approvisionnement ? Ils semblent très rouillés, voire complètement cassés. Il y a de nombreux navires dans plusieurs ports californiens qui attendent patiemment d'être déchargés. Nous parlons de milliers, peut-être de dizaines de milliers, de gigantesques conteneurs de la taille d'un wagon de chemin de fer, tous simplement assis là ; bien, flottant là-bas. Pendant ce temps, les rayons de nos supermarchés sont parfois à moitié vides. Les épiciers sont trop souvent à court de denrées alimentaires et d'autres choses que nous tenions pour acquises.

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  11. Une situation similaire s'est produite il y a quelque temps. Les supermarchés d'Allemagne de l'Ouest regorgeaient de produits. En Allemagne de l'Est ? Pas du tout. Les fonctionnaires communistes qui ont visité l'Allemagne de l'Ouest (il y avait deux Allemagnes après la Seconde Guerre mondiale) se sont plaints que seules quelques épiceries en Allemagne de l'Est étaient aussi pleines que celles de l'Allemagne de l'Ouest. Ils ont supposé que les puissances occidentales leur montraient sélectivement les meilleures épiceries juste pour (faussement) démontrer les avantages supposés du capitalisme. Les apparatchiks de l'Est savaient, ils savaient juste, que la plupart des autres magasins à grande surface de l'Ouest avaient des quantités massives d'étagères qui ramassaient la poussière, tout comme les épiceries de l'Est.

    Cette tactique n'aurait pas été nouvelle. À l'époque médiévale, lorsqu'une ville était assiégée, affamée de nourriture, les défenseurs engloutissaient encore quelques personnes ; ils ont été gardés gras pour montrer à l'armée environnante que leur tactique était un échec. Les capitalistes d'Allemagne de l'Ouest ont été accusés par les communistes d'Allemagne de l'Est d'un comportement analogue d'« empilement ».

    Bien sûr, les communistes avaient tous tort. Les Allemands de l'Ouest, comme les participants de tous les autres pays où la libre entreprise n'était pas entièrement étouffée, avaient partout des étagères pleines. Des considérations de profit et de perte l'ont assuré. Ce n'était pas un stratagème spécial pour montrer les communistes, c'était juste un événement quotidien.

    Le problème en Allemagne de l'Ouest et dans toutes les autres nations de ce type, selon certains, était qu'il y avait trop de biens, trop de choix. Par exemple, le sénateur Bernie Sanders se plaint continuellement du trop grand nombre de marques de céréales pour petit-déjeuner, de dentifrice et de déodorant. Peut-être que Bernie serait plus heureux dans des pays comme le Venezuela, aujourd'hui, où le "problème" d'un excédent de marchandises n'existe pas. Certes, ce problème ne l'aurait pas tourmenté s'il avait vécu en Allemagne de l'Est après la Seconde Guerre mondiale. (En y repensant, il a passé sa "lune de miel" en URSS.)

    Jusqu'à l'administration Biden, toutes nos grandes courses, et les petites aussi, étaient pleines à craquer.
    Jusqu'à l'administration Biden, toutes nos grandes courses, et les petites aussi, étaient pleines à craquer. Il semble que nous nous dirigeons maintenant dans la direction tracée par l'économie est-allemande, et non vers le statu quo ante.

    Oubliez un instant les problèmes de chaîne d'approvisionnement. Ils sont inhabituels. Pourquoi, d'ordinaire, ne se produisent-elles pas, du moins pas dans les pays qui ont un peu plus que des institutions de libre entreprise rudimentaires ? C'est simple : les prix du marché libre, le système des pertes et profits, les droits de propriété privée.

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  12. Considérez cette chaîne d'approvisionnement simplifiée : (1) L'agriculteur cultive du blé. Il est expédié à (2) le boulanger commercial. Cette entreprise combine le matériel de cette récolte avec de la levure, du sel, du lait et d'autres ingrédients du pain. Ce produit apparaît ensuite dans (3) l'épicerie. Au départ, les bénéfices réalisés par les trois sont égaux à 5 %. Ainsi, les ressources n'ont pas tendance à se déplacer n'importe où; tout reste en place, nous sommes à l'équilibre.

    Mais supposons que quelque chose vienne perturber ce scénario idyllique. Supposons que certains des fours du boulanger tombent en panne en raison d'une surchauffe. Il ne peut utiliser que la moitié du nombre d'intrants qu'auparavant, et donc, expédier maintenant, disons, la moitié du nombre de pains. Le prix du blé baisse puisqu'il achète moins au fermier. Le prix du pain augmente, puisqu'il fournit désormais moins au détaillant. Les bénéfices de la boulangerie augmentent à partir de ces deux sources.

    Mais les bénéfices dans le cadre de la libre entreprise sont comme un appel dans le désert d'un randonneur perdu dans les bois. Avec des bénéfices de boulangerie élevés, d'autres boulangers élargissent leur base d'opérations. Ils font des quarts de travail supplémentaires et sont dirigés par la "main invisible" d'Adam Smith (il pensait que c'était la main de Dieu) pour faire quelque chose dans leur intérêt égoïste, gagner plus de profit, ce qui arrive aussi, providentiellement, à être dans le bien public . (Ronald Reagan, bénissez-le, a appelé cela la "magie du marché".)

    À la suite de ces tiraillements, tractions et poussées du marché libre, davantage de blé est maintenant acheté aux agriculteurs, augmentant son prix et réduisant ainsi le profit du boulanger. De plus, plus de pain se dirige désormais vers le consommateur, ce qui fait baisser les prix et donc les bénéfices de la boulangerie. Nous sommes revenus à la normale une fois de plus. (Devoirs : tracez ce qui se passerait si les agriculteurs perdaient la moitié de leur récolte à cause d'un gel ; montrez quelles forces du marché nous ramèneraient à l'équilibre ; hé, je suis professeur, je dois donner des devoirs, sinon ils vont virez-moi de la profession).

    Alors, pourquoi ce système automatique de profits et pertes nous fait-il défaut ?

    En grande partie à cause des politiques de l'administration Biden, nous n'avons plus autant de système capitaliste de laissez-faire qu'autrefois. Les bénéfices qui attiraient autrefois les entrepreneurs ont été entravés par des obstacles fiscaux et réglementaires, et les politiques malavisées du président ont contribué à créer une pénurie de main-d'œuvre historique, laissant de nombreux travailleurs productifs sur la touche. Pendant de nombreux mois, M. Biden a payé les gens autant ou plus pour s'asseoir sur leurs canapés qu'ils auraient pu gagner en travaillant, il n'est donc pas étonnant que trop peu de gens se précipitent dans le camionnage, ou la boulangerie et l'agriculture dans l'exemple hypothétique.

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  13. De plus, les efforts de M. Trump pour réduire la réglementation ont été surmontés par l'actuelle Maison Blanche. Par exemple, les camionneurs de Californie ont été obligés de sauter à travers des cerceaux supplémentaires. (Le soutien de Trump aux confinements est une autre affaire ; ils ont sans aucun doute créé des problèmes importants tout au long de la pandémie.)

    Heureusement, la solution à la crise de la chaîne d'approvisionnement n'est pas complexe. Les supermarchés d'Allemagne de l'Ouest étaient remplis de marchandises parce que ses dirigeants autorisaient un marché relativement libre. Leurs homologues de l'autre côté du mur de Berlin ont échoué parce qu'ils croyaient pouvoir réguler efficacement une économie.

    Si l'Amérique souhaite éviter le sort des Allemands de l'Est, elle devrait abandonner les politiques interventionnistes et reconnaître que la prospérité réside dans un système capitaliste de laissez-faire.

    Il s'agit d'une édition combinée de deux articles initialement publiés par la Foundation for Economic Education le 20 janvier 2022 et le 21 juin 2022, sous les titres "What East Germany Can Teach Americans about the Current Supply Chain Crisis" et "These Widespread Shortages Ne peut pas être expliqué par les seules contraintes d'approvisionnement.

    https://www.thesavvystreet.com/how-our-east-germany-like-widespread-shortages-can-be-fixed/

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    1. Nous nous dirigeons non-pas vers une 'pénurie de pénuries' mais une abondance de pénuries !
      Après l'absence d'intelligence à tous les échelons (écoles de cons) voici que le Peuple (8 milliards de personnes) délègue sa façon de faire à des pauvres cloches sans savoir, des clodos analphabètes qui parlent même (quand ils ont bu ?) que... la mer va monter ! HAHAHAHA !
      On est pas dans la merde !

      (...) « Le monde manque encore de tout ; s'y habituer. » "L'Amérique manque de tout." "Les pénuries de produits et la flambée des prix révèlent la fragilité de la chaîne d'approvisionnement américaine." (...)

      Après quoi ils parleront qu'il manque de terre ! Ouaip ! Alors qu'un pour cent des terres du monde sert à nourrir 7 milliards d'habitants, les 99 % qui restent seraient absent ! Âh bêh merde alors !!

      Pour un temps 'avoir du cul' était avoir de la chance. Mais aujourd'hui en avoir passe pour se faire mettre ! (on ne compte déjà plus le nombre d'inoculés dans le monde qui ont couru à la piqûre et courent encore au rappel !!).

      Alors que le monde manque de paysans voilà qu'ils parlent de l'amputer de 30 % en abattant des troupeaux et laissant des terres en friches dites 'pour le repos' !! D'ailleurs, le prix des engrais est très dissuasif comme celui de l'absence de produits de traitements contre les maladies et les insectes ravageurs ! Et, pour donc lutter contre la famine proposent-ils de... manger des insectes ! Vive le bio ! N'apporter plus de remèdes aux maladies ni d'insecticide, bouffez-les ! Demain vous n'aurez plus rien et serez heureux !

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  14. Vous voulez des prix de viande plus bas ? "Nous devons briser Big Ag"


    vendredi 29 juillet 2022
    par : Rédacteurs en chef


    (Natural News) Les prix des denrées alimentaires montent en flèche parce que "les monopoles font grimper le prix que vous payez pour la nourriture" et "tuent lentement l'Amérique rurale".

    (Article de Suzanne Burdick, Ph.D. republié de ChildrensHealthDefense.org)

    Dans une courte vidéo publiée la semaine dernière, Robert Reich – auteur, avocat, ancien secrétaire américain au travail et co-fondateur d'Inequality Media – a résumé comment quelques producteurs de viande industriels ont pris pied en monopole aux États-Unis.

    Reich a également expliqué comment les monopoles nuisent aux agriculteurs et aux consommateurs – et comment résoudre le problème.

    Quatre sociétés dominent l'industrie américaine de l'emballage de viande : Tyson Foods, Cargill, National Beef Packing Company et JBS Foods, a rapporté WBUR (la station de radio publique nationale de Boston) en février.

    Dans une série spéciale sur les monopoles en Amérique, WBUR a rapporté qu'en 1977, les « Big Four », comme on les appelle communément, ne possédaient que 25 % du marché.

    De nombreuses fusions plus tard, ils contrôlent 85% de tous les emballages de boeuf en Amérique.

    Reich a fourni une ventilation par type de viande, montrant que les « Big Four » contrôlent 85 % du marché du bœuf, 66 % du marché du porc et 54 % du marché de la volaille.

    Le résultat, dit Reich, est :

    Baisse des salaires des agriculteurs.
    Plus de profits pour les monopoles.
    "Des prix plus élevés pour vous, le consommateur."
    Les monopoleurs contrôlent presque toutes les étapes du processus de production alimentaire, de la vente d'aliments aux agriculteurs à l'emballage de la viande et de la volaille pour les supermarchés, a expliqué Reich.

    "Les agriculteurs sont essentiellement obligés d'acheter et de vendre à des monopoles au prix que l'entreprise veut - en s'endettant souvent pour le faire", a-t-il déclaré.

    En 1980, 62 cents de chaque dollar dépensé par les consommateurs pour le bœuf allaient aux éleveurs, a déclaré Reich. Aujourd'hui, ce n'est plus que 37 cents, car la plupart des bénéfices « vont dans les poches des monopoleurs ».

    "Et voici le coup de pied", a ajouté Reich, "Même si les agriculteurs sont pressés, les monopoleurs agricoles vous facturent également [au consommateur] des prix plus élevés."

    Pendant la pandémie de COVID-19, lorsque les prix à la consommation du bœuf ont augmenté de près de 16 %, les bénéfices des quatre plus grandes entreprises bovines ont augmenté de plus de 300 %, selon Reich.

    "Vous avez des éleveurs de bétail qui font faillite alors que les consommateurs paient des prix records pour le bœuf", a déclaré Bill Bullard, responsable du Ranchers-Cattlemen Action Legal Fund, à WBUR.

    Quelle est la solution ?

    "Nous devons briser Big Ag", a déclaré Reich.

    Regardez la vidéo ici :

    https://www.naturalnews.com/2022-07-29-we-need-to-break-up-big-ag.html

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  15. Prix ​​​​de l'électricité flamboyants: c'était le trimestre où tout le marché s'est cassé et l'Australie a obtenu un signal de prix de 12,1 milliards de dollars


    July 30th, 2022


    Ressemble à une défaillance à l'échelle du système
    Pendant des années, le prix de gros moyen se situait entre 30 et 60 dollars par mégawattheure pour l'électricité sur le réseau national australien. Mais pour l'ensemble des 2 184 heures du deuxième trimestre de cette année, nous payions un prix moyen de 264 $ par mégawattheure. Ce n'était pas seulement dû à quelques pointes bizarres, c'était plutôt une moyenne brûlante implacable, comme si une coulée de lave arrivait dans votre portefeuille.

    Avec une demande opérationnelle moyenne de 22 GW, cela représente un prix élevé de 12,7 milliards de dollars pour 91 jours d'électricité. L'année dernière, à la même période, il a coûté 4 milliards de dollars. Il y a des années, avant que nous ajoutions tous les générateurs non fiables, cela aurait coûté 2 milliards de dollars.

    Il aurait été moins cher de construire une toute nouvelle centrale électrique l'année dernière.

    Le graphique ci-dessous couvre le siècle jusqu'à présent. C'est si mauvais que ça.

    - voir graph sur site -

    AEMO 2022 Q2, prix moyen

    Ce n'était pas qu'il y avait un moment particulier de la journée où les prix étaient plus élevés, mais chaque heure était un bain de sang. C'était un changement de phase. Il n'y avait pas d'happy hour dans cet hôtel.

    - voir graph sur site -

    AEMO 2022 Q2, Les prix augmentent toutes les périodes.

    Et peu importait qu'un État soit un paradis renouvelable ou une tanière de charbon noir. Les prix étaient choquants dans tous les États, suggérant que l'ajout de plus de non fiables ne nous sauvera pas, tout comme ils n'ont pas sauvé l'Australie du Sud ou la Tasmanie. L'ensemble du système échoue. (L'unité n'est-elle pas merveilleuse ?)

    Le système a été étiré jusqu'à la rupture.

    - voir graph sur site -

    AEMO 2022 Q2,

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  16. La seule chose que nous savons, le seul chemin de retour, est à une époque où le système était plus flexible et avait plus de force intérieure - une énergie plus fiable, où il avait suffisamment de capacité de réserve pour éloigner la dépendance du gaz et du charbon noir.

    Sans surprise, c'était le chaos sur le pont au dernier trimestre. L'AEMO a prévu plus de 400 avertissements distincts de manque de réserve (appelés LOR) au deuxième trimestre, contre 36 au trimestre de mars et 73 un an plus tôt.

    Et la douleur ne faisait qu'augmenter. Chaque mois pire que le précédent. Presque comme si nous avions épuisé la marge de manœuvre du système en avril, il n'y avait alors plus rien sur quoi se rabattre. Les stocks de gaz étaient épuisés, les lignes de transmission ne pouvaient pas être réparées assez rapidement et même les rivières étaient pleines, nous ne pouvions donc pas faire fonctionner le barrage Hydro sans inonder les champs en aval.

    - voir graph sur site -

    AEMO 2022 Q2, Prix, Marché national de l'électricité. Australie.

    J'aurai plus à dire bientôt. Mais alors que beaucoup blâment une série de choses, la vérité est qu'il y a un facteur primordial qui a vissé la grille australienne, et c'est quand quelqu'un a décidé de l'utiliser pour contrôler la météo. Si les centrales au lignite étaient toujours respectées, nous aurions pu laisser du gaz dans les voûtes de stockage et économiser suffisamment d'argent pour construire deux nouvelles centrales au lignite plus chaudes et plus propres.

    Le rapport trimestriel de l'AEMO PDF de 66 pages

    * Le titre est passé de "dépensé" à "signal de prix" pour refléter la complexité des prix du marché au comptant retardés, lissés et répartis par le biais de contrats à terme et autres. Coût total corrigé de 12,7 milliards de dollars à 12,1 milliards de dollars. (faute de frappe).

    https://joannenova.com.au/2022/07/blistering-electricity-prices-it-was-the-quarter-the-whole-market-broke-and-australia-spent-12-7b/

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  17. La taxe sur le gaz pourrait tripler les factures de chauffage des ménages en Allemagne


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 JUILLET 2022 - 15:20
    Par Charles Kennedy de OilPrice.com


    L'Allemagne prévoit d'introduire une taxe pour tous ses consommateurs de gaz à partir d'octobre alors que le gouvernement cherche à éviter une vague d'effondrement des entreprises d'importation et de négoce de gaz dans un contexte de prix record du gaz naturel, a révélé jeudi un nouveau projet de loi vu par Reuters.

    La Russie réduit encore les flux via Nord Stream cette semaine, à seulement 20% de la capacité du gazoduc, quelques jours après le redémarrage de la liaison à 40% de sa capacité après un entretien régulier.

    Le gouvernement allemand est déjà intervenu pour sauver le groupe énergétique Uniper, le plus grand acheteur de gaz russe en Allemagne. Uniper – et de nombreux autres négociants et fournisseurs de gaz allemands – ont été ébranlés par la réduction de l'offre russe et la flambée des prix du gaz non russe. L'Allemagne et Uniper se sont mis d'accord la semaine dernière sur un plan de sauvetage de 15 milliards de dollars, y compris le gouvernement allemand prenant une participation de 30% dans l'entreprise et mettant davantage de liquidités et de lignes de crédit à la disposition du groupe.

    Selon les plans du gouvernement, tous les consommateurs de gaz, y compris les ménages, devront payer une taxe supplémentaire, qui servira à soutenir les entreprises allemandes d'importation de gaz, qui luttent contre le manque de gaz russe et les prix exorbitants du gaz non russe alternatives. Les détails du projet de loi devraient être annoncés le mois prochain.

    Les ménages et les consommateurs industriels devraient payer la taxe jusqu'en septembre 2024, selon le projet que Reuters a vu.

    "On ne sait pas exactement combien (le gaz) coûtera en novembre, mais la mauvaise nouvelle est qu'il s'agit certainement de quelques centaines d'euros par ménage", a déclaré jeudi le ministre allemand de l'Economie, Robert Habeck, cité par Reuters.

    Marcel Fratzscher, président de DIW, l'Institut allemand de recherche économique, a déclaré au journal Rheinischen Post de Düsseldorf que les ménages allemands devraient se préparer à au moins tripler les coûts de chauffage au gaz. La taxe devrait être accompagnée d'un programme d'aide pour les ménages à faible revenu, sinon la nouvelle taxe pourrait conduire à une "catastrophe sociale", a ajouté Fratzscher.

    https://www.zerohedge.com/markets/gas-levy-could-triple-household-heating-bills-germany

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  18. L'ONU et le Forum économique mondial derrière la « guerre mondiale contre les agriculteurs » : des experts


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 JUILLET 2022 - 13:00
    Écrit par Alex Neuman via The Epoch Times,


    L'escalade de l'attaque réglementaire contre les producteurs agricoles des Pays-Bas et des États-Unis au Sri Lanka et au-delà est étroitement liée aux objectifs de développement durable de l'"Agenda 2030" des Nations Unies et aux partenaires de l'ONU au Forum économique mondial (WEF), de nombreux experts a déclaré à Epoch Times.

    En effet, plusieurs des 17 objectifs de développement durable (ODD) de l'ONU sont directement impliqués dans les politiques qui compriment les agriculteurs, les éleveurs et les approvisionnements alimentaires du monde entier.

    Des membres de haut niveau du Parti communiste chinois (PCC) au sein du système des Nations Unies ont aidé à créer les ODD et aident actuellement à diriger la mise en œuvre du plan mondial par l'organisation, a déjà documenté Epoch Times.

    Si rien n'est fait, ont déclaré plusieurs experts, les politiques de durabilité soutenues par l'ONU en matière d'agriculture et de production alimentaire entraîneraient une dévastation économique, des pénuries de biens essentiels, une famine généralisée et une perte dramatique des libertés individuelles.

    Déjà, des millions de personnes dans le monde sont confrontées à de dangereuses pénuries alimentaires, et les responsables du monde entier affirment que celles-ci devraient s'aggraver au fil de l'année.

    Il y a un programme derrière tout cela, ont déclaré des experts à Epoch Times.

    Même la propriété foncière privée est dans le collimateur, alors que la production alimentaire mondiale et l'économie mondiale sont transformées pour atteindre les objectifs mondiaux de durabilité, selon des documents de l'ONU examinés par The Epoch Times.

    Comme l'explique l'ONU sur son site Web sur les ODD, les objectifs adoptés en 2015 "s'appuient sur des décennies de travail des pays et de l'ONU".

    L'une des premières réunions définissant le programme de "durabilité" a été la Conférence des Nations Unies sur les établissements humains connue sous le nom d'Habitat I, qui a adopté la Déclaration de Vancouver.

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  19. L'accord stipulait que "la terre ne peut être traitée comme un bien ordinaire contrôlé par des individus" et que la propriété foncière privée est "un instrument principal d'accumulation et de concentration de la richesse, contribuant ainsi à l'injustice sociale".

    "Le contrôle public de l'utilisation des terres est donc indispensable", a déclaré la déclaration de l'ONU, un prélude à la désormais tristement célèbre "prédiction" du Forum économique mondial selon laquelle d'ici 2030, "vous ne posséderez rien".

    Depuis lors, de nombreuses agences et responsables des Nations Unies ont exposé leur vision de la "durabilité", notamment en appelant à des restrictions drastiques sur l'énergie, la consommation de viande, les voyages, l'espace de vie et la prospérité matérielle.

    Des experts interrogés par Epoch Times affirment que certains des chefs d'entreprise les plus riches et les plus puissants du monde travaillent avec des communistes en Chine et ailleurs dans le but de centraliser le contrôle de la production alimentaire et d'écraser les agriculteurs et les éleveurs indépendants.

    Selon les critiques des politiques, cependant, l'objectif n'est pas du tout de préserver l'environnement ou de lutter contre le changement climatique. Au lieu de cela, les experts avertissent que le récit de la « durabilité » et les autres justifications sont un outil pour prendre le contrôle de l'alimentation, de l'agriculture et des personnes.

    "L'objectif final de ces efforts est de réduire la souveraineté des nations et des peuples", a déclaré Craig Rucker, président du Comité pour un avenir constructif (CFACT), une organisation de politique publique spécialisée dans les questions d'environnement et de développement.

    « L'intention de ceux qui défendent ce programme n'est pas de sauver la planète, comme ils le prétendent, mais d'accroître le contrôle sur les gens », a-t-il déclaré à Epoch Times, ajoutant que l'objectif est de centraliser le pouvoir au niveau national et même international.

    Objectifs de développement durable des Nations Unies — Agenda 2030
    Les objectifs de développement durable des Nations Unies, souvent appelés Agenda 2030, ont été adoptés en 2015 par l'organisation et ses États membres comme guide pour « transformer notre monde ». Salués comme un "plan directeur pour l'humanité" et une "déclaration d'interdépendance" mondiale par les hauts responsables de l'ONU, les 17 objectifs comprennent 169 cibles impliquant toutes les facettes de l'économie et de la vie.

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  20. "Tous les pays et toutes les parties prenantes, agissant en partenariat collaboratif, mettront en œuvre ce plan", déclare le préambule du document, notant à plusieurs reprises que "personne ne sera laissé pour compte".

    Entre autres éléments, le plan de l'ONU appelle à la redistribution des richesses nationales et internationales dans l'objectif 10, ainsi qu'à « des changements fondamentaux dans la manière dont nos sociétés produisent et consomment des biens

    Entre autres éléments, le plan de l'ONU appelle à une redistribution des richesses nationales et internationales dans l'Objectif 10, ainsi qu'à "des changements fondamentaux dans la manière dont nos sociétés produisent et consomment des biens et des services".

    Utiliser le gouvernement pour transformer toutes les activités économiques est un élément essentiel des ODD, l'objectif 12 exigeant « des modes de consommation et de production durables ».

    Parmi les cibles spécifiques décrites dans l'objectif 12, plusieurs sont directement liées aux politiques agricoles qui compromettent la production alimentaire. Celles-ci incluent « la gestion durable et l'utilisation efficace des ressources naturelles ».

    Peut-être plus important encore, le document exige « une gestion écologiquement rationnelle des produits chimiques et de tous les déchets tout au long de leur cycle de vie, conformément aux cadres internationaux convenus ».

    En conséquence, les gens et en particulier les agriculteurs doivent "réduire considérablement leurs rejets dans l'air, l'eau et le sol afin de minimiser leurs effets néfastes sur la santé humaine et l'environnement".

    D'autres ODD qui sont directement liés à ce que les critiques ont appelé la "guerre contre les agriculteurs" incluent l'objectif 14, qui traite de "la pollution marine de toutes sortes, en particulier des activités terrestres, y compris... la pollution par les nutriments". L'ONU décrit régulièrement l'agriculture et la production alimentaire comme une menace pour l'océan.

    L'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), dirigée par l'ancien vice-ministre de l'Agriculture et des Affaires rurales du PCC, Qu Dongyu, aide à mener la charge.

    Dans son rapport de 2014 « Construire une vision commune pour une alimentation et une agriculture durables : principes et approches », l'agence des Nations Unies appelle à des restrictions drastiques sur l'utilisation des engrais, des pesticides, des émissions et de l'eau dans le secteur agricole.

    Comme exemple de la façon dont l'agriculture doit être réformée pour être considérée comme durable par l'ONU, le rapport de la FAO déclare que "l'utilisation excessive d'engrais azotés est une cause majeure de pollution de l'eau et d'émissions de gaz à effet de serre".

    La FAO, basée à Rome, n'a pas répondu à une demande de commentaire.

    Un autre des 17 ODD ayant un impact direct sur l'agriculture et la production alimentaire est l'objectif 2, avec ses appels à «l'agriculture durable» et à la «production alimentaire durable».

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  21. L'objectif 6, quant à lui, appelle à une "gestion durable de l'eau", qui comprend diverses cibles concernant l'utilisation de l'eau agricole et le ruissellement.

    Parce que les dirigeants de l'ONU considèrent l'agriculture et la production alimentaire comme des contributeurs clés à ce qu'ils appellent le changement climatique d'origine humaine, l'objectif 13 est également important. Il appelle les gouvernements à « intégrer les mesures relatives au changement climatique dans les politiques, stratégies et planifications nationales ».

    L'objectif 15, qui traite de l'utilisation durable des écosystèmes terrestres, comporte également de multiples cibles qui affectent l'agriculture et la production alimentaire.

    Partout dans le monde, les gouvernements nationaux et régionaux travaillent avec les agences des Nations Unies pour mettre en œuvre ces objectifs de durabilité dans l'agriculture et d'autres secteurs.

    Par exemple, en réponse aux accords de l'ONU sur la biodiversité, l'Union européenne a promulgué divers programmes de biodiversité soutenus par l'ONU tels que Natura 2000 et la stratégie de l'UE sur la biodiversité pour 2030, qui ont été cités par le gouvernement néerlandais et d'autres dans leurs politiques agricoles.

    L'ONU se vante également publiquement de son rôle dans l'imposition des ODD au Sri Lanka et dans d'autres pays souffrant de pénuries alimentaires et de calamités économiques liées aux mêmes programmes mondiaux de développement durable.

    Partout dans le monde, presque tous les gouvernements nationaux déclarent intégrer les ODD dans leurs propres lois et réglementations.

    « Partenariat » du Forum économique mondial
    Aux côtés de l'ONU, divers « acteurs » sont essentiels à la mise en œuvre de politiques de développement durable par le biais de « partenariats public-privé ».

    Au cœur de cet effort se trouve le WEF, qui depuis 2020 pousse à une transformation totale de la société connue sous le nom de « Great Reset ». En 2019, le WEF a signé un "partenariat stratégique" avec l'ONU pour faire avancer l'Agenda 2030 au sein de la communauté mondiale des affaires.

    L'accord officiel a défini "des domaines de coopération pour approfondir l'engagement institutionnel et accélérer conjointement la mise en œuvre de l'Agenda 2030 pour le développement durable".

    Bon nombre des principaux responsables de l'Agenda 2030, y compris de hauts dirigeants de l'ONU tels que l'actuel secrétaire général António Guterres - un socialiste autoproclamé - travaillent également avec le WEF depuis des décennies.

    Pendant ce temps, le WEF a été explicite avec ses objectifs. Elle a récemment lancé une « Food Action Alliance » (FAA) qui reconnaît sur son site Web que l'Agenda 2030 « informe l'ambition de la FAA de fournir une plate-forme durable et à long terme pour une action multipartite sur les systèmes alimentaires afin d'atteindre les ODD ».

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  22. Parallèlement au «Sommet sur les systèmes alimentaires» de l'ONU en septembre 2021, la FAA du WEF a publié un rapport décrivant son propre «programme de leadership pour la collaboration multipartite pour transformer les systèmes alimentaires».

    Entre autres éléments, le document résume les idées de la FAA sur « le soutien aux partenariats transformateurs du système alimentaire et sa proposition de valeur au-delà du Sommet des Nations Unies sur les systèmes alimentaires 2021 pour atteindre les objectifs de développement durable des Nations Unies ».

    La préoccupation publique du WEF pour la transformation de l'agriculture et de l'approvisionnement alimentaire remonte à au moins une décennie.

    En partenariat avec diverses entreprises, le WEF a publié un rapport de 2010 décrivant une "nouvelle vision de l'agriculture" qui comprenait une "feuille de route pour les parties prenantes". Bon nombre des plus grandes entreprises alimentaires du monde qui dominent le marché et possèdent d'innombrables marques populaires sont impliquées.

    Le site Web du WEF regorge d'informations censées justifier une transformation totale de l'approvisionnement alimentaire par des "parties prenantes".

    "Alors que les systèmes alimentaires mondiaux deviennent de plus en plus interconnectés, une coordination efficace entre un ensemble diversifié de parties prenantes sera nécessaire", déclare le WEF sur sa plateforme "Strategic Intelligence", citant fréquemment la FAO comme source.

    "Le potentiel d'élaboration de nouvelles approches systémiques des systèmes alimentaires qui incluent un large éventail de parties prenantes offre des opportunités pour aider à nourrir durablement le monde à l'avenir."

    Les références fréquentes de l'organisation aux «parties prenantes» font référence aux gouvernements, aux entreprises et aux soi-disant organisations non gouvernementales qui sont souvent financées par ces mêmes entreprises et gouvernements. Ils travaillent tous ensemble sur la question.

    Par exemple, le WEF se vante d'avoir amené des géants tels que Coca-Cola et Unilever dans le giron de la promotion d'un "avenir plus durable".

    La Fondation Rockefeller, qui a récemment publié un rapport sur la manière de « réinitialiser la table » et de « transformer le système alimentaire américain », est également un acteur clé.

    Les « Food Innovation Hubs » du WEF à travers le monde sont appelés à jouer un rôle majeur dans cette transformation mondiale.

    S'adressant au Forum économique mondial sur la "transformation des systèmes alimentaires et de l'utilisation des terres" lors de la semaine de l'agenda de Davos de l'année dernière, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a annoncé que les Pays-Bas accueilleraient le "Secrétariat mondial de coordination des pôles mondiaux d'innovation alimentaire économique".

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  23. Le secrétariat, a-t-il dit, "connectera tous les autres pôles d'innovation alimentaire" afin de faciliter la création "des partenariats dont nous avons besoin".

    Ni le WEF ni la Fondation Rockefeller n'ont répondu aux demandes de commentaires sur leur rôle dans l'Agenda 2030 et sur les politiques agricoles menées dans le monde.

    Parmi les autres organisations et entités impliquées dans la poussée, citons de puissantes fondations exonérées d'impôt telles que la Fondation Gates, les gouvernements régionaux de style européen qui prolifèrent dans le monde et divers groupes financés par eux.

    Presser les agriculteurs et l'approvisionnement alimentaire
    Partout dans le monde, les politiques gouvernementales alignées sur les ODD de l'ONU pressent les agriculteurs, en particulier les petits producteurs indépendants incapables d'absorber les coûts supplémentaires d'une réglementation et d'un contrôle accrus.

    Célébrant les idées de durabilité de l'ONU, le président sri-lankais récemment évincé, Gotabaya Rajapaksa, a annoncé lors du sommet sur le climat COP26 de l'ONU en 2021 que son gouvernement interdisait les engrais chimiques et les pesticides.

    Lire la suite ici...

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/un-world-economic-forum-behind-global-war-farmers-experts

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  24. "Nous avons la technologie": LA prévoit de recycler les eaux usées dans des robinets


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 JUILLET 2022 - 02:40


    Au lieu de s'attaquer à la sécheresse paralysante de la Californie avec un réseau d'usines de dessalement (un plan qui avait en fait le soutien du gouverneur Gavin Newsom jusqu'à ce que le HOA de l'État – alias la Commission côtière – l'ait abattu plus tôt cette année), la ville de Los Angeles et d'autres agences à travers la Californie du Sud envisagent un plan pour recycler les eaux usées en eau du robinet.

    Il suffit de ne pas appeler cela "des toilettes au robinet", disent les partisans (ou le font, parce que c'est ce que c'est), qui prétendent qu'il est différent des propositions similaires de la fin des années 1990 d'utiliser de l'eau recyclée grâce aux nouvelles technologies de recyclage de l'eau.

    La ville de Los Angeles et des agences du sud de la Californie étudient ce que l'on appelle la "réutilisation potable directe", ce qui signifie remettre de l'eau recyclée purifiée directement dans nos systèmes d'eau potable. Cela diffère de la réutilisation potable indirecte, où l'eau passe du temps dans une barrière environnementale substantielle telle qu'un aquifère souterrain ou dans un réservoir. -LA fois

    "Il y a eu un héritage de santé publique où les pratiques d'ingénierie sanitaire et les régulateurs considéraient les eaux usées comme un déchet, c'était quelque chose à éviter, quelque chose à craindre", a déclaré Brad Coffey du Metropolitan Water District de Californie du Sud. "Maintenant que nous avons la technologie … le public, les régulateurs, la communauté scientifique ont beaucoup plus confiance en notre capacité à réutiliser en toute sécurité cet approvisionnement en eau."

    Le plan repose sur le State Water Resources Control Bord, que les législateurs ont chargé d'élaborer un ensemble de réglementations uniformes d'ici le 31 décembre qui régiraient la réutilisation potable.

    Los Angeles, selon le rapport, "ne perd pas de temps à préparer des projets qui pourront être lancés une fois la réglementation adoptée".

    Une installation de démonstration de réutilisation directe de l'eau potable près du réservoir Headworks, juste au nord de Griffith Park, sera probablement le premier projet de réutilisation directe de l'eau potable approuvé par l'État, a déclaré Jesus Gonzalez, responsable de la politique de recyclage de l'eau au département de l'eau et de l'électricité de Los Angeles. Il profitera de l'eau recyclée produite par une installation à Glendale, mais l'eau ne sera pas encore ajoutée au système d'eau potable. Cependant, cela servira de preuve de concept, a-t-il déclaré. -LA fois

    "Ce sera l'avenir de l'eau de L.A., l'avenir de l'approvisionnement en eau de l'État", a déclaré Gonzalez, qui a ajouté que le projet Headworks pourrait être mis en ligne dans les cinq prochaines années.

    Les plans de Los Angeles sont cependant bien plus importants que cela, car la ville s'est engagée à recycler 100 % de ses eaux usées d'ici 2035, conformément à l'engagement pris par le maire Eric Garcetti il ​​y a plusieurs années.

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  25. Pour y parvenir, l'usine de récupération d'eau Hyperion de LA - qui ne traite actuellement que les eaux usées afin qu'elles soient suffisamment propres pour être rejetées dans la baie de Santa Monica - doit être complètement convertie en une installation de purification d'eau avancée qui produit une eau suffisamment propre pour être consommée.

    L'eau – suffisante pour 2 millions de personnes – serait ensuite acheminée vers de vastes aquifères sous la partie sud du comté de LA et la vallée de San Fernando. Surnommée «Operation Next», cette entreprise massive coûtera plus de 16 milliards de dollars et serait achevée en 2058, plus de deux décennies après l'objectif de Garcetti.

    L'usine d'Hyperion a subi une inondation catastrophique il y a tout juste un an, qui a entraîné le déversement de 17 millions de gallons d'eaux usées non traitées dans l'océan, entraînant le détournement de millions de gallons d'eau potable vers des utilisations généralement desservies par des eaux usées traitées. Le plan est maintenant revenu à un fonctionnement normal.

    "Ce déversement a renforcé tout le monde, y compris nous, sur le fait que nous avons besoin de moniteurs et d'alarmes en amont de la station d'épuration pour pouvoir identifier tout problème, qu'il s'agisse de déversements ou de problèmes d'infrastructure", a déclaré Gonzalez.

    Pas de bébé...

    Pour l'instant, une preuve de concept pour l'opération Hyperion, une installation de purification avancée à petite échelle, est presque terminée. Construite en partenariat avec l'aéroport international de LA, l'usine pourra produire 1,5 million de gallons d'eau par jour pour des usages non potables, tels que la chasse d'eau et le refroidissement, selon Traci Minamide, PDG de LA Sanitation and Environment. Il sera mis en ligne au printemps 2023.

    "La technologie est si bonne", a déclaré Shane Trussell, président et chef de la direction de Trussell Tech, qui est impliqué dans des projets avancés de purification de l'eau à Los Angeles, San Diego et d'autres villes. "Je m'attends à ce que d'ici 2040 … la plupart des effluents du sud de la Californie soient recyclés ou en passe d'être recyclés."

    https://www.zerohedge.com/political/we-have-technology-la-plans-recycle-wastewater-taps

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    1. Ce plan est bien sûr destiné à faire vendre plus d'eau en bouteilles car, il ne suffit pas de verser de l'eau de javel dans l'eau pour la purifier ! L'eau pure ne s'obtient que par évaporation, c'est le cas de l'eau de pluie, eau de source ou de nappes phréatique vers qui s'infiltre l'eau (sous forme de vapeur) depuis l'océan.

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  26. C'est reparti : enregistrez les embouteillages des porte-conteneurs alors que l'arriéré continue de s'accumuler


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 JUILLET 2022 - 14:06
    Par Greg Miller de FreightWaves


    Si vous ne regardez que Los Angeles et Long Beach – la plus grande porte d'importation de conteneurs en Amérique – vous penseriez que la congestion maritime a considérablement diminué. Le nombre de navires qui y attendent est tombé à 26 contre 109 en janvier. Mais en fait, la congestion des ports nord-américains vient de rentrer en territoire record. L'embouteillage offshore est à nouveau aussi mauvais qu'il ne l'a jamais été.

    - voir carte sur site -

    En janvier et février, lorsque la congestion nord-américaine avait culminé auparavant, il y avait un peu moins de 150 porte-conteneurs qui attendaient au large des côtes. Les deux tiers étaient dans la file d'attente de Los Angeles/Long Beach. Jeudi matin, il y en avait 153, la majorité au large des ports de la côte Est et du Golfe. Alors que l'empilement antérieur de la côte ouest était centralisé, très médiatisé et relativement facile à suivre, la file d'attente des navires d'aujourd'hui est plus largement décaissée et attire moins l'attention.

    Les files d'attente des navires rebondissent

    La congestion portuaire avait finalement semblé s'atténuer en mai et début juin. Les files d'attente des navires étaient retombées à deux chiffres. Au 10 juin, 92 navires attendaient au large, dont 25 au large de Savannah, en Géorgie, 20 au large de Los Angeles/Long Beach, 18 au large de New York/New Jersey et 14 au large de Houston.

    Puis les choses ont empiré. Le décompte est passé à 125 le 8 juillet, 136 le 13 juillet et 140 le 19 juillet.

    Alors que le nombre passe maintenant à 153, la file d'attente des porte-conteneurs nord-américains a augmenté de 66 % au cours des sept dernières semaines.

    Jeudi matin, les données de position des navires de MarineTraffic et les dernières listes de files d'attente pour les ports de Californie montraient 43 porte-conteneurs en attente au large de Savannah; 26 au large de Los Angeles/Long Beach ; 24 au large de Houston; 18 au large de New York/New Jersey ; 17 au large de Vancouver, Colombie-Britannique; 15 au large d'Oakland, Californie ; et 10 navires au large d'autres ports.

    Parmi ceux-ci, 59 navires – 38 % du total – attendaient au large de la côte ouest, où les files d'attente ont grimpé au large de Vancouver et d'Oakland. Il y avait 94 navires (62% du total) au large des ports de la côte est et du golfe, avec des décomptes à la fois à Savannah et à Houston.

    - voir graph sur site -

    Différents terminaux, différents temps d'attente

    Le fournisseur de données VesselsValue, basé au Royaume-Uni, a constaté de grandes différences dans les temps d'attente dans les 10 principaux terminaux de la côte Est, y compris des différences majeures entre les terminaux d'un même complexe portuaire.

    Il a cité quatre terminaux de la côte Est avec de longs temps d'attente : les terminaux New York et Elizabeth APM dans le port de New York/New Jersey et les terminaux Garden City et Savannah dans le port de Savannah.

    En revanche, les données de VesselsValue ont révélé des temps d'attente relativement courts aux terminaux de Maher et de Port Newark à New York/New Jersey ; les terminaux Norfolk International et Virginia International Gateway à Norfolk, Virginie ; le terminal de Packer Avenue à Philadelphie ; et le terminal Wando Welch à Charleston, en Caroline du Sud.

    Changement causé par les craintes de la main-d'œuvre portuaire ?

    Ce n'est peut-être pas une coïncidence si la congestion de la côte est et de la côte du golfe s'est intensifiée à partir de juin. C'était le mois où les nouveaux contrats annuels sont entrés en vigueur. C'était aussi le dernier mois avant l'expiration du contrat de travail de la côte ouest avec le syndicat des débardeurs ILWU.

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  27. Akhil Nair, vice-président de la gestion des transporteurs chez Seko Logistics, a déclaré lors d'un briefing le 20 juillet : "Avec toutes les premières menaces de grève potentielle de l'ILWU et les contraintes de main-d'œuvre sur la côte ouest, il y a eu un changement automatique pendant la saison des contrats pour que les clients obligent en fait les expéditeurs traditionnels de la côte ouest à demander également une allocation sur la côte est. C'est leur couverture contractuelle qu'ils ont mise en place.

    "Cela a eu pour conséquence que les gens ont probablement surcompensé. La congestion sur la côte est est le résultat d'une partie de ce changement dans la conception de la chaîne d'approvisionnement et la couverture d'incidents potentiels ou d'une activité fiable ou imprévisible sur la côte ouest.

    https://www.zerohedge.com/markets/here-we-go-again-record-container-ship-traffic-jam-backlog-continues-build

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  28. Visualiser les plus grandes compagnies maritimes de conteneurs au monde


    PAR TYLER DURDEN
    VENDREDI 29 JUILLET 2022 - 08:45


    Saviez-vous que 80 % du commerce mondial de marchandises est transporté par voie maritime ? Comme le détaille Marcus Lu de Visual Capitalist ci-dessous, compte tenu de l'ampleur de la consommation humaine, cela nécessite un nombre énorme de conteneurs d'expédition, ainsi que des navires pour les transporter.

    Au niveau de l'industrie, le transport par conteneurs est dominé par plusieurs très grandes entreprises. Cela inclut Maersk, COSCO Shipping et Evergreen. Si vous habitez le long de la côte, vous avez probablement vu des navires ou des conteneurs avec ces noms peints dessus.

    De manière générale, cependant, les consommateurs connaissent très peu ces entreprises. Ce graphique vise à changer cela en classant les 10 plus grandes compagnies maritimes de conteneurs au monde.

    - voir cadre sur site -

    Classement du Top 10
    Les entreprises sont classées selon deux critères. Le premier est le nombre de navires qu'ils possèdent, et le deuxième est leur capacité de transport totale mesurée en unités équivalentes vingt pieds (EVP). Un TEU est basé sur le volume d'un conteneur maritime de vingt pieds de long.

    Les données utilisées dans cette infographie proviennent d'Alcott Global, un cabinet de conseil en logistique. La taille des flottes est à partir de juin 2021, tandis que la capacité en TEU est à partir de janvier 2022.

    - voir cadre sur site -

    Dans cet ensemble de données, Maersk et MSC sont à égalité au premier rang en termes de capacité en TEU. Ce n'est plus le cas, car les organes de presse ont récemment rapporté que MSC avait dépassé le premier.

    Derrière les deux leaders de l'industrie se trouve un mélange d'entreprises européennes et asiatiques. Beaucoup de ces entreprises se sont développées grâce à des fusions et acquisitions.

    Faits intéressants
    Maersk
    Au moment de la rédaction de cet article, Maersk est la troisième plus grande entreprise du Danemark en termes de capitalisation boursière. L'entreprise a été fondée en 1904, ce qui lui donne 118 ans.

    MSC
    La Mediterranean Shipping Company (MSC) a connu une croissance très rapide ces dernières années, rattrapant (et dépassant) le leader de longue date Maersk en termes de capacité en TEU.

    La société suisse a augmenté la taille de sa flotte grâce à de nouvelles commandes, à l'acquisition de navires d'occasion et à des contrats d'affrètement.

    Expédition COSCO
    COSCO Shipping est la compagnie maritime publique chinoise. Les responsables américains ont fait part de leurs inquiétudes quant à l'influence mondiale croissante de l'entreprise.

    Pour le contexte, les entreprises publiques chinoises détiennent des participations dans les terminaux de cinq ports américains. Cela comprend le terminal 30 du port de Seattle, dans lequel deux filiales de COSCO détiennent une participation de 33,33 %.

    À l'avenir, tout nouvel intérêt chinois pour les terminaux américains sera confronté à un environnement réglementaire encore plus strict.

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  29. - CARDON (2021)

    À feuilles persistantes
    Evergreen est probablement un nom familier, mais pas pour les bonnes raisons. En 2021, l'un des navires de la compagnie, Ever Given, s'est retrouvé coincé dans le canal de Suez, mettant hors service l'une des routes maritimes les plus importantes au monde pendant près d'une semaine.

    Prise de masse
    Pour réaliser de meilleures économies d'échelle, les porte-conteneurs deviennent de plus en plus gros. Le graphique suivant illustre cette tendance de 1970 à 2017.

    - voir graph sur site -

    La capacité moyenne est tirée à la hausse par l'arrivée des méga-ships, c'est-à-dire des navires d'une capacité supérieure à 18 000 EVP. Leur taille massive crée des problèmes pour les ports qui n'ont pas été conçus pour gérer un volume de trafic aussi élevé.

    Il convient de noter que le plus grand navire aujourd'hui, l'Ever Ace (propriété d'Evergreen), a une capacité de 24 000 EVP. Regardez cette vidéo YouTube pour des images impressionnantes du navire.

    Passer au vert
    Bloomberg rapporte que le transport maritime représente 3 % des émissions mondiales de carbone. Si l'industrie était un pays, cela en ferait le sixième émetteur mondial.

    En raison de la croissance des investissements ESG, les compagnies maritimes ont subi des pressions pour décarboner leurs navires. Les progrès à ce jour ont été limités, mais de nombreuses solutions sont en cours de développement.

    Une option est celle des carburants alternatifs, tels que le gaz naturel liquéfié (GNL), l'hydrogène ou les biocarburants fabriqués à partir de plantes. Ces carburants pourraient permettre aux navires de réduire considérablement leurs émissions.

    Une autre option consiste à supprimer complètement le carburant et à revenir à la technologie séculaire de l'énergie éolienne.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/visualizing-worlds-largest-container-shipping-companies

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    1. Bientôt des porte-containers à voiles ? (ou à rames ?)

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  30. "L'effet de serre n'existe pas", un physicien suisse conteste l'orthodoxie climatique du réchauffement climatique


    Un article de Jerome R. Corsi, Ph.D.
    Par : Admin - Climate Depot26 juillet 2022 14:49
    Spécial Dépôt Climatique



    Thomas Allmendinger, physicien suisse indépendant, a mené une série d'expériences publiées dans des revues scientifiques à comité de lecture qui remettent en question les principes physiques de la théorie des gaz à effet de serre. Thomas Allmendinger, chercheur indépendant formé à l’École polytechnique fédérale de Zurich, a osé remettre en question le dicton climatique politiquement correct selon lequel le gaz carbonique est un gaz à effet de serre aux propriétés uniques de réchauffement climatique. Dans une série d'articles publiés dans des revues scientifiques, Allmendinger a fait valoir que ses recherches expérimentales sur l'absorption thermique du rayonnement infrarouge (IR) ont prouvé que "les gaz traces atmosphériques tels que le gaz carbonique n'ont aucune influence sur le climat".

    La théorie des gaz à effet de serre remonte à une publication de 1827 du physicien français Jean Baptiste Joseph Fourier intitulée « Mémoire sur les températures du globe Terrestre ed de espaces planétaires », [en anglais : « Mémoire sur les températures du globe terrestre et des espaces planétaires ». "] Comme de nombreuses métaphores scientifiques, l'image de la serre est trompeuse en ce qu'elle suggère que certains gaz comme la vapeur d'eau et le gaz carbonique agissent comme un bouclier empêchant le rayonnement infrarouge (IR) émis par le soleil et absorbé par la Terre de s'échapper la nuit dans l'espace.

    Une source aussi supposée faire autorité que la NASA élabore encore sur l'effet de serre comme suit :

    « Une vraie serre est faite de verre, ce qui laisse passer la lumière du soleil visible de l'extérieur. Cette lumière est absorbée par tous les matériaux à l'intérieur et les surfaces chauffées émettent une lumière infrarouge, parfois appelée «rayons de chaleur», en retour. Mais le verre, bien que transparent à la lumière visible, agit comme un écran partiel à la lumière infrarouge. Ainsi, une partie de ce rayonnement infrarouge, ou chaleur, est piégée à l'intérieur. Le résultat est que tout à l'intérieur de la serre, y compris l'air, devient plus chaud.

    Cette description de la NASA rappelle un site Web de jardinage qui explique la physique compliquée en ces termes simplistes : "Tandis que la lumière du soleil entre, la chaleur ne peut pas sortir", une description qui attribue l'effet de serre à la convection de la chaleur. Mais plutôt que d'empêcher les infrarouges de s'échapper de la sous-couche vitrée des gaz à effet de serre, les gaz à effet de serre atmosphériques « protègent » contre la fuite des infrarouges vers l'espace en absorbant l'énergie infrarouge qui s'échappe. La physique IR conventionnelle qui remonte à environ 200 ans repose principalement sur l'analyse spectrographique, d'où découle la présomption que seuls les gaz dipolaires comme la vapeur d'eau ou le gaz carbonique peuvent absorber le rayonnement infrarouge. La majeure partie de l'atmosphère est composée d'oxygène (O2) et d'azote (N2), qui ne sont ni l'un ni l'autre des gaz dipolaires.

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  31. En 2016, Allmendinger a publié un article intitulé "Le comportement thermique des gaz sous l'influence du rayonnement infrarouge" dans l'International Journal of Physical Sciences. Ici, Allmendinger a abordé la sagesse conventionnelle selon laquelle "toute activité IR de molécules ou d'atomes nécessite un déplacement du moment dipolaire électrique, de sorte que les molécules homonucléaires à deux atomes (comme O2 ou N2) sont toujours actives dans l'IR". Allmendinger a insisté sur le fait que cette proposition "doit être considérée comme un théorème et non comme une loi naturelle principale" car "de nombreux exemples de substances non polaires sont connus où une interaction avec le rayonnement électromagnétique se produit, par exemple, aux halogènes où même la lumière colorée et donc visible est absorbée. ” Ce qu'Allmendinger a trouvé surprenant, c'est que les physiciens s'étaient presque entièrement appuyés sur l'analyse spectrographique pour mesurer l'absorption moléculaire de l'énergie IR par les gaz. Il a souligné qu'"apparemment, aucune mesure thermique n'a été effectuée sur les gaz en présence de rayonnement infrarouge, en particulier de la lumière du soleil", même si la principale préoccupation climatique concernant les gaz à effet de serre implique l'absorption thermique de l'énergie infrarouge.

    En 2017, Allmendinger a publié un article intitulé « The Refutation of the Climate Greenhouse Theory : A Hopeful Alternative » dans Environmental Pollution and Climate Change. Allmendinger a plaidé pour la nécessité de mesurer l'absorption thermique pour déterminer si l'analyse spectrographique n'avait pas réussi à détecter l'activité moléculaire qui absorbait l'énergie IR dans les gaz atmosphériques non dipôles. Dans un langage très technique, il expliqua :

    « Comme nous le savons aujourd'hui, l'absorption photométrique s'accompagne d'une excitation (quantifiée) d'électrons suivie d'une émission lumineuse, due au retour des électrons excités dans l'état fondamental. Ce saut électronique peut-être, mais pas nécessairement, associé à des vibrations ou à des rotations des noyaux de la molécule. Dans les corps solides, et dans une certaine mesure aussi dans les milieux fluides, ces vibrations ou rotations ne sont pas indépendantes mais couplées. Cependant, dans les gaz, ils sont largement indépendants puisque les molécules ou les atomes se déplacent en obéissant à des lois statistiques, selon lesquelles leur énergie moyenne de translation cinétique est proportionnelle à leur température absolue.

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  32. Il a continué:

    "Néanmoins, dans le cas d'une excitation électronique, une partie de l'énergie de vibration ou de rotation peut être convertie en énergie cinétique, et donc en chaleur sensible, mais la quantité fractionnaire de cette énergie concertée n'est pas a priori théoriquement dérivable mais doit être déterminée expérimentalement. Inversement, une partie de l'énergie thermique cinétique peut être convertie en énergie vibratoire moléculaire ou atomique.

    Allmendinger a conclu :

    « Ainsi, dans les gaz, deux types d'énergie sont impliqués : l'énergie « interne » étant liée aux mouvements intramoléculaires, et l'énergie « externe » étant liée aux mouvements intermoléculaires. Le premier type relève de la mécanique quantique, tandis que le second relève de la théorie cinétique des gaz. En conséquence, les mesures photométriques ou spectroscopiques ne peuvent pas fournir d'informations quantitatives sur le réchauffement des gaz dû au rayonnement thermique ou autre rayonnement infrarouge, alors que de telles mesures n'ont jamais été effectuées jusqu'à présent.

    Allmendinger a construit un appareil expérimental qui lui a permis de mesurer l'absorption thermique IR (plutôt que l'absorption des ondes lumineuses spectrographiques) des gaz atmosphériques, notamment le gaz carbonique, l'O2 (oxygène), le N2 (azote) et l'argon (Ar).

    Dans un article de 2018 intitulé « The Real Cause of Global Warming and Its Consequences on Climate », publié dans le SciFed Journal of Global Warming, Allmendinger a résumé ses découvertes expérimentales. Les mesures thermiques d'Allmendinger ont conclu que "tout gaz absorbe l'IR - même les gaz nobles le font [comme Ar] - étant réchauffé à une température limite qui est atteinte lorsque la puissance d'absorption est égale à la puissance d'émission du gaz réchauffé". Il a poursuivi : "On pourrait théoriquement démontrer que la puissance d'émission d'un gaz est liée à la fréquence de ses particules (atomes ou molécules) et donc à sa taille."

    Les tests expérimentaux d'Allmendinger n'ont trouvé aucune différence significative entre les capacités d'absorption IR du gaz carbonique, de l'O2, du N2 ou de l'Ar lorsque l'absorption thermique a été mesurée au lieu de l'absorption des ondes spectrographiques. "En conséquence, un" effet de serre "n'existe pas vraiment, du moins pas lié à des gaz traces tels que le dioxyde de carbone."

    La communauté scientifique orthodoxe du réchauffement climatique a rejeté le travail d'Allmendinger comme un non-sens total, arguant qu'il "n'est actuellement affilié à aucun institut de recherche ou université réputé". Pourtant, Thomas Kuhn, dans son livre très influent de 1962 La structure des révolutions scientifiques, nous a rappelé que les changements de paradigme scientifique impliquent des révolutions, dans lesquelles de nouvelles théories concurrentes apparaissent d'abord comme des « hérésies ». Les défis à l'orthodoxie scientifique doivent se frayer un chemin vers l'acceptation contre une légion d'opposants établis qui ont investi des carrières en basant leurs opinions sur le réchauffement climatique et le changement climatique sur la théorie des gaz à effet de serre. L'argument de Thomas Allmendinger selon lequel l'effet de serre du gaz carbonique est inexistant mérite d'être sérieusement pris en considération. L'argument du réchauffement climatique échoue s'il peut être prouvé que le gaz carbonique, un élément trace de l'atmosphère complexe de la Terre, n'a pas de capacités de réchauffement de l'atmosphère qui ne sont pas également partagées par l'oxygène et l'azote.

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  33. #

    Depuis 2004, Jerome R. Corsi a publié 25 livres sur l'économie, l'histoire et la politique, dont deux best-sellers n°1 du New York Times. En 1972, il a obtenu son doctorat. du Département du gouvernement de l'Université de Harvard. Il réside actuellement dans le New Jersey avec sa famille. Son livre actuel, intitulé The Truth About Energy, Global Warming, and Climate Change: Exposing Climate Lies in an Age of Disinformation, est le troisième livre qu'il a écrit sur l'énergie et le réchauffement climatique.

    https://www.climatedepot.com/2022/07/26/greenhouse-gas-effect-does-not-exist-a-swiss-physicist-challenges-global-warming-climate-orthodoxy/

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    1. C'est là encore qu'on se demande "Mais à qui avons-nous à faire ?"

      Entendre parler des 'scientifiques' de Global Warming et d'effet de serre me fait bondir comme d'entendre des 'scientifiques' parler de 'vaccins anti virus' !! (vaccins anti-poussières !) au lieu de dire 'Expérimentation génique d'essais' et de décrire cette poussière non-pas comme un microbe qui aurait changé de nom et de statut mais comme étant une poussière empoisonnée fabriquée en laboratoires.

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  34. Un membre du Congrès prévient que l'ADN collecté dans des kits d'ascendance pourrait être utilisé pour créer des ARMES BIOLOGIQUES CIBLÉES


    vendredi 29 juillet 2022
    par : Arsenio Toledo


    (Natural News) Un membre du Congrès met en garde les Américains contre le fait de faire tester leur ADN à l'aide de kits d'ascendance à domicile, car les données collectées pourraient être vendues à d'autres pays qui peuvent concevoir des armes biologiques à base d'ADN qui ciblent spécifiquement certains individus.

    Le représentant démocrate Jason Crow du Colorado, un ranger vétéran de l'armée américaine élu pour la première fois en 2018, a averti que des pays comme la Chine et la Russie achètent autant d'informations génétiques qu'ils le peuvent auprès de sociétés ancestrales comme 23andMe pour des programmes d'assassinat exquis qui pourraient tuer des familles entières. (En relation : BOMBSHELL : les kits de test ADN sont une arnaque pour développer des armes biologiques spécifiques à une ethnie.)

    "Il y a maintenant des armes en cours de développement - et développées - qui sont conçues pour cibler des personnes spécifiques", a déclaré Crow, membre du House Permanent Select Committee on Intelligence, au Aspen Security Forum à Aspen, Colorado. "C'est ce que c'est, où vous pouvez réellement prendre l'ADN de quelqu'un, vous savez, son profil médical, et vous pouvez cibler une arme biologique qui tuera cette personne ou la retirera du champ de bataille ou la rendra inutilisable."

    "Les gens vont très rapidement cracher dans une tasse et l'envoyer à 23andMe et obtenir des données vraiment intéressantes sur leur passé - et devinez quoi ? Leur ADN appartient désormais à une société privée », a-t-il ajouté. « Nous devons donc avoir une discussion ouverte et publique… à quoi ressemble la protection des informations de santé, des informations ADN et de vos données ? Parce que ces données vont en fait être obtenues et collectées par nos adversaires pour le développement de ces systèmes.

    D'autres législateurs et généraux mettent en garde contre les armes biologiques sophistiquées
    Le général de l'armée Richard Clarke, commandant du Commandement des opérations spéciales des États-Unis, a parlé de façon inquiétante de la façon dont la Russie a utilisé un agent neurotoxique extrêmement sophistiqué dans sa tentative de tuer l'agent double Sergei Skripal.

    « La Russie est prête à les utiliser contre des opposants politiques », a-t-il déclaré. «Ils sont prêts à les utiliser sur leur propre sol, mais ensuite à entrer sur le sol d'un allié de l'OTAN au Royaume-Uni et à les utiliser… et à l'avenir, nous devons nous préparer à cette éventualité. Et je ne pense pas que nous en parlions autant que nous le devrions et cherchions des méthodes pour continuer à combattre.

    Le sénateur républicain Joni Ernst de l'Iowa, qui est membre de la commission sénatoriale des forces armées et de la commission sénatoriale de l'agriculture, de la nutrition et des forêts, a averti que les armes biologiques que les ennemis les plus puissants de l'Amérique sont en train de développer pourraient également être utilisées non pas pour des assassinats ciblés, mais pour de grandes des attaques bioterroristes à grande échelle, telles que des attaques contre l'approvisionnement alimentaire américain.

    « Si nous regardons la sécurité alimentaire et que peuvent faire nos adversaires avec des armes biologiques qui sont dirigées contre notre agriculture animale, contre notre secteur agricole… la grippe aviaire hautement pathogène, la peste porcine africaine », a déclaré Ernst. "Toutes ces choses ont circulé dans le monde entier, mais si elles sont ciblées par un adversaire, nous savons que cela entraîne une insécurité alimentaire. L'insécurité alimentaire entraîne de nombreuses autres insécurités dans le monde.

    En savoir plus sur les armes biologiques sur BiologicalWeapons.news.

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  35. Regardez cet épisode de "Cross Roads" avec Joshua Philipp sur Epoch TV alors qu'il parle des ennemis de l'Amérique utilisant des kits d'ascendance pour créer des armes biologiques à base d'ADN.

    - voir sur site -

    Cette vidéo peut être trouvée dans la chaîne Cynthia’s Pursuit to Truth sur Brighteon.com.

    Articles plus connexes :

    RÉCOLTE GÉNÉTIQUE : La société de test COVID admet avoir vendu des écouvillons COVID contenant l'ADN du client à des tiers.

    La Chine collecte des données génétiques sur ses ennemis pour créer des armes biologiques spécifiques à la race.

    C'EST UNE ARNAQUE : La Chine communiste collecte de l'ADN américain grâce à des tests de coronavirus.

    La seule chose pour laquelle les kits de test COVID-19 sont bons est la collecte et la surveillance illégales de l'ADN humain.

    La Chine collecte l'ADN de millions d'hommes et de garçons pour un projet de surveillance génétique à grande échelle.

    Les sources comprennent :

    Brighteon.com
    NYPost.com
    WashingtonExaminer.com
    Brighteon.com

    https://www.naturalnews.com/2022-07-29-dna-collected-ancestry-kits-create-targeted-bioweapons.html

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  36. Les niveaux du Rhin en Allemagne devraient baisser à mesure que les barges réduisent leur cargaison


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 JUILLET 2022 - 14:45


    Alors que l'Allemagne cuit dans une vague de chaleur, les niveaux d'eau du Rhin – un fleuve de 800 milles (1 288 kilomètres) qui s'étend de la Suisse à la mer du Nord et est utilisé pour transporter des dizaines de millions de tonnes de marchandises à travers l'Europe intérieure – ont chuté à des niveaux dangereusement bas.

    Les niveaux d'eau au point d'étranglement de Kaub près de Francfort sont tombés à 25,6 pouces (65 centimètres) jeudi, son niveau le plus bas depuis 2018, lorsqu'une sécheresse a fermé la voie navigable pendant 132 jours, entraînant des troubles économiques et de la chaîne d'approvisionnement.

    - voir graph sur site -

    Le faible niveau d'eau signifie que les barges doivent réduire le poids de la cargaison pour naviguer dans les parties peu profondes de la rivière ou risquer de s'échouer.

    - voir carte sur site -

    Roberto Spranzi de l'Association allemande de navigation intérieure DTG a déclaré au journal allemand DW que les expéditeurs transportaient la moitié de la cargaison qu'ils transportaient habituellement. Reuters a déclaré que certains expéditeurs naviguaient avec seulement un quart de la cargaison selon le type.

    Environ 80 % de toutes les marchandises transportées par voies navigables intérieures empruntent le Rhin, ce qui en fait l'artère de transit la plus critique d'Allemagne pour le transport des marchandises. La chute des niveaux d'eau a mis à rude épreuve les chaînes d'approvisionnement, comme celles de BASF, la plus grande entreprise chimique au monde. L'entreprise n'a pas réussi à faire passer le transport de marchandises par barge à un transport entièrement par camion.

    Deux prévisions dépeignent des perspectives troublantes pour la rivière et impliquent que les niveaux d'eau continueront de baisser.

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  37. "Malheureusement, nos modèles à plus long terme suggèrent que les conditions de sécheresse se poursuivront probablement au cours des prochains mois", a déclaré Andreas Friedrich de l'Agence météorologique fédérale DWD, ajoutant que l'agence s'attend à une probabilité de 60 à 65% de temps sec pendant la saison d'automne.

    Une autre prévision, cette fois les niveaux d'eau de Kaub, pourrait chuter à 23,6 pouces (60 centimètres) d'ici la semaine prochaine, ce qui obligerait encore plus de propriétaires de navires à réduire leur cargaison pour réduire le tirant d'eau.

    - voir graph sur site -

    Les expéditeurs se concentrent sur la marque critique de 15,7 pouces (40 centimètres), un niveau s'il est franchi, empêche les barges de dépasser le point et entraînerait un arrêt de la voie navigable similaire à celui de 2018.

    L'année de l'enfer de l'Allemagne alors que l'hyperinflation énergétique, le manque d'approvisionnement en gaz naturel, les grognements de la chaîne d'approvisionnement et le ralentissement de la croissance économique risquent de faire sombrer l'économie dans la récession. Les malheurs du Rhin pourraient aggraver la détérioration des perspectives économiques, comme indiqué dans "La crise énergétique de l'Allemagne sur le point de s'aggraver alors que les niveaux d'eau du Rhin chutent".

    https://www.zerohedge.com/commodities/rhine-levels-germany-forecast-drop-lower-barges-reduce-cargo

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  38. Le panoptique génétique : nous sommes tous des suspects dans une liste d'ADN, attendant d'être associés à un crime


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 JUILLET 2022 - 05:40
    Rédigé par John et Nisha Whitehead via The Rutherford Institute,


    «Résoudre des crimes non résolus est un objectif noble, mais il occupe une place inférieure dans le panthéon américain des objectifs nobles que la protection de notre peuple contre les recherches policières sans suspicion… Ne vous y trompez pas… votre ADN peut être prélevé et entré dans un base de données ADN nationale si jamais vous êtes arrêté, à tort ou à raison, et pour quelque raison que ce soit… Peut-être que la construction d'un tel panoptique génétique est judicieuse. Mais je doute que les hommes fiers qui ont écrit la charte de nos libertés auraient été si désireux d'ouvrir la bouche à l'inspection royale.
    - Le juge Antonin Scalia dissident dans Maryland c. King

    Soyez prévenu : les détectives de l'ADN sont à l'affût.

    Quels que soient les squelettes qui se cachent dans votre arbre généalogique ou dans votre placard, quels que soient les crimes que vous avez pu commettre, quelles que soient les associations que vous pouvez avoir avec les personnes figurant sur les listes les plus recherchées du gouvernement : l'État policier est déterminé à les débusquer.

    À une époque de surcriminalisation, de surveillance 24 heures sur 24 et d'un État policier désireux de montrer son pouvoir, nous sommes tous coupables d'une transgression ou d'une autre.

    Nous ne pouvons plus nous considérer comme innocents jusqu'à preuve du contraire.

    Maintenant, nous sommes tous des suspects dans une liste d'ADN attendant d'être mis en relation avec un crime.

    État suspect, rencontrez le panoptique génétique.

    La technologie de l'ADN entre les mains des responsables gouvernementaux achèvera notre transition vers un État de surveillance dans lequel les murs des prisons sont déguisés sous les pièges apparemment bienveillants du progrès technologique et scientifique, de la sécurité nationale et de la nécessité de se prémunir contre les terroristes, les pandémies, les troubles civils, etc.

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  39. En accédant à votre ADN, le gouvernement saura bientôt tout ce qu'il ne sait pas encore sur vous : votre tableau de famille, votre ascendance, votre apparence, vos antécédents médicaux, votre tendance à suivre les ordres ou à tracer votre propre chemin, etc.

    Il devient de plus en plus difficile de se cacher, même si vous pensez que vous n'avez rien à cacher.

    Armée d'un accès sans précédent aux bases de données ADN accumulées par le FBI et le site Web d'ascendance, ainsi qu'aux programmes de dépistage néonatal des hôpitaux, la police utilise la généalogie médico-légale, qui permet à la police de faire correspondre l'ADN d'un suspect inconnu sur la scène du crime avec celui de n'importe quel membre de la famille dans une généalogie. base de données, pour résoudre les affaires froides qui sont restées non résolues pendant des décennies.

    En soumettant votre ADN à une base de données généalogique comme Ancestry et 23andMe, vous donnez à la police accès à la constitution génétique, aux relations et aux profils de santé de chaque parent - passé, présent et futur - de votre famille, qu'ils aient ou non accepté faire partie d'une telle base de données.

    Cela n'a même plus d'importance si vous faites partie des dizaines de millions de personnes qui ont ajouté leur ADN aux bases de données d'ascendance. Comme le rapporte Brian Resnick, les bases de données ADN publiques sont devenues si massives qu'elles peuvent être utilisées pour vous trouver même si vous n'avez jamais partagé votre propre ADN.

    Cette simple transaction - un échantillon de crachat ou un prélèvement de joue en échange de tout savoir sur sa composition ancestrale, d'où l'on vient et qui fait partie de sa famille élargie - est le prix d'entrée dans l'État suspect pour nous tous. .

    Après tout, une empreinte ADN révèle tout sur "qui nous sommes, d'où nous venons et qui nous serons". Il peut également être utilisé pour prédire l'apparence physique des suspects potentiels.

    C'est ce que la police aime appeler une « empreinte digitale moderne ».

    Alors que la technologie des empreintes digitales a créé un tournant décisif pour la police dans sa capacité à « casser » une affaire, la technologie de l'ADN est maintenant saluée par les forces de l'ordre comme la solution miracle dans la résolution de crimes, en particulier lorsqu'elle les aide à résoudre des cas froids de meurtres en série et de violeurs. .

    Après tout, qui ne voudrait pas faire sortir les psychopathes et les violeurs en série des rues et les mettre en sécurité derrière les barreaux, n'est-ce pas ?

    Du moins, c'est l'argument utilisé par les forces de l'ordre pour soutenir leur accès illimité à ces bases de données généalogiques, et ils ont les réussites pour le prouver.

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  40. Par exemple, un homme de Pennsylvanie de 68 ans a été arrêté et accusé du viol brutal et du meurtre d'une jeune femme près de 50 ans plus tôt. S'appuyant sur des recherches généalogiques suggérant que le tueur avait des ancêtres originaires d'une petite ville d'Italie, les enquêteurs ont réduit leurs conclusions à un homme dont l'ADN, obtenu à partir d'une tasse de café jetée, correspondait à celui du tueur.

    Dans une autre enquête sur une affaire froide, un homme de 76 ans a été arrêté pour des meurtres vieux de deux décennies après que son ADN ait été prélevé à partir d'un alcootest lors d'un arrêt de la circulation non lié.

    Pourtant, ce ne sont pas seulement les psychopathes et les violeurs en série qui sont pris dans le filet d'enquête. Dans la poursuite des criminels par l'État policier, toute personne qui apparaît comme une possible correspondance ADN - y compris les membres de la famille éloignée - fait soudainement partie d'un cercle de suspects qui doivent être suivis, enquêtés et exclus.

    Les victimes de crimes passés sont également ajoutées à la base de données ADN croissante du gouvernement sur les suspects potentiels. Par exemple, la police de San Francisco a utilisé l'ADN d'une victime de viol, qui figurait dans le dossier d'une agression sexuelle de 2016, pour arrêter la femme pour avoir prétendument été impliquée dans un crime contre les biens qui a eu lieu en 2021.

    Ainsi, la « culpabilité par association » a pris de nouvelles connotations à l'ère technologique où l'on n'est qu'à un échantillon d'ADN d'être considéré comme une personne d'intérêt dans une enquête policière. Comme l'avertit Jessica Cussins dans Psychology Today, "Le combat fondamental - que les données de personnes potentiellement innocentes ne doivent pas être utilisées pour les relier à des crimes sans rapport - a été perdu."

    Jusqu'à récemment, le gouvernement était tenu d'observer au moins certaines restrictions de base sur le moment, l'endroit et la manière dont il pouvait accéder à l'ADN de quelqu'un. Cela a été renversé par diverses décisions de la Cour suprême des États-Unis qui ont annoncé la perte de la vie privée au niveau cellulaire.

    Par exemple, la Cour suprême des États-Unis a statué dans l'affaire Maryland c. King que le prélèvement d'échantillons d'ADN sur un suspect ne viole pas le quatrième amendement. La décision ultérieure de la Cour de laisser subsister la décision de la Cour d'appel du Maryland dans Raynor c. Maryland, qui a essentiellement déterminé que les individus n'ont pas droit à la vie privée en ce qui concerne leur ADN, a rendu les Américains encore plus vulnérables à l'accès, à l'analyse par le gouvernement et stocker leur ADN à leur insu ou sans leur permission.

    Tout s'est dégradé depuis.

    En effet, le gouvernement a été implacable dans ses efforts pour s'emparer de notre ADN, soit par le biais de programmes obligatoires menés en relation avec les forces de l'ordre et les entreprises américaines, en accédant sans mandat à notre ADN familial partagé avec des services généalogiques tels que Ancestry et 23andMe, ou via la collection de notre ADN "shed" ou "touch".

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  41. Préparez-vous, les amis, parce que le gouvernement s'est lancé dans une campagne diabolique pour créer une nation de suspects basée sur une énorme base de données nationale d'ADN.

    Cela a été aidé par le Congrès (qui a adopté une législation permettant à la police de collecter et de tester l'ADN immédiatement après les arrestations), le président Trump (qui a signé la loi Rapid DNA Act), les tribunaux (qui ont statué que la police peut régulièrement prélever des échantillons d'ADN de personnes arrêtées mais pas encore reconnues coupables d'un crime), et les services de police locaux (qui rongent leur frein pour acquérir ce nouveau gadget de lutte contre la criminalité).

    Par exemple, les machines Rapid DNA - portables, de la taille d'une imprimante de bureau, très peu réglementées, loin d'être infaillibles et si rapides qu'elles peuvent produire des profils ADN en moins de deux heures - permettent à la police de partir à la pêche à tout soupçon d'inconduite possible à l'aide d'échantillons d'ADN.

    La journaliste Heather Murphy explique : « Au fur et à mesure que les services de police construisent leurs bases de données ADN locales, ils collectent l'ADN non seulement de personnes accusées de crimes graves, mais aussi, de plus en plus, de personnes simplement considérées comme suspectes, liant en permanence leur identité génétique à bases de données criminelles.

    Les 50 États maintiennent désormais leurs propres bases de données gouvernementales sur l'ADN, bien que les protocoles de collecte diffèrent d'un État à l'autre. De plus en plus, de nombreuses données des banques de données locales sont téléchargées sur CODIS, l'énorme base de données ADN du FBI, qui est devenue un moyen de facto d'identifier et de suivre les Américains de la naissance à la mort.

    Même les hôpitaux se sont mis au jeu en prélevant et en stockant l'ADN des nouveau-nés, souvent à l'insu ou sans le consentement de leurs parents. Cela fait partie du dépistage génétique obligatoire des nouveau-nés du gouvernement. Dans de nombreux États, l'ADN est stocké indéfiniment. Il y a déjà un mouvement en cours pour effectuer le séquençage du génome entier sur les nouveau-nés, apparemment pour aider à diagnostiquer les maladies rares plus tôt et améliorer la santé plus tard dans la vie, ce qui constitue un champ de mines éthique en soi.

    Ce que cela signifie pour ceux qui sont nés aujourd'hui, c'est l'inclusion dans une base de données gouvernementale qui contient des informations intimes sur qui ils sont, leur ascendance et ce qui les attend dans le futur, y compris leurs inclinations à être des suiveurs, des leaders ou des fauteurs de troubles.

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  42. Tout récemment, en fait, la police du New Jersey a accédé à l'ADN d'un échantillon de sang d'un nouveau-né âgé de neuf ans afin d'identifier le père de l'enfant comme suspect dans une agression sexuelle vieille de plusieurs décennies.

    Les ramifications de ce type de profilage ADN sont considérables.

    Au minimum, ces bases de données ADN suppriment tout semblant de confidentialité ou d'anonymat.

    Les possibilités lucratives pour les pirates et les entités commerciales qui cherchent à tirer profit de son dossier biologique sont infinies. On estime que le marché mondial de l'identification humaine devrait atteindre 6,5 milliards de dollars d'ici 2032.

    Ces bases de données génétiques et la technologie génomique nous rendent également beaucoup plus vulnérables aux creeps et aux cyberharceleurs, au profilage génétique et à ceux qui utiliseraient la technologie contre nous.

    Malheureusement, le débat sur la confidentialité génétique - et lorsque l'ADN d'une personne devient un bien public en dehors de la protection de l'interdiction du quatrième amendement sur les perquisitions et les saisies sans mandat - continue d'être loin derrière les empiètements du gouvernement et des entreprises américaines sur nos droits.

    De plus, alors qu'une grande partie du débat public, des efforts législatifs et des contestations judiciaires de ces dernières années s'est concentrée sur les protocoles entourant le moment où la police peut légalement recueillir l'ADN d'un suspect (avec ou sans mandat de perquisition et en cas d'arrestation ou de condamnation), la question de savoir comment gérer « jeter » ou « toucher » l'ADN a largement échappé sans trop de débat ou d'opposition.

    Comme le note la scientifique Leslie A. Pray :

    Nous perdons tous de l'ADN, laissant des traces de notre identité pratiquement partout où nous allons… En fait, les déchets que vous laissez pour le ramassage en bordure de rue sont une mine d'or potentielle de ce type de matériel. Tout cet ADN perdu ou soi-disant abandonné est libre d'être prélevé par les enquêteurs de la police locale dans l'espoir de résoudre des cas insolubles... L'ADN perdu est également gratuit pour être inclus dans une banque de données ADN secrète universelle.

    Cela signifie que si vous avez le malheur de laisser vos traces ADN partout où un crime a été commis, vous avez déjà un fichier quelque part dans une base de données d'État ou fédérale, même s'il peut s'agir d'un fichier sans nom. Comme le prévient Heather Murphy dans le New York Times : « L'avenir de la science-fiction, dans lequel la police peut rapidement identifier les voleurs et les meurtriers à partir de canettes de soda et de mégots de cigarettes jetés, est arrivé… Les empreintes génétiques sont appelées à devenir aussi routinières que l'ancienne gentil."

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  43. Comme l'a averti à juste titre l'opinion dissidente de l'arrêt ADN de la Cour d'appel du Maryland dans l'affaire Raynor : « Une personne ne peut plus voter, participer à un jury ou obtenir un permis de conduire sans ouvrir son matériel génétique à la collecte et à la codification par l'État. ” En effet, en refusant d'entendre l'affaire Raynor, la Cour suprême des États-Unis a donné son approbation tacite aux agents du gouvernement pour collecter l'ADN perdu, en le comparant aux empreintes digitales d'une personne ou à la couleur de ses cheveux, de ses yeux ou de sa peau.

    Ce n'est qu'une question de temps avant que les agents du gouvernement sachent où nous sommes allés et combien de temps nous sommes restés à chaque endroit en suivant notre ADN. Après tout, les scientifiques peuvent déjà suivre le saumon sur des centaines de kilomètres carrés de ruisseaux et de rivières en utilisant l'ADN.

    Aujourd'hui, aidés par la robotique et l'automatisation, le traitement, l'analyse et le reporting de l'ADN prennent beaucoup moins de temps et peuvent fournir toutes sortes d'informations, jusqu'à la couleur des yeux d'une personne et ses proches. Incroyablement, une entreprise se spécialise dans la création de «photos d'identification» pour la police sur la base d'échantillons d'ADN de «suspects» inconnus qui sont ensuite comparés à des individus ayant des profils génétiques similaires.

    Bien sûr, aucune de ces technologies n'est infaillible.

    Les preuves ADN peuvent être erronées, soit par erreur humaine, soit par falsification, soit même par fabrication pure et simple, et cela arrive plus souvent qu'on ne nous le dit.

    Cela revient à un scénario dans lequel nous avons peu ou pas de défense contre les accusations d'actes répréhensibles, en particulier lorsque nous sommes «condamnés» par la technologie, et encore moins de protection contre le gouvernement qui balaie notre ADN de la même manière qu'il balaie nos appels téléphoniques, e-mails et SMS.

    Comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America: The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, ce n'est qu'une question de temps avant que la poursuite par l'État policier des criminels du passé ne se transforme en profilage génétique et en chasse préventive pour les criminels du futur.

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/genetic-panopticon-were-all-suspects-dna-lineup-waiting-be-matched-crime

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    1. Les erreurs exponentielles sont que si vous donnez quelque chose à quelqu'un, ou qu'une personne vous vole ou saisis quelque chose que vous avez touché est retrouvé x années après sur tel ou tel lieu de crime: vous êtes accusé !

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  44. « Ouvrir la voie de l'enfer » : les systèmes d'identification numérique pourraient entraîner des violations graves et irréversibles des droits de l'homme


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 30 JUILLET 2022 - 04:20
    Écrit par Suzanne Burdick,


    Les auteurs d'un nouveau rapport sur les systèmes d'identité numérique ont averti que "les violations réelles et potentielles" des droits de l'homme résultant du modèle d'identification numérique peuvent être "graves et potentiellement irréversibles".

    Le rapport de 100 pages — « Ouvrir la route de l'enfer ? A Primer on the Role of the World Bank and Global Networks in Promoting Digital ID » – publié par le Center for Human Rights and Global Justice de l'Université de New York (NYU) a exhorté les organisations de défense des droits de l'homme à tenir compte des menaces posées par une poussée mondiale en faveur des identifications numériques.

    Les chercheurs de la NYU ont déclaré que de nombreux partisans – y compris la Banque mondiale – présentent les identifiants numériques comme un moyen d'atteindre une plus grande inclusivité et une durabilité environnementale alors qu'en fait, les systèmes sont susceptibles de faire exactement le contraire.

    Selon le rapport, l'identification numérique a été déguisée en « mastodonte imparable et caractéristique inévitable de la modernité et du développement au 21e siècle », provoquant la « radiation des voix dissidentes en tant que luddites et obstacles au progrès ».

    Les auteurs ont plaidé pour un débat ouvert « en toute transparence et impliquant toutes les parties prenantes concernées », y compris les plus marginalisés et les plus vulnérables.

    Les auteurs, dont Christiaan van Veen, L.L.M., conseiller spécial sur les nouvelles technologies et les droits de l'homme auprès des Nations Unies, ont exhorté la communauté des droits de l'homme et les organisations de la société civile concernées à veiller à ce que les décisions mondiales concernant l'adoption de systèmes d'identification numérique ne soient pas prises à la hâte. mais sont basés sur "des preuves et des analyses sérieuses".

    Là où les systèmes d'identification numérique menacent les droits de l'homme, ont déclaré les chercheurs de la NYU, ces efforts devraient être « complètement arrêtés ».

    Qui profite vraiment ?

    "Les gouvernements du monde entier ont investi massivement dans les systèmes d'identification numérique, souvent avec des composants biométriques", ont déclaré les auteurs dans un communiqué.

    Les systèmes d'identification numérique qui collectent fréquemment des données biométriques - telles que les empreintes digitales, l'iris ou d'autres caractéristiques faciales - sont adoptés pour remplacer ou compléter les systèmes d'identification gouvernementaux non numériques.

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  45. Selon un rapport spécial d'Access Now, en Inde en octobre 2021, les systèmes d'identification numérique - ou "programmes Big ID" comme Access Now les a appelés - sont poussés par un marché d'acteurs qui vendent et profitent des systèmes et des infrastructures d'identification numérique, souvent tout en mettant en danger les droits humains des personnes dont ils sont censés bénéficier.

    Les chercheurs de NYU sont arrivés à la même conclusion :

    "La prolifération rapide de ces systèmes est motivée par un nouveau consensus de développement, présenté et promu par des acteurs mondiaux clés comme la Banque mondiale, mais aussi par des gouvernements, des fondations, des fournisseurs et des cabinets de conseil."

    Les partisans de l'identification numérique soutiennent que les systèmes peuvent contribuer à l'inclusivité et au développement durable, certains allant jusqu'à considérer l'adoption de systèmes d'identification numérique comme une condition préalable à la réalisation des droits de l'homme.

    Mais les chercheurs de la NYU ont déclaré qu'ils pensaient que «l'objectif ultime» des systèmes d'identification numérique était de «faciliter les transactions économiques et la prestation de services du secteur privé tout en amenant de nouveaux individus plus pauvres dans les économies formelles et en« déverrouillant »leurs données comportementales».

    "Les promesses d'inclusion et d'économies numériques florissantes peuvent sembler attrayantes sur le papier", ont déclaré les chercheurs, "mais les systèmes d'identification numérique ont constamment échoué à tenir ces promesses dans des situations réelles, en particulier pour les plus marginalisés".

    Les auteurs ont ajouté :

    « En fait, des preuves émergent de nombreux pays, notamment le méga projet d'identification numérique Aadhaar en Inde, des violations graves et à grande échelle des droits de l'homme liées à ce modèle. Ces systèmes peuvent en effet exacerber des formes préexistantes d'exclusion et de discrimination dans les services publics et privés. L'utilisation de nouvelles technologies peut en outre conduire à de nouvelles formes de préjudice, notamment l'exclusion biométrique, la discrimination et les nombreux préjudices associés au "capitalisme de surveillance".

    Les avantages de l'utilisation de l'identification numérique sont "mal définis" et "mal documentés", ont déclaré les auteurs de la NYU.

    "D'après les preuves existantes, il semble que ceux qui en bénéficieront le plus ne soient peut-être pas ceux qui sont" laissés pour compte ", mais plutôt un petit groupe d'entreprises et de gouvernements", ont-ils écrit.

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  46. Ils ont ajouté :

    "Après tout, là où les systèmes d'identification numérique ont eu tendance à exceller, c'est dans la génération de contrats lucratifs pour les entreprises de biométrie et dans l'amélioration des capacités de surveillance et de contrôle des migrations des gouvernements."

    Plus de mal que de bien, en particulier pour les plus marginalisés du monde
    Les auteurs ont fait quatre choses dans leur rapport.

    Premièrement, ils ont examiné l'impact des systèmes nationaux d'identification numérique sur les droits de l'homme et ont fait valoir qu'une analyse coûts-avantages des systèmes d'identification numérique suggère qu'ils font plus de mal que de bien, en particulier pour les personnes les plus marginalisées du monde.

    "Grâce à l'adoption des technologies numériques, la Banque mondiale et un réseau mondial plus large d'acteurs ont promu un nouveau paradigme pour les systèmes d'identification qui donne la priorité à ce que nous appelons" l'identité économique "", ont écrit les auteurs.

    Ils ont ajouté :

    « Ces systèmes se concentrent sur l'alimentation des transactions numériques et la transformation des individus en données traçables. Ils ignorent souvent la capacité des systèmes d'identification à reconnaître non seulement qu'un individu est unique, mais qu'il a un statut juridique avec des droits associés.

    "Pourtant, les partisans ont masqué ce nouveau paradigme dans le langage des droits de l'homme et de l'inclusion, arguant que de tels systèmes aideront à atteindre plusieurs objectifs de développement durable."

    Les auteurs ont ajouté :

    "Comme les routes physiques, les systèmes nationaux d'identification numérique avec des composants biométriques (systèmes d'identification numérique) sont présentés comme l'infrastructure publique de l'avenir numérique.

    "Pourtant, ces infrastructures particulières se sont révélées dangereuses, ayant été liées à des violations graves et à grande échelle des droits de l'homme dans une série de pays à travers le monde, affectant les droits sociaux, civils et politiques."

    Priorité à «l'identité économique»
    Ensuite, les chercheurs ont examiné comment un programme d'« identification pour le développement » piloté par de multiples acteurs mondiaux a vu le jour.

    Ils ont discuté du système d'identification numérique appelé Aadhaar qui est actuellement testé par le gouvernement indien et du système d'identification numérique promu par la Banque mondiale - Identification pour le développement, communément appelé l'Initiative ID4D.

    L'initiative ID4D s'inspire du système d'identification numérique Aadhaar très critiqué en Inde.

    Dans le système Aadhaar, les individus se voient volontairement attribuer un numéro aléatoire à 12 chiffres par l'Unique Identification Authority of India - une autorité statutaire soutenue par le gouvernement indien - qui établit le "caractère unique" des individus à l'aide de technologies démographiques et biométriques.

    Ce modèle d'identification numérique, ont déclaré les auteurs du rapport de la NYU, est dangereux car il donne la priorité à une "identité économique" pour un individu.

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  47. Le modèle ne concerne pas uniquement l'identité d'un individu, a confirmé Joseph Atick, Ph.D., président exécutif de l'influent ID4Africa, une plate-forme où les gouvernements africains et les grandes entreprises du marché de l'identification numérique se rencontrent.

    Il s'agit de leurs interactions économiques, a déclaré Atick.

    Le modèle ID4D "permet et interagit avec les plateformes d'authentification, les systèmes de paiement, les signatures numériques, le partage de données, les systèmes KYC, la gestion du consentement et les plateformes de livraison sectorielles", a annoncé Atick au début de la réunion annuelle 2022 d'ID4Africa à la mi-juin, au Palais de Congrès à Marrakech, Maroc.

    Les auteurs du rapport NYU ont critiqué ce modèle :

    « Le but n'est donc pas tant l'identité que l'identification. Les trois processus interdépendants d'identification, d'enregistrement et d'autorisation constituent un exercice de pouvoir.

    « Grâce à ce processus, un acteur reconnaît ou nie les attributs identitaires d'un autre acteur. Les individus peuvent être responsabilisés par le processus d'identification, mais ces systèmes ont longtemps été utilisés dans le but opposé : refuser des droits à certains groupes et les exclure.

    Troisièmement, les auteurs ont évalué les moindres détails de la manière dont la Banque mondiale et son réseau de partisans des systèmes d'identification numérique ont travaillé pour mettre en œuvre un programme d'« identification pour le développement » dans le monde entier.

    Ils ont expliqué le fonctionnement du financement et de la gouvernance de l'initiative ID4D, et ont affirmé que la Banque mondiale et ses partenaires commerciaux et gouvernementaux «fabriquaient un consensus» en présumant que le passage à un modèle d'identification numérique est inévitable, souhaitable et nécessaire au progrès humain.

    Mais ce "consensus fabriqué" manque de fondement, ont-ils déclaré.

    "Des preuves concrètes et solides des prétendus avantages associés aux systèmes d'identification numérique sont rarement fournies, il est simplement affirmé que l'identification numérique conduira à l'inclusion et au développement", ont écrit les auteurs.

    3 étapes que les défenseurs de la vie privée peuvent suivre
    Enfin, les auteurs ont décrit ce que les organisations de défense des droits de l'homme et d'autres acteurs de la société civile peuvent faire en mettant en évidence trois modes d'action :

    "Pas si vite!" Les organisations peuvent exiger que l'adoption gouvernementale des systèmes d'identification numérique ne soit pas précipitée.
    Les auteurs ont écrit :

    «Avant que tout système d'identification numérique nouveau ou augmenté ne soit déployé à l'échelle nationale, il est essentiel d'établir une base de preuves et de prendre toutes les mesures nécessaires pour anticiper et atténuer les dommages éventuels à l'avance. Des études de base, des recherches sur le contexte spécifique, des analyses coûts-avantages, des analyses d'optimisation des ressources et des évaluations d'impact sont nécessaires et devraient être exigées à chaque étape du processus.

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  48. "Rendez-le public." La conception et la mise en œuvre éventuelle d'un système d'identification numérique doivent faire l'objet de discussions approfondies dans les forums démocratiques, y compris les médias publics et le Congrès ou les parlements.
    "Les organisations de la société civile devraient exiger la transparence en ce qui concerne les plans, les appels d'offres et l'implication des gouvernements étrangers et des organisations internationales", ont-ils déclaré.

    "Nous sommes tous des parties prenantes." Alors que la Banque mondiale se présente comme un conseiller respecté des gouvernements qui devrait être autorisé à façonner et à créer les politiques d'identification numérique des gouvernements, ce n'est qu'un acteur parmi d'autres.
    "Il est important de réaliser", ont écrit les auteurs, "qu'en fin de compte, tout le monde a un intérêt dans les systèmes d'identification, numériques ou autres, qui sont essentiels pour reconnaître les individus et faire respecter leurs droits humains".

    Ils ont ajouté :

    "De plus en plus d'organisations et d'experts commencent à lutter contre la propagation rapide de l'identification numérique dans le monde, des organisations de défense des droits numériques aux groupes représentant les personnes handicapées, et des experts travaillant sur les droits sociaux et économiques aux économistes du développement.

    « Au fur et à mesure que cet éventail d'organisations s'élargit, il sera crucial de partager les expériences, d'apprendre les uns des autres et de coordonner le plaidoyer.

    Les alliances pour les droits de l'homme peuvent « réimaginer » l'« avenir numérique »
    Selon le rapport, des alliances multidisciplinaires et géographiquement diverses peuvent non seulement aider à garantir que les systèmes d'identification numérique ne sont pas déployés "de la manière nuisible décrite dans ce guide", mais peuvent également "aider à réimaginer ce que l'avenir numérique sans le modèle particulier de systèmes d'identification promu par la Banque mondiale et d'autres pourraient ressembler.

    Ils ont dit:

    "Alors que les systèmes d'identification numérique déterminent la forme des gouvernements et des sociétés alors que nous nous précipitons dans l'ère numérique, les questions quant à leur forme et leur conception - et leur existence même en premier lieu - sont essentielles.

    « Quelles visions alternatives pouvons-nous proposer pour mieux protéger les droits de l'homme et préserver les acquis d'innombrables années de lutte pour améliorer la reconnaissance et l'institutionnalisation des droits ?

    « Lorsque nous réunissons des acteurs qui veulent une société où les droits humains de chaque individu et groupe sont protégés, quels types de systèmes d'identification numérique pourrions-nous imaginer ? Comment les systèmes d'identification numérique pourraient-ils être conçus pour véritablement promouvoir le bien-être humain ?

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  49. « En quoi cette vision alternative et respectueuse des droits diffère-t-elle de l'identité économique et transactionnelle décrite ici, telle que promue par la Banque mondiale et d'autres ? En effet, aurions-nous du tout des systèmes d'identification numérisés ? »

    Les auteurs n'ont pas apporté de réponses à ces questions.

    Ils visaient plutôt à "réunir l'excellent travail que nos partenaires, collègues et autres ont entrepris sans relâche dans le monde" et à faciliter la collaboration "pour garantir que l'avenir de l'identification numérique améliore, plutôt qu'il ne compromette, la jouissance des droits de l'homme. ”

    https://www.zerohedge.com/geopolitical/paving-road-hell-digital-id-systems-could-lead-severe-irreversible-human-rights

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  50. (sans titre)

    le 29 juillet 2022

    Les paramètres de l’économie japonaise feraient pâlir plus d’un pays européen. L’inflation est proche de zéro en raison de l’approvisionnement en énergie primaire qui entre dans le cadre de contrats à long terme, charbon, pétrole ou gaz liquéfié. Le chômage est inférieur à trois pour cent de la population active malgré un grand nombre de seniors toujours en activité, ce qui paraît paradoxal. À peine 2 % des jeunes diplômés de cette année ont renoncé à trouver un travail car ils ont choisi de poursuivre des études supérieures plus longues. L’activité industrielle est toujours très dynamique malgré une ralentissement des économies voisines, Chine, Corée. Le secteur du bâtiment est toujours très actif et constitue avec l’automobile et les machines-outils le principal moteur de l’économie. En ce qui concerne les taux d’intérêt, tous les taux à moins de 5 ans d’échéance sont négatifs et le taux de référence des bonds à 10 ans, qui avait évolué aux alentours de 0,25 % est retombé à 0,18 % et dans le même temps le yen s’est raffermi par rapport au dollar ces dernières 24 heures.

    Je ne reviendrai pas sur la dette du Japon car comme chacun sait la transparence est totale puisque les dettes des collectivités locales, des fournisseurs d’énergie électriques et des compagnies de transport, pour ne prendre que ces trois exemples, sont comptabilisées dans le calcul de la dette globale du pays.

    Je ne voudrais pas paraître un oiseau de mauvais augure mais le secteur de l’immobilier comprenant également le marché de la maison individuelle a toujours été scruté de près par les analystes financiers car il s’agit d’un moteur de croissance essentiel pour l’économie. Ne disait-on pas au cours des « trente glorieuses » : quand le bâtiment va, tout va. J’ai pu observer au cours des derniers mois la multitude de chantiers de toutes tailles dans tous les quartiers de Tokyo que j’ai pu traverser en train. C’est tout simplement étonnant. Et l’explication se trouve dans la faiblesse des taux d’intérêt des prêts immobiliers.

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  51. Ce n’est pas le cas en Europe et encore moins aux USA. Considérons donc la première économie du monde et son marché immobilier. Tous les indicateurs sont au rouge aux USA et les passer en revue est riche d’enseignements. Le nombre de mises en chantier est passé en territoire négatif depuis plus d’un an, les taux des prêts sont les plus élevés depuis 2008, le coût annuel des remboursements de ces prêts a augmenté de 80 % en moins d’un an. Pour les ménages la possibilité d’accès à la propriété est la plus faible depuis 1970. Le prix des maisons est plus élevé qu’en 2006-2007. Depuis plus de 40 ans il n’y a plus de « bon moment » pour acheter une maison, les ventes de maisons neuves se sont effondrées ces derniers mois, les ouvertures de dossiers de prêt ont atteint leur niveau le plus bas depuis 22 ans et enfin le coût des garanties inclues dans le calcul de l’inflation est le plus élevé jamais atteint.

    La situation de crise devient donc impossible à éviter d’autant plus que la réserve fédérale, pensant juguler une inflation à deux chiffres, a augmenté son taux directeur de 150 points de base en quelques jours seulement. Vers quoi s’achemine-t-on aux USA ? Vers une crise qui fera paraître celle de 2008 comme un petit grain de sable dans le rouage économique nord-américain. Et comme il se doit ce sont tous les pays occidentaux qui paieront pour cette crise dont la cause première est l’argent facile depuis cette crise de 2008 déversé sans discernement dans l’économie. Cette situation encourage les pays occidentaux, surtout européens, qui se prétendent des démocraties, à prendre des mesures privatrices de libertés, comme la monnaie électronique, le contrôle des changes et des dépenses, la surveillance des comptes en banque et bien d’autres vexations. Tout cela est fait pour masquer la totale incompétence des dirigeants politiques qui n’ont rien trouvé d’autre, comme excuse, d’incriminer la Russie en raison du conflit ukrainien. Demandez à un Américain moyen rêvant de sa maison individuelle ce qu’il en pense, il éclatera se rire …

    https://jacqueshenry.wordpress.com

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