Comment les essais de vaccins truquent régulièrement les résultats
Par le Dr Joseph Mercola Mercola.com 9 juillet 2022
Dans une tournure des événements plutôt choquante, la Food and Drug Administration des États-Unis s'est faufilée dans un programme «Future Framework»1 qui permettra à Pfizer et Moderna de reformuler et de publier des vaccins COVID mis à jour sans effectuer d'essais cliniques humains supplémentaires, autres que ce qui a déjà été fait .2,3,4
La FDA réécrit les règles à la volée
Un vote sur le cadre devait avoir lieu le 28 juin 2022 par le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés (VRBPAC) de la FDA, mais alors que le VRBPAC a approuvé (19-2) un vaccin bivalent contre la COVID pour l'automne 2022,5 les prévisions le vote sur le cadre, en particulier, n'a pas semblé avoir lieu - seulement il l'a fait.
En fin de compte, nous avons encore une fois été trompés par une agence qui ne cesse de réécrire les règles à la volée. Toby Rogers, Ph.D. — un économiste politique dont les recherches portent sur la capture réglementaire et la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques6 — explique comment ils nous ont glissé celui-ci :7
« Hier [June 28], le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés de la FDA a approuvé un vaccin bivalent COVID-19 avec la souche Wuhan et la variante Omicron…
Lors de la réunion, les fabricants (Moderna, Pfizer et Novavax) ont été interrogés sur leurs délais de production… et ils ont dit à haute voix : "Tant que nous n'avons pas à fournir de données cliniques, nous les aurons prêtes d'ici tomber." Personne n'a eu de problème avec ça...
Attendez, attendez, je pensais que la FDA votait sur le Future Framework hier ? La question politique était de savoir si les injections COVID-19 reformulées seraient traitées comme de nouvelles entités moléculaires (ce qu'elles sont), auquel cas elles devraient être soumises à un examen formel ou si les injections reformulées seraient traitées comme « biologiquement similaires » aux injections Covid-19 existantes. et être autorisé à sauter complètement les essais cliniques.
Apparemment, la FDA n'avait pas le droit de vote pour simplement adopter cela comme une question de politique. Si vous demandez à quelqu'un si l'ARNm reformulé représente une nouvelle entité moléculaire, bien sûr que oui, cela nécessiterait donc un examen réglementaire formel.
Ce que la FDA a fait à la place, c'est de passer en contrebande la question politique déguisée en un vote sur les «boosters» reformulés pour l'automne.
Essentiellement, la FDA vient de commencer à faire le Future Framework (choisir des variantes bon gré mal gré, sauter des essais cliniques) et a essentiellement osé les membres du comité de refuser une dose de rappel - sachant que tous les membres du VRBPAC sont triés sur le volet parce qu'ils n'ont jamais rencontré un vaccin qu'ils n'aimaient pas.
Donc, bien sûr, seules deux personnes du comité ont eu le courage de refuser une dose de rappel – même si elle était basée sur ce processus absurde (qui n'a jamais été formellement adopté) où il n'y avait littéralement aucune donnée du tout… Par furtivité, la FDA a remplacé un système basé sur des preuves avec un système entièrement basé sur la croyance.
La pire idée de l'histoire de la santé publique
La décision de publier des injections d'ARNm reformulés sans essais cliniques supplémentaires est de loin le pire développement à ce jour et a le pouvoir de changer radicalement la science médicale à l'avenir.
Non seulement des injections de COVID complètement non testées seront produites, mais ce «cadre» pourrait également, au fil du temps, être élargi pour inclure d'autres vaccins et médicaments que les fabricants de médicaments pourraient vouloir bricoler. Heck, cela pourrait même abaisser les normes pour les essais de médicaments en général, qui ont historiquement nécessité au moins 10 ans de tests en plusieurs phases.8
Dans un article de Substack du 31 mai 2022, Rogers a expliqué l'origine et le but de cette proposition incroyablement dangereuse :9
"Pfizer et Moderna ont un problème - leurs injections d'ARNm COVID-19 n'arrêtent pas l'infection, la transmission, l'hospitalisation ou la mort du virus SARS-CoV-2. Tout le monde le sait… Pfizer et Moderna gagnent environ 50 milliards de dollars par an sur ces clichés et ils veulent que cela continue.
Ils doivent donc reformuler les plans. Peut-être cibler une nouvelle variante, peut-être changer certains des ingrédients – qui sait, ces plans ne fonctionnent pas, donc on ne sait pas ce qu'il faudra pour les faire fonctionner. C'est un problème car les injections reformulées signifient de nouveaux essais cliniques et un nouvel examen réglementaire par la FDA.
Il y a une chance décente que tout vaccin reformulé échoue à un nouvel essai clinique et le public est profondément sceptique à l'égard de ces vaccins, de sorte que l'examen minutieux serait intense.
Pfizer et Moderna ont donc trouvé un moyen d'utiliser la capture réglementaire pour faire approuver leurs injections COVID-19 reformulées SANS autres essais cliniques. Leur programme s'appelle le «Future Framework»… Le but du «Future Framework» est de truquer le processus de réglementation du vaccin COVID-19 à perpétuité en faveur de l'industrie pharmaceutique.
Si ce «Future Framework» est approuvé, tous les futurs vaccins COVID-19, quelle que soit la formulation, seront automatiquement considérés comme «sûrs et efficaces» sans essais cliniques supplémentaires, car ils sont considérés comme «biologiquement similaires» aux vaccins existants.
C'est littéralement la pire idée de l'histoire de la santé publique. Si vous modifiez une seule molécule d'ARNm dans ces injections, cela modifiera les résultats pour la santé d'une manière que personne ne peut anticiper. Cela nécessite nécessairement de nouveaux essais cliniques – ce que la FDA propose de sauter…
La FDA a autorisé les injections COVID-19 pour les enfants les 14 et 15 juin. Donc, si la FDA approuve le «Future Framework» le 28 juin, les injections qui seront administrées aux enfants (et aux Américains de tous âges) à l'automne seront les des injections reformulées qui ont sauté les essais cliniques.
Le SRAS-CoV-2 est un horrible candidat vaccin, et ils le savent
Avant de continuer, passons en revue un facteur important qui a tendance à se perdre. Comme l'a expliqué Rogers10, « les virus qui évoluent rapidement sont de mauvais candidats pour un vaccin », pour la simple raison qu'ils mutent plus rapidement que le développement de vaccins ne peut suivre.
C'est pourquoi nous n'avons pas de vaccin contre le rhume. C'est aussi pourquoi toutes les tentatives précédentes de développement d'un vaccin contre le coronavirus ont échoué. Ces études n'ont jamais dépassé les essais sur les animaux. Les vaccins ont provoqué une amélioration dépendante des anticorps, rendant les animaux plus malades que la normale lorsqu'ils sont exposés au virus.
La plupart des gens ne savent pas que le SRAS-CoV-2 mute à un rythme deux à 10 fois plus rapide que le virus de la grippe,11,12 et ces mutations peuvent réduire considérablement l'efficacité du vaccin. En effet, nous l'avons vu à la fois avec le vaccin contre la grippe saisonnière et les vaccins COVID. Lorsque vous vaccinez contre un virus à mutation rapide, vous courez également le risque de le forcer à prendre une forme plus virulente et/ou résistante aux vaccins. Comme l'a noté Rogers :
"Le "comité consultatif d'experts" de la FDA (VRBPAC) s'est réuni le 6 avril 2022 pour discuter du "Future Framework" pour la première fois. Tous les membres du comité ont convenu que les injections de COVID-19 ne fonctionnent pas, qu'il n'est pas possible de les booster plusieurs fois par an et que les injections doivent être reformulées.
Ils ont également convenu à l'unanimité qu'il n'y a pas de « corrélats de protection » que l'on puisse utiliser pour prédire quels niveaux d'anticorps seraient suffisants pour prévenir l'infection par le SRAS-CoV-2. »
À présent, le VRBPAC doit savoir que la seule voie à suivre, vraiment, est de retirer les vaccins COVID et de se concentrer sur la thérapeutique. Mais ils ne font pas ça. Au lieu de cela, ils doublent une stratégie qui a échoué. En plus de cela, ils aggravent encore la situation en renonçant aux essais cliniques. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que cela posera de graves risques pour la santé publique. Je suis d'accord avec Rogers, qui a dit :13
"Pensez-y. Plus vous mettez d'ARNm dans une injection, plus le taux d'événements indésirables est élevé (car l'ARNm génétiquement modifié détourne la cellule et commence à produire des protéines de pointe). Donc, si Pfizer et Moderna mettent plus d'ARNm dans ces injections (afin de couvrir plusieurs variantes), les taux d'événements indésirables monteront en flèche.
Mais si Pfizer et Moderna mettent moins d'ARNm par variante dans un tir (afin de maintenir la quantité totale d'ARNm à 100 mcg pour Moderna et 30 mcg pour Pfizer), alors l'efficacité contre une variante particulière sera réduite. L'échec du Future Framework est garanti à 100 %. »
Ils truquent aussi l'efficacité
La FDA insiste également sur le fait qu'en raison des contraintes de temps, l'évaluation de l'efficacité doit reposer sur « des mesures autres que les résultats réels sur la santé ».14 En d'autres termes, le fait que les injections réduisent réellement votre risque de maladie grave, d'hospitalisation et de décès n'aura aucune incidence.
La seule mesure qui sera prise en compte est de savoir si le jab déclenche ou non une augmentation des niveaux d'anticorps, ce qui n'a jamais été prouvé comme offrant une protection significative. Cela signifie également que tant que les niveaux d'anticorps sont à travers le toit, le taux de mortalité pourrait également être à travers le toit, et les piqûres seront toujours utilisées, car cela ne fait pas partie de l'équation.
L'accent mis sur les niveaux d'anticorps à l'exclusion de tout le reste peut en fait se retourner contre eux. Les données de l'essai de Moderna suggèrent que le vaccin vous rend en fait plus susceptible de répéter les infections en raison de l'inhibition des anticorps contre une partie particulière du virus.
Une étude pré-imprimée15,16 publiée sur medRxiv le 19 avril 2022, a trouvé des participants adultes à l'essai de Moderna qui ont reçu la véritable injection, et ont ensuite contracté une infection percée, n'ont pas généré d'anticorps contre la nucléocapside - un composant clé du virus - aussi souvent que ont fait ceux du bras placebo.
Les receveurs de placebo ont produit des anticorps anti-nucléocapside deux fois plus souvent que ceux qui ont reçu le vaccin Moderna, et leur réponse anti-nucléocapside était plus importante quelle que soit la charge virale. En raison de leur réponse anticorps inhibée, ceux qui ont reçu le vaccin peuvent être plus sujets aux infections répétées au COVID.
Ces résultats sont en outre corroborés par les données de la U.K. Health Security Agency. Il publie des données hebdomadaires de surveillance du vaccin COVID-19, y compris les niveaux d'anticorps anti-nucléocapside. Le rapport17,18 pour la semaine 13, publié le 31 mars 2022, montre que les individus infectés par le COVID avec des infections percées ont en effet des niveaux inférieurs de ces anticorps.
Il y a beaucoup de choses que nous ignorons sur ce virus, ces injections et l'interaction entre elles. Ainsi, permettre aux fabricants de vaccins de reformuler les vaccins sans essais cliniques est une recette pour un désastre. Pour plus de clarté, les anticorps censés offrir une protection contre le COVID sont les anticorps contre la protéine de pointe et le domaine de liaison au récepteur (RBD).19 Mais cette étude suggère que les anticorps contre d'autres parties du virus peuvent jouer un rôle tout aussi important, et au moins l'un des ils sont inhibés plutôt que stimulés, ce qui entraîne une situation où vous pouvez être réinfecté à maintes reprises.
La morale de l'histoire ici est qu'il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas sur ce virus, ces coups de feu et l'interaction entre eux. Ainsi, permettre aux fabricants de vaccins de reformuler les vaccins sans essais cliniques est une recette pour un désastre.
Les essais de vaccins sont régulièrement truqués
Au fil des ans, nous avons vu de nombreux exemples de la façon dont les essais de vaccins sont truqués, et ce que la FDA propose maintenant n'est en réalité qu'une extension et une formalisation extrêmes de ce truquage. Par exemple, en 2017, une enquête de huit mois menée par le magazine Slate20 a révélé que les essais de vaccins contre le VPH « n'étaient pas conçus pour évaluer correctement la sécurité ».
Dans un rapport interne sur le Gardasil 9, obtenu grâce à une demande de la Freedom of Information Act (FOIA), l'Agence européenne des médicaments (EMA) avait en fait attiré l'attention sur certains de ces problèmes, affirmant que l'approche de Merck était "non conventionnelle et sous-optimale" et qu'elle laissait « incertitude » quant à la sécurité de Gardasil. Pourtant, rien n'a été fait à ce sujet.
Puis, en 2020, le Dr Peter Gøtzsche - médecin-chercheur danois, professeur et cofondateur de la Cochrane Collaboration et du Nordic Cochrane Center - et deux collègues ont publié une revue et une méta-analyse21 des données de 24 essais de vaccins contre le VPH. Le magazine Slate a également rapporté ces découvertes.22
Encore une fois, la conclusion était que les essais sur le VPH avaient mis la sécurité en veilleuse en ne procédant pas à des tests de sécurité appropriés. Pourtant, pour citer le magazine Slate, "Les résultats n'affectent pas les recommandations officielles de se faire vacciner." Selon Gøtzsche et ses coauteurs :23
« Nous avons jugé que les 24 études présentaient un risque élevé de biais. Les préjudices graves ont été signalés de manière incomplète pour 72 % des participants (68 610/95 670). Presque tous les participants témoins ont reçu des comparateurs actifs (48 289/48 595, 99 %). Aucun rapport d'étude clinique ne comprenait de formulaires de rapport de cas complets…
À 4 ans de suivi, les vaccins contre le VPH ont réduit les précurseurs du cancer liés au VPH et les procédures de traitement, mais ont augmenté les troubles graves du système nerveux (analyse exploratoire) et les dommages généraux.
Comme les essais inclus ont été principalement conçus pour évaluer les avantages et n'ont pas été conçus de manière adéquate pour évaluer les inconvénients, la mesure dans laquelle les avantages des vaccins contre le VPH l'emportent sur leurs inconvénients n'est pas claire.
Ne pas enregistrer les blessures, ou les enregistrer de manière incorrecte (par exemple, lister une blessure comme une condition préexistante), est une tactique courante utilisée pour falsifier les résultats et faire apparaître un vaccin plus sûr qu'il ne l'est. Une autre stratégie courante consiste à exclure tout paramètre qui s'avère problématique, y compris les participants blessés.
Parce qu'il s'agit d'une astuce si courante, le fait que 3 000 des 4 526 enfants (âgés de 6 mois à 4 ans) inscrits à l'essai pédiatrique COVID de Pfizer aient été exclus est un énorme drapeau rouge.24 Encore plus suspect est le fait que Pfizer ne expliquer pourquoi les deux tiers des enfants ont été abandonnés.
L'Organisation mondiale de la santé est à l'origine de l'idée de lancer la sécurité
Cependant, la FDA n'a pas inventé l'idée du "Future Framework" toute seule. Selon Rogers, l'Organisation mondiale de la santé et d'autres noms prévisibles sont les véritables cerveaux :25
«Je n'ai pas compris jusqu'à ce que… j'ai commencé à écrire cet article, que tout ce« cadre du futur »vient en fait de l'OMS. La Fondation Bill & Melinda Gates est le plus grand contributeur volontaire de l'OMS. Gates dirige donc probablement la pièce.
Gates exige que l'OMS utilise la société de conseil McKinsey, il s'agit donc probablement d'une opération McKinsey (et McKinsey travaille également pour Pharma, il s'agit donc d'un énorme conflit d'intérêts). Comme le souligne Naomi Wolf, l'implication de l'OMS soulève également des questions troublantes sur l'influence du Parti communiste chinois sur ce processus.
Dès janvier, la junte OMS/Gates/McKinsey s'est rendu compte que ces tirs étaient terribles et ils ont donc décidé d'en profiter pour s'emparer d'encore plus de pouvoir et de contrôle.
L'OMS a mis en place un groupe consultatif technique sur la composition des vaccins COVID-19 (TAG-CO-VAC) pour mettre en œuvre ces «futurs cadres» orwelliens dans le monde développé afin de réduire les coûts de fabrication pour Pharma et d'éviter des données de santé gênantes qui pourraient nuire aux bénéfices. Tous les messages que nous avons vus de la FDA et divulgués à la presse ont été initialement développés et publiés par TAG-CO-VAC.
Nous devons rejeter tous les futurs tirs d'ARNm
Cette débâcle COVID – de ses débuts de tests PCR frauduleux à ces injections COVID extrêmement dangereuses et à la négligence intentionnelle des fabricants de vaccins et des autorités sanitaires – est l’exemple le plus choquant d’une entreprise criminelle que j’aie jamais vue. Rien d'autre ne se rapproche même.
Et la cerise sur le gâteau proverbiale qui prouve que rien de tout cela n'est accidentel ou causé par l'ignorance est cet effacement sournois et sournois de l'exigence d'essais cliniques pour tous les futurs vaccins COVID au nom de l'opportunité. Le COVID-19 n'est pas une condamnation à mort, loin de là. Donc, il n'y a pas besoin d'opportunisme. Et comme il n'y a pas besoin d'opportunisme, il n'est pas non plus nécessaire d'accepter des dommages collatéraux sous la forme de blessures et de décès liés aux piqûres COVID.
Alors, pourquoi font-ils cela ? C'est la question à un million de dollars, et les réponses les plus évidentes sont toutes dérangeantes à l'extrême. Au mieux, ils ne se soucient pas du nombre de personnes, y compris des enfants, qui souffrent et meurent. Au pire, l'intention est de réduire considérablement la population par des effets néfastes sur la fertilité, la réduction de la durée de vie et la mort à court terme.
Pour nous sauver, en effet, pour sauver l'humanité, nous devons rejeter tous les tirs d'ARNm, présents et futurs. Et pas seulement les plans COVID, mais aussi tous les autres qui sont en préparation, car s'ils sont prêts à ignorer une fois les protocoles de sécurité les plus élémentaires, vous pouvez être sûr qu'ils le feront à nouveau.
Lésiner sur l'évaluation de la sécurité a été la norme secrète pendant des décennies, et maintenant ils tentent de formaliser ce processus en utilisant la furtivité et la subversion. Les premiers vaccins COVID n'ont même pas encore terminé leurs essais, et ils veulent que vous croyiez que ces essais incomplets sont suffisants pour « prouver » que toutes les reformulations futures sont également « sûres et efficaces » !
Nous avons également vu comment les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont déclaré qu'ils n'avaient vu aucun signal de sécurité dans les données, pour découvrir plus tard que la raison pour laquelle ils n'en avaient pas trouvé était parce qu'ils n'avaient jamais réellement cherché.26
Ce n'est rien de moins que de la folie, et au cours des deux dernières années, les agences gouvernementales ont prouvé qu'elles n'allaient pas mettre un terme à la folie. Non, ils vont pousser cette expérience aussi loin qu'elle ira, c'est-à-dire jusqu'à ce que partout les gens disent « non plus » et laissent tous leurs stocks pourrir.
Il y a de l'aide si vous avez pris le jab
En conclusion, si vous avez déjà pris un ou plusieurs vaccins COVID et que vous le regrettez maintenant, premièrement, la mesure la plus importante que vous puissiez prendre est de ne plus prendre de vaccins, et cela inclut les vaccins conventionnels et tout autre ARNm ou injections à base de gènes aussi bien.
Ensuite, si vous pensez que votre santé a pu être affectée, consultez le protocole de traitement post-vaccinal de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), I-RECOVER,27 que vous pouvez télécharger sur covid19criticalcare.com dans plusieurs langues différentes.
Sources and References
1 FDA Briefing Document June 28, 2022 2, 14 The Defender June 27, 2022 3 The Epoch Times June 28, 2022 (Archived) 4 New York Times June 27, 2022 (Archived) 5 The Defender June 29, 2022 6 Brownstone Institute June 22, 2022, Author’s Bio 7 uTobian June 29, 2022 8 Phrma.org Biopharmaceutical research and Development 9, 10, 12, 13 uTobian Substack May 31, 2022 11 VRBPAC Meeting Comments by Trevor Bedford, April 6, 2022 15 medRxiv April 19, 2022 DOI: 10.1101/2022.04.18.22271936 16, 18 The Defender May 4, 2022 17 UK Health Security Agency COVID-19 Vaccine Surveillance Report Week 13 19 CDC.gov MMWR December 10, 2021; 70(49): 1700-1705 20 Slate December 17, 2017 21, 23 BMC Systematic Reviews 2020; 9: article number 43 22 Slate March 11, 2020 24 Rumble June 17, 2022 25 uTobian June 26, 2022 26 Jackanapes Substack June 16, 2022 27 FLCCC I-RECOVER Post-Vaccine Treatment Protocol (PDF)
La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales.
Par Dr Gérard Delépine Mondialisation.ca, 09 juillet 2022 docteur.nicoledelepine.fr
Ce pays d’Amérique latine de 32 millions d’habitants a été un élève particulièrement obéissant de l’OMS et a appliqué sa stratégie « interdiction de la chloroquine et des autres traitements précoces. Tout vaccin ».
L’Algérie, pays du Maghreb de 45,5 millions d’habitants a appliqué le traitement précoce prôné par le professeur Raoult et les pays d’Afrique subsaharienne, souffrant chroniquement du paludisme, ont poursuivi l’utilisation des antipaludéens.
Après plus de 2 ans, l’échec des vaccins au Pérou est dramatique alors que l’Algérie comme les pays africains utilisant les antipaludéens ont traversé l’épidémie sans beaucoup en souffrir. Rappelons les faits avérés publiés par l’OMS et mis en figures par l’université John Hopkins.
La vaccination n’a pas protégé les Péruviens de la maladie Début 2022, le Pérou a enregistré plus de 70 000 nouveaux cas en une seule semaine, dépassant les sommets atteints lors des première et deuxième vagues de la « pandémie ».
- voir graph sur site -
Vaccinés mais pas protégés !
La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85% des habitants, dont plus de 95% des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).
À l’opposé, les pays Africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts covid. Leurs mortalités cumulées ne sont pas les 200 par million !
- voir graph sur site -
Par million d’habitants les mortalités constatées dans les pays africains adeptes des traitements précoces sont 200 à 400 fois inférieures à celle du Pérou confirmant la catastrophe sanitaire du tout vaccin.
- voir graph sur site -
Qui peut encore croire que les pseudo vaccins vont résoudre le problème Covid ou qu’ils protègent des formes graves et de la mort ?
La source originale de cet article est docteur.nicoledelepine.fr
Amazon, Bill Gates et la Chine achètent des terres partout aux États-Unis en prévision du programme Great Reset
Vendredi 08 juillet 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Amazon, Bill Gates et la Chine communiste achètent des propriétés partout aux États-Unis pour créer des camps de concentration en vue de la Grande Réinitialisation.
« Qu'est-ce qu'ils prévoient ? … Eh bien, ils prévoient de construire des camps. Ils prévoient de construire des camps FEMA », a averti Josh Sigurdson de World Alternative Media. « Je pense qu'il est assez clair à ce stade qu'ils préparent les camps, ils préparent les camps de la FEMA, ils préparent la propriété pour créer… des aliments OGM pour les rations alimentaires à venir, qui arriveront très bientôt… parce qu'ils sont contrôlés et effondrent la chaîne d'approvisionnement.
Amazon modifie son modèle commercial en prenant en charge l'acquisition et le développement de propriétés en interne Malgré la réduction drastique de la superficie de son entrepôt ces derniers mois en raison de la flambée des coûts de l'énergie et de la main-d'œuvre, Amazon continue d'acheter des terrains et des propriétés partout aux États-Unis.
Amazon étend son empire immobilier depuis 2020, lorsque la société déjà gargantuesque a commencé à rechercher des biens sur les principaux marchés américains. L'un des achats les plus récents d'Amazon est un terrain de 193 acres à l'extérieur de Round Rock, au Texas. Jusqu'à présent, Amazon a acheté environ 4 000 acres de terres vides depuis 2020.
Amazon comptait beaucoup sur les développeurs pour trouver, acheter et construire de nouveaux bureaux et entrepôts sur différentes propriétés. Maintenant qu'Amazon prend en charge une grande partie du processus d'acquisition et de développement de propriétés en interne, il pourra éloigner les regards indiscrets de ses propriétés foncières et avoir beaucoup plus de contrôle sur la façon dont ses nouvelles propriétés sont développées.
Bill Gates, Chine, achète des terres agricoles partout en Amérique Le groupe Fufeng, une société basée à Shandong, en Chine, spécialisée dans la production d'exhausteurs de goût et de substituts de sucre, vient de payer 2,6 millions de dollars pour acheter 300 acres de terres agricoles à Grand Forks, dans le Dakota du Nord.
Par coïncidence, ce terrain est situé près d'une base de l'armée de l'air qui abrite une technologie de drone sensible.
"La Chine veut sans aucun doute des informations sur les drones américains et est heureuse de posséder des terres aux États-Unis", a écrit Joe Hoft pour le Gateway Pundit.
Il convient également de noter que Grand Forks se trouve à seulement 40 miles de Grafton, où une société à responsabilité limitée appartenant à Bill Gates a récemment payé 13 millions de dollars pour plus de 2 000 acres de terres agricoles de pommes de terre de première qualité. (Connexe: Bill Gates a obtenu l'autorisation légale d'acheter 2 100 acres de terres agricoles dans le Dakota du Nord.)
Le géant de la technologie a dû se battre bec et ongles pour que l'achat du terrain par sa LLC soit approuvé, y compris en combattant la loi de l'État devant les tribunaux. Tout cet incident a été très mal accueilli par les habitants du Dakota du Nord.
"J'en ai entendu parler de partout dans l'État, ce n'est même pas de ce quartier", a déclaré le commissaire à l'agriculture du Dakota du Nord, Doug Goehring, lors d'une interview avec une chaîne de télévision locale. "Ces gens sont bouleversés, mais il y en a d'autres qui sont juste furieux à ce sujet."
Ce n'est que la dernière acquisition foncière de Gates. Le technocrate milliardaire est déjà considéré comme le premier propriétaire privé de terres agricoles aux États-Unis. Il possède actuellement plus de 270 000 acres de biens immobiliers agricoles. Cela rend toutes les terres que Gates possède deux fois plus grandes que le territoire américain de Guam dans le Pacifique occidental.
Regardez cet épisode de "World Alternative Media" alors que l'animateur Josh Sigurdson parle des camps de concentration qu'Amazon, Bill Gates et la Chine communiste construisent aux États-Unis.
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Amazon rachète d'énormes propriétés foncières industrielles à travers les États-Unis, même si cela réduit la superficie des entrepôts… que prévoient-ils ?
Pendant ce temps, la Chine communiste rachète les terres agricoles américaines.
Bill Gates révèle les raisons des achats massifs de terres agricoles : Développer des cultures génétiquement modifiées pour développer des biocarburants.
Dès lors qu'ils achètent des terres pour rien n'y produire c'est dans le but criminel d'affamer la population. Empêcher les gens de se nourrir !! Des terres à l'abandon vont être rapidement envahies de ronces et de buissons puis d'arbres et, pour remettre ces terres en état d'être exploitées il faudra beaucoup de Bulldozer et beaucoup d'argent.
Programme mondialiste : guerres, famine et numérisation pour ouvrir la voie à une grande réinitialisation
vendredi 08 juillet 2022 par: Mary Villareal
(Natural News) Les gens ont été conditionnés par la propagande massive du Forum économique mondial (WEF) et de la Fondation Rockefeller à un point tel que beaucoup ne peuvent pas détecter la différence entre la vérité et les mensonges. Et s'ils le font, ils sont plus susceptibles de croire les mensonges colportés par les médias de masse sous le contrôle des élites mondiales.
Dans ce monde chaotique à l'envers, l'injustice est la justice, la guerre est la paix et le bien et le mal sont réversibles à volonté. Cette façon de penser dure depuis des décennies, mais à des doses pour la plupart ignorées que beaucoup s'autorisent à rester dans leur zone de confort si le problème ne les affecte pas directement.
Accueillir des réfugiés est un exemple de la façon dont la perception peut être déformée. Les îles méditerranéennes, par exemple, ont été envahies par des réfugiés au fil du temps, de nombreux Africains et Asiatiques fuyant leurs propres maisons. Cependant, en raison de la couleur de leur peau, ils ont été victimes de discrimination et sont restés dans la pauvreté, mendiant et chassés des hôtels et des restaurants. Même les policiers les empêchent de mendier dans les rues.
Cependant, lorsque les Ukrainiens à la peau blanche ont fui après que la Russie a attaqué leur pays, les « réfugiés » ukrainiens ont été considérés comme des priorités, les hôtels de certaines villes européennes annonçant leur soutien.
Trois jours seulement après l'attaque russe contre l'Ukraine, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré dans un communiqué qu'elle "marque un tournant dans l'histoire de notre continent".
Scholz a fustigé le sang-froid et la cruauté du président russe Vladimir Poutine dans sa guerre d'agression, qui, selon lui, ne peut être justifiée. Cependant, il n'a pas fait les mêmes proclamations sur les invasions américaines de la Syrie, de l'Iran, du Pakistan, de Cuba, du Venezuela et d'autres pays. (En relation: Le Forum économique mondial cherche un contrôle absolu sur les populations mondiales, exige la consolidation du pouvoir.)
Guerres, famines, numérisation
La Fondation Rockefeller a prédit des pénuries alimentaires il y a plus de 10 ans, ce qui signifie que tout ce qui peut arriver dans les 12 à 24 prochains mois ne peut pas être causé par la seule Russie. Cela fait partie du plan de la cabale pour créer la peur et la misère et pour aller de l'avant avec leur programme de grande réinitialisation.
Bien sûr, la définition publique de l'initiative Great Reset n'exprime pas d'événements de mort de masse. Le site Web du WEF insiste sur le fait qu'il a simplement un ensemble de dimensions à construire et "un nouveau contrat social qui honore la dignité de chaque être humain". Les élites mondiales disent également qu'elles utilisent leur plate-forme pour "une collaboration et une coopération éclairées entre toutes les parties prenantes", qui, selon elles, a fait ses preuves depuis plus de cinq décennies.
«Le Forum offre désormais son expérience dans la création de communautés axées sur un objectif au service du défi et de l'opportunité extraordinaires auxquels le monde est confronté pour une grande réinitialisation. Le Forum fournit une plate-forme sans précédent pour créer, façonner et fournir des solutions collaboratives pour l'avenir », ont affirmé les élites mondiales.
Reste à savoir si cet « avenir » est pour le bien de l'humanité ou pour eux seuls. Après tout, la Fondation Rockefeller et le WEF ont forcé les vaccinations sans expliquer clairement ce qu'il y a dans les vaccins - bien qu'il y ait eu des preuves que les vaccins COVID-19 font partie du programme d'eugénisme massif prévu de longue date.
Cela ressemble à l'éradication des "mangeurs inutiles", comme le conseiller principal de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari, a qualifié les personnes "inaptes" d'aujourd'hui. (En relation: Le Forum économique mondial veut que les grands gouvernements, les grandes banques et les grandes entreprises vaccinent le monde.)
De plus, la plupart des gens sont inconscients des choses qui sont encore à venir - les restrictions sévères, les mandats et l'élimination des droits de l'homme et des libertés individuelles parmi eux.
Il existe de nombreuses formes de numérisation, mais la plus néfaste est l'utilisation de la réponse rapide ou des codes QR qui peuvent stocker jusqu'à 30 000 informations sur les personnes. Il n'y a pas de limite à son expansion potentielle.
Les codes QR peuvent être utilisés pour numériser l'argent et toutes les transactions, y compris les achats, les paiements, les voyages, les contrats de service et même les dossiers médicaux. Il s'agit d'une forme d'optogénétique de contrôle total du cerveau que beaucoup pensent que les élites utiliseront pour convertir les "mangeurs inutiles" en rien de plus que de simples biens communs qui existent uniquement pour leur bénéfice.
Visitez GreatReset.news pour plus d'informations sur l'agenda du WEF.
Regardez la vidéo pour en savoir plus sur le Forum économique mondial et comment il peut prendre le pouvoir pour gouverner le monde.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Le Forum économique mondial simule une cyberattaque mondiale qui pourrait entraîner une « grande réinitialisation ».
Le NY Times dit que "Great Reset" est une "théorie du complot" le jour même où le Forum économique mondial le célèbre.
Le Forum économique mondial veut que tous ceux qui résistent à la grande réinitialisation soient contraints de se rendre dans des «camps de rééducation» à la chinoise.
Le Forum économique mondial et Soros se rallient à l'Ukraine : supprimer la connexion avec Poutine (vidéo).
Bill Gates, l'OMS, le Forum économique mondial font partie d'un réseau criminel de conspirateurs COVID,
La majorité de la population ne voit pas plus loin que le bout de son nez ! Ils et elles font des provisions. Whôaw ! Des 'provisions' pour combien de temps ? 3 mois ?! 6 mois ?!... Et après ?... Après ? après ils crèvent. Ils attendent que les cailles tombent toutes rôties ! Ils ou elles pensent s'en sortir !!! en... cultivant des salades et plants de tomates en pots de fleurs sur le balcon !! HAHAHAHAHA !
Premièrement, le 'pot de fleurs' (en terre cuite ou plastique) c'est la mort de la plante. Deuxièmement une plante n'aime pas être bougée chaque jour pour passer le balai, la serpillière ou l'aspirateur. Puis elles n'aiment pas être tournées tantôt face Nord, tantôt face Sud, ou Est ou Ouest ! Troisièmement, ce qui tue la plante c'est de mettre les racines au chaud (plein soleil) ou au froid (quand il gèle dehors le froid entoure le pot et tue les racines).
Une plante c'est fait pour être plantée EN PLEINE TERRE ! UNIQUEMENT en pleine terre. Les racines seront alors à l'abri du soleil et du froid.
Le risque de pénurie menace la cohésion sociale l’hiver prochain
Par Olivier Renault Mondialisation.ca, 08 juillet 2022 Observateur continental
La France lance son plan d’économie de guerre pour conserver la cohésion sociale. Le gazoduc Nord Stream 1, celui qui suit le parcours de Nord Stream 2 (qui n’a toujours pas été mis en service), sera arrêté pour effectuer la maintenance à partir de la mi-juillet. C’est une action qui a lieu chaque année. Mais, cette fois, en raison des sanctions de l’Occident contre la Russie, les experts redoutent que Moscou décide de ne plus ouvrir plus Nord Stream 1, faisant plonger l’UE dans une pénurie qui va, selon les observateurs, menacer la cohésion sociale et politique. En Russie, mais aussi en France, les autorités organisent une économie de guerre.
Des mesures de rationnement. Les patrons des trois énergéticiens français TotalEnergies, EDF et Engie ont appelé fin juin les Français à réduire immédiatement leur consommation de carburant, de pétrole, d’électricité et de gaz face au risque de pénurie menaçant «la cohésion sociale» l’hiver prochain. «Les livraisons de gaz russe par gazoduc ont fortement baissé pour certains pays, dont la France. Bien qu’en augmentation, les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) sont aujourd’hui encore trop limitées pour compenser ces baisses», avertissent les trois énergéticiens, signalant que «des mesures de rationnement sont mises en place dans certains pays». Ils rappellent que «nos marchés sont interdépendants» et qu’ «il faut également agir à l’échelle de l’Europe et être solidaires» car «cette interconnexion européenne, électrique et gazière est plus fondamentale que jamais».
Les importations venues de Russie représentent 65 % de la consommation de gaz de l’Allemagne, 29 % pour l’Italie et 19 % pour la France. Une implosion sociale dans un des pays de l’UE et le feu de la révolte sociale risque de se répandre dans les pays voisins. Jean-François Carenco, le président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), qui vient de quitter sa fonction, tirait la sonnette d’alarme en mars dernier: «Il faut économiser du gaz et de l’électricité en France dès maintenant sinon cela pourrait mal se passer l’hiver prochain».
Economie de guerre en Russie, France. Alors que le Parlement russe a approuvé mardi en première lecture deux projets de loi d’économie de guerre, le gouvernement français a publié un jour avant un plan de résilience destiné aux entreprises en raison du conflit en Ukraine face à des problèmes liés au coût de l’énergie.
Le journal Les Echos titrait dès le début de juillet: «la France se prépare à une économie de guerre». Le quotidien économique avertit que «la France fait un grand pas vers l’économie de guerre pour ce qui concerne le secteur de l’énergie» tout en relatant la loi pouvoir d’achat -présentée en Conseil des ministres ce jeudi- qui comporte un volet «souveraineté énergétique» qui donne des pouvoirs inédits à l’Etat pour «faire fonctionner les infrastructures gazières françaises comme il le jugera indispensable cet hiver». Cette loi offre des pouvoirs sans précédent à l’Etat dans le cas d’une crise majeure cet hiver.
Le ministre chargé de l’Energie pourra décider de restreindre ou suspendre de manière temporaire le fonctionnement de certaines installations de production d’électricité utilisant du gaz naturel afin d’économiser cette énergie. La loi permet d’autoriser le gouvernement à forcer le remplissage des stockages souterrains français de gaz mais aussi de fixer une trajectoire de remplissage minimal. Dans le plan de cette économique de guerre, la reprise de la centrale à charbon de Saint-Avold a été décidée et elle devrait fonctionner de nouveau dès octobre. L’installation d’un terminal flottant d’importation de gaz naturel liquéfié (GNL) de TotalEnergies dans le port de la ville de Seine-Maritime a été actée et la date de mise en service souhaitée est septembre 2023 pour être totalement fonctionnel pour janvier 2024.
Le spectre de la récession plane. Public Sénat a mis en garde fin juin sur la conséquence directe du conflit en Ukraine et des sanctions infligées par les 27 à la Russie, car les économies européennes font face à une forte inflation et les prix de l’énergie s’envolent et le spectre de la récession plane. L’eurodéputé luxembourgeois, Christophe Hansen, (PPE) affirme même que l’Europe connaît de graves dommages collatéraux alors que l’inflation ne cesse d’augmenter un peu partout et qu’on frôle la récession et que les sanctions ont des effets limités. Il constate que le Kremlin semble avoir trouvé depuis d’autres marchés contrairement à l’UE. Aurore Lalucq, l’eurodéputée française partage le même avis que son collègue luxembourgeois et s‘inquiète pour la suite. Elle constate que «l’économie russe ne s’est pas effondrée [alors que] c’était ça le plan». Le but était, selon elle, «d’avoir une guerre économique, de la gagner, de faire en sorte d’effondrer l’économie russe pour qu’ils n’aient plus les moyens de faire la guerre».
Mais, c’est l’inverse qui se produit. Les pays de l’UE sont menacés de récession et d’implosion sociale. Christophe Hansen avertit que «l’unité et la solidarité vont être mises à l’épreuve, non seulement entre les Etats membres mais aussi avec l’Ukraine. Car plus cette crise dure, et plus les impacts vont s’intensifier dans la société».
Dans l’édition du Welt de ce matin, on peut lire que Die Linke exige «de mettre fin aux sanctions énergétiques contre la Russie» car «cela n’arrêterait pas [Vladimir] Poutine, mais nuirait d’autant plus à l’Allemagne». Ils demandent aussi à ce que Nord Stream 2 soit également mis en service si nécessaire pour faire face à grave crise énergétique qui fonce comme un tsunami sur l’Allemagne mais aussi sur l’UE. Le consensus voulu pour refuser le gaz russe en Occident commence à se fissurer en raison des tensions qui apparaissent.
Peter Hambro: La BRI et les banques centrales truquent le marché de l'or en utilisant l'or papier des Bullion Banks
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 16:30 Soumis par Ronan Manly, BullionStar.com
"L'or pour les banquiers centraux est comme le soleil pour les vampires."
Cette semaine, un article intrigant et révélateur du célèbre Peter Hambro a été publié par le site britannique d'actualités économiques et politiques Reaction.
L'article, intitulé "N'oubliez pas la règle d'or : celui qui possède l'or établit les règles" est intrigant et révélateur pour un certain nombre de raisons, principalement parce qu'il met en évidence la manipulation du prix de l'or. et nommer les types d'entités responsables, tout en expliquant certains des mécanismes utilisés dans le jeu d'or papier à réserve fractionnaire de Londres.
Mocatta & Goldsmid
Mais l'article est également remarquable en termes de qui est l'auteur. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Peter Hambro est un nom très respecté dans le domaine de l'or, ayant cofondé et été président de la société minière aurifère anglo-russe cotée au FTSE Peter Hambro Mining (maintenant connue sous le nom de Petropavlovsk). Il a également été, de 1983 à 1990, directeur général adjoint du légendaire courtier en lingots londonien Mocatta & Goldsmid. De plus, le père de Peter Hambro, Everard Bingham Hambro, était également à un moment donné administrateur de Samuel Montagu, une autre des sociétés légendaires du cartel de courtiers en lingots de Londres.
En plus d'être un banquier de lingots d'initié, Peter Hambro est également l'arrière-arrière-petit-fils du baron Carl Joachim Hambro, le fondateur de la célèbre banque d'investissement anglaise Hambros. En fait, Mocatta & Goldsmid a même fusionné avec la banque Hambros en 1957, telles sont leurs relations. Dans les années 1980, Mocatta & Goldsmid était également la plus grande contrepartie en or et en argent de l'Union soviétique, un fait qui a aidé Hambro à établir Peter Hambro Mining en 1994 (maintenant connu sous le nom de Petropavlovsk).done
Ainsi, lorsque Peter Hambro écrit sur la manipulation du prix de l'or, ce n'est pas n'importe qui qui écrit sur la manipulation du prix de l'or, c'est un homme de l'une des dynasties bancaires britanniques qui a été au courant pendant toute sa carrière des rouages des rouages de Londres établissement bancaire de lingots, et qui a les connaissances opérationnelles nécessaires pour gérer une société d'extraction d'or cotée à la Bourse de Londres qui extrait de l'or physique réel, de l'or qui n'a aucun risque de contrepartie et n'est la responsabilité de personne d'autre.
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le site d'actualités et de podcasts Reaction, Reaction est une publication sérieuse basée à Londres dirigée par un comité de poids lourds de journalistes et de dirigeants de médias qui se spécialise dans l'analyse et les commentaires sur l'actualité, la politique, la culture et l'économie.
Le déclencheur de l'article de Peter Hambro est un graphique récent du Bureau américain du contrôleur de la monnaie (OCC), qui, en raison d'une reclassification des données à partir du premier trimestre 2022, montre désormais à quel point les banques de lingots telles que JP Morgan ont amassé contrats dérivés de métaux précieux pour maintenir le prix de l'or (un excellent résumé de ce graphique est ici).
Montants notionnels des dérivés sur métaux précieux dans les banques commerciales américaines jusqu'au 31 mars 2022 Or non alloué - Le couvercle sur la boîte de Tinder
Hambro décrit cette manipulation du prix de l'or à l'aide de produits dérivés comme une «poudrière», que «la désinformation [a] pendant de nombreuses années gardé le couvercle». Mais qui, vous demanderez-vous, dirige cette désinformation et cette manipulation du prix de l'or ?
Selon la bombe de Hambro, c'est la Banque des règlements internationaux (BRI) en Suisse, c'est-à-dire la banque centrale des banques centrales. Hambro lâche la bombe qui :
"Depuis 2018, les bureaux de stabilité financière des banques centrales du monde ont suivi l'instruction de la Banque des règlements internationaux (BRI) de masquer la perception de l'inflation en truquant le marché de l'or."
Mais puisque les banques centrales « ont besoin d'une couverture » et « ne peuvent être considérées » comme truquant le prix de l'or, Hambro poursuit :
"La seule façon d'atteindre la couverture est de faire exploser le prix de l'or physique par la production alchimique de" l'or papier "."
Si cela a maintenant attiré votre attention, lisez la suite, puisque Hambro précise :
"Avec l'aide des marchés à terme et la connivence des alchimistes, les négociants en lingots - oui, cela m'inclut, j'étais directeur général adjoint de Mocatta & Goldsmid - ont réussi à créer une perception inébranlable que les onces d'or créditées sur un compte avec une banque ou un marchand de lingots étaient les mêmes que la vraie chose. « Et beaucoup plus facile, mon vieux ! Vous n'avez pas à le stocker ou à l'assurer ».
Le crédit d'or auquel Hambro fait référence ici est le tristement célèbre «or non alloué» de la LBMA, les «marchés à terme» étant le COMEX. À ce stade, vous pourriez même penser que Hambro lit le site Web de BullionStar, car nous expliquons depuis des années exactement la même chose. Par exemple, voir ici et ici.
- voir graph sur site -
Que la Bank for International et ses gouverneurs ordonnent aux banques centrales du monde de truquer le prix de l'or ne devrait pas être une surprise, puisque c'est ce que fait la BRI depuis longtemps. Du pool d'or de Londres des années 1960 au nouveau pool d'or du début des années 1980, la BRI adore truquer le prix de l'or. Pourquoi? Parce que l'or pour les banquiers centraux est comme le soleil pour les vampires. Voir les articles de BullionStar "New Gold Pool at the BIS Basel, Switzerland: Part 1" et "New Gold Pool at the BIS Basel: Part 2 - Pool vs Gold for Oil"
Tirer les ficelles - La Banque d'Angleterre
Dans son article, Hambro poursuit en expliquant l'évolution des années 1980 du marché de l'or papier à Londres et ses nombreux dérivés qui sont les mécanismes de fumée et de miroirs à travers lesquels le marché du «marché de l'or» de Londres poursuit son schéma d'or papier à réserve fractionnaire jusqu'à ce jour. :
"Une fois que les investisseurs ont avalé cette pilule stupéfiante, il était facile de leur vendre de l'or qui n'existait tout simplement pas. Bien sûr, il y avait des investisseurs méfiants qui avaient du mal à croire que Mocatta, Montagu, Rothschild et Sharps Pixley étaient des contreparties incontestables et voulaient être assurés que l'or serait là quand ils l'appelleraient.
Facile, nous avons dit. Ne vous embêtez pas à payer pour cela, donnez-nous simplement une marge de trésorerie initiale et acceptez une marge de variation et notre promesse papier vaut de l'or. C'était la dérivée simple.
Si vous pensiez que le prix allait baisser, vous pourriez nous vendre de l'or que vous n'aviez pas et marger le commerce de la même manière. Ensuite, une multitude d'options et d'autres produits sont arrivés et le marché des produits dérivés - car c'est ainsi que s'appelait cette chimère - a commencé à tourner en spirale comme une tornade.
Une ‘Chimère’ étant une créature hybride monstrueuse mythique composée de différentes parties. Cette croissance exponentielle de l'or non alloué et des dérivés sur l'or s'est produite pour la première fois dans les années 1980, lorsque Peter Hambro était directeur chez Mocatta et Goldsmid et que le marché de l'or de Londres consistait en un cartel de cinq sociétés de lingots, à savoir N.M. Rothschild, Mocatta & Goldsmid, Samuel Montagu, Sharps & Pixley et bien sûr les tristement célèbres Johnson Matthey Bankers. Et c'est Johnson Matthey Bankers qui a failli s'effondrer en 1984 et a dû être secouru par la Banque d'Angleterre afin d'empêcher l'implosion du reste du club des lingots de Londres.
Et comme le décrit Hambro, la Banque d'Angleterre était alors, à partir de maintenant, toujours prête à soutenir le ponzi d'or en papier de Londres avec de l'or physique en cas de besoin sous la forme de prêts d'or de la banque centrale :
«Pour rendre le faux or encore plus sûr, la Banque d'Angleterre était discrètement disposée à prêter de l'or physique aux membres du marché de l'or de Londres, au cas où les choses deviendraient un peu délicates et que nos coffres seraient vides. Quand l'un des membres a fait faillite [Johnson Matthey Bankers], les autres se sont cotisés et la Banque d'Angleterre tenant les cordes, les clients ont été renfloués."
À cela, vous pouvez ajouter les manipulations de la Banque d'Angleterre en intervenant dans les London Gold Fixings dans les années 1980, comme documenté dans l'article de BullionStar ici. Puis, en 1987, la Banque d'Angleterre est allée plus loin et a demandé aux banques de lingots de Londres d'officialiser leur cartel, ce qui s'est fait par le lancement de la London Bullion Market Association (LBMA). Et c'est pourquoi à ce jour, la Banque d'Angleterre et la LBMA sont étroitement liées, en particulier par le biais du marché ultra-secret des prêts d'or à Londres, où les banques centrales prêtent de l'or physique aux banques de lingots de la LBMA. C'est un sujet que les journalistes d'investigation de Bloomberg et de Reuters n'aborderont jamais puisque les conseils d'administration et les rédacteurs en chef de Bloomberg et de Reuters savent que ces opérations de prêt d'or soutiennent l'ensemble du système de réserve fractionnaire d'or papier.
De plus, ce système mondial d'"or papier" a une offre illimitée puisque, comme le dit Hambro, les gouvernements et les banques centrales et la BRI "peuvent imprimer la marge". C'est pourquoi, Hambro dit que
"Les grandes banques de Wall Street accepteront les dollars fiduciaires comme marge et fabriqueront de l'or pour submerger le marché."
Alors que Peter Hambro était auparavant connu pour comprendre et discuter de la manipulation du prix de l'or, ses derniers commentaires pourraient arriver maintenant car il sent un changement géopolitique dans le rôle monétaire de l'or. En outre, comme les sanctions occidentales en cours contre la Russie ont décimé la capacité du mineur d'or Petropavlovsk à vendre son or et à rembourser ses prêts (sa principale banque Gazprombank est sanctionnée), Hambro, en tant qu'ancien président de Petropavlovsk, pourrait avoir une meilleure position que la plupart à lire les conséquences imprévues des sanctions sur le marché mondial de l'or.
Les vêtements de l'empereur en papier d'or
Hambro conclut ensuite son article en se référant au récent graphique américain OCC sur les dérivés de métaux précieux :
"On dit souvent que les pailles soufflant dans le vent présagent de grandes tempêtes et je crois que ce graphique montre exactement une telle paille."
"Regardez ce graphique, puis allez voir votre contrepartie de trading de lingots et achetez de l'or. Ensuite, demandez votre or ou votre argent ou votre platine ou votre palladium ou tout autre réserve physique de valeur et moyen d'échange que vous avez acquis pour vous protéger des ravages de l'inflation.
Car l'inflation engloutira sûrement le monde lorsque les vêtements de l'empereur en papier d'or seront vus pour ce qu'ils sont vraiment.
Vladimir Poutine et Xi Jinping font partie de ceux qui connaissent la règle d'or : "Celui qui a l'or fait les règles".
Ce qui explique également pourquoi la Russie et la Chine accélèrent désormais leur interaction dans le développement conjoint des marchés de l'or russe et chinois, comme expliqué dans le récent article de BullionStar "La Chine et la Russie en étroite coopération visant le gagnant-gagnant sur les marchés de l'or".
Eh bien, comme le détaille Felix Richter de Statista ci-dessous, pas tout le monde, du moins pas au même degré.
Selon les données de Global Consumer Outlook de Statista, il existe un énorme gouffre dans la consommation de chocolat dans le monde. Alors que la friandise à base de cacao est très populaire dans de grandes parties de l'Europe et aux États-Unis, de nombreuses personnes en Asie préfèrent d'autres sucreries pour satisfaire leur dent sucrée.
- voir graph sur site -
Infographie : (Pas) Tout le monde aime le chocolat | Statistique Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
En ce qui concerne la ligue des accros au chocolat, la Suisse est en tête avec une consommation annuelle par habitant s'élevant à 11,6 kilogrammes en 2021.
Le pays est bien connu pour son excellente industrie du chocolat avec Toblerone et Lindt parmi les marques les plus reconnaissables.
L'Allemagne voisine est également en haut de la liste avec 5,7 kilogrammes par habitant, tandis que les Américains consomment en moyenne 9 kilogrammes de chocolat par an.
À l'autre extrémité de l'échelle, l'Inde et la Chine ont une consommation par habitant considérablement inférieure à 1,0 et 0,2 kilogramme, respectivement, selon Statista.
S'attaquer aux intermédiaires devrait être une priorité pour réduire les prix des ordonnances
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 04:20 Rédigé par Tom Price via RealClear Policy
La Federal Trade Commission (FTC) des États-Unis a récemment voté à l'unanimité pour faire monter la pression sur les intermédiaires de la chaîne d'approvisionnement en médicaments. L'agence ouvre une enquête sur les Pharmacy Benefits Managers (PBMs) pour leur rôle dans "l'augmentation du prix que les consommateurs paient pour les médicaments", entre autres comportements douteux.
Pendant des années, les PBM ont utilisé leur position de gardiens du marché de la consommation pour s'enrichir et enrichir les compagnies d'assurance - une conduite qui a attiré l'attention des régulateurs, des décideurs et du public alors que le prix des médicaments à la consommation explose. Depuis l'an 2000, les dépenses aux États-Unis en produits pharmaceutiques ont presque triplé.
Comment le surcoût parvient-il aux consommateurs ? Vous voyez, les fabricants de médicaments offrent généralement des remises sous forme de remises à côté de leurs produits, ce qui, dans un monde parfait, se traduirait par des médicaments plus abordables. Mais dans le cadre du programme actuel d'intermédiaires, ces économies ne parviennent jamais au patient au comptoir de la pharmacie. L'argent est plutôt aspiré par les PBM.
Un instantané des quatre dernières années fournit une bonne illustration de ce qui se passe. Depuis 2018, le prix net des médicaments de marque (c'est-à-dire le prix affiché avec les remises appliquées) a en fait diminué chaque année. Mais le consommateur moyen ne le saurait pas. Le prix qu'ils paient - une fois que le médicament est passé par les PBM - a en fait augmenté. En d'autres termes, les fabricants de médicaments ne sont pas à l'origine de la hausse des prix à la consommation, ce sont les intermédiaires.
C'est pourquoi une proposition démocrate d'appliquer des contrôles gouvernementaux sur les prix des médicaments sur ordonnance sans stratégie pour freiner les PBM est pleine d'air chaud. La fixation des prix par le gouvernement pourrait traiter temporairement les symptômes, mais pas la cause profonde de la hausse des coûts des médicaments. Et à long terme, l'approche supprimera l'innovation nécessaire pour développer de nouveaux traitements, thérapies et vaccins vitaux.
Les démocrates ont pour habitude de plaider en faveur d'une réforme des soins de santé qui est longue sur le style, mais manque d'efficacité. Obamacare en est un bon exemple.
Au cours du débat sur la refonte des soins de santé de 2010, la Maison Blanche a continuellement poussé l'idée que la réforme permettrait à la famille moyenne d'économiser 2 500 $ par an. Mais les éléments de « réduction des coûts » d'Obamacare sont un tour de passe-passe. Les coûts des soins de santé continuent d'augmenter, mais ces augmentations sont masquées par les subventions gouvernementales. Si la subvention du gouvernement devait disparaître, les primes mensuelles augmenteraient de façon spectaculaire.
C'est loin d'être un scénario hypothétique. Les subventions améliorées d'Obamacare qui étaient incluses dans le projet de loi sur les dépenses de l'ère pandémique de 2 billions de dollars de l'administration Biden devraient expirer en 2023. Lorsque cela se produira, les factures mensuelles moyennes d'assurance maladie feront plus que doubler pour les quelque 13 millions d'Américains qui reçoivent des subventions sur les échanges d'Obamacare. La seule façon de l'arrêter est que le Congrès presse encore plus les contribuables pour couvrir la différence.
Plutôt que de tenter de manipuler les prix via la main lourde du gouvernement, les législateurs devraient se tourner vers le marché libre pour obtenir de l'aide. L'introduction de la transparence des prix, l'offre aux patients de plus de choix en matière de soins de santé et la réduction de la bureaucratie dans la relation patient-médecin réduiront les prix tout en améliorant la qualité des soins.
En ce qui concerne la réforme des soins de santé, les politiques émanant du Congrès sont souvent à courte vue et inefficaces pour résoudre le problème fondamental. Pousser un plan pour faire face à la hausse des prix des médicaments sans un élément pour lutter contre les intermédiaires PBM en est le dernier exemple. Espérons que l'enquête de la FTC aide certains décideurs politiques à voir la lumière.
Tom Price, ancien secrétaire de la Santé et des Services sociaux et ancien membre du Congrès, est chercheur principal en politique de santé au Job Creators Network.
Le gouverneur du Texas, Abbott, répond par l'affirmative à la pétition du comté frontalier et invoque des pouvoirs d '«invasion» pour faire face à l'assaut d'étrangers illégaux
Vendredi 08 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) En réponse à une demande de plusieurs comtés frontaliers du Texas qui lui ont demandé de se joindre à leur déclaration selon laquelle une « invasion » extraterrestre illégale se produit, le gouverneur Greg Abbott a maintenant affirmé que oui ; il y a un sérieux problème à la frontière sud de l'Amérique.
Le 7 juillet, Abbott a pris ce qu'un article de presse a qualifié de "pas sans précédent" en publiant un décret ordonnant aux agents chargés de l'application des lois de l'État d'appréhender les étrangers en situation irrégulière et de les renvoyer immédiatement à un port d'entrée sur un pont international.
« J'autorise et habilite par la présente la Garde nationale du Texas et le Département de la sécurité publique du Texas à répondre à cette immigration illégale en appréhendant les immigrants qui traversent la frontière entre les points d'entrée ou commettent d'autres violations de la loi fédérale, et à renvoyer ces immigrants illégaux. à la frontière à un point d'entrée », déclare le décret d'Abbott.
Il n'a fallu que deux jours à Abbott pour répondre aux cinq comtés du Texas, dirigés par le comté de Kinney, qui ont invoqué le langage « d'invasion » pour accéder à une plus grande autorité constitutionnelle de l'État pour faire face à l'assaut d'étrangers illégaux qui entraîne tragédie après tragédie.
Le décret d'Abbott lui permet de faire appel aux forces militaires de l'État en vertu de l'article IV, section 7 de la Constitution du Texas, ainsi que des sections pertinentes du code du gouvernement du Texas, pour prendre des mesures rapides en réponse au problème puisque le gouvernement fédéral ne fait apparemment pas presque suffisant pour résoudre le problème.
"L'échec du président [Joe] Biden à protéger notre frontière a nécessité une action de la part de l'État du Texas pour assurer la sécurité publique et se défendre contre les violations de sa souveraineté et de son intégrité territoriale", indique en outre l'ordonnance d'Abbott.
"Les cartels se sont enhardis et enrichis par les politiques d'ouverture des frontières du président Biden, faisant passer en contrebande un nombre record de personnes, d'armes et de drogues mortelles comme le fentanyl."
Plus de 2 millions d'étrangers illégaux ont tenté de pénétrer de force au Texas depuis que Biden a pris ses fonctions Depuis que Biden a illégalement pris ses fonctions en janvier 2021, des agents de la patrouille frontalière auraient appréhendé plus de deux millions d'étrangers illégaux essayant d'entrer uniquement au Texas. Le long de l'intégralité de la frontière sud-ouest au cours de la même période, les agents ont détecté, mais pas capturé, 850 000 autres d'entre eux, qu'ils appellent des «escapades».
Cela fait beaucoup de monde, et Abbott dit que Biden refuse d'appliquer les lois fédérales actuellement en vigueur, telles qu'elles ont été promulguées par le Congrès, qui exigent la détention de certains immigrants, y compris certains qui ont demandé l'asile ou commis un crime.
"Le refus téméraire du président Biden de sécuriser la frontière fournira un soutien matériel aux cartels, leur permettra de faire passer clandestinement des personnes, des drogues et des armes plus dangereuses au Texas, et encouragera les hommes armés du cartel à continuer de tirer sur les autorités étatiques et fédérales", a déclaré Abbott.
Faisant un exemple de l'un des nombreux problèmes auxquels le sud du Texas est confronté en raison du refus du régime de Biden d'appliquer la loi, le shérif du comté de Kinney, Brad Coe, a personnellement conduit quatre étrangers illégaux au pont international d'Eagle Pass et les a relâchés au Mexique après la frontière. La patrouille a été "incapable" de les arrêter.
Avant l'annonce et le décret d'Abbott, le procureur du comté de Kinney, Brent Smith, a déclaré qu'à la fin du mois de juillet, jusqu'à 25 comtés du Texas au total prévoyaient également de se joindre à la déclaration d '«invasion», en raison de ce qu'ils voient depuis Biden a assumé la Maison Blanche.
"Nous sommes à un point de rupture", déclare le président du National Border Patrol Council, Brandon Judd, ajoutant qu'il est "absolument" approprié pour Abbott d'invoquer ses pouvoirs en vertu de la Constitution.
"Nous avons des kilomètres et des kilomètres de frontière qui ne sont tout simplement pas surveillées parce que nous devons faire face, franchement, à une invasion."
Une couverture médiatique plus connexe peut être trouvée sur InvasionUSA.news.
Échec épique: les sanctions de Joe Biden ont en fait profité à l'économie russe
Vendredi 08 juillet 2022 par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le président Joe Biden et les sanctions de l'Occident contre la Russie ne font que renforcer son économie en conséquence.
"La Russie ne peut pas vaincre l'Ukraine", a déclaré Biden, justifiant les sanctions qui ont blessé des innocents aux États-Unis, en Russie et partout dans le monde.
« La raison pour laquelle les prix du gaz sont en hausse est à cause de la Russie. La Russie, la Russie, la Russie », a-t-il ajouté, tentant de détourner le blâme de la crise économique et inflationniste croissante.
Mais alors que Biden et ses alliés de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord continuent de nier leur culpabilité dans les crises mondiales croissantes, les sanctions ont en fait été une aubaine pour l'économie russe.
La Russie est le premier exportateur mondial d'énergie. Il produit 12 millions de barils de pétrole par jour, dont environ 8,5 millions sont exportés vers d'autres pays par jour. Suite à la mise en place des sanctions, le prix du baril de pétrole a grimpé jusqu'à 118 dollars.
Le prix actuel des contrats à terme sur le Brent, l'une des références mondiales pour évaluer les prix du pétrole, oscille actuellement autour de 100 dollars le baril, son plus bas niveau depuis le 11 avril, mais toujours bien supérieur aux prix du pétrole avant les sanctions.
Cela signifie que la Russie a obtenu les meilleures conditions d'échange de pétrole de son histoire. L'année dernière, le pays a reçu environ 120 milliards de dollars dans le commerce du pétrole. Cette année, il devrait récolter 250 milliards de dollars. En d'autres termes, les sanctions internationales ont pratiquement doublé la taille de l'industrie pétrolière russe. (Connexe : Contournement des sanctions : les expéditeurs de pétrole cachent le brut russe en « s'assombrissant » pour éviter les réactions négatives.)
"On peut affirmer sans crainte d'hyperbole que la Russie a été le pays qui a le plus profité des sanctions internationales imposées par les États-Unis et leurs alliés", écrit la rédaction de l'Observatorial. "L'histoire a, outre ses aspects tragiques, un contenu profondément ironique, peut-être parce qu'il s'agit d'une "peur de la liberté" qui brise toujours les limites qui lui sont imposées."
Le maintien des sanctions russes pourrait tuer le dollar américain L'expert financier et auteur Michael Wilkerson a noté que les sanctions et la guerre économique menées par les États-Unis et leurs alliés contre la Russie ne feront que se retourner contre eux et pourraient entraîner davantage de pénuries alimentaires et nuire à la domination mondiale du dollar américain.
"La Russie a travaillé au cours de la dernière décennie pour protéger son économie des sanctions", a déclaré Wilkerson lors d'une interview. "Les sanctions fonctionnent rarement parce que l'impact a tendance à être supporté par le pays qui impose la sanction."
Wilkerson a noté que les gens n'ont qu'à regarder la longue histoire de l'Amérique imposant des sanctions à d'autres pays au cours du 20e siècle pour voir comment "ils fonctionnent rarement... ils se retournent souvent contre eux".
Les conséquences immédiates des sanctions se manifestent déjà dans la flambée des prix de l'énergie et la diminution des approvisionnements internationaux. Mais Wilkerson a averti que le monde devrait également s'attendre à voir davantage de pénuries alimentaires et de rationnement alors que les exportations agricoles russes, notamment les engrais, sont tenues à l'écart du marché mondial.
Il a en outre averti que l'une des conséquences à long terme des sanctions serait l'érosion de la force du dollar. Armer le dollar américain comme l'a fait l'administration Biden ne fera que nuire à son statut de seule monnaie de réserve mondiale.
Regardez cette vidéo d'InfoWars alors que l'animateur Owen Shroyer explique comment la Russie est devenue plus puissante que jamais après l'échec des sanctions.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Il y a encore plus de 40 milliards de dollars de fret sur les porte-conteneurs en attente au large
PAR TYLER DURDEN SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 23:30 Par Greg Miller de FreightWaves
Les mouillages continuent de se remplir de porte-conteneurs en attente au large des ports de la côte est et du golfe, où les files d'attente de navires ont désormais largement dépassé celles au large de la côte ouest. Le long des trois côtes combinées, le nombre de porte-conteneurs en attente reste exceptionnellement élevé.
Vendredi matin, 125 porte-conteneurs attendaient au large des ports nord-américains, selon une analyse des données de suivi des navires de MarineTraffic et des numéros de file d'attente en provenance de Californie.
- voir carte marine sur site -
Empilement de porte-conteneurs au large de Savannah, vendredi 8 h Carte: MarineTraffic C'est une baisse de 16% par rapport aux 150 navires en attente en janvier, lorsque la congestion sur la côte ouest a culminé, mais une augmentation de 36% par rapport aux 92 navires il y a un mois.
La file d'attente des navires au large de Los Angeles / Long Beach a fait la une des journaux au cours de l'année écoulée, mais l'épicentre de la congestion s'est déplacé: vendredi, seuls 36% des navires en attente se trouvaient au large des ports de la côte ouest, avec 64% au large de la côte est et du golfe. ports. Savannah, en Géorgie, a maintenant la plus grande file d'attente de navires en Amérique du Nord.
Vendredi, les porte-conteneurs qui attendaient au large des ports des États-Unis et de la Colombie-Britannique avaient une capacité combinée de 1 037 164 équivalents vingt pieds (EVP).
Quelle est la valeur du fret dans toutes ces boîtes ? Sur une base purement sommaire, en supposant une utilisation de 90 % (certaines estimations sont plus élevées) et une valeur moyenne du fret par TEU importé de 43 899 $ (la valeur moyenne du fret importé par Los Angeles en 2020, probablement conservatrice compte tenu de l'inflation) , la valeur estimée du fret en attente au large vendredi a dépassé 40 milliards de dollars.
Les volumes se déplacent vers l'est
Project44 suit la capacité d'arrivée mensuelle en TEU vers les ports de la côte ouest par rapport aux ports de la côte est. Il a révélé que la capacité de juin à destination de la côte est avait augmenté de 83% sur un an et de 177% par rapport à juin 2020. La capacité vers la côte est est désormais à égalité avec la capacité vers la côte ouest, qui a chuté de près de 40% depuis son Pic de janvier. Project44 a attribué ce changement aux craintes des importateurs concernant les interruptions de travail dans les ports de la côte ouest.
Graphique : Projet44 Files d'attente de la côte est/du golfe
Vendredi matin, les données de MarineTraffic montraient 36 porte-conteneurs au large de Tybee Island, en Géorgie, attendant des postes d'amarrage à Savannah. Les navires avaient une capacité totale de 343 085 EVP (taille moyenne des navires : 9 350 EVP).
Un indice exclusif FreightWaves SONAR des données de réservation montre que la croissance des volumes entrants à Savannah par rapport à la date de l'indice (janvier 2019) est nettement supérieure à la moyenne nationale.
- voir graph sur site -
Indice des volumes de réservations par date de départ prévue. Ligne bleue = cargaisons à destination de Savannah, ligne verte = cargaisons à destination de tous les ports américains. Le temps d'attente pour une couchette à Savannah est maintenant de 10 à 12 jours, selon une mise à jour opérationnelle cette semaine par Hapag-Lloyd. Le transporteur a évalué l'utilisation de la cour à Savannah à 89 %.
La deuxième plus grande file d'attente de la côte Est se trouve au large de New York/New Jersey. Vendredi matin, 20 navires attendaient avec une capacité cumulée de 180 908 EVP (taille moyenne : 9 045 EVP).
Hapag-Lloyd a déclaré que le temps d'attente pour les postes d'amarrage à New York / New Jersey «s'élevait à plus de 20 jours selon le terminal». L'utilisation du triage était de 92% à Maher, 75% à GCT Bayonne et 72% à APM Terminals, a ajouté Hapag-Lloyd.
Sur la côte du Golfe, 20 navires attendaient au large de Houston avec une capacité cumulée de 121 196 EVP (taille moyenne : 6 060 EVP). Selon Hapag-Lloyd, l'utilisation au terminal Barbours Cut de Houston était de 86 %, et "les terminaux continuent de connaître des pénuries d'équipement pour les châssis en raison de l'allongement des séjours dans les rues".
File d'attente des navires vendredi, 8 heures du matin, au large de Houston (à gauche) et de New York/New Jersey (à droite). Cartes : Trafic maritime
Ailleurs sur les côtes est et du golfe, deux navires attendaient au large de la Virginie et deux autres au large de la Nouvelle-Orléans.
Files d'attente de la côte ouest
Selon la liste d'attente du vendredi 7 heures du Marine Exchange of Southern California, 24 porte-conteneurs attendaient des postes d'amarrage à Los Angeles/Long Beach, d'une capacité totale de 208 903 EVP (taille moyenne : 8 704 EVP).
Cet arriéré est en forte baisse par rapport au sommet de 109 navires le 9 janvier, mais il s'agit toujours de la deuxième plus grande file d'attente de navires en Amérique du Nord. Le nombre de navires à Los Angeles/Long Beach oscille autour de son niveau actuel depuis fin mai et est toujours en légère augmentation d'une année sur l'autre.
- voir graph sur site -
Graphique : Expéditeur américain basé sur les données de Marine Exchange of Southern California Ailleurs sur la côte ouest, 10 navires attendaient des postes d'amarrage à Oakland, selon la liste d'attente de vendredi à 7 heures du Marine Exchange de la région de la baie de San Francisco. Ces navires avaient une capacité totale de 79 712 EVP (taille moyenne : 7 971 EVP).
Enfin, huit autres navires attendaient d'accoster à Vancouver, en Colombie-Britannique, et trois autres au large de Seattle/Tacoma.
Par Manlio Dinucci Mondialisation.ca, 09 juillet 2022 Pangea Grandangolo (Byoblu)
Visite d’État du président de la République italienne Mattarella au Mozambique, dont l’Italie commencera à importer à l’automne du gaz naturel liquéfié pour remplacer, avec le GNL provenant des États-Unis et d’autres pays, celui qu’elle importe actuellement de la Russie à travers des gazoducs.
Depuis qu’en 2010 ont été découverts de grands gisements de gaz au large de Cabo Delgado, ont afflué au Mozambique les grandes multinationales énergétiques : les étasuniennes Exxon Mobil et Shell, la française Total, la britannique BP, l’italienne Eni et autres. Elles se sont accaparé de lucratifs contrats pour l’exploitation pluri-décennale des gisements. Les milliards de dollars provenant de ces contrats sont en train d’enrichir l’élite qui est au pouvoir, pendant que la majorité de la population voit sa situation empirer.
- voir carte sur site -
Particulièrement dramatique est la condition des habitants de la province du Cap Delgado. La population côtière, qui jusqu’à présent vivait de la pêche, est obligée de partir à 10-15 km à l’intérieur des terres pour laisser la place aux sites industriels pour la liquéfaction du gaz destiné à l’exportation. Et la pauvreté augmente en conséquence. L’environnement côtier se trouve de plus en plus pollué, avec des dommages environnementaux très graves. Les habitants restés dans la zone côtière sont attaqués et massacrés par des groupes armés. Tout cela est caché par le courant dominant politico-médiatique italien (et autres, ndt).
Celui-là même qui est en train de cacher les véritables raisons de la fermeture des puits pétrolifères libyens. Ces raisons nous sont expliquées ce soir par Michelangelo Severgnini dans une interview à Abdullah al-Zaidi, syndicaliste et journaliste économique libyen. Les puits ont été bloqués par des mouvements populaires pour empêcher la rapine continue du pétrole libyen dans la guerre que l’OTAN a poursuivie après la démolition de l’État libyen en 2011. L’OTAN cherche par tous les moyens à empêcher les élections politiques (qui auraient dû avoir leur en décembre 2021), dont naîtrait le nouvel État libyen.
Bref résumé de la revue de presse internationale de vendredi soir 8 juillet 2022 de Pangea Grandangolo sur Byoblu. Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo :
Reçu de l’auteur et traduit par Marie-Ange Patrizio Manlio Dinucci étant géographe de formation, le visionnage de l’émission [en italien] est particulièrement conseillé aussi pour les cartes, photos et images de la superbe région du Mozambique.
Les émeutes et sabotages qui ont éclaté en Libye le 1er juillet évoquent, comme souvent, moins un soulèvement populaire que des manipulations pour mettre fin à la grève qui bloque les puits de pétrole.
La source originale de cet article est Pangea Grandangolo (Byoblu)
Une solution à la pénurie de blé : les plantes génétiquement modifiées
10 Juillet 2022 Terry Wanzek*
Le monde a besoin de plus de blé. En temps de paix, la Russie et l'Ukraine fournissent plus d'un quart des exportations mondiales de blé. La guerre qui les oppose a contribué à des pénuries et à une inflation des coûts. Les consommateurs du Bangladesh, d'Égypte, d'Israël, de Turquie et d'autres pays dépendent de ce que cultivent les agriculteurs russes et ukrainiens. Pourtant, les pénuries liées à la guerre ont occulté un problème plus fondamental : la culture du blé n'a pas réussi à suivre les progrès qui ont transformé la production d'autres céréales essentielles.
J'étais un producteur de blé. Du moins, c'est ainsi que je me voyais dans les années 1980 et 1990. La culture du blé était tout à fait logique dans le climat sec et frais du Dakota du Nord. Pendant longtemps, c'était la principale culture de l'État. Aujourd'hui, cependant, je cultive principalement du maïs et du soja. Mes voisins font de même. Selon le bureau du commissaire à l'agriculture de l'État, la superficie de soja a dépassé celle du blé en 2021 pour la toute première fois. Nous semons toujours du blé, mais principalement parce qu'il fonctionne bien en rotation avec le maïs et le soja plutôt que pour sa valeur intrinsèque en tant que produit de base.
Les chiffres racontent l'histoire. Au début du siècle, ma ferme produisait entre 30 et 34 quintaux de blé par hectare. Cet été, je viserai 40 quintaux, soit une amélioration d'environ 30 %.
C'est bien, mais cela ne peut pas égaler les progrès réalisés par les agronomes avec le maïs et le soja. Il y a trente ans, une bonne année signifiait 56 quintaux de maïs et17 quintaux de soja par hectare. Cette saison, ces quantités seraient désastreusement basses. Mes voisins et moi attendons deux fois plus de production de chaque hectare. Nous nous sommes détournés de la culture du blé parce que c'est économiquement rentable.
La différence entre la modeste amélioration du blé et l'énorme amélioration du maïs et du soja est la technologie. Les technologies de modification génétique qui rendent ma production plus efficace et défendent mon maïs et mon soja contre les mauvaises herbes, les parasites, les conditions climatiques extrêmes et les maladies ne sont pas disponibles pour le blé.
Il ne s'agit pas d'un problème de biologie mais d'un choix. Les scientifiques savent comment produire du blé génétiquement modifié. Pourtant, la filière du blé a refusé de le commercialiser. La décision initiale des dirigeants de la filière d'éviter la commercialisation du blé génétiquement modifié a été prise lorsque la technologie était nouvelle. Greenpeace a lancé des avertissements sombres sur les dangers de la culture de « frankenfood ». Leurs arguments étaient toujours faibles, et aujourd'hui, les scientifiques savent de manière concluante que les cultures génétiquement modifiées peuvent être consommées sans danger. Elles sont bénéfiques pour l'environnement car elles nous permettent de produire plus de nourriture sur moins de terres. L'écrasante majorité du maïs et du soja américains sont génétiquement modifiés, et cette technologie est également répandue dans la luzerne, le canola, le cotonnier, le papayer et la betterave à sucre.
La filière du blé ne s'est jamais adaptée. Elle s'inquiétait de l'acceptation du blé génétiquement modifié sur les marchés d'exportation et a décidé de ne pas prendre de risque. C'était peut-être une préoccupation valable à l'époque, mais plus maintenant. Dans le monde entier, les agriculteurs ont cultivé des milliards d'hectares de cultures génétiquement modifiées. Elles sont devenues un outil fiable et efficace de l'agriculture conventionnelle. Partout dans le monde, les gens consomment chaque jour des aliments qui en sont dérivés.
Le monde est prêt pour le blé génétiquement modifié et ses meilleurs rendements. Le 6 mai, l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont approuvé les importations de blé génétiquement modifié, même si celui-ci n'est pas cultivé à grande échelle. Ce ne sont pas les premiers pays à le faire, puisque l'Argentine et le Brésil ont également approuvé, respectivement, la production et les importations de farine de blé génétiquement modifié. Cependant, la décision de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande marque une étape importante. Alors que l'Argentine et le Brésil ont toujours accepté la modification génétique des cultures, l'Australie et la Nouvelle-Zélande sont restées plus sceptiques. Si d'autres pays les rejoignent, les arguments contre le blé génétiquement modifié disparaîtront complètement.
En mars, les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint un niveau record. Tant que la guerre fera rage entre la Russie et l'Ukraine, le blé restera cher. Les États-Unis pourraient jouer un rôle de leader utile en approuvant la technologie pour la culture et la vente au niveau national – et en encourageant les autres pays à approuver une technologie de blé innovante et sûre. Ce type de leadership contribuerait à la lutte contre l'inflation des prix alimentaires et améliorerait les perspectives à long terme de la sécurité alimentaire mondiale. Ce serait également une bonne chose pour les agriculteurs américains comme moi.
Cette chronique a été publiée précédemment dans le Wall Street Journal, le 11 juin 2022 _____________
* Terry Wanzek, agriculteur, Dakota du Nord, USA
Terry Wanzek est un agriculteur de la quatrième génération du Dakota du Nord. Le partenariat familial produit du blé de printemps, du maïs, du soja, de l'orge, des haricots secs de bouche et du tournesol. Terry a été élu sénateur de l'État du Dakota du Nord, assurant la présidence du comité de l'agriculture et occupant le poste de président du Sénat Pro Tempore. Terry fait du bénévolat à titre de membre du conseil d'administration du Global Farmer Network (réseau mondial d'agriculteurs) et continue d'assurer la présidence de l'Association Nationale des Producteurs de Blé et de la NoDak Mutual Insurance. Il est diplômé en administration des affaires et en comptabilité du Jamestown College t a suivi le Texas A & M Executive Program pour les producteurs agricoles.
Source : A Solution to the Wheat Shortage: Genetically Modified Crops – Global Farmer Network®
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Le champ de mon grand-père prouve la valeur des OGM
La lettre suivante adressée à l'éditeur et publiée par le Wall Street Journal, vient en soutien de la tribune de Terry Wanzek qui a été publiée par le Wall Street Journal le 11 juin 2022 (voir ci-dessus).
« Aujourd'hui, plus de 90 % de nombreuses cultures aux États-Unis sont issues de semences génétiquement modifiées. Les cultures génétiquement améliorées sont sûres. Nous ne devrions pas permettre aux fausses allégations de déterminer la politique alimentaire. » – Ronald F. Eustice, 23 juin 2022
Concernant l'article de Terry Wanzek intitulé « A Solution to the Wheat Shortage : Genetically Modified Crops » (Cross Country, 11 juin).
Mon grand-père a trouvé la mort, écrasé, dans un accident de ferme dans le Minnesota pendant la récolte, le 12 octobre 1956, jour de son 64e anniversaire. Quelques jours plus tard, quelque 25 voisins sont arrivés pour cueillir le maïs. Le journal local a couvert l'événement et a rapporté un rendement « remarquable » de 38 quintaux à l'hectare. L'automne dernier, son petit-fils, qui est maintenant propriétaire de la ferme, a récolté 169 quintaux par hectare dans le même champ où l'accident s'est produit. Ce rendement énorme est dû à un certain nombre de facteurs, dont l'utilisation de semences génétiquement modifiées.
Récemment, un important producteur de semences a demandé un permis pour construire une installation de production de semences près de chez moi, à Tucson, en Arizona. Cette installation était prévue pour produire des semences conventionnelles, biologiques et génétiquement modifiées. Les militants anti-OGM ont eu vent de ces plans et ont exigé l'arrêt du projet. Des audiences ont été organisées et j'y ai assisté pour prendre la parole en faveur du projet.
Lorsque mon tour de parole est arrivé, j'ai raconté l'histoire du rendement de mon grand-père et comment, aujourd'hui, le rendement du même champ a augmenté de plus de 400 %. Les huées des militants étaient assourdissantes ; je leur ai demandé poliment de me laisser parler. Ma voix a été entendue, mais les militants l'ont emporté et l'installation n'a pas été construite.
Aujourd'hui, plus de 90 % de nombreuses cultures aux États-Unis sont issues de semences génétiquement modifiées. Les cultures génétiquement améliorées sont sans danger. Nous ne devrions pas permettre que de fausses allégations déterminent la politique alimentaire.
Les éleveurs de bétail sont maintenant à quelques JOURS de manquer d'aliments pour animaux en raison des perturbations de la chaîne d'approvisionnement
Vendredi 08 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) Les aliments et autres biens de consommation ne font plus leur chemin du point A au point B aux États-Unis, qui sont confrontés à des goulots d'étranglement paralysants de la chaîne d'approvisionnement qui menacent de provoquer une famine massive.
La dernière plainte vient de l'industrie de l'élevage, qui affirme qu'il ne reste que quelques jours avant une crise de l'alimentation animale si les lignes ferroviaires ne parviennent pas à se ressaisir, et rapidement.
Selon des rapports, de nombreux utilisateurs d'aliments pour animaux en Californie et dans d'autres États du sud-ouest doivent payer 3 $ de plus que le prix du CBOT (Chicago Board of Trade) pour sécuriser les expéditions de céréales par camion, car non seulement les goulots d'étranglement ferroviaires ne s'améliorent pas, mais s'aggravent dans certains cas.
AgWeb affirme que non seulement les utilisateurs d'aliments pour animaux sont sur le point de manquer entièrement de céréales, mais il existe également des inquiétudes généralisées selon lesquelles, à l'automne, pendant la période des récoltes, la situation sera exponentiellement pire.
Les membres de la National Grain and Feed Association (NGFA) affirment que les problèmes auxquels ils sont actuellement confrontés ont vraiment commencé à s'aggraver à la fin de l'hiver dernier et au début du printemps. Cela a incité le Surface Transportation Board (STB) à tenir une audience sur la question, mais jusqu'à présent, rien ne s'est amélioré.
L'espoir était qu'une fois l'été arrivé, la situation se résoudrait au moins quelque peu. Au lieu de cela, le problème s'est aggravé, y compris les problèmes de main-d'œuvre qui s'aggravent au lieu de s'améliorer.
"Ce que j'entends de nos membres, c'est moins de problèmes d'équipement et que l'équipement et les moteurs ne semblent pas tomber en panne, mais les horaires des trains - le temps qu'il faut pour obtenir les trains - et la fiabilité de leur réception sont toujours un problème dans de nombreuses régions du pays », a déclaré Mike Seyfert, président et chef de la direction de NGFA.
Même Foster Farms ne peut pas obtenir le grain dont elle a besoin pour nourrir son bétail, ses poulets et ses dindes Pour être clair, il ne s'agit pas nécessairement de petits fournisseurs de produits alimentaires qui ne sont pas en mesure d'assurer les expéditions d'aliments pour animaux en raison de leur taille. Même de grands acteurs comme Foster Farms, le plus grand producteur de poulet de l'ouest des États-Unis, ont des problèmes.
Selon des informations, Foster Farms a récemment demandé aux régulateurs fédéraux d'émettre un service d'urgence appelant le chemin de fer Union Pacific (UP) à donner la priorité aux expéditions de maïs pour nourrir ses milliers de têtes de vaches laitières et ses millions de poulets et de dindes.
"Le point a été atteint où des millions de poulets seront tués et d'autres animaux d'élevage souffriront à cause des pannes de service d'UP", a écrit la société dans sa demande au STB cette semaine.
Le fait que Foster Farms ait dû demander une directive d'urgence à cette fin révèle la gravité du problème, selon Seyfert.
"Parfois au cours des derniers mois, nous avons entendu plus d'un membre qui a eu de graves difficultés à obtenir de la nourriture, parfois à quelques heures près", aurait-il déclaré.
AgWeb dit que le plus gros problème dans tout ce scénario tourne autour de la main-d'œuvre. Il n'y a tout simplement pas assez de personnes désireuses ou disponibles pour travailler - les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont-ils en partie responsables de cela, nous demandons-nous?
Selon NGFA, les chemins de fer avaient déjà perdu environ 25% de leurs effectifs avant la pandémie, et maintenant ils sont bien pires en termes de maintien d'une main-d'œuvre fiable et suffisamment nombreuse.
Cette semaine également, 51 membres de la Chambre des représentants des États-Unis ont signé une lettre appelant le STB à traiter les problèmes systémiques qui continuent de tourmenter les systèmes ferroviaires américains défaillants. Vous pouvez lire cette lettre sur AgWeb.com.
Pour suivre les dernières nouvelles à ce sujet, assurez-vous de consulter FoodCollapse.com.
Croyez-le ou non, il y a beaucoup de choses dans l'espace. En fait, notre atmosphère est remplie de plus de 11 000 objets qui ont été lancés depuis le début de l'incursion dans l'espace.
La course à l'espace a commencé pendant la guerre froide et, très tôt, l'Union soviétique a dominé en ce qui concerne la quantité d'appareils et d'objets lancés dans notre atmosphère. Mais, comme le détaille Avery Koop de Visual Capitalist ci-dessous, il y a quelques années, les États-Unis ont repris ce titre avec SpaceX d'Elon Musk aidant à mener la charge.
Ce visuel, utilisant les données de Our World in Data, décompose la quantité d'objets lancés dans l'espace par pays au fil du temps.
- voir dessin sur site -
Qu'est-ce qui est lancé dans l'espace ?
Quels sont les objets envoyés dans notre atmosphère et pourquoi sont-ils si importants ? Voici un aperçu de quelques-uns :
Satellites
Vaisseau spatial avec équipage
Sondes
Équipement de vol de la station spatiale
Des sondes et des atterrisseurs comme le Mars Rover, par exemple, ont aidé les scientifiques à explorer d'autres planètes. Les satellites nous fournissent les nécessités quotidiennes comme le service de téléphonie cellulaire, les signaux de télévision de grande envergure, l'imagerie par satellite et le GPS.
Fin 2021, il y avait environ 4 852 satellites opérationnels en orbite, dont 2 944 appartenant aux États-Unis. Voici un bref aperçu de la raison pour laquelle les États-Unis utilisent leurs satellites :
De nombreux satellites en orbite ne sont cependant plus fonctionnels. En fait, il y a beaucoup de déchets dans l'espace - selon la NASA, il y a plus de 27 000 débris spatiaux en orbite.
La course à l'espace, par pays L'aventure dans l'espace a commencé pendant la guerre froide lorsque l'URSS a lancé le premier satellite, Spoutnik 1 en 1957. Après cela, les États-Unis et l'Union soviétique sont entrés dans une compétition définitive entre les progrès technologiques et l'exploration scientifique dans l'espace - une extension de la bataille entre idéologies politiques.
Jusqu'à présent, peu de pays se sont rapprochés des États-Unis ou de la Russie. Voici un aperçu du nombre cumulé d'objets que différents pays ont lancés en orbite et au-delà.
- voir liste sur site -
Un avertissement important ici est que tous ces pays n'ont pas de capacités de lancement orbital, ce qui signifie que bien que le satellite dans l'espace puisse appartenir à un certain pays, cela ne signifie pas qu'il a été lancé par ledit pays. Par exemple, le premier lancement du Royaume-Uni en 1971 a eu lieu depuis l'Australie et le premier lancement de la France a eu lieu en Algérie en 1965.
Au total, environ 86 pays ont tenté une sorte d'entrée dans l'espace. Cependant, en 2022, seuls 11 pays ont la capacité d'envoyer des objets dans l'espace à l'aide de leurs propres lanceurs, et seuls trois - les États-Unis, la Russie et la Chine - ont déjà lancé des personnes dans l'espace.
L'avenir de l'espace
Alors que les entreprises commencent à prendre les devants dans cette nouvelle frontière, le paysage des lancements spatiaux est en train de changer. En 2019, Starlink, une constellation de satellites qui fournit à 36 pays un accès Internet, a été lancée. Avec plus de 2 200 satellites Starlink dans le ciel et qui comptent, l'objectif ultime de SpaceX est une couverture Internet mondiale ; La Chine envisage une entreprise similaire.
Au-delà des satellites utiles et de l'exploration scientifique, d'autres industries spatiales potentielles émergent.
À titre d'exemple, le secteur du tourisme spatial commercial n'est plus un concept futuriste. Fin 2021, le célèbre milliardaire et fondateur de Virgin Galactic, Richard Branson s'est brièvement envolé dans l'espace sur un vol privé. Jeff Bezos, ayant fondé Blue Origin, a suivi peu de temps après.
Aujourd'hui, Blue Origin et Virgin Galactic sont toutes deux autorisées par la Federal Aviation Administration pour les voyages spatiaux de passagers. Cependant, si vous souhaitez être lancé dans l'espace, cela vous coûtera environ 250 000 à 500 000 dollars.
Dans Pipeline Poker, Canada se plie : publiera une turbine à gaz russe sanctionnée
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 10 JUILLET 2022 - 19:00
Dans une exception très médiatisée à son régime de sanctions inspiré par la guerre en Ukraine, le Canada fournira à l'Allemagne une turbine russe nécessaire à l'entretien du gazoduc russe Nord Stream 1. Comme le rapporte Reuters :
Le gouvernement canadien, qui délivre un "permis limité dans le temps et révocable" pour exempter le retour des turbines de ses sanctions russes, a déclaré que cette décision soutiendrait "la capacité de l'Europe à accéder à une énergie fiable et abordable alors qu'elle continue de s'éloigner du pétrole russe et du gaz."
Construite au Canada par Siemens Energy AG, la turbine à gaz avait été expédiée à Montréal pour y être réparée, pour y être piégée par des sanctions contre les industries russes des combustibles fossiles.
"En l'absence d'un approvisionnement nécessaire en gaz naturel, l'économie allemande subira des difficultés très importantes et les Allemands eux-mêmes risquent de ne pas pouvoir chauffer leurs maisons à l'approche de l'hiver", a déclaré le ministre canadien des Ressources naturelles, Jonathan Wilkinson, en expliquant la décision.
Pointant le retour retardé de la turbine, la Russie a coupé de 60 % en juin le flux de gaz vers l'Europe via le gazoduc Nord Stream 1. Vendredi, la Russie a déclaré qu'elle augmenterait l'offre si la turbine était libérée.
Auparavant, la Russie avait annoncé que le gazoduc fermerait entièrement du 11 au 21 juillet pour un entretien régulier programmé. La controverse sur les turbines à gaz a contribué à faire craindre que la Russie ne rallume pas le gaz à l'arrivée du 22 juillet.
Les gazoducs Nord Stream, longs de 750 milles, traversent la mer Baltique (via Global Security Review) L'Allemagne a demandé la libération de la turbine, mais le gouvernement ukrainien et de nombreux Canadiens d'origine ukrainienne se sont opposés à cette décision.
Comme nous l'avons signalé samedi, les tensions énergétiques en Allemagne augmentent rapidement, le pays rationnant l'eau chaude et atténuant l'éclairage public, tandis que le plus grand propriétaire limite le chauffage la nuit. "La situation est plus que dramatique", a déclaré Axel Gedaschko, chef de la fédération des entreprises de logement allemandes GdW. "La paix sociale de l'Allemagne est en grand danger."
Comme pour compenser sa capitulation ostentatoire sur la turbine contestée, le Canada a également annoncé samedi un élargissement de ses sanctions contre la Russie. "Ces nouvelles sanctions s'appliqueront au transport terrestre et par pipeline et à la fabrication de métaux et d'équipements de transport, informatiques, électroniques et électriques, ainsi qu'à la machinerie", a indiqué le ministère canadien des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Une fois les mesures en vigueur, les entreprises canadiennes auront 60 jours pour conclure des contrats avec des industries et des services ciblés", indique le communiqué.
Avec les sanctions contre l'industrie pétrolière, gazière et chimique, la nouvelle mesure contre l'industrie manufacturière russe signifie que le Canada cible des industries qui représentent cumulativement plus de la moitié des revenus du budget fédéral de la Russie, selon le communiqué.
Malgré les sanctions, les activités pétrolières et gazières de la Russie ont prospéré. Reuters a rapporté que les exportations de pétrole de la Russie ont augmenté de 1,7 milliard de dollars en mai, en grande partie grâce à la hausse des exportations vers la Chine et l'Inde.
Les dirigeants français et allemands avertissent les populations "Préparez-vous à la coupure totale du gaz russe" alors que les troubles sociaux se profilent
PAR TYLER DURDEN DIMANCHE 10 JUILLET 2022 - 18:00
Les populations européennes se préparent à un hiver glacial à venir au milieu d'une avalanche imminente de coûts énergétiques élevés et d'une inflation émergente. Dimanche, le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a averti que la Russie était sur le point d'arrêter totalement l'approvisionnement en gaz de l'Europe et que les citoyens devaient désormais "se préparer".
« Préparons-nous à une coupure totale du gaz russe ; aujourd'hui, c'est l'option la plus probable », a déclaré Le Maire lors d'une conférence économique à Aix-en-Provence.
Plus tard, il a en outre expliqué aux journalistes : "Il faut aussi préparer des plans d'effacement, nous le faisons. Cela signifie regarder de manière très précise chaque entreprise, chaque bassin d'emploi ; quelles sont les entreprises qui devraient réduire leur consommation d'énergie et qui sont ceux qui ne le peuvent pas."
Il a déclaré que le gouvernement dresse actuellement une liste de ces grandes entreprises qui seraient trop à risque si leurs installations étaient soudainement privées d'approvisionnement en gaz. Ils recevraient la priorité dans le cas probable d'un blocage de la Russie. "Il faut anticiper et se mettre en ordre de bataille dès maintenant", a-t-il souligné.
À titre d'exemple, il a proposé selon Politico :
Le Maire a cité Saint-Gobain, un important producteur de matériaux de construction, comme un exemple d'entreprises qui ne devraient pas être privées d'approvisionnement en gaz, même en cas d'urgence. Il a souligné les dommages possibles aux équipements de production et le risque de conséquences environnementales.
L'Allemagne aussi craint le pire, car son principal conduit de gaz naturel russe, Nord Stream 1, doit depuis longtemps être mis hors service pour une maintenance de 10 jours à partir de lundi. Mais la crainte persistante est que Moscou ne le remette pas en ligne, dans le but de comprimer davantage l'économie allemande en guise de punition pour sa position ukrainienne, forçant Berlin à un rationnement d'urgence.
La population allemande de quelque 80 millions d'habitants dépend de la Russie pour plus d'un tiers de l'approvisionnement total en gaz, et il n'y a pas d'alternative immédiate. Si Moscou utilise l'entretien "de routine" comme excuse pour maintenir l'arrêt des approvisionnements, certaines publications allemandes prédisent même des troubles sociaux alors que la pression est exercée sur la population ouvrière en particulier.
L'importante langue anglaise Deutsche Welle étudie la situation alarmante de nombreux ménages allemands, déjà au moment où le rationnement de l'eau chaude et de l'électricité entre en vigueur, comme suit :
De nombreux locataires en Allemagne reçoivent ces jours-ci des lettres désagréables. Alors que les prix de l'énergie augmentent considérablement, les propriétaires et les sociétés de gestion immobilière augmentent le forfait mensuel pour les coûts de chauffage. Une société de logement à Berlin annonce une augmentation de 100 % des prix de chauffage pour les appartements chauffés au gaz ou au mazout.
Il n'est pas clair si cela suffira. Les prix élevés de l'énergie ont un effet différé car les acomptes ne sont pas compensés par les coûts réels encourus avant la fin de l'année.
La GdW, une association qui représente 3 000 sociétés de logement, a calculé que chaque ménage devrait budgétiser jusqu'à 3 800 € (3 870 $) de plus pour l'énergie dans l'année à venir.
DW conclut d'un effet domino potentiel d'une coupure de l'approvisionnement russe que "l'économie entière serait affectée. Prognos a estimé que, si l'approvisionnement en gaz russe devait échouer, la production économique de l'Allemagne pourrait chuter de 12,7 % d'ici la fin de l'année".
Comme nous en avons discuté précédemment, à quel point les choses pourraient mal tourner seront révélées à partir du 22 juillet - qui marque la date préprogrammée qui marque théoriquement la fin du plan de maintenance pour "tester les systèmes mécaniques et automatisés" sur Nord Stream 1. Il pourrait facilement être de sérieux "problèmes" avec les pièces trouvées, permettant potentiellement à la Russie de prolonger indéfiniment "l'arrêt de la maintenance".
Le stratège de la Deutsche Bank, Jim Reid, a précédemment demandé si cela pourrait être le jour le plus important de l'année : "alors que nous passons tous la majeure partie de notre temps de marché à penser à la Fed et à une récession, je soupçonne que ce qui arrivera au gaz russe au S2 est potentiellement un même plus grande histoire. Bien sûr, d'ici le 22 juillet, des pièces auront peut-être été trouvées et l'offre pourrait commencer à se normaliser. Quiconque vous dit qu'il sait ce qui va se passer ici devine, mais au minimum, cela devrait être un énorme point focal pour tout le monde sur les marchés. "
Il a fallu la guerre russe en Ukraine pour révéler l'arnaque de l'énergie "verte"
Dimanche 10 juillet 2022 par : Ethan Huff
(Natural News) La transition forcée de l'Occident d'une énergie fossile fiable vers des alternatives énergétiques «vertes» s'est avérée désastreuse. Et grâce à la guerre en Ukraine, les économies occidentales prennent enfin conscience de ce fait.
Comme nous l'avons signalé, l'Union européenne (UE) devrait intégrer la production de pétrole et de gaz dans le giron de l'énergie verte - quelque chose qui, il y a à peine un an, aurait été du jamais vu.
Prés russe. La décision de Vladimir Poutine d'empêcher l'État profond d'utiliser l'Ukraine comme nation mandataire pour commettre des atrocités a conduit à des sanctions, qui ont conduit à des pénuries d'énergie, ce qui a conduit l'Europe occidentale à réaliser que s'il ne revenait pas à l'utilisation de combustibles fossiles, ce serait des lumières sortir très bientôt.
Même les médias contrôlés par les grandes entreprises, qui ont longtemps fait l'éloge de l'énergie verte, admettent maintenant que nous ferions mieux de faire démarrer ces pompes à pétrole et ces opérations de forage, sinon nous pouvons tous nous attendre à un effondrement de type tiers-mondiste cet hiver.
"... un monde affamé d'énergie se tourne vers le charbon alors que les pénuries de gaz naturel et de pétrole exacerbées par la guerre de la Russie contre l'Ukraine ramènent les pays au combustible fossile le plus sale", a rapporté le Journal.
Devenir «vert» signifie détruire votre économie et entrer dans la PAUVRETÉ
Il s'avère que les combustibles fossiles ne doivent pas nécessairement être les sources d'énergie "sales" que les écologistes prétendent depuis longtemps qu'elles sont. Il existe des moyens propres, sûrs et efficaces d'extraire les combustibles fossiles de la terre et de les utiliser pour alimenter les entreprises, les maisons, les véhicules et bien plus encore sans détruire la planète.
L'UE prévoit de maintenir des politiques en place pour garantir que les combustibles fossiles sont générés de manière propre et responsable, mais ils ne seront plus sur le billot pour une élimination complète et une interdiction comme auparavant.
Même le « charbon propre » fait son retour, car il est nécessaire avec les autres pour faire fonctionner les appareils de chauffage, la croissance des plantes et le bon fonctionnement de l'économie mondiale. Le vent, le soleil et les vœux pieux ne suffisent tout simplement pas à garder les lumières allumées.
"... des États-Unis à l'Europe en passant par la Chine, bon nombre des plus grandes économies du monde augmentent leurs achats de charbon à court terme pour assurer un approvisionnement suffisant en électricité, malgré les engagements antérieurs de nombreux pays de réduire leur consommation de charbon pour lutter contre le changement climatique", explique un autre rapport.
Il y a en fait maintenant tellement de demande de charbon que les prix sur le marché mondial augmentent de façon spectaculaire - ou du moins c'est la raison pour laquelle on nous dit le bond massif sur les cartes qui a été observé depuis le début de 2021.
Les prix de référence du charbon ont atteint de nouveaux records cette année, par exemple les prix au comptant du charbon au port australien de Newcastle, un fournisseur clé de l'Asie. Là-bas, le pétrole a dépassé les 400 dollars la tonne pour la première fois le mois dernier.
" Hilarante, la poussée du charbon est menée par l'Europe, point zéro du "mouvement vert" qui a finalement réalisé qu'on ne peut pas brûler de fausses vertus ou fondre en posant devant la caméra en hiver pour se réchauffer, et stimule le charbon achats pour s'assurer qu'il peut continuer à alimenter les maisons et les usines après que la Russie a coupé l'approvisionnement en gaz du continent », a rapporté Zero Hedge.
"L'Allemagne, qui a récemment promis d'éliminer le charbon comme source d'énergie d'ici 2030, fait partie des pays qui importent désormais davantage."
Au lieu d'éliminer complètement le charbon d'ici 2030, l'Allemagne pourrait en dépendre plus que jamais à ce moment-là. Il en va de même pour ses centrales nucléaires, qui devaient être fermées mais vont maintenant être ressuscitées et remises en service afin d'éviter un effondrement économique total.
Vous trouverez plus d'informations sur l'arnaque "verte" sur GreenTyranny.news.
The Ben Armstrong Show : L'humanité n'a plus que quelques mois de liberté
dimanche 10 juillet 2022 par : Kevin Hughes
(Natural News) L'animateur du podcast Ben Armstrong a averti ses téléspectateurs que l'humanité n'avait plus que quelques mois de liberté.
Il a cité l'auteur bien connu, le Dr Vernon Coleman, qui a déclaré dans un article du 29 juin sur son site Web personnel qu'il restait six mois de liberté à l'humanité. "En avril 2022, j'ai réalisé une vidéo dans laquelle je prédisais qu'il nous restait huit mois de liberté. Je respecte le timing », a écrit Coleman. "Il nous reste maintenant six mois - et cela nous emmène jusqu'à Noël 2022."
Armstrong a déclaré qu'il croyait Coleman parce que les mondialistes avancent rapidement pour faire avancer leur programme concernant la race humaine.
« Les mondialistes ne croient pas à la liberté. Ils croient à l'esclavage et à l'asservissement de tout le monde tant que ceux qui ont le pouvoir sont libérés de dieu », a déclaré Armstrong lors d'un récent épisode de « The Ben Armstrong Show ». (Connexe : Elana Freeland dit à Dan Happel : Les élites mondiales veulent que les gens soient des machines et des esclaves – Brighteon.TV.)
Armstrong a souligné que les mondialistes veulent vraiment un État totalitaire et qu'ils n'aiment pas la liberté. « Les mondialistes et les soi-disant libéraux aiment et admirent la Chine à cause du communisme », a-t-il déclaré.
Les mondialistes, selon Armstrong, détestent le fait que les gens croient en Dieu.
« La croyance en dieu et les lois de dieu et les 10 commandements de la bible et du christianisme les font trembler. Ils ne veulent pas croire qu'ils doivent se tenir devant un dieu alors qu'ils peuvent vivre égoïstement et vivre aussi égoïstement qu'ils le souhaitent. Et tout est une question d'égoïsme », a déclaré Armstrong.
« Le christianisme vous apprendra à ne pas vivre comme une personne égoïste, mais à faire passer les autres avant vous. Mais ce n'est pas ainsi que vivent les mondialistes. Ils vivent égoïstement et ils savent qu'ils ne vivent pas comme dieu a ordonné à l'homme de vivre. Donc, pour eux, la liberté est la liberté de dieu.
Armstrong a ajouté que les globalistes veulent éradiquer les chrétiens parce que les croyants en dieu sont un rappel qu'ils vont se tenir devant dieu pendant le Jour du Jugement. Il a également fait remarquer qu'en dehors de la liberté vis-à-vis de dieu, les globalistes veulent la liberté vis-à-vis des chrétiens et de la Parole de dieu.
Armstrong a déclaré que la liberté de dieu asservit les gens au péché parce que le péché est l'esclavage. "Tout ce qui est anti-dieu, comme la dépendance sexuelle et l'homosexualité, asservit les gens et seul dieu libère les gens d'un tel esclavage", a-t-il déclaré.
L'animateur a diffusé un clip vidéo de Coleman disant que la Grande Réinitialisation n'est plus seulement un cauchemar et que les gens vivent déjà dans une société oppressive, restrictive et communiste complète basée sur le contrôle numérique et progressant rapidement vers un manque total d'individualité et de liberté.
Dans le clip, Coleman a mentionné que la Grande Réinitialisation est bien plus avancée que la plupart des gens ne le pensent et que tout ce qui s'est passé au cours des deux dernières années – de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), aux sanctions contre la Russie et à la controverse transgenre – est partie du plan menant le monde à la plus grande récession depuis les années 1930.
Le Nouvel Ordre Mondial est déjà là
Coleman a déclaré que le Nouvel Ordre Mondial est déjà là et que les gens y vivent. Il a ajouté que les choses vont être bien pires dans les mois à venir car le monde est déjà dans la phase de mise à mort de la Grande Réinitialisation.
Les décisions sont prises par, ou selon les demandes d'un petit groupe de lobbyistes et de cultistes qui ont été manipulés pour représenter les intérêts des conspirateurs.
Selon Coleman, certaines personnes n'ont pas regardé la situation dans son ensemble et ne réalisent pas que toutes les mauvaises choses qui se sont produites ces dernières années sont toutes liées. Il a noté que la pandémie de COVID-19, l'hystérie du réchauffement climatique, la guerre manipulée contre la Russie, la destruction délibérée de l'économie mondiale et l'inflation sont toutes liées.
« Les gens ont été naïfs, inconditionnels et trop prêts à croire ce que les médias grand public corrompus leur ont dit. Et ceux qui disent la vérité sur ce qui se passe réellement ont été diabolisés, mentis, censurés, réprimés et effectivement réduits au silence par les médias grand public », a-t-il noté.
Armstrong a souligné que le système scolaire rendait service aux mondialistes en "apprenant aux élèves à subir un lavage de cerveau et à ne pas réfléchir parce qu'il y a des experts qu'ils devraient écouter".
Mais il est encore temps. Beaucoup de choses peuvent arriver avant Noël.
Cependant, a souligné Armstrong, les gens doivent comprendre rapidement que le mal existe et qu'il y a des gens qui sont capables de faire les choses les plus viles auxquelles les autres ne penseraient même pas.
Suivez Globalism.news pour plus d'informations sur les mondialistes.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l'agenda mondialiste.
Cette vidéo provient de la chaîne The New American sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
The Ben Armstrong Show: L'intérêt de Biden pour le conflit russo-ukrainien émaillé de corruption et de controverse.
Le programme d'annihilation : pourquoi les globalistes travaillent activement pour exterminer 90 % de la race humaine.
La pénurie alimentaire mondiale causée par la guerre en Ukraine sert le programme mondialiste de la Grande Réinitialisation.
Des choses que nous trouvons aujourd’hui essentielles ne seront peut-être plus accessibles qu’à une élite. Les commissaires européens et nos ministres verts en feront partie, bien sûr.
Thierry Afschrift le 11 juillet 2022
Le risque d’un appauvrissement quasi généralisé en Occident, et spécialement dans l’Union européenne, est aujourd’hui très important.
Les politiques menées en Occident, et surtout celle de la Commission européenne, conduisent inévitablement à une grave diminution du niveau de vie.
Il ne s’agit pas, aujourd’hui, de parler de l’inflation qui accable notamment la zone euro.
Elle est certes un danger réel et important, surtout pour ceux qui possèdent des liquidités, des emprunts d’État ou autres obligations à long terme. Les États et les autorités monétaires ont choisi leurs victimes, et ce sont les épargnants.
Mais le pire est ailleurs. Beaucoup se rendent sans doute compte, comme l’ont déjà suggéré de talentueux éditorialistes, que posséder une voiture sera sans doute bientôt un luxe réservé à une catégorie de nantis.
Quoi qu’on fasse, l’interdiction des voitures neuves à combustion en 2035, décidée par la Commission européenne, augmentera sensiblement les coûts de déplacement en voiture individuelle.
Quand elles ne seront plus subsidiées, le prix des voitures électriques sera sensiblement plus élevé que les voitures à essence ou diesel. Et le prix des batteries, qui dépendent des métaux rares que l’on trouve surtout en Chine, ne peut qu’augmenter dans une très large mesure, vu l’accroissement de la demande et la limitation de la production due à la rareté de certains composants.
L’utilisation de ces voitures coûtera elle aussi de plus en plus cher.
Pour les rendre simplement aussi performantes que nos véhicules d’aujourd’hui, il faudra notamment, du point de vue de leur autonomie, de leur temps de charge, de la création de dispositifs de chargement en suffisance, une technologie à améliorer sérieusement, et de très lourds investissements qu’il faudra bien rentabiliser, en en répercutant le coût, comme toujours, sur les consommateurs.
Un écart entre les riches et les pauvres accru du fait des politiques des dirigeants européens Le résultat à craindre est que seuls les riches devraient encore profiter des avantages du transport individuel. Un risque majeur que les partisans d’une politique écologique de gauche s’abstiennent bien de révéler.
Même chose pour les vacances. La guerre contre l’avion, réputé pollueur, est lancée.
On commence par taxer à l’embarquement, en plus des nombreuses autres taxes déjà existantes dans l’aviation, puis on limitera aussi les vols de courte distance, et on taxera le kérosène.
Les tickets d’avion vont devenir plus cher. D’aucuns, du côté vert, se félicitent déjà d’annoncer que les billets des compagnies low cost, « c’est fini », et que ce n’est d’ailleurs « pas normal ».
Il faudra donc payer plus cher pour voyager en avion, ou en train, déjà beaucoup plus cher aujourd’hui, et géré comme un prétendu « service public », c’est-à-dire mal, et sans égard pour les clients.
Des décennies de capitalisme plus ou moins libéral ont réussi à démocratiser les transports, à donner à la plupart d’entre nous la possibilité effective de circuler assez rapidement et confortablement et en peu de temps, pour des trajets quotidiens comme pour les vacances.
Et ce sont des politiques écologiques voulues par les partis de gauche qui vont porter atteinte à ce véritable progrès social et économique. En accroissant le coût de la voiture et de l’avion, en le portant à un niveau inaccessible pour une grande partie de la population qui pouvait, jusqu’ici, en bénéficier.
Le pire est qu’il ne s’agit là que d’exemples.
À force de réglementer aussi l’alimentation et l’agriculture, nous verrons sans doute bientôt une augmentation du prix de la viande, parce que l’on va réduire le nombre de bovins dans les élevages. La loi de l’offre et de la demande est incontournable : si l’offre diminue et que la demande est constante, le prix monte inexorablement.
À cela s’ajoute un risque, bien réel dans certains pays, de taxation des bovins ou la viande elle-même.
Quand il ne s’agit pas de mesures encore plus ruineuses. Le Sri Lanka a récemment obligé ses agriculteurs à produire tout bio, sans pesticides, notamment. Après un an, faute de débouchés et avec une production en forte baisse, les agriculteurs sont ruinés et la famine guette la population.
Mon propos n’est pas de faire peur mais de tirer les conclusions logiques des politiques menées, surtout dans l’Union européenne.
Nos politiciens veulent un Green deal. Un contrat dont ils ont beaucoup insisté sur ce qu’il apporte : une petite contribution à une planète un peu plus verte, à supposer que les Chinois n’augmentent pas trop leurs propres émissions de gaz carbonique.
Mais ce contrat a un prix, comme tout contrat. Et ce prix sera payé par les consommateurs, nous tous, par une forte diminution de notre niveau de vie.
Au point que des choses que nous trouvons aujourd’hui essentielles ne seront peut-être plus accessibles qu’à une élite. Les commissaires européens et nos ministres verts en feront partie, bien sûr.
Le transport est cher, il faut payer (!) pour aller travailler !! De plus, AUCUN salaire n'est exact puisque la banque vers qui il est viré prélève une taxe !! Puis il y a l'alimentation, le gaz ? Plus de gaz ! alors l'électrique ? plus d'électricité ! plus de mazout, de charbon ! Reste plus qu'à couper les arbres devant chez soi et y foutre le feu pour se chauffer ! La famine est à nos portes !! Le prix du plastique de serre + 70 % ! C'est-à-dire que s'il neige et sans serre... restera quelques rats ici ou là qui cherchent eux-aussi à bouffer...
Suite aux trois décisions importantes prises ces derniers jours , l’idéologie écologiste reviendrait-elle à une conception plus réaliste de la défense de l’environnement ?
le 11 juillet 2022 Michel Gay
Suite aux trois décisions importantes prises ces derniers jours (voir ci-dessous), l’idéologie écologiste reviendrait-elle à une conception plus réaliste de la défense de l’environnement, et les dirigeants européens commenceraient-ils à comprendre que la radicalité écologique est une catastrophe ?
Trois décisions importantes récentes
Le Centre industriel de stockage géologique des déchets nucléaires (CIGEO) est enfin déclaré d’utilité publique. Le Parlement européen valide le label vert pour le gaz et le nucléaire afin de faciliter les investissements jugés nécessaires pour la transition énergétique. La place attribuée au nouveau ministre de l’Écologie (Christophe Béchu) rétrograde du 5e au 10e rang protocolaire.
Il faut inlassablement rappeler que le nucléaire émet moins de 4 grammes de gaz carbonique par kilowattheure d’électricité (4 ggaz carbonique/kWh), soit tout de même 4 fois moins que l’éolien (14 à 16 ggaz carbonique/kWh), 10 fois moins que le solaire PV (43 à 49 ggaz carbonique/kWh), et 100 fois moins que le gaz (410 ggaz carbonique/kWh) !
Pour lutter contre le réchauffement climatique, ce n’est pas négligeable…
Il est donc préférable de construire du nucléaire pilotable plutôt que des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) en raisonnant sur le moyen terme (10-15 ans).
Mais hélas, la France pourrait bientôt manquer de puissance disponible d’électricité dès cet hiver pour répondre aux besoins croissants des consommateurs.
En parallèle, l’éolien et les panneaux photovoltaïques chers et intermittents continuent leur progression malgré leur inutilité et leur coût. Le compromis politique défie toujours les lois de la physique… mais pour encore combien de temps ? Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre.
Certains acteurs politiques se croient au-dessus des lois de la physique et de l’économie (en particulier les Verts). Ils portent une immense responsabilité dans cette situation de quasi-pénurie, mais ils oublient soigneusement de le mentionner.
Le Président Macron aux manettes depuis 5 ans, a accepté les fermetures politiques de centrales électriques au charbon, voire même au fioul, ainsi que les deux réacteurs nucléaires à Fessenheim, qui ont fragilisé l’équilibre du réseau d’électricité en France. En laissant faire, EDF et RTE n’ont, semble-t-il, pas joué efficacement leur rôle d’alerte pour conserver des marges de puissance pilotable afin d’assurer la sécurité d’approvisionnement.
La puissance garantie par l’éolien est de l’ordre de 1 % de sa capacité maximale installée pour un pays, et jusqu’à 4 % à l’échelle d’un continent comme l’Europe. Les EnRI ne sont pas d’un grand secours pour gérer les pointes de consommation !
Une prise de conscience « collective » ?
Les « responsables » commencent lentement à comprendre que l’éolien et les panneaux photovoltaïques sont non seulement inutiles, mais aussi surtout nuisibles, s’ils ne sont pas associés constamment à des productions pilotables pour être utilisables. Ces moyens délivrent une puissance aléatoire qui peut coïncider par hasard avec un besoin de production ou d’effacement.
Et en cette période de faiblesse du nucléaire et de pénurie de gaz sur fond de crise avec la Russie, plus il y aura de puissance installée d’éolien et de solaire, plus il faudra de puissance de centrales à charbon, comme en Allemagne et dans d’autres pays européens (Pologne…), voire même en France avec la récente remise en service de la centrale à charbon de Saint-Avold.
Cette politique absurde conduit déjà aujourd’hui à une forte augmentation structurelle du prix de l’électricité, soit +25 % en 4 ans.
Continuer à développer en France l’éolien et le solaire revient à vider les poches des Français pour remplir celles des promoteurs, et aussi à faire croître les émissions de gaz carbonique.
Le nucléaire est durable
La plupart des instances internationales (UE et aussi l’AIE) soutiennent dorénavant le nucléaire comme un mal nécessaire en attendant le « Graal rêvé » du 100 % renouvelables dont ils ne décrivent jamais la manière d’y parvenir, notamment pour compenser l’intermittence et/ou contraindre les consommateurs à s’y adapter.
EDF, RTE et l’ASN devraient être capables d’expliquer qu’une pénurie d’électricité par excès de précautions appliquées au nucléaire aurait des conséquences économiques et sociales majeures. Entre deux risques, il faut choisir le moindre. Le politique pourrait alors trancher sur le choix final au nom de l’intérêt général.
Pourquoi ne le fait-il pas ? Aurait-il peur des écolos dogmatiques qui n’ont aucun sens des réalités ou, pire, qui souhaitent non seulement l’écroulement de la « société capitaliste de consommation » mais aussi la disparition de l’humanité ?
Le mur des réalités
La politique énergétique européenne est aujourd’hui construite autour de l’éolien et des panneaux voltaïques dont les graves inconvénients précités sont de plus en plus dénoncés.
EDF continue même de proposer la pose de panneaux voltaïques chez les particuliers. Même nationalisée, EDF ne semble pas s’opposer à une politique qui lui permet de récupérer de juteuses subventions. Et peu importe qu’au bout du compte ce soit le consommateur qui trinque.
Le « modèle » énergétique allemand fondé sur l’éolien, le solaire, le gaz, et maintenant le charbon, est un échec retentissant. Le suivre conduirait la France, qui a encore 40 ans d’avance grâce à son nucléaire, à la faillite et à une hyper inflation.
La France doit d’urgence concentrer ses efforts sur sa filière nucléaire et stopper sa politique hasardeuse fondée sur des EnRI qui doivent être couplées aux centrales au charbon ou au gaz lorsqu’il n’y a pas ou peu de vent et de soleil.
Il reste encore certains écolos qui croient sincèrement que grâce à l’éolien et au soleil, le nucléaire (à proscrire) sera éliminé. Il leur est donc insupportable d’entendre de plus en plus qu’il faut conserver toute la puissance du nucléaire, ou la remplacer par la même puissance de gaz et de charbon (ce qu’a fait l’Allemagne), pour faire face aux pannes de vent et de soleil.
Ils ne peuvent pas admettre que c’est inefficace pour le climat. Ils n’acceptent pas la contradiction et leur réaction est un déni, parfois violent, même si le politiquement correct tend actuellement à changer dans l’opinion publique et parmi certains écologistes.
Ainsi, les déchets qui seront stockés à CIGEO dans quelques années (et non « enfouis » selon le terme péjoratif utilisé notamment par les antinucléaires) semble posséder les mêmes caractéristiques que les activistes écologistes radicalisés : ils sont de haute activité et à vie longue, mais leur nocivité décroît avec le temps… face au mur des réalités.
(...) Il faut inlassablement rappeler que le nucléaire émet moins de 4 grammes de gaz carbonique (...)
Faudrait aussi 'rappeler' que le gaz carbonique n'est PAS un poison émis continuellement par le magma (en des proportions des millions de fois supérieures à l'émission des humains, animaux et industries réunis !). Et qu'il n'a JAMAIS ÉTÉ un 'gaz à effet de serre' ! ni une substance calorifique puisque étant le plus lourd, ras du sol, c'est lui qui est responsable des gelées (il n'y a pas de gelées chaudes !).
Notez que s'il faut 30 ans pour rentabiliser un panneau solaire il est cassé à moins de 8 ans ! HAHAHAHA ! (pire s'il tombe de la grêle !).
Rappelez vous le '11 Septembre 2001', il y a plus de 8 millions d'habitants à New-York et PAS UN n'a vu d'avion dans le ciel !! PAS UN SEUL ! mais TOUS l'ont vu à la télé ! HAHAHAHA !
Après, ils vous sortent le 'virus (poussière) qui attaque !' (pire que 'Mars Attacks' ?). Attention, ce n'est PAS un microbe (vivant qui transporte des maladies) mais une POUSSIÈRE ! Le grain de sable qui vous empêche de marcher ! (sur la plage ?) mais donc existerait un 'vaccin anti-poussières' !! (bombe Pliz ?).
Les fermes britanniques se retrouvent avec des tonnes de nourriture non cueillie grâce aux problèmes de traitement des visas saisonniers liés au Brexit
Dimanche 10 juillet 2022 par : Cassie B.
(Natural News) D'innombrables cultures ne sont pas cueillies au Royaume-Uni alors que la pénurie de travailleurs induite par le Brexit se poursuit. Des millions de livres ont ainsi été perdues, faisant grimper l'inflation alimentaire jusqu'à 20 %, rapporte le secteur agricole.
Un déficit du nombre total de visas et des retards dans le traitement des visas de travail saisonnier post-Brexit par le ministère de l'Intérieur sont aggravés par la guerre en Ukraine, qui a bloqué une source majeure de travailleurs agricoles britanniques. L'année dernière, plus de 60% des personnes entrées dans le pays avec un visa saisonnier venaient d'Ukraine, tandis que 8 % venaient de Russie. Les travailleurs des deux pays ne sont plus disponibles, ce qui ajoute aux malheurs des agriculteurs britanniques.
Le directeur général de Sandfield Farms, Derek Wilkinson, qui emploie normalement plus de 750 travailleurs étrangers dans sa ferme de Worcestershire, est durement touché par la situation. Il a déclaré que les retards de traitement des visas lui avaient déjà coûté environ 250 000 £ de ses cultures d'asperges et d'oignons de printemps. Sans suffisamment de travailleurs, ils sont tout simplement incapables de récolter environ 45 000 kilogrammes d'asperges et 750 000 lots d'oignons de printemps.
S'adressant à Sky News, il a noté que les Britanniques ne sont pas intéressés par ce type de travail.
«Nous essayons de recruter localement et il n'y a tout simplement pas les gens là-bas. Les Britanniques ne veulent tout simplement pas de travail saisonnier ; si vous vivez au Royaume-Uni, vous avez besoin d'un emploi permanent. Nous essayons de recruter, mais nous obtiendrions très peu de participation », a-t-il déclaré.
Selon Wilkinson, les retards de traitement des visas au Royaume-Uni sont nettement plus longs que ceux des autres pays. Alors que le traitement prend actuellement environ six à sept semaines au Royaume-Uni, les agriculteurs d'Allemagne et des Pays-Bas signalent qu'ils peuvent obtenir des visas en quelques jours.
Début mai, la ferme de Wilkinson manquait déjà de 40 % des travailleurs dont elle avait besoin. Bien que de nombreux travailleurs aient été recrutés, leurs visas n'étaient pas traités et la situation n'a fait qu'empirer.
Les agriculteurs ont exprimé leur inquiétude quant au fait que l'industrie ne sera pas en mesure de récolter une récolte complète au cours de la saison des baies de cette année, et les prochaines saisons de poires et de pommes devraient également en souffrir.
La main-d'œuvre saisonnière du Royaume-Uni souffre du Brexit
L'accès facile à la main-d'œuvre saisonnière offert au Royaume-Uni par son adhésion à l'UE est crédité d'avoir contribué à façonner l'industrie agricole du pays. En particulier, il a amélioré la viabilité des cultures à forte intensité de main-d'œuvre comme les baies.
Cependant, la main-d'œuvre saisonnière du Royaume-Uni diminue depuis l'introduction de son programme de visas pour les travailleurs saisonniers après le Brexit. Dans le passé, les travailleurs saisonniers pouvaient largement entrer dans le pays depuis l'UE sans restrictions ; le nouveau programme de visa pour les travailleurs saisonniers est le seul moyen pour les travailleurs peu rémunérés et peu qualifiés d'entrer dans le pays de nos jours.
On pense que le gouvernement britannique visera à supprimer progressivement les visas pour les travailleurs saisonniers d'ici 2024 afin que les travailleurs domestiques et les méthodes d'automatisation telles que les robots de cueillette de fruits puissent prendre le relais, bien que de nombreux agriculteurs insistent sur le fait que ces approches ne sont tout simplement pas réalisables.
Le vice-président du National Farmers Union, Tom Bradshaw, a déclaré: «Nous avons un taux de chômage très bas. Nous avons 4% de chômeurs et des millions de postes vacants, il n'est donc pas réaliste que cela provienne de la main-d'œuvre nationale alors qu'il y a beaucoup de postes permanents.
Le président du comité restreint de l'environnement, de l'alimentation et des affaires rurales, Sir Robert Goodwill, a déclaré qu'il pensait que le programme devrait rester intact car l'incertitude quant à la disponibilité de la main-d'œuvre pourrait entraver la croissance du secteur agricole.
"Si vous plantez un vignoble ou construisez une station de conditionnement, vous devez être sûr que vous avez de la main-d'œuvre pour venir faire ce travail à l'avenir. Le programme est très réussi et il n'y a aucune raison pour qu'ils ne le rendent pas permanent », a-t-il souligné.
Comment les essais de vaccins truquent régulièrement les résultats
RépondreSupprimerPar le Dr Joseph Mercola
Mercola.com
9 juillet 2022
Dans une tournure des événements plutôt choquante, la Food and Drug Administration des États-Unis s'est faufilée dans un programme «Future Framework»1 qui permettra à Pfizer et Moderna de reformuler et de publier des vaccins COVID mis à jour sans effectuer d'essais cliniques humains supplémentaires, autres que ce qui a déjà été fait .2,3,4
La FDA réécrit les règles à la volée
Un vote sur le cadre devait avoir lieu le 28 juin 2022 par le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés (VRBPAC) de la FDA, mais alors que le VRBPAC a approuvé (19-2) un vaccin bivalent contre la COVID pour l'automne 2022,5 les prévisions le vote sur le cadre, en particulier, n'a pas semblé avoir lieu - seulement il l'a fait.
En fin de compte, nous avons encore une fois été trompés par une agence qui ne cesse de réécrire les règles à la volée. Toby Rogers, Ph.D. — un économiste politique dont les recherches portent sur la capture réglementaire et la corruption des grandes sociétés pharmaceutiques6 — explique comment ils nous ont glissé celui-ci :7
« Hier [June 28], le comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques apparentés de la FDA a approuvé un vaccin bivalent COVID-19 avec la souche Wuhan et la variante Omicron…
Lors de la réunion, les fabricants (Moderna, Pfizer et Novavax) ont été interrogés sur leurs délais de production… et ils ont dit à haute voix : "Tant que nous n'avons pas à fournir de données cliniques, nous les aurons prêtes d'ici tomber." Personne n'a eu de problème avec ça...
Attendez, attendez, je pensais que la FDA votait sur le Future Framework hier ? La question politique était de savoir si les injections COVID-19 reformulées seraient traitées comme de nouvelles entités moléculaires (ce qu'elles sont), auquel cas elles devraient être soumises à un examen formel ou si les injections reformulées seraient traitées comme « biologiquement similaires » aux injections Covid-19 existantes. et être autorisé à sauter complètement les essais cliniques.
Apparemment, la FDA n'avait pas le droit de vote pour simplement adopter cela comme une question de politique. Si vous demandez à quelqu'un si l'ARNm reformulé représente une nouvelle entité moléculaire, bien sûr que oui, cela nécessiterait donc un examen réglementaire formel.
Ce que la FDA a fait à la place, c'est de passer en contrebande la question politique déguisée en un vote sur les «boosters» reformulés pour l'automne.
Essentiellement, la FDA vient de commencer à faire le Future Framework (choisir des variantes bon gré mal gré, sauter des essais cliniques) et a essentiellement osé les membres du comité de refuser une dose de rappel - sachant que tous les membres du VRBPAC sont triés sur le volet parce qu'ils n'ont jamais rencontré un vaccin qu'ils n'aimaient pas.
RépondreSupprimerDonc, bien sûr, seules deux personnes du comité ont eu le courage de refuser une dose de rappel – même si elle était basée sur ce processus absurde (qui n'a jamais été formellement adopté) où il n'y avait littéralement aucune donnée du tout… Par furtivité, la FDA a remplacé un système basé sur des preuves avec un système entièrement basé sur la croyance.
La pire idée de l'histoire de la santé publique
La décision de publier des injections d'ARNm reformulés sans essais cliniques supplémentaires est de loin le pire développement à ce jour et a le pouvoir de changer radicalement la science médicale à l'avenir.
Non seulement des injections de COVID complètement non testées seront produites, mais ce «cadre» pourrait également, au fil du temps, être élargi pour inclure d'autres vaccins et médicaments que les fabricants de médicaments pourraient vouloir bricoler. Heck, cela pourrait même abaisser les normes pour les essais de médicaments en général, qui ont historiquement nécessité au moins 10 ans de tests en plusieurs phases.8
Dans un article de Substack du 31 mai 2022, Rogers a expliqué l'origine et le but de cette proposition incroyablement dangereuse :9
"Pfizer et Moderna ont un problème - leurs injections d'ARNm COVID-19 n'arrêtent pas l'infection, la transmission, l'hospitalisation ou la mort du virus SARS-CoV-2. Tout le monde le sait… Pfizer et Moderna gagnent environ 50 milliards de dollars par an sur ces clichés et ils veulent que cela continue.
Ils doivent donc reformuler les plans. Peut-être cibler une nouvelle variante, peut-être changer certains des ingrédients – qui sait, ces plans ne fonctionnent pas, donc on ne sait pas ce qu'il faudra pour les faire fonctionner. C'est un problème car les injections reformulées signifient de nouveaux essais cliniques et un nouvel examen réglementaire par la FDA.
Il y a une chance décente que tout vaccin reformulé échoue à un nouvel essai clinique et le public est profondément sceptique à l'égard de ces vaccins, de sorte que l'examen minutieux serait intense.
Pfizer et Moderna ont donc trouvé un moyen d'utiliser la capture réglementaire pour faire approuver leurs injections COVID-19 reformulées SANS autres essais cliniques. Leur programme s'appelle le «Future Framework»… Le but du «Future Framework» est de truquer le processus de réglementation du vaccin COVID-19 à perpétuité en faveur de l'industrie pharmaceutique.
RépondreSupprimerSi ce «Future Framework» est approuvé, tous les futurs vaccins COVID-19, quelle que soit la formulation, seront automatiquement considérés comme «sûrs et efficaces» sans essais cliniques supplémentaires, car ils sont considérés comme «biologiquement similaires» aux vaccins existants.
C'est littéralement la pire idée de l'histoire de la santé publique. Si vous modifiez une seule molécule d'ARNm dans ces injections, cela modifiera les résultats pour la santé d'une manière que personne ne peut anticiper. Cela nécessite nécessairement de nouveaux essais cliniques – ce que la FDA propose de sauter…
La FDA a autorisé les injections COVID-19 pour les enfants les 14 et 15 juin. Donc, si la FDA approuve le «Future Framework» le 28 juin, les injections qui seront administrées aux enfants (et aux Américains de tous âges) à l'automne seront les des injections reformulées qui ont sauté les essais cliniques.
Le SRAS-CoV-2 est un horrible candidat vaccin, et ils le savent
Avant de continuer, passons en revue un facteur important qui a tendance à se perdre. Comme l'a expliqué Rogers10, « les virus qui évoluent rapidement sont de mauvais candidats pour un vaccin », pour la simple raison qu'ils mutent plus rapidement que le développement de vaccins ne peut suivre.
C'est pourquoi nous n'avons pas de vaccin contre le rhume. C'est aussi pourquoi toutes les tentatives précédentes de développement d'un vaccin contre le coronavirus ont échoué. Ces études n'ont jamais dépassé les essais sur les animaux. Les vaccins ont provoqué une amélioration dépendante des anticorps, rendant les animaux plus malades que la normale lorsqu'ils sont exposés au virus.
La plupart des gens ne savent pas que le SRAS-CoV-2 mute à un rythme deux à 10 fois plus rapide que le virus de la grippe,11,12 et ces mutations peuvent réduire considérablement l'efficacité du vaccin. En effet, nous l'avons vu à la fois avec le vaccin contre la grippe saisonnière et les vaccins COVID. Lorsque vous vaccinez contre un virus à mutation rapide, vous courez également le risque de le forcer à prendre une forme plus virulente et/ou résistante aux vaccins. Comme l'a noté Rogers :
"Le "comité consultatif d'experts" de la FDA (VRBPAC) s'est réuni le 6 avril 2022 pour discuter du "Future Framework" pour la première fois. Tous les membres du comité ont convenu que les injections de COVID-19 ne fonctionnent pas, qu'il n'est pas possible de les booster plusieurs fois par an et que les injections doivent être reformulées.
Ils ont également convenu à l'unanimité qu'il n'y a pas de « corrélats de protection » que l'on puisse utiliser pour prédire quels niveaux d'anticorps seraient suffisants pour prévenir l'infection par le SRAS-CoV-2. »
À présent, le VRBPAC doit savoir que la seule voie à suivre, vraiment, est de retirer les vaccins COVID et de se concentrer sur la thérapeutique. Mais ils ne font pas ça. Au lieu de cela, ils doublent une stratégie qui a échoué. En plus de cela, ils aggravent encore la situation en renonçant aux essais cliniques. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que cela posera de graves risques pour la santé publique. Je suis d'accord avec Rogers, qui a dit :13
RépondreSupprimer"Pensez-y. Plus vous mettez d'ARNm dans une injection, plus le taux d'événements indésirables est élevé (car l'ARNm génétiquement modifié détourne la cellule et commence à produire des protéines de pointe). Donc, si Pfizer et Moderna mettent plus d'ARNm dans ces injections (afin de couvrir plusieurs variantes), les taux d'événements indésirables monteront en flèche.
Mais si Pfizer et Moderna mettent moins d'ARNm par variante dans un tir (afin de maintenir la quantité totale d'ARNm à 100 mcg pour Moderna et 30 mcg pour Pfizer), alors l'efficacité contre une variante particulière sera réduite. L'échec du Future Framework est garanti à 100 %. »
Ils truquent aussi l'efficacité
La FDA insiste également sur le fait qu'en raison des contraintes de temps, l'évaluation de l'efficacité doit reposer sur « des mesures autres que les résultats réels sur la santé ».14 En d'autres termes, le fait que les injections réduisent réellement votre risque de maladie grave, d'hospitalisation et de décès n'aura aucune incidence.
La seule mesure qui sera prise en compte est de savoir si le jab déclenche ou non une augmentation des niveaux d'anticorps, ce qui n'a jamais été prouvé comme offrant une protection significative. Cela signifie également que tant que les niveaux d'anticorps sont à travers le toit, le taux de mortalité pourrait également être à travers le toit, et les piqûres seront toujours utilisées, car cela ne fait pas partie de l'équation.
L'accent mis sur les niveaux d'anticorps à l'exclusion de tout le reste peut en fait se retourner contre eux. Les données de l'essai de Moderna suggèrent que le vaccin vous rend en fait plus susceptible de répéter les infections en raison de l'inhibition des anticorps contre une partie particulière du virus.
Une étude pré-imprimée15,16 publiée sur medRxiv le 19 avril 2022, a trouvé des participants adultes à l'essai de Moderna qui ont reçu la véritable injection, et ont ensuite contracté une infection percée, n'ont pas généré d'anticorps contre la nucléocapside - un composant clé du virus - aussi souvent que ont fait ceux du bras placebo.
Les receveurs de placebo ont produit des anticorps anti-nucléocapside deux fois plus souvent que ceux qui ont reçu le vaccin Moderna, et leur réponse anti-nucléocapside était plus importante quelle que soit la charge virale. En raison de leur réponse anticorps inhibée, ceux qui ont reçu le vaccin peuvent être plus sujets aux infections répétées au COVID.
Ces résultats sont en outre corroborés par les données de la U.K. Health Security Agency. Il publie des données hebdomadaires de surveillance du vaccin COVID-19, y compris les niveaux d'anticorps anti-nucléocapside. Le rapport17,18 pour la semaine 13, publié le 31 mars 2022, montre que les individus infectés par le COVID avec des infections percées ont en effet des niveaux inférieurs de ces anticorps.
RépondreSupprimerIl y a beaucoup de choses que nous ignorons sur ce virus, ces injections et l'interaction entre elles. Ainsi, permettre aux fabricants de vaccins de reformuler les vaccins sans essais cliniques est une recette pour un désastre.
Pour plus de clarté, les anticorps censés offrir une protection contre le COVID sont les anticorps contre la protéine de pointe et le domaine de liaison au récepteur (RBD).19 Mais cette étude suggère que les anticorps contre d'autres parties du virus peuvent jouer un rôle tout aussi important, et au moins l'un des ils sont inhibés plutôt que stimulés, ce qui entraîne une situation où vous pouvez être réinfecté à maintes reprises.
La morale de l'histoire ici est qu'il y a beaucoup de choses que nous ne savons pas sur ce virus, ces coups de feu et l'interaction entre eux. Ainsi, permettre aux fabricants de vaccins de reformuler les vaccins sans essais cliniques est une recette pour un désastre.
Les essais de vaccins sont régulièrement truqués
Au fil des ans, nous avons vu de nombreux exemples de la façon dont les essais de vaccins sont truqués, et ce que la FDA propose maintenant n'est en réalité qu'une extension et une formalisation extrêmes de ce truquage. Par exemple, en 2017, une enquête de huit mois menée par le magazine Slate20 a révélé que les essais de vaccins contre le VPH « n'étaient pas conçus pour évaluer correctement la sécurité ».
Dans un rapport interne sur le Gardasil 9, obtenu grâce à une demande de la Freedom of Information Act (FOIA), l'Agence européenne des médicaments (EMA) avait en fait attiré l'attention sur certains de ces problèmes, affirmant que l'approche de Merck était "non conventionnelle et sous-optimale" et qu'elle laissait « incertitude » quant à la sécurité de Gardasil. Pourtant, rien n'a été fait à ce sujet.
Puis, en 2020, le Dr Peter Gøtzsche - médecin-chercheur danois, professeur et cofondateur de la Cochrane Collaboration et du Nordic Cochrane Center - et deux collègues ont publié une revue et une méta-analyse21 des données de 24 essais de vaccins contre le VPH. Le magazine Slate a également rapporté ces découvertes.22
Encore une fois, la conclusion était que les essais sur le VPH avaient mis la sécurité en veilleuse en ne procédant pas à des tests de sécurité appropriés. Pourtant, pour citer le magazine Slate, "Les résultats n'affectent pas les recommandations officielles de se faire vacciner." Selon Gøtzsche et ses coauteurs :23
RépondreSupprimer« Nous avons jugé que les 24 études présentaient un risque élevé de biais. Les préjudices graves ont été signalés de manière incomplète pour 72 % des participants (68 610/95 670). Presque tous les participants témoins ont reçu des comparateurs actifs (48 289/48 595, 99 %). Aucun rapport d'étude clinique ne comprenait de formulaires de rapport de cas complets…
À 4 ans de suivi, les vaccins contre le VPH ont réduit les précurseurs du cancer liés au VPH et les procédures de traitement, mais ont augmenté les troubles graves du système nerveux (analyse exploratoire) et les dommages généraux.
Comme les essais inclus ont été principalement conçus pour évaluer les avantages et n'ont pas été conçus de manière adéquate pour évaluer les inconvénients, la mesure dans laquelle les avantages des vaccins contre le VPH l'emportent sur leurs inconvénients n'est pas claire.
Ne pas enregistrer les blessures, ou les enregistrer de manière incorrecte (par exemple, lister une blessure comme une condition préexistante), est une tactique courante utilisée pour falsifier les résultats et faire apparaître un vaccin plus sûr qu'il ne l'est. Une autre stratégie courante consiste à exclure tout paramètre qui s'avère problématique, y compris les participants blessés.
Parce qu'il s'agit d'une astuce si courante, le fait que 3 000 des 4 526 enfants (âgés de 6 mois à 4 ans) inscrits à l'essai pédiatrique COVID de Pfizer aient été exclus est un énorme drapeau rouge.24 Encore plus suspect est le fait que Pfizer ne expliquer pourquoi les deux tiers des enfants ont été abandonnés.
L'Organisation mondiale de la santé est à l'origine de l'idée de lancer la sécurité
Cependant, la FDA n'a pas inventé l'idée du "Future Framework" toute seule. Selon Rogers, l'Organisation mondiale de la santé et d'autres noms prévisibles sont les véritables cerveaux :25
«Je n'ai pas compris jusqu'à ce que… j'ai commencé à écrire cet article, que tout ce« cadre du futur »vient en fait de l'OMS. La Fondation Bill & Melinda Gates est le plus grand contributeur volontaire de l'OMS. Gates dirige donc probablement la pièce.
Gates exige que l'OMS utilise la société de conseil McKinsey, il s'agit donc probablement d'une opération McKinsey (et McKinsey travaille également pour Pharma, il s'agit donc d'un énorme conflit d'intérêts). Comme le souligne Naomi Wolf, l'implication de l'OMS soulève également des questions troublantes sur l'influence du Parti communiste chinois sur ce processus.
Dès janvier, la junte OMS/Gates/McKinsey s'est rendu compte que ces tirs étaient terribles et ils ont donc décidé d'en profiter pour s'emparer d'encore plus de pouvoir et de contrôle.
RépondreSupprimerL'OMS a mis en place un groupe consultatif technique sur la composition des vaccins COVID-19 (TAG-CO-VAC) pour mettre en œuvre ces «futurs cadres» orwelliens dans le monde développé afin de réduire les coûts de fabrication pour Pharma et d'éviter des données de santé gênantes qui pourraient nuire aux bénéfices. Tous les messages que nous avons vus de la FDA et divulgués à la presse ont été initialement développés et publiés par TAG-CO-VAC.
Nous devons rejeter tous les futurs tirs d'ARNm
Cette débâcle COVID – de ses débuts de tests PCR frauduleux à ces injections COVID extrêmement dangereuses et à la négligence intentionnelle des fabricants de vaccins et des autorités sanitaires – est l’exemple le plus choquant d’une entreprise criminelle que j’aie jamais vue. Rien d'autre ne se rapproche même.
Et la cerise sur le gâteau proverbiale qui prouve que rien de tout cela n'est accidentel ou causé par l'ignorance est cet effacement sournois et sournois de l'exigence d'essais cliniques pour tous les futurs vaccins COVID au nom de l'opportunité. Le COVID-19 n'est pas une condamnation à mort, loin de là. Donc, il n'y a pas besoin d'opportunisme. Et comme il n'y a pas besoin d'opportunisme, il n'est pas non plus nécessaire d'accepter des dommages collatéraux sous la forme de blessures et de décès liés aux piqûres COVID.
Alors, pourquoi font-ils cela ? C'est la question à un million de dollars, et les réponses les plus évidentes sont toutes dérangeantes à l'extrême. Au mieux, ils ne se soucient pas du nombre de personnes, y compris des enfants, qui souffrent et meurent. Au pire, l'intention est de réduire considérablement la population par des effets néfastes sur la fertilité, la réduction de la durée de vie et la mort à court terme.
Pour nous sauver, en effet, pour sauver l'humanité, nous devons rejeter tous les tirs d'ARNm, présents et futurs. Et pas seulement les plans COVID, mais aussi tous les autres qui sont en préparation, car s'ils sont prêts à ignorer une fois les protocoles de sécurité les plus élémentaires, vous pouvez être sûr qu'ils le feront à nouveau.
Lésiner sur l'évaluation de la sécurité a été la norme secrète pendant des décennies, et maintenant ils tentent de formaliser ce processus en utilisant la furtivité et la subversion. Les premiers vaccins COVID n'ont même pas encore terminé leurs essais, et ils veulent que vous croyiez que ces essais incomplets sont suffisants pour « prouver » que toutes les reformulations futures sont également « sûres et efficaces » !
Nous avons également vu comment les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont déclaré qu'ils n'avaient vu aucun signal de sécurité dans les données, pour découvrir plus tard que la raison pour laquelle ils n'en avaient pas trouvé était parce qu'ils n'avaient jamais réellement cherché.26
RépondreSupprimerCe n'est rien de moins que de la folie, et au cours des deux dernières années, les agences gouvernementales ont prouvé qu'elles n'allaient pas mettre un terme à la folie. Non, ils vont pousser cette expérience aussi loin qu'elle ira, c'est-à-dire jusqu'à ce que partout les gens disent « non plus » et laissent tous leurs stocks pourrir.
Il y a de l'aide si vous avez pris le jab
En conclusion, si vous avez déjà pris un ou plusieurs vaccins COVID et que vous le regrettez maintenant, premièrement, la mesure la plus importante que vous puissiez prendre est de ne plus prendre de vaccins, et cela inclut les vaccins conventionnels et tout autre ARNm ou injections à base de gènes aussi bien.
Ensuite, si vous pensez que votre santé a pu être affectée, consultez le protocole de traitement post-vaccinal de la Frontline COVID-19 Critical Care Alliance (FLCCC), I-RECOVER,27 que vous pouvez télécharger sur covid19criticalcare.com dans plusieurs langues différentes.
Sources and References
1 FDA Briefing Document June 28, 2022
2, 14 The Defender June 27, 2022
3 The Epoch Times June 28, 2022 (Archived)
4 New York Times June 27, 2022 (Archived)
5 The Defender June 29, 2022
6 Brownstone Institute June 22, 2022, Author’s Bio
7 uTobian June 29, 2022
8 Phrma.org Biopharmaceutical research and Development
9, 10, 12, 13 uTobian Substack May 31, 2022
11 VRBPAC Meeting Comments by Trevor Bedford, April 6, 2022
15 medRxiv April 19, 2022 DOI: 10.1101/2022.04.18.22271936
16, 18 The Defender May 4, 2022
17 UK Health Security Agency COVID-19 Vaccine Surveillance Report Week 13
19 CDC.gov MMWR December 10, 2021; 70(49): 1700-1705
20 Slate December 17, 2017
21, 23 BMC Systematic Reviews 2020; 9: article number 43
22 Slate March 11, 2020
24 Rumble June 17, 2022
25 uTobian June 26, 2022
26 Jackanapes Substack June 16, 2022
27 FLCCC I-RECOVER Post-Vaccine Treatment Protocol (PDF)
https://www.lewrockwell.com/2022/07/joseph-mercola/how-vaccine-trials-routinely-rig-the-results/
La catastrophe vaccinale du Pérou démontre encore qu’il faut stopper ces injections expérimentales.
RépondreSupprimerPar Dr Gérard Delépine
Mondialisation.ca, 09 juillet 2022
docteur.nicoledelepine.fr
Ce pays d’Amérique latine de 32 millions d’habitants a été un élève particulièrement obéissant de l’OMS et a appliqué sa stratégie « interdiction de la chloroquine et des autres traitements précoces. Tout vaccin ».
L’Algérie, pays du Maghreb de 45,5 millions d’habitants a appliqué le traitement précoce prôné par le professeur Raoult et les pays d’Afrique subsaharienne, souffrant chroniquement du paludisme, ont poursuivi l’utilisation des antipaludéens.
Après plus de 2 ans, l’échec des vaccins au Pérou est dramatique alors que l’Algérie comme les pays africains utilisant les antipaludéens ont traversé l’épidémie sans beaucoup en souffrir. Rappelons les faits avérés publiés par l’OMS et mis en figures par l’université John Hopkins.
La vaccination n’a pas protégé les Péruviens de la maladie
Début 2022, le Pérou a enregistré plus de 70 000 nouveaux cas en une seule semaine, dépassant les sommets atteints lors des première et deuxième vagues de la « pandémie ».
- voir graph sur site -
Vaccinés mais pas protégés !
La vaccination n’a pas évité aux Péruviens de mourir de Covid
La propagande vaccinale prétend que la vaccination protégerait des formes graves et de la mort. Mais l’exemple du Pérou montre qu’une telle affirmation est mensongère. La mortalité covid cumulée a doublé au Pérou depuis la vaccination qui a pourtant concerné plus de 85% des habitants, dont plus de 95% des personnes à risques. Au 15 juin 2022, le nombre de morts attribuées au Covid dépasse les 200 000, infligeant à ce pays le taux de mortalité le plus élevé de tous les pays du monde (6700 par million).
À l’opposé, les pays Africains qui ont traité précocement par antipaludéens et très peu vacciné ont quasi complètement évité les formes graves et les morts covid. Leurs mortalités cumulées ne sont pas les 200 par million !
- voir graph sur site -
Par million d’habitants les mortalités constatées dans les pays africains adeptes des traitements précoces sont 200 à 400 fois inférieures à celle du Pérou confirmant la catastrophe sanitaire du tout vaccin.
- voir graph sur site -
Qui peut encore croire que les pseudo vaccins vont résoudre le problème Covid ou qu’ils protègent des formes graves et de la mort ?
La source originale de cet article est docteur.nicoledelepine.fr
https://www.mondialisation.ca/la-catastrophe-vaccinale-du-perou-demontre-encore-quil-faut-stopper-ces-injections-experimentales/5669655
Amazon, Bill Gates et la Chine achètent des terres partout aux États-Unis en prévision du programme Great Reset
RépondreSupprimerVendredi 08 juillet 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Amazon, Bill Gates et la Chine communiste achètent des propriétés partout aux États-Unis pour créer des camps de concentration en vue de la Grande Réinitialisation.
« Qu'est-ce qu'ils prévoient ? … Eh bien, ils prévoient de construire des camps. Ils prévoient de construire des camps FEMA », a averti Josh Sigurdson de World Alternative Media. « Je pense qu'il est assez clair à ce stade qu'ils préparent les camps, ils préparent les camps de la FEMA, ils préparent la propriété pour créer… des aliments OGM pour les rations alimentaires à venir, qui arriveront très bientôt… parce qu'ils sont contrôlés et effondrent la chaîne d'approvisionnement.
Amazon modifie son modèle commercial en prenant en charge l'acquisition et le développement de propriétés en interne
Malgré la réduction drastique de la superficie de son entrepôt ces derniers mois en raison de la flambée des coûts de l'énergie et de la main-d'œuvre, Amazon continue d'acheter des terrains et des propriétés partout aux États-Unis.
Amazon étend son empire immobilier depuis 2020, lorsque la société déjà gargantuesque a commencé à rechercher des biens sur les principaux marchés américains. L'un des achats les plus récents d'Amazon est un terrain de 193 acres à l'extérieur de Round Rock, au Texas. Jusqu'à présent, Amazon a acheté environ 4 000 acres de terres vides depuis 2020.
Amazon comptait beaucoup sur les développeurs pour trouver, acheter et construire de nouveaux bureaux et entrepôts sur différentes propriétés. Maintenant qu'Amazon prend en charge une grande partie du processus d'acquisition et de développement de propriétés en interne, il pourra éloigner les regards indiscrets de ses propriétés foncières et avoir beaucoup plus de contrôle sur la façon dont ses nouvelles propriétés sont développées.
Bill Gates, Chine, achète des terres agricoles partout en Amérique
Le groupe Fufeng, une société basée à Shandong, en Chine, spécialisée dans la production d'exhausteurs de goût et de substituts de sucre, vient de payer 2,6 millions de dollars pour acheter 300 acres de terres agricoles à Grand Forks, dans le Dakota du Nord.
Par coïncidence, ce terrain est situé près d'une base de l'armée de l'air qui abrite une technologie de drone sensible.
"La Chine veut sans aucun doute des informations sur les drones américains et est heureuse de posséder des terres aux États-Unis", a écrit Joe Hoft pour le Gateway Pundit.
RépondreSupprimerIl convient également de noter que Grand Forks se trouve à seulement 40 miles de Grafton, où une société à responsabilité limitée appartenant à Bill Gates a récemment payé 13 millions de dollars pour plus de 2 000 acres de terres agricoles de pommes de terre de première qualité. (Connexe: Bill Gates a obtenu l'autorisation légale d'acheter 2 100 acres de terres agricoles dans le Dakota du Nord.)
Le géant de la technologie a dû se battre bec et ongles pour que l'achat du terrain par sa LLC soit approuvé, y compris en combattant la loi de l'État devant les tribunaux. Tout cet incident a été très mal accueilli par les habitants du Dakota du Nord.
"J'en ai entendu parler de partout dans l'État, ce n'est même pas de ce quartier", a déclaré le commissaire à l'agriculture du Dakota du Nord, Doug Goehring, lors d'une interview avec une chaîne de télévision locale. "Ces gens sont bouleversés, mais il y en a d'autres qui sont juste furieux à ce sujet."
Ce n'est que la dernière acquisition foncière de Gates. Le technocrate milliardaire est déjà considéré comme le premier propriétaire privé de terres agricoles aux États-Unis. Il possède actuellement plus de 270 000 acres de biens immobiliers agricoles. Cela rend toutes les terres que Gates possède deux fois plus grandes que le territoire américain de Guam dans le Pacifique occidental.
Regardez cet épisode de "World Alternative Media" alors que l'animateur Josh Sigurdson parle des camps de concentration qu'Amazon, Bill Gates et la Chine communiste construisent aux États-Unis.
Cette vidéo provient de la chaîne World Alternative Media sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
Amazon rachète d'énormes propriétés foncières industrielles à travers les États-Unis, même si cela réduit la superficie des entrepôts… que prévoient-ils ?
Pendant ce temps, la Chine communiste rachète les terres agricoles américaines.
Bill Gates révèle les raisons des achats massifs de terres agricoles : Développer des cultures génétiquement modifiées pour développer des biocarburants.
Les sources comprennent :
Brighteon.com
Bloomberg.com
TheGatewayPundit.com
Futurisme.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-08-amazon-bill-gates-china-buying-us-lands.html
Dès lors qu'ils achètent des terres pour rien n'y produire c'est dans le but criminel d'affamer la population. Empêcher les gens de se nourrir !! Des terres à l'abandon vont être rapidement envahies de ronces et de buissons puis d'arbres et, pour remettre ces terres en état d'être exploitées il faudra beaucoup de Bulldozer et beaucoup d'argent.
SupprimerProgramme mondialiste : guerres, famine et numérisation pour ouvrir la voie à une grande réinitialisation
RépondreSupprimervendredi 08 juillet 2022
par: Mary Villareal
(Natural News) Les gens ont été conditionnés par la propagande massive du Forum économique mondial (WEF) et de la Fondation Rockefeller à un point tel que beaucoup ne peuvent pas détecter la différence entre la vérité et les mensonges. Et s'ils le font, ils sont plus susceptibles de croire les mensonges colportés par les médias de masse sous le contrôle des élites mondiales.
Dans ce monde chaotique à l'envers, l'injustice est la justice, la guerre est la paix et le bien et le mal sont réversibles à volonté. Cette façon de penser dure depuis des décennies, mais à des doses pour la plupart ignorées que beaucoup s'autorisent à rester dans leur zone de confort si le problème ne les affecte pas directement.
Accueillir des réfugiés est un exemple de la façon dont la perception peut être déformée. Les îles méditerranéennes, par exemple, ont été envahies par des réfugiés au fil du temps, de nombreux Africains et Asiatiques fuyant leurs propres maisons. Cependant, en raison de la couleur de leur peau, ils ont été victimes de discrimination et sont restés dans la pauvreté, mendiant et chassés des hôtels et des restaurants. Même les policiers les empêchent de mendier dans les rues.
Cependant, lorsque les Ukrainiens à la peau blanche ont fui après que la Russie a attaqué leur pays, les « réfugiés » ukrainiens ont été considérés comme des priorités, les hôtels de certaines villes européennes annonçant leur soutien.
Trois jours seulement après l'attaque russe contre l'Ukraine, le chancelier allemand Olaf Scholz a déclaré dans un communiqué qu'elle "marque un tournant dans l'histoire de notre continent".
Scholz a fustigé le sang-froid et la cruauté du président russe Vladimir Poutine dans sa guerre d'agression, qui, selon lui, ne peut être justifiée. Cependant, il n'a pas fait les mêmes proclamations sur les invasions américaines de la Syrie, de l'Iran, du Pakistan, de Cuba, du Venezuela et d'autres pays. (En relation: Le Forum économique mondial cherche un contrôle absolu sur les populations mondiales, exige la consolidation du pouvoir.)
Guerres, famines, numérisation
La Fondation Rockefeller a prédit des pénuries alimentaires il y a plus de 10 ans, ce qui signifie que tout ce qui peut arriver dans les 12 à 24 prochains mois ne peut pas être causé par la seule Russie. Cela fait partie du plan de la cabale pour créer la peur et la misère et pour aller de l'avant avec leur programme de grande réinitialisation.
Bien sûr, la définition publique de l'initiative Great Reset n'exprime pas d'événements de mort de masse. Le site Web du WEF insiste sur le fait qu'il a simplement un ensemble de dimensions à construire et "un nouveau contrat social qui honore la dignité de chaque être humain". Les élites mondiales disent également qu'elles utilisent leur plate-forme pour "une collaboration et une coopération éclairées entre toutes les parties prenantes", qui, selon elles, a fait ses preuves depuis plus de cinq décennies.
RépondreSupprimer«Le Forum offre désormais son expérience dans la création de communautés axées sur un objectif au service du défi et de l'opportunité extraordinaires auxquels le monde est confronté pour une grande réinitialisation. Le Forum fournit une plate-forme sans précédent pour créer, façonner et fournir des solutions collaboratives pour l'avenir », ont affirmé les élites mondiales.
Reste à savoir si cet « avenir » est pour le bien de l'humanité ou pour eux seuls. Après tout, la Fondation Rockefeller et le WEF ont forcé les vaccinations sans expliquer clairement ce qu'il y a dans les vaccins - bien qu'il y ait eu des preuves que les vaccins COVID-19 font partie du programme d'eugénisme massif prévu de longue date.
Cela ressemble à l'éradication des "mangeurs inutiles", comme le conseiller principal de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari, a qualifié les personnes "inaptes" d'aujourd'hui. (En relation: Le Forum économique mondial veut que les grands gouvernements, les grandes banques et les grandes entreprises vaccinent le monde.)
De plus, la plupart des gens sont inconscients des choses qui sont encore à venir - les restrictions sévères, les mandats et l'élimination des droits de l'homme et des libertés individuelles parmi eux.
Il existe de nombreuses formes de numérisation, mais la plus néfaste est l'utilisation de la réponse rapide ou des codes QR qui peuvent stocker jusqu'à 30 000 informations sur les personnes. Il n'y a pas de limite à son expansion potentielle.
Les codes QR peuvent être utilisés pour numériser l'argent et toutes les transactions, y compris les achats, les paiements, les voyages, les contrats de service et même les dossiers médicaux. Il s'agit d'une forme d'optogénétique de contrôle total du cerveau que beaucoup pensent que les élites utiliseront pour convertir les "mangeurs inutiles" en rien de plus que de simples biens communs qui existent uniquement pour leur bénéfice.
Visitez GreatReset.news pour plus d'informations sur l'agenda du WEF.
Regardez la vidéo pour en savoir plus sur le Forum économique mondial et comment il peut prendre le pouvoir pour gouverner le monde.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
RépondreSupprimerLe Forum économique mondial simule une cyberattaque mondiale qui pourrait entraîner une « grande réinitialisation ».
Le NY Times dit que "Great Reset" est une "théorie du complot" le jour même où le Forum économique mondial le célèbre.
Le Forum économique mondial veut que tous ceux qui résistent à la grande réinitialisation soient contraints de se rendre dans des «camps de rééducation» à la chinoise.
Le Forum économique mondial et Soros se rallient à l'Ukraine : supprimer la connexion avec Poutine (vidéo).
Bill Gates, l'OMS, le Forum économique mondial font partie d'un réseau criminel de conspirateurs COVID,
Sources include:
GlobalResearch.ca
WEForum.org
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-08-globalist-agenda-wars-famine-digitization-great-reset.html
La majorité de la population ne voit pas plus loin que le bout de son nez ! Ils et elles font des provisions. Whôaw ! Des 'provisions' pour combien de temps ? 3 mois ?! 6 mois ?!... Et après ?...
SupprimerAprès ? après ils crèvent.
Ils attendent que les cailles tombent toutes rôties !
Ils ou elles pensent s'en sortir !!! en... cultivant des salades et plants de tomates en pots de fleurs sur le balcon !! HAHAHAHAHA !
Premièrement, le 'pot de fleurs' (en terre cuite ou plastique) c'est la mort de la plante.
Deuxièmement une plante n'aime pas être bougée chaque jour pour passer le balai, la serpillière ou l'aspirateur. Puis elles n'aiment pas être tournées tantôt face Nord, tantôt face Sud, ou Est ou Ouest !
Troisièmement, ce qui tue la plante c'est de mettre les racines au chaud (plein soleil) ou au froid (quand il gèle dehors le froid entoure le pot et tue les racines).
Une plante c'est fait pour être plantée EN PLEINE TERRE ! UNIQUEMENT en pleine terre. Les racines seront alors à l'abri du soleil et du froid.
Le risque de pénurie menace la cohésion sociale l’hiver prochain
RépondreSupprimerPar Olivier Renault
Mondialisation.ca, 08 juillet 2022
Observateur continental
La France lance son plan d’économie de guerre pour conserver la cohésion sociale. Le gazoduc Nord Stream 1, celui qui suit le parcours de Nord Stream 2 (qui n’a toujours pas été mis en service), sera arrêté pour effectuer la maintenance à partir de la mi-juillet. C’est une action qui a lieu chaque année. Mais, cette fois, en raison des sanctions de l’Occident contre la Russie, les experts redoutent que Moscou décide de ne plus ouvrir plus Nord Stream 1, faisant plonger l’UE dans une pénurie qui va, selon les observateurs, menacer la cohésion sociale et politique. En Russie, mais aussi en France, les autorités organisent une économie de guerre.
Des mesures de rationnement. Les patrons des trois énergéticiens français TotalEnergies, EDF et Engie ont appelé fin juin les Français à réduire immédiatement leur consommation de carburant, de pétrole, d’électricité et de gaz face au risque de pénurie menaçant «la cohésion sociale» l’hiver prochain. «Les livraisons de gaz russe par gazoduc ont fortement baissé pour certains pays, dont la France. Bien qu’en augmentation, les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) sont aujourd’hui encore trop limitées pour compenser ces baisses», avertissent les trois énergéticiens, signalant que «des mesures de rationnement sont mises en place dans certains pays». Ils rappellent que «nos marchés sont interdépendants» et qu’ «il faut également agir à l’échelle de l’Europe et être solidaires» car «cette interconnexion européenne, électrique et gazière est plus fondamentale que jamais».
Les importations venues de Russie représentent 65 % de la consommation de gaz de l’Allemagne, 29 % pour l’Italie et 19 % pour la France. Une implosion sociale dans un des pays de l’UE et le feu de la révolte sociale risque de se répandre dans les pays voisins. Jean-François Carenco, le président de la Commission de régulation de l’énergie (CRE), qui vient de quitter sa fonction, tirait la sonnette d’alarme en mars dernier: «Il faut économiser du gaz et de l’électricité en France dès maintenant sinon cela pourrait mal se passer l’hiver prochain».
Economie de guerre en Russie, France. Alors que le Parlement russe a approuvé mardi en première lecture deux projets de loi d’économie de guerre, le gouvernement français a publié un jour avant un plan de résilience destiné aux entreprises en raison du conflit en Ukraine face à des problèmes liés au coût de l’énergie.
Le journal Les Echos titrait dès le début de juillet: «la France se prépare à une économie de guerre». Le quotidien économique avertit que «la France fait un grand pas vers l’économie de guerre pour ce qui concerne le secteur de l’énergie» tout en relatant la loi pouvoir d’achat -présentée en Conseil des ministres ce jeudi- qui comporte un volet «souveraineté énergétique» qui donne des pouvoirs inédits à l’Etat pour «faire fonctionner les infrastructures gazières françaises comme il le jugera indispensable cet hiver». Cette loi offre des pouvoirs sans précédent à l’Etat dans le cas d’une crise majeure cet hiver.
Le ministre chargé de l’Energie pourra décider de restreindre ou suspendre de manière temporaire le fonctionnement de certaines installations de production d’électricité utilisant du gaz naturel afin d’économiser cette énergie. La loi permet d’autoriser le gouvernement à forcer le remplissage des stockages souterrains français de gaz mais aussi de fixer une trajectoire de remplissage minimal. Dans le plan de cette économique de guerre, la reprise de la centrale à charbon de Saint-Avold a été décidée et elle devrait fonctionner de nouveau dès octobre. L’installation d’un terminal flottant d’importation de gaz naturel liquéfié (GNL) de TotalEnergies dans le port de la ville de Seine-Maritime a été actée et la date de mise en service souhaitée est septembre 2023 pour être totalement fonctionnel pour janvier 2024.
RépondreSupprimerLe spectre de la récession plane. Public Sénat a mis en garde fin juin sur la conséquence directe du conflit en Ukraine et des sanctions infligées par les 27 à la Russie, car les économies européennes font face à une forte inflation et les prix de l’énergie s’envolent et le spectre de la récession plane. L’eurodéputé luxembourgeois, Christophe Hansen, (PPE) affirme même que l’Europe connaît de graves dommages collatéraux alors que l’inflation ne cesse d’augmenter un peu partout et qu’on frôle la récession et que les sanctions ont des effets limités. Il constate que le Kremlin semble avoir trouvé depuis d’autres marchés contrairement à l’UE. Aurore Lalucq, l’eurodéputée française partage le même avis que son collègue luxembourgeois et s‘inquiète pour la suite. Elle constate que «l’économie russe ne s’est pas effondrée [alors que] c’était ça le plan». Le but était, selon elle, «d’avoir une guerre économique, de la gagner, de faire en sorte d’effondrer l’économie russe pour qu’ils n’aient plus les moyens de faire la guerre».
Mais, c’est l’inverse qui se produit. Les pays de l’UE sont menacés de récession et d’implosion sociale. Christophe Hansen avertit que «l’unité et la solidarité vont être mises à l’épreuve, non seulement entre les Etats membres mais aussi avec l’Ukraine. Car plus cette crise dure, et plus les impacts vont s’intensifier dans la société».
Dans l’édition du Welt de ce matin, on peut lire que Die Linke exige «de mettre fin aux sanctions énergétiques contre la Russie» car «cela n’arrêterait pas [Vladimir] Poutine, mais nuirait d’autant plus à l’Allemagne». Ils demandent aussi à ce que Nord Stream 2 soit également mis en service si nécessaire pour faire face à grave crise énergétique qui fonce comme un tsunami sur l’Allemagne mais aussi sur l’UE. Le consensus voulu pour refuser le gaz russe en Occident commence à se fissurer en raison des tensions qui apparaissent.
https://www.mondialisation.ca/le-risque-de-penurie-menace-la-cohesion-sociale-lhiver-prochain/5669625
Peter Hambro: La BRI et les banques centrales truquent le marché de l'or en utilisant l'or papier des Bullion Banks
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 16:30
Soumis par Ronan Manly, BullionStar.com
"L'or pour les banquiers centraux est comme le soleil pour les vampires."
Cette semaine, un article intrigant et révélateur du célèbre Peter Hambro a été publié par le site britannique d'actualités économiques et politiques Reaction.
L'article, intitulé "N'oubliez pas la règle d'or : celui qui possède l'or établit les règles" est intrigant et révélateur pour un certain nombre de raisons, principalement parce qu'il met en évidence la manipulation du prix de l'or. et nommer les types d'entités responsables, tout en expliquant certains des mécanismes utilisés dans le jeu d'or papier à réserve fractionnaire de Londres.
Mocatta & Goldsmid
Mais l'article est également remarquable en termes de qui est l'auteur. Pour ceux qui ne le connaissent pas, Peter Hambro est un nom très respecté dans le domaine de l'or, ayant cofondé et été président de la société minière aurifère anglo-russe cotée au FTSE Peter Hambro Mining (maintenant connue sous le nom de Petropavlovsk). Il a également été, de 1983 à 1990, directeur général adjoint du légendaire courtier en lingots londonien Mocatta & Goldsmid. De plus, le père de Peter Hambro, Everard Bingham Hambro, était également à un moment donné administrateur de Samuel Montagu, une autre des sociétés légendaires du cartel de courtiers en lingots de Londres.
En plus d'être un banquier de lingots d'initié, Peter Hambro est également l'arrière-arrière-petit-fils du baron Carl Joachim Hambro, le fondateur de la célèbre banque d'investissement anglaise Hambros. En fait, Mocatta & Goldsmid a même fusionné avec la banque Hambros en 1957, telles sont leurs relations. Dans les années 1980, Mocatta & Goldsmid était également la plus grande contrepartie en or et en argent de l'Union soviétique, un fait qui a aidé Hambro à établir Peter Hambro Mining en 1994 (maintenant connu sous le nom de Petropavlovsk).done
Ainsi, lorsque Peter Hambro écrit sur la manipulation du prix de l'or, ce n'est pas n'importe qui qui écrit sur la manipulation du prix de l'or, c'est un homme de l'une des dynasties bancaires britanniques qui a été au courant pendant toute sa carrière des rouages des rouages de Londres établissement bancaire de lingots, et qui a les connaissances opérationnelles nécessaires pour gérer une société d'extraction d'or cotée à la Bourse de Londres qui extrait de l'or physique réel, de l'or qui n'a aucun risque de contrepartie et n'est la responsabilité de personne d'autre.
Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le site d'actualités et de podcasts Reaction, Reaction est une publication sérieuse basée à Londres dirigée par un comité de poids lourds de journalistes et de dirigeants de médias qui se spécialise dans l'analyse et les commentaires sur l'actualité, la politique, la culture et l'économie.
RépondreSupprimerLe déclencheur de l'article de Peter Hambro est un graphique récent du Bureau américain du contrôleur de la monnaie (OCC), qui, en raison d'une reclassification des données à partir du premier trimestre 2022, montre désormais à quel point les banques de lingots telles que JP Morgan ont amassé contrats dérivés de métaux précieux pour maintenir le prix de l'or (un excellent résumé de ce graphique est ici).
Montants notionnels des dérivés sur métaux précieux dans les banques commerciales américaines jusqu'au 31 mars 2022
Or non alloué - Le couvercle sur la boîte de Tinder
Hambro décrit cette manipulation du prix de l'or à l'aide de produits dérivés comme une «poudrière», que «la désinformation [a] pendant de nombreuses années gardé le couvercle». Mais qui, vous demanderez-vous, dirige cette désinformation et cette manipulation du prix de l'or ?
Selon la bombe de Hambro, c'est la Banque des règlements internationaux (BRI) en Suisse, c'est-à-dire la banque centrale des banques centrales. Hambro lâche la bombe qui :
"Depuis 2018, les bureaux de stabilité financière des banques centrales du monde ont suivi l'instruction de la Banque des règlements internationaux (BRI) de masquer la perception de l'inflation en truquant le marché de l'or."
Mais puisque les banques centrales « ont besoin d'une couverture » et « ne peuvent être considérées » comme truquant le prix de l'or, Hambro poursuit :
"La seule façon d'atteindre la couverture est de faire exploser le prix de l'or physique par la production alchimique de" l'or papier "."
Si cela a maintenant attiré votre attention, lisez la suite, puisque Hambro précise :
"Avec l'aide des marchés à terme et la connivence des alchimistes, les négociants en lingots - oui, cela m'inclut, j'étais directeur général adjoint de Mocatta & Goldsmid - ont réussi à créer une perception inébranlable que les onces d'or créditées sur un compte avec une banque ou un marchand de lingots étaient les mêmes que la vraie chose. « Et beaucoup plus facile, mon vieux ! Vous n'avez pas à le stocker ou à l'assurer ».
Le crédit d'or auquel Hambro fait référence ici est le tristement célèbre «or non alloué» de la LBMA, les «marchés à terme» étant le COMEX. À ce stade, vous pourriez même penser que Hambro lit le site Web de BullionStar, car nous expliquons depuis des années exactement la même chose. Par exemple, voir ici et ici.
RépondreSupprimer- voir graph sur site -
Que la Bank for International et ses gouverneurs ordonnent aux banques centrales du monde de truquer le prix de l'or ne devrait pas être une surprise, puisque c'est ce que fait la BRI depuis longtemps. Du pool d'or de Londres des années 1960 au nouveau pool d'or du début des années 1980, la BRI adore truquer le prix de l'or. Pourquoi? Parce que l'or pour les banquiers centraux est comme le soleil pour les vampires. Voir les articles de BullionStar "New Gold Pool at the BIS Basel, Switzerland: Part 1" et "New Gold Pool at the BIS Basel: Part 2 - Pool vs Gold for Oil"
Tirer les ficelles - La Banque d'Angleterre
Dans son article, Hambro poursuit en expliquant l'évolution des années 1980 du marché de l'or papier à Londres et ses nombreux dérivés qui sont les mécanismes de fumée et de miroirs à travers lesquels le marché du «marché de l'or» de Londres poursuit son schéma d'or papier à réserve fractionnaire jusqu'à ce jour. :
"Une fois que les investisseurs ont avalé cette pilule stupéfiante, il était facile de leur vendre de l'or qui n'existait tout simplement pas. Bien sûr, il y avait des investisseurs méfiants qui avaient du mal à croire que Mocatta, Montagu, Rothschild et Sharps Pixley étaient des contreparties incontestables et voulaient être assurés que l'or serait là quand ils l'appelleraient.
Facile, nous avons dit. Ne vous embêtez pas à payer pour cela, donnez-nous simplement une marge de trésorerie initiale et acceptez une marge de variation et notre promesse papier vaut de l'or. C'était la dérivée simple.
Si vous pensiez que le prix allait baisser, vous pourriez nous vendre de l'or que vous n'aviez pas et marger le commerce de la même manière. Ensuite, une multitude d'options et d'autres produits sont arrivés et le marché des produits dérivés - car c'est ainsi que s'appelait cette chimère - a commencé à tourner en spirale comme une tornade.
Une ‘Chimère’ étant une créature hybride monstrueuse mythique composée de différentes parties. Cette croissance exponentielle de l'or non alloué et des dérivés sur l'or s'est produite pour la première fois dans les années 1980, lorsque Peter Hambro était directeur chez Mocatta et Goldsmid et que le marché de l'or de Londres consistait en un cartel de cinq sociétés de lingots, à savoir N.M. Rothschild, Mocatta & Goldsmid, Samuel Montagu, Sharps & Pixley et bien sûr les tristement célèbres Johnson Matthey Bankers. Et c'est Johnson Matthey Bankers qui a failli s'effondrer en 1984 et a dû être secouru par la Banque d'Angleterre afin d'empêcher l'implosion du reste du club des lingots de Londres.
Et comme le décrit Hambro, la Banque d'Angleterre était alors, à partir de maintenant, toujours prête à soutenir le ponzi d'or en papier de Londres avec de l'or physique en cas de besoin sous la forme de prêts d'or de la banque centrale :
«Pour rendre le faux or encore plus sûr, la Banque d'Angleterre était discrètement disposée à prêter de l'or physique aux membres du marché de l'or de Londres, au cas où les choses deviendraient un peu délicates et que nos coffres seraient vides. Quand l'un des membres a fait faillite [Johnson Matthey Bankers], les autres se sont cotisés et la Banque d'Angleterre tenant les cordes, les clients ont été renfloués."
RépondreSupprimerÀ cela, vous pouvez ajouter les manipulations de la Banque d'Angleterre en intervenant dans les London Gold Fixings dans les années 1980, comme documenté dans l'article de BullionStar ici. Puis, en 1987, la Banque d'Angleterre est allée plus loin et a demandé aux banques de lingots de Londres d'officialiser leur cartel, ce qui s'est fait par le lancement de la London Bullion Market Association (LBMA). Et c'est pourquoi à ce jour, la Banque d'Angleterre et la LBMA sont étroitement liées, en particulier par le biais du marché ultra-secret des prêts d'or à Londres, où les banques centrales prêtent de l'or physique aux banques de lingots de la LBMA. C'est un sujet que les journalistes d'investigation de Bloomberg et de Reuters n'aborderont jamais puisque les conseils d'administration et les rédacteurs en chef de Bloomberg et de Reuters savent que ces opérations de prêt d'or soutiennent l'ensemble du système de réserve fractionnaire d'or papier.
De plus, ce système mondial d'"or papier" a une offre illimitée puisque, comme le dit Hambro, les gouvernements et les banques centrales et la BRI "peuvent imprimer la marge". C'est pourquoi, Hambro dit que
"Les grandes banques de Wall Street accepteront les dollars fiduciaires comme marge et fabriqueront de l'or pour submerger le marché."
Alors que Peter Hambro était auparavant connu pour comprendre et discuter de la manipulation du prix de l'or, ses derniers commentaires pourraient arriver maintenant car il sent un changement géopolitique dans le rôle monétaire de l'or. En outre, comme les sanctions occidentales en cours contre la Russie ont décimé la capacité du mineur d'or Petropavlovsk à vendre son or et à rembourser ses prêts (sa principale banque Gazprombank est sanctionnée), Hambro, en tant qu'ancien président de Petropavlovsk, pourrait avoir une meilleure position que la plupart à lire les conséquences imprévues des sanctions sur le marché mondial de l'or.
Les vêtements de l'empereur en papier d'or
Hambro conclut ensuite son article en se référant au récent graphique américain OCC sur les dérivés de métaux précieux :
"On dit souvent que les pailles soufflant dans le vent présagent de grandes tempêtes et je crois que ce graphique montre exactement une telle paille."
"Regardez ce graphique, puis allez voir votre contrepartie de trading de lingots et achetez de l'or. Ensuite, demandez votre or ou votre argent ou votre platine ou votre palladium ou tout autre réserve physique de valeur et moyen d'échange que vous avez acquis pour vous protéger des ravages de l'inflation.
Car l'inflation engloutira sûrement le monde lorsque les vêtements de l'empereur en papier d'or seront vus pour ce qu'ils sont vraiment.
RépondreSupprimerVladimir Poutine et Xi Jinping font partie de ceux qui connaissent la règle d'or : "Celui qui a l'or fait les règles".
Ce qui explique également pourquoi la Russie et la Chine accélèrent désormais leur interaction dans le développement conjoint des marchés de l'or russe et chinois, comme expliqué dans le récent article de BullionStar "La Chine et la Russie en étroite coopération visant le gagnant-gagnant sur les marchés de l'or".
https://www.zerohedge.com/markets/peter-hambro-bis-central-banks-are-rigging-gold-market-using-bullion-banks-paper-gold
(Pas) Tout le monde aime le chocolat
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 14:45
Tout le monde aime le chocolat, n'est-ce pas ?
Eh bien, comme le détaille Felix Richter de Statista ci-dessous, pas tout le monde, du moins pas au même degré.
Selon les données de Global Consumer Outlook de Statista, il existe un énorme gouffre dans la consommation de chocolat dans le monde. Alors que la friandise à base de cacao est très populaire dans de grandes parties de l'Europe et aux États-Unis, de nombreuses personnes en Asie préfèrent d'autres sucreries pour satisfaire leur dent sucrée.
- voir graph sur site -
Infographie : (Pas) Tout le monde aime le chocolat | Statistique
Vous trouverez plus d'infographies sur Statista
En ce qui concerne la ligue des accros au chocolat, la Suisse est en tête avec une consommation annuelle par habitant s'élevant à 11,6 kilogrammes en 2021.
Le pays est bien connu pour son excellente industrie du chocolat avec Toblerone et Lindt parmi les marques les plus reconnaissables.
L'Allemagne voisine est également en haut de la liste avec 5,7 kilogrammes par habitant, tandis que les Américains consomment en moyenne 9 kilogrammes de chocolat par an.
À l'autre extrémité de l'échelle, l'Inde et la Chine ont une consommation par habitant considérablement inférieure à 1,0 et 0,2 kilogramme, respectivement, selon Statista.
https://www.zerohedge.com/personal-finance/not-everybody-loves-chocolate
S'attaquer aux intermédiaires devrait être une priorité pour réduire les prix des ordonnances
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 04:20
Rédigé par Tom Price via RealClear Policy
La Federal Trade Commission (FTC) des États-Unis a récemment voté à l'unanimité pour faire monter la pression sur les intermédiaires de la chaîne d'approvisionnement en médicaments. L'agence ouvre une enquête sur les Pharmacy Benefits Managers (PBMs) pour leur rôle dans "l'augmentation du prix que les consommateurs paient pour les médicaments", entre autres comportements douteux.
Pendant des années, les PBM ont utilisé leur position de gardiens du marché de la consommation pour s'enrichir et enrichir les compagnies d'assurance - une conduite qui a attiré l'attention des régulateurs, des décideurs et du public alors que le prix des médicaments à la consommation explose. Depuis l'an 2000, les dépenses aux États-Unis en produits pharmaceutiques ont presque triplé.
Comment le surcoût parvient-il aux consommateurs ? Vous voyez, les fabricants de médicaments offrent généralement des remises sous forme de remises à côté de leurs produits, ce qui, dans un monde parfait, se traduirait par des médicaments plus abordables. Mais dans le cadre du programme actuel d'intermédiaires, ces économies ne parviennent jamais au patient au comptoir de la pharmacie. L'argent est plutôt aspiré par les PBM.
Un instantané des quatre dernières années fournit une bonne illustration de ce qui se passe. Depuis 2018, le prix net des médicaments de marque (c'est-à-dire le prix affiché avec les remises appliquées) a en fait diminué chaque année. Mais le consommateur moyen ne le saurait pas. Le prix qu'ils paient - une fois que le médicament est passé par les PBM - a en fait augmenté. En d'autres termes, les fabricants de médicaments ne sont pas à l'origine de la hausse des prix à la consommation, ce sont les intermédiaires.
C'est pourquoi une proposition démocrate d'appliquer des contrôles gouvernementaux sur les prix des médicaments sur ordonnance sans stratégie pour freiner les PBM est pleine d'air chaud. La fixation des prix par le gouvernement pourrait traiter temporairement les symptômes, mais pas la cause profonde de la hausse des coûts des médicaments. Et à long terme, l'approche supprimera l'innovation nécessaire pour développer de nouveaux traitements, thérapies et vaccins vitaux.
Les démocrates ont pour habitude de plaider en faveur d'une réforme des soins de santé qui est longue sur le style, mais manque d'efficacité. Obamacare en est un bon exemple.
Au cours du débat sur la refonte des soins de santé de 2010, la Maison Blanche a continuellement poussé l'idée que la réforme permettrait à la famille moyenne d'économiser 2 500 $ par an. Mais les éléments de « réduction des coûts » d'Obamacare sont un tour de passe-passe. Les coûts des soins de santé continuent d'augmenter, mais ces augmentations sont masquées par les subventions gouvernementales. Si la subvention du gouvernement devait disparaître, les primes mensuelles augmenteraient de façon spectaculaire.
RépondreSupprimerC'est loin d'être un scénario hypothétique. Les subventions améliorées d'Obamacare qui étaient incluses dans le projet de loi sur les dépenses de l'ère pandémique de 2 billions de dollars de l'administration Biden devraient expirer en 2023. Lorsque cela se produira, les factures mensuelles moyennes d'assurance maladie feront plus que doubler pour les quelque 13 millions d'Américains qui reçoivent des subventions sur les échanges d'Obamacare. La seule façon de l'arrêter est que le Congrès presse encore plus les contribuables pour couvrir la différence.
Plutôt que de tenter de manipuler les prix via la main lourde du gouvernement, les législateurs devraient se tourner vers le marché libre pour obtenir de l'aide. L'introduction de la transparence des prix, l'offre aux patients de plus de choix en matière de soins de santé et la réduction de la bureaucratie dans la relation patient-médecin réduiront les prix tout en améliorant la qualité des soins.
En ce qui concerne la réforme des soins de santé, les politiques émanant du Congrès sont souvent à courte vue et inefficaces pour résoudre le problème fondamental. Pousser un plan pour faire face à la hausse des prix des médicaments sans un élément pour lutter contre les intermédiaires PBM en est le dernier exemple. Espérons que l'enquête de la FTC aide certains décideurs politiques à voir la lumière.
Tom Price, ancien secrétaire de la Santé et des Services sociaux et ancien membre du Congrès, est chercheur principal en politique de santé au Job Creators Network.
https://www.zerohedge.com/medical/tackling-middlemen-should-be-priority-lower-prescription-prices
Le gouverneur du Texas, Abbott, répond par l'affirmative à la pétition du comté frontalier et invoque des pouvoirs d '«invasion» pour faire face à l'assaut d'étrangers illégaux
RépondreSupprimerVendredi 08 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) En réponse à une demande de plusieurs comtés frontaliers du Texas qui lui ont demandé de se joindre à leur déclaration selon laquelle une « invasion » extraterrestre illégale se produit, le gouverneur Greg Abbott a maintenant affirmé que oui ; il y a un sérieux problème à la frontière sud de l'Amérique.
Le 7 juillet, Abbott a pris ce qu'un article de presse a qualifié de "pas sans précédent" en publiant un décret ordonnant aux agents chargés de l'application des lois de l'État d'appréhender les étrangers en situation irrégulière et de les renvoyer immédiatement à un port d'entrée sur un pont international.
« J'autorise et habilite par la présente la Garde nationale du Texas et le Département de la sécurité publique du Texas à répondre à cette immigration illégale en appréhendant les immigrants qui traversent la frontière entre les points d'entrée ou commettent d'autres violations de la loi fédérale, et à renvoyer ces immigrants illégaux. à la frontière à un point d'entrée », déclare le décret d'Abbott.
Il n'a fallu que deux jours à Abbott pour répondre aux cinq comtés du Texas, dirigés par le comté de Kinney, qui ont invoqué le langage « d'invasion » pour accéder à une plus grande autorité constitutionnelle de l'État pour faire face à l'assaut d'étrangers illégaux qui entraîne tragédie après tragédie.
Le décret d'Abbott lui permet de faire appel aux forces militaires de l'État en vertu de l'article IV, section 7 de la Constitution du Texas, ainsi que des sections pertinentes du code du gouvernement du Texas, pour prendre des mesures rapides en réponse au problème puisque le gouvernement fédéral ne fait apparemment pas presque suffisant pour résoudre le problème.
"L'échec du président [Joe] Biden à protéger notre frontière a nécessité une action de la part de l'État du Texas pour assurer la sécurité publique et se défendre contre les violations de sa souveraineté et de son intégrité territoriale", indique en outre l'ordonnance d'Abbott.
"Les cartels se sont enhardis et enrichis par les politiques d'ouverture des frontières du président Biden, faisant passer en contrebande un nombre record de personnes, d'armes et de drogues mortelles comme le fentanyl."
Plus de 2 millions d'étrangers illégaux ont tenté de pénétrer de force au Texas depuis que Biden a pris ses fonctions
RépondreSupprimerDepuis que Biden a illégalement pris ses fonctions en janvier 2021, des agents de la patrouille frontalière auraient appréhendé plus de deux millions d'étrangers illégaux essayant d'entrer uniquement au Texas. Le long de l'intégralité de la frontière sud-ouest au cours de la même période, les agents ont détecté, mais pas capturé, 850 000 autres d'entre eux, qu'ils appellent des «escapades».
Cela fait beaucoup de monde, et Abbott dit que Biden refuse d'appliquer les lois fédérales actuellement en vigueur, telles qu'elles ont été promulguées par le Congrès, qui exigent la détention de certains immigrants, y compris certains qui ont demandé l'asile ou commis un crime.
"Le refus téméraire du président Biden de sécuriser la frontière fournira un soutien matériel aux cartels, leur permettra de faire passer clandestinement des personnes, des drogues et des armes plus dangereuses au Texas, et encouragera les hommes armés du cartel à continuer de tirer sur les autorités étatiques et fédérales", a déclaré Abbott.
Faisant un exemple de l'un des nombreux problèmes auxquels le sud du Texas est confronté en raison du refus du régime de Biden d'appliquer la loi, le shérif du comté de Kinney, Brad Coe, a personnellement conduit quatre étrangers illégaux au pont international d'Eagle Pass et les a relâchés au Mexique après la frontière. La patrouille a été "incapable" de les arrêter.
Avant l'annonce et le décret d'Abbott, le procureur du comté de Kinney, Brent Smith, a déclaré qu'à la fin du mois de juillet, jusqu'à 25 comtés du Texas au total prévoyaient également de se joindre à la déclaration d '«invasion», en raison de ce qu'ils voient depuis Biden a assumé la Maison Blanche.
"Nous sommes à un point de rupture", déclare le président du National Border Patrol Council, Brandon Judd, ajoutant qu'il est "absolument" approprié pour Abbott d'invoquer ses pouvoirs en vertu de la Constitution.
"Nous avons des kilomètres et des kilomètres de frontière qui ne sont tout simplement pas surveillées parce que nous devons faire face, franchement, à une invasion."
Une couverture médiatique plus connexe peut être trouvée sur InvasionUSA.news.
Les sources de cet article incluent :
TheEpochTimes.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-08-abbott-border-invasion-powers-illegal-alien-onslaught.html
Échec épique: les sanctions de Joe Biden ont en fait profité à l'économie russe
RépondreSupprimerVendredi 08 juillet 2022
par : Arsenio Toledo
(Natural News) Le président Joe Biden et les sanctions de l'Occident contre la Russie ne font que renforcer son économie en conséquence.
"La Russie ne peut pas vaincre l'Ukraine", a déclaré Biden, justifiant les sanctions qui ont blessé des innocents aux États-Unis, en Russie et partout dans le monde.
« La raison pour laquelle les prix du gaz sont en hausse est à cause de la Russie. La Russie, la Russie, la Russie », a-t-il ajouté, tentant de détourner le blâme de la crise économique et inflationniste croissante.
Mais alors que Biden et ses alliés de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord continuent de nier leur culpabilité dans les crises mondiales croissantes, les sanctions ont en fait été une aubaine pour l'économie russe.
La Russie est le premier exportateur mondial d'énergie. Il produit 12 millions de barils de pétrole par jour, dont environ 8,5 millions sont exportés vers d'autres pays par jour. Suite à la mise en place des sanctions, le prix du baril de pétrole a grimpé jusqu'à 118 dollars.
Le prix actuel des contrats à terme sur le Brent, l'une des références mondiales pour évaluer les prix du pétrole, oscille actuellement autour de 100 dollars le baril, son plus bas niveau depuis le 11 avril, mais toujours bien supérieur aux prix du pétrole avant les sanctions.
Cela signifie que la Russie a obtenu les meilleures conditions d'échange de pétrole de son histoire. L'année dernière, le pays a reçu environ 120 milliards de dollars dans le commerce du pétrole. Cette année, il devrait récolter 250 milliards de dollars. En d'autres termes, les sanctions internationales ont pratiquement doublé la taille de l'industrie pétrolière russe. (Connexe : Contournement des sanctions : les expéditeurs de pétrole cachent le brut russe en « s'assombrissant » pour éviter les réactions négatives.)
"On peut affirmer sans crainte d'hyperbole que la Russie a été le pays qui a le plus profité des sanctions internationales imposées par les États-Unis et leurs alliés", écrit la rédaction de l'Observatorial. "L'histoire a, outre ses aspects tragiques, un contenu profondément ironique, peut-être parce qu'il s'agit d'une "peur de la liberté" qui brise toujours les limites qui lui sont imposées."
Le maintien des sanctions russes pourrait tuer le dollar américain
L'expert financier et auteur Michael Wilkerson a noté que les sanctions et la guerre économique menées par les États-Unis et leurs alliés contre la Russie ne feront que se retourner contre eux et pourraient entraîner davantage de pénuries alimentaires et nuire à la domination mondiale du dollar américain.
"La Russie a travaillé au cours de la dernière décennie pour protéger son économie des sanctions", a déclaré Wilkerson lors d'une interview. "Les sanctions fonctionnent rarement parce que l'impact a tendance à être supporté par le pays qui impose la sanction."
Wilkerson a noté que les gens n'ont qu'à regarder la longue histoire de l'Amérique imposant des sanctions à d'autres pays au cours du 20e siècle pour voir comment "ils fonctionnent rarement... ils se retournent souvent contre eux".
RépondreSupprimerLes conséquences immédiates des sanctions se manifestent déjà dans la flambée des prix de l'énergie et la diminution des approvisionnements internationaux. Mais Wilkerson a averti que le monde devrait également s'attendre à voir davantage de pénuries alimentaires et de rationnement alors que les exportations agricoles russes, notamment les engrais, sont tenues à l'écart du marché mondial.
Il a en outre averti que l'une des conséquences à long terme des sanctions serait l'érosion de la force du dollar. Armer le dollar américain comme l'a fait l'administration Biden ne fera que nuire à son statut de seule monnaie de réserve mondiale.
Regardez cette vidéo d'InfoWars alors que l'animateur Owen Shroyer explique comment la Russie est devenue plus puissante que jamais après l'échec des sanctions.
Cette vidéo provient de la chaîne InfoWars sur Brighteon.com.
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Crise alimentaire imminente : les sanctions contre la Russie menacent la sécurité alimentaire mondiale.
Les importateurs de gaz européens se rendent tranquillement à la Russie et commencent à acheter du gaz en RUBLES… tandis que le plan de guerre économique de l'Occident se retourne désastreusement contre lui.
La Russie envisage de ramener le GOLD STANDARD pour maintenir sa souveraineté financière malgré les sanctions économiques.
Les sources comprennent :
SHTFPlan.com
Observatoire.com
Kitco.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-08-joe-biden-sanctions-benefit-russian-economy.html
Il y a encore plus de 40 milliards de dollars de fret sur les porte-conteneurs en attente au large
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
SAMEDI 09 JUILLET 2022 - 23:30
Par Greg Miller de FreightWaves
Les mouillages continuent de se remplir de porte-conteneurs en attente au large des ports de la côte est et du golfe, où les files d'attente de navires ont désormais largement dépassé celles au large de la côte ouest. Le long des trois côtes combinées, le nombre de porte-conteneurs en attente reste exceptionnellement élevé.
Vendredi matin, 125 porte-conteneurs attendaient au large des ports nord-américains, selon une analyse des données de suivi des navires de MarineTraffic et des numéros de file d'attente en provenance de Californie.
- voir carte marine sur site -
Empilement de porte-conteneurs au large de Savannah, vendredi 8 h Carte: MarineTraffic
C'est une baisse de 16% par rapport aux 150 navires en attente en janvier, lorsque la congestion sur la côte ouest a culminé, mais une augmentation de 36% par rapport aux 92 navires il y a un mois.
La file d'attente des navires au large de Los Angeles / Long Beach a fait la une des journaux au cours de l'année écoulée, mais l'épicentre de la congestion s'est déplacé: vendredi, seuls 36% des navires en attente se trouvaient au large des ports de la côte ouest, avec 64% au large de la côte est et du golfe. ports. Savannah, en Géorgie, a maintenant la plus grande file d'attente de navires en Amérique du Nord.
Vendredi, les porte-conteneurs qui attendaient au large des ports des États-Unis et de la Colombie-Britannique avaient une capacité combinée de 1 037 164 équivalents vingt pieds (EVP).
Quelle est la valeur du fret dans toutes ces boîtes ? Sur une base purement sommaire, en supposant une utilisation de 90 % (certaines estimations sont plus élevées) et une valeur moyenne du fret par TEU importé de 43 899 $ (la valeur moyenne du fret importé par Los Angeles en 2020, probablement conservatrice compte tenu de l'inflation) , la valeur estimée du fret en attente au large vendredi a dépassé 40 milliards de dollars.
Les volumes se déplacent vers l'est
Project44 suit la capacité d'arrivée mensuelle en TEU vers les ports de la côte ouest par rapport aux ports de la côte est. Il a révélé que la capacité de juin à destination de la côte est avait augmenté de 83% sur un an et de 177% par rapport à juin 2020. La capacité vers la côte est est désormais à égalité avec la capacité vers la côte ouest, qui a chuté de près de 40% depuis son Pic de janvier. Project44 a attribué ce changement aux craintes des importateurs concernant les interruptions de travail dans les ports de la côte ouest.
- voir graph sur site -
RépondreSupprimerGraphique : Projet44
Files d'attente de la côte est/du golfe
Vendredi matin, les données de MarineTraffic montraient 36 porte-conteneurs au large de Tybee Island, en Géorgie, attendant des postes d'amarrage à Savannah. Les navires avaient une capacité totale de 343 085 EVP (taille moyenne des navires : 9 350 EVP).
Un indice exclusif FreightWaves SONAR des données de réservation montre que la croissance des volumes entrants à Savannah par rapport à la date de l'indice (janvier 2019) est nettement supérieure à la moyenne nationale.
- voir graph sur site -
Indice des volumes de réservations par date de départ prévue. Ligne bleue = cargaisons à destination de Savannah, ligne verte = cargaisons à destination de tous les ports américains.
Le temps d'attente pour une couchette à Savannah est maintenant de 10 à 12 jours, selon une mise à jour opérationnelle cette semaine par Hapag-Lloyd. Le transporteur a évalué l'utilisation de la cour à Savannah à 89 %.
La deuxième plus grande file d'attente de la côte Est se trouve au large de New York/New Jersey. Vendredi matin, 20 navires attendaient avec une capacité cumulée de 180 908 EVP (taille moyenne : 9 045 EVP).
Hapag-Lloyd a déclaré que le temps d'attente pour les postes d'amarrage à New York / New Jersey «s'élevait à plus de 20 jours selon le terminal». L'utilisation du triage était de 92% à Maher, 75% à GCT Bayonne et 72% à APM Terminals, a ajouté Hapag-Lloyd.
Sur la côte du Golfe, 20 navires attendaient au large de Houston avec une capacité cumulée de 121 196 EVP (taille moyenne : 6 060 EVP). Selon Hapag-Lloyd, l'utilisation au terminal Barbours Cut de Houston était de 86 %, et "les terminaux continuent de connaître des pénuries d'équipement pour les châssis en raison de l'allongement des séjours dans les rues".
- voir carte marine sur site -
File d'attente des navires vendredi, 8 heures du matin, au large de Houston (à gauche) et de New York/New Jersey (à droite). Cartes : Trafic maritime
RépondreSupprimerAilleurs sur les côtes est et du golfe, deux navires attendaient au large de la Virginie et deux autres au large de la Nouvelle-Orléans.
Files d'attente de la côte ouest
Selon la liste d'attente du vendredi 7 heures du Marine Exchange of Southern California, 24 porte-conteneurs attendaient des postes d'amarrage à Los Angeles/Long Beach, d'une capacité totale de 208 903 EVP (taille moyenne : 8 704 EVP).
Cet arriéré est en forte baisse par rapport au sommet de 109 navires le 9 janvier, mais il s'agit toujours de la deuxième plus grande file d'attente de navires en Amérique du Nord. Le nombre de navires à Los Angeles/Long Beach oscille autour de son niveau actuel depuis fin mai et est toujours en légère augmentation d'une année sur l'autre.
- voir graph sur site -
Graphique : Expéditeur américain basé sur les données de Marine Exchange of Southern California
Ailleurs sur la côte ouest, 10 navires attendaient des postes d'amarrage à Oakland, selon la liste d'attente de vendredi à 7 heures du Marine Exchange de la région de la baie de San Francisco. Ces navires avaient une capacité totale de 79 712 EVP (taille moyenne : 7 971 EVP).
Enfin, huit autres navires attendaient d'accoster à Vancouver, en Colombie-Britannique, et trois autres au large de Seattle/Tacoma.
https://www.zerohedge.com/economics/theres-still-over-40bn-cargo-container-ships-waiting-offshore
Colonialisme énergétique
RépondreSupprimerPar Manlio Dinucci
Mondialisation.ca, 09 juillet 2022
Pangea Grandangolo (Byoblu)
Visite d’État du président de la République italienne Mattarella au Mozambique, dont l’Italie commencera à importer à l’automne du gaz naturel liquéfié pour remplacer, avec le GNL provenant des États-Unis et d’autres pays, celui qu’elle importe actuellement de la Russie à travers des gazoducs.
Depuis qu’en 2010 ont été découverts de grands gisements de gaz au large de Cabo Delgado, ont afflué au Mozambique les grandes multinationales énergétiques : les étasuniennes Exxon Mobil et Shell, la française Total, la britannique BP, l’italienne Eni et autres. Elles se sont accaparé de lucratifs contrats pour l’exploitation pluri-décennale des gisements. Les milliards de dollars provenant de ces contrats sont en train d’enrichir l’élite qui est au pouvoir, pendant que la majorité de la population voit sa situation empirer.
- voir carte sur site -
Particulièrement dramatique est la condition des habitants de la province du Cap Delgado. La population côtière, qui jusqu’à présent vivait de la pêche, est obligée de partir à 10-15 km à l’intérieur des terres pour laisser la place aux sites industriels pour la liquéfaction du gaz destiné à l’exportation. Et la pauvreté augmente en conséquence. L’environnement côtier se trouve de plus en plus pollué, avec des dommages environnementaux très graves. Les habitants restés dans la zone côtière sont attaqués et massacrés par des groupes armés. Tout cela est caché par le courant dominant politico-médiatique italien (et autres, ndt).
Celui-là même qui est en train de cacher les véritables raisons de la fermeture des puits pétrolifères libyens. Ces raisons nous sont expliquées ce soir par Michelangelo Severgnini dans une interview à Abdullah al-Zaidi, syndicaliste et journaliste économique libyen. Les puits ont été bloqués par des mouvements populaires pour empêcher la rapine continue du pétrole libyen dans la guerre que l’OTAN a poursuivie après la démolition de l’État libyen en 2011. L’OTAN cherche par tous les moyens à empêcher les élections politiques (qui auraient dû avoir leur en décembre 2021), dont naîtrait le nouvel État libyen.
Bref résumé de la revue de presse internationale de vendredi soir 8 juillet 2022 de Pangea Grandangolo sur Byoblu. Cliquez sur le lien ci-dessous pour voir la vidéo :
https://www.byoblu.com/2022/07/08/colonialismo-energetico-grandangolo-pangea/
RépondreSupprimerReçu de l’auteur et traduit par Marie-Ange Patrizio
Manlio Dinucci étant géographe de formation, le visionnage de l’émission [en italien] est particulièrement conseillé aussi pour les cartes, photos et images de la superbe région du Mozambique.
Les émeutes et sabotages qui ont éclaté en Libye le 1er juillet évoquent, comme souvent, moins un soulèvement populaire que des manipulations pour mettre fin à la grève qui bloque les puits de pétrole.
La source originale de cet article est Pangea Grandangolo (Byoblu)
https://www.mondialisation.ca/colonialisme-energetique/5669630
Une solution à la pénurie de blé : les plantes génétiquement modifiées
RépondreSupprimer10 Juillet 2022
Terry Wanzek*
Le monde a besoin de plus de blé. En temps de paix, la Russie et l'Ukraine fournissent plus d'un quart des exportations mondiales de blé. La guerre qui les oppose a contribué à des pénuries et à une inflation des coûts. Les consommateurs du Bangladesh, d'Égypte, d'Israël, de Turquie et d'autres pays dépendent de ce que cultivent les agriculteurs russes et ukrainiens. Pourtant, les pénuries liées à la guerre ont occulté un problème plus fondamental : la culture du blé n'a pas réussi à suivre les progrès qui ont transformé la production d'autres céréales essentielles.
J'étais un producteur de blé. Du moins, c'est ainsi que je me voyais dans les années 1980 et 1990. La culture du blé était tout à fait logique dans le climat sec et frais du Dakota du Nord. Pendant longtemps, c'était la principale culture de l'État. Aujourd'hui, cependant, je cultive principalement du maïs et du soja. Mes voisins font de même. Selon le bureau du commissaire à l'agriculture de l'État, la superficie de soja a dépassé celle du blé en 2021 pour la toute première fois. Nous semons toujours du blé, mais principalement parce qu'il fonctionne bien en rotation avec le maïs et le soja plutôt que pour sa valeur intrinsèque en tant que produit de base.
Les chiffres racontent l'histoire. Au début du siècle, ma ferme produisait entre 30 et 34 quintaux de blé par hectare. Cet été, je viserai 40 quintaux, soit une amélioration d'environ 30 %.
C'est bien, mais cela ne peut pas égaler les progrès réalisés par les agronomes avec le maïs et le soja. Il y a trente ans, une bonne année signifiait 56 quintaux de maïs et17 quintaux de soja par hectare. Cette saison, ces quantités seraient désastreusement basses. Mes voisins et moi attendons deux fois plus de production de chaque hectare. Nous nous sommes détournés de la culture du blé parce que c'est économiquement rentable.
La différence entre la modeste amélioration du blé et l'énorme amélioration du maïs et du soja est la technologie. Les technologies de modification génétique qui rendent ma production plus efficace et défendent mon maïs et mon soja contre les mauvaises herbes, les parasites, les conditions climatiques extrêmes et les maladies ne sont pas disponibles pour le blé.
Il ne s'agit pas d'un problème de biologie mais d'un choix. Les scientifiques savent comment produire du blé génétiquement modifié. Pourtant, la filière du blé a refusé de le commercialiser. La décision initiale des dirigeants de la filière d'éviter la commercialisation du blé génétiquement modifié a été prise lorsque la technologie était nouvelle. Greenpeace a lancé des avertissements sombres sur les dangers de la culture de « frankenfood ». Leurs arguments étaient toujours faibles, et aujourd'hui, les scientifiques savent de manière concluante que les cultures génétiquement modifiées peuvent être consommées sans danger. Elles sont bénéfiques pour l'environnement car elles nous permettent de produire plus de nourriture sur moins de terres. L'écrasante majorité du maïs et du soja américains sont génétiquement modifiés, et cette technologie est également répandue dans la luzerne, le canola, le cotonnier, le papayer et la betterave à sucre.
RépondreSupprimerLa filière du blé ne s'est jamais adaptée. Elle s'inquiétait de l'acceptation du blé génétiquement modifié sur les marchés d'exportation et a décidé de ne pas prendre de risque. C'était peut-être une préoccupation valable à l'époque, mais plus maintenant. Dans le monde entier, les agriculteurs ont cultivé des milliards d'hectares de cultures génétiquement modifiées. Elles sont devenues un outil fiable et efficace de l'agriculture conventionnelle. Partout dans le monde, les gens consomment chaque jour des aliments qui en sont dérivés.
Le monde est prêt pour le blé génétiquement modifié et ses meilleurs rendements. Le 6 mai, l'Australie et la Nouvelle-Zélande ont approuvé les importations de blé génétiquement modifié, même si celui-ci n'est pas cultivé à grande échelle. Ce ne sont pas les premiers pays à le faire, puisque l'Argentine et le Brésil ont également approuvé, respectivement, la production et les importations de farine de blé génétiquement modifié. Cependant, la décision de l'Australie et de la Nouvelle-Zélande marque une étape importante. Alors que l'Argentine et le Brésil ont toujours accepté la modification génétique des cultures, l'Australie et la Nouvelle-Zélande sont restées plus sceptiques. Si d'autres pays les rejoignent, les arguments contre le blé génétiquement modifié disparaîtront complètement.
En mars, les prix mondiaux des denrées alimentaires ont atteint un niveau record. Tant que la guerre fera rage entre la Russie et l'Ukraine, le blé restera cher. Les États-Unis pourraient jouer un rôle de leader utile en approuvant la technologie pour la culture et la vente au niveau national – et en encourageant les autres pays à approuver une technologie de blé innovante et sûre. Ce type de leadership contribuerait à la lutte contre l'inflation des prix alimentaires et améliorerait les perspectives à long terme de la sécurité alimentaire mondiale. Ce serait également une bonne chose pour les agriculteurs américains comme moi.
Cette chronique a été publiée précédemment dans le Wall Street Journal, le 11 juin 2022
RépondreSupprimer_____________
* Terry Wanzek, agriculteur, Dakota du Nord, USA
Terry Wanzek est un agriculteur de la quatrième génération du Dakota du Nord. Le partenariat familial produit du blé de printemps, du maïs, du soja, de l'orge, des haricots secs de bouche et du tournesol. Terry a été élu sénateur de l'État du Dakota du Nord, assurant la présidence du comité de l'agriculture et occupant le poste de président du Sénat Pro Tempore. Terry fait du bénévolat à titre de membre du conseil d'administration du Global Farmer Network (réseau mondial d'agriculteurs) et continue d'assurer la présidence de l'Association Nationale des Producteurs de Blé et de la NoDak Mutual Insurance. Il est diplômé en administration des affaires et en comptabilité du Jamestown College t a suivi le Texas A & M Executive Program pour les producteurs agricoles.
Source : A Solution to the Wheat Shortage: Genetically Modified Crops – Global Farmer Network®
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Le champ de mon grand-père prouve la valeur des OGM
La lettre suivante adressée à l'éditeur et publiée par le Wall Street Journal, vient en soutien de la tribune de Terry Wanzek qui a été publiée par le Wall Street Journal le 11 juin 2022 (voir ci-dessus).
« Aujourd'hui, plus de 90 % de nombreuses cultures aux États-Unis sont issues de semences génétiquement modifiées. Les cultures génétiquement améliorées sont sûres. Nous ne devrions pas permettre aux fausses allégations de déterminer la politique alimentaire. » – Ronald F. Eustice, 23 juin 2022
Concernant l'article de Terry Wanzek intitulé « A Solution to the Wheat Shortage : Genetically Modified Crops » (Cross Country, 11 juin).
Mon grand-père a trouvé la mort, écrasé, dans un accident de ferme dans le Minnesota pendant la récolte, le 12 octobre 1956, jour de son 64e anniversaire. Quelques jours plus tard, quelque 25 voisins sont arrivés pour cueillir le maïs. Le journal local a couvert l'événement et a rapporté un rendement « remarquable » de 38 quintaux à l'hectare. L'automne dernier, son petit-fils, qui est maintenant propriétaire de la ferme, a récolté 169 quintaux par hectare dans le même champ où l'accident s'est produit. Ce rendement énorme est dû à un certain nombre de facteurs, dont l'utilisation de semences génétiquement modifiées.
Récemment, un important producteur de semences a demandé un permis pour construire une installation de production de semences près de chez moi, à Tucson, en Arizona. Cette installation était prévue pour produire des semences conventionnelles, biologiques et génétiquement modifiées. Les militants anti-OGM ont eu vent de ces plans et ont exigé l'arrêt du projet. Des audiences ont été organisées et j'y ai assisté pour prendre la parole en faveur du projet.
RépondreSupprimerLorsque mon tour de parole est arrivé, j'ai raconté l'histoire du rendement de mon grand-père et comment, aujourd'hui, le rendement du même champ a augmenté de plus de 400 %. Les huées des militants étaient assourdissantes ; je leur ai demandé poliment de me laisser parler. Ma voix a été entendue, mais les militants l'ont emporté et l'installation n'a pas été construite.
Aujourd'hui, plus de 90 % de nombreuses cultures aux États-Unis sont issues de semences génétiquement modifiées. Les cultures génétiquement améliorées sont sans danger. Nous ne devrions pas permettre que de fausses allégations déterminent la politique alimentaire.
Ronald F. Eustice
Tucson, Ariz.
https://seppi.over-blog.com/2022/07/une-solution-a-la-penurie-de-ble-les-plantes-genetiquement-modifiees.html
Les éleveurs de bétail sont maintenant à quelques JOURS de manquer d'aliments pour animaux en raison des perturbations de la chaîne d'approvisionnement
RépondreSupprimerVendredi 08 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) Les aliments et autres biens de consommation ne font plus leur chemin du point A au point B aux États-Unis, qui sont confrontés à des goulots d'étranglement paralysants de la chaîne d'approvisionnement qui menacent de provoquer une famine massive.
La dernière plainte vient de l'industrie de l'élevage, qui affirme qu'il ne reste que quelques jours avant une crise de l'alimentation animale si les lignes ferroviaires ne parviennent pas à se ressaisir, et rapidement.
Selon des rapports, de nombreux utilisateurs d'aliments pour animaux en Californie et dans d'autres États du sud-ouest doivent payer 3 $ de plus que le prix du CBOT (Chicago Board of Trade) pour sécuriser les expéditions de céréales par camion, car non seulement les goulots d'étranglement ferroviaires ne s'améliorent pas, mais s'aggravent dans certains cas.
AgWeb affirme que non seulement les utilisateurs d'aliments pour animaux sont sur le point de manquer entièrement de céréales, mais il existe également des inquiétudes généralisées selon lesquelles, à l'automne, pendant la période des récoltes, la situation sera exponentiellement pire.
Les membres de la National Grain and Feed Association (NGFA) affirment que les problèmes auxquels ils sont actuellement confrontés ont vraiment commencé à s'aggraver à la fin de l'hiver dernier et au début du printemps. Cela a incité le Surface Transportation Board (STB) à tenir une audience sur la question, mais jusqu'à présent, rien ne s'est amélioré.
L'espoir était qu'une fois l'été arrivé, la situation se résoudrait au moins quelque peu. Au lieu de cela, le problème s'est aggravé, y compris les problèmes de main-d'œuvre qui s'aggravent au lieu de s'améliorer.
"Ce que j'entends de nos membres, c'est moins de problèmes d'équipement et que l'équipement et les moteurs ne semblent pas tomber en panne, mais les horaires des trains - le temps qu'il faut pour obtenir les trains - et la fiabilité de leur réception sont toujours un problème dans de nombreuses régions du pays », a déclaré Mike Seyfert, président et chef de la direction de NGFA.
Même Foster Farms ne peut pas obtenir le grain dont elle a besoin pour nourrir son bétail, ses poulets et ses dindes
Pour être clair, il ne s'agit pas nécessairement de petits fournisseurs de produits alimentaires qui ne sont pas en mesure d'assurer les expéditions d'aliments pour animaux en raison de leur taille. Même de grands acteurs comme Foster Farms, le plus grand producteur de poulet de l'ouest des États-Unis, ont des problèmes.
Selon des informations, Foster Farms a récemment demandé aux régulateurs fédéraux d'émettre un service d'urgence appelant le chemin de fer Union Pacific (UP) à donner la priorité aux expéditions de maïs pour nourrir ses milliers de têtes de vaches laitières et ses millions de poulets et de dindes.
RépondreSupprimer"Le point a été atteint où des millions de poulets seront tués et d'autres animaux d'élevage souffriront à cause des pannes de service d'UP", a écrit la société dans sa demande au STB cette semaine.
Le fait que Foster Farms ait dû demander une directive d'urgence à cette fin révèle la gravité du problème, selon Seyfert.
"Parfois au cours des derniers mois, nous avons entendu plus d'un membre qui a eu de graves difficultés à obtenir de la nourriture, parfois à quelques heures près", aurait-il déclaré.
AgWeb dit que le plus gros problème dans tout ce scénario tourne autour de la main-d'œuvre. Il n'y a tout simplement pas assez de personnes désireuses ou disponibles pour travailler - les «vaccins» contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) sont-ils en partie responsables de cela, nous demandons-nous?
Selon NGFA, les chemins de fer avaient déjà perdu environ 25% de leurs effectifs avant la pandémie, et maintenant ils sont bien pires en termes de maintien d'une main-d'œuvre fiable et suffisamment nombreuse.
Cette semaine également, 51 membres de la Chambre des représentants des États-Unis ont signé une lettre appelant le STB à traiter les problèmes systémiques qui continuent de tourmenter les systèmes ferroviaires américains défaillants. Vous pouvez lire cette lettre sur AgWeb.com.
Pour suivre les dernières nouvelles à ce sujet, assurez-vous de consulter FoodCollapse.com.
Les sources de cet article incluent :
AgWeb.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-08-livestock-producers-running-out-animal-feed-collapse.html
Quels pays dominent l'espace ?
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 10 JUILLET 2022 - 05:00
Croyez-le ou non, il y a beaucoup de choses dans l'espace. En fait, notre atmosphère est remplie de plus de 11 000 objets qui ont été lancés depuis le début de l'incursion dans l'espace.
La course à l'espace a commencé pendant la guerre froide et, très tôt, l'Union soviétique a dominé en ce qui concerne la quantité d'appareils et d'objets lancés dans notre atmosphère. Mais, comme le détaille Avery Koop de Visual Capitalist ci-dessous, il y a quelques années, les États-Unis ont repris ce titre avec SpaceX d'Elon Musk aidant à mener la charge.
Ce visuel, utilisant les données de Our World in Data, décompose la quantité d'objets lancés dans l'espace par pays au fil du temps.
- voir dessin sur site -
Qu'est-ce qui est lancé dans l'espace ?
Quels sont les objets envoyés dans notre atmosphère et pourquoi sont-ils si importants ? Voici un aperçu de quelques-uns :
Satellites
Vaisseau spatial avec équipage
Sondes
Équipement de vol de la station spatiale
Des sondes et des atterrisseurs comme le Mars Rover, par exemple, ont aidé les scientifiques à explorer d'autres planètes. Les satellites nous fournissent les nécessités quotidiennes comme le service de téléphonie cellulaire, les signaux de télévision de grande envergure, l'imagerie par satellite et le GPS.
Fin 2021, il y avait environ 4 852 satellites opérationnels en orbite, dont 2 944 appartenant aux États-Unis. Voici un bref aperçu de la raison pour laquelle les États-Unis utilisent leurs satellites :
Commercial : 2 516
RépondreSupprimerMilitaire : 230
Gouvernement : 168
Civil : 30
De nombreux satellites en orbite ne sont cependant plus fonctionnels. En fait, il y a beaucoup de déchets dans l'espace - selon la NASA, il y a plus de 27 000 débris spatiaux en orbite.
La course à l'espace, par pays
L'aventure dans l'espace a commencé pendant la guerre froide lorsque l'URSS a lancé le premier satellite, Spoutnik 1 en 1957. Après cela, les États-Unis et l'Union soviétique sont entrés dans une compétition définitive entre les progrès technologiques et l'exploration scientifique dans l'espace - une extension de la bataille entre idéologies politiques.
Jusqu'à présent, peu de pays se sont rapprochés des États-Unis ou de la Russie. Voici un aperçu du nombre cumulé d'objets que différents pays ont lancés en orbite et au-delà.
- voir liste sur site -
Un avertissement important ici est que tous ces pays n'ont pas de capacités de lancement orbital, ce qui signifie que bien que le satellite dans l'espace puisse appartenir à un certain pays, cela ne signifie pas qu'il a été lancé par ledit pays. Par exemple, le premier lancement du Royaume-Uni en 1971 a eu lieu depuis l'Australie et le premier lancement de la France a eu lieu en Algérie en 1965.
Au total, environ 86 pays ont tenté une sorte d'entrée dans l'espace. Cependant, en 2022, seuls 11 pays ont la capacité d'envoyer des objets dans l'espace à l'aide de leurs propres lanceurs, et seuls trois - les États-Unis, la Russie et la Chine - ont déjà lancé des personnes dans l'espace.
L'avenir de l'espace
Alors que les entreprises commencent à prendre les devants dans cette nouvelle frontière, le paysage des lancements spatiaux est en train de changer. En 2019, Starlink, une constellation de satellites qui fournit à 36 pays un accès Internet, a été lancée. Avec plus de 2 200 satellites Starlink dans le ciel et qui comptent, l'objectif ultime de SpaceX est une couverture Internet mondiale ; La Chine envisage une entreprise similaire.
Au-delà des satellites utiles et de l'exploration scientifique, d'autres industries spatiales potentielles émergent.
À titre d'exemple, le secteur du tourisme spatial commercial n'est plus un concept futuriste. Fin 2021, le célèbre milliardaire et fondateur de Virgin Galactic, Richard Branson s'est brièvement envolé dans l'espace sur un vol privé. Jeff Bezos, ayant fondé Blue Origin, a suivi peu de temps après.
Aujourd'hui, Blue Origin et Virgin Galactic sont toutes deux autorisées par la Federal Aviation Administration pour les voyages spatiaux de passagers. Cependant, si vous souhaitez être lancé dans l'espace, cela vous coûtera environ 250 000 à 500 000 dollars.
https://www.zerohedge.com/technology/which-countries-are-dominating-space
Dans Pipeline Poker, Canada se plie : publiera une turbine à gaz russe sanctionnée
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 10 JUILLET 2022 - 19:00
Dans une exception très médiatisée à son régime de sanctions inspiré par la guerre en Ukraine, le Canada fournira à l'Allemagne une turbine russe nécessaire à l'entretien du gazoduc russe Nord Stream 1. Comme le rapporte Reuters :
Le gouvernement canadien, qui délivre un "permis limité dans le temps et révocable" pour exempter le retour des turbines de ses sanctions russes, a déclaré que cette décision soutiendrait "la capacité de l'Europe à accéder à une énergie fiable et abordable alors qu'elle continue de s'éloigner du pétrole russe et du gaz."
Construite au Canada par Siemens Energy AG, la turbine à gaz avait été expédiée à Montréal pour y être réparée, pour y être piégée par des sanctions contre les industries russes des combustibles fossiles.
"En l'absence d'un approvisionnement nécessaire en gaz naturel, l'économie allemande subira des difficultés très importantes et les Allemands eux-mêmes risquent de ne pas pouvoir chauffer leurs maisons à l'approche de l'hiver", a déclaré le ministre canadien des Ressources naturelles, Jonathan Wilkinson, en expliquant la décision.
Pointant le retour retardé de la turbine, la Russie a coupé de 60 % en juin le flux de gaz vers l'Europe via le gazoduc Nord Stream 1. Vendredi, la Russie a déclaré qu'elle augmenterait l'offre si la turbine était libérée.
Auparavant, la Russie avait annoncé que le gazoduc fermerait entièrement du 11 au 21 juillet pour un entretien régulier programmé. La controverse sur les turbines à gaz a contribué à faire craindre que la Russie ne rallume pas le gaz à l'arrivée du 22 juillet.
Les gazoducs Nord Stream, longs de 750 milles, traversent la mer Baltique (via Global Security Review)
L'Allemagne a demandé la libération de la turbine, mais le gouvernement ukrainien et de nombreux Canadiens d'origine ukrainienne se sont opposés à cette décision.
Comme nous l'avons signalé samedi, les tensions énergétiques en Allemagne augmentent rapidement, le pays rationnant l'eau chaude et atténuant l'éclairage public, tandis que le plus grand propriétaire limite le chauffage la nuit. "La situation est plus que dramatique", a déclaré Axel Gedaschko, chef de la fédération des entreprises de logement allemandes GdW. "La paix sociale de l'Allemagne est en grand danger."
Comme pour compenser sa capitulation ostentatoire sur la turbine contestée, le Canada a également annoncé samedi un élargissement de ses sanctions contre la Russie. "Ces nouvelles sanctions s'appliqueront au transport terrestre et par pipeline et à la fabrication de métaux et d'équipements de transport, informatiques, électroniques et électriques, ainsi qu'à la machinerie", a indiqué le ministère canadien des Affaires étrangères dans un communiqué.
RépondreSupprimer"Une fois les mesures en vigueur, les entreprises canadiennes auront 60 jours pour conclure des contrats avec des industries et des services ciblés", indique le communiqué.
Avec les sanctions contre l'industrie pétrolière, gazière et chimique, la nouvelle mesure contre l'industrie manufacturière russe signifie que le Canada cible des industries qui représentent cumulativement plus de la moitié des revenus du budget fédéral de la Russie, selon le communiqué.
Malgré les sanctions, les activités pétrolières et gazières de la Russie ont prospéré. Reuters a rapporté que les exportations de pétrole de la Russie ont augmenté de 1,7 milliard de dollars en mai, en grande partie grâce à la hausse des exportations vers la Chine et l'Inde.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/pipeline-poker-canada-folds-will-release-sanctioned-russian-gas-turbine
Les dirigeants français et allemands avertissent les populations "Préparez-vous à la coupure totale du gaz russe" alors que les troubles sociaux se profilent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
DIMANCHE 10 JUILLET 2022 - 18:00
Les populations européennes se préparent à un hiver glacial à venir au milieu d'une avalanche imminente de coûts énergétiques élevés et d'une inflation émergente. Dimanche, le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a averti que la Russie était sur le point d'arrêter totalement l'approvisionnement en gaz de l'Europe et que les citoyens devaient désormais "se préparer".
« Préparons-nous à une coupure totale du gaz russe ; aujourd'hui, c'est l'option la plus probable », a déclaré Le Maire lors d'une conférence économique à Aix-en-Provence.
Plus tard, il a en outre expliqué aux journalistes : "Il faut aussi préparer des plans d'effacement, nous le faisons. Cela signifie regarder de manière très précise chaque entreprise, chaque bassin d'emploi ; quelles sont les entreprises qui devraient réduire leur consommation d'énergie et qui sont ceux qui ne le peuvent pas."
Il a déclaré que le gouvernement dresse actuellement une liste de ces grandes entreprises qui seraient trop à risque si leurs installations étaient soudainement privées d'approvisionnement en gaz. Ils recevraient la priorité dans le cas probable d'un blocage de la Russie. "Il faut anticiper et se mettre en ordre de bataille dès maintenant", a-t-il souligné.
À titre d'exemple, il a proposé selon Politico :
Le Maire a cité Saint-Gobain, un important producteur de matériaux de construction, comme un exemple d'entreprises qui ne devraient pas être privées d'approvisionnement en gaz, même en cas d'urgence. Il a souligné les dommages possibles aux équipements de production et le risque de conséquences environnementales.
L'Allemagne aussi craint le pire, car son principal conduit de gaz naturel russe, Nord Stream 1, doit depuis longtemps être mis hors service pour une maintenance de 10 jours à partir de lundi. Mais la crainte persistante est que Moscou ne le remette pas en ligne, dans le but de comprimer davantage l'économie allemande en guise de punition pour sa position ukrainienne, forçant Berlin à un rationnement d'urgence.
La population allemande de quelque 80 millions d'habitants dépend de la Russie pour plus d'un tiers de l'approvisionnement total en gaz, et il n'y a pas d'alternative immédiate. Si Moscou utilise l'entretien "de routine" comme excuse pour maintenir l'arrêt des approvisionnements, certaines publications allemandes prédisent même des troubles sociaux alors que la pression est exercée sur la population ouvrière en particulier.
RépondreSupprimerL'importante langue anglaise Deutsche Welle étudie la situation alarmante de nombreux ménages allemands, déjà au moment où le rationnement de l'eau chaude et de l'électricité entre en vigueur, comme suit :
De nombreux locataires en Allemagne reçoivent ces jours-ci des lettres désagréables. Alors que les prix de l'énergie augmentent considérablement, les propriétaires et les sociétés de gestion immobilière augmentent le forfait mensuel pour les coûts de chauffage. Une société de logement à Berlin annonce une augmentation de 100 % des prix de chauffage pour les appartements chauffés au gaz ou au mazout.
Il n'est pas clair si cela suffira. Les prix élevés de l'énergie ont un effet différé car les acomptes ne sont pas compensés par les coûts réels encourus avant la fin de l'année.
La GdW, une association qui représente 3 000 sociétés de logement, a calculé que chaque ménage devrait budgétiser jusqu'à 3 800 € (3 870 $) de plus pour l'énergie dans l'année à venir.
DW conclut d'un effet domino potentiel d'une coupure de l'approvisionnement russe que "l'économie entière serait affectée. Prognos a estimé que, si l'approvisionnement en gaz russe devait échouer, la production économique de l'Allemagne pourrait chuter de 12,7 % d'ici la fin de l'année".
Comme nous en avons discuté précédemment, à quel point les choses pourraient mal tourner seront révélées à partir du 22 juillet - qui marque la date préprogrammée qui marque théoriquement la fin du plan de maintenance pour "tester les systèmes mécaniques et automatisés" sur Nord Stream 1. Il pourrait facilement être de sérieux "problèmes" avec les pièces trouvées, permettant potentiellement à la Russie de prolonger indéfiniment "l'arrêt de la maintenance".
Le stratège de la Deutsche Bank, Jim Reid, a précédemment demandé si cela pourrait être le jour le plus important de l'année : "alors que nous passons tous la majeure partie de notre temps de marché à penser à la Fed et à une récession, je soupçonne que ce qui arrivera au gaz russe au S2 est potentiellement un même plus grande histoire. Bien sûr, d'ici le 22 juillet, des pièces auront peut-être été trouvées et l'offre pourrait commencer à se normaliser. Quiconque vous dit qu'il sait ce qui va se passer ici devine, mais au minimum, cela devrait être un énorme point focal pour tout le monde sur les marchés. "
https://www.zerohedge.com/energy/french-german-leaders-warn-populations-prepare-total-cut-russian-gas-social-unrest-looms
Il a fallu la guerre russe en Ukraine pour révéler l'arnaque de l'énergie "verte"
RépondreSupprimerDimanche 10 juillet 2022
par : Ethan Huff
(Natural News) La transition forcée de l'Occident d'une énergie fossile fiable vers des alternatives énergétiques «vertes» s'est avérée désastreuse. Et grâce à la guerre en Ukraine, les économies occidentales prennent enfin conscience de ce fait.
Comme nous l'avons signalé, l'Union européenne (UE) devrait intégrer la production de pétrole et de gaz dans le giron de l'énergie verte - quelque chose qui, il y a à peine un an, aurait été du jamais vu.
Prés russe. La décision de Vladimir Poutine d'empêcher l'État profond d'utiliser l'Ukraine comme nation mandataire pour commettre des atrocités a conduit à des sanctions, qui ont conduit à des pénuries d'énergie, ce qui a conduit l'Europe occidentale à réaliser que s'il ne revenait pas à l'utilisation de combustibles fossiles, ce serait des lumières sortir très bientôt.
Même les médias contrôlés par les grandes entreprises, qui ont longtemps fait l'éloge de l'énergie verte, admettent maintenant que nous ferions mieux de faire démarrer ces pompes à pétrole et ces opérations de forage, sinon nous pouvons tous nous attendre à un effondrement de type tiers-mondiste cet hiver.
"... un monde affamé d'énergie se tourne vers le charbon alors que les pénuries de gaz naturel et de pétrole exacerbées par la guerre de la Russie contre l'Ukraine ramènent les pays au combustible fossile le plus sale", a rapporté le Journal.
Devenir «vert» signifie détruire votre économie et entrer dans la PAUVRETÉ
Il s'avère que les combustibles fossiles ne doivent pas nécessairement être les sources d'énergie "sales" que les écologistes prétendent depuis longtemps qu'elles sont. Il existe des moyens propres, sûrs et efficaces d'extraire les combustibles fossiles de la terre et de les utiliser pour alimenter les entreprises, les maisons, les véhicules et bien plus encore sans détruire la planète.
L'UE prévoit de maintenir des politiques en place pour garantir que les combustibles fossiles sont générés de manière propre et responsable, mais ils ne seront plus sur le billot pour une élimination complète et une interdiction comme auparavant.
Même le « charbon propre » fait son retour, car il est nécessaire avec les autres pour faire fonctionner les appareils de chauffage, la croissance des plantes et le bon fonctionnement de l'économie mondiale. Le vent, le soleil et les vœux pieux ne suffisent tout simplement pas à garder les lumières allumées.
"... des États-Unis à l'Europe en passant par la Chine, bon nombre des plus grandes économies du monde augmentent leurs achats de charbon à court terme pour assurer un approvisionnement suffisant en électricité, malgré les engagements antérieurs de nombreux pays de réduire leur consommation de charbon pour lutter contre le changement climatique", explique un autre rapport.
RépondreSupprimerIl y a en fait maintenant tellement de demande de charbon que les prix sur le marché mondial augmentent de façon spectaculaire - ou du moins c'est la raison pour laquelle on nous dit le bond massif sur les cartes qui a été observé depuis le début de 2021.
Les prix de référence du charbon ont atteint de nouveaux records cette année, par exemple les prix au comptant du charbon au port australien de Newcastle, un fournisseur clé de l'Asie. Là-bas, le pétrole a dépassé les 400 dollars la tonne pour la première fois le mois dernier.
" Hilarante, la poussée du charbon est menée par l'Europe, point zéro du "mouvement vert" qui a finalement réalisé qu'on ne peut pas brûler de fausses vertus ou fondre en posant devant la caméra en hiver pour se réchauffer, et stimule le charbon achats pour s'assurer qu'il peut continuer à alimenter les maisons et les usines après que la Russie a coupé l'approvisionnement en gaz du continent », a rapporté Zero Hedge.
"L'Allemagne, qui a récemment promis d'éliminer le charbon comme source d'énergie d'ici 2030, fait partie des pays qui importent désormais davantage."
Au lieu d'éliminer complètement le charbon d'ici 2030, l'Allemagne pourrait en dépendre plus que jamais à ce moment-là. Il en va de même pour ses centrales nucléaires, qui devaient être fermées mais vont maintenant être ressuscitées et remises en service afin d'éviter un effondrement économique total.
Vous trouverez plus d'informations sur l'arnaque "verte" sur GreenTyranny.news.
Les sources de cet article incluent :
ZeroHedge.com
NaturalNews.com
https://www.naturalnews.com/2022-07-10-russian-war-ukraine-exposed-scam-green-energy.html
The Ben Armstrong Show : L'humanité n'a plus que quelques mois de liberté
RépondreSupprimerdimanche 10 juillet 2022
par : Kevin Hughes
(Natural News) L'animateur du podcast Ben Armstrong a averti ses téléspectateurs que l'humanité n'avait plus que quelques mois de liberté.
Il a cité l'auteur bien connu, le Dr Vernon Coleman, qui a déclaré dans un article du 29 juin sur son site Web personnel qu'il restait six mois de liberté à l'humanité. "En avril 2022, j'ai réalisé une vidéo dans laquelle je prédisais qu'il nous restait huit mois de liberté. Je respecte le timing », a écrit Coleman. "Il nous reste maintenant six mois - et cela nous emmène jusqu'à Noël 2022."
Armstrong a déclaré qu'il croyait Coleman parce que les mondialistes avancent rapidement pour faire avancer leur programme concernant la race humaine.
« Les mondialistes ne croient pas à la liberté. Ils croient à l'esclavage et à l'asservissement de tout le monde tant que ceux qui ont le pouvoir sont libérés de dieu », a déclaré Armstrong lors d'un récent épisode de « The Ben Armstrong Show ». (Connexe : Elana Freeland dit à Dan Happel : Les élites mondiales veulent que les gens soient des machines et des esclaves – Brighteon.TV.)
Armstrong a souligné que les mondialistes veulent vraiment un État totalitaire et qu'ils n'aiment pas la liberté. « Les mondialistes et les soi-disant libéraux aiment et admirent la Chine à cause du communisme », a-t-il déclaré.
Les mondialistes, selon Armstrong, détestent le fait que les gens croient en Dieu.
« La croyance en dieu et les lois de dieu et les 10 commandements de la bible et du christianisme les font trembler. Ils ne veulent pas croire qu'ils doivent se tenir devant un dieu alors qu'ils peuvent vivre égoïstement et vivre aussi égoïstement qu'ils le souhaitent. Et tout est une question d'égoïsme », a déclaré Armstrong.
« Le christianisme vous apprendra à ne pas vivre comme une personne égoïste, mais à faire passer les autres avant vous. Mais ce n'est pas ainsi que vivent les mondialistes. Ils vivent égoïstement et ils savent qu'ils ne vivent pas comme dieu a ordonné à l'homme de vivre. Donc, pour eux, la liberté est la liberté de dieu.
Armstrong a ajouté que les globalistes veulent éradiquer les chrétiens parce que les croyants en dieu sont un rappel qu'ils vont se tenir devant dieu pendant le Jour du Jugement. Il a également fait remarquer qu'en dehors de la liberté vis-à-vis de dieu, les globalistes veulent la liberté vis-à-vis des chrétiens et de la Parole de dieu.
Armstrong a déclaré que la liberté de dieu asservit les gens au péché parce que le péché est l'esclavage. "Tout ce qui est anti-dieu, comme la dépendance sexuelle et l'homosexualité, asservit les gens et seul dieu libère les gens d'un tel esclavage", a-t-il déclaré.
L'animateur a diffusé un clip vidéo de Coleman disant que la Grande Réinitialisation n'est plus seulement un cauchemar et que les gens vivent déjà dans une société oppressive, restrictive et communiste complète basée sur le contrôle numérique et progressant rapidement vers un manque total d'individualité et de liberté.
Dans le clip, Coleman a mentionné que la Grande Réinitialisation est bien plus avancée que la plupart des gens ne le pensent et que tout ce qui s'est passé au cours des deux dernières années – de la pandémie de coronavirus de Wuhan (COVID-19), aux sanctions contre la Russie et à la controverse transgenre – est partie du plan menant le monde à la plus grande récession depuis les années 1930.
Le Nouvel Ordre Mondial est déjà là
Coleman a déclaré que le Nouvel Ordre Mondial est déjà là et que les gens y vivent. Il a ajouté que les choses vont être bien pires dans les mois à venir car le monde est déjà dans la phase de mise à mort de la Grande Réinitialisation.
Les décisions sont prises par, ou selon les demandes d'un petit groupe de lobbyistes et de cultistes qui ont été manipulés pour représenter les intérêts des conspirateurs.
RépondreSupprimerSelon Coleman, certaines personnes n'ont pas regardé la situation dans son ensemble et ne réalisent pas que toutes les mauvaises choses qui se sont produites ces dernières années sont toutes liées. Il a noté que la pandémie de COVID-19, l'hystérie du réchauffement climatique, la guerre manipulée contre la Russie, la destruction délibérée de l'économie mondiale et l'inflation sont toutes liées.
« Les gens ont été naïfs, inconditionnels et trop prêts à croire ce que les médias grand public corrompus leur ont dit. Et ceux qui disent la vérité sur ce qui se passe réellement ont été diabolisés, mentis, censurés, réprimés et effectivement réduits au silence par les médias grand public », a-t-il noté.
Armstrong a souligné que le système scolaire rendait service aux mondialistes en "apprenant aux élèves à subir un lavage de cerveau et à ne pas réfléchir parce qu'il y a des experts qu'ils devraient écouter".
Mais il est encore temps. Beaucoup de choses peuvent arriver avant Noël.
Cependant, a souligné Armstrong, les gens doivent comprendre rapidement que le mal existe et qu'il y a des gens qui sont capables de faire les choses les plus viles auxquelles les autres ne penseraient même pas.
Suivez Globalism.news pour plus d'informations sur les mondialistes.
Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur l'agenda mondialiste.
Cette vidéo provient de la chaîne The New American sur Brighteon.com.
Plus d'histoires liées :
The Ben Armstrong Show: L'intérêt de Biden pour le conflit russo-ukrainien émaillé de corruption et de controverse.
Le programme d'annihilation : pourquoi les globalistes travaillent activement pour exterminer 90 % de la race humaine.
La pénurie alimentaire mondiale causée par la guerre en Ukraine sert le programme mondialiste de la Grande Réinitialisation.
Sources include:
Brighteon.com
VernonColeman.org
https://www.naturalnews.com/2022-07-10-humanity-has-few-months-of-freedom-left.html
Les dirigeants européens vont nous appauvrir
RépondreSupprimerDes choses que nous trouvons aujourd’hui essentielles ne seront peut-être plus accessibles qu’à une élite. Les commissaires européens et nos ministres verts en feront partie, bien sûr.
Thierry Afschrift
le 11 juillet 2022
Le risque d’un appauvrissement quasi généralisé en Occident, et spécialement dans l’Union européenne, est aujourd’hui très important.
Les politiques menées en Occident, et surtout celle de la Commission européenne, conduisent inévitablement à une grave diminution du niveau de vie.
Il ne s’agit pas, aujourd’hui, de parler de l’inflation qui accable notamment la zone euro.
Elle est certes un danger réel et important, surtout pour ceux qui possèdent des liquidités, des emprunts d’État ou autres obligations à long terme. Les États et les autorités monétaires ont choisi leurs victimes, et ce sont les épargnants.
Mais le pire est ailleurs. Beaucoup se rendent sans doute compte, comme l’ont déjà suggéré de talentueux éditorialistes, que posséder une voiture sera sans doute bientôt un luxe réservé à une catégorie de nantis.
Quoi qu’on fasse, l’interdiction des voitures neuves à combustion en 2035, décidée par la Commission européenne, augmentera sensiblement les coûts de déplacement en voiture individuelle.
Quand elles ne seront plus subsidiées, le prix des voitures électriques sera sensiblement plus élevé que les voitures à essence ou diesel. Et le prix des batteries, qui dépendent des métaux rares que l’on trouve surtout en Chine, ne peut qu’augmenter dans une très large mesure, vu l’accroissement de la demande et la limitation de la production due à la rareté de certains composants.
L’utilisation de ces voitures coûtera elle aussi de plus en plus cher.
Pour les rendre simplement aussi performantes que nos véhicules d’aujourd’hui, il faudra notamment, du point de vue de leur autonomie, de leur temps de charge, de la création de dispositifs de chargement en suffisance, une technologie à améliorer sérieusement, et de très lourds investissements qu’il faudra bien rentabiliser, en en répercutant le coût, comme toujours, sur les consommateurs.
Un écart entre les riches et les pauvres accru du fait des politiques des dirigeants européens
Le résultat à craindre est que seuls les riches devraient encore profiter des avantages du transport individuel. Un risque majeur que les partisans d’une politique écologique de gauche s’abstiennent bien de révéler.
Même chose pour les vacances. La guerre contre l’avion, réputé pollueur, est lancée.
On commence par taxer à l’embarquement, en plus des nombreuses autres taxes déjà existantes dans l’aviation, puis on limitera aussi les vols de courte distance, et on taxera le kérosène.
Les tickets d’avion vont devenir plus cher. D’aucuns, du côté vert, se félicitent déjà d’annoncer que les billets des compagnies low cost, « c’est fini », et que ce n’est d’ailleurs « pas normal ».
Il faudra donc payer plus cher pour voyager en avion, ou en train, déjà beaucoup plus cher aujourd’hui, et géré comme un prétendu « service public », c’est-à-dire mal, et sans égard pour les clients.
Des décennies de capitalisme plus ou moins libéral ont réussi à démocratiser les transports, à donner à la plupart d’entre nous la possibilité effective de circuler assez rapidement et confortablement et en peu de temps, pour des trajets quotidiens comme pour les vacances.
Et ce sont des politiques écologiques voulues par les partis de gauche qui vont porter atteinte à ce véritable progrès social et économique. En accroissant le coût de la voiture et de l’avion, en le portant à un niveau inaccessible pour une grande partie de la population qui pouvait, jusqu’ici, en bénéficier.
RépondreSupprimerLe pire est qu’il ne s’agit là que d’exemples.
À force de réglementer aussi l’alimentation et l’agriculture, nous verrons sans doute bientôt une augmentation du prix de la viande, parce que l’on va réduire le nombre de bovins dans les élevages. La loi de l’offre et de la demande est incontournable : si l’offre diminue et que la demande est constante, le prix monte inexorablement.
À cela s’ajoute un risque, bien réel dans certains pays, de taxation des bovins ou la viande elle-même.
Quand il ne s’agit pas de mesures encore plus ruineuses. Le Sri Lanka a récemment obligé ses agriculteurs à produire tout bio, sans pesticides, notamment. Après un an, faute de débouchés et avec une production en forte baisse, les agriculteurs sont ruinés et la famine guette la population.
Mon propos n’est pas de faire peur mais de tirer les conclusions logiques des politiques menées, surtout dans l’Union européenne.
Nos politiciens veulent un Green deal. Un contrat dont ils ont beaucoup insisté sur ce qu’il apporte : une petite contribution à une planète un peu plus verte, à supposer que les Chinois n’augmentent pas trop leurs propres émissions de gaz carbonique.
Mais ce contrat a un prix, comme tout contrat. Et ce prix sera payé par les consommateurs, nous tous, par une forte diminution de notre niveau de vie.
Au point que des choses que nous trouvons aujourd’hui essentielles ne seront peut-être plus accessibles qu’à une élite. Les commissaires européens et nos ministres verts en feront partie, bien sûr.
Le transport est cher, il faut payer (!) pour aller travailler !! De plus, AUCUN salaire n'est exact puisque la banque vers qui il est viré prélève une taxe !!
SupprimerPuis il y a l'alimentation, le gaz ? Plus de gaz ! alors l'électrique ? plus d'électricité ! plus de mazout, de charbon ! Reste plus qu'à couper les arbres devant chez soi et y foutre le feu pour se chauffer !
La famine est à nos portes !!
Le prix du plastique de serre + 70 % !
C'est-à-dire que s'il neige et sans serre... restera quelques rats ici ou là qui cherchent eux-aussi à bouffer...
L’idéologie écologiste face aux réalités
RépondreSupprimerSuite aux trois décisions importantes prises ces derniers jours , l’idéologie écologiste reviendrait-elle à une conception plus réaliste de la défense de l’environnement ?
le 11 juillet 2022
Michel Gay
Suite aux trois décisions importantes prises ces derniers jours (voir ci-dessous), l’idéologie écologiste reviendrait-elle à une conception plus réaliste de la défense de l’environnement, et les dirigeants européens commenceraient-ils à comprendre que la radicalité écologique est une catastrophe ?
Trois décisions importantes récentes
Le Centre industriel de stockage géologique des déchets nucléaires (CIGEO) est enfin déclaré d’utilité publique.
Le Parlement européen valide le label vert pour le gaz et le nucléaire afin de faciliter les investissements jugés nécessaires pour la transition énergétique.
La place attribuée au nouveau ministre de l’Écologie (Christophe Béchu) rétrograde du 5e au 10e rang protocolaire.
Il faut inlassablement rappeler que le nucléaire émet moins de 4 grammes de gaz carbonique par kilowattheure d’électricité (4 ggaz carbonique/kWh), soit tout de même 4 fois moins que l’éolien (14 à 16 ggaz carbonique/kWh), 10 fois moins que le solaire PV (43 à 49 ggaz carbonique/kWh), et 100 fois moins que le gaz (410 ggaz carbonique/kWh) !
Pour lutter contre le réchauffement climatique, ce n’est pas négligeable…
Il est donc préférable de construire du nucléaire pilotable plutôt que des énergies renouvelables intermittentes (EnRI) en raisonnant sur le moyen terme (10-15 ans).
Mais hélas, la France pourrait bientôt manquer de puissance disponible d’électricité dès cet hiver pour répondre aux besoins croissants des consommateurs.
En parallèle, l’éolien et les panneaux photovoltaïques chers et intermittents continuent leur progression malgré leur inutilité et leur coût. Le compromis politique défie toujours les lois de la physique… mais pour encore combien de temps ? Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre.
Certains acteurs politiques se croient au-dessus des lois de la physique et de l’économie (en particulier les Verts). Ils portent une immense responsabilité dans cette situation de quasi-pénurie, mais ils oublient soigneusement de le mentionner.
Le Président Macron aux manettes depuis 5 ans, a accepté les fermetures politiques de centrales électriques au charbon, voire même au fioul, ainsi que les deux réacteurs nucléaires à Fessenheim, qui ont fragilisé l’équilibre du réseau d’électricité en France. En laissant faire, EDF et RTE n’ont, semble-t-il, pas joué efficacement leur rôle d’alerte pour conserver des marges de puissance pilotable afin d’assurer la sécurité d’approvisionnement.
La puissance garantie par l’éolien est de l’ordre de 1 % de sa capacité maximale installée pour un pays, et jusqu’à 4 % à l’échelle d’un continent comme l’Europe. Les EnRI ne sont pas d’un grand secours pour gérer les pointes de consommation !
Une prise de conscience « collective » ?
Les « responsables » commencent lentement à comprendre que l’éolien et les panneaux photovoltaïques sont non seulement inutiles, mais aussi surtout nuisibles, s’ils ne sont pas associés constamment à des productions pilotables pour être utilisables. Ces moyens délivrent une puissance aléatoire qui peut coïncider par hasard avec un besoin de production ou d’effacement.
Et en cette période de faiblesse du nucléaire et de pénurie de gaz sur fond de crise avec la Russie, plus il y aura de puissance installée d’éolien et de solaire, plus il faudra de puissance de centrales à charbon, comme en Allemagne et dans d’autres pays européens (Pologne…), voire même en France avec la récente remise en service de la centrale à charbon de Saint-Avold.
Cette politique absurde conduit déjà aujourd’hui à une forte augmentation structurelle du prix de l’électricité, soit +25 % en 4 ans.
RépondreSupprimerContinuer à développer en France l’éolien et le solaire revient à vider les poches des Français pour remplir celles des promoteurs, et aussi à faire croître les émissions de gaz carbonique.
Le nucléaire est durable
La plupart des instances internationales (UE et aussi l’AIE) soutiennent dorénavant le nucléaire comme un mal nécessaire en attendant le « Graal rêvé » du 100 % renouvelables dont ils ne décrivent jamais la manière d’y parvenir, notamment pour compenser l’intermittence et/ou contraindre les consommateurs à s’y adapter.
EDF, RTE et l’ASN devraient être capables d’expliquer qu’une pénurie d’électricité par excès de précautions appliquées au nucléaire aurait des conséquences économiques et sociales majeures. Entre deux risques, il faut choisir le moindre. Le politique pourrait alors trancher sur le choix final au nom de l’intérêt général.
Pourquoi ne le fait-il pas ? Aurait-il peur des écolos dogmatiques qui n’ont aucun sens des réalités ou, pire, qui souhaitent non seulement l’écroulement de la « société capitaliste de consommation » mais aussi la disparition de l’humanité ?
Le mur des réalités
La politique énergétique européenne est aujourd’hui construite autour de l’éolien et des panneaux voltaïques dont les graves inconvénients précités sont de plus en plus dénoncés.
EDF continue même de proposer la pose de panneaux voltaïques chez les particuliers. Même nationalisée, EDF ne semble pas s’opposer à une politique qui lui permet de récupérer de juteuses subventions. Et peu importe qu’au bout du compte ce soit le consommateur qui trinque.
Le « modèle » énergétique allemand fondé sur l’éolien, le solaire, le gaz, et maintenant le charbon, est un échec retentissant. Le suivre conduirait la France, qui a encore 40 ans d’avance grâce à son nucléaire, à la faillite et à une hyper inflation.
La France doit d’urgence concentrer ses efforts sur sa filière nucléaire et stopper sa politique hasardeuse fondée sur des EnRI qui doivent être couplées aux centrales au charbon ou au gaz lorsqu’il n’y a pas ou peu de vent et de soleil.
Il reste encore certains écolos qui croient sincèrement que grâce à l’éolien et au soleil, le nucléaire (à proscrire) sera éliminé. Il leur est donc insupportable d’entendre de plus en plus qu’il faut conserver toute la puissance du nucléaire, ou la remplacer par la même puissance de gaz et de charbon (ce qu’a fait l’Allemagne), pour faire face aux pannes de vent et de soleil.
Ils ne peuvent pas admettre que c’est inefficace pour le climat. Ils n’acceptent pas la contradiction et leur réaction est un déni, parfois violent, même si le politiquement correct tend actuellement à changer dans l’opinion publique et parmi certains écologistes.
RépondreSupprimerAinsi, les déchets qui seront stockés à CIGEO dans quelques années (et non « enfouis » selon le terme péjoratif utilisé notamment par les antinucléaires) semble posséder les mêmes caractéristiques que les activistes écologistes radicalisés : ils sont de haute activité et à vie longue, mais leur nocivité décroît avec le temps… face au mur des réalités.
https://www.contrepoints.org/2022/07/11/434777-l-ideologie-ecologiste-face-aux-realites
(...) Il faut inlassablement rappeler que le nucléaire émet moins de 4 grammes de gaz carbonique (...)
SupprimerFaudrait aussi 'rappeler' que le gaz carbonique n'est PAS un poison émis continuellement par le magma (en des proportions des millions de fois supérieures à l'émission des humains, animaux et industries réunis !). Et qu'il n'a JAMAIS ÉTÉ un 'gaz à effet de serre' ! ni une substance calorifique puisque étant le plus lourd, ras du sol, c'est lui qui est responsable des gelées (il n'y a pas de gelées chaudes !).
Notez que s'il faut 30 ans pour rentabiliser un panneau solaire il est cassé à moins de 8 ans ! HAHAHAHA ! (pire s'il tombe de la grêle !).
Rappelez vous le '11 Septembre 2001', il y a plus de 8 millions d'habitants à New-York et PAS UN n'a vu d'avion dans le ciel !! PAS UN SEUL ! mais TOUS l'ont vu à la télé ! HAHAHAHA !
Après, ils vous sortent le 'virus (poussière) qui attaque !' (pire que 'Mars Attacks' ?). Attention, ce n'est PAS un microbe (vivant qui transporte des maladies) mais une POUSSIÈRE ! Le grain de sable qui vous empêche de marcher ! (sur la plage ?) mais donc existerait un 'vaccin anti-poussières' !! (bombe Pliz ?).
Ils prennent les gens pour des cons !
Les fermes britanniques se retrouvent avec des tonnes de nourriture non cueillie grâce aux problèmes de traitement des visas saisonniers liés au Brexit
RépondreSupprimerDimanche 10 juillet 2022
par : Cassie B.
(Natural News) D'innombrables cultures ne sont pas cueillies au Royaume-Uni alors que la pénurie de travailleurs induite par le Brexit se poursuit. Des millions de livres ont ainsi été perdues, faisant grimper l'inflation alimentaire jusqu'à 20 %, rapporte le secteur agricole.
Un déficit du nombre total de visas et des retards dans le traitement des visas de travail saisonnier post-Brexit par le ministère de l'Intérieur sont aggravés par la guerre en Ukraine, qui a bloqué une source majeure de travailleurs agricoles britanniques. L'année dernière, plus de 60% des personnes entrées dans le pays avec un visa saisonnier venaient d'Ukraine, tandis que 8 % venaient de Russie. Les travailleurs des deux pays ne sont plus disponibles, ce qui ajoute aux malheurs des agriculteurs britanniques.
Le directeur général de Sandfield Farms, Derek Wilkinson, qui emploie normalement plus de 750 travailleurs étrangers dans sa ferme de Worcestershire, est durement touché par la situation. Il a déclaré que les retards de traitement des visas lui avaient déjà coûté environ 250 000 £ de ses cultures d'asperges et d'oignons de printemps. Sans suffisamment de travailleurs, ils sont tout simplement incapables de récolter environ 45 000 kilogrammes d'asperges et 750 000 lots d'oignons de printemps.
S'adressant à Sky News, il a noté que les Britanniques ne sont pas intéressés par ce type de travail.
«Nous essayons de recruter localement et il n'y a tout simplement pas les gens là-bas. Les Britanniques ne veulent tout simplement pas de travail saisonnier ; si vous vivez au Royaume-Uni, vous avez besoin d'un emploi permanent. Nous essayons de recruter, mais nous obtiendrions très peu de participation », a-t-il déclaré.
Selon Wilkinson, les retards de traitement des visas au Royaume-Uni sont nettement plus longs que ceux des autres pays. Alors que le traitement prend actuellement environ six à sept semaines au Royaume-Uni, les agriculteurs d'Allemagne et des Pays-Bas signalent qu'ils peuvent obtenir des visas en quelques jours.
Début mai, la ferme de Wilkinson manquait déjà de 40 % des travailleurs dont elle avait besoin. Bien que de nombreux travailleurs aient été recrutés, leurs visas n'étaient pas traités et la situation n'a fait qu'empirer.
Les agriculteurs ont exprimé leur inquiétude quant au fait que l'industrie ne sera pas en mesure de récolter une récolte complète au cours de la saison des baies de cette année, et les prochaines saisons de poires et de pommes devraient également en souffrir.
La main-d'œuvre saisonnière du Royaume-Uni souffre du Brexit
L'accès facile à la main-d'œuvre saisonnière offert au Royaume-Uni par son adhésion à l'UE est crédité d'avoir contribué à façonner l'industrie agricole du pays. En particulier, il a amélioré la viabilité des cultures à forte intensité de main-d'œuvre comme les baies.
Cependant, la main-d'œuvre saisonnière du Royaume-Uni diminue depuis l'introduction de son programme de visas pour les travailleurs saisonniers après le Brexit. Dans le passé, les travailleurs saisonniers pouvaient largement entrer dans le pays depuis l'UE sans restrictions ; le nouveau programme de visa pour les travailleurs saisonniers est le seul moyen pour les travailleurs peu rémunérés et peu qualifiés d'entrer dans le pays de nos jours.
RépondreSupprimerOn pense que le gouvernement britannique visera à supprimer progressivement les visas pour les travailleurs saisonniers d'ici 2024 afin que les travailleurs domestiques et les méthodes d'automatisation telles que les robots de cueillette de fruits puissent prendre le relais, bien que de nombreux agriculteurs insistent sur le fait que ces approches ne sont tout simplement pas réalisables.
Le vice-président du National Farmers Union, Tom Bradshaw, a déclaré: «Nous avons un taux de chômage très bas. Nous avons 4% de chômeurs et des millions de postes vacants, il n'est donc pas réaliste que cela provienne de la main-d'œuvre nationale alors qu'il y a beaucoup de postes permanents.
Le président du comité restreint de l'environnement, de l'alimentation et des affaires rurales, Sir Robert Goodwill, a déclaré qu'il pensait que le programme devrait rester intact car l'incertitude quant à la disponibilité de la main-d'œuvre pourrait entraver la croissance du secteur agricole.
"Si vous plantez un vignoble ou construisez une station de conditionnement, vous devez être sûr que vous avez de la main-d'œuvre pour venir faire ce travail à l'avenir. Le programme est très réussi et il n'y a aucune raison pour qu'ils ne le rendent pas permanent », a-t-il souligné.
Les sources de cet article incluent :
News.Sky.com
Express.co.uk
https://www.naturalnews.com/2022-07-10-uk-farms-unpicked-food-brexit-visa.html