Devrait-on donner une médaille à adolph hitler parce qu'un jour il a donné un bouquet de fleurs à une femme ? C'est ce qui ressort des propos tenus par la débloque Dr. Jane Goodall comme ceux dégueulés par la gretamoilescouilles !
Elles refusent de savoir que notre planète peut accueillir plus de 10 fois ce qu'il y a aujourd'hui parce que plus on est à naître on est à travailler et à manger et, comme ni les terres, ni les combustibles ne manquent... La faute est de s'arrêter à ces erreurs de la nature que sont les dirigeants et autres psychopathes dans l'ombre qui les mettent au pouvoir. Ils se disent 'sortis de grandes écoles' oui mais, quel que soit le ministre ou le chef d’État qui en est expulsé aucun ne comprend la gestion, aucun ne veut demander quoi que ce soit au Peuple des millions de fois plus savant qu'eux ! Ils fabriquent la merde et se plaignent d'y être dedans !
Suite à la récente série d’arrestations de pédophiles en Californie, la star du cinéma Brad Pitt a révélé les véritables profondeurs de la pédophilie d'Hollywood dans un exposé choquant. En tant que vétéran ayant 30 ans d’expérience dans l'industrie du cinéma, Pitt parle de ses expériences après avoir assisté au côté obscur de l'industrie du divertissement, dans un témoignage de première main.
M. Pitt décrit comment l'ensemble de l'industrie du cinéma et de la télévision se déroule autour d'une culture d’abus sexuels sur enfants pour les besoins des réseaux de traite des enfants qui couvrent les États-Unis et au-delà.
Cette industrie couvre aussi bien les échelons supérieurs du spectre politique que la hiérarchie de la société: "Vous pensez que Hollywood est en train de faire des films? C'est juste un sous-produit: il s'agit de faire de l'argent, et plus important encore, il s’agit de pouvoir et de contrôle. " "Les gens qui dirigent Hollywood, gèrent aussi l'Amérique et la plupart du monde, et ils ne se soucient pas des films". "Vous avez entendu parler des Illuminati? Les sociétés secrètes, les politiciens, les banquiers et les médias - ce sont eux qui dirigent ces réseaux pédophiles, et ce sont eux qui gouvernent le monde, et tout le fric revient à Hollywood ".
"Les enfants veulent faire du cinéma, ou plutôt, dois- je dire, les parents veulent que leurs enfants fassent du cinéma, et ils feront tout pour les rendre célèbres " Lorsqu'on lui a demandé pourquoi Hollywood était visé par ces réseaux d’Élite mondialiste, il dit; "Ce sont les parents. C'est le rêve américain d'être célèbre et les parents vont faire n'importe quoi pour y arriver.
" Avez-vous déjà rencontré la mère d'un acteur enfant? Elles sont dingues. " Ce sont des cibles faciles, et ce ne sont pas seulement des films, de la télévision, de la musique ... c'est un showbiz ". "Les parents vendent essentiellement leurs enfants pour la gloire". M. Pitt poursuit en exposant la motivation du trafic de l’Élite et comment les enfants jouent des rôles pour influencer d’autres enfants à rentrer dans le jeu et pousser l'agenda de l’Élite. Il décrit comment les enfants sont utilisés comme monnaie politique alors que les parents ferment les yeux dans l'espoir que leur progéniture sera le prochain top star du box-office: Brad Pitt. Click to enlarge"Une de ces [Élites] achète un film. Un millier d'enfants se présentent pour le rôle principal. Une centaine d'entre eux pourraient probablement travailler. Un jeune enfant avec une maman insultante se présente qui fera tout pour obtenir la partie. "
"L'enfant est envoyé à un gars qui dirige un réseau de télévision. Le réseau pousse le film, et le premier gars fait beaucoup d'argent quand c'est un coup. " "Le gars TV ne dira jamais rien de mauvais en ce qui concerne le film parce que le gars du cinéma sait ce que le gars de la TV a fait avec ce jeune enfant". "La même chose arrive avec les politiciens et les banquiers et les autres " "Il s'agit de tous les accords avec les enfants en tant que monnaies d’échange". Lorsqu'on lui a posé la question de savoir qui sont ces «acteurs de Hollywood», Pitt hésitait à donner des noms, en disant: «Je suis un terrain favorable pour subir un procès gratuit et facile», mais a déclaré qu'il était convaincu que ces agresseurs d'enfants de haut niveau verront bientôt la justice :
"Les grands médias ne vont jamais exposer la vérité car ils en font partie. Ce sont les médias indépendants qui vont exposer cela. " "L'Internet est une chose merveilleuse et la libre circulation de l'information va tout révéler ". "Ils perdent leur prise sur le peuple américain, et sur les gens de partout, et ils le savent". "C'est juste une question de temps avant que tout ne soit révélé."
Brad Pitt a eu un passé tumultueux avec des sociétés secrètes, après qu’une vidéo divulguée par son ex-femme Angelina Jolie, dans laquelle elle a discuté des rituels Illuminati d'Hollywood, est devenue virale. M. Pitt a répondu à la vidéo en disant qu'il était "écœuré" par les révélations. Source
Lindsay Lohan: les pédophiles dirigent Hollywood et ils ont assassiné Heath Ledger
Heath Ledger a été assassiné selon Lindsay Lohan, qui dit que le «mauvais garçon d'Hollywood» est devenu un problème pour «les pédophiles au sommet de la pyramide d'Hollywood» après sa performance alors que le Joker dans The Dark Knight l'a propulsé vers le statut de superstar. Heath Ledger was murdered according to Lindsay Lohan, who says he became a problem for “the pedophiles at the top of the Hollywood pyramid." "Ils ne pouvaient plus lui faire confiance. Ils savaient qu'il avait une grosse bouche et de grosses couilles. Il aimait balancer le bateau ", a déclaré Lohan. "Il connaissait beaucoup de secrets de l'industrie et il n'avait pas peur de parler". Lindsay Lohan a attiré l'attention du monde cette semaine après un tweet dans lequel elle a défendu le président Trump et sa famille, tweet vite devenu viral.
L'actrice basée à Londres a été interrogée sur son tweet demandant aux gens d'arrêter le harcèlement du président Trump, mais Lohan, parlant de son nouveau "accent international", a plutôt commencé à éclairer la mort de Heath Ledger en 2007. "Ce n'était pas un suicide. Ce n'était pas un surdosage accidentel. Tout le monde dans l'industrie connaît la vérité. Il a été éliminé. Il a été tué en exemple pour le reste d’entre nous pour qu’on la ferme et qu’on reste « en ligne ». "Il était le dernier des mauvais garçons d'Hollywood".
L'ancienne enfant star, Lindsay, était proche de Ledger l'année avant sa mort, passait du temps avec l'acteur australien dans son appartement de Manhattan entre les shoots. Décrivant Ledger comme "un joueur, un fauteur de troubles, une sorte de cheval sombre" Lindsay Lohan a déclaré: "nous avons convenu que n'importe qui avec une âme ne peut pas exister à Hollywood. Vous devez vous en sortir. Vous devez trouver une sortie ou vous serez bouffé de l'intérieur. " "Heath se souciait d'agir, il se souciait de l'art et de l'héritage culturel. Il était dégoûté et donc tellement déçu par ce qu’Hollywood est vraiment. Il était tellement repoussé par l'élan d’avidité pour l'argent et le pouvoir. Les pédophiles et leurs réseaux. " "Il se débrouillait. Il aimait les explosions. Il voulait faire exploser toute cette merde hollywoodienne. "Parmi les qualités qui m'ont beaucoup attiré chez Heath, il y avait la transparence, ce qui était illusoire, bien sûr, et son sens tout aussi illusoire d'être presque immortel". À la suite du récent raid policier et des arrestations liées à la pédophilie en Californie, les procureurs avertissent que c'est «la pointe de l'iceberg très pourri».
Les prétentions de Lohan concernant le côté obscur de Hollywood ne sont pas surprenantes. L'adhérence de l'élite hollywoodienne pourrie sur les acteurs travaillant dans le système devient la matière de la légende. Parlant de ses pairs, les acteurs et les actrices à Hollywood, Lohan a déclaré: «Nous savons tous que si vous voulez vous assurer que les journalistes ne signalent rien de ce que vous dites lors d'une conférence de presse, vous n’avez qu’à commencer à parler de la façon dont Hollywood est géré par des pervers et des pédophiles. Les oligarques qui dirigent vos entreprises de médias n'en écriront pas un traître mot. "
Ledger est décédé le 22 janvier 2008 à partir de ce que le Bureau du médecin hygiéniste en chef de New York a appelé une «intoxication accidentelle par des médicaments d'ordonnance», quelques mois seulement après avoir fini de filmer sa performance en tant que Joker dans The Dark Knight. Alors que les médicaments d'ordonnance trouvés dans le système de Ledger étaient tous des médicaments d'ordonnance bien connus, la combinaison mortelle de drogues ne serait jamais prescrite par un médecin. Source
Arrestations de 238 Pédophiles dont de nombreux acteurs renommés d'Hollywood
Selon la volonté du Président Donald Trump d'éradiquer la pédophilie, l'opération qui a déjà permis d'arrêter plus de 6.000 pédophiles notoires, se poursuit à Hoolywood avec l'arrestation, de nouveau, de 238 pédophiles faisant partie, en majorité, du milieu des Majors Hoollywoodiennes et des acteurs renommés !
Le ministère de la Justice vient de mener une série de raids à Los Angeles et a arrêté 238 personnes dans le cadre d'un réseau de pédophilie hollywoodien. Selon la police, les arrestations comprenaient des "grands acteurs d'Hollywood" ainsi que des politiciens, des cols blancs, un moine et d'autres membres du clergé de haut rang. Les raids ont été menés par le groupe de travail régional de Los Angeles Regional Internet Crimes contre les enfants, travaillant directement avec le ministère de la Justice.
Appelée "Operation Broken Heart III", les raids radicaux visaient les délinquants recherchés pour l'exploitation sexuelle des enfants, la prostitution des enfants, le tourisme sexuel et possédant et distribuant de la pornographie juvénile, a déclaré le député Matt Blake du département de police de Los Angeles. La police a déclaré qu'ils ne pouvaient pas libérer de noms à ce stade, mais a confirmé que les personnes arrêtées comprenaient des "noms de ménage" dans l'industrie du divertissement. L'opération Broken Heart III est censée faire partie d'une opération beaucoup plus importante qui se connecte aux réseaux pédophiles nationaux d'élite et peut s'étendre dans le monde entier. Parmi les personnes arrêtées, il y avait un politicien australien qui tentait d'acheter un garçon de 6 ans.
Selon le LA Times : Parmi les personnes arrêtées pendant les arrestations en avril et mai, se trouvaient des animateurs, des leaders communautaires, des professionnels et des membres du clergé, a déclaré John Reynolds, agent spécial agissant en charge du Département américain des enquêtes sur la sécurité intérieure. "L'incidence de l'exploitation sexuelle des enfants a atteint des proportions étonnantes", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
Les responsables de l'application de la loi ont déclaré que les arrestations soulignent l'importance que les familles conservent un dialogue ouvert sur la sécurité sur Internet. "Les parents et les enfants doivent avoir des conversations franches sur la façon de rester en sécurité dans le cyberespace", a déclaré Reynolds.
Les enfants et les adolescents, a-t-il dit, passent plus de temps sur Internet et les sites de médias sociaux, où les prédateurs d'enfants recherchent souvent des victimes. Le groupe de travail de Los Angeles est l'un des 61 programmes financés par l'ensemble du pays par l'entremise du Bureau de la justice pour mineurs et de la prévention de la délinquance du ministère de la Justice des États-Unis. Créé en 2014, l'opération Broken Heart donne aux forces de l'ordre et aux groupes de travail l'occasion de combiner des ressources et des outils d'enquête pour identifier les prédateurs sexuels chez les enfants.
L'unité Internet Crimes Against Children du département de police de Los Angeles sert environ 300 mandats chaque année à la poursuite de suspects de pornographie juvénile. Dans un immeuble de grande taille à Long Beach, 11 officiers examinent en moyenne 350 cas de pornographie juvénile par mois.
Les enquêteurs utilisent du matériel médico-légal à l'intérieur d'un laboratoire de criminalité mobile nommé "The Beast" pour analyser les disques durs pour toutes les images illicites. En mai, Michael Quinn, âgé de 33 ans, a voyagé d'Australie à Los Angeles pour conclure un accord pour acheter un garçon de six ans pour le sexe, selon le bureau du procureur américain à Los Angeles. Les agents secrets ont rencontré Quinn sur un site de réseautage de réseaux sociaux où il a communiqué qu'il voulait «rencontrer un père qui partage son jeune», selon les procureurs. "Quinn a expliqué à l'agent infiltré qu'il espérait rencontrer d'autres pervers aux États-Unis et a finalement accepté de payer un trafiquant humain de 250 $ pour lui fournir un jeune garçon avec qui il pourrait se livrer à des relations sexuelles illicites", selon le procureur des États-Unis Bureau à Los Angeles.
Quinn est allé dans un hôtel à Los Angeles où il avait l'intention de rencontrer et de faire la fête avec trois autres prédateurs d'enfants et de s'engager dans le sexe avec des garçons, ont annoncé les procureurs.
Au lieu de cela, des agents secrets l'attendaient à l'intérieur de la chambre d'hôtel. Après que Quinn ait remis de l'argent à un agent, qui se posait comme un trafiquant de sexe, les autorités chargées de l'application de la loi sont entrés dans la salle et l'ont arrêté, selon les procureurs. Des semaines plus tard, les autorités de Riverside ont arrêté Kounzong Saebphang, 26 ans, un moine, à son domicile du monastère bouddhiste de Wat Lao à Riverside. Les autorités enquêtaient sur Saebphang depuis l'année dernière lorsqu'ils ont reçu des informations selon lesquelles il pouvait distribuer de la pornographie juvénile, selon le bureau du procureur de district de Riverside County. Lorsque des enquêteurs fédéraux ont fouillé le monastère, ils ont trouvé au moins un dispositif numérique contenant de la pornographie juvénile dans ses affaires, selon les procureurs. Les procureurs ont allégué qu'il a également distribué de la pornographie juvénile à une autre personne par le biais d'un site de médias sociaux.
Source : Jay Greenberg de NeonNettle : http://www.neonnettle.com/news/2299-238-arrested-in-major-hollywood-pedophile-ring-bust
Le Vatican aussi : 8.000 prêtres pédophiles
Selon le Vatican, il y a encore environ 8.000 prêtres pédophiles de haut rang, et le pape Francis refuse de faire quelque chose à ce sujet.
En 2013, le pape Francis a admis qu'environ 2 % des prêtres de l'Église étaient des pédophiles. Pourtant, malgré le récent licenciement du cardinal du plus haut rang (3ème dans la hiérarchie), George Pell, le pape n'a pas l'intention de poursuivre activement d'autres pédophiles au sein de l'église, à moins d'être obligé par la police.
News.com.au rapporte: Le pape Francis a décidé samedi de ne pas renouveler la position du cardinal allemand Gerhard Mueller, 69 ans, en le remplaçant par son adjoint de 73 ans, le monseigneur Jésuite espagnol Luis Ladaria Ferrer.
Bien qu'aucune raison exacte n’ait été donnée pour le renvoi de Mueller, l'un des hommes les plus puissants du Vatican, on pense que c’est en raison d'un arriéré de quelque 2000 cas d'abus sexuels qui avaient été accumulés au cours de son mandat de cinq ans. Son bureau avait également été critiqué par les anciennes victimes d'abus sexuels pour ne pas avoir fait assez pour protéger les enfants contre les prêtres pédophiles. Critique avec laquelle le pape Francis est d'accord. En mai, Francis a assigné plus de personnel au bureau, connu sous le nom de Congrégation pour la Doctrine de la Foi, pour gérer la surcharge des cas de violence sexuelle.
Le renvoi de Mueller par le pape a été considéré comme un engagement envers son attitude de "tolérance zéro" à l'égard des abus sexuels commis par les ecclésiastiques à la lumière des accusations portées contre Pell. Bien que le cardinal ait fortement nié les accusations, le Pape a continuellement fait l'objet de nombreuses critiques pour avoir nommé Pell à l'un des postes les plus puissants du Vatican. Pell sera confronté à une audience du tribunal de Melbourne sur de multiples accusations d'agression sexuelle, le 26 juillet.
Pendant ce temps, ses partisans australiens ont mis en place un fonds pour aider à payer ses frais juridiques. L'archidiocèse catholique de Sydney a déclaré la semaine dernière qu'il aiderait Pell à se défendre à son retour en Australie pour faire face aux accusations, mais ne payerait ses factures légales. Source
Orgie gay et drogue dans l’appartement d’un Cardinal
Retraite anticipée dans un couvent italien pour un haut dignitaire du Vatican, après avoir été surpris par la police en pleine soirée libertine, révèle le journal italien Il Fatto Quotidiano.
En juin dernier, des voisins avertissent les autorités, dérangés par le bruit et les allées et venues incessantes dans un des appartements de l’ancien palais de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. Sur place, les policiers ont trouvé une dizaine d’hommes se livrant aux joies de la chair et consommant de la drogue en quantité. Le locataire des lieux n’est autre qu’un des secrétaires du cardinal Francesco Coccopalmerio, conseiller personnel du Pape François. Son nom n’a toutefois pas été révélé. Informé de cette affaire, le souverain pontife a demandé la démission du cardinal Francesco Coccopalmerio, qui avait proposé la nomination comme évêque de son secrétaire, peut-on lire dans le journal italien. Le secrétaire, qui a été admis dans une clinique de désintoxication, a ensuite été envoyé en retraite dans un couvent.
Un haut fonctionnaire du Ministère de l’Intérieur US: La CIA et le Mossad sont derrière le réseau de pédophiles à Washington DC USA. #Pizzagate - le dévoilement d’un réseau pédocriminel élitiste ? Trump fait arrêter des milliers de pédophiles. Blackout médiatique FBI: 30 % de l’élite de Washington DC est membre du réseau pédophile Pizzagate USA. Les trafiquants pédophiles posent des micropuces dans les enfants pour les contrôler Chef de la police britannique : Un ex Premier ministre pratiquait des "orgies sexuelles sataniques sur des enfants " France. Un ménage à 3 au Palais de l’Élysée … ?
USA : Arrestations de 238 Pédophiles à Hollywood
Commentaire : L’ancien banquier des Rothschild, devenu président de la France, Emmanuel Macron a été victime de pédophilie dans un lycée d'élite en France. Naturellement, les histoires gênantes concernant ce pion de l’Élite et des Oligarques de la finance et des armes ne sont pas dévoilées au public français par les grands médias qui appartiennent en totalité à cette élite mondialiste et pornographique (Voir : Mafia Khazare et satanisme. Un dîner chez les Rothschild). Enfant et adolescent à Amiens, Emmanuel était un élève brillant et un pianiste bien considéré. Mais il sortait de l’ordinaire par d'autres moyens. Il est tombé amoureux de son professeur de littérature française, Brigitte Trogneux, qui était son ainée de plus de 20 ans,. Lorsqu’ils se sont rencontrés, Emmanuel avait 15 ans; elle en avait 36 ans, était mariée avec trois enfants.
Cette relation tombe sous le coup de la loi même si elle est librement consentie.
Normalement, Brigitte Trogneux aurait du être poursuivie en vertu de l’article 227-25 du Code pénal. Cet article précise que le “fait, par un majeur, d'exercer sans violence, contrainte, menace ni surprise une atteinte sexuelle sur la personne d'un mineur de quinze ans est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 € d'amende”.
Comme on le sait, en France, comme en Amérique, la loi n’est pas faite pour les élites.
La Fontaine l’avait déjà annoncé :
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Le Forum Économique Mondial aimerait-il ramener la population mondiale à 500 millions d’habitants
par Aphadolie 25/07/2022
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Comme il était gravé dans les commandements du monolithe en granit des Georgia Guidestones, aujourd’hui détruites, certains participants du Forum Économique Mondial de Davos évoquaient leur désir de ramener la population mondiale à 500 millions d’habitants.
Est-ce que le mot génocide vous vient à l’esprit ?
« Tous nos problèmes seraient résolus, si la population de la Terre était celle d’il y a 500 ans », Dr. Jane Goodall au Forum de Davos
Jane Goodall est une anthropologue britannique. Après une étude de terrain, elle a observé que les chimpanzés utilisent des outils pour s’alimenter. Ses travaux méritent le respect, mais ils ont été détournés par les milliardaires qui souhaitent rester seuls sur la planète, avec quelques domestiques. Ils en ont fait leur égérie, jeu auquel elle s’est prêtée bien volontiers.
Les êtres humains sont trop nombreux
Participant au Forum économique mondial de Davos, elle déclare : « Toutes ces choses [environnementales] dont nous parlons ne seraient pas un problème si la population avait la taille de la population qu’il y a 500 ans. » La population mondiale d’il y a 500 ans est estimée entre 420 et 540 millions, soit 6,7 milliards de personnes de moins qu’aujourd’hui… Dans la même optique, elle est cofondatrice de Population matters dont le credo est :
« C’est la croissance de notre population qui est à l’origine de pratiquement tous les problèmes que nous avons infligés à la planète. Si nous n’étions que quelques-uns, les choses désagréables que nous faisons n’auraient pas vraiment d’importance et Mère Nature s’en chargerait – mais nous sommes si nombreux. »
Jane Goodall est membre du Club de Budapest, fondé par Ervin Laszlo, après sa participation au Club de Rome (initié par la fondation Rockefeller). En 1972, le Club de Rome publie « Les limites à la croissance (dans un monde fini) ». Ce rapport alerte sur les conséquences dramatiques d’une croissance économique et démographique exponentielle sur le long terme dans un monde fini. Diffusé à seize millions d’exemplaires, il devient le bréviaire de nombreux militants écologistes.
Réduire le nombre d’humains est une préoccupation partagée par Bill Gates, Warren Buffett, David Rockefeller, Eli Broad, George Soros, Ted Turner, Oprah, Michael Bloomberg et autres milliardaires. Bill Gates a maintes fois exprimé ses craintes de la surpopulation.
De mauvaises fréquentations
Le 16 avril 2002, le Secrétaire général des Nations Unies de l’époque, Kofi Annan nomma Jane Goodall messagère de la Paix. En 2007, Kofi Annan a été nommé à la tête de « l’Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA), un organisme financé par la fondation Bill-et-Melinda-Gates et la Fondation Rockefeller. Le but officiel est d’aider les paysans africains à améliorer leur rendement. Le but réel est d’ouvrir le marché africain aux semences OGM et aux engrais Monsanto et le résultat est tout simplement une baisse de la production agricole.
Jane est devenue un objet marketing
De la protection des animaux sauvages au marketing le plus éhonté, il n’y a qu’un pas allègrement franchi par l’association loi 1901 Jane Goodall Institute France. Son président est Pierre Quintard, également président du cabinet de conseil, Valpi Conseils et d’Opus Promotion. « Jane Goodall Institute France » est financé par National Geographic, propriété de Walt Disney (dont les principaux actionnaires sont Vanguard et BlackRock). Les autres financements viennent de Sindup (gestion informatique de données), e-frontech (cabinet de conseil), Belle & Hugo (agence de com’) et Wild Immersion. On s’arrête un instant sur Wild Immersion : il propose des films à 360°, diffusés dans des casques de réalité virtuelle pour vous permettre de profiter de la faune et de la flore comme si vous y étiez. On ne pouvait imaginer pire trahison de celle qui voulait protéger les singes dans la réalité.
Jane aurait peut-être dû rester auprès des singes qu’elle aimait et respectait. Elle a fait son choix : elle a été nommée Commandeur de l’Empire Britannique en 1995 par Sa Majesté la reine Elizabeth II, puis Dame Commandeur de l’Empire Britannique en 2004 par le Prince Charles. Elle a obtenu le prix Templeton 2021 qui récompense des scientifiques faisant dialoguer science et foi. Francis S. Collins l’avait reçu en 2020. Ce dernier a réalisé d’importantes découvertes concernant les gènes et s’est beaucoup impliqué dans le projet génome humain. Il a été directeur des National Institutes of Health (NIH) à Bethesda et, quoi d’étonnant ? est un farouche promoteur de la vaccination Covid.
Une série « Barbie Femmes d’Exception » lui a rendu hommage avec une poupée Barbie de collection fabriquée à partir de matériaux recyclés (on n’est pas plus écolo !).
Après Greta Thunberg, Jane Goodall. Quelle sera la prochaine égérie de Davos, Bilderberg et autres clubs de philanthropes ?
Jacqueline / Le Média en 4-4-2
A propos du Dr. Jane Goodall :
Jane Goodall est une éthologue et anthropologue britannique.
Elle est la première scientifique à avoir observé et rapporté que les chimpanzés utilisent des outils pour s’alimenter.
En 1977, elle fonde l’Institut Jane Goodall pour la protection de la biodiversité, l’aide au développement durable et l’éducation.
Distinctions et honneurs :
En 1995, la reine Elisabeth II lui décerne le titre de commandeure de l’ordre de l’Empire britannique, et lors d’une cérémonie au palais de Buckingham en 2004, le prince Charles nomme Jane Goodall dame commandeure du même ordre.
En avril 2002, le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan nomme Jane Goodall « messagère de la paix ». Ban Ki-moon, successeur de Kofi Annan, lui renouvelle sa mission.
Jane Goodall a reçu de nombreux prix parmi lesquels :
La médaille d’honneur de la Tanzanie.
La médaille Hubbard de la National Geographic Society.
Le prestigieux prix japonais Kyoto pour la science.
Le prix Prince des Asturies pour la recherche technique et scientifique en 2003.
La médaille Benjamin Franklin pour la science.
La récompense Gandhi/King pour la non-violence.
Docteur honoris causa de l’université de Syracuse, 2005.
Docteur honoris causa de l’université libre de Tanzanie, 2006.
Le 17 janvier 2006, le Premier ministre Dominique de Villepin remet à Jane Goodall les insignes d’officier de la Légion d’honneur. Elle reçoit le lendemain la médaille d’or des 60 ans de l’UNESCO.
Le 21 février 2007, le maire de Paris Bertrand Delanoë décore Jane Goodall de la médaille de vermeil de la Ville de Paris.
Docteur honoris causa de l’université de Liverpool, 2007.
Docteur honoris causa de l’université de Toronto, 2008.
En juillet 2009, un vote organisé auprès de ses lecteurs par le magazine américain New Scientist, pour le compte de L’Oréal, la classe 10e femme scientifique la plus charismatique parmi les 20 proposées au vote.
En 2015, prix international de Catalogne.
En 2017, prix Manhae.
Docteur honoris causa de l’université de Hasselt, mars 2020.
Docteur honoris causa de l’université de Zurich, 2020.
Docteur honoris causa de l’université de Liège, 2009.
Il appartient à chacun de se forger sa propre opinion
UNION EUROPÉENNE: Les Vingt-Sept s’accordent sur une réduction de la demande de gaz Au lendemain de l’annonce de nouvelles coupes par la Russie, les États membres de l’UE ont approuvé mardi un plan de réduction coordonnée de leur consommation de gaz en vue de l’hiver.
La décision de l’UE fait suite à l’annonce de nouvelles coupes drastiques des livraisons de gaz par le géant russe Gazprom.
26 juillet 2022, 12:53
Les États membres de l’Union européenne ont approuvé mardi un plan de réduction coordonnée de leur consommation de gaz pour réduire leur dépendance envers Moscou, après une nouvelle baisse drastique des livraisons russes, a annoncé la présidence tchèque du Conseil de l’UE.
«Ce n’était pas une mission impossible! Les ministres (de l’Énergie des 27 réunis à Bruxelles) sont parvenus à un accord politique sur la réduction de la demande de gaz en prévision de l’hiver prochain», a annoncé le compte Twitter de la présidence tchèque.
Livraisons réduites de moitié
Cette décision intervient un jour après que le géant russe Gazprom a annoncé qu’il réduirait dès mercredi drastiquement, à 33 millions de m³ quotidiens, les livraisons de gaz russe à l’Europe via Nord Stream, arguant de la nécessité de maintenance d’une turbine. Cette nouvelle coupe réduit à environ 20% la capacité du gazoduc, contre quelque 40% actuellement, alors que les nations européennes s’efforcent de reconstituer leurs réserves à l’approche de l’hiver.
(...) Les États membres de l’Union européenne ont approuvé mardi un plan de réduction coordonnée de leur consommation de gaz pour réduire leur dépendance envers Moscou, après une nouvelle baisse drastique des livraisons russes, a annoncé la présidence tchèque du Conseil de l’UE. (...)
Par l'identité d''États' il ne faut pas confondre les dictateur au pouvoir et le Peuple ! Car, les psychopathes décisionnels auront bien du gaz pour eux cet hiver ! Ouf !
FMI: L’économie russe se sort mieux que prévu des sanctions
Le FMI a revu ses estimations quant aux conséquences des sanctions prises à l’encontre du Kremlin. Les pays occidentaux sont touchés plus durement que prévu.
26 juillet 2022, 15:35
Les sanctions devraient avoir plus d’effets en 2023.
L’économie russe devrait, cette année, être moins pénalisée par les sanctions internationales que ce qui était attendu, a souligné mardi le FMI, précisant que les pays européens, en revanche, en souffrent plus que prévu.
La croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Russie devrait se contracter de 6,0% en 2022, anticipe le Fonds monétaire international, soit bien moins que le plongeon de 8,5% sur lequel il tablait lors de ses précédentes prévisions, publiées en avril.
«L’économie russe devrait s’être contractée moins que prévu au deuxième trimestre, les exportations de pétrole brut et de produits non énergétiques se maintenant mieux qu’attendu», détaille l’institution dans son rapport.
«De plus, la demande intérieure fait également preuve d’une certaine résilience grâce à la maîtrise de l’effet des sanctions sur le secteur financier intérieur et à un affaiblissement du marché du travail plus faible que prévu», ajoute le Fonds.
Les pays occidentaux ont, depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février, pris à l’encontre de la Russie une salve de sanctions destinées à l’étrangler financièrement et économiquement.
Leurs effets devraient en revanche se faire sentir plus que prévu en 2023, année pour laquelle le FMI anticipe une récession de l’économie russe de 3,5%, soit 1,2 point de moins que ses prévisions précédentes.
De lourds effets sur l’Europe
En revanche, «les effets de la guerre sur les principales économies européennes ont été plus négatifs que prévu», précise le FMI. Les prévisions de croissance économique pour 2022 ont en effet été abaissées pour l’Allemagne (-0,9 point à 1,2%), la France (-0,6 point à 2,3%) ou encore l’Espagne (-0,8 point à 4,0%).
Ces conséquences plus fortes sont dues à «la hausse des prix de l’énergie ainsi qu’à la baisse de confiance des consommateurs et au ralentissement de l’activité manufacturière résultant de perturbations persistantes de la chaîne d’approvisionnement et de la hausse des coûts des matières premières», détaille le FMI.
Et une cessation complète des exportations de gaz russe réduirait «nettement» la croissance dans la zone euro en 2022 et 2023. Cela forcerait en effet les pays européens à mettre en place un rationnement de l’énergie, touchant les secteurs industriels majeurs.
Les prix du gaz naturel dans l'UE montent en flèche alors que Gazprom se prépare à réduire le flux Nord, le gaz naturel américain atteint son plus haut niveau en 14 ans
PAR TYLER DURDEN MARDI 26 JUILLET 2022 - 15:16
Les contrats à terme sur le gaz naturel européen ont augmenté leurs gains de 12% après que le producteur d'énergie public russe Gazprom PJSC a annoncé de manière inattendue qu'il arrêterait une turbine Nord Stream 1 dans sa station de compression de Portovaya à partir de mercredi.
Simultanément, les contrats à terme sur le gaz naturel américain ont atteint des sommets sur 14 ans.
Les approvisionnements russes en gaz naturel vers l'Europe via le gazoduc Nord Stream sont tombés à 38 % de leur capacité contre 40 % mardi, avant une réduction plus importante des niveaux actuels à seulement 20 % mercredi.
Dans un communiqué, Gazprom a déclaré que le pipeline Nord Stream pomperait 33 millions de mètres cubes par jour, soit 20 % de sa capacité, à partir de mercredi, ajoutant qu'une autre turbine pour le pipeline serait mise hors service en raison de travaux de maintenance.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré qu'une autre turbine Nord Stream avait des "problèmes" et serait mise hors ligne pour maintenance.
Peskov a noté qu'une turbine envoyée au Canada plus tôt est "en route", mais n'a pas précisé son emplacement exact.
Les sanctions occidentales ont prolongé la durée moyenne de maintenance du Nord Stream.
"La situation est gravement aggravée par les restrictions et les sanctions imposées à notre pays", a poursuivi le porte-parole du Kremlin.
Les médias d'État russes ont rapporté lundi que la turbine récemment entretenue au Canada par Siemens Energy AG avait finalement reçu les documents d'exportation qui lui permettront d'être expédiée d'Allemagne à Helsinki, en Finlande.
Les baisses de capacité à venir de Nord Stream ont fait grimper les contrats à terme de Wholesale European NatGas de 12% à 196 euros. Les prix ont bondi de plus de 20% en deux sessions et se rapprochent des sommets observés l'hiver dernier à plus de 200 euros.
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Les prix du gaz naturel de l'UE se négocient à un prix équivalent au baril de pétrole de 333 $....
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Outre-Atlantique, les contrats à terme US NatGas ont prolongé leurs gains, en hausse de plus de 10% à 9,62 $, un sommet de 14 ans, au milieu des inquiétudes concernant le temps chaud et les approvisionnements serrés.
Les prix de l'électricité à Londres grimpent de 5 000 % et comptent sur la Belgique pour contrecarrer la panne d'électricité
PAR TYLER DURDEN MARDI 26 JUILLET 2022 - 10:15
Le réseau électrique de Londres a été poussé au bord de la panne après la vague de chaleur record de la semaine dernière.
Javier Blas, chroniqueur de Bloomberg Opinion couvrant l'énergie et les matières premières, a déclaré que la perturbation du réseau électrique avait frappé la partie orientale de la capitale britannique pendant une brève période le 20 juillet, alors que les climatiseurs étaient désactivés et que la demande d'électricité augmentait, entraînant un goulot d'étranglement sur le réseau.
Les services publics britanniques ont eu du mal à puiser dans d'autres sources de production d'électricité sur le réseau. Ils se sont appuyés sur la Belgique via des câbles d'eau sous-marins à travers la Manche pour augmenter l'approvisionnement en électricité, faisant grimper les prix de l'électricité à un niveau record de 9 724,54 £ (environ 11 685 $) par mégawattheure. C'est plus de 5 000 % par rapport aux prix moyens de l'électricité de 178 £ (environ 215 $) par mégawattheure.
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Blas a déclaré que la crise du réseau "s'est déroulée discrètement dans la salle de contrôle du système électrique britannique". Outre la fonte des pistes d'aéroport et le flambage des voies ferrées à cause de la chaleur extrême, les problèmes du réseau électrique ont rarement été mentionnés dans la presse la semaine dernière. Il a déclaré: "Cela montre la vulnérabilité croissante des réseaux de transport d'énergie - réseaux électriques et gazoducs et oléoducs - dans une grande partie du monde industrialisé après des années de faible investissement et d'opposition pas dans ma cour".
Les services publics payaient des prix d'électricité record pendant environ 60 minutes en désespoir de cause pour maintenir la stabilité du réseau et éviter de grandes pannes de courant.
"Ce fut un choc absolu", a déclaré Phil Hewitt, directeur exécutif d'EnAppSys Ltd, un cabinet de conseil en énergie.
Hewitt a déclaré: "C'était le prix à payer pour garder les lumières allumées. La sécurité de l'approvisionnement était en jeu."
Un porte-parole du réseau a déclaré que si la Belgique ne lui fournissait pas d'électricité supplémentaire, elle aurait été obligée de "contrôler la demande et de déconnecter les foyers de l'électricité".
Blas a imputé le goulot d'étranglement du réseau au vieillissement des infrastructures et au sous-investissement.
Dans une situation normale, sans les embouteillages sur le réseau, le Royaume-Uni aurait dû être en mesure d'envoyer de l'électricité dans le sud-est de l'Angleterre depuis d'ailleurs dans le pays – même depuis tout le chemin en Écosse, où les parcs éoliens offshore produisent plus que jamais. . Le problème est que le Royaume-Uni et le reste des pays industrialisés n'investissent pas suffisamment dans leurs réseaux, laissant le système exposé. -Blas
Les réseaux électriques congestionnés suggèrent que le Royaume-Uni est somnambule dans ce qui pourrait aggraver les pannes d'électricité. Des problèmes de réseau apparaissent avant l'hiver car certaines parties de l'Europe ont un stockage de gaz naturel très serré.
Les prix du blé bondissent après que des missiles russes ont frappé Odessa
PAR TYLER DURDEN MARDI 26 JUILLET 2022 - 08:45
Les prix du blé ont grimpé en flèche lundi après que la Russie a attaqué samedi le port commercial de la mer Noire à Odessa, en Ukraine. La grève survient moins d'un jour après que l'Ukraine et la Russie ont négocié un accord d'exportation – négocié par la Turquie – pour exporter des millions de tonnes de céréales.
Vendredi, des responsables de l'ONU, de la Turquie, de la Russie et de l'Ukraine ont signé un accord pour rouvrir trois ports, dont Odessa, le plus grand port du pays. C'est une décision annoncée par ces responsables pour atténuer une crise alimentaire mondiale.
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Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a insisté sur le fait que l'attaque au missile du week-end n'était "en aucun cas liée à l'infrastructure utilisée pour l'exportation de céréales".
Pendant ce temps, le ministre ukrainien des Infrastructures, Vasyl Shkurakov, a déclaré que l'accord devrait entrer en vigueur dans quelques jours et la première livraison plus tard cette semaine.
Les contrats à terme sur le blé de Chicago ont bondi de 4,6 % et se sont négociés en hausse de 1,9 % à 12 h 30 HE. Les prix ont chuté de 10 % dans les jours qui ont précédé la signature de l'accord d'exportation.
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"Les prix à terme du blé ont bondi après que la Russie a frappé le port maritime d'Odessa, semant le doute sur son engagement à libérer les exportations de céréales ukrainiennes. Moscou a déclaré qu'il avait touché une" installation d'infrastructure militaire ", a écrit John Flood de Goldman Sach dans une note lundi.
Les entreprises de Wall Street affirment que "l'attaque de samedi dernier soulève des doutes sur la reprise de l'activité portuaire dans des conditions appropriées", a déclaré Agritel dans une note aux clients.
"Le marché restera forcément très nerveux en cas de nouveaux attentats ou de doutes sur la concrétisation de cette reprise de l'activité export", poursuit Agritel.
"On pense qu'il est peu probable que beaucoup quittent l'Ukraine tout de suite car l'infrastructure interne et dans les ports doit être reconstruite", a écrit Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group Inc.
L'Ukraine poursuivra la réouverture d'Odessa alors que les commerçants surveillent les flux de céréales en provenance du port, surveillent les signes de la rapidité avec laquelle les volumes sont mis en ligne et déterminent le prochain mouvement pour les prix du blé.
Poutine tourne les vis : Gazprom arrête de manière inattendue une autre turbine Nord Stream coupant les débits de moitié ; Les prix du gaz en Europe s'envolent
PAR TYLER DURDEN LUNDI 25 JUILLET 2022 - 20:44
Les Européens, et en particulier les Allemands, ont poussé un soupir de soulagement jeudi dernier lorsque, craignant que Moscou ne redémarre les flux le long du gazoduc Nord Stream 1 après sa période de maintenance de 10 jours, Poutine a rallumé le gaz, ne serait-ce qu'à son pic de pré-maintenance niveau d'environ 40 % de la capacité maximale.
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Hélas, la célébration en sourdine de l'Europe n'était pas censée durer, et beaucoup spéculaient que la Russie n'attendait que la bonne occasion de tourner la vis à l'Allemagne, à la fois littéralement et métaphoriquement, c'est précisément ce qui s'est passé il y a quelques instants lorsque, peu de temps après, Siemens a finalement livré des documents de transport pour la turbine controversée Nord Stream qui était bloquée au Canada depuis des semaines, Gazprom a annoncé de manière inattendue qu'il arrêterait une autre turbine Nord Stream dans sa station de compression de Portovaya à partir du 27 juillet, "en tenant compte des conditions techniques du moteur", a déclaré la société russe. dans un rapport.
Cela signifie que, comme cela avait été chuchoté une grande partie de la semaine dernière, les flux de gaz de Portovaya chuteront jusqu'à 33 millions de mètres cubes par jour à partir de 7 heures du matin, heure de Moscou, le 27 juillet, ce qui signifie que les flux le long de NS1 diminueront de moitié, passant de 40 % de capacité à seulement 20 %.
TÊTE DU RÉGULATEUR DU RÉSEAU ALLEMAND : NORD STREAM 1 GAS NOMINATIONS DIVISÉES POUR MARDI
Selon l'expert en énergie de Bloomberg Javier Blas, avec "Nord Stream 1 circulant à seulement 20 % de sa capacité à partir du 27 juillet, l'Allemagne n'aura PAS assez de gaz naturel pour fonctionner tout l'hiver ** à moins que de fortes réductions de la demande ne soient mises en œuvre **. Berlin devra activer l'étape 3 de son programme d'urgence gaz."
Traduction : à moins que Poutine ne change d'avis, l'Allemagne est confrontée non seulement à un hiver glacial, mais à une récession amère.
Inutile de dire que l'Allemagne n'était pas contente du dernier rappel qui détient toutes les cartes en Europe :
LE MINISTÈRE ALLEMAND DE L'ÉCONOMIE, SUR LA RÉDUCTION ANNONCÉE DES FLUX DE GAZ NORD STREAM 1, DIT QU'IL N'Y A AUCUNE RAISON TECHNIQUE POUR UNE RÉDUCTION DES APPROVISIONNEMENTS
LE MINISTÈRE ALLEMAND DE L'ÉCONOMIE, LORS DE LA RÉDUCTION ANNONCÉE DES FLUX DE GAZ NORD STREAM 1, INDIQUE QUE LES CONDITIONS LIÉES AUX SANCTIONS POUR L'APPROBATION DE LA LIVRAISON DE LA TURBINE ONT ÉTÉ REMPLIES
Vanessa Dezem de Bloomberg ajoute que s'il est positif que les niveaux des stocks de gaz de l'Allemagne aient de nouveau augmenté - du moins avant les nouvelles de Gazprom d'aujourd'hui - le pays est encore loin d'une situation confortable pour faire face à l'hiver. Les niveaux sont de retour sur une "bonne voie", selon Klaus Mueller, chef de l'agence connue sous le nom de BNetzA. Mais si les flux de gaz russe via le gazoduc Nord Stream restent faibles, l'Allemagne ne pourra pas remplir les réservoirs à 95% en novembre, comme l'a visé le gouvernement, a indiqué l'agence dans un communiqué.
Sans le tampon nécessaire, la sécurité énergétique de l'Allemagne reste menacée et les prix restent volatils, et bien sûr, en réaction instinctive, les prix du gaz naturel européen (TTF) ont grimpé de 10 % et devraient continuer à augmenter...
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... alors que Poutine vient d'assurer que - toutes choses égales par ailleurs - une récession en Allemagne est désormais inévitable, et pourtant puisque les prix des matières premières vont continuer d'augmenter, la BCE reste impuissante : elle ne peut pas baisser les taux sans envoyer l'inflation encore plus haut, mais il ne peut pas continuer à marcher avec l'Europe maintenant en récession. L'euro, qui a bondi à la fin de la semaine dernière sur un optimisme naïf selon lequel le pire des cas pourrait être évité, s'est effondré.
Siemens livre enfin les documents de transport de Gazprom pour la turbine Nord Stream
PAR TYLER DURDEN LUNDI 25 JUILLET 2022 - 16:00
Siemens Energy AG a finalement délivré une licence d'exportation canadienne pour une turbine à gaz naturel russe Gazprom PJSC, qui aide à pomper NatGas dans le pipeline Nord Stream 1.
Le média d'État russe Kommersant a rapporté qu'une résolution des retards dans la paperasserie permettrait à la turbine NatGas d'être expédiée d'Allemagne à Helsinki, en Finlande, dans les prochains jours.
Kommersant a déclaré que la livraison de la turbine n'entraînerait pas immédiatement une augmentation des flux de gaz naturel sur le Nord Stream 1 en raison d'autres équipements nécessitant des travaux de maintenance.
Moscou a récemment déclaré que la turbine se trouvait au Canada dans une usine de Siemens - le seul endroit au monde où elle peut être travaillée - mais qu'elle est depuis "bloquée en transit" en Allemagne.
Les responsables du Kremlin ont accusé l'Europe de retarder intentionnellement l'expédition de turbines hors d'Allemagne. Plus tôt ce mois-ci, le Canada a accordé une dérogation spéciale aux sanctions pour le retour de la turbine, invoquant sa solidarité avec des alliés européens comme l'Allemagne, qui ont cruellement besoin d'un retour en douceur de l'approvisionnement en gaz naturel sur le pipeline le plus critique vers l'Europe.
Nord Stream 1 a été réduit à 40% de sa capacité à partir de juin en raison de ce que la Russie a imputé aux sanctions canadiennes. Nord Stream a été complètement fermé pour une période de maintenance de dix jours mais a rouvert la semaine dernière.
"La turbine sera installée après que toutes les formalités techniques auront été accomplies, et les débits seront aux niveaux technologiquement possibles", a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Peskov a noté, "nous avons des problèmes avec d'autres équipements, dont Siemens est bien conscient", ajoutant que les malheurs de Nord Stream ne font que commencer.
Il a déclaré que la Russie n'était "pas intéressée" par une fermeture complète de Nord Stream 1, mais a averti que "si l'Europe continue d'imposer imprudemment les sanctions et les restrictions qui la frappent, la situation pourrait changer".
Peskov a déclaré que les Européens ne sont responsables que du stockage inférieur à la moyenne de NatGas du continent avant l'hiver. Il a déclaré que les Européens subissent les conséquences de leurs propres sanctions contre la Russie.
Pendant ce temps, la Deutsche Bank a récemment averti : "N'oubliez pas non plus que Poutine a suggéré que si la turbine n'est pas de retour au début de cette semaine, le débit de gaz pourrait tomber à 20 % de sa capacité, même si à l'origine, cette turbine n'était pas censée être nécessaire jusqu'en septembre."
PAR TYLER DURDEN MARDI 26 JUILLET 2022 - 08:00 Écrit par Thomas Fazi via UnHerd.com,
La défenestration de Mario Draghi a laissé l'establishment italien - et même international - sous le choc de l'horreur. Ce n'est pas surprenant. Lorsqu'il a été nommé Premier ministre italien au début de l'année dernière, les élites politiques et économiques européennes ont accueilli son arrivée comme un miracle. Pratiquement tous les partis du parlement italien – y compris les deux anciens partis «populistes» qui ont remporté les élections en 2018, le Mouvement cinq étoiles et la Ligue – ont offert leur soutien. Le ton de la discussion a été bien rendu par le puissant gouverneur de la région de Campanie, Vincenzo De Luca (PD), qui a comparé Draghi au « Christ » lui-même.
Tout le monde était d'accord : un gouvernement Draghi serait une bénédiction pour le pays, une dernière occasion de racheter ses péchés et de « redonner à l'Italie sa grandeur ». Draghi, ont-ils dit, simplement en vertu de son "charisme", de sa "compétence", de son "intelligence" et de son "influence internationale", tiendrait les marchés obligataires à distance, adopterait des réformes indispensables et relancerait l'économie stagnante de l'Italie.
Hélas, la réalité n'a pas été à la hauteur des attentes : Draghi laisse derrière lui un pays en lambeaux. Les dernières prévisions macroéconomiques de la Commission européenne prévoyaient que l'Italie connaîtrait la croissance économique la plus lente du bloc l'année prochaine, à seulement 0,9%, en raison d'une baisse des dépenses de consommation due à la hausse des prix et à la baisse des investissements des entreprises - en raison de la hausse des emprunts et des coûts énergétiques , ainsi que des perturbations dans l'approvisionnement en gaz russe.
L'Italie connaît également l'un des taux d'inflation à la croissance la plus rapide d'Europe – qui est actuellement de 8,6 %, le niveau le plus élevé depuis plus de trois décennies. Les taux d'intérêt sur les obligations d'État italiennes ont également augmenté régulièrement depuis l'arrivée au pouvoir de Draghi, quadruplant sous sa direction ; aujourd'hui, ils se situent au niveau le plus élevé depuis près d'une décennie.
Et cette « polycrise » a fait des ravages dans la société italienne : 5,6 millions d'Italiens — près de 10 % de la population, dont 1,4 million de mineurs — vivent actuellement dans la pauvreté absolue, le niveau le plus élevé jamais enregistré. Beaucoup d'entre eux travaillent, et ce nombre est appelé à augmenter alors que les salaires réels en Italie continuent de baisser au rythme le plus élevé du bloc. Pendant ce temps, près de 100 000 petites et moyennes entreprises (PME) sont menacées d'insolvabilité, soit une augmentation de 2 % par rapport à l'année dernière.
Voilà pour "Super Mario", alors. Bien sûr, on pourrait dire que d'autres pays connaissent des problèmes similaires, mais ce serait une erreur de laisser Draghi s'en tirer. Il a été l'un des plus fervents partisans des mesures qui ont conduit à cette situation, ayant été une force motrice pour faire pression pour des sanctions sévères de l'UE contre Moscou – des sanctions qui paralysent les économies européennes, tout en laissant la Russie largement indemne.
Draghi s'est même vanté des mesures audacieuses adoptées par l'Italie pour sevrer le pays du gaz russe – le résultat étant que l'Italie est désormais le pays qui paie les prix de gros de l'électricité les plus élevés de toute l'UE. L'absurdité de ces politiques devient évidente lorsque l'on considère sa tentative de réduire la dépendance de l'Italie vis-à-vis du gaz russe en faisant revivre plusieurs centrales électriques au charbon - du charbon que l'Italie importe en grande partie de Russie.
Pire encore, Draghi n'a fait que peu ou rien pour protéger les salariés, les ménages et les petites entreprises de l'impact de ces politiques. En effet, les quelques mesures "structurelles" adoptées par son gouvernement ont toutes visé à promouvoir la privatisation, la libéralisation, la déréglementation et la consolidation fiscale - comme l'ouverture à la privatisation des quelques services publics qui étaient restés en dehors du champ d'application du marché, en outre " en flexibilisant la main-d'œuvre, en mettant des plages privées dans le cadre d'un appel d'offres public pour la première fois depuis des décennies, ou en essayant d'étendre les services de taxi pour inclure des opérateurs de covoiturage comme Uber, déclenchant des protestations massives.
Pour quiconque a une idée de l'idéologie de Draghi, ce n'est guère surprenant. Comme je l'ai déjà dit, Mario Draghi est l'incarnation corporelle du « néolibéralisme ». Il n'est pas non plus surprenant que ces politiques n'aient pas porté leurs fruits, étant donné que la logique néolibérale de l'UE, basée sur la privatisation, l'austérité budgétaire et la compression des salaires - que Draghi a joué un rôle crucial dans la mise en œuvre depuis le début des années 90 - est la principale raison pour laquelle l'Italie est en un tel gâchis pour commencer. Draghi a également renforcé la mainmise de l'UE sur l'économie italienne en colportant sans relâche le récit selon lequel l'Italie avait désespérément besoin des fonds européens de relance Covid pour relancer son économie, et que pour accéder à ces fonds, elle devait mettre en œuvre avec diligence les réformes exigées par Bruxelles.
Pourtant, en termes macroéconomiques, les fonds en question sont dérisoires et loin de ce qui serait nécessaire pour avoir un impact significatif sur l'économie italienne. Mais ils viennent avec des conditionnalités très strictes. C'est en fin de compte l'objectif du «fonds de relance» Next Generation EU de l'UE: accroître le contrôle de Bruxelles sur les politiques budgétaires des États membres et renforcer le régime de contrôle technocratique et autoritaire de l'UE. Et à qui mieux que Draghi pourrait-on faire confiance pour verrouiller de telles mesures ? Comme il l'a lui-même noté, la "voie de réforme" tracée par son gouvernement signifiait que "nous avons créé les conditions pour que le travail [de relance de l'UE] se poursuive, indépendamment de qui est [au gouvernement]" - garantissant ainsi que les futurs gouvernements ne ne vous écartez pas du chemin de la justice.
Draghi, cependant, ne laisse pas seulement derrière lui une économie brûlée, mais aussi une société profondément fracturée et divisée. Il est l'homme responsable de l'élaboration des politiques de vaccination de masse les plus punitives, discriminatoires et ségrégationnistes en Occident, qui ont non seulement exclu des millions de personnes non vaccinées - y compris des enfants - de la vie sociale, en étendant les passeports vaccinaux à pratiquement tous les espaces publics, mais aussi restreint beaucoup de gens de travailler. Il a également contribué à faire des non-vaccinés la cible de discours de haine sanctionnés par les institutions, comme lorsqu'il a tristement affirmé : « Vous ne vous faites pas vacciner, vous tombez malade, vous mourez. Ou tu tues.
Tout cela pourrait donner une indication de la raison pour laquelle un récent sondage a montré que 50% des Italiens n'étaient pas satisfaits du travail du gouvernement. Et pourtant, malgré ces résultats plutôt médiocres, lorsque Draghi a initialement annoncé son intention de démissionner, l'establishment italien est entré dans une crise d'apoplexie. Dans ce qui restera dans l'histoire comme l'une des manifestations les plus pathétiques du conformisme flagorneur de la société italienne, presque toutes les catégories professionnelles auxquelles vous pouvez penser se sont précipitées pour lancer leur propre appel en suppliant Draghi de rester - pas seulement les hommes d'affaires riches, comme c'était le cas pour à prévoir, mais aussi des médecins, des pharmaciens, des infirmières, des maires, des doyens d'université, des ONG, des intellectuels progressistes et même la CGIL, le plus grand syndicat du pays.
Plus pitoyable encore, les médias italiens ont couvert massivement plusieurs "manifestations pro-Draghi" - ne comptant pas plus de quelques dizaines de personnes. Peut-être le plus comique, l'une des plus grandes agences de presse du pays, Adnkronos, a même raconté comment plusieurs sans-abri étaient sortis pour montrer leur soutien à Draghi. L'un d'eux aurait déclaré : « Draghi fait la différence. L'Italie a retrouvé prestige et crédibilité grâce à lui. En tant que sans-abri, je peux témoigner du fait qu'il y a une plus grande attention pour nous maintenant et c'est grâce à Draghi.
L'establishment international occidental a également jeté tout son poids derrière Draghi. Tout le monde, du Financial Times au Guardian en passant par le commissaire européen à l'économie Paolo Gentiloni, est venu expliquer à quel point la perte de Draghi serait une tragédie pour l'Italie – et même pour l'Europe dans son ensemble. Gentiloni est allé jusqu'à dire qu'« une tempête parfaite » balayerait le pays si Draghi devait partir ; tandis que le Guardian s'est limité à dire aux députés italiens que Draghi "devrait rester pour l'instant". Le New York Times a affirmé sans ironie que le départ de Draghi mettrait fin à la « brève période dorée » qu'il a inaugurée pour l'Italie. Parlez d'acteurs étrangers qui se mêlent des affaires de l'Italie.
Alors pourquoi, malgré des pressions aussi massives, trois partis ont-ils effectivement débranché son gouvernement la semaine dernière ? Une partie de l'explication réside dans la mesure dans laquelle Draghi avait réussi à s'aliéner des partis tels que le Mouvement cinq étoiles et la Ligue - refusant de s'engager avec eux sur pratiquement aucune des politiques de son gouvernement, ou de reconnaître même les critiques les plus timides. À plus d'une occasion, Draghi a précisé très clairement ce qu'il considérait comme le rôle du parlement : celui d'approuver automatiquement les décisions prises par le gouvernement. Cela est également évident dans l'abus par Draghi de l'instrument du vote de confiance.
Dans son discours au Sénat la semaine dernière, Draghi a été encore plus explicite : après avoir déclaré qu'il avait décidé de reconsidérer sa démission parce que « c'est ce que veut le peuple », il a essentiellement dit au Parlement qu'il était prêt à rester Premier ministre tant que les parties s'engageraient à ne s'immiscer dans aucune des décisions futures du gouvernement. Pour beaucoup de parlementaires, l'arrogance et la mégalomanie du discours de Draghi sont allées un peu trop loin — et d'ailleurs certains disent que Berlusconi attendait le bon moment pour se venger du moment où il a été détrôné par Draghi, en 2011, alors que ce dernier était président de la BCE.
Cependant, il ne faut pas exagérer l'importance de la révolte anti-Draghi du Parlement. En fin de compte, Draghi n'a fait qu'énoncer une vérité inconfortable aux parties : "Vous n'avez aucun pouvoir réel, acceptez-le." Mais c'est une vérité que les partis politiques ne sont pas prêts à accepter. En fin de compte, ils ne veulent pas affronter la contradiction fondamentale entre l'architecture institutionnelle formelle du pays - celle d'une démocratie parlementaire - et ce que l'on pourrait appeler son architecture institutionnelle "réellement existante", dans laquelle le Parlement et, par définition, les partis politiques n'ont presque aucun pouvoir. , parce que le gouvernement lui-même, dans le contexte de la zone euro, a peu ou pas d'autonomie économique. Les partis le savent mais ne veulent pas l'admettre (pour eux-mêmes mais surtout pour les électeurs).
Cela les laisse dans un état de dissonance cognitive permanente, conduisant à ce que l'on peut appeler « le cycle politique de la contrainte externe ». Comme dans les pays « normaux », les partis se disputent le consensus sur la base de différentes plates-formes électorales – et comme cela arrive souvent, les partis qui promettent le « changement » arrivent à gagner. Cependant, contrairement aux pays « normaux », les partis qui entrent au gouvernement découvrent rapidement qu'ils manquent des instruments « normaux » de politique économique nécessaires pour vraiment changer quoi que ce soit en termes socio-économiques. En fait, ils n'ont guère d'autre choix que d'accepter ce que disent Bruxelles et Francfort, et s'ils ne jouent pas au ballon, la BCE est toujours prête à faire monter la pression. À ce stade, si le gouvernement ne recule pas, la BCE déclenchera une crise financière à grande échelle (pensez à l'Italie en 2011 ou à la Grèce en 2015) - ce qui conduit généralement les partis politiques à se tourner vers des technocrates soutenus par l'UE pour résoudre un problème. problème que l'UE a créé en premier lieu.
Pourtant, même si le gouvernement cède, la tension croissante entre les exigences de la contrainte extérieure et les revendications des citoyens, à laquelle les partis manquent d'outils pour remédier, les conduit à se tourner vers les technocrates pour sortir de l'impasse, en leur faisant mettre en œuvre les mesures les parties ne veulent pas assumer la responsabilité. Puis, à un moment donné, généralement à l'approche de nouvelles élections, les partis politiques ressentent le besoin de se re-légitimer aux yeux des électeurs et ainsi de remettre le génie technocratique dans la lampe — jusqu'à la prochaine crise, qui instaure un nouveau cycle dans mouvement.
C'est en grande partie l'histoire de ce qui s'est passé entre 2018 et l'éviction de Draghi, alors que le Mouvement cinq étoiles et la Ligue sont passés du populisme anti-UE à Draghi en quelques années seulement. Et les prochaines élections mettront en branle un nouveau cycle, peut-être salué par un gouvernement de centre-droit dirigé par Giorgia Meloni. Mais à mesure que la situation sociale et économique continue de se détériorer, ces cycles sont également appelés à se raccourcir de plus en plus. Un futur gouvernement de centre-droit — « populiste » ou non — n'aurait que peu ou pas de capacité à résoudre les crises laissées par Draghi. Comme toujours, les coups de feu seront tirés à Bruxelles et à Francfort.
Avec le lancement de son récent instrument de protection de la transmission (TPI), la BCE s'est dotée d'un outil qui lui permet techniquement de faire "tout ce qu'il faut" pour fermer les spreads de l'euro, évitant ainsi potentiellement de futures crises financières. Une telle intervention est toutefois conditionnée au respect du cadre budgétaire de l'UE et des «réformes» décrites dans les plans de «fonds de relance» de chaque pays – déjà mis en place par Draghi. Mais ceux-ci ne feront rien pour mettre fin à la crise sociale et économique en cours ; en fait, ils sont certains de l'aggraver. En d'autres termes, le prochain gouvernement italien, s'il veut rester financièrement à flot, n'aura d'autre choix que de suivre les diktats économiques de l'UE - ou bien. Dans un tel contexte, combien de temps avant que les derniers vestiges de la légitimité démocratique dans des pays comme l'Italie ne s'effondrent ? Et quoi encore ?
En fin de compte, la prochaine crise de l'euro est beaucoup plus susceptible d'éclater dans les rues d'Europe que sur les marchés financiers.
Supprimer la redevance TV: et si les Français avaient raison ?
L’Assemblée nationale a confirmé samedi la promesse d’Emmanuel Macron. Cette décision est un choc vu de Suisse, où le peuple a refusé nettement une telle issue.
par Eric Felley 26 juillet 2022, 06:36
Aujourd’hui, la redevance TV coûte 335 francs (342,99 €) par ménage en Suisse. Beaucoup de ménages se passeraient bien de cette facture.
La proposition était dans l’air depuis des mois. En campagne, Emmanuel Macron avait promis de supprimer la redevance TV. C’est aujourd’hui chose faite avec le vote de l’Assemblée nationale samedi dernier par une large majorité de 170 voix à 57. C’est une décision qui s’intègre dans les mesures de soutien au pouvoir d’achat des Français.
Une compensation par la TVA
La redevance a été qualifiée «d’outil obsolète» par le ministre chargé des Comptes publics Gabriel Attal. Mais ce dernier a exprimé son attachement à «un audiovisuel public fort». La redevance, qui coûte 138 euros en métropole et 88 euros outre-mer, ne concerne que les foyers qui ont un téléviseur (et non pas les tablettes et autres écrans comme en Suisse). Sa suppression à l’automne prive les médias publics de quelque 3 milliards d’euros. Pour compenser, l’Assemblée nationale a voté «une fraction» de la TVA, pour un montant d’environ 3,7 milliards d’euros.
Le Tour de France sur Amazon ?
En France le débat a porté sur la perte d’indépendance que représentait ce nouveau financement par l’État, une inquiétude portée par l’Alliance de Gauche Nupes. Dans ses rangs, certains craignent également que le service public ne soit affaibli et que demain «on devra payer pour regarder le Tour de France sur une chaîne détenue par Amazon». Le Rassemblement national demandait quant à lui une privatisation complète de l’audiovisuel.
Initiative UDC à 200 francs
La décision française n’a pas été spécialement commentée en Suisse ce week-end, où le sujet demeure sensible. En mars 2018, l’initiative No Billag avait échoué assez largement à faire supprimer cette redevance avec 71,6 % de non. Actuellement, tous les ménages paient 335 francs par année. Une certaine grogne demeure cependant et l’UDC a lancé une initiative le 23 juin dernier pour la réduire à 200 francs et en exempter les entreprises. Nul doute qu’elle va aboutir.
Pour une réflexion similaire en Suisse
Après la décision française, la question se pose à nouveau en Suisse: pourquoi ne pas l’abolir aussi pour soutenir le pouvoir d’achat des ménages ? L’initiative de l’UDC donnera l’occasion aux Chambres fédérales de remettre cette question sur la table dans le cadre d’une réflexion anglée différemment. Le Conseil fédéral et le Parlement pourraient réfléchir à un contreprojet avec un financement du service public par l’impôt fédéral, la TVA ou une autre ressource fiscale. Pas sûr que cela plaise à l’UDC, mais pour beaucoup de ménages en Suisse, ce serait un soulagement de ne plus payer la redevance !
Aujourd'hui plus personne ne regarde 'la télé-mensonges', ni écoute les radios d’État ni ne lit les journaux non-libres et se tournent vers l'Internet.
Le pouvoir de l'État Et la tentation de l'anarchisme
Carlos Ramalhete 24 juillet https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c8/Kafka-index.JPG
Je comprends les anarchistes. Des anarchistes encore plus riches. D'une certaine manière, un anarchiste du Premier Monde est comme quelqu'un qui n'a connu qu'un père violent et finit par rejeter le concept même de famille. Si je vivais dans un endroit où toutes les lois qu'un État moderne essaie de promulguer étaient appliquées, la tentation anarchiste serait en effet forte. Heureusement, je vis dans un pays dont la langue n'a pas d'expression pour "application de la loi", et où les lois peuvent "coller" (c'est-à-dire être acceptées et respectées) ou non. La plupart d'entre eux ne le font pas, et absolument personne au Brésil n'envisagerait jamais la possibilité de confondre de simples lois promulguées par l'État avec des préceptes moraux.
Le problème, cependant, n'est pas les lois en elles-mêmes, mais l'ensemble : la fonction de l'État, ses pouvoirs, ses limites s'il y en a, quelle loi (ou une loi) se trouve être, etc. Comme toujours, il y a une longue histoire; une assez grande partie de l'Histoire menant à la situation actuelle. C'est l'histoire que je vais essayer de raconter ici.
Les lois promulguées par l'État (par un dirigeant personnel, en fait, car il n'y avait pas encore d'États impersonnels) étaient quelque chose d'assez rare il y a 500 ans. On attendait des gens qu'ils fassent ce que tout le monde fait et qu'ils s'abstiennent de faire ce que les autres ne faisaient pas, et c'est tout. D'une certaine manière, cette notion persiste partout ; les policiers, par exemple, ont tendance à voir les criminels et les fauteurs de troubles en général non pas précisément comme des contrevenants à la loi, mais plutôt comme des gens qui font des choses que les gens honnêtes ne feraient pas. «Je ne vole pas des trucs; pourquoi fait-il ?! La place de ce salaud de voyou est en prison.
C'est ce que les systèmes juridiques anglo-saxons ont tenté de préserver avec la notion de règle de common law ; les cas difficiles seraient résolus en trouvant un cas précédent qui se ressemblait plus ou moins, puis en étendant la décision précédente à la nouvelle situation, apparemment liée. Cela a bien fonctionné pour les petites communautés étroitement liées, mais lorsque des sociétés de plus en plus grandes ont essayé de se gouverner de cette façon, les choses ont commencé à se détériorer. Après tout, ce qui est évident dans un certain lieu et groupe social peut sembler assez absurde dans un autre lieu, et rien n'empêche les deux d'être dans le même système juridique.
L'autre approche pour un système juridique est le romain, créé avec un vaste empire, des personnes et des cultures très différentes, à l'esprit. Il n'y a pas de place pour le droit commun : tout ce qu'il est interdit de faire est écrit, et ce qui n'est pas interdit est permis. C'est ainsi que fonctionnent les systèmes judiciaires dans la plupart des pays du monde. Une chose que certaines personnes ne réalisent pas à ce sujet, cependant, c'est que dans un système de droit romain, chaque juge est en pratique tout à fait libre d'interpréter la loi écrite à sa manière. C'est un peu comme la liberté de mouvement de la Cour suprême américaine autour de la Constitution : le texte de base est le même, mais toutes les Cours suprêmes ne se valent pas, et ce que l'on trouve dans la Constitution n'est pas du tout vu par l'autre.
Ainsi la loi, dans le système romain, finit par ne pas être du tout quelque chose à obéir littéralement, même si une telle littéralité était possible. Les lois sont des lignes directrices, pas des obligations morales, et la coutume a beaucoup à voir avec la façon dont (ou si) une certaine loi est comprise et acceptée par la société en général. D'un autre côté, au cours des deux cents dernières années, alors que la société moderne devenait encore plus folle, il y a eu une sorte de révolution dans les systèmes juridiques partout (et dans la théorie juridique aussi, bien sûr). Les bureaucraties ont commencé à essayer de s'octroyer plus de pouvoir en traitant la loi écrite comme si elle n'était rien de moins que divine. C'est ce qu'on appelle le « positivisme », car les lois promulguées sont appelées « droit positif », par opposition au droit coutumier. Tommaso Beccaria, le théoricien du droit italien, a écrit un jour qu'un procès devrait être "le syllogisme parfait", dans lequel le texte de la loi serait la prémisse majeure, les actions de l'accusé la prémisse mineure et la sentence la conséquence impersonnelle. Tout à fait ignorant des manières du monde, le jeune morveux ; rien d'étonnant, puisqu'il avait 26 ans lorsqu'il a écrit "Sur les crimes et les châtiments", son ouvrage le plus important.
Quoi qu'il en soit, à son époque, confondre le texte imprimé avec la divinité avait déjà eu quelques siècles d'histoire. La théorie actuelle de l'État tout-puissant vient d'ailleurs de ce genre particulier de folie. Lorsque le crépuscule de la civilisation occidentale a commencé par un moine martelant un morceau de papier sur une porte d'église (à Halloween, rien de moins !), de très fortes pressions sociales se sont exercées dans toute l'Europe du Nord. La création par le frère Martin Luther d'une toute nouvelle religion aux accents islamiques n'était pas une cause, mais une conséquence de son martelage. Il voulait juste défier un gars qui était dans son quartier en train de collecter des fonds pour la construction de la basilique Saint-Pierre (à Rome) pour débattre avec lui sur les astuces marketing très discutables de la collecte de fonds. La veille de la Toussaint était le moment idéal pour clouer ses propositions à la porte de cette église particulière, car dès le lendemain, la plus grande exposition de reliques sacrées de toute l'Europe du Nord s'y tiendrait. Les gens viendraient de centaines de kilomètres à la ronde et le colporteur serait certainement informé du défi.
Frère Martin, cependant, était professeur d'Ecriture Sainte; par conséquent, il avait effectivement tout lu au moins une fois. Le gars qu'il défiait, d'un autre côté, n'en saurait probablement pas plus que ce qui était lu dans la liturgie, même s'il avait une formation théologique formelle. Après tout, les Sentences de Pierre Lombard – pas l'Écriture, ni la Patristique, ni la Liturgie… – étaient à l'époque l'objet principal des études théologiques supérieures. Ainsi, pour se faciliter la tâche, le P. Martin a proposé une règle pour le débat : tous les arguments doivent être tirés des Écritures. Pas très juste.
Alors que les choses commençaient à devenir brûlantes autour de ce qui était au départ un défi légitime, Luther a doublé son idée sur les Écritures uniquement, utilisant finalement ce qui avait commencé comme une petite astuce de débat pour bouleverser la chrétienté et détruire fondamentalement la société européenne en créant une alternative. réalité. Après tout, la religion était alors, et est toujours, la forme même de la réalité à la fois pour la société et pour les individus. La religion - que ce soit le christianisme, l'islam, le bouddhisme ou l'athéisme-scientisme moderne - est la source de la lentille à travers laquelle nous voyons, comme de la logique avec laquelle nous interprétons, le monde qui nous entoure. A cette époque, en Europe, la religion signifiait une chose, et une seule chose, partout. Non seulement ses principes moraux formaient le cadre d'un comportement acceptable, mais le temps religieux – le calendrier liturgique – donnait aux gens la notion même du temps ; les pratiques religieuses – par exemple, les pèlerinages comme celui qui mène à cette église particulière sur All Hallows – étaient essentiellement universelles et partagées par tous ; l'autorité religieuse était la base de l'autorité civile, etc.
La phrase ci-dessus ne signifie pas qu'un roi était considéré comme un mandataire de Dieu. Plutôt l'inverse, en fait. Cela signifie que le travail de tout dirigeant pourrait et devrait être vérifié par rapport à ce qui était alors universellement accepté comme venant de Dieu, et il régnerait en tant que représentant du peuple. Pas à Dieu : au peuple. Vox populi vox Dei : la voix du peuple est la voix de Dieu, et c'est le plus souvent l'opinion du peuple sur ce qui est bien et ce qui est mal, dans le cadre d'un consentement religieux absolument unanime, qui garderait ou destituerait les rois et princes. L'autorité d'un dirigeant dépendait donc de la façon dont il utilisait son autorité - assez petite. Il avait bien le pouvoir de faire passer des lois positives, mais la liste des conditions requises était assez vaste ; entre autres, il ne pouvait faire passer une loi qui n'était pas utile ou qui allait à l'encontre de la coutume établie. Son règne dans la société était celui, disons, d'un vieux patriarche qui ne dira pas à ses enfants et petits-enfants comment gouverner leurs propres foyers, mais dont l'autorité serait respectée pour régler un différend entre certains d'entre eux. De plus, toute son autorité provenait d'engagements personnels à double sens, dans lesquels il devait protéger chacun des habitants de «ses» territoires, et ils devaient le nourrir, lui et sa minuscule armée. Il était autant un serviteur de la terre que le plus bas des serfs, car aucun d'eux ne pouvait abandonner le territoire et tous deux devaient le servir ainsi que ses habitants, chacun en son devoir.
Mais il y avait déjà une mouche très laide, grasse et poilue prise au piège dans l'onguent de la société : l'argent. Plus précisément, le fait qu'il y avait de plus en plus d'argent dans la société, mais que la société n'avait pas sa place. Selon la loi - c'est-à-dire la coutume - on pouvait être né guerrier ou agriculteur, et le seul véritable choix de carrière que l'on avait était de rejoindre le clergé (ce qui enlevait aux deux). L'argent ne faisait aucune différence : un riche guerrier était toujours censé être un guerrier, risquant sa peau pour les autres, et un riche agriculteur était toujours censé cultiver la terre de ses propres mains. On ne pouvait pas acheter ni vendre de terres, cependant, et tout l'argent du monde ne pouvait pas transformer un guerrier en agriculteur, ou vice-versa.
Mais depuis quelques siècles, le commerce avait commencé à enrichir certaines personnes. La plupart d'entre eux sont issus de familles d'agriculteurs. Il n'y avait pas de place pour les riches dans la société, mais ils ont réussi à se tailler une place en utilisant leur argent au profit de l'armée. Ce n'est pas une chose nouvelle, voyez-vous; en fait, certaines de ces personnes ont continué à le faire jusqu'à nos jours. Le premier fabricant d'armes pour l'Allemagne pendant les deux guerres mondiales était Krupp, un conglomérat familial qui a commencé à cette époque en tant qu'entreprise familiale.
Avant que les riches n'arrivent en ville, il n'y avait pas de ville. Il y avait des châteaux, avec des douves mais malheureusement pas de dragons, et des terres. Quand il y avait une guerre, les civils rentraient dans le château et les militaires en sortaient, mais en temps normal c'était le contraire. Maintenant, il y avait quelque chose que l'on pouvait faire avec de l'argent, et les nouveaux riches ont commencé à financer des murs de plus en plus grands autour des murs initiaux du château, et à leur tour, ont pu se construire des maisons et des magasins à l'intérieur des nouveaux murs.
Le nom de ces villes commerciales qui se sont développées entre l'original et les nouveaux et plus grands murs du château était "Bourg" (ou "bourg"), et ses habitants sont devenus connus sous le nom de "bourgeoisie". Naturellement - c'est la nature humaine; les plaintes seront adressées à Adam et Ève, au comptoir numéro un –, militaires et bourgeois seraient souvent bien à l'aise, au détriment des pauvres encore hors les murs. À l'époque de Luther, les révoltes paysannes commençaient à être monnaie courante partout, mais les nobles (ou « doux », ou – comme je les ai appelés, « les militaires ») avaient les mains liées par cette sale affaire d'obéir à Dieu. La révolution de Luther leur a donné une issue.
Plus que cela : il s'est installé comme la nouvelle autorité religieuse, celle qui dirait aux princes qui lui demanderaient comment traiter ces paysans révoltés de « les tuer comme des chiens ». Une main lave l'autre, cependant, et c'est ce qui s'est passé lorsque l'ancien moine a découvert que le fait de substituer la fille (l'Écriture) à l'Église mère ne ferait pas automatiquement accepter sa propre lecture de l'Écriture par tous ceux qui aimaient son nouveau gadget "Sola Scriptura". . Que les choses de "tuer comme des chiens" ont été étendues à toutes les sectes qui ne rejoindraient pas son nouveau gouvernement approuvé par l'État (ou plutôt approuvé par les dirigeants locaux, des centaines de fois ; les États étaient encore assez petits et sans importance, et - surtout - le pouvoir était 100 % personnelle : l'État était son roi) Église luthérienne. C'est pourquoi, soit dit en passant, toutes les confessions protestantes aujourd'hui peuvent retracer leurs lignées institutionnelles et théologiques jusqu'à une ou deux des trois sectes protestantes agréées par l'État du XVIe siècle : luthérienne, calviniste et anglicane. Toutes les autres options initialement issues de Sola Scriptura ont été littéralement éliminées. Tués comme des chiens.
D'une certaine manière, quelque chose d'assez similaire s'était déjà produit quelques siècles plus tôt, lorsque la secte gnostique des Cathares s'éleva dans l'actuel Sud de la France. Comme devenir cathare était censé être libéré de tous les engagements et obligations antérieurs, et que les obligations et engagements personnels qui découlaient des vœux formels étaient la base de l'ordre social, les gens devenaient tellement en colère contre les cathares qu'ils commençaient à les tuer. Se nommer jury, juge et bourreau, cependant, était un grand non-non pour l'Église, et c'est ainsi que l'Inquisition est née pour libérer les faussement accusés. Mais c'est une autre histoire, pour une autre fois.
Le sud de la France au temps des troubles cathares était le centre du monde ; L'Europe du Nord à l'époque de Luther était le bled. C'est ainsi que la nouvelle religion s'est procuré suffisamment de temps pour atteindre une masse critique et ainsi survivre beaucoup plus longtemps que le catharisme. Le calvinisme – soutenu directement par la bourgeoisie genevoise, sans intermédiaires nobles – était alors un phénomène essentiellement local, qui a survécu à la fois au chaos total du Nord et au manque d'importance de la Suisse à l'époque. Le fait que les Suisses étaient si féroces que tout le monde voulait les embaucher comme mercenaires n'a pas fait de mal non plus.
Ainsi commencèrent les guerres de religion européennes et, de génération en génération, l'Europe devint un vaste champ de bataille où les adeptes de l'ancienne et de la nouvelle religion tentèrent de prendre le dessus afin de libérer les autres du joug de leurs horribles hérésies et superstitions. De très mauvais moments en effet.
La « solution » à tout cela est venue avec le traité de Westphalie, cent ans d'effusion de sang plus tard. On peut la résumer en cujus regio eius religio, c'est-à-dire, littéralement, à qui appartient la religion du roi : la religion de chaque petit souverain serait imposée à tous ses sujets. En d'autres termes, alors qu'avant la révolution luthérienne, tout le monde était d'accord sur ce que Dieu voulait qu'un gouvernement fasse, et que son autorité reposait sur sa conformité à cette vision commune, après la Westphalie, chaque dirigeant local a obtenu l'autorité de décider par lui-même ce que serait la vérité de Dieu. . Les rois étaient donc en fait placés au-dessus de Dieu, se voyant accorder le droit de juger si ce qui avait toujours été considéré par tout le monde partout comme la révélation divine était vrai ou non.
C'est ce qui a ouvert la voie à toutes ces vilaines choses absolutistes de "droit divin". Pourtant, il est amusant d'utiliser le terme (technique) "absolutisme", car les pouvoirs d'un Louis XVI étaient tellement moins absolus que ceux de n'importe quel bureaucrate de nos jours. Après avoir été libérés de toute allégeance, contrôle ou équilibre supérieur, de toute façon, les absolutistes pourraient en effet être assez ennuyeux. Je comprends de tout cœur ce que les colons américains ressentaient à l'égard des monarques britanniques, surtout quand on pense que presque toutes les colonies britanniques américaines ont commencé comme des lieux de refuge pour les personnes fuyant une sorte de persécution religieuse aux mains de celui qui était en charge de Westminster à l'époque.
En passant, nous avons eu la vie facile dans la péninsule ibérique. Les Maures (envahisseurs musulmans) venaient d'être expulsés, et personne n'avait le temps pour les bêtises de la Nouvelle Religion. En fait, la découverte et la colonisation espagnoles et portugaises de l'Amérique latine actuelle étaient alors considérées comme faisant partie de la lutte pour libérer les terres chrétiennes détenues par l'islam. Christophe Colomb tentait de trouver un moyen de se rendre à Jérusalem "par derrière", et les Portugais voulaient couper les commerçants musulmans du commerce indien afin de les empêcher de financer la défense musulmane de l'Afrique du Nord. L'Amérique était juste sur le chemin, mais la combinaison d'un culte du diable à grande échelle sacrifiant l'homme à combattre (qui ne le ferait pas ?!) Et de l'or à envoyer à la maison en a fait un "obstacle" assez fortuit.
Quoi qu'il en soit, la prochaine étape logique s'est produite un siècle plus tard (les choses mettent généralement environ un siècle à être entièrement digérées en géopolitique), lorsque le roi absolu a été remplacé par le « Peuple » absolu (le collectif imaginaire de personnes réelles), dont le supposé les pouvoirs autonomes ont évidemment été « abandonnés » dès le départ à l'État absolu. Et c'est ainsi qu'est né l'Etat Moderne.
Alors qu'un roi pré-moderne était une personne qui jurait de protéger chacune des personnes de son royaume, l'État est impersonnel et traite avec de vastes multitudes, pas avec des individus. Alors que ce roi était tenu à une vision commune du bien et du mal et avait des pouvoirs très limités, la puissance de l'État finit par faire le bien. En effet, non seulement l'État est établi selon un cadre juridique qu'il a lui-même rédigé (sa « Constitution ») et qu'il peut amender voire remplacer à volonté, mais il croit aussi avoir le monopole de la violence, rien de moins.
Les prétentions universalistes de la « raison » moderne tendent d'ailleurs à nier l'être même de l'individu tout en l'affirmant théoriquement, comme ce fut le cas dans la version américaine de la même révolution moderne. Il n'y avait aucun engagement personnel, aucun vœu personnel de loyauté échangé entre gouvernants et gouvernés, seulement un ensemble assez artificiel de contraintes sur le pouvoir de l'État. Et même ceux-ci sont venus après coup, dans le Bill of Rights, qui restreint principalement le pouvoir de l'État central tout en le gardant entre les mains des États fédérés individuels. La personne « individuelle » est supposée être quasiment interchangeable avec tous les autres individus, n'ayant aucune relation directe et personnelle avec le responsable – qu'il soit un Washington ou un Biden –, celui à qui il aurait théoriquement cédé son autonomie personnelle. L'individu moderne n'existe qu'en tant que partie du peuple, et "Nous, le peuple" finit toujours par être un groupe de gars riches isolés dans une pièce fermée à clé qui parlent entre eux.
L'État, ayant absorbé le pouvoir prétendument cédé dans son ensemble par « le Peuple », est encore plus absolu, bien plus absolu, que n'importe quel roi fou d'Angleterre ou de France. Après tout, alors qu'un roi ou une reine absolutiste pouvait être inconscient de la vraie vie de "son" peuple au point de croire honnêtement que "manger du gâteau" pouvait être une solution quand il n'y avait pas de pain, un État moderne avait des yeux sans fin. De nos jours, avec toute la technologie qu'un État peut mettre à son service, son problème n'est pas d'ignorer ce que signifie vraiment le manque de pain, mais plutôt d'analyser tout le trop vaste flux entrant de données brutes. Il entend chaque mot prononcé autour de chaque téléphone portable, mais il doit trouver ce qui vaut la peine d'être écouté. Il voit tous ceux qui passent devant chaque caméra, mais il doit savoir qui surveiller. Etc.
Dans ce qu'on appelait autrefois le Premier Monde (aujourd'hui on l'appelle ironiquement « l'Occident collectif »), pour ne rien arranger, l'appareil d'État a tendance à fonctionner. Chaque loi stupide et inutile - qui, pour la philosophie juridique médiévale, ne serait pas du tout une loi - est en effet appliquée ; la plupart des impôts sont payés ; la plupart des écoles publiques réussissent plutôt bien à endoctriner les enfants pauvres ; et – le plus important – non seulement la loi promulguée par l'État est considérée comme un minimum moral, mais les mécanismes de résolution des conflits centrés sur l'État sont largement utilisés, spontanément, par les gens ordinaires.
Je me souviens quand une amie brésilienne à Paris a raconté à une autre dame avec qui elle travaillait les ennuis que son fils lui avait donnés, et la gentille Française Moderne lui a donné un numéro vert pour que les services sociaux de la Ville puissent l'appeler. Mon amie a été choquée, car cela ne lui aurait jamais traversé l'esprit de mettre son enfant entre les mains des bureaucrates de la ville pour quelque chose qui était manifestement son propre problème. Elle avait rivalisé pour quelques mots chaleureux, peut-être une épaule sur laquelle pleurer, ou même quelques conseils d'éducation d'enfant de son amie ; pour elle, c'était une douche très froide à envoyer aux bureaucrates.
Mais lorsque les gens y sont habitués et, pire encore, que les bureaucraties d'État ont tendance à faire la plupart de ce qu'elles annoncent, le pouvoir de l'État ne peut que croître et croître. Il est beaucoup plus facile de trouver des personnes qui conduisent sans permis au Brésil qu'aux États-Unis, par exemple. Après tout, même si aux États-Unis, les gens considèrent le DMV comme le sommet d'une bureaucratie défectueuse, il n'est pas nécessaire d'y passer plus de quelques heures pour obtenir un permis de conduire. Au Brésil, c'est un processus de plusieurs mois, et tout le monde doit passer par les mêmes cerceaux (y compris des dizaines d'heures de cours obligatoires, à la fois théoriques et dans des voitures spécialement préparées avec deux jeux de pédales) pour obtenir ce morceau de papier inutile. , ce talisman dont la seule fonction est de faire en sorte que les flics laissent partir en paix. Obtenir un permis de conduire au Brésil coûte un peu plus que ce que l'on gagne pour quelques mois de travail dans un emploi à temps plein au salaire minimum, et l'âge minimum pour commencer le long processus d'obtention du permis de conduire est de dix-huit ans. Pourtant, ce n'est pas si dur de le perdre et d'être obligé de tout refaire, car les contraventions sont assorties de "points", et en atteindre un certain nombre (deux contraventions DUY le feraient) signifie perdre son permis et devoir recommencer le procédé complet. Lors d'une première année de permis de conduire, n'importe quelle contravention suffit à faire perdre le précieux talisman.
Les pays qui ne sont pas complètement modernes - essentiellement partout sur Terre, à l'exception de l'ancien premier monde - ont tendance à être comme ça. Il est facile de comprendre pourquoi les gens ne font pas confiance au gouvernement ; pas dans un sens idéologique, comme un anarcho-capitaliste ne le fera pas par principe, mais par expérience. Le grand Théodore Dalrymple (dont j'ai repéré un jour le nom avec le mien sur la même page de "contenu" du magazine The European Conservative ; j'y suis arrivé, maman, j'y suis arrivé !) a écrit un jour qu'il préférait la bureaucratie italienne (du tiers-monde) à le britannique, car on pouvait toujours soudoyer un employé italien pour faire quelque chose, tandis qu'en Grande-Bretagne, on serait arrêté pour l'avoir suggéré. Je vais même plus loin : aucun Italien, Brésilien, Indien, Cambodgien, Ukrainien, Persan ou Namibien n'envisagera jamais la possibilité que l'obéissance à une loi stupide lui soit moralement exigée. Aucun d'entre nous ne confondrait l'État avec une société organisée, ni même n'envisagerait la possibilité ridicule d'avoir besoin d'une manière ou d'une autre d'une « licence » délivrée par le gouvernement pour se couper les cheveux, manger du poisson, peu importe.
Sur des terres moins civilisées, cependant, qui ont été la proie de la modernité très tôt et dont les populations ont complètement avalé la pensée moderne, ce sont des erreurs courantes. La seule alternative semblerait être d'embrasser l'anarchisme, et avec lui toute la panoplie d'alternatives supposées dérivées de l'idéologie à l'État moderne. Je comprends les pauvres gens qui tombent dans le panneau. Je le ferais probablement aussi, si c'était le seul État que je connaisse. C'est juste une autre forme - peut-être la plus forte encore - de la tyrannie, ce vieil ennemi de l'homme.
Autoritarisme numérique : la surveillance par IA signale la mort de la vie privée
Par John et Nisha Whitehead L'Institut Rutherford 26 juillet 2022
"Il n'y a pas de vie privée. C'est l'un des aspects les plus importants de la vie moderne. L'une des plus grandes transformations que nous ayons observées dans notre société est la diminution de la sphère du privé. Nous devons maintenant raisonnablement tous considérer le fait qu'il n'y a pas de secrets et que rien n'est privé. Tout est public. » ― Philip K. Dick
Rien n'est privé.
Nous sommes à l'aube d'une révolution culturelle, technologique et sociétale sans précédent.
Alors que la gauche et la droite politiques continuent de faire de l'avortement le visage du débat sur le droit à la vie privée en Amérique, le gouvernement et ses partenaires commerciaux, aidés par l'évolution rapide de la technologie, transforment le monde en un monde dans lequel il n'y a aucune intimité.
Rien de ce qui était autrefois privé n'est protégé.
Nous n'avons même pas commencé à enregistrer les retombées du tsunami qui s'abat sur nous sous la forme de surveillance par IA (intelligence artificielle), et pourtant, il réoriente déjà notre monde vers un monde dans lequel la liberté est presque méconnaissable.
La surveillance par IA exploite la puissance de l'intelligence artificielle et de la technologie de surveillance généralisée pour faire ce que l'État policier manque de main-d'œuvre et de ressources pour faire efficacement ou efficacement : être partout, surveiller tout le monde et tout, surveiller, identifier, cataloguer, recouper, recouper, et s'entendre.
Tout ce qui était autrefois privé est maintenant à gagner au bon acheteur.
Les gouvernements et les entreprises ont adopté avec insouciance les technologies de surveillance de l'IA sans se soucier ni se soucier de leur impact à long terme sur les droits des citoyens.
Comme l'avertit un rapport spécial du Carnegie Endowment for International Peace : « Un nombre croissant d'États déploient des outils de surveillance avancés de l'IA pour surveiller, suivre et surveiller les citoyens afin d'atteindre une gamme d'objectifs politiques - certains légaux, d'autres qui violent les droits de l'homme, et dont beaucoup tombent dans un terrain d'entente trouble.
En effet, avec chaque nouvelle technologie de surveillance de l'IA qui est adoptée et déployée sans aucun égard pour la vie privée, les droits du quatrième amendement et la régularité de la procédure, les droits des citoyens sont marginalisés, sapés et éviscérés.
Cue la montée de l'autoritarisme numérique.
L'autoritarisme numérique, comme le met en garde le Centre d'études stratégiques et internationales, implique l'utilisation des technologies de l'information pour surveiller, réprimer et manipuler la population, mettant en danger les droits de l'homme et les libertés civiles, et cooptant et corrompant les principes fondamentaux des sociétés démocratiques et ouvertes. , "y compris la liberté de mouvement, le droit de s'exprimer librement et d'exprimer sa dissidence politique, et le droit à la vie privée, en ligne et hors ligne".
Les graines de l'autoritarisme numérique ont été semées à la suite des attentats du 11 septembre, avec l'adoption du USA Patriot Act. Une énorme liste de souhaits de 342 pages de pouvoirs étendus pour le FBI et la CIA, le Patriot Act justifiait une surveillance intérieure plus large, la logique étant que si les agents du gouvernement en savaient plus sur chaque Américain, ils pourraient distinguer les terroristes des citoyens respectueux des lois.
Il a sonné le glas des libertés inscrites dans la Déclaration des droits, en particulier le quatrième amendement, et a normalisé les pouvoirs de surveillance de masse du gouvernement.
Écrivant pour le New York Times, Jeffrey Rosen a observé que « avant le 11 septembre, l'idée que les Américains accepteraient volontairement de vivre leur vie sous le regard d'un réseau de caméras de surveillance biométrique, les regardant dans les bâtiments gouvernementaux, les centres commerciaux, les métros et les stades, aurait semblé impensable, un fantasme dystopique d'une société qui avait renoncé à la vie privée et à l'anonymat.
Qui aurait pu prédire que 50 ans après que George Orwell ait tapé les derniers mots de son roman dystopique de 1984, "Il aimait Big Brother", nous en viendrions à aimer Big Brother.
Pourtant, c'est exactement ce qui s'est passé.
Après le 11 septembre, Rosen a constaté que «les gens étaient heureux de renoncer à la vie privée sans éprouver une augmentation correspondante de la sécurité. Plus soucieux de se sentir en sécurité que d'être en sécurité, ils réclamaient la construction de vastes architectures technologiques de surveillance alors même que les études les plus empiriques suggéraient que la prolifération des caméras de surveillance n'avait « aucun effet sur la criminalité violente » ou le terrorisme.
Dans les décennies qui ont suivi le 11 septembre, un énorme complexe industriel de la sécurité est apparu, obsédé par la militarisation, la surveillance et la répression.
La surveillance est la clé.
Nous sommes surveillés partout où nous allons. Radars. Caméras aux feux rouges. Caméras du corps de la police. Caméras dans les transports en commun. Caméras dans les magasins. Caméras sur les poteaux des services publics. Caméras dans les voitures. Caméras dans les hôpitaux et les écoles. Caméras dans les aéroports.
Nous sommes enregistrés au moins 50 fois par jour.
On estime qu'il y a plus de 85 millions de caméras de surveillance aux États-Unis seulement, juste derrière la Chine.
Chaque jour, l'Américain moyen vaquant à ses occupations quotidiennes est surveillé, surveillé, espionné et suivi de plus de 20 manières différentes par les yeux et les oreilles du gouvernement et des entreprises.
Méfiez-vous de ce que vous dites, de ce que vous lisez, de ce que vous écrivez, où vous allez et avec qui vous communiquez, car tout cela sera éventuellement enregistré, stocké et utilisé contre vous, au moment et à l'endroit choisis par le gouvernement.
Pourtant, ce n'est pas seulement ce que nous disons, où nous allons et ce que nous achetons qui sont suivis.
Nous sommes surveillés jusque dans nos gènes, grâce à une puissante combinaison de matériel, de logiciels et de collecte de données qui scanne nos données biométriques (visages, iris, voix, génétique, microbiomes, odeur, démarche, rythme cardiaque, respiration, comportements) par le biais de programmes informatiques capables de décomposer les données en « identifiants » uniques, puis de les proposer au gouvernement et à ses entreprises alliées pour leurs utilisations respectives.
Comme l'a proclamé un défenseur de la surveillance de l'IA, "la surveillance n'est plus seulement un œil vigilant, mais aussi un œil prédictif". Par exemple, Emotion AI, une technologie émergente qui gagne en popularité, utilise la technologie de reconnaissance faciale "pour analyser les expressions basées sur l'empreinte faciale d'une personne afin de détecter ses émotions ou sentiments internes, ses motivations et ses attitudes". La Chine affirme que sa surveillance par IA peut déjà lire les expressions faciales et les ondes cérébrales afin de déterminer dans quelle mesure les membres du public sont reconnaissants, obéissants et disposés à se conformer au Parti communiste.
C'est la pente glissante qui mène à la police de la pensée.
La technologie est déjà utilisée "par les gardes-frontières pour détecter les menaces aux points de contrôle frontaliers, comme aide à la détection et au diagnostic des patients souffrant de troubles de l'humeur, pour surveiller l'ennui ou les perturbations dans les salles de classe et pour surveiller le comportement humain pendant les appels vidéo".
À toutes fins utiles, nous avons maintenant une quatrième branche du gouvernement : l'État de surveillance.
Cette quatrième branche a vu le jour sans aucun mandat électoral ni référendum constitutionnel, et pourtant elle possède des super pouvoirs, au-delà de ceux de toute autre agence gouvernementale à l'exception de l'armée. Il est omniscient, omniscient et tout-puissant. Il opère au-delà de la portée du président, du Congrès et des tribunaux, et il marche au même rythme que l'élite des entreprises qui décide vraiment à Washington, DC.
L'appareil de surveillance "technotyranny" du gouvernement est devenu tellement ancré et empêtré dans son appareil d'État policier qu'il est difficile de savoir où se termine l'application de la loi et où commence la surveillance.
La réponse courte : ils sont devenus une seule et même entité. L'État policier a passé le relais à l'État de surveillance, qui est passé à la vitesse supérieure avec l'aide des technologies d'intelligence artificielle. La pandémie de COVID-19 a contribué à centraliser davantage le pouvoir numérique entre les mains du gouvernement au détriment du droit à la vie privée des citoyens.
"Des caméras qui identifient les visages des passants aux algorithmes qui gardent un œil sur l'opinion publique en ligne, les outils alimentés par l'intelligence artificielle (IA) ouvrent de nouvelles frontières dans la surveillance des États dans le monde entier." Ainsi commence le rapport du Carnegie Endowment sur la surveillance de l'IA. « Les organismes chargés de l'application de la loi, de la sécurité nationale, de la justice pénale et de la gestion des frontières dans chaque région s'appuient sur ces technologies, qui utilisent la reconnaissance de modèles statistiques, l'apprentissage automatique et l'analyse de mégadonnées, pour surveiller les citoyens. »
Entre les mains de tyrans et de dictateurs bienveillants, la surveillance par IA est le moyen ultime de répression et de contrôle, notamment grâce à l'utilisation de plates-formes de villes intelligentes/de villes sûres, de systèmes de reconnaissance faciale et de police prédictive. Ces technologies sont également utilisées par des groupes extrémistes violents, ainsi que par des trafiquants de sexe, d'enfants, de drogue et d'armes à leurs propres fins néfastes.
La Chine, le modèle de notre avenir dystopique, a été une force majeure dans le déploiement de la surveillance de l'IA sur ses propres citoyens, en particulier par le biais de ses systèmes de crédit social, qu'elle utilise pour identifier, suivre et séparer ses "bons" citoyens des " mal."
Les scores de crédit des médias sociaux attribués aux particuliers et aux entreprises chinois les classent selon qu'ils sont dignes ou non de faire partie de la société. Un système de nom réel - qui oblige les gens à utiliser des cartes d'identité émises par le gouvernement pour acheter des sims mobiles, obtenir des comptes sur les réseaux sociaux, prendre un train, monter à bord d'un avion ou même acheter des produits d'épicerie - couplé à des cotes de crédit sur les réseaux sociaux garantit que les personnes inscrites sur la liste noire comme les « indignes » se voient interdire d'accéder aux marchés financiers, d'acheter un bien immobilier ou de voyager en avion ou en train. Parmi les activités qui peuvent vous faire qualifier d'indigne, il y a le fait de prendre des places réservées dans les trains ou de causer des problèmes dans les hôpitaux.
De la même manière que les produits chinois ont infiltré presque tous les marchés du monde et modifié la dynamique des consommateurs, la Chine exporte désormais sa « technologie autoritaire » vers les gouvernements du monde entier, apparemment dans le but de répandre sa marque de totalitarisme dans le monde entier. En fait, la Chine et les États-Unis ont ouvert la voie en fournissant au reste du monde la surveillance de l'IA, parfois à un tarif subventionné.
C'est ainsi que le totalitarisme conquiert le monde.
Alors que les pays dotés de régimes autoritaires ont été impatients d'adopter la surveillance de l'IA, comme le montrent clairement les recherches du Carnegie Endowment, les démocraties libérales "utilisent également de manière agressive les outils de l'IA pour contrôler les frontières, appréhender les criminels potentiels, surveiller les citoyens pour mauvais comportement et retirer les terroristes présumés de foules."
De plus, il est facile de voir comment le modèle chinois de contrôle d'Internet a été intégré dans les efforts de l'État policier américain pour débusquer les soi-disant extrémistes nationaux antigouvernementaux.
Selon le rapport approfondi du journaliste Adrian Shahbaz, le modèle chinois d'autoritarisme numérique comporte neuf éléments lorsqu'il s'agit de censurer les discours et de cibler les militants : 1) les dissidents souffrent de cyberattaques et de phishing persistants ; 2) les médias sociaux, les sites Web et les applications de messagerie sont bloqués ; 3) les messages critiquant les responsables gouvernementaux sont supprimés ; 4) l'accès mobile et Internet sont révoqués en guise de punition pour l'activisme ; 5) les commentateurs rémunérés étouffent les critiques du gouvernement ; 6) de nouvelles lois renforcent la réglementation sur les médias en ligne ; 7) le comportement des citoyens contrôlé via l'IA et des outils de surveillance ; 9) des individus régulièrement arrêtés pour des messages critiquant le gouvernement ; et 9) les militants en ligne sont amenés à disparaître.
Vous n'avez même pas besoin d'être un critique du gouvernement pour vous faire prendre au piège de la censure numérique et de la surveillance de l'IA.
Le danger posé par l'État de surveillance s'applique également à nous tous : transgresseurs et respectueux des lois.
Lorsque le gouvernement voit tout et sait tout et dispose d'une abondance de lois pour faire du citoyen le plus honnête un criminel et un hors-la-loi, alors le vieil adage selon lequel vous n'avez rien à craindre si vous n'avez rien à cacher n'est plus s'applique.
Comme l'écrivait Orwell en 1984, "Vous deviez vivre - vous viviez, par habitude devenue instinctive - dans l'hypothèse que chaque son que vous produisiez était entendu et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scruté."
À une époque où il y a trop de lois, trop de prisons, trop d'espions gouvernementaux et trop d'entreprises désireuses de gagner rapidement de l'argent aux dépens du contribuable américain, nous sommes tous coupables d'une transgression ou d'une autre.
Personne n'est épargné.
Comme l'écrit Elise Thomas pour Wired : "La nouvelle technologie de surveillance signifie que vous ne serez plus jamais anonyme."
Il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions à regarder le passé avec nostalgie, à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions, aller où nous voulions, ressentir ce que nous voulions sans que ces pensées, mots et activités ne soient suivis, traités et stockés par des entreprises géantes, vendus à des agences gouvernementales et utilisés contre nous par la police militarisée avec son armée de technologies futuristes.
Soyez prudent : comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, 1984 est devenu un manuel d'utilisation pour l'état de surveillance omniprésent et moderne de l'IA.
Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les atteintes à nos droits lorsque le pouvoir, la technologie de l'IA et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que les règles de survie de Philip K. Dick deviennent notre réalité gouvernante : « Si, comme il semble, nous sommes en train de devenir une société totalitaire dans laquelle l'appareil d'État est tout-puissant, l'éthique la plus importante pour la survie de l'individu véritable, libre et humain serait : tricher, mentir, esquiver, faire semblant, être ailleurs, falsifier des documents , construisez des gadgets électroniques améliorés dans votre garage qui déjoueront les gadgets utilisés par les autorités.
La question n'est pas dans le sens du privé ou public car si c'est publié sur Internet: c'est public. Donc, c'est volontairement qu'un individu (privé) poste sur la toile et devient public. La question est "Est-ce que ma liberté de publier et mes posts sont-ils ou non compromis ?" Car, la censure va bon train depuis l'arrivée de cette Démocratie sur les ondes. Suppression de commentaires, de blogs, de photos, de films, etc ! Et... publication (au centuple) de FAUSSES informations par les dirigeants psychopathes !
Toute notre civilisation est structurée autour de nous empêcher de réaliser que nous pouvons le faire
Par Caitlin Johnstone CaitlinJohnstone.com 26 juillet 2022
Lève-toi, comme des lions après le sommeil En nombre invincible ! Secouez vos chaînes à la terre comme la rosée Qui dans le sommeil était tombé sur toi : Vous êtes nombreux - ils sont peu nombreux ! ~ Percy Byshe Shelley
Les séquences vidéo sortant du Sri Lanka en ce moment ont été le cauchemar récurrent de tous les dirigeants à travers l'histoire.
Des milliers de manifestants indignés par la détérioration des conditions matérielles de l'effondrement économique du pays ont pris d'assaut le palais présidentiel du président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa, et je vous garantis que les images aériennes alors qu'ils se déversaient dans le bâtiment en masse ont rendu chaque chef de gouvernement et ploutocrate un peu mal à l'aise aujourd'hui.
Regardez ça. Regardez tous ces gens qui affluent là-dedans. C'est une puissance vraiment impressionnante. Imaginez à quel point ce serait terrifiant de vous retrouver du côté de celui-ci.
Je n'en sais pas encore assez sur ce qui se passe au Sri Lanka pour commenter avec quelque autorité que ce soit les pouvoirs qui pourraient être en jeu dans ce soulèvement, mais je sais que chaque dirigeant à travers l'histoire a passé du temps à imaginer ce qui se passerait si une foule qui taille a décidé de prendre d'assaut leur base d'opération. Si leur nombre devenait trop important pour être supprimé, ou si vos forces chargées de la suppression rejoignaient les rangs du peuple à la place, le meilleur scénario pour vous est que vous auriez déjà fui le bâtiment à ce moment-là, comme Rajapaksa a eu le bon sens de le faire peu de temps avant que le bâtiment ne soit pris d'assaut. Si suffisamment de personnes en colère mettent la main sur vous, peu importe qu'elles soient armées de roquettes ou de pistolets ou à mains nues ; vous êtes dans une fin violente.
Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi tant d'énergie est consacrée à la propagande de tout le monde dans notre société, voici pourquoi. Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi nos dirigeants travaillent si dur pour nous maintenir divisés les uns contre les autres, voici pourquoi. Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi on nous demande toujours de porter nos griefs à l'isoloir, même si nous apprenons élection après élection que cela ne change jamais les choses qui ont le plus désespérément besoin de changer, voici pourquoi.
Toute notre civilisation est structurée autour de la prévention de scènes comme celle que nous voyons au Sri Lanka aujourd'hui. Nos systèmes éducatifs, nos systèmes politiques, nos médias, nos informations en ligne. Les religions qui existent depuis des milliers d'années parce que les puissants les ont approuvées et promulguées sont pleines de passages vantant les vertus d'obéissance, de pauvreté, de douceur et rendant à César ce qui est à César. Dès notre naissance, nos têtes sont remplies d'histoires expliquant pourquoi il est bon et juste de consentir au statu quo et pourquoi il serait mal de reprendre ce qui nous a été volé par une classe dirigeante prédatrice.
C'est pourquoi nous sommes toujours inondés de messages sur l'importance de la civilité et de la politesse chaque fois que les gens se rendent compte qu'ils peuvent simplement affronter des fonctionnaires corrompus dans des restaurants ou chez eux pour obtenir ce qu'ils veulent. Les dirigeants de l'empire oligarchique qui règne sur nous sont terrifiés à l'idée qu'on s'aperçoive un jour que nous sommes beaucoup plus nombreux qu'eux et qu'ils ne pourraient vraiment rien faire pour nous arrêter si nous décidions de les remplacer avec un système qui profite aux gens ordinaires plutôt qu'à quelques élites.
Les choses empirent de plus en plus parce que les systèmes en place sont conçus pour exploiter et opprimer plutôt que pour élever et aider à prospérer. Ces systèmes protégeront leur propre capacité à continuer d'exploiter et d'opprimer jusqu'à ce que les gens utilisent leur nombre pour les remplacer par quelque chose de sain. Les gens n'utiliseront jamais leur nombre pour remplacer les systèmes abusifs par quelque chose de sain tant qu'ils sont propagandisés avec succès pour ne pas le faire.
C'est pourquoi nos institutions politiques et médiatiques agissent comme elles agissent et pourquoi nos systèmes sont organisés comme ils le sont : pour nous empêcher de réaliser à quel point il serait facile d'ignorer les anciens mécanismes d'oppression comme un lourd manteau sur une journée chaude et construisez quelque chose de nouveau qui fonctionne pour nous tous.
Les choses continueront de s'aggraver jusqu'à ce que nous trouvions un moyen de briser le brouillard cérébral de la propagande et de nous élever comme des lions.
L'Amérique est intentionnellement détruite par la division organisée
De Paul Craig Roberts PaulCraigRoberts.org 26 juillet 2022
Si cette bande-annonce est une indication, nous sommes sur le point d'avoir droit à une sortie de film fantastique en septembre dans laquelle des guerrières noires sauvent l'Afrique de l'esclavage des Français. Les cinéastes ne se rendent pas compte de l'ironie du décor, qui est le Dahomey, un royaume noir qui menait des guerres d'esclaves contre d'autres noirs et était la source de la traite négrière. Presque chaque esclave noir amené dans les Caraïbes et dans les colonies anglaises d'Amérique du Nord était une personne vendue comme esclave par le roi noir du Dahomey. Les guerrières du film déclarent que la liberté vaut la peine de se battre, mais en réalité, le Dahomey s'est battu pour gagner de l'argent en asservissant les Africains noirs.
Aujourd'hui, le Dahomey est connu sous le nom de Bénin. Sur la plage de Ouidah se trouve un monument contemporain, la Porte du non-retour, commémorant la vie des Africains capturés par le royaume noir du Dahomey et vendus aux Arabes et Européens comme esclaves ou échangés contre des armes à feu.
Quel pourrait être le véritable objectif de ce film ? Serait-ce pour brasser plus de haine noire contre les Blancs et pour justifier cette haine et se répandre dans la population féminine noire américaine, en favorisant l'idée que, tout comme dans le film, elles peuvent aussi se débarrasser violemment de l'oppression blanche ?
Ou est-ce un but d'enterrer davantage le Dahomey en tant que source de la traite des esclaves et source d'esclaves noirs ? Le récit officiel des «études noires» et du projet 1619 est que les noirs ont été réduits en esclavage par les blancs. Autant que je sache, aucun noir n'a jamais été asservi par un blanc. Lorsque les Arabes et les Européens blancs ont acheté des esclaves, ils ont acheté des Noirs qui étaient déjà asservis par le royaume noir du Dahomey.
La raison de la falsification de l'histoire dans les universités et par les cinéastes est d'enfoncer plus de clous dans le cercueil de l'Amérique en inculturant la division dans une société multiraciale.
Comment le racisme blanc peut-il être la cause de l'esclavage alors que le fait est que les esclaves noirs étaient la marchandise marchande du royaume noir du Dahomey ? Comme le dit l'Encyclopedia Britiannica, « le Dahomey a été organisé pour la guerre, non seulement pour étendre ses frontières mais aussi pour faire des captifs comme esclaves. Les esclaves étaient soit vendus aux Européens en échange d'armes, soit gardés pour travailler dans les plantations royales qui fournissaient de la nourriture à l'armée et à la cour.
Je parierais presque ma vie que l'Encyclopedia Britiannica sera obligée de supprimer ce passage et tous les rapports corrects sur le Dahomey et la traite des esclaves, tout comme l'histoire de Karl Polanyi, Dahomey et la traite des esclaves, a disparu et ne peut plus être publiée. Si le livre était disponible et qu'un professeur noir l'attribuait à la classe, il serait chassé de l'université s'il n'était pas lynché par les voyous éveillés qui comprennent les facultés universitaires, les administrations et les associations étudiantes.
Les Blancs des colonies ont-ils acheté des esclaves parce qu'ils étaient racistes et souhaitaient avoir des Noirs à maltraiter ? Évidemment pas. Ils détenaient des concessions de terres mais manquaient de main-d'œuvre. Les esclaves étaient achetés comme force de travail. Comme il n'y avait pas de main-d'œuvre gratuite disponible pour l'achat d'un salaire, l'achat d'un esclave était la seule alternative de main-d'œuvre.
Les propriétaires d'esclaves ont-ils abusé de leur investissement dans une main-d'œuvre comme le proclamaient des tracts de propagande tels que La Case de l'oncle Tom ? Une personne qui a investi dans une usine brûle-t-elle sa propre usine ?
Les propriétaires d'esclaves voulaient des travailleurs forts, sains et coopératifs pour produire les cultures dont dépendait la plantation. Cela n'avait aucun sens de faire mourir un esclave précieux, de le retourner contre vous en le battant ou en violant sa femme. Dans les plantations, de nombreux surveillants étaient des esclaves noirs. Cela a été considéré comme une bonne pratique de gestion. Laissez les Noirs avoir la responsabilité du programme de travail.
Peu d'esclaves noirs se sont enfuis, et même la proclamation d'émancipation de Lincoln n'a pas pu déclencher, comme il l'avait espéré, une rébellion d'esclaves dans le Sud qui attirerait ses soldats des lignes de front. Bien qu'aujourd'hui on ne soit pas autorisé à dire de telles vérités, les esclaves noirs en Amérique du Nord étaient satisfaits. Ils avaient de la nourriture, un abri et la sécurité. Ils n'ont pas fait l'objet de raids d'esclaves par le roi noir des pillards d'esclaves du Dahomey. Ils travaillaient et étaient nourris, habillés et logés. À bien des égards, ils étaient mieux lotis que les salariés blancs plus tardifs qui dépendaient du magasin de l'entreprise. Regarde ça. Voici une interprétation moderne de la chanson de Tennessee Earnie Ford.
Le Sud tant abusé et dénigré n'a pas inventé l'esclavage. L'esclavage était une institution du travail héritée de l'époque coloniale bien avant que l'idée des États-Unis n'existe. Les premiers esclaves des colonies n'étaient pas des Noirs comme le prétend à tort et à des fins de propagande le Projet 1619. Les premiers esclaves étaient des Blancs. Jamestown a été fondée en avril 1607 par un peu plus d'une centaine de colons, dont la plupart étaient des esclaves. Un esclave est une personne dont les dettes personnelles ou familiales en Angleterre l'ont amenée à être vendue en servitude sous contrat et transportée sur des milliers de kilomètres à travers un océan jusqu'à l'endroit où elle vivait dans les conditions décrites par cet enfant blanc vendu pour accommoder le créancier des dettes de sa famille :
"Père et mère aimants et bons, je n'ai rien pour me consoler, et il n'y a rien à gagner ici que la maladie et la mort. Une bouchée de pain doit servir à quatre hommes. Les gens crient jour et nuit. Ne m'oubliez pas mais ayez pitié et pitié de mon misérable cas. Si tu m'aimes comme ton enfant, libère-moi de l'esclavage et sauve-moi la vie. La lettre a été écrite par un jeune garçon, Richard Frethorne. De toute évidence, à cette époque, la vie était cruelle. Les parents anglais blancs vendraient un fils en esclavage afin de régler leurs dettes, et le royaume noir du Dahomey mènerait la guerre contre d'autres noirs afin de tirer profit de la vente de captifs comme esclaves.
Le Sud ne s'est pas battu pour préserver l'esclavage. Le président Lincoln a promis de préserver l'esclavage si le Sud restait dans l'union et payait le tarif pour financer l'industrie du Nord. Le Sud a refusé l'accord et s'est battu parce qu'il était envahi par les armées du Nord.
Afin d'industrialiser et d'étendre l'empire, le Nord devait bloquer les produits manufacturés moins chers et mieux fabriqués en Angleterre. Le tarif, qui avait été le principal sujet de discorde entre le Nord et le Sud pendant des années, profiterait au Nord et nuirait au Sud. Cela convenait au Nord mais pas au Sud. À la veille de la guerre, Lincoln a promis au Sud l'esclavage pour toujours si seulement le Sud restait dans l'Union et payait le tarif, mais le tarif était une question plus importante pour le Sud que l'esclavage.
Tout cela était autrefois généralement connu et largement documenté. Mais avec la montée des études noires, la connaissance a été éradiquée. Les universités américaines sont des usines à mensonges au même titre que les prestitutes, les politiciens et les agences de santé publique.
La ségrégation scolaire dans le Sud, d'après ce que je sais d'Atlanta, était basée sur la classe et non sur la race. Les enfants sont allés dans les écoles du quartier où ils se sont rendus à pied. Si vous viviez dans un quartier de classe moyenne, vous alliez à l'école avec des enfants de la classe moyenne. Dans mon école, il n'y avait ni riches ni pauvres. Si vous viviez dans un quartier riche, vous alliez à l'école avec des enfants riches. Si vous viviez dans un quartier pauvre, vous alliez à l'école avec des enfants pauvres. C'est aussi simple que ça.
L'intégration scolaire forcée nécessitait des bus et était considérée par les sudistes comme une deuxième reconstruction, c'est pourquoi ils s'y sont opposés. Le busing a détruit les PTA (associations de parents d'élèves) qui avaient maintenu la coopération et la discipline et donné aux parents une voix, qu'ils n'ont plus, dans l'éducation de leurs enfants. Présenter l'opposition du Sud au bus comme raciste est un mensonge.
Les politiciens du Sud ont dû montrer une certaine opposition à la deuxième reconstruction du Sud. Ils ne pourraient pas appeler la garde nationale qui serait confrontée à l'armée américaine armée d'armes nucléaires et biochimiques, de chasseurs à réaction et de bombardiers. Alors ils ont fait la seule chose qu'ils pouvaient. Ils se tenaient devant la porte de l'école. Cela a fourni la démonstration d'opposition requise.
Qu'en est-il des toilettes séparées, des fontaines à eau, des restaurants et de l'arrière du bus ? Quand j'étais enfant, les maladies infectieuses étaient la grande frayeur comme Covid aujourd'hui, en particulier la tuberculose et la VD. Les gens pensaient que vous pouviez attraper la VD à partir des sièges de toilette. Il était interdit par la loi de cracher dans les rues car on pensait que cela pouvait propager la tuberculose. À cette époque, les maladies infectieuses étaient associées aux pauvres qui n'avaient pas les moyens de vivre sainement, tout comme aujourd'hui les maladies infectieuses sont associées aux homosexuels qui sont soupçonnés d'être les propagateurs du sida et de la variole du singe. Les Noirs étaient disproportionnellement pauvres. Leur ségrégation dans les toilettes, les fontaines à eau et les restaurants reflétait la peur des maladies infectieuses. Compte tenu de la mauvaise compréhension à cette époque, cela aurait pu être une erreur, mais ce n'était pas raciste. Ce n'est pas que les Noirs se sont vu refuser des fontaines à eau. Ce sont des libéraux du Nord blancs meilleurs que vous qui ont transformé les problèmes de santé publique en «racisme blanc».
Personne ne supposait que tous les Noirs ou même un très grand pourcentage d'entre eux étaient porteurs de maladies infectieuses. Si les gens avaient vu les Noirs de cette façon, personne n'aurait employé des femmes noires pour les aider avec les travaux ménagers et les enfants, et pour préparer les repas. Carrie a mangé avec nous. Il ne pouvait en être autrement. Quand c'est l'heure du déjeuner, vous ne pouvez pas dire à quelqu'un sur qui vous comptez d'aller manger toute seule. Personne ne pensait à des fontaines à eau séparées. Si le blanc ne fonctionnait pas, nous utilisions le noir, et je suis sûr que les noirs faisaient de même. Vous n'avez pas été arrêté pour cela.
L'arrière du bus était la façon dont les compagnies de bus essayaient d'accueillir ses différentes catégories de passagers. À cette époque, il n'y avait pas de centres commerciaux et les familles ne possédaient pas plusieurs voitures. Les transports en commun étaient partagés par des dames habillées faisant leurs courses et par la main-d'œuvre noire. À cette époque, contrairement à aujourd'hui, une femme qui se respecte ne sortait de chez elle que si elle était convenablement habillée. Cela signifiait des talons hauts, des bas, un joli costume ou une belle robe, un chapeau, un voile et des gants. Si les sièges étaient mélangés, les femmes dans leurs plus beaux atours seraient confrontées à des sièges souillés par des ouvriers noirs qui travaillent dur. Et les femmes avec leurs parfums seraient confrontées à l'odeur du travail acharné. Si les compagnies de bus avaient prévu l'utilisation de l'arrière du bus pour la propagande, elles auraient affecté les Blancs à l'arrière et la main-d'œuvre noire à l'avant. Les compagnies d'autobus n'ont tout simplement pas compris qu'une politique de bon sens serait déclarée preuve de racisme. En tant qu'enfants, nous préférions l'arrière du bus. La grande fenêtre large au-dessus des voitures était un endroit parfait pour faire des grimaces aux automobilistes, et elle était proche de la sortie arrière. De plus, où l'arrière du bus dépendait des portions de passagers noirs et blancs. Si le trafic de passagers était en grande partie noir, l'arrière du bus pourrait s'étendre vers l'avant. J'ai été dans des bus où tous les sièges étaient occupés par des Noirs. En d'autres termes, il n'y avait pas de ligne tracée à travers le bus au-delà de laquelle les Noirs ne pouvaient pas avancer ou les Blancs reculer.
Les faits ne font pas partie du récit raciste. Aujourd'hui en Amérique, nous vivons dans le mensonge. Il n'y a rien d'autre. Dès que The Woman King apparaîtra dans les salles de cinéma et sur Netflix, nous vivrons dans le mensonge des marchands d'esclaves noirs du Dahomey qui luttent pour la liberté des Noirs.
De James Howard Kunstler Kunstler.com 26 juillet 2022
Conformément aux principes de la psychose de formation de masse, les personnes malicieusement folles en charge des affaires nationales s'attendront à ce que vous avaliez des absurdités toujours plus grandes pour maintenir leur contrôle (et se protéger).
Nous trébuchons dans les latitudes équestres de l'été en nous sentant piégés dans l'immobilité. La chaleur trouble les esprits — et ce sont des esprits déjà brouillés par la propagande officielle. Nous sommes si près d'une reconnaissance générale que les vaccins Covid étaient une arnaque mortelle, alors même que Rochelle Walensky du CDC continue de pousser des boosters à la télévision et que toute la bureaucratie de la santé publique se tient silencieusement derrière cette contrefaçon meurtrière. Lorsque leurs procès arriveront enfin, plaideront-ils qu'ils ne savaient tout simplement pas ? Comment est-ce possible ? (Ce n'est pas.)
La crise des vaccinés arrive et personne ne s'en cachera. Quoi qu'il en soit, personne ne s'attend à ce que de véritables informations soient diffusées par les médias traditionnels. Cela se propagera à coup sûr à travers les médias alternatifs, et c'est déjà le cas, mais la véritable propagation se poursuivra lorsque tous les gens ordinaires se verront et que ceux qui les entourent tomberont malades, et se rendront compte qu'ils ont une chose en commun : ces vaxxes auxquels ils se sont soumis. C'est déjà arrivé.
Conformément aux principes de la psychose de formation de masse, les personnes malicieusement folles en charge des affaires de notre nation s'attendront à ce que vous avaliez des absurdités toujours plus grandes pour maintenir leur contrôle (et se protéger). Mais nous sommes bien au-delà de l'étape des "femmes avec des pénis" du programme de baise mentale. Personne avec un cerveau fonctionnel ne croit plus à ces conneries - à l'exception des personnes qui dirigent le système pénitentiaire californien. La prochaine étape, apparemment, est une petite guerre chaude avec la Russie ou la Chine, une distraction utile de l'auto-démantèlement systématique de Western Civ.
"Joe Biden" a envoyé des troupes des 82e et 101e divisions aéroportées en Europe, soi-disant pour "entraîner" les forces de l'OTAN de l'Euroland. Est-ce une sorte de bluff ? Ou est-ce que "Joe Biden" et compagnie imaginent qu'ils vont lancer une contre-offensive éclair sur le terrain en Ukraine et reprendre péniblement le territoire sécurisé par la Russie depuis février. Si nous envoyons des troupes en Ukraine proprement dite, cela reviendrait à sacrifier délibérément nos soi-disant meilleurs soldats dans un hachoir à viande. Peut-être que le but est simplement d'affaiblir davantage l'armée américaine, d'humilier l'OTAN et de hâter la mort de l'Occident.
Bien sûr, nous n'avons aucun intérêt national stratégique réel en Ukraine. Nous n'avons eu aucune querelle toutes les années où les Soviétiques russes l'ont possédé et exploité. Nous avons déclenché le conflit actuel en concoctant la révolution des couleurs de 2014. (Il s'en est suivi les années fastes où Hunter Biden a converti l'argent de l'aide américaine en revenus pour ses nombreuses sociétés fictives.) Je doute qu'une pluralité d'Américains succombent à un autre stratagème aussi stupide de haine de la Russie. Nous avons eu assez de mésaventures étrangères inutiles et coûteuses. Ce serait une guerre dépassant l'impopularité du Vietnam et pourrait facilement déclencher des manifestations de rue généralisées. Seulement cette fois, la gauche sera pro-guerre et le Parti du Chaos enverra son armée hétéroclite de transsexuelles Antifa pour rendre les manifestations de rue plus sanglantes. On le verra pour ce qu'il est : la guerre du régime au pouvoir contre son propre peuple. Et il sera surmonté.
En lice dans les Jeux olympiques de l'absurdité, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de déclarer Monkeypox une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) – mais seulement après que le chef de l'équipe, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a annulé un comité de l'OMS qui a voté contre une telle décision. Monkeypox, vous comprenez, est une maladie qui se propage presque exclusivement parmi la population gay, c'est-à-dire les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, échangeant des fluides corporels. Les épidémies ont été liées aux orgies gays, en particulier lors des récentes festivités du «mois de la fierté» de juin. Pensez-vous qu'il serait plus approprié que l'OMS émette un avis contre les orgies gays ?
Mais, en réalité, ce n'est qu'une autre prise de pouvoir évidente, une tentative des maniaques de Schwabenklausian de pousser les gens et de détruire l'économie afin de mieux reconstruire - c'est-à-dire d'orchestrer un programme de contrôle social numérique sévère pour gérer son événement de dépopulation. Le département américain de la Défense (DOD) est désormais autorisé en vertu de la loi d'autorisation de la défense nationale (NDAA) de 2022 à administrer un programme de vaccination obligatoire, tandis que le CDC a acheté des millions de doses de vaccin supposé contre la variole du singe.
Sachant à quel point les Covid Vaxx étaient mortels, pensez-vous vraiment que des masses d'Américains qui ne se livrent pas à des relations sexuelles homosexuelles pourraient faire la queue de leur plein gré pour ces nouveaux clichés ? J'en doute un peu. Les provocations de guerre idiotes, l'hystérie climatique renouvelée et les alertes sanitaires malhonnêtes sont des moyens de reporter, d'annuler ou de bousiller les élections de mi-mandat aux États-Unis. Si la gauche perd le Congrès américain, alors les mondialistes perdront leur arme principale : le Parti du Chaos. Pendant ce temps, les dirigeants de l'Euroland tombent déjà et des gouvernements entiers là-bas vont s'effondrer et brûler dans les mois à venir.
Tout cela se passe dans le contexte d'un système financier vacillant qui rend la vie inabordable pour ce qui reste des classes moyennes. D'une manière ou d'une autre, ils seront fortement motivés pour sauver leurs propres moyens de subsistance et recréer un pays sous un véritable état de droit au service de la liberté. Nous attendons la décision la plus désespérée de «Joe Biden» et compagnie: éteindre Internet afin que les Américains ne puissent plus communiquer facilement ou rester informés de quoi que ce soit. Bien sûr, s'ils essaient cela, ils détruiront également tout ce qui est géré automatiquement par des ordinateurs dans ce pays et plongeront l'Amérique dans la bataille contre la bureaucratie démente qui nous gouverne.
42 blessés au Japon alors que des singes menaçants sortent
PAR TYLER DURDEN MARDI 26 JUILLET 2022 - 03:05
Les autorités de la ville japonaise de Yamaguchi intensifient leurs mesures pour faire face aux singes en maraude qui ont blessé au moins 42 personnes ces dernières semaines, rapporte l'AFP.
Pour lutter contre la menace des singes (en particulier les macaques japonais), les autorités locales se tournent vers les pistolets tranquillisants, après que les pièges qu'ils ont posés n'aient réussi à piéger aucun des primates embêtants. Les adultes et les enfants déclarent souffrir de blessures, notamment d'égratignures et de morsures.
"Toute la ville de Yamaguchi est entourée de montagnes et il n'est pas rare de voir des singes", a déclaré un responsable municipal du département de l'agriculture, ajoutant "Mais il est rare de voir autant d'attaques en si peu de temps".
"Au départ, seuls des enfants et des femmes ont été attaqués. Récemment, des personnes âgées et des hommes adultes ont également été ciblés", a ajouté le responsable.
La ville ne sait même pas si les attaques sont l'œuvre de plusieurs singes ou d'un seul individu agressif. Les intrus sont entrés dans certains cas en ouvrant des portes coulissantes ou en entrant par des fenêtres.
Les responsables de la ville et la police patrouillent dans la région depuis les premières attaques vers le 8 juillet, mais n'ont encore capturé aucun singe.
L'histoire a fait la une des journaux au Japon ces dernières semaines, les résidents locaux signalant des invasions régulières.
"J'ai entendu des pleurs venir du rez-de-chaussée, alors je me suis précipité", a déclaré un habitant au Mainichi Shimbun Daily. "Puis j'ai vu un singe penché sur mon enfant."
Ils feraient mieux de maîtriser ça, et vite... car nous savons tous ce qui se passe quand les simiens font pencher la balance du pouvoir.
Après des milliers d'oiseaux et de poissons retrouvés morts du 'je-ne-sais-quoi' !! voici qu'arrivent les singes téléguidés comme le sont les piqués 'cocovide19' qui courent s'en faire inoculer une autre dose ?!
Devrait-on donner une médaille à adolph hitler parce qu'un jour il a donné un bouquet de fleurs à une femme ? C'est ce qui ressort des propos tenus par la débloque Dr. Jane Goodall comme ceux dégueulés par la gretamoilescouilles !
RépondreSupprimerElles refusent de savoir que notre planète peut accueillir plus de 10 fois ce qu'il y a aujourd'hui parce que plus on est à naître on est à travailler et à manger et, comme ni les terres, ni les combustibles ne manquent...
La faute est de s'arrêter à ces erreurs de la nature que sont les dirigeants et autres psychopathes dans l'ombre qui les mettent au pouvoir. Ils se disent 'sortis de grandes écoles' oui mais, quel que soit le ministre ou le chef d’État qui en est expulsé aucun ne comprend la gestion, aucun ne veut demander quoi que ce soit au Peuple des millions de fois plus savant qu'eux !
Ils fabriquent la merde et se plaignent d'y être dedans !
Brad Pitt: L’Élite pédophile d’Hollywood contrôle l’Amérique
RépondreSupprimersamedi 1 juillet 2017
Suite à la récente série d’arrestations de pédophiles en Californie, la star du cinéma Brad Pitt a révélé les véritables profondeurs de la pédophilie d'Hollywood dans un exposé choquant.
En tant que vétéran ayant 30 ans d’expérience dans l'industrie du cinéma, Pitt parle de ses expériences après avoir assisté au côté obscur de l'industrie du divertissement, dans un témoignage de première main.
M. Pitt décrit comment l'ensemble de l'industrie du cinéma et de la télévision se déroule autour d'une culture d’abus sexuels sur enfants pour les besoins des réseaux de traite des enfants qui couvrent les États-Unis et au-delà.
Cette industrie couvre aussi bien les échelons supérieurs du spectre politique que la hiérarchie de la société:
"Vous pensez que Hollywood est en train de faire des films? C'est juste un sous-produit: il s'agit de faire de l'argent, et plus important encore, il s’agit de pouvoir et de contrôle. "
"Les gens qui dirigent Hollywood, gèrent aussi l'Amérique et la plupart du monde, et ils ne se soucient pas des films".
"Vous avez entendu parler des Illuminati? Les sociétés secrètes, les politiciens, les banquiers et les médias - ce sont eux qui dirigent ces réseaux pédophiles, et ce sont eux qui gouvernent le monde, et tout le fric revient à Hollywood ".
"Les enfants veulent faire du cinéma, ou plutôt, dois- je dire, les parents veulent que leurs enfants fassent du cinéma, et ils feront tout pour les rendre célèbres "
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi Hollywood était visé par ces réseaux d’Élite mondialiste, il dit;
"Ce sont les parents. C'est le rêve américain d'être célèbre et les parents vont faire n'importe quoi pour y arriver.
" Avez-vous déjà rencontré la mère d'un acteur enfant? Elles sont dingues. " Ce sont des cibles faciles, et ce ne sont pas seulement des films, de la télévision, de la musique ... c'est un showbiz ".
"Les parents vendent essentiellement leurs enfants pour la gloire".
M. Pitt poursuit en exposant la motivation du trafic de l’Élite et comment les enfants jouent des rôles pour influencer d’autres enfants à rentrer dans le jeu et pousser l'agenda de l’Élite.
Il décrit comment les enfants sont utilisés comme monnaie politique alors que les parents ferment les yeux dans l'espoir que leur progéniture sera le prochain top star du box-office:
Brad Pitt. Click to enlarge"Une de ces [Élites] achète un film. Un millier d'enfants se présentent pour le rôle principal. Une centaine d'entre eux pourraient probablement travailler. Un jeune enfant avec une maman insultante se présente qui fera tout pour obtenir la partie. "
"L'enfant est envoyé à un gars qui dirige un réseau de télévision. Le réseau pousse le film, et le premier gars fait beaucoup d'argent quand c'est un coup. "
RépondreSupprimer"Le gars TV ne dira jamais rien de mauvais en ce qui concerne le film parce que le gars du cinéma sait ce que le gars de la TV a fait avec ce jeune enfant".
"La même chose arrive avec les politiciens et les banquiers et les autres "
"Il s'agit de tous les accords avec les enfants en tant que monnaies d’échange".
Lorsqu'on lui a posé la question de savoir qui sont ces «acteurs de Hollywood», Pitt hésitait à donner des noms, en disant: «Je suis un terrain favorable pour subir un procès gratuit et facile», mais a déclaré qu'il était convaincu que ces agresseurs d'enfants de haut niveau verront bientôt la justice :
"Les grands médias ne vont jamais exposer la vérité car ils en font partie. Ce sont les médias indépendants qui vont exposer cela. "
"L'Internet est une chose merveilleuse et la libre circulation de l'information va tout révéler ".
"Ils perdent leur prise sur le peuple américain, et sur les gens de partout, et ils le savent".
"C'est juste une question de temps avant que tout ne soit révélé."
Brad Pitt a eu un passé tumultueux avec des sociétés secrètes, après qu’une vidéo divulguée par son ex-femme Angelina Jolie, dans laquelle elle a discuté des rituels Illuminati d'Hollywood, est devenue virale.
M. Pitt a répondu à la vidéo en disant qu'il était "écœuré" par les révélations.
Source
Lindsay Lohan: les pédophiles dirigent Hollywood et ils ont assassiné Heath Ledger
Heath Ledger a été assassiné selon Lindsay Lohan, qui dit que le «mauvais garçon d'Hollywood» est devenu un problème pour «les pédophiles au sommet de la pyramide d'Hollywood» après sa performance alors que le Joker dans The Dark Knight l'a propulsé vers le statut de superstar.
Heath Ledger was murdered according to Lindsay Lohan, who says he became a problem for “the pedophiles at the top of the Hollywood pyramid."
"Ils ne pouvaient plus lui faire confiance. Ils savaient qu'il avait une grosse bouche et de grosses couilles. Il aimait balancer le bateau ", a déclaré Lohan.
"Il connaissait beaucoup de secrets de l'industrie et il n'avait pas peur de parler".
Lindsay Lohan a attiré l'attention du monde cette semaine après un tweet dans lequel elle a défendu le président Trump et sa famille, tweet vite devenu viral.
L'actrice basée à Londres a été interrogée sur son tweet demandant aux gens d'arrêter le harcèlement du président Trump, mais Lohan, parlant de son nouveau "accent international", a plutôt commencé à éclairer la mort de Heath Ledger en 2007.
RépondreSupprimer"Ce n'était pas un suicide. Ce n'était pas un surdosage accidentel. Tout le monde dans l'industrie connaît la vérité. Il a été éliminé. Il a été tué en exemple pour le reste d’entre nous pour qu’on la ferme et qu’on reste « en ligne ».
"Il était le dernier des mauvais garçons d'Hollywood".
L'ancienne enfant star, Lindsay, était proche de Ledger l'année avant sa mort, passait du temps avec l'acteur australien dans son appartement de Manhattan entre les shoots.
Décrivant Ledger comme "un joueur, un fauteur de troubles, une sorte de cheval sombre" Lindsay Lohan a déclaré: "nous avons convenu que n'importe qui avec une âme ne peut pas exister à Hollywood. Vous devez vous en sortir. Vous devez trouver une sortie ou vous serez bouffé de l'intérieur. "
"Heath se souciait d'agir, il se souciait de l'art et de l'héritage culturel. Il était dégoûté et donc tellement déçu par ce qu’Hollywood est vraiment. Il était tellement repoussé par l'élan d’avidité pour l'argent et le pouvoir. Les pédophiles et leurs réseaux. "
"Il se débrouillait. Il aimait les explosions. Il voulait faire exploser toute cette merde hollywoodienne.
"Parmi les qualités qui m'ont beaucoup attiré chez Heath, il y avait la transparence, ce qui était illusoire, bien sûr, et son sens tout aussi illusoire d'être presque immortel".
À la suite du récent raid policier et des arrestations liées à la pédophilie en Californie, les procureurs avertissent que c'est «la pointe de l'iceberg très pourri».
Les prétentions de Lohan concernant le côté obscur de Hollywood ne sont pas surprenantes.
L'adhérence de l'élite hollywoodienne pourrie sur les acteurs travaillant dans le système devient la matière de la légende. Parlant de ses pairs, les acteurs et les actrices à Hollywood, Lohan a déclaré: «Nous savons tous que si vous voulez vous assurer que les journalistes ne signalent rien de ce que vous dites lors d'une conférence de presse, vous n’avez qu’à commencer à parler de la façon dont Hollywood est géré par des pervers et des pédophiles. Les oligarques qui dirigent vos entreprises de médias n'en écriront pas un traître mot. "
Ledger est décédé le 22 janvier 2008 à partir de ce que le Bureau du médecin hygiéniste en chef de New York a appelé une «intoxication accidentelle par des médicaments d'ordonnance», quelques mois seulement après avoir fini de filmer sa performance en tant que Joker dans The Dark Knight.
Alors que les médicaments d'ordonnance trouvés dans le système de Ledger étaient tous des médicaments d'ordonnance bien connus, la combinaison mortelle de drogues ne serait jamais prescrite par un médecin. Source
Arrestations de 238 Pédophiles dont de nombreux acteurs renommés d'Hollywood
RépondreSupprimerSelon la volonté du Président Donald Trump d'éradiquer la pédophilie, l'opération qui a déjà permis d'arrêter plus de 6.000 pédophiles notoires, se poursuit à Hoolywood avec l'arrestation, de nouveau, de 238 pédophiles faisant partie, en majorité, du milieu des Majors Hoollywoodiennes et des acteurs renommés !
Le ministère de la Justice vient de mener une série de raids à Los Angeles et a arrêté 238 personnes dans le cadre d'un réseau de pédophilie hollywoodien.
Selon la police, les arrestations comprenaient des "grands acteurs d'Hollywood" ainsi que des politiciens, des cols blancs, un moine et d'autres membres du clergé de haut rang.
Les raids ont été menés par le groupe de travail régional de Los Angeles Regional Internet Crimes contre les enfants, travaillant directement avec le ministère de la Justice.
Appelée "Operation Broken Heart III", les raids radicaux visaient les délinquants recherchés pour l'exploitation sexuelle des enfants, la prostitution des enfants, le tourisme sexuel et possédant et distribuant de la pornographie juvénile, a déclaré le député Matt Blake du département de police de Los Angeles.
La police a déclaré qu'ils ne pouvaient pas libérer de noms à ce stade, mais a confirmé que les personnes arrêtées comprenaient des "noms de ménage" dans l'industrie du divertissement.
L'opération Broken Heart III est censée faire partie d'une opération beaucoup plus importante qui se connecte aux réseaux pédophiles nationaux d'élite et peut s'étendre dans le monde entier.
Parmi les personnes arrêtées, il y avait un politicien australien qui tentait d'acheter un garçon de 6 ans.
Selon le LA Times : Parmi les personnes arrêtées pendant les arrestations en avril et mai, se trouvaient des animateurs, des leaders communautaires, des professionnels et des membres du clergé, a déclaré John Reynolds, agent spécial agissant en charge du Département américain des enquêtes sur la sécurité intérieure. "L'incidence de l'exploitation sexuelle des enfants a atteint des proportions étonnantes", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
Les responsables de l'application de la loi ont déclaré que les arrestations soulignent l'importance que les familles conservent un dialogue ouvert sur la sécurité sur Internet. "Les parents et les enfants doivent avoir des conversations franches sur la façon de rester en sécurité dans le cyberespace", a déclaré Reynolds.
Les enfants et les adolescents, a-t-il dit, passent plus de temps sur Internet et les sites de médias sociaux, où les prédateurs d'enfants recherchent souvent des victimes.
Le groupe de travail de Los Angeles est l'un des 61 programmes financés par l'ensemble du pays par l'entremise du Bureau de la justice pour mineurs et de la prévention de la délinquance du ministère de la Justice des États-Unis. Créé en 2014, l'opération Broken Heart donne aux forces de l'ordre et aux groupes de travail l'occasion de combiner des ressources et des outils d'enquête pour identifier les prédateurs sexuels chez les enfants.
L'unité Internet Crimes Against Children du département de police de Los Angeles sert environ 300 mandats chaque année à la poursuite de suspects de pornographie juvénile. Dans un immeuble de grande taille à Long Beach, 11 officiers examinent en moyenne 350 cas de pornographie juvénile par mois.
RépondreSupprimerLes enquêteurs utilisent du matériel médico-légal à l'intérieur d'un laboratoire de criminalité mobile nommé "The Beast" pour analyser les disques durs pour toutes les images illicites. En mai, Michael Quinn, âgé de 33 ans, a voyagé d'Australie à Los Angeles pour conclure un accord pour acheter un garçon de six ans pour le sexe, selon le bureau du procureur américain à Los Angeles.
Les agents secrets ont rencontré Quinn sur un site de réseautage de réseaux sociaux où il a communiqué qu'il voulait «rencontrer un père qui partage son jeune», selon les procureurs.
"Quinn a expliqué à l'agent infiltré qu'il espérait rencontrer d'autres pervers aux États-Unis et a finalement accepté de payer un trafiquant humain de 250 $ pour lui fournir un jeune garçon avec qui il pourrait se livrer à des relations sexuelles illicites", selon le procureur des États-Unis Bureau à Los Angeles.
Quinn est allé dans un hôtel à Los Angeles où il avait l'intention de rencontrer et de faire la fête avec trois autres prédateurs d'enfants et de s'engager dans le sexe avec des garçons, ont annoncé les procureurs.
Au lieu de cela, des agents secrets l'attendaient à l'intérieur de la chambre d'hôtel. Après que Quinn ait remis de l'argent à un agent, qui se posait comme un trafiquant de sexe, les autorités chargées de l'application de la loi sont entrés dans la salle et l'ont arrêté, selon les procureurs. Des semaines plus tard, les autorités de Riverside ont arrêté Kounzong Saebphang, 26 ans, un moine, à son domicile du monastère bouddhiste de Wat Lao à Riverside. Les autorités enquêtaient sur Saebphang depuis l'année dernière lorsqu'ils ont reçu des informations selon lesquelles il pouvait distribuer de la pornographie juvénile, selon le bureau du procureur de district de Riverside County.
Lorsque des enquêteurs fédéraux ont fouillé le monastère, ils ont trouvé au moins un dispositif numérique contenant de la pornographie juvénile dans ses affaires, selon les procureurs.
Les procureurs ont allégué qu'il a également distribué de la pornographie juvénile à une autre personne par le biais d'un site de médias sociaux.
Source : Jay Greenberg de NeonNettle : http://www.neonnettle.com/news/2299-238-arrested-in-major-hollywood-pedophile-ring-bust
Le Vatican aussi : 8.000 prêtres pédophiles
Selon le Vatican, il y a encore environ 8.000 prêtres pédophiles de haut rang, et le pape Francis refuse de faire quelque chose à ce sujet.
En 2013, le pape Francis a admis qu'environ 2 % des prêtres de l'Église étaient des pédophiles.
Pourtant, malgré le récent licenciement du cardinal du plus haut rang (3ème dans la hiérarchie), George Pell, le pape n'a pas l'intention de poursuivre activement d'autres pédophiles au sein de l'église, à moins d'être obligé par la police.
News.com.au rapporte: Le pape Francis a décidé samedi de ne pas renouveler la position du cardinal allemand Gerhard Mueller, 69 ans, en le remplaçant par son adjoint de 73 ans, le monseigneur Jésuite espagnol Luis Ladaria Ferrer.
RépondreSupprimerBien qu'aucune raison exacte n’ait été donnée pour le renvoi de Mueller, l'un des hommes les plus puissants du Vatican, on pense que c’est en raison d'un arriéré de quelque 2000 cas d'abus sexuels qui avaient été accumulés au cours de son mandat de cinq ans. Son bureau avait également été critiqué par les anciennes victimes d'abus sexuels pour ne pas avoir fait assez pour protéger les enfants contre les prêtres pédophiles. Critique avec laquelle le pape Francis est d'accord.
En mai, Francis a assigné plus de personnel au bureau, connu sous le nom de Congrégation pour la Doctrine de la Foi, pour gérer la surcharge des cas de violence sexuelle.
Le renvoi de Mueller par le pape a été considéré comme un engagement envers son attitude de "tolérance zéro" à l'égard des abus sexuels commis par les ecclésiastiques à la lumière des accusations portées contre Pell.
Bien que le cardinal ait fortement nié les accusations, le Pape a continuellement fait l'objet de nombreuses critiques pour avoir nommé Pell à l'un des postes les plus puissants du Vatican.
Pell sera confronté à une audience du tribunal de Melbourne sur de multiples accusations d'agression sexuelle, le 26 juillet.
Pendant ce temps, ses partisans australiens ont mis en place un fonds pour aider à payer ses frais juridiques. L'archidiocèse catholique de Sydney a déclaré la semaine dernière qu'il aiderait Pell à se défendre à son retour en Australie pour faire face aux accusations, mais ne payerait ses factures légales. Source
Orgie gay et drogue dans l’appartement d’un Cardinal
Retraite anticipée dans un couvent italien pour un haut dignitaire du Vatican, après avoir été surpris par la police en pleine soirée libertine, révèle le journal italien Il Fatto Quotidiano.
En juin dernier, des voisins avertissent les autorités, dérangés par le bruit et les allées et venues incessantes dans un des appartements de l’ancien palais de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi.
Sur place, les policiers ont trouvé une dizaine d’hommes se livrant aux joies de la chair et consommant de la drogue en quantité. Le locataire des lieux n’est autre qu’un des secrétaires du cardinal Francesco Coccopalmerio, conseiller personnel du Pape François. Son nom n’a toutefois pas été révélé.
Informé de cette affaire, le souverain pontife a demandé la démission du cardinal Francesco Coccopalmerio, qui avait proposé la nomination comme évêque de son secrétaire, peut-on lire dans le journal italien. Le secrétaire, qui a été admis dans une clinique de désintoxication, a ensuite été envoyé en retraite dans un couvent.
VOIR AUSSI :
RépondreSupprimerUn haut fonctionnaire du Ministère de l’Intérieur US: La CIA et le Mossad sont derrière le réseau de pédophiles à Washington DC
USA. #Pizzagate - le dévoilement d’un réseau pédocriminel élitiste ?
Trump fait arrêter des milliers de pédophiles. Blackout médiatique
FBI: 30 % de l’élite de Washington DC est membre du réseau pédophile Pizzagate
USA. Les trafiquants pédophiles posent des micropuces dans les enfants pour les contrôler
Chef de la police britannique : Un ex Premier ministre pratiquait des "orgies sexuelles sataniques sur des enfants "
France. Un ménage à 3 au Palais de l’Élysée … ?
USA : Arrestations de 238 Pédophiles à Hollywood
Commentaire :
L’ancien banquier des Rothschild, devenu président de la France, Emmanuel Macron a été victime de pédophilie dans un lycée d'élite en France. Naturellement, les histoires gênantes concernant ce pion de l’Élite et des Oligarques de la finance et des armes ne sont pas dévoilées au public français par les grands médias qui appartiennent en totalité à cette élite mondialiste et pornographique (Voir : Mafia Khazare et satanisme. Un dîner chez les Rothschild).
Enfant et adolescent à Amiens, Emmanuel était un élève brillant et un pianiste bien considéré. Mais il sortait de l’ordinaire par d'autres moyens. Il est tombé amoureux de son professeur de littérature française, Brigitte Trogneux, qui était son ainée de plus de 20 ans,. Lorsqu’ils se sont rencontrés, Emmanuel avait 15 ans; elle en avait 36 ans, était mariée avec trois enfants.
Cette relation tombe sous le coup de la loi même si elle est librement consentie.
Normalement, Brigitte Trogneux aurait du être poursuivie en vertu de l’article 227-25 du Code pénal. Cet article précise que le “fait, par un majeur, d'exercer sans violence, contrainte, menace ni surprise une atteinte sexuelle sur la personne d'un mineur de quinze ans est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 € d'amende”.
Comme on le sait, en France, comme en Amérique, la loi n’est pas faite pour les élites.
La Fontaine l’avait déjà annoncé :
Selon que vous serez puissant ou misérable,
Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir.
Hannibal GENSERIC
https://numidia-liberum.blogspot.com/2017/07/brad-pitt-lelite-pedophiles-dhollywood.html
Le Forum Économique Mondial aimerait-il ramener la population mondiale à 500 millions d’habitants
RépondreSupprimerpar Aphadolie
25/07/2022
Time : 25 s / [1/1]
Comme il était gravé dans les commandements du monolithe en granit des Georgia Guidestones, aujourd’hui détruites, certains participants du Forum Économique Mondial de Davos évoquaient leur désir de ramener la population mondiale à 500 millions d’habitants.
Est-ce que le mot génocide vous vient à l’esprit ?
« Tous nos problèmes seraient résolus, si la population de la Terre était celle d’il y a 500 ans », Dr. Jane Goodall au Forum de Davos
Jane Goodall est une anthropologue britannique. Après une étude de terrain, elle a observé que les chimpanzés utilisent des outils pour s’alimenter. Ses travaux méritent le respect, mais ils ont été détournés par les milliardaires qui souhaitent rester seuls sur la planète, avec quelques domestiques. Ils en ont fait leur égérie, jeu auquel elle s’est prêtée bien volontiers.
Les êtres humains sont trop nombreux
Participant au Forum économique mondial de Davos, elle déclare : « Toutes ces choses [environnementales] dont nous parlons ne seraient pas un problème si la population avait la taille de la population qu’il y a 500 ans. » La population mondiale d’il y a 500 ans est estimée entre 420 et 540 millions, soit 6,7 milliards de personnes de moins qu’aujourd’hui… Dans la même optique, elle est cofondatrice de Population matters dont le credo est :
« C’est la croissance de notre population qui est à l’origine de pratiquement tous les problèmes que nous avons infligés à la planète. Si nous n’étions que quelques-uns, les choses désagréables que nous faisons n’auraient pas vraiment d’importance et Mère Nature s’en chargerait – mais nous sommes si nombreux. »
Jane Goodall est membre du Club de Budapest, fondé par Ervin Laszlo, après sa participation au Club de Rome (initié par la fondation Rockefeller). En 1972, le Club de Rome publie « Les limites à la croissance (dans un monde fini) ». Ce rapport alerte sur les conséquences dramatiques d’une croissance économique et démographique exponentielle sur le long terme dans un monde fini. Diffusé à seize millions d’exemplaires, il devient le bréviaire de nombreux militants écologistes.
Réduire le nombre d’humains est une préoccupation partagée par Bill Gates, Warren Buffett, David Rockefeller, Eli Broad, George Soros, Ted Turner, Oprah, Michael Bloomberg et autres milliardaires. Bill Gates a maintes fois exprimé ses craintes de la surpopulation.
De mauvaises fréquentations
Le 16 avril 2002, le Secrétaire général des Nations Unies de l’époque, Kofi Annan nomma Jane Goodall messagère de la Paix. En 2007, Kofi Annan a été nommé à la tête de « l’Alliance pour une révolution verte en Afrique » (AGRA), un organisme financé par la fondation Bill-et-Melinda-Gates et la Fondation Rockefeller. Le but officiel est d’aider les paysans africains à améliorer leur rendement. Le but réel est d’ouvrir le marché africain aux semences OGM et aux engrais Monsanto et le résultat est tout simplement une baisse de la production agricole.
Jane est devenue un objet marketing
De la protection des animaux sauvages au marketing le plus éhonté, il n’y a qu’un pas allègrement franchi par l’association loi 1901 Jane Goodall Institute France. Son président est Pierre Quintard, également président du cabinet de conseil, Valpi Conseils et d’Opus Promotion. « Jane Goodall Institute France » est financé par National Geographic, propriété de Walt Disney (dont les principaux actionnaires sont Vanguard et BlackRock). Les autres financements viennent de Sindup (gestion informatique de données), e-frontech (cabinet de conseil), Belle & Hugo (agence de com’) et Wild Immersion. On s’arrête un instant sur Wild Immersion : il propose des films à 360°, diffusés dans des casques de réalité virtuelle pour vous permettre de profiter de la faune et de la flore comme si vous y étiez. On ne pouvait imaginer pire trahison de celle qui voulait protéger les singes dans la réalité.
Jane aurait peut-être dû rester auprès des singes qu’elle aimait et respectait. Elle a fait son choix : elle a été nommée Commandeur de l’Empire Britannique en 1995 par Sa Majesté la reine Elizabeth II, puis Dame Commandeur de l’Empire Britannique en 2004 par le Prince Charles. Elle a obtenu le prix Templeton 2021 qui récompense des scientifiques faisant dialoguer science et foi. Francis S. Collins l’avait reçu en 2020. Ce dernier a réalisé d’importantes découvertes concernant les gènes et s’est beaucoup impliqué dans le projet génome humain. Il a été directeur des National Institutes of Health (NIH) à Bethesda et, quoi d’étonnant ? est un farouche promoteur de la vaccination Covid.
RépondreSupprimerUne série « Barbie Femmes d’Exception » lui a rendu hommage avec une poupée Barbie de collection fabriquée à partir de matériaux recyclés (on n’est pas plus écolo !).
Après Greta Thunberg, Jane Goodall. Quelle sera la prochaine égérie de Davos, Bilderberg et autres clubs de philanthropes ?
Jacqueline / Le Média en 4-4-2
A propos du Dr. Jane Goodall :
Jane Goodall est une éthologue et anthropologue britannique.
Elle est la première scientifique à avoir observé et rapporté que les chimpanzés utilisent des outils pour s’alimenter.
En 1977, elle fonde l’Institut Jane Goodall pour la protection de la biodiversité, l’aide au développement durable et l’éducation.
Distinctions et honneurs :
En 1995, la reine Elisabeth II lui décerne le titre de commandeure de l’ordre de l’Empire britannique, et lors d’une cérémonie au palais de Buckingham en 2004, le prince Charles nomme Jane Goodall dame commandeure du même ordre.
En avril 2002, le secrétaire général de l’ONU Kofi Annan nomme Jane Goodall « messagère de la paix ». Ban Ki-moon, successeur de Kofi Annan, lui renouvelle sa mission.
Jane Goodall a reçu de nombreux prix parmi lesquels :
La médaille d’honneur de la Tanzanie.
La médaille Hubbard de la National Geographic Society.
Le prestigieux prix japonais Kyoto pour la science.
Le prix Prince des Asturies pour la recherche technique et scientifique en 2003.
La médaille Benjamin Franklin pour la science.
La récompense Gandhi/King pour la non-violence.
Docteur honoris causa de l’université de Syracuse, 2005.
Docteur honoris causa de l’université libre de Tanzanie, 2006.
Le 17 janvier 2006, le Premier ministre Dominique de Villepin remet à Jane Goodall les insignes d’officier de la Légion d’honneur. Elle reçoit le lendemain la médaille d’or des 60 ans de l’UNESCO.
RépondreSupprimerLe 21 février 2007, le maire de Paris Bertrand Delanoë décore Jane Goodall de la médaille de vermeil de la Ville de Paris.
Docteur honoris causa de l’université de Liverpool, 2007.
Docteur honoris causa de l’université de Toronto, 2008.
En juillet 2009, un vote organisé auprès de ses lecteurs par le magazine américain New Scientist, pour le compte de L’Oréal, la classe 10e femme scientifique la plus charismatique parmi les 20 proposées au vote.
En 2015, prix international de Catalogne.
En 2017, prix Manhae.
Docteur honoris causa de l’université de Hasselt, mars 2020.
Docteur honoris causa de l’université de Zurich, 2020.
Docteur honoris causa de l’université de Liège, 2009.
Il appartient à chacun de se forger sa propre opinion
Source :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jane_Goodall
https://lemediaen442.fr/jane-goodall-au-forum-de-davos-tous-nos-problemes-seraient-resolus-si-la-population-de-la-terre-etait-celle-dil-y-a-500-ans/
Article :
Jacqueline / Le Média en 4-4-2
Voir notamment :
Les Georgia Guidestones – MAJ
Vidéo :
[1] Little 2022/055 Un génocide serait-il en cours ? – L’Aile à Stick / Odysee
https://aphadolie.com/2022/07/25/forum-economique-mondial-aimerait-il-ramener-population-mondiale-500-millions-habitants/
UNION EUROPÉENNE: Les Vingt-Sept s’accordent sur une réduction de la demande de gaz
RépondreSupprimerAu lendemain de l’annonce de nouvelles coupes par la Russie, les États membres de l’UE ont approuvé mardi un plan de réduction coordonnée de leur consommation de gaz en vue de l’hiver.
La décision de l’UE fait suite à l’annonce de nouvelles coupes drastiques des livraisons de gaz par le géant russe Gazprom.
26 juillet 2022, 12:53
Les États membres de l’Union européenne ont approuvé mardi un plan de réduction coordonnée de leur consommation de gaz pour réduire leur dépendance envers Moscou, après une nouvelle baisse drastique des livraisons russes, a annoncé la présidence tchèque du Conseil de l’UE.
«Ce n’était pas une mission impossible! Les ministres (de l’Énergie des 27 réunis à Bruxelles) sont parvenus à un accord politique sur la réduction de la demande de gaz en prévision de l’hiver prochain», a annoncé le compte Twitter de la présidence tchèque.
Livraisons réduites de moitié
Cette décision intervient un jour après que le géant russe Gazprom a annoncé qu’il réduirait dès mercredi drastiquement, à 33 millions de m³ quotidiens, les livraisons de gaz russe à l’Europe via Nord Stream, arguant de la nécessité de maintenance d’une turbine. Cette nouvelle coupe réduit à environ 20% la capacité du gazoduc, contre quelque 40% actuellement, alors que les nations européennes s’efforcent de reconstituer leurs réserves à l’approche de l’hiver.
https://www.lematin.ch/story/les-vingt-sept-saccordent-sur-une-reduction-de-la-demande-de-gaz-917211178145
(...) Les États membres de l’Union européenne ont approuvé mardi un plan de réduction coordonnée de leur consommation de gaz pour réduire leur dépendance envers Moscou, après une nouvelle baisse drastique des livraisons russes, a annoncé la présidence tchèque du Conseil de l’UE. (...)
SupprimerPar l'identité d''États' il ne faut pas confondre les dictateur au pouvoir et le Peuple ! Car, les psychopathes décisionnels auront bien du gaz pour eux cet hiver ! Ouf !
FMI: L’économie russe se sort mieux que prévu des sanctions
RépondreSupprimerLe FMI a revu ses estimations quant aux conséquences des sanctions prises à l’encontre du Kremlin. Les pays occidentaux sont touchés plus durement que prévu.
26 juillet 2022, 15:35
Les sanctions devraient avoir plus d’effets en 2023.
L’économie russe devrait, cette année, être moins pénalisée par les sanctions internationales que ce qui était attendu, a souligné mardi le FMI, précisant que les pays européens, en revanche, en souffrent plus que prévu.
La croissance du produit intérieur brut (PIB) de la Russie devrait se contracter de 6,0% en 2022, anticipe le Fonds monétaire international, soit bien moins que le plongeon de 8,5% sur lequel il tablait lors de ses précédentes prévisions, publiées en avril.
«L’économie russe devrait s’être contractée moins que prévu au deuxième trimestre, les exportations de pétrole brut et de produits non énergétiques se maintenant mieux qu’attendu», détaille l’institution dans son rapport.
«De plus, la demande intérieure fait également preuve d’une certaine résilience grâce à la maîtrise de l’effet des sanctions sur le secteur financier intérieur et à un affaiblissement du marché du travail plus faible que prévu», ajoute le Fonds.
Les pays occidentaux ont, depuis le début de l’invasion russe en Ukraine le 24 février, pris à l’encontre de la Russie une salve de sanctions destinées à l’étrangler financièrement et économiquement.
Leurs effets devraient en revanche se faire sentir plus que prévu en 2023, année pour laquelle le FMI anticipe une récession de l’économie russe de 3,5%, soit 1,2 point de moins que ses prévisions précédentes.
De lourds effets sur l’Europe
En revanche, «les effets de la guerre sur les principales économies européennes ont été plus négatifs que prévu», précise le FMI. Les prévisions de croissance économique pour 2022 ont en effet été abaissées pour l’Allemagne (-0,9 point à 1,2%), la France (-0,6 point à 2,3%) ou encore l’Espagne (-0,8 point à 4,0%).
Ces conséquences plus fortes sont dues à «la hausse des prix de l’énergie ainsi qu’à la baisse de confiance des consommateurs et au ralentissement de l’activité manufacturière résultant de perturbations persistantes de la chaîne d’approvisionnement et de la hausse des coûts des matières premières», détaille le FMI.
Et une cessation complète des exportations de gaz russe réduirait «nettement» la croissance dans la zone euro en 2022 et 2023. Cela forcerait en effet les pays européens à mettre en place un rationnement de l’énergie, touchant les secteurs industriels majeurs.
https://www.lematin.ch/story/leconomie-russe-se-sort-mieux-que-prevu-des-sanctions-688928974813
Les prix du gaz naturel dans l'UE montent en flèche alors que Gazprom se prépare à réduire le flux Nord, le gaz naturel américain atteint son plus haut niveau en 14 ans
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 26 JUILLET 2022 - 15:16
Les contrats à terme sur le gaz naturel européen ont augmenté leurs gains de 12% après que le producteur d'énergie public russe Gazprom PJSC a annoncé de manière inattendue qu'il arrêterait une turbine Nord Stream 1 dans sa station de compression de Portovaya à partir de mercredi.
Simultanément, les contrats à terme sur le gaz naturel américain ont atteint des sommets sur 14 ans.
Les approvisionnements russes en gaz naturel vers l'Europe via le gazoduc Nord Stream sont tombés à 38 % de leur capacité contre 40 % mardi, avant une réduction plus importante des niveaux actuels à seulement 20 % mercredi.
Dans un communiqué, Gazprom a déclaré que le pipeline Nord Stream pomperait 33 millions de mètres cubes par jour, soit 20 % de sa capacité, à partir de mercredi, ajoutant qu'une autre turbine pour le pipeline serait mise hors service en raison de travaux de maintenance.
Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré qu'une autre turbine Nord Stream avait des "problèmes" et serait mise hors ligne pour maintenance.
Peskov a noté qu'une turbine envoyée au Canada plus tôt est "en route", mais n'a pas précisé son emplacement exact.
Les sanctions occidentales ont prolongé la durée moyenne de maintenance du Nord Stream.
"La situation est gravement aggravée par les restrictions et les sanctions imposées à notre pays", a poursuivi le porte-parole du Kremlin.
Les médias d'État russes ont rapporté lundi que la turbine récemment entretenue au Canada par Siemens Energy AG avait finalement reçu les documents d'exportation qui lui permettront d'être expédiée d'Allemagne à Helsinki, en Finlande.
Les baisses de capacité à venir de Nord Stream ont fait grimper les contrats à terme de Wholesale European NatGas de 12% à 196 euros. Les prix ont bondi de plus de 20% en deux sessions et se rapprochent des sommets observés l'hiver dernier à plus de 200 euros.
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Les prix du gaz naturel de l'UE se négocient à un prix équivalent au baril de pétrole de 333 $....
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Outre-Atlantique, les contrats à terme US NatGas ont prolongé leurs gains, en hausse de plus de 10% à 9,62 $, un sommet de 14 ans, au milieu des inquiétudes concernant le temps chaud et les approvisionnements serrés.
Les prix de l'électricité à Londres grimpent de 5 000 % et comptent sur la Belgique pour contrecarrer la panne d'électricité
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 26 JUILLET 2022 - 10:15
Le réseau électrique de Londres a été poussé au bord de la panne après la vague de chaleur record de la semaine dernière.
Javier Blas, chroniqueur de Bloomberg Opinion couvrant l'énergie et les matières premières, a déclaré que la perturbation du réseau électrique avait frappé la partie orientale de la capitale britannique pendant une brève période le 20 juillet, alors que les climatiseurs étaient désactivés et que la demande d'électricité augmentait, entraînant un goulot d'étranglement sur le réseau.
Les services publics britanniques ont eu du mal à puiser dans d'autres sources de production d'électricité sur le réseau. Ils se sont appuyés sur la Belgique via des câbles d'eau sous-marins à travers la Manche pour augmenter l'approvisionnement en électricité, faisant grimper les prix de l'électricité à un niveau record de 9 724,54 £ (environ 11 685 $) par mégawattheure. C'est plus de 5 000 % par rapport aux prix moyens de l'électricité de 178 £ (environ 215 $) par mégawattheure.
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Blas a déclaré que la crise du réseau "s'est déroulée discrètement dans la salle de contrôle du système électrique britannique". Outre la fonte des pistes d'aéroport et le flambage des voies ferrées à cause de la chaleur extrême, les problèmes du réseau électrique ont rarement été mentionnés dans la presse la semaine dernière. Il a déclaré: "Cela montre la vulnérabilité croissante des réseaux de transport d'énergie - réseaux électriques et gazoducs et oléoducs - dans une grande partie du monde industrialisé après des années de faible investissement et d'opposition pas dans ma cour".
Les services publics payaient des prix d'électricité record pendant environ 60 minutes en désespoir de cause pour maintenir la stabilité du réseau et éviter de grandes pannes de courant.
"Ce fut un choc absolu", a déclaré Phil Hewitt, directeur exécutif d'EnAppSys Ltd, un cabinet de conseil en énergie.
Hewitt a déclaré: "C'était le prix à payer pour garder les lumières allumées. La sécurité de l'approvisionnement était en jeu."
Un porte-parole du réseau a déclaré que si la Belgique ne lui fournissait pas d'électricité supplémentaire, elle aurait été obligée de "contrôler la demande et de déconnecter les foyers de l'électricité".
RépondreSupprimerBlas a imputé le goulot d'étranglement du réseau au vieillissement des infrastructures et au sous-investissement.
Dans une situation normale, sans les embouteillages sur le réseau, le Royaume-Uni aurait dû être en mesure d'envoyer de l'électricité dans le sud-est de l'Angleterre depuis d'ailleurs dans le pays – même depuis tout le chemin en Écosse, où les parcs éoliens offshore produisent plus que jamais. . Le problème est que le Royaume-Uni et le reste des pays industrialisés n'investissent pas suffisamment dans leurs réseaux, laissant le système exposé. -Blas
Les réseaux électriques congestionnés suggèrent que le Royaume-Uni est somnambule dans ce qui pourrait aggraver les pannes d'électricité. Des problèmes de réseau apparaissent avant l'hiver car certaines parties de l'Europe ont un stockage de gaz naturel très serré.
https://www.zerohedge.com/commodities/london-power-prices-spike-5000-thwart-rolling-blackout
Les prix du blé bondissent après que des missiles russes ont frappé Odessa
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 26 JUILLET 2022 - 08:45
Les prix du blé ont grimpé en flèche lundi après que la Russie a attaqué samedi le port commercial de la mer Noire à Odessa, en Ukraine. La grève survient moins d'un jour après que l'Ukraine et la Russie ont négocié un accord d'exportation – négocié par la Turquie – pour exporter des millions de tonnes de céréales.
Vendredi, des responsables de l'ONU, de la Turquie, de la Russie et de l'Ukraine ont signé un accord pour rouvrir trois ports, dont Odessa, le plus grand port du pays. C'est une décision annoncée par ces responsables pour atténuer une crise alimentaire mondiale.
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Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a insisté sur le fait que l'attaque au missile du week-end n'était "en aucun cas liée à l'infrastructure utilisée pour l'exportation de céréales".
Pendant ce temps, le ministre ukrainien des Infrastructures, Vasyl Shkurakov, a déclaré que l'accord devrait entrer en vigueur dans quelques jours et la première livraison plus tard cette semaine.
Les contrats à terme sur le blé de Chicago ont bondi de 4,6 % et se sont négociés en hausse de 1,9 % à 12 h 30 HE. Les prix ont chuté de 10 % dans les jours qui ont précédé la signature de l'accord d'exportation.
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"Les prix à terme du blé ont bondi après que la Russie a frappé le port maritime d'Odessa, semant le doute sur son engagement à libérer les exportations de céréales ukrainiennes. Moscou a déclaré qu'il avait touché une" installation d'infrastructure militaire ", a écrit John Flood de Goldman Sach dans une note lundi.
Les entreprises de Wall Street affirment que "l'attaque de samedi dernier soulève des doutes sur la reprise de l'activité portuaire dans des conditions appropriées", a déclaré Agritel dans une note aux clients.
"Le marché restera forcément très nerveux en cas de nouveaux attentats ou de doutes sur la concrétisation de cette reprise de l'activité export", poursuit Agritel.
"On pense qu'il est peu probable que beaucoup quittent l'Ukraine tout de suite car l'infrastructure interne et dans les ports doit être reconstruite", a écrit Jack Scoville, analyste chez Price Futures Group Inc.
L'Ukraine poursuivra la réouverture d'Odessa alors que les commerçants surveillent les flux de céréales en provenance du port, surveillent les signes de la rapidité avec laquelle les volumes sont mis en ligne et déterminent le prochain mouvement pour les prix du blé.
https://www.zerohedge.com/commodities/wheat-prices-jump-after-russian-missiles-hit-odessa
Poutine tourne les vis : Gazprom arrête de manière inattendue une autre turbine Nord Stream coupant les débits de moitié ; Les prix du gaz en Europe s'envolent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 25 JUILLET 2022 - 20:44
Les Européens, et en particulier les Allemands, ont poussé un soupir de soulagement jeudi dernier lorsque, craignant que Moscou ne redémarre les flux le long du gazoduc Nord Stream 1 après sa période de maintenance de 10 jours, Poutine a rallumé le gaz, ne serait-ce qu'à son pic de pré-maintenance niveau d'environ 40 % de la capacité maximale.
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Hélas, la célébration en sourdine de l'Europe n'était pas censée durer, et beaucoup spéculaient que la Russie n'attendait que la bonne occasion de tourner la vis à l'Allemagne, à la fois littéralement et métaphoriquement, c'est précisément ce qui s'est passé il y a quelques instants lorsque, peu de temps après, Siemens a finalement livré des documents de transport pour la turbine controversée Nord Stream qui était bloquée au Canada depuis des semaines, Gazprom a annoncé de manière inattendue qu'il arrêterait une autre turbine Nord Stream dans sa station de compression de Portovaya à partir du 27 juillet, "en tenant compte des conditions techniques du moteur", a déclaré la société russe. dans un rapport.
Cela signifie que, comme cela avait été chuchoté une grande partie de la semaine dernière, les flux de gaz de Portovaya chuteront jusqu'à 33 millions de mètres cubes par jour à partir de 7 heures du matin, heure de Moscou, le 27 juillet, ce qui signifie que les flux le long de NS1 diminueront de moitié, passant de 40 % de capacité à seulement 20 %.
TÊTE DU RÉGULATEUR DU RÉSEAU ALLEMAND : NORD STREAM 1 GAS NOMINATIONS DIVISÉES POUR MARDI
Selon l'expert en énergie de Bloomberg Javier Blas, avec "Nord Stream 1 circulant à seulement 20 % de sa capacité à partir du 27 juillet, l'Allemagne n'aura PAS assez de gaz naturel pour fonctionner tout l'hiver ** à moins que de fortes réductions de la demande ne soient mises en œuvre **. Berlin devra activer l'étape 3 de son programme d'urgence gaz."
Traduction : à moins que Poutine ne change d'avis, l'Allemagne est confrontée non seulement à un hiver glacial, mais à une récession amère.
Inutile de dire que l'Allemagne n'était pas contente du dernier rappel qui détient toutes les cartes en Europe :
RépondreSupprimerLE MINISTÈRE ALLEMAND DE L'ÉCONOMIE, SUR LA RÉDUCTION ANNONCÉE DES FLUX DE GAZ NORD STREAM 1, DIT QU'IL N'Y A AUCUNE RAISON TECHNIQUE POUR UNE RÉDUCTION DES APPROVISIONNEMENTS
LE MINISTÈRE ALLEMAND DE L'ÉCONOMIE, LORS DE LA RÉDUCTION ANNONCÉE DES FLUX DE GAZ NORD STREAM 1, INDIQUE QUE LES CONDITIONS LIÉES AUX SANCTIONS POUR L'APPROBATION DE LA LIVRAISON DE LA TURBINE ONT ÉTÉ REMPLIES
Vanessa Dezem de Bloomberg ajoute que s'il est positif que les niveaux des stocks de gaz de l'Allemagne aient de nouveau augmenté - du moins avant les nouvelles de Gazprom d'aujourd'hui - le pays est encore loin d'une situation confortable pour faire face à l'hiver. Les niveaux sont de retour sur une "bonne voie", selon Klaus Mueller, chef de l'agence connue sous le nom de BNetzA. Mais si les flux de gaz russe via le gazoduc Nord Stream restent faibles, l'Allemagne ne pourra pas remplir les réservoirs à 95% en novembre, comme l'a visé le gouvernement, a indiqué l'agence dans un communiqué.
Sans le tampon nécessaire, la sécurité énergétique de l'Allemagne reste menacée et les prix restent volatils, et bien sûr, en réaction instinctive, les prix du gaz naturel européen (TTF) ont grimpé de 10 % et devraient continuer à augmenter...
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... alors que Poutine vient d'assurer que - toutes choses égales par ailleurs - une récession en Allemagne est désormais inévitable, et pourtant puisque les prix des matières premières vont continuer d'augmenter, la BCE reste impuissante : elle ne peut pas baisser les taux sans envoyer l'inflation encore plus haut, mais il ne peut pas continuer à marcher avec l'Europe maintenant en récession. L'euro, qui a bondi à la fin de la semaine dernière sur un optimisme naïf selon lequel le pire des cas pourrait être évité, s'est effondré.
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https://www.zerohedge.com/markets/putin-turns-screws-gazprom-unexpectedly-halts-another-more-nord-stream-turbine-european-gas
Siemens livre enfin les documents de transport de Gazprom pour la turbine Nord Stream
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
LUNDI 25 JUILLET 2022 - 16:00
Siemens Energy AG a finalement délivré une licence d'exportation canadienne pour une turbine à gaz naturel russe Gazprom PJSC, qui aide à pomper NatGas dans le pipeline Nord Stream 1.
Le média d'État russe Kommersant a rapporté qu'une résolution des retards dans la paperasserie permettrait à la turbine NatGas d'être expédiée d'Allemagne à Helsinki, en Finlande, dans les prochains jours.
Kommersant a déclaré que la livraison de la turbine n'entraînerait pas immédiatement une augmentation des flux de gaz naturel sur le Nord Stream 1 en raison d'autres équipements nécessitant des travaux de maintenance.
Moscou a récemment déclaré que la turbine se trouvait au Canada dans une usine de Siemens - le seul endroit au monde où elle peut être travaillée - mais qu'elle est depuis "bloquée en transit" en Allemagne.
Les responsables du Kremlin ont accusé l'Europe de retarder intentionnellement l'expédition de turbines hors d'Allemagne. Plus tôt ce mois-ci, le Canada a accordé une dérogation spéciale aux sanctions pour le retour de la turbine, invoquant sa solidarité avec des alliés européens comme l'Allemagne, qui ont cruellement besoin d'un retour en douceur de l'approvisionnement en gaz naturel sur le pipeline le plus critique vers l'Europe.
Nord Stream 1 a été réduit à 40% de sa capacité à partir de juin en raison de ce que la Russie a imputé aux sanctions canadiennes. Nord Stream a été complètement fermé pour une période de maintenance de dix jours mais a rouvert la semaine dernière.
"La turbine sera installée après que toutes les formalités techniques auront été accomplies, et les débits seront aux niveaux technologiquement possibles", a déclaré lundi le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
Peskov a noté, "nous avons des problèmes avec d'autres équipements, dont Siemens est bien conscient", ajoutant que les malheurs de Nord Stream ne font que commencer.
Il a déclaré que la Russie n'était "pas intéressée" par une fermeture complète de Nord Stream 1, mais a averti que "si l'Europe continue d'imposer imprudemment les sanctions et les restrictions qui la frappent, la situation pourrait changer".
Peskov a déclaré que les Européens ne sont responsables que du stockage inférieur à la moyenne de NatGas du continent avant l'hiver. Il a déclaré que les Européens subissent les conséquences de leurs propres sanctions contre la Russie.
RépondreSupprimerPendant ce temps, la Deutsche Bank a récemment averti : "N'oubliez pas non plus que Poutine a suggéré que si la turbine n'est pas de retour au début de cette semaine, le débit de gaz pourrait tomber à 20 % de sa capacité, même si à l'origine, cette turbine n'était pas censée être nécessaire jusqu'en septembre."
https://www.zerohedge.com/markets/siemens-gives-gazprom-transport-documents-nord-stream-turbine
Comment Mario Draghi a brisé l'Italie
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 26 JUILLET 2022 - 08:00
Écrit par Thomas Fazi via UnHerd.com,
La défenestration de Mario Draghi a laissé l'establishment italien - et même international - sous le choc de l'horreur. Ce n'est pas surprenant. Lorsqu'il a été nommé Premier ministre italien au début de l'année dernière, les élites politiques et économiques européennes ont accueilli son arrivée comme un miracle. Pratiquement tous les partis du parlement italien – y compris les deux anciens partis «populistes» qui ont remporté les élections en 2018, le Mouvement cinq étoiles et la Ligue – ont offert leur soutien. Le ton de la discussion a été bien rendu par le puissant gouverneur de la région de Campanie, Vincenzo De Luca (PD), qui a comparé Draghi au « Christ » lui-même.
Tout le monde était d'accord : un gouvernement Draghi serait une bénédiction pour le pays, une dernière occasion de racheter ses péchés et de « redonner à l'Italie sa grandeur ». Draghi, ont-ils dit, simplement en vertu de son "charisme", de sa "compétence", de son "intelligence" et de son "influence internationale", tiendrait les marchés obligataires à distance, adopterait des réformes indispensables et relancerait l'économie stagnante de l'Italie.
Hélas, la réalité n'a pas été à la hauteur des attentes : Draghi laisse derrière lui un pays en lambeaux. Les dernières prévisions macroéconomiques de la Commission européenne prévoyaient que l'Italie connaîtrait la croissance économique la plus lente du bloc l'année prochaine, à seulement 0,9%, en raison d'une baisse des dépenses de consommation due à la hausse des prix et à la baisse des investissements des entreprises - en raison de la hausse des emprunts et des coûts énergétiques , ainsi que des perturbations dans l'approvisionnement en gaz russe.
L'Italie connaît également l'un des taux d'inflation à la croissance la plus rapide d'Europe – qui est actuellement de 8,6 %, le niveau le plus élevé depuis plus de trois décennies. Les taux d'intérêt sur les obligations d'État italiennes ont également augmenté régulièrement depuis l'arrivée au pouvoir de Draghi, quadruplant sous sa direction ; aujourd'hui, ils se situent au niveau le plus élevé depuis près d'une décennie.
Et cette « polycrise » a fait des ravages dans la société italienne : 5,6 millions d'Italiens — près de 10 % de la population, dont 1,4 million de mineurs — vivent actuellement dans la pauvreté absolue, le niveau le plus élevé jamais enregistré. Beaucoup d'entre eux travaillent, et ce nombre est appelé à augmenter alors que les salaires réels en Italie continuent de baisser au rythme le plus élevé du bloc. Pendant ce temps, près de 100 000 petites et moyennes entreprises (PME) sont menacées d'insolvabilité, soit une augmentation de 2 % par rapport à l'année dernière.
Voilà pour "Super Mario", alors. Bien sûr, on pourrait dire que d'autres pays connaissent des problèmes similaires, mais ce serait une erreur de laisser Draghi s'en tirer. Il a été l'un des plus fervents partisans des mesures qui ont conduit à cette situation, ayant été une force motrice pour faire pression pour des sanctions sévères de l'UE contre Moscou – des sanctions qui paralysent les économies européennes, tout en laissant la Russie largement indemne.
RépondreSupprimerDraghi s'est même vanté des mesures audacieuses adoptées par l'Italie pour sevrer le pays du gaz russe – le résultat étant que l'Italie est désormais le pays qui paie les prix de gros de l'électricité les plus élevés de toute l'UE. L'absurdité de ces politiques devient évidente lorsque l'on considère sa tentative de réduire la dépendance de l'Italie vis-à-vis du gaz russe en faisant revivre plusieurs centrales électriques au charbon - du charbon que l'Italie importe en grande partie de Russie.
Pire encore, Draghi n'a fait que peu ou rien pour protéger les salariés, les ménages et les petites entreprises de l'impact de ces politiques. En effet, les quelques mesures "structurelles" adoptées par son gouvernement ont toutes visé à promouvoir la privatisation, la libéralisation, la déréglementation et la consolidation fiscale - comme l'ouverture à la privatisation des quelques services publics qui étaient restés en dehors du champ d'application du marché, en outre " en flexibilisant la main-d'œuvre, en mettant des plages privées dans le cadre d'un appel d'offres public pour la première fois depuis des décennies, ou en essayant d'étendre les services de taxi pour inclure des opérateurs de covoiturage comme Uber, déclenchant des protestations massives.
Pour quiconque a une idée de l'idéologie de Draghi, ce n'est guère surprenant. Comme je l'ai déjà dit, Mario Draghi est l'incarnation corporelle du « néolibéralisme ». Il n'est pas non plus surprenant que ces politiques n'aient pas porté leurs fruits, étant donné que la logique néolibérale de l'UE, basée sur la privatisation, l'austérité budgétaire et la compression des salaires - que Draghi a joué un rôle crucial dans la mise en œuvre depuis le début des années 90 - est la principale raison pour laquelle l'Italie est en un tel gâchis pour commencer. Draghi a également renforcé la mainmise de l'UE sur l'économie italienne en colportant sans relâche le récit selon lequel l'Italie avait désespérément besoin des fonds européens de relance Covid pour relancer son économie, et que pour accéder à ces fonds, elle devait mettre en œuvre avec diligence les réformes exigées par Bruxelles.
Pourtant, en termes macroéconomiques, les fonds en question sont dérisoires et loin de ce qui serait nécessaire pour avoir un impact significatif sur l'économie italienne. Mais ils viennent avec des conditionnalités très strictes. C'est en fin de compte l'objectif du «fonds de relance» Next Generation EU de l'UE: accroître le contrôle de Bruxelles sur les politiques budgétaires des États membres et renforcer le régime de contrôle technocratique et autoritaire de l'UE. Et à qui mieux que Draghi pourrait-on faire confiance pour verrouiller de telles mesures ? Comme il l'a lui-même noté, la "voie de réforme" tracée par son gouvernement signifiait que "nous avons créé les conditions pour que le travail [de relance de l'UE] se poursuive, indépendamment de qui est [au gouvernement]" - garantissant ainsi que les futurs gouvernements ne ne vous écartez pas du chemin de la justice.
RépondreSupprimerDraghi, cependant, ne laisse pas seulement derrière lui une économie brûlée, mais aussi une société profondément fracturée et divisée. Il est l'homme responsable de l'élaboration des politiques de vaccination de masse les plus punitives, discriminatoires et ségrégationnistes en Occident, qui ont non seulement exclu des millions de personnes non vaccinées - y compris des enfants - de la vie sociale, en étendant les passeports vaccinaux à pratiquement tous les espaces publics, mais aussi restreint beaucoup de gens de travailler. Il a également contribué à faire des non-vaccinés la cible de discours de haine sanctionnés par les institutions, comme lorsqu'il a tristement affirmé : « Vous ne vous faites pas vacciner, vous tombez malade, vous mourez. Ou tu tues.
Tout cela pourrait donner une indication de la raison pour laquelle un récent sondage a montré que 50% des Italiens n'étaient pas satisfaits du travail du gouvernement. Et pourtant, malgré ces résultats plutôt médiocres, lorsque Draghi a initialement annoncé son intention de démissionner, l'establishment italien est entré dans une crise d'apoplexie. Dans ce qui restera dans l'histoire comme l'une des manifestations les plus pathétiques du conformisme flagorneur de la société italienne, presque toutes les catégories professionnelles auxquelles vous pouvez penser se sont précipitées pour lancer leur propre appel en suppliant Draghi de rester - pas seulement les hommes d'affaires riches, comme c'était le cas pour à prévoir, mais aussi des médecins, des pharmaciens, des infirmières, des maires, des doyens d'université, des ONG, des intellectuels progressistes et même la CGIL, le plus grand syndicat du pays.
Plus pitoyable encore, les médias italiens ont couvert massivement plusieurs "manifestations pro-Draghi" - ne comptant pas plus de quelques dizaines de personnes. Peut-être le plus comique, l'une des plus grandes agences de presse du pays, Adnkronos, a même raconté comment plusieurs sans-abri étaient sortis pour montrer leur soutien à Draghi. L'un d'eux aurait déclaré : « Draghi fait la différence. L'Italie a retrouvé prestige et crédibilité grâce à lui. En tant que sans-abri, je peux témoigner du fait qu'il y a une plus grande attention pour nous maintenant et c'est grâce à Draghi.
RépondreSupprimerL'establishment international occidental a également jeté tout son poids derrière Draghi. Tout le monde, du Financial Times au Guardian en passant par le commissaire européen à l'économie Paolo Gentiloni, est venu expliquer à quel point la perte de Draghi serait une tragédie pour l'Italie – et même pour l'Europe dans son ensemble. Gentiloni est allé jusqu'à dire qu'« une tempête parfaite » balayerait le pays si Draghi devait partir ; tandis que le Guardian s'est limité à dire aux députés italiens que Draghi "devrait rester pour l'instant". Le New York Times a affirmé sans ironie que le départ de Draghi mettrait fin à la « brève période dorée » qu'il a inaugurée pour l'Italie. Parlez d'acteurs étrangers qui se mêlent des affaires de l'Italie.
Alors pourquoi, malgré des pressions aussi massives, trois partis ont-ils effectivement débranché son gouvernement la semaine dernière ? Une partie de l'explication réside dans la mesure dans laquelle Draghi avait réussi à s'aliéner des partis tels que le Mouvement cinq étoiles et la Ligue - refusant de s'engager avec eux sur pratiquement aucune des politiques de son gouvernement, ou de reconnaître même les critiques les plus timides. À plus d'une occasion, Draghi a précisé très clairement ce qu'il considérait comme le rôle du parlement : celui d'approuver automatiquement les décisions prises par le gouvernement. Cela est également évident dans l'abus par Draghi de l'instrument du vote de confiance.
Dans son discours au Sénat la semaine dernière, Draghi a été encore plus explicite : après avoir déclaré qu'il avait décidé de reconsidérer sa démission parce que « c'est ce que veut le peuple », il a essentiellement dit au Parlement qu'il était prêt à rester Premier ministre tant que les parties s'engageraient à ne s'immiscer dans aucune des décisions futures du gouvernement. Pour beaucoup de parlementaires, l'arrogance et la mégalomanie du discours de Draghi sont allées un peu trop loin — et d'ailleurs certains disent que Berlusconi attendait le bon moment pour se venger du moment où il a été détrôné par Draghi, en 2011, alors que ce dernier était président de la BCE.
Cependant, il ne faut pas exagérer l'importance de la révolte anti-Draghi du Parlement. En fin de compte, Draghi n'a fait qu'énoncer une vérité inconfortable aux parties : "Vous n'avez aucun pouvoir réel, acceptez-le." Mais c'est une vérité que les partis politiques ne sont pas prêts à accepter. En fin de compte, ils ne veulent pas affronter la contradiction fondamentale entre l'architecture institutionnelle formelle du pays - celle d'une démocratie parlementaire - et ce que l'on pourrait appeler son architecture institutionnelle "réellement existante", dans laquelle le Parlement et, par définition, les partis politiques n'ont presque aucun pouvoir. , parce que le gouvernement lui-même, dans le contexte de la zone euro, a peu ou pas d'autonomie économique. Les partis le savent mais ne veulent pas l'admettre (pour eux-mêmes mais surtout pour les électeurs).
RépondreSupprimerCela les laisse dans un état de dissonance cognitive permanente, conduisant à ce que l'on peut appeler « le cycle politique de la contrainte externe ». Comme dans les pays « normaux », les partis se disputent le consensus sur la base de différentes plates-formes électorales – et comme cela arrive souvent, les partis qui promettent le « changement » arrivent à gagner. Cependant, contrairement aux pays « normaux », les partis qui entrent au gouvernement découvrent rapidement qu'ils manquent des instruments « normaux » de politique économique nécessaires pour vraiment changer quoi que ce soit en termes socio-économiques. En fait, ils n'ont guère d'autre choix que d'accepter ce que disent Bruxelles et Francfort, et s'ils ne jouent pas au ballon, la BCE est toujours prête à faire monter la pression. À ce stade, si le gouvernement ne recule pas, la BCE déclenchera une crise financière à grande échelle (pensez à l'Italie en 2011 ou à la Grèce en 2015) - ce qui conduit généralement les partis politiques à se tourner vers des technocrates soutenus par l'UE pour résoudre un problème. problème que l'UE a créé en premier lieu.
Pourtant, même si le gouvernement cède, la tension croissante entre les exigences de la contrainte extérieure et les revendications des citoyens, à laquelle les partis manquent d'outils pour remédier, les conduit à se tourner vers les technocrates pour sortir de l'impasse, en leur faisant mettre en œuvre les mesures les parties ne veulent pas assumer la responsabilité. Puis, à un moment donné, généralement à l'approche de nouvelles élections, les partis politiques ressentent le besoin de se re-légitimer aux yeux des électeurs et ainsi de remettre le génie technocratique dans la lampe — jusqu'à la prochaine crise, qui instaure un nouveau cycle dans mouvement.
C'est en grande partie l'histoire de ce qui s'est passé entre 2018 et l'éviction de Draghi, alors que le Mouvement cinq étoiles et la Ligue sont passés du populisme anti-UE à Draghi en quelques années seulement. Et les prochaines élections mettront en branle un nouveau cycle, peut-être salué par un gouvernement de centre-droit dirigé par Giorgia Meloni. Mais à mesure que la situation sociale et économique continue de se détériorer, ces cycles sont également appelés à se raccourcir de plus en plus. Un futur gouvernement de centre-droit — « populiste » ou non — n'aurait que peu ou pas de capacité à résoudre les crises laissées par Draghi. Comme toujours, les coups de feu seront tirés à Bruxelles et à Francfort.
RépondreSupprimerAvec le lancement de son récent instrument de protection de la transmission (TPI), la BCE s'est dotée d'un outil qui lui permet techniquement de faire "tout ce qu'il faut" pour fermer les spreads de l'euro, évitant ainsi potentiellement de futures crises financières. Une telle intervention est toutefois conditionnée au respect du cadre budgétaire de l'UE et des «réformes» décrites dans les plans de «fonds de relance» de chaque pays – déjà mis en place par Draghi. Mais ceux-ci ne feront rien pour mettre fin à la crise sociale et économique en cours ; en fait, ils sont certains de l'aggraver. En d'autres termes, le prochain gouvernement italien, s'il veut rester financièrement à flot, n'aura d'autre choix que de suivre les diktats économiques de l'UE - ou bien. Dans un tel contexte, combien de temps avant que les derniers vestiges de la légitimité démocratique dans des pays comme l'Italie ne s'effondrent ? Et quoi encore ?
En fin de compte, la prochaine crise de l'euro est beaucoup plus susceptible d'éclater dans les rues d'Europe que sur les marchés financiers.
https://www.zerohedge.com/geopolitical/how-mario-draghi-broke-italy
Supprimer la redevance TV: et si les Français avaient raison ?
RépondreSupprimerL’Assemblée nationale a confirmé samedi la promesse d’Emmanuel Macron. Cette décision est un choc vu de Suisse, où le peuple a refusé nettement une telle issue.
par Eric Felley
26 juillet 2022, 06:36
Aujourd’hui, la redevance TV coûte 335 francs (342,99 €) par ménage en Suisse. Beaucoup de ménages se passeraient bien de cette facture.
La proposition était dans l’air depuis des mois. En campagne, Emmanuel Macron avait promis de supprimer la redevance TV. C’est aujourd’hui chose faite avec le vote de l’Assemblée nationale samedi dernier par une large majorité de 170 voix à 57. C’est une décision qui s’intègre dans les mesures de soutien au pouvoir d’achat des Français.
Une compensation par la TVA
La redevance a été qualifiée «d’outil obsolète» par le ministre chargé des Comptes publics Gabriel Attal. Mais ce dernier a exprimé son attachement à «un audiovisuel public fort». La redevance, qui coûte 138 euros en métropole et 88 euros outre-mer, ne concerne que les foyers qui ont un téléviseur (et non pas les tablettes et autres écrans comme en Suisse). Sa suppression à l’automne prive les médias publics de quelque 3 milliards d’euros. Pour compenser, l’Assemblée nationale a voté «une fraction» de la TVA, pour un montant d’environ 3,7 milliards d’euros.
Le Tour de France sur Amazon ?
En France le débat a porté sur la perte d’indépendance que représentait ce nouveau financement par l’État, une inquiétude portée par l’Alliance de Gauche Nupes. Dans ses rangs, certains craignent également que le service public ne soit affaibli et que demain «on devra payer pour regarder le Tour de France sur une chaîne détenue par Amazon». Le Rassemblement national demandait quant à lui une privatisation complète de l’audiovisuel.
Initiative UDC à 200 francs
La décision française n’a pas été spécialement commentée en Suisse ce week-end, où le sujet demeure sensible. En mars 2018, l’initiative No Billag avait échoué assez largement à faire supprimer cette redevance avec 71,6 % de non. Actuellement, tous les ménages paient 335 francs par année. Une certaine grogne demeure cependant et l’UDC a lancé une initiative le 23 juin dernier pour la réduire à 200 francs et en exempter les entreprises. Nul doute qu’elle va aboutir.
Pour une réflexion similaire en Suisse
Après la décision française, la question se pose à nouveau en Suisse: pourquoi ne pas l’abolir aussi pour soutenir le pouvoir d’achat des ménages ? L’initiative de l’UDC donnera l’occasion aux Chambres fédérales de remettre cette question sur la table dans le cadre d’une réflexion anglée différemment. Le Conseil fédéral et le Parlement pourraient réfléchir à un contreprojet avec un financement du service public par l’impôt fédéral, la TVA ou une autre ressource fiscale. Pas sûr que cela plaise à l’UDC, mais pour beaucoup de ménages en Suisse, ce serait un soulagement de ne plus payer la redevance !
https://www.lematin.ch/story/supprimer-la-redevance-tv-et-si-les-francais-avaient-raison-159654434833
Aujourd'hui plus personne ne regarde 'la télé-mensonges', ni écoute les radios d’État ni ne lit les journaux non-libres et se tournent vers l'Internet.
SupprimerLe pouvoir de l'État
RépondreSupprimerEt la tentation de l'anarchisme
Carlos Ramalhete
24 juillet
https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/c/c8/Kafka-index.JPG
Je comprends les anarchistes. Des anarchistes encore plus riches. D'une certaine manière, un anarchiste du Premier Monde est comme quelqu'un qui n'a connu qu'un père violent et finit par rejeter le concept même de famille. Si je vivais dans un endroit où toutes les lois qu'un État moderne essaie de promulguer étaient appliquées, la tentation anarchiste serait en effet forte. Heureusement, je vis dans un pays dont la langue n'a pas d'expression pour "application de la loi", et où les lois peuvent "coller" (c'est-à-dire être acceptées et respectées) ou non. La plupart d'entre eux ne le font pas, et absolument personne au Brésil n'envisagerait jamais la possibilité de confondre de simples lois promulguées par l'État avec des préceptes moraux.
Le problème, cependant, n'est pas les lois en elles-mêmes, mais l'ensemble : la fonction de l'État, ses pouvoirs, ses limites s'il y en a, quelle loi (ou une loi) se trouve être, etc. Comme toujours, il y a une longue histoire; une assez grande partie de l'Histoire menant à la situation actuelle. C'est l'histoire que je vais essayer de raconter ici.
Les lois promulguées par l'État (par un dirigeant personnel, en fait, car il n'y avait pas encore d'États impersonnels) étaient quelque chose d'assez rare il y a 500 ans. On attendait des gens qu'ils fassent ce que tout le monde fait et qu'ils s'abstiennent de faire ce que les autres ne faisaient pas, et c'est tout. D'une certaine manière, cette notion persiste partout ; les policiers, par exemple, ont tendance à voir les criminels et les fauteurs de troubles en général non pas précisément comme des contrevenants à la loi, mais plutôt comme des gens qui font des choses que les gens honnêtes ne feraient pas. «Je ne vole pas des trucs; pourquoi fait-il ?! La place de ce salaud de voyou est en prison.
C'est ce que les systèmes juridiques anglo-saxons ont tenté de préserver avec la notion de règle de common law ; les cas difficiles seraient résolus en trouvant un cas précédent qui se ressemblait plus ou moins, puis en étendant la décision précédente à la nouvelle situation, apparemment liée. Cela a bien fonctionné pour les petites communautés étroitement liées, mais lorsque des sociétés de plus en plus grandes ont essayé de se gouverner de cette façon, les choses ont commencé à se détériorer. Après tout, ce qui est évident dans un certain lieu et groupe social peut sembler assez absurde dans un autre lieu, et rien n'empêche les deux d'être dans le même système juridique.
RépondreSupprimerL'autre approche pour un système juridique est le romain, créé avec un vaste empire, des personnes et des cultures très différentes, à l'esprit. Il n'y a pas de place pour le droit commun : tout ce qu'il est interdit de faire est écrit, et ce qui n'est pas interdit est permis. C'est ainsi que fonctionnent les systèmes judiciaires dans la plupart des pays du monde. Une chose que certaines personnes ne réalisent pas à ce sujet, cependant, c'est que dans un système de droit romain, chaque juge est en pratique tout à fait libre d'interpréter la loi écrite à sa manière. C'est un peu comme la liberté de mouvement de la Cour suprême américaine autour de la Constitution : le texte de base est le même, mais toutes les Cours suprêmes ne se valent pas, et ce que l'on trouve dans la Constitution n'est pas du tout vu par l'autre.
Ainsi la loi, dans le système romain, finit par ne pas être du tout quelque chose à obéir littéralement, même si une telle littéralité était possible. Les lois sont des lignes directrices, pas des obligations morales, et la coutume a beaucoup à voir avec la façon dont (ou si) une certaine loi est comprise et acceptée par la société en général. D'un autre côté, au cours des deux cents dernières années, alors que la société moderne devenait encore plus folle, il y a eu une sorte de révolution dans les systèmes juridiques partout (et dans la théorie juridique aussi, bien sûr). Les bureaucraties ont commencé à essayer de s'octroyer plus de pouvoir en traitant la loi écrite comme si elle n'était rien de moins que divine. C'est ce qu'on appelle le « positivisme », car les lois promulguées sont appelées « droit positif », par opposition au droit coutumier. Tommaso Beccaria, le théoricien du droit italien, a écrit un jour qu'un procès devrait être "le syllogisme parfait", dans lequel le texte de la loi serait la prémisse majeure, les actions de l'accusé la prémisse mineure et la sentence la conséquence impersonnelle. Tout à fait ignorant des manières du monde, le jeune morveux ; rien d'étonnant, puisqu'il avait 26 ans lorsqu'il a écrit "Sur les crimes et les châtiments", son ouvrage le plus important.
Quoi qu'il en soit, à son époque, confondre le texte imprimé avec la divinité avait déjà eu quelques siècles d'histoire. La théorie actuelle de l'État tout-puissant vient d'ailleurs de ce genre particulier de folie. Lorsque le crépuscule de la civilisation occidentale a commencé par un moine martelant un morceau de papier sur une porte d'église (à Halloween, rien de moins !), de très fortes pressions sociales se sont exercées dans toute l'Europe du Nord. La création par le frère Martin Luther d'une toute nouvelle religion aux accents islamiques n'était pas une cause, mais une conséquence de son martelage. Il voulait juste défier un gars qui était dans son quartier en train de collecter des fonds pour la construction de la basilique Saint-Pierre (à Rome) pour débattre avec lui sur les astuces marketing très discutables de la collecte de fonds. La veille de la Toussaint était le moment idéal pour clouer ses propositions à la porte de cette église particulière, car dès le lendemain, la plus grande exposition de reliques sacrées de toute l'Europe du Nord s'y tiendrait. Les gens viendraient de centaines de kilomètres à la ronde et le colporteur serait certainement informé du défi.
RépondreSupprimerFrère Martin, cependant, était professeur d'Ecriture Sainte; par conséquent, il avait effectivement tout lu au moins une fois. Le gars qu'il défiait, d'un autre côté, n'en saurait probablement pas plus que ce qui était lu dans la liturgie, même s'il avait une formation théologique formelle. Après tout, les Sentences de Pierre Lombard – pas l'Écriture, ni la Patristique, ni la Liturgie… – étaient à l'époque l'objet principal des études théologiques supérieures. Ainsi, pour se faciliter la tâche, le P. Martin a proposé une règle pour le débat : tous les arguments doivent être tirés des Écritures. Pas très juste.
Alors que les choses commençaient à devenir brûlantes autour de ce qui était au départ un défi légitime, Luther a doublé son idée sur les Écritures uniquement, utilisant finalement ce qui avait commencé comme une petite astuce de débat pour bouleverser la chrétienté et détruire fondamentalement la société européenne en créant une alternative. réalité. Après tout, la religion était alors, et est toujours, la forme même de la réalité à la fois pour la société et pour les individus. La religion - que ce soit le christianisme, l'islam, le bouddhisme ou l'athéisme-scientisme moderne - est la source de la lentille à travers laquelle nous voyons, comme de la logique avec laquelle nous interprétons, le monde qui nous entoure. A cette époque, en Europe, la religion signifiait une chose, et une seule chose, partout. Non seulement ses principes moraux formaient le cadre d'un comportement acceptable, mais le temps religieux – le calendrier liturgique – donnait aux gens la notion même du temps ; les pratiques religieuses – par exemple, les pèlerinages comme celui qui mène à cette église particulière sur All Hallows – étaient essentiellement universelles et partagées par tous ; l'autorité religieuse était la base de l'autorité civile, etc.
La phrase ci-dessus ne signifie pas qu'un roi était considéré comme un mandataire de Dieu. Plutôt l'inverse, en fait. Cela signifie que le travail de tout dirigeant pourrait et devrait être vérifié par rapport à ce qui était alors universellement accepté comme venant de Dieu, et il régnerait en tant que représentant du peuple. Pas à Dieu : au peuple. Vox populi vox Dei : la voix du peuple est la voix de Dieu, et c'est le plus souvent l'opinion du peuple sur ce qui est bien et ce qui est mal, dans le cadre d'un consentement religieux absolument unanime, qui garderait ou destituerait les rois et princes. L'autorité d'un dirigeant dépendait donc de la façon dont il utilisait son autorité - assez petite. Il avait bien le pouvoir de faire passer des lois positives, mais la liste des conditions requises était assez vaste ; entre autres, il ne pouvait faire passer une loi qui n'était pas utile ou qui allait à l'encontre de la coutume établie. Son règne dans la société était celui, disons, d'un vieux patriarche qui ne dira pas à ses enfants et petits-enfants comment gouverner leurs propres foyers, mais dont l'autorité serait respectée pour régler un différend entre certains d'entre eux. De plus, toute son autorité provenait d'engagements personnels à double sens, dans lesquels il devait protéger chacun des habitants de «ses» territoires, et ils devaient le nourrir, lui et sa minuscule armée. Il était autant un serviteur de la terre que le plus bas des serfs, car aucun d'eux ne pouvait abandonner le territoire et tous deux devaient le servir ainsi que ses habitants, chacun en son devoir.
RépondreSupprimerMais il y avait déjà une mouche très laide, grasse et poilue prise au piège dans l'onguent de la société : l'argent. Plus précisément, le fait qu'il y avait de plus en plus d'argent dans la société, mais que la société n'avait pas sa place. Selon la loi - c'est-à-dire la coutume - on pouvait être né guerrier ou agriculteur, et le seul véritable choix de carrière que l'on avait était de rejoindre le clergé (ce qui enlevait aux deux). L'argent ne faisait aucune différence : un riche guerrier était toujours censé être un guerrier, risquant sa peau pour les autres, et un riche agriculteur était toujours censé cultiver la terre de ses propres mains. On ne pouvait pas acheter ni vendre de terres, cependant, et tout l'argent du monde ne pouvait pas transformer un guerrier en agriculteur, ou vice-versa.
Mais depuis quelques siècles, le commerce avait commencé à enrichir certaines personnes. La plupart d'entre eux sont issus de familles d'agriculteurs. Il n'y avait pas de place pour les riches dans la société, mais ils ont réussi à se tailler une place en utilisant leur argent au profit de l'armée. Ce n'est pas une chose nouvelle, voyez-vous; en fait, certaines de ces personnes ont continué à le faire jusqu'à nos jours. Le premier fabricant d'armes pour l'Allemagne pendant les deux guerres mondiales était Krupp, un conglomérat familial qui a commencé à cette époque en tant qu'entreprise familiale.
Avant que les riches n'arrivent en ville, il n'y avait pas de ville. Il y avait des châteaux, avec des douves mais malheureusement pas de dragons, et des terres. Quand il y avait une guerre, les civils rentraient dans le château et les militaires en sortaient, mais en temps normal c'était le contraire. Maintenant, il y avait quelque chose que l'on pouvait faire avec de l'argent, et les nouveaux riches ont commencé à financer des murs de plus en plus grands autour des murs initiaux du château, et à leur tour, ont pu se construire des maisons et des magasins à l'intérieur des nouveaux murs.
RépondreSupprimerLe nom de ces villes commerciales qui se sont développées entre l'original et les nouveaux et plus grands murs du château était "Bourg" (ou "bourg"), et ses habitants sont devenus connus sous le nom de "bourgeoisie". Naturellement - c'est la nature humaine; les plaintes seront adressées à Adam et Ève, au comptoir numéro un –, militaires et bourgeois seraient souvent bien à l'aise, au détriment des pauvres encore hors les murs. À l'époque de Luther, les révoltes paysannes commençaient à être monnaie courante partout, mais les nobles (ou « doux », ou – comme je les ai appelés, « les militaires ») avaient les mains liées par cette sale affaire d'obéir à Dieu. La révolution de Luther leur a donné une issue.
Plus que cela : il s'est installé comme la nouvelle autorité religieuse, celle qui dirait aux princes qui lui demanderaient comment traiter ces paysans révoltés de « les tuer comme des chiens ». Une main lave l'autre, cependant, et c'est ce qui s'est passé lorsque l'ancien moine a découvert que le fait de substituer la fille (l'Écriture) à l'Église mère ne ferait pas automatiquement accepter sa propre lecture de l'Écriture par tous ceux qui aimaient son nouveau gadget "Sola Scriptura". . Que les choses de "tuer comme des chiens" ont été étendues à toutes les sectes qui ne rejoindraient pas son nouveau gouvernement approuvé par l'État (ou plutôt approuvé par les dirigeants locaux, des centaines de fois ; les États étaient encore assez petits et sans importance, et - surtout - le pouvoir était 100 % personnelle : l'État était son roi) Église luthérienne. C'est pourquoi, soit dit en passant, toutes les confessions protestantes aujourd'hui peuvent retracer leurs lignées institutionnelles et théologiques jusqu'à une ou deux des trois sectes protestantes agréées par l'État du XVIe siècle : luthérienne, calviniste et anglicane. Toutes les autres options initialement issues de Sola Scriptura ont été littéralement éliminées. Tués comme des chiens.
D'une certaine manière, quelque chose d'assez similaire s'était déjà produit quelques siècles plus tôt, lorsque la secte gnostique des Cathares s'éleva dans l'actuel Sud de la France. Comme devenir cathare était censé être libéré de tous les engagements et obligations antérieurs, et que les obligations et engagements personnels qui découlaient des vœux formels étaient la base de l'ordre social, les gens devenaient tellement en colère contre les cathares qu'ils commençaient à les tuer. Se nommer jury, juge et bourreau, cependant, était un grand non-non pour l'Église, et c'est ainsi que l'Inquisition est née pour libérer les faussement accusés. Mais c'est une autre histoire, pour une autre fois.
RépondreSupprimerLe sud de la France au temps des troubles cathares était le centre du monde ; L'Europe du Nord à l'époque de Luther était le bled. C'est ainsi que la nouvelle religion s'est procuré suffisamment de temps pour atteindre une masse critique et ainsi survivre beaucoup plus longtemps que le catharisme. Le calvinisme – soutenu directement par la bourgeoisie genevoise, sans intermédiaires nobles – était alors un phénomène essentiellement local, qui a survécu à la fois au chaos total du Nord et au manque d'importance de la Suisse à l'époque. Le fait que les Suisses étaient si féroces que tout le monde voulait les embaucher comme mercenaires n'a pas fait de mal non plus.
Ainsi commencèrent les guerres de religion européennes et, de génération en génération, l'Europe devint un vaste champ de bataille où les adeptes de l'ancienne et de la nouvelle religion tentèrent de prendre le dessus afin de libérer les autres du joug de leurs horribles hérésies et superstitions. De très mauvais moments en effet.
La « solution » à tout cela est venue avec le traité de Westphalie, cent ans d'effusion de sang plus tard. On peut la résumer en cujus regio eius religio, c'est-à-dire, littéralement, à qui appartient la religion du roi : la religion de chaque petit souverain serait imposée à tous ses sujets. En d'autres termes, alors qu'avant la révolution luthérienne, tout le monde était d'accord sur ce que Dieu voulait qu'un gouvernement fasse, et que son autorité reposait sur sa conformité à cette vision commune, après la Westphalie, chaque dirigeant local a obtenu l'autorité de décider par lui-même ce que serait la vérité de Dieu. . Les rois étaient donc en fait placés au-dessus de Dieu, se voyant accorder le droit de juger si ce qui avait toujours été considéré par tout le monde partout comme la révélation divine était vrai ou non.
C'est ce qui a ouvert la voie à toutes ces vilaines choses absolutistes de "droit divin". Pourtant, il est amusant d'utiliser le terme (technique) "absolutisme", car les pouvoirs d'un Louis XVI étaient tellement moins absolus que ceux de n'importe quel bureaucrate de nos jours. Après avoir été libérés de toute allégeance, contrôle ou équilibre supérieur, de toute façon, les absolutistes pourraient en effet être assez ennuyeux. Je comprends de tout cœur ce que les colons américains ressentaient à l'égard des monarques britanniques, surtout quand on pense que presque toutes les colonies britanniques américaines ont commencé comme des lieux de refuge pour les personnes fuyant une sorte de persécution religieuse aux mains de celui qui était en charge de Westminster à l'époque.
RépondreSupprimerEn passant, nous avons eu la vie facile dans la péninsule ibérique. Les Maures (envahisseurs musulmans) venaient d'être expulsés, et personne n'avait le temps pour les bêtises de la Nouvelle Religion. En fait, la découverte et la colonisation espagnoles et portugaises de l'Amérique latine actuelle étaient alors considérées comme faisant partie de la lutte pour libérer les terres chrétiennes détenues par l'islam. Christophe Colomb tentait de trouver un moyen de se rendre à Jérusalem "par derrière", et les Portugais voulaient couper les commerçants musulmans du commerce indien afin de les empêcher de financer la défense musulmane de l'Afrique du Nord. L'Amérique était juste sur le chemin, mais la combinaison d'un culte du diable à grande échelle sacrifiant l'homme à combattre (qui ne le ferait pas ?!) Et de l'or à envoyer à la maison en a fait un "obstacle" assez fortuit.
Quoi qu'il en soit, la prochaine étape logique s'est produite un siècle plus tard (les choses mettent généralement environ un siècle à être entièrement digérées en géopolitique), lorsque le roi absolu a été remplacé par le « Peuple » absolu (le collectif imaginaire de personnes réelles), dont le supposé les pouvoirs autonomes ont évidemment été « abandonnés » dès le départ à l'État absolu. Et c'est ainsi qu'est né l'Etat Moderne.
Alors qu'un roi pré-moderne était une personne qui jurait de protéger chacune des personnes de son royaume, l'État est impersonnel et traite avec de vastes multitudes, pas avec des individus. Alors que ce roi était tenu à une vision commune du bien et du mal et avait des pouvoirs très limités, la puissance de l'État finit par faire le bien. En effet, non seulement l'État est établi selon un cadre juridique qu'il a lui-même rédigé (sa « Constitution ») et qu'il peut amender voire remplacer à volonté, mais il croit aussi avoir le monopole de la violence, rien de moins.
Les prétentions universalistes de la « raison » moderne tendent d'ailleurs à nier l'être même de l'individu tout en l'affirmant théoriquement, comme ce fut le cas dans la version américaine de la même révolution moderne. Il n'y avait aucun engagement personnel, aucun vœu personnel de loyauté échangé entre gouvernants et gouvernés, seulement un ensemble assez artificiel de contraintes sur le pouvoir de l'État. Et même ceux-ci sont venus après coup, dans le Bill of Rights, qui restreint principalement le pouvoir de l'État central tout en le gardant entre les mains des États fédérés individuels. La personne « individuelle » est supposée être quasiment interchangeable avec tous les autres individus, n'ayant aucune relation directe et personnelle avec le responsable – qu'il soit un Washington ou un Biden –, celui à qui il aurait théoriquement cédé son autonomie personnelle. L'individu moderne n'existe qu'en tant que partie du peuple, et "Nous, le peuple" finit toujours par être un groupe de gars riches isolés dans une pièce fermée à clé qui parlent entre eux.
RépondreSupprimerL'État, ayant absorbé le pouvoir prétendument cédé dans son ensemble par « le Peuple », est encore plus absolu, bien plus absolu, que n'importe quel roi fou d'Angleterre ou de France. Après tout, alors qu'un roi ou une reine absolutiste pouvait être inconscient de la vraie vie de "son" peuple au point de croire honnêtement que "manger du gâteau" pouvait être une solution quand il n'y avait pas de pain, un État moderne avait des yeux sans fin. De nos jours, avec toute la technologie qu'un État peut mettre à son service, son problème n'est pas d'ignorer ce que signifie vraiment le manque de pain, mais plutôt d'analyser tout le trop vaste flux entrant de données brutes. Il entend chaque mot prononcé autour de chaque téléphone portable, mais il doit trouver ce qui vaut la peine d'être écouté. Il voit tous ceux qui passent devant chaque caméra, mais il doit savoir qui surveiller. Etc.
Dans ce qu'on appelait autrefois le Premier Monde (aujourd'hui on l'appelle ironiquement « l'Occident collectif »), pour ne rien arranger, l'appareil d'État a tendance à fonctionner. Chaque loi stupide et inutile - qui, pour la philosophie juridique médiévale, ne serait pas du tout une loi - est en effet appliquée ; la plupart des impôts sont payés ; la plupart des écoles publiques réussissent plutôt bien à endoctriner les enfants pauvres ; et – le plus important – non seulement la loi promulguée par l'État est considérée comme un minimum moral, mais les mécanismes de résolution des conflits centrés sur l'État sont largement utilisés, spontanément, par les gens ordinaires.
Je me souviens quand une amie brésilienne à Paris a raconté à une autre dame avec qui elle travaillait les ennuis que son fils lui avait donnés, et la gentille Française Moderne lui a donné un numéro vert pour que les services sociaux de la Ville puissent l'appeler. Mon amie a été choquée, car cela ne lui aurait jamais traversé l'esprit de mettre son enfant entre les mains des bureaucrates de la ville pour quelque chose qui était manifestement son propre problème. Elle avait rivalisé pour quelques mots chaleureux, peut-être une épaule sur laquelle pleurer, ou même quelques conseils d'éducation d'enfant de son amie ; pour elle, c'était une douche très froide à envoyer aux bureaucrates.
RépondreSupprimerMais lorsque les gens y sont habitués et, pire encore, que les bureaucraties d'État ont tendance à faire la plupart de ce qu'elles annoncent, le pouvoir de l'État ne peut que croître et croître. Il est beaucoup plus facile de trouver des personnes qui conduisent sans permis au Brésil qu'aux États-Unis, par exemple. Après tout, même si aux États-Unis, les gens considèrent le DMV comme le sommet d'une bureaucratie défectueuse, il n'est pas nécessaire d'y passer plus de quelques heures pour obtenir un permis de conduire. Au Brésil, c'est un processus de plusieurs mois, et tout le monde doit passer par les mêmes cerceaux (y compris des dizaines d'heures de cours obligatoires, à la fois théoriques et dans des voitures spécialement préparées avec deux jeux de pédales) pour obtenir ce morceau de papier inutile. , ce talisman dont la seule fonction est de faire en sorte que les flics laissent partir en paix. Obtenir un permis de conduire au Brésil coûte un peu plus que ce que l'on gagne pour quelques mois de travail dans un emploi à temps plein au salaire minimum, et l'âge minimum pour commencer le long processus d'obtention du permis de conduire est de dix-huit ans. Pourtant, ce n'est pas si dur de le perdre et d'être obligé de tout refaire, car les contraventions sont assorties de "points", et en atteindre un certain nombre (deux contraventions DUY le feraient) signifie perdre son permis et devoir recommencer le procédé complet. Lors d'une première année de permis de conduire, n'importe quelle contravention suffit à faire perdre le précieux talisman.
Les pays qui ne sont pas complètement modernes - essentiellement partout sur Terre, à l'exception de l'ancien premier monde - ont tendance à être comme ça. Il est facile de comprendre pourquoi les gens ne font pas confiance au gouvernement ; pas dans un sens idéologique, comme un anarcho-capitaliste ne le fera pas par principe, mais par expérience. Le grand Théodore Dalrymple (dont j'ai repéré un jour le nom avec le mien sur la même page de "contenu" du magazine The European Conservative ; j'y suis arrivé, maman, j'y suis arrivé !) a écrit un jour qu'il préférait la bureaucratie italienne (du tiers-monde) à le britannique, car on pouvait toujours soudoyer un employé italien pour faire quelque chose, tandis qu'en Grande-Bretagne, on serait arrêté pour l'avoir suggéré. Je vais même plus loin : aucun Italien, Brésilien, Indien, Cambodgien, Ukrainien, Persan ou Namibien n'envisagera jamais la possibilité que l'obéissance à une loi stupide lui soit moralement exigée. Aucun d'entre nous ne confondrait l'État avec une société organisée, ni même n'envisagerait la possibilité ridicule d'avoir besoin d'une manière ou d'une autre d'une « licence » délivrée par le gouvernement pour se couper les cheveux, manger du poisson, peu importe.
Sur des terres moins civilisées, cependant, qui ont été la proie de la modernité très tôt et dont les populations ont complètement avalé la pensée moderne, ce sont des erreurs courantes. La seule alternative semblerait être d'embrasser l'anarchisme, et avec lui toute la panoplie d'alternatives supposées dérivées de l'idéologie à l'État moderne. Je comprends les pauvres gens qui tombent dans le panneau. Je le ferais probablement aussi, si c'était le seul État que je connaisse. C'est juste une autre forme - peut-être la plus forte encore - de la tyrannie, ce vieil ennemi de l'homme.
RépondreSupprimerhttps://ramalhete.substack.com/p/state-power
Autoritarisme numérique : la surveillance par IA signale la mort de la vie privée
RépondreSupprimerPar John et Nisha Whitehead
L'Institut Rutherford
26 juillet 2022
"Il n'y a pas de vie privée. C'est l'un des aspects les plus importants de la vie moderne. L'une des plus grandes transformations que nous ayons observées dans notre société est la diminution de la sphère du privé. Nous devons maintenant raisonnablement tous considérer le fait qu'il n'y a pas de secrets et que rien n'est privé. Tout est public. » ― Philip K. Dick
Rien n'est privé.
Nous sommes à l'aube d'une révolution culturelle, technologique et sociétale sans précédent.
Alors que la gauche et la droite politiques continuent de faire de l'avortement le visage du débat sur le droit à la vie privée en Amérique, le gouvernement et ses partenaires commerciaux, aidés par l'évolution rapide de la technologie, transforment le monde en un monde dans lequel il n'y a aucune intimité.
Rien de ce qui était autrefois privé n'est protégé.
Nous n'avons même pas commencé à enregistrer les retombées du tsunami qui s'abat sur nous sous la forme de surveillance par IA (intelligence artificielle), et pourtant, il réoriente déjà notre monde vers un monde dans lequel la liberté est presque méconnaissable.
La surveillance par IA exploite la puissance de l'intelligence artificielle et de la technologie de surveillance généralisée pour faire ce que l'État policier manque de main-d'œuvre et de ressources pour faire efficacement ou efficacement : être partout, surveiller tout le monde et tout, surveiller, identifier, cataloguer, recouper, recouper, et s'entendre.
Tout ce qui était autrefois privé est maintenant à gagner au bon acheteur.
Les gouvernements et les entreprises ont adopté avec insouciance les technologies de surveillance de l'IA sans se soucier ni se soucier de leur impact à long terme sur les droits des citoyens.
Comme l'avertit un rapport spécial du Carnegie Endowment for International Peace : « Un nombre croissant d'États déploient des outils de surveillance avancés de l'IA pour surveiller, suivre et surveiller les citoyens afin d'atteindre une gamme d'objectifs politiques - certains légaux, d'autres qui violent les droits de l'homme, et dont beaucoup tombent dans un terrain d'entente trouble.
En effet, avec chaque nouvelle technologie de surveillance de l'IA qui est adoptée et déployée sans aucun égard pour la vie privée, les droits du quatrième amendement et la régularité de la procédure, les droits des citoyens sont marginalisés, sapés et éviscérés.
RépondreSupprimerCue la montée de l'autoritarisme numérique.
L'autoritarisme numérique, comme le met en garde le Centre d'études stratégiques et internationales, implique l'utilisation des technologies de l'information pour surveiller, réprimer et manipuler la population, mettant en danger les droits de l'homme et les libertés civiles, et cooptant et corrompant les principes fondamentaux des sociétés démocratiques et ouvertes. , "y compris la liberté de mouvement, le droit de s'exprimer librement et d'exprimer sa dissidence politique, et le droit à la vie privée, en ligne et hors ligne".
Les graines de l'autoritarisme numérique ont été semées à la suite des attentats du 11 septembre, avec l'adoption du USA Patriot Act. Une énorme liste de souhaits de 342 pages de pouvoirs étendus pour le FBI et la CIA, le Patriot Act justifiait une surveillance intérieure plus large, la logique étant que si les agents du gouvernement en savaient plus sur chaque Américain, ils pourraient distinguer les terroristes des citoyens respectueux des lois.
Il a sonné le glas des libertés inscrites dans la Déclaration des droits, en particulier le quatrième amendement, et a normalisé les pouvoirs de surveillance de masse du gouvernement.
Écrivant pour le New York Times, Jeffrey Rosen a observé que « avant le 11 septembre, l'idée que les Américains accepteraient volontairement de vivre leur vie sous le regard d'un réseau de caméras de surveillance biométrique, les regardant dans les bâtiments gouvernementaux, les centres commerciaux, les métros et les stades, aurait semblé impensable, un fantasme dystopique d'une société qui avait renoncé à la vie privée et à l'anonymat.
Qui aurait pu prédire que 50 ans après que George Orwell ait tapé les derniers mots de son roman dystopique de 1984, "Il aimait Big Brother", nous en viendrions à aimer Big Brother.
Pourtant, c'est exactement ce qui s'est passé.
Après le 11 septembre, Rosen a constaté que «les gens étaient heureux de renoncer à la vie privée sans éprouver une augmentation correspondante de la sécurité. Plus soucieux de se sentir en sécurité que d'être en sécurité, ils réclamaient la construction de vastes architectures technologiques de surveillance alors même que les études les plus empiriques suggéraient que la prolifération des caméras de surveillance n'avait « aucun effet sur la criminalité violente » ou le terrorisme.
Dans les décennies qui ont suivi le 11 septembre, un énorme complexe industriel de la sécurité est apparu, obsédé par la militarisation, la surveillance et la répression.
RépondreSupprimerLa surveillance est la clé.
Nous sommes surveillés partout où nous allons. Radars. Caméras aux feux rouges. Caméras du corps de la police. Caméras dans les transports en commun. Caméras dans les magasins. Caméras sur les poteaux des services publics. Caméras dans les voitures. Caméras dans les hôpitaux et les écoles. Caméras dans les aéroports.
Nous sommes enregistrés au moins 50 fois par jour.
On estime qu'il y a plus de 85 millions de caméras de surveillance aux États-Unis seulement, juste derrière la Chine.
Chaque jour, l'Américain moyen vaquant à ses occupations quotidiennes est surveillé, surveillé, espionné et suivi de plus de 20 manières différentes par les yeux et les oreilles du gouvernement et des entreprises.
Méfiez-vous de ce que vous dites, de ce que vous lisez, de ce que vous écrivez, où vous allez et avec qui vous communiquez, car tout cela sera éventuellement enregistré, stocké et utilisé contre vous, au moment et à l'endroit choisis par le gouvernement.
Pourtant, ce n'est pas seulement ce que nous disons, où nous allons et ce que nous achetons qui sont suivis.
Nous sommes surveillés jusque dans nos gènes, grâce à une puissante combinaison de matériel, de logiciels et de collecte de données qui scanne nos données biométriques (visages, iris, voix, génétique, microbiomes, odeur, démarche, rythme cardiaque, respiration, comportements) par le biais de programmes informatiques capables de décomposer les données en « identifiants » uniques, puis de les proposer au gouvernement et à ses entreprises alliées pour leurs utilisations respectives.
Comme l'a proclamé un défenseur de la surveillance de l'IA, "la surveillance n'est plus seulement un œil vigilant, mais aussi un œil prédictif". Par exemple, Emotion AI, une technologie émergente qui gagne en popularité, utilise la technologie de reconnaissance faciale "pour analyser les expressions basées sur l'empreinte faciale d'une personne afin de détecter ses émotions ou sentiments internes, ses motivations et ses attitudes". La Chine affirme que sa surveillance par IA peut déjà lire les expressions faciales et les ondes cérébrales afin de déterminer dans quelle mesure les membres du public sont reconnaissants, obéissants et disposés à se conformer au Parti communiste.
C'est la pente glissante qui mène à la police de la pensée.
RépondreSupprimerLa technologie est déjà utilisée "par les gardes-frontières pour détecter les menaces aux points de contrôle frontaliers, comme aide à la détection et au diagnostic des patients souffrant de troubles de l'humeur, pour surveiller l'ennui ou les perturbations dans les salles de classe et pour surveiller le comportement humain pendant les appels vidéo".
À toutes fins utiles, nous avons maintenant une quatrième branche du gouvernement : l'État de surveillance.
Cette quatrième branche a vu le jour sans aucun mandat électoral ni référendum constitutionnel, et pourtant elle possède des super pouvoirs, au-delà de ceux de toute autre agence gouvernementale à l'exception de l'armée. Il est omniscient, omniscient et tout-puissant. Il opère au-delà de la portée du président, du Congrès et des tribunaux, et il marche au même rythme que l'élite des entreprises qui décide vraiment à Washington, DC.
L'appareil de surveillance "technotyranny" du gouvernement est devenu tellement ancré et empêtré dans son appareil d'État policier qu'il est difficile de savoir où se termine l'application de la loi et où commence la surveillance.
La réponse courte : ils sont devenus une seule et même entité. L'État policier a passé le relais à l'État de surveillance, qui est passé à la vitesse supérieure avec l'aide des technologies d'intelligence artificielle. La pandémie de COVID-19 a contribué à centraliser davantage le pouvoir numérique entre les mains du gouvernement au détriment du droit à la vie privée des citoyens.
"Des caméras qui identifient les visages des passants aux algorithmes qui gardent un œil sur l'opinion publique en ligne, les outils alimentés par l'intelligence artificielle (IA) ouvrent de nouvelles frontières dans la surveillance des États dans le monde entier." Ainsi commence le rapport du Carnegie Endowment sur la surveillance de l'IA. « Les organismes chargés de l'application de la loi, de la sécurité nationale, de la justice pénale et de la gestion des frontières dans chaque région s'appuient sur ces technologies, qui utilisent la reconnaissance de modèles statistiques, l'apprentissage automatique et l'analyse de mégadonnées, pour surveiller les citoyens. »
Entre les mains de tyrans et de dictateurs bienveillants, la surveillance par IA est le moyen ultime de répression et de contrôle, notamment grâce à l'utilisation de plates-formes de villes intelligentes/de villes sûres, de systèmes de reconnaissance faciale et de police prédictive. Ces technologies sont également utilisées par des groupes extrémistes violents, ainsi que par des trafiquants de sexe, d'enfants, de drogue et d'armes à leurs propres fins néfastes.
La Chine, le modèle de notre avenir dystopique, a été une force majeure dans le déploiement de la surveillance de l'IA sur ses propres citoyens, en particulier par le biais de ses systèmes de crédit social, qu'elle utilise pour identifier, suivre et séparer ses "bons" citoyens des " mal."
RépondreSupprimerLes scores de crédit des médias sociaux attribués aux particuliers et aux entreprises chinois les classent selon qu'ils sont dignes ou non de faire partie de la société. Un système de nom réel - qui oblige les gens à utiliser des cartes d'identité émises par le gouvernement pour acheter des sims mobiles, obtenir des comptes sur les réseaux sociaux, prendre un train, monter à bord d'un avion ou même acheter des produits d'épicerie - couplé à des cotes de crédit sur les réseaux sociaux garantit que les personnes inscrites sur la liste noire comme les « indignes » se voient interdire d'accéder aux marchés financiers, d'acheter un bien immobilier ou de voyager en avion ou en train. Parmi les activités qui peuvent vous faire qualifier d'indigne, il y a le fait de prendre des places réservées dans les trains ou de causer des problèmes dans les hôpitaux.
De la même manière que les produits chinois ont infiltré presque tous les marchés du monde et modifié la dynamique des consommateurs, la Chine exporte désormais sa « technologie autoritaire » vers les gouvernements du monde entier, apparemment dans le but de répandre sa marque de totalitarisme dans le monde entier. En fait, la Chine et les États-Unis ont ouvert la voie en fournissant au reste du monde la surveillance de l'IA, parfois à un tarif subventionné.
C'est ainsi que le totalitarisme conquiert le monde.
Alors que les pays dotés de régimes autoritaires ont été impatients d'adopter la surveillance de l'IA, comme le montrent clairement les recherches du Carnegie Endowment, les démocraties libérales "utilisent également de manière agressive les outils de l'IA pour contrôler les frontières, appréhender les criminels potentiels, surveiller les citoyens pour mauvais comportement et retirer les terroristes présumés de foules."
De plus, il est facile de voir comment le modèle chinois de contrôle d'Internet a été intégré dans les efforts de l'État policier américain pour débusquer les soi-disant extrémistes nationaux antigouvernementaux.
Selon le rapport approfondi du journaliste Adrian Shahbaz, le modèle chinois d'autoritarisme numérique comporte neuf éléments lorsqu'il s'agit de censurer les discours et de cibler les militants : 1) les dissidents souffrent de cyberattaques et de phishing persistants ; 2) les médias sociaux, les sites Web et les applications de messagerie sont bloqués ; 3) les messages critiquant les responsables gouvernementaux sont supprimés ; 4) l'accès mobile et Internet sont révoqués en guise de punition pour l'activisme ; 5) les commentateurs rémunérés étouffent les critiques du gouvernement ; 6) de nouvelles lois renforcent la réglementation sur les médias en ligne ; 7) le comportement des citoyens contrôlé via l'IA et des outils de surveillance ; 9) des individus régulièrement arrêtés pour des messages critiquant le gouvernement ; et 9) les militants en ligne sont amenés à disparaître.
Vous n'avez même pas besoin d'être un critique du gouvernement pour vous faire prendre au piège de la censure numérique et de la surveillance de l'IA.
RépondreSupprimerLe danger posé par l'État de surveillance s'applique également à nous tous : transgresseurs et respectueux des lois.
Lorsque le gouvernement voit tout et sait tout et dispose d'une abondance de lois pour faire du citoyen le plus honnête un criminel et un hors-la-loi, alors le vieil adage selon lequel vous n'avez rien à craindre si vous n'avez rien à cacher n'est plus s'applique.
Comme l'écrivait Orwell en 1984, "Vous deviez vivre - vous viviez, par habitude devenue instinctive - dans l'hypothèse que chaque son que vous produisiez était entendu et, sauf dans l'obscurité, chaque mouvement scruté."
À une époque où il y a trop de lois, trop de prisons, trop d'espions gouvernementaux et trop d'entreprises désireuses de gagner rapidement de l'argent aux dépens du contribuable américain, nous sommes tous coupables d'une transgression ou d'une autre.
Personne n'est épargné.
Comme l'écrit Elise Thomas pour Wired : "La nouvelle technologie de surveillance signifie que vous ne serez plus jamais anonyme."
Il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions à regarder le passé avec nostalgie, à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions, aller où nous voulions, ressentir ce que nous voulions sans que ces pensées, mots et activités ne soient suivis, traités et stockés par des entreprises géantes, vendus à des agences gouvernementales et utilisés contre nous par la police militarisée avec son armée de technologies futuristes.
Soyez prudent : comme je l'explique clairement dans mon livre Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictif The Erik Blair Diaries, 1984 est devenu un manuel d'utilisation pour l'état de surveillance omniprésent et moderne de l'IA.
Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les atteintes à nos droits lorsque le pouvoir, la technologie de l'IA et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que les règles de survie de Philip K. Dick deviennent notre réalité gouvernante : « Si, comme il semble, nous sommes en train de devenir une société totalitaire dans laquelle l'appareil d'État est tout-puissant, l'éthique la plus importante pour la survie de l'individu véritable, libre et humain serait : tricher, mentir, esquiver, faire semblant, être ailleurs, falsifier des documents , construisez des gadgets électroniques améliorés dans votre garage qui déjoueront les gadgets utilisés par les autorités.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/no_author/digital-authoritarianism-ai-surveillance-signals-the-death-of-privacy/
La question n'est pas dans le sens du privé ou public car si c'est publié sur Internet: c'est public. Donc, c'est volontairement qu'un individu (privé) poste sur la toile et devient public.
SupprimerLa question est "Est-ce que ma liberté de publier et mes posts sont-ils ou non compromis ?"
Car, la censure va bon train depuis l'arrivée de cette Démocratie sur les ondes. Suppression de commentaires, de blogs, de photos, de films, etc !
Et... publication (au centuple) de FAUSSES informations par les dirigeants psychopathes !
Toute notre civilisation est structurée autour de nous empêcher de réaliser que nous pouvons le faire
RépondreSupprimerPar Caitlin Johnstone
CaitlinJohnstone.com
26 juillet 2022
Lève-toi, comme des lions après le sommeil
En nombre invincible !
Secouez vos chaînes à la terre comme la rosée
Qui dans le sommeil était tombé sur toi :
Vous êtes nombreux - ils sont peu nombreux !
~ Percy Byshe Shelley
Les séquences vidéo sortant du Sri Lanka en ce moment ont été le cauchemar récurrent de tous les dirigeants à travers l'histoire.
Des milliers de manifestants indignés par la détérioration des conditions matérielles de l'effondrement économique du pays ont pris d'assaut le palais présidentiel du président sri-lankais Gotabaya Rajapaksa, et je vous garantis que les images aériennes alors qu'ils se déversaient dans le bâtiment en masse ont rendu chaque chef de gouvernement et ploutocrate un peu mal à l'aise aujourd'hui.
Regardez ça. Regardez tous ces gens qui affluent là-dedans. C'est une puissance vraiment impressionnante. Imaginez à quel point ce serait terrifiant de vous retrouver du côté de celui-ci.
Je n'en sais pas encore assez sur ce qui se passe au Sri Lanka pour commenter avec quelque autorité que ce soit les pouvoirs qui pourraient être en jeu dans ce soulèvement, mais je sais que chaque dirigeant à travers l'histoire a passé du temps à imaginer ce qui se passerait si une foule qui taille a décidé de prendre d'assaut leur base d'opération. Si leur nombre devenait trop important pour être supprimé, ou si vos forces chargées de la suppression rejoignaient les rangs du peuple à la place, le meilleur scénario pour vous est que vous auriez déjà fui le bâtiment à ce moment-là, comme Rajapaksa a eu le bon sens de le faire peu de temps avant que le bâtiment ne soit pris d'assaut. Si suffisamment de personnes en colère mettent la main sur vous, peu importe qu'elles soient armées de roquettes ou de pistolets ou à mains nues ; vous êtes dans une fin violente.
Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi tant d'énergie est consacrée à la propagande de tout le monde dans notre société, voici pourquoi. Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi nos dirigeants travaillent si dur pour nous maintenir divisés les uns contre les autres, voici pourquoi. Si vous vous êtes déjà demandé pourquoi on nous demande toujours de porter nos griefs à l'isoloir, même si nous apprenons élection après élection que cela ne change jamais les choses qui ont le plus désespérément besoin de changer, voici pourquoi.
Toute notre civilisation est structurée autour de la prévention de scènes comme celle que nous voyons au Sri Lanka aujourd'hui. Nos systèmes éducatifs, nos systèmes politiques, nos médias, nos informations en ligne. Les religions qui existent depuis des milliers d'années parce que les puissants les ont approuvées et promulguées sont pleines de passages vantant les vertus d'obéissance, de pauvreté, de douceur et rendant à César ce qui est à César. Dès notre naissance, nos têtes sont remplies d'histoires expliquant pourquoi il est bon et juste de consentir au statu quo et pourquoi il serait mal de reprendre ce qui nous a été volé par une classe dirigeante prédatrice.
RépondreSupprimerC'est pourquoi nous sommes toujours inondés de messages sur l'importance de la civilité et de la politesse chaque fois que les gens se rendent compte qu'ils peuvent simplement affronter des fonctionnaires corrompus dans des restaurants ou chez eux pour obtenir ce qu'ils veulent. Les dirigeants de l'empire oligarchique qui règne sur nous sont terrifiés à l'idée qu'on s'aperçoive un jour que nous sommes beaucoup plus nombreux qu'eux et qu'ils ne pourraient vraiment rien faire pour nous arrêter si nous décidions de les remplacer avec un système qui profite aux gens ordinaires plutôt qu'à quelques élites.
Les choses empirent de plus en plus parce que les systèmes en place sont conçus pour exploiter et opprimer plutôt que pour élever et aider à prospérer. Ces systèmes protégeront leur propre capacité à continuer d'exploiter et d'opprimer jusqu'à ce que les gens utilisent leur nombre pour les remplacer par quelque chose de sain. Les gens n'utiliseront jamais leur nombre pour remplacer les systèmes abusifs par quelque chose de sain tant qu'ils sont propagandisés avec succès pour ne pas le faire.
C'est pourquoi nos institutions politiques et médiatiques agissent comme elles agissent et pourquoi nos systèmes sont organisés comme ils le sont : pour nous empêcher de réaliser à quel point il serait facile d'ignorer les anciens mécanismes d'oppression comme un lourd manteau sur une journée chaude et construisez quelque chose de nouveau qui fonctionne pour nous tous.
Les choses continueront de s'aggraver jusqu'à ce que nous trouvions un moyen de briser le brouillard cérébral de la propagande et de nous élever comme des lions.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/no_author/our-entire-civilization-is-structured-around-keeping-us-from-realizing-we-can-do-this/
L'Amérique est intentionnellement détruite par la division organisée
RépondreSupprimerDe Paul Craig Roberts
PaulCraigRoberts.org
26 juillet 2022
Si cette bande-annonce est une indication, nous sommes sur le point d'avoir droit à une sortie de film fantastique en septembre dans laquelle des guerrières noires sauvent l'Afrique de l'esclavage des Français. Les cinéastes ne se rendent pas compte de l'ironie du décor, qui est le Dahomey, un royaume noir qui menait des guerres d'esclaves contre d'autres noirs et était la source de la traite négrière. Presque chaque esclave noir amené dans les Caraïbes et dans les colonies anglaises d'Amérique du Nord était une personne vendue comme esclave par le roi noir du Dahomey. Les guerrières du film déclarent que la liberté vaut la peine de se battre, mais en réalité, le Dahomey s'est battu pour gagner de l'argent en asservissant les Africains noirs.
Aujourd'hui, le Dahomey est connu sous le nom de Bénin. Sur la plage de Ouidah se trouve un monument contemporain, la Porte du non-retour, commémorant la vie des Africains capturés par le royaume noir du Dahomey et vendus aux Arabes et Européens comme esclaves ou échangés contre des armes à feu.
Quel pourrait être le véritable objectif de ce film ? Serait-ce pour brasser plus de haine noire contre les Blancs et pour justifier cette haine et se répandre dans la population féminine noire américaine, en favorisant l'idée que, tout comme dans le film, elles peuvent aussi se débarrasser violemment de l'oppression blanche ?
Ou est-ce un but d'enterrer davantage le Dahomey en tant que source de la traite des esclaves et source d'esclaves noirs ? Le récit officiel des «études noires» et du projet 1619 est que les noirs ont été réduits en esclavage par les blancs. Autant que je sache, aucun noir n'a jamais été asservi par un blanc. Lorsque les Arabes et les Européens blancs ont acheté des esclaves, ils ont acheté des Noirs qui étaient déjà asservis par le royaume noir du Dahomey.
La raison de la falsification de l'histoire dans les universités et par les cinéastes est d'enfoncer plus de clous dans le cercueil de l'Amérique en inculturant la division dans une société multiraciale.
Comment le racisme blanc peut-il être la cause de l'esclavage alors que le fait est que les esclaves noirs étaient la marchandise marchande du royaume noir du Dahomey ? Comme le dit l'Encyclopedia Britiannica, « le Dahomey a été organisé pour la guerre, non seulement pour étendre ses frontières mais aussi pour faire des captifs comme esclaves. Les esclaves étaient soit vendus aux Européens en échange d'armes, soit gardés pour travailler dans les plantations royales qui fournissaient de la nourriture à l'armée et à la cour.
Je parierais presque ma vie que l'Encyclopedia Britiannica sera obligée de supprimer ce passage et tous les rapports corrects sur le Dahomey et la traite des esclaves, tout comme l'histoire de Karl Polanyi, Dahomey et la traite des esclaves, a disparu et ne peut plus être publiée. Si le livre était disponible et qu'un professeur noir l'attribuait à la classe, il serait chassé de l'université s'il n'était pas lynché par les voyous éveillés qui comprennent les facultés universitaires, les administrations et les associations étudiantes.
RépondreSupprimerLes Blancs des colonies ont-ils acheté des esclaves parce qu'ils étaient racistes et souhaitaient avoir des Noirs à maltraiter ? Évidemment pas. Ils détenaient des concessions de terres mais manquaient de main-d'œuvre. Les esclaves étaient achetés comme force de travail. Comme il n'y avait pas de main-d'œuvre gratuite disponible pour l'achat d'un salaire, l'achat d'un esclave était la seule alternative de main-d'œuvre.
Les propriétaires d'esclaves ont-ils abusé de leur investissement dans une main-d'œuvre comme le proclamaient des tracts de propagande tels que La Case de l'oncle Tom ? Une personne qui a investi dans une usine brûle-t-elle sa propre usine ?
Les propriétaires d'esclaves voulaient des travailleurs forts, sains et coopératifs pour produire les cultures dont dépendait la plantation. Cela n'avait aucun sens de faire mourir un esclave précieux, de le retourner contre vous en le battant ou en violant sa femme. Dans les plantations, de nombreux surveillants étaient des esclaves noirs. Cela a été considéré comme une bonne pratique de gestion. Laissez les Noirs avoir la responsabilité du programme de travail.
Peu d'esclaves noirs se sont enfuis, et même la proclamation d'émancipation de Lincoln n'a pas pu déclencher, comme il l'avait espéré, une rébellion d'esclaves dans le Sud qui attirerait ses soldats des lignes de front. Bien qu'aujourd'hui on ne soit pas autorisé à dire de telles vérités, les esclaves noirs en Amérique du Nord étaient satisfaits. Ils avaient de la nourriture, un abri et la sécurité. Ils n'ont pas fait l'objet de raids d'esclaves par le roi noir des pillards d'esclaves du Dahomey. Ils travaillaient et étaient nourris, habillés et logés. À bien des égards, ils étaient mieux lotis que les salariés blancs plus tardifs qui dépendaient du magasin de l'entreprise. Regarde ça. Voici une interprétation moderne de la chanson de Tennessee Earnie Ford.
Le Sud tant abusé et dénigré n'a pas inventé l'esclavage. L'esclavage était une institution du travail héritée de l'époque coloniale bien avant que l'idée des États-Unis n'existe. Les premiers esclaves des colonies n'étaient pas des Noirs comme le prétend à tort et à des fins de propagande le Projet 1619. Les premiers esclaves étaient des Blancs. Jamestown a été fondée en avril 1607 par un peu plus d'une centaine de colons, dont la plupart étaient des esclaves. Un esclave est une personne dont les dettes personnelles ou familiales en Angleterre l'ont amenée à être vendue en servitude sous contrat et transportée sur des milliers de kilomètres à travers un océan jusqu'à l'endroit où elle vivait dans les conditions décrites par cet enfant blanc vendu pour accommoder le créancier des dettes de sa famille :
"Père et mère aimants et bons, je n'ai rien pour me consoler, et il n'y a rien à gagner ici que la maladie et la mort. Une bouchée de pain doit servir à quatre hommes. Les gens crient jour et nuit. Ne m'oubliez pas mais ayez pitié et pitié de mon misérable cas. Si tu m'aimes comme ton enfant, libère-moi de l'esclavage et sauve-moi la vie. La lettre a été écrite par un jeune garçon, Richard Frethorne. De toute évidence, à cette époque, la vie était cruelle. Les parents anglais blancs vendraient un fils en esclavage afin de régler leurs dettes, et le royaume noir du Dahomey mènerait la guerre contre d'autres noirs afin de tirer profit de la vente de captifs comme esclaves.
RépondreSupprimerLe Sud ne s'est pas battu pour préserver l'esclavage. Le président Lincoln a promis de préserver l'esclavage si le Sud restait dans l'union et payait le tarif pour financer l'industrie du Nord. Le Sud a refusé l'accord et s'est battu parce qu'il était envahi par les armées du Nord.
Afin d'industrialiser et d'étendre l'empire, le Nord devait bloquer les produits manufacturés moins chers et mieux fabriqués en Angleterre. Le tarif, qui avait été le principal sujet de discorde entre le Nord et le Sud pendant des années, profiterait au Nord et nuirait au Sud. Cela convenait au Nord mais pas au Sud. À la veille de la guerre, Lincoln a promis au Sud l'esclavage pour toujours si seulement le Sud restait dans l'Union et payait le tarif, mais le tarif était une question plus importante pour le Sud que l'esclavage.
Tout cela était autrefois généralement connu et largement documenté. Mais avec la montée des études noires, la connaissance a été éradiquée. Les universités américaines sont des usines à mensonges au même titre que les prestitutes, les politiciens et les agences de santé publique.
La ségrégation scolaire dans le Sud, d'après ce que je sais d'Atlanta, était basée sur la classe et non sur la race. Les enfants sont allés dans les écoles du quartier où ils se sont rendus à pied. Si vous viviez dans un quartier de classe moyenne, vous alliez à l'école avec des enfants de la classe moyenne. Dans mon école, il n'y avait ni riches ni pauvres. Si vous viviez dans un quartier riche, vous alliez à l'école avec des enfants riches. Si vous viviez dans un quartier pauvre, vous alliez à l'école avec des enfants pauvres. C'est aussi simple que ça.
L'intégration scolaire forcée nécessitait des bus et était considérée par les sudistes comme une deuxième reconstruction, c'est pourquoi ils s'y sont opposés. Le busing a détruit les PTA (associations de parents d'élèves) qui avaient maintenu la coopération et la discipline et donné aux parents une voix, qu'ils n'ont plus, dans l'éducation de leurs enfants. Présenter l'opposition du Sud au bus comme raciste est un mensonge.
RépondreSupprimerLes politiciens du Sud ont dû montrer une certaine opposition à la deuxième reconstruction du Sud. Ils ne pourraient pas appeler la garde nationale qui serait confrontée à l'armée américaine armée d'armes nucléaires et biochimiques, de chasseurs à réaction et de bombardiers. Alors ils ont fait la seule chose qu'ils pouvaient. Ils se tenaient devant la porte de l'école. Cela a fourni la démonstration d'opposition requise.
Qu'en est-il des toilettes séparées, des fontaines à eau, des restaurants et de l'arrière du bus ? Quand j'étais enfant, les maladies infectieuses étaient la grande frayeur comme Covid aujourd'hui, en particulier la tuberculose et la VD. Les gens pensaient que vous pouviez attraper la VD à partir des sièges de toilette. Il était interdit par la loi de cracher dans les rues car on pensait que cela pouvait propager la tuberculose. À cette époque, les maladies infectieuses étaient associées aux pauvres qui n'avaient pas les moyens de vivre sainement, tout comme aujourd'hui les maladies infectieuses sont associées aux homosexuels qui sont soupçonnés d'être les propagateurs du sida et de la variole du singe. Les Noirs étaient disproportionnellement pauvres. Leur ségrégation dans les toilettes, les fontaines à eau et les restaurants reflétait la peur des maladies infectieuses. Compte tenu de la mauvaise compréhension à cette époque, cela aurait pu être une erreur, mais ce n'était pas raciste. Ce n'est pas que les Noirs se sont vu refuser des fontaines à eau. Ce sont des libéraux du Nord blancs meilleurs que vous qui ont transformé les problèmes de santé publique en «racisme blanc».
Personne ne supposait que tous les Noirs ou même un très grand pourcentage d'entre eux étaient porteurs de maladies infectieuses. Si les gens avaient vu les Noirs de cette façon, personne n'aurait employé des femmes noires pour les aider avec les travaux ménagers et les enfants, et pour préparer les repas. Carrie a mangé avec nous. Il ne pouvait en être autrement. Quand c'est l'heure du déjeuner, vous ne pouvez pas dire à quelqu'un sur qui vous comptez d'aller manger toute seule. Personne ne pensait à des fontaines à eau séparées. Si le blanc ne fonctionnait pas, nous utilisions le noir, et je suis sûr que les noirs faisaient de même. Vous n'avez pas été arrêté pour cela.
L'arrière du bus était la façon dont les compagnies de bus essayaient d'accueillir ses différentes catégories de passagers. À cette époque, il n'y avait pas de centres commerciaux et les familles ne possédaient pas plusieurs voitures. Les transports en commun étaient partagés par des dames habillées faisant leurs courses et par la main-d'œuvre noire. À cette époque, contrairement à aujourd'hui, une femme qui se respecte ne sortait de chez elle que si elle était convenablement habillée. Cela signifiait des talons hauts, des bas, un joli costume ou une belle robe, un chapeau, un voile et des gants. Si les sièges étaient mélangés, les femmes dans leurs plus beaux atours seraient confrontées à des sièges souillés par des ouvriers noirs qui travaillent dur. Et les femmes avec leurs parfums seraient confrontées à l'odeur du travail acharné. Si les compagnies de bus avaient prévu l'utilisation de l'arrière du bus pour la propagande, elles auraient affecté les Blancs à l'arrière et la main-d'œuvre noire à l'avant. Les compagnies d'autobus n'ont tout simplement pas compris qu'une politique de bon sens serait déclarée preuve de racisme. En tant qu'enfants, nous préférions l'arrière du bus. La grande fenêtre large au-dessus des voitures était un endroit parfait pour faire des grimaces aux automobilistes, et elle était proche de la sortie arrière. De plus, où l'arrière du bus dépendait des portions de passagers noirs et blancs. Si le trafic de passagers était en grande partie noir, l'arrière du bus pourrait s'étendre vers l'avant. J'ai été dans des bus où tous les sièges étaient occupés par des Noirs. En d'autres termes, il n'y avait pas de ligne tracée à travers le bus au-delà de laquelle les Noirs ne pouvaient pas avancer ou les Blancs reculer.
RépondreSupprimerLes faits ne font pas partie du récit raciste. Aujourd'hui en Amérique, nous vivons dans le mensonge. Il n'y a rien d'autre. Dès que The Woman King apparaîtra dans les salles de cinéma et sur Netflix, nous vivrons dans le mensonge des marchands d'esclaves noirs du Dahomey qui luttent pour la liberté des Noirs.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/paul-craig-roberts/america-is-intentionally-being-destroyed-by-organized-divisiveness/
L'équipe de démolition sera vaincue
RépondreSupprimerDe James Howard Kunstler
Kunstler.com
26 juillet 2022
Conformément aux principes de la psychose de formation de masse, les personnes malicieusement folles en charge des affaires nationales s'attendront à ce que vous avaliez des absurdités toujours plus grandes pour maintenir leur contrôle (et se protéger).
Nous trébuchons dans les latitudes équestres de l'été en nous sentant piégés dans l'immobilité. La chaleur trouble les esprits — et ce sont des esprits déjà brouillés par la propagande officielle. Nous sommes si près d'une reconnaissance générale que les vaccins Covid étaient une arnaque mortelle, alors même que Rochelle Walensky du CDC continue de pousser des boosters à la télévision et que toute la bureaucratie de la santé publique se tient silencieusement derrière cette contrefaçon meurtrière. Lorsque leurs procès arriveront enfin, plaideront-ils qu'ils ne savaient tout simplement pas ? Comment est-ce possible ? (Ce n'est pas.)
La crise des vaccinés arrive et personne ne s'en cachera. Quoi qu'il en soit, personne ne s'attend à ce que de véritables informations soient diffusées par les médias traditionnels. Cela se propagera à coup sûr à travers les médias alternatifs, et c'est déjà le cas, mais la véritable propagation se poursuivra lorsque tous les gens ordinaires se verront et que ceux qui les entourent tomberont malades, et se rendront compte qu'ils ont une chose en commun : ces vaxxes auxquels ils se sont soumis. C'est déjà arrivé.
Conformément aux principes de la psychose de formation de masse, les personnes malicieusement folles en charge des affaires de notre nation s'attendront à ce que vous avaliez des absurdités toujours plus grandes pour maintenir leur contrôle (et se protéger). Mais nous sommes bien au-delà de l'étape des "femmes avec des pénis" du programme de baise mentale. Personne avec un cerveau fonctionnel ne croit plus à ces conneries - à l'exception des personnes qui dirigent le système pénitentiaire californien. La prochaine étape, apparemment, est une petite guerre chaude avec la Russie ou la Chine, une distraction utile de l'auto-démantèlement systématique de Western Civ.
"Joe Biden" a envoyé des troupes des 82e et 101e divisions aéroportées en Europe, soi-disant pour "entraîner" les forces de l'OTAN de l'Euroland. Est-ce une sorte de bluff ? Ou est-ce que "Joe Biden" et compagnie imaginent qu'ils vont lancer une contre-offensive éclair sur le terrain en Ukraine et reprendre péniblement le territoire sécurisé par la Russie depuis février. Si nous envoyons des troupes en Ukraine proprement dite, cela reviendrait à sacrifier délibérément nos soi-disant meilleurs soldats dans un hachoir à viande. Peut-être que le but est simplement d'affaiblir davantage l'armée américaine, d'humilier l'OTAN et de hâter la mort de l'Occident.
Bien sûr, nous n'avons aucun intérêt national stratégique réel en Ukraine. Nous n'avons eu aucune querelle toutes les années où les Soviétiques russes l'ont possédé et exploité. Nous avons déclenché le conflit actuel en concoctant la révolution des couleurs de 2014. (Il s'en est suivi les années fastes où Hunter Biden a converti l'argent de l'aide américaine en revenus pour ses nombreuses sociétés fictives.) Je doute qu'une pluralité d'Américains succombent à un autre stratagème aussi stupide de haine de la Russie. Nous avons eu assez de mésaventures étrangères inutiles et coûteuses. Ce serait une guerre dépassant l'impopularité du Vietnam et pourrait facilement déclencher des manifestations de rue généralisées. Seulement cette fois, la gauche sera pro-guerre et le Parti du Chaos enverra son armée hétéroclite de transsexuelles Antifa pour rendre les manifestations de rue plus sanglantes. On le verra pour ce qu'il est : la guerre du régime au pouvoir contre son propre peuple. Et il sera surmonté.
En lice dans les Jeux olympiques de l'absurdité, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de déclarer Monkeypox une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) – mais seulement après que le chef de l'équipe, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a annulé un comité de l'OMS qui a voté contre une telle décision. Monkeypox, vous comprenez, est une maladie qui se propage presque exclusivement parmi la population gay, c'est-à-dire les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, échangeant des fluides corporels. Les épidémies ont été liées aux orgies gays, en particulier lors des récentes festivités du «mois de la fierté» de juin. Pensez-vous qu'il serait plus approprié que l'OMS émette un avis contre les orgies gays ?
RépondreSupprimerMais, en réalité, ce n'est qu'une autre prise de pouvoir évidente, une tentative des maniaques de Schwabenklausian de pousser les gens et de détruire l'économie afin de mieux reconstruire - c'est-à-dire d'orchestrer un programme de contrôle social numérique sévère pour gérer son événement de dépopulation. Le département américain de la Défense (DOD) est désormais autorisé en vertu de la loi d'autorisation de la défense nationale (NDAA) de 2022 à administrer un programme de vaccination obligatoire, tandis que le CDC a acheté des millions de doses de vaccin supposé contre la variole du singe.
Sachant à quel point les Covid Vaxx étaient mortels, pensez-vous vraiment que des masses d'Américains qui ne se livrent pas à des relations sexuelles homosexuelles pourraient faire la queue de leur plein gré pour ces nouveaux clichés ? J'en doute un peu. Les provocations de guerre idiotes, l'hystérie climatique renouvelée et les alertes sanitaires malhonnêtes sont des moyens de reporter, d'annuler ou de bousiller les élections de mi-mandat aux États-Unis. Si la gauche perd le Congrès américain, alors les mondialistes perdront leur arme principale : le Parti du Chaos. Pendant ce temps, les dirigeants de l'Euroland tombent déjà et des gouvernements entiers là-bas vont s'effondrer et brûler dans les mois à venir.
Tout cela se passe dans le contexte d'un système financier vacillant qui rend la vie inabordable pour ce qui reste des classes moyennes. D'une manière ou d'une autre, ils seront fortement motivés pour sauver leurs propres moyens de subsistance et recréer un pays sous un véritable état de droit au service de la liberté. Nous attendons la décision la plus désespérée de «Joe Biden» et compagnie: éteindre Internet afin que les Américains ne puissent plus communiquer facilement ou rester informés de quoi que ce soit. Bien sûr, s'ils essaient cela, ils détruiront également tout ce qui est géré automatiquement par des ordinateurs dans ce pays et plongeront l'Amérique dans la bataille contre la bureaucratie démente qui nous gouverne.
Reprinted with permission from Kunstler.com.
https://www.lewrockwell.com/2022/07/james-howard-kunstler/the-wrecking-crew-will-be-overcome/
42 blessés au Japon alors que des singes menaçants sortent
RépondreSupprimerPAR TYLER DURDEN
MARDI 26 JUILLET 2022 - 03:05
Les autorités de la ville japonaise de Yamaguchi intensifient leurs mesures pour faire face aux singes en maraude qui ont blessé au moins 42 personnes ces dernières semaines, rapporte l'AFP.
Pour lutter contre la menace des singes (en particulier les macaques japonais), les autorités locales se tournent vers les pistolets tranquillisants, après que les pièges qu'ils ont posés n'aient réussi à piéger aucun des primates embêtants. Les adultes et les enfants déclarent souffrir de blessures, notamment d'égratignures et de morsures.
"Toute la ville de Yamaguchi est entourée de montagnes et il n'est pas rare de voir des singes", a déclaré un responsable municipal du département de l'agriculture, ajoutant "Mais il est rare de voir autant d'attaques en si peu de temps".
"Au départ, seuls des enfants et des femmes ont été attaqués. Récemment, des personnes âgées et des hommes adultes ont également été ciblés", a ajouté le responsable.
La ville ne sait même pas si les attaques sont l'œuvre de plusieurs singes ou d'un seul individu agressif. Les intrus sont entrés dans certains cas en ouvrant des portes coulissantes ou en entrant par des fenêtres.
Les responsables de la ville et la police patrouillent dans la région depuis les premières attaques vers le 8 juillet, mais n'ont encore capturé aucun singe.
RépondreSupprimerL'histoire a fait la une des journaux au Japon ces dernières semaines, les résidents locaux signalant des invasions régulières.
"J'ai entendu des pleurs venir du rez-de-chaussée, alors je me suis précipité", a déclaré un habitant au Mainichi Shimbun Daily. "Puis j'ai vu un singe penché sur mon enfant."
Ils feraient mieux de maîtriser ça, et vite... car nous savons tous ce qui se passe quand les simiens font pencher la balance du pouvoir.
https://www.zerohedge.com/political/42-injured-japan-menacing-monkeys-chimp-out
Après des milliers d'oiseaux et de poissons retrouvés morts du 'je-ne-sais-quoi' !! voici qu'arrivent les singes téléguidés comme le sont les piqués 'cocovide19' qui courent s'en faire inoculer une autre dose ?!
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